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1 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
DE NEUROLOGIE DE PARIS Séance nu 5 novembre 1908 : A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE. LA PATHOGÉNIE DE LA MAL
and nombre d'os situés tous d'un seul côté de la ligne médiane : un cas sem- blable n'avait pas encore été rapporté,à n
Masson et Cie, Editeurs PhototypIe Derlha.ud, Pans. A PROPOS D'UN CAS D'OST1 : LTE DEFORMANTE 3 Notre malade présente
aucun trouble surajouté (inflammatoire ou autre) : car, dans notre cas tout au moins, celle élévation de la températur
Il y a là un signe qu'il faudra dorénavant rechercher dans tous les cas , qui permettra peut-être de différencier la mal
asson et Cm, Editeur : Phototypie f3erthaud, Par 15 A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE ' 5 C'est il ya dix-huit m
ippel et Pierre- Weil). - Mac;l5on et Cie, Editeurs A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 7 nous avons vu des os ili
ÉITE DÉFORMANTE DE PAGET (Klippel et Pierre- Weil). A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 9 bruit claqué au coeur; a
z les sujets atteints, si ces antécédents font défaut dans tous les cas sans exception, cela doit être, puisque les suj
qu'il n'est pas guéri, tant qu'il est sous le coup de A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE il 1 Toutefois la syphilis
il 1 Toutefois la syphilis acquise a pu être imputée dans cerlains cas . M. Mé- nétrier a insisté sur cette étiologie,
bétique, et peut-être donc syphilitique : cela porterait à cinq les cas de maladie de Paget observés chez des sujets ayan
'Institut Pasteur, 1907-1908). ). (1) Ménétrier et G,WCKLKR, Deux cas de maladie osseuse de Paget avec examen anatomi
-syplii 1 i tiques - une pathogénie ne peut se fon- der sur un seul cas . Tout au plus, pourra-t-on préjuger d'un certai
. cit. (4) A. Fournier, Bulletin médical, loc. cit. A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 13 taille (1) ; Ménétrier
) ; Jacquet (3)] ; le traitement mixte a calmé les douleurs dans un cas de Schwartz, a fait rétrocéder les exostoses da
rs dans un cas de Schwartz, a fait rétrocéder les exostoses dans un cas de Labadie-Lagrave [cité en thèse Fréchou (4)], a
té en thèse Fréchou (4)], a arrêté la marche de l'affection dans un cas de Lannelongue. Mais dans toutes ces observatio
us verrons plus loin comment on peut, selon nous, inter- préter ces cas . Nous voulons nous borner, pour le moment, à mont
(1) Voici par exemple les chiffres obtenus par An. Robin, Note sur un cas d'os- téite déformante de Paget. Nouvelle Icono
ouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1894, p. 15 : A PROPOS D'UN CAS D OSTÉITE DÉFORMANTE 15 talé entre ces os et ce
spirochète, et M. IVIorax et Vergne (2) ont rapporté ré- cemment un cas de chorio-rétinite chez un pagétique. Mais cette
aquelle on a trouvé une myélite chronique; Pic (7) relate, dans son cas ,certaines manifestations nerveuses (exagération
sparition presque complète de l'autre dans le tibia J A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 17 leurs malades et de mêm
vritiques qu'ils ont observées et font remarquer que dans les trois cas où les nerfs ont été étudiés liistologiquement,
nerfs ont été étudiés liistologiquement, ils ont paru malades (leur cas ; celui de G. de la Tourelle et IVIarinesco ; c
» Eugenio Medea et Corrado de Fano ne veulent pas conclure de leur cas à la théorie tropho-névrotique : les lésions qu
ue, loc. cit. (6) Touche, Journal d'anatomie, 1900. A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 19 « névrite » puisque, da
'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 19 « névrite » puisque, dans les trois cas où les nerfs ont été examinés, ils étaient mala
avait des plaques athéromateuses sur (1) Béclère, Radiographie d'un cas de maladie de Pagel. Soc. médic. des hôpitaux 9
juillet 1901 ; Bulletins de la Soc., 1901, p. 929. (2) Gaillard, On cas d'ostéile déformante. Soc. médic. des hôpitaux, 1
, The Lancet, 23 janvier 1904. (4) APERT et BOPN.11T-LAGUEUL6, Deux cas de maladie de Pagel. Soc. médie. des hôpi- taux
tissu osseux que du tissu artériel, qu'il faut expliquer .certains cas d'hérédité pagétique, cas signalés par Lann, Be
artériel, qu'il faut expliquer .certains cas d'hérédité pagétique, cas signalés par Lann, Berger (5), Chauffard (6) OEtt
oursouflés, déformés, irrégulièrement cylindriques, (1) Meunier, On cas d'ostéite déformante de Pagel. Nouv. Iconogr. de
. . (3) Guinon, Soc. anatomique, 1885, p 344. (4) TAIBIERGS, Deux cas d'ostéite déformante de Paget. Soc. médic. des hô
(7) OI : TT1GER et AG.155GL.1FOVT. Maladie osseuse de Pagel. Trois cas observés dans une même famille. Hypothèse nouve
ogr. de la Salpêtrière, 1905, mars-avril, p.,29+. ' A PROPOS d'un cas d'ostéite DÉPOSANTE 21 opaques, en « morceaux d
ir aucun détail de structure interne. Il nous faut rapprocher de ce cas l'observa- tion de notre malade, qui, elle auss
sions étaient très irrégulièrement réparties, et de même dans notre cas , bien qu'à un moindre degré. « Cette singulière
acide chez les pagétiques : ils rapportent dans leur mémoire trois cas personnels qui semblent ressortir de cette pa-
). On relève cette même notion de vapeurs acides dans l'un des deux cas d'Apert etT3ornait- Lagueule (1). Si donc cer
cette théorie est insuffisante, elle aussi. Elle n'explique pas ces cas où la ma- ladie débute précocement : un des mal
cette pathogé- nie, comment l'ostéite déformante a pu dans certains cas débuter à la suite d'un traumatisme : le fait e
IIUIERGE, Arch. gén. de méd., janvier, 1890, p. 52, . A PROPOS d'un cas D'OBSTÉITE DHFORMANTR 3 3 Les troubles arthriti
t intéressant de savoir si la radio- graphie ne pouvait en certains cas fournir un élément de diagnostic. La collection
ceptibles d'être retrouvés sur le vivant ; dans un certain nombre de cas nous avons eu l'occasion de vérifier sur des ma
éanmoins pourra parfois prendre une grande importance dans certains cas en apparence intermé- diaires où les déformatio
, 1902-1903) sur les fractures spontanées tabétiques, en signale un cas personnel, qu'il croit t unique dans la science
Depuis le travail de cet auteur, nous n'avons trouvé qu'un nouveau cas publié par Mauclaire en 1905, dans la Tribune m
s nous présentent des circonstances étiologiques analogues. Dans le cas de Guillet, il s'agit d'une femme de 38 ans, qui,
ré la rotule en vou- lant se relever, étant à genoux. Dans tous les cas , l'effet fut donc dispro- portionné avec la cau
ns le tabes rendent parfaitement compte de cette fragilité dans les cas qui nous occupent. Nous ferons remarquer que, d
EZ UNE TABÉTIQUE 31 d'arthropathie est d'ailleurs la règle dans les cas analogues, lorsqu'il se produit une fracture sp
complètement ignoré jusqu'à pré- sent. Nous venons d'observer un cas qui, rapproché d'autres faits que nous citerons
oliose myxoedémateuse. Cette forme s'observe- rait surtout dans les cas de myxoedème fruste touchant de près l'infanti-
avec des altérations thyroïdiennes que nous rencontrons dans notre cas ne constitue pas tout t à fait une exception ra
notre cas ne constitue pas tout t à fait une exception rare et les cas se multiplieront assurément dès que l'attention
e trouble n'est pas en relation, au moins dans un certain nombre de cas , plutôt avec un défaut d'utilisation des sels cal
). Si l'on considère la scoliose des adolescents ainsi que d'autres cas de scoliose comme une forme d'ostéomalacie de l
rétion thyroïdienne qu'on doit attribuer l'ostéomalacie et dans notre cas la scoliose. L'analyse des urines que nous po
ion des altérations thyroïdiennes. C'est ainsi que Hom (28) sur 200 cas eu trouve 185 chez le femmes. KETSCII (29) sur
(28) sur 200 cas eu trouve 185 chez le femmes. KETSCII (29) sur 229 cas eu trouve 186 chez le même sexe. Enfin Koellike
uve 186 chez le même sexe. Enfin Koelliker (30) sur un nombre de721 cas en trouve 577 pour le sexe fé- minin. La diff
sait d'ailleurs que l'atrophie de ces organes a été vue dans certains cas du syndrome de Basedow. Dans le myxoedème et
n de nous a observé l'hypertrophie thyroïdienne deux fois sur trois cas d'ostéomalacie sénile. Dans un autre cas la gland
dienne deux fois sur trois cas d'ostéomalacie sénile. Dans un autre cas la glande était d'un volume 38 PAR [ION ET ,J
'époque pubéraleet prépubérale est un fait bien connu. Dans notre cas il a existé un parallélisme étroit entre l'évolut
que encore une sclérose de moyenne intensité de cet organe. Notre cas nous mène à cette conclusion importante que dans
uel procédé thérapeutique (intervention opératoire comme dans notre cas ,r6ntgénisation de la région thyroïdienne, sérum
int l'attention de ceux qui auront l'occasion d'observer de pareils cas . BIBLIOGRAPHIE 1. KIl\\lIS60N. - Article Scol
de Paris, n° 273, 1903. 5. Louis I)U]3BEUIL-CII.IllUAIII)I : [,. Un cas de maladie de Basedow héréditaire aeeom. j agit
et de chir. pra- tique, 25 janvier 1895, p. 49. 33. MATIGNON. Un cas d'acromègalo-gigantisme. Méd. moderne, 6 novembre
titut de Radiologie médicale de l'Hôpital Saint-Jean de Turin. Le cas que je vais relater ici présente un double intérê
e ou quatrième vertèbre cervicale, en nous priant d'étudier bien le cas par la radiographie. Voici en peu de mots l'his
ion cervicale. 48 BERTOLOTTI Nous avons cherché à radiographer ce cas d'une façon très soigneuse pour nous mettre jus
ement de position de l'horizontale à la verticale, mais dans tous les cas nos clichés ont donné les mêmes résultats. Ex
courant d'un milliampère et demi. En résumant l'examen clinique du cas que nous avons relaté, voici ce que l'on peut r
oelle cervicale. Quel est le diagnostic que l'on peut faire dans ce cas ? 2 Au premier abord, en songeant au début de l
ique et progressive. Dans toute la littérature il n'existe que deux cas très obscurs cités par Albert dans son Traité s
névrite périphérique des premiers nerfs cervicaux. Dans l'un des cas il s'agissait d'une jeune fille qui à la suite de
fesseur A. d'Antona, p. I. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 53 cas a irait à un vieux- qui présentait la même sympto
ut amélioré lui aussi par le massage et l'électricité. Dans notre cas il faut exclure encore la possibilité d'une névri
rie tuberculeuse ou cancéreuse des vertè- bres cervicales. Dans les cas de ce genre, il existe presque toujours des sig
le territoire du nerf cubital et du nerf médian. Voyons si notre cas peut être placé dans un des différents tableaux d
observe pas des paralysies du voile du palais ou du larynx. Notre cas ne peut être classé que dans une des formes d'amy
on chef claviculaire, qui est innervé par le spinal. - Dans notre cas nous avons bien démontré que l'amyotrophie avait
sa localisation atypique. Il faut se rappeler encore que dans notre cas le tableau morbide est dominé par des symptômes
rallier à l'opinion de M. Dejerine en règle générale, mais dans le cas présent je persiste à poser le diagnostic de po
paire, tous les autres nerfs dubulbeontété respectés. Si dans noire cas ]'hypoglosse eût été tant soit peu lésé, on aurai
e la sclérose latérale plutôt que la polyomyélite, bien que dans le cas en discussion il nous ait été impossible de déc
e dans le système moteur des racines spinales antérieures, et notre cas par conséquent doit être classé parmi les forme
clérose latérale. On comprend tout de suite l'importance cliniquedu cas décrit par nous, où l'on peut tabler sur des fa
ertain qui s'attache à l'inner- vation de XIe paire. ' Dans notre cas il faut étudier avant tout le moment étiologique,
à un travail exagéré : ainsi les muscles du mollet chez un danseur ( cas de IIamtnoud), le deltoïde chez un ouvrier qui
la littérature la rareté des faits de ce genre. On peut citer le cas de Vulpian (1) qui en 1869 a décrit une forme de
mél'al, G ans après Pierret et Troisier (2) en relatent un deuxième cas avec autopsie. Ensuite Etienne, en 1899 (3), da
ite Etienne, en 1899 (3), dans un travail d'ensemble, décrivit deux cas depolyomyélite chronique à début scapulo-homéra
lysie des mus- cles extenseurs de la tête, a relaté l'histoire d'un cas qui a une remarquable analogie avec le nôtre.
me clinique observé le nom de plosis de la tête. Voici le résumé du cas très intéressant illustré par cet auteur. Un homm
cles de la région cervicale postérieure. Il fait remarquer dans son cas la conservation du faisceau de Schlodtmann. On
la XIe paire, mais plutôt par des branches du plexus cervical. Le cas de Ferrio vient donc il l'appui des observations
o vient donc il l'appui des observations de Schlodtmann. Dans notre cas nous n'avons pu mettre en évidence aucun faisceau
liquer par l'atteinte du plexus cervical chez notre malade. Dans le cas de Ferrio l'hypoglosse était touché de façon que,
rer en discussion, on voit l'analogie frappante qui existe entre le cas de Ferrio et le syndrome présenté par notre mal
e cas de Ferrio et le syndrome présenté par notre malade. Dans le cas de Ferrio le ptosis de la tète était au complet,
vation de la branche interne et de la branche externe du spinal. Le cas que nous avons relaté présente un syndrome d'une
nches du plexus cervical (Schlodtmann et Ferrio). A ce propos notre cas ne peut apporter aucune élucidation, étant donn
tante don- née par Walter Schlodtmann (2) qui, en 1894, a décrit un cas où la frac- ture de la base du crâne avait prod
t intacte. Un an après, Ferrio dans un autre travail (3), relate le cas d'une jeune femme de 24 ans qui,pendant un gros
la XIIe paire. Etant donné la comparticipation de l'hypoglosse, ce cas ne peut éluci- der la question de l'innervation
ui assurément était sous la dépendance de la XIe paire. Parmi les cas d'Etienne que nous avons cités plus haut(1), nous
it des troubles du larynx et du voile du palais. Citons encore le cas de MM. Brissaud et Bauer où, à la suite de l'abla
ie laryngée à la charge d'une lésion du spinal. Revenons enfin au cas de Ferrio publié en 1904 et que nous avons déjà
s paralytiques symétriques du voile du palais et du larynx. Notre cas vient donc à l'appui des précédents et en plus il
motrice des muscles laryngiens, je crois qu'il est permis dans mon cas d'attribuer, contraire- ment aux données plus r
hiques et beaucoup d'autres syndromes né- vropathiques sont dans ce cas . » Cette phrase du professeur Pitres, qui sert
aite aussi complète que possible. xxii 5 66 MACÉ DE LÉPINAY les cas de crampes professionnelles. Ayant eu l'occasion
ature de spasmes doit convenir telle nature de soins, et qu'en tout cas , loin de se décou- rager, malade et médecin doi
urs efforts pour triompher de l'affection et obtenir, dans bien des cas , la guérison f 1). HISTORIQUE Définition. Div
un conducteur nerveux, ce qui n'ebt pas démontré, et ce qui en tout cas n'est pas la règle générale. De plus, comme le
upation, douleurs occasionnées par le travail ; tel par exemple les cas publiés par Féré (177) sous le nom d'épicondyta
vent dans les an- técédents héréditaires du patient on retrouve des cas de maladies sem- blables : un malade de Berger,
sor- dres ? A notre avis les deux théories sont vraies suivant le cas , et l'on peut observer soit des crampes d'origi
'observer dans le service de notre regretté maître le Dr Merklen un cas de crampe des écrivains où l'origine artérielle
tations anato- miques que l'on a pu faire dans un certain nombre de cas prouvent à n'en pas douter que les crampes prof
bre atteint pour les autres actes de la vie courante. Dans certains cas , des malades sujets à la crampe des écrivains o
donnant mentalement une incapacité passa- gère. Mais même dans ces cas la crampe professionnelle gardait un caractère
r- ticipation, si on la cherche bien, sera constante. Dans d'autres cas au contraire, la lésion périphérique sera nulle
ns auteurs qui, comme Sa- vill (198), pensent qu'il existe dans ces cas un trouble de fonctionne- ment de la substance
es anciennes et simples de ces mêmes fondions » ; et comme, dans le cas des spasmes fonctionnels, ces névroses se tradu
ci- pation mentale, peut-être minime, mais nécessaire Dans d'autres cas au contraire, en l'absence de toute lésion péri
ne centrale, cérébrale ; et ce sera d'ailleurs dans la majorité des cas ; mais, sous ce terme d'origine centrale, nous ne
ai- ment commun qui est la psychothérapie, il y aura, dans tous les cas de crampes d'origine périphérique, un traitemen
hérique. - 1 ° Origine vasculaire. Il existe un certain nombre de cas de crampes professionnelles dont la cause provo
pointe ; il ne s'irradiait pas du tout vers l'ais- selle ; eu tout cas ce souffle était nettement distinct du premier br
t que par le passé. Nous n'avons relevé en tout qu'une quinzaine de cas publiés jusqu'à ce jour : ce sont ceux deNothna
u'à ce jour : ce sont ceux deNothnagel ()04), Uppenheim (106), deux cas de Goldflam (65), un ie Massaut (96), Wewedensk
) ; Schlesiuger (12) ; Cappuccio (29) ; Wandel (150). Dans tous ces cas on trouve un certain nombre de caractères com-
à des lésions anatomiques constantes : on trouve en effet dans les cas de claudication intermittente une diminution du c
moments au tennis, sans avoir de douleurs. C'est que dans ces deux cas intervenait le psychisme particulier d'individu
nfluence sur l'innervation vaso-mo- trice. Il cite comme exemple le cas de certains hémiplégiques dont la ÉTUDE SUR LES
trouver de lésions vasculaires périphériques, et nous arrivons à des cas où le spasme artériel peut être au même titre q
as écrire. Le phénomène d'arrêt dans l'écriture avait donc, dans ce cas , une origine corticale évidente. Localement, le
caractères professionnels d'une névrose d'occupation. A côté de ces cas , encore peu décrits, l'observation de Brissaud,
musculaire. Haupt (71), dès 1860, avait spécifié que, dans certains cas de crampes professionnelles, on trouvait des al
yosite chronique dans les muscles atteints, A. Pick, dans plusieurs cas de crampe des écrivains, constata un amincissem
ns anatomiques que l'on a pu faire jusqu'à ce jour. Dans tous les cas , de même que les altérations vasculaires -, les
r ont constaté de l'abolition de la sensibilité musculaire dans des cas semblables. Charcot (35) a noté de l'amyotrophi
ctoral droit, d'origine névritique. La névrite, dans ces différents cas , étai t marquée, soitpardes douleurs le long du
éné- rescence sur les muscles innervés par le médian. Remak cite ce cas comme un exemple typique de crampe réflexe d'or
e de crampe réflexe d'origine névritique. Stéphan (137) rapporte un cas analogue où existait une atrophie des éminences
é dans le pouce et l'index. G. Kaster (86) publie de même plusieurs cas de crampes profession- nelles avec douleurs et
c douleurs et tremblement, chez des tailleurs et des cordon- niers, cas où l'origine névritique, dit-il, était non douteu
encore la paralysie du muscle long fléchis- seur du pouce gauche (3 cas ) ou du long extenseur du pouce (19 cas). décrit
his- seur du pouce gauche (3 cas) ou du long extenseur du pouce (19 cas ). décrite par Zander (209) chez des joueurs de
e; et de même pour manger, saluer, etc. En résumé il s'agit dans ce cas d'une névrite, qui gène la profession, mais qui
un certain nombre d'exemples dans la littérature médicale; tous ces cas s'accompagnent de troubles mentaux plus ou moin
mpes professionnelles. Un certain nombre d'auteurs ont rapporté des cas de malades voyant survenir une névrose d'occupa
ance de spiritisme qui l'avait impressionné. Le même auteur cite le cas d'une dame, qui après avoir soigné son mari attei
rofessionnelles, les stigmates psychiques, on pouvait dans tous les cas retrouver des traces de névropathies : soit cri
ie, disposition aux idées fixes obsédantes, etc. Mais dans certains cas les phénomènes mentaux pathologiques peuvent être
quelque temps après d'un spasme du côté gauche, ou inversement. Le cas le plus commun est celui d'individus affectés d
des écrivains survient bientôt également de ce côté. Assurément ces cas ne sont point la règle, -et Ber- ger, Gowers ci
henne, de Quervain, Russel Rey- nolds). Destarac (44) a rapporté un cas où la crampe des écrivains était associée avec
CRAMPES PROFESSIONNELLES 95 vains (108). Bonnus (19) a rapporté un cas semblable. Dans d'autres cas c'est seulement au
vains (108). Bonnus (19) a rapporté un cas semblable. Dans d'autres cas c'est seulement au moment où apparaît la difficul
accompagnent, donnent l'impres- sion de pastiches faciles. En tout cas , ces tentatives témoignent de la faveur dont jo
t simplement de la manie ou du dessein prémédité dans ces sortes de cas , c'est au médecin à tirer le voile mystérieux q
nt plus être rattachés à l'hystérie. Car, dans l'immense majorité des cas similaires observés plus attentivement aujourd'
eur auteur. Si l'absence de renseignements médicaux diminue dans ce cas la valeur des critiques médico-artistiques, on
nerveuses (examen fait par Manouélian). Danysz ajoute que dans les cas où la mort est survenue tardivement (10-12 jour
iblesse musculaire diffuse, soit monoplégies ou paraplégies : dans un cas , le tableau fut celui de la paralysie ascendant
s toniques, jamais cloniques, en mouvements désordonnés et, dans un cas , en mouvement de manège. Presque toutes les s
FAURE-BEAUL1EU Voici maintenant la durée d'application pour chaque cas en particu- lier. Exp. i . En 4 jours, 60 heu
les nous n'insisterons pas. L'os sous-jacent est peut-être, dans un cas seulement, plus friable et légèrement grisâtre, s
éninges, ni du cerveau. Les seules lésions constatées dans ces deux cas sont de petites hémor- ragies de même genre que
que la partie tout antérieure du cerveau, nous avons trouvé, dans ce cas , des hémorragies bien plus considérables que da
ez l'animal, de semblables lésions peuvent, ou bien, comme dans nos cas , ne pas avoir d'histoire clinique, ou bien, com
rologie, 1907. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU SYNDROME PÉDONCULAIRE UN CAS AVEC HÉMIPLÉGIE GAUCHE ET OPHTALMOPLÉGIE TOTALE
uvent dépasser les limites habituel- les comme cela se voit dans le cas suivant. Observation. Kira Basan, âgée de 31
s l'avons observé. Mais ce qu'il y a de plus intéressant dans notre cas , ce n'est pas la na- ture de la lésion que seul
laire dite aussi alterne supérieure (syndrome de Weber). Dans notre cas , il y a ophtalmoplégie bilatérale totale, c'est-à
me de Weber, et c'est juste- ment par cette particularité que notre cas constitue une forme à part de syndrome pédoncul
e, par une émo- tion, un reproche. Mais dans la grande majorité des cas , elle se produit spon- tanément, d'emblée, sans
s, le syn- drome est pareillement obtenu et pour Betcherew c'est le cas le plus ha- bituel. Pour DIoNAi : ow, les lés
des lésions capsulaires simples, accompagnées d'hémiplégie banale, cas où l'interprétation de Babinski peut seule nous
on de celles qui caractérisent le torticolis mental de Brissaud. Le cas que nous publi ons diffère des précédents par une
usculaire s'étend en somme à la musculature qui intervient dans les cas où le facteur moteur d'articulation est troublé
ntal, de phénomènes émotifs. Gilbert Ballet et Naguet ont publié un cas qui se rapproche assez du nô- tre pour en faire
IMBAUD ET ANGLADA et il n'y a pas ici de dissociation comme dans le cas de Babinski (1). Quant à déterminer le point de
dirigée par 1VI. le Professeur Sén. PIÉTRO Gnocco, SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ L'ADULTE PAR a ETTORE
inquantaine : en 1905, Parhon, Shunda etZalplachta en comptaient 42 cas . Depuis lors quelques autres observations ont é
us avous cru utile de donner une description complète de ce nouveau cas non seulement parce que la rareté des observation
nous bornerons, par conséquent, à la description clinique de notre cas , et à la discussion de quelques points relatifs à
ondroplasie. Ni chez les ascendants, ni chez les collatéraux, aucun cas analogue. La mère de notre patient n'a pas fait d
T. XXII. Pl. XIX ACHONDROPLASIE (Ettore Levi). SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE 135 136 ETTORE LEVI Extrémit
SIE 135 136 ETTORE LEVI Extrémités inférieures : SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE 137 bien timbrée. Le réflexe m
fet l'index tibio-fémural est presque normal (90). SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE 139 Les cuisses sont courtes,
amen chromocilométrique du sanq : 1 40 ETTORE LEVI SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ L'ADULTE 1 41 zontal ; il
T. XXII. Pl. XXIV ACHONDROPLASIE (Et tore Levi). SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ L'ADULTE 143 à fait évide
ie de la main du nain Clau- dius de M. P. Marie, et dans celle d'un cas d'achondroplasie partielle atypique publié dans
ention de celle particula- rité anatomique très évidente dans leurs cas , quoique moins accentuée que chez le mien. Cett
s raccourci que le tibia et l'examen radiographique montre dans mon cas que la tête péronéale rejoint et dépasse le pla
arqué des membres inférieurs des achondroplases. De même dans mon cas , le cubitus est des deux côtés bien plus court qu
omme nous l'avons vu, tous les caractères typiques décrits dans les cas analogues. Chez notre nain, la conformation du
es, la saillie très évidente des insertions musculaires. Dans notre cas , la tubérosité bicipitale du radius, et surtout
it trochanter, étaient spécialement remarquables. - Dans quelques cas d'achondroplasie les extrémités sont très arquées
diaphyse, plutôt que dans la continuité de cette dernière. Dans notre cas , au contraire, les os longs présentent plutôt d
une tendance à l'obésité plus ou moins marquée dans les différents cas ; ce caractère, qui n'est pas constant, manque d
érents cas; ce caractère, qui n'est pas constant, manque dans notre cas . Notre nain est comme presque tous les achondro
sti- mulations électriques. Le système lymphatique est dans notre cas parfaitement normal. Les té- guments sont aussi
arfaitement normaux et leur fonction est parfaite. SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ L'ADULTE 145 Comme presqu
male richesse des putréfactions intestinales, car je n'ai pu dans mon cas faire une étude complète de l'échange matériel,
'un état intellectuel normal ou légèrement enfantin ; dans quelques cas il y aurait des symptômes d'infantilisme concla
les achondroplasiques les plus macrocéphales; en se basant sur les cas con- nus, ces AA. affirment que l'intelligence
général qui rende acceptable cette loi et pour ce qui regarde notre cas , nous pou- vons affirmer que l'intelligence n'é
ter leurs prouesses sexuelles surtout. Rien de tout cela dans notre cas qui se distinguait par une intelligence moyenne s
avons connue nous- mêmes quelques jours après. Dans bien d'autres cas , il s'est montré avec nous et avec d'autres,men-
doute, ne peut plus être nié aujourd'hui après la démonstration de cas assez nombreux dans lesquels la maladie avait l
es, Apert a largement traité cette question et a recueilli tous les cas familiaux ob- servés par lui et par d'autres au
à celles des mou tons ancôns ou des boeufs natos ». SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDKOPLASIE CHEZ L'ADULTE 147 % Nous ne cr
lleurs que Lugaro, Dewey, Papillon et Lemaire ont trouvé dans leurs cas d'achondroplasie la coexistence du myxoedème. C
our accepter cette hypothèse ; et cela d'autant plus SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ L'ADULTE 149 que celle-ci
ertaine que la fonction des glandes génitales soit altérée dans les cas d'achondroplasie pure. Les troubles fonctionnel
ésion hypophysaire et d'autre part, nous connaissons déjà plusieurs cas d'in- fantilisme, et j'en ai donné moi-même un
er- prétée comme fondamentale et primaire dans la détermination des cas classique d'achondroplasie. Une lésion éventu
sécrétion interne nous sem- ble relativement plus probable dans les cas d'achondroplasie chez lesquels il y a retard da
, on puisse assimiler les myxoedémateux aux achondroplasiques. Le cas d'achondroplasie non congénitale de l'adulte réce
d'ailleurs acceptée par M. Schrumpf et par M. Marie. SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ L'ADULTE 151 BIBLIOGRAPHI
asie. Journal de Neurologie, n. 13, 1907. Broca et Debat-Ponsan. Un cas d'Achondroplasie. Soc. de Péd. de Paris, 19 mars
ncei. Roma, 26 aprile e 3 maggio, 1908. CHAPON, DEouy, TISSOT. Un cas d'achondroplasie. Nouvel. Icon. de la Salp., 1907
. - Achondroplasie. Ref. Revue Neurol., 1907, p. 345. MACEWEN. - Un cas d'Achondroplasie. Brit. Med. Journal, ne 2449, p.
intevr Médicale, n"7. 1905. Parhon, SHUNDA et Z.1LPLACHTA. Sur deux cas d'Achondroplasie, Nouvelle Icon. de la Salp., 1
eys (quelques cos). Rev. Neurol., 1908, p. 896. PORTER. - Sur trois cas d'achondroplasie. Britisch med. Journal, 5 janvie
nce- ment nerveux dont on pourra nier l'existence peut-être dans ce cas spécial,mais non la possibilité. En d'autres te
tre elles par la nature des exci- tations qui restent dans les deux cas chimiques, lumineuses, électriques, thermiques
er aux mammifères supérieurs, on pourra observer toute une série de cas intermédiaires qui comblent la distance séparan
subtiles au moyen d'un mécanisme et celui-ci, dans presque tous les cas et vraisemblablement dans tous est de nature ré
u cerveau, dans les simples compressions de cet organe, même dans le, cas de ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 171 t
réflexe. On n'aurait jamais inventé le terme volonté,si,dans tous les cas où l'on fait intervenir cet agent psychologique
r l'organisation des connaissances dans le cerveau. Dans le premier cas , ce sont principalement les excitations extérie
y conditionnent les réactions qui leur sont propres; dans le second cas , les exci- tations externes n'ont plus devant e
mais je ne puis m'étendre indéfiniment..Je me borne à signaler ces cas de contagion sociale, éclatante démonstration d
uelle sur la vie végétative comme on l'observe par exemple dans les cas d'anorexie consécutifs à l'annonce d'une mauvai
entrent pas dans la sphère de ses connaissances, mais, même dans le cas contraire, il est généralement victime d'un par
té de haut et ne se laisser aller que plus rarement à envisager des cas particuliers. Il y a bien trop de variantes dans
s de l'échelle sociale pour qu'on puisse être assuré, dans tous les cas , de voir la réaction en acte ou, tout au moins
dividu habituellement assujetti aux influences externes peut, dans un cas donné, avoir reçu des leçons de l'expérience et
enator, Babinski, etc. Or Haskovec (de Prague) (69) a signalé trois cas de malades atteints de spasme professionnel che
Haskovec. En effet les mouvements associés ne peuvent être, dans ce cas , que d'origine centrale et corticale, quoique les
ureuse et endurcie et l'on expliqua les mouvements associés dans ce cas , ou bien par l'excitation des nerfs sensitifs e
xcitation centrifuge sur les nerfs moteurs. On ne crut pas, dans ce cas , à une participation centrale. Mais, comme le
mbien de fois devrait- on observer des mouvements associés dans les cas de traumatisme péri- phérique de plexus nerveux
ent soumis à l'imprégnation brightique ? - P. Bonnier rapporte un cas vraiment curieux où la crampe des télégra- phis
crampes professionnelles, on le retrouverait dans un bon nombre de cas . ' Un malade du Dr de Ranse, atteint de crampe
élément morbide, et pourra même par cela seul amener dans certains cas la cessation complète des troubles. II. SYMPTOM
rfois une contraction de l'extenseur propre du pouce. Dans cerlains cas il y a mouvements inverses dans l'un ou l'autre
tudie et craint d'avoir sa crampe en dehors de l'écriture ; en tout cas il est rare que ces cram- pes accessoires subsi
e long des gros troncs nerveux, irradier à l'épaule ; dans quelques cas rares elles s'accompagnent d'une certaine angoi
nécessairement l'existence d'une paralysie véritable. Dans certains cas , au contraire, on a pu observer la paralysie évid
ait pas de tenir la plume pour écrire. Duchenne cite également un cas curieux observé par lui où l'impos- sibilité de
' soit sa forme, suit une marche généralement progressive, dans les cas où elle est abandonnée à elle- même, ou si le t
. Sur les premières peut agir un traitement local qui dans bien des cas amènera la cessation des troubles, surtout si l
un traitement méthodique et patient peut venir à bout dans bien des cas de ces dyskinésies, et la guérison une fois obten
ettra d'éviter une erreur. Toulefois il existe un certain nombre de cas où véritablement le diagnostic peut être il. bo
En réalité le traitement n'avait guère besoin d'intervenir dans ce cas pour indiquer la nature épileptique de l'affect
las) (128), soit une inhibition psychique par émotion,comme dans le cas qu'a rapporté Féré sous le nom de dysgraphie émot
x ou trois diagnostics délicats que parce qu'il faut y penser comme cas embarrassants d'ailleurs fort rares. Nous avons
que la crampe des écrivains pou- vait affecter la main gauche. Ces cas sont loin d'être exceptionnels, et nous en avon
r dès les premières tentatives d'écriture de ce côté. Dans d'autres cas , au contraire, la crampe n'apparaît à gauche que
hide (147) n'est point de cet avis : « Je ne connais, dit-il, aucun cas de crampe des dactylographes, et l'explication es
de la machine à écrire, et nous en avons personnellement observé un cas . Remak, Cassirer ne citent que des cas féminins ;
s personnellement observé un cas. Remak, Cassirer ne citent que des cas féminins ; le nôtre, celui de Meige, étaient ma
imprime la corde sur la pulpe du doigt; aussi propose-t-il dans ces cas de mettre un doigtier protecteur. ÉTUDE SUR LES
est la crampe des violoncellistes, dont Cassirer (32) a observé un cas : il s'agissait d'un artiste qui, dès qu'il comme
e. Nous avons déjà fait remarquer qu'il ne faut point confondre des cas de ce genre, ne se manifestant qu'à l'occasion
prend son rasoir ou son fer à friser ; Oppenheim en a rapporté deux cas . Régis (Bulletin méd., 2 déc. 1908) a tout réce
nnèrent l'un l'autre. Nous même, à la Salpêtrière, avons observé un cas semblable. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELL
aux. Remak, Siépliiti out, nous l'avons déjà dit, observé dans deux cas de la névrite sur le territoire du médian, et la
ait son métier avec le pied. On peut'rapprocher de ces différents cas la malade observée par Bon- nus (171), harpiste
lecture et non en dehors de cet acte ; il est donc possible que ce cas soit un torticolis mental et ne ren- tre pas da
t, la même inclinaison de la tète apparaissait involontairement. Le cas suivant au contraire, rapporté par Duchenne (obs.
croscope la viande de boucherie (Oppenheim). Le même auteur a vu un cas de nystagmus passager chez un violoniste obligé à
t où ils veulent articuler distinctement. Zerner (162) a observé un cas analogue chez un commissaire-priseur, obligé de p
ulaire des lèvres qui l'empêchait d'ouvrir la bouche. Dans tous ces cas , comme pour les autres névroses d'occupation, i
r à Y hystérie, cette grande simulatrice, en par- ticulier dans les cas où les troubles moteurs sont apparus à la suite d
u squelette par l'exploration roentgénienne : par exemple, dans des cas de paralysie infantile (1) et de syringomyélie, c
liénés, les paralytiques généraux (Régis-Campbell), et même dans un cas de maladie de Basedow (Koeppen). Nous n'avons
ers qui font penser à une fragilité particulière des os. Cer- tains cas en ont été publiés (2) ; nous en avons observé ré
que, 1903. xxii 16 230 MERLE ET RAULOT Schlippe (1) a publié un cas de myopathie avec examen du squelette par les r
éflexe, trophoneurotique des os (Ludeck, Kienbôck, Exner) ; dans ce cas , la raréfaction de la subs- tance spongieuse ap
cte est comme fibrillaire. Les altérations particulières dans notre cas se réunissent au contraire pour former un table
dies et atrophies osseuses typiques. » Lothar Dreyer (2), dans deux cas observés aux rayons de Roentgen, et comparés à
l'absence de lésions osseuses après examen radio- graphique de deux cas de myopathie. MM. Landouzy et Lortat Jacob (4)
n aucune façon être considérées comme secondaires ; dans cer- tains cas , il y a peut-être coïncidence, dans d'autres, ell
Cetle observation est intéressante en ce sens qu'elle constitue un cas de plus à l'appui de l'unité nosographique des
ITAL MAJEUR DE SAINT-JEAN-BAPTISTE El DE LA VILLE DE TURIN SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET PAR Le Professe
x et dans ces dernières années on a publié successivement plusieurs cas de cette forme morbide qui, toutefois, ne cesse
iées à l'étranger ; en Italie, on n'en compte guère que deux ou trois cas , ce qui fait supposer que chez nous l'ostéite d
ti). Photographie du malade en 1893 et aujourd'hui (1909)' SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 255 s'était faite
lotti). Masson & Cm, Editeurs. PhototYPie Berthaud . SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 257 si le rebord
AGET Radiographie de la main. (Pascarolo et Bertolotti), SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 259 Dans la radio
faire les mêmes remarques que pour la jambe, mais il s'agit en tout cas d'un degré d'altération bien moins avancé. On n
Densité 1014.. Légère trace d'albumine. Pas de sucre. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 261 262 PESCAROLO
de Paget, nous ne croyons pas qu'il soit difficile de classer notre cas et d'établir le diagnostic chez notre malade. I
diagnostic chez notre malade. Il s'agit incontestablement ici d'un cas typique de la maladie de Paget et nous nous bor
tre malade n'étant pas encore sérieusement compromise. Dans notre cas , il faut donc admettre une certaine lenteur dans
des observations relatées par les auteurs. Dans la généralité des cas publiés,l'ostéitedéformante se montre dans sa c
nt dépasse les 15 ans. Au contraire il n'est pas rare de voir des cas où la déformatiou osseuse se fait d'une façon p
que nous avons consultées, celle qui se rapproche le plus de notre cas est l'observation donnée par Ferrio (43) dans s
articularités de cette observation, il faut rappeler la pré- SUR UN CAS D'OSTÉITE DEFORMANTE DE PAGET 263 dominance de
ut être plus accentuée d'un côté,et alors c'est dans la plupart des cas un des deux membres inférieurs qui est le plus at
ite iL la Société de Neurologie de Paris le 5 novembre 1908, sur un cas de mala- die osseuse de Paget à forme unilatéra
l'on a vu des manifestations articulaires dans un certain nombre de cas d'ostéite déformante, l'on doit surtout noter q
éformante, l'on doit surtout noter que les lésions observées dans ces cas sont peu considérables, se limitent à un petit
. Klippel et Weil, comme il a été dit plus haut, il s'agissait d'un cas de maladie osseuse de Paget à forme unilatérale e
érieurement de poursuivre cette re- cherche d'autant plus que notre cas , analoguement à celui de MM. Klippel et Weil, s
téressant encore à relever c'est l'analogie remar- quable que notre cas montre avec l'observation déjà citée plus haut de
rmés par l'observation de Klippel et Weil et aussi encore par notre cas , où les nodosités d'Héberden sont très évidentes.
ardant la sinuosité et J'en chevé tremeii des artères teiri- SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 265 porales chez
ivre sur le cliché le trajet des artères cal- cifiées dans quelques cas d'ostéite déformante de Paget. Nous n'avons pu
, bien que les recherches cliniques nous portent à admettre dans le cas présent des troubles d'artériosclérose avec hyp
teurs dans l'ostéite déformante progressive, où dans la plupart des cas on avait constaté un état de malacie osseuse et u
e des deux mains, laquelle ne frappa qu'un doigt de chaque côté. Ce cas de contracture de doigts, connue sous le nom de
e se produisit au même âge chez ses deux fils. On connaît plusieurs cas de transmisston héréditaire de la contracture d
influence sur l'hérédité et que les qualités innées soient en tout cas héréditaires au plus haut degré. De cette façon,
, peuvent être transmises à la postérité. Mais qu'il y ait, dans ce cas , influence de l'hérédité ou non, la contracture
eau dans le tissu cellulaire sous-cutané. Cénas décrit, en 1884, un cas où chez un sujet, à la suite d'une blessure par a
sociée à la formation du tissu conjonctif. Remak en 1899 examina le cas d'Eulenbourg où chez une pianiste se développa un
pas que la névrite fut la cause de la contracture. Remak observa 43 cas de névrite dégénérative du nerf cubital à étiolo-
puyant sur des données d'anatomie pathologique, montre que dans les cas de contracluie de Dupuytren, il y a hyperplasie d
odifications du tissu con- jonctif. Nichols, examinant en 1899 le cas de la contracture de Dupuytren, trouva que le t
il nie les autres moments étiologiques. Doberauer, examinant sept cas de maladie de Dupuytren, pense que les professi
o- génèse de la contracture de Dupuytren. Après avoir rencontré des cas combinés de cette contracture avec le tabès dor
la moelle dans la contracture de Dupuytren, pensent que dans leurs cas , à la suite de l'affection spinale (syringomyélie
s- tait chez trois frères. Goldflam et Bergmann donnent aussi des cas héréditaires de la contrac- ture de Dupuytren.
eurs ne sont guère d'accord. La question n'étant pas résolue, notre cas pré- sente certain intérêt au point de vue de l
ué par exemple l'ap- parition d'urticaire qui en dépendait. Dans un cas de vitiligo chez une aliénée nous avons supposé
née nous avons supposé la localisation corticale de la maladie. Des cas frappants de l'inlluence de la suggestion sur l'a
la nutrition de la structure des tissus et c'estpourquoi, dans les cas de troubles trophiques, faut en tenir compte et
est très important pour le diagnostic diffé- rentiel. Quanta notre cas , nous supposons la localisation corticale du pr
nt la supposition de la localisation corticale de lésion pour notre cas , nous n'en excluons pas l'origine médullaire de l
s l'origine médullaire de la contracture de Dupuytren dans d'autres cas . D'une façon générale, quand il s'agit de déter
ues. Il est nécessaire de discerner de quoi il s'agit dans tous les cas donnés. Par exemple, la contracture musculaire pe
ri- gine cérébrale et d'origine médullaire,maisdans l'un et l'autre cas elle a ses particularités. Si l'apparition de l
un empié- tement d'un centre sur l'autre. Cénas a proposé dans son cas une explica- tion pareille après la blessure du
us-cutanée donnant assez souvent la récidive. Jotlleissen, dans des cas légers, applique le massage ou bien l'incision
ge ou bien l'incision sous-cutanée du faisceau tendu. Dans d'autres cas plus tenaces, il recom- mande l'extirpation du
En outre, on a proposé un traitement médical. Zengemann, dans deux cas de contracture de Dupuytren, a appliqué les injec
uytren, a appliqué les injections de thiosinamine et obtint dans un cas la guérison après 28 injections quotidiennes d'un
10 pour cent dans l'infiltrat et la paume de la main. Dans l'autre cas ,il obtint l'amélioration après 12 injections. N
tre congénital ». A la suite des travaux de cet auteur, de nombreux cas de trophoedème furentpubliés, et actuellement o
ue cette affection peut être congénitale ou acquise dans l'enfance [ cas de Rapin (2), D41lroy (3), Nonne (4), IIertoghe (
chard et Ramond (10), «leil et Péhu (11)], héréditaireou familiale ( cas de Milroy, (1) H. Meige, Le trophoedème chroniq
ographie de la Salpêtrière, 1901 , p. 503. (1) Lortat-Jacob, Deux cas de trophoedème héréditaire chez des enfants. Soc.
é congénitale unique. Soc. de neu- rol., 5 déc. z (9) SBNLBCQ, Un cas de trophtedème congénital chez un nouveau-né. Soc
biesen (1), Lannois (2), Lortat Jacob), acquise et non fami- liale [ cas de Debove, Vigouroux (3), Rapin, Hertoghe, Lannoi
ndes à sécrétion interne. L'observation suivante se rapporte à un cas de trophoedème dont la pathogénie et les caract
t de la région, 31 déc. 1903. (5) C. Parhon et S. FLORIAN, Sur un cas de trophcedème chronique. Nouv. Iconogra- phie
ica de clinica medica, an V, ne 43, Florence, 1904. (10) JoussET,Un cas de trophoedème. &oc. de l'internat des Hop.de
la maladie de Meige. Courtelle- mont (2) a rapporté dernièrement un cas de ce genre ; chez son sujet la peau des région
variété bien spéciale. On ne peut actuellement que classer tous ces cas disparates et conclure avec Aievoli (3) qu'il exi
8 et 9 ; août-septem- bre 1905. INTERVENTION CHIRURGICALE DANS UN CAS DE PSYCHALGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE, PRÉTENDUE
s il n'y avait non plus de signes INTERVENTION CHIRURGICALE DANS UN CAS DE PSYCHALGIE 285 précis de l'existence de la c
47), Spijarny (Medic. Obosr., 1901. p. en russe; l'auteur cite quinze cas d'interven- tion chirurgicale), Filmann (Detits
uis la découverte de la radiographie, le nombre des descriptions de cas des côtes cervicales a considérablement augmenté
t, il résulte de ces recherches, que dans le plus grand nom- bre de cas , les côtes cervicales ne fournissent aucun symptô
es se manifestent tout au plus dans la proportion de 5 à 10 0/0 des cas UORHARDT (7), Lévi (8)] ; par conséquent, le pl
locaux (Borhardt, MARHURG) (14). C'est ainsi que MARBURG décrit un cas d'hystérie, dont les symptômes simulaient la comp
., 1907, p. 702. (14) Loc. cit. INTERVENTION CHIRURGICALE DANS UN CAS DE PSYCHALGIE 287 Il paraît arriver très rareme
es, des symptômes dus à leur longueur et à leur direction; dans ces cas ,les symptômes de la compression du plexus existen
1904, laresbericht d. Neurol., 1905, p.273. 288 STCHERBAK tains cas elle a un caractère inné et ne dépend pas des côt
lgiques ou névritiques, ne sont pas toujours chose facile ; en tout cas , il ne faut pas entreprendre d'intervention chiru
ue l'opération par elle-même peut faire courir des dangers. Notre cas démontre, que le succès de l'opération, succès mê
dire de la malade, disparut aussi. Si cela eût été réel, c'était un cas heureux de réseclion de la côte cervicale ; cepen
cale elle-même n'existait pas. Il faut signaler encore dans notre cas la disparition rapide, à vue d'oeil, sous Y inf
t utile»; Kouindjy de son côté compare les effets du repos dans ces cas à ceux du repos au lit chez les tabétiques ou les
ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 291 ments que dans un seul cas : s'il existe, localement, sur le membre attein
ascu- laires spéciaux. De même un régime lacté sera-t-il indiqué en cas de brightisme ; nous n'avons pas besoin d'insis
ster sur ces indications par- ticulières. En dehors de ces quelques cas très spéciaux, aucun médica- ment interne ne po
médication interne n'est indiquée que dans un très petit nombre de cas , que faut-il faire à un malade qui vient vous tro
Le traitement psychique, ou mental comportera : 1" Dans certains cas très spéciaux, l'hypnotisme; 2° La rééducation
répondra à ce but. Hartenberg (225) employa, par analogie, dans un cas de crampe des écrivains, un tube de caoutchouc
utes matin et soir ; la stase veineuse ainsi obtenue, amena dans ce cas ,et sans autre trai- tement, une guérison complè
Vigoureux (254) a recommandé la cautérisation ponctuée, et dans un cas de crampe des écrivains, il a obtenu une guérison
peutiques locales qu'à bon escient, c'est-à-dire seulement dans les cas où il existe une lésion périphérique apparente
, le traitement local sera beaucoup moins actif; néanmoins dans ces cas encore le massage méthodique et l'électricité pou
la sédation des troubles, et la rééducation, comme.dans les autres cas de polynévrites, aura presque toujours un résul
e tout traitement chirurgical dans la crampe des écrivains. Dans le cas seul où il existerait nettement, soit une exost
douze ans que deux succès. Meyer (236) soigna par l'électricité deux cas de crampes des écrivains ; chez un de ses malad
urs ; chez l'autre il employa le pinceau électrique ; dans les deux cas il obtint une guérison permanente. A sa 296 MAC
on le surmène par une tétanisation violente. Il faut dans tous les cas , dit Laquerrière (Congr. franc, de médecine, 9°
i se con- tractent le plus. Il est donc indispensable dans bien des cas de placer les deux pôles sur le même muscle, co
ications locales de l'électricité semblent surtout réussir dans les cas où il existe une altération anatomique localisée
donc l'emploi. L'électricité statique sera plutôt indiquée dans les cas de névropathie avec excitation en raison de son
spéciale. La technique employée pour le massage diffère suivant les cas ; tous les procédés : effleurage, tapotage, pét
stances : lorsque le malade est un névropathe excité, ce qui est le cas le plus général ; on lui recommandera alors soit
e malade est déprimé, neurasthénique ou psychasthénique; et dans ce cas on ordonnera au contraire la douche froide et brè
cial de la névrose. t L'hydrothérapie locale conviendra surtout aux cas où le membre atteint présente des lésions local
locaux chauds prolongés seront indiqués particulièrement t dans les cas de spasmes et de névralgies; les douches locales
CRAMPES PROFESSIONNELLES 299 percutantes réussiront plutôt dans les cas de parésies ; la douche-mas- sage, et la douche
l'occasion de soigner durant ces dernières années à Néris. Dans 13 cas il 's'agissait de crampe des écrivains, deux fo
hode, et sera véritablement curateur. Il comportera : dans quelques cas spéciaux, l'hypnotisme ; d'une manière générale,
rice. . 10 L'hypnotisme a été employé par Vaschide (147) dans trois cas de crampe des écrivains ; les résultats en ont
ossibilité de sui- vre sa pensée, d' « d'écrire vite ». Dans deux cas tout à fait analogues, Vasct11de employa le même
s modes d'application et les méthodes pourront différer suivant les cas . La rééducation des mouvements, imaginée par Ch
uscles en état d'hypotonie, c'est-à-dire pres- que toujours dans le cas présent, les extenseurs. Ces exercices peuvent
l'on pouvait jour par jour, constater leurs progrès. Dans ces trois cas , dont la cure n'est d'ail- leurs point terminée
crivains, et pourrait à elle seule amener dans un certain nombre de cas la sédation des troubles. Mais le plus souvent,
é d'écrire augmente. La préoccupation nosophobique atteint, dans le cas présent, une intensité extrême, et l'on peut af
n l'observe fréquemment chez les obsédés, M. H... est a l'affût des cas qui se rapprochent du sien : il en découvre même
ndre sur l'esprit du patient l'influence persuasive,qui est dans ce cas si nécessaire. Il faut en outre se méfier de ces
ns doute, et demandera patience et ténacité, mais qui dans bien des cas amènera une guérison durable. Le traitement sem
e. A notre avis, les deux théories peuvent être vraies, suivant les cas ; mais, quelle que soit l'origine des accidents
us permettent encore que des hypothèses à ce sujet. Dans tous les cas , intervient le psychisme particulier du malade, q
. X. Le traitement interne, médicamenteux, ne sera indiqué qu'aux cas exceptionnels où une maladie générale semblerait
que, la discipline phycho- motrice amènera, dans un grand nombre de cas , la guérison complète et durable des différente
tionnelles, th. Bordeaux, 1905-1906. 17. Bonnier (Pierre). --Sur un cas de crampe professionnelle symptomatique de la m
de des spasmes fonctionnels du cou. Rev. méd., 1894, p. 756. - Deux cas de crampe des écrivains, pour servir ci l'élude d
. Miinch. med. Woch., 1896, no 2. 108. Pitres. - Notes sur quelques cas de torticolis spasmodique. J. Méd. Bordeaux, 13
en Krdmpfe. St-Petersb. med. Woch., 1881, n" 2. 128. Séglas. - Un cas de folie du doute simulant la crampe des écrivain
hide. Gaz. des hôpitaux, 1907, p. 1179 et 1215. 148. VERNICKE. - Un cas de crampes neurose. Berl. klin. Woch., 24 octobre
l'usage de la bicyclette. Gaz. hop., 1896. 177. FÉRÉ. - Note sur un cas d'impotence fond, chez un flûtiste. Soc. biol. ,1
ramp. Edinburg clin. et path. J., 1883, p. 369. 181. IlAsKvovEc. Un cas rare de spasme fonctionnel de l'extrémité inférie
Neur. Centr. bl., 1906, nu 9. 191. NAPIAS. - Note sur un nouveau cas de crampe professionnelle. Rev. d'hygiène, 1879
SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 17 JUILLET 1909) TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES, PAK E. BOINET, Profe
es Facultés, Médecin des hôpitaux de Marseille. Les deux premiers cas de tumeurs cérébrales sont secondaires, l'un à
cerveau a été tardive. Ce cancer secondaire siégeait, dans le premier cas , au niveau de la partie moyenne de la frontale
pigmentaires brunâtres. Des taches analogues existent sur le TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 335 gland. Ces signes son
o-surrénal à cellules claires. Le cancer surrénal, constaté dans ce cas , est très rarement observé. Centres nerveux. -
lpêtrière. T. XXII. l'1. XXXIX TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. Il TROIS CAS DE TUMEU11S CÉRÉBRALES 337 ciles à colorer, con
altérations d'ordre irritatif et inflammatoire qui occupent dans ce cas une place prépondérante (2). En résumé, cet épi
ouvements involontaires semblables à ceux que l'on observe dans les cas d'épilepsie jacksonnienne par excitation cortical
Académie de médecine. Séance du 30 mars 1909, p. 411 il 421). TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 339 est intermittent. Mal
moplégies multiples, pseudo-parolysie labio-glosso-laryngée dans un cas de gliome de la ré- gion oplo-striée comprimant
XII. Pl. XXXVIII TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. III (E. Boinet). TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 341 1 Conception d'un enf
sortie volontairement de la bouche ; elle ne se durcit pas ' TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 343 sous l'influence d'un
e a le volume d'une grosse noix ; elle est également recou- - TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBIIALES 347 verte par le plexus
nnaissables. En résumé, cette observation peut être rapprochée d'un cas de glio-sar- come de la région opto-striée déve
inuant avec la substance cérébrale de l'hémisphère comme dans notre cas . (1) Leconte, Bulletin de la Société anatomique
u encore sur certains nerfs crâniens, telle pneumogastrique dans le cas de DurOUR et Coitisnot. Dans beaucoup de cas le
umogastrique dans le cas de DurOUR et Coitisnot. Dans beaucoup de cas le rôle de l'agent infectieux et sa voie de péné-
déterminant dans tous les organes des désordres importants. Dans ce cas on constate au niveau des nerfs et des centres
précision les symptômes névritiques. D'autres fois, et ce sont les cas les plus habi- tuels, l'infection rétrocède, le
riques. Aussi croyons-nous, qu'il ne sera pas inutile de relater le cas suivant, observédansleserviceduDrR, Verhoogen,
le de relater le cas suivant, observédansleserviceduDrR, Verhoogen, cas qui put être suivi longtemps, qui fut l'objet d
u transversale, peut être spasmodique ou flasque. Dans le premier cas , la présence des contractures, de l'exagération d
flexes, du clonus du pied, différencie nettement la myélite aiguë du cas que nous étudions. Le diagnostic différentiel
étendues qu'au cours des affections polynèvritiques. Or, dans notre cas , les troubles sphinctériens furent dès le début f
es, quoique pâles et légèrement grenues comme c'est généralement le cas dans les élé- ments en chromalyse; les prolonge
degré, la cellule paraît être frappée à mort (fig. I, il) ; dans ce cas la structure fibrillaire dis. paraît complèteme
uses ne constitue pas une rareté anatomo-pathologique. L'intérêt du cas présent s'attache plus à l'intensité et au mode
longements néoformés, ni de cellules anormalement pigmentées. (t) Cas non encore publié. (2) En collaboration avec NI
E GRAVIDIQUE ? ' Or l'image que nous avons sous les yeux dans notre cas de polynévrite rap- pelle, à s'y méprendre, l'a
nimal sain normal ou après section simple chez l'homme : dans noire cas la croissance des cylindraxes du bout central ver
ment étudiée par TELLO (1) avec beaucoup de précision. Dans notre cas l'intensité de ces lésions se trouve encore renfo
trans- versale fut accompagnée des réactions habituelles en pareil cas , dégénérescence des segments nerveux périphériq
eux dans l'apparition des troubles du système nerveux. Dans notre cas , les deux ordres de faits ontprobablement existé
catégorique, scientifiquement établie. La smplomatplogie de notre cas a présenté quelques détails intéres- sants : no
ns au cours des polynévrites gravidiques ou puerpérales, donnent au cas actuel une allure atypique. Le cas que nous ven
ues ou puerpérales, donnent au cas actuel une allure atypique. Le cas que nous venons d'étudier n'est pas dépourvu d'in
rappé, la névrite prend le nom de névrite parenchymateuse : dans ce cas , par le fait même de la structure des fibres à
fibre nerveuse dans son ensemble est frappée, et dégénère ; dans ce cas , la fragmentation et la dégénérescence des gain
E 361 fibres nerveux de façon tout à fait élective. Dans ce dernier cas , tous les . degrés peuvent s'observer : depuis
mation de prolongements nerveux atypiques. Aussi croyons-nous qu'en cas de périném ite ou de névrite intertitielle lors
inflammatoire qui les comprime, les cylindraxes réagissent comme en cas de compression mécani- que. Peut-être même le m
à notre connaissance, il n'existe pas encore dans la littérature de cas de névrite interstitielle étudiée par la méthode
ous ranger les lésions que nous avons observées et décrites dans le cas actuel ? La survie assez lon- gue de la malade
faisant les réserves prudentes que comportent les conclusions d'un cas dont nous n'avons eu sous les yeux qu'un des épis
l'apparition de douleurs intenses. Les lésions observées dans notre cas ressortissant à la fois aux lésions de névrite
egmentaire des lésions oblige, nous semble-t-il, à admettre dans ce cas une lésion primitive juvénile, indépendante de
à celles qui s'observent après section d'un nerf. Or jamais dans ce cas , si l'opération a été faite aseptiquement, on n
ent, on n'observe d'infiltration leucocytaire, qui démontre dans le cas présent l'action directe, élective, d'un agent
gnorance dans la délimination des facteurs de localisation. Dans le cas actuel, la localisation sur les nerfs du plexus
é, nous croyons avoir montré que la polynévrite gravidique dans les cas analogues au nôtre, est caractérisée par des lési
te étude. SUR LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE DANS UN CAS DE SYPHILIS DU NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE PAR L.
substance nerveuse est-elle altérée dans la syphi- lis ? Hormis les cas où la néoplasie syphilitique, gomme ou infiltrât
des méninges est assez marqué pour pouvoir agir de même, hormis ces cas , le problème apparaît, d'ordinaire, fort embarr
, par infiltration ou. épaississement de leurs pa- rois, surtout en cas d'endovascularite oblitérante, soitdes embolies o
planche qui accompagne ce travail, fig. 4). Rappelons que, dans ce cas comme ici, le même problème se posait : l'oblit
intenses au voisinage de la méningite suppurée qui existait dans ce cas , tout semblait indiquer que l'altération profon
éclaté dans des pays différents (en Suède, en 1905, plus de z1.000 cas ; autant de cas en Norvège en 1905 et 1906; aux
pays différents (en Suède, en 1905, plus de z1.000 cas ; autant de cas en Norvège en 1905 et 1906; aux Pays-Bas en 190
1906; aux Pays-Bas en 1906 et à New-York en 1907, de 1.200 à 1.500 cas ) (1). L'élude de ces épidémies a beaucoup augment
ôme autre. Cette conception a pour base en premier lieu l'étude des cas chroniques de la maladie (ils mériteraient, d'a
liés, autant que nous sachions. 374 PETREN ET EHRENBERG comme des cas de la maladie, mais plutôt comme les reliquats
ite ancienne persistant après elle). Cependant, plus on étudiait de cas de la période aiguë, plus l'attention était attir
es sujets morts peu après le début de la maladie. Dans ces derniers cas , en effet, il semble qu'on trouve en général le
d, Scbullze (92), Cadwalader, Acuna). De plus, on a trouvé dans ces cas que les lésions anatomiques sont étendues aussi
très diffuse et une extension qui, du moins dans un grand nombre de cas , allait fort loin. Il faut reconnaître que nos
IGUË 375 Nous avons eu l'occasion d'observer dans notre clinique 15 cas de polio- myélite aiguë, tous (sauf une seule e
1909). Au point de vue épidémiologique il faut encore ajouter à ces cas le frère d'un malade (obs. XIX) qui est mort ch
ui est mort chez lui le troisième jour de la maladie, et de plus un cas (très léger, seulement une parésie d'une jambe,
ui a été observé par mon collègue, le Docent Bergmark, Comme ces 17 cas proviennent tous du département (laen) d'Upsala
endant la grande épidémie suédoise (1905), on ne signale qu'un seul cas du département d'Upsala (Wickman). Pendant les
s antérieures à 1907, nous n'avons pas eu non plus à la clinique de cas de cette maladie dans la phase aiguë. Des 17 ca
s à la clinique de cas de cette maladie dans la phase aiguë. Des 17 cas , cinq se rapportent la ville d'Upsala (25,000 h
environ) et deux aux environs immédiats de la ville. Toutefois ces cas de la ville même n'ont pas apparu en même temps ;
r exemple, deux en septembre 1907 et deux, en janvier 1909. En tout cas , nous ne croyons pas que ces cas de poliomyélite
et deux, en janvier 1909. En tout cas, nous ne croyons pas que ces cas de poliomyélite nous per- mettent de formuler d
l'attention sur ce fait que, par deux foisel chaque fois, dans deux cas , nous avons observé que la poliomyélite est appar
rue parmi les enfants de la môme famille. Dans une famille les deux cas sont appa- rus le môme jour et, dans l'autre, à
iologie de la maladie, llolt et Bartlett ont récemment rassemblé 40 cas , publiés par des auteurs antérieurs, où plus d'un
rassemblé 40 cas, publiés par des auteurs antérieurs, où plus d'un cas a éclaté dans la môme famille ; 8 fois, on avai
e jour, comme nous-même l'avons observé une fois. La plupart de nos cas ont été observés au début réel de la maladie, c
os cas ont été observés au début réel de la maladie, c'est-à-dire 9 cas pendant la première semaine (dont 3 dans les troi
t la première semaine (dont 3 dans les trois pre- miers jours) et 4 cas pendant la seconde semaine. En conséquence, il no
. De plus, pendant les étés de 190-1903, j'ai vu en consultation 14 cas de la maladie se rapportant à des parties du pays
vinces du midi de la Suède (Scanie et Smaa- land). Plusieurs de ces cas (7) viennent du foyer principal de l'épidémie d
département (laen) de Kronoberg, où, d'après Wickman, il y a eu 263 cas certains de la maladie en 1905 (sur une po- 376
376 PETREN ET E11RENBERG ' pulation de 150.000 habitants). Tous ces cas ont été observés à une phase très postérieure d
phase très postérieure de l'évolution de la maladie, c'est-à-dire 4 cas dans les quatre premiers mois après le commence
uatre premiers mois après le commencement de la maladie et 5 autres cas dans la première année ; les autres encore plus t
nnée ; les autres encore plus tard. Cependant, pour beaucoup de ces cas , j'ai pu obtenir des renseignements assez nets su
nie lobaire. Nous nous sommes occupés de l'examen anatomique de ces cas , mais nous n'en parlerons que dans un autre tra
poliomyélite aiguë au moyen de la ponction lombaire. Dans quelques cas nous avons fait la numération du nombre absolu de
premiers temps (les premiers mois) de la maladie, ensuite dans les cas où elle persiste. Je veux aussi attirer l'attenti
ladie la poliomyélite de l'adulte Faut-il ad- mettre l'identité des cas sporadiques ou du moins.apparemment sporadi- qu
té des cas sporadiques ou du moins.apparemment sporadi- ques et des cas épidémiques ? En quel sens faut-il admettre une f
rapporter à une méningite aiguë se sont présentés dans beaucoup de cas au début de la maladie. Dans l'Amérique du Nord
ur la première, les auteurs ont conclu qu'il s'agissait dans tous les cas d'une poliomyélite aiguë, mais ils hésitent, qu
pidémique; dans la seconde épi- démie, Mackenzie admet que quelques cas sont dus à la poliomyélite aiguë, mais quelques
utres à la méningite cérébro-spinale. Cependant, également pour des cas sporadiques, on a fait depuis long- temps déjà
rs auteurs n'ont pas toujours donné une explication correcte de ces cas . En 1887, Laurent parle dans sa thèse des doule
ui pour- tant se trouvent souvent le long du dos. Il cite plusieurs cas de cette na- ture empruntés à des travaux antér
cas de cette na- ture empruntés à des travaux antérieurs ; pour ces cas nous nous borne- rons à renvoyer à cette thèse.
rière. Néanmoins Duquennoy ne pense pas qu'il se soit agi, dans ces cas -là, d'une mé- ningite ; au contraire, il propos
les considérés comme dus à la méningite ne sont autre chose que des cas de paralysie infantile méconnus et dont les lés
a poliomyélite (Tiedemann, Rendu, Raymond et Sicard). Cependant ces cas ont été, quelquefois du moins, regardés comme éta
uë au début de la maladie se sont présentés dans un grand nombre de cas . Déjà dans les pe- tites épidémies scandinaves
mie norvégienne, Geirsvold et Leegaard rapportent qu'ils ont vu des cas avec symptômes méningitiques; c'est aussi le cas
qu'ils ont vu des cas avec symptômes méningitiques; c'est aussi le cas de Looft pour une épidémie antérieure en Norvèg
de New-York, on nous indique qu'il y a eu un assez grand nombre de cas avec symptômes de méningite (Berg, Clowe, Colli
l'état des méninges, nous avons pratiqué dans un certain nombre de cas la ponction lombaire. Quand on s'occupe des tra
e. Nous avons employé cette méthode aussi dans un certain nombre de cas de maladies du système nerveux autres que des c
certain nombre de cas de maladies du système nerveux autres que des cas de poliomyélite aiguë, par exemple dans des cas
veux autres que des cas de poliomyélite aiguë, par exemple dans des cas de tumeur de l'encéphale, de syphilis, de ménin-
ou tuberculeuse ou encore d'autres maladies. La numération dans les cas où, dans l'état actuel de la science, le diagnost
e. Nous groupons ci-dessous dans un tableau ces recherches pour les cas de poliomyélite aiguë et pour les autres cas, e
es recherches pour les cas de poliomyélite aiguë et pour les autres cas , et nous croyons que la comparaison entre ces chi
n'ont pas été étudiés jusqu'à présent dans un très grand nombre de cas et nous avons, comme nous l'avons dit déjà, l'i
r les mêmes raisons. Nous donnons d'abord la plus grande partie des cas que nous avons observés. Seuls, les cas où la m
d la plus grande partie des cas que nous avons observés. Seuls, les cas où la mort s'est produite dans la phase aiguë et
ë et qui à beaucoup d'égards forment un groupe spécial, et aussi un cas avec une forme unique de paralysie persistante
l'intensité de l'affection de la moelle. Comme on l'a déjà dit, les cas qui n'ont pas été traités à la clinique ont été o
est assez difficile parce qu'elle essaie de s'y soustraire. En tout cas , elle peut faire tous les mouvements avec le me
y ait pas eu aussi une faiblesse des autres membres ; mais, en tout cas , quand elle s'est levée au bout de deux semaines,
l'en croit. La malade dit qu'il est apparu en même temps plusieurs cas de la même maladie dans la région où elle demeu
u DÉBUT DE la IAL : 1- DIE) ONT atteint DEUX membres (dans TOUS LES cas , LES membres inférieurs), a) Observations avec
léchir la tête en avant dans des proportions normales, mais en tout cas le dernier stade de ce mouvement cause un peu d
douleurs pour toute pression que l'on exerce, mais ce n'est pas le cas pour les autres parties de la colonne vertébral
surtout les muscles du cou auxiliaires de la respiration ; en tout cas , ce fait n'est pas apparu auparavant de façon aus
ù cette malade demeure, il y a eu presque en même temps cinq autres cas analogues. Cependant la fille a quatre frères et
deux côtés. Le volume des autres muscles des bras est normal. Le cas suivant a été observé pendant un temps assez long
maladie avant l'appari- tion de la paralysie. Il .n'y a qu'un seul cas (XIV) sans indication nette de symptômes généra
ans indication nette de symptômes généraux quelconques, et, dans ce cas , les renseignements donnés par les parents étai
ience (indiqués 4 fois), etc. On sait cependant qu'on a signalé des cas où ces symptômes n'auraient pas existé (Pierre
fférentiel ; c'est-à-dire que, si nous nous trouvons en présence de cas où le diagnos- xxii 27 398 PETREN ET EHRENBER
ontre cette maladie. Dans ces derniers temps, nous avons observé un cas où cette loi pour le diagnostic différentiel no
t indécis, l'observation con- tinue de la malade a confirmé en tout cas notre conclusion du premier moment qu'il ne pou
pouvait s'agir d'une poliomyélite aiguë. Voici la des- cription du cas . Observation XXVI. I. G..., ouvrière à une fabr
ovoquer une dysp- née ou une cyanose marquée. Le diagnostic de ce cas présente assurément des difficultés très grandes.
squ'au plan mamellàire sans troubles de la sensibilité tactile. Les cas de poliomyélite aiguë où l'on a observé des tro
mbres inférieurs une hypoalgésie et une thermohypoesthésie. Mais un cas de poliomyélite aiguë avec analgésie et thermoa
rite par exemple par Jean Lépine. Il est vrai qu'on ne peut dans ce cas découvrir aucune cause à l'hématomyé- lie, mais
omyé- lie, mais dans la statistique de Lépine nous trouvons, sur 45 cas d'héma- tomyélie spontanée, 16 indiqués comme é
la moelle. J'avais groupé aussi complètement que possible tous les cas pu- bliés de maladies de la moelle étudiés par
sur les voies de la sensibilité dans la moelle. Ce sont surtout les cas de coups de couteau dans la moelle qui m'ont re
conception sur les voies de la sensibilité pour le diagnostic de ce cas . Il n'y avait d'abord que de l'anal- gésie et d
une paraplégie spasmodique, mais une para- plégie flasque. Dans le cas qui nous occupe, le fait que la sensibilité tac
omme la seule cause de tous les symptômes qui se produi- sent en ce cas , où la lésion transversale serait devenue plus co
nattendue d'une myélomalacie. Cependant on a observé auparavant des cas de paraplégie présentant une certaine systémati
fait très remarquable. Pour résumer le problème diagnostique de ce cas , il faut admettre une myélomalacie ou myélite à
primaire, plus tard compliquée d'une myélite secondaire. En tout cas nous pouvons sans hésitation écarter le diagnosti
on générale et le début de la parésie. Nous avons trouvé que sur 22 cas (y compris aussi des cas se rapportant aux chap
e la parésie. Nous avons trouvé que sur 22 cas (y compris aussi des cas se rapportant aux chapitres suivants) pour' les
uels nous avons reçu des informations nettes sur ce point, il y a 3 cas où la parésie a commencé dès le premier jour de
3 cas où la parésie a commencé dès le premier jour de la maladie, 8 cas où elle s'est déclarée au cours du second jour,
la maladie, 8 cas où elle s'est déclarée au cours du second jour, 4 cas au cours du troisième, 4 cas au cours du quatrièm
st déclarée au cours du second jour, 4 cas au cours du troisième, 4 cas au cours du quatrième, et 2 cas au cours du cin
our, 4 cas au cours du troisième, 4 cas au cours du quatrième, et 2 cas au cours du cinquième; dans un seul cas, elle e
au cours du quatrième, et 2 cas au cours du cinquième; dans un seul cas , elle est apparue plus tard. Il faut remarquer
t été assez vagues. Peut-être pourrait-on, pour quelques-uns de ces cas , être fondé à conclure que le temps écoulé entre
ie a été d'un ou dé deux jours plus court, mais pour la plupart des cas la date initiale n'est pas douteuse. L'histoire
mes très nets d'nne méningite aiguë spinale. Nous n'avons pas vu de cas avec symptômes indiquant net- tement la localis
, sauf les troubles passa- gers de la conscience qui, dans quelques cas (I, II, III), pourraient y faire conclure ; car
inale de la méningite. Des vomissements sont indiqués dans quelques cas (I, III, VI, XIII, XVI, XVIII), mais il s'agit se
ais il s'agit seulement d'un vomissement chez chaque malade ; sur 6 cas , 4 étaient des enfants, et c'est un fait bien c
ne voulons pas contester qu'on puisse avoir quelquefois observé des cas de cette nature ; tout en cas, ils sont certain
puisse avoir quelquefois observé des cas de cette nature ; tout en cas , ils sont certainement très rares. Celte conclusi
ymptômes méningitiques est une chose assez caractéristique pour les cas avec symptômes de méningite qu'on voit si sou-
est en parfait accord avec les résultats de l'examen anatomique des cas de poliomyélite, car on a constaté qu'il y a souv
'assez rarement qu'ils persistent plus d'une semaine. Dans quelques cas pourtant, ils restent beaucoup plus longtemps :
lques cas pourtant, ils restent beaucoup plus longtemps : pour deux cas (XI, XVII) nous avons vu les symptômes mé- ning
plus souvent persister longtemps ; nous avons indiqué que dans deux cas aussi des douleurs assez intenses ont persisté
lade couché. Celle réduc- tion de la motilité passive est, dans les cas de sciatique, appelée en géné- ral signe de Las
en général, dans la sciatique, pour le signe de Lasègue. Pour le cas qui nous occupe, il y a correspondance entre les
beaucoup plns faible (Wick- man, IIarbitz et Scheel). (1) Dans le cas que Forssner et Sjovall ont publié, j'ai examiné
à une inflammation des nerfs. J408 PETRIN ET EHRENBERG Dans notre cas XI, la persistance de la raideur de la nuque pend
il n'y a rien qui parle contre cette idée qu'il s'agit, dans notre cas avec douleurs persistantes, d'une méningite local
la moelle. L'étude de nos observations nous apprend que sur les dix cas où la parésie n'a jamais atteint plus d'un membre
des deux jambes, ces symptômes étaient présents dans 4, et sur les 12 cas où il y avait des troubles de la motilité dans
ningitiques. . Cependant, il faut remarquer que je n'ai vu (P.) les cas non obser- vés à la clinique qu'assez longtemps
conséquence, pour les symptômes méningitiques, nous devons dans ces cas recourir aux seules informations données par le
leurs parents). Nous pouvons alors être presque sûrs que, parmi ces cas , il y en a quelques-uns qui ont en réalité prés
onclusion est en accord avec le fait que nous avons trouvé pour les cas observés à la clinique à la phase aiguë des cas
ons trouvé pour les cas observés à la clinique à la phase aiguë des cas avec symptômes méningitiques, dans une proportion
iques, dans une proportion plus élevée 160 0/0) que pour les autres cas (42 0/0) qui n'ont été obser- vés que plus tard
ésentés. Dans quelques épidémies de poliomyélite aiguë, on a vu des cas où il y a des symptômes méningitiques, mais où
lare ja- mais. Wickman et Leegaard ont observé un certain nombre de cas de ce genre. Nous n'en avons pas vu avec certit
ccupons de la méningite séreuse). S'il se pl ésente beaucoup de ces cas dans une épidémie, il est bien évidentque le diag
TUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 411 semaine que dans deux cas (Brissaud et Londe, Guinon et Rist). Il n'y a q
ans deux cas (Brissaud et Londe, Guinon et Rist). Il n'y a que deux cas un peu plus récents où l'examen cytologique a été
tologique a été négatif (Guinon et ltist, la ponction faite dans un cas le 7° jour, dans l'autre le 14°). Dans tous les
dans un cas le 7° jour, dans l'autre le 14°). Dans tous les autres cas à l'examen fait pendant les trois pre- miers mo
général, il s'est agi exclusivement de lymphocytes, mais dans deux cas on a lrouvé des leucocytes en proportion considér
0/0et Raymond et Sicard 80 0/0) ; quand on a fait l'examen dans des cas ou il s'était déjà écoulé plus d'une demi-année d
ictions mercurielles. Enfin nous voulons remarquer qu'il y a quatre cas où nous avons fait le diagnostic d'une méningite
aiguë. Quoique nos recherches ne portent pas sur un grand nombre de cas , elles donnent néanmoins une idée plus'précise
'avait jusqu'ici sur le degré d'augmentation des cellules. Aux deux cas , antérieurement publiés comme ayant été exami-
en ajouter trois autres (avec numération des cellules).De ces trois cas ,deux nous donnent la démonstration (il en fut d
trois cas,deux nous donnent la démonstration (il en fut de même du cas de Brissaud et Londe) qu'il peut exister dès le
D'un autre côté, l'observation XI ajoute un nouvel exemple aux deux cas publiés par Tiedemann et par Raymond et Sicard,
manque d'augmentation de la pression constatée dans tous les autres cas que nous avons examinés à la phase aiguë, et par
conséquence, il est bien évident que l'affection des méninges en ce cas constitue à plusieurs égards une ex- ception à
lymphocytose pure. Si nous regardons les résultats obtenus dans les cas où nous avons fait t plus d'un examen cytologiq
avons trouvé la même diminution du nombre des lymphocytes dans les cas de méningite séreuse examinés par la même métho
les résultats obtenus à l'examen par la ponction lombaire dans les cas qui n'ont pas présenté de symptômes méningitiques
limitée pour permettre d'arriver à des conclusions sûres ; en tout cas nous avons constaté (2 fois) qu'on peut avoir u
méningitiques, mais comme nous n'avons fait cet examen que dans un cas de ce genre, nous 416 PETRÉN ET EHRENBERG som
igés de laisser sans solution la question de savoir s'il existe des cas avec lymphocytose, mais sans autres symptômes cli
n lombaire avec l'examen anatomique de l'état des méninges dans les cas qui ont succombé pendant la phase aiguë de la m
mique de l'une des maladies. Car, si nous n'avons pas affaire à des cas isolés, mais à plusieurs cas réunis, les différ
Car, si nous n'avons pas affaire à des cas isolés, mais à plusieurs cas réunis, les différences entre les deux maladies a
ces paralysies ne se dévelop- pent pas nécessairement dans tous les cas ; pour la méningite cérébro- spinale épidémique
ent, quand une de ces maladies se déclare dans un certain nombre de cas ou dans une véritable épidémie, le diagnostic dif
ne doit pas être difficile; mais, si nous nous trouvons devant des cas spo- radiques, le diagnostic différentiel peut
ômes méningitiques sans qu'il se produise de parésie. Dans lous les cas où il a des difficultés pour ce diagnostic diff
n étudiant les dernières épidémies, qu'il y il un certain nombre de cas où ne se présentent jamais que les symptômes gé
symptômes méningitiques (Wickman, Leegaard et d'au- tres). Pour ces cas , quand les résultats des recherches par ponction
ETRÉN ET EHRENBERG doivent devenir très grandes. En effet, pour ces cas , on a fondé, le dia- gostic de la poliomyélite
ndé, le dia- gostic de la poliomyélite sur la nature épidémique des cas observés; en d'autres termes, c'est le fait que
démique des cas observés; en d'autres termes, c'est le fait que ces cas avec symptômes méningitiques, mais sans paralys
poliomyélite (selon nous, avec raison). Mais quand nous venons aux cas sporadiques, nous avons perdu ce point d'appui
le diagnostic, et il est bien naturel qu'il soit difficile dans ces cas . Dans le tableau ci-dessus contenant nos recherch
uide céphalo-rachidien dans des maladies différentes, il y a quatre cas désignés comme méningite séreuse. En effet, comme
nombre extraordinaire de poliomyélites, on peut se demander si ces cas de méningite séreuse ne seraient pas des cas de p
eut se demander si ces cas de méningite séreuse ne seraient pas des cas de poliomyélite abortive. L'un de ces cas a été
reuse ne seraient pas des cas de poliomyélite abortive. L'un de ces cas a été compliqué d'une épilepsie jacksonnienne et
ystérie, et nous pouvons le laisser de côté. Quant aux trois autres cas , voici les dates les plus importantes. Observat
signe de Babinski est présent des deux côtés (ce qui n'était pas le cas auparavant). Quant aux résultats des ponctions
re se pencher en avant de façon normale. Quant au diagnostic de ces cas , une méningite séreuse ne nous semble pas doute
ces cas, une méningite séreuse ne nous semble pas douteuse pour les cas XXVII et XXIX. L'histoiredu cas XXVIII nous a p
e nous semble pas douteuse pour les cas XXVII et XXIX. L'histoiredu cas XXVIII nous a paru parler, lors de l'entrée à l
NIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 421 1 observé chez des enfants des cas avec le tableau clinique d'une tumeur cérébrale
heim et d'autres). Si l'on fait la comparaison des histoires de ces cas de méningite séreuse avec celles des cas de pol
aison des histoires de ces cas de méningite séreuse avec celles des cas de poliomyélite, abstraction faite de la paralysi
érences assez remarquables. Car, l'évolution des symptômes dans les cas de méningite séreuse a été plus lente et surtou
des symptômes méningitiques a été beaucoup plus longue que dans les cas ordinaires de poliomyélite etles symptômes méni
cérébrales (casXXVIl : les pupilles sans réaction pour la lumière ; cas XXVIII oedème des papilles ; cas XXIX : pendant
es sans réaction pour la lumière ; cas XXVIII oedème des papilles ; cas XXIX : pendant quelques jours troubles de la co
troubles de la conscience et cris hydrocéphaliques). En résumé, ces cas ne se présentent pas dans la même façon qu'une
façon qu'une maladie d'un certain type (ce que font en général les cas de poliomyélite) et, en conséquence, il nous semb
) et, en conséquence, il nous semble im- probable qu'il s'agisse de cas de poliomyélite. Le diagnostic différentiel ent
agisse de cas de poliomyélite. Le diagnostic différentiel entre les cas de poliomyélite avec méningite, mais sans paral
éral avec un type spinal, tandis que ce n'est probablement L pas le cas ponr des méningites séreuses ordinaires. Si nou
mes méningitiques dans la poliomyélite aiguë et qu'en observant des cas spo- radiques on n'a pas reconnu tous les cas d
t qu'en observant des cas spo- radiques on n'a pas reconnu tous les cas de poliomyélite aiguë avec symp- t6mes méningit
e dans les différentes épidémies et, par conséquent, aussi pour les cas sporadiques. Ce serait, en effet, en parfait acco
omeisel' (22) ont observé une paralysie des muscles abdominaux dans cas sur 176, et Bramwell dans 4 cas sur 76. Baumann
ralysie des muscles abdominaux dans cas sur 176, et Bramwell dans 4 cas sur 76. Baumann rapporte que, sur 85 cas, il en
ur 176, et Bramwell dans 4 cas sur 76. Baumann rapporte que, sur 85 cas , il en a observé deux avec paralysie des muscle
e tous les muscles du dos (mais il ne dit pas s'il s'agit des mêmes cas ). Johannessen a vu 5 cas avec parésie du tronc su
(mais il ne dit pas s'il s'agit des mêmes cas). Johannessen a vu 5 cas avec parésie du tronc sur 23, et sur 198 cas, L
cas). Johannessen a vu 5 cas avec parésie du tronc sur 23, et sur 198 cas , Lovett en a observé 40 avec paralysie du dos e
meiser (23) ont trouvé une paralysie des muscles abdominaux dans 29 cas et des muscles du dos dans 20 cas sur 500. Si
ie des muscles abdominaux dans 29 cas et des muscles du dos dans 20 cas sur 500. Si je me reporte à nos observations, j
sur 500. Si je me reporte à nos observations, je trouve, sur nos 29 cas , la avec troubles moteurs des muscles abdominau
, XVIII, XIX, XXI, XXII, XXIV, XXV, XXX, XXXII, XXXIII). Dans les cas qui n'ont été observés que longtemps après le déb
naux a été notée dans une proportion beaucoup plus élevée parmi les cas observés il la clinique et à la phase aiguë que
s observés il la clinique et à la phase aiguë que parmi les autres - cas : soit 10 cas sur les 15 de clinique et 5 cas s
la clinique et à la phase aiguë que parmi les autres -cas : soit 10 cas sur les 15 de clinique et 5 cas sur les 14 autr
que parmi les autres -cas : soit 10 cas sur les 15 de clinique et 5 cas sur les 14 autres. Wickman me semble avoir appr
la phase aiguë une paralysie des muscles abdo- minaux dans tous les cas où il y a en même temps des troubles moteurs po
en accord avec cette idée de Wickman. Le résultat, c'est que sur 12 cas (XVI-XXV, XXXII, XXXIII) où il a existé des tro
veur de l'idée de Wickman. Cependant il faut remarquer que les deux cas où je n'ai pas trouvé de raisons de conclure à un
iguë. 'En conséquence, il est très possible qu'il ait existé dans ces cas des troubles moteurs des muscles abdominaux, ma
fait lever le malade et soient ainsi passés inaperçus. Dans nos six cas observés à la clinique et pendant la phase aigu
de l'opinion émise par Wickman. Il faut ici remarquer que dans les cas où Bramwell avait trouvé une paralysie des musc
t également des troubles moteurs pour les quatre membres. Sur les 5 cas de paralysie du tronc, que Johannessen a publié
ladie sont aussi un fait très favorable à cette thèse ; car, dans les cas où l'examen anatomique a été pratiqué sur des i
lure qu'il y ait une extension semblable de la lésion dans tous les cas de la maladie ; au con- traire, on peut considé
mbre ; mais alors les malades n'en meurent pas. Mais, pour tous les cas où nous - avons une parésie des membres inférie
disparaître dans le plus grand nombre des 424 PETREN ET EHRENBERG cas . En coséquennce, c'est une question d'une grande
iquer comme réponse un moment fixe qui serait valable pour tous les cas . Pourtant, nous considé- rons comme presque cer
ces muscles, nous y revenons plus loin). Nous relèverons ici les cas indiqués par des auteurs antérieurs où l'on a d
ir persisté assez longtemps, nous ne pouvons être sûrs que tous les cas cités ci-dessous soient des exemples de paralys
paralysies persistantes. Cependant nous noterons, dans les différents cas , l'âge de la paralysie, quand l'observation en
complète, des muscles abdominaux a été décrite par Neurath (70) (un cas ancien) et par Medin (n" XXIX de ses observatio
VII) au bout de deux semaines ; mais il semble que, dans ce dernier cas , la paralysie ait disparu au cours de l'observa
cours de l'observation postérieure du malade ; Bernheim rapporte un cas où la parésie était plus développée d'un côté. Il
plus développée d'un côté. Il semble aussi que Sachs ait observé un cas de ce genre. Wickman rapporte un cas, observé t
ssi que Sachs ait observé un cas de ce genre. Wickman rapporte un cas , observé trois semaines après le début de la ma-
le début; il y avait une scoliose). Ibrahim et Hermann ont publié 4 cas du même type ; il y avait une faiblesse des mus
tre façon leurs muscles abdo- minaux. La seule différence entre ces cas , c'est que; dans [un seul, le grand droit était
l, le grand droit était légèrement atteint par la parésie. Un autre cas du même type que les observations de Ibrahim et
près la description donnée par l'auteur ; il y avait une lordose). Le cas a été observé un an et demi après le début de l
aient con- servés dans les parties supérieures. Dennett rapporte un cas où il a observé, 7 mois après le début, une par
sus de l'ombilic. Lafetra indique très brièvement qu'il a vu deux cas d'une paralysie unila- térale des muscles obliq
n des troubles de la motilité qu'il a observés. Leischner a vu un cas avec une paralysie unilatérale des muscles abdo-
linken quel'en Bauchmuskeln <7e/a/<m/). Enfin Ruzicka a vu un cas où il conclut à une parésie unilatérale (d'ailleu
ons vu les troubles moteurs des muscles abdominaux persister dans 7 cas pendant tout le temps que nous avons poursuivi l'
e nous avons poursuivi l'observation des malades : Dans l'un de ces cas (XI), le temps écoulé depuis le début de la mal
les muscles 426 PETRÉN ET EHRENBERG du dos. Quant au pronostic du cas , je crois qu'il faut encore espérer une restaur
aux comme également des mus- cles du dos, que j'ai employée pour ce cas (décrite dans l'état du 6 mai). Cette méthode c
surtout s'il s'agit de parésies encore très développées. Dans le cas XIX, notre observation porte sur cinq mois à peu
est alors morte d'une pneumo- nie lobaire). Dans tous les autres cas la durée de l'observation s'étend à plus d'une
la durée de l'observation s'étend à plus d'une demi-année. Dans le cas XXII, il y avait, 19 mois après le début de la
e de la malade (2 ans et quelques mois) et nous n'avons pas pour ce cas de renseignements détaillés sur ce point. Dans
s pas pour ce cas de renseignements détaillés sur ce point. Dans le cas XXV, nous avons vu une parésie des muscles abdomi
ète des fonctions des muscles abdominaux est assez probable pour ce cas . L'observation XIII nous donne une bonne raison
donne une bonne raison de nous prononcer en ce sens ; car, dans ce cas , observé par nous trois ans après l'attaque de po
die du moins quand elle a commencé déjà auparavant. Dans tous nos cas cités jusqu'ici, il s'est agi d'une paralysie de
abdominaux au même degré. Cepen- dant, nous avons observé dans deux cas des paralysies partielles des mus- cles abdomin
cas des paralysies partielles des mus- cles abdominaux. L'un de ces cas n'ayant pas été décrit plus haut, nous donnons
, quand les muscles abdominaux se contractent (par exemple, dans le cas où le malade étant couché essaye de s'asseoir)
forme de paralysie des muscles abdominaux que l'on observe dans ce cas n'a pas été décrite jusqu'ici. Quant à l'extensio
pas été décrite jusqu'ici. Quant à l'extension de la paralysie, le cas correspond dans l'ensemble au cas de Loewegren, c
à l'extension de la paralysie, le cas correspond dans l'ensemble au cas de Loewegren, cité ci-dessus ; dans tous les de
parties inférieures de ces muscles ont été pa- ralysées. Dans notre cas , il est remarquable que la contraction des partie
ucune contraction des parties inférieures de ces muscles. Dans ce cas il est intéressant devoir comment, par suite de c
faire la destruction seulement partielle de ces muscles. Dans notre cas , le déplacement de l'ombilic était très considéra
éplacement de l'ombilic. Une autre observation qui se rapporte à ce cas , c'est que le réflexe abdominal se fait toujour
uscles qui s'insèrent sur le thorax et qui sont con- servés dans ce cas , du moins en général. Une telle déformation du th
es n'a pas été dé- crite auparavant, autant que je sache. L'autre cas où nous avons observé une parésie partielle des m
ie partielle des muscles abdominaux, c'est l'observation X. Dans ce cas , nous avons eu l'occasion d'examiner la malade,
ion la paralysie des muscles du dos que presque uniquement dans les cas où elle avait causé une déformation de la colon
e avait causé une déformation de la colonne vertébrale. Parmi les cas cités ci-dessus, où nous avons vu des troubles mo
lever sans la moin- dre difficulté et d'une façon normale. Quant au cas XXII, nous n'avons aucune note sur l'état des m
, nous n'avons aucune note sur l'état des muscles du dos. Dans le cas XIX, où la malade est morte d'une pneumonie lohai
des mus- cles abdominaux et est toujours restée couchée. Pour le cas XI, où il n'y a encore qu'un commencement de moti
ce des muscles du dos, qui sont les extenseurs du tronc. Dans les cas XIII et XX, nous avons constaté la faiblesse des
relevant. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 431 Dans le cas XXV, la paralysie des muscles du dos se montre pa
ue la partie supérieure du tronc tombe en avant. C'est le seul de nos cas où l'on pourrait dire que la parésie des muscle
aut probablement assez longtemps pour qu'elle se manifeste. Le seul cas où il semble qu'il y ait lieu de craindre le déve
y ait lieu de craindre le développement d'une déformation, c'est le cas V. En résumé, nos expériences sont en faveur de
trop restreintes pour permettre des conclu- sions fermes ; en tout cas , il est évident qu'on n'a jusqu'ici presque jamai
vre) SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (séance DU 13 MAI 1909). UN CAS DE MYASTHÉNIE GRAVE D'ERB-GOLDFLAM AVEC AUTOPSI
ce syndrome nous engagent à présenter à la Société de Neurologie le cas suivant, que nous avons eu l'occasion d'étudier
brusquement, sans cause appréciable et disparaissant de même. UN CAS DE MYASTHÉNIE GRAVE D'ERB-GOLDFLAM 433 Quelques
sée. L'interne de garde appelé a pratiqué la respiration artif¡. UN CAS DE MYASTHÉNIE GRAVE D·Elt13-COLUFLA\L 135 ciell
ubstance blanche assez loin de la cavité cen- trale oblitérée. UN CAS DE MYASTHÉNIE GRAVE D'ERB-GOLDFLAM 437 Nous avo
sentent une augmentation des noyaux du sarcolemme qui dans certains cas sont allongés les uns à la suite des autres san
Laigl1el-Lavaslille el L. Boudon). Masson & CIO, Editeurs. UN CAS DE MYASTÉNIE GRAVE D'ERB-GOLDFLAM 439 était nor
evenue un fait banal. Les lésions des muscles présentent un plus UN CAS DE MYASTHÉNIE GRAVE d'eRB-GOLDFLAM 441 grand in
u. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 3 FÉVRIER 1909) UN CAS DE GIGANTISME INFANTILIQUE PAR le Dr Georges
PL. XL VIII GIGANTISME INFANTILIQUE (Thibierge el Gastmil), UN CAS DE GIGANTISME INFANTILIQUE 44) Mais il n'en est
it signaler un très léger prognathisme du maxillaire inférieur ; UN CAS DE GIGANTISME 1NFANTILIQUE 44b mais on ne saura
é ni albuminurie, ni glycosurie. ' 446 THIBIERGE ET GASTINEL UN CAS DU GIGANTISME INFANTILIQUE 447 448 THIBIERGE ET
que des attributs incomplets et accessoires de l'acromégalie. Le cas d'Otto vient à l'appui des idées de Brissaud. Not
era pas superflue l'analyse très complète que nous portons ici d'un cas de gigantisme, à plusieurs aspects très intéressa
nt positif. La description détaillée que nous avons donnée de notre cas nous per- mettra d'être brefs dans la justifica
ification de notre diagnostic. Mario Palazzi représente en effet un cas classique de gigantisme non seulement par le fa
agelstam, lIansemann, Lloyd, Messedaglia, etc.) ont noté dans leurs cas l'affaiblisse- ment ou l'abolition totale des r
ration que Strumpell a comparée à celle qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales ; State a parlé aussi de
té, à ce qu'il nous dit, très probablement un tabétique. Dans notre cas nous ne pouvons affirmer une lésion hypophysaire,
exemples de gigan- tisme lié à la syphilis héréditaire ou acquise ( cas deNobl, Fuelis e[Sit'elia, cités par Launois et
et Roy) ; on a parlé de gigantisme hérédo-syphilitique. Dans notre cas cette hypothèse est très probable; en discutant d
supposer que cette lésion uni ou pluri-glandulaire soit dans notre cas d'origine hérédo-syphifitique. Examen radiograp
icile. Pour ces raisons nous ne pouvons pas affirmer que dans notre cas la selle turcique soit augmentée de volume. L
n, d'épines osseuses anormales. Ces exostoses existaient dans notre cas au métacarpe aussi. 470 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE
'acromégalie (voir les travaux récents de Franchini) que dans notre cas de gigantisme, nous avons remarqué que le calcane
lié dans )'/r;o; ! o ? a- phie de la Salpêtrière l'observation d'un cas très intéressant d'acromé- galie chez une jeune
cartilages » épiphysaires étaient complètement soudés. Le second cas , encore plus que celui de Claude, nous prouve la
e gigan- tisme des individus à cartilages épiphysaires soudés. Le cas de Franchini et Giglioli est en outre une nouvell
lité toute une dermato-pathologie, et qu'ils relè- vent suivant les cas de causes anatomiques extrêmement diverses. Dans
n pas sur leur étiologie même, puisque, dans l'immense majorité des cas , peut-être même dans tous les cas, le noevus es
sque, dans l'immense majorité des cas, peut-être même dans tous les cas , le noevus est dû à une toxi-infection. Cette n
battue en brèche par ce fait t que, peut-être dans la majorité des cas , l'éruption ne correspond au trajet t d'aucun n
d'aucun nerf connu (2) ». Lewin, d'autre part, de l'analyse de cent cas , établissait que dans quarante cas seulement, l
autre part, de l'analyse de cent cas, établissait que dans quarante cas seulement, la configuration était en rap- port
développement des tumeurs. Lyon médical, 1884. (2) A. Morrow, Deux cas de nævi linéaires. The New-York medical journal,
une lésion du système nerveux : c'est dans le plus grand nombre des cas une radiculile. Dans le naevus vascularite il s
t se développer les naevi. La naevus-vascularite peut dans certains cas apparaître tardivement; mais le naevus-névrite ne
nffivus-vascularite une distribution très différente. Dans certains cas il est vrai sa localisation est conditionnée par
ra-utérine contre le bassin maternel (Unna) (1). Mais dans certains cas il faut faire intervenir un fadeur de localisatio
og1'fl]Jh ie del'1nalo-11létamérique, dirons- nous. Dans certains cas le naevus occupe non pas toute la surface d'un de
eux superficiels ou pro- fonds ; il est logique d'admettre dans ces cas une corrélation étroite entre le trajet de ces
ions de naevi distribués selon les trajets ner- veux sont moins des cas de naevi à topographie névro-métamérique que de
aux naevi, ils sont très fréquemment, dans le plus grand nombre de cas nous a-t-il semblé, disposés selon une topographi
fin. Zona et naevus- névrite relèvent de causes variables selon les cas et peuvent relever l'un et l'autre des mêmes ca
tébrale était déjà connue de nos anciens. Ainsi, Wenzel a décrit un cas d'ankylose vertébrale en 1827. L'ankylose des v
ne prédisposition de famille, la syphilis. Après la publication des cas de Bechterew, paraissent les observations de St
jà réunie dans .plusieurs travaux antérieurs (Bechlerew a compté 35 cas de son type). Nous indiquerons ici seulement qu
matique. Bechterew répond à cette manière de voir que dans certains cas , il n'a trouvé ni traumatisme, ni causes hérédita
é ni traumatisme, ni causes héréditaires. Schaikeviteh pense que le cas décrit par lui appartient au type inter- médiai
e, croit que le type anatomo-pathologique est le même dans les deux cas . S. Popoff rapporte à la même maladie toutes le
a complètement résolue que par les études anatomo-pathologiques des cas se rapportant aux deux types de la maladie et l
rie, l'autre à Marie et Léri. Dans ce travail, nous apportons le 7° cas d'ankylose de la colonne ver- tébrale avec la d
isme, peut-être la syphilis y a été aussi pour quelque chose. Notre cas ne peut pas être rattaché au type de cyphose héré
rophie du cour. Cyphose. Nous devons l'étude microscopique de notre cas à l'amabilité de M. Tisen- hausen, chef de labo
; parfois une partie de la tète est encore reconnaissable. Dans un cas (4' côte), on aperçoit une fente dans la partie
ant donné les résultats des études macro et microscopiques de notre cas , à quelle maladie nous avons affaire. Au point
, à quelle maladie nous avons affaire. Au point de vue clinique, ce cas présente des symptômes qu'on trouve dans la mal
. Ainsi, aux points de vue clinique et allatomo-pathologique, notre cas présente quelques caractères communs aux deux t
ssi quelques caractères particuliers. N'avons-nous pas affaire à un cas de rhumatisme vertébral ankylosant ? Teissier l
compression des racines. Raymond et Babonneix ont observé, dans un cas de rhumatisme des vertèbres et des articulations,
ns au niveau des méninges. Le tableau anatomo-pathologique de notre cas ne concorde pas avec relui de Teissier, ni avec
de même pour les lésions histologiques, Peut-on penser dans notre cas à une autre forme de polyarthrite, à l'arthrite
- tées sans modification. Ainsi, notre observation est celle d'un cas d'un type non encore décrit ANKYLOSE DE LA COLO
onne vertébrale. De plus, Schaikevitch et Troschine ont observé des cas de ma- ladie de Bechterew dans lesquels manque
es causes neuro- pathiques ? Bechterew également observé dans son cas la mollesse des os; il ne considère cependant p
ion des méninges). On a également constaté de l'ostéoporosedans les cas de Pous- sen et Troschine ainsi que dans celui
Fagge a aussi noté de l'ostéoporose de la colonne vertébrale ; son cas n'est cependant pas considéré comme un cas de m
colonne vertébrale ; son cas n'est cependant pas considéré comme un cas de maladie de Bechterew. Enfin, Marie, Marie et
Léri de ne pas avoir examiné le système nerveux central dans leurs cas de spondylose. Si on devait admettre ici d'aprè
elle est la cause de l'ankylose de la colonne vertébrale dans notre cas ? ANKYLOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTE
Quant au processus d'ossificalion, nous l'avons observé dans noire cas . Toutes les articulations costo-vertébrales éla
nues au cours de la paralysie générale progressive. Dans le premier cas , il s'agirait d'une affection locale en rapport
ifiques des articulations. Il ne peut pas être question, dans notre cas , d'une ostéite syphilitique amenant une destructi
dessinent un triangle au lieu d'un demi- cercle. L'étude de notre cas permet peut-être d'appuyer l'hypothèse de Schai-
ment. Nous imaginons l'évolution du processus pathologique de notre cas de la façon suivante. Le malade atteint de syph
racines et peut-être un état rhumatisant des muscles dorsaux. En tout cas , l'affection a eu au début une évolution aiguë
ainsi que Bechlerew explique l'origine de l'ankylose dans un de ses cas . Cependant, Troschine a trouvé une transformation
se compliquer d'ankylose coslo- vertébrale. Cela est prouvé par des cas de rhumatisme chronique verté- bral (Teissier,
toute la colonne vertébrale exisle sans une ankylose costale. Ces cas montrent que l'ankylose seule, même étendue à tou
ion des os. Quelle est, en effet, la cause de l'ankylose dans notre cas ? L'ankylose des vertèbres cervicales est le ré
eur propre tissu. Ainsi, on ne peut pas mettre en doute, dans notre cas , l'existence d'une ossification de cartilages q
culations de la colonne vertébrale, on peut supposer que, dans notre cas , l'inflammation de la colonne vertébrale a amen
s partiellement fusionnées. Comme nous l'avons dit plus haut, notre cas se rapproche par son tableau clinique et par l'
ité et syphilis ; rhumatisme etsyphilis. Nous considérerons notre cas comme appartenant il une forme intermé- diaire
pes extrêmes d'une même maladie. Notons en terminant que dans les cas de Bechterew et de Poussen, comme dans le nôtre
TURIN Section des maladies nerveuses du Professeur D NEGRO SUR UN CAS D'OSTÉO-ARTHROPATHIE TABÉTIQUE DE LA COLONNE VE
ion des maladies nerveuses de la Policlinique générale de Turin, un cas de tabes dorsal où l'on notait deux faits assez
res; deplus dans la littérature médicale sont consignés très peu de cas dans lesquels, à la description clinique, s'ajout
eiida). Masson & Cie, Éditeurs. Phototypie 8erthaud. SUR UN CAS D'OSTeO-ARTIIPOPATIIIE TABÉTIQUE 511 I Pupilles
résultats suivants : 4° Sur la tête et la face, normale. SUR UN cas D'OSTÉO-ARTHROPATHIE TABETIQUE 513 2° Sur le tr
radiographique je parlerai ultérieurement, quand je rappellerai les cas analogues dont j'ai pu trouver des indications bi
ns bibliographiques. Sans chercher à rappeler et à résumer tous les cas d'ostéo-arthropa- thie de la colonne vertébrale
n du Professeur C. Baduel (1) en 1905, on en connaissait vingt-cinq cas à peu près, y compris ceux qui sont rapportés d
Frank (1). Depuis cette époque, on en publia peut être sept ou huit cas . Dans la grande majorité de ces cas, on retrace
n publia peut être sept ou huit cas. Dans la grande majorité de ces cas , on retrace simplement l'histoire clini- que, l
u ma- lade et peut ainsi aidera faire un diagnostic précis dans les cas , qui ne sont pas très rares, où l'interprétatio
ou moins grandes. Il n'est pas inutile que j'indique brièvement des cas cliniques dont on a pu avoir l'autopsie, puisqu
r Pitres et Vail- lard dans la Revue de Médecine (1886) ; le second cas est également décrit t par ces derniers auteurs
cependant par Abadie, car elle manque de données cliniques. Dans le cas de Petit, on trouvailles altérations anatomo-patb
7en lei tabès dorsales. Wien. klin. Wochensch., 1904, n" 34. sur un cas D'OST1 : 0-AB'l'IIROI'1'rEITF TABKTIQUE 51o 5 L
" 34. sur un cas D'OST1 : 0-AB'l'IIROI'1'rEITF TABKTIQUE 51o 5 Le cas de B. Auché, rapporté aussi dans la publication d
e vertébrale, car la lésion n'est jamais limitée, du moins dans les cas connus, à une seule articulation, présentent un e
eaucoup de précision, par Abadie, par l'étude et la comparaison des cas que nous avons cités plus haut. SUR UN cas D'
et la comparaison des cas que nous avons cités plus haut. SUR UN cas D'OSTGO-ARTHROPATHIE tabétique 517 7 Les altéra
mbaire : dans cette dernière région, elles atteignent dans tous les cas décrits, leur maximum d'intensité. Des vertèbres
pique, ou mieux par l'interprétation d'une radiogra- phie, dans les cas où l'on peut admettre que les signes cliniques d'
que j'ai pu recueillir, certain qu'on pourra difficilement avoir un cas plus démonstratif que celui dont je me suis occ
y rapportent. (i) HOFDANBR, Wiener klin., 1902. 518 ROASENDA 1° Cas de Hofbaner (1) [cité par Baduel : à l'examen rad
phénomène de résorption au niveau de la 3e et de la 4e lombaire. 2° Cas de Frank (I. c.) dans lequel, spécialement au niv
des processus de résorption et de néoformation osseuse. 3° et 4° Cas de Baduel (I. c.). Dans tous les deux, l'ombre ra
t noter que la 2e lombaire était sensiblement réduite de volume. 5° Cas de Cornell (A case o/ labetic vertébral osteoarll
étaient plus transparents que normale- ment (ostéoporose). 7° Le cas étudié par moi, dont j'apporte ici l'histoire cli
écialement sur la 2e ,la 3° et la 4° lombaires. A ce niveau, SUR UN cas D'OSTÉO-ARTHROPATH1E tabétique 519 on ne trouve
à cause de cette concomitance, je crois pouvoir exclure, dans notre cas , un pro- cessus névrilique semblable à ceux que
c celles dites progressives. Il me semble donc certain que, dans le cas de notre malade l'atrophie du membre inférieur
x ne nous aurait rien donné comme renseignement, parce que, dans le cas présent, il faut mettre les modifications de ces
hèse d'une atrophie d'origine médullaire pourrait trouver un SUR UN CAS DOSTEO-TnfrmTDPATHIE TABETIQUE 5 1 appui dans l
er qu'elle ne ré- pond pas à la réalité. Il pourrait s'agir dans un cas pareil de resserrement du canal vertébral, dû a
e gravité de la lésion ostéo-articulaire. Ce serait, d'ailleurs, un cas exceptionnel qu'un rétrécissement de la lumière d
ues que je connais. Et alors même que nous serions en présence d'un cas exceptionnel, c'est-à-dire alors même que chez
ne présentait pas le signe de Romberg et n'est pas ataxique. SUR UN cas d'ostéo-arthropathie tabétique 523 Je note à ce
'UNIVERSITÉ DE PISE dirigée par M. le prof. G. B, QUEIROLO SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE par FERRUCCIO RAVENNA. L
publiée et étudiée comparativement avec lesfaits déjà connus. Le cas que je vais rapporter ici me semble mériter quelq
altérer le cadre général de la maladie, rapprochent plus ou moins le cas d'autres formes dystrophiques osseuses. Je pass
Ravenna). Masson & Ci«\ Éditeurs Photatypne Herthaud SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 525 Lui-môme a été un gros
ie du coude. OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET (F. Raveiiiia). SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 527 nière uniforme Son épa
es blancs, 3.600. Rapport 1 : 644. Valeur globulaire : 0,64. SUR UN CAS D'OSTÉITE DEFORMANTE 529 Formule leucocytaire :
et avec une conservation médiocre de la force musculaire. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 531 La démarche est rendue
ocessus morbide et l'élargissement du canal médullaire. Bien que ce cas ne se présente pas comme des plus typiques, il n'
er la courbure caractéristique du tibia droit. Il existe un autre cas récemment décrit parMeier comme maladie de Page
r l'hypertrophie de la malléole externe et des os du pied ; dans le cas de Pescarolo etBortolotti les lésions furent noté
s dans les phalanges des mains et des pieds. 532 RAVENNA Dans mon cas le symptôme douleur manquait complètement ; on sa
ladie de Pagel, la distribution des déformations osseuses a dans ce cas quelque chose de spécial. En effet tant au tibi
pécialement la branche mon- tante du maxillaire supérieur. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 533 L'elephantiasis des me
sur le tibia gauche il existât quelque hyperostose, ce n'est pas le cas de penser à l'hyperostose diffuse qui commence da
l'as- pect de la maladie de Paget, mais qui ne peut servir à notre cas , parce que les déformations commencent après 60
crois avoir suffisamment discuté le diagnostic différentiel de mon cas ; il ne vaut pas la peine d'insister sur d'autres
isées parce qu'on n'en connaît que quelques exemples. Le rappel des cas d'ostéite déformante publiés jusqu'à présent me s
ême rareté de l'ostéite déformante en Italie. Sur une centaine de cas observés jusqu'ici seulement quatre appartien-
omo-pathologique publiés par Meden et Da Fano (Morgagni, 1906) ; un cas inédit de Bozzolo (cité par Ferri dans le Traité
aité des maladies nerveuses de Clillord Albntt, p. 308) et enfin le cas le plus récent S 34 RAVENNA de Pescarolo et B
urs, en dehors des lésions fondamen- tales, on peut dire que chaque cas présente des particularités propres qui ['éloig
s os des articulations des phalanges avec formation dans le premier cas de nodosités d'Heberden. Il y a enfin des cas (
ation dans le premier cas de nodosités d'Heberden. Il y a enfin des cas (Hudelo et Heitz, Nouvelle Iconographie de la Sal
les traces de cals osseux et le jeune âge du malade (30 ans dans le cas de Sternberg) constituent d'impressionnantes an
ogies avec l'ostéoma- lacie. Mais en outre qu'il est le cinquième cas italien, mon cas est intéressant pour deux part
oma- lacie. Mais en outre qu'il est le cinquième cas italien, mon cas est intéressant pour deux particularités : l'un
dance de tout l'organisme aux néoformations perdit pied. Dans mon cas , la mère, une soeur et peut-être la femme du mala
pas la signification des tumeurs; elles ne sont qu'un aspect SUR UN CAS D'OSTÉITE DEFORMANTE 535 irrégulier de l'hypert
ers, Lévi et Londe (1) ont conclu de l'examen radiographi- que d'un cas de M. Paget pour l'association d'un processus d'o
rface et sur l'ample calibre du canal médullaire. Du reste dans mon cas ,la radiographie a contrôlé et confirmé les consta
téressants. Je m'arrêterai davantage sur une recherche qui, dans ce cas , avait une importance considérable. Je veux p
manifestations d'hérédo-syphilis indubitables. Malgré que, dans mon cas , l'anamnèse fût muette, soit pour ce qui concer
, séance 29.5.1903. (3) Ac. de médecine, séance 31.3.1903. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 537 bien qu'exécutée avec
pi, un résultai négatif. Même réaction négative dans un très récent cas de Meier (Geselsch. d. Charité .4erzte in Berli
onnées de Robin (3), delà composition chimique des os. Faute d'un cas avéré de maladie de Paget chez un hérédo-syphilit
dans l'étiologie la syphilis constitutionelle, confirmée dans leurs cas . Je suis bien loin de vouloir nier que la syphi
urs cas. Je suis bien loin de vouloir nier que la syphilis dans ces cas comme dans bien d'autres ait pu jouer un rôle i
un rôle important dans la production du mal, mais je pense que les cas observés sont en trop pelit nombre pour per- me
tisyphilitique a été presque toujours inefficace (sauf dans un seul cas de Jacquet - Revue Neurol., 1906, p. 1130, - avec
e très utiles ren- seignements à ce propos. Or, dans les deux seuls cas où elle a été appliquée, elle a donné un résult
y a t-il quelque autre théorie s'adaptant à un plus grand nombre de cas ? - Pour la transmission héréditaire parfois si
euses, malgré que parfois elles prévalent d'un côté et que, dans le cas de Klippel et Weil elles fussent limitées à dro
laires. Mais il existe un facteur commun à un très grand nombre des cas de la maladie de Paget et qui est invoqué par p
(3) Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1897, p. 115. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 539 rents points de vue. C
parmi les plus fidèles compagnes de la maladie de Paget et dans mon cas aussi je dus admettre des faits d'artérite. D'a
un certain point elle peut nous donner encore la raison d'être des cas où fut noté le facteur héréditaire ou familial.
il existe une énorme : quantité d'artério-scléreux et le nombre de cas d'ostéite déformante est très restreint. On peut
as avec une égale fréquence ; est-ce qu'il y a un rapport entre les cas d'hé- morragie cérébrale et ceux d'angine de po
aussi peut servir comme argument en faveur de ma thèse. · En tout cas , s'il résulte de l'élude générale des cas publiés
ur de ma thèse. · En tout cas, s'il résulte de l'élude générale des cas publiés que les lésions artérielles sont presqu
conditions normales et n'ont qu'une force très diminuée. Dans notre cas XIX avec paralysie complète des muscles abdominau
es muscles abdominaux, on aura les mêmes raisons de conclure que le cas serait le même pour les autres muscles innervés
cles intercostaux. La conséquence, c'est qu'on aurait, dans tous les cas ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 547
. Est-ce que l'expérience confirme cette idée ? Si je considère nos cas observés à la phase aiguë, les seuls qui aient
ons pas observé de troubles respiratoires. Il est vrai que, dans le cas XVII, il n'y avait qu'une parésie légère de l'u
bres supérieurs, qui a d'ailleurs disparu en peu de temps . Dans le cas XVIII, il s'agit d'une enfant âgée de deux ans et
es problèmes est assez difficile sur un sujet lie cet âge. Dans les cas XI, XVI et XXV, il a été constaté que les malades
s peu graves de la respiration ont disparu en peu de temps. Dans le cas XIX, nous avons constaté une respiration très fré
uestion, que nous som- mes ainsi obligés de laisser pendante. Les cas de poliomyélite aiguë où la mort survient pendant
er les troubles de la respiration. Je donne ici l'hisloire de trois cas de ce genre, que j'ai observés. - OBSERVATION
, entre 2 et 3 3 heures de l'après-midi. Les histoires de ces trois cas nous donnent des exemples de types diffé- rents
xemples de types diffé- rents des paralysies respiratoires. Dans le cas XXXI, nous avons le pur type d'une paralysie du
intéressant de remarquer que la paralysie n'avait atteint, dans ce cas , que l'un des membres supérieurs et pas les membr
ragme dans la poliomyélite semble être rare. Wickman en publie deux cas (dans tous deux, la paralysie avait com- mencé
ncé par les membres inférieurs), mais il ne semble pas connaître de cas publiés par d'autres auteurs. Cependant Gowers re
sed ». Récemment j'ai eu l'occasion d'observer pendant longtemps un cas avec paralysie absolument complète de la respir
N ET EHRENBERG n'appuie pas cette conclusion, au moins pas dans les cas où la paralysie atteint en même temps les muscl
ttirer l'attention sur une observation que nous avons faite dans le cas XXVI publié ci-dessus. Comme il s'agit d'une para
en résultent ne semblent pas avoir une importance réelle ; en tout cas , c'est une forme de troubles respiratoires qui
, exception faite pour les inspirateurs auxiliaires du cou. Dans le cas XXXII, il y avait d'abord une paralysie de la res
lus tard une paralysie de l'un des membres supérieurs également, ce cas nous fournit un exemple du vrai type d'une para
urnit un exemple du vrai type d'une paralysie ascendante. Dans le cas XXXIII, j'ai observé également une paralysie, tan
sont pas restés libres et comme le bulbe a été également atteint, ce cas nous est un exemple d'une paralysie se répandan
dante, soit descendante. Cependant, il ne donne pas d'exemple d'un cas de cette espèce avec paralysie descendante. D
mple d'un cas de cette espèce avec paralysie descendante. Dans le cas XXXIII, j'ai vu ce qui est tout à fait en accord
i a été continuée pendant 27 heures. Mes observations dans ces deux cas me font considérer comme probable que, pour une m
sque j'ai écrit ces lignes, je trouve que Leegaard, qui a rapporté 84 cas mortels pendant la grande épidémie norvégienne,
e sans qu'aucuns troubles de la conscience soient apparus. Dans des cas semblables, si l'on prolonge la vie par la resp
s conditions sur ce point peuvent changer. Dans les deux derniers cas (XXXII, XXXIII), il a existé en outre des sympt
XII, XXXIII), il a existé en outre des symptômes bulbaires. Dans le cas XXXII, il y avait une dysphagie et dans le cas
s bulbaires. Dans le cas XXXII, il y avait une dysphagie et dans le cas XXXIII j'ai observé une paralysie complète de la
plus. Quoiqu'il y eût des parésies bulbaires dans ces deux derniers cas de poliomyélite, je ne crois pas, néanmoins, qu
ire de la respiralion est un centre de coordination. Mais, dans ces cas , les muscles de l'inspiration qui étaient conse
s physiologistes, mais on n'a pas encore nettement constaté, dans des cas de maladies bulbaires, s'il peut exister des sy
tout à fait spéciale de trouble respiratoire qu'on peut voir dans des cas de tumeur du cerveau (ou d'autres maladies ayan
fonction bulbaire. Il y a déjà quelques années que j'ai observé des cas de cette nature où le trouble respiratoire s'es
is (80). 1° La première fois que je l'ai rencontré, c'était dans un cas de gliome du cervelet chez un enfant observé d'
ur Lennauder, a pratiqué la première partie de l'opération. Dans ce cas , la respiration s'est arrêtée pendant la nuit qui
la clinique j'ai abservé presque la même chose dans quelques autres cas que je veux brièvement citer ici. ÉTUDES CLIN
e est apparue et la respiration artificielle a été commencée. Dans ce cas , le fonctionnement du coeur a continué d'être a
un aplatissement marqué de la moitié correspondante du cervelet. Le cas est cité ci-dessus dans le tableau résumant nos
nt nos recherches sur le liquide céphalo-rachidiell (1). 4° Dans un cas (avec gros tubercule dans uue moitié du cervelet
at de l'enfant avait été depuis quelque temps déses- péré). Dans ce cas , le coeur a continué de fonctionner de façon norm
emble ne pas masquer d'intérêt pour cette question. C'est encore un cas de tumeur du cervelet observé d'abord à la clin
une tumeur solide du cervelet, comme l'autopsie l'a montré. Dans ce cas , la fréquence de la respiration était tombée ju
pération entière avec l'incision du kyste a été faite en une (1) Le cas va être publié avec détail après examen histologi
déclarer un arrêt plus .ou moins soudain de la respiration dans les cas de tumeur du cerveau et surtout du cervelet ou de
espiratoire du bulbe. Ce qui est surtout caractéris- tique pour ces cas , c'est que l'action du coeur continue d'une façon
ment la mettre en lumière en prolongeant la vie dans les 4 premiers cas (1-4) par la res- piration artificielle pendant
l'ai déjà dit, il faut rapporter l'arrêt de la respiration dans ces cas à une paralysie du centre respiratoire dans le bu
es cas à une paralysie du centre respiratoire dans le bulbe. Dans les cas observés par moi et cités ci-dessus, il n'est p
t pas difficile de trouver la cause de cette paralysie : dans trois cas , il y avait une tumeur du cervelet, dans un cas
alysie : dans trois cas, il y avait une tumeur du cervelet, dans un cas une hypertrophie unilatérale du cerveau qui avait
spiratoire est facile à comprendre. C'est seulement dans le dernier cas qu'il n'y a pas de notes sur un semblable aplatis
chs, Oppenheim), ou qu'ils ne le sont jamais. Medin a rapporte deux cas avec paralysie de la vessie, qui disparu en peu
expérience m'a fait observer moi-même une rétention d'urine dans 5 cas et, pour deux autres cas, j'ai appris que ce symp
rver moi-même une rétention d'urine dans 5 cas et, pour deux autres cas , j'ai appris que ce symptôme avait existé aupar
as, j'ai appris que ce symptôme avait existé auparavant. Dans les 6 cas (c'est-à-dire dans tous les cas, à l'excep- tio
avait existé auparavant. Dans les 6 cas (c'est-à-dire dans tous les cas , à l'excep- tion du cas XVII) il est nettement
Dans les 6 cas (c'est-à-dire dans tous les cas, à l'excep- tion du cas XVII) il est nettement indiqué que l'on a été obl
pas été aussi passagers qu'on semble le croire en général (dans les cas XI et XXIII la cathétérisation a été continuée
II la cathétérisation a été continuée pendant une semaine ; dans le cas XXV, un peu moins longtemps ; dans le cas XIX,4
ant une semaine ; dans le cas XXV, un peu moins longtemps ; dans le cas XIX,4 jours).Dans les autres cas (XXXII, XXXIII
, un peu moins longtemps ; dans le cas XIX,4 jours).Dans les autres cas (XXXII, XXXIII), il s'agit de malades morts le
le second jour après l'entrée à la cli- nique ; par conséquent, ces cas ne peuvent fournir aucun renseignement sur la q
nstaté si souvent des troubles mo- teurs de la vessie puisque les 7 cas qui ont montré ce symptôme consti- tuent 24 0/0
ent 24 0/0 de mes observations ; mais, si nous ne regardons que les cas observés à la clinique et pendant la phase aiguë
ndant la phase aiguë de la maladie, ce symptôme a été trouvé dans 5 cas sur 15, c'est-à-dire dans une propor- tion de 3
st sur- tout Wickman qui a insisté sur la très grande fréquence des cas de mort par la poliomyélite et pendant la phase
et pendant la phase aiguë de la maladie. D'après lui, il y a eu 159 cas avec issue fatale dans l'épidémie suédoise de 190
Cela donne une mortalité de ! 2, 2 0/0, si l'on considère tous les cas de polio- myélite qui sont venus à la connaissa
nnaissance de Wickman, mais de 16, 7 0 0 si l'on ne regarde que les cas où une paralysie s'est déclarée. Mais si l'on p
s où une paralysie s'est déclarée. Mais si l'on prend seulement les cas concernant des individus âgés de 12 à 32 ans en
eegaard, qui a traité de la grande épidémie norvégienne, indique 84 cas où la maladie a amené la mort, ce qui donne une
ce qui donne une mortalité de 8, 8 0/0 ; mais si l'on éli- mine les cas abortifs, la mortalité devient 14, 6 0/0. Le fa
observations il faut exclure, pour juger de la mortalité, tous les cas non observés à la clinique ; car dans ces cas, il
a mortalité, tous les cas non observés à la clinique ; car dans ces cas , il s'agissait d'indivi- dus vus en consultatio
s après le début de la maladie, et, par conséquent, il n'y a pas de cas mortels parmi ceux-là : Sur les 15 cas observés
conséquent, il n'y a pas de cas mortels parmi ceux-là : Sur les 15 cas observés à la clinique, il y a 3 morts, c'est-à-d
ne poliomyélite aiguë. Il me semble plus exact de ne pas exclure ce cas , ce qui donnerait alors une mor- talité de 25 0
ité de 25 0/0 (En outre, il est incertain s'il faut ou non exclure le cas ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË z)
pendant la phase aiguë étaient âgés de 15, 20 et 36 ans. Sur les 15 cas observés à la clinique, 8 ont plus de ')4 ans ;
vés à la clinique, 8 ont plus de ')4 ans ; en conséquence, pour ces cas la mortalité est de 37, 5 0/0. Comme on le voit
d) qu'il peut se présenter pendant des épidémies un grand nombre de cas avec symptômes méningitiques et autres symptômes
dans une clinique et n'a pu suivre le développement postérieur des cas qu'il a étudiés. 560 PETREN ET EHRRNBERG Parm
érieur des cas qu'il a étudiés. 560 PETREN ET EHRRNBERG Parmi mes cas , il y en a un certain nombre où l'amélioration a
considérable », je ne pense pas au fait observé dans la plupart des cas de poliomyélite qu'au début la paralysie est plus
ais je parle ici d' « une amélioration très considérable » pour les cas où la paralysie ou parésie des muscles les plus a
nouveau une force assez grande, sans être toutefois normale. Comme cas de cette espèce, je compte trois cas où l'obser
être toutefois normale. Comme cas de cette espèce, je compte trois cas où l'observation de la maladie s'étend (dans le c
je compte trois cas où l'observation de la maladie s'étend (dans le cas II) à 3 mois après le début (dans le cas V) à 4
a maladie s'étend (dans le cas II) à 3 mois après le début (dans le cas V) à 4 mois et (dans le cas VIII) à deux ans. D
as II) à 3 mois après le début (dans le cas V) à 4 mois et (dans le cas VIII) à deux ans. Dans ces cas, l'amélioration
(dans le cas V) à 4 mois et (dans le cas VIII) à deux ans. Dans ces cas , l'amélioration a continué pendant toute la durée
tion a continué pendant toute la durée de l'observation. Sauf ces cas , y en a quatre autres où la restauration a été co
symptômes bien nets et certains. En outre, j'ai observé encore deux cas où il persiste des troubles moteurs des muscles
restauration des mucles des membres semble être complète. Voici ces cas : Observation VI, enfant âgée de deux ans, d'ab
s du dos, parésie qui semble également disparaître. Dans tous ces cas , j'ai observé moi-même où les malades m'ont indi-
Si nous suivons la marche de la convalescence aussi dans les autres cas où la restauration n'a pas atteint le même degré,
une parésie de l'autre (obs. XII). (Ici je pourrais citer aussi le cas XIII, où il y avait une paralysie complète des
soit pas encore complète ; car, d'après mon opinion, on a, dans ce cas , de bonnes raisons encore pour espérer une rest
raisons encore pour espérer une restauration complète. De même, le cas X doit être rap- porté ici, parce qu'il y a eu
e se pro- noncer définitivement et qu'on peut espérer dans quelques cas , même après une ou deux années, nne guérison co
iption des détails de la méthode que j'ai employée. En traitant des cas de poliomyélite, j'ai suivi la méthode qui y est
mouvements dans des bains d'eau. Quand on observe attentivement des cas de poliomyélite pendant la convalescence, on trou
iomyélite (ou pa- ralysie spinale) aiguë de l'adulte, même dans les cas où les auteurs, comme Pierre Marie (62) (1892),
de l'opinion antérieure sur ce point. Wickman rapporte que sur 868 cas réunis par lui, il y en a 199 âgés de plus de 1
N ET EHRENBERG ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 565 les cas sporadiques et les cas épidémiques s'expliquent t
CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 565 les cas sporadiques et les cas épidémiques s'expliquent tout simplement par le
es cas épidémiques s'expliquent tout simplement par le fait que les cas sporadiques de poliomyélite aiguë sont facilement
les considérés comme dus à la méningite ne sont autre chose que des cas de paralysie infantile méconnus et dont les lésio
aiguë et surtout aux symptômes du début, l'on ne retrouve dans les cas sporadiques tous les types de la maladie qu'on a
ous ont montré que les altérations de l'échange matériel dans notre cas de gigantisme sont en grande partie analogues à
e en présence de l'acide est moins élevée et vice-versa. Dans notre cas , le fait d'avoir trouvé ce rapport élevé indique
es éthers sulfuriques ? Leur forte augmenta- tion, comme dans notre cas , indique une augmentation dans l'intensité des
ous voulons parler de l'acromégalie. Il ne faut pas voir dans notre cas le résultat d'une introduction abondante, puisq
ement compte, et nous serions enclins à admettre qu'il y a, dans le cas qui nous occupe, des altérations pancréatiques d'
diographique,nous autorisent en quelque sorte à supposer dans notre cas l'existence d'un processus de déminéralisation.
faits si importants en général le sont bien plus en rapport à notre cas , car dans les affections qui nous intéressent, on
ment des altérations des tissus mous, mais des os aussi, et dans des cas dans lesquels il y avait une lésion indiscutabl
le sang; nous sommes en conséquence autorisés à admettre dans notre cas aussi une même origine du phénomène en question
supérieur à la normale, de telle façon qu'on peut parler dans notre cas d'un léger degré de lipémie ; ce fait n'é- tant
nous avons démontré que ce fait était très évident aussi dans notre cas ; ce n'est donc pas surprenant que dans le sang
tique sur l'échange matériel dans le gigantisme fait défaut et notre cas est le seul qui peut combler cetle lacune. No
uvelle preuve, car il lui a été possible de constater dans certains cas des faits très mani- festes d'atrophie osseuse
iés à des faits non moins évidents d'hypertro- phie ; dans quelques cas les faits d'atrophie dominaient le cadre aussi bi
L'un de nous (Franchini) qui a eu la chance d'étudier des nombreux cas d'acromégalie à des périodes variables du dével
er cependant que nos conclusions se basent sur l'étude de plusieurs cas d'acromégalie et au contraire d'un seul cas de
ur l'étude de plusieurs cas d'acromégalie et au contraire d'un seul cas de gigantisme dans lequel d'ailleurs nous avons
nt ; forte rétention de ces deux subs- tances. Dans la moitié des cas étudiés on eut des altérations dans les différe
la maladie et inversion de la formule des phosphates dans quelques cas . Aucuue altération dans le rapport entre le s
uent pas d'altération des processus ossidatifs. Dans un tiers des cas forte augmen- tation des éthers sulfuriques, et
augmen- tation des éthers sulfuriques, et pres- que dans tous les cas augmentation notable de l'indican, du scatol et
remar- quables. Rétention du magnésium constante dans tous les cas . Gigantisme. Mêmes résultats. Mêmes altérat
cléaires ; éosinophilie et basophile, cléaires ; dans un tiers des cas , consi- dérable éosinophilie. 580 ETTORE LEVI
ns l'acromégalie, quoique ce fait soit évident dans la majorité des cas ; nous devons relever aussi que aussi bien dans l
vons relever aussi que aussi bien dans l'acromégalie que dans notre cas de gigantisme on a presque toujours des faits évi
ur de nombreuses maladies hépatiques (foie dispeptique) et dans des cas de diabète. Nous n'hésitons pas à admettre que
s des cas de diabète. Nous n'hésitons pas à admettre que dans notre cas de gigantisme le foie soit altéré (quoique la g
conclusions que nous pouvons [tirer de l'élude systé- matique de ce cas si intéressant de gigantisme ? Avant tout, il n
me ? Avant tout, il nous semble légitime de supposer que dans notre cas l'influence pathogénique de la syphilis hérédit
à la syphilis, mais il nous semble juste de supposer que dans notre cas au moins la syphilis paternelle ait eu une infl
èrement fait rechercher par la méthode de Wassermann dans plusieurs cas d'infantilisme du type Lorain, l'influence de l
es résultats positifs de la réaction de Wassermann dans deux autres cas d'infantilisme (dont la publication va suivre bie
ique était négative pour la syphilis héréditaire ; l'un de ces deux cas était lié à une grave cardiopathie probablement c
du sujet. Les déterminations par la méthod3 de Wassermann dans ces cas de Levi ont été faites par M. Pisani. 582 ETTOR
s celte affec- tion, permettra dorénavant de rechercher dans chaque cas de gigantisme l'existence éventuelle de cet élé
acquise, exclusion qui ne sera pas toujours facile comme dans notre cas . Dans notre cas, l'hypothèse de la syphilis hér
qui ne sera pas toujours facile comme dans notre cas. Dans notre cas , l'hypothèse de la syphilis héréditaire est confi
t de développement, mais ceux que nous venons de décrire dans notre cas n'avaient jamais été remarqués jusqu'ici et prése
ons pas qu'en faveur de la théo- rie hypophysaire parlent aussi les cas déjà assez nombreux de cette affec- tion où l'h
r le fait qu'on a observé (Pétren, Gagnetto, Messedaglia, etc.) des cas d'acromégalie sans lésion hypophysaire et vice
.) des cas d'acromégalie sans lésion hypophysaire et vice versa des cas de lésion hypophysaire sans symptômes acromégal
s acromégaliques ne sont pas constantes et ont été même en quelques cas contradictoires; Messedaglia, qui cependant est
unois et Roy nous semble aujourd'hui solidement démontrée, et notre cas en four- nit une nouvelle preuve éclatante. C
études sur l'acromégalie. Nous avons les premiers, fait dans notre cas de gigantisme une étude complète de l'échange m
blication de la monographie de MM. Launois et Roy. BALLET. Sur un cas d'association de gigantisme et de goitre exophtal
ETTORE. - Contribution à l'étude de l'infantilisme du type Lorain (Un cas avec probable tumeur hypophysaire). Nouv. Icono
gr. de la Salpêtrière, 1906, n° 1. PARHON et Z.1LPL9CTA. - Sur un cas de gigantisme précoce avec polysarcie excessive.
on d'esprit ou une tendance particulières ; il dénote dans tous les cas un état mental spécial. S'il est vrai que cer
ment les étoiles et leur donne leur signification. Dans beaucoup de cas , elles représentent aussi un signe de reconnaissa
nce. Un mousquetaire occupe également la région scapulaire. Dans le cas présent, il s'agit d'un pédéraste passif. Obser
s bulbaires du plus grand nombre des fibres cérébello-olivaires. Le cas que nous rapportons est analogue aux observations
de ses noyaux d'origine, les corps dentelés, qu'on observe dans les cas de MM. Dejerine et Thomas, nous constatons une
t la décussation du faisceau pyra- midal devait être totale dans le cas qui nous occupe. L'atrophie olivo-rubro-cérébel
une division : beaucoup sont des trouvailles d'autopsie. C'était le cas de notre atrophie olivo-rubro-cérébelleuse. Nou
marquée des cellules et des fibres cérébel- leuses, comme dans les cas de Nonne et de Miura ou encore en une dimi- nut
rébelleuse, comme l'ont mon- tré Klippel et Lhermitte dans certains cas de démence précoce, Claude et Rose dans une psy
trophies primitives : I. Congénitales. a) Symétriques ou totales. Cas de Nonne, Miura. Démence précoce b) Asymétriq
es. II. Acquises. - a) Asymétriques. 1° Parenchymateuses pures. Cas de Murri, I. Rossi. Atrophie lamellaire de Thom
et nécrobiotiques avec sclérose secondaire. (Paralysie générale). Cas de H. Bond, etc. b) Symétriques. Atrophie oli
trophie olivo-cérébelleuse. Atrophie olivo-rubro-cérébelleuse. UN CAS DE GLIOME BULBO-PROTUBÉRANTIEL, PAR fi. P. DU
re névroglique sont loin d'être rares, surtout chez les enfants. Le cas actuel que nous avons eu l'occasion de suivre pas
e l'année 1906, la marche déjà difficile, par suit" des déforma- UN CAS DE GLIOME BULBO-PRbTUBÉRANT1EL 621 lions rachit
ogiques que nous pûmes faire, pour terminer par uu résumé rapide du cas et quelques considérations générales sur les tu
otubérantiel étaient nettement indiqués. Le bulbe et la protubé- UN CAS DE GLIOME BULBO-PROTUBÉRANTIEL 623 rance n'ét
r sur la part qu'il faut attribuer dans la symptomatologie de notre cas , à l'existence de ce petit nodule comprimant la p
umeur, sous le plancher du 4° ventricule, (1) Pièces provenant d'un cas de foyers de ramollissements multiples des pédon-
s, du pont et du bulbe. Fio. 2. - Gliome bulbo-protubérantiel. UN CAS DE GLIOME BULBO-PROTUBÉRANTIEL 625 du côté gauc
ie, on n'en est-il qu'une des manifestations ? C'est ce que ce seul cas ne saurait élucider. Des recherches spécialesor
s nécropsiques des différentes étapes de l'évolution clinique de ce cas . Il paraît certain que le début du processus gl
bien à droite qu'à gauche. Aussi la prédominance des phénomènes UN CAS DE GLIOME BULBO-PROTURÉRANTIEL 627 spastiques à
olution des tumeurs bulbaires et particulièrement desgliomes. Notre cas démontre une fois de plus l'absence de ces sign
aussi sen- sible et aussi important que le bulbe rachidien. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE, PAR
GOLDSTEIN. (de Bucarest) Nous avons eu l'occasion d'observer deux cas d'hydrocéphalie chez des individus jeunes chez
, celui d'être accompagnée de troubles dystrophiques. Dans les deux cas , ces der- niers intéressaient spécialement le t
rcourir que de petites distances à pied, autrement il se fati- DEUX CAS 1)'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 6\ : I
ure plus tard, la flaccidité est remplacée par la contracture. DEUX CAS D'HYDROC ? I'HALI8 AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 611 1
mais il en a au pubis. Incontinence d'urine et des matières. DEUX CAS D·HYDROCÉPHaLIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 633 20
nous avons trouvé : Dans le cerveau, comme dans presque tous les cas d'hydrocéphalie, et mal- gré l'énorme compressi
s, quelquefois elles ont un volume considérable, et dans ce dernier cas on peut voir des granulations. Certains acini n
on observe qu'il est acidophile. Nous avons donc trouvé que dans ce cas l'hypophyse est constituée essentiel- lement pa
isseaux dilatés. On ne voit plus la dis- position en acines. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 635 pé
nombre de petits follicule dont quelques-uns sans cavité. ' DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 637 ta
être prise à cause de l'état mental de la malade. Fic, 4. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 639 Le
s il n'existe pas de dégénérescence du faisceau pyramidal. Dans les cas d'hydrocéphalie accompagnés de troubles dystrophi
on doit se demander de quelle cause relèvent ces derniers ? Dans les cas où existent des modifications importantes dans
a possibilité d'une pathogénie glandulaire. En effet, dans nos deux cas beaucoup de glandes endocrines présentaient des
trou- bles, que nous venons de décrire, nous rappellerons quelques cas de dys- trophies semblables à nos observations,
es les connaissances plus précises sur le rôle de ces glandes. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 641 En
les faits qui nous frappent tout d'abord en examinant notre premier cas sont : l'arrêt du développement des organes gén
antile fé- minin, et le développement exagéré du tissu adipeux. Des cas semblables ont déjà été publiés, et maintenant
er le siège d'une tumeur cérébrale. Ainsi Pechkranz (1) a publié le cas d'un jeune homme, âgé de 19 ans, et qui présent
'hypophyse. Von Eiselsberg et von Frankl-Hochwart (2) ont publié le cas d'un jeune homme âgé de 20 ans, atteint d'une t
isches Centralblatt, 1907, n° 21. 642 - MARINESCO ET GOLDSTEIN Le cas de Madelung peut être considéré comme une véritab
sion qui a suivi cette communication Stolper rappelle qu'il a vu un cas de lésion delà glande pituitaire à la suite d'une
à la suite d'une chute grave sur l'arrière-partie du crâne. Dans ce cas il s'est produit également une adipose générali
hyse et un simple trouble sécrétoire. On peut rapprocher près de ce cas l'observation de Babinski (2) com- muniquée à l
ophyse. L'un de nous a publié, en collaboration avec Parhon (3), le cas d'une jeune fille âgée de 19 ans qui ressemblai
dernière, ainsi que l'exa- men microscopique nous l'a montré. Ces cas cliniques, assez démonstratifs, viennent d'être c
t opératoire obtenu récemment par les chirurgiens viennois dans des cas analogues. Von Eiselsberg (4) a exposé tout récem
vue Neurologique, 1900, p. 531. (3) C. PARHON et M. (;09.DSTEI ? Un cas de tumeur de l'hypophyse sans acromégalie, Trou
pathologique. Journal de neurologie 1908. (4) VoN Eiselsberg, Deux cas nouveaux de tumeur de l'hypophllse opérés. Sociét
Vienne, in Munchener Med. Wochenschr., n" 10 de 1909, p, 540. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 64 J S
GÉNÉRALISÉE 64 J Société des médecins de Vienne les résultats de 5 cas opérés, pour des tu- meurs de l'hypophyse dont
tu- meurs de l'hypophyse dont 4 ont guéri et un est mort. Un de ces cas se rapporte justement à une malade ressemblant
seux, Parhon et Zalplachta (·1), dans un intéressant travail sur un cas de gigantisme précoce avec polysarcie excessive
bésité hypophysaire et, prenant en considération l'hérédité de leur cas , ces auteurs émettent même l'hypothèse d'une ta
ême l'hypothèse d'une tare hypophysaire. Mais presque dans tous les cas de tumeur de l'hypophyse publiés on a encore no
s de l'insuffisance des glandes génitales. Il nous semble que notre cas peut précisément apporter quelque lu- mière sur
le du testicule. Vigou- roux et Delmas ont trouvé à l'autopsie d'un cas d'infantilisme vrai, type thyroïdien, le corps
strophie. Mais si l'insuf- , (1) C. Pahhon et P. ZALPLACHTA, Sur un cas de gigantisme précoce avec polysarcie excessive
croissance exagérée des os en longueur. Donc, si dans notre premier cas l'aspect infantile et le développement excessif
euses et plus probantes. C'est ainsi que nous pouvons mentionner le cas de Babinski que nous venons de citer, et à l'au
iscussion qui a suivi la communication faite par Jolasse (), sur un cas de tumeur de l'hypophyse, Franke et Saenger recon
de après une année de maladie. A cette occasion Nonne rappelle le cas d'un homme de 46 ans, d'aspect bien viril et qu
9 avril 1907, in Munchen. med. Wochenchr., n 27, 1907, p.1346. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 645 le
les poils du pubis et des aisselles se raréfient. Parmi les trois cas de tumeur de l'hypophyse publiés par Yntaka- Ko
on (1), il y avait un infantile de 37 ans, avec hypoplasie. Dans le cas que l'un de nous a publié avec Parhon, nous avons
l d'un ovaire est, d'après Sappey, de six à huit grammes. De tels cas ont eu pour conséquence d'attirer l'attention deF
ophysaire important. Ce dernier auteur rappelle à cette occasion un cas antérieur de von Eiselsberg et l'observation de l
soutient qu'en opposition avec l'influence de l'hypophyse, dans les cas de tumeurs de l'épiphyse, il se produit une exa
oppement des organes sexuels et du système pileux. Il communique un cas , suivi d'autopsie, où pour la première fois il
(3) a communiqué au Congrès de Baden-Baden (23 24 mai 1903) quatre cas d'atrophie du nerf optique consécutives aux tum
secondaire à une tumeur de la fosse crânienne postérieure. Dans ce cas l'auteur a constaté, hors les symptômes habituels
la compression de l'hypophyse les troubles géni- taux, cardans deux cas de tumeurs cérébrales, chez lesquels la glande pi
on et GOLDSTEIN, Les sécretions internes, Paris, 1909, p. 699. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 647 de
dant cette prédominance est loin d'être constante, et dans certains cas nous avons trouvé les cellules chromophobes for
les hypophyses plus grandes et plus lourdes que normalement dans 8 cas de castration chez les femmes. Il faut encore t
andes endocrines. En effet, comme nous venons de le voir dans notre cas , toutes les glandes étaient plus ou moins altérée
ur le développement du tissu graisseux, la présence, dans un de nos cas , d'une riche infiltration (1) YNTAIC.1 110N, 10
que les tumeurs n'intéressaient pas directement la glande dans les cas de modifications dystrophiques à la suite des tro
du troisième ventricule, peuvent produire ces dystrophies. Nos deux cas appartiennent à ce dernier groupe. Il nous semble
s autres glandes à sécrétion interne. ' Nous conclurons de nos deux cas , ainsi que des faits que nous venons d'exposer,
iminution de la sécrétion hypophysaire. Marburg (1), en publiant le cas d'une fillette de 9 ans, qui souffrait d'une tu
hèse nouvelle, à savoir que l'adi- pose qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales, ne dépen- drait pas delà
tt' ? : <Mmot'6M. Wiener med. Wochenschrift, n^ 52, 1902. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 649 no
AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 649 nous avons pratiquées dans le premier cas , et 20 sur le résultat d'un traitement thyroïdi
in temps. Comme on l'a vu dans l'observation détaillée du premier cas , nous lui avons fait toute une série de ponctio
ultats contraires, même fatals, après les ponctions faites dans des cas de tumeurs cérébrales. En effet Lapersonne et;
umeurs cérébrales. En effet Lapersonne et; Cerise ont communiqué un cas suivi de mort après 60 heures à la suite d'une
de mort après 60 heures à la suite d'une ponction lombaire dans un cas de tumeur de lobe frontal. Oppenheim a égalemen
tement encore après des ponctions lombaires pratiquées dans de tels cas . L'un de nous (M. Marinesco) a vu, dans un cas
tiquées dans de tels cas. L'un de nous (M. Marinesco) a vu, dans un cas de tumeur cérébrale, sur- venir la mort 30 heur
r la mort 30 heures après une ponction lombaire. Dans notre premier cas nous avons essayé un traitement thyroïdien, att
avons essayé un traitement thyroïdien, attendu qu'on-a publié des, cas où une pareille médication a eu comme e résulta
édication a eu comme e résultat la descente des testicules dans les cas de chryptochidie et la dispa- rition des troubl
la descente des testicules et l'apparition de la puberté dans deux cas d'infantilisme avec cryptorchidie chez des garçon
de 15 et 28 ans ; Parhon et Mihailesco (2) ont également publié un cas d'infan- tilisme, dysthyroïdien et dysorchitiqu
lement en faveur de notre manière de voir, c'est-à-dire que dans ce cas la glande,qui a joué le principal rôle dans la
eurologique, 1901, n" 18, p. 901. (2) PARHON et If71AILESCO, Sur un cas d'infantilisme dysthyroidien et dysorchitique.
génie des atrophies musculaires tardives, je rapporte l'histoire d'un cas clinique qui, pour certaines particularités, mé
nt obligé de marcher lentement et en longeant les murs, car dans ce cas il lui est plus aisé de se relever lorsqu'il tomb
la marche plutôt lente, les secous- ses fibrillaires. Dans notre cas il ne peut pas s'agir d'une poliomyélite chroniqu
éveilla l'atten- tion des membres de la Société de biologie sur un cas étudié par lui. On eut ensuite les cas de Carri
a Société de biologie sur un cas étudié par lui. On eut ensuite les cas de Carrieu, Hayem, Quinquaud, Coudoin, Seeligmüll
douzy et Dejerine,Ballet et Dutil. Il existe encore quelques autres cas plus récents, qui i n'ajoutent rien d'in téressa
econdaire est très varié, ordinairement de 10 à 20 ans ; dans notre cas il a été en- viron d'une quinzaine d'années, ca
ulaire généralisée, ordinairement du type Aran Duchenne. Dans notre cas l'atrophie successive des différents grou- pes
tercostaux ne sont pas atteints. La marche de la maladie dans notre cas a été chronique,progressive,comme dans l'atroph
sive,comme dans l'atrophie du type Aran Duchenne. Il y a encore des cas à marche rapide récidivante comme ceux décrits
crits par Landouzy et Dejerine, par Rossi et par Crouzon ; dans ces cas -ci on peut avoir une guérison com- plète avec r
par les auteurs fran- çais comme des poussées congestives. Dans le cas de Crouzon on eut neuf attaques en 18 ans. Le P
f attaques en 18 ans. Le Professeur Mingazzini aussi m'a raconté un cas semblable qui s'est présenté à lui dans sa clie
n ne peut nier qu'il y a des formes de passage comme par exemple le cas décrit par Langer. En tout cas la parenté entre l
rmes de passage comme par exemple le cas décrit par Langer. En tout cas la parenté entre les formes de poliomyélite et
nsécutives aux paralysies spinales infantiles. En effet, dans notre cas et dans les cas analogues, nous avons une atrophi
aralysies spinales infantiles. En effet, dans notre cas et dans les cas analogues, nous avons une atrophie musculaire du
dividus frappés par une paralysie cérébrale infantile comme dans le cas décrit par Bisping ; cela ne surprend guère si on
moelle, mais de tout l'axe cérébro- spinal, comme fait supposer le cas de Bisping, doit probablement contri- buer à l'
mes peuvent déterminer le processus morbide. Précisément dans notre cas , à un état de faiblesse déterminé probablement
orté des raisons définitives de croire qu'il y a un grand nombre de cas de poliomyélite aiguë nettement caractérisée à
pidémies de Stockholm étudiées par lui (1887 et 1895), en tout quatre cas qu'il regarde comme des cas de poliencéphalite.
par lui (1887 et 1895), en tout quatre cas qu'il regarde comme des cas de poliencéphalite. Je suis tout à fait d'accord
ristiques pour une poliencéphalite aiguë, mais d'un autre côlé, ces cas n'ont montré aucun signe d'une poliomyélite.
des hôpitaux, un très grand nombre d'enfants malades) une année un cas de poliencéphalite et l'autre année trois cas d
malades) une année un cas de poliencéphalite et l'autre année trois cas de cette maladie qu'on ne peut en général regarde
t ses études sur la grande épidémie suédoise de poliomyélite, aucun cas où se soit déclarée une hémiplégie spastique. E
se soit déclarée une hémiplégie spastique. En rassemblant tous les cas de la grande épi- démie norvégienne, Leegaard n
s de la grande épi- démie norvégienne, Leegaard n'a trouvé que deux cas , indiqués comme poliencéphalite, mais l'auteur
grandes épidémies des derniers temps ne nous indiquent pas que des cas de poliencéphalite aient apparu en nombre notab
des cas de poliencéphalite aient apparu en nombre notable parmi les cas de poliomyélite typique. A ce propos, j'ajouter
POLIOMYELITE AIGUË 663 part, celles qu'on constate en examinant des cas d'hémiplégie cérébrale infantile, qu'est-ce que
omparaison nous démontre ? Il est bien connu qu'on trouve, dans les cas de la dernière espèce, des lésions anatomiques
spèce, des lésions anatomiques très différentes dans les différents cas , ramollisse- ments, porencéphalie, scléroses ou
uses. Mais il y a un ca- ractère qui semble commun à la plupart des cas ou à tous les cas, c'est que ces lésions cérébr
un ca- ractère qui semble commun à la plupart des cas ou à tous les cas , c'est que ces lésions cérébrales s'étendent à
érations n'étaient visibles qu'au microscope. Cadwalader a, dans un cas , constaté aux circonvolu- tions cérébrales seul
eulement une petite infiltration cellulaire de la pie-mère. Dans un cas , Redlich a trouvé une dilatation de quelques vais
struction) de la substance du cerveau. En outre, ils décrivent deux cas de poliencéphalite apparus pendant l'épidémie d
que; toutefois les auteurs ont admis une poliomyélite dans l'un des cas parce qu'il y avait au 28 segment cervical quelqu
ultats obtenus à l'examen des circonvolu- tions cérébrales dans les cas ordinaires de poliomyélite et dans les cas d'hé
tions cérébrales dans les cas ordinaires de poliomyélite et dans les cas d'hémiplégie cérébrale infantile nous montre co
yélite et les lésions constatées dans 664 PETRÉN ET EHRENBERG des cas anciens d'hémiplégie infantile spastique qui sont
propos il importe d'observer qu'Harbitz et Scheel, en examinant des cas où plusieurs mois s'étaient déjà écoulés depuis
s des cir- convolutions cérébrales trouvées plusieurs fois dans des cas de poliomyélite aiguë où la maladie a entraîné
à ce propos ne me semblent pas également probantes. Par exemple, le cas de Williams où il y avait une hémiplégie spastiqu
niers, mais que le réflexe patellaire était conservé. De même, le cas de Lamy où l'auteur, en examinant un ancien cas
nservé. De même, le cas de Lamy où l'auteur, en examinant un ancien cas typique de poliomyélite, a trouvé en outre quel
men histologique). En outre, Schmiergeld a observé une fois dans un cas de poliomyélite une aphasie disparue en deux se
cas de poliomyélite une aphasie disparue en deux semaines ; en tout cas , cette observation ne peut démontrer qu'une lés
montrer qu'une lésion cérébrale tout à fait légère. Rossi a cité un cas de Weber ; mais dans ce cas de poliomyélite Weber
ale tout à fait légère. Rossi a cité un cas de Weber ; mais dans ce cas de poliomyélite Weber dit seulement qu'il était
e conclusion sur sa nature. Mais, même si nous laissons de côté ces cas douteux, il en reste quelques autres qui sont e
TE AIGUË 668 ceux que j'emprunte aux auteurs originaux : Môbius (le cas est connu surtout pour être cité par Pierre Mar
d'une poliomyélite, l'autre d'une poliencéphalite). Il y a d'autres cas semblables de Calabrese et Négro, mais je ne les
ant à des formes différentes d'infection, on pourrait expliquer les cas de ren- contre des deux maladies comme la consé
nde épidémie comme l'épidémie suédoise s'étendre à peu près à mille cas sans qu'on ait constaté un seul cas d'hémiplégie
se s'étendre à peu près à mille cas sans qu'on ait constaté un seul cas d'hémiplégie spastique, on est bien obligé de c
ausée par le pneumocoque semble être beaucoup plus fréquente que le cas de coïncidence de la poliomyélite et de la polien
pinion. Medin s'appuie sur le fait qu'il a souvent observé dans ses cas de polio- myélite des douleurs et même une hype
théorique) sur le pronostic et l'évolution de la maladie : dans les cas en voie de guérison, il s'agirait de la polynévri
s cas en voie de guérison, il s'agirait de la polynévrite, dans les cas où une paralysie persiste, il s'agirait d'une pol
question ; car il y a pendant les épidé- mies un certain nombre de cas où la poliomyélite ne peut être douteuse, mais
e parlent pas en faveur de l'idée que, dans les épidémies, quelques cas se rapporte- raient à des polynévrites. Car, co
yélite. Comme exemple, je citerai brièvement les histoires de trois cas de polyné- vrite qui ont été traités ces dernie
imes avec les pieds. Le diagnostic de la polynévrite dans ces trois cas semble être si claire qu'il n'est pas nécessair
seulement à remarquer que le développe- ment de la maladie dans le cas XXXVI a été très lent et surtout que l'ag- grav
t com- mencé un peu. Quant à l'étiologie, on peut admettre pour les cas XXXIV et XXXVI un refroidissement. Pour le cas
ut admettre pour les cas XXXIV et XXXVI un refroidissement. Pour le cas XXXV on pourrait se demander si le traumatisme
ose exprimer aucune opinion sur ce point. Les histoires des trois cas de polynévrite cités ici, comparés avec nos con
les muscles du tronc. C'est ce que nous avons observé dans nos trois cas de polynévrite, surtout dans le cas XXXVI où le
us avons observé dans nos trois cas de polynévrite, surtout dans le cas XXXVI où le contraste était très remarquable en
arquée pour les muscles les plus périphériques des membres dans les cas où tous les muscles des membres ne sont pas compl
xtrémités des membres a été très nettement confirmée dans les trois cas de polynévrite publiés ici. S'il y a une phase
OLIOMYÉLITE AIGUË 673 anesthésie, et je crois en effet que c'est le cas assez souvent. D'autre part, la présence de tro
904 ; Brissaud et Gy, 1908). Pour ma part, il me semble clair que les cas publiés par Brissaud et Londe doivent êlre rega
et la paralysie ne s'étendant qu'à un membre. Au contraire, dans le cas publié par Brissaud et Bauer, il n'y avait.pas
emble parler en faveur d'une polynévrite. Il en est de même pour le cas publié par Brissaud et Gy : développement des s
ralysie infantile qu'il nomme ataxie aiguë. Car il a observé dans 5 cas des troubles de la marche qu'il veut expliquer
iquer comme une ataxie. Toutefois il faut remarquer que deux de ces cas (16, 26) semblent plutôt être des cas de poliencé
aut remarquer que deux de ces cas (16, 26) semblent plutôt être des cas de poliencéphalite, Dans tous les cas il s'agis
26) semblent plutôt être des cas de poliencéphalite, Dans tous les cas il s'agissait d'enfants âgés de moins de 3 ans, e
s inférieurs. Medin explique ces observations avec ataxie comme des cas de polynévrite, mais je ne puis trouver qu'il a
nné des raisons probantes en faveur de celle opinion. Dans quelques cas de poliomyélite, Wickman a également observé une
bres supérieurs. Il ne s'agissait pas d'enfants mais, dans tous les cas , d'une paralysie qui atteignait aussi les nerfs c
ne trouve pas qu'il y ait des raisons suffisantes pour désigner ces cas comme constituant une forme spéciale, la forme
ladie. Natu- rellement, nous pouvons faire la distinction entre les cas d'après l'exten- sion de la paralysie. Mais il
le pas qu'on soit fondé à indiquer comme des formes différentes les cas où la paralysie a atteint par exem- ple 2 ou 4
es. Il serait plus naturel de désigner comme une forme spéciale les cas où les noyaux du bulbe ou de la protubérance sont
en raison du pronostic très différent et beaucoup plus grave de ces cas . Peut-être serait-on tenté, en outre, de faire
eut-être serait-on tenté, en outre, de faire la distinction entre les cas avec symptômes méningitiques et les cas sans sy
re la distinction entre les cas avec symptômes méningitiques et les cas sans symptômes, mais, tout bien considéré, je n
ciales de la maladie. Wickman a décrit comme formes spéciales les cas où la paralysie a un type ascendant ou un type
utres que les membres inférieurs. Il serait plus vrai de parler des cas avec paralysie d'un type descendant comme d'une
ysie d'un type descendant comme d'une forme spéciale, parce que les cas de cette espèce sont pro- bablement assez rares
anatomique de la poliomyélite aiguë est très typique dans tous les cas , mais l'extension de l'inflammation est très diff
tension de l'inflammation est très différente dans les diffé- rents cas , autant que nous pouvons en juger d'après les sym
nts cas, autant que nous pouvons en juger d'après les symptômes des cas non mortels, bien que, chez les malades morts pen
oute la longueur 676 PETREN ET EHIIENBERG de la moelle. Les seuls cas de la maladie qu'il me semble légitime de sépa-
ladie qu'il me semble légitime de sépa- rer des autres, ce sont les cas où la maladie a atteint les noyaux du bulbe ou
jours du même type. La concordance sur tous ces points capitaux des cas différents de la maladie constitue, à mon avis,
itue, à mon avis, une preuve suffisante qu'il s'agit, dans tous les cas , de la même forme d'infection, c'est-à-dire d'une
uide céphalo-rachidien (Schulze, des méningocoques et dans uu autre cas des diplocoques ; Ellermann, des rhizopodes ; G
Les considérations ci-dessus font que je suis convaincu que tous les cas typiques de poliomyélite aiguë sont dus au même
trouvé d'une manière constante le même microorganisme dans tous les cas examinés, on ne peut pas d'après mon opinion, a
arachnoïdienne, Revue neur., t. XI, p. 345, 1903. 2. Acuna (M.). Cas de polio-encéphalo-myélile aiguë chez un garçon d
.). Diagnostic de poliomyélite et de névrite aiguë à propos de deux cas de monoplégie crurale, Revue neur., t. IX, p. 101
. 1226, 1904. 678 PETREN ET EHRENBERG 15. Brissaud et Gy (A.). Un cas de poliencéphalo-tnyélite aiguë, Nouv. Iconog. de
vol. I, London, 1899. 38. GUINON (1\1. L.) et RIST (NI.). - Deux cas de poliomyélite antérieure aiguë sans réaction
Soc. de Biol., vol. LUI, p. 529, 1901. 49. Liity (Il ). - Sur un cas d'encéphalite corticale et de poliomyélite antéri
der Nervenkrankheiten, Berlin, 1908. 74. Oppert et Schmiergeld. Un cas de paraplégie flasque des membres inférieurs d'
seuse isulée. Le point particulièrement intéressant dans ce dernier cas est la coexis- tence avec l'atrophie des huméru
l faudrait qu'il fût prouvé que le processus qui a aboutit dans ces cas à la brièveté des humérus est le même que dans l'
ne prouve qu'il en soit ainsi. A la vérité, les os, dans les trois cas dont nous disposons, se rapprochent des humérus a
ngs quoique courts et l'absence de main en trident. Contrairement aux cas qu i nous occupent, le cas de M. Dufour rentre
ce de main en trident. Contrairement aux cas qu i nous occupent, le cas de M. Dufour rentre bien, à notre avis, dans l'ac
chez ces sujets, nous n'en savons rien, et la constatation, dans un cas , d'autres atrophies os- seuses dans les métamèr
OU'.ELLE ICONOGRAI'Hlb DE LA SALPLI'RtLRE T, XXII. PI. LXXII UN CAS D'EC'l-RONIP.1,IE (Markeloff) Masson et O, Ed
DU SYSTÈME NERVEUX DE L'UNIVERSITÉ D'ODESSA (Prof. N. POPOFF). UN CAS D'1 : CTNO,V11 : LI1J PA a G. MARKELOFF Obs
f.1.)- ICON06RAl'IIOE ni. LA SALI'H'RILKL T. XXII. PI. I.XXIII UN CAS D'ECTROMÉLIE (Marhehff) Masson et Cie, Edrteu
III UN CAS D'ECTROMÉLIE (Marhehff) Masson et Cie, Edrteurs UN cas d'ectromélie 691 extrémités n'est le siège d'au
'anormal. 692 MARKELOFF Ainsi nous nous trouvons en présence d'un cas de raccourcissement des ex- trémités supérieure
N'est pas bon ou méchant qui veut. Il y a également, dans certains cas , quelque chose d'inné dans le sentiment artistiqu
nt qu'ils appartiennent ou non à la vie végéta- tive, mais, dans un cas comme dans l'autre, ils sont toujours automatique
carbo- nique sur le centre respiratoire semble être admise. En tout cas , qu'il pro- cède d'un mécanisme réflexe, hormon
nes réflexes peuvent donner lieu à des idées cons- cientes. Dans le cas contraire, l'idée reste virtuelle c'est-à-dire qu
y avait eu intervention d'un élément d'ordre mental. Dans les deux cas , le mouvement physico-chimique de la matière co
i inerte qu'on pourrait le penser et elle fait preuve dans certains cas d'une véritable vitalité qui se mani- feste par
entre autres faits, l'ac- croissement de volume des cristaux et le cas du fil métallique qui, étiré de façon à dépasse
ti(lue sur l'-) (1 pl.), par Levi, 221. Adipose généralisée (Deux cas d'hydrocépha- lie avec -), par Maiunesco et Gol
fs crâniens) (1 pl.), par Bertolotti, 41. liulbo-protubératuiel (On cas de gliome ), par DUSTJN et Van LJXT, 620. Cer
igantisme (2 Pl.), par Lcw et Franchini, 449, 566. Ectromélie (Un cas d') (2 pi.), par M.\I1- KELOFF, 689. Erb-Gold
et GOLDSTEIN, 628. Hystérique (Intervention chirurgicale dans un cas de psychalgie brachiale ; préten- due côte cerv
jonne et Lm : RMIT1E, 605. Ophtalmoplégie totale bilatérale dans un cas de syndrome pédonculaire (1 pl.), par Zosin.
pl.), par Merle et Raulot-La- pointe, 229. Ostéite déformante (Un cas d ? La pathogé- nie de la maladie osseuse de Pa
use et aliénée) (1 pl.), par RAMADIER et Marchand, 215. Pagel (Un cas d'ostéite déformante. La pa- thoqénie de la mal
e) 1 pl.), par Rimbaud et ANGL.\DA,121, Pédonculaire (Syndrome) (Un cas avec hémi- plégie gauche et ophtalmoplégie bila
t ANGL ID,\, 240. Psychalgie (Intervention chirurgicale dans - un cas de - brachiale hystérique ; pre- tendue côte ce
1 pl.), par RAMADIJ : ;11 et Marchand, 275. Tumeurs cérébrales, 3 cas (2 pl.). par Boinet, 333. Ulcérations trophiq
ALQuiER. Sur la genèse des lésions de la moelle épinière dans un cas de syphilis du névraxe à marche rapide (2 pl.),
solue des autres nerfs crâniens (1 pi.), 41. et Pascarolo. Sur un cas d'ostéite dé- formante de Paget (4 pl.). 253.
Y. Les tatoués ; leur psvchologie (3 pl.), 5SS. . a BOINER. Trois cas de tumeurs cérébrales (2 pl.), 333. BOUDON et
eurs cérébrales (2 pl.), 333. BOUDON et L-lrG ? EL-LAV.1STI\E. Un cas de myasthénie grave d'Erb-Goldllam avec autop
82. Dustin. La polynévrite gravidique (1 pl.), 349. et Lino. Un cas de gliome bul- bo-protubérantiel, 620. Ehrenb
eldans celte maladie (4 pl ), 449, 566. Gastinel et Thidierge. Un cas de gigantisme infautili nie (3 pl.), 412. Gau
otule chez un tabetique (1 pl.), 27. GOLDSTEIN et Marinesco. Deux cas d'hydro- ceplialie avec adipose généralisée. 62
cette scoliose (2 pl.), 32. Klippel et Pierre- Weil. \ propos d'un cas d'ostéite déformante. La pathogénie de la mal
s noevi (1 pl., 24 si ? ) ? 73. LAIG ? EL-LAVASTI , et BOUDON. Un cas de myasthénie grave d'Erb-Goldflam avec autop
éomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24. LEVI (Ettore). Sur un nouveau cas d'achon- droplasie chez l'adulte (6 pl.), 133.
des atrophies du cervelet (5 pl.), 605. Lint (Van) et DUSTIN. Un cas de gliome bulbo-protubéiantiel, 620. Macé DE
natrices d'occupation, 65, 189, 289. 11 mvesco et Goldstein. Deux cas d'hydro- céphalie avec adipose genéralisée, 628
d'hydro- céphalie avec adipose genéralisée, 628. 111OEKELorF, Un cas d ectromélie(2 pl.), 689. Meige (Henry). Les fo
nie de celte scoliose (2 pl ), 32. Pascarolo et BERT01.OTTI, Sur un cas d'ostéite déformante de Paget (4 pL), 253.
ë (1 pl.), 373, 546, 661. Pierre-Weil et Klippel. A propos d'un cas d'ostéite déformante. La patho- génie de la mal
ova- i iotomisée goitreuse et aliénée(l pl.),275. Ravennv. Sur un cas d'ostéite déformante (2 pl.), 524. Rimbaud et
u cou et de la ceinture scapulaire (1 pl.), 927. Roasenda. Sur un cas d'osléo-arthropathie tabétique de la colonne ve
côtes (t pl.), 493. Stcherbak. Intervention chirurgicale dans un cas de psychalgie brachiale hystéri- que, prétendue
ri- que, prétendue côte cervicale, 283. Thibierge et Gastinel. Un cas de gigantisme infantitique (3 pl.), 442. Trep
Zosin. Conl, 1 1) ! 11 IOn 1 l'étude du syndrome peoonculaire. Un cas avec hemiplégie gauche et ophtalmoplégie totale
2 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ses les plus contradictoires ont été émises sur ces questions. Le cas que nous allons relater peut en fournir un exempl
allons relater peut en fournir un exemple : il s'agit en effet d'un cas de petit gigantisme à type acromégalo-infantile,q
acromégalo-infantile,qui,par bien des côtés, est superposable à un cas publié récemment par MM. Thibierge et Gastinel.
nel. Et bien, tandis que les deux auteurs tendent il rattacher leur cas au dysthyroïdisme, je ne crains pas, pour ma pari
rallier à la théorie hypophysaire et l'on verra par l'exposé de mon cas si mon inter- prétation est admissible. Obser
es mains étaient devenues plus volumineuses, mais il n'en fit aucun cas et attribua l'accroissement des mains à l'exercic
re de voir les dimensions mêmes de l'hypophyse qui acquiert dans le cas présent un volume tout à fait exceptionnel. S
présent les lésions osseuses que nous avons consta- tées dans notre cas avec celles que l'on retrouve en général dans l'a
aut, de même que la ptose des parois abdomi- nales. A cet égard, ce cas est encore plus intéressant étant donné la pureté
eté du type infantile qu'il représente. Dans la grande majorité des cas chez les géants infantiles, on observe presque
de 17 ans justifie également le diagnostic de gigantisme dans notre cas . Cet homme de 48 ans, depuis trente ans au moin
vue, ne sont pas rares. Déjà M. Capitan en 1897 en avait signalé un cas . De même Brissaud, Meige, Launois et Roy ont, à
tinel ont publié dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière un cas qui est par bien des côtés absolument superposa
ervations qui ont été pu- bliées jusqu'ici, c'est que dans tous les cas de gigantisme infantile, il s'agit toujours d'i
s de conjugaison. Or, pour ma part, j'ai déjà ren- contré plusieurs cas où il s'agissait de vrai gigantisme et où j'avais
eux qui sont encore en activité de croissance et qui rentrent dans le cas que j'appellerai volontiers du grand gigantisme
ages de conjugaison sont déjà soudés. Dans la grande majorité des cas d'acromégalie, il est vrai, on retrouve l'ossif
ter ici même, le résumé d'une observation clinique ayant trait à un cas typique d'acromégalie. Il s'agit d'un jeune hom
avait comprimé le chiasma et le nerf optique. Nul doute que dans ce cas il se soit agi d'un véritable état acroméga- li
fait de la persistance de tous les cartilages épiphysaires. Dans ce cas donc, au lieu d'avoir une soudure précoce des épi
re une taille moyenne. Donc nous nous trouvons ici en présence d'un cas typique d'acromégalie sans aucun rapport avec l
sont en plein état d'activité. On peut donc se demander comment ce cas peut rentrer dans la règle posée par Brissaud e
ériode à cartilages épiphysaires soudés, je crois que, à l'appui du cas qui nous avons résumé l'on pourrait soutenir :
nfants acromégaliques ? Depuis quelque temps, on a publié plusieurs cas d'enfants acromégales issus d'un père ou d'une
s acroméaliques,Fraënkel,Schvoner, Narda et d'autres ont étudié des cas d'acromégalie héréditaire. Enfin, un des plus b
plus beaux exemples qui soit venu à ma connaissance se rapporte au cas de MM. Franchini et Giglioli paru dans la Nouvell
de donner un aperçu sur l'état des cartilages épiphysaires dans les cas d'acromégalie héréditaire chez des adolescents.
ations du système osseux. On peut la retrouver par exemple dans les cas anciens de genu-valgum, et encore chez les anci
ilages de conjugaison (il s'agissait donc là aussi d'un vé- ritable cas de gigantisme infantile avec croissance décidémen
isé et infantile. Il n'existe pas dans toute la littérature d'autre cas radiographiquement analogue. On a pu quelquefoi
ofil de l'hypophyse par l'examen radiographique et moi-même dans le cas de Bracco Giuseppe j'a- vais réussi à fixer le
fixer le soupçon de tumeur de la glande pituitaire, mais dans notre cas l'intérêt principal n'est pas donné seulementpar
op ha- sardée ; il suffit de se rappeler l'évolution clinique de ce cas et de consi- dérer son état hypophysaire démont
le Iconographie de la Salpêtrière de cette année, où il s'agit d'un cas remarquablement analogue au mien (même taille,
propres à l'infantilisme età à l'acromégalie sont confondus ; notre cas en serait un des plus beaux xxiu 2 18 BERTOLO
lose de l'hypophyse chez une naine. HERTOGIIE et Gastinel. - Sur un cas de gigantisme infantile. Nouv. Icon. delà Salp.,
lus ce que je crois avoir démontré par la descrip- » tion des trois cas publiés dans V Iconographie de la Salpl'trière, q
s athrepsique ou cachectique des sujets (et souvent, comme dans mes cas , ils ne le sont pas du tout), et qui surtout, n
étudié en outre, au cours de ces dernières années, plusieurs autres cas d'infantilisme du type Lorain le plus classique,
ar- tilages épiphysaires étaient nettement persistants. L'un de ces cas , qui fera l'objet d'un prochain mémoire, présen
ase initiale, précéda la détermi- nation de l'infantilisme; dans ce cas , la lésion spléno-hépalique été probablement la
été probablement la cause de l'infantilisme général. Dans un autre cas d'infantilisme de Lorain, la cause de la dystro
nt une grave lésion cardiaque, peut-être congénitale. Dans ces deux cas , la cause déterminante du syndrome « infantilis
n dans mon premier mémoire, ni l'un ni l'autre de ces deux nouveaux cas ne prê- sentait le moindre symptôme, soit même
tou- chées semblaient être les testicules. Le premier de ces deux cas vint à mourir en conséquence de la maladie de B
t la totalité était formée de tissus fibreux. Voilà donc un nouveau cas qui, par les caractères susdits, mérite le nom
z I) Les infantiles du type Lorain ont droit à être compris dans la cas tégorie des infantilismes vrais. ! II) Les in
rodites antiques. L'Anthropologie, 1895, t. IV. - Hewr Dlrics, Deux cas d'hermaphrodisme antique. Nouv. Iconographie de l
-soudure des épiphyses pouvait fort bien s'obser- ver dans certains cas d'infantilisme de Lorain, ce retard dans l'ossifi
tères sexuels secondaires. D'ailleurs, je répète que, dans certains cas , infantilisme vrai et syndrome dystrophiques de
tion successive du sens des mots. FACULTÉ DE MÉDECINE DE JASSY UN CAS D'ACHONDROPLASIE PAR le D, P. ZOSIN Docent,
interpréter pathogéniquement de la même manière. Cela n'est pas le cas des dystrophies et surtout des dystrophies osseus
nisme on mélange souvent, et ' autrefois on confondait toujours des cas qui sont des achondroplases ou des rachitiques.
it, une maladie caractérisée physiquement par des troubles delà; UN CAS 1)'ACHOiNbIlOPfASIE 33 nutrition et du développ
utôt permanent que passager. D'ailleurs sans doute,qu'il s'agit des cas d'achondroplasie quand, parlant des imbéciles,
de leur existence et de leur prolifération ; ce qui n'était pas le cas dans tous les temps et chez tous les peuples, par
ie en particulier, nous aurons à retenir le fait qu'aujourd'hui les cas d'achondroplasie sont sporadiques que depuis qu'o
importe beaucoup d'ajouter un nouvel exemple. Je pré- senterai mon cas et je lâcherai ensuite de mettre en relief ce qu'
e lui,tous bien portants. Dans sa famille, on ne se souvient pas de cas similaires : ni rachi- tisme, ni autre déformat
on âge. Quand il court, à peine s'il peut suivre le pas habituel UN CAS D'ACHONDROPLASIE (Zosin). Masson&Cic, Édi
ie Brthaud ... ? rntb uc I.A JALI'1 rRILRE. T. XXIII. PI. VI UN CAS D'ACHONDROPLASIE (ZOSil1) . Masson & Cie,
ZOSil1) . Masson & Cie, Editeur ? f'tatotypnr Ito·rt6awl un cas d'achondroplasie 35 d'un homme normal, et il ne
mètres, avant-bras 16 centimètres, main 13 centimètres (largeur, UN cas d'achondroplasie 37 y compris le pouce, 11 cent
vation, en sorte que nous n'avons pu essayer aucun traitement. Le cas tel que nous l'avons présenté, prouve cliniquemen
e dénomination l'achondroplasie manifestée de la vie intra-utérine ( cas du Prof. Herrgott, cummuniqué à la Société de M
uement pouvons-nous apporter une certaine contribu- tion avec notre cas ? Du moment que nous ne pouvons avoir la nécropsi
notre cas ? Du moment que nous ne pouvons avoir la nécropsie de ce cas , nous sommes forcés de faire seulement des conjec
ns le rachitisme, les os du tronc et de la tête sont habituelle- UN cas d'achondroplasie 39 ment intéressés (chapelet c
orps et non à des troubles intrinsèques comme c'est certainement le cas pour le rachitisme. Mais à quoi faut-il attribu
ue, nous en sommes encore réduits aux hypothèses ; est-ce que notre cas pourrait servir plutôt pour une hypothèse que p
utôt pour une hypothèse que pour une autre ' ? À première vue notre cas ne sert pas une hypothèse plus qu'une autre. On
l'opothéraphie thyroïdienne, une amélioration notable dans quelques cas , ce que nous n'avons pas pu essayer avec le nôt
De même nous pouvons très bien rattacher l'achondroplasie de notre cas à une altération primitive congénitale du germe c
omparable à la race des chiens bassets (de Bücl.). «Gomme tel notre cas serait un simple dégénéré : la pathogénie de l'
- droplases, comme les représentants des anciens Pigmées. En pareil cas , l'achondroplasie serait un état physiologique,
re les achondroplases. Le fait que parmi les hommes il y a moins de cas d'achondroplasie, autrement dit de ces variétés
es cartilages de conjugaison est achevée comme il semble dans notre cas : ceux-ci seraient les achondroplases phy- siol
utôt dystro- phique. Nous supposons bien qu'il y aurait beaucoup de cas où on ne pourrait pas faire cette différence hi
urrait pas faire cette différence histologique. En revenant à notre cas , nous pouvons faire sur lui la plupart des hy-
enant à notre cas, nous pouvons faire sur lui la plupart des hy- UN cas d'achondroplasie 41 pothèses que nous avons pas
de la dégé- nérescence. D'abord dans sa famille il n'y a pas eu de cas similaire : ni dans l'ascendance, ni chez les c
es organes et des fonctions à l'état dystrophique. D'ailleurs notre cas est le seul exemplaire dans ces lieux, personne n
lieux, personne ne se rappelle, même les plus vieux, avoir connu un cas semblable. Si nous repoussons l'hypothèse de la
riété humaine et dans ce sens il n'est plus besoin qu'on trouvé des cas dans l'ascendance connue ou qu'il y ait eu à tout
omposé commedit Veissman soit qu'il soit composé autrement. En tout cas l'achondroplasie considérée organiquement et hist
ouvelle Iconographie DF la SA1,161'RIL`RF : . T. XXIII. Pl. VI UN CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ UN CHINOIS (S. Molodmko{f
Molodmko{f). Masson & Cie, Editems. JlhoWI\pW Htllhau.l UN CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ UN CHINOIS - PAR .. S.
description si parfaite de l'achon- droplasie typique, le nombre de cas publiés s'éccroit vite. Ainsi, dans l'article d
. Ainsi, dans l'article d'Apert en 1901 nous ne voyons notés que 20 cas , tandis qu'en 1905 Parhon, Shunda et Zalplachla
u'en 1905 Parhon, Shunda et Zalplachla pouvaient déjà recueillir 42 cas d'achondroplasie chez les enfants et les adulte
ogénie de cette malformation restent encore bien obscures et chaque cas nouveau nous parait être d'une certaine valeur.
so-japonaise, l'auteur de cet article a eu l'occasion d'observer un cas d'achondroplasie typique chez un chinois. Les con
rre nous ont ôté la possibilité de donner dans la description de ce cas tous les détails désirés. A notre grand regret
ttérature de la maladie en question, nous n'avons pas pu trouver un cas de cette malformation chez les représentants des
ts des races de couleurs à ce point de vue on peut considérer notre cas comme étant d'une rareté qui le rend intéressan
totale = 35 cent. 5, la longueur du bras^= Il cent. 5, la Ion-1 UN CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ UN CHINOIS 45 gueur de l'
a jambe très développés (Porak et Durante), existe aussi dans notre cas . La forme du thorax ne présente pas de troubles
e connaissance de sa langue maternelle. 40 - T10LODENIiOE En tout cas Li ne faisait pas l'impression d'une intelligence
taille et d'une stature normales et en général il n'y avait plus de cas de nanisme dans la famille. Dans le problème de
le mémoire de Porak et Durante, et la statistique intéressante des cas publiés de l'achondroplasie dans l'article de P
Apert, de Cestan, de Porak, de Durante et d'autres auteurs. . Notre cas est un des plus typiques ; on n'y trouvera de nou
le moment est venu où la préoc- cupation de la thérapeutique de ces cas ressort au premier plan. Le scepti- cismeen ce
pprenons que de pareils traitements ne furent appliqués ! que dans 20 cas . Il a fallu des résultats très favorables obtenus
l, ainsi que dans ceux qui le suivent, nous voyons que le nombre de cas de tumeurs ex- tramédullaires opérées et publié
ltats des opé- rations sont devenus de plus eu plus favorables. Les cas publiés jusqu'ici sont suivis de succès dans 52
la pie-mère. Comme matériel pour ce travail je me suis servi de 21 cas observés par moi-même. Je lésai étudiés pour la
béralement à ma disposition. J'ai divisé la description de tous les cas en trois parties : dans la première je traite d
s par les trous de conjugaisons dans le canal rachidien (il y a des cas où les tumeurs,sans pencher môme dans ce canal,
troi- sième partie il s'agit des tumeurs inlravertébrales. Des 22 cas ci-dessous, 3 ont été publiés avec les Drs Kliche
pas montré de changements pathologiques dans ces coupes. Dans ce cas , il faut attirer l'attention sur le fait que la m
rs sont conservés; les abdominaux impossibles à produire. Dans ce cas il s'agit sans doute d'une tumeur. Mais il nous s
dou- leurs. La malade quitte l'hôpital sans amélioration. Dans ce cas il s'agissait sans doute d'une tumeur des vertèbr
tout changement dans la co- lonne vertébrale ; les douleurs dans le cas de tuberculose rarement attei- gnent pareille i
e basant sur ces données, le D'' Klein supposait qu'il s'agit dans ce cas de myélome lymphoplastique. La formule sanguine
oit, affai- blie. Les douleurs de la nuque le font gémir. Dans ce cas , la tumeur croissait lentement depuis plusieurs a
atteint quitta Varsovie et mourut bientôt après. RÉSUMÉ,- Dans ce cas ,les symptômes débutèrent par la région sacrée et
UMEURS DE LA MOELLE EPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 67 Dans le cas présent, les symptômes apparurent peu à peu sans
u pied droit. Le pied gauche est en position de varus-équin. (1) Ce cas sera publié prochainement par MM. les D' Bornstie
léole sans changement ; la chromatine en quantité normale. Dans les cas ci-dessus décrits,il s'est agi de 7 tumeurs malig
et d'une tumeur seulement de nature bénigne (ostéome).Ces quelques cas ,de même que ceux publiés par d'autres médecins,
autopsies faites à l'hôpital de Vienne pendant 18 ans, on a eu 151 cas de tumeurs de la moelle épinière ou des méninges
urs de 17 ans, à l'Ins- titut anatomique à Vienne, on autopsiait 97 cas ), voici la classification : TUMEURS DE LA MOELL
vent les personnes qui l'ont eu au sein. Oppenheim de même a eu 22 cas de carcinomes de la colonne vertébrale, dont 18
e, est différent. Le plus souvent il n'est pas long. Dans un de nos cas (obs.l) depuis l'opération du cancer du sein ju
période est encore plus longue. Dans ma pratique privée j'ai vu des cas où elle était de plus d'une dizaine d'années. O
était de plus d'une dizaine d'années. Oppenheim également, dans des cas excep- tionnels a constaté un intervalle aussi
tionnels a constaté un intervalle aussi long (onze ans). Dans le cas publié par Spiller et Weisenburg, l'opération du
douze ans avant l'apparition du carcinome de la colonne. Il y a un cas publié par Rénon et Tixier où 28 ans se passèrent
brales des symptômes osseux, radiculaires et mé- dullaires. Dans le cas de carcinome de la colonne vertébrale, le symptôm
chwald). Il faut avoir toujours présent à l'esprit que même dans le cas de carcinomatose très abondante et diffuse, la
vons affirmer que ce caractère n'est pas aussi prononcé que dans le cas de spondylite tuberculeuse ou dans la maladie d
us désespérante, surtout à cause de sa longue durée. Dans un de nos cas , la malade quoi- que en pleine santé psychique
usieurs fois par jour dès quelques mois avant sa mort. Il y a des cas où les douleurs disparaissent pendant un certain
ptôme d'une métastase du cancer du sein dans les vertèbres. Dans le cas décrit par Friedeberg la douleur sciatique-fut le
astiques, paralysies et atrophies des différents muscles. Il ya des cas où, à la suite de compression des racines médulla
(paraplégie ou hémiplégie douloureuse des cancéreux, Charcot). Ces cas rares surviennent surtout au cours des tumeurs
n tableau analogue (paraplégie douloureuse) peut s'observer dans le cas de sarcome vertébral comme par exemple dans le ca
observer dans le cas de sarcome vertébral comme par exemple dans le cas décrit par Deje- rineet Spiller (sarcome de l'o
elques lombaires sans lésions de la moelle). Mais en général tous ces cas ne font qu'exception. Le plus souvent la masse
mes entrent en scène rapidement ou insidieusement ; dans le premier cas nous voyons une para- lysie flasque avec troubl
essairement un peu schématique. Il faut se rappeler que dans chaque cas les symptômes peuvent se combiner de différente
symptômes que de fortes douleurs caractéris- tiques. Dans quelques cas nous avons pu observer que longtemps il n'exis-
e symptôme qui indiquât l'exis- tence de la tumeur. Dans d'autres cas il y a des atrophies musculaires localisées sans
us- cles du bras, etc.). Il est facile de comprendre que dans ces cas nous ne pouvons diagnosti- quer la nature de la
fait que Schlesinger a pu constater des cancers vertébraux dans des cas qui durant la vie ne décelaient aucun symptôme
s peut être interrompu par une rémission. Ainsi par exemple dans un cas (obs. V) après deux années de douleurs il est s
il est survenu une accalmie de six mois. Oppenheim dit que dans le cas de sarcome cette période exempte de douleurs pe
er encore plus long- temps, quelques années par exemple. Dans les cas de tumeurs d'autre nature il y a également des co
et médullaires. Quelquefois la maladie débute brusquement. Dans le cas décrit par Bliss le malade res- sentait auparav
te s'établit (sarcome des vertèbres). Nonneégale- ment a décrit des cas de sarcomatose et carcinomatose vertébrale qui se
l'aspect de myélite aiguë transverse. Ballet et Barbé ont décrit un cas où la malade s'est réveillée avec une paraplégie
(aclinomycose des VIIc et Xle vertèbres dorsales). Frich a décrit un cas TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE
la colonne vertébrale, mé- rite une attention spéciale. Dans notre cas (obs. VIII) de même que dans ceux décrits par B
t des jambes et les a laissés dans telle position forcée. Dans le cas de Schlesinger la paralysie spastique a fait plac
alysie spastique a fait place à la para- lysie flasque ; dans notre cas de même que dans celui de Bielschovsky ces cont
ou jusqu'au moment de l'opéra- tion avec issue mortelle. Dans les cas d'enchondrome de la colonne vertébrale la maladie
maladie peut devenir chronique (par exemple d'urée de 5 ans dans le cas d'Oppenheim et Krause). Le tableau clinique d
ertébral sous le nom de mal de Pott sarcomateux (Haymond -Alq uier, cas de Poufain, Pfeiffer). C'est une forme bien rar
forme bien rare, puisque Raymond et Alquier n'eu ont constaté qu'un cas sur 950 autopsies faites à la Salpêtrière depuis
delà carie. Premièrement la forme de la saillie vertébrale (dans le cas de carie elle est rarement arquée, dans le canc
se de l'inflammation de la conjonctive qui s'installa dans quelques cas . La réaction de Pirquet était en général très b
souvent elle nous a rendu de bons services, notamment dans quelques cas où l'on hésitait entre la carie vertébrale et la
entgenogrammes n'ont pas rendu de services. Il n'y eut que quelques cas detumeurs osseuses dans lesquels cette méthode s'
s dans lesquels cette méthode s'est montrée utile (exostose dans le cas de Bielschovsky, le cancer de la moitié gauche du
de Bielschovsky, le cancer de la moitié gauche du sa- crum dans le cas de Leyden-Bassenge). Le diagnostic différentiel
dullaires forment une partie du tableau morbide) ; b) qu'il y a des cas dont le tableau clinique simule entièrement cel
dant la vie existence de symptômes médullaires). Il est décrit un cas de sarcome vertébral, qui donna tout d'un coup un
ue ne démontra rien d'anormal dans la moelle (Bruns). Dans un autre cas on fit le diagnostic de carcinome des vertèbres
copique de la moelle suffisante (Spiller-Veisenbur). Dans un de nos cas (obs. I) il n'y avait pas de lésions macroscopiqu
ation des différentes régions médullaires, il faut dire que dans un cas de carcinome du sein (Spiller- Weisenburg) où il
estion notable de l'isthme de l'encé- phale et de l'écorce. Dans un cas décrit par Nonne (une paraplégie flas- que) où
étrer dans le canal rachidien . A cette catégorie appartiennent des cas décrits ci-dessus. Dans l'un d'eux (obs. I) on
de leur envahissement par le processus néoplasique. Dans l'autre cas (obs. VI) on constata à l'autopsie l'envahissemen
tait resté tout à fait libre. A la même catégorie appartiennent les cas d'autres auteurs qui constatèrent à l'autopsie de
en comprimant tout de même la rnoelle. Il y a toute une série de cas décrits où les masses néoformées dans les vertè
e la moelle et arrivent à la dure-mère. On peut l'observer dans les cas de cancer (Bielschovsl.y,Spiller- Weisenburg et
aymond- Alquier, Stertz) et d'actinomycose (Ballet-Barbé). Dans ces cas la moelle était comprimée et mollasse. A l'endr
extravertébrates). Nous mentionnerons ici brièvement que, dans les cas de tumeurs bé- nignes (ostéome) qui pénètrent d
sent la dure-mère et attaquent la moelle épinière même. Ce sont les cas où les masses néoformées, après avoir envahi la d
acines médullaires ou à travers la pie-mère vers la moelle même (le cas de Stertz, sarcome des vertèbres, et de Taylor-
me (le cas de Stertz, sarcome des vertèbres, et de Taylor-Waterman, cas de cancer). Exceptionnellement les foyers des tu-
peuvent être attaqués uniquement les filets de la queue de cheval ( cas de Dejerine-Spiller). Dans un cas d'angiome sor
les filets de la queue de cheval (cas de Dejerine-Spiller). Dans un cas d'angiome sortant de l'os, la moelle a pris la fo
e d'un mince ruban (Gerhardt). , Nous avons déjà mentionné de ces cas étranges et paradoxaux, mais néanmoins très imp
c ses phénomènes médullaires. Ainsi par exemple de Buck a décrit un cas du cancer du sein et du foie, où il y avait de fo
méninges et envahissement du tissu nerveux). Dans les deux premiers cas il s'agit évidemment de « toxines » inconnues (
orme de dégénérations diffuses ou en foyer (b). Dans le troisième cas (c) les lésions cancéreuses peuvent naître dans l
lymphatiques périvas- culaires et péricellulaires. Bruns décrit un cas où l'infiltration cancé- reuse occupe uniquemen
duction de ce phénomène, ou tout au moins l'acceptent pour certains cas (Oppenheim, Nonne, Spiller-Weisen- burg, Finken
y, Rehn, etc.). Il nous semble le plus probable que dans certains cas entrent en jeu les lésions cancéreuses propreme
quer anatomiquement les symptômes médullaires. Dans notre premier cas on pouvait supposer que la tumeur avait passé d
es tumeurs. On a opéré quelquefois les cancers vertébraux (Saenger, cas de cancer des Villa et IXe vertèbres dorsales; Pu
cas de cancer des Villa et IXe vertèbres dorsales; Putnam etElliot, cas de cancer des dorsales inférieures et lombaires
'amélioration passagère. On obtient de meilleurs résultats dans les cas de sarcome. L'opération de Kümmell en est un ex
en). Seconde opération. Guérison complète. Oppenheim mentionne un cas de sarcome qui siégeait¡dans les vertèbres cerv
hidien. Après l'opération, amélio- ration durant 9 ans. ' Dans le cas deThornburn-Gardneron opéra un sarcome de la Ile
disparurent (le malade a survécu 2 ans). - - " Caller parle d'un cas de sarcome qui prenait naissance dans le périoste
cation) il n'y eut pas de ré- cidive. Wallon et Paul opérèrent un cas de myélome vertébral (amélioration). Les cas op
n et Paul opérèrent un cas de myélome vertébral (amélioration). Les cas opérés avec résultats favorables fontpourtant exc
int une amélio- ration passagère suivie de mort. Saenger décrit 3 cas . Dans le premier le sarcome avait pour pointde
ioralion. Nouvelle métastase, 86 ' FLATAU mort. Dans le troisième cas on a opéré un sarcome de la IIIe vertèbre dorsa
a opéré un sarcome de la IIIe vertèbre dorsale. Stertz décrit un cas , où il y avait une amélioration après l'opération
après l'opération, dix mois plus tard mort de la malade. Dans les cas de Gerster, Sonnenburget d'autres, une améliorati
s succombaient (récidives, cachexies, complications). Dans certains cas (celui de Kron par exemple) les douleurs appara
Israel, F. Krause). Caselli a obtenu une guérison complète dans un cas analogue. Dans la courte description ci-dessus
u l'amélioration considérable), dans 8 la mort est survenue (dans 4 cas peu après l'opération ou par suite de complica-
e de complica- tions, dans 4 indépendamment de l'opération), dans 1 cas l'opération ne fut suivie d'aucun effet. D'ap
ns ou d'améliorations notables) il ne faut pas hésiter à opérer les cas où l'état général est bon,le nombre de ver- tèb
ogistes proposent un traitement arsenical énergique surtout dans le cas de sarcome. Schle- singer constate à l'autopsie
s les os (mais non dans la colonne vertébrale). Sick seul décrit un cas de guérison après traitement. Schlesinger recom
mande le traitement spécifique (le mercure et l'iode) dans tous les cas de tumeurs vertébrales même non syphilitiques, ex
le cancer. Il administre des extraits de la glande thyroïde dans les cas de carcinome, métastase de la glande thyroïde,
sur un signe que j'ai constaté avec une certaine fréquence dans des cas d'hémiplégie organique dans le membre inférieur
fondamentale Je le fais parce que si dans la plus grande partie des cas ce signe se pré- sente associé aux autres signe
signes classiques du côté du membre inférieur, dans quelques autres cas plus rares, je l'ai trouvé isolé, car il manquait
, Cette hypertonie des. fléchisseurs semble s'établir dans plusieurs cas , dès les premiers temps de l'hémiplégie, car je
ès les premiers temps de l'hémiplégie, car je l'ai constatée dans des cas d'hémiplégie tout à fait initiale, quelquefois
ale, quelquefois même dans le coma. J'ajouterai enfin, que dans les cas de paraplégie spasmodique, le phé- nomène que j
à d'autres symptômes, de la même affection et dans la majorité des cas c'est par l'asso- ciation caractéristique des s
. Parmi un certain nombre de faits observés en Extrême-Orient, deux cas de paralysies radiales que nous avons pu examin
leur volume si l'on avait soin de relever la main. Dans ces deux cas et dans d'autres encore, la paralysie radiale s'i
aux exten- seurs et le poignet ne peut plus être relevé ». Dans les cas que nous avons observés, il s'agit de paralysie
radial peut être également atteint une période peu avancée. Dans un cas douteux il ne faudrait donc pas rejeter le diag
AINT-JEAN-BAPTISTE ET DE LA VILLE DE TUR1N ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE DÉGÉNÉRATIVE DU SYSTÈME NE
amp; Cie, Éditeurs 11.0toi,l.,e nNlh.111 ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE z)9 présente enfin, aucune
at de sauté. Venue au monde dans les meil- ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 101 leures conditions poss
ance à se porter un peu en dedans. Toutefois, on ne fit pas grand cas de ces faits, d'autant plus que la petite sembl
jamais eu qu'une intelligence rudimentaire. Il est certain, en tout cas , que ses facultés psychiques ont commencé à bai
& Cie, Éditeurs. Phototypie Berthiud ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 103 tion du cou est portée
e bleuâtre très caractéristique. Les bords ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 105 de la papille sont trè
& Cie, Editeurs PhototTjne Berthaud ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 107 beaucoup plus accusée
es avec le plus fort courant électrique. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 109 Les nerfs radial, cubi
a jambe sont complètement abolis, les mou- ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 115 vements de flexion et
résente encore une mine rose et rondelette ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 117 7 (V. PI. XII). Les at
ue je lui avais promis la première fois. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 119 9 En résumé, Elisabeth
est à peine en train de se dé- velopper. Ce qui est certain en tout cas , c'est sa localisation absolument iden- tique c
rigidité musculaire, ni de contracture. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 121 Tous les mouvements pa
erveux central, soit le système périphérique. Il y a dans ces trois cas deux ordres de symptômes bien évidents. D'un cô
ophique spino-neurotique de Charcot-Marie. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 123 Existe-t-il des cas si
UDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 123 Existe-t-il des cas similaires dans la littérature médicale ? Nous
liales parues dans ces derniers 30 ans ; or nous n'avons trouvé aucun cas de maladie familiale semblable à celle que nous
nfantile familiale et la paraplégie familiale. L'analogie entre les cas d'IIinier et mes trois observations est vraiment
l'atrophie des membres, sont communs chez eux. Seulement, dans les cas d'IIigier, cette atrophie musculaire n'est pas
nt dans les observations de Freud, de même que dans tous les autres cas analogues, déjà assez nombreux dans la littératur
enscrift, 1876 (2), l'observation de Seeligmüller ayant traita quatre cas (trois soeurs et un frère) qui, dans la premièr
ULLER, Deutche Médical Wochenscrift, 1876. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 125 L'atrophie musculaire
ent des symptô- mes atypiques de la forme Charcot-Marie est dans le cas actuel du plus haut intérêt clinique. Les sym
familiale Charcot-Marie a été Vizioli qui, en 1889, a décrit trois cas (1) d'atrophie musculaire familiale sans hérédi
hie musculaire familiale sans hérédité directe similaire ; dans les cas de Vizioli il y avait une atro- phie localisée
harcot-Marie sont demeurées très rares : Sainton (1) en a publié un cas , deux autres ont été décrits ensuite par Ballet e
décrits ensuite par Ballet et Rose (2), il faut ajou- ter encore le cas de Brasch (3), celui de Gordon (4) et enfin mes t
ouvelle Iconographie de la Salpétnère, 1902. (2) Ballet et Rose, Un cas d'amyolrophie du type Charcot-Marie avec atrophie
of new. and meut. dit seases, juin 1903. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 127 symptôme assez rare, p
nstatés que plusieurs années après le début de la maladie. Dans les cas de Vizioli nous voyons l'atrophie musculaire préc
aire précéder les altérations du fond de l'oeil. De même dans les cas de Ballet et Rose, de Brasch et de Gordon et en-
it lieu d'examiner d'une façon systématique le fond de lui dans les cas douteux d'amyotrophie, puisque la constata- tio
ieurs fois dans l'amyotrophie Charcot-Marie. Il suffit de citer les cas de Dubreuilh (1) et de Marinesco (2), qui sont là
se propager aux muscles du visage et de la langue. De même dans le cas de Marinesco, on avait constaté la participatio
mie. En effet des altérations de l'odorat ont été relevées dans les cas de Dubreuilh, (3) de Cassirer(4) et de Siemerli
xceptions. Déjà Vizioli en 1889, dans la publica- tion de ses trois cas , relevait qu'il y avait diminution des facultés i
e psychique comme des troubles visuels, (1) DUDREUILH, Sur quelques cas d'atrophie musculaire des extrémités. Revue de mé
, Rivista critica di clinica medica, 1907. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 12H des atrophies musculai
), les réflexes tendineux seraient abolis seulement dans 50 0/0 des cas , tandis que dans 10 0/0 des autres cas, les réf
is seulement dans 50 0/0 des cas, tandis que dans 10 0/0 des autres cas , les réflexes profonds seraient nettement exagéré
s, les réflexes profonds seraient nettement exagérés. Dans quelques cas (Marinesco) on a assisté une diminution progres-
xe rotulien qui était peu de temps auparavant très exagéré. Dans un cas présenté à la Société de neurologie de Paris par
lexe du tendon d'Achille ; nous ferons remarquer encore que dans le cas de Lejonne et .Rose, la percussion du tendon ro
nous pouvons relever l'exagération des réflexes rotuliens dans deux cas sur quatre, c'est-à-dire dans 50 0/0 des cas, e
es rotuliens dans deux cas sur quatre, c'est-à-dire dans 50 0/0 des cas , et enfin ce qui est tout à fait intéressant à so
t le point sur lequel je veux attirer l'attention), dans le troisième cas de Levi, chez lequel on avait constaté l'abolit
st plus important encore à rele- ver, c'est que déjà dans plusieurs cas , de même que chez mes trois malades, (1) P. SAI
éalité les réflexes osseux peuvent per- sister encore dans quelques cas où les réflexes tendineux sont complète- ment a
oit un réflexe controlatéral des adducteurs, voire même que dans un cas (deuxième observation) l'on pouvait provoquer les
gération des réflexes osseux que nous avons re- levée dans tous nos cas vient donc confirmer cette hypothèse. On a rele
profondément troublée. En général, dans la très grande majorité des cas , toutes ces altérations se réduisent à des lége
132 BKRTOLOTTr - J'insiste sur ce point par le fait que mes trois cas ,qui justement avaient subi l'atteinte de la mal
simple examen clinique. En effet l'atrophie des extrémités dans mes cas était à peu près globale, c'est-à-dire qu'elle
sant que cet arrêt de développement des extrémités observé dans mes cas n'avait pas les caractères de l'atrophie osseus
me amyotrophique Charcot-Marie et que MM. Ballet et Rose, dans leur cas d'amyotrophie avec atrophie des nerfs optiques, a
n'a jamais été constaté dans la forme Charqot-Marie, même dans les cas les plus atypiques. (1) Hoffmann, Ueber progres
h. u. Nervenkranh., t. XX, p. 660, 1859. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 133 A ce propos, il faut o
iographiques faites par moi n'ont pu m'amener en présence d'un seul cas analogue à ceux que j'ai relatés ici. Il s'agit
aurait être admise que d'une façon tout à fait secondaire. Dans nos cas la tare héréditaire, comme la plupart des malad
rescence nerveuse sys- tématique. On ne peut même invoquer dans mes cas la cause de l'usure fonctionnelle, puisque la d
envahissante. Considérons en effet que, dans la grande majorité des cas , la forme Charcot-Marie peut rester à l'état fr
phérique de façon à simuler une simple polynévrite. Dans quelques cas plus étendus on peut observer un cortège des symp
la papille, anosmie, etc.). Je serais donc disposé à considérer mes cas comme les exemples d'une (t) STRUMPELL, Zun Leh
névritique Charcot-Marie, en faisant simplement observer que dans les cas en question ce n'est pas la moelle ni le systèm
familiales constituent des syndromes plus ou moins étendus selon les cas , et que à côté des formes plus systématisées el
roles réconfortantes des médecins. Il n'a pas beaucoup de sang, son cas est très grave ; il ne peut pas vivre avec si peu
ques, paralytiques, convulsifs et trophiques. Malgré la gravité du cas , les différents symptômes s'atténuèrent lenteme
s'associaient des al- térations des articulations des doigts. Notre cas présente plusieurs points de ressemblance avec
une lésion corticale très superficielle ; le pronostic dans de tels cas peut être favorable ; les accidents peuvent dis
ent, ne laissant après eux qu'une difformité des doigts. \1) ANDBÉ, Cas d'épilepsie jacksonienne avec troubles trophiques
ée toujours plus forte, au-dessus de la clavicule gauche une (1) Ce cas fut publié par moi et le D' Koelichen dans la Med
radiculaire gauche se rapproche davantage de la normale. Dans ce cas les corpuscules amyloïdes attirent notre attentio
its cellulaires, dont l'origine n'est pas connue. Résumé. Dans le cas actuel la marche de la maladie fut tellement at
aient un peu analogues à ceux décrits par Minnich et Nonne dans les cas d'anémie et de pyémie (Nonne), dans les moelles
nt analogues à celles 118 FLATAU constatées maintes fois dans les cas de tumeurs cérébrales et surtout cé- rébelleuse
ion; pas de dégénérescences secondaires non plus. RÉSUMÉ, - Dans ce cas il s'agit d'une femme de 45 ans, qui ressent di
e, pas de lésion. Nulle part de dégé- nérescences secondaires. Ce cas nous prouve que lorsqu'il va une tumeur dans l'or
s grave quitte Varsovie au mois de décembre 1906. Résumé. Dans ce cas il s'agit d'une tumeur occupant la région des v
tant le début de la maladie de la moelle. Il est connu que dans des cas analogues-une tumeur extravertébrale peut ne pas
masquée qu'on supposait une affec- tion pulmonaire. Dans un autre cas analogue il celui-ci (obs. IX) on a posé le diagn
yau excentrique et un petit nombre de prolongements. En résumant ce cas nous pouvons dire que chez cet homme de -15 ans l
flammatoire de la moelle. Il nous semblait qu'il s'agissait dans ce cas d'une forme de myélite aiguë ou subaiguë. L'a
uites par la tumeur même ont joué un rôle important, comme c'est le cas par exemple dans la carcinomatose, quoique la t
me lieux de moindre ré- sistance sont les premiers louches dans des cas analogues. Le fait que les foyers de lésion se
plus court et que la cause mécanique y a joué un rôle adjuvant. Le cas présent est bien instructif dans ce sens qu'il dé
re, sans déplacement excentrique des noyaux. ' En résumé, dans ce cas il s'agit d'une jeune fille de 18 ans qui neuf
dans les segments supérieurs de la moelle. 172 ' FLATAU Dans ce cas les symptômes cliniques dépendaient de différente
des causes toxique et inflammatoire. Nous pensons donc que dans le cas présent la compression mécanique exercée sur le
t et provoque la destruction du tissu nerveux. Eh bien ! dans notre cas cette dilatation des espaces n'était pas accent
ation des membres, etc. Eh bien ! nous pouvons admettre que dans le cas présent également la tumeur comprimait les ra-
e rappelle tout à fait celle des foyers que nous avons vus dans les cas X et XII, c'est-à-dire là où il n'était pas que
ologique et de leur thérapeutique. Localisation ET diagnostic Des cas précités il résulte que la tumeur se localise ass
es symptômes médullaires que secondairement. Nous avons vu dans nos cas une tumeur dans le médiastin. dans les muscles
s les muscles du cou, du tronc ou dans la plèvre. L'autopsie de ces cas démontra que les tumeurs pénétraient la plupart d
e méninge restait intacte ou était traversée par la tumeur. En tout cas la compression de la moelle 174 FLATAU n'étai
. La colonne vertébrale elle-même restait in- tacte. Dans un de nos cas (obs. IX) les masses néoplasiques ne se bor- na
es qui du cou pénètrent dans le canal rachidien (Heymann). Dans les cas exceptionnels elles naissent dans les plexus ne
à travers les trous de conjugaison dans le canal rachidien (dans le cas de Schultze du plexus brachial). Comme nous l'a
achial). Comme nous l'avons déjà dit la colonne vertébrale dans ces cas reste intacte. Mais il arrive que les tumeurs ext
s les trous de conjugaison sans attaquer l'os. Le diagnostic de ces cas est quelquefois facile, pour les malades préci-
au cours de la maladie des symptômes médullaires. Dans beaucoup de cas pourtant le diagnostic se heurte à de grandes dif
agnostic se heurte à de grandes diffi- cultés, par exemple dans les cas où la tumeur primitive n'est pas décelée (1) Op
cas où la tumeur primitive n'est pas décelée (1) Oppenheim note un cas de Fischer où la tumeur médullaire pénétrait dans
énétrait dans la cavité abdominale à travers les vertèbres. Mais ce cas comme celui de Schultze (où la tumeur de la que
mènes médullaires. Des neuro- logistes illustres faisaient dans des cas semblables le diagnostic de myélite aiguë ou su
nd entièrement de la localisation primitive de la tumeur. Dans le cas d'une tumeur médiastinale les symptômes primitifs
nes peuvent se limiter d'abord à un membre seulement. Dans certains cas des paresthésies dans le membre du côté opposé
ls débutent brusque- ment, quelquefois violemment. Dans un de nos cas (obs. IX) l'affaiblissement des membres inférieur
ours, se développa la paralysie complète des membres. Dans un autre cas (obs. X), la malade après deux heures de sommei
rachidien jusqu'à la dure-mère (ou même jusqu'à la moelle). Dans le cas de Kollarits, la tumeur poussait des muscles du t
plèvre (la tumeur primitive était le sarcome du scrotum) ; dans le cas de Schlesinger, des parties molles de la nuque ;
dans le cas de Schlesinger, des parties molles de la nuque ; dans le cas de Schultze, du plexus brachial. Le tableau c
cas de Schultze, du plexus brachial. Le tableau clinique dans ces cas ressemble à celui décrit plus haut avec la diff
t de la fente palpébrale (la même chose arrive bien entendu dans le cas de tumeur médiastinale avec envahissement de la
umeur médiastinale avec envahissement de la moelle comme c'était le cas dans l'observation de l3reqman=Steinhaus). Là a
nt que dans les périodes du début et puis disparaissent. Dans ces cas également les tumeurs peuvent persister longtemps
les troubles sphinctériens, les eschares et la mort. Dans un de nos cas (obs. XII) la mort est survenue rapidement sans p
celle des malades atteints d'une affection du bulbe (par exemple le cas de tumeur dans la région du IVe ventricule, la
Ve ventricule, la mort rapide des tabétiques, etc.). , A côté des cas où la tumeur extravertébrale pénètre dans le cana
EURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 177 Dans ces cas la tumeur en augmentant peut arriver jusqu'à la c
idien. Comme nous le montrerons plus loin,cela suffit dans quelques cas pour provoquer la lésion de la moelle et amener
oquer la lésion de la moelle et amener la paralysie. Dans un de nos cas (obs. X) la tumeur envahissait la moitié supérieu
sion dans les segments cervicaux moyens (non néoplasiques). Dans ce cas probablement la tu- meur arrivait jusqu'à la co
vertébrale pénètre dans le canal rachidien. Ce sont précisément des cas où la tumeur se trouvait à une telle distance d
quelconque entre la tumeur et cette dernière, et pourtant dans ces cas des phénomènes mé- dullaires avaient été observ
s mé- dullaires avaient été observés. En lS9y Oppenheim a décrit un cas simu- lant la polioencéphalite subaiguë (diplop
ar Oppenheim. 11 y a toute une série de travaux où sont décrits des cas de tumeurs extravertébrales éloignées de la colon
XXIII 12 178 FLATAU . Il y a donc une analogie complète avec les cas décrits dans la première partie de ce travail.
n- naissances actuelles il est souvent impossible de distinguer les cas où la tumeur extravertébrale a pénétré effectiv
extravertébrale a pénétré effectivement dans le canal rachidien des cas où elle donne des symptômes analogues sans avoir
u l'infil- tration néoplasique. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Dans les cas de tumeurs médullaires extravertébrales qui pénèt
cée par ces masses sur la moelle est ordinairement faible. Dans des cas exceptionnels on note un ramollissement complet d
, envahissent même les méninges molles et la moelle. Dans un de nos cas (obs. IX) la tumeur est restée uniquement en deho
dans une moitié de la moelle, quelquefois dans les deux. Il y a des cas où les foyers se disposent symétriquement dans
si bien dans le tissu nerveux que dans les méninges). Dans quelques cas rares on trouvait au niveau des masses néoplasiqu
s racines médullaires restent quel- quefois intactes, dans d'autres cas elles dégénèrent et alors nous voyons des table
ences « radiculaires » secondaires dans les cordons postérieurs (le cas de Pfeiffer, notre observation XIII). Les cellu
s dégénérescences secondaires sont absentes dans la majorité de nos cas , ce qui nous démontre que les lésions produites i
ndroit de la com- pression sont peu nocives. Pourtant dans quelques cas on notait de vraies dégénérescences secondaires
attirer l'attention sur un point : nous avons remarqué dans notre IX0 cas un fait étrange : dans la moelle dorsale médian
nèrent plus vile. Kollarits pu[ observer le même phénomène dans son cas (néoplasme des tissus mous du tronc pénétrant d
es tissus mous du tronc pénétrant dans le canal rachidien). Dans ce cas également on trouvait des lésions insignifiantes
dégénérescences secondaires considérables. Kollarils mentionne des cas analogues de Bikeles (Neurol. Cent., 1900, p. 116
les moelles séniles dans la maladie de Parkinson (Redlich),daus les cas de mén i ugo-myél i tesyphil itique (l31keles).
lésions diffuses et en foyers. Il faut se rappeler que dans notre cas X (la moelle y était libre de néo- plasme, c'es
ssion exercée par les masses néoplasiques sur la dure-mère. Dans le cas cité (obs. X) les foyers médullaires (dans la r
s allons en résumer les observa- tions suivies par Fickler dans les cas de caries vertébrales. II constate des lésions
ons dans notre obs. X). Par analogie nous pouvons dire que dans les cas de tumeurs extraver- tébrales où les masses néo
me, les deux causes invoquées agissent en même temps; dans d'autres cas où le canal rachidien reste intact et où la tum
ux des racines et provoque des lésions par ischémie. Enfin dans les cas cités plus haut où la tumeur est très éloignée
tissu nerveux et le détruisent. Il est compréhensible que dans les cas où la tumeur extravertébrale pénètre dans le ca
la théra- peutique chirurgicale, elle est très restreinte dans ces cas . On ne peut pas parler de l'intervention chirur
cas. On ne peut pas parler de l'intervention chirurgicale dans les cas de tumeurs médiasti- nales. Par contre il est i
entendu. On peut obtenir des résul- tats favorables, comme c'est le cas dans certains sarcomes vertébraux (v. la 1 part
nt peu graves et dis- paraissent tout à fait. t. En effet dans le cas décrit par Boerner (fibrome du cou avec pas- sa
'est rétabli et put marcher six semaines après l'opération. Dans le cas de Sick la tumeur (enchondrome) avait pour point
à l'opération les parties malades et la guérison eut lieu. Dans le cas décrit par Székres la tumeur (échinocoque) était
ait quelquefois les rayons de Roentgen. Ils ont donné dans certains cas (lymphosarcome du cou, de la cage thoracique) une
Mais elle récidivait après un certain temps et provoquait la mort ( cas de Martini). On doit souvent se servir des mé
urance une démonstration anatomique typique. Il s'agit t surtout de cas de psychoses foudroyantes ou suraiguës, courammen
es « Délire aigu ». L'autopsie est muette ou peu s'en faut dans ces cas -là, c'est à peine si l'on, note ça et là une hype
ficile et délicate. L'examen microscopique dans quelques-uns de ces cas montre une sub- stance cérébrale qui n'est pas
évi- dence que par des procédés techniques spéciaux. Dans d'autres cas , la maladie mentale ayant évolué depuis de nomb
oiler d'une façon plus ou moins complète. Dans un certain nombre de cas , enfin, avant tout dans les psychoses diles org
ymorphes ; un grand nombre de symptômes se retrouvent dans certains cas et pas dans d'autres, même parmi ceux que l'on a
tude de consi- dérer comme pathognomoniques ; ce qui donne à chaque cas sa physiono- mie bien particulière, c'est à tel
l'écorce ! D'autres savants même, ont déjà notéque dans certains cas telle couche de l'écorce ne s'était pas dévelop
e ne s'était pas développée du tout. C'est ainsi que Iülpin cite un cas de chorée dont il examina le cerveau au microscop
e intervention médicale psychothérapeutique dans un grand nombre de cas de maladies mentales, parce que, disent-ils, la
E Il faut bien reconnaître en effet que dans l'immense majorité des cas , le malade vient trouver le médecin, de gré ou
l y a bien des chances pour qu'on en soit au même point que dans le cas précédent. Au point de vue pratique du traiteme
d'au- cune valeur. Nous sommes donc obligés de nous adresser aux cas aigus ou suraigus, qui n'ont que quelques jours
et dont le nombre est très restreint, Il est indispensable dans ces cas de pratiquer l'autopsie le plus tôt possible et
parenchyme du rein ou des autres organes du corps humain. Dans ces cas de délire aigu transitoire, la maladie éclate le
us qui devient ainsi durable, ce que l'on constate dans de nombreux cas de démence précoce. C'est là encore un argument
ce de l'hôpital des aliénés d'Odessa d'une malade qui présentait un cas en apparence insolite des deux sortes de dermogra
e deux actions vasomotrices contraires l'une l'autre; dans l'un des cas les dilatateurs des vaisseaux sont en état de trè
ont dans le même état (Il serait peut-être oppor- tun pour certains cas , d'admettre la parésie d'un genre de nerfs accomp
reniatr., 1897. 200 ROUDNEW Encore plus de difficulté présente le cas dans lequel une forme de der- mographisme fait
uge, tantôt le blanc et où le dernier finit par prédominer. Dans le cas observé par le Professeur Nicolshy, par exemple
ceur, 1895. ' DERMOGRAPHISME ROUGE ET BLANC 201 que dans tous les cas de dermographisme ce centre se trouve en désoldre
spéciale. Et cependant, pour'chacun de ces exemples, on possède des cas de simulation avérée, avouée et souvent cupide.
oins que le blessé n'ait eu dans son en- tourage, ou à l'hôpital un cas à imiter, il imagine sa crise : ce ne sont alors
désordonnés, comme si le malade voit- lait trop bien faire. En tout cas , il y a une manifestation (à la vérité in- cons
t que précisément les douleurs rendent l'examen très difficile. Ces cas , décrits le plus souvent, sous le nom d'ar- thr
aient comme s'ils sentaient, voyaient, entendaient parfaitement. Le cas de la vision binoculaire conservée dans l'amauros
ment l'impres- sion de la simulation. J'ai vu récemment deux de ces cas : devant la cons- tance du phénomène, l'absence
actuellement les ophtalmologistes semblent faire le silence sur ce cas embarrassant,onadmet- tait généralement que la
mpossible de décrire, qu'il faut imaginer séance tenante, suivant les cas , les sujets, les circonstances, l'expert s'atta
isant 1 perdus, réapparaissent tôt ou tard », si la maladie guérit ( cas de l'alcoo- lisme, mais non de la lèpre).'C'est
donc à la fois une amnésie d'évocation et d'assimilation. Dans les cas graves et terminaux « le souvenir des faits ancie
pas impossible que le premier effort de mon attention ait visé les cas les plus nets. En y réfléchissant pourtant, après
ie ou de la neu- rasthénie, si difficiles aussi à définir. Dans les cas limites, elles s'écartent peu de la santé ; si
Cette opération comporte toujours des difficultés. Et il existe des cas limite qu'on ne saurait juste- 1 ment classer e
aits de la timidité. - Je concéderais donc volontiers~qu'il y a des cas douteux, même à la lumière d'un diagnostic bien
ic bien alimenté. C'est pourquoi j'ai préféré retenir seulement les cas de timidité avérée, classique. Ne pourrait-on p
i en effet une difficulté dernière dans l'appréciation juste de ces cas . Le timide guérit quelquefois, ou fait semblant
s, une dérivation trop abondante vers l'idéation, comme si, en tout cas , quelque chose dans les connexions des neurones
tre la. scoliose et la timidité, et, par conséquent il y a, dans le cas réputé psychologique de la timidité, quelque ch
Interne des hôpitaux. Nous avons eu l'occasion d'observer plusieurs cas d'un raccourcisse- ment congénital singulier de
la lésion est symétrique aux extrémités homologues ; dans d'autres cas il n'y a qu'un os-atteint ou bien l'anomalie es
: M. le Dr 131,sl. L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE ? QUATRE CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ DES ADULTES. ÉTUDE CLINIQ
M. le Dr Levi, nous croyons cependant que la contribution de quatre cas d'achondroplasie chez des adultes pourra semble
énie de la maladie est particulièrement ignorée. Or, comme avec les cas que nous allons décrire se présente un fait, à ce
dre compte en se reportant à la photographie, le sujet constitue un cas typique d'achondro- plasie. La tête est énorme,
ron (ayant eu occasion de l'examiner, je peux affirmer qu'elle est un cas typique d'achondroplasie). De ce mariage naquit
x. Abdomen. - Il est un peu proéminent, mais bien moins que dans le cas précédent; les organes abdominaux sont normaux.
ques. Ainsi que l'achondroplasie EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 255 dans le cas précédent, les jambes sont un peu arquées avec co
suffit d'un examen sommaire pour reconnaitre dans notre patient un cas typique d'achondroplasie. La tête grosse, carré
e : Crâne. En position latérale.A noter les mêmes faits que dans le cas précédent pour ce qui concerne sa conformation. D
parfaite extension, mais en légère flexion. Mains. Comme dans le cas [précédent, ici aussi les phalanges sont plus g
le les os de la main ont une forme moins grossière que dans l'autre cas (Auguste C.), à l'exception du cubitus dans l'a
éralement des petites exostoses. Observation IV. D'un quatrième cas je ne peux dire que peu de mots, car la patiente
aucune maladie. Il n'y a aucun doute que la fille aussi ne soit un cas typique d'achondropla- sie, vu sa taille très p
dirons fondamentales avec celles que nous avons observées dans nos cas , nous y trouvons une corres- pondance parfaite.
s y trouvons une corres- pondance parfaite. En effet dans les trois cas décrits, il y a la petitesse de la taille, qui
ans l'un n'arrive qu'à 115 centimètres et nous permet de compter ce cas parmi les plus petits aclio ndrop 1 asi (tues déc
l'index céphalique en général élevé, et qui arrive pour le premier cas à 91 cenlimètres. Le visage ne présente rien de
raccourcissement est toujours du type rhizo- mélique. Dans tous les cas les jambes sont un peu arquées avec leur con- v
con- vexité au dehors. Les pieds sont plutôt gros dans les trois cas et particulièrement dans le premier, où ils pré
e d'un caractère général et constant dans cette affection. Dans nos cas , ce fait ne se constatait que chez un sujet et
r un de deux auteurs de ce mémoire (Franchini) l'a vérifiée dans un cas d'infantilisme du type Lorain, à la main et au
a beaucoup discuté, car elle s'est montrée variable dans les divers cas étudiés. On a parlé de mentalité supérieure à l
plus grosse seraient les plus insuffisants. En.ce qui concerne nos cas , quoique dans l'un la tête soit fort grosse, no
lités propres d'une mentalité bien équilibrée. De l'anamnèse de ces cas on peut tirer peu de chose ; rien à conclure à
gard nous manquons de toute information positive. Pour le premier cas nous n'avons pu obtenir le peu de sang nécessaire
r la séro-réaclion de Wassermann pour la syphilis. Pour le deuxième cas , nous avons appris que tous les frères (12) sont
indi- vidus parfaitemenl normaux. En somme, sauf dans le deuxième cas où l'on peut soupçonner une sy- philis chez la
en et l'anamnèse ne peut nous éclairer. Cependant, dans plusieurs cas d'achondroplasie nous trouvons rapporté que la
die parfois se complète avec l'âge. Par exemple dans notre deuxième cas , le patient affirme qu'il est né avec les extré
du crâne, la selle turcique a été trouvée nor- male dans le premier cas ; dans les autres elle était petite par rapport
en général grosses et recourbées, particulièrement dans le premier cas . Çà et là on constate la présence d'ostéophyles e
tilages épiphysaires étaient partout soudés, même dans le troisième cas , le plus jeune, comme cela se trouve d'ordinair
et à la conformation des divers os, nous dirons que dans le premier cas , plus âgé, ils étaient un peu plus déformés et
taient un peu plus déformés et plus volumineux que dans le deuxième cas , et chez celui-ci plus gros et plus déformés qu
osseuse lout à fait autre que celle du myxoedème, et dans tous nos cas , ce qui est essentiel, tous les cartilages épip
L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 267 deux maladies. Dans nos cas il n'y a rien qui puisse faire soupçonner une t
roplasie. Cependant, ainsi que nous l'avons déjà dit, dans certains cas une telle différencia lion présente des difficu
t des formes mixtes intermédiaires au rachitisme, au myxoedème, des cas d'achondroplasie partielle, etc. Ré- comment, d
le Dr Eckstein 268 GIUSEPPE FRANCHINI ET MAURO ZANASI rapporte un cas de forme particulière d'achondroplasie qui selon
peuvent se faire graduelle- ment évidents et plus clairs. Dans des cas assez fréquents elle est hérédi- taire et famil
t hérédi- taire et familiale et il nous semble qu'avec les nouveaux cas que l'on va publiant, cette hérédité devient in
des anciens pygmées. Voyons maintenant si de la description de nos cas , si de leurs divers examens résulte quelque fai
abandonné leurs parents pour vivre au loin. Quant à notre pre- mier cas , rien de particulier chez les parents. L'examen o
ctéristiques de la maladie de Basedow. On pourrait donc, dans notre cas , croire que quelques-unes des glandes dites à séc
et qui carac- térisent la maladie de Basedow. Dans notre deuxième cas , comme nous venons de le dire, on pourrait soup
la théorie toxi-infectieuse. Quant au troisième- et au quatrième cas , rien de remarquable ni dans l'histoire ni dans
nche : « Tous les nains de race blanche observés en Europe sont des cas pathologiques. On a voulu comparer les achondropl
naissance nous fait encore défaut. » Nous voyons donc que parmi les cas que nous avons décrits se trouve un fait que l'on
ntervention du chirurgien, ce qui arrive presque toujours en pareil cas . Nous ne pouvons pas présenter le portrait de l
i sont épousé des femmes saines ou vice-versa et qui, en ces divers cas , ont ou bien n'ont pas procréé des enfants acho
plasiques ne se reproduisent pas comme tels, s'il n'y a pas d'autre cas de mariage entre de tels individus que celui qu
dégénérés, il est bon d'ajouter : somatiquement. Ce n'est pas ici le cas de parler de dégénérescence psychique, car chez
M. Porak, Durand et Lévi, alors que cette intoxication en plusieurs cas ne peut pas être démontrée et que le plus souve
ines streptococci- ques à de jeunes cobayes. Il est certain que les cas de MM. Porak et Durante montrent deux infection
es chez les mères de deux achondroplasiques. M. Durante rapporte un cas où la mère était une tuber- culeuse chronique a
s altérations parenchymateuses du foie et des reins ; dans d'autres cas on a constaté avec sûreté la syphilis chez la mèr
a syphilis chez la mère. Mais ce sont des exceptions rares dans les cas d'achondroplasiedéjà publiés en assez grand nom
nous pré- sentons un fait nouveau et très intéressant à savoir, le cas d'une véritable famille d'achondroplasiques ; n
sujets. Cette « intégrité absolue » se présente dans nos, quatre cas , qui, en dehors de la déformation corporelle, n
ut-être difficile d'admettre une pathogénèse univoque pour tous les cas d'achondroplasie. Peut-être faudra-t-il ici aussi
ue à une infection ou à une intoxi- cation, mais de l'examen de nos cas il faut reconnaître que l'existence d'une forme
oduit pas, cela est dû au fait que jusqu'à présent (excepté pour le cas que nous avons rapporté) il n'y a jamais eu de
véritable famille achondroplasique. Etant données la fréquence des cas héréditaires, des cas familiaux et l'inté- grit
ondroplasique. Etant données la fréquence des cas héréditaires, des cas familiaux et l'inté- grité de nos sujets, qui,
ariation de la race humaine. bibliographie Nous ne citons que les cas qui concernent notre mémoire et peu d'autres qui
. - Nouvelle Icon. de la Salpêtrière, 1901, p. 277. GOIIDY. Nouveau cas d'achondroplasie. Archiv. de 111éd. des Enf., n°
hondroplasie. Archiv. de 111éd. des Enf., n° 6, 1907. GoxrNeT. - Un cas de pseudo-achondroplasie type dysplasie périostal
splasie périostale. L'Obstétrique, 1908, n° 4, p. 392. LEpAGE. Un cas d'achondroplasie chez un /2etus extrait par opéra
. Nouvelle Icon. de la Salpêtrière, 1905, p. 481. PORTER. Sur trois cas d'achondroplasie. Brit. bled. Journal, 5 janvier
op. de Paris, 1907, 3° série. ALPLACIITA, Pnnuov etS[uNDA. Sur deux cas d'achondroplasie. Nouvelle Icon. de la Salpêtri
V, Heft. 1902. INSTITUT DES ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE SUR UN CAS DE MALADIE DE PAGET A LOCALISALION CÉPHALIQUE I
ensité, et, par consé- quent, qu'il est très probable que plusieurs cas se soient dérobés à l'ob- servation médicale et
tient à deux rai- sons principales : d'abord au fail que l'étude du cas que nous voulons rapporter nous offre l'occasio
ndément obscures, de pathogénie, et ensuite parce qu'il s'agit d'un cas qui nous a semblé digne d'un certain intérêt à
asson & Cie, Editeurs. Phtllol}llW II ! rlhnUtl, Pa1l8 SUR UN CAS DE MALADIE DE PAGET A LOCALISATION CEPHALIQUE 277
de consistance normales. Mesures du crâne et de la face : SUR UN CAS DE MALADIE DE PAGET A LOCALISATION CÉPHe\LIQiTL 2
on ou déformation osseuse dans les autres os du squelette. SUR UN CAS DE MALADIE DE PAGET A LOCALISATION. CÉPHALIQUE 28
OCALISATION. CÉPHALIQUE 281 De quelle ostéopathie s'agit-il dans ce cas ' ? Evidemment,il serait ici tout à fait déplac
cage thoracique et du rachis, ce qui ne se vérifie point dans notre cas , les os ne s'y défor- ment ni ne s'hypertrophie
phénomènes fondamentaux de cette affection morbide. Or, dans notre cas , ainsi que nous l'avons déjà dit plus haut et a
umeur endocrinienne, ce qui est bien loin de se vérifier dans notre cas . Si, enfin, on considère que l'ostéite dé- form
gnostic d'acromégalie. Nous ne pouvons pas non plus assimiler notre cas à la leontiasis ossea de Virchow, qui se caract
ongs, contraire- ment à ce qui arrive dans le plus grand nombre des cas . Il faut donc conclure que la localisation excl
s et la maladie de Paget, en aboutissant à la conclusion que SUR UN CAS DE MALADIE DE PAGET A LOCALISATION CEPHALIQUE 283
une forme tardive ou ultratardive de syphilis héréditaire. Dans les cas , et ceux-ci constituent le plus grand nombre, o
t nous permettre de déceler dans le sérum du sang et; dans certains cas , dans le liquide céphalo-rachidien des malades, l
e la syphilis héréditaire. Or, cette réaction nous a donné, dans le cas actuel, un résultat complètement négatif en dém
ogé- nique : nous engageons donc tous ceux qui ont sous la main des cas d'ostéite déformante de Paget, leur appliquer l
s occupe On peut eependan ta ffinner dès maintenant, que dans notre cas la réaction de Wassermann ayant été complètemen
sclérose des artères nourricières des os. Evidemment, si dans notre cas on voulait se ranger à la théorie nerveuse, on
arinesco, L. Lévy, Hudelo et Heltz, Ñledea Da Fano), dans plusieurs cas , ont rencontré des altérations plus ou moins im
cérébrales (hémorragies, ramollisse- ments) qui sont, dans certains cas , capables d'amener des troubles tro- phiques. E
et aussi variées qu'elles puissent être, n'arrivent jamais, en des cas pa- reils, à produire des altérations osseuses
ivement éclairée,mais que très vraisemblablement la patholo- SUR UN CAS DE MALADIE DE PAGET A LOCALISATION CÉPHALIQUE 285
et. Thèse de Paris, 1904. Klippel et PII ! HR6 VVeil. A propos d'un cas d'ostéite déformante. La palhogénie de la malad
phie de la Salpêtrière, n° 1, 1909. Pescarolo et Bertolotti. Sur un cas d'ostéite déformante de Paget. Nouvelle Icono-
;ngelstedt, lesquels font déjà, dans leurs monographies, mention de cas de syphilis cérébrale s'étant développée dans u
me nerveux central, la- quelle, selon lui, atteindrait le quart des cas . Naunyn, en se basant sur 45 cas qui lui appart
elon lui, atteindrait le quart des cas. Naunyn, en se basant sur 45 cas qui lui appartiennent et sur 290 autres cas recue
yn, en se basant sur 45 cas qui lui appartiennent et sur 290 autres cas recueillis dans la lit- térature du sujet, en a
on apparurent entre 3 et 18 mois après le syphilome initial. Sur 40 cas de syphilis cérébrale cités par Rumpf, 9 se dével
observa déjà dans les deux premières années après l'in- fection des cas de paralysie des nerfs cérébraux, d'ophtalmoplégi
c, lequel a recueilli une statistique qui démontre également que le cas du développement d'une affection syphilitique du
le par affection syphilitique des vaisseaux. Jolly fit connaître le cas d'un malade, qui déjà huit mois après la conta-
pli courbe, du précoin et du coin. Althaus a fait connaître deux cas , dans l'un desquels, huit mois après la contagi
ois après la contagion, une hémiplégie était apparue ; dans l'autre cas , trois mois à peine après l'infection, il s'éta
u auquel participaient également les vais- seaux. Pick raconte le cas d'un homme de 58 ans, chez lequel', six mois aprè
euse de la surface antérieure du pont de Varole. Brasch rapporte le cas d'un homme de 43 ans, chez lequel, déjà un mois
yramidales. Gros et Lancereaux (Obs. 86) décrivent,entre autres, le cas d'un homme qui contracta la maladie contagieuse
sur la syphilis cérébrale précoce et maligne, rapporte (Beob. I) le cas d'un homme de 50 ans, lequel, neuf mois après l
travail plus récent sur le même sujet, fit con- naître trois autres cas de syphilis cérébrale précoce et maligne, observé
vrite con- sécutive du nerf facial de droite. Charvet rapporte le cas d'une femme de 22 ans qui présenta le syphi- lo
l'artérite sclérotique syphilitique. Finkelnburg fit connaître le cas d'un homme de 43 ans, ayant une tare héréditair
de Varole. Outre Mingazzini, Panichi a aussi publié en Italie deux cas de syphilis cérébrale précoce et maligne. Le pr
eux cas de syphilis cérébrale précoce et maligne. Le premier de ces cas regarde un homme de 27 ans, alcoolique, qui deu
ues à gauche et du pôle temporal du même côté. - Suchy raconte le cas d'un hussard, lequel, en juin 1904, contracta un
é z1909) sur la syphilis du système nerveux, rapporte (Beob. 46) le cas d'un officier su- balterne de 54 ans chez leque
érite el nne phléhosclérose. 292 COSTANTINI Ayant ainsi parlé des cas de syphilis cérébrale précoce et maligne fournis
ournis de données anatomopathologiques, je résumerai brièvement les cas obser- vés seulement durant la vie des sujets.
durant la vie des sujets. Gilles de la Tourette a fait connaître le cas d'une syphilis très diffuse et grave des méning
stée deux mois après la contagion. LannoisetFournier racontent le cas d'une femme de 31 ans n'ayant pas d'hérédité né
un peu. Lydston communiqua à la Société de médecine américaine les cas sui- vants : 1° Femme de 22 ans, frappée de c
ralysie s'améliora seulement en partie. Gros et Lanceraux, outre le cas déjà cité plus haut, rapportent les deux observ
Après une cure spécifique, son état s'améliora. Ménétrier décrit le cas d'un nomme de 26 ans qui, deux mois après l'inf
s, il guérit complètement. Gaikiewicz raconte (obs. VI et XXIII) le cas de deux hommes de 30 ans chez lesquels se dével
an après la conta- gion syphilitique. Il raconte aussi un troisième cas (obs. XXV) dans lequel un homme de 28 ans fut,
uite d'énergiques frictions mercurielles. Mendel fit connaître le cas d'un étudiant de 19 ans qui fut frappé d'une hé
tômes de l'in- fection syphilitique. Le même auteur décrit un autre cas concernant un homme de 60 ans, chez lequel, deu
, le patient guérit complètement. Iusclltschenko rapporte les trois cas suivants : 1° Homme de 34 ans sans hérédité név
zini, dans son premier travail, déjà cité, fit connaître encore les cas suivants : 1° (Beob. 111).- Homme de 24. ans,sa
ésultats et sur la cure. Il y a quelques années, Kreibich publia un cas de syphilis cérébrale, dans lequel les premiers
datait que de peu. L'année dernière, Castaguary a fait connaître le cas d'un homme de 44 ans lequel, quatre mois après
observations personnelles. La première (Beob. 45) se rapporte à un cas de méningite basilaire syphilitique dont les symp
eu moi-même l'occasion d'observer à l'Asile des aliénés de Rome un cas de syphilis cérébrale qui s'était développée quat
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 295 puleuse diffuse. Un second cas d'hémiplégie syphilitique qui s'était ma- nifes
patient mourut quelques mois après. Il s'agit donc dans les deux cas d'une syphilis cérébrale grave, qui s'était dév
s'était développée déjà dans la période secondaire; dans le premier cas , quatre mois à peine après l'apparition de la s
s à peine après l'apparition de la sclérose initiale ; dans le second cas , quatorze mois après. Il me paraît superflu de
après. Il me paraît superflu de devoir démontrer que dans les deux cas il s'agissait réellement de syphilis et selon tou
tômes sous l'action d'une cure spécifique, et aussi dans le premier cas la lymphocytose intense et la réaction de Wasserm
de rechercher les facteurs écologiques possibles qui, dans les deux cas , ontdonné le caractère de pré- cocité et de mal
e sujet. Lui, d'un autre côté, examinant minutieusement de nombreux cas de-syphilis cérébrale de formes diverses (artérit
e héré- ditaire certaine,névropathique ou psychopa Inique : Sur 185 cas de syphilis cérébrale, spinale et cérébro-spina
tare, l'existencede celle-ci était démontrée seulement 26 fois. Les cas de syph il is céréhrale précoce et maligne publié
ous auto- risent pas à formuler une conclusion dont on puisse faire cas , parce que dans la plupart d'entre eux il n'exi
édité névropathique. Celle hérédité existait sûrement dans mes deux cas , plus grave dans le premier, moins grave dans l
qui regarde l'âge auquel cette forme se développe, de l'examen des cas que j'ai recueillis dans la littérature, on dédui
des cas que j'ai recueillis dans la littérature, on déduit que sur 37 cas , y compris les miens, de syphilis cérébrale pré
on- naît l'âge, le développement de l'affection se manifesta dans 4 cas de 10 à 20 ans ; dans 17, de 20 à 30 ans ; dans
. C'est donc avec raison que Mingaz- zini affirme que la moitié des cas de syphilis cérébrale précoce et maligne se dév
ar rapport à l'époque de l'infection, on considère la mortalité des cas . Les faits démontrent que, bien qu'un dénouement
el fut contractée la syphilis était plus avancé. En considérant les cas ci-dessus rapportés, on voit que, dans plus de
es cas ci-dessus rapportés, on voit que, dans plus de la moitié des cas examinés, on eut ce dénouement fatal lorsque la
rmé déjà d'autres auteurs, comme Mingazzini lui-même, qui, dans les cas ayant eu un dénouement mortel, fait osciller le
syphilis fut prise, un des facteurs principaux de la gravité de son cas ; comme Dutheil, qui re- connaît dans l'âge adu
vec les vues de Naunyn, qui, d'après l'analyse d'un grand nombre de cas , a con- clu que l'infection syphilitique prise
e non moins important, car souvent on trouve, dans l'anamnésie, des cas ayant les caractères de cette forme, c'est-à-dire
ns nous donnent la raison d'un autre fait qui émane de l'examen des cas résumés plus haut, et qui a déjà été remarqué O
, lljelmann, Lsehr, et en 1902 par Henneberg, qui s'appuyait sur un cas étudié aussi au point de vue de l'anatomie. Plu
de son Traité sur la syphilis du système nerveux, il rapporte deux cas qui lui appartien- nent dans lesquels l'apparit
es cérébraux avait été précé- dée d'un choc traumatique. Le premier cas (Beob. 63) regarde une comédienne de 31 ans soi
aquelle l'occiput avait battu contre l'angle d'une table. Le second cas (Beob. 64) se rapporte à un ouvrier chez qui, t
t ni ne retarde les affections métasyphilitiques, que même dans des cas mal soignés, de telles affections se manifestèren
un traitement insuffisant. Schuster a rédigé une statistique de il) cas de syphilis cérébro-spinale avec syphilis déclaré
s cérébro-spinale avec syphilis déclarée dans l'anamnésie, et de 24 cas dans lesquels, ou bien l'infection syphili- tiq
il a vu que cette période est en moyenne de 10 à 11 ans dans les 76 cas , qu'il eût été fait ou non un traitement spécif
as, qu'il eût été fait ou non un traitement spécifique; dans les 24 cas dans lesquels l'infection syphili- tique ne se
était de 12 ans, c'est-à-dire un temps plus long même que celui des cas soignés. Aussi en se basant sur ces résultats,
système nerveux central ont naturellement tenu compte seulement des cas dans lesquels une infection syphilitique, soignée
litique du système nerveux central. Mais que savons-nous des autres cas d'infection syphilitique, soignés ou non, et qui
serait toujours sans réponse sur la question de savoir si dans des cas traités et non suivis d'une affection syphiliti
a syphilis cérébrale précoce et maligne, dans laquelle, de nombreux cas , y compris les miens, démontrent que, malgré une
malade à la mort. Cette malignité se retrouve par exemple dans les cas de Pick, de Jolly, de Brasch, dans les le, et I
, et Il,, de Mingazzini et dans les miens mêmes. Dans'mon pre- mier cas , en effet, la céphalée, les douleurs ostéocopes,
on tombe quand on considère la marche de la maladie dans mon second cas . Là, le patient, frappé de douleurs ostéocopes
déjà produit des lésions irréparables comme les ramollissements (lie cas de Mingazzini, cas de Lannois et de Fournier, e
ions irréparables comme les ramollissements (lie cas de Mingazzini, cas de Lannois et de Fournier, etc.), la cure spécifi
par cette infection à cause de l'immunisation qui manquerait en ce cas -là. De tout ce que j'ai exposé jusqu'ici, il re
que j'ai exposé jusqu'ici, il ressort donc clairement que, dans mes cas , les moments étiologiques que l'on peut incrimine
oments étiologiques que l'on peut incriminer sont : dans le premier cas , la tare héréditaire névropathique, l'alcoolisme
moments étiologiques sont beaucoup moins manifestes dans le second cas . Là, on peut accuser la tare héréditaire névrop
veloppement d'une forme si maligne. L'on devrait peut-être, dans ce cas , prendre en considération, comme dans d'autres
ut-être, dans ce cas, prendre en considération, comme dans d'autres cas , la virulence plus grande de l'agent syphilitique
à aussi une hypothèse qui a encore besoin d'être démon- trée. Ces cas enseignent donc que la lare héréditaire grave, l'
malade était, cliniquement, guérie depuis 39 ans, dans l'un de ces cas , qui est donc tout particulièrement favorable à l
erveuse L'un de nous a présenté ici même, le rachis et la moelle du cas cliniquement guéri depuis 39 ans, et résumait ain
e par la saillie osseuse sur sa face antérieure, dans notre premier cas , n'en a pas altéré la structure. Pour que les l
compression médullaire par éperon osseux : très évidente dans deux cas , et ne déterminant, dans le troisième qu'une légè
rer la solidité du rachis, car il n'en existe pas trace dans les deux cas actuels, et l'un de nous les a vainement cherch
ion 1, au bout de 39 ans, est-elle bien incomplète. Dans les deux cas , nous trouvons, autour de l'ulcération tuberculeu
ses sont atteintes d'un léger degré d'ostéoporose. Dans le deuxième cas , où les lésions sont encore en activité, chez un
sacrée, surtout au centre, dans la substance grise. Résumé. Dans ce cas les douleurs furent le premier symptôme. Elles
se. Elles ont pu se produire même après l'opération (comme c'est le cas dans l'hématomyé- lie). Le tissu médullaire mod
des vaisseaux est évidente surtout du côté dorsal de la moelle. Le cas présent n'était pas difficile à diagnostiquer. Le
n le 11''arc vertébral sans trouver le néoplasme. L'autopsie (1) Ce cas fut publié en 1905 dans la « 'ed1lcina » par moi
lymphatiques ne présentent pas un élargisse- ment évident. Dans ce cas les troubles circulatoires consistaient en une st
d'entre eux ait disparu. - En résumé nous pouvons dire que dans ce cas il s'agissait, d'une lésion des fibres nerveuse
plus considérable que celle de la flexion dorsale, mais dans les deux cas elle est très petite. Aux mouvements répétés, l
us considérables du même côté gauche et non du droit comme c'est le cas dans le type de Brown-Séquard. Mais nous savons q
des cellules gra- nuleuses. En résumé nous avons constaté dans le cas précité un amincissement considérable de la moe
des vaisseaux). La conclusion générale qui se laisse déduire de ce cas est la suivante : une compression même très acc
dérables du tissu médullaire. Il est donc possible que même dans le cas présent si peu favorable à la restitution au pr
produire si l'opération avait été réussie. Observation XVII. Le cas concerne une tumeur (le malade Bl.) de la moelle
ure-mère dans la région cervicale. J'ai eu l'occasion d'examiner ce cas , grâce à la bienveillance du professeur Gold- s
e de la moelle. Les cloisons ne sont pas épaissies comme c'était le cas plus haut. Les. racines médullaires sont pour la
oelle épinière de la colonne vertébrale Il est possible que dans ce cas la moelle soit plus fragile. Les coupes colorée
seaux sont dilatés, gorgés du sang.Pas de signes d'inflammation. Ce cas est donc,au point de vue analomo-palhologique,un
flammation. Ce cas est donc,au point de vue analomo-palhologique,un cas assez rare d'endothéliome extramédullaire. Quoi
aussi adhérente aux méninges molles (du côté de la moelle). Dans ce cas égale- ment nous pouvions constater une dispari
meur est un neuro- fibrangioma cavernoso-venosum. Résumé. Dans ce cas , il s'agit d'une femme de 44 ans, qui a ressenti
L'examen microscopique de la tumeur démontra qu'il s'agissait d'un cas très rare de tumeur extramédullaire, d'un neuro
urs et dans le latéral gauche. A côté de cela on a constaté dans ce cas une dégénérescence secondaire bien accentuée, l
côté de la tumeur) légèrement dégénérées. Résumé. Il s'agit dans ce cas d'un malade de 49 ans qui a ressenti au début d
ales. Nulle part on ne cons- tatait de lésions inflammatoires. Ce cas était assez facile à diagnostiquer. Le tableau cl
ra l'existence d'une tumeur au dehors de la dure- mère. - Dans ce cas également les lésions de la moelle même étaient m
une struc- ture analogue à celle observée dans les IXe, Xe et XII° cas , On y constatait beaucoup de mailles larges et
c'est un état pathologique). Nous avons posé le diagnostic dans ce cas de syphilis cérébrale. Pen- dant le dernier séj
nt des douleurs, mais aussi de la compression de la moelle. En tout cas , cette observation nous prouve évidemment que l
e de la moelle. Par conséquent, nous sommes en présence d'un de ces cas rares où la gomme se trouve dans la moelle même (
des lésions profondes et bien caractéristiques de la syphilis. Ce cas nous montra aussi combien minime est parfois l'in
sistèrent dans le cerveau et la moelle. Il va sans dire que dans le cas présent on ne pouvait pas intervenir chirurgicale
volution frontale ascendante qui fut excisée par r : Kranse dans un cas d'épilepsie jacsonienne. L'excitation faradique
se quatre millimètres mais il n'est pas exceptionnel de trouver des cas oùelle descend au-dessous de trois. La frontale a
la plus grande épaisseur et le type 3 la moindre. Cependant sur 30 cas de mensuration des trois types de la pariétale
une fois que le type 3 était plus large que le type 2. Dans un autre cas le type 2 dépassait en largeur le type 1. La mo
nd j'ai exposé le résultat de l'examen de l'écorce motrice dans six cas de lé-' sions de la capsule interne. J'ai const
interne de Berlin (5), où j.'ai montré des coupes de cerveaux d'un cas de lésion du pédoncule cérébral, de six cas de co
coupes de cerveaux d'un cas de lésion du pédoncule cérébral, de six cas de compression de la moelle et d'un cas de sclé
pédoncule cérébral, de six cas de compression de la moelle et d'un cas de sclérose latérale al1lyotrophique. Dans tous c
oelle et d'un cas de sclérose latérale al1lyotrophique. Dans tous ces cas j'ai constaté des lésions des cellules de Betz.
rri- vaient jusqu'à la disparition complète de ces cellules dans le cas de sclérose latérale amyotrophique. Sano (6)
s de sclérose latérale amyotrophique. Sano (6) a trouvé dans deux cas de paraplégie, avec altération de la (1) G. Mar
ette occasion sur le profit qu'on pourrait tirer de l'étude de tels cas pour les localisations motrices cérébrales. Mes
arhon et Goldstein (1) ont publié le résultat de l'examen de quatre cas d'hémiplégie capsulaire et trois de paraplégie, p
s depuis 5 jusqu'à 157 jours après l'opération, ainsi que dans deux cas humains, qui ont survécu respectivement 108 et
pourraient être dues aux altérations vasculaires. 1 Dans un autre cas , chez un hémiplégique chez lequel ils ont trouvé
a théorie du rôle moteur des cellules de Betz. En effet, il y a des cas de celte maladie où on a pu suivre la dégénéres-
au pyramidal delà moelle sacrée jusqu'à l'écorce cérébrale. De tels cas ont été publiés par Kojewnikoff (1), Char- (1)
els cas ont été publiés par Kojewnikoff (1), Char- (1) KOJKWNIKOFF, Cas de sclérose latérale amyotrophique, la dégénéresc
éantes du lobule paracentral et de la frontale ascendante dans deux cas de sclérose latérale amyotrophi- que. Depuis, d
oussy (14) ont publié des mémoires successifs sur l'étude de quatre cas de sclérose laté- rale amyotrophique, dans lesq
nt servi pour délimiter la zone (1) CHARCOT et Marie. Deux nouveaux cas de sclérose latérale amyotrophique suivis d'aut
en. Wien, CXII, 1903, p. 683. (8) F. X. Dercum et W. G. SPILLER. Un cas de sclérose latérale amyotrophique, présentant
of nervous and mental disease, 899, no 2, p. 85. W. G. Spiller. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec la dégéné
i pat. nerv. c. ment. 1902, n 10. (14) Italo Rossi et G. Roussy. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec dégé- n
e à l'élude des localisations motrices corticales à propos de trois cas de sclérose latérale amyotrophique. Revue Neurolo
e et deuxième frontale participent également à la zone motrice. Les cas les plus récents viennent de confir- mer ces co
nt de confir- mer ces constatations. Ainsi Janssens (t) a publié un cas typique de sclé- rose latérale amyotrophique da
les) se limitent à la frontale ascendante. Schrôder (2), dans trois cas , trouve des lésions des cellules de Betz se limit
ramides géantes sont disparues. Il faut remarquer que dans tous ces cas les phénomènes bulbaires étaient très accusés.
venir sur cette question et m'ont déterminé à examiner les nombreux cas anatomo-pathologiques dont je dispose à présent
vec les cellules géantes de la zone motrice. J'ai groupé tous ces cas de la manière suivante : - - A. Hémiplégies cap
nte : - - A. Hémiplégies capsulaires. J'ai eu à ma disposition 20 cas d'hémiplégie où la lésion datait depuis 9 jours
a lésion datait depuis 9 jours jusqu'à 7 ans ; sauf dans le premier cas où un foyer cortical pro- fond détruisait égale
cellules sous-granulaires du type 5. 1), - '1)·pes 1, 2, 3 et 5 du cas Cosma S. Sclérose latérale amyotrophique; persist
alement disparu. Si nous comparons les données obtenues dans ces 20 cas d'hémiplégie résiduelle nous voyons que la réac
dantes. Si nous comparons ces résultats avec ceux observés dans les cas d'hémi- plégie, nous voyons, qu'en dehors des r
- sions de la capsule interne, on constate encore que dans certains cas de paralysie pseudo-bulbaire les lésions cellul
cendantes. Ces lésions 392 MARINESCO sontplus manifestes dans les cas où les symptômes pseudo-bulbaires sont plus acc
les cellules géantes de la zone motrice corticale. En comparant ce cas avec ceux de sclérose latérale amyotrophique, nou
'ailleurs je reviendrai sur cette question en publiant en détail ce cas . L'examen de tous ces cas ainsi que les conclus
cette question en publiant en détail ce cas. L'examen de tous ces cas ainsi que les conclusions des différents travaux
ortion tout à'fait supérieure des frontales ascen- dantes. Dans les cas d'hémiplégies d'origine cérébrale, où le membre s
e pseudo-bulbaires. Les foyers destruc- tifs dans la-plupart de mes cas siégeaient dans les noyaux lenticulaires, ce qu
- pond assez bien à la distribution des pyramides géantes. Dans ces cas j'ai encore observé que les lésions sont moins
les paracentraux que dans le reste de la zone motrice. Or, dans mes cas , et en général, dans les cas de sclérose latéra
reste de la zone motrice. Or, dans mes cas, et en général, dans les cas de sclérose latérale amyotrophique avec troubles
laquelle correspond aux mouvements de la main, zone excisée dans le cas de Brodmann, les cellules de Betz sont situées da
eill (3) rame- nant l'attention sur cette question, je réunis ici 6 cas nouveaux ; et d'un de leurs groupes, je rapproc
vasculaires peuvent être des naevi-névrites (j'en avais montré des cas ), de même que les nævi pigmentaires peuvent êtr
La première catégorie, naevi-vascularites, comprendrait d'abord des cas à localisation banale, dus par exemple à une simp
e nerveuse appréciable. Il affirme ne connaître dans sa famille nul cas semblable au sien. Naevi multiples, pigmentaire
nt dans la zone intermé- diaire des anastomoses avec ses voisins. Cas . III. Nævus-névrite sur le trajet du 81 nerf inte
Noevus-néorite du 10e nerf intercostal gauche, pigmentaire plan. Du cas précédent nous rapprochons le suivant, déjà publi
ale et la jeune fille ne connaît aucune anomalie dans sa famille. Cas . VI. Naevus-myélite segmentaire symétrique du tho
, âgée de 19 ans, est bien constituée. Pas trace de syphilis. Aucun cas analogue dans la famille. Tuberculose- pulmonai
'appartient, en somme.malgré ses caractères très par- ticuliers, le cas fort remarquable suivant, que j'ai observé avec m
t, que j'ai observé avec mon col- lègue M. le professeur Vautrin. Cas . VU. lVxvus fissuraire pigmentaire et verruqueux,
ostal, par exemple, recouvre en partie celui du 2e et du 4e. De ces cas rapprochons les deux naevi des branches récurrent
sorte qu'une portion seulement du nerf paraît intéressée ; c'est le cas notamment pour les branches anté- rieures des i
du tronc. Cette topographie en bande horizontale s'écarte, en tout cas , com- plètement de celle du type névritique, tr
t se manifester en pathologie dans certaines malformations, dont le cas le plus remarquable,absolument schématique, me
appartiennent- ils au système du grand sympathique ? Autopsie d'un cas de neuro-fibromatose. Réu- nion biologique de N
action trophi- que déséquilibrée, d'où le naevus cutané. Et dans ce cas , le noevus se ré. partira sur. le territoire du
lulo-névritique, les conditions pathogéniques varient. Le premier cas ne peut se produire que lorsque le contact est dé
point de départ de la différenciation, pourront être dans certains cas le siège électif du trouble trophique. Ainsi
le de l'obser- vation VII du présent mémoire, et aux quelques rares cas publiés, no- tamment, par Plil ippson, Paterson
e est, on peut le dire, des plus restreintes. S'il est vrai que les cas jusqu'ici pu- bliés atteignent (ou ne dépassent
re. Je pense donc qu'il y a un certain intérêt à faire connaître un cas récent, qu'il m'a été donné d'étudier à la clin
ique des maladies nerveuses, dirigée par le Professeur Mingazzini : cas qui, par son cours particulier, offre matière à
e symptomatologie fait facilement exclure la pensée que, dans notre cas , il puisse s'agir d'une sclérose en plaques, ou d
sur les arthropathies ta- bétiques de la colonne vertébrale. Les cas d'arthropathies labéliques des vertèbres se divis
n radiographique de la colonne vertébrale. Pour ce.qui concerne les cas du premier groupe, qui sont du reste plus nombr
mnestique dont nous connaissons tous le ca- ractère trompeur. Les cas appuyés de l'examen anatomique sont au contraire
altérations des vertèbres. Le mérite d'avoir étudié de semblables cas appartient principalement à G. Petit (1), à B.
ne exacte description des alté- rations qu'il a rencontrées dans un cas d'arthropathie tabétique : altéra- tions qui pe
diagnostic d'arthropathie tahétique de la colonne vertébrale. Les cas de semblables lésions des vertèbres, présentées a
té dans le liavail de Roasenda. A cette catégorie appartiennent les cas de Iloflaner (4), de Frank (5), de Baduel (6), de
3° et de la live, c'est-à-dire qu'ils avaient le même siège que le cas décrit par Abadie : et dans toutes, on a pu obs
affections, puisque, comme nous l'avons vu, la presque totalité des cas décrits par les auteurs est à la charge des ver
ut le tronc. En outre, il convient de l'aire remarquer que, dans le cas par nous exposé, on rencontre, grâce à la radiogr
appréciable. - Il ne me semble pas que l'on puisse tirer de notre cas des conclusions spéciales relativement à l'époq
-4 à 10-12 ans et plus après le commen- cement du tabes (dans notre cas , environ 12 ans). Je crois au contraire intéres
correspondant aux vertèbres malades ? Car si, dans la majorité des cas rapportés par les auteurs, il n'est pas fait me
on de la colonne vertébrale, il n'en est pas moins vrai que dans le cas par eux étudié, Lejonne et Gougerol parlent de
raient ensuite disparu. Je crois nécessaire de terminer l'exposé du cas par moi observé, en fai- sant remarquer que les
rbelsaule. Deutsche med. Woch., 1903, n. 32. 9. Roasenda. Sur .un cas d'ostéo-arthropathie tabétique de la colonne vert
ées, Fish, Klippel etMonier-Vinard, Achard.en ont rapporté quelques cas . Dans certaines observations de trophoedème, on
t donc pas ici de trophedème familial. ' Les particularités de ce cas portent surtout sur la localisation du tro- pho
cissement est de 15 millimètres. - Dans la famille il n'y a aucun cas de malformation digitale, pas plus que d'anomal
dès lors en suivre le développement. J. Sternberg (3) a rapporté un cas de brachymélie V - métacarpienne droite. Il s'a
t pas d'affirmer la réalité du fait. Kirmisson (1) figure encore un cas de brachzdactyliede l'auriculaire droit chez un
ÉBRALE - - [Suite) PAR Edouard FLATAU Observation X X J. Ce^ cas a déjà été décrit en détail dans une étude faite
Contribution au traitement chirurgical des tumeurs médullaires (un cas de tumeur médullaire opérée avec un bon résultat)
sensibilité douloureuse est affaiblie dans les mêmes régions (1) Ce cas rare de chromatophorome de la moelle épinière ser
MOELLE ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 463 En résumé, dans ce cas la maladie a évolué en 3 ans. Au début elle pro-
fection. Cystite. Le malade est mort 5 mois après l'opération. Ce cas était au début très difficile à diagnostiquer. On
données pour supposer l'existence d'une tumeur intramédullaire. Ce cas nous montre encore 464 FLATAU une fois combie
achidien au cours de l'opération. La description délai liée de ce cas sera faite par les docteurs que nous avons nomm
; nous attirons ici seulement l'attention sur l'ex- trême rareté de cas semblables. On ne trouve guère dans les écrits
trouve guère dans les écrits des auteurs jusqu'à l'année 1908 qu'un cas analogue de chromatophorome intramédullaire, décr
e un des symptômes essentiels, même en prenant en considération les cas indolores dont nous parlerons ci-dessus. On peu
membres. Parfois on note les douleurs en ceinture. Dans cer- tains cas les douleurs siégeaient dans des régions tout à f
fait imprévues, ainsi par exemple dans la région du caecum (dans le cas de Quanté où la tumeur extradurale parcourait d
arcourait depuis la Xe vertèbre jusqu'à la IIe tom- baire). Dans le cas de Starr (fibrome dans la moelle dorsale supérieu
ut insister sur deux points d'une importance énorme : 1° il y a des cas où ces douleurs sont très faibles ou même tout à
édul laires comprimés par la tumeur. Il existe toute une série de cas où les douleurs étaient tout à fait ab- sentes
, \XI11 31 466 FLATAU Nonne, Stursberg), ce qui arrive dans les cas où la tumeur siège en avant ou sur la ligne méd
ù la tumeur siège en avant ou sur la ligne médiane. Dans certains cas les douleurs étaient tellement faibles qu'elles c
rtant la douleur primitive est apparue dans le pied gauche. Dans un cas décrit par Ilamson Thompson (un sarcome extra-d
sale moyenne, les douleurs, principalement dans les jambes. Dans le cas de Heilbronner également les douleurs irradiaie
e trouvât entre les VIe et VU* paires des racines dorsales. Dans le cas d'Abraham- son la tumeur correspondait au VII"
urs irradiaient dans le sens ascendant ; ainsi par exemple dans VIe cas précité d'Oppenheim, elles siégeaient même au n
a voie de la projection périphérique des douleurs). Dans certains cas , les douleurs elles paresthésies changent souvent
EBRALE 467 quelques années avant les symptômes médullaires. Dans le cas décrit par Chavigny, les doreurs étaient apparu
es phénomènes médullaires. On observe la même particularité dans le cas d'Oppenheim et Krause. Gowers en parle dans un de
'Oppenheim et Krause. Gowers en parle dans un de ses écrits Dans le cas de Schmoll (tumeur de la queue du cheval) les dou
duisant pendant la défécation et irradiant dans les jambes. Dans le cas de Raymond ces douleurs constituèrent pendant 8 a
t pasd'inlervenir. Mais, comme nous l'avons déjà dit, dans certains cas les douleurs restent 'longtemps l'unique symptô
estent 'longtemps l'unique symptôme morbide. Oppenheim a observé un cas où elles durèrent 2 ans et demi et ce n'est qu'
du côté gauche avec modification de la réaction électrique. Dans un cas de Schultze ce stade dura 3 ans. Les douleurs
espaces de temps et il faut prendre cela en considération. Dans le cas de Klieneberger (tumeur de la queue de che- val
ans, puis réapparaissaient et de nouveau disparaissaient. Dans le 11, cas de Schultze (travail de 1903) les douleurs dura
douleurs duraient 7 ans, la rémission était de 2 ans, dans son IVe cas , les douleurs étaient très fortes au début puis
tômes peuvent dnrer très long- temps. Ainsi par exemple dans le VIe cas de Schultze elles ont duré 16 ans avant l'opéra
cor- respondant'aux racines postérieures comprimées. Dans quelques cas pour- tant ce symptôme manquait complètement No
(atrophie musculaire). Cette dernière est surtout évidente dans les cas de tumeurs de la région cervico-dorsale ou lombo-
hiés ne présentent pas de troubles de réaction électrique. Dans nos cas il n'y avait pas de symptômes d'atrophie bien acc
scles des mains dépen- daient de l'irritation radiculaire. Outre ce cas les contractions étaient d'origine médullaire.
raideur de la nuque et du cou, qu'on observait quelquefois dans les cas des tumeurs cervicales ou cervico-dorsales (Cha
ai- deur de la portion inférieure de la colonne vertébrale dans les cas de tumeurs de la queue de cheval (Rehn-Laquer,
tic. D'après la théorie ce type devrait prendre place dans tous les cas d'une tumeur médullaire, puisqu'elle comprime d
tre les moteurs du type Brown-Séquard. Il existe toute une série de cas où ce syndrome ne se retrouve pas, malgré la lo
malgré la localisation unilatérale de la tumeur (par exemple dans le cas de Schultze, Auèrbacir-Brodnitz, Heilbronner et
le cas de Schultze, Auèrbacir-Brodnitz, Heilbronner et dans le XXIe cas ci-des- sus décrit); dans nos XVIe et XXIO cas
nner et dans le XXIe cas ci-des- sus décrit); dans nos XVIe et XXIO cas nous avons observé un phénomène étrange : l'aff
et Heilbronner ont observé un phénomène analo- gue. Dans notre XXIe cas le syndrome de Brown-Séquard n'a pu être consta
apparaît quelquefois comme une zone hyper-sensible). Dans quelques cas rares on a constaté des trou- bles de la dissoc
rs crois- sant, allant jusqu'à la paralysie complète. Dans quelques cas on a pu noter un affaiblissement graduel qui to
de l'abolition 470 FLATAU , des peauciers. On a noté pourtant des cas où il yaaituneitypotonie à côté de réflexes ten
inski malgré le caractère spastique de la paralysie (Oppenheim, VIe cas ). Quand la moelle épinière est lésée transversa
n'entrent en jeu que plus tard dans le cours de la maladie. Dans le cas de Heilbronner on n'a pas pu consta- ter ces tr
ubles malgré la paralysie des membres inférieurs ! De même clan, le cas de Koster ce ? troubles ont apparu très tard. Dan
lan, le cas de Koster ce ? troubles ont apparu très tard. Dans le VIe cas de Schultze ()903) les troubles du côté de la v
ent ,'par suite d'une excitation de longue» \oies motrices. Dans le cas des contractions doulou- reuses il faut prendre
modératrices venant du cerveau il la 1110ellc épinièrc. Dans des cas exceptionnels on a constaté des troubles vasomote
econd jour ; cette douleur dispa- raît même parfois entièrement. Le cas de Rester est intéressant sous ce rapport : la
ée dans la Ve, enfin dans la Ille vertèbre. Dans un bon nombre de cas , on n'a pas pu trouver la colonne verté- brale
ion de la part du médecin. Nous avons pu noter ce symptôme dans les cas où il n'y avait pas de tumeurs. (la sclérose en
(la sclérose en plaque par exemple). Henneberg l'a observé dans un cas de myélite funiculaire et Pfeiffer, dans la myé
les vertèbres qui joue un rôle dans le diagnostic. Dans quelques cas de tumeurs intra et extramédullaires on a eu affa
s on a eu affaire aux symptômes bulbaires, c'était surtout dans les cas où la tumeur sié- geait dans la moelle cervical
s. Cette supposition devient plus probable quand on se rappelle des cas où il existait des symptômes bulbaires et après l
quoique là aussi peuvent exis- ter des exceptions. On a décrit des cas de tumeurs méningées où la durée était courte e
ngées où la durée était courte et l'aggravation rapide. Dans le IVe cas d'Oppenheim, après les 2 mois 3/4 des parestbés
ide affaiblissement des jambes et des troubles uri- naires. Dans le cas décrit il n'y a pas longtemps par Schultze (1908)
et la malade ne pouvait plus ni marcher ni rester debout I Dans un cas de Stertz la durée entière de la maladie (jus-
s deux membres inférieurs sont devenus immobiles. Puis dans le même cas est apparue une amélio- ration spontanée, après
richesse de combinaisons cliniques facilitera le diagnostic dans les cas un peu compliqués. A côté des symptômes rares e
me particulièrement importante l'observation faite dans beaucoup de cas où l'on supposait faussement la carie vertébrale
on (Oppenheim, Quante et d'autres). Il est vrai que dans cer- tains cas de carie vertébrale les malades supportent assez
n ne voit pas une telle aggravation. Il faut encore men- tionner un cas d'Oppenheim et Krause (tumeur de la moelle dorsal
de Roentgen pour assurer le diagnostic. Ce n'est que dans quelques cas que cette méthode a donné des résultats valable
cas que cette méthode a donné des résultats valables, c'est dans le cas de Leyden-Bassenge (un sarcome dans la moitié g
dans une région quelcon- que du corps. Ainsi, par exemple, dans le cas de Bruns, le diagnostic fut facilité grâce à la
quide des cellules néoplasiques, c'était laplupart du temps dans le cas de sarcomatose des méninges (Si- card-Gy). Il n
n'est pourtant pas impossible d'avoir un résultat positif dans des cas d'autres tumeurs isolées. Klieneberger a attiré l
isolées. Klieneberger a attiré l'attention sur ce fait que dans son cas (une tumeur de la queue de cheval) le liquide cé-
tenait beaucoup de fibrine et des lymphocytes. Rindfleisch dans .un cas de sarcomatose diffuse des méninges trouva le l
un presque transparent avec des caillots incolores. Dans quelques cas , entre autre dans notre observation XXI, après la
aire (Oppenheim, Nonne). Les traits caractéristiques des différents cas dépendent du niveau où se trouve la tumeur. Lor
calisation des tumeurs, les symptômes oculaires étaient absents (le cas de Roux-Paviot ne présen- tait pas ces symptôme
(Oppen- heim décrit, il est vrai, des atrophies musculaires dans un cas où la tu- meur siégeait au niveau des VIIIe-IXe
t bien importants pour le diagnosticdiiréren- tiel dans beaucoup de cas . Mais souvent même ces symptômes ne suffisent p
la suite et ne pas revenir même pendant quelques années. Dans un cas décrit par Klieneberger la douleur a débuté par l
typique de la tu- meur de la queue de cheval a pris place (Dans ce cas le roentgenogramme a démontré une tache plus cl
par Bruns, Oppenheim, Stertz et d'autres. Bruns croit que, dans les cas où la tumeur intra-médullaire occupe une région
s prolongées et la durée plus longue de la maladie. Dans certains cas pourtant la durée est très courte, la mort survie
s ou de quelques mois (Lorenz, illoller, Nonne). Stertz a publié un cas de tumeur intra-médullaire qui dura 10 ans; Opp
ié un cas de tumeur intra-médullaire qui dura 10 ans; Oppenheim, un cas qui évolua pendant 8 ans. Dans, le cas de Pntnam
i dura 10 ans; Oppenheim, un cas qui évolua pendant 8 ans. Dans, le cas de Pntnam et Warren la maladie évolua pendant 1
ires les symptô- mes radiculaires sont moins prononcés (excepté les cas où la tumeur siège dans le voisinage des cornes
années), des douleurs radi- culaires, vertébrales (surtout dans les cas des tumeurs de la dure-mère), des phénomènes mo
ble que les phénomènes bulbaires apparaissent plus souvent dans les cas de tumeurs intra-médullaires que dans ceux de t
s intra-médullaires que dans ceux de tumeurs extra-médullaires (les cas de Schlesinger, Nonne, Fr. Schultze et d'autres
) ; ces douleurs sont même très intenses. Ainsi par exemple dans le cas de Glaser (angiosarcome central) sont apparues de
vent prendre la place domi- nante dans le tableau clinique. Dans un cas de Batten les douleurs ont duré 10 mois (tumeur
chement spinal de la sclérose en plaques. Outre cela on connaît des cas où cette maladie avait le type Brown-Séquard (B
u s'accompagnait d'accès de très fortes douleurs. Nonne a décrit un cas de sclérose en plaques où les accès douloureux at
douloureux atteignaient une grande intensité; il croit que dans des cas semblables les plaques très petites siègent dan
cines postérieures. J'ai eu l'occa- sion d'observer quelquefois des cas de sclérose en plaques du type spinal exclusive
n plaqnes avec les paralysies d'un côté seule- ment. Dans un de ces cas la malade se plaignait de fortes douleurs dans
epoussaient au second plan le tableau de la sclérose. Dans un autre cas nous avons constaté une vertèbre dor- sale doul
à la sclérose en plaques. Il faut encore ajouter que dans tous ces cas le fond de l'oeil ne présentait aucune lésion,
s dans les stades initiaux de la sclérose en plaques. Dans tous ces cas il n'y a autre chosè à faire que d'observer le
ution de la maladie ne progresse pas aussi rapi- dement que dans le cas de tumeur. Dans quelques cas la sclérose à marche
sse pas aussi rapi- dement que dans le cas de tumeur. Dans quelques cas la sclérose à marche chronique que nous avons p
uer l'anesthésie de cer- taines régions. Nous avons pu observer des cas où elle frappait une moitié du corps, par exemp
on de celte hypoesthésie en une anesthésie complète, comme c'est le cas assez souvent dans les stades avancés des tumeu
ilité douloureuse et thermique, beaucoup moins la tactile. Dans des cas rares nous avons pu noter le syndrome de Brown-
quard avec les douleurs radiculaires (Bruns). Boettiger a décrit un cas où le diagnostic de tumeur (les symptô- mes de
nd elle est accompagnée par la pachyméningite (Oppenheim). Dans ces cas on peut rencontrer les symptômes radiculaires,
s racines postérieures, l'absence de douleurs pénibles (excepté les cas où la pachyméningite s'ajoute à la syringomyélie)
affection, la méningite spinale séreuse. Il y a toute une série de cas décrits par Oppenheim, Krause, Saenger, Bruns,
ntet, où l'opération seule démontra l'erreur du diagnostic. Dans un cas diagnostiqué « tumeur des méninges», l'opération
ite d'une inflamma- lion des méninges molles.De même dans un de mes cas , où la maladie pré- sentait les caractères d'un
péré à Berlin, et la mort survint aussitôt après l'opération (le Xe cas du travail d'Oppenheim). La nature de cette mal
e ! ' et Martin. Schwartz, Schmidt et Schlesinger en ont décrit des cas égale- ment. En général cette question reste en
e peut présenter des formes atypiques d'inflammation des mé- (1) Ce cas fut décrit'par le Dr IIandelsman, Des dégénéresce
RALE 481 ninges (1). Dernièrement Raymond et Alquier ont décrit des cas analo- gues d'inflammations des (2) méninges de
stèmes combinés, les affections fonctionnelles. Il y a pourtant des cas de myélites transverses (Pfeifer) et d'arachnite
ni8re, et alors le diagnostic est bien difficile. Il a été observé un cas où des tumeurs multiples n'ont présenté des sym
neurologistes les plus éminents restent souvent indécis devant les cas difficiles. Comme exemple frappant sous ce rapp
ite ou de la tumeur. Oppenheim mentionne dans la description de son cas qu'Erb ne pouvait pas se décider à choisir entr
a de deux côtés ou - du côté de la tumeur seulement). Dans d'autres cas (obs. XVIII) ces lésions étaient moins prononcé
, etc. Les lésions histologiques observées le plus souvent dans les cas préci- tés consistaient en formation de foyers
. Un fait nous paraissait assez étrange, à savoir que dans certains cas , malgré une déformation extraordinaire de toute
qu'à faible degré (Westphal, Busch, Nonne, Pasteur). Dans d'autres cas la moelle peut être à tel point envahie par le
n'en reste qu'une mince zone du tissu normal (R. Schulz). Dans des cas exceptionnels les masses sarcomateuses en même
rmale de la moelle apparaissait très lentement et graduellement. Ce cas prend une place à part puisqu'il faut supposer
e produit pendant l'opération ou d'une hématomyélie consécutive. Un cas analogue est décrit par Bruns, qui croit égalem
te par la tumeur. En outre, il faut encore mentionner que dans deux cas la dégénéres- cence secondaire n'était visible
tait visible qu'à une certaine distance de la tumeur. Dans le XVIIe cas (tumeur dans la région cervicale inférieure) on p
rvical, tandis qu'au niveau du IVe elle était absente. Dans le XIX" cas (tumeur siégeant au niveau de la moelle cervica
eu, ce qui explique pourquoi nous ne' l'avons pas constaté dans nos cas . A côté de cette stase, on doit accorder un gra
veineuse dans la provenance des lésions par compression. En tout cas il est maintenant hors de doute que les lésions d
e processus inflam- matoire n'y intervient pas du tout, ou,dans des cas exceptionnels, joue un rôle secondaire. Celle a
et de ses fonctions. Cette restitution est possible encore dans les cas où la compression est très profonde, c'est 488
fonctions de la moelle après l'opération ? Nous croyons qu'en tout cas la constatation de cette dégénérescence par la
belle étude d'ensemble Sur les affections de la queue de cheval. Un cas d'ophtahztohlégie, Syringomyélie avec anesthési
Syringomyélie avec anesthésie totale, Syndrome de Brown-Séquard, Un cas de tumeur du cervelet, Polynévrite et poliomyél
ol/w' speech de/ecls, London, 189S. (2) J'ai rapporté brièvement ce cas , avec présentation de préparations anatomiques,
langage de l'hémisphère cérébral gauche. Il y a, en effet, dans notre cas , trois points altérés de la zone du langage de
le. Un examen analytique, que j'ai fait il y a plusieurs années des cas publiés jusqu'alors, m'a conduit (1) à cette co
oile se comporte comme celle de gauche, puisqu'à sa lésion dans mon cas on pouvait attribuer l'abolition de la compréhe
de l'insula gau- che serait encore plus frappante puisque, dans mon cas , les troubles paraphasiques étaient fréquents.
partie dont la destruction produit, de règle, le surdité verbale » [ cas de Banti (3), Kussmaul (4), Koster (5), Touche
nem Linkenhiindingem Secl. Upsala Neurol. Cblatt, 189J. (6) Touche, Cas d'aphasie sens, par lésion du pli courbe chez un
à caractère d'association. Quensel, en effet (1), a réuni quelques cas bien étudiés anatomiquement, dans lesquels le s
la répétition des paroles (fonction perceptive). L'un d'eux est le cas de Heubner (2) : à la coupe du cerveau, on trou
ernus,et du gyrus s2cpraaarginalis.A peu près ana- logues sont deux cas de Touche (3), un de Leva (4), et un de Rode (5)
médullaire du lobe temporal et du lobe occipital. Or, dans tous ces cas , où la répétition des mots était, sinon tout à
Contrib. à l'tudeclill, de l'aph. sens. Arch.' gén. de 1899 ; Idem. Cas d'aph. sens, etc. Soc. de Biol., 1899. (4) Leva
clusion peut s'appliquer également aux gauchers. En effet, dans mon cas , où, pour une petite partie seulement, le gyrus t
logie des lésions et des symp- tômes dysphasiques, observés dans le cas présent, avec ce qu'on observe chez les droitie
troubles qui se manifestent dans la lecture. De l'étude de nombreux cas de cécité verbale, recueillis par Quensel, on t
gurus angularis au moins, sont détruits. Or, précisément, dans mon cas , où le gyrus angulrl1'is était complètement int
venait pas à comprendre des ordres écrits, même élémentaires. Mon cas se trouve admirablement complété par celui de Pic
le prolongement dans cette dernière circonvolution ». Donc dans ce cas , qui, à la différence du mien, présentait une cec
tsralis vraie et propre, le gyrus angularis était détruit. Ces deux cas (celui de Pick et le mien) démontrent donc que
chez les droitiers. Il convient à ce propos de rappeler ici que mon cas se concilie mal avec la doctrine bien connue de
a reconnaissance du sens des mots est rompu (l'acoustiqu.e dans mon cas ), cette faculté doive être abolie. Que si l'on ad
u lobe occipital [gyrus al1gut(t1'is), on comprend comment, dans ce cas , on arrive même chez les gauchers (cas Pick) au
on comprend comment, dans ce cas, on arrive même chez les gauchers ( cas Pick) au point de voir réalisée une cecitas litte
, que la soi-disant agénésie du corps cal- leux. Alors que dans les cas d'anencéphalie, d'liémicéphalie, de cyclopie, e
ne entier, soit d'un de ses lobes ou d'une de ses régions, dans les cas d'agénésie du corps calleux au contraire, nous
à savoir : 1° le système calleux fait-il réellement défaut dans les cas de soi-disant agénésie du corps calleux ; 2° cett
orps calleux, les constatations anato- miques dans un bon nombre de cas ont laissé supposer que la cause dé- terminante
oqué comme cause possible de cette malformation. Un bon nombre de cas d'absence du corps calleux ont été publiés (An-
'étude de coupes strictement sériées. Cet auteur rassemble tous les cas rapportés avant lui et les divise en quatre gro
les cas rapportés avant lui et les divise en quatre groupes : 1° Cas d'agénésie complète sans autre lésion concomitant
: 1° Cas d'agénésie complète sans autre lésion concomitante ; 2° Cas d'agénésie incomplète sans autre lésion concomita
2° Cas d'agénésie incomplète sans autre lésion concomitante ; 3° Cas d'agénésie où cette malformation est associée à d
t associée à des lésions en foyer, à l'hydrocéphalie, etc. ; . 4° Cas d'agénésie dont la nature exacte reste inconnue e
n raison de leur description insuffisante. Onufrowicz rappelle le cas publié par Jolly, dans lequel on trouva sur la
ondeur des hémisphères. La lyre faisait également défaut. Dans le cas de Nobiling Mayer, la crête du frontal était le s
tacle purement mécanique au développement du corps calleux. Dans le cas que décrit Onufrowicz, la circonvolution limbique
ement. Au dire d'Onufrowicz, on n'aurait jamais cons- taté dans les cas d'agénésie du corps calleux, une atrophie du tapé
aussi bien du lobe frontal que du lobe occipital ; dans le premier cas , la sclérose n'est pas limitée à la partie descen
t à la capsule externe). Après Onufrowicz, le premier qui publia un cas d'agénésie du corps calleux fut Zingerle (1). D
publia un cas d'agénésie du corps calleux fut Zingerle (1). Dans ce cas , on constata à l'autopsie qu'il existait au niv
ns, bien développées, étaient nettement aplaties. Il s'agit dans ce cas d'une agénésie incomplète du corps calleux. Le se
l. - En faisant l'interprétation des diverses particularités de son cas , Zin- gerle insiste en premier lieu sur l'origi
uccombé aux lésions ventriculaires si intenses qui existent dans le cas qu'il rapporte. Celles-ci étant de beaucoup plus
pital et le lobe temporal au lobe frontal du même hémisphère. Les cas d'agénésie du corps calleux sont particulièrement
monographie (1), cet excellent observateur fait la description d'un cas d'agénésie complète comparable à celui d'Onufro-
la microcépha- lie et de la macrogyrie, Probst rapporte un nouveau cas d'agénésie du corps calleux. Il s'agit cette fo
au- dement combattu cette manière de voir et a soutenu que dans les cas de ce genre, le corps calleux existe bien qu'il
r accepte cette hypothèse de Sachs que nous avons affaire, dans les cas de soi-disant agénésie du corps calleux,à une hét
de faisceau analogue au faisceau sagittal que l'on observe dans les cas d'agénésie calleuse. Un autre mémoire très impo
u corps calleux est celui de Arndt et Sklarek (1), paru en 9903. Le cas rapporté par ces au- teurs est un exemple d'agé
male dans sa conformation. ^ Arndt et Sklarek repassent ensuite les cas d'agénésie publiés antérieu- rement et rappelle
ouvent un état rudimentaire des organes internes. Ils rappellent le cas rapporté par Anton dans lequel la malformation
traversée par de nombreux sillons divergents. Dans un bon nombre de cas cependant (dans le cas publié par Probst et dan
ux sillons divergents. Dans un bon nombre de cas cependant (dans le cas publié par Probst et dans le leur) le cingulum
ois, la circonvolution limbique peut manquer totalement, et dans ce cas , son ab- sence doit être considérée comme étant
stitue donc un argument très favora- ble à l'hypothèse que dans les cas d'agénésie du corps calleux, nous avons affaire
ne fait réellement pas défaut. Encore doit-on remarquer que dans le cas de Probst, la microgyrie n'existait que d'un côté
'agénésie, des documents extrêmement favorables. Groz rapporte deux cas d'agénésie observés chez le nouveau-né. Dans le
deux cas d'agénésie observés chez le nouveau-né. Dans le premier cas , il s'agit d'une absence presque complète du corp
est notablement épaissi et granuleux. L'étude plus détaillée de ce cas se réduit à pratiquer l'exa- men histologique d
de cet arrêt n'est autre que l'hy- drocéphalie interne. Le second cas que Groz rapporte n'est pas, à proprement parler,
eux relève de la dilatation ventriculaire énorme qui existe dans ce cas . La cloison transparente faisant complètement déf
a tendance générale à la malformation. Il existe, en effet, dans ce cas , toute une suite d'anomalies, à savoir : une fe
mentaire des organes internes. Tout dernièrement, enfin, un nouveau cas d'agénésie du corps calleux AGÉNÉSIE DU CORPS C
ÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 521 a été rapporté par Kozowsly(1). Dans ce cas , que l'auteur décrit du reste très sommairement
partielle, comparable à celle que Groz a observée dans son premier cas . Le trigone et la cloison trans- parente font t
i notre modeste contribution,fondée, sur l'observation de plusieurs cas qui nous semblent dignes de beaucoup d'intérêt,
ale par défaut de déve- loppement d'origine surrénale, et ces rares cas aussi présentent les carac- téristiques cliniqu
ire deux types cliniques n'ayant entre eux rien de commun, dans les cas purs. L'infantilisme est,à notre avis, la persi
uelles,depuis un état tout à fait normal de l'intelligence dans les cas de microsomie pure, jusqu'à des états d'infantili
voir parler indifféremment de nanisme ou d'infantilisme dans chaque cas d'arrêt de développement t somatique,cependant
r les caractères cliniques très nets qui les différencient dans les cas purs. Nous sommes complètement d'accord avec 14
les réductions de la taille liées à ces graves déformations ; à ces cas nous réservons la dénomination de nanisme et nous
bien les microsomes que les nains peuvent cependant, dans quelques cas , pré- senter des symptômes d'infantilisme et al
e. Un exemple de nanisme lié à l'infantilisme nous est donné par le cas de Lugaro dans lequel le nanisme (achondroplasi
et nous verrons par l'étude de la littérature, que presque tous les cas publiés comme exemples de microsomie pure, sont
rosomie essentielle de l'infantilisme, deuxsyn- dromes qui dans les cas purs, n'ont en commun que la réduction de la ta
ance, nous ne pouvons considérer ce fait comme constant car,dans le cas de notre troisième sujet, qui représente un exe
nt d'origine congénitale, mais nous reconnaissons que dans certains cas l'arrêt de développement peut être peu accentué à
ance parle toujours en faveur du diagnostic d'infantilisme. En tout cas nous considérons les autres caractères différenti
x, et de la microsomie cérébropathique, qu'on peut trouver dans les cas de déficit psychique d'origine cérébrale inflam
ucoup de névropathies familiales ou ju- véniles et dans beaucoup de cas de déficit intellectuel d'origine inflam- matoi
onc aucun doute que la microsomie que l'on observe dans beaucoup de cas de déficit intellectuel d'origine inflammatoire o
pendant que ce symplôme est loin d'être le signe principal dans les cas de cérébropathie dont nous venons de faire ment
ils sont des arriérés. Le seul élément étiologique existant dans ce cas était la consanguinité des parents. Dans les ex
établir que le nain Taillon, décrit par Ma- nouvrier, représente un cas de microsomie liée à l'infantilisme, car chez l
te en outre l'observation du nain Delphin Sirvaux qu'il assimile au cas de l'observation précédente; l'auteur ne dit rien
ritables des nains rachiti- dues,définissant les premiers comme des cas tératologiques,des êtres chez lesquels toutes l
petit bout de la lorgnette ! , Ces auteurs emploient donc, dans ce cas , l'expression que Meige a, le premier, employée
muniqué à l'Académie florentine. ' Nous ne pouvons résumer ici le cas d'infantilisme et mentalité infantile étudié av
, car il nous donne la seule bonne étude clinique qui existe sur un cas que nous croyons devoir être étiqueté plutôt co
plastique de l'infantile, mais plutôt celle du microsome ; dans ce cas , en effet, il y a bien des points qui par- lent
ostic d'infantilisme tout en lui faisant admettre qu'il s'agit d'un cas dans lequel l'infantilisme s'est amélioré, a ré
fesseur romain dans son diagnostic,car d'après ce que savons de son cas par la lecture de son beau mémoire,- nous vou-
e compliquée d'infantilisme, en tout correspondant à notre deuxième cas . Pendant l'année 1909, un impresario a réuni au
endants et les collatéraux de notre sujet, il n'y a jamais eu aucun cas analogue de microsomie ; dans la région où notre
ans la région où notre patient est né, on ne connaît non plus aucun cas analogue ; il faut cependant mentionner que dans
TIELLE HÉRÉDO-rAMILIALE 549 de sa tête l'entraîne, comme c'était le cas chez le nain achondroplasique dont t j'ai publi
les organes gé- nitaux son nettement hypotrophiques. En somme ce cas nous représente une association de nanisme de trè
ys auquel appartient la famille Gazzano, on ne connaît pas d'autres cas de nanisme, eu dehors du père de notre sujet ; no
trevu par le grand bout d'une lorgnette (ici, plus qu'en tout autre cas , cette expression de M. Meige nous paraît parfa
n diamètre transversal, mais à un degré moindre que dans le premier cas ; le palais n'est point ogival. Le voile palati
s. Encore plus que chez notre premier nain, nous remarquons dans ce cas les proportions absolument normales des membres
s segments des membres entre eux. L'harmonie des formes est dans ce cas plus évidente, car dans le premier cas le ventre
monie des formes est dans ce cas plus évidente, car dans le premier cas le ventre assez proéminent t NOUVELLE ICONOGRAP
façon les mains et les pieds carrés des achondropiasiques. Dans ce cas , comme chez notre premier nain, les dernières pha
ille de notre troisième sujet. Nous parlerons très brièvement de ce cas , car le très jeune âge de cette 560 ETTORE LEVI
le à celui qui est décrit par Vincent (dans sa thèse, 4910) dans un cas semblable. La-dégénérescence du nerf peut être
a lésion qui donne lieu au signe d'Argyll-Robertson ; dans quelques cas de tabes, Marina a trouvé en effet une diminution
En outre les nerfs ciliaires étaient altérés dans presque tous les cas de tabes et de para- ]ysiegénéra)e,)orsque)a ré
on pur, vérifié peu de jours avant l'autopsie, quatre jours dans un cas . Dans ces deux cas j'ai étudié les ganglions et
de jours avant l'autopsie, quatre jours dans un cas. Dans ces deux cas j'ai étudié les ganglions et les nerfs ciliaire
né également les nerfs et les ganglions ciliaires dans.un troisième cas de tabes, mais il s'agissait d'un tabes beaucou
S NERFS CILIAIRES ET LE SIGNE D'ARGYLL R013EI(TO. (André Thomas). Cas I. Masson & Cie, Éditeurs. lmlil)ylr Ilnr
de anatolllo-pathologique de la né- vrite ascendante (à propos d'un cas suivi d'autopsie). Société de Neurologie, avril t
professeur Dejerine (Voy. fig. 306 à 319, p. 621 à 627). Dans ce cas un seul ganglion ciliaire, avec les nerfs ciliair
en que l'imprégnation n'ait pas été aussi satisfaisante que dans le cas précédent, elle est cependant suffisante pour a
es dans la racine sympathique et dans la racine sensitive ? en tout cas la différence avec la normale est à peine appréci
s observations nous amènent aux mêmes conclu- sions. Dans ces trois cas il n'a pas été fait d'examen systématique de la
...) Le sexe féminin est en cause dans environ les trois quarts des cas . La même prédominance inexpliquée existe par be
suivant la position et le nombre des doigts atteints. Dans quelques cas complexes, plus com- parables à l'achondroplasi
uelque peu par la sou- dure précoce de l'épiphyse à la diaphyse.Les cas de liocbheim, de Joacbims- thal, notre observat
sson ? ) ; tantôt le premier, le premier et le quatrième (Leboucq : cas complexes), le cinquième (llochheim). En règle
métrique. Aux mains, il atteint le premier métacarpien (Klaunsser : cas complexe), le troisième (Steinberg), les trois
ourcissement affecte le quatrième rayon ; il en est de même dans un cas de Rieder. Les trois derniers rayons sont égale
ccourcissement apparent d'un rayon; et F. Bienvenue (1) a étudié un cas de brièveté symétrique du cinquième orteil par ab
Radiographie de mains bien confor- mées ; il y avait des exostoses ( cas I). (2) F. REGNAULT, Les types humains... Revue
souvent atteint. La tête de l'os bref n'était pas intacte dans 1 e cas de Launois : il est vrai que plusieurs auteurs
nutrition du premier rayon est assurée, dans la grande majorité des cas , par les rameaux relativement gros .qui termine
tacarpien, que siège en général la déformation maxima dans certains cas , unique dans d'au- tres. Une anomalie vasculair
arfois dans le cours de la première enfance, coexiste dans certains cas avec d'autres malformations et peut être hérédi
pelons la disposition grossièrement métamérique des lésions dans un cas de brachymélie humérale. Il n'est certes pas impo
Steinberg a fait porter tout l'effort de son argumentation sur les cas non congénitaux, qu'il croit fréquents, plus fr
admet. Mais les auteurs français ne paraissent pas du même avis. Le cas de Malgai- gne (3) est discutable. Rieffel (4)
n peu raccourci (lésion récente). L'origine traumatique de certains cas de pseudo-brachymélie congénitale n'est donc pa
ésions exogènes foetales est possible, en particulier dans certains cas pathologiques (oligohydramnie par exemple) ; « La
t une symétrie assez grande ont d'ailleurs été si- gnalées dans des cas bien établis d'amputation congénitale (8) ». Mais
, ni de sa direction, ni de sa forme, au moins dans la majorité des cas ...« Le métacarpien est moins long « mais l'art
sine) a été cause de l'allongement » (Lannelonnue). Dans bien des cas , d'autres foyers osseux ont coexisté avec le foye
te, sans qu'il y ait suppuration ». D'Astres (3) ajoute : « Dans un cas il s'agissait d'une lésion déterminées par la t
de la tuberculose dans les antécédents des brachymétiques ; dans un cas même (obs. 3) nous avons pu constater des lésio
ant vient au monde, mais on peut penser que, au moins dans certains cas , le processus pathologique n'est pas éteint à la
si elle évolue à bas bruit, le raccourcissement (1) Kirmisson, Deux cas intéressants d'anomalies de développement du sque
n osseuse, comparable aux raréfactions acquises, mais dans quelques cas l'ombre osseuse n'est pas très sensiblement dif
nts chez eux. Les porteurs de l'anomalie pré- sentent dans bien des cas des manifestations tuberculeuses torpides. 5° L
al' blatt fiir die Grenzgebicte der Medizin und Chirurgie, 1910, un cas ana- logue au premier ( ? ) des nôtres. Nous n'
autres doigts, fait qui a été vérifié par M. le Dr Lévi... Dans notre cas ce fait ne se constatait que chez un sujet et s
, car un des auteurs de ce mémoire (Franciiini) l'a vérifié dans un cas d'infan- tilisme du typeLorain, à la main et au
RURGICALE. Jusqu'à présent on intervenait chirurgicalement dans les cas de tu- meurs extra-vertébrales, soit intra, soi
Slursberg, dans un travail très minutieux, réunit presque tous les cas où on est intervenu opé- ratoirement pour des t
ntra et extra-durales (qui n'attaquaient pas l'os) (1). De ces 96 cas qui nous intéressent au moment actuel, 21 concern
orsale et 18 dans la région lombo-sacrée et coccygienne. Sur ces 96 cas , dans 49 (c'est-à-dire 51 0/0) l'opération fut fa
st-à-dire 51 0/0) l'opération fut favorable pour le malade (dans 39 cas la guérison fut complète ou l'amélioration très é
a guérison fut complète ou l'amélioration très évi- dente). Dans 42 cas , la mort survint après l'opération. Dans 3 cas, l
évi- dente). Dans 42 cas, la mort survint après l'opération. Dans 3 cas , l'opé- ration fut sans résultat (2 cas manquen
t après l'opération. Dans 3 cas, l'opé- ration fut sans résultat (2 cas manquent d'observations bien précises). Les rés
est important de noter que Bruns, en 1897, affirmait que 30 0/0 de cas opérés ont une bonne issue, tandis que suivant la
concerne l'intervention chirurgicale. Sick, par exemple, a opéré 21 cas de tumeurs médullaires certaines ou supposées.
éré 21 cas de tumeurs médullaires certaines ou supposées. De ces 21 cas , 3 malades ont guéri après l'opération, 2 ont é
s (1) Dans un travail fait avec Mlle Zylbet-last, nous comptons 136 cas de tumeurs mé- dullaires opérées jusqu'à la fin
statistique, est donc très élevée (38 0/0). Marte compte 47 0/0 de cas mortels, Kôhlisch 46 0/0. Il est à noter que ce
ux. même dans la région des premières vertèbres cervicales. Dans le cas dé- crit par Putnam-Krauss-Park on a éloigné un
raux n'influence pas la stabilité de la colonne vertébrale. Dans un cas cl"Auer- bach et Brodnitz on a enlevé 5 arcs ce
icaux, le malade pourtant pouvait bien tenir la tête, Dans un autre cas de ëtertz, on a enlevé 6 arcs dorsaux (depuis l
tre, où l'on supposait une tumeur, 5 arcs cervicaux. Dans un de nos cas le D` Oder- feld a enlevé 3 arcs dorsaux et 2 c
toutefois absolument sûr. Il peut arriver que la dure-mère (dans des cas où les tumeurs manquent) se tende vers l'orific
nt que la pulsation est interrompue. D'un autre côté, dans quelques cas de tumeurs médullaires,on a noté la persistance d
pulsation de la dure-mère (Auerbach, Brodnitz, Kiittner). Dans des cas exceptionnels on réussit à palper ou à voir à l
re-mère, il faut s'assurer du point où se trouve la tumeur. Dans le cas où cette dernière se trouve en face de l'oiifce,
e. On dégage assez vite, ordinairement sans les ra- cines (dans des cas exceptionnels le chirurgien est obligé d'éloigner
il faut y joindre la dure-mère). Nous avons agi ainsi dans un autre cas , la dure-mère alors guérit mieux et les adhérence
ent de la question sont du même avis : il faut opérer dans tous les cas sûrs. En outre,ils sont una- nimes à déclarer q
les cas sûrs. En outre,ils sont una- nimes à déclarer que, dans les cas où la maladie fait penser à une tumeur, il faut
e postérieure (mort 5 jours après par suite de septicémie). Dans un cas de 'Varrington et Montsarrat, où le diagnostic de
opération là où au premier coup d'oeil tout semblait perdu. Dans un cas décrit par'Schede, l'opération, 594- liez FLATA
mes morbides, amena pourtant la guérison. Oppenheim, dans un de ses cas , a vu,à l'opé- ration, la moelle tellement apla
produite et la malade pouvait marcher deux mois plus tard. Dans des cas favorables la restitution des fonctions est trè
ement peuvent disparaître rapi- dement. Il en est de même, dans les cas favorables, des symptômes mo- teurs et sensitif
t cru que celte malade avait été atteinte de paralysie. Dans le 11, cas d'Oppenheim on constata également, le premier jou
ments des or- teils à droite et du gros orteil gauche). Dans le 11° cas , cinq jours après, l'amélioration était bien év
pupilles) sonl très lents à disparaître (notre XXIe observation, le cas d'Auerbach-Brodnitz, etc.); en outre, peuvent l
s troubles du sens des attitudes, l'alfai- blissement, etc. Dans un cas de Lichtheim, un an après l'opération on pouvai
la moelle a subi une profonde lésion qui ne se laisse plus réparer ( cas de Tylher-Williamson, Collins-Lloyd, Oppen- hei
s ou des douleurs irradiantes (dans notre XXobser- vation, dans les cas d'Oppenheim, Henschen-Lennander, etc.). Oppen-
ar F. Krause par suite d'affections médullaires (dans ce nombre, 10 cas de tumeurs méningées), 8 sont morts tout de suite
de leur vie misérable. D'autre part ils se laissent opérer dans des cas extrêmes, c'est-à-dire au moment où les chances
e au moment où les chances de réussir deviennent moindres. Dans les cas opérés dans mon service, les causes de la mort
quefois la mort survient longtemps après l'opération. Ainsi dans le cas de Ward elle a frappé le malade un an après l'opé
moelle était complètement détruite à l'endroit opéré. Il existe des cas où la cause de la mort reste inconnue. Ce sont de
Il existe des cas où la cause de la mort reste inconnue. Ce sont des cas où les forces vont toujours en décroissant sans
l'opération sans cause évidente. Il me parait possible que dans ces cas le rôle important soit joué par les troubles de
p. 153 ; .fahresber. f. Neurol. u. Psych, 10. I)EVic et TOLOT. - Un cas d'an.qlO-sarcome des méninges de la moelle. llev.
rcen. Arch. f. Psychiatrie, 13, 1882, p. 50. LANNOTS et ! )umNn. Un cas de tumeur des méninges rachidiennes. Lyon méd., 1
s 11-111 paires sacrées. Semaine méd., 1897, p. 92. Martini. Deux cas de paraplégie consécutive à l'emploi des rayons d
01, p. 93 ; Jahresber. f. Neurol. u. Psych., 5, p. 513. Peabody. Un cas de métastases carcinomateuses en des sièges inacc
7, p. 189; Rev. neurol., 1907, p. 1177. 602 FLATAU PE()KO\L -Un cas de myélite par échinocoques. \Iedlclnskoje Obosve
; Arclt. f. klin. Chir., 42,1891, p. 812. Réxon et TmH : tt. Sur un cas de tumeur cérébrale sec il une tumeur du sein. Re
rks. Lettrage z. path. Anat., 23, 1898, p. 111. Rot.x et Paviot. Un cas de tumeur.de la moelle. Arch. de neurol., 5, 1898
et pour formuler un diagnostic rétrospectif indiscu- table. Dans le cas présent, au contraire, ce sont les documents rela
que ou infectieux qui se trouve à la base de cette affection.. Le cas suivant que nous avons étudié dans le service de
lésions péri-ventriculaires constituaient le fait dominant. Dans un cas de Touche (1), il existait,avec la sclérose périv
roduction du rire spas- modique existant chez sa malade. Dans notre cas , il n'existe rien de sem- blable et il paraît b
on péri-épendymaire de l'aqueduc de Sylvius. En examinant plusieurs cas de sclérose en plaques de la collection de M. P
céphalo-rachidien. Lhermitteet Guccione (1) ont récemment étudié un cas de sclérose mul- tiple avec localisation périve
iculaire était due à la richesse vasculaire de la région. Dans leur cas existait, en outre, autour de l'aqueduc de Sylv
dymite en général. On les rencontre à un degré très marqué dans des cas d'épendymite aiguë ou subaiguë où l'infection e
des coupes dans les parois quelque temps après (10 jours dans notre cas ), on constate que le carmin s'est amassé en pre
érosés comme dans cer- taines myélites chroniques. Eu résumé, des cas tels que celui que nous rapportons semblent indi-
ions, qu'elles viennent au contraire, confirmer pleinement dans les cas où le Wassermann peut être appliqué, ce qui mal
MOYENNE GOMMEUSE OU MÉSA0RT1TE GOMMEUSE 623 leur dans les nombreux cas où l'examen par le Wassermann-Plaul ne peut êtr
néral, les altérations luétiques ne se présentant pas dans tous les cas avec une allure aussi typique. L'étude qui suit
ologique d'aortes provenant de quelques paralytiques généraux, d'un cas de syphilis célé- brale diffuse et de deux cas
iques généraux, d'un cas de syphilis célé- brale diffuse et de deux cas d'anévrysmes de l'aorte que j'eus l'occasion de
bornerai à une simple esquisse des particularités cliniques de ces cas et je ferai une élude d'ensemble des lésions micr
ont il est ici ques- tion, il est tout aussi indispensable dans ces cas que dans les autres mala- dies de tenir compte
aortiques analysées dans cette étude. OBSERVATIONS CLINIQUES. T ? cas . Il s'agit d'un homme de 42 ans, ayant toujours j
évrysme de l'aorte. Microscopie : Mésaortite gommeuse floride. 2e cas . - Homme de 45 ans, également bonne santé général
crosse de l'aorte. Microscopie : Mésaortite gommeuse floride. 3e cas . - Homme de 40 ans, charron, infection syphilitiq
tique. Diagnostic clinique et anatomique : Paralysie générale. Ce cas est très intéressant par la richesse considérable
le et ses vaisseaux. Microscopie : Mésaortite gommeus(f1oride. 4" cas . Femme de 34 ans, ouvrière, hérédité tuberculeuse
allons le voir, sont un stade intermédiaire entre celles des trois cas précédents et ceux que nous décrirons plus loin
des trois cas précédents et ceux que nous décrirons plus loin. 5 cas . Femmej;d'ouvrier, 43 ans, abandonnée par son mar
roscopie : Mésaortite gommeuse stade intermédiaire. 6e, 78, 8e et 9 cas . - Il s'agit dans ces quatre cas de paralytiques
ade intermédiaire. 6e, 78, 8e et 9 cas. - Il s'agit dans ces quatre cas de paralytiques géné- raux décédés après une ma
us près les altérations anatomiques présen- tées par ces différents cas . Voici d'abord comment l'aortite moyenne gommeu
ntima de l'aorte recouvrent ces plaques dans la grande majorité des cas , sans solution de continuité, ce qui contribue à
randes diffi- cultés. - Il n'y a hésitation possible que dans les cas où l'aortite moyenne gom- meuse est accompagnée
ents très différents de l'évo- lution de ce processus, dans le même cas ou dans des cas de modalité très diverse. fi2
ents de l'évo- lution de ce processus, dans le même cas ou dans des cas de modalité très diverse. fi26 LADAME Tout
ou des altérations com- plètement évoluées - Dans tous les autres cas , comme je viens de le dire, nous pouvons ob- se
ez la majorité des malades dont j'ai pu examiner l'aorte. Un seul cas , le troisième, qu'on pourrait appeler paralysie g
trices dans l'aorte, séquelles de lésions complètement évoluées. Ce cas est des plus précieux, car il peut servir de tr
meuse moyenne passe avant d'atteindre la cicatrice définitive. Le cas de syphilis cérébrale diffuse relaté présentait d
re dans la voie de l'organisation cicatricielle. C'est cependant un cas intermédiaire aux formes florides et cicatriciell
i déjà dit plus haut que l'athéromatose est exceptionnelle dans ces cas -là. Un examen microscopique attentif de ces lés
Albany (New-York). Nous passons maintenant à l'élude détaillée d'un cas d'agénésie du corps calleux que notre maître, M
se recourber ensuite en arrière vers le pôle occipital. Dans notre cas , comme dans tant d'autres, la première circonvo
ertains endroits) a été uti- lisée pour l'étude microscopique de ce cas . La méthode de coloration em- ployée a été cell
système prend invariablement une coloration verdâtre et que dans le cas actuel cette réaction est d'autant plus nette q
temporal est partout bien délimité. Rappelons enfin que dans leurs cas d'agénésie du corps calleux, Oscar Vogt et Zinger
rent moins fortement que les fibres voisines, se trou- vent dans le cas actuel de beaucoup plus relâchées, grâce à l'abse
ation DES faits. Nous venons de faire la description détaillée d'un cas typique de soi- disant agénésie complète du cor
riques qui n'en sont que les prolongements latéraux. Or, dans notre cas , ces segments latéraux se retrouvent comme à l'
repasser brièvement une série normale pour constater que dans notre cas d'agénésie, les choses se passent d'une façon a
rière pour constituer la totalité du tapétum. A vrai dire, dans les cas d'agénésie, les coupes soit frontales, soit hori-
développé. Mais il faut bien tenir compte de ce fait que dans notre cas , le faisceau sagittal médian et le tapétum ne ren
se au cours de toute lésion épendymaire. En second lieu, dans notre cas d'agénésie, nous avons la preuve incontes- tabl
ppement. Celle soudure ventriculaire peut cepen- dant,dans certains cas ,ne jouer qu'un rôle purement mécanique en déviant
demander sérieusement si elle n'existait pas dans un bon nombre des cas d'agénésie qui ont été publiés et si elle n'a pas
klarek n'ont pas su bénéficier suffisamment, à savoir que dans leur cas , la commissure antérieure fait défaut sur la li
Il s'en suit naturel- lement que, du fait qu'il est intact dans les cas d'agénésie, on ne peut pas soutenir que le tapé
ar le corps calleux, il faudrait t constater son intégrité dans les cas de lésion du corps calleux ou après la section
. z Quant à la réaction qui s'observe au niveau du tapétum dans les cas de lésion du corps calleux,nous rapporterons le
eu l'occasion détudier chez Anton lui-môme les coupes sériées d'un cas de néoplasme de la partie postérieure du tronc
ventriculaire latérale. Actuellement, nous poursuivons l'élude d'un cas de plaque sclé- reuse de la partie moyenne du c
al avec le faisceau d'Onufrowicz. se retrouvent facilement dans les cas d'agénésie et qu'elles sont nettement séparées du
'elles sont nettement séparées du faisceau sagittal atypique. Les cas d'agénésie nous rendenl de très grands services a
ps que nous avons soupçonné ces relations, maisce n'est que dans ce cas d'agénésie que nous avons pu nous satisfaire de l
tte asser- tion, nous avons noté en faisant la description de notre cas , que le fais- ceau de Sachs manque là où le cin
terne de la couronne rayonnante fronto-pariétale se détache dans ce cas d'agénésie avec une netteté égale à son enchevêtr
one sous-corticale delà première circonvolution limbique. Ainsi, ce cas nous permet de formu- ler de nouveau la thèse q
ent avec celle des lésions pie-mériennes. Conclusions 1° Dans les cas de soi-disant agénésie du corps calleux, il ne s'
de la commissure calleuse proprement dite. 2° Dans un bon nombre de cas , une méningite ventriculaire foetale est la cau
ernes méthodes d'analyse clinique. L'observation détaillée de nos cas nous permettra d'être très bref au sujet du dia
que la réaction de Wasserm¡lI1n (méthode classique), et dans tous les cas le résultat a été nettement négatif ; il nous s
quer il ce sujet que nous avons eu le même résultat négatif dans un cas de nanisme achondroplasique dont nous avons pub
membres, du crâne, et l'examen radioscopique (très facile dans ces cas ) du tronc et du bassin ne nous ont pas permis de
ice clinique d'une ossifica- tion absolument normale, car dans tout cas d'ossification même légère- ment retardée, l'im
e ou de plusieurs glandes à sécrétion interne. Eh bien ! dans nos cas il nous manque tout symptôme d'altération fonct
soit par le syndrome adiposo-génital, soit enfin, en quelques rares cas , par un syndrome d'infantilisme (voir à ce prop
de remarquer que rien, absolument ne nous autorise penser pour nos cas à une altération de la fonction soit des surrén
ntilisme d'origine surrénale, mais jamais, que nous sachions, aucun cas de nanisme de même origine ; c'est d'ailleurs une
e et de la microsomie pure. A)aisrevenonsa la différentation de nos cas des autres états dystro- phiques secondaires à
uffisant pour nous faire admettre l'ori- ginedysthyroïdienne de nos cas de nanisme total, nous devrons alors bien ifelt
tif plutôt qu'à l'altération d'une sé- crétion interne. « En tout cas , tant que cette question ne sera pas résolue, il
es fondamentaux généraux de l'infantilisme nous porte à séparer ces cas nettement et sûrement du syndrome infantile. »
commenter : « On peut en effet poser en règle de fait que tous les cas de nanisme familial sont en rapport avec quelqu
it des mariages des nains que les Barnums forains publient. En tout cas leur conjugaison sexuelle reste toujours stéril
ée). » Nous ne voulons aucunement nous prononcer sur l'identité des cas de nanisme dont M. Auguste Marie ne nous donne
s pas qu'on puisse aujour- d'hui poser comme règle le fait que tout cas de nanisme familial soit en rapport avec le myx
discutable en l'absence d'observa- tion complète avec autopsie des cas de ce genre ». Cependant M.Auguste Marie donne
du même niveau social. Von Hansemann a déjà ex- primé, à propos des cas de microsomie, la même opinion par ces mots : E
de l'infantilisme ou de la cérébropathie coexistante. Ainsi, dans le cas d'achondroplasie de Lugaro, l'infériori Lé iiii
xistencede la dysthyroïdie très évidente,ce- pendant que dans notre cas d'achondroplasie (Nouvelle Iconographie de la S
'autre ou plusieurs décès symptômes d'infantilisme existent dans un cas déterminé, ce cas ne pourra être compris ni dan
s décès symptômes d'infantilisme existent dans un cas déterminé, ce cas ne pourra être compris ni dans le nanisme difform
lon nous, des exemples d'infantilisme et non pas de na- nisme. Le cas récent de Klippel et Chabrol est, par exemple, un
cu qu'un diagnostic sûr et définitif ne peut être posé dans de tels cas que quand l'époque de la croissance normale est p
dé exclusivement sur l'étude de nos sujets adultes et sur les rares cas analogues existant dans la littérature. Nous de
du syndrome infantilisme au syn- drome microsomie ; notre quatrième cas , concernant une petite fille de 22 mois nous re
être chez lui extrême- ment prononcés. Eh bien ce n'en est pas le cas , et justement pour cela nous ne pou- vons poser
es épi- physaires ; ce retard devrait être très prononcé dans notre cas s'il s'agissait t d'un type Brissaud pur. Eh
chez les sujets normaux. En tous cas, même en admettant dans notre cas qu'il y ait du retard dans l'ossification du sq
lesquels nous croyons devoir nous fon- der pour éliminer dans notre cas le diagnostic d'infantilisme de Brissaud pur ;
mais le plus souvent il est évident dès la naissance. Dans notre cas le caractère congénital, primordial de la microso
tre fait chez elle à cause de ses ré- bellions... [/intérêt de ce cas est tout dans le fait que la petite Alexandrine e
ulte les individus de celle catégorie présentent toujours (dans les cas purs) les caractères somatiques et les pouvoirs
celle-ci,le développement somatique et psychique exprime, dans les cas purs, l'âge réel du sujet. III. L'infantilisme
. Le Bulletin médical, 1909, p. 957. Le\7 ETTonE. - SUI' un nouveau cas d'achondrophasie chez l'adulte. Nouvelle Icono-
ent alors à incriminer. Il est difficile d'admettre pour tous les cas de polydactylie une explica- tion univoque. N
comprendre parfaitement les polydactylies irrégulières ; dans notre cas , il faut en outre admettre la pré- disposition
en subir beaucoup d'autres. Ainsi Ronades et Sérieux ont décrit un cas où l'index des deux mains était plus atrophié e
ulaire. Ch. Féré (2) mentionne aussi dans sa monographie étendue un cas où l'index était court ; dansdeux autres cas l'
monographie étendue un cas où l'index était court ; dansdeux autres cas l'annulaire et l'auriculaire étaient courts, et
cas l'annulaire et l'auriculaire étaient courts, et dans ce dernier cas , l'auriculaire des deux mains était recourbé en
aire des deux mains était recourbé en crochet. Cestan (3) décrit un cas où le médius était développé outre (1) Rapport
r 1908. 69(1 SELETSKI mesure en grandeur; de plus il mentionne un cas de Gruber, où l'index était hypertrophié et inc
une union du deuxième au troisième doigts. Lejars (7) mentionne un cas où le majeur était très grand et très gros, et
re long et courbé en arc. Apert et lllorisetti (8) ont ob- servé le cas suivant : la main droite n'avait que quatre doigt
dans la structure des doigts au moyen des rayons X; ainsi, dans un cas de polydactylie qu'ils citent, on eût pu supposer
re appartenait a l'annulaire. Dans leur ouvrage ils mentionnent les cas suivants : 1° un cas de polydactylie (6) aux ma
annulaire. Dans leur ouvrage ils mentionnent les cas suivants : 1° un cas de polydactylie (6) aux mains et aux pieds (il
ts du pied gauche étaient disposés en « coup de vent» ; 2° un autre cas de polydactylie, où l'on eut à enregis- trer un
roite formaient avec d'autres doigts la « pince de homard » ; 3° un cas de syndactylie, où l'index, le majeur et l'annu
uait avec cela une interrup- tion dans leur développement ; ! il Un cas d'eclrodactylie (type en «pince de homard o). H
rodactylie (type en «pince de homard o). Huggiero (10) mentionne un cas où la main droite était semblable à une pince ;
déviation des doigts du côté cubital. Sternberg (12) mentionne deux cas de hrachydactylie; dans le premier les majeurs
aire. L'auteur dit que l'on n'avait encore décrit jusqu'à lui que 9 cas pareils. M. Afagnanini (13) aobservé l'absence du
n seul doigt aux mains. Enfin, on a enregistré un certain nombre de cas dans lesquels les mains et les pieds d'une pers
ésentaient à la fois l'aspect en « pince de homard» ; dans d'autres cas , c'était tantôt les mains, tantôt les pieds. Te
'autres cas, c'était tantôt les mains, tantôt les pieds. Tel est le cas de Raymond et P. Janet (15) et de Thibierge (16),
ymond et P. Janet (15) et de Thibierge (16), ainsi que le quatrième cas de Londe et Meige (9), ceux de Souques et Lecle
erc (17), de Le Roy des Barres et Gaide (22) ; de plus, beaucoup de cas similaires ont été communiqués par Polaillon (18)
me temps quelques autres doigts sont unis entre eux. Ainsi, dans le cas de Raymond et Janet (15), il n'y avait aux main
elle majeur réunis; il n'y avait pas trace d'autres doigts. Dans le cas de Thibierge (16), les mains et les pieds n'avaie
. Les doigts des pieds étaient déformés de la même manière. Dans le cas de Herwig (20) le pouce et l'index étaient liés
les ectrodactylies ( « pince de homard », « Spaltfuss » ) sont des cas presque exclusifs, et, on a eu rarement d'indic
normalement ; le troisième orteil était même rudimentaire. Dans le cas de Raymond et Janet (15), le deuxième et le tro
re le troisième orteil était situé plus haut que le second. Dans le cas de Ma- gnan (1), tous les orteils des deux pied
d'autres doigts étaient comme si on les avait amputés (a). Dans le cas de Régis (S), le pouce du pied gauche était trè
dernière édition de son Cours de maladies psychiques, mentionne un cas où le pied droit n'avait que trois orteils (le
ier était gros, volumineux et l'autre était petit). Dans le premier cas de poly- dactyle deLondeet Meige (9), les doigt
) s'arrête sur question de l'hypertrophie des doigts dans un de ses cas , le second orteil du pied gauche était long de
ts, surtout d'en réunir une propor- (a) Cet individu avait aussi un cas curieux de syndactylie des doigts des mains. ' '
he que sur le pied droit ; il est, cependant, probable que, dans ce cas (fig. 12), il s'agit de syndactylie ; cette suppo
ois il m'est arrivé une seule fois d'observer chez mes ma- lades le cas contraire, tel que la figure 1 le représente. 7
seule différence que le deuxième doigt participe à ce fait. Dans ce cas les doigts ont pris la position inverse à celle
, sur la figure 1 1, c'est celui du pied gauche, mais dans ces deux cas , la chose est très peu visible. 9° Il arrive
13, 16 avec les figures 12 ou 15. Les premier, dixième et treizième cas ont été étudiés sur ma demande au moyen de rayo
hose que les photographies ordinaires, c'est-à-dire dans le dixième cas le cinquième orteil du pied droit est tourné de m
r, et la surface extérieure s'est placée en bas ; dans le treizième cas le côté dorsal du second et du quatrième orteil
le côté extérieur, à devenir le côté dorsal ; enfin,dans le premier cas le quatrième et le cinquième orteils sont recour-
des pieds. Revue de chirurgie, 1903, p. 349. 14. PETHELLAY. -Trois cas d'ectrodaclylie symétrique et congénitale. Annale
ux doigts. Nouv. Iconogr., 1908. 17. SuGRES et Il.* LECLERC. - Un cas de bidactlie de la main droite. Nouv. Iconogr.,
pl.), par 1110LODEN- KOF, 43. (L'- est-elle héréditaire ? Quatre cas d'- chez des adultes) (10 pl.), par FRAN- cii
R- CHAND, 135. Familiale dégénérative (Etude clinique sur trois cas de maladie - du système ner- veux) (3 pl.), par
(4 pi.), par André-Thomas, 562. Nerveux (Etude clinique sur trois cas de maladie familiale dégété ? ,ative du sys-
-) (1 pl., 18 fig.), par SI. V. V. SEDLETSKI, 695. Paget (Sur un cas de maladie de il lo- calisation céphalique isol
ntisme acromégalo-infantile (4 pl.), 1. 1. Eludé clinique sur trois cas de mala- die familiale dégénérative du système
tat psychique habituel des lépreux (1 pl.), 219. CATnLA. Sur un cas de maladie de Paget à localisation céphalique i
RANCIIInI etZANAZl· L'achondroplasie est- elle héréditaire ? Quatre cas d'achondro- plasie chez des adultes (10 pi.), 2
ude de l'apha- sie chez les gauchers (2 pl. 493. IIIOLODSNIOF. Un cas d'achondroplasie chez un chinois (1 pi.), 43.
NASI et FLANCIIINI. L'achondroplasie est- elle héréditaire ? Quatre cas d'achondro- plasie chez des adultes, étude clin
adultes, étude clinique et radiographique (10 pl.), 244. Zoom. Un cas d'achondroplasie (2 pl.), 31. TABLE DES PLANCHE
3 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
sécrétions internes. L'étude présente renferme un certain nombre de cas de dyslrophies endocrines, qui se rattacheraien
-glandulaire est la dénomination qui nous semble convenir à de tels cas . L'importance du sujet auquel nos observations
ui constituent les modalités, soit enfin examinées sous l'aspect de cas pathologiques. Le sujet n'offre pas moins d'int
temps. Il y eut deux frères, mariés, qui ont eu des enfants ; aucun cas analogue à l'actuel dans la famille. On ne peut
ils parce qu'ils sont en relation avec un état psychique commun aux cas de cette espèce. L'inspection du corps révèle d
dire dans quelles conditions. Il n'a pas de frères. Il n'y a pas de cas d'obésité dans la famille, ni de type morphologiq
utit à une perforation spontanée; Strebel (6) a décrit récemment un cas de ce genre. La base présente aussi des ano- ma
pas toujours dilatés ; ils peuvent même être rétrécis comme dans le cas de Herzog (1), ce qui n'empêche pas le peu de l
reste d'être sous pression ; ce fait est à com- parer avec certains cas de tumeurs (2). , Ces faits expliquent pourquoi
crises épileptiformes, comme elles se rencontrent souvent dans les cas d'hypertension cérébrale. Elles ont été observées
pression exagérée a été décrit par le professeur Weber dans certains cas de tumeurs cérébrales (2). Quel peut être le
te osseuse est insuf- fisante. Le cerveau se trouve, comme dans les cas de tumeurs, dans un état décompression; nous ve
stique de la base, nettement visible sur les radiographies de notre cas , a pour consé- quence de donner àj'aqueduc une
yau, situé sous l'aqueduc. Cette hypothèse est confirmée dans notre cas par l'examen des coupes, qui montrent en effet
e février 1915, M. Souques présente à la Société de neurolo- gie un cas de ce genre. En juillet de la même année, M. Sica
t fonctionnelles, qui sont à notre avis les plus fréquentes. Sur 16 cas inédits réunis par nous ou à nous communiqués qui
n des apophyses épineuses n'est pas douloureuse dans la plupart des cas , quelquefois elle détermine une vague douleur au
veillent une douleur sourde, profonde, qui se propage dans quelques cas en avant en ceinture. Les douleurs spontanées a
ason, sens muscu- laire sont bien sentis et localisés. Dans un seul cas nous avons trouvé une anesthésie thoracique et
a première catégorie est exceptionnelle, nous ne possédons que deux cas de ce genre. Encore faut-il ajouter que les plaie
ux, fut redressé par un appareil plâtré en deux jours. Dans l'autre cas , il s'agissait d'un soldat (examiné par nous grâc
ps de la suppuration. Malheureusement nous n'avons pas pu suivre ce cas , le soldat ayant été évacué sur son dépôt. La
i de perte de connais- sance plus ou moins prolongée. Dans quelques cas on note des hématémè- ses et des hémoptysies, d
que des ecchymoses lombaires sans plaie ni fracture. Dans tous ces cas la douleur lombaire était le symptôme prédominant
érébro-médulaire latente et passagère. M. Dufour a constaté dans un cas l'existence d'une lymphocytose. M. Sicard a tro
de quelques semaines. ' D'autre côté, on pourrait rapprocher nos cas de ceux oùl'éclalemenl d'obus dans le voisinage
ai ! l'existence d'hyperalbuminose avec ou sans lymphocytose (trois cas de M. Souques) et permettait à lui seul d'affir
suggestion. Il peut être appliqué sans anesthésie générale dans les cas où les malades sont spontanément redressables s
ont spontanément redressables sur un plan horizontal. Dans d'autres cas , il faut avoir recours à l'anesthésie générale,
phère de suggestion. Cette thérapeutique nous a réussi dans tous les cas que nous avons ainsi traités (Pl. XV). XXVIII
ssurer les relations pathogéniques des deux types morbides dans les cas de ce genre. Peu après notre travail, Wotssohn
. Peu après notre travail, Wotssohn et Marcuse ont encore publié un cas d'acromégalie associée à la maladie de Reckling
s de l'at- teinte de la glande pituitaire sont incomplètes. Dans le cas d'Aloysio de Castro, il y a de la scoliose, les
3, p. 1088. (3) BOUBl1WVITCli Er M. REGIAULT DE la Soui)iÈitF, Deux cas de neurofibromatost familiale dont un avec chei
ue nous avons constatés en étudiant, les mouvements simples dansées cas avec- lésion de certaines parties du névraxe. Pen
t de l'athétose double et du parkinsonisme. J'ai rassemblé tous ces cas pour plusieurs raisons : 1° En clinique, ces ca
rassemblé tous ces cas pour plusieurs raisons : 1° En clinique, ces cas forment une chaîne ininterrompue : entre les ca
° En clinique, ces cas forment une chaîne ininterrompue : entre les cas de'chorée avec musculature tout à fait flasque et
e et les cas'de parkin- sonisme nous rencontrons toule une série de cas intermédiaires ; 2° dans un même cas, des types
rencontrons toule une série de cas intermédiaires ; 2° dans un même cas , des types contraires (de flaccidité et-de raideu
ts. . 1 ., 'f Ht' ...I ? J' ,,1 ., , ... ? " Résumons les sortes de cas qui ont été la base de ces recherches : 1° Des
ns les sortes de cas qui ont été la base de ces recherches : 1° Des cas graves de chorée mineure;' les 'malades montraien
ques ; lésions' moins graves dans )'éc6rce'des' ! obeS frontaux. Un cas dé choréé (17 ans) évoluarit'depuis plusieurs ann
e mentionnée'dans le 4e groupe. ? ' j ? ", ;" ' " '' "l' 1 ' 2° Des cas d'illhétose (chorée) unilatérale. Un de ces cas f
" '' "l' 1 ' 2° Des cas d'illhétose (chorée) unilatérale. Un de ces cas fut examiné nnatoiniquemenr : Dès la 'première
pas la inoitié du volume normal ? . i " ,, 40 WOERKOM .. 3° Deux cas d'athétose double, l'un datant de la première enf
re se développant à un âge plus avancé. La symptomatologie des deux cas est presque identique : variabilité extrême de l'
forte des corps striés et des régions sous-thalamiques (1). 4° Deux cas de raideur musculaire très prononcée se rapprocha
ent forte que la malade ne peut pas se lever spontanément. Un autre cas fut déjà décrit dans la Nouvelle Iconographie d
laquelle j'ai examiné les troubles des mouvements actifs, dans ces cas , fut inspirée par celle employée par les physiolo
mental influence les actes musculaires au plus haut degré. Dans les cas où le malade n'était pas capable de s'exprimer
, etc. Ensuite j'ai examiné la fonction de ces mêmes muscles (1) Ce cas fut amplement décrit dans un des derniers numéros
t aux membres des positions qui durent quelque temps. Même dans les cas de chorée avec flaccidité musculaire très prono
e malade ne peut plus se débarrasser de l'attitude acquise. Dans le cas où cette atti- tude amène le raccourcissement d
'de l'effort/ i ' ? .l Le trouble décrit n'est pas signalé dans les cas seuls où les mouve- ments passifs se heurtent à
rtent à' des spasmes musculaires, je l'ai noté égale- ment dans des cas de flaccidité musculaire prononcée : en voulant a
extension diminuait progressivement. ' < ; 1 1 1 Dans certains cas , l'impulsion de la volonté provoque une hypertoni
position de flexion que le malade ne peut plus quitter. Dansundemes cas le malade, en voulant exécuter un mouvement isolé
ie de certaines de leurs fonctions. , ' ' '" " ' Il .- A côté des cas où le malade n'est pas même capable de commencer
on- trôle ultérieài@ de la volonté l'effet désiré ? Ce n'est pas le cas chez nos malades : en général nous pouvons dist
r le membre au juste moment, le but est dépassé d'un coup. C'est le cas contraire quand le membre fait le trajet lentem
it le trajet lentement, avec interruptions multiples. Dans les deux cas il y a abolition complète du schéma de Woodwort
e moindre effet dynamique dans la direction projetée. Dans certains cas il se développe une véritable contracture des m
l se développe une véritable contracture des muscles. Dans d'autres cas , ce n'est pas t'hypertonie musculaire qui doit
lement, un aspect fort divers. Comparons les mouvements actifs d'un cas de chorée (athétose) avec flaccidité muscu- lai
orée (athétose) avec flaccidité muscu- laire prononcée et ceux d'un cas de parkinsonisme avec raideur générale des musc
isme avec raideur générale des muscles. En général, dans le premier cas , les actes volontaires ont le caractère du mouv
ntaires ont le caractère du mouvement dysmétrique ; dans le dernier cas , les mouve- ments volontaires sont lents, sacca
ouve- ments volontaires sont lents, saccadés. La parenté du premier cas au der- nier se montre non seulement par les co
de cet élément. Il y a encore d'autres facteurs rapprochant tous ces cas : la difficulté qu'éprouvent ces malades en ini
e sur la fonction musculaire même. Répétons qu'en clinique tous ces cas forment une série ininterrompue avec des chaîno
lle est maintenant la base physiologique qui est commune à tous ces cas ? ' ' Le trait marquant de ces cas, comme nous
que qui est commune à tous ces cas ? ' ' Le trait marquant de ces cas , comme nous l'avons déjà mentionné et comme le
res proprioceptives est mis dans un état d'atonie. Dans. le premier cas l'amplitude est en général restreinte, mais sa du
ts with little diminution for a minute or more » : Dans, le dernier cas , l'amplitude du,mouvement est excessive : « it is
amique, troublant les mouvements au plus haut degré..Dans, certains cas , ce manque de coordination se manifeste déjà av
uscles du corps dans un état d'équilibre toni- que. Ce n'est pas le cas chez nos malades : l'impulsion nerveuse provo-
à la fois positive et négative : négative, parce qu'il y a dans nos cas intégrité des cordons postérieurs, des voies pyra
n sous-tlialamique, respectant cependant les noyaux rouges. Dans un cas les corps striés eux-mêmes ne montraient des al
ntre médian de Luys. L'écorce des lobes frontaux est, dans certains cas , le siège d'altérations manifestes, dans d'autr
dans certains cas, le siège d'altérations manifestes, dans d'autres cas elle est intacte. / Nous concluons que la lésio
z des animaux avec decerebrale rigidity, est retrouvé dans certains cas de parkinsonisme avec raideur musculaire. - (2)
ertains stades du développement humain. " '' t ' (3) Dans un de nos cas , des altérations microscopiques insignifiantes fu
trouble de l'élément tonique. Comparons l'état de dystonie de nos cas à celui que nous constatons dans la lésion des
de continuer une série de mou- vements simples, ce qui n'est pas le cas chez nos malades. Il y a encore une grande diff
ans ce domaine aussi il y a retour vers un stade primitif. Dans nos cas , ces fonctions peuvent se manifester soit déjà en
dant la marche leur allure variait beaucoup, non seulement dans les cas différents, mais chez le même malade ; mais cel
donner une description détaillée des types observés. Dans certains cas le malade, en quittant son lit, présente une co
CONCLUSIONS. Dans les pages précédentes, j'ai rassemblé certains cas dont le lien commun est la dystonie musculaire.
isation des actes volontaires, rôle qui est tout autre que dans les cas ayec lésion des racines postérieures ou des voies
ntrant ainsi leur signification pour ces fonc- tions. C'est le même cas avec la contraction « spontanée » des extenseurs
ée » des extenseurs des gros orteils. Pour le fait qu'en certains cas la lésion anatomique se limite aux atro- phies
tivement au foyer de l'altération épileptique et que, dans certains cas , nécessairement peu nombreux et surtout au débu
atteintes d'épi- lepsie idiopathique pour la plupart, sauf pour des cas rares, septen tout, d'épilepsie partielle traum
trente secondes au plus tard. La perte de conscience, sauf pour les cas d'épilep- tiques équivalents (isodynamiques) et
ue, comme on l'observe à la fin des accès classi- ques, et dans des cas d'absences épileptiques. L'obnubilation durait de
de tout comme dans les accès spontanés petits ou grands. Sur neuf cas où il s'agissait de malades chez lesquels les acc
symptômes pathologiques de l'hystérie. Il s'agissait dans tous les cas de femmes souffrant de grands accès hystériques
s eu d'accès depuis longtemps et même depuis un an. , Dans les 42 cas , sans aucune exception, à la pression des carotid
vocation mécanique de l'accès est d'une très grande valeur dans des cas de diagnostic différentiel entre l'épilepsie et l
e, l'émission involontaire et nocturne d'urine, etc., etc, dans des cas où il arrive que les équivalents surviennent le
des malades, sur des questions de médecine légale et enfin dans des cas se rapportant à l'armée. Certainement les acc
s du poignet et des doigts et le long abducteur du pouce. Aussi, en cas de paralysie radiale, y a-t-il chute immédiate et
ital postérieur qui l'étend en la portant en dedans (adduction). En cas dé lésion du nerf radial, la paralysie de ces tro
de ce genre ne se produira au niveau des premières phalanges. En cas de paralysie radiale, l'abduction du pouce est im
alysie cubitale. ' ', t ? l...... 11, - PARAI,YSIE CUBITALE. 1 En cas de lésion du nerf cubital, l'aspect de la main es
ion totale de ce nerf.. - Les deux traits principaux sont dans ce cas : 1 ° L'atrophie des interosseux ; 2° L'altit
même quelques jours après. D'autres blessés (mais c'est plutôt le cas des lésions incomplètes) rap- portent qu'au déb
des fléchisseurs profonds et du cubi- tal antérieur. C'est dans ce cas que nous avons observé la griffe souple des qua
schémique des flé- chisseurs, ou maladie de Volkmann.111ais dans ce cas la palpation des mas- ses charnues des muscles,
doigts, et de l'opposition du pouce. A. Paralysie complète. En cas de section totale du médian ou de lésion, grave d
où la fréquence des paralysies des fléchisseurs des doigts dans les cas si nombreux de plaie en séton de la partie inte
- pée et plissée transversalement à la paume de la main. Dans des cas très nombreux, cette coloration et cet aspect de
endille et qu'elle desquame par petites écailles. ' Dans d'autres cas , la sudation est augmentée et la sueur perle en g
). L'attitude de la main et son impotence rappellent à peu près les cas de section complète décrits plus haut. Deuxiè
tion dans, le fonctionnement des filets vasomoteurs. Dans un de nos cas , les quatrième et cinquième doigts étaient touj
rpiennes et la raideur de toutes les jointures. Parfois, dans des cas analogues, les mêmes muscles sont intéressés, m
e du pouce est en flexion permanente, ce doigt présen- tant dans ce cas un exemple typique de la déformation décrite par
énariens, d'abord paralysés, sont en voie de restaura- tion.Dansles cas que nous figurons, il y a eu lésion vasculaire as
erne de la main, le côté radial de l'index. Plus rarement, dans des cas très graves, il s'agit d'une véritable gan- grè
ppareil plâtré (pl. XXII, fig. D). Nous avons pu observer dans deux cas une rétraction des muscles in- terosseux de la
mme une forme spéciale de paralysie paratonique de la main certains cas du type connu sous le nom de main d'accoucheur.
ation de leur travail, l'un de nous, avec M. Fay (3), a présenté un cas confirmatif des leurs. Il s'agissait d'une ma
mars 1916. xxviii 6 82 LA.IGNEL-LA.VASTINk' ET PAUL COURBON Ce cas rappelait ceux auxquels MM. Babinski et Froment o
aie pour la conduction sympathique, nous nous demandions si dans le cas actuel cette main d'accoucheur par hypertonie n'a
ons motrices d'ordre réflexe, et rappelant par leur morphologie les cas signalés dans divers centres neu- rologiques au
avons parlé en débutant. Pour faciliter la comparaison de tous les cas , nous avons résumé les observations sur un mode
e hystérique. Cette hypothèse se pose avec plus de poids dans notre cas , où la lésion ne siège pas sur le trajet d'un r
els mais très accusés de la marche. Ducosté a signalé lui aussi des cas se rapprochant de celui-ci, mais ne dépendant p
carpien (abduction et rotation en dehors) s'explique, comme dans le cas de l'Observation V, par une hy- pertonie du pre
ative tronculaire peut les déterminer et qu'on peut parler, dans le cas d'hypertonie comme dans celui d'hypotonie, de tro
ent en partie aussi les III, VII et XV. On voit donc que dans les cas dits d'ordre réflexe-la pureté est l'ex- ceptio
domaine d'une façon abusive. Il nous faut donc, à la lumière de nos cas , dans chacun desquels les groupements de troubl
+ M.), XIV (P.), XIII (P.). Il n'y eut pas d'effet dans les autres cas . b) Sur la tonicité. Il y a eu exagération des
abilité mécanique ne fut pas diminuée par le réchauffement dans les cas suivants : II, I, VIII, fil, V, IV, IX, XV, c'e
s suivants : II, I, VIII, fil, V, IV, IX, XV, c'est-à-dire dans les cas où il y avait lésion tronculaire évi- dente ou
t lésion tronculaire évi- dente ou trouble réflexe. Dans les autres cas où il y avait mécanisme psy- chique, l'hyperexc
dans les XIV, XIII, VIII (pour la main seulement). Dans les autres cas , on constatait un mélange d'hypertonie et d'hyp
ent général du membre : II, VIII (R. + P.), IX (R. +P.), ce dernier cas sans décalcification. Décal- cification des pha
la peau, ne nous est pas apparu. La simple immobilisation dans les cas d'ori- gine psychique semble pouvoir amener une
effort : 1 ; douleur sourde continuelle : 4.Y. Dans tous les autres cas , il n'y a pas de modification, de la sensibilité
ès lente, l'attitude apt]lelle ayant été immédiate dans cinq de nos cas réflexes : IV, V, VII, IX, XV. Cette attitude ne
en de précis; il faut noter cependant qu'il n'y eut jamais dans les cas réflexes substitution d'une attitude à une autre
nt, pour expliquer la singularité des attitudes observées. Tous nos cas à apparence réflexe, c'est-à-dire ayant un substr
mités nerveuses ou musculaires par un corps étranger comme dans les cas de poussière métallique de Léri (VII), tantôt l'h
on irritative d'une lésion ner- veuse déjà ancienne, comme dans les cas d'André Thomas et Guillain, ce qui étend aux au
int de jonction fibrotendineuse des muscles en hypertonie. Dans les cas où cette concordance n'existe pas, ce sont les
m - blables imposent à une même partie du corps. 1 Sur QUELQUES cas D'OEDËMES par STRICTION. Les quelques cas d'oed
corps. 1 Sur QUELQUES cas D'OEDËMES par STRICTION. Les quelques cas d'oedèmes de la main que nous reproduisons,'don
s, bien inconsciemment, la cause indirecte de semblables oedèmes. Cas 1 (PL XXVIII, A,A'). A..., âgé de 23 ans, entré l
toires, dont nous ne trouvâmes plus trace lors de notre examen. , Cas II (fig. B). B..., âgé de 34 ans, entré le 2 avri
aient restés raides et engourdis, mais sans anesthésie véritable. CAs III (rit,. C). -C ? âgé de 25 ans, examiné le 27
es autres mou- vements auraient disparu quand apparut l'oedème. ' Cas ly (fig. D). D..., 23 ans, se présente le 25 juin
- tisme que la main et les. doigts auraient pris l'aspect actuel. CAS V (fig. E). E..., 25 ans, entré le 3 juin 1915, é
un caractère commun : l'oedème de la main est survenu dans tous les cas à la suite d'une blessure, blessure avec plaie
e du poi- gnet) dans le dernier. Bien plus, dans les trois premiers cas , la blessure avait un siège presque identique,
identité de lésion et la similitude de l'aspect de la main dans les cas Il eu III, les pre- miers qui se sont présentés
et l'altitude en contracture auraient pu faire penser à l'un de ces cas de lésions réflexes si justement isolés par MM.
é inférieure de l'avant-bras ; c'était le flagrant délit. Dans le cas V, nous ne pûmes découvrir que deux petits sillon
une striction extérieure. Des découvertes aussi nettes que dans les cas 1 et IV sont en effet rares, car, s'il faut une
' 125 Le meilleur moyen pour s'assurer de la nature de l'oedème en cas de doute, et le faire disparaître, est cependan
decins (auto-mutilations, ictères picriqués, etc...), le nombre des cas en a considérablement diminué. Nous les avons a
ière de ces oedèmes par striction. Nous avons dit que dans tous nos cas il y avait eu une bles- sure au voisinage el su
i, trop serré, avait dé- terminé le premier oedème. Ainsi, dans les cas I et II, un pansement serré avait été appliqué
s les premiers mois de la campagne, la main était gonflée. Dans les cas III et IV, les doigts ayant une certaine tendan
levés avec une planchette maintenue par un pansement serré. Dans le cas V, la fracture avait été contenue par un appare
ents ultérieurs ; il n'en sauraitétre question par exemple dans les cas , comme le cas V, où une fracture guérie depuis
s ; il n'en sauraitétre question par exemple dans les cas, comme le cas V, où une fracture guérie depuis plusieurs mois
it vraisemblable que l'artère radiale a été lésée. Ce qui rend ce cas particulièrement intéressant, c'est que, malgré l
te de lésions associées des vais- seaux et des nerfs. Dans certains cas ,nous avons aussi constaté de simples troubles c
la lésion nerveuse est relativement peu grave : ainsi, dans les trois cas que nous avons rapportés, la blessure des nerfs
sure des nerfs était manifestement in- complète. Mais dans bien des cas nous avons vu des extrémités, mains ou pieds, v
vraisemblable qu'un gros vaisseau ait pu être touché. Dans d'autres cas nous avons observé, non de l'oedème, mais des kér
ces, à aspect atone, à évolution torpide. Or dans la plupart de ces cas (dans les derniers surtout), une intervention u
ous pouvons répondre résolument par la négative : nombreux sont nos cas où, par exemple, une section de l'artère humé-
s deux'bouts écartés : or on peut constater qu'il n'y avait dans ce cas ni oedème, ni changement de teinte, ni altération
ses douleurs de certaines bles- sures nerveuses ; nombreux sont les cas de causalgies, que nous avons observées,où clin
e irri- " tation des filets sympathiques intratronculaires. En tout cas , il semble que les douleurs caùsalgiques sont u
peu altérés, presque jamais une section complète. Pourtant, dans un cas que nous avons signalé à la Réunion médicale de
trouvé complètement sectionné, avec ses deux bouts écartés ; dans ce cas exceptionnel, la genèse des douleurs nous paraî
mal explicable. Inversement, nous avons observé un bon nombre de cas où l'association d'une lésion nerveuse et d'une
qu'à un certain point antagoniste, paralysie ou destruction dans un cas , excitation, irritation dans l'autre. En résu
ribuer à ce signe une trop grande valeur. S'il y a, en effet, des cas nombreux où une section complète détermine une
es (1). La règle n'est pourtant pas absolue : nous avons observé un cas de blessure du nerf radial qui ne s'est manifes
PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 135 En somme, nous trouvons dans ce cas tous les caractères des, formes causalgiques de
chose pourrait tomber. z Ce qui est tout à fait particulier à notre cas , c'est que le radial seul avait été lésé et que
déformation très spéciale du pied que l'on ob- serve dans certains cas de blessures très douloureuses du sciatique ; le
nsisté sur l'importance diagnostique de ce signe organique dans les cas où la douleur est presque le seul symptôme. Dep
gré de la paralysie ; nous avons ainsi observé un certain nombre de cas où la parésie était très légère, presque nulle, a
comprend quelle peut être l'importance de la constatation dans ces cas d'un signe nettement organique et indiscutable,
ieds pour acquérir une conviction absolue. Il est vrai que dans ces cas le réflexe achilléen était généralement aboli ou
ttement accusé au 20e jour d'une blessure au creux poplité, dans un cas où les douleurs accusées étaient vives, mais où l
où la paralysie était extrêmement atténuée et très limitée. Dans ce cas d'ailleurs, douleurs et parésie avaient presque
observée, par exemple, d'une façon très nette et accentuée dans un cas où, à la suite d'un enfouissement, le nerf avai
tte même déformation, plus modérée, mais encore très nette, dans un cas de gelure du pied avec douleurs vives et persis
ous ne savons d'ailleurs pas exactement dans quel nombre relatif de cas et dans queiles conditions la lésion de la branch
d'un qn après la blessure, une amyotrophie du mollet. Dans tous ces cas , il y avait bien eu quelques sensations douloureu
d'avoir l'attention soigneuse- ment attirée et d'avoir affaire à un cas où la déformation est assez accentuée. - En r
ent un degré prononcé de la lésion, degré qui est fréquent. Dans le cas B, la blessure siégeait au tiers supérieur de l
portante des muscles postérieurs de la cuisse et du mollet. Dans le cas C, le sciatique avait été louché dans le creux
oplité ; les dou- leurs étaient à peu près aussi vives que dans les cas précédents ; dans le premier*il y avait une gro
déjà presque guéri. La figure A de la planche XXXII représente un cas de blessure du scia- tique à la partie inférieu
iblement moins prononcée. La figure a montre le pied effilé dans un cas de gelure, avec douleurs névritiques intenses p
fection ; le réflexe achilléen était conservé. La figure C est un cas de lésion très douloureuse du sciatique, consé-
ysie et une légère alro- phie du mollet. La figure D reproduit un cas où, à la suite d'une blessure du sciatique à la
de la paralysie. Les figures E et F montrent le pied effilé dans un cas de blessure du sciatique au creux poplité, avec
oppent d'une façon lente, progressive, indolente dans la moitié des cas environ, modérément douloureuse dans l'autre mo
e compliquent l'une l'autre que rarement et à échéance éloignée. Le cas suivant fait exception quant à ces différents car
g ou urine, ni même aucune radiographie. Toutefois les anomalies du cas , et surtout la simul- tanéité des deux variétés
une discussion pratique, puisque nous pensons qu'il s'agit dans ces cas d'un stigmate chondro- osseux de syphilis héréd
ographiques que nous avons faites, non ? n'avons pas trouvé un seul cas demacrodactylie acquise, en dehors, bien entend
blessé. La monstruosité digitale de G... cadre tout à fait avec les cas de la série mégalique congénitale. Si nous noto
que dans le jeune âge ou l'adolescence. Il en est ainsi de certains cas de myopathie, de syndrome de Recklinghausen, d'
901, met la question au point. L'étiologie et la pathologie de tels cas restent toujours très obscures. On sait que Tré
comme dans l'acromégalie et non partiellement. De plus, dans notre cas , nous avons fait l'examen radiographique de la
manuelle trop grande, on pourra, comme l'a pratiqué Lejars dans un cas semblable, faire l'amputation du doigt, mais en a
, 1902, 1903. BEGOUItv et SABRA- GÈS, CESTAN, CAYLA, LEJARS. NEUF CAS DE POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE AU COURS DE CINQ GÉ
faits isolés, sporadiques en quelque sorte, de poly- dactylie. Le cas d'un sexdigitaire que nous avons eu l'occasion d'
vé chez lui aucune des tares rPle- vées par divers auteurs dans des cas analogues, et dont nous reparlerons plus loin.
11. l'L, \\A\11 POLYDACTYLIE HEREDITAIRE ('René l3érrrrd.) NEUF CAS DE POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE . 149 L'examen des
ied gauche ». Le doigt cubital de la main gauche est, comme dans le cas précédent, le plus petit des deux doigts surajo
gauche l'orteil surajouté est infiniment plus complet que dans, le cas précédent. Il y a d'abord un 6° métatarsien qui p
XVIII. PL. xxxvii POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE (René Tiendra.) NEUF CAS DE POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE 151 Fait curieux :
servations qui pourront davantage y apporter un appui, car dans nos cas non plus, on ne rencontre pas celte traînée oss
Fumarola. Tantôt ils signalent qu'il n'y a pas d'hérédité dans leur cas , mais associa- tion avec une autre tare : pied-
ais associa- tion avec une autre tare : pied-bot congénital dans le cas de Marsh ; rétinite pigmentaire et coloboma de
e cas de Marsh ; rétinite pigmentaire et coloboma de l'iris dans le cas de Darier ; acromégalie dans le cas de Lyon ; t
e et coloboma de l'iris dans le cas de Darier ; acromégalie dans le cas de Lyon ; tumeur hypophysaire avec syndromeadipos
saire dans l'article de Berto- lotti ; aliénation mentale dans deux cas de Parhon. D'autres auteurs, au contraire, ont
s, par un médecin de village. IJ mourut d'infection à la suite NEUF CAS DE POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE 155 de cette opérat
-sur-Fure sont absolument voisins; il faut donc admettre ou que nos cas se rattachent aux cas d'Izeaux, - nous n'a- von
ent voisins; il faut donc admettre ou que nos cas se rattachent aux cas d'Izeaux, - nous n'a- vons pu le savoir de faço
nouvel exemple de la longue persistance de la polydactylie. . NEUF CAS CE POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE 1 57 * Les relati
et une mère polydactyle), la zygote est pure ou homozygote. Dans ce cas la proportion de ceux qui auront ce caractère (
apport à ceux qui ne l'auront pas de 3 à 1. La polydactylie dans ce cas serait dite caractère dominant, l'état normal,
dactyle et d'un individu sain). Ce sont des hétérozygotes. Dans ces cas la proportion des récessifs par rapport aux dom
paraîtraient. A la lumière de ces notions, peut-on trouver dans les cas de polydac- tylie héréditaire une vérification
telle l'amyo- trophie du type Charcot-Marie où Herringham relève 26 cas en 6 généra- tions, Souques 21 cas en 7 générat
ot-Marie où Herringham relève 26 cas en 6 généra- tions, Souques 21 cas en 7 générations. Dans un article récent, Klipp
rations. Dans un article récent, Klippel et Rabaud, à propos de six cas rappor- tés par eux- de polysyndactylie, en qua
e présenter le caractère récessif. Quel état pouvons-nous faire des cas rapportés par Prosper Lucas d'après Carliste et
tte marche, la normale y fut successivement à l'anormalité : NEUF CAS DE POLYDACTYLIE HEREDITAIRE 159 A la cinquième
mplète. Nous nous bornerons à signaler les articles suivants : NEUF CAS DE POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE 161 POLAILLON. - Ar
. L. RIMBAUD et G. REVAULT D'ALLONNES Nous n'avons pu trouver aucun cas analogue à celui-ci dans la littéra- ture médic
alisation unique au niveau des doigts, nous ne pouvons présenter ce cas comme une forme certaine de cette affection.
are et jusqu'ici non décrit des extrémités digi- tales. (1) Aucun cas analogue n'est non plus signalé par MONTRER, Sclé
expérimental les lésions de la glande pituitaire. Pour ce motif, le cas de traumatisme pur de l'hypophyse que nous allons
utopsie des autres organes et appareils n'offrait pas d'intérêt. Le cas que nous avons exposé suggère plusieurs problèmes
ute l'origine hypopituitaire de ce syndrome, s'évanouissent avec ce cas , com- parable, en ce sens, à ceux de Madelung (
la selle turcique, survint le syndrome adiposo-génital. Mais notre cas estplus démonstratif que ceux-ci, car dans celui
es sexuels pouvaient être seulement de type fonctionnel. Dans notre cas , on voit se produis sous les yeux de l'obser- v
ssement. Cette augmen- tation de la graisse paraît être, dans notre cas , postérieure à l'arrêt sexuel ; ceci confirme n
obésité hypogénitale, ce qui confirme l'hypothèse que beau- coup de cas d'obésité prépubérale de l'enfant, avec insuffisa
190 MARANON ET PINTOS Plus intéressante est la considération de ce cas en ce qui se rapporte aux relations du diabète
nce de la polyurie dans l'acromégalie (hyperpituila- risme). De 118 cas recueillis par Creutzfeld, dans 10 il y avait vér
r une altération directe ou indirecte de l'hypophyse. Tels sont les cas de diabète insipide coïncidant avec le nanisme
régressif (Lereboullet), l'alopécie, les troubles sexuels (Schmidt, 2 cas ), l'hémianopsie traumatique (Redslobs), l'hémia
Umker, etc.) (7). 5° Découverte de lésions de l'hypophyse dans des cas de diabète in- sipide. Tubercules (Haushalter),
ng) (9), ou par la lésion traumatique de l'hypophyse, chez l'homme ( cas de Franck (2) et celui que nous venons de décrire
iabète insipide dans le syndrome hyperpituitaire (acromégalie). Les cas de dia- bète insipide avec lésions destructives
(tubercules, tu- meurs métastasiques, traumatismes, soit casuels : cas de Franck, soit opératoires : cas de Cushing) s
ues, traumatismes, soit casuels : cas de Franck, soit opératoires : cas de Cushing) s'expliqueraient, selon ce critérium,
ins destructives, et en aucune façon hyperfonctionnelles. Quant aux cas de polyurie dans 1 acromégalie, ils s'expliquen
me que le myxoedème disparaît par l'opothé- rapie thyroïdienne. Aux cas actuellement publiés (10), nous pouvons ajouter
que nous indiquerons brièvement. Observation II. Dans le-premier cas , il s'agissait d'un garçon de 19 ans, avec diabèt
R. - Deutch. med. Woch., 1912. FACULTÉ DE MÉDECINE DE LISBONNE UN CAS DE TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEUX PAR Eg
Editeurs TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉR)`13ELLEUt (Egai Monis.) UN CAS DE TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEUX 197 Asep
Depuis la guerre, j'ai eu l'occasion d'observer chez des soldats 12 cas de myélite aiguë du type épidémique de Heine-Me
et clinique. Elles appartiennent à deux groupes, le premier de deux cas observés en août 1915 (obs. 11 et 12), le secon
915 (obs. 11 et 12), le second de beaucoup le plus important, de 10 cas (de 1 à 10), observés en mai 1915 dans un même se
réflexe du coude. Sensibilités normales. Evacuation. Les douze cas dont les observations sont rapportées ici apparti
emière entrée le 1er mai 1916, la dernière le 31 mai. Neuf de ces cas me sont arrivés du même secteur, appartiennent au
des des secteurs voi- sins, parmi lesquels je n'en ai pas relevé de cas ; je crois savoir aussi qu'il n'en a pas été si
res de Nancy. Après le départ de cette division, je n'ai reçu aucun cas nouveau provenant des troupes qui l'ont remplac
ments que j'ai reçus il ne paraît pas en avoir été constaté d'autre cas parmi les troupes MYÉLITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES.
MIES MILITAIRES 213 de la division infectée après son départ. Aucun cas de contamination in- térieure ne s'est produit
très floue n'ayant été dépistée qu'ultérieurement. De même, pas de cas dans les hôpitaux de l'avant dans lesquels nos
un secteur dans lequel ont été observés au même moment de nombreux cas de méningite cérébro-spi- nale ; les deux épidé
e, les débuts se sont établis en deux périodes : 4°X5e et génie : 3 cas , 1er mai, 2 mai, 2 mai. 2aX7", 4 cas : 7 mai, 8
ériodes : 4°X5e et génie : 3 cas, 1er mai, 2 mai, 2 mai. 2aX7", 4 cas : 7 mai, 8, 10 et 16. Si de cette constatation
l. XXXIV, fasc. 1er sep- tembre 19H 214 q, ETIENNE En outre, un cas isolé a éclaté dans la brigade co-endivisionnée l
noter que d'après les rensei- gnements qui m'ont été fournis, aucun cas de paralysie infantile n'a été signalé au cours
début, d'état et de résolution. Période prodromique. Dans quelques cas , une période prodromi- que, de quelques jours g
de diarrhée depuis quelques jours dans l'observation XI. Dans un cas (obs. IX), une angine à suites traînantes, avec p
'éclosion delà phase d'invasion. Le même fait a été signalé dans un cas par Hellier (1). ' En somme, souvent période de
bsyncopal, deux grands frissons ; T. à 9 °2, P. à 54. Dans d'autres cas assez fréquents, M. Netter a indiqué un début à
I et IV), 38°2 le matin et 39°4 le 2e jour (obs. VI). Dans d'autres cas , la température reste moyenne, se tenant entre
L'intensité des troubles paralytiques a été très variable. Dans les cas MYÉLITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MIL
souvent été non seulement partielle, mais aussi incom- plète en ce cas , surtout aux membres inférieurs : nous trouvons l
ns les deux observations du récent mémoire de M. Netter et dans les cas de Hellier. Dans tous mes autres cas, les réfle
ire de M. Netter et dans les cas de Hellier. Dans tous mes autres cas , les réflexes ont été trouvés exagérés, souvent
réflexe patellaire et apparition du clonus du pied. Dans tous les cas d'exagération ou d'inversion des réflexes, les ré
ux ont été augmentés. Le clonus du pied a été observé dans tous ces cas , sauf dans l'observation VI ; son intensité est v
VIII). Le phénomène de Babinski apparut plus tardivement dans deux cas ; le gros orteil, encore en flexion après trois
ent exagérés que dans les segments intéressés. Ce- pendant, dans le cas de paraplégie paraissant nettement limitée de l'o
t été intéressés dans l'observation XII. Il est à noter que le seul cas dans lequel je n'ai pas observé de modifi- cati
0° jour. L'analgésie et l'anesthésie ont été observées dans un seul cas (obs. II), coïncidant au Se jour, avec des doul
ntes (obs. IV, V, VIII, XI), douleurs plus vives (obs. V). En aucun cas , la pression au niveau des émergences nerveuses n
2e jour dans l'observation V. Il est à noter cependant que dans des cas analogues, W. Hough et G. Laforce (1) ont const
uelques cellules plasmatiques et quelques mastzellen. Dans tous les cas , le liquide a été stérile. Les auteurs précédents
ation XII, au 12e dans l'observation XI. - Dans ces deux derniers cas (obs. XI el XII), la température oscillant entr
hôpitaux, 27 mars 1914, p. 571. ' 12) FLLLER EXGLA;\D, Sur quelques cas de paralysies épidémiques, observées en lIampsh
t habituel dans la poliomyélite de la paralysie infantile. Dans nos cas cependant, la symptomatologie est restée essentie
sur ces variantes, et Fuller England déjà ne voulait intituler ces cas que « Paralysies épidémiques ». Le cas 2 s'est
éjà ne voulait intituler ces cas que « Paralysies épidémiques ». Le cas 2 s'est terminé rapidement par l'apparition brusq
idement par l'apparition brusque de troubles bulbaires mortels ; le cas 1 a été extrêmement grave ; le cas 3 a été une
troubles bulbaires mortels ; le cas 1 a été extrêmement grave ; le cas 3 a été une paraplégie complète à résolution as
* atténués, se caractérisant surtout par une parésie avec, dans le cas 10, une modification passagère de la sensibilit
cas 10, une modification passagère de la sensibilité. Ces derniers cas , à vrai dire, tout en étant, en somme, fort net
tiennent surtout leur signification de leur rapprochement avec les cas évidents, 1,2,3... Il est intéressant de note
s. I à X), et l'intensité des phénomènes spasmodiques dans les deux cas de 1015 (ohs. XI et XIII). Les épidémies semble
s quelle énorme proportion peuvent varier leur intensité, depuis le cas de l'ohservation 1 jusqu'au cas des observation
nt varier leur intensité, depuis le cas de l'ohservation 1 jusqu'au cas des observations IX, X, et aussi leur mélange e
cations des réflexes, si caractéristiques, fon- damentaux, dans nos cas ; et il n'est pas douteux qu'ils auraient ailleur
gnalé Herbert Bruce Low (1) ; et en dehors de l'existence connue de cas dans les milieux observés, rien ne me paraît pouv
gastrique. Fatigue générale consécu- tive à un embarras gastrique ( Cas 2, mortel). Embarras gastrique puis paratyphoïd
epuis 20 ans. (1) Inutile de dire qu'il ne s'agit dans aucun de ces cas de myélite compliquant une paratyphoïde légitim
u toute autre infection, comme j'ai eu l'occasion d'en observer des cas en tous points comparables à ceux déjà étudiés da
iés dans la fièvre typhoïde. (2) G. ETIENNE, Sérothérapie dans deux cas de myélite diffuse aiguë au cours d'une épidémi
DE LA POLYNÉVRITE SYPIIILITIQUE OU MERCURIELLE (observation D'UN cas mortel) PAR Karl PETREN Professeur à la Cli
discussions, quelques auteurs étaient plus disposés à regarder ces cas de polynévrite comme une conséquence de la syph
mercurielle. Il y a quelques années, j'ai observé à la clinique un cas , où le problème du diagnostic différentiel entre
e d'ailleurs aussi ceux de mes collègues qui ont d'abord observé le cas . L'issue a été mortelle, et à la fin j'ai pu ét
elle comme cause de la mort. Ces derniers temps, j'ai vu encore des cas d'intoxication mer- curielle se terminant par l
donner mon observation ; ensuite je traiterai très briè- vement des cas antérieurs qu'on peut regarder comme polynévrite
côté de ces troncs nerveux provoque des douleurs. Cela n'est pas le cas pour la colonne vertébrale ou pour le sacrum. E
urielle comme cause de la mort. Il semble évident qu'il s'agit d'un cas d'intoxication mercurielle. L'autopsie ne nous
un degré d'intensité assez médiocre. J'ai observé quel- ques autres cas de néphrite, en conséquence d'une intoxication me
ns et pas de cylindres granuleux, malgré qu'il y ait dans les mêmes cas une grande quantité d'albumine. Dans ce cas, l'al
il y ait dans les mêmes cas une grande quantité d'albumine. Dans ce cas , l'al- bumine n'a atteint qu'une quantité de 1,
cylindres hyalins. Par conséquent, la forme de la né- phrite en ce cas correspond bien à ce qu'on peut voir pour une nép
bres assez notable. Par conséquent, comme nous nous trouvions en ce cas en présence d'une stomatite, d'une néphrite et
mercurielle. Ainsi, nous en sommes venu au résultat que dans notre cas il s'est agi d'une intoxication mercurielle ave
eler la grande difficulté causée par le fait qu'un grand nombre des cas , où une polynévrite est survenue quelque temps
, ont été soumis au traitement mercuriel. Par conséquent, les mêmes cas ont subi l'influence des deux facteurs et il fa
adie assez (ou très) fréquente, il faudrait un très grand nombre de cas de polynévrite apparaissant chez des individus
de causalité. La question devient tout autre, si nous regardons les cas de polynévrite se développant chez des individu
entre les deux maladies, nous pouvons nous contenter d'un nombre de cas de coïncidence des deux maladies beaucoup plus
mple Raymond et encore d'autres l'ont déjà fait sur le fait que les cas de névrite circonscrite due à la compression des
e et d'origine syphiliti- que, sont tout à fait autre chose que les cas de polynévrite. Cependant, - DE LA POLYNÉVRITE
inctement observé cette différence. Par exemple, pour ce qui est du cas de Grosz (signes de névrite d'un cubi- tal avec
é externe), cet auteur n'a pas fait une distinction nette entre son cas et les cas de polynévrite vraie, et cette erreur
cet auteur n'a pas fait une distinction nette entre son cas et les cas de polynévrite vraie, et cette erreur a été accep
par plusieurs auteurs. Même chose serait à dire à propos de deux cas d'Ehrmann el un cas de Laurens. D'abord, je p
eurs. Même chose serait à dire à propos de deux cas d'Ehrmann el un cas de Laurens. D'abord, je parlerai du cas de Ta
deux cas d'Ehrmann el un cas de Laurens. D'abord, je parlerai du cas de Taylor, où des symptômes avaient pro- gressé
loyé sans succès. Comme on le voit, c'est une histoire typique d'un cas de lèpre, et on est assez étonné que Taylor n'a
several gentlemen of prominence » qu'il s'est agi de lèpre. Dans le cas de Sorrentino (cité d'après Cestan), il y avait d
ation des doigts). Par conséquent, nous laissons de côté ces deux cas de lèpre, très carac- téristiques,bien que ces
ent contracté une infection syphilitique. On trouve quelquefois des cas publiés comme des exemples de poly- névrite syp
polynévrite ont disparu pendant un traitement antisyphilitique. Des cas de cette espèce sont les observations de Nonne
traitement au mercure. Par conséquent, il faut laisser de côté les cas de cette espèce. Dans ce qui suit, je ne prendr
e espèce. Dans ce qui suit, je ne prendrai en considération que les cas de poly- névrite pas trop différente du type or
stic d'une méningite syphilitique. Cependant Ross et Bury ont cité le cas comme une polynévrite, et ils ont été depuis su
a conclu à une méningite cérébrale, mais Ross et Bury regardent le cas comme une polynévrite. STIEFLRR. - Syphilis d
et depuis développement de tabes. Stocker. Syphilis de 11 ans. - Cas de polynévrite, pas de description des symptôme
ec des symptômes psy- chopathiques qui font que l'auteur regarde le cas comme un exemple de maladie de Korsakoff. L'aut
UGONI. - Syphilis de 3 ans. Polynévrite du type ordinaire ; en tout cas , il semble que les symptômes ont été le plus déve
l'Amérique (Dana, Allen Starr, Putnam), n'ont pas voulu accepter le cas comme polynévrite syphilitique. HOFFMANN. Syphi
un traitement au mercure. STRASSER et Kraks. Syphilis héréditaire. Cas de polynévrite. Le ma- lade avait eu en outre l
sych., 1900, p. 600). Comme on le voit, ainsi je n'ai trouvé que 17 cas décrits de polynévrite chez des individus qui a
avant le développement de'la polynévrite. J'ai pu citer en outre 43 cas où le temps passé depuis l'infection syphilitiq
passé depuis l'infection syphilitique n'est pas connu, et enfin un cas où on a admis comme probable une syphilis hérédit
a admis comme probable une syphilis héréditaire. Mais parmi ces 17 cas , Oppenheim pour son cas hésite; ne s'agit-il pas
une syphilis héréditaire. Mais parmi ces 17 cas, Oppenheim pour son cas hésite; ne s'agit-il pas d'une mé- ningo-myélit
'agit-il pas d'une mé- ningo-myélite (réflexes exagérés) ? Les deux cas de Buzzard me semblent être des cas assez nets
(réflexes exagérés) ? Les deux cas de Buzzard me semblent être des cas assez nets de méningite cérébrale. Le cas de Stie
zard me semblent être des cas assez nets de méningite cérébrale. Le cas de Stiefler n'est pas une polynévrite mais une
n'est pas une polynévrite mais une névrite localisée. Pour l'un des cas de Plehn (âge de l'infection syphilitique 3-4 a
ite alcoolique semble probable. Ainsi il faut laisser de côté ces 5 cas . De plus, je fais abstrac- tion du cas de Stras
l faut laisser de côté ces 5 cas. De plus, je fais abstrac- tion du cas de Strasser et Kraus où les auteurs ont pensé à l
philis héréditaire, parce qu'on ne sait comment il faut regarder ce cas et parce qu'il serait un cas unique, si l'on acce
on ne sait comment il faut regarder ce cas et parce qu'il serait un cas unique, si l'on acceptait l'idée de syphi- lis
aire comme cause de la polynévrite. Pour quelques-uns des autres 11 cas , il y a cependant des raisons de penser à d'autre
elle d'une polynévrite et j'y reviendrai bien- tôt. Enfin, pour les cas de Nonne et de Fischer, un tabes s'est développé
pas avoir une opinion fixée et ne sais comment il faut regarder ces cas . - Même si nous acceptons le cas de Fischer et
sais comment il faut regarder ces cas. - Même si nous acceptons le cas de Fischer et de Nonne et tous les autres cas (
si nous acceptons le cas de Fischer et de Nonne et tous les autres cas (cependant comparez ci-dessous), il ne reste néan
s cas (cependant comparez ci-dessous), il ne reste néanmoins que il cas où la polynévrite est plus ou moins probable et
hilitique et d'une polynévrite, il semble évident que le nombre des cas où on a établi la coïncidence de ces maladies, et
que contractée depuis plus d'une année, - même si nous acceptons 11 cas de cette espèce (comparez ci-dessous) ne forme-
alité entre la polynévrite et la syphilis - autant qu'il s'agit des cas où cette infection a été contractée depuis plus
vrite est apparue moins d'un an après l'infection syphilitique. Les cas suivent, tous briève- ment cités. . Observati
éri pendant le traitement mercuriel. JAFFÉ. - Syphilis de 9 mois. Cas d'issue mortelle sous le type de ma- ladie de L
e. Par conséquent, on no peut avoir aucune opinion sur la nature du cas . - CROCQ (cité d'après Jah¡'esbe1'. d. Neurolog
Parésie plus développée en un bras qu'en l'autre. Pas d'autopsie. Le cas de Brauer est regardé comme un exemple de polyn
de date inconnue, mais il y avait ecthyma syphiliti- que diffus. Le cas du maître de la neurologie française est alors (1
condaires de syphilis un mois avant l'apparition de la polynévrite. Cas de polynévrite assez typique. Amélioration lent
vations où l'infection syphilitique n'a pas un an d'âge et encore 5 cas où les autres symptômes de la syphilis DE LA PO
assigner un âge récent à l'infection syphilitique. Le nombre de ces cas semble leur donner une. assez grande valeur pour
savoir si la coïncidence de la syphilis et de la polynévrite en ces cas -ci peut rendre probable une relation de causalité
lyser un peu plus étroitement les symptômes que quelques-uns de ces cas (et même des cas d'une infection syphilitique p
étroitement les symptômes que quelques-uns de ces cas (et même des cas d'une infection syphilitique plus âgée) ont pré
d'une infection syphilitique plus âgée) ont présentés. Parmi les cas cités ci-dessus, il y en a plusieurs où les sympt
is encore les nerfs crâniens. Si l'on examine la description de ces cas , il ne s'agit pas seulement d'une paralysie fac
côté des nerfs crâniens ont été d'une distribution irrégulière. Les cas de cette espèce sont (les deux cas de Buzzard d
ne distribution irrégulière. Les cas de cette espèce sont (les deux cas de Buzzard déjà éliminés), ceux de Fischer, de
Hoffmann, Barié et Colomb, Wandel et Strauss. Dans les deux derniers cas , la syphilis n'avait pas encore un an d'âge; le
robabilité pour que les symptômes du côté des nerfs crâniens en ces cas soient dus à des pro- cessus morbides de nature
nature syphilitique localisés aux méninges cérébrales. Mais, en ce cas , il est évident que les symptômes du côté des mem
la moelle épinière, et par suite la nature des polynévrites de ces cas apparaît au moins incertaine. Pour ce qui est
ait parle en faveur de l'idée que la pa- ralysie des membres en ces cas est due à une méningite (spinale). Pour les aut
névrite sont régulières, il faut se de- mander s'il ne peut, en ces cas d'un tableau clinique différent du type ordinai
plupart des auteurs, est due assez souvent, ou au moins en quelques cas , à la syphilis. J'admets qu'il ne s'agit pas dans
quelques cas, à la syphilis. J'admets qu'il ne s'agit pas dans les cas cités ici du syndrome typique de celte maladie, m
nfle- ment cervical pourrait donner les symptômes observés dans ces cas . Dans le cas de Crocq, les symptômes du côté d'
rvical pourrait donner les symptômes observés dans ces cas. Dans le cas de Crocq, les symptômes du côté d'un bras ont mon
t montré plus de résistance contre le traitement mercuriel. Dans le cas de Cestan, le traite- ment par le mercure n'a p
'un des bras. Cela peut bien être expliqué, s'il s'est agi dans ces cas et surtout dans le der- nier, d'une pachyméning
iodo- mercuriel, et j'ai observé moi-même depuis quelques années un cas très net de cette espèce. En tout cas, comme
e depuis quelques années un cas très net de cette espèce. En tout cas , comme nous n'avons pas ici le type ordinaire de
ouvons nier. Ainsi, il est au moins incertain qu'il s'agisse en ces cas d'une polyné- vrite, et par suite on n'a pas le
'une polyné- vrite, et par suite on n'a pas le droit de prendre ces cas en considération, quand on cherche les faits sû
onclusion sur la polyné- vrite due à la syphilis. Pour les autres cas cités ci-dessus, la syphilis n'est pas établie po
s autres cas cités ci-dessus, la syphilis n'est pas établie pour le cas de Tuckwell. Pour le cas de Jaffé, où il s'agit d
sus, la syphilis n'est pas établie pour le cas de Tuckwell. Pour le cas de Jaffé, où il s'agit du syndrome de Landry, l
drome de Landry, le malade est mort et pas d'autopsie ; pour un tel cas , il est évidemment impossible de savoir quelque
ir quelque chose sur la nature vraie de la maladie. Encore, dans le cas de Schultze les réflexes étaient conservés, et l'
ction centrale du système ner- veux. Si nous laissons de côté ces cas pour lesquels nous avons énuméré les raisons qu
aisons qui les font regarder comme incertains, il ne nous reste que 6 cas où l'infection syphilitique a plus d'un an d'âg
d'un an d'âge et où une polynévrite semble assez probable. Pour le cas de Stocker, il faut encore dire que le cas n'es
assez probable. Pour le cas de Stocker, il faut encore dire que le cas n'estpas suffisamment décrit et que le traitement
ue le traitement mercuriel n'a pas eu un effet si éclatant. Pour le cas de Nonne (obs. .74.), un tabès s'est depuis dév
se la façon dont il faut regarder cette observation. Encore pour le cas de Fry, la polyné- DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQ
de la polynévrite. Par conséquent, il ne reste en réalité que trois cas (ceux de Perrin (obs. 20), de Bonnet et Laurent
évrite sans aucune hésitation. Il est bien évident que ce nombre de cas ne permet aucune conclusion sur une relation de c
ais au contraire, que ce fait qu'on a trouvé que ce petit nombre de cas non douteux quand l'attention est fixée sur ce
e causalité entre les deux maladies. Si nous nous tournons vers les cas où l'infection syphilitique est venue, il y a m
ins d'une année, nous arrivons à un tout autre ré- sultat. Il y a 7 cas de cetle espèce où il n'y a aucune raison d'hésit
ù il n'y a aucune raison d'hésiter sur la nature de la polynévrite ( cas de Spillmann et Etienne, de Steiner (obs. 1 et
liddleton, de Cestan (obs. 2), de Fordyce). En outre, il y a quatre cas où le diagnostic de la polynévrite semble très
r l'idée d'une syphilis récente (Déjerine, Gilles della Tourette, 2 cas Trômner). Encore il faut remarquer qu'entre les
a Tourette, 2 cas Trômner). Encore il faut remarquer qu'entre les 7 cas où une infection syphi- litique d'un âge de moi
âge de moins d'une année est établie, il y avait au moins pour cinq cas une éruption syphilitique en même temps, ou presq
symptômes de la polynévrite étaient présents. C'est-à-dire tous les cas de cette espèce avec l'exception du cas de Nonn
ésents. C'est-à-dire tous les cas de cette espèce avec l'exception du cas de Nonne (obs. 472) et Steiner (obs. 2). Par
obs. 472) et Steiner (obs. 2). Par conséquent, nous avons trouvé 11 cas où la polynévrite semble être sûre, la syphilis
ontractée il n'y a plus guère d'un an (ou un peu plus) et entre ces cas , il y en a 9 où il y avait en même temps une érup
li (cité d'après Spillmann et Etienne et d'après Leyden) a observé un cas d'intoxication mercurielle aiguë (tentative de
examen de la moelle n'a pas donné de résultats positifs. Un autre cas d'intoxication mercurielle aiguë (par un accident
suivi ; guéri après six mois. Malgré qu'il ne s'agisse que de deux cas d'intoxication mercurielle aiguë ayant causé un
le aiguë ayant causé une polynévrite, par suite de la nature de ces cas , leur nombre me semble néanmoins permettre de c
u et Letulle), nous trouvons chez Kussmaul (p. 250) l'histoire d'un cas d'intoxication mercurielle chronique profession-
d'une polynévrite me semble très probable. Kussmaul cite encore un cas de Plesch d'intoxication mercurielle chronique
dire plus, bien qu'une polynévrite me semble très possible dans ce cas . Chez Hallopeau, on trouve le cas d'un ouvrier
me semble très possible dans ce cas. Chez Hallopeau, on trouve le cas d'un ouvrier travaillant le mercure (étamage de
'idée d'une hystérie qui a causé rhemianesthésie, il semble en tout cas impossible d'expliquer le reste par un autre di
ic. Le diagnostic d'une polynévrite me semble très probable pour ce cas , mais comme il n'y a pas d'autres symptômes d'une
équence d'une intoxication mercurielle. Letulle raconte que dans 14 cas d'intoxication mercurielle il a vu deux cas ave
tulle raconte que dans 14 cas d'intoxication mercurielle il a vu deux cas avec parésie. Dans le premier (obs. 5), il ne s
é. Ces symptômes ont persisté pendant cinq ans. Depuis guérison. Un cas similaire a été publié par Vernesco (cité d'après
(autant que je peux trouver dans le compte rendu dont je dispose du cas ) seulement développés aux membres supérieurs. M
) seulement développés aux membres supérieurs. Meinertz a publié un cas où il s'est agi d'un travailleur avec de l'amalga
la sensibilité normale. Meinertz est hésitant, s'il faut regarder le cas comme polynévrite, mais ce diagnostic me semble
, mais ce diagnostic me semble bien évident. Pour en finir avec les cas où les malades ont été soumis à l'influence de me
rs très vives dans les jambes. Depuis, guérison constatée. Dans ces cas d'intoxication mercurielle chronique (de nature p
lynévrite due à une intoxication mercurielle. En outre, il y a deux cas (ceux de Letulle et de Vernesco) où les symptôm
hi que les membres supé- 244 PETREN rieurs. En regardant ces deux cas bien correspondants l'un à l'autre la question
à la polynévrite mercurielle. Jusqu'ici nous n'avons traité que les cas où les malades ont été soumis à l'influence du
ement avec du mercure). Maintenant, il nous reste à envisager les cas de polynévrite où la présence de la syphilis es
il a eu d'autres symptômes d'une intoxication mercurielle. Pour ces cas , par conséquent, la question est de juger s'il
syphilis ou à l'intoxication mercurielle. Nous commençons par le cas de Leyden qui a joué un grand rôle pour éveille
é. Il me semble qu'il faut, selon toute probabilité, accepter dans ce cas l'intoxication mercurielle comme la cause de la
'intoxication mercurielle comme la cause de la polynévrite. Dans le cas de Brauer, souvent cité, le malade fut traité, au
de la moelle épinière. Par conséquent, il faut conclure que ce fut un cas de polynévrite. Brauer est plus disposé à accep
U MERCURIELLE 245 ble de conclure qu'il ne s'agisse pas dans un tel cas d'une intoxication mercu- rielle, et il me semb
de beaucoup la plus probable. Spillmann et Etienne ont publié un cas . où le malade, aussitôt après l'infec- tion syp
t de mercure. Dans le même travail, les auteurs ont publié un autre cas où un malade, 4 mois après l'infection syphilit
en considération même les autres symptômes obser- vés dans ces deux cas qu'on peut attribuer à une intoxication mercuriel
d'une polynévrite mercurielle est très probable pour tous les deux cas . Gilles de la Tourette a cité un cas où une pol
probable pour tous les deux cas. Gilles de la Tourette a cité un cas où une polynévrite assez typique est venue 3 mo
lle. La malade bientôt guérit, sans traite- ment mercuriel. En tout cas , une intoxication mercurielle ne me semble pas
sont améliorés peu à peu, mais pas d'éruption syphilitique. Dans ce cas , il semble que le traitement par le mercure a eu
nfluence très nuisible sur les symptômes du côté des nerfs. En tout cas , quand on prend en considération qu'il y avait
comme la cause de cette parésie unilatérale. 246 PETREN Dans le cas d'Engel, la polynévrite est venue chez une malade
me temps, il y avait des symptômes de néphrite. Le diagnostic de ce cas me semble assez douteux, malgré que la présence
ire penser à une polynévrite mercurielle. - Forestier a publié un cas (cité d'après Brauer) où la polynévrite est venue
ir si la polynévrite est due à la syphilis ou au mercure. Dans le cas de Patoir, l'infection syphilitique datait de 6 m
t l'hystérie comme la cause de l'anesthésie, mais le diagnostic de ce cas me semble incertain, surtout quand on prend en
ce des symptômes aux membres supérieurs. Il y a quelques années, un cas était publié par Démanche et-Ménardoù le malade
bé à une pneumonie au commencement d'août. Les auteurs regardent ce cas comme un exemple d'une polynévrite syphilitique
litique, a été une conséquence de la syphilis, mais qu'il est en tout cas pro- bable que la polynévrite qui était la caus
ilitique. Azua (d'après' Rev. neurolog., 1907, p. 1137) a publié un cas où il y avait une ostéite et périostéite du fém
ésenta une polynévrite motrice et sensitive. Comme je ne connais le cas que d'après un compte rendu, je n'ose pas exprime
e ceci ne se l'en- contre que très rarement (jusqu'ici seulement Il cas connus de cette espèce qu'on puisse accepter) ;
te probabilité quelquefois causer une polynévrite. Il y a nombre de cas publiés où, chez des malades atteints de syphilis
prononcée. Il est bien évident qu'il peut être impossible dans ces cas d'en venir à une conclusion sûre, à savoir si l
on mercu- rielle. Cependant, pour ce qui est de quelques-uns de ces cas , il me sem- ble très probable, par suite des ra
été la cause de la polynévrite (Leyden, Spillmann et Etienne, deux cas , Démanche et Ménard, probablement encore Brauer).
Après cette revue des observations antérieures, nous revenons à mon cas publié ici. Il est bien établi que le malade est
nt, il faut sans aucune hésitation regarder la polynélwite d'un tel cas comme causée par l'intoxication mercurielle (mort
mme causée par l'intoxication mercurielle (mortelle). Dans tous les cas où une polynévrite est venue chez des individus a
soit la cause de la polynévrite. A ce point de vue, je crois que le cas publié par moi est d'un certain intérêt. 248 PE
i nous nous tournons vers la question du traitement mercuriel de ce cas qui a entraîné l'issue mortelle, d'abord, il ne n
question des facteurs quantitatifs du traitement mercuriel dans ce cas , nous ne pouvons juger autre chose que l'interv
dant lequel les injections ont été d'abord commencées, mais en tout cas nous pouvons conclure que l'inter- valle-entre
ervalle est trop court,-et mon expérience venant de nombre d'autres cas où j'ai vu une intoxication mercurielle et parfoi
père que nous pourrons puiser des leçons pour le diagnostic de tels cas par l'étude de cette observation, je m'en occup
revue des ob- servations antérieures, donnée ici, et l'étude de mon cas pourront rendre des services à l'avenir pour le
n cas pourront rendre des services à l'avenir pour le diagnostic de cas de cette espèce. Nous avons trouvé que des doul
avons trouvé que des douleurs très fortes ont été décrites pour les cas de polynévrite probablement due à une intoxicatio
xication mercurielle pu- bliés par Leyden, Spillmann et Etienne, un cas , et Spitzu. Mon cas est encore un exemple d'une
u- bliés par Leyden, Spillmann et Etienne, un cas, et Spitzu. Mon cas est encore un exemple d'une polynévrite mercuriel
ficile de reconnaitre la nature d'une maladie de cette espèce. Le cas a une grande valeur, car il nous apprend les gran
des inter- valles entre les séries différentes d'injections dans ce cas , je regarde l'intervalle de un mois seulement e
différentiel un peu moins diffi- cile, si l'on rencontre encore des cas de cette espèce, que j'ai publié ce cas observé
i l'on rencontre encore des cas de cette espèce, que j'ai publié ce cas observé par moi, il y a plusieurs années. Certa
t, il arrivera assez souvent que le médecin se trouvera de- vant un cas d'un diagnostic douteux, savoir si les symptômes
s ou non. C'est une règle très ordinaire que le mé- decin devant un cas de cette espèce prescrit un traitement antisyphil
conception est aujourd'hui amplement démontrée par les innombrables cas d'amyotrophie type Aran-Duchenne d'origine syph
tous les pays. En 1913, nous avons pu réunir avec Lerougeplus de 80 cas d'amyotrophies pures uù la syphilis était en ca
cas d'amyotrophies pures uù la syphilis était en cause, plus de 140 cas en y comptant ceux où l'amyotrophie était assoc
lle que nous avons publiée en 1P03 avec Wilson. Or, pour le premier cas , Van Gehuchten nous a déclaré n'avoir pas recherc
ulaires qu'il a décrites la rendent assez vraisemblable. Dans notre cas , la syphilis existait dans les antécédents : à ce
is l'âge de 12 ans, c'est un argument de plus. Pourtant, c'est un cas unique dans la famille ; aucun de ses parents,'
sentiellement hérédo-familiale. De plus, elle aurait évolué dans ce cas avec une lenteur véritablement tout à fait ,;
t-Marie restant limitée aux membres inférieurs ; mais même dans ces cas l'amyotrophie marche plus vite et, au bout de que
aussi : il faut tenter le traitement spécifique qui seul, dans des cas d'amyotrophie Aran-Duchenne, a donné quelques rés
de cause à effet avec la syphilis nerveuse, a été observé dans les cas de Siemerling, de Cassirer et Maas, etc... Les ci
ann. ( ! ) Bien que l'interprétation que nous avons donnée de notre cas nous paraisse de beaucoup la plus plausible, no
que cette infection causale soit l'hérédo-syphilis. Dans ce dernier cas , le « bouton observé par notre malade n'aurait pa
lial ni avec la lenteur tout à fait excessive de'l'évolution. En tout cas , l'amyotrophie Charcot-Marie est une entité ana
qu'elle est ordinairement d'origine et de nature syphilitique. DEUX CAS DE MYOPATHIE ATROPHIQUE A TYPE SCAPULAIRE (1),
III. PL. XLIX myopathie A type scapulaire (Cl1 ra Ii.) , DEUx CAS DE MYOPATHIE ATROPflIQUE A T'PE SCAPULAIRE 274 ?
, DEUx CAS DE MYOPATHIE ATROPflIQUE A T'PE SCAPULAIRE 274 ? DEUX CAS DE MYOPATHIE ATROPHIQUE A TYPE SCAPULAIRE 271 V
es membres supérieurs et inférieurs normaux. Comme le précédent, ce cas nous a intéressé à cause de la localisation pur
rmations concomitantes pour les paralysies nucléaires. Le premier cas connu est celui publié par Charles Bell en 1836.
uite fait des monographies documentées à ce sujet. Déjerine cite un cas de paralysie faciale double à frigore datant de t
u inférieure peuvent arriver à ce résultat. Mais, toujours dans ce' cas , il y a paralysie des nerfs moteurs de l'oeil (Vl
Une lésion bilatérale avec prédominance d'un côté comme dans notre cas amènera un léger affaissement vélopalatin et un
DENNOIS L'origine congénitale n'est guère probable. Souvent dans ce cas il ya a association avec la VIe paire. Vraisemb
armées, juin 1916. XXVIII 19 FACULTÉ DE JASSY (ROUMANIE) SUR UN CAS D'HÉMI-HYPERTftOPHIE CRAVIO-FACIO-LINGUALE, A
(Roumanie). Nous avons eu la bonne fortune d'observer récemment un cas dont la symptomatologie correspond au titre de
ie correspond au titre de ce travail. Vu la rareté assez grande des cas semblables, ainsi que l'importance qui s'attach
ophicité, il nous a semblé utile de relater ici l'observation de ce cas avec les considérations qu'elle nous suggère. /
L (Pnrlmu et Mlle A. Sercriu) Masson & Cie, Editeurs SUR un cas d'hemi-hypertbophie cranio-facio-lunguale 283 E
ique est également plus abondant et plus riche en noyaux dans notre cas qu'à l'état normal. FIG. 1. Coupe de la langue
notre cas qu'à l'état normal. FIG. 1. Coupe de la langue dans le cas présent. Pro. 2. Coupe de la langue dans le c
langue dans le cas présent. Pro. 2. Coupe de la langue dans le cas présent. SUR UN cas D'HÉMI-HYPERTROPHIE CRANIO-
présent. Pro. 2. Coupe de la langue dans le cas présent. SUR UN cas D'HÉMI-HYPERTROPHIE CRANIO-FACIO-LINGUALE 285 L
nt à celles représentées dans les figures 1 et 2 provenant de notre cas . On remarque en outre le faible développement com
remonte bientôt sur la couche musculaire. La symptomatologie de ces cas est trop précise et trop complète pour qu'elle
aciale congénitale dontSABRAZÈs el CABANNES, qui ont pu observer un cas assez rapproché du nôtre, ont fait une intéressan
rare, il est vrai. Cette localisation a été pourtant notée dans le cas d'Hertoghe. La participation du squelette ne s'
s'oppose pas à ce diagnostic, car elle existait aussi dans d'autres cas . Fia. 3. - Langue normale. Fio. 4.- Langue no
SÉVERIN Mais certainement la participation de la langue fait, de ce cas * comme de ceux qui lui ressemblent, un trouble
aciale en congénitale et acquise. Parmi la première, ils citent les cas de BOECIi : , ROLLIER, FRIEDPE1CII, HEU- main,
R1;GOB, S'rEFFEN, ZlIUIi : OWSIi : I, S'PEpIBO, ÂRNHEIM. Tous ces cas ne semblent pas très superposables. Dans le cas
ÂRNHEIM. Tous ces cas ne semblent pas très superposables. Dans le cas de OLLIER, il existait en même temps une hypertro
vi mélanoïdes. L'hypertrophie des membres se retrouve aussi dans le cas de Truc et de V'IASA1GJEAN. Les cas qui se ra
res se retrouve aussi dans le cas de Truc et de V'IASA1GJEAN. Les cas qui se rapprochent le plus du nôtre en ce qui con
de ÂRNHEtM, ainsi que celui de SABRAZLÈS et CABANNES eux-mêmes. Les cas d'hémi-hypertrophie acquise ne semblent non plus
Nous n'in- sisterons pas sur ces faits. Quant à la pathogénie des cas congénitaux comme les nôtres, SABRA7S etCABANNE
ce qui nous concerne, nous pensons qu'il y a lieu de rapprocher les cas dont nous parlons du trophoedéme de Meige et qu'i
us sommes réduits à des hypothèses plus ou moins valables. SUR UN cas D'HÉMI-HYPERTROPHTE CRAMO-FACIO-UNGUALE 287 Un
veloppe- ment des différents tissus, etc. C'est, ainsi que dans les cas de Friedreich et dellEUMANN on a noté que les d
es molaires dans le nôtre, mais le fait est peu marqué. - Dans le cas de FiNLAysoN, les dents ont poussé plus rapidemen
ts, alors qu'il n'y en avait qu'une seule du côté opposé. Dans le cas de HEUMANN, il est noté que les cheveux sont plus
oins soyeux du côté hypertro- phié. Ce fait existe aussi dans notre cas . Dans le cas de SABRazÈS et CABANNES, les gerçu
côté hypertro- phié. Ce fait existe aussi dans notre cas. Dans le cas de SABRazÈS et CABANNES, les gerçures étaient nom
er du côté droit de la face qui était le côté hypertrophié. Dans le cas de KI'ULL, on nota par l'examen histologique l'hy
ripares et l'épaississement du tissu conjonctif et adipeux. Dans le cas de FRIFDHE1CH, il existait un enduit sébacé'sur l
e FRIFDHE1CH, il existait un enduit sébacé'sur le tégument. Dans le cas de ZIEHL il existait, semble-t-il, une exagératio
agération de la sécrétion salivaire du côté hypertrophié. Dans le cas de SABRAZÈS et CABANnES,.la joue droite était plu
s sont exagérées à droite. » Nous pouvons en dire autant pour notre cas . Nous n'avons observé aucune différence à ce po
fait qui vaut également d'être noté, c'est que dans la majorité des cas l'hypertrophie atteint le côté droit, 11 cas du c
e dans la majorité des cas l'hypertrophie atteint le côté droit, 11 cas du côté droit pour 9 du côté gauche. SERVICE
he. SERVICE CLINIQUE DU PROF. AUSTREGESIGO, RIO-DE-JANEIRO SUR UN CAS DE SYNDROME DE DERCUM PAR MM. ' R. TEIXEIRA-M
Masson & Cie. Editeurs ' .. IMP. CATALA FRERES, PARIS. sur un cas DE SYNDROME DE DERCUM 289 une vaste cicatrice.
d'autres variant suivant 290 TEIXEIRA-MENDES ET monte-serra ' les cas et qu'on peut ainsi énumérer : asthénie, perturba
rinaire, rien de grande importance n'a été si- gnalé, sinon dans le cas où il existerait quelque lésion de cet appareil,
ent des règles ou de la grossesse, ou dans le plus grand nombre des cas , delà ménopause. Les infections, les traumatism
glandes à sécrétion interne. a) Pour l'hypophyse, un gliome dans un cas de Burr, un adéno-sar- come dans un cas de Derc
ypophyse, un gliome dans un cas de Burr, un adéno-sar- come dans un cas de Dercum et Me Carthy. b) Pour la thyroïde Der
n cas de Dercum et Me Carthy. b) Pour la thyroïde Dercum, dans deux cas trouva on une concrétion calcaire dans la thyro
ie de cette glande contenant de la ma- tière colloïde dans un autre cas . c) Lésion du côté du testicule et de l'ovaire.
e l'ovaire. d) La surrénale a été aussi trouvée lésée dans certains cas . Diverses théories ont été soulevées pour expli
court comme élément à la pathogénie de la maladie de Dercum. sur UN cas DE syndrome DE DERCUM 291 d) Théorie encéphaliq
r UN cas DE syndrome DE DERCUM 291 d) Théorie encéphalique. Dans le cas de Burr, il y avait une hy- drocéphalie et Derc
e cas de Burr, il y avait une hy- drocéphalie et Dercum présenta un cas dans lequel il y avait une dispo- sition anorma
'observation quo- tidienne nous présente, en effet, fréquemment des cas d'augmentation du tissu adipeux chez les jeunes
Dercum a été traitée, dans sa thèse, par le Dr Lemos Torrès. Deux cas ont été enregistrés, un par le Dr Professeur Migu
io-de-Juneiro. FACULTÉ DE MÉDECINE DE RIO-DE-JANEIRO SUR QUELQUES CAS D'HÉMIMÉUE PAR Aloysio de CASTRO, Professeu
iennent au même groupe générique, y a toujours des différences d'un cas à l'autre, ce que Paul Bert a bien fait sentir
alpêtrière, 1907, p. 290) ont passé en revue complètement et cité les cas d'hémimélie connus et publiés jusqu'alors, four
OYSIO DE CASTRO Observation 1 (PI. LUI et LIV). Le premier de nos cas (Policlinique générale de Rio-de-Janeiro) est cel
os et le trapézoïde, chacun Obs. I Obs. II Obs. III QUELQUES CAS D'HElIMELIE NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtr
êtrière. T. XXVIII. PL. LIV Obs. I Obs. I Obs. III QUELQUES CAS D'HÉMIMÉLIE (Aloysio de Ca.%11-o.) X SUR QU
QUELQUES CAS D'HÉMIMÉLIE (Aloysio de Ca.%11-o.) X SUR QUELQUES CAS p'HÉMmÉLIE 295 d'eux s'articulant avec un métac
phalanges chacun et munis d'ongles. Observation II (PI. LIII). Un cas d'espèce analogue à celui que nous venons de décr
« Hôpital da Misericordia ». Il s'agissait d'un individu de 30 ans, cas unique de monstruosité dans sa famille. L'anoma
iro. Aucun antécédent familial ne mérite d'être mentionné. C'est un cas d'hémimélie du membre inférieur droit, inapte à l
e subluxation. Observation IV. Nous rapporterons enfin un dernier cas , rencontré dernièrement dans le 296 ALOYSIO DE
re le professeur Miguel Couto, à l' « Hospital da Miseri- cordia ». Cas remarquable par son extrême rareté : absence cong
duquel il n'y a aucune étrangeté morphologique à signaler. Dans ce cas , on observait l'absence du fémur gauche, la rad
l'os iliaque gauche était évident aussi. Halbron (1) a publié un cas où le fémur gauche était également réduit à une
anomalies bilatérales du squelette de la jambe. (1) P. HALBRON, Un cas de phocomélie et hémimélie. Nouv. Iconogr. de la
e de deux diplégies cérébrales infantiles, dont l'une représente un cas d'apha- sie motrice accompagné d'une parésie sp
ha- sie motrice accompagné d'une parésie spasmodique, et l'autre un cas de dysarthrie spasmodique avec conservation du
sie motrice. - En 1884, mon élève Gaudard (3) cite dans sa thèse 17 cas d'aphasie avec hémiplégie droite et 8 cas d'aph
(3) cite dans sa thèse 17 cas d'aphasie avec hémiplégie droite et 8 cas d'aphasie avec hémiplégie gauche. 11 ray- pelle
la capsule interne. Gaudard explique l'absence d'apha- sie dans ce cas par le fait que la malade était gauchère. Il in
e la motricité de ses membres supérieurs. Il s'agit donc, dans ce cas , d'une diplégie cérébrale bien caractérisée, quoi
touché, la voix n'est pas nasonnée, comme elle l'est dans d'autres cas . La lésion expliquant ce syndrome parait devoir
ieurs s'améliorent également; ils persistent généralement en pareil cas jusqu'à la fin de la vie. Quanta l'étiologie, l
este reliées l'une l'autre par des formes de transition. C'était le cas dans notre observation 11, qui est un exemple t
DE LA DÉVIATION CONJUGUÉE DES YEUX ET DE LA TÊTE. ' A PROPOS D'UN CAS DE SARCOME PROFOND A LA PARTIE ANTÉ- RIEURE DE
r la localisation des tumeurs cérébrales et aussi leur nature. Le cas de la malade dont je m'occupe mérite d'être connu
ion et sa symptomatologie complexe, mais aussi parce qu'il a été un cas heureux d'extirpation d'une tumeur solide du ce
te, mais nous n'avons pas pu obtenir d'autres renseignements sur le cas . J'ai examiné la malade, pour la première fois,
nflammatoire, un abcès possible, qui, soitdans l'un ou dans l'autre cas , exigeait une intervention chirurgicale immédiate
ptômes se soient succédé si rapidement, ni si gravement que dans le cas dont nous parlons. Cette malade dont la tumeur
Je pense que des réactions inflammatoires se sont produites dans ce cas , à côté d'une poussée très rapide de la tumeur. E
ue en état de coma. La déviation conjuguée des yeux mérite, dans ce cas , d'être appréciée à cause du siège de la lésion
dans ce cas, d'être appréciée à cause du siège de la lésion. ' 1) Cas publié dans la Afedecina conlemporanea, n" 6, l91
la partie postérieure de la seconde circonvolution frontale. Notre cas vient confirmer cette localisation; . Il semble
n. 1° La symptomatologie des tumeurs cérébrales peul,^dans certains cas , être semblable à celle des abcès cérébraux.
orragie méningée.. Avant la découverte de la ponction lombaire, ces cas étaient regardés comme très rares. Cependant il
ention dans la littéra- ture dès le XVII" siècle, et le plus ancien cas connu semble être celui d'Henri II, roi de Fran
ise Paré). Dans la première moitié du xixe siècle nous trouvons des cas étudiés et décrits par Serres, Rostan, Andras,
es états morbides. » Après s'être en plus grande partie composée de cas sporadiques, men- tionnés à propos de découvert
ques et physiques, on peut, d'après notre avis, conclure que chaque cas de sang ayant pénétré dans l'espace sous-arachn
si l'hémorragie est directe ou indirecte, c'est-à-dire si, dans le cas spécial, il s'agit d'une hémorragie primaire ou s
semble que le clinicien doit rencontrer sur ce terrain une foule de cas où le diagnostic offre des difficultés insurmon
Cependant, le clinicien se trouve quelquefois embarrassé devant des cas où aucune cause plausible ne peut être découver
fac- teurs étiologiques. - - . Cette étude est basée sur quelques cas , que nous avons observés à la clinique interne
à un éclaircissement de l'étiologie des hémorragies méningées. Deux cas , que M. le professeur de Pathologie et de Médec
cause primitive de la maladie, en particulier en considération des cas d'hémor- ragies méningées à l'état urémique ave
t donné aucun résultat manifeste, en conformité avec la plupart des cas d'hémorragie sous-arachnoïdienne décrits dans la
ci-dessus décrite. - Sans aucun doute, l'explication complète du cas se trouve dans cette découverte. Il semblé on n
parcourant la littérature, je n'ai pu trouver qu'un petit nombre de cas où l'on ait trouvé le vaisseau déchiré, et un nom
t donné un aussi bon aperçu des accidents pathogéniques que dans le cas en question. Observation IL ' Rut V..., emplo
tre à plusieurs endroits des points jaunes et des stries. De tels cas semblent être très rares chez les adultes, comme
a calotte. Il semble que l'on puisse conclure que cela n'est pas le cas , puisqu'il a été démontré que l'endroit où l'ob
lement du déplacement des os du crâne pendant l'accouche- ment. Les cas , qui ont été décrits, de rupture de vaisseaux che
uvent venir immé- diatement'ou après quelque temps. Dans le dernier cas , chez les adultes (hémorragies méningées trauma
au moment où la catastrophe de l'hémorragie est survenue. Dans le cas présent, il semble que l'on puisse exclure le tra
e à l'autopsie, a peut-être certains rapports avec l'explication du cas . L'étroitesse de l'aorte est un des phé- nomène
achnoïdienne primaire au sens le plus étroit de ce terme. Dans le cas IV, il se révèle aussi un anévrysme rompu. Ici on
aussi en conformité complète avec les constatations anatomiques. Le cas doit être considéré comme intéressant à plusieurs
ne ponction lombaire, pratiquée avec précaution, peut dans tous ces cas fournir des renseigne- ment importants. Dans
urtout dans l'anthrax, comme je l'ai pu constater moi- même dans un cas , disséqué à l'Institut pathologique de Lund, et d
t être considérable. En considérant du point de vue étiologique les cas d'hémorragie ménin- gée idiopathique, c'est-à-d
ique les cas d'hémorragie ménin- gée idiopathique, c'est-à-dire les cas où l'hémorragie se présente primaire, comme une
- ver, dans les flots de sang épanchés la fissure, dans beaucoup de cas sans doute peu considérable. SUR LES HÉMORRAG
e. Ehrenberg n'a trouvé de la syphilis indubitable que dans un seul cas (observation personnelle). Dans aucune de nos 5
comprenant 31 observations, Ehrenberg fait ressortir que 61 0/0 des cas sont arrivés avant que le patient n'eût passé la
patient n'eût passé la 40e année de sa vie. Pourtant son triage des cas semble être tant soit peu arbitraire. Il nous p
causée par hémorragie dans la substance cérébrale. Il n'y a que les cas qui ontété vérifiés à l'autopsie qui peuvent êt
De celte manière le résultat de Ehrenberg se réduit à 54 0/0 de 15 cas d'hémor- ragie sous-arachnoïdienne sûrs, vérifi
n peu comparables .par ce fait qu'ils se fondent sur des nombres de cas tout à fait différents. Quoi qu'il en soit, il
e chez un garçon de 7 ans (Moizard et Bacaloglu). Dans mon propre cas IL où l'hémorragie était partie d'une veine ruptu
doit prédisposer aux ruptures . Peut-être faut-il chercher dans ces cas les hémorragies dites spontanées. Dans mon obse
cru qu'il s'agissait d'une néphrite interstitiellechronique. Sur ce cas on avait pu s'attendre une artériosclé- rose pr
ente. Toutefois, je n'ai pas pu trouver dans la littérature un seul cas où l'on ait trouvé à l'autopsie de la tuberculose
re chez les jeunes femmes comme adjoints de la menstrualité. Un tel cas a été cité par Froin. A ce sujet, il faut menti
e vifs symptômes méningitiques, brusquement débutants, qui dans les cas graves amènent dans peu de temps le coma. Dans
ans les cas graves amènent dans peu de temps le coma. Dans certains cas , ce coma peutseprésenter si rapidement que toute
renberg relève une hémianopsie de nature passa- gère dans un de ses cas . Il en énonce la conjecture qu'elle dépendait de
de la pression du sang épanché sur la bandelette optique. Dans mon cas I, une telle origine de l'hémianopsie a pu être
qu'une telle dilacération, qui se présente à coup sûr dans tous les cas où un vaisseau de grandeur moyenne se rompt, peut
nsi, il est permis de supposer que l'hémianopsie, observée dans mon cas I, si la patiente eût survécu, aurait été pour la
e les hémorragies pures guérissent en général complètement dans les cas qui survivent, il me semble pourtant digne de men
rte de fonction peut persister, sans qu'il soit nécessaire dans ces cas d'incriminer une hémorragie cérébro-méningée. Q
te aux bords SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES 337 déchirés ; dans le cas III, un cratère semblable dans le lobe temporal à
temporal à proximité immédiate de l'anévrisme rompu. 'Dans les deux cas , les vaisseaux se trouvaient près des conluente
rouvaient près des conluentes basales. Quant à l'issue mortelle des cas I, Il et III, elle tient sans doute à ce que l'
tient sans doute à ce que l'hémorragie était considérable. Dans les cas II et III, le coma s'est présenté extrêmement v
dérable pour amener la mort. De cette manière, à l'autopsie de tels cas , il faut toujours s'attendre à un épanchement a
ujours s'attendre à un épanchement assez grand, tandis que dans les cas d'hémorragie cérébrale l'épanchement sanguin n'es
ndant ma dernière observation démontre que ce n'est pas toujours le cas . Quant à mes deux cas IV et V, ils étaient tous
rvation démontre que ce n'est pas toujours le cas. Quant à mes deux cas IV et V, ils étaient tous les deux des hémorragie
s-ci ne se sont pas produites avec la même intensité dans les trois cas précédents, qui n'étaient que des hémorragies mén
la mort, de 42°5. L'augmentation violente de la température dans ce cas s'explique peut-être aussi par une action local
uvent se présenter à ce sujet. Bittorf a essayé de prouver dans son cas de « leptoméningite hémorragi- que aiguë n à-de
ocoques comme étiologie de l'hémorragie méningée constatée dans son cas , on a un certain droit d'en faire abstraction. Al
introduire la dénomination « leptoméningile hémorragi- que » de ces cas . Du reste, il semble que Bittorf a mal compris Eh
ragie. Sergent el GreneL (cités d'après Ehrenberg) ont rapporté un cas où la ponction lombaire pratiquée dans la posit
propre expérience, la dernière ponction lombaire pratiquée dans mon cas IV, a indubitablement amené une nouvelle hémorr
es avant la mort l'a produite. La ponction lombaire, étant dans ces cas une opération assez dange- reuse, il semble êtr
fondé et en conformité du principe nil noceri de n'y recourir qu'en cas d'extrême urgence dans l'état aigu des hémorrag
toutefois si grands qu'ils dépassent ceux de l'opération. Dans ces cas , on le sait, le pronostic est toujours mauvais.
guerre. Avant la guerre, on l'avait observé dans environ 18 0/0 des cas de paralysie totale ou inférieure du plexus brach
sie radiculaire. C'est ce qui fait une partie de l'intérêt de notre cas . 348 LAIGNEL-LAVASTINE ET COURBON Ici le synd
supérieure et légère projection du globe (Stewart). - Dans notre cas , -le myosis diminue nettement dans l'obscurité. R
iase que nous avons observée, il faut donc admettre que, dans notre cas , quelques fibres dilatatrices de la pupille (1)
celles qui pénètrent dans le sym- pathique cervical, comme dans un cas analogue de Stewart (1). L'injection d'un milli
dans les expériences de François Frank (3). ' Puisque dans notre cas il n'existe aucun trouble vaso-moteur, il est n
er. Odoul pense que celle sudation marquée, n'existant que dans les cas de lésion thoracique supérieure, peut être rapp
e- Bernard-Horner parait avoir été assez rarement notée. Dans notre cas cette hémianidrose cervicô-faciale est strictem
trijumeau. Cette dernière hypothèse ne peut pas s'appliquer à notre cas , pas plus qu'à un autre de Stewart (p. 415) où la
r une lésion récürrentielle et par conséquent de dis- tinguer notre cas d'un autre un peu analogue présenté à la même séa
demander si elle n'avait pas été touchée par le projectile. Dans ce cas on aurait pu voir dans l'aphonie l'expression fon
alpels chimiques, tels que l'atropine, l'adrénaline, la cocaïne, en cas de paralysie locale du sympathique et les difficu
dromes frustes d'irritation du plexus brachial, nous comprenons des cas de parésies et d'atrophies segmentaires desmembre
compliquées de troubles trophiques cutanés, osseux ou articulaires, cas qui au premier abord pourraient être considérés c
recherches minutieuses cliniques et électriques. L'étiologie de ces cas est assez univoque. Tl s'agit soit de commotions
clinique du rhumatisme chronique. La radiographie montre en pareil cas que l'ankylose est d'ordre fibreux et non osseu
'exis- tence de douleurs sur le trajet des troncs nerveux. Dans des cas assez rares (obs. IV),,les douleurs sont sponla
faradique de vitesse d'excitabil.té permet de cons- tater dans les cas d'irritation fruste du plexus brachial une légère
l'examen par les méthodes classiques d'électrodiagnostic. Dans ces cas , en effet, le rapport des seuils s'abaisse. p
fres normaux T = 0,00011 sec. et T = 0,0011 sec. Il y a eu, dans ce cas , variation en sens inverse de la chronaxie qui es
est plus petite et du temps utile qui est plus grand. Dans-d'autres cas (obs. 1 sur le biceps), nous trouvons : T = 0,0
le long supinateur) : r = 0,00011 sec. et T = 0,006 sec. Dans, ce. cas , la chronaxie est normale, le temps utile est éle
ns les syndromes d'irritation (1). On peut d'ailleurs passer dans les cas qui nous occupent de ce type de réaction d'irri
stence d'un syndrome d'irritation léger du plexus brachial dans des cas d'atrophie musculaire, de parésies et de troubl
'existence de douleurs pseudo-rhumatismales achèvent, dans certains cas , de constituer la ressemblance. Au point de vue
lectrique, nous avons indiqué que les constatations faites dans ces cas frustes sont de même ordre que cèlles qui apparti
ion, la chronaxie diminue en général. Le long supinateur a, dans le cas présent, des réactions normales. 360 CHIRAY, BO
venait par période une arythmie d'origine sinusale et dans d'autres cas on notait des troubles de l'excitabilité cardia
par une' diminution du nombre des pulsations, énorme dans quelques cas , ou par des pauses, est au contraire absent ou
pauses, est au contraire absent ou même inversé dans la plupart des cas , c'est-à-dire réalisant une légère accélération d
o-cardiaque sont à la fois le vague et le grand sym- pathique. UN CAS DE NÉVRITE HYPERTROPHIQUE DE L'ADULTE PAR Mau
rophique soulève encore aujourd'hui assez de problèmes pour que les cas d'ailleurs très rares offerts à l'obser- vation
ce niveau le type Charcot-Marie beaucoup plus accentué à gauche UN CAS DE NÉVRITE HYPERTROPHIQUE DE L'ADULTE 379 qu'â
les régions atteintes par les troubles trophiques et moteurs. , UN CAS DE NÉVRITE HYPERTROPHIQUE DE L'ADULTE 381 Par a
e et un aspect semblable de l'atrophie peuvent s'observer en pareil cas , elles comportaient des troubles de la sensibilit
male ; la forme Aran-Duchenne semble n'avoir été signalée en pareil cas qu'en raison d'erreurs. Les atrophies névritiqu
tavec la névrite hypertrophique (type Déjerine et Sollas) que notre cas affecte les plus étroites analogies. Des différen
nt l'époque tardive la il. D. dans certains muscles : en effet, des cas publiés se rapportent à des individus dont l'év
vent précéder de longtemps la R. D. 1 Marie et Boveri, reprenant un cas familial dont l'histologie pathologi- que était
elleuse, mais qui se confond par la majorité des symptômes avec les cas classiques. 1, UN CAS DE NÉVRITE HYPERTROPHIQ
nd par la majorité des symptômes avec les cas classiques. 1, UN CAS DE NÉVRITE HYPERTROPHIQUE DE L'ADULTE 388h A Qu
tes hypertrophiques tant de l'enfance que de l'adulte rapportant un cas de cette .dernière variété. ' Depuis que nous a
onnelle. Dans la thèse de Fouquet (1) nous ne trouvons relaté aucun cas de ce genre; et dans la statistique de Fournier,
é aucun cas de ce genre; et dans la statistique de Fournier, sur 51 cas , trois cas seulement concernent les articulatio
de ce genre; et dans la statistique de Fournier, sur 51 cas, trois cas seulement concernent les articulations des doigts
ffrant avec notre observation certaine ressemblance ; toutefois notre cas diffère de celui de M. Milian ; dans cedernieri
ticulaire permettra de ranger dans ce chapitre un certain nombre de cas d'arthropathies chroniques' qui s'éloignent plus
u retentissement synovial d'une gomme juxta-articulaire. Or, si les cas d'hydarthrose tertiaire mono-articulaire peuven
gommeuse primitive ne semble plus pouvoir être soutenue. - 2° Ce cas diffère encore de la description classique par l'
e hydarthrosante de l'arthropa- thie tertiaire ; cependant, dans le cas de Milian, l'hydarthrose était extrê- mement do
de dystrophie génito-glandulaire, nous croyons pouvoir compter les cas multiples, étudiés sous des noms' très divers p
lus loin les travaux. C'est ainsi que dans ce groupe se rangent des cas décrits sous le nom d'hermaphrodisme et pseudo-he
de blé, ou d'un haricot, plus rarement d'une amande. Dans d'autres cas , ils pren- nent la forme d'un cordon, et quant
eaucoup plus rarement chez la femme que chez l'homme. Mais dans ces cas également le peu de développement des organes g
ue. I. Type simple DE dystrophie GÉNITO-GLANDULAIRE (1). Dans les cas communs, la dystrophie génito-glandulaire présent
ito-glandulaire (ainsi que nous semblent devoir être nommés de tels cas ), il n'y a pas la conforma- tion somatique prop
à l'exa- men une hypoplasie cardio-vasculaire, et même en quelques cas une pré- dominance du système lymphatique. Dans
el et Her- mann, sur la coexistence de lésions de l'ovaire dans les cas d'anomalies constitutionnelles, principalement
eux où les attributs de l'état thymico-lymphatique dominent. Des 83 cas observés par ces auteurs, 50 présentaient les c
aisses capsules. Les fonctions menstruelles étaient troublées en 32 cas , dont 13 présentaient de l'aménorrhée. Pour B
s dans la catégorie des « individus sub- pathologiques » (1). Ces cas , selon noire manière de voir, doivent être consid
ossible encore que l'on fasse entrer dans ce type simple certains - cas du dit chétivisme de Bauer. C'est de cet état que
oplasie de l'appareil 1 cardio-vasculaire. C'est pour de semblables cas que Brissaud a proposé le (1) J. BAn TEL UNO E.
ères sexueIssecon- daires, comme on l'a dit plus haut. Il y a des cas où, à l'âge adulte, une régression des organes se
énito-glandulaire, et nous tenons pour indispensable de séparer ces cas de ce que l'on appelle i'eunuchoïdisme tardif d
fs qui nous portent à restreindre l'eunuchoïdisme tardif à d'autres cas différents de ceux qui sont maintenant en cause.
és. Nous disons type infantile pour désigner d'un mot plus bref les cas où l'aspect clinique est d'infantilisme. Il est
ussi profondément atteinte que la somatique : si dans la majorité des cas z on remarque de la débilité intellectuelle, de
ractères cités ci-dessus se rencontrant chez un individu --c'est un cas d'infantilisme d'origine testiculaire ou ovarie
isance thyroïdienne ne peut plus être acceptée aujourd'hui, dans ce cas , avec l'absolutisme exclusif que professait Bri
es orchidienne n'est-elle pas, au moins dans un cer- tain nombre de cas d'infantilisme, un fait primitif au même titre qu
xuels secondaires exis- tant. * 1 L'extrême rareté d'un semblable cas (nous ne croyons pas d'ailleurs qu'il en existe
itale » (2). C'est à la même pathogénie que Seitz rattache quelques cas d'infanti- lisme, ainsi qu'on peut le voir en c
e voir en cette citation : « On a observé l'infan- tilisme dans des cas d'aplasie et d'hypoplasie des organes génitaux, d
s existaient-dans l'enfance (3). » ' La description consacrée à ces cas d'infantilisme par Zambaco Pacha dans son étude
tilisme par arrêt de développement des organes génitaux » (4). Le cas de Vigouroux et Delmas, à tous égards très intére
stitielle. Les diffi- cultés apparentes pour l'interprétation de ce cas disparaissent donc, avec cette découverte micro
e du syndrome. Vigouroux et Delmas pour conclure (1) font entrer le cas dans l'adias- témacie précoce, telle qu'elle fu
us rapporterons encore l'observation d'Aubry, Jeandelize et Richon, cas typique d'infantilisme chez un individu de 31 ans
cités excluent absolument la participation de la^ thyroïde dans ce cas , admettant l'hypothèse de deux causes morbides
sie manifeste des organes génitaux, suffit pour l'interprétation du cas comme étant d'infantilisme testiculaire, tous s
ont on traite un infantilisme d'origine testiculaire. Dans tous les cas rapportés jusqu'ici, il est question d'infantilis
gine dans l'appareil génital est absolument indiscutable. De tels cas , que Brissaud à juste raison appelait « infantili
it « infantilisme tardif», peuvent plutôt être considérés comme des cas d'infantilisme post-pubère, dans lesquels le rô
primitive du testicule ne saurait être mise en doute, notamment les cas de Achard et Démanche, Gallavardin et.Rebattu,
nfantilisme non m)'xoedé- mateux (congénital) (1). ' Les nombreux cas que nous avons cités constituent, comme on le voi
ations histologiques, prouvant que l'infantilisme, dans beaucoup de cas , est une dystrophie ayant pour cause une insuff
t un infantilisme pur (echter infantilismus) pour le distinguer des cas dits d'infantilisme symptomatique, laisse percevo
distinguer de la forme sympto- matique. La première comprend les cas typiques complets ou parfaits d'infanti- (1) Co
hogénie dépend de troubles des glandes endocrines. Si dans certains cas d'infantilisme il n'a pas été possible de mettre
son suftisante pour nier leur intervention efficiente dans tous les cas , comme le veut Falta. Pende, se rapportant à ce
e vue pathogénique, il vaudrait mieux admettre l'existence de rares cas d'infantilisme cryptogénétique, à côté des cas no
l'existence de rares cas d'infantilisme cryptogénétique, à côté des cas nombreux d'in- fantilisme dépendant des anomali
sommes pas loin de souscrire à cette opinion de Pende, au sujet des cas où il a été tout à fait impossible de retrouver l
nous, de sénilisme (5). Griffith (1894) avait décrit avant Rummo un cas d'insuffisance génitale auquel il avait appliqu
pect sénile à la suite d'une éruption. Il n'y avait toutefois dans ce cas rien qui se .rapportât à la sphère génitale.
ent remarquable à la face qui est entièrement glabre. Dans certains cas , dans le type gérodermique, les rides sont très n
donnant un air bouffi (faciès eunuchoïde). En outre dans le premier cas les rides sont précoces, évidentes déjà à la fi
a peau, et surtout du visage, rappelle avec exactitude, en quelques cas , la peau de certaines oranges, à laquelle on l'
res (voir les obs. I, II, V, VIII, XIV, XVII, XVIII). Dans d'autres cas les poils n'existent qu'à la région pubienne, e
eur développement. Ce que l'on observe dans le plus grand nombre de cas , ce sont les testicules renfermés dans la bourse
sticule ne soit pas rare (obs. yi). Le pénis, sauf quelques rares cas où le volume peut ne se réduire que légèrement,
, de 3 centimètres de longueur en moyenne. Dans la généralité des cas la fonction génésique n'existe pas, impoten- ti
trapèze. Cette adiposité se constitue dès l'enfance et dans certains - cas d'une façon très rapide. L'adiposité est pres
'elle résiste d'ordinaire aux causes d'amaigrissement. Il y a des cas , cependant, que l'on pourrait appeler eunuchoïdis
uchoïdisme maigre. Tandler et Grosz avaient déjà montré que dans le cas d'eunu- choïdisme avec stature élevée, qui est
dimensions habituelles du type de la race, d'où dans le commun des- cas une tendance à la taille gigantesque (gigantisme
italiens une petite cyphose cervico-dorsale serait commune dans ces cas , ce dont d'ailleurs notre observation discorde;
e d'accentuer la fragilité osseuse prononcée qui s'observe dans ces cas ,' quand la graisse et la stature élevée feraien
on peut juger par nos observations où elles sont signalées dans deux cas (obs. III et XVI). Le larynx persiste à l'éta
artilagineux jusqu'à un âge avancé, et la voix dans la majorité des cas est de tonalité haute, une voix quelque peu de
n ne doit pas accepter, selon nous, au moins en relation à tous les cas . Dans nos obser-^ valions du type eunuchoïde, l
normale. Nous ferons remarquer surtout que dans l'observation III, cas formel de type eunu- choïde, l'examen radiograp
rédominance des symptômes qui dépen- dent d'une glande', et dans le cas présent, de la glande génitale. Or, une telle o
yons, est grandement similaire au type eunuchoïde, c'est-à-dire aux cas auxquels les auteurs allemands donnent le nom d
se révèlent communes, sans trace de puérilité. On connait même des cas d'individus qui sont arrivés par leur mérite à
la politique, ou dans les carrières libérales. Nous connaissons le cas d'un ingénieur qui est une des lumières de sa c
l d'hypo-génitalisme ma- nifesté dans l'époque prépubère. Dans des' cas beaucoup plus rares il s'agira de lésions génit
des jambes (Voir l'exa- men radiographique du crâne, fig. X). Les cas de cette nature ont été interprétés de manières d
ive se rattache au tableau ébauché par Falta qui y classe aussi les cas décrits sous e nom d'infantilisme régressif du
onnait au dysthyroïdisme avec dysorchidisme. ' Mais dans d'autres cas , comme on l'a dit à propos du type simplet la d
ype eunuchoïde et l'adipose caracté- ristique fait défaut. Dans ces cas , il ne nous paraît pas exact d'accepter la déno
l'évolution des types gérodermique et eunuchoïde, parfois, dans les cas dépendant de lésions dans l'âge tendre, les manif
sitoires, eunuchoïdisme passager, qui montre que ce n'est pas là un cas de lésions irrémédiables. Mais ces cas constitu
ontre que ce n'est pas là un cas de lésions irrémédiables. Mais ces cas constituent une parcelle insignifiante dans la st
e ces individus. La même bénignité d'évolution se retrouve dans les cas du type eunu- choïde tardif d'origine traumatiq
choïde tardif d'origine traumatique. Il n'en est plus ainsi dans les cas d'o- rigine infectieuse : dans ceux-ci l'état g
IV. TYPE ER0HL1CH DE la dystrophie génito-glandclairk (1). Dans des cas déterminés, la dystrophie génito-glandulaire revê
vations de Frôhlich, de Bartels et autres. Il s'agissait dans le cas de Babinski d'une jeune fille de 17 ans, qui de
at de développement propre à l'âge de dix ans. Bien que classant le cas erronément comme un cas d'infantilisme, à cause
re à l'âge de dix ans. Bien que classant le cas erronément comme un cas d'infantilisme, à cause du manque de développem
général -la température moyenne du corps est de 36 à 36°5 dans les cas de ce genre. Quant à l'étal du sang, on a,obser
re d'établir une règle absolue. On^suppose généralement que dans ce cas le pouvoir d'assimila- lation des hydrates de c
chent davan- tage du type eunuchoïde ou du type infantile. Dans les cas graves c'est surtout un type infantile. » (2)
qu'on ne rencontre point d'altérations de cette nature dans l'autre cas . Bien qu'accepté sans exception parles auteurs,
cet élément distinctif ne pourra pas servir dans la généralité des cas . Notre observation III, où nous avons trouvé to
à cet égard. Nous pourrions donc, avec autant de raison, classer ce cas aussi bien parmi ceux du type eunuchoïde que pa
à propos. Nous ne trouvons pas entièrement acceptable pour tous les cas l'opi- nion de la majorité des auteurs, qui opp
ïde et dans le type de Frôhlich ? Il a été prouvé que dans les deux cas l'adipose communément se dévé- loppe avec rapid
notre avis - nous n'en avons observé aucun exemple sur vingt-trois cas de camptocormie -- le syndrome s'associe à une
le sujet a, pendant la phase initiale, le temps de méditer sur son cas et de réaliser un syndrome hystérique. Je ne pa
u'il est plus facile de soupçon- ner que de démontrer dans certains cas de camptocormie. Nous n'avons, en effet, aucun
e et efficace . il nous a donné une guérison complète dans tous les cas de camptocormie pure où nous l'avons employé. -
gymnastique ; la guérison persiste quand il retourne à son dépôt. Cas . V. - 'ver... fait une chute le 30 août 1914 : il
n et de course. Le 16 décembre, il est renvoyé guéri à son dépôt. Cas . XL - Ca... étant dans un trou dit « trou de rena
son séjour dans le service, il n'a jamais eu la moindre récidive. Cas . XII. Cou....a été renversé par l'éclatement d'un
et il est renvoyé guéri à son dépôt, le Il jan- ier 1917. Les 13 cas précédents ont été traités et guéris ou en moins
avons obtenu cependant 9 guérisons sur 9 blessés traités ainsi. Ces cas ont été déjà publiés par Madame Rosanoff-Saloff
de de ce genre ne doit être réformé. Nous avons jusqu'ici traité 22 cas de camptocormie pure par la psycho- thérapie, s
ouvenir de la douleur électrique et la crainte de cette douleur, au cas de rechute, produisent probablement un effet salu
er son amour-propre, stimuler sa volonté et empêcher, dans certains cas , la récidive. Si malgré cela, arrivé au dépôt o
vent des troubles giratoires connus sous le nom de tournis. En tout cas , le ver coquin est accusé par le populaire de p
ment aux formes hypochondriaques. N'était- il pas logique, dans ces cas -là, d'évacuer les hypochondres ? La purga- tion
IS, 212. · - infantile (Aphasie et dysarthrie, à pro- pos de deux cas de -), par n'Esmris, 301. Dysarthrie et aphasie
de -), par n'Esmris, 301. Dysarthrie et aphasie, à propos de deux cas de diplégie infantile, par d'Espine, 301. Dys
dème facial, par Parhon et Mlle SÉVERIN, 282. Hémimélie, quelques cas , par A. de Cas- tro, 293. Hémorragies méningé
ie des mains, par Chartier, 384. x Polydactylie héréditaire, neuf cas au cours de cinq générations, par Bénard, 147.
A. de Castro, 34. - Rééducationmuscutai1'e exceptionnelle dans un cas de coude flottant, par SiCAKo et Roger, 164.
(P.), SICARD et Naudin. Macro- dactylie, 144 : ' Carati E.). Deux cas de myopathie atro- phique à type scapulaire, 26
sio de). Acromégalie et ma- ladie de Recklinghausen, 34. Quelques cas d'hémimélie, 293. et Souze (O. de). Dystrophie
ial,' 252. D'Espine (Ad.). Aphasie et dysarthrie à propos de deux cas de diplégie infantile, 301. 1 DiDE (Maurice)
x cas de diplégie infantile, 301. 1 DiDE (Maurice) et Courjon. Un cas de né- vrite hypertrophique de l'adulte, 377.
facio-linguale (Pardon et Mlle Séverin), LI. Hémimélie, quelques cas (A. de CASTRO), LIII et LIV. Hémorragies méni
4 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
in, Paris (Vla NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈBE SUR UN CAS D'ÉPILEPSIE JACKSONNIENNE PORTANT SUR LE CENTRE
autres (Schupfer, Weisenburg,Poggio) le situent au pied de F'. Le cas que nous avons observé et qui a la valeur d'un fa
adhérent à la méninge du sillon de Rolando. En somme il s'agit d'un cas de lésion très localisée au coude du sillon de
on. Nouvelle Iconographie DE la SALPi.TRII.RE. T. XXVII. PI. I UN CAS d'épilepsie JACKSONNIENNE portant sur le centre
ROPHIANTE (Paul Chevallier). Masson & Cie, Éditeurs. SUR UN CAS D'ACRODACTYLOPATHIE ' HYPERTROPHIANTE par P
hevallier). Masson & Cie, Editeurs , 1 . 1 1 Il r" . SUR UN CAS D ACRODACTYLOPATHIE HYPERTROPHIANTE . .^ ' 51 <
t guère, croyons-nous, hésiter qu'entre deux syndromes, tous SUR UN CAS D'ACRODACTYLOPATIIIE HYPERTROPHIANTE 7 deux déc
décembre 1906, ne 49, p. 3100-3113 (avec bibliographie). 1 SUR UN CAS D'ACRODACTYLOPATHIE HYPERTROPHIANTE .9 banale,
nsformation symé- 10 0 CHEVALLIER lésions pour expliquer certains cas de polydactylie symétrique aux quatre membres.
édication thyroïdienne qui agit si merveilleusement dans cer- tains cas de rhumatisme déformant. Après quelques mois, le
on ata- vique, tandis que, ainsi qu'a pu le démontrer dans certains cas Regnault (1), il s'agissait simplement de modif
et qu'un auteur allemand vient tout récemment de rapporter quelques cas extrêmement intéressants d'oxycéphalie congénit
de l'hyper- trophie constante des capsules surrénales dans tous les cas de pseudo- hermaphroditisme (6) et par analogie
urs allemands de l'hypospadie et de l'hermaphroditisme dans certain cas de dystrophies hypophysaires (7). L'on peut dir
OTTi (arrêt de développement des membres, polydactylie) et certains cas de tu- meur hypophysaire. - Il faut rappeler
e de la clinique médicale de Madrid, a publié l'observation de deux cas de tumeur hypophysaire avec syndrome adiposo-gé
occasionnelles surajoutées. Nous allons commencer par l'exposé d'un cas clinique du plus haut intérêt et nous croyons q
se de tumeur sus- - sellaire. Il est à relever comment dans notre cas il n'y existe aucune 'trace de stase papillaire
ar exemple que le diagnostic radio- logique est différent entre les cas typiques d'liyperpituitarisme pour adé- nome du
ysaire, mais il est encore possible de constater que dans plusieurs cas le tableau clinique de l'insuffisance pitnitaire
espond pas à une altération volumétrique de la région sellaire. Ces cas sont extrêmement intéressants et assez nombreux,
la développerons dans un travail à part dédié à ce sujet. Dans le cas actuel nous nous trouvons en présence d'une tumeu
les tumeurs sus-sellaire, sous-sellaire et rétro-sellaire. Dans les cas de tumeurs sus-sel lairesjesapophysesclinoïdes
drome de Schüller des tumeurs du nerf acous- tique). Ainsi dans les cas de tumeurs sus-sellaires ou rétro -sella ires en
de limite de tolérance des hydrates a été rencontrée dans tous les cas d'insuffisance pituitaire et dans le syndrome de
d'autres termes, selon la loi établie par moi dans presque tous les cas de brachyméiiemétapodiate et brachy(bctylie, la
préter en dernier lieu le phénomène de la polydac- tylie dans notre cas . Les modalités distributives de la polydactylie
mains d'un enfant âgé de 5 jours que nous avons étudié en 1907. Ce cas est absolument remarquable par la complète abse
mités digitales avec un état atrophique de la peau et dans quelques cas encore avec dépression de la cage thoracique co
racique correspondant à la compression de la main. Une trentaine de cas de ce genre ont été réunis par Froriep, Bourques
malformations congénitales des extrémités que l'on observe dans ces cas sont variables : dans la plupart des cas il s'agi
ie des os de l'avant-bras. Un auteur italien, Fumarola, a décrit un cas typique de ce genre, où il y avait au membre su
re médicale, mais, ainsi que nous l'avons montré plus haut, de tels cas sont nombreux : nous en avons étudié plusieurs
térêt tout à fait particulier sur lequel je dois insister. Dans son cas ,en effet,tandis que de la main gauche il y avai
nous apparait justifiée par l'observation person- nelle de quelques cas analogues. Nous publions ici (Pl. VIII) un cas
n- nelle de quelques cas analogues. Nous publions ici (Pl. VIII) un cas typique de dédoublement complet du premier rayo
ue à celle du sujet étudié par Fumarola. Il se peut dans certains cas , au contraire, que la compression amnioti- que
mation. Au surplus il est utile de faire relever comment dans notre cas manquait complètement tout caractère hérédi- ta
hez quelques' animaux (poulet do- mestiqueletpourrait dans quelques cas avoir la signification d'une anomalie régressiv
toujours le nombre majeur d'ar- ticles phalangiens (1) ; dans notre cas , au contraire, la polydactylie se présente avec
ayon métapodial est très nette pour le pied gauche. C'est encore le cas de faire observer que chez notre malade, au con-
to- logique plus compliqué. Nous donnons ici l'exemple d'un autre cas d'acrogigantisme localisé au V- rayon métapodia
de la main chez un enfant de 21 mois issu d'une mère mégalique. Ce cas particulièrement intéressant pour la dé- monstr
ns acro- métagénéliques et certains troubles hypopbysaires. Dans le cas illustré dans le présent travail, ces liens nou
polydactylie et plus proprement pour sa dépendance dans cer- tains cas consécutifs à des altérations hypophysaires surve
appui de ses hypothèses, avait déjà avancé l'idée que dans certains cas de malformations congénitales l'on puisse pense
ravaux de Babès (2) qui, ayant rencontré fréquemment, dans certains cas de polydactylie symétri- ques des membres, la p
trique des quatre extrémités. Sur deux autopsies exécutées dans des cas analogues (Wheaton), on a rencontré un arrêt de d
u crâne et la fusion du basio-occipital avec le sphénoïde. Dans ces cas Apert admet actuellement avecBabés qu'il doit y e
des membres (2). Ce qui nous a frappé le plus dans l'élude de notre cas a été l'analogie frappante que.présente la polyda
ppante que.présente la polydactylie chez Mar- guerite avec les deux cas deRozabal (3). Il esl difficile d'admettre ici le
uable d'un grand anatomiste italien, Calori (4), qui a décrit trois cas de polydactylie chez lesquels à l'autopsie il a
asme facial, dont la pathogénie est multiforme., peut dans certains cas avoir une origine franchement psychique. L'intérê
ns est sans doute de trouver des signes qui aident à distinguer les cas fonction- nels de ceux où le spasme est le résu
squ'on lui imposa de ne plus porter la bande. Il s'agit donc d'un cas d'amaurose monoculaire droite presque complète,
nerf optique, suivies par une amau- rose soudaine. Mais dans notre cas , la perte de la vision était accompagnée par ce
indiquer la forme des objets, chose qu'on ne rencontre pas dans les cas organiques. En outre, la démarche du malade, qu
la suite d'une lésion organique irritative du trijumeau. En pareil cas , l'autre oeil ne participe au spasme en aucune
ommun, sont mis alternativement en action. Au contraire, dans notre cas , le phénomène se produit dans le domaine du fac
ne du facial. On trouve le phénomène de la ptose à bascule dans les cas de lésion organique, tandis qu'on rencontre très
t notre signe, c'est-à-dire le spasme à bascule, seulement dans les cas fonc- tionnels. Il est vrai que, jusqu'à présen
e, jusqu'à présent, nous n'avons pu examiner un nombre suffisant de cas nous autorisant à formuler un principe absolu.
a région péripalpé- brale. Ces faits nous démontrent que dans notre cas il s'agissait d'un vrai spasme de l'orbiculaire
autres muscles plus ou moins éloignés des pre- miers. Dans certains cas , par exemple, assez fréquents chez les hémiplé-
ait pour contracter les muscles homonymes du côté paralysé. Dans ce cas , il ne s'agit pas de mouvements associés, puisq
que la fermeture de l'oeil quand on luille. M. Oppenheim, dans un cas de paralysie faciale périphérique, a observé de
parétiques pendant la fermeture- des mâchoires. Mais, dans notre cas , les syncynésies de la deuxième catégorie, c'est-
veau, A vrai dire, 1\1. Oppenheim soutient que ce réflexe, dans les cas de paralysie fa- ciale périphérique, est aboli
in degré de réflexe consen- suel. Ils ont trouvé cela même dans des cas de section complète du nerf facial, c'est pourq
Pélrina, Senator, Hoffmann et Bergonié ont observé, dans quelques cas de paralysie périphérique, qu'en excitant le faci
ontractent toutes ensemble. Valobra a donné la même explication aux cas de paralysie faciale périphérique avec réaction
é que la réaction électrique contro-latérale a été trouvée dans des cas de lésions protubérantielles. En effet, en adme
e communiquer aux fibres contro-latérales du côté atteint, dans les cas de lésions unilatérales du noyau du facial. Ces
les du noyau du facial. Ces fibres, au contraire, sont détruites en cas de lésion du tronc nerveux où les fibres homo-l
nos connaissances sur l'origine réelle du facial supérieur. En tout cas , si la question anato- mique n'est pas résolue,
onnellement du neurone central du facial. Car juste- ment, dans ces cas , la cause irritative étant presque toujours unila
W. van WOERKOM (de Rotterdam). Nous pouvons distinguer, parmi les cas où la maladie nerveuse se ma- nifeste chez des
cirrhose hépatique ordinaire. Ensuite il y a une grande série de cas , où la maladie nerveuse évolue, le plus souvent
sous une forme chronique, chez de jeunes gens; dans la plupart des cas la cirrhose hépatique ne s'était pas manifestée p
écorce intacte, ou' , presqu'intacte. En dernier lieu ce sont les cas , décrits par Fleischer (1) et par Vôlsch (2), q
ns les tissus. La symptomatologie avait une grande ressemblance aux cas décrits par Westphal et Strümpell sous le nom de
(1) et de A ? Westphal (2), qui avaient l'occasion d'examiner leurs cas anatomiquement. Comme daus les cas anciens leurs
ient l'occasion d'examiner leurs cas anatomiquement. Comme daus les cas anciens leurs malades se caractérisaient par le
A. Wesl- phal était très somnolent. L'autopsie montra dans les deux cas l'existence d'une cirrhose hépatique. L'examen
ne se colorait pas par le bleu de méthylène, il se trouvait dans le cas d'Alzheimer des cellules névrogliques gigantesq
l'écorce, mais encore à un plus haut degré. . Ainsi le groupe des cas juvéniles se trouve subdivisé en : 1° les cas à
. Ainsi le groupe des cas juvéniles se trouve subdivisé en : 1° les cas à caractère familial, que Wilson a rassemblés s
'atrophie et les foyers de désintégration des corps striés ; 2° les cas , décrits sous le nom de pseudo-sclérose, qui da
eur aspect clinique offrent beaucoup de caractères communs avec les cas précédents et dont les altérations anatomiques
icaux. Après cette courte récapitulation nous décrirons nos propres cas . Comme on le verra, on ne peut les classer dans
il y a quelques traits, qui nous permettront de les rapprocher dès cas juvéniles. - Observation I. W...., 59 ans,
un petit amas d'uu pigment jaune. L'intérêt que présentent nos deux cas est pour le premier d'ordre cli- nique et anato
atomique. Le premier malade a beaucoup de traits communs à certains cas , décrits sous l'étiquette de la « pseudoscléros
centraux et dans les noyaux dentelés le rapproche également de ces cas . Il y a encore une certaine ressemblance avec l
ment de ces cas. Il y a encore une certaine ressemblance avec les cas de Gowers, Wilson, etc. Mentionnons les foyers
age du ramollissement ordinaire. Mais de l'autre côté mon premier cas est séparé de ces deux groupes par des caractèr
l'ictère prononcé et la somnolence extrême. Quant à notre deuxième cas , comme signe de la lésion des centres ner- veux
ncore diminuée par l'infection tuberculeuse. Comme dans mon premier cas il y a atrophie de la glande thyroïde et des te
a glande thyroïde et des testicules. Mais ce qui rapproche les deux cas surtout, c'est la présence des grands noyaux cl
es de l'écorce ; dans le casKr... ils s'y limitent, dans le premier cas ils se présentent déjà dans les couches supérie
des altérations graves dans les centres nerveux. Cliniquement ces cas peuvent se manifester par des symptômes d'ordre
ose hépatique, la maladie ner- veuse s'est développée dans nos deux cas d'une manière chronique. MALADIE DE RAYNAUD TRA
puis la thèse de Maurice Raynaud (1) (1862), on a rapporté bien des cas de gangrène symétrique des extrémités, passagère
excitation et de dépression, qu'elle présente actuellement. En tout cas , dès le début de son séjour ici, elle s'est rév
irantes mobiles et contradictoires, nous autorisent à rapprocher ce cas de certaines formes de démence vésanique. (1) M
R Lad. HASKOVEC. (de Pr.igue) J'ai examiné avec M. A. Vesely le cas suivant dans lequel nous avons recherché, comme
loureux, et est reparu aussitôt que la pression a cessé. Voici le cas : ' V. H..., 46 ans, commerçant, marié. Père vi
ès que la pression cesse. , J'ai observé ce phénomène dans d'autres cas (J ) dans mon service à l'hô- pital de la Pitié
fit. 1-22) contrairement aux craintes que l'on doit avoir en pareil cas . En effet, lorsque le tissu nerveux subit une c
ée par Mott, Bruce, etc... Il nous semble également que, dans notre cas du moins, une autre explication s'impose : Nous v
Depuis celte dernière publication, différents auteurs ont relaté des cas de paraplégie en flexion « type Babinski », et
nsion, puis para. en flexion). C'est t'élude anatomo-clinique de ce cas que nous exposons aujourd'hui, après en avoir i
s dans une séance de la Société de Neuro- logé (2). Le nombre des cas de paraplégie en flexion qui ont pu être l'objet
s conclusions et remarques permises par l'étude anatomo-clinique du cas de notre malade sont de deux ordres. Les unes ont
il est tombé sans cause apparente dans un profond abattement. Ce cas est très semblable à ceux qui ont été publiés par
trême obligeance de notre confrère le 11 Nicolle que nous devons ce cas si curieux de gigantisme. Ainsi que l'on peut s
directs ou collatéraux ne donnent aucun renseignement ulile; aucun cas de gigantisme n'est relevé ni dans la famille,
également sur tous les tissus, squelette et parties molles. Dans le cas qui nous oc- cupe, la dystrophie du type gigant
il est difficile d'émettre une hypothèse étiologique au sujet d'un cas si curieux. XXVII '1 REC1181RCIILS DU CABINET
x de Kischiuer, de Choline, et parti- culièrement de Belz. Tous les cas que j'ai observés atteignent un nombre dépassan
es résultats j'ai piis la résolution de publier seulement 52 de ces cas . Dans mon travail le pro- secteur de l'hôpital
issances m'ont souvent aidé à faire mon analyse dans tels ou autres cas . En outie le docteur interne V. A. Farussevitsch
générales sur la pathogénie de la maladie. Je mentionnerai que les cas 1-21 se rapportent aux malades somatiques, que
stations de la pellagre. Le contenu du sang est le même que dans le cas précédent. 18° Y. 0., âgée de 4 ans, Malade 4 m
e la malade est morte. Le sang présente le même tableau que dans le cas précédent, mais la quantité de coccus est bien
ortem. Le sang de la rate présente les mêmes phénomènes que dans le cas précédent. 37° M. S., psychose pellagrique. Le
idem ; quelques myéloblastes. 45° M. B., psychose, idem que dans le cas précédent. Le sang présente une faible augmenta
uvons les réunir dans le résultat d'ensemble qui suit : 1° Dans les cas relativement récents, qui se manifestent sans psy
myéloblastes, des myélo- cytes et des promyélocytes. 2° Dans les cas compliqués de psychose, on observe le même ta-
ugmentation des gros el des petits lymphocytes. 3° Enfin dans les cas d'un typhus pellagrique (cas 2f¡) le sang contena
petits lymphocytes. 3° Enfin dans les cas d'un typhus pellagrique ( cas 2f¡) le sang contenait beaucoup de grands lymph
s Iymphoc)'le,. J'ai fait la numération des globules blancs dans 20 cas , 10 récents et 10 d'une lente évolution, qui se
lative des lymphocytes est frappante. Un tel tableau est commun aux cas récents et aux cas d'une lente évolution et à pre
tes est frappante. Un tel tableau est commun aux cas récents et aux cas d'une lente évolution et à presque tous ceux qu
certitude quelconque par rapport à leur apparition dans tel ou tel cas . Ensuite il est intéressant de noter celle circon
et des coccus, ce qui ne m'est jamais arrivé de rencontrer dans les cas ordinaires de la période aiguë. Passons maintenan
ossède pourtant une signification importante pathologique dans tels cas , quand elle est exprimée dans une grande quantité
llozyten aus (S. 9). Nous avons aperçu que dans quelques-uns de nos cas (N. 4), la quantité des mastzellen est particuliè
ification du sang dans la pellagre peut être résumé : dans tous les cas récents et aussi presque dans toutes les maladies
t dans le sang. Du moins une conclusion pareille est juste pour des cas récents. En ce qui concerne les sujets qui ont ét
ganes sanguins pour lesquels se prononce la présence, dans certains cas , d'une norme des mégaloblastes et des myéloblas
ça, l'effeclif d'une grande quantité de- gros lym- phocytes dans un cas de typhus pellagrique (24) nous force d'apercevoi
de la pellagre, à savoir s'il est possible d'admellre, que dans nos cas elle dépendait toujours d'une intoxication immé
nisme au moment même de sa formation. Mais l'intérêt essentiel du cas repose sur le rôle que l'oisiveté et le INFLUEN
alors est de faire naître des automatismes utiles, dans le premier cas , en canalisant vers une direction unique l'ac-
ne direction unique l'ac- tivité qui s'éparpille, et dans le second cas , en substituant ces automatis- mes utiles aux a
se rattache donc à la phychologie. L'étiologie et le traitement des cas dont je vais vous entre- tenir démontrent clair
lorsqu'il se traduit par ceque nous appelons émotion. L'analyse des cas de ce genre m'a fait voir que fréquemment la vrai
plus généralement un défaut d'adaptation de la part du névrosé. Le cas le plus frappant est celui dont j'ai déjà parlé d
ains (1) : si je le réédite ici, cela ne sera pas hors de propos. Cas I. Torticolis causant un grapho-spasme. Femme n
ccomplir l'acte désiré. En écrivant, le même effet se produit. Ce cas nous offre un exemple d'une convulsion douloure
dans sa façou d'envisager la vie. Il est donc évident que, dans ce cas , le facteur important dans la genèse des accide
des rap- ports harmonieux., avec le reste de la société. Un autre cas qui expliquera l'importance du fond du caractère
le développement des névroses professionnelles est le sui- vant : Cas II. Tremblement hystérique pendant le travail.
le sur une base rationnelle. L'agent étiologique principal, dans ce cas , était, à ce moment, la crainte d'une paralysie
accidents et de leur répercussion sur son propre état men- ta 1. Cas III. - Paralysie du type trémulanl d'un écrivain.
1. Cas III. - Paralysie du type trémulanl d'un écrivain. Un autre cas qui démontre admirablement comment la seule idée
ent, et les moyens d'en combattre les effets furent prescrits. Le cas est publié en détail dans l'étude mentionnée plus
ettres, il avait à peine un léger tremblement de la main. Dans ce cas -ci, encore, ce n'était pas le travail- lui-même q
en relation avec une occupation professionnelle régulière. Dans ces cas , le malade dit qu'il est incapable de travaille
montrer qu'il s'agit quelquefois d'une peur du travail lui-même. CAS IV. -Perte de courage après un accident. Un con
été très meurtri. Contrairement à la plupart des sujets en pareil cas , il ne se plaignait ni de douleurs, ni de paral
d'engendrer des symptômes psychologiques secondaires, et aussi des cas d'incapacité liés à des symptômes résultant d'i
apacité liés à des symptômes résultant d'irritations réflexes. Deux cas , opposés feront bien voir cette distinction. Ca
s réflexes. Deux cas, opposés feront bien voir cette distinction. Cas V. - Incapacité causée par une irritation périphé
tourua tout de suite a son travail sans plus d'ennuis. C'est là un cas d'irritation périphérique empêchant l'intégration
nt rien à faire éliologiquement avec le travail propre- ment dit. Cas VI. Epuisement intellectuel. Un étudiant en méd
et avec difficulté. Mon diagnostic fut qu'il s'agissait d'un simple cas de tension mentale trop prolongée qui devait s'
psychopathiqne témoigne d'un profond déséqui- libre mental. Autre cas . Un jeune homme attente à sa vie quatre fois po
ait néanmoins d'un manque d'adaptabilité au travail, comme dans les cas précédents. La cause actuelle du désordre n'éta
fA'rOLOGII : OU SYSTÈME NERVEUX laire, etc. On trouve cependant des cas , mais en plus petit nombre, où les symptùmes co
e, surtout si en même temps se déclare aussi le pemphigus; dans les cas légers, la lièvre ne dure d'ordinaire que trois
sthésie qui finit par rester permanente. On observe fréquemment des cas où l'hyperalgésie etsurtout la douleur se fixen
l y a invasion du processus lépreux dans le tronc du nerf. Dans ces cas , l'hyperalgésie ne reparaît pas avec la douleur
s pas l'assimiler au phénomène douloureux de l'amputé dans tous les cas , parce que d'autres branches, collatérales ou t
qui intéresse la portion buccale ». Il faut remarquer que dans ce cas de masque aneslhésique, l'atrophie et l'anesthé
en intensité, ni suivant l'époque de leur apparition. Dans certains cas , le trouble sensitif précède le premier, et dan
'impotence et d'imesthésie, de leur aspect, etc. Dans beaucoup de cas t'anesthésie reste limilée pour longtemps aux a
i généra- lisée que dans la syringomyélie, on la rencontre dans des cas tels que ce- lui de la figure 12, et elle forme
- tions de ce symptôme et son importance. On voit fréquemment des cas de polynévrite infectieuse typhique, diphtériqu
en Pair. » L'anesthésie des tissus profonds existe dans beaucoup de cas de tabes au début et beaucoup de tabétiques n'o
r, on procédera avec ces articulations de la même façon que dans le cas précédent pour les orteils : prenant dans notre m
petites articulations, nous nous convaincrons que dans beaucoup de cas l'hypoesthésie que nous cherchons existe. On
uteurs qui le nient. Comment en effet ne pas le nier en présence de cas tels que ceux re- présentés dans les figures 13
dois indiquer que l'on ne trouve point le signe de Homberg dans les cas d'anesthésie des tissus profonds des extrémités p
GIE DU SYSTÈME NERVEUX La réaction de Wassermann est négative. Ce cas d'instabilité labyrinthique chez un lépreux est i
imultanément dans un état mé- ningilique. Il faut exclure dans ce cas toute maladie antécédente des départements audi
rement portée en arrière (comme Babinski l'a déjà indiqué clans des cas lahyrinthiques). Le regard se dirige vers le sol
erg très clairement. Les oscillations sont aussi lenles que dans le cas antérieur.. En revanche, la femme dont il s'agi
que la VIII" paire ne se trouve pas intétessée. Il s'agit, dans ce cas de la lèpre nerveuse dont l'iu- fiction envahit
quoique les caractères généraux et électriques soient dans les deux cas ceux de la paralysie périphérique grave, chez l
xcitants mécaniques, thermiques et électriques sur la peau dans les cas où elle est sensible. Quand elle ne l'est pas,
xe correspondant. Parfois, sur un membre paralysé, et même dans des cas de paraplégie lépreuse plus ou moins complète,
e. Celle conclusion est due à ce qu'en effet, dans un bon nombre de cas , le degré d'insuffisance fonctionnelle est en p
vent se fermer presque normalement. Il n'arrive pas, comme dans les cas paralytiques, que les doigts restent immobilisés
e nous l'enseigne l'homme de la figure 28 qui appartient à un autre cas de syringomyélie. Nous trou\ons aussi, dans la
s sujets chez lesquels l'a troph ie est paraly- tique comme dans le cas de la figure 30, dont l'état des mains a été pro-
e chez eux il n'y a pas les motifs que je viens d'indiquer pour les cas précédents, mais parce que la compression de ce
quemment. Les flexions excessives des phalanges, dans beaucoup de cas , après quelques années, n'ont plus raison d'êtr
osseuse. Voir ce sujet les mains des figures 2 et 31. Dans certains cas , quand les muscles contractures s'atrophient, si
e l'on peut imaginer. Les réflexes tendineux sont, dans beaucoup de cas , exagérés ; et dans maintes occasions où les pi
es figures 6 et 8. Mais en même temps qu'on trouve en abondance des cas d'exagération des réllexes tendineux, il y en a
en des fois moins exagéré que le rotulien, et même dans beaucoup de cas il est aboli. Cependant, lorsque les muscles de
esse paralytique. Il en est de même, personne ne l'ignore, dans des cas de subréflectivité. De quoi la supraréflectivil
al au-dessus du troisième segment lombaire, parce que je traite des cas où il n'y a pas d'altération dans le cerveau et d
premier lieu, par l'existence de la supraréflectivilé dans quelques cas de névrites algiques. En second lieu, par le fa
outera qu'il n'est pas rare de voir la supra- réflectivité dans des cas de névrites algiques. S'il est certain que l'abse
anéo-réflexes. On trouve le type des cutanéo-réflexes dans quelques cas de paraplégie spasmodique surtout dans sa pério
dans sa période avancée où les extrémités sont en flexion. Dans ces cas et dans d'aulres semblables où la sclérose du c
omme l'ap- pelle Marie, se produit. II est à croire que, dans les cas de névrite dont je m'occupe et même dans d'autr
de la contracture sans exagération des réllexes tendineux. Dans des cas de contracture apparte- nant à l'espèce que je
ns apparent. Cela se comprend si l'on remarque que, dans le premier cas , la réflec- tivité diminue disproportionnelleme
dans quelques amyotrophies, dans la syringomyélie et dans certains cas d'atrophie avec réaction de dégénération partie
panaris. Ils obéis- sent aux mêmes causes que l'on trouve pour les cas communs ; mais les lépreux et les syringomyéliq
es qui les empêchent de passer à l'extérieur. ' Dans ces derniers cas , le processus commence par des frissons, des vo-
La figure 182 du Traité des maladies nerveuses d'Oppenheim est un cas de la même maladie, d'origine syringomyélique.
présente la figure 40. Puisque nous reconnaissons que.dans bien des cas , l'origine du phlegmon ou panaris est telle, no
rpente de tissu cellulaire de nouvelle formation qui sert, dans ces cas , de pont de passage. Il marche dons cette formati
ses qu'il a fallu amputer le doigt. J'ai pu observer, dans quelques cas de trophcedème chronique, la décal- cification
m'a été difficile de rechercher les antécédents de famille dans ce cas de syndrome de lJeiga. Il n'y a pas à s'étonner
la deuxième pha- lange du petit doigt, dont le pied appartient à un cas de cette maladie. Il y a une autre forme de des
GI10 DU SY Tùhg ERV ? 173 \rr.P3- .. le mal étant produit dans ce cas par névrile atique du grand scia- tique. La c
du grand scia- tique. La conclusion qui s'ensuit est que dans les cas de névrite, soit lépreuse, traumatique, tabétiq
moelle épinière et dans les nerfs correspondants. Ainsi, hors les cas de faiblesse nerveuse acquise par quelque cause
, soit commune, soit élective, des fibres des cordons nerveux. DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCUL,\IRE CH.\nCOT-IARIE (1 .PAR
chenne. Cette soi-disant entité morbide comprenait, en réalité, des cas dispa- rates et d'origine différente. Aussi ne
s ou trouve vingt etnn amyotro- phiqup.s. Assurément, il existe des cas isolés, mais ces cas sont très rares, el il ne
n amyotro- phiqup.s. Assurément, il existe des cas isolés, mais ces cas sont très rares, el il ne faut les accepter qu'
premier, inter- rogé avec soin, ne connaît dans sa famille que sept cas semblables au sien; le second n'en connaît que
d'autre pari, qu'on trou\e dans leur famille commune plus de vingt cas connus d'amyotrophie progressive. Ilssont cousi
s vingt ans, exceptionnel- lement après quarante ans comme dans les cas de Collier et deFaruell, Dans la statistique de
e finir son service militaire et de faire campagne au Maroc. DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHA11COT-MARIE 179 9 memb
MUSCULAIRE CHA11COT-MARIE 179 9 membres supérieurs. Dans ce dernier cas , il semble que, le plus sou- vent, l'affection
é vers l'âge de un à deux ans. Je ne connais, par parenthèse, aucun cas d'amyotrophie Charcot-Marie, qui soit sûrement
symptômes capitaux. Prenons d'abord F..., âgé de 25 ans, qui est un cas schématique. Considérez ses membres inférieurs. D
Masson & Cie, Editeurs PhototYPltJ BI'llhnud, Pari ! ! DEUX CAS D'ATROPHIÉ'SÿÛ<Il ? B,bRGrOT-WARIE 181 Les a
ntant jusqu'aux chevilles et sur la partie externe des jambes. DRUX cas d'atrophie musculaire CHARCOT-hlARl E 183 Parto
quelle que soit la durée de l'affection. Enfin, dans quelques rares cas , l'amyotrophie qui a débuté par les membres sup
es supérieurs, pourrait s'y fixer pour toute la vie, comme dans les cas de la famille citée par Hanel. - Je ne mentio
- ment chose facile. Il n'y a de sérieuses difficultés que dans les cas où l'a- trophie musculaire débute par les membr
e, la méningo-myélite syphilitique amyotropliique, et même certains cas de myopathie progressive primitive et de névrit
rophie diffuse des quatre memhres avec secousses fibrillaires, deux cas d'atrophie musculaire CHARCOT-MAHIE 18S une inc
nystagmus, pas de dysarthrie, pas de tremblement intentionnel. Ce cas s'écarte donc notablement du type de névrite hype
, ne tiendraient qu'à des'variations familiales, et il y aurait des cas de passage de l'une à l'autre. Mais, pour établ
voir là, avec Hoffmann, l'explication de l'amyotrophie ? Il est des cas où ces lésions sont si discrètes qu'il parait dif
ui enveloppent la nature des atrophies spontanées du système , DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE 187 nerveux
st celle qui a été rapportée en 188 : 3 par Wi lkowski (1). Dans ce cas , la lésion qui datait de l'enfance était de beauc
corticale du noyau rouge. z Plus tard, von Monakow (2) publia trois cas dans lesquels des foyers strictement limités à
GE 189 9 Stôsel, von Bechterew, et d'autres. Dans la plupart de ces cas , il s'agis- sait d'une atrophie très marquée du
et les ramollissements anciens, les vices de conformation, etc. Les cas de ce genre qui avaient élé publiés jusque dans
es travaux sont basés sur l'étude soignée d'un très grand nombre de cas de lésions corticales et sous-corticales, a eu
e conception de la voie cortico-rubrique repose sur l'étude de deux cas qui ne nous semblent pas la légitimer. A notre av
l'étendue trop considérable des lésions qu'ils présentent, ces deux cas ne sauraient être utilisés pour la résolution d'u
ur la résolution d'un problème aussi redoutable. Dans l'un de ces cas (cas Pradel), «.il s'agit d'une vaste plaque jaun
résolution d'un problème aussi redoutable. Dans l'un de ces cas ( cas Pradel), «.il s'agit d'une vaste plaque jaune q
e projection de la région occipitale (faces interne et externe), ce cas correspond en réalité à une destruction de tout
on dégénérative observée au niveau du noyau rouge. Dans le second cas (cas Leudot), uii ramollissement de l'hémisphère
générative observée au niveau du noyau rouge. Dans le second cas ( cas Leudot), uii ramollissement de l'hémisphère gau
olenticulaire de la capsule interne ». Il existe, en effet, dans ce cas , une dégénérescence très nette de la partie antér
ce noyau. Nous ferons remarquer que, dans l'un et l'autre de ces cas , le lobe temporal est largement impliqué par le
ge ? A cet égard, il est intéressant de noter que dans un troisième cas , lequel est ignoré lorsqu'il s'agit de réunir l
e temporal et n'impliquant que légèrement le lobe pariétal. Dans ce cas (cas Le Séguillon), que l'auteur lui-même, du res
poral et n'impliquant que légèrement le lobe pariétal. Dans ce cas ( cas Le Séguillon), que l'auteur lui-même, du reste,
ge. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE lui Voilà donc trois cas dont les lésions ont entraîné la dégénérescence s
sur l'état du noyau rouge lorsqu'il fait la description d'un autre cas (cas Jouan), dont la lésion est strictement lim
l'état du noyau rouge lorsqu'il fait la description d'un autre cas ( cas Jouan), dont la lésion est strictement limitée
ce qui en est des lésions du lobe frontal et du lobe occipital, les cas publiés par M. Dejerine semblent démontrer que ce
- res chez l'homme. Les recherches ayant porté sur un bon nombre de cas et sur des lésions très diverses quant à leur s
phénomènes de dégénérescence au niveau du noyau rouge. Les quelques cas dans lesquels Mingazinni a observé la dégénéresce
t l'autre de ces régions, ou alors le lobe temporal. Dans un de ces cas , il s'agissait d'une sclérose atrophique congén
le trajet de la voie cortico-rubrique reposent sur l'étude de vingt cas de lésions plus ou moins étendues mais il topog
ns implication des ganglions infracorticaux. Sur ce grand nombre de cas il n'en est que six dont la description détaillée
alysons actuellement. Les autres obser- vations se rapportant à des cas accumulés depuis de nombreuses années et publié
ui en est de la nature des lésions, il s'agissait, dans deux de ces cas , de microgyrie et de sclérose lobaire atteignant
exactement les renseignements fournis par l'auteur. Dans trois de ces cas , les lésions intéressaient le lobe frontal 1 (F
étendues et atteignant plusieurs circonvolutions. , De ces vingt cas , dix seulement présentaient des altérations manif
econdaire) au niveau du no5au rouge. Les lésions, dans trois de ces cas positifs, occupaient le lobe fron- tal ; dans q
es s'étendaient à la presque totalité de l'hémisphère. Dans les dix cas dont les lésions n'ont aucunement retenti sur l
e, il s'agissait de foyers strictement limités au lobe occipital (4 cas ), au lobe pariétal (4 cas), ou au lobe temporal
strictement limités au lobe occipital (4 cas), au lobe pariétal (4 cas ), ou au lobe temporal (2 cas). Etant donné que
occipital (4 cas), au lobe pariétal (4 cas), ou au lobe temporal (2 cas ). Etant donné que dans les cas de cette série nég
étal (4 cas), ou au lobe temporal (2 cas). Etant donné que dans les cas de cette série négative les lésions étaient non
nsidère que l'intégrité du noyau rouge constatée dans chacun de ces cas prouve nettement que ce noyau ne reçoit pas de li
ces régions dans la constitu- lion de la voie cortico-rubrique, les cas publiés par von Monakow four- nissent des rense
ent des renseignements assez précis et fort intéressants. Dans deux cas dont les lésions, bien que très intenses, n'impli
réduite et les réseaux cellulaires raréfiés. , Dans quatre autres cas dont les lésions occupaient surtout les circon-
u rouge mais à topographie net- tement différente. Dans deux de ces cas , il s'agissait de lésions occupant surtout le l
n frontale. Donc, comme localisation commune à chacun de ces quatre cas , on doit noter la région operculaire de la circ
e). La dégénérescence secondaire observée dans chacun de ces quatre cas , présentait absolument les mêmes particu- larit
principales (Stauptzellen de l'auteur). De l'étude de ces quatre cas , von Monakow conclut que le noyau rouge affecte
u'avec le lobe préfrontal. Etant donné toutefois, que dans tous les cas où il a cons- taté la dégénérescence du noyau r
son enseignement à l'égard de la voie cortico-ruhrique. Dans les cas de lésion ancienne intéressant la totalité ou la
re, laquelle s'étend peut-être au lobule- paracentral. , Dans les cas de lésion isolée de la région préfrontale, la dég
es rubro-frontales. Ce qui parait être extrêmement probable en tout cas , c'est que cette voie est renforcée par un cont
el le caractère réel du faisceau longitudinal inférieur. Parmi les cas de ramollissement que nous avions utilisés pour
e nous avions utilisés pour l'élude de ce faisceau, il en élait un ( Cas Roll. 5e ob- servalion[l] dont la lésion, assez
plan ver- tical passant par le corps genouillé externe. Or, dans ce cas qui nous a (1) Le faisceau longitudinal inférie
staté une dégénérescence très nette du noyau rouge. A vrai dire, ce cas fort intéressant mériterait d'être publié à nou-
donc nous con- tenter de reproduire ici le pédoncule (Fig. 1) de ce cas . On voit très dis- tinctement que la dégénéresc
rouge résulte du ramollissement temporal, car il - n'existe dans ce cas aucune autre lésion, soit au niveau de l'hémisphè
que. Dès cette constatation, nous nous sommes mis à la recherche de cas de lésion ayant à peu près la même topographie
de cas de lésion ayant à peu près la même topographie que celle du cas Roll., dans le dessein de confirmer ou d'infirm
dégénérescence secondaire du noyau rouge. Nous avons pu réunir six cas de ramollissement atteignant les circonvolutions
ampe, le lobule fusiforme, le lobule lingual et le cunéus. Tous ces cas ont été étudiés à l'aide découpes strictement sér
régions de l'hémisphère cérébral, nous avons soumis à l'étude deux cas de ramollissement intéressant surtout le lobe fro
, nous avons revu très soigneusement les coupes sériées de tous les cas qui ont servi pour nos travaux antérieurs sur l
o-calcarinienne, Cette dernière série d'observations com- prend dix cas de ramollissement étendu des régions postérieures
orticales du noyau rouge reposent sur l'élude détaillée de dix-huit cas de ramollissement. Dans quatre de ces cas, les
e détaillée de dix-huit cas de ramollissement. Dans quatre de ces cas , les lésions intéressent le domaine irrigué par
usiforme et de l'hippocampe. 200 LA SALLE ARCHAMBAULT Parmi les cas que nous avons examinés à l'égard du noyau rouge,
LES CONNEXIONS COI\'11CALES DU NOYAU ROUGE 201 1 n'existe dans ce cas aucune autre lésion, soit dans le lobe pariétal,
glion. - Les trois coupes microscopiques consacrées à l'étude de ce cas (Fig. z, 3 et 4) intéressent à peu près les mêm
ieure du splénium du corps calleux. ' Il existe également dans ce cas une lésion centrale très importante. Dans le se
a circonvolution limbique. La première coupe servant à illustrer ce cas (PI. XXXV-A) intéresse la pre- mière circonvolu
es tirant leur ori- gine du lobe frontal, lequel est intact dans ce cas . De même, sur les coupes plus antérieures, la c
ment. La dégénérescence si intense du trigone s'accompagne, dans ce cas , d'une atrophie exagérée du corps mam- millaire
ostérieurs de l'hippocampe. Il n'existe aucune autre lésion dans ce cas sauf un petit foyer de ramollisse- 208 LA SALLE
voisinante. Cette décoloration tient à ce fait que les pièces de ce cas se sont mal durcies dans le Müller. Voulant r
de la voûte ventriculaire. Il n'existe aucune autre lésion dans ce cas , sauf quelques lacunes de la couche optique et
ophie rétrogrades du tubercule antérieur. La dernière coupe de ce cas (PI. XXXVIII-L) traverse le pôle antérieur du n
u noyau rouge (1). Les deux coupes affectées à la description de ce cas intéressent la première circonvolution limbique
noyau. Nous venons de faire l'exposé nécessairement sommaire de six cas dont les lésions ont entraîné la dégénérescence
convient de spécifier ai nouveau, cependant, qu'il s'agit dans ces cas de lésions intéressant les circonvolutions du bor
nt, nous prononcer défini- tivement. Il est vrai que dans un de nos cas (quatrième observation), le ramollissement atte
ion frontale et de la première circonvolution limbique, et, dans ce cas , la réaction dégénérative au niveau du noyau ro
faisceau temporo thalamique d'Arnold ne fait jamais défaut dans les cas de lésion intéressant les circonvolutions de la
ns de la facemédianedu lobe temporo- occipilal On observe, dans ces cas , outre la dégénérescence du pulvinar, de la par
t également sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge. Dans ces cas , la dégéné- rescence secondaire atteint le noya
n : Monakow. Il est vrai aussi (pie l'on a rencontré, dans certains cas d'héll1l-chol'ée et d'hémi- athétoae, des lésio
ions de la cou- che optique. ' On a fréquemment constaté dans ces cas que le malade est incapable de contracter volon
aut, toutes les lésions que l'on a rencon- trées jusqu'ici dans les cas d'hémi-chorée, d'hémiathétose, de tremble- ment
ies afférentes du noyau rouge. On peut donc se demander si dans ces cas le trouble de la motilité ne relève pas, soit d
rare de rencontrer des l3pes intermédiaires ou mixtes, et même des cas qui réalisent nettement, tour à tour, le mouvemen
miplégiques, etc. ÉTUDE CLINIQUE, RADIOLOGIQUE ET BIOLOGIQUE D'UN CAS D'ACROMÉGALIE - " PAR MM. CLUZET, et L. LÉVY,
e la selle turcique a élé poursuivie; elle constitue, dans bien des cas , en même temps qu'une importante méthode de dia
s ont paru intéressants à soulever, sinon à résoudre, à propos d'un cas d'acromégalie que nous avons eu l'occasion de s
ACROMÉGALIE (Clu'{et et L. Lévy) Masson de, Editeurs ÉTUDE D'UN cas D'AGROMÉGALOE 227 1910. A cette époque, le mala
GALIE (Cluzet et L. Lévy) Masson & Cie, Editeurs étude D'UN cas D'ACROMÉGALIE 229 par de nombreux auteurs ; de
me approprié. 2b novembre 1913. 230 CLUZET ET LÉVY étude D'UN cas d'acromégalie 231 232 CLUZET ET LÉVY ÉTUDE D'
étude D'UN cas d'acromégalie 231 232 CLUZET ET LÉVY ÉTUDE D'UN cas d'achomégalie 233 234 CLUZET ET LÈVlt w 4° L'
l nous parait utile, d'autre part, de faire remarquera propos de ce cas que. chez certains acromégaliques, la fosse pitui
très net de celle dernière éventualité (PI. XLII, fig 2) : dans ce cas , non seulement la fosse pituitaire paraissait plu
l'observation est encore inédile (PI.XLII, fig. 3). Dans ce dernier cas , le contour de la selle turcique est très ap- p
de Lyon, 31 mars 1914, Lyon médical, no 914, 11- 16. - étude D'UN cas D'ACR011tÉGALlE - â35 fermée à sa partie supéri
r provoque ! un agrandisse- ment squelettique D'autre part, même en cas de néoplasie tendance plus ou moins envahissant
ante, i ! est admissible que, pendant un temps variable suivant les cas . l'organe reste contenu dans une loge normale :
les sujets sont examinés. Il est d'ailleurs à noter que dans les deux cas où l'un de nous a constaté de petites selles, l
ition, niais beaucoup moins de détails. C'est ainsi que, dans notre cas , le contour de la tumeur hypophysaire ne nous est
e carbone. Sa défaillance serait à l'origine d'un certain nombre de cas de syndrome adiposo-génilal de Froehlich, syndr
ine glandulaire. Journal medical français, 15 mars 1914. ÉTUDE d'un cas d'acromégalie 237 blions pas que notre malade e
que le trouble nutritif initial. Nous pensons donc que, dans notre cas , il n'y a, a l'origine, qu'une lésion hypophysa
- duire la glycosurie en intervenant sur l'hypophyse ; dans les six cas positifs, la glycosurie était légère, fugace, d
ve en clinique dans le diabète dit hypophysaire. De plus, sur ces 6 cas , 4 fois au moins la base du cerveau avait été l
ineuse du, liquide céphalo-rachidien d'un acromégalique. ETUUE D'UN cas d'acromégalie 239 clinique,. et, à ce titre, ce
ue l'on voit les glycosuries les plus abondantes. A cet égard notre cas est classique, puisque nous avons vu constamment
25 à 33 grammes chez un malade de Lance- reaux, 30 grammes dans un cas de Ptrwuschin etF : l\varski ; 48 grammes dans
grammes dans une observation de Marinesco, 35 â 50 grammes dans' un cas de Stadelmann, 60 grammes chez un malade de Hav
Stadelmann, 60 grammes chez un malade de Havaul, 47 gr. li dans un cas de tuberculose de l'hypophyse dû à Lucien,et Pari
chez les diabétiques hypophysaires et de voir si, comme dans noire cas , il se montre colis-- tanlllll'ilt élevé, malgr
saire, les rapports de la diathèse urique avec l'obésité. Dans deux cas de dystrophie adiposo-génitale avec tumeur de l
hypophysaires en plus ou en moins. Les dosages pratiqués dans notre cas sont confirmatifs de cette conception et se ran
ueuquand, Les obésités d'origine glandulaii e, toc. cil. étude D'UN cas d'acromégàlie 241 chesjnsqn'à ce jour, elles so
ilva, Benda, Vlaielf (1), Sabrazès et Bonnes (2). Cependant dans un cas de ces derniers auteurs il y avait leucopénie.
cytose avec les chiffres de 41,92 0/U et de 45 0/0 caractérise deux cas de Sabrazès et Bonnes. L'éosinoplzilie consti
stitue peut être l'altération la plus fréquente encore que, dans un cas déterminé, elle puisse subir des variations consi
né, elle puisse subir des variations considérables. Vlaie ? cite un cas où il en Irouve 7,25 0,0 Mendl, dans une observat
la mononucléose est apparue assez souvent : c'est ainsi que dans un cas , Vlaieff rapporte le chiffre de 19,25 0/0, de gra
ands mononucléai- res. Franchini et Giglioli la signalent dans deux cas . Dans un fait de Sa- brazès et Bonnes, on note
normal, ou hypouormal (Marte et Marinesco) ou hypernormal : dans un cas de Franchini et Giglioli, on en a compté jusqu'
e après l'autopsie. Le taux de l'fttJmllglobine a été dans certains cas diminué, dans d'aulres exagéré (jusqu'à Il ! 0/
tains cas diminué, dans d'aulres exagéré (jusqu'à Il ! 0/0, dans un cas de Sabrazès et Bonnes). . Enfin dans quelques c
cation qualitative ap- préciable des éléments figurés. Dans notre cas , il y a lieu de relever une diminution du nombre
ou rouge l'apparition d'éléments anormaux. Si donc, dans certains cas , on peut noter au cours de l'acromégalie, des s
de l'état morbide est le plus souvent telle qu'on peut admettre, le cas échéant, l'intervention de multiples facteurs,
Ce processus surajouté pourrait même, au cours de l'évolution d'un cas déterminé, subir des modifications capables d'inf
no ? éac/Íon du liquide céphalo·rrachidien. Dissociation étude D'UN cas D'ACRO\7RGALI1 : ' 243 l'acide nitrique sur la
and elle s'élève au-dessus d'un gramme. Il s'agissait donc ici d'un cas des plus nels de dissociation albrcnmitto-cytolog
on décompressive (3). Sicard et Reilly (4) ont même montré, dans un cas particulièrement déli- cat, tout le parti qu'il
s avec certaines réserves cependant », ils contestent que, dans les cas d'hypertension inlracranienne, ce signe ait une v
et Rouillard citent des observations où la dissociation a manqué en cas de pachyméningite, où elle a été constatée en d
de toute hyper- tension crânienne et enfin où elle a manqué dans un cas de tumeur cérébrale. La discussion est donc e
vraisembla- blement ont tous deux une grande valeur diagnostique au cas d'hyperten- sion intracranienne et qui, sans do
signalé les heureux effets obtenus par Gramegna, de Turin, dans un cas d'acromégalie, rapporte quatre ob- servations p
vorables à la méthode. Depuis, Béclère et Jaugeas (3) ont publié un cas d'acromégalie où, sous l'influence de la (1) Cl
de physiothérapie de Berlin, avril 1913. (3) BÉCLHRE et Jaugeas, Un cas d'acromégalie traité par la radiothérapie. Journa
1914, p. 133 ; Jaugeas, Les rayons de Roentgen dans " . ÉTUDE D'UN CAS D4&OM$GALIE 245 . ' ? Nf te r·. radiothér
licate et dont les heureux résul- tats s'observent surtout dans les cas opérés de bonne heure. Et cependant, l'hypophys
e (1) rappelait récemment que si Eiselsberg a eu 4. morts sur seize cas , les 4 morts se trouvant dans ses premières inter
dit Leriche, qu'il en est ainsi, c'est qu'il a pu l'éviter dans ses cas ultérieurs et que ses dix derniers malades ont gu
ctomie décompres- sive, et de ne recourir à l'hypophysectomie qu'en cas d'insuffisance ou d'échec de l'opération pallia
du 31 mars 19<4 ; Lyon Médical, 1914, n 15, p. 843. ÉTUDE D'UN CAS DE POLY-SYVDACTYLII : , PAR R Maurice KLIPPEL
ités de cet individu, se rencontre beaucoup plus rarement. Quelques cas isulés ont seuls été signalés. Tous, d'ailleurs
E (Klippel et Et. Ravaud) Masson & Ciel Editeurs ÉTUDE D'UN CAS DE POLY-SYNDACTYLOE 247 n'en juger que par l'as
II. PL. XLVI POLYSYNDACTYLIE (Klippel el El. Ravaud) ÉTUDE D'UN CAS DE POLY-SYNDACTYLIE 249 spécifiquement ni synda
qui, dans leur essence, sont parfaitement comparables dans tous les cas . ' Le cas depoly-svndactylie que nous venons de
ur essence, sont parfaitement comparables dans tous les cas. ' Le cas depoly-svndactylie que nous venons de décrire dif
e et telle est aussi l'interprétation de C. W. Prentiss (2) pour un cas analogue observé chez le porc. On doit aussi l'ad
n cas analogue observé chez le porc. On doit aussi l'admettre pour le cas remarquable publié par Chambrin (3), relatif à
of Comp. Zoôl at H,trvard College, 1903. (3) J. M. Chambrin, Sur un cas de téralologie. Th. Fac. méd. Paris, 1896. 250
se dire que celui-ci soit déterminé par celui-là. Mais dans notre cas , il y a certainement bien antre chose 'qu'une sép
mpte d'un excès de développement suivi d'un arrêt de croissance. Le cas est très différent ; il constitue une poly-syndac
l'est. Les renseignements recueillis sont tout à fait nets. Dans le cas particu- lier, la poly-syndaclylie est hérédita
ous ont engagés à présenter ce malade à la Société de Neurologie. Cas . - Antécédents. - 1° Antécédents hé,.édilaÍ7'es,-
bras semble sentir la piqûre aussi bien que du côté opposé. En tout cas la différence de sen- sation est très minime.
et dans l'autre elle a précédé le zona. Nous rappellerons encore le cas de Broadbent, celui de Fabre simplement énoncés
re le cas de Broadbent, celui de Fabre simplement énoncés, et trois cas cités dans la thèse de Doucet (2). Cette coex
nglion géniculé, infecté et augmenté de volume. (1) JoFFRov, Deux cas de zona du membre supérieur avec atrophie muscula
ion somatique exagérée des idées conçues par le sujet. Même dans ce cas l'on remarque que les phénomènes hystériques déte
idée aurait une confirmation dans un fait constaté dans beaucoup de cas d'hystérie, à sa- voir que, lorsque les malades
e doublepersonnalité ou de dissociation de la personnalité, dans le cas où une synthèse de sen- sations, d'images, de s
iation et une personnalité nouvelle. On ne peut douter que tous les cas de dissociation de la personnalité ne soient touj
plus profondes de la peau et des muscles ne saignaient pas. Dans un cas d'hystérie décrit par Dejerine (1), l'idée seule
re. Moi-même, j'ai appelé l'attention sur la coïnci- dence dans les cas d'hystérie traumatique entre la réaction myasthén
et les tendances affectives sont plus intenses, On connaît bien les cas de Pronier (1), de Sollier (2), d'Allonnes (3),
gestibilité, ce qui s'observe chez les mélancoliques, comme dans le cas d'Allonnes et d'au- tres. On a pu provoquer par
algies hystériques ont leur origine dans des dyspepsies réelles. Le cas n'est pas rare que des altérations gastriques ou
ngite est parfois la cause d'aphonies hystériques rebelles. Dans un cas décrit par Janet (2), les zones hystérogènes, d
de l'hystérie traumatique est sans doute favorisé dans beaucoup de cas par la misère physiologique, la fatigue, la neu
très étroitement liés avec des faits vaso-moteurs ; on a décrit des cas d'hé- (il Bernheim, loc. cit. (2) JANET, loc.
sparu par l'inhalation de quelques gouttes de nitrite d'amyle ; des cas d'hémiplégie droite avec aphasie motrice, ou sen-
ux d'origine émotive. Ce qui est certain c'est que dans beaucoup de cas les auteurs, même les plus dis- tingués, se mon
OSSELIN de JONG. SUR LES TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS DEUX CAS DE LÉSION BILATÉRALE DU CORPS STRIÉ PAR R W
interne, et aussi la dégénérescence du faisceau pyramidal dans les cas de parésie spasmodique, l'opinion des neurologi
modique, l'opinion des neurologistes changea complètement. Dans les cas où la capsule in- terne et le noyau lenticulair
(voyez son manuel de 1884), admettant la même localisation dans les cas présentant des secousses choréiformes, est comb
- ments choréo-alhélosiques ne compte presque plus d'adhérents. Les cas allant à l'encontre de l'opinion de Kaitieret P
mbreux pour qu'on puisse la soutenir encore. Rappelons seulement le cas de Bon- hoeffer (Monatschrift sur Neur. und Psy
ait eu trace de lésion des faisceaux pyramidaux. Le grand nombre de cas où l'autopsie montra des altéra- tions soit dan
nce du corps strié sur l'action muscu- laire. Les troubles dans ces cas (lenteur des mouvements actifs, raideur muscula
s trié ». Ce syndrome, dont l'aspect est fort différent suivant les cas décrits, se rapproche tantôt de la maladie de P
e, causée par une lésion des voies pyramidales, Quelques-uns de ces cas , examinés auato- miquement, montraient une affe
autres parties du névraxe étant intactes ou presque. Rappelons les cas de Wilson (Grain, 1912), d'Oppenheim el de Vogt
xcitable. Les contractions musculaires, qu'on observe parfois en ce cas , seraient provoquées par l'excitation des libres
rvation musculaire. Celle opinion est soutenue par l'observation de cas où les lésions, même bilatérales, ne provoquent
vaient par exemple Oppenheim et Vogt, Wilson et Fischer dans leurs cas par l'atrophie (malfot nialion) de cet organe.
qui s'associent aux fibres pyramidales. Ces auteurs ont observé des cas où la capsule interne était intacte et la lésion
onner une description détaillée des troubles fonction- nels dans un cas où les corps striés furent trouvés en forte atrop
iés furent trouvés en forte atrophie. La courte relation d'un autre cas suivra ; les altérations anatomiques de ces cen
coupes d'après Pal l'aspect 284 VAN WOERKOM : normal. C'est le même cas avec la région sublenticulaire, contenant les fib
te, mais en général leurs noyaux sout bien conservés. C'est le même cas avec la substance grise de l'étage ventral : augm
ontraire pour les mouvements commen- çant plus lentement. Dans le cas où l'attention s'est concentrée sur Pacte muscula
s qui par l'homme normal sont exécutés très promptement. Dans les cas où le malade est fort capable de commencer l'acte
cée ou bien elle ne se produit t pas au bon moment. Dans le premier cas le mouvement est lent, irrégu- lier, dans le de
e premier cas le mouvement est lent, irrégu- lier, dans le deuxième cas il est brusque, démesuré. Souvent dans un même
nt arrêtée, ou bien que le but esl dépassé d'un coup. Dans les deux cas la division de Pacte en deux phases s'est effac
des muscles la rapproche de la -maladie de Parkinson et de certains cas décrits sous l'étiquette de « symptôme du corps
r l'obligeance qu'il a mise à me confier l'examen anatomique de ces cas . 294 VAN WOERKOM Le cervelet n'a pas diminué
es très allongées ne laissent aucun doute ; nous avons affaire à uu cas de démence paralytique. Pourtant les processus
aigu. CONCLUSIONS. Après la description et l'analyse de nos deux cas avec lésion bilatérale du corps strié, reprenon
unc- tiva ou des noyaux ronges. Ces parties sont dans notre premier cas sans altérations, dans notre seconde observatio
at de provo- quer ce trouble. ' HOSPICE DE B7Cy/<&' DEUX CAS D'AMYOTROPHIE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE,
l'état actuel de cette question dans la thèse'de Lerouge (1). Les cas sont loin d'être semblables. Parfois il s'agit d'
essive chez un tabétique ou un paralytique général. Dans le premier cas , on pourrait pensera une poliomyélite antérieur
s et des lésions diffuses de la substance blan- che. Dans le second cas , on pourrait se demander si l'amyotrophie dépend
l'anatomie pathologique, est-on autorisé à dire que, dans tous ces cas , il ne s'agit pas de lésions systématisées, mai
ns des cornes antérieures. Nous avons eu l'occasion d'observer deux cas d'atrophie musculaire progressive Aran-Duchenne
TIQUE (Souques, Baudouin et Laiituéioul.) r)l ? T -... - . DEUX CAS D'AMYOTROPHIE PItOGRESS1V r ? 21)9 mois d'août
ette diminution de la température pst perçue subjectivement et DEUX CAS D'AMYOTROPHIE'PROGRESSIVE ARAN-DUCHENNE 301 obj
1';iii es Ili ésie superficielle ou profonde. C'est bien il dans un cas pareil qu'on aurait le droit, sernhle-t-il, de di
VE D'ORIGINE SYPHILITIQUE (Souques, Baudouin et Lnnlutjoul.) DEUX CAS I'ADIYOTROI'Hli'l`0'f9'HESSIV I AN-DUCHENNE 303
bilatérale du tendon d'Achille. Les orteils sont fléchis 'dans DEUX CAS D'AMYOTROPHIE PROGRESSIVE ARAN-DUCHENNE 305 leu
e, puisque le malade est tabétique. Nous pensons que, comme dans le cas précédent, il s'agit de méningo-myélite diffuse p
ec succès, ont dû finalement subir, à leur tour, le même sort. UN CAS DE DYSTROPHIE HYPOPHYSAIRE PAR Al. OBREGIA, C
it et établi ce syn- drome qui porte aussi son nom. Dans le premier cas publié par lui, il s'agis- sait d'un enfant de
es de compression cérébrale. Pour faciliter l'exposition de notre cas , nous reproduisons en résumé la clinique et la
e diffuse ou localisée d'une ma- nière variable et Schüller cite un cas de névralgie du trijumeau. Les troubles psychiq
et d'après von Frankl- Hochwarth se rencontreraient dans 60 0/0 des cas . Les symptômes en foyer sont caractérisés par d
: 'l'RI1.R1 ? . ? -7r-xxvlr-PL-. rri-r DYSTROPHIE HYPOPHYSAIRE UN CAS DE DYSTROPHIE HYPOPHYSAIRE 319 La formule leuco
s formes pour ainsi dire classiques, des formes frustes et même des cas dans lesquels la maladie paraît être congénitale
gmentation du nombre des lymphocytes et des mu- nonucléaires : UN CAS DE DYSTROPHIE HYPOPHYSAIRE 321 pied plat. Un te
de troubles delà pari de l'appareil génital, nous assimilons noire cas aux formes frustes de la dystrophie adiposo- gé
une hypothèse personnelle. En ce qui concerne l'adiposité de notre cas , nous rappellerons que beaucoup de controverses
ande qui n'altéraient pas la selle turcique (Launois et Cléret), en cas d'hémorragies dans le lobe antérieur (Maranon). a
a glande. On' trouvera aussi des observations intéressâmes dans les cas de Grahand, Erdheim, Oltenberg, 7.aksl. Marburg
ité dans les tumeurs de l'hy- pophyse et on a cherché expliquer ces cas , soif par la névralgie du triju- meau avec ses
ation dans la région sous-thalamique. E. MuNer prétend que dans ces cas il s'agit d'une compression de l'hypo- physe pa
n, Stumpf, Neuratti, Ma- rinesco et Goldstein, qui ont observé deux cas avec hydrocéphalie, sont du même avis. Von Voor
capita, tot sentenlioe. , Une autre question qui se pose dans notre cas aussi est cette du rapport du diabète insipide-
en ]Roemei-, Itosenllaupt. Gotzl et Erdheim, etc. Frank a publié le cas intéressant d'un individu de 39 ans, qui s'était
s du chiasma en nous donnant une statistique de 12 polyuries sur 36 cas . Ses observations sont confirmées par celles de
elles de Ebslein, Bouchard, Todd, etc. Spanbeck et Steinhaus sur 50 cas d'hé- mianopsie bitemporale mentionnent 11 fois
mporale mentionnent 11 fois le diabète insipide. Falta a observé un cas semlilable. J. Belkowski a publié le cas d'une ac
sipide. Falta a observé un cas semlilable. J. Belkowski a publié le cas d'une actinomycose de la hase du crâne et des m
ges avec diabète insipide, qu'il explique- rait volontiers dans son cas par une lésion épendymaire circonscrite du quat
chez les individus atteints de dégénérescence mentale, llayem a UN CAS DE DYSTROPHIE HYPOPHYSAIRE 323 vu la polyurie a
diabète insipide. - 1 Laignel-Lavastine et Beaudoin ont publié un cas de sarcome dans la loge hypophysaire avec obési
oge hypophysaire avec obésilé et persistance des menstrues. Dans leur cas le lobe postérieur était le plus altéré de la g
emiers auteurs qui l'ait signalée. Après ces observations, d'autres cas ont élé signalés que nous reproduisons en parti
és que nous reproduisons en partie d'après le livre de Falta : Le cas de Berger, qui débuta à 12 ans. Le cas de Bycho
rès le livre de Falta : Le cas de Berger, qui débuta à 12 ans. Le cas de Bychowsky qui concerne une jeune fille de 17 a
res, et opérée par Eiselsberg pour un kyste de l'hypophyse. Le 2e cas de Bychowsky chez un enfant de 13 ans avec une ta
y chez un enfant de 13 ans avec une taille de 132 centimètres. Le cas de Nazari, arrêt de développement depuis de 6-7 a
pement depuis de 6-7 ans; à 20 ans, taille de 125 centimètres. Le cas de Bahonneix et Paisseau chez un enfant de 11 ans
Le cas de Bahonneix et Paisseau chez un enfant de 11 ans 1/2. , Le cas de Erdheim, femme de 20 ans. Le cas de Zi5l 1 i
un enfant de 11 ans 1/2. , Le cas de Erdheim, femme de 20 ans. Le cas de Zi5l 1 iiei-, chez un adulte ; laille : 145 ce
cas de Zi5l 1 iiei-, chez un adulte ; laille : 145 centimètres. Le cas de UhthotT, nanisme avec hémianopsie bilemporale.
tres. Le cas de UhthotT, nanisme avec hémianopsie bilemporale. Le cas de Ettore Levi, chez une femme de 20 ans 1/2, ave
êt de développement depuis dix ans ; taille : 130 centimètres. Le cas de Barlels, individu de 24 ans, arrêt 14 ans. L
timètres. Le cas de Barlels, individu de 24 ans, arrêt 14 ans. Le cas de Bregman et Steinhaus, fille de 7 ans. ' Le c
rrêt 14 ans. Le cas de Bregman et Steinhaus, fille de 7 ans. ' Le cas de Mixer et Anacquenbross, individu de 27 ans aya
ss, individu de 27 ans ayant l'aspect d'un individu de 18 ans. Le cas de Kummel, homme de 23 ans ayant l'aspect d'un en
e 23 ans ayant l'aspect d'un enfant de 14 ans ; pas d'adipose. Le cas de Souques et Chauvet, individu de 21 ans, taille
es et Chauvet, individu de 21 ans, taille : 127 centi- mètres. Le cas de \Veiandl, individu de 17 ansl/2, [aille : 91 c
cas de \Veiandl, individu de 17 ansl/2, [aille : 91 centimètres Le cas de Krukenberg, enfant de 12 ans avec nanisme. L
ntimètres Le cas de Krukenberg, enfant de 12 ans avec nanisme. Le cas de Charpentier et Zahouille avec examen radiologi
. Le cas de Charpentier et Zahouille avec examen radiologique. Le cas de Léman et van Warl, femme de 24 ans, infantile.
ique. Le cas de Léman et van Warl, femme de 24 ans, infantile. Le cas de Bournier, homme de 26 ans ayant un arrêt de dé
loppement, depuis t'age de 10 ans ; taille de 125 centimètres. Le cas de Réunie, en même temps que la tumeur, infantili
. Le cas de Réunie, en même temps que la tumeur, infantilisme. Un cas de Falla, 131 centimètres, chez un enfant de 10 a
n enfant de 10 ans ; arrêt de . développement depuis deux ans. Un cas de Falta, fille de 16 ans, taille : 1 15 centimèt
. Un cas de Falta, fille de 16 ans, taille : 1 15 centimètres. Un cas de ralla, arrêt de développement à (le 13 ans.
s. Un cas de ralla, arrêt de développement à (le 13 ans. Dans les cas de processus cérébraux qui intéressent secondaire
l'hypophyse on trouve quelquefois des troubles de la croissance. Le cas de Mû ! ter. Le cas de Goldslein, arrêt de déve
quelquefois des troubles de la croissance. Le cas de Mû ! ter. Le cas de Goldslein, arrêt de développement depuis la ¡j
Le cas de Goldslein, arrêt de développement depuis la ¡j" année. Le cas de (oldslein, méningite séreuse de même qu'au pré
éningite séreuse de même qu'au précédent ; ta i 11 e pet'i te. Le cas de Nenralll, à 10 ans, 109 centimètres. Probablem
rocé- phalie par méningite après scarlatine il l'âge de 7 ans. Le cas de Z ii la 1,,i -]%-oii, individu de 37 ans avec
centimètres ; épilepsie depuis l'enfance, infantilisme, démence, UN CAS DE DYSTIIOPHIE HYPOPHYSAIRE 325 troubles de la
l'autopsie, un tératome de l'hypophyse assurément congénital. Les cas de Marinesco et Goldstein, de Falia, concernaient
dstein, de Falia, concernaient des individus de petite laille. Le cas de Benda, nanisme cliez un individu de 38 ans; it
un individu de 38 ans; it l'autopsie, tératome de l'hypophyse. Le cas d'tlutcltinson et Woods interprété par Brens et K
rens et Kolisko comme chondro-dystropllie. Aschner eut décrit des cas mis en doule par Falta. Sprinzels a décrit un c
er eut décrit des cas mis en doule par Falta. Sprinzels a décrit un cas chez un individu de 17 ans, avec diabète insi-
insi- pide et avec une taille de 106 centimètres. Falta décrit un cas chez un enfant de 15 ans, avec hydrocéphalie et
rtout quand la maladie débute avant l'adolescence ; dans les autres cas on ne trouve à peu près rien. Au point de vue d
uant aussi la fréquence des auras olfactives ou gustatives dans ces cas ( ? ). En ce qui concerne la petitesse des mains
des faits importants. Un autre fait que nous rencontrons dans notre cas , c'est le genu valgum et le pied plat, C'est un
lgum mentionné dans plu- sieurs de ses observations ; dans d'autres cas publiés, nous l'avons aussi quelquefois rencont
ubliés, nous l'avons aussi quelquefois rencontré. - A propos d'un cas de Scbulz, horster met en discussion la possibili
phie adiposo-génitale (cité d'après Schûller). lllaase a décrit un cas de dystrophie adiposo-génitale avec difformités
Masson & Cie, Editeurs SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS DEUX CAS DE NEUROFIBROMATOSE FAMILIALE DONT UN AVEC CHEI
lèvre droite qui est procidente depuis la naissance et simule DEUX CAS DE f-EUROFIBROMATOSE FAMILIALE 329 de loin une
une pigmentation déjà diffuse et des troubles des réflexes. DEUX CAS DE NEUROFIBROMATOSE FAMILIALE 331 Le caractère
ofibromalose ou attribués à une origine propre ? On a signalé des cas A' hypertrophie unilatérale congénitale (David-
x pieds (Clutlon [3]), une main (Apert [4]). Mais dans aucun de ces cas on ne constatait la coexistence d'une affection
ie ? On a relevé 6 fois déjà la coexistence de ces deux affections, cas relevés dans le travail de Wolssohn et Ernst vl
s de l'atteinte de la glande pituitaire sont incomplètes. Dans le cas d'Aloïso de Castro, il y a de la scoliose, de la
les mains sont grosses et courtes, mais la radiographie manque. Le cas de Feindel et Froussard est tout à fait douteux
on de la selle lurcique. Aussi est-il permis de penser que dans ces cas il y a relatiozenlre la neurofibromatose et les
galique. Babon- neix (1) a observé chez un jeune homme de 17 ans un cas d'hypertrophie des extrémités en long et non en
ie diabolique : polyphagie, polydypsie ; il n'incrimina pas dans ce cas l'hypophyse. Pourquoi les deux ordres de faits,
déformations des extrémités du type acromégaloïde, comme dans les 0 cas déjà cités de Wolssohn, Feindel, Massé, Perlhes,
as d une commune étiologie ? Il s'agit, croyons-nous, dans les deux cas d'une dystrophie frappant les tissus ectodermique
ctylïe totale est assez peu fréquente. A ce point de vue les quatre cas que nous avons eu l'occasion d'étudier nous parai
modifications du squeletlesont beaucoup plus profondes que dans le cas précédent; elles portent non seulement sur les ph
e retenir ces faits qui nous faciliteront l'interprétation. Dans ce cas comme dans les précédents, l'hérédité n'entre pas
eur. La rangée métacarpienne semble la plus réduite ; dans tous les cas , des métacarpiens manquent, du moins une très g
mon (2), dans son étude remarquable sur les eclroméliens, décrit un cas dans lequel il ne restait rien des méta- carpes
e est le plus généralement invoquée pour expli- quer la plupart des cas analogues ou les cas d'hémimélie proprement dit
ement invoquée pour expli- quer la plupart des cas analogues ou les cas d'hémimélie proprement dite. Certes, nous ne so
ations morphologiques plus ou moins importantes. Or, dans aucun des cas qui nous occupent nous ne voyons la trace d'une s
milite en faveur de l'ampulation. C'est le fait que dans lotis les cas étudiés, l'anomalie est asymétrique, tantôt à dro
e d'une bride. Il convient, en 'effet, de remarquer que dans chaque cas les rudiments squeletliques présentent d'un doi
qui puisse évoquer l'idée d'une section. Ce n'est pas tout. Dans un cas où existe un squelette de pouce, ce squelette n
ne peut produire un phénomène de syn- carpie. Et si, dans ces deux cas , la conclusion ressort nettement de l'exa- men
t de l'exa- men direct des faits, elle doit être étendue aux autres cas , pour lesquels les raisons, pour n'être pas aus
ALFORMATIONS CONGÉNITALES DES MEMBRES 341 Le plus souvent, dans des cas analogues, J'ostéogénè,se porte par défaut; les
e. Tel est le processus duquel paraissent relever les deux premiers cas . A la vérité, ce défaut de formation est lié da
cas. A la vérité, ce défaut de formation est lié dans le troisième cas à une ostéogénèse telle que les os qui se forme
e échappatoire nous fait entièrement défaut, puisque dans aucun des cas observés, soit par nous, soit par les autres au
taire, nous constatons qu'elle ne l'est pas dans le petit nombre de cas connus, tandis que d'autres ectrodactylies le s
lles que nous avons relevées, au cours de notre description. II. Un cas de syndactylie (Pl. LIX). Bien qu'un assez gran
LES DES MEMBRES 343 Depuis cette époque, au milieu de très nombreux cas de syndactylie, nous avons pu retrouver, comme
elle (1896) (3). Encore convient.-il d'ajouter que, dans ce dernier cas , l'auriculaire fai- sait défaut ; il ne s'agiss
sait défaut ; il ne s'agissait pas d'une syndactylie pure. Enfin les cas de Routier (4) et celui de Forgnes (5), où l'un
27. 344 KLIPPEL ET RABAUD (1849) (1), par Honnebelle (2), dans le cas où l'union portait sur l'annu- laire et le médi
e du médius et de l'annulaire demeure indivi- (1) M0liF.L-LAVdLLÉE, Cas de syndactylie chez l'homme. Soc. de Biol., 1849.
ue. A cette catégorie appartiennent probablement quel- ques-uns des cas que caractérise l'union des doigts par une surfac
nt secondairement soudés suivant la surface de section ; tel est le cas classique d'Otto, reproduit par divers auteurs
Dès lors, si de notre cas particulier nous passons à l'ensemble des cas connus, nous nous sentons très enclins à penser
appréciable des conclusions classiques; nous espérons par l'étude de cas nouveaux permettre d'en augmenter la valeur pro
ettre d'en augmenter la valeur propre et la portée. III. Un nouveau cas D'lIG111nI6Llls THORACIQUE(Pi. LX). Nous avons
ique de ce même individu (2) ; à son propos, un relevé fut fait des cas analogues. Ils sont, à vrai dire, assez peu nom
blir d'une façon complète la description de ce genre d'anomalie. Un cas nouveau, que nous avons eu l'occasion de rencon
fondamental commun présentant des variations secondaires au gré des cas particuliers. Celle conclusion n'est pas sans c
Elle paraîtra plus rationnelle, si nous rappelons que dans l'un des cas rapportés par \Iouchotte la main était 352 HUPP
aillies minuscules séparées par des sillons. En réalilé, dans notre cas , nous nous trouvons en présence du degré le plu
s des différenciations. Toute discussion sur ce point se heurte aux cas dans lesquels existe une main, très petite sans
ciser, étant donné l'état actuel de nos connaissances. ' IV. - UN cas d'absence bilatérale DU péroné. ' ' - (Pl. LXI
Mouchet, il semblerait que tout a été dit, et que'la publication d'un cas nouveau n'offre qu'un très faible intérêt. Mais
pour ce qui est du mécanisme de la production de cette anomalie. Le cas nouveau que nous avons rencontré et que nous pu
fréquente, la forme bilatérale, qui correspond au tiers environ des cas . Nous n'avons pu voir si le péroné était rempla
tique vaut-elle mieux ' ? Elle repose sur l'observation de quelques cas où, dans un amnios manifestement étroit, se trouv
it un foetus plus ou moins déformé ; sur le fait que, dans quelques cas , il a paru que l'absence de doigts coïncidait a
nextensible. C'est ce que l'un de nous a observé et décrit dans les cas où l'amnios, visiblement étroit, enserrait l'en
i- nant une proéminence frontale très accusée (2). Ainsi, dans le cas des membres inférieurs, un amnios étroit ou une b
n'observerons ce que nous observons tout parti- culièrement dans le cas qui nous occupe, à savoir une si remarquable sy
u que la conformation était très sensiblement la même dans tous les cas . Nous n'ignorons pas qu'il existe assez constam
nvergence de forme. Suivant toute évidence, il s'agit dans les deux cas d'un processus général, d'une absencede formati
accès deviennent peut-être un peu moins fréquents et dans quelques cas ce maigre résul- tat ne fut même pas atteint :
ur cela, on dut remarquer qu'il était très variable : dans quelques cas qu'on ne pouvait certainement pas considérer co
s quelques-uns, parmi lesquels un ou deux semblaient appartenir aux cas bénins (attaques n'existant pas encore depuis deu
épileptique, mais pour lesquels, cependant, on ne pouvait, en aucun cas , parler d'épilepsie essentielle, mais d'une aff
e, depuis quelque temps un courant pour déclarer que, dans lous les cas de la maladie de Stokes-Adam, on a affaire à un
ue ; toutefois, dans les dernières années, on a constaté différents cas où ce syndrome était nettement d'origine céré-
ndrome était nettement d'origine céré- brale. Et cela est encore le cas , «et dans une beaucoup plus grande pro- portion
peuvent provoquer ce syndrome, et c'est pourquoi, dans de nombreux cas , il est encore très difficile maintenant de fix
sie essentielle. Binswanger dit aussi, après la description de deux cas avec foyers encé- 368 BOLTEN phaliques primit
phaliques primitifs : « Combien souvent se présenteront de pareils cas qui, plus tard, se perdront complètement dans l
sans doute, Binswanger a raison : il existe, en effet, de nombreux cas qui, cliniquement et tous les points de vue, se c
érébrale quelconque primitive. Par contre, il exisle un groupe de cas encore important, bien que dimi- nuant toujours
aucune altération cérébrale primitive. Cela veut dire que dans les cas récents il n'existe aucune trace d'anomalies da
dans le cerveau (écorce) et dans les méninges, tandis que, dans des cas très chroniques avec démence secondaire, on peu
t 1«(il tout à fait négatif sous tous les rapports et pour tous les cas : il n'y avait pas d'hypertension dans le liquide
-rachidien (forte hyper- tension, altérations cellulaires) dans des cas d'épilepsie cérébrale (hydro- céphalie interne,
e cérébrale (hydro- céphalie interne, méningites) et aussi dans des cas de psychoses post-épi- lepliques et dans l'état
st une opinion assez courante que les altérations se produisant, en cas d'épilepsie, dans la personnalité psychique, comm
se présente, en outre, des exceptions en lous sens : je connais'des cas tant d'épilepsie essentielle que d'.épilepsie c
du caractère et la démence secondaire n'ont donc, excepté dans des cas très peu nombreux, aucune valeur pour le diagno
ence de l'épilepsie essentielle, car, comme on le sait, de nombreux cas de méningite et d'encéphalite ne causent aucune
rtes de symptômes de foyer et même des phénomènes hémiplégiques. Le cas suivant en fournit un bel exemple : L..., 36 an
que (l'examen microscopique du cerveau est encore à faire). Dans ce cas il ne s'agissait donc certainement pas d'épi- l
s d'épi- lepsie cérébrale, mais d'épilepsie essentielle. Dans ces cas d'épilepsie essentielle, sans symptômes de foyer
principalement dans l'état de mal épileptique ou, tout au moins, en cas de grandes séries d'at- taques. On a signalé, t
en cas de grandes séries d'at- taques. On a signalé, toutefois, des cas dans lesquels se sont manifestés ces symptômes
déviation conjuguée au début de l'attaque ; de plus, dans quelques cas , les résultats de la radiographie. Comme on l
la main gauche par un'111éningo- encéphalile diffuse qui. dans ces cas , a alléré.plus fortement l'hémi- sphère gauche
. Nous devons, très pro- bablement, le prendre, comme dans quelques cas de prédominance de l'usage de la main gauche, p
tteint beaucoup plus fortement que l'autre hémi- sphère. Dans les cas où ce phénomène est très constant, nous avions do
sidéré comme absolument sûr) nous laissent dans l'embarras pour les cas d'épilepsie sans symptômes de foyer et que, comme
méningite, d'une encéphalite dans l'enfance ou, dans la plupart des cas , d'une combinaison de ces deux maladies, la ménin
aralysie cérébrale infantile, car, dans la grande ma- jorité de ces cas , l'épilepsie et la paralysie furent causées par u
eud admet aussi pour toutes deux une même origine qui cause dans un cas l'épilepsie, dans un deuxième la paralysie céré
e. Krause, lui aussi, a appelé l'attention Sur le fait que tous les cas d'encéphalite et de PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORM
tard l'épilepsie (cérébrale) et, par suite, il admet que, dans les cas où se produisent des attaques, il existe une pr
ela n'est pas juste et ne pourrait s'appliquer naturellement qu'aux cas de combinaison de paralysie cérébrale infantile
sans les généraliser, ne peuvent servir vraiment que pour quelques cas et que, dans la paralysie cérébrale infantile,
t se développer uneépi- lepsie véritable. Weber voit aussi dans ces cas une épilepsie véritable. » Redlich a véritablem
lui-même, Krause et beaucoup d'au- tres auteurs trouvèrent dans ces cas de véritables kystes ou mieux des dépôts kystiq
dans la paralysie cérébrale infantile est dans le fait que, dans un cas , il s'agit de lésions de forme strictement en f
il s'agit de lésions de forme strictement en foyers, dans d'autres cas , au contraire, se montrent d'im- portantes alté
te primi- tive), l'épilepsie éventuelle qui en découle esl, dans ce cas , d'origine céré- brale et ne peut donc absolume
u non, cela ne change rien. Il en est exactement de même avec les cas d'épilepsie qui sont combinés avec l'hydrocépha
s qui revêtent ou non le caractère jacksonnien. Toutefois, dans les cas de porencéphalie, les attaques sont la suite du p
ette forme dans l'épi- lepsie cérébrale. Il en est de même pour les cas d'oxycéphaiie : si la suture lambdoïde (ou autr
es de circulation qui provoquent des attaques. Il en est de même en cas d'acromégalie; de PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES
es attaques ; nous en trouvons la preuve dans le fait que, dans les cas d'acromégalie « associée à l'épilepsie », les att
'on a enlevé, par opération, la tumeur de l'hy- pophyse. Tous ces cas d'épilepsie que nous venons de mentionner doivent
pneumonie en tête, produisent souvent une méningite, dans quelques cas une encéphalite et quand ces derniè- res compli
die l'épilepsie, de latente qu'elle élait, devient manifeste. En ce cas , qui' est néanmoins une exception, se produit apr
ompter quelquefois un intervalle de 8 à 10 ans. Comme dans tous ces cas il serait important pour le malade de savoir quel
n d'épilepsie cérébrale; cependant dans la plus grande majorité des cas d'épilepsie cérébrale, tous les symptômes de foye
ant, il n'en est pas ainsi; il y a, naturellement, dans de nombreux cas d'épilepsie traumatique, beaucoup de symptômes
, beaucoup de symptômes en foyer, mais dans un très grand nombre de cas , ils font complètement défaut. En voici quelques
e est restée en bonne santé jusqu'à l'âge de dix ans. Dans ces deux cas , il s'agit donc bien d'épilepsie traumatique (cau
onsidérant que les phénomènes cliniques et non l'anamnèse, ces deux cas ressemblent complètement à l'épilepsie essentiell
éderont presque toujours l'apparition des attaques et dans tous ces cas il sera facile d'en reconnaître le caractère pa
re unilatéral ne sont pas du tout rares. Et aussi dans ces derniers cas il est sûrement question d'épilepsie cérébrale
aques épileptiformes cessent immédiatement. Il va sans dire que les cas d'épilepsie effective (Bralz) peuvent être bien
, présente une très grande diversité et que, si quelques-uns de ces cas peuvent appartenirà l'épilepsie esssentielle (d
la plus grande partie lui est absolument étrangère : de ces derniers cas il m'est encore tout à fait impossible de trouv
'en ébaucher la pathogénie. Enfin, si j'étudie attentivement mes 86 cas après en avoir fait un sérieux triage, la class
près en avoir fait un sérieux triage, la classification de quelques cas étant bien difficile, j'ai trouvé qu'ils se com
Paralysie cérébrale infantile (avec attaques épileptiformes), trois cas classiques, absolument évidents. Syphilis hér
ois cas classiques, absolument évidents. Syphilis héréditaire, un cas douteux et deux cas certains. Epilepsie traumat
, absolument évidents. Syphilis héréditaire, un cas douteux et deux cas certains. Epilepsie traumatique, trois cas bien
, un cas douteux et deux cas certains. Epilepsie traumatique, trois cas bien établis par l'anamnèse. Hydrocéphalie inte
trois cas bien établis par l'anamnèse. Hydrocéphalie interne, deux cas certains, un cas douteux.. Hystérie, un cas à d
tablis par l'anamnèse. Hydrocéphalie interne, deux cas certains, un cas douteux.. Hystérie, un cas à diagnostic certain
océphalie interne, deux cas certains, un cas douteux.. Hystérie, un cas à diagnostic certain, deux cas avec symptômes pre
tains, un cas douteux.. Hystérie, un cas à diagnostic certain, deux cas avec symptômes pres- que uniquement unilatéraux
ent unilatéraux, probablement aussi hystérie. Méningite séreuse, un cas (papillite évidente, etc.), petites attaques se
e répétant en série. Petites attaques multiples d'Heilbronner, deux cas de palliogéniejus- qu'à maintenant parfaitement
blement pas à l'épilepsie essentielle. Epilepsie affective trois cas bien contrôlés. Epilepsie après typhus (méningi
trois cas bien contrôlés. Epilepsie après typhus (méningite), deux cas . Epilepsie après scarlatine et après pneumonie
carlatine et après pneumonie (méningite), de cha- que affection, un cas . Epilepsie. après encéphalite, respectivement m
onique (bien déterminée seulement par anamnèse), certaine en quinze cas et douteuse en douze cas. Epilepsia tarda, un c
eulement par anamnèse), certaine en quinze cas et douteuse en douze cas . Epilepsia tarda, un cas probable, le deuxième
taine en quinze cas et douteuse en douze cas. Epilepsia tarda, un cas probable, le deuxième cas presque certain. Tume
outeuse en douze cas. Epilepsia tarda, un cas probable, le deuxième cas presque certain. Tumeur de l'hypophyse avec phé
Tumeur de l'hypophyse avec phénomènes incomplets d'acromégalie^ un cas . Porencéphalie, un cas certain. Dystrophie ad
ec phénomènes incomplets d'acromégalie^ un cas. Porencéphalie, un cas certain. Dystrophie adiposo-ge;21lale (probable
phalie, un cas certain. Dystrophie adiposo-ge;21lale (probable), un cas .» t Epilepsie essentielle (probablement) 30 cas
lale (probable), un cas.» t Epilepsie essentielle (probablement) 30 cas , formant ensemble un total de quarante-huit cas
e (probablement) 30 cas, formant ensemble un total de quarante-huit cas , complètement différents l'un de l'autre, mais
brale primitive ; hors de ce groupe, il reslait une petite série de cas d'hystérie, épilepsie affective, etc., et une s
ou l'autre, il faudrait peut- être reporter un ou plusieurs de ces cas au compte de l'épilepsie cérébrale ; i seule l'
d'épilepsie essen- tielle » ; si nous en excluons maintenant les 3 cas de paralysie cérébrale infantile que le médecin
refusait déjà à regarder comme épilepsie « essentielle », puis les cas d'hystérie, les deux cas de « petites attaques
comme épilepsie « essentielle », puis les cas d'hystérie, les deux cas de « petites attaques multiples d'lleilbronner
, les deux cas de « petites attaques multiples d'lleilbronner », le cas de porencéphalie, ceux d'hy- drocéphalie intern
le cas de porencéphalie, ceux d'hy- drocéphalie interne et les deux cas de syphilis congénitale, il reste donc 40 cas q
e interne et les deux cas de syphilis congénitale, il reste donc 40 cas qui, au point de vue clinique, s'imposaient comme
on peut, dans la littérature sur l'épilepsie, trouver de nom- breux cas qui, cliniquement et pendant longtemps, se présen
d, paraissaient appartenir aux tumeurs cérébrales. Et contre ces 40 cas pour lesquels, sur une base purement clinique,
en pourtant des chiffres que nous venons de donner, que de tous les cas qui, cliniquement, s'imposent complètement comme
l'une dans l'autre ; ce spécialiste autorisé dit textuellement; En cas de lésion de foyer déterminée, la « Reaktionfah
at de celle augmentation esl une attaque jacksonnienne typique ; en cas de lésions diffuses dans les deux hémisphères i
que Rosenthal croyait pouvoir établir à l'aide de recherches sur 32 cas d'épilepsie essentielle indiscutable (« ein- wa
'action anlilryptique du sérum sanguin indique simplement, dans ces cas , une décomposition anormale des élé- ments esse
ison des lipoïdes avec les albumines du sang et, par conséquent, au cas d'un processus céré- bral, l'augmentation évent
thy- roïdine par Claude, qui toutefois, d'après la description d'un cas , a administré journellement de 4 à 7 grammes de
imple observation clinique peut le prouver : Napy a trouvé dans des cas de pancréatite aiguë (hypofonction du pancréas)
phosphore excrétés était normale. Magnus-Lévy a encore établi qu'en cas d'hypofonction de la thy- roïde, l'échange gaze
xyde d'hydrogène en ses éléments, l'eau et l'oxygène. Dans tous les cas , la plupart des auteurs pensent que le rôle de la
urs dans le cerveau que la diminu- tion est la plus forte ; dans un cas , la teneur en nuéclase tomba même jusqu'au cinq
qu'au cinquième de celle d'un animal normal (chien) ; dans d'autres cas elle tomba au quart et au tiers. Le sang contie
me, une auto-intoxication. Frouin,par exemple, pensait que dans les cas de tétanie, on trouve dans l'urine une augmen-
ésultat favorable obtenu par l'administration de glande thyroïde en cas de tétanie paralhyréogène ; 2° l'hypertrophie net
tement constatée des glandes parathyroïdes les plus extérieures en cas d'extirpation de la glande thyroïde et 3° l'hyp
landes parallry- roïdes oxyderait alors cet acide intermédiaire. En cas d'absence des glan- des parathyroïdes. Cooke pe
Fiirth remarque à ce sujet que l'acidose est bien certaine dans les cas de létanie, mais qu'elle peut être provoquée no
psie et la tétanie. Biedl dit à ce sujet : très importants sont les cas de tétanie PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPIL
ptiques et 3° la disparition fréquente des attaques épileptiques en cas de guérison de la tétanie. Redlich, qui a consa
e, que les résultats des expériences sur des animaux montrent qu'en cas de parathyroïdectomie se présentent, non seulemen
Westphal pense que la tétanie et l'épilepsie, dans la majorité des cas , proviennent de la même cause, à savoir de l'into
sme ; Ehrhardt est de la même opinion. Pine)es voit plutôt dans ces cas combinés une disposition latente à l'épi- lepsi
uvent aussi la glande thyroïde (ce qui arrivera dans la plupart des cas indirectement, notamment en lésant les nerfs de l
constatait alors des symptômes tant d'épilepsie que de tétanie. Ces cas cliniques, dans lesquels, à la suite de thyroïd
u non enlevé une trop grande partie des glandes paralhyroïdes), ces cas sont précisément une preuve importante en faveu
lus qu'il n'existait (chez ses malades thyroïdec- tomisés) que deux cas d'épilepsie avec une prédisposition héréditaire,
t été sujets déjà à des attaques épileptiques. Pour lous les autres cas , tout autre facteur éoolo51que pour les attaque
elle. Enfin, Claude et Schmiergelcl ont mentionné que dans tous les cas d'épilepsie essentielle ils ont trouvé des alté
dégénératives des glandes thyroïde et paralhyroïdes (dans quelques cas aussi des altérations d'autres glandes à sécrét
s nerveux, c'est-à-dire du nerf sympathique), de même que, dans les cas d'épilepsie post-opératoire, on obtient une in-
r trijumeau), à l'opposé 396 BOLTEN d'autres parties, étaient, en cas de tétanos et de diphtérie, très riches en toxi
arties, comme la substance grise et la substance blanche. Dans un cas d'empoisonnemenl par l'absinthe, le bulbe sembla
n dans les poumons est accéléré et le sang est débarrassé,"en tout. cas , de son excès d'acide carbonique et peut-être aus
elles sont retenues dans le cortex cérébral, nous pouvons, en tout cas , supposer (et celte supposition n'est en contradi
auteurs l'ont fait justement remarquer, on ne voit pas que tous les cas d'encépha 1 i te ou de méningite soient suivis
oduits des troubles circulatoires importants, c'est seulement en ce cas que se présentent les attaques après un temps p
du liquide céphalo-rachidien vers les vaisseaux du diploé. Dans les cas d'épilepsie cérébrale qui sont la sùite d'une mén
sultat de cette opéra- tion suivant la méthode de Doberer; dans ces cas , cependant, l'écorce cérébrale est comprimée (e
dit aussi avec juslesse que l'opération est indiquée dans tous les cas où l'origine idiopa- thiquede la maladie est do
; ce qui revient à dire que l'opération n'est pas indiquée dans les cas d'épilepsie essentielle. Sans aucun doute on peut
ultais d'une opération qui agit en diminuant la pres- sion dans des cas où existent des troubles circulatoires (c'est-à-d
oduits toxiques du métabolisme dans le cortex). Toutefois, dans les cas d'épilepsie essentielle, le résultat d'une telle
s à la suite des trou- bles de la circulation. Mais, clans les deux cas , le cortex cérébral est inondé de toxines et em
rébral est inondé de toxines et empoisonné par elles; dans les deux cas , l'organisme réagit alors de la même manière, a
que d'anomalies organiques(anatomiques) du cortex cérébral dans les cas récents d'épilepsie- essentielle peut être rega
as en l'état actuel de la science, dans la plus grande majorité des cas , être distinguées cliniquement l'une de l'autre
. Dans l'épilepsie cérébrale, ce traitement n'a aucun effet ; en ce cas une trépanation « soupape » peut amener une amé
me que chez l'homme, surtout après la puberté. Je connais plusieurs cas de guérison de cette névrose à cette époque. Beau
tre l'épilepsie et la psychasthénie. Je pourrais en citer plusieurs cas , qui sont connus de mes amis Julians l\Ioreix e
L'un de nous a déjà attiré l'attention sur la gravite, dans certains cas , des phénomènes stbénopathiques post-traumatiqu
ue l'un de nous a publiée dans un livre paru récemment (1). Dans le cas auquel nous faisons allusion, la période d'asth
oerkom, 43. Corps strié (Troubles des mouvements actifs dans deux cas de lésion bilatérale du -), par W. vAN Woerkom,
t'mtion. sccondaÎ1'e (Absence de - des faisceaux pyramidaux dans un cas de paralysie type Babinski), par CoyoN et Bar
ues sans acromégalie, parADDA, 1 90. Ectrodactylie totale (Quatre cas ), par KLIPPEL et Rabaud, 333. z Epilepsie (Pa
par Il. Meige, 57. Malformations congénitales des membres. Quatre cas d'eclrodaclylie. Un cas de syndactylie. Hémimél
formations congénitales des membres. Quatre cas d'eclrodaclylie. Un cas de syndactylie. Hémimélie. Absence du péroné,
de la -), par Long, 61. Mouvements actifs (Troubles des dans deux cas de lésion bilatérale du corps strié), par W. VA
ladie de Recklinghausen), par COTON et Barré, 81. familiale [Deux cas de , dont un avec cheiromégalie unilatérale), p
l'organogénèse, par BERTOLOTTI, 13. Poly-syndactylie (Etude d'un cas de ), par Klippel et Rabaud, 246. Pouls (Arrê
t du travail sur les stéréotypies, 103. CHEVALLIER (Faut). Sur un cas d'acrodac- tylopathie hypertrophiante, 4. Cma
ur un cas d'acrodac- tylopathie hypertrophiante, 4. Cmaao. Sur un cas d'épilepsie jackso- nienne portant sur le centr
et Lf : vr (L.). Etude clinique, radio- logique et biologique d'un cas d'acromé- galie, 226. COURISON (Paul) et Char
raumatique, 55. Klippel (Maurice) et Rabaud (Etienne). Etude d'un cas de poly-syndactylie, 246. - Malformations congé
ippel (Maurice). Mal- formations congénitales des membres, 333. Cas de poly-syndactylie, 246. REGNALLT de la Sourdi
rie psycho-physiolo- gique de l'hystérie, 251. Souques (A.). Deux cas d'atrophie muscu- laire Charcot-Marie, 175. S
(de Rotterdam). Sur les troubles des mouvements actifs dans deux cas de lésion bilatérale du corps strié, 213. TAB
on (Révccr,IOn), LII. Mouvements actifs (Troubles des - dans deux cas de lésion bilatérale du corps s strié) (W. vix
5 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
rasite dans le système nerveux central sont cons- tatables dans des cas aigus de trypanosomiase, et dans ses formes chron
aigus de trypanosomiase, et dans ses formes chroni- ques. Dans les cas aigus, qui sont principalement caractérisés par l
tissus voisins. Des observations que nous possédons jusqu'ici, des cas cliniques de cette nature, résulte l'extrême gr
ses aiguës. Il est certain que l'anamnèse décèle, parfois, dans les cas nerveux chroniques, l'existence antérieure des
ypanosomiase présentent, ce n'est pas douteux, dans la majorité des cas , des localisations primitives du parasite dans
et, en règle générale, bi- latéraux. Nous n'avons jamais observe de cas d'hémiplégie ; il est seule- ment possible de t
; il est seule- ment possible de trouver, rarement d'ailleurs, des cas avec prédominance des troubles moteurs d'un seu
en règle générale, prédominent dans les membres inférieurs, mais les cas de contracture et paralysie généralisées dans l
es ; elles ne gardent pas entre elles de rapport constant. Dans les cas les plus bénins, la diplégie n'est décelée que pa
ssi bien chez ceux dont le syndrome est très intense que clans, les cas bénins, les mouvements anormaux, principale- me
e de la fente inter-rabiale, l'attitude de la langue, etc. Quelques cas curieux sont à signaler, dans lesquels la paralys
du côté des fonctions motrices des membres(PI. TI, ph. G). Dans les cas de diplégie cérébrale ancienne et de grande inten
ependant, dans ses différents degrés d'intensité, observée dans des cas où les troubles moteurs sont minimes (PI. III,
ux se manifeste de la façon la plus évidente. Ce sont de véritables cas d'ataxie cérébelleuse, dans lesquels on rencontre
liquide céphalo-ra- chidien. Je note en passant que, dans ces deux cas d'ataxie pseudo-céré- helleuse, l'inoculation d
du liquide. Nous avons encore observé, dans cette maladie, quelques cas de troubles mentaux intenses, liés à des pertur
rveuse chronique, s'élève : ') plus de deux cents. Malgré cela, les cas nerveux de la trypanosomiase représentent, nous s
ans les- quelles nous divisons la maladie. La léthalité, dans les cas aigus, ainsi que nous l'avons vu, est repré- se
gus de la trypanosomiase. - Observation. Observation résumée d'un cas de diplégie cérébrale spasmodique, avec syn- dr
ang périphérique de ce malade à des cobayes, a révélé dans les deux cas , la présence du typanosome Cruzi. Réaction de
pui de celle allégation nous relatons l'obser- vation complète d'un cas de méningite cervicale hypertrophique dont la v
uand l'expérience est faite après qu'elle s'est reposée, mais dans le cas contraire elle ne peut y parvenir et son corps
abitude dans les compressions de la moelle il n'y avait pas dans ce cas de troubles objectifs de la sensibilité permett
ypertrophique. Nous avons pu avoir la vérification anatomique de ce cas et elle vient compléter cette observation ; aus
t avec cette méningite, comme cela a déjà été signalé dans quelques cas ; il n'y a pas davantage de cavité .médullaire co
déjà plus dans le 6e segment. La voie motrice est du reste dans ce cas lésée sur un autre point, à la partie moyenne du
te cervicale bypertrophique, mais nous ferons remarquer que dans ce cas ce terme est impropre, les lésions de la pachym
insi que nous le verrons, les faits qui se dégagent de l'élude de ces cas vont nettement à l'encontre des données classiq
e peut donc subsister aucun doute sur la valeur démonstrative de ce cas ; il prouve nettement que la lésion de la troisiè
'oedème pulmonaire. AUTOPSIE. - Bien que cette malade ne fût pas un cas d'hôpital nous eûmes cependant le privilège de
importante doctrine de l'aphasie. A cet égard, nous rappellerons le cas d'un homme que nous avons eu l'occasion d'obser
ne aphasie motrice à la fois très marquée et permanente. Dans notre cas , non seu- lement la troisième circonvolution fr
t du sterno-cléido-mastoïdien, des muscles oculaires. Dans d'autres cas , l'hé- miatrophie linguale fait partie du table
s souvent d'une lésion des centres, lésion secondaire comme dans le cas de lésion de l'hypoglosse avec atrophie de son
guale gauche, avec hémiparésie des membres droits, comme dans notre cas , ne pourrait pro- duire qu'une hémiatrophie lin
e hémiatrophie linguale du même côté que l'hémiplégie comme dans le cas de Gaussel (Montpellier médical, 1904). 3° Rest
baires peut être encore étendue d'une façon presqu illimitée. Notre cas se rapproche du syndrome de Jackson, à cause de l
SPAL et NAXTA viennent de publier (Province méd., 16 novembre 19t2 un cas complexe de syndrome de Jackson, qui, aux paral
se étant assez éloignés. Huet et Lejonne ont ce- pendant signalé un cas de paralysie faciale et d'hémiatrophie linguale h
ré la multiplicité des syndromes bulbaires récemment décrits, notre cas ne peut donc s'expliquer par une seule lésion bul
moins qu'il ne s'agisse de .lésions périphériques comme dans les deux cas que Babinski (1898) rattache à une polynévrite.
omme une opération relativement facile ; toutefois, mettre à jour, en cas de besoin, la moelle, par une incision longitud
latent. C'est pour ces raisons que nous allons présenter ici quatre cas de tu- meur médullaire, dont les trois première
rès prononcé, a déjà fait le sujet des observations de Nonne dans 6 cas de tumeur médullaire et de Reichmann dans un cas.
ns de Nonne dans 6 cas de tumeur médullaire et de Reichmann dans un cas . Pareille disproportion dans le résultat de l'o
ce de l'excès d'albumine dans le liquide céphalo-rachidien, dans le cas présent, doit être considérée comme dépendant d
on transversale toujours grandissante de la moelle font penser à un cas de tumeur progressive à la hauteur approxi- mat
ouve l'observation de Krauss, ils peuvent ne pas apparaître dans le cas de tumeur intra-médullaire. Comme il a été dit,
alade, tout cela ne nous permet pas d'analyser plus complètement le cas en question. En considérant certaines particula
rappelait, dans sa période douloureuse, sous bien des rapports', le cas de Martius, dans lequel la névralgie, à type ra
s douleurs, rendant en même temps la santé au malade. Dans les deux cas décrits plus haut l'influence nettement néfaste
ons des noyaux bulbaires. Cela a été observé du reste dans certains cas de tumeurs de la moelle. Cette hypothèse, légèrem
faut pas reculer devant une double opération chirurgicale, dans les cas où la nature de la tumeur n'en permet pas l'énu
moelle opérées avec succès, même avec guérison complète dans notre cas I. La littérature de ces quelques dernières ann
e la quantité toujours croissante d'opérations réus- sies, dans les cas de tumeurs méningées. D'un autre côté, le traitem
s résistions au plaisir de poursuivre son analyse à l'occasion d'un cas concret. Il est hors de doute que l'observation
rriver il la 1" vertèbre sacrée ; nous sommes donc en présence d'un cas présentant une vertèbre lombaire surnuméraire c
escend dans l'échelle des êtres. Encore faut-il bien distinguer les cas où les segments d'une région ra- chidienne étan
eaucoup plus rares. Dans notre momie égyptienne il s'agit bien d'un cas d'anomalie non compensée, puisque le nombre des
aires au lieu de cinq. Nous devons ajouter toutefois que dans notre cas il ne nous a pas été donné d'étudier, ni le nom
ent très secondaires, presque négligeables, et ne jouaient, en tout cas , aucun rôle décisif dans la genèse du syndrome in
ccompagné d'un état myxoedémateux, plus ou moins marqué suivant les cas . xxvi 5 70 SOUQUES ET STICPHEN CHAUVET Voul
: il existe un infantilisme hypophysaire. Nous en avons observé un cas indis- cutable, dont voici les détails (1) :
s à l'onanisme. Il n'a jamais fait de perte séminale. Voilà donc un cas dans lequel l'arrêt de la croissance est indéniab
cet infantilisme hypophysaire. Il importe auparavant d'étudier les cas cliniques et les résultats expé- rimentaux qui
fantilisme hy- pophysaire. Nous citerons, successivement : 1° Les cas cliniques sans contrôle histologique; 2° Les ca
ivement : 1° Les cas cliniques sans contrôle histologique; 2° Les cas cliniques avec contrôle histologique ; 3° Les f
iques avec contrôle histologique ; 3° Les faits expérimentaux. I. Cas cliniques sans CONTRÔLE histologique. Cas de 7A
faits expérimentaux. I. Cas cliniques sans CONTRÔLE histologique. Cas de 7A</io. Fillette de 14 ans, en paraissant 9
lanche des deux papilles. Réaction hémiopique de Wernicke abolie. Cas de Ettore Levi. -Jeune fille de 20 ans 1/2. Dével
ilatérale des papilles. Grand élargissement de la selle turcique. Cas de Peclkranz et Jack (cités par Scllüller). Ces a
anz et Jack (cités par Scllüller). Ces auteurs observèrent, dans un cas de tumeur de l'hypophyse, une constitution squele
itution squelettique infantile et de l'hypoplasie des testicules. Cas de Aernan el van Wart. - Femme de 24 ans. Aspect
lée s'amende, vue s'améliore, cheveux repoussent, poids augmente. Cas de De Laper sonne et Canlonnel. Homme de 23 ans.
ie de la papille gauche. Elargissement énorme de la selle turcique. Cas de liüznmell. Homme de 23 ans. Taille d'un enfant
mporale avec atrophie optique. 76 SOUQUES ET STEPIIEN CHAUVET II. Cas CLINIQUES avec contrôle IIISTOLOGIQUE. Cas de B
T STEPIIEN CHAUVET II. Cas CLINIQUES avec contrôle IIISTOLOGIQUE. Cas de Bartels. - Homme de 21 ans qui, à partir de t'
ien de la région hypophysaire, de la grosseur d'un oeuf de poule. Cas de Nazari. Homme de 26 ans. Développement somatiq
stique de l'hypophyse. Persistance du thymus. Thy- roïde normale. Cas de Vigoureux et Delmas. - Malade de 42 ans, consi
llules interstitielles et canalicules sémiuipares peu développés. Cas de Cushing. - Jeune fille de 16 ans en paraissant
halée. Papillite (sans hémianopsie). Il s'agissait d'un tératome. Cas de Zôllner. Femme d'aspect infantile. Atrophie op
ilatérale. Autopsie : Carcinome du lobe antérieur de l'hypophyse. Cas de Zutaka lion. - Homme de 37 ans, mesurant 1 m.
utopsie : Tératome calcifié de l'infundibulum écrasant l'hypophyse. Cas de Dlixler et Qttacquenboss. Homme de 27 ans ayan
. Résultats post-opératoires : Amélioration des troubles visuels. Cas de Raymard. - Homme de 17 ans, infantile au point
conception pathogénique pluriglandulaire primitive irait,dans notre cas , à rencontre et de la chronologie des accidents e
me, adiposo-génilal dit de Frôhlich. Ce syndrome, dont le premier cas a été publié par M. Babinski, com- porte des sy
que subit dans les différentes types la dimension du pas. Dans des cas il y a, en effet, adduction limité du membre pa
dans l'abduction du même membre ; eufin dans un troisième groupe de cas (type Cacciapuoti) la grandeur du pas latéral est
laires pris de pré- férence au membre inférieur dans les différents cas . Nous devons encore rappeler que, depuis quelqu
but. Comme il s'agit d'un type de marche absolument inusité dans le cas normal, ce moyen réussit très bien pour dénonce
bini, encore mal étudiée, a été clini- quement bien définie par les cas présentés. La désignation maladie au lieu de ch
sont, dans la maladie de Dubini, qu'un symptôme. En effet, par les cas publiés on voit que la maladie commence brusque
es ne sont également que des symptômes. Ainsi Valobra a décrit deux cas de myoclonus infectieux. Il ne s'agit pas de la
chez un garçon de 11 ans. - Emile Meynier a publié également des cas de myoclonies infectieuses, différents de la ma
gie corticale de nature syphilitique. Simonelli a publié aussi un cas de paramyoclonus d'origine syphilitique. Mosny
la maladie de Dubini et celles des contractions de tous les autres cas sont tout à fait identiques à celles qui sont d
s liées à d'autres états pathologiques. Mais elles ne sont dans ces cas -là que de simples symp- tômes, comme les mouvem
ouvements myocloniques d'imitation des hystériques sontdans le même cas . Nous l'avons constaté chez une malade qui était
Par exemple, t'age préféré par la maladie est très variable. Dans le cas de Remak (1884) la maladie est apparue à 11 ans
rue à 11 ans, dans celui de Pierre Marie (1886) à 52 ans et dans un cas de Raymond (1896) à 71 ans. L'intensité des sec
reich, apparaissait très rarement des déplace- ments, dans d'autres cas on observait de grands déplacements. (i) La dés
ues. Raymond défend leur identification et se justifie au moyen des cas publiés. On ne peut même pas faire de distincti
ments et celles qui en produisent de nets et de violents. Dans le cas de Friedreich les muscles du tronc et de la face
description primitive, ces muscles ont été atteints. Dans quelques cas (Bechterew, Venturi, etc.), les secousses ne cess
t le sommeil. Tout cela démontre qu'il n'y a qu'un petit nombre des cas publiés qui correspondent, dans la pureté de le
parente discordance est né le besoin de rapprocher les diffé- rents cas décrits avec une symptomatologie similaire, au mo
es perturbations vaso- motrices n'ont pas été constatées. Dans le cas de Meinertz le tremblement fibrillaire s'est géné
llaire s'est généralisé à presque toute la musculature; et dans les cas publiés par Bernhardt, MYOCLONIES ESSENTIELLES
enkel il était réduit au territoire du facial. Ces trois der- niers cas doivent être rattachés au spasme facial, Henry Me
(1). En résumé : Dans le groupe des myokimies publiées, il y a des cas , comme ceux dans lesquels les secousses sont lo
nt rester liés aux spasmes faciaux et il y en a d'autres, comme les cas de Kny, de Schultze, de Meinetz, etc., qu'on ne p
non fasciculaires. Les unes et les autres ont été décrites dans les cas de paramyoclonus et il 'n'existe aucun caractère
multiplex » Morvan est du même avis. Ces myokimies sont de vrais cas de myoclonies et, par conséquent, la désignatio
horée et la myokimie sont identiques. Il suffit de con- fronter les cas et les descriptions. C'est toujours le paramyoclo
taient confondus. Ce sont même les résultats obtenus, dans certains cas , par le traitement au moyen du tartre stibié, q
eur est particulière ». La localisation des secousses a dans quatre cas une préférence pour l'extrémité céphalique. Dans
dans quatre cas une préférence pour l'extrémité céphalique. Dans un cas seulement (obs. 111), parmi les cinq qui ont ét
sé antérieure- ment par Hennit. avait observé à cette époque-là dix cas et avait montré la différence entre les mouveme
bras, etc. La maladie était extrêmement opiniâtre. Il parle d'un cas probable de guérison, et d'un autre casdeRemakdan
ch ne croit pas au succès du médicament. On pourrait penser dans ce cas -là à l'hystérie. En 1883, Remak et I-Ieldenberg
parlé pour la première fois de l'identification de certains de ces cas avec le paramyoclonus. Avant tous ces travaux,
danse de Saint-Guy ». La description est basée sur l'étude de deux cas . Un d'eux très typique est celui d'un garçon de 1
s caractéristiques et la maladie présente dans l'un et dans l'autre cas la même marche. La sensibilité est normale dans l
'autre cas la même marche. La sensibilité est normale dans les deux cas , la force dynamométrique est aussi conservée, l
Les deux observations qui suivent sont, comme nous le verrons, deux cas de myoclonie essentielle, à grands déplacements,
tout de suite, elle est revenue à l'état primitif. Dans les deux cas il y a des particularités intéressantes. Nous pré
(Lemoine et Lemaire). MYOCLONIES ESSENTIELLES 99 9 Dans tous les cas de myoclonies que nous avons examinés, depuis les
Dans tous les cas de myoclonies que nous avons examinés, depuis les cas qui sont décrits sous le nom myokimies ou chorée
its sous le nom myokimies ou chorée fibrillaire de Morvan jusqu'aux cas qui portent la désignation de chorée électrique,
ble dans les myoclonies il grands déplacements, comme dans les deux cas que nous publions. Les cinémaphotographies que
s d'une seconde. La moyenne de durée des contractions dans les deux cas ne dépasse pas une demi-seconde. Cetle rapidité
moyen de leur durée ; mais on sait qu'on peut isoler dans certains cas 100 et même 180 secousses par minute, ce qui mont
variable de malade à malade suivant les types myocloniques. Dans le cas de Ilomen on a compté 100 secousses par minute, 1
le cas de Ilomen on a compté 100 secousses par minute, 120 dans le cas de Ziehen et 180 dans le cas de 13echterew. Che
100 secousses par minute, 120 dans le cas de Ziehen et 180 dans le cas de 13echterew. Chez nos malades la fréquence de
nous avons compté entre 10 et 40 secousses par minute dans les deux cas et quel- 100 MONIZ quefois nous avons vu se p
iées avec contractions toniques. Nikitine, par exemple, a publié un cas de paramyoclonus avec contractions cloniques et t
graphe, les contrac- tions musculaires de son malade. Dans certains cas il a vu se produire simplement une secousse bru
ionetligne de descente). C'est une secousse clonique. Dans d'autres cas , il a obtenu des séries de secousses agglomérée
vements cloniques n'existent pas. C'est ce qui arrive dans nos deux cas . Mais il y a des exceptions. Ainsi dans le cas
arrive dans nos deux cas. Mais il y a des exceptions. Ainsi dans le cas de Friedreich le malade était quelquefois réveill
le mouvement le plus étendu qu'il signale chez son malade. Dans les cas de Loewenfeld, SeeligmiU 1er (second cas), Bech
chez son malade. Dans les cas de Loewenfeld, SeeligmiU 1er (second cas ), Bechterew. Venturi, Feletti, etc., les contra
es contractions myocloniques sont arythmiques. Il y a de très rares cas (Ziehen et Silvestrlni) dans lesquels on parle d'
thme dans la succession des secousses; mais presque la totalité des cas signale »e l'arythmie et, quant au rythme des d
totalité des cas signale »e l'arythmie et, quant au rythme des deux cas cités et de celui du chien de l'observation de
ricipitaux sont vifs; mais les rotuliens sont normaux dans les deux cas . Les sensibilités sont normales. Les organes
L'état psychique ne subit pas d'altérations sensibles. Dans certains cas on a cité un petit affaiblissement de la mémoir
ux et très varia- ble suivant les formes myocloniques. Il y a des cas (comme chez notre première malade) dans lesquels
actions surviennent avec intensité après une émotion. Dans d'autres cas (comme chez notre seconde malade) les secousses s
ble. La myoclonie est susceptible d'améliora- tion et on a cité des cas de guérison ; mais presque toujours la maladie
traitemenls, et si elle disparaît c'est pour récidi- ver. Dans nos cas les mouvements sont bien définis et ont les carac
llusion au commencement de ce travail et qui doivent comprendre les cas de la maladie de Dubini, les cas de Meynier, de
vail et qui doivent comprendre les cas de la maladie de Dubini, les cas de Meynier, de Papillon et Gy, de Valobra, etc.
MYOCLONIES ESSENTIELLES 105 2) les myoclonies des hémiplégiques ( cas de Dejerine et Camus, de Mosny et Mal loizel, e
de Mosny et Mal loizel, etc.) ; 3) les myoclonies syphilitiques ( cas de Simonelli et de Tinel et André Cain) ; 4)
4) Les myoclonies hystériques à qui appartiennent quelques-uns des cas décrits comme myoclonies essentielles ; 5) les
artielles. Comme exemple de la première forme nous pouvons citer le cas de Tinel et André Cain qui ont observé des mouv
o- nien dans une monoplégie corticale d'origine syphilitique, et le cas de Simonelli dans lequel les secousses myocloni
sidérées comme auras motrices ou équivalents épileptiques. Dans les cas décrits on ne peut pas prendre ces secousses co
observées : mouvements larges, avec localisations diverses. Dans un cas de Shanahan les mouvements étaient localisés au
calisés au visage, au cou et aux membres supérieurs et dans l'autre cas ils étaient généralisés aux quatre membres. L
membres et au tronc, moins appréciables à la face. Dans quelques cas les crises épileptiques ne disparaissent jamais ;
sent jamais ; elles persistent indéfiniment. Les secousses dans ces cas coexistent, précèdent les crises et c'est à ce
lades appartenant à quatre générations. Lundborg se réfère à quatre cas du même mal dans la même famille. Les observation
à quatre cas du même mal dans la même famille. Les observations des cas de cette maladie sont aujourd'hui nombreuses, e
égénérescence. Les auteurs classifient en cinq types différents les cas qu'ils ont étudiés. Dans un des cas il y avait de
nt en cinq types différents les cas qu'ils ont étudiés. Dans un des cas il y avait des crises épileptiformes, ce qui a
es spéciaux et les observations rares qui sont adjointes au premier cas de l'auteur, justifient son individualité morbi
pa- thologique des malades. Le froid est aussi incriminé. Dans un cas de Seeligmüller les secousses ont commencé aprè
cé après une douche froide. Les traumatismes et les grands efforts ( cas de Starr) sont cités, ainsi que l'anémie, le rh
uffre. Ces faits ont été déjà remarqués par Trousseau à propos d'un cas auquel nous nous sommes déjà référé. Dans la
es le diagnostic peut offrir des difficultés comme, par exemple, le cas d'André-Thomas pré- senté à la Société de Neuro
Les tics ont d'ailleurs un siège fixe où ils ont été créés. Dans nos cas les mouvements atteignent presque tous les musc
e multiplier en conservant toujours la même pathogénie. Ce sont des cas qui donnent parfois de vraies difficultés de diag
la Tourette et, après lui, Guinon et Charcot ont fait connaître des cas d'une maladie qu'ils ont nommée la maladie des ti
Henry Meige et Feindel ont divulguée. En passant en revue tous les cas décrits sous cette désignation, nous trouvons q
décrits sous cette désignation, nous trouvons que la plupart de ces cas sont tout à fait identiques aux nôtres et nous
as sont tout à fait identiques aux nôtres et nous trouvons d'autres cas dans lesquels les malades ont de vrais tics, un
este surtout par la présence d'idées fixes (Guinon). Ces derniers cas doivent être séparés des premiers. Ils ne présent
tous ces caractères spéciaux et différentiels dans un 112 2 MONIZ cas de notre service. C'était une jeune fille de 17 a
ines limites. La malade avait un état psychique spécial. Entre ce cas que nous pouvons, peut-être, appeler tic générali
différences que nous avons déjà signa- lées entre quelques-uns des cas publiés par Gilles de la Tourelle, Charcot, Gui
par Gilles de la Tourelle, Charcot, Guinon, etc. La majorité des cas de tics généralisés et de la maladie de Gilles de
. En effet, la difficulté du diagnostic est parfois énorme dans les cas intermédiaires et les deux maladies ont certain
e à surprendre et à reconnaître ; mais tous les médecins ont vu des cas cliniques où elle est bien évidente. En outre,
ge). Nous le trouvons chez nos deux malades et dans la majorité des cas décrits. Il est bien différent de ce que nous
r caricalure. L'oeuvre de Gilles de la Tourette reste : l'étude des cas de cet auteur est parfaite, mais nous devons y aj
des cas de cet auteur est parfaite, mais nous devons y ajouter les cas semblables, pour éviter une complication de lan
1. Tajuironi-Pieraccini. - An. di neurologia, 1892. Massant. - Un cas de paramyoclonus multiplex, 1892. Bernhardt. -
issantes à les provoquer et à les supprimer. Nous rapportons ici un cas d'érythème et d'oedème mammaires qui, étant don
cer du sein de sa mère lui a données pour expliquer la gra- vité du cas à ses compagnes. Elle tarde beaucoup à s'endormir
ndre compte du mimétisme physiopa- thologique qui caractérise notre cas (PI. XVIII). NOUVELLE Iconographie DE la Salpêt
I Nous avons eu l'occasion d'examiner le système nerveux dans deux cas de paralysie agitante typique et avancée. Dan
eux cas de paralysie agitante typique et avancée. Dans le premier cas , il s'agissait d'un homme de 53 ans qui mourut
ot hémorragique ou ramolli. 128 HASKOVEC ET BASTA Dans le premier cas , les nerfs périphériques nous ont fourn des donné
kr. Anat. und. nlwichelungsgeschichte llert 4, 1911. b'm. 6. Même cas . Pièce provenant de l'effilage (Gieson, après ext
e par alcool et éther, à des niveaux différents). Fig. 1 et 8. Même cas (Immersion ; a et b niveaux différents). DU SYS
s nous sommes efforcés de démontrer (2) qu'il ne s'agit pas dans le cas étudié par nous d'un réseau artificiel, mais tout
tre réseau intra-médullaire des nerfs périphériques dans le premier cas de paralysie agitante avec le réseau névrogliqu
sous le nom de cell ules araclllwïdes (astrocy tes, etc.). Dans le cas contraire, les formations stelliformes appartie
éments fibrillaires du tissu névroglique est la même dans le second cas que dans notre premier cas. Il en est de même d
u névroglique est la même dans le second cas que dans notre premier cas . Il en est de même des réseaux intra-médullaire
semblables à celles que nous avons eu l'occasion d'observer dans un cas d'épilepsie et représentant en général la plupa
ues vaisseaux, nous trouvons des groupes de cellules Fie. 12 et 13. Cas d'épilepsie. Ecorce cérébrale, fixation Eisath. C
ue embryonnaire avec celui des animaux adultes. Fig. 14 - Premier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. Mêmes
x des foetus, se compose de cellules et d'une subs- Fie. 15. Second cas de paralysie agitante. Cervelet. Même méthode.
névroglique d'un nouveau-né et la rigidité de ce même tissu dans un cas de paralysie agitante. Nous sommes d'accord a
inière. Gieson. Réseau névroglique avec un noyau. Fio. Il. - Même cas . Ecorce cérébrale. Eisath ? Izheimer. Réseau névr
u'elles contiennent a un volume considérable. Dans la plu- part des cas , ces formations ne sont dues qu'à « l'épaississem
lation apparaît très clairement dans la figure 20. FIO, 19. Premier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. Stratu
eigert n'a montré aucune altération particulière dans notre premier cas . , Fig. 20. Second cas de paralysie agitante. F
altération particulière dans notre premier cas. , Fig. 20. Second cas de paralysie agitante. Flemming. Cellules radic
les radiculaires. Immersion. 142 2 HASKOVEC ET BASTA Dans l'autre cas par contre, la moelle épinière, traitée selon Mar
(Handbuch der Neurologie von Levandowsky, 1912). ' FIG. 21. Premier cas de paralysie agitante. Lobe frontal et précentral
sion). « et 6 à divers niveaux. Fic. 22. La cellule « z3 du premier cas de paralysie agitante (LÜelschowsyy), ' » la ce
cas de paralysie agitante (LÜelschowsyy), ' » la cellule du second cas (Cajal). a et à à un différent niveau. DU SYSTÈ
surtout dans les cordons postérieurs, intéressait dans notre second cas toute la zone périphérique de la moelle sans aucu
uvées dans la substance blanche du système nerveux central dans six cas de paralysie agitante. s'agit de cellules assez
d'autres processus morbides. IV Dans les vaisseaux dans nos deux cas de paralysie agitante, nous avons trouvé des si
ni d'important. Dans le tissu de la glande thyroïde dans le premier cas , on a trouvé quatre endroits de la grosseur d'u
tourage, surtout d'un côté. Dans les capsules surrénales du premier cas , quelques tubercules dissé- minés. DU SYSTÈME
ce hyaline des capil- laires a été également décrite -dans quelques cas . En ce qui concerne les glandes endocrines, Lew
dullaire dans les nerfs périphé- riques, surtout dans notre premier cas de paralysie agitante. Dans les éléments cellul
n de ces glandes, et spécialement de la thyroïde dans notre premier cas , influe sur LE tissu NEVUOGLIQUE du système NER-
ude, que nous avons faite des Habsbourg d'l.spajne,qu'en dehors des cas de psychoses nettes, constatées chez Jeanne la Fo
la question de l'achondroplasie si elle se bornait à rapporter des cas typi- ques de cette affection ; on sait en effe
ue à la réduction de toutes les parties qui les composent. Dans les cas typiques la microméiie est du type rli3,zoméliq
externe est notablement plus basse que l'interne. Dans de nomhreux cas on a trouvé que le 4e doigt de la main, et parf
t, quel les sont les données les plus importantes à relever dans un cas d'achondroplasie typique, telles que je les ai tr
dans la littérature vraiment copieuse sur ce sujet. Désormais les cas décrits, avec plus ou moins de précision, arriven
imordiale ou essentielle, après une cri tique profonde sur tous les cas décrits dans la littérature, met de côté ceux qui
s même dans le rapport des segments des membres. Ainsi à côté des cas d'achondroplasie classique, chez lesquels il ne m
admises par M. Leblanc entre myxoedème et achondroplasie, décrit un cas certain de crétinisme sporadique associé à l'ac
é à l'achondroplasie. MM. Porak et Durante ont admis l'existence de cas dans lesquels dif- férents symptômes peuvent ma
M. Regnault dans lequel était intéressé un seul humérus ; enfin un cas de M. Variot t avec des lésions limitées aux me
M. Dufour a fait le diagnostic d'achondroplasie incomplète dans un cas parce que les membres supérieurs n'étaient pas
les déformations caractéristiques des mains. M. Schrumpf a cité un cas où les déformations se seraient produites à par
classées autrefois parmi les achonrlroplasies partielles, avec les cas de MM. Danlos, Apert et Flandin, et ceux de MM.
t probablement d'altérations pseudorachitiques), trouve que dans un cas la macrocéphalie était très peu évidente et que l
, les pieds et les mains étaient fort raccourcis. Cependant dans ce cas , selon les auteurs, l'achon- droplasie apparais
lette ne soient pas des plus fortes, je ne crois pas que ce soit le cas d'élever des doutes sur la forme fondamentale, ta
ne sont pas le plus caractéristique, je suis per- suadé que dans ce cas on ne peul pas parler d'achondroplasie associée à
rands en Europe. Je n'irai pas redire ici ce que j'ai exposé sur le cas précédent, pour exclure les causes les plus com
mmunes de réduction de la stature : ce n'est vérita- blement pas le cas de supposer une forme quelconque d'infantilisme :
toxi-infectieuses mal précisées pour faire remarquer que dans notre cas la microsomie est dépendante de la micromélie et
de celle que produit l'achondroplasie : en général dans le premier cas les os auraient une surface plus lisse, les inser
M. Zosin et Dufour aient observé une déformation semblable dans des cas d'achondroplasie) si le fait était isolé, mais il
droplasiques. M. Lévi dernièrement, dans la description d'un de ces cas , a insisté sur ce point, en reconnaissant sa ca
l métacarpe, d'une façon symétrique ou asymétrique. Ainsi dans un cas de MM. Franchini et Zanasi l'anomalie en question
s seu- lement dans les métacarpiens. On peut en dire autant pour le cas décrit par MM. Robin et Weil où, et le fait est
évidenles, en ferait augmenter de beaucoup le nombre. Ainsi quelque cas de ce que l'on ap- pelle nanisme pur el de micr
d'un achondroplasique typique, de mes deux observations et' de deux cas que M. Lévi appelle microsomiques. ACHONDROPL
longueur des membres supérieurs, mieux proportionné que le premier cas de microsomie, celui-ci a, par' exemple, les ja
chez les parents ; que la réaction de Wassermann essayée en quelques cas a donné un résultat négatif, que ceux qui sont
même ne reste pas étrangère il cette fonction comme le prouvent les cas de tumeur de cet organe accompagnés d'un dé- ve
es et sexuelles. Ces faits et beaucoup d'autres que ce n'est pas le cas de citer ici, et qui se rappor- tent il d'autre
ogie expérimentale. BIBLIOGRAPHIE Cnnnon, DEGOUY et TISSOT. =- Un cas d'achondroplasie. Nouv. Icon. de la Salp., 1901,
les. Nouv. Icon. de la Salp., 1905, p. 481. REBATTU. - Un nouveau cas d'achondroplasie. Nouv. Incon. de la Salp., 1911,
ral, car quoi qu'on en dise il semble bien que dans beaucoup de ces cas il existe un état d'infé- riorité ou au moins d
nt. Enfin au point de vue de l'anatomie pathologique, le nombre des cas étudiés est si réduit que toutes les constatati
les produire pendant le temps que nous avons eu disponible. En tout cas , ils ne se produisent pas facilement. Pas de trou
du malade H. Y... n'est pas bien réussie. 11 semble exister dans ce cas , un certain agrandissement de la cavité médulla
la cavité médullaire des fémurs. Sur la radiographie du genou de ce cas (Pl. XXIX) on remarque l'évase - ment des surfa
e nous a publié jadis avec Marbé l'observation détaillée d'un autre cas d'achondroplasie. Le malade succomba depuis lors
normal. La circonférence de ce même os : 6 cent. 5 dans le premier cas ; 7 cent. 3 dans le second. Le radius : 16 ce
a été égaré. La longueur du fémur est de2o cent. 8'dans le dernier cas ^et de 44 centimè- tres dans le premier. La circ
pressions digitales indiquent une grande plasticité des os dans les cas d'achondroplasie. Nous avons eu l'occasion d'ob
omélie sur- tout rhizomélique et qu'on pourrait considérer comme un cas d'achondro- plasie fruste (Pl. XXXI). Cette mal
société des hommes. La malade sortit guérie. Nos trois premiers cas constituent, pensons-nous, des exemples indis-
ie. Pourtant quelques particularités sont à retenir. Dans le second cas on trouve une intéressante déformation thoracique
ignalons encore l'absence de l'enfoncement du nez dans notre second cas el surtout la très petite taille de ce malade due
lade la main en trident n'était pas bien nelte. Si- gnalons dans ce cas les altérations osseuses que nous avons constatée
1). Notons encore les altérations thyroïdiennes rencontrées dans ce cas ainsi que le petit poids de l'hypophyse. Malheu
), l'ensellure lombaire est plutôt .absente. On peut penser dans ce cas à un état d'achondroplasie fruste. Cette malade
rtant ce phénomène est loin d'être la règle car sur un nombre de 16 cas avec indications à ce point de vue que nous avons
lume de la tête et le développement de l'intelligence. De nos deux cas que nous avons rapportés, alors l'un était un arr
tion III de ce travail). Zosin (5) en publiant l'observation d'un cas d'achondroplasie parle de la « démence achondro
es radiographies publiées par d'aulres auteurs, par exemple dans un cas de Lannois (Quelques cas de nanisme, Lyon médic
par d'aulres auteurs, par exemple dans un cas de Lannois (Quelques cas de nanisme, Lyon médical, 1902. 'NOUVELLE ICO
ROPLASIE 199 En outre, on ne saurait non plus généraliser d'un seul cas en ce qui concerne l'état de l'affectivité dans
l'achondroplasie, caruziére et Delmas ont noté récemment dans leur cas précisément l'instabilité de l'équilibre affect
ns vrai, ainsi que l'auteur le soutient, qu'on trouve dans certains cas des caractè- res psychologiques rappelant ceux
s caractè- res psychologiques rappelant ceux de la manie. Dans le cas de Lauze la malade a présenté un état maniaque. I
usion mentale agitée. Crespin et Bonnet (6) ont relaté récemment le cas d'une jeune fille arabe, faible d'esprit, imbéc
qu'il y a lieu de faire à son égard. Rappelons aussi que dans un cas de Cavazzani (10) l'achondroplasie s'était mani
rps thyroïde et de l'hy- pophyse, etc. Nous dirons encore que les cas d'achondroplasie héréditaire parmi les- quels c
valeur mais il reste à voir s'il n'y a pas lieu de parler dans ces cas d'un syndrome achondroplasique distinct des cas
de parler dans ces cas d'un syndrome achondroplasique distinct des cas héréditaires comme ceux rap- portés parPorak (1
holz'(17),el auxquels peuvent appartenir également un bon nombre de cas d'achondroplasie non héréditaire et qui peuvent
e des cartilages de conju- gaison serait bien intéressante dans les cas d'achondroplasie héréditaire; z mais comme l'oc
graphique la récente thèse de Lauze.) 1. E. LE\'1. - Sur un nouveau cas d'achondroplasie chez l'adulte. Nouvelle Icono-
lpêtrière, p. 133, 1909. 2. PARHON, SHUNDA et ZALCLACIITA. Sur deux cas d'achondroplasie. Nouvelle Icon. de la Salpêtri
chondroplasia. Revista stintelor médicale, n° 7, 1905. 5. Zosin. Un cas d'achondroplasie. Nouvelle Iconogr. de la Salpêtr
sé in Rev. neurologique, p. 711, 1910, t. I. 8. Rebat. - Un nouveau cas d'achondroplasie. Nouvelle Iconogr. de la Salpêtr
hondroplasie. Pédiatrie piatique. Lille, 1907. 11. V. Z. Cape. - Un cas d'achondroplasie. Proceedings of the royal Soc. o
. FBANCHINI et ZANASI. L'achondroplasie est-elle héréditaire ? Quatre cas d'achon- droplasie chez des adultes. Nouvelle I
ND-ELLE A UNE INSUFFISANCE HYPOPHYSAIRE PARTIELLE ? A PROPOS D'UN cas d'achondroplasie PAR a J. BAUMEL et J. MARGAR
Baumel et J. Margarot) Masson & CI., Editeurs. A PROPOS d'un cas d'achondroplasie 203 Les différentes fonctions
Radiographie de la tête. Masson & Cie, Editeurs A PROPOS D'UN CAS D'ACHONDROPLASIE ? Ú5 206 ' BAUMEL ET MARGAROT
té'; les poilsseraient rares. Le rachitisme peut bien dans certains cas donner lieu à une réduction de longueur des mem
. med. Woch., t. LIX, n° 10, 5 mars 1912, p. 518-521. A PROPOS D'UN cas d'achondroplasie 207 10 Elle entraine un retard
s de l'atéliose. Ce dernier 208 BAUMEL ET MARGAROT. - A PROPOS D'UN CAS d' ACHONDROPLASIE syndrome résulte de la suppre
troublées soit dans leur ensemble, soit isolément. Dans ce dernier cas le corps pituitaire présenterait une altération
ant connu que l'hydrocéphalie latente et chroni- que, dans certains cas spéciaux, pour des causes parfois bien déterminée
e encépha- lytique, qui blesse symétriquement la même région en ces cas dans lesquels la symptomatologie se développe a
du larynx, avec dysarthrie, dysphagie etc. Oppenheim a observé un cas dans lequel, comme dans le mien, il exis- tait
ou encore une forme de poliencéphalite inférieure aiguë. Dans ces cas l'ictus apoplectique souvent commence la maladie
nous nommons bulbaires, tout le reste du tableau cli- nique de mon cas se détache complètement de la paralysie bulbaire
e, mais elle ne s'observe du'exceptionnel- lement, dans très peu de cas de myélite et de poliencéphalite du bulbe. D'au
nt amyotrophique, fait qui ne se trouve pas, lui non plus, dans mon cas . Une lente compression de la zone bulbo-prolubé
le sur divers points à celle développée chez mon ma- lade. Dans ces cas , enfin, les symptômes bulbaires sont accompagnés,
peuvent maintenir la continuation des fonctions; toutefois dans mon cas la symptomatologie s'était trop rapidement dévelo
ait commencé son évolution. On ne pouvait, d'autre part, dans mon cas , invoquer que dans une minime partie, les diffé
euls pourraient fournir un appui pour le diagnostic : dans certains cas on voit l'origine de l'hydrocé- phalie en une a
rent de fait, d'accord avec la symptomatologie clinique spéciale du cas , à exclure le néoplasme pour lequel, au contrai
ne dans la moelle allongée, il était nécessaire de penser, pour mon cas , aussi à cette possibilité diagnostique, et exc
elle en outre, les fonc- tions cérébrales sont, au contraire de mon cas , presque toujours intactes. D'autre part les ca
u sans diminution de la force d'un côté du corps. Dans ces derniers cas toutefois, on n'atteint jamais la complète para
nné une nouvelle contribution pour l'interprétation diagnostique du cas , mais aurait aussi amélioré les conditions du m
CIUFFINI cérébro-spinal, Bonhoeffer fait observer comme en certains cas d'hydrocé- phal ie on arrive à des élévations d
ncolore, avec une forte augmentation des lymphocytes, comme dans un cas de Nonne, ou avec une peu notable augmentation,
cas de Nonne, ou avec une peu notable augmentation, comme en divers cas de Bonhoeffer vus à l'autopsie. Il semble toutefo
ion des lymphocytes soit en général légère, et l'albumine en divers cas augmentée ; il n'existe pas de tendance à la coag
ordent parfaitement avec ceux de Bonhaeffer, obtenus aussi dans des cas qui eurent le contrôle de l'observation nécrosc
opos Leube et Oppenheim. La ponction lombaire a donc servi dans mon cas à nous confirmer le diagnostic. Le résultat thé
t des phénomènes objectifs, dus à la pression, s'observent dans des cas nombreux. Peu d'autres considérations me sont p
chronique. Celle question pouvait et devait se poser même dans mon cas . Les données sur lesquelles doit se baser mon j
ement de la circonférence du crâne par une hydrocéphalie et dans ce cas on a une forte sensibilité de la suture à la palp
Quinke croit plutôt fré- quente. Quelles causes pouvaient dans mon cas être accusées par la manifestation avant tout d
l'alcoolisme, la syphilis, la cachexie des parents : donc dans mon cas , on pouvait incul- per l'alcoolisme du père.Je
é de manière à n'admettre aucun doute à ce sujet, que dans certains cas très rares I 'hydroc phalie peut se manifester
nettement bulbaire. Il reste pareillement démontré aussi, dans ce cas absolument exception- nel, que la ponction lomb
. POLYCLINIQUE MEDICALE DE L'UNIVERSITÉ TCHÈQUE, A ['RAGUE SUR UN CAS D'OMOPLATES AILÉES PHYSIOLOGIQUES PAR le Prof
tes mon- traient une position anormale que nous rencontrons dans le cas de para- lysie du muscle grand dentelé. N'ayant
sie du muscle grand dentelé. N'ayant encore eu connaissance d'aucun cas analogue à celui qui se présentait, je fus d'abor
observation, j'eus l'agréable surprise de prendre connaissance d'un cas semblable, publié en 1905, par MM. Rudler et Ro
s militaires, dans la Nouvelle Iconographie de la Salpê- trière. Ce cas s'appliquait à un sujet de 25 ans, qui s'adonnait
hologique. On n'a pu conslaler aucun des symptômes observés dans le cas d'atrophie musculaire quelle qu'elle soit. Les
chercher sur l'humérus. OBSERVATION (PI. XXXVI). L'histoire du cas que je décris est la suivante : Au mois de juin 1
. Il n'a aucune connaissance de. l'existence, dans sa famille, d'un cas de paralysie ou d'atrophie musculaire, ou d'une d
Masson & Cie, Éditeurs. Illiotot3liie Berthaud - Pans SUR UN CAS D'OMOPLATES AILÉLS PHYSIOLOGIQUES 225 Son visag
tenant passer rapidement, en revue les états morbides indri- SUR UN CAS D'OMOPLATES AILÉES PHYSIOLOGIQUES 227 viduels,
ÉES PHYSIOLOGIQUES 227 viduels, qui pourraient être communs avec le cas décrit, ou chez lesquels on pourrait le trouver
, les omoplates s'écartent du thorax en forme d'ailes. Mais pour le cas qui nous occupe, chacune de ces éventualités, e
ltoïde, du coraro-brachial, et du biceps, qui a pour rôle de SUR UN CAS D'OMOPLATES AILÉES PHYSIOLOGIQUES 229 fixer l'o
lé. Quoi qu'il en soit, j'espère avoir contribué ici à l'étude d'un cas très rare dans la neuropatholoie, car en dehors
l'étude d'un cas très rare dans la neuropatholoie, car en dehors du cas décrit par MM. Rudler et Ronot, il n'existe pas
aussi les neurologistes, nous nous sommes décidés de publier ici le cas suivant. Il s'agit d'une jeune femme primipare
ale. Soc. d'obstétrique de Paris, 1905. t',AT111LA et TnA91'OUR. Un cas de polynévrite gravidique. Bulletin de la Soc. d'
en kraal(. zentr. f. syn., n" 48, p. 1482, 1905. EI'TINGEII. Sur un cas de polynévrite au cours de la grossesse. Bull. de
de Lyon. Dans la clinique du Prof. G. Roque, nous avons observé le cas suivant qui nous a paru digne d'être publié.
UR DU POUCE 235 refusa ; on ne peut avoir plus de détails ; en tout cas , pas d'amaigrissement, et le malade fut soulagé
rès complète des fibres musculaires : on peut admettre que, dans le cas actuel, les fibres qui subsistent encore sont inc
ectriques restent en général normales, et conservées, même dans des cas anciens ; quand elles sont diminuées elles le s
tout, nous inclinons peu à admettre une myopathie primitive. Notre cas en serait une forme à coup sûr bien étrange. De
elle réaction ? Cela se voit effectivement, notamment dans certains cas très accentués de névrites. Il est plausible de
sée par l'inhalation, dans certaines conditions spéciales. C'était le cas , par exemple, de deux jeunes femmes observées d
près 3 ans. Les ouvrages médicaux français n'ont pas enregistré de cas semblables au nôtre, à noire connaissance du mo
nos recherches, forcément incomplètes, nous ont mis en présence de cas analogues. Ho/jmann (3) a publié une observa- t
excitabilité du muscle par le nerf était extrêmementdiminuée. Notre cas est tout fait comparable au leur à ce point de
gauche et due à leur excès de fonctionnement. Au surplus, parmi les cas connus de paralysie isolée da grand denlelé, la
ar les auteurs qui en ont publié des exemples ; tel par exemple, le cas d'nonmann où il en est réduit il émettre l'hypo-
us venons d'observer un trouble scriptural encore plus accentué. Le cas en est d'autant plus intéressant, d'autantplus fa
'effet du trauma ou même spontanément. On comprend comment, dans un cas de ce genre, le graphisme, déjà déformé, du tab
'abord brièvement l'histoire clinique de nos trois malades. Premier cas . M. N..., juif, âgé de 26 ans, entre dans le serv
es des mêmes faisceaux ont pris une coloration différente. Deuxième cas . - S. P., juive, âgée de 30 ans, vient dans le se
aisseaux de la pie-mère sont distendus et gorgés de sang. Troisième cas . G., juif, âgé de 40 ans, entre dans le service l
émi- (1) Pour la description détaillée de l'histoire clinique de ce cas , req. Neurolog. Cen tralblatt, 1908, M. Dl 1. R
t la dilatation du canal épendymaire, noté par nous dans le premier cas . Sa nature reste pour nous encore très incertai
ide céré- bro-spinal dans la région lombaire ? Dans nos deux autres cas ainsi que dans les cas analogues de différents
ns la région lombaire ? Dans nos deux autres cas ainsi que dans les cas analogues de différents auteurs qui nous sont con
substance médullaire, nous pouvons constater quej dans aucun de nos cas , en nous servant des méthodes d'exa- LES MODIFI
ulaires. Batten et Col- lier (1), qui se sont servi dans leurs neuf cas de coloration par la méthode de Nissl, n'ont no
ébrale postérieure, Jacobsohn et Ja- mane (2) ont noté dans un seul cas l'absence presque complète des cel- lules de co
minution dans la partie lombaire de la moelle.Dans les trois autres cas , rien d'anormal dans les cellules. La substance
les. La substance blanche de la moelle n'a présenté, dans aucun des cas , examinés par nous, de dégénérescence systémati
es racines antérieures. Ces modifications figuraient dans nos trois cas ; elles prédominaient surtout dans le second cas
ent dans nos trois cas ; elles prédominaient surtout dans le second cas sur les coupes prises des segments lombaires. A
e : oedème et désagré- gation des fibres. Ce n'est que dans un seul cas deJacobsohn et Jamane, cité par nous plus haut,
l'attention des auteurs. Wollenberg (3) a le premier trouvé dans un cas de gliosarcome cérébelleux la dégénérescence (1
le prédominait dans la partie moyenne du segment dorsal. Dans trois cas de tumeur de la fosse postérieure cérébrale, Ja
noté rien d'anormal dans la moelle dorsale, mais dans le quatrième cas ils ont trouvé la dégénérescence des faisceaux
marquée des racines postérieures fut notée une seule fois dans neuf cas de Batten et Collier ; elle fut absente dans un
fois dans neuf cas de Batten et Collier ; elle fut absente dans un cas ; dans sept autres cas les racines postérieures
Batten et Collier ; elle fut absente dans un cas; dans sept autres cas les racines postérieures ne furent pas examinée
nce des faisceaux postérieurs fut trois fois assez marquée dans les cas de Batten et Collier, elle ne fut pas remarquée
as remarquée trois fois et fut assez faible dans les trois derniers cas . Ce n'est que dans un seul cas qu'on a trouvé la
assez faible dans les trois derniers cas. Ce n'est que dans un seul cas qu'on a trouvé la dégé- nérescence du faisceau
direct dans un autre. Il est intéressant à noler que dans tous les cas de Batten et Collier présentant, après avoir ét
subir la coloration par 'Veigert-1'al. Ce fait démontre que, dans les cas de Batten et Collier, nous avons affaire à des
vons affaire à des lésions médullaires de date ré- cente. Dans un cas de gliosarcome du cervelet, Hoche (1) a noté, en
al, sont très vascularisés (sehr gefâssreich).Dans tous nos propres cas les vaisseaux étaient dilatés et gorgés de sang,
vaisseaux étaient dilatés et gorgés de sang, surtout dans le second cas . Quelques vaisseaux étaient thromboses. Dans le s
e second cas. Quelques vaisseaux étaient thromboses. Dans le second cas celte dilatation et engorgement des vaisseaux f
ssi dans les méninges. Dans quelques préparations appartenant à ces cas on pouvait même observer un épanchement du sang
Les parois des vaisseaux ne présentaient rien d'anormal ni dans nos cas ni dans ceux cités dans la littérature. Nous av
ceux cités dans la littérature. Nous avons noté dans notre premier cas et à un moindre degré aussi dans le second une
lymphatiques. Cette dilatation fut surtout marquée dans le premier cas sur les coupes appar- tenant à la région lombai
es cliniques. Le maximum de lésions nous le trouvons dans le second cas , kyste du cervelet. C'est,d'après ce qui nous e
kyste du cervelet. C'est,d'après ce qui nous est connu, le premier cas décrit, où on se trouve en pré- sence des lésio
s la moelle dorsale au cours d'une tumeur non solide. Dans tous les cas décrits jusqu'ici ainsi que dans nos deux autres
Dans tous les cas décrits jusqu'ici ainsi que dans nos deux autres cas il s'agissait de tumeurs solides (gliomes, glio
adie se sont déclarés quatre mois avant la mort dans notre deuxième cas , un an avant dans le premier, et un an et demi
avant dans le premier, et un an et demi dans le troisième. Dans le cas de Jacobsohn et Jamane, cité par nous plus haut
es premiers symptômes se sont déclarés un an, et dans les deux autres cas , avec les moelles dorsales normales à l'examen
à l'examen microscopique, vingt et un mois avant la mort. Dans les cas de Wollenberg et Hoche nous notons une période
Batten et Collier émettent un avis identique d'après leurs propres cas . Ceci est tout naturel, puisque la durée de la pé
mo-pathologiques au cours du développement de la tumeur. Dans les cas de Hoche, de Wollenberg et dans un des quatre cas
tumeur. Dans les cas de Hoche, de Wollenberg et dans un des quatre cas de Jacobsohn et Jamane où furent trouvées des l
ions médullaires, existait la stase papillaire. Dans trois des huit cas de Batten et Collier et dans trois cas de Jacob
illaire. Dans trois des huit cas de Batten et Collier et dans trois cas de Jacobsohn et Jamane,dont la moelle dorsale ne
ela d'après l'extrait du journal. Les lésions de la moelle dans les cas de tumeur intracra- nienne. Manière de se compo
teur a décrit les lésions qu'il a constatées dans la moelle dans un cas de tumeur kystique de l'hémisphère droit du cerve
l'hémisphère droit du cervelet. 254 RAIMISTE ET NEIDING nos trois cas présentant des lésions de la moelle dorsale d'une
moelle dorsale. Les réflexes patellaires étaient conservés dans les cas de Jacobsohn et Jamane, faibles dans les cas de
ent conservés dans les cas de Jacobsohn et Jamane, faibles dans les cas de Hoche (dégénérescence des racines posté- rie
che (dégénérescence des racines posté- rieures) et absentes dans le cas de Wollenberg (dégénérescence des racines posté
nce des racines postérieures et des faisceaux postérieure). Dans un cas de Batten et Col- lier, où les réflexes patella
s- cence insignifiante des faisceaux postérieurs ; dans deux autres cas , où la dégénérescence des faisceaux postérieurs
ont disparu dans la suite. Il est intéressant à noter que, dans nos cas , les réflexes patellaires étaient conservés mal
res étaient conservés malgré les lésions assez prononcées (deuxième cas ) des racines antérieures et postérieures. Il
s dans le chaos de l'infantilisme et notam- ment un grand nombre de cas de gigantisme. L'acception de ce terme de gigan
ut récemment par Clerc (2). Sous ce nom, ces auteurs ont décrit des cas d'infantilisme ; leurs malades, d'ailleurs fort
es est la haute stature. De toute évidence la pathogénie de pareils cas n'est pas uniquement testiculaire. Il s'agit là
rabelaisiens ou d'une véritable surprise d'observa- tion ? En tout cas , il nie absolument toute orchite et tout traumati
ophie testiculaire persiste. Ces différences mises à part, nos deux cas sont à peu près identiques et se caractérisent
insuffisance de la sécrétion interne du testicule. La plu- part des cas qui ont été étudiés sont très complexes et ressor
éaliser de véritables formes cliniques. En ce qui concerne nos deux cas , par exem- ple, il existe chez l'un un développ
aires pour mieux pré- ciser ces diverses modalités cliniques. Les cas de gigantisme eunuchoïde pU ? dus à des troubles
l en jeu, et il s'agit alors d'infantilisme ressortissant, pour ces cas , à une pathogénie pluriglandulaire. Quant au
issant, pour ces cas, à une pathogénie pluriglandulaire. Quant au cas de Launois et Roy (1), le testicule semble bien ê
ance des autres glandes endocrines. On peut encore en rapprocher le cas qui fut présenté en 1902 par Widal et Lutier (2
ormal, identique à celui de l'homme complet. C'est par exemple le cas des sujets qui présentent une section opéra- to
sexuels secondaires n'apparaissent pas. Il n'est pas rare dans ces cas de voir survenir d'autres troubles glandu- lair
éventualité, un peu particulière, nous reste à envisager. C'est le cas de sujets dont le trouble testiculaire s'établit,
tion n'est pas simple malgré l'existence d'un assez grand nombre de cas où la sclérodermie s'est associée fui. des troubl
s'est associée fui. des troubles basedowiens. En effet, à côté des cas présentant les symptômes du goitre exophtalmiqu
scléro- dermie avec la maladie de Basedow dans un certain nombre de cas alors que, dans d'autres, on note l'atrophie du
nsuffisance thyroïdienne simple ne peut pas être mise en cause, les cas de myxoedème accompagnés de sclérodermie étant to
à l'apparition de la sclérodermie, car nous n'avons pas trouvé des cas de ce syndrome avec des symptômes d'hyperlhyroidi
cas de ce syndrome avec des symptômes d'hyperlhyroidisme. Même les cas de Basedow présentant l'association avec la sciér
ont le plus souvent des formes frustes du goitre exophtalmique. Les cas de Basedow typiques, surtout les formes graves
qui se sont accompagnés de sclérodermie sont peu nombreux. Notre cas pourrait être rangé parmi les derniers, mais, com
ute taille. Le pouls dépassait 160 par minute. Devant la gravité du cas , l'un de nous lui conseille de se soumettre à la
ndulaire et sympathico-glandulaire. Nous ne nous occuperons pas des cas purement vasculaires et nerveux non sym- pathiq
ans avoir pour cela l'intention de nier l'existence de sembla- bles cas , - la sclérodermie pouvant être réalisée probable
ablement par divers facteurs; -nous discuterons plus longuement les cas présentant des trou- bles thyroïdiens, notre ca
lus longuement les cas présentant des trou- bles thyroïdiens, notre cas faisant partie de ces derniers. Les premiers ca
thyroïdiens, notre cas faisant partie de ces derniers. Les premiers cas offrant une relation entre la sclérodermie et la
exophtalmique. Il nous semble pourtant que plus fréquents sont les cas accompagnés d'une insuffisance thyroïdienne, en p
chez un nombre considérable de sujets atteints de sclérodermie. Les cas de Basedow avec sclérodermie dont nous avons pu p
GutteUing (2), dans une thèse soutenue à Leyden en 1884, décrit un cas de sclérodermie présentant en même temps des sy
r vu appa- raître chez une basedowienne une sclérodermie. Dans le cas de Bouttier (4) il s'agit d'un goitre exophtalmiq
rmie à la suite d'un goître exophtalmique. Kahler (7) a publié le cas d'une femme chez laquelle, pendant l'évolu- tio
s mettent en doute l'existence d'une véritable sclérodermie dans ce cas . Jeanselme (8) a communiqué le cas d'une femme
e véritable sclérodermie dans ce cas. Jeanselme (8) a communiqué le cas d'une femme âgée de 58 ans, qui était atteinte,
t d'une perturbation fonctionnelle de la glande thyroïde. Parmi 5 cas de sclérodermie communiqués par Beer (1), l'un pr
finit par s'atrophier. Ditisheim (2) a donné les observations de 17 cas de Basedow, dont 8 auraient été compliqués de s
ès l'exposé,que Krieger en a donné, il paraît que la plupart de ces cas ne présentaient pas une véritable sclérodermie.
pas une véritable sclérodermie. En effet, dans les observations des cas IV, VII, IX et XII. il n'est men- tionné aucune
I. il n'est men- tionné aucune modification sclérodermiquc. Dans le cas I il dit que la peau de la jambe est épaissie p
dit que la peau de la jambe est épaissie par une sclérose ; dans le cas XII, il est noté la sclérodermie et la pigmenta
et la pigmentation de la partie antéro-externe des jambes. Dans les cas II et VIII, il s'agit seulement d'une coloration
, il s'agit seulement d'une coloration brunâtre de la peau, dans le cas XVII, la peau est lisse, brune, sèche. Dans le
la peau, dans le cas XVII, la peau est lisse, brune, sèche. Dans le cas de Jonas (3), ce sont des symptômes basedowiens q
jouter à une ancienne sclérodermie. Osier (4) a publié également un cas où l'apparition du syndrome de Basedow a succédé
s deux. i Raymond (6) présente, dans une leçon clinique, un nouveau cas , observé également par Jeanselme, et qui, en de
offre des symptômes basedowiens. Fox (7) a également présenté un cas d'association du syndrome de Basedow avec la sc
sedow avec la sclérodermie. Guillain et Dupré (8) ont communiqué le cas d'une femme, âgée de (1) BEER, Club médical de
erves sur le diagnostic de sclérodermie. Samouilson (1) relate le cas d'une femme qui présente, à l'âge de 38 ans un
e des modifications nerveuses produisant la sclérodermie. Dans le cas de Krieger (2), il s'agit d'une femme de 59 ans,
s, produites par des troubles thyroïdiens. Môller (3) a publié un cas d'association de goitre exophtalmique à la sclé
se prononce pas sur la pathogénie, mais il rappelle les principaux cas de Basedow avec sclérodermie publiés avant lui.
ROME DE BASEDOW ET SCLÉRODERMIE 279 Leven (1) a publié également un cas où la sclérodermie s'est établie après un Based
ment un cas où la sclérodermie s'est établie après un Basedow. Le cas présenté par Wick (2) se rapportait à une femme a
Wick consi- dère comme base étiologique de la sclérodermie dans son cas le processus rhumatismal chronique. · Kornfel
elation entre le Basedow et la sclérodermie. Freund (4) publie le cas d'une femme âgée de 39 ans, chez laquelle la ma
s les régions indemnes de sclérodermie. L'auteur est d'avis que son cas peut être considéré comme un appui pour la démo
ulière. Prurit au dos et à la poitrine. Staehelin (1) a présenté un cas typique de goitre exophtalmique chez une femme
chycardie et de pigmentations de la peau. Il est d'avis que dans ce cas il s'agit d'une affection pluri-glandulaire (hypo
tre surtout dans celle du lobe antérieur de l'hypophyse. Sur deux cas de sclérodermie publiés par Kôlle (3) et traités
ialement des glandes mésentériques. A cette liste, assez longue, de cas d'association du syndrome scléroder- mique à ce
w, nous en ajouterons une autre, non moins lon- gue, concernant les cas de sclérodermie où l'on a noté des lésions atroph
de la glande thyroïde ou un simple goitre. Schâffer (4) a publié un cas de sclérodermie avec atrophie du corps thy- roï
E 281 Morselli (1), Archangelli (2) et Schubiger (3) ont publié des cas de sclérodermie avec goitre simple. Panegross
ation avec le traitement thyroïdien, et il déduit que dans certains cas il existerait une relation entre la sclérodermi
etit et que l'opothérapie thyroïdienne fut sans résultat. Dans le cas de sclérodermie généralisée l'homme momie-de Gras
le corps thyroïde était imperceptible. Sachs (7) a observé dans un cas des signes d'insuffisance thyroïdienne. Von Nôt
e que le corps thyroïde était très petit. Hektoen (9) a publié un cas de sclérodermie où il a observé l'atrophie, la
très réduite de volume, n'ayant plus que 3, 4 grammes. 1 Dans le cas communiqué par James (10), il y avait de la sclér
yndrome de Raynaud avec une atrophie du corps thyroïde. Dans le IIP cas d'Osier (11), celui d'une femme de 40 ans avec sc
liner klin. Wochenschr., 1899. 282 MARINESCO ET GOLDSTEIN dans un cas de sclérodermie, le traitement thyroïdien n'a don
e s'est améliorée par l'opothérapie thyroïdienne. Dehu (2), dans un cas difficile à diagnostiquer, car il présentait des
t que le traitement thyroïdien a produit la guérison. Parmi trois cas de sclérodermie publiés par Sternthal (3), nous a
rmie publiés par Sternthal (3), nous avons trouvé mentionné dans le cas II que la thyroïde était très petite, et que da
né dans le cas II que la thyroïde était très petite, et que dans le cas 111 l'opothérapie thyroïdienne a produit une amél
rapie thyroïdienne a produit une amélioration. Eddowes (4), dans un cas de sclérodermie en plaques avec alopécie et leu
la sclérodac- tylie. L'un de nous (Marinesco) (7) a communiqué un cas de dystrophie gé- néralisée (avec sclérodermie)
hyroïde petite et altérée. ' Ménétrier et Bloch (8) ont publié le cas d'une femme de 27 ans avec (1) Lancereaux et Pa
ener med. Wochenschr., 1903, no 41, p. 1940. (7) G. Marinesco, Un cas de dystrophie généralisée. Bull. de la Soc. des s
es méd. de Bucarest, n° 2, 1904. (8) P. Ménétrier et L. Bloch, Un cas de sclérodermie diffuse. Amélioration considé-
d'une amélioration considé- rable. ' Huismans (1) a noté dans un cas de sclérodermie, parmi divers troubles des glan
s, ceux de l'insuffisance thyroïdienne. Vincent (2) a communiqué le cas d'un malade chel lequel un rhuma- tisme aigu fu
thyroïde était atrophié. Tsuchida (4) a trouvé à J'autopsie d'un cas de sclérodermie avec aspect bronzé une augmenta
femme de 57 ans avec sclérodermie et maladie de Raynaud. Dans le cas I de sclérodermie diffuse de Pedrazzini (7), il e
l'opothérapie thyroïdienne fut suivie d'une amélioration. Dans son cas IV, celui d'une femme de 30 ans avec scléroderm
r administrant t de l'extrait thyroïdien. Klippel (8) a publié un cas de goître simple accompagné de scléroder- mie.
, 1910. 284 MARINESCO ET GOLDSTEIN Lichtwitz (1) a trouvé dans un cas de sclérodermie combinée avec le syndrome d'Add
- sentait une dégénérescence colloïdale. Turrettini (2) publie le cas d'une jeune fille atteinte de la maladie de Ray
enne serait le substra- tum pathogénétique de la sclérodermie. Un cas intéressant esl celui présenté par Pauchet (3). I
urs rhumatoïdes et un syndrome scléro- dermique. En dehors de ces cas où on a noté des modifications alrophiques ou d
nde thyroïde chez ces malades. Nous avons déjà noté dans cer- tains cas avec lésions du corps thyroïde, que l'administrat
uérison. Nous y pouvons ajouter le tableau suivant qui contient des cas chez lesquels on a ohtenu les mêmes résultats fav
réol (1), Willrich (2), Leloir (3), Naunyn (), etc., ont publié des cas d'association de la sclérodermie avec le syndrome
ermie avec le syndrome d'Addison. Licht- witz (5) a trouvé dans son cas de sclérodermie une capsule surrénale altérée.
é qu'elle est la conséquence d'une insuffisance de l'hypophyse. Les cas de Roux (8) et de Lafond (9) se- raient en conc
et Touchard (17) ont trouvé des lésions pluriglandulaires dans deux cas de sclérodermie. Dans leur premier cas ils ont
luriglandulaires dans deux cas de sclérodermie. Dans leur premier cas ils ont constaté une sclérose très prononcée de
ales, des testicules, un peu moindre de l'hypophyse. Dans le second cas existait une sclérose beaucoup plus (1) Feréol,
et P. Touchard, Lésions des glandes vâsculaires sanguines dans deux cas de sclérodermie généralisée. Arch. dé méd. exp. e
rand sympa- thique, il était naturel de chercher à unifier tous ces cas par une théorie unique, à savoir que la sclérod
smans (1) ayant trouvé des lésions glandulaires multi- ples dans un cas de sclérodermie, est d'avis que les glandes endoc
u'une pathogénie sympathique expliquerait assez bien beau- coup des cas que nous venons d'énumérer, elle ne peut pas pour
uentes et le syndrome sclérodermique beaucoup plus uniforme. Or les cas avec troubles thy- roïdiens sont très fréquents
ésion du sympathique cervical. Celte hy- pothèse est applicable aux cas où coexistent des troubles thyroïdiens avec la
des membres supérieurs, mais elle n'est pas en concordance avec les cas , parmi lesquels peut se ranger le nôtre, où les
un syndrome qui peut être réalisé de plusieurs manières. Il y a des cas qui confirment toutes les théoriespathogénétiques
Mais aucune de ces théories ne peut être appliquée à la totalité des cas . La cause la plus fréquente est sans doute les
51, p. 285. * SYNDROME DE BASEDOW ET SCLERODERMIE 28) même les cas ayant celle pathogénie ne seraient pas le résulta
De l'existence fréquente de troubles thyroïdiens dans des nombreux cas de sclérodermie et des diverses considérations
xxvi 19 290 MARINESCO ET GOLDSTEIN * indubitable dans certains cas de sclérodermie, et que sa sécrétion interne in
as de sclérodermie, et que sa sécrétion interne intervient dans les cas accompagnés de Basedow autant que dans ceux avec
mpatliicotrope de celte sécrétion. Ce mécanisme explique autant les cas où le syndrome de Base- dow est apparu le premi
l'apparition, première dans le temps, de l'un des deux. Dans les cas de sclérodermie avec goitre simple ou dans lesque
re que les troubles sclérodermiques apparaissent seulement dans les cas où a lieu une modification de la sécrétion thvroï
à une certaine action sympathicotrope. " ÉTUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLÉRODERMIE. ANALOGIES DE LA SCLÉRODERMIE A
al qui, le premier en 1845, a publié une description régulière d'un cas de sclérodermie et, dans la suite, c'est à partir
rmie avec le sys- tème nerveux et enfin, en 1897, à l'occasion d'un cas d'acromégalie, Strum- 292 ' BKHTOLOTTI pell a
s directement notre sujet par l'élude clinique et radiologique d'un cas de sclérodermie généralisée, avec polymyosite int
istence de petits nodules calci- fiés dans le tissu cutané. Qans ce cas nous pûmes relever par la radiogra- phie la pré
e et cliniquement des signes indéniables d'hypothyroïdisme. Notre cas se prête donc à soulever plusieurs questions inté
ertrophie hypophysaire; 2° Les rapports étroits que, dans plusieurs cas , on put relever entre la sclérodermie et la mal
lle ressentit des douleurs à l'articulation ÉTUDE RADIOLOGIQUE d'un CAS DE SCLÉRODERMIE 293 du genou gauche puis à l'ép
(BerioloUi). Masson & Cie, Editeurs ÉTUDK RADIOLOGIQUE d'un CAS DE SCLÉRODERMIE 29 ? ) Toutes les lésions que n
ie de la main et du crâne. (Bertolotti) . ÉTUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLÉRODERMIE 297 ques-unes des croûtes recou
énérescence ; les réactions de l'électro-diagnostic sont dans notre cas parfaitement analogues à celles que l'on retrou
pas d'une dilatation concomitante du sinus sphé- noïdal. Dans notre cas le sinus sphénoïdal n'est pas dilaté, au contrair
tation de la nature de cette hypertrophie pituitaire. Dans notre cas il existe encore un certain degré d'hyperostose d
(Bertolotti). Masson & Cie, Editeurs ÉTUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLÉRODERMIE 299 dans la maladie de Raynaud.
croyons que si le doute de syringomyélie a pu être soulevé dans ce cas , le résultat négatif du traitement radiothérapi
ints sont à prendre en considération dans l'étude clinique de notre cas : nous toucherons d'abord quelques mots à propos
urs, la majo- rité a constaté une diminution de la diaphorèse ; les cas de Marotte, Dufour et Vidal où il y avait llype
le nôtre, à ce point de vue, mérite justement d'être mis à côté des cas analogues excep- tionnellement observés. Nous
u à une grande limitation des mouvements. ÉTUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLÉRODERMIE 301 Les ligaments des articulat
s par le processus scléreux. Dielzchya a relaté dernièrement (1) un cas de sclérodermie qui en outre tJl1'e1 le présent
toutefois n'est pas la règle ; en effet on a relaté aussi quelques cas de sclérodermie de l'adulte avec pigmentation de
(Méry, Bris- saud, Grasset) ; mais il faut tenir compte dans notre cas du début précoce delà sclérodermie qui avait co
c toutes les conséquences de cette grave complication. Dans notre cas , un symptôme important a été constaté du côté du
ndulaire et les bons résultais thérapeutiques obtenus dans quelques cas par la médication thyroïdienne. Or, ce n'est pa
clérodermie, mais quelquefois une hypertrophie qui, dans cer- tains cas ,a fourni au grand complet les éléments du syndrom
mie que six ans après l'apparition du syndrome de Basedow. Un autre cas publié par Grûnfeld (2) se rapproche beaucoup d
eul arriver à penser que la sclérodermie reste subordonnée dans ces cas à une lésion thyroïdienne primitive. De celte faç
nous devons plutôt traiter la question des rapports qui, dans notre cas , peuvent exister entre la scléro- dermie et la
che Zeitschrift f. Nervenheilkunde, XI-3. ÉTUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLERODERMIE 303 en était arrivé à penser qu
taire. Dans l'observation personnelle de Lafond il s'agissait d'un cas de sclérodermie avec hypertrophie de l'hypophys
J'acroméo-a- lie ; cet auteur avait en particulier étudié quelques cas où le syndrome acromégalique était associé à de
hie pituitaire se déve- loppe, mais il en est encore ainsi dans les cas d'hyperthyroïdisme ; qu'il suffise de rappeler
intéressante et qui a trait aux rapports étroits,que dans plusieurs cas on peut relever entre la sdérodermie et la mala
pourtant attentivement les observations, rares jusqu'à présent, des cas appartenant à la maladie des pierres de la peau
i- tica di clinica medica, n° 21, 1911. - ÉTUDE RADIOLOGIQUE d'un CAS DE SCLÉRODERMIE 30S lion très intéressante de c
ais, Reverdin, Poiiier et Derville ont signalé isolé- ment quelques cas de calcification delà peau, mais ce ne fut que Pr
lure à une variété de la maladie de Recklinghausen, de même dans un cas de Profichet le syndrome clinique de Recklinghaus
tanée (pierres de la peau). Thèse de Paris, 1900. (2) A. Busi, Un cas de la maladie dite pierres de la peau. Annales d'
ie de Raynaud ou asphyxie locale des~ extrémités; tels seraient les cas de Derville (1) et de Busi (2) où plusieurs méd
e et un état atrophique des viscères. Il n'est pas douteux que ce cas a présenté, en plus de l'existence des pierres
des troubles articulaires et la peau est sclérémateasse. Dans le cas de Derville (4) il y a des fourmillements, des do
téguments. Le malade est cachectique. Mêmes constatations dans le cas de Renou et Dufour (5). Douleurs, (1) Derville,
i les nombreuses observations publiées, on ne peut trouver quelques cas de sclérodermie présentant des dépôts sous-cuta
tion n'est pas rare dans la sclérodermie ; qu'il suffise de citer les cas de Dietzchy, de Nigon et le mien où l'on a pu c
s avons constaté précisément l'existence de ces nodules daris notre cas , mais cette constatation n'est pas exceptionnelle
is cette constatation n'est pas exceptionnelle : il y a de nombreux cas analogues dans la littérature comme ceux de Lafon
s probable même que le syndrome de Profichet, dans la plu- part des cas , n'est que l'exagération d'un processus décalcifi
égard, et en plus l'analyse chimique que nous avons faite dans notre cas nous a révélé l'existence d'une calcification c
alignes de la peau, celles des athéromes multiples calcifiés et des cas de tuberculose cutanée avec transformation calcai
(C. Bacaloglu et C. Parhon). Masson & Cie, Éditeurs SUR UN CAS DE VITILIGO A TOPOGRAPHIE EN CEINTURE PAR a Q
aculté de Médecine de Jassy. Nous avons eu l'occasion d'observer le cas d'une malade présentant un vitiligo, d'origine
vait attiré l'attention dans ses magistrales leçons cliniques. Ce cas est en outre intéressant au point de vue étiologi
phie pigmentaire ainsi que son étio- logie et sa pathogénie dans-ce cas . Observation (Pl. XLVI). La malade N. IL ? 27
ement une petite tache blanche, de forme irrégulière, au ni- SUR UN CAS DE VITILIGO A TOPOGRAPHIE EN CEINTURE 311 veau
raphie métamérique dans le sens de Brissaud. Comment interpréter ce cas rare et intéressant' ? Pour répondre à cette qu
ubles du réflexe pupil.- laire. Ils rappellent à cette occasion les cas de Du Castel et de Tenneson, ainsi que la coexi
es faits appuyant l'hypothèse de l'origine syphilitique de certains cas de vitiligo. Dans la discussion qui suivit la c
suivit la communication de Pierre Marie et Cronzonl Darier cita un cas de vitiligo chez une femme âgée de 35 ans prése
312 BACALOGLU ET PARHON Par contre Renault fut d'avis que dans ces cas il s'agit de simples coïn- cidences, car il a v
ligo ancien contracter la syphilis. Il est évident que ce dernier cas n'exclut nullement le rôle de la syphi- lis dan
que agirait par l'in- termédiaire du système nerveux. Dans certains cas , les lésions syphiliti- ques des téguments serv
qui parle en faveur de l'origine syphilitique de ce dernier. Notre cas parle également dans le même sens, car la syphili
faut admet- tre alors que la syphilis a dû être héréditaire dans ce cas , ce qui concorde bien avec la petite taille de
incriminé aussi les troubles delà nutrition, produits dans certains cas par des altéra- tions endocriniennes. , C'est
s par des altéra- tions endocriniennes. , C'est ainsi que dans le cas de Delmas et Roger (6), la dystrophie pig- ment
une femme atteinte d'hy- pothyroïdie. Ces auteurs citent encore le cas de Marfan où le vitiligo était associé au iiiyx
ître ou disparaître sous l'inlluence des étals psychiques. SUR UN CAS DE VITILIGO A TOPOGRAPHIE EN CEINTURK £ 313 Rou
DE VITILIGO A TOPOGRAPHIE EN CEINTURK £ 313 Roudnew (8) a publié un cas de vitiligo chez un aliéné et l'un de nous a vu
nt chronique de son service de l'Hospice Marcoutza. Dans d'autres cas , le vitiligo peut être mis en rapport avec des al
altéra- tions névri tiques ou spinales. C'est ainsi que, dans le cas d'Emery (9), le vitiligo en plaques sur le visa
tabétiques, un viti- ligo des plus caractéristiques. Dans les deux cas , la syphilis était niée et en tout cas incertai
actéristiques. Dans les deux cas, la syphilis était niée et en tout cas incertaine. Ils rappellentqueBulkley, Leloir,Chab
ne. Ils rappellentqueBulkley, Leloir,Chabrier,Lebrun ont étudié des cas de vitiligo cliez des tabétiques. / Dans la dis
diagnostic il (il des réserves sur le diagnostic de tabes dans les cas précités. Souques (11) rapporta, lui aussi, un
e tabes dans les cas précités. Souques (11) rapporta, lui aussi, un cas de vitiligo chez un malade pré- sentant le sign
pas de troubles du névraxe. Les auteurs pensent que dans les quatre cas que nous venons de citer, il ne s'agit pas de tab
pellerons que l'hypertrophie mammaire a été aussi signalée dans des cas d'hypothyroïdie et à ce dernier point de vue il c
nviendrait 314 . . BACALOGLU ET PARHPN peut-être de rapprocher le cas de Souques de celui de Delmas et Roger. D'autre
s cordons postérieurs. Rappelons encore que Ferrio (14) a relaté le cas d'un homme atteint de vitiligo et dans la moell
ier, telles que la pachyméningite et la syringomyélie. Dans notre cas existe-t-il une lésion nerveuse et plus particuli
enser que la topographie, si caractéristique du vitiligo dans notre cas , se trouve en relation avec une lésion bilatérale
inière. Les troubles de sensibilité, bien que légers, notés dans ce cas ,plaideraient également pour une lésion spinale.
e, et d'autre part une topographie, fort semblable existait dans le cas de Delmas et Roger, topographie que ces auteurs
nale) que pour une influence localisatrice périphérique dans notre cas . L'excroissance médiane plus haut décrite, semb
'égard de l'iuterpyétation donnée par Delmas et Roger, même pour le cas de ces auteurs. Mais d'autre part, nous neppuvp
ffirmer, sans restriction, la pallie- génie spinale même pour notre cas . SUR UN CAS DE VITILIGO A TOPOGRAPHIE EN CEINTU
restriction, la pallie- génie spinale même pour notre cas. SUR UN CAS DE VITILIGO A TOPOGRAPHIE EN CEINTURE 315 5 Com
UR UN CAS DE VITILIGO A TOPOGRAPHIE EN CEINTURE 315 5 Comme dans le cas de Delmas et Roger, on peut penser, dans le nôtre
troubles menstruels justifient cette manière de voir. Mais en tout cas , cette cause générale ne saurait être invoquée po
plus probable dans le déterminisme de cette topographie. En tout cas , ce fait nous a semblé digne d'être publié et il
couvientque l'attention des neurologistes soit attirée sur pareils cas , dont des recher- ches ultérieures pourront pro
s. Alors il me vint à l'esprit que nous nous trouvions en face d'un cas d'oedème rare ; l'examen que je fis justifia me
ifier l'existence. Nous avons donc affaire, chez notre malade, à un cas d'anomalie, dans lequel existe l'oedème chroniq
lent la maladie de Milroy, quoique Nonne ait parlé le premier de ce cas et l'ait décrit. , Je crois que les exemples de
familles, dont quelques membres en sont atteints. J'ai trouvé des cas donnés par Nonne (1), Milroy (2), Tobeisen (3),
), Sutherland (5) et Griffith et Newcome (6) ; je ne compte pas les cas décrits par Meige (7) et par Lannois (8), qui d'a
et Lannois le disent eux- mêmes, l'oedème n'existait pas dans leurs cas à la naissance, mais surve- nait beaucoup plus
ucoup plus tard ; il n'était donc pas congénital. Je ne sais si les cas décrits par Griffith et Newcome appartiennent à c
t les divers symptômes de cette maladie relevés dans les différents cas , on trouve en premier lieu l'oedème. Chez le plus
a plupart l'oe- dème se limite aux jambes et, seulement en quelques cas , comme dans les exemples donnés par Hope et Fre
malade qui en a également au scrotum. Dans leplus grand nombre des cas l'oedéme existait déjà à la naissance, et dans qu
ouve signalé que l'oedème était assez dur ou élastique ; dans notre cas la peau oedématiée est rugueuse et desquame un
une couleur rose tirant sur le rouge. C'est seulement dans quelques cas que ceux qui sont affligés de cet oedème en son
alement que chez notre malade les testicules ont grossi. Dans aucun cas on n'a pu trouver une anomalie anatomique comme
lie comme une forme d'éléphantiasis congénital et qui croit que ses cas sont des cas d'éléphantiasis congénital hérédit
forme d'éléphantiasis congénital et qui croit que ses cas sont des cas d'éléphantiasis congénital héréditaire, fait re
énitales d'éléphantiasis ne sont pas rares chez des acéphales et en cas d'autres mons- truosités. Et comme dans la fami
céphale né avec de l'eedéme, il croit pouvoir avancer qu'il y a des cas d'éléphantiasis congé- nital stationnaires intr
xception, que la plupart des malades n'en ont pas et que dans aucun cas on n'a prouvé que ces varices avaient un rappor
n- guent trois groupes d'oedème chronique, dystrophique : celui des cas isolés, celui des cas héréditaires familiaux et
d'oedème chronique, dystrophique : celui des cas isolés, celui des cas héréditaires familiaux et celui des cas congénita
i des cas isolés, celui des cas héréditaires familiaux et celui des cas congénitaux. Dans ce dernier existent encore de
ngénitaux. Dans ce dernier existent encore deux groupes : celui des cas congénitaux et celui des cas congénitaux famili
istent encore deux groupes : celui des cas congénitaux et celui des cas congénitaux familiaux, à ce dernier appartiennent
t celui des cas congénitaux familiaux, à ce dernier appartiennent les cas de la maladie décrite ci-dessus. On peut .adm
s de la maladie décrite ci-dessus. On peut .admettre que dans nos cas , nous avons affaire à un oedème congénital fami
edème. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1901. A PROPOS D'UN CAS DE JNÉVROME D'AMPUTATION PAR A. P. DUSTIN,
iistiii et A. Lippel1s). Masson & Cie, Éditeurs A PROPOS D'UN cas DE névrome d'amputation 325 prochent de minute
calmants donnés à haute dose ont un effet peu pro- noncé et en tout cas très passager. 16. - L'un de nous fait une inje
ation et le moment où le névrome s'est révélé. Dans la majorité des cas , en effet, c'est dans les premiers mois qui suive
gique trahissent l'existence du né- vrome. Au demeurant, dans notre cas , il n'est nullement prouvé que la tumeur n'exis
atique pour pénétrer dans la profondeur du névrome. A PROPOS D'UN CAS DE NÉVROME D'AMPUTATION 327 Tous ces filaments
déjà rencontré au cours de nos études antérieures, mais qui dans le cas actuel prend une impor- tance considérable : no
elles conclusions pouvons-nous tirer de cette étude ? A PROPOS D'UN CAS DE NEVROME D'A,IPUTéTION 329 1° Malgré l'ancien
e exis- tant dans ;la régénération normale, mais ayant pris dans le cas actuel un développement anormal, ne puisse être
RESTAURATION DU LANGAGE DANS L'APHASIE DE BROCA, A PROPOS DE DEUX CAS SUIVIS D'AUTOPSIE. PAR R J. DEJERINE et ANDRÉ
cité, etc... etc... Quoi qu'il en soit, dans la grande majorité des cas , l'aphasie tend à s'a- méliorer spontanément et
t rare qu'on obtienne d'aussi (1) J. Dejerine et André-Thomas. Deux cas d'aphasie de Broca suivis d'autopsie. L'Encépha
res que l'on voit sur les coupes paraissent artificielles : en tout cas on peut affirmer qu'aucune large brèche ne fait
; elle était encore muette et ne pouvait dire que oui et non. Ce cas devait être particulièrement démonstratif pour ex
a été causée par de très grosses lésions cérébrales (comme dans le cas présent où la IIIe circonvolution frontale gauche
ion de la lecture et de l'écriture. La preuve en est fournie par le cas de Madeleine R..., que l'un de nous a communi-
sule externe, de l'avant-mur, de la 3' circonvolu- (1) ED. Long, Un cas d'aphasie par lésions de l'hémisphère gauche chez
Iconographie DE la SALPÈ11UÈRE. T. XXVI. PI. LI APHASIE DE BROCA Cas Fourn. (J. Déjeril1e et et Thomas). MANIE ET
l exé- cute sont peu étendus. Il danse presque sur place ou en tout cas ne se meut que dans un cercle très étroit.à cau
ure tardive des muscles faciaux s'accompagne, dans un bon nombre de cas , de mouvements convulsifs, sur la fréquence et la
rminent pas l'apparition de ces secousses musculaires, sauf dans le cas où ces excitations, ces impressions ou ces mou-
quelques hémispasmes post-paralytiques analogues au nôtre ? En tous cas , il y a lieu désormais d'établir une différence,
ente d'ailleurs elle -même inexpressive (1) ; et, d'autre part, les cas semblables à l'observation précédente, dans les
us loin, celle relation n'avait pas été signalée même dans certains cas d'hémispasme facial primitif. (1) Henry Meige,
aites par M. André Thomas de symptômes de parésie faciale dans deux cas de spasme facial primitif et la découverte de név
r le trajet du nerf facial au niveau du ganglion géniculé dans deux cas d'hémispasme facial post-paralytique (1). Mais
suffit au cligne- ment physiologique, pour provoquer, dans certains cas analogues au pré- cédent, des mouvements synerg
pas un fait isolé. Nous avons pu observer en effet une vingtaine de cas de paralysies faciales périphériques, parvenues
brillaires ou fasciculaires de l']¡émiface paralysée. Dans tous ces cas , sans exception, il était facile de constater la
hors de contestation. En second lieu, nous avons observé dans six cas de paralysies faciales périphériques anciennes
appeler quelques lignes plus haut, s'appli- quent intégralement aux cas de labio-blépharospasmes intermittents obser- v
énéralement par la contraction de l'orbi- culaire des paupières. Ce cas nous l'avons facilement rencontré et étudié : i
ans la totalité des points men- tionnés ci-dessus ; dans ce dernier cas ,les contractions se montrent sous la forme de f
é un nombre relativement élevé, plus d'une vingtaine assurément, de cas absolument comparables. Tous avaient trait à de
nce, et certaines avaient plus de vingt ans de durée. Dans tous ces cas , il nous a été donné de faire apparaître 388 1
7, MM. André Thomas et Rieder (2), dans leur communication sur deux cas d'hémispasme facial périphérique avec pa- résie
nctive droite, la contraction de l'or- (1) RAYMOND et EOGEH, Sur un cas d'ataxie aeslibulaire, Revue neurologique, 30 jui
s semblent démontrer que pareil phénomène existe même dans quelques cas d'hémispasme facial du type dit périphérique.
al du type dit périphérique. Cette relation existe encore dans le cas suivant qui se rapporte à un hémispasme facial,
ntrale ou périphérique dans la sphère du facial inférieur (nombreux cas de paralysie faciale, deux cas de paraly- sie g
a sphère du facial inférieur (nombreux cas de paralysie faciale, deux cas de paraly- sie générale précédés d'ictus, un ca
ysie faciale, deux cas de paraly- sie générale précédés d'ictus, un cas d'hémiplégie cérébrale infantile, deux cas d'hé-
érale précédés d'ictus, un cas d'hémiplégie cérébrale infantile, deux cas d'hé- miplégie par foyer hémorragique ou emboli
de la face, il faut distinguer ceux qui apparaissent dans certains cas de paralysies faciales, du type périphérique, p
côté attouchement à la conjonctive, d'effleurer même dans certains cas quelques cils de l'oeil du coté malade. D'autre
fa- cile de s'apercevoir qu'il ne s'agit probablement pas, dans les cas relatés par cet au- teur, d'un réflexe a point
M. Obregia est que cette syncinésie peut se rencontrer dans certains cas de paralysie faciale d'origine centrale. ' 39
a réaction albumineuse est loin d'être aussi abondante que dans les cas où le microcoque de Weichselbaum est en cause. Ce
ouvait être rapporté à la lésion verté- brale, et encore dans notre cas il relevait tout autant sinon plus de la méning
e différencier ces deux sortes d'atteinte méningée. L'intérêt de ce cas ne résidait pas seulement dans la moelle,les méni
llen Starr des tuberculomes multiples de l'encéphale (7 fois sur 41 cas ). Si les troubles paralytiques et jacksoniens p
igie de l'encéphale. Trad. Chipault, 1895. IIOSPICE DE BICÊTRE UN CAS D'AGÉNÉSIE PARTIELLE DU CORPS CALLEUX · PAR R
s relevé deux. Le premier se trouve dans le volume publié en ,1902 ( Cas . Bea...) et concerne un enfant de seize ans, at
la seconde observation, elle se trouve page LXXXI de l'année 1904 ( cas IIam...) et se rapporte à un enfant de dix-sept a
doute l'absence complète du corps calleux et soutenait que dans les cas publiés, il ne s'a- gissait que d'une absence p
ane. Dans ses conclusions, Lasalle-Archambault disait que, dans les cas de soi-disant agénésie du corps calleux, il ne
X (G. Roubinozuitcb et A. Barbé) Masson & Cie, Éditeurs. UN CAS D'AGÉNÉSIE PARTIELLE DU CORPS CALLEUX 409 9 la
firmation de l'opinion de Lasalle-Archambault, à savoir que dans ce cas qui aurait pu faire croire à une agénésie complèt
iculier des glandes génitales, soit de nature à faire rentrer notre cas dans le vaste cadre des syndromes pluriglandula
if post-pubéral et non agénésique. Plus récemment, on a observé des cas d'infantilisme tout à fait analo- gues clinique
enés à mettre en cause l'hypophyse dans l'inter- prétation de.notre cas , par analogie avec les données positives d'autres
deux différences, il n'y a guère que des similitudes entre les deux cas . Les traits principaux de la description de MM.
le atteinte de diabète juvénile et d'in- fantilisme). A côté de ces cas purement cliniques, ils en rangent neuf autres
meurs diverses de l'hypophyse ou de sa tige, et même parmi ces neuf cas il en est deux (cas de Nazari, de Vigouroux et
l'hypophyse ou de sa tige, et même parmi ces neuf cas il en est deux ( cas de Nazari, de Vigouroux et Delmas) où est nette
animaux encore en voie de croissance, amène dans un grand nombre de cas un arrêt de développement, et une atrophie génita
fournir un nouvel exemple. Dans le même ordre d'idées, signalons un cas de MM. P. Carnot et J. Dumont (2) concernant un
ême filiation des accidents qui a dû se trouver réalisée dans notre cas , et les dimensions normales de la selle turcique
cromégalie, qu'elle vient compliquer dans un tiers op la moitié des cas d'après M. Pierre Marie, cette glycosurie hypophy
la partie postérieure de la selle turcique. Simmonds (3), dans un cas suivi d'autopsie et où la polyurie était mon- t
uent à la probabilité d'une lésion hypophysaire, bien que dans leur cas , comme dans le nôtre, n'aient pas été notés de
umeur hypophysaire. Celle conclusion se trouve étayée sur plusieurs cas analo- gues résumés par ces auteurs : ceux de P
i (5) qui a tenté le traitement par l'opothérapie hypophysaire d'un cas de diabète insipide. (1) E. Meyer, Berliner kli
la polymie et la polydipsie reparaissaient. Mouriquand signale le cas d'une fillette présentant un syndrome adipo- so
rrain moins solide. La syphilis ne peut être invoquée comme dans le cas de MM. Carnot et Dumont; notre malade n'en prés
areille étiologie est assignée par MM. Poncet et Leriche (1) à deux cas de syndromes by- (1) PONCET et Lmsices, La tube
de Frohlich, et l'autre une acromégalie typique ; mais ce sont deux cas d'ordre pure- ment clinique qui appellent par c
t quelques réserves. Celles-ci sont d'autant plus indiquées dans le cas qui nous occupe qu'en l'espèce il est plus prob
ante de produire la névrite optique, Schüller (10) publia de nouveaux cas , Ponfick (11) attribua les troubles oculaires à
une altération de l'hypophyse. Enfin Gatti (35), à l'occasion de 2 cas d'oxycéphalie avec exophtalmie bilatérale très
exophtalmie. En d'autres termes nous nous trouvons en présence d'un cas d'oxycéphalie simple et d'un cas de syndrome ox
ous nous trouvons en présence d'un cas d'oxycéphalie simple et d'un cas de syndrome oxycéphalique incomplet (absence de l
t (absence de lésion des nerfs optiques) avec idiotie dans les deux cas . L'existence de cette dernière permet de conclu
es intellectuels ne pourraient-ils pas être envisagés dans certains cas , comme étant la consé- quence des effets sur de
e schoedelbasis in Roentgen bilde, Hambourg, 1905. (25) Merle, Deux cas d'oxycéphalie, Nouv. Iconographie de la Salpêtriè
6) Testut, Traité d'Anatomie humaine. ... ' ? S YXIX -3 SUIt UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHEZ UN [NÈGRE PAR R A.
té de Médecine de Rio de Janeiro. Dans nos services de clinique les cas d'atrophie musculaire ne sont pas rares. Cepend
RE CHEZ UN NÈGRE (Auslrcgesito) Mnsson & C^, Ehteurs SUR UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHEZ UN NÈGRE 431 rieur,
00 d'urée, 4 grammes de chlorure ; pas d'éléments pathologiques. Ce cas ne présente pas les difficultés diagnostiques de
aire n'a rien a voir avec le volume du muscle. Il s'agit dans notre cas d'une fausse hypertrophie due plutôt à une prol
st pas démontrée d'une façon certaine, il se peut que dans certains cas une alté- ration réelle des centres ou des voie
(A. Leri). Erb, Clarke, Heubner, Schuitz et Singer ont publiés des cas d'anno- trophies classées comme prolopathiques
anamnèse, qui ne nous a pas permis de vérifier l'existence d'autres cas dans la famille permettant de supposer qu'il s'
ophique de Duchenne) de la myopathie dite primitive. L'intérêt du cas présent est dans la manifestation de l'amyotrophi
être enregistrée. DU PROCESSUS DE RÉPARATION DANS LE CERVEAU. UN CAS DE M1 : IVINGO-rNClPIIALIT1 CHRONIQUE AVEC, ATT
onjonctif et de la névroglie, nous nous en occuperons au détail. Uu cas de méningo-encéphalite chronique avec attaques ép
ements, leurs relations avec le gliaspongium commun (clans certains cas ce lien disparait et lescellulea névronliques a
al intervasculaire (S. Ramon y Cajal). Que voyons-nous donc dans le cas que nous [examinons, où, grâce à l'adhérence des
culum pathologique du cerveau est un tissu typique. Mais dans notre cas déjà on peut voir par places à la périphérie de l
forme la continuation. Pour finir, revenons au tableau clinique du cas donné el prononçons nous sur l'origine des atta
plraticluc. Mais si nous avons dans la région motrice comme dans le cas donné le développement du tissu névroglidue aty
x de celle dystrophie et on pourrait presque l'opposer même à notre cas . 3° Pour mémoire nous écarterons une dystrophie
upe, l'observation d'OEttinger et Agasse-Lafont signalant plusieurs cas de maladie de Paget dans une famille de blanchi
le sculpteur de Bouchut), mais contre cette hypo- thèse, dans notre cas , il faut remarquer l'absence de caractère familia
12 observations d'achondroplasie héréditaire ou familiale. D'autres cas ont été observés par Decroly, HQuston Porter, A
sostose cléido-crânienne héréditaire que se rapproche le plus notre cas et comme il est impossible de le ran- ger malgr
ger malgré lotit sous la même étiquette, nous préférons désigner le cas que nous avons observé de cette appellation : «
nes du même os. La déformation de la base du crâne dans l'un de nos cas (cas 1) était tout à fait considérable et très
u même os. La déformation de la base du crâne dans l'un de nos cas ( cas 1) était tout à fait considérable et très frapp
t des différents étages de la base. Dans notre seconde observation ( cas 2), les lésions de la base étaient nettement mo
s de la base étaient nettement moins prononcées que dans le premier cas ; elles consistaient encore en un certain degré
tait des déformations énormes, analogues il celles de notre premier cas (crâne 7) ; les 4 autres offraient des altération
t parfois extrêmement intense, comme par exemple dans notre premier cas et sur le crâne 7, qui sont précisément de beauco
férieur des choanes, presque de la voûte pa- latine ; dans tous nos cas de Paget, la même ligne aboutit au niveau du ti
probantes : - 1 460 LÉ RI des fosses cérébelleuses, même dans les cas où il n'y a pas de plicature de l'écaille, et u
7 (voir PI. LXVIII, fig. 2 et PI. LXVIII, fig. 2) : c'est dans ces cas surtout qu'on pourrait vraiment parler de platy
s l'achondroplasie, et qui s'observe avec la verticobasie : dans ce cas , l'a pophyse basi la ire étan L devenue plus ve
devenue plus verticale, l'angle sphéno-basilaire se ferme. Dans les cas de maladie de Paget,cet angle n'aurait de raiso
rtaine dimension antéro-posté- rieure et tranversale, mais dans les cas les plus accentués (crânes 1 et 7) elle perd to
PI. LXVIII, fig. 4 et schéma 3). On peut aussi , constater dans ces cas , par suite de cette bascule de la face, une obliq
es, mais qui paraissent constantes, car elles existaient dans nos 7 cas , même en l'absence d'atteinte eliui- quement ap
celte formule radiographique peut être utile pour le diagnostic des cas douteux (comme nous en avons observé un exemple),
cours de cetle affection. Ces déformations de la base sont en tout cas l'origine la plus impor- tante des déformations
récis se sont juxtaposés latéralement. 1,1,. LXVIII. Fio. 1 et 2. Cas n° 1 (personnel). Sur la figure 1, on voit l'én
ICONOGRAPHIE DE LA SALP1 : 7R11`RE. T. XXVI. Pl. LXVIII Fig. 1. - Cas no 1. Fig. 2. Cas ilo 1, face interne de la b
ALP1 : 7R11`RE. T. XXVI. Pl. LXVIII Fig. 1. - Cas no 1. Fig. 2. Cas ilo 1, face interne de la base du crâne. Fig.
ladies, présente toujours un gros inté- rêt clinique, même dans les cas où de tels syndromes et de telles maladies para
s associations constituent la règle; c'est seulement dans des rares cas que ce syndrome se présente seul. Les récentes
mégalie, du moins d'après nus connaissances actuelles. Serait-ce le cas du tabes ? C'est ce que nous allons examiner, e
C'est ce que nous allons examiner, en apportant la contribution du cas que nous venons de suivre dans notre service à la
ctères que les douleurs du tabes. Ceci posé, s'agira-t-il dans ce cas d'une simple coïncidence des deux étals morbide
her- ches à ce sujet d'autres observations, évidemment analogues au cas actuel. Ce sont les cas de Debierre (1) et deBo
utres observations, évidemment analogues au cas actuel. Ce sont les cas de Debierre (1) et deBonardi (2), quoique le diag
de tabes eut été mis en doute par Petren (3). Mais il y a encore le cas de Bassi (4) et plus récemment ceux de Hostoski
de Dercum (6). Il ne faut pas oublier, d'autre part, qu'il y a des cas de coexistence d'acromégalie avec syringomyélie
illeurs, que ces lésions ont été trouvées seu- lement dans quelques cas ; mais n'oublions pas que les observations d'acr
il est bien certain qu'il nous manque encore des (1) Daatsarec, Un cas d'acromégalie avec symptômes tabétiques. Rev. d'o
ossibles entre l'acromégalie et le tahes et savoir si dans certains cas le processus tabétique sera capable d'agir sur
'est pas dans cette voie qu'on doit chercher l'ex- plication de ces cas . - Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T
terons immédiatement sur quelques caractères particuliers : dans ce cas , malgré ce fait que la malade est confinée au l
e simple remarque s'impose tout d'abord : c'est que dans ce dernier cas la paralysie l'emporte de beaucoup sur la déforma
pratiqué sur le pied-bot tabétique. Le diagnostic de notre dernier cas avec le pied tabétique se pose à peine : énorme
avec le pied tabétique se pose à peine : énorme déformation dans un cas avec lésions constatées par la radiographie, dé
dans la production des amyotrophies; s'agit-il au contraire dans ce cas d'un petit foyer très limité siégeant dans la s
dont nos deux premiers malades offrent des types très complets. UN CAS DE MÉGALODACTYLIE UNILATÉRALE DES ORTEILS PAR
par l'hypertrophie considérable des 2e et 3e orteils, FIG. 1. UN CAS DE MÉGALODACT'YLIE UNILATÉRALE DES ORTEILS 477
ce plantaire, beaucoup plus vague à la face dorsale. Fic. 3. UN CAS DE MÉGALODACTYLIE UNILATÉRALE DES ORTEILS 479 L
près une recherche plus minutieuse, que j'avais encore affaire à un cas d'oedème des extrémités inférieures, cas congénit
'avais encore affaire à un cas d'oedème des extrémités inférieures, cas congénital et se présen- tant chez plusieurs me
qué pour la première fois par G. Froin en 1903, fut observé dans 26 cas pendant l'espace des dix dernières années. Tous
rvé dans 26 cas pendant l'espace des dix dernières années. Tous ces cas ont été réunis par G. Aubry dans sa thèse (1909
dien normal et pathologique. Avant Froin, Picard a com- niuniqué un cas , observé par Ballet, et presque dans le même temp
cours de la même année, Babinski, ayant eu l'occasion d'observer un cas de paraplégie spastique, avec;xantochromie, coagu
a complète guérison. En 1904 Cestan et Ravaut publièrent le premier cas suivi de nécrop- sie ; la lésion trouvée fut un
COAGULATION 485 Sicaid et Descomps ont trouvé à l'autopsie de leur cas une gaîne péri- médullaire, depuis le Xe segmen
e et blanche du plasma sanguin. » Tedeschi (1902) a aussi publié un cas de syndrome du cône terminal, chez lequel la né
teints de méningite sarcomateuse diffuse, les deux derniers dans un cas de paraplégie spasmodique, causée par un sarcome
t dorsal. En 1909, Froin et Foy ont trouvé le même syndrome dans un cas de méningite cérébro-spinale, survenue après la
bûcheron. En résumé les observations précédentes indiquent quatre cas de syn- drome complet de la coagulation massive
és cliniques et pathogéniques du syndrome. En effet la majorité dus cas observés par divers auteurs ont présenté des tr
toujours une lésion dans la région inférieure de la moelle. Dans 20 cas , sur les 6 publiés, la paraplégie formait l'éléme
ormait l'élément essentiel du complexus symplonnlique. Trois de ces cas ont continué par une pa- ralysie ascendante.
ndante. Il est à noter que la paraplégie fut signalée même dans les cas avec réaction méningée diffuse. La paraplégie
des membres inférieurs et atrophie musculaire massive (le 3e de nos cas ). On a noté des paraplégies flasques avec aboli-
ésolution des sphincters (Froin, Cestan et Ravaut, Donath, notre 3° cas ), de même que des paraplégies spasmodiques, avec
procès morbide dans les territoires supérieurs du névraxe. Ainsi un cas de Froin a présenté un syndrome Landry, atteign
nts dérivés de l'hémoglobine. La coloration du liquide varie d'un cas à l'autre, ayant parfois un reflet verdàlre (No
uelques gouttes de sérum sanguin frais. Donath a mentionné dans son cas aussi la présence des albumines, fait observé p
les suites de quelque intoxication chronique (alcool, plomb). Les cas de Froin, de Babinski, de Cestan et Ravaut ont ét
'infection (Aubryj. Au point de vue de la tuberculose nous citons les cas de Sicard et Descomps, qui ont attribué au baci
les microbes banals de la suppuration. Ainsi par exem- ple dans un cas de Froin, la maladie a débuté brusquement à la su
use. Donath a observé le syndrome chez un paludique, Lépine dans un cas de rhumatisme vertébral. Dans une série de six
, Lépine dans un cas de rhumatisme vertébral. Dans une série de six cas relevés surtout par les auteurs allemands (1) l
e l'autre, cons- tituant ainsi une pachi-méningite circulaire. - Le cas de Tedeschi concerne une symphyse méningo-médul
herche des bacilles de Koch est restée pourtant négative. Dans le cas de Lejonne et Blaiiclietièi-e, 1 la lésion trouvé
présentant dans sa grosseur plusieurs foyers hémorragiques. Les cinq cas réunis par M. Raven dans sa monographie concern
la pie-mère (Schnitzler). \lestrezat et Roger clans leur dernier cas publié ont trouvé une compres- sion médullaire
Nous avons trouvé les mêmes particularités à l'autopsie de notre 2° cas . Depuis le Ile segment dorsal jusqu'au XI0, les
uxième hypothèse plaident plusieurs constatations faites ' dans des cas de compression médullaire de longue durée avec au
t une albuminorachie type, avec laquelle tend à s'identifier chaque cas similaire donné. Les chiffres les plus notables
) ; ce fait a été noté premièrement par Furbringer (t897). Dans les cas de coagulation massive, il s'agit pourtant d'un
n de la fibrine dans le liquide céphalo-rachidien surpasse dans ces cas pathologiques le taux de fibrine du sang. Au po
Dernièrement Nonne a communiqué à la Société médicale de Hambourg un cas nouveau (séance de 25 juin 1912) dans lequel, b
itaux, 5 novembre 1903) a indiqué comme éléments constants dans ces cas l'absence du coagulum fihrineux. Celle remarque
paradoxal n'est pas difficile à donner. En effet à la nécropsie des cas de grandes hémorragies méningées on constate [ou-
ssociation z du coagulum, la formule leucocytaire qui dans quelques cas s'approche, àcausedeJ"augment¿ltion du nombre d
u sang, enfin les lésions des vaisseaux méningés, trouvées dans tel cas à la nécropsie, démontrent que presque toujours
a nécropsie, démontrent que presque toujours il se produit dans ces cas un épanchement sanguin. Il s'agit probablement
ondaires l'inflammation méningée et les hémorragies. Dans plusieurs cas on a trouvé à la nécropsie, dans la masse du néop
du culot obtenu par centrifugation du liquide céphalo-rachidien des cas de xantochromie et coagulation massive indique
x élément de diagnostic des néoplasmes rachidiens (1). Enlre les 47 cas avec hyperalbuminorachie, réunis par Raven (1912)
ression médullaire. (1) Tout dernièrement le D'Jancke a publié deux cas de tumeurs rachidiennes, vérifiées par opératio
lo-rachidien coïncidait avec une lymphocytose de 9-20 mmc. L'un des cas présentait aussi xantochromie et coagulation spon
yndrome de la xantochromie, et de la coagulation massive, el en six cas l'ont repro- duit intégralement, nous sommes po
ie du li- quide céphalo-rachidien sans éléments cellulaires uons un cas de sarcome de la dure- mère. C. H. Soc. Biol.,
erminale. Soc. méd. des hôp., 27 mars 1903. CASTAIONS et WE ! L. Un cas d'hémorragie méningée avec biligénie hémolytique
tion en masse etxantochromie du liquide céphalo-rachi- dien dans un cas de pachy-méningo-myélite. Gaz. des hôp., 6 septem
MARINESCO ET RADOVICI DUFOUK. Du liquide céphalo-rachidien dans un cas d'insolation. C. R. Soc. Biol , février 1909.
). Coagulation et xantochromie du liquide cé"llOlo-mchidien dans un cas de méningo-myélile de la queue de cheval. Gazetta
uc. de Biol., 14 dé- cembre 19Ul. MAHMESM G. et GOLOSTEIN M. Deux cas de pseudo-tumeur cérébrale : méningite séreuse
et Radouci, 484. Cerceau (Processus de réparation dans le -. Un cas de menillgo-encéphallte chronique avec attaques
agitante), par Haskovec et HAST.\, 127. Névrome d'amputation, un cas , par Dustin et LIPPE,;%, 32,. OEdème congénit
. Omnplates ailées physiologiques, par Hnatek, 223. Orterls (Un cas de mégrtlodnctylie unilatérale des -), par t'11
r Marie et ItooTten,473. Processus de réparation dans le cerveau. Cas de mpninqo-eflcephabte ? ironique avec at tique
il·EN, 43-3. Profichet (Srlndrome de' (1- tude , adioloyique d'un cas de sclérodermie. Analogies avec le -), ), par B
ow, par 1111HIXESCO et Goldstein. 272. - (Elude radiologique d'un cas de -. Ana- logies avec le syndrome de Profichet
de Broca, 331. AUSTIOEGE'ILO (A.) (de Itio-de-Janeirol. Sur un cas d'atropine musculaire chez un nègre, 430. Bab
l topographie en cein- turne, 309. Barbé (A.) et Roubinovitch. Un cas d'agé- nésie partielle du corps calleux. 407
ynas- tie. Trouvaille radiographique, 63. Etude radiologique d'un cas de scléro- dermie. Analogies de la sclérodermie
ndrome oxycéphali- que, 422. Ciiariëxiier (J.) (de Prémontré). Un cas de mégulodactylie unilatérale des orteils, 47
DusTIN (A. P.) et LIPPENS (Adrien) (de l3rmrIIPS). A propos d'un cas de névro- me d'amputation, 324. F.%uitE-1F.IU
et de la bonté, 56. LII'PENS (Adrien) et Destin. A propos d'un cas de névrome d'amputation, 324. Manheimer Gommés.
Neiding (\1.) et RAi3llSTE. Les modifications de la moelle dans le cas de tumeurs sié- geant dans la fosse postérieure
xtenseur propre du pouce, 234 Parhon (C. I.) et Bacaloglu. Sur un cas de vitiligo il topographie en ceinture, 309.
l des tumeurs de la moelle, 37. Roubinovitch (J.) et Barbé (A.). Un cas d'agénésie. partielle du corps calleux, 407.
Snessmieff (P.). Du processus de répara- tion dans le cerveau Un cas de méningo- encéphulite chronique, 433. Souqu
rodermie (Marinesco et GOLDSTEIN), XLII. Cerveau, lésions dans un cas d'aphasie (UEjEBtKE et AN[)nÉ-THO : ns), XLIX à
6 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du tabès et qui, selon Striimpell, demeureraient indemnes dans les cas types de cette maladie. De l'existence des « fi
ffisent point pour expliquer la dégé- nération. D'ailleurs, dans le cas d'une lésion de déficit des cellules des gangli
e nouveau, écrit Redlich, après l'étude d'un . très grand nombre de cas de tabès ; j'ai eu entre autres l'occasion d'ob
bre de cas de tabès ; j'ai eu entre autres l'occasion d'observer un cas avec participation très inégale au processus des
oelle lombaire et de la plus grande partie de la moelle dorsale les cas où les extrémités inférieures et tout le tronc
» Aux symptômes les plus précoces du tabès appartiennent, dans les cas ordinaires, l'abolition des réflexes pmetellair
aujourd'hui dans la région de la deuxième lombaire. Comme, dans les cas de tabès ordinaire, la région de la moelle lombai
'on applique ces données à l'ataxie du tabès, on verra que dans les cas où, sur une étendue considérable, toutes les fibr
oublées, l'ataxie des mouvements doit en résulter. Mais c'est là un cas relativement rare : d'ordinaire, aux stades ini
ension segmentaire de la dégénération tabétique. Qu'on suppose un cas dans lequel une série de racines soient affecté
r- ticaux, sans doute aussi dans le cervelet » (p. 102). Dans les cas récents de tabes, alors que les dégénérations son
nt lésées dans leur fonction. On com- prend donc que, même dans des cas d'ataxie grave, on ne constate quelquefois que
érations secondaires descendantes des cordons postérieurs, dans des cas de compression et de lésions traumatiques de la
e des voies courtes, les dernières des voies longues. 1 Dans deux cas de lèpre étudiés par E. Janselme et Pierre Marie
imum de lésions du système exo- gène. Sur des coupes provenant d'un cas de myélite transverse, les auteurs ont constaté
sceau en vir- gule et le triangle cornu-marginal. Or, dans les deux cas de lèpre le triangle cornu-marginal, qui n'est
uraient ici été atteintes. Ils concluent ainsi : « 1- Dans certains cas de lèpre, il existe des lésions des cordons posté
leines crises convulsives subintrantes, avec hyperthermie. Ces deux cas sont en contradiction avec l'opinion classique
cherches bibliographiques, que nous avons faites pour retrouver des cas analogues, ont été infructueuses, et les quelqu
retrouver des cas analogues, ont été infructueuses, et les quelques cas de coexistence de fièvre typhoïde et d'épi- lep
la cessation et sont les avant-coureurs de la convales- cence. Les cas , où l'épilepsie persiste malgré les symptômes i
té jugulées. » Rauzier publie, dans le Bulletin médical de 1894, un cas d'hystérie ayant simulé le syndrome agonique au
rique pour le premier et un épileptique pour le deuxième). Les deux cas furent suivis de mort, mais dans l'un et l'autr
ème). Les deux cas furent suivis de mort, mais dans l'un et l'autre cas , les auteurs sont muets sur les manifestations
ctales montaient par le bain à 39 et 40°; mais d'autre part dans ce cas , il n'y a pas eu suppression d'accès, car les a
classi- que du febris accedens spasnios solvit. A l'exception du cas publié par Rouzier, au cours de l'épi- démie do
négatif dans cette dernière). Nous publions ici seulement les deux cas où l'épilepsie survenue en pleine hyperthermie
es à expliquer pourquoi nos deux sujets ont succombé; mais ces deux cas nous engagent à ne plus envisager la réappariti
hôpital urbain destiné à admettre le plus promptement possible les cas aigus et devant servir, dans les villes univers
toute ville universitaire. L'hôpital de séjour transitoire pour les cas aigus, la clinique psychiatrique doit être situ
médic. psychol., 1868, p. 456.) 30 ENSEIGNEMENT. (25 p. 100 des cas aigus), et aménagé spécialement en vue de cette
seignement. Il convient donc d'avoir à sa disposition beaucoup de cas aigus (ce sont ceux pour lesquels on est consulté
onsulté surtout dans la pratique) ; de faciliter l'admission de ces cas aigus. Les cas chroniques présentent moins d'in
dans la pratique) ; de faciliter l'admission de ces cas aigus. Les cas chroniques présentent moins d'intérêt, mais dev
e néan- moins présentés : les malades seront choisis soit parmi les cas aigus entrés à la clinique et passés à l'état c
ent transférés pour quelques jours. Pour assurer le recrutement des cas aigus il faut un prix de pension faible, l'admi
erviraient de bu- reau d'admission, d'hôpital de traitement, et, le cas échéant, de clinique de psychiatrie. Les autres
ura éga- lement 200 lits. On estime à 50 p. 100 la proportion des cas aigus (agités et malades à surveiller); et l'on
ravents), par les bains très prolongés, le repos au lit, et dans le cas d'agita- tion violente, par le séjour dans un l
soit suspendue par l'action d'un toxique (confusion), dans tous ces cas il est urgent de laisser reposer l'organe intox
llection s'en- richit tous les jours, de sorte qu'à l'occasion d'un cas spécial il peut faire passer devant les yeux de
passer devant les yeux de ses auditeurs les projections de tous les cas analogues qui représentent les diverses phases de
0. Le résultat total et la conclusion, c'est que dans 15 p. 100 des cas le malade n'était pas guéri et n'aurait pas dû
s guéri et n'aurait pas dû être réputé tel ; que dans 17 p. 100 des cas la guérison n'a pas été complète et que dans 67
des cas la guérison n'a pas été complète et que dans 67 p. 100 des cas , la guérison a été absolue et complète. · R. de
ielle de l'épanchement sanguin. R. de Musgrave-Clay. IV. Quelques cas tirés de la pratique des maladies mentales, par
le du D1' Oswald dans le Glttsqoiv Médical Journal, où il relate un cas d'empoison- nement par le sulfonal. Depuis la S
aine Médicale a publié un article du professeur Lépine relatant dix cas de mort après l'emploi du sulfonal, survenus to
nt passées dans le domaine subconscient, pour devenir dans certains cas tout à fait automatiques et absolument sous- tr
s'y est volon- tairement abandonné. Ceci est presque prouvé par les cas où le sujet, ayant résisté à la tendance hérédi
i elle existe réellement, n'est pas indispensable à établir dans le cas qui nous occupe : elle est d'ailleurs arbitraire
e monde est d'accord : ce que l'auteur soutient c'est que parmi ces cas , il y en a dont les symptômes sont dus à des lé
urer le temps nécessaire à la guérison. R. M. C. VI. Notes sur un cas de fracture du péroné chez une mélancoli- que,
vus de raison. R. M.-C. 52 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VII. Un cas de concussion du cerveau simulant le delirium tre
qu'elle se rencontre à un degré plus ou moins accusé dans tous les cas de mélancolie, plus accentuée dans les cas grav
ins accusé dans tous les cas de mélancolie, plus accentuée dans les cas graves et surtout dans ceux ! 1 qui s'accompagn
folie due à une lésion syphilitique de la convexité. Ileaucoup de cas , sinon tous les cas de syphilis cérébrale dans
sion syphilitique de la convexité. Ileaucoup de cas, sinon tous les cas de syphilis cérébrale dans lesquels la folie a
ysie générale des aliénés. Cette classification ne renferme que les cas dans lesquels il existe comme cause des symptôm
tit à la guérison ; s'il a dépassé la période moyenne de la vie, le cas se termine promptement par la démence : c'est l'e
r propose de désigner sous le nom de dep2,irne ? itia. Dans les 500 cas qui ont servi de base aux recherches de l'auteu
ordinairement que symptomatique). R. DE nlUSGIIA'E-CL : 1Y. XIII. Cas d'impulsion au suicide en état d'automatisme céré
de la psychologie et de la médecine légale. L'auteur rapporte trois cas dans lesquels l'impulsion au suicide s'est mani
impulsion au suicide s'est manifestée dans cet état automatique, un cas d'épilepsie, un cas d'épilepsie avec alcoolisme
s'est manifestée dans cet état automatique, un cas d'épilepsie, un cas d'épilepsie avec alcoolisme, et un cas d'alcoolis
ique, un cas d'épilepsie, un cas d'épilepsie avec alcoolisme, et un cas d'alcoolisme pur. Ces cas ne présentent aucun c
cas d'épilepsie avec alcoolisme, et un cas d'alcoolisme pur. Ces cas ne présentent aucun caractère particulier, mais o
e est éliminée, la simulation de l'amnésie, avantageuse au sujet en cas de crime, inutile même en cas de survie au suic
de l'amnésie, avantageuse au sujet en cas de crime, inutile même en cas de survie au suicide. R. DE il LIS(3 RAVL- CLAY
. C. Bristowe. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) Les cas d'aliénation mentale sont une source d'embarras e
a pratique privée. La première pensée du méde- cin en présence d'un cas de folie est tout à la fois de dégager sa respo
cultés on se heurte. Il n'est pas toujours facile de décider si le cas estjusticiable d'un certificat d'aliénation ; l
ge du malade qui s'oppose à son internement : bien souvent dans ces cas , le meilleur traitement du malade, c'est le trait
o/'Jf6n<a< Science, janvier 1898.) Ces notes comprennent cinq cas de lésion mitrale, trois cas de dégénérescence
vier 1898.) Ces notes comprennent cinq cas de lésion mitrale, trois cas de dégénérescence cardiaque, et un cas de vice
cas de lésion mitrale, trois cas de dégénérescence cardiaque, et un cas de vice de conformation con- génital. R. ni.-C.
facteurs étiologiques. L'étiologie syphilitique a été clas- sée en cas : d'origine syphilitique certaine, probable, prob
rigine syphilitique certaine, probable, probablement négative et en cas négatifs. Dans près de 80 p. 100 des cas, la sy
robablement négative et en cas négatifs. Dans près de 80 p. 100 des cas , la syphilis peut être considérée comme certain
ble. Son absence peut être affirmée avec quelque certi- tude dans 7 cas . La durée d'incubation entre l'accident primitif
paralytiques et des déments séniles. Il existe à côté de cela des cas simples à évolution rapide aboutissant à la gué
rouvait au moment où a débuté la maladie. P. Keraval. XVIII. Deux cas d'idiotie familiale amaurosique. (The Journal of
(The Journal of nervous and mental Disease,mai 1900.) L'un de ces cas est présenté par Hugh T. Patrick, l'autre par S
y Kuh. L'examen ophthalmoscopique est fait par Chas II. Beard. 4e cas (celui de Patrick). L'enfant présente les manifes
s non plus rouge-cerise ou carmin, comme cela se voit dans d'autres cas , mais très nettement brunâtre. Au lieu de coïncid
eut suivre les plus petits d'entre eux jusqu'au point central. 2e cas (celui de Kuh). Idiotie, amblyopie progressive, g
ns cette affection. Les lésions ophtalmiques sont, dans ce deuxième cas , exactement les mêmes que dans le premier, à te
e aiguë due aux lésions bulbeuses et décrit une classe distincte de cas dus aux lésions aiguës de la colonne postérieur
gées, ayant généralement un historique spécifique. Il mentionne des cas personnels, ainsi que les écrits dont ils sont
'après l'expérience personnelle de l'auteur basée sur l'étude de 16 cas traités par lui dont 3 autopsies. ' Voir les 11
ses suites, soit à l'alcoolisme, etc. ; 2° Remarquons que dans les cas d'affection des zones endogènes ces altérations
distinctes de la moelle, sont très diffi- ciles à constater; 4° En cas de processus très développé, il existe une cert
oire même des ganglions. Cela posé, je suis porté (me basant sur 16 cas de M. Sibelius assistant à l'Institut) à consid
clue, ni même celle d'une dégénérescence par transmission. Dans 2 cas de lèpre, les altérations de la moelle étaient év
rapprochant de celles du tabes, mais la syphilis ayant précédé, ces cas sont sujets à caution. Vu leur analogie, je par
gie, je parlerai simultanément des tumeurs intra- craniennes et des cas compliqués de pression intra-cranienne atig- me
6-43. ans), 2 avec pres- sion intra-cranienne très forte) et sur 5 cas de pressions, dont3 très intenses, dues soit à
leurs collatérales, surtout réflexes. De plus on trouve, surtout en cas de pression intra-cranienne excessive, des libres
proportionnelle à cette pression, par exemple, très nette dans les cas d'hydrocéphalie excessive, à peine notable dans
ine, les altérations des cordons posté- rieurs, dans les groupes de cas où il y a ordinairement aussi des névrites péri
es de fibres, mais en rapport intime avec les vaisseanx. Dans les cas où les neurones 2° et 3° prédominent, ce qui est
vent même faire défaut. Pour m'en tenir à l'alcoolisme chronique (4 cas , âge 30, 32, 36, 59), il y eut.dans deux cas al
lcoolisme chronique (4 cas, âge 30, 32, 36, 59), il y eut.dans deux cas altération des fibres sensitives, surtout dans
e la moelle altération distincte des cordons de Goll. Dans tous les cas épaississement des septa et des vaisseaux, souv
lération ou disparition des fibres autour d'eux. Dans un des deux cas précités, neurites périphériques très pro- nonc
les altérations dans la moelle. SOCIÉTÉS SAVANTES. -1 f Dans les cas de cancer (11, dont 7 de l'estomac, âge 36-58 ans
racines intramédullaires, quoique peu prononcées (Marchi). Dans 6 cas (5 de l'estomac), petits foyers de dégénération,
t plus qu'ici aussi il y a sans doute souvent, de même que dans les cas précédents, dégénération primitive quoique légè
ive quoique légère des fibres exogènes. Dans le marasme sénile (4 cas , 73, 77, 80, 81 ans), il y a aussi épaississeme
aux lésions purement syphilitiques de la moelle (une ving- taine de cas ), soit dépendantes des altérations des méninges o
ue les conclusions qui découlent d'une analyse plus complète de mes cas . Etiologie. La fréquence plus grande de cette m
s qu'il s'agisse néces- sairement de névrose. Je crois que dans ces cas il existe une fai- blesse particulière de la mo
69 porté à une infection ou intoxication aiguë : saturnisme (deux cas ), paludisme, infection, colite, grippe. Dans 10
ux cas), paludisme, infection, colite, grippe. Dans 10 p. 100 des cas environ (deux fois dans mes seize obser- vation
vations), on trouve le syndrome de l'anémie pernicieuse. Dans ces cas la maladie peut suivre une marche typique, évo-
ataxie, la paraplégie, et emportant le sujet dans l'espace d'un an ( cas de M"0 M..., rapporté dans ma troisième communi
émie pernicieuse soient différentes de celles qu'on trouve dans ces cas . Très souvent l'anémie pernicieuse évolue sans
ar la mort ne dépasse pas deux ans. Il en a été ainsi dans tous les cas où l'autopsie a été faite. Toutefois, j'ai plus
aigu, les principaux caractères anatomiques du tabès vrai. Dans ces cas l'emploi de la méthode de Marchi permet de consta
niveau des nerfs radiculaires. La lésion du nerf optique dans ces cas est absolument compa- rable aux lésions des rac
uer moins vite ; les colonnes de Clarke sont intactes même dans les cas avancés. La sclérose du cordon antéro-Iatéral e
t une vieille femme atteinte de la maladie de Parkinson. Sur deux cas avec autopsie de paralysie spinale antérieure sub
par Philippe et CESTAN (de Paris). Ces auteurs ont pu étudier deux cas de cette affection. La mala- die a débuté par l
affection. La mala- die a débuté par les membres inférieurs dans un cas , par les mains dans l'autre cas. Elle a consist
par les membres inférieurs dans un cas, par les mains dans l'autre cas . Elle a consisté en une atrophie musculaire pro
une sclé- rose légère des cordons antéro-latéraux empiétant dans un cas très légèrement sur le faisceau pyramidal, mais
smodiques s'associer à une atrophie musculaire progressive, dans un cas où, à l'autopsie, les cordons latéraux ont été
deux auteurs ont cité trois faits de ce genre ; il s'agit de trois cas de sclérose latérale amyotrophique, où les manife
u d'intensité des phénomènes spasmodiques. A l'autopsie des trois cas on a trouvé, sur toute la hauteur de la moelle, d
pho- tographies et projections.) , SOCIÉTÉS SAVANTES. 7g Sur un cas d'Hémiplégie permanente chez un Tabétique ; par
ies dans le service de notre maître, M. Ba- binslci, et sept autres cas puisés dans divers auteurs. Nous avons pu en ob
ans atrophie musculaire, des muscles anté- rieurs de la jambe. Le cas que nous venons de rapporter vient aussi s'ajoute
veau sur l'importance du signe de Rabinski qui permet seul dans des cas semblables de mettre en évidence la sclérose du
ous venons en effet d'observer à la Clinique de la Salpêtrière deux cas très intéressants dans cet ordre d'idées. Nos d
times avec la syphilis et que~cette infection produit dans bien des cas de la sclérose du système pyramidal. Si la fréq
ième groupe il y a une catégorie de faits dont j'ai déjà réuni sept cas , sur les- quels je veux attirer l'attention d'u
pouvait faire. J'ajoute qu'il y a intérêt pratique à à dépister ces cas frustes de scléroses combinées qui représentent
thésie en selle. L'auteur a eu l'occasion d'ob- server une série de cas avec une lésion probable de la substance grise
Le symptôme complexe très caractéristique consistait dans tous ses cas en : 10 Intégrité des réflexes rotuliens (signe d
urable du nerf sciatique poplité externe (nerf péronier). ' j Des cas analogues ont été observés par Kocher, Muller, St
la syringomyélie ; par Préobrajensky (de Moscou). , Autopsie d'un cas de paralysie infantile; par Sitta (de Prague).
ctériologiques et expérimentales. J'ai eu l'occasion d'examiner six cas de myélite aiguë, et dans deux d'entre eux j'ai c
ent de la moelle au bout de quelques jours ; or, dans mon cinquième cas , la myélite, qui avait présenté un début aigu,
orté le malade que trois mois après son apparition. Dans le sixième cas , il s'agissait d'une myélite que j'ai décrite p
ioles radi- culaires antérieures et postérieures. Dans les nombreux cas de paralysie infantile que j'ai eu l'occasion d
escendante, ainsi que mes études avec Pierre Marie et Oettinger, le cas de Ballet et Dutil, l'ont montré ; parfois elle
jèriiie, Iahler, Pitres et Vaillard, Raymond) ; moi-même j'ai vu un cas remarquable de ce genre. La plupart des microbe
rouvé le même insuccès dans l'emploi du bleu de méthylène dans deux cas de méningo-myélite. Contre les dou- leurs viole
line sont diffuses, mal colorées, et les cylindraxes tuméfiés. Un cas de t7ophoedè ? ne chronique héréditaire ; par Lan
aire ; par Lannois - (de Paris). M. Lannois (de Lyon) rapporte un cas familial de cette variété d'oedème névropathiqu
ronique blanc, dur, indolore, à distri- bution segmentaire. Dans le cas le plus étudié le diagnostic devait être fait a
être fait avec le myxoedème. Il s'agit vraisemblablement, dans ces cas , d'une dystrophie du tissu conjonctif et vasculai
ois d'insuffisance marquée de la dépuration urinaire. Dans tous les cas nous avons noté une suractivité de la circulati
cas nous avons noté une suractivité de la circulation rénale. Un cas de Polyurie avec Lésion du IVO Ventricule; par SV
rme atténuée de spon- dyle rhyzomélique survenant contrairement aux cas habituels chez une femme et une femme âgée. Y
iculaires, Il existait des tremblements fibrillaires clans les deux cas de M. Milian. Dit paramyoclonus symplomatique
évi a observé pendant son internat dans le service du Dr Raymond un cas de paramyoclonus symptomatique d'une affec- tio
Les auteurs viennent d'observer dans le service du Le Mathieu un cas de paramyoclonus symptomatique d'origine confuse
uve de l'eedème cérébral très accentué. .SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 Un cas de Ferrero où le paramyoclonus est en rapport ave
rt avec une toxémie mixte par néphrite mixte est à rapprocher de ce cas . Hématomyélie. M. Laignel-Lavastine présente un
ier au récent Congrès de Paris. Critipes de moelle provenant d'un cas de tubes associé ci une paehy- méningite d'orig
on cervicale et le haut de la région dorsale. M. Marie considère ce cas comme une rareté, sur de très nom- breuses auto
ailleurs qu'une pure concomitance due au hasard. On devrait en tout cas toujours exa- 88 SOCIÉTÉS SAVANTES. miner l'é
5, à l'aide de la méthode de Nissl, les ganglions spinaux dans deux cas de tabès associé à la paralysie générale. N'aya
l'aide des méthodes les plus récentes, les ganglions spinaux dans 9 cas de tabes. Dans presque tous ces cas j'ai trouvé d
s, les ganglions spinaux dans 9 cas de tabes. Dans presque tous ces cas j'ai trouvé des lésions différentes d'aspect et
trouvé des lésions différentes d'aspect et variant d'intensité d'un cas à l'autre : désintégration des éléments chromat
ns cutanées ci disposition segmentée. M. Haciiard com- munique deux cas ayant présenté cette particularité : 10 Une fem
tion de la boîte crânienne. M. Regnault. Je ne rapprocherais par ce cas de ceux de M. Lan- nelongue ; je le leur oppose
it qu'elle a abouti à un très beau succès. ' 111. Voisin. Dans le cas de M. Aubeau, la symptomatologie ressemble tout
omprend donc qu'une influence morale puisse être salutaire dans des cas de cette nature'. 1. M. PAU de Saint-Martin. Po
M. PAU de Saint-Martin. Pour mon compte, je puis témoigner de deux cas de noevus maternus guéris, l'un à Lourdes, l'autr
ns la production ou l'évolution de certaines maladie, je citerai le cas de trois jeunes filles que j'ai soignées dans les
r rr s2. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Deux nouveaux cas de folie gémellaire ; . ParteD'A.CULLERRE, Mé
liénés de la Roche-sur-Yon. i Je me propose de présenter ici deux cas de folie gémel- laire que j'observe depuis de n
us allons décrire, cela fait, sauf erreur ou omission, trente-trois cas de folie gémellaire connus jusqu'à ce jour. ' A
opathies ? Cela ne saurait faire doute si l'on met de côté quelques cas où il semble que chez l'un des jumeaux il se so
permet pas, comme le montre bien M. Soukhanoff, de ranger tous les cas dans une seule caté- gorie clinique, répond à c
t en effet ce que démon- tre l'observation. Dans un grand nombre de cas , c'est sur le terrain de la débilité mentale na
geable. La gémellité paraît être, en effet, au moins dans certains, cas , un mode inférieur de la génération déterminé p
leurs que Shatz l'avait déjà indiqué, que dans un certain nombre de cas , la gros- ' Société obstétricale de Paris, juil
ros- ' Société obstétricale de Paris, juillet 1879. DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 99 sesse géméllaire, en ap
el appartient précisément la folie gémellaire, dans la majorité des cas . Mais ce n'est pas tout : à ces facteurs déjà s
et parfois à un degré intensif. Pour M. Marro 3, qui a publié des cas intéressants de folie gémellaire, elle est la m
en effet ce que confirme, croyons-nous, la clinique. A. part les cas de psychose gémellaire vraie, on rencontre souven
ans tare dégénérative marquée ; aussi voit-on ici les DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 101 formes psychologiques
on trouverait sans doute, dans la littérature médicale, de nombreux cas analogues. Dans le travail récent de M. Christi
on cérébrale mortelle d'origine alcoolique'. Je relève un troisième cas dans une communi- cation faite par Mlle Robinow
des jumeaux est susceptible de diverger puisque, dans 30 p. 100 des cas , les enfants naissent avec une différence de po
aire avec ses caractères de concordance, sinon d'identité. Les deux cas que nous allons maintenant présenter et qui ont
un alcoolique d'une santé précaire, fils unique dont DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 103 le père est mort d'une
ises courtes et subites qui se traduisent surtout par DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 105 des mouvements automat
idées délirantes. Elle n'a aucune mémoire, ne se rap- DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 107 pelle rien, n'a pas co
bien leurs photographies. - Je n'insiste pas sur l'étiologie de ce cas , qui répond si exactement à ce que nous avons p
ns pu recueillir aucun renseignement sur l'enfance et DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 109 l'adolescence des deux
ère classe, chirurgien de la Légion d'honneur, etc. » DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 111 Si l'on veut bien se r
et s'occupe régulièrement aux travaux agricoles. , DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. J J 3 En 1899, il se mit t
: il n'y a que des ressemblances dont la somme, dans une foule de cas , compense à peine, ou même ne compense pas celle
intense qu'elles disparaissent en totalité, quoique, dans d'autres cas , leur masse ne souffre qu'une réduction plus ou m
ent plus vraisemblable. Redlich a rappelé d'ail- leurs lui-même des cas d'Oppenheim et de Siemerling où le second neuro
tion des fibres des cordons postérieurs. Stroebe a trouvé, dans trois cas de tabes, à différents stades, des altérations
ion partielle des cellules de ces ganglions. Cliiari, dans tous les cas graves de tabès, a trouvé, sans exception, des
nisation de leur protoplasma, des atrophies nucléaires, etc. Dans un cas de tabes avancé, Oppenheim, comme Siemerling (1
n de Nissl, ne présente aucune altération proprement dite. Dans des cas .de tabes absolu, où les racines postérieures p
TOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 119 tabes absolu (deux cas ) et dans le tabes naissant, Schaffer a bien l'i
ce chromatique se colore d'une manière plus intense dans le dernier cas que dans le premier, encore que la grosseur et
résultats que K. Schaffer : dans des préparations provenant de deux cas de tabes, l'état de la substance chromatique ne d
u commencement de l'affection des cordons postérieurs ; même en ces cas , il est bien vraisemblable qu'il ne s'agirait p
la plupart des affections tabétiques, il reste un certain nombre de cas qui paraissent justi- ciables d'autres facteurs
sible existât entre le tabes et l'intoxication saturnine 2. Dans un cas qu'il a publié, celui d'un ouvrier en bronze de
ue peut produire une lésion des racines postérieures, comme dans le cas de Redlich, et, par conséquent, une dégéné- rat
DU TABES. 128 tabes (Braun, Pal, Stieglitz). On peut, pour quelques cas de para- lysie générale progressive, soutenir l
articipent donc aux pro- cessus de dégénération du névraxe. Dans un cas de paralysie générale observé par A. floche, le
fréquemment qu'on les rencontre « dans les deux tiers au moins des cas »'. Au point de vue clinique, des tabétiques avér
la période préataxique du tabes. Les deux affections, dans d'autres cas , débutent simultanément'. Dans d'autres cas enc
fections, dans d'autres cas, débutent simultanément'. Dans d'autres cas encore, les manifesta- tions psychiques sont le
paralysie générale est accompagnée de tabes dans les deux tiers des cas au moins, une statistique de Fürstuer, invoquée
, invoquée par Pierre Marie ainsi que par Hoche, ne signale sur 118 cas de paralysie générale que 28 fois seulement les
tre. Les cordons latéraux des pyramides sont plus atteints dans les cas de lésion pure que dans les cas de lésion combi
ramides sont plus atteints dans les cas de lésion pure que dans les cas de lésion combinée de ces cordons. Les cordons an
ssociées à celles des cordons laté- raux et postérieurs. « Dans les cas où la lésion siégeait sur les cordons postérieu
issu du ganglion spinal est presque toujours normal, même dans les cas anciens. Aussi incline-t-il à croire que l'infect
section des nerfs moteurs, qu'il ne s'agit pas en réalité, dans ces cas , d'une névrite ascendante, mais d'une réaction
h. D'autres auteurs, tels que Marie, parlent au contraire, dans les cas d'amputation, de dégénération, de « sclérose»,
bès ». Il peut même affirmer, de. par son expérience, qu'il y a des cas , à la vérité très rares, où ne parait exister auc
ipation des nerfs crâniens au processus tabétique; c'est surtout le cas pour le nerf optique. Aussi bien on connaît les
corticale. - Le nerf optique est souvent atteint dans le tabes. Les cas où ce nerf est particulièrement affecté constit
prétation de la nature du dégoût chez les tabétiques est, en - tout cas , d'une rare pénétration et témoigne d'un sens aus
théorie de Flechsig ne saurait être entièrement -écartée. En tout cas , il demeure constant, ainsi que l'avait établi Re
maladie exo- 'géne. Redlich admet que, dans « plus de la moitié des cas » de 'tabes, la syphilis doit être considérée c
eztul Science, jan- vier 1900.) . Cette statistique porte sur 220 cas ; elle montre, que bien que dans des cas excepti
e statistique porte sur 220 cas; elle montre, que bien que dans des cas exceptionnels la rigidité cadavérique puisse disp
hémiplégie gauche. Guérison. Les points les plus remarquables de ce cas sont ceux qui aident à élucider la pathogénie d
auteur'juge très inté- .ressante et qu'il n'a rencontrée que dans 5 cas , dont il donne le ^résumé succinct. Dans ces ca
contrée que dans 5 cas, dont il donne le ^résumé succinct. Dans ces cas , la matière chromophile manque ^absolument dans
a très peu de pigment. La cellule ne présente -dans la majorité des cas aucune anomalie de forme; elle est grande ,et é
inistration de certains poisons, elles ont été rencontrées dans des cas tels qu'elles résultent proba- blement de l'act
ur les cellules nerveuses. 11 est .digne de remarque que dans les 5 cas où l'auteur a constaté ce 'genre d'aftéaiion, l
e Marinesco a signalée après la section d'un nerf moteur. Dans 71 cas de folie l'auteur a pratiqué l'examen méthodique
ppement est essentiellement propre à l'homme. Le . petit nombre des cas examinés n'a pas permis d'établir des conclu- s
formes de folie de nos classifications cou- rantes. · Sur les 71 cas examinés (26 hommes et 45 femmes), il y en . av
a disposition que l'auteur considère comme nor- male. Dans tous les cas , naturellement, il y avait des cellules où la s
type normal. L'auteur ne prétend pas en déduire que, dans tous ces cas , l'état normal de cet élément particulier impli-
culière- ment constantes est la démence secondaire. Il est, en tout cas , intéressant de noter que dans une proportion d
1,7 p. 100, on a pu constater une déviation du type normal dans des cas d'aliéna- .tion mentale dont un certain nombre
ncent, Sin- ger, Boisset, Brault, etc. et auxquelles ils ajoutent 3 cas inédits de polynévrite due à la malaria, dont u
ie musculaire, albuminurie, et oedème final. D'après l'ensemble des cas observés, les névrites paludéennes semblent car
cieux, ou bien alterner avec des séries d'accès, ce qui est dans ce cas un bon moyen de diagnostic de spécificité de la
lbaires. L'affection est longue toutefois à rétrocé- der ; dans les cas bénins, il peut y avoir guérison, en général il
ique. gauche sui- vant la méthode, de P. I)elbct. ' G. D. XII. Un cas de lipomatose symétrique par métaplasie graisseus
ples variétés individuelles de la cellule normale. ' G. D. Xi. Un cas de cysticerques multiples de l'encéphale ; un cas
e. ' G. D. Xi. Un cas de cysticerques multiples de l'encéphale ; un cas de thrombose de la veine de Galien ; par les DI
établit dans ce travail iL la suite des recherches faites sur deux cas de destruction de la, moelle lombo-sacrée chez
; la force de la pesan- teur suffit seule. C'est ainsi que, dans un cas d'atrophie totale du triceps brachical; l'exten
tération de la sensibilité du système pileux. Deux observations. Un cas de paralysie de Brown-Séquard ; la sensibilité
tent tout aussi bien les dendrites que les cylindres-axes; Dans les cas d'éthérisation prolongée ou répétée, certaines
couverls de granulations sont suscep- tibles de le réparer dans le cas d'éthérisation modérée. G. DERNY. XXIX. La ps
uleuse expérimentale donne lieu, dans la très grande majo- rité des cas , à un processus diffus et étendu à tout le réseau
processus diffus et étendu à tout le réseau pie- merien ; dans des cas plus rares, elle peut donner naissance à de la
-dire des V° et VI' racines cervicales. Sur l'évolution de quelques cas de Paralysies Radiculaires du Plexus Brachial;
u Plexus Brachial; pur E. HuEr (de Paris). Parmi une trentaine de cas de paralysies radiculaires du plexus brachial,
ave qu'elles comportaient. Parmi les autres l. Iluet retient quatre cas qu'il a pu suivre pendant plu- sieurs années; b
; par MM. HuEr, DUVAL et.GLILLlII\ (de Pans). Nous avons observé 26 cas de paralysies radiculaires trau- matiques du pl
le creux axillaire une température augmentée (3î ? à 380,4 dans le cas de l'auteur). Lorsque la maladie est constituée
iables, sclérose générale des circonvolutions; enfin, comme dans ce cas , à une transformation kystique de nature inflam
neville et Crouzon présentent, par comparaison, un exemple. Dans le cas actuel les lésions rappellent celles de cer- ta
TÉS SAVANTES. - Les sujets présentant une hémiplégie organique (les cas de trau- matisme ou de lésions intra-craniennes
de Todd). L'hémiplégie hystérique est, dans la grande majorité des cas , associée à l'hémianesthésie sen- sitivo-sensor
ne altération fonctionnelle en foyer. Dans la grande majorité des cas , seul l'ensemble des symptômes, intimement liés
e saurait être simulée par 1' « apoplexie hystérique » que dans les cas tout à fait exceptionnels. Il. Les symptômes de
xtrémités paraly- sées. - 6. L'évolution de la paralysie dans les cas sans ictus présente ordinairement des particula
gnomonicité d'un symptôme quelconque, cependant l'existence dans un cas d'hémi- plégie d'un seul de ceux qui sont impri
hute, etc.) et n'ont aucune valeur décisive dans l'appréciation des cas douteux. ' . L'évolution d'une hémiplégie (par
rs de cause. Comme règle générale, il faut rechercher dans tous les cas présentant des symptômes indubitables de l'hyst
e diagnostiquer une hémiplégie hystérique « par exclusion » dans un cas d'hémiplégie légère, passagère ou avec des symp
é différentielle. A cette première catégorie se rapportent tous les cas organiques, où le passage des impressions lumin
'acuité visuelle. A cette deuxième catégorie se rapportent tous les cas de l'amblyopie hystérique. Les malades de la pr
éralement le tort de n'examiner le réflexe de Babinski que dans les cas organiques ou douteux. Peut-être si l'on généra-
xamen, arriverait-on à déceler ce réflexe dans un certain nombre de cas non organiques. Je me base pour avancer cette i
de cas non organiques. Je me base pour avancer cette idée sur deux cas de paralysie alcoolique dans lesquels le réflex
ôté de la paralysie. Un hystérique peut, il est vrai, dans certains cas , exé- cuter volontairement, à la suite de la pe
e à l'aide des caractères que j'ai indiqués ; j'ajoute qu'en pareil cas ce n'est guère que le réflexe rotulien qui para
rien vu de pareil et je suis con- ' vaincu qu'il s'agissait dans ce cas d'associations hystéro-orga- niques. Pour établ
éflexes tendineux relève de l'hystérie il faudrait prouver, dans un cas donné, d'une part que la paralysie, en raison d
ades chez lesquels ils constateraient le signe des orteils dans des cas d'hystérie pure. Jusqu'à présent on n'a pas enc
un seul exemple. SOCIÉTÉS SAVANTES. 169 M. P. Marie rappelle le cas d'un malade atteint d'une lésion du système pyr
sais en effet que ce phénomène des orteils peut man-' quer dans des cas de lésions du système pyramidal. Je dirai enfin'
(de Parme). - Revision iconographique du torticolis mental, trois cas nouveaux; traitement, par E. IErNns et H. MEIGE
Irouve soit comme continuation d'une neurasthénie (19 fois sur 174 cas ), soit comme première manifestation de la névro
mme première manifestation de la névrose (8 fois seule- ment sur il cas ). < L'hérédité nerveuse remplit toujours le
dulte par une atténuation des symptômes, manifeste surtout dans les cas où la névrose a apparu pour la première fois ap
rice) ; par le Dr P. 110UINDJY. (Voir le n° 9 des Archives.) . Un cas de Tabès a)/o(rop/ti'/M6. Névrite périphérique; p
mène était unilatéral et ne portait que sur la jambe droite. Deux cas de Paralysie alterne. Troubles de la sensibilité;
pasmodicité; les troubles sensitifs persistent, mais atténués. Pu cas de de/'lilo-new'o - fib1'omalOSe C07)llJlt2Cée cl
horax, l'atténuation des phénomèaes cutanés, rendent intéressant ce cas de maladie de Recklinghausen, qui montre un des
ncre de leur caractère pathologique. M. Doutrebente a observé des cas analogues. Il considère cet état comme une nouv
cinations. M. SÉGLAS ne peut formuler qu'un pronostic sombre sur le cas qu'il vient de rapporter, parce que l'idée de p
a déjà signalé deux observations de ce genre. J'ai aussi publié le cas d'un persécuté halluciné qui a pres- que complè
térieures. , Fièvre typhoïde et épilepsie. M. Marie rapporte deux cas de fièvre typhoïde chez des épilepti- ques mort
ue à gommes osseuses. M. Marie rapporte aussi l'observation de deux cas de paralysie générale syphilitique avec gommes
e de potassium associé à une légère hypochloruration. Dans les deux cas le traitement spécifique a amené une rapide dis
r : \1. Marie viennent à l'appui de cette hypo- thèse. Il cite deux cas de syphilis tertiaire, rebelles à tout traite-
B. Séance du 26 novembre 1900. - PRÉSIDENCE DE AI. 111.\GNAN. Un cas de contre-expertise bénévole. . M. COLLII expos
sionnel. Ai. Legrain cite à l'appui de la thèse de 11. Collin un cas person- nel remontant à quelques mois. Il s'agi
ontraire à celui des experts. Sa déposition fut de nul effet. Les cas de ce genre appellent une réforme complète des ex
ister, ne plus avoir de pieds, de mains, de corps, etc. Le second cas est relatif à un délirant chronique, arrivé à la
d) - mais bien plutôt comme un mode spécial d'évolution de certains cas de mélancolie, où les troubles profonds de la c
voit pas bien comment, avec cette théorie, on peut interpréter les cas de guérison du délire des négations qui sont en
cliez les malades atteints de tuberculose pulmonaire (9 fois sur 50 cas ). Elle est parfois aussi marquée que dans les s
lle ou par la piqûre cutanée de la plante du pied.. Dans cer- tains cas il est nécessaire par une série de tentatives de
Raruow vient d'observer cette même trépidation épileptoïde dans un cas de rhumatisme chronique. Paralysies associées d
égie sensitivo-motrice : A l'autopsie, ils ont trouvé dans les deux cas un tubercule de la partie supérieure de la prot
'des globes oculaires décrites par l'armaud. Il s'agit dans de tels cas de relations de noyau à noyau et non de lésions
ez qui l'autopsie montra une syringomyélie. Depuis il a revu deux cas d'arthropathie de l'épaule liée à la syringomyéli
ause déterminant les troubles observés est exceptionnelle. 2° Les cas de surdité corticale suivis d'autopsie sont très
du 18 décembre 1900. 'PRÉSIDENCE de M. Jules Voisin. Guérison d'un cas d'/t ? /pe)'/tt'a ? ose émotive. M. DOMINCOS Ja
ggestion hypnotique atténue puis guérisse l'hyperhidrose. Outre les cas rapportés récemment par M. Charpentier, NI. Jagua
Comment agit physiologiquement la suggestion hypnotique dans ces cas ? Rappelons-nous qu'elle est à volonté un agent d
dilatation neuro-paralytique avec atonie vasculaire. Dans les deux cas , la thérapeutique suggestive sera dynamogénique
ifs chez des enfants, des jeunes filles, des femmes, des maris. Ces cas soulèvent des problèmes de morale d'une haute i
actif devient un locus minoris 1'esistellliæ, Après avoir étudié le cas de Socrate, Archimède, Goethe, Hégél, Ampère, N
e de cinquante-sept ans qui, persécutée-persécutrice, présentait un cas de folie à deux, avec stigmates de dégénérescen
ce mentale, tels que phobies, obsessions, impulsions, etc. Dans ces cas , la cellule nerveuse, plus ou moins tarée, est
t des attouchements analogues aux passes mescnérienues. Note HO' un cas de 1JsyLlwpathic sexuelle. 1f. 13ÉRILLO;\; expo
ote HO' un cas de 1JsyLlwpathic sexuelle. 1f. 13ÉRILLO;\; expose le cas d'un inverti qui pratiquait les rapports homose
g : nous pourrions aussi bien prendre l'examen médico-légal dans un cas de pendai- son, dans un cas d'asphyxie, l'exame
n prendre l'examen médico-légal dans un cas de pendai- son, dans un cas d'asphyxie, l'examen d'une femme enceinte, ou l
Nu 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Etude sur trois cas de maladie nerveuse familiale, mal définie, à a
nerveux tend à se développer tous les jours et la multiplicité des cas publiés jusqu'à présent n'a d'égal que l'infini
ades. En outre, il n'est pas invraisem- blable de supposer que' des cas analogues puissent être observés par d'autres a
dentique, a succédé une marche absolument semblable. Dans les trois cas , après une période d'acuité plus ou moins longu
ar cet auteur peut légitimer cette manière de voir. Mais, en pareil cas , la marche a été bien différente de révolution
ns. Il en est de même d'une hématomyélie. Si l'on a pu observer des cas multiples d'hémorragies de la moelle dans la mê
ans ce sens. On ne saurait pas davan- tage faire rentrer de pareils cas dans le cadre de myélites aiguës, telles qu'ell
de la sensibilité ni des sphincters (Lorrain). Sauf "dans un seul cas relaté dans la thèse de M. Lorrain (obs. XV), et
côté de ces lésions systématiquement fasciculées, on a signalé des cas de scléroses combinées primitives, dans les- qu
diffuses sans systématisation « franche ». 11 est vrai que tous les cas relatés jusqu'à pré- sent n'ont pas rapport à d
s faisceaux blancs médullaires sans aucune systématisation. En tout cas il nous paraît s'agir ici d'une paraplégie spas
ntiques, localisés dans la sphère du sciatique alors que dans aucun cas connu de paraplégie spasmodique familiale la do
ont personnels ? Tout d'abord nous éliminerons un certain nombre de cas sur lesquels nous n'avons pas pu nous procurer
ésentée, par les membres de, la famille G... Westphal7 a signalé,le cas d'un jeune garçon, qui à la suite d'une maladie
érie par la quinine. Aussi le professeur Landouzy considére-t-il ce cas comme une para- lysie malarique. Il en serait d
oré mais non guéri par la quinine. Nous n'in- sisterons pas sur les cas de Friedmann ' dans lesquels il Deiilsche Zeits
aurait ainsi de grandes analogies avec la maladie de 9'bomseu. Le cas d'Orléansky2 se rapprocherait peut-être davantage
are névropa- tliiquen'existe que chez, quelques malades. Sur les 39 cas reievéshpar Donallr dans- lat littéralureimédic
ans l'ordre inverse : . Son intensité est très variable.suivant les cas et les. attaques les nerfs cérébraux sont d'ord
,, des musclés, nous ne pouvons croire qu'il'ne s'agisse dans ces cas que de phénomènes toxiques venant frapper le père
ctions exigeant le placement dans un établissement spécial. Pour un cas de maladie mentale, le méde- cin praticien aura
adie mentale, le méde- cin praticien aura à traiter des milliers de cas de médecine interne, de chirurgie, d'obstétriqu
médecine interne, de chirurgie, d'obstétrique. Dans ces milliers de cas , le rôle du médecin est de soulager le malade,
ur 10 à 12 mala- des et, en admettant la proportion de 50 p. 100 de cas aigus, un médecin pour cinq à six aliénés aigus
iques, étant. des établissements universitaires, reçoivent tous les cas aigus sans distinction de domi- cile, de secour
on, on assure aux instituts psychiatriques un recrutement.facile.de cas . intéressants pour l'enseignement'. Nous croyon
nés, dit-il, tandis que dans les hôpitaux des -1-aw- des villes les cas récents d'aliénation mentale sont fréquemment.'
ies mentales et nerveuses offrant pour l'ensei- gnement un choix de cas récents et aigus qu'on ne pourrait sou- haiter
ui ont besoin d'une assistance publique urgente. On peut ranger ces cas sous diverses catégories. En premier lieu, un g
e Neurologie, 1900, n° 11.) Ce travail contient la relation de deux cas d'ulcères variqueux traités l'un par le procédé
laire de P. Delbet. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 235 5 Dans le premier cas il s'agissait d'un large ulcère atonique siégeant
ix semaines après la cicatrisation était complète. Dans le second cas l'ulcère siégeait au milieu de la jambe gauche
tats aussi fâcheux que possible; dans la démence, bons résultats en cas d'agitation. Les dangers sont presque nuls si l
ations et contre-indications se résument de la façon suivante : les cas d'agitation due aux hallucinations et au délire
utes les formes de folie chronique avec agitation, et dans quelques cas peu fréquents d'épilepsie. Il ne doit être empl
est incertaine entre trente et cinquante ans. Il convient, dans les cas où l'opium est indiqué, de pousser les doses ju
, Il est au moins vraisemblable que dans un assez grand nombre de cas le refus obstiné qu'opposent les aliénés à toute
otamment e-t extrêmement fréquente chez eux. L'auteur rapporte deux cas dans lesquels des aliénés, notablement soulagés
s lavages à accepter sans difficulté leur nourriture. Dans les deux cas , le liquide du lavage était épais et de couleur
ne solution faiblement antiseptique serait peut-être utile dans les cas de ce genre. Il serait bon d'employer REVUE DE
y a une gastrite simple, on obtien- drait la guérison; et dans les cas plus rares où il existe une affec- tion maligne
teur a expérimenté le traitement hypnotique dans un grand nombre de cas divers, à savoir : 26 cas d'alcoolisme chroniqu
ment hypnotique dans un grand nombre de cas divers, à savoir : 26 cas d'alcoolisme chronique, 10 de sciatique, lo de ma
e douleur lombaire aiguë avec impossibilité de marcher, en tout 186 cas . . M. Woods a constaté que la suggestion avec o
l a eu aussi quelques succès dans l'épilepsie. Dans la majorité des cas , le résultat favorable a été obtenu sans hypnose.
infection malarienne. L'impaludisme provoquerait donc dans certains cas , l'épilepsie qui n'existait qu'à l'état latent.
rtains cas, l'épilepsie qui n'existait qu'à l'état latent. Dans les cas observés, l'état d'épi- lepsie persisterait mêm
es, l'auteur pense que par élimination on peut y rattacher ces deux cas . 1 M. H. 111. Un cas d'atrophie segmentaire o
par élimination on peut y rattacher ces deux cas. 1 M. H. 111. Un cas d'atrophie segmentaire ou atrophie musculaire pro
la nature et le siège exacts. Il démontre ensuite que sauf dans les cas de thrombose seule directe d'un traumatisme ou
effets lorsqu'elle repose sur une erreur de diagnostic, - comme le cas de Oppenheim en est une éclatante démonstra- ti
Brown. (T/te 11'iv-York liedicccl Journal, 13 mars 1897.) Dans le cas dont il s'agit la difformité, ou plutôt l'absence
aire, les spasmes, les nausées et l'aphasie. On n'a guère publié de cas d'émiphalocèle cérébelleuse chez le nouveau-né,
cèle cérébelleuse chez le nouveau-né, et l'auteur croit bien que ce cas est le seul où l'on ait constaté l'aphasie. Le
sexes. Il n'est pas commun de la voir s'accompagner comme dans le cas actuel d'anesthésie d'une branche du trijumeau. L
ysie des autres muscles de l'oeil, et, très rarement, comme dans le cas actuel de paralysie d'une des branches du trijume
traitement est celui des névralgies. R. DE MUSGHAVE CLAY. ' X. Un cas d'acromégalie avec autopsie; par Harlow Brooks.
. .. 244 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI. Relation clinique d'un cas d'hémorrhagie de la protubérance suivi de mort
rigidité musculaire des extrémités droites. Il faut ajouter que ce cas est un de ceux qui démontrent une fois de plus
que trois fois le processus atrophique s'arrêter, et dans ces trois cas , il s'agissait de muscles isolés. R. DE Musgrave
cas, il s'agissait de muscles isolés. R. DE Musgrave Clay. XIII. Un cas d'hémiplégie croisée avec, comme symptôme saillan
âge de trente-cinq ans, démontrait clairement qu'il s'agissait d'un cas d'hémiplégie croisée fort simple ; mais ce qui
isement, l'augmentation de l'irritation, et dans un grand nombre de cas le simulacre d'une affection organique. M. Elsn
si l'on se donne la peine de la rechercher; mais il y a aussi des cas où cette tare ne peut être trouvée, et où il faut
ehr surtout l'a très complètement étudiée sur une série de soixante cas . Elle se présente sous la forme d'une bande tra
gésique est plus étroite que la bande anesthé- sique. Dans certains cas , il n'y a pas d'anesthésie réelle, mais une dim
tabes, et, dans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 247. plusieurs des cas observés par l'auteur, cette disposition était tr
quelconque, et Laehr ne l'a vue manquer que cinq fois sur soixante cas , et ces cinq cas étaient compliqués de démence
aehr ne l'a vue manquer que cinq fois sur soixante cas, et ces cinq cas étaient compliqués de démence paralytique et pa
ux ; enfin l'auteur lui-même l'a rencontrée dix-sept fois sur vingt cas . D'une façon générale, plus la maladie est avan
les. L'auteur a eu l'occa- sion rare d'en observer soixante et onze cas à l'asile des aliénés de Tuscaloosa (Alabama).
n directe. La maladie s'est mani- festée, dans les soixante et onze cas chez les malades atteints d'une forme psychique
lleurs que le personnel de l'asile, qui comporte 200 individus. Les cas observés ont présenté de grandes variétés et tous
ues de la maladie c'est la variabilité de son début : dans certains cas c'est la fièvre et l'irritation gas- tro-intest
ouvant, apparaître simultanément ou plus tardivement. Dans d'autres cas , le début est insidieux, marqué seulement par d
e l'oedème aux pieds et aux chevilles. Dans la moitié environ des cas , il y a une élévation de la tem- pérature, qui
une abolition de la fonction du tronc nerveux malade. Dans tous les cas observés par l'auteur la maladie a débuté par l
r l'auteur la maladie a débuté par les jambes, et dans un quart des cas , elle s'y est limitée. Quelques cas à marche ra
es jambes, et dans un quart des cas, elle s'y est limitée. Quelques cas à marche rapide pouvaient simuler la paralysie
ormes de paresthésie, mais jamais d'anesthésie com- plète. Dans les cas bénins et à la période de début, les réflexes c
période de début, les réflexes cutanés restaient normaux ; dans les cas plus graves ils étaient abolis. Dans presque to
dans les cas plus graves ils étaient abolis. Dans presque tous les cas les réflexes tendineux dispa- raissent de bonne
issant à une para- lysie plus ou moins complète selon la gravité du cas , l'atrophie - · consécutive, a elle aussi une i
intensité variable, et quelquefois des contractures. Dans tous les cas d'atrophie on constatait la réac- tion électriq
ritoire atteint par la névrite a été constaté dans presque tous les cas , et parfois même il est le premier symptôme qui
ier désordre est une tachycardie avec asthénie cardiaque : dans les cas les plus graves les bruits sont modifiés et pre
malades qui sont morts dans cette statis- tique de soixante et onze cas , environ quatorze ont succombé à un affaiblisse
On peut dire que le pronostic est grave puisque soixante et onze cas ont donné vingt et un décès. Il n'y a aucun trait
et les opinions à cet égard extrêmement variables. Dans sept des cas terminés par la mort l'autopsie a pu être faite
ultérieur; toutefois l'auteur peut dire dès maintenant que, dans un cas au moins, il y avait des lésions évidentes de d
lis spinale. Il. DE itIU : G9 : 1VG CLAY. XVIII. Remarques sur un cas de lésion traumatique des nerfs pneu- mogastriq
GIE NERVEUSE. XI1. Néoplasmes cérébraux : analyse clinique de seize cas person- nels (quinze tumeurs et un abcès) avec
nels (quinze tumeurs et un abcès) avec l'observatien de cinq de ces cas ; par William C. Krauss. (Tice New YOI-K 31C die(t
signaler les symptômes précoces des néoplasmes cérébraux. Les seize cas qu'il a observés se décomposent ainsi : 1° Gl
t. Mort. Autopsie. Nous résumons d'après M. Krauss l'analyse de ces cas : le dia- gnostic de tumeur cérébrale a été fai
gnostic de tumeur cérébrale a été fait dans douze sur treize des cas qui concernent le cerveau ; dans le treizième cas
ze sur treize des cas qui concernent le cerveau ; dans le treizième cas il a été con- sidéré comme probable. Dans tous
le treizième cas il a été con- sidéré comme probable. Dans tous les cas .cérébelleux le dia- gnostic a été fait, et con
les malades il existait de la céphalalgie, qui était dans quelques cas localisée à l'occiput, surtout quand la tumeur
oit le cervelet. La névrite optique existait dans dix sur douze des cas cérébraux, elle n'a pas été recherchée dans un
ix sur douze des cas cérébraux, elle n'a pas été recherchée dans un cas , elle manquait dans le cas d'abcès. L'examen op
x, elle n'a pas été recherchée dans un cas, elle manquait dans le cas d'abcès. L'examen ophthalmoscopique n'a pas été f
cas d'abcès. L'examen ophthalmoscopique n'a pas été fait dans les cas cérébelleux. Dans quatre cas l'atrophie du nerf o
almoscopique n'a pas été fait dans les cas cérébelleux. Dans quatre cas l'atrophie du nerf optique était complète et la
phie du nerf optique était complète et la cécité absolue. Dans neuf cas la névrite a été - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
e a été - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 253 1 précoce, et dans un cas tardive. Elle a été généralement trouvée plus i
ant à la lésion. La nausée et les vomissements existaient dans onze cas , et ;*< étaient douteux dans deux. On les a
étaient douteux dans deux. On les a trouvés deux fois sur les trois cas cérébelleux. L'hébétude mentale, l'apathie, la dé
tale, l'apathie, la dépression intel- lectuelle existaient dans dix cas , et manquaient dans deux. Lever- tige qui passe
sse pour un des quatre symptômes cardinaux était pré- sent dans six cas et absent dans sept. Les réflexes tendineux ont
fois. Pas une seule fois on ne les a trouvés abolis. Dans tous les cas , les pupilles réagissaient à la lumière et à l'
é notée dix fois et n'a manqué que trois fois (hémiplégie dans cinq cas , diplégie dans deux, monoplégie dans trois). On
vergent, une fois du ptosis et du strabisme. D'après l'étude de ces cas l'auteur disposerait de la manière suivante les
liam G. SPILLER. (The Ne2o York Médical Journal, 6 mars 1897.) Ce cas est plus intéressant au point de vue anatomo-path
te de ce mémoire est consacré à la relation et à la discus- sion de cas analogues publiés par divers auteurs. R. DE 11U
ostic est assez peu satisfaisant. Il. DE Musgrave CLAY. XXIII. Un cas de syphilis spinale précoce avec paralysie deBrow
e dans la syphilis spinale, mais sa forme incomplète, comme dans le cas actuel, y est assez commune. L'auteur rappelle
hilis que sur les paralysies d'origine médullaire, puis revenant au cas qu'il a observé, il recherche quel était le siè
le système nerveux est très impressionné par l'in- fluenza, et les cas de lésions nerveuses consécutives à cette maladie
sque jamais normale. L'auteur relate à la,, fin de son travail deux cas d'encéphalopathie grippale à terminai- son favo
robabilité le diagnostic de tabes. Il. de Musgrave-Clay. XXVI. Un cas d'acromégalie avec diabète ; par T.-L. Ciiadbourn
et, réside dans cette coïnci- dence. R. de lIIUSGIiA\'E-CL.1Y. Un cas de crétinisme consécutif à une attaque de thyroï-
nt le résultat plutôt que la cause des symptômes. Elles ont en tout cas une grande analogie avec celles que l'on observe
ne prédisposition physiologique pour déterminer le suicide dans les cas de chagrin d'amour. » L'histoire biologique des
é d'instruction. Le D1' de Fontaubert étudie ensuite les principaux cas où les connaissances en psychiatrie du praticie
Comme suite au mémoire précédent, les auteurs rapportent un nouveau cas survenu à Londres chez un nègre de vingt-deux ans
o. Les symptômes fureutles mêmes que ci-dessus. Comme pour les deux cas précédents on trouva la filaire perstans dans l
ue et les mêmes lésions de mé- ningo-encéplialite que dans les deux cas précédents. Môme con- clusion. l . l3oissLn.
tc. L'observation qu'on va lire appartient à cette caté- gorie. Les cas analogues sont assez rares. En général, ils ont é
(de Lyon) sur les Porenccphalies 1 le résumé d'un certain nombre de cas empruntés à Andral, Breschet, Cruveilhier, Lalle-
té souvent donné d'observer, à un degré moindre en vérité, dans des cas de ménin-o-encéplialite de l'enfance avec ou sa
as de vaisseaux la substance nerveuse se nécrose. Il s'agit là d'un cas rapidement destructif; aussi trouve-t-on au voi
i la fonction de macrophages. Il faut mentionner, en outre, dans ce cas l'atrophie extrême des cellules nerveuses. Elle
ère et l'un des arrière-grands- pères de l'enfant. En revanche, les cas de tuberculose sont très nombreux. La mère est
l'enfant était somnolent, nous amènent à penser qu'il s'agitià d'un cas d'idiotie congénitale. Les convulsions générali
utures, nombreuses plaques transparentes qui indiquent que, dans ce cas encore, la craniectomie n'aurait pas été justif
s pouvons maintenant reconstituer la physiologie pathologique de ce cas clinique : Le lobe temporal droit, siège de l
s quelques années surtout, dans les congrès d'otologie, de nombreux cas analogues au nôtre ont été apportés, mais c'éta
tent pas cette forme. - Il existe dans la science de très nombreux cas dans lesquels la porte d'entrée ne put être tro
d'abcès des centres ner- veux. Dogliotti a publié tout récemment un cas d'abcès du bulbe consécutif à un panaris ; on a
nalé des abcès du cerveau après la grippe et Boppe en a rapporté un cas très intéressant. La dernière maladie infecti
à l'apparition du processus aigu qui détermina sa mort. 1 Dans le cas où le diagnostic ferme eût pu être posé, aurait-
i)l'1T.1L DES ENFANTS M\HDES. SERVICE DE M. LE De DESCROCZILLES. Un cas de congestion cérébrale active . avec autopsie;
arguments valables ; c'est à ce titre aussi que nous rela- tons le cas suivant d'une cpngestion cérébrale idiopathique
adémie de médecine en 1861. (Presse médicale, 3 février 1900.) UN CAS DE CONGESTION CÉRÉBRALE ACTIVE. 303- chez un en
' Autopsie faite le 16 novembre à 9 heures du matin (41 heures UN CAS DE CONGESTION CÉRÉBRALE ACTIVE. 305 après la mo
oncée, ce qui explique les phénomènes observés pendant la vie. Ce cas légitime, d'après nous, la réhabilitation de la c
' " REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXI. Un cas de rage humaine suivi d'autopsie par le Dr Saxo.
souvent, ces animaux devraient être tenus en observation afin qu'en cas de mort on puisse établir avec une certitude abso
sant : L'auteur a eu l'occasion d'étudier dans un grand nombre de cas les corps amyloïdes du système nerveux central, e
s du corps, ni aux corps amyloïdes de la prostate. En étu- diant un cas type de sclérose amyotrophique latérale, l'auteur
absence de toute tendance à former des masses irrégulières, sauf le cas d'un séjour trop long dans le liquide durcisseu
sulfurique. Bevan-Lewis a observé ces corps en grand nombre dans un cas de paralysie bulbaire. On ne les rencontre guèr
ance blanche. L'auteur pense que les corps qu'il a trouvés dans son cas de sclé- rose latérale amyolrophique à symptôme
lus grande ressemblance qu'avec tout autre élément connu. Dans un cas de tumeur de la base du cerveau avec acromégalie
ans lesquelles ils s'écrasaient les uns contre les autres. Dans les cas d'hémiplégie ancienne, en employant la méthode
ne pouvoir reproduire, car elles sont intéressantes. Dans ces sept cas , il s'agissait de malades chez lesquels on ne p
r l'exercice ou quand le temps est chaud. On a vu que dans quelques cas elle devient douloureuse, surtout chez les viei
Le traitement est naturellement celui de névrite causale. Dans les cas très rebelles, il faut chercher la syringomyéli
cher la syringomyélie. R. de Musgrave Clay. \1 \VI. Relation d'un cas d'abcès du cerveau ayant une origine peu commun
ation, longues ou courtes caractérisent l'écorce cérébrable dans un cas comme dans l'autre. Non seulement il y a simili
nce grise ont été étudiées pour chaque hémisphère. Gliniqnement les cas observés se décom- posent de la manière suivant
les cas observés se décom- posent de la manière suivante : 1° Cinq cas de paralysie générale. 2° Cinq cas de démence s
de la manière suivante : 1° Cinq cas de paralysie générale. 2° Cinq cas de démence sénile. 3° Quatre cas de démence orga-
cas de paralysie générale. 2° Cinq cas de démence sénile. 3° Quatre cas de démence orga- nique. 4° Cinq cas de démence
as de démence sénile. 3° Quatre cas de démence orga- nique. 4° Cinq cas de démence secondaire et un de démence pri- mit
nq cas de démence secondaire et un de démence pri- mitive. 5°; Cinq cas de démence épileptique et un d'imbécillité épil
as de démence épileptique et un d'imbécillité épileptique. 6° Trois cas d'imbécillité simple. -il Un cas de mélan- coli
'imbécillité épileptique. 6° Trois cas d'imbécillité simple. -il Un cas de mélan- colie chronique (omis). L'auteur dé
; puis ils abordent l'étude de ces altérations anatomiques dans les cas de folie aiguë, décrivent les méthodes histolog
s causes d'erreur, constatent la présence (dans 10 à 1 p. 100 des cas ) de la chromotolyse chez les malades qui meurent
e acquiert une fréquence suffisante pour sépa- rer complètement ces cas de ceux ou l'intelligence est intacte. Les aute
s de ceux ou l'intelligence est intacte. Les auteurs ont étudié six cas de folie aiguë dans lesquels la mort était surv
ie aiguë dans lesquels la mort était survenue par épuisement (trois cas de manie aiguë, deux de mélancolie et un de man
n des cellules atteintes de chromatolyse était de 50 p. 100 dans un cas , de 80 p. 100 dans l'autre, et dans le troisième,
ies; dans la manie récurrente' on en trouvait 60 p. 100 et dans les cas de mélancolie environ 25 p. 100. Mais la différ
aient beaucoup plus nombreuses dans la folie. Dans quelques-uns des cas , tout au moins, il y avait aussi une diminution
l'aliéné, les auteurs ont constaté qu'elle se rencontrait dans les cas de chromatolyse avancée, et on pourrait presque d
iales, sociales et disciplinaires des établissements. Le nombre des cas d'aliénation mentale dans les prisons cellu- la
risons cellu- laires n'est pas ou n'est guère supéiieur à celui des cas observés dans les prisons en commun. Les affe
r sa pratique peut rendre la volonté vacillante, sauf dans quelques cas spéciaux (perversion sexuelle, alcoolisme, morp
emaines précédentes. La difficulté la plus grande que présentait ce cas , c'est que la malade, convaincue qu'elle allait
atre orteils (le gros orteil seul subsiste), sa forme normale. Ce cas démontre, dit l'auteur, que l'on peut agir par l'
tats thérapeutiques de l'hypnotisme. R. DEMusoRAVE CL1Y. XXII. Un cas peu ordinaire de délirium tremens ; par G. A. Hen
. A. Hendon. 7'Ae New-Yorh Médical Journal, 35 décembre 1897.) Ce cas est surtout intéressant par la forme particulière
par David f3Laa. (The Journal of Mental Science, avril 1898.) Le cas d'acromégalie relaté par l'auteur, est un cas cla
ence, avril 1898.) Le cas d'acromégalie relaté par l'auteur, est un cas classique; la seule particularité qu'il présent
, montrant les résultats de l'examen du sang dans cinquante- sept cas ; par B. C. Loveland. (The New York Médical Journ
0 000. Le taux le plus bas de l'hémoglotine s'est rencontré dans un cas où la mélan- colie était survenue au cours d'un
e. Le chiffre le plus bas des globules rouges a été observé dans un cas de mélancolie derne, très chronique avec état s
a santé générale ». Ce qui résulte de cette étude de cinquante-sept cas faite par l'au- teur c'est que dans la période
lle d'un satyre gai et bon enfant. Quand on constate, comme dans le cas qui vient d'être rapporté, une corrélation entr
sion, les chiffres donnés seront toujours des pourcentages. Sur 784 cas ordinaires l'hérédité figure pour 30 p. 100. L'
ulter directement d'excès alcooliques, soit 8,4 p. 100 du total des cas . Le traumatisme ne joue qu'un rôle étiologique in
insignifiant. L'épilepsie figure pour 7,7 p. 100 dans le total des cas , et l'hérédité figure dans l'étiologie de l'épi
s que l'épilepsie idiopathique débute dans le plus grand nombre des cas . La paralysie générale figure dans l'ensemble pou
son étiologie paiticulière on trouve l'hérédité dans 23 p. 100 des cas . R. de Musgrave-Clay. XXVIII. L'hérédité dans s
s donnent de la fréquence de la prédisposition héréditaire dans les cas de folie. A l'asile de Cumberland et de Westmorla
e prédisposition'; - 16° Les rechutes sont plus fréquentes dans les cas de folie héré- ditaire que dans ceux de folie n
lle époque de la vie; même dans la folie sénile la propor- tion des cas héréditaires n'est que très légèrement inférieure
s de toute prédisposition. 21° La proportion des guérisons dans les cas héréditaires de folie est considérablement plus
héréditaires de folie est considérablement plus forte que dans les cas non hérédi- taires. 22" Le.taux de la mortali
édi- taires. 22" Le.taux de la mortalité est moins élevé pour les cas hérédi- taires que pour les non héréditaires. -
4° La proportion des décès par tuberculose est plus élevée dans les cas de folie héréditaire que dans les cas de folie no
lose est plus élevée dans les cas de folie héréditaire que dans les cas de folie non héréditaire. 2on La durée de l'att
folie non héréditaire. 2on La durée de l'attaque de folie dans les cas héréditaires qui guérissent ne parait pas diffé
arait pas différer sensiblement de celle que l'on constate dans les cas non héréditaires. Il. DE \IUSCa.l1'E-CL.1Y. XXI
certain degré de chronicité; 2° Dans la très grande majorité des cas l'alcoolique chronique commet sa tentative de s
tive de suicide en pleine ivresse, et dans plus de la moitié de ces cas -là, il y a une amnésie complète relativement à
coce à la façon de Kroepelin et range dans cette affection tous les cas d'affaiblissement intellectuel primitif, de stu
très intelligents. Sprague a constaté l'hérédité dans 3 p. 100 des cas , mais considère cette proportion comme inférieure
ypie. L'excitation sexuelle n'a été constatée que dans 3 p. 100 des cas . Le diagnostic se fera avec la manie où n'exist
arfois de longue durée, il constate une guéiison incomplète sur 112 cas . Comme traitement, t'opofhérapie thyroïdienne e
tains défauts anthropologiques de conforma- tion. Dans beaucoup des cas observés dans les asiles, l'observateur le moin
us de victimes chez les hommes. Il serait assez fréquent dans les cas où l'organisme n'est pas très altéré, qu'un ret
occupant presque la totalité de l'hémisphère gauche. Dans ces trois cas les symptômes ont été ceux des tumeurs cérébrales
n'a permis de reconnaître le siège de la lésion. Dans le troisième cas , une piqûre de tuberculine a déterminé de la fi
s l'influence de la compression. L'action calmante exercée dans ces cas parle flux menstruel est compaiable t celle qu'
gne ne plaide en faveur d'un néoplasme. Ce qui fait l'intérêt de ce cas , ce sont les troubles de motilité qu'on observe
eux malades atteints de polynévrite blennorragique. Dans le premier cas il s'agit d'une polynévrite ascendante générali
elle dans le mal de Pott. MM. Thomas et HA.USER ont trouvé, dans un cas de mal de Pott, en dehors de toute compression
ntraire les lésions intra-médullaires étaient très accentuées. Un cas d'acromégalie avec autopsie. M. Ferrand présent
les anté- cédents des acromégaliques. Ce fait ne manque pas dans le cas de M. Ferrand. Faut-il accorder une part impo
ne idée nette de l'influence de ces traumatis- mes, surtout pour le cas actuel dont le sujet syphilitique était en outr
quée et une sciatique de six mois sans complications. Dans tous les cas il a obtenu comme pour les interventions chirur
ant plusieurs jours. il a obtenu encore un soulagement réel dans un cas de crises gastriques tabétiques et dans un cas
agement réel dans un cas de crises gastriques tabétiques et dans un cas de zona crural aigu. Les douleurs seules ont ét
t, mais la marche de la maladie n'a pas été modifiée; enfin dans un cas de coliques de plomb l'échec a été complet malg
ntelligence remarquable lui a permis d'établir le diagnostic. Trois cas de généralisation cancéreuse sur le système nerve
ur le système nerveux périphérique. ' M. Obertiiùr rapporte trois cas avec autopsie dont deux avec examen histologiqu
iales, la moelle ne présente que des altérations minimes. Le second cas a trait à une femme présentant tous les signes
ales des nerfs intra-musculaires et intra-dermiques. Le troisième cas est un cancer de l'estomac avec généralisation
modification du fond deToeil et aucun signe de lésion nucléaire. Cas fruste de sclérose en plaques ou paralysie généra
SOCIÉTÉS SAVANTES. 347 I persécutée-persécutrice, présentait un' cas de folie- à deux avec stigmates de dégénérescen
ce mentale, tels que phobies, obsessions, impulsions, etc. Dans ces cas , la cellule nerveuse, plus ou moins tarée, est
nt des attouchements analogues aux passes mesmériennes. Note sur un cas de psychopathie sexuelle. M. Bérillon expose le
. Note sur un cas de psychopathie sexuelle. M. Bérillon expose le cas d'un inverti qui pratiquait les rapports homose
fusion mentale. Baillarger montra encore que nombreux étaient les cas de mélancolie appartenant à la période initiale d
dente. Et l'on peut trouver, surtout chez les artério-scléreux, des cas de transition qui font mieux comprendre la pathog
élancolie présénile est souvent délicat. Il faut songer surtout aux cas de mélancolie apparaissant de bonne heure, mani
GRAPHIE. 331 1 part il importe de ne pas se laisser tromper par les cas de folie intermittente ou de démence précoce à
hie, cette dissertation émane de l'étude réfléchie de cent soixante cas de phobies; elle cherche à en déterminer le méc
t peu pathologique, théorie en effet purement artificielle. En tout cas , en égard à un objet quelconque, les phobies et
e ne permettent de décider le sexe le plus frappé; mais sur les 160 cas examinés, il y avait à l'origine : l'hérédité, 40
s. Enfin, il faut distin- 352 BIBLIOGRAPHIE. guer des phobies des cas d'émotivité pathologique (hypocondria- ques, su
tion, ni la durée, ni l'angoisse subite, ni l'irrésis- tibilité des cas de phobie. Celle-ci ne doit-être enfin ni du déli
t complètement les premiers pour envahir les seconds, sans qu'aucun cas authen- tique ait jamais été observé chez un Eu
rique la filaria perstans dans la Guyane anglaise où la présence de cas de léthargie n'est pas scientifiquement confirmée
scientifiquement confirmée. Il n'y a là qu'une présomption. En tout cas la filaria perstans ne paraît pas être la cause
ce du ver adulte et jamais d'un individu em- bryonnaire. Des deux cas qui illustrent ce mémoire l'un est celui d'un nèg
et l'épaississement de la pie-mère et de l'arachnoïde. Le second cas concerne un nègre de 11 ans'entré le 24 septembre
larvaire vivantes. A la coupe des centres nerveux, dans les deux cas , hémorra- gies punctiformes, leptoméningite et
llaii, and C° 1900, 111-80, extrait du Brain.) Il s'agit de trois cas d'atrophie partielle d'un hémisphère céré- bral
èrent de siège et de nature mais peuvent comme dans tous les autres cas de ce genre, se grou- per en deux classes : 1°
elles de ce qu'il a vu déjà à l'hôpital au milieu de la variété des cas courants. Les grandes lignes capitales sont esq
contre la négligence et garantit de l'avis immédiat au médecin en cas d'indisposition ; de plus, au cas de décès, le re
de l'avis immédiat au médecin en cas d'indisposition ; de plus, au cas de décès, le remplacement tarde de sorte que le
ifient pas des mesures de séquestration proprement dite. : Pour les cas chroniques, pour les malades inoffensifs et curab
res affections cavitttii-es de la moelle, par Philippe et Oberthur; Cas de lèpre observés au Choa (Abyssinie), par V'ur
l'objet a surexcité les cerveaux et nous avons à signaler plusieurs cas de folie. C'est 1 - VARIA. 1 363 d'abord un i
- gnées, en raison de l'application que nous aurons à en faire au cas d'un de nos malades. En me plaçant à ce point de
uscles innervés par le centre extirpé. D'où ce corollaire : dans un cas d'épilepsie corticale, l'extirpation du centre
plication à la thérapeutique de l'épilepsie jacksonienne, dans les cas où, selon toutes les apparences, l'irritation épi
osé des résultats fournis par l'intervention chirurgicale, dans les cas d'épilepsie jacksonienne d'origine traumatique,
ltats. A. Voici une première catégorie de faits ; elle comprend les cas où le siège précis du centre moteur a été déter
ésultat thé- rapeutique, ils se répartissent ainsi : a) Bans cinq cas , l'extirpation du centre épileptogène a été sui
glique. ' 374 CLINIQUE NERVEUSE. 8° Doyen-Raymond (Il s'agit du cas du malade dont l'observation a été relatée dans
rvation a été relatée dans deux précédentes leçons). b) Dans cinq cas l'extirpation dit centre épileptogène a été sui
droit. Les attaques d'épilepsie se sont reproduites. c) Dans cinq cas , l'extirpation du centre épileptique a été suiv
Résumé. - En résumé, si nous faisons entrer en ligne de compte le cas de notre malade, nous arrivons à un total de qu
primer ainsi, l'opération la plus rationnellement radicale, dans un cas de cette nature. Or, les résultats thérapeutiques
; ils se chiffrent ainsi : Insuccès à peu près complet, dans cinq cas (Horsley, Gerster ' et Sachs (deux cas), Nancrè
peu près complet, dans cinq cas (Horsley, Gerster ' et Sachs (deux cas ), Nancrède, Doyen) ; Amélioration dans cinq cas
' et Sachs (deux cas), Nancrède, Doyen) ; Amélioration dans cinq cas (Nancrède deux cas, Benda, Parker et Gotch, Esk
cas), Nancrède, Doyen) ; Amélioration dans cinq cas (Nancrède deux cas , Benda, Parker et Gotch, Eskridge). Guérison
Gotch, Eskridge). Guérison complète, ou prétendue telle, dans cinq cas (Loyd et Deaver, Horsley, Keen, Sachs et Gerste
Horsley, Keen, Sachs et Gerster, Braun). Au sujet de la valeur des cas de cette dernière catégorie, des réserves sont
alle, il n'y a pas eu d'attaque convulsive. N'y aurait-il eu que ce cas unique, pour m'inciter à la tentative opératoir
a, selon toute probabilité. B. Une seconde catégorie comprend les cas où, avant d'opérer, on s'est simplement guidé s
lle expose à des mé- comptes. Il arrivera, par exemple, que dans un cas où les attaques convulsives débutent par des sp
reuses. Braun, dans son tra- vail déjà cité, n'en relève que quatre cas , dont un équivaut à un échec complet, tandis qu
e manière de présenter les choses. Voici l'indication de ces quatre cas . 1° STAnn (ALLEN). Brain Surgery. New-York Wood
- rurgie, 1893, p. 483. , C. Une troisième catégorie comprend des cas d'épilepsie traumatique où on a procédé à l'ext
au résultat théra- peutique, ils se répartissent ainsi : a) Trois cas ont aboutit à un échec complet; ils ont été pub
ortex. Tite Post gi,aditate, 1897, vol. XI, p. 305. b) Trois autres cas ont abouti à une amélioration très franche ; il
ft sur Chirurgie, 1893. 22 ten Congress, p. 33. c) Enfin dans six cas l'opération a été suivie de la sup- pression de
ion a été suivie de la sup- pression des attaques convulsives ; ces cas ont été publiés par : . A. Brenner. Ein Fall
et conclusions. Si maintenant nous fondons ces trois catégories de cas dans une statistique unique, nous arriverons à
à faire les constatations suivantes : sur un total de trente et un cas d'épilepsie jacksonienne, d'origine traumatique
omme des exemples de guérison, sous toutes réserves, car dans trois cas seulement, la période d'observa- tion post-opér
osition avec les faits. *. Des guérisons ont été obtenues, dans des cas où le début de l'épilepsie partielle remontait
zone motrice. Inversement, les échecs n'ont pas été rares, dans des cas où on est intervenu à une époque relativement r
nu à une époque relativement rapprochée du début de l'épilepsie. Le cas de notre malade rentre dans cette catégorie : c
temporaire et contre la réimplantation du fragment osseux, dans les cas de trépanation vulgaire (Vergère et Waltliei ?
vent de l'incoordination plutôt que de la paralysie et qui, en tout cas , se dissipent au bout de quelque temps. Qu'est-
ne suppléance des fonctions normales, il ne se ferait pas, dans les cas d'épilepsie partielle, corticale, une suppléanc
e également d'être prise en considération : assez souvent; dans les cas d'épilepsie par- tielle d'origine traumatique,
ors, par l'extirpation de fragments de la zone rolandique, dans des cas d'épilepsie partielle motrice, d'origine trauma-
moteur oculaire. b. A l'appui de l'opinion de l'auteur on trouve le cas de Siemer- ling dans lequel on constata une dég
oculaires. c. Les recherches nécroscopiques montrent que, dans les cas d'iridoplégie réflexe bilatérale, les fibres de
souvent elle se présente à l'état de symp- tôme isolé; mais dans un cas comme dans l'autre elle est loin d'être commune
utre elle est loin d'être commune : l'auteur a pu en observer trois cas dont il publie le compte rendu en le faisant su
cles seulement. Une chute sur le ventre ne pourrait-elle; en pareil cas , impliquer le diagnostic d'hystéro-traumatisme, o
litique qui engendre ce processus histologique de l'artérite. En ce cas , il est fort possible que les altérations soien
en 1893 dans l'Archivi itctliaizo di Clinica medica. Dans ces deux cas , la lésion principale révélée par l'examen nécr
phie de d'hypophyse qui était, au contraire atrophiée dans les deux cas , en voie de dégénérescence calcaire dans le sec
on (alcoolique, saturnine ou nicotinique). A noter dans le second cas une sclérose diffuse delà moelle por- tant surt
nsi que l'atrophie du corps thyroïde. Cliniquement il s'agissait de cas types d'acromégalie présentant tout le cortège sy
398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LX. Relation de l'autopsie d'un cas d'acromégalie avec une revue critique des théor
ntes, qui ont trait à la pathogénie de cette affection : ♦ 1° Les cas d'acromégalie associée à une tumeur vraie du corp
nts histologiques du corps pituitaire soit déterminée dans certains cas par une augmentation primitive du volume de la
entation primitive du volume de la selle turcique, et dans d'autres cas par un oedème ou une hémorragie ec vacuo ; 6° I
e maigreur généra- lisée des membres frappés. C. Dans beaucoup de cas , l'hémiplégie et la paraplégie hystéri- ques s'
W. (Nouv. A'OHogr. de la Salpétrière, n° 1, 1900.) Observation d'un cas rare dans la littérature médicale, compre- nant
llules et dégénérescence des fibres surtout dans l'olive gauche. Ce cas de déficit cérébelleux, sans localisations motric
sembla- blement en dehors des nerfs. , Les auteurs voient dans ce cas un nouvel argument contre la théorie de Recklin
ns, mais ne disparaissent jamais complètement.. R. C. XXXVIII. Un cas d'anorexie hystérique ; par G. GASNE. (Nouv. Ic
par l'isolement, sans traitement physique, ni psychique. XXXIX. Un cas de tympanisme abdominal d'origine hystérique ;
NARD. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrère, n° 1, 1900.) ' XL. Sur un cas de sommeil prolongé pendant sept mois par tumeu
savoir dans quelle classe des états de sommeil, peut être rangé ce cas de sommeil physiolo- gique par sa forme, pathol
polynévrite paraissant causée exclusive- ment par la syphilis (huit cas dont deux personnels). Malgré la diversité déro
omme pour les hypertrophies partielles congénitales. R. C. XLIV. Un cas d'hémiplégie hystérique guéri par la suggestion
Esco. (Nouv. Iconogr. de la Sa<)'<e)'6, no 2, 1900.) ' .... Cas d'hémiplégie hystérique à droite chez une jeune f
devra tenir compte le chirurgien-dentiste. - Z, - R. C. XLVI. Un cas d'abcès traumatique du lobe frontal; J. CONA. (Ib
Syndrome déjà décrit dans une observation de M. Klippel. Dans le cas dont il s'agit ici, la crise d'éternuement surven
DE PETERS. (Revue de médecine, août 1900.) Observation de plusieurs cas de paralysie médullaire' chez des nouveaux nés
octobre 1900.) Deux observations dont la première se rapporte à un cas de paraplégie spasmodique chez un homme dont le
t développée lentement à partir de l'âge de la puberté, Le second cas se rapporte à une famille de dix enfants dont plu
es syphiliti- ques. Il faudra aussi rechercher la syphilis dans les cas où l'on observera des vertiges. On n'oubliera p
voulait interpréter les phénomènes nerveux observés dans ces trois cas , il faudrait faire toute la psychologie de la men
hute; elle est au contraire fréquente chez le nou- veau-né. Dans le cas actuel on ne trouvait aucun des facteurs étio-
t l'atrophie du nerf optique qui révèle le diagnostic. ' Tous les cas d'impuissance génitale dus à l'absence d'érection
dans l'endomé- trite, et l'auteur a pu les rattacher dans plusieurs cas à l'existence de désirs non satisfaits, et cons
pagnent la nymphomanie vraie sont bien connus : l'auteur connaît un cas où l'ablation du clitoris hypertrophié a amené
onti- nuant avec l'un ou l'autre de ces tissus épithéliaux (saut le cas déjà indiqué d'ectopie embryonnaire). Le glio
nome peuvent avoir leur origine dans l'épendyme est démontré par un cas de carcinome primitif du quatrième ventricule qu'
erg ont publié des faits de ce genre concernant le cerveau ; et les cas de déplacements épithéliaux du même genre ne so
e déplacements épithéliaux du même genre ne sont pas rares dans les cas déjà nombreux de syringo-myélie. Il est évident a
sez pauvre en faits de ce genre : L'auteur a cependant rencontré un cas de gliome compliqué de tuberculose. Peut-être s
e et les nerfs moteurs efférents sont aussi atteints. Dans quelques cas , elle s'accompagne de symptômes plus ou moins g
rve dans la paralysie de Landry. - R. de Musgrave-Clay. LV111. Un cas de porencéphalie ; par Samuel EDGEXLEY. (Tite Jou
Samuel EDGEXLEY. (Tite Jour, o/ Mental Science, juillet 1899.) Ce cas est intéressant en raison de l'étendue des territ
LE. 417 « nis au médecin par un aliéné peuvent être révélés dans le cas « où cette révélation est nécessaire dans l'int
« dans l'intérêt de la sécurité publique, mais seulement dans ce « cas . » R. DE Musgrave-Clay. XXXII. Contribution à l
it sui- vie de rêves érotiques obsédants. Existe-t-il beaucoup de cas semblables ? l'auteur fait remarquer qu'il ne f
l ne faudrait pas se hâter de tirer des conclusions générales de ce cas . Seulement il y a lieu de se demander si un sport
ais à doses élevées. La suggestion est utile aussi. Jamais, sauf le cas de complica- tions anormales, l'auteur ne presc
ais un peu douloureux. Il faut noter dès le début que dans tous les cas où l'on a pu comparer la sensibilité au toucher
nal of Mental Science, avril 1899.) . L'auteur en a observé seize cas , dont six ont guéri : cette ma- ladie est un ét
différence qu'elle est assez souvent curable, et que même dans les cas où elle ne l'est pas, on obtient assez souvent de
sus est l'exception plutôt que la règle; cependant il y en a des cas authentiques, bien que la forme progressive soit
ogressive soit au contraire la règle; cette différence entre divers cas a des causes multiples qui sont le pouvoir de r
sible, enfin l'état général du système nerveux ; mais dans tous les cas on se trouve en présence de l'équation personne
s symptômes sensoriels sont remarquables par leur absence. Dans les cas curables, les pupilles restent égales et réagis
générale; 2° la manie alcoolique aiguë simple. Dans la plupart des cas , le diagnostic différentiel avec la paralysie gén
telligence est très sérieusement compromise dans un grand nombre de cas . Socialement et légalement, on peut se demander
nérale des associations fonctionnelles du cerveau. En présence d'un cas d'aphasie ou d'un cas similaire, si l'on veut pré
s fonctionnelles du cerveau. En présence d'un cas d'aphasie ou d'un cas similaire, si l'on veut pré- ciser l'état menta
renseignement est d'autant plus utile que le plus souvent dans le- cas qui est examiné ici, il ne s'agit pas du traiteme
vivre à l'abolition com- plète de la faculté d'expression. Chaque cas doit donner lieu à une étude spéciale, car aucun
par signes ou en écrivant; mais dans la majorité tout au moins des cas , l'apha- sie motrice s'accompagne d'une agraphi
t de la signi- fication qui lui est donnée. Il existe cependant des cas de cécité des mots avec conservation par le mal
st absolue, la démence est complète. R. de Musgrave-Clay. XLI. Un cas de « folie circulaire » dans lequel la durée de
M. Mac-Lulich. (The Journal of 31ental Science, juillet 1899.) Ce cas , observé chez une femme de 45 ans, présente quelq
dans cette forme de folie, vers le moment de la puberté, et en tout cas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 42S rarement apr
es d'excitation ou de dépression. - R. DE Musgrave-Clay. XLII. Un cas d'impulsion homicide délirante; par D. F. RAnBAUT
uf à tenter des actes de violence contre ceux qui l'attachent. Ce cas parait rentrer dans la description classique parE
cille un terrain favorable. Mais, sauf dans un très petit nombre de cas , la cause immédiate est la contagion qui résult
ait là une analogie avec la diphtérie, où c'est sou- vent après les cas bénins que l'on voit apparaître la paralysie di
voit apparaître la paralysie diphtéritique : de même pour certains cas de paralysie générale ou de tabes, dans lesquel
conclut que malgré la grande res- ponsabilité morale qui en pareil cas résulte pour le médecin d'un conseil affirmatif
9 XLVII. Emphysème du tissu aréolaire sous-cutané survenu dans un cas de manie aiguë ; par CoNOLLY NoRmAN. (Tite Journa
e, octobre 1899). L'auteur rapporte avec détail l'observation de ce cas , et il la fait suivre de la relation d'un autre
, publié par Kellner dans le tome XXV des Archiv f. Psychiatrie. Le cas du Dr Conolly Normal est intéressant par l'abse
la cause est si commune. R. DE Musgrave-Clay. XLVIII. Sept cents cas de paralysie générale des aliénés : analyse de
t cents cas de paralysie générale des aliénés : analyse de tous les cas observés à l'asile du comté de Glamorgan de 1867
let 1899). 1 Ce travail est intéressant à cause du grand nombre de cas sur lesquels il est établi ; mais il est imposs
ement ceux de Mickle. R. DE Musgrave CLAY. XLIX. Notes sur quatre cas de grandes opérations chez des aliénés; par Il.
PRO.4T. (The Jozcrnal of blental Science. Juillet 1899). Le premier cas consista d'abord en l'extration d'un tuyau de p
la vessie, la cystotomie suspubienne fut pratiquée. Dans le second cas , il s'agit de l'ablation d'un fibrome utérin du
ation fut pratiquée par les voies naturelles. Le troisième était un cas d'abcès sous-hépatique qui fut ouvert par incis
OLOGIE MENTALE. et de la suppuration, et dans l'estomac. Ces quatre cas se sont terminés par la guérison. R. DE IUSCRIV
L'exclusion des illusions est souvent aussi chose malaisée. Chaque cas doit, à cet égard, être apprécié isolément, aucun
resque toujours de nature désagréable (odeurs agréables dans quatre cas seulement, et encore dans deux de ces quatre cas,
éables dans quatre cas seulement, et encore dans deux de ces quatre cas , elles REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 431 alter
marque d'un trouble mentalpro- .fond : sur les quatre-vingt-quinze cas observés sept seulement ont guéri ou sont consi
elligence. Il donne ensuite, très sommairement, le détail de treize cas d'hallucinations olfactives qui lui ont été commu
ion en 1894 ; la population était de 1503 personnes : il y a eu 174 cas de béribéri (127 hommes et 47 fem- mes) : le no
E MENTALE. . vérité, car L'auteur a la certitude, que dans bien des cas légers ou même dans quelques cas plus graves, n
a la certitude, que dans bien des cas légers ou même dans quelques cas plus graves, ne soupçonnant pas la ma- ladie, i
maladie disparut en 1895 pour reparaître en 1896. (Population 1686. Cas de béribéri parmi les aliénes 107, dont 31 homm
nel)-En 1897, pour une population moyenne de 1 800 per- sonnes, 246 cas dont 45 hommes, 193 femmes 2 infirmiers et 6 infi
miers et 6 infir- mières. Décès : 3 hommes et 8 femmes. En 1898, 12 cas , tous chez les femmes avec 4 décès. La mort s
t-être la virulence est-elle variable sui- vant le terrain; en tout cas il y a là de nouvelles recherches à pour- suivr
r la possibilité d'une contracture de la langue. M. Afinorrelate le cas d'une femme âgée de trente-deux ans, ancienne s
et Iloth. S. SourifANow. Sur les psychoses chez les jumeaux.' Les cas des psychoses chez les jumeaux ne sont pas nombre
rait pour la plupart au sexe féminin (soeurs jumelles). Ce sont des cas de confusion maniaque, de manie, de mélancolie, d
des époques différentes et d'une façon indépendante, dans d'autres cas il s'agissait de la folie induite. L'auteur rel
d'autres cas il s'agissait de la folie induite. L'auteur relate le cas de deux frères jumeaux, âgés de trente-trois an
ntal est meilleur que chez le premier. En résume, il s'agit dans ce cas d'une démence précoce, s'étant développée indép
s deux côtés) montre l'existence d'une amyotrophie neurotique. Le cas de M. Nalbandow prouve bien la réalité de la dévi
ère. Mort le sixième jour. A l'autopsie on constate dans les deux cas que les os du crâne et la dure-mère cérébrale s
oelle. En se basant sur l'examen anatomo-pathologique de quatorze cas (dont neuf de syringomyélie, trois d'hématomyélie
et forma- tion de cavités, n'existe pas ; c'est un mythe. Dans ces cas l'auteur n'a jamais vu de résorption de la glio
nts médullaires. L'auteur est con- vaincu que presque dans tous les cas de syringomyélie on trouve un revêtement épithé
mier travail sur la syringomyélie, M. Roth a mis en évidence des cas de transition anatomique avec et sans formation d
édullaire du trijumeau ou d'autres régions du bulbe ? Dans quelques cas tous les processus se résument dans une hyperplas
été enfermées en vertu de certificats qu'on pourrait, dans certains cas qualifier de « complaisance ». C'est ainsi que, i
: 15 francs. Paris, 1901. Lilaairie Vigot frères. Grocq (J.). Un cas de polynévrite urémique. In-8° de 10 pages, ave
c 5 figures. Bruxelles, 1900. Lnpumerie Sevoreyns. CRocQ (J.). Un cas de mal perforant plantaire périphérique guéri p
N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. 1 Un nouveau cas de paralysie générée' avec syphilis héréditaire
'ai eu la bonne fortune de publier, il y a dix-huit ans, le premier cas de paralysie générale juvénile connu en France
et 1. Depuis j'ai succes- sivement observé et rapporté trois autres cas semblables 2. Celui-ci est donc le cinquième.
émanées ' A'o/e sur la paralysie générale prématurée, A propos d'un cas remar- q ? iable survenu « l'âge de dix-neuf an
1883. Journal cie« mécl. de Bordeaux et l'Encéphale, 1883.) 2 Un cas de paralysie générale à l'âge de dix-sept ans. (B
i 1S85. Journal de de Bordeaux et l'Encéphale, 1885.) Deux nouveaux cas de paralysie générale juvénile avec syphilis hé
ement le diagnostic chez mon malade. C'est, à n'en pas douter, un cas de paralysie générale juvénile, ayant débuté à l'
qu'il est fils et petit-fils de pellagreux. Voici donc un nouveau cas de paralysie générale juvénile à l'origine duqu
nettement retrouvée. J'ajoute qu'il en a été de même dans tous les cas où on a pu et voulu la chercher sérieusement, a
l'ai signalé 2, pour de l'idiolie ou pour de la démence précoce. Le cas de Victor est à cet égard aussi démonstratif qu
on française pour l'avancement des sciences, une série de plusieurs cas curieux de fractures dans la para- lysie généra
par Gué- niot, comme étant susceptible de quelque utilité dans les cas de synostose prématurée des os du crâne, et pra
ité d'un tel procédé pour le traitement des idiots et arriérés. Les cas que je connais confirment pleine- ment l'opinio
l aurait gagné, avec la simple section osseuse, autant que tous les cas connus. En faisant l'intervention, puisque sa m
PASMODIQUE INFANTILE. 465 pyramidal, mais, de même qu'il existe des cas qui ont présenté la contracture sans la dégénér
ions, puisque le neurone central manquait, tandis que,dans d'autres cas , la dégénération du cordon pyra- midal ne s'est
lle-ci est très peu marquée, elle peut même ne pas exister dans des cas vraiment excep- tionnels ». P. Marie et E. Jend
. P. Marie et E. Jendrassik ont publié, en 1885, l'observation d'un cas dont la maladie avait commencé à ' Le syndrome
roisement. Etait-il question, dans cet enfant, d'un de ces derniers cas ? En tout cas, il est rare qu'une contracture,
-il question, dans cet enfant, d'un de ces derniers cas ? En tout cas , il est rare qu'une contracture, produite dans
difiée si notablement et en si peu de temps parce que dans tous les cas où ce phénomène s'est présenté il a été perdura
sse, c'est à cause de l'atrophie des muscles. Mais, dans ce dernier cas , les attitudes vicieuses des membres persistent
udes qui peuvent manquer dans les grandes 1 On trouvera de nombreux cas à'hémiplégie spasmodique infantile, avec idioti
ons partielles des doigts). Mais il ne pourrait être question de ce cas non plus, puisque l'atrophie des muscles contra
u'ils font une loi neuropalhologique, mais il doit exister quelques cas qui font exception, puisqu'il existe beaucoup d
dans l'Académie de Médecine de New-York : « Que dans les prétendus cas de gué- rison, on ne peut pas assurer qu'elle s
comme White l'a démontré. D'ailleurs, on sait que dans beaucoup de cas d'épilepsie, il se passe des mois et des années
éré, par laquelle on obtiendrait les meil- leurs résultats dans les cas où l'opération vise à supprimer ' Lu ! gi Ronco
on intra-cranienne dans l'épilepsie. Kocher a observé que, dans les cas de guérison définitive, le point trépané était
is qui suivirent l'opération, il n'y eut pas d'attaques. Dans '18 cas de fracture compliquée du crâne, Kocher n'a obs
'ouvrir la dure-mère, il ne faisait que des scarifications dans les cas ds pachyméningite et, dans ce dernier cas. il c
s scarifications dans les cas ds pachyméningite et, dans ce dernier cas . il conseillait de la suturer soigneuse- ment,
izons au traitement chirurgical de l'épilepsie, et dans l'étude des cas opérés l'on est vraiment incliné à procéder en
recherches dans ce sens. L'étude de Kocher est encourageante et le cas que j'ai observé, quoique unique, est, dans mon o
e, ne dis- paraît qu'au bout de trente ans en avant, et ce sont les cas où le traitement médical a le moins d'action. I
ion de la contracture, laquelle, à ma manière de voir, a rendu ce cas plus intéressant, je ne considère pas prématurée
qui autorise à continuer ce procédé comme traitement dans tous les cas rebelles au bromure de potassium et au régime q
m et au régime qu'on emploie généralement chez un épileptique. Ce cas est d'autant plus intéressant qu'il a passé par u
ÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. 473 Épilepsie et trépanation. Le cas suivant, emprunté à M. le Dr Gilles de la Tourett
naguère opérés, pour qu'ils nous envoient ou publient ailleurs les cas qu'ils observent soit dans les asiles, soit dan
;1GBR1-, Interne a l'asile ite Mantille. Il est utile en bien des cas de rechercher les habitudes alcooliques; si cet
e catégorie comprenait dix-neuf aliénés entrés depuis deux ans. Dix cas étaient positifs; sur ces dix cas : quatre entr
iénés entrés depuis deux ans. Dix cas étaient positifs; sur ces dix cas : quatre entrés en 1899 et 1900 présentaient un
nfin ne présentaient plus que des troubles mentaux divers. Sur neuf cas négatifs, trois fois il n'existait plus de trembl
tremble- ment, deux fois le tremblement était très fort, et dans un cas accompagné d'amblyopie. Nous nous résumerons
on s'en présentait. Nous avons alors été frappés du grand nombre de cas positifs. Quoique notre étude sur ce point n'ai
sobriété n'exclut pas un alcoolisme mitigé. Néanmoins dans tous les cas où l'abstinence était indiscutable il nous a tou-
ait prudent de restreindre sa valeur séméiologique. On peut en tout cas affirmer que lors- 478 SÉMÉIOLOGIE. qu'on le
nsi à préciser le diagnostic. Il nous a aidé de cette façon dans un cas en mettant notre esprit en éveil. Une femme âgé
pourrait être encore un élément de diagnostic différentiel dans les cas d'hébétude soit qu'ils soient consécutifs à des
E THÉRAPEUTIQUE. - 47& Il serait trop long de signaler tous les cas dans lesquels il est important de savoir l'usag
corporels chez les buveurs invétérés. R. de luscn.lve-CLAx. X. Un cas d'hématoporphynurie; par Keitii-Campbell. (Tne
des symptômes qui l'accompagnent est maintenant nettement tracé. Le cas observé par l'auteur et dont il publie l'observ
servé par l'auteur et dont il publie l'observation détaillée est un cas typique et complet, suivi d'autopsie. il est re
peut légitimement se demander si elle doit être mise en cause. Des cas de ce genre ont été décrits dans lesquels les m
les malades n'avaient pas pris de sulfonal. Le pronostic en pareil cas est toujours au moins grave ; il devient tout à
e moins du monde compromise. R. de Musgrave-Clay. XL Notes sur un cas d'empoisonnement par l'if ; par BEDFORD l'isucr
tomac rem- pli de feuilles d'if. 1 L'auteur rappelle les quelques cas analogues qui existent dans la littérature médi
(Fahrenheit) au-dessus de la normale ; 3° Dans un certain nombre de cas cette élévation de tem- pérature est très légèr
ièrement défaut; il) Il est- actuellement impossible de prévoir les cas où cette élévation exis- tera, et ceux où elle
fré- . quence et le caractère du pouls sont modifiés dans tous les cas où l'on fait usage des préparations thyroïdienn
anglais vaut G centigrammes) pendant six jours; mais, dans certains cas , une dose moindre est suffisante, et dans d'aut
d'autres 90 grains sont tolérés sans accidents. 41° Dans quelques cas , de petites doses, administrées pendant une lon
itement, un examen attentif des pou- mons et du coeur; 13° Dans les cas où la phthisie est active, ou même assoupie, la
, seront pres- crits avec avantage; 18° Dans la grande majorité des cas , la médi- cation thyroïdienne exerce aussi une
mentales il donnera des résultats avantageux; 26° Dans la série de cas étudiée par l'auteur, des malades qui ont guéri
; 29° La raison de cette différence est inconnue. 30° Même dans les cas que l'on considère comme désespérés, la médicat
veler l'acte qui l'a provoquée. Si les aliénés ne doivent, en aucun cas , être punis, il ne reste plus qu'à bouleverser
time. - li. oE \I=cnwn : CLav. XIV. Note sur le sulfonal, avec un cas de névrite périphérique toxique consécutif à so
e-Ciuy. XVI. Les grandes opérations chez les aliénés : Notes sur un cas de cataracte; par J. H. 1'cLL WA ? =n. C'est
racte pratiquée chez un aliéné. Il. de lfuscrc.we-CEr. ' XVII. Un cas d'idiosyncrasie remarquable à l'égard du chloral;
tion, pas d'albumine). Comme il y avait à ce moment dans l'asile un cas de scartine on n'eut aucun doute sur le diagnosti
'urticaire. Couler dit qu'on peut trouver de l'albuminurie; dans le cas actuel il n'y eu a jamais eu. L'élévation de la
s par l'isolement et le plein-air, avec notes sur soixante-quatorze cas traités de cette manière; par David 13r..ma. (T
ment sur l'état du malade, et arrêter immédiatement l'écoulement en cas de céphalalgie, de ter.- dance t la syncope ou
ortance et sans gravité, bien qu'ils puissent devenir ennuyeux. Les cas dans lesquels il existe depuis déjà assez longt
mentation considérable la pression ce l'ébrospmate, par exemple les cas de tumeur sont ceux qui paraissent le moins bie
e qui est l'habitude, l'internat, comme iL Leipzig, est en bien des cas préférable. Quand les conditions du foyer domes
e journal of mental Science, janvier 1900.) 11 s'agit d'un de ces cas qui ont été souvent décrits sous le nom de « gr
tense. ' 11. de Musgrave-Clay. 'Nous avons eu l'occasion de voir un cas qui se rapproche du précédent, Mme X..., âgée a
ses règles, mais passagères et peu abondantes. L'erreur, dans ce cas , concernant une femme très nerveuse, est d'auta
. Les journaux politiques du mois de mai ont signalé un nouveau z cas de fausse grossesse, celui de la reine Draga, de
enté les mêmes hallu- cinations et suivis d'autopsie. Dans ces deux cas , les lésions ana- tomiques présentaient une dif
existence d'une lésion en foyer de l'écorce. D'ailleurs, excepté le cas de Tambroni, dans toutes les autres autopsies,
l fut frappé par un cheval à la tête. 11 s'en suivit, dans les deux cas , des pertes de connaissance ; la perte de conna
ent, au contraire, deux extrêmes, et ne prêtent à confusion que les cas , sans doute parfois observés, où l'on constate
es. Ces deux particularités opposées se peuvent combiner, et, en ce cas , surgissent des types d'individualités désé- qu
tés désé- quilibrées, douées de talents partiels. P. KERAVAL. LX. Cas original de névrose traumatique; par M. Schaikewi
dans beaucoup de psychoses. Particu- lièrement instructifs sont les cas où elles se développent presque isolément et co
ntes agréables, des hallucinations de la vue et de l'ouïe. Ces deux cas se rattachent évidemment à cette forme de folie q
les suivants : 10 la cause déterminante a été la même dans les deux cas , à savoir la maladie de M"10 C... qui a été dan
e et l'état mental ont été absolument similaires; 3° dans les deux- cas la guérison a été calme et ininterrompue; 4° il
ommission : MM. Brunet, Febvré, Meuriot, Sémetaigne, Taguet. - Un cas de décubitus aigu. M. Douireuenif, communique à
cas de décubitus aigu. M. Douireuenif, communique à la, Société un cas de décubitus 500 SOCIÉTÉS SAVANTES. aigu chez
hritique., etc., à moins encore que les faits publiés ne soient des cas mal observés pouvant, à la rigueur, être confondu
es partisans de l'étiologie syphilitique pourraient s'approprier le cas et qualifier la lésion de para-syphi- lilique.
n aussi loin. J'aimerais mieux admettre que le syn- drome hormis le cas de paralysie générale vraie, est seulement un s
énérale juvé- nile vraie, car elle se rapproche beaucoup d'un autre cas publié par M. Marchand et-qui pour moi était tr
tout à fait à leur place. J'ai publié, il y a quel- ques années, un cas comparable'dont le diagnostic est resté malgré
l- leurs de~rester absolument convaincu que, dans tous les antres cas , les mouvements qu'il croyait exécuter n'étaient
'o6JeWce)'e<<t<M&f<<f'o)). M. Touche rapporte le cas d'une malade ayant présenté ces deux phénomènes
te altération par com- pression des amygdales cérébelleuse dans des cas d'hémorrhagie cérébrale de la région postérieur
ent il y a des épistaxis ; il n'y a pas de troubles thyroïdiens. Ce cas vient donc compléter les descriptions de Dercum,
la conscience. , M Meigk. C'est là précisément ce que montrent les cas que nous avons observés et ce qui prouve l'impo
-dire l'abaissement, est toujours impossible, que, de plus, dans le cas qui nous occupe, le début a été marqué par un i
onforme à ce que nous savons sur l'action des antagonistes dans les cas de · " SOCIÉTÉS SAVANTES. 51 L paralysie loca
on provoquent une flexion de la main. Scruder a du reste observé un cas de paralysie de l'abaissement très analogue à cel
servés. Je ne vois aucun signe essentiel qui permette de séparer ce cas des autres observations de paralysie des mouvem
neurologie un seul fait démontrant que cela est pos- sible. D2tx cas de maladie familiale intermédiaire entre la malad
s cliniques. 1111. Crsr.w et Iwnotr montrent les radiographies d'un cas d'achondroplasie. ic.' Note préliminaire sur
bactériologique évidente. M. A. T'homvs rappoite l'observation d'un cas de syndrome de Weber d'origine syphilitique. Il
héréditaire. MM. L.wets, PavroT et MoK)ssET ont observé un nouveau cas de chorée héréditaire dont ils ont fait l'autop
de l'innervation du coeur; trouble d'origine sympathique. Dans deux cas de maladie de 1'lioinsen il y avait au contrair
oinsen il y avait au contraire hypertension artérielle. De ces deux cas on ne peut encore conclure que ce phénomène est c
roubles masticateurs remontent à trois ou quatre ans. De semblables cas n'ont pas été signalés souvent. On trouve seule
ion était habituelle et l'intoxication a été occasionnelle. Dans un cas que j'ai vu, l'alcoolisme était au con- traire
du nerf crural. En réalité,^le fait est d'ailleurs exact. Dans les cas de névralgie sciatique l'abolition du réflexe d'A
s'exécutent mieux que ceux de la convergence. On voit donc, dans ce cas , que les impulsions volontaires ne provoquent p
nducteurs dans le voisinage des noyaux correspondants. L'intérêt du cas pré- sent réside dans ce que l'affection des va
ors des mouvements latéraux, la convergence est impossible. Dans ce cas les mouvements réflexes des globes oculaires so
it à mettre les yeux en mouvement dans la direction voulue. Dans ce cas il existe une interruption anatomique dans la voi
inué. 11 y a un état manifeste de démence. L'auteur considère son cas comme paranoïa chronique d'origine épileptique
, qui connaît le malade, croit que l'alcoolisme a pu jouer dans son cas un grand rôle et contribuer (vu la prédispositi
usées, notamment du côté de l'ouïe. M. Tokarsky ne croit pas que ce cas doit être considéré comme un type autonome, mér
itant un nom à part. iAI. 5num.v est convaincu qu'il s'agit dans ce cas de la folie épi- leptique, mais il ne voit pas
20 BIBLIOGRAPHIE. ' pourrait prêter à confusion et d'autre part, le cas du malade de M. Mouratow rentre parfaitement da
téra- lion du réflexe à la lumière, on la trouve dans 47 p. 100 des cas , d'après Thonisen et Monde ! , et dans 88 p. 10
p. 100 des cas, d'après Thonisen et Monde ! , et dans 88 p. 100 des cas . d'après Fiancolté. L'auteur attribue ces div
p. 100 et Thomsen l'immobilité des pupilles que dans 2,1 p. 100 des cas . Seuls, Verga et Casliglioni considèrent que le
'aliénation mentale, et trouvent des altérations dans 74 p. 100 des cas . 1 Vignot a constaté des troubles pupillaires c
p. 100) et des déformations (2 p. 100). Ce qui dans la plupart' des cas , caractérise ces troubles, c'est leur inconstance
100); ce réflexe a été aboli a un moment donné dans (16 p. 100) des cas . Ici encore, il signale une variabilité très gr
s caractères, enlève toute valeur à l'observation, mais, en aucun cas , ce symptôme ne peut être pathognomonique, car, c
p. 100;grossesse,couches,etc.,3,)p.100. L'émotion a produit plus de cas d'aliénation parmi les femmes -BIBLIOGRAPHIE. 5
artie une des causes principales de l'aliénation. Dans 21 p. 100 de cas , l'aliénation se déclara sans aucune cause occasi
antécédents indirects. Parmi les antécédents on nota 39.1 p. 100 de cas d'aliénation, 26,5 p. 100 d'alcoolisme, 14,9 p.
les douches tièdes. L'électrothérapie n'est em- ployée que pour les cas de neuro psychose. Les bromures sont lar- gemen
s formes patho- logiques, leur classification et la description des cas particuliers. Malgré le haut intérêt que cette
et Audibert (V.). Recherches cliniques et radiogra- phiques sur six cas d'usléo-arlhropulhie hype,li-ol)hi(iiite pueumigu
+. - Etude de l ? par Bonardi, 39à. - Relation de l'autopsie d'un cas d ? par ilitcliell et Le Coiiit, 398. ADC\0-L
du - aigu, par Ve de[iliaminei- et Broukhowsky, 435. DEI,1111U,l Cas peu ordinaire de -, par fleudon, 325. Démence
b7. dans la clientèle pri- vée, l1-isLONN-11, 59. Deux nou- veaux cas de - gémellaire, par Clillerie, 97. Cause de la
87. J1 wmes MENTALES. Guérisons dans , les par Soutar, Quelques cas tiré» de la pratique, des -. par Manning. 47. P
ghome probable, par Vincent, 45. Emphysème sous-cutanée dans un cas de -, par Norman.'f9. àlipi%GE. Folie et -. par
r. Raymond et Iluet, 153; par Huet, Duval et Guillain, 134 Deux cas de - alterne, par Miral- lié, 172. - associée d
Sclérose en placlues ou -, par Brissaud et monos. 346. Sept cents cas de -, par Smith. 429. - avec syphilis héréditai
lésion du IV- ventricule, par Swital.l,y, 85. Paré.ncéphu.ie Un cas lié Edgerley, 413. Protubérance. Hémorragie d
des cellules des ganglions spinaux dans)e,parMar ! nesco, 88. Un cas deamyotrophiqup, par Mirallié, 171. Diagnostic
7 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ions du type. Le clinicien, au contraire, vit plus spécialement des cas indi-viduels qui, presque toujours, s'offrent ave
loignant plus ou moins du type vulgaire ; il ne saurait né-gliger les cas exceptionnels, anormaux, car c'est en leur pré-se
s. Dans cette exposition, nous comp-tons bien, du reste, utiliser les cas si nombreux soumis à notre observation dans cet h
peu ou point étudiées, et qui, cependant, sont loin de constituer des cas rares. Sans négliger l'étude anatomique, nous n
suffisante, frappée, dès l'origine, de sté-rilité. En effet, dans les cas récents, elle ne dénote aucune al-tération et, da
dans les cas récents, elle ne dénote aucune al-tération et, dans les cas anciens, elle ne nous donne pas les moyens de pré
eaux postérieurs, dans l'ataxie, et qui se montre toujours, en pareil cas , exactement limitée à la surface de ces faisceaux
la région des cornes antérieures. On sait encore que la majorité des cas , désignés en clinique sous le nom atrophie muscul
elle qu'elle s'observe, par exemple, au renflement cervical, dans les cas où la moelle est comprimée sur un point de la rég
progressive. {Archives de physiologie, 1872, p. 364.) — Notes sur un cas de sclérose primitive du faisceau médian des cord
eurs. Or, cette sclérose consécutive affecte exclusivement, en pareil cas , les cordons médians ou cor-dons de Goll. Il étai
empruntées aux Archives de physiologie.) servico-dorsale, dans les cas à'ataxie locomotrice généralisée, c'est-à-dire in
inférieurs, est venu confirmer ces prévisions. On sait que, dans les cas de ce genre, on observe en dehors de la sclérose
ctus sclérosés, dont il s'agit, ne se rencontrent jamais que dans les cas où, pendant la vie, les membres supérieurs ont pr
rédominé, au contraire, dans le membre gauche. De plus, dans tous les cas où les membres supérieurs étaient restés absolume
rales. Mais il manquait encore à la démonstration de reconnaître un cas où la sclérose des cordons de Goll fût absente au
que les symptômes d'ataxie eussent occupé les membres supérieurs. Ce cas s'est enfin présenté chez une nommée Moli, dont l
se produirait à la région cervicale, chez les alaxiques, que dans les cas où la sclérose se montre chez eux très pro-noncée
supérieurs s'applique d'ailleurs également aux membres inférieurs; le cas de Moli en fait foi. L'ataxie locomotrice se mont
ées dans toute la hau-teur de la moelle et à cela se bornait, dans ce cas , la sclérose des faisceaux postérieurs. Vous vo
aut savoir la chercher là où elle est. croyons-nous, dans plusieurs cas où la mort, déterminée par une complication, est
mplication nous paraît se révéler dans le fait suivant : il s'agit du cas de la nommée Moli, auquel nous avons déjà fait al
ce fortuite, et j'émis l'opinion que l'amyotro-phie relevait, dans ce cas , de l'extension de la lésion sclé-reuse des cordo
Des crises gastriques. — Spécificité de leurs caractères. — Durée. — Cas frustes d'ataxie locomotrice. I. Messieurs,
lques déve-loppements. Je vous rappellerai, Messieurs, que, dans le cas de dégéné-ration ascendante consécutive à une lés
ndue en hauteur, jusqu'au voisinage du bulbe ; et cependant, dans les cas de ce genre, les symptômes ataxiques font absolum
aut dans les membres supérieurs, au moins dans l'immense majorité des cas . Il y a, néanmoins, des exceptions à la règle,
elle dorsale était seule ramollie dans une partie de son étendue. Les cas de ce genre ne sont sans doute pas très rares : M
lusion des yeux, et en tout comparable à ce que l'on observe dans les cas d'ataxie loco-motrice progressive. Aussi, chez ce
a paralysie avec ou sans contracture des membres supérieurs, dans les cas pathologiques qui nous oc-cupent. C'est, selon mo
s qui lui sont ordinairement assignées, elle envahisse dans cer-tains cas , les bandelettes latérales des faisceaux postérie
l'incoordination ; c'est ainsi que je vous propose d'interpréter les cas de la seconde catégorie. A la vérité, cet envahis
des cordons médians postérieurs, il existe presque toujours, dans les cas de lésion partielle de la moelle dorsale, princip
de l'histoire clinique de l'a-taxie locomotrice progressive. Si les cas qui vont nous occuper s'éloignent tous, à des de-
et ne détermine alors aucun symptôme ; mais elle peut, dans certains cas , s'accuser à un haut degré, et remonter jusqu'au
otrice. Enfin, la paralysie et la contracture apparaîtraient dans les cas où la sclérose consécutive occuperait, à un haut
tée cliniquement par deux ordres de symptômes qui coexistent dans les cas complets et se montrent isolément dans les cas im
ui coexistent dans les cas complets et se montrent isolément dans les cas imparfaits, frustes, ainsi qu'on les nomme encore
lgurante s se rencontrent d'ailleurs dans la très grande majorité des cas d'ataxie locomotrice progressive. Il est incontes
ception. Ainsi, d'a-près une statistique de M. Cyon, qui comprend 203 cas , les douleurs fulgurantes ont été notées expres
difficile. Elle peut se faire cependant très nettement, bien que le cas soit rare, lorsque des éruptions cutanées se mani
istons fréquem-ment à des scènes de ce genre. scléreuse. Tel est le cas de la sclérose en plaques dissé-minées. Il n'est
nérale progressive ; ils doivent certainement être rattachés, dans ce cas , aux altérations des faisceaux pos-térieurs qui,
ns la myélite partielle et dans le mal de Pott. Dans plusieurs de ces cas , j'ai reconnu à l'au-topsie une lésion fasciculée
rendre compte de la présence des douleurs spécia-les. En dehors des cas qui viennent d'être passés en revue et dont le dé
bservations recueillies par divers auteurs, et en particulier dans le cas n° 176, de l'excellent ouvrage de M. Topinard. Ma
isser ignorer que, dès 1858, M. Gull, dans la précieuse collection de Cas de maladies spinales (Cases of Paraplegia), qu'il
és. M. Rosenthal, qui a quelque-fois assisté à ces crises, signale un cas où le pouls était ralenti pendant l'accès. En ce
, à chaque accès de douleurs fulgurantes. Tel a été, entre autres, le cas d'une nommée Ménil, qu'il nous a été loisible d'o
rdres moteurs, chez M. T... Le diagnostic était rendu facile, dans ce cas , par l'existence d'une atrophie com-mençante d'un
tiques. L'opinion que j'émis, presque dès l'origine, sur la nature du cas , fut néanmoins vivement contestée par plusieurs m
ières dans l'intervalle des accès. Le diagnostic est facilité dans ce cas par l'existence d'un strabisme qui date de l'époq
erf et de la papille optiques. — Modifications de la papille dans les cas d'embolie de l'artère centrale de la rétine, dans
ions connues sous le nom de névrite optique : dans ces deux der-niers cas , malgré quelques traits de ressemblance, les lési
s, lalésion optique propre à l'ataxie peut, dans un certain nombre de cas précéder tous les autres symptômes et composer à
constituée, sera suivie d'ataxie ; de pouvoir, en d'autres termes, un cas d'amaurose par lésion atrophique du nerf optique
s cylindres d'axe persistant en effet beaucoup plus longtemps dans le cas de la dernière affection. L'induration grise des
nant en quoi toutes ces particularités se trou-vent modifiées dans le cas d'induration grise progressive. La papille n'a
t, en effet, contribuer puissamment à établir le diagnostic, dans les cas où les symptômes ophtal-moscopiques sont peu acce
ès, l'évolution des troubles visuels est, dans l'immense majorité des cas , lente, graduelle, progressive, tan-dis que, dans
ent au front et à la nuque. A ces douleurs s'associent, dans bien des cas , des fulgurations revenant par accès et occupant
ouverez exposés dans les trai-tés spéciaux. Le début brusque, dans le cas d'embolie et la concomitance habituelle d'une hém
jà que les lésions spinales tabétiques se rencon-trent, dans quelques cas , liées àia paralysie générale, et cette circonsta
out méritent d'être relevées : Io a) La cécité, si commune dans les cas de tumeurs céré-brales, puisqu'elle se produit da
umeurs céré-brales, puisqu'elle se produit dans près de la moitié des cas (Friedreich et Ladame), paraît reconnaître le plu
ussi assez fréquemment l'occasion de la neuro-rétinite, et, en pareil cas , le pronostic est bien différent de ce qu'il est
la controuver au moins dans ce qu'elle a de trop absolu. 11 s'agit du cas d'une malade nommée Ler..., chez laquelle se prés
tubercules quadrijumeaux, étaient fortement aplatis. Eh bien, dans ce cas , où la pression intra-cranienne était évidemment
x ; le processus morbide affecte là une marche plus aiguë que dans le cas de la névrite optique tabétique ; la mul-tiplicat
el rapport y a-t-il entre une tumeui occupant le lobe occipital et un cas d'ataxie à la première période? Ce sont deux mala
stic absolument incertain. Il n'est pas douteux pour moi que certains cas de tumeurs cérébrales, sans nul doute fort except
prochés, cliniquement, de l'ataxie locomotrice. L'exposition des deux cas que je viens de citer sera, du reste, plus démons
e malade, ne sont pas, d'ailleurs, un fait absolument exceptionnel en cas de tumeurs cérébrales. Ainsi, sur 233 cas, M. Lad
absolument exceptionnel en cas de tumeurs cérébrales. Ainsi, sur 233 cas , M. Ladame a mentionné 23 fois des douleurs rhu-m
n, Messieurs, en pareille occurence — et selon toute probabilité, les cas de ce genre se reproduiront danslaprati- que —
uter à l'inté-rêt de la situation, que la titubation existait dans le cas de la tumeur, et que Deg..., l'ataxique, n'en pré
eux qu'il est capable de procurer dans de sem-blables conditions. Les cas abondent dans cet hospice, et vous pourrez, en tr
être aussi le siège d'accidents singuliers. Nous rappellerons ici le cas d'un malade, M. C..., dont nous vous avons déjà p
ituel sur lequel M. Eulenburg a attiré l'attention. Enfin, c'est le cas de mentionner en passant la fièvre réelle qui, au
athies sur 50 ataxiques environ que je connais dans cet hospice. Cinq cas sur cin-quante, c'est déjà un chiffre respectable
devant la Société de médecine de Berlin (30 octobre), îl propos d'un cas présenté par M. Ponfick et recueilli dans le serv
e présente à l'observateur, laissez-moi rapporter brièvement quelques cas . Premier cas. — M. B... a eu, en 1860, des accè
observateur, laissez-moi rapporter brièvement quelques cas. Premier cas . — M. B... a eu, en 1860, des accès de dou-leurs
eau spécimen de la forme bénigne et précoce de la maladie. Deuxième cas . — Chez un pharmacien de province qui est venu me
emiè-res crises de douleurs fulgurantes. De même que dans le der-nier cas , l'affection aujourd'hui ne se décèle par aucun i
ade de se livrer avec ardeur à des excursions botaniques. Troisième cas . — L'histoire du docteur X..., que je vous ai rac
espèce d'empâtement, d'induration, plutôt que de l'œdème. Quatrième cas . —Je rappellerai ici Aub..., que je vous ai prése
le voyez, que cette arti-culation était toujours respectée en pareil cas . Elle nous four- Ghargot. Œuvres complètes, t.
de la jointure. Il con-vient d'opposer cet exemple aux trois premiers cas qui, eux, je le répète, appartiennent à la forme
forme bénigne, laquelle peut se terminer par la guérison. Cinquième cas . — Une malade, nommée Mén..., sur la-quelle j'ai
ôt il se produisit une luxation de l'épaule en arrière (Fig. 6). Ce cas revient de droit, comme le précédent, à la forme
une leçon clinique intéressante, fait exception à la règle. Sixième cas . — Après avoir éprouvé, pendant quelques jours, d
température (40°). Je n'insisterai pas sur un grand nombre d'autres cas d'ar-thropathie qu'il m'a été donné d'observer ch
us ai cités. 6° On nous dit encore que, dans l'immense majorité des cas , la forme mono-articulaire de l'arthrite sèche, r
les lésions de Varthropathie des ataxiques. testablement, dans les cas de date ancienne, quand les sur-faces articulaire
ominance de l'usure sur la production des bour-relets osseux dans les cas récents. Comparez, par exemple, l'humérus que je
, le résultat d'une cause trau-matique tout extérieure, dans certains cas . La considération anatomique, avec le concours
raplégie du mal de Pott ; 2° dans la myélite aiguë ; 3° dans certains cas de tumeurs occupant primitivement la substance gr
ant primitivement la substance grise spinale (Gui) ; 4° dans certains cas d'altérations de la sub-stance grise déterminant
s arthropathies spinales. (Rosenthal, Remak, Patruban) ; 5° mais le cas où il est le plus facile de montrer la liaison qu
ornerai à citer deux exemples à l'appui de ce que j'avance. Dans un cas , relaté par M. Viguès, il s'agit d'une lésion de
yait se repro-duire tous avec une régularité admirable, dans d'autres cas ana-logues. Tel est, en particulier, celui que MM
onner appui à cette supposition. Il en a été de même dans deux autres cas étudiés avec MM. Pierret et Gombault. J'ajoute-ra
e reconnue au niveau des points où elle avait été rencontrée dans les cas an-térieurs. Par contre, dans ce cas, les ganglio
le avait été rencontrée dans les cas an-térieurs. Par contre, dans ce cas , les ganglions spinaux étaient très volumineux, é
ce qui est des nerfs périphériques, on s'est as-suré dans ce dernier cas , comme dans les précédents, qu'ils ne présentaien
on des fibres nerveuses spinales, tandis que ces phénomènes, dans les cas de productions morbides, nées en dehors de la moe
présente quelquefois le canal central de la moelle épinière. Dans un cas de Gull, et dans quelques autres, cette lésion s'
c atrophie musculaire des membres supérieurs. La dilatation, dans ces cas , intéressait presque toute l'étendue en longueur
i comme dans le crâne, peut devenir le point de départ d'un hématome ( cas de Kùhle) 1 ; 2° une forme de la pachyméningite p
'ai vu plusieurs fois le carcinome occuper cette région dans certains cas de cancer du sein; d'autres tumeurs, et en parti-
rtrophie de l'apophyse odontoïde entre autres, laquelle dans certains cas rares, très rares même, puisque Adams, qui s'est
n général, on admet sommairement que la paraplégie résulte, en pareil cas , de la courbure exagérée et souvent anguleuse que
recherches, comment les choses se passent dans l'immense majorité des cas . Tout d'abord, il est possible qu'un abcès caséeu
ud. — Sur la méningite et la myélite dans le mal vertébral, 1871. 2 Cas de M. Liouville. de provenance osseuse se met e
comment se comporte anato-miquement le cancer vertébral. Il est des cas où les noyaux cancéreux développés en petit nombr
n accusée, particularité qui a une certaine importance. Dans d'autres cas , on remarque une courbure arrondie, à grand rayon
rps vertébraux; elle envahit les lames et les apophyses. Dans de tels cas , les vertèbres sont parfois molles comme du caout
a dure-mère. La compression des nerfs peut se produire aussi dans les cas de tumeur ou de néoplasie inflammatoire ayant pri
onc là un élément qui se montre en proportions variées, dans tous les cas de lésions organiques qui, développées en dehors
on lente de la moelle épinière. — Modi-fications anatomiques dans les cas qui se terminent par la guérison. — Symptômes. —
es extrinsèques: pseudo-névralgies. — Des pseudo-névral-gies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans l
n de la colonne vertébrale. — Difficultés du diagnostic dans certains cas : osteomalacic, pachy-ménin-gite cervicale hypert
r les parties. C'est ce qui a eu lieu très certainement dans les deux cas suivants. Dans le premier, rapporté par Ehrling,
rs, tous les symptômes de compression s'étaient dissipés. — Le second cas , communiqué par M. Brown-Séquard, concerne un ind
araître, en cinquante heures, toute trace de paralysie. Dans ces deux cas , assez exceptionnels, d'ailleurs, la com-pression
nt com-primé. M. L. Tripier a signalé cette lésion secondaire dans le cas de cancer de la colonne vertébrale. Mais c'est là
d'ailleurs, que l'examen anatomique tel qu'il a été pratiqué dans ce cas , n'est pas à l'abri de la critique, la moelle n'a
, nous retrouvons là des caractères qui se ren-contrent dans certains cas de myélite transverse primitive subaiguë ou chron
rs est-il qu'elles se montrent, ainsi que je l'ai fait voir, dans les cas de myélite primitive c'est-à-dire là ou la compre
le mal de Pott et très vraisemblablement il en serait de même pour le cas des tumeurs s'il n'était de la nature de celles-c
ott, bien établie en particulier par MM. Bouvier et Leudet \ dans les cas mêmes où elle entraîne la paraplégie, permettait
, par mal de Pott, ne rétro-grade guère ; ils signalent seulement les cas dans lesquels la paralysie des membres supérieurs
de loin. Je ne saurais dire si le mal de Pott, qui guérit en pareil cas , appartient plus spécialement à l'une ou à l'autr
ient la guérison. Je ne crois pas qu'on puisse voir là, dans tous les cas , une simple coïnci-dence ; c'est en quelque sorte
clinicien, car c'est elle qui fournit, dans l'immense majorité des cas , les éléments du diagnostic. En effet ainsi que j
hysionomie à part. Ils font défaut, en effet, c'est la règle, dans le cas où, soit des tumeurs, soit encore d'autres lésion
st un symptôme des lésions extra-spinales et qui fait défaut dans les cas de lésions intra-spinales. Bien que, ici comme ai
ur est à gauche ; elle est bilatérale — ce qui n'est peut-être pas le cas le plus commun — quand la production morbide pres
bon, Messieurs, de citer brièvement quelques exemples : 1° Dans le cas d'une malade, observée dans cet hospice et nomm
terminales se rendant au voisinage de la crête iliaque. 3° Dans un cas rapporté par M. Bartels2, il s'agissait d'une tum
a dure-mère ; tantôt elle est dans le trou de conjugaison. Ce dernier cas est plus rare, s'il est exact, comme plusieurs au
ruptions cutanées, telles que le zona ainsi que cela s'est vu dans un cas rapporté par M. Wagner 1 et dans un autre cas rap
e cela s'est vu dans un cas rapporté par M. Wagner 1 et dans un autre cas rapporté par M. Michaud 2, ou l'atrophie musculai
il y a lieu de distinguer une espèce particulière qui prête, dans le cas où elle existe, une physionomie propre à la malad
car elles ne se présentent guère avec le même caractère que dans les cas de tumeurs extra-rachidiennes faisant effort avec
meurs extra-rachidiennes faisant effort avec la moelle, comme dans le cas par exemple d'un anévrysme ou d'une tumeur hydati
ps vertébraux et se met en contact avec les nerfs rachidiens. Dam ces cas divers, la cause organique est toujours la même:
ssion, l'irritation vive que subissent les troncs nerveux, et dans le cas de cancer vertébral, en particulier, la lésion de
jusqu'à la moelle sans produire d'autres qui survient dans certaim cas de cancer. {Société médicale des hôpitaux, mars 1
e de mon interprétation pathogé-nique. Les nerfs comprimés, en pareil cas , sont rouges, tumé-fiés à un haut degré, toutefoi
able circonstance l'infiltration can- 1 Charcot et Cotard. — Sur un cas de zona du cou avec altération des nerfs du plexu
mbaire est atteinte dans une certaine étendue. C'est là, du reste, le cas plus habi-tuel. Mais de fait, plusieurs autres
se montre et quelque circonscrite qu'elle soit, la dou-'eur, dans les cas de ce genre se présente absolument avec les mêmes
1 Charcot. — Sur la paraplégie douloureuse qui survient dans certains cas de cancer. In Bulletin de la Société médicale des
itaux, loc. cit. Cruveilhier. — Atlas, 32e livr., p. 6. baires — ce cas répond, vous le savez, au type le plus com-mun —
présenter dans un instant, eh bien, il y a lieu de relever, en pareil cas , les symptômes suivants : Des douleurs vives ex
Tout récemment un médecin anglais, dont le nom m'échappe, a publié un cas du même genre dans un des volumes de la Société p
ortent que sur une des moitiés latérales du cordon nerveux. Premier cas : Succession des symptômes. — Prédominance, an déb
mission des sensations, dysesthésie. — Sensations associées. Second cas : Lésions portant sur une des moitiés latérales d
pression que subit la moelle épinière; la moelle peut, même en pareil cas , être comprimée sans que la colonne vertébrale pr
s le service de M. Béhier, M. Lion ville a observé récemment un autre cas de paraplégie par le mal de Pott, également sans
es exceptionnelles, et, pour plus de clarté, pre-nons pour exemple le cas le plus vulgaire, celui où la lésion siège sur un
ue sur une des moi-tiés latérales du cordon nerveux. C'est le premier cas , — de beaucoup le plus fréquent d'ailleurs, — qui
un phénomène purement mécanique, bientôt, dans l'immense majorité des cas , les éléments qui composent le centre nerveux spi
e la sclérose fasciculée secondaire, laquelle occupe, dans le premier cas , la partie médiane des cordons postérieurs et, da
ier cas, la partie médiane des cordons postérieurs et, dans le second cas , la partie la plus postérieure des cordons latéra
ires, etc.), ouvrent la marche. IV. Les troubles moteurs, en tout cas , ne tardent pas à prédo-miner, dans les premiers
ion clinique et qui éta-blit un contraste avec ce qui a lieu dans les cas de myélites spontanées ou de tumeurs intra-spinal
bout de quelques jours, de quelques semaines, plus lard dans certains cas , plus tôt dans d'autres, il se manifeste, dans le
ission involontaire des urines, qui se produit quelquefois, en pareil cas , s'opère par regorgement comme on l'a dit. Au c
le spasme permanent du sphincter vésical qu'on observe dans certains cas de compression spinale. Si, par contre, la lési
l'avez dû pressentir d'après ce qui a été dit plus haut, que dans les cas où la compression est portée à un haut degré. E
la cessation de la cause excitatrice qui les a déterminées. En pareil cas , le malade éprouve toujours une grande difficulté
terminée par une compression lente de la moelle épinière, que dans le cas où la lésion spinale est portée au plus haut poin
s l'influence de certaines complications. Ainsi, par exemple, dans un cas que j'ai observé de paraplégie consécutive à un m
te son épaisseur. Je veux actuellement appeler votre attention sur le cas où l'une des moitiés latérales de ce centre est s
t de la compression spinale occasion-née par une tumeur. Prenons le cas d'une tumeur méningée, comprimant vers la partie
ncéphale *. Mais, maintes circonstances peuvent être relevées qui, en cas de besoin, serviraient à la distinction. Ainsi, d
, serviraient à la distinction. Ainsi, dans l'hystérie, comme dans le cas d'une lésion encéphalique, la face participerait
aralysie avec ou sans contracture — se montre-raient, dans ce dernier cas , du côté opposé à l'anesthésie tan- 1 Voyez Cha
insi se produit la zone d'anesthésie plus ou moins haute sui-vant les cas , à direction transversale, qui s'observe au nivea
l'hémianesthé sie croisée. Une telle lésion produirait, suivant le cas , l'hémi-plégie ou l'hémiparaplégie spinales, mais
i du dévelop-pement des scléroses fasciculées descendantes. En pareil cas , la contracture permanente ne tarderait pas à se
rme bien dessinée d'hémiparaplégie avec anesthésie croisée, dans cinq cas . Dans trois de ces cas, il s'a-gissait d'une myél
iparaplégie avec anesthésie croisée, dans cinq cas. Dans trois de ces cas , il s'a-gissait d'une myélite scléreuse transvers
térale de la moelle épi-nière. 1 Charcot et Gombault. — Note sur un cas de lésions disséminées des centre nerveux observé
ôts fibrineux). — Insuffisance des lésions car-diaques, dans certains cas , pour expliquer le pouls lent. — Accidents liés a
ent : Syncope, état apoplectiforme, accès convulsifs. — Dans certains cas , le point de départ du pouls lent permanent doit
manent doit être cherché dans la moelle cervicale ou dans le bulbe. — Cas du Dr Hal-berton. Mort subite par rupture du li
d'une forme singu-lière de paralysie qu'on peut rencontrer en pareils cas et que nous vous proposerons de désigner, à l'exe
irement tôt ou tard, pour résultat, une paralysie portant, suivant le cas , soit sur un seul de ces membres isolément, paral
t. IV, 1858, p. 207. cularités qui s'observent quelquefois dans les cas où la lésion, qui détermine les phénomènes de com
ssant dont la publication remonte à l'année 18391. Il s'agit, dans ce cas , d'une jeune fille scrofuleuse, atteinte de carie
bornée aux membres supérieurs. Vous n'ignorez pas que, dans certains cas de paralysie infantile spinale, la paraplégie cer
e spinal Cord. In Med. chir. Transact. 1839, t. XXXII, p. 141. 2 Un cas , recueilli à la clinique d'Oppolzer par M. Schott
Un cas, recueilli à la clinique d'Oppolzer par M. Schott, et un autre cas observé par MM. Vogel et Dittmar sont aussi des e
a substance grise des cornes anté-rieures. Seulement, dans ce dernier cas , en raison de l'évolu-tion relativement lente de
. 2 Guy's Hospital Reporta, 1858, p. 206, case xxxu. Voir aussi les cas xv II. Je me propose actuellement de vous pré
la con-Taction pupillaire (myosis paralytica) qu'on observe en pareil cas ; elles occupent tantôt un seul œil, tantôt les d
ons supé-rieures de la moelle. M. Ogle les a signalées dans plusieurs cas de mal de Pott cervical. Dans un cas du même genr
e les a signalées dans plusieurs cas de mal de Pott cervical. Dans un cas du même genre, publié par M. A. Kulenburg2, la pu
ara-lysie motrice dans les membres inférieurs. Il s'agissait, dans ce cas , d'une tuberculose occupant les 3e et 4e vertèbre
la paraplégie. Combinés avec les douleurs névralgiques qui, en pareil cas , occupent naturellement les parties supérieures d
on spinale cervicale. Ce symptôme s'est mon-tré très accentué dans un cas où il s'agit d'une tumeur intra-spinale (probable
essante statistique de M. Gurll, laquelle repose sur l'analyse de 300 cas de fracture des vertèbres cervicales sur-venues d
vien-nent dans les mêmes circonstances et se montrent, dans cer-tains cas de compression de la moelle cervicale, quelquefoi
des lésions spinales. Pourtant j'ai pu aisément réunir une dizaine de cas de ce genre dont la moitié environ est relative à
der Lehre von der Knochenbrùchen, 2 th. 1. Lief. 1864, p. 62. Dans un cas de Brodie le liquide vomi présentait une colorati
e était remplie d'un liquide semblable à du marc de café, dans un des cas rapportés par Gurlt (n° 35.) 2 Gull. loc. cit.,
fé, dans un des cas rapportés par Gurlt (n° 35.) 2 Gull. loc. cit., cas xv, xxxn. :J Gull, loc, cit., xv, xvi. Le plus
leçons 2. Les convulsions toniques ou cloniques sont, dans ce dernier cas , vous le savez, limitées aux parties situées au-d
-ressant les 3e et 6e vertèbres du cou. M. Hutehinson a vu, en pareil cas , le pouls, — qui toujours alors, suivant lui, res
it des Archives généra'es de médecine, 1866, p. 'il); dans ce dernier cas la compression portait plutôt sur le bulbe. Pou
permanent, pendant plusieurs semaines. Je reviens à ce propos sur le cas du docteur Rosenthal (de Vienne) que j'ai mention
laient entre 56 et 48 par minute. Le malade guérit complètement. Ce cas , très remarquable incontestablement, ne rend-il p
urs années, chez des vieillards de cet hospice, et que dans ces trois cas , après vérification anatomique attentive, le cœur
3. J'ai été conduit par là à me demander, si, tout au moins dans ces cas où les lésions cardiaques font défaut, la cause o
à l'auscultation et à la percussion, aucun signe d'altération dans un cas très intéressant de poids lent permanent avec att
symptômes, de la syncope et de l'état apoplectique ; il est enfin des cas , dans lesquels il s'y adjoint des mouvements épil
alentissement du pouls et des accidents qui s'y sura-joutent dans les cas du dernier genre? Je suis très porté à croire, je
ation de caillots dans les cavités cardiaques, relèvent dans certains cas , au moins, d'une lésion siégeant dans le bulbe ou
et d'études cliniques suffi-santes. Les seuls faits à relever pour le cas où il s'agirait d'une altération profonde, occupa
plus, il y aurait — et c'est là ce qui permettrait de différencier ce cas de ceux où la lésion hémilatérale siège plus haut
s nerfs. Les sphincters de l'anus et de la vessie seraient, en pareil cas , le plus souvent indemnes, mais il pourrait se fo
t les diverses régions de la substance grise. C'est là justement le cas des affections que nous allons dé-crire. Elles so
la nutrition des muscles, sont seules affectées au contraire dans les cas de myopathies spinales pro-prement dites, du moin
on de la peau se produire dans les myopathies spinales, môme dans les cas les plus graves. Enfin, Vexaltation des proprié
onnelle au degré de l'atrophie subie par le muscle; Ce sont là deux cas extrêmes, reliés par de nombreux inter-médiaires,
et trois ans qu'elle se développe le plus souvent Après cinq ans, les cas sont rares2, après dix ans ils sont tout à fait e
frappe exclusi-vement les deux membres supérieurs — enfin, il est des cas où la paralysie, atteignant seulement les membres
ard, tendent à établir qu'il en est ainsi. Ce qui se passe, en pareil cas , chez l'adulte, plaide, nous le dirons ailleurs,
tard. Elle met plusieurs mois à s'accomplir, six mois, dans certains cas , au dire de Volkmann. Huit ou dix mois après le d
se fait pas sentir, en règle générale, sur tous les points. Dans les cas ordinaires, il est toujours quelques muscles, ceu
et elle semble s'accuser plus vite, dans cette maladie, que dans les cas de lésions des nerfs mixtes où elle est cependant
lysie infantile, déjà très apparente au bout d'un mois, et il est des cas , rares à la vérité, où elle peut s'accuser môme d
té sain, que de 2 à 3 centimèlres seulement tandis que, dans un autre cas , la diminution en longueur du membre frappé de pa
e paralysie peut aller jusqu'à S ou 6 centi-mètres, bien que, dans ce cas , la lésion musculaire soit restée localisée dans
e l'atrophie des muscles et des os, on trouve à l'autop-sie, dans les cas de ce genre, une diminution remarquable du calibr
nt des traces au tronc, au bassin, aux épaules et même, dans certains cas , à la tête. — Id., loc. cit. 2 Heine, loc. cit.
d bot paralytique par excellence, et qui, dans l'immense majorité des cas , revêt la forme du varus équin. La laxité des l
ités qui, elles aussi, ont droit à notre intérêt. Ainsi, il est des cas où la fièvre initiale présente une inten- 1 Hei
ace de quelques jours ou même de quelques semaines. Il est d'autres cas enfin où, dans la période de régression, il se pr
s avons reconnue, pour notre compte, d'une façon très nette, dans des cas de date ancienne. B. Seconde période. Si l'on é
ue la plupart des faisceaux primi-tifs aient disparu. Il est même des cas — et j'en ai observé un de ce genre 3 — où la sur
si l'hyperplasie conjonctive interstitielle qu'on observe en pa-reil cas est un fait constant et si elle remonte, ainsi qu
l-pian et Prévost, en 1866, chez une femme de la Salpêtrière. Dans ce cas , qui a été communiqué à la Société de biologie pa
et, qu'il s'est agi là, bien que les auteurs ne le disent point, d'un cas de paralysie infantile spinale. L'époque de la vi
uscles ne laissent guère subsister de doute à cet égard ; or, dans ce cas encore, l'examen microscopique a fait reconnaître
ue nous avons faite l'an passé, M. Joffroy, mon interne,-et moi, d'un cas très remarquable, relatif à une femme de mon serv
n, 1868. Fig. 8. — Coupe de la moelle à la région cervicale dans un cas de para-lysie infantile spinale du membre supérie
s cellules nerveuses motrices, qui se trouve déjà mentionnée dans les cas de MM. Vulpian et Prévost et dans celui de L. Cla
un fait recueilli par M. Vulpian à la Salpêtrière 2, dans deux autres cas , enfin, observés à l'hôpital des enfants, par M.
l'on considère sur-tout que, jusqu'à ce jour, il n'a été relaté aucun cas contra-dictoire de quelque valeur. Les cas qui no
r, il n'a été relaté aucun cas contra-dictoire de quelque valeur. Les cas qui nous ont été opposés datent tous d'une époque
entent au niveau des régions altérées de la moelle épinière, dans les cas récents, que des lésions relativement minimes et
nsécutif et purement acces-soire, l'extension, observée dans certains cas , du processus morbide aux faisceaux antéro-latéra
econ-daire, consécutif à l'affection des cellules nerveuses. Dans les cas de date ancienne, elles consistent principalement
r place, le tissu enflammé peut subir une véritable dissociation; les cas de M. Damaschino établiraient même qu'on peut, su
Sommaire. — Paralysie spinale de l'adulte : Historique. — Exposé d'un cas emprunté à M. Duchenne (de Boulogne). — Faits per
e quelques-uns des faits qui me sont personnels. 11 s'agit, dans le cas de M. Duchenne (de Boulogne), d'une fille âgée de
s différences dont il faut tenir compte. Ainsi, par exemple, dans les cas sembla-bles à celui que nous empruntons à M. Duch
s les plus sail-lants de la paralysie infantile. Pour en revenir au cas de M. Duchenne, la douleur s'était à peine montré
e, malgré les traits si particuliers de l'ensemble symptomatique, les cas de ce genre ont été maintes fois méconnus ou mal
as à entrer, actuellement, dans de nouveaux détails, à propos de deux cas très significatifs à mon sens, que j'ai recueilli
prof. Kus-smaul, in Berlin. Wochensch., 1874, nos 1, 2 et 3. — Un des cas de M. Kus-smaul est particulièrement intéressant
ours fonctionne normalement. 11 ne s'est pas produit d'escarres. Un cas inséré par M. le professeur Guming (de Belfast),
le de ces symptômes positifs ou négatifs permet-tait de rapprocher le cas de M. X... du type paralysie infan-tile spinale.
suffiront, je l'espère, Mes-sieurs, à mettre en évidence que certains cas de paralysie spi-nale aiguë, observés chez l'adul
sé à cette hypothèse. 2° La lésion des cornes antérieures, dans les cas de date ancienne, tels que ceux qui ont servi à n
it.). Ces auteurs ont eu l'occasion de pratiquer l'autopsie dans deux cas relatifs à déjeunes enfants ayant succombé l'un 2
6 mois après le début de l'affection et ils ont reconnu dans ces deux cas que, sur les points de la moelle le plus pro-fond
uses des cornes antérieures. Je l'ai maintes fois rencontrée dans des cas où la névroglie présentait, au voisinage, les car
ériser une lésion profonde de l'organite. Mais il s'y joint, dans les cas patho-logiques proprement dits, une atrophie véri
si elle peut être primitive. Elle se rencontre fréquemment dans les cas d'amyo-trophie spinale liée à un processus irrita
d'escarres à développement rapide. Les altérations spinales, dans ces cas de traumatisme, sont, à l'origine du moins, celle
tout récemment reconnue nettement à l'examen de pièces provenant d'un cas de myélite aiguë transverse sur lequel je reviend
topathique (Type Duchenne-Aran). Sommaire. — Variétés cliniques des cas désignés sous le nom d'atrophie muscu laire progr
(atrophies musculaires progressives spinales). — Unifor-mité dans ces cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes ant
gène. En effet, les lésions spinales qu'on peut rencontrer dans les cas qui portent en clinique cette dénomination d'atro
amyotrophies spinales aiguës ; seulement la lésion spinale, dans les cas qui vont nous occuper, évolue non plus suivant le
aussi, mais elle n'est qu'un fait de seconde date, consécutif en tout cas . La lésion originelle siège encore dans la moelle
tral de la moelle épi-nière. Il est certain que, dans la majorité des cas , il s'agit là de foyers canaliculés consécutifs à
embre 1869.) rendait déjà fort vraisemblable qu'un certain nombre des cas d''Hydromyèlie, assez communément rapportés jusqu
Nous devons citer encore la sclérose en plaques. En général, dans les cas ordinaires relatifs à cette affection, la substan
uemment, elle retentit sur les cornes anté- 1. Voir entre autres le cas de M. 0. Schuppel : Ueber Hydromyelus. In Archiv
ajoutent à ceux qui relèvent de la sclérose latérale. Dans tous les cas qu'embrasse cette énumération, l'envahis-sement d
die ». Précisons, en faisant appel à un exemple concret. Supposons le cas , très commun dans l'espèce, où la maladie n'a env
t de la main. Prenons un autre exemple, plus rare. Ce sera, dans ce cas , les muscles thoraciques qui auront été affectés
le pourra être complète, absolue, et cependant les muscles, en pareil cas , ne souffriront pas dans leur nutrition ou ne sou
rogressive, chez des sujets sains. Elles constituent parfois, dans ce cas , un des symptômes d'une forme particulière d'hypo
pour la distinction noso-graphique. 1° Dans l'immense majorité des cas , l'amyotrophie progres-sive spinale protopathique
onc est beaucoup plus rare. M. Duchenne l'a noté dans une douzaine de cas seulement ; les membres supérieurs, alors, sont p
enne déclare n'avoir rencontré ce mode de début que deux fois sur 1S9 cas . À la vérité, M. Ham-mond, dans un traité récent1
que, s'écartent singulière-ment du type classique. Il s'agit, dans le cas auquel je fais allusion, d'un homme qui, après av
e à la station et à la marche. Je ne puis m'empêcher de voir, dans ce cas , un exemple d'ataxie locomotrice ; on sait que, d
la transmission avait pu être suivie à travers cinq générations 2. cas , l'altération reste systématiquement circonscrite
Fig. 11. — Coupe delà moelle épinière à la région cervicale dans un cas d'atrophie musculaire protopathique. — A, Corne a
aralysie infantile, et il y a lieu de supposer, comme dans ce dernier cas , que la limitation des altérations aux cornes ant
n fait de M. Lockhart-Clarke, un autre de M. Duménil (de Rouen) 2, un cas très important de M. Hayem 3 ; trois observations
ir Leçon IX, p. 163 et Leçon X, p. 188. 2 Malheureusement, dans les cas de M. L. Glarke et de M. Duménil, l'état de la su
ale n'est pas indiqué d'une façon explicite. 3 Hayem. — Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive, lésions de la
esse, n° 27, 28 juli 1869 et Cen-tralblatt, octobre n° 46, 1869) deux cas d'atrophie musculaire progressive dans lesquels l
n ce qui concerne le système nerveux, n'est pas accompagnée, dans ces cas , de détails circonstanciés. 11 n'est pas dit, ent
pen-dant les plus profondes altérations. Nous ajouterons qu'en pareil cas l'examen microscopique lui-même peut ne fournir a
— Les remarques qui précèdent s'appliquent de tous points à tous les cas , sans exception, que M. Friedreich a alignés dans
ubes peut être, — c'est un fait dont je me suis assuré encore dans un cas récent — conservée intacte, ou tout au moins n'of
prennent le développement de cellules avec protoplasma, mais c'est le cas le plus rare. La plupart avortent dans leur évolu
opposé. Cette lésion du système des faisceaux latéraux est, en pareil cas , absolument isolée ; elle ne s'accompagne en part
ertie fonc-tionnelle ne s'est pas trop longtemps prolongée. Dans le cas où la lésion cérébrale primitive occuperait simul
dent et qu'il convient actuelle-ment de mettre en relief. Ici, deux cas peuvent s'offrir : 1° La sclérose symétrique prim
ées, à l'exception des petits faisceaux de Tiïrck qui, dans cer-tains cas , sont lésés symétriquement. Ces faisceaux, je le
alisées dans les cornes antérieures grises. Là, comme dans le premier cas , elles portent et sur la névroglie et sur les cel
rsale. a) L'altération de la substance grise spinale, dans tous les cas que j'ai observés, prédomine à la région cervical
che de la ligne fictive R, R') représentent les mêmes parties dans un cas de sclérose latérale amyotrophique. On voit qu'il
é. Ainsi, l'hyperplasie du périmysium est plus mani-feste et, dans un cas même, j'ai vu avec M. Debove le tissu Je puis m
s cellules du noyau de l'hypo-glosse. La langue, cependant, en pareil cas , peut avoir con-servé à peu de chose près son vol
ermiculaires, qu'on y observe Fig. 22. — Coupe de la langue dans un cas de sclérose latérale amyotrophique avec paralysie
onservation de la forme et du volume de l'organe s'explique, dans les cas auxquels je fais allusion, par la lipomatose inte
ls je fais allusion, par la lipomatose interstitielle. Dans un de ces cas , j'ai constaté, avec M. Debove, l'existence d'une
psychiatrie, dirigées par M. Westphall1. Je mentionnerai encore un cas inséré par M. Otto Barth dans le journal de Wunde
alysie générale spinale diffuse subaiguë un chapitre où figure un des cas recueillis à la Salpêtrière, dans mon service, re
oyaux d'origine des nerfs bulbaires. Les préparations, relatives à ce cas , ont été montrées au cours pratique de la Faculté
plus, on voit régulièrement, — cela du moins est arrivé dans tous les cas que j'ai recueillis, — la maladie s'étendre au bu
-més par les nerfs bulbaires ne se serait montrée que 13 fois sur 159 cas . 3° Les données fournies par la considération d
on des symptômes. a) La maladie débute, dans la grande majorité des cas , par les membres supérieurs, sans fièvre, le plus
e à elle seule de l'impuissance motrice. En somme, il s'agit, dans ce cas , d'une véritable paralysie accompagnée ou plutôt
s que les autres {déformations paralyti-ques). Mais, tel n'est pas le cas pour la majeure partie d'entre elles; les déviati
émiplégie avec contracture. Cette trémulation, dans les deux derniers cas comme dans le pre-mier, me paraît relever de la s
chir où l'étendre, la tourner soit à droite, soit à gauche. Dans un cas que j'ai observé récemment, les muscles qui élève
elief aux muscles atrophiés: c'est ce dont témoigne, entre autres, le cas de M. 0. Barth. IV. La forme de paralysie amy
muscles, ainsi que la 1 Je ne saurais dire pourquoi, dans certains cas , la rigidité des mem-bres supérieurs ou inférieur
el au tableau qUe je viens de tracer. Ainsi la maladie, dans certains cas , débule par les membres infé-rieurs ; d'autrefois
temps, à un côté du corps, sous forme hémiplégique. Enfin, dans deux cas , elle a débuté par les symptômes bulbaires. Mais
est des plus sombres. Il n'existe pas, que je sache, un exemple d'un cas où l'ensemble des symptômes que je viens d'indiqu
stème de faisceaux relatif aux membres inférieurs : dans ces derniers cas , la parésie et la contracture persistent pendant
écu-tive à une lésion en foyer du cerveau et de la moelle épinière. — Cas à l'appui. - Pachyméningite cervicale hypertrop
locomotrice. — Forme particulière de l'atrophie musculaire en pareil cas . — Pathogénie. ~ Amyotroptiie consécutive à la se
emarquer que la propagation des lésions à la substance grise dans les cas en question de sclérose latérale n'est pas, tant
époque rapprochée du début apoplectique, et, dans quelques-uns de ces cas , l'autopsie a permis de s'assurer que la substanc
reuse. Le fait a été, entre autres, très nettement constaté dans un cas dont j'ai rapporté autrefois l'histoire à la Soci
sme bien que la réalité de la lésion de la substance grise, en pareil cas , n'ait pas été, que je sache, jusqu'ici vérifiée
, entre autres, plusieurs observations de M. Westphal relatives à des cas de paralysie générale progressive. (J.-M. G) ro
sée dans la substance grise. que, en effet, quand on ouvre, dans un cas de ce genre, le canalrachidien, on est frappé de
on présentée récemment à la Société anatomi-que par M. Rendu. Dans ce cas , qui est un exemple de pachyméningite hyper-troph
mpare tôt ou tard des fais-iceaux blancs latéraux, et, comme dans les cas de sclérose des-cendante consécutive, les cornes
lquefois affec-tées (Foucart), elles restent, dans un grand nombre de cas , parfaitement normales, Souvent les muscles des m
ncoordination motrice, sont seuls envahis (Laborde, Duménil). Dans le cas recueilli dans mon service et publié par M. Pierr
s le mécanisme suivant lequel, dans mon opinion, s'effectue, dans ces cas , l'envahissement Fig. 26. — Coupe de la moelle
Fig. 26. — Coupe de la moelle épinicre u la région lombaire dans un cas d'ataxie locomotrice compliquée d'atrophie muscid
subissent consécutivement des altérations profondes1. Dans tous les cas connus, les symptômes qui se rattachent à la sclé
clérose en plaques. Elle survient, d'après mes observations, dans les cas où les plaques scléreuses qui, dans la règle, pré
et aussi, ce qui est plus grave, dans le pro-nostic ! Consulté sur un cas de ce genre, et croyant qu'il s'a-git là de l'amy
r que la bénignité dans le pronostic n'est pas absolue. Dans certains cas , en effet, la maladie dans sa marche ascendante,
, je le pense, à vous guider dans l'inter-prétation de la plupart des cas de ce genre. Mais je ne puis me dispenser de vous
pense du moins, ne repose sur aucun fon-dement solide. Déjà, dans un cas présenté à la Société de mé-decine de Berlin, par
topsie des centres nerveux avaient été négatifs. À la vérité, dans ce cas , la moelle épinière ayant été examinée à l'état f
te sur fêtât anatomique des muscles et de la moelle cpi-nière dans un cas de paralysie pseudo-hypertrophique. In Archiv. de
tères de l'hypertrophie par substitution graisseuse. Si donc, dans ce cas , les lésions musculaires avaient été bées à des l
saines. Après avoir reconnu que les altérations musculaires dans ce cas ne rele-vaient point de l'altération des cellules
trition des muscles, de telle sorte que les lésions spinales, dans ce cas , ne paraissent avoir été, en quelque sorte fortui
s antérieures. Sans doute, les lésions musculaires décrites dans le cas de M. 0. Barth, rappellent, h quelques égards, ce
ques égards, celles qu'on trouve uniformément signalées dans tous les cas de paralysie pseudo-hypertrophique jusqu'ici publ
, p. 181, 1867. — Erb. Deutsch. Archivât. IV. 1868), et dans quelques cas d ? para-lysie infantile spinale (Volkman, Samml.
tances qu'il serait trop long d'énumérer. Il est à noter qu'en pareil cas , la substitution graisseuse des muscles paraît se
efois à une lipomatose généralisée qui s'accuse, en particulier, — le cas de M. Barth en offre un exemple, — par l'accumula
. Rien, à mon sens, n'est moins justifiable que cette opi-nion, et le cas même, qui fait l'objet principal de la présente n
ceux où l'augmentation de volume est très prononcée. Dans ce dernier cas , l'examen microscopique Fig. 27. — Coupe transv
ires isolés, sans faisceaux musculaires ; soit enfin, — et ce dernier cas est le plus rare,— des faisceaux musculaires isol
rs les agrégats de cel-lules adipeuses. Toujours est-il que, dans les cas où il s'est agi de fragments de muscles atteints
e par M. Gombault, mon interne, qui, de plus, a constaté dans ce même cas , à l'aide de procédés rigoureux d'investigation l
ce rappro-chement paraîtra d'autant plus légitime que, dans les deux cas , l'amyotrophie est marquée, vous le savez, par un
3. 4 M. Joffroy et M. Pierret m'ont dernièrement communiqué chacun un cas où que, pour le moment, ce chapitre de nosograp
invoquée à ce propos, n'a pas le caractère qu'on lui a prêté. Dans ce cas , en effet, — en plus de l'altération des nerfs pé
musculaire progressive ; mais je ne sache pas que, dans aucun de ces cas , la non-existence d'une lésion des cellules nerve
riphériques. La moelle épinière était tout à fait saine dans ces deux cas . Ici se terminera, Messieurs, l'exposé des cons
iquement dans toute leur étendue des deux côtés de la moelle, dans le cas de sclérose latérale symétrique et, par-tiellemen
lésées isolément (Fig. 30, A). L'altération s'est traduite, dans ces cas , ainsi qu'on eût pu le prévoir, par une paralysie
au contraire, d'une façon secon-daire et l'on sait que dans les deux cas , si l'altération porte sur les grandes cellules m
e détermine que secondairement, du moins dans la grande ma-jorité des cas , l'incoordination des mouvements, le tabès spasmo
me sont-ils très usés à la pointe. Le pied, comme d'ailleurs dans les cas précédents, est pris de trépidation cha-que fois
mode de progression, suivant M. Erb, serait le plus habituel dans les cas de ce genre. Je suis porté à croire, d'après mes
que la cause de l'impotence est radicalement différente dans les deux cas . Chez l'ataxique, réduit à cet état, c'est encore
été médicale des hôpitaux, M. Vulpian a publié l'histoire complète du cas dont il s'agit, en y joignant deux autres obser-v
te hospice, réunir, pour vous les présenter aujourd'hui, plus de cinq cas qui s'y rapportent, tandis qu'il m'eût été facile
rs tardivement, aux membres supérieurs. Ceux-ci deviennent, en pareil cas , le théâtre des divers phénomènes que nous avons
ement au dernier point, les tentatives que j'ai faites, même dans des cas où le mal n'avait pas atteint son plus haut degré
rb a été plus heureux : il a vu survenir une fois la guérison dans un cas à la vérité où le mal était de date récente et, d
un cas à la vérité où le mal était de date récente et, dans d'autres cas , par la galvano-thérapie, il dit avoir obtenu des
tion entre cette forme de myélite et le tabès spasmodique. Dans les cas où la myélite partielle se rattacherait à la com-
à signaler les rapports de res-semblance clinique qui, dans certains cas , peuvent exister entre le tabès dorsal spasmodiqu
le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve dans certains cas réduit, à peu de chose près, à la seule 1 Loc.
périeurs (forme spinale de la sclérose en plaques) '. Môme, en pareil cas , la coexistence actuelle ou passée de l'un des sy
a si nos espérances à cet égard ne sont pas illu-soires 1 Plusieurs cas de ce genre se trouvent réunis dans le mémoire pr
soit un trouble superficiel, se tra-duisant d'ailleurs, dans les deux cas , par un état paralytique ou parétique des membres
appartiennent à la myélite. 2° A un second groupe se rapportent les cas dans lesquels la paraplégie se présente avec des
e fait, la nécroscopie a plusieurs fois permis de constater en pareil cas l'intégrité, apparente au moins, de la moelle épi
sais allusion tout à l'heure. 3° Le troisième groupe se compose des cas dans lesquels la faiblesse des membres, notée dan
phrite d'origine calculeuse. On peut considérer comme exceptionnel un cas rapporté par M. Leyden, dans lequel la myélite au
ion de l'affection urinaire, sou- 1 Leyden, Centralblatt, 1865, 1er cas . — Rétention d'urine de plus de qua-rante-huit he
e primitive ou d'une complication inattendue. C'est ainsi que dans un cas rapporté par M. Ogle \ la paraplégie est survenue
ement lombaire est lui-même envahi par le ramollisse-meni; il est des cas où une contracture permanente s'est dé-veloppée à
arfois au delà de son siège primitif, ainsi que le prouvent plusieurs cas où les membres supérieurs ont été à leur tour env
érieurs ont été à leur tour envahis par la paralysie. Enfin, dans les cas graves, il est assez habituel que des escarres se
ette forme de la myélite est d'ordinaire subaiguë. Toutefois, dans le cas rapporté par le docteur Gull, la mort est survenu
ici maintenant les renseignements fournis par l'au-topsie. Il est des cas où, à l'œil nu, la moelle paraît ne pré-senter au
fisamment établi par ce qui précède que la 1 Voir en particulier le cas du célèbre chirurgien Sanson, rapporté par Cru-ve
périphériques peut se propager jusqu'à la moelle. Lallemand a cité le cas d'une névrite occupant primitivement le plexus br
rait remonté jusqu'à l'encéphale. Mais les assertions de Graves et le cas de Lalle-mand sont trop vagues pour que nous nous
ire les lésions de la dégé-nération grise. Celle-ci occupe, en pareil cas , les faisceaux spinaux postérieurs. Le fait a été
ophie musculaire, dans le membre supérieur, du même côté 4. Dans un cas très intéressant, relaté par M. Duménil, — qui a
'anesthésie \ Il est au moins fort vraisemblable que, dans tous ces cas , les nerfs ont été le siège d'un travail inflamma
jusqu'à la substance grise centrale. En effet, dans la plupart de ces cas , l'anesthésie et l'atrophie musculaire des membre
e muscu- 1 Gazette hebdoma laire, 1866, p. 51, 67, 84. 2 Voici un cas qui me paraît devoir être considéré comme un exem
e se montre ici absolument dans les mêmes circon-stances que dans les cas précédents, et nous retrouvons dans l'étiologie l
il ne paraît pas que jamais elle ait abouti à la myélite, et dans les cas , d'ailleurs assez peu explicites où l'autopsie a
apidité des amendements et des guérisons même observés dans nombre de cas , est telle, qu'il est fort peu vraisemblable que
noncé en commençant, un troisième groupe de paralysies urinaires. Les cas , en fort petit nombre, qui le composent, quant à
'est pas la moelle qui est atteinte. Les choses se passent, en pareil cas , comme dans l'observation bien connue rapportée p
stence de douleurs vives sur le trajet des deux nerfs sciatiques. Les cas de ce genre paraissent rares, je le répète, contr
ux maladies des organes génito-urinaires. C'est ainsi que dans un des cas rapportés par M. Gull, une phlébite consé-cutive
l Du vertige de Meniere. (Vertigo ab aure lœsa.) sommaire. — Un cas de vertige de Meniere. — Description du cas. — Ve
e lœsa.) sommaire. — Un cas de vertige de Meniere. — Description du cas . — Vertige habituel exagéré par les mouvements. —
Traitement. Maladies réputées incurables. — Exemples de guérison. — Cas de vertige de Meniere. — Situation de la malade e
quinine. I. Messieurs, Je désire appeler votre attention sur un cas très intéressant, à mon avis, et dont vous n'avez
ant ; d'autres fois la culbute se fait en arrière. Enfin, ceci est le cas le plus rare, il se produit la sen-sation d'une r
ore entrée comme elle le mérite dans lapratique usuelle. Bien que les cas de maladie de Ménière ne soient pas rares, tant s
incomplète, avec ova-ralgie du même côté. II. titre d'exemples le cas d'un malade auquel j'ai donné des soins et qui, é
s deux oreil-les mit fin à tous les symptômes. Je puis citer aussi le cas d'une jeune personne américaine considérée depuis
me serait facile de multiplier ces exemples. L'erreur dans quelques cas est jusqu'à un certain point jus-tifiée par les d
surtout une des oreilles. Il cesse avec l'accès vertigineux dans les cas récents ou légers ; mais tôt ou tard, si le cas e
vertigineux dans les cas récents ou légers ; mais tôt ou tard, si le cas est grave, il devient persistant, dans les interv
rps tout entier, d'avant en arrière, de manière à figurer, suivant le cas , une chute en arrière ou en avant; c'est encore,
rrespondant à la sensation vertigineuse. Je puis citer à ce propos le cas d'une dame qui, dans ses accès, se sentait toujou
té. Voici comment les choses se passent le plus com-munément dans les cas les plus prononcés : la surdité s'accuse progress
une intervention quelconque, à hâter ce dénouement, au moins dans les cas graves, lorsque, par exemple, les malades en sont
tte dernière affection ; c'est le lieu de vous remettre en mémoire le cas très intéres-sant, observé par M. Hillairel, et d
— c'est-à-dire dans un établissement consacré pour une large part aux cas chroniques réputés incurables — deux exemples de
plication de révulsifs énergiques ne doit pas être négli-gée dans les cas intenses. Je citerai à ce propos le fait suivant
oi, ne saurait être pris dans un sens absolu, car s'il s'applique aux cas qui réellement ne comportent pas de remède, il s'
té voulus, cherchés, prémédités. J'insisterai particulièrement sur un cas qui appartient au dernier groupe. Il s'agit, Me
as dans de longs développements à propos de l'histoire clinique de ce cas ; vous pouvez la lire dans le Progrès médical1 qu
comme une complication, un ôpiphé-nomène, ne se montrant que dans des cas exceptionnels. Les accès dont il s'agit sont, v
ez-moi l'expression, toujours plato-nique ; je vous ai cité plusieurs cas dans lesquels les malades effectivement entraînés
u sur les apophyses mastoïdes. Le moyen que j'ai mis en œuvre dans le cas sur lequel j'ap-pelle votre attention, est à la f
des cris de détresse, comme elle le faisait régulière-ment en pareil cas . Interrogée, elle nous apprit que les sifflemen
complète du nerf auditif que le sulfate de quinine aurait agi dans ce cas . Le fait sur lequel je viens d'appeler votre at
es troubles sont très particuliers. S'ils manquent à la face, dans ce cas , ils sont très évidents au contraire dans les mem
quelques égards, d'un phénomène qui s'observe ordinairement dans les cas vulgaires d'hémiplé-gie: je fais allusion, ici, à
ement, d'une instabilité des membres affectés. Ces membres, dans ce cas même, — c'est un point qu'il importe tout à fait
s'étendent ou se fléchissent sans motif. J'ajouterai que, dans des cas absolument comparables au précédent mais plus acc
inctifs abon-dent, d'autre part ; il me suffira de signaler, pour les cas à''hémichoréepost-paralytique, la limitation exac
re (hémiplégie spasmodique de Heine). Mais il peut arri-ver en pareil cas , très exceptionnellement il est vrai, que l'hémip
ulement que, à l'inverse de ce qui a lieu dans la grande majorité des cas à'hémichorée post-hémiplégique de l'adulte, l'h
complissement des actes intentionnels. J'en reviens actuellement au cas de Ronc... Les désordres moteurs que nous avons é
ébral d'hémor-ragie ou de ramollissement, la paralysie motrice, si le cas est favorable, s'atténue progressivement et dispa
onditions vraisemblablement très spéciales qui font que dans quelques cas exceptionnels d'hé-morragie ou de ramollissement
e forme particulière d'hômianesthé- soient montrés ; ou bien, si le cas est grave, la paralysie per-siste telle qu'elle,
e hémiplégie marqué par un début brusque apoplectique. Dans ces trois cas , l'hémianesthésie existait, très prononcée, comme
elles intéressaient ; ce sont constamment, c'est-à-dire dans tous les cas : 1° l'extrémité pos-térieure de la couche optiqu
a plus postérieure du pied de la couronne rayonnante. Dans deux des cas seulement, un des tubercules quadriju-meaux, l'an
cette sorte d'hémichorée qu'on pourrait appeler prœ-hémiplégique. Les cas de ce genre sont, je crois, assez rares ; je n'en
i plus de trois exemples. L'autop-sie a été faite dans un seul de ces cas . Il s'agissait là d'un foyer d'hémorrhagie, du vo
faire passer sous vos yeux appartient évi-demment à la catégorie des cas que je viens de signaler. Elle est âgée de 60 a
syphilis cérébrale. — Considérations historiques. — Description d'un cas d'épilepsie partielle d'origine syphilitique. — C
ement, de tous les obsta-cles et amener une guérison durable dans des cas même où les mêmes agents administrés d'après d'au
larités qui viennent d'être relatées dans l'histoire de beaucoup de cas d'épilepsie syphilitique. Le fait, d'ailleurs, a
père le début des accidents convulsifs, dans la grande majorité des cas d'épilepsie par-tielle, quelle qu'en soit d'aille
on serait instituée suivant le plan exposé tout à l'heure à propos du cas de M. X... et immédia-tement mise à exécution. L'
oduit par conséquent le tableau classique de l'épilepsie vulgaire. Le cas dont je vais maintenant vous faire connaître les
is successivement et la perte de con-naissance survient dans certains cas . Lorsque les accès ne se sont pas pro-duits depui
avoir, au préalable, gagné la face. Si, au contraire, il s'a-git d'un cas où la face est affectée tout d'abord, c'est, aprè
ats obtenus furent immédiatement des plus encoura- 1 Dans plusieurs cas d'épilepsie partielle que j'ai observés, la doule
ale de l'autre côté. La douleur pariétale occupait toujours, dans ces cas , le côté opposé au siège des convulsions. (J.-M.
mal tourné. Je ne puis m'empêcher de croire, cepen-dant, que dans les cas où la nature des accidents nerveux étant reconnue
ns les autopsies, une représentation fidèle, concer-nent également un cas d'épilepsie partielle. Il en est de même d'une fi
s en tous cas, et non désorganisatrices. 11 se produi-rait, en pareil cas , suivant H. Jackson, dans la substance ner-veuse,
elé l'attention des physiologistes et des médecins. Il s'agit dans ce cas d'arthro-pathies et de fractures spontanées multi
e celle des deux avant-bras, ne permettent pas de reconnaître dans ce cas l'intervention de l'une quelconque des influences
rJ-R. Gasquet a publié (The Practitioner, août 1878) l'his-toire d'un cas que nous allons faire connaître d'après l'analyse
rapproche avec beaucoup de raison cette in-téressante observation des cas dont M. Charcot a fait l'objet d'une communicat
-tige laryngé, employé par M. Gasquet. L'analogie qui existe dans les cas dont il s'agit est vraiment frappante. Il ne sera
e les accès de toux ne soient pas suivis de grandes attaques. Dans ce cas , le malade éprouve seulement un sentiment vertigi
ent d'être décrits. » M. Charcot a été amené à penser que, dans les cas de ce genre, le point de départ des accidents est
le larynx ou les régions supérieures de la trachée, ont dans tous les cas précédé la chute et la perte de la conscience. Ce
eler les « grandes attaques ; » elle a fait défaut seulement dans les cas légers, dans les atta-ques incomplètes. Dans les
ou dans un ou plusieurs membres semble être chose fréquente. Dans un cas , les accidents convulsifs ont revêtu la forme de
es accidents convulsifs ont revêtu la forme de l'épilepsie partielle ( cas du docteur W...), et le malade pouvait assister,
e d'affections laryngo-bronchiques développées sous l'in- 1 Dans le cas du docteur Sommcrbrodt, il est dit que dans ses c
onstration absolue. Nous ferons remarquer, à ce propos, que dans deux cas où l'examen laryngoscopique a été pratiqué (cas d
propos, que dans deux cas où l'examen laryngoscopique a été pratiqué ( cas du Dp W..., cas de M. G...) la cavité du larynx e
deux cas où l'examen laryngoscopique a été pratiqué (cas du Dp W..., cas de M. G...) la cavité du larynx et celle de la tr
comotrice, ou à la présence des polypes dans le larynx —dans tous les cas où ces moyens ont été mis en œuvre. B. 1 Note l
euses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans certains cas de myélite ; par J.-M. Crarcot. (Voyez : Leçon
e myélite ; par J.-M. Crarcot. (Voyez : Leçon X, p. 188.) Dans le cas de myélo-méningite subaiguë dont il a fait l'ob-j
casion de rencontrer cette altération des cylindres d'axe, dans trois cas de lésions irritatives de la moelle épi-nière ; l
a description donnée par M. Frommann. J'ajouterai que, dans un de ces cas au moins, j'ai observé une tuméfaction de cel-lul
ns prononcé et moins faci-lement appréciable qu'il ne l'était dans le cas qui va suivre. Obs. III. — Ce troisième cas a é
u'il ne l'était dans le cas qui va suivre. Obs. III. — Ce troisième cas a été recueilli à l'hôpital de la Pitié par M. Bo
ans les deux premières observations. Mais un fait propre au troisième cas , c'est qu'un certain nombre de ces cylindres volu
t qui doit être relevé tout particulièrement, c'est que, dans ce même cas , un premier examen fait à l'état frais avait perm
semblable que ces altérations seront retrouvées dans un bon nombre de cas de myélite aiguë ou subaiguë, où elles jouent san
de cylindres axiles. A la vérité, la tuméfaction est, dans ce dernier cas , uniformément répan-due sur une grande étendue en
ote, que la tuméfaction des cylindres axiles peut être, dans certains cas , la première expression anatomique de l'inflammat
en mis en lumière dans notre deuxième observation, ainsi que dans les cas de MM. Frommann et W. Mùller, où l'on voit à une
cylindre axile. Il n'est pas rare, en effet, de rencontrer, dans les cas datant d'un peu loin, un certain nom-bre de cylin
ème et troisième observations : il a été parfaitement décrit dans les cas de MM. Frommann et de W. Müller. Lorsque les chos
ogie normale et pathologique, année 1871-1872, p. 93)'. Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive spinale protopa
minimes, nous serons portés à penser que, vraisemblablement, dans ce cas , l'élément gan-glionnaire a été le siège primitif
nique. Pour tous ces motifs, il est donc très légitime de placer le cas qui nous occupe dans la catégorie des myélites an
e. Les phé-nomènes qui président à cette atrophie paraissent, dans ce cas , identiques à ceux qui se produisent dans l'extré
d'un nerf sectionné, avec cette différence toutefois, qu'ici, dans le cas de l'amyotrophie, le nerf ne se trouve envahi que
chives de physiologie normale et patholo-gique, 1875, p. 741). Deux cas de sclérose latérale symétrique amyotro- phique
e. Nous n'avons pas, comme l'a observé dernièrement M. Ha-yem dans un cas d'atrophie progressive, récemment publié, trouvé
rès nettement de petits nerfs musculaires. Nous n'avons pas, dans ces cas , remarqué qu'ils continssent des fibres nerveuses
ns prolongements, jaunes, brillantes, d'aspect vitreux, et, en pareil cas , le noyau, en géné-ral, n'est plus distinct. Tout
une multiplication évidente des noyaux de la névroglie. Note sur un cas de paralysie glosso-laryngée suivi d'au-topsie ;
ar le côté anatomo-pathologique, elle diffère notablement de tous les cas du même genre publiés jusqu'à ce jour. C'est à ce
appelant, jusqu'à un certain point, celui qu'on observe dans certains cas d'eedème de la glotte. Il arrive fréquemment que
e noyau et le nucléole ont entièrement disparu en général. Il est des cas cependant où ce dernier persiste encore; c'est al
s. C'est là, sans doute, le dernier terme de l'altération. En pa-reil cas , on ne trouve plus la moindre trace du noyau ou d
luence marquée sur leurs cellules d'origine. Or, on a vu que, dans le cas qui nous occupe, les rameaux des di-vers nerfs bu
ur les divers points du corps. Evi-demment, il ne s'agit pas ici d'un cas ordinaire d'atrophie musculaire-progressive ; les
pandues entre elles par un lien intime et faut-iï croire que, dans ce cas , les altérations du système musculaire ont pro-cé
itive des cellules nerveuses. D'un autre côté, il est évident que les cas dans lesquels l'altération porterait non plus sur
; Wien, 1868), ont fait ressortir avec raison. On l'observe dans les cas d'amyotrophie progressive les plus simples et alo
e distinction. Je ferai remarquer toutefois à ce propos, qu'en pareil cas l'absence d'altération granulo-graisseuse des fib
nt ceux qui, plusieurs fois, ont été constatés chez l'homme, dans les cas où l'action des pneumogastriques était entravée e
pneumogastriques, que l'examen du bulbe a fait reconnaître dans notre cas , nous paraît rendre compte de ces troubles cardia
te sur l'état anatomique des muscles et de la moelle épinière dans un cas de paralysie pseudo-hypertrophi-que; par J.-M. Ch
laires isolés, sans faisceaux mus-culaires; soit enfin, et ce dernier cas est le plus rare, des faisceaux musculaires isolé
ors les agrégats de cellules adipeuses. Toujours est-il que, dans les cas où il s'est agi de fragments de muscles extraits
s-copie, qui tend à l'invalider complètement. Je fais allusion ici au cas présenté par M. Eulenbourg, à la Société de médec
quel l'autopsie a été dirigée par M. Cohnheim *. À la vérité, dans ce cas , la moelle épinière ayant été examinée à l'état f
tères de l'hypertrophie par substitution graisseuse. Si donc, dans ce cas , les lésions musculaires avaient été liées à des
très ac-centuées est mise hors de doute ; mais je ne crois pas que ce cas ait, tant s'en faut, la signification qui lui a é
nes antérieures1 Sans doute, les lésions musculaires décrites dans le cas de M. 0. Barlh rappellent à beaucoup d'égards cel
oup d'égards celles qu'on trouve uniformément signalées dans tous les cas de paralysie pseudo-hypertrophique jusqu'ici publ
tif interstitiel avec atrophie simple des fibres musculaires 1 Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésion de
ple, à la suite des lésions traumatiques des nerfs 1 et dans quelques cas de paralysie infantile spinale 2 ; quant à la sub
tances qu'il serait trop long d'énumérer. Il est à noter qu'en pareil cas la substitution graisseuse des muscles paraît se
ois à une lipomatose généralisée, qui s'accuse, en parti-culier, — le cas de M. Barth en offre un exemple — par l'accumulat
ces. Rien à mon sens n'est moins justifiable que cette opinion, et le cas même qui fait l'objet de la présente note suffira
ont semblé également exempts d'altération, excepté toutefois dans un cas où l'un de ces filets, appartenant au muscle psoa
re du ventricule gauche du cœur ne par-ticipait nullement, dans notre cas , aux altérations qui se mon-traient si prononcées
PLÉGIE Fig. 1. — Examen de la moelle par coupes successives dans un cas de mal de Pott dorsal. Dégénérations secondaires.
droite de la moelle. Fig. 3. — Coupe à la région cervicale dans un cas de mal de Pott dorsal. Sclérose annulaire, marqué
erf et de la papille optiques. — Modifications de la papille dans les cas d'embo-lie de l'artère centrale de la rétine, dan
Des crises gastriques. — Spécificité de leurs caractères. — Durée. — Cas frustes d'ataxie locomotrice.....................
on lente de la moelle épinière. — modifications anatomi-ques dans les cas qui se terminent par la guérison. — symptomes. —
es extrinsèques : pseudo-névralgies. — Des pseudo-névralgies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans l
de la colonne vertébrale. — Difficulté du diagnostic dans certains cas : osteomalacic, pachyméningite cervicale hypertro
ortent que sur une des moitiés latérales du cordon nerveux. Premier cas : Succession des symptômes. — Prédominance, au dé
ansmission des sensations, dysesthésie. — Sensations associées Second cas : Lésions portant sur une des moitiés latérales d
épôts fibrineux). — Insuffisance des lésions cardiaques dans certains cas pour expliquer le pouls lent. — Accidents liés au
nt : syncope, état apoplectifornae, accès convulsifs. — Dans certains cas , le point de départ du pouls lent permanent doit
manent doit être cherché dans la moelle cervicale ou dans le bulbe. — Cas du Dr Hal-berton. Mort subite par rupture du li
Sommaire. — Paralysie spinale de l'adulte : Historique. — Exposé d'un cas emprunté à M. Duchenne (de Boulogne). — Faits per
opathique. (type duchenne-aran). Sommaire. — Variétés cliniques des cas désignés sous le nom d'atrophie muscu-laire progr
(atrophies musculaires progressives spinales). — Unifor-mité dans ces cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes ant
- tive à une lésion en foyer du cerveau et de la moelle épinière. — Cas à l'appui. Pachyméningite cervicale hypertrophi
locomotrice. — Forme particulière de l'atrophie musculaire en pareil cas . — Pathogénie. Amyotrophie consécutive à la scl
S DU vertige de mén1ère. (Vertigo ab aure lœsa). Sommaire. — Un cas de vertige de Ménière. — Description du cas. — Ve
e lœsa). Sommaire. — Un cas de vertige de Ménière. — Description du cas . — Vertige habituel exagéré par les mouvements. —
Traitement. Maladies réputées incurables. — Exemples de guérison. — Cas de vertige de Ménière. — Situation de la malade e
syphilis cérébrale. — Considérations historiques. — Description d'un cas d'épilepsie partielle d'origine syphilitique. — C
euses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans certains cas de myélite.................. 41 IV. Note sur un
x dans certains cas de myélite.................. 41 IV. Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive protopathique (
an)........................,........................... 425 V. Deux cas de sclérose latérale symétrique amyotrophique....
rose latérale symétrique amyotrophique........- 439 VI. Note sur un cas de paralysie labio-glosso-laryngée suivi d'au-top
te sur l'état anatomique des muscles et de la moelle épinière dans un cas de paralysie pseudo-hypertrophique...............
périphéri-ques, 229 ; — des muscles, 231, 431 ; — Pathogénie, 425. — Cas d' —, 435. Atrophie. — deutéropathique, 108.
aplégies urinaires, 328. Etat de mal épileptique, 375. f Frustes ( Cas ) d'ataxie locomotrice, 39, 46. G Gliome, 87.
verse, 100. — Scléroses secondaires , 101. — Lésions de la—, dans les cas de guérison du mal de Pott, 103. — Régénération d
des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe dans certains cas de —, 414. (V. Ar-thropathies.) Myopathies spin
thologique, 264. — Diagnostic avec le tabès spasmodi-que, 32ù. — Deux cas 439. — En plaques, 6, 25, 320. — Douleurs ful-gur
8 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
hapitre spécial sous le titre ^infantilisme du type Lorain à tous les cas de misère physiologique de l'mlnlescence qui se
ans : c'est une erreur de quatre ans. Déjà nous avons affaire à un cas assez exceptionnel. Exagérons l'erreur encore :
l'infantilisme vrai 3 plus de doute, nous sommes en présence d'un cas d'infantilisme, car à seize ans l'enfance devra
ème étiologique surgit avec toutes ses difficultés. 4 BRISSAUD Un cas isolé n'est jamais explicable, car toute explicat
e réel, ses parents croyaient devoir fermer les yeux. Dans d'autres cas moins caractéristiques ou moins francs,l'infantil
se du myxoedème'de l'adulte, n'est pas, dans l'immense majorité des cas , un état morbide. C'est une manière d'être, une
ous borner à signaler de simples diffé- rences de degré suivant les cas , c'est-à-dire suivant la période de début de l'
elle seule un signe certain d'infantilisme lorsqu'elle constitue un cas isolé dans une famille de taille, soit moyenne, s
la Société médicale des hôpitaux de Paris, 13 décembre 1906. (2) Un cas d'infantilisme « réeersif » avec autopsie, par MM
e. Cependant combien de variantes n'observe-t-on pas parmi tous les cas que nous fournissent journellement les hasards
pas de limite à la prématuration... Mais ce qui fait l'intérêt du cas d'Heinecken c'est que ce malheureux être, dont
les lésions de l'hypophyse dans le myxoedème. Babinski a publié un cas d'infantilisme génital avec tumeur épithéliale de
nital avec tumeur épithéliale de l'hypophyse. Nuzzari a autopsié un cas où il a trouvé la persistance du thymus, l'atroph
les types les plus complets de l'un et de l'autre appartiennent aux cas d'ordre chirurgical ou opératoire ; donc, nul dou
ar notre collègue Magalhaes Lemos (de Porto),qui voit dans tous les cas d'infantilisme général ou partiel des syndromes d
e au cours de la première ou de la se- conde enfance. Dans tous ces cas l'intervention du corps tyroïde est nulle. Mais
déjà comme telle depuis longtemps. Il n'en est pas de même dans le cas suivant, en raison de l'existence, au début de
associés et se contrôlent ainsi au besoin l'un par l'autre dans le cas où le diagnostic séméiologique pourrait autoris
et ami le D" Chaslin (arcs. de Neur., 1888) nous avons signalé deux cas de raideurs musculaires catatoniques chez des par
uvement, d'attitude ; stéréotypies verbales. J'ai publié jadis un cas de stéréotypie (ticaérophagique) au début d'une
DE LA SALPÈTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE - VERTÉBRAL PAR M.
s plus divers peuvent-ils aboutir à la RAYMOND ET BABONNEIX. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE 29 production d'une ank
n et NOUVELLE Iconographie DE la SALPLTItII.RE. T. XX. Pl. 111 UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL (F. Raymond e
t Babonneix.) Masson et de. Editeurs Phototypie Derlhaud SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 31 rotation e
s, par une nouvelle membrane lamelleuse, également continue, SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 33 et qui, av
es formations kystiques. (1) La malade n'avait que 35 ans. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 35 En somme,
s photographiée. (Infioit). Radiographie du rachis. (Infroit). UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL (F. Raymond e
(F. Raymond et Babonneix.) T... ? MaaSOrL.et('eP.direnr. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 37 qacé d'exo
5), et Nové-Josserand et IIorand (6), ont récemment publié quelques cas . Entre la myosite ossifiante progressive et l'a
vue d'orthop., 1" mai 1905. 38 RAYMOND ET BABONNEIX mais, en tout cas , elles respectent absolument le tissu musculaire,
aitement sains. Il est donc évident qu'il ne s'agit pas, dans notre cas , de maladie de Müncbmeyer. , Bechterew (4) décr
édicale des hôpi- taux, 21 mai 1903. - V. aussi LÉni, Autopsie d'un cas de cyphose hérédo-traumatique. Bull. Soc. Méd.
do-traumatique. Bull. Soc. Méd. des Hôp., 28 juillet 1904. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 39 ment verté
de la racine des membres. Autant d'éléments qui différencient notre cas de ceux sur lesquels Bech- terew a édifié sa de
clinique qui, par quelques points, pourrait être rapproché de notre cas . C'est la spondylose rhumatismale ankylosante. Il
ont l'existence d'ailleurs a été contestée (Ver- hoogen) (3), et le cas de notre malade, il n'y a guère qu'un symptôme
et auteur. Nous conclurons donc qu'il ne saurait s'agir, dans notre cas , de spondylose rhumatismale ankylosante. (1) Fo
smale ankylosante. (1) Forestier, Déformations rachidiennes.. Trois cas de spondylose rhumatismale ankylosante. Nouv. I
onne vertébrale. Cette affection, dont l'un de nous a présenté deux cas dans ses Leçons du vendredi (1), et dont M. le
1), et dont M. le professeur Berger (2) a publié récemment un autre cas , a été désignée soit sous les noms d'ankylose sym
tement respecté les autres arti- culations. Anatomiquement les deux cas diffèrent essentiellement. Dans notre cas, lési
. Anatomiquement les deux cas diffèrent essentiellement. Dans notre cas , lésions mixtes d'ankylose, à la fois fibreuses e
olonne cervico-dorsale, la colonne lombaire restant (1) L'un de ces cas a été publié dans la thèse de Mme KRITCHEwSKI-GOC
cas a été publié dans la thèse de Mme KRITCHEwSKI-GOCHBAUAf, Sur un cas d'ankylose articulaire progressive et généralisée
, Les spondyloses rhizoméliques. Rev. de Méd., 1898, p. 285. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 41 presque dr
e peut rétrocéder, comme M. P. Marie l'a noté dans plusieurs de ses cas , et comme l'un de nous a pu en observer un fait,
ituler sa communication à la Société médicale des Hôpitaux : Sur un cas de spondylose rhizomélique. Anatomiquement, n
ales, ni l'ossification des ligaments jaunes ; par contre, dans notre cas , il 1 existe une ossification partielle des dis
et Léri. Mais il importe de remarquer que ce n'est pas sur un seul cas que l'on peut fonder une description définitive,
ser que les lésions de la spondylose rhizomélique varient selon les cas ! Nous admettrons donc que,de par l'anatomie comm
ar la clinique, notre observation mérite d'être considérée comme un cas un peu atypique de la maladie isolée par MM. Pier
hizomélique. Gazz. degli Osped., 30 octobre 1904, p. 1381. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTEBRAL 43 Si l'on ac
qu'il existe entre eux de nom- breuses formes de transition. Notre cas ne répond pas absolument à la description de M.
l),l'articulation de l'épaule est toutà fait indemne, Dans certains cas , enfin, comme le font remarquer MM. Mayet et Jouv
atisme tuberculeux ankylosant, Thèse Lyon, 1903. (5) PAGLIANO, Deux cas de spondylose rhizomélique, 111orseille média, le
affections ont-elles été la cause originelle de la maladie. En tout cas , fait négatif dont nous ne saurions trop souligne
as d'être discutée longuement. Mais ne s'agirait-il pas, dans notre cas , d'une auto- intoxication, d'un trouble de la n
sie aortique. Enfin, jamais, à notre connaissance, on n'a publié de cas de spondylite chronique à l'examen (1) Il n'exi
ma- toire. (2) Hypothèse déjà émise par M. Pierre Marie. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 45 anatomique
là, nous semble-t-il, les deux véritables caractéristiques de notre cas : productions fibreuses engainant les viscères th
nté bientôt avec moins d'incertitude que par le passé, Bien que les cas où l'examen histologique été pratiqué soient en n
frère mort d'une maladie aiguë. Il n'y a pas eu dans la famille de cas d'atrophie muscu- laire. Antécédents personne
s allé la voir en 1901 avec mon ami le Dr Wiki qui m'avait signalé ce cas intéressant. Nous constatons que les membres su
aire de nature myélopathique on enlève la moelle et vu la rareté du cas on prélève en même temps, pour en faire des cou
Dès le premier coup d'oeil en effet, il est évident que rien dans ce cas ne rap- Nouvelle Icovogkapiiie- UF la SALYt'THI
pais englobant parfois plusieurs fibres nerveuses soit (et c'est le cas le plus fréquent) pour constituer autour de la fi
structure des vasa-nervorum. Remarques. Du vivant de la malade ce cas a été considéré à tort comme un exemple d'atrop
bien typique, ont une anatomie pathologique variable sui- vant les cas . On pourra ainsi lorsque des lésions périphérique
imum. Quant à l'atrophie musculaire il est bien évident que dans ce cas elle est due à la dégénérescene des fibres motr
rites par Gombault et Mallet dans leur observation intitulée : « Un cas de tabes ayant débuté dans l'enfance» (1). Ces
gne leur mémoire). Ces lésions semblent avoir existé aussi dans les cas déjà souvent cités de Virchow, Friedreich, Dubr
v sur Psychiatrie, 1889, p. 661. (2) DUBREMLH, Etude sur quelques cas d'atrophie musculaire, etc. Revue de méde- cine
arinesco (1) en 1894 publie le premier examen histologique d'un des cas qui avaient servi à la description clinique de Ch
xpliquer les différences assez considérables qui existent entre ces cas et le sien par une évolution plus ou moins long
BRES SUPÉRIEURS 61 neurotique de Hoffmann). Siemerling (1), dans un cas où l'atrophie avait débuté entre 5 et 7 ans par
ffection acquise ou d'un accident de la vie intra-utérine. Mais les cas isolés existent aussi, ils ne sont même pas rares
pasmodique pro- gressive, pour les atrophies myopathiques, etc. Ces cas isolés sont cepen- dant reconnaissables cliniqu
maladies d'évolution est bien connue; d'une famille à l'autre, d'un cas isolé il l'autre on trouve des analogies, on ne
de ressemblance absolue, tandis que les dissemblances entre divers cas , d'une même famille sont l'exception. Bien qu
liquent la multiplicité des formes cliniques. Pour ne citer que les cas résumés plus haut et où on a trouvé une névrite
ite interstitielle, nous trouvons des variantes nombreuses. Dans le cas de Virchow où l'atrophie musculaire avait atteint
sclé- rose interstitielle simple aux membres supérieurs. Les deux cas publiés par Dubreuilh présentent de notables diff
s fibres nerveuses. L'observation de Marinesco qui se rapporte à un cas authentique d'amyotrophie type 64 LONG Charco
postérieurs avec sclérose névroglique en tourbillons, comme dans le cas de maladie de Friedreich décrit parDejerine etL
réer une forme anatomo-clinique précise d'après ces documents. D'un cas à l'autre il y a trop de dissem- blances global
tc. Mais, ici encore, on trouve des variations régionales : dans le cas de Gom- bault et Mallet les racines rachidienne
racines postérieures le sont du haut t en bas de la moelle; dans le cas de Dejerine et Sottas les racines rachi- dienne
la sensibilité cutanée. Telle est la formule anatomo-clinique de ce cas de maladie d'évolution dont la période d'acti-
pu faire dans son service l'étude anatomo-palliologique d'un des deux cas de ce dernier type. Bien que cette étude n'ai p
es dont l'affection montre les plus grandes analogies avec celle du cas qui fait l'objet de notre étude histolo- gique.
êt de donner ici, en même temps que l'observation clinique de notre cas , le résumé de celles des deux autres malades pr
tion de l'affection. 1 Observation I. - Il s'agit dans ce premier cas d'un nommé Ch ? buandier, âgé de 72 ans, dans l
t légèrement le sol avant de le quitter (Obs. 11-111)- Dans un seul cas existe le signe de Romberg (Obs. 111). Il y a e
llaire à la lumière et à l'accommodation est conservé. Dans un seul cas (Obs. III) existent des troubles de la sensibilit
te affection est obscure. La syphilis n'existe dans aucun des trois cas . Dans un seul cas (Obs. III) l'anamnèse nous four
bscure. La syphilis n'existe dans aucun des trois cas. Dans un seul cas (Obs. III) l'anamnèse nous fournit quelques ren
Obs. III) l'anamnèse nous fournit quelques renseignements ; dans ce cas l'affection aurait débuté à la suite d'une affe
ur que pourrait avoir cette donnée anamnésique,car il s'agit ici du cas de l'observation III qui est l'objet de l'étude a
anatomique que, nous allons exposer. Au point de vue anatomique ce cas est également intéressant, parce que il nous a
érentes au cervelet, ainsi que Thomas (1 ) l'a admis pour un de ses cas . Dans ce cas, l'atrophie peu prononcée de l'éco
cervelet, ainsi que Thomas (1 ) l'a admis pour un de ses cas. Dans ce cas , l'atrophie peu prononcée de l'écorce cérébelle
nes de Clarke, des faisceaux de Gowers. A part déjà que dans notre cas la substance centrale du cervelet et les fibres
nt très peu probable l'origine congénitale de celles-ci. Dans notre cas il ne s'agit pas non plus d'une atrophie scléreus
il ne s'agit pas non plus d'une atrophie scléreuse, comme c'est le cas plus fréquent dans les atrophies bilatérales du c
lissement, nous permet de dire, croyons-nousqu'il s'agit dans notre cas d'une atrophie primitive, parenchymateuse de l'éc
atrophies scléreuses, d'o- rigine vasculaire, inflammatoire. Ces cas d'atrophie cérébelleuse primitive dégénérative so
ive sont fort rares dans la littérature. De ce nombre sont les deux cas qui ont servi à Deje- rine et Thomas pour const
as pour constituer leur type d'atrophie olivo-ponto-cérébel- leuse, cas qui montrent comme le même processus morbide peut
les voies afférentes cérébelleuses, leurs noyaux et l'écorce. Notre cas , tout en entrant dans les cas d'atrophie primitiv
uses, leurs noyaux et l'écorce. Notre cas, tout en entrant dans les cas d'atrophie primitive parenchyma- teuse, diffère
d'atrophie primitive parenchyma- teuse, diffère évidemment des denx cas précités, par le fait que l'atrophie se limite
s et leurs voies afférentes étant absolument intactes. Dans notre cas nous avons observé en outre que si dans les lamel
observations dans la littérature des atrophies du cervelet, même des cas d'atrophie scléreuse, semblent plaider en faveu
scléreuse, semblent plaider en faveur de cette hypothèse, d'autres cas ne permettent pas de tirer des conclusions décisi
tirer des conclusions décisives à ce sujet. Le fait que dans notre cas nous avons pu constater dans beaucoup de lamell
scopiques, on peut avoir un syndrome cérébelleux des plus nets. Les cas de ce genre sont fort rares, mais ceux qui ont
es ont une valeur absolument démonstrative ; nous voulons parler du cas d' « Atrophie lamellaire des cellules de Pur- k
cellules de Pur- kinje » publié en 1905 par André Thomas (t) et du cas de « Degeneratione cerebellare da intossicazion
s et des cellules des noyaux centraux du cervelet. Contrairement au cas de Thomas, il n'y avait aucune altération dans
OPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 81 Ce sont bien là deux cas de syndromes cérébelleux dépendant de lésions p
cérébelleuse de même ordre que celles par nous constatées dans notre cas , mais cette fois sans atrophie proprement dite
mais cette fois sans atrophie proprement dite du cervelet. Dans ces cas il n'existait pas de dégénération de la substan
ules de Purkinje. Même contraste particulier se retrouve dans notre cas : la substance blanche à l'intérieur des lamelles
nous bornerons à le si- gnaler, tout en rappelant que dans quelques cas d'atrophie scléreuse du cervelet on a signalé a
substance grise de l'écorce. On peut toujours objecter que dans ces cas d'atrophie scléreuse datant pour la plupart de
en longueur. Cette réduction ne nous a pas paru exister dans notre cas , tout au moins elle n'était pas nettement évide
médullaires capables de l'expliquer. Il nous suffira de rappeler le cas II de Duguet cité par Mingazzini (1), et le cas I
fira de rappeler le cas II de Duguet cité par Mingazzini (1), et le cas IV de la thèse de Tho- mas où on lit « le malad
té et de la sensibilité présentés par des vieillards. Mais dans ces cas les lésions atteignaient un degré d'intensité b
es et radiculaires séniles d'inten- sité analogue à celles de notre cas s'observent souvent sans se manifester en clini
d'ordre secondaire qu'on retrouve dans le tableau clinique de notre cas en dehors de ceux appartenant au syndrome cérébel
de l'affection cérébelleuse, cause d'ailleurs qui dans beaucoup de cas d'atrophie du cervelet n'a pas pu être établie ou
même présumée. L'âge avancé auquel l'affection a débuté dans notre cas rend déjà peu probable l'hypothèse d'une influe
ne diarrhée avec épreintes, abondante, qui dura 6 semaines. Dans le cas de Murri déjà cité, le syndrome cérébelleux s'éta
ction intestinale. Peut-être pourrait- on invoquer aussi pour notre cas cette étiologie ; ce qui plaiderait encore en f
u reste ici que proposer sous toutes réserves, nous croyons que les cas comme le nôtre et ceux des auteurs précités, de
syphilis acquise, dans la production de l'ostéite déformante. Le cas que nous rapportons contribue à mettre en évidenc
ire que c'est surtout l'hérédo-syphilis qu'ils ont incriminée ! Les cas de déformations type Paget, considérées comme man
s osseuses. En 1903, Ménétrier et Gauckler ont publié deux nouveaux cas dans lesquels « l'existence contemporaine même
ilitique dans le développement de l'affection osseuse ». Le dernier cas nous est fourni par Ménétrier et Rubens Duval en
ement mercuriel a donné des résultats positifs. Nous pensons que le cas de notre malade peut venir s'ajouter à ces 4 ob
e, 1905. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. Tu1. PI. XII UN CAS DE GIGANTISME PRECOCE avcc POLYSARCIE EXCESSI
XCESSIVE. (farhon et Znlplacta.) Masson et Cive Editeurs SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE AVEC POLYSARCIE EXCESSIVE
été possible de faire un examen psychique plus approfondi. SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE AVEC POLYSARCIE EXCESSIVE 9
ettent, et il en est ainsi assurément du moins pour la majorité des cas , que le gigantisme et l'acromégalie ne sont que
l'expression d'un seul et même trouble qui commence dans le premier cas avant la cessation de la croissance en longueur,
yndrome pituitaire. A sa production peuvent s'ajouter dans certains cas une hyperfonction au moins partielle de la glan
ne qui appartient à l'enfance. Mais que faut-il penser dans notre cas de l'état de la glande pituitaire ? Une expérie
du gigantisme précoce de notre malade. D'abord malgré la rareté des cas de gigantisme précoce il semble ressortir que l'h
précoce il semble ressortir que l'hy- pophyse est altérée dans ces cas .Ce fait semble ressortir de l'examen radio- gra
- graphique du crâne que Hudovernig a pratiqué dans son intéressant cas de gigantisme précoce, publié dans la Nouvelle
de la Salpê- trière (1903 et 1906). Dans le même sens plaident les cas de puberté, précoce coexistant avec des trouble
ne affection ayant intéressé le contenu de la cavité crânienne. Ces cas s'accompagnent d'habitude d'une croissance exagér
la puberté sont surtout l'oeuvre des sécrétions internes. Dans les cas où une affection aiguë intéresse le contenu du cr
roissance exagérée et la puberté précoce (il en était ainsi dans le cas de Hudovernig), nous croyons qu'on est en droit d
ent cette glande avec les organes génitaux. Mais, ce qui dans notre cas nous a fait surtout penser à un trouble de la f
appellerons que Bonardi, Schwoner, Frankel, Schaffer ont publié des cas d'acromé- galie héréditaire. Mais comment exp
as d'acromé- galie héréditaire. Mais comment expliquer dans notre cas cette adipose extraordinaire ? Nous estimons qu
symptôme, notre malade présente une ressemblance frappante avec le cas publié récemment par Magalhaes Le- mos, cas qu'
lance frappante avec le cas publié récemment par Magalhaes Le- mos, cas qu'il qualifie d'infantilisme myxoedémateux, bien
sans de sérieuses réserves selon nous, un pareil diagnostic dans un cas où la croissance s'est effectuée normalement ou m
ophysaire. D'ailleurs cet auteur a observé lui-même que si dans son cas le traite- ment thyroïdien a été suivi d'une di
roïdien a été suivi d'une diminution très accentuée du poids SUR UN CAS DE- GIGANTISME PRÉCOCE AVEC POLYSARCIE EXCESSIVE
nge que ce soit précisément les phénomènes myxoedémateux. Dans ce cas l'hérédité du malade était très chargée et en out
aisons pour lesquelles nous estimons que le point de départ dans ce cas n'est pas la glande thyroïde. Il faut penser dans
rt dans ce cas n'est pas la glande thyroïde. Il faut penser dans ce cas comme dans le nôtre à une autre glande. . Nou
e à une autre glande. . Nous avons en vue la pituitaire. Dans notre cas nous avons vu la crois- sance exagérée plaider
ragraphe à l'obé- sité hypophysaire. 96 PARHON ET ZALPLACTA Les cas de Froelich, Mohr, Classer, Wandsworth, Boyce et
e la réalité d'une obésité hypophysaire. Il est vrai que dans notre cas , comme dans celui de Magalhaes Lemos, il ne s'a
disposé l'admettre. Car il nous semble peu probable que dans notre cas le trouble général du développement reconnaisse d
es réserves), et qui pesait 54 kilogrammes (au lieu de 29). Dans ce cas l'opothérapie pituitaire a amené, outre la disp
qui atteint le chiffre de 45 kilogrammes en six semaines. Dans ce cas le diagnostic de trouble pituitaire est donc corr
pituitaire est donc corroboré aussi par l'opothérapie. Dans notre cas et dans celui de Magalhaes Lemos l'obésité est pl
malades sont, eux aussi, plus âgés, et on peut supposer que dans le cas de Cyon elle aurait pu progresser si on n'était p
ésion, sa nature, etc. Quoi qu'il en soit, l'hypothèse que dans les cas pareils aux nôtres et à celui de Lemos il s'agi
rachialgies fréquentes chez les hystériques et les neurasthéniques. Cas banal. Mais voici qu'en faisant deshabiller le
ne sauraient la remplacer. « A elle seule, elle peut, dans bien des cas , donner immédiatement la clef d'un diagnostic,
nt sur les troubles dans le domaine du facial. S'il s'agit, dans le cas présent, d'une affection pro- gressive, comme j
à la faculté qu'ont certains auteurs de faire l'étude anatomique de cas récents. Quoi qu'il en soit, bien que le côté
ste vraiment, on devrait rencontrer avec une fréquence relative des cas où se combineraient chez le même individu les deu
e prend un caractère épidémique. Plus démonstratifs encore sont les cas publiés dans la littérature, présen- tant la co
deux affections, survenues en même temps chez le même individu. Ces cas sont cependant rares, un seul d'entre eux a été
faite dans le service de notre maître Pierre Marie, à Bicêtre, d'un cas de coexistence de paraplégie cérébrale infantile
aplégie cérébrale infantile et de paralysie spinale infantile. Ce cas qui a été, de la part de notre maître, l'objet d'
toutes réserves. 130 ITALO ROSSI En résumé, il s'agit dans notre cas d'un individu de 30 ans chez lequel, à l'âge de
dans un travail ultérieur, l'intérêt anatomique que présente notre cas , lorsque seront terminées les coupes sériées du
ffet, les autopsies de paraplégie cérébrale infantile, du moins des cas stricte- ment limités aux membres inférieurs so
tant que simple constatation macroscopique, d'être relevé dans notre cas particulier. e PARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE
ntégrité du seul muscle long extenseur du gros orteil. Dans notre cas nous ne croyons pas qu'il faut rechercher la caus
rale, si manifeste dans le membre inférieur droit (1). Dans notre cas il semble donc exister une concordance parfaite e
nté en 1903 tt la Société de Neurologie et Psychiatrie de Vienne, 3 cas de paralysie spinale infan- tile d'un seul memb
embre inférieur avec réflexe cutané plantaire en extension, dans un cas du même côté de la paralysie, dans les deux autre
ion, dans un cas du même côté de la paralysie, dans les deux autres cas du côté opposé. Redlich, à la même séance, fais
ture infectieuse de la paralysie spinale infantile et de beaucoup des cas d'hémiplégie cérébrale infantile. Il pense, lui
e cérébrale infantile. Il pense, lui aussi, que dans la plupart des cas les processus sont très analogues dans les deux a
ever de lésions initiales va- riées. Dans la plus grande partie des cas d'hémiplégie cérébrale infan-, tile suivie d'au
erveuses, les tubes nerveux et les vaisseaux. Mais c'est l'étude de cas de paralysie spinale infantile suivis d'autopsi
d'hui les rapports étiologiques qui existent entre un bon nombre de cas d'hémiplégie cérébrale infantile et les maladie
iomyélite prend un caractère épidé- mique, et plus encore, dans les cas qui, comme le nôtre, présentent la coïncidence
de Mô- bius,Medin, Pasteur, Buccelli, Hoffmann. A la deuxième, les cas de Beyer, Parkes Weber, Williams, Neurath, Cala
s par lui à Stockholm en 1888 et 1895 a rencontré en même temps des cas de poliomyélite et des cas d'encéphalite laissa
88 et 1895 a rencontré en même temps des cas de poliomyélite et des cas d'encéphalite laissant pour reliquat de l'hémip
érébrale infantile. Buccelli (4) (1897) rapporte une épidémie de 18 cas de paralysie infan- tile, à forme tantôt spinal
ue, avec athétose, clonus du pied et phénomène de Ba- binski. Les cas de la deuxième catégorie sont aussi démonstratifs
tères distinctifs si tran- chés comme dans notre observations. Le cas de Beyer (2) est le seul de cette catégorie suivi
corne antérieure gauche du 3e segment lombaire. On voit que dans ce cas l'extrême faiblesse du réflexe rotulien gauche
était la seule manifestation clinique de la poliomyélite. ' Dans le cas de Williams (3) (1899), il s'agit ? d'une fillett
fantile du membre inférieur droit, survenues à l'âge de 2 ans. Le cas .de Neurath (1) (1900) concerne une fillette , de
en fort à droite, est aboli à gau- che. Calabrese (2) rapporte un cas nettement démonstratif. Un enfant de 6 mois, S
ecte de cette analogie anatomique serait donnée par l'autopsie d'un cas d'hémiplégie cérébrale infantile où on constatera
nous l'avons déjà dit, au fait que, dans la plus grande partie des cas d'hémiplégie cérébrale infantile, la mort ne su
et de faits tendant à faire admettre que dans un certain nombre de cas l'hémiplégie cérébrale infantile puisse être due
iquement. Nous les résumerons brièvement. On sait que dans quelques cas de paralysie spinale infantile, la paralysie de
lysie des différents nerfs crâniens a pu être observée. Ce sont des cas , àvrai dire, assez rares, mais démontrant quand
la pol iomyéli le,Hoppe-Seyler( 4) considère au moins comme tel son cas d'affection bulbaire intéressant les VU", XII8 et
haut du processus poliomyélitique. Rissler (5) en effet, dans deux cas appartenant à l'épidémie de Medin et morts à la p
ires et dégénératives des noyaux des VII", ,VI",XlIe paires dans un cas , de la Xe paire dans l'autre. Dauber (Ibe. cit.)
as, de la Xe paire dans l'autre. Dauber (Ibe. cit.) observa dans le cas qui lui servit pour appuyer l'origine inflammatoi
aussi anatomiquement la participation du cerveau à ce processus. Ce cas très intéressant pour notre thèse a été publié en
terne et dans le centre ovale. C'est ici qu'il convient de citer le cas de Lamy (2) publié en 1894. Un homme de 43 ans,
est inutile, croyons-nous, d'insister sur l'importance de ces deux cas qui nous donnent la démonstration anatomique de l
alisations différentes du même processus. On a observé en effet des cas où les symptômes des deux formes et leurs local
ptômes des deux formes et leurs localisations se combinaient et des cas intermédiaires (Eisenlhor, Goldscheider, Freyan
rictement indépendantes l'une de l'autre; on rencontre en effet des cas où les symptômes de toutes ces formes sont réun
mes de toutes ces formes sont réunies sur le même individu ; et des cas d'épidémie, comme celle décrite par Medin, où e
s ischémiques ou hémorragiques, que pourrait être due dans certains cas la paralysie cérébrale infantile. Même dans ces
e dans certains cas la paralysie cérébrale infantile. Même dans ces cas l'analogie anatomique entre la paralysie spinale
nseils qu'il nous a toujours prodigués. (1) Il va sans dire que les cas de paralysie cérébrale infantile observée au cour
naire » ; sa mère serait morte aussi d'une affection aiguë. En tout cas , il n'a jamais entendu dire qu'aucun membre de
edème est seul admissible, comme il va être dé- montré, bien que ce cas se distingue par un certain nombre de points de
héréditaire et familial, peut-être parfois congénital. Dans notre cas , le gonflement est bien d'une façon générale, un
e est peut-être plus profonde que le tissu oedématié, et qu'en tout cas elle n'est pas exacerbée par la pression : l'oedè
ire. Cette localisa- tion est très exceptionnelle, puisque tous les cas antérieurement publiés concernent des membres i
rieurement publiés concernent des membres inférieurs, sauf les deux cas de Rapin don t l'un impose une réserve, le cas
ieurs, sauf les deux cas de Rapin don t l'un impose une réserve, le cas de Testi, et l'observation IV de Vallobra conce
veloppement. Ce semble exact dans beaucoup d'observations, dans les cas héréditaires et familiaux notamment. Et l'apparit
servés. D'abord, on en a rapproché l'éphanliasis nostras. Dans deux cas que nous avons eu l'occasion de suivre, l'as- p
on de suivre, l'as- pect clinique ressemblait vraiment beaucoup aux cas de trophoedème des membres inférieurs iconograp
elles nous avons isolé le streptocoque en cultures pures. Le second cas se rapportait à une jeune fille de 25 ans atteint
uée par une lésion traumatique ouverte et infectée. Dans certains cas , dans la 4° observation de Valobra, par exemple,
s et par sa fuga- cité et par son aspect clinique, au moins dans un cas très remarquable, à localisations multiples, à
s et à énorme développement que nous suivons actuellement ; dans ce cas localisé au prépuce antérieu- rement étudié (2)
ce cas localisé au prépuce antérieu- rement étudié (2),et dans deux cas (3) observés à une main chez des jeunes filles
nes généraux. Ga- zette hebdomadaire. 1894. (3) G. RETIENNE, Deux cas d'mdèuaes fugaces de la main chez des jeunes fill
ement du Irophoedème; il en est certainement de même dans les trois cas de MM.Loeper et Crouzon (1), dans celui d'Rat n
tre question chez notre vieillard, pas plus que chez la plupart des cas signalés, et si l'hystérie peut simuler bien de
Quelle est la nature du trophoedème ? , Dans un certain nombre de cas il s'agirait d'une véritable dystrophie oedémat
ateuse héréditaire ou familiale, dans ceux notamment de M. Meige (8 cas en quatre générations dans une même famille), de
(8 cas en quatre générations dans une même famille), de Milroy (22 cas sur 6 générations), Lannois (4 cas sur 3 généra
une même famille), de Milroy (22 cas sur 6 générations), Lannois (4 cas sur 3 générations), apparaissant vers; l'âge de
rophoedème est resté isolé, bien qu'à début juvénile. Dans d'autres cas enfin, il est incontestablement acquis : dans c
qui lui avait laissé une vive douleur pendant les jours suivants. Ce cas resta alors pour moi une énigme, d'autant plus
ucune hésitation à l'attribuer un trophoedème type. Dans ces deux cas , aussitôt après le traumatisme prolongé, apparut
ce du protoneurone cen- tripète ; et la systématisation de certains cas de neuro-fibromatose généra- lisée à tous les n
ar paralysie des vaso-constricteurs. Quoi qu'il en soit, et en tout cas , c'est une réaction défectueuse du sympathique
ent un exemple. Déjà Ranvier, puis Jankowski avaient constaté qu'en cas d'oblitération veineuse, ou en cas d'inflammati
Jankowski avaient constaté qu'en cas d'oblitération veineuse, ou en cas d'inflammation, la section du sympathique ou la
ormation congénitale ou héréditaire du système sympathique dans les cas héréditaires ou familiaux, et une réaction vicieu
rveux lui-même vicié par lésion du protoneurome centripète dans nos cas de trophoedème acquis, traumatiques. L'observat
té absolue des sur- faces osseuses. Nous retrouvons dans tous ces cas de trophoedème acquis un même mode de début : u
D EXAMEN HISTOLOGIQUE DES TÉGUMENTS ET DES TRONCS NERVEUX DANS UN CAS DE , TROPHOEDÈME CONGÉNITAL (1) PAR E. LONG
(1) PAR E. LONG ' (de Genève). ' 1 L'observation clinique du cas sur lequel nous avons pu faire cet examen histo
EXAMEN HISTOLOGIQUE DES TEGUMENTS ET DES TRONCS NERVEUX ' DANS UN CAS DE TROPHOEDEME CONGENITAL. · (E. Long). ' A.
guère éléphantiasis congénital doit être mise aujourd'hui avec les cas que Meige a rassemblés sous le nom de trophoedè
'évolution). Iconographie de la Salpêtrière, 1907, n- 1. " ' SUR UN CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE PAR . C. PARHON et S
second l'a désigné sous celui d'oedème segmentaire. Le nombre de cas appartenant à ce trouble trophique, publiés jusqu
p fréquent. En Roumanie, M. le professeur Marinesco en a observé un cas et nous ve- nons d'en étudier récemment un deux
nons d'en étudier récemment un deuxième. La rareté relative de ces cas et surtout le vif intérêt que des pareils cas s
rareté relative de ces cas et surtout le vif intérêt que des pareils cas suscitent au point de vue pathogénétique nous o
utant certaines questions c'est approcher de leur solution. En tout cas , notre travail apportera une contribution casui
ue à l'étude du trophoedème. Nous commencerons par l'observation du cas , que nous ferons suivre par les considérations
la Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PI. XXXI UN CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE. (C. Parbon et St. Flo
. Masson & Cie, Editeurs Phot01YI11C Bcrlhauù. Paris SUR UN CAS DE 'Cli0PI10EDG11E CHRONIQUE 161 cuisse sont tr
s ou lymphatiques. Quel est donc le diagnostic qui convient dans ce cas ! 1 L'absence de toute lésion cardiaque ou réna
es permettent d'exclure un oedème de cause mécanique, dont celui du cas que nous venons de rappor- ter n'a d'ailleurs a
bien conçu Henry Meige. Dans ce trouble trophique, comme dans notre cas , il s'agit d'un oedème dur, élastique, localisé
raît ordinairement vers la puberté. Il en a été de même dans notre cas . Pourtant des exceptions ne manquent pas à cett
re cas. Pourtant des exceptions ne manquent pas à cette règle et le cas de Ra- pin (2), ceux deMilroy (3), de Nonne (4)
re même congénital. Le trophoedème est souvent familial. C'était le cas pour les premières observations de Henry Meige
l. C'était le cas pour les premières observations de Henry Meige (8 cas échelonnés dans quatre générations). Il en étai
s échelonnés dans quatre générations). Il en était de même pour les cas de Milroy (22 cas sur 27 membres de la fa- mill
quatre générations). Il en était de même pour les cas de Milroy (22 cas sur 27 membres de la fa- mille en 6 générations
s de la fa- mille en 6 générations, ainsi que pour ceux de Nonne (8 cas dans 3 gé- nérations), de Tobiesen (8) (4 cas d
pour ceux de Nonne (8 cas dans 3 gé- nérations), de Tobiesen (8) (4 cas dans 3 générations), de Lannois (4 cas dans 3 g
nérations), de Tobiesen (8) (4 cas dans 3 générations), de Lannois (4 cas dans 3 générations) et pour ceux de Lortat-Jaco
Lannois (4 cas dans 3 générations) et pour ceux de Lortat-Jacob (6 cas dans 3 générations). , On trouvera dans la thès
s la thèse d'Ouvry (9) les tableaux généalogiques de ces différents cas . Mais dans d'autres cas, publiés par Vigouroux
tableaux généalogiques de ces différents cas. Mais dans d'autres cas , publiés par Vigouroux (10), Duckworth, Debove,
e dans la famille des malades. L'absence de ce caractère dans notre cas ne s'oppose nullement au diag- nostic de tropho
milial et un trophoedème non familial. Comme dans la majorité des cas ,dans celui que nous rapportons l'oedème est loc
respectant les orteils. On peut donc parfaitement parler dans notre cas d'un oedème segmentaire. Ce caractère segmentai
deux premières années l'aecième n'a intéressé'que la cuisse* SUR UN CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE 163 Seulement plus tar
e diagnostic de trophoedème chronique que nous avons établi dans ce cas . D'ailleurs,si la localisation aux membres inféri
affirmer que c'est la seule possible. Ainsi Hertoghe a rapporté un cas de tl'ophoedème chronique de la face et Rapin u
l'oedème intéresse les deux inem- bres supérieurs. Dans ce dernier cas il s'agissait d'une femme âgée de 29 ans. L'oed
'une femme âgée de 29 ans. L'oedème était congénital comme dans les cas de Milroy, de Nonne et Tobiesen. Depuis peu une
sur une main, fait qui impose une réserve dans l'interprétation du cas , ainsi que Henry Meige le remarque avec raison.
raison.. z Pourtant il ne faut nullement conclure que même dans ce cas il ne s'agit pas de trophoedème et on doit se d
s il nous semble intéressant de rappeler que Rapin dans l'un de ses cas concernant une enfant a remarqué qu'une éruption
par le rasch. Nous avons vu que l'apparition de l'oedème dans notre cas a été précé- dée par des douleurs assez intense
équent dans le tro- phoedème. Il se retrouve pourtant dans certains cas . C'est ainsi que dans le deuxième cas de Henry
trouve pourtant dans certains cas. C'est ainsi que dans le deuxième cas de Henry Meige on a observé cinq fois des poussée
n moins, de la sensibilité ont été également observés dans quelques cas . C'est ainsi que la malade qui fait le sujet de l
passant que cette malade présentait des troubles mentaux et que les cas de Dide (12) et celui de Dupré (13) concernent ég
' C'est d'abord avec l'oedème par compression. Mais dans ce dernier cas il s'agit d'un oedème mou, où la pression du do
u parasite dans le sang. L'origine exotique du malade peut, dans le cas échéant, faire supposer la nature du mal. L'é
me trouble morbide. L'adipose sous-cutanée qui existe dans certains cas de trophoedème, chez la petite malade de Rapin
ui concerne l'étiologie, l'hérédité joue certainement dans certains cas un rôle incontestable. Cela ne nous avance d'aill
coup dans la connaissance de causes de ce syndrome. Dans d'autres cas la puberté a favorisé l'apparition du trophoedème
as la puberté a favorisé l'apparition du trophoedème, mais dans ces cas encore la vraie cause nous échappe. Nous pouvons
ec des fonctions vicieuses des glandes à sécrétion interne. Dans le cas de Sicard et Lai- gnel-Lavastine (14) c'est le
ne (14) c'est le traumatisme qui a servi de point de départ. SUR UN CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE 165 Notons que dans ce
épart. SUR UN CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE 165 Notons que dans ce cas l'oedème était mou, rouge, chaud et douloureux
es trophi- ques font supposer à l'auteur cité qu'il s'agit dans son cas d'une espèce de poliomyélite ayant atteint les
isses nocturnes, des accès d'asthme, des palpitations. Dans l'autre cas de Hertoghe,où le trophoedème localisé dans la ré
xoedomateux. Il est vrai que l'auteur a traité sans succès ses deux cas de trophoedème' par l'opothérapie thyroïdienne,
ur lui que l'apauvrissement thyroïdien ne soit responsable dans ces cas ,car ainsi qu'il le remarque,on ne saurait assim
l'individu lui-même qui le porte. Mais on doit se demander en tout cas de quelle façon l'hypothyroïdie pouvait réalise
es recherches sont assurément nécessaires avant de fixer dé- SUR UN CAS DE TROl'HOED ! \;ME CHRONIQUE 167 finitivement
s la nosologie. En attendant,il nous a semblé utile de rapporter le cas que nous avons eu l'occasion d'étudier et les c
ographie de la Salpêtrière, p. 503, 1901. 1. LORTAT-JACOB. - Deux cas de trophoedème héréditaire chez des enfants, Revu
et son sexe notre malade répond bien à la très grande majorité des cas observés ; ce sont en effet presque toujours des
l'affection ; la pathogénie ovarienne a de plus pour elle quelques cas où le syndrome de Dercum apparut à la suite d'ova
gnalent comme étiologie possible ne peuvent être incriminés dans le cas qui nous occupe. Dans la maladie de Dercum l'ad
ne dys- trophie très généralisée. Elles se comportent dans tous ces cas très diffé- rents comme jouissant de centres tr
ns- tantes et cette pathogénie ne paraît pas s'appliquer à tous les cas . Quant à l'efficacité du traitement thyroïdien
cile de voir pour l'instant autre chose qu'une coïncidence dans les cas où ont été observées des lésions oculaires. Dans
ce dans les cas où ont été observées des lésions oculaires. Dans un cas cependant ces lésions s'accompagnaient d'une tu
SSY ( . (de Milan) Ancien Interne Lauréat des IlÕ] de Paris. Le cas , dont nous rapportons dans ce travail l'étude ana
ntérêt à la fois clinique et anatomique. L'intérêt clinique de ce cas , dû à l'association très rare d'une paralysie a
ytine'éosine et au van Gieson. L'étude de la série des coupes de ce cas va nous permettre de faire la loca- lisation ex
un processus sem- blable à celui qu'on observe communément dans les cas d'hémiplégie cérébrale infantile très ancienne,
e jusqu'au niveau des noyaux des cordons postérieurs. * . .. Le cas que nous venons d'étudier est avant tout intéress
drome de Weber sont loin d'être fréquentes dans la littérature, les cas de paralysie alterne supérieure associés à l'hé
ianopsie sont extrêmement rares. Nous n'avons pu en retrouver que 6 cas publiés jusqu'ici (Leyden, Martius, Wernicke, B
t l'objet que d'une simple description anatomique macroscopique. Le cas que nous rapportons aujourd'hui, étudié sur cou
198 ROSSI ET ROUSSY De même, si on prend ici en considération les cas de syndrome de Weber par lésions d'origine non
que, l'association morbide en question. Rudnieur (1) admet pour son cas clinique l'un ou l'autre de ces*méca- nismes pa
ainsi dire, l'homologue de ce que Oppenheim a pu ob- server dans un cas de syndrome de Weber au cours d'une syphilis céré
et, la paralysie alterne supérieure n'était pas due, comme c'est le cas plus habituel au cours de la syphilis cérébrale
t la ban- delette optique peut être aussi d'origine traumatique. Le cas de Wer- nicke (2) publié en z quoiqu'isolé et n
8-49. SYNDROME DE WEBER AVEC HéMIANOPSIE DATANT DE 28 ANS 199 son cas , il doit s'agir d'une lésion du pédoncule gauche
on successive des divers symptômes, comme on l'observerait dans les cas de tumeur. Dans l'ordre des lésions d'origine v
ruption sanguine. Nous n'a- vons pas trouvé dans la littérature des cas anatomo-cliniques confirmant cette éventualité.
entualité. Cela tient très vraisemblablement à ce que, dans de tels cas , l'hémorragie du pédoncule doit être si considéra
te éventualité a été cependant admise par Martius (1) à propos d'un cas qu'il eut l'occasion d'obser- ver. Il s'agissai
on de la maladie, firent admettre à Martius l'hypothèse que dans ce cas il devait s'agir d'une hémorragie circonscrite,
éventualité n'est pas une simple hypothèse. Luton (1) déjà, dans un cas de syndrome de Weber,avait observé à l'autopsie l
émianopsie gauche homonyme et de la paraphasie. L'auteur soumet son cas à une analyse très minutieuse pour chercher à l
e de la première portion de la cérébrale posté- rieure, car dans ce cas ,c'est justement cette partie interne qui est avan
i a soumis cette question à une étude approfondie, dit que dans ces cas le ramollissement occupe seulement les (1) Leyd
mmunicante postérieure et de la cérébelleuse supérieure. Dans notre cas , par conséquent, la situation particulière du foy
T ROUSSY C'est ainsi que le foyer de ramollissement, qui dans notre cas avait donné lieu à l'association morbide de la
rande partie delà substance réticulée. On sait en effet, que dans les cas de lésions pédonculaires, lorsque la région de
ait des trou- bles accusés et durables de la sensibilité, dans les cas de foyer pédoncu- laire, il faut qu'une grande
an n'est que partielle ou qu'elle se fait lentement, comme dans les cas de tumeur. L'absence de troubles sensitifs dans
dans les cas de tumeur. L'absence de troubles sensitifs dans notre cas , où il existe les conditions ci-dessus décrites
éognostic. Et cela d'autant plus, qu'on sait (Monakow) que dans les cas d'hémianesthésie d'origine mésocéphalique, (par
ion clinique est regrettable, car nous trouvons remplies dans notre cas les meilleures conditions pour la production de
raient à la musculature interne. - Mais, comme il s'agit dans notre cas d'un syphilitique, etqu'on pourrait à toute rig
en.soit, il est indéniable que nous som- mes en présence dans notre cas , d'un syndrome de Weber par ramollisse- ment pé
e libres de la IIIe paire, sont là pour le prouver. ' Enfin notre cas présente, au point de vue anatomo-clinique, un ce
mollissement de la ban- delette et du corps genouillé externe ; les cas semblables sont rares dans la littérature et la
on qui l'a provoquée. On admet généralement, en effet, que dans les cas de lésion totale de la ban- delette optique, l'
ulaire qui échappe à la perte hé- mianopsique de la vision. Notre cas montre que cette distinction ne constitue pas une
delette optique. La conservation de la vision maculaire, dans notre cas semble plaider en faveur de l'hypothèse soulenu
, Bernheimer, etc.. qui, pour expliquer cette conservation dans les cas d'hémianopsie d'origine corticale, admettent qu
es différentes considérations que nous avions à faire à pro- pos du cas de « syndrome de Weber avec hémianopsie » dont no
seulement sur les lésions anatomo-patboiogiques et sur l'examen de ce cas , dont voici l'histoire. Observation. Il s'a
ltérations dans les renflements cervical et lombaire. Dans mes cinq cas , j'ai trouvé ces lésions. M. H. -V. Schrotter, de
nts, mais pas d'hémorra- gies, pas de lésions myélitiques. Dans mes cas on peut voir ces lésions. Les grosses lésions d
vont en s'atténuant jusqu'au filum terminal. Il s'agit donc dans ce cas là - comme dans les cinq autres - de lésions my
e dans les cinq autres - de lésions myélitiques. Dans deux de ces 6 cas les lésions myélitiques étaient extrêmement int
aces vides à cause de la résorption de la substance altérée. Dans 4 cas sur 6 cas j'ai constaté les foyers d'hémorragie
à cause de la résorption de la substance altérée. Dans 4 cas sur 6 cas j'ai constaté les foyers d'hémorragie. Dans un
cas sur 6 cas j'ai constaté les foyers d'hémorragie. Dans un de ces cas , - représentant le premier stade de la maladie,
eurs. J'ai constaté de petits foyers hémorragiques dans les 2/3 des cas . Quand le malade guérit, les lésions médullaire
ar la mort ou passe à l'état spasmodique chronique. Dans le premier cas on trouve des altérations aiguës de la myélite
une manière con- venable, on peut retarder sa guérison et, dans les cas graves, rendre vrai le faux pronostic; dans de
e peut même aboutir à la mort. J'ai observé l'année dernière cinq cas : deux que je considère comme évidents, le ter
fallu pour formuler leur diagnostic avec certitude. Ce nombre de cas en une seule année a frappé mon attention, parce
autres. Il me semble'aussi que celte année il y a eu diminution de cas de para- lysie spinale infantile. Je crois qu
is que, pour en faciliter le diagnostic, il convient de grouper les cas en trois formes : la forme légère ou motrice syst
tion lente. Pour plus de clarté, j'exposerai d'abord l'histoire des cas sur lesquels je base cette communication. - P
e base cette communication. - POLYNEVRITE AIGUË INFANTILE 217 1er Cas . - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou
is, et aujourd'hui il court comme tous les enfants de son âge. 2* Cas . - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou
et, à la fin du second mois, il fut congédié complètement guéri. 3e Cas . Polynévrite aiguë douloureuse ; cas douteux, neu
ongédié complètement guéri. 3e Cas. Polynévrite aiguë douloureuse ; cas douteux, neuronite. M. Sou..., âgée de quatre a
l'étude des réactions. Elle fut soumise au même traitement que les cas antérieurs et elle s'améliora lentement et prog
inuer le traitement, mais je n'ai pas revu la petite ma- lade. 4e Cas . - Polynévrite aiguë douloureuse, avec localisati
la recherche de la sensibilité objective était très difficile en ce cas , je me bornai à celle de la douloureuse, qui me
et mourut, avec des symptômes d'asphyxie le quatrième jour. , 5° Cas . - Polynévrite aiguë généralisée, forme grave.
à l'étude des réactions. J'ordonnai le même traitement que dans les cas précédents, ce que ses parents acceptèrent à la
ppement delà paralysie, qui se fait comme par poussées successives ( cas 1 et 2), et non brusquement, comme dans la para
ortance positive ; mais ce renseignement ne s'obtient pas toujours ( cas 3, 4 et 5), soitpaf insuffisance d'observation, s
ner- veux, spécialement du cubital, que j'ai observée dans quelques cas de polynévrite aiguë chez les adultes, n'a pas
nt toujours et se révoltent contre cemoyen d'investigation. Dans le cas 5, il y avait, au contraire, anesthésie éclecti-
DE LÉON La plus grande durée de la période fébrile et ses rechutes ( cas o), déjà notées par Oppenheim doivent être tenu
uteurs, participent, quelquefois de la paralysie de la polynévrite ( cas 5), et l'on doit remarquer dans leur histoire l
les inférieures. Cette régression de la polynévrite aiguë, dans les cas graves, peut se faire attendre plusieurs mois,
aralysie ou des troubles objectifs de la sensibilité, comme dans le cas 5, topographie périphérique parlésion du nerf m
seulement ceci ne s'observe nettement chez les enfants que dans les cas graves. Dans les formes légères, dans celles qu'o
Dejerine, paraît être plus précoce, est susceptible de s'améliorer ( cas 5), tandis que, dans la para- lysie infantile,
, les contractions fara- diques sont normales ou à peine diminuées ( cas 1 et 2) ; dans les formes douloureuses (cas 3 e
s ou à peine diminuées (cas 1 et 2) ; dans les formes douloureuses ( cas 3 et 4), les muscles paralysés se contractent aus
grave, comme dans les muscles innervés par le médian droit du live cas , et les réactions galvaniques bien qu'inverties d
éactions galvaniques bien qu'inverties dans les pre- miers examens ( cas 5), acquérant ensuite la prédominance des contrac
discuter le diagnostic de myopathie qui est évident. L'intérêt du cas réside dans la combinaison qu'il offre de plusieu
ne croyons pas, sans vouloir .1'affirmer, qu'on ait déjà décrit un cas de myopathie présentant une pseudo-hypertrophie
CRANIENNE PAR MM. ROGER VOISIN, MACÉ DE LÉPINAY et INFROIT. Les cas de dysostose cléido-crcznienne, l'affection décri
E CLEÏDO-CRANIENNE (Roger Voisin, Macé de Upillay et Infroit). UN CAS DE DYSOSTOSE CLEIDO-CHANIENNE 229 9 sont tellem
CLEÏDO-CRANIENNE (Roger Voisin, Macê de Lépinay et Infroit) . UN CAS DE DYSOSTOSE CLGIDO-CRANIEN1E 231 Au niveau de
s de très jeunes enfants, on ne peut obtenir l'image du cerveau. Ce cas serait donc unique jusqu'à ce jour. Notre sujet
t utile. Si cette enfant présente ces caractères communs à tous les cas de dysos- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtriè
TOSE CLE1D0-CRNIE\rE (R. Voisin, Macé de Lepiiiay et Infroit). UN CAS DE DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE 233 tose cléido-c
ysostose cléido-crânienne, mais il ne semble pas que dans aucun des cas rapportés, la déformation ait été aussi consi-
de la dentition sont assez fréquents. En nous bornant à l'étude des cas publiés en France, nous voyons que dès leurs pr
nt été faites par les auteurs étrangers, nous ne signalerons que le cas d'Hamilton (3) concernant une femme de 38 ans,
dystrophiques de l'itérédo-syphilis. Thèse Paris, 1895, p. 85. UN CAS DE DYSOSTOSE CLÉIDO-CHANIENNE 235 vation serait
N CAS DE DYSOSTOSE CLÉIDO-CHANIENNE 235 vation serait comparable au cas observé par Ferras où il y avait persistance de
nitales (1) ne signale d'après une statistique de Bonnenberg que 12 cas de luxation congénitale bilatérale du radius, d
ère. Depuis ce travail nous n'avons trouvé signalé en France que le cas de Galliard et Lévy (2). Il s'agissait d'une fe
e l'olécrâne. Nous avons également trouvé signalés en Amérique deux cas qui,d'après leur titre paraissent également con
erlé (3), et de Van Hook (4), mais les journaux amé- ricains où ces cas sont relatés, ne sont pas à la Bibliothèque de la
ns d'Abbot qui a pu dans 4 générations d'une même famille décrire 7 cas de luxation de la tête du radius. Comme dans le
mille décrire 7 cas de luxation de la tête du radius. Comme dans le cas de Meijers, dans celui de Kirmisson, nous remar-
es. Quoique ces mécanismes diffèrent, on comprend que dans certains cas , localisés à certains os, ils puissent occasion
ues sur l'achondroplasie. Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1903. UN CAS DE DYSOSTOSE CLIDO-CRANIENNE 237 Nous sommes pl
la coexistence de ces deux affections chez le même malade. En tout cas , à la base de ces troubles dystrophiques, et quel
e tissu conjonctif on ne trouve aucune cellule interstitielle. Ce cas est donc difficile à interpréter de par la comple
'observer, dans le service de notre maître, le professeur Badal, un cas fort curieux de mydriase paralytique . maximale
tion ; l'ésérine enfin rétrécit la pupille, mais moins que dans les cas de mydriase paralytique. Ici encore, ce tableau c
tomatologie classique, il nous est impossible de faire entrer notre cas dans une de ces deux formes de mydriase. Dans u
e. Nous admettrons donc que nous avons observé chez notre malade un cas de mydriase due à un trouble paralytique siégea
on nom, même pour l'éliminer ; Brinswanger (2) pense que « tous les cas de mydriase hystérique peuvent s'expliquer soit p
ion avait conservé toute son amplitude. De même dans quelques rares cas de mydriase considérée comme hystérique, l'auto
le type que nous avons observé ; nous rapprocherons de ce fait les cas de Borel (1) et de Max Weil (2). En résumé nous
s de- puis 1895. Pendant les six années 1896-1901, parmi les 2S64 cas d'aliénés du sexe masculin admis à l'hospice de
t très possible que cette grande diminution dans les admissions des cas de haschich soit due au traitement hors l'asile,
ssions des cas de haschich soit due au traitement hors l'asile, des cas de délire transitoire, comme suite aux instructio
ctions données aux mé- decins locaux de n'envoyer à l'asile que les cas les plus graves. C'est ainsi que sur 208 cas de
oyer à l'asile que les cas les plus graves. C'est ainsi que sur 208 cas de folie de toutes sortes admis à l'hôpital d'Ale
ie de toutes sortes admis à l'hôpital d'Alexandrie pendant 1904, 37 cas seulement furent envoyés à l'hôpital d'Abbassich.
(persécutions et possessions, mégalomanies prophétiques) ; c'est le cas , semble-t-il, des sujets à dégénérescence héréd
a dèmence précoce peut s'établir plus ou moins vite (Fig. V). Les cas d'haschichisme à rechute ne sont pas moins fréque
iagnostic de l'aliénation par le haschich dépend de l'historique du cas et des déclarations du malade. Le dossier de poli
malade ou caché dans ses oreilles ou sa bouche trahit la nature du cas . A l'admission tout malade de sexe masculin est
s qualités de la drogue, etc. ; il n'est pas difficile, dans bien des cas , de se former une opinion pour savoir s'il s'ag
bien des cas, de se former une opinion pour savoir s'il s'agit d'un cas de haschich ». L'usage excessif des drogues dér
une objection de première valeur à faire cette hypothèse ; dans le cas qui nous occupe, les troubles de sensibilité ont
a fréquence, on l'observe selon les auteurs dans 50 à 73 p. 100 des cas . Pour Nalbandoff, qui a consacré à la syringomyél
consacré à la syringomyélie de nombreuses publications, les 2/3 des cas de scoliose syringomyélique seraient dues au ra
t l'hypertrophie est le plus manifeste, il n'y a qu'une exception, le cas de Heldenbergh où c'était l'avant-bras. Le pl
7), Graziani (8), Schlittenhelm (9)], mais presque toujours dans ce cas une main est plus atteinte que l'autre, tantôt un
s'agit aucunement^d'un processus d'acromégalie surajoutée. Dans le cas de F... il n'existe aucun des signes classiques d
ceux de la main opposée. On peut donc conclure qu'il s'agit d'un cas d'origine mixte dans lequel les lésions d'ostéi
elle qu'on l'observe dans la paralysie générale. On dit en pareil cas « que les parois vasculaires se sont laissé dilac
ce de ces hémorragies augmente avec la pression, ce qui est bien le cas ici. L'hémisphère droit où siège la tumeur est
dans le néoplasme. Le manque d'infiltration périvasculaire dans ce cas , pourtant spécifi- que, ne me semble pas tout à
accouché d'un enfant anencéphale avec gliomes dans les poumons (ce cas sera publié par M. le prafesseur Askanazy). Cette
nte interhé- misphérique. Comme je l'ai toujours constaté en pareil cas , ce sont les cornes occipitales et frontales qu
oque où le diagnostic de tumeur s'imposa ? Urne semble qu'en pareil cas uné opération exploratrice, faite avec toutes l
intérêt que comporte une telle observation, nous dirons que dans ce cas il y avait non seulement arrêt de croissance, m
nseignement pathologique et pathogénique que peut com- porter notre cas . L'autopsie a montré une lésion initiale qui a
des biceps et brachial antérieur, beaucoup plus développés dans le cas présent, que la masse des extenseurs représentée
qui est appréciable si on se reporte aux dimensions des os dans le cas présent ; un autre faisceau, étalé, continue so
, nous faisons précéder la série des observations d'hémimélie, d'un cas type d'amputation congénitale appartenant à Mou
n évolution. Il peut, en s'accentuant, amener l'amputation. Dans ce cas , la présence de brides amniotiques n'est plus néc
qne qui veut que les causes précédentes se réunissent dans certains cas pour produire l'amputation (Horteloup, Fournier,
, Hémimèles, de ;zi, demi, et pD.o" membre). L'auteur rapporte deux cas : I. - Une jeune fille, privée presque complète
ionnelles. Année médicale de Caen, 1876, p. 6. L'auteur relate un cas d'hémimélie abdominale ; il a fait l'amputation p
mouvement alternatif, comme les branches d'un compas. XI. A.' JEAN, Cas d'hémimélie (avant-bras gauche). Société anatom
supérieurement et ne formant qu'un os unique. XIII. DRON, Sur un cas d'hémimélie bi-thoracique. Lyon médical, 1883,
perdit connaissance sur-le-champ... z XVII. - MABARET du BASTY, Un cas de tératologie. Progrès médical, Paris, 1888, p
ron 22 centimètres de longueur. XIX. VARIOT (G.), Présentation d'un cas d'hémimélie. Bulletin Soc. an- thropol. Paris,
ion qui nous échappe. 320 0 KLIPPEL ET BOUCHET XX. TOURNIER, Deux cas d'amputation congénitale de l'avant-bras. Revue
ect presque normale, mais creusée de sillons. XXI. BOUIINEVILLE, Un cas d'hémimélie bi-abdominale. Progrès médical, 28
es deux pieds sont probablement au complet. XXII. - G. Cousin, Un cas de tératologie ; foetus anencéphale ; bec-de-lièv
couverts des téguments naturels. XXIII. F. Brun et M. Chaillous, Un cas d'hémimélie, Presse médicale, 1896, p. 413; Soc
oignon, où il ne représente plus qu'un mince fil. XXV. LEFOUR. Un cas d'hémimélie, Journal de médecine de Bordeaux, 1
philis, ni bydramnios. Père absolument sain. XXVI. - G. GASNE, Un cas d'hémimélie chez un fils de syphilitique. Nouv.
326 klippel ET BOUCHET XXXIII. - ALBERT MOUCHET et CH. Vaillant, Un cas d'hémimélie avec radiographie. Soc. anat. Paris
métacarpien et phalanges sont bien conformés. XXIX. - Michel, Un cas d'lémimélie; présentation de radiographies . So
oiseaux, d'où le nom de ptéromélie que l'on pourrait appliquer à ce cas d'hémimélie. Les avant-bras paraissent d'autant
correspond à la bicipitale. Pas de traces de cubitus, comme dans le cas de Mouchet et Vaillant. Cependant, par son extr
tacarpien avec le trapèze 328 KLIPPEL ET BOUCHET modifié. Dans ce cas l'os du carpe correspondrait seulement au scaphoï
une grand'mère ayant un pied-bot. XXXII. Saint-Martin, Note sur un cas de monstre autosite ectromélien hémimèle. Bulle
mité pour quelques sous . XXXIV. - HEITZ (J.) et Infroit (C.), Un cas d'hémimélie du membre abdo- minal droit, étudié
tite fossette n'a ni l'apparence ni le caractère d'une cicatrice. Cas . IL - Hémimélie thoracique droite. L. L..., âgé
ion et au développement de la petite L. L.... XXXVII. HALBRON, Un cas de phocomêlie et hémimélie. Nouv. Iconog. Salpê
calaire. Nouv. Iconog. Salpètr. Paris, 1903, p. 238. Il s'agit d'un cas d'hémimélie radiale très atténuée du membre gauch
ge, et l'index, la phalangette. Ce qu'il y a d'inté ressant dans ce cas , c'est l'atrophie du cubitus, bien moins souvent
s, c'est l'atrophie du cubitus, bien moins souvent atteint dans ces cas d'hémimélie que le radius. Pli. - Faix, Muscula
lus que par Ledouble. . (A suivre.) LE RADIO-DIAGNOSTIC DANS UN CAS DE DILATATION PARALYTIQUE DE L'OESOPHAGE, TYP
n dans ces derniers temps de pratiquer le radio- diagnostic dans un cas très intéressant. , On pourra constater par ce
e de médecine de Turin en 1905 (1). Voici l'histoire clinique de ce cas que nous devons à l'extrême obli- geance du pro
ernie diaphrag- matique de l'estomac, comme on en a relaté quelques cas (1), et cette démonstration nous l'avons eue fa
agmatique droit (Pi. LVIII, D). Nous nous trouvons en présence d'un cas exceptionnel qui n'a, par son côté radio-diagno
aucun exemple analogue dans la littérature; en effet la plupart des cas de dilatation considérable de l'oesophage ont été
e de l'oesophage ont été étudiés à l'autopsie. Schwôrer (2) dans un cas semblable avait eu recours à l'examen radioscop
inale, était bien autrement difficile. Quelle a pu être, dans notre cas , la cause de cette double dilatation énorme de
la Salpêtrière T. XX. PI. LVIII c D ) : 1DIODI4GIOST1C DANS UN CAS DE DILATATION PARALYTIQUE DE L'OESOPHAGE. (Bert
peut-être, selon les hypothèses émises par quelques auteurs dans des cas de ce genre, le diverticule supérieur serait-il
ule supérieur serait-il congénital. Il faut signaler que dans notre cas , par analogie avec ceux observés par Hblder et
hez la malade que nous avons observée, aussi bien que dans les deux cas de Hôlder et de Rosenheim, cette zone de matité
ntant de haut en bas. Il est vraiment regrettable que dans ces deux cas l'examen radiosco- pique n'ait pas été fait. '
qu'elle soit exceptionnelle, puisqu'on en a déjà compté plus de 70 cas dans la littérature. Il faut ajouter pourtant q
appe très facilement au diagnostic clinique. Seulement dans trois cas : cas de Haybaum, de Rumpell etdeSchwôrer, le d
rès facilement au diagnostic clinique. Seulement dans trois cas : cas de Haybaum, de Rumpell etdeSchwôrer, le diagnos
radiologique. Nous retrouvons dans l'histoire clinique de ces trois cas les mêmes symptômes qu'on a constatés chez notr
l'endoscopie de l'oesophage. De toutes façons, tel qu'il est, le cas est particulièrement intéressant par deux côtés
ats de la garnison (environ 52.000 hommes, y compris les marins) 42 cas d'aliénation mentale pou- vant se répartir de l
aliénation mentale pou- vant se répartir de la manière suivante : 5 cas jusqu'à l'ouverture des hostilités, mais ces ma
et 8 après la capitulation. La première période donne seulement 3 cas d'aliénation, car à ce mo- ment du siège, la vi
s de temps compris entre le 27 janvier et le 13 mai n'a donné que 3 cas d'aliénation mentale. Mais quand l'ennemi cerna
uer de fournir un terrain favorable aux troubles men- taux. Dans 26 cas , la maladie se développa rapidement, c'est-à-dire
but. L'ictus émotionnel jouait sans contredit un rôle dans certains cas . Par exemple, le 31 mars 1904, quand le Petropa
MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 343 344 WLADYCZKO Dans 3 cas , 'l'aliénation était précédée d'un complet épuise
ement de l'organisme causé par une forme aiguë de scorbut ; dans un cas la maladie apparut immédiatement à la suite d'u
nèrent une brusque et rapide amé- lioration. Dans les deux derniers cas , il n'y en eut aucune jusqu'au mo- ment du dépa
ière partie du siège donne 1 malade, la seconde 5. Dans deux de ces cas nous remarquâmes 3 accès de mélancolie durant cha
à l'hôpital militaire de Moscou, section des officiers. Nos quatre cas concernent des soldats ; ici nous avons constaté
arfois et ressentaient une incapacité absolue au travail. Dans deux cas , nous observâmes une con- fusion mentale de cou
ans tous les quatre un haussement des réflexes rotuliens, dans deux cas le trouble de la sen- sibilité, sous forme d'hy
rmes de cette affection cérébrale étaient les suivantes. Dans trois cas , l'alcoolisme cérébral chronique, dans un, dégé-
dans la sphère psychique que dans la sphère somatique. Dans trois cas de vésanie mélancolique (vesania melancholica S.
uto-accusation et en même temps des idées de persécution. Dans deux cas il y avait aussi un défaut dans l'association des
t ; ils sont silencieux et recherchent la solitude. Dans le premier cas nous constatons une abondance d'illusions, d'hall
une abondance d'illusions, d'hallucinations terrifiantes ; dans un cas à un moindre degré, dans l'autre elles n'existaie
es atteint son complet développement. 346 WLADYCZKO Dans les deux cas déclarés pendant la première période du siège, la
donna un mieux notable jusqu'au moment du départ. Dans les trois cas désignés sous la rubrique de « psychose traumati-
de « psychose traumati- que » la maladie se déclara dans le premier cas immédiatement à la suite d'une blessure dans le
dans les deux autres après des contusions à la tête. Tous ces trois cas conformément à leur caractère se rapportent : deu
us ces trois cas conformément à leur caractère se rapportent : deux cas la neuro-psychose traumatique avec des apparition
à l'orifice produit par l'entrée et la sortie de la balle. Dans un cas le mal se développa tout de suite après une bless
ant à Odessa ils purent être renvoyés dans leur village. Les deux cas de manie déclarés l'un en novembre 1904, l'autre
il entra à l'asile d'aliénés de cet arrondissement. Etait- ce deux cas de manie, un accès de psychose périodique, il est
tion spéciale. De sorte qu'un résumé sommaire nous donne dans 22 cas sur 38 un TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE
chagrin mo- ral, tristesse, crainte, angoisse et désespoir. Dans 14 cas sur 22, un dé- rangement de la sensibilité mora
it dès le début primaire dans les uns, secondaire dans les 8 autres cas . Toutes les formes d'aliénation développées pen
het : dépression extrême, stupeur de la sphère psy- chique. Dans 22 cas sur 37, les malades ressentaient presque constam-
l'angoisse, la crainte et le désespoir. En résumant les 15 derniers cas nous voyons dans 8 un déran- gement primaire et
llectuelle et morale. Pendant la période du siège nous observâmes 3 cas semblables, le quatrième se déclara après la capi
TABLEAU II. 348 WLADYCZKO étaient malades avant la guerre. A ces cas il convient d'en ajouter 3 de psychose périodiq
de démence précoce et 1 d'imbécillité. Parmi les réservistes : 3 cas de psychose périodique, 3 de psychose , 1 alcoo
1 de folie raisonnante et i de psy- chose épileptique. Donc dans 17 cas le mal existait certainement avant la guerre, c
istait certainement avant la guerre, c'est le 49, 97 0/0. Ainsi les cas d'aliénation développés pendant le siège de la
ège, mais ayant malgré cela passé 4 ou 5 jours à l'hôpital. Dans un cas nous remarquâmes la confusion mentale, dans l'aut
ces deux sujets appartenaient à une compagnie où il y avait eu des cas de typhus récur- rent, le sang fut examiné et n
aiblirent et disparurent peu à peu après le dernier accès. Ces deux cas méritent d'attirer l'atten- tion, car les manif
intervalles entre les accès partiels de cette maladie. Outre les 37 cas d'aliénation mentale cités précédemment rencontré
squette. Un Japonais l'ayant visé le tua raide. On voyait aussi des cas de psychose aiguë, développés pendant des as- s
t d'obus. TROUBLES MENTAUX PENDANT LE SIÈGE DE PORT-ARTHUR 349 20 cas . Pendant la retraite des « Montagnes vertes un of
rès de lui. Il s'était probablement suicidé. Nous vîmes aussi des cas de bravoure pathologique : des hommes à l'air e
nombre étaient neurasthéniques. Nous-même avons remarqué plusieurs cas d'hystérie parmi les officiers. La plupart ress
ont 2 moururent et le troisième se suicida ; il en resta 36, plus 7 cas d'aliénation déclarés jusqu'au 27 janvier 1904 ou
ant la garnison de la forteresse, ce qui fait 0,75 sur 1000. 2° Les cas d'aliénation développés spécialement pendant le s
x faits. 4° Les psychoses prédominantes furent : amentia Meynerti 7 cas , la psy- chose périodique sous forme de mélanco
cas, la psy- chose périodique sous forme de mélancolie périodique 6 cas , la psychose neurasthénique et la psychose alco
ychose neurasthénique et la psychose alcoolique donnèrent chacune 4 cas . 5° Le siège imprima un cachet spécial à toutes
x on[ été traités. z Chaque année, sur ce nombre une quarantaine de cas compliqués d'a- liénation mentale sont ensuite
éder ou se substituer à eux par une sorte de suppléance en certains cas . L'état mental de ces malades se caractérise gé
ment et pathologiquement à la paralysie générale des aliénés. Ces cas n'infirment en rien les paralysies générales autr
t, une opinion contraire à l'origine maïdique en s'appuyant sur des cas observés par lui à Paris à l'hôpital St-Louis.
St-Louis. Il s'agissait probablement d'hérédo-pellagre analogue au cas relaté par Regis chez une malade n'ayant jamais
ité des maladies in- flammatoires du cerveau, en étudie de nombreux cas : l'un de nous dans l'espace de quelques mois e
us dans l'espace de quelques mois en a observé et fait publier deux cas (2). Une étude attentive du cervelet d'un certa
. 2° La fréquence et l'étendue de ces lésions cérébelleuses dans le cas de syndrome clinique sénile, permettent de mieu
iété d'anat. et physiol. de Bordeaux, 25 juin 1906 : Sur un nouveau cas de ramollissement du cervelet. Journal de médecin
irection horizontale. Ces plaques s'organisent souvent, et c'est le cas ici, autour des vaisseaux. Dans la Usure 2 au c
et 320). 364 ANGLAM ET CALMETTES naissent toujours, même dans les cas où les plaques intéressent toute une foliole ;
ste, qui n'est pas exceptionnel dans les tumeurs de l'encéphale, le cas se distingue par quelques particularités clinique
- SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (SEANCE du 2 mai 1907). SUR UN CAS DE PARALYSIE PSEUDO-BULBAIRE, PAR R F. RAYMON
s surtout faire ressortir l'intérêt que présente, au point - SUR UN CAS DE PARALYSIE PSEUDO-BULB.11RE 373 de vue nosolo
euf ans plus tôt. En 1900, Comte (Th. Doct. Paris) publie plusieurs cas de paralysie pseudo-bulbaire avec lésions du pé
cérébrales, peuvent également occuper la protubérance. 2° En pareil cas , on peut voir apparaître, à côté des troubles int
t SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 4 JUILLET 1907). UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CIIEIROMÉGALIE SUIVI D'AU
Pal (2), Roth (3)]. L'hypertrophie cutanée peut être, dans certains cas , tellement accentuée qu'elle empêche de constater
usculaire ainsi que l'a observé Macfarlane (4). Dans ces différents cas , on ne relève aucun phénomène particulier qui p
, 1887-1889. 1 (t) IIIACFARLANE, Albany medical Journal, 1897. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CUEIROMÉGALIE 375 bre tou
à publier les résultats que nous a fournis l'examen anatomique d'un cas des plus typiques de cheiro- mégalie, bien que
épinière. Description de la cavité. La cavité commence à la hau- UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CHEIROMÉGALIE 377 teur de
e. Ainsi que le montrait déjà l'examen clinique, il s'agit ici d'un cas de syringomyélie classique; la cavité est assez
rent ainsi la combinaison de ces deux affections pour expliquer les cas qu'ils eurent l'occasion d'ob- server. M. P. Ma
u'ils eurent l'occasion d'ob- server. M. P. Marie (2) au sujet d'un cas rapporté par lui insiste avec force sur les élé
ert, zu Kie , 1891. (2) Marie, Soc. méd. des hôpitaux, 1894. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CIIEIROMÉGALIE 381 idées
heiromégalie de l'hypertrophie acromégalique de la main. Dans notre cas le diagnostic était extrêmement facile et la co
de la peau mas- que complètement l'amyotrophie, (Macfarlane, notre cas ). Les altérations de la peau facilement visible
liose médullaire et la maladie de P. Marie peut être, dans tous les cas , facilement évitée. Cette hypertrophie des extr
autre part l'absence de phénomènes inflammatoires au moins dans les cas purs de cheiromégalie. Avant de rechercher la
connues, puis- que, ainsi que nous le disions plus haut, à part le cas d'Iiolschewnil,off, il n'en existe pas dans les
ypertrophie pseudo-acromégalique au cours de la syringomyélie. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CIJEIROMÉGALIE 383 rattac
r leur développement aux altérations des nerfs périphériques. Notre cas est assez comparable à celui d'Hotsct)ewnikoff, c
hie. L'observation de Curschmann (1), peut être rapprochée de notre cas il est noté que les petits muscles de la main s
s-cutané sont en voie d'hypertrophie mani- feste. Enfin, dans notre cas , les lésions des nerfs périphériques étaient in
les dans la région hilaire contenaient de la substance colloïde. Le cas rapporté par Cesaris Demel nous semble devoir êtr
. Ce qui nous paraît à retenir, c'est l'importance prise dans notre cas , par les né- vrites périphériques, étendues com
e d'importance peut-être secondaire, mais cependant à noter : notre cas a été observé en mars, et quelques jours plus l
l'indication de cet aspect zoniforme d'ecchymoses spontanées ; les cas en seraient donc très rares ; ou peut- être n'o
rite sciatique. Peut-être en serait-il encore de même ( ? ) dans le cas signalé par le professeur Bouchard (2), d'après
che ophtalmique du trijumeau droit. Il en est de même dans les deux cas de névrite sciatique de M. Faisans, dans le cas
même dans les deux cas de névrite sciatique de M. Faisans, dans le cas hypothétique de névralgie faciale du professeur B
pour saisir l'ensemble de la question, nous rapprocherons de notre cas l'observation de purpura avec infinité de petit
es deux sciatiques avec atro- phie musculaire très marquée ; et les cas de purpura accompagnant chez certains tabétique
ique des protoneurones centripètes. Et en ceci encore, les quelques cas connus d'ecchymoses spontanées zoniformes se ra
zoniformes se rapprochent du zona. Nous croyons, en effet, que ces cas rentrent bien dans la catégorie des phénomènes
aussi in- contestable (Chantelux, Pitres et Vaillard) que celle des cas d'origine médullaire métamérienne, de MM. Briss
après ligature de l'aorte au-dessous des rénales. Et dans d'autres cas , la (1) SrRnoss, Des ecchymoses tabétiques à la
, Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière 1907, n° 2. xx lit UN CAS D'ACHONDROPLASIE PAR CHARON, DEGOUY et TISSOT
s profonde-encore quand il s'agit des affections congé- nitales. Le cas qui fait l'objet de cette nouvelle observation ne
et l'éducation de C... sont nulles : il fut bien à l'école mais UN CAS D'ACQONDROI'LASIE 391 n'eut aucune disposition
T. XX. Pl. LXXI ACHONDROPLASIE (Charron, Degouy et Tissai.) UN CAS d'achondroplasie 393 très postérieur au tibia e
.1CI10\ DROI'LASIE - - fr : lJin.-nm T{rcrOIlI' ri 7ï.îço ? ? UN cas d'achondroplasie 395 Parole. - Aucune malformat
ormées régulièrement. M. Troisier répliqua qu'il s'agissait dans ce cas , à son avis, « plutôt d'un arrêt de développeme
atrice sur le moignon. » , Variot « doutait qu'il s'agît dans son cas , d'une amputation congénitale, à cause de la pr
squelette et du reste du membre. » Mathias Duval, à l'occasion du cas de Variot, disait : « Il existe plu- sieurs for
peuvent arrivera fendre la bouche jusqu'aux oreilles. Dans tous ces cas d'amputation précoce ayant une origine purement m
génitales. Le sillon signalé à la surface de l'avant-bras, dans mon cas , porterait à admettre ici l'action d'une telle
s, comme dit Mouchotte, d'une part les os de l'avant-bras, dans les cas d'hémimélie thoracique, par exemple, sont, ainsi
et la sensibilité est très développée. Troisier fait rentrer son cas dans le groupe des monstruosités par arrêt de d
génitale avec bourgeonnement consécutif à la cicatrisation dans les cas où l'appendice terminal n'est représenté que par
d'organes aussi nettement différenciés que ceux décrits dans notre cas ? La question nous paraît tout au moins dou- te
t au moins dou- teuse et mérite d'être posée. » Puech fait de son cas un arrêt de développement, car, dit-il, si c'étai
t les premiers mois de la grossesse ». Huet et Infroit font de leur cas une malformation symétrique dont la caractérist
e 13 de la première, contre 67 de la seconde ; on peut y ajouter le cas de Moucheté ! Vaillant, et le cas de Pagenstech
la seconde ; on peut y ajouter le cas de Moucheté ! Vaillant, et le cas de Pagenstecher. On peut distinguer parmi les h
RIQUE DES TISSUS 401 veur de cette opinion on peut faire valoir les cas où ces anomalies et mal- formations ont été tra
té transmises par hérédité; on en a cité des exemples pour quelques cas d'ectromélie et d'ectrodactylie. Pour quelques au
s; il ne peut pas être plus question de régression atavique dans ce cas d'absence du cubitus que dans des cas d'absence d
e régression atavique dans ce cas d'absence du cubitus que dans des cas d'absence du radius où l'as- pect est complètem
organes maternels), elles seraient d'origine exogène. Dans quelques cas d'ectro- dactylie, d'hémimélie et même d'ectrom
sence de doigts rudimentaires, comme il en existe souvent en pareil cas , peut s'expliquer par un nou- veau bourgeonneme
ment. On a toutefois (Brun et Chaillous) opposé à cette opinion des cas où les parties existantes étaient assez complèt
s ne croyons pas que cette objection permette de repousser dans ces cas l'action d'une compression ou d'une constrictio
it la mtiltiplicité-et la symétrie observées assez souvent dans ces cas de malformation. On peut facilement concevoir c
et une symétrie assez grande ont d'ailleurs été signalées dans des cas bien établis d'amputation congénitale. Quelquef
rouve pas en connexion avec les parties périphériques. . Dans notre cas , il existerait, à côté de malformations par défau
, affectant des contours extrêmement irréguliers. Ce n'est point le cas de l'hémimélie vraie où l'harmonie des formes p
emps par Serres, Tiedmann, Guret, Troisier, Ldinger, entre certains cas d'ectromé- lie, une altération des filets nerve
'une amputation congénitale n'est pas soutenable aussi bien dans le cas qui nous occupe que dans les cas semblables. Mais
pas soutenable aussi bien dans le cas qui nous occupe que dans les cas semblables. Mais si l'on tend communément à rat
ns rencontrées chez notre malade et après avoir donné un résumé des cas publiés par d'autres auteurs, nous devons maint
s différences bien appré- ciables. A ce double point de vue notre cas est assez remarquable. Ne devait-on point s'att
s anomalies du brachial antérieur ; toutefois il s'agit, dans notre cas , d'un faisceau surnuméraire proprement dit qui re
évrotique du biceps pour se diviser en branches superficielles ; le cas étudié et repré- senté par Bourgery et Jacob (A
u fibreux carpien et métacarpien externe n'est guère assimilable au cas de Dursy où il s'agissait d'un chef d'insertion q
Lewis, combien il paraît logique de penser qu'il s'agit, dans notre cas du moins, d'un arrêt de développement s'étant pro
a main. Les muscles du pouce sont les moins développés ; dans notre cas ils sont représentés par un seul muscle qui s'i
re. En d'autres termes, l'exa- men a montré qu'il s'agissait, en ce cas , de l'atrophie numérique telle qu'elle fut décr
toute la lésion. i La lésion est quantitative, non qualitative. Ce cas est donc encore un exemple de cette atrophie nu
1), nous concluons en définitive que la lésion histologique pour le cas qui nous occupe présente les caractères de l'atro
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id., 489-492 ; Also, Gaz. méd. Paris, 1890, 7 s., VII, 151. Deux cas d'hémimélie, Journ. de clin, et de thérapeut, inf
he Arm in Main, With 2 plates and 14 text ligures, p. 145-185. UN CAS D'HYPERTROPHIE MAMMAIRE ILLUSTRÉ PAR HORACE VER
-. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LXXIV UN CAS D HYPERTROPHIE MAMMAIRE Illustré par Horace Ver
cr.) Masson & Cie, Éditeurs Pliotolypic BCI thaud, Pans. UN CAS D'HYPERTROPHIE MAMMAIRE 419 la Société de chiru
après avoir pris l'avis de Velpeau, son collègue de la Charité, UN CAS D'HYPERTROPHIE MAMMAIRE 421 t décida d'amputer
'éloignait davantage du pédicule (Gaz. hebd., 4 février 1859). UN CAS D'HYPERTROPHIE MAMMAIRE 423 de 6 kilogrammes et
Dizicr (Haute-Marne). 20e Année ? 6 Nove HOSPICE DE BICÊ1'RE UN CAS DE POUI;N(,1JPHALII : CHEZ UN HYDROCÉPHALE ÉPIL
BARBÉ Médecin de l'Hospice de Bicêtre. Interne des Hôpitaux. Les cas de porencéphalie publiés jusqu'ici sont relativem
ment du corps calleux un rôle étiologique dans un certain nombre de cas de porencéphalie ; l'hydropisie ventriculaire ser
res (compression de la veine de Galien). Deganello (2), étudiant un cas de porencéphalie chez un chien, trouvait une ca
undrat, Kirchoff, Sperling. La même année, Ravaut (3) rapportait un cas de porencéphalie acquise chez un homme qui, à l
rase. 5, p. 193, mai 1900 lExam. Iiistol., 1 fig.). (3) RAVAUT, Un cas de porencéphalie acquise. Bulletins de la Sociéié
atéral, se prolongeant jusqu'à l'extrémité postérieure du lobe : Ce cas de porencéphalie acquise est à rapprocher de ce
ans la couronne rayonnante du lobe pariétal. Zingerlé considère son cas comme une porencéphalie vraie due à une lésion
s derniers mois de la vie intra-utérine. Messing (5) a publié trois cas de porencéphalie ; il conclut que cette affecti
n. Ozasopismo lekarskie, nua 8, 1901 (polonais). (4) Zingerlé. Un cas de lésion de développement circonscrite du cervea
) Masson et Cire, ] : ,Ittctllq PhOI01YP ! 11 BrrLhauJ, Paru UN CAS DE P011ENCÉI'.IL[L ? CHEZ UN HYDROCÉPHALE ÉPILEPT
servations publiées jus- qu'à maintenant nous a engagé à publier ce cas . Observation. G... Alexandre entre le 9 août
asson & Cie, FJ¡teurs NII7101)'IIO Il'1111'111111, J'J l'j UN CAS DE paBENCÉPIlALlE CHEZ UN HYDROCÉPHALE ÉPILEPTIQU
de véritables petits îlots. Nous sommes donc ainsi en'présence d'un cas de porencéphalie vraie, suivant la description
ille et Sol- lier, pour la distinguer de la porencéphalie vraie. Ce cas nous a paru in- téressant à rapporter tant à ca
oude et pour le membre inférieur au voisinage du genou. Si dans les cas de ce genre certaines exostoses sont situées à
INSTITUT DES RACHTTIQUES DE MILAN. PROF. GALEAZZI, Directeur SUR UN CAS D'ACROMÉGALIE AVEC OSTO-ARTHROPATHIES ET PARAPL
a beaucoup écrit sur l'acromégalie, et nous possédons tellement de cas cliniques que la description d'un nouveau cas ser
ossédons tellement de cas cliniques que la description d'un nouveau cas serait superflue si ce- lui-ci ne présentait de
OMËGAL1E AVEC OST.0 : 1R'I'I1R01'A'I'lIlES (Bediisciii L , sur UN cas d'acromégalie 443 photographie de la malade. La
n de remarquable. Il n'y a pas de doute que nous ayons affaire à un cas d'acromégalie avec des manifestations insolites
e d'autres faits sur l'existence desquels Béclère a insisté.Dans ce cas nous avons un épaississement exagéré des os du cr
lui laisse pas de repos. Mais ce qui, surtout, rend intéressant le cas que présente ce sont ' deux ordres de faits : l
o- 446 BEDUSCIII articulaires qui n'ont pas été décrites dans les cas connus d'acromégalie, si toutefois mes recherch
onjugaison déformés par le processus mor- bide des os. Mais dans le cas actuel, outre l'abolition des réflexes rotulien
roduites par des alté- rations médullaires, comme il arrive dans le cas de tabes ou de syringo- myélie. Mais dans ce ca
il arrive dans le cas de tabes ou de syringo- myélie. Mais dans ce cas nous ne pouvons pas admettre que ces lésions so
athies tabé- liques et syringomyéliques n'ont pas la physionomie du cas actuel. Du reste, l'histoire de la malade nous
. - R'ldirlrrt-'1nhip-A"r""1 1'1 ? r ? - ? T . -- - ' ' -* - SUR UN CAS d'acromégalie 447 manifestation assez rare du p
galle : ce qui serait superflu. Mais il faut remarquer que, dans ce cas , étant donné l'examen négatif du fond oculaire,
'épiphyse ont perdu toute leur activité. Il doit y avoir eu dans ce cas une excitation anormale à l'ostéogénèse, au dét
'histoire clinique de la maladie de Pierre Marie. .SUR UN NOUVEAU CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE. CONSIDÉRATIONS SUR L'
MLICU (1), est sans conteste un des plus dignes d'attention. Les cas publiés jusqu'à présent ne sont pas trop nombreux
ou soeurs de notre malade sont morts en bas-âge à la SUR UN NOUVEAU CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE 449. suite de maladies
embre nor- mal d'une malade à développement moyen. SUR UN NOUVEAU CAS DE Tliol'ilD1.61E CHRONIQUE 451 l'organisme int
fréquente du trophoedème à l'époque de la puberté. Dans d'autres cas ,comme dans celui de Rapin (3l,le trophoebème semb
infantile et on doit se demander avec l'au- teur suisse si dans son cas , comme dans les autres d'ailleurs il ne s'agit
réflexe conformément à l'opinion de ce dernier auteur. Dans notre cas il ne s'agit pas d'un cas héréditaire et familial
pinion de ce dernier auteur. Dans notre cas il ne s'agit pas d'un cas héréditaire et familial. La ma- lade a été affe
e la malade ou de l'une ou de l'autre en même temps, etc. En tout cas c'est là une simple hypothèse dont la démonstrati
ne ressortent pas d'une façon claire de notre observation. En tout cas les poussées d'urticaire qu'elle a présentées ass
rmes représentent des types cliniques séparés, quoique liés par des cas de passage. Mais elles reconnaissent une pathogén
ration avec FLO- Rien. On doit encore se demander si, dans certains cas , des obstacles à la circulation mécanique de la
tuel secours pour déterminer . l'apparition du trophoedème. Noire cas apporte en tout cas un sérieux appui il la concep
terminer . l'apparition du trophoedème. Noire cas apporte en tout cas un sérieux appui il la conception de la pa- ren
ons vu que cette malade présentait assez fréquemment SUR UN NOUVEAU CAS DE TROPIIOÈDÈME CHRONIQUE 453 des éruptions d'u
étabolisme calcique. Or ainsi que le remarque V ALOBRA et que notre cas vient le confirmer, il semble bien qu'il faut a
sur une région déterminée ou peut-être aussi,au moins dans certains cas ,de le créer de toutes pièces mais seulement dan
s mais seulement dans la région atteinte par l'oedème. Mais en tout cas rien ne prouve que dans certains cas, comme dan
nte par l'oedème. Mais en tout cas rien ne prouve que dans certains cas , comme dans le nôtre par exemple, la prédispositi
Nous n'avons pas pu malheureusement pratiquer cet examen dans notre cas .Nous rappellerons ici à ce propos que LANNois (9)
qu'on peut supposer que le trophoedème est, au moins SUR UN NOUVEAU CAS DE TROPHOEDRAME CHRONIQUE 455 5 dans certains c
SUR UN NOUVEAU CAS DE TROPHOEDRAME CHRONIQUE 455 5 dans certains cas ,en rapport avec un trouble du métabolisme calciqu
cellulaire sous-cutané d'une malade atteinte de trophoedème (un des cas de RAPIN) et dont un des membres 456 PARUON ET
onnexion entre eux au point de vue pathogénétique. SUR UN NOUVEAU CAS DE TRO'PHOEDÈME CHRONIQUE ' · 47 C'est le troub
d'une perturbation fonctionnelle de certains centres nerveux. Les cas de trophoedème avec goitre, comme celui de LAIGNE
phie de la Salpêtrière, n° 6, 4901. 2. PARIION et Florian. Sur un cas de h'ophoedème chronique. Nouvelle Iconogra- ph
inférieurs. xx 29 l 458 » PARHON ET CAZACOU 14. HBIBER. - Un cas de myxoedème compliqué d'éruptions vésiculaires.
SCOMPS Médecin des hôpitaux Interne des hôpitaux Voici un nouveau cas de ce syndrome singulier que M. Brissaud a dé-
renseignements de ce genre, on reconnaîtra sans doute que, dans le cas particulier, le malade a été un bon collaborate
yse. A ce mal irritant s'ajoute l'obsession de ce mal. Tel fut le cas pour Taurone. Sa tête tourna davantage à gauche,l
t vrai, pour un grand nombre de malades. Tel n'est cependant pas le cas de Taurone. Avec beaucoup de bon sens, il a su
utre ; mais du côté opposé d'autres muscles entrent aussi enjeu. Le cas présent est significatif. Le 478 HENRY MEIGE -
accompagné ou non d'agitation des doigts s'observe parfois dans les cas où les contractions musculaires sont très viole
ier ne se produit au début qu'à l'occasion de l'écriture. Dans le cas présent, il y a lieu de noter : a) Que le phéno
gtemps dans ce désordre, j'arrive assez vite à me ressaisir ; dans le cas contraire, je mets plus longtemps, mais j'y arr
s désordres mo- teurs n'en est pas moins grande que dans le premier cas . On s'était exercé à décontracter certains fais
est très exacte et conforme aux observa- tions faites dans d'autres cas . 502 HENRY MEIGE II existe bien en effet deux
es proprement dits, interrompus depuis trois mois, en n'y insistant cas trop. J'exécute en ce moment toute la série des m
pas réussi à observer cette inversion, même dans un grand nombre de cas . Le phénomène de Ch. Bell peut être modifié vol
es corps étrangers, mais aussi contre la trop vive lumière. Dans ce cas , la paupière était plus épaisse, à cause de la
s en haut vers l'extérieur. Ce phénomène peut se constater dans les cas où un individu n'est plus soumis à l'action de
x et où la fixation des yeux ne dépend plus de sa volonté. Dans ces cas , en effet, la fente palpébrale est plus ou moin
un exemple très net du phénomène, dont nous nous occupons, dans un cas d'accès hystérique. Ch. Bell avait vu que le ph
Bell avait vu que le phénomène se rencontre manifestement dans les cas de paralysie complète du nerf facial, ou seulemen
ent le phénomène de l'oeil. Ce phénomène est bien plus manifeste en cas de lagophtalmos consécutif à la paralysie faciale
ment physiolo- gique et qui se manifeste plus spécialement dans les cas de paralysie du facial (puisque l'on voit alors
est confus dans les paralysies faciales centrales, puisque dans ces cas les branches orbiculo-fronlales sont presque to
sque tout à fait prises ; au contraire, il est ma- nifeste dans les cas de paralysies périphériques du facial, que celles
s. Selon M. Bernhardt, il a une signification diagnostique, dans le cas où la gravité d'une paralysie périphérique du f
} sur les lapins, de MM. Parhon et de Papinian (15) chez une femme ( cas de tumeur cancé7 reuse), de 141.Iotelewski (16)
ruit le tronc du troisième nerf cérébral. On a rapporté aussi des cas cliniques pour confirmer ce qui avait été vu pa
nière M. Taylor (19) observa une faiblesse de l'orbiculaire dans un cas , après une paralysie de 1'0culoll1oteur. On peu
après une paralysie de 1'0culoll1oteur. On peut en dire autant des cas de M. Fragstein et de M. Kempner(20). Dans cede
autant des cas de M. Fragstein et de M. Kempner(20). Dans cedernier cas il s'agissait d'une paralysie nucléaire de tous l
nt. On pourrait obtenir la fermeture de 1 orbiculaire dans certains cas de paralysie complète de l'oblique inférieur. D
certains cas de paralysie complète de l'oblique inférieur. Dans le cas d'une interruption du conducteur nerveux pour l'é
hait à faire fermer les paupières. En parcourant la littérature des cas de paralysie faciale on voit que les auteurs ne
parlent pas de la partie dorsale du noyau de la IIIe paire. Dans le cas publié par M. Pardo (22) de paralysie périphériqu
e par- tie du noyau du côté opposé. M. Michel (23), qui eut trois cas semblables, neput confirmer l'asser- tion de Ne
r aucune douleur. D'après cet auteur, une observation, faite sur un cas de paralysie double du facial déciderait la quest
voulus voir aussi si dans la littérature se trouvaient rapportés des cas de paralysie double du facial dans lesquels on
énomène. M. Panegrossi (29), qui a recueilli un grand nombre de ces cas , s'exprime ainsi à propos de l'observation I où i
destra. » Sur ma demande,mon collègue M. Wildbrand (30) à propos du cas qu'il a rapporté page 42, vol. 1 de sa « Neurol
u phénomène de Ch. Bell a été rapporté par M. Cassirer (31) dans un cas de paralysie double du facial chez une femme. '
très profond ou dans le sommeil causé par les narcotiques (dans ce cas au moment où l'individu revient à lui, et par c
her, 1907. S. 308. TABLE DES AUTEURS ALQUISR et RAYMOND, Sur un cas de para- lysie pseudo-bulbaire, 371. ANGLADE
S. Sur le cervelet sé- nile (4 pi ), 357. ART011 et LHERMITTE. Un cas de syringo- myelie avec cheiromégalie suivi d'a
eiromégalie suivi d'au- topsie, 374. BADONNEIX et RAYMOND. Sur un cas de rhumatisme vertébral chronique, 28. Barbé
un cas de rhumatisme vertébral chronique, 28. Barbé et SÉGLAS. Un cas de porencéphalie chez un hydrocéphale épileptiq
ncéphalie chez un hydrocéphale épileptique, 425. BEDUSCHI. Sur un cas d'acromégalie avec os- teoarthropathies et para
.), 443. Bertolotti et BOIDI TROTTI. Le radiodia- gnostic dans un cas de dilatation para- lytique de l'oesophage (2 p
.), 334. BOIDI TROTTI et BERTOLOTTI. Le radiodia- gnostic dans un cas de dilatation para- lytique de l'oesophage (2 p
E. Sur le cervelet sénile, 357. CARAcou et Parhon. Sur un nouveau cas de trophoedème chronique. Considéra- tions su
t la pathogénie du trophcedeme, 448. CunnoN, DEGOUY et TISSOT. Un cas d'achon- droplasle (4 pl.), 390. CHARTIER et
get, chez une tabélique (2 pl.). 84. DEGOUY, CHARON et TISSOT. Un cas d'achun- dioplasle, 390. DBLMAS et A. Vigouro
es spon- tanées (1 pl., 1 dessin), 385. FLORIAN et PARHON. Sur un cas de trophoe- dème chronique, 159. HAHN (LucIEN
trophoe- dème chronique, 159. HAHN (LucIEN) et Wickersheimer. Un cas d hypertrophie mammaire illustré pur Horace V
T, VOISIN et Macé de Lépinay. Élude clinique et radiographique d'un cas de dnostose cleïdo-crânienne, 227. Klippel et
; pseudo-paralysie spinale infantile, 216. LHERMITTE et Artom. Un cas de syringo- myelie avec cheiromégalie suivi d'a
ng. Examen histologique des téguments et des troncs nerveux dans un cas de trophoedème congénital (t pt.), 155. Long.
DE LEPINAY, VOISIN et Infroit. Etude clmique et radiographique d'un cas de dysostose cléido-crânienne, 227. Marie (Au
l'e- corché vivant (4 pi.), 174. PAAHON et CAHdCOU Sur un nouveau cas de Irophoedème chronique. Considéra- tions su
e et la palhogenie du trnphoedème, 448. Parhon et Florian. Sur un cas de truphoe- dème chronique il pl ? 159. PARHO
truphoe- dème chronique il pl ? 159. PARHON et ZALPL4CTA. Sur nn cas de gigan- tisme précoce avec polysarcie excessi
ique imbécile et aveugle (1 tl.), 168. Raymond et ALQUIER. Sur un cas de para- Ivsie nseudo-bultuitre (3 pl.). 3-il.
u runrs de la pAralY'le général-- (2 01.),18, SÉOLAS Pl Barré. Un cas de porencéphalie riiez un hydrocéphale épilepti
FON. La mydriase bys- leryue. 243. Tissot. DEI,OUY et Charron. Un cas d'a- rhondroplnwe, 3"U. Vigouroux et Delmas.
acé de 1 EPIN \ et Infroit. Etude clinique et radiogiaptiique il un cas de dysostose cleid ? nimenne (4 [il.), 227. W
meur (11 fi¡¡..2 2 pl pi ), 275. Wickersheimer et LuciEN Hahn. Un cas d y·petruphie mammaire illustré par Horace Ve
pendant le sieye d ' Port-Arlhur, 340. ZALPLACTA et PARHON Sur un cas de gigantis- me précoce ne'1 polysarcie excessi
par RAY- atorrn et Rose, 224. OEsophnge (,'ndindiaqnostic dans un cas de dilatation paralytique) (2 pl.), par BERrf
, par SICARD et DESCOMPS, 459. Ttnp"oedeme chronique : un nouveau cas avec considérations sur l'eliologie el la pat
1 ? mulique (1 pl.), , [)..r Etienne, Trophoe,feme chronique (un cas par Parhon et Florian, 159. 522 TABLE DES MAT
ptique (Séglas et Barbé), LXXV à LXXVIII. Radiodiagnostic dans un cas de dilatation paralytique de l'oesnphage (BERTO
9 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ue 1)olyylatîdztl(tire. On verra, par l'exposé clinique de tous les cas étudiés par moi, que dans le syndrome oxycéphaliq
ent dans leurs travaux, même dans la thèse de Patry qui rapporte 63 cas d'oxcéphalie, quelques renseignements sur l'éta
s (2) ; .depuis, un certain nombre d'auteurs allemands relatent des cas analogues. En Amérique, Friedenwald (3) publia
relatent des cas analogues. En Amérique, Friedenwald (3) publia un cas en 1893, et en 1902 les observations étaient dé
année, relate dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière deux cas d'oxycéphalie avec troubles visuels (7). L'anat
tive a été conslalée toutefois ex- ceptionnellement, tandis que les cas d'oxycéphalie avec atrophie optique sont beauco
sans avoir de névrite optique; cela est démontré, du reste, par les cas célèbres de Paracelse, de Watter Scott, c1'Hul1
eures systématiques chez les aveugles, à relever que, dans certains cas d'atrophie névritique du fond de l'oeil, il est p
que. Je dois donc à l'obligeance de M. Perrod d'avoir pu étudier ce cas . Etat présent. Jean est un enfant de 6 ans et d
est très anormal : c'est un crâne en dôme ; à noter, comme dans le cas précédent, la saillie médiane très prononcée qui
l est de toute évidence que Marie présente un air de famille avec les cas précédents. Il est vrai que la riche chevelure
s, on a assistée une véritable régression de ces symptômes. 2° Ce cas , parmi tous ceux que nous avons relatés, est le s
E OXYCÉPHALIQUE 21 de Grunmach et Hirshberg (1), qui, à propos d'un cas d'oxycéphalie, atti- rent l'atlention sur l'int
existe dans la conformation du profil basal du crâne dans tous mes cas d'oxycéphalie. Tous ces détails radiologiques o
al. nous voyons un petit relief plus' ou moins prononcé suivant les cas ; relief qui nous est (1) GRU/OEACII et Hirshber
Dans la dysostose cléidocranienne, par exemple, c'est tout à fait le cas contraire : on trouve chez ces sujets dysostosi
e cléidocranienne. Si l'on cherche dans toutes les observations des cas d'oxycéphalie rela- tées par les auteurs, on pe
e maintes fois chez eux. Pour ma part je l'ai trouvée dans tous mes cas et je crois que le retard dans l'apparition des d
es arborisées sont capables d'un développement énorme dans certains cas (Hanotte, Bourneville), et quelques-unes de mes
emment soudées entre elles, comme je l'ai constaté moi-même dans un cas sur un crâne du Muséum Riberi de l'hôpital Maje
après une poussée d'hydrocé- phalie aigué. J'ai constaté dans ce cas la possibilité de l'usure extraordinairement ra
es rachitique de la pre- mière enfance, et en général dans tous les cas d'hypertension cérébrale du premier âge, m'ont
a synostose des os de la calotte n'est pas encore achevée. Dans ces cas , en effet, la poussée du liquide céphalique agit
sutures des os de la calotte sont normalement enclavées. Dans ces cas l'hypertension cérébrale, retentissant sur la sur
ursaisée. Au contraire, les résultats obtenus à l'autopsie dans des cas nombreux étiquetés « tumeurs cérébrales », ont
ité d'hydrocéphalie aiguë ou subaiguë. Nonne, en relatant plusieurs^ cas où par la symptomatologie; pendant la vie du ma
ntriculaire; si bien que Nonne se crut autorisé à employer dans ces cas le terme de pseudo-tumeur cérébrale. Cette déno-
cérébrale. Cette déno- mination fut dans la suite adoptée dans des cas analogues par Menneberg, Mocquin, Muskens, etc.
; et il fait observer que l'unique symptômedifféren- tiel dans ces cas pourrait être donné par la grosseur de la tête qu
oter que ce critérium n'est pas conslanl puisqu'il peut y avoir des cas d'hydrocéphalie aiguë véritable sans aucune aug
s points cette hypo- thèse ; je rappellerai en effet que,dans aucun cas on ne peut, l'état normal, fixer parla radiogra
arla radiographie le trajet des sinus cérébraux ; or, dans tous mes cas d'oxycéphalie j'ai pu (16111011ll'e1', par la rad
des os du crâne, limitée, je le répète, dans la grande majorité des cas , au crâne antérieur. Tous ces faits, que j'ai r
personnelles. Eh bien, dans les commé- moratifs de presque tous les cas de Patry et des autres auteurs, j'ai cons- taté
e à lui seul des lares rachiliques indéniables dans 85 pour 100 des cas , et moi, pour ma part, je les constate dans tous
ur 100 des cas, et moi, pour ma part, je les constate dans tous mes cas vu l'énorme (1) Loc. cil. ÉTUDE DU SYNDROME O
un travail intéressant (2), ont relaté l'histoire clinique de deux cas suivis d'autopsie chez lesquels l'hydrocéphalie s
me. Les altérations histologiques constatées après autopsie dans un cas (infiltration de grandes cellules éosinophiles
rome clinique sous la dépendance de l'altération hypophysaire. Le cas de Marinesco prouve que, à la suite de l'hydrocép
clinique de ce tableau morbide, il fallait relever comment, dans un cas d'oxycéphalie en évolution, où le syndrome adénoï
dans mon service, à la Policlinique générale de Rio de Janeiro, un cas intéressant à plusieurs points de vue. Voici d'
décider s'il n'y a pas coparticipation des nerfs. En publiant ce cas , je me propose surtout de signaler la coexistence
i est de la scoliose il est difficile de dire si elle tient dans ce cas à l'acromégalie, vu la fréquence du développement
'asthénie et l'im- puissance ; elles étaient bien nettes dans notre cas . Mêmes difficultés en ce qui concerne les doule
1900, p. 26-40. (2) En effet les douleurs se trouvent en 5 0/0 des cas d'acromégalie. Voir la thèse de STATE (Paris, 1
alie, Revue Neurol., 1900, p. 302. 44 DR CASTRO Citons d'abord le cas de Feindel et Froussard (1), le moins concluant
és dans leur caractéristique mor- phologique. En résumé, les deux cas précédents ajoutés à celui dont nous publions l
sodique, acromégalie possible (Pa1'OfIlyoclonus multi- plex dans un cas de maladie dé Recklinghausen). Revue Neurol., 189
NOUVELLE IGO1VOGNAYHIE DE LA SALPL71tILItE. T. XXV. 1>1. X UN CAS DE NEUROFIBROMATOSE à plusieurs années de dista
CHE (d'Orléans). Les photographies ci-contre, qui représentent un cas de neurotibroma- tose généralisée observé à plu
LADIES DU SYSTÈME NERVEUX DE L'HOP1TAL PANTELIMON (BUCAREST) DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE : MÉNINGITE SÉREUSE
NESCO et M. GOLDSTEIN (de Bucarest). Dans les derniers temps, les cas qui offrent un complexus symptoma- tique justif
e sont venues démentir ce diagnos- tic, se sont multipliés. De tels cas , assez variables comme substratum ana- tomo-pat
nnées, on tend à isoler du groupe des pseudo tumeurs cérébrales les cas où on peut porter le diagnostic pathogénélique.
affection assez bien connue depuis les travaux de Quincke (2). Ces cas nous paraissent d'autant plus intéres- sants qu
897. 48 MARINESCO ET GOLDSTE1N Voici les observations de ces deux cas : OBSERVATION ! . H. B...., 37 ans, marié, em
ulté les aliments qui consistent en du lait et de la soupe. Il DEUX CAS DE PSEUI)U-I UJIEUIt CËHËHHALË 4 il est constip
sortilèges, que son lit exécute pendant la nuit des mouvements DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CÉUÉBIIALE 51 d'ascension jusq
mure de potassium. Il a re- pris ses occupations au magasin. DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CI : ldnR¡\LF. .f>3 4fï. Il
usculaire a beaucoup diminué. Il se fatigue promptement. Il ne DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE J'S peut pas marcher
s sont plus manifestes quand le malade est fatigué. Dans ce dernier cas , il a en outre la tendance de tomber en avant, de
a 1\OUVFLI Iconographie UF la SALI'1·1RIÎItI.. T. » ? Pl. XI DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEURS CÉRÉBRALES Méningite séreuse
lancher du IVe ventricule. m m, méninges enflammées. p, plexus DEUX CAS DE PSEUDO-TUMRUR CEREBRALE 57 pie-mère de ces r
'il nous soit permis à présent d'aborder quelques questions que nos cas peuvent contribuer à élucider dans une certaine m
r lieu le terme « pseudo-tumeur » nous semble utile, malgré que les cas ainsi désignés aientcommencé à diminuer du fait q
mieux à préciser la cause des symptômes cérébraux, surtout dans les cas de méningite séreuse et d'hydrocéphalie acquise.
pas les seules qui simu- lent une tumeur cérébrale et dans de tels cas il peut être question égale-, ment de la syphil
oupe de pseudo-tumeur. Mais en dehors de ceux-ci, il y a encore des cas , les seuls peut-être qui méritent le nom de pse
es d'une méningite. Mais le plus souvent, on a affaire dans de tels cas avec une hydrocéphalie qui simule une tumeur de l
ngite de la base. Finkelnburg et Eschbaum (2) ont trouvé parmi sept cas de pseudo-tumeurs, une fois cette dernière el u
rovoqué les symptômes céré- braux chez nos malades. Dans le premier cas la méningite séreuse, dans le second l'hydrocép
sies, l'aphasie, la fièvre, nous font penser que dans notre premier cas la méningite séreuse initiale s'est accompagnée
a substance cérébrale. Ce fait a été vérifié par l'autopsie dans un cas de méningite séreuse par Raymond et (1)M. Nonne
tsche Zeitschr. f. Nervenheilk., vol. XXXVIII, ne 1-2, 1909. DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE f)9 9 Claude (1), qu
ont trouvé des foyers circonscrits d'encéphalite miliaire. Dans un cas de Vrijdag (2) il y avait également une plaque d'
'écorce cérébrale au processus inflamma- toire et en intitulant ses cas : ellcéphalornéningites séreuses. D'ailleurs Op
nce cérébrale semble être moins intense et moins fréquenle dans les cas de méningite séreuse ventriculaire, quand les l
nd les lésions se cantonnent seulement à ces régions. Mais dans ces cas la substance épendymaire est toujours plus ou m
es causes qui ont provoqué l'apparition de la maladie dans nos deux cas . Le début brusque, sans aucune maladie infectie
fectieuse de la méningite séreuse et des encéphalites, pourtant nos cas plaideraient en faveur de la théorie angio-neur
a théorie angio-neurotique de Quincke. En effet, dans notre premier cas , nous ne trouvons comme cause immédiate que le ch
enage et celui-ci n'est que pro- blématique. Mais même dans de tels cas , nous sommes d'avis qu'on ne peut pas éliminer
probable qu'il paraît que les méninges sont atteintes même dans les cas où il manque de phénomènes nerveux. En effet, Lie
nque de phénomènes nerveux. En effet, Liebermeister (1), parmi onze cas de pneumonie sans symptômes méningiliques et dont
onvexité cérébrale, comme cela doit s'être passé dans notre premier cas , ce sont des symptômes corticaux d'excitation q
pécialement ceux des nerfs optiques et oculo-moteurs. Mais dans ces cas vient s'ajouter un élément nouveau car l'inflam
EIM in Lehrbuch der Nervenkrankheiten. IV. éd. 1905, p. 945. DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE 61 les symptômes de
s de compression qui prédominent, de sorte que dans la majorité des cas on ne parle plus que de l'hydrocéphalie, la ménin
nous semble être beaucoup plus fréquente, car presque dans tous les cas la ponction lombaire donne pas- sage à une gran
phalie. La description anatomo-pathologique des plexus dans de tels cas est le plus souvent très sommaire, surtout au poi
plus ancienne de méningite séreuse où d'hydrocéphalie acquise, les cas d'Annuske (4.) (1873), deFr. Schultze (S) (1876
us et la toile cho- roïde étaient oedémateux mais normaux. Dans les cas autopsiés de Quincke il n'est pas question de l
et de l'épaississement de l'épendyme. Claisse et Lévi (8), dans un cas d'hydrocéphalie interne extrême chez un enfant
ux plexus hypertrophiés. ' Haushalter et Thiry (9) ont examiné sept cas d'hydrocéphalie interne et un d'hydrocéphalie e
s, Thèse de Kiel, 1881. 8) CLAISSE et LEvi, Etude histologique d'un cas d' hydrocéphalie interne, Bull. de la Soc. anat
sur l'hydrocéphalie. Revue de Méd., 1897, vol. XVII, p. 624. DEUX CAS DE PSEUDO-'IUbIEUR CÉRÉBRALE 63 litique, avec u
es mailles des plexus choroïdes. Recklinghau- sen (1) dans l'un des cas d'hydrocéphalie chronique décrites par Rehn, co
éphalie chronique interne congénitale il ajoute : dans une série de cas , on n'a rien trouvé d'anormal, mais dans ceux-c
nt un peu altérés. Beck (3) a fait l'examen histologique dans trois cas de méninaile sé- reuse et il a trouvé, à côté d
iltrés par des cellules rondes. ' Gerhardt (4), dans l'un des trois cas d'hydrocéphalie chez l'adulte (1) VON Recklingh
lles d'une inflammation (méningite venlriculaire). Dans beaucoup de cas , dit-il, l'inllammalion se propage des méninges
de la face inférieure du lobe frontal. Delamare et-Caïn (4) dans un cas d'hydrocéphalie aiguë chez un nour- risson, ont
aiguë du nourrisson). Soc. de Neurol., s. du 8 décembre 1910. DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CKRKRHALE G5 ventricule, où on
uise, mais sans nier l'importance des plexus choroïdes. Dans ses 29 cas d'épendymile, de mé- ningite, d'hydrocéphalie e
mentionne pas, dans la plupart l'état des plexus choroïdes, Dans le cas I il dit que les plexus choroïdes sont complète
ar une couche de tissu conjonctif f fibreux. Dans l'observation VI, cas de méningite aiguë pneumococcique, il a trouvé
térations des cellules épilhéliales en contact avec le pus. Dans le cas VII, celui d'une méningile aiguë méningococcique,
des altérations des cellules épithé- liales. Dans l'observation XI, cas de méningiteaiguë, les plexus choroïdes présent
e et ne présente pas de l'infiltration cellulaire marquée. Dans les cas XII, XIII, XIV, XV et XXII, tous do méningite a
plexus choroïdes, il trouve à peu près les mêmes altérations. Dans le cas d'hydrocéphalie congénitale, il dit que les ple
dyme ventriculaire el les plexus choroïdes. En examinant nos deux cas , nous avons trouvé dans le liquide céphalo- rac
brale. Mais ce résultai positif f n'a pas été signalé dans tous les cas ; il est vrai que le nombre de ceux où on a prat
e faire cet examen. Ni Muskens (2), quoique ayant pratiqué dans ses cas des pondions lombaires répétées, n'indique pas s'
0) 11ansesu.ni, Verhandlungen des 15. lionr. r. inn. ;lIed. DEUX CAS DE l'S EU DO-TUMEUR CEREBRALE <i7 uillgile s
erklen et Devaux (2) examinant le liquide céphalo-rachidien dans un cas d'hydrocéphalie acquise, ont trouvé de la lymphoc
ainsiqueBeck(3) soutient que le liquide cépha- lo-rachidien de ces cas , extrait par ponction lombaire ou ventriculaire,
cellules et pas de microbes. Sorgenle (4), au contraire, dans'lrois cas d'hydrocéphalie chro- nique, a trouvé dans le l
ermettant de donner un diagnostic certain. Dans le même sens est le cas de V. Starck (7) qui, chez un enfant de quatre an
nderlwik., voI.LVIII, 1903. (4) SOlIGEN1E, Sur l'étiologie de trois cas d' hydrocéphalie chronique. La l'ediatriu, avri
e ventriculaire séquelle d'une muezzin- 68 MARINESCO ET GOLDSTEIN cas d'hydrocéphalie consécutive à une méningite céréb
laire, était normal ; sans éléments cellulaires, sans microbes. Les cas où l'examen du liquide céphalo-rachidien fut prat
ne conclu- ' sion définitive. La lymphocytose abondante de nos deux cas ainsi que les résultatsd'IIansemann, Kroenig, M
ratiquer également l'exa- men du liquide eéphalo-rac11dien dans les cas de céphalée rebelle, et même de migraine pour o
inflammatoire il doit exister un certain mouvement fébrile dans les cas de méningite séreuse. Cepen- dant on a noté gén
généralement l'absence d'une température élevée. Dans notre premier cas nous avons constaté un mouvement fébrile, non pas
ne quand l'état du malade s'est beaucoup aggravé. Dans notre second cas nous n'avons pas pu établir s'il avait présenté
ature, laquelle z pendant son séjour à l'hôpital fut normale. Les cas où on a constaté un mouvement fébrile ne sont pou
e était un peu élevée mais fugace. Linn Emerson (1) a noté dans son cas une température de 38°, Gerhardt dit que le malad
fièvre pendant les récidives. Fraenkel (2) a noté dans son premier cas 37°8, dans le troisième jusqu'à h0°. Axhausen (
, l'élévation de la température devait être plus fréquente dans les cas de méningite séreuse. Il est possible qu'elle soi
est possible qu'elle soit passée sans observation, dans beaucoup de cas , ceux où elle n'était pas trop élevée et ile-cé
ilis serosa aculs, Berliner klin. Wo- chenschr., n° 6, 1909. DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE 69 où elle a pu être
che relativement favorable de celle méningite. Dans notre premier cas nous avons noté l'existence des troubles psychi-
, atteinte de méningite séreuse. Ayant en vue l'élude de nos deux cas ainsi que l'examen des plexus choroïdes dans di
convexité du cerveau, Ù sa base ou aux ventricules. Dans le dernier cas , la partici- pation plus intense des plexus cho
iel d'avec une tumeur du cerveau ou du cervelet. (I) Sterling, Un cas d'hydrocéphalie avec troubles psychiques. Soc. de
notablement modifié dans ces dernières années par la publication de cas complexes, hybrides, dont la symploma- tologie
sclérose en plaques et les sclé- roses combinées congénitales. Ce cas se rapprocherait par quelques points de la scléro
s héréditaires et fami- liales. Soderberg en a signalé récemment un cas qui réunissait des signes de maladie de Friedre
odique familiale. Dès 1905 Raymond, Ballet et Rose, à l'occasion de cas analogues déve- loppèrent l'opinion que ces mal
nnexions. Et comme fait démons- tratif de cette opinion, il cite le cas d'une jeune femme qui cliniquement présentait'd
ception. Erb (4) a soigneusement relevé les signes initiaux dans 56 cas de la- bes ; sur ce nombre, il y avait 44 cas d
gnes initiaux dans 56 cas de la- bes ; sur ce nombre, il y avait 44 cas de tabes confirmés et 11 cas de tabes frustes o
la- bes ; sur ce nombre, il y avait 44 cas de tabes confirmés et 11 cas de tabes frustes ou associés, soit donc 55 cas
abes confirmés et 11 cas de tabes frustes ou associés, soit donc 55 cas avec abolition des réflexes ; un (1) Berger, Ue
ité par Raymond, même ouvrage. 78 cuaumt ET NOVÉ-.IOSSEKANl) seul cas présentait la conservation des réflexes rotuliens
nt de vue de la précocité du signe, Erb dit l'avoir trouvé dans des cas où le début (clinique, sans doute) du Labes ne re
ervé, déjà, soit à l'hôpital, soit à ses consultations privées, des cas semblables. Il publie quatre obser- vations per
e. Plus près de nous, MM. Achard et Léopold Levi (1) ont publié six cas inédits, sans autopsie. Dans la littérature m
épars de conservation des réflexes rotuliens dans le labes. Dans le cas publié par M. Lenoble (2), il s'agissait d'une
illéen dans le tabes, rappelle qu'il a observé un certain nombre de cas où les réflexes rotuliens persistaient, dans de
t, dans des tabès indiscutables (3). M. Kollartis, en 1903, sur 100 cas de tabes, a trouvé que les réflexes tendineux,
réflexes tendineux, rotuliens et autres, étaient conservés dans 25 cas ; que les ré- flexes patellaires persistaient s
25 cas ; que les ré- flexes patellaires persistaient seuls dans 11 cas (). La même année, ,,1 Ahadie publiait l'observ
e personnelle sur la conservation des réflexes ro- tuliens dans 196 cas de labes et trouve qu'ils sont conservés dans 13,
s 196 cas de labes et trouve qu'ils sont conservés dans 13,50/0 des cas ; il compare ce résultat à celui de Byron-Bramwel
40 0/0 comme pourcentage de conser- vation (5). En 1994 parait le cas de MM. Dupré et Camus, où un homme de 65 ans, a
labes dans les- quels les réflexes rotuliens manquent, le nombre de cas publiés où ils étaient conservés paraît somme t
avaient demandé le secret de cette conservation exceptionnelle. Les cas avec autopsie sont malheureusement rares, ainsi q
en se rapportant à l'article de Achard et Lévi. Depuis leur unique cas personnel, il se peut qu'il en ait été publié d
e d'entrée des racines était intacte ; on y trouve aussi signalé un cas de Minor (4) où l'abolition des réflexes rotuli
, tantôt de une demi-heure à 5 ou 6 heures après le repas. En aucun cas , ils n'ont revêtu le caractère de vomis- sement
rait les fibres longues des racines sacrées inférieures. Dans notre cas , ce faisceau était intact, mais ce fait ne saurai
térieures. Dans la question suivante, également controversée, notre cas paraît fa- vorable à l'opinion de Nageotte. D'a
ent dégénérer dans toute leur longueur, comme cela se passe dans le cas d'une section. . Enfin, pour revenir à notre su
ler, des données bien classiques et laissant de côté évidemment les cas où l'abolition des réflexes rotuliens tient à l
isque souvent le seul symptôme est le signe de TVestpltal ; dans ce cas , la lésion siège dans la zone radiculaire des : :
es 3e et 1° paires lombaires est respectée par la sclérose. Notre cas est précisément un exemple de cette dernière vari
donc essentiellement un labes qui est encore systématique. » Noire cas est certainement un exemple de labes incipiens,
ens où l'entend I. Nageotte; il semhle bien en être de même pour le cas ,anatomo-clinique de)DI. ,\cbard 01 Lé"i. On pourr
iens analogues à ceux- là et sans signe de Westphai. Par contre, le cas précisément de tabès incipiens, à propos duquel
oli. Sans apporter, à ce sujet, aucune considération tirée de notre cas , il est peut-être permis de revenir sur la diff
e des cordons postérieurs, sous l'influence de la cécité. » A ces cas de retour des réflexes, l'explication proposée pl
ques nerveuses. En outre, le traitement spécifique, surtout dans ce cas pris au début, a bien pu favori- ser les phénom
at général ; les douleurs, l'ataxie sont peu dé- veloppées. Dans un cas comme dans l'autre, on peut sans doute voir sous
u genou, d'abord aboli, réapparaître ensuite. Il pense que dans les cas humains où les réflexes pitellaires sont revenus
de prévenir l'incertitude d'un diagnostic. A ce point de vue,notre cas démon- tre une fois encore que la lésion du tah
emple des crises gastriques, ou encore, il s'a- gira, comme dans le cas de M. Gangolphe, de fractures à répétition ou d
étition ou de lésions ostéo-articulaires ou articulaires : dans ces cas , dit-il, il ne vient pas à l'idée qu'il peut s'
n de J. Ch. Roux trouve ici son appli- cation. On connaît enfin des cas de crises gastriques sans lésions médul- laires
Déjà en 1907, M. E. Long (2), après étude anatomo-clinique de deux cas de tabes dorsalis, en arrivait à celle conclusion
vation des réflexes patellaires ne doit-elle pas empêcher, dans des cas fort rares il la vérité, de porter le diagnosti
cines de Wesipliil ». Cette zone peut rester intacte dans quelques cas rares, et le signe de Westplial manque, alors q
constate parfois ? C'est là une hypothèse vraisembla- ble. En tout cas des lésions portant ailleurs que sur cette région
voies moins défectueuses. Après l'apparition de la cécité, dans le cas de préférence où le malade est possesseur d'une
eux augmentent, les réflexes peuvent réapparaître. Mais, en aucun cas , ils ne sont capables de retour, si les voies ana
. Il. 130UCllEZ. lmp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA TÈTE (GUÉRISON
dsberg aocxnomn. . I L'occasion nous a été fournie d'étudier un cas de blessure à la tète, causée par une balle Mau
blessures de ce genre étant, en temps de paix, plutôt rares, et le cas présentant, en outre, un certain nombre de trou
asson & CIC, Editeurs Pho[('[ytn< : De)[)'f't'.t,t'tUt9 UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA TÈTE 107 pas où
e les chi- rurgiens les plus conservateurs sont d'avis que dans les cas de lésions analogues à celle-ci, iedébridement
FEU (Johmasson ei Froderstrom) . Masson & Cne, Éditenrs. UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA TÊTE 109 mes au
e cérébrale américain, et Crowe, les auteurs rapportent que dans 82 cas d'opérations à l'intérieur du crâne Cushing s'est
vi de ce médi- cament dans un but prophylactique; dans aucun de ces cas , il n'y a eu de méningite. En conséquence, les
hylaxie el la thérapeuthique de la poliomyélite épidémique. Dans ce cas aussi, c'est sa propriété de se déposer dans le
t est pleinement justi- fié au point de vue prophylactique dans les cas de fractures compliquées et de blessures par ar
ier, de par son expé- rience personnelle, le moindre souvenir. UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA TÈTE 111 Sur un
C'est là une ôhservation qui se'retrouve dans la presque totalité des cas Fic. 2. 1 UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A
ion qui se'retrouve dans la presque totalité des cas Fic. 2. 1 UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA TÊTE 113 publié
ginal provoquent de l'hémianopsie. » Selon Dejerine il faut, dansce cas , que la destruction ait atteint aussi « le faisce
difficulté un mot aussitôt qu'il a réussi à l'identifier. Mais les cas ne sont point rares où il présente des symptôme
a de répondre « bataljonschef » (chef de bataillon).En analysant le cas , on trouva que B... avaitun souve- nir net de s
ots et ex- pliquer leur signification. Dans un très grand nombre de cas , le processus a'été analogue : aussitôt que le
r, B... peut immédiatement dire ce qu'on fait.Dans la plu- part des cas il désigne correctement les objets que, les yeux
de ses souvenirs optiques. Pour commencer, il était incapable de UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA TÊTE 115 se rep
ecte de la richesse plus ou moins grande des images visuelles. Le cas suivant est caractéristique à cet égard ; durant
ivant est caractéristique à cet égard ; durant un repos au cours UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA 1);'I'E 117 7 d
correctement saisie, qui lui sert de point de départ; dans tous les cas que nous avons soumis à une ana- lyse plus appr
association auxiliai- res dont les ressources mnésiques peuvent, au cas d'une lésion à gauche, servir à conserver un mi
estions il donne des réponses absolument fantaisistes disant que UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA TÈTE 119 3 X 4
que la lecture des chiffres reste possil3le, voire facile, dans des cas d'alexie causée par des troubles optiques. Le
pour lui d'écrire Blonalkvist, il n'arrive pas, dans la moitié des cas , à for- mer la seconde syllabe ; remarquons que
avait ici une interruption dans TEXTE explicatif de la do. 3. UN CAS DE BLESSURE FAX ARME A FEU A LA TETE J 2\ 1 le
solées que B. sait lire et écrire ne sont pasplus nombreuses. Les cas absolument exceptionnels où B. a pu, grâce à des
tres voies associatives simultanément empruntées ayant, t, dans ces cas , indubitablement joué le rôle décisif ; pas une s
tale gauche a été réfutée entre autres par Heilbronner, qui dans un cas d'aphasie motrice subcorticale dans lequel la fac
t, une défectuosité permanente, car les observations de Henschen UN CAS DE BLESSURE PAR AXME A FEU A LA TÊTE 1 ? ) 1) b
cérébrale réelles. L'expérience clinique tend prouver que dans ces cas l'alexie aussi est un symptôme persistant; toutef
aussi est un symptôme persistant; toutefois, dans la plupart de ces cas , il s'est agi de foyers de dégénération ou d'hémo
ents permettant de trancher une question pendante, elle n'est qu'un cas de plus en faveur de la théorie uniciste de MM. B
e testiculaire très. marquée. . Woods Hutchinson rapporte même un cas de pseudo-hermaphrodisme chez une acromégalique
de l'utérus, des trompes et des ovaires (8). (1) .1. Bonhomme, Un cas d'acromégalie chez une imbécile. Bulletin de la S
d. journ., 14 juillet 1900. (4) G minier et Santenoise, Note sur un cas lèralologique complexe d'un aliéné (gigan- tism
Archivio italiano di clinica medica, 1891. (6) Bunav et Jancso, Un cas de gigantisme patholo,qique'Sinton /lotis), Deuts
des Hôp. de Paris. Séance du 8 mai 1903. (8) Woods Hutchinson, Un cas d'acromégalie chez une gé ! tnle,Lad AU/'an, Amer
niquement t'anaphrodisie du sujet qu'ils ob- servent, tels sont les cas décrits pal' Alibert(1), Tanzi (2), E. Villiers (
Soc. d'Anthropologie de Bruxelles, 1898, XVII, p. 11. (4) KLEIN, Un cas de gigantisme. Soc. méd. des hôpitaux de Nantes,
ntre ces divers syndromes, et il n'est pas rare de ren- contrer des cas limites, difficiles à classer. Aussi convient-i
fémurs. MICROMELIE RHIZO \IÉLIQUE PARTIELLE 141 En présence de ce cas de micromélie rhizomélique,on peut remarquer que
sont fami- liaux et héréditaires. Il faut convenir que dans notre cas , il y a des particularités apparte- nant à l'un
d'achondroplasie, car on a décrit l'achondroplasie partielle ; tel le cas de Charon, Degouy et Tissot. D'autres raisons
e qui concerne la dysplasie périostale, on peut invoquer dans notre cas , l'absence de soudure des fontanelles, et les déf
ique, Il n'est pas rare de trouver dans la littérature médicale des cas qui prê- tent ainsi à discussion, dans le domai
i à discussion, dans le domaine des dysostoses. A l'occasion de ces cas , des opinions contradictoires se font jour, et le
e le précédent signe n'aura pas pour lui la même valeur. Ainsi le cas de micromélie présenté par MM. Galliard et Lévy à
ditaire, ni familial, bien qu'il puisse être congé- nital, dans des cas tout à fait exceptionnels. Cette séparation n'e
uelles l'achondroplasie se complique de rachitisme. « En dehors des cas typiques, disent-ils, l'examen histotogi- que s
llement de lever tous les doutes (3). » Nous rappe- lons encore les cas de Papillon et de Lorrain, dont l'un était un mé-
aussi l'explication que nous trouvons la plus ra- tionnelle pour le cas présent. Récemment MM. Euzière et Delmas (6) on
sie, du rachitisme et autres dysostoses, et à rendre publics tous les cas observés..Nous avons la conviction que la théor
dans la maladie de Hansen. Notre malade rappelle très étroitement ces cas de lèpre blanche décrite dans les races noires
t de lèpre noire, Zambaco-Pachaar apporté il y a déjà longtemps ces cas où « la peau la plus blanche, la plus caucasiqu
ni mouvement ni contraction musculaire. Dans un certain nombre de cas , l'absence du réflexe est associée à d'autres t
livité ou superréllectivité j. xxv 10 154 DUPUY Dans d'autres cas , le réflexe est nul en l'absence de tout autre sy
me très inconstant ; Eutenbourg estimait à 80 010 la proportion des cas où il est absent. En 1898, Babinski (1) : ) montr
ne trouve que très exceptionnellement le réflexe absent : dans ces cas exceptionnels, il estime qu'une cause morbide loc
ion moyenne est de 3 0/00 ; mais si l'on répartit suivant t'age ces cas d'abolition, comme il est fait dans le tableau
tableau I, et figurée sur le graphi- quel, montre que le nombre des cas augmente progressivement avec l'âge. 1 0 Tabl
l'âge. 1 0 Tableau I. - Réflexe achilléen. Nombre et proportion des cas d'absence du réflexe suivant l'âge. ' DE L'AB
LIENS 157 ter de l'absence du réflexe achilléen ; 3° le chiffre des cas d'absence pour 1000 hommes examinés et le chiff
lle-ci : dans un groupe d'un âge donné, la proportion pour 1000 des cas d'absence monosymptomatique du réflexe achilléen
u chiffre de )'age diminué de 5; exemple : il 35 ans l'on constate 30 cas d'absence sur 1000 hommes examinés, à h0 ans 35
, sa proportion atteindrait à peine 10 0/0 il 100 ans. Sur les 59 cas constatés, l'absence a été2) fois bilatérale et 3
a été2) fois bilatérale et 38 fois uni- latérale : dans 64 0/0 des cas l'absence monosymptomatique du réflexe achillée
ce monosymptomatique du réflexe achilléen est donc unilatérale. Ces cas d'absence unilatérale se trou- vent répartis av
parfaite entre les deux côtés, 19 à gauche, 19 à droite. Sur les 19 cas d'absence du réflexe à droite, le réflexe gauche
nsiblement normal 13 fois, faible ou très faible 6 fois. Sur les 19 cas d'absence du réflexe à gauche, le réflexe droit a
siblement normal 11 fois, faible ou très faible 8 fois. Ainsi, sur 38 cas 158 DUPUY d'absence unilatérale, le réflexe d
érale, le réflexe du côté opposé était sensiblement intact dans 21. cas : dans 63, 1 0/0 des cas l'absence unilatérale co
opposé était sensiblement intact dans 21. cas : dans 63, 1 0/0 des cas l'absence unilatérale comporte l'inté- grité du
e comporte l'inté- grité du côté opposé. La proportion élevée des cas d'absence unilatérale et parmi eux la pro- port
s cas d'absence unilatérale et parmi eux la pro- portion élevée des cas comportant l'intégrité du côté opposé sont à note
portion légèrement plus élevée que les fantassins. La proportion des cas d'absence monosymplomatique croit avec l'âge d'
plus forte dans l'infanterie que dans la cavalerie. Le total des cas d'absence du réflexe achilléen observés, avec ou
très simple : de 25 à 55 ans, la proportion pour mille du total des cas d'absence de réflexe achilléen permettant le tr
et sur le graphique II. L'abolition était bilatérale dans tous les cas , alors que pour le réflexe achilléen elle était
, alors que pour le réflexe achilléen elle était unilatérale dans 2 cas sur 7. L'aholition pathologique du réflexe achi
enne est de 4.770/00 : elle est cinq fois moins forte que celle des cas d'absence mOllosymplomatiljne du réflexe achill
mais trouvé le réflexe absent avant 25 ans. A partir de 25 ans, les cas d'absence apparaissent ; ils se montrent de moins
hique II). Tableau II. - Réflexe rotulien. Nombre et proportion des cas d'absence du réflexe suivant l'âge. DR L'ABSE
e et la proportion atteint environ 17 0/00 à 50 ans. , Sur les 91 cas observés, l'absence monosymptomatique du réflexe
Cette absence n'est donc unilatérale que dans 36, 66 pour cent des cas seulement. La forme unila- t.êra)e,qui constitu
as seulement. La forme unila- t.êra)e,qui constitue la majorité des cas d'absence aclilléenne,ne se présente" donc que
d'absence aclilléenne,ne se présente" donc que dans la minorité des cas d'absence ratulienne. Les cas observés se répar
ésente" donc que dans la minorité des cas d'absence ratulienne. Les cas observés se répartissent également entre les de
Le côté opposé présentait un réflexe faible ou très faible clans 3 cas , un réflexe sensiblement normal dans un cas seu
ou très faible clans 3 cas, un réflexe sensiblement normal dans un cas seulement : ainsi 25 0/0 seulement des cas d'ab
siblement normal dans un cas seulement : ainsi 25 0/0 seulement des cas d'absence unilatérale ont comporté l'intégrité du
t géné- ralement qu'après celle du réflexe achilléen. Alors que les cas d'absence achilléenne ont une proportion assez
rtion assez élevée et un accroissement ac- centué avant 30 ans, les cas d'absence rotulienne ne s'élèvent au-dessus des
jets présentant de Graphique Il. - Réflexe rotulien. Proporlion des cas d'absence du réflexe suivant l'âge. Am. - Courb
ence du réflexe suivant l'âge. Am. - Courbe moyenne schématique des cas d'Absence monosymptomatique entre 25 et 40 ans.
lement par l'acbilléen avanl de s'étendre au rolulien. Le total des cas d'absence du réflexe rotulien observés, associée
èlre conservée. Il ne s'agit pas d'un élat congénital, puisque les cas d'absence augmentent de nombre avec )'age. Le
ne peut donc pas être rangée parmi les états congénitaux. Dans les cas où l'absence n'est pas permanente el où le ré-
vie : c'est une abolition. S'il n'est pas impossible que quel- ques cas soient congénitaux, la proportion de ceux-ci ne p
omène dû aux progrès de ! 'age soit unilatéral dans la majorité des cas comme l'est l'absence monosymp- tomatique du ré
ne se plaignant d'aucun trouble; elles ne comprennent donc pas les cas d'abolition liée à des affections plus avancées
mes frustes parmi lesquelles rentrent sans doute un grand nombre de cas d'irréflectivité monosymptomatique, à la suite
les ou beaucoup plus développées d'un côté. Dans un grand nombre de cas d'irréflectivité monosymplomalique, I in- terro
réflectivité monosymptomatique se montre plus précise dans certains cas , où l'absence, d'un seul côté, d'un seul réflex
achilléen est nul à gauche, normal à droite. Pas d'autre trouble. Cas IV. - D..., cavalier, 30 ans, bronchites fréquent
s les plus communes d'abolition du réflexe achilléen. Dans certains cas , l'évolution montre bien que l'absence du réflexe
er nul le réflexe achilléen ou le réflexe rotulien. Dans quelques cas , uu examen clinique complet décèle une affection
urement connue et traitée mais incomplètement guérie. Dans d'autres cas , le réflexe est nul sans autre symptôme nerveux.
utres troubles nerveux. Elle existe dès la 25e année. Le nombre des cas aug- mente progressivement avec l'âge. Dans le
oce ; elle est le plus souvent unilatérale (près des deux tiers des cas ) ; lorsqu'elle est unilatérale, le réllexe du c
40 ans ; elle est le plus souvent bi- latérale (les deux tiers des cas ) ; lorsqu'elle est unilatérale, le réflexe du c
logique de l'absence des réflexes acliilléens et rotuliens dans les cas où la clinique ne suffit pas à la révéler. Ces
técédents, l'observation de l'évolution, et par l'étude de quelques cas particuliers. Les causes écologiques les plus f
giques rares mais significatifs, ont été recueillis à ce sujet et des cas de tumeurs~de la glande pinéale ont été signalé
ce de celles-ci a donc pu être prouvée dans un très grand nombre de cas . Il y a des colloïdes non résolubles, c'est-à-d
cules à l'ultramicroscope parce qu'elles sont trop petites. Dans ce cas , la quantité de lumière diffusée devient trop fai
ès qu'il y a des ions électrolytes fixés sur les granules ; dans ce cas , l'addi- tion des acides produit la migration v
e touchent par leur surface capillaire. Il est vrai que dans certains cas , comme il en est pour la gélatine, on ne peut p
ent au réseau qu'on constate dans la cellule, mais dans beaucoup de cas aussi aux granules. Hardy a montré que dans cet
au n'est visible que par-ci par-là, tandis que dans la majorité des cas on ne voit que des accumulations de granules. H
mmoniaque, urée, antipyrine, sulfate de magnésie, etc.), et dans ce cas on voit appa- raître à l'intérieur des nucléole
u'on traite les cellules par les agents coagulants. Dans ce dernier cas , ou doit constater que le cou- xxv tu 210 MAR
211 dans le même liquide'. Les résultats ont été différents dans ce cas . Parfois, nous avons eu recours à l'examen des
cytoplasma est parsemé de particules de volume inégal, mais en tout cas supérieur à celui des cellules du ganglion cons
ssium produit des phénomènes plus ou moins semblables, mais en tout cas beaucoup moins accusés que ceux réalisés par la
cette dissolution est suivie de cytolyse moins intense que dans les cas précédents et d'autre part nous constatons ici
3/4 d'heure de séjour. Pièce retirée du sérum après 4 heures. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES AVEC CAGE TH
rès anciens auteurs se contentaient de rapporter l'anomalie, chaque cas publié aujourd'hui amène l'éclosion de nouvelles
coup de ces varia- tions soit encore si peu connue. Aussi, chaque cas mérite-t-il d'être publié et d'attirer l'attentio
riations et nous terminerons par les réflexions que nous suggère ce cas très curieux. Voici dans tous ses détails, l'ob
ographie, voir LEDOUULE. Traité des variations des os du rachis. UN cas d'absence DES vertèbres cervicales 225 Observat
RES CERVICALES (Klippel el Feil). Masson & Cie, Editeurs UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 227 Malheure
il). Masson & Cie, Éditeurs. Photolypie Hellhuutl, Pltll UN CAS D'ABSENCE DES VERTRRRES CERVICALES 22't Nons
avités thoraciques ont sensiblement leurs dimensions normales. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 231 Les deux
là un simple comparaison, car aucune relation n'existe entre notre cas et cette lésion, . UN CAS )) ABSENCE DES VERTÈB
car aucune relation n'existe entre notre cas et cette lésion, . UN CAS )) ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 233 Si, che
xiste 4 paires de côtes, et qu'on peut diviser la crête épineuse UN CAS D'* ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 235 en 4
Dimensions de la colonne vertébrale (de l'oceipital au sacrum) : UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 237 Dimensio
le il est im- possible de différencier des corps de vertèbres. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 239 Cette ma
les expliquent. Nous pourrons ainsi faire une étude plus précise du cas que nous rapportons. Nous avons recherché dans
avait été déjà signalée. Mais nulle part nous n'avons découvert un cas pouvant se rapprocher du nôtre. C'est qu'en eff
res, le nombre total des vertèbres est modifié ; mais, même dans ce cas , il se fait une certaine compensation par un ac
ition du reste de la colonne. Struthers (4) et Dwight (5) citent un cas de 6 vertèbres cervicales, mais il y avait une
e cette sorte de suppléance était le fait le plus fréquent. Dans un cas signalé par Staderini (6), la colonne cervicale é
e squelette d'un nain n'ayant que 5 vertèbres cervicales. Mais le cas leplus intéressant a été. rapporté par Villet et
(8) VILLET et Walsham, med. chirurg. transac., vol. 63, p. 257. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 241 vertébra
nombre de vertèbres ; une diminution de ces mêmes segments dans le cas contraire. Mais, si celle explication peut rend
Morpit. Jahrb., vol. I, p. 83, 1876 ; et vol. 21, p. 118, 1899. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 243 prenant
uche. Elle ne fournit pas davantage d'interprétation acceptable des cas si cu- rieux de Willet et Walsliam, ni de celui
vol. XI, p. 539. (3) BARDEEN, American journ. of anat., 1902. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 245 ' examin
s vertébrales présentant des variations numériques. Dans ces deux cas , le nerf en fourche était situé : à droite à la 2
l'association des deux proces- sus, il en est de même dans d'autres cas , et ceci justifie l'opinion éclectique que nous
de deux régions différentes. Et l'on comprend de cette façon les cas de diminution du nombre des vertèbres ; et de m
yngien. (3) GUILLBS11e1, Revue de médecine de l'Est, mai {911. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 247 7 lombai
produites aux dépens de métamères voisines et qui ont mêlé dans ce cas , au profit du somite le plus élevé, le cervical
xplique bien les faits de diminution du nombre des vertèbres et les cas où l'on trouve des vertèbres de transition qui se
d'elles peul renfermer une certaine part de vérité, et suivant les cas , l'une ou l'autre doit être invoquée : La sacra
ion des ligaments fibreux et fibro-cartilagineux est vraie dans des cas limités. L'ascension du bassin, admise par la p
re bien 248 8 KLIPl'EL ET F1Ur. des faits dans l'ombre. Ainsi, le cas dont nous avons rapporté l'observa- tion s'expl
cale ou générale; KOLLIhEa, Embryologie, édit. franc., p. 186. UN CAS D'ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 24U ',) Nous
s su- jets normaux en apparence, ne pourrait servir il dépister des cas analogues au nôtre : qu'il s'agisse d'une absen
Il n'est pas impossible qu'un examen plus attentif révèle, dans des cas (1) Ferré, Recherches sur les générateurs d'ano
e type pour sché- matiser cliniquement celte monstruosité. SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLl;IDO-CItANIENNE PAR N. MALDAR
voies pour les recherches à venir. C'est pour ce motif que tous les cas qui s'écartent du type normal mé- ritent d'être
nienne héréditaire dont nous avons eu la bonne chance d'observer un cas des plus typiques. Mais avant de donner l'obser
ties par une por- tion fibreuse. Les auteurs considèrent ces deux cas comme une forme spéciale d'hy- drocéphalie à la
la même Société, les mêmes au- teurs (2) apportèrent deux nouveaux cas concernant cette fois la mère et la fille d'une
u'aucun de ces malades ne soupçonnât l'anomalie claviculaire SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLliIDO-CRAN1ENNE 253 certains tro
ce de leurs travaux. Nous avons eu la bonne fortune d'observer un cas typique de cette intéressante dystrophie. Com
cas typique de cette intéressante dystrophie. Comme le nombre des cas publiés jusqu'à présent est assez réduit, car n
st assez réduit, car nous n'avons trouvé dans la littérature que 33 cas absolument certains, il nous a semblé utile de
scoliose. (Maldaresco et Parhon). ? 1')("rr-Th , r 1 17 ? SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLÉIDO-CnANIENNE 255 masqué par la
ne voit que leur bec acromial. / \./1' y LJ .. 1 n. l 1 z SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE 257 vieilles, ce
e pas la luxatiou de l'extrémité supérieure du radius notée dans le cas des auteurs plus haut cités, ni les autres alté
eurs plus haut cités, ni les autres altérations notées dans le même cas , mais le cinquième métacarpien semble plus tran
xxv n 258 8 .MALDARESCO ET rauuox lure lombaire (comme dans le cas de Ilirtz et Louste), une tendance au genu valg
ceux intéressant le tissu osseux. La taille était petite clans les cas de Scheuthauer, Rappeler, trois cas de Marie et S
a taille était petite clans les cas de Scheuthauer, Rappeler, trois cas de Marie et Sain- ton, Schorstein, Pinard et Va
t Infroit, ainsi que dans le nôtre, en ne tenant compte ici que des cas absolument certains. Parmi les cas d'aplasie cl
en ne tenant compte ici que des cas absolument certains. Parmi les cas d'aplasie claviculaire où l'état du crâne nous es
est resté ignoré, nous trouvons signalée la petite taille dans deux cas de Gegenbauer, ainsi que dans le cas de Guzzoni
lée la petite taille dans deux cas de Gegenbauer, ainsi que dans le cas de Guzzoni degli Ancarani. Comme autres trouble
tions épiphysaires dans celui de Ilamillon (âgé de 6 mois). Dans le cas de Gibert (fille de 15 ans), les os des mem- br
ce, la malade succomba à la suite d'une ostéomyélite aiguë. Dans un cas de Marie et Sainton fut notée une légère dépres
valgum. Ce dernier phéno- mène existait d'ailleurs dans deux autres cas des mêmes auteurs. Dans un de ces cas existaien
t d'ailleurs dans deux autres cas des mêmes auteurs. Dans un de ces cas existaient aussi des pieds plats. Dans le cas d
urs. Dans un de ces cas existaient aussi des pieds plats. Dans le cas de Schorstein on trouve notée une petite dépressi
ns.La scoliose se trouve signalée aussi dans le casde Wolf. Dans le cas de Ilirlz et Louste, le thorax était saillant en
e, phénomène que nous avons re- trouvé chez notre malade. Dans le cas de Schermann, les os longs étaient incurvés et on
curvés et ont nécessité l'intervention chirurgicale. Dans le second cas du même auleur, on avait SLll UN CAS DE DYaOS'r
fance ; dans le troisième, le sternum était très déformé. Dans le cas de Gross, le thorax était déformé (poitrine de po
cartilages, ainsi qu'une subluxation de l'épaule. Dans le premier cas de Villaret et Francoz, on trouve une légère sco-
bassin assez accusées pour avoir causé une dystocie. Dans trois des cas observés par ces auteurs, on trouve une exagéra
gissement de ces os et augmentation de leur transparence. Parmi les cas d'aplasie claviculaire, nous n'avons pas de donné
nées précises sur l'état du crâne ; nous trouvons signalés dans les cas suivants des troubles osseux : Chez l'enfant
s, mais aussi celle du ster- num et des cartilages costaux. Dans un cas de Gegenbauer, il existait une forte pliure sus
malade de Schorstein présentait une dépression sternale. Dans deux cas de Car- penler, il existait un développement an
l'apophyse transverse de la 7e vertèbre cervicale, dans un deuxième cas il existait une côte cervi- cale, ainsi que des
une côte cervi- cale, ainsi que des pieds plats. Dans un quatrième cas , on observait une dépression sternale ayant les
y et Infroil. Ces troubles sont également très accentués dans notre cas . D'une façon générale on peut dire que les dent
alé dans les observations de Dowae, Rappeler, dans trois sur quatre cas de Pierre Marie et Sainton, parmi les cas que n
er, dans trois sur quatre cas de Pierre Marie et Sainton, parmi les cas que nous avons retenus comme absolument certains,
que nous avons retenus comme absolument certains, ainsi que dans un cas de Gegenbauer, parmi les cas probables. L'aspect
absolument certains, ainsi que dans un cas de Gegenbauer, parmi les cas probables. L'aspect inverse se trouve noté dans
, parmi les cas probables. L'aspect inverse se trouve noté dans les cas de Ilamillon, Schorstein, Carpenter, Preleilner,
s prononcer. Notons encore les troubles des ongles signalés dans le cas de Hirtz et Louste. Dans notre cas, on trouve a
bles des ongles signalés dans le cas de Hirtz et Louste. Dans notre cas , on trouve aussi de pareils troubles au moins en
ysémateux. Un certain degré d'emphysème existe également dans notre cas . En ce qui concerne l'anatomie pathologique de
e singulière dystro- phie, nous ne possédons que les nécropsies des cas de Scheutheuer et de Fodd (et encore ce dernier
nécropsies des cas de Scheutheuer et de Fodd (et encore ce dernier cas ne fait pas partie de ceux que nous avons reten
rapportées par Poynton et Miller (32) et par G. Roussy et Ameuille ( cas de Pierre Marie) (33). En outre dans ces cas le
G. Roussy et Ameuille (cas de Pierre Marie) (33). En outre dans ces cas les auteurs se sont contenté de décrire l'état
'occasion d'étudier dorénavant l'anatomie patho- logique de pareils cas . Disons maintenant quelques mots sur l'étiologi
do- crânienne. Cette question elle aussi est très obscure. SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLIDO-CRAN1RNN1 lez, 261 Les diffé
is héréditaire, la tuberculose, ne sont nullement prouvés. Dans les cas de Villaret et Francoz, les auteurs montrent qu'o
oté en outre la consanguinité des parents. L'hérédité est en tout cas un facteur étiologique certain et laisse suppo-
bien l'origine thyroïdienne ». , En effel,on trouve dans les deux cas le retard de la première comme de la seconde de
ïde dans la scoliose de l'adolescence. Rappelons encore que dans un cas de Raymond (41), le malade présenta un genu val
polyglandulaire pourrait d'au tant plus être invoquée que la SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLIDO-CRAN1ENNE 2G3 plupart des gl
, Macé DE LÉPINAY et Infroit. Etude clinique et radiographique d'un cas de dysostose cléido crânienne. Nouvelle Iconograp
AME[' ! LLE. - Présentation de pièces provenant de l'autopsie d'un cas de dysostose cléirlo-crrlrrienne héréditaire. 3
au diagnostic. Il suffit, en effet, de voir ou- même, dans quelques cas , d'entendre le malade marcher pour qu'on reconn
hologiques la simple inspection à l'oeil nu s'impose, dans d'autres cas il faut bien savoir les analyser. On sait d'a
e la façon dont se réalise la démarche de ces malades. Il y a des cas où la démarche devient tout à fait impossible, il
membres supé- rieurs qui frappent l'observateur. Les bras, dans les cas prononcés, sont accolés au tronc ; mais d'autre
arcot - démarche des gallinacés - devient très expressive, dans les cas de ce genre. Le malade se dandine « comme un ca
quelques années, la presse suédoise déborda d'articles relatant le cas de la « dormeuse d'Okno » qui, au mois d'avril 19
ine ne puisse présenter de précision véritablement scientifique, le cas me semble pourtant mériter un certain intérêt, ne
on ménage. Un de ses frères était impotent, mais il n'y a pas eu de cas d'anomalie psychique dans sa famille, ni dans c
l'hôpital n'étant point psychiatres, ne s'intéressaient guère il un cas de ce genre. Elle resta toujours dans le même é
nombre de ren- seignements d'une grande importance pour l'étude du cas . Selon la gouvernante, Caroline était, durant l
intérieur et ne présentant aucun signe de troubles psychiques. Ce cas tire son caractère rare et intéressant du fait de
e, voire, à certains points de vue. très bien conservée, et en tout cas exempte de toute trace de démence ou défectuo-
ectuosités que présentent ses connaissances ne pourront pas, vu son cas , être considérées comme des signes d'une inférior
ingérence qui aurait pu amener des réactions désagréables. En tout cas , il me semble important qu'en examinant les motif
orique de la maladie de Caroline concorde sur divers points avec un cas publié par ie professeur Gadélius (llygiaea 1894)
tion avec lui. C'était le Dr Alfred Pétren qui cite l'historique du cas dans son ouvrage « Ulier Spatlieilung der Psych
il était « comme autrefois »). Gadélius décrivit ce malade comme un cas de stupeur en donnant une analyse psychologique
'un certain nombre d'autres symptômes, Gadélius était d'avis que ce cas ne pouvait être considéré comme une catatonie d
symptômes prouvaient d'une façon irréfutable qu'il s'agissait d'un cas typique rentrant dans la catégorie plus vaste de
indéterminé au point de vue ! de l'étiologie, il est évident que le cas de Gadélius aussi bien que le cas Carol ine peu
l'étiologie, il est évident que le cas de Gadélius aussi bien que le cas Carol ine peu ventêtre compris dans ce cadre va
' sologique et insiste sur l'importance qu'il y a à. distinguer les cas t) piques d'autres cas « dont le pronostic est
sur l'importance qu'il y a à. distinguer les cas t) piques d'autres cas « dont le pronostic est essentiellement différent
sentiellement différent »; il souligne ce fait que l'historique des cas typiques ainsi que les examens pathologi- ques
on, on esl tenu à rester sceptique du diagnostic catatonie dans les cas où, après une maladie particulièrement longue, on
e guérison complète sans défectuosités ni rechutes,et cela surtout au cas où le tableau des symptômes considéré seul n'a
e forte len- tance à la simulation sans qu'on n'ait, dans aucun des cas , pu constater des hallucinations ni d'idées de
stater des hallucinations ni d'idées de persécution ; dans les deux cas , l'amnésie était complète et permanente concern
nirs antérieurs étaient d'une netteté remarquable ou furent en tout cas vile réveillés. Cependant, on ne pourra pas, de c
pourra pas, de ces ana- logies, conclure que la pathogénie des deux cas ait été identique, mais on peut supposer que le
e- ment, le tableau des symptômes de l'un aussi bien que de l'autre cas se laissent aussi peu placer dans P un ou l'aut
se laissent aussi peu placer dans P un ou l'autre groupe. Dans les cas analo- gues, on est tenu à considérer le diagno
- gues, on est tenu à considérer le diagnostic comme incertain, les cas extrêmes étant impossibles à déterminer. La dif
gique de ces questions, 1898, Gadélius souligna que « dans les deux cas , des phénomènes psychiques primaires et subconsci
ous incitent à être prudents lorsqu'il s'agit t d'établir, dans ces cas scabreux, diagnostic et pronostic. La vieille c
sme pathologique dans les humeurs, lequel exercerait, dans certains cas , une influence délétère sur les parties cortica
corticales et associatives du cerveau, pen- dant que dans d'autres cas plus favorisés, il ne comporterait que destrou-
onctionnels d'une durée plus ou moins grande. A ce point de vue, le cas de Caroline présente un intérêt tout particu- L
AIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN- DUCHENNE DE NATURE NÉVRITIQUE (second cas SUIVI d'autopsie) PAR E. LONG. Observation
ces fragments, nous permettant un examen histotngique détaillé de ce cas inté- ressant. 1'10, 1. - Premier segment dor
de la forme Duchenne-Aran avec la forme Charcot-lJarie (1) ». Les cas de D âlinhii-clt (12) sont plus intéressanls enco
it être d'origine spinale.- . Hoffmann (1) fait rentrer ces trois cas dans son atrophie musculaire neurotique et les
thèse de Ilânel (2) l'histoire clinique d'une famille présentant 22 cas d'atrophie musculaire, répartis sur quatre géné
s et les réflexes patellaires conservés. Il fant rappeler aussi les cas de Heveroch (3), quatre sujets frères et soeurs
et une observation deNoune qui, à notre avis, esl du même ordre. Cas de Virchow (2). - Cette observation ne comportait
les lésions fonda- mentales et les plus importantes en l'espèce. Cas DE Friedreich. -(I) La première observation est c
font défaut dans les nerfs cutanés et dans les ganglions spinaux. Cas DE Dubreuilh (2). - Publiés peu après les mémoire
les racines rachidiennes et même la moelle. (2) Elude sur quelques cas d'atrophie musculaire, limitée aux extrémités et
ment un point rose qui est un noyau ou un cylindraxe. » Le second cas de Dubreuilh est une atrophie progressive, d'orig
le qui en est une des lésions essentielles. Nonne (1).-A ces quatre cas très souvent cités, nous semble qu'on devrait a
(2). - Elle concerne un des malades du mémoire deCharcot et Marie ( cas Sultz). Débuta l'âge de 15 ans par les extrémités
opte le même titre que Dubreuilh et rap- proche son observation des cas de Hoffmann à cause du caractère familial de la
ripète ; diminution des fibres sans prolifération des noyaux (1) Un cas d'atrophie musculaire type Charcot-Marie, suivi d
d'autopsie. Revue Neu- rologique, 1903, p. 1198. (2) Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive. Journal de Neu
ertrophique sont encore en petit nombre. Ce sont d'abord les quatre cas de Dejerine et Sottas, Dejerine.et André Thomas
e travail, nous ne ferons que rappeler les points essentiels de ces cas , bien connus et publiés avec des dessins qui en o
(2), publiée antérieurement et considérée par ces auteurs comme un cas de tabes infantile, a été, après le premier mém
hypertrophique. Iconographie de la Salpêtrière, 1906, n- 6. (2) Un cas de labes ayant débuté dans l'enfance. Arch. de mé
iables allant jusqu'à la transformation graisseuse. Dans ces quatre cas , Gombault et llallet, Dejerine et Sottas, Déjeune
blions aujourd'hui. Au point de vue clinique, il faut noter avec le cas actuel (Brandi) la plus grande extension de l'atr
tes très nettes, et non atténuées ni transitoires, comme avec notre cas antérieur. Dans l'examen histologique on remarq
onstituant qu'une variante individuelle, ainsi que l'ont montré les cas familiaux de Dahnhardt, Hoffmann, Heveroch. Enfin
es gaines de Schwann, anormalement hypertrophiées, est noté dans le cas de Virchow, dans les deux cas de Friedreich (il
ment hypertrophiées, est noté dans le cas de Virchow, dans les deux cas de Friedreich (il est même dit dans l'obser- va
vation II que les racines antérieures étaient épaissies), dans les cas de Dubrouilh, Nonne, Casazza, Aoyama, etc. De
is ceci ne crée nullement une différence fondamentale avec d'autres cas , dans lesquels non seulement l'axe gris de la moe
e hyper- trophique de Dejerine et Sottas, la symptomatologie de nos cas est restée limitée à des troubles trophiques de
l'absence ; les fibres nerveuses disparaîtraient donc dans certains cas d'amyotrophie Charcot-Marie par un processus d'at
pertrophie atteint la gaine lamelleuse et le tissu interfasciculaire ( cas Marinesco, Sainton, De Buck et Deroubaix) ; tan
ns laquelle passent t des fibres nerveuses, normales ou atrophiées ( cas Westphal, Gierlich, Cassirer et Maas). Enfin, e
s cornes antérieures, quand elles existent, sont atténuées, en tout cas insuffisantes pour expliquer par une dégéné- re
rtuite par André Thomas (Rev. Neurolog, 1909, t. I, p. 683) dans un cas de tabes amyotrophique, sur quelques racines ra
observations d'atrophie musculaire névritique, analysées plus haut ( cas de Siemerling, Sainton, De Buck et Deroubaix, W
cilement pourquoi le phénomène douleur n'apparaît pas dans tous les cas où les lésions névritiques, parenchymateuses et i
ive névritique, souvent atténué, parfois môme absent. Ainsi dans le cas D, que nous avons publié il y a quelques années
'à gauche. Le réflexe plan- taire semble également disparu, en tout cas il n'y a pas de signe de Babinski. Les troubles
inution des érections, persis- tance des éjaculations, etc..). Ce cas mérite surtout de retenir l'attention par la sing
egment lombaire, le 1er et le il- segments sacrés (Minor). Dans les cas typiques de lésion limitée à cette région, les
été donné de trouver, parmi les descriptions qu'on en a faites, aucun cas dans lequel une moitié du corps ait été exclusi
ivement frappée. Aussi, ayant eu l'occasion d'étudier longuement le cas d'un jeune homme atteint de cette maladie, qui
surtout dans les formes mixtes de dystrophie musculaire progressive ( cas de Erb, Abadie, K. Mendel, etc.) on a trouvé un
réduction de l'extension et de la vigueur de la contraction. Dans mon cas , ce second élément était présent dans le premie
dystrophies du type facio-sca- pulo-huméral. Gowers (1) raconte un cas de dystrophie musculaire, type Landouzy-Dejerin
fléchisseurs des cuisses s'affaiblirent, tout à fait comme dans le cas présent, sauf la monolatéralité. L'examen radio
la variété du type pseudo-hypertrophique. C'est ainsi que, dans un cas de pseudo-hypertrophie musculaire, Schultze tro
nt se comportent les réflexes tendineux, il est bon, comme dans mon cas , de faire remarquer que, du côté malade, il n'y a
s les muscles qui prennent part à ces réflexes. Il me semble que le cas présenté par moi vient appuyer cette seconde op
a littérature du sujet, je ne suis pas arrivé à y découvrir un seul cas de dystrophie musculaire aussi nettement unilat
aire aussi nettement unilatérale. Landouzy et Dejerine parlent d'un cas de dystro- phie musculaire, appartenant à la va
n seulement depuis des mois mais depuis treize ans. L'importance du cas en question consiste donc dans le fait qu'au li
e se maintiendra, sans aucun doute, toujours d'un côté, Enfin, le cas actuel se prête à quelques considérations qui vie
ourir à d'autres hypothèses en plus grand nombre, pour expliquer le cas présent. Elle va même à l'encontre de difficult
des muscles. La première éventualité se réalise en général dans le cas où l'atrophie commence dès le jeune âge, et alo
lièrement quand l'affection commence pendant t'age mûr. Or, dans le cas d'hémi-dystrophie musculaire que je viens de dé
ci. Ainsi, il y a peu de temps que Mills et Spiller ont éclairé des cas d'hémiplégie progressive, à localisation surtou
ples de paralysie unilaté- rale labio-glosso-laryngée. Du reste les cas d'hémiatrophie progressive fa- ciale ou d'hémia
Paget typique, B) chez le malade H... (191 1). On voit dans les deux cas la même incurvation de la partie supérieure du
ou dans les radiographies que nous avons eues entre les mains, des cas où la localisation du début semble avoir été ab
phie et la déformation, mais pouvant aussi se limiter à un seul os ( cas de 338 LÉRl ET LEGROS Cadet, deThibierge, etc
eindre un second os que de très nombreuses années après le premier ( cas de Pozzi,de Fréchau,elo...). A une telle affect
on de l'os pagétique une sclérose osseuse hypertrophique. Dans ce cas , il n'y aurait rien d'étonnant à ce qu'un traumat
membres inférieurs. Ménétrier et Ru- bens Duval (3) ont rapporté un cas où l'ostéite de Paget se manifesta à 48 ans sur
faits pour les appliquer il une théorie ? Car, ou- Ire que, dans ce cas , les déformations étaient en relation indiscutabl
eint resle alors très longtemps ou indé'inement seul atteint. Les cas que nous venons de rapporter nous semblent montre
médiaire de lésions nerveuses ou vasculaires qu'il détermine. Notre cas nous paraît être tout à fait analogue. Un fait
». Cette explication nous parait d'autant mieux s'appliquer à notre cas que chez le malade de Moizard et Bourges dont l
uer aux malades les plus différents l'étiologie que le ha- sard des cas avait mise sous leurs yeux : « l'esprit de l'obse
d'une affection locale quand elle est nettement localisée : or les cas de maladies de Paget limitées à un seul os ou à u
nous paraissent avoir joué un rôle important dans l'étiologie de ce cas . Observation OBS.- Résumé : Deux épisodes aig
Joffro,y, enfin et surtout la sclérose latérale s'approprièrent les cas les plus typiques de l'atrophie musculaire prog
évrite périphérique et non d'une altération centrale. Dans d'autres cas , par contre, tributaires également de la syphilis
. xxv ii t 354 P. MARIE ET FOIX> Il s'agissait dans ces deux cas de poliomyélite chronique diffuse d'ori- gine v
s publié d'assez nombreuses observations isolées. Nous citerons les cas de Vizioli, Lannois, Raymond et Rendu, Raymond
ans son livre sur la syphilis des centres nerveux, Nonne cite trois cas analogues. Enfin dans un cas particulièrement int
des centres nerveux, Nonne cite trois cas analogues. Enfin dans un cas particulièrement intéressant de M. Sou- ques, l
spoliomyé- lites chroniques par méningo-myélites se rapprochent des cas sur lesquels nous voulons insister maintenant :
en commun est la main d'Aran-Duchenne. J. Au contraire, dan's les cas que nous avons étudiés, il s'agit d'amyotl'o- p
de signes évidents de syphilis du système nerveux. I Sur nos quatre cas avec examen anatomique, deux se rattachent cer-
Depuis la remise de ce mémoire, nous en avons observé trois nouveaux cas . L'ATROPHTE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS M
ITS MUSCLES 355 / Elle est peu vraisemblable dans les deux derniers cas . / Aucun de ces malades n'était à proprement pa
téral et de la diminution (des réflexes achilléens. 1 Sur nos six cas sans examen anatomique,,le premier se rapporte à
mann positive. " , La syphilis est improbable dans les trois autres cas . Cette variabilité pathogénique, cette fréquenc
terpréta- tions différentes admises par les auteurs à l'occasion dé cas semblables. Bien qu'il n'existe pas à notre con
re men- tionnée dans un certain nombre d'observations. 1 Dans les cas de syphilis nerveuse et plus particulièrement de
surtout à la névrite, et celle-ci notamment était en cause dans un cas publié par M. Long. Dans son travail, RamsayHun
n cas publié par M. Long. Dans son travail, RamsayHunt publie trois cas d'amyotrophie non pro- gressive des petits musc
yotrophies myélopathiflues. M. de Massary (1) notamment a publié un cas ayant cliniquement dé- fi) A propos du même mal
tic de poliomyélite, et. M. Muet, à ce sujet, témoigne avoir vu des cas analogues où le diagnostic de.névrite dut être
suppose qu'il s'agit de poliomyélite à type spécial. Dans tous ces cas d'ailleurs, il s'aitcl'amyotropliese rapprochant
très différents des nôtres et se rapprochant en réalité surtout des cas d'amyotrophie pannénlngo-my6 ! ite syphilitique
e sont cependant pas les lésions que nous avons retrouvées dans nos cas d'amyotrophie isolée et non progressive des petit
malades au niveau des cornes antérieures. Il s'agit dans ces trois cas d'une altération identique : c'est une deslruc-
ui-même l'hypothèse d'une lésion médullaire, identique à celle de nos cas , mais plus haut placée. L'ATROPHIE ISOLÉE NON
siège aux environs du Se segment cervical. Unilatéral (et c'est le cas ordinaire), cet aplatissementdonneà la moelle u
nette dans le volume et l'aspect des deux cornes. Dans l'un de nos cas , on pouvait même apercevoir dans l'une une minu
philitiques et que l'on constatait, comme il est habituel en pareil cas , un léger degré de méningite-postérieure, et de
catrice de tissu névroglique peu serré, et laissant, dans un de nos cas , à sa partie interne, une petite cavité non gliom
gique de la syphilis ; ajoutons cependant que, dans un de nos trois cas , les lé- sions méningées et la périvascularite
posé n'est d'ailleurs pas complètement saine et, en dehors même des cas où la lésion est nettement bilatérale, on voit qu
tre un léger degré de sclérose péri- vasculaire et dans deux de nos cas un état fenêtre du territoire d'une pe- tite ar
lequel nous reviendrons. En outre, il existait dans ces deux mêmes cas un peu de sclérose des cordons postérieurs. Cet
s cordons postérieurs. Cette sclérose, très légère dans l'un de nos cas , était plus marquée et tabétiforme dans le deux
tée, commence et finit de façon relativement brusque. Deux de nos cas , coupés en série, permettent de la fixer d'une fa
ivement indemne. Le Ipr seg- ment dorsal, fortement atteint dans un cas , l'est beaucoup moins dans l'au- tre, où sa par
rfaite élimine absolument l'idée de poliomyélite chronique. Le 3e cas , moins bien étudié, montre également une lésion L
t bilatérale au contraire de ce qui se passe dans les deux premiers cas , et les deux cornes sont abrasées La 3e cervica
ns artérielles associées, d'origine syphi- litique dans deux de nos cas sur trois. Quelle est maintenant la pathogénie
même processus est en marche ainsi que le dé- montre d'ailleurs le cas où ce processus était bilatéral. En réalité par
ire maintenant les lésions que l'on observait clans notre quatrième cas anatomo-clinique, lésions de névrite interstitiel
inique, lésions de névrite interstitielle. L'atrophie était dans ce cas unilatérale el frappait les éminences thénar et
tion spéciale, il ne nous a pas paru possible de l'élucider dans ce cas . Des quatre cas anatomo-pathologiques dont nous
ne nous a pas paru possible de l'élucider dans ce cas. Des quatre cas anatomo-pathologiques dont nous venons de donner
se d'autopsie. Nous allons donner tout d'abord un résumé rapide des cas qui compor- tent une vérification anatomique, p
ons conjonctives lui ont paru suffisamment accentuées dans certains cas , pour qu'il ait distingué deux types syringomyéli
. L'hypérplasie du tissu conjonctif a été mentionnée dans plus d'un cas de syringomyélie ; on ne lui a accordé tout d'a
t d'abord qu'une importance se- condaire et cependant dans quelques cas , tels que celui qui a été publié par l'un de no
ration d'éléments jeunes et d'une inflammation en activité. En tout cas le tissu conjonctif a joué un rôle décisif dans l
ement contribué leur donner leur forme et leur topographie. Dans ce cas il ne semble pas que les cavités soient la cons
la conséquence de la fonte des parties centrales du gliome, en tout cas ce processus ne serait qu'une intervention d'ordr
é par des lésions anciennes d'ordre inflammatoire qui dans certains cas frapperaient la moelle et les méninges dès la pér
ces deux facteurs étant du reste le plus souvent associés. Dans le cas rapporté ci-dessous, il nous a paru cependant que
u moins prolongé. Dans la statistique de Finkh (1), qui comprend 45 cas d"épilepsie traumatique, nous relevons 16 cas o
(1), qui comprend 45 cas d"épilepsie traumatique, nous relevons 16 cas où le traumatisme datait de 5 ans, 9 cas où les c
umatique, nous relevons 16 cas où le traumatisme datait de 5 ans, 9 cas où les crises convulsives apparurent 10 ans apr
cas où les crises convulsives apparurent 10 ans après le trauma, 4 cas où elles se manifes- tèrent après une période s
elles se manifes- tèrent après une période silencieuse de 15 ans, 6 cas après 20 ans, 1 cas enfin après 23 ans. Notre m
tèrent après une période silencieuse de 15 ans, 6 cas après 20 ans, 1 cas enfin après 23 ans. Notre maître, le Dr Marchan
le Dr Marchand, dans une statistique encore inédite portant sur 48 cas d'épilepsie consécutive à des traumatis- mes ex
utive à des traumatis- mes exclusivement crâniens, n'a relevé qu'un cas survenu 8 ans après le trauma (celui de noire o
n cas survenu 8 ans après le trauma (celui de noire observation), 1 cas après 9 ans, 2 cas après 13 ans. (1) FMKH, Arch
après le trauma (celui de noire observation), 1 cas après 9 ans, 2 cas après 13 ans. (1) FMKH, Arch. f. Psych., 1903.
me il a été dit, dans t'age adulte. Jouche cite dans son travail 20 cas du mal de Pott dont 9 sans 392 ROTSTADT gibbo
uier, clans son travail sur le mal de Polt sans gibbosité, cite les cas de Lionville, de Berber, de Sirecley, de Verger,
aymond au Congrès interna- tional de la tuberculose en 1905. Dans 3 cas sur 14, réunis par Fickler, la gibbosité faisai
Ascenzi, dans le N° Il de l'Encéphale de 1910, traite en détail un cas où la tuberculose de la colonne vertébrale apparu
la même catégorie d'observations qu'il 1 y a lieu de comprendre le cas de carie des vertèbres chez un vieillard, cité
carie des vertèbres chez un vieillard, cité plus bas. Dans tous les cas mentionnés il y avait pal' contre' des symp- tô
principales de l'affection et d'en compléter la symptomatologie. Le cas ci-dessous nous prouvera quelles difficultés pr
al. L'anamnèse étant peu satisfaisante, il a fallu diagnostiquer le cas en se basant sur les faitsclini- ques. Le sympt
onc on se base sur ces symptômes on peut dire qu'il s'agissait d'un cas de syringomyélie. La lésion devait se trouver l
racines postérieures, les lésions sont encore plus fortes sans que le cas pathologique ait un caractère de processus nouv
es expériences faites sur les animaux d'une part, et de l'autre les cas de tumeurs médullaires opérées ou une fois la t
une pachymeningitis hypertrophica externa. Il man- quait dans notre cas non seulement le signe visible de la déformation
rale. Encore plus caractéris- tique et extraordinaire était dans le cas présent l'absence des douleurs dans la première
s ensuite par l'autopsie, les douleurs n'ont fait défaut dans aucun cas ; au contraire, les douleurs ont été toujours l
et citée par lui dans sa mono- graphie sur le mal de Pott : dans 14 cas , les douleurs d'intensités et d'as- pects les p
ires ; parfois elles présentent les symptômes de névralgies ; dans ce cas leur nature et leur cause peuvent donner lieu à
sse interprétation. Parmi les observations récentes, mentionnons le cas cité par d'Ascenzi et pareil au nôtre (égalemen
mier symptôme maladif. L'apparition tardive des douleurs dans notre cas a été précédée de paresthésies fréquentes et dou-
rence trompeuse de ce phé- nomène. Alquier par exemple mentionne un cas très rapproché du nôtre gibbosité peu apparente
mal de Pott avec carie des 6" et 7° vertèbres cervicales. Dans le cas d'Ascenzi, un vieillard de 68 ans sans gibbosité
du mal de Pott sans gibbosité chez un vieillard était dans no- tre cas , au cours de la première période de l'affection,
Assistant à la Clinique Médicale du Pr. E. Alaregliano, à Gênes) Le cas que nous publions présente plusieurs caractères c
tics différentiels, si précis et si justifiés soient-ils. ' Notre cas n'appartient pas à l'inflammation chronique ankyl
ondylose ? Par ses antécédents héréditaires, comme on a déjà vu, ce cas pourrait rentrer dans le grand cadre du neuro-a
ifications saillantes, irrégu- lières, n'existent pas dans tous les cas . Les corps vertébraux et les disques interverté
PONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE (Coli/0). Masson & Cie, éditeurs. UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE PAR le Professeur
tre dispenser de la publication de nouveaux faits. Nonobs- tant, le cas que j'ai pu longtemps suivre est si curieux sous
s moyennes et petites articulations sont exemptes ; il y a long- UN CAS ^DE SPONDYLOSE RH ! ZOMÉL1QUE 415 temps que tout
cantonne dans le rachis et les articulations adjacentes, comme les cas purs de la spondylose rhizomélique : dans la se
: P. Bouchez. lmp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne) TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEU1 par
tramway sans que celui-ci soit complètement arrêté. Et même dans ce cas il le fait avec un grande difficulté. Les ver
que dans la marche en arrière. Il y a ébauche de Romlmrg. TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE PO\TO-CÉHI : BELLEU1 Il 1 !
. LX Tumeur de l'angle PONTO-d : REBELLEUX - (E. Ilaniz). TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEUX 421 Le
ves. L'épreuve calorique ne donne aucun résultat appréciable. TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE rOM'O-CÉRÉBELLEUX 423 Odo
u- che il se produit le phénomène inverse. Odorat normal. TROIS CAS DE TUMEURS DE L ANGLE Y'USTO-CEREBELLEUX 4Li7 G
aux d'hypertension intercranienne nous pou- vons signaler, dans nos cas , les particularités suivantes : Céphalée. Elle
phalée. Elle a existé avec des modalités différentes dans les trois cas . Dans le premier cas, au commencement elle a été
avec des modalités différentes dans les trois cas. Dans le premier cas , au commencement elle a été localisée à droite
Les céphalées ont eu lieu avec des intermittences. Dans le second cas la céphalée est localisée au front et à l'occipil
localisée au front et à l'occipilal par accès. Dans le troisième cas la céphalée a eu de grandes intermittences et est
st plus forte quand le malade se lève. Elle a diminué dans deux des cas et est plus forte après les efforts des malades
reuse. Vomissements. Ils ont existé dans le premier et le troisième cas ; jamais dans le second. OEdème papillaire. D
oisième cas ; jamais dans le second. OEdème papillaire. Dans deux cas (I et III) il n'existe pas. Chez l'autre malade
qu'il existait. Somnolence et sommeil. Ils existent dans les trois cas . Ralentissement du poids. Le pouls estnormal ch
hez les trois malades, Ponction lombaire. Hypertension dans un seul cas , le premier. Pas de lymphocytose dans aucun des
s un seul cas, le premier. Pas de lymphocytose dans aucun des trois cas . 426 E. MONIZ Etat psychique. Le premier mala
male. Les symptômes de localisation sont bien précis dans les trois cas . Vertige. Tous les malades présentent des verti
ges, tombant toujours du côté de la tumeur, à droite dans les trois cas . C'est un des symptômes les plus précoces. Ve
ertige voltaïque. L'épreuve de Babinski est positive dans les trois cas . Au tabouret tournant. Les trois malades n'ont
rononcé 'en regardant à droite (côté ' de la lésion dans le premier cas ) ; rotatoire dans le second ; horizontal et rot
dans le dernier. Surdité. Complète dans le premier et le troisième cas ; incomplète dans le second cas, avec latéralis
ète dans le premier et le troisième cas ; incomplète dans le second cas , avec latéralisation de Weber. Troubles dans le
s le domaine du facial. Il est atteint du côté droit dans les trois cas . Dans le second ! rès pris ; très peu dans le pre
s mouvements conjugués de l'autre ceil. Normal dans les deux autres cas . , Le trijumeau est paralysé dans les trois cas
s les deux autres cas. , Le trijumeau est paralysé dans les trois cas (anesthésie et hypoesthésie). Le réflexe cornée
s cérébelleux. Dysmétrie surtout très accentuée dans le troi- sième cas , adiadococinésie très nette dans les trois cas, c
dans le troi- sième cas, adiadococinésie très nette dans les trois cas , catalepsie cérébel- lieuse très appréciable ch
bles des voies motrices. Accentués à droite. Parésie dans les trois cas , plus accentuée dans le second. Nous n'avons pa
de la main. Nous avons vu quelles étaient les lésions qui, dans nos cas personnels, constituaient leur substratum anatomi
ci nos observations justificatives, et l'examen anatomi- que de nos cas avec autopsie. Observation I Pa..., mort à 81
tané plantaire manque souvent, se ferait plutôt en flexion. En tout cas , pas de signe de Babinski net. Pas de troubles
ris son aspect normal sauf un peu de pâleur du cordon postérieur.Ce cas a été débité en coupes sériées depuis C 1 jusqu
par erreur). Elle montre les détails de la lésion, idenliques d'un cas à l'autre. CA corne antérieure, côté sain. CA'
sans thrombose du calibre des artérioles. Observation III Sur ce cas , les renseignements cliniques manquent, le malade
le même état réticulé que dans l'observa- tion 1 (voir fig. 3). Ce cas a été débité en séries depuis C 3 jusqu'à D 5 par
eur. Cordons postérieurs et latéraux sensiblement indemnes. Dans ce cas la moelle coupée par : (sep;menls étagés ne montr
lésions des cordons postérieurs qui existaient dans nos deux autres cas , est également en faveur de cette hypothèse. Ob
date exacte à laquelle remonte cette amyotrophie. Elle est en tout cas sûrement très ancienne (au moins 5 à 6 aus au dir
sans que cette atrophie présente l'intensité de l'atrophie dans les cas précédents. Elle porte surtout sur l'opposant e
t amaigrie en masse mais non pas complètement perdue comme dans les cas plus anciens ; enfin sur l'éminence hypothénar do
usqu'à ]'unilatéralité absolue. Il en est ainsi dans 3 sur 4 de nos cas anatomo-cliniques, dans S sur G de nos cas excl
insi dans 3 sur 4 de nos cas anatomo-cliniques, dans S sur G de nos cas exclusivement cliniques. Les 2 cas où l'amyotroph
o-cliniques, dans S sur G de nos cas exclusivement cliniques. Les 2 cas où l'amyotrophie est manifestement bilatérale c
côté gauche sont atteints de façon quelque peu iné- gale. Sur nos 8 cas unilatéraux la main droite est touchée G fois, la
raux la main droite est touchée G fois, la gau- che 2. L'un des 2 cas bilatéraux aurait une prédominance marquée du côt
hypothénar l'atteinte des interosseux. A ce type se rattachent nos 3 cas anatomo-cliniques et 4 sur 6 de nos cas cliniqu
ce type se rattachent nos 3 cas anatomo-cliniques et 4 sur 6 de nos cas cliniques. Le type thénar peut être pur. C'est
. Le type thénar peut être pur. C'est à lui que se rattachent nos 2 cas limités. Quant au type hypothénar auquel se s
- rosseux nous ne l'avons pas rencontré isolé. Dans la majorité des cas diffus, l'amyotrophie prédomine sur l'éminence
s de la sensibilité objective sont rares. Ils manquaient dans nos 2 cas anatomo-cliniques d'atropliie thénarieune par tép
atomo-cliniques d'atropliie thénarieune par téphromalacie, quant au cas d'atrophie thénarienne par névrite, il est diffic
de la sen- sibilité. Ces troubles manquent également dans nos (i cas uniquement cliniques. Par contre les troubles d
NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 447 sont notées dans deux de nos cas anatomo-cliniques. Elles existent égale- ment d
s anatomo-cliniques. Elles existent égale- ment dans 4 sur 6 de nos cas purement cliniques. Quant à l'étude des réflexe
nos observations : a) Qu'ils étaient conservés et normaux dans 4 cas . Dans un de ces cas il y a eu autopsie et il s'
: a) Qu'ils étaient conservés et normaux dans 4 cas. Dans un de ces cas il y a eu autopsie et il s'agissait de téphroma
ués bilatérale- ment et sans différence d'un côté à l'autre dans un cas seulement. Dans ce cas, il y a eu autopsie : il
sans différence d'un côté à l'autre dans un cas seulement. Dans ce cas , il y a eu autopsie : il s'agissait de téphromala
s. c) Qu'ils étaient abolis uniquement du côté malade dans un autre cas . Dans ce cas il y a eu autopsie et il s'agissai
étaient abolis uniquement du côté malade dans un autre cas. Dans ce cas il y a eu autopsie et il s'agissait de névrite.
as il y a eu autopsie et il s'agissait de névrite. d) Dans 2 autres cas qui concernaient l'un un tabétique, le deuxième
té sain, net- tement plus fort du côté malade. » e) Enfin dans un cas d'atrophie congénitale, le réflexe radial était u
des deux réflexes radial et cubital est fréquente. Dans un de ces cas il s'agissait de téphromalacie. Leur abolition
a coïncidé avec une névrite unilatérale également. Il existe des cas où l'on observe du côté malade un réflexe radial
t pas échappé à l'attention des auteurs, et l'on trouve étudiés des cas plus ou moins identiques que l'on peut dès l'abor
partir en trois groupes distincts. Le premier groupe comprend les cas analogues à ceux réunis par M. Dejerine dans so
ophies musculaires des tabétiques. Dans ce travail qui comporte 9 cas avec autopsie, M. Dejerine a cons- tammentretro
bro-spinale.L'on peut y ranger aujourd'hui un assez grand nombre de cas dont quelques-uns avec autopsie, et l'on en tro
on dans les articles récents de Lllermitte et de Rose el Rendu. Les cas avec autopsie relatent pres- que tous des lésio
r- quées, lésions de périvascularite syphilitique subaigué dans les cas de Raymond, de Launois et Porot, lésions d'endo
Launois et Porot, lésions d'endo-périvascularile chronique dans les cas de Leri, de P. Merle, lésions très anciennes et p
Leri, de P. Merle, lésions très anciennes et peu marquées dans les cas de Wilson. Tous ces faits présentent d'ailleurs
eAran-Duchenne, bilatérales, symétriques, envahissantes. Dans nos cas , au contraire, il s'agit d'un processus généralem
ranger dans un troisième groupe, et l'on trouve également quelques cas se rapportant à ce type, mais l'amyotrophie n'y
ns cet article, Ramsay Hunt rapporte, ainsi que nous l'avons dit, 3 cas 'd'atrophie isolée thénarienne ou hypothénarienne
Dana, dans un travail comportant l'examen anatomo-pathologique d'un cas d'atrophie muscu- laire progressive d'origine s
ncidemment au cours de l'énumération succincte d'un grand nombre de cas d'atrophie musculaire se rapprochant plus ou mo
rapprochant plus ou moins de l'atrophie musculaire progressive, des cas d'atrophie professionnelle ou de fatigue qui do
venons de voir qu'en réalité il n'en est rien et que,mis à part les cas où elle constitue un reliquat de poliomyélite ant
que n'est pas la seule à pouvoir causer ce syndrome. Dans un de nos cas il s'agissait de névrite, et il est vraisemblab
mo-cliniques, 2 sont d'origine sûrement syphilitique. . Parmi nos 6 cas cliniques, 3 présentent des signes de syphilis ne
peut penser a l'artério-sclérose sénile (qui déterminait un de nos cas de téphromalacie) ou a une compression névri- t
une compression névri- tique, souvent bien hypothétique. Dans notre cas de névrite avec autopsie, les lésions frappaien
rnit pas un meilleur moyen de diagnostic. Elle existe dans tous les cas : Névrite périphérique ou radiculaire, téphromala
, octobre 1909, p. 1014. HUET in de Massary, Ion. cit. Japeia. Un cas de syphilis médullaire avec formation cavitaire,D
nv et Carat. Atrophie musculaire progressive spinale syphilitique (un cas d'). Revue Neurologique, 1910, p. 461. NONNE.
Neurologisclies Centralblatt, 1893, no 17, p. 768. ' Scuwartz. Un cas de méningo-myélite syphilitique avec formation de
Revue Neurologique, 28 février 1907, p. 193. VAN GEHUCHTSN. - Un cas de poliomyélite antérieure d'origine syphilitique
lésions dégénératives de néphrite chro- nique, remarquait d'autres cas analogues parmi ceux publiés avant lui. D'autre
e dans les urines, mais leur quantité n'a pas été mesurée : en tous cas , l'entourage dit qu'elle n'a jamais été au-dessou
eau meurt avec les signes d'une néphrite intolérante, on trouve des cas semblables parmi les nombreuses observations que
exclusivement sur les reins. D'ailleurs, en fait, non seulement les cas d'urémie par imprégnation ner- veux, pourrait-o
e, le diabète, etc. Ayant eu l'occasion d'observer récemment quatre cas d'obésité dans la paralysie générale il nous a
de rapporter leurs observations, d'autant plus que dans l'un de ces cas nous avons pu faire aussi l'examen nécropsique
qui aurait produit une légère amélioration, de courte durée en tout cas , car peu de temps après il com- mença à menacer
e phénomène n'est pas étudié de plus près. Nerman (1) a publié un cas curieux où pendant l'évolution de la para- lysi
zaine de gros lipomes se développèrent sur le corps du malade. Ce cas montre que la surcharge adipeuse dans la maladie
ne forme circonscrite rappelant celle qu'on trouve dans beaucoup de cas d'adipose douloureuse. Dans cette dernière, o
ulaire et il est intéressant d'examiner aussi à ce point de vue les cas de paralysie générale avec obésité. ' Mais no
IA, PARHON ET URECHIA Au point de vue microscopique on nota dans ce cas l'état du corps thy- roïde, de la surrénale du
é égarée et l'examen histologique ne put pas être pratiqué. En tout cas on nota macroscopi- quement l'abondance de subs
ent vascularisée et on y trouvait même des hémor- ragies. Dans ce cas on peut très bien penser à une obésité à pathogén
Malheureusement leur étude microscopique n'a pas été faite. En tout cas on peut penser à un certain degré d'insuffisanc
sque sa fonction est légèrement exagérée, ce qui a été peut-être le cas chez le malade de l'observation en question, car
s, surrénales, etc.) en constitue une prédisposition. Quant à notre cas nous devons nous demander aussi si on pouvait i
Mais d'autre part ces modifications peuvent se rencontrer dans des cas où on ne trouve pas d'obésité. Il faut alors vo
pas que les altérations des testicules ont pu intervenir dans notre cas , car la glande interstitielle ne semble pas alt
rait plutôt penser aux capsules surrénales, qui semblent dans notre cas en pleine activité ainsi qu'à l'hypophyse dont la
- mène. Ce n'est que par l'élude approfondie d'un grand nombre de cas qu'on arrivera à trouver la pathogénie de ce tr
c la lipomatose a depuis long- temps frappé les auteurs » (1). Le cas actuel que nous publions aujourd'hui, après l'avo
e ne s'est pas modifié. Au premier abord et superficiellement, ce cas répond, dans l'ensemble à la description, aujou
ses. Il snffit 478 LAIGi'E[,-LAVASI'IXE ET VIARD d'en avoir vu un cas (1) pour faire immédiatement le diagnostic. Les
bour- relet, l'intégrité des pieds le rapprochent beaucoup de notre cas ; mais il s'accompagne de douleurs assez violen
'eMo-A6r'op ? e de la région pelvienne et des membres inférieurs un cas qui par plusieurs points se rapproche du nôtre.
s troubles trophiques. Il nous semble logique de penser que dans ce cas l'infection tuberculeuse a pu déterminer au niv
loigné de notre observation, nous tenons à signaler pour mémoire le cas de Barraquer (1). Il s'agit d'une jeune fille d
teinte de tuberculose. ' Il semble qu'il s'agisse dans ces divers cas de troubles régionaux de l'adiposité tégumentai
mais chez ces derniers il (t) L. BARRAQUER, Histoire clinique d'un cas d'atrophie du tissu cellulo-adipeux, L'avenç. B
le du pannicule sous-cutané. » Ce contraste, remarquable dans notre cas , entre la partie inférieure du corps et la part
enne, malgré les insuccès antérieurs, dont nous avons enregistré un cas personnel, chez une jeune fille atteinte de tro
ssociée ne paraît pas avoir mieux agi que la simple. Pour situer le cas actuel dans la série croissante des adiposes des
re 1906, R. Neurol., p. 1106. (3) Sicard et LAIGNEL-LA VASTIIOE, Un cas de lrophcedème acquis, Société de Neurolo- gie,
. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE l'ARIS SÉANCE DU 7 NOVEMBRE 1912. UN CAS D'ADÉNOLIPOMATOSE . (TYPE LAUNOIS) . PAR M.
ion continuelle de lourdeur qui nécessite le port d'une ceinture UN cas D'ADRNOLIPOIllATOSE 480 comprimante ; il se pla
rend que le pronostic de la maladie en soit aggravé d'au- tant, les cas n'étant pas rares de terminaison par l'asphyxie.
la question, M. Mauclaire a ap- porté à la Société de chirurgie un cas typique de ce genre avec les résul- tats de l'a
mique, forme lipomateuse, Launois défendu une théorie analogue. Les cas multiples où l'on a cherché inutilement trace d
insuffisants et peu nombreux. Nous devons rappeler que, dans notre cas , il existe une tumeur épitro- chléenne en voie
t des régions du corps où normalement il n'y a pas de ganglions. UN cas d'adénolipomatose 487 M. Nattan-Larrier, montra
vue de chirurgie (1909), par MM. Lenormand et Verdun, à propos d'un cas d'adéno-lipo- matose qui nous paraît être celui
l'intérêt de ce malade, c'est que son affection cons- titue un des cas les plus typiques d'adéno-lipomatose qu'on puisse
es que l'un de nous a prises dans le service. INDEX Hayem. - Un cas de lymphadénome aleucémique avec lipomatose, Soc.
pas à l'élec- trisation. L'électricité ne peut pas aider, dans les cas où la matière res- serrante adhère déjà aux par
on peut bien se servir de l'électricité. Il en est de même dans les cas où les médicaments n'ont aucune effica- cité, c
rire l'électricité comme plus utile que les médicaments. Dans ces cas le médecin ne doit pas prescrire au contraire les
nerveux dans les nerfs du côté paralysé ce qui a lieu aussi dans le cas où la moelle épi- nière ou le bulbe ont été att
L- lais, 124. Fibres musculaires striées dans la moelle dans un cas de syringomyélie, par ANDIIÉ- Thomas et (2UEPCY
taxie cérébelleuse (1 pl.), par Tis- SOT, 71. Hydrocéphalie (Deux cas de pseudo-tumeur cérebrale : méningite séreuse
, 9 fig.), par Marie et Foix, 353 et 427. Méningite séreuse (Deux cas de pseudo-tu- meur cérébrale : - et et hydrocép
de atteint de crises gastriques tabétiques (2 pl.), 76. Conte. Un cas de spondylose rhizomélique (1 pi.), 413. Dagn
ète (1 pi.), 267. Froederstrom (Harald) et Johansson (SvEN). Un cas de blessure par arme à feu à la tête Guérison a
sme mental (4 pl.), 124. Goldstein (M.) et IIL\RINESCO (G.). Deux cas de pseudo-tumeur cérébrale : méningite séreus
ire progressive type Aran-Duchenne de nature névriti- que. Second cas suivi d'autopsie (2 pl., 3 fig.), 281. MAWAII
, 281. MAWAIIESCO (N.) et PARIION (C.) de Buca- rest (C.). Sur un cas de dysostose cléido- crânienne 3 pl.), 251. M
(type facio-scapulo- huméral) (2 pl.), 320. 9lowz (f;gns). Trois cas de tumeurs de l'an- gle ponto-cérébelleux (1 pl
10 (1911) La pratique neurologique
et vous verrez combien grand sera son embarras en lace du premier cas un peu complexe qui se présentera à lui. Seuls
'est que son acuité est . 51 ' moindre que 50 ou 10'. . Dans ce cas , on le fait approcher il mi-chemin du tableau Il
e l'acuité visuelle est causée par des vices de réfraction. Dans ce cas , on peut, toujours, en corrigeant le vice de ré
xposer une méthode très sim- ple, qui pourra, dans presque tous les cas , permettre de mesurer l'acuité visuelle central
e accommodation insuffisante. ' , b) Il n'est pas amélioré. Dans ce cas il y a probabilité de lésions oculaires. Cepend
ouleurs (lumière monochromatique), mais même pour le blanc. Dans ce cas , le .. scotome central est absolu. Il y a cécit
ée en degrés, la li- mite périphérique du champ vi- suel. Dans le cas pris pour exemple, on obtient un champ visuel rét
ent l'image rouge du fond -de l'oeil (flo- du vitré). Dans certains cas aussi; les taches noires sont fixes et siègent
u qu'elles soient accu- sées (fig. 12, 15, 14, 15). Dans quelques cas , un stra- bisme léger peut être mis en éviden
au centre de la cornée l'image brillante de la bougie. Mais, dans le cas actuel, l'image de la bougie se forme en un poi
regard peut permettre le diagnos- tic du muscle paralysé. En tout cas , cette exploration constitue un élément de diag
c fort im- portant qu'il ne faut pas négliger. Bien plus, dans le cas où plu- sieurs muscles de l'un ou dés deux ye
de deux objets, une vision double, de la diplopie. ' , . Dans les cas très légers d'insuffisance musculaire, alors que
vision dans toutes ou dans certaines directions du regard. Dans ce cas , il faut éveiller son attention, lui faire anal
a au moins une dioptrie d'accommodation. Continuez, dans ce dernier cas , à monter dans la série des verres concaves, pren
É INTRINSÈQUE DU GLOBE. 2'' de ce réflexe, on procède comme dans le cas précédent, mais on observe les mouvements de la
e dilata- tion pupillaire. 4° Réflexe hémianopique. Dans certains cas d'hémianopsie, le réflexe lumineux ne se produi
e sans signes ophtalmoscopiques)). est, dans l'immense majorité des cas , produite par une lésion de l'appareil nerveux
des lésions sur la voie optique, leur nature, connues dans quelques cas (ht;llIianopsil'...), sont totalement ignorées
ynamique sur l'accommodation (spasme..., asthénopie, etc.). Dans ce cas les troubles visuels ne sont nullement le résul
la vision centrale et périphérique en même temps. ' Dans certains cas , on aurait observé de l'achromatopsie hystérique.
t de la photophobie, des douleurs, du larmoiement. Dans beaucoup de cas il y a parésie accommodative, c'est-à-dire fati
d if y a des signes ophtalmoscopiques de névrite ou d'atrophie. Les cas les plus favorables sont ceux dans lesquels l'a
et passagère, sans lésions rétiniennes persistantes, dans certains cas de débilitation considérable de l'organisme. ,
ctifs. ' Cette distinction est importante, puisque, dans le premier cas , le système nerveux est lésé, tandis que dans l
n étendue, pré- senter tous les degrés. Modéré dans. la plupart des cas , il peut se dévelop- per jusqu'à ne laisser sub
souvent étranges et inexplicables. La suggestion exerce, en tout cas , une influence indéniable sur les (roubles ocul
s champs de couleurs est respecté. Souvent il ne l'est pas. Dans ce cas , la vision du rouge est la dernière intéressée.
gne d'hystérie meilleur que le rétrécissement simple. Dans quelques cas , on peut trouver le champ du rouge bien plus éten
otome central coïncide avec le rétrécissement concentrique. Dans ce cas , il existe 1111(' zonp annll- laire dans l'éten
fois, c'est à la suite d'un ictus qu'elle apparaît. Dans quelques cas , le malade a conscience de son hémianopsie; att
e de constater que les schémas ne sont pas identiques dans tous les cas . 1° Souvent la ligne de démarcation entre porti
u du corps calleux (J. Roux, P. Marie). Hémianopsie double. Dans ce cas , il y a cécité complète ou persistance de la vi
visuels qui fait défaut (fig. 42, C). La gêne visuelle est dans ce cas moins accentuée que dans l'hémianopsie bitempor
lquefois rencontrer de l'hémiplégie et de 1 hémianestbésic. En tout cas , l'existence de ces complications ne permet pas d
glions du méso- céphale, entre ceux-ci et la rétine, comme c'est le cas pour une lésion de la bandelette, l'excitation
ent, la re- cherche de ce signe est très difficile et dans bien des cas , il est impos- sible d'arriver sur ce point a u
y- a des signes ophtalmoscopiques précoces ou tardifs dans tous les cas . Peut-être certaines actions morbides attaquent
en cause dans les affections nerveuses qu'il faut, en présence d'un cas douteux, penser toujours à elle et en recherche
s nient son existence (Féré, Frend). Ces faits isolés sont, en tout cas , discutables et demandent confirmation. Sans ni
émie sans oublierycomplétement que l'hys- térie a pu, dans certains cas discutables, la réaliser. Urémie. Le trouble ha
er dans l'urémie une véritable hémianopsie. Elle est, dans certains cas , le reliquat d'une amaurose totale en régression
elles sont toujours sé- rieuses. Cependant, on en voit, surtout en cas de syphilis, guérir défini- tivement. D'autre p
, l'apparition de l'hémianopsie dénote, dans l'immense majorité des cas , une altération irrémédiable de la santé et con
sans dire que ce pronostic général de l'hémianopsie varie dans les cas particuliers où il a été possible de déterminer l
moindre paralysie. Ce strabisme est dû, dans l'immense majorité des cas , Ù un vice ou il une inégalité de réfraction des
est égale il la déviation primaire. Si on l'ait la même expérience en cas de strabisme paralytique, la déviation secondai
s muscles ont, à des degrés divers, une action transversale. Deux cas peuvent se présenter : (I). Ou l'image fausse e
muscles sont paralysés. - Il se fait de la même façon que dans les cas où un seul mucle est paralysé. Mais des difficu
nte palpébrale et un certain degré d'énophtalnlie. Dans les trois cas observés par les auteurs qui ont donné leur nom
peut rester sta- tionnaire ou devenir progressive. Dans ce dernier cas , elle se complique de phénomènes bulbaires (pol
re le siège diffé- rent de ces deux, lésions. Dans le pre- mier cas , la déviation persiste malgré les sollicitati
icitations de mou- vement adressées au malade. Dans le se- cond cas , au moment, où le regard veut se porter du cô
s la com- missure interne de- l'aeil (fig. 56). Dans le premier cas paralysie nucieairej, u y a paralysie associée
ents associés de latéralité. La déviation des yeux se fait, dans ce cas , par retentissement sur les fibres de projectio
s de latéralité sont de beaucoup les plus fréquentes. Dans certains cas , les troubles moteurs oculaires associés amènent
oubles de la vue, de l'odorat, de l'ouïe. Ici, connue dans tous les cas de lésion cérébrale, la ponction lombaire, sera
étant déjà obtenu. L'ésérine rétrécit la pupille, mais moins qu'en cas de mydriase paralyti- que. Myosis spasmodique
umatismes graves du globe, la pupille peut s'élargir; dans bien des cas de cécité binoculaire, les pupilles sont dilaté
riase avec abolition des réflexes. Il s'agit presque toujours en ce cas de mydriase spastique. C'est encore par action
l'existence d'une affection nerveuse organique. Dans la plupart des cas , vous trouverez le labes ou la paralysie générale
, intoxication par l'opium, la nicotine. La syphilis, dans certains cas , agit peut-être de la même manière. ' Affecti
s personnes ont les pupilles étroites, mais il faut toujours, en ce cas , se méfier et rechercher soigneusement une cause
er une légère déformation pupillaire sans angles rentrants. Dans ce cas , la no TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.
lles des tissus de l'iris. Peut-être sont-elles ducs, dans certains cas , à une altération de v quelques filets nerveux
anisocorie congénitale non pathologique existe sans doute. En tout cas , il ne faut l'admettre qu'après avoir soigneuse
uelles sont en rapport avec la vision, car elles dis- paraissent en cas de cécité binoculaire. Si un seul oeil est aveugl
cérébrale. La persistance des réflexes pupillaires à la lumière, en cas d amaurosc complète, témoigne de ]'intl\., grit
ur diagnostiquer le siège de la lésion. Il est encore très utile en cas de simulation ou de troubles nerveux non organi
e temps. Ordinairement bilatéral, il peut ètre unilatéral.. Dans ce cas , la pupille malade ne réagit pas, quel que soit
l'a rencontré dans la sclérose en plaques (une fois), dans quelques cas de syringo- Inyélic, dans l'atrophie musculaire
1. Les réflexes homolatéral et hétérolatéral existent dans les deux cas . [POULARD.] ] 94 TROUBLES .NERVEUX DE L'APPAR
IRES. : la Ralentissement des mouvements pupillaires. Dans quelques cas la pupille se contracte plus lentement que d'or
ou d'une paralysie des muscles intrinsèques. Le ptosis n'est, en ce cas , que la manifestation d'une de ces paralysies d
tous les mouvements de la paupière sont conservés. Dans certains cas , d'ailleurs rares, la peau de la paupière perd so
tes les branches du M. 0. C. (p. 69). Cependant on peut, même en ce cas , rencontrer la paralysie dissociée d'une ou quelq
sion de ces cen- tres d'association qu'on est tenté d'attribuer les cas , d'ailleurs rares, de ptosis bilatéral simultan
es régions, des fibres élévatrices de la paupière. Cependant, dans un cas de tumeur, située à l'intérieur du lobe temporo
ui a causé le ptosis (syphilis, intoxications, etc.). Dans certains cas , l'électricité a peut-être eu quelque action bi
te au niveau de laquelle la cornée reste découverte.. Dans quelques cas de paralysie orbiculaire on a constaté l'absence
ibres lisses de Mul- ler. L'absence d'occlusion palpébrale, dans ce cas , constitue le signe de Stehvag (Voir Goitre exo
étraction des paupières con- stitue le signe de Stehvag; dans les cas très accusés, l'oc- clnsion des paupières devie
rapidité anormale et d'une faible amplitude. Continu dans certains cas , il est intermittent dans d'autres. L'aspect cl
riable pour que la définition précédente puisse convenir à tous les cas . On pourrait attaquer presque tous les caractèr
d'autres, il constitue un symptôme habitue) de la maladie. C'est le cas pour la sclérose en plaques, la maladie de Friedr
regard vague, il " apparaît dans la fixation; dans 1`2 pour 100 des cas , il ne se montre que dans les mouvements latéra
TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trijumeau. Dans ce dernier cas , il est vrai, l'hypersécrétion peut être attrib
trijumeau. L'irritation pathologique du trijumeau, pourrait, en ce cas , amener une hypersécrétion lacrymale, par action
a conservation de la sécrétion psychique émotionnelle dans certains cas de kératite neuro- paralytique tient peut-être
ions de substances anesthésiques (cocaïne, stovaïne, etc.). Dans ce cas l'anesthésie est limitée au globe oculaire. L
accompagner les hémianesthésies organiques ou hystériques. Dans ce cas l'anesthésie s'étend très loin, aux paupières,
ramollissement), atteignant les origines du nerf trijumeau. Dans ce cas , l'anesthésie peut être ou isolée ou associée a
l'examen de la sensibilité cor- neenne qu'il faudra, dans tous les cas , établir le diagnostic de kératite ncurn-haraly
tc et se desquame, la cornée s'ulcère puis s'infiltre comme dans le cas précédent. Les agents microbiens du cul-de-sac
intégrité de la vision pour les autres couleurs. Ce sont donc là deux cas très différents l'un de l'autre. Troubles con
e trop petits, un oeil atteint de scotome central pourrait, dans ce cas , passer pour aveugle aux couleurs, bien que la
x on aurait constaté une achromatopsie complète. Jl existe, en tout cas , des observations d'hemia- chromatopsie par lés
la régression de certaines hérnianopsies. J'ai moi-même constaté un cas d'hemiachromatopsie avec intégrité apparente de
ables et se présentent sous des aspects diffé- rents. Dans certains cas , c'est, une simple dégénérescence des fibres op
nord de l'Allemagne, subit une recrudescence épidémique. Dans le cas de surdité irrémédiable de l'enfance, on voit ass
les signes d'une méningite aiguë se déclarent, (on a maintenant des cas où ces signes sont corroborés par l'examen positi
,c Evreinoff, etc.). On a longtemps pensé qu'il s'agissait dans ces cas d'une labyrinthite aiguë primitive, dite maladi
fois les opinions de cet auteur sont confirmées. Mais dans quelques cas (Pierrot, Collet), il faudrait invoquer des tro
tro- phique de la 5° paire. La paralysie du facial, en dehors des cas où le nerf est directement lésé par le développ
etc. l'ai récemment vu de la surdité et des bourdonnements dans nn cas typique d'hemiatrophie de la face. i" Névroses.
ie de la crise elle-même, connue on peut le constater dans certains cas où il n'y a pas perte de connaissance. Enfin, i
éterminer une sensation sonore, n'en fal- lait que 2 ou 5 clans les cas d'irritabilité de l'oreille interne ou du nerf,
tte recherche paraît avoir été exagérée (Chavanne). Sauf dans les cas où elle est très passagère, l'hyperacousie est d'
e intensité considérable : c'est le type du vertige de Ménière. Ces cas traumatiques ont une importance très grande dan
énière. Ces cas traumatiques ont une importance très grande dans le cas d'accident du travail et doi- vent être bien co
isse. Si ces dernières restent limitées dans l'immense majorité des cas , elle peuvent cependant envahir le laby- rinthe
quelques jours; parfois enfin elle est foudroyante. Dans ce dernier cas , le plus intéressant, le malade est pris brusqu
velles recherches. Dans les .MALADIES DE L'OREILLE INTERNE. 15.'» cas récents il s'agit surtout de lésions d'ordre infl
duire une surdité aussi brusque que la syphilis «.Bien que quelques cas puissent s'amender sous l'influence du traiteme
très fréquente, puisque si lïutcbinson l'évaluait à 10 pour 100 des cas .Baratoux a porté ce chiffre il 55 pour 100. Ell
reillons n'atteignent heureusement l'oreille (pie dans un nombre de cas fort restreint, car lorsque cette atteinte se p
e névrite ascendante consécutive aux labyrinthites. Dans ces deux cas les lésions du nerf sont secondaires. Mais lïlll1
ne, gommes circonscrites, méningite gommeuse) : j'ai trouvé dans un cas de ce genre de la névrite, interstitielle avec
es nerfs crâ- niens. Il y a peu de temps, K. Harimaun en a réuni 25 cas et depuis, d'autres faits ont été publiés par .
Cn de III('S 1"It'.Yl's. le D' Martial, a pu baser sa tbese sur 45 cas . J'ai eu moi-même l'occasion d'en faire opérer
ommunication que nous avons faite ensemble est basée sur environ 70 cas auatomo-patboiogiques ou cliniques et sur 44 ca
sée sur environ 70 cas auatomo-patboiogiques ou cliniques et sur 44 cas où il y eut intervention. Ce qui fait l'intérêt
ptômes. Au reste, l'indication opératoire est la même dans les deux cas , mais on n'oubliera pas que l'intervention est
euvent s'accompagner de surdité isolée : la lésion a porté dans ces cas sur le noyau antérieur et le tubercule acoustiq
rait, pour faire apparaître la surdité, des lésions bilatérales : ces cas sont exceptionnels, mais il est probable que pa
'autre relation entre elles que la condition étiologique : c'est le cas pour la méningite cérébro- spinale, pour une go
e fissurant la pyramide rocheuse. Mais dans un très grand nombre de cas la paralysie faciale est consé- cutive à une lé
l'antre mastoïdien expliquent facilement ses lésions dans tous ces cas . Mais des otites moyennes, légères, catarrhales
is- sent se compliquer de paralysie faciale : un certain nombre des cas de paralysie faciale rhumatismale ou a frigorie
formes à bascule. Elle commande l'examen de l'oreille dans tous les cas dits a frigore, car une thérapeu- tique spécial
et de pouvoir dire au patient quelle oreille a été malade. Dans ce cas , l'hémi- mimie n'a qu'une médiocre importance e
atistiques : une des plus souvent citées, celle de Kôrner, donne il cas de sinusite pour 45 abcès cérébraux et seulement
nue toujours mortelle : on compterait difficilement aujourd'hui les cas guéris. Malgré quelques dé- boires, l'ouverture
lques dé- boires, l'ouverture des abcès cérébraux donne de nombreux cas de gué- rison et la méningite otogène ette-memc
mcsthésie variés sur les divers sujets. Dans la grande majorité des cas , l'audition colorée est la manifestation de l'e
inférieure du conduit et à l'excitation réflexe du larynx. Certains cas qui avaient pu faire penser à la tuberculose ont
pensée du côté sain. Il est beaucoup plus difficile d'expliquer les cas où il se produit du côté sain. Enfinyrce serait
oubles d'excitation que des phénomènes de déficit. On a signalé des cas d'hémiplégie (peut-être étaient-ils hystériques),
lysie du mo- teur oculaire externe dont j'ai vu et publié plusieurs cas : un de mes élèves, I-Ieyraud, en a réuni de no
plusieurs cas : un de mes élèves, I-Ieyraud, en a réuni de nombreux cas dans sa thèse. On la voit survenir dans l'otite
vrite infectieuse. Mais il ne s'agit certainement pas dans tous les cas d'un réflexe auriculaire. On consultera utilement
et conduisent même le malade au suicide. Dans un certain nombre de cas , les sourds, surtout s'ils sont vertigi- neux,
p métaphysiciens. Elle ne prétend évidemment pas expliquer tous les cas , mais elle prend actuellement, droit de cité en s
nd actuellement, droit de cité en se basant sur l'étude de quelques cas nets d'hallucinations unilatérales en rapport a
stitue parfois l'aura épileptique. Il s'agit dans tous ces derniers cas d'une véritable hallucina- tion olfactive. Le
ent se faire à travers des déhis- cences qui existent dans quelques cas au niveau des sinus ou des cellules ethmoïdales
z. Rappelons seulement qu'une sta- tistique de Hajek portant sur 54 cas donne 15 abcès intra- et extra- duraux, 24 méni
nant une gêne dans le fonctionnement cérébral. Mais il est d'autres cas , dans l'ozène par exemple, où le système lympha
mutile d'insister sur l'importance d'un traitement approprié dans les cas de ce genre. [LANNOIS.] ] VERTIGES (1) pa
sent soulevé en l'air ou précipité dans un gouffre. Dans ce dernier cas , le sol tout entier semble se dérober sous lui,
clusion des yeux fait souvent diminuer la sensation ; dans d'autres cas elle l'exagère ('). Le sujet a toujours, au moi
nt pas toujours suffisants pour éviter une chute, et dans plus d'un cas ils la provoquent plutôt qu'ils- ne la prévienn
te de connaissance fait alors disparaître le vertige. Dans quelques cas rares, au vertige intense fait suite une attaque
sitives, ncri's périphériques, moelle et cerveau. Dans ces derniers cas , cas d'altérations des centres nerveux autres q
es, ncri's périphériques, moelle et cerveau. Dans ces derniers cas, cas d'altérations des centres nerveux autres que le c
e, le diagnostic étiologique s'impose; dans le plus grand nombre de cas , la cause est à rechercher. A. LA CAUSE DU VE
, quelle que soit la situation de chaque électrode n. Dans d'autres cas , l'inclination est seulement beaucoup plus pron
t, ou bien elle se fait directement en arrière. Dans ces différents cas , on constate souvent une résistance exagérée au
que l'on constate notamment, comme nous l'avons dit, dans nombre de cas de lésions de l'oreille interne, diminue généra
de pression dans le liquide des canaux semi-circulaires. Dans les cas de « syndrome de Ménière », caractérisés clinique
s, c'est aujourd'hui ce traitement qui parait donner dans nombre de cas les meilleurs résultats. u , SÉMIOLOGIE. 105
eil vestibulaire, le vertige rotatoire provoqué, persiste. Dans les cas de syndrome vestibulaire de Raymond, qui se dis
des centres de l'espace par les toxines microbiennes. Dans tous ces cas , le vertige n'est qu'un élément accessoire dans l
ison de sa limitation à certains pays, des épidémies locales et des cas de contagion, Gerlier regarde le vertige paralysa
LA CAUSE DU VERTIGE N'EST PAS ÉVIDENTE Dans un très grand nombre de cas , la cause provocatrice du vertige ne s'impose p
trouble organique ou fonctionnel plus persistant : dans ce dernier cas , le vertige, dit « chronique », peut être const
re constant, prolongé ou fréquent (Grasset). Dans l'un et l'autre cas , des symptômes variables, auditifs, visuels, ga
torrhée. etc., surtout de l'hypoacousie ou de la surdité : dans ces cas le diagnostic de la cause est. évident, dans d'
iagnostic étiologique et la pathogénie dans la grande ma- orité des cas . En dehors des vertiges auriculaires que nous a
dents, la dénomination d'essentiels ou d'idio- pathiques : dans ces cas , la lésion de l'oreille et ses manifestations cli
bles psychiques et neurasthé- niques très accentués. C'est dans ces cas surtout, qu'on observe la « névrose de Ménière
e variété de ces formes frustes (Lannois). Dans la plupart de ces cas , et toujours dans la variété apoplecliforme, l'
, syncopales, épileptiformes ou apoplcctiforines ». Dans ce dernier cas , il serait spécialement syrllplonlaliclue de l'ar
ue il l'hémorragie ou au ramollissement cérébral; dans ces derniers cas pourtant on peut aussi incriminer, comme pour l
érisé aussi par un excès de sécrétion albl1lllineuse. Dans certains cas , en dehors de l'artério-sclé- rose labyrinthiqu
. Il est difficile de spécifier quelle, part il faut faire dans ces cas aux troubles circulatoires du cerveau, il ceux du
r aux troubles circulatoires de l'arlério-sclérose la plu- part des cas du syndrome décrit par Bonifier sous le nom de sy
s; lio des douleurs dans le domaine du tri- jumeau. Dans tous ces cas , seuls les symptômes concomitants permettent de
rtige hémorroïdal , vésical, cutané, dentaire, etc. Dans tous ces cas , l'action d'un renexe est fort probable, mais l'é
erminer à la fois le vertige et le trouble laryngé. Dans le premier cas , vertige laryngé essentiel, il s'agirait d'une
es vieillards), parfois du pharynx ou des bronches. Dans le. second cas , il s'agit presque toujours de vertige laryngé ta
n viscère, et spécialement dans l'estomac. On voit que, suivant les cas , ces vertiges toxiques devraient entrer dans l'
calmants et anesthésiques les plus divers ont été employés dans ces cas avec des succès variables : le ehloral. l'eau chl
nt de lésions de l'oreille interne, (syndrome de Ménière). Dans ces cas , on emploie avec succès le traitement prolongé
tténue ou fait disparaître le vertige dans le plus grand nombre des cas ; elle agit souvent favorablement, aussi sur les
ée des opérations cérébrales, des sensations et de la inutilité. En cas de survie au choc initial, à l'ictus en un mot,
émiplégique. Il peut y avoir de plus grandes variétés encore en ces cas où se manifestent des prodromes. Les malaises pré
t Crouzon ou Spàlapoplexie des Allemands. L'ictus survient dans ces cas plusieurs jours après le traumatisme, l'intégrité
nitoires s'il en exista, le malade est, dans la grande majorité des cas , en état de résolution complète, insensible, im
t que le malade « regarde sa lésion » dans le plus grand nombre des cas ; la loi serait invertie quand la lésion est non p
ls est plutôt ralenti, déprcssible, quelquefois irrégulier et dans ce cas petit et fréquent. L'étude des réflexes ne perm
modifications étant plus ou. moins précoces ou tar- dives selon les cas . D'une façon générale, les réflexes cutanés ou te
etire le membre pincé, se plaint même parfois, mais il y a dans ces cas agnoscie, et non plus anes- thésie vraie. Les f
- quième ou sixième jour les trois grands' indices de gravité.. Les cas aussi désespérés sont à vrai dire loin d'être c
nt ici que l'intensité du coma peut être très va- riable : dans les cas les plus légers (assoupissement, somnolence, sopo
ment. Le diagnostic peut donc être très difficile, surtout dans les cas atténués. Le coma proprement dit montre une att
quelles on soignait le malade auparavant. Et cependant, même en des cas semblables, on ne saurait être assez prudent da
tusion cérébrale ou une compression par hémorragie; dans le premier cas il y aura plutôt de l'agitation, plutôt de la d
é- rieure. Le tracé thermométrique donne peu d'indications dans ces cas . La constatation de l'oedème papillaire serait
visage est [MOUTIER.] 186 APOPLEXIE ET COMA. pâle dans les deux cas , la respiration coupée de pauses et inégale dans
mydriase; le pouls est misérallle et cléyressihle clans le .premier cas , extrêmement ralenti dans le dernier. L'intoxiq
permettront, dans la mesure du possible, d'éviter les escarres. Au cas où celles-ci, malgré tout, surviendraient, des pa
ptomatique est un phénomène inconstant : on l'observe dans certains cas , il manque en un grand nombre d'observations sans
plusieurs mois, à plusieurs années. Il se manifeste toujours en ces cas une dénutrition intense. La fin de la crise peu
ons aiguës chassent également le sommeil. Dans un certain nombre de cas , l'éréthisme nerveux est particulière- ment int
gime lacté ou la cure de déchlomration s'il y a lieu. Dans certains cas les ana- phrodisiaques. dans d'autres les calma
s tièdes prolon- gés), est un très utile adjuvant en la plupart des cas . Les hypnotiques vrais doivent être au contrair
nitale (surdi-mutité) ou de; surdité labyrinthique. Dans ce dernier cas , l'affection débute souvent par nn ictus; les phé
les déments organiques. Il est assez fréquent d'observer en pareil cas , non pas une mutité absolue, mais une nullité r
té cli- nique de cette l'orme, et croyons avec Pierre Marie que les cas de surdité verbale pure publiés il ce jour relè
it plus 01/ n'a jamais su parler. Dans cette catégorie rentrent les cas de surdi-mutité et ceux connus sous le nom d'au
dignes de foi assurent qu'il en était ainsi dans quelques- uns des cas observés par eux. 1) Le uzalccde zzr peztt as p
re d'origine périphérique ou d'origine centrale, et dans ce dernier cas , le langage intérieur peut être intact ou non.
alternativement chez le même individu. Cette dysphonie s'observe en cas de paralysie unilatérale des cordes vocales. Enfi
rtc. Du reste, l'intelligence est souvent affaiblie. C'est dans ces cas que s'observent les crises de rire et de pleure
la zone lenticnlaire ou la zone de Wernicke. Mais, en dehors de ces cas particuliers, le langage de tout malade récemme
interstitielle hypertrophique de Déjerine et Sottas. Dans tous ces cas , la parole est scandée comme dans la sclérose e
encore la festina- tion sirin;rlce par Pierre Marie dans plusieurs cas d'hémiplégie gauche. Les malades présentaient u
e culture générale suffisante. Elle se rencontre également dans ces cas où le trem- blement, la chorée, l'ctlccxie que
nter- viennent et compliquent la difficulté du tracé. Dans certains cas , la crampe affecte une forme paralytique. La ma
ées, parfois au contraire d'une rectitude presque exagérée. En tout cas , abondent ici les encadrements dessinés dans la m
gré d'ataxie. Ce tremblement et cette ataxie deviennent en certains cas très intenses et l'écriture du malade se limite
lité d'exécuter correctement des ordres cependant compris). Dans le cas où l'on soupçonnerait l'existence de ce symptôm
et le diapason, et à voix chuchotée. En effet, un grand nombre de cas publiés sous la rubrique « Surdité Verbale » ne
de cas publiés sous la rubrique « Surdité Verbale » ne sont que des cas de surdité purement auriculaire. Freund a montr
cas de surdité purement auriculaire. Freund a montré épie certains cas de surdité labyrinthique simulaient il s'y mépr
gues étrangères ? Comment les parle-t-il actuellement ? z Dans le cas ou la parole spontanée serait réduite il un très
noter s'il retourne immédiatement le papier dans la bonne position ( cas habitue)). , Faire lire à haute voix quelques
types décrits parles diffé- rents ailleurs. Dans la plupart de ces cas , il s'agit en effet de faits isolés ou de varié
e, l'autre la zone temporo- pariélale de Wernicke. Dans le. premier cas , l'aphasie de Broca est une maladie; elle n'est
lecture il haute voix et la lecture mentale sont abolies ou en tout cas fort limitées. Quelques mots sont compris ou lus
e fait presque aucun progrès. Le langage spontané, sauf en certains cas de lésions ' TYPES D'APHASIE. 219 peu étendue
sa ». Parfois/ les mots émis ont un sens, ce sont même en certains cas des phrases, que le malade avec monotonie se ti
ole spontanée, la parole I. L'hémianopsie est assez fréquente en ce cas . TYPES D'APHASIE. 221 répétée, la. lecture à
es personnes qui sont en rapport avec le malade, sur- tout dans les cas d'expertise médico-tégale. L'étude du malade lu
miner les malades debout et non au lit, à l'exception toutefois des cas où une affection générale nécessite le repos ab
dividu qui ne l'était pas, soit, an contraire, qu'on ait méconnu un cas légitime d'aliénation mentale et déclaré sain d
car ils ne pensent pas. Le mutisme par distraction existe dans des cas de mélancolie avec stupeur où le malade est absor
de l'articulation (Séglas). , ségalas a attiré l'attention sur les cas de mutisme résultant de la pré- . sence d'hallu
d'hallucinations qui défen- dent au malade de parler. Dans d'autres cas , le malade ne parle pas parce qu'il se croit in
étails doivent; être notés, ils peuvent avoir leur utilité dans des cas de diagnostic dé- licat. Troubles de la mimiq
eastliéniquc que l'on observe dans la stupeur, la démence, certains cas de paralysie générale, aucune émotion ne se tra
es, élans les auto-intoxications (urémie, dia- bète), dans certains cas de tumeur cérébrale. ' 11 faut distinguer aussi
t distinguer J'hallucination de l'interprétation délirante; dans ce cas , les sensations sont perçues normalement, mais le
eulement la nuit dans l'obscurité. II est nécessaire, dans certains cas , de fermer les yeux du malade pour les provoque
sécutés à cause d'eux. 11 faut rappeler toutefois que dans certains cas les idées de persécution des mélancoliques se r
ment (les facultés et présentent un caractère démentiel. Tel est le cas de ces vieillards amnésiques qui, cachant leurs
ui-même (démonomanie). On retrouve dans l'histoire du moyen âge des cas nombreux de démonopathie; aujourd'hui ces forme
xication auront pour corollaire la dimi- nution de la fréquence des cas d'aliénation. Le médecin devra, par son autorit
nfectieux et toxiques, la confusion mentale; il ne convient pas aux cas de délires systématisés chroniques. Les maniaques
dé est un procédé barbare, il ne pourrait être justifié que dans le cas d'absence de tout infirmier pour surveiller les
nter. On sait aussi quel est le danger de la cami- sole de force en cas de fièvre. Magnan a dit avec beaucoup de raison :
ont désigné par le vocable significatif : no restreint. Dans les cas de psychoses aiguës, l'alitement devra parfois êt
s doses très minimes et n'arriver à ces doses extrêmes que dans des cas de mélancolie avec angoisse très accentuée et s
ront accordées les autorisations énoncées en l'article précédent, les cas où elles pourront être retirées, et les obligat
tablissement, ou de la personne qui fera effectuer le placement. En cas d'urgence les chefs des établissements publics po
era transcrit sur le registre tenu en exécution de l'article 12. En cas de minorité ou d'interdiction, le tuteur pourra s
olontairement dans les établissements d'aliénés. An1'. 17. En aucun cas l'interdit ne pourra être remis qu'il son tuteur,
s seront applicables aux individus placés d'office. ' AUT. 19. En cas de danger imminent, attesté par le certificat d'u
gard des personnes dont le placement aura été volontaire'et dans le cas où leur état mental pourrait compromettre l'ordre
s une hôtellerie, soit dans un local loué à cet effet. Dans aucun cas , les aliénés ne pourront être conduits avec les c
ration de l'enregistrement et des domaines. Awr. 28. A défaut ou en cas d'insuffisance des ressources énoncées en l'artic
qui seraient placés dans un établisse- ment spécial d'aliénés. En cas de contestation il sera statué par le Conseil de
du roi, d'office, pour- ront se pourvoir aux mêmes fins. Dans le cas d'interdiction, celte demande ne pourra être form
de l'article '2'.), ni lorsque cette personne se trouvera dans les cas énoncés aux articles 15 et l 4. Awr. 51. Les co
serait intentée postérieurement. la; tribunal pourra aussi, dans le cas d'urgence, désigner un mandataire spécial : 1 l
ou immobilière. L'ad- mnustrateur provisoire pourra, dans les deux cas , être désigné pour mandataire spécial. Ain. : i
on : elle ne datera que du jour de l'inscription. Aiit. 55. Dans le cas où un administrateur provisoire aura été nommé pa
in en chef; celui-ci pourra demander leur révocation au directeur. En cas de dissentiment, le préfet prononcera. ' - Ar
es certificats ne pourront être délivrés par le médecin-adjoint qu'en cas d'empê- chement constaté du médecin en chef.
adjoint qu'en cas d'empê- chement constaté du médecin en chef. En cas d'empêchement constaté du médecin en chef et du m
oins, une visite générale des aliénés confiés i. ses soins et qu'en cas d'empêchement il puisse être suppléé par un méd
tes les obligations imposées par. la loi du 50 juin 1858. Dans ce cas il ne sera pas créé de commissions de surveillanc
fecté aux aliénés ou s'il recevra d'autres malades. Dans ce dernier cas il justifiera par la production du plan de l'ét
t sera exclusivement destiné ;1 pourvoir, dans les formes el pour les cas déterminés dans l'article suivant, aux besoins
vant, aux besoins des aliénés pensionnaires. Ain. 2G. Dans lous les cas où, par une cause quelconque, le service d'un éta
ministration une personne qui se chargera de le rem- placer dans le cas où il viendrait il cesser ses fonctions par suite
utre cause. La personne ainsi agréée sera de droit, dans ces divers cas , investie de la gestion provisoire de l'établis
n mois sans une autorisation spéciale du préfet. AUT. 28. Dans le cas où le directeur cesserait ses fonctions par une c
dans l'établissement. Le médecin attaché a l'établissement, dans le cas prévu par l'article 1 ! I de la présente ordonn
a être prononcé suivant la gravité des circonstances, dans tous les cas d'infraction aux lois et règlements sur la matièr
action aux lois et règlements sur la matière, et notamment dans les cas ci-après : 1° Si le directeur est privé de l'ex
tificat doit être rédigé sur papier timbré à 0 fr. 60, sauf dans le cas où il est délivré à un indigent pour un placement
de parenté entre le médecin qui certifie et l'aliéné à placer. En cas d'urgence absolue, les directeurs des établisseme
ques et qui se rapproche alors de la lI1yoe ! onie. Dans d'autres cas , les lies sont spasmodiques et ils se composent d
ituant tout un acte (sauts, rotation). EIIHn, ou peut dans certains cas , au cours de cet ensemble de tics, con- stater
ts dhenllchoree ou d'hémiathétose. ' b) Idiotie diplégique. Dans ce cas , il y a paralysie des quatre membres. Bournevil
uelles, les (roubles de foutes les fonctions. Cependant, il est des cas où la paralysie générale' infantile' a pu prend
antile' a pu prendre les allures cliniques de l'idiotie. Tel est le cas de Toulouse et Marchand (Soc. Médicale des hôpi
écutive à une méningite aiguë de la première enfance. Dans certains cas cette méningite choI11que peut subir des poussé
C'est l'idiotie symptomatique e de la méningo-encéphalite; dans ces cas il y a non-seulement lésion de la pie-mère et d
s). 5° Idiotie symptomatique de porencéphalie. Il s'agit dans ces cas d'un arrêt de développement consistant dans l'abs
il existe des idioties par simple arrêt de développement; dans ces cas , il y simplicité de circonvolutions avec peu de
simplicité de circonvolutions avec peu de plis de passage. Dans ces cas l'étiologic de l'idiotie doit être alors recher
se est la seule cause de l'idiotie congénitale dans 28 pour 100 des cas , et, dans 57 pour 100 des cas elle serait une c
otie congénitale dans 28 pour 100 des cas, et, dans 57 pour 100 des cas elle serait une cause associée à l'alcoolisme. '
de la sensibilité objective. Bien plus encore, que dans le premier cas , l'obser- vateur aura à l'aire la part des diff
ceux qll : a donnés la méthode anatoinique appliquée il l'élude des cas de sclérose latérale amyotroptiiquc (Rossi et,
ons malades vers les régions saines, et qu'elle se rétrécit dans le cas contraire ; on devra donc, avant de délimiter l
s troubles légers de la sensibilité chez les hémiplégiques, dans le cas où le côté paralysé pourrait paraître normal il
mains, le sens du lieu est beaucoup plus délicat. ^8 Dans certains cas , les malades reportent une impression tactile par
e. Weber a une grande importance en clinique; elle permet, dans les cas ou les sensibilités superficielles paraissent n
autre. La perte de la sensibilité thermique peut coïncider dans les cas d'anesthésie étendue, d'origine corticale par exe
lités thermique et douloureuse réapparaissent les premières. Dans les cas de dissociation de la sensibilité, dite dissoci
l fùt plus souvent employé dans' les recherches cliniques/ Dans les cas d'analgésie, la sensibilité électrique indiffér
ire et du sens stéréo- gnostique. On les observe enfin [laits les cas d'anesthésie hysté- rique très prononcée. E)
ent fonction des nerfs de la peau, car elle peut persister dans les cas d'anesthésie cutanée; elle est une modalité de
ographie de l'anesthésie cutanée et de l'anesthésie osseuse dans un cas de compression, médullaire (d'après Rydel et Seif
perte de la notion de poids se rencontre presque toujours dans les cas d'atteinte marquée du sens musculaire. IAabolit
ègle dans l'hémiplégie, si l'on l'ait entrer en ligne de compte les cas d hémianesthésie fruste ou passa- gère. L'hém
BILITÉ. rétrocèdent rapidement : hémianesthésie thalamique (dans le cas de lésion de la couche optique). Distribution
du pli courbe, du pied de F3 de l'oper- cule rolandique et de Tl. ( Cas Charv ? Bicêtre, 1905).. TROUBLES DE LA SENSIBI
ra- phie cérébrale des troubles sen- sitifs. Dans de très rares cas , l'anes- thésie empiète sur le côté corres- p
ROUSSI'.] ] Fig. 14. - Troubles de la sensibilité osseuse dans le cas précédent. 308 .' i. SENSIBILITE. lopoesthési
ins récente. « Il arrive assez souvent, dit Pierre Marie, clans les cas où l'hémianesthésie est récente et encore assez
x, on dit qu'il y a hémianesthésie sezzsilivo- sensorielle. Dans ce cas , il existe des troubles particuliers du goût, de
il la lésion, du même côté, que l'hémianesthésie). Dans ce dernier cas , il faut que le foyer de destruction corticale
que est mise en doute par tous les auteurs ; l'immense majorité des cas d'hémianesthésie sensitivo-sensorielle publiés
nsitif devait être abandonnée; il existe en effet, en clinique, des cas de lésions du segment postérieur de la capsule
sans hémianeslllésin (Dejerine et Long, Marie et (;aillain); 3° les cas d'hémianesthésie capsu- laire persistante sont
Ataxie légère. Durée 13 mois. Lésion de la couche optique droite. ( Cas Hudry. Thèse Roussy, 1907.) 512 2 SENSIBILITÉ.
es troubles moteurs peuvent être par- fois très atténués; dans ce cas , on se trouve en présence d'une ré- mon de sy
très vives à la face du même côté. Lésion de la couche optique. ( Cas Roy ? Roussy, Revue neurologique, n° 6, IG09).
[ROUSSY.] Fig. 17. Coupe horizontale macroscopique de l'hémisphère ( cas précédent). - Cette coupe est faile suivant un
ctive, et permettent de les diagnostiquer dans un certain nombre de cas . Hémianesthésie pédonculaire. Elle se rencontre
bituellement pas complets et absolus, mais ils varient, suivant les cas , dans leur modalité cl leur intensité. Le plus
ntée elle-même d'une petite zone d'hyper- esthésie (en pointillé). ( Cas nlén..., Bicètre, z1905). 3 ! S . SENSIBILITE.
ent et s'installent simul- Fil ! . 10. Paraplégie sensitive dans un cas de mal de Pott. Ancsthésie au tact, à la douleur,
. Ancsthésie au tact, à la douleur, moins marquée à la température ( Cas Jouss..., Bicêtre, 1898). TROUBLES DE LA SENSIB
ENSIBILITÉ OBJECTIVE. 519 lancinent dans les deux membres (dans les cas de fracture ou de luxation du rachis, par exemp
'en est pas une complication nécessaire; nombreux sont en effet les cas de paraplégie motrice sans troubles sensitifs. Pa
dullaire avec la paraplégie sensi- tive hystérique. Dans ce dernier cas , les troubles sensitifs peuvent exister sans tr
ce n'est dans la syringomyélie ou l'hémato- myélie ; mais, dans ce cas , la dissociation des troubles sensitifs à type
e des causes et du siège d'une affection médullaire. , A part les cas de lésions intéressant uniquement les racines (pa
tique neurologique. Le clinicien, en effet, pourra, clans nombre de cas , indiquer au chirurgien il quelle hauteur de la m
sous les yeux, le praticien sera capable de localiser dans bien des cas le siège d'une compression médullaire grâce à la
e du bord cubital des deux bras (Cvl11 et Dol) chez un fabrique. ( Cas Geo.... l31cctre, 1905). TROUBLES DE LA SENSIBI
bres inférieurs et du tronc jusqu'à la région mammaire.. Dans les cas exceptionnels de tabcs à début par le cône termin
graphie radiculaire (Cv CVI1) chez un syringomyélique âgé de 51 ans. ( Cas 'liait..., Bicêtre, 1900). Troubles delà sens
embre inférieur : Li, 1.1, LIII, LIV. Le domaine de Lv est épargné). ( Cas Pré .... Bicètre, 1901). - 552 SENSIBILITE.
ctères particuliers. On note, en effet, dans l'immense majorité des cas , de l'anal- gésie et de la thermo-anesthésie av
t intimement mélangées aux fibres motrices dans le nerf. Dans les cas de lésion intm-rachidienne, le parallélisme entre
s qu'on recherche avec méthode les troubles sensitifs dans tous les cas de phénomènes doulou- reux du membre supérieur;
à la suite de tumeurs du canal lombo-sacré. Habituellement dans les cas de lésion de la région lombaire supérieure, la
u schématique, à deux types. 1° Type total (lombo-sacré). Dans ce cas , la lésion intéresse toutes les racines lombair
r sur le dos et la plante du pied (partie du domaine de 1'5 elS¡). ( Cas Desho..., Bicêtre, 1905). ' 'TROUBLES DE LA. SE
n a le syndrome radiculo- ségmentaire de la moelle sacrée : dans ce cas l'anesthésie comprend, en plus des régions ci-d
esthésie (en grisé clair) dans le domaine de L5' Si' S2, S5, S4, SS' ( Cas Ros.... Bicêtre, 1906). · 512 SENSIBILITÉ.
nostic. " Les caractères des troubles sensitifs sont, dans certains cas , de quelque secours : Funilatéralité et l'asymé
mer presque sùre- ment que les racines sont touchées. C'est dans ce cas qu'on observe « l'anesthésie douloureuse ». M
écieux renseignements sur le siège de la compression, même dans les cas à évolution lente, comme les tumeurs; aussi ne
1 le vertèbre dorsale. En résumé, nous voyons que si, dans quelques cas rares, le clinicien peut, au moyen des troubles
s radiculaires ou médullaires, il doit, dans l'immense majorité des cas , s'appuyer sur les autres symptômes concomitants.
cheval, de la moelle sacrée et du cône terminal. Dans ce dernier cas cependant, en envisageant les choses dans leurs
bles observés. Ne font, par conséquent, pas partie de ce groupe les cas dans lesquels la dégénération des racines est s
le plus souvent, une origine syphilitique (dans les deux tiers des cas observés). L'infection remonte presque toujours
ou les réactions et les dégénérescences qui en résultent. Dans les cas typiques de radiculites infectieuses, la lésion
ibilité, à topographie radiculaire, dans le domaine de L3, L4, L5. ( Cas de Gauckler et Roussy, Rev. de Neur., 190). TRO
nsitifs ; anesthésie com- plète au tact; hypoesthésie à la piqûre. ( Cas Hub..., Bicêtre, 1906). M8 ' , : 0 SENSIBILIT
hénar, hypoesthésie moins marquée du bord cubital de l'avant- bras ( Cas Jabr..., Bicctre, 1905). TROUBLES DE LA SENSIBI
arqués aux membres infé- rieurs qu'aux membres supérieurs (dans les cas de névrite des quatre membres) ; ils sont plus
rature, va en diminuant de la périphérie à la racine des mem- hres.[ Cas (;an...,Bice(re,1886). 550 ' " SENSIBILITÉ.. ..
aux troubles moteurs (névrite sensitivo-motrice). Dans ce der- nier cas , le parallélisme entre les phénomènes moteurs et
pre. Distribution insulaire et segmentaire des troubles sensitifs. ( Cas Bicêtre, '1897). TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJ
ensibilité, au sixième jour (fig. 42), au onzième jour (fig. 45)-. ( Cas And..., Bicêtrc, ·1901).. Fig. 44. Même cas, au
zième jour (fig. 45)-. (Cas And..., Bicêtrc, ·1901).. Fig. 44. Même cas , au seizicme jour. ,) : )t) SENSIBILITE. V. T
est-à-dire qu'ils ne gênent en rien les malades qui, dans nombre de cas , ne se ren- dent compte de leur existence qu'au
erte complète des sensibilités profondes, chez un homme de 50 ans. ( Cas Lamb..., Bicctrc, 1905.) . TROUBLES DE LA SENSI
nsitifs est presque pathognotnonique de l'hystérie. A part quelques cas exceptionnels de névrite lépreuse, à part la gang
s exceptionnels de névrite lépreuse, à part la gangrène sénile et les cas de syringomyélie et d'hématomyélie (où la distr
tliésie hystérique, plus marquée il la partie supérieure du corps. ( Cas l'uuru..., l31ci'lrc, 1903). 556 . SENSIBILITÉ.
peuvent prendre la forme hémiplégique ou monoptégique, et, dans le cas d'association du tabès el de la paralysie génér
re est très fréquente dans le tabcs; elle existe dans la moitié des cas . Dans l'autre moitié la sensibilité normale est
du besoin d'uriner (voir chapitre uncwr5 un;rru-omx.w;s). Dans ces cas , on note une diminution notable de la sensibili
ar une anesthésie à la pression du creux epigas- iriquc (moitié des cas ) et par les différents troubles du fonctionnement
sont hyperesthésiées en totalité ou partiellement. Dans ce dernier cas , on ne retrouve que les deux ou trois points maxi
OBJECTIVE. 561 cutanés sensitifs d'une région déterminée. Dans les cas de douleurs viscérales, le sujet, chez lequel l
médul- laire que les filets sympathiques de l'organe lésé. Dans les cas de trauma- tisme de la moelle, on retrouve des
'exacerbation diurnes ou nocturnes, tantôt paroxys- tiques. Dans ce cas les crises douloureuses surviennent par crises pa
ux de la bouche s'impose dans toute céphalée, car nombreux sont les cas dont on retrouve la cause dans une lésion denta
sée. Très variable dans son intensité et ses modalités, suivant les cas , la céphalée syphilitique présente deux caractè
ésions de la boîte crâ- nienne (périoslilc); elle peut être dans ce cas nettement localisée et exaspérée par la pressio
térielle ou méningée). On l'observe dans les deux tiers environ des cas , au cours de la période prodromique de l'affect
des tumeurs cérébrales, quel qu'en soit le siège, et, dans certains cas , nettement localisés en un point de la voûte cr
e disparaître par la suggestion et l'auto-suggestion. Dans quelques cas enfin, elle revêt les caractères paroxystiques
lquefois elle persiste quelques heures après l'accès. Dans certains cas , la céphalée prend la valeur d'un équivalent epif
e de diagnostic et doivent être recherchées avec soin dans tous les cas de paraplégie. On donne le nom de rachialgie il
viennent avant l'attaque aplopeelique; elles sont rares (14 sur 120 cas , d'après 1"("1'( : ). Files précèdent donc les ph
s importantes à connaître pour le praticien, puisque, dans certains cas , elles peuvent servir il orienter le diagnostic d
siques très marqués. Tas de troubles de la sensibilité pro- fonde. ( Cas lioac..., Bicêtre, 1901.) ' 570 SENSIBILITÉ. ,
ssements précédant de plusieurs jours l'hémiplégie. Dans cer- tains cas , les dysesthésies s'associent à des troubles inte
ne parfois des névralgies du- rant très longtemps. Les douleurs, en cas de plaie des nerfs, sont accom- pagnées de trou
émiques, etc. Il est impossible, d'ailleurs, d'affirmer si dans ces cas l'anémie seule est en cause. Beaucoup de névral
utteux, les diabétiques, les rhumatisants chroniques. Dans certains cas , elles dépendent d'intoxica- tions comme luuoxi
lle succède de la cyanose. La température locale est, dans certains cas , augmentée. a a attiré l'attention sur ce fait qu
us-cutanée, oedèmes, érythèmes, urticaire, zona, etc.... Dans les cas de névralgies persistantes et très douloureuses s
der pour mettre un terme à leurs atroces souffrances. Dans d'autres cas , les sujets maigrissent, s'anémient, et l'on po
névralgies ne peuvent être schématisées, elles dépendent de chaque cas individuellement considéré. Il est des névralgies
stance invariable et cependant manifestement insignifiante. Dans ce cas la douleur semble n'obéir qu'à une loi, celle de
ervée chez des sujets hystériques ou neurasthéniques. Dans certains cas accentués les malades atteints d'aki- nesia alg
s par les injec- tions intra-arachnoïdiennes de cocaïne. Dans les cas de névralgies réflexes (telle la névralgie facial
arait radicalement, sans doute par suggestion. Pitres a observé des cas de sacro- dynie, de talalgie, de visceralgies d
rs unilatérale. Elle peut être totale ou partielle; dans ce dernier cas une seule des trois branches ou même quelques f
Sur 25 ouvriers, Molle a trouvé la douleur epicondy)iennc dans '24 cas . NÉVRALGIE DIAPHRAGMATIQUE La névralgie du ne
tics crampes; épiant ! les malades marchent, ils boitent. Dans les cas de névrites, on constate des troubles paralytiq
e; crois, la résul- tante d'un processus névritique;. Dans certains cas l'affection est fugace et bénigne, dans d'autre
s habituels ; la névralgie du nerf crural coexisté dans beaucoup de cas . Brissaud et Lamy ont attiré l'attention sur un
ice périodique ou récidivante. Cette paralysie peut dans cer- tains cas persister. Certaines migraines s'accompagnent d
nt le soir. Dans le paludisme la céphalée est souvent observée;. En cas d'inso- lation, la céphalée est un symptôme trè
ès fréquent. La céphalalgie; d'origine toxique; se constate dans le cas de troubles diges- tifs, de constipation, de tr
céphalées tenaces et terribles parfois par leur intensité dans les cas de tumeurs et d'abcès de l'encéphale, dans les ca
tensité dans les cas de tumeurs et d'abcès de l'encéphale, dans les cas d'hy- pertension du liquide; céphalo-rachidien.
dans la journée a mesure que les yeux travaillent plus longtemps. En cas de travail oculaire délicat, la céphalée peut d
MENT DES NÉVRALGIES Les méthodes thérapeutiepies employées dans les cas de névralgie sont nombreuses. Tantôt on agit su
agents physiques; tantôt la thérapeutique est pathogeuique dans les cas où la syphilis, le paludisme et que)ques rares
' 405 Quinine. Les préparations de quinine sont indiquées dans les cas de névralgies paludéennes, mais elles donnent a
s les formes chroniques des névralgies. On conseillera, suivant les cas , les douches chaudes, les bains alcalins, sulfu
s sous-cutanées d'eau pure, d'eau salée, d'air. Lannois, dans les cas de névralgie sciatique, conseille de faire au n
les injections épidurales. Récemment Schlôsser a conseillé dans les cas de névralgies rebelles les injections dans les
contraction volontaire perma- nente du muscle. . Mais il est des cas où le réflexe n'apparaîtra pas en raison d'une
on rotulienne du côté gauche sain détermine dans 47 pour 100 de ces cas , suivant Ganautt, une forte contraction des adduc
t entier le nom de réflexe fémoro-croisé qu'il subdivise suivaut le cas en réflexe fémoro-croisé extenseur ou réflexe f
be quand l'observateur cherche à. faire la flexion forcée ; dans ce cas il se produit seulement quelques mouvements suc
dant il y a des exceptions à cette règle : Ce sont tout d'abord les cas de tabes avec conservation des réflexes rotulie
Pick, Achard et Lévi, Dupré et Camus. Il est probable que, dans ces cas , il s'agit de lésions limitées à la partie supéri
e cette localisation anatomique). , Il peut exister également des cas de tabes avec diminution des réflexes tendineux
réflexes.tendi- neux dans l'hémiplégie des tabétiques : ce sont les cas de Goldflam, de llughlings-Jaclaon, Raichline,
sont les cas de Goldflam, de llughlings-Jaclaon, Raichline, mais le cas de Raichline est le plus inté- ressant : en eff
s ou trou- bles et les réflexes achilléens normaux ; d) Enfin les cas les plus intéressants auxquels nous faisions allu
flexe du tendon d'Achille. Van Gehuchten et de Buck ont observé des cas où l'abolition des réflexes achilléens des deux
on suspecte cette affection : on pourra, grâce il lui. dépister des cas frustes ou des tabès à la première période de l
e comme augmentés. Faut-il admettre' qu'il y a eu erreur et que ces cas n'appartiennent pas il la maladie de Friedreich
vraisemblable, et je vous engage à vous méfier un peu des prétendus cas de maladie de Friedreich dans lesquels les réflex
exagérés. » (Pierre Marie.) Il s'agit sans doute dans ces derniers cas de Yhérédoataxie cérébel- leuse de Pierre Marie
comme dans la forme décrite parles auteurs anglais; dans ce dernier cas , elle est alors précédée d'une phase d'exagérat
égie, réapparaître le réflexe rotulien du côté paralysé; tel est le cas de Marinesco (Société de Bio- logie, 26 ocl. 18
old Lévi [Société de Biologie, 14 jan- vier 1896) a constaté dans 8 cas sur 14 l'abolition des réflexes patel- laires :
e. Cette abo- lition des réflexes n'est peut-être pas dans tous les cas en rapport direct avec la maladie du foie, elle
la paraplégie spasmodique. Au contraire, dans un'certain nombre de cas de compression de la moelle, les réflexes sont
ssion de la moelle, les réflexes sont et demeurent abolis. Dans ces cas , suivant Bas- tian, il y a destruction de la mo
le plus souvent il y ait exagéra- tion îles réflexes, il existe des cas où l'abolition des réflexes fait partie de l'en
. L'abolition des réflexes peut être tout il fait li- mitée dans le cas des névrites ou de plaies des nerfs. Elle est lim
normaux, tantôt abolis, tantôt exagérés, M. Triboulet a observé un cas où l'abolition des réflexes a cédé à deux repri
l'abolition des ré- flexes patellaires dans la grande majorité des cas de chorée. Benboffer et Oddo ont fait des const
er a signalé l'exagération des réflexes dans la grande majorité des cas de cette c affection. - L'abolition des réfle
ent s'observe dans J 5 pour 100 et l'abolition dans 15 pour 100 des cas , peut-être y a-t-il alors, comme dans les tumeu
Woch., 22 juillet -J (02) a noté 55 fois, soit dans 28 pour 100 des cas , l'abolition des réflexes. Ce symptôme a été noté
algides, l'abolition du réflexe rotulien existe dans la moitié des cas et le pronostic de ce symptôme est souvent défavo
e diagnostic. U est très probable, toutefois, qu'il s'agit dans ces cas de tabès fruste. En dehors des cas de syphilis
utefois, qu'il s'agit dans ces cas de tabès fruste. En dehors des cas de syphilis nerveuse, Lang et Casey, A. Wood ont
ineux. Cependant il ne faut pas perdre de vue que bon nombre de ces cas d'abolition des réflexes sont dus soit à des lési
ompagne, comme nous l'avons déjà dit. dans le plus grand nombre des cas , d'exagération des réflexes. RÉSULTATS FOURNIS
aractéristique de la sclérose latérale amyolropliique, mais dans ce cas il y a déjà eu début d'atrophie par les petits
anault, dans le service de Pierre Marie à Bicctre. a trouvé, sur 10 cas , les réflexes du côté paralysé trois fois nor-
s du côté paralysé s'observe dans la proportion de H'2 pour 100 des cas . L'exagération des réflexes se manifeste par l'
côté sain dans rhé- miplégie dans la proportion de ai pour 100 des cas (Ganaull) et cela tient non seulement à l'exist
affection les réflexes tendineux sont exagérés dans plus de 4/5 des cas . Celle exagération s'observe surtout dès le début
é au lit dans cet état, mais cependant, dans la grande majorité des cas , l'exagération des réflexes ne se maintient pas
01). Tous les réflexes tendineux sont exagérés dans 52 pour 100 des cas : ils sont normaux dans 25 pour 100 : ils sont
ont normaux dans 25 pour 100 : ils sont abolis dans 29 pour 100 des cas . Il n'existe pas de concordance entre la forme
en et, de plus, trépidation épifeptdde du pied dans 20 pour 100 des cas . Elle est plus souvent bi-latérale. Dans le cho
1905 et Belgique médicale 1905), ont constaté dans presque tous les cas l'exagération des réflexes tendineux; ils l'ont
[CROUZON.] 448 RÉFLEXES. « .rai observé dans un certain nombre de cas d'hémiplégie ou de monoplégie crurale liée à un
tatations. Cestan a communiqué à la Société Anatomique, en 1898, un cas d'hémi- plégie cérébrale dans lequel il avait o
e plus fréquent : il s'observe, suivant Boeri, sur 711 pour 100 des cas , sui- vant Ganault dans 83 pour 100 des cas, su
i, sur 711 pour 100 des cas, sui- vant Ganault dans 83 pour 100 des cas , suivant Cestan et Le Sourd dans 92 pour 100 de
3 pour 100 des cas, suivant Cestan et Le Sourd dans 92 pour 100 des cas . Dans bon nombre de cas où le signe de Babinski
t Cestan et Le Sourd dans 92 pour 100 des cas. Dans bon nombre de cas où le signe de Babinski n'apparaît pas dans l'h
ssi il est un peu affaibli du côté sain, il n'est pas aboli dans le cas d'hémianesthésie. La recherche de ce réflexe pl
s provoqués chez l'individu sain par la pression du tendon Dans les cas pathologiques, la mêmes manoeuvre donne lieu il
iodes de la paralysie générale : il est altéré dans 80 pour 100 des cas et c'est le plus souvent l'affaiblissement ou l
e dans les proportions suivantes : abolition dans 45 pour 9 Ull des cas , affaiblisse- ment dans 55,3 pour 100 des cas.
ans 45 pour 9 Ull des cas, affaiblisse- ment dans 55,3 pour 100 des cas . La disparition du réflexe : abdominal a été au
es lésions des organes récepteurs et des voies centripètes, dans ce cas il y a en même temps des troubles de la sensibili
fauche », la cause est entendue, mais cela n'a guère lieu dans les cas légers en question; un excellent procédé, dans
ieu dans les cas légers en question; un excellent procédé, dans ces cas , consiste non plus à regarder le malade, mais à
ôté du malade ou derrière lui suffit fort bien, dans la plupart des cas , à le maintenir en équilibre. On constate alors
inaison fatale de l'hémiplégie, elle ne survient guère que dans les cas où l'hémiplégie est bien prononcée; lorsque au
ou moins notable de leur force musculaire. Dans un orand nombre de cas , les troubles moteurs du côté réputé sain sont du
puyé brutale- ment sur son membre paralysé, etc.... Jamais, en tout cas , le : malade ne élira : « on m'a pincé ». C'est
esthésie par lésion en foyer d'un hémisphère cérébral. Et, dans ces cas , il s'agit le plus souvent d'une lésion thalamiqu
trouver réunis chez un même hémiplégique; dans un certain nombre de cas , ils se montrent plus ou moins isolés, ils doiv
e de cas, ils se montrent plus ou moins isolés, ils doivent en tout cas être recherchés. Assez souvent les hémiplégique
ou tardive. On a aussi signalé, dans l'hémiplégie de l'adulte, des cas où se pro- duisait une atrophie des os des memb
firmiers. Les troubles des sphincters qui s'observent dans certains cas peuvent être dus a des mécanismes différents. D
s, on voit, avec ou sans ictus, s'établir dans un certain nombre de cas le gâtisme. Ce gâtisme est dû le plus souvent à
peut pas dire que ces troubles mentaux, dans la grande majorité des cas soient sous la dépendance directe de l'hémiplég
ien insuffisant pour confondre avec une hémiplégie motrice certains cas de douleurs unilatérales des membres. Chez les
est consacré plus loin. Une autre affection, qui peut dans certains cas en imposer pour l'hémi- plégie organique, c'est
rragie méningée. La ponction lombaire peut également, dans les deux cas , montrer un liquide céphalo-rachidien mélangé de
'examen du fond de l'oeil rendra de grands services; mais, dans les cas aigus, on n'oubliera pas que 1 hémorragie céréb
arement lieu il une hémiplégie. Les symptômes qui caractérisent les cas d'hémiplégie dans lesquels l'écorce est intéres
nienne. Quant il la contracture précoce, elle peut se voir dans les cas de lésion corticale, mais elle est loin d'y être
de la déglutition et de l'arli- culation pouvant même dans certains cas (surtout pour les lacunaires chez qui les lésio
Thomas. Roussy, a décrit comme réalisant le syndrome thalamique des cas dans lesquels une lésion du thalamus s'accompag
précieux indice. On désigne sous le nom d'hémiplégie alterne les cas dans lesquels une lésion du pédoncule, de la pr
une tumeur de la moelle, ou la syphilis médullaire; dans ce dernier cas on pourra observer avec une certaine prédilecti
rémie). On se gar- dera d'ailleurs de rapporter à l'urémie tous les cas d'hémiplégie surve- nant chez des malades qui p
eaux jouent aussi un rôle dans la production d'un certain nombre de cas d'hémiplégie. Peut-être les lésions de l'appare
l'appareil respiratoire en jouent-ils un également, on a publié des cas d'hémiplégie hncumomiclue, d'hémiplégie pleurale.
a contracture ne succède pas à une paralysie flasque. Dans certains cas la recherche des stigmates de l'hystérie peut ren
ment qui est exécuté complètement par la main du côté sain, dans ce cas le mouvement associé est asymétrique. Un autre ex
le bassin. D'autre part, ce phénomène ne peut pas exister dans les cas oÚ¡J'hém i- plébie est complète, sa valeur n'es
mplète, sa valeur n'est donc réelle que dans un certain nom- bre de cas , mais elle parait à Babinski un signe de premier
as particulier à l'hémiplégie ; Babinski a pu l'ob- server dans des cas de sciatique où les mouvements des muscles exten-
et Crouzon dans le service de Bicêtre ; ils l'ont constaté dans les cas d'hémiplégie organique de paraplégie spasmodique.
plégie organique de paraplégie spasmodique. 11 permet donc dans les cas douteux d'écarter l'hypothèse d'hystérie. 11 a pu
de faire le diagnostic des scléroses combinées et il reflète dans ce cas l'existence de la sclérose pyramidale. Signe
sion de la 111(;. ningite est la cause du signe de Kernig : dans ce cas . elle est plus parti- culièrement révélatrice d
on du nerf, de : la douleur et, par suite, de la contracture. Dans ce cas , le si"'ne de Kernig ne serait qu'un réflexe dû
ne contrac- ture musculaire qui se produit le plus souvent dans des cas pathologiques et, en particulier, dans les affe
de méningites. Iloglet, dans sa thèse, a constaté 89,5 pour 100 de cas de méningites cérébro-spinales, et il n'a été c
été constaté dans le total des obser- vations que 66,6 pour 100 de cas de méningites tuberculeuses. Certains auteurs o
et, nous voyons que Kernig constate des contractures dellexiondansa cas de méningites aiguës, dont 1 de méningite tubercu
de méningites aiguës, dont 1 de méningite tubercu- leuse, et dans 6 cas de méningites chroniques. Netter l'observe sur le
6 cas de méningites chroniques. Netter l'observe sur le total de 46 cas , dont 12 méningites tuberculeuses, et il le trouv
la même dans les deux affections. Ncller, qui l'a constaté dans 25 cas , le trouve 12 lois dans la méningite cérébro-sp
nt il a constitué un des éléments importants de diagnostic. Dans ce cas , une céphalée, une légère paralysie du membre inf
de dépister la ménin- gite. Sicard, Guinon, Rist, ont observé' des cas de ce genre. Hémorragie méningée. - Le signe de
amy, Macaigne, Launois et Mauban. Achard et Paisseau ont publié des cas de ce genre. Réactions méningées des infections
égères. Dans la fièvre typhoïde, Netter a pu constater dans 1 1,8 des cas le signe de Kernig; dans un certain nombre de c
er dans 1 1,8 des cas le signe de Kernig; dans un certain nombre de cas , il a pu constater en même temps des signes cla
r en même temps des signes classiques de méningites ; dans d'autres cas , il s'agissait vraisemblablement d'infections m
ns méningées légères. Carrière a pu l'observer dans 44 pour 100 des cas , Moixard et Croie). YYidal, Dopter, Vaquez, Mer
t et Pélm). Walthcr a pu constater le signe de Kernig dans certains cas après la l'ac hi-cocaïnisat i 011. Signe de K
la participa- tion des méninges médullaires, mais, en dehors de ces cas , il a pu se rencontrer dans quelques affections
re pris, syndrome désigné sous le nom de tétraplégie. Dans certains cas , la paralysie s'accuse da- vantage aux membres
vicale. -' Examen du malade. Le malade peut-il marcher, et, dans ce cas , quels sont les caractères particuliers de la d
La paraplégie peut être flasque ou spasmodique.' Dans le pre- mier cas , la marche est d'ordinaire impossible; elle est p
au niveau des articulations tibio-tarsiennes, mais encore dans les cas prononcés, au niveau des fémoro-tibiatcs et des
lésion (V. chap. spécial). Ils se rencontrent dans la majorité des cas , sans être constants cependant. Van Gehuehten a
chaque maladie présentée. L'atrophie musculaire diffère selon les cas , et sera mieux exposée au chapitre des affectio
ment, comme nous aurons d'ailleurs l'occasion de le redire. Dans ce cas elles demeurent généralement flasques et s'acco
ne hémicompression (tuberculose, syphilis) ; il est moins pur en ce cas . On peut constater un double syndrome de Hrown-Se
'amélioration sont fréquentes ; on peut même observer dans quelques cas (mal de Pott, par exemple) la succes- sion de p
faits la diversité que présentent en la durée de leur évolution des cas analogues; signalons les [MOUTIER.] ] 4n2 PAR
iques avec section complète de la rnoelle. Mais pour que ce dernier cas se réalise, il faut que la section - progres- s
u flaccide; de là deux ordres de confusion possibles. Dans certains cas , en effet, l'on pourrait croire à une démarche
de spasmodicite caractérise les scléroses combinées. Dans quelques cas . le syndrome est plus com- plexe encore. Certai
IE. et l'exécution parfaite des mouvements commandés. Dans certains cas se révèle une exagération même de cette démarch
smo- diques les plns diverses accompagnées de contracture. Dans ces cas , la contracture musculaire cède devant l'atroph
issons, maladie des plon- geurs, des scaphandriers). Dans lotis ces cas , la paraplégie est en général flasque au début,
ntraîner le diagnostic, et nous nous occuperons spécialement de ces cas où la tuberculose osseuse est peu apparente ou
rs, les troubles osseux sont les mêmes ou il peu près dans tous ces cas . En dehors des grands désastres causés par sect
s. Cette « anesthésie oscillante » ne s'est rencontrée que dans les cas où l'altération présentait une topogra- phie mé
une paraplégie llaccide vers la spasticité; la lésion aurait, dans ce cas , atteint les racines d'abord, la moelle ensuite
s altérations trophiques sont exceptionnels et très tardifs en tout cas . Les troubles de PARAPLÉGIE. 4M la sensibilit
e peut être atteinte de' façons difté- rentes. Elle sera, selon les cas , altérée par des hyperostoses vertébrales, de l
ontrnire, essen'irllement-Lénine, et dans la très grande majoré des cas , elle constitue plutôt une/infirmité. fort gêna
es spas- modiques, nous réunirons tout d'abord un certain nombre de cas dans lesquels le diagnostic, s impose d'emblée.
es. Il semble bien que le plus souvent il s'agisse en de semblables cas d'une infection suraiguë, mixte, des nerfs péri
olynévrite. Un tel problème clinique est peu ardu sans doute en des cas aussi antinomiques que la paralysie infantile ou
l'atrophie du groupe jambier antéro-cxterne. Il faut d'ailleurs des cas remarquablement graves pour que' la paraplégie
e surviennent jamais dans les poliomyélites. Il existe du reste des cas intermédiaires (cellulonévrite de Raymond), où le
atrophie suffisante pour em- pêcher la marche. Dans ces différents cas , la lésion musculaire se com- plique souvent de
ar sclérose des artérioles de la substance grise. Dans le pre- mier cas , on note l'absence des battements artériels de la
nt de l'accès et des troubles vaso-moteurs intenses; dans le second cas , il n'existe an niveau du membre aucune anomalie
s aux violentes crises de douleurs fulgurantes. Il y aurait dans ce cas un véritable épuisement des nerfs et des muscles.
entre la cause et l'effet, l'accident et la paralysie. Ce sont la des cas relativement faciles; d'autres sont infiniment
formations de la région rachidienne. Cependant, il peut exister des cas très frustes. On peut confirmer un diagnostic h
infantile et d'une paralysie infantile (Pierre Marie). Dans de tels cas , il existe du côté de la paralysie infantile de
cription montre que cette affection peut rappeler de -près certains cas de sclérose en plaques, de maladie de Fri'edrei
complète de tous les segments des membres inférieurs. Dans les deux cas , il si a intégrité complète du système nerveux pé
on médullaire, et dans le tabès enfin, on peut invo- quer, selon le cas , les troubles circulatoires, l'épuisement par hyp
irectement liée aux escarres. La paraplégie peut n'être en certains cas pourtant qu'une infirmité plutôt qu'une maladie
la moelle. Nous serons brefs sur le traitement. Il sera, selon les cas , celui de la tuberculose vertébrale, de la syph
alculer peuvent avoir leurs indi- cations, leurs avantages; en tout cas , il serait utile, au cours de la laminectomie,
re. L'atteinte du centre cilio-spinal (l r" dorsale) se traduira en cas d'excitation par de la mydriase, en cas de destru
r" dorsale) se traduira en cas d'excitation par de la mydriase, en cas de destruction par du myosis homonyme, par la r
rmettrait d'affirmer une atteinte exclusivement médullaire. En tout cas , il faut se souvenir que le syndrome peut être
a marche. Un examen approfondi de la sensibilité permettra dans ces cas de dépister des troubles parfois considérables
FAMILIALE par le D' CROUZON 1'esi.phal a désigné sous ce nom « un cas remarquable de paralysie périodique des quatre
c'est au matin que le malade s'aperçoit de son accès; dans d'autres cas , quand il se produit à l'état de veille, on peut
rogressivement et peut diminuer par la suite. Enfin, il existe un cas de Gollf7am ou il y a eu un accès unique. Un au
para- lysie du deltoïde est-elle particulièrement gênante. Dans ce cas , il y a impossibilité de porter la main a la bo
vant que la main est en supination ou en pronation. Dans le premier cas , il fléchit l'avant- bras sur le bras. Dans le
e premier cas, il fléchit l'avant- bras sur le bras. Dans le second cas , la contraction du muscle amène d'abord la main
ation. Branche externe du musculo-cutané. Dans les trois quarts des cas . le brachial antérieur, outre cette branche princ
ne du liga- ment interosseux. Il reçoit en outre dans la moitié des cas sur son bord interne un faisceau de renforcemen
rès limités, mais ont cependant une grande importance dans certains cas . par exemple lorsque l'index doit être rapproch
en en arrière et en dedans vers le deuxième méta- carpien. Dans les cas de paralysie des muscles thénariens, le long exte
ux peuvent suppléer, mais imparfaitement, les interosseux; dans des cas de lésion du cubital, la déformation en griffe
rche, la pointe du pied se dévie en dedans ou en dehors suivant les cas ; quand ils sont l'un et l'autre paralysés, la m
tiré l'attention surine déformation particulière du thorax dans les cas de paralysie isolée du muscle grand dentelé; el
. Le muscle grand dentelé corrige la déviation de l'épaule. Dans le cas de paralysie du trapèze, le rhomboïde est seul
La paralysie bilatérale des extenseurs lombaires, fréquente dans les cas de myopathie intéressant les masses sacro-lomba
cir la fente palpébrale et augmenter la saillie du sourcil dans les cas où l'oeil est exposé aune vive lumière. Duche
cles peut exprimer le rire sardonique, le ricanement; dans tous ces cas , il découvre en partie la dent canine. Petit
s à des conclusions identiques. Rossi et Roussy, étudiant plusieurs cas de sclé- rose latérale amyotrophique avec la mé
''.' TOPOGRAPHIE CÉRÉBRALE. 595 Grasset, en s'appuyant sur quelques cas de la littérature médicale et sur quelques obse
par une hémiplégie spinale. Les troubles de la motilité dans certains cas d'hémiplégie spinale peuvent se montrer avec un
discute encore sur la topographie dés atrophies musculaires dans le cas de lésions des cornes antérieures. Certains auteu
, Mlle Klumpkc a toujours vu la contraction du grand pectoral. Le cas clinique de Rose a la valeur aussi d'une véritabl
spect qu'a bien décrit Duchenne est presque constant. Dans certains cas , toutefois, l'épaule peut 'être soulevée par le m
correspondantes (cinquième et sixième cervicales) et, dans certains cas , on peut observer une bande hypo-estlié- sique
e, la huitième racine cervicale et la première racine dor- sale. En cas de traumatisme il arrive parfois que la paralysie
ois. La pupille en myosis réagit encore à la lumière. Dans certains cas , on peut constater l'aplatissement de la joue,
du coude, de l'articulation de l'épaule, sont abolis. Dans certains cas , le malade peut encore élever légèrement le moi
L'anesthésic existe à ta main, il l'avant-bras. Dans la plupart des cas , elle s'étend jusqu un on deux travers de doigt a
a paralysie radiculaire inl'érieare. ,1'ai remarqué, dans plusieurs cas de paralysie radiculaire, une diminution très net
DES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. ' leurs, dans la majorité des cas , totale que durant un laps de tcmps très court,
que a toujours un début brusque et très souvent douloureux. Dans le cas de luxation de l'épaule, ou de fracture de la cla
ulaires trauma- tiqucs sont très variables. On a rencontré dans ces cas toutes les variétés possibles de paralysies rad
s. L'expérimentation cadavérique montrant que les lésions maxima en cas de traumatisme se font au niveau des racines ha
t même complètement. Telle est aussi l'opinion de Rendu. Si dans un cas de traumatisme léger on exa- mine le malade peu
bande radiculaire diminuer, s'interrompre, dispa- raitre. Dans les cas de paralysies graves, les troubles de la sensibil
, électrique peuvent être abo- lies ou seulement diminuées. Dans un cas de Charcot, concernant une paralysie radiculair
r le traumatisme. Très graves et définitives parfois, dans d'autres cas elles régressent vite, et la guérison complète av
ysies obstétricales ». Celle opinion est exagérée, liroca a cité un cas de paralysie radiculaire obstétricale avec trou
re paralysé assez semblable à celui que l'on constate dans certains cas de paralysie infantile. Raymond et Iluet ont insi
tébrale, cancer, syringomyélie). La paralysie radiculaire, dans ces cas , a un début lent, les phénomènes douloureux pré
ters a fait une étude des paralysies que l'on observe dans certains cas de syphilis héréditaire avec altération radiculai
s, d'autres celle des paralysies radiculaires inférieures. Dans les cas de paralysie atteignant le segment radiculaire in
quente lors de la syphilis, il l'aurait rencontrée neuf fois sur onze cas . L'avant-bras est en forte pronation, de sorte
de et la forme des nageoires d'un phoque (Ftossenstellung). Dans le cas de para- lysie radiculaire inférieure, le syndr
niveau de. la région rolandique, peuvent amener une monoplégie; les cas de monoplégie pure d'origine corticale, sont d'
qui est d'aittcurs rarement localisée il un seul membre. Il est des cas de syringomyélie unilatérale lois que ceux l'appo
d'une monoplégie brachiale il marche lente et progressive. Dans les cas de syringomyélie on constate le plus souvent la d
ismes violents. La paralysie d'ailleurs n'esl, dans la majorité des cas , totale que durant un laps de temps relativement
au cours des accouche- ments laborieux et prolongés, et surtout en cas de rétrécissement du bassin. Ces paralysies obs
pas graves et disparaissent au bout de quelques semaines. Certains cas de paralysie faciale congénitale sont causés pa
ères le globe de l'oeil, normalement, se convulsé en haut. Dans les cas de paralysie faciale il entraine et relève dans s
, la suppression de la sécrétion lacrymale s'ob- serverait dans des cas de paralysie faciale alors que la lésion siège au
s efforts pour la tenir close. On peut remarquer aussi que dans les cas de paralysie faciale d'origine cérébrale, même
ussi bien pendant la respiration que pendant la phonation. Dans les cas de paralysie unilatérale la corde vocale du côté
ve pas de troubles très nets de la voix. 11 n'en est pas de même en cas de paralysie bilatérale, l'aphonie est alors com-
ation en sens inverse. Babinski a constaté aussi que, dans certains cas , Itemiatrojrnie de la langue n'ame- nait pas de
la salive s'écoule des lèvres. L bemiatrophie de la langue dans les cas de lésion unilatérale est très nette. Lorsque l
congestion pulmonaire), car l'asphyxieront être rapide. Dans les cas de paralysie unilatérale du phrénique, on constat
adiale (paralysie rhumatismale, paralysie a frigore). Dans quelques cas le muscle court respirateur paraît, avoir une a
bles de la sensibilité sont fort peu importants dans la plupart des cas de paralysie radiale; dans les paralysies a frigo
tumeur dorsale du poignet que l'on observe principalement dans les cas de paralysie saturnine; il s'agit d'une tumé- f
ours respecté. Il faut se rappeler que, d'après Bernhardt, certains cas de paralysies radiales par compression axillaire
isiers, cordonniers, boulangers faisant des- pains fendus, dans les cas de Guillain et Huct, etc.). Le nerf cubital inn
n. Les troubles de la sensibilité font très souvent défaut dans les cas de paralysie du nerf médian. Quand ils existent
ention sur un symptôme moteur particulier que l'on observe dans les cas de parésie du sciatique poplité externe. Si l'o
os ont des vagissements comme les nouveau-nés. Dans l'un et l'autre cas la respiration peut n'être pas sensi- blement g
ations. Il semble du moins que l'anesthésic puisse exister dans les cas d'aphonie ou de mutisme hystérique. Une émotion
ffections graves comme le choléra ou la diphtérie : dans ce dernier cas elle coexiste presque toujours avec l'anesthési
suggestion. Le pronostic sera également très différent suivant les cas puisqu'il pourra parfois se produire de son l'a
ortant et surtout leur paraissant ap- porter une précision. Dans un cas que j'ai publié d'un malade qui croyait avoir u
sion nasale ou pharyngée causale. Il faudra recourir, dans quelques cas , aux toniques généraux, le plus souvent il l'hy
miplégiques qui n'ont pas été suivis jusqu'à la mort, soit dans des cas où la vérification anatomique a pu être faite.
d'affirmer les limites des lésions causales. Voici, par exemple, le cas de de Bryson-Delavan qui a long- temps paru pro
ra l'existence d'un ramollissement du noyau bulbaire. Dans un autre cas de Grabower on trouva à l'autopsie une compress
e penser à la possibilité d'une lésion récurrentielle comme dans le cas de Grabower. Reste les cas où il y a eu à la fo
ne lésion récurrentielle comme dans le cas de Grabower. Reste les cas où il y a eu à la fois examen laryngoscopique et
eu à la fois examen laryngoscopique et autopsie. La critique de ces cas , déjà faite il y a quelques années par Lermoyez,
icipation du grand sympathique par dila- tation cardiaque. Les deux cas de Garel, qui sont classiques, manquent de l'ex
ogastrique, du récur- rent et même des muscles laryngés. A tous les cas enfin, il oppose le fait, spécifié dans le prot
te de la haute différenciation du centre phonateur chez l'homme. Le cas d'I : iseululrr paraît avoir élé observé d'une fa
dans la paralysie bulbaire apoplectiforme. Gottstcin a rapporté des cas de ramollissement bulbaire avec paralysie compl
e paralysie récurrenlielle totale avec hémi-anesthésie laryngée. Un cas semblable, syphilitique, a été publié par Ott.
ui a fait une étude très complète de la question, n'a retenu que le cas de Collet où il avait été constaté du tremblement
oyaux de l'hypoglosse et du pneumogastrique. J'ai examiné plusieurs cas de sclérose en plaques sans rien trouver d'anorma
laques sans rien trouver d'anormal au larynx. Rethi a noté, dans 15 cas sans autopsie, la paralysie isolée du posticus.
s la syringomyélie, Carlaz a vu deux paralysies du récurrent sur 17 cas el 5 fois la paralysie du crico-aryténomicn posté
fois la paralysie du crico-aryténomicn postérieur, Ivanoff, sur tO cas personnels, a vu souvent la paralysie du récurren
llaire se compliquant le plus souvent de troubles laryngés. Sur 7'1 cas delaryngoplégietabé- tique, Burger a noté 43 fo
de la corde, elle n'a été relevée que li l'ois. De même Kahn. sur 10 cas . n'a vu que 2 paralysies récurrcntielles pour 1
cntielles pour 14 paralysies du postérieur; Rôrner et Sebla, sur 48 cas , notent 3 ! ) paralysies du postérieur pour 9 p
fait délibérément réséquer une portion du récurrent gauche dans un cas d'adduction bilatérale. Les tumeurs du cou, gro
tion de l'oreillette droite que Broeckaert a cherché d'expliquer le cas de Roque et Chalier. Enfin il existe un groupe
première place (Morell- Mackensie, Sajous, etc.) : Ileyman, sur 50 cas dus aux poisons minéraux, a confirmé cette préd
gies bilatérales. Les hémiplégies bilatérales sont assez rares. Des cas sans autopsie ont été décrits par Cartaz et IL Kr
dans la paralysie pseudo-bulbaire et j'ai moi-mème fait allusion à un cas de ce genre. Les lésions bulbaires, nous l'avon
ées par Deygas (1905) dans une thèse inspirée par Garel : aux vingt cas authen- tiques antérieurs il avait pu ajouter s
en a été publié quelques autres et tout récemment j'ai pu suivre un cas qui a été décrit par Mollard. Les causes les pl
observations en sont déjà nombreuses. J'en observe actuellement un cas chez un jeune homme atteint de paralysie infant
ué, comme nous l'avons vu, par le spinal médullaire. 11 v en a cinq cas dans la thèse de Le Meur : un fait récemment rapp
u voile se sont déjà détachés. Debove, cité par Simonin, en a vu un cas après exérèse d'un épithélioma branchial et ril
èse d'un épithélioma branchial et rilanhiet a récemment rapporté un cas où un coup de couteau derrière 1 angle de la mâ
rébrales et la paralysie générale progressive, mais dans ce dernier cas il faut tenir compte des lésions bulbaires. Nou
au spasme glottique respiratoire : il semble que dans bon nombre de cas le spasme constitue une phase de l'atteinte des n
inologistes veulent qu'il y ait une irritation nasale dans tous les cas de toux réflexe provenant de l'estomac, de l'inte
rtrophies des amygdales palatines ou linguale, etc. Dans tous ces cas il parait bien que les filets sensitifs du pneumo
spasme laryngé (Rehn, d'Oelnitz, E. Weill). On a préconisé dans ces cas l'exothymopexie (Rehn, Konig, Lenormant), la th
x nerveuse laryngée est une affection rare si on réserve ce nom aux cas dans lesquels le point de départ est exclusivem
MALADIES DU LARYNX. formes dites essentielles, il y a la série des cas symptouialiques, ce qui n'empêche pas d'ailleur
he pas d'ailleurs de décrire à part la forme idiopathique. Dans les cas désignés sous le nom de vertige ou d'apoplexie la
e des écrivains ou des pianistes. L'examen laryngoscopique dans ces cas montre du spasme moins accusé que dans la forme
hie musculaire, dans la totalité ou au moins la grande majorité des cas , ne paraît pas être, connue le pensaient Duchenne
à des faisceaux plus ou moins complètement atrophiés. Dans d'autres cas une portion seule de la longueur des fibres ser
minimes qui passeraient inaperçues à l'ins- pection ; mais dans ces cas hésitants la mensuration est un procédé dan- ge
ui, en ramenant quelques libres musculaires, permet- trait dans les cas douteux de faire le diagnostic histologique de l'
cachectiques amaigris sont de grands amyotrophiques, mais, dans ce cas , les parties du corps sur lesquelles le tissu c
trophie musculaire est facile à distinguer de la paralysie dans les cas où la diminution du volume des muscles est déjà n
il s'y joint certains signes d'affection nerveuse. Dans le premier cas , l'affaiblisse- ment musculaire est tout et la
ement, et le diagnostic ne peut être fait que par analogie avec des cas connus et classés. Dans le second cas, on suppo
ait que par analogie avec des cas connus et classés. Dans le second cas , on suppose fréquemment, en s'appuyant sur des de
lente et progressive évo- lution. En réalité, dans l'un et l'autre cas , à notre sens, il y a paralysie, dans l'un et l
t l'autre cas, à notre sens, il y a paralysie, dans l'un et l'autre cas c'est la gêne fonctionnelle qui est presque toujo
ticales aux cellules motrices de la moelle; mais sans doute dans ce cas l'altéra- tion pyramidale ne provoque l'atrophi
as encore démontré de façon certaine, il se peut que, dans certains cas , une altération réelle des centres ou des voies
ive de l'adulte peut être le seul signe clinique d'une maladie, ces cas sont tout il fait exceptionnels; presque toujours
: c'est à peine si t on peut dire aujourd'hui qu'il existe un seul cas bien démon- tré (l'atrophie musculaire progress
oppement entrent toutes les formes des myopathies, c'est-à-dire des cas où ni cliniquement, ni anatomiquement, on ne peut
re serait si prédominante qu'elle justifierait la séparation de ces cas et presque leur dénomination de « myopathies »
syringo- myélie; pachvméningite cervicale hypertrophique; certains cas de lèpre nerveuse, de méningo-myélite syphiliti
anque le plus fréquemment l'hérédité, dans le plus grand nombre des cas . Dans l'ensemble, les myopathies, dont la forme
réditaires, d'après la statistique de Erb ('), dans 56 pour 100 des cas ; l'amyotrophie Charcot-Marie l'est plus souvent
re de Sainton (2), 59 familles fourniraient un total de plus de 100 cas ; dans les rares cas jusqu'ici signalés l'atroph
9 familles fourniraient un total de plus de 100 cas; dans les rares cas jusqu'ici signalés l'atrophie Werdnig-IIoffmann
générations; dans une seule l'arnillellcrrinbltam a pu compter '26 cas d'amyotrophie Charcot-Marie plus ou moins caracté
a tient peut-être seulement au nombre encore relativement petit des cas connus d'atrophie Charcot-Marie, Werdnig-Ilolfman
(Yiard) (2) : peut-être aussi ne s'agissait-il dans ces der- niers cas que d'une coïncidence fortuite. , L'hérédité es
uve atteint d'une autre variété de myopathie. Dans un bon nombre de cas , il y a seule- ment une hérédité neuropathique,
conceptiollnelle ou héréditaire (Jouroy) (5). Enfin, dans quelques cas , on ne trouve même pas une hérédité aussi indir
r un rôle dans la palhogénie de ces affections. Touche a signalé un cas avec autopsie de myopathie qui aurait été consé-
Gasne (5). ,Jofl'roy). C'est surtout, non exclusive- ment, dans ces cas qui ne semblent pas héréditaires ou familiaux, qu
familiaux, que l'affection débute plus tardivement (2J ans dans un cas de Lion et Gasne, 45 et 40 ans dans deux cas d
vement (2J ans dans un cas de Lion et Gasne, 45 et 40 ans dans deux cas d Erb. 48 ans dans un cas de paralysie pseudo-
de Lion et Gasne, 45 et 40 ans dans deux cas d Erb. 48 ans dans un cas de paralysie pseudo- hypertrophique de JlIIlC S
e paralysie pseudo- hypertrophique de JlIIlC Sacara, 50 ans dans un cas de Pick (6), Gï ans dans un cas de Linsmayer) (
ue de JlIIlC Sacara, 50 ans dans un cas de Pick (6), Gï ans dans un cas de Linsmayer) (7). Ces cas exceptionnels d'affe
ans un cas de Pick (6), Gï ans dans un cas de Linsmayer) (7). Ces cas exceptionnels d'affections non héréditaires et à
re cliniquement reconnue. L'hyper- trophie d'un muscle peut dans ce cas être totale ou partielle. L'hypertrophie totale
grand pectoral et le grand dorsal ; Duchenne a pourtant signalé un cas où tous les muscles étaient pseudo-hypertrophiés,
étaient pseudo-hypertrophiés, sauf le grand pectoral, mais c'est un cas jusqu'ici unique. Fréquente, mais nullement con
(') a signalé récemment la pseudo-hypcrtrophie des mollets dans un cas d'amyotrophie Charcot-Marie ; elle n'existait d
un cas d'amyotrophie Charcot-Marie ; elle n'existait dans aucun des cas relevés par Sainton. Des rétractions de certain
al on du triceps brachial. En réalité, dans un très grand nombre de cas il n'en est pas ainsi. Dans leur nie-, moire de
ru avant toute trace d'atrophie des muscles de lai cuisse dans deux cas sur cinq; Erb a signalé dans ses observations''
ps brachial est conservée; P. Marie et Guinon signalent que dans un cas les réflexes sont absents aux coudes bien que «
[A. LÉRI. ] 674 ATROPHIES MUSCULAIRES. des exceptions : tel le cas , suivi d'autopsie, d'Oppenheim et Cassirer (')
et, plus tard, dans le triceps et le long supinateur; tel aussi le cas de Dejerine et Thomas (2), également suivi d'auto
t celle de l'atrophie spinale Aran- Duchenne typique. Dans ces deux cas d'ailleurs l'allection avait débuté très tardiv
, et d'autres symptômes (réaction de dégénérescence dans le premier cas , contractions fibrillaires dans le second) avaien
s et de la plante des pieds. La sclérodermie a été signalée dans un cas de paralysie pseudo-hypertrophique par Ballet et
Sacara a noté 1 hyper- trophie du corps thyroïde dans trois de ses cas , des anomalies génitales allaient dans un cas j
ïde dans trois de ses cas, des anomalies génitales allaient dans un cas jusqu'à l'infantilisme avec monorchidie; le gonfl
aires du coeur, de Mme Sacara qui a remarqué dans la plupart de ses cas l'augmentation de la fréquence du pouls et, dan
pement des facultés intellectuelles de ces malades, dans les 4 ou 5 cas qu'il connaissait, avait frappé Du- chenne au p
état morbide de l'encéphale, « parce que dans un certain nombre de cas aucun phénomène cérébral ne s'était montré dans l
s et 1 idiot sur 15 sujets), Bouveret, Londe et Meigc (8), Fabre (8 cas ) (9), 1. Stemiio. Medic Cesell.ecle. m IVilna,
nérescence ». Depuis la revue d'ensemble de Joffroy de nou- veaux : cas de myopathies avec troubles psychiques, débilité
tale, stig- mates de dégénérescence ont été rapportés par Mondio (5 cas ) (2), Sachs et Browks (3), Ballet et Delherm(4)
t et Delherm(4), Perrin ('), etc.... Joffroy a lui-même 'signalé un cas de myopathie avec troubles mentaux tardifs et pas
ie sur certains muscles. Toutes ces variétés se retrouvent dans les cas de Buss, Sacara. Lannois (') (myotonie loca- li
est ainsi que Brissaud (4), puis Gui- non. Verriest ont signalé des cas d'association de la paralysie pseudo-hy- pertro
l muscle pseudo-hypertrophié des membres supérieurs;. dans quelques cas le triceps, le biceps, le long supinateur le
petits muscles de la main ne sont pas toujours indemnes. En tout cas les modi- fications de volume et de force sont
fébriles (Donald lfacpllail, Mme Sacara, Marinesco), mais dans ces cas on est en droit de se demander s'il ne s'agit pas
omplètement défaut. Le sterno-mastoïdien n'est que rarement altéré ( cas de Landouzy et Dejerine, de F. Pick, etc.); l'a
levant. Dès que les malades élèvent les bras, ou même dans certains cas au repos, l'angle supéro-interne vient faire sa
sont à peu près symétriquement atteints; pourtant L;rb a cité des cas où le début avait été unilatéral. Tous les membre
iés ; par exemple, Landouzy et Dejerine (1) ont trouvé. dans un cas le canin seul conservé des deux côtés. Il est
constaté une fois l'atrophie du diaphragme; Dttchenne a observé un cas où les muscles respirateurs ont paru atteints à l
examen clinique, mais Landouzy et Dejerine font des réserves sur ce cas parce qu'il leur est arrivé de faire un diagnos
ndouzy et Dejerine, a été reconnue par eux après la publication des cas de Bris- saud, de Georges (iuinon, de Veriest,
qu'elles ont été constituées un peu artificiel- lement au moyen de cas « types », mais qu'on peut trouver entre elles
ermédiaires : dans la pratique, on rencontre très fréquem- ment des cas où l'on remarque en plus ou en moins l'atrophie n
phie non clas- sique de tel ou tel muscle ou groupe musculaire, des cas où les variétés empiètent, pour ainsi dire, les
s variétés empiètent, pour ainsi dire, les unes sur les autres, des cas enfin où l'en- vahissement progressif n'a pas s
musculaire. Cette absence est à peu près constante ; dans quelques cas d'amyotrophie Charcot- Marie, Charcot et Marie
musculaire;1'erdni et Hoffmann ont signalé dans la plupart de leurs cas une adipose sous-cutanée sans augmentation de vol
s ou fibro-musculaires. On n'a signalé ces rétractions que dans des cas très exceptionnels d'amyo- trophie Charcot-lfar
tion de dégénérescence, totale ou partielle, a été trouvée dans les cas d'atrophie Charcot-Marie ou Werdnig- Hoffmann a
ophie Charcot- Marie ils sont abolis ou diminués dans la moitié des cas , à peu près nor- maux souvent, exagérés raremen
rophie des muscles et de l'ancienneté de l'affection. Dans tous les cas de Werdnig et de Hoffmann les réflexes tendineux
phie « en jarretière ») ; à titre exception- nel, il faut citer les cas de Charcot où le biceps était atteint, de Hoffm
es aux différents usages de la vie semble bien plus facile dans ces cas que dans d'autres affections médullaires avec a
L'atrophie des nerfs optiques a été signalée jusqu'ici dans les seuls cas de Vizioli. de Sainton, de Gordon, de Ballet et
'affection pourrait rester limitée aux membres supérieurs, mais les cas décrits par cet auteur, cas dans lesquels l'atr
limitée aux membres supérieurs, mais les cas décrits par cet auteur, cas dans lesquels l'atrophie avait gagné les épaule
é la conséquence constante à l'âge maximum de 4 ou ans, à part deux cas récents de Bruns qui se sont prolongés jusqu'à
on ne connaît encore comme authentiques, suivis d'autopsie, que les cas de Dejerine et Sottas (5), de Déjeune et Thomas
as (5), de Déjeune et Thomas (), de P. Marie; une élude récente des cas de Pierre Marie a 1. WEIIII : '\lG. A/'{'/I. f.
er- veux : cette hypertrophie pourrait faire défaut cliniquement ( cas de Dejerine, de Brasch ? ) ('); elle est parfoi
PHIES MUSCULAIRES. exophtalmie avec ébauche du signe de de Grael'e ( cas de Pierre Marie) ; les troubles sphinctériens e
orbide nettement isolée. Il est possible qu'il existe dans quelques cas rares une inflammation systématique des cornes
ie progressive des muscles du groupe Duchenne-Aran; ce n'est pas le cas le plus ordinaire. Le plus souvent l'amyotrophie
ringomyélie, dans la sclérose latérale amyotrophique, dans certains cas de meningo-myélite syphilitique, de lèpre nerve
ronc, tout à fait exceptionnelle- ment par les pieds et les jambes ( cas de Raymond et Philippe) ('). Le premier muscle
ophiés restent lâches. Il. Meu- nier (') a pourtant signalé dans un cas une contracture intermittente, passagère et réc
ont été rarement signalées (Etienne) ; peut-être s'agit-il dans ces cas d'amyotrophie par myélite syphilitique. \j évol
côté [il. LÉRI. 702 ATROPHIES MUSCULAIRES. opposé, mais dans ce cas la seconde main ne tarde pas à être prise à son
hypertrophique ; il se rCl1chntre parfois dans un certain nombre de cas d'hématomyélie, de lèpre nerveuse, de méningo-
éningite cervicale hypertrophique, la sclérose en plaques, quelques cas de syringomyélie et de méningo-myélite syphilit
asmodicité avec exagération des réflexes tendineux; dans les autres cas , les ré- flexes sont normaux ou généralement di
pide, la inort survient après peu d'années; il est probable que les cas prolon- gés que l'on a signalés (10, 15, 20 ans
e les cas prolon- gés que l'on a signalés (10, 15, 20 ans) sont des cas de myélite avec atteinte progressive des cornes
affection qui n'a plus guère d'autonomie ; le plus grand nombre des cas sont des cas de syringomyélite ou de. méningo-m
n'a plus guère d'autonomie ; le plus grand nombre des cas sont des cas de syringomyélite ou de. méningo-myélite tuberc
myélite tuberculeuse ou syphilitique; peut-être reste-t-il quelques cas de pachyméningite primitive vraie, fibreuse, te
a cause du syn- drome Aran-Duehenne dans le plus grand nombre des cas où ce syndrome-a été observé plus ou moins pur.
rer dans les méningo-myélites syphilitiques 11(i et 18 ans dans des cas personnels); enfin des douleurs existent peut-ê
peut-être dans certaines poliomyélites, mais elles ne sont en tout cas pas constantes dans la méningo-myélite syphilit
constatée, mais qui peut être très modérée ou même manquer dans des cas anciens. Dans le tabès, on peut constater des a
rome d'=lrau-Duchenne a été signalé aussi dans un certain nombre de cas de paralysie générale (Bail, Mac Dowald, Voisin e
evoir émettre des doutes sur l'origine réelle de l'atrophie dans le cas où elle est étendue et progressive; dans la moe
S MUSCULAIRES SECONDAIRES. 707 prouver; mais, dans presque tous les cas , d'autres lésions que l'atrophie des cellules r
ourd'hui encore nous pouvons dire qu'il n'y a pas jusqu'ici un seul cas authen- tique et certain de poliomyélite antéri
890. t. . [A. LERI] 708 ATROPHIES MUSCULAIRES. tives dans ces cas d' « angiomyopathie » ; Rénon et Louste (') ont m
s les muscles d'un segment de membre ou d'un membre entier; dans ce cas , elles reconnaissent la même pathogénie que les
telés, le grand dorsal, même les muscles périscapulaires : dans ces cas l'amyotrophie consécutive à l'inflammation de la
lysie est d'origine organique ou fonctionnelle, et, dans le premier cas , suivant que le siège de la lésion nerveuse est
use est médullaire, cérébral ou périphé- rique ; dans chacun de ces cas elle présente aussi des variétés indivi- duelle
ningo- myélite syphilitique, la lèpre nerveuse, etc.; mais dans ces cas il est difficile de dire si la paralysie précèd
uite de proche en proche. Pourtant on a cité un certain nom- bre de cas d'atrophie musculaire progressive survenant très
puis guéris, soit en d'autres régions quelconques ; dans ce dernier cas la localisation la plus ordinaire est le type Ara
et Dutil) ; il nous semble logique de voir, au moins dans certains cas , â .la fois l'épine et la prédisposition hérédi
iscutable; après Van Gehuchten, nous en avons publié avec Wilson un cas absolument typique (2). ' L'atrophie consécut
ie et atteindre en masse les deux membres supérieurs; dans certains cas de tumeurs très étendues de la colonne vertébra
que généralisées [(Sené) (3)]. L'amyotrophie est pré- coce dans ces cas , mais ne précède pourtant pas en général les viol
14 ATROPHIES MUSCULAIRES. ' ' dés membres paralysés; dans, tous ces cas l'atrophie musculaire n'est qu'un des éléments
tié opposée, notamment au niveau de la subs- tance grise. Dans ce cas , il s'agit sans doute uniquement £ une di- mi
ar celles de Quincke, Borgherini, etc., a montré que, dans certains cas , les cornes antérieures et les nerfs périphériq
J juillet 1897. Fig. 16. - Atrophie des membres paralysés dans un cas d'hémiplégie gauche avec para- lysie cérébrale
ejerine à une névrite périphérique intramusculaire (dans certains cas ), pour Darksche- witseh, Gilles de la Tourette
sphaltiers. les paveurs, les parqueteurs, etc Dans ces différents cas , la paralysie et l'amyotrophie peuvent être très
les nerfs périphériques. Il faut dire d'ailleurs que dans bien des cas . où l'étiologie est nettement infectieuse ou to
lésion centrale, myélite : il est pro- bable que, dans beaucoup de cas où l'affection évolue comme une maladie infecti
olente presque aussitôt suivie de paralysie complète. Dans tous ces cas les troubles sensitifs peuvent prédominer sur l
polynévrites restent localisées aux membres inférieurs ou, en tout cas , sont pendant toute l'évolution plus accusées aux
ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE. 725 est la règle, hormis le cas où les nerfs cardiaques sont touchés. Dans la f
nsitifs ou uniquement moteurs (para- lysies amyotrophiques dans les cas de Joffroy, Eisenlohr, Vierordt, Striimpell, Op
rfois sous cette forme et qu'elle est vraisemblablement due dans ce cas aux lésions des cellules radiculaires antérieur
, Oppenheim et Siemerling, Pitres et Vaillard ont constaté dans ces cas des lésions nettes de névrite périphérique ; cett
ante peut être l'origine des névrites, dans le tabes comme dans des cas très bien étudiés par Joffroy et 1. Lém. Icon.
'inactivité d'un traitement électrique prolongé peut être, dans des cas douteux, considérée comme un excellent argument p
la gymnastique raisonné ? active et passive, a paru, dans certains cas . donner quelques succès relatifs localisés : des
seule médication semble avoir donné, jusqu'ici, dans de très rares cas où elle a été essayée, un résultat assez nettemen
e traitement antisyphilitique ne paraisse pas réussir dans tous les cas (Raymond, Rendu), comme il est le seul qui parais
a non-syphilitique, nous croyons qu'on devra, dans presque tous les cas , à moins de contre-indication formelle, tenter
bilisation passive et active, aussi précoce que possi- ble dans les cas où la lésion n'est pas inflammatoire; dans les ar
on formelle, c'est l'existence de phénomènes spasmodiques; dans ces cas , Lucas-Championnière (2) recommande pourtant le
t à l'électrisation, elle ne devra guère être employée que dans les cas où l'on n'a pas à craindre la contracture : elle
e dans la plupart, des hémiplégies et pratiquée seulement, dans ces cas , avec prudence, à l'aide d un courant 1. Deaooa
ptômes mêmes d'une maladie du muscle, ce qui est fréquent : dans ce cas , ou bien l'hypertrophie s'accompagne d'un affai
s sont excessives que quand elles sont insuffisantes ; or, dans ces cas l'hypertrophie ne se produit pas. Et, comme confi
ertrophie, avec ou sans atrophie des muscles voisins. Mais dans ces cas encore, il est probable que l'hypertrophie n'est
e membres paraissent porter avec prédilection sur la muscu- lature ( cas de Kalischer, etc.) : il s'agirait d'une hypertro
intra- utérine, mériteront d'être bien différenciés il l'avenir des cas plus fré- quents, soit d'hypertrophie congénita
t que le tissu interstitiel et sous-cutané. Enfin, on a signalé des cas exceptionnels d'hypertrophie musculaire congéni
ons fort tendance à croire que la limite est mal tranchée entre ces cas divers, qu'ils appartiennent à une même famille
rand nombre ou la totalité des faisceaux du muscle. Dans ce dernier cas , c'est la partie moyenne qui est typer- - troph
ant été constatée nettement, cliniquementetanatomiquemenl. dans les cas d'Erb, Barsikow, Westphal, Hitzig, etc. Cette r
paraissait ainsi parfaitement individualisée, el, en fait, dans les cas typiques, les thomséniens présentent un aspect
précé- dents. Talina. en 1802, a cru pouvoir réunir ces différents cas sous le non) de dystrophie musculaire hyperptas
usculaire hyperptastique ou de myopathie hyper- trophiante. Or, ces cas sont si profondément dissemblables qu'un tel gr
u nerveuses manifestes et les autres en sont exempts. - . Les dix cas signalés par Talma (1 cas d'Auerbach, 3 cas de Be
les autres en sont exempts. - . Les dix cas signalés par Talma (1 cas d'Auerbach, 3 cas de Berger, 2 cas de Friedreic
nt exempts. - . Les dix cas signalés par Talma (1 cas d'Auerbach, 3 cas de Berger, 2 cas de Friedreich, 1 cas de Krau,
es dix cas signalés par Talma (1 cas d'Auerbach, 3 cas de Berger, 2 cas de Friedreich, 1 cas de Krau, de Bruch, de Pall,
ar Talma (1 cas d'Auerbach, 3 cas de Berger, 2 cas de Friedreich, 1 cas de Krau, de Bruch, de Pall, de et un .certain n
cas de Krau, de Bruch, de Pall, de et un .certain nombre d'autres ( cas de Lesage, Anncquin, lienedici., Filliln, Bress
ntrent tout d'abord dans l'un des groupes précédents. Ainsi dans le cas de Pall il y avait une hypertrophie unilatérale
gissait vraisemblablement d'une hypertrophie fonctionnelle. Dans un cas de Friedreich et dans le cas de Bressler, il y av
ne hypertrophie fonctionnelle. Dans un cas de Friedreich et dans le cas de Bressler, il y avait une atrophie de certain
rtro- phie. De plus, fait intéressant, dans la presque totalité des cas , on trouvait à l'origine des accidents une fièv
fluence sur la détermination des lésions des artères ou des veines ( cas de Lesage, Berger, Cerné, Babinski, etc.); cette
diminuée; elle ne serait jamais exagérée (Darkschewitsch) ; en tout cas , elle n'est pas proportionnée à la force de la
des troubles de la sensibilité objective ou subjective. Dans les cas exceptionnels où l'on a pu faire un examen histol
- nelles (Berger, etc.). Nous avons. dit d'ailleurs que, dans les cas 1 d'hypertro- phie fonctionnelle, il existe pre
hypertrophie des muscles. On a signalé aussi dans certains de ces cas un oedème interstitiel prononcé, et il est prob
gmenta- tion de volume des muscles. 5° Enfin, dans quelques rares cas il semble bien s'agir d'une hypertrophie musc
- sation. Encore y a-t-il à faire de grandes différences dans ces cas non encore clas- sés. Certains, en effet, sembl
non encore clas- sés. Certains, en effet, semblent con- génitaux ( cas de Bruch, de Durante), la plupart sont acquis s
ich), soit dans rage adulte (Talma, I'nlcla). Dans presque tous ces cas , l'hypertrophie était limitée à un membre (Auer
is aux deux membres inférieurs (Friedreich) ; ce n'est que dans des cas très rares, comme ceux de Krau, de Talma, que l
généralisée, gagnant successivement les quatre membres; c'est à ces cas d'hyper- myotrophie progressive seuls que convi
l'interprétation pathogé- z nique de ces faits, car Talma, dans son cas , a constaté des lésions mani- [A. LÉRI. ] Fig
rbach a noté qu'il n'y avait pas de multiplication des noyaux : son cas est aussi le seul qui se soit terminé par une gii
héorie ait été discutée, il ne semble pas y avoir jusqu'ici un seul cas authentique d'ataxie tabétique oit l'on puisse af
n'existait pas de trouble de la sensibilité objective; les quelques cas cités autrefois sont sujets à caution, car les
is leurs variétés, mais en notant dès maintenant que, en dehors des cas où ils sont nettement caractérisés et isolés, il
lleuses. Nous réserverons pour la fin de ce chapitre l'étude de ces cas complexes, encore en partie insuffisamment étudié
que aucun signe de tabès, parfois même pas le signe de V'esl- phal ( cas de « tabes-cécité »). Parfois l'incoordination es
inime (légère incoordination des membres su- périeurs dans quelques cas de pellagre par exemple) : nous éliminerons don
s quelques cas de pellagre par exemple) : nous éliminerons donc ces cas . Enfin, d'autres infections ou intoxications ex
ou prédisposante, de la grande majorité ou même de la totalité des cas de tabes vrai. Elle provoque encore l'ataxie en
e l'ataxie en produisant différentes scléroses combinées : dans ces cas , tantôt l'ataxie prédomine, associée aux différ
a genèse de la sclérose tabétique des cordons postérieurs); dans ce cas , les symptômes oculaires font défaut, et le table
s symptômes de sclérose des cordons postérieurs : il s'agit dans ce cas , pour certains auteurs, de symptômes tabétiformes
'ataxie du membre supérieur du côté de la lésion. Dana a signalé un cas d'ataxie aiguë par lésion bulbaire. 5. Ataxie
). L'héntia.taxie existe, à un degré plus ou moins accusé, dans des cas d'hémiplégie avec hémiancsthésie ; elle ne se r
'hémiplégie avec hémiancsthésie ; elle ne se rencontre que dans les cas où la sensibilité est affectée à un degré quelc
IDliN;T IONS.. - ~ vent de façon très rapide (ataxie aiguë dans les cas de Leyden, Westphal, Dinkler, etc.) L'iiémiat
ue, attribuent la conservation relative de la coordination dans les cas d'altération des voies sensitives cérébrales à la
cérébrale infantile; Boucaud en a cependant récemment rapporte deux cas . 6. Ataxie par intoxication aiguë du système ne
raie asynergie cérébelleuse n'ont pas été encore étu- diés dans ces cas : la place que nous leur donnons dans ce chapitre
du cervelet, et les observations où il a été signalé concernent des cas où une tumeur, par son volume ou sa situation,
ur, par son volume ou sa situation, comprimait les organes voisins ( cas de Probst et Wieg, de Donath, de Sabrazès ctCab
ler » son tronc sur ses cuisses et ses pieds sur le sol. Dans les cas peu accentués, il peut se maintenir ainsi quelq
nir ainsi quelques instants sans bouger, mais dans la plupart des cas , le corps et la tête oscillent alternativement
t, on fait exécuter un mouvement aux membres supérieurs. Dans les cas plus accentués, le malade ne peut se tenir de
llement pourtant on l'a vu persister. Par exemple, Tollemer cite le cas d'un enfant qui ne pouvait rester assis qu'appuyé
ation cérébelleuse est le phénomène le plus apparent dans nombre de cas de lésions du cervelet : c'est un phénomène fréqu
hénomène fréquent. Il est loin pourtant de s'observer dans tous les cas de lésions du cervelet : d'après les recherches
utes les altérations du vermis ne la produisent-elles pas; dans les cas de Gintrac, Gribbon, etc.. des tumeurs du vermis
synergie », qui est fréquente. Comme c'esl l'examen approfondi d'un cas de grande asynergie qui a d'abord conduit Babin
ent de déceler l'asynergie cérébelleuse et de reconnaître, dans des cas plus ou moins frustes, l'origine cérébelleuse d
pouvant faire défaut, tous se trouvant d'ordinaire réunis dans les cas les plus nets; c'est donc par la recherche attent
de l'asynergie est symptomatique de tumeurs du cervelet : dans ces cas , qui sont beaucoup plus riches en symptômes que
istence de ce caractère commun, mais encore parce qu'on observe des cas intermédiaires entre elles, et que c'est surtout
ements isolés des membres inférieurs ont présenté, dans plu- sieurs cas où nous les avons examinés, une asynergie modérée
axiques des mus- cles de l'oeil; la présence dans près du tiers des cas d'une atrophie optique présentant il peu près l
ma- lions du pied ou de la colonne vertébrale. Mais il existe des cas intermédiaires (Seeligmiiller. Hrb, Menxef, Col-
alytique et une forme ataxique. En réalité, il s'agit dans les deux cas d'une paralysie de cause fonctionnelle, qui, co
sies - ~" bulbaires, symptômes bulbaires (glycosurie, etc.). 111. Cas intermédiaires et mixtes : groupe des maladies hé
exécuter sans regarder ses mem- hres. Dans la presque totalité des cas , les tabétiques aveugles ne sont pas réétlucali
de la physiologie des mouvements, qu'il sache apprécier dans chaque cas le siège et le degré des troubles sensitifs, la
émarche, complication en géné- ral superflue et qui ne doit en tout cas servir qu'a parfaire le traitement. Les exercic
ore trop compliqués quand il s'agit d'ataxie très avancée : dans ce cas il faut au début limiter les mouvements à une s
es inférieurs au lit : leur utilité est très contestable et en tout cas très restreinte. En voici quelques-uns : Une ja
: il doit être lente il une période avancée de la cure ou dans les cas d'ataxie faible, avec rampe d'abord, puis sans
osition assise; mais ceux-ci ne sont vraiment indiqués que dans des cas bien déterminés. Par exemple, quand le malade p
urs : l'hémiplégie croisée fait défaut. 11 est d'abord une série de cas où le trouble bulbaire porte exclusivement sur
ections aiguës ou intoxications alimentaires. Dans ces diffé- rents cas , l'hémiplégie du type bulbaire précédemment indiv
lutive de la sclé- rose latérale amyolrophique. Dans ces différents cas , et plus spécia- lement dans la maladie de Char
trictement bulbaires, mais plutôt 17u117o-l7rotuJérantiels. En tout cas , on note une hémiplégie de type spécial, à moins
r- culeuse ou un anévrisme. Le complexus symptomatique est dans ces cas particulièrement étendu. Aux divers accidents b
syndrome bulbaire, ou lui succéder, ou le précéder. Dans ce dernier cas se déroule le tableau d'une tumeur encéphalique
est soudain abrégée par des accidents bulbaires aigus. En d'autres cas , ce sont les phénomènes cérébelleux qui prédomine
romes observés sont alors d'une rare complexité : Brissaud, dans un cas de tuberculose, note une paralysie faciale droite
sse les sons, les émet parfois avec une brusque explosion. Dans les cas les plus favorables, on peut comprendre encore à
r la plupart des autres. Le débit est toujours monotone. Dans les cas les plus intenses, l'anar- thrie paralytique es
le malade succombant à quelque accident intercurrent. Dans d'autres cas , de nou- veaux ictus surviennent : le malade pe
les des réactions électriques. Il peut à dire vrai se présenter des cas à symptômes intermédiaires d'une difléren- ciat
thrie étudiée. On se souviendra que le diagnostic doit s'appuyer en cas de doute sur l'existence ou l'absence de phénom
es par le pseudo-hul- haire, qui ne peut plus parler. Dans certains cas , évidemment complexes, il peut y avoir juxtapos
l'homme soit pris au- dessus de 40 ans. On a cependant signalé des cas où la maladie s'est montrée familiale, congénit
s manifestations asthéniques ; elles coïncident .généralement en ce cas avec des phénomènes généraux accusés tels qu'am
l'intérêt des examens du sang : Raymond a rencontré dans plusieurs cas de syndrome d'Erb-Gold- flam une anémie avec le
voir pendant quelque temps une allure monosymptomatique. En de tels cas , il faudrait savoir se prémunir contre un diagn
es très courtes, passagères, définitivement curables. Dans certains cas (méningite tuberculeuse), la convulsion est rem
des affections le plus souvent très sérieuses et qui, dans quelques cas (urémie, éclampsie), peuvent nécessiter une thé
enteuses (opium, belladone, santonine, etc.). Il va de soi qu'en ce cas on supprimera tout médicament. Cliniquement, le
gique des convulsions est tantôt facile, tantôt très difficile. Les cas faciles sont ceux dans lesquels cer- taines cir
urnine à forme convulsive), s'accompagnant de trismus; on a dans ce cas , pour servir au diagnostic, les commémoratifs et,
i ont ou qui viennent d'avoir des convulsions généralisées. Dans ce cas , le diagnostic ne devra par s'égarer. En examin
miclueferont pencher en faveur de la méningite cérébro-spinale. En cas de doute, il faut recourir à l'examen cytologiq
d'Argyll-Robertson, etc. On pourra rencontrer quelquefois aussi des cas de méningite chronique, un hématome. Terminon
psie pleurale diaque, nasale, etc.). ' Nous venons d'énumérer les cas où le diagnostic étiologique des con- vulsions
liniques où le praticien pourra être fort embarrassé. Dans certains cas , très graves, cela ne sera que de peu d'importanc
fficile de différencier les deux états; peu importe. Mais voici des cas où il faudra faire un diagnostic précis. Des
op rarement à temps pour voir la crise et qu'il doit, dans bien des cas , se contenter de la description que lui a fait
e : il présentera les stigmates de la dégénérescence, dans certains cas ; presque toujours des cicatrices ou des ecchymose
epsie peuvent coexister chez le même malade et qu'il faudra dans ce cas chose sou- vent malaisée faire le départ de ce
el- quefois très faible, le malade ne s'en aperçoit pas, tel est le cas du tremblement alcoolique; il faut alors user d
bras, le tremblement s'exagère dans l'autre bras. Mais, à part ces cas oir TREMBLEMENTS 83. l'intensité du trembleme
TREMBLEMENTS 83. l'intensité du tremblement est minime, il est des cas oil l'intensité est telle qu'elle empêche presq
tonnière dans le spasme facial (Babinski). Cependant, dans certains cas , le tremblement peut avoir des rapports avec d'
aller jusqu'à penser que le, tremblement simple peut, dans certains cas , se transformer en mouvement arythmique choréifor
rs de tout état pathologique, un trem- blement dans 40 pour 100 des cas . Ce tremblement ne différait du reste ni du tre
tremblement est transitoire ou s'il est permanent : dans le second cas il y a lieu de passer en revue les affections cér
que l'exagération du trem- blement physiologique, ou. dans certains cas , l'exagération d'un trem- blement pathologique
ts du corps. Les mouvements du tronc et de la tète peuvent, dans ce cas rendre difficiles les mouvements du corps : c'e
rgie produite par une lésion cérébelleuse protuberantielle. Dans le cas de Babinski (Société de Neurologie, 7 février 1
particulier dans l'état de raideur des membres inférieurs; dans ces cas cependant le rythme est plus irrégulier que dan
tremble donc pas dans la maladie de Parkinson dans la majorité des cas . Cependant Fred. Peterson (New- Y o1'k Médical
ts parkinsoniens symptomatiques d'une tumeur du pédoncule cérébral ( cas de Bloch et Marinesco, Société de Biologie, mai
e forme parkinsonienne 1)('1" 011 posl-hémi plégiques. Il est des cas où ce tremblement parkinsonien était provoqué par
emblement parkinsonien était provoqué par l'hystérie, tels sont les cas de Charcot, de Grandlllaison, de Boinet, etc. E
e Parkinson, on peut observer des formes aty- piques, tels sont les cas des tremblements unilatéraux de la maladie de P
s qui ne l'intéressent pas habituellement. Nous avons déjà vu les cas de Pelerson où le tremblement siégeait au nivea
remblement siégeait au niveau de la tète. Collet a signalé d'autres cas où le tremblement inté- resse la face, la langu
ange en 4 groupes les tremblements parkinsoniens anormaux : 1° Le cas où le tremblement s'étend il des parties du corps
arties du corps qui ne l'intéressent pas habituellement : , 2" Le cas où le tremblement est unilatéral; 5° Le cas où
ituellement : , 2" Le cas où le tremblement est unilatéral; 5° Le cas où le tremblement bi-latéral d'abord devient unil
lement bi-latéral d'abord devient unilatéral dans la suite; 4" Le cas de maladie de Parkinson sans tremblement. Tremb
tremble- ment existe d'une façon à peu près constante dans certains cas , son intensité est des plus variables, tantôt i
rmerod, Germain. Sée, Chambard et Hornolle. Cependant dans quelques cas , le tremblement peut avoir des rapports avec d'au
plusieurs mois, quelquefois pendant plusieurs années. Dans certains cas , le tremblement se montre par accès suivis d'une
seu- lement à l'occasion des mouvements volontaires; dans d'autres cas , il persiste à l'état de repos. , - ' - Enfin
présentent avec 1/2 à 7 )/2 oscillations par seconde : ce sont les cas les plus nombreux qui revêtent cette forme, comme
e symptôme hystérique simulateur de celte allée ! ion comme dans le cas de Souques cité par Dutil; c'est la recherche d
emblement sénile, quelquefois la paralysie agitante, comme dans les cas de Rendu, d'Oppcnheim. [CROUZON.] 846 TREMBLE
lards, le tremblement sénile est du reste héréditaire dans certains cas (Démange, Thébauit, Boiircai-el). Le tremblemen
des qui présentent une lourde hérédité névropathique, tels sont les cas de Langenhagen, de Pelizaeus et Achard. Tremble
s il se généralise et s'étend aux muscles de la face. dans quelques cas rares, il peut être assimilé a la paralysie agita
ement mer- curiel et qui disait que le tremblement observé dans les cas d'intoxi- cation mcrcurielle était toujours un
aiblie jusqu'à la paralysie complète. D'autre part, dans certains cas , l'exagération des mouvements peut entraîner un
de céphalo-mchidien a été étudié dans la chorée, et à part quelques cas où l'on a constaté la lymphocytose (Sicard, Babon
CcaovzoN. 852 - CHORÉES. ' l'état de mal choréique; dans certains cas , l'apparition de la température fait disparaîtr
enir une hémorragie cérébrale, une embolie cérébrale comme dans les cas de Simon et Crouzon où une hémiplégie droite paru
e de Paris, 1885), mais, à côté de ces troubles, il existe d'autres cas , où la paralysie domine la scène et dans laquelle
à peine manifestes et quelquefois peuvent être manifestes, dans ce cas le malade peut être pris pour un para- lytique,
e distincte de la forme moyenne que nous avons décrite, ce sont les cas des chorées graves qui se terminent par le synd
lévrier 1904. DvvnAXDE. Thèse de Paris, 1905. ' . - CHORÉES. 855 cas peut se produire de la façon suivante : dans les
évolution dentaire (Legay). On a décrit une chorée congénitale, les cas qui ont été observés sont exceptionnels et même
alement par II. Roger et elle semble contestable dans la moitié des cas ; toutefois cette opinion est mise en doute, com
Ainsi donc, si la nature de la chorée est expliquée dans nombre de cas par les rhumatismes ou par une infection, cepen
ussi qu'à côté de la chorée relevant d'une infection, il existe des cas où cette mala- die est d'origine nerveuse et se
ombre de faits s'accordent du reste avec cette théorie, ce sont les cas d'hérédité similaire. Quoiqu'ils aient été contes
ons sur les réflexes du tendon d'Achille dans plus de la moitié des cas de chorée, dans le reste des cas les . réflexes
Achille dans plus de la moitié des cas de chorée, dans le reste des cas les . réflexes du tendon d'Achille étaient moin
peu atteint, on verra cependant apparaître la fièvre dans quelques cas , elle est alors le plus souvent symptomatique d
e gravité ou en dehors de toute localisation splanchnique, dans ces cas .on peut observer la disparition des convulsion
éder à la chorée vulgaire que nous venons de décrire, comme dans le cas de Daddi Sylvestrini (La Settimana medica, juil
ie cérébrale pouvant amener l'hémiplégie et l'aphasie comme dans le cas de L. G. Simon et Crouzon. On peut observer aus
'1'an, les com- plications cardiaques existent dans 18 pour 100 des cas de chorée; dans '9 pouf 100 l'endocardite et la
considérable, puisqu'il décrit les lésions cardiaques dans 2/3 des cas de chorée, c'est surtout de 7 à 8 ans que l'on
ins (Société médicale des Hôpitaux, avril 1904) ont même observé un cas de péricardite hémorragique chez un choréique anc
cidive nouvelle. La maladie peut passer il Létal chronique dans des cas exceptionnels : un malade de, Pierre Marie et C
nse de Saint-Guy, elle ne 's'observe que dans 2 à 2 12 pour 100 des cas . et elle se produit alors par état de mal ou ép
produit alors par état de mal ou épuisement nerveux, comme dans le cas de Barié pal' arrêt diastolique du ('OEIlI' 011
rrêt diastolique du ('OEIlI' 011 par infection comme dans plusieurs cas de Guzelli et Guirdorossi où 1 infection était
orée de Sydenham, il en existe quelques rares exemples, ce sont les cas de Wilks (Reports of Hospital Pratice in Médecine
de Wilks (Reports of Hospital Pratice in Médecine and Sw'ge1'y); le cas de Landouzy (Société de Biologie, 31 mai 1875); l
w'ge1'y); le cas de Landouzy (Société de Biologie, 31 mai 1875); le cas de Solié, le cas deMackensie (British Medical J
de Landouzy (Société de Biologie, 31 mai 1875); le cas de Solié, le cas deMackensie (British Medical Journal, 1887); le c
as de Solié, le cas deMackensie (British Medical Journal, 1887); le cas de Pritchard (lYledicizzallVews, 1896, Goodccal
Nattau- Larrier et Crouzon (Tribune 'médicale, 1905). Souvent ces cas peuvent être du reste des cas de chorée récidivan
Tribune 'médicale, 1905). Souvent ces cas peuvent être du reste des cas de chorée récidivante chez l'adulte (Ziehen) ;
n'ayant eu ni rhumatisme, ni chorée de l'enfance, cependant, sur 15 cas delà Thèse de Gentin (1899), la chorée a récidivé
grossesse. Elle a fait l'objet de nombreux travaux et de nom- breux cas ont été mentionnés (Mastié, Thèse de Lyon, 1898-9
efois la mort peut survenir par état de mal choréique comme dans le cas c.lc l3echtorell' (Réunion scientifique des mal
hement prématuré sont fréquents et s'observent dans 50 pour 10U des cas , et on observe 10 pour J 00 de mortalité infant
uliers et contradictoires, et c'est cette parenté qui dans certains cas a parmis de fonder l'interprétation qui rattache
dans lesquelles se trouvent l'héré- dité similaire sont nombreuses ( Cas de Peretti, de Huit, d'Orméa, de Marckay, de Cl
eut se faire à la suite d'atteintes successives de chorée vulgaire ( cas . de Dutil et de Huct), le plus souvent le début
non héréditaire peut durer un grand nombre d'années, comme dans le cas déjà mentionné de Pierre Marie et Crouzon où le
'autres affections nerveuses : la maladie des tics connue, dans des cas signalés par Lemoine et Raymond, L'apoplexie, l
nts entraînent le déplacement des membres dans un certain nombre de cas , quelquefois cependant la contraction est insuf
rée est indéfinie ; il existe cependant dans un cer- tain nombre de cas une tendance il l'amélioration ou à la guérison.
s auteurs pensent qu'elle est de nature hysté- rique, tels sont les cas d'Ingelrans (Echo médical du Nord, -1 ! )0), ll
t rapprochées l'une de l'autre; elles sont localisées dans certains cas , mais le plus souvent, elles atteignent l'ensembl
et la température, s'élève. La mort survient dans 90 pour. 100 des cas d'après Blanchi. CHORÉE FIBRILLAIRE DE MORVÀN
et par la suite aux muscles des membres supérieurs : dans tous les cas , les muscles du cou et de la face sont respectés.
s qui sont très analogues au paramyoclonus multiplex. Dans quelques cas les con- vulsions épileptiformes persistent, el
ic et Porot ont observé la myoclonie associée à la myotonie dans un cas de sclérose en plaques fruste. Paviot et Nové-Jos
que. La myoclonie était un phénomène prémonitoire des accès dans un cas de folie intermittente (Rogues de Fursac et Cap
rophiques qui peut être héréditaire et familiale : dans un de leurs cas , il y avait association de glycosurie et de crise
lonie familiale du type Unverricht, et, d'autre part, il existe des cas où les myoclonies peuvent, non pas suivre les a
ée ne s'accompagne pas de raideurs musculaires cependant il est des cas où les mouvements peuvent revêtir les caractères
tères athétosiques à la face et choréiques aux membres, c'est à des cas de ce genre que Brissaud a donné le nom d'athét
sions infectieuses, tantôt une affection caractérisée comme dans le cas d'Ollivier, tantôt une affection indéterminée à l
peut amener ]'éclosion d'une tuberculose pulmonaire; dans d'autres- cas le malade sera exposé aux complications du décu
sont superposés à l'llimui- 1 ¡]¡"gi l' , ' Enfin, dans certains cas , on trouve dans t'hemichoree la même asso- ciat
généralement par accès, de nombre et de durée variables suivant les cas et suivant les moments. Dans chacun de ces accès
s jeunes enfants (jusqu'à 5 ans) ; dans la très grande majorité des cas ils débutent dans l'enfance ou l'adolescence, d
geste, normal et le tic, il y a « une période 1. Cruciif.t. Sur un cas de tic de la lèle, et. du U'onc n'existant que pe
., Bordeaux, 1904. Tics et sommeil. Presse l/léd.,1 -lu0a. Sur deux cas de lies eonvulsifs persistant dans le sommeil. So
ns du corps qui avoisinent les premières régions affectées. En tout cas , les muscles nouvellement atteints ne le sont p
sur l'ensemble des facultés, comme chez les idiots. Ce n'est pas le cas pour les tiqueurs simples : chez ceux-ci le troub
on plus par insuffisance, mais par excès au moins apparent, en tout cas inopportun, se manifeste chez beaucoup de lique
morbide. Revue de médecine, 1 ! 1112.) 1. De. plus, dans ces mêmes cas , on observe une intensité anormale des images m
uvent aussi à la peur de rougir, à l'éreutophoble (Régis) : dans un cas comme dans l'autre, des gestes destinés à dissimu
s, exagéra- tion unilatérale du réflexe triripital. dans différents cas de tics Ioniques du cou, de torticolis mentaux,
cs Ioniques du cou, de torticolis mentaux, croit que, dans certains cas au moins, les tics ne sont pas d'origine mental
2. 2. G. Guixon. Tic in Dicl. J)eI'fUlmb¡'e. 5. Ijabixski. Sur un cas d'hémispasme (Contrih. il l'élude de la palhogéni
Brissaud soit réellement d'origine psychique. Il a relaté plusieurs cas de spasme du cou ayant un aspect clinique ident
t particulièrement rebelle à toute espèce de traitement, et en tout cas il la rééducation de la volonté, il est parfois
ec les tics qu'il son début ou surtout il son déclin; dans les deux cas il s'agit le plus souvent d'enfants et de déséq
du paramyoclonus multiplex de Friedreich répond, en réalité, à des cas disparates de tics, de chorées et de lésions cé
usseau, Frenkel ; Brissaud l'appliqua régulièrement depuis 1895 aux cas de torticolis mentaux d'abord, puis à tous les ti
de déclamer ou de compter à haute voix suffit dans un bon nombre de cas pour suspendre les tics tant que dure l'expérie
ouches tièdes, etc., pourront être employés avec avantage. Dans des cas anciens ou violents, l'isolement pourra être ut
pas une cause organique quelconque, restent partisans dans certains cas d'une tenta- tive opératoire, particulièrement
que les réactions motrices elles-mêmes. Dans la grande majorité des cas , le début est lent et progressif, on ne peut di
SSIONNELLES. ils ne songent plus à l'acte même d'écrire, et dans ce cas il n'est pas exceptionnel qu'ils puissent écrir
s troubles psychiques sont plus ou moins apparents; dans cer- tains cas , les troubles moteurs apparaissent nettement comm
rouble mental, parfois au début d'une vésanie ; dans la plupart des cas , une recherche systématique des stigmates psychiq
aractères on peut dire que les crampes fonctionnelles sont dans ces cas de véritables lies, on les a justement dénommées
o- gne, de Quervain (2), Meige et Fcindel ("), Pitres (j) ; dans le cas de Meige et Feindel le torticolis ne se montrai
e torticolis ne se montrait qu'en même temps que la crampe; dans le cas d'Andral. le malade était atteint de torticolis e
es-unes qu'une action Inhibitrice à peu près nulle. Dans quelques cas , on a constaté de la douleur, spontanée ou à la p
ent une excitabilité électrique notablement exagérée. Dans d'autres cas , il y a des troubles vaso-moteurs plus ou moins n
rescence physique dont la crampe serait un stigmate mental (dans le cas de. Brissaud, Haillon et Meige, l'acrocyanose e
cette hypothèse pathogénique à l'ensemble des faits ; dans certains cas , la crampe avait été précédée de lésions trauma
sion, périostite, etc.), souvent encore en évolution; dans d'autres cas , on peut constater des lésions évidentes de név
e de certains vaisseaux (Vigoureux) ; enfin P. Bonnier a observé un cas de crampe professionnelle symptomatique du mal de
et améliorable par le régime lacté, et nous-même avons constaté un cas analogue. - Il nous semble donc bien que, dan
analogue. - Il nous semble donc bien que, dans la plupart de ces cas , il faut incri- miner une altération organique,
due à une endartérite oblitérante incomplète ; dans certains de ces cas , Joffroy et Achard, Dutil et Lamy ont constaté de
vité par suite d'un déséquilibre psychique congénital, clans d'autres cas elle reconnaît pour cause une lésion. véritable
tent une place à part. - ÉTUDE CLINIQUE ET PATHOGÉNIQUE. flou les cas , le pronostic et les indications thérapeutiques p
les indications thérapeutiques pourront être diffé- rents, mais ces cas sont encore d'ordinaire fort malaisés à différenc
- tions sont des palliatifs souvent recommandabies. Dans certains cas seulement, des lésions locales, traumatismes, pér
ions donnent lieu il des indications particulières. Dans tous les cas . le repos fonctionnel serait théoriquement à cons
blissement inté- gral de la fonction troublée. Dans la majorité des cas , le seul traitement vraiment t eflicace est Inr
ylographes succède par- fois il la crampe des écrivains. Il est des cas où, de par son déséquilibre psychique, le malad
souvent comateux, inconscient ou semi-conscient. 11 présente, en ce cas , un état psychique particulier, une passivité san
nnel peuvent la provoquer. On est à même de constater en ce dernier cas , il faut bien le dire, une culture et une éducati
t liée à l'abolition des réflexes, cependant, on a signalé quelques cas où elle a coïncidé avec une conservation com- p
cle Pott (Dcjerinc) ; dans la syringomyélie (De je- rine); dans un cas de vertige labY1'inthique (Egger); dans la 111yaf
prédomine aux doigts, avons-nous dit; elle ne dépasse guère en tout cas la face dorsale de la main ou du pied. On l'obs
t en apparence. On a, justement semble-t-il, incriminé dans ces cas quelque dystrophie glandulaire. Il convient
de forte taille ? Nous ne saurions 1 affirmer. 11 s'agit là en tout cas d'une maladie autonome plus intéres- sante pour
u syndrome isolé par flaynaud. On la rencontre encore dans quelques cas de névrite et chez les syringomyéliques : nous
ion massive de gaz délétères : on sait qu'il peut se produire en ce cas des hémorragies intenses et bilatérales dans les
bilatérales dans les corps striés. Mais en dehors de ces différents cas , il faut porter avec la plus grande réserve le
e substance ne guérit pas spontanément et vite. On pourra aussi, le cas échéant, ménager une 1 TROUBLES TROPHIQUES. 9
es subjectifs au niveau de la plaque; ces phénomènes consistent, le cas échéant, soit en brûlures, soit en démangeaison
niveau de la peau mais encore des muqueuses. Il peut éclater en ce cas des accidents menaçants d'oedème aigu du pou- m
gues s'ob- servent dans la paralysie infantile. * , Dans certains cas , l'adipose est encore diffuse, mais asymétrique
tion dif- fuse, tantôt' une infiltration nodulaire. Dans ce dernier cas , on a en somme affaire à des li- pomes de vol
nts peuvent être multiples ; ils sont fréquemment symétriques en ce cas . Le traitement de cette affection commune est s
epos au lit, les pansements guérissent les ulcérations légères; aux cas plus graves seront réservés le traitement par la
aux méninges et la mort est d'ordinaire le. prompt aboutissant des cas les plus graves. L'évolution peut se faire en q
uestres et destructions osseuses. Ces lésions sont à distinguer des cas où l'atrophie osseuse, sans lésion des tégu- me
les, du côté malade chez les hémiplégiques. Elle peut en ce dernier cas inté- resser une moitié de la barbe. On a pu ég
olume de l'os, et surtout d'arrêt de développement. 11 y a dans ces cas non seulement atrophie de squelette, mais réducti
tho- rax en bateau de cette dernière affection . Dans certains cas , à la suite de trauma- tismes, de brùlures
tion est des plus simples à diagnostiquer, tout au moins dans les cas typiques, pu bien si l'on veut, à la période d'
orption des tètes osseuses. : Fig. IG - Iléinialropliie faciale . cas de Romberg ; (d'après Brissaud). TROUBLES TROPH
à une très grande distance de l'arti- culation. En d'au- tres cas , l'épanche- ment articulaire fait défaut, l'a
[F. MOUTIER.] Fig. 17. Double arthropathie tabétique du.genou ( cas de Glorieux et Van Gehuchten). 95 2 TROUBLES TR
d'autres par- Fig. 18. Arthropathies tabétiques des deux épaules ( cas de Souques et J. B. Clarcotl. Fig. 1'.). - Arll
certain nombre de maladies nerveuses ; elle peut être dans certains cas une complication infectieuse de ces maladies ner-
ieuse de ces maladies ner- veuses, telle la fièvre urinaire dans le cas d'infections vésicales, mais il est des cas où
fièvre urinaire dans le cas d'infections vésicales, mais il est des cas où la fièvre est due probablement à une altératio
ormal ou bien s'élève encore. L'élévation de la température dans ce cas a un pronostic extrêmement grave, elle indique un
Fou 2". Klippel et Weill ont observé l'hypertherinie locale dans un cas de mala- die osseuse de Pagel unilatérale. La
associée à la chorée, particulièrement de la chorée grave; dans ces cas , nous avons vu que l'apparition de la températu
st plus rare que i hyperthermie, elle a été constatée dans certains cas : dans l'encéphalite chronique de l'enfance en
veux locaux, elle s'observe au cours de sections nerveuses dans des cas de névrites périphériques ou dans l'llémiatroph
rant la sudation provoquée par une injection de pilocarpine dans un cas de paralysie faciale périphérique, a constaté un
suda- tion du côté paralysé. Ce phénomène ne s'observe que dans les cas graves. L'exagération de la sueur s'observe dan
L'exagération de la sueur s'observe dans un plus grand nombre de cas ; cette exagération s'appelle 1li ! lpe ? i(liose
Y éclaihpsie puerpérale (Chirié, Thèse deParis 1907), mais dans ces cas , elle n'est pas un symptôme de la maladie nerveus
OIRL,S. die de Parkinson, d'après Sicard et Cuillain, sauf dans les cas où il existe des lésions cardio-renates pouvant
émoptysies hysté- riques sont niées, on a pu observer dans certains cas des hémoptysies au cours du tabès liées à des c
l'hystérie sous forme d'or- thopnéc on de polypnée : mais dans ces cas , la dyspnée se produit sans cyanose et disparai
a pression artérielle. Cette tachycardie s'accompagne dans certains cas du reste de suffoca- tions, d'angine de poitrin
BRADYCARDIE Le pouls, au lieu d'être accéléré, peut, dans certains cas , être ralenti : c'est le pouls lent permanent o
s abdominales. Le pouls lent permanent, au contraire, en dehors des cas où il est dit à une lésion cardiaque, peut s'ob
et l'exercice exercent quelque influence dans un certain nombre de cas . Mais il est rare que la douleur cesse complèteme
e polyurie abondante survient après. On doit tenir pour suspect les cas où l'on découvre de l'albumine et surtout du pu
en est de même de l'hématurie, qui est signalée dans la moitié des cas ; toutefois, il semble bien que celle-ci puisse se
; toutefois, il semble bien que celle-ci puisse se montrer dans des cas de névralgie, vraie, par congestion intense de l'
ase rénale que la confusion se fait surtout; rappelons que dans ces cas la douleur, comme l'hématurie, est provoquée par
athiques. Le sulfate de quinine a donné des résultats dans quelques cas : le bro- mure, la valériane, réussissent égale
n doulou- reuse au moyen d'une ceinture élastique ou autre. En tout cas on évitera l'action du froid. Si peu rationne
dant donné des améliorations et des guérisons dans presque tous les cas ou elle a été pratiquée. Aussi, lorsque des név
int de vue thérapeutique, le traitement étant différent pour chaque cas ; il est fré- quent en particulier de voir des v
rée varie de quelques minutes à plusieurs jours : dans ces derniers cas , elles s'atténuent sans cesser complètement . D
e' à goutte, ce qui en imposé pour un rétrécissement. Dans certains cas , cette contraction prématurée du sphincter amèn
u cystoscope qui montrera une muqueuse vésicale absolument saine en cas de névralgie non compliquée, malgré des symptôm
reusement conduit, permet d'éviter l'erreur. Rappelons que dans les cas douteux et difficiles qui, il faut le reconnaît
s affections médullaires, et en particulier du tabès. Dans certains cas , une rétention incomplète s'établit et suffit p
lésions rénales (eaux minérales de lavage et traitement général, en cas de pyélite ou de lithiase simple, néphrolithotomi
rétention est aussi rare qu'est fréquente l'incontinence ; en tout cas elle est rarement de longue durée, lorsque l'in
urs, névralgies vésicales (roy. ce mot) ou autres; ils laissent, en cas contraire, le malade indillé- rcnt. Leur évolut
que, donnerait des signes certains. Quant au catheterisme, dans ces cas de rétention aiguë, il ne faut le pratiquer qu'av
écartées, l'introduit par petits coups. Dans l'immense majorité des cas on ne rencontre pas d'autre, résistance que cille
souvent qu'il sera nécessaire, et en , INCONTINENCES D'URINE. 955 cas de.difficulté d'introduction on laissera une sond
ermis de diagnostiquer l'épilepsie. L'incontinence est due, dans ce cas , il l'exagération de la contraction vésicale liée
1( plus souvent à la rétention; il semble qu'il s'agisse. dans ces cas d'un regorgement; l'infection est facile. Enf
nence vraie, l'issue de l'urine se fait différemment. Dans les deux cas , le malade est mouillé d'urine, mais dans' le p
ensables; nous les. avons expliquées ailleurs (voir rétention).. En cas de retenue de l'urine, le pronostic est relativ
t qu'on peut toujours espérer et qu'on obtient souvent.. Dans . les cas de miction involontaire un trai- tement local,
ssante dans les incontinences vraies qui sont, dans la majorité des cas , dues ;i une rétention incomplète. L'évacuation
ra par des lavages antiseptiques car l'infection est commune dans ces cas . Enfin, les injections épidurales dont les indi
ans douleur (Guyon), tandis que l'une et l'autre sont vives dans le cas d'excitabilité vésicale. Traitement. Les moyens
iel physiologique. Le nombre des injections varie de 2 il (>; en cas d'insuccès, il est inutile d'aller au delà. La
cependant avoir une foi absolue. 11 a réussi dans plusieurs autres cas d'incontinence, sans que la physiologie explique
action; la suggestion paraît avoir contribué au succès dans quelques cas . Un autre traitement chirurgical consiste (.lab
lques succès ont été publiés. Ces moyens conviennent seuls dans les cas d'incontinence psychopathi- que. Dans les autre
ostatiques, condition favorable au progrès de l'infection. Dans les cas graves, les malades sont condamnés au lü, décubit
ont produit des lésions sur les parois vésicales. Dans le pre- mier cas , il y a baclé}'Ïll1'ie simple qui est presque tou
ée produit une oblitération du col, où rétention complète. Dans ces cas , l'ascension aux voies supérieures est rapide et
. La guérison est parfois obtenue par l'évacuation simple, dans les cas de bactériurie légère par exemple. Ordinairemen
ations sur le col et dans la prostate sont indiquées, mais dans ces cas , le protargol à est préférable au nitrate d'argen
'oubliera pas enfin que la pyélile est toujours secondaire dans ces cas et il faudra en même temps soigner la vessie. I
celle-ci est par elle-même une cause de polyurie. qui dans certains cas n'est nullement de nature nerveuse, et cesse dès
e et la polydypsie en rapport avec la diurèse. La durée est dans ce cas indéfinie et atteint plusieurs années, jusqu'à
ladie du système, nerveux. Dans le tabès, dans le tétanos, dans des cas de compression médullaire on a vu la quantité d
la masse totale expulsée. Il en est de même des chlorures. Dans ces cas intenses, on observe souvent de la diarree, ou de
ue les injections abondantes de sérum artificiel. Enfin, dans les cas graves où la suppléance de l'élimination ne se fa
tre part une prolon- gation anormale de celles-ci ; dans le premier cas le priapisme s'accom- pagne d'une augmentation
e- ment prend parfois des proportions considérables. C'est dans ces cas que les douleurs de l'érection se manifestent;
la valériane; l'antipyrine, le pyraniidon ont réussi dans quelques cas . - t " " SPERMATORRÉE Nous désignerons ains
t de réplétion. 11 est rare qu'il s'agisse de spermatorrée dans ces cas , et la prostate est bien plus souvent en cause.
t vrai, chez des sujets névropathes. C'est ex- clusivement dans ces cas que l'existence d'une spermatorrée diurne paraî
ée comme adjuvant, mais elle n'a une réelle efficacité que dans les cas simples d'irritabilité nerveuse. . On établira
toute nature, vénériens et -surtout alcooliques : dans ces derniers cas , le dyspermatisme est tem- poraire. 1 . Sous
les maniaques se livrent avec rage à la masturbation : on cite des cas où cette habitude cesse quand les accès de déme
ralysie générale; toutefois, il y a lieu de rechercher si, dans ces cas , les lésions concomitantes du consécutives de la
nerveux qui président à l'érection sont seuls atteints ; et dans ces cas les sujets peuvent conserver des désirs et même
l'hémorragie est nulle ou minime. Le tabès est en cause eu de tels cas , et cette chute des dents peut être un accident
la cinquième paire, les lésions de l'oreille moyenne. Dans tous ces cas , les morsures involontaires de la l'ace interne
ane atteint. De très nombreuses lésions en foyer la déterminent. En cas de lésion protubérantielle inférieure, l'hémian
ent, par lésion du trijumeau, provoquer l'anesthésie. Dans tous ces cas , on doit lutter contre la cause, diriger le tra
est rarement localisé à un seul côté de la langue. On observe en ce cas des secousses fibrillaires, des mouvements vermic
ulbaire aiguë, lice le plus souvent à un foyer nécrotique. Dans ces cas , il est vrai, ainsi que dans les cas de tumeur
un foyer nécrotique. Dans ces cas, il est vrai, ainsi que dans les cas de tumeur du bulbe, les troubles sont souvent irr
lésions supra-bulbaires, bulbaires et périphériques. Dans tous ces cas une atrophie peu marquée se décèle en saisissant
ans la paralysie générale et la syphilis des rentres. Dans Ions ces cas la langue est déviée ou mieux poussée du l'été
yndrome protubérantiel de Milhird-Gubler, la langue peut, selon les cas , être déviée du côté de la face ou du côté des me
e éprouver des secousses non plus toniques, mais cloniques. Dans ce cas , tantôt elle est projetée violemment hors de la
même des mouvements désordonnés (paramyoclonies) . Dans quelques cas enfin, on observe au début de la parole une hésit
se rencontrer simplement sans autre altération organique : dans ces cas , il est indiqué d'explorer l'intelligence. L'id
ons nucléaires et les lésions péri- phériques, mais dans ce dernier cas aux accidents moteurs se superpo- sent des trou
dulte, le nasonnement de la voix frappe le clinicien; dans les deux cas , il y a ronflement pendant le som- mcil. le p e
est agrandi dans celle des palato- staphylins. Dans l'un et l'autre cas , il existe un reflux marqué des liquides par le
puisqu'elle s'observe, d'après Guerra-Coffioli, dans la moitié des cas environ chez l'homme normal. Les névralgies d
rangulation subjective. Le voile du palais et la langue peuvent, en cas de contracture pharyngienne, pré- senter égalem
dysphagïc inférieure. Le diagnostic en est aisé : en de semblables cas . la sonde passe toujours librement, il n'y a ja
spasmes disparaissent sans retour après un sondage décisif. En tout cas , le gavage, la persuasion et la suggestion, le
xophtalmique, la paralysie agitante, la rage même ; enfin, dans les cas plus délicats, avant de songer aux névroses, il c
epsies étaient d'ori- gine nerveuse ou organique, explicables en ce cas par une gastrite ou par un trouble du chimisme
. Ce vomissement en fusée peut être alimentaire ou bilieux; en tout cas il est peu abondant, mais se répète en général
ières. Soupault conseille d'examiner soi- gneusement lueil dans ces cas douteux afin d'y découvrir, le cas échéant, l'o
r soi- gneusement lueil dans ces cas douteux afin d'y découvrir, le cas échéant, l'oedème papillaire de si haute valeur
s'accompagne de nausées et d'un malaise général, plus tardif dans le cas contraire. Enfin, il existe une classe de perve
s observations anciennes, ou plutôt de leur interprétation. En tout cas . soit que l'on admette avec Gilles de La Touret
marquait, associé ou non à de la tension sus-ombili- cale. En tout cas , l'accès est spontané, sans aucun rapport avec l'
ins labéliques, elles reviennent beaucoup plus fréquemment. En tout cas , l'euphorie est 1'0111- plètc entre les crises;
nsation d'obnubilation improprement appelée vertige. C'est, en tout cas . une affection rare, très rare même, et Mathieu e
du reste réserver le diagnostic de vertige stomacal pour les seuls cas influencés nettement par une thérapeutique gast
avage de l'estomac. On prôné la gastrotomie temporaire en semblable cas . Une autre forme de gastro- plégie est réalisée
ion (voir plus bas), les autres de phénomènes dou- loureux. Dans ce cas l'entéralgie est généralement surajoutée à une cr
ion révélant un état mental. Le diagnostic est simple dans tous ces cas . Parfois il s'agit d'une idée fixe; tel l'hypo-
nir, devient la princi- pale préoccupation de la vie. Dans d'autres cas ,, l'oubli des usages sociaux devient complet, e
ces du tabès, il serait utile d'examiner les réflexes dans tous les cas de constipation rebelle avec paralysie du sphin
éristaltique de l'intestin. A l'heure actuelle, en présence de tels cas , il faudrait songer à quelque occlusion intestina
Eu général, la figure est bonne et le pouls régulier. Dans certains cas au contraire, l'allure clinique est exagérée, l'a
dissipe; souvent la malade s'endort, et l'on fait bien dans tous les cas de vérifier la sincérité de la mise en scène.
térations du plexus solaire intéres- sent l'intestin. Dans certains cas (syndrome de paralysie), il y a une diarrhée fé
l'a signalé en outre dans le tabès, la paralysie générale, dans un cas de gliome fusiforme de la substance grise de la
mes alors qu'il la période encore volontaire, pour ainsi l, Dans ce cas , l'anorexie est plutit secondaire. [F. MOUTIER.
effet, de simple hyperacidité gastrique dans l'immense majorité des cas . Faim défaillante (Benda-Ewald-Mathieu). Chaque
le rot gastrique par un bruit laryngé ou faux rot laryngé. Dans ce cas . le larynx ne subit pas l'ascension témoignant
e. Cet isolement sera absolu. Le malade ne reverra sa famille qu'en cas de progrès sensibles, ou mieux de guérison. Aut
ises dans les maladies organiques, il n'en est pas de même dans les cas qui nous occupent. On pourrait être tenté de l'
d'un cancer ou dévoré par un animal mystérieux. Mais, à coté de ces cas , il en est d'autres placés sur les limites de n
, la vessie est vide; dans celle-là, elle est pleine; dans les deux cas , l'urine coule sans cesse et goutte il goutte.
tinence lors des sections complètes de la moelle, rétention dans le cas contraire. Il convient cependant de tenir compt
e l'on ne peut toujours satisfaire à temps; mais, dans aucun de ces cas , on ne doit parler de gâtisme : Chez le vieilla
par cancer de l'intestin ou par entéro-colile chronique. Dans de tels cas , il arrive assez souvent que le malade ne puiss
érence et il la malpropreté du paralytique, il dépend en d'au- tres cas de ses idées délirantes, 'soit que le malade se s
ébrales amenant des iclus parfois répétés. Le gâtisme est, dans ces cas , normal et persistant. Mais, chez le vieillard, n
gâtent les maniaques. Le trouble est ici irréfléchi : dans d'autres cas , au contraire, il sera conscient et volon- tair
s, dont il détermine et aggrave les escarres. On peut dans certains cas , par persuasion, s'efforcer d'arrêter le gâtism
ter sur les doigts extrêmes ou sur ceux du milieu ; dans ce dernier cas elle détermine une variété de «pince de homard».
IN. elle est plus rarement congénitale qu'acquise ; dans ce dernier cas il s'agit de chiromégalie. . La syndactylie e
t ne trouver qu'une hyper- trophie limitée, à une main par exemple ( cas . d'Apert, Iconogr. delà Salpêtr. 1905). Ces hyp
au niveau des avant-bras et des bras. Quelquefois, surtout dans les cas d'acromégalie précoce, la main et les doigts s'
ur et en largeur ; elle parait par suite moins déformée que dans le cas précédent, c'est simplement une main « géante »
ence d'hypertrophie de la face et de la langue, distinguent en tout cas la chiromégalie de l'acromégalie. Le doigt hipp
ontre, peut-être aussi ostéo-arthropathic hypertrophiante; dans ces cas intermédiaires le diagnostic n'est pas tou- jou
léments étant essentiellement variables et pro- duisant suivant les cas , et dans le même cas suivant les articulations, d
ellement variables et pro- duisant suivant les cas, et dans le même cas suivant les articulations, des déformations trè
tions entre les 2e et 5° pha- langes, on constate également dans ce cas des nodosités entre les 1" et 2° phalanges [nod
étendue il la fois aux diaphyscs et aux épiphyses. Dans le premier cas les doigts sont monitiforlnes et d'aspect très
oigts sont monitiforlnes et d'aspect très spécial, dans le deuxième cas ils sont uni- formément épais et en baguettes d
ymétrie de la goutte ne sont pas des caractères constants. Dans les cas douteux, la radiographie peut rendre de grands
t et Carnier, Dc,jerine, llirallié, on pourrait l'observer dans des cas divers, hémiplégie, atrophie musculaire Aran-Du
, rendront le diagnostic facile pour peu (pion y pense ('). 1. Un cas de ce genre, que nous avons observé dans le servi
us guère que la maladie de Morvan soit une entité clinique; les cas doivent en être répartis entre deux maladies
s généralisée d'emblée, elle peut être progressive. Dans le premier cas elle envahit les mains comme la face. le tronc
épaissis (sclérodermie oedémateuse), puis effilés. Dans le deuxième cas elle débute très fréquemment par les extrémités
'un ou plusieurs doigts (sclérodermie annulaire d'un doigt, dans un cas de Miraull). La gangrène symétrique des extrémi
re 1. Nalbakdoff. Soc. de ncvrol. de OloscoTC, 18 ! ). 2. Dans un cas M. Ilallopcau n'a plus trouvé, pour représenter l
ar plaques, laissant des ulcérations superficielles ; dans les deux cas , il se forme des cicatrices irrégulières, blanc
usieurs reprises une nouvelle ulcération. Dans un certain nombre de cas , assez rares d'ailleurs, la gangrène s'étend jusq
s vicieuses de la main s'associent il un degré variable suivant les cas des atrophies musculaires, des para- lysies, de
à « main de squelette » ou « de cadavre ». Dans la plupart de ces cas ; tous les muscles sont également paralysés ; il
xa- gérant passivement, la flexion de la main on peut dans certains cas voir les doigts s'étendre et le poing s'ouvrir,
contracture hystérique cède et la main s'étend, à l'excep- tion des cas où il s'est fait des rétractions fibreuses. B)
fit/o°c ? ) ; encore le long supinatcurcst-il indemne dans quelques cas rares où le traumatisme a porté au-dessous de l'é
DU PIED. Le mal perforant est plantaire dans la grande majorité des cas , alors qu'on ne l'observe qu'exceptionnellement
cliniques. Les pieds-bots sont congénitaux ou acquis; dans les deux cas la forme la plus fréquente est le varus équin; da
ux cas la forme la plus fréquente est le varus équin; dans les deux cas ils peuvent être paralytiques ou spasmodiques.
ralytique plutôt que d'un pied-bot paralytique. ' En dehors de ce cas . la paralysie ou l'atrophie isolée de certains
s ou les déformations osseuses aient modifié l'aspect clinique. Les cas typiques s'observent dans les lésions traumatique
de la scissure ra- chidienne, faciliteront le diagnostic dans les cas de spina-hifida latent, où la tumeur fait défau
ies sous le nom de « syndrome de Little » que dans presque tous les cas de soi-disant maladie de Little on trouve une l
rieurs et les troubles intellectuels ne sont pas rares. Dans tous ces cas , le pied-bot est généralement un varus équin sp
vés par le sciatique }J'lplifé externe. Parfois dans ces différents cas on peut constater un équin varus pied-creux par
paralysie alcoolique en particulier, sa forme spasmodique dans des cas rares d'hémiplégie avec contracture, de l'adulte
grosses difficultés. Telle me- sure sera imprenable; dans tel autre cas , il lui faudra imaginer quelque hauteur nouvell
a imaginer quelque hauteur nouvelle à relever. L'essentiel, en tout cas , est d'indiquer soi- gneusement ses points de r
éries dont les chiffres extrêmes sont parfois fort éloignés; et tel cas qui parait très anormal peut l'être bien peu en
les tiges indicatrices mobiles, ce qui peut être utile en certains cas . On peut encore avoir besoin de lames de plomb
le peut n'être qu'une surface plane, un méplat quelquefois. En tout cas , de la glabelle comme point. fixe, en restant s
n peut avoir intérêt à le comparer d'autres D. transverses; en tout cas , les points extrêmes manquent un peu de précisi
e plus forte de la glabelle justifie la dolichocéphalic ou, en tout cas , la faiblesse relative de l'indice des sujets de
s indices obtenus à l'aide des mensurations sur le vivant. Dans ce - cas , en effet, il faut tenir compte de l'épaisseur de
56 en moyenne. Ces indices présentent de l'intérêt, soit. dans, les cas où il y a élargissement de la Fiv. 4. Points, d
E. ' -1060 base du crâne ou accroissement de la face, soit dans les cas d'anomalie de la voûte (hydrocéphalie : 1. dé-T
plus qu'à suivre au crayon la concavité de plomb. Ce sont dans les cas spéciaux seulement que les résultats obtenus pr
ur point d'implantation, il conviendra de ne point tenir compte, le cas échéant, d'une saillie anormale de gencives mal
; elles sont plus déli- rates' à prendre aussi ; et, ;du reste, les cas où elles seront nécessaires ou seulement utiles
omion à l'interstice huméro-radial. Enfin il est inutile, pour un cas unique, d'encombrer une observation de toutes l
men du sujet. On peut l'examiner debout ou couché; dans ce dernier cas , il faudrait une toise un peu spéciale. Admetto
conférences, on pourra se contenter de prendre celles -qui, dans le cas donne, présentent seules de l'intérêt. En général
t des complexus ayant une valeur symptomatique différente selon les cas , et ce chapitre s'efforcera de mettre le praticie
une taille élevée. Les fonctions génitales seraient normales en ce cas on a d'ailleurs signalé des infantiles de haute
u front olympien, d'accidents spécifiques éventuels. Il est en tout cas fort rare de l'observer ? INFANTILISME L'infa
euvent manquer complètement ou n'exister qu'au pubis. En ce dernier cas , ils affectent la disposition féminine, et ne g
plus haut). Souvent cependant, la taille est. normale, mais dans ce cas même, il est donné d'observer une dys- harmonie
ie des ovaires Il va sans dire que l'hérédité s'exerce en semblable cas par voie collaté- rale. Infantilisme type Lor
rapie appropriée fait disparaître. On a vu en même temps, dans un cas heureux, la taille s'accroître et la puberté se
robable que cette liste s'allongera encore. Dans ces dif- férents cas , répétons-le, l'infantile se rapproche plus ou
40 ans. L'arrêt trophique peut sur- venir dans le jeune âge : en ce cas , on se trouve en présence d'infantiles propreme
donner. Nanisme par anomalie des membres inférieurs. Dans de tels cas , le tronc et les membres supérieurs, la tête sont
oreilles en anse). . Hélix : exagéré ou- incomplet. Dans ce dernier cas , l'oreille peut n'être pas ourlée. Anthélix :
ette bizarrerie dont, à notre connaissance, il n'a été publié qu'un cas il ce jour. Rachis. Spina hifida. On sait que c
ymétries : un certain degré d'inégalité est habituel. Dans tous ces cas , il est indispensable d'examiner le coeur et les
é et instruit, son interrogatoire pourra, dans un certain nombre de cas , donner des renseignements suffisants. Quelquef
suite de l'ignorance ou de l'indifférence du sujet : c'est dans ces cas que la recherche des stigmates sera importante.
incubation de 15 à 50 jours après le contact suspect, dans certains cas cette notion sera suffisante pour per- mettre l
cicatrice nulle ou maculeuse ou légèrement pigmentaire, il est des cas où pendant des mois et des années après la cicatr
Examen de la peau. Les lésions de la peau peuvent, dans certains cas , coexister avec des lésions nerveuses à une pério
lésions nerveuses à une période avancée de la maladie, de nombreux cas ont été mentionnés. Nous nous contenterons de r
ses laissent en général peu de cicatrices; cependant, dans quelques cas , elles peuvent se reconnaitre après quelques mois
ré qui se trouve au centre de la zone pigmentée. 4° Dans certains cas , c'est une localisation particulière de la cicatr
zy, Gaucher) comme un témoignage certain de syphilis; dans tous les cas , elle est un indice qui doit conduire à recherc
est aussi un bon signe. L'examen des viscères pourra, dans certains cas . être instructif : le foie avec ses bosselures,
iens, capable de donner les plus pré- cieux renseignements dans les cas douteux : elle se rencontre en (,n'et non seule
es cas douteux : elle se rencontre en (,n'et non seulement dans les cas de syphilis récente, mais dans les cas de syphi
,n'et non seulement dans les cas de syphilis récente, mais dans les cas de syphilis très ancienne. Nous ne pouvons en
aites d'une façon intensive. Elle se rencontre également dans les cas de syphilis cérébro-spinale avérée. STIGMATES
ans la sclérose en plaques, la réaction a été positive dans les trois cas observés. Et ce résultat a d'autant plus d'inté
scléroses en plaques. De même, la réaction était positive dans deux cas d'hydro- céphalie et dans un cas de paralysie p
réaction était positive dans deux cas d'hydro- céphalie et dans un cas de paralysie pscudo-bulbail'c. Nous ne saurions
urs années; cela dépendra de la forme clinique et de l'évolution du cas observé. Le traitement le meilleur de la syphil
énohenzol (préparation 000 d'Erlich). Les résultats acquis dans les cas de lésions nerveuses syphilitiques me paraissent
ne, la sensibilité de la voûte pharyngienne à la pression, dans les cas de tumeur de la fosse cérébrale moyenne. La p
la méningite cérébro-spinale et d'une façon générale dans tous les cas où du liquide s'interpose entre le crâne et le
ître avant l'intervention chirurgicale. 11 peut s'agir dans de tels cas d'hyperostoses localisées ou de ces crânes plus
oit dans la position assise. Le décubitus latéral s'impose dans les cas de méningite, chez les comateux. Sicard le préf
hez les comateux. Sicard le préfère chez tous 'les malades. Dans ce cas , le sujet est mis dans la position en chien de
e céphalo-rachidien ne s'écoule pas, et cet échec s'observe dans un cas sur dix environ, d'après Sicard, et dans une prop
avons pratiquées dans le service de M. Babinski. Certains de ces cas peuvent être dus à l'existence d'une disposition
d'une disposition anatomique anormale; on a signalé, dans d'autres cas , l'existence de pus collecté dans les méninges
vait rendre impossible l'écou- lement du liquide céphalo-rachidien ( cas de Furbringer). ' B) L'aiguille pourra buter co
). ' B) L'aiguille pourra buter contre une lame vertébrale. Dans ce cas , il faudra légèrement modifier la direction de
pied, d'une crampe violente au niveau de la jambe. Il s'agit, en ce cas , d'une piqûre d'une racine de la queue de cheval;
a queue de cheval; celle douleur est passagère, mais, dans certains cas , on pourra la faire disparaître en changeant tr
lus graves ont été rapportés; on a observé, en Allemagne, plusieurs cas de mort immé- diate au cours de la ponction lom
onction lombaire. Furbringer, sur 87 ponctions lombaires, a observé cas de mort subite : 2 fois chez des urémiques, et
ts de tumeur cérébrale. Lichteim, Gumprecht, Martin ont observé des cas analogues. De Lapcrsonne et Cerise ont eu un ca
in ont observé des cas analogues. De Lapcrsonne et Cerise ont eu un cas de mort après ponction lombaire dans un cas de
nne et Cerise ont eu un cas de mort après ponction lombaire dans un cas de tumeur cérébrale. Toutefois, cette complicatio
e complication est rare. Jean Nunet et Lavoix ont fait le total des cas publiés jusqu'en 1909 et en comptent 34. B) A
constant, mais il n'atteint une intensité considérable que dans des cas exceptionnels; quelquefois, des vomisse- ments
n tableau qui simule absolument la méningite; et Milian rapporte un cas dont nous avons été personnellement témoin, où ce
rs. Nageotte (Société médic. des llôpit., 7 juin 1901), rapporte un cas semblable où la ponction lombaire, chez un épil
faire que le liquide s'écoule en jet, ou très rapidement; dans ces cas , il y a augmentation de la pression; cette pressi
es (Widal et A. Brissaud), Widal, Lemierre et Boivin. Dans certains cas , cet état du liquide était dû à la syphilis des
ant les tissus a piqué une veine de la peau ou des muscles, dans ce cas le début seul de l'écoulement est teinté. 10 En
à la fois dans une cavité arachnoïdienne et dans une veine. Dans ce cas , il suffira d'imprimer des mouvements de va-et-
. Coagulation du liquide céphalo-rachidien. Babinski a observé un cas où la ponction lombaire retirait un liquide légèr
éningite fibri- neusc hémorragique. Cestan et Ravaut ont observé un cas analogue, une coagulation en masse associée à l
ix. Derrien, Mestrezat et Roger, Sicard et Descomps ont observé des cas analogues avec xantoclrromie et hémalo-lymphocy
e peu, Comso ne l'a trouvé augmentée considérablement que dans deux cas d'urémie. Le liquide céphalo-rachidien n'est pa
tera au cours de certaines méningites tuberculeuses; dans certains cas d'urémie nerveuse. La perméabilité à l'égard
propos de la technique de la ponction lombaire. Dans la plupart des cas , on recueille deux tubes : l'un servira pour le c
en méningé, on verra appa- raître les polynucléaires, sauf dans les cas de tuberculose; les lymphocytes se trouveront d
Pierre Marie. Il a pu constater la présence de la choline dans huit cas sur 12 de tabes. Il l'a trouvé, aussi dans l'épil
z les tabétiques anciens, et elle n'est pas plus abondante dans les cas de désorganisation myélinique rapide. Liquide
ont pratiqué la ponc- tion lombaire chez 18 ictériques. Dans trois cas , ils ont pu, par les réactions classiques de Gm
dié par Domenico Crisofi. Ce chiffre a été trouvé augmenté dans les cas de broncho-pneumonie aiguë et diminué dans les
constante, mais leurs statistiques portaient sur un petit nombre de cas à cette époque, elles ont été confirmées dans l
es résultats furent les suivants : Brissaud et Bruandet eurent huit cas posi- tifs sur huit malades, Souques trois posi
it malades, Souques trois positifs sur trois. Babinski rapporte dix cas positifs; Ballet et Delherm sur huit cas trouve d
ois. Babinski rapporte dix cas positifs; Ballet et Delherm sur huit cas trouve des résultats positifs cinq fois. Pierre
s résultats positifs cinq fois. Pierre Marie et Crouzon, dans vingt cas , ont une lymphocytose très nette, sauf dans un
uzon, dans vingt cas, ont une lymphocytose très nette, sauf dans un cas où elle était discrète. Froin, dans sept cas, t
ès nette, sauf dans un cas où elle était discrète. Froin, dans sept cas , trouve la lymphocytose dans tous les cas, Gombau
iscrète. Froin, dans sept cas, trouve la lymphocytose dans tous les cas , Gombaud et lIMIb1'Orl, dans onze cas, ne trouv
la lymphocytose dans tous les cas, Gombaud et lIMIb1'Orl, dans onze cas , ne trouvent qu'un résultat négatif; Milian const
, on peut observer des poussées de polynucléose comme dans les deux cas de Vaillant et Tixier. Liquide céphalo-rachidie
vations, celles d'Achard et Grenet, d.'Ardin-Delteil. Dupré, sur 25 cas , n'a trouvé qu'une seule exception à la règle;
e seule exception à la règle; mais à côté de la règle il existe des cas , où à côté de la lymphocytose, on a pu constate
ection qui fasse exception à la règle, est, semble-t-il dans certains cas la démence précoce : Camus et Lhermitte, dans s
dans certains cas la démence précoce : Camus et Lhermitte, dans six cas sur vingt, ont trouvé une lymphocytose avérée c
rd, etc..., ont constaté la lymphocytose dans la moitié environ des cas de zona. Il s'agit donc dans ces cas d'une réac
ose dans la moitié environ des cas de zona. Il s'agit donc dans ces cas d'une réaction méningée subaiguë, qui permettra d
n l'ait du même genre. Enfin Brandès (de Bordeaux) a même cité deux cas de lymphocy- tose persistant onze mois après et
y ont étudié le zona au point de vue bactériologique. Dans dix-sept cas , ils ont trouvé neuf fois des cultures positive
s des cultures positives, dont cinq fois des bacilles, qui, dans un cas , pouvait être rangés dans le groupe des coli-baci
de Bard en ce qui concerne cette coloration jaunâtre. Dans d'autres cas , le liquide céphalo-rachidieu n'est pas rouge e
pparence, mais il est histo- logiquement hémorragique comme dans le cas de Dupré et Sébileau. Sabrazès et Muratet (de B
ptions à cette loi; Guinon et Pineau, sur leur statistique de seize cas ont trouvé une fois la polynucléose à trois pon
s successives chez le même malade. Marcou- Mutzner a cité aussi des cas de polynucléose. Orgel Maister a trouvé des cas
zner a cité aussi des cas de polynucléose. Orgel Maister a trouvé des cas analogues. Enfin Josué et Salomon, Sicard nous
de mononucléaires et de polynucléaires. Enfin on a pu observer des cas de méningite tuberculeuse avec gué- rison, dans
bserver des cas de méningite tuberculeuse avec gué- rison, dans ces cas , la lymphocytose avait été un appoint au diagnost
sparaître cette lymphocytose au moment de la guérison comme dans un cas de Rocaz. Enfin, elle peut apparaître tardivement
l'a vue survenir au 20" jour. Enfin on peut observer dans certains cas , à une première ponction, la polynucléose du li
réaction méningée a été variable. Raymond et Sicard ont observé des cas de polynucléose du liquide céphalo-rachidien au c
e méningite cérébro-spinale. ' Triboulet et Lippmann ont observé un cas analogue; d'autre part Guinon et Paris, Brissau
uinon et Paris, Brissaud et Londe, Achard et Grenet ont observé des cas de lymphocytose au cours de la paralysie infantil
phocytose au cours de la paralysie infantile. Widal a observé trois cas négatifs, mais dans ces cas la paralysie infantil
alysie infantile. Widal a observé trois cas négatifs, mais dans ces cas la paralysie infantile était éteinte. Il semble
fantile était éteinte. Il semble donc que dans un certain nombre de cas , le syndrome de la paralysie infantile soit cré
c- tion méningée lymphocytique, enfin que dans un certain nombre de cas il n'y ait pas eu de réaction méningée du tout
rs cérébrales. La statistique de Babinski et Nageotte comporte sept cas de tumeur cérébrale sans réac- tion méningée. G
sans réac- tion méningée. Gombaut et Ilalbron ont observé, dans un cas de tumeur cérébrale, d'abord de la polynucléose
phocytose rachi- dienne. Depuis lors Achard et Laubry ont publié un cas d'endothéliomedu LIQUIDE cuvLO-t ? cmu : v. 113
ont constaté la sarcouiatose du liquide céphalo-rachi- dicn dans un cas de sarcome cérébral. Widal et Abrami ont trouvé d
stic dans la sclérose en plaques. Carrière de Lille a examiné trois cas , a trouvé un nombre considérable d'éléments cellu
gie dans la névralgie du trijumeau. Pitres a observé dans ses trois cas de la lymphocytose du liquide céphalo-rachidien.
lymphocytose du liquide céphalo-rachidien. Cyto-diagnostic dans un cas d'hémiatrophie faciale progressive. Claude et S
a myopathie progressive, le méningisme, l'hémiplégie. Dans tous ces cas le cyto-diagnostic est négatif, d'après Widal, Si
vé la Iymphocy-, tose quand l'origine était syphilitique. Dans un cas de méningo-myélite d'autre nature, il y avait à l
affections compliquées de symptômes ménin- gés. Dans la moitié des cas environ, alors même que le liquide était clair
des polynucléaires. Le liquide est en général plus abondant dans les cas de symptômes méningés. Ces résultats ont fait l
ide céphalo-rachidien dans le coup de chaleur était normal dans les cas bénins; dans les cas graves, il était trouble, al
dans le coup de chaleur était normal dans les cas bénins; dans les cas graves, il était trouble, albumineux teinté, pr
a eu pour conséquence l'étude du liquide céphalo-rachidien dans les cas de manifestations nerveuses syphilitiques. '
ilitiques. ' Widal et Le Sourd ont constaté la lymphocytose dans un cas d'hémi- plégie syphilitique-; plus tard Widal e
is sur treize dans l'hémiplégie syphilitique. Et en plus, dans deux cas , il existait de la polynucléose superposée à de l
d et Brécy (Soc. rnédic. des Hôpitaux, 14 mars 1902) ont observé un cas analogue. Dans un cas de syphilis médullaire
des Hôpitaux, 14 mars 1902) ont observé un cas analogue. Dans un cas de syphilis médullaire probable, Sabrazès, Murate
yphilis nerveuse ont aussi présenté de la lymphocytose : tel est le cas de lymphocytose arachnoïdienne avec mydriase para
hors de la syphilis, le cyto-diagnostic n'a été positif que dans un cas de névrite oedémateuse symptomatique d'une méni
it connaître qu'il avait trouvé une lymphocytose discrète dans deux cas de syphilis en période secondaire. Thibierge et B
n période secondaire. Thibierge et Bayant ont constaté plus tard un cas analogue dans une syphilis de dix-huit mois avec
sions cutanées profondes. Enfin, nous avons mentionné plus haut les cas du liquide céphalo-ra- chidien puriforme au cou
is nerveuse que le cyto-diagnostic n'avait été positif que dans les cas de syphilis oculaire et dans une névrite sympto-
s suffira donc de dire que le cyto-diagnostic a été négatif dans un cas de tumeur cérébrale, dans un cas de migraine op
o-diagnostic a été négatif dans un cas de tumeur cérébrale, dans un cas de migraine ophtalmoplégique, etc.- Cyto-diagno
moulin, par Poirier, par Paul Reynier, etc.... Tesson a publié un cas où la ponction lombaire hémorragique au quatriè
u liquide céphalo-rachidien était de 5 ce. environ. Dans cer- tains cas , la ponction lombaire est employée dans un but th
r le même résultat curatif dans les méningites subaiguës et dans un cas de méningite fibreuse hémorragique. Ponction lo
méliorations passagères ont été signalées dans un certain nombre de cas . Nous rappellerons le cas de Faisans (Soc. Médi
t été signalées dans un certain nombre de cas. Nous rappellerons le cas de Faisans (Soc. Médie, des llôpil., 28 juin 19
ique à la suite d'une ponction lombaire. Ces auteurs rappellent les cas antérieurs de Seegel- ken. de 13ra : ;ch. de No
ken. de 13ra : ;ch. de Noike. Legendre, Chantemesse ont observé des cas avec soulagement passager. [0. CROUZON.] 11
rables. Mais, à côté de ces résultats heureux, il faut signaler les cas où le résultat a été nul : Quincke. Furhinger, Li
ter ce moyen thérapeutique qui pourra donc être utile dans bien des cas . Ponction lombaire dans les comas. -La ponction
-La ponction lombaire peut être appliquée dans un certain nombre de cas comme thérapeutique du coma (cas de lirmnig, )
ppliquée dans un certain nombre de cas comme thérapeutique du coma ( cas de lirmnig, ) ! )iodes). Le malade peut reprendre
l'influence de la ponction lombaire, comme nous l'avons vu dans le cas de Faisans. Ponction lombaire dans les céphal
yphilis, et de la chlorose. Pierre Marie et Guillain ont observé un cas de céphalée syphilitique améliorée par la ponct
ouvent de fortes pressions du liquide céphalo-rachi- dien. Dans dix cas sur vingt, la ponction lombaire a déterminé une c
tra- tives à ce point de vue, est celle de Widal et Digne : dans un cas de tumeur du cervelet, une première ponction lo
e consécutive dans de nombreuses observa- tions : nous citerons les cas cle lillrull;rrdt, de Ioldsclv'icler, de Fraenkel
de Fleisclnnann ; plus récemment, Abadie (de Bordeaux) a relaté un cas d'amélioration (f oedètue papillaire après poncti
1L0-R : 11;1111)II\. 1 145 Babinski et Chaillous ont rapporté huit cas de guérison ou d'améliora- lion de névrites opt
l'hydrocéphalie des jeunes sujets. Molli a observé la guérison d'un cas de stupeur IYP¡"II1aniaquc par deux ponctions l
ement, des trauma- tismes rachidiens Plallelail'l'. AlbertinDans le cas d'Albertin, il y eut amélioration considérable
rachidien, Il est certain que la ponction ne peut ([n'améliorer des cas analogues. Ponction lombaire thérapeutique dans
1144 LIQUIDE ctt>it : r,o-tcittnit;v.. Castaighe a observé un cas analogue. Méry et Courcoux ont guéri un méningi
e, de Bordeaux, a guéri des douleurs névralgiques consécutives à un cas de zona, par ponction lombaire. Ponctions accid
ide céphalo-rachidien à la suite de plaie pénétrante du rachis. Les cas les plus remarquables sont ceux de Babinski, Si
du liquide peut atteindre des quantités considérables. , Dans les cas de l31llrolll. de Verneuil, de Routier et de Till
ait de un il deux litres de liquide en vingt-quatre heures. Dans le cas de Guido-Noccioli, il s'écoula 80 grammes en une
une nuit et 1000 grammes environ en vingt-quatre heures. Dans un cas de Vigouroux où le liquide s'écoulait par les fos
de 800 centimètres cubes par vingt-quatre heures. Enfin, dans un cas du docteur Giss (de 'fhiol1Yille) publié par Math
our 100 suivant les épidémies et les localités, est tombée dans les cas traités parle sérum à. 25 pour 100, 18 pour 100
rait sous l'influence des ponctions évacuatrices et, dans certains cas . s accompagne de vertiges (Par)oes-Weber). Le
conduire assez vite à une cécité parfois irrémédiable. Dans certains cas , on trouve de la névrite optique (Beck). Souven
out de deux ans. La fièvre est rarement intense, et l'on compte les cas où elle atteint 59° [G. DELAMARE.] 1150 SYNDR
il y a ou il n'y a pas d'hypertension rachidienne. Dans le premier cas . l'évacuation du liquide céphalo-rachidien amène
s'agit à peu près sûrement de méningo-l'pendYl1lite, Dans le second cas , la ponction lombaire n'améliore pas ou aggrave,
ecourir à la ponction ventriculaire qui n'est contre-indiquée qu'en cas de tuberculose avérée et généralisée. Évolution
st très abondant et dénué, comme cela arrive fréquem- ment dans les cas subaigus et surtout chroniques, d'éléments figuré
e d'éliminer l'hypothèse de méningite histo- logique qui, en pareil cas , se présente naturellement à l'esprit. * Ependy
donner lieu à un complexus symptomatique assez semblable : dans un cas pur, ayant évolué pendant deux ans, la seule pa
dy- maire. La paraplégie, signalée par Jou'roy et Achard, dans un cas d'épendymite médullaire chronique, de cause ind
ues est néanmoins un argument favorable à cette hypothèse. Dans les cas . d'ailleurs assez rares, où les plexus choroïde
es- tions et des gainites sans hydropisies et inversement. Dans les cas qui passent à la chronicité et s'accompagnent d
er rapidement l'excès de liquide seplique ou toxique. Dans certains cas , il est indispensable de la renouveler deux et mê
rayons X faites jusqu'à ce jour sont de deux ordres : dans certains cas les rayons ont été employés pour contribuer il
s rayons ont été employés pour contribuer il établir un diagnostic, cas de radiographie ou de radioscopie, dans d'autre
un diagnostic, cas de radiographie ou de radioscopie, dans d'autres cas , jusqu'ici plus rares, ils ont constitué une thér
en clinique neurologique). A. GÉNÉRALITÉS , 1" Classification des cas justiciables du radiodiagnostic. La moelle et l
rectes du système nerveux central se trouveront limitées : soit aux cas où la boite osseuse opaque se trouvera déformée
iée (traumatismes, hyperostoses ou destructions osseuses), soit aux cas où dans cette boîte opaque aura péné- tré un co
ie et de la radiographie. La radioscopie est surtout applicable aux cas où, comme dans le tho- rax par exemple, des org
Dans les applications neurologiques, il ne s'agit presque jamais de cas semblables, exception faite des rares cas où dès
s'agit presque jamais de cas semblables, exception faite des rares cas où dès corps étrangers métalliques ont pénétré
si c'est notamment un corps métallique, ce qui est généralement le cas , car il s'agit presque toujours de balles de revo
teau, de pointes de stylets ou de fleurets, etc. Pour le crâne deux cas peuvent se présenter : '10 ou bien on ignore si z
réciser le siège d'un corps étranger certain : 1" Dans le premier cas la radiographie permet d'affirmer que les troub
dérable, et d'autre part la para- plégie brusque, signe habituel en cas de pénétration dans la moelle, peut 1. Loison.
; on peut en effet observer une paraplégie brusque, ou bien dans le cas de fracture ou de luxation vertébrale, ou bien
matologie n'est pas toujours assez dissemblable dans ces différents cas pour permettre d'en faire le diagnostic clinique;
dienne, il ne faudra pas compter sur la radio- graphie, sauf en des cas très exceptionnels, [tour juger si l'agent vulné-
venant comprimer la moelle ou les racines, etc. ; or c'est dans ces cas précisément que la symptomatologie du début, se
ne; pour le rachis, des paraplégies tardives. Dans ces différents cas , il pourra s'agir d'accidents purement névro- p
p plus rares : elles paraissent être en jeu notamment dans certains cas exceptionnels de cyphose heredo-traumatique de Pi
avons pu nous assurer, avec le concours de 1. A. UHI. Autopsie d'un cas de cyphose hé1'édo-lraumatiqlle, Soc. rnécl. chs
mine, dues à des luxations ou à des effondrements osseux : dans ces cas , le radiodiagnostic est trop tardif pour avoir
que la déformation osseuse sans en révéler la nature. Dans quelques cas un volumineux abcès par congestion peut apparaî
t(') et de Dupré et 1)evau(r). Ces auteurs ont d'abord étudié des cas de tabès avec arthropathies où la déformation e
le tendant à se développer, puis à se réunir : il y aurait dans ces cas une intégrité relative des épiphyses. On pourrait
ique. parfois tout signe pupillaire. c'est essentiellement dans ces cas que le radiodiagnostic peut être utile. L'os sp
aque sensible avec une transparence anormale. Les fractures dans ce cas ont en conséquence des cals très peu denses ou mê
ie, soupçonner le tabes et le rechercher avec soin. A côté de ces cas de fractures prr'-tab("ti(f11es, il faut placer c
é de ces cas de fractures prr'-tab("ti(f11es, il faut placer certains cas 1. Gikeiit. Nouvelle Iconographie de la Salpélr
de tabès et simulant une ostéite tuberculeuse, par exemple. Dans un cas de Gangolphe et Stefani, il s'agissait d'une tumé
ire et de l'ataxie. On conçoit la difficulté du diagnostic dans ces cas . Stefani signale de même une forme articulaire
ion rapide de mouvements anormaux dans la join- ture. Dans tons ces cas , la radiographie, susceptible de montrer et de
lysie infantile : ce. sont des os clairs el grêles. Dans certains cas d'hémiplégie organique, quelques auteurs, notam-
faction osseuses, remarquable au niveau des mains du sujet. Dans un cas de psoriasis al'tl/1'opathique, Belot ci Chaper
ourd'hui permettre de poser un diagnostic d'une façon ferme dansées cas cliniquement les plus frustes. . .. Acromégalie
frustes. . .. Acromégalie. Les rayons R(111tgetl montrent dans les cas dou- teux ou au début de cette affection des lé
droplasiques, des rachitiques ou des lIlyxoedémaleux, Dans certains cas douteux assez rares, l'examen radio- graphique
le auparavant peu appréciable. Il en est ainsi notam- ment dans les cas de lésion d'un seul os, relativement assez fréque
e l'aspect floconneux un souvenir de la structure normale. Dans ces cas limités surtout, la radiographie peut donner d'
sur l'existence dans la maladie de Paget, dans un certain nombre de cas au moins, d'une calcification très étendue des
a manière d'anses intestinales sont aussi caractéristiques dans ces cas extrêmes par leurs contours lions que par leur
adie rare, mais ses formes ébauchées sont fréquentes; à coté de ces cas extrêmes où la spoliation calcaire amène l'incurv
tion calcaire amène l'incurvation des os. il est un grand nombre de cas où la proportion des phosphates calcaires dimin
r (') a apporté il l'appui de cette conception un certain nombre de cas d ostéocie ». ( : est-il-dire d'allè- gemcnt du
vlll.lllll);IIlOlIS avons pu constater radiographiquement dans deux cas . avec Pierre Marie et Fanre-IIP : 1111wII (s),
nt, an point de vue thérapeutique, de s'assurer dans les difïercnts cas , par la radiographie, si ces exostoses sont osseu
éterminer ici comme ailleurs des accidents de radiodermite dans les cas d'applications trop intenses d'emblée ou trop r
« ])(l/>apléyies radiolhérapiques ». Il s'agissait dans les deux cas de sarcomes volumineux, l'un de la cage thoraciqu
t tout d'abord été porté. On peut estimer qu'il s'agissait dans ces cas d'une toxémie par résorption trop rapide des né
cel- lules déviées du type normal; celles-ci disparaissent dans les cas les plus favorables d'une manière rapide sans l
Lambeau, de Nobcle, llolrnren et Olaf, Laquerrière ont rapporté des cas personnels remarquables et concordants ; en l'abs
sur l'initiative de Habinslu. par la radiothérapie. Dans un premier cas particulièrement heureux. I. Le présent article
pinale, le phénomène des orteils redevintnormalC). Dans un deuxième cas , chez une femme atteinte de paraplégie spasmodiqu
sait d'une tumeur intra-rachidienne (communication orale). D'autres cas du même genre ont été améliorés nettement, ceux
es spasmodiques : les meilleurs résultats ont été observés dans des cas de paraplégies spasmodiques dépendant probablem
boullet et Beaujard ont obtenu une amélioration mani- feste dans un cas de paraplégie Masque avec rétraction douloureuse
t favorables, mais moins nettement que dans la syringomyélie. Trois cas de Mari- nesco avec résultats variables montren
iables montrent ce que l'on peut parfois obte- nir. Dans un premier cas , il se produisit chez un homme de 29 ans une am
siblés; mais un peu moins nets ; ils lurent nuls dans un troisième cas (évolution très avancée). Duhain, Raymond, et B
ès avancée). Duhain, Raymond, et Beaujard ont obtenu dans plusieurs cas de sclérose en plaques une amélioration très nota
fois atténué des crises gastriques (Zim- mern, Laquerrière). ' Un cas très intéressant de spondylose rhizomélique soumi
à côté d'insuccès, ont obtenu quelques bons résultats dans d'autres cas de spondylose. On a pu de même tenter d'appliqu
e Beck ('), Schmidl : et Rolland, notamment, dans une. vingtaine de cas de cette affection, ont enregistré de très heu-
n chirurgicale. Babinski, avccDethermet Charpentier, a vu plusieurs cas de sciatiques graves favorablement influencées
nd, l3arcal et Delamarre, réalisé des sédations remarquables dans des cas de don- leurs fulgurantes, douleurs en ceinture
des d'application de l'électricité sont assez nombreux; suivant les cas , en effet, on utilise les courants faradiques,
que. On les appelle parfois aussi courants continus : dans bien des cas , cette dernière dénomination laisse à désirer, ca
drate d'ammoniaque ou chlorure de zinc) conviennent très bien en ce cas : pour le cabinet d'élcctrotliérapie on choisir
ù l'on veut connaître l'intensité du courant, c'est-à-dire, pour le cas présent. dans la partie du circuit qui se rend
ttant de mesurer jusqu'à 7a volts est suffisant pour la plupart des cas . Il doit avoir la plus grande résistance possible
ême direction ou avec renversements de direction. . Dans le premier cas , le nom de courant galvanique continu peut lui
el nous donnons la préférence; il convient tout particulièrement au cas où l'on prend le courant sur une dynamo ou sur un
assez grande quantité d'électricité; ce n'est généra- lement pas le cas pour les appareils transportables, ou, si cette,
teur de potentiel. COURANTS GALVANIQUES. 1201 ou non, suivant les cas , une résistance ou un rhéostat placé en tension
fisamment bonne sous toute la surface de l'électrode. Dans certains cas , on peut constituer l'électrode, établissant le c
étal ou de charbon attachée au conducteur. On prend soin, en pareil cas , de ne pas mettre ce métal ou ce charbon directem
tions d'ouverture.) 5" Avec des courants forts (variant suivant les cas entre 5, 10, 15 mjlliampères ou davantage), l'e
s deviennent rarement durables et tétaniques, en dehors de certains cas pathologiques. En sommé, les réactions normales
onc et tenu par le patient lui-même'. (Voir iig. 19 et 20). Dans le cas où l'exploration nécessite une intensité de coura
e force électro-motrice. La double clef permet encore dans bien des cas de simplifier l'examen et de le rendre plus rap
bilité gai va- nique au point de vue quantitatif. Dans bien des cas on pourra se contenter -de déter- miner le se
double en ne faisant agir que l'une des clefs ('). Dans certains cas , on laisse passer le courant un temps assez long
os et qui l'interrompt quand on le fait manoeuvrer. t Dans d'autres cas , on répète fréquemment les interruptions du cou-
pour simpli- fier le langage, galvanisation alternative. En pareil cas , on agit avec un renverseur de courant. La clef
ntre généralement un peu plus excitant que l'autre pote. Il y a des cas , cependant, où le pôle positif est préfé- soit
de Boulogne. Au point de vue du traitement, elle est dans certains cas préférable à la méthode polaire; au point de vu
nostic, elle peut être faite aussi avec la méthode polaire. Dans ce cas , l'électrode active est constituée par un ou pl
rmittences espacées ou à intermittences fréquentes. Dans le premier cas , lorsque le courant faradique est à intermittence
s complète suivant la fré- quence des intermittences. Comme dans le cas précédent, les excitations faradiques se montre
courants. Si l'on considère la forme de l'onde faradique en pareil cas (fig. 56), on voit que la tension de l'onde far
que des nerfs et des muscles se comportent différemment suivant les cas : ou elles restent normales; ou elles se trouve
rébrales récentes, dans la paralysie générale progressive, dans des cas de tumeur cérébrale. On l'a rencon- trée encore
s spinales, dans des myélites aiguës et subaiguës, parfois dans des cas de tabès dorsal. L'augmentation simple de l'exc
ontre pas dans l'état normal, est intéressante à constater dans ces cas , et il y a intérêt à la rechercher pour l'élect
es- sion. On a étendu la compréhension de cette réaction aux divers cas où on observe de l'augmentation des secousses d
ffisamment prononcée elfe devient bien manifeste ('). Dans certains cas elle peut être extrême et aboutir à l'aholition
es que sur les nerfs ou inversement; elle peut aussi, dans certains cas , être plus marquée avec un genre de courants qu'a
bilité électrique n'est pas nécessairement diminuée dans ces divers cas ; elle peut rester sensiblement normale, on même ê
nerfs, la paralysie radiale par exemple dans la grande majorité des cas . Souvent même cette diminution n'est bien manifes
perdu sa conductibilité au niveau des parties lésées. Dans certains cas , cependant, ces paralysies par compression dépend
mais la durée de la paralysie est beaucoup plus longue que dans les cas avec simple diminution de l'excitabilité électriq
ution simple des réactions électriques;. en est ainsi dans certains cas de paralysie par intoxication smfo-carbonéc, da
tic de ces paralysies est générale- ment assez hénin. Dans d'autres cas les mêmes genres de paralysies s'ac- compagnent
on de l'ex- citabilité peut aller jusqu'à l'abolition. Ces derniers cas sont plus rares dans les polynévrites que dans
tre plus ou moins diminuée, mais reste longtemps présente; dans les cas graves, elle finit par disparaître, mais cette
elle est le plus souvent diminuée, à des degrés divers suivant les cas . La diminution de l'excita- bilité du nerf port
nt modifiée et NFC reste prédomi- nante sur PFC. 1. Dans certains cas de DU, l'excitation longitudinale est parfois plu
ononcées des nerfs et qu'on peut observer en clinique dans certains cas , par exemple à la suite de lésions trauma- tiqu
e initiale de la DR présentent d'ailleurs quelques différences d'un cas à l'autre, suivant la nature et l'intensité des
ourte, de quelques jours à quelques semaines, c'est généralement le cas sur les territoires nerveux des membres et du t
ais elle est encore peu diminuée; sa durée est variable suivant les cas ; on pourrait d'ailleurs réunir cette période à
ant qu'elles laissent une destruction définitive. Dans le premier cas , lorsque les lésions se réparent, on constate que
u redeviennent vives. Il importe d'ailleurs de savoir que, dans les cas où la DR aboutit à la réparation, la motilité v
a- RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1255 raitre à son tour. Il est des cas , cependant, où plusieurs années après son appar
ez avancée, ce qui se produit beaucoup plus rapidement que dans les cas de DR complète, en quelques mois le plus généra
souvent plus marquée sur les muscles que sur le nerf. f 11 est des cas , cependant, où la DR partielle, développée avec u
lques semaines ou quelques mois après. Il y a donc intérêt dans ces cas à renouveler de temps à autre l'exploration éle
ture de l'affection et suivant la marche des lésions; dans certains cas elle peut déjà exister en quelques mois; dans d
ons de DR partielle atténuées mais 1'1'1'011- naissables ; dans des cas semblables j'ai rencontré l'excitabilité faradiqu
ations de la DR £ de la façon que nous avons vue. . Dans bien des cas , cependant, on peut arriver à reconnaître d'une
La conclusion n'est cependant pas toujours aussi rigoureuse dans ce cas que dans le précédent, parce que des lésions nu
doivent avoir les lésions, d'après leur origine supposée. Dans des cas d'accidents du tra- [E. HUET.] g 56 ... ' - '
lysés, mais elle peut exister sur des nerfs craniens, même dans des cas d'hémorragie ou de ramollis- sement, si les noy
n partent se trouvent intéressés par le foyer de la lésion. En pareil cas , la localisation périphérique de la DR contribu
so-laryiigée; elle n'est pas toujours facile à reconnaître dans ces cas , et, le plus souvent, elle présente les caractè
12o7 % ? <y vertébrale. La DR, au contraire, fait déf ? St m s cas où les cornes antérieures et les racines antéri
nerfs, médicales ou chirurgicales, la DR s'observe 1. Dans certains cas de tabes on rencontre des atrophies musculaires p
s localisées, accompagnées de DR ; celle-ci est en rapport dans ces cas soit avec des lésions étendues aux cellules des
ites a frigorie et paralysies rhumatismales. Dans la plupart de ces cas , la DR est celle des processus aigus, tantôt co
le peut être partielle d'abord, coni- plète ensuite, comme dans les cas ûe compressions ou d'irritations persis- tantes
us rarement un processus subaigu ou chronique. La DR prend dans ces cas la ferme partielle ou la forme complète, suivan
ou la forme complète, suivant la gravité des lésions. Dans quelques cas de paralysies toxiques la DR fait défaut; elle ma
paralysies sulfo-carbonées légères, mais elle se rencontre dans des cas plus graves. Dans la plupart de ces paralysies
tions de l'excitabilité sont surtout quan- titatives. Dans quelques cas , cependant, on a signalé des altérations de l'e
rasthénie, chorée, myoclonies, la DR fait défaut. Dans les quelques cas de paralysies ou d'atrophies musculaires observ
u nerf a conservé ses rapports avec le bout central ; mais, en pareil cas , on peut prévoir une guérison tardive, n'appara
partielle remplacée par une DR complète, par exemple dans certains cas de compression des nerfs, notamment dans les com-
pressions produites par des tumeurs. L'électrodiagnostic, en pareils cas , peut fournir cependant encore d'importantes in
part, ont. une signification importante pour le pronostic. Dans ces cas encore, il y a lieu de tenir compte de la natur
partielle ; plusieurs mois au moins sont nécessaires, même dans les cas les plus favorables, pour que la guérison se pr
endre un exemple souvent cité, dans les paralysies 1. Dans certains cas de lésions des neurones moteurs périphériques sus
riable, de quelques secondes à une minute ou davantage, suivant les cas . Lorsque les courants tétanisants sont forts et
s ne provoquant dans l'état normal qu'un tétanos incomplet. Dans le cas de réaction myotonique, si l'on prolonge quelque
usculaires rapprochées mais distinctes les unes des autres; dans le cas de réaction myotonique, on voit souvent ces cou
lité du muscle. La persistance de la contraction varie, suivant les cas , de quelques secondes à une demi-minute, une mi
entes et persistantes de la réaction myotonique; en effet, dans ces cas , l'excitabilité faradique des nerfs et des musc
"(dle a été constatée par Talma, avec tous ses caractères, dans des cas qu il a décrits sous le nom de myotonie acquise
souvent le nom de paralysie bulbaire asthénique. Il existe dans ces cas de la parésie plus ou moins prononcée avec fatiga
prononcées, suites de poliomyélites on de polynévrites. En pareils cas , il s'agit de muscles dont l'atrophie n'est pas c
n môme des nerfs puissent se manifester. Il ne s'agit pas en pareil cas d'uu épuisement de la contraction musculaire comm
la diminution ou la cessa- tion de l'excitation efficace. Dans ces cas , on diminue ou l'on fait même disparaître les t
s de fermeture même fréquemment répétées; cependant j'ai vu dans un cas de paralysie asthé- nique grave des excitations
dans toutes les paralysies asthéniques; on l'a vue manquer dans des cas où le syndrome d'Erb-Goldllcun était bien accus
ffections, telles que des paralysies cérébrales (1 ? enedil;t), des cas de maladie de Basedow, de poliocncéphalites, de
on se propage dans la sphère de distribution du nerf. Dans tous ces cas elle est plus forte avec le pôle négatif qu'ave
rechercher et déjouer la simulation; on peut être conduit ^dans ces cas il employer des courants assez forts et vivement
sociation particulière de la sensibilité électrique. Ainsi dans des cas de tabès, où le tact et la sensibilité à la tem
ou moins diminuée. Ces particularités ont été rencontrées dans des cas de tabes et dans des névrites. Nerf optique et
t de la physiologie à la pathologie on a constaté, surtout dans les cas de lésions de la rétine ou du nerf optique, des
abolition de ces sensations; on les observe principalement dans les cas de lésions du nerf lingual et du trijumeau. L
omme nous venons de le dire les réactions auditives, deux ordres de cas peuvent se présenter : ou il ne se mani- feste
ste pas de réactions auditives, ou il s'en produit. Dans le premier cas , lorsqu'il ne se produit pas de sensations audi
s graves et d'une dégénérescence complète du nerf. Dans le second cas , lorsqu'il se produit plus ou moins facilement de
les affections de l'oreille qui atteignent le labyrinthe; dans ces cas il peut y avoir au point de vue quantitatif résis
le la plus malade si l'affection est bilatérale. Toutefois dans les cas où tous les organes labyrinthiques sont détruit
grande la résistance au vertige voltaïque, comme on l'observe dans le cas de tumeurs intracranienncs (Babinski et Cestan)
ugmente légèrement pendant le passage du courant, et, dans tous les cas , la résistance finale s'y montre assez forte.
ant celle-ci intacte; il a trouvé une résistance de 40 ohms dans un cas , de 250 ohms dans un autre. La résistance mesur
e des résultats qui permettent une comparaison plus rigoureuse d'un cas à un autre. 11 nécessite un milliampèremètre et
. Comme précédemment par le calcul avec la formule R= i. ou dans le cas présent Il.=10011 E, on obtient les valeurs de la
ance initiale jusqu'à la valeur du minimum relatif. Dans certains cas , on peut choisir des intensités plus élevées, par
être soumis précédemment au passage du courant galvanique ; dans le cas contraire, cette comparaison pourrait donner de
, et on a fait remarquer que l'hyperhidrose si fréquente en pareils cas , un renouvellement plus actif de l'épiderme, un
nie, la mélancolie anxieuse, la neurasthénie et la chorée. Dans des cas de tétanos, d'Arman ! 'a vue très diminuée. Dub
e tétanos, d'Arman ! 'a vue très diminuée. Dubois a trouvé dans des cas d'hémiplégie cérébrale la résistance nota- blem
de certains médicaments diminue la résistance de la peau ; c'est le cas pour l'antipyrine et pour la pilocarpine; c'est l
eau ; c'est le cas pour l'antipyrine et pour la pilocarpine; c'est le cas aussi pour la quinine, surtout quand dans la fi
ceau pyramidal et elle s'y montre plus ou moins intense suivant les cas . On a cherché à y remédier par des applications
'avis d'attendre en moyenne six mois; nous croyons que, suivant les cas , on peut le tenter après quelques semaines ou seu
yer de nouveau après un repos plus ou moins prolongé. Dans tous les cas il faut surveiller avec grand soin l'état des m
de l'articulation m'a donné des résultats satisfaisants en pareils cas . Voici comment l'on peut procéder à cette élect
des vaisseaux; ces inconvénients seraient moins à redouter dans le cas d'embolie cérébrale, chez des sujets jeunes tou
sur la colonne vertébrale, l'une en haut et l'autre en bas. Dans le cas de lésions en foyer il y aura souvent indicatio
au siège de la lésion : l'autre électrode sera placée, suivant les cas , au-dessus ou au-dessous; parfois il y a avanta
erses hauteurs sur la colonne vertébrale suivant les jours, dans le cas de lésions disséminées ou systématisées; l'autre
tions que pour le traitement des paralysies cérébrales. Suivant les cas on la fait porter davantage sur certains muscle
traitement doit être aussi employé avec prudence. Dans beaucoup de cas de paralysies médullaires, la contracture est m
ces affections, notamment dans des scléroses en plaques et dans des cas de compres- sion médullaire par tumeurs ou par
ectrothérapeutes, s'appuyant sur l'évolution favorable de plusieurs cas ainsi traités, conseillent d'agir de cette façon.
tion du courant après avoir ramené son intensité à zéro; en pareils cas on laisse passer le courant dans chaque direction
ernier mode de traitement est uiili- sable dans l'un ou l'autre des cas précédents, lorsque la paralysie est localisée
tteint à la fois membres supérieurs et membres inférieurs ; dans ce cas il est plus simple de ne pas placer une des éle
e temps de galvanisation localisée à la moelle. Dans la plupart des cas de poliomyélite antérieure aiguë le traitement pé
une des électrodes d'un bain dans lequel on fait plonger suivant le cas un pied, ou les deux pieds : l'autre électrode, s
e inférieure, des muscles les plus atteints. Générale- ment dans ce cas on donne au courant une intensité plus faible qu'
traitement peuvent n'être répétées que tous les deux jours. Dans le cas où l'électrisation doit être étendue à plu- sie
jouter, après quelque temps, deux ou plusieurs semaines suivant les cas , des exci- tations des muscles avec le courant
ou déjà bien réparés; il peut y avoir avantage à employer dans ces cas la méthode bipolaire et à placer les deux élect
r les muscles les plus atteints; mais dans le plus grand nombre des cas nous lui préférons la galvanisation interrompue
e DR ou ne présentant que. de la DR partielle légère; mais dans ces cas les efforts du traitement doivent porter surtou
ts- à intermittences fréquentes avec excitations rythmées. Dans ces cas il y à souvent avantage à employer les courants
Nous préférons à ce mode de traitement, dans la grande majorité des cas , le traitement par les courants galvaniques et
ur plusieurs années. Les résultats, sont très variables suivant les cas : rarement très bons, sauf dans les cas de poliom
très variables suivant les cas : rarement très bons, sauf dans les cas de poliomyélite légère. souvent médiocres, parf
amélioration plus ou moins accentuée accompagne le traitement. Les cas les plus défavorables ne sont pas toujours ceux d
s interventions chirurgicales plus ou moins heureuses sui- vant les cas : anastomoses nrusculo-tendüeuses, sections de te
al dirigea été abandonné depuis longtemps. Un certain nombre de ces cas peuvent bénéficier encore de l'électrisation. G
uvent bénéficier encore de l'électrisation. Généralement en pareils cas les applications à faire consistent en excita-
rfois des atrophies plus ou moins pro- noncées étendues suivant les cas à un plus ou moins grand nombre de muscles. -
ontinue spécialement localisée à la moelle ne comporte pas dans ces cas d'indications particulières. Pour la galvani- s
assez bons; ils ne. sont pas cependant toujours parfaits : dans ces cas aussi un plus ou moins grand nombre de muscles
urones moteurs périphériques aient été aussi lésées, comme dans les cas auxquels on a donné le nom de cellulo-névritcs,
nt prédominants; le bain électrode con- vient très souvent dans ces cas . Les excitations des nerfs et des muscles se mo
Irai- ternent précédents, nous paraît assez recommandable dans ces cas . Au bain statique on ajoutera Cfihfvation, et d
aves avec DU plus ou moins accentuée, comme on l'a observé dans des cas d'ivresse profonde avec sommeil prolongé). Ces pa
ues jours parfois, en quelques semaines plus généralement. Dans ces cas nous conseillons surtout la faradisation, soit
ous les jours ou tous les deux jours. Dans un grand nombre d'autres cas de paralysies périphériques par névrites locali
si très utile, mais la guérison est beaucoup plus tardive; dans les cas les plus favorables elle n'est pas obtenue avant
le n'est bien complète qu'après une ou plusieurs années. Il est des cas aussi dans lesquels la guérison est très imparfai
s le traitement des poliomyélites il y a souvent avantage. dans les cas où la réparation se fait lentement, à suspendre d
exus brachial, soit en partie seulement, soit en totalité. Dans ces cas de paralysies radiculaires les lésions ne sont pa
et le traite- ment électrique peut la rendre plus rapide. En pareil cas , le traitement peut être fait.par des excitatio
e, par [E. HUET] 1 1508 ' , ÉLECTROTHÉRAPIE. , exemple, dans le cas actuellement cité, sur le frontal, l'orbiculaire
inférieure, ou l'une et l'autre paupière successivement suivant les cas . Représentée par un tampon de 5 à 4 cm. de diam
Ü : LOI'.\TfIHjrES. i : nl1 tinu de il li ou 10 m. A. Dans certains cas . it la galvanisation continue on pourrait ajout
fréquentes en ayant soin de rythmer les excitations dans ce dernier cas . Paralysies de la langue. A ces paralysies on p
se latérale arnyotroplrique, soit il la fin, soit au début. Dans ce cas on pourrait essayer la galvanisation continue de
guère influencées ; cela se conçoit facilement d'ailleurs pour les cas où les cellules des neurones se trouvent déjà pro
ion est communément employée dans leur traitement; on a signalé des cas où une grande amélioration, et même la guérison.
; nous pourrions citer comme exemples des polynévrites et certains cas de mal de Pott. Les myopathies sont des affecti
dique et galvanique, plus ou moins diminuée seulement suivant les cas , la faradisation ou la galvano-faradisation sont
ec courants faradiques à intermittences fréquentes. Dans le premier cas , les excitations sont plus douces et ménagent d
s sinusoïdaux appliqués dans des bains auraient donné dans quelques cas des résultats très favorables. Les myopathies,
'examen électro-diagnostique fait généralement reconnaître dans ces cas de la DR plus ou moins accentuée dans le territoi
e), vers le milieu de la crête iliaque (point iliaque). Suivant les cas les douleurs prédominent davantage au niveau de
ar la galvanisation continue échoue aussi dans un certain nombre de cas , et lorsque l'amélioration tarde trop à se conf
nine sont ceux qui ont été plus spécialement mis en oeuvre dans ces cas . Pour faire agir l'ion salicylique, l'électrode
e d'autres névralgies, par la farta- disafion. On emploie en pareil cas le courant de la bobine à fil fin et le pinceau
traitement est appi- cable avec quelques chances de succès dans des cas particuliers, par exemple dans certaines névral
uité. Enfin, la radiothérapie semble pouvoir intervenir en certains cas dans le traitement des névralgies. Dans les n
connue et si elle justifie un traitement local ou général. C'est le cas , par exemple, pour les névral- gies imputables
n'est pas facilement saisissable et reste inconnue. Dans ces divers cas , il y a lieu d'essayer le traitement par l'électr
ique est délicate, et il semble préférable de les réserver pour les cas où le traitement électrique, d'une application be
oureux; il doit n'être employé qu'avec ménagement, et dans certains cas il peut augmenter les douleurs et les crises né
ositif; cette règle cependant souffre des exceptions; dans certains cas , en effet, le pôle négatif se montre aussi effi
traitement des névralgies faciales, meilleurs généralement dans les cas de névralgie simple que dans les cas de névralg
eilleurs généralement dans les cas de névralgie simple que dans les cas de névralgie, épileptiforme ou de tic douloureux.
accentue et se prolonge, avec la répétition du traitement. Dans les cas de névralgies graves il convient de poursuivre
ivement, soit après l'un ou l'autre des procédés précédents dans le cas où ils n'auraient pas donné de résultats suffis
rapie a été appliqué aussi aux névralgies faciales et dans quelques cas les résultats se sont montrés favorables. Tabes
l'évolu- tion naturelle de la maladie, très différente suivant les cas , et ne pas oublier que certains tabès ont une é
lement le tabes par le traitement électrique si on en distingue les cas que l'on a rangés dans la classe des pseudo-lab
résultats, mais d'autres ibis il exaspère les douleurs, et, dans ce cas ne doit pas être continué. On pourra employer e
o-tondtaire et l'autre électrode sur la région épigastrique dans le cas de crises gastriques, et sur la région hypogast
le cas de crises gastriques, et sur la région hypogastrique dans le cas de crises vésicules ou rectales; si l'on veut 1
s d'innervation correspon- dants. On pourrait agir de même dans les cas de crises vésicales ou rec- tales sur le plexus
tés et ne provoquent pas de crises de douleurs fulgurantes. Dans le cas d'hypotonie musculaire il peut v avoir utilité à
sation le pôle actif doit être l'anode). Récemment, Oudin a cité un cas ayant résisté à de nombreux traitements, rapide
es, et même les étincelles dirigées plus particulièrement selon les cas sur la région de l'estomac ou sur l'abdomen en su
'estomac ou sur l'abdomen en suivant le trajet du gros intestin; en cas de dépression plus ou moins généralisée ou de t
es électrisées, tout un membre et même, la moitié du corps dans les cas d'hémianesthésie ; s'il se montre plus localisé o
d'électri- sation. On comptera d'ailleurs beaucoup dans ces divers cas sur les effets suggestifs de l'électricité, plu
fle, effluves et friction, a assez souvent réussi, surtout dans les cas récents. Les courants de haute fréquence semble
nts de haute fréquence semblent aussi assez recommandables dans ces cas en employant l'el'f1mation du résonateur ou la fr
tre continué davantage, 8 jours, 10 jours, ou même plus; il est des cas aussi, où on le voit échouer.. - Lorsqu'il ex
aussi faire tremper les deux pieds dans un hain électrode. Dans le cas où l'on voudrait pratiquer la faradisation géné
sez large, 4 à li centi- mètres de diamètre. Dans les deux premiers cas , main électrique et rou- leau métallique, on pr
us énergiques l'abdomen : on insiste plus spécialement, suivant les cas , sur la région épigastrique ou sur les parois ahd
astrique, courant de 5 10 ni. A. pendant 10 à 20 minutes. Dans le cas de troubles dyspeptiques, avec ou sans distension
tense comme dans la méthode de traitement de Betton-Massey. Dans le cas de constipation on pourra employer des modes d'él
oeur. Les séances seront renouvelées tous les deux jours ; dans les cas graves il peut y avoir avantage à les répéter c
venir il la normale. Le goitre se comporte différemment suivant les cas ; lorsqu'il a apparu en même temps que les autre
nués dans leur ensemble, il en est le plus sou- vent ainsi dans les cas de goitre basedowiue. L'exophtaimie est un des
tement n'a pas toujours une influence aussi favorable et il est des cas où il reste sans résultais appréciables. Lorsqu'u
résultais assez variables, favorables dans un assez grand nombre de cas , médiocres ou nuls dans d'autres, aussi n'est-on
traitement pourraient être appliqués plus particulièrement dans les cas de chorée grave, ou dans les cas de chorée qui
ués plus particulièrement dans les cas de chorée grave, ou dans les cas de chorée qui se prolongent. Lorsque la chorée
pourra encore, suivant les indications de Nothnagel, placer dans le cas où les troubles portent sur les membres supérieur
é, ce qui n'est pas toujours pour ce genre de malades ; suivant les cas , on v ferait plonger les pieds ou les mains en
e articulaire aigu, pneumonie, fiè- vres éruptives, etc.). Dans les cas demeningtte cérébro-spinale aiguë les applicati
ssociées aux bains chauds à 55". 40" sont à con- seiller ; dans les cas de méningite cérébro-spinale ameningocoque on fer
apcutiqucs) sont des modalités thérapeutiques à conseiller dans les cas d'hémiplégie, de paralysie. Les contractures bé
les hémisphères, la protubérance, le bulbe cl le cervelet. Dans ce cas , au lieu de faire une section transversale de la
s et des lames vertébrales ; la moelle est alors mise à nu. Dans le cas de lésions de la queue de cheval, il est nécess
tiquer des coupes. Cette recommandation s'applique surtout pour les cas où le formolage, avant l'autopsie, n'a pas été
faire durcir et débiter au micro- « tome en coupes sériées. Dans ce cas , il est de beaucoup préférable de recourir à la
les dégénérations secondaires du faisceau pyramidal, ce qui est un cas fréquent en anatomie pathologique humaine, la mét
e, on obtient ainsi une triple coloration. Il faut, dans ce dernier cas , colorer très peu de temps à l'hématoxyline, car
aussi des pièces fixées par le formol, mais il faut dans ce dernier cas les laver à l'eau courante pen- dant 24 ou 4K h
e conseillent la méthode suivante pour l'examen des nerfs, dans les cas de névrite périphérique : « On prend, aussitôt
ayons \ en clinique neurologique. Généralités. Classification des cas , 1165. - Radio- scopie et radiographie. Instrum
a seconde, choisis- sant dans les affections neuropathologiques les cas les plus intéressants et les plus typiques pour
11 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
« des extenseurs du tronc ou des muscles abdominaux ; dans le premier cas , il résulte », etc. Page 332 , note (l), au lie
âge plus avancé ; on serait dans l'erreur, au moins pour une foule de cas . Un grand fait physiologique nous est révélé pa
ensuive, comme chez l'animal adulte ; et quand la mort arrive dans ce cas , elle est généralement plus tardive ; la résistan
ie persiste en général plus longtemps, et l'on peut dire que, dans ce cas , les enfants sont véritablement lents à mourir.
mal vertébral, surtout à l'hôpital des Enfants. Cependant il est des cas où l'on ne trouve pas de trace de tubercules, de
on ne peut évidemment généraliser ces faits, si l'on tient compte des cas où la maladie, commence manifestement par le corp
à la surface ou dans l'intérieur du cylindre osseux. Dans le premier cas , il existe un ulcère de la vertèbre. Vous voyez
re, nous voyons plusieurs pointes. On peut, en effet, distinguer deux cas au point de vue de cette disposition exceptionnel
urs pointes distinctes. L'exception réelle, constituée par le premier cas , peut avoir lieu au début et à la fin de la malad
ein des parties lésées. Dans le mode de l'altération osseuse, trois cas se présentent : Ier cas. — Il consiste en une é
Dans le mode de l'altération osseuse, trois cas se présentent : Ier cas . — Il consiste en une érosion superficielle de la
rée à tort du mal vertébral, auquel elle appartient évidemment? IIe cas . — Il s'agit ici de cavités qui n'altèrent pas la
eux vides, à parois dures, fibreuses ou fîbro-cartilagineuses. IIIe cas . — Un troisième cas, où la période de réparation
dures, fibreuses ou fîbro-cartilagineuses. IIIe cas. — Un troisième cas , où la période de réparation succède à la séparat
clinaison en avant du fragment supérieur du rachis. Dans le premier cas , il y a adossement de fragments en forme de coins
grande solidité. Ce cal intérieur peut n'être que partiel ; dans ce cas on peut croire la maladie guérie ; il n'en est
l existe même une solution de continuité des cordons nerveux dans les cas où il y a effacement des trous intervertébraux ou
se tenir debout, de marcher, du malade ; on remarquera, dans quelques cas , une inclinaison antérieure ou latérale du tronc,
s servent à éclaircir le diagnostic dans celle période. Dans tous les cas , on devra s'éclairer des antécédents, de l'état g
gique de cette maladie. 2° Il existe une seule pointe comme dans le cas précédent ; mais le rachis s'incline en avant, et
u de plusieurs angles. Les apophyses saillantes sont situées, dans ce cas , tantôt au milieu, tantôt à la partie supérieure
la colonne, et je découvre une petite pointe d'apophyse épineuse. Ce cas se rapporte non à l'état latent, mais à cette pér
Diagnostic différentiel. — Je passe au diagnostic différentiel des cas qui offrent quelque analogie avec ce que nous voy
des attitudes. En voici deux exemples; l'un d'eux offre le plus beau cas de courbure latérale dans le mal de Pott. Ces cou
tion, d'un abcès placé dans un côté. % ^Nous pouvons distinguer ces cas . Je mets en regard ces deux moules, qui se ressem
rachitisme peut produire une gibbosité médiane ; je vous en offre un cas clinique des plus intéressants. Supposez un enfan
ne laissent aucun doute sur l'existence du rachitisme. Il y a deux cas de courbure rachitique postérieure simulant un ma
par le relâchement des parties ligamenteuses et musculaires; c'est le cas le plus commun. Vous verrez des enfants rachitiqu
'examen du reste du corps. On trouve des signes de rachitisme dans un cas , et non dans l'autre. Les deux affections pourr
l'attitude caractéristique du tronc, les abcès, la paralysie, dans le cas où ces complications existeraient, etc. 3° Vous
3° Voussure par débilité des enfants et des vieillards. — Dans des cas rares comme celui-ci, l'erreur est possible. Voic
enteuse marque le début des accidents. Mais la violence peut, dans ce cas , n'être qu'une cause occasionnelle de production
elle de production de tubercules. Il faut également reconnaître les cas de mal double, triple ; je veux parler des foyers
multiples, séparés par des vertèbres saines. Je signalerai encore les cas où une altération profonde se trouve réunie à une
sera sec; mais je ne sache pas qu'il présente cet état dans d'autres cas . Le pus existe en quantité variable ; s'il est
s'il est peu abondant, il ne donne pas lieu à un abcès ; dans d'autre cas l'abcès existe, mais il est confiné à la surface
cès par congestion. Toutefois ce qui les produit surtout, ce sont les cas d'érosion profonde ou superficielle, mais très-ét
côlon, le rectum, le vagin, la vessie, etc. Passons à l'examen des cas cliniques. I. Abcès ilio-fémoraux. — Un premier
ue, soit en arrière, soit sur les parties latérales ; on cite même un cas où il aurait paru à la partie antérieure de la po
-laire, en passant au-devant des muscles scalènes. J'ai observé trois cas de ce genre; dans l'un, le pus provenant des quat
s la colonne vertébrale le pus qu'ils renferment. 2° Dans le second cas , l'abcès est plus profond ; la vue ne distingue p
illeurs, avec notre savant collègue, que la matité provienne, dans ce cas , du gonflement des vertèbres affectées ; un parei
ès thoraciques. On a découvert du souffle sous les clavicules dans un cas de compression des bronches, un mélange de gargou
fluctuation étant d'ailleurs très-obscure au début. J'ai vu, dans un cas de ce genre, les ganglions se mortifier par la pr
que quelquefois le mal de Pott, et, lorsqu'il existe un abcès dans ce cas , on éprouve de l'hésitation à déterminer à laquel
lysie. Elle porte sur le sentiment ou sur le mouvement; dans certains cas , sur les deux à la fois. La paralysie isolée du m
n'affecter que les membres supérieurs seulement. La moelle, dans ces cas , devait être saine dans une partie de son épaisse
exemple, l'occlusion des paupières pendant le sommeil. Dans d'autres cas , il succède à une impression portée sur les organ
ci les résultats des expérimentations faites sur les animaux. Dans un cas comme dans l'autre, la simple solution de continu
ont presque toujours lieu dans le même sens, bien que, dans quelques cas , on puisse reconnaître certains rapports entre le
ment et du mouvement; mais il serait important de savoir si, dans ces cas , les malades étaient insensibles à tous les genre
avait reconnu leur existence que sur un seul malade , et regardait ce cas comme un fait particulier. Il n'en est pas ainsi.
é une première fois à son début. Il existe, pour ainsi dire, dans ces cas , un deuxième et un premier degré de retour. (1)
mouvement réflexe est perdu. M. Duchenne de (Boulogne) a publié un cas dans lequel il y avait perte complète de l'irrita
Si l'on n'observe pas toujours des accidents de compression dans les cas de forte courbure du rachis, cela peut tenir à la
peuvent comprimer la moelle. Les symptômes sont les mêmes que dans le cas de compression par le seul fait de la courbure. L
le seul fait de la courbure. La paralysie peut, dans l'un et l'autre cas , rétrograder; de là des améliorations, des rétabl
une légère saillie des apophyses lombaires : eh bien, ce n'est pas un cas de mal vertébral. Cet enfant est ra-chitique. Qua
e l'art puise ses meilleures inspirations. Nous distinguerons trois cas dans le mal vertébral, au point de vue du traitem
même qu'on ne le dit généralement. Entrons dans le détail des trois cas que nous avons établis, et voyons quels moyens th
voyons quels moyens thérapeutiques il convient de leur opposer. Ier cas : Absence de paralysie et d'abcès par congestion.
a voyons survenir naturellement. Ainsi, cette première catégorie de cas peut non-seulement rester stationnaire, mais enco
, on trouve, en dernière analyse, dans ces deux catégories, autant de cas dans lesquels il est survenu des abcès, de la par
as dans lesquels il est survenu des abcès, de la paralysie, autant de cas dans lesquels les malades ont succombé. Telle e
ux exemples que je mets sous vos yeux sont relatifs à la catégorie de cas dont je parle. Ce premier enfant est depuis deux
ême tenté le redressement de plusieurs courbures semblables ; un seul cas m'a satisfait. Il s'agissait d'une jeune fille at
mélioration. M. Ferdinand Martin a fait également connaître plusieurs cas , dans lesquels il s'est bien trouvé de l'applicat
En résumé, je suis disposé à proscrire, pour le plus grand nombre des cas , les moyens mécaniques dans la position horizonta
a lésion. Au surplus, si l'on voulait recourir à l'orthopédie dans un cas pareil, on se guiderait d'après l'observation att
uloureuses ressenties par les malades. (1) Nous avons supposé trois cas différents dans le mal de Pott, au point de vue d
ateurs. Nous avons terminé l'histoire du traitement pour le premier cas , en ce qui concerne la lésion vertébrale propreme
e proprement dite; ce traitement s'applique également aux deux autres cas , puisqu'il faut traiter la maladie osseuse en mêm
de la paralysie. Je vous ai fait voir, en outre, que la guérison des cas où la maladie (1) Sixième leçon, 22 juin 1855.
s. Parmi ces symptômes, le premier est la douleur. Dans beaucoup de cas , cette douleur se calme après une application de
nibles auraient été sans résultat. Les raies de feu sont dans le même cas ; je leur préfère toutefois la cautérisation point
n sorte qu'elle ne peut être attribuée à l'action du remède; c'est un cas de guérison spontanée. L'enfant n'a point eu d'ab
andonnée à elle-même chez ces malades. Que pensez-vous maintenant des cas où l'on a mis quarante cautères dans l'espace d'u
rait-on pas dire que la destruction du derme a été superflue dans ces cas , que la maladie a guéri spontanément? Assurément,
tion ; j'admets qu'ils ont eu une action réellement efficace dans ces cas . Mais si les cautères sont utiles chez quelques
ercules, etc. Les améliorations momentanées qui surviennent dans ce cas ne doivent pas être attribuées aux moyens thérape
s cervical. Une fille de cinq ans, encore dans nos salles, offre un cas analogue au précédent, tant par le siège de l'aff
ineux que portait une jeune fille a guéri sans traitement. Depuis, un cas analogue observé par Dupuytren a été consigné dan
ns qui s'adressent à cette affection elle-même, en parlant du premier cas , c'est-à-dire du mal vertébral non compliqué d'ab
aralysie. La plupart des praticiens mettent leur confiance, en pareil cas , dans l'emploi des révulsifs, et particulièrement
le principal, sinon le seul mode d'action des révulsifs, et c'est le cas de répéter avec Stoll : Stimulus, non suppuratio
imulus, non suppuratio prodest. Lorsque l'affection est tuberculeuse, cas le plus ordinaire parmi nos enfants, il est évide
les moyens dont elle dispose pour agir sur l'absorption dans d'autres cas sont applicables aux abcès par congestion. Larrey
as sont applicables aux abcès par congestion. Larrey a rapporté trois cas de guérison d'abcès par résorption ; Abernethy en
de de M. Paterson, déjà employée avec succès par M. Trousseau dans un cas de mal vertébral accompagné de paraplégie. B. M
. Payan (d'Aix), aux incisions directes, au moins pour la plupart des cas . Après cet exposé, je dois vous indiquer ce que
ire dans cette circonstance? Abernethy a dit avec raison que, dans un cas pareil, les révulsifs peuvent agir comme excitant
t de s'ouvrir dans une cavité séreuse, le péritoine ou la plèvre. Ces cas sont rares. Comment doit-on pratiquer l'ouverture
l'important est de faire sortir le pus rapidement. Dans les autres cas , il ne faut pas ouvrir de bonne heure ; l'époque
st d'ailleurs subordonnée à des considérations particulières à chaque cas . Il y a des inconvénients à attendre; il y en a é
n a d'autres également bonnes pour recourir au trocart. Dans tous les cas , le trajet décrit par l'instrument dans la paroi
rture spontanée ou artificielle des abcès reste fis-tuleuse, c'est le cas de recourir aux injections iodées. Les auteurs de
ement à l'affection des vertèbres; néanmoins il faut tenir compte des cas de guérison consignés dans les ouvrages des prati
destructions très-étendues du rachis sans abcès ni paralysie; 2° ce cas est également une démonstration de cette autre vé
bien les lésions de la synovite sous-occipitale que par l'autopsie de cas plus graves, à côté desquels se trouvait une alté
onde. La maladie débute quelquefois par l'intérieur des os ; c'est le cas de tubercules se développant dans les masses de l
ivant qu'elle est unique ou bilatérale. Elle produit, dans le premier cas , l'inclinaison latérale de la tête; dans le secon
de l'arthralgie sous-occipitale. On n'en a fait mention que pour les cas d'affection osseuse; mais on l'observe plus souve
siège de la lésion. L'action réflexe des muscles produit, suivant les cas , diverses altitudes, renverse la tête en arrière
idement ou avec lenteur; elle est violente ou légère. Dans le premier cas , il y a interruption brusque des fonctions nerveu
à Paris ; je lui montrai cette malade ; il l'examina, et me dit : Le cas ne me paraît pas clair ; je n'opérerais pas. J'ai
malades de nos salles atteints de l'affection sous-occipitale. Ier cas . — Garçon de treize ans. Il y a un an, il s'endor
des manipulations. Il reste de légers mouvements choréiques(l). IIe cas . — Ce malade présente une différence légère dans
uxquels j'ai eu recours. Le malade est en voie d'amélioration. IIIe cas . — Fille de cinq ans. Lors de son entrée, sa mala
IIe cas. — Fille de cinq ans. Lors de son entrée, sa maladie était un cas modèle. La tête était penchée sur l'épaule gauche
utres moyens que le repos, les manipulations et quelques bains. IVe cas . — Chez ce jeune enfant, une première atteinte de
isparaît très-facilement par un mouvement d'extension du bassin. Ve cas . — Ce qui domine chez cette enfant, c'est un renv
s tous les sens; elle a un excès de mobilité. Cependant, même dans ce cas , on n'observe pas, en général, de déplacements tr
u cellulaire sous-cutané. Des abcès altèrent également, dans certains cas , la forme du cou. Ce qui doit nous arrêter surt
is elle les affecte seuls. L'hémiplégie a été signalée dans plusieurs cas d'arthrite sous-occipitale. v. Abcès. — Les abc
ralgie sous-occipitale, c'est la contracture des muscles du cou. Deux cas de ce genre sont décrits dans l'ouvrage de MM. Ri
arrière; dans l'autre, un torticolis. La contracture, dans le premier cas , était bornée aux muscles de la nuque ; dans le s
quemment incliné, conserve ce pli. Je crois qu'on ne confondra pas ce cas avec notre affection sous-occipitale. 2° Tortic
enfant nous arrive ayant un cou tellement tordu, que je crus voir un cas clinique des plus intéressants de mal sous-occipi
réunies chez le même sujet. Il s'agit de distinguer ces différents cas . J'ai insisté précédemment sur les caractères spé
; c'est alors le toucher plus que la vue qui permet de distinguer ce cas . La douleur est un phénomène commun aux deux affe
cas. La douleur est un phénomène commun aux deux affections; dans un cas elle a pour siège les muscles, et les articulatio
seront les mêmes que dans l'obstipité acquise; je ne connais, dans ce cas , d'autre moyen diagnostique que les renseignement
e la conséquence des torticolis musculaire et osseux. Ce qui, dans un cas , est effet, peut devenir cause dans un autre. En
dies de la base du crâne, exostoses, tumeurs fongueuses, etc. Dans un cas cité par Ollivier, l'arc de l'axis, considérablem
pratique de cet éminent professeur et publiée par M. Séguin comme un cas de torticolis musculaire, me paraît un exemple de
arties leur attitude normale. Ce principe m'a paru vrai dans certains cas de maladie sous-occipitale; mais il s'en faut de
supports, tels que cols en carton, qui soutiennent la tête. Dans les cas de difformité plus prononcée, on emploie des mach
ctement la même, qu'on ait employé ou non les cautères. Dans quelques cas , on a vu une amélioration marquée suivre de près
s moyens ne doivent pas être employés indistinctement ; dans certains cas , il faut produire une irritation légère, mais con
éviation de la tête et d'obtenir l'attitude la plus favorable dans le cas où la maladie se termine par ankylose. Ainsi, p
ue je conserve quelques doutes sur la réalité d'une réduction dans ce cas . J'ai été surpris de voir M. Malgaigne l'accepter
fer rouge, pour combattre ce dernier symptôme, mais seulement dans le cas où l'emploi des révulsifs moins puissants serait
demeuré sans succès. Le traitement général peut suffire dans certains cas . M. Legrand a rapporté deux guérisons d'affection
les de Belloste; les cautères ne furent pas employés dans l'un de ces cas , et ils restèrent appliqués très-peu de temps dan
artage en deux parties la région qui est au-devant du colyle; dans un cas , la tête passe au-dessus de cet os ; dans l'autre
ales par rapport à l'étendue du déplacement, on peut distinguer trois cas : a. Il peut arriver que la tête du fémur, quoi
n renfermée dans la circonférence de la cavité cotyloïde. En voici un cas qui ne laisse aucun doute : vous voyez l'endroit
ute : vous voyez l'endroit où siégeait la tête fémorale. Dans l'autre cas , la cavité cotyloïde s'est pour ainsi dire déplac
nd mode d'union, l'article est doué de mobilité comme dans le premier cas , mais la diarthrose n'existe plus; des liens fibr
ilhier, en ont cité des exemples irrécusables. Qu'arrive-t-il dans ce cas ? Le liquide distend la capsule, augmente sa capac
mique de l'articulation de la hanche chez le fœtus, et déjà, dans ces cas , la luxation était complète. On n'a bien observé.
pinion étiologique que l'on se forme de la maladie. On admet, dans un cas , qu'il n'y a jamais eu d'articulation normale. Da
cette opinion ne peut pas non plus être admise dans la généralité des cas . On manque, en général, de renseignements sur les
ter à cette cause le fait de Pallelta. Le gonflement n'était, dans ce cas , que secondaire; la graisse s'accumule partout où
manœuvres de l'accouchement. Il est bien prouvé que ce n'est là qu'un cas exceptionnel ; mais il est vrai de dire que ces l
génitales et les luxations accidentelles non réduites ; dans certains cas , c'est à peine si l'on perçoit quelques légères d
moyen d'union solide. L'allongement de la capsule n'est pas, dans ce cas , de la même nature que celui qu'on observe dans c
Sur un seul fait que voici : Dupuytren, dans ses leçons, a décrit un cas de pseudarthrose coxo-fémorale double qu'il a con
ger, la déplacer et produire une syndesmose; ce ne serait là, en tout cas , qu'une conjecture. Pour mieux étudier les chan
articulaire nouvelle d'une simple diastase. Vous avez dans le premier cas une organisation unitive, qui maintient la tête d
ent, sont dans la direction du poids des parties supérieures. Dans le cas que nous examinons, la tête de ces os est située
is je le crois le plus souvent étranger à l'attitude du corps dans le cas dont il est ici question. Il semble que l'absen
ctères distinctifs ; par quel mécanisme a lieu le déplacement dans ce cas ? Nous le savons pour les luxations pathologiques.
signe est insuffisant pour caractériser l'arthrite coxo-fémorale. Ce cas est peut-être un très-bel exemple de luxation con
dans cette forme de luxation et dans là* syndesmose. Dans le premier cas , elle est moins longue et plus serrée ; ses deux
a tête du fémur sur la cavité cotyloïde, et M. Sédillot a rapporté un cas semblable; mais il faut remarquer que ce résultat
capacité du cotyle peut commencer de très-bonne heure ; dans certains cas , l'effacement est très-marqué à l'époque de la na
ur, et présentait déjà la forme triangulaire. Il est au contraire des cas où l'étendue de la cavité reste plus longtemps en
proché de l'angle droit avec le corps de l'os. On a observé, dans des cas fort rares, une destruction complète de la tête e
i un exemple qui m'a été remis par un de nos externes, M. Fauvel. Ces cas sont des exceptions qut s'expliquent par des mala
disposition des bassins obliques ovalaires de Naegele. Même dans le cas où il n'y a point contact immédiat entre les os ,
nier appareil, qui, comme vous le voyez, peut rendre service dans des cas douteux par la précision qu'il procure. Je ne f
ège est rapproché de l'ancien cotyle. Dans le plus grand nombre des cas , toutefois, la tête fémorale ne peut être sentie
rend superficielle et visible. Le résultat est plus manifeste dans le cas de syndesmose que dans la pseudo-diarthrose, parc
mplètement lorsqu'il s'est formé une cavité profonde. Dans ce dernier cas , on parvient quelquefois à sentir la tête en avan
; la rotation en dedans ne se rencontre qu'exceptionnellement dans le cas d'attitude vicieuse. Souvent une légère flexion p
gularité est plus forte ; l'enfantement est-il plus laborieux dans ce cas ? On l'a dit ; mais on n'a cité qu'un seul fait, c
ôté, obtus de l'autre côté. La région lombaire, et même dans certains cas presque tout le rachis, décrit une courbe dont la
s autres le sont autant. La flexion de la cuisse offre clans les deux cas la même amplitude ; Pravaz a même écrit que cette
on observe ce mode de déambulation ; il en est caractéristique. 1er cas . — Celte petite fille est affectée d'une double l
ille est affectée d'une double luxation coxo-fémorale ; elle offre un cas remarquable en ce qu'elle est une exception très-
orsale ; elle est à peine excavée ; le bassin proémine fort peu. 2e cas . — Ce cas est intéressant pour vous ; il est souv
lle est à peine excavée ; le bassin proémine fort peu. 2e cas. — Ce cas est intéressant pour vous ; il est souvent méconn
n autre caractère : le pli fessier du côté droit est plus élevé. 3e cas . — Chez cette enfant de quinze ans et demi, les c
une cavité, elle ne pourrait éprouver une oscillation pareille. 4e cas . — Ce nouveau cas est des plus remarquables sous
ne pourrait éprouver une oscillation pareille. 4e cas. — Ce nouveau cas est des plus remarquables sous le rapport du diag
La claudication n'avait pas échappé à la mère de cet enfant. Dans ces cas , le raccourcissement est léger. Chez l'enfant que
ement abaissée; avec un peu d'art, celte fille ne boiterait pas. 5e cas . — Voici un cas exceptionnel que je n'ai rencontr
avec un peu d'art, celte fille ne boiterait pas. 5e cas. — Voici un cas exceptionnel que je n'ai rencontré que deux ou tr
s-bornée. La tête doit se trouver au-dessous de l'épine iliaque. 6e cas . — Le dernier cas exceptionnel est celui-ci : c'e
doit se trouver au-dessous de l'épine iliaque. 6e cas. — Le dernier cas exceptionnel est celui-ci : c'est une luxation do
de l'os, est aussi une cause de brièveté du membre. Voilà donc quatre cas déterminés par une lésion ayant son siège au vois
Un caractère des vraies luxations manque pourtant dans chacun de ces cas : c'est l'écartement du grand trochanter de l'axe
re cette conformation avec une pseudarthrose iliaque. Dans certains cas , la tête du fémur est plus basse que le grand tro
antéro-supérieures, comme dans la pseudarthrose. Ce qui distingue ces cas , ce sont les faits relatifs à la tête fémorale :
throse. Ce fait montre les difficultés de ce diagnostic dans certains cas , La luxation est simulée parfois encore par une
ontractures des muscles qui entourent l'articulation. Dans le premier cas , nous trouvons une attitude particulière; c'est s
versement du bassin et l'excavation lombaire. Je signale un dernier cas dans le diagnostic différentiel. La paralysie peu
ement le tronc en arrière pour assurer son équilibre. On voit dans ce cas , au lieu de la concavité générale de la région lo
lésion semblable. La luxation est sans doute congeniale dans ces deux cas . La duplicité des luxations est une autre circo
constituent donc un élément important de diagnostic ; il est même des cas où cet élément est le seul que l'on possède. Ains
nctions sont plus fortement compromises qu'elles ne l'ont été dans ce cas ; la marche devient impossible. Il est plus proba
est sortie de sa cavité. Une analogie frappante rapproche ce fait des cas de luxation coxalgique survenue dans l'enfance, c
otyloïdienne qui succède souvent à l'arthrite sèche, et dont voici un cas em-bouvier. 9 prunté au magnifique ouvrage de S
ns énormes. Ces faits sont rares; il faudra les distinguer des autres cas de luxations fémorales. Il faut également précise
nouvelle. Le trochanter sera très-élevé ; mais il l'est dans d'autres cas . On présumera pendant la vie qu'il y a abaissem
ement de flexion énorme. M. Malgaigne éprouva lui-même, dans un autre cas , un accident d'un genre différent produit par une
le temps ces obstacles deviennent plus grands; on cite cependant des cas de réduction obtenue à l'aide d'une extension len
e : à l'exception du fait de Kerkring qu'il cite, et qui n'est pas un cas de pseudarthrose véritable, il ne connaissait auc
ons de chirurgie avec une pathologie, 1739. dans un petit nombre de cas seulement, et presque toujours chez des sujets tr
en relation de volume. Il faut également admettre que, dans quelques cas très-rares de pseudarthrose, la capsule n'est pas
miques faites jusqu'ici, ce sera un grand hasard si l'on tombe sur un cas où la capsule ne constitue pas un obstacle consid
t assez lâche pour permettre à la tête de rentrer dans sa cavité. Ces cas sont favorables aux tentatives de réduction ; on
t favorables aux tentatives de réduction ; on pourra réussir dans des cas pareils à replacer la tête fémorale dans le cotyl
ait été modifiée ! Ce n'est pas une rechute qui a eu lieu dans les cas dont je parle; en voici une preuve. En 1841, une
cement congénital de la tête du fémur. Heine dit avoir, dans quatre cas , produit un abaissement du fémur, mais non la réd
plus incommodes des pseudarthroses de la hanche. Il se présente deux cas qui nécessitent l'emploi des moyens qu'il compren
tre dans une pseudarlhrose moins défavorablement constituée. Dans ces cas , on peut, avec des moyens mécaniques, amé- lior
alletta a donné la description de pièces semblables. Toutefois, ces cas sont plus rares qu'on ne le croit généralement. D
et fait craindre une aggravation de la malformation. Dans les autres cas , cette ceinture est en général peu nécessaire, su
oyen devient inutile au bout d'un certain temps; il y a seulement des cas exceptionnels dont il faut tenir compte. M. Chass
péronier latéral, congénère des extenseurs, tend à produire dans des cas pareils, outre l'équi-nisme , un excès d'abductio
; il est dû à deux états principaux des agents du mouvement : dans un cas , un muscle est plus fort, plus exercé que son ant
ent parler, mais une supériorité acquise ou congénitale. Dans l'autre cas , le strabisme est causé par une maladie réelle, u
ipliées, convulsions, maladies cérébrales, etc. Je ne parle pas des cas de paralysie musculaire partielle, donnant lieu a
s de l'individu et de l'usage qu'il doit faire de sa vue : tel est le cas d'une personne dont un œil est myope, l'autre pre
eu d'exemples de strabisme dû à cette cause ; ordinairement, dans ces cas , c'est plutôt la tête qui se tourne que le globe
encore de quelques mouvements; on pourrait dire, il est vrai, dans un cas pareil, qu'il s'agit d'une paralysie incomplète;
sieurs autopsies, et j'ai trouvé les muscles raccourcis dans quelques cas , non dans d'autres. Outre l'appareil musculaire
ue très-légèrement quand le malade fixe attentivement un objet. IIe cas . — Cette petite fille, âgée de deux ans, est couc
es deux yeux se dévient avec une égale facilité ; tantôt, et c'est le cas le plus ordinaire, l'un de ces organes est plus f
ie dans le grand angle ; c'est un strabisme du deuxième degré. IIIe cas . — Ici, strabisme interne droit, variable, bien m
s, lit avec la même facilité de l'œil droit et de l'œil gauche. IVe cas . — Un cas qui présente de l'analogie avec le préc
c la même facilité de l'œil droit et de l'œil gauche. IVe cas. — Un cas qui présente de l'analogie avec le précédent, bie
l'abduction est assez complète, l'iris atteint l'angle externe. Ve cas . — Autre exemple; c'est un strabisme interne de l
ntes et peu étendues; il paraît jouir d'une abduction complète. VIe cas . — Nous avons l'exemple d'une déviation interne d
sme double en regardant son nez ou des objets très-rapprochés. VIIe cas . — Chez cette autre enfant du même âge, le strabi
sse spontanément lorsque la malade fixe un objet peu éloigné. VIIIe cas . — Le strabisme dont nous sommes témoin chez ce g
Le mouvement d'abduction paraît à peu près égal des deux côtés. IXe cas . — Ce jeune homme est un sujet des plus intéressa
e fait ordinairement à la première vue. Cependant on rencontre quatre cas dans lesquels l'esprit du chirurgien peut éprouve
ement à la véritable nature de la lésion. 1° Dans le premier de ces cas , il s'agit du strabisme variable d'intensité, ou
enter aussi quelques difficultés; on devra, pour s'éclairer en pareil cas , recourir à l'expérience qui consiste à clore les
able, les mouvements ont lieu à intervalles éloignés. 4° Le dernier cas embarrassant est la paralysie d'un des muscles la
même à considérer; elle offre des ressources précieuses dans quelques cas . Chez les enfants louches, il faut user de quelqu
posé , et l'état de la vision reste le même; cependant, dans quelques cas rares, on a réussi de cette manière à rétablir l'
manuel opératoire présente la même facilité d'exécution dans les deux cas . Dans le strabisme externe, il y a moins d'inco
e point de fièvre en général; il s'en développe ce pendant dans les cas malheureux où apparaissent des phénomènes inflamm
nd obtenir dans certains procédés , tels que le sous-conjonclival. Le cas dans lequel M. Bonnet a cru voir celle réunion no
e le muscle ait été incisé dans toute sa hauteur. Quelquefois dans ce cas , quoiqu'on n'ait d'abord obtenu qu'une légère amé
erne, est excessivement rare dans le strabisme externe. Dans quelques cas , malgré cette déviation nouvelle, les malades épr
des pris parmi ceux que j'ai soumis à l'opération du strabisme. Ier cas . — Voici un jeune homme de vingt-cinq ans que j'a
t d'abduction, déjà insuffisant, eût été encore plus limité. Dans les cas de ce genre, on se trouve placé entre deux altern
empêcher le droit externe de reproduire en partie le strabisme. IIe cas . — Cette jeune fille, âgée de dix-huit ans, a été
vue, très-faible avant l'opération, s'est beaucoup améliorée. IIIe cas . — Le résultat obtenu chez cette femme, qui a tre
qu'ils se portent à gauche, et surtout à la fin de leur course. IVe cas . — Les deux yeux ont été opérés chez celte autre
age l'aponévrose oculaire, dût le redressement rester incomplet. Ve cas . — La malade que je vous présente occupait un emp
viens de parler; l'abduction paraît complète comme l'adduction. VIe cas . — Cette malade, qui est âgée maintenant de trent
vision, déjà faible avant l'opération, n'a rien gagné depuis. VIIe cas . — Nous avons ici l'exemple d'un strabisme intern
est très-peu diminuée. La vision s'est notablement améliorée. VIIIe cas . — Le dernier de nos opérés présentait, comme le
laire a permis d'obtenir un redressement complet de l'œil dans quatre cas , et dans trois de ces cas une amélioration notabl
n redressement complet de l'œil dans quatre cas, et dans trois de ces cas une amélioration notable de la vision ; qu'elle a
otable de la vision ; qu'elle a donné un demi-succès dans deux autres cas ; et qu'enfin elle a laissé les yeux dans un état
chisseur commun des orteils ne secondent ou ne suppléent que dans des cas particuliers, le premier le fléchisseur-adducteur
gros orteil ne paraît concourir à l'exten-sion-adduction que dans des cas pathologiques. Je n'ai considéré jusqu'ici que
ivision consacrée par le temps. Le premier groupe comprend tous les cas où la pointe du pied est tournée en dedans, c'est
d est tournée en dedans, c'est le varus; le deuxième groupe, tous les cas où la pointe du pied est tournée en dehors, c'est
ou l'affaiblissement, l'abolition de cette contraction. Dans les deux cas , si tous les muscles ne sont pas atteints ou s'il
cause si fréquente de pied bot. La marche de la maladie est, dans ce cas , presque uniforme. Un enfant est pris tout à coup
nt divers exemples de pieds équins en voie de formation. Ier et IIe cas . — Voici deux enfants de la salle Saint-Louis, pa
du gros orteil, lorsqu'ils font effort pour fléchir le pied. Dans les cas de ce genre, ce muscle tend, en effet, à suppléer
à suppléer le jambierantérieur, privé de toute action. IIIe et IVe cas . — Ces deux filles de la salle Sainte-Geneviève s
e et IVe cas. — Ces deux filles de la salle Sainte-Geneviève sont des cas analogues. Le n° 5 offre une paralysie du jambier
siste ; la paralysie des muscles antérieurs est générale. Ve et VIe cas . — Enfin, chez ces deux garçons de la salle Saint
différents degrés, qui la plupart paraissent être congénitaux. Ier cas . — Chez l'un, pourtant, le pied plat est évidemme
voûte tarsienne s'affaisse sous le poids du corps, qui, dans tous les cas de cette espèce, tend par lui-même à abaisser le
interne du pied et à renverser la plante légèrement en dehors. IIe cas . — Un effet analogue s'est produit chez une petit
ord interne du pied est plus ou moins rapproché du sol. IIIe et IVe cas . — Chez ce garçon, vous voyez ce bord interne tou
d plat, il est, comme ce dernier, congenial ou acquis. Mais, hors les cas de paralysies partielles et de contractures, on a
ez le premier hors de l'utérus? que la difformité a été dans les deux cas la conséquence de l'action musculaire pervertie p
3) et par M. F. Martin (Zi) ; mais on ne peut nier que, dans certains cas , la pression des membres du fœtus paraisse réelle
lières , et par suite la torsion du pied. Cela semble indiqué par des cas de déviations avec sillons circulaires profonds à
isent, à la vérité, des sillons semblables. Enfin, on a signalé des cas de pieds bots natifs déterminés par l'absence con
primitive de l'inclinaison des pieds. Ce sont là, j'en conviens, des cas rares, encore faut-il en tenir compte. Mais il
coïncidence due au hasard. Quelles suppositions fera-t-on dans ces cas d'hérédité? On ne peut invoquer constamment l'act
is, s'il en est ainsi, l'analogie conduit à penser que, dans certains cas , sans hérédité, il peut se produire des pieds bot
xaminer les différents caractères que je viens de vous exposer. Ier cas . — Cette petite fille porte un pied bot congénial
n qu'il n'y ait pas de paralysie. Le pied est court, ramassé. Dans ce cas , nous ne trouvons pas de cause héréditaire, ni d'
s de cause héréditaire, ni d'autres causes faciles à apprécier. IIe cas . — Voici un garçon porteur d'un léger degré de va
M. Duchenne. De l'autre côté existe un pied plat pathologique. IIP cas . — Sur cet autre garçon, vous voyez une élévation
résisté à ses antagonistes. La peau du talon est fine et douce. IVe cas . — Voici une petite fille qui vous offre le pied
très-marquée dans l'arrière-pied, et grande élévation du talon. Ve cas . — Chez ce garçon, c'est un pied bot double du pr
ns. Il reste encore, malgré cela, un pied bot du premier degré. VIe cas . — Cette jeune fille, qui est très-nerveuse, a un
ur. C'est un varus direct fait par l'art ; le talon porte bien. VIP cas . — Enfin, voici un garçon affligé d'un pied bot h
sions survenues dès le bas âge ; ce sont des pieds bots acquis. Ier cas . — Madame Elard, quarante-huit ans, a joui d'une
le poids du corps a dû contribuer à augmenter cette déviation. IIe cas . — Madame Meuriot, quarante-neuf ans, est un exem
que la faiblesse musculaire a été égale dans tous les muscles. IIIe cas . — Madame Lecouteux, vingt-huit ans, a eu des con
c un pilon ; aussi y a-t-il dans ce point une grosse callosité. IVe cas . — Madame Doidan, cinquante-sept ans, porte un pi
on, qui, bien que réduite, est jusqu'à un certain point normale. Ve cas . — Madame Moysant, soixante-huit ans, est atteint
mblable à celle qu'on observe sur une pièce du musée Dupuytren. VIe cas . — Madame Lefèvre, cinquante-sept ans. Chez cette
s de rapport évident entre les deux difformités; par exemple, dans le cas d'existence simultanée du bec de lièvre ou d'une
cles sont, en effet, paralysés. Delpech (1) a déjà fait connaître des cas analogues. Voici une enfant qui offre un exempl
modifié dans sa situation. Comme dans le varus, ce n'est que dans des cas exceptionnels qu'il se contourne de manière que s
e un ou deux orteils, et ce sont ceux du côté externe; dans un de ces cas , il n'y a pas de péroné. 11 existe certainement u
à nu au dos du pied; vous voyez la saillie qu'elle fait sur tous ces cas de pieds équins. Voici un moule où celte saillie
ont abandonnés à eux-mêmes ou pressés par le poids du corps. Voici un cas de ce genre, qui était en même temps valgus posté
ints, les deux premiers, de pieds équins, le dernier de valgus. Ier cas .— Chez le premier, il serait survenu, à l'âge de
; le pied devient alors légèrement valgus et pied plat. C'est donc un cas de rétraction légère accompagnée d'une forte cont
nt marche en partie sur les orteils, dont les ongles sont usés. IIe cas . — Sur cet autre garçon, atteint aussi, il y a qu
l est susceptible des mêmes remarques que le précédent, mais c'est uu cas beaucoup moins prononcé. IIP cas. — Le troisièm
es que le précédent, mais c'est uu cas beaucoup moins prononcé. IIP cas . — Le troisième malade est une petite fille de tr
e crois pas impossible, comme l'a dit M. Bonnet. Il st d'ailleurs des cas qui approchent tellement du talus pur, que c'est
ral, un certain degré de valgus se joint donc au talus, comme dans le cas publié par M. Scoutetten en 1838 (3), comme dans
rticale, comme dans le pied équin, mais dans un sens opposé. Dans les cas anciens, il se fait, en outre, un commencement de
s des deux os forment un angle ouvert en arrière, comme dans certains cas de pied équin, quoique par une causi agissant dan
nte du pied. C'est ce qui a eu lieu sur cette pièce de talus, dans un cas où, à la vérité, il manquait plusieurs os du tars
est aplatie; à peine sent on le tendon d'Achiile; c'est peut-être un cas de ce genre que Palletta a pris pour une absence
bserve dans le pied équin commun. L'identité est telle, dans les deux cas , qu'on distingue à peine les squelettes de ces de
ormité qui frappe les yeux. Cependant la vue peut tromper en pareil cas , et le diagnostic différentiel de ces déviations
on le voit après certains accès d'éclampsie. Il faut, dans tous ces cas , s'attacher à distinguer la contraction de la rét
uisent à la locomotion et la rendent quelquefois impossible. Dans les cas les plus favorables, ce n'est que dans la jeuness
scles sont contractés et non rétractés. Les moyens à employer dans ce cas sont les mêmes que dans les plus légers degrés du
fit pas pour amener la guérison des pieds bots; dans presque tons les cas , il faut joindre à l'opération l'emploi des moyen
varus, simultanément quand cela est possible, en deux temps dans les cas graves. La même règle est applicable au valgus éq
u talus pied creux exigent une manœuvre plus difficile. On a, dans ce cas , à étendre l'arrière-pied, par conséquent à abais
seule une méthode curative générale; elle ne réussirait que dans des cas isolés. M. Stoltz a vu un jeune garçon qui se g
remplacer avantageusement les machines dans le plus grand nombre des cas . Us peuvent réussir, lorsqu'on n'a point à remédi
rmation (1). (1) Voyez , pour le parti que l'on peut tirer, dans ce cas , des bandes 15. C. Machines. — Les machines o
ec les courroies placées sur le cou-de-pied. On construit, pour les cas de fortes courbures médio-tarsiennes latérales, d
ment la rétraction des fléchisseurs de la jambe qu'on observe dans ce cas . Revenons à la description des machines. 2° P
ivot. Cela peut servir pour redresser la pointe du pied dans certains cas . Dans la plupart de ces appareils, les montants
e la flexion ou l'extension du pied sur la jambe. Je préfère, dans ce cas , deux montants articulés à un seul ; leur extrémi
de M. Jules Martin, dont je fais habituellement usage. Supposons un cas de varus : on commence par redresser le pied avec
aucoup de lenteur, lorsqu'on se borne aux moyens mécaniques. Dans ces cas , la ténotomie nous vient en aide; en diminuant le
voir vous donneront une idée des moyens qu'emploie M. Duchenne. Ier cas . — Sur cette jeune fdle, voici le bandage tel qu'
t déjà, vous le voyez, un retour vers les appareils mécaniques. IIe cas . — Mais cela est encore plus frappant sur ce jeun
s premières : c'est l'action de la pesanteur. Dans un petit nombre de cas , en effet, par exemple dans le pied équin, dans l
uvent toujours remplacer ceux-ci, qui, au contraire, dans beaucoup de cas , ne peuvent leur être substitués. On a dit que le
orté, ou remettre au lendemain l'application de cet appareil. En tout cas , on a soin de ne point exercer d'efforts d'extens
tenseur commun dans certains valgus talus. On prendra garde, dans ces cas , de blesser la veine saphène externe ou l'artère
profond, où il est très-difficile de l'atteindre sûrement. En pareil cas , c'est donc encore à la jambe qu'il faut faire la
lus lard chez les sujets paralytiques, à circulation faible. Dans les cas ordinaires, cette inflammation est peu intense et
vais maintenant opérer devant vous deux enfants de nos salles. Ier cas . — L'un est cette petite fille de six ans et demi
urd'hui même le pied dans l'appareil que portait déjà l'enfant. II* cas . — L'autre enfant est un garçon de dix ans et dem
la section est bien complète (1). Même pansement que dans le premier cas . Phénomènes de réparation après (a section des
, d'obtenir une réunion complètement satisfaisante dans plusieurs des cas que je viens de mentionner. C'est ce qui résult
i se passe après la section des tendons dans le plus grand nombre des cas ; mais les suites de la ténotomie ne sont pas touj
général, elles n'ont pas de conséquences graves. Je ne connais pas de cas de mort à la suite de la ténotomie pratiquée pour
it pas, dans ces plaies suppurantes, de celle qui se produit dans les cas ordinaires. Quelquefois seulement la réunion est
ongement du corps charnu; il remonte, au contraire , dans beaucoup de cas , par la rétraction des fibres musculaires. Quant
l'opération. Ce résultat nul de la ténotomie se voit aussi dans les cas où le traitement mécanique, convenablement employ
n dont les avantages sont le plus souvent problématiques. Si, dans un cas donné, on se décidait à y recourir, le procédé se
ots, en général satisfaisants, ne le sont pas également dans tous les cas . Dans les guérisons même les plus complètes, le p
années. Ces exemples vivants vous frapperont encore davantage. Ier cas . Georges Watts, âgé de deux mois, était atteint d
sa concavité normale. Ce fait vous montre à quel point, dans certains cas , la cicatrice tendineuse conserve son extensibili
les appareils mécaniques pour obtenir une guérison si parfaite. IIe cas . — Marie Pavard porte un varus double, du premier
; il reste à compléter la guérison par des soins consécutifs. IIIe cas . — Adrien Cottereau, atteint d'un varus gauche, e
à la difficulté d'avoir de bons appareils, vu leur prix élevé. IVe cas . — Léon Deshayes, âgé de six ans, vient dans mes
uis ce moment le pied est maintenu dans l'appareil. Je vous montre ce cas comme un exemple des difficultés que fait éprouve
si le redressement est-il encore incomplet. C'est peut-être un de ces cas où il est indiqué de recourir à la section des li
eillance continue rencontre dans la pratique des hôpitaux. Tous les cas dont je viens de parler n'ont trait qu'au varus.
s son excellente thèse (2). M. Stanski (3) a cité, d'après Reiske, un cas de ra- (1) Gazette des hôpitaux, du 17 juillet
cessives, lorsque le mal ne s'arrête pas à son début, et qui, dans le cas contraire, constituent des formes ou des états di
importante, et ne pas admettre l'existence de fractures dans tous les cas de celte espèce. Voici un dessin de Chaussier, re
d'autres atteints de fractures réelles, pour bien distinguer ces deux cas . La consolidation des fractures chez les sujets
uses épaissies conservent leur excès de volume, et on observe dans ce cas une véritable hypertrophie rachitique. Vous en av
rêt de développement comme un effet du rachitisme, c'est que, dans ce cas , la matière calcaire n'a jamais été déposée dans
514 du musée Dupuytren, et il est plus rationnel d'attribuer, dans ce cas , l'hydrocéphalie à l'arrêt de développement des o
des courbures antéro-postérieures et des courbures latérales. Dans ce cas , les courbures sont persistantes. Ces pièces et c
hidienne d'un jeune sujet de deux ans et quatre mois, qui présente un cas fort rare de soudure rachitique de deux vertèbres
; on le trouve chez tous les rachitiques sans exception, et dans les cas les plus légers. On pourrait dire qu'il constitue
é à trouver. La dépression se rencontre aussi dans un grand nombre de cas , mais elle n'est profonde que dans les plus grave
r sur ces enfants la plupart des faits que je viens d'exposer : Ier cas . — Enfant âgé de quinze mois; c'est l'exemple que
le ventre de sa mère, au moins en ce qui concerne les membres. IIe cas .— Garçon de vingt-huit mois; les membres inférieu
thorax existe, mais sans dépression notable ; rien au rachis. IIIe cas . — Garçon âgé de quinze ans, ayant la taille d'un
argis en lame de sabre. Il y a évidemment là éburnation des os. IVe cas . — Enfant de quatre ans et trois mois. Tête un pe
achitisme, qui ne s'y décèle que par le gonflement des poignets. V« cas . — Enfant de cinq ans ; il vous offre un bel exem
e chez le précédent, et les genoux déviés en dedans. Nous avons là un cas de rachitisme à la fin de la deuxième période, ca
s sur les déformations du bassin dans le rachitisme, et même hors les cas de rachitisme, appartient spécialement aux courbu
professeur attribue, comme moi, l'absence de ce signe, dans certains cas de rachitisme ancien, à ce qu'il a disparu dans l
naux, et une rectitude presque complète des membres thora-ciques. Les cas de rachitisme congénital éburné, que vous avez vu
is que c'est le poids du membre qui tend à fléchir l'humérus dans les cas de ce genre, quand le bras est soulevé par le del
ment d'arrière en avant, du côté dorsal au côté palmaire. En voici un cas où la courbure est aussi anguleuse que dans une f
ur par l'action du poids du corps, à laquelle s'ajoute, dans certains cas , la contraction des muscles. Chez les enfants qui
ipal agent des courbures. Il faut aussi tenir compte, dans ce dernier cas , et même dans le premier, du poids de la partie i
en dedans, des deux côtés, ils ont la forme de la lettre X. Dans ce cas , les genoux se touchent ou même se croisent, et l
s combinaisons que les déformations rachitiques peuvent former. Ier cas . — Le premier est un enfant de nos salles, âgé de
ne courbure en S. L'enfant marche, mais se fatigue promptement. IIe cas . — Ce second enfant vous a déjà été montré comme
x. Il est rare que la courbure provienne d'une semblable cause. IIP cas . — Voici un enfant de quatre ans et demi, qui a b
t; les membres inférieurs offrent la disposition de guillemets. IVe cas . — Chez cet autre, âgé de quatorze mois, nous tro
ues de la première enfance. Cet enfant vous en offre un exemple. Ve cas . — Voici un garçon âgé de treize ans et demi, qui
bés en dehors et en avant ; les rotules sont placées en dehors. VIe cas . — Chez cette petite fille, âgée de quatre ans, l
érieure, qui se redresse presque entièrement dans l'extension. VIIe cas . — Enfin, chez cet enfant âgé de dix-neuf mois, n
(1) a déjà noté que le cerveau est souvent parfaitement sain dans ce cas ; il n'a signalé que chez quelques enfants un épan
à diriger sa face antérieure à droite. Les mêmes auteurs citent deux cas d'hypertrophie du cœur, paraissant produite par l
très-souvent de pneumonie. Cependant on ne doit pas toujours, dans ce cas , juger de la gravité de l'affection pulmonaire pa
s scrofules peuvent, en effet, déterminer le rachitisme dans certains cas ; mais, dans d'autres, ils lui succèdent au contra
e chez les enfants qui succombent à d'autres maladies. Mais les vingt cas recueillis par M. Rufz ne suffisent pas pour just
et le rachitisme à une autre époque, comme elles paraissent, dans des cas exceptionnels, produire à la fois les premières l
s. Les tendons de la partie inférieure de la jambe décrivent, dans un cas pareil, des spires, avant de parvenir à leur dest
rvé par M. Depaul ; la rapidité de la maladie coïncide aussi, dans ce cas , avec la rapidité du développement physiologique.
été. Terminons cette séance par l'examen de quelques malades. Ier cas . — Voici un enfant d'un an, fils unique de parent
, et dans le crâne il est déjà arrivé à la période de guérison. IIe cas . — Je vous présente cette petite fille comme un t
on des valgus. Cette enfant ne peut pas se tenir seule debout. IIIe cas . — Voici une autre petite fdle, âgée de trois ans
ocal. Les circonstances étiologiques suffisent, dans plusieurs de ces cas , pour établir la nature du mal. Quand l'hydrocé
du rachitisme céphalique. MM. Rilliet et Barthez (1) rapportent un cas où l'on crut à une hydrocéphalie et où il n'y ava
l existe des différences entre ces deux maladies. Bien qu'on cite des cas d'ostéomalacie dans la première enfance, c'est su
iée à d'autres remèdes suivant les indications; il rapporte plusieurs cas de guérison. Salmade (5), son parent et son élève
tation des enfants rachitiques; il ne les faisait sevrer que dans des cas particuliers. Cependant l'opinion de Zeviani a lo
e dernière séance, à vous montrer un certain nombre de malades. Ier cas . — Voici une petite fille âgée de six ans, qui n'
les tibias convexes en dedans. Il y a rapprochement des genoux. IIe cas . — Garçon de dix-huit mois, n'ayant jamais marché
es. La flexibilité des os est peu étendue, mais douloureuse. C'est un cas où la maladie est encore dans la période de ramol
as où la maladie est encore dans la période de ramollissement. IIIe cas . — Petite fille âgée d'un an. Fontanelle très-gra
douleur, ce qui fait supposer que la période aiguë est passée. IVe cas . — Voici un cas bien différent des précédents, pa
fait supposer que la période aiguë est passée. IVe cas. — Voici un cas bien différent des précédents, par l'âge du sujet
de la difformité, il est permis de se demander si ce n'est pas là un cas où l'ostéotomie peut trouver une application conv
un cas où l'ostéotomie peut trouver une application convenable. Ve cas . — Petite fille âgée de deux ans. Chez elle, la f
ntent une légère courbure en dehors dans leurs deux sections. Dans ce cas , le rachitisme porte donc principalement sur le c
rte donc principalement sur le crâne et les membres inférieurs. VIe cas . — Voici une petite fille âgée de trois ans et qu
et des deux côtés et une légère courbure en dehors des fémurs. VIIe cas . — Sur cet enfant qui n'a que deux mois, le rachi
pelet est très-prononcé; il n'y a rien au crâne ni au rachis. VIIIe cas . — Voici une petite fdle de six ans et demi, sur
ellement, a été obtenu au traitement externe du bureau central. IXe cas . — Examinez cette petite fdle, âgée de deux ans.
ns, avec une très-légère courbure du fémur en dehors. C'est un de ces cas de rachitisme léger, que l'on peut confondre avec
ction mécanique de la pesanteur et de la contraction musculaire. Xe cas . — Je termine en plaçant sous vos yeux, comme exe
a jambe, pour donner plus de fixité à l'appareil. Il importe, dans ce cas , que le montant externe soit assez résistant et a
vicieuse, tendant à déformer le squelette. Je ne parle pas encore des cas où nous pouvons être forcés de recourir à une équ
ive. On a fait des recherches intéressantes pour déterminer dans ce cas l'état anatomique des pièces du rachis. MM. Wcber
et il s'établit une courbure par déformation. On distingue le premier cas du second à ce que la flexion disparaît complètem
s muscles plus de puissance contractile. Il importe seulement dans ce cas de placer le tronc le plus possible dans la posit
us que les garçons à subir l'effet de ces influences. Dans tous ces cas , la déformation est favorisée par un manque de to
, peu favorable au jeu du cœur, des poumons, de l'estomac, et en tout cas elle tend à s'accroître avec l'âge et à atteindre
rties, lorsqu'il existe une déformation. On ne réussit donc dans ce cas que par une grande persévérance, une surveillance
; je ne décrirai pis les nombreux exercices qui conviennent en pareil cas ; vous les trouverez dans les ouvrages spéciaux de
ver ainsi des services qu'ils rendent incontestablement dans certains cas . III. Cyphose sénile. —La cyphose sénileest une
in en arrière par la demi-flexion des cuisses et des genoux. Dans les cas graves, il n'en est plus de même : le centre de g
3° Dans le rhumatisme. On a cité dans des ouvrages déjà anciens des cas de contracture (1) J. Capitolinus, Vie de l'emper
nte de la cyphose; il est musculaire ou articulaire : dans le premier cas , il agit tantôt à la manière des contractures, ta
plus tard permanente, surtout chez les jeunes sujets; il y a dans ce cas raccourcissement des ligaments postérieurs du rac
peut se déformer et la lordose pathologique se produire. Dans deux cas rapportés par M. Maisonabe (1), cette lordose de
connaître, en 1774, un troisième qu'il tenait de son maître (1). Ces cas sont beaucoup plus rares que dans la cyphose, soi
Le môme écrivain montre ailleurs comment il faut comprendre, dans ce cas , l'effet des poids ajoutés à la masse du corps. «
onnaître la forme qu'ils lui impriment. On peut quelquefois , dais ce cas , arriver à combiner les efforts de manière qu'ils
ent accouchées. La position horizontale est déjà dans ces sortes de cas un très-bon moyen orthopédique. En soulageant les
ouveau dans la suite ; ces lits sont également applicables à quelques cas de cyphose. On peut encore placer une large ban
tion bornée, qu'ils peuvent présenter des inconvénients dans certains cas , tout en professant que le traitement gymnastique
mme d'autres en ont pratiqué sur les muscles abdominaux dans certains cas de cyphose avec rétraction musculaire. Ce moyen n
e très-considérablement en arrière (3). » Delpech a publié comme un cas de lordose dorsale l'observation d'un jeune homme
escription du torse et par la figure qui l'accompagne, que c'était un cas de scoliose à courbure latérale triple, et non un
surtout à la région cervicale. Mais leur histoire se rattache dans ce cas à celle de ces cicatrices elles-mêmes. Je ne co
entaire, qu'en raison de l'inclinaison des vertèbres dorsales dans ce cas , les malades auraient la tête penchée vers la ter
-occipitale. La lordose dorsale se voit presque uniquement dans les cas de cette espèce, lorsque la cyphose occupe les ré
e, comme je l'ai déjà dit, la véritable cause de. la courbure dans ce cas . Cette lordose dorsale sjmptomatique présente d
rien de général. On ne rencontre ces complications que dans quelques cas . Le sternum peut être déformé, mais moins fréquem
it dans la cyphose sacrée, dorsale ou même cervicale. Dans ce dernier cas et dans le premier, elle existe avec la lordose d
n seul côté ou des deux ; la lordose est plus marquée dans ce dernier cas . La déformation du rachis n'arrive alors que lent
imitive. Voici quelques exemples de lordose de compensation : Ier cas . — Ce malade me fournit l'occasion assez rare de
rquez qu'il ne se forme plus de voussure physiologique. IIe et IIIe cas . — Ces deux autres enfants présentent chacun une
ie inférieure de cette région qui a été primitivement affectée. IVe cas . — Chez ce quatrième malade, la cyphose occupe le
e sacrum, et la lordose est à la hauteur de la région des reins. Ve cas . — Cet autre présente la disposition contraire. L
(2) Archives générales de médecine, janvier 1857, BOUVIER. 23 VIe cas . — Chez cet autre enfin, le mal vertébral occupe
es, et ont donné lieu à l'apparence bizarre que vous remarquez. VIP cas . — Enfin, chez cette petite fille, vous voyez un
on occasionnée par l'inclinaison exagérée du bassin : dans ce dernier cas , c'est parce que le bassin s'incline en avant que
en définitive, et la configuration du torse diffère peu dans les deux cas , quoique produite par un mécanisme inverse. Aussi
lordose ne diffère en rien de celle que je vous ai fait voir dans des cas d'inclinaison primitive du bassin. Mettons à côté
fois qu'il a bien voulu m'en rendre témoin. On s'attendrait dans ce cas à voir, comme chez les vieillards, la faiblesse d
factice, un collier convenablement rembourré, serait utile en pareil cas . D. La lordose congénitale est en général une c
ujours réunie au spina bifida. On voit la lordose lombaire dans des cas d'éventration avec développement imparfait des vi
de Dugès (2), que dans une autre de Gerdy (¿5), les mêmes que dans un cas observé par M. Gi-raldès (U) et dans d'autres rec
ractères est la lordose générale du rachis. En effet, dans tous ces cas , la colonne vertébrale, ouverte à sa partie posté
oy-Saint-Hilaire (1) (cerveau à l'occiput, de ïviov , nuque). Dans le cas de M. Bouteiller, il y avait de plus transpositio
ôle des muscles? D'abord qu'est-ce qu'un monstre ? Dans beaucoup de cas , ce n'est autre chose que le produit d'une altéra
semble encore démontrer la réalité des influences mécaniques dans les cas de ce genre. C'est une lordose du sacrum, devenu
e à droite ou à gauche, en partant du bassin. Celui-ci, dans tous ces cas , peut conserver sa direction normale ou s'incline
ur de Pravaz (2) d'avoir cru à priori à une torsion du rachis dans ce cas , d'après la direction des apophyses articulaires.
ie de la région dorsale. La forme du tronc tient à la fois, dans ce cas , des courbures droite et gauche qui constituent c
titudes physiologiques peut être mis à profit pour combattre, dans ce cas , leurs propres effets. B. La flexion latérale s
muscles de ce côté. L'état du membre inférieur influe aussi, dans ce cas , sur l'attitude. S0 Flexion latérale par douleu
(1). Terminons cette séance par l'examen de quelques malades. Ier cas . — Voici un garçon de douze ans entré récemment d
Boulogne) rapporte à la paralysie incomplète des sacro-spinaux. IIe cas . — Voici une petite fille âgée de treize ans qui
bas de la région cervicale; c'est une scoliose de compensation. IIP cas . — Sur cet enfant, vous voyez une courbure lombo-
e; toute déformation disparaît lorsqu'on fait asseoir l'enfant. IVe cas . — Sur cet autre enfant, atteint d'une tumeur bla
surtout si l'on tient compte, comme il paraît le faire lui-même, des cas où elle n'est représentée que par une sorte d'apl
achis. Au delà de la vingtième année, c'est à peine si l'on trouve un cas sur cent dans lequel le rachis soit parfaitement
u-dessous de cet âge; plus on se rapproche de la naissance , plus les cas de rectitude complète deviennent nombreux, et l'o
quefois tournée à droite; cette particularité a été observée dans des cas d'inversion des viscères, l'aorte étant elle-même
), Desruelles (3), Brochin (4)', en ont publié depuis quatre nouveaux cas , et il en existe d'autres semblables. Cependant c
dirigée à droite, quoique l'aorte fût placée de ce côté (5). Dans un cas observé par M. Desruelles (6), il n'y avait pas d
est ce que Béclard a vu sur un gaucher (7). J'ai moi-même observé des cas semblables, mais les sujets n'étaient pas tous ga
exité à gauche sans qu'il y ait renversement de la déviation. Dans ce cas , en effet, la courbure normale existe, mais elle
concave de la courbure. Cette différence précède même, dans certains cas , celle qui se produit dans les corps vertébraux ;
on différente de celle qu'offre la série des corps vertébraux. Quatre cas peuvent se présenter : Io La courbure légère de
auche, l'arc n'éprouvant qu'un très-léger changement de situation. Ce cas dépend encore de ce que les apophyses épineuses s
étant, par exemple, la moitié, le tiers de la courbure antérieure. Ce cas est moins fréquent que le précédent ; on le renco
; je n'en ai vu qu'un petit nombre d'exemples. Les apophyses, dans ce cas , ne se sont pas déviées par rapport aux corps ver
rieur. Voici quelques exemples de courbure latérale normale : Ier cas . —Ce garçon, qui paraît avoir seize ans, bien qu'
e et à gauche ; mais elles ne décrivent pas de courbe sensible. IIe cas . — Garçon de onze ans. Légère voussure dorsale dr
avant ; pas de déviation appréciable des apophyses épineuses. IIIe cas . — Garçon de seize ans. Légère voussure dorsale d
rès-légère, presque inappréciable; ligne des apophyses normale. IVe cas . — Garçon de onze ans et demi. Voussure dorsale d
roit un peu plus échancré ; déviation très-légère des apophyses. Ve cas . — Garçon de quinze ans. Légère cyphose dorsale;
es apophyses dorsales inférieures sont un peu déviées à gauche. VIe cas . — Garçon de quinze ans, bien conformé. Il a une
xion latérale physiologique qu'à une courbure par déformation. VIIe cas . — Garçon, douze ans. Très-légère voussure dorsal
s lombaires droits, due à une courbure secondaire inférieure. VIIIe cas . — Garçon, neuf ans et demi. Légère voussure dors
re supérieure gauche, qui s'est développée plus que les autres. IXe cas . — Garçon, neuf ans. Voussure dorsale droite soul
oulevant l'omoplate. Pas de déviation appréciable des apophyses. Xe cas . — Garçon, douze ans. Cas analogue au précédent;
e déviation appréciable des apophyses. Xe cas. — Garçon, douze ans. Cas analogue au précédent; dos un peu voûlé, épaule d
us plein; pas de déviation appréciable des apophyses épineuses. XIe cas . — Fille, treize ans. Voussure latérale dorsale d
e, qui disparaît lorsque l'enfant vient à se courber en avant. XIIe cas . — Fille, treize ans. Ophthalmie et perte d'un œi
evient tout à fait droite quand le tronc se fléchit en avant. XIIIe cas . — Fille, douze ans et demi. Ophthalmie détermina
e la tête à droite. Très-légère voussure dorsale du même côté. XIVe cas . — Fille, huit ans. Légère voussure dorsale droit
ulevant l'épaule ; série des apophyses sensiblement rectiligne. XVe cas . — Fille, onze ans. Légère déviation à gauche des
Légère déviation à gauche des apophyses dorsales inférieures. XVIe cas . — Fille, dix ans. Voussure légère dorsale gauche
ransposition de l'aorte retourne la courbure. Les exceptions sont des cas de courbures pathologiques venant renverser une c
simples, que la convexité soit à droite ou à gauche. Il n'y a dans ce cas qu'un petit angle ou coude peu marqué aux deux ex
rmer le racbis dans le point où elle était le plus prononcée. Dans ce cas , la scoliose affecte d'abord la forme de la flexi
(1). Mais cela est rare; la courbure sigmoïde se transforme dans les cas les plus communs. L'une des courbes, ordinairemen
mitivement plus marquées que la courbure principale aortique. Dans ce cas , le sommet de l'arc à convexité gauche et le poin
e. La gibbosité est alors lombaire; la courbure n'atteint pas dans ce cas un degré aussi considérable que dans la déviation
tique, qui avait primitivement sa convexité à gauche. Dans ce dernier cas , la courbure aortique se renverse également et pa
au membre le plus court, à celui vers lequel penche le bassin dans le cas de claudication. La troisième courbure qui acco
uve même dans la scoliose normale, prédomine à son tour dans certains cas .—Voici une pièce de ce genre.— La gibbosité est a
crites par les corps et par les apophyses ne sont égales que dans des cas exceptionnels de scoliose légère. Dans tous les a
ous le voyez sur toutes ces vertèbres désarticulées. Ce sont, dans ce cas , les arcs qui, dans l'attitude naturelle du rachi
ion latérale physiologique; les épaules suivent, dans l'un et l'autre cas , le mouvement des côtes. Mais, dans la scoliose,
saillie est alors plus étendue et moins proéminente, excepté dans des cas rares de courbures uniques bornées à un petit nom
si de l'axe de la poitrine. Le côté opposé, le côté gauche, dans le cas que j'ai supposé, gagne en largeur par le déplace
ment (l). Remarquez que l'aplatissement antéro-latéral répond dans ce cas à la région précordiale, dilatée au contraire dan
ans sa composition; il penche en avant ou de côté, et dans ce dernier cas il peut rencontrer le bassin à la crête ou dans l
ce que vous voyez sur ces autres pièces (1) ; remarquez que, dans ces cas , la courbure dorsale est prédominante. Somme tout
vous sera facile de vous assurer du contraire. Ce n'est que dans des cas particuliers que les os iliaques ont réellement u
ieur correspondant, qui ne posait que sur la pointe du pied. C'est un cas tout à fait exceptionnel. On a parlé d'une tors
ngement de direction du thorax, qui se tourne en effet, dans certains cas , avec la colonne vertébrale. D. Tête. — La tête
menton du Pulcineilo. Mais je n'ai trouvé que dans un petit nombre de cas une augmentation réelle du diamètre vertical, et
oduisent pendant la vie. L'absence de contraction musculaire, dans ce cas , donne lieu à une véritable dia-stase des articul
es dorsales ou lombaires, si elle ne la produit pas à elle seule. Ces cas sont fort rares, et ils appartiennent plutôt à la
aînés dans le déplacement de ces dernières, et prennent dans certains cas une direction presque horizontale. Refoulé par le
et réduit d'autant sa cavité propre. Enfin, incliné dans beaucoup de cas en arrière ou de côté avec l'axe de la poitrine,
toutefois que les déviations dorsales gauches peuvent, dans certains cas , réduire beaucoup l'emplacement destiné au cœur,
s nos 481, 482, 481a, 482b, quatre pièces d'aortes injectées dans des cas de scoliose où MM. Houel, Verneuil et Jamain ont
s, la disposition des veines principales et de l'œsophage. Dans les cas les plus ordinaires, où la concavité de la courbu
t recourbée, comme l'aorte, dans le même sens que le rachis. Dans les cas de forte déviation lombaire que je viens de rappe
thoracique qui constitue V ex cep lion. Cette artère décrit, dans ce cas , de petites courbures qui ne représentent pas aus
ition de l'aorte diffère suivant le degré de la déviation. 1° Dans ce cas de courbure dorsale gauche secondaire, qui accomp
se voit sur l'un de nos dessins (1). Ludwig (2) avait déjà publié un cas semblable dans le siècle dernier. L'aorte croise
le voit sur ces deux dessins (U). Mais, dans presque tous les autres cas , l'œsophage s'écarte du milieu de la courbure, à
écarte les extrémités de l'arc ; je l'ai toujours vu relâché dans ce cas , et on ne risque jamais de le rompre en cherchant
d'espace dans la concavité de la courbure, comme cela a lieu dans le cas figuré ici (4). Dans celte forme de déviation, le
aisément la pression. On la trouve sensiblement normale dans quelques cas , comme sur quelques-uns de ces dessins ; sur celu
baire gauche (5). Elle a même augmenté de volume dans ces deux autres cas (6) ; mais l'un est une scoliose lombo-dorsale à
rate a pu s'étendre dans la concavité de la courbure. Dans le second cas , elle n'a trouvé assez d'espace qu'en se déplaçan
des excavations superficielles. C'est ce que l'on voit dans les deux cas que je viens de citer et dans plusieurs autres (1
s dorsales inférieures et des dernières côtes gauches. Dans un de ces cas , vous voyez la rate réduite à une simple languett
ses rapports immédiats avec le rachis et les côtes. Voici pourtant un cas où les reins -sont à peu près à l'état normal, ma
ve, quand ces vertèbres penchent à gauche, comme dans ces deux autres cas (5). Celui de ces organes qui répond à la conve
1° dans le rachitisme congénital; 2° chez des monstres. Le premier cas rentre dans la scoliose rachitique ; je n'en dira
de cette espèce sur un anencéphale (3). Fleischmann (k) en a cité un cas où la courbure était unique. La loi de compensati
us le savez, la déformation, se rencontre sans doute dans beaucoup de cas , car cette scoliose des monstres est souvent acco
les à celles que produit l'action musculaire. Fleischmann (2) cite un cas de courbure double, dans lequel la région cervica
oduisent dans les monstruosités. Il dit avoir observé, dans plusieurs cas , une rétraction des muscles du rachis en rapport
le rétraction. Il est regrettable que la description détaillée de ces cas n'ait pas été publiée, car il est impossible, sur
es muscles rétractés. Mais cette lésion manque parfois, dans certains cas d'éventration, par exemple, et il faut alors, ou
te médicale, 1842. (4) Loc. cit., p. 8. toujours latérale dans ce cas , peut produire la scoliose en détruisant l'équili
e, ei Delpech lui-même n'a pas nié l'influence de l'attitude clans ce cas . Rien de plus simple que le mécanisme de cette dé
une troisième courbure à la première. Les muscles sont-ils, dans ce cas , rétractés, tendus à la manière de la corde qui b
maintient la courbure de l'épine. Il ne faut ea excepter que certains cas fort rares de contracture rhumatismale, de rétrac
ts que j'ai désigné sous le nom de scoliose spontanée. Observez ces cas dès leur apparition, interrogez avec soin les par
t, comme nous le verrons, à déterminer le sens des courbures; dans ce cas , ils agissent par leur contraction et non par leu
que se tasser sans changer de direction. C'est ce qui arrive dans les cas de rachitisme sans courbure avec simple nanisme.
eules qui président à cet acte dévient de l'état normal. Il est des cas où l'on est tenté de croire que, par suite d'une
ans un point du rachis, le font croître irrégulièrement : ce sont les cas de scoliose héréditaire, lorsqu'ils n'appartienne
ôtés droit et gauche. Il peut en être de même au rachis dans certains cas . Je ne rattacherai pas, comme on l'a fait (2), la
onsidérations sur l'homme droit et sur l'homme gauche. Paris, 1855. cas ordinaires, la force d'accroissement, la force pl
pouvons plus invoquer la présence de l'aorte dans le petit nombre de cas où la scoliose spontanée offre une convexité dors
incte l'origine propre de chaque espèce de scoliose ; mais il est des cas mixtes qui participent à la fois de deux ou même
e permet de reconnaître la déviation. Ainsi, dans la généralité des cas , la voussure du côté droit du dos, à la hauteur d
e pathologique nous a fait connaître, excepté dans un petit nombre de cas où il n'existe qu'une seule courbure. L'effet de
ion cervicale, qui peut s'y trouver en partie comprise. Dans d'autres cas , ce côté du cou est au contraire déprimé, et c'es
érieurs de la scoliose dans ses deuxième et troisième périodes. Ier cas . — Jeune fdle de onze ans et demi. Scoliose rachi
s et à l'épine, qui sont cachées sous eux et qui les soulèvent. IIe cas . — Fille de cinq ans et demi. Scoliose au deuxièm
Courbure dorsale à gauche; petite dépression du flanc gauche. IIIe cas . — Fille d'un an. Petite courbure à convexité gau
le côté droit du dos est aplati. Deuxième période commençante. IVe cas . — Fille de trois ans et demi. Courbure rachitiqu
ois ans et demi. Courbure rachitique à gauche. Deuxième période. Ve cas . — Garçon de sept ans, sujet rachitique. Il a eu
deuxième degré, et présente une S verticale ou plutôt un zêta. VIe cas . — Garçon de huit ans. Scoliose rachitique, courb
antéro-gauche qui est le rudiment de la gibbosité antérieure. VIIe cas . — Jeune fdle de quatorze ans, au début de la tro
es épaules en elles-mêmes sont d'un volume parfaitement égal. VIIIe cas . — Fille de dix-neuf ans. Troisième degré. Scolio
hez l'enfant. Ici, nous retrouvons les mêmes caractères que dans le cas précédent, et même plus prononcés. L'omoplate est
tes; c'est un des caractères du troisième degré de la scoliose. IXe cas . — Fille de treize ans. Scoliose au troisième deg
arquée, et se traduit par une saillie cervico-scapulaire gauche. Xe cas . — Fille de neuf ans et demi. Rachitisme dans l'e
roisième degré commençante. Courbure dorsale droite principale. XIe cas . — Fille de seize ans. Scoliose rachitique parven
étraction. La courbure, dorsale gauche, a commencé à deux ans. XIIe cas . — Fille de douze ans et demi. Courbure inférieur
e courbure clorso-lombaire principale à sa troisième période. XIII0 cas . — Fille de deux ans et demi. Courbure à gauche c
cas. — Fille de deux ans et demi. Courbure à gauche comme dans le IVe cas , mais plus prononcée, approchant de la troisième
rachitique, comme le prouve la convexité exagérée des fémurs. XIVe cas . — Garçon de quinze ans. Courbure dorsale gauche.
s il est possible qu'elle se soit rapidement accrue depuis peu. XVe cas . — Garçon de seize ans, rachitique. La déviation
uche. Gibbosité costale inférieure gauche. Forte saillie sternale. Ce cas est un exemple de la double bosse antérieure et p
et de l'anhélation. Remarquez le peu de hauteur de l'abdomen. XVIe cas . — Garçon de sept ans. Courbure dorsale gauche an
et qui diminuent leur mobilité. On comprend à peine comment, dans les cas extrêmes, les ligaments, qui supportent à eux seu
ut très-prononcé chez les jeunes sujets. On voit ainsi, dans certains cas , la même déviation spinale passer en un instant d
s en même temps que la différence de forme ; le corps grandit dans un cas , se rapetisse dans l'autre. Les pressions extér
te les vertèbres du côté de la concavité. Les effets obtenus, dans ce cas , sont très-analogues à ceux de la position horizo
ut de pièces pathologiques propres à démontrer la rétraction dans les cas de ce genre, on a cru en trouver la preuve dans c
es parois se sont singulièrement rapprochées. Del-pech (1) en cite un cas fort remarquable, qu'il a seulement eu le tort, j
dents qu'il éprouvait du côté du cœur et des poumons. J'ai observé un cas semblable; mais la jeune fdle a succombé. Diver
rachitisme proprement dit. Je n'ai pas rencontré, parmi les nombreux cas que j'ai eus sous les yeux, une plus grande propo
des vomissements; j'ai observé le cancer de cet organe dans quelques cas de gibbosité; n'était-ce qu'une coïncidence? En g
sagères ont été le seul effet apparent de cette compression. Dans les cas dont j'ai connaissance, le tissu de ces organes é
ppement général de la jeune fille. Les irrégularités, dans les autres cas , ne paraissent pas liées à l'existence de la scol
e vérifier quelques-uns des faits que je viens de vous exposer. Ier cas . — Fille de treize ans et demi. Elle a les poigne
côté droit, la saillie des muscles lombaires du côté gauche. C'est un cas bien caractérisé de scoliose du premier degré.
he. C'est un cas bien caractérisé de scoliose du premier degré. IIe cas . — Garçon de dix ans; c'est un rachitique. Remar-
se, et fait passer la scoliose du deuxième au troisième degré. IIIe cas . — Garçon de onze ans. Il présente une courbure a
éprimé. Il a eu le rachitisme et ses jambes sont un peu torses. IVe cas . — Fille de onze ans. Scoliose sigmoïde oblique,
ndent peut-être autant de son état général que de sa difformité. Ve cas . — Fille de quinze ans. Scoliose au troisième deg
ormal, sauf au côté interne de la bosse, où l'on n'entend rien. VIe cas . — Ce malade, âgé de vingt-six ans, porteur d'une
t de la compression de quelques nerfs intercostaux de ce côté. VII* cas . —Enfin le dernier malade que je vous présente es
e ne laisse aucun doute sur l'existence du mal vertébral. (1) VIIIe cas . — Je vous ai parlé des conditions nouvelles de l
la viabilité, entre les courbures dorsales gauches et droites. IXe cas . — Cette autre fille, âgée de neuf ans, porte éga
ne sont nullement déformées; il subsiste quelque irrégularité dans le cas contraire. On peut encore examiner les malades
aire, passée à l'état d'habitude. On distingue de la même manière les cas où des attitudes analogues exagèrent un léger deg
des signes physiques de la rétraction. Je vous ai déjà montré que ce cas , qu'on a cru commun , est excessivement rare. d
ion et de la scoliose par déformation. Mais il ne suffit pas, dans ce cas , de reconnaître s'il y a ou non déformation des v
aut encore découvrir la fraude, si elle existe, ou s'assurer, dans le cas contraire, que la flexion latérale est réellement
suspension par les bras, la position horizontale, fournissent dans ce cas des données utiles, mais quelquefois insuffisante
que ou des muscles d'un côté du dos, etc. Dans presque aucun de ces cas , on ne voit la saillie alterner à droite et à gau
'empyème. Le diagnostic peut offrir quelque obscurité dans ce dernier cas . Vous m'avez vu hésiter en recherchant, sur un en
rachis à son angle inférieur, par la contracture du rhomboïde dans un cas , du rhomboïde et de la partie supérieure du trapè
exes réclament un examen attentif pour éviter une méprise. Tel est le cas , cité par Dugès (1), d'un empyème avec courbure d
que je viens d'indiquer, ainsi que cela a eu lieu dans plusieurs des cas qui ont passé sous vos yeux. Des conditions ana
cessaire s'il existe une prédisposition connue à la scoliose, dans le cas d'hérédité présumée , d'ancienne disposition rach
genre de vie imposés aux enfants, n'est peut-être pas, dans certains cas , un problème d'une solution plus difficile que ce
ont certainement plus libres, les muscles moins gênés, dans le second cas que dans le premier. Cependant l'usage si général
prophylaxie de la scoliose, on y aura recours avec avantage dans les cas de grande faiblesse musculaire ou de grande laxit
rai tout à l'heure sur les exercices spécialement applicables dans ce cas . On ne doit pas s'abuser sur les effets de ces
me rends moins facilement compte du but qu'on s'était proposé dans ce cas . Un médecin allemand prescrivait, en 1839, d'entr
la nutrition au type normal, ce qu'on obtient, suivant lui, dans les cas moins graves, à l'aide de simples frictions avec
ont employés dans les campagnes chez les enfants très-jeunes. En tout cas , on aura soin que ces lits ne soient pas trop fro
n avec le plan tend, en effet, à diminuer la courbure dans le premier cas et à l'augmenter dans le second. Le décubitus sur
ulever ou de porter un poids, etc. Si la flexion du rachis, dans ce cas , ne se produisait que dans la région incurvée, el
heure ou deux chaque jour. Il ne peut donc être avantageux, dans ce cas , que si son emploi alterne avec la position horiz
urs des faits qui précèdent. (1) Beitrage, efc, 1787, p. 266. Ier cas . — Jeune fille de treize ans, d'une constitution
llement attiré de ce côté, et qu'il ne change pas de direction. IIe cas . — Jeune fille de quatorze ans. Scoliose spontané
sustentation entre lesquelles le corps est suspendu. Dans le premier cas , on peut être suspendu par les mains, les avant-b
considérable dans l'effet produit, qui diffère peu, dans beaucoup de cas , de ce qu'on obtient par le seul décubitus. On
e, c'est-à-dire évasées par le bas, seraient également utiles dans ce cas . On peut indifféremment fermer ces ceintures par
par une ou plusieurs boucles, ou par un lacet; mais, dans ce dernier cas , elles exercent une compression comparable à cell
t os de chaque côté. On la fait porter spécialement à droite dans les cas rares où la convexité exagérée des côtes est situ
ênants, ne sont-ils en usage que pour la région cervicale ou dans des cas exceptionnels de courbures cervico dorsales. Le
ombaire dans les déviations dorsales principales, peut, dans certains cas , céder aux pressions latérales avec la même facil
intermittente. La compression du plexus brachial n'a pas lieu dans ce cas comme avec le siège à béquilles, parce que la sus
'avantage de la continuité d'action. On se trouve bien, dans certains cas , de l'usage simultané des béquilles et des tuteur
sans tuteur de ce côté, et d'un tuteur à gauche. Il importe dans ce cas , de même que dans la courbure inverse à convexité
ouit, il faut replacer l'appareil. Comme la ceinture éprouve, dans ce cas , un mouvement de bascule qui la fait remonter du
un point d'appui mutuel. On les fait agir inégalement dans le premier cas , également dans le second. La ceinture, placée al
les deux gibbosités. La pression inférieure devient nuisible dans ce cas , pour peu que la courbure dorsale tende à devenir
reconnaître en même temps leurs inconvénients et leurs défauts. Ier cas . — Jeune fille affectée dp courbure dorsale prédo
omprime l'abdomen. Il sera nécessaire de modifier cet appareil. IIe cas . — Jeune fille de treize ans et demi, affectée d'
à ce mouvement ; il faut que le cercle soit souvent redressé. IIIe cas . — Jeune fille de treize ans, affectée d'une cour
on ôte l'appareil, la malade reprend son inclinaison primitive. IVe cas . -—Jeune fille de quinze ans. Déviation double à
pas de douleurs, et l'inclinaison est suffisamment corrigée. Dans ce cas , il ne faudrait pas appliquer de pression sur la
ués. Les ceintures à pression et à inclinaison peuvent, dans certains cas , faire la base du traitement ; mais ces appareils
ent, condamne cette application de la ténotomie, si ce n'est dans des cas rares de courbures dépendant d'une véritable rétr
du rachis ; et il n'existait généralement rien de semblable dans les cas où on a opéré. Cependant on a invoqué des preuves
Les fortifiants généraux ne sont certainement pas à négliger dans ce cas ; mais il ne faut pas perdre de vue les indication
courbure latérale de l'épine; il avait pourtant observé et publié des cas assez nombreux de redressement plus ou moins comp
son diminue ou s'efface immédiatement,— vous l'avez vu dans plusieurs cas , — par l'effet de la seule position horizontale,
rse sera entièrement changé. Il reste pourtant une courbure dans ce cas , mais elle est transformée. Au lieu d'une S à cou
le qu'à la longue les vertèbres elles-mêmes deviennent, dans certains cas , plus symétriques. Du moins voit-on pendant la vi
t réellement déformation, lorsque cela a lieu. Dans la généralité des cas où le changement de forme des vertèbres est démon
, qui peuvent influer à la longue sur leur nutrition propre. Dans les cas les plus favorables, il reste toujours des traces
ntent à plus de vingt ans; les deux autres sont de cette année. Ier cas . — Ces deux moules (2) appartiennent à une jeune
ersonne, mariée peu de temps après, mourut à sa seconde couche. IIe cas . — Ces deux moules appartiennent encore à une jeu
second moule. La taille avait crû de six centimètres et demi. IIIe cas . — Voici les deux moules d'une jeune fille de qui
et la conformation générale du tronc est à peu près régulière. IVe cas . — Enfin ces deux derniers moules ont été faits s
..... 42 § V. — Traitement du mal vertébral............... 43 Ier cas . Absence de paralysie et d'abcès par congestion..
Ier cas. Absence de paralysie et d'abcès par congestion..... 46 IIe cas . Mal vertébral avec paralysie.............. * 3
. 46 IIe cas. Mal vertébral avec paralysie.............. * 3 IIIe cas . Mal vertébral avec abcès par congestion........
12 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ux lésions non traumatiques. — Troubles trophiques de l'œil, dans les cas de tumeur comprimant le trijumeau. — Inflammation
pemphigus, etc.), atrophie musculaire, arthropathies, qui, en pareil cas , se développent en conséquence de la névrite. —Lè
à se nourrir à peu près comme dans les conditions normales. En pareil cas , c'est seulement à la longue que suryiennent dans
à vu de Blainville, A. Comte. Chez les animaux inférieurs, et dans le cas de greffe animale, il est évident que la nutritio
apidité incroyable. C'est ainsi qu'on voit fréquemment, dans certains cas de fracture de la colonne vertébrale avec compres
troubles de la nutrition qui se produisent assez rapidement,en pareil cas , dans le membre correspondant, à l'absence d'acti
à la suite de cette opération, elle résulte uniquement, comme dans le cas de la section du nerf sciatique, de l'inertie fon
resque exclusivement à la cinquième paire (1). 1. Note sur quelques cas d'affection de la peau, dépendant d'une influence
orme ovalaire qui occupe la partie moyenne de cette membrane. Dans un cas , il s'était formé une petite collection purulente
'iris, ni adhérences, ni modifications de coloration. Dans tous les cas , l'hyperesthésie des rameaux ophtalmiques de la c
de son côté, à l'appui de l'observation de Meissner, rapporte quatre cas , relatifs à des lésions partielles du trijumeau d
lus internes du trijumeau, qui seules avaien été sectionnées dans son cas , ont une action particulière sur la nutrition de
e sur la nutrition de l'œil. Il se fonde sur ce que dans trois autres cas où le trijumeau avait été éga-lement sectionné d'
roit jusqu'à la sortie de l'os, étaient également très épaisses. Le cas suivant est emprunté à un mémoire de Friedreich(2
établi que la sensibilité de la face n'a pas été atteinte : les deux cas qui suivent méritent cependant d'être signalés en
tat de la sensibilité de la peau de la face n'est pas indiqué dans ce cas . (F.-A. Landmann, Commentatiu patlwlogico-anatomi
arem, in-ï; Leip-zig, 1820, et Scfiiffs Unlersuch., p* 51). — Dans le cas bien connu rapporté par Eu dehors de la cinquiè
de la manière suivante : les lésions rénales feraient défaut dans le cas où la section des nerfs a été complète, absolue;
e produiraient au contraire, ou mieux pourraient se produire, dans le cas de section incomplète ou encore lorsque, pour rem
d'inflamma-tion, — et c'est ce qui a lieu dans la grande majorité des cas ,— on constate simplement, dans les membres paraly
ongé des urines, mais elles peuvent se produire encore, bien que ce cas soit rare, en dehors de toutes ces conditions (1)
ts des systèmes nerveux central ou périphérique, produisent, dans les cas pathologiques, des effets si opposés, en apparenc
au moins fort vraisemblable qu'elles se produisent seule-ment dans le cas où, consécutivement à la section, un travail infl
citerons en premier lieu le zona, qui s'observe fréquemment en pareil cas , et que l'on pourrait désigner, à cause décela, s
eant sur la peau des par-ties douloureuses. » 'Charcot. — Surquelques cas d'affection de la peau, dépen-dant d'une influenc
lequel nos auteurs insistent,—on ne les voit pas se produire dans les cas de section complète des nerfs, les résultats habi
'action des nerfs étant les seuls phénomè-nes qu'on observe en pareil cas . Il faut ajouter enfin que les affections périp
nvoquer, en outre, les résultats nécroscopiques obtenus dans certains cas de lésions organiques des nerfs, où l'on peut voi
ris à connaître comme conséquence des lésions traumati-ques. Dans ces cas , en effet, sur lesquels nous nous arrêterons dans
. Pour établir la transition, je mentionnerai, en premier lieu, les cas dans lesquels une influence, non pas à proprement
nsécutifs aux lésions du triju-meau : il s'agit communément, dans ces cas , de tumeurs intra-crâniennes développées au voisi
nt comprimés, irrités et quelquefois s'enflamment. J'ai vu, en pareil cas , une éruption de zona occuper, à droite, toutes l
onque, et provoquer cependant, ainsi 1. Gharcot et Gotard. — Sur un cas de zona du cou avec altération des nerfs du plexu
fs irrités (i). Il y aquelques raisons de croire qu'un bon nombre des cas de zona spontané se développent à la suite d'une
e poussée à un haut degré. J'ai vu, pour mon compte, dans plusieurs cas de méningite spinale chronique, avec épaississeme
signalé l'existence d'éruptions cutanées spéciales aux bras, dans les cas de méningo-névrite spinale localisée à la partie
raumatiques des nerfs. Le processus morbide initial consiste, dans ce cas , comme on le sait d'après les importantes recherc
fois reléguée au second plan, éliminée même, si l'ons'en rapporte aux cas cités par le docteur Thomson, et dans lesquels l'
ntractilité électrique, suivies d'atrophie rapide des muscles dans le cas de paralysie rhumatismale du nerf facial et de lé
s-tic, accordez-moi ce néologisme, annonce et démontre, dans certains cas pathologiques où il s'est produit une lésion quel
premier terme d'une série de phénomènes qui aboutissent dans certains cas , pres-que fatalement, si le médecin n'intervient
logistes disent avoir vu la con- 1. M. Schiff a montré que, dans le cas de dégénération des nerfs consécutive à la sectio
on ou de l'excision des nerfs; toutau plus concèdent-ils qu'en pareil cas il puisse se produire, à la longue, un affaibliss
ster quatorze mois après la section des nerfs correspondants. Dans un cas , il s'agissait du nerf hypoglosse, dans un autre
ondants. Dans un cas, il s'agissait du nerf hypoglosse, dans un autre cas , du nerf sciatique. 2. Longet. — Anatomie et ph
Schiff, loc. cit., p. 175. 3. Vulpian, loc. cit., p. 246. —Dans les cas do paralysie consécutive à lasec-tion des nerfs,
ellerons en premier lieu les phénomènes qui ont été observés dans les cas de paralysie périphérique du nerf facial et, en p
ctitude de l'assertion de M. Duchenne. Tout récemment encore, dans un cas de paralysie rhumatismale du nerf facial, M.le Dr
contractilité électrique déjà considérablement amoindrie (1). Dans un cas de même genre recueilli par M. Onimus (2), huit j
indre contraction. Le même phénomène s'observe communément dans les cas de paralysie périphérique du nerf facial autres q
mie peripherischer Paralysen. In Deutsch Archiv, t. IV, 1868, p. 539. Cas de Gradolf. 2. Gazelle des hôpitaux, 30 juin 18
-graisseuse des faisceaux musculaires se rencontre rarement en pareil cas et paraît être tout à fait acci-dentelle (1). 1
frontal et zygomatique du côté gauche Il est clair que si, dans le cas d'atrophie musculaire que les physiologistes obti
loc. cit., p. 559) chez l'homme, sur les muslces de la jambe, dans un cas de résection d'un segment du nerf sciatique datan
ertain nombre de jointures. Or, dès le 15e jour, on trouve, en pareil cas , la membrane synoviale vivement injectée et tuméf
iblies. L'expérience justifie cette prévision. C'estainsi que dans un cas de pied bot,avec dégénération grais-seuse des mus
irecte,dans un des muscles les plus profondément altérés (1). Dans ce cas ,si l'on en juge par analogie, l'exploration à tra
constaté pour la première fois par Baierlacher, en 1859 (1), dans un cas de paralysie faciale, aété observé depuis dans le
iale, aété observé depuis dans les mêmes circonstances ou dans divers cas de paralysies consécutives à la lésion traumatiqu
le galvanisme pourrait accuser encore des contractions dans bien des cas de paralysie, soif rhumatismale, soit traumatique
pement d'un processus irritatif. De fait, il n'est pas rare, dans les cas de cegenre,que l'atrophie musculaire à marche ra-
ves des nerfs cutanés et qui ne s'obser-vent en aucune façon dans les cas de section pure et simple des troncs nerveux (2)
la série des phénomènes que dévoile l'obser-vation clinique dans les cas qui nous occupent. L'affaiblissement ou la pert
le savez, après la paralysie motrice qui, dans la grande majorité des cas , ouvre la marche, le premier fait qu'on constate
le surviendrait ici de très bonne heure (versle5°jour), comme dans le cas des sections nerveuses, et se rattacherait elle-m
e un fait constant à la suite des sections de nerfs, puisqu'en pareil cas , le bout périphérique du nerf perd toujours son e
née se maintient souvent à un degré voisin de l'état normal, dans les cas de lésions d'un nerf mixte, alors même que l'affa
ont pas manqué de faire ressortir. Est-il vraisemblable que, dans ces cas , les fibres motrices auront subi des altérations
cles. Les nerfs musculaires ont été plusieurs fois examinés en pareil cas à l'aide du micro-scope: tantôt, ils offraient le
ique, Des faits assez nombreux montrent, au contraire, qu'en pareil cas , la peau est,leplus souvent, pâle, anémiée, en mê
fs, variées—écrasemen,tligature, section dans un très petit nombre de cas —étant produites sur des lapins, il s'agissait d'o
nution, et, quelques jours plus tard — cinq à quatorze jours dans les cas intenses — la perte de la conctrac-tilité. Ce n
1). Elles rappellent absolument celles qu'a signalées M. Erb dans les cas de paralysie faciale qu'il a observés chez l'homm
ffet, comment ces observateursont procédé dans la grande majorité des cas . Presque toujours, ils appliquaient sur le nerf u
ux a pu intervenir ici, comme elle intervient, suivant nous, dans les cas pathologiques ? Mais il ne s'agit pas là d'une
paraît rationnel d'admettre que, dans ces expériences, comme dans les cas relatifs à l'homme, les lésions irritatives dontl
des sections et des excisions de nerfs, à la vérité dans un nombre de cas relativement très restreint. Ils admettent que le
apitre qui, à cet égard, est tout à fait significatif, il s'y agit de cas dans lesquels on a pratiqué l'excision du nerf sc
la faradisation et ceux de la galvanisation qu'on remarquait dans le cas d'écrasement et qui existe, vous ne l'avez pas ou
loc. ci£.,p. 589) l'observa-tion nu II, fig. 3, qui est relative à un cas de ligature du nerf tibial antérieur chez le lapi
l'excision du nerf sciatique également chez un lapin. Dans le premier cas , la contractilité faradi-que paraît éteinte, dès
té faradique se rapproche de l'état normal (44e jour). Dans le second cas , au contraire, la contractilité fara-dique et la
ois parexemple, ou memeparibis des années. Le muscle, dans ce dernier cas , ne s'altère qu'à la longue, sous l'influence de
directement dans leur nutrition (1). 1. Charcot et .Toffroy. — Deux cas d'atrophie musculaire avec lésion de la substance
e affection. In Archives de Physiologie,eic, ;t. III, p. 599. Dans ce cas , le travail phlegmasique s'était étendu descordon
s droits. (Voir la Fig, 1,) — Voici maintenant l'exposé sommaire d'un cas qui montre bien par quel mécanisme la sclérose fa
cordon latérafgauche s'était Flg. 1. — Cette ligure est relative au cas publié par M. Pierret et résumé ci-après. Elle re
lules nerveuses motrices. On ne conçoit guère d'exception que pour le cas , d'ailleurs assez rare, où la lésion bien que cir
e siège qui vient d'être indiqué. Il en serait tout autrement dans le cas où un foyer de myélite, même très circonscrit, oc
fait peut-être jamais complètement défaut. M. Mann-kopf a vu, dans un cas de cegenre, la contractilité électrique, déjà not
uatorze jours après le développement des pre-miers accidents, dans un cas de Levier (1 ), le jour même de l'at-taque dans u
dents, dans un cas de Levier (1 ), le jour même de l'at-taque dans un cas de Colin (?) ; dès le neuvième jour dans un fait
lules si elle avait son point de départ dans la névroglie. Il est des cas d'ail-leurs, où l'atrophie d'un certain nombre, v
tous les caractères de lastructure, normale. 11 est, déplus, d'autres cas non moins significatifs où les lésions dé la névr
onsécutif et purement accessoire, l'extension, observée dans certains cas , du processus-morbide aux faisceaux antéro-laté-r
endus de la Société de Biologie, 1866, p. 215 . — Charcot et Joffroy. Cas de paralysie infantile spinale, avec lésions des
es lésés. La surcharge graisseuse qni s'observe quelquefois, dans les cas très anciens, paraît être un phénomène purement a
ière accidentelle. L'amyotrophie, à marche progressive dans ce second cas , peut être dite sympto-matique; elle a moins de t
isation localisée, 3e édition. 2. Comparez : Charcot. — Note sur un cas de parai, glosso-laryngée suivie d'autopsie (Arch
épinière.— A. Formes aiguës ou subaiguës : elles se montrent dans les cas de lésion trauma-tique de la moelle épinière, dan
ve dans la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d'atrophie musculaire progressive. Messieurs,
consécutives se trouvaient représentées, pour la plupart, dans les cas de lésions portant sur l'axe spinal. A la vérité,
arac-tère est bien propre à faire voir qu'il ne s'agit pas, en pareil cas , d'éruptions banales, — c'est qu'elles se montren
ques ; car ces douleurs ont été rencontrées dans un certain nombre de cas d'ataxie où l'on a pu s'assurer, après la mort, d
des fibres sensitives— devrait être invoquée pour expliquer, dans les cas auxquels je faisais allusion plus haut, tantôt ia
ignalées encore, à moins qu'il n'y eût quelque complication, dans les cas de lésions irritatives limitées soit aux cordons
tions qui seraient peut-être prématurées. Je puis citer, en effet, un cas à beau-coup d'égards analogue aux précédents, que
vement injectée, présente de larges suffisions Ou voit que, dans ce cas , la coexistence de l'hémiplégie et de l'éruption
très courte durée suffit même pour la faire appa-raître dans certains cas . Enfin, il est d'autres cas encore à la vérité tr
e pour la faire appa-raître dans certains cas. Enfin, il est d'autres cas encore à la vérité très exceptionnels, où elle pa
ur parjour, heure par heure, l'évolution du decubitusacutus, dans les cas d'apoplexie consécutive à l'hémorrhagie ou au ram
es et que, jusqu'ici, j'ai rencontrées à peu près uniquement dans les cas de lésions de la moelle épi-nière, il se produit
cées, répondant à une infiltration sanguine du derme. Déjà, en pareil cas , le tissu cellulaire sous-cutané, et parfois même
dès lors constituée. 1. J'ai constaté anatomiquement que, en pareil cas , le derme est infiltré de leucocytes, ainsi que c
d se développe un travail de réaction, d'élimination, suivi, dans les cas heureux, d'une période de réparation trop souvent
e de Guy's Hospital, les bulles du decubitus acutus observées dans un cas de paraplégie de cause traumatiqae (1). Depuis lo
diatement au-dessus delà queue de cheval. Voici les réflexions que le cas en question suggère à l'auteur : « Une circonstan
distension des nerfs scnsitifs (loc. cit., p. 383.) » — Trois autres cas relatifs, cette fois, à des lésions traumatiques
er aux agents de destruction est aussi mise en lumière, dans tous les cas , par la formation d'eschares profondes sur tous l
thologie, t. II, p. 285. mélastatiques dans les viscères; ce second cas paraît assez rare (1). Nous signalerons aussi l
M. Baillarger ont rapporté plusieurs exemples remarquables. En pareil cas , un liquide puriforme, grisâtre, acre et fétide i
utant plus qu'on s'éloigne moins de l'eschare. Au contraire, clans le cas où. un ulcère sordide de la face, un cancroïde, a
inis encore, qui terminent rapidement la vie, dans un grand nombre de cas de maladie de la moelle épinière. Nous devons,
o-duire encore dans l'hémorrhagie méningée, lapachyméningite, dans le cas , enfin, où des tumeurs intra-crâniennes donnent l
ruveilhier, chirurgien de la Salpêtrièrc, L'érythème, dans tous les cas de ce genre, se manifeste habi-tuellement du deux
pas à la région sacrée, ainsi que cela a lieu si communément dans les cas d'affection spinale, qu'il se développe, non plus
elconque des F'vj. 3.— Eschare de la fesse du calé paralysé dans un cas d'hémiplégie consé-cutive à l'hémorrhagie cérébra
ffection de la peau ne se montre que fort exceptionnellement dans les cas qui doi-vent se terminer d'une manière favorable
jours, il acquiert par là, on le comprend, une grande valeur dans les cas douteux. L'abaissement très marqué de la températ
n thermométrique, est, à ma connaissance, le seul signe qui, dans les cas d'hémiplégie à invasion brusque, puisse, au point
ié la production de l'eschare. D'ailleurs, quelle peutètre, en pareil cas , l'influence d'une pression qui ne s'exerce que d
it, non plus, invoquer le contact irritant des urines. Dans plusieurs cas , j'ai fait recueillir ce li-quide heure par heure
la moelle épi-nière, il se manifeste dans la très grande majorité des cas , à la région sacrée —par conséquent au-dessus et
4). Il peut se faire toutefois qu'un seul côté soit affecté, dans le cas , par exemple, où une moitié latérale de la moel
le important. Ainsi, il Fig. 4.—Eschare de la région sacrée dans un cas de myélite partielle sié-geant à la région dorsal
f assez commun d'ailleurs,—-contrairement à ce qui s'observe dans les cas de lésions cérébrales, — que les divers points de
Charcot. Œuvres complètes, t. i. 8 peuvent se produire en pareil cas . Afin de bien fixer vos idées à cetégard,jevous d
rmission de rappeler briè-vement quelques-uns de ces faits. Dans un cas rapportéparledocteurWood, deNew-York (1), il s'ag
cé. Le fait appartient au docteur Buchner, de Darmstadt (2). — Un des cas de Jeffreys est relatif à une fracture de la quat
une balle dans le corps de la huitième vertèbre dorsale. Un second cas de Jeffreys est particulièrement digne d'inté-rêt
'ailleurs signalée encore d'une façon plus ou moins explicite dans un cas de Colliny (1), relatif à une fracture de la sept
rnant une fracture de la douzième dorsale. L'eschare, dans ce dernier cas , fut constatée le treizième jour. Jl estinufile
ers), loc. cit. 2. La sensibilité était également conservée dans le cas du docteur -Biichner, cité plus haut, et où l'esc
du troisième jtwrr. 3. Voir Gurlt, loc. cit., p. 94, analyse de 270 cas . sale, tandis que pour la région lombaire la pr
is que pour la région lombaire la proportion s'est élevée à 12/100 (7 cas ) (i). Lepriapisme, les convulsions cloniquesplu
ent ou suivent de près la formation précoce des eschares. En pareil cas , ainsi que nous l'avons vu, l'anesthésie, des par
alyste of nearly four hundred Cases. Philadelphie, 1867. 2. Dans un cas de fracture de lacolonne vertébrale, à la région
London. vement aux lésions spinales, rien qui soil particulier aux cas dans lesquels se produisent les eschares à dévelo
tion d'abcès au sein des parties ramollies, signalées dans plu-sieurs cas . b) L'étude des faits d'hémiparaplégie, consécu
qui va suivre à un intéressant travail de M. W. Millier ({). Dans ce cas , l'arthropathie n'estpas signalée, mais on y trou
euses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans certains cas de myélite. (Archiv. de physiologie, n() 1, 1872,
er l'atrophie rapide et générale des muscles paralysés, notés dans le cas de M. Millier, à l'envahissement de la corne anté
tablir que les fibres nerveuses dont l'altération provoque, en pareil cas , la mortification du tégument externe, né suivent
-moteurs ne sont point affectés. c) Je mentionnerai actuellement le cas où la myélite résulte, non pas, comme dans les fa
ans l'ac-tion de soulever un poids ; le décubitus aigu peut, dans les cas de ce genre, se produire aussi rapidement que s'i
e a été signalée dès le oe jour après le début delà paralysie dans un cas rapporté par M. Duckworth (2), le 6e jour dans un
ralysie dans un cas rapporté par M. Duckworth (2), le 6e jour dans un cas observé dans le service de M. Woillez, qui m'a ét
; le 12e jour dans un autre fait du même auteur (3) ; enfin, dans un cas de méningo-myélite cervico-dorsale, publié 1. W
quemment aussiVhêmatomyêlic qui d'ailleurs, dans un certain nombre de cas au moins, paraît n'être qu'un accident de la myél
moins, paraît n'être qu'un accident de la myélite centrale^ témoin le cas cité plus haut, de Duriau, où la mortification de
n rapide d'eschares. Le même résultat se produirait également dans le cas où une tumeur siégeant dans les parties centrales
la suite des sections ordinaires de la moelle, mais seulement dans le cas où l'inflammation est venue s'établir au vosinage
pement du décubitus aigu. Lagrande fréquence de cet accident dans les cas d'hématomyélite aiguë, centrale, où lalésion occu
nt de diverses éruptions cutanées, mais encore, à la vérité, dans des cas rares, celle de la nécrose dermique (1). D'un a
x sont tout à fait con-vaincants (1). A ce propos, je mentionnerai le cas d'une femme que j'ai observée récemment à la Salp
être ici le lieu de rappeler que le zona spontané, qui, dans certains cas au moins, se rattache trèsvrai- 1. Voir, parmi
e rattache trèsvrai- 1. Voir, parmi les faits récemment publiés, un cas du docteur W. A. Lanson (The Lancet, 30 déc. 1871
s du docteur W. A. Lanson (The Lancet, 30 déc. 1871, p. 913), et deux cas du docteur Vitrac (Union mé-dicale de la Gironde,
du siège, je suis très porté à croire que, dans un certain nombre de cas , il doit être rattaché à une lé-sion irritative d
les faits mentionnés plus haut de M. Viguès et de M. Joffroy (3). Un cas de commotion de la moelle, relaté par M. Gull, fo
a myélite spontanée ; à titre d'exemple de ce genre, je puis citer un cas recueilli par M.Gull (5), et un autre cas qui a é
ce genre, je puis citer un cas recueilli par M.Gull (5), et un autre cas qui a été consigné par M. Moynier dans le Moni-te
en-timètres environ au-dessus de la queue de cheval. Enfin, dans un cas de myélite centrale chez un enfant, ayant pris or
1846, par Scott Alison(2), plus tard par Brown- 1. Gull, loc. cit. Cas XXXI1. 2. Scott Alison. — Arthrites occurring i
nes ; les jointures affectées sont chaudes,tuméfiées et dans quelques cas , elles sont douloureuses soit spontanément, soit
affectées. Gette forme d'arthrite paraît se montrer surtout dans les cas où l'hémiplégie est consécutive à l'encéphalite o
issement du cerveau. — Deux observations, choi-sies parmi de nombreux cas du môme genre et citées à titre d'exemples, mé-ri
» Nous ferons remarquer à notre tour que, très certainement, ces deux cas sont, dans l'espèce, tout à fait exceptionnels, c
trop le répéter, les faits de ce genre forment exception et, en tout cas , ils n'ont rien de commun au point de vue pathogé
int de vue pathogéni-que avec l'arthrite ordinaire des hémiplégiques ( Cas d'Hubert. Voir Bourne-ville. — Études cliniques e
mbre et du volume des vaisseaux capillaires qiYfs^i^pandent. Dans les cas intenses, il se produit en outre unèTjxSudation s
2° L'époque en général déterminée à laquelle elles viennent dans les cas d'hémiplégie à début brusque, figurer sur lascène
ataxie et son appaiition coïncide, pour aiusi dire, dans beau-coup de cas , avec le début de l'incoordination motrice. Sans
me chez laquelle nous avons pu étudier le début de 1. Dans quelques cas , les craquements ont précédé de plusieurs jours l
loignée. Outre l'usure des surfaces arti-culaires, qui, comme dans le cas précédent, est poussée très loin, vous reconnaiss
le, pouvant expliquer l'apparition de la maladie articulaire dans les cas que j'ai observés. M. R. Wolkmann (1) a émis l'op
e ne peut être invoquée, du moins comme agentprincipal, même dans les cas où l'arthropathie siège aux membres inférieurs. J
ieures des nerfs rachidiens. Un examen minutieux, fait dans plusieurs cas , nous avait démontré, d'un autre côté, qu'on ne p
sur les cornes postérieures. Or, il en était tout autrement dans deux cas d'ataxie locomotrice com-pliqués d'arthropathie o
in , les cornes antérieures de substance grise étaient, dans ces deux cas , remarquablement atrophiées et dé-formées et un c
sion arti-culaire. Elle affectait la région cervicale dans le premier cas où l'arthropathie occupait l'épaule ; elle siégea
; elle siégeait un peu au-dessus de la région lombaire dans le second cas qui présentait un exemple d'arthropathie du genou
re. Cette hypothèse devra être reje-tée, car d'un côté, dans nos deux cas , les membres où siégeaient les arthropathies avai
e lésion de la substance grise de la moelle épinière, observée dam un cas d'arthropathie liée à l'ataxie locomo-trice progr
n articulaire. Si, par la suite, les ré-sultats obtenus dans ces deux cas sont confirmés par de nou-velles observations, on
es mêmes régions de la substance grise de la moelle épinière. Dans le cas où il s'agit du ramollis-sement cérébral, la sclé
paraît être le point de départ de l'amyotrophie dans la majorité des cas qu'on désigne d'habitude, en clinique, sous le no
quer, rien n'est plus commun que de rencontrer chez l'homme, dans les cas d'apoplexie symptomaùque du ramollissement du cer
accessoire, ce qui n'est nullement nécessaire, vous le savez, dans le cas des lé-sions trophiques ordinaires. Il y a donc l
s le cours de cer-taines affections encéphaliques, dérivent en pareil cas , d'une influence exercée sur les poumons par les
ogues. Tout récemment, mon ami le docteur Bouchard m'a fait part d'un cas de myélite aiguë ob-servée dans le service de M.
ation ra-pide. Dupuylren a fait remarquer, vous le savez qu'en pareil cas , les sondes mises à demeure pour remédier à la ré
ture de la colonne vertébrale (3). L'autopsie fait constater dans ces cas les lésions plus ou moins prononcées de la néphro
2. Brodie. — Medic. chir. Trans., loc. cit. 3. Voir Stanley. 1er cas : Urines fortement ammoniacales dès le cinquième
. 1er cas : Urines fortement ammoniacales dès le cinquième jour; — 2e cas : urines ammoniacales le quatrième jour (Lond. Me
ne par un coup porté à l'aide d'un instrument aigu. Or, même dans les cas de ce genre, il est fréquent de constater, peu de
nerai à men-tionner à titre d'exemple, les faits suivants : Dans un cas , cité précédemment, d'hémiparaplégie produite par
et la vessie, des lésions phlegraasiques très accentuées (1). Dans un cas analogue rapporté par M. Brown-Séquard, d'après l
s. Également dans la myélite aiguë spontanée, à début brusque, 1. Cas de W. Muller. Voir : Leçon 111% p. 105. 2. Jour
nes étaient déjà profondément alté-rées dès le cinquième jour dans le cas de myélite aiguë que nous avons cité d'après le d
M. Joffroy (2). Elles étaient ammoniacales le quatrième jour, dans le cas du docteur Gull (3) ; sanguinolentes le troisième
sanguinolentes le troisième jour, et purulentes le neuvième, dans un cas de M. Mannkopf (4). Dans le cas d'hématomyélie
et purulentes le neuvième, dans un cas de M. Mannkopf (4). Dans le cas d'hématomyélie publié par M. Duriau (a), l'urine
corder une grande valeur à l'opinion (2) qui attribue-rait, en pareil cas , l'altération des urines à l'introduction de sond
érémie dite neuro-pa-ralytique qui a été surtout bien étudiée dans le cas de lasection du nerf grand sympathique du cou, ma
ucun trouble de la nutrition. M. Perroud a réuni un certain nombre,de cas de ce genre dans un mémoire lu, en 1864, à la Soc
oméh'ique,àyns\a. thèse de Mougcot.Paris, 1869, p. lit. 2. Folct. — Cas de contusion du plexus brachial, observé par M. L
lle(2),et dans la paralysie infantile (3), il en est de même dans les cas à évolution, lente comme l'a-trophie musculaire p
atives des centres nerveux se trouvent au moins dans un bon nombre de cas , dégagés de l'élévation de la tempé-rature qui de
Mitchell, In-juries of Nerves. Philadclphia, 1872, p. 175. Dans deux cas de plaie du nerf avec glossy skin, la région occu
mais il y a beaucoup d'exceptions à cette règle. 1. Levier, dans un cas d'hématomyélie, loc. cit. 2. Mannkopf, loc. cit
ne se produisent pas en réalité de cette façon. Tel est peut-être le cas du décubitus aigu des apoplectiques ; ici, en eff
ns le même sens. Ainsi, il n'est pas rare de rencontrer dans certains cas d'angio-neuroses, chez les hystériques par exempl
tante : les troubles trophiques nesemontrentcependantjamais en pareil cas (2). Quant aux faits de gangrène spontanée qui on
ervations, la signification qui leur a été prêtée, car, dans tous les cas de ce genre qu'il m'a été donné de rassembler, j'
qu'elle est poussée très loin, comme cela a lieu par exemple dans le cas de la section complète des nerfs vaso-moteurs, n'
Weber, loc. cit. nerveux. Pour appliquer maintenant cette donnée au cas de la glande sous-maxillaire, il suffit de reconn
stérieurs ou dans les ganglions analogues des nerfs crâniens, car les cas sont nombreux, ainsi que vous l'avez vu, où une l
core dans l'épaisseur du réseau mu-queux (1), pourront, dans certains cas ,provoquer là un travail phlegmasique. On comprend
ines nuances, ou même des différences tranchées que l'observation des cas isolés ne permet pas de saisir facilement. Au p
qu'elles veulent se lever de leur siège pour marcher. Dans ce dernier cas , toutes les parties du corps peuvent être ébranlé
dont elles sont atteintes. Au contraire, dans une seconde série de cas , letremblement est continu, permanent , il agite
est permis déjà, vous le voyez, de ramènera deux chefs principaux les cas qui nous occupent. Un premier groupe comprendra c
s deux espèces de tremblement. M. Gubler reconnaît que, dans certains cas , le tremblement consiste, non pas en une successi
se faisant par saccades, déterminent le tremblement. Dans ce dernier cas , i} existe réellement des contractions involontai
Thèse de Paris, 1868. Gohu, cependant, avait remarqué que, dans deux cas d'indu-ration multiple du cerveau et de la moelle
étropulsion : sans éprouver de vertige, le malade est dans le premier cas , poussé en avant; on dirait qu'il es L forcé de p
asionnées par le marasme, le confinement au lit, etc. Dans le premier cas , il s'agit d'une maladie aiguë, d'une pneumonie,
e façon presque soudaine. A. Début lent. Dans l'immense majoritédes cas , le début est insidieux, la maladie s'annonce com
jours à peu près respectée à toutes les époques du mal, même dans les cas les plus intenses, et c'est là un carac-tère que
er plusieurs faits de cette espèce, et il n'est pas rare qu'en pareil cas , on puisse invoquer une cause trauma-tique, une p
là, du moins, ce que nous avons observé très nettement dans plusieurs cas . La durée de cette phase initiale varie, quel q
outre qu'il envahit plu-sieurs membres, se montre, au moins dans les cas intenses, à peuprès incessant. Son intensité, tou
lancé au LroL. Toutefois, on ne saurait voir évidemment dans ces deux cas , qu'un phénomène de transmission (1). Souvent, en
La déglu-tition est facile, peut-être ralentie; fréquemment dans les cas un peu anciens la salive accumulée dans la bouche
usculaire, devenue permanente, impose à ces malades, dans beaucoup de cas , une attitude toute particu-lière. Ainsi, la tête
Le tronc lui-même est pres- Fig. 8. — Attitude habituelle dans les cas de paralysie agitante un peu pronon-cée. — Attitu
alades à tomber en avant lorsqu'ils marchent. Messieurs, il est des cas , rares à la vérité, dans lesquels la rigidité mus
nts, enfinla démarche caractéristique (1 v^es^as a®(lt V 's 1. Le cas suivant, que nous résumons, appartient à cette ca
ins, il vous sera maintes fois loisible de vous assurer que, dans les cas où la maladie n'est pas parvenue aux dernières li
te et du tronc ? Cette explication, admissible peut-être dans quelque cas , ne l'est pas dans tous, En effet, par opposition
e de la paralysie agitante, que chez la plus ancienne. Dans ces trois cas , enfin, l'affai-blissement dynamométrique est plu
erveau, par exemple. 11 est juste de reconnaître que, dans ce dernier cas , ils sont liés sou-vent aux vertiges, tandis que
s simple de la mettre en évidence et que M. Charcot a employé dans ce cas : la malade étant debout, il suffit de la tirer,
nsations péni-bles qu'éprouve le malade. Ordinairement, et à part les cas de névralgie dont nous vous avons entretenus, il
sur eux, pendant le jour, que les vêtements les plus légers. Tous les cas de notre service déposent en faveur de cette asse
t aussi générales que le sont celles qui se manifestent dans certains cas de paralysie agi-tante ne pas donner lieu pourtan
plusieurs fois répétées dans la paralysie agi-tante et dans quelques cas de chorée avec agitation excessive nous ont paru
on voit survenir une période qui précède l'issue fatale, et 1. Cinq cas nouveaux viennent corroborer cette assertion. Cin
à 84 et chez la cinquième à 80. Le nombre des inspirations, dans ces cas , était anormal. (B.). 2. Des recherches ont été
des deviennent gâteux, des eschares apparaissent au sacrum. En pareil cas , les malades succombent par les seuls progrès de
susceptibles d'être rangées en trois groupes. Le premier renferme les cas dans lesquels on n'a rencontré aucune lésion appr
enre consignés dans les auteurs. J'ai observé, pour mon compte, trois cas de paralysie agitante bien caractérisée, dans les
partiennent vraisemblablement à la sclérose en plaques. Tels sont les cas de Bamberger, Lebert, Skoda. S'agissait-il vraime
a valeur de ce fait au point de vue ana-tomo-pathologique. Quant au cas du professeur Oppolzer, il n'est guère plus con-c
encontrées sont de denx espèces : les unes, constantes dans ces trois cas (oblitération du canal centra de la moelle par la
lonne vésiculeusc de Clarke) ; les autres, particuliers à deux de ces cas (mul-tiplication des corps amyloïdes) ou à l'un d
l'un d'eux (plaque scléreuse à la face postérieure du bulbe). Dans le cas le plus net, on ne constatait aucune lésion delà
ne dirai pas d'une guérison,mais même d'un amendement sérieux dans un cas bien authentique de paralysie agitante. Etiolog
méritent d'être invoquées légitimement dans un assez grand nombre de cas . C'est, en premier lieu, l'influence des violents
En dehors des faits qui nous sont personnels, nous relaterons : 1° un cas de M. Hillai-ret (rapporté dans notre mémoire) ay
n° 24,) Van Swieten dans ses écrits. Il s'agissait, dans ce dernier cas , d'un homme réveillé subitement par un coup de to
soitpen-dant son cours. Tout au plus remarque-t-on parfois, dans les cas où l'influence étiologique du froid a pu être inv
raison de son métier, à des refroidissements fréquents. Il est des cas où cette cause est loin d'avoir joué, à notre avi
Romberg,con- p. 278, etc.), M. 0. Kohts relate un certain nombre de cas de maladies ner-veuses, observées à Strasbourg-,
exceptionnelle qui nous autorise à douter qu'il se soit agi, dans ce cas , de la paralysie agitante. La femme d'un de nos
alheureusement n'a pu être pratiquée. B. Nous venons d'indiquer les cas dans lesquels l'influence d'un élément étiologiqu
Tou-tefois, cette règle n'estpas absolue : on pourrait citer quelques cas où la maladie s'est montrée de bonne heure, à 20
erre et le pays de Galles, et s'étendant de 1855 à 1863, a relevé 205 cas de mort par paralysie agitante, c'est-à-dire en m
gents mis à contribution? La dernière hypothèse, pour lama-jorité des cas heureux, est peu probable, car les médicaments au
oudrait faire honneur de cette action médicatrice ont, clans d'autres cas , complètement échoué. Ellioston a donné le sous-c
eut-être serait-il bon de recourir à cet agent thérapeutique dans des cas moins avancés. (B.) (Note de la 2e édition.) SI
ous allons donc énumôrer les altérations que l'on dé-couvre, dans les cas les plus accentués, sur ces divers segments du sy
siéger sur des régions très diverses des centres nerveux, suivant les cas , et il est clair, qu'à ces variétés de siège, dev
certaines altéra-tions des centres nerveux et en particulier dans les cas qui nous ocupent (1). I. A. Il sera, je crois
évroglie présente la structure réticulée ; seulement, dans le premier cas , les intrications beaucoup plus multipliées des t
durcies par l'acide chromique et colorées parle carmin. Comme dans le cas du stroma des glandes lymphatiques que nous preni
ent, pour ainsi dire, sans ligne de démarcation appréciable ; dans le cas où la forme cel-lulaire n'est pas distincte, les
ayem. — Etudes sur les diverses formes d'encéphalite, 1868. premier cas , elles simulent de minces cloisons homogènes, bri
icularités non reconnaissables sur les coupes dur-cies. Dans ces deux cas , la coloration des parties produites à l'aide de
ièces raidies (Valentiner, Rindlleisch). 11 n'a manqué dans aucun des cas que j'ai examinés daus les mêmes circonstances. V
ras et de corps albuminoïdes qui ne feraient que se dissocier dans le cas de la degeneration des tubes nerveux. Sur ce suje
voyez, à ceux qui résultent de la désagrégation de la myéline dans le cas de la section d'un cordon nerveux. Poursuivons
vue clinique.— Causes d'erreurs de diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement; modi-fi
ls prédominent dans les hémisphères et le bulbe ; qu'il est enfin des cas dans lesquels ils sont répandus à la fois dans to
chargé. Pour lui faire honneur, mon collègue présenta à ce médecin un cas de la maladie nouvelle ; c'était un fort beau spé
épartit le médecin, vous avez voulu m'embarrasser en me présentant un cas des plus complexes. Voici maintenant des symptôme
. » Or, Messieurs, je le répète, il s'agissait tout simplement d'un cas , à la vérité très complet, de la forme cérébro-sp
Jahresberichtil a donné, il y aune dizaine d'an-nées, l'analyse d'un cas observé à la cliniquede Skoda, cas dans lequel le
dizaine d'an-nées, l'analyse d'un cas observé à la cliniquede Skoda, cas dans lequel le diagnostic Paralysie agitante avai
ans le journal de Henle : ce fut encore l'autopsie qui révéla dans ce cas l'existence delà sclé-rose multiloculaire (2). Pe
se enplaques, revue critique (Mouv. méd., 1868. p. 149..., 327); — Le cas du /)¦• Pennock (Ibid., p. 368, 376, 425, 469, 48
euses. Le début, disons-nous, remonte à huit années, c'est donc là un cas déjàancien. Je vous parlerai tout à l'heure des d
au loin. Ce grand désordre ne se manifeste,je le répète, que dans le cas de mouvements d'une certaine amplitude. S'il s'ag
sque cette malheureuse estplongée dans un sommeil profond. 11 est des cas où, dans la paralysie agitante, le tremblement se
seulement par intermittence; mais, chose remarquable, c'est en pareil cas plutôt alors que les membres sont dans le repos q
clérose en plaques. Il ne faut pas oublier toutefois qu'il existe des cas exceptionnels relatifs à cette forme, et où — cir
s généralisées. Une étude plus approfondie et plus circon-stanciée du cas que nous avons sous les yeux va nous permettre de
ur du cordon nerveux ont été trouvées sur les nerfs optiques, dans le cas où, pendant la vie, on avait constaté un simple a
le par suite de l'existence du nystagmus, fait reconnaître, en pareil cas , tantôt une intégrité à peu près complète de la p
nt très accentuée, tantôt une lésion partielle, tantôt enfin dans les cas rares oùla cécité est complète (1 ), une atrophie
issement de la vue. J'ai noté le même phénomène dans plusieurs autres cas d'am-blyopie liée à la sclérose multiloculaire.
or-tance diagnostique, puisqu'il s'observe environ dans la moitié des cas . On ne le rencontre, que je sache, que très excep
travail de M. H. Liouvillc intitulé : Observations détaillées de deux cas de sclérose en îlots multiples et disséminés du c
droite à gauche, puis de gauche à droite, ou inversement. Il est des cas où le nystagmus fait défaut tant que le regard re
spinale, puisque nous le trouvons signalé vingt fois sur vingt-trois cas que nous avons analysés,— c'est un embarras parti
je ne l'ai vue ridée à sa surface, comme cela s'observe dans certains cas de paralysie labio-glosso-laryngée avec atrophie
ren-dre parfois le discours à peu près incompréhensible. — il est des cas où on le voit s'aggraver tout à coup, comme par a
e la paralysie générale progressive. Je crois même que, dans bien des cas , en dehors du secours fourni par la considération
ontribuer puissamment à fonder le diagnostic, principalement dans les cas , exceptionnels d'ailleurs, où le tremblement de l
l'objet d'une étude spéciale. C. Environ dans les trois quarts des cas , le vertige est un des phénomènes qui marquent
é. (B.) IV. Pour en finir, Messieurs, avec l'étude descriptive du cas que je vous ai présenté comme un type de sclérose
de correctif, que ces symptômes s'entremêlent pourtant, dans certains cas , avec les phéno-mènes ordinaires de la sclérose m
e diagnostic ? Non. certes, et j'ai la convie-trou que, dans fous les cas du même genre, vous éviteriez de prendre le cha
oelle épinière, de la région lombaire, par exemple. Or, dans tous les cas du dernier genre, les symptômes ataxiques s'étaie
ômes réguliers delà sclérose multilo-culaire. J'ai vu, dans plusieurs cas , d'ailleurs parfaitement ca-ractérisés de cette a
is la raison anatomique de cette complication nouvelle: dans ces deux cas , le processus irritatif dont les foyers de scléro
comotrice sont assez nombreuses. Nous rappellerons en premier lieu le cas de Paget, consigné par M. Cruveilhier dans son At
la moitié inférieure du corps tout d'une pièce. Ce n'est que dans des cas rares, et seulement aux phases ultérieures de la
les attaques apoplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions cérébrales en foyer de date ancienne h
— Symptômes : État du pouls : élévation de la température centrale. — Cas d'attaques apoplectiformes chez d'anciens hémiplé
rassemblés et je l'ai, pour mon compte, observée au moins dans trois cas (\). L'ensemble symptomafique qui constitue les
ramollissement ou de l'hémorrhagie intra-eucéphaliques. Or, en pareil cas , quelque attention que j'aie apportée à l'autopsi
r un comaprofond survenant tout à coup. ^1 s'y adjoint, dans certains cas , des convulsions qui rappellent celles de l'épile
les convulsions font défaut [attaques apoplectiformes). Dans les deux cas , il est fréquent de voir se développer,, dès l'or
nter très sommairement les détails de deux observations relatives aux cas du dernier genre. Le premier fait concerne une
des membres, paralysie, ainsi que cela se voit généralement en pareil cas . Cette femme était sujette à des attaques épilept
e, soit dans les cen-tre nerveux, soit dans les viscères. Le second cas est celui d'une femme de 61 ans, atteinte d'hémip
époques de la journée, l'évolution delà tempéra-ture centraledans un cas d'attaque apoplectiforme survenant, chez un sujet
o-culaire, comme dans la paralysie générale progressive et dans les cas de lésions en foyer des hémisphères. Ainsi la mal
t éprouvée, devait dans la nuit même se terminer par la mort. Dans le cas de N..., dont Thistoire a été recueillie dans mon
'est qu'à mon sens, on trouve là un caractère qui peut, dans certains cas , être mis àprofitpour le diagnostic. Il n'estpas
a symptomatologie de la sclérose multiloculaire lorsqu'il s'agit d'un cas complet et parvenu déjà à une période avancée de
ue par la réunion de deux ou trois symptômes, et, de plus, il est des cas où, jusqu'à la terminaison 1. Charcot. —Noie su
entement progressive et à s'étendre aux membres supérieurs. En pareil cas , la situation du clinicien est nécessairement des
indiquer la voie. Ainsi, quelque prononcée qu'elle soit, — à part ce cas exceptionnel où la lésion prédominerait sur les c
ents et uniformé-ment progressifs. C'est là, en effet, de beaucoup le cas le plus fréquent; mais il importe que vous n'igno
mem-bres inférieurs; ou encore, ainsi que cela s'est présenté dans le cas de M. Léo et chez une de mes malades dont M. Vulp
la Société médicale des hôpitaux, 1869. Enfin, Messieurs, il est un cas sur lequel j'appellerai encore votre attention et
ie. Dans ce genre, une observation publiée par M. Liouville (1) et le cas rapporté par M. Zenker sont de bons exemples à ci
lternant avec les douleurs ful-gurantes des membres, soient en pareil cas , avec la diplopie, etpeut-être une légère titubat
peut survenir dans un de ces accès, J'ai observé tout récemment deux cas qui se sont terminés de accidents susceptibles,
e du tibia, des os du tarse, etc. (Bourneville et Guérard, loc. cit.. cas du Dr Pennock, p, 83; : — 2° une cyphose et une s
p, 83; : — 2° une cyphose et une scoliose à droite, signalées dans un cas de Priedcreich (B. et (1., loc. cit., p. 213-214)
ticulations fémoro-tibiales (Obs. de M. Malherbe). 'B.) 1. Dans les cas qui ont été publiés récemment, nous retrouvons le
l'cubitus aigu, la pyëïo-cysUte 'un cas', !'«?_ dème de la glotte (un cas ). (B.) cette manière, L'autopsie à fait reconna
). (B.) cette manière, L'autopsie à fait reconnaître, dans ces deux cas , qu'uneplaque de sclérose avait envahi le planche
emier relevé(Bourneville et Guérard, loc. cit., p. 148) comprenant 17 cas , nous avons trouvé une moyenne de 8 à 10 ans. Dan
trouvé une moyenne de 8 à 10 ans. Dans une statistique portant sur 13 cas nouveaux, nous avons obtenu une moyenne de 7 ans
ne de 7 ans et demi. Le minimum de la durée de la maladie a été un an cas de M. Mal-herbe. In Journal de médecine de l'Oues
p. 478 , 1872). Le maximum a, été de 16 à 17 ans (B. 2. Dans trois cas de sclérose en plaques disséminées, avec prédomin
n, les douleurs fulgurantes qui s'observent dans un certain nombre de cas , peuvent être, dans ces cas-là, rapportées à l'en
qui s'observent dans un certain nombre de cas, peuvent être, dans ces cas -là, rapportées à l'envahissement des faisceaux po
up plus commune chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, parmi les cas que j'ai rassemblés dans mes premières études,
ifié, d'une manière sensible, ce résultat. En réunissant aux dix-huit cas qui figurent dans la monographie de MM. Bournevil
cas qui figurent dans la monographie de MM. Bourneville etGuérard, 16 cas nouveaux, nous avons un total de 34 cas, dont 9 h
MM. Bourneville etGuérard, 16 cas nouveaux, nous avons un total de 34 cas , dont 9 hommes et25 femmes. De ces mêmes docume
néral que des indices très vagues : l'hystérie y figure dans quelques cas ; mais, le plus souvent, on ne trouve mentionnés
usieurs ibis signalée l'action prolongée du froid humide (1). Dans un cas , les premiers symptômes se seraient développés pe
ppui de cette assertion, l'indication de quelques faits. 1" Dans un cas de Erbstein (Deutsches Archiv fur KUnische Medici
la Société de biologie, 1869, p. 107). 4° Enfin,' nous citerons le cas d'une femme nommée Dr.. Hurleuse, chez la-quelle
dans l'eau. L'action du froid humide est d'autant plus réelle dans ce cas que le ma-lade laissa ses habits sécher sur lui B
B.). 2. The Lancet (1873, vol. 1, p p. 236) a publié le résumé d'un cas de sclérose en plaques observé par M. Moxon â Guy
tanées aux rémissions qui se trouvent signalées dans un bon nombre de cas . 11 ne faut pas oublier d'ailleurs que, quant à p
té temporaire. J'en dirai autant du nitrate d'argent. Dans plu-sieurs cas que j'ai observés, il paraît avoir eu sur le trem
r, pour résultat d'exaspérer ces symptômes. Vhydrothérapie, dans un cas , paraît avoir produit un amen-dement passager ; d
résister, Messieurs, au désir de mettre à profit un certain nombre de cas très remarquables d'hystérie qui se trouvent actu
et 2° parties. 2. Charcot, loc. cit., t. II, l™ partie. Parmi ces cas , il en est un digne d'attention entre tous, qui f
art des médecins. 11 ne faut pas dédaigner, Messieurs, l'examen des cas excep-tionnels. Ils ne sont pas toujours un simpl
p. 229. l'odeur de l'urine. Toujours est-il que, dans deux ou trois cas , 1 analyse chimique a découvert, dans ces rom i
cte de quelques-uns des phénomènes observés chez les animaux dans les cas de néphrotomie et d'oblitération des uretères par
les accidents cérébraux sont inévitables, à un moment donné, dans les cas d'expérimentation chez l'ani-mal, tan dis que che
e. Depuis, mes opinions se sont quel-que peu modifiées en présence du cas que je vais vous exposer tout à l'heure. 1, The
. a. Ainsi M. Laycok, qui a consulté partout, n'a pu aligner que 27 cas , sur lesquels deux seulement lui appartiennent.
les malades. Eu revanche, il est incontestable que, dans une foule de cas , elles se sont plu à dénaturer, en les exagérant,
t plu à dénaturer, en les exagérant, les principales circonstances du cas , et à lui impri-merie cachet de l'extraordinaire,
joindra peut-être des vomisse-ments de matières fécales ! Parmi les cas du dernier genre, celui qui, en France, a eu le p
ant est devenu impropre à la fonction d'urination; tantôt et c'est le cas le moins fréquent, les deux uretères sont oblité-
ber-crombie et tous les auteurs qui se sont attachés à l'élude de ces cas s'accordent à reconnaître que, si l'anurie persis
des urines et le ballonnement du ventre qui, eux aussi, sont dans ce cas des phénomènes permanents. Enfin, cette femme est
reste, un fait connu depuis longtemps, en dehors de l'anurie dans les cas de vomissements incoercibles des hystériques. J
eux, etc., et les vomissements de matière fécale. Quelques-uns de ces cas se présentent d'ailleurs dans tous leurs détails
, peut-être, vous paraîtra plau-sible, mais que je vous prie, en tout cas , de ne prendre que pour ce qu'elle vaut. Que le
s vu, d'ailleurs, qu'il n'y a pas lieu de faire intervenir dans notre cas une évacuation supplémentaire par les selles ou l
effet, que certaines de ces malades résistent admirable-ment, dans le cas de vomissements incoercibles, à une alimen-tation
Jobert (de Lamballe) appelait l'attention. S'agirait-il, dans notre cas , d'une oblitération spasmodique des uretères ? On
Manchester) (2;a confirmé la réalité de ce fait chez l'homme. Dans un cas d'obstruction calculeuse de l'ure-tère, il s'écha
— Analogies qu'elle présente avec l'hémianesthésie des hystériques. — Cas dans lesquels l'hémianesthésie de cause encéphali
— Ses avantages au point de vue de la circonscription des lé-sions. — Cas d'hémianesthésie observés par Tiïrck : siège spéc
bservés par Tiïrck : siège spécial des lésions encéphaliques dans ces cas . — Observation de M. Magnan. — Altération des sen
atta-que hystérique, soit l'attaque complète dansun certain nombre de cas . Il en ressortira pour vous l'exactitude de l'ass
pose,— l'hémianesthésie com-plète, telle qu'elle se présente dans les cas intenses. A ce degré même, c'est encore un symptô
nt au siège qu'il occupe, on trouve, toujours, d'après cet auteur, 70 cas pour le côté gauche et 20 pour le droit. Vous s
nt cité des exem-ples. Cette ischémie peut être caractérisée dans les cas intenses, par la difficulté qu'il y a à tirer du
avec force ; pour montrer l'intérêt de cette notion, il a rappelé le cas où une femme, à la suite d'une émotion morale viv
le retrouve pas avec les mêmes caractères dans l'immense majorité des cas de lésions maté-rielles de l'encéphale (hémorrhag
a compression, par voisinage, d'une des bandelettes optiques, dans le cas d'un foyer hémor-ragique quelque peu volumineux.
'est bien ainsi que se passent les choses dans la grande majorité des cas . Mais, à côté de la Éèglet^i^ y a le chapitre des
is, à côté de la Éèglet^i^ y a le chapitre des exceptions. 11 est des cas , et pour rïf§n cv^spte,j'enaiobservéplusieursdece
ue l'ont constaté MM. Landois et Mosler (2). Enfin, il est encore des cas , plus rares à la vérité et jusqu'ici imparfaiteme
imparfaitement observés, mais qui, malgré tout, on bien leur valeur, cas qui rendent probables les altérations, en pareill
relativement au siège que les lésions encéphaliques occupent dans ces cas -là, des notions décisives. Presque toujours, lo
véritable cause organique de l'hémia-nesthésie observée dans fous les cas ? C'est là une question qui mérite de nous arrête
par exemple. Il est bien établi, d'un autre côté, que, dans nombre de cas , la couche optique peut être lésée, même profondé
res. On peut citer toutefois, comme se rappro-chant de cet idéal, les cas qui ont été présentés par L. Tùrck à l'Académie d
mollissement parvenus à l'état d'infiltrationcelluleuso. Danstous les cas ,l'hémiplégie,liée à la présence des foyers, avait
de subtance grise, Xavant-mur (Vor-mauer). Or, Messieurs, dans les cas de M. Tùrck, les lésions avaient envahi à la fo
t aux résultats obtenus par cet' observateur. Tel est entre autres le cas de M. Hughlings Jackson (1); ici encore, l'altéra
-paraît, en règle générale très promptement, l'auteur rapporte quatre cas dans lesquels l'anesthésie a persisté au contrair
squels l'anesthésie a persisté au contraire à un degré très accusé. Cas I. — Fr. Amerso,72 ans. En août 1858, hémiplégie
r mon compte, cpie la participation des sens spéciaux sera, en pareil cas , reconnue quelque jour, lorsqu'onaurapris soin de
nts dan;, le cordon latéral gauche, rares dans le cordon antérieur. Cas II. — S. Jean, 55 ans. Attaque suivie d'hémiplégi
cervelet. On n'a pas noté de dégénéra-tion secondaire de la moelle. Cas III. — Fr. Hasvelka, 22 ans. Ier nov. 1852. Attaq
t le début a été subit, et i l commence à apparaître, dans ce dernier cas , à l'époque où la paralysie motrice commence à s'
ion de noyaux dans la partie la plus postérieure du cordon latéral. Cas IV. — Anne B..., femme âgée, morte le 22 février.
rede la couche optique qui est considé- d'une tumeur; dans tous les cas de ce genre que j'ai observés jusqu'ici, et dans
ège, que celle que j'ai rencontrée chez mes malades. Eh bien, dans ce cas , M. Magnan a reconnu, delamanière la plus nette,
u'elle se présente dans l'hystérie, peut être produite, dans certains cas , par une lésion en foyer des hémis-phères cérébra
e encéphalique, ont trouvé une nouvelle confirmation clinique dans un cas que nous avons recueilli dans le service de M. Ch
oit qu'un mot, c'est déjà quelque chose qui arrête l'esprit. Dans 200 cas d'hystérie sur 430, M. Briquet a rencontré lacœli
ontj'ai reconnu plursieurs fois l'exactitude, signalent dans certains cas une hyperesthésie cutanée circonscrite à une port
montreraient sur les parties cor-respondantes du côté droit, dans les cas où l'exploration por-terait, au contraire, sur l'
M. Briquet, l'aura hystérique débuterait, dans l'immense majorité des cas , par le nœud épi-gastrique ; je n'ignore pas non
d'après notre auteur, un moyen d'exploration supé-rieur que dans les cas où la paroi abdominale oppose des obs-tacles insu
ixe des hystériques. A la vérité, à do certaines époques, et dans les cas intenses, la douleur, par un mécanisme que je n'a
rechercher maintenant quel est l'état anatomique de l'ovaire, dans le cas où il devient le siège de la douleur iliaque des
aisem-blable que la tuméfaction dont l'ovaire est le siège, en pareil cas , résulte d'une turgescence vasculaire analogue à
ur point de départ de l'aura hysté-rique — au moins dans un groupe de cas — il n'est pas sans intérêt démontrer actuellemen
tégorie, elle pourra vous conduire sur la voie du diagnostic dans les cas difficiles. VIII. Il me reste, Messieurs, à e
onstration parfaite des effets de la compression ovarienne, en pareil cas , est que la malade soit étendue horizontalement s
ôt la malade gémit et pleure, criant qu'on lui fait mal, — tel est le cas de^Marc...^— tantôt, au contraire, elle accuse un
la main sur la région ovarienne, suffit, dit Négrier, dans plusieurs cas pour enrayer et supprimer complètement l'attaque
ivement d'elles-mêmes en action la compres-sion ovarienne. Tel est le cas , par exemple, d'une de nos malades, la nommé Gen.
ouvent lorsque l'invasion du mal n'a pas été par trop rapide. Dans le cas contraire, elle fait ^ appel aux assistants et
on d'un certain nombre de ma-lades, parmi lesquels figurent plusieurs cas bien avérés de con-tracture permanente des hystér
secours. En quoi ces secours consistaient-ils? Pour la plupart des cas il s'agissait là de manœuvres ayant pour but de d
dit du pilon, qui ne s'éloigne guère du précédent ; 3° dans un autre cas , un homme joignait les deux poings et les appuyai
, affectionnait plusparticulièrement ce mode de secours ;,5° ilest un cas , enfin, oùl'on disposait de lon-gues bandes que l
ar la com-pression ou la ligature des membres d'où partent, en pareil cas , les phénomènes de l'aura ; et c'est ici peut-êtr
a trépidation convulsive deVépilepsie spinale, observée dans certains cas de myélite. Vous n'ignorez pas qu'en pathologie
articularités les plus saillantes qu'elles offrent à l'observation. Cas I. —(MarcT^)2*1 ans, atteinte d'hystéro-épilepsie
u de tous les phénomènes par la compression de l'ovaire gauche (1). Cas II. —(Cot...p 21 ans, a vu l'hystérie débuter à 1
. L'hystérie locale, ici. est encore plus marquée que dans le premier cas . Nous avons à observer adroite une hémianesthésie
leptique sur lequel nous reviendrons clans une prochaine leçon (1). Cas 111. -^JLegr... Geneviève)cst née à Loudun ; sing
émies saltatoires, A ce propos,, je vous ferai remarquer que certains cas d'hystérie, constituant en quelque sorte des vari
me, ainsi que nous l'avons déjà dit, le secours des assistants (2). Cas IV. — Ler..., âgée de 48 ans, est une malade bien
fréquenté cet hospice à divers titres. C'est, en d'autres termes, un cas célèbre dans les annales de l'hystéro-épilepsie.
ire, chez Ler..., est presque de nul effet sur les convulsions (1). Cas V. — Vous connaissez déjà cette malade ; il s'agi
e leçon sur l'is-churie hystérique (2). Nous relevons encore, dans ce cas , une hémianesthésie, de Yachromatopsiefde la cont
re hystérique. Pronostic. — Soudaineté de la guérison dans quelques cas . — Interpré-tation scientifique de certains fait
encontrée que six fois à l'époque où il a publié son ouvrage. Dans un cas , la contrac-ture occupait un seul membre; dans de
ainsi dire la règle dans la contracture hysté-rique. Dans ce dernier cas , la flexion permanente de lacuisse et de la jambe
éraux sont sclérosés ; mais je l'ai observée également dans nombre de cas où la contracture hystérique s'est terminée tout
cependant quelquefois un peu après. Limitée au pied dans beaucoup de cas , elle s'étend souvent au mem-bre tout entier et s
propage même quelquefois au membre inférieur de l'autre côté. Dans le cas où le tremblement dont il s'agit peut être provoq
ue nous venons de rappeler pourraient, à la rigueur, s'appliquer à un cas d'hémiplégie organique, résultant d'une lésion pr
lérose la-térale est un trait commun. Toutefois, sa présence dans des cas de contracture hystérique, terminée brusquement p
plex. In Berliner Klin. Woschenschrift. 1875, n° 26.) Dans quelques cas de paralysie des membres supérieurs, lorsqu'il s'
rigidité très marquée. Ce serait là une anomalie considérable dans un cas d'hémiplégie consécutive à une lésion cérébrale,
n cas d'hémiplégie consécutive à une lésion cérébrale, car, en pareil cas , la rigidité tardive se i. Treatise on the nerv
ragie ou au ramollisse-ment du cerveau ; constamment, dans ce dernier cas , la con-tracture s'établit lentement, d'une maniè
Il en sera de même encore dans le fait suivant, qui est relatif à un cas de paraplégie hystérique (i). 11. ¦'^Alb^^g
plus simple, je le répète, que l'in-terprétation clinique de ces deux cas , en ce qui concerne le diagnostic. Mais voici le
s, en ce qui concerne le diagnostic. Mais voici le point où, dans ces cas mêmes et dans les cas analogues, des difficultés
le diagnostic. Mais voici le point où, dans ces cas mêmes et dans les cas analogues, des difficultés sérieuses peuvent surg
'occasion de ces promptes guérisons. J'ai vu dans cet hospice trois cas de ce genre, que je vous de-mande la permission d
ous de-mande la permission de résumer brièvement. l°Dans le premier cas , il s'agissait de la contracture d'un membre infé
le danger qu'il y aurait pour lui à décréter l'incura-bilité dans les cas de ce genre. » (Th. Laycok. A Treatise on the ncr
ure était la seule manifestation de la grande névrose. 2° Le second cas concerne une femme également atteinte d'une contr
anlement moral que produisit cette accusation. 3° Dans le troisième cas , la contracture avait pris la forme hémiplégique
cles de saint Louis),et dans lequel on trouve l'histoire de plusieurs cas de paralysie guérie gauche. Finalement, les seu
u où les restes du roi Louis IX venaient d'être déposés. Trois de ces cas surtout sont intéressants pour nous, à cause de l
de cette paraplégie avec rigidité des membres ? Évidemment, dans les cas récents de contracture hystérique, la modificatio
scopielaplus minutieuse ne serait pas en état de retrouver, en pareil cas , les traces de cette altération. Mais en est-il d
cas, les traces de cette altération. Mais en est-il de même dans les cas invétérés?Non, Messieurs ; je crois pouvoir avanc
s, on observe une lésion spinale anatomiqucment appré-ciable dans les cas invétérés de contracture hystérique, de même auss
elle qui tient sous sa dépendance la contrac-ture permanente dans les cas de sclérose en plaques ou fasci- examen pratiqu
blanc et pour les couleurs est rétréci concentriquement, même dans le cas où l'acuité visuelle et la perception centrale de
n'est-elle pas au-dessus des ressources de l'art ; mais dans tous les cas , elle ne permet très certainement plus d'espé-rer
il quelque signe qui permette d'indiquer, à coup sûr, le caractère du cas , de savoir par exemple si la sclérose a définitiv
Je n'ai observé, jusqu'à présent, ces derniers symptômes que dans des cas de contracture hystérique de date très ancienne e
d'un membre, soit même deux membres, ou plus encore. Mais il est des cas où la rigidité spasmodique reste limitée à quelqu
teur R. Boddaert à communiqué à la Société de médecine de Gand (1) un cas de ce genre fort intéressant. La contracture axra
Messieurs, rapporter à mon tour dans tous ses détails l'histoire d'un cas qui rappelle celui qu'a publié M. Boddaert. Qu'
cliniques de l'état de mal hystéro-épileptique. — Gravité de certains cas exceptionnels d'hystéro-épilepsie. — Observation
ait pour eux un mélange, une combinaison, à doses variables selon les cas , des deux névroses ; ce n'est pas seulement l'épi
oient, par là même, prédisposés à contracter l'autre. Mais, en pareil cas , ajoute-t-on, les accidents convulsil's restent d
ion de ces attaques dont l'existence est si nettement établie par les cas mêmes qui servent de fondement à notre étude et o
e ne serait pas dans le fond des choses. En d'autres termes, dans ces cas , il s'agirait uniquement et toujours de l'hystéri
ro-épilepsie à crises distinctes. Eh bien, Messieurs, ce serait là le cas le plus fréquent, car on en compte 20 exemples su
t là le cas le plus fréquent, car on en compte 20 exemples sur les 32 cas de M. Beau. 11 convient d'ailleurs d'établir dans
on de certaines causes et, en particulier, des émotions morales. Un cas de Landouzy, cité par M. Briquet, mérite à ce pro
ive (contracture,anesthésie,etc.) Nous possédons, par devers nous, un cas de ce genre. Mais ces diverses associations ne
dans le service spécial de la Salpêtrière, les crises sont en pareil cas désignées sous le nom à"1 attaques-accès. IV.
longue durée, occupe l'abdomen, l'épigastre et n'affecte pas, en tout cas , la tête seule et d'emblée, ou l'une des extrémit
Je ne crois pouvoir mieux faire que de vous rap-peler à ce propos le cas de la malade Ler..., qui, depuis près de quarante
uvent laisser subsister aucun doute à cet égard(1). En somme,dans les cas de ce genre, et telle est aussi l'opinion de M. B
er se montre alors dansson type de complet développement. En pareil cas , Messieurs, c'est-à-dire lorsque les accès de J'é
s profond, — congestion apoplectiforme des au-teurs ; — dans les deux cas il y a prostration des forces, séche-resse de la
e au-dessus de 41° n'est donc pas nécessairement terminale, en pareil cas ; et il y a par conséquent quelque chose à rabatt
dans les attaques, avec ou sans convulsions,qui s'observent dans les cas de foyer cérébral ancien (hémorragie ou ramol-lis
sans doute il répond à la réalité, pour la très :grande majorité des cas , mais il y a le chapitre des exceptions. II n'est
ler un l'ait de ce genre publié par M. Wunder-lich(l). 11 s'agit d'un cas d'hystéro-épilepsie comparable àbeau-coup d'égard
Cet exemple suffira, Messieurs, pour vous montrer qu'en présence d'un cas d'état de mal hystéro-épileptique de quelque inte
nfluence de la compression ovarienne. — Relation avec les attaques. — Cas de Trousseau, Briquet, Murchisson, etc. — Traitem
qua-lifications, remarquez-le bien, s'appliquent parfaitement à notre cas ; chez notre malade, en effet, la chorée peut êtr
en que mal, des actes voulus, intentionnels. Après avoir reconnu le cas qui nous occupe,pour un exemple bien caractérisé
stater l'exis-tence actuelle. Je pourrais vous citer plusieurs autres cas d'hys-térie ovarienne développée plusieurs années
eulement vous montrer qu'en ce qui concerne les phénomènes locaux, le cas de G... est un exemple très régulier, très classi
M. le D1' Barlow (de Londres) a publié un fait du même genre.Un autre cas a été rapporté dans le t. III de VIconographiepho
photogr. de la Salpêtrière,p.18. Nous avons observé, en effet, deux cas d'héniianestliôsiecé-rébrale complète, et de date
le retour de la sensibilité normale. Mais,, tandis que, dans ces deux cas , les résultats obtenus ont été défi-nitifs, perma
ts d'hémianes-thésie hystérique que nous avons observés (1). Dans les cas du dernier genre une 1/2 heure, 2 heures, 24 heur
a crise si prononcée chez quelques sujets, est, au contraire, dans ce cas , à peine esquissée. Telle est la série des phénom
ui l'importunent et la fatiguent énormément et dont la durée, dans le cas où on les abandonneraità eux-mêmes, ne peut guère
fficile de relever dans la littérature mé-dicale un certain nombre de cas que vous pourrez rapprocher de celui qui fait le
ui aussi, quelques observations intéressantes de chorée rythmique. Le cas de Mlle de LaB., en particulier, montre que cette
es dans ses " Studies on fonc-tionnai nervous disorders" (2). Dans ce cas , comme dans le nôtre, les mouvements choréiques s
ues (1). J'ai trop longtemps peut-ête retenu votre attention sur un cas , dont vous ne rencontrerez sans doute le pendant
ment dans votre pratique. Mais le clinicien ne saurait dé-daigner les cas exceptionnels, anormaux, qui lui fournissent l'oc
e ce fait et ontavancé que les oscillations rythmiques, dans certains cas de paralysie agitante, portent également sur Vext
s d'un côté. Il y a là une erreur qu'il importe de relever : c'est le cas de relever aussi que les facultés intellectuelles
ue 1 écriture n'est pas encore rapetissée (Fig. 32). En présence d'un cas de Caractères de l'écriture des malades atteint
ît être devenue plus grosse. (B.) Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la forme spinale ; — possibilité de la
1 a insisté ensuite sur deuxpoints encore peu connus : l'existence de cas particuliers, frustes, comme il les appelle, et l
idérable des symptômes céphaliques. Cette malade nous offre donc un cas de sclérose en plaques fruste dans la forme spina
cusée et a porté non seulement sur quelques symptômes, comme dans les cas précédent, mais sur tous les symptômes. A. S..,
a même règle pour cha-que couleur. Ainsi, dans la grande majorité des cas , c'est pour lé bleu que le champ visuel est plus
s cela, les nombreuses combinaisons qui pourront se produire dans les cas d'hystérie où. ce genre d'amblyopie sera parvenu
exceptions a la règle commune, en ce sens que certains malades, et le cas n'est pas très rare, M. Charcot s'en est assuré e
nfin, au dernier terme, l'amblyopie hystérique jaeut faire place — le cas est assez rare — aune véritable ajnaurose(l). C
siègent l'hémianesthésie et l'ovarie sont des phénomènes,, en pareils cas , vulgaires. Une combinaison très intéressante a
ar M. le docteur Fieuzal, et qu'il a montrée dans son cours. Dans ces cas , le rétrécissement, en quelque sorte normal dans
commodation, certaines for-mes de diplopie, etc. ; tel est surtout le cas que présentait une malade adressée par M. Galezow
arienne peut arrêter plus ou moins brusquement, bien entendu dans les cas où Yovarie existe, les convulsions à quelque mome
-tent les accidents de l'attaque hystérique. Mais ce n'est pas ici le cas en ce qui concerne tout au moins les grands trait
à peine est-elfe revenue, quêtes san-gtots éclatent... Dans quelques cas , au lieu de pleurs, c'est un rire sans motifs...
t passé. C'est ainsi que les choses se sont produites dans les 5 ou 6 cas , recueillis par M. Charcot, dans sa pratique de l
pression, la contusion, la foulure, etc., se sont produites. C'est le cas pour le rhumatisme articulaire aigu ou chronique,
profond, contrairement à la remarque faite par Brodie, dans plusieurs cas de ce genre. Laflexiondes doigts, est tellement p
s observations recueillies par M. Charcot, et, àce propos, il cite le cas d'une malade de son service, la nommée Geneviève
l'hystérie, appartiennent au groupe provisoire des névroses. C'est le cas , par exemple, pour la paralysie agitante ou malad
du système nerveux, 1.1. p. 185.) Les principales particularités du cas qui précède se sont re-produites, à quelques modi
rrespondant à la tache jaune. Fig. 2. — Champ visuel gauche dans un cas A'Hgstéro-épilepsie avec Hé % ianesthésie gauche.
ux lésions non traumatiques. — Troubles trophiques de l'œil, dans les cas de tumeur comprimant le trijumeau. — Inflammation
pemphigus, etc.), atrophie musculaire, arthropathies, qui, en pareil cas , se développent en conséquence de la névrite. —Lè
ntractilité électrique, suivies d'atrophie rapide des muscles dans Je cas de paralysie rhumatismale du nerf facial et de lé
épinière.— A. Formes aiguës ou subaiguës : elles se montrent dans les cas de lésion trauma-tique de Ja moelle épinière, dan
ve dans la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d'atrophie musculaire progressive................
ue clinique. — Causes d'erreurs de diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement; modi-fi
les attaques apoplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions cérébrales en foyer de date ancienne (
Symptômes : État du pouls : élévation de la température centrale. — Cas d'attaques apoplectiformes chez d'anciens hémiplé
— Analogies qu'elle présente avec l'hémianesthésie des hystériques. — Cas dans lesquels l'hémianesthésie de cause encéphali
Ses avantages au point de vue de la circonscription des lé sions. — Cas d'hémianeslhésic observés par Tiirck : siège spéc
servés par Tiirck : siège spécial des lésions encéphaliques clans ces cas . — Observation de M. Magnan. — Altérations des se
re hystérique. Pronostic. — Soudaineté de la guérison dans quelques cas . — Interpré-tation scientifique cle certains fait
cliniques de l'état de mal hystéro-épileptique. — Gravité de certains cas exceptionnels d'hystéro-épilepsie. — Observation
fluence de la compression ova-rienne. — Relation avec les attaques. — Cas de Trousseau, Briquet, Mur-chisson, etc. — Traite
......................... 421 IV. Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la forme spinale; — possibilité de la
: — dans la pa-ralysie générale, 250; — pathogé-nie, 252 ; — dans les cas de foyers-apoplectiques anciens, 25L . — Variétés
ronostic de la —, 355, 364. — Soudaineté de la guérison dans certains cas de —, 359 ; — cures réputées miraculeuses, 357. —
scarre de la fesse, 4; à formation rapide, 83 ; — son siège clans les cas d'apoplexie, 92 ; — dans les at-taques apoplectif
u), 135. Glossy skin, 25. Globe hystérique. (V. Aura.) Griffe dans un cas de sclérose en plaques avec lésions des cellule
e encéphalique, historique, 308, 309 ; — ses caractères, 308,315. — Cas de Tûrck, 313 ; note, 315. Hémichorée, 316, 391-
pérature dans 1' —, 376. — Etat de mal hystéro-épilep-tique, 381. — Cas graves d'—,383. I Immobilisation des membres
s aiguës, note, 259, 270. — Pro-nostic, 271, 423.-Traitement,271. — Cas de guérison, 422. — Forme fruste de la —, 423.
13 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
inte de me montrer hésitant parfois et embarrassé même, dans certains cas , à décider un diagnostic, à proclamer un pronosti
ue de commencer son cours en parlant du bâillement et de présenter un cas où le bâillement est le phénomène le plus apparen
produisant à des intervalles réguliers, comme cela se voit dans notre cas , est un phénomène hystérique ; mais il ne faudrai
ouvelle Iconographie de la Salpêtrière, n°4, juillet et août 1888, un cas de bâillements occupant les intervalles des accès
tiers, précède et suit le sommeil naturel, je les croirais, en pareil cas , si j'en juge par mon expérience propre, plutôt d
chez elle, monosymptomatique, comme j'ai coutume de la dire en-pareil cas , c'est-à-dire marquée, révélée exclusivement par
que : hémianesthésie, ovarie, attaques convulsives, etc. En pareil cas , il peut y avoir, parfois, pour le diagnostic, de
gnostic, des difficultés vraiment sérieuses. Cependant, même dans ces cas , la monotonie même des accidents, leur retour sys
érique et aussi le bâille nent. — Il s'agit là, en somme, d'un de ces cas où il y aurait avantage, si faire se pouvait, ain
t que tout, chez elle, est hystérique. Quel pronostic porter sur ce cas ? — H y a des ressources: à un âge plus avancé, ch
de vous exposer, dans une autre occasion, le traitement que, dans un cas de ce genre, je me propose de mettre en œuvre. Ac
février 1888, p. 193). Il y a un peu moins d'un an. Il s'agit d'un cas de dyspnée hystérique. Je vous ai fait remarquer,
ente, en quelque sorte, une attaque hystérique transformée. Dans ce cas , point de stigmates, c'est-à-dire pas d'anesthési
rs, les troubles psychiques dont il s'agit sont, dans la majorité des cas , pour ne pas dire plus, la marque d'une tare héré
t le sculpteur c'est grave sans doute au point de vue de l'art, 1er cas . Hg. î- Sciatique gauche. Sciatique gauche.
rage orné de planches admirables, faites d'après nature, où vous 2e cas . Fig. 10 Attitude dans la Sciatique gauche.
eine arides Zusammenhanges zwischen Ischias und Scoliose ». Un second cas du même genre se trouve paraît-il, dans le même j
ntre à chaque pas dans la pratique. J'en reviens maintenant à notre cas . Eh bien, il n'est pas douteux qu'il s'agisse là
çant, pourrait, elle aussi, contribuer à fixer le diagnostic dans les cas réguliers, classiques ; mais il y a à cet égard c
urs centimètres au-dessus du sol ainsi que cela se voit dans certains cas de coxalgie organique ou encore de coxalgie hysté
stérique. Ce n'était donc pas apporter trop de soin dans l'étude du cas que de nous efforcer de fonder le diagnostic sur
hoc nerveux qu'il faut invoquer ici, évidemment, les circonstances du cas le démontrent suffisamment et d'ailleurs, le déve
y a rien d'absolu dans ce genre, — mais on peut affirmer qu'à part le cas de la lésion de la partie postérieure de la capsu
ent permanent; je crois pouvoir affirmer qu'il en est de même pour le cas de la neurasthénie ; on peut observer comme l'a f
sement ne persiste pas, il ne s'établit pas comme cela a lieu dans le cas de l'hystérie à l'état permanent. J'ajouterai qu'
ugmente. M. Charcot. — Rien de bien remarquable jusqu'ici, c'est un cas vulgaire, du moins en apparence. J'appellerai cep
urs, autant que je sache. La guérison ici est la règle, même dans les cas où la paralysie est complète et plus ou moins gén
paralytique d'ailleurs paraît ne pas appartenir particulièrement aux cas où les mouvements gesti-culatoires sont intenses
nses ; on la voit survenir au moins aussi souvent, je pense, dans les cas de chorée légère. En somme, vous le voyez, lé p
été évidemment développée— cela ressortira pleinement de l'analyse du cas —sous l'influence de l'action du sulfure de carbon
ciale ; nous serons conduits par là à nous demander si bon nombre des cas — la plupart peut-être — rattachés par Delpech à
sion de la partie postérieure de la capsule interne et encore dans ce cas la sensibilité n'est à peu près jamais atteinte a
face à l'hémiplégie hystérique, je crois inutile d'entrer à propos du cas d'aujourd'hui^ dans de nouveaux développements su
dans deux observations de M. Del-pech. Mais, naturellement, dans ces cas , la nature hystérique du spasme n'a pas même été
i relèvent très certainement de la névrose hystérique ; tels sont les cas dans lesquels se trouvent signalés expressément l
pas l'hystérie qui est enjeu. Je citerai comme exemples du genre les cas où les malades éprouvaient dans les membres des d
démarche du sleppeur, comme nous avons coutume de l'appeler. En tout cas bien évidemment, ces cas-là ne se rapportent pas
mme nous avons coutume de l'appeler. En tout cas bien évidemment, ces cas -là ne se rapportent pas à l'hystérie. Car si l'hy
est perfide comme l'onde: « false like water. » Mais ce n'est ni le cas ni le lieu d'entrer ici dans une discussion scabr
s souvent au niveau de la troisième ou la quatrième vertèbre dorsale ( cas de Millier, cas de Jofiroy et Salmon), rarement p
eau de la troisième ou la quatrième vertèbre dorsale (cas de Millier, cas de Jofiroy et Salmon), rarement plus bas vers la
e Jofiroy et Salmon), rarement plus bas vers la région dorso-ombaire ( cas de Viguès). L'arme pénètre entre les lames vertéb
e, et qui ferait presque envie à un expérimentateur (1). Fig. 15. Cas de Millier. a. Le couteau. b. La moelle épini
. La moelle épinière. c. Corps vertébral. d. Apophyse épineuse. Cas de Müller. Hémisection gauche de la moelle épin
ouvent représentés chez l'homme avec une exactitude parfaite dans les cas où une blessure spinale reproduit scrupu leusem
l aux travaux du maître.La section porte,je suppose, comme dans notre cas , sur la moitié gauche de la moelle, et voici alor
bles vésicaux. Tel est l'ensemble symptomatique lorsqu'il s'agit de cas récents ou relativement récents. Naturellement no
tre que si ici, comme je suppose que cela a lieu d'ordinaire dans les cas de ce genre, l'atrophie a été la [conséquence d'u
il s'en faut de beaucoup, que cela Fig. 16. devrait être dans les cas , comme le nôtre, où la lésion est supposée avoir
u niveau des troisième ou quatrième vertèbres dorsales. Ainsi dans le cas de Müller (Fig. 16) qui pour la plupart des détai
porte de ne pas oublier que l'observation de Müller est relative à un cas récent; le malade ayant succombé au bout d'une
tre qu'a diminué progressivement le champ d'anesthésie dans plusieurs cas d'hémipara-plégie spinale, résultant de la compre
. En résumé, messieurs, je ne m'arrêterai pas plus longtemps sur ce cas qui vous offre, suivant moi, un intéressant exemp
table encore telle qu'elle est. Je m'en tiendrai, relativement à ce cas , à ce qui précède si il ne me venait pas à l'inst
aurions certes pas admettre. Vous n'ignorez pas en effet que dans les cas hystéro-traumatiques les paralysies avec i. Gün
up insisté là-dessus et je crois devoir y insister encore à propos du cas présent. Ce n'est pas en effet pour avoir entendu
e et nullement de la lésion toute dynamique ou fonctionnelle, en tout cas non appréciable pour nos moyens actuels d'investi
meil hystérique ; 2° Amyotrophie par lésion articulaire ; 3° Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité
Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité nerveuse. Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, etc.
ité nerveuse. Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, etc. Cas n° 2 : plusieurs cas de bégaiement et un épilepti
° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, etc. Cas n° 2 : plusieurs cas de bégaiement et un épileptique dans la famille
ns chercher à provoquer le réveil, sachant par expérience que dans ce cas cela serait inutile quels que fussent les moyens
plusieurs semaines encore. J'ai fait allusion, une fois de plus, à ce cas , dans une leçon publiée par le Bulletin médical,
e l'ai déjà dit, pendant quarante jours et plus ; c'est donc un grand cas dans l'espèce. Il y a mieux que cela cependant, c
ur 1888 par M. Gilles de la Tourette (nos 43 et 44) ; mais les petits cas , ceux dans lesquels les attaques de prétendu somm
st ainsi que, dans le service, nous n'avons pas observé moins de cinq cas de cette catégorie dans le courant de ces deux de
ous y possédons une certaine expérience ; d'autant mieux que tous les cas du groupe se rapprochent étroitement les uns des
ez lesquelles les membres restent parfaitement mous et flexibles ; ce cas , même,paraît être le plus commun. Un caractère pl
out cela, vous l'avez compris, il ne saurait être question dans notre cas , de sommeil naturel et il y a lieu par conséquent
euse, qui seraient très certainement efficaces à un haut degré dansle cas de sommeilnaturel. Ainsi sont les choses en réali
as de sommeilnaturel. Ainsi sont les choses en réalité clans tous les cas d'attaques de sommeil que j'ai observés jusqu'ici
e à volonté, le plus facilement du monde. Ce n'est pas tout à fait le cas qui se présente chez notre malade d'aujourd'hui :
e vous ne devez pas toutefois vous attendre à retrouver dans tous les cas du même genre, tout cela concourt à établir que n
vos yeux, l'opinion que je professe depuis longtemps relativement aux cas de ce genre. C'est à savoir que le prétendu somme
de voir. En premier lieu l'attaque de sommeil est, dans bon nombre de cas ,précédée et suivie des phénomènes ordinaires de l
es hystéro-épileptiques, vous reconnaîtrez que l'état de mal dans les cas de ce genre, peut se prolonger pendant une et par
ême pendant plusieurs semaines, de telle sorte qu'en somme, entre ces cas d'état de mal hystérique, à la vérité exceptionne
e ces cas d'état de mal hystérique, à la vérité exceptionnels, et les cas d'attaques de sommeil, l'écart, du moins en ce qu
ionnelle. Il ne me reste plus grand'chose à vous dire concernant le cas d'attaque de « sommeil » que vous avez sous les y
ommeil profond ? On pourrait invoquer ici, messieurs, pour certains cas , cette condition spéciale de la nutrition que pré
te et Cathelineau ont en effet démontré par l'étude méthodique de six cas de sommeil hystérique —six cas, vous le remarquer
démontré par l'étude méthodique de six cas de sommeil hystérique —six cas , vous le remarquerez en passant, c'est un chiffre
z H..., les choses se passent comme elles se sont passées sur les six cas étudiés par MM. Gilles de la Tourette et Cathelin
ion ici, à ce que j'appelle le grand hypnotisme des hystériques, seul cas dans lequel les symptômes cérébraux particuliers
r que lorsque les membres seront naturellement rigides, comme dans le cas que nous avons actuellement sous les yeux, le dia
ie ; ce fait du moins je ne l'ai pas rencontré encore dans les autres cas assez nombreux de sommeil hystérique que j'ai obs
oit dans la période cataleptique de l'hypnotisme. Mais entre les deux cas la différence qu'on peut relever tout au moins ch
qu'il en soit il est difficile de méconnaître qu'il existe dans notre cas certains caractères, certains traits qui jusqu'à
relevée ; il est possible en effet qu'elle se retrouve dans d'autres cas de sommeil hystérique lorsqu'on prendra le soin d
service qu'ils ont rendu aux cliniciens en faisant bien connaître ces cas restés jusqu'à eux méconnus ou mal connus, dans l
orbide. La seule différence à ce qu'il me semble, serait que dans les cas signalés par MM. Debove et Achard l'attaque de so
re à bien établir la relation sur laquelle j'insiste actuellement, le cas d'un hystérique (le fameux dormeur de Londres [1]
nt la durée était en moyenne de six à huit jours, était dans certains cas accompagnée d'hémiplégie gauche, tandis que dans
ertains cas accompagnée d'hémiplégie gauche, tandis que dans d'autres cas c'était le mutisme qui occupait la scène. Mais
re tout entier, prédominant toutefois, comme c'est la règle en pareil cas , sur la région antérieure de la cuisse, était pou
propagation aux muscles d'un processus inflammatoire, car dans notre cas l'arthrite, en somme, a été fort peu de chose ; d
des cornes antérieures a pu se trouver réalisée et -démontrée dans un cas par un examen nécroscopique attentif. Il est d'
ue attentif. Il est d'autres enseignements encore fournis par notre cas . Voyez comment les amyotrophies de cause articula
ai sur ce sujet quelque expérience et je puis citer en particulier le cas d'un employé de télégraphe qui a fait l'objet d'u
soutenue par M. Neumann (1). M. Charcoï : ... C'en est assez sur ce cas . Voici qu'on nous amène un second exemple de para
Voir aussi Leçons du mardi 1887-88. La table. 12 ~ Voilà donc un cas qui, comme le précédent, vient confirmer nos idée
hose d'important. (Au malade) : Y a-t-il dans votre famille quelque cas de maladie nerveuse autre que le bégaiement? le b
(aux auditeurs) : Eh bien, Messieurs, qu'en pensez-vous ? Voilà deux cas de paralysie faciale périphérique pris au hasard
à rechercher s'il ne s'agit pas ici, comme cela a lieu dans certains cas , d'une accumulation cérumineuse dans le conduit e
iclinique du Mardi 20 Novembre 1888 CINQUIÈME LEÇON 1er Malade. — Cas complexe : paralysie spinale infantile, paraplégi
t singulier, fort original et qui, au point de vue clinique, ofïre un cas complexe assez difficile à débrouiller. Raison de
tiens à vous le présenter comme un bizarre, un toqué ; c'est,en tout cas ,dans la catégorie faubourienne,un type parisien a
rnine, bien qu'il y soit un fait exceptionnel, la paralysie en pareil cas portant principalement et dans la règle à peu prè
nément dans le béribéri sec ; souvent nous l'avons constaté en pareil cas chez des sujets venant du Brésil et aussi chez qu
ma, à l'occasion des travaux du percement de l'isthme. Mais dans le cas que nous avons sous les yeux il est facile d'élim
seulement par certaines manœuvres, qui n'appartiennent pas à tous les cas du groupe, car il y a très certainement des parap
c'est-à-dire d'un reliquat de maladie. L'histoire de l'évolution du cas que nous devons exposer maintenant nous apprend e
ge, des phénomènes qui peuvent être rapportés à l'alcoolisme, dans le cas de notre homme. Mais ainsi que je vous l'ai annon
e homme. Mais ainsi que je vous l'ai annoncé, il s'agit chez lui d'un cas complexe et nous devons nous attacher à mettre en
la famille, un peu partout, régner le vice d'ivrognerie. C'est ici le cas de rappeler que l'usage exagéré des boissons alco
une prédisposition spéciale antérieure, ou qui encore, dans certains cas , crée la diathèse nerveuse d'où pourra naître, pa
même temps que lui. Ce n'est donc pas de cela qu'il s'agit dans notre cas où les attaques persistent telles quelles, se rep
et la paralysie faciale était absolue. L'application du froid dans ce cas paraît avoir contribué à provoquer l'apparition d
part des cas de grande hystérie chez l'homme l'hypnotisa-tion dans ce cas n'a pas été praticable. Sa mère est une mélanco
érissable. Eh bien, messieurs, cela ne paraît pas être tout à fait le cas chez notre malade, car l'exploration électrique p
dification organique assez prononcée des faisceaux musculaires. Notre cas donc, à n'en pas douter, n'appartient pas à la ca
lever ce qui suit: Rien de mieux établi pour l'immense majorité des cas que la classification établie par M. le professeu
vail publié par Y Union médicale (15 novembre 1888). On peut voir des cas de paralysie faciale qui, paraissant, au point de
tionnellement persister pendant longtemps. M. Dejerine a signalé un cas de ce genre (Société de Biologie, 9 août 1884),
entiers et ne se terminer - que par une guérison incomplète. » Ces cas qui paraissent échapper aux règles posées par M.
près complètement épuisé. 3e et 4e Malades Il s'agit ici de deux cas de paralysie faciale périphérique de date récente
s. lre Malade. Messieurs, Je vais faire placer sous vos yeux un cas de chorée aiguë grave, menaçant au premier chef a
e, depuis cette époque, d'observer dans ce genre un certain nombre de cas rares, exceptionnels. Un malade est introduit s
e molle paraît être généralementbénigne, tandis que, actuellement, le cas est évidemment sérieux. Je relèverai particulière
quelquefois par la mort? Eh bien, oui,cela peut arriver dans certains cas , et justement je veux, un instant, attirer votre
rea, p. 172. London 1881), de distinguer dans l'espèce deux ordres de cas tout à fait différents : Ceux dans lesquels on me
ar le fait même de la chorée si l'on peut ainsi parler. Ce sont les cas du dernier groupe qui devront nous occuper exclus
registres de Guy's hospital pour 30 ans, Hughes a trouvé seulement 11 cas de chorée avec issue fatale; le D'Dickinson, à Sa
D'Dickinson, à Saint-Georges hospital, pour une période de 31 ans,16 cas ; a l'hôpital des Enfants malades, dans une pério
s malades, dans une période de 15 ans, on n'en a pas compté plus de 6 cas . Il y a tout lieu de croire d'ailleurs, bien qu
que la chorée mortelle par complication. Mais j'en reviens à notre cas , qui, je le répète, représente un exemple de la p
pète, représente un exemple de la première catégorie, c'est-à-dire un cas de chorée mortelle sans complication. La question
nir, contrairement à ce qui est la règle aux époques antérieures, des cas graves ; soit que la maladie en vienne à s'éterni
ir pru demment sur la réserve, en ce qui concerne le pronostic ; le cas peut tout à coup se montrer grave. Nous venons
ossesse, M. le Prof. Jaccoud a parfaitement montré que c'est dans ces cas -là, la chorée vulgaire qui est en jeu, aggravée p
tions de la grossesse.(Clinique de la Charité p. 476). Les deux seuls cas de chorée mortelle qui se sont produits dans mon
ont pas paru expliquer à eux seuls la terminaison fatale. Le deuxième cas est plus récent : il est relatif à une femme mari
uction des accidents qui conduisent à la terminaison fatale, dans les cas qui nous occupent. Toujours est-il qu'on peut voi
l n'existe aucune trace d'une endocardite présente ou passée. Sur dix cas concernant des choréiques morts pendant la chorée
uels l'endocarde ne présentait aucune trace de végétations. Sur trois cas du même genre, rassemblés par M. Peacock, les vég
, rassemblés par M. Peacock, les végétations faisaient défaut dans un cas . J'emprunte ces chiffres à l'intéressant ouvrage
1. Tout récemment M. le Dr E. Powell, de Nottingham, décrivait deux cas de chorée aiguë Il n'en est certainement pas de
ionnelles qui surtout se montrent graves et j'ajouterai que, dans ces cas -là, une recherche attentive des antécédents de fa
là une circonstance absolument nécessaire, mais c'est certainement le cas habituel. « On a peine à contenir les malades...
relief par les auteurs. Je l'ai rencontré pour ma part dans tous les cas de chorée mortelle sans complication, au nombre d
qui ont pris la peine de le rechercher. Mais, me direz-vous, votre cas d'aujourd'hui fait exception à la règle, sous ce
le répète encore une fois, qu'il ne succombe dans un bref délai. Son cas me remet en mémoire ce qui m'est arrivé souvent c
s et qui ne différaient en rien d'essentiel des courbes relatives aux cas terminés par la guérison. Mais, hélas! les autres
le mécanisme suivant lequel se produit la terminaison fatale dans ces cas de chorée des adultes aboutissant à la mort? Là-d
ctuels d'investigation, qu'on puisse incriminer. C'est donc en pareil cas de la mort par Yépilepsie qu'il s'agit bien réell
e complication viscérale. 11 y a certainement de l'analogie entre ces cas relatifs à Yétat de mal épileptique et ceux qu'on
médecins,après constatation de l'affection articulaire,désigneront le cas sous le nom de chorée rhumatismale et croieront p
coïncidence dont il s'agit, bien que réellement très vulgaire dans le cas de la chorée,ne lui appartient certes pas en prop
u'il faut chercher la raison des accidents graves observés dans notre cas ; déjà, tout à l'heure, nous avions été conduits à
ompte pour pouvoir vous dire que ce qui doit nous intéresser dans son cas est ce qui suit : 1° Il y a à observer chez elle
tous les huit jours. C'est bien du mal comitial qu'il s'agit dans ce cas . En effet souvent il y a pendant l'accès, morsure
aractère que, pour le diagnostic, on pourrait utiliser, dans certains cas difficiles, je crois en effet pouvoir affirmer
du tronc, plus rarement dans ceux de la face et du cou. Dans certains cas , à peine visibles à l'œil tant elles sont légères
toujours transitoire, jamais permanent. Dans la grande majorité des cas , le rétrécissement, dans l'épilepsie,suit les att
e en quelque sorte permanent. Dans le but de bien établir que dans le cas de notre malade, où il s'agit d'épilepsie et non
mal des limites du champ visuel. Nous reviendrons quelque jour sur ce cas pour vous faire part de ce qui sera advenu après
lade que je vous présenterai aujourd'hui est un nouvel exemple de ces cas aujourd'hui devenus presque vulgaires sur lesquel
sa constitution nosographique de modifications radicales. Voici le cas : il s'agit, comme vous le voyez, d'un homme de 2
hystériques ; non pas qu'on le rencontre, bien entendu, dans tous les cas de ce genre, mais pareequ'on ne le trouve jamais,
, mais pareequ'on ne le trouve jamais, que je sache, en dehors de ces cas -là. En voilà assez pour bien établir chez notre
oppement de Yaura provoquée elle-même, peut-être au moins en certains cas , par la pression des zones hystérogènes déterminé
psie du sujet atteint de chorée présenté dans la dernière leçon. 2° Cas de chorée vulgaire chez une jeune fille âgée de 1
erveuse et antécédents personnels névropathiques très chargés. 3° Cas d'hystéro-neurasthénie survenue à la suite d'une
n de trains chez un employé de chemin de fer âgé de 56 ans. 4° Deux cas de paralysie infantile spinale présentant quelque
e n'a jamais souffert de rhumatisme articulaire aigu. Voilà donc un cas fort banal incontestablement, en ce qui concerne
elles y régnent d'une façon prédominante ; tel est en particulier le cas de la jeune malade que nous avons sous les yeux.
aisis avec empressement l'occasion qui s'offre d'étudier avec vous un cas relatif à la prétendue névrose spéciale qui serai
ai exposé l'opinion que je professe, relativement à la nature de ces cas . Il n'est point, vous ai-je dit et répété, une se
ielle appréciable, cette afïection-là consistera dans la majorité des cas , — normalement si l'on peut ainsi parler, — dans
eu près la règle dans les grands shocks nerveux et même dans certains cas de ce genre on peut observer ce phénomène remarqu
zam de Bordeaux a bien étudié (1) dans ces derniers temps. Dans ces cas , le malade a perdu non seulement le souvenir de c
sincèrement, comme si elle représentait la réalité même. Tel a été le cas d'un pauvre diable dont j'ai raconté l'histoire d
asthéniques qui me paraissent devoir être signalés encore à propos du cas , je relèverai d'abord un affaiblissement D g
oi qu'on en dise, pareil symptôme ne se voit guère, à part un ou deux cas de lésion organique aujourd'huipassablement déter
ent déterminées, en dehors de l'hystérie. Il n'appartient pas en tout cas , je crois pouvoir l'affirmer en me fondant sur de
-neurasthénie que nous vous proposons d'admettre pour caractériser ce cas cliniquemcnt. Peut-être pourriez-vous penser, m
devez pas tomber. M. le Dr Mathieu (1) a bien fait voir, àpropos d'un cas qu'il m'a communiqué et que j'ai présenté à la cl
gtemps que les malades ont été frappés, reconnaîtront qu'il s'agit de cas anormaux. De nos deux malades en effet, l'un est
veté, ne survient dans la règle que de 1 an à 3 ans ; après 5 ans les cas sont déjà rares : après 10 ans ils sont tout à fa
messieurs, si en pathologie descriptive nous recherchons surtout les cas typiques, il n'en est pas tout à fait de même dan
as tout à fait de même dans la clinique où ce sont principalement les cas anormaux par quelque côté qui s'offrent à notre o
ux faire ressortir ce qu'il y a d'intéressant à relever dans nos deux cas , je crois qu'il ne sera pas inutile de vous prése
omyélite antérieure aiguë. — Cornual myelitis, etc. Défait, dans un cas de l'affection dont il s'agit, se trouvent réalis
' -- "•- - : • . ¦ ....... * permet de lé résoudre. Dans nombre de cas , les lésions qu'on rencontre dans la moelle épini
acrée. Conformément, à peu de chose près, à ce qui se voit dans les cas de section expérimentale des nerfs moteurs, d'imp
ègle pourraient cependant être citées. Il est éminemment rare en tout cas , que survienne une guérison absolument complète ;
ans laisser de traces. N'allez donc pas constamment, en présence d'un cas de paralysie spinale infantile,annoncer la perte
re ressortir convenablement les particularités intéressantes des deux cas qui vont passer sous vos yeux. Mais avant d'en
ts qui dans l'enfance avaient été atteints de paralysie infantile. Le cas auquel est relative la figure 5 empruntée au 2e v
endant Fig. 33. — Coupe de la moelle à la région cervicale dans vin cas de paralysie infantile du membre supérieur droit.
ie frappe les adolescents ou les adultes. Elles seraient dues en tout cas à 1. On éveille dans le membre paralysé un peu
ons postérieures delà substance grise,et peut-être même,dans certains cas , à l'invasion des méninges et des racines postéri
aire, les anesthésies plus ou moins durables, observées dans certains cas et dont il n'existe d'ailleurs pas de traces chez
ondent plus aux excitations. Ici encore nous avons sous les yeux un cas d'infirmité indélébile. Policlinique du Mardi 1
inique du Mardi 11 Décembre 1888 HUITIÈME LEÇON s lre Malade. — Cas complexe. — Ataxie locomotrice et hystérie. 2e
ade. — Cas complexe. — Ataxie locomotrice et hystérie. 2e Malade. — Cas complexe. — Hystérie et sclérose en plaques. (A
complexe. — Hystérie et sclérose en plaques. (A propos de ces deux cas , on fait ressortir l'importance pour le diagnosti
12 ans. — Hérédité nerveuse. M. CnARcoT : Je voudrais, à propos du cas qui va vous être présenté, relever une fois de pl
ssieurs, m'attacher désormais dans 22 nos leçons à l'étude de ces cas complexes espérant y trouver l'occasion de vous b
maintenant les divers symptômes de la maladie dont il s'agit dans ce cas , apparaître successivement non pas tout à fait da
bide presque caractérisque et fort important à relever, dans certains cas par exemple, où les douleurs fulgurantes ne se so
lquefois très frappante et pourrait déjà par elle-même, dans certains cas , contribuer au diagnostic. Mais je n'insisterai p
tabé-tique. Les infractions à la règle sont chose fréquente en pareil cas ; elles n'ont pas encore été l'objet d'une analys
e œil ne fût pas affecté à son tour. Car, dans l'immense majorité des cas , l'atrophie progressive des nerfs optiques dans l
abli. Nous nous sommes plusieurs fois assuré qu'il s'agit, dans notre cas , d'un rétrécissement permanent ; on sait que dans
i certes n'a pas besoin de commentaires : elle ne permet pas, en tout cas , de confondre les crises en question avec les att
ccidents convulsifs entre autres. » Il faut ajouter que dans bien des cas aussi, c'est l'ataxie locomotrice qui prend les d
e. Thèse de Paris,1889, p. 219 et suiv. qu'il s'agit chez elle d'un cas d'hystérie tardive, sénile même,pourrait-on dire,
r l'autre élément nosographique. Une fois de plus, l'analyse de notre cas pourra servir à mettre en évidence le rôle éminen
ière, conservation du réflexe pour l'accommodation. — Dans quelques cas Myosis sthénique. 0. 0. Image opthalmoscopiqu
a papille. Atrophie nacrée de la papille (Atrophie tabétique). 2e cas . A. Simple décoloration de la papille. B. Névri
de la papille. B. Névrite optique et atrophie blanche consécutive. ( Cas d'Eulenbourg, de Gnauk). 0. 0. Troubles fonct
atalement progressive et portant sur les ieux yeux. 1° Répondant au cas A : Amblyopie ou cécité temporaires. 2° Réponda
pondant au cas A : Amblyopie ou cécité temporaires. 2° Répondant au cas B : Rétrécissement inégal et achromatopsie comme
s qu'il s'agit particulièrement de mettre en relief à propos de notre cas , en les comparant à ceux qui appartiennent à l'hy
ce symptôme ne se voit guère dans le tabes, si ce n'est dans certains cas rares, vraiment exceptionnels, étant mise à part,
l'amaurose liée à la sclérose en plaques. L'ophthalmoscope, en pareil cas , ne montre qu'une légère décoloration de la papil
ste conséquence qui n'est pas aussi fatalement inévitable que dans le cas du tabès. 11 peut y avoir, cette fois, des atermo
couleurs est complètement effacée; tandis que dans les deux premiers cas c'est nécessairement la notion du rouge et celle
s que je tenais à vous rappeler avant d'entrer dans l'exposé de notre cas . Vous êtes ainsi, je l'espère, placés en mesure d
qui n'est pas hystérique. Nous serions donc en présence d'un de ces cas de sclérose en plaques peu nombreux encore (cas d
présence d'un de ces cas de sclérose en plaques peu nombreux encore ( cas d'Eulenbourg et de Gnauk) où la sclérose multiloc
clérose multiloculaire ? cela me parait difficile à décider : en tout cas , il y a là un contraste frappant avec les allures
squ'elle est encore de date récente : j'ai vu, par exemple, en pareil cas , la paraplégie spasmo-dique s'amender et disparaî
'hystérie, maladie mobile par excellence, du moins dans bon nombre de cas , et justement l'analogie que nous signalons ici a
éalablement établis de longue date, et vous voyez par contre, dans le cas qui nous occupe, la sclérose en plaques ouvrir la
ses genoux et par un de ses oncles. M. Charcot. — On me signale ce cas comme un exemple de chorée molle. Nous allons voi
trière comme atteinte de paraplégie consécutive au mal de Pott et son cas avait été considéré comme incurable. De fait, j'a
uence, rigoureusement confinée aulit pendant plus d'un an. L'issue du cas a montré que le verdict d'incurabilité prononcé c
ainsi que nous l'avons dit déjà: c'était, suivant la règle en pareil cas , d'une paraplégie spasmodique qu'il s'agissait. L
sur la pointe des pieds, comme cela se voit dans un grand nombre des cas de paraplégie spasmodique, etc., etc. Comment c
rte que le médecin ne les ignore 1. La même remarque s'applique aux cas d'hémiplégie de cause cérébrale. point. C'est l
dmettait en général sommairement, que la paraplégie résulte en pareil cas de la courbure exagérée, souvent anguleuse que pr
s qui existait auparavant disparaissait. Il semble bien que, dans ces cas , la seule explication qui rende compte des phénom
oute, c'est ainsi que les choses se passent dans un certain nombre de cas . Mais, d'après les recherches poursuivies en comm
e compression spinale dans le mal de Pott (2). Que devient, en pareil cas , le tissu de la moelle au niveau du point comprim
je viens d'appeler votre attention à propos de notre malade. Dans un cas de ce genre, observé avec Michaud, cas relatif à
ropos de notre malade. Dans un cas de ce genre, observé avec Michaud, cas relatif à une femme de là Salpétrière qui avait s
ion clinique, et qui établit un contraste avec ce qui a lieu dans les cas de myélites spontanées ou de tumeurs intra-spinal
ie pour tous les modes de la sensibilité. Perte du sens musculaire. cas , le contraire qui existe. Les doutes ne font que
ons organiques spinales ne pourraient guère se rencontrer que dans le cas d'une lésion profonde de la substance grise centr
e cas d'une lésion profonde de la substance grise centrale et dans ce cas -là, nécessairement, les troubles moteurs seraient
t.Tel n'eûtpasété, bien évidemment, le concours des symptômes dans le cas supposé d'une extension de la pachyméningite exte
pachyméningite externe vers le renflement cervico-brachial : dans ce cas , en effet, les troubles anesthésiques, — expressi
ues vives, lesquelles font absolument défaut dans l'histoire de notre cas ; en même temps que les troubles du mouvement se f
aractérise le somnambulisme hypnotique, en ce sens que, dans les deux cas , le phénomène d'auto-suggestion peut se produire
e mécanisme psycho-somatique qu'à l'exemple de ce qui a lieu dans les cas où il s'agit de la production des paralysies hyst
iers de la sensibilité cutanée et profonde caractéristiques en pareil cas , de façon à reproduire le type univoque des paral
r la pression, soit par les moindres mouvements du tronc, et dans ces cas -là, elles se montrent bien plus vives encore; ell
justement ici que la lumière va se faire, que la véritable nature du cas va commencer à se dévoiler. Il n'est pas nécessai
médical un travail intéressant (1). Mais, pour tirer parti de notre cas autant que possible, il nous faut encore actuelle
ait croire également à la présence du mal de Pott. Cependant, dans ce cas , le schock nerveux déterminé par l'émotion de la
ralement réputée pour incurable, du moins dans l'immense majorité des cas . Tout ce que le médecin éclairé peut espérer de v
cas. Tout ce que le médecin éclairé peut espérer de voir survenir en cas d'ataxie, sous l'influence des agents variés qu'i
âgé de 42 ans. Il a été atteint autrefois de syphilis. Il s'agit d'un cas d'ataxie très avancée. En effet, il est impossibl
s abolis. Troisième malade âgé de 55 ans : c'est à peu près le même cas que le précédent, seulement la syphilis n'existe
notre con frère à essayer les effets de la suspension dans certains cas d'impuissance indépendants de la maladie tabétiqu
sième, à deux minutes et demie le quatrième et ainsi de suite.En tous cas on ne devra jamais dépasser huit ou dix minutes e
e anémie très prononcée. Il est bon de ne pas omettre que, dans les cas où la suspension est applicable, les premiers eff
Motchoutkowsky avait appliqué la suspension au traitement de certains cas d'affection spinale ou cérébro-spinale autres que
é de « l'impuissance » en dehors de toute lésion organique. Apart ces cas -là, les essais n'ont pas donné de résultats bien
é de résultats bien appréciables ; ainsi, tandis que dans les seize cas de tabès qui ont été traités par la suspension, l
s degrés très divers, ils ont été à peu près toujours nuls dans trois cas de paraplégie spasmodique, dans un cas de myélite
près toujours nuls dans trois cas de paraplégie spasmodique, dans un cas de myélite diffuse chronique, enfin dans un cas d
spasmodique, dans un cas de myélite diffuse chronique, enfin dans un cas de sclérose en plaques. A propos des effets phy
nt et qu'elle ne le soit pas trop cependant parce que dans ce dernier cas , la compression des jugulaires aurait pour effet
tion ne porte pas uniquement sur la tête et sur le cou, car en paieil cas la suspension ne serait pas tolérée ; il faut don
s à nous occuper aujourd'hui. Il importe de relever que dans tous ces cas , il s'agit d'ataxie locomotrice parfaitement cara
et l'on ne saurait guère invoquer ici, je pense,non plus que dans les cas qui suivent,—pour se rendre compte des effets pro
tenant,messieurs,d'entrer dans les détails à propos des cinq autres cas d'ataxie locomotrice qui sont, en quelque sorte,
es. Mais je tiens àmentionner particulièrement que dans quatre autres cas , sur les quatorze du groupe, bien que l'ataxie fû
ts produits ont été presque nuls ou tout à fait nuls : dans un de ces cas même, ils pourraient être considères peut-être co
es peut-être comme ayant été plutôt défavorables. Il s'agit dans ce cas ,d'un nommé G...rges, âgé de 32 ans. Hérédité nerv
ait pas se soustraire à la loi.. En résumé, messieurs, sur quatorze cas d'ataxie locomotrice traités par la suspension pe
ension pendant une période moyenne de trois mois,nous notons,dans dix cas une amélioration très notableet, dansplusieurs ca
us notons,dans dix cas une amélioration très notableet, dansplusieurs cas même, une atténuation vraiment remarquable de la
vraiment remarquable de la plupart des symptômes spinaux. Dans quatre cas seulement, les effets ontété nulsou peu appréciab
tous lessymptômes. Pas d'autres incidents à signaler. Dans plusieurs cas il y a eu des vertiges résultant d'une applicatio
lication vicieuse, bientôt corrigée, de la pièce mentonnière. Dans un cas seulement, où le malade était atteint de crises l
un cas seulement, où le malade était atteint de crises laryngées — ce cas ne fait pas bien entendu partie du présent groupe
ues remarques générales, relatives aux résultats obtenus dans les dix cas favorables, ne seront sans doute pas déplacées ic
lle a eu lieu, a été presque toujours un phénomène tardif. Dans aucun cas , nous n'avons vu reparaître les réflexes rotulien
dès les premières séances. Il a été facile à apprécier dans plusieurs cas où les douleurs étaient devenues presque continue
ns relatives à la santé générale du sujet, qui doivent, dans certains cas , mettre en garde contre la pratique de la suspens
as non plus reconnaître encore, à certains caractères déterminés, les cas où la suspension, relativement aux symptômes tabé
très prononcée. Malheureusement, le corset ayant été appliqué dans ce cas ,il est impossible de décider ce qui, dans le succ
s, revient à la suspension. Les effets ont été favorables dans deux cas d'impuissance liée à la neurasthénie. Par contr
ette occasion que l'amélioration obtenue avait persisté dans tous ces cas et avait même notablement progressé chez quelques
ogressé chez quelques-uns d'entre eux. A la vérité, dans aucun de ces cas , les séances de suspension n'avaient été interrom
i ont motivé l'interruption des séances, En résumé, en éliminant 64 cas pour lesquels il n'existe pas d'éléments d'appréc
s observé 38 améliorations, 7 échecs, 5 accidents. L'analyse des 38 cas ,dans lesquels une amélioration est survenue,nous
ns un état de débilité qui nous a semblé peu favorable. Dans tous les cas on pourrait dire que,meilleur est l'état général,
es premières séances est d'un bon augure. Nous avons vu,dans certains cas ,des améliorations obtenues rester stationnaires v
rs toutefois, il est impossible de rien décider encore, le nombre des cas de ce genre ayant été assez restreint. Au contr
nt et sur lesquels nous tenons à insister particulièrement. Dans un cas , chez un homme de 55 ans, athéromateux,nous avons
syncope ce qui a nécessité l'interruption du traitement. Un second cas , où une des suspensions a été suivie d'une syncop
ence. Ce malade était profondément anémié. Enfin, dans un cinquième cas , est survenu à la suite d'une séance une paralysi
ons noter encore un fait observé en dehors du service. Il s'agit d'un cas de rupture d'une artériole athéromateuse détermin
uspensions ne saurait être faite, sans critique, sans distinction des cas , et qu'il peut être dangereux dans eer-tains cas
sans distinction des cas, et qu'il peut être dangereux dans eer-tains cas de l'abandonner au malade lui-même. Relevons,en
, à trois sujets affectés de la maladie de Friedreich, enfin à quatre cas de paralysie agitante (maladie cle Parkinson).
kinson). Aucun des malades atteints de paraplégie spasmodique (huit cas dont deux sont relatifs à la sclérose en plaques)
on peut dire c'est que, à l'inverse de ce qui s'était produit dans un cas antérieur (sujet atteint de sclérose en plaques s
suspensions n'a pas dépassé encore six séances. Par contre dans les cas de paralysie agitante,— nous relevons en passant
IS. Policlinique du Mardi 22 Janvier 1889 ONZIÈME LEÇON o 1er Cas . — Goutte articulaire, puis otite goutteuse; inva
e quinine à hautes doses longtemps prolongées. 2e, 3e, 4e, 5e et 6e Cas . — Exemples de maladies de Basedow présentant cer
s nous sommes bornés à tracer de son histoire une légère esquisse; le cas est assez intéressant cependant, je crois, pour m
moins directe du froid humide. J'ai émis seulement l'opinion que ces cas sont beaucoup plus rares qu'on ne l'avait cru jus
s rares qu'on ne l'avait cru jusque dans ces derniers temps ; en tout cas , personne n'ignore que, dans un groupe de faits a
ée; nausées, vomissements, pas de perte de connaissance même dans les cas où le vertige est le plus intense : tout cela, je
l'attention était fixée sur la possibilité de son existence en pareil cas .On sait, en effet, que quelques auteurs, en parti
strabisme temporaire accompagné de diplopie. C'est peut-être ici le cas de rappeler que Cyon [Recherches expérimentales s
usées etc., etc. C'est ainsi Messieurs, que dans un certain nombre de cas de vertige de Ménière, — et ces cas sont évidemme
rs, que dans un certain nombre de cas de vertige de Ménière, — et ces cas sont évidemment les plus graves—, au lieu d'appar
férente et l'on peut dire qu'ils se fondent l'un dans l'autre par des cas de transition, mais très certainement il n'est pa
. Mais il ne faut pas oublier que nous nous trouvons en présence d'un cas de vertige de Ménière permanent, et que ces cas s
vons en présence d'un cas de vertige de Ménière permanent, et que ces cas se montrent bien plus tenaces, bien plus rebelles
est aisé, en général, pourrait-on dire, de triompher du mal dans les cas du dernier genre, autant cela est difficile, au c
rtige qui est en cause, ont au contraire secondé nos efforts. Dans le cas où il s'agirait d'un vertige à crises distinctes,
'aie eu l'occasion très fréquente de l'appliquer, aussi bien dans les cas de vertige permanent que dans les cas de crises s
'appliquer, aussi bien dans les cas de vertige permanent que dans les cas de crises séparées. J'ajouterai pour répondre à u
eille affectée. Je pourrais citer entre autres, à titre d'exemple, un cas de vertige permanent d'une persistance rare, qu'i
èces de tremblement devient plus frappante encore ; en effet, dans le cas de tremblement mercuriel, l'acte de porter à la b
cemment, M. Fraenkel présentait à la Société de médecine de Berlin un cas qu'il considérait comme appartenant à la maladie
entaires, des formes frustes, comme vous voudrez les appeler. Notre cas d'aujourd'hui n'appartient pas aux formes frustes
e par M. Mobius. Jusqu'ici, vous le voyez, il n'y a rien dans notre cas qui ne soit à peu près de connaissance vulgaire.
ionnels, car nous les retrouverons à des degrés divers dans trois des cas qui vont suivre. Notre malade nous a fait remarqu
instant si cette première impres sion sera justifiée par l'étude du cas . Actuellement, j'en viens à l'exposé deb principa
par seconde ; ce tremblement est beaucoup moins accentué que dans le cas précédent. La malade est presque incessamment sou
en observation pendant près de 22 mois. Tout a été classique dans ce cas , à part l'existence de la fièvre; celle-ci s'est
mériter d'être relevé parce que nous le trouvons reproduit dans notre cas , à savoir que, malgré l'élévation de la températu
portion des déchets urinaires n'a pas subi d'augmentation. Dans notre cas , en particulier, six analyses d'urine faites avec
= 44 gr. 47 ; urée — 18 gr. 73, aèide phosphorique, 1 gr. 98. Dans le cas de M. Bertoye. la proportion des déchets urinaire
toye. la proportion des déchets urinaires aurait même été diminuée. cas -là, a été négative ; ils méritent donc, à tous ég
s écartons les sombres pronostics, ils ne semblent pas applicables au cas présent ; nous espérons qu'ici l'évolution du mal
mptons mettre en œuvre (2). Encore un mot, avant d'en finir avec ce cas . Gomme dans celui qui précède, il existe aux memb
t sur lequel je tiens à insister aujourd'hui à propos de ce troisième cas de maladie de Basedow est le suivant. En premier
s cette fois sous une forme beaucoup plus accentuée dans un quatrième cas : absence ou diminution des réflexes rotuliens; p
rare ; mais ce qu'il y a d'intéressant à relever à ce propos dans le cas actuel, c'est que les attaques hystériques qu'on
e droite et rétrécissement double du champ visuel. IV. Le quatrième cas de maladie de Basedow, surlequel je veux appeler
ilité de se tenir debout et de marcher pendant près d'une année. Ce cas est relatif à une nommée Man...llon, aujourd'hui
t également le siège de troubles du mouvement ; mais, dans ce dernier cas , il nous sera facile de reconnaître que c'est l'a
deux maladies coexistent sans toutefois se confondre ; c'est donc un cas à ajouter à ceux déjà nombreux auxquels mon collè
es dernières séances de la Société médicale des hôpitaux (2). 1. Le cas de paraplégie survenue dans une maladie chez une
cine, p. 299, me paraîteomme à ce dernier, relever de l'hystérie ; ce cas appartient \ M. le professeur Tessier fils, de Ly
s. Policlinique du Mardi 29 Janvier 1889 DOUZIÈME LEÇON S 1er Cas . Accidents hystériques graves survenus chez une f
s par un magnétiseur dans une baraque de fête publique. 2e, 3e et4e Cas . — Un cas de Neurasthénie et deux cas d'Hys-téro-
agnétiseur dans une baraque de fête publique. 2e, 3e et4e Cas. — Un cas de Neurasthénie et deux cas d'Hys-téro-Neurasthén
de fête publique. 2e, 3e et4e Cas. — Un cas de Neurasthénie et deux cas d'Hys-téro-Neurasthénie chez l'homme. Messieurs
y a-t-il de jours que vous ne pouvez plus parler? Expliquez-moi votre cas ... Répondez ! M. Charcot, s'adressant aux audit
ments des doigts de la main droite, sont, dans l'immense majorité des cas , placés dans l'absolue impossibilité d'écrire. A
de la crise. Mais il s'agit ici, veuillez le remarquer, d'un petit cas . Nous avons vu en-effet chez d'autres sujets les
nre d'attaque se produire plus souvent que le type classique dans les cas observés par moi, où les tentatives d'hypnotisati
est le petit hypnotisme sans doute qu'ils obtenaient ainsi. En tout cas ils réussirent à faire commettre au petit Blan...
ui durèrent plusieurs heures et qui se renouvelèrent par la suite. Un cas du même genre est cité par M. Mercati dans les Ar
ai reçu ces jours-ci dans le service de la clinique un groupe de cinq cas bien propres à justifier les assertions que je vi
e remarquer, en effet, Messieurs, comment, depuis cinq ou six ans,les cas de ce genre semblent se montrer chaque jour plus
chez notre sujet, contrairement à ce qui a lieu dans la majorité des cas du même genre, les troubles digestifs font à peu
spéciale, pas de rétrécissement du champ visuel en particulier. Notre cas d'aujourd'hui est donc en réalité, ainsi que nous
ilités et qui vivent incessamment bourrelés d'inquiétudes. Dans les cas qui viennent d'être cités les facteurs étiologiqu
dire de notre malade au point de vue du pronostic ? Certainement le cas est sérieux. Il y a cinq mois déjà que cela dure
icats, plus impressionnables des classes lettrées; toutefois, dans le cas actuel, il ne faut désespérer de rien. Sous l'inf
auvre « tâcheron » pût aller reprendre ses travaux. II. — Le second cas du groupe est relatif à un nommé Greff..., âgé de
a droite donne 55. Dyspepsie flatulenle. Il est intéressant dans ce cas de voir un homme vigoureux, mais à la vérité préd
de 58 à 60 k. seulement. Nous aurons l'occasion de revenir sur les cas qui viennent d'être exposés, dans la prochaine le
re hystéro-traumatique chez une tabétique. 3e et 4e Malades. — Deux cas d'hystéro-neurasthénie chaz l'homme faisant suite
des. — Deux cas d'hystéro-neurasthénie chaz l'homme faisant suite aux cas 3e et 4e de la précédente leçon. — A ce propos co
année, de son attaque de sommeil. A part ces circonstances, les deux cas sont vous allez le reconnaître, parfaitement assi
ion D G Fig. 61. des tentatives d'alimentation. Dans ce dernier cas , ils se manifestent presque aussitôt après l'inge
par là privé du plaisir de vous démontrer sur nature les détails d'un cas assez rare en somme et toujours intéressant, si j
et Cathelinau ont démontré, vous ne l'ignorez pas, par l'étude de six cas de sommeil hystérique que, pendant la durée de l'
raire d'en provoquer le développement. C'est vous le voyez le dernier cas qui s'est produit ici. Si nous voulons maintenant
f. Gela peut être, mais cela n'est pas certein (1). 2e Malade. Le cas dont nous allons nous occuper en second lieu est
es, — son mari envoya chercher un médecin qui, après avoir examiné le cas , aurait prononcé assure-t-elle, les paroles sui
illeurs parle mari? Quoi qu'il en soit,il s'agit, vous le voyez, d'un cas d'hystérie tardive et certes ce cas-là n'est pas
it,il s'agit, vous le voyez, d'un cas d'hystérie tardive et certes ce cas -là n'est pas le meilleur. A l'âge de 31 ans se
érie et de l'ataxie locomotrice progressive. A propos d'un détail, le cas actuel offre un intérêt particulier : la contract
ssage par frôlement, pèlerinage â la grotte de Lourdes, etc., etc. Le cas échéant aucun de ces moyens n'est à dédaigner et
exemple, que toute intervention mécanique, chirurgicale, est dans ces cas -là, tant que persiste l'élément spasmodique non s
» suivant la méthode de M. Babinski, la contracture a disparu. deux cas nouveaux ; nous aurons à comparer ces malades les
rovocateurs de l'affection, il y ait lieu de relever entre les divers cas , des différences en apparence capitales. L'espèce
ment donné, trouvé sur un total de 40 malades mâles, une réunion de 8 cas d'hystéro-neurasthénie. Il est vrai que M. Ballet
que. Je ne demandais pas mieux que de l'admettre, soupçonnant que son cas était pour nous fort intéressant. Malbeureuseme
mêmes soins. J'ai eu plusieurs fois l'occasion de rencontrer d'autres cas du même ordre ; mais, quoi qu'il en soit, la fréq
ns de source certaine que dans la seule année 1888, il a été admis 15 cas d'hystérie mâle relevant pour la plupart d'une in
39 veuse se démasquent dans toute leur intensité. Nous trouvons les cas de cet ordre signalés par tous les auteurs qui se
paraissaient : c'est là une particularité déjà signalée dans les deux cas d'hystéro-neurasthénie étudiés dans la précédente
mps sans que l'attaque proprement dite s'ensuive (1). Il y a d'autres cas , et ceci se voit surtout chez l'homme, où la cris
quelque sorte le terrain. Il paraît, en d'autres termes, qu'en pareil cas pour devenir hystérique il faille passer par la n
urasthénie qu'il s'agit. Il ne me reste plus, pour en finir avec ce cas , qu'à vous parler des antécédents tant héréditair
bleau pour être frappé des faits suivants : Il s'agit dans tous les cas d'artisans âgés de 31 à 53 ans, pleins de vigueur
aux circonstances étiologiques. Il est vrai que dans la majorité des cas , trois fois sur quatre, nous trouvons les antécéd
s'agit de la chute d'un échafaudage. On peut entre ces deux derniers cas reconnaître à la rigueur des tra.'^s communs : il
de son fils ? Evidemment non ; et ce que je dis là, relativement aux cas précédents, je pourrais le répéter à propos des h
üÊ*ã1â. Policlinique du Mardi 21 Février 1889 QUATORZIÈME LEÇON Cas d'automatisme comitial ambulatoire. Messieurs,
et que vous m'avez dit de porter toujours avec moi pour la montrer en cas de besoin... M. Charcot : Ah ouil L'ordonnance
appréciation des médecins; c'était, cependant, si je ne me trompe, le cas , ou jamais, de réclamer l'avis d'un expert. Certe
faut. Ils serviront, pour le moins, à mettre bien en relief qu'en un cas du même genre, une procédure plus équitable et mi
M. Charcot : Telle est la fin de l'histoire ; mais ce n'est pas le cas de dire : « Tout est bien qui finit bien. » Il se
nouveau document aux allures officielles lui sera-t-il plus utile, le cas échéant, que ne l'a été le précédent ?... peut-êt
quel est le diagnostic auquel nous nous sommes arrêtés à propos de ce cas ; nous l'avons formulé il y a un an déjà : Il s'a
cessaire de vous remettre en mémoire les principales circonstances du cas . Je pourrais, à ce propos, me contenter de vous r
tôt dans la vie, du moins dans la règle, mais il y a le chapitre des cas exceptionnels, et les « épilepsies tardives », co
naler. Mais, me direz-vous, je ne vois que des anomalies dans votre cas ; sur quels fondements faites-vous donc reposer v
ésenter ici un exemple régulier,vulgaire,facile à déchiffrer; oui, le cas est exceptionnel, anormal par plus d'un côté ; ma
plus pour le considérer de très près; car, vous le savez, l'étude des cas rares ou parodoxaux, aussi bien en nosographie qu
s mangé en route ? Le malade : Je ne crois pas avoir mangé. En tout cas je n'ai rien dépensé ; j'avais en partant quelque
s violents, désordonnés, agressifs. Je pourrais citer, à ce propos,le cas d'un épileptique qui est venu me consulter il y a
e moment, à établir sur ce point spécial un rapprochement entre notre cas et les cas vulgaires, et vous voyez qu'à cet égar
établir sur ce point spécial un rapprochement entre notre cas et les cas vulgaires, et vous voyez qu'à cet égard il n'y a
s vous avons dit, messieurs, plus haut, comment il nous a paru que le cas devait être considéré, et la thérapeutique a été
e nous presse en ce moment, et pour mieux relever encore l'intérêt du cas que nous venons d'étudier ensemble, je crois util
aloir les analogies et les différences, de déterminer la place que le cas de Men... s doit occuper dans la série de l'autom
là, ont occupé son esprit. La Pathologie nous fournira aisément des cas beaucoup plus accentués. Le groupe, en particulie
tra, en quelque sorte, moins étrange, moins inattendue. Dans les deux cas , même inconscience profonde, en effet, contrastan
a durée de la période automatique n'a pas dépassé cinq heures dans le cas de Mme T..., la sage-femme, tandis qu'elle a pu,
., la sage-femme, tandis qu'elle a pu, lors du dernier accès, dans le cas de Men.. s atteindre jusqu'à huit jours. Mais on
e même chez les deux sujets ; l'accès ne dure que cinq heures dans un cas ; dans l'autre, il dure quatorze heures, quarante
, je crois utile de signaler à votre attention. On cite volontiers le cas de Kaempfen qui fait partie des mémoires de l'Aca
blesser et ne perd pas connaissance. On peut se demander si, dans ce cas , c'est l'ébranlement physique ou l'ébranlement ps
par certains côtés, elle rappelle jusque dans les moindres détails le cas deMem.s; mais cette observation doit, suivant nou
élit, onl'ar-rête. M. Gowers, dans son Traité de l'épilepsie, cite le cas d'un maître de musique qui, pris de vertige comit
esponsable cependant, l'a conduit devant les tribunaux. Certes, ces cas -là ne sont point rares. Ce n'est pas ainsi, vous
s inconscientes, et c'est là un caractère vraiment particulier de son cas , s'est toujours conduit en public, vous ne l'avez
eprehensibles, qu'il nous faut relever surtout pour les rapprocher du cas de Men..s. Ces faits-là ne sont point très vulgai
ocher du cas de Men..s. Ces faits-là ne sont point très vulgaires. Le cas de ce magistrat cité par Trousseau qui, siégeant
même dans celles qui vont suivre. Elles vont nous faire connaître des cas dans lesquels les accès d'inconscience ou de 1.
.s, embrassé une période de plusieurs jours, huit jours dans quelques cas . Tardieu, dans son étude médico-légale sur la fol
sans savoir pourquoi. C'est ici que doit être placé, suivant nous, le cas de M. Motet auquel nous avons fait allusion plus
riées et telle est l'interprétation que nous croyons devoir donner du cas de M. Motet dont nous allons rappeler les faits l
démontrer l'irresponsabilité. » Nous voyons là pour notre compte un cas d'épilepsie tardive, sous forme d'accès d'automat
uite d'une lésion trau-matique et les analogies qui existent entre ce cas et le nôtre, sauf en ce qui concerne la cause tra
trajet de Paris à Amiens. On pourrait assez facilement accumuler les cas du même genre. 1. Page 431. C'est ainsi que,
lepsie. Plusieurs d'entre vous en entendant raconter les détails du cas de Men...s, ont sans doute pensé au somnambulisme
s étant véritablement très rares. En ce qui me concerne, en dehors du cas auquel j'ai fait allusion dans la 9e leçon du mar
pas inutile, sans doute, de relever encore à propos de la rareté des cas de ce genre, que suivant la remarque fort juste d
à son but, des sentiers périlleux; sautant, comme on l'a vu, dans le cas de la Salpêtrière, par-dessus les murs avec une d
reille chose ne s'est pas encore vue. Le sujet suggestionné en pareil cas , marcherait, sans doute, droit devant lui, parfai
partient à l'hystérie : les accès ambulants sont en général, dans ces cas là, précédés et suivis par une attaque d'hystérie
entôt, comme lors de l'accès précédent; d'une crise convulsive. Les cas de ce genre ne sont point très rares dans l'histo
pourrions les multiplier aisément. On parvient quelquefois, dans ces cas -là, à l'exemple de ce qui a lieu dans le somnambu
t même, la ressemblance sur les points essentiels est, entre les deux cas , tellement étroite que nous sommes portés à les c
clinique que j'ai voulu placer sous vos yeux toute une collection de cas divers que M. le Dr Tissié a ingénieusement réuni
rale intitulée : Les Aliénés voyageurs (1). Dans un premier groupe de cas , les sujets ne sont pas inconscients ; ils ne le
légitimer les développements dans lesquels je suis entré à propos du cas de Men..s, et pour justifier la dénomination à'au
Hans. Policlinique du Mardi 19 Février 1889 QUINZIÈME LEÇON 1er Cas . — Crises gastriques tabétiques avec vomissements
1er Cas. — Crises gastriques tabétiques avec vomissements noirs. 2e Cas . — Chez un israélite : paralysie et contracture h
a, nous pourrons entreprendre avec plus de profit l'étude clinique du cas de notre malade. I L'existence possible dans
ésordres moteurs chez M. T...Le diagnostic était rendu facile dans ce cas , par l'existence d'une atrophie commençante d'un
tiques. L'opinion que j'émis, presque dès l'origine, sur la nature du cas ,fut néanmoins vivement contestée par plusieurs mé
marc de café sont véritablement, paraît-il chose fort rare. Après le cas de notre malade d'aujourd'hui, je n'en ai rencont
te circonstance d'une hypersécrétion d'acide chlorhydrique, en pareil cas , explique suffisamment pourquoi les malades souff
¦ général. Il est bien remarquable cependant de voir, dans nombre de cas , les crises gastriques séparées à peu près réguli
6° On peut guérir des crises gastriques; je pourrais citer plusieurs cas dans lesquels, après avoir souffert de ces crises
tre, - un grand maître: il s'appelait Graves. — Il s'agissait,dans ce cas dont j'emprunte les détails aux intéressantes leç
ette forme clinique si accentuée, si originale, on ne puisse en aucun cas , se méprendre et qu'on soit autorisé, sans plus a
des hôpitaux (le 23 janvier 1889) est revenu sur ce sujet a propos du cas d'un forgeron âgé de 56 ans, qui depuis six ans s
érie tabétique n'accompagne les crises. M. Debove conclut, d'après ce cas , comme M. Leyden, à l'existence de crises gastriq
derai à rester sceptique et à attendre de nouvelles observations. Les cas de crises gastriques, et l'on peut en dire autant
va suivre, à une formule très simple. 1° Dans un premier groupe de cas la crise gastrique conserve tous les caractères f
intracranienne, par exemple, qui est en jeu; cela est arrivé dans un cas qui m'a été communiqué par mon interne M. Dutil.
es accès « sont constitués, dit M. A. Fournier, qui a bien décrit les cas de ce genre, par la « succession d'une série de d
Ces douleurs sont des plus pénibles, aiguës, atroces même en quelques cas . Mais elles se produisent à sec si je puis ainsi
nt, ce sont les douleurs qui font défaut. Vulpian a fait allusion aux cas de ce genre (1). Un malade de M. le professeur Fo
nnent journalières ; mais en même temps leur durée se raccourcit. Ces cas sont, je crois-fort rares. Je dois à M. Blocq l'h
sans trêve, pendant une période de plusieurs mois, neuf mois dans un cas de M. Buzzard (1). Dans les cas heureusement tout
de plusieurs mois, neuf mois dans un cas de M. Buzzard (1). Dans les cas heureusement tout à fait exceptionnels où pareill
des d'apaisement. II En ce qui concerne les crises gastriques, le cas du malade [que^nous sommes préparés maintenant, p
ans, elles se sont montrées à peu près isolées, indépendantes en tout cas de l'incoordination motrice, laquelle ne s'est ma
elquefois j'avais des hoquets. M. Ciiarcot : Il y a donc eu dans ce cas des prodromes : quoiqu'il en soit, le 3 décembre
iques. L'arthritis en somme paraît être en jeu dans la plupart de ces cas (1). Mais j'en reviens, Messieurs, à notre mala
à éclairer la situation. Il ne me reste plus, pour en finir avec ce cas , qu'à compléter l'observation par quelques nouvea
, c'est-à-dire vers l'âge de 30 ans. D'après mon expérience, dans ces cas de tabès précoce, on doit s'attendre à rencontrer
s mains et jamais il n'a eu de véritables chagrins. C'est un de ces cas , vous le voyez, et ils sont fort nombreux encore,
constatation, ne l'oubliez pas, pourrait par conséquent vous être, le cas échéant, d'un précieux secours, dans une circonst
sortir les analogies, qui, suivant moi, rapprochent étroitement notre cas , des exemples nombreux de paralysies hystéro-trau
es et des paralysies hystériques. 1. 11 est à remarquer que dans ce cas il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel.
dramatiques. Quoi qu'il en soit, Messieurs, je ne crois pas que son cas soit grave au premier chef. Déjà, en effet, sous
.KK, PARIS. Policlinique du Mardi 5 Mars 1889 SEIZIÈME LEÇON Un cas d'abasie trépidante survenue à la suite d'une int
la vapeur de charbon. Messieurs, Nous allons étudier ensemble un cas qui très certainement excitera votre intérêt. Il
sorte de trépidation rapide rappelant ce que l'on voit dans certains cas de paraplégie spasmodique lorsque le phénomène de
emble qu'il soit à chaque instant menacé de tomber en avant ; en tout cas il lui est à peu près impossible de s'arrêter de
res fonctionnellementautonomes, c'est ce que démontrent justement les cas du genre de celui que nous avons sous les yeux, p
rétation ne me paraît pas tout à fait fondée et je crois même que les cas d'abasie pure, c'est-à-dire ceux dans lesquels la
ve seulement aux mouvements complexes, elle « n'apparaît pas dans les cas de mouvements vulgaires des membres ; la « faible
es paraissent se rapporter au sujet qui nous occupe (5), e)t aussi un cas fort intéressant qui très certainement s'y rappor
asset a commencé à faire paraître dans le Montpellier médical, sur un cas d'hystérie mâle avec astasie-abasie, une série de
, ne font pas défaut,bien qu'ils paraissent rares, et justement notre cas d'aujourd'hui peut être cité comme un exemple du
matiques distincts les uns des autres. a. Je signalerai d'abord les cas dans lesquels le malade qui, couché, exécute cela
vous le voulez bien, le groupe paralytique ou paré tique, suivant le cas (astasie, abasie paralytique). Dans les cas ci-
paré tique, suivant le cas (astasie, abasie paralytique). Dans les cas ci-dessus mentionnés, il semble que la fonction s
assise ou couchée. Ils sont, en réalité, exclusivement liés en pareil cas au mécanisme de la station et de la marche, confo
ération, ce que l'on voit dans certaines paraplégies spasmodiques. Le cas qui fait l'objet de la présente leçon, ainsi que
basie il n'y a pas à proprement parler de spasme et que dans certains cas même c'est un état paralytique ou parétique qui e
Mais telle n'est pas la règle et bien qu'il s'agisse encore, dans ces cas -là, fort souvent du moins, d'hystérie, l'ataxie a
r une lésion organique. Mais, comme il est vraisemblable qu'en pareil cas , la lésion ne sera pas étroitement localisée dans
uchereau, Briand et quelques autres. Cette amnésie qui, dans certains cas , peut avoir le caractère rétrograde, c'est-à-dire
en question sont, tantôt des monoplégies, comme cela s'est vu dans le cas de M. Litten, récemment publié par leProgrès médi
que cela avait lieu dans l'observation de M. Rendu. Ce sont, en tout cas , des paralysies avec flaccidité, accompagnées de
s ont véritablement été créées par lui, tandis que celui- ci, dans le cas de l'hystérie, ne saurait être considéré que comm
une préoccupation obsédante. Mais, me direz-vous, pourquoi, dans un cas , est-ce l'abasie qui se manifeste, tandis que dan
ocq — et, à cet égard, je suis complètement de son avis —qu'en pareil cas l'injonction « tu ne peux plus marcher» suggère,
st autrement, tout simplement à l'état de veille, et, dans ce dernier cas , après que le malade aura été pleinement rassuré
is si la suggestion hypnotique nous échappe le plus souvent en pareil cas , il n'en est pas toujours tout à fait de même de
nt contribuer dans une certaine mesure àaccuser la caractéristique du cas . Cette paraplégie porte à la fois sur les membr
mal vertébral de Pott. On peut les voir aussi survenir dans certains cas de contracture hystérique, là où très certainemen
igation anatomique. « Pourquoi, tout étant égal d'ailleurs dans ces cas , du moins en apparence, la complication fibro-ten
ne dépend pas d'une contracture spasmodique des muscles ; tel est le cas de la paralysie alcoolique. H y a dans ces cas-là
s muscles ; tel est le cas de la paralysie alcoolique. H y a dans ces cas -là, vraisemblablement en conséquence d'une névrit
ttant, ballottant, que l'influence de la pesanteur. « Dans d'autres cas cependant, la prédominance des fléchisseurs, moin
avec la production du tissu fibreux périarticulaire. J'ai obsené deux cas de ce genre dans lesquels, après gué-rison de la
nécessaire pour produire le redressement du pied. L'opération dans ce cas , comme d'ailleurs dans les cas de paraplégie spas
ressement du pied. L'opération dans ce cas, comme d'ailleurs dans les cas de paraplégie spasmodique auxquels on a fait allu
rti-culaires de l'articulation tibio-tarsienne ne sont pas, en pareil cas , les seules parties qui puissent être affectées;
maintiennent les déformations (1); c'est ce que démontre justement le cas que nous avons sous les yeux. A ce propos, rema
ous ce rapport, les douleurs ou sensations pénibles, anomales en tout cas , qui se produisent spontanément et celles qui se
evillement des membres in.'érieurs observé par M. Lancereaux, dans un cas de paralysie alcoolique. Dans ce cas, il y avait
servé par M. Lancereaux, dans un cas de paralysie alcoolique. Dans ce cas , il y avait flexion de la jambe sur la cuisse, et
ysie alcoolique. C'est bien d'elle qu'il s'agit décidément dans notre cas ; je ne crois pas qu'il existe de paralysies autre
des sujets venant du Brésil ou de l'isthme de Panama, —dans certains cas de Béribéri-Sec, affection essentiellement exotiq
à la réalité des choses et je vous ai raconté souvent l'histoire d'un cas dans lequel j'ai vu la paralysie alcoolique chez
lutôt favorable; je crois qu'il l'est en réalité dans la majorité des cas , lorsqu'il s'agit d'un premier accès et que les c
te que vous sachiez cependant que, de temps à autre, on rencontre des cas de paralysie alcoolique se présentant absolument
sensibilité que siège l'amyotrophie hystérique, tandis que dans notre cas , elle occupe, au contraire, le côté opposé. Mais,
articularités sur lesquelles j'ai insisté chemin faisant,l'intérêt du cas que nous venons d'étudier ensemble, me paraît con
ystérie majeure et Morphinomanie combinées. Messieurs. Le premier cas qui, aujourd'hui, va être soumis à notre examen e
des muscles auxquels ces nerfs se distribuent et enfin, dans certains cas , une altération de nutrition des os, s'accusant p
deux fois, comme s'il s'agissait de deux sujets différents. Ainsi,le cas publié dans la Gazette médicale du 7 janvier 1888
groupe homogène. En effet les lésions qu'on peut rencontrer clans les cas qui portent en clinique cette dénomination d'atro
à). Une première catégorie à distinguer dans ce groupe, comprend les cas qui répondent cliniquement au type décrit parCruv
ce qui précède. B. Un second groupe fondamental doit comprendre les cas dans lesquels une myopathie généralisée à marche
l genre, à quelle espèce appartient l'amyotrophie observée dans notre cas ? C'est ce qu'il nous faut examiner maintenant. A
secousses fibrillaires sont éminemment rares, très discrètes en tout cas , et quelques auteurs même, — peut-être à la vérit
eu nous importe, du reste ; les secousses en question sont dans notre cas , je le répète, on ne peut plus accentuées; et à c
e secousses librillaires. Vous le voyez, les analogies entre les deux cas sont superficielles, elles ne portent pas sur le
n résumé parmi les amyotrophies de cause spinale qu'il faut ranger le cas de notre homme. Mais ici.il y a de?, distinctions
myotrophique. En conséquence de ces éliminations successives, notre cas se trouve tout naturellement classé, vous l'avez
; participation bulbaire non constante, toujours très tardive en tout cas ; secousses fibrillaires en général très accusées
st d'abord localisée sur les épaules et les bras, tandis que dans les cas classiques du type Duchenne-Aran, c'est généralem
, et, en faveur de l'opinion que je soutiens, je ferai valoir que les cas semblables au nôtre, c'est-à-dire dans lesquels u
ci à vous dire d'une façon générale et sommaire ce qui est commun aux cas qui y sont étudiés. — En général, le début de l'a
myotrophiques. Vous le voyez, sur tous les points essentiels, notre cas se confond avec ceux qui composent le groupe dont
arrêter? C'est ce qu'il s'agit d'examiner maintenant. A propos d'un cas recueilli dans mon service en 1872parM. Raymond,
t inacceptable, au moins comme élément principal, lorsqu'il s'agit du cas que nous considérons particulièrement en ce momen
processus chronique, suivant les circonstances. Si cela est, dans les cas que nous considérons ici et parmi lesquels figure
ous ma direction. Il n'existe pas, je m'en suis assuré, dans tout les cas , même les plus invétérés. Mais il y a d'ailleurs
es foudroyés, quand ils ne sont pas tués sur le coup, à part quelques cas exceptionnels où la mort survient après quelques
nce bien faite pour accroître, à nos yeux, l'intérêt qui s'attache au cas actuel. I Je vais maintenant exposer, avec dé
ssé par mon collègue et ami M. Hanot qui a pensé à juste titre que le cas pouvait nous intéresser. Il a été admis dans le s
ue si son histoire s'écarte à beaucoup d'égards, de ce qu'on sait des cas defulguration vulgaire,elle se rattache par contr
s, 1860. 2 vol. in-8". 63 pas, malgré tout, applicable à tous les cas . Elle n'est légitime qu'en tant qu'il s'agit des
tiques suivis de perte de conscience. Mais il y a mieux : on cite des cas parfaitement authentiques où le foudroyé se rappe
ccident, n'a trait qu'à la foudre vulgaire ou foudre en zig-zag. 1. Cas de M. Marie. Sestier, t. II. p, 85. 2. Sestier,
encore, vous savez comment les choses se passent en général en pareil cas . On voit un éclair, on entend le bruit du tonnerr
il arrive qu'elle frappe de mort ceux qu'elle atteint, et il cite le cas du physicien Richman, l'événement de Château-neuf
générale de ceux de la fulguration partielle ; c'est dans ce dernier cas surtout que les paralysies kerauno-expérimentales
connaissance, la paralysie existe, complète ou incomplète suivant les cas . Elles portent à la fois sur la sensibilité et
moins que la sensibilité ait été conservée. Sestier ne cite que deux cas 1. Dict. de Dechambre, t. VI, 4e série, p. 285,
, p. 327. 3. Voir Tourdes : Art. Fulguration du dict. de Dechambre. Cas de Vincent et autres p. ¿-'03, et Sestier, Passim
aralysie des foudroyés. de ce genre. On n'y voit pas, même dans les cas les plus intenses, et alors qu'il s'agit d'une fo
, il y aura hémiplégie gauche plus ou moins complète. Mais il est des cas où la paralysie s'étend bien au-delà du point fra
occupait les deux membres inférieurs sous forme paraplégique, dans un cas du même genre. Enfin, la paralysie affecte quelqu
hère d'activité à une distance plus ou moins considérable. Tel est le cas de ces deux personnes paralysées momentanément, d
ir la forme d'une hémiplégie, d'une paraplégie ou encore, et c'est le cas le plus fréquent,d'une monoplégie pure. Dans un c
core, et c'est le cas le plus fréquent,d'une monoplégie pure. Dans un cas , il s'est agi d'une paralysie alterne. « Une femm
blées par Sestier, que la paralysie n'a pas dépassé 24 heures dans 12 cas , c'est-à-dire dans la moitié des cas. Plusieurs f
'a pas dépassé 24 heures dans 12 cas, c'est-à-dire dans la moitié des cas . Plusieurs fois elle a duré seulement une demi-he
qu'elle ait duré plus de huit jours, et l'on doit signaler comme des cas très rares ceux dans lesquels elle a persisté deu
sent laissés dans l'ombre. IV Il résulte donc de l'observation du cas , messieurs,que la paralysie de notre homme qui n'
ances, que par la violence extrême de la commotion, mécanique dans un cas , électrique dans l'autre, En somme, nous trouvons
la me paraît être parfaitement indifférent, — est présente dans notre cas , douée de tous les caractères qui la distinguent
irmer que tous les accidents névropa-thiques qu'on a observés dans ce cas , ont été, dès les premiers commencements, d'ordre
n'y a aucune raison pour qu'elles ne se passent pas de même dans les cas de fulguration. Toujours est-il que, comme on v
scientifiques. Je pourrai cependant, dans un instant vous citer trois cas de cet ordre. Trois cas, c'est peu; mais je dois
i cependant, dans un instant vous citer trois cas de cet ordre. Trois cas , c'est peu; mais je dois avouer que mes recherche
oreilles. Son membre supérieur droit était paralysé, t. Note sur un cas de monoplégie brachiale droite produite par la fo
La caractéristique de la névrose hystérique saute aux yeux dans ce cas : c'est d'elle évidemment que relève cette paraly
songe même pas à la possibilité de la présence de l'hystérie dans ce cas , bien qu'elle y soit facile à reconnaître ; il n'
a constatation aurait éclairé la situation? C'est encore là un de ces cas dans lesquels la connaissance des travaux récents
venue se surajoutera diverses échéances, la paralysie hystérique. Les cas dans lesquels l'hystérie s'est développée à l'occ
du choc électrique et comme conséquence directe de celui-ci. Or, ces cas -là sont rares quant à présent, j'ai tout lieu de
nous avons dû invoquer pour la bien mettre en valeur : 1° Dans les cas de fulguration, en outre des accidents nerveux qu
n insiste sur les difficultés du diagnostic. 3e, 4e et 5e Malades.— Cas d'abasie : 1° Abasie paralytique chez un homme de
es deux sujets, les analogies paraissent fort étroites entre les deux cas . L'une de ces femmes, cependant, est atteinte de
justement dans la difficulté qu'il peut y avoir à distinguer ces deux cas , que gît l'intérêt de la situation, et nous allon
ervalles plus ou moins espacés. On pourrait dire que, dans le premier cas , les mouvements sont en quelque sorte angulaires
ance, l'application de la méthode graphique pour l'interprétation des cas difficiles. Autre différence : examinez compara
ment à mettre en relief les traits qui permettront de différencier le cas de Ch..., de celui que nous allons considérer tou
ition dans l'enfance ; que notre malade compte dans sa famille quatre cas de chorée chronique, en outre d'un certain nombre
dans les accidents héréditaires. Cette histoire abrégée de nos deux cas , suffit, je pense, pour vous permettre de reconna
vent être signalés entre autres, parmi les moyens capables en pareils cas de rendre des services. Vous voyez qu'il n'était
upe de l'abasie choréiforme ; mais j'avais signalé tout d'abord « les cas dans lesquels le malade qui couché, exécute, avec
re connaître les principaux traits ; il rappelle de tous points notre cas d'aujourd'hui, bien qu'il s'agisse d'un enfant de
s vous signaler les difficultés qu'il pourrait y avoir, dans certains cas particuliers, à la distinguer de ce que l'on pour
e fais allusion ici. Et vous savez qu'elle s'observe surtout dans les cas où il y a participation du vermis. Dans ces cas,
erve surtout dans les cas où il y a participation du vermis. Dans ces cas , comme dans ceux que nous étudions ici, le malade
estion de se tenir debout et de marcher, c'est tout autre chose. Deux cas peuvent alors se présenter: tantôtlemalade peut e
facile. D'autres fois, la station et la marche sont, comme dans notre cas d'aujourd'hui, absolument impossibles, et lorsque
stances m'amènent, messieurs, à vous parler maintenant de deux autres cas d'abasie qui ont été ces jours-ci admis dans le s
le sujet de notre 16° leçon de la présente année c'est, dans les deux cas , de l'abasie trépidante qu'il s'agit. Le premie
ression trépidante que nous avons minutieusement décrite, à propos du cas de Ro...el, dans la leçon du mardis mars, à laque
p. 356-357. sorte d'un état mixte, rappelant ce qu'on voit dans les cas ou l'abasie, après s'être montrée absolue pendant
non plus spontanément, et il n'y a rien dans l'histoire classique du cas qui ressemble à des attaques. — Pas d'anesthésie
e de façon à intéresser surtout le faisceau sensitif? Dans ce dernier cas , les troubles de la sensibilité en question serai
une lésion organique. » Mais comme il est vraisemblable qu'en pareil cas , la lésion ne sera pas étroitement localisée clan
ions encéphaliques non encore connues, mais que l'étude méthodique de cas semblables au nôtre permettra sans doute de déter
au sujet, par exemple en le poussant par les épaules. A cet égard, le cas présent se rapproche beaucoup, vous le voyez, de
es et indépendamment des autres faits cliniques qui s'y observent, le cas de notre homme, en ce qui concerne la netteté, l'
ais par contre, à d'autres égards, il diffère très notablement de ces cas typiques. Nous ne trouvons pas ici, en effet, les
e que chez C.t, comme nous avons supposé que cela devait être dans le cas deSob...re précédemment étudié, l'abasie relève d
t c'est bien, comme on l'a supposé, l'hystérie qui est en jeu dans ce cas , bien qu'il s'agisse d'un vieillard de 75 ans.
du Mardi 28 Juin 1889 VINGT ET UNIÈME LEÇON 1er et 2e Malades. — Cas de syringomyélie gliomateuse. 3e Malade. Simulati
par les auteurs sous le nom de syringomyélie, ne sont autres que des cas d'hystérie. J'en viens actuellement à l'exposé
uence d'une malformation ou d'une dilatation du canal central : à ces cas -là M118 Baiimler propose de réserver le nom oVhyd
à la région lombaire, soit à la région cervico-brachiale : ce dernier cas est de beaucoup le plus fréquent, et si la lésion
e dans ce temps-là et il est facile de reconnaître, par la lecture du cas , que l'étude des troubles de la sensibilité n'a p
ou au contraire d'une façon secondaire et l'on sait que dansles deux cas , si l'altération intéresse les grandes cellules m
anée », plus ou moins prononcée et plus ou moins étendue, suivant les cas , dans les parties du corps situées du même côté q
sculaire, « avec des troubles particuliers de la sensibilité dans les cas où l'investi-« gation nécroscopique fait reconnaî
ite, on peut affirmer, dis-je, que le diagnostic est fait: c'est d'un cas de syringomyélie qu'il s'agit. Ces troubles de
omyéliques limitées aux parties où se voit l'atrophie musculaire : Ce cas , tant s'en faut, n'est point le plus commun, et l
t-bras ou même le membre supérieur tout entier, et toujours,en pareil cas , la délimitation de la zone anesthésiée et des pa
ires tabétiques (3). J'ai observé pour mon compte, tout récemment, un cas de ce genre. Il faut vraisemblablement rattacher
quemment puis qu'on l'y observe, suivant M. Bernhardt, 18 fois sur 70 cas , ou autrement dit, 25 fois 0/0 (4). Une observa
irconstance, nous l'avons signalé tout à l'heure, on verra suivant le cas , soit des phénomènes tabétiques, soit des symptôm
rester sceptiques. Il n'est pas impossible en effet que les prétendus cas de syringomyélie terminés par la guérison, corres
is, plus ou moins directement de l'altération du centre gris. Dans un cas observé à la Salpê-trière, dont il a été question
rt souvent rapporté à l'atrophie musculaire du type Àran-Duchenne des cas où seule la syringomyélie était en jeu. L'erreur,
sence de ces mêmes troubles si particuliers de la sensibilité dans un cas donné, permettrait également d'éliminer la scléro
font remarquer M. Erb et M. Schultze (2), se manifester dans certains cas parfaitement caractérisés de sidérose latérale am
e musculaire avec anesthésie. Un examen attentif a montré que dans ce cas il s'agit bel et bien de syringomyélie. 2. Schu
ion sensitive particulière à la syringomyélie,principalement dans les cas où celle-ci s'est accompagnée, en outre, de l'atr
ie, on étudie méthodiquement, comme l'a fait M. Debove à propos de ce cas , les troubles de la sensibilité qui jusque-là éta
rêt, soit à une marche précipitée des accidents. Je passe au second cas qui, suivant moi, nous présente un nouvel exemple
ès exactement. Le mode de répartition des troubles sensitifs, dans ce cas , rappelle la dispo- Fig. 122 liy. 123 Sensibi
tir tout à l'heure, dans l'anesthésie des hystériques ; et, en pareil cas , tantôt elle existe naturellement chez le suje
ent que cette règle est loin d'être absolue. Si, en effet, sur ces 17 cas , il en est 11 qui offrent le type anesthésique vu
t vivement, si onle pince ou si on le pique. » Dans les quatre autres cas , la dissociation répond exactement, comme vous po
intes absolument ou seulement profondément obnubilées. Sur ces quatre cas , deux fois la dissociation du type syringomyéliqu
marque restera malgré tout applicable au moins à un certain nombre de cas . Mais, direz-vous peut-être, recueil très réel
les et, s'il est vrai, comme le suppose M. Schulze (4), que plusieurs cas rattachés à l'hystérie ont dû être plus tard cons
rmer après m'être livré à la critique des observations, que parmi les cas signalés comme appartenant à la syringomyélie, il
appant, je pourrais m'appliquer à vous démontrer tout d'abord, que le cas dont il s'agit est un exemple de syringomyélie et
plus haut acceptés, pour supposer chez notre malade l'existence d'un cas fruste de syringomyélie ? Sans doute voilà, dir
l'heure; c'est d'hystérie mâle, tout simplement, qu'il s'agit dans le cas et non de syringo-myélie. La dissociation de la s
ses, il se trouve que, tout compte fait, autrefois reléguée parmi les cas rares, elle devra désormais occuper dans la clini
ations de Railway Spine publiées jusqu'à ce jour, il existe nombre de cas si nets, si typiques soit de neurasthénie, soit d
tation à l'égard de ces faits est devenue impossible. En présence des cas indéniables d'hystéro-traumatisme apportés par M.
r la dénomination de névrose traumatique au groupe plus restreint des cas complexes dans lesquels la neurasthénie et l'hyst
e de M. Charcot qui va être rapportée, ressortit à cette catégorie de cas qui servent aujourd'hui de substratum principal à
fficile, en vérité, de ne pas reconnaître dans l'histoire clinique du cas de railway-spine qui précède, l'association d'un
et la tendance mélancolique s'observent le plus communément dans les cas d'hystérie les plus accusés, indépendants de tout
premier de ces malades n'appartient plus à la série traumatique. Son cas doit être rangé dans la catégorie des hystéries p
pourra nous aider tout à l'heure dans l'interprétation d'un deuxième cas qui doit être l'objet principal de la leçon d'auj
araît motiver le rapprochement que nous allons établir entre les deux cas : dans le premier, une intervention chirurgicale
t actuellement nécessaire pour compléter la guérison dans le deuxième cas . D'ailleurs nous finirons peut-être par reconnaît
u'ils appartiennent à deux catégories absolument distinctes, ces deux cas présentent cependant, à certains égards, des trai
u'on ne le pourrait supposer tout d'abord. Nous commencerons par le cas de la pachyméningite cervicale hypertrophique. Il
le malade ait guéri, car on possède aujourd'hui un certain nombre de cas de guérison dans cette affection, qui ont été réc
insi que je le relevais tout à l'heure, c'est que la guérison dans ce cas , commencée et poussée assez loin par les moyens m
l'intervention chirurgicale, et c'est sur cette intervention dans un cas de paralysie spasmodique d'origine spinale que je
uite par les tentatives de flexion ou d'extension du genou. Dans le cas de contracture spasmodique, les muscles d'action
seulement, les fléchisseurs et les extenseurs prédominent suivant les cas , et dans l'observation présente c'étaient les flé
ler des guérisons de la pachyméningite, je puis vous montrer un autre cas du même genre. Ici, l'affection a été moins grave
cissements de tendons qui maintiennent les déformations dans certains cas de paraplégie spasmodique curables ou déjà guéris
araplégie spasmodique curables ou déjà guéris. Je dis : dans certains cas , parce que cette complication ne se voit pas dans
rtains cas, parce que cette complication ne se voit pas dans tous les cas appartenant à un môme groupe ; ainsi je pourrais
as appartenant à un môme groupe ; ainsi je pourrais citer au moins un cas de pachyméningite cervicale hypertrophique ayant
paraplégie dépend d'une pachyméningite caséeuse, et que c'est dans ce cas une paraplégie par compression. Cette paraplégie,
s absolument sans intervention chirurgicale, tandis que dans d'autres cas , de beaucoup les moins nombreux, en raison de l'e
ment des tendons, l'intervention chirurgicale a été, comme dans notre cas , nécessaire pour faire disparaître la déformation
rence, la complication tendino-flbreuse se produit-elle dans certains cas , et non dans d'autres? Qu'ont donc de particulier
le fait et à en tirer parti, pour le plus grand bien des malades, le cas échéant. Maisje nedois pas vous laisser ignorer
a déformation ne dépend par d'une contracture des muscles; tel est le cas de la paralysie alcoolique, dont je vous présente
lysie alcoolique, dont je vous présente un exemple. Il y a dans ces cas -là, en conséquence d'une névrite qui semble primi
ottant, ballottant — que l'influence de la pesanteur. Dans d'autres cas , cependant, la prédominencë des fléchisseurs moin
c la production du tissu fibreux périarticulaire. J'ai observé deux cas de ce genre dans lesquels, après guérison, l'inte
fois de plus entre les mains de M.Ter-rillon. L'opération, dans ce cas , a dû être faite, comme dans le cas de la pachymé
er-rillon. L'opération, dans ce cas, a dû être faite, comme dans le cas de la pachyménin-gite, en plusieurs temps. La s
oolique, et c'est là une circonstance qui pouvait être prévue dans un cas où le point de départ de la paralysie est une lés
e complication de rétractions fibreuses qui peut survenir dans divers cas de paralysie spasmodique ou non spasmodique peut
l'intervention chirurgicale. Il est temps d'en venir maintenant au cas que j'ai eu pour objectif pendant toute la durée
persistance de cette défor^ mation doit être cherchée, comme dans le cas de paralysie organique que je vous citais tout à
plus fâcheux effets de ce mode de traitements, et je prêche en pareil cas , avec conviction, la doctrine de l'expectation. M
ière, t. I, 1888, p. 93. De l'intervention chirurgicale dans certains cas de réfactions musculaires succèdent à la contract
ut porte à croire qu'elle est définitive. On remarquera que dans ce cas la paralysie très certainement n'a pas été pro;lu
.. 63 2°. Amyotrophie par lésion articulaire......... 72 3°. Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité n
°. Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité nerveuse. Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, etc. C
érédité nerveuse. Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, etc. Cas n° 2 : plusieurs cas de bégaiement et un épilepti
n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, etc. Cas n° 2 : plusieurs cas de bégaiement et un épileptique dans la famille
accès.......................... 80 CINQUIÈME LEÇON 1ermalade. — Cas complexe : paralysie spinale infantile, paraplégi
de chorée présenté dans la dernière leçon................ 127 2°. Cas de chorée vulgaire chez une jeune fille âgéede 12
personnels névropa-thiques très chargés................... 130 3°. Cas d'hystéro-neurasthénie survenue à la suite d'une
yé de chemin de fer âgé de 56 ans..................... 131 4°. Deux cas de paralysie infantile spinale présentant quelque
es anomalies..................... 140 HUITIÈME LEÇON 1er malade. — Cas complexe. Ataxie locomotrice et hystérie 151 2e m
malade. —Cas complexe. Ataxie locomotrice et hystérie 151 2e malade. — Cas complexe.Hystérie etscléroseen plaques. A propos
de. —Cas complexe.Hystérie etscléroseen plaques. A propos de ces deux cas on fait ressortir l'importance pour le diagnostic
. 199 Appendice................ ......... 218 ONZIÈME LEÇON lor cas . — Goutte articulaire, puis otite goutteuse; inva
ses longtemps prolongées................... 223 2°, 3°, 4e, 5e et 6 cas . — Exemples de maladies de Basedow présentant ce
e, l'ataxie locomotrice progressive......: 231 DOUZIÈME LEÇON lor cas .— Accidents hystériques graves survenus chez une
magnétiseur dans une baraque de fête publique..... 247 2e, 3e et 4e cas .— Un cas de neurasthénie et deux casd'hys- tér
r dans une baraque de fête publique..... 247 2e, 3e et 4e cas .— Un cas de neurasthénie et deux casd'hys- téro-neurasth
tabé- tique........................... 277 3e et 4e malades.—Deux cas d'hystéro-neurasthénie chez l'homme, faisant suit
ades.—Deux cas d'hystéro-neurasthénie chez l'homme, faisant suite aux cas 3e et 4e de la précédente leçon. A ce propos, con
la classe ouvrière........... .............. 283 QUATORZIÈME LEÇON Cas d'automatisme comitial ambulatoire.........• . 30
omatisme comitial ambulatoire.........• . 303 QUINZIÈME LEÇON 1er cas . — Crises gastriques tabétiques avec vomissements
étiques avec vomissements noirs........................... 331 2° cas . — Chez unisraélite : paralysie et contractures h
sieurs heures sur la terre humide.......... 347 SEIZIEME LEÇON Un cas d'abasie trépidante survenue à la suite d'une int
ficultés du diagnostic.................. 463 3% 4° et 5e malades. — Cas d'abasie : 1° Abasie paralytique chez un homme de
14 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et sur lesquels il peut être nécessaire d'attirer l'at- tention. Le cas de la malade que je veux vous présenter au- jou
posent à première vue ; il s'agit, je vous le dis, par avance, d'un cas de tumeur cérébrale. Mais, de plus, on trouve,
ns médullaires, sans négliger de relever soigneusement, dans chaque cas , leurs principales expires- sions symptômatique
erf optique rétro-bul- baire. Mais revenons à la pathogénie. Deux cas particulièrement heureux ont permis à MM. Cl. P
esure que les examens histologiques se multiplieront. Dans ces deux cas , sitôt que les ganglions rachidiens eurent été
séméiologique de ces lésions médul- laires, d'après l'ensemble des cas qui ont été plus spéciale- ment observés dans l
ssion médullaire, consécutive aux tumeurs cérébrales, dans tous les cas observés à la Salpê- trière depuis trois ans; j
é durant un temps plus ou moins long). Donc, d'après Kahlbaum, le cas typique de la catatonie présente un tableau de
t, et quelquefois elles ont une tendance aux réci- dives. Outre les cas de catatonie pure, Schüle admet encore des symp
ouble de la parole avec le type de disartrie. Ainsi donc, dans le cas sus-décrit, il est difficile de disputer au suj
ie doit occuper ici le premier lieu. Ne peut-on pas rapporter notre cas aux psychoses primaires émotives et, vu la dépr
e qu'on définit comme démence précoce; pourtant ce n'est pas chaque cas de démence pré- coce qui peut se compliquer par
oce à la période terminale. Le cours de cette maladie pré- sente un cas typique de « spannungsirrescin », comme Kahlbau
EMENCE CATATONIQUE. 27 4 . Notre deuxième observation présente un cas pur de la forme qui nous occupe. A son analyse,
loppement prématuré de la démence, nous aurions dû rap- porter ce cas aux formes hébéphréniques de dégénérescence, co
hlbaum. Des formes pures de la démence hébéphrénique notre second cas diffère par la prédominance des phénomènes ca-
devons nous arrêter encore sur une particularité intéressante de ce cas , sur les périodes d'affaiblissement du procès m
ours une démence. ¡ En comparant le cours de la maladie de nos deux cas , malgré l'identité des symptômes, nous y voyons
ux ont présenté des phénomènes cata- toniques, mais dans le premier cas la maladie se dévelop- pait sans intermission;
, pourtant sans intervalles lucides de santé complète. Le premier cas présente un type de catatonie progressive, le s
, les trou- bles catatoniques se rencontrent non seulement dans les cas de catatonie pure, mais ils peuvent compliquer
émence précoce sont surtout graves. Je m'arrêterai à présent sur un cas de ce genre, un cas de démence compliquée. Ob
surtout graves. Je m'arrêterai à présent sur un cas de ce genre, un cas de démence compliquée. Observation III. La ma
oique les symptômes catatoniques existent indubitable- ment dans le cas donné, mais ils n'apparaissent ici qu'épiso- di
ention. Vu la courte durée de notre observation personnelle de ce cas , nous ne pouvons pas instituer ici un diagnostic
catatoniques. On ne peut pas pour le moment dire au juste si notre cas se rapporte à une catatonie lypique. Nous pouvo
diagnostic précis, mais en rapport pronostique on peut envisager ce cas comme non favorable. La maladie doit se termine
sse pas nier, totalement l'innervation corticale ici, mais, en tout cas , vu la rapidité et l'impétuosité des mouvements
cours ne se forment pas alors ou bien leur formation est, en tout cas , retenue. Ici de nouveau on peut constater la .
thogénie n'est pas toujours la même. Effectivement, dans certains cas de catalepsie hystérique, elle peut être provoq
l'excitation dans la 1'égion psycho-motrice de l'écorce. Dans notre cas où le négativisme était complet ainsi que l'encha
xcitations mo- trices. Une telle explication aussi nous donnons aux cas de négativisme partiel, à savoir : au mutisme.
dernier il faut avoir vu, qu'on peut l'admettre seulement dans les cas graves de la catatonie, lorsque le malade a gar
des, qui compliquent d'autres psychoses ou qu'on rencontre dans les cas légers de catatonie, ne sont pas accompagnés de
ormes toxiques, para-infec- tieuses et dégénératives, dans d'autres cas nous disposons seulement de complexes cliniques
16-426. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Un cas d'épilepsie avec gliôme consécutif à une lésion t
N. (TM Journal of Mental Science, octobre 1902). L'intérêt de ces cas réside dans la localisation des lésions et dans
e a probablement modifié les symptômes les plus importants. Dans un cas publié en jauvier dans le Journal of Mental Sci
lésion traumatique du lobe frontal : il en a été de même danp le cas présent. Tout le monde sait que des lésions céréb
eur de cette manière de voir s'ac- cumulent tous les jours. En tout cas dans l'observation actuelle comme dans la précé
ceux des colonnes postérieures. Celte analyse montre qu'il y a des cas de tabès simple dans les-, quels les colonnes p
les-, quels les colonnes postérieures seules sont atteintes, et des cas de « tabes combiné » où d'autres lésions de dég
nnes latérales, dans les colonnes antéro-latérales. Il cite même un cas où la colonne de Rurdach était saine à la régio
ucoup de fibres saines disséminées bien que, naturellement dans les cas chroniques de longue durée la sclérose puisse ê
la lésion primitve ,(Chalmersl Watson). Le Dr Buzzard a publié des cas dans lesquels la lésion' vasculaire a été primi
VIUSGRAVE-CL1Y. III.. Différenciation de courants, démontrée par un cas de névrite consécutive aune dégénérescence pare
technique électro-thérapique qu'elle comporte. ' H. M.-C. IV. Un cas d'hydrencéphalocèle; par David E. WrIeELER. (The
ations des régions axiales aux régions éloignées du centre, dans le cas , par exemple, où les laisceaux principaux ont s
quatrième, sixième ou septième paires dorsales. On doit, dans l'es cas pathologiques, rechercher ces deux réflexes, pa
males. on peut frap- per jusqu'à la limite du cuir chevelu. Dans le cas d'affaiblisse- ment des réflexes, il faut frapp
ulaire du facial. On a trouvé ce réflexe diminué (à gauche) dans un cas de syphilis cérébrale avec paraly- sie complète
s doigts. C'est un réflexe périostique qui se voit surtout dans les cas d'hyperexcitabilité réflexe, et en particulier
ations publiées sur les géants et les infantiles, et l'analyse d'un cas personnel mettant en lumière cer- tains détails
peut-être fournir d'utiles renseignements. R. Charron. XX. Trois cas de néoplasies cérébrales ; par Gilbert Ballet et
ome clinique et le tableau anatomo-pathologique. La première est un cas de gliome du volume d'une noix siégeant à la pa
été rapide, la lésion profonde : pas d'aphasie. La deuxième est un cas de sarcome du volume d'une orange comprimant le
OLOGIQUES. tous les organes et de l'intelligence. Dans le troisième cas , il s'agit d'une infiltration gliomateuse diffu
oculaire et d'épilepsie jacksonienne. Ii. C. -XXI. Description d'un cas de monstruosité rare de la face et de l'encépha
et sensibles qui caractérisent les deux sujets. li. C. XXIII. Un cas d'hémimélie du membre abdominal droit étudié par
une femme dont l'as- cendance et la descendance ne présentent aucun cas de malforma- tion et dont le membre avorté ne p
ique pendant les premiers mois de la gros- sesse. il. C. XXIV. Un cas d'eunuchisme familial, par SAINTON (Nouv. Icono !
ïde par atrophie testiculaire dont les ascendants pré- sentent deux cas et les collatéraux trois cas de la même anomalie.
dont les ascendants pré- sentent deux cas et les collatéraux trois cas de la même anomalie. XXV. Etude sur les lésions
es postérieures de la moelle et des ganglions rachitiques dans onze cas de tabes confirmé, venant à la suite des différ
syringomyélie,'la lèpre, la tuberculose. L'étude des détails de ce cas et celle des observations antérieures conduisent
rs ont rassemblé 17 observations de cette affection compre- nant 11 cas de déformations variées dépendant du processus pa
au pied, la partie antero-interne à la jambe. G. D. XXIX. Sur un cas de tumeur du canal rachidien (segment dorsal);
nce d'un centre spécial pour la douleur. G. D. XXXI. Sur un autre cas de tumeur du canal rachidien (segment dorso-lom
provoqué de lésions médullaires irréparables. G. DENY. XXXII. Un cas d'écriture en miroir, par le Dr Duroutt. (Rev. mé
au début. ' , . G. D ' REVUE DE pathologie NERVEUSE. 67 IV. Un cas de tabes spasmodique; par le Dr SANO (Journ. de N
une lésion du faisceau pyramidal, l'auteur estime qu'il s'agit d'un cas de tabes spasmodique d'origine saturnine on plutô
to-suggestion. La lésion organique préexistante aurait joué dans ce cas le rôle de cause occasionnelle au même titre que
ique de cette astasie-abasie ne semble pas douteuse. G. D. VI. Un cas d'atrophie du membre inférieur gauche et d'hypert
unilatérale avec hypertrophie du membre opposé. G. DENY. VII. Un cas d'hystéro-syphilis; par le Dr THOORIS. (Journ. de
). Ce syndrome était rapproché de celui de l'aslasie hystérique. Le cas nouveau observé par les auteurs concerne un hom
icale, par le Dr Ladame. L'auteur a pu suivre, depuis dix ans, un cas qui présentait, dans toute leur pureté, les sym
utopsie (Revue neurologique, janvier 1902). E. BLIN. - XV. Sur deux cas de syringomyélie à topographie radiculaire des
radiculaire, qu'à la disposition de la métamérie spinale. Dans les cas avancés de syringomyélie, non seulement la topo
s lors ce groupe d'épilepsies tardives, comprenaut aussi cer- tains cas d'épilepsie sénile se confondrait presque avec le
olescence d'une part, âge adulte et sénilité de l'autre. Pour les cas cependant où la prédisposition névropathique héré
de l'attention, de savoir si, par exemple, la lecture machinale, en cas de paraphémie, n'est pas la seule possible et s
a dyséchophémie sensorielles. Il est à noter que dans l'examen d'un cas de paraphasie, l'étude de l'endophasie est d'un
tres spéciaux, du centre de mémoire musicale, par exemple, dans les cas de surdité verbale. En résumé, dans l'examen
ogiques, avril 1902). E. B. , i REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 73 XVIII. Cas d'acromégalie aiguë; (British médical Journal, av
pituitaire naturellement. La nature des deux tumeurs comme dans le cas le plus ordinaire d'acromégalie aiguë était celle
de ses recherches desquelles il ressort que : dans la plu- part des cas les bromures produisent une excitation initiale,
même, il faut se laisser guider par ce que l'on constatera. En tout cas on obtiendra ainsi des éléments de pro- nostic
rite réflexions. Il. de liIUSGRA'E-CLAY. VII. Notes sur quelques cas de morphinomanie; par Robert Jones. · (The Jour
umé de la question, suivi de huit observations. R. M.-C. VIII. Un cas d'empoisonnementpar lesulfonal; par H. de M. ALEX
tion des phénomènes toxiques. L'autopsie a été refusée. Bien que ce cas puisse être considéré comme un cas d'empoison-
opsie a été refusée. Bien que ce cas puisse être considéré comme un cas d'empoison- nement chronique par le sulfonal, d
considérable et pouls un peu rapide et à faible tension. Sur dix cas dans lesquels l'auteur a noté ces symptômes, il y
nistré le trional à la dose de 20 grains (1 gr. 20). Dans ces dix cas il s'agissait de femmes et toutes ont été guéries
t toutes ont été guéries plus ou moins rapidement. Dans neuf de ces cas , les règles étaient imminentes ou présentes; il
ce travail peuvent se résumer de la manière suivante le nombre des cas dans lesquels l'intervention opératoire est lég
les fractures du crâne avec dépression osseuse, fréquente dans les cas à peu près dépourvus de complications, d'bémorr
rhagies siégeant au-dessus de la dure-mère, exceptionnelle dans les cas de lésion située au- dessous de la dure-mère, q
ens inexpéri- mentés sont certainement en plus grand nombre que les cas où une tendance exagérée à la non-intervention
uitaire sans acromégalic. MM. CESTAN et H.m,sssrnnx communiquent un cas d'adénome kystique du corps pituitaire sans hyp
cot-Marie. MM. DÊJEMNE et Armand DEr.LLE présentent les pièces d'un cas d'amyotrophie progressive du type Charcot-Marie
a permis de reconnaître l'intégrité des cordons postérieurs dans un cas de mal de Pott où toutes les sensibilités étaie
ces oedèmes sont à dis- position segmentaire ce qui n'est jamais le cas pour les oedèmes thyroïdiens. 80 SOCIÉTÉS SAV
dée que le spasme fonctionnel est peut-être, au moins dans certains cas , sous la dépendance d'une perturbation du systè
souvent à l'état de traces, quelque- : fois en quantité notable (12 cas ); il contient toujours un corps réducteur (glyc
toujours un corps réducteur (glycose) quelquefois plus abondant (2 cas ). '. La formule cytologique (nulle dans 2 cas)
fois plus abondant (2 cas). '. La formule cytologique (nulle dans 2 cas ) peut être : a) très dis- crète ; 8 cas : (peti
e cytologique (nulle dans 2 cas) peut être : a) très dis- crète ; 8 cas : (petits lymphocytes, trace d'albumine; pgp en
gp en rémission ou à marche excessivement lente) ; b) discrète ; 13 cas : (petits lymphocytes, grands lymphocytes, albu
es, albumine ; pgp. période, d'état stationnaire) ; c) accentuée; 7 cas : (grands lymphocytes, albumine : pgp en activi
grands lymphocytes, albumine : pgp en activité) ; d) très marquée 4 cas (petits et grands lymphocytes polynucléaires, d
aosen et SÉBILEAU rapportent l'histoire anatomique et clinique d'un cas de méningo-encéphalomyélite subaiguë, inté- res
ment des névroses traumatiques dont j'ai observé un grand nombre de cas , en ma qualité de médecin attaché au service d'
quelques heures avant de mourir. LEGRA : vD du Saule a signalé des cas de cette nature. 84 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' M.
re l'amnésie et l'état de la conscience : sans doute, dans certains cas , tels les états' crépusculaires et les fugues é
sie lacunaire simple et l'amnésie rétrograde peuvent, dans certains cas , contri- buer à établir l'irresponsabilité péna
ive à la conduite immédiate à tenir par le médecin en présence d'un cas clinique urgent de médecine, de chi- rurgie ou
ne permet pas de la faire subir à tous dans la même séance; dans ce cas , les questions sont rédigées par le jury chaque
ne pas d'association du crétinisme et de l'épilep- sie dans ses 339 cas d'épilepsie. Du reste, dans les autres parties
tins, enfants et adultes, ivrognes et cependant il ne cite aucun cas de crétinisme avec épilepsie. Il publie dans son
taire de la mairie de Rosières qui ne fait non plus mention d'aucun cas d'épilepsie associée au créti- "nisme. . A pr
e chez les ascen- dants, les collatéraux ou les descendants,- aucun cas de myxoedème, aucun cas de crétinisme, même non
les collatéraux ou les descendants,- aucun cas de myxoedème, aucun cas de crétinisme, même non typiques. C'est en vain
oduit chez les sujets sains; il en est de même dans la majorité des cas , au point de vue du développement de l'intellig
ndonné avant 1897 et cette femme n'ayant que trente- quatre ans, ce cas permet de mieux juger de l'influence pos- sible
tération du corps thyroide sur l'épilepsie (nous reviendrons sur ce cas dans les observations données à la fin de ce tr
il n'est pas un ancien spécialiste qui n'ait observé comme nous des cas d'amélio- ration en apparence spontanée de l'ép
épilepsie à l'âge critique. Voici résumés quelques-uns des derniers cas que j'ai ren- contrés dans mon service : - 5.
IONS THÉRAPEUTIQUES. t 11) J On m'opposera, je le prévois, quelques cas d'épilepsie qui s'aggravent à l'âge habituellem
idéré comme âge critique; j'en ai vus moi-même, mais, outre que ces cas , sont relativement rares, qu'ils ne peuvent, pa
vis, que celle altération est excep- tionnellement tardive dans ces cas ; à l'âge habituel de la ménopause, il se produ
ixantaine, quel- ques-unes la dépassant même (je connais au moins 2 cas de grossesse après soixante ans). C'est une sur
tivité fonction- nelle analogue que l'on pourra rencontrer dans les cas d'épilepsie qui semblent s'aggraver à la ménopa
d'épilepsie qui semblent s'aggraver à la ménopause, et, dans ces cas , on ne constatera évidemment aucune altération
ur le système nerveux. n (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. Un nouveau cas de paralysie générale conjugale; Par le Dr A. C
intense, loquacité bruyante, érotisme, satisfaction ; elle- NOUVEAU CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 117 7 veut se
tat paralytique et cachectique qui emporta le malade. » Ce double cas , comme on le voit, constitue un nouveau fait de
uccessives). En 1890, au Congrès de Rouen, j'ai publié les premiers cas de paralysie générale conjugale observés dans n
éfléchir. Il agit comme on le lui suggère, tandis que dans tous les cas , autres que la suggestion,'où l'influence d'un
ans. On n'a pas encore présenté à la Société de Neurologie un seul cas de paralysie nettement hystérique ou suggérée,
Grasset, étudiant les modifications de la personnalité, cite les cas et expériences célèbres de Richet, de Ribot, de B
alité polygonale et l'individualité supérieure 0 (p. 260). Dans les cas de personnalités successives, suggérées par 1 h
ce qui oblige l'asile à disposer d'un grand nombre de lits pour les cas aigus : or il est déjà encom- bré par les cas c
mbre de lits pour les cas aigus : or il est déjà encom- bré par les cas chroniques et n'a pas la place suffisante pour le
bré par les cas chroniques et n'a pas la place suffisante pour les cas aigus. ' ' Le remède proposé est celui-ci : dan
cins versés dans l'étude de la psychiatrie. Dans un grand nombre de cas , le malade guérira, et sera rendu à sa famille ;
son infirmerie, avant qu'ils soient transférés à l'asile, dans les cas bien entendus ou l'in- ternement serait reconnu
é, qu'ils n'ont pas actuellement à se familiariser avec l'étude des cas aigus de maladies mentales. R. DE Musgrave-Clay.
DE PATHOLOGIE MENTALE. 'l31 IV. L'évolution du délire dans quelques cas de mélancolie; par Lionel Ÿl°EATIiERLY. (The Jo
paraissent comporter, il s'agit d'attirer l'attention sur certains cas de mélancolie, dans lesquels les idées délirant
tit la raison et aboutit à un délire défini. Dans le traitement des cas de cet ordre, les demi-mesures ne servent à rien,
trices de l'iris; toutefois la paralysie générale fournit autant de cas que toutes les autres formes de folies réunies. L
ance des variations pupillaires, le second groupe est formé par les cas où les mouvements pupillaires sont altérés d'un
érations fonction- nelles de la pupille est très douteuse. Dans les cas de démence sé- nile, le caractère accusé des an
es divisions de la sensibilité. Il n'est pas rare de rencontrer des cas dans lesquels tous les sens, et, si l'on peut a
se propose ici d'envisager les données fournies à cet égard par un cas soumis actuellement à son obser- vation, cas qu
ies à cet égard par un cas soumis actuellement à son obser- vation, cas qui n'est pas très complet en ce qui touche l'ext
e penser qu'elles passent souvent inaperçues. Dans la plu- part des cas publiés, elles peuvent être rapportés à des influ
rtés à des influences périphériques. Il est à remarquer que dans le cas qui sert de base à cette étude, les hallucinati
x qui entendent et chez les sourds, ne se manifestent-elles dans le cas actuel que du côté sourd ? R. DE IUSGR.1VE CLAY
le cas actuel que du côté sourd ? R. DE IUSGR.1VE CLAY. VII. Deux cas de confusion mentale polynévritique; par le Dr
de la Soc. de Méd, Mentale de Belgique, 1903,. n° 108). Ces deux cas concernent deux femmes âgées l'une de cinquante-
e, de la déso- rientation et de l'amnésie. Il s'agit donc de deux cas de psychose polynévritique d'origine alcoolique
el pendant les dernières années. Artériosclérose. - Les deux autres cas concernent l'alternance quotidienne de l'agitat
élément histrionique dans les maladies mentales est dans cer- tains cas le résultat direct d'impulsions irrésistibles et
t d'impulsions irrésistibles et de poussées émotives. Dans d'autres cas , il a pour cause des délusions ou des hallucina
s éprouve à commettre des actes tragiques. 11 procède dans certains cas d'une croyance erronnée, centrale et organisée,
réflexion et de liberté chez d'autres, et, dans un petit nombre de cas , gouvernés par les intentions volontaires les plu
s de la pathologie mentale, éclaircit le caractère embarrassant des cas où la simulation parait se mêler à la réalité,
20 série, t. XVII. 10 146 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIV. Un cas d'idiotie avec amaurose; par A. HymANsaN. (The Ne
est comparable à celui que l'on observe sur la tache jaune dans les cas d'embolie de l'artère centrale de la rétine. Le
bert, d'après les auteurs car nous n'en n'avons pas observé un seul cas . Il y aurait là matière à une thèse ou à une mo
nient. sc.1897, p.178; d'après N.Y. Med JOU1'n. 30 may 1896 ; Deux cas d'idiotie familiale REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
diocy, par Sachs (Pediat1'ics, 1903, n°l, p. 8). B. XV. Note sur un cas de fétichisme; par le Dr DE 111ooa. (Bzill. de lt
luent que la folie circulaire se rencontrerait dans 1,94 p. 100 des cas de maladies mentales et s'observerait deux fois
s de psychose circulaire on compte 83 fem- mes et 34 hommes. Sur 77 cas où les renseignements ont pu être recueillis, 1
nt dit la prédisposition héréditaire existait dans 87,01 p. 100 des cas et faisait défaut dans 12,99 p. 100. Ces chif
circulaire les auteurs ont noté que dans presque les deux tiers des cas cette affection se manifeste entre quinze et vi
dans laquelle le plus souvent on n'observe que deux accès;- Sur 76 cas on a pu avoir des indications nettes sur le poi
on. La folie circulaire débuterait donc dans la grande majorité des cas par un stade mélancolique. Enfin dans l'immense
es cas par un stade mélancolique. Enfin dans l'immense majorité des cas également les stades de dépression et d'excitat
ur complet à la santé un léger état de dépression qui dans certains cas peut être assez prolongé pour durer plusieurs a
des allochiries non- spinales. On peut aisément expliquer tous les cas d'allochirie si on considère celle-ci comme un
e rigidité, de la débilité mentale. Cette observation diffère des cas de 0. Giese en ce que les réflexes tendineux ne
session initiale que le morceau à avaler va vous étouffer : dans ce cas , l'appréhension donne le' sentiment de l'incert
o-ponction dans l'urémie cérébrale est d'actualité, et la série des cas défavorables ne peut lui faire perdre un terrai
ie des cas défavorables ne peut lui faire perdre un terrain que les cas si heureux de MM. Marie et Guillain lui avaient
ème nerveux périphérique, ou les organes d'articulation suivant les cas , les centres du langage restant le plus souvent
prié (Annales médico- psychologiqucs, juin 1902)." E. B. XXVI. Un cas de glycosurie avec mélancolie et impulsions éroti
sisté (Annales médico-psychologiques, juin 1902). E. B. XXVII. Un cas de polynévrite et de psychose polynévritique (m
s divisés selon les types nosologiques divers : de l'examen de 1437 cas , il résulte que la disposition des Juifs pour l
foyers cérébraux, etc...) occupent une place remarquable ; - 3° Les cas de démence précoce et de démence consécutive à un
t une élévation considérable si l'on pouvait y ajouter ces nombreux cas qui, sans tomber jamais aux soins d'un asile, n
ces conditions, il semble bien que la seule étiquette à donner au' cas actuel est celle de démence épileptique. ' R. L
idée fixe : idée fixe permanente ou obsession paroxystique. Dans ce cas l'idée de grossesse domine la scène, c'est l'id
négation. L'auteur se base pour édifier sa classification sur dix cas qu'il publie. D'après l'opinion de différents a
, de l'alcoolisme, de l'hérédité, etc. Dans un très petit nombre de cas , on ne trouverait, comme seule cause discernabl
il : 1° la paralysie générale représente à peu près 8.75 p. 100 des cas de folie; 2° elle arrive surtout entre trente e
a plus rapide et la plus grave, fa- tale dans plus de 50 p. 100 des cas ; il est la marque d'une intoxi- cation profonde
7 et suiv.), etc. Accessoirement, l'auteur relève la diminution des cas de pacha-' méningite hémorrhagique depuis l'ali
lysie générale vient compliquer une folie intermittente vraie. Un cas de psychose-polynévritique avec insuffisance hépa
ntoxication hépatique. Celle-ci ne parait pas, dans la majorité des cas , responsable des lésions nerveuses constatées à
res qu'il a décrites et qui sont invoquées dans l'interprétation du cas qui nous est soumis, n'ont aucun caractère de s
is ans pour l'un d'eux. M. TOULOUSE croit qu'il faut distinguer les cas où le diagnostic de paralysie générale a pu êtr
e démence, avec lésions circons- crites, chez un syphilitique. Un cas de neurasthénie traumatique ayant évolué à longue
vrose en une psychose vraie à évolution chronique. A propos de ce cas , l'auteur fait ressortir le rôle de la prédispo-
les tribu- naux mais encore certains médecins. M. Vallon. Dans un cas pareil, si la question de la prédispo- sition h
grande extensibilité de terme prédisposition. - - ' Dans certains cas la prédisposition est très accusée, elle s'est
out ,le monde sera d'accord sur la réponse à faire. Dans d'autres cas la prédisposition s'est moins nettement affir-
et la question est déjà moins facile à trancher. Enfin il est des cas où la prédisposition est encore moindre et surt
a alors des plus difficiles. On pourra bien dire, en effet dans ces cas , qu'aucun fait n'a jusqu'ici mis la prédispositio
ependant c'est souvent la seule réponse vraie à faire dans certains cas ; je ne parle pas de celui présenté par M. Tisso
interrogés, en tant qu'experts, nous ne devons pas dire, en pareil cas , qu'il n'y a pas de prédisposition, mais tout sim
s. Mais il n'en va pas toujours ainsi et à ce propos, je citerai le cas d'un postier ambulant que j'ai examiné avec M.
nt sous l'influence d'un même accident. Comme exemple je citerai le cas d'un malade, que j'ai soigné pour des accidents
. Déjerine. AcropuestJtésie. M. Maux EGGER, s'appuyant sur quatre cas très fouillés d'acropa- resthésie, montre que l
lier du niveau de la racine du gros orteil, mais qui, dans certains cas , peut aussi être provoqué par l'excitation de l
, alors que le signe de Babinski existait 38 fois. Mais, dans 8 des cas (4 scléroses en plaques, 1 hémiplégie acquise,
ue le signe de Babinski manquait ou etait peu net. C'est dans ces cas surtout que ce réflexe acquiert une valeur diag
trois mois, était nettement hérédo-syphilitique. R ? YMOND a vu un cas analogue chez une jeune fille de quinze ans, fi
rieur et le caractère discret des lésions méningo-radiculaires. Les cas en sont tellement rares qu'ils méritent d'être
a publié, en 1901, dans le Bulletin de la Société de wcliat·ie, un cas analogue, et MM. Philippe Cestan et Oberthur on
Marie à la séance précédente, refait l'analyse sché- matique de ce cas , le rapproche des cas de P. Morgan et de Ver- n
cédente, refait l'analyse sché- matique de ce cas, le rapproche des cas de P. Morgan et de Ver- nike (de Buenos-Ayres),
de avec myélite aiguë ayant déterminé .la mort en peu de temps. Ces cas méritent un nom spécial, tel que neuropo myélit
fet, certaines excitations cutanées produisent généralement dans ce cas des mouvements réflexes des divers segments des
'avaient jamais entendu parler ni d'hypnotisme ni de suggestion. Le cas de M. BERNARD confirme l'existence de ce phénom
x et, à l'école, elle est maintenant une élève très appliquée. Un cas de mutisme prolongé. M. LEItILLON présente un h
ec la vie sociale et l'exer- cice de sa profession; il distingue,ce cas du mutisme hystérique et du mutisme vésanique e
ue et développe les considérations médico-16- gales que comporte un cas de cette nature. BIBLIOGRAPHIE. V. Etude sur
80 femmes il n'a trouvé la tuberculose des père et mère que dans 39 cas (6, 7 p. 100 pour les hommes, 6 p. 100 pour les
c neurasthénie gastrique. C. Psychose polynévritique tuberculeuse. - Cas rares (deux obser- vations de Colella), sans sy
pédagogique appliqué systématiquement pendant plusieurs années : un cas d'idiotie prononcée avec impulsions vio- lentes
lubres exercées par les parents. Parmi celles-ci, il s'agit dans 59 cas de saturnisme une fois le phosphore peut être i
Or, maintenant, il pa- rait que cette terrible maladie n'est pas un cas de divorce. Et l'on dit que nous progressons. (
en présence d'un accès de suffocation. - De la conduite à tenir en cas de rétention complète d'urine. Résultats du con
aire ressortir que l'importance du rôle de ces glandes n'est, en ce cas , que secondaire de faire remarquer que, dans le
ments réflexes et des convulsions ». A-t-on, du reste, cité un seul cas d'épilepsie vraie, c'est-à-dire net- tement car
17, - . Archives, 21 série, t. XVII. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE. cas d'épilepsie ; on ne peut donc pas négliger de rec
s couches corticales ? - Chaque spécialiste pourrait citer quelques cas analogues à celui-ci. - L'épilepsie n'apparaît
ntes observations à l'aide de ces connaissances : l'amélioration de cas d'épilepsie par le mariage, la suspension fréqu
épilepsie secondaire » ne serait plus jus- tifiée pour désigner ces cas . Voyons ce que l'on sait, ce que l'on pense gén
secondaire de l'épilepsie proprement dite : « Si dans bon nombre de cas l'idiotie et l'épilepsie peuvent être la conséq
iques indélébiles, etc. etc. Il s'agit, en effet, dans les nombreux cas visés par M. Féré, d'une idiotie spéciale, rela
ent au mode d'action du toxique, il faut voir, dans la majorité des cas , avant cette action toxique, un terrain préparé
y a évidemment une note individuelle, constitutionnelle dans chaque cas et dont il faut admettre l'origine congénitale,
-t-il pas assez naturel de voir, au moins dans un certain nombre de cas d'épilepsie dite d'origine toxique, EPILEPSIE :
m- plémentai1'e pouvant aussi être attribuée dans la majorité des cas à l'influence des toxines, ainsi que l'attestent
ant et après l'attaque d'épilepsie complète et qui, dans le premier cas , constituant une sorte d'aura, parfois d'assez
condaires dont les unes, cemme nous l'avons vu à propos de certains cas d'idiotie et d'épilepsie, ne seraient que des é
la même famille, épilepsie convul- sive, épilepsie larvée, certains cas de folie transitoire, de folie impulsive, etc..
riables, chez presque tous la thyroïde fut trouvée normale; dans un cas seulement, on nota l'augmentation de vo- lume d
ans le savoir. Mais d'autre part les voyant s'hypertrophier,dans le cas de thyroïdectomie-seule, il les considéra comme d
t aussitôt après la thyroïdectomie et ne se mani- feste pas dans le cas de thyroïdectomie partielle : selon lui, les sy
ang et les sucs des tissus de l'animal parathyroïdectomisé. En tont cas , l'expérience n'est pas concluante. L'auteur ch
exophtal- mique a été faite par l'auteur dans un certain nombre de cas . Dans huit d'entre eux, où les symptômes étaien
jours, si l'examen avait pu porter sur la thyroïde entière. Dans un cas seulement. où la mort survint du fait même de l
put trouver trace de la glande à l'autopsie. Dans' tous les autres cas , elle était nettement plus petite qu'à l'état nor
ite qu'à l'état normal. Au point de vue histologique, dans deux des cas , pas de modification ; dans un autre, dégénéres
iques constatées, en raison aussi de l'amélioration obtenue dans le cas .de Moussu (et bien que tous les traitements ai
es résultats favorables), l'auteur, en ce moment même, en traite un cas par l'ingestion parathyroïdienne : la malade, don
njouée, l'activité, l'ar- deur, l'ambition, parce que dans tous ces cas , nous développons des mouvements centrifuges et
, il y aurait d'après lui d'étroites relations, etc. Dans les deux cas , il y aurait pour le malade une incapacité d'or
. D. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 237 XL. Un cas de tremblement intentionnel. Considératious sur l
nystagmus et de ralentissement de la parole. L'auteur admet dans ce cas l'intégrité des voies motrices cortico-spinale
n. Il n'en est pas ainsi pour les onanistes éphémères; - 4. Dans 11 cas sur 18 on a constaté une résistance énergique à
IE PATHOLOGIQUES. plexie sans choc traumatique; mais, dans tous les cas , l'ictus est déterminé par la rétraction des pr
piques d'un REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 241 cas d'adisposis dolorosa, les auteurs en ont trouvé u
bservation clinique et anatomique d'altérations médullaires dans un cas de mal de Pott. Malgré l'interruption presque com
processus tuber- culeux, tel que le mal de Pott, peut, en certains cas , en dehors de toute compréssion osseuse, donner
SIÜ. ' L'auteur a pu examiner cinq moelles d'amputés. Dans quatre cas , il s'agissait d'une amputation de la cuisse; dan
ns quatre cas, il s'agissait d'une amputation de la cuisse; dans un cas , d'une amputation de la jambe au tiers supérieu
cas, d'une amputation de la jambe au tiers supérieur. Dans les cinq cas , il existe une atrophie de la moelle, du côté c
emblent plus atrophiées que les cornes antérieures. Dans quatre des cas , c'étaient les colonnes de Clarke qui étaient l
ériode le diagnostic est souvent méconnu. L'auteur'- rapporte "deux cas ; où l'adjonction de certains sympa 1 tomes' ! d
es atrophies musculaires, fit dévier le diagnostic. Dans le premier cas , on porta tout d'abord le diagnostic de scléros
été porté un moment mais auquel on ne s'était pas arrêté. Le second cas , qui a guéri progressivement, prêta encore davan-
ningo- myélite et de myélite transverse. ' - -' - . Dans ces deux cas , les phénomènes d'ordre nerveux prédomi- nants
lésions centrales, tandis qu'il pourrait faire défaut dans quelques cas d'hémiplégie corticale quand elle serait due à,
rgique par le fait de l'intensité plus grande de l'effort en pareil cas . ' Pour M. Bard, le signe de l'orbiculaire a un
igrammes de bichlorhydrate. G. C. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. Le cas d'un dégénéré non reconnu tel et puni par la loi
s qu'à un homme sain d'esprit. Il me paraîtrait suffisant en pareil cas de communiquer au malade qu'il a été reconnu irre
ile, elle se suicida sur une ligne de chemin de fer. Ainsi, dans ce cas , le rapport d'un juge de paix, jeune et inexpéri-
isée par l'absence du contrôle de l'activité émotionnelle. Tous les cas de folie que l'auteur a constaté chez les imbécil
roportion de la para- lysie générale n'est que de 2 à 3 p. 100. Les cas de l'idéation sont de beaucoup les plus nombreu
l n'est pas ordinairement de longue durée ; dans 60 à 70 p. 100 des cas , il a disparu au bout de deux ou trois mois. Ma
s présentent le même type que l'attaque initiale. Dans un tiers des cas environ, la première attaque ne gué- rit pas et
n ; elle ne représente guère que 10 à 15 p. 100 du nombre total des cas ; ici encore la manie est la forme la plus commu
émence secondaire est la terminaison ordinaire d'un grand nombre de cas de ce genre. La paralysie générale, comme on l'a
t attribuer à la tricho- tillomanie d'origine physique que dans les cas où on ne lui trouve aucune 'explication physiqu
trouve aucune 'explication physique. 2. Elle n'existe que dans les cas de démence avérée, quelle qu'en soit la cause,
ment, donne au pourcentage de 0,0025 ou 2 5/8 p. 10000. Dans trente cas (17 hommes et 13 femmes) l'acte a été commis av
e ayant des idées de suicide, et il y avait eu négli- gence dans 51 cas (27 hommes et 24- femmes). Dans 18 cas, z (10 h
vait eu négli- gence dans 51 cas (27 hommes et 24- femmes). Dans 18 cas , z (10 hommes et 8 femmes) ces tendances étaien
I. La possibilité d'assurer des moyens appropriés de traitement aux cas de début et aux cas passagers de maladies mentale
assurer des moyens appropriés de traitement aux cas de début et aux cas passagers de maladies mentales dans les hôpitau
saires pour traiter convena- blement dans les hôpitaux généraux les cas de folie au début, et les cas de folie légère o
lement dans les hôpitaux généraux les cas de folie au début, et les cas de folie légère ou transitoire ? La réponse est é
ésirable de remédier à cet état de choses ? Evidemment oui, car les cas de début sont ceux où le traitement est le plus
es ces changements seraient peu importants. 8° Le traitement de ces cas d'aliénation ne risque- rait-il pas de troubler
lades ? Cet inconvé- nient n'existera pas, si l'on choisit bien les cas , auquel le traite- ment hospitalier est appropr
utiles ? On peut répondre affirmativement pour un grand nombre de cas ; les autres resteront justiciables de l'asile. 12
ettre que le système nouveau contribuerait à diminuer le nombre des cas de folie. 15° Pourquoi les salles d'aliénés dans
t inslnl- lées ? Tout simplement parce que au lieu d'y recevoir des cas de dé- .but, on y recevait les malades les plus
s'occuper activement des malades ; c, un asile .ordinaire pour les cas chroniques ; - d, un système de pension au -deh
entre dans sa cinquante-deuxième année d'existence. ' .. ' " Deux cas de délire de médillmnilé. , MM. Sollier et BOIS
de délire mystique d'une couleur particulière comme dans le premier cas . Il peut être une étape, une épisode dans un état
e étape, une épisode dans un état mental grave comme dans le second cas . Il permet d'attirer l'at- tention sur les dang
alysie faciale dans l'érysipèle. MM. Gnnmra et P. Thaon relatent un cas de paralysie faciale périphérique droite surven
eux de la région par les toxines de l'érysipèle. M. IIusr cite un cas analogue avec oedème du côté paralysé. Un cas d
e. M. IIusr cite un cas analogue avec oedème du côté paralysé. Un cas de névrite du plexus brachial suivi d'autopsie.
névrite du plexus brachial suivi d'autopsie. M. TAYLOR rapporte le cas d'une vieille femme ayant présenté une névrite
sie faciale périphérique. M. Cestak montre les photographies d'un cas du phénomène palpébral de la paralysie faciale
ieurs sont seuls atteints dans les névrites sulfocarbonées; dans ce cas , lee mem- bres supérieurs ont également été tou
ment beaucoup plus (vingt-deux ans, trente-quatre ans dans certains cas ! ), pendant laquelle le malade perd la notion
ené une amélioration. . MM. GOLSTEIN et Marinesco communiquent un cas d'hémiplégie gauche produite par une tumeur de
l'os. , Dysantigraphie. M. Raymond communique sous ce vocable le cas d'un médecin qui peut écrire spontanément et so
serait comparable à la claudication intermittente. Soixante-cinq cas de pseudo-oedème catatonique observés à l'asile ?
ion au dos du pied, l'élasticité, l'absence de godet, sauf dans les cas très intenses (et alors il est peu persistant et
on consécutive,lente à se produire), la cyanose (dans la moitié des cas et qui seulement 22 fois, s'accompagne de refroid
plus avancé dans la lec- ture des chiffres. Comme chez le premier cas on ne peut conclure à une lésion en foyer; il f
stic du lues cérébral trop géné- ralisé et aurait voulu que de tels cas soyent plus limités du côté clinique, ainsi que
igne la nécessité d'un traitement spécifique plus prolongé pour les cas qui paraissent parfois ne pas se soumettre au t
nostic. W. P. SERBSKY doute de l'existence du lues cérébral dans le cas donné, vu l'absence complète des indications su
nstamment une significa- tion diagnostique particulière suivant les cas . L'existence même des idées hypochondriaques de
égénérescence humaine. Il a aussi insisté sur l'accroisse- ment des cas d'aliénation mentale causés par l'abus des boisso
eurs. Je désire, dans ma leçon d'aujourd'hui, étudier o,o 'VU" le cas d'une pauvre femme de cinquante ans, atteinte d'u
gue agonie précédée d'atroces souffrances. Il s'agit en un mot d'un cas de cancer; c'est vous dire le terrible pronosti
ut-être se donner la possibilité de l'enrayer ; c'est dans tous les cas , établir un diagnostic précis, et d'emblée être
ment carcinomateux. Et lorsque j'aurai établi les particularités du cas soumis à votre examen, j'en prendrai prétexte p
ra- lysie totale, mais incomplète, comme c'est de règle en pareil cas ; vous le verrez tout à l'heure lorsque nous abor
ssements des plexus. Contrairement à ce que nous observons dans les cas de paralysies radiculaires classiques, par arra
tout, où l'atteinte de l'os coxal n'est pas évidente. En tous les cas , cette lésion est peu accusée et ne va pas jusq
quelques points, ce sont des faits relativement récents, en tous cas bien postérieurs en date à la compression du plex
disais en commen- çant, absolument désarmés, 'et c'est un des rares cas où le mé- decin consciencieux est véritablement
. 282 CLINIQUE NERVEUSE. . Messieurs, vous avez vu que, dans le cas qui vient de pas- ser devant vos yeux, j'ai con
roncs nerveux sont réunis pour former les plexus. Est-ce bien là le cas le plus commun ? Assurément non, et les cas de
exus. Est-ce bien là le cas le plus commun ? Assurément non, et les cas de compression médullaire, de paraplégie doulou
ujet, mais pas au point qu'on en puisse faire la part dans tous les cas et nous devons distinguer nette- ment les accid
immédiate avec une tumeur quelconque : « Nous ne connaissons aucun cas où « une métastase se soit faite directement ou
eur volumi- neuse est un phénomène bien plus fréquent. Le premier cas dont je vous ai entretenu, rentrait dans cette
ncéreuses inlramédiastinales est la plus habituelle. Tels sont : le cas de Lancereaux où cette lésion avait été réalisé
ux où cette lésion avait été réalisée par un cancer du poumon, le cas de Lenoble où le nerf phrénique était engainé dan
de l'économie, Monsseaux a relevé dans sa thèse, un petit nombre de cas , ceux de Doyen, de Reboul, d'Oiryoùles nerfs mé
rie domaine du plexus voisin. Les cancers du poumon, comme dans un cas de Béhier, pourront également dès le début de l
ous édifier vous présenter les figures suivantes se rapportant à un cas du service, présenté par Oberthûr à la Société
ant, la sclérose des nerfs ainsi enserrés peut devenir complète. Un cas de Jacobsohn où presque 'tous les nerfs du plex
stic avec les lésions intrarachidiennes est difficile dans bien des cas , d'autant mieux que la prise du squelette verté
que la prise du squelette vertébral est presque constante dans les cas jus- qu'ici publiés. Les irradiations doulour
sclérose du nerf ainsi englobé. C'est ainsi que l'on a rapporté des cas d'atteintes de la bran- che sous-orllitaire du
f facial dans l'aqueduc de Fallope. - Vous comprenez que dans des cas semblables, le diagnos- tic peut devenir des pl
e est la doctrine classique, et, certes elle répond à bon nombre de cas dans la pratique. Cependant le corps vertébral,
des lésions très différentes. Que se passe-t-il donc dans bien des cas de carcinome et .comment les phénomènes nerveux
céphalo-rachidien ? ° ? Ainsi dune il se pourrait que dans bien des cas , l'invasion méningée radiculaire précédât l'inv
généralisation pleura-pulmonaire et médiastinale, et, dans tous les cas , la chaîne ganglionnaire et lymphatique prévert
stème osseux d'abord au niveau des pédicules ne serait dans de tels cas que secondaire et contingente. La généralisatio
t le long des racines et même a l'intérieur de celles-ci. Dans un cas du service, qui fut d'ailleurs le point de dépa
nes en des points très éloignés les uns des autres. De semblables cas de pénétration du cancer par les trous de conju
Bruns, l'autre à Lilienfeld et Benda. Il s'agissait dans ces deux cas d'une pachyméningite Pli, 13. - Schéma montrant
ême, dans cet amphithéâtre, j'ai eu l'occasion de vous présenter un cas dans lequel il était aisé de suivre la succes-
mortem des lésions aussi limitées que celles qui existaient dans le cas que je vous ai rapporté tout à l'heure. L'env
ne donnent que des résultats peu encourageants. Peut-être, dans des cas déterminés, des injections epidurales ou sous-a
icat, ainsi que de curabilité à peu près complète. . En effet les cas de paralysie saturnine ne frappant qu'un petit
t un des moins communs, . puisque Remake dans une statistique de 98 cas n'en a noté que 20 qui rentrent dans cette caté
t particulièrement étudié la question, citons Romak qui rapporte un cas d'amyo- trophie exclusivement limitée aux muscl
xclusivement limitée aux muscles du pouce et plus tard trois autres cas où l'éminence Sthénar et les interos- seux étai
onçoit-on la variabilité du tableau clinique : on a même publié des cas de paralysie limitée au seul deltoïde, au long
E. 31 t étudie d'autre part les névrites diabétiques circonscrites ( cas de Ziemssen localisé dans le domaine du nerf cu
nscrites (cas de Ziemssen localisé dans le domaine du nerf cubital, cas de Bernard et Féré limité à la sphère du péroni
erf cubital, cas de Bernard et Féré limité à la sphère du péronier, cas d'Al- thaus localisé au nerf circonflexe). Le m
Si ce dernier est en général aisé à formuler, il est-néanmoins des cas où un examen sérieux peut seul le déceler. C'es
L ARAN-DUCHENNE. 315 Duchenne 1 avait cru devoir invoquer, dans des cas sem- blables, l'action de la compression par l'
e fonda- mentale réside dans l'imprégnation plombique. Dans notre cas enfin, comme il est classique de le cons- tater
e G75. Edition de 1872. 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XIX. Un cas de chorée de Huntington, suivie d'autopsie; par
6 juillet 1902). MM. Rénon et Heitz ont eu l'eccasion d'observer un cas de frac- ture spontanée chez une vieille syring
yer ait.suppuré, mais la chose reste possible. Dans la majorité des cas , la consolidation se produit par un cal toujours
ations médullaires. N'a-t-on pas le droit d'admettre l'existence de cas de lèpre à loca- lisation médullaire et à manif
un moment donné des crises d'éclampsie. Heile a étudié récemment le cas d'une femme enceinte, ayant subi l'extirpation
t fonctionnellement associées. Cette opinion permet de penser qu'en cas de crises d'éclampsie, chez une femme enceinte
cérébelleux a donc été la conséquence d'une mala- die du bulbe. Les cas analogues sont très rares et dans les recher- c
- ches auxquelles s'est livré l'auteur, il n'a pu trouver que trois cas semblables; deux cas rapportés par Nothnagel (u
st livré l'auteur, il n'a pu trouver que trois cas semblables; deux cas rapportés par Nothnagel (un de Leyden et un de
x cas rapportés par Nothnagel (un de Leyden et un de Proust), et un cas de Senator cité par Grasset. Dans cette étude,
ociété des sciences médicales de Lyon, 16 avril 1902). L'intérêt du cas présenté par M. Duplant réside dans la coïnci-
culaire et du syndrome basedowien. L'auteur essaye d'interpréter ce cas ; deux hypothèses sont en présence. Ou l'oenoph
'enophtalmie sans aucune rela- 1 tion entre eux. -Dans le premier cas il faudrait admettre que l'excitation du sympat
que pose M. Duplant, tout en faisant cette restriction que dans son cas la paralysie ne porterait que sur les fibres at
ébral, un cortical et en précisant un hystérique. C'est pour eux un cas d'aboulie hystérique simulant la maladie de Tho
ment les formes aiguës de la myélite. Au point de vue théorique le cas de l'auteur ne confirme pas les données physiol
i- rante ne constituent des entités cliniques. Dans l'un et l'autre cas , il s'agit, croit-il, de délire survenant seule
n, on aurait pu le rapprocher de la folie brightique. Dans les deux cas , ces délires ont eu la physionomie du délire RE
nanition et mourut d'urémie. L'auteur, se basant sur ces différents cas qui sont tous impu- tables, croit-il, à un oedè
. XXXIV. Liquide céphalo-rachidien et méningite chronique dans un cas de maladie de Friedreich ; par MM. BARJON et Cadk
s. Au point de vue étiologique, absence de rhumatisme dans les deux cas , et présence d'un nervosisme antérieur très marqu
ubles vaso-moteurs, si fréquents en général, manquent dans les deux cas . G. C. XXXVI. Un cas de tétanie d'origine gastr
fréquents en général, manquent dans les deux cas. G. C. XXXVI. Un cas de tétanie d'origine gastrique ; par MM. Barjon e
e circulaire et non une psy- chose hystérique. L'hystérie en tout cas , d'après MM. Nissl et Kraepelin, c'est une affe
'en 1901. P. Keraval. XLV111. Psychose hallucinatoire aiguë dans un cas d'empoisonne- ment par l'atropine ; par M1110 W
passifs. 2° Même au début de la maladie, il y a, dans 70 p. 100 des cas envirou, dans le sérum sanguin, un ag ! ! lutin
re spécial à un streptocoque court, qui a été isolé du sang dans un cas de kata- tonie. 3° En infectant des lapins, soi
de ce résultat. · Il. DE 11USi : R.I'L-CLAY. Lllt.Note sur trois cas de folie d'origine toxique; par Emc M. Thom- so
n. (The Journal of Mental Science, juillet 1903.) Le premier de ces cas montre une connexité remarquable entre les hall
plus graves que dans l'Inde anglaise, et qu'il donne lieu à plus de cas d'aliénation mentale et à plus de crimes. II. D
Dans un précédent travail, l'auteur a démontré que, dans tous les cas de manie aiguë, il existe une leucocytose qui per
tose était tombée à 13.000 par millimètre cube, tandis que dans les cas de guérisou définitive, elle se maintient aux e
avec ceux de la manie des adultes. IL DE Musgrave-Clay. LVI. Douze cas de « Maladie de Korsakow » chez des femmes; par
la constituent se rencontrent dans un nombre assez considérable de cas de folie alcoolique chronique. L'auteur, après
e maladie, qu'il fait suivre de quelques remarques. Dans dix de ces cas , sinon dans les douze, la polyné- vrite existai
ces cas, sinon dans les douze, la polyné- vrite existait; dans dix cas aussi, l'alcoolisme était certain, et dans les
sur la pathogénie des symp- tômes. Il. de Musgrave-Clay. Lïll. Un cas de cysticerque du cerveau ayant causé la folie; p
oure les reins. L'auteur termine son travail par l'observation d'un cas analogue qui lui a été communiqué parle le Dl'
Dl' Conry, de la colonie du Cap. It. DE jIUSGIiAVE-CL.1T. LVIII. Un cas d'anévrysme; par Robert Pucn. (The Journal of -
succomba à la rupture dans la trachée d'un anévrysme de l'aorte. Ce cas est remarquable par l'absence de tout signe phy
utif à des pratiques spirites. M. DUHEM rapporte l'observation d'un cas de délire consécutif à des pratiques spirites.
de mégalomanie ? phase mixte intermédiaire (ou d'emblée en certains cas ). ' D'autres réalisent des délires mélancolique
n est de même dans l'hémianesthésie organique comme l'a montré un cas d'hémianesthésie absolue, due à la compression qu
antérieur de la moelle. 11 ? DÉJERINE, au moyen de très nombreux cas de lésions corti- cales avec pièces, préparatio
lus ou moins et perdant la réalité des faits. M. GRENET présente un cas de cyphose avec ankylose partielle du rachis, a
atrophie des muscles spinaux. L'émission des rayons N'dans quelques cas pathologiques. MM. Gilbert Ballet et DLÜEIt31.
fai- blie au deltoïde. L'émission des rayons N paraît donc, dans ce cas , directement proportionnelle au degré d'atrophi
ctement proportionnelle au degré d'atrophie, musculaire. Dans trois cas de névrite (polynévrite toxique, névrite saturnin
moteur périphérique. Les auteurs ont constaté le contraire dans des cas d'altération du protoneurone moteur. Dans les h
ée, soulage toujours, guérit souvent et ne nuit jamais. Témoins les cas suivants guéris par la suggestion hypnotique et
lcooliques, 27 choréiques, 29 dysménorrhées, 30 neurasthéniques, 95 cas de crises hystéri- ques, 22 d'incontinence d'ur
névralgie ou migraine, 52 de paralysies diverses, et, en outre, des cas d'oedème hystérique, de diarrhée chronique, de
ons marquantes de mutisme, de paralysie et de chorée; dans tous ces cas , la suggestion hypno- tique amène la guérison c
écifique, par exemple, est suivi avec une grande docilité. , - Un cas de mutisme prolongé. M. Berillon. - Je vous pré
a simplement fait avec lui-même le pacte de ne plus parler. En tout cas ce fait soulève une question importante de mé-
tisme ne sera-t-il pas interprété en faveur de sa culpabilité ? Des cas analogues se sont rencontrés dans les Annales j
sidérations pathologiques sur certaines monstruosités à propos d'un cas de monstre anencéphale. 2° En 1903 : Ch. Dopt
ature auto-toxique. - Laignel-l.avastine. Cytologie ner- veuse d'un cas de tétanos.- A. Zinno. Les lésions de centres ner
E MENTALE. Il convient cependant de reconnaître que dans certains cas , ces troubles psychiques forment un ensemble tel
t rencontrer dans d'autres circonstances, par exemple dans certains cas d'in- toxication alcoolique subaiguë. J'accor
ière j'ai insisté sur la valeur de cette constatation qui, dans des cas très difficiles, dissipait les doutes et nous p
lications,'de dire que la lymphocytose ne pouvait pas dans tous les cas avoir raison des incertitudes et permettre d'af
ent de l'entrée des malades et par conséquent, dans la majorité des cas , dans la première période de la paralysie génér
re. Nous l'avons trouvée 144 fois sur nos 227 malades. A ces '144 cas d'inégalité pupillaire nous devons ajouter les
ns noté 199 fois des modifications des dimensions de l'iris sur 227 cas , soit plus de 87 p. 100. Ce chiffre de 87 p. 10
e de paralysie ou de parésie du réflexe lumineux et dans ces deux cas nous avons vu par la suite la parésie d'abord, pu
eure à l'établissement du signe d'Argyll dont, dans laplupart des cas , elle est en quelque sorte le signe précurseur et
ion puis l'ouverture brusque des paupières; mais il importe dans ce cas de ne pas se placer devant le malade qui, aussi
es lumineux ne sont plus affaiblis, mais tout à fait normaux. Ces cas de rémission des symptômes oculaires sont peu f
sur le giand nombre de malades que nous avons examinés, à part deux cas restés douteux à cause des difficultés d'examen
lexe accommodateur ; c'est là le signe d'Argyll-Roberston. Dans des cas peu nombreux on peut, après la perte du réflexe
ressive » parce que cliniquement dans la très grande ma- jorité des cas , le réflexe lumineux est seul atteint. Bien peu
e rapportées à d'autres causes que l'affection qui nous occupe, les cas de strabisme fonctionnel- par exemple. Nous avo
décrit pas chez ses malades de lésions du fond de l'oeil, sauf des cas très exceptionnels. M. Ballet, sur 37 malades n
ès de Grenoble MM. Keraval et Raviart. Nous n'avons en effet que 27 cas de lésions du fond de l'oeil chez nos 227 malad
es 16 étaient concomitantes de lésions de la musculature externe, 6 cas seulement en étaient indemnes. Quand à leur asp
la valeur. Nous dirons pour notre part, que, abstraction faite des cas où les trou- bles mentaux rendent cet examen im
ous, d'esquisser rapidement dans leurs grandes lignes deux ou trois cas pris au hasard parmi les nombreux sujets que no
examiner, avaient une tendance marquée à l'érotisme. Tel était le cas , par exemple, d'une dégénérée impulsive P... en
à fait, de notre part, l'objet d'une étude spéciale. L'analyse d'un cas instructif pour la connais- sance de la jeuness
été donné très souvent de faire cette constatation. Dans certains cas de fatigue et de satiété la musique facilite le r
atiété la musique facilite le rapproche- ment sexuel. Dans certains cas pathologiques les rapports génitaux ne peuvent
avail musculaire. Dans ce der- 3Î7 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. nier cas , comme après une longue marche ou dans un exer-
fluence de la musique sur le rapprochement génital. Dans certains cas pathologiques, les rapports ne peuvent avoir lieu
moteur, plus ou moins développée et accentuée selon les différents cas . Les sens provocateurs des excitations génésiqu
ès M. Duplant l'intégrité des muscles dans le plus grand nombre des cas . La réaction n'est pas due à l'excitation des f
nous borner à retenir quel- ques conclusions : l'auteur divisé ses cas en deux classes, la pre- mière qui comprend le
c'est qu'il convient de ne pas rapprocher comme semblables tous les cas de chromatolyse cen- trale avec déplacement du
II. Observations bactériologiques et cliniques sur le sang dans les cas de manie aiguë continue; par Lewis C. BRUCE ( 7'A
ares. Les auteurs de l'article ont eu l'occasion d'en observer deux cas à l'hôpital Lariboisière. Le premier concerne u
issant un état de la peau qui rappelle la sclérodermie. Le second cas se rapporte à une femme de soixante-cinq ans, a
s aient pénétré dans le protoplasma de la cellule nerveuse; mais le cas est suraigu. la mort est survenue cinq jours ap
u des premières petites mo- laires. Il, DE MUSGRA'E-CHY. LXIV. Un cas d'anévrisme thoracique ayant simulé une tumeur
e avec démence très accusée. Un des points les plus curieux de ce cas était une extrême distension des veines superfici
u médiastin et de ses gan- glions. R. DE l\1uSGHAVE-CLAY. LXV. Un cas de cyticerque du cerveau; par W.-C. SULLIVAN. (Th
oli2em. R. DE M-C. LXVI. Les altérations du système nerveux dans un cas de poren- céphalie ; par J.-O. WAKELIN BARRATT.
eproduisons le résumé de l'auteur. lous les faits constatés dans ce cas indiquent comme cause de la porencéphalie une e
t dues à la dégénération rétrograde. L'atrophie musculaire dans les cas aigus dépend vrai- semblablement de l'ischémie
de l'ischémie produite par un spasme vasculaire prolongé; dans les cas chroniques, de troubles trophiques com- plexes
intérêt. ' R. ni.-C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 391 XXXIX. Un cas d'état de mal compliqué de scarlatine; par George
D'autre part la durée de la névrite a été plus longue que dans les cas post-épileptiques. Il semble donc bien que ce s
é- ment à la névrite multiple, peut également s'observer dans des cas où l'alcoolisme n'est pas en jeu, mais où l'on ob
retentit profon- dement sur un système nerveux prédisposé. Dans le cas de l'au- 392 REVUE DE PA'lHOLOGIE NERVEUSE. t
osmotique du liquide rachidien est mo- difiée. Dans 88 p. 100 des cas observés par les auteurs, le procédé a donné de
it une griffe cubitale chez les verriers; M. Laurençon a publié des cas de cette nature avec bourse séreuse au niveau -du
n devient presque toujours hypotonique avec = 055 à 0018, Dans le cas des auteurs A - - 0 ? 1. 3° Sèro-agglulination
ntérêt médi- co-légal de la filiation des accidents. " G. C. Deux cas de nanisme achondroplasique chez le frère et la
sont très courts. Au point de vue du diagnostic, dit l'auteur, les cas de nanisme peuvent se ranger dans trois catégor
dans l'évolution du squelette des enfants. G. Carrier. XXXXVI. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique
MM. LAKxots et l'onor (Lyon médical, n° 43, 26 octobre 1902).. Le cas rapporté par MM. Lannois et Porot semble venir à
r. C'est cette dernière théorie que ' les auteurs appliquent à leur cas . G. Carrier. XXXXVII. Formes sévères de l'aérop
otrice. M. Bouveret fait remarquer l'utilité de rechercher dans les cas de vomissements nerveux ou d'accès d'angor vaso
d'angor vaso-motrice si l'aéro- phagie n'est pas en cause. Dans ces cas , comme l'accès d'aéropha- gie survient le plus
ral de l'hystérie ou de là neurasthénie. G. Carrier. XXXXVIII. Un cas d'hémiplégie passagère causée par un courant in
al, Lyon, avril 1901, p. 157-f 77). MM. Bondet et Piéry publient un cas d'hémiplégie passagère causée par un courant in
une lésion organique et 1'liysLéro-trauinaisme. Il s'agit, dans ce cas : i, d'ac- cident nerveux spéciaux sans substra
. de la Soc. deméd. ment, de Belgique, 1903, n° 112). LXI. Sur un cas de tabès compliqué de mouvements choréiques et
était venue compliquer le tabes. Il s'est donc agi, en somme, d'un cas de tabo-paralysie générale. G. D. LXII. Note
mme, d'un cas de tabo-paralysie générale. G. D. LXII. Note sur un cas de maladie de Graves avec manie ; par J.-P. Gri
t la dernière semaine. ' - - . R. de 1\IUSGIU YE-CL\ y, LXIII. Un cas de double conscience; par Albert WiLsox. (The J
i- tion antérieure avait fini. R. de nIGSGR,1VE-CLAI'. LX1V. Deux cas de chirurgie abdominale chez des aliénés pour d
urgie abdominale chez des aliénés. 0 R. M.-C. LXV. Notes sur deux cas propres à démontrer la différence qui existe en
es de remarques à l'appui de la thèse soutenue. R. M -C. LXVI. Un cas de chorée et de grossesse avec aliénation mentale
de mélancolie avec eczéma généralisé (guérison). Enfin le quatrième cas est un cas de mélancolie sénile, chez une femme
avec eczéma généralisé (guérison). Enfin le quatrième cas est un cas de mélancolie sénile, chez une femme, avec infilt
tion pathologique, mais.il est fort diflicile d'y faire rentrer les cas particuliers. L'auteur pense que l'on arrivera
suivre de quelques explica- tions. Il. de Musgrave-Clay. L'il. Un cas d'hébéphrénie ; par W.-R. Dawson. (The Journal of
parait incontestable- ment être atteint d'hébéphrénie, bien que le cas ne soit pas assez ancien pour que l'on ait pu c
ALE. 403 sur les mots. Enfin on peut se demander quel est, dans ces cas , le rôle delà masturbation. Bien qu'il soit évi
e mentale, il ne parait pas y avoir de raisons suffisantes, dans le cas qui nous occupe, pour lui attribuer une autre v
être fonctionnel ou organique, et c'est seule- ment dans ce dernier cas qu'il appartiendrait à la démence. G. DENY :
insuffisante mention. R. DE i\IUSGRAVE-CLr. LXXIV. Observation d'un cas de tétanos consécutif à la vaccina- tion ; par
, et la petite malade a guéri. L'antitoxine paraît avoir eu dans ce cas une action spécifique très nette. La vaccination
e. C'est par un heureux hasard qu'ils n'ont tué personne. Aucun des cas observés par l'auteur ne le conduit à admettre
a folie. J'irai plus loin et je dirai que la plus grande partie des cas de folie ne sont pas du tout, primitivement, de
vées ? 1° En considérant la pathologie générale et l'étiologie d'un cas de maladie mentale, il ne faut pas perdre de vu
s mentaux le caractère d'un" âge ou d'un autre. 7° Dans beaucoup de cas , la maladie mentale n'est que l'évolution gradu
pour considérable, paraissent bien suffire à déterminer beaucoup de cas de folie, sans l'intervention des toxines, qui
folie, sans l'intervention des toxines, qui ne seraient ici en tout cas qu'un phénomène secondaire et une résultante. 9
'est-ce pas une manière de voir plus scientifique, dans beaucoup de cas de folie, d'admettre que le fait primordial est
ce se réduit à ceci : M. Clouston n'admet pas qu'il y ait autant de cas de folie associés à la toxémie que le pensent p
les médico-psychologiques, août t f 903). ' E. B. LXXXV. Sur deux cas de folie du doute avec délire du toucher ; par
mine le délire du toucher, chez l'autre la folie du doute. Ces deux cas contribuent à confirmer l'opinion actuelle qui fa
n'y a pas, actuellement, de base suffisante pour élever cer- tains cas de maladie récidivante en une entité morbide, la
ie récidivante en une entité morbide, la psy- chose périodique, les cas de mélancolie périodique coïncidant par- faitem
les cas de mélancolie périodique coïncidant par- faitement avec les cas de mélancolie récidivante à accès fré- quents.
s de mélancolie récidivante à accès fré- quents. 3° Dans certains cas de mélancolie récidivante peut survenir, après
stic de mélancolie récidivante en nous montrant la pos- sibilité de cas transitoires entre le groupe de la démence précoc
nce précoce et celui des psychoses récidivantes. 4° Dans quelques cas , la mélancolie se développe sur un terrain déjà
ré. M. Féré a observé le fou rire comme premier symptôme dans des cas de chorée dont il rapporte l'observation. Il l'a
redevint normale et les douleurs disparurent. L'essentiel dans ces cas est d'inciser la dure-mère ; les simples ponction
astomose des vaisseaux profonds avec les vaisseaux superficiels. Le cas de l'auteur est très favorable. G. C. REVUE D
JERT (Lyon médical, la décembre 1901, p. 829.) . A propos de deux cas de tétanos terminés par la guérison, M. Géliber
hes semblables ont été faites en Allemagne parSieber. Dans les deux cas qu'il publie, l'auteur s'est servi d'une solution
commencé à diminuer à la fin du second jour 1 de traitement dans un cas , à la fin du troisième jour dans l'autre. i Leu
ls existaient déjà antérieurement. Notre statistique portant sur 45 cas ne confirme nullement ces propositions. Pour ce
ralement de plusieurs années, les douleurs ont paru dans cer- tains cas , 9, 10, 12 ans avant la cécité, 11, 14, 26 ans ap
valle est généralement de plusieurs aminées (jusqu'à 31 ans dans un cas ! ). La cécité tardive n'a sur les troubles ata
es tabétiques vulgaires, non amau- rotiques ; et même dans nos deux cas il s'agissait peut-être simplement de paraparés
t des particula- rités qu'il n'est pas habituel d'observer dans les cas de ce genre. Les auteurs insistent surtout sur
idal et la voie sensitive. Préparations de muscles provenant d'un cas de maladie de Pa1'lânon. M. JDELSOHN (de Riga
le liquide céphalo-rachidien. Par exemple, on l'a trouvé dans des cas d'hémorragie cérébrale, tabes (dix fois sur douze
ns l'hystérie, dans la syphilis secondaire, ainsi que dans quelques cas où il n'y avait aucun signe de dégénération nerve
uivies de divers côtés; mais il remarque que, malheu- reusement les cas de Bicêtre qui en ont été les sujets sont de vieu
e- même au besoin qui la poussait irrésistiblement à danser. ' Un cas d'écriture automatique. M. BERILLON. Le sujet d
sma nerveux dont l'abondance exceptionnelle et cons- tante dans les cas de delirium tremens constitue une lésion bien s
leur épuisement com- plet. Le coma et la mort surviennent dans ces cas par véritable insuffisance nerveuse. XIII. L'
cohérence est réelle, et présente un caractère particulier à chaque cas . En obser- vant de près la conversation de ces
ont fourni les professeurs, les agrégés ou les chargés de cours. En cas d'absence, le président est remplacé par un aut
uin 1904. ' N° 102. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Un cas de forme fruste de démence précoce 1. Par René
r. 11 est probable que le délire ou du moins la période de trou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 435 bles me
l n'en a retenu que le titre ; on le prie d'écrire et il écrit : UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 437 Î C'est
enues ses affaires, il craignait en rentrant à Paris, de ne pou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 439 voir se
ne façon vraiment objective les émotions d'un malade, sauf dans les cas extrêmes. Je n'ai pas eu l'occasion d'observer
cité et de son aboulie. Nous avons vu les craintes d'empoisonne- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 4L t ment q
moment où il écrivait chacun de ces mots. Je les lui lis les uns UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 44l après l
e volontairement ou qu'on le force à les évo- quer. Dans ce dernier cas il ne semble pas avoir de troubles du souvenir
pidement. Il s'agit, en résumé, d'un trouble de l'activité spon- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 445 tanée d
tourner voir. - \1 faut distinguer dans l'étude de l'attention deux cas ,'suivant que les procédés d'étude n'exigent l'i
tervention que de facultés 11lpn'a ! ps peu complexes ou suivant le cas contraire. Sans doute 'attention ne s'exerce ja
aire l'effort nécessaire pour résumer par écrit, et sans douter' UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 447 tervien
estompés,- qu'il n'était généralement ni triste, ni gai, qui' UN CAS DE FORME FRUSTE DE DEMENCE PRÉCOCE. 449 était l
com- pliquée ; elle est impossible ou presque impossible dans les cas contraires. Aussi, M. N... est-il paresseux, s'ac
avec ce que j'avance ici : il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un cas où sont frappées surtout les manifestations les
dépression ressenti douloureusement par le malade : ce n'est pas le cas de NI N... En présence de l'auto-analyse de M.
en spectateur à sa propre déchéance, mais en spectateur indif- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 451 férent,
ME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 451 férent, ce qui est loin d'être le cas du neurasthénique qui s'analyse sans cesse, rec
e fonctionnel congénital des facultés mentales. Or, ce n'est pas le cas ici; il n'y a rien de commun entre un délire à
sure le cadre de la démence précoce, je n'hésite pas à voir dans ce cas une forme fruste de cette affection. Sans doute
ainsi parce que le malade a perdu toute activité, toute plas- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 453 ticité
uelques phénomènes stéréotypés. Aschaffenburg 1 a déjà relaté des cas de ces formes frutes de démence précoce. Il a m
es formes frutes de démence précoce. Il a montré que, dans certains cas où le malade avait été considéré comme guéri, l
moignait auparavant d'une intelligence plus développée, et c'est le cas de M. N... Ces observations prouvent d'ail- leu
temps les malades avant d'affirmer la guérison complète de certains cas dé démence précoce; peut-être un examen attenti
; peut-être un examen attentif permettrait-il de dépister, dans ces cas , des signes de déficience intellec- tuelle anal
HURG. Die Kalalonief ravage. 411,q. Zeilschr. f. psych, no 54. UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 455 un amoi
ux questions d'un examen très superficiel; mais il importe dans ces cas d'étudier avec soin les désirs, les émotions, l
iliales, les asiles-colonies peuvent rendre de grands services. Les cas ne sont pas rares de ces démences précoces qui
anifestent avec une certaine tenacité et peuvent même dans certains cas simuler un délire de persécution systématisé. »
juillet 1899), donne à l'appui de cette thèse une statistique de 59 cas de paralysie générale, avec idées de persécutio
ntion. Nous ne croyons pas que l'alcoolisme soit capable à lui UN CAS DE DELIRIUM TREMENS. 465 seul d'expliquer ces p
le soin d'en expliquer la véritable origine. RECUEIL DE FAITS. Un cas de delirium tremens au cours d'une hallucinose
roubles sensoriels, de les systématiser dans la grande majorité des cas , et, par ses idées de persé- cution, arrive fin
s et physiques de ces deux, psychoses alcooliques, on est con- UN CAS DE DELIRIUM TREMENS. 467 duit à admettre que la
aît pas tou- jours être confirmée par la clinique. En effet, sur 12 cas d'hallucinose auditive, nous en avons eu- plusi
e forme à l'autre serait rare, puisque Bonhoffer dit en avoir vu un cas . Il est de règle que le même individu récidive
tre, M. le professeur. Weber, d'avoir attiré notre attention sur un cas aussi rare et de nous avoir autorisé sa publica
le à la douleur, « tellement, dit-elle, elle était effrayée ». UN CAS DE DELIRIUM TREMENS. 469 Vers 10 heures du mati
nts de cuir, on est obligé d'employer la camisole. Elle fut dans ce cas directe- ment salutaire. C'est à dessein que no
12 lé- vrier, tout cet échafaudage s'est effondré, et Mme C... UN CAS DE DELIRIUM TREMENS. q ï'1 taxe elle-même de «
d'une affection psychique plus intense (nous supposons que c'est le cas pour le delirium tremens), puisse dans un très
. Les observations de l'auteur qui portent sur un grand nombre de cas , viennent à l'appui de cette manière de voir, la
est pas du tout un cylin- draxe, mais bien une dendrite qui dans ce cas unique, présente toutes les particularités anat
rtaines délicatesses de structure. R. DE MUSGW1VE-CLaY. LXXIX. Un cas de tumeur cérébrale compliqué de folie confusion-
oïdal. Cette tumeur était probable- ment de nature sarcomateuse. Le cas de cette malade montre bien les difficultés qui
développement. Les recherches statistiques démontrent que dans les cas de tumeur cérébrale, les troubles mentaux ou inte
troubles mentaux ou intellectuels. se rencontrent dans la moitié de cas , le délire une fois sur douze, et la folie très
e une lésion irritative ou une lésion de décharge, elle est en tout cas chronique ; et, que nous consi- dérions les déc
traitement curatif sur lequel on peut compter, aussi bien dans les cas récents ou bénins que dans, les cas graves ou inv
ut compter, aussi bien dans les cas récents ou bénins que dans, les cas graves ou invétérés, si on le pratique avec une
'intensité sera de 40 m A au moins et pourra s'éle- ver suivant les cas jusqu'à 50, 60, 70 m A et même plus, pendant un
ment qui doit être de dix, vingt, trente jours de suite suivant les cas , alors même qu'une amélioration notable se serait
pplication. 7° Le pôle actif sera de préférence le pôle positif; en cas d'in- succès on devra employer le pôle négatif
e la valeur de ce traitement dans les folies chroniques et dans les cas de manie ou de mélancolie à forme homicide. «
maladies médicales. R. de Musgrave-Clay. XVIII. Trépanation dans un cas d'épilepsie, gliome kystique ; par M. LANNOIS (
alisations cérébrales', et cette autre conclusion qu'étant donné un cas d'épi- lepsie jacksonienne, on est autorisé .à
qu'il ne faudra pas trop s'étonner si on ne trouve rien. Dans les cas , où aux convulsions jacksoniennes simples, on voi
lus grandes et l'intervention a plus de chance de réussir. C'est le cas de l'observation présentée par M. Lannois. L'
tion répétée de vésicatoires sur le cuir chevelu. Ces différents cas présentaient les symptômes suivants, relevant '
éphalée, crainte de la lumièi allant jusqu'à la photophobie). Ces cas n'ont jamais présenté les moindres contractures o
t qu'il pr conise dans la période prodromique réussit dans tous les cas où '. méningite tuberculeuse semble exister, on
s pour pouvoir rétrocéder. Ce n'est que l'obser- vation de nombreux cas qui décidera dans quelle mesure on peut compter
é les moyens les plus ' Très Souvent et avec succès ilans nombre de cas , nous faisons des applications répétées de vési
donnons des douches ou pluie, quotienuemeut sur le crâne, dans les cas de ménin- gite ou de méningo-encéphalite chroni
prit est troublé. R. 1L-C. XXII. Remarques sur le traitement des cas aigus ; par R.-R. LI E- PER. (titre Journal of
urnal of Mental Science. Octobre 1903 ) L'auteur rapporte plusieurs cas propres à démontrer, comme il en a le désir, de
e il en a le désir, des difficultés qui entourent le traitement des cas aigus ; souvent on attribue injustement la guér
onc les narcotiques donnent des résultats favorables, dans certains cas et d'une cer- taine manière, ce n'est pas en ag
rarement possible et avec une extrême réserve. Quels sont donc les cas où cette application est légitime, et qu'elle e
est légitime, et qu'elle en sera la forme ? Sur l'appréciation des cas , les opinions varient à l'infini ; sur le mode
ement de l'épilepsie. Elle a été parfaitement tolérée dans tous les cas où il l'a administrée ; elle aurait en outre l'
de consti- pation, et de cette hébétude mentale si commune dans les cas anciens de sédation par les bromures. Il. de MU
paralysie générale. Sur 42 malades traités à l'Asile, il retient 23 cas qui ont été modifiés, améliorés ou transformés. C
halorachidien. Autopsie. MM. SiCARD et Roussy. - Nous rapportons un cas de méningite cérébro-spinale syphilitique, à év
ique avec des doses moyennes de mer- cure, nous montre que dans ces cas de secondarisme précoce du système nerveux, plu
lles. R. et C. insistent, en terminant, sur les signes qui, dans un cas comme celui-là, permettent de distinguer l'acro
uteurs ont fait le dosage de ce sucre un certain nombre de fois (17 cas ) et ont trouvé un chiffre très constant. La teneu
as que le sens stéréognostique soit particulièrement altéré dans ce cas . , Sur un syndrome talamique. MM. Thomas et C
sur deux autres antérieurement présentés par MM. Dyermi et Egger ; cas vérifiés anatomiquement. Les caractéristiques d
ste avec l'exagération des réflexes et on la retrouve dans tous les cas de lésions thalamiques. La cécité et le prono
lytiques généraux. MM. Vigouroux et LuGNEL-LAVASTINE. Dans les deux cas , l'as- pect de la moelle lombaire est identique
s sériées démontre la nature des lésions observées. Dans les deux cas , on voit des lésions du tabes incipiens. De plu
n évolution de méningo-myélite de la région dorsale. Dans l'autre cas , les lésions des cordons antéro-latéraux sont p
fantile. MM. A. TZAR et S.-A.-K. `VILSON présentent les coupes d'un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte av
elle; mais ces altérations paraissaient bien secondaires et en tout cas n'avaient certainement joué qu'un rôle accessoi
s nerveuses et aux lésions médullaires. sociétés savantes. 499 Ce cas démontre nettement la possibilité, jusqu'ici cont
trouve dans la paralysie infantile. Van Gehuchten avait rapporté un cas du même "enre au récent Congrès de Bruxelles. F
seul, ni le meilleur procédé de traitement. Ainsi, j'ai observé le cas suivant. Une jeune fille est isolée et elle guéri
a suggestion hypnotique, laquelle nous a, dans un certain nombre de cas analogues, donné d'excellents résultats. M. LEG
uchkine et S.-A. SOUKHANOFF. - Les rapporteurs ont examiné tous les cas de mélancolie simple et récidivante qui ont été
de la consultation externe). Les rapporteurs n'ont pas délimité les cas avec un seul accès ou avec plusieurs accès, tro
récidivantes ne peut pas encore être bien instituée. Il y avait 278 cas de mélancolie en tout (102 hommes et 176 femmes)
ré plus ou moins grand, a été signalée dans 82 pour 100 de tous les cas . Le premier accès de mélancolie revient chez le
onnante, hystérique, dégénérative. En notant dans leur matériel les cas de mélancolie récidivante, où après deux ou plu
KHANOFF. Séance DU 15 novembre 1902 N -A. ALFÉEVSKY a présenté un cas d'épilepsie de 110aERN11;OP1· (épilepsia parlia
constatée une amélioration plus ou moins marquée à savoir dans les cas où il n'y avait point de tare héréditaire lourde
line, infailliblement liés avec la vie de travail. Dans beaucoup de cas de paranoïa chronique, les hallucinations pâlissa
élément tranquille et commode pour la vie du patronage, excepté les cas avec délire hypochondriaque et avec la peur mor
il avait à sa disposition, dont on aurait pu voir que dans certains cas , pas nombreux il est vrai, l'admission des mala
atteintes de paralysie générale, sont pour la plupart stériles. Les cas , envisagés par certains auteurs, comme paralysi
alysie générale, et cette influence n'est pas égale dans différents cas . Dans le cas du rapporteur, la grossesse dans l
le, et cette influence n'est pas égale dans différents cas. Dans le cas du rapporteur, la grossesse dans la, paralysie gé
vés chez la malade en question. G.-J. PII.IBYTKOFF se souvient d'un cas de couches, observées dans la Clinique des mala
gomme dans la partie supérieure de la cauda equina. Ainsi, dans ce cas , non seulement a été détruite la liaison entre la
met la possibilité de l'origine centrale de la para- plégie dans le cas du rapporteur, ce qui est analogue, par exem- p
es. 509 Trouble particulier dans la représentation du temps dans un cas de paralysie générale (avec présentation du mal
i en le semant dans le bouillon et dans l'agar- agar. Dans tous les cas il parvenait, par différentes méthodes, à const
refuté les investigations de l3nn, puisque ici aussi dans tous les cas on a trouvé le micrococcus, et que la trouvaille
es ne présentent jamais de phénomènes aigus. Dans la majorité des cas , après une phase prodromique de quel- ques mois
és : tous les intermédiaires se rencontrent entre elles et cerlains cas cliniques peuvent même évoluer en passant par d
éponse satisfaisante. Les statistiques de l'auteur portent sur 3445 cas , entrés dans son asile pendant une période de d
t loin de concorder et vont même jusqu'à se contredire. Sur les 620 cas où l'auteur a pu éta- blir avec exactitude par
l'hérédité collatérale et réversive) on trouve sur 350 malades 185 cas de folie du père, et 165 de folie de la mère. L
istique de l'auteur concorde surtout avec celle de Turner : sur 306 cas dans lesquels l'influence paternelle était pré-
ominante, il'a trouvé 130 hommes et 176 femmes; tandis que dans 314 cas où l'influence maternelle prédominait, il n'y ava
es qui sert de base à la statistique de l'auteur ne comporte que 68 cas congénitaux, avec ou sans épi- lepsie, se divis
ng- temps encombré, on évitait autant que possible d'admettre des cas de ce genre. Dans 30 de ces cas, la tare hérédita
autant que possible d'admettre des cas de ce genre. Dans 30 de ces cas , la tare héréditaire était nette (soit 44,11 p.
as, la tare héréditaire était nette (soit 44,11 p. 100). Sur ces 30 cas , il y avait 13 hommes et 17 femmes. > La f
7 femmes. > La folie associée à l'épilepsie fournit un groupe de cas bien définis qui se prêtent aux recherches de l
i se prêtent aux recherches de la statistique. En excluant tous les cas accompagnés d'idiotie ou d'imbécillité (dont il v
tie ou d'imbécillité (dont il vient d'être question), le nombre des cas de folie épileptique relevés par l'auteur est d
autres maladies mentales. La statistique de l'auteur porte sur 433 cas - 363 hommes et 70 femmes. - Dans 82 de ces cas
uteur porte sur 433 cas - 363 hommes et 70 femmes. - Dans 82 de ces cas , - 60 hommes et 22 femmes les antécédents héréd
quelles ont porté les recherches précédentes. Ce bloc comprend 2824 cas (1 218 hommes et 1 606 femmes). L'hérédité a ét
lisme, qui est bien un type d'acquisition personnelle. Sur les 3445 cas étudiés, des excès alcooliques bien nets, non a
l'un ou l'autie des ascendants directs ont été rencontrés dans 578 cas (16,77 p. tOO). En séparant les sexes, on trouv
16,77 p. tOO). En séparant les sexes, on trouve pour les hommes 327 cas (19,31 p. 100) et pour les femmes 251 cas (14,32
rouve pour les hommes 327 cas (19,31 p. 100) et pour les femmes 251 cas (14,32 p. 100). En dehors de l'hérédité vésaniq
erme plasmatique'. On a sans doute à faire ici, dans la plupart des cas , à une infection spécifique du germe ou de l'embr
de l'embryon en voie de développement, bien que dan- la plupart des cas l'em-' bryon, incapable de se développer, péris
nse pas que la doctrine de l'infection spécifique explique tous les cas . En se limitant au système nerveux, il croi- ra
rones. Et si cette manière de voir est exacte, il est clair que les cas de, ce genre ne peuvent pas être considérés comme
que les cas de, ce genre ne peuvent pas être considérés comme des cas de transmission de caractères acquis, au sens où
e l'hérédité, elles ne s'appliquent pas à des groupes importants de cas dans lesquels on voit apparaître chez les desce
ntéressent l'aliéniste. Et c'est ainsi que l'on voit apparaître des cas de folie dans des familles rigoureusement pures
à d'une simple supposition, et dans l'état actuel de la science ces cas ne sout pas explicables. On peut dire que l'élé
ariages précoces, en les assistant pécuniairement ou autre- ment en cas de besoin, au moyen d'agences créées à cet effet.
ar Iléi-illon, 81. A Clhl1\DROl'LASE. Voir Alexie. Acromégalil. Cas d'- aiguë, 73. ACIi0P.IRESTnÉSIE, Par Egger, 16
. A;>;FIIÉS1E acoustique, par Egger, 3 12. Do Anevhisjie. Un cas du. par l'ugh. 338. Un cas d'-avant mmnlé une
, par Egger, 3 12. Do Anevhisjie. Un cas du. par l'ugh. 338. Un cas d'-avant mmnlé une tumeur du médiastin, par l'u
. - muscu- laire du membre inférieur gauche. par Glorieux, 66. Un cas d'- du membre inférieur gauche et d'hypertrop
niques et expérimentales sur la -, par Bruce, 335. Notes sur deux cas propres à démontrer la différence qui existe
du facial chez le -, par Arloina, 380. Chirurgie abdominale. Deux cas de - chez des aliénés pour des ten- tatives d
line. La dans les maladies nerveuse^, par Wilson, 419. CHORÉE. Un cas de de Ilunting- 34 530 TABLE DES MATIÈRES i
- des médecins adjoints des asiles. 426. Confusion mentale. Deux cas de polynévritique, par Crocq, 11J. Congrès. X
tion, tenu à Manches- ter. Juillet-août 1902, 523. Conscience. Un cas de double par Wilson, -100. Corps étranger du
au (1<'.), 176. l;nt : TtvrsvE, par Mill, 135. CYSTICERQUE, Un cas de du cer- veau ayant causé la folie, par Sin
e du cer- veau ayant causé la folie, par Sinclatr-I3lack, 337. Un cas de du cerveau, par Sullivan, 383. Dégénéré. L
3lack, 337. Un cas de du cerveau, par Sullivan, 383. Dégénéré. Le cas d'un non re- connu tel et puni par la loi, par
Troubles psychi- 'lues, Délire. L'évolution du - dans quelques cas de mélancolie, par Weatherly. 137. Deux cas de
on du - dans quelques cas de mélancolie, par Weatherly. 137. Deux cas de - de mediumuité, par Sollier et Boissier,
de revendication, par Mabille 411. ' DELIIIIUM TRI : 11EVS. Un cas de au cuurs d'une hallucinose ilurhllve éthyl
161. Voir Syphilis. - précoce nt cafa- lonie. par Séglas, 334. Un cas d.- forme truste Iln - précoce, par lasselon,
ie e intime de l'- clnez l'lomme, pm TurneÍ', 478. Ecriture. Un cas d' en mil 011', parUufou',64.('tdbnHetnen- ta
ndrome l's('ENUY\tE. Voir Paralysie générale. I'.pii.epsii : . Un cas il' avec g»ome consécutil à une lésion trauma-
, par 1 : II1, 387. - Enslsls. Voir. Paralysie. Etat de mal. Un cas d' compliqué de SI il 1'1", ¡lie, tar Green, 39
7 I ? yui ab Il,il à l'homicide, par Revinglon, 06. Ewucu sme. Un cas d'- familial, 1);, 1- S,i i i 11 o ri, 60. Ex
ris pour des aliénés, par licitj,,6, 412. Fétichisme. Note sur un cas de , pal' dl' \lnOI' 147 Fiévrk typhoiiie. Vo
iologie de la - 1ar GrPmtlre, 0 : .·. -, voir Sui- cide. lIr dpux cas de - dll doute avec dtllire du toucher, par z
Brissaud et Meige, 259. Gliome. Voir Épilepsie, Glycosurie. Un cas rie avec mé- lancolie et impulsions érotiques.
rum. Graphologie médicale, par Poppée, 235. Gn WES. Note sur un cas de maladie - de avec manie, par Grieves, 399.
térales et alternantes, par Srglas, 412. lir : BF : rHRI°.nlE. Un cas d' . par Daw- son, 401. Un cas (1 ? par Daw-
las, 412. lir : BF : rHRI°.nlE. Un cas d' . par Daw- son, 401. Un cas (1 ? par Daw- 11 ÉM1ATROI'111E racio, scapulo -
1E racio, scapulo - humé- rale, par Debray, 236. IIÉ %Il[ÉLIE. Un cas d'- du membre abdominal droit étudié par la r
é par la radiographie, par Infroit et Heilz. 60. Hémiplégie. Un cas Il'- passagère causée par un courant industriel
uel- les. HUNTISGTON. Voir Chorée. HvnISEVCkrHnl.oci : l.r.. Un cas d ? par Wheeler, 46. HYPERESTlI1 ! : SIl; : h
ost-pl1cllmolli, que, par Callavardln, 391 IIYIÉItO-SYPIIILIS. Un cas Il ? par Thooris, 67. Idées nvrocttnNDSUIrES.
ndre à l'égard des et des imbéciles, par Sproat, 245. Idiotie. Un cas d'- avec amaurose. par Hvinanson, 146. Voir Epi
Voir Syndrome Cél'éVl'O' spinal. Kohsakow. Voir Cerveau. Douze cas de maladie de - chez des rem, mes, par Turner,
MATIÈRES. 533 Ardin-Delteil, Si. - et méningite chronique dans un cas de mala- die de Friedriech. par Barjon et Cad
a possibilité d'assurer des moyens appropriés de traite- ment aux cas de début et aux cas passagers de - mentales dan
rer des moyens appropriés de traite- ment aux cas de début et aux cas passagers de - mentales dans les hôpitaux gén
inor, 503. Monstre. Un jeune - 95. Monstruosité. Description d'un cas de - rare de la face et de l'encé- phale, par
34 TABLE DES MATIÈRES. .MOIlI'IIJ1\O,\1 II\IF., otes sur quelques cas rie ; par .)on,76. Mouvements. Mécanisme et édu
ts. Mécanisme et éduca- tion Iles -, l;lr Urmeny, 85, Mutisme. Un cas de prolongé, par Rulillon, 176. BI ûlnre sug--
ée chez une femme ayant pré- senté c1u - Ilywtériyue, : ! 6\.. Un cas dep ! otungé.pd.rBéri) ! on, 346. Myélite. Vo
ral,nchou- dropiusie ethnique, par Poncet, 168, ' Nanisme. Deux cas rie achondro- plasique chez le frère et la soeu
frère et la soeur, pal L,mnui, 39 ? NÉOI'LAOES Cf ? UHALFS, Trois cas de parCdbertUatiet.etDettHH. 9. Nerfs entam
par Wil.-on. ni. médian, voir Comp1'es- sion, Neurasthénie- Un cas de trau- matique avant évolué à longue échéan
i, 495. ÉvRlrE. 111 ! TI;reuciatÍon de Courants, démontrée par un cas de con- sécutive une dégénérescence pa- rencl
elle, par Rocktvrll, 46, optique, par Brissaud el Riesey, 174. Un cas de du plexus brachial suivi d'autopsie, par T
IS par 1 Il ! JPIcules pédonculo-piotubéraiiliels, 82. Un nouveau cas de générale con- jugale, par Cullerre, 116. La
07. Trouble particu- lier dans la représentation du temps dans un cas de - générale, par Vorobieff, 509. P : 112ALY
atérales, par Grande, 330. Ptéparations de muscles provenant d'un cas de maladie de , par Idelsohn, 418. l'ER50NEL
- ly,ie infantile, par Léry et Wil- son, 498. , Polynévrite. Un cas de et de psy- chose polynévritique à la suite
0 : 1. POKEXCÉPH \LIE. Les altérations du système nerveux dans un cas de - par Barratt, 3S3. Possession. Esquisse h
ique, 270. PSEUDO-OEDÈMEcatatonique,par Dirle. 173. Soixante-cinq cas de-cita- tonique observés à l'asile d'Evreux,
- sités des Etats, Lnls, par il vers, 350. Psychothérapie. Deux cas de - i, Sao-I'aulo (Brésil), par Jaguanhe. 3'
154. Sur les - liées à la fièvre tltyplrorde, par Farrar. 161. Un cas de - polynévritique avec insuffisance hépatique
par Juquelier et Perpère, 163. - liai- lucinatoire aiguë dans un cas d'empoisonnement par l'atropine, par laltnwen
mas et Sabaréanu, 379. Rayons N. L'émission des - dans quelques cas pathologiques, par Gilbert, Ballet et Delherm,
ang. Observations bactériologiques et cliniques sur le - dans les cas de marne aigue continue, par Bruce, 378. - Voir
n, il2. Deux - à l'asile d'aliénés d'Uc- cle, 525. Silfonal. Un cas d'empoisonne- ment par le , par Alexander, 76
goureux. 101. Voir Para- lysie générale. SYRfNGOMYÉI.IE, Sur deux cas de à topographie radlculaite ries troubles se
res du , par Thomas et Hauser, 60. - Voir Sensibilité pilaire. Un cas de- spasmodique, par Sano, 67. - incipiens, p
ineux, par Dllpré et Camus. 171. Pathogénie du - dorsalis. Sur un cas de - compliqué de mouvements choréiques et de
(P.) et Lui-i, 417. Tabétiques. Voir Excitabilité. Tétanie. Un cas (le d'origine gastrique, par Barjon et Cade,
l du cheval. par Cuurmont. Uoyon et l'amot, 380. Observation d'un cas de - con- séetitit à la vaccination, par Cooke,
les maladies organiques, par l'ew- nitzky, 345. n Trfmelement. Un cas de - intrn- tionnel. Considérations sur la pa-
hie du coude, par Brissaud et G l'pnet, 195. Trépanation. dans un cas d'épi- lep,ie, gliome kystique, par Lait- noi
Suruncasdeducanat.ractn- dien, par Hftymond, 63, SIII 1111 autre cas de du canal niclu- dien, par Raymond, 63. Ëvunc
c¡lrM1t'<lle 11\'I'C symptômes (l'immobilité, par Dur 323. Un cas de - cérébrale a forme pavclto-paralyttqne et à
par Lamois Il Porot, 396. -. cérébrale, 1 ? Stase papillaire. Un cas com- pltqué de folie contusionne) d'on- ¡{tri
15 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
disséminées dans divers journaux ou recueils. Toutes ont trait à des cas observés et étudiés dans mon service. Les éléme
conçoit que sur une pareille quantité il doit se rencontrer nombre de cas intéressants. En réalité c'est en grande partie à
ic au point de vue clinique et anato-mo-pathologique. Relation d'un cas type de maladie de Morvan compliqué d'hystérie. S
langette, de la phalangine et quelquefois du doigt tout entier. Les cas pathologiques dont il s'agit ici, appartiennent à
, à côté de quelques exemples d'affections mutilantes des mains, un cas typique de maladie de Morvan, qui se trouve actue
possibles qui en sont le résultat et sur leur mécanisme. En voici un cas tout à fait typique. La malade que vous avez de
r en faire la cause primordiale de la maladie. D'autre part, dans ces cas , Pierret a constaté l'intégrité de la moelle en m
actères suffit pour vous préserver de toute confusion. Mais, dans les cas où le doute pourrait être permis en ne considéran
corps et désignées sous le nom de morphea alba ou rubra, suivant les cas . D'après ces données, il n'est pas très diffici
les autres travaux sur le même sujet et à la suite, je signalerai le cas de M. Broca (Soc. Clin., 1885, et Ann. de Dermat.
bliée antérieurement par son maître, et réunit à côté une huitaine de cas recueillis çà et là dans les divers auteurs. Enfi
nt toujours à la production « d'un ou plusieurs panaris... Le premier cas soumis à « notre observation remonte bien loin da
que peu le précédent tableau et fut conduit a admettre l'existence de cas frustes dans lesquels ou bien les panaris sont
u bien il n'existe pas de parésie ou encore pas d'analgésie. Dans ces cas , le seul phénomène constant est le panaris et aus
ans quelques occasions. Pour le moment, occupons-nous seulement des cas types et étudions les principaux symptômes avec q
sulte des mutilations quelquefois bizarres et qui, dans bon nombre de cas , peuvent être tout à fait caractéristiques. Les e
ans l'observation de Prouff, nous trouvons huit panaris, neuf dans un cas de Morvan, sept chez le malade de Jùr-gensen. Ce
rvan, sept chez le malade de Jùr-gensen. Ce sont là, à vrai dire, des cas extrêmement accentués et une pareille multiplicit
és et une pareille multiplicité n'est pas toujours la règle. Mais les cas où il existe deux, trois et même six panaris, son
ans. Enfin, c'est un panaris indolent clans la grande majorité des cas . Mais ici, il est bon de faire quelques réserves.
de tous les symptômes, que la maladie est arrêtée. En effet, dans le cas de Prouff, il y a eu vingt ans d'intervalle entre
sont beaucoup plus bornées. On aurait pu croire, d'après le nombre de cas de cette affection, qui n'est pas très fréquente
quelles ne fournissent qu'un fort mince contingent dans le nombre des cas publiés. Elle survient à tout âge, vingt, trente,
tout âge, vingt, trente, quarante et cinquante ans, et même plus tôt ( cas de Prouff, 12 ans") ou plus tard encore (cas de M
e ans, et même plus tôt (cas de Prouff, 12 ans") ou plus tard encore ( cas de Morvan, 60 ans). Dans quelques observations, o
parésie. Enfin, le masque sclérodermique est tellement spécial, qu'en cas d'hésitation il lèverait immédiatement tous les d
'analgésie et l'anesthésie, dont la présence est constante, en pareil cas , pourraient être des sujets d'hésitation momentan
ladie de Morvan? Les uns disent qu'il s'agit de névrite périphérique ( cas de Monod et Reboul, cas de Gom-bault). Mais cette
disent qu'il s'agit de névrite périphérique (cas de Monod et Reboul, cas de Gom-bault). Mais cette névrite ne paraît pas i
tieuse et causée par la présence de microorganismes. L'existence de cas frustes, dont j'aurai peut-être l'occasion, Messi
pendant, qui en font, ainsi que vous le verrez, non pas réellement un cas anormal, mais plutôt un cas compliqué. Il s'agi
que vous le verrez, non pas réellement un cas anormal, mais plutôt un cas compliqué. Il s'agit d'un nommé Carcan..., Jean
igine capsulaire, est rarement aussi profonde et complète que dans le cas présent. C'est dans l'hystérie seule, Messieurs
à perpétuité à invoquer le secours de l'Assistance publique. Sur un cas d'hystéro-traumatisme. — Monoplegie brachiale hys
. C'est toujours ou presque toujours ainsi que cela se passe dans les cas de paralysie hystéro-traumatique. Un élément sens
engourdissement, consécutif soit au traumatisme, soit, comme dans le cas actuel, à l'application d'un appareil à fracture,
es segments du membre paralysé, ce qui n'est point la règle en pareil cas . Le malade ne se plaint pas de douleur. En aucu
syringomyélie, et il n'y a pas bien longtemps je vous ai présenté un cas de ce genre sous le titre de simulation hystériqu
plication consécutive de l'appareil à fracture. A ce point de vue, le cas est en réalité presque plutôt chirurgical que méd
son bras. Combien cela durera-t-il encore ? Je ne sais, mais, en tout cas , retenez de ce fait que le pronostic des accident
s rapports d'évolution avec la névrose hystérique. Relations de trois cas de tremblement hystérique ayant trait, les uns à
voit, par exemple, souvent signalé dans ces derniers temps clans les cas rapportés à la névrose traumatiquo (Traumatische
loculaire considéré dans son type de parfait développement. En pareil cas , vous le savez, le malade reste littéralement imm
argy-rique ; mais qu'à côté de lui il faut apprendre à distinguer des cas où, chez les hydrargyriques, l'hystérie se dévelo
rose et en particulier les stigmates permanents. Ceux-ci, bien que le cas soit relativement rare, peuvent manquer complètem
a été ainsi chez un malade observé récemment par M. Joft'roy. Dans ce cas , les stigmates n'existaient point, mais, par cont
ctère important, pouvant contribuer à fixer le diagnostic. Il est des cas encore où l'on constatera que le tremblement est
tement exagéré à la suite de chaque crise hystérique. Enfin, dans les cas où il s'atté nue spontanément par moments, comm
eux. Est-ce donc de la maladie en question qu'il s'agirait dans notre cas ? C'est ce qu'il faut examiner maintenant. Je f
rieures, nous pénétrerons plus avant dans le détail. (1) Il est des cas de paralysie hystérique où l'imitation de la para
nous avons désigné avec Brown-Sôquard du nom d'épilepsie spinale. Ces cas -là aboutissent le plus souvent à la contracture p
nous éloigne de la sclérose en plaques, rapproche au contraire notre cas des faits de tremblement mercuriel que nous avons
(1). Et le rapprochement paraîtra d'autant plus légitime que, dans un cas (l; Leçons du Mardi. T. I. Mai I8S3. comme da
t encore, qu'il s'agit ici. Allez-vous en conclure, Messieurs, que le cas n'est point grave et que nous en verrons bientôt
e si désirable n'est pas en dehors des choses possibles. Ce premier cas , Messieurs, est un bel exemple du type intentionn
tel qu'il a été décrit pour la première fois par M. Rendu. Le second cas , qui va maintenant nous occuper, est relatif au t
s la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1891. (G. G.). Sur un cas de migraine ophthalmoplégique. [Paralysie oculo
nte. Migraine ophthalmiquo et migraine ophthalmoplégique. Historique: cas de Möbius, Hasner, Senator, Saundby, Parinaud et
toutes les branches des 3e et 6" paires. Essai de pathogénie. Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf mot
u'elle se présente là sous une forme relativement un peu anormale, le cas , vous le reconnaîtrez aisément, ne s'écarte pas f
llerai que la dénomination à'ophthalmoplégie externe est réservée aux cas où les muscles extérieurs de l'œil, seuls, sont p
rbide, à propos d'une observation à lui propre dont il a rapproché un cas publié par Hasner, en 1883 (dans le Präger, med.
onnaître que, malgré des variations individuelles assez étendues, ces cas forment un groupe pathologique vraiment cohérent
un danger. Il est vrai qu'il en est ainsi dans la grande majorité des cas ; mais il ne faut pas, cependant, vous le reconnaî
le Blind headache, dans lequel il y a également, dans la majorité des cas , nausées, malaises, vomissements, mais où surtout
e migraine ophthalmique. Mais je reviens après cette digression aux cas que nous devons considérer particulièrement. Il c
u moteur oculaire commun. Chose remarquable, c'est toujours en pareil cas , ainsi que j'ai dit déjà, d'une paralysie totale
e répand pas d'un œil à l'autre et, chose remarquable, c'est, dans un cas donné de migraine ophthalmoplégique, toujours le
ase est marquée par des exacerbations tantôt matinales, comme dans le cas de Marie et Parinaud, tantôt vespérales ainsi que
ormaux de migraine vulgaire ou ophthalmique; j'ajouterai que dans les cas où l'accès est de courte durée les périodes inter
e signalerai quelques observations à titre d'exemples du genre : 1° Cas de Senator (Zeitsch. fur klin. Medic, 1888, p. 25
rplégie chez ce sujet n'a paru que dans un petit nombre d'accès. Ce cas met en lumière le fait intéressant que chez quelq
, exister seule et ne pas être suivie de la période paralytique. 2° Cas de Manz (Berlin, klin. Woch., août 1889, n° 34).
et la diplopie croisée ont persisté pendant près de 8 semaines. 3° Cas de Hasner (cité d'après Mœbius). — Fille de 17 an
te en défaut plus longtemps. Une seconde catégorie se composera des cas dans lesquels les accès sont en général beaucoup
durer 10,15 ou 20 jours — et en même temps beaucoup plus rares. Les cas suivants peuvent être cités comme des types du ge
Les cas suivants peuvent être cités comme des types du genre. 1° Cas de Mœbius doc. cit.) Il s'agit d'une fille de 6 a
ième et le quatrième accès ont paru chaque année au mois d'août. 2° Cas de Marie et Parinaud, observé à la Salpêtrière (l
s encore après le mariage, c'est-à-dire à 20 ans. Ces deux derniers cas peuvent, comme vous allez le voir, servir à établ
ire l'objet de notre étude. Mais, avant d'entrer dans le détail de ce cas , nous devons relever encore quelques autres point
que. En premier lieu il convient de remarquer que, surtout dans les cas où les accès sont prolongés et rares. les inter
nt chez les femmes ; chez l'homme on ne l'a encore observé que dans 4 cas . Il est des cas, comme celui de Marie et Parina
; chez l'homme on ne l'a encore observé que dans 4 cas. Il est des cas , comme celui de Marie et Parinaud, où la maladie
ne crois pas qu'on puisse citer encore, à l'heure qu'il est, un seul cas de guérison véritable. L'an passé il s'est présen
oit dit en passant, les reliquats perma^-nents signalés dans quelques cas de migraine ophthal-mique ? Dans l'étiologie on
été saturnin, et il y a eu du côté maternel une tante aliénée. Les cas où la maladie tend à s'aggraver progressivement s
certaines circonstances, la simuler, mais l'existence dans le premier cas de phénomènes concomitants particuliers, celle de
gnent ni de migraines, ni de vomissements, et d'ailleurs la nature du cas se révélerait dans tout son jour, par la concomit
t, nous voici désormais mis en mesure de bien comprendre l'intérêt du cas de la malade qui vient d'être placée devant nous.
omparé aux types dont nous venons d'exposer les traits principaux, ce cas s'en éloigne, vous le verrez, par des anomalies
de l'œil; elle occupe également, ainsi que cela est la règle dans les cas de ce genre, les muscles intérieurs. La pupille l
s en même temps par leur très longue durée. La marque particulière du cas est le fait déjà signalé du reste dans plusieurs
rier 1890, pourra se reproduire encore. * * * Maintenant que le cas est classé, catégorisé, il s'agit de considérer p
ns plausibles. Il est probable, pour ne pas dire plus, que dans les cas de migraine ophthalmoplégique à accès courts, il
posé l'existence clans la migraine ophthalmi-que. Il n'y a là en tout cas qu'une lésion fonctionnelle, essentiellement tran
ux, une épine, un désordre permanent. C'est probablement, en pareil cas , de lésions inflammatoires qu'il s'agit, et elles
du nerf qu'elle relève. Le fait de la coexistence constante, dans les cas de ce genre, de l'ophthalmoplé-gie interne et de
permanente du nerf oculo-moteur, et l'on conçoit que, dans ce dernier cas , elle puisse s'étendre aux parties avoisinantes d
ésion siégeant sur le trajet basai du moteur oculaire. Dans un de ces cas (Weiss, Wiener med. Woch. 25 avril 1885, n° 17),
onc du nerf a été trouvé farci de masses tuberculeuses; dans l'autre ( cas de Thomsen, autopsié par Richter. Arch. fur Psych
avette qui en éparpillait les fibres sans les détruire. Mais c'est le cas ou jamais de rappeler qu'il ne suffit pas de cons
e en valeur. Il est clair que les productions bacillaires dans un des cas , le fibro-chon-drome dans l'autre, n'ont pas été
logie, il me semble que cette méthode pourrait être appliquée à notre cas , au moins à titre d'essai. L'existence possible d
t en effet l'action très favorable de la médication bromurée dans les cas de crises épilepti-formes relevant d'une lésion o
seur Charcot, travaux récents sur cette question. Description de deux cas d'œdème bleu do la main combiné à une contracture
une fille de 22 ans, et chez un homme de 46 ans. Analogie de ces deux cas . Caractère du gonflement, où la pression du doigt
-on citer dans ces derniers temps, comme se rapportant à ce sujet, un cas de (1) Médecine pratique de Sydenham, avec note
ctérisée. Je me bornerai à vous citer brièvement deux de ces derniers cas . J'ai observé l'un d'eux dans un établissement
centimètre à celle du mollet gauche (33 centimètres). A côté de ce cas nous pouvons placer le suivant. Une jeune fille d
ue j'ai signalé l'œdème bleu des hystériques, on en a publié quelques cas . Vous en trouverez un dans le récent travail de M
s les plus habituelles et les plus intéressantes. Le premier de nos cas est celui d'une jeune fille de 22 ans, Mlle Margu
els que l'anesthésie, la paralysie ou la contracture. Dans ce dernier cas , l'œdème bleu marche de pair avec les autres phén
lle je reviendrai tout à l'heure. Auparavant, je veux rapprocher ce cas , qui concerne une jeune fille, de celui d'un homm
autre au point de vue du diagnostic. J'ai d'ailleurs déjà présenté ce cas l'an dernier dans mes Leçons du Mardi (1), en ins
irconstances, simuler l'hystérie ou être simulé par elle, suivant les cas . Cette difficulté du diagnostic est encore rendue
fusion avec l'œdème proprement dit, avec un phlegmon. Dans ce dernier cas la fièvre et les divers caractères de l'inflammat
'une grande importance. Je vous ai néanmoins signalé en commençant un cas où une semblable erreur avait été commise. Vous n
bitude de formuler (1). Il a observé chez des jeunes sujets plusieurs cas de contracture hystérique dans lesquels l'applica
après chloroformisation aurait fait merveille. Eh bien, malgré les cas favorables de M. Tôlken, je continue à me défier
pas toujours aussi pernicieux qu'il l'est à coup sûr dans beaucoup de cas , je dirais, d'après mon expérience personnelle, d
je dirais, d'après mon expérience personnelle, dans la généralité des cas . Toujours est-il que nous éviterons, malgré les
précieux. Mais son action est relativement limitée dans bon nombre de cas , dans celui de cette jeune fille, entre autres (1
s hystériques, il m'a paru intéressant de placer la relation des deux cas suivants, que M. le Pr Charcot avait présentés an
à de la contracture du poignet et de la main, absolument identique au cas de la jeune fille de la leçon précédente, sauf qu
rophie des muscles du membre inférieur pouvant survenir dans certains cas de sciatique rebelle est due vraisemblablement à
qu'il appuyait sur l'absence de l'atrophie musculaire dans le premier cas , et sur sa présence et son apparition rapide dans
es avant le travail de M. Landouzy, M. Bianchi (2) avait rapporté des cas de compression du nerf scia- (1) Landouzy. — De
nnue. Mais il était étrange de voir les lésions se localiser dans des cas semblables au domaine du sciatique poplité extern
ent qu'il s'agit ici, peuvent se localiser. Seeligmuller a observé un cas dans lequel, après un accouchement à l'aide du fo
e des muscles du mollet. Un autre auteur, M. Nonne (4), a publié un cas de sciatique simple, non traumatique, dans lequel
f tibial postérieur nous paraît, si nous en jugeons par le nombre des cas publiés et par les nôtres, moins fréquente que la
s avons dit que les premiers exemples observés l'avaient été dans des cas de scia-tiques consécutives à l'accouchement, vér
ophie des extenseurs. » La localisation n'est pas moins nette dans le cas suivant, que nous empruntons à la thèse de Lefebv
'abord ; mais nous verrons, à mesure que nous examinerons de nouveaux cas , que cette considération est peut-être d'une impo
sont fort tenaces et d'une guérison difficile, sinon m possible. Le cas suivant est encore emprunté à Lefebvre. Observa
ci la localisation des lésions a encore été plus étroite que dans les cas précédemment relatés. Nous voyons en effet que ce
des lésions nerveuses ne sont plus tout à fait les mêmes que dans les cas qui précèdent. En effet, comme on le verra, ici l
c être admise, d'autant plus que l'auteur veut l'appliquer à tous les cas , et, ainsi que nous le disions plus haut, affirme
oins haut, quelquefois même dans le petit bassin. Selon lui clans les cas où l'on constate à la suite de l'accouchement une
éfuter là-dessus l'opinion de M. Lefebvre et montre que dans bien des cas les paralysies occupaient également à un plus ou
s attendions à trouver là la réaction de dégénérescence comme dans le cas précédent. Bien qu'elle n'existe pas, on ne peut
oyons-nous, la seule valeur réelle qu'on puisse lui attribuer dans ce cas . Un autre point aurait pu prêter à discussion c
ment de cet organe. On aurait donc pu penser qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux du premier groupe. Mais nous
e la sensibilité étaient moins accentués et moins étendus que dans le cas précédent. Dans l'observation qui suit, ils sont
dominent toute la scène. Arrivons maintenant à la description de deux cas dans lesquels l'anesthésie, qui existe à un haut
sensitifs sont donc facilement explicables chez cette malade. Dans le cas suivant, au contraire, nous serons obligés, pour
nter de particulier. Les théories mises en avant pour interpréter les cas traumatiques déjà observés, tombent devant les ob
a présence d'une névrite avec atrophie dégénérative des muscles. Un cas de sciatique avec paralysie amyotro-phique dans l
ion elle-même les considérations que notre maître a présentées sur ce cas . Cette jeune femme est atteinte d'une de ces sc
ns fîbro-tendineuses. Cette particularité explique comment, dans le cas de paralysie des extenseurs du pied, nous ne voyo
ci pour le membre droit la démarche de stepper si caractéristique des cas où le pied est tombant. En résumé, il s'agit ic
ner, il nous faut insister sur une complication particulière de notre cas et qui pourrait prêter à erreur. En se reportant
sciatique des anes-thésies plus ou moins analogues; mais, dans notre cas , au siège particulier de l'anesthésie sont venus
ciatique est une affection bien vulgaire; sans doute, mais à côté des cas exceptionnels, nous devons vous montrer les affec
er pour qui sait voir. L'observateur attentif trouve souvent dans les cas plus vulgaires quelque phénomène inattendu qui mo
liens n'étaient nullement absents. Peut-être avions-nous affaire à un cas anormal, nous devions, dès lors, examiner les cho
érêt capital à établir d'une façon précise si, par exception, dans le cas présent, elle ne constituerait pas à elle seule t
travaux de M. le professeur Four-nier. Il est bon d'y penser dans des cas analogues. Les causes toxiques et infectieuses
les différentes théories émises pour expliquer la paralysie dans ces cas (1) et j'arrive à une cause à laquelle on devait
réflexe rotu-lien est absent si le crural est lésé, conservé dans le cas contraire. Je rejette ces deux dernières hypoth
n'est pas rare de voir les deux jambes atteintes; seulement, dans ces cas , la douleur d'un côté est tellement faible qu'ell
m'a appris combien la paralysie avec amyotrophie est tenace en pareil cas . Le côté droit se dégagera vraisemblablement ; ma
que double. Elle ne pourrait, en effet, nous rendre compte dans notre cas de la systématisation évidente dans le domaine
Je ne dis pas cependant que la moelle n'est pas intéressée dans le cas présent ; elle l'est, à mon avis, dynamiquement.
tuant un syndrome à part (polioencéphalomyélite). Description de deux cas . Absence de la réaction de dégénérescence dans le
Absence de la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas aigus et subaigus. Messieurs, Je me propose d
ier avec vous dans la leçon d'aujourd'hui et de mettre en valeur deux cas cliniques dans lesquels vous trouverez le syndrom
caractères un peu différents cependant qu'elle affecte dans ces deux cas , (1) Leçon du 20 juin 1890, recueillie par M. B
s cornes antérieures de la moelle épinière (1). Il s'agit là de ces cas rares, encore peu étudiés jusqu'à présent par con
question sous toutes ses faces et donné, outre le résumé de tous les cas publiés jusqu'à ce jour, plusieurs observations i
ont d'accord pour expliquer la dissociation, cm'on remarque clans les cas qui nous occupent, des phénomènes ophthalmoplé-
t ne participeront pas au processus. M. Mœbius a fait connaître des cas de ce genre, mais ces cas sont exceptionnels et p
processus. M. Mœbius a fait connaître des cas de ce genre, mais ces cas sont exceptionnels et presque toujours l'oplithal
it pas moins de 31 autopsies confirmât!ves (son mémoire porte sur 220 cas de paralysie nucléaire). Le groupement de ces aut
Sylvius dans laquelle on trouve des corps granuleux et dans certains cas , si l'affection a duré quelque temps, une destruc
hérie comme l'ont montré Wernicke, Kojewni-kow, Thomsen. Ces derniers cas ont été désignés par Wernicke sous le nom de poli
udier, mais ils constituent une classe à part, qui s'éloigne des deux cas dont nous voulons poursuivre l'étude; aussi les l
représentent dans le bulbe les cornes antérieures de la moelle. Les cas d'ophthalmoplégie externe ressortissant à cette t
tes relatives, remarquez-le en passant, à des tabétiques. Ce sont ces cas -là (ils sont au nombre de 40, y compris les cas a
bétiques. Ce sont ces cas-là (ils sont au nombre de 40, y compris les cas aigus, dans la statistique de Dufour) qui nous in
ieu de parler d'une ophthalmoplégie externe-névrose; de plus, dans un cas , la lésion des noyaux étant absente, les nerfs pé
té, comme nous l'avons dit, la polioencéphalite supérieure aiguë, les cas de tumeurs, et enfin les ophthalmoplégies sine ma
été récemment étudiées avec soin par M. Ballet. Il s'agit dans les cas que nous allons considérer d'une sorte de paralys
rable à tous égards à la paralysie bulbaire inférieure. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux m
ion des faisceaux latéraux, il faut ajouter aujourd'hui deux nouveaux cas de ce genre, également suivis d'autopsie. L'un ap
il a été recueilli dans mon service et sera bientôt publié. Dans le cas de paralysie bulbaire inférieure, ce sont les noy
u calamus et de la partie inférieure du ventricule, alors que dans le cas de paralysie bulbaire supérieure, ce sont les noy
lbe correspondant aux cornes antérieures. La lésion s'étend en pareil cas , en quelque sorte systématiquement, des noyaux mo
bétique jusqu'à présent, aucune amyotrophie dans les membres. Dans ce cas , la lésion est descendante et va du bulbe supérie
, et c'est ainsi que se terminent fatalement la plupart peut-être des cas de polioencéphalite supérieure. Tels les faits de
ction ne change pas au bout de 2ans; Hutchinson rapporte également un cas de ce genre ; enfin Strümpell en publie un sembla
'affection n'a pas progressé au bout de 25 ans. Plus rares sont les cas où la paralysie bulbaire supérieure succède à l'i
aire supérieure succède à l'inférieure. On peut rappeler à l'appui le cas de M. Hérard déjà cité dans la thèse de M, Hallo«
agit alors d'une paralysie labio-glosso-laryngée ascendante. 2° Les cas de paralysie bulbaire supérieure isolée sont peut
es de l'œil sous forme d'Ophthalmoplegie externe. Dufour en compte 19 cas cependant sur 42 dans sa statistique : c'est pres
stique : c'est presque la moitié. Eh bien, c'est précisément dans ces cas qu'on a constaté plusieurs fois les altérations a
(paralysie bulbaire inférieure). L'analogie entre les deux ordres de cas est évidemment frappante. Mais y a-t-il plus? Les
ordres de cas est évidemment frappante. Mais y a-t-il plus? Les deux cas sont-ib identiques? Est-ce de l'atrophie du type
ues? Est-ce de l'atrophie du type Duchenne-Aran qu'il s'agit dans nos cas ? C'est ce que nous allons examiner. Je vous dira
ement est légitime, l'identité n'est peut-être pas absolue. ? Les cas qui ressortissent à ce groupe sont peu nombreux e
d'observations fort écourtées. Il ne faut pas les confondre avec les cas dans lesquels il y a ophthal-moplégie, ataxie loc
ques. Parmi les observations de ce genre, nous comptons en tout six cas , auxquels on peut joindre les deux nôtres, ce qui
joindre les deux nôtres, ce qui fait pour le moment un total de huit cas (1). (1) Rosenlhal (Centralblatt fur Nervenheil
. — J. Bristowe (Brain, october 1886). — Eichhorst (Gorr- Parmi ces cas celui de Seeligmûller est de beaucoup le plus int
la sensibilité, ni des sphincters. L'auteur fait remarquer dans ce cas la combinaison delà myélite et de la polioencépha
les observations antérieures, nous allons les retrouver dans nos deux cas qui à l'avenir devront compter parmi les observat
s du groupe. Nous allons entrer dans l'analyse clinique de ces deux cas et vous reconnaîtrez que dans l'un d'eux l'ophtha
ment, car le bulbe inférieur n'est pas sérieusement affecté (1). Ce cas présente cependant quelques particularités que je
ffisante pour éloigner l'idée d'une atrophie de cause spinale dans le cas actuel. Nous admettrons plutôt que parmi les at
on y regarde d'un peu près, on le rencontrera peut-être dans certains cas d'amyotrophies spinales (type Duchenne-Aran) et d
de notre sujet au type Duchenne-Aran, et nous conclurons que, dans ce cas , conformément à la conclusion de M. Seelig-mûller
nformément à la conclusion de M. Seelig-mûller à propos de son propre cas , la lésion anatomique consiste dans une altératio
ssi bien que des noyaux bulbaires. Considérons maintenant le second cas : il diffère du précédent, ainsi que je vous l'
scence qui ne manquerait pas de se manifester à un haut degré dans un cas de cette intensité. Ce n'est donc pas là un de ce
progresse à peu près fatalement, et bien minime est la proportion des cas où la maladie se serait arrêtée. La combinaison d
, et la guérison peut être espérée. Les moyens mis en œuvre dans ce cas , comme dans le premier, sont les révulsifs sur la
nique une place intéressante. Il ne s'agit encore actuellement que de cas éminemment rares, comme vous l'avez vu. Toutefois
ec empressement l'occasion de vous en offrir la primeur. XI. Cinq cas d'ophthalmoplégie externe (paralysie bulbaire sup
logue des cornes antérieures de la moelle épinière. Dans le premier cas cette combinaison donne lieu à une paralysie bulb
ni atrophie au niveau des membres. Il s'agit là bien nettement d'un cas de paralysie bulbaire totale à début ophthalmoplé
ormaux. Le réflexe massétérin semble un peu augmenté. A côté de ces cas de lésions limitées au bulbe (polio-encéphalite),
plus accentuée. La paralysie labio-glosso-laryngée occupe clans ces cas seulement le second plan, et même dans certains,
e ce phénomène, qui paraît cependant exister le plus souvent dans les cas de ce genre. Notre premier malade est un ancien
é droit. . 51 .1/2 1/2 22 25 24 26 41 41 50 49 1/2 1/2 A ces deux cas observés longtemps à l'hôpital et sur lesquels no
s cardiaques et respiratoires dont il était atteint. Dans ces trois cas de polioencéphalite, la maladie n'a pas évolué de
t suivi une marche subaiguë avec rémissions, Enfin, dans le troisième cas , la mort est arrivée en sept mois. On trouve dans
et les épaules une sorte de dépression en coup de hache, et dans ce cas la flexion en avant et l'immobilité de la tête so
lorsque la maladie débute par le bulbe. Mais en n'envisageant que les cas complets, nous trouvons dans la maladie de Charco
es tendineux et en particulier du réflexe massétérin. Il existe des cas où ce dernier phénomène acquerra une importance d
phalite le front soit lisse ou immobile. Ce fait se produira dans les cas , rares à la vérité, où la lésion bulbaire supérie
te d'association du faciès d'Hutchinson et du faciès myopathique. Ces cas paraissent rares, il est vrai, mais il convient n
es, il est vrai, mais il convient néanmoins de les connaître. En tout cas l'absence, dans la myopathie, d'une paralysie lab
sie labio-glosso-laryngée qui ne tarderait pas à se produire dans ces cas complexes de polioencéphalite, ne permettra pas l
es anomalies de réactions puissent manquer complètement, bien que des cas semblables paraissent devoir être extrêmement rar
e. Il fallait cependant l'examiner et la discuter, car on connaît des cas de polynévrites dans lesquels l'œil a été touché.
ns lesquels l'œil a été touché. Il est vrai que quelques-uns de ces cas ne sont nullement caractéristiques au point de vu
n difficile d'établir un diagnostic posi-tif (1). Il s'agit dans ce cas d'un malade, dont l'âge n'est pas connu, mais che
e dûment constatée, il est presque impossible de se prononcer dans un cas pareil. Cela ressemble à s'y méprendre aux cas qu
e se prononcer dans un cas pareil. Cela ressemble à s'y méprendre aux cas que nous avons mentionnés et dans lesquels la lés
de ce genre, penser à la polynévrite généralisée. Mais dans certains cas , et le nôtre nous paraît être de ce nombre, bien
aucune autre maladie : faciès d'Hutchinson et amyotrophies. Sur un cas de syringomyélie avec panaris analgésiques {Type
troubles trophiques non d'une très grande rareté. Observation d'un cas de syringomyélie, type Morvan. Messieurs, Vou
. Dans ce 1) Leçon du mois de mars 1891, recueillie par M. Blocq. cas , le groupe morbide dit maladie de Morvan ne serai
ncrédules ; aussi ne sera-t-il pas inutile d'insister sur l'étude des cas qui, en attendant la consécration de nouvelles au
même sujet, combinés de façon à former un mélange inextricable. Le cas que je me propose d'étudier aujourd'hui avec vous
de Morvan y sont très accentués. Pour nous, il s'agit seulement d'un cas de syringomyélie anormale, atypique et remarquabl
Voilà ce que nous chercherons à établir. Mais, pour bien mettre ce cas en lumière, il nous faut prendre un chemin détour
it aux résultats suivants : Le rétrécissement fait défaut : 1° dans 6 cas de service ; 2° dans le cas de Charcot-Brissaud ;
Le rétrécissement fait défaut : 1° dans 6 cas de service ; 2° dans le cas de Charcot-Brissaud ; 3° dans 5 cas de Roth ; 4°
ans 6 cas de service ; 2° dans le cas de Charcot-Brissaud ; 3° dans 5 cas de Roth ; 4° dans 2 cas d'Hoffmann, soit 15 cas.
° dans le cas de Charcot-Brissaud ; 3° dans 5 cas de Roth ; 4° dans 2 cas d'Hoffmann, soit 15 cas. Le rétrécissement est si
-Brissaud ; 3° dans 5 cas de Roth ; 4° dans 2 cas d'Hoffmann, soit 15 cas . Le rétrécissement est signalé : 1° dans un cas d
s d'Hoffmann, soit 15 cas. Le rétrécissement est signalé : 1° dans un cas de Roth ; 2° dans 7 cas de Déjerine et Tuilant ;
s. Le rétrécissement est signalé : 1° dans un cas de Roth ; 2° dans 7 cas de Déjerine et Tuilant ; 3° dans un cas d'Oppenhe
ns un cas de Roth ; 2° dans 7 cas de Déjerine et Tuilant ; 3° dans un cas d'Oppenheim, soit 9 cas dont il faut défalquer le
ans 7 cas de Déjerine et Tuilant ; 3° dans un cas d'Oppenheim, soit 9 cas dont il faut défalquer les deux cas de Roth et d'
° dans un cas d'Oppenheim, soit 9 cas dont il faut défalquer les deux cas de Roth et d'Oppenheim, où il y a association évi
tion évidente d'hystérie et de syringomyélie. En résumé, on trouve 15 cas de syringomyélie sans rétrécissementi et 9 cas de
n résumé, on trouve 15 cas de syringomyélie sans rétrécissementi et 9 cas de syringomyélie avec rétrécissement, ainsi décom
i et 9 cas de syringomyélie avec rétrécissement, ainsi décomposés : 2 cas où le rétrécissement relève manifestement de l'hy
és : 2 cas où le rétrécissement relève manifestement de l'hystérie, 7 cas de syringomyélie où la concomitance de l'hystérie
comitance de l'hystérie n'est point mentionnée (Déjerine) ; parmi ces cas se trouve signalé le nommé Schw..., autrefois mar
se en plaques, leur histoire régulière. On connaît cependant déjà des cas asymétriques, où la maladie se présente sous form
l'affection syringomyélique (Charcot et Brissaud) ; on peut citer des cas dans lesquels les troubles trophiques occupent le
ie, le panaris analgésique multiple enfin, comme cela se voit dans le cas actuel, pourront dans l'appareil symptomatique te
guées l'une de l'autre par l'existence de l'anesthésie totale dans un cas et la dissociation dite syringomyélique dans l'au
ar exemple, où M. Morvan en a, à lui seul, recueilli une vingtaine de cas . Mais on a fait remarquer que le syndrome de Morv
totale, non dissociée, et, d'un autre côté, il est avéré que certains cas reconnus comme des types de panaris de Morvan o
ris de Morvan ont présenté cependant la dissociation syringomyélique ( cas de Broca, Dayot). Le malade que je vais étudier a
trine de l'unité. Une première autopsie faite par M. Gombault dans un cas de M. Prouff diagnostiqué par M. Morvan n'a pas é
. Elle a montré cependant qu'en outre des névrites constatées dans ce cas , il existait une lésion centrale dans la moelle c
vons à M. Joffroy ont un tout autre caractère (1). Dans son premier cas , la malade, que j'avais observée pendant longtemp
partout ce qui précède, placés en mesure de bien mettre en valeur le cas que nous avons sous les yeux. C'est un nommé H.
a sensibilité et la limitation monoplégique des symptômes, c'est d'un cas de syringomyélie monoplégique avec parésie et amy
'est qu'à mon sens, vous l'avez compris, nous sommes en présence d'un cas bien propre à démontrer cliniquement la légitimit
la légitimité de la doctrine de l'unité. En somme, il s'agit là d'un cas de syringomyélie présentant quelques phénomènes a
es panaris analgésiques ne change rien au fond des choses. Ce sera le cas ou jamais de désigner l'état morbide dont souffre
ertain point se figurer le siège et l'étendue des lésions qui dans ce cas ont présidé à la production des phénomènes cliniq
. Messieurs, La leçon d'aujourd'hui sera consacrée à l'étude d'un cas fort intéressant de paraplégie survenue chez un d
premier attiré l'attention au 1 Leçon du 13 décembre 1889. Sur un cas de paraplégie diabétique l. point de vue cliniq
une affection des centres nerveux et de chercher à démontrer dans ces cas l'existence d'une lésion du plancher du quatriè
Marchai citait des faits à l'appui de sa thèse. C'étaient surtout des cas de ramollissement cérébral, lorsqu'il y avait eu
s élèves d'alors, MM. Bernard et Féré 1. Ogle a également observé des cas de cet ordre et a attiré sur eux l'attention. D
transitoire ou au contraire habituelle, du sucre dans les urines. Ces cas -là existent d'une façon parfaitement authentique
est possible aussi que le mécanisme ne soit pas le même dans tous les cas . D'une part, s'il est bien manifeste que le coma
acer sous vos yeux. Mais avant d'arriver à l'analyse clinique de ce cas , je désire entrer encore dans quelques détails. I
le domaine du sciatique principalement, peuvent rester unilatérales. ( Cas de Rosens-tein.) A côté de ces névralgies dans
nce des réflexes rotu-liens, qui existe dans un assez grand nombre de cas de diabète, surtout de diabète grave, ainsi que l
'importante découverte de la perte du réflexe rotulien dans nombre de cas de diabète, M. Leyden cite le Dr Raven (1887) Mai
jet3. Tout le monde en somme reconnaît aujourd'hui que, dans certains cas de diabète, les réflexes tendineux sont absents.
toujours montré l'intégrité absolue de la moelle (Rosenstein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des cordons p
s cas, cliniquement, l'absence des réflexes rotuliens caractérise des cas graves de diabète; non pas tant peut-être de ces
caractérise des cas graves de diabète; non pas tant peut-être de ces cas où il existe une quantité considérable de sucre,
s, 1889. 1 Leval-Picquechef. — Des pseudo-tabes. Th. Paris, 1885. cas -là, existe-t-il dans le sang, outre le sucre, cer
, on voit que dans la règle, il ne s'agissait pas réellement dans ces cas de la démarche tabétique, mais d'une démarche spé
de la réaction de dégénérescence. Ajoutons à cela que dans tous les cas , dans l'alcoolisme surtout, il n'existe pas de lé
iphériques. Eh bien, Messieurs, me fondant sur l'examen clinique du cas que je vais vous montrer, j'émets l'avis qu'il en
ilité des autres muscles de la jambe et de la cuisse. Ainsi dans ce cas , c'est à l'alcoolisme que vous êtes amené à pense
and je critique la dénomination de démarche ataxique adoptée pour les cas de ce genre, j'entends réserver, pour en faire un
les urines des malades. M. Oppenheim et d'autres auteurs ont cité des cas de ce genre. Ici la glycosurie plus ou moins perm
gées ou gastriques, qui indiquent la participation du bulbe. Mais ces cas doivent être assez rares. En 1885, MM. Pierre Mar
5, MM. Pierre Marie et Georges Guinon ont observé une cinquantaine de cas , sans en trouver un seul, et l'an passé, sur cent
t de l'ataxie locomotrice progressive. Les deux familles sont dans ce cas représentées chez le même sujet sans qu'il y ait
lant au point de vue pathologique sa double origine. Je crois que des cas semblables doivent exister; reste à savoir si des
du moins de la paraplégie qui en est la conséquence. A propos d'un cas d'hystérie masculine : 1° Paralysie dissociée d
de l'hystérie masculine en France et à l'étranger. — Description d'un cas de paralysie faciale d'origine hystérique portant
a rareté relativement au spasme glosso-labié hystérique. Dans notre cas , début de la névrose à l'occasion d'un traumatism
aujourd'hui est toutsimplementunhystériquemâle. C'est doncensomme un cas assez vulgaire. En effet, vous le savez, depuis q
des hôpitaux et agrégé de la Faculté 1. Il a fait la statistique des cas d'hystérie qu'il a rencontrés pendant son exercic
mon interne, qui a relevé, dans une des précédentes années, tous les cas d'hystérie mâle qui se sont succédé dans ses sall
ose soit suffisant. Ainsi, M. Bitot, à Rordeaux, a observé plus de 20 cas d'hystérie mâle dans le seul service de clinique
si je ne me trompe, à inscrire à l'actif de l'hystérie bon nombre de cas désignés sous le nom de névrose traumatique. A l'
inique attentive trouve à peu près toujours à signaler, même dans les cas les plus simples, en apparence les plus vulgaires
oint nouveau, quelque combinaison inattendue. A ce point de vue notre cas prendra de l'intérêt. En effet, il nous présent
es scientifiques, double emploi, je m'empresse de vous avertir que ce cas de paralysie faciale hystérique est celui-là même
obligé deme détacher actuellement, cependant non sans condition. Le cas est encore intéressant à un autre point de vue. J
. L'hérédité est là, présente, sans doute, comme dans la majorité des cas , mais plusieurs agents provocateurs se disputent
partisans de l'hystérie symptomatique auraient beau jeu à en faire un cas d'hystérie toxique : les habitudes alcooliques so
es. Mais si on y regarde de près, on trouve le plus souvent, dans ces cas , les caractères d'une déviation spasmo- dique e
ut la sortir hors de la bouche. Il en est ainsi, par exemple, dans le cas publié par M. Strassmann sous le titre d'hémiplég
à les caractères d'une paralysie faciale droite? J'en dirai autant du cas plus ancien de Lebreton 2 où l'on dit qu'il y ava
, je persisterai dans ma négation, prêt à me rendre toutefois pour le cas où la paralysie faciale, dont pour le moment je c
tion d'un malade2. Quelque temps après, M. Ghantemesse publiait trois cas de paralysie faciale hystérique3 avec monoplégie
s Hôp., 1890. chez l'homme. Il faisait remarquer que, dans tous ces cas , la paralysie est peu accentuée et qu'il y a touj
me série. Ils ne sauraient être tout à fait séparés. Vient enfin le cas de M. Ballet2, qui a trait à ce même malade que j
exemple de même nature dû à M. Bonnet 3. Cela fait donc en tout cinq cas émanant d'auteurs tout à fait dignes de foi et co
s que peut produire l'hémispasme glosso-labié des hystériques. Cinq cas bien constatés, il est vrai, c'est peu encore; ma
est vrai, c'est peu encore; mais c'est déjà quelque chose et en tout cas nous sommes forcés dès aujourd'hui, tout en maint
aujourd'hui, tout en maintenant que dans la très grande majorité des cas , la paralysie faciale n'accompagne pas l'hémipl
tégorie des paralysies corticales, n'est représentée que par quelques cas assez rares. Voilà donc les choses remises en p
z compris par ce qui précède, je ne puis voir chez notre malade qu'un cas d'hystérie « comme un autre » dans lequel étiolog
nt inhérents, paraît-il, à la profession de tonnelier. XV. Sur un cas d'hystérie simulatrice du syndrome de Weber. So
culier de Tanesthésie superposée aux troubles du mouvement. — Dans le cas en question le ptosis est dû au spasme de l'orbic
ation externe, mardi dernier, une jeune fille de dix-huit ans dont le cas m'a paru offrir un certain intérêt clinique. Vous
e quelques développements. Et s'il en était ainsi, vous disais-je, le cas serait probablement fort sérieux, car le syndrome
aite. Je tiens, avant de passer à l'examen et à la discussion de ce cas , à vous exposer quelques considérations concernan
olument typique. C'est en effet la première fois que l'on publiait un cas , à localisation unique et très nette, montrant qu
u et noté cette sorte de paralysie alterne, mais malheureusement, son cas était complexe. Il y avait en effet 1 Weber. —
ur servir de type aux paralysies pédonculo-protubérantielles. Dans îe cas de Mayor, comme dans celui de Gubler, il est ques
le moteur oculaire commun dans son passage à travers le pédoncule. Le cas de Weber, au contraire, a trait à un foyer hémorr
. Il s'agit généralement de tumeurs tuberculeuses et, à cet égard, le cas de Mohr cité par Nothnagel est bien démonstratif
r sans produire le syndrome de Weber. Je n'en veux pour preuve que le cas d'Andral4, concernant une femme, atteinte d'une v
on encéphalique qu'une lésion ancienne du pédoncule cérébral. Dans ce cas 1res évidemment l'oculo-moteur commun n'avait pas
eur, être intéressés à la fois, ainsi que cela s'est vu dans certains cas de compression. Mais entrons plus avant dans l'
ns le syndrome de Weber. Règle générale, dans l'un comme dans l'autre cas , le nerf de la troisième paire est paralysé dans
hes. Mais il est tout aussi facile de comprendre que, dans le premier cas , c'est-à-dire quand le nerf est lésé dans l'intér
la dilatation delà pupille. La paralysie incomplète varie suivant les cas ; quoique plus rare, elle existe néanmoins, témoin
o-moteur que parce que nous allons avoir à discuter tout à l'heure un cas de ce genre. 1 Oyon. — Hémiplégie gauche avec p
côté avec une paralysie des membres du côté opposé du corps. Dans les cas de ce genre, la paralysie du facial se comporte c
me et la paralysie de la paupière. Il serait vraiment utile, dans des cas de ce genre, lorsque la paupière tombante n'offre
t là un signe que je crois appelé à rendre de réels services dans les cas où on hésite entre la nature spasmodique ou paral
d'établir l'origine véritable d'un ptosis. Je ne parle pas ici des cas où il y a participation des autres muscles de l'œ
des cas où il y a participation des autres muscles de l'œil; dans ces cas , l'origine paralytique est évidente. Mais n'oubli
ie. Supposez-le associé au blépharospasme précédent et voyez, dans ce cas supposé mais possible, quelle serait l'importance
qu'il avait cru remarquer un certain abaissement du sourcil dans les cas de spasme palpébral. mation, je puis encore vou
nnaît rien ou presque rien quand on ne connaît qu'un épisode. Dans le cas présent, ces données héréditaires constituent un
qué par M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de*réaction. Sur un cas de paralysie radieulaire de la première paire dor
le, d'origine trauma-tique simulant la syringomyélie *. Sommaire. — Cas frustes de syringomyélie, difficultés du diagnost
ie (analgésie avec thermo-anesthésie et conservation du tact) dans ce cas de lésion d'un nerf périphérique et dans le domai
rmes, qui serait si intéressante pour éclairer le diagnostic dans les cas difficiles, n'est pas même commencée. Ces cas dif
le diagnostic dans les cas difficiles, n'est pas même commencée. Ces cas difficiles, auxquels je fais allusion, ne sont pa
convaincre du nombre et de l'importance que peuvent prendre en pareil cas les causes d'erreur, je me placerai tout d'abord
s arguments qui l'appuient. Puis, faisant volte-face, j'examinerai le cas à un nouveau point de vue, et je vous démontrerai
c différentiel que je vais agiter devant vous, et précisément dans le cas actuel, le diagnostic n'est pas, tant s'en -faut,
aît la syringomyélie asymétrique. D'ailleurs, nous avons affaire à un cas récent qui pourra se développer ultérieurement.
uent que la lésion atteint les cordons latéraux. Il s'agirait dans le cas présent d'une altération de ces faisceaux dans la
entre cilio-spinal. M. Brühl les a rencontrés dix fois sur trente-six cas . Le nystagmus a été parfois signalé, en pareil ca
ois sur trente-six cas. Le nystagmus a été parfois signalé, en pareil cas ; notre sujet en est exempt. Il ne présente pas no
ndiculaires à l'axe du membre, ainsi qu'on le voit également dans les cas d'hystéro-traumatisme local. Ici, remarquez-le bi
dent de la lèpre1. Je l'avais relevée déjà, pour ma part, 1 Dans un cas de lèpre anesthésique par places la sensibilité t
rmique et la sensibilité à la douleur étant absolue. — (A. Sass. Deux cas de lèpre nerveuse, Deutsch. arch. f. KUn. Med. Vo
ant dans de la dysesthésie, phénomène que j'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles moteurs et réf
as seulemeut des avantages d'ordre spéculatif, elle entraîne, dans le cas présent, une conséquence pratique des plus import
ie est parfois chose délicate, et qu'il peut présenter, dans certains cas , un grand intérêt pratique. Je vous aurai fait to
changement ne s'est opéré; ni amélioration, ni aggravation. Sur un cas de syringomyélie observé en 1875 et 1890 (1). •
toujours bien choisis et, partant, vraiment scientifiques. Tel est le cas pour la syringomyélie. Bien que l'on connaisse
rt souvent rapporté à l'atrophie musculaire du type Aran-Duchenne des cas où seule la syringomyélie était en jeu. L'erreur,
yant pas encore de nom dans la science, » mais ne présentant, en tout cas , rien de commun avec l'ataxie. A l'hémiplégie spa
ier ; que le type idéal de la maladie n'est pas réalisé dans tous les cas ; que l'hypertrophie, circonscrite à une seule ma
s nodulaires du tissu conjonctif sur quelques filets nerveux, dans un cas de syringomyélie compliquée d'hypertrophie du mem
possible que notre malade'soit porteur de lésions analogues. En tout cas , l'acromégalie vraie en est exempte, jusqu'à plus
femme delà Sal-pêtrière atteinte de syringomyélie. Or, dans ces deux cas , fort différents en apparence, du moins au seul p
'étude clinique de l'ataxie locomotrice. Il en serait de même dans le cas actuel, quoi que l'avenir nous réserve ; et si de
e analyse plus serrée, à lui donner place, comme on l'a fait pour les cas frustes du tabès, clans le cadre élargi du type c
causée par une hémorrhagie capsulaire, et, comme il arrive en pareil cas , une dégénérescence secondaire s'en est suivie. L
il faut en penser, nous n'hésitons pas à dire que ce serait, dans ces cas particuliers, peine perdue. Le repos, les tonique
s seuls et trop souvent impuissants moyens de traitement. XIX. Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive (1).
te, nous a conduits à supposer qu'il s'agissait chez cette femme d'un cas à'épilepsie partielle syphilitique, se présentant
tif et provisoire. Oui, c'est bien la syphilis qui est en jeu dans ce cas • oui, (1) Leçon recueillie par M. A. Souques,
la guérison des accidents nerveux sera parfaite. J'ajouterai que le cas offre dans l'espèce un intérêt particulier. Tout
qu'il ne s'agit pas ici de la syphilis acquise, mais bien d'un de ces cas de syphilis héréditaire tardive que nous avons ap
s à connaître, surtout par les fort belles études de M. Four-mer. Les cas de ce genre forment déjà un groupe noso-graphique
e de vue, c'est que, toutes les fois qu'on se trouve en présence d'un cas d'épilepsie partielle chez un adulte, il y a lieu
ue fanatomie pathologique de la syphilis cérébrale enseigne en pareil cas . Règle générale, les lésions de la syphilis cér
philis cérébrale sont des lésions méningées, et, dans la majorité des cas , ce sont avant tout des lésions de la base. Déjà
rconscrites, des lésions en nappe, des lésions superficielles en tout cas qui n'affectent d'abord la substance corticale cé
aire, une hémiplégie permanente compliquait l'épilepsie partielle, le cas serait beaucoup plus grave. On trouverait alors,
apsule interne, lésions qui doivent être éliminées ici. Donc, dans le cas supposé d'hémiplégie permanente, il serait trop t
ent que le prélude de désordres plus ou moins graves. Dans tous les cas , lorsque vous rencontrerez une céphalée de ce gen
On ne saurait trop en fournir dans l'espèce. Il importait, en tout cas , de rechercher attentivement l'origine de la syph
ent à sept ans (croûtes du cuir chevelu et ganglions du cou), en tout cas sûrement à l'âge de quatorze ans (chute des corne
nts et d'après leur nature même (rhinite, choroïdite), que c'est d'un cas de syphilis héréditaire tardive qu'il s'agit. I
t par hérédité prédisposés aux affections cérébrales vulgaires. Notre cas vient évidemment à l'appui de cette manière de vo
s vulgaires — je me propose de vous en montrer, vendredi prochain, un cas très frappant — compromettant sérieusement la nut
dans les méningo-myélites. Ne chantez pas victoire à l'avance dans un cas d'épilepsie partielle où déjà il existe un certai
il existe un certain degré d'hémiplégie permanente. Mais clans les cas d'épilepsie partielle pure qui, dans l'intervalle
névrite optique, paralysie du moteur oculaire commun, etc..., dans ce cas -là, la gué-rison est non seulement très probable
ant un temps suffisamment long. Telle est, en résumé, la morale de ce cas . (1) La malade est restée deux mois dans le ser
tiformes pour lesquelles elle était entrée à l'hôpital. Encore deux cas de syphilis cérébrale (I). Sommaire. — Variétés
Messieurs, Dans la précédente leçon, nous avons étudié ensemble un cas de syphilis cérébrale (2) qui vous a montré cette
é de lésion organique de l'écorce cérébrale de ces régions. En pareil cas , on (1) Leçon recueillie par M. A. Souques, int
de syphilis cérébrale, mais le tableau est si différent dans les deux cas que le contraste vous paraîtra frappant. Chez l'u
parties do l'encéphale qui reçoivent le sang par ces artères. Dans ce cas , le processus ne diffère pas, ainsi qu'on devait
n connaît des exemples d'hémorrhagie intra ou extra-encéphalique. Ces cas -là ne doivent pas nous occuper aujourd'hui. Consi
t, par conséquent, de syphilis acquise qu'il s'agit, contrairement au cas de l'autre jour, où la syphilis héréditaire était
aque ne seraient-ils pas en jeu ici ? Non, certainement, car, dans le cas présent, aucune de ces causes ne peut être incrim
n attentivement pratiqué par M. Parinaud est resté négatif. Dans ce cas , que nous reste-t-il donc ? Eh bien ? tout simple
jour avec tant d'insistance, parce qu'elle est, dans la majorité des cas , un signe révélateur de la plus haute importance.
'on procède avec énergie et rapidité. Je n'en veux pour garant que le cas du second malade que j'ai fait placer sous vos ye
pace restreint cependant de quinze à vingt jours. C'est assurément le cas de répéter l'axiome : Naturam morborum osten-dunt
l'avenir viendra confirmer vos prévisions dans l'immense majorité des cas . J'excepte, en effet, car il faut toujours en cli
t, car il faut toujours en clinique faire quelques réserves, certains cas très exceptionnels où la cécité peut s'installer
manifestations anormales. Les îlots de sclérose peuvent dans quelques cas frapper les cornes antérieures de la moelle. Les
e de la sclérose en plaques, peuvent également survenir dans quelques cas exceptionnels et reproduire alors les apparences
tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve clans certains cas réduit, à peu de chose près, à la seule contractu
avec ou sans rigidité concomitante des membres supérieurs. En pareil cas , la coexistence actuelle ou passée de quelqu'un d
ns la moelle et dans le bulbe. Il trouva pareillement, dans le second cas , des foyers scléreux épars dans le système nerveu
a convergence. 3. e). Ophthalmoplegie externe. 2. Soit au total, 17 cas de paralysie. Il est à remarquer que, contraireme
uels chez vingt-quatre de ses malades, constata que dans un tiers des cas l'amblyopie avait débuté brusquement, que onze fo
it considérablement améliorée au bout de quelque temps, que dans deux cas elle était redevenue tout à fait normale, qu'enfi
d'amélioration. J'ajouterai que l'autopsie fut pratiquée clans six cas et que cinq fois les nerfs optiques furent trouvé
fois les nerfs optiques furent trouvés lésés. Or dans un de ces cinq cas on n'avait constaté durant la vie aucun trouble v
paralysie des réservoirs, d'eschares,etc.,et revêtant dans ce dernier cas les apparences de la myélite transverse. Lire a
e, en effet, une entité morbide autonome et très spéciale. Dans ces cas insolites qui simulent le tabes, pour asseoir vot
exemple convaincant, et MM. Déjerine et Skolosubow en ont constaté un cas chacun de leur côté. Quelque singulière que puiss
n très intéressant mémoire (1), a insisté avec beaucoup de raison. Le cas actuel vient incontestablement à l'appui de cette
diplopie due à l'existence de paralysies associées. Il s'agit là d'un cas fruste, fruste parce qu'il n'y a pas trace de tre
les mettez en pratique, vous trouverez le plus souvent, même dans les cas difficiles, la véritable solution du problème.
les cas difficiles, la véritable solution du problème. Note sur un cas de Paralysie du Moteur oculaire externe et du Fac
quents relativement aux autres néoplasmes qui s'y rencontrent. Des 30 cas de tumeurs de la protubérance, Bernhardt a relevé
ique du côté des membres ; rien de plus plausible, car on connaît des cas de ce genre (Nothnagel). Outre ce tubercule, il e
variées ; on s'en fera, du reste, une idée par la lecture des quatre cas suivants, particulièrement du premier et du trois
traordinaire et la durée de chacun d'eux. C'est véritablement dans un cas semblable que l'expression « bâiller à se décroch
ent provoqués par une émotion ou une contrariété, ils étaient dans ce cas beaucoup plus intenses et beaucoup plus fréquents
sous deux aspects différents. Dans le premier, la malade, — car nos cas se rapportent uniquement à des femmes, — se met t
ements par heure, soit 7,200 en quinze heures de veille. » Dans ces cas , le sommeil seul interrompt les bâillements qui r
un seul et même bâillement (Fig. 56). Il peut être avorté ; dans ce cas la malade de l'observation III accusait une sensa
l'hystérie se groupant sous forme d'attaques. Il existe dans tous ces cas un fonds commun qui se juge par les phénomènes pr
s ou moins long, un quart d'heure, une demi-heure et plus suivant les cas . Puis la crise se termine, les bâillements cessen
ce soit là une manifestation monosymptomatique de l'hystérie. Dans ce cas , la question du diagnostic différentiel peut se p
seulement observés dans les intervalles des accès. (Féré.) Dans le cas de crises, on peut faire intervenir un élément d'
ésultats qui permettent d'établir que l'attaque a eu lieu. Dans ces cas , l'attaque se juge par l'abaissement du résidu fi
icables aux bâillements hystériques, forme rare de l'attaque. Dans un cas que nous avons observé et qui nous a fourni huit
lements chez une hystérique mise en somnambulisme hypnotique. Dans ce cas , ainsi qu'on pourra le voir sur le tracé (Fig. 59
t dit (1). (1) Aux précédentes observations nous pouvons ajouter le cas d'une jeune fille, la nommée Marg. Chev..., qui s
lie au point de vue clinique et anatomo-pathologique. Relation d'un cas type de maladie de Morvan compliqué d'hystérie. S
stériques et de Morvan chez le même individu..........1 IL Sur un cas d'hystéro-traumatisme. — Monoplégie brachiale hys
rs rapports d'évolution avec la névrose hystérique. Relations de deux cas de tremblement hystérique ayant trait, l'un à la
tentionnelle, l'autre à la variété vibratoire. .... 46 IV. Sur un cas de migraine ophthalmoplégique (Paralysie oeulo-mo
te. Migraine ophthalmique et migraine ophthalmoplégique. Historique : Cas de Möbius, Ilasner, Senator, Saundby, Parinaud et
outes les branches des 3e et 6e paires Essai de pathogénie. — Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf mot
seur Charcot, travaux récents sur cette question. Description de deux cas d'oedème bleu de la main combiné à une contractur
une fille de 22 ans, et chez un homme de 46 ans. Analogie de ces deux cas . Caractère du gonflement, où la pression du doigt
Travail de MM. Georges Guinon et E. Parmentier). . . 127 VIII. Un cas de sciatique avec paralysie amyotrophique dans le
tuant un syndrome à part (polioencéphalomyélite). Description de deux cas . Absence de la réaction de dégénérescence dans le
Absence de la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas aigus et subaigus ... 189 XI. Cinq cas d'opht
ans les muscles atrophiés. Cas aigus et subaigus ... 189 XI. Cinq cas d'ophthalmoplégie externe (paralysie bulbaire sup
Georges Guinon et E. Par-mentier).................208 XII. Sur un cas lc syringomyélie avec panaris analgésiques. (Ty
me troubles trophiques non d'une très grande rareté. Observation d'un cas de syringomyélie, type Morvan. 243 XIII. Sur
rvation d'un cas de syringomyélie, type Morvan. 243 XIII. Sur »in cas de Paralysie diabétique. 1 (Leçon). Sommaire.
. Sur la Paraplégie diabétique...........279 XIV. A propos d'un cas d'hystérie masculine : 10 Paralysie dissociée du
de l'hystérie masculine en France et à l'étranger. — Description d'un cas de pax'alysie faciale d'origine hystérique portan
a rareté relativement au spasme glosso-labié hystérique. Dans notre cas , début de la névrose à l'occasion d'un traumatism
cidents nerveux : cumul des agents provocateurs. . 285 XV. Sur un cas d'hystérie simulatrice du syndrome de YVeber. L
lier de l'anesthésie superposée aux troubles du mouvement. —¦ Dans le cas en question, le ptosis est dû au spasme de l'orbi
dans le premier et abaissé dans le second.........308 XVI. Sur un cas de paralysie radiculaire de la première paire dor
ine trauma-tique, simulant la syringomyélie. (Leçon). Sommaire. — Cas frustes de syringomyélie, difficultés du diagnost
sie (analgésie avecthermo-anesthésie et conservation du tact) dans le cas de lésion d'un nerf périphérique et dans le domai
nsuccès du traitement chirurgical................333 XVII. Sur un cas de syringomyélie observé en 1875 et 1890. (Trav
elui de helxipodc (de é.x.w, traîner) chez le second. 363 XIX. Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive. (Leç
la thérapeutique. Pronostic..................370 XX. Encore deux cas de syphilis cérébrale. (Leçon). Sommaire. — V
rme fruste par effacement........;..........399 XXII. Note sur un cas de Paralysie du Moteur oculaire externe et du Fac
16 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
me suffira pour justifier ce que j'avance de citer, pour exemple, le cas de la phtisie tuberculeuse du poumon. Vous n'igno
rdre alternant et sous une incidence presque perpendiculaire. Dans le cas que nous supposons, le nombre des rameaux de Fi
-duits alvéolaires. d'un fruit, le grand lobule pulmonaire, dans le cas invoquépar M. Rindfleisch, serait donc formé par
i-bulaire, tout mince qu'il soit, se dessine néanmoins, dans certains cas , sur le plan des sections et aussi sur la base de
s les observations que j'ai faites récemment, dans un grand nombre de cas de diphtérie bronchique. C. Après les détails d
monaire. Les résultats qu'ils ont obtenus sont dus { l'application au cas spécial de la méthode des imprégnations argentiqu
on de cet enfant. Les alvéoles étaient partout revêtus, comme dans le cas précédent, d'un épithélium complet. Seulement, pa
ns, en outre, vous en faire apprécier les caractères. Dans certains cas pathologiques, rien n'est plus simple, ainsi que
de l'imprégnation d'argent, par exemple, sont inappli-cables dans le cas de l'homme, parce que, chez lui, l'investi-gation
peut arriver que cette membrane se présente de face et si, en pareil cas , on a eu la précaution de faire intervenir l'ac-t
ial de nos études actuelles; je veux me borner à relever ici que le cas de l'épithélium pulmonaire peut être considéré co
vitalité, tels que mouvements amiboïdes, par exemple. Dans d'autres cas , ou à un degré plus avancé, se produisent les phé
er, à proliférer, et le mode le plus vulgaire qu'on observe en pareil cas , c'est la division par scission. Elle porte sur l
lgaire dans l'état physio-logique, ainsi que l'a montré Remak dans le cas du développe-ment embryonnaire, l'est aussi, vous
de la diapédèse des leucocytes, il y a lieu de rele-ver dans tous ces cas la multiplication par scission de cellules 1 Ma
'énorme multiplication des cellules épithéliales qui a lieu en pareil cas l. 4 Leçons sur les maladies du foie, 1877, p.
le de la broncho-pneumonie aiguë ou subai-guë et examinons d'abord le cas où la maladie est provoquée expérimentalement che
emple. Vous n'ignorez pas que la lésion du poumon, observée en pareil cas , se rapproche de tous points de la broncho-pneumo
qu'on retrouve dans les ca-vités aériennes à l'autopsie, et, dans les cas où, après la sec-tion des récurrents, l'animal a
'un processus inflammatoire ; elle peut s'observer, en effet, dans le cas où l'on produit expérimentalement un simple œdème
, pour citer un exemple pris dans le domaine de l'expérimentation, le cas de la pneumonie chronique primi-tive, provoquée c
l'appui de ce que j'avance, je citerai d'abord pour exemple certains cas de cancer du poumon chez l'homme, bien étudiées p
ire elle-même, non manifestement altérée et présentant encore en tout cas , parfaitement caractérisée, sa charpente de fibre
e. En dehors du cancer nous citerons, encore à titre d'exem-ple, le cas beaucoup plus vulgaire des diverses broncho-pneu-
ostérieure. Le tissu du poumon sur les points altérés offre, dans les cas avancés, suivant la remarque de Legendre, à peu p
aire des nouveau-nés syphilitiques, d'après MM. Cornil et Ranvier; le cas delà carnisation du poumon, décrite par Legendre
vous ai donné l'ex-posé sommaire à propos de l'homme. Dans tous les cas , je le répète, en ce qui concerne les lésion? sub
de vue particulier sur lequel j'ai dirigé votre attention, d'abord le cas du rein, puis celui du foie. Je vais vous entra
récédentes études — que siègent parti-culièrement les lésions dans le cas du petit rein rouge. J'ai essayé d'établir, avec
épithélium cylindrique, mais plus épais toutefois que dans le premier cas . Tel est, en gros, le premier développement du co
celles du « petit rein rouge » fait recon- naître que dans les deux cas , le processus fondamental est mutalis mutandis, l
e d'altération que subit le foie dans la cirrhose biliaire. En pareil cas , dans le lobule, les colonnes de cellules hépati-
es. Ce mode de développement est facile-ment mis en évidence, dans le cas du cancroide, dans les pre-mières périodes de son
odes de son développement à la surface de la peau. On voit, en pareil cas , sur des coupes pratiquées perpendicu-lairement à
ne se voit pas seulement, il importe de le faire remarquer, dans le cas du cancer. Elle s'observe dans le lupus, dans l'é
ologiques, car il est au moins fort vraisemblable, que, dans tous les cas que je viens de citer, la lésion des tissus sous-
n conséquence de la ligature du canal cholé-doque. On voit, en pareil cas , l'altération se répandre de proche en proche le
tissu conjonctif sous-jacent. Mais il n'en n'est plus de même dans le cas de la pneumonie épithé-liale prolongée, consécuti
ier à chacune d'elles, le-quel permet d'établir, dans la majorité des cas , le diagnostic. J'ai appelé aussi, autrefois, vot
ve de la pneumonie lobaire chez l'enfant. Après eux, Ziemssen sur 201 cas de pneumonie croupale n'a relevé que 7 décès. Il
nce de frisson, l'ab-sence fréquente du râle crépitant, même dans les cas où la maladie n'était pas latente, l'absence de c
à une, de les montrer dans une sorte d'esquisse, rassemblées dans un cas individuel, et de vous les présenter telles qu'el
t repren-dre l'exposé des lésions de la broncho-pneumonie. Voici un cas de pneumonie morbilleuse, chez un enfant de trois
z, hépatisation rouge broncho-pneumonique de Damaschino ; 3° dans les cas où elle occupe seulement quel-ques lobules, on l'
congestion vas-culaire des parois des alvéoles, et, s'il s'agit d'un cas prolongé, un commencement d'infiltration par les
es volumineuses à un ou à plusieurs noyaux, et des leuco-cytes. Si le cas est ancien, les cellules ont l'aspect de corps gr
u pharynx; il faut y rattacher encore celles qui surviennent dans les cas où intervient l'intoxication par l'opium, ainsi q
'obstruction des bronches correspondantes. C'est ici, Messieurs, le cas de vous dire quelques mots de cette lésion parfai
itent, se gonflent, prolifèrent et finissent par disparaître dans les cas prolongés, pour être remplacés par un revêtement
éserve. Ainsi, Chomel avouait n'avoir pu réu-nir et comparer que huit cas , lorsqu'il composa son article Pneumonie chroniqu
int relatifs à cette maladie. Le plus souvent, en effet, il s'agit de cas où une induration, sans caractère inflammatoire a
its dans les voies res-piratoires peuvent, par exemple, dans certains cas être le point de départ d'un travail de phlegmasi
phlegmasie chronique. Mais ici en-core les faits manquent, ou en tout cas ne fournissent pas ma-tière à de grands développe
cer-tain nombre de types fondamentaux. Étudions-les d'abord dans les cas où la maladie, ayant eu une issue relativement pr
au ramollissement, a succédé l'induration; on a noté aussi, dans les cas qui paraissent correspondre à des phases un peu p
nnaît malheureusement fort peu les modifications que subit, en pareil cas , l'organe pulmonaire dans sa texture infime. Chez
, à l'œil nu, les particularités que nous venons de signaler. Dans ce cas , M. Leberl1 trouva la substance pulmonaire infilt
t lisse et plane. La substance exsudée est plus abondante que dans le cas précé-dent; elle distend le parenchyme du poumon,
ent; elle distend le parenchyme du poumon, au point que dans certains cas on le dirait injecté avec de la cire ou du suif;
xsudais qu'il faut rapporter la diversité d'aspect ob-servé. Dans les cas dont il s'agit, la constitution du sujet, la eras
de Métamorphose fibreuse 1, le mode d'altération que subit, en pareil cas , le poumon. En même temps la vascularité de l'or-
ie sous le scalpel comme le ferait un fibro-cartilage ; dans tous les cas il est dense, tout à fait imperméable, privé de c
us loin que la texture du poumon est bien autrement modifiée dans les cas où il y a induration plane, que dans ceux où l'in
s et les petits lobules. Ils paraissent être surtout marqués dans les cas d'induration plane; ils étaient très évidents et
difications histologiques que subit le parenchyme pulmonaire dans les cas d'induration grise; il a bien voulu nous faire pa
tion. Nous avons nous-même examiné avec soin l'état du poumon dans un cas où la métamorphose fibreuse était très prononcée
senter quelques analogies avec celle qui imprègne les tissus dans les cas d'infiltration grise tuberculeuse. Yoici, d'après
de l'acide acétique. Aucune difficulté ne subsisterait plus dans les cas où la ma-tière aurait pris, en certains points, u
moins étendue et qu'elle siège dans les parties centrales : dans deux cas de ce genre observés par MM. Hardy et Béhier, la
s volumineux que le gau-che dans notre observation III ; dans l'autre cas , le lube infé-rieur droit était seul atteint, et
on volume avait diminué d'environ moitié (observ. I). Dans ces deux cas , les tuyaux bronchiques au niveau des parties ind
parties lésées, même 1 Maladies des vieillards, p. G02. dans les cas où la maladie, remontant à une époque éloignée, j
es restées saines du poumon. Siège, étendue. — Dans la majorité des cas qui ont été rapportés, l'induration pulmonaire s'
t depuis maintes fois reproduite, semble démontrer que, dans certains cas , la gangrène peut éclater au sein d'un ' Cliniq
cident serait même dans l'espèce assez fréquent, puisque sur quatorze cas de gangrène du poumon observés par cet auteur, il
ie chronique avec induration du parenchyme pulmonaire. Mais, dans les cas de ce genre, l'insuffisance des détails concernan
rande excavation, rend cette opi-nion au moins fort probable. En tout cas , il est certain, et c'est là un point que nous te
peuvent cependant aussi occuper les lobes supérieurs. Dans plusieurs cas il a été constaté que les lobes indurés, de même
n lobe pulmonaire frappé d'hépatisation chronique : « Dans le premier cas , deux excavations séparées l'une de l'autre occup
rs phases, les métamorphoses qu'é-prouvent probablement dans tous les cas de ce genre les tis-sus indurés, avant que la pér
a 32" livraison de Y Atlas d? ana-tomie pathologique (pl. V). Dans ce cas , un travail d'inflammation aigué s'était emparé d
venir le siège d'une fonte gangreneuse (obs. I). Enfin, dans d'autres cas , la gangrène paraît être pri-mitive et précéder l
et que j'ai vu se déposer à la surface des calculs biliaires dans des cas de cholécystite se-condaire ». Il n'y a pas de tr
e, elle débute avec des commencements obscurs, insi-dieux. Le premier cas paraît être le plus fréquent ; telle est du moins
bservations. — On peut rechercher d'abord s'il existe dans le premier cas quelques phénomènes qui marquent d'une manière pa
ls indices de cette résolution imparfaite; mais on a vu cependant des cas où le souffle tubaire, la bronchophonie et une ma
endance à la récidive, le moin-dre retour des accidents fébriles. Les cas de ce genre n'ap-partiennent évidemment pas, au m
temps plus ou moins long, ne tardent pas à reparaître, et alors deux cas peuvent se présenter : tantôt la réaction acquier
s désigne sous le nom de pneumonie chronique ; ce sont les deux seuls cas de guérison qu'il rapporte. Un autre fait semblab
1846. MM. Aran et Hérard m'ont dit avoir observé récemment chacun un cas de pneumonie avec persistance des phénomènes loca
x pendant plusieurs mois après la cessation du mouvement fébrile. Ces cas -là sont sans doute loin d'être rares. chés de l
s'altère, et les malades dépérissent. On a mentionné, dans plusieurs cas , l'existence d'un œdème siégeant aux membres infé
uccombe dans le dernier degré du marasme (obs. II). Dans les quelques cas signalés par les auteurs comme exemples de guéris
mpagnée de sueurs abondantes qui » Il n'en était pas ainsi clans le cas observé par M. Grisolle, mais cela était bien mar
s le cas observé par M. Grisolle, mais cela était bien marqué dans le cas IV de la thèse de M. Raymond et dans plu-sieurs a
issent seuls pou-voir la révéler. Il n'en serait pas de même dans les cas où il y a fonte gangreneuse ; alors, outre l'hémo
ndant elle consti-tue parfois un des phénomènes prédominants, dans le cas principalement où la maladie affecte les allures
devient momentanément abon-dante, et prend l'aspect purulent dans le cas où la cavité d'un abcès se met en communication a
eumonie n'est pas toujours accidentelle et semble être, dans certains cas , un indice de l'extension progressive du travail
(obs. II). — Des hémoptysies répétées se sont montrées dans plusieurs cas . B. L'auscultation et la percussion de la poitr
plus sourd, à mesure que la cavité devient plus grande. Dans quelques cas rares, la percussion détermine alors le bruit de
t lubaire, excessivement fort et simule le souffle caverneux dans des cas où il n'existe cependant pas de cavernes. Les râl
présenter un tim-bre métallique. M. Aran nous a dit avoir observé un cas où l'abondance et la grosseur des râles humides,
e nos observations (obs. III) ; seulement cela n'était point, dans ce cas , un phénomène per-manent, car de temps en temps,
, p. 167. 2 Skoda.— Traité de la percussion, 1854, p. 339.— Dans un cas de ce genre, dont a été témoin M. YVintrich, le s
est prononcé ; on le rencontrerait, au contraire, ra-rement dans les cas où le lobe inférieur seul est atteint. MM. Raimbe
degré d'atrophie. Consé-quemment, il est possible que, dans quelques cas , les parois tlioraciques suivent la partie malade
on {Gmfs tiospit. Rep., p. 223, 1842). M. Piorry a rapporté plusieurs cas de tubercu-lisation prédominante des lobes inféri
nante des lobes inférieurs chez l'adulte. J'ai observé moi-même trois cas de ce genre : dans deux de ces cas il y avait des
dulte. J'ai observé moi-même trois cas de ce genre : dans deux de ces cas il y avait des excavations nombreuses; les lobes
mbreuses; les lobes supérieurs étaient restés indemnes. ces en âge, cas dans lequel la pneumonie chronique est infi-nimen
confusion serait, on le conçoit, presque impossible à éviter, dans le cas où des excavations se seraient formées dans le lo
imulées par la pneumonie chronique ulcéreuse. On a noté dans certains cas de la dernière maladie l'absence de sueurs noctur
ire au diagnostic. Il peut arriver cependant quelquefois que dans les cas de dilata-tion des bronches, tout comme dans la p
une absence complète de bruit respiratoire*. Mais c'est là, en pareil cas , un phénomène tout passager; et pour peu que le m
ie chronique. C. Il serait sans doute fort difficile, dans certains cas donnés, de ne point confondre la pneumonie chroni
ation thoracique exagérée que M. Monneret a constatée dans plu-sieurs cas de pneumonie chronique pourrait être ici d'un gra
'est pas certain que l'exagération de la vibration se montre dans les cas de pneumonie où il y a absence de bruit respira-
, et l'on peut tout au moins élever des doutes à cet égard : dans les cas où la vibration exagérée a été notée jusqu'à pré-
ies catarrhales à lente évolution, est encore toute à faire. Dans les cas très peu nombreux d'ailleurs où cette affection a
eumonie chro-nique. Yoici d'abord les traits de ressemblance. Dans le cas de cancer, aussi bien que dans la pneumonie, la p
ent quelques-uns des traits de la pneu-monie chronique. Dans ces deux cas , les symptômes thoraci-ques ont paru être influen
ements ou des insuffisances de la valvule mitrale. Peut-être dans ces cas -là s'agissait-il d'une simple carnification, et n
t, pour la plupart, à la forme chronique proprement dite; ce sont des cas de pneumo-nie aiguë à lente évolution ou dans les
es caractères de l'état aigu. Thérapeutique. — S'il s'agissait d'un cas de date récente, s'il était donné, par exemple, d
liée à la syphilis, un traitement spécifique serait institué; dans un cas rapporté dans la thèse de M. Lagneau, et auquel n
nt a paru avoir une influence réelle. — Nous avons parlé déjà de deux cas de pneumonie chronique observés par M. Bennet che
e fut em-ployée et les malades guérirent. Mais étaient-ce bien là des cas de péripneumonie chronique ? N'étaient-ce pas plu
n là des cas de péripneumonie chronique ? N'étaient-ce pas plulôt des cas de carnification pulmonaire, survenue comme consé
ici avec quels caractères la camisa-tion se présentait dans un de ces cas : tissu dur, pesant, d'une couleur rougeâtre unif
quatre mois après le début d'une pneumonie catarrhale. Bans l'autre cas , les premiers accidents thoraciques avaient paru
les caractères de l'état normal. Rien de semblable n'a lieu dans les cas de pneumonie gra-nuleuse ou vésiculaire. 1 Maladi
nstances où les bronches de tout un lobe avaient subi, comme dans les cas précédents, une dilatation très prononcée, on a p
mbre de faits; mais certainement elle ne saurait être admise pour les cas très nombreux dont nous avons parlé plus haut et
ent l'induration grise, de la pneumonie chronique proprement dite. En cas d'induration grise, le tissu conjonctif interlobu
fi actifs qu'il nous a paru important de faire ressortir. Dans des cas sans doute exceptionnels, le tissu du poumon inte
h offre un exemple de ce genre : il nous paraît probable que dans ces cas , le travail phlegmasique s'est propagé des bronch
une coloration noire? Non sans doute, au moins dans un bon nombre de cas : ainsi, pour ne citer qu'un exemple, dans cette
nts, et l'augmentation de consistance des tissus qui existe en pareil cas , paraît reconnaître principalement pour causé l'a
us offre une autre forme de l'induration mélanique du poumon. Dans ce cas , suivant les recherches de MM. Hall (de Sheffield
er d'excavations, ainsi que nous avons vu que cela avait lieu dans le cas de péri pneumonie chronique ulcéreuse. Ce seraien
ranulée, mais surtout l'induration plane 2, qu'on rencontre en pareil cas . Les cloisons celluleuses interlobulaires sont qu
de la pneu-monie chronique consécutive ~hez les tuberculeux : sur 26 cas de tubercu-lisation pulmonaire, MM. Rillet et Bar
ste mou, crépitant et sain. Si la gangrène n'était plus, comme dansle cas dont il s'agit, le fait primitif et capital ; si,
ronique. Le travail d'inflammation chronique est peut-être, en pareil cas , déterminé par la présence des granulations pigme
de corps étrangers. Virchovfs Archiv., I Bd., p. 462. APPENDICE cas de pneumonie chronique ulcéreuse J'ai recueilli
de l'expectoration. Fox a vu les signes physiques disparaître dans un cas où la pneumonie s'étendait à tout un lobe, sans q
te s'opérer du vingtième au cinquante-cinquième jour, 66 fois sur 103 cas . Sur 26 cas observés par M. Wilson Fox à ce point
du vingtième au cinquante-cinquième jour, 66 fois sur 103 cas. Sur 26 cas observés par M. Wilson Fox à ce point de vue, la
éra cinq fois entre le vingtième et le vingt-cinquième jour ; dans un cas , elle ne fut complète que le trentième jour. Andr
te que le trentième jour. Andral a vu la résolution s'achever dans un cas , seulement au bout de quatre mois. Comme le fait
mois. Comme le fait remarquer M. Charcot (th. d'agrég., p. 148), ces cas n'appartiennent pas à l'histoire des pneumonies c
gées. — La résolution lente s'observe donc assez fréquemment dans des cas où. tout rentre dans l'ordre, malgré celte prolon
ns spéciales, chez le vieillard le plus souvent. Deux catégories de cas peuvent s'observer: 1° Après une première attaque
à la pneumonie lobaire. — Pneumonie lobaire prolongée. — L'étude des cas de ce genre établit l'existence de trois variétés
aussi brusquement. b) Exemple de la deuxième variété. — Le deuxième cas a été emprunté à l'ouvrage de Grisolle1 : après u
to. c) bxcmpte de la troisième variété. — Il s'agit encore ici d'un cas de pneumonie régulière chez un homme de 60 ans, c
elle à la pneumonie lobaire, et l'on a remarqué de plus que, dans les cas de ce genre, le même pou-mon, les mêmes parties d
de ce poumon, sont le siège de ces récurrences fluxionnaires. Sur 35 cas de pneumonie, Grisolle les a vues se produire 25
les derniers temps, l'évolution d'une pneumonie aiguë ? Le deuxième cas , fort analogue au précédent, ne présente pas moin
in de le faire remarquer. On peut citer à l'appui de cette opinion le cas des néo-membranes pleurales, renfermant des vaiss
. Cette induration rouge s'observe, comme nous l'avons vu, dans les cas à issue relativement prompte après un mois ou six
ement prompte après un mois ou six semaines de maladie. Dans quelques cas rares, au bout 4 Clinique médicale, t. III, p.
(cristaux de margarine?). Pas de caséification ; mais, dans plusieurs cas , on trouve une dégénération particulière qui cond
quefois elle se prolonge et passe à l'état chronique. Bartels cite un cas qui a duré sept mois. Elle peut même se continuer
uivant M. Charcot, après la fièvre typhoïde, bien que dans ce dernier cas la forme aiguë ou subaiguë soit en quelque sorte
niques, à la suite de rougeole ou de bronchite. On retrouve en pareil cas les principaux traits de la broncho-pneumonie aig
eumonies décidément chroniques. Il en donne la description d'après un cas observé par M. Olivier, chez une femme de 20 ans,
plus ancienne des lésions, les caractères hislologiques sont, dans ce cas , les mêmes que dans la broncho-pneumonie subaiguë
broncho-pneumonie subaiguë ayant duré trois mois environ. Le premier cas est celui d'une petite fille de trois ans,. Dan
Le premier cas est celui d'une petite fille de trois ans,. Dans les cas plus anciens encore, datant de plusieurs années,
monaires s'étaient développés à la suite d'une rougeole. Dans l'autre cas , ils avaient succédé à des troubles cardiaques, c
es de la carnisation développées dans un seul poumon, dans le premier cas , dans les deux poumons, dans le deuxième. L'exame
conservation du nodule péribronchique très net,surtout dans le second cas . (Balzer.) 1 Ziernssem' Supplément, p. 197. cas
tout dans le second cas. (Balzer.) 1 Ziernssem' Supplément, p. 197. cas , le cœur bat en quelque sorte à nu sous la paroi
e nature gangreneuse. En résumé, dit M. Charcot, il s'agit dans ces cas d'une lésion remontant à l'enfance ou à la jeunes
ainsi dire, à coup sûr, la lymphangite pulmonaire. Or, dans tous ces cas , le tissu de la plèvre ne paraît pas sérieusement
i sur le poumon par une autre voie, celle des lymphatiques ; c'est le cas de cer-taines pleurésies purulentes puerpérales o
lente. Une véri-table suppuration interlobulaire se déclare en pareil cas . Le fait avait été relevé déjà par M. Rindfleis
ontrera la série des lésions graves qui peuvent se produire en pareil cas . La pre-mière concerne un homme de 48 ans, qui, 8
admet 5 doigts. Rein cardiaque. Intestin conges-tionné. Le deuxième cas est fort analogue au premier. Pleurésie datant de
et qu'il restitue au tubercule, au moins dans la grande majorité des cas , la prédominance que les auteurs lui avaient d'ab
giques et chi-miques. En second lieu, les lésions produites en pareil cas , reconnaissant comme cause une sorte de traumatis
ans une atmosphère confinée enfumée à l'aide d'une lampe. Or, dans ce cas , les seules parties qui aient été atteintes et co
e la poussière de charbon, soit de l'oxyde rouge de fer. Or, dans les cas où il s'est agi du char-bon, on a pu retrouver le
se rencontrent habituellement en pa- 1 Atlas de Thierfelder. reil cas dans l'intérieur des alvéoles pulmonaires : 1° un
on pigmentaire du sang consécutive à l'intoxication palustre. Dans ce cas , la substance pigmentaire noire qui infiltre les
ent résolue par des considérations d'un autre ordre. Ainsi, en pareil cas , le poumon n'est jamais le seul organe pigmenté,
du encore dans la pratique, car il en existe à peine une quinzaine de cas rassemblés par M. Merkel *, et dans deux de ces c
une quinzaine de cas rassemblés par M. Merkel *, et dans deux de ces cas seulement la maladie a déterminé la mort. Mais el
tions de sa production sont du reste au fond les mêmes, dans les deux cas . Il s'agit toujours de poussière charbonneuse rép
t de volume variable; parfois très petits, ils peuvent, dans certains cas , atteindre le volume d'un œuf; en général, ils so
e que M. Peacock 1 en a fait une étude spéciale, à l'aide de quelques cas observés à l'hôpital Saint-Georges. Les ouvriers
auteurs ne s'expli-quent pas nettement à ce sujet: s'agit-il dans ce cas d'un pigment hémalique ou bien de matière charbon
re de séran-ciers ou peigneurs de lin 2. On trouve en effet, dans ces cas , des nodules de pneumonie chronique noirs et dans
lissement et une période d'excavation. Puis il se peut faire dans des cas particulièrement favorables, que les lésions se r
caséeuse, et d'autre part la phtisie granuleuse aiguë. Dans les deux cas , l'évolution dure de quinze à trente jours. Clini
volution dure de quinze à trente jours. Cliniquement, dans le premier cas , on a devant soi une bron-cho-pneumonie grave pse
vant soi une bron-cho-pneumonie grave pseudo-lobaire ; dans le second cas , une maladie à forme typhoïde avec prédominance d
e des accidents thoraciques. A l'autopsie, on trouve, dans le premier cas , des nodules tuberculeux de volume variable, surt
granulations grises ni dans les pou-mons ni ailleurs. Dans Je second cas , ce sont des granulations grises disséminées égal
dans le foie, les reins, les méninges, un peu partout. Dans les deux cas , comme on le sait déjà, l'analogie, au point de v
sible ; on pourrait dire qu'il y a identité complète. Dans le premier cas , si l'on n'examine que les plus petits tubercules
s-cope pourra ne comprendre qu'un ou deux tubercules ; dans le second cas , les tubercules, beaucoup plus petits, apparaî-tr
ors de cette différence de siège, tout est semblable. Dans les deux cas , deux zones; une zone périphérique embryonnaire,
oite, sur laquelle il faudra revenir dans un instant. Dans les deux cas , il s'agit d'agglomérations tuberculeuses ; même
u tissu fibreux, l'état fébrile s'est complètement éteint. Dans vingt cas de ce genre, cités par E. Will, dans son article
es par un revêtement d'é-pithélium cubique, absolument comme dans les cas de cir-rhose broncho-pneumonique primitive. Tout
outir à l'enkysle-ment des produits caséeux, absolument comme dans le cas de tubercule miliaire. Voici une disposition que
tubercules fibreux. Le mot de phtisie fibroïde doit être réservé aux cas où l'induration s'étend à tout un lobe ou à presq
olution un peu lente : suivant Thaon, il figurerait dans un tiers des cas . Cette phtisie fibroïde, à laquelle certains suje
que des granulations développées dans la paroi du vaisseau. Dans ces cas , il y avait tuberculose généralisée. Il est bon d
Le grand processus de destruction de poumon est, dans la majorité des cas , indépendant de la pneumonie. Aussi, tout en reco
ont des tubercules et non des foyers pneumoniques. Dans bon nombre de cas , il faut bien le dire, l'état général paraît lié
le tissu est déjà creusé de cavernes.' On peut dire que dans certains cas , il n'y a plus de tissu pulmonaire interposé aux
its ra-mollis. Et puis comment faire intervenir la pneumonie dans les cas où la fièvre n'existe pas, ou à un très faible de
pneumonique aiguë ; phtisie galopante. — Analyse histologique de deux cas . — Nature tuberculeuse de la phtisie pneumonique.
e les cellules géantes font partie de ces espèces de polypes. En tout cas , souvent elles adhèrent à la paroi de l'alvéole p
inales, ainsi que l'a fait voir M. Rindfleisch. En général, en pareil cas , la masse tuber-culeuse n'entoure pas complètemen
confinent à ce noyau tuberculeux ainsi ramolli sur un point, dans le cas cité pour exemple, comme dans beaucoup d'autres,
é assez généralement prêté. Toutes ces observations sans exception, — cas de Traube, cité par Lépine, de Jaccoud, de Choupp
ue cliniquement, la pneumonie pseudo-lobaire, M. Charcot choisit deux cas concrets pour servir de base à sa description. Da
eux cas concrets pour servir de base à sa description. Dans un de ces cas , la maladie a évolué et s'est terminée par la mor
tion sommaire des principaux détails de ces deux observations : 1er cas . (Malade du service de M. le DrMesnet, pièce prés
our paraît avoir déterminé la terminaison fatale. L'autopsie, dans ce cas , permet de saisir les premières phases du dévelop
, d'autres dans l'épaisseur du lobe infé-rieur du poumon gauche. 2e cas . (Observation du service de M. le professeur Hard
intenant le résultat de l'analyse anatomique minutieuse dont ces deux cas ont été l'objet1. 1 Les préparations microscopi
é l'objet1. 1 Les préparations microscopiques, relatives à ces deux cas , ont été, de L'examen, fait à un faible grossis
cher de ce qu'il appelle la zone embryonnaire, dans ses études sur un cas de pneumonie caséeuse. Seule-ment, dit M. Charcot
es bien tranchés, se sont trouvés exactement reproduits dans tous les cas , assez nombreux, de phtisie pneumonique aiguë ou
effet, les nodules tuberculeux péri-bronchiques étaient déjà, dans ce cas , parfaitement constitués; la plupart avaient même
on vulgaire, celte fois sous la forme chronique ; tandis que dans les cas de phtisie pneumonique aiguë ou su-raiguë, ce son
e à déterminer. Celle-ci, du reste, n'est pas identique dans tous les cas , et deux variétés principales peuvent être distin
la dénomination de tubercule réticulé qui lui a été imposée, dans ce cas . On sait aujourd'hui que, selon toute vraisemblan
ces, l'endothélium des "vaisseaux d'un certain calibre. Dans tous ces cas , nous voyons cette dégénérescence inconnue dans s
urs d'une phthisie générale aiguë qui a revêtu la forme typhoïde. Les cas du même genre sont sans doute assez rares, et nou
ierteljahr. 2 jähr, t. Ii, obs. 2, miliar-tubercu-lose als typhus) un cas de tuberculisation miliaire aiguë, simu-lant le t
-être pas suffisamment accusés. Quelque rares que puissent être les cas dans lesquels le purpura hémorragique se lie à la
pété-chies. Notre observation nous suggère une autre remarque : les cas pathologiques tendant à démontrer que le purpura
viennent plus consciencieuses. Presque toujours, si-non dans tous les cas , c'est une affection qu'on peut faire dé-river d'
oureuse et sur la thrombose arté-rielle qui surviennent dans certains cas de cancer . La présente communication a pour bu
pendant lesquels les malades sont privés de sommeil, ou même dans les cas d'une grande intensité, poussent des cris déchira
plus d'un trait, de celle qui nous occupe. Il m'a paru que, dans les cas où les douleurs se sont montrées très vives et tr
es symptômes de paraplégie douloureuse ont été notés par moi dans six cas sur trente-six cas de cancer du sein admis à la S
aplégie douloureuse ont été notés par moi dans six cas sur trente-six cas de cancer du sein admis à la Salpêtrière, dans la
u cancer dur qu'il se rattache; on l'observe tout aussi bien dans les cas où une opération a été pratiquée que dans ceux où
et voici l'indica-tion sommaire des résultats obtenus : Dans tous les cas , l'alté-ration cancéreuse du corps des vertèbres
ppées, compri-mant d'avant en arrière la dure-mère. Dans le troisième cas , les éléments cancéreux ne constituaient plus, pa
s professeurs Yelpeau etNélaton ont, de leur côté, observé plu-sieurs cas qui se rapportent évidemment à cet ordre de faits
ections cancéreuses, en général, et, plus par-ticulièrement, dans les cas de carcinome utérin. On s'accorde à reconnaître a
vides. La mort survint avant que le sphacèle se fut déclaré. Dans ces cas , comme dans les précédents, les veines principale
e ancienne. Je rapporterai également à la thrombose artérielle deux cas de gangrène sèche de plusieurs doigts de la main,
er du sein, en cuirasse. L'autopsie a fait reconnaître, dans ces deux cas , l'existence d'un thrombus qui occupait l'extrémi
t saines. Pour expliquer la production de la throm-bose dans tous ces cas , il ne reste plus guère, par conséquent, qu'à i
manger autant que sa faim lui commande de le faire, car, en pareil cas , mais seulement alors, la digestion devient pénib
(melanœmia) a été unaniment accepté, en Allemagne, pour spécifier les cas dont il s'agit, en raison de l'altération particu
pensent le professeur Meckel et le docteur Planer. Toutefois, dans un cas observé par M. le professeur Virchow, les granule
erches de Frerichs, qui a rencontré aussi, dans un cer-tain nombre de cas , et, en particulier, dans le sang de la veine por
ps, à l'action de ces mêmes agents. Meckel est parvenu, dans certains cas , à produire à l'aide du chlore des décolorations
nombre des corpuscules de pigment varie singulière-ment, suivant les cas . Le plus souvent on en compte de dix à quinze au
tent, d'ailleurs, aucune altération. — Meckel a observé dans certains cas , une augmentation de proportion des globu-les bla
rnant l'histologie normale de cet organe. Le foie peut, suivant les cas , n'avoir pas changé de volume, ou présenter des d
il est quelquefois ma-nifestement atrophié1, principalement dans les cas anciens. Il est habituellement d'une teinte grise
rtée étaient » Voir dans Ilaspel (Maladies de l'Algérie, p. 335) un cas qui se rapporte très probablement à cette atrophi
un pointillé très fin et très serré. La substance blanche, à parties cas d'une intensité exceptionnelle, est généralement
hémorragie cérébrale proprement dite n'a pas été rencontrée en pareil cas ; il n'en est pas de môme de l'hé-morragie méningé
ravasé dans l'épais-seur d'un tissu, d'un parenchyme ; mais, dans les cas qui nous occupent, c'est au sein même du système
de pigment analogues à ceux qui s'y accumulent en si grand nombre, en cas de mélanémie. L'observation a fait voir, enfin, q
temps et à un plus haut degré1. Ces argu- 1 Frerichs a rapporté un cas exceptionnel dans lequel la rate ne présen- men
a destruction des globules rouges du sang. (Loc. cit., p. 329.) les cas de pyémie, de typhus, de gangrène, auxquels Roki-
gnus lluss assure l'avoir ren-contrée à peu près constamment dans les cas nombreux de ca-chexie paludéenne qu'il a observés
eckel est porté à penser qu'elle se manifeste principalement dans les cas où les accès présentent une certaine intensité et
tensité moyenne, et tantôt aussi faire com-plètement défaut, dans des cas où, cependant, la rate aurait acquis un volume co
ables d'en faire soupçonner la présence. Planer a rencontré plusieurs cas de celte espèce : toujours la fièvre intermittent
signalée parmi les circonstances étiolo-giques, remontait, en pareil cas , à plusieurs années, et elle était depuis longtem
lusieurs années, et elle était depuis longtemps guérie. Dans tous ces cas , la mort était survenue par suite des maladies le
ques, se présentent sous des formes assez variées : ce sont, dans les cas légers, de la céphalalgie, des vertiges, et dans
nt, dans les cas légers, de la céphalalgie, des vertiges, et dans les cas gra-ves du délire, du coma, quelquefois même, bie
eine saisissable, de la cachexie qui lui est particulière. Dans les cas où des accidents cérébraux attribués aux altéra-t
ébraux dans les fièvres céphaliques ; elle n'existe pas dans tous les cas ; on la rencontre clans des fièvres où les troubl
a rencontre clans des fièvres où les troubles cérébraux i Dans deux cas de fièvre soporeusc, mais plutôt rémittente qu'in
l-laires, de ces hémorragies méningées, n'est-elle pas, dans quelques cas au moins, la cause qui fait que certaines fièvres
mportant de pouvoir distinguer, à certains caractères clini-ques, les cas de cette espèce. L'examen microscopique du sang,
aboutit rapidement à une terminaison funeste ; elle survient dans les cas môme où les individus se sont soustraits, par un
en; on n'y observe pas ces prodromes qui, dans la grande majorité des cas , signalent la venue des accès pernicieux même les
s ana-logues. Il faudrait aussi, pour le diagnostic, tenir compte des cas où les troubles cérébraux qui surviennent dans le
ée par les auteurs subséquents. Le doc-teur Frerichs a rencontré deux cas où des troubles intellectuels durables se sont dé
sont développés consécutivement à la fièvre inter-mittente. Un de ces cas est relatif à une dame âgée de qua-rante ans et q
essation des accès, était encore en voie de progression. Dans l'autre cas , il s'agit d'une petite fille de neuf ans, jouiss
s modifications que peut avoir subies le paren-chyme rénal, en pareil cas , sont nécessairement légères et fu-gaces ; mais,
tuant un des caractères de la maladie de Bright ; seulement, dans les cas qui nous occupent, les cylindres contiennent quel
la pro-voque. Blackall1, MM. Rayer2 et Bouillaud3 ont rencontré des cas d'hydropisie avec urine coagulable, développée à
habituellement des divers accidents de la cachexie palustre. Dans un cas du même genre, observé par M. Néret, l'autopsie f
duction du flux de sang n'était certainement pas très grande dans ces cas -là, car l'administration du sulfate de quinine s'
ère, la coloration anormale est cendrée, d'un gris jaunâtre. Dans les cas intenses, elle est d'un jaune brun, quelquefois t
ié l'affection des capsules surrénales ont exa-miné, dans beaucoup de cas , les viscères abdominaux, la rate en particulier,
la description peu explicite des auteurs: la coloration anormale, en cas de mélanémie, paraît être uni-formément répandue
adaire, 5 juin 1857, p. 387. huerait à fixer le diagnostic dans les cas douleux : la fièvre in-termittente est signalée d
fièvre in-termittente est signalée dans l'étiologie de la plupart des cas demélanémie; elle est mentionnée d'une manière to
elle est mentionnée d'une manière tout à fait exceptionnelle dans les cas de maladie d'Addison. Pour le dire en passant, le
tous les points à la mé-lanémie. Il y est fait mention dans tous les cas de la coloration noire de la rate (milza nera), d
1860, p. 755. nous publions l'observation suivante. Il s'agit d'un cas de leucocythémie, cas dans lequel nous n'avons pu
publions l'observation suivante. Il s'agit d'un cas de leucocythémie, cas dans lequel nous n'avons pu avoir aucun renseigne
examen plus attentif. Ainsi ces cristaux ont été trouvés dans deux cas de leucocy-thémie, et cette circonstance leur don
eut supposer qu'on les aurait rencontrés dans un plus grand nombre de cas si l'examen microscopique du sang et des viscères
servation aété reproduite à la page 315 de ce volume. dans tous les cas de leucocythémie, ils devront prendre place aux p
ement semblables dans des concrétions fibrineuses expectorées dans un cas de catarrhe sec, avec emphysème, par un sujet de
a-tière puriforme, situées dans l'oreillette droite du cœur, suivi de cas analogues et de quelques remarques cri-tiques 1.
phère, tantôt c'est une sphère presque complète ; mais, dans tous les cas , il faut disséquer le tissu musculaire avoisinant
s aux parois ventriculaires ne nous à paru pleine, mais dans quelques cas , la matière contenue était plus dense et la paroi
bs. V et VI. — Pas de renseignements sur les malades. Dans les deux cas , on rencontre dans le ventricule gauche du cœur d
on Diseuses of the Heart, 3e édi-tion, 1839, p. 257.) Dans tous les cas que nous venons de rapporter en abrégé, nous voyo
le n'est ja-mais contenue dans un kyste à parois distinctes. Dans les cas où on a donné des renseignements sur les malades,
était porteur d'excavalions tuberculeuses dans les poumons. Dans deux cas enfin, l'examen microscopique démontre que la mat
s charnues dans l'intervalle desquelles elles font saillie. Dans deux cas seulement, les tumeurs à contenu puri-forme sont
s ou moins isolée au centre du ventricule droit ; mais, dans ces deux cas , la couche membraniforme qui contient le liquide,
lement passer avant de renfermer une matière puriforme. Dans tous les cas où l'histoire des malades a été faite, c'est-à-di
es cas où l'histoire des malades a été faite, c'est-à-dire clans neuf cas sur dix, on voit qu'il ont succombé à la phtisie
monaire parvenue à un degré en général très avancé (excavalion). Le cas rapporté par Laënnec paraît seul faire exception,
ître assez importante peut-être, si l'on considère que dans aucun des cas de la deuxième catégorie, un seul excepté, l'anal
omique du contenu des con-crétions n'a été faite, et que dans le seul cas où l'investigation microscopique ait été pratiqué
. p. 135). La plupart des anatomo-pathologistes modernes ont cité des cas analogues aux précé-dents. Tout ceci étant pesé
ns polypiformes du cœur dites suppurées, il en est un certain nombre ( cas de la première catégorie) où le liquide contenu e
a phlébite, la pneumonie au troisième degré, etc., etc. Dans d'autres cas , au contraire, ces concrétions ren-fermeraient no
s du sang mêlé à de la fibrine désagrégée. Je fais allu-sion ici, aux cas de la deuxième catégorie, lesquels présentent cel
ystes fibrineux renfermant une ma-tière puriforme, observés dans deux cas d'anévrisme partiel du cœur. Dans un travail lu
ations globuleuses* ne renferment pas, au moins dans un bon nombre de cas , du pus véritable, mais bien un liquide d'appa-re
ehrbuch der Pathol, anatom. 3 aufläge, band 1, p. 378, 1 Charcot. — Cas de Tumeurs fibrineuses multiples contenont une ma
x observations que je rapporte plus bas avec détails. Dans ces deux cas , le contenu des kystes avait, ainsi que je l'ai f
Quel est le mode de production de ces tumeurs fîbrineuses, dans les cas à'anévrisme partiel du cœur? Quelles sont les mo-
n-dant la vie, d'un caillot dans les artères, on a observé, en pareil cas , des douleurs vives, des paralysies du mouvement,
Note sur l'endocardite ulcéreuse aiguë à forme typhoïde à propos d'un cas d'affection ulcéreuse de la valvule tricuspide av
, elles se per-forent ou seulement s'amincissent, et, dans ce dernier cas , elles peuvent devenir le point de départ de ces
t.. 1857. Bd. 10, 1 et 2 heft. p. 183. que plusieurs fois, dans les cas qui nous occupent, on a re-marqué, au centre des
ès à présent, deux catégories de faits. Dans la première rentrent les cas , et ce sont vraisemblablement les plus nombreux,
tableau de la dothiénentérie ou mieux du typhus exanthématique 2. Les cas de la seconde catégorie rappellent plutôt l'infec
, aux symptômes alaxo-ady-namiques 3. On a vu plusieurs fois dans les cas de l'une ou de l'autre catégorie survenir un ictè
e biologie un fait de ce genre, peu de temps après la présentation du cas qui fait l'objet de ce et il est à peine douteu
ans l'observation qui fait l'ob-jet principal de cette note ; dans un cas du même genre, ob-servé par l'un de nous, il y a
he Liver. 29 édit., London, 1852, p. 255) doivent être rapprochées du cas de M. Lan-cereaux. Pour achever cette courte es
te opinion, nous ferons remarquer que les poumons étaient, dans notre cas , les seuls organes qui continssent des abcès, qu'
peut-être, nous le reconnaissons volontiers, de s'en tenir, pour les cas comme le nôtre, où les valvules altérées ne prése
u-ration de l'artère pulmonaire, par des caillots san-guins, dans les cas de phlébite oblitérante en gé-néral L'oblitérat
est aisé de reconnaître que la formation des caillots a lieu dans ces cas divers sous l'influence de causes pathologiques t
principal de ce travail. Dans l'impossibilité où l'on est, pour les cas de cette espèce, de rattacher la formation du cai
ine porte étant, comme de juste, mis hors de cause. Or, dans tous ces cas , suivant M. Virchow, l'obstruction de l'artère pu
circonstances de l'observation, et se fondant sur la connaissance de cas analogues, M. le docteur Charcot porta le diagnos
es, sans qu'il y eût altération des parois du vaisseau. Dans tous les cas , les malades étaient atteintes de phlegmatia alba
aits de ce genre que Burns2 fait allusion lorsqu'il dit que, dans les cas de gonflement de la jambe, suite de couches, l'im
s les symptômes observés, l'auteur admettrait volontiers qu'en pareil cas le bouchon qui oblitère les veines du membre infé
taient libres, aussi n'existail-il point d'œdème douloureux. Ces deux cas sont empruntés, comme celui qui précède, au docle
3, bd. VI, et Sckmiut's Ja/a'bûcher., 1855). On peut rapprocher des cas précédents une intéressante observation rapportée
en couches. » Si maintenant on est conduit à admet-tre que, dans les cas que nous avons rapportés, l'oblitération veineuse
, très inégale, du caillot veineux. L'affection primitive, dans les cas qui précèdent, paraît avoir été la phlébite ; dan
traitement du typh.ua, etc., p. 205. Paris, 1855. on peut, dans ces cas , rencontrer quelquefois, en outre de l'oblitérati
des veines par un caillot fibrineux. C'est là, sans doute, en pareil cas , un accident heu-reusement fort rare ; mais le mé
tion émise par M. le professeur Virchow, à savoir, que, dans tous les cas où la coagulation du sang dans l'artère pulmonair
a-tion qui l'infirme d'une manière positive : en effet, dans tous les cas où l'obstruction de l'artère pulmonaire par des c
ire remplis par des caillots de formation an-cienne. Dans le deuxième cas (Obs. XIV), au moins, ces cail-lots n'adhéraient
re, qui était tout à fait exempte d'altération ; enfin, dans les deux cas . et c'est là le fait qu'il importe surtout de sig
essaire d'indiquer si l'utérus et ses an-nexes ont été, dans les deux cas , soumis à une dissection at-tentive : ce sont là
Dans une histoire plus complète, on devrait comprendre, en outre des cas , en certain nombre, rapportés par MM. Virchow, Kl
imitation fidèle des phénomènes qui se passent chez l'homme, dans les cas dont il s'agit ; faut-il, en d'autres termes, a
dont il s'agit ; faut-il, en d'autres termes, admettre que dans ces cas les coagulums artériels sont, si l'on peut ainsi
et se résout rapidement en masses fibrineuses qui ont, dans certains cas , des dimensions relativement considérables. Deven
mité supérieure des caillots veineux. Eh bien ! il s'est présenté tel cas où l'on a rencontré, 1 En allemand : Fortgesetz
euses de l'artère pulmonaire est donnée par l'observation IX. Dans ce cas , en effet, l'une des extrémités du caillot extrai
u pour aller à la selle (obs. XI, XII). 11 est possible que, dans ces cas , les efforts aient agi mécaniquement sur l'extrém
s seulement après le début des accidents dyspnéiques dans deux autres cas (obs, XII, V) ; au bout de trois quarts d'heure d
autres cas (obs, XII, V) ; au bout de trois quarts d'heure dans deux cas (obs. II, III); après quelques heures dans quatre
heure dans deux cas (obs. II, III); après quelques heures dans quatre cas (obs. I, IV, VIII, XI) ; au bout de plusieurs jou
s (obs. I, IV, VIII, XI) ; au bout de plusieurs jours enfin dans deux cas (obs. VI, IX). Ces différences peu-vent en généra
plus ou moins ancienne. Or, il est infiniment probable que, dans les cas où la mort n'a pas été subite, le caillot s'est t
ssaient pas complètement le calibre du vaisseau ; mais, dans certains cas , ils s'envelop-paient de caillots fibrineux, l'oc
t complète et alors les symptômes graves se manifestaient. Dans les cas où la mort n'est pas extrêmement rapide, les acci
'apprennent rien sur l'état de la poitrine ; seulement, dans quelques cas , on a noté l'existence d'un murmure vésiculaire t
que de quel-ques-uns des muscles de la face. On a noté, dans certains cas , une protrusion remarquable des yeux2. Le plus so
tuellement et vont s'ag-gravant d'une manière continue. Dans quelques cas , cepen-dant, on les voit cesser momentanément, ou
moins en partie, de l'intermittence des symp-ptômes observés dans ces cas -là. Peut-être, la contraction spasmodique des bra
ces symptômes paraissent être, jusqu'à un eertain point, communs aux cas où l'oblitération dépend d'une altération des par
re est consécutive à la migra-tion d'un caillot veineux. A côté des cas qui font l'objet principal de cette étude, il fau
préciables1. On conçoit enfin, à priori, 1 Si l'on tient compte des cas de cette espèce, on sera conduit à admettre que l
l'existence de thrombus siégeant dans les veines. 11 fois, sur ces 18 cas , il y avait, en outre, des caillots sanguins dans
unes des divisions le l'artère pulmonaire. Voici quel était, dans ces cas , le rapport de l'obli-tération artérielle à l'obl
onde . 3 — 3 — dans une tibiale postérieure .1 — 0 l'existence de cas , pour ainsi dire intermédiaires, où. les acci-den
se ou, si l'on peut ainsi parler, le tnéca-nisme de la mort, dans les cas d'oblitération des brandies principales de l artè
arM. lepro-fesseur Virchow. Suivant lui, la mort serait due, dans les cas qui nous occupent, non pas à l'asphyxie, mais bie
c'est ensuite la très petite quantité de sang que contient, en pareil cas , le cœur gauche, tandis que le cœur-droit en est,
lètes, t. v, Poumons et Cœur. 30 soupçonner l'inflammation dans les cas où la rougeur de la membrane interne des artères
le microscope a fait justice de cette erreur; mais nous possédons des cas authentiques où des foyers purulents ont été renc
encontrés dans les parois de l'aorte. 11 serait impossible, en pareil cas , de nier l'inflammation. Nous admettons donc sa
ues ne repose aujourd'hui sur au-cun fondement admissible. Dans les cas , peu nombreux à la vérité, où des lésions in-flam
héromateuse ou à s'incruster de sels calcaires. Enfin, dans plusieurs cas , un lacis de vaisseaux capillaires se développe a
nnaire encyclopédique des sciences médicales. Il n'existait dans ce cas , aucune rougeur périphérique. — Le second apparti
ué en-dessous de la mem-brane cclluleuse. — Enfin la cinquième est le cas si remarqua-ble de Rokilansky, dans lequel un abc
guë ont été discutés ne permet plus aujourd'hui de regarder comme des cas bien auLhentiques ceux qui ont été rassemblés à u
re aux re-cherches modernes; on ne peut faire d'exception que pour le cas de M. Andral, où la présence du pus ne pouvait la
i enfin aux sensations pénibles éprouvées par le malade. Dans le seul cas où l'inflammation de l'aorte était hors de toute
— L'aortite aiguë est toujours uneaffeclion grave: car, même dans les cas où ses conséquences ne sont pas im-médiatement fa
à des rétrécis-sements permanents du vaisseau. Étiologie. —Dans les cas bien avérés de celte maladie, les conditions suiv
le verrons plus loin, sont occasion-nées, dans l'immense majorité des cas , par une altération préalable des parois artériel
l'aorte ascendante: l'insuffisance aortique peut ré-sulter, en pareil cas , d'une dilatation excessive de l'orifice arté-rie
ses, au sein des viscères envahis. Nous avons observé nous-mêmes un cas de gangrène par embolie dans dépareilles circonst
e induration calcaire de l'aorte manquent de précision, sauf quelques cas exceptionnels. Il a été quelquefois possible, soi
(Bouillaud, Ha-mernjk) ; et le second bruit offre toujours en pareil cas un timbre éclatant. Skoda considère le bruit de s
l'appui de ses opinions. Nous devons à Yésale la relation du premier cas où cette lésion ait été anatomique-ment constatée
ques, mais encore à en établir le diagnostic, dans un grand nombre de cas . On ne possédait cependant alors que des moyens
e des sciences médicales. que les parois artérielles, môme dans les cas où elles n'ont pas été déchirées, sont toujours m
ux effets du dessin. L'état des tuniques artérielles mérite dans ce cas une attention spéciale. L'amincissement progressi
t, on peut admettre que les choses se passent autrement dans quelques cas isolés. Un abcès des parois arté- rielles s'ouv
er naissance à une poche limitée par un orifice circonscrit. Mais les cas de ce genre sont très exceptionnels; N. Chevers,
s sont quelquefois susceptibles d'ossification : ils peuvent, en tout cas , acquérir une sorte d'organisation, due, suivant
rupture, en ralentissent le développement, et peuvent, dans certains cas exceptionnels, en amener la guérison spontanée. (
t les plus voisines des parois de la poche : Lebert en a observé deux cas . Rapports de la tumeur avec les organes voisins
s dorso-lombaires sont-elles assez souvent entamées : c'est en pareil cas qu'on a vu l'anévrisme comprimer la moelle épiniè
es tumeurs ané-vrismales ; la nutrition des os paraît être, en pareil cas , profondément altérée: ce n'est pas une simple us
r : c'est ce qui a lieu pour l'aorte abdominale, dans un seizième des cas (Lebert). Un des faits les plus singuliers de ce
té de l'œsophage, et produire des hématémèses intermittentes. Dans un cas de ce genre, rapporté par Greene, le malade qui s
.... ........ 54 Nous trouvons, en outre, dans les Bulletins, trois cas où il ceux de l'aorte abdominale. On peut en ju
z le même sujet. Dans sa première statis-tique, Lebert a rassemblé 14 cas de ce genre. Volume. —Il n'existe, pour ainsi d
lumière. Quant aux affections cardiaques, très fréquentes en pareil cas (25 fois sur 83, Lebert), il en est quelques-unes
mps ; on n'en reconnaît l'existence qu'à l'autopsie; et même dans les cas où la dyspnée, les troubles circulatoires et les
'est la fourchette sternale qui en devient le siège : enfin, dans les cas exception-nels où l'aorte descendante offre une t
es de l'aorte ; mais ce phénomène ne peut être constaté que dans le cas où la poche s'est développée à la partie antérieu
s pour carac-tériser les anévrismes de l'aorte. Bamberger rapporte un cas où une masse cancéreuse, qui siégeait à gauche, d
us souvent située à droite qu'à gau-che, et que, dans la majorité des cas , elle est placée au-dessous de la clavicule, quel
e souffle est ordinairement unique, mais il est double clans quelques cas particuliers. b) Percussion. Si l'importance de
'une matité circonscrite au voisinage du tronc aortique, même dans le cas où il est possible d'en dessiner nettement les co
l'idée d'une secousse communiquée à cet organe. Le pouls, dans les cas d'anévrisme de l'aorte thoracique, est presque to
une égale intensité. La comparaison des deux tracés permet, en pareil cas , d'apprécier les différences les plus légères, il
ue l'on peut tirer de ces données, au point de vue clinique. Dans les cas où l'aorte abdo-minale est affectée, le pouls cru
par des battements violents des artères périphériques. Lebert a vu un cas où le visage offrait une sorte de pulsation capil
plus constants de cette maladie, se présente dans les deux tiers des cas , selon Le-bert ; elle peut résulter d'une foule d
tantôt elle change complè-tement de caractère. Stokes a rapporté un cas où une voix de basse devient aiguë, parsuite de l
L'inspection laryngoscopique fait quelquefois reconnaître en pareil cas , une paralysie tantôt unilatérale des cordes voca
es, de la diarrhée et de la constipation. On signale aussi, en pareil cas , des congestions passives du foie. La compressi
tes. Law et Greene le con-sidèrent comme un indice précieux, dans les cas où l'ané-vrisme est encore latent. « La douleur,
res points. Gairdner a signalé la contrac-tion de la pupille, dans un cas où l'on pouvait invoquer la compression du grand
on du canal thora-cique ; il citait à l'appui de cette hypothèse, des cas emprun-tés à Yalsalva et Santorini. Mais celte op
avec les lymphatiques du foie et du diaphragme, permettent, en pareil cas , au fluide nourricier d'aller se verser dans les
durée, terminaison. — Il est impossible, dans l'immense majorité des cas , de préciser la date à laquelle un anévrisme de l
le trajet de l'aorte, Lebert a constaté ce fait dans un huitième des cas . Les troubles de la respiration et de la circul
à se manifester ; vient ensuite la tu-meur dans un certain nombre de cas ; bientôt les symptômes de compression des viscèr
e temps qui s'écoule entre les premiers accidents et la mort. Dans 30 cas rassemblés par Lebert, la maladie se termina :
des auteurs dignes de foi. Panaroli et Albertini en ont rapporté des cas ; M. Cruveilhier, Rokitansky, Dusol, Legrand, Gou
'aorte abdominale, et Fuller en a ré-cemment fait connaitre un second cas . Il est important de signaler de pareils faits ;
suivant, que nous empruntons à Lebert : De 25 à 30 ans........... 1 cas 30 à 35 ........... 2 — 35 à 40 ........... 8
tains moyens thérapeutiques servira de pierre de touche dans quelques cas difficiles. d) Vangine de poitrine est quelquef
sur le trajet de la colonne verté-brale ; c'est, dans la majorité des cas , une rachialgie et non pas une sternalgie. e) L
et d'autres phénomènes qu'on n'a point coutume de rencontrer dans les cas d'ané-vrisme. f) 11 est souvent très difficile
s le tableau suivant, les principaux symptômes qui peuvent, en pareil cas , éclairer le diagnostic. Anévrisme de l'aoi te.
tout le parti qu'on peut tirer de l'examen laryngoscopique, dans les cas de ce genre. Une paralysie des cordes vocales fer
ro-voquer la trachéotomie. On ne pourra éviter cette erreur, dans les cas difficiles, que par une exploration très attentiv
re, offre une pulsation bien limitée: aussi rencontre-t-on, en pareil cas , deux centres de pulsations : l'un, qui correspon
e des accidents diffère complète-ment de ce que l'on observe dans les cas d'anévrisme intra-thoracique. I) Les adhérences
le, que les symptômes physiques pré-dominent à droite dans le premier cas , et, à gauche, dans le second (Holland). En eff
ion de la veine cave supérieure, qui n'existe presque jamais dans les cas où l'innominé est malade, est, au contraire, très
ans les affections viscérales de l'abdomen, n'existent point dans les cas d'anévrisme de l'aorte abdomi-nale. Cette règle n
ral, à éviter toute erreur de diagnostic à cet égard; mais il est des cas , où le médecin se voit forcé de suspendre son jug
marche régulièrement progressive, et se termine, dans la majorité des cas , par la rupture du sac. Cependant, telle n'est pa
me du vaisseau malade : cependant, il existe dans la science quelques cas d'oblitération spontanée des ané-vrismes de l'aor
ntanée des ané-vrismes de l'aorte (Hodgson) ; mais il faut, en pareil cas , que la tumeur ait la forme d'un sac, et permette
se en cet endroit. Nous1 savons aujourd'hui que, dans la majorité des cas , quand l'ar-tère n'est pas oblitérée, les anévris
Chomel et d'autres observateurs en ont rapporté des exemples, et des cas analogues se rencontrent même danslesj auteurs co
traitement de Valsalva pourra donc rendre des services dans quelques cas , bien qu'il soit aujour-d'hui rarement mis en usa
dus débiles, ou qui présentent des lé-sions trop avancées ; en pareil cas , d'après Morgagni, il ne servirait qu'à précipite
ur ralentir la circulation, l'ont fait quelquefois prescrire dans les cas d'anévrisme de l'aorte. Si ce mode de traitemen
ir. F. Drastiques. — Ils ont été employés avec succès dans quelques cas par Ilope, qui donnait Y élathérium, à la dose d'
e but lorsqu'il s'agit de l'aorte elle-même. Le galvanisme, en pareil cas , a toujours échoué. Quant aux injections coagulan
ligature de l'aorte abdominale a été quelquefois prati-quée dans les cas d'anévrismes de cette artère ; mais il ne nous ap
s plus pénibles qui résultent de cette affection. « Il s'agit là du cas , cité plus haut en note (p. 488), que nous avons
s empruntons les ré-flexions précédentes, a souvent obtenu, en pareil cas , de bons effets de l'administration de l'opium à
in, la trachéotomie elle-même peut rendre des services, dans quelques cas désespérés. Dans une observation rappor-tée par G
résulter d'une lésion pareille. Il est aisé de comprendre en pareil cas l'utilité de la trachéotomie ; au reste, Gairdner
st l'une des variétés de l'angine de poitrine. Il est évident que les cas de la première espèce sont les seuls où la traché
haut, M. Krishaber insiste sur l'utilité de cette opération, dans les cas où la glotte éprouve un resserrement spasmodique,
ritation du nerf récurrent. Mais il faut distinguer, d'après lui, les cas où il existe une véritable aphonie, de ceux où l'
Paris; mais il accorde une préférence marquée aux drastiques dans les cas de cette espèce. Il prescrit souvent des pilules
ujours à soulager les malades et pourra même les guérir dans quelques cas exceptionnels. 9 Bibliographie. — Consultez :
dissertation nous a démontré qu'elle ne se rapportait nullement à un cas d'anévrisme de l'aorte, mais bien à l'histoire d'
autrefois l'ancienne manière de voir, reconnaît que, dans beaucoup de cas , l'auteur anglais a raison. 11 admet donc deux va
ger: Io l'inflammation chronique de cette membrane qui, dans quelques cas a été trouvée indurée, injectée, épaissie et d'un
séparer les tuniques. Les choses se passent tout autrement dans les cas de la se-conde espèce. C'est ici la friabilité de
tiers ou la presque totalité de la circonférence du vaisseau. Dans un cas présenté par Goupil à la Société anatomique, il n
e bout supérieur fixé au bout inférieur. Rokitansky rapporte aussi un cas ana-logue. La mort survient, en général, peu de
lésions consécutives sont alors beaucoup moins étendues que dans les cas exceptionnels où, la vie s'étant pro-longée, le t
ouvent vient s'ouvrir de nouveau dans la cavité de l'artère. C'est le cas le plus fréquent; il a été ob-servé par Laënnec,
ent; il a été ob-servé par Laënnec, Guthrie, Shekelton, etc. — Sur 38 cas , rassemblés par Peacock, il y en a 30 qui apparti
quelle il correspond à l'aorte est lisse, ar-rondie et régulière. Des cas de cette espèce ont été rapportés par Shekelton,
er depuis l'aorte ascendante jusqu' aux vaisseaux poplités. Dans un cas rapporté par Rokitansky, la dissection com-mençai
voisin du cœur, plus la terminaison est prompte à se produire. Sur 24 cas , rassemblés par Peacock, où l'aorte ascendante ét
à huit ans, et succomba aux progrès d'une affection du cœur. — Des 20 cas , rassemblés par Rokitansky, 15 moururent presque
1 " Bifurcation de l'aorte............... 1_»_i_ Nombre total des cas ....................... 8Î Étiologie. — L'anévri
des sujets d'un âge avancé; la moyenne, d'après Peacock, serait de S6 cas . Skoda l'a rencontré une fois chez un jeune homme
e cet âge. Enfin les deux sexes y sont également prédisposés ; sur 20 cas , Rokitansky l'a vu onze fois chez l'homme et neuf
sky l'a vu onze fois chez l'homme et neuf fois chez la femme ; sur 2i cas rapportés par Peacock, il existait douze fois che
rrégulier; une dyspnée intense se mani- feste, et, dans beaucoup de cas , la mort survient brusque-ment; quelquefois, au c
de rupture, suivie cette fois d'une hémorragie fou-droyante. Dans les cas où la vie s'est prolongée, on a noté des symptôme
et quel-quefois de l'hémiplégie (Todd.). On a signalé, dans d'autres cas , une suppression complète des urines et des doule
iée dans Y Union médicale, par M. le docteur Gallard. Dans tous les cas jusqu'à présent publiés (sauf un), il exis-tait u
ésions de ce genre ont été plus d'une fois constatées. Sur vingt-neuf cas d'anévrisme artério-veineux de l'aorte, Sibson en
ations où la veine cave supérieure communi-quait avec l'aorte ; et le cas de M. Gallard vient encore grossir le nombre de c
it le siège de la perforation. Enfin, divers auteurs ont rapporté des cas de communication anormale entre l'aorte et le ven
s, et peut se réduire à une simple fente longitudinale. Dans l'un des cas rapportés dans le mémoire de Thurnam, l'oreillett
Les vaisseaux afférents de la veine cave sont dilatés comme dans les cas d'occlusion complète de ce tronc vasculaire. Le s
iaire d'un ané-vrisme que l'ouverture se produit : toutefois, dans le cas de Syme, la communication était directe. Symptô
Tripier, le bruit de souffle peut manquer com-plètement dans quelques cas , ainsi que le frémissement ca-taire. Dans les c
ent dans quelques cas, ainsi que le frémissement ca-taire. Dans les cas ou Y artère pulmonaire est intéressée, les symp-t
e continu saccadé, avec frémissement vibratoire, serviront, en pareil cas , à caractériser l'anévrisme artério-veineux ; cep
des succombent presque toujours dans un état d'asphyxie. Dans un seul cas (Wade) la mort a eu lieu par hémorrhagie. Trait
ètre deux fois plus grand qu'à l'état nor-mal. Hunier a vu, en pareil cas , des fiexuosités évidentes se joindre à une dilat
ation au-dessus des rétrécis-sements, ce qui se voit surtout dans les cas de sténose congé-nitale de l'aorte, au niveau de
e l'insertion du conduit de Botal : la crosse aortique est, en pareil cas , notablement agrandie. Enfin, l'insuffisance de
ons simples de l'aorte, quoique ne donnant lieu, dans la majorité des cas , à aucun phénomène caractéristique, peuvent être
ont aucune tendance à se laisser oblitérer par des caillots. Dans les cas où elles occasion-nent de la dyspnée ou des palpi
. Séverin en renferment deux exemples; Morgagni en a signalé quelques cas et les conséquences d'une ligature jetée sur le t
-ques, peut envahir la cavité de l'aorte; ilcroit aussi, danscertains cas , à l'épaississement de la membrane interne de ce
l'aorte. Ils se montrent de préférence dans le sexe masculin: sur 38 cas rassemblés par Peacock, 28 ont été observés chez
que des rétrécissements congénitaux; il semblerait que, dans quelques cas , les parois de l'artère ont pu subir un travail i
trécissement sont quelquefois très nettement tranchées; dans d'autres cas , on voit diminuer progressivement le calibre de l
urmure doux, que Bamberger com-pare au souffle placentaire. Dans un cas rapporté par \Valshe, où l'existence d'un rétré-c
-leurs, la paralysie des membres inférieurs, fréquente dans le second cas , ne s'observe guère dans le premier. Une oblitéra
jets affectés de cette in-firmité, une gravité exceptionnelle. Sur 25 cas rassemblés par Rokitansky, la mort a eu lieu une
e fois par la rupture d'un anévrysme disséquant. Dans tous les autres cas , la cause de la mort paraissait étrangère à ce vi
qu'il ne serait pas sans intérêt de présenter le tableau complet des cas de rétrécissement congénital de 1 aorte publiés j
107, 1789. — 2. Gra-ham. Med. Chi): Trans., vol. V, p. 282, 1814. Ce cas a été reproduit pat II. Rainy, dans le Journal de
et pénétrer dans les branches principales qu'elle fournit. Dans le cas de M. Barth, le caillot obturateur occupait toute
ints d'une obstruction accidentelle : mais il existe, dans ce dernier cas , un symptôme intéressant, que les vétérinaires on
ux qui présentent un rétrécissement congénital ; car, dans le premier cas , le siège de l'obstacle étant presque toujours si
ntrer en jeu. C'est peut-être ce qui explique pourquoi, dans quelques cas de cette espèce, il n'existait pas une dilatation
ement ici de la cause qui a provoqué l'occlusion de l'aorte. Dans les cas où il s'agit d'une compression exercée par une ma
e du degré de coarctalion qu'il présente. Ce n'est guère que dans les cas d'oblitération absolue qu'on observe la paralysie
orts violents ; et la vie peut se prolonger assez longtemps, dans les cas d'obstruction acci-dentelle, comme nous l'avons d
récissements congénitaux. Bibliographie. — Velpeau. Exposition d'un cas remarquable de maladie cancéi eti.se avec oblitér
1846. — Charcot. Sur la claudication intermittente obser-vée dans un cas d'oblitération complète a'une des artères iliaque
tiples dans les deux reins. Il nous serait facile de multiplier les cas de cette espèce; mais il est aisé de comprendre q
ois atteintes chez les veil-lards. Nous avons quelquefois observé des cas de ce genre. Lorsque les détritus fibrineux qui
n a présenté, l'année dernière, à la Société médicale des hôpitaux,un cas de ce genre. Un kyste fibrineux de l'oreillette g
crétion ossiforme ; c'est ainsi que MM. Vidal et Lancereaux, dans des cas de cancer pulmonaire, ont trouvé des débris cancé
pidement, perd connaissance et expire. Il existe cependant quelques cas exceptionnels dont l'issue n'est pas aussi prompt
n'est pas aussi promptement funeste. Les ruptures de l'aorte (hors le cas d'anévrisme) et nous en dirons lout-à-l'heure les
oint intéresser toute l'épaisseur des tuni-ques artérielles ; dans ce cas , l'épanchement sanguin se fait entre les lamelles
quelques heures, et même quelques jours. On peut supposer, en pareil cas , que la tunique celluleuse, demeurée intacte aprè
nue qu'au moment où elle a cédé. S'il ne s'est point formé, en pareil cas , un anévrisme disse- quant, cela tient à la coh
tu-niques d'une artère que pour les déchirer. Dans la majorité des cas les ruptures de l'aorte succèdent à une altératio
icaces. L'accident peut alors se produire spontanément, mais, en tout cas , comme il sera dit à l'article : Lésio?is traumat
enre de mort ; mais nous répétons ici qu'il existe néanmoins quelques cas de rupture sans lésion préalable des tuniques ; p
ture sans lésion préalable des tuniques ; presque toujours, en pareil cas , le sujet était tombé d'un lieu élevé et la déchi
s pour les per-forer. Il faut rattacher sans doute à ce mécanisme les cas où la présence d'un corps étranger dans l'œsophag
rforée ; il y eut plusieurs vomissements de sang, avant la mort. Un cas analogue a été observé par M. Lancereaux. La per-
. Comme pour les perforations anévrismales on voit souvent, en pareil cas , plusieurs hémor-rhagies successives se déclarer
science en possède incontestablement des exemples, et, dans quelques cas , rares à la vérité, l'aorte elle-même a subi ce t
uvent également se propager à l'aorte par voie de contiguïté. Dans le cas présenté à la So-ciété anatomique par M. Lancerea
s anatomiques nous ont permis d'éviter, au moins dans la plu-part des cas , une erreur semblable, il est avéré que, sous l'i
ymies, et sur celui de l'aorte descendante thoracique dans ce dernier cas , d'après Laënnec, les bruits du cœur s'entendent
édicales. VII. Sur la claudication intermittente observée dans un cas d'oblitération complète de l'une des artères ilia
e la présente communication, nous paraît pouvoir être rap-prochée des cas de claudication intermittente par oblitération ar
oxas n'y provoque point de douleur. On a vu dans un certain nombre de cas la peau du membre affecté rester sèche alors que
éral promptemenl sacrifiés. On a pu ce-pendant suivre, dans plusieurs cas , la maladie jusque dans se; phases les plus avanc
he qu'avec peine, d'autres fois il n'y adhère que faiblement. Dans le cas de beaucoup le plus commun, où les deux membres p
de ses principales branches qui se trouvent oblitérées. Dans tous les cas , et ceci est un point important à noter, les bran
à leur tour la claudication in-termittente : c'est ainsi que dans un cas fort intéressant, pré-senté, il y a deux ou trois
t été, comme on va le voir, semblables à ceux qu'on observe en pareil cas , chez le cheval. Observation.— Artère iliaque p
re opinion, la raison physiologique des phénomènes observés en pareil cas . Tous ces phénomènes dépendent, à ce qu'il nous s
de sang artériel plus considérable, dans un temps donné. Or, dans les cas qui nous occupent, par suite de la di-minution de
on peut comprendre pourquoi on a observé, dans un cer-tain nombre de cas , des contractures auxquelles les modifica-tions d
ication intermittente n'y figurerait point, dans un certain nombre de cas , parmi les symptômes observés à une certaine époq
s a presque toujours donné des résultats négatifs. Cependant, dans le cas si remar-quable oblitération complète de F aorte,
laudication intermittente par oblitération artérielle Sommaire. — Cas de gangrène par oblitération artérielle. — Amputa
enson : ligature de l'aorte. — Rigidité cadavérique pendant la vie. — Cas d'oblitération de l'artère sous-clavière : gangrè
'oblitération de l'artère sous-clavière : gangrène de l'avant-bras. — Cas d'oblitération de l'artère iliaque primitive: cla
are. Rendons grâces aux Dieux. Cependant, nous direz-vous, voilà un cas fort intéressant, sans doute, mais en quoi concer
s symptômes prodro-miques prémonitoires qui s'observent dans certains cas d'obli-tération artérielle, que je voudrais vous
Mais avant d'entrer dans le détail des phénomènes observés en pareil cas chez l'homme, je crois qu'il est indispensable de
du tronc de l'artère principale d'un seul membre ; c'est dans le 1er cas qu'il y a boîterie double, paraplégique, c'est da
tération peut être différente ; c'est ainsi, par exemple, que dans un cas rapporté à la Société de biologie, en 1851, par M
siste à lier l'aorte immédia-tement au-dessus de sa division. Dans ce cas -là, la moelle n'est pas anémiée, et la ligature a
es du système ner-veux, 1887, t. III, p. 403.) M. Léser cite quelques cas de brusque inter-ruption de la circulation dans u
ans l'expérience de Stenson. Mais pourquoi se produisent-ils dans des cas où, comme nous l'avons vu, la circulation collaté
parition des douleurs, puis de la contracture, qui, ici comme dans le cas de l'expérience de Stenson, serait une esquisse d
description dans le mémoire auquel j'ai fait allusion déjà1 ; dans ce cas , il s'agissait d'un homme de 51 ans, qui, pendant
obable-ment en partie la rareté apparente de ces faits, alors que les cas d'oblitération artérielle, présentant les conditi
res. A l'appui de ce que je viens de dire, je puis citer d'abord le cas même de notre amputé, qui, pendant plus de trois
ntermittente par obli-tération artérielle. Thèse de Paris, 1873. — Un cas relatif au membre supé-rieur a été publié par W.
dire, plutôt nuisibles. Me fondant sur la connaissance de plusieurs cas du même genre, pour lesquels j'avais été consulté
du pus infiltré dans la trame des tissus qu'on avait affaire dans le cas qui fait le sujet de cet article? C'est ce que l'
ères, mais en différant, sous beaucoup d'autres (pyoïdes). Ces deux cas nous paraissent appartenir à un même groupe patho
u'on voit dans la morve, l'infection purulente, etc. Mais, dans les cas qui nous occupent, ce n est pas du pus véritable
qu'elles sont, pourraient acquérir une certaine utilité, si d'au-tres cas analogues venaient à se présenter par la suite, e
foyers hémorragiques sous-séreux, sous-muqueux, etc. Dans ce dernier cas , quelques-uns de ces noyaux s'étaient ramollis à
utres). Nous l'avons rencontrée nous-même dans un assez bon nombre de cas . — 2° L'oblitéra-tion des artères volumineuses av
tainement pas toujours une affec-tions toute locale, et qu'il est des cas où elle n'est, ainsi qu'on le voit par l'histoire
ue de coutume, ou, au contraire, d'une teinte rouge-foncé, et en tout cas opaques et friables. Ces altérations diverses, qu
traversent la substance du cerveau. Dittrich a constaté que, dans les cas où il existe dans les poumons des indurations hém
noncé, l'altération athéromateuse. Il a rencon-tré surtout, en pareil cas , la métamorphose graisseuse et la fria-bilité des
es du cœur, de longue durée. Elle paraît exister constamment dans les cas où l'on rencontre l'in-farctus hémoptoïque. Qua
e couleur d'un gris rou-geâtre, ou d'une couleur gris jaune, dans fes cas où l'induration pigmentaire du poumon est très pr
en à l'hémorragie et à la gangrène. Cette dernière terminaison est le cas le plus rare ; mais il n'est pas improbable que l
nt dit, de Y obstruction sanguine des vésicu-les pulmonaires. Dans le cas où un gros vaisseau s'est ouvert dans les bronche
et finement granuleuses dans toute leur étendue. On trouve, dans les cas de ce genre, à la surface des bron-ches pourvues
ux de fibres élastiques autour des canalicules pul-monaires, dans les cas analogues à celui représenté fig. 1, et pro-venan
es corps fusiformes. Fig. 5, a, b, c, d, — Tissu dur, fibroïde, des cas dits de pneumonie chro-nique au degré d'hépatisat
moins granuleux, tels qu'on les trouve en quantité variable, dans les cas semblables à ceux présentés fig. 1. a, b, c, Leuc
s avec la pneumonie chronique...................... 166 Appendice : Cas de pneumonie chronique ulcéreuse.................
eumonique aiguë ; phtisie galopante. — Analyse histologique de deux cas . — Nature tuberculeuse de la phtisie pneumonique.
ureuse et sur la thrombose artérielle qui surviennent dans certains cas de cancer........................ 308 TROISIÈME
ses. — Thromboses. — Endocardite. — Paralysies ischémiques, etc. I. Cas de tumeurs fibrineuses multiples contenant une ma
ère pu- riforme, situées dans l'oreillette droite du cœur, suivi de cas analogues et de quelques remarques critiques.....
ystes fibreux renfermant une matière pu- riforme observés dans deux cas d'anévrisme partiel du cœur.. 379 III. Végétati
V. Note sur l'endocardite ulcéreuse à forme typhoïde, à propos d'un cas d'affection ulcéreuse de la valvule tricuspide av
bturation de l'artère pulmonaire, par des caillots sanguins, dans les cas de phlébite oblitérante en général...............
....... 571 VII. Sur la claudication intermittente observée dans un cas d'oblité- ration complète de l'une des artères
claudication intermittente......................... 587 Sommaire. — Cas de gangrène par oblitération artérielle. — Amputa
nson : liga-ture de l'aorte. — Rigidité cadavérique pendant la vie. — Cas d'oblitéra- tion de l'artère sous-clavière: gan
litéra- tion de l'artère sous-clavière: gangrène de l'avant-bras. — Cas d'oblitéra-tion de l'artère iliaque primitive : c
17 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e rendit un verdict condamnant X... au minimum de la peine. IL Le cas du nommé R .. se rapproche en plus d'un point d
ité. (Voir Pothier. Les aliénés persécuteurs, Paris, 1886.) Dans le cas de R..., on n'a pas trouvé d'hérédité nerveuse
eur faveur. Nous ne nous attarderons pas à donner la relation des cas assez nombreux d'aliénés ayant commis des délits
gitive, si l'excitation est faible et rapide ; plus durable dans le cas contraire, due à la.contraction probablement ré
uel nous ne pouvons que renvoyer le lecteur '. R... nous offre un cas d'érythrasma tellement typique que nous n'eûmes
pathologiques prédisposantes ne sau- raient être invoquées dans le cas de R... qui jouit d'une excellente santé. Les
soit spontanée c'est-à-dire réflexe, ou consécutive, comme dans le cas que nous envisageons, à des exci- tations mécan
ravail. M. Lowff, a présenté, sous le nom d'Urticaire graphique, un cas analogue à la Société médico-psycholo- gique (A
MPLOI DES SCAPHANDRES. ) jours (2-3) (OBS. XV et XVIII). Il est des cas où les dou- leurs viennent isolées et à des int
ayant con- sisté en une hypéridrose de la plante du pied gauche ( Cas . XV) et en une anidrose du pied droit pour l'OB-
ous avons déjà formu- lée, à savoir que dans l'immense majorité des cas , les paralysies, provenant de l'emploi de scaph
ptomatique presque invariable pour tous 28 CLINIQUE NERVEUSE. les cas , C'(',St-21-dll'e, paralysie motrice et sensitive
eux précédentes ; en effet, on voit que parmi un si grand nombre de cas d'accidents provenant de l'emploi des scaphandr
de lui en témoigner ici ma vive et profonde reconnais- sance. Ces cas , sans avoir l'importance du nombre, sont cepend
ntent presque la même physionomie clinique. Appuyés sur ces trois cas , essayons d'esquisser les grands traits de la p
ION XXII, la symptomatologie et l'évolution ultérieure de ces trois cas nous permettent de distinguer trois périodes :
voilà à arrivé à l'étude de ce syndrome qui existe dans les trois cas et qui domine l'état des malades à cette périod
dans son évolution, l'ataxie étant avortée, ébauchée, et tel est le cas de l'OBSERVATION XXII; tantôt, au contraire, il
mmencé ou complètement arrivé à l'ataxie, il peut se présenter deux cas : ou bien il commence à rétrograder peu à peu,
ile et superflu de réfuter l'idée de considérer nosologiquement ces cas comme des cas d'ataxie locomotrice, petite erre
de réfuter l'idée de considérer nosologiquement ces cas comme des cas d'ataxie locomotrice, petite erreur commise par
malade de M. Marie, Gromillet, a publié l'obser- vation comme un cas d'ataxie locomotrice consé- cutive à des accide
Dr Char- pentier a signalé à la Société de biologie, en 1884, un cas d'ataxie locomotrice survenu chez un scaphandrier
DES SCAPHANDRES. je blir la pathologie de cette forme, car un seul cas est loin d'y suffire. Nous nous bornerons donc
articu- laires. On ne sera pas toutefois étonné de rencontrer des cas appartenant à cette forme dont le tableau cli-
e l'emploi des scaphan- dres nous fournissent un si grand nombre de cas que j'espère rencontrer des malades appartenant
du début. L'invasion des symptômes du début chez quelques malades ( Cas . XXIV et XXVII) a eu lieu sans intervalle, immé
demie pour l'OBSER1'ATIOY XXV. Les symptômes du début de ces quatre cas ont con- sisté en des symptômes : a), Céphaliqu
ôtes, en d'autres termes, il suffit de se rappeler que ces quatre cas ont eu quatre débuts dont la symptomato- logie
t XXVI. La paralysie de la sensibilité paraît, dans la majorité des cas , exister du même côté que celle de la motilité,
e à cette période dans les autres formes spinales, parmi les quatre cas de la forme in- tramyélitique unilatérale, n'a
n de nou- veau, je puis affirmer que, dans l'immense majorité des cas , la marche de la monoplégie est essentielle- me
en DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. ni attentif de ces cas nous rélève des symptômes positifs, c'est-à-dir
drome spasmodique n'a jamais manqué; je n'ai pas observé un seul cas dans lequel le syndrome spas- modique ait fait
causées et les excès alcooliques. Nous n'avons pas observé un seul cas où ce syn- drome ait progressé et soit arrivé à
nons de décrire, alors l'évolution ultérieure, dans la majorité des cas , est essentiellement rétrogressive, parfois pe
omplète (OBs. XXV), ou tout à fait complète (OBs. XXVI). Il est des cas où l'atténuation de l'altéra- tiou de la sensib
'atténuation de l'altéra- tiou de la sensibilité n'est pas notable ( Cas . XXVII). c). Symptômes vaso-moteurs. Excepté le
a qu'une seule où l'on observe des troubles vésicaux, qui, dans le cas en question, ont consisté en la nécessité d'uri
rent dans la période du début, d'autre part, il n'y a pas un seul cas où nous les trouvions à une période ulté- rieur
NIQUE NERVEUSE. clinique très simple, qui est le même pour tous les cas , à savoir : monoplégie d'un membre inférieur qu
érieure, enfin la marche de l'affection qui, dans la majorité des cas , est rétrogressive, parfois peu rétrogressive, vo
pas difficile de reconnaître que le siège de la lésion initiale du cas que nous venons de décrire longuement est extra
nsécutive à la lésion méningée. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS UN CAS D'IDIOTIE AVEC CACHEXIE I'AClIYD13R111QUE; Par
nos campagnes, comme dans celles des faubourgs de Paris, un oeau cas tératologique a toujours du succès. Nous penson
par M. Bourneville ne fait défaut. NOTES ET RÉFLEXIONS A PROPOS DU CAS PRÉCÉDENT; Pal' BOUTIVGVILLIs, Nous avons pu
mêmes symptômes et 1 Ces figures ne sont point parfaites. En pareil cas , il faut bien mon- trer les pieds, les mains, l
chaud, les nôtres, au nombre de trois, ont démontré que. dans ces cas , la glande thyroïde n'existait pas*. Aujourd'hu
es yeux les phénomènes hypnotiques pouvaient affecter dans certains cas un groupement spécial en trois états distincts.
ur, par la mise en couvre de certaines pratiques. Dans ces derniers cas , les divers états signalés plus haut représente
présenter les phénomènes du grand hypno- tisme ; mais, même dans ce cas , les caractères énumérés plus haut ne sont pas
mot, les sujet se perfec- tionnent avec l'exercice. Dans'd'autres cas , le grand hypnotisme ne se constitue dans ses t
la période qui nous parait man- quer le plus souvent. Dans d'autres cas ,. les trois périodes se confondent, et alors, t
ervent, sinon exclusivement, du moins dans l'immense majorité des cas , chez des hystériques. Ces diverses formes du p
telle- ment frustes qu'on peut se demander, en présence de chaque cas , s'il s'agit du sommeil hypnotique, du sommeil na
considérés comme des formes effacées de l'attaque hysté- rique. Ces cas correspondent aux variétés les plus frustes de
e aucune illusion à cet égard, nous ne possédons vraiment en pareil cas , aucune des garan- ties réclamées par un observ
aujourd'hui une vérité incontestable, on peut du moins, dans chaque cas isolé, se demander si un sujet déterminé est ré
luctuations très con- sidérables. Mais, dans l'immense majorité des cas , l'artère carotide gauche présente le plus gran
a en outre tenté à l'aide de mesures prises sur plus de deux cents cas , d'établir une répartition des deux valeurs dia
re au sur et à mesure que la folie s'établit. L. Dans deux de ces cas la folie se présentait sous la forme de la méla
ans un autre, il s'agissait de manie aiguë : dans les quatre autres cas , on avait affaire à des affections mon- tales c
où le coeur est très sou- vent hypertrophié. 9° Dans beaucoup de cas de folie, la circulation générale est paresseus
es, livides ou même enflées. Cet état est surtout fréquent dans les cas chroniques ou avancés. 10° Les artères sont fré
e type et les délusions de la folie, mais il existe encore certains cas d'a- liénation dans le : quels il est impossibl
rdiaque ou le trouble général de l'appa eil circulatoire : dans les cas de cet ordre, il n'est pas douteux que la lésio
ser le personnel de l'asile de violences intentionnelles ou non. Le cas actuel montre qu'il y a des cas où ce personnel
iolences intentionnelles ou non. Le cas actuel montre qu'il y a des cas où ce personnel ne doit pas être incriminé, et où
Falret père qui insiste sur la multiplicité des causes dans chaque cas et sur la difficulté de distinguer la part de c
ation de cause à effet ? Je n'ose le dire, mais j'ai cru qu'en tout cas le fait méritait d'être rappelé. Pour ce qui
e sont pas portées de ce côté. M. Legrain pense que dans certains cas , la séquestration du morphinomane peut être lég
e crois, ne nie davantage aujourd'hui qu'on ne puisse dans certains cas , supprimer brusque- ment la morphine, mais il f
masturbation, comme on l'avait si- gnalé précédemment, saut dans le cas de lésions des os du nez. La paratdéhyde, la qu
é des résultats entre les mains delà plupart des médecins, dans ces cas de folie d'origine sexuelle. A propos de la c
avail sur la folie à deux dans la même famille, dont il cite quatre cas . Le Dr W. JuiiusMickie lit un lravail sur,l'aut
un dans les établissements publics - 10 Dans l'immense majorité des cas , l'admission opportune d'un aliéné est synonyme
matière de la simulation des troubles psychiques. Conclusions : Les cas de simulation de l'aliénation mentale ne sont pas
n le dire, surtout dans les grandes villes. M... F. en a observé 12 cas frappants, ultérieure- ment contrôlés. Les cond
depuis le 30 décembre 1857, on y a observé presque chaque année des cas de fièvre typhoïde; seules les années 1869 et 1
aladie. Pendant les dix-huit premières années, ce furent plutôt des cas isolés, sévissant tantôt sur l'un, tantôt sur l
sur l'un, tantôt sur l'autre des quartiers du service des femmes, cas par-ci par-là mortels. En 18, pour la première fo
ns les cinq dernières années, fièvre typhoïde non maligne; en 1886, cas pour la plupart légers. L'évo- lution permettai
observations jusqu'en 1882; 38 de 1883-1887 ; dans la pluralité des cas , pendant et quelque temps après la fièvre typhoïd
é des psychoses chroniques. Sur les 38 observations dernières, deux cas dans lesquels l'aliénation mentale, guérie avan
e infectieuse, ne subit aucune rechute de par la fièvre typhoïde, 6 cas de morts, 28 psychopathies chroniques duraient
la fièvre typhoïde. En réalité, la fièvre typhoïde agit en pareils cas par la fièvre '. 1 Voir Arch. de t. t. 1T, p. S
opiniâtres, dominantes, excru- ciantes. L'auteur en a recueilli 16 cas . Il en existe une genèse primitive, et une genè
mitive existe sur- tout chez les alcooliques, mais il y a aussi des cas dans lesquels on ne constate pas préalablement
oolique. Ce genre d'aliénés est très dangereux. Il existe aussi des cas dans lesquels il n'y avait aucune anomalie du c
admettre deux formes de délire de jalousie. M. SCIIUELE rapporte un cas de délire de jalousie dans lequel il y avait an
our gagner la partie la plus inférieure de la moelle. Dans les deux cas , paralysies simple- ment transitoires. (Le mémo
pEN (de Strasbourg). De la chorée et de l'aliénation men- tale. Six cas de folie simple (tous d'agitation maniaque) avec
en sommes arrivés à l'article 22. J'en donne lecture : « Dans le cas de transfèrement d'un aliéné d'un établissement
dont M. le Président vient de donner lecture, à savoir que dans les cas de transfèrement, l'admission de l'aliéné trans-
al civil en chambre du con- seil. » (Adopté.) « Art. 28. En aucun cas , l'interdit ne peut être remis qu'à son tuteur,
inze jours, cessent d'être exécutoires. » (Adopté.) a Art. 30. En cas de danger imminent, attesté par le certi- ficat
fectué volontairement ou sur la demande de particuliers, et dans le cas où leur état mental pourrait compro- mettre la
. LE Rapporteur. Non, monsieur Paris, ils sont soumis dans tous les cas à la décision judiciaire. Je rappelais, en répond
de ne pas faire la même règle pour tous et réclamant pour tous les cas une décision de la justice. M. Paris. Alors,
. (L'article 35 est adopté.) M. le Président, « Art. 36. Dans aucun cas , les aliénés diri- gés sur un asile ne peuvent
vision de ces transports, s'était bornée à décider que a dans aucun cas les aliénés ne pourront être conduits avec les
très éloigné, transfert dont le moindre défaut, pour ces derniers cas , est d'être contraire à la loi. Je n'ai pas à m
trative, pour être placé dans un établissement d'alié- nés, dans le cas où son état mental compromettrait la sécurité, la
bandonné l'accusation pour la même cause. - Il est statué : dans le cas d'ordonnance de non-lieu ou d'ac- quittement en
ice correctionnelle, par le tribunal en chambre du conseil; dans le cas d'arrêt de non-lieu, par la chambre des mises e
arrêt de non-lieu, par la chambre des mises en accusation ; dans le cas de verdict de non-culpabilité, par la cour d'as
tions sur les principales conséquences de cet article. Il s'agit du cas où une personne ayant commis un délit, ou un cr
é- clarée criminellement responsable. Il peut intervenir, dans ce cas , suivant les phases de la procé- dure, soit un
temps absolument indéterminé dans un asile d'aliénés. Il y a des cas où l'application de cette disposition ne présen-
n sera-t-il toujours de même ? Mettons-nous en présence de quelques cas particuliers. L'accusé peut, par exemple, avoir
dans le sens précis que lui donne la loi criminelle. Dans de tels cas , la décision du jury qui prononce un acquit- te
ses actes ? La question peutne pas avoir étéplaidée ; dans tous les cas , elle n'a pas été résolue. - Il y a plus et cet
e constante jusqu'à ce jour. Je n'ai à prendre comme exemple que le cas bien connu où il y a eu un acquittement, mais o
mnation à des dommages-intérêts au nom de la partie civile. Dans ce cas , c'est un point de doctrine et de juris- pruden
étent, je répondrai que c'est parfois un avantage parce que dans ce cas on n'a pas de préjugés, et je rappellerai que P
ent pas dans la suggestion, nous écrivons : « Qu'on nous apporte un cas authentique (de crime commis à l'aide de la sug
cours par département : il est trop certain que dans beaucoup de cas , les candidats ne se présenteraient qu'en nombre
es d'aliénés, parBOURNF.VILI.F (188,». 164 VARIA. « Dans tous les cas , messieurs, reprend M. Regnard, si l'on n'ac- c
ur de la Faculté ou de l'Ecole préparatoire de médecine, suivant le cas , pourra être dé- signé aux lieu et place d'un d
y aura deux épreuves : 1° une question écrite, éliminatoire dans le cas où le nombre des candidats serait supérieur à t
ints sera de vingt. Cette seconde épreuve sera éliminatoire dans le cas où le nombre des candidats serait supérieur ci
pour le recrutement des médecins ordinaires des hôpi- taux. Dans le cas où il y aurait deux asiles ou quartiers d'asile,
ints sera de vingt. Cette seconde épreuve sera éliminatoire dans le cas où le nombre des candidats serait supérieur à tro
té au Kreis- physib-iis, et il accompagnera le certificat. Dans les cas urgents, notamment quand l'aliéné constitue un
on par le physikus du district où siège l'éta- blissement. Dans les cas douteux, on pratiquera un nouvel exa- men à de
ent aisément trancher et les coupes obtenues se distinguent dans ce cas par une solidité qui facilite toutes les manipu
quelques auteurs, cette coïncidence se rencontre dans 90 p. 100 des cas de tabes'. Il n'est donc-pas surprenant que, se
enforcée chez les neuropathologistes par de petites statistiques de cas de tabes dressées personnellement par chacun d'
ce, M. Moebius a parfaitement apprécié la juste valeur de celle des cas de tabes chez des femmes. Et cependant, malgr
s de présenter ici quelques données concises sur l'histoire de huit cas de tabes observés par moi sur des femmes pendan
de faire remarquer que tous les examens ont été faits dans ces huit cas avec beaucoup de soin et par moi-même, les réfl
coup de soin et par moi-même, les réflexes rotuliens, dans les huit cas , ont été examinés soit simplement, soit par le
surveillance dans le courant des deux dernières années. Outre ces cas , je n'en ai observé qu'un seul autre, observati
i observé qu'un seul autre, observation suivie d'autopsie ; dans ce cas aussi l'infection syphilitique était indubitabl
hilitique était indubitable; je me réserve de parler ailleurs de ce cas . Quant à la collec- tion que j'ai décrite, il e
ce qui se rapporte à l'exactitude du diag- nostic du tabes dans les cas décrits plus haut, c'est à peine s'il peut naît
serve dans une quantité d'autres tableaux pathologiques. Dans les cas décrits, le diagnostic a toujours été basé sur l'
lé PATHOLOGIE NERVEUSE. n'y avait d'amyotrophie dans aucun des huit cas ; la contractilité électrique était partout norm
contractilité électrique était partout normale; dans tous les huit cas , se rencontraient les caractéristi- ques douleu
utres désordres subjectifs de la sensibilité; presque dans tous les cas se rencontraient aussi, à différents degrés, le
sont si caracté- ristiques eu ce qui concerne le tabes. Dans sept cas sur huit, il y avait vacillement visible lorsqu
ait vacillement visible lorsque les yeux étaient fermés et dans six cas , il y avait une ataxie fortement .prononcée. Da
as, il y avait une ataxie fortement .prononcée. Dans le pre- mier cas où, semble-t-il, il n'y avait pas d'ataxie, le
it pas d'ataxie, le vacillement à yeux clos se retrouvait. Dans six cas il y avait symptôme d'Argyl-Robertson très marq
it symptôme d'Argyl-Robertson très marqué et myose spinale. Dans un cas (le troisième), il y avait paralysie du nerf oc
(le troisième), il y avait paralysie du nerf oculo-moteur; dans un cas , arthro- pathie tabétique. Faut-il encore ajo
un cas, arthro- pathie tabétique. Faut-il encore ajouter que les cas que nous avons étudiés dans notre clientèle pri
et de l'étranger et que tous, sans exception, ont reconnu dans ces cas -là l'existence du tabes ? Passons maintenant
ièrement dans cette étude; c'est-à- dire l'étiologie. Dans tous ces cas , cette dernière a été étudiée aussi minutieusem
, malgré le petit nombre de ces observations. Tandis que dans aucun cas il n'a été trouvé ni abus de ÉTUDE I)E L'1s'l'f
traités à l'hôpital), ni refroidissement; tandis que dans tous ces cas (nous attirons particulièrement l'attention sur
- rédité nerveuse était niée ou impossible à retrouver, dans sept cas sur huit (c'est-à-dire plus de 87 p. 100 nous a
tence indubitable de la syphilis dans l'anamnèse et dans le premier cas , elle était au moins très probable. Outre l'a
s et sur le mode de traite- ment, nous pouvons ajouter que dans les cas VI, VII et VIII, la syphilis a été constatée pa
la syphilis a été constatée par des médecins spécialistes, que les cas Il et V ont été soignés à l'hô- pital pour ],es
pital pour ],es-syphilitiques (,)Iiastiitzskaïa), et que dans les cas II, les signes de l'infection syphilitique exis-
abes. Pour résumer, nous répétons que, de même que dans aucun des cas il ne pouvait y avoir de doute sur l'existence
ur l'existence du tabes, à notre a is du moins, de même dans sept cas sur huit, il ne pouvait y avoir l'ombre d'un do
ge de mes malades était, par ordre descendant : cinquante ans (deux cas ), quarante-neuf, quarante, trente-six, trente-c
(deux cas), quarante-neuf, quarante, trente-six, trente-cinq (deux cas ) et trente ans. Par conséquent, le tabes commen
e l'infection syphilitique et l'apparition du tabes était : dans un cas de trois ans ; dans un cas de sept ans; dans un
et l'apparition du tabes était : dans un cas de trois ans ; dans un cas de sept ans; dans un cas, de huit ans, dans un
était : dans un cas de trois ans ; dans un cas de sept ans; dans un cas , de huit ans, dans un cas, de neuf ans; dans un
is ans ; dans un cas de sept ans; dans un cas, de huit ans, dans un cas , de neuf ans; dans un cas, de dix ans; dans deu
ans; dans un cas, de huit ans, dans un cas, de neuf ans; dans un cas , de dix ans; dans deux cas, de douze '196 PATHO
t ans, dans un cas, de neuf ans; dans un cas, de dix ans; dans deux cas , de douze '196 PATHOLOGIE NERVEUSE. ans et da
dans deux cas, de douze '196 PATHOLOGIE NERVEUSE. ans et dans un cas de seize ans. Par conséquent, les signes de tab
e la comparaison des petits détails de ma statistique avec ceux des cas de tabes observés chez des hommes et des femmes
clai- rement de ce qui précède et il est indubitable que mes huit cas de tabès témoignent en faveur du rapport qui do
re de l'hérédité dans le tabès. Ce n'est qu'en s'appuyant sur ces cas que même les données négatives au sujet de l'hé
e collection peut avoir en tant, qu'adjonction à la statistique des cas de tabès chez des femmes, je me permettrai d'y
juives appartenant à la classe riche de la société. Dans ces deux cas il n'y avait absolument pas d'hé- rédité nerveu
is par contre l'existence de la syphilis dans l'anamnèse des deux cas était indubitable. Ce fait m'a conduit à l'idée d
le; on prend en considération la syphilis héréditaire (voir le beau cas de Strüempell, dans la Centralblatt de Mendel,
ion sociale, les con- ditions de famille (on peut rattacher ici les cas de l'apparition simultanée du tabès chez le mar
itiques - que vient de décrire Strïiempell), l'âge (par exemple, le cas de Ber- ger : tabes chez un vieillard de soixan
essante. En effet, si nous faisons une analyse critique de mes deux cas de tabes chez les juives, nous devons bon gré m
uifs. Etant donnés ces deux faits, je n'ai pu ne pas être frappé du cas de mes deux Juives atteintes de tabes, cas dans
pu ne pas être frappé du cas de mes deux Juives atteintes de tabes, cas dans lesquels l'hérédité nerveuse n'existait ju
d'après mon journal en ne prenant, pour plus d'exactitude, que les cas dont il était dit « la syphilis a existé sans f
faute » ou « il n'y a absolumeut pas eu de syphilis »; quant aux cas où la syphilis était indiquée comme très douteuse
syphilis, c'est-à-dire 3,07 p. 100. Si l'on ajoute à ce chiffre, 3 cas , dans lesquels la syphilis était très probable (a
ossible de la syphilis, soit 16,2 p. 100. Si l'on y ajoute encore 0 cas dans lesquels la syphilis était très probable (av
plus fréquente chez les Busses que chez les Juifs. Sur 200 Juifs, 2 cas seulement de tabès, soit 0,7 p. 100 (un homme e
tabès, soit 0,7 p. 100 (un homme et une femme). Sur 123 Russes, 4 cas de tabès, soit 3,3 ? p. 100. Nous voyons par ce
huit Juifs atteints indubitablement de syphilis, il y avait deux cas de tabes, soit 25 p. 100. Sur onze Juifs syphil
r * vingt Russes atteints pour sûr de syphilis, il y avait quatre cas de tabes, soit 20 p. 100. Sur vingt-six Russes
soit 20 p. 100. Sur vingt-six Russes syphilitiques (en comptant les cas probables), il y avait quatre cas de tabes, soi
es syphilitiques (en comptant les cas probables), il y avait quatre cas de tabes, soit 15,4 p. 100. Pour prouver que ce
ntes données, fournies par M. Reumont. Il a justement examiné 3,400 cas de syphilis; dans le nombre se trouvèrent 290 c
ent examiné 3,400 cas de syphilis; dans le nombre se trouvèrent 290 cas de maladies nerveuses et parmi ces derniers 40
e trouvèrent 290 cas de maladies nerveuses et parmi ces derniers 40 cas de tabes, soit 14 p. 100. Mais ces données ne s
erveuses et ayant eu auparavant la syphilis, il se trouve autant de cas de tabes et de paralysie progressive que sur ce
e. Malgré l'éloquence des données que nous ont four- nies nos 383 cas , nous ne nous serions cependant pas décidé à le
sirant .vérifier les faits qui nous avaient frappé sur un nombre de cas beaucoup plus grand, nous nous sommes adressé à
e nombre il y a 347 Juifs (159 hommes et 188 femmes). Le nombre des cas de tabes était 67, dont 60 cas indiscutables (5
mmes et 188 femmes). Le nombre des cas de tabes était 67, dont 60 cas indiscutables (55 hommes et 5 femmes), et 7 cas
était 67, dont 60 cas indiscutables (55 hommes et 5 femmes), et 7 cas douteux. Sur les 5,i hommes atteints de tabès :
et 7 cas douteux. Sur les 5,i hommes atteints de tabès : Dans 31 cas , il y avait eu syphilis, sans aucun doute ; Dan
: Dans 31 cas, il y avait eu syphilis, sans aucun doute ; Dans 2 cas , la syphilis était probable ; Dans 6 cas, il y
ans aucun doute ; Dans 2 cas, la syphilis était probable ; Dans 6 cas , il y avait eu chancre ; Dans cas, il n'y a pas
yphilis était probable ; Dans 6 cas, il y avait eu chancre ; Dans cas , il n'y a pas eu de syphilis, semble-t-il ; Dan
cre ; Dans cas, il n'y a pas eu de syphilis, semble-t-il ; Dans î cas , il n'y a pour sûr pas eu de syphilis; Dans 3 c
e-t-il ; Dans î cas, il n'y a pour sûr pas eu de syphilis; Dans 3 cas , la question sur la syphilis était restée sans ré
e sans ré- ponse. Maintenant, si nous excluons ces trois derniers cas et que nous admettions qu'il y ait eu syphilis
et que nous admettions qu'il y ait eu syphilis dans la moitié des cas avec chancre et des cas douteux, nous voyons qu
qu'il y ait eu syphilis dans la moitié des cas avec chancre et des cas douteux, nous voyons que dans les cinquante-deu
chancre et des cas douteux, nous voyons que dans les cinquante-deux cas de tabes in- diqués, la syphilis se retrouvait
oportion de 73 p. 100. Mais si nous n'admet- tons que les trente-un cas où la syphilis était indiscu- table, nous auron
ilis était indiscu- table, nous aurons encore environ 60 p. 100 des cas avec syphilis dans l'anamnèse. Il y avait 5 fem
is dans l'anamnèse. Il y avait 5 femmes atteintes de tabes. Dans un cas , la question sur l'exis- tence antérieure de la
la syphilis était restée sans réponse; dans deux des quatre autres cas , la syphilis était indis- cutable, c'est-à-dire
, la syphilis était indis- cutable, c'est-à-dire dans 50 p. 100 des cas .- Parmi ces cas indubitables de tabès, il n'y a
t indis- cutable, c'est-à-dire dans 50 p. 100 des cas.- Parmi ces cas indubitables de tabès, il n'y avait pas un seul j
il n'y avait pas un seul juif . Il y avait en tout cinquante-trois cas de paralysie progressive, dont quarante-huit in
-huit indubitables et cinq douteux. Dans seize de ces quarante-huit cas (47 hom- mes et une femme), il n'a pas été poss
xistence antérieure de la syphilis; il reste donc en tout trente-un cas avec anamnèse. Sur ce nombre : ÉTUDE DE L'ÉTI
èse. Sur ce nombre : ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 1205 'Dans 14 cas , la syphilis était prouvée ; Dans 1 cas, la syp
E DU TABES. 1205 'Dans 14 cas, la syphilis était prouvée ; Dans 1 cas , la syphilis était probable ; Dans 3 cas, il y
s était prouvée ; Dans 1 cas, la syphilis était probable ; Dans 3 cas , il y avait eu chancre ; Dans 7 ctz, la syphili
vait eu chancre ; Dans 7 ctz, la syphilis était douteuse ; Dans 6 cas , elle n'avait pas existé. Par conséquent, dans
e ; Dans 6 cas, elle n'avait pas existé. Par conséquent, dans les cas de paralysie progres- sive, la syphilis se trou
rouvait dans une proportion de 45,16 G p. 100, et si l'on admet les cas probables, dans une proportion de 60 p. 100. 11
nts d'affections nerveuses (sur le même nombre de malades, soixante cas indubitables de tabes et quarante-huit de paral
tabès et de la paralysie pro- gressive; et cela, dans 60 p. 100 des cas (en n'admet- tant que les cas certains). 3).
gressive; et cela, dans 60 p. 100 des cas (en n'admet- tant que les cas certains). 3). Enfin, tandis que sur 2,056 Russ
dis que sur 2,056 Russes, il se trou- vait un nombre assez grand de cas de tabes et de para- lysie, sur 347 Juifs, il n
e cas de tabes et de para- lysie, sur 347 Juifs, il n'y avait aucun cas de tabes et trois cas seulement de paralysie. C
a- lysie, sur 347 Juifs, il n'y avait aucun cas de tabes et trois cas seulement de paralysie. Cette dernière conclu-
rmi ces malades il y avait 89 juifs (32 hommes et 57 femmes). Les cas de tabes atteignaient le chiffre de 66 (58 hom-
s (3 hommes et 1 femme); mais au nombre des 3 juifs malades, un des cas n'était que douteux, taudis que les deux autres
deux autres étaient évidemment frappés de tabes. Dans quarante-un cas , la syphilis était indubitable (dans dix-neuf c
Dans quarante-un cas, la syphilis était indubitable (dans dix-neuf cas , il y avait eu traitement par le mercure); dans
dix-neuf cas, il y avait eu traitement par le mercure); dans quatre cas , la syphilis était très probable; dans trois ca
cure); dans quatre cas, la syphilis était très probable; dans trois cas , elle était assez probable; dans dix-huit cas,
probable; dans trois cas, elle était assez probable; dans dix-huit cas , l'existence de cette maladie était niée; dans
huit cas, l'existence de cette maladie était niée; dans neuf de ces cas , il y avait urétrite ou cystite. En ne basant l
il y avait urétrite ou cystite. En ne basant le p. 100 que sur les cas indu- bitables de syphilis, nous trouvons une p
bitables de syphilis, nous trouvons une proportion de 62 p. 100 des cas de tabès avec syphdis dans l'anam- nèse; si nou
syphdis dans l'anam- nèse; si nous y joignons encore la moitié des cas pro- bables, nous aurons sur soixante-six cas d
encore la moitié des cas pro- bables, nous aurons sur soixante-six cas de tabès près de 70 p. 100 des cas avec syphili
es, nous aurons sur soixante-six cas de tabès près de 70 p. 100 des cas avec syphilis dans l'anamnèse. Parmi les quatre
e 70 p. 100 des cas avec syphilis dans l'anamnèse. Parmi les quatre cas de juifs atteints, il y en avait 3 (2 hommes et
était atteint d'urétrite. Chez les 8 femmes indiquées : dans trois cas , la syphilis était indiscutable ; dans un cas,
ndiquées : dans trois cas, la syphilis était indiscutable ; dans un cas , elle était très probable; dans un cas, elle ét
était indiscutable ; dans un cas, elle était très probable; dans un cas , elle était assez pro- bable ; - dans trois cas
s probable; dans un cas, elle était assez pro- bable ; - dans trois cas , elle était niée. Par conséquent, ici aussi, 50
rois cas, elle était niée. Par conséquent, ici aussi, 50 p. 100 des cas avec ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 207 syphi
mmes et 8 femmes); dans ce nombre, 1 juif. Sur ces soixante- neuf cas : dans quaraute cas, la syphilis était prouvée
dans ce nombre, 1 juif. Sur ces soixante- neuf cas : dans quaraute cas , la syphilis était prouvée (dans vingt cas trai
neuf cas : dans quaraute cas, la syphilis était prouvée (dans vingt cas traitement par le mercure) ; dans neuf cas, la
it prouvée (dans vingt cas traitement par le mercure) ; dans neuf cas , la syphilis était très probable; dans douze ca
ure) ; dans neuf cas, la syphilis était très probable; dans douze cas , la syphilis était assez probable; -dans huit cas
bable; dans douze cas, la syphilis était assez probable; -dans huit cas , la syphilis était niée. Par conséquent, la syp
onséquent, la syphilis se retrouve dans l'anamnèse de 60 p. 100 des cas , et si l'on compte la moitié des cas probables,
ns l'anamnèse de 60 p. 100 des cas, et si l'on compte la moitié des cas probables, dans plus de 72 p. 100. Parmi les
72 p. 100. Parmi les femmes atteintes de paralysie : Dans deux cas , il y avait eu syphilis; dans deux cas, elle ét
s de paralysie : Dans deux cas, il y avait eu syphilis; dans deux cas , elle était très probable; dans trois cas, elle
it eu syphilis; dans deux cas, elle était très probable; dans trois cas , elle était assez probable, dans un cas, elle é
t très probable; dans trois cas, elle était assez probable, dans un cas , elle était niée. Le seul -juif indiqué avait é
alysie se rencontrent aussi souvent l'une que l'autre (soixante-six cas de tabes, soixante- neuf cas de paralysie). 2
vent l'une que l'autre (soixante-six cas de tabes, soixante- neuf cas de paralysie). 2). La syphilis se retrouve dans
. le professeur Kojenwiiikoff, c'est-à-dire dans 60 à 70 p. 100 des cas . (-1 sccivre.) 208 PATHOLOGIE NERVEUSE. LA SU
est la condition pathogénique de cette singu- lière affection. Le cas suivant, rapporté par M. Giraudeau, donne un ex
i, ne trouvant aucune lésion de l'appareil ' Giraudeau. Note sur un cas de sisi,dild ps ! lchiqite. (lievue de méde- ci
e du cerveau'. Baillar,,er2 et Wernicke" ont tous deux rapporté des cas dans lesquels les malades étaient regardés comm
musicaux est abolie, ainsi que celle du langage articulé; dans le cas de Bernhardt, déjà cité, le malade ne pouvait r
irs bien connus chantés en sa pré- sence. Grant Allen a rapporté un cas dans lequel le trouble psychique était exclusiv
ogiques. Voici un court résumé des traits les plus importants de ce cas intéressant et classique. Un négociant, âgé d
Dr Ross, dans un mémoire sur l'aphasie senso- rielle, mentionne le cas d'un homme âgé de cin- quante-sept ans, atteint
rfois, don- ner lieu à quelques difficultés; car, par exemple, le cas remarquable du D1' Osborne, si souvent cité', p
- préhensihle, si on lui demandait de lire à haute voix. Un tel cas peut certainement ne pas être considéré comme u
mme un exemple de cécité verbale, expression qui serait limitée aux cas dans lesquels le malade n'ap- précie pas le sen
- précie pas le sens des mots imprimés ou écrits. En analysant le cas de ce malade, on verra que les conducteurs cent
olution temporo-sphénoïdaie était atteinte dans chacun des dix-sept cas de surdité verbale recueillis par Sepelli'. Les
qu'il ne restât plus trace de circonvolutions. Dans chacun des six cas , le résultat fut le même. L'audition, non seule
parmi diverses autres observations semblables, M. Chauffard cite le cas suivant rapporté par Pflügcr in berline jE7. Wo
e grains de plomb étaient restés fixés. On observera que les deux cas de cécité verbale dont j'ai parlé étaient compl
systématiquement, il nous faut tout d'abord examiner et décrire les cas pathologi- ques qui sont d'une simplicité et d'
ques qui sont d'une simplicité et d'une pureté remar- quables. Ces cas nous permettent d'étudier les formes simples fo
oir étudié ces formes simples qu'il nous sera facile d'analyser les cas complexes dont le tableau clinique est constitu
ppartenant aux dif- férentes formes simples et fondamentales. Les cas qui sont tombés sous notre observation nous per
' a). Aphasie MOTRICE.- Les trois observations qui suivent sont des cas d'aphasie motrice simple et pure dégagée de tou
EXE.- De cette aphasie com- plexe nous n'avons à relater qu'un seul cas que nous avons observé de visu. Observation X
même temps de décompression sans jamais demeurer au fond en pareil cas plus de quinze à vingt minutes. Pas de refroi-
it jamais appris ni à lire ni à écrire. Nous n'avons pas observé de cas de cécité verbale ou cécité des mots (Wortblind
nir par l'emploi des scaphandres sont au moins dans la majorité des cas les suivants : a), la brusquerie de l'invasion
riété oculaire. De cette variété, nous n'avons à rapporter que deux cas de cécité, dont la durée totale chez le premier
braux qui proviennent de l'emploi des scaphandres. Je trouve quatre cas de ce genre dans mes notes. Les troubles auditi
sive; 3° leur durée très fugitive ; 4° leur curabilité constante en cas d'ac- cidents cérébraux, non fugitifs plus ou m
, agrégé de notre faculté, nous a communiqué qu'il a observé deux cas d'hémiplégies cérébrales chez deux scaphandrier
physiques, chez les grandes hystériques hypnotisables. Puisque les cas de grand hypnotisme observés à la Salpé- trière
pnotisme observés à la Salpé- trière sont, suivant M. Bernheim, des cas artificiels, on peut se demander, fait remarque
im ne se donne pas le plaisir de créer artificiellement à Nancy des cas semblables. MM. Binet et Féré ont insisté sur l
argique chez un sujet hyperexcitable; la suggestion ne fait dans ce cas que renouveler, sous forme d'images, le souveni
suggestion. A cela nous répondrons d'abord que ce n'est là en tout cas qu'une hypothèse. Nous ferons remar- quer d'aut
rai, que le précédent, mais on le constate néanmoins dans nombre de cas , et il a évidemment une valeur capitale. Il est
sont présentés naturellement à son observation. Depuis, de nouveaux cas analogues ont pu être observés et on s'est plac
ès la première tentative d'hypnotisation, mais que dans beaucoup de cas , au début, les caractères somatiques ne sont pa
cataleptiques ont persisté chez elle. N'est-il pas évident dans ce cas qu'une excitation sensorielle a produit ce que
maine de la science. En compagnie du Dr Vizzioli, j'ai observé un cas classique de grand hypnotisme chez une jeune fill
l'hystérie locale ou monosymptomatique. Il est de règle en pareil cas de rechercher dans les antécédents personnels du
nte chez l'homme. Il s'ensuit que )). Bern- heim a pu dans bien des cas considérer comme individus nor- maux, des hysté
rnir on arrivera à démontrer dans presque tous, sinon dans tous les cas , que les hypnotiques dont nous parlons sont ent
cissure de liolando, relatés par M. le I)''Biachkoff; dans ces deux cas , cette scissure était coupée par un pont de sub
ieur, s'il n'est pas le prolongement du faisceau basal, est en tout cas son homo- logue ; il relie les masses grises de
e celles des nerfs crâniens. M. Jakovenkô,' en. relatant le premier cas connu de dégénérescense du faisceau longitudina
ce de la commissure blanche antérieure. Le', D'' Popoft a publié un cas de dégénérescence de la commissure i antérieure
téressante sur cette maladie, relativement né- gligée en France. Le cas sur lequel est basé son travail, est le suivant
htéritique, vu l'absence d'antécédents ; ;. s'appuyant sur d'autres cas analogues, il a émis l'hypothèse d'une lésion p
cérébrale et médullaire. Dans les faits de cet ordre se range un cas d'angio-sarcome diffus de la pie-mère cérébrale e
enr, sont : la réductibilité et les mou- vements pulsatiles. Or, un cas de M. Tchoudnowky, montre que ces deux signes n
de signes d'hystérie. C'était pourtant probablement croyons-nous un cas de para- lysie hystérique et les réflexes, ains
Paternatsk-v a constaté l'inégalité des pupilles dans 85 p. 100 des cas de pneumonie croupale. Dès le début on peut cons-
50 sujets, il= trouvé l'inégalité 130 fois. Dans les deux tiers des cas la pu- pille gauche et la moitié gauche de la f
1288 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. oblique en dedans); en certains cas , il se produit encore une flexion dorsale des o
simultanément les deux pieds. L'auteur les signale surtout dans les cas d'hémiplégie céré- brale (mouvement associé bil
chez un même malade, suivant le moment et les conditions de chaque cas particulier, comme la sensibilité tabétique. A
ie diphtbéritidue (toxine coqueluchale). L'auteur signale encore un cas du même ordre rap- pelant la poliomyélite aiguë
out autre cause générale. P. K. IX. Des troubles DE l'ouïe en DES cas DE paralysie faciale périphérique légère; par 0
facial s'est transmise au nerf du muscle de l'étrier ; en tous les cas il existe une légère paralysie du tronc de l'ac
rincipalement dans la fosse crânienne moyenne, niais, dans quelques cas , portant aussi sur la fosse antérieure. D'où l'
l'anode. Elude critique des travaux publiés depuis. P. K.' XV. Un cas DE surdimutité chez un nYSTÉRO-ËPtLEPTtQL'E; [p
des courants continus détermina une amélioration. ' P. K. XVI. Un cas d'ophthalmoplégie bilatérale avec accidents d'ata
ourants d'induction détermina de l'amélioration. P. K. ' XVII. Un cas D'OPIITI3dLMOPLÉGIE externe progressive terminée
à une élite de malfaiteurs qui pourront avec elle et dans quelques cas assez rares frapper sans bruit et faire coup do
rme stupide rarement la manie jamais la folie systématique. Dans le cas où, à la suite de l'accumulation des années d'e
aralysie motrices, accidents vaso-moteurs). Sur plus de trois cents cas , on constate, en un tiers des cas, de l'exagérati
moteurs). Sur plus de trois cents cas, on constate, en un tiers des cas , de l'exagération, même clonique, du réflexe te
de la moelle soit exclusivement dans les cordons postérieurs (deux cas ), soit con- curremment dans les cordons postéri
rveuses, surtout celles des cornes antérieures, très pigmentées; un cas témoigna (il s'agissait d'une sclérose systéma-
à un autre procédé. L'action la plus favorable fut obtenue dans les cas de neurasthénie avec prédominance de symptômes
le, c'est une action déshydratante ; c'est ce qui se passe dans les cas de col- lections liquides,, entourant les nerfs
la guérison aura généralement encore lieu; au con- traire, dans les cas d'hérédité, de lacunes du côté du système ner-
ses ou des affusions froides sur la tête, ou encore le sou- mettre ( cas légers) à des frictions froides en frottant énerg
i. Meschbde (de Koenigsberg). Communications thérapeutiques' Quatre cas d'aliénation mentale chez des paralytiques généra
main, de calme, conscience, jugement. -I1 est vrai que ces quelques cas ne forment qu'une petite proportion sur un baga
ions datant aujourd'hui de 30 ans, niais ils montrent que, dans les cas récents, quand il existe des phénomènes cérébra
s. - La théorie des anévrysmes miliaires est exacte. Sans doute les cas très rares dans lesquels on n'arrive pas à cons
ÉSIDENCE DE M. WERNICKE. Al. LlssauEa (de Breslau) communique trois cas d'affaiblissement de la mémoire chez les alcool
nté psychique, de phthisie pulmonaire. M. FREUND (de Breslau). Deux cas d'affaiblissement grave et géné- ralisé de la m
r 1888. PRÉSIDENCE DE M. WERNICKE. M. FREUND (de Breslau). Quelques cas mitoyens entre l'aphasie et la cécité psychique
raison de la simultanéité de l'aphasie sensorielle acoustique. Les cas d'aphasie optique combinée à la cécité psychique
M. Wernicke présente deux malades de sa clinique. C'est d'abord un cas d'aphasie maniaque caractérisée par une émission
i fait connaître la stupeur et la catatonie périodi- ques. Mais les cas de folie systématique périodique, je les ranger
odifications de l'économie du sujet. M. THOMSEN. Oui, il existe des cas de folie systématique périodi- que se distingua
e termine pas par la paranoia. M. MENDEL. Ce n'est pas du tout le cas visé par M. Jastrowitz. Evidemment ma paranoia
itz. Evidemment ma paranoia périodique se transforme, en certains cas , en paranoia chronique, mais au bout d'un long te
t mental. Un sénateur au centre. Habituel ! - )1. DELSOL. Dans ce cas -là, évidemment il doit y avoir des me- sures à
tuel d'aliénation mentale. Tout le monde reconnaîtra que, dans ce cas , il est absolument nécessaire d'examiner si l'ali
tions des actes violents sont à redouter. Il y a donc lieu, dans ce cas comme dans le précédent, à prendre des précaution
essairement interné; il dit sim- plement qu'il y aura lieu, dans ce cas , d'examiner son état men- tal ; et c'est précis
e modification au code d'instruction crimi- nelle, et dans tous les cas elle n'avait pas mandat pour la provo- quer. De
à faire supposer qu'il existe un état d'aliénation mentale, dans ce cas -là... M. de GAVARDIE. Il n'y a pas besoin de ce
avoir existé chez l'accusé au moment ;du crime : en vérité, dans ce cas , il est bien clair qu'un internement dans un ét
ous propose de le rempla- cer par la rédaction suivante : « Dans le cas de verdict de non- culpabilité, il est statué p
entes les unes des autres. Quelquefois, c'est le petit nombre des cas , l'on vient plaider devant le jury que l'accusé
moment où le fait incriminé s'est produit. Voyez, par exemple, les cas si nombreux aujourd'hui où la vio- lence a revê
tribune l'honorable M. Delsol ; si elle se contentait de prévoir le cas où un aliéné dangereux aurait été acquitté en c
s'agit réellement encore, et ce que la commis- sion propose pour ce cas spécial, pour le cas où un certain système de d
ore, et ce que la commis- sion propose pour ce cas spécial, pour le cas où un certain système de défense parait avoir é
ux systèmes ? Peut- on se ménager une protection suffisante pour le cas d'aliénation confirmée, sans cependant abandonn
peut-être pas pensé, c'est celui-ci : dans le plus grand nombre des cas , le débat qui se déroulera devant le jury sera,
oint, il ne peut pas exister de difficulté. Il ne reste donc que le cas d'un acquittement en cour d'assises. Or, nion c
t la cour d'assises peut n'être pas bien sérieux, et, dans tous les cas , il n'est pas très souvent suffisant. La défens
d'aliénation mentale. Si, après de nouvelles vérifications, dans le cas où elles seraient jugées nécessaires, elle se p
és. Quand la difficulté' se produira-L-elle ! Ce sera uniquement en cas d'acquittement devant la cour d'assises, parce
nts du dossier, le ministère public sera amené à soutenir, sauf des cas tout à fait exceptionnels, les charges de l'acc
on pourra recon- naître ces phénomènes. L'auteur relate plusieurs cas , où l'on pent observer des délires partiels, po
.Beauté ? ' klinische lVoclr,etzschrift, n"31, 1883. Broca. Sur un cas de panaris analgésique de 0)'- van. (Annales de
ue, etc. (Gazelle hebdomadaire, ilo 35, 36, 38, z Le même. Nouveaux cas de I)rti,éso-aicilgésie (1,,s extrémi- tés supé
p. 800.)-Ilarri;.Syrttzyomelia, Brain, 1886, p. 447. Joliet. Sur un cas d'anomalie du canal central de la moelle épiniè
ces phénomènes ne lui paraît pas toujours avoir été exact. Dans les cas de lésions corticales unilatérales, ou même de
irritatifs collatéraux ou d'arrêt, de nature transitoire. Dans les cas de lésions étendues bilatérales du cerveau, il
inimum des troubles qu'on observe, en quelque temps et en quelque cas que ce soit, après une lésion déterminée du cer
ces du traumatisme ont déjà depuis longtemps cessé. Dans tous ces cas , les phénomènes de déficit de Goltz sont réduit
et celui de transitoires aux phénomènes collatéraux , que dans les cas où aucune sorte de suppléance n'est possible. P
directe des fonctions du cerveau, n'ont livré dans la plupart des cas , suivant Luciani, aucun critérium suffisamment
usés, selon les animaux mis en expérience. Pour décider si, dans un cas donné, tels désordres de la vue ou de l'ouïe re
énomènes, on doit donc recourir aux résultats obtenus dans d'autres cas d'extirpations plus étendues de l'écorce, ou ap
t la solution de certains problèmes, et, particulièrement dans le cas qui nous occupe, elles peuvent seules fournir des
t maintenant dissipée. Voyons comment Seppilli juge applicables aux cas cliniques des lésions localisées du cerveau hum
tère des effets négatifs. Il ne s'applique pas sans restriction aux cas cliniques. On connaît la méthode des cas négati
pas sans restriction aux cas cliniques. On connaît la méthode des cas négatifs d'Exner. Pour déterminer l'aire d'un c
par exemple du mouvement volontaire d'un membre, il réunit tous les cas de lésions cérébrales dans lesquels la motilité
porte sur un schéma du cerveau toutes les lésions révélées dans ces cas par l'autopsie. Ce qui ressort d'un tel graphiq
que (mais il faudrait un temps très long pour ras- sembler assez de cas cliniques de cette nature), on devrait s'en ten
assez de cas cliniques de cette nature), on devrait s'en tenir aux cas très rares d'hémorrhagies récentes en foyer : e
ion en clinique. Une nouvelle critique d'Exner et de sa méthode des cas positifs, sur laquelle repose surtout la doctri
plus étendues encore que celles qu'avait déterminées la méthode des cas néga- tifs. « Un simple examen des planches de
Exner ajoute : « Mais eux-mêmes, ils ont encore emprunté à quelques cas cliniques et aux autopsies de ces cas, leurs ré
nt encore emprunté à quelques cas cliniques et aux autopsies de ces cas , leurs résultats 4 N0 ! f9-J8. Ifebéi- nettere
s citent, comme on l'a déjà fait mille fois, un cer- tain nombre de cas où il existait tel symptôme et où telle région
re moteur du bras fût dans le gyrus angulaire, à réunir vingt et un cas dans lesquels cette circonvolution était lésée
ésion. On peut, si l'on est dili- gent, rassembler une vingtaine de cas cliniques pour prouver que le centre moteur du
te la comparaison doivent, pour être régulières, se rapporter à des cas cliniques comparables entre eux à tous égards ;
oir déterminer le territoire de la lésion minima, commun à tous les cas particuliers et représentant le centre de la fo
3° enfin, il est néces- saire de connaître exactement, dans chaque cas parti- culier, le cours entier de la maladie, e
qu'elle n'était point la suite de dégénérations secondaires. Les cas cliniques de Charcot et de Pitres remplissent-
YSIOLOGIE. vivisections. » Au dire de Luciani et de Seppilli, les cas de monoplégies faciales (et linguales), brachiale
lésions minima soulèverait les mêmes objections que le critère des cas négatifs et positifs d'Exner. Avec les méthodes
e, si la clinique n'avait mis en relief, et sur- tout Kussmaul, les cas de cécité verbale, où un individu voit parfaite
urdité psychique, et qui per- mettent seuls de bien interpréter les cas cliniques d'aphasie sensorielle (Wernicke) ou d
de M. le profes- seur Kojewnitkoff puisque, quoique ce chiffre de 3 cas ' Voy. Arclt. de Neurologie, n° b0, p. 183. ?
. 183. ? TUDE DE 1.'I'sTI0LOG1E DU T.1BES. 363 3 de tabès et de 1 cas de paralysie chez des Juifs pen- dant 3 ans soi
ifs pen- dant 3 ans soit sensiblement inférieur à la somme de 130 cas de tabes et de paralysie chez des Russes, ces 4
rce que la comparaison des résultats obtenus sur un chiffre de 2521 cas et de celui obtenu sur un chiffre de 89 cas ne
sur un chiffre de 2521 cas et de celui obtenu sur un chiffre de 89 cas ne peut être juste à cause de la dis- semblance
ésente la statistique de M. Korsakoff, figure, aussi comme un des 2 cas de la mienne. Par conséquent, il est plus exact
me réunie des malades du Dr Korsakoff et des miens, et la somme des cas de tabes et de para- lysie inscrits dans ces de
ons alors les résultats suivants : Sur 4.700 Russes, il y avait 137 cas de tabès, soit 2,9 p. 100 ; Sur 696 Juifs, il y
ait 137 cas de tabès, soit 2,9 p. 100 ; Sur 696 Juifs, il y avait 6 cas de tabes, soit 0,8 p. 100. Sur 4.700 Russes il
it 6 cas de tabes, soit 0,8 p. 100. Sur 4.700 Russes il y avait 124 cas de paralysie, soit 2,6 p. 100. Sur 696 Juifs, i
124 cas de paralysie, soit 2,6 p. 100. Sur 696 Juifs, il y avait 6 cas de paralysie, soit 0,8 p. 100. Mais ici, en ce
erne le tabes chez les Juifs, j'ai mis en ligne de compte, mes deux cas et tous les 4 cas observés par M. le Dr Korsako
es Juifs, j'ai mis en ligne de compte, mes deux cas et tous les 4 cas observés par M. le Dr Korsakoff ; si je prends en
Korsakoff ; si je prends en considération le fait qu'il y avait des cas communs et si j'exclus un cas très douteux de t
nsidération le fait qu'il y avait des cas communs et si j'exclus un cas très douteux de tabes, il y aura en 364 PATHOLO
ès douteux de tabes, il y aura en 364 PATHOLOGIE NERVEUSE. tout 3 cas de tabès, soit 4 p. 400. De même pour les cas d
IE NERVEUSE. tout 3 cas de tabès, soit 4 p. 400. De même pour les cas de paralysie chez les Juifs, j'ai pris le plus gr
ysie chez les Juifs, j'ai pris le plus grand chiffre, car sur les 3 cas de M. le professeur Kojew- nik-off, un est insc
de M. le professeur Kojew- nik-off, un est inscrit au nombre des 2 cas de ma statistique (malade B); ce même cas est l
t inscrit au nombre des 2 cas de ma statistique (malade B); ce même cas est le seul qui se trouve dans la statistique d
un grand nombre de Juifs, mais qu'il ne peut indiquer qu'un seul cas de Juif atteint de paralysie, malade qui se tro
sse avoir oublié, en me communiquant ce rensei- gnement, un ou deux cas de Juifs atteints de para- ÉTUDE DE L'ET10LOG11
rd et que dans l'anamnèse des Russes, il se serait trouvé plus de cas de syphilis que dans l'anamnèse des Juifs. Il m
akoff, par exemple, la syphilis se retrouve dans 60 70 à p. 100 des cas ; chez les Juifs ce pour-cent est plus considéra
z les Juifs ce pour-cent est plus considérable ; ainsi, outre les 2 cas de Juives atteintes de tabes qui sont décrites
es de tabes qui sont décrites dans ma statistique, j'ai eu encore 3 cas de tabes chez des Juifs. Ces cinq malades avaie
statistique de M. le professeur Kojewnikoft', il n'y a pas un seul cas ; dans celle du Du Kosaloff, il y en a 4 ; si l'
ut une malade qui se trouve déjà dans ma statistique, nous aurons 3 cas de Juifs atteints, dont 2 ayant eu la syphilis.
cas de Juifs atteints, dont 2 ayant eu la syphilis. Donc, sur les 8 cas de Juifs frappés de tabes que je connais, 7 ava
. 100 et concorde avec les résultats découlant de ma statistique de cas de tabes chez les femmes. Depuis que je prati
e cas de tabes chez les femmes. Depuis que je pratique, j'ai eu 3 cas certains de Juifs atteints de paralysie et 2 ca
ratique, j'ai eu 3 cas certains de Juifs atteints de paralysie et 2 cas de probables. Ces cinq cas avaient eu la syphil
ns de Juifs atteints de paralysie et 2 cas de probables. Ces cinq cas avaient eu la syphilis. Eu égard aux coïnci- de
nous avons relevées plus haut, nous ne pouvons y joindre qu'un seul cas pris dans la statis- tique de M. le professeur
ique de M. le professeur Kojewnikoff. Par consé- quent je connais 4 cas de Juifs atteints pour sûr de paralysie et dans
ient eu la syphilis, ce qui donne 75 p. 100; en y joignant encore 2 cas probables de paralysie progressive, nous aurons
hilis sur 6, ce qui donne 83 p. J 00. Le fait que la proportion des cas de syphilis chez les Juifs est plus grande que
vée, la syphilis est notée dans l'anamnèse de 90 à 100 p. 100 des cas , la syphilis n'est relatée que dans 72 p. 100 d
p. 100 des cas, la syphilis n'est relatée que dans 72 p. 100 des cas de tabes soignés par moi à l'hôpital (Compte re
ent éprouve de cacher sa maladie. Tous les médecins ont vu de ces cas dans lesquels des affections nerveuses anatomiq
t de la paralysie progressive est, dans la très grande majorité des cas , la syphilis, trouve une preuve nouvelle et à n
cisément chez, les Juifs que nous tî,otive-iois le î2îaxi- «7 ! des cas de tabès et de paralysie et cependant les faits
5. ' 360 existe-t-elle seulement dans la très grande majorité des cas , comme cela se voit pour le moment dans les sta
t dans les statistiques, ou bien se retrouve-t-elle dans tous les cas de tabès ? On peut sans doute supposer que, mêm
s cas de tabès ? On peut sans doute supposer que, même dans les cas où la syphilis n'est pas relevée ou même est form
errain des faits, nous devons pour le moment admettre qu'il y a des cas de tabes dans l'anamnèse desquels ne se retrouv
retrouve vraiment pas la syphilis. Si nous admettons l'existence de cas sem- blables, nous devons rechercher pour eux a
pensons qu'il convient d'examiner avec une attention extrême les cas qui, semble-t-il, parlent en faveur de ce point
ent, me hâté-je de dire que je suis loin de le présenter comme un cas indiscutable de tabes; je suis égale- ment loin
tion métallique; je ne le cite que parce que je trouve que c'est un cas qui peut être utile pour la discussion de l'éti
mme nous allons le voir, existe chez notre malade, n'est dans aucun cas paralytique. Lorsque I... est couché, il accomp
lui font souvent l'impression d'une brûlure. En général, dans ce cas comme dans la majorité des cas de tabes, les do
n d'une brûlure. En général, dans ce cas comme dans la majorité des cas de tabes, les données fournies par les examens
cation saturnine et la fièvre intermittente. Laissant de côté les cas des diverses affections ner- veuses intermitten
on Nash8), nous ne pouvons, pour eu faire la comparaison avec notre cas , nous arrêter qu'à un cas d'ataxie aiguë après
, pour eu faire la comparaison avec notre cas, nous arrêter qu'à un cas d'ataxie aiguë après la fièvre intermittente, d
la fièvre intermittente, décrit par Kaher et Pich 9. Cependant, ce cas lui-même est très dissemblable du nôtre, car, c
, un trouble anarthrique dans la parole ; nystagmus. Enfin, dans ce cas , il y avait début aigu (deux jours) et la malad
exes rotuliens. Nous n'avons pu trouver dans la littérature aucun cas d'ataxie après la fièvre intermittente, qui offri
nous avons relevés dans notre malade. Mais, si même il y avait des cas semblables, cette cause étiologique serait à no
cette cause étiologique serait à notre avis invraisemblable dans le cas qui ' 7/<'M ! MMM tfa ? i(li). rlrlic. Malar
monté. Et maintenant, voici comment Kahler et Pick décrivent leur cas : « Le 1ex août, le malade, étant alors en bonn
e, s'ajoute l'ataxie, etc. Il n'y avait rien de pareil dans notre cas . Enfin ce qui, à notre avis, a. une importance
'être dit, nous n'avons aucune raison valable de considérer dans le cas donné la fièvre intermittente comme la cause de
nent, il est difficile de ne pas admettre la pensée que, dans notre cas , c'est une intoxication' 1 Comme cela ee voit d
e pas la syphilis, puisque dans la littérature on trouve encore des cas typiques de tabes sans syphilis dans les antécé
la maladie a été rapide, il est aisé d'énumérer toute une série de cas indubitables de tabes dans lesquels le commence
qui pourrait' encore parler contre l'existence du tabes dans notre cas , c'est l'absence complète des symptômes ophthal
s le tableau clinique de tabès ; pourtant, en nous arrêtant sur les cas de tabes vulgaire, nous pou- vons trouver aussi
te- fois que ces troubles font défaut dans un certain nom- bre de cas , » et plus loin; « l'état de l'iris est très va
orsque la rétine reçoit une lumière plus vive, se dilatant dans des cas contraires, etc. » M. Eulenburg, dans son manue
in, il n'y avait également pas de symptômes oculaires dans 3 des 20 cas de Duchcnne (de Boutogne), et ce dernier dit lu
e champ occupé par l'anesthésie est assez consi- dérable dans notre cas , mais ces anesthésies, qui remontent si haut da
montent si haut dans le tronc, sont loin d'être rares même dans les cas les plus simples de tabès; dans son livre, M. E
ordinaire s'il n'existait dans la littérature toute une série de cas concernant justement des gens empoi- sonnés par
ou ayant eu une maladie infectieuse (la diphtérie, par exemple), cas dont les symptômes formaient un tableau ressem-
tabes n'existait cependant pas. Quel- ques auteurs ont donné à des cas de ce genre le nom de i)8etedo-labes ', d'autre
21), qui conseille de borner la dénomination de pseudo-sclérose aux cas semblables a celui de M. Westplial; mais en mêm
e mot « fausse » par celui de « pseudo », il aurait du nommer notre cas « sclérose pseudo-systématique » et non «pseitd
e; naturellement ce point ne peut pas avoir d'importance dans notre cas , puis- que notre malade est vivant. Secondeme
non typi- que du développement du tabes. En ce qui concerne notre cas , nous avons justement fait remarquer que le dév
aire à une maladie où la mort est à peu près certaine; dans l'autre cas (le pseudo-tabes), la gué- rison est au contrai
ion s'opère habituellement « sublata causa ». Cependant, dans notre cas , nous voyons précisément le contraire : tandis
s troubles des organes génito-urinaires sont très rares; dans notre cas , il y a impuissance génitale absolue et tendanc
ont donné, non sans fondement, le droit de considérer beaucoup de cas d'ataxies pseudo-tabétiques comme non véritable
clinique à laquelle ou puisse donner le nom de pseudo-tabes, notre cas , d'après ce que nous avons dit, ne se rapproche
atégorie.. z Nous avons pourtant dans la littérature une série de cas se rapprochant du tabes vulgaire par l'ensemble
dépendant de cette étiologie. Ce sont précisément les intéressants cas de tabes causés par l'ergotisme décrits par M.
n'ont pas été. relevés par M. Leval-Picqueclief dans l'histoire des cas de pseudo-tabes, parce qu'il s'y trou- 1 Des pa
ns postérieurs de la moelle épinière. Par la comparaison avec les cas de tabes dus à l'er- gotisme, notre cas acquier
Par la comparaison avec les cas de tabes dus à l'er- gotisme, notre cas acquiert un intérêt particulier en ce que ces m
it réflé- chir dans notre diagnostic se retrouvent dans plusieurs cas de Fuczek. Dans aucun de ces cas il n'y avait ni
ostic se retrouvent dans plusieurs cas de Fuczek. Dans aucun de ces cas il n'y avait ni myose, ni symptôme d'Argyl-Robe
me d'Argyl-Robertson, et dans les Observations XX, XXII (ce dernier cas très curieux), XXIV, XXV, XXVI, XXVII, la large
mptôme qui nous troublait le plus l'état normal des yeux dans notre cas , n'est pas une preuve par- lante contre la poss
la sensibilité chez quelques-uns des malades de M. Fuczek. Dans le cas XXIII, par exemple, la sensi- bilité tactile ét
blie dans tout le corps (p. 115, en cursive dans le texte). Dans le cas XV, où les yeux étaient parfaitement normaux, o
DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 389 dence avec notre cas'. Enfin, dans le cas XXVI, on retrouve le même affaiblissement de la
tômes (concernant le cerveau, par exemple) d'un autre côté, notre cas présente un tableau si pur et si net que, par c
du moins placé tout près de celui-ci. Si l'on considère ainsi notre cas , il acquiert de l'importance dans la question d
l'importance dans la question de l'étiologie du tabes; grâce à ce cas , on est disposé à considérer le tabes ordinaire
mentale. 1 Puisque la sensibilité tactile a été trouvée (dans notre cas ) anormale seulement à l'examen au moyen du comp
rdons postérieurs de la moelle épinière; ainsi Fuczek cite déjà des cas de lé- sion de ces faisceaux jiost-puerperium,
oubles dans les faisceaux postérieurs de la moelle épinière dans un cas à.' intoxication alcoo- licce; il m'est arrivé
toxication alcoo- licce; il m'est arrivé à moi-même d'observer deux cas de paralysie alcoolique (l'un est cité dans la
édi- cale de Moscou) ou, à côté d'autres altérations (dans un des cas , forte dégénération des nerfs périphéri- ques),
en détail dans la clinique de 111. le professeur Kojew- nikoff en cas de paralysie arsenicale dans lequel outre la dé
J'ai eu l'honneur de présen- ter des préparations anatomiques de ce cas à 119. les professeurs Charcot, Westphal, Merzi
u'il ne se rappelle rien. Il s'agit évidemment ici d'un très beau cas de manie transitoire. On connaît parfaitement d
pide, en quelques heures. On l'a qualifié de manie transitoire. Les cas de ce genre sont, en effet, rares ; mais ils ne
iniques. Il ne me serait pas difficile de multiplier à l'infini les cas qui appartiennent aux différentes formes cliniq
sive, dès les premiers moments de son invasion, constitue, pour nos cas , une particularité toute spé- ciale, qui ne s'o
absolument transitoires, très fugitifs, dans l'immense majorité des cas , ne durant que quel- ques minutes ou quelques h
remercier ici et de lui attester ma recon- naissance. En voici le cas : Obsluvation LIV. Georges Pallis, âgé de tre
'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 409 de symptôme prodromique, comme dans le cas en question, parait démontrer que la manie tran
cris aux malades, est très courte et dans l'immense majorité des cas , ne dépasse pas les vingt-quatre heures. 11.10
au coeur ou au tube digestif. Quant à moi, je n'ai pas observé des cas d'accidents survenant par l'emploi des scaphand
e, et déga- gées de toute complication, auxquelles se rangent les cas d'une pureté et d'une simplicité remar- quables
emar- quables, il ne nous est certes pas difficile d'analyser les cas complexes, composés, les cas dont la sympto- ma
st certes pas difficile d'analyser les cas complexes, composés, les cas dont la sympto- matologie est composée par des
où tout rentre dans l'ordre. Nous croyons inutile de multiplier les cas de ce genre. Cela serait abuser outre mesure et
ofit de l'attention de notre lecteur. Il suffit de savoir que les cas complexes sont composés par des symptômes diver
ine. On a pu remarquer parmi les observations rapportées déjà des cas de ce genre Eschares sacrées à formation rapide.
é vainement tous les moyens pour le sauver ; pas d'es- chares. Le cas échéant, soit que ces troubles trophiques et ur
s la DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 429 majorité des cas , rarement restent stationnaires pour ainsi dire
incomplète, parce qu'il ne m'a jamais été donné d'ob- server des cas de ce genre. La mort survient si promptement qu
mes devanciers, semblent démontrer que dans l'immense majorité des cas la, mort arrive par le syndrome d'apoplexie par
pper les éléments des plaques motrices de certaines régions dans un cas rapporté par M. Yulpian où les centres excito-m
nt des symptômes caractéristiques. Le quatrième groupe comprend les cas qui ne se rapportent pas aux affections précéde
troubles SERVICE OPHTHALMOLOGIQUE. 437 oculaires permanents. Les cas d'amblyopie transitoire ou mi- graine ophthalmi
s, mais qui ne constituent pas des paralysies proprement dites; ces cas sont considérés, à la Salpêtrière, comme négati
, dans ces der- nières années, s'est particulièrement occupé de ces cas . Même en tenant compte de ces circonstances, ce
tteste la fréquence relative de cette maladie chez 1'.homme. Dans 9 cas , l'hystérie était associée à une autre affectio
TIQUE. SERVICE OPIITIIALNIOLOGIQUE. Il Il li Nous trouvons quatre cas où les mouvements des globes oculaires sont int
cas où les mouvements des globes oculaires sont intéressés. Dans le cas n° 65, il s'agit d'une paralysie de la divergen
es les directions du regard. Il est difficile de déterminer, dansle cas actuel, si le défaut de divergence tient à de l
s deux yeux pour la direction du regard à gauche ou à droite. Les cas de ce genre ne doivent point être confondus avec
rès incomplet. Nous attirons particulièrement l'attention sur les cas où l'hystérie se trouve associée à une autre af
té l'écriture manuscrite que l'impression typogra- phique. Dans les cas de ce genre, l'hémiopie parait toujours siéger
, il n'y avait pas d'aphasie ni de cécité verbale. Le n° 136 est un cas intéressant d'ophthalmoplégie externe congénita
eur Popoff a démontré que l'arsenic, le plomb, le mercure, dans les cas d'intoxication aiguë, provoquent dans cet organ
s périphériques dans la phtisie, D'après le D'' Japp, dans tous les cas de de phtisie, il existe des lésions des nerfs
re ne peut pas se localiser. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 467 Un cas de paralysie ascendante aiguë ( ? ). De l'observa
remarque par place des hémorragies capillaires. Dans la plupart des cas , le protoplasma des cellules devient homogène,
. La capsule des cellules est in- filtrée, épaissie. Dans plusieurs cas d'endocardite ulcéreuse, d'hypertrophie cardiaq
sky, à Saint-Pé- tersbourg, une série de cerveaux d'idiots. Dans un cas , parti- ticulièrement intéressant, toute la sur
tsky, agrégé à Saint-Pé- tersbourg, des préparations provenant d'un cas de maladie de 't'eat. Outre la dégénérescence d
ns l'hôpital du Saint-Esprit, de cette ville, nous avons observé un cas d'héz>zi-chorée post-hémiplégique avec dimziru
sans difficulté ; elle écrivait couramment. Je citerai encore : un cas de maladie de Friedreich et un autre de gliome
t analgésiées). A l'hôpital militaire de Varsovie, nous avons vu un cas de tabès dorsalis compliqué de paralysie généra
ierjiewsky, à Saint-Pétersbourg, le D'' Blumenau nous a présenté un cas de Maladie de Tliomsez *, et nous a communiqué
- tersbourg. Nous y avons vu, pour la première fois en Russie, un cas de paralysie pseudo-hypertrophique vraie chez un
était atteint d'une ophtalmoplégie externe. Je citerai encore un cas de mélano-myélite (coloration bron- zée des tég
d'années et avait fait plusieurs campagnes. Il me reste à citer un cas de transformation de la perception auditive en
sur le syslème nerveux. Le Médecin, n° 47, 1887. Biachkoff. Deux cas d'anomalie de la scissure de Rolaudo. Journal d
s autopsie). Tourn. de Jiiei,jielvsky, Go an., fasc. I, 1 888. Un cas de paramyoclonus multiplex. Le Médecin, n° 3, 1
ique. Arclt. de de Kov(ilewsky, t. XII, n° 1, 1888. Boutakoff. Un cas d'atrophie musculaire non progressive. Jourta.
lliei-jiews4-y, 5° an.,fase. Il, 1888. Chatatoff et Niikiforoff. Un cas d'angio-sarcome de la pie-mère (avecautopsie).-
opsie).-Journ. dellierjiewsl : y,4°an.,fasc.lli88ï. Cioug)iusky. Un cas de paraplégie urinaire. Recueil clinique du pro
ilatateur de la pupille. Le Médecin, ' n" 30, 1880. Fursteter. Un cas de guérison de contracture de trois membres che
de 12 ans par la suggestion. Le Médecin, n° 2, 1887. Gowseeff. Un cas de chorée chronique progressive de Charcot, (sa
ce de l'usage du tabac. Le Médecin, n° 3, 1887. 0 Greydenberg. Un cas d'hystérie chez l'homme (soldat). Le dlédeciti,
s d'hystérie chez l'homme (soldat). Le dlédeciti, n° 44, 9887. Un cas de paralysie spinale périodique. Le Médecin, no
ultiple parenchymateuse cliroui- que. Saint-Pétersbourg, 1888. Un cas de tumeur du cervelet (avec autopsie). Clinique
ague. Thèse inaugurale, Saint-Pétersbourg, 1888. Mandelbaum. - Un cas de rbinosclérome. - Le Médecin, n° 38, 1886. '
s de la moelle épinière. Saint-Pétersbourg, 1883. Pauomareft'. Un cas de localisation anormale du cerveau (para- lysi
s les maladies iulerl nés. Le Médecin, n° 40, 1886, Pcrkowsky. Un cas de régénération du nerf radial déchiré par une
hiré par une arme à feu. Le Médecin, n° 29, 1887. l'l;ctonoff. Un cas d'hémiplégie avec troubles intellectuels occa-
s occa- sionnés par des cysticerques. Revue de Médecine, 1886. Un cas de paralysie ascendanle aiguë de,Landry (sans au-
aladies infectieuses. Thèse inaugurale, Varsovie, 1886. Ruppert. Un cas d'hémorrhagie médullaire (avec autopsie). Recue
rveux. Le Jléde- ctzz, nO5 5, G, 7, 8 et 9, 1887. Tcherbinine. Un cas d'hémi-télanie droite.- Archives de Nova- levsl
.- Archives de Nova- levslry, t. IX, n° 3, 1887. Tchoudnowsky. Un cas d'hydro-méningocele cérébral congé- nital. Le M
itaire. Thèse inaugurale, Saint-Pétersbourg, 1888. Volkowitch. Un cas de rhinosclérome. Le Médecin, u° 47, 1886. We
édecine mentale de Belgique (1888), M. le D'' G. CousoT a publié un cas très intéressant d'idiotie avec cachexie pachyd
e cils; les paupières supérieures sont très gonflées, comme dans un cas d'anasarque très prononcé ; les yeux ne se déco
thyroïde'. 1 M. Régis a publié dans l'Encéphale (1888, p. G97), un cas de creli- nisnie sporadique, qu'il rapproche de
8, p. G97), un cas de creli- nisnie sporadique, qu'il rapproche des cas de Iiiltoii Pagge, Flecliter Beach, etc., cas d
, qu'il rapproche des cas de Iiiltoii Pagge, Flecliter Beach, etc., cas dont x aucun auteur français n'aurait encore pa
cerne l'évolution hallucinatoire et délirante. Se basant sur trois cas intéressants de cocaïnisme chronique, dont il dét
lusions de M. Saury les phé- nomènes qu'il a déjà observés dans des cas analogues. M. Séglas. Plusieurs auteurs et entr
lle eut en outre une monoplégie brachiale. M. Briand a publié des cas analogues qui ne sont pas rares. Il demande si
x. Il pense que les centres tactiles sont bilatéraux. Dans certains cas d'hémi- plégie, l'hémisphère normal-peut compen
ent constaté l'aura sensitif dans l'épilepsie jacksonienne dans des cas de tumeurs cérébrales ou d'autres lésions corti
Une dysestésie spéciale précède souvent les spasmes. Il décrit des cas de tumeurs sous- corticales opérées, ayant donn
us- corticales opérées, ayant donné les mêmes signes que dans les cas du Dr Dana. Deuxième jour. 19 septembre. M. l
sée, du mouvement, ni d'imbécillité. M. le Dr C.-K. Mills relate un cas semblable où la face était prise. Le malade mou
faire l'autopsie. AI. le Dr PUT-,4.&M pense que ce sont là des cas de transition vers le myxoedéme. M. le Dr G.-
OCIÉTÉS SAVANTES. 191 1 le D1' James H. Lloyd et JoaxB. DEAYEK : Un cas d'épilepsie en foyer traitée avec succès par la
D'' Fermer (de Londres) a eu le plus souvent des insuccès dans des cas semblables. Le cas du Dr Lloyd est intéressant au
dres) a eu le plus souvent des insuccès dans des cas semblables. Le cas du Dr Lloyd est intéressant au point de vue de
on physiologique. M. le Dr VICTOR HonsLEY (de Londres) mentionne un cas où l'épilepsie s'est reproduite deux ans après
ison et retour de l'équilibre intellectuel. Il faut opérer dans ces cas le plus tût possible. La cocaïne est très utile d
antiseptique pendant l'opération. M. le Dl MtLus ajoute que dans le cas opéré par \I11. Llowd et Deaver, il n'y avait p
e la sensibilité après l'opération. M. le Dr Séguin dit que dans le cas opéré par lui et le D'' Weir, l'épilepsie a réa
WALLON (de Boston). Fracture des vertèbres cer- vicales. Dans deux cas , il y a eu guérison spontanée. M. le Dr L.-C. G
deux cas, il y a eu guérison spontanée. M. le Dr L.-C. Gray cite le cas d'un enfant qui s'est fracturé la 2c vertèbre c
tition. Il est actuellement en bon état. M. le 1)' Welber cite un cas de fracture de la colonne cervicale qui a guéri
parésie des membres supérieurs. AL le 1)' Putnam pense que dans un cas du D'' \1'alton, l'atrophie peut être expliquée
agie au niveau de l'origine d'un nerf. M. le Dr Bannister cite un cas avec atrophie du bras et de la langue due à de
giques chez les enfants. M. le Dr J.-H. LLYOD (de Philadelphie). Un cas de tumeur de la moelle cervicale. M. le D1' W
rfois sous l'influence d'un choc moral ou traumatique, dans d'autre cas s'éveillent par contagion ; à la vue d'un homme
einte individuelle à la réaction affective par un organisme dans un cas ' Voyez Archives de Neurologie, 1884, t. VIII,
Bs ICNAPP. (Boston, Cupples et Hurd, édit.) L'auteur rapporte trois cas d'hémiplégie enfantile avec contrac- ture, qui
(Boston, 1888. Cupples et Hurd, édit.) Cette étude comprend douze cas de ces troubles ; l'auteur émet des doutes sur
hydermique ( idiotie avec), par Camuset, 85 ; ré- flexions sur le cas précédent', par Bourneville, 90 : nouveau cas,
ré- flexions sur le cas précédent', par Bourneville, 90 : nouveau cas , par Cousot, 479. Cellules nerveuses (altérat
. Médico-légaux (quelques faits), par Mabille, 1. Mémoire (deux cas d'affaiblissement de la), par Freund, 309. Mo
291. Paralysie infantile (altérations des centres nerveux dans un cas de), par Wallenberg, 110. Paralysie progressi
itiales des -, par Mueller, 305. Rage (examen histologique d'un cas de) par Schaefer, 109. Revue critique, par Babi
18 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
Note sur l'état des muscles et des nerfs du voile du palais dans un cas d'angine diphthéritique1. Les études d'ailleurs
esquels on a, dans les relevés statistiques, un assez grand nombre de cas à inscrire, et nous lâcherons tout à l'heure de f
jours est-il, cependant, que le déve-loppement primitif du typhus, un cas sur la réalité duquel on tombe d'accord. Lesanli-
e traitement. Pendant l'épidémie qui a sévi à Paris, en 1833, sur 228 cas existant à l'Hôtel-Dieu, du 1er au 30 janvier, on
existant à l'Hôtel-Dieu, du 1er au 30 janvier, on n'a noté qu'un seul cas déclaré à l'intérieur ; et, sur les 439 cas relev
r, on n'a noté qu'un seul cas déclaré à l'intérieur ; et, sur les 439 cas relevés en février, dans le même hôpital, il n'en
mme, en temps ordinaire, car il faut bien faire des réserves pour les cas insolites d'une grande épidémie, le principe sp
s-que la fièvre typhoïde se développe par contagion, l'apparition des cas est successive, elle suit l'ordre des rapports in
évères, lui reconnaître une origine contagieuse ; pour expli-quer ces cas -là, il faut bien, de toute nécessité, invoquer so
stilentiel le plus meurtrier. — On sait que la plus grande partie des cas de fièvre typhoïde observés à Paris, dans les hôp
peu éloignée du terme de la maladie pri-mitive, qu'on a vu, en pareil cas , reparaître tout le cortège des symptômes caracté
dicale, Paris, 1845, p. 23). DIAGNOSTIC. a. Sans doute il est des cas , et c'est heureusement le plus grand nombre, où l
certaines époques de certaines épidémies; d'autant mieux qu'en pareil cas , des symptômes typhoïdes bien dessinés peuvent su
(Leudet, Archiv, génér. de méd., 1853, t. I, lrc série, p. 157). — En cas de tuberculisa-fion générale aiguë, lorsque la ma
rême, ou, au contraire, par la ma-lignité singulière delà plupart des cas ; c'est là un fait qu'il ne faut jamais perdre de
le choix des moyens de traitement. Rappelons, enfin, qu'il est des cas d'une bénignité extrême et qui n'exigent guère au
enfants, on peut, d'après les mêmes indications, particulièrement en cas de douleur abdominale vive, de délire bruyant, ap
quel-ques sangsues surle ventre ou derrière les oreilles, suivant le cas (de 4 à 6 pour les enfants âgés de moins de cinq
saignées coup sur coup, formule qu'il modifie suivant la gravité des cas , la force des sujets, et qui ne peut être mise en
qui ne peut être mise en œuvre qu'au début de la maladie et dans les cas où les phénomènes typhoïdes ne prédominent pas su
ement moins utile. Les vomitifs et les purgatifs formeront, en pareil cas , au moins dans les premiers temps de la maladie,
ps de la maladie, la base de la médication. C. Dans la majorité des cas , les symptômes d'adynamie com-mencent à se pronon
ègles de l'administration de ces médicaments. Nous distinguerons deux cas . — Premier cas: La prostration des forces est por
nistration de ces médicaments. Nous distinguerons deux cas. — Premier cas : La prostration des forces est portée à un degré
he nature and treatment of fever. Dublin, 1853, lect. VI). — Deuxième cas : l'adynamie est encore très prononcée ; elle s'ac
plus spécialement le quinquina, sont encore très utiles même dans ce cas -là. (Voyez : Chomel, ouvr. cité, obs. 44 et 51 ;
com-promettre la médication. Il existe, d'ailleurs, entre les deux cas extrêmes que nous avons pris pour exemples, de no
lfate de quinine (à la dose de 15 à 20 décigrammes par jour, dans les cas de gravité médiocre, de 3 à 4 grammes dans les ca
par jour, dans les cas de gravité médiocre, de 3 à 4 grammes dans les cas graves), Charcot. Œuvres complètes, t. viii, Ma
pas durer plus de huit ou dix jours ; il paraît convenir surtout aux cas de fièvre intense avec céphalalgie vive, délire,
profond. Ce médicament est donc une ressource bien précieuse dans ce cas difficile, où la saignée n'étant plus indiquée, l
x (5 à 10 centigrammes d'extrait thébaï-que, ou même plus, suivant le cas ). On peut fort bien l'admi-nistrer en même temps
ires ; s'assurer que le malade a uriné ; pratiquer le cathétérisme en cas de besoin (126. I). Rien de plus difficile que de
l'époque ou il convient de donner les aliments (126. F.). Il est des cas où il faut les accorder à une époque peu avancée
ent employée, à l'exclusion des émissions san-guines, contre tous les cas de fièvre typhoïde ; ce qui, comme on le voit, co
ppris à distin-guer à des signes certains, ou du moins probables, les cas dans lesquels les purgatifs conviennent d'avec ce
à l'affection locale deutéropathique, doivent, dans la ma-jorité des cas , ne venir qu'en deuxième ligne ; quelques-unes d'
lle, au plus vite, pratiquer le tamponnement des fosses nasales. — En cas d'hémorragie intestinale : eau de Rabel en potion
oyens échouent devant ce fâcheux épiphénomène. Faudrait-il, en pareil cas , suivant le conseil du docteur Corrigan (loc. cit
ns pas-sives. Mêmes indications à remplir dans l'immense majorité des cas , s'il y a splônisation du poumon, pneumonie. La s
le ou locale, la stibiation ne pourraient être indiquées que dans les cas extrêmement rares où une bron-chite intense, une
bre, extrait de la Gazette hebdo-madaire, 1859, p. 465. beaucoup de cas ont appelé — trop souvent sans succès — les resso
rses formes observées et leurs proportions respectives. Dans les cinq cas survenus en cours de fièvre typhoïde, le point de
embraneuse de l'arrière-bouche et du larynx, et, pour les deux autres cas , une inflammation gangreneuse du larynx et une tu
euse du larynx et une tumeur purulente de la gorge. Dans les dix-huit cas survenus pendant la convalescence de la fièvre ty
p. 160). M. Emmet a rencontré 30 fois Y œdème de la glotte sur 1.931 cas de typhus; 23 fois il a été constaté que cet œd
tions du larynx. Malheureusement l'auteur englobe dans son calcul les cas de typhus fever et ceux de fièvre typhoïde. (On œ
e larynx est quelquefois douloureux à la pression. Mais à côté de ces cas où l'affection peut rester et reste en effet souv
de l'affection est en général très rapide. Sestier a recueilli douze cas , dans lesquels l'œdème de la glotte était venu co
principalement sur la muqueuse intestinale. Ce sont probablement des cas de ce genre qu'a observés M. Oulmont, à l'hôpital
fièvre typhoïde. Ainsi que nous l'avons dit en commençant, dans des cas où ces diverses affections ont déterminé la suffo
a trachéotomie. Nous ne possédons pas la statistique com-plète de ces cas ; mais nous en avons rassemblé un certain nombre,
es rangeons sous les noms des auteurs qui les ont publiés. Demme: 1 cas . Vaste ulcération laryngée; périchondrite très ét
ent très marqué de la trachée. Mort pendant l'opération. Textor : 3 cas . Deux fois la trachée ne fut pas ouverte. Les t
trachée ne fut pas ouverte. Les trois sujets sont morts. Hein : 1 cas . Croup bronchique général. Mort. Oppolzer : 1 c
morts. Hein : 1 cas. Croup bronchique général. Mort. Oppolzer : 1 cas . Œdème de la glotte. Mort de pneumo-nie quatorze
uatorze jours après l'opération. Ebhart et Braun (de Wiesbaden) : 2 cas (il s'agissait proba-blement d'oedème de la glott
la glotte survenu pendant la convales cence). — Guérison. Disntl: 1 cas . Pneumonie à la suite de l'opération. — Gué-rison
rison. (La canule ne fut retirée que quatre mois après.) Sestier: 3 cas de laryngite nécrosique. — 3 décès. Emmet : o c
ès.) Sestier: 3 cas de laryngite nécrosique. — 3 décès. Emmet : o cas survenus pendant la convalescence. -4 guérisons e
o cas survenus pendant la convalescence. -4 guérisons et 1 décès. 2 cas dans le cours du typhus. — 2 décès. Il suit de
mbinaisons variées. On peut, à la rigueur, en faisant abstraction des cas de transition, par-venir à tracer des tableaux où
ande), pendant le règne de certaines épidé-mies, nous rencontrons des cas qui se rapportent par tous leurs caractères au ty
s leurs caractères au typhus, et cependant, dans un certain nombre de cas , on trouve l'ulcé-ration des follicules de l'inte
l'ulcé-ration des follicules de l'intestin, tandis que, dans d'autres cas , de la même espèce, ces lésions manquent complète
alors même qu'elle conduirait sûre-ment, ce qui n'est pas touioursle cas , à distinguer le typhus fever delà fièvre typhoïd
ère période, avant même que l'éruption se soit manifestée. Lorsque le cas est aussi grave, à la suite du frisson initial, p
change parfois en un coma profond, ou, au contraire (mais ce dernier cas est beaucoup plus rare), le sub-delirium fait pla
re typhoïde, jamais il n'a vu survenir ce grave épiphénomène dans les cas de typhus fever. g. Les vaisseaux de la conjonc
du corps qu'elles sont les plus con-fluentes. Il est, par contre, des cas où elles sont en très petit nombre, il en est mêm
ériode. En temps or-dinaire, la durée moyenne de la maladie, dans les cas où elle se termine par la mort, est, suivant le d
arrive souvent alors, con-trairement à ce que nous avons vu dans les cas à marche ra-pide, que la convalescence traîne en
es (Stokes) affirment, au con-traire, qu'on rencontre quelquefois des cas où tous les symp-tômes se rapportent à cette mala
araît être ici plus hâtive et disparaît plus rapide-ment que dans les cas de fièvre typhoïde (Jenner). La peau du tronc et
ges ; on l'observe fréquemment chez les vieillards. Dans le tiers des cas de typhus fever, qui servent de base au doc-leur
de la fièvre typhoïde. M. Stokes dit avoir rencontré fréquemment des cas du même genre. Suivant le docteur Stokes, la même
ns. Pendant l'épidé-mie de 1846-47, elles ont été rencontrées dans 19 cas sur63, par le docteur Bennet (Monthly Journal of
ence. Edinburg, 1848, t. VIII, p. 295). A Londres, la pro-portion des cas où l'autopsie démontre l'existence des lésions de
et des glandes mésentériques manquaient dans la grande ma-jorité des cas . La rate était habituellement volumineuse et ra-m
es, Corrigan), administraient les toniques et les excitants, dans les cas de typhus fever. Les saignées locales (sangsues d
tion de la fièvre récurrente fondée sur la comparaison de plus de 700 cas 2, et conforme, d'ailleurs, à celle que le profes
. — M. Yworling, médecin du gouvernement à Perm, assure qu'il a vu 40 cas de la maladie épidémique qu'il rapproche d'une af
en 1857 et 1858. En Pologne, l'épidémie se serait bornée à quel-ques cas de typhus à Kolo. Nulle part on n'a observé la pe
chutes se produire une seconde et même une troisième fois. Dans les cas les plus graves, la mort peut avoir lieu dans le
inaison fatale. Les convul-sions n'ont été observées que dans un seul cas . Telle est la forme simple de la fièvre à rechu
t le tableau symptomatique de l'ictère grave. Le pronostic, en pareil cas , est des plus sérieux, mais il ne faut encore dés
ritants, et surtout des affusions froides, la gué-rison survenir. Les cas les plus graves sont ceux dans lesquels le malade
lentement, progressivement, par lysis, et cela n'a lieu que dans les cas où il existe quelque complication. Parmi les sy
ce et renferment d'abondantes granulations graisseuses. Dans certains cas , sui-vant le docteur Herrmann, on trouve, en outr
intense, avec accompagnement d'hémorragies ca-pillaires dans certains cas ; dans l'intestin grêle, la membrane muqueuse est
ladie. Suivant le professeur Botkin, il ne se serait présenté aucun cas de typhus ou de fièvre typhoïde dans le service d
e concomitante, presque obligatoire, du typhus exanlhématique dans un cas , son absence dans l'autre cas, — si toutefois ell
toire, du typhus exanlhématique dans un cas, son absence dans l'autre cas , — si toutefois elle est bien éta-blie, — pourrai
eviennent plus fré-quents ; quelquefois même, mais seulement dans les cas les plus graves, en même temps qu'il s'opère des
che et aboutir en défini-tive à une guérison complète ; mais c'est le cas le plus rare, et en général, (19 fois sur 20) de
re 1864, janvier, février et mars de la présente année, le nombre des cas de fièvre récurrente l'a emporté de beaucoup sur
es cas de fièvre récurrente l'a emporté de beaucoup sur le nombre des cas de typhus. Aujourd'hui, un rapport inverse semble
of Great Britain, London, 1862, p. 299), « la proportion relative des cas de typhus et de fièvre » à rechute a varié suivan
ps et suivant les lieux; » mais, en règle générale, la proportion des cas de fièvre à » rechute s'est toujours montrée plus
montrer pour la pre-mière fois à Saint-Pétersbourg, et le nombre des cas constatés l'a emporté sur celui des fièvres typho
paravant en Russie, soit dans la capitale, soit ailleurs, et, dans ce cas , jusqu'à quel point s'est-elle développée? » Ré
. — Dans l'opinion des meilleures au-torités, est-ce qu'il y a eu des cas dans les hôpitaux de Saint-Pétersbourg, ou ailleu
dans les salles des hôpi-taux; on ne compte jusqu'à présent que deux cas de mort, parmi les médecins atteints et quelques
présent que deux cas de mort, parmi les médecins atteints et quelques cas parmi les infirmiers et gardes-malades. » C'est
te qui se montra, vers la fin du mois d'août dernier, par cinq ou six cas constatés par jour, s'est pro-gressivement dévelo
nt développée ; dès le mois de novembre suivant, on comptait déjà 500 cas de maladie observés dans les hôpi-taux civils ; v
tait 450 réceptions dans les hôpitaux civils; et si l'on comprend les cas de typhus ordinaires et d'au-tres maladies aiguës
cile. » Aujourd'hui, pendant cette dernière semaine, le nombre de cas de fièvre récurrente a sensiblement diminué, et l
mal. » On n'a pas encore trouvé un traitement qui convînt à cha-que cas ; le médecin portant son attention sur la fièvre e
n aussi subite qu'importante que l'on constate au-jourd'hui, dans les cas de maladie. » Cinquième question. — Quelle a ét
s le chiffre approximatif de 500.000 habitants, d'après le nombre des cas par jour relatés plus haut, nous avons pour le ma
maximum, pendant quelques semaines seulement du mois de février, 300 cas par jour, fiè-vre récurrente, typhus et autres ma
our 400. » Sixième question. — Quelle a été la proportion entre les cas de maladie et celui des morts? » Réponse. — Ce
la fièvre récurrente que l'on doit attribuer le plus grand nombre de cas de mort, mais au typhus pétéchial et à la fièvre
sans agonie, ou encore au milieu des convulsions. i. Dans certains cas , l'intoxication se révèle au médecin, uniquement
e deuxième pé-riode où va se décider le sort du malade. 6. Dans les cas les plus heureux, l'éruption des bubons est le si
ent ou y. D'autres fois, contrairement à ce qui avait lieu dans les cas précédents (S.), l'éruption des bubons et des cha
umi-neux aient déterminé la formation de larges escharres. En pa-reil cas , il se développe habituellement une sorte de fièv
ubons sont en pleine suppuration (Chi-coyneau, Chenot, Clot-Bey). Ces cas d'une bénignité extrême s'observent principalemen
rer plus pleinement encore, une sorte de période prodromique o. Ces cas rares, auxquels nous faisions allusion plus haut,
lquefois inaperçue. Ne se pourrait-il pas faire, d'ail-leurs, que ces cas exceptionnels fussent à la peste ce qu'esta la va
pparition des phé-nomènes généraux. Ces charbons, qui sont, en pareil cas , le premier indice de la maladie, peuvent naître,
e cou ; la fièvre paraît seule- (53, E.) pendant laquelle, dans les cas très graves, la mort peut survenir avant la produ
e de cette fièvre prodromique qui paraît ne faire défaut que dans des cas infiniment rares, la peste doit donc être reconnu
de la peste, et ne s'agirait-il pas simplement d'un certain nombre de cas de pustule maligne observés pendant le cours d'un
du poing (de Mertens). Quelquefois indolents, ils sont dans certains cas , le siège de douleurs très vives ; le plus ha-bit
la peste, ceux-là peuvent faire défaut à peu près dans la moitié des cas , au moins dans certaines épidémies (Lachèze, Clot
lus centrale ne tarde pas à être frappée de gangrène. Enfin, dans les cas heureux, la suppuration s'établit, l'escharre s'é
, 1.1.) Y- Les pctéchies ne se montrent, en général, que dans les cas de peste les plus graves ; leur apparition coïnci
s ou pernicieuses), auxquelles on est tenté de rattacher les premiers cas de peste. Ceux-ci ne se présentent pas encore ave
ac-téristiques ; les bubons et les charbons se montrent rarement; les cas foudroyants dominent. Cependant, les médecins bie
limitrophe. On trouve, en outre, à l'ouverture des cadavres, dans les cas où la nature de la maladie est restée douteuse, l
ble, car, devenue maladie dominante, la peste se montrera dans chaque cas , ou peu s'en faut, avec aux altérations que sub
parfois sanglantes : tels sont les symptômes qui dominent en pareils cas . — D'autres fois, la maladie affecte une marche m
pouls large et résistant: l'anxiété est moins pro-noncée que dans le cas précédent. Des bubons apparaissent à l'aine, dans
nguinolente. Toutes ces lésions sont plus prononcées encore, dans les cas où la maladie a marché moins rapidement. (Delafon
phes, c'est toujours chose fort difficile que de prévoir l'issue d'un cas donné de peste. — Parmi les signes d'heureux augu
énérale, suivant les périodes d'une même épidémie. Au début, tous les cas sont graves; vers le milieu, beaucoup de malades
arviendrait, de la môme manière, à distinguer la pus-tule maligne des cas où la peste se traduit uniquement d'abord, ainsi
s son développement progressif, et de faire voir que l'apparition des cas s'opère dans l'ordre des rapports intimes des ind
s étaient le théâtre de l'épidémie pestilentielle. On a vu, en pareil cas , la maladie éclater à bord, quelques jours après
lle finit ordinai-rement en décembre (Brayer). A Smyrne, les premiers cas se montrent en octobre ou en novembre, et le 15 a
e docteur Pruner, les réci-dives n'ont lieu, en général, que dans les cas où, lors de la première attaque, il n'y a eu ni é
tes d'une époque ultérieure, s'observaient alors dans la majorité des cas . Les malades périssaient très rapidement. (Guy de
, dont les travaux ont été publiés a Paris, en 1852, établit qu'aucun cas de peste n'a été observé à Consîanti-nople, depui
sement observé qu'on le suppose, ne saurait être considéré, en pareil cas , que comme un moyen prophylactique d'une importan
à tour, ne sau" raient par conséquent être mises en œuvre dans chaque cas indistinctement, à toutes les périodes de la mala
Sa Majesté, Londres, 1851. — Dutroulau, Fièvre jaime, sa spécificité, cas sporadiques (Archiv. gén. de méd., 5e série, 1853
ate, en elfet, assez souvent à l'impro-viste, principalement dans les cas graves. B. Première période. — L'invasion se fa
mer et d'une saveur très amère. Quelquefois, princi-palement dans les cas légers, c'est de la bile qui est ainsi rendue. Ce
axis, de ménorrhagie, d'hématurie, d'hémoptysie même, mais ce dernier cas est assez rare. Les gencives, h membrane muqueuse
des mains et de la langue, ont été observés dans un certain nombre de cas . — C'est du cinquième au septième jour qu'a lieu,
te à la fin de la première période ou au milieu delà seconde; dans le cas contraire, il se peut faire qu'elle traîne en lon
re filiforme à peine perceptible ou encore tout à fait nul. En pareil cas , la peau froide comme du marbre et recouverte d'u
es-tive, la mort survient nécessairement dans un bref délai. Dans les cas heureux, il s'opère une réaction salutaire et la
épidémique, comme aussi dans la peste (p. 95), et dans le typhus des cas d'une bénignité extrême qui réclament à peine les
e caractère qui lui est commun avec ces maladies pestilentielles, des cas où l'atteinte profonde de l'organisme ne se révèl
ion pittoresque, mais à peu près intraduisible dans notre langue, ces cas insidieux, et dans lesquels on voit des gens frap
ans la cachexie paludéenne que la maladie éclate. Mais, dans tous les cas , il est facile de faire la part des deux maladies
n du foie qui vient d'être décrite était des plus tranchées, dans les cas où la mort était survenue après trois jours et qu
, elle existe constamment, au moins à un certain degré, dans tous les cas où il y a eu jaunisse, ou si, au contraire, elle
l y a eu jaunisse, ou si, au contraire, elle manque toujours dans les cas où celle-ci ne s'est pas présentée. Quelle est la
une vingtaine de fois) soumis à l'examen microscopique. Dans tous ces cas , sans exception, on a trouvé les caractères de l'
icaloires (La Roche). C'est, très vraisemblablement, surtout dans les cas où la teinte jaune est franche et uniformément ré
, présente quelquefois un caillot aussi nettement séparé que dans les cas de pneumonie (La Roche). Mais cela est rare ; le
ent. — Le sérum offre souvent une teinte jaune très marquée, dans les cas où l'ictère ne s'est pas encore manifesté ; trait
les circon-stances sont favorables à ce mode de transmission, dans le cas ,par exemple, où les individus sains se trouvent l
rs jours de la maladie, et il s'y montre, dans la grande majorité des cas , sous le type continu. \\ caractérise, au contrai
eviennent plus fréquents ; quelque-fois même, mais seulement dans les cas les plus graves, en même temps qu'il s'opère des
stic. Il en est de la fièvre jaune comme de la peste; dans certains cas , c'est une affection très bénigne et qui peut êtr
ne comme étant toujours fâcheuse, en ce que le plus souvent, dans les cas isolés, endémiques ou sporadiques, elle donne, au
ica-tions rationnelles varient singulièrement suivant l'intensité des cas , la prédominance de certains symptômes, la forme
ngestive. L'opium, le camphre, le musc, trouvent leur emploi dans les cas où les accidents nerveux se décla-rent. Lorsque l
T. I " novembre 2.ï octobre 30 octobre 9 novembre SUITE DES CAS TERMINÉS PAR LA MOUT. N° 5 N° 6 n1 7 AGE
re kHAitcoT. Œuvres complètes, t. viii, Maladies infectieuses. 11 CAS TERMINÉS PAR LA GUÉRISON. N° 8 N» 9 N° 10
, pour type de l'état physiologique, on remarquera que, dans tous les cas , sauf un seul, le septième et dans toutes les exp
dait pas au-dessous du taux normal. Le chiffre 36° 2, observé dans le cas exceptionnel N° 7, est un chiffre minimum qui peu
se cholériques étaient le plus prononcés. Il est bon de noter que les cas dont il s'agit étaient des plus graves, et se son
était chaude. Le chiffre maximum a été 39°, 6 (obs. 9, et, dans ce cas , la maladie s'est terminée par la gué-rison), le
est terminée par la gué-rison), le chiffre minimum 37°, 6. Dans les cas 5, 6, 8, la température de l'aisselle et celle du
ses comparativement. Celle-ci a été de 37°, 37°, 8 (casN° 5), 37°, 8 ( cas N° 6), 37°, 6 (cas N° 8), tandis que les chiffres
. Celle-ci a été de 37°, 37°, 8 (casN° 5), 37°, 8 (cas N° 6), 37°, 6 ( cas N° 8), tandis que les chiffres correspondants fou
par l'examen du rectum étaient 38°, 6, 38°, 8 (différence d'un degré, cas N° 5), 36°, 2 (différence de plus d'un degré, cas
férence d'un degré, cas N° 5), 36°, 2 (différence de plus d'un degré, cas N° 6), 33°, 8 (différence de près de 2 degrés, ca
e plus d'un degré, cas N° 6), 33°, 8 (différence de près de 2 degrés, cas N° 8). Il résulte de tout cela que la thermomél
ontiennent presque toujours des naïvetés qui prêteraient à rire si le cas n'était pas aussi sérieux. Il faut d'ailleurs ten
nt externe. AFFECTIONS DU TÉGUMENT EXTERNE i. Note sur quelques cas d'affections de la peau, dépendant d'une influenc
e la face, sous forme de tic douloureux, etc. J'ignore si, dans notre cas , on pourrait proposer une explication analogue po
bservées tant dans le membre droit que dans le gauche. Il faudrait un cas analogue à celui-ci pour le compléter. On ne pe
musculaire progres-sive pure et simple. L'anesthésie est, dans notre cas , un phé-nomène prédominant, ce qui n'a pas lieu,
à celle décrite dans l'observation précédente a été signalée dans des cas où l'affection doulou-reuse d'un nerf avait pris
f, montre qu'il y a des différences très considérables entre ces deux cas . Il en est de même à l'égard des centres nerveux.
ot. Œuv. compl., t. vin, 2e part., Affections cutanées. 12 les deux cas , l'éruplion cutanée nous paraît devoir être consi
x de la section, on voit qu'ils en diffèrent beaucoup. Ainsi, dans un cas rapporté par M. James Paget, et observé par l'un
ut. (Surgical Patho-logy, etc., by J. Paget, vol. I, p. 43.) Un autre cas , à peu près semblable à celui-là, observé par M.
-là, observé par M. Swan, est rapporté par M. Paget. Ce sont là des cas d'irritation des nerfs, et les chirurgiens qui on
nerfs irrités. Notre ami, le docteur Ch. Rouget, nous a rapporté un cas ayant quelque analogie avec les précédents et ave
ine après une fracture ou une luxation du rachis. Si l'on compare ces cas à ceux dans lesquels, au contraire, les escharres
ées qu'une atrophie, en gé-néral, assez lente à se montrer. Dans deux cas , au contraire, où des exostoses se sont formées à
des faits d'altération de nutrition par action réflexe, et le premier cas de notre ami, M. Charcot, appartient à cette sort
. Charcot, appartient à cette sorte de faits morbides. II. Sur un cas de zona du cou avec altération des nerfs du plexu
u cancer du sein. Ces dépôts secondaires, dont l'existence, en pareil cas , avait été signalée déjà par M. Cazalis, occupent
pent, comme on sait, le plus communément la région lombaire. Dans les cas où ils déterminent le ramollissement et, par suit
r lieu, contrairement à ce qui se voit le plus géné-ralement dans les cas de ce genre, l'altération cancéreuse des vertèbre
qu'a publiée le docteur V. Baeruns-prung. Seulement, dans ce dernier cas , l'affection des nerfs paraît s'être développée s
ns leur trajet à travers les trous de conjugaison. Mais dans les deux cas — et c'est là le fait qu'il importe surtout de me
ammation des ganglions intervertébraux qu'il faut rapporter, dans les cas de zona consécutifs à une affection des nerfs, le
nt les racines posté-rieures entre le ganglion et la moelle. Dans les cas patholo-giques qui nous occupent, l'éruption d'he
que les ganglions des racines postérieures 'soient affectes en pareil cas . Un des faits dont il s'agit a été publié par M.
dont il s'agit a été publié par M. Charcot dans une Note sur quelques cas d'affection de la peau dépendant dune influence d
ravail cité plus haut. Tout ré-cemment, M. G. Gehrardt a signalé deux cas d'éruption vési-culeuse du menton survenue à la s
dmettre que le coma symptomatique se développe de préférence dans les cas où l'af-fection des troncs nerveux consiste en un
névrite ; mais il faut, par contre, reconnaître immédiatement que les cas où une névrite s'accompagne d'une affection de la
ée d'obscurité et appelle de nouvelles études. III. A propos d'un cas de canitie survenue très rapidement. Un corresp
eux, M. le docteur P. Parry, chirurgien-major à Aldershatt, publia le cas suivant, dont il avait noté par écrit les princip
s à la hâte ont, en effet, bientôt mis sous nos yeux plusieurs de ces cas , dont l'authenticité nous semble difficilement co
ch derpath. anat., Halle, 1804. Bd. I, p. 90), ont rapporté chacun un cas de canitie rapide ou presque subite survenue à la
dans son Traité des maladies de la peau (t. III, p. 733), rapporte un cas recueilli par M. Cassan, et relatif à une nommée
, dans l'espace d'une nuit, ses cheveux blanchirent complètement. Les cas de ca-nitie plus ou moins complète, développée da
avec des femmes. On sait aussi qu'il n'est pas rare d'observer des cas de canitie partielle, non plus d'origine émotionn
cheurs et des curieux, 1887, p. 428.) A rapprocher de ces faits les cas de changements périodiques de la che-velure, rela
et The Boston med. and. Surg. Journal, 1884, vol. ex, p. 214), et un Cas extraordinaire d'inca-nescence des cils, publié p
rtir qu'il est difficile ou peut-être même impossible d'expliquer les cas de canitie rapide, au point de vue de la physiolo
1. Extrait de la Gazette hebdomadaire, 1861, p. 445. IV. Sur un cas de sclérodermie '. M. Charcot rappelle que réce
harcot : « Je n'hésite pas un instant, a dit M. Charcot, à faire du cas présent, — le cas de M. Bail, — une sclérodermie,
hésite pas un instant, a dit M. Charcot, à faire du cas présent, — le cas de M. Bail, — une sclérodermie, malgré cette limi
ue, avec atrophie et défor-mations diverses. En un mot, dans tous les cas , la peau finit par devenir trop courte. La mala
e les mains fussent atrophiées et que la face fût indemne. Un nouveau cas , qu'il vient d'observer avec M. le docteur Dufour
M. le docteur Dufour, appuie sa manière de voir, car, dans ce dernier cas , les mains présentaient une altération identique
tait inutile d'invoquer le spasme des capillaires dans ces différents cas . V. Erythème produit par l'action de la lumiè
ans la lumière solaire. VI. Coloration bronzée de la peau dans un cas de phthisie pulmonaire avec albuminurie. — Altéra
reux, souvent irréguliers, et de dimensions très variables. Dans un cas de maladie bronzée où la peau avait été examinée
ait observer, à l'occasion d'une communication de M. Ilayem, sur deux cas de purpura hcmorrhagica, que le purpura est un sy
ue celles indi-quées par M. Hayem peuvent se rencontrer dans certains cas , et à ce propos, on peut citer une observation de
ucocythémie et signalées par MM. Ranvier et Ollivier. Dans ces divers cas , on ne trouve pas, en effet, de véritables foyers
es, t. viii, 2° p. Affections de la peau. 14 2° C'est là le premier cas d'iclilyose cornée que M. Gurlt ait eu l'occasion
aire d'Utrecht (Magazin voor vee-artsenij-kunde s'huck), il existe un cas toutàfait sem-blable. Il en existe, en outre, un
second dans la collection de l'École vétérinaire de la même ville. Le cas de M. Gurlt serait donc le troisième qu'on ait ob
aujourd'hui partie du musée anatomique de l'Université de Berlin. Ce cas d'ichthyose cornée, chez le fœtus humain, n'est d
r les analogies ou les différences qui peuvent exister entre les deux cas . TROISIÈME PARTIE Des kystes hydatiques. DE
ir chez la femme grosse un obstacle à l'accouchement. Dans quelques cas , ces kystes ont pu arriver à la dernière période
ation du petit bassin, chez la femme. Je commencerai l'exposé des cas de kystes hydatiques situés ou développés dans l'
tion de petit bassin chez la femme, par une description anatomique du cas que j'ai eu l'honneur de présenter à la Société d
ns médico-chirurgicales de Londres pour d 817, Park 1 a rassemblé six cas qui lui sont propres de tumeurs développées dans
lsion du fœtus, ou même indiquer des manœu-vres sérieuses.Sur ces six cas , il en est au moins un qui a trait au sujet qui n
obabilité, le même que dans l'observa-tion précédente, à moins que ce cas ne fût analogue à celui qui a été relaté par M. C
e ce cas ne fût analogue à celui qui a été relaté par M. Cruveilhier, cas dans lequel l'ovaire, converti en une poche hydat
ine et de chirurgie pratique et considéré par M. Cruveilhier comme un cas de kyste hydatique d'un des ovaires. Obs. IV. —
de position dans les diverses attitudes impri-mées au malade. Hors ce cas , il est clair que lc}ur histoire symplomatique et
vie, le signe caractéristique de ces tumeurs. J'ai constaté, dans un cas , que les acéphalocystes contenaient des échinocoq
es échinocoques ; on n'a pas recherché ces helminthes dans les autres cas qui ont été publiés. II. Kystes hydatiques déve
rps. N'est-il donc pas naturel de supposer, ajoute-t-il, que, dans le cas actuel, un des kystes de la rate se sera rompu ;
et très probablement si le célèbre chirurgien eût eu connaissance des cas qui vont suivre, il n'eût pas jugé nécessaire de
s une annotation à cette observation, Lodcr assure avoir rencontre un cas tout à fait analogue à celui de Itichter et en co
n tour l'opinion que nous avons déjà plusieurs fois émise,àpropos des cas douteux, à savoir que le tissu cellulaire sous-pé
non-coïncidence de l'ex-ception. Il est encore probable que, dans ce cas , il existait au moins deux kystes hydatiques dans
iques du petit bassin ne sont pas tout à fait rares; en effet, sur 43 cas de kystes hydatiques déve-loppés dans diverses ré
Bulle-tins delà Société anatomique (de 1828 à 1849), on trouve trois cas de kystes hydatifôres extra-péritonéaux du petit
is cas de kystes hydatifôres extra-péritonéaux du petit bas-sin et un cas de kyste hydatique ovarique tombé dans le cul-de-
dans le pa-renchyme du cerveau et dans celui du poumon. Sur les 12 cas qui font le sujet de ce travail, 6 appartiennent
sujet de ce travail, 6 appartiennent à la femme, 5 à l'homme; dans un cas , le sexe n'a pas été noté ; sur les six exemples
, que la loi de coïncidence n'est pas absolue, puisque dans trois des cas que nous avons cités, ou bien la coïncidence n'ex
eau de son col, s'est hypertro-phiée, comme il est de règle en pareil cas . Quand, chez la femme, les kystes hydatiques, o
nt été soumises aux mêmes indications chirurgicales. Dans plusieurs cas , les kystes du petit bassin étaient mul-tiples, e
vait souvent pas rendre. Il est bien en-tendu que nous ne parlons des cas où les tumeurs hydatiques viscérales sont telleme
voilà des phénomènes dont on comprend trop bien l'existence en pareil cas pour que nous y insistions. Charcot. Œuvr. comp
s hydatiques, et les caractères physiques diffèrent peu dans les deux cas ; mais les phénomènes qui accompagnent la déforma
Cependant, tous recommandent l'opération, car, dans la majorité des cas , si la maladie a été abandonnée à elle-même, elle
nt chirurgical deviendra nécessaire. Il sera même sage, dans bien des cas , d'aller au-devant des accidents, comme cela a ét
n a pu être ponctionné avec succès par le vagin dans un bon nombre de cas , à plus forte raison doit-on pouvoir tenter l'opé
effet reconnus par tout le monde. Chez l'homme, le rectum, en pareil cas , est la seule voie ou-verte au chirurgien. Disons
pouvoir la pratiquer, supérieure aune ponction étroite. Cependant, en cas contraire, les injec-tions irritantes sont probab
beaucoup de détails, toutes les circonstances qui se rattachent à ce cas , parce qu'il est rare d'en rencontrer de semblabl
ive souvent, en pa-reille circonstance, que les vues suggérées par un cas isolé, restent sans valeur, parce qu'on manque de
autres organes n'ont présenté aucune altération. III. Note sur un cas de kystes hydatiques multiples L'observation qu
7 centimètres de long ; leur épaisseur est variable et, dans quelques cas , ne dé-passe pas celle d'un crin de cheval. Dan
trée aussi plusieurs fois dans des kystes hydatiques ; mais en pareil cas , à notre connaissance du moins, les hydatides éta
des cristaux d'hématoïdine dans un kyste hyda-tique du foie. Dans ce cas , les cristaux existaient non-seule-ment dehors, m
. de la Soc. de Biol., p. 117,1855.) I] est remarquable que dans le cas dont nous donnons ici la relation, les kystes sit
parfaitement closes, et qu'on est conduit, d'ailleurs, dans bien des cas au moins, à considérer comme ayant préexisté à la
n sont complètement privées ; et l'on ne peut pas toujours, en pareil cas , invoquer, pour se rendre compte d'une telle dif-
ient dépourvues d'échinocoques. L'absence des échinocoques, dans le cas qui nous occupe, s'explique peut-être parla situa
ils n'ont point différé de ceux qu'on observe ordinairement dans des cas semblables; comme dans ces cas, la marche de la p
x qu'on observe ordinairement dans des cas semblables; comme dans ces cas , la marche de la pa-ralysie nous a offert quelque
marche de la pa-ralysie nous a offert quelque chose de spécial. Les cas d'hydatides développées dans les parois du cœur s
pos d'une observation qui lui est propre, dit en avoir re-levé quinze cas dans divers recueils [Arch. fur physiol. Eeil-kun
ts concernent évidem-ment des kystes séreux ou des cysticerques. Neuf cas seule-ment nous paraissent authentiques : dans la
cas seule-ment nous paraissent authentiques : dans la plupart de ces cas , comme dans le nôtre, on n'avait rien observé pen
rgane. QUATRIÈME PARTIE Estomac. — Rate. ESTOMAC. - RATE I. Cas d'ulcères simples de l'estomac suivis de rétrécis
ubercules pulmonaires que l'on rencontre à peu près dans le tiers des cas ; le malade dont nous avons donné l'histoire étai
dis-tendu. Le même fait a été déjà remarqué par l'un de nous dans un cas de dilatation de l'estomac, suite d'un rétrécisse
ère colo- rante de la bile, fait qui s'observe très souvent dans le cas où ce parasite s'est développé dans la cavité sto
lement de choléate de soude ou taurocholate de soude. III. Sur un cas de rétrécissement organique de l'anneau py -loriq
la percussion dans la plus grande partie de son étendue, et, dans ce cas , la palpation fait reconnaître au niveau de la ré
is un état de l'abdomen intermédiaire aux précédents; dans ce dernier cas , l'hypochondre gauche est très sonore, ainsi que
ue, variait de 5 cent. 1/2 à 6 centi-mètres. L'index passait dans ces cas très facilement à travers l'anneau pylorique. A
tion de l'estomac, avec rétrécis-sement du pylore; mais dans tous ces cas , quand il n'existait pas de tumeur cancéreuse, la
atrophiées. On trouve bien encore, dans le mémoire de M. Duplay, des cas d'ampliation de l'estomac dans lesquels la tuniqu
partie de la première portion du duodénum. D'ailleurs, dans tous ces cas d'ampliation d'estomac, avec atrophie des fibres
région pylorique avec la face inférieure du foie. Sans doute, dans le cas qui nous occupe, comme dans VObs. I du mémoire de
nommés ici non organiques, et il en a fait fi-gurer une quinzaine de cas (Ratio Medendi, t. VIT. Paris, 1776, p. 246;. Il
braneuse, comme cela aurait eu lieu pres-que infailliblement, dans le cas où l'épanchement péritonéal aurait remonté à une
s agents thérapeutiques sagement appli-qués. Or, dans l'un et l'autre cas , n'est-ce pas toujours, en somme, l'organisme qui
dans nos climats, elle ne puisse être constatée que dans un nombre de cas relativement assez restreints. Mais ce qui sera l
ions qui sont au-dessus de ses ressources. Le mieux à faire en pareil cas , c'est de ne point nuire, et la médecine expectan
expectation considérée comme méthode de traitement, et quels sont les cas particuliers aux-quels elle est applicable. Mai
marche, d'en supprimer les périodes ? La médecine agissante, dans ces cas -là, n'est donc pas applicable en prin-cipe, mais
rs une terminai-son favorable. Elles guérissent, dans la majorité des cas , par les seules ressources de la nature. — Mais,
urs abouti aune issue funeste (Rage, Morve aiguë). On peut, en pareil cas , administrer les remèdes sur lesquels on aura pu
'expé-rience à les administrer sans retard, hormis, bien entendu, les cas de contre-indications particulières, alors même q
n pour ainsi dire fatale et nécessaire, nous en sommes donc, pour ces cas -là, réduits à l'expectation. Toutefois, s'il est
ment dite, dans le traitement de la pneumonie. On choisit d'abord des cas légers, puis on s'enhardit, et l'on en vint aux c
oisit d'abord des cas légers, puis on s'enhardit, et l'on en vint aux cas plus graves. Des statistiques assez imposantes on
56) tire d'un ouvrage de M. Copeman la statisti-que suivante: sur 155 cas d'apoplexie cérébrale, 129 ont été traités par la
copieusement, et il y eut 28 guérisons et 57 morts, ou 2 morts sur 3 cas . Il convient seulement de re-marquer que très pro
nt la médecine expectante n'a pas été rigou-reusement suivie dans les cas où la saignée n'a pas été employée, et l'on doit
quelquefois l'ex-pectation la plus pure ; on doit même, dans certains cas , favo-riser leur évolution. De redoutables accide
des accidents cérébraux redoutables, sont, le plus souvent, en pareil cas , la suite d'une intervention intempes-tive \ Les
une maladie dialhésique, de la scrofule, par exemple. Dans le premier cas , elle pourra sans doute être guérie sans inconvén
ultat presque certain d'abréger la vie du malade. Le mieux en pa-reil cas est de se conformer au précepte de Baglivis. Prol
ble d'amener ou de favoriser un mouvement critique. Il faut, dans ces cas -là, chercher à bien distinguer ce qui appartient
terminer le plus heureusement3. Cependant, dans un certain nombre de cas , cette tendance peut être assez exactement appréc
nc, à la rigueur, pas grand in-convénient à ne pas intervenir dans un cas de fièvre intermit-tente vulgaire, pourvu qu'on f
science, et il y aura probablement toujours, un trop grand nombre de cas où le diagnostic restera nécessairement incertain
es, réclame en général une sage expectation. Se trop hâter, en pareil cas , est une pratique dangereuse. Les épidémies ca-ta
les, Paris, 1780. 3. M. Stoll, Aphor,, 832. (1 peut, entre autres cas particuliers, se rencontrer dans le cours d'une m
rer les toniques ne s'est pas encore manifestement prononcé. Un autre cas est celui où il y a coexistence d'indications qui
par les symp-tômes d'adynamie. « Au lit des malades, en présence des cas particuliers où les indications se croisent et s'
ou du moins ne l'employer qu'avec une certaine réserve, même dans les cas où elle est indiquée par la nature même de la mal
ratique de l'expectation. Quelle serait la conduite à tenir en pareil cas ? « De ce que tous les observateurs des crises ont
but, il est nécessaire de comparer entre eux un assez grand nombre de cas d'une même affection au même de-gré, les uns rela
de d'expérimentation ne peut pas évidemment être appliquée à tous les cas de maladie. Plusieurs maladies ré-clament impérie
la durée et les différentes cir-constances de ces maladies. Dans les cas , je le répète, où les affections sont graves, ou
ient leur guérison à coup sûr, il faut agir. Dans quelques-uns de ces cas , on a cependant été con-duit à employer la méthod
s ac-tives seraient inutiles, impuissantes ou nuisibles. 11 est des cas où l'expeclation pure peut constituer, pendant to
ngereux de guérir. L'expectation convient, en gé-néral, dans tous ces cas . L'expectation pure, ou l'emploi de moyens simp
éterminé. Cette même méthode trouve sou-vent son application dans les cas où il y a coexistence d'indi-cations contraires i
ande échelle. Il s'est borné à traiter par la méthode expectante onze cas de pneumonie d'apparence bénigne : le traitement
parles doses infinitésimales, on trouve les chiffres suivants: sur 40 cas , 3 cas de mort seulement. Ce serait là assurément
doses infinitésimales, on trouve les chiffres suivants: sur 40 cas, 3 cas de mort seulement. Ce serait là assurément un rés
moins heureuse dans une autre série de faits. C'est ainsi que sur 50 cas de pneumonie, dont M. Grandmottet a été té-moin,
rait être entière à cet égard ; car si M. Dieth affirme que, dans les cas où l'on s'abs-tient de saignées, le rétablissemen
. LXXXIX). Ce dernier même rapporte ce résultat singulier, que sur 52 cas de pneumonie observés par lui, et dont 12 se sera
s par la mort, la saignée ne fut employée précisément que dans ces 12 cas . A ce qu'il nous semble, ce n'est pas par une s
u'il nous semble, ce n'est pas par une statistique faite sur tous les cas de pneumonie, traités indistinctement par une mêm
nelles et trois empruntées à la pratique de M. ïeissier. Dans ces dix cas , l'expeclation a été mise en usage, et tous ont g
moyenne sept ans et demi. J'ai soumis également à l'expectation deux cas que j'ai observés en ville, l'un chez un enfant d
mi, l'autre chez un adulte de trente-huit ans. Je n'ai pas choisi les cas , j'ai appliqué l'expectation aussi bien aux cas l
e n'ai pas choisi les cas, j'ai appliqué l'expectation aussi bien aux cas légers qu'aux cas graves, dont j'ai observé cinq
les cas, j'ai appliqué l'expectation aussi bien aux cas légers qu'aux cas graves, dont j'ai observé cinq exemples. Le seul
oyenne le onzième jour et une fraction (3/10). Dans plu-sieurs de ces cas , la période de déclin était annoncée ou au moins
ha, vésicatoire, purgation, il n'en fut employé dans au-cun de ces 14 cas . Ces faits si intéressants ont eu pour té-moins l
s'il y a lieu de faire pour la pneumonie des catégories distinctes de cas qui guérissent par l'expectation, et de cas qui e
catégories distinctes de cas qui guérissent par l'expectation, et de cas qui exigent l'intervention active de l'art; si ce
vénient sé-rieux, il est vrai également que dans un certain nombre de cas , on peut voir se produire, sous l'influence de ce
maines. Les seuls accidents un peu intenses qu'il éprouvait en pareil cas , consistaient en un ptyalisme abondant et en trou
ble d'expliquer le développement d'un pareil acci-dent. Dans nos deux cas , l'anaphrodisie a disparu plusieurs mois après la
plusieurs mois après la cessation du traitement, mais dans un de ces cas , elle s'est bientôt reproduite, à la suite de l'a
aucoup les limites auxquelles on s'arrête dans la grande majorité des cas . Il importe de remarquer, cependant, que l'anaphr
pl. t. viii, 5e partie : Thérapeutique. 23 côlé, elle a pu, dans un cas , se manifester à la suite d'un trai-tement qui n'
nifestent guère qu'à la suite d'un long usage de l'ar-senic, dans les cas , par exemple, où il s'agit de modifier len-tement
r une maladie constitutionnelle. Dans le but de prévenir, en pareil cas , ces accidents, plu-sieurs auteurs ont proposé de
série. L'observation dé-montre, en effet, que ces derniers,— dans des cas à la vérité assez rares, — peuvent se manifester
plus tard, on a pu s'en assurer par l'analyse de l'urine. 2. Sur un cas d'atrophie des cordons postérieurs de la moelle é
les pas eu pour origine une induction moins naturelle! Parmi les cinq cas dont il rapporte l'observation, il en est un (Obs
qu'une seule fois une guérison complète, il a déterminé dans tous les cas qui précèdent une amélioration très sensible. O
ttre en doute la réalité de l'in-fluence du nitrate d'argent dans ces cas , en invoquant certains faits dans lesquels on a v
s exceptions et il n'est guère possible d'admettre que, dans les cinq cas traités par le nitrate d'argent, il y ait une sér
rs, les faits que nous rapporterons plus loin en ajoutant de nouveaux cas d'amélioration à ceux qu'a obser-vés M. Wunderlic
nôtres, nous ne doutons pas qu'on ne détermine, dans presque tous les cas , un amendement très favorable. Or, lors-que l'on
ur établir une base solide de traitement. Tout au plus, dans certains cas *, a-t-on obtenu un effet partiel quelque peu imp
in, 1»51 ; 2 abtheil, p. 191.) 1. Nous ne tenons pas compte ici des cas dans lesquels le symptôme ataxie du mouvement fai
sairement à l'amélioration générale que produit fréquemment, dans ces cas , l'iodure de potassium. gent, même alors qu'on
gent, même alors qu'on n'aurait pour éléments d'appréciation que les cas publiés par M. Wunderlich, mériterait de devenir
expérimentation. Les observations de M. Wunderlich ont trait à des cas rela-tivement peu avancés; les malades qu'il a tr
près avoir cons-taté les heureux effets du nitrate d'argent, dans les cas récents ou peu prononcés encore d'ataxie locomotr
ogressive, considère comme nulles les chances d'amélioration dans les cas invétérés. « On peut avancer, dit-il, que là où
croscopique de femmes atteintes d'ataxie progressive1 ; dans ces deux cas , qui confirment d'ailleurs les résultats ob-tenus
, du mode suivant lequel pou-vait se produire l'amélioration dans les cas de ce genre. La substance grise de la moelle épin
tance grise de la moelle épinière est ordinairement in-tacte dans ces cas ; les tubes nerveux des faisceaux postérieurs et
méd. et de chir., numéros 16, 20 et 23.) 2. Dans le second des deux cas , dans lesquels nous avons examiné la moelle et le
plus ou moins complet des fonctions. Nous disions que, même dans des cas d'ancienne date, terminés par la mort (et nous po
e savoir jusqu'à quel point le nitrate d'argent est efficace dans les cas d'ataxie locomotrice progressive, même dans ceux
aux observations cliniques à prononcer sur ce point. Dans tous les cas dont nous allons donner la relation, nous avons e
début du traitement1. Nous rapporterons d'abord l'histoire de cinq cas d'ataxie lo-comotrice dans lesquels la maladie, q
de la coloration noirâtre. 11 faut bien dire, au reste, qu'il y a des cas d'une telle gravité que l'on doit avant tout cher
même de cannes. Dans cette observation, nous voyons l'histoire d'un cas of-frant une grande analogie avec le précédent. M
les, mais les mouvements ataxiques ont disparu. La maladie, dans le cas qui va suivre, datait de cinq ans environ. Les me
ignements qui nous paraissent découler de leur étude. Dans ces cinq cas , ainsi qu'on a pu le voir, l'ataxie locomo-trice
de où elle est généralement considérée comme incurable, Dans tous ces cas , cependant, il s'est produit pendant le cours de
s yeux, dans les infirmeries de la Salpêtrière, jusqu'à ce jour, neuf cas d'ataxie locomotrice progressive, et de plus, nou
ive, et de plus, nous avons eu des renseignements exacts sur un autre cas de la division des épileptiques. Chez ces dix mal
r les troubles de la sensibilité de tempé-rature (Obs. III.). Dans ce cas , le contact d'un corps froid déterminait, en même
aurions encore à faire valoir les considérations suivantes : les cinq cas d'ataxie locomotrice dont nous avons présenté l'h
axie locomotrice dont nous avons présenté l'histoire étaient tous des cas invétérés ; chez tous, là maladie était depuis lo
vait suivi sans interruption sa marche progressive. Or, dans tous ces cas , la médication ayant été instituée à peu près en
té publiées par M. Wunderlich, nous pouvons présenter un total de dix cas d'ataxie locomotrice, dans lesquels l'emploi du n
point, l'action de la strychnine sur les membres paralysés, dans les cas de paralysie de cause cérébrale ou spinale. Ces o
inale. Ces operatives effccts ont cessé de se produire, dans certains cas , une dizaine de jours après le début de la médica
ême où les doses du nitrate d'argent, ont été élevées. Dans plusieurs cas , en outre, des éruptions lichénoïdes et prurigine
, — et l'ataxie locomotrice progressive est incontestablement dans ce cas , — un amendement obtenu, quel qu'il soit, est un
t et les forces, et enfin, réveillé l'espoir. D'ailleurs, si dans les cas d'ataxie locomotrice invé-térée on ne peut guère
rapportés par M. Wun-derlich justifie déjà cet espoir, — que dans des cas moins graves et moins avancés, on pourra enrayer
hes ont été relatives surtout à l'emploi du nitrate d'argent dans les cas d'ataxie locomotrice progressive. Mais nous avons
fait pressentir que ce médicament s'était montré utile dans quelques cas de paralysie, en dehors de l'ataxie loco-motrice.
quelques pas, n'étant soutenue que sous un seul bras. Yoici donc un cas de paraplégie complète, où l'emploi du nitrate d'
, où l'emploi du nitrate d'argent a été suivi d'heureux effets, et ce cas ne ren-tre certainement pas dans la description d
e hystérique. D'après cela, ce ne serait pas exclusivement dans les cas de paralysie liée à l'ataxie que le nitrate d'arg
préalable et suffisamment rigoureux le nitrate d'argent dans tous les cas où la locomotion est plus ou moins sérieusement a
ion de ce mucus bronchique auquel la mort a pu être attribuée dans le cas précédent. Cette expérience nous paraît démontrer
se portait à merveille et manifestait une grande voracité. Dans aucun cas , nous n'avons observé de vomissements. Chez deu
ation argentique; M. Guipon (de Laon) en a tout récemment rapporté un cas . 3° Après un traitement longtemps prolongé, et
a dose nécessaire pour déterminer cet effet. Il rapporte cependant un cas , observé à la Charité de Berlin, dans lequel la c
qui faisaient un si grand usage de cette médication : mais le premier cas authentique d'argyrie que possède la science a ét
Fourcroy. Le père de Butini, dans sa pratique, en a rencontré quatre cas : depuis lors, les faits de ce genre se sont mult
é. Lorqu'elle est très intense, elle prend un ton bleuâtre ; dans les cas moins pronon-cés, c'est une teinte sale qui rappe
00 parties de parenchyme organique. Nous avons vu tout récemment un cas presque identique, à la Salpètrière ; les reins o
es pyramides. Les granulations noirâtres, qu'on rencontre en pareil cas dans les organes, sont solubles dans le cyanure d
glandes sudori-pares et les follicules sébacés de la peau. Dans un cas à'argyrie, observé par Frommann, à l'hôpital alle
l allemand de Londres, il existait des lésions identiques à celles du cas précédent ; on a constaté en outre, que, dans l'i
ts qui le caractérisent; c'est ce que démontrent victo-rieusement les cas d'argyrie déterminés par l'usage du plus insolubl
qu'à présent démontrer ce fait. Nous avons vu cepen-dant que dans les cas d'argyrie, le pourtour des glandes sudo-ripares e
s ou moins long, quelquefois même pen-dant plusieurs années. Mais les cas de guérison définitive par l'emploi de ce médicam
lheureusement aucun caractère clinique qui permette de distinguer les cas favorables à l'emploi des sels d'argent, de ceux
. Il serait donc de la plus haute importance de savoir distinguer les cas favorables à cette médication de ceux qui lui son
ate d'argent, d'après M. Bouchut, aurait agi favorablement dans trois cas de paralysie générale progressive. Chez le premie
ar l'usage du nitrate d'argent. Mais on peut se demander si, dans ces cas heureux, le diagnostic était à l'abri de toute cr
rvation un autre fait de Wunderlich, nous aurons réuni les deux seuls cas dans lesquels on ait obtenu un succès complet. Il
s, lorsqu'elles présen-tent une intensité exceptionnelle. Quant aux cas favorables, ils appartenaient tantôt à la pre-miè
longtemps après l'accident; le nitrate d'argent, dans l'un et l'autre cas , amena rapidement le réta-blissement complet. L
mier; seulement, les effets obtenus ont été plus complets. Dans les cas de ce genre, la moelle a probablement cessé d'êtr
On comprend que la médication argentique ne peut réussir en pareil cas , que si la compression a cessé d'exister. La rè-g
l n'existe point de contracture dans les membres affectés. Dans les cas de paraplégie hystérique, le nitrate d'argent par
ec des probabilités sérieuses de succès, en faire l'application à des cas d'hémiplégies anciennes avec flaccidité des mem-b
ble d'admettre l'action curative d'un médicament quelconque, dans les cas où il existe une lésion organique profonde des ce
-nière, sont susceptibles de revenir à l'état normal. C'est en pareil cas , quel'intervention de la médecine peut être couro
des caractères cliniques, à l'aide desquels on puisse distinguer les cas qui se prêtent à l'intervention médi-cale de ceux
mps, entreprises à la Salpêtrière, nous ont appris que, dans tous les cas où il existe des phénomènes d'excitation de la mo
on. Il en est de même, au dire de Krùger, Fischer et Hirsch, dans les cas où la dyspepsie coïncide avec des éruptions bucca
(de Philadelphie) prétend au contraire que c'est précisément dans le cas où il existe des ulcérations de l'intestin, que l
pas administrer ce remède au début de la fièvre typhoïde, ni dans le cas où la diarrhée est peu abondante : il paraît offr
he à l'usage externe de cet agent. Nous voulons seulement signaler un cas publié récemment par Schœvers (de la Haye) dans l
t probable que l'azotate d'argent, s'il produit réellement, en pareil cas , des effets utiles, agit surtout sur l'élément dy
, par doses égales prises toutes les deux heures, jour et nuit; si le cas était très intense, la dose de bicarbonate de sou
te cessation des douleurs articulaires et du mouvement fébrile. Les cas de rhumatisme que nous avons traités par cette mé
par la très grande intensité de tous les symptômes. Or, dans tous ces cas , il nous a paru que la durée totale de la maladie
tablement abrégée ; en effet, elle a été de 12 jours environ dans les cas moyens, et alors la médication avait pu être susp
médication avait pu être suspendue au bout de 5 à 6 jours ; dans les cas les plus intenses, la médica-tion avait dû être m
t-quatre heures, ou seulement au bout de deux ou trois jours dans les cas très intenses, les urines rendues deviennent parf
résenterait la réac-tion alcaline. Nous avons vu cependant, dans deux cas , le pa-pier rouge de tournesol appliqué sous les
venir ni vomissements, ni selles diarrhéiques. Dans aucun de nos 17 cas il ne s'est produit d'affections car-diaques appr
ne s'est produit d'affections car-diaques appréciables, mais dans un cas très intense d'ailleurs, une pleuro-pneumonie dou
nce vers l'é-tat aigu. Par contre, elle a complètement échoué dans un cas où le rhumatisme articulaire, qui s'était présent
Charcot. 1. Nous n'avons dû tenir compte, dans cette note, que des cas où le traite-ment du rhumatisme articulaire aigu
ce. A prendre en une seule fois, toutes les quatre heures, dans les cas moyens, toutes les deux heures, dans les cas inte
quatre heures, dans les cas moyens, toutes les deux heures, dans les cas intenses. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE
Note sur l'état des muscles et des nerfs du voile du palais dans un cas d'angine diphtéritique...........................
EUXIÈME PARTIE Affections du tégument externe. I. Note sur quelques cas d'affections de la peau dépendant d'une influen
e du système nerveux................................ 171 II. Sur un cas de zona du cou avec altération des nerfs du plexu
............................................ 181 III. A propos d'un cas de canitie survenu très rapidement........ 191
d'un cas de canitie survenu très rapidement........ 191 IV. Sur un cas de sclérodermie..................................
électrique.......... 201 VI. Coloration bronzée de la peau dans un cas d'altération grais- seuse des capsules surrénal
du foie...................................... 247 III. Note sur un cas de kystes hydatiques multiples................ 25
.......................... 263 QUATRIÈME PARTIE Estomac, rate. I. Cas d'ulcères simples de l'estomac suivis de rétrécis
t contenant de nombreux cristaux de taurine........ 283 III. Sur un cas de rétrécissement organique de l'anneau pylorique
de, 191. Capsules surrénales (Coloration bronzée de la peau dans un cas d'altération graisseuse des —), 204. Choléra as
, 427; — douloureuse, 181. Peau, coloration bronzée de la — dans un cas d'altération grais-seuse des capsules surrénales,
4; — peste bénigne, 102; — peste sporadi-que, 102; —exanthème, 103; — cas apyrétiques, 103; — char-bons, 103, 105 ; — pétéc
19 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
SE. CLINIQUE médicale DE l'Hôpital SAINT-ÉLOI DE VIONTPELLIER. UN CAS DE SARCOME VOLUMINEUX DU CERVEAU AYANT DÉBUTÉ D
de syphilis, pas d'alcoolisme. 1 Gowers. - Drain, t. I, p. 48. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 3 L'affection qui amène
er tremblement se rapprochant assez du tremblement alcoolique. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 5 La sensibilité parait
on voit une légère élevure présentant les dimensions d'une pièce UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 7 de un franc environ, e
e passant à 5 centimètres environ de la corne frontale gauche. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. V La septième coupe port
nt, au point où elle a atteint son maximum de dévelop- pement. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 11 est celle d'un sarcom
sarcomes, pris en. bloc, n'ont été constatés que 34 fois sur 300 cas de tumeurs des centres nerveux, si nous en croyon
plégie droite. c. Mais ce qui est réellement remarquable dans notre cas , c'est le volume énorme de la tumeur, dont les
ut rapprocher de celle bien connue qu'il a présentée, dans certains cas , pour des corps étrangers volumineux. d. La p
ement des circon- 1 Allen Starr. Aled. News., 12 janvier 1889. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU. 13 volutions de ce même
suivant la juste remarque de MM. Grasset et Rauzier', dans tous les cas de tumeur cérébrale volumineuse siégeant à l'in
possible toute cause de contamination extérieure. Dans quel- ques cas même, pour éviter les causes d'erreur qui pourrai
erminer les altérations que nous avons signalées ! Si dans quelques cas les cultures de sang restent négatives, si les
HOGENIQUE GÉNÉRALE. Nous croyons donc pouvoir conclure que dans les cas qui nous occupent ici, c'est-à-dire dans l'épil
r lés mêmes ,1`c tats, et entrer alternativement en jeu suivant les cas . Les i-,Zi 1 crobes sont en tout analogues à no
aussi l'épilepsie traumatique et l'épilepsie locale, enfin même les cas où l'épilepsie générale peut être provoquée d'u
ns tant tenu à insister. Nous ne voyons rien de surprenant dans ces cas et nous ne croyons pas que ce soit des argument
ous une influence morale et physique. Enfin dans un grand nombre de cas , nous croyons même pou- voir dire dans la major
ombre de cas, nous croyons même pou- voir dire dans la majorité des cas d'épilepsie générale d'em- blée, ce sera l'into
quels ces phénomènes existent et sont très marqués. Dans le premier cas on a affaire à l'épilepsie réflexe, dans le sec
et plus rapide de l'intelligence. Ceci nous explique même certains cas que nous avons signalés à propos de la démence
i pouvait avoir une marche progressivement croissante dans certains cas , au lieu que dans les autres elle marche par po
rner chez un même sujet ; 4° que l'in- toxication peut, suivant les cas , venir de l'organisme lui-même ou du dehors, au
ous ces moyens etdel'incurabilité de la maladie dans la plupart des cas . Dans ces derniers temps avec le bromure de pot
idiopathique ou épilepsie névrose, est dans la presque totalité des cas ou sinon dans tous les cas, d'origine infectieuse
évrose, est dans la presque totalité des cas ou sinon dans tous les cas , d'origine infectieuse. Les symptômes précurseu
obtenu ce même résultat chez une de nos malades. Mais dans tous ses cas à aura, nous ne parvenons à un heureux résultat
uvent se bruler cruellement ou mettre le feu à l'ap- partement. Les cas de mort par brûlure ou incendie ne sont pas rar
e jardinage est le but que l'on doit se pro- poser dans beaucoup de cas . Le professeur chargé de l'éduca- tion d'un enf
e, ont leurs par- tisans, mais on ne peut mettre à leur actif aucun cas de gué- rison. Il en est de même des médicament
double de.bro- mure de potassium et de sodium. Enfin dans quelques cas , à la suite d'un de ces traitements, nous avons
s la picrotoxine n'a paru amener aucune amélioration. Dans quelques cas même le nombre des accès parait augmenter. .
ENTALE. rose double. Les troubles pupillaires ont été notés dans 82 cas sur 100; l'inégalité des pupilles 62,7 ; le myo
les paralytiques syphilitiques. Le strabisme a été relevé dans 3,3 cas p. 100; le ptosis dans 12,3 p. 100; - le le nys
' Le- troubles de la sensibilité générale se rencontrent dans 43,3 cas p. 100; ils peuvent se répartir ainsi : REVUE
quemment dans les anté- cédents morbides des aliénés. Dans certains cas , la céphalalgie, survenue comme phénomème prodr
siste intacte pendant l'accès ne sont plus à démontrer. A côté de cas de transition entre l'inconscience absolue qui ac
aintien de la conscience au cours de ces crises, l'auteur cite deux cas qui lui paraissent probants, destinés à démontr
c du délire primitif. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 39 V. Un cas DE MOIIPIW¡OMA7'1]E; par M. Seiilecq. (Annales
immédiatement des rapports avec leurs femmes. Et l'hérédité ! 2. Un cas de folie à deux. - Ou plutôt belle observation de
utions. Elle impo-a inconsciemment son délire aux deux autres. 3. Cas de catatonie alterne. Folie circulaire à successi
in degré de tension musculaire, des troubles vasomoteurs. 4. Deux cas de parole double. Délire chronique hallucinatoire
le psychique spécial, construction psychosexuelle anormale, en tout cas congénitale. Voici vingt nouvelles observations
atoires. Il prétend que ces névroses sont la résultante en certains cas d'un effort de la volonté impuissant à chasser
lément sexuel qui donne naissance à ces idées insupportables, à ces cas de conscience perpétuellement insolubles et per
que l'idée associée varie. Une analyse psychologique des différents cas montre que l'état émotif, comme tel, est toujou
ompte du caractère d'absurdité propre aux obsessions. Dans certains cas , l'idée origi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 47
et de ceux de la paralysie générale. La paralysie générale, dans le cas d'association, est la conséquence de la propaga
table sont capables de s'associer, mais il pense que la plupart des cas présentés comme des associations des deux affec
mme des associations des deux affections ne sont en réalité que des cas de paralysie générale à forme tabétique. La par
tation ordonnée sévèrement avec menace de la sonde oesophagienne en cas de refus. Dès le début de ce traitement, la mal
de même chez l'homme. On sait que Charcot a relaté d'assez nombreux cas de mort par inani- tion hystérique. C.2 £ M USE
moins d'affaiblissement mental et d'irritabilité anormale. C'est le cas de S..., lequel est un aliéné complètement irresp
qui n'est point révélée par l'examen analomo-pathologique. Dans les cas de mort par traumatisme cranien, le médecin-exp
ives : la résistance cérébrale est d'ailleurs toujours diminuée. En cas de mort, l'existence d'une hémorragie méningée ré
cérébrale et un traumatisme crânien ne peut être admis que dans des cas excep- tionnels. Les troubles nerveux et psyc
ées délirantes hypocondriaques, obsessions, etc.). En présence d'un cas de neurasthénie traumatique, l'expert, lorsque
ôt ils agissent en qualité de facteurs prédisposants; dans certains cas enfin, ils interviennent, comme cause occasionn
sion psychique, l'amnésie qui le caractérisent. On a noté aussi des cas de stupidité, de démence aiguë curable, d'un pron
mence aiguë curable, d'un pronostic favorable. Plus graves sont les cas d'affaiblissement intellectuel progressif, qui
facteurs étiologiques ne sont pas intervenus. P. Sérieux. III. Un cas d'épilepsie alléguée ET simulée ; par le Dr Samue
jour dans le public extra- médical car l'auteur vient d'observer un cas où l'épilepsie fut d'abord alléguée et ensuite
abes, sclérose en plaques). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas d'atrophie infantile unilatérale DES muscles DE l
gourdissement des deux derniers doigts. z Elle fut de règle dans 14 cas sur 20 malades. Elle paraît propre . à la sclér
a conclusion d'un des experts (névrose traumatique). P. K. VU. UN cas DE pachyméningite cervicale syphilitique avec par
que ce caractère familial était commun à tous les types. Voici un cas qui , précisément, ne correspond exactement à a
dans la marche; enfin l'hérédité de la malade. - Cvmuset. IX. Un cas D'IIÉIIP.41tAPLÉG1E spinale avec anesthésie crois
ôme constant, l'hémiparaplégie avec anesthésie croisées. Voici un cas de ce genre : Une femme de quarante et un ans,
acrum. La malade exige sa sortie et est perdue de vue. ' C. X. UN cas DE myopathie primitive PROGRESSIVE avec attitudes
ent « en canard » et les jambes très écartées. C. > . XI. Un cas d'amyotrophie primitive accompagnée DE réactions
s amyotrophies forment deux grands groupes, le premier comprend les cas où les muscles présentent des réactions électriqu
tré Charcot. C'est dans le second groupe qu'on doit faire entrer le cas suivant, bien que les muscles réagissent à l'él
rique avec quelques changements qualificatifs. Comme on le voit, le cas serait classique, sans les symptômes douloureux
de la myopathie primitive, et c'est pourquoi on doit considérer le cas comme un véritable cas de myopathie primitive p
ive, et c'est pourquoi on doit considérer le cas comme un véritable cas de myopathie primitive progressive, malgré les an
érescence qui sont leurs manifestations cliniques et qui rendent le cas anormal. C. XII. ARTHROPATHIES NERVEUSES ET TRO
urs sans douleur. Le résultat est, du reste, le même. Dans tous les cas l'impotence fonctionnelle. demeure plus ou moin
rale. - - Camuset. REVUE.DE pathologie NERVEUSE. 71 L XIII. TROIS CAS D'ARTHROPATHIE TABÉTIQUE BILATÉRALE ET SYMETRIQUE
d'hydarthrose, laquelle est rapide ou progressive. Dans le premier cas la tuméfaction est intra ou extra-articulaire,
a ponction. Le plus souvent il n'y a pas de douleuf. Dans le second cas , la ressemblance avec une hydarthrose ordinaire
un traumatisme. - La peau qui recouvre la lésion, excepté dans les cas exception- nels, est atteinte d'analgésie et de
thrites de la lèpre. C. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 73 XV. Un cas DE syringomyélie atypique; par M. J. TARGOVrLA.
réalité, cependant, et la chose n'est pas douteuse, il s'agit d'un cas de syringomyélie, mais d'une syringomyélie à form
diagnostic des arthrites neuropathiques, il se borne à l'examen des cas où l'articulation trophique c'est ainsi qu'il d
exte du manus- crit original du professeur Charcot,. Exemple d'un cas d'aphasie transitoire, à répétition survenant par
sur tous les modes de réception et d'ex- pression du langage. Ce cas est un exemple de migraine ophtalmique accompagné
ophtalmique. La migraine ophtalmique guérit ordinairement ; en tout cas , les symptômes les plus alarmants, comme l'apha
e le professeur Raymond l'annonce en com- mençant, ceci est bien un cas d'étude. Pour être complet il discute à la fin
a TOUItETTE. (Noua. Iconogr. de la Salpêtrière, 1895, n° 1.) Deux cas de maladie de Little, dans lesquels l'hérédo-syph
conservée, les réflexes sont normaux. Même traite- ment que dans le cas précédent. Amélioration. Dans ces deux cas, le
aite- ment que dans le cas précédent. Amélioration. Dans ces deux cas , le diagnostic s'impose, il s'agit évidemment d
ces deux cas, le diagnostic s'impose, il s'agit évidemment de deux cas de maladie de Little. Sans préjuger de la nature
u- jours innocente de ce tabes spasmodique infantile. C. XX. Deux cas DE SYNDROME DE Weber ; par MM. Souques et Paul
sile d'aliénés et non à la pri- son. Nous n'envisageons ici que les cas dans lesquels le manque de sentiments moraux et
symptômes d'une maladie psychique. Est-il pos- sible de séparer ces cas , en dépit de leur parenté phylogénétique avec l
iment de l'intérêt, ou contre la volonté de la communauté. Dans les cas que nous envisageons, manque le critérium de la
rature religieuse si féconds en reproductions et en descriptions de cas d'hystérie. La première partie de ce traité est
e pésente pas toujours avec la régula- rité qu'on retrouve dans les cas typiques et qui ont servi de base aux descripti
eudo-angine de poitrine, etc...), M. G. de la Tourette s'occupe des cas où la mort a été attribuée à l'attaque; il résume
il résume le point important en constatant « combien sont rares les cas de mort au cours du paroxysme hystérique simple
s semble identique et il y a comme un air de famille entre tous ces cas ; un des caractères principaux de ces phénomènes
méliorations à 74, celui des morts à 83. 1 Au moins dans certains cas où l'on ne fait aucun compte rendu annuel, comm
ires systématisés chroniques ou de confusion hallu- cinatoire ; les cas de folie intermittente ont été assez nombreux.
olies inter- mittentes. L'hérédité a été notée dans 50 p. 100 des cas pris en bloc. Pour les paralytiques la prédispo
es paralytiques la prédisposition héréditaire a été relevée dans 17 cas p. 100. M. Pierson a utilisé les matériaux cliniq
énérale. Voici d'ailleurs un tableau assez démonstratif : TOTAL DES CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE 126 asiles d'aliénés. 87
iches (4 ou 5 p. 100, au lieu de 10 à 15 dans les classes pauvres), cas de para- lysie générale conjugale. Parmi les au
la salle d'autopsie 1. E. B. IV. SUR LE prétendu accroissement DES cas DE folie; par D. HACK TUKE. (The Journal of Men
l'accroisse- ment de la population, ne prouve pas que le nombre des cas de folie tende d'une manière générale à s'éleve
q ans, ce qui indique clairement qu'il s'agit d'une accumulation de cas chroniques. D'autre part, il y a eu pour la mêm
même période une diminulion dans la proportion qui existe entre les cas de faiblesse mentale chez les sujets au-dessous
it, avec sa bonne foi habituelle, incriminé la laïcisation. En tout cas , étant connues les conditions déplorables dans
s plans et devis, et invité le Conseil municipal de Montpellier, au cas où l'asile serait englobé dans le périmètie d'o
Il n'en a pas l'air, dit M. le président, pas assez malade, en tout cas , puisqu'il vous injurie, vous brutalise et vous
les juridictions de Paris, avait acquis une grande expérience des cas médico-judiciaires, le prend d'un peu haut avec c
spécia- listes : « Il n'est pas, dit-il, à ma connaissance un seul cas probant et authentique, qui démontre que sous l
cons- ciente ou non, à tuer son enfant, il n'en résulte pas que le cas ne se soit jamais présenté ni surtout qu'il ne
ur lesquelles on invoque l'excuse banale de la folie. Je prends les cas eux-mêmes que citeMarcé et sur lesquels il s'ap
t nous penserons toujours, avec Legrand du Saulle', l, qu'en pareil cas , on est en droit de soupçonner l'état mental. E
nique et les conclusions. Ce n'est pas, disons-le tout de suite, un cas susceptible de confirmer l'une des hypothèses q
elle doit naître chez bien des filles de santé régulière en pareil cas et cette idée a dû d'autant plus venir à l'esprit
es à stigmates. L'existence de l'anesthé- sie cutanée et tel est le cas de notre malade entraine une véritable apathie
agogiques demeurent stériles, mais, et c'est la grande majorité des cas , chez les idiots qui ne parlent pas, ces lésion
ant les huit notes de l'octave, rendra beaucoup de services dans ce cas . Nous prendrons d'abord le timbre qui donne la
où le silence ménagé' dans la classe sera le plus complet. ' Les cas de ce genre sont relativement rares, souvent on n
le l le 2, et les dentales. Les exercices à faire suivre en pareil cas varient avec la cause même du défaut de prononc
u Saulle, paie son « arriéré ». Il est reconnu que dans beaucoup de cas ce médicament arrête ou diminue nota- blement l
d le dessus. Quand nous supprimons le bromure de potassium dans ces cas , on voit peu à peu sous l'influence des purgati
lète sous l'influence du bromure de potassium. Il y a dans tous ces cas , des modifications des accès convulsifs d'une m
êmes nous l'employons et nous en sommes satis- faits. Dans certains cas nous avons supprimé le bromure de potassium et
ions bromiques et la tor- peur intellectuelle arrivent et, dans ces cas , cet auteur recom- mande en même temps des purg
e, les purgatifs sont encore utiles ; nous avons vu, dans plusieurs cas , la série prendre rapidement fin sous leur infl
placer les lavages d'estomac. Nous les avons essayés dans plusieurs cas et spécialement dans des états de mal ou dans d
e est un pré- cieux agent dont l'utilité est incontestable dans les cas qui nous intéressent. En même temps qu'elle agi
r apparition. L'indication de cette méthode est bien nette dans ces cas . Nous avons vu, en effet, que la tension artéri
e, jusqu'à une certaine période qui n'est pas la même dans tous les cas , les nerfs et les muscles sont bien plus diffic
les fibres qui occupent l'intérieur du bourgeon musculaire. En tout cas leur volume est souvent très considérable, et l
philis probable, mais les vais- seaux n'en présentent pas traces. Cas . II. Démence; hypocondrie; hémiplégie gauche; hém
- flexe, ainsi que l'existence du réflexe tendineux dans certains cas où par la méthode ordinaire, ce dernier parait ma
thologique. P. K. VI. DES lésions anatomiques DE la MOELLE dans LES cas DE TUMEURS cérébrales; par C. MAYER. (Jahrbuch.
r. P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 143 UN cas de défectuosité congénitale DU peaucier DU COU;
membres paralysés. Le bâillement ne s'accompagne-t-il pas en pareil cas de mouvements dans le bras hémiplégique seul ou
c le pied enfin est fixée par le muscle gastro-cnémien qui, dans ce cas , agit comme un ligament; il est tendu et non co
che, ou au contraire qu'elle passe en avant de lui. Dans ce dernier cas , le plan des épaules est antérieur à celui des
senti se fausser. C'est le signe de Romberg complet. C. , XX. Un cas DE BIDACTYLIE DE la main DROITE par amputation co
la famille, croit, malgré l'absence de cicatrice, qu'il s'agit d'un cas d'amputation intra-utérine; la cicatrice aurait d
la cicatrice aurait dis- paru avec le temps ( ? ). - C. XXI. Deux cas d'hermaphrodisme antique; par M. DIRIGE. - (Nou
EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXIII. Remarques sur deux cent cinquante cas d'épilepsie ; par R.-K. MACALESTER. (New-York M
4 février 1894.) . L'auteur étudie les données fournies par ces 250 cas au double point de vue de l'étiologie et de la
dité. On a recherché les antécédents névropathiques dans 169 de ces cas , et on les a rencontrés dans 52. Les causes pré
suivi d'épilepsie vraie et persistante a été noté 24 fois; dans 23 cas la lésion portait sur la tête ou le corps, et dan
23 cas la lésion portait sur la tête ou le corps, et dans un seul cas sur les nerfs périphériques. 5° Phtisie : notée 1
ie est apparue, les chiffres de l'auteur sont les suivants, sur 197 cas : de zéro à cinq ans, 51 cas; de cinq à dix ans
de l'auteur sont les suivants, sur 197 cas : de zéro à cinq ans, 51 cas ; de cinq à dix ans, 26 cas; de dix à vingt ans, 6
ts, sur 197 cas : de zéro à cinq ans, 51 cas; de cinq à dix ans, 26 cas ; de dix à vingt ans, 65 cas; de vingt à quarant
cinq ans, 51 cas; de cinq à dix ans, 26 cas; de dix à vingt ans, 65 cas ; de vingt à quarante ans, 48 cas; au-dessus de
ns, 26 cas; de dix à vingt ans, 65 cas; de vingt à quarante ans, 48 cas ; au-dessus de quarante ans, 7 cas. B. Symptomat
cas; de vingt à quarante ans, 48 cas; au-dessus de quarante ans, 7 cas . B. Symptomatologie. 1° Aura, observée seulemen
es attaques, notée 167 fois : une ou deux attaques par mois dans 44 cas ; attaques irrégulières ou groupes irréguliers d
as; attaques irrégulières ou groupes irréguliers d'attaques dans 41 cas ; une ou plusieurs attaques quotidiennes dans 29
ttaques dans 41 cas; une ou plusieurs attaques quotidiennes dans 29 cas ; une ou deux attaques par semaine dans 28 cas;
quotidiennes dans 29 cas; une ou deux attaques par semaine dans 28 cas ; une ou deux attaques par an dans 25 cas. 4a He
taques par semaine dans 28 cas; une ou deux attaques par an dans 25 cas . 4a Heures des attaques, notées dans 126 cas :
ttaques par an dans 25 cas. 4a Heures des attaques, notées dans 126 cas : dans 59 cas, les attaques se montraient indif
dans 25 cas. 4a Heures des attaques, notées dans 126 cas : dans 59 cas , les attaques se montraient indifféremment le j
attaques se montraient indifféremment le jour et la nuit; dans 47 cas , le jour exclusivement, et dans 20 cas exclusivem
le jour et la nuit; dans 47 cas, le jour exclusivement, et dans 20 cas exclusivement la nuit. 5° Etat mental : on a co
0 cas exclusivement la nuit. 5° Etat mental : on a constaté dans 36 cas des troubles mentaux caractérisés par de l'affa
lissement des facultés intellectuelles ou de la mélancolie; dans 10 cas , de l'irritabilité et une humeur que- relleuse
dans 10 cas, de l'irritabilité et une humeur que- relleuse ; dans 5 cas , l'idiotie. 6° Stigmates, constatés 29 fois, et
Dans ce paragraphe, l'auteur donne "l'observation résumée de quatre cas intéressants, deux cas d'épi- lepsie avec autom
uteur donne "l'observation résumée de quatre cas intéressants, deux cas d'épi- lepsie avec automatisme, un cas d'épilep
uatre cas intéressants, deux cas d'épi- lepsie avec automatisme, un cas d'épilepsie rotatoire, et un cas d'épilepsie ps
d'épi- lepsie avec automatisme, un cas d'épilepsie rotatoire, et un cas d'épilepsie psychique (petit mal) ; ces quatre
rotatoire, et un cas d'épilepsie psychique (petit mal) ; ces quatre cas montrent com- bien divers et multiples peuvent
résultats déjà obtenus, que, judicieusement employée dans certains cas déterminés, la médication opiacée pré- conisée
la thérapeutique anti-épileptique. R. DE Musgrave CLAY. XXIV. Un cas d'agoraphobie; par NEVILLE TAYLOR. (The New-York
R. (The New-York ' Médical Journal, 30 mars 1895.) Il s'agit d'un cas d'agoraphophie vulgaire, et le seul point remar-
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. - XXV. Sur la mélancolie : analyse DE 730 cas ; parW.-F.FARQUIIARSON. (The Journal of Mental S
clusions de cet important travail sont les suivantes : 1° parmi les cas de folie observés dans les asiles, la mélancolie
aru plus fréquente chez les femmes que chez les hommes; 4° dans les cas de mélancolie traités à l'asile de Garlands, la
proportion totale des guérisons a été beaucoup plus élevée pour les cas de mélancolie que pour les cas de manie observé
a été beaucoup plus élevée pour les cas de mélancolie que pour les cas de manie observés pendant la même période; 5 dans
de manie observés pendant la même période; 5 dans la majo- rité des cas , la dépression mentale s'accompagne tôt ou tard d
s, la dépression mentale s'accompagne tôt ou tard de délusions; les cas de dépression simple, sans délusions, sont ceux
ons, sont ceux dont le pronostic est le plus favorable; 6° dans les cas observés à l'asile de Garlands, la tendance au
la propor- tion de plus de 65 p. 100, et dans plus de la moitié des cas où se rencontrait cette impulsion au suicide, i
e, il y avait eu au moins une tentative; 7° dans un grand nombre de cas , la dépression mentale est associée à des lésio
e : dans un très grand REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 159 nombre de cas , la guérison est obtenue en quelques mois; d'autr
édisposition héréditaire est le plus nettement apparente : dans les cas héréditaires, l'apparition du trouble mental es
ns est plus élevé et le taux mortuaire est plus faible que dans les cas qui ne relèvent pas de l'hérédité; 14° le plus
z l'homme, il en résulte naturellement que, dans un grand nombre de cas , les premières manifestations coïncident avec l
itement, la forme du délire, l'état physique de la malade. Dans les cas héréditaires, les rémis- sions, les guérisons t
que celui de la forme délirante. La durée de la maladie, pour les cas traités dans les asiles, peut être environ de n
ffres recueillis à l'asile de Wakefield sont les suivants : sur 120 cas , on compte 49 guérisons (40,8 p. 100), 41 pas-
r précoce dans sa famille, hâter une guérison traî- narde. Dans les cas observés par les auteurs, l'hérédité a été cons-
cas observés par les auteurs, l'hérédité a été cons- tatée dans 57 cas sur 102, ce qui donne une proportion de 55,8 p.
il, les chiffres sont les suivants : pour une première série de 102 cas , on trouve 59 femmes mariées (y compris un peti
t 43 céli- bataires, soit 42,1 p. 100. Sur une seconde série de 120 cas , on trouve 94 femmes mariées, soit 78,5 p. 100
es Middlemiss. (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) Les cas de paralysie générale à la période de l'adolescen
ou de la puberté ne sont pas communs : l'auteur en a rassemblé sept cas nouveaux dont il publie l'observation en l'acco
ntre onze ans et demi et seize ans. Il est à remarquer que les sept cas observés appartenaient tous au sexe féminin, et
observés appartenaient tous au sexe féminin, et que, dans tous les cas où ces constatations ont pu être faites, on a tro
est généralement plus longue que chez les adultes; dans les quatre cas qui se sont actuellement terminés par la mort, el
n, modérément accusé. Les troubles moteurs existaient dans tous les cas , mais à un degré moindre que chez l'adulte. 1
tous les Archives, t. XXX. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cas une atrophie cérébrale très marquée. L'adhérence
sont, en somme, celles que l'on a coutume de rencontrer dans les cas de paralysie générale à forme lente avec excitati
e inflammation de la pie-mère. L'auteur estime qu'il s'agit là d'un cas d'épilepsie larvée, et que la dernière crise, q
EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 163 se l'imagine : dans la majorité des cas , elle se produit chez des prédisposés, des héré
ant pas le traitement des symptômes et des complications. Dans le cas de délit commis sous l'influence de l'ivresse, il
ns la paralysie générale; par le Dr Jameson HEPBURN. D'après huit cas qu'il a observés, l'auteur estime que dans la par
e règle, alors que leur diminution se rencontre dans la plupart des cas de paralysie générale. Lorsqu'il y a tendance à
n une période de dix ans, l'auteur a observé à l'asile de Boston 63 cas d'hébéphrénie. L'hébéphrénie ne doit pas être con
de la puberté ou la folie de l'adolescence. Ces dernières sont des cas de folie survenant chez des enfants ou des adol
, en moins d'une année. L'hébéphrénie se confond en partie avec les cas décrits sous le nom de démence prirnitive.(Anae
lesquelles le diagnostic porté a été : « délire aigu ». Le premier cas est très typique] pour la confusion mentale : f
nie, amaigrissement rapide, guérison au bout de six mois. Le second cas ressemble assez à de la paralysie générale au d
vec hypérémie du cerveau et des méninges. C'est plutôt le troisième cas qui méri- terait le nom de délire aigu. Là, en
tier, Falret et Vallon, est prononcée. A propos des phobies dans un cas d'insuffisance mitrale. M. Roubinovitcii. - Il
son produit; tantôt il s'agit de contagion foetale, comme dans les cas d'hérédo-infection; tantôt, même, il s'agit de
toxiques paraissent agir un peu comme l'alcool. Si, dans les autres cas , les psychoses éveillées paraissent les mêmes,
171 L sonne qui réclame la sortie serait engagée par une amende, en cas de surveillance inefficace. M. Auguste Voisin
, c'est être pa- triote. » N'entrez dans un débit de boissons qu'en cas d'absolue nécessité. Lutte contre L'ALCOOLISM
uniquent que les résultats d'examens macroscopiques. Bayle' cite un cas de tuberculose du cerveau et du bulbe durant le
tuberculose. Olivier 2, dans son ouvrage classique, mentionne deux cas de tubercules de la moelle et du bulbe et cite
emples de lésions tuberculeuses dans la moelle épinière) un nouveau cas de tubercule solitaire et, revenant de nou- vea
ouveau cas de tubercule solitaire et, revenant de nou- veau sur les cas qu'il a présentés quelques années auparavant, s
omie pathologique. Hayem * cite chez un homme de trente-sept ans un cas de tubercule solitaire dans la région lombaire,
trace de tuberculose dans les autres organes. Chvosteli cite deux cas de tubercules solitaires, assez petits, avec une
ent encore plus souvent des tubercules solitaires. Il n'a pas vu de cas avérés de tuberculose nodulaire dans les méning
l'attention de plu- sieurs auteurs. Schultze' (1876) communique un cas de lepto- méningite tuberculeuse aiguë avec exa
la moelle. Un peu plus tard, en 1879, le même auteur3 communique un cas de tuberculose dans les faisceaux pyramidaux et
dans les faisceaux pyramidaux et, discutant de nouveau son premier cas , montre que les affections de la base du cervea
clinique qu'au point de vue anato- mique. Williams s rapporte trois cas de méningite compliquée de méningite basale et,
NERVEUSE. Hellich' a décrit chez un homme de quarante-deux ans un cas de tuberculose solitaire dans la région lombaire.
e de la tumeur et des lésions consécutives de la moelle. Un nouveau cas de tubercule solitaire dans la région cervicale
a région cervicale a été décrit par Sachs 2. Obolonskv3 relate un cas de tuberculose de la moelle dans lequel on a pu
orté par Rendue Dans sa thèse d'inauguration, Gunsserb mentionne un cas de tuber- culose nodulaire de la moelle, présen
er (1849). Enfin Raymond communique dans la Rèvue neurologique un cas de méningomyélite aiguë limitée à la partie infér
moelle. Dans le présent travail, je me propose de communiquer un cas de tuberculose nodulaire et infiltrée, que j'ai e
acée par un vaisseau. Or, on peut bien supposer que dans ce dernier cas le tubercule a été posé sur la paroi d'un vaiss
rieurs et les racines postérieures aient été atteints' ? Dans ce cas on pourrait expliquer l'apparition et la disparit
nostik und Thérapie der Nervenkmnkheiten, Er- laugen, 1870. Dans le cas de M. Rosenthal, il y avait des lésions autour
décembre 1891, on y a fait 5,000 autopsies et l'on a constaté 2,090 cas de tuberculose des divers organes, surtout des
as de tuberculose des divers organes, surtout des poumons. Avec ces cas de tuberculose on a vu coexister : A. Cerveau
vec ces cas de tuberculose on a vu coexister : A. Cerveau. a). 75 cas de méningite tuberculeuse mi- liaire basale dan
se mi- liaire basale dans lesquels il y avait eu, en coexistence, 8 cas de tubercules solitaires, un abcès, une fois le
amollissement, et une fois la tuberculose de la protubérance; b). 2 cas de leptoméningite purulente après la carie de l
leptoméningite purulente après la carie de l'os pétreux, dans un cas il y avait en même temps abcès du cervelet ; c).
let ; c). On a trouvé un nodule calcifié dans la capsule interne (1 cas ) ; d). La tuberculose de la dure-mère (2 cas) ;
la capsule interne (1 cas) ; d). La tuberculose de la dure-mère (2 cas ) ; e). 17 cas de tubercules solitaires ; f). 1
terne (1 cas) ; d). La tuberculose de la dure-mère (2 cas) ; e). 17 cas de tubercules solitaires ; f). 1 cas d'éruption
la dure-mère (2 cas) ; e). 17 cas de tubercules solitaires ; f). 1 cas d'éruption miliaire des mé- ninges du cervelet;
s ; f). 1 cas d'éruption miliaire des mé- ninges du cervelet; y). 2 cas de méningite de la convexité du cerveau. ' On
gite de la convexité du cerveau. ' On a donc trouvé dans quelques cas la tuberculose du cer- veau. B. Cerveau et mo
ques cas la tuberculose du cer- veau. B. Cerveau et moelle. a). 6 cas de méningite cérébro- spinale tuberculeuse, une
tubercule solitaire et de pachyméningite spinale et enfin, dans un cas , il s'agissait de méningite puru- lente ; - b).
nfin, dans un cas, il s'agissait de méningite puru- lente ; - b). 3 cas de tubercules solitaires dans le cerveau et dan
e tubercules solitaires dans le cerveau et dans la moelle. Dans 9 cas , on a trouvé la tuberculose du cerveau et de la
de la moelle. C. Moelle 2. La moelle n'a été atteinte que dans 12 cas , 1 Je remercie vivement M. le professeur Hlava
enir compte de ce fait que l'on n'a pas enlevé, dans tous ces 2,090 cas , la moelle épinière. Cependant nous pouvons dire
vérité. LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 195 savoir : a). 7 cas de méningite après carie des côtes ou des vertè
. 7 cas de méningite après carie des côtes ou des vertèbres ; b). 1 cas de méningo-myélite après carie des vertèbres; c
res ; b). 1 cas de méningo-myélite après carie des vertèbres; c). 1 cas de tuberculose de la dure-mère; d). 2 cas de tu
ie des vertèbres; c). 1 cas de tuberculose de la dure-mère; d). 2 cas de tubercules solitaires et enfin e). 1 cas où il
de la dure-mère; d). 2 cas de tubercules solitaires et enfin e). 1 cas où il s'agis- sait de la tuberculose de la dure
me endo- périvasculite et peuvent amener des oblitérations dans les cas chroniques (Gunsser). Partout l'on constate l'h
envahis par les nodules et les infiltrations. Quelquefois dans les cas aigus, il y a aussi de petites hémorragies. La
la substance nerveuse reste localisée, en général, mais, dans le cas de Gunsser, on a vu se développer la dégénérescen
quelques nodules qui nous révèlent la nature du processus. Dans les cas que nous allons mentionner, on n'a pu jusqu'à 1
uberculose nodulaire de la moelle se présente, en général, dans les cas aigus, sous les symptômes d'une myélite aiguë.
dans les cas aigus, sous les symptômes d'une myélite aiguë. Dans un cas chronique (cas de Gunsser), elle s'est présenté
gus, sous les symptômes d'une myélite aiguë. Dans un cas chronique ( cas de Gunsser), elle s'est présentée sous les symp
ée sous les symptômes d'une tumeur de la moelle à marche lente. Les cas subaigus seule- ment se ressemblent au point de
es, ainsi que celles qui surviennent après le mal de Pott. Dans les cas suraigus (le cas de Raymond, par exemple), le d
les qui surviennent après le mal de Pott. Dans les cas suraigus (le cas de Raymond, par exemple), le diagnostic d'une m
tance au point de vue du diagnostic. Ce qui nous frappe dans ces cas de myélites, c'est la variabilité de quelques sym
ous expliquent suffisamment pourquoi, d'une part, 1 De même dans le cas de Goldscheider. Voir Ueber 1lIyelomeningitis c
Berl. kl. Wochenschr., 1891, 88). On sait qu'au contraire, dans les cas de tubercules solitaires, on a pu colorer les b
part, pourquoi il est si-variable. Nous mentionnons ci-dessus les cas de tuberculose de la moelle, qui appartiennent
le, qui appartiennent à la forme nodulaire. Nous ajoutons encore le cas de Hutinel ' (1874) et celui de Froisier 2. Dans
de Hutinel ' (1874) et celui de Froisier 2. Dans ces deux derniers cas , il s'agissait bien de tuberculose nodulaire de
qu'on soit autorisé à supposer qu'il s'agissait, même dans ces deux cas , de tuberculose de la moelle. Nous hésitons à
de la moelle. Nous hésitons à penser, avec Hutinel, que dans son cas , les lésions trouvées sur les méninges explique
nges expliquent suffisamment tous les symptômes cliniques. Les deux cas dont il est question sont, au point de vue clin
ulaires de la tuberculose de la moelle doit être encore augmenté du cas chronique décrit par Gunsser. Ainsi, la tubercu
peut être aiguë, subaiguë et même chronique. Nous connaissons les cas de transition entre les cas aigus (Raymond, Liouv
et même chronique. Nous connaissons les cas de transition entre les cas aigus (Raymond, Liouville) et le cas chronique
es cas de transition entre les cas aigus (Raymond, Liouville) et le cas chronique de Gunsser. Cette transition est formée
et le cas chronique de Gunsser. Cette transition est formée par les cas de Froisier, Hutinel, Voisenet, Rendu, et par cel
re l'examen microscopique de la moelle, non seulement dans tous les cas de tuberculose des méninges spinales et de ceux
sera plus satisfaisante qu'elle ne l'a été jus- qu'à présent. Les cas de tuberculose nodulaire de la moelle épinière, d
ulaire de la moelle épinière, dont nous ne citons in extenso que le cas de Gunsser, sont les sui- vants : Trois cas de
itons in extenso que le cas de Gunsser, sont les sui- vants : Trois cas de Liouville (voir Soc. de biologie), p. 3r7, 1
3r7, 1869; Thèse de Châtaufort, p. Il et Raymond, loc. cit.). Un cas de Voisenet (service de M. Hutinel, Thèse de Pari
hàtaufort, loc. cit. LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE EPINIÈRE. 199 Un cas de Raymond (loc. cit.) et un cas de Rendu (loc. c
LOSE DE LA MOELLE EPINIÈRE. 199 Un cas de Raymond (loc. cit.) et un cas de Rendu (loc. cit.). Gunsser (loc. cit.), 1890
cas de Rendu (loc. cit.). Gunsser (loc. cit.), 1890, communique le cas suivant : Un mécanicien, âgé de quarante-trois
ion en foyer. L'histoire antérieure de la malade éclaire ce que son cas peut avoir de singulier ; nous avons vu en effe
é, nous ont paru assez intéressants pour mériter d'être ajoutés aux cas analogues déjà connus de psychoses PSYCHOSES DE
ues est la forme hallucinatoire qu'a revêtu le délire dans les deux cas . Si nous nous en rapportons aux faits connus, n
une preuve nouvelle de ce fait qu'un vieillard pourra dans certains cas délirer de la même façon qu'un adulte. On con
rant de porter un pronostic grave ; cela est justifié dans bien des cas , disons même dans la majorité ; mais il ne faut p
a Gironde qu'ailleurs, car les alcools y sont purs, il n'y a pas de cas d'intoxication alcoolique chez nos dégusta- teu
our une seule année, a recueilli lui-même une cin- quantaine de ces cas ; M. Monod a pu en réunir 271 et natu- rellement
oumise aux règles ordinaires de la médecine légale des aliénés. Les cas relatifs à la capacité y sont peut-être plus nom-
hez des vieillards sans antécédents personnels ou héréditaires. Ces cas étaient caractérisés par des hallucinations vis
procession lugubre, costumes et postures indécentes. Dans un autre cas , un fils est accusé de propos, de tentations obsc
la désirent pour échapper à leurs pénibles hallucinations. Tous les cas que j'ai observés se sont terminés par la mort.
u non perçue. L'hyperthyroïdation ferait à la rigueur comprendre le cas insidieux de goitre exophtal- mique, avec sa tr
sa triade classique; mais elle permet difficilement d'expliquer les cas suraigus après une émotion vive, un mouvement d
aute portée que la clinique a pu corroborer dans un petit nombre de cas . Quand le tabes, qui a une marche ascendante, a
que l'urgence de l'opération n'est jamais immédiate, en dehors des cas de grande compression ou de cachexie imminente.
s n'avons point à nous étendre, compte aussi ses succès et, en tout cas , la cachexie ne survient, au pis aller, qu'une
que de les employer contre le crétinisme goitreux, et le nombre des cas heureux fut tel qu'on y vit un encouragement à
e pure, on n'eut pas de peine à mettre au jour un certain nombre de cas dans lesquels l'administration du suc thyroïdie
old, Beclère, Bogrof. Ce der- nier auteur aurait obtenu, dans douze cas de goitre exophtal- mique, des améliorations to
s que provoque l'in- gestion du corps thyroïde chez l'homme dans le cas de myxoedème. « La greffe, que nous avons prati
y ait une exophtalmie vraie, bien qu'elle aitparu exister dans deux cas et qu'elle aitétére- levée par un observateur n
éfaction très nette des lobes du thyroïde, tuméfaction qui, dans un cas , atteignait le volume d'une mandarine, véritabl
yperlhyroïdisation expérimentale, pourrait expliquer aussi certains cas cliniques où l'on a vu les symptômes du myxoedème
de la maladie de Basedow. Elle expliquerait aussi comment, dans ces cas , certains symptômes relevant non plus d'une hyp
neutralisée : c'est la condition pathogénique du myxoedème. Dans le cas d'hyperthyroï- disation, il y a au contraire ex
aits thérapeutiques ne sont pas plus démons- tratifs. Dans certains cas la maladie parait avoir été aggravée par l'extr
parait avoir été aggravée par l'extrait thyroïdien, mais il y a des cas où elle a été améliorée par le même traitement.
maux formés par la glande thyroïde altérée. Il conviendrait en tout cas d'entreprendre l'étude systématique des extrait
extrait s'est montrée plus intense et plus cons- tante. Dans deux cas de greffe, celle-ci s'est résorbée. On a procédé
est résorbée. On a procédé par ingestion sur six chiens. Dans aucun cas , même après intoxication prolongée (800 lobes e
s provoqué la mort. Ce fait est en contradiction apparente avec les cas où chez l'homme on a provoqué par ingestion en
, on a pratiqué des injections sous-cutanées. Dans presque tous les cas , le tableau symptomatique était ana- SOCIÉTÉS S
ndre l'efficacité du traitement par le suc thyroïdien dans certains cas de maladie de Basedow à la période secondaire d
ique non neutralisée dans l'organisme : c'est le myxoedème. Dans le cas d'hyperthyroï- disation, au contraire, il y a p
l'hypothyroïdisation que pour l'hyperthyroïdisation. Il faut en ce cas mettre une sourdine aux théories : encore une f
lé de le faire, bien qu'il eût utilisé le thymus de mouton dans son cas . Les résultats de ce traitement ont été faibles
a encore maigri de 3 kilogrammes. M. Régis communique un nouveau cas de myxoedème infantile notablement amélioré par
ement thyroïdien. J'ai insisté particulièrement, à l'occasion de ce cas , sur deux points : d'une part, sur l'activité ext
s-de-Béarn). -Je crois devoir appeler l'attention du Congrès sur un cas clinique que j'ai observé récem- ment. 11 s'agi
sont favorables à cette doctrine. Un des plus formels est tiré des cas où il se produit ce qu'on a désigné sous le nom
lepsie qu'il n'avait point éprouvées jusque- là, et inversement les cas dans lesquels des attaques d'épilepsie convulsi
ous deux sont atteints de la même maladie ? Peut-on, dans le second cas , ne pas porter le diagnostic d'épilepsie avant
nettement le trouble morbide auquel elle se rattache. Dans quelques cas cependant, le malade a une notion assez obs- cu
nte dans la mémoire et ne se sont point effacées. Il est d'autres cas où le souvenir, également assez vague, ne s'exe
e est tout à fait rare; le souvenir des crises persiste et, en tout cas , leur manière d'être, dans l'intervalle des crise
é et il doit être traité comme tel. La lâche du médecin en pareil cas n'en est pas moins très déli- 246 SOCIÉTÉS SAVA
esponsabilité est acquise; cela peut même se pioduire dans quelques cas où il n'y a point inconscience des acles. En de
, il croit qu'il faut faire intervenir dans un très grand nombre de cas la dégénérescence mentale. M. Voisin rapporte
dant un temps plus ou moins long en état de délire; dans ce dernier cas , le souvenir fait défaut. M. Jules Voisin abord
e compte, la marche de la maladie est bien différente dans les deux cas . Quant à la responsabilité des épileptiques, il
coup. On a affaire à la simulation', et l'orateur en cite plusieurs cas . Il y a de véritables artistes en la matière, m
é- ' L'un des meilleurs moyens de découvrir la simulation, dans ces cas , c'est de prendre la température rectale, à la
'acte et de ses carac- tères peut donc seule éclairer dans certains cas le légiste. D'ailleurs, soit sous forme de conc
s diverses dont elle peut êlre le facteur déterminant dans certains cas , mais non constamment. M. Charpentier appelle l
sure sa qualité d'épileptique. M. Tissié (de Bordeaux) apporte un cas nouveau d'épilepsie observé sur un jeune homme
le propre de l'épilepsie est l'abolition de la volonlé. Or, dans le cas de M. Tissié, la volonté parait jouer un certai
on précédente où le malade a pu refréner ses attaques dans certains cas , cite un malade qui, par un effort volontaire,
de la fatalité du mal sacré. Il. Laroussime rappelle à son tour les cas d'attaque avortant par SOCIÉTÉS SAVANTES. 249
ite beaucoup à admettre le qualificatif larvée ajouté dans certains cas à l'épilepsie. Par exemple, les malades atteint
observe quelquefois comme seul symptôme (M. Pitres en rapporte deux cas ); 2° Le besoin psychique de la marche se rencon
xemples ont été fournis par Proust, Raymond, etc. Dans ces derniers cas , les malades sont en état second, ne se souvien
médiatement ils partent. c) Impulsifs épileptiques. - Dans tous les cas d'impulsion épilep- tique, il existe bien des p
d'impulsion épilep- tique, il existe bien des points inconnus. Les cas publiés jusqu'ici prêtent le flanc à la critiqu
sont réfractaires absolument à l'hypnose. M. Doutrebente cite un cas très typique de fugue chez un épilep- tique. Il
ntion. M. Tissié cite à l'appui de la communication de M. Pitres le cas d'une jeune malade qui cherche la fatigue sans
qui se forment avec une rapidité plus ou moins variable suivant les cas et entraînent mécaniquement la mort (obstructio
endymaires. La diminution de poids du cerveau peut manquer dans les cas récents ou être masquée par l'oedème cérébral,
tre masquée par l'oedème cérébral, mais elle ne manque pas dans les cas anciens. Les lésions des méninges sont parfois
s. Les lésions des méninges sont parfois bien peu accusées dans les cas récents; en outre, elles peuvent être rencontré
De même pour l'atrophie de l'écorce qui peut faire défaut dans les cas récents ou être masquée par l'oedème. Les granula
e important de la syphilis que l'auteur a relevé dans la moitié des cas . Mais il y a d'autres causes que la syphilis. P
vue clinique, symptômes de lésions en foyer (l'auteur a observé un cas d'atro- phie de la substance blanche du lobe oc
raux, la karyokinèse dans les éléments de la névro- glie. Dans deux cas aigus, ils ont observé une dégénérescence des c
la disparition des fibres à myéline, qui se rencontre même dans les cas récents de paralysie générale. On l'a signalée
ant à la syphilis; celle-ci se rencontre dans plus de la moitié des cas . On ne peut pas dire que les lésions vasculaire
armi les formes qui simulent la paralysie générale, il a observé un cas de folie alcoolique et un - cas de névrite alco
paralysie générale, il a observé un cas de folie alcoolique et un - cas de névrite alcoolique. « M. nIENDEL. - Dans bie
et un - cas de névrite alcoolique. « M. nIENDEL. - Dans bien des cas on peut distinguer 12s symp- tômes provoqués pa
ent. L'hérédité a été observée (artério-sclérose, apoplexie). Douze cas ont été étudiés. SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 Les p
lation, d'anxiété, accompagnés de troubles circula- toires. Dans un cas , le début a été subit, signalé par un ictus apo
ulière, le pouvoir de raisonner dont ils font preuve. Dans quelques cas on constate un état de démence apathique, une a
pupillaires, de l'embarras de la parole. Dans plus de la moitié des cas il y a de l'hémiparésie. A l'autopsie : arlér
arésie des membres inférieurs. M. Jor.r.Y rapproche également ces cas de la démence sénile, 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. .
erdiction, d'après le projet en question, pourra être prononcée, en cas de maladie mentale, quand le malade, par suite
» L'interdic- tion, dit le projet de loi, pourra êlre prononcée en cas d'habitudes d'ivrognerie, si le buveur est deve
basée sur quarante observations de malades guéris. Il a éliminé les cas d'origine toxique (alcool, morphine, cocaïne, p
ous les malades; des troubles sensoriels visuels dans la moitié des cas ; des troubles de la sensibilité générale dans u
travail n'est pas basé sur des faits excep- tionnels. mais sur des cas absolument classiques; d'ailleurs tous les cas
onnels. mais sur des cas absolument classiques; d'ailleurs tous les cas de tabes et de paralysie générale, isolés ou unis
capillaires sont relativement moins atteints que dans beau- coup de cas de paralysie cérébrale. Les fibres à myéline so
st difficile de savoir si elle est plus ancienne que dans ces trois cas ; la dégénérescence qui a suivi l'arrêt dans la
énérale, et l'absence de lésions des cordons postérieurs donnent au cas actuel une ressem- blance frappante avec une ob
isseaux de l'écorce cérébrale , décrite par M. Magnan dans quelques cas de paralysie générale, bien que sa nature soit
ysie générale. Quant à la cause de l'abolition des réflexes dans le cas actuel, il est certain qu'elle ne doit être rap
n'a pu être déterminée, ainsi qu'il arrive le plus souvent dans ces cas ; il est probable qu'il s'est agi de phénomènes co
grand nombre de leurs fibres dégénérées. En résumé, il s'agit d'un cas de tabès ancien, très régulier et très classiqu
gique. - Les lésions sont très exactement com- parables à celles du cas précédent, quoiqu'un peu moins intenses. Les co
erve la double dégénérescence tabétique habituelle. Comme dans le cas précédent, les coupes colorées à l'hémato- xyli
ne à la pie-mère participent à cette alté- ration et, comme dans le cas précédent, donnent à première vue J'impression
titielle et d'une péri-radiculite beaucoup plus intense que dans le cas précédent. Il n'existe d'ailleurs aucune lésion d
édullaires proprement dits sont beaucoup plus infiltrés que dans le cas précédent; cette lésion n'est pas limitée aux c
présente les mêmes lésions que celles qui ont été décrites dans le cas précédent, mais moins marquées. Les grosses e
de la main sont sains ou à peu près. Les mêmes raisons que dans le cas précédent nous autori- sent à admettre qu'ici e
uppurative, leur prédilection pour les parois des veines font de ce cas la répétition exacte du précédent. . Observat
sence d'antécédents connus qu'elle est d'une autre nature ? En tout cas , il est certain qu'elle tait partie . Fig. IJ.
ntrent que la méningo- myélite est plutôt la règle et dans tous les cas de paralysie générale. pure z cas) ou compliqué
plutôt la règle et dans tous les cas de paralysie générale. pure z cas ) ou compliquée de tabes (6 cas) que nous avons
es cas de paralysie générale. pure z cas) ou compliquée de tabes (6 cas ) que nous avons eu l'occasion d'étudier, nous l
ennes et récentes ; l'impression que nous a laissée l'étude de neuf cas de tabes, dont trois non compliqués de paralysi
stance médullaire elle-même sont plus ou moins atteints suivant les cas ; tantôt cette lésion vasculaire, qu'il faut bien
toire de notre maître M. le professeur Raymond, les pièoes de trois cas de syphilis spinale dont l'un, myélite chronique
n du processus que nous venons de décrire (F. Raymond, Sur quelques cas d'atro- phie musculaire à marche progressive ch
t de même nature, au point de vue histologique. dans ces différents cas , et elles ne sont que l'expression atténuée de
qualifier cette lésion de vasculaire ou de conjonctive suivant les cas , sans mécon- naitre en rien l'atteinte portée à
tte lésion semble encore caractérisée par son allure. Dans tous les cas observés nous l'avons trouvée à des degrés vari
s- aussi dire que notre démonstration se fonde uniquement sur des cas où la paralysie générale avait précédé le tabes.
ous sommes livré il résulte que l'on peut rencontrer, dans d'autres cas que ceux que nous avons- en vue, quelques éléme
oujours rencontré dans le tabes et la paralysie générale. Dans un cas de méningite tuberculeuse de la moelle, la ress
s anciennes et guéries. Il est inutile d'ajouter que, dans tous nos cas , l'infiltration par des cellules absolument ron
N.-Y., Med. J., janvier or) a fort bien étudié cette lésion dans un cas de tabes et a émis l'hypothèse qu'elle pouvait
na- tomiques et cliniques considérables. La preuve en est dans le cas décrit par Westphal d'une myélite transverse diff
hie générale de la moelle, atrophie poussée très loin dans certains cas ; de plus, elle est susceptible de détruire cert
puisse affir- mer qu'une cause unique lui donne naissance ; en tout cas il est certain, de par la clinique, que dans la
est certain, de par la clinique, que dans la grande majorité des cas c'est de la syphilis qu'il relève. REVUE DE PAT
après celle-ci se maintenait. , Le diagnostic et Je pronostic de ce cas ont présenté des difficul- tés. Fallait-il incr
aumatisme; on observe des vomissements (qui ont fait défaut dans le cas en ques- tion) ; les convulsions sont rares; en
a commotion cérébrale ou à la compression ? 2 P. SÉRIEUX. XII. UN cas d'acromégalie ; par le Dr BRISSAUD. (Revue neur
par le Dr BRISSAUD. (Revue neurologique, 1893.) Observation d'un cas d'acromégalie conforme au type de la des- 308 R
NERVEUSE. cription de Marie, en ce qui concerne les extrémités. Ce cas réalise la plupart des caractères permettant le
complication est rare puisque les auteurs n'ont pu en réunir que 21 cas parmi lesquels on peut distinguer plusieurs var
norrhagie aiguë. Il se demanda s'il n'y avait pas eu, dans ces deux cas , un rapport de cause à effet entre la blennorrh
a Société de Neurologie de Moscou, M. Tambourer vient de relater le cas d'un homme de vingt-cinq ans qui, dans le cours
août 1894.) L'intéressante observation publiée par l'auteur est un cas de polynévrite à rechutes très espacées chez un
Le pronostic des polynévrites doit être réservé. En effet, dans le cas de M. Targowla comme dans les deux observations
régime tonique et le traitement électrique. E. B. XVII. SUR deux cas familiaux D'UÉnÉDo-ATAXIE cérébelleuse ; par M.
. (Revue neurologique, sept. 1894.) L'auteur rapporte deux nouveaux cas familiaux d'hérédo-ataxie cérébelleuse, cas qui
rapporte deux nouveaux cas familiaux d'hérédo-ataxie cérébelleuse, cas qui se rapprochent beaucoup de celui qu'il a déjà
de l'atrophie du cervelet, l'organe de l'équilibration, et dans un cas seulement une atrophie de la moelle sans lésion
épidémie d'influenza dans un asile, l'auteur a pu recueillir quatre cas de névrite périphérique immédiatement consécutive
L'étude critique des malades et des lésions montre qu'il s'agit de cas non classés, nec plura. P. KERAVAL. XXI. CONTRI
ssaire dans la production de l'ataxie locomotrice; 5° dans certains cas , la résec- tion de l'articulation malade peut ê
(The New-York Médical Journal, 28 juillet 1894.) Observation d'un cas de myxoedème datant de cinq ans et sur- venu ch
NSON. (The New-York Médical humai, 5 mai 1894.) L'observation de ce cas intéressant peut se résumer ainsi : Homme de so
latérale du NERF facial; par le Dr 1<foNaoosnao. Dans un premier cas , la diplégie faciale paraît avoir eu une ori- g
néral accompagné d'un traitement local de la paralysie. Le second cas a trait à une paralysie bilatérale complète du fa
un exemple d'une variété rare de paralysie alterne : il s'agit d'un cas d'hémiplégie droite, coexistant avec une paraly
re, car la littérature médicale n'en renferme qu'un petit nombre de cas . De l'observation intéressante qu'il en a recue
De l'observation intéressante qu'il en a recueillie et des quelques cas publiés, l'auteur tire les conclusions suivantes
e corticale, ? (Revue neurologique, mars 1895.) E. B. - XXXII. UN cas d'abcès DE la MOELLE ; par le professeur HoncEN.
s aux trau- matismes, la littérature médicale ne contient que trois cas certains d'abcès de la moelle, en dehors du cas
contient que trois cas certains d'abcès de la moelle, en dehors du cas très intéressant décrit par l'auteur. - * ' '
ichorée et hémia- théthose ; b. chorées généralisées, dans certains cas de lésions éten- dues du cerveau, par exemple d
de Charcot. Les considérations cliniques et anatomiques tirées des cas de Krafft Ebing et de Strumpell ainsi que de ce
irées des cas de Krafft Ebing et de Strumpell ainsi que de ces deux cas conduisent à admettre l'existence d'une maladie
cause de cette sclérose systématique, il est permis, dans certains cas , de songer à une influence toxique ou infectieuse
pathogé- nique de la syphilis ne suffit pas à l'interprétation des cas héré- ditaires et familiaux : il semble dans ce
rprétation des cas héré- ditaires et familiaux : il semble dans ces cas indispensable de faire intervenir la fragilité
e. (Revue neurologique, janvier 1895.) E. B. XXXV. Observation D'UN cas DE dualité cérébrale ; . par Lewis BRUCE. (Brai
ème nerveux. Nous ne pouvons entrer ici dans le détail des nombreux cas rapportés dans ce long travail. Le sujet est in
(Brain, part. LXVII, 1894, p. 481.) L'auteur, s'appuyant sur neuf cas de lésions localisées à des niveaux différents
ammes donnés par les auteurs pour lès zones anes- thésiées dans des cas analogues, un diagramme schématique des zones c
omènes rares du côté . DU SYSTÈME NERVEUX; par le D'' HARVEY. - , Cas d'hystéro-traumatisme chez un garçon de quatorze
l'hôpital. (Amerio. Journ. of insanity, oct. 1894.) E. BLIN. XXXIX. Cas DE SCLÉROSE latérale AMYOTROPHIQOE AVEC dégénéres
t spasmodique et en même temps atrophie progressive des muscles. Ce cas viendrait donc à l'appui de l'opinion de Leyden
XIÈME SESSION : BORDEAUX. Appendice ci la séance du 3 août. Trois cas d'idiotie myæoedimateuse, traités par l'ingestion
ïdienne. M. BOURNEVILLE (de Paris) fait une communication sur trois cas types d'idiotie myxoedémateuse, c'est-à-dire pr
à l'action du corps thyroïde, tandis que les sujets dgés, dans les cas de M. Bourneville, paraissent avoir été surtout
urtout influencés. M. Bourneville répond qu'il n'a étudié que trois cas concernant un garçon de trente ans, une fille d
ère ainsi que le trai- tement bien plus délicat. Dans la moitié des cas , la mort survient par cachexie ou tuberculose.
ntinue et progressive. Guérison rare. M. Régis a remarqué plusieurs cas de ce genre qu'il se proposait de réunir sous l
'augmentation de ses seins. M. Régis, tout en reconnaissant que ces cas sont graves, ne considère pas le pronostic aussi
sombre que l'admet M. Sollier. M. Charpentier croit voir dans ces cas l'anorexie des hypocon- driaques décrite par le
nt montré que la mélancolie anxieuse peut être infectieuse (dans un cas grippale) et due à la localisation dans les cel
te cervicale hypertrophique décrite par Charcot et Joffroy. Dans ce cas , les cavités développées dans la substance gris
éterminer des cavités .syringomyéliques secondaires. Mais, dans ces cas , aux symptômes cliniques de la syringomyélie s'
commun avec la cavité syringomyélique, ainsi que le démontrent les cas dans les- quels on n'observe que de la gliose,
la gliose, sans cavité, des cornes posté- rieures, et également des cas très nombreux où il y a participation du trijum
es de dissociation dite syringomyélique de la sensibilité. Dans les cas de syringomyélie gliomateuse, c'est la gliose d
es tumeurs d'ordres divers, dans la pachyméningite dont plusieurs cas ont été rapportés, il y a plus de vingt ans, par
ents intra-médullaires sont atteints. Au contraire, dans les autres cas que j'ai énumérés l'anesthésie occupe le côté opp
ul Garnier pour la période quinquennale 1886 à 1890 en a relevé 255 cas à Paris ; M. H. Monod pour la même période en a
255 cas à Paris ; M. H. Monod pour la même période en a relevé 271 cas en province. Dans la grande majo- rité des cas
iode en a relevé 271 cas en province. Dans la grande majo- rité des cas ces condamnations sont prononcées par les tribu-
r la revision des procès criminels et correctionnels, mais, en tout cas , ce qui vient d'être fait à Rouen pourrait être g
it effacée par l'appel, ce qui parait possible dans la majorité des cas . » M. DOOTREBE1VTE croit que l'excellente mesur
une selle au moins, souvent deux, quelquefois trois ; 3" dans aucun cas elle n'a été suivie de vomissements. Ces résultat
et rappelés avant-hier par M. Bourneville. En rapprochant ces deux cas de l'observation de maladie de Base- dow traité
le diagnostic et le pronostic. M. Rooatrtovtxca (de Paris). Sur un cas de démence juvénile avec athétose double. Les o
ciale une place déterminée parmi les autres troubles mo- teurs, des cas intéressants ont été publiés en Angleterre par Go
dérément et également prononcés des deux côtés du corps. Tel est le cas . Au point de vue mental, le diagnostic de « dém
s rapides. Mais ce qui constitue en somme la particularité de notre cas , c'est l'appa- rition de l'athétose double tout
excitation, de l'amnésie, du délire comme j'en ai eu notam- ment un cas ayant duré vingt-quatre heures. D'autres malades
par section comme cela se fait en Suisse. Il propose enfin, dans le cas où la spécialisation du nouvel asile serait rejet
âpreté passionnelle, parfois jusqu'au meurtre. Et dans l'espèce des cas auxquels il est fait allusion n'intervient poin
saurait être rapportée ici. Il les fait suivre de la relation d'un cas similaire, publié en 1841, dans les Annales méd
sur un ou quelques points seulement du délire), ou totale, dans ce cas , tout est nié : conceptions délirantes, hallucina
de l'existence ou de la non-existence du mensonge. Dans beaucoup de cas , plusieurs mois sont nécessaires au médecin exp
ade, soit ce qu'il écrit en dehors de ses lettres, quand ce dernier cas se présente. On ne saurait trop encourager ces
ial ou sa sortie. Le médecin traitant pourrait être entendu, et, en cas de dissentiment entre son confrère et lui, un d
'autres questions de médecine légale. M. BnnNnïs (de Bayonne). Un cas d'alhétose double débutant Archives, t. XXX. 22
tiplicité même des faits qui ont pu présider à sa genèse rendent ce cas encore plus embarrassant. L'hypnotisation a été
ÉS SAVANTES. '. 339 troubles oculaires a été signalée dans tous les cas où elle a été recherchée jusqu'à présent. M.
a probablement lieu de rattacher à l'hystérie et de rapprocher des cas rapportés par - Déjerine et Vialet (neurasthéni
ndéfiniment continué. - M. CHABBERT (de Bagnères-de-Bigorre.) Trois cas de chromi- drose jaune chez trois membres d'une
ans la méningo-encéphalite diffuse. On l'observe dans 50 p. 100 des cas . M. A. REGNLER (de Paris). Traitement du goitre
dans la toxicité des urines. M. DUBREUILH (de Bordeaux), cite « un cas d'accidents hystéri- 340 « SOCIÉTÉS SAVANTES. :
« SOCIÉTÉS SAVANTES. : formes dans la paralysie générale ». C'est un cas assez rare d'asso- ciation de la paralysie géné
par l'hystérie. M. Piéchaud (de Bordeaux) cite à son tour quelques cas chirttrgi- - caztx chez les aliénés. Il apporte
icales. Les aliénés supportent très bien les opérations; il y a des cas d'aliénation à la suite d'opérations chirurgicale
Duchenne). Et pour le démontrer l'auteur ne s'appuiera pas sur les cas anciens qui pourraient être suspects, il publie
(page 144), les lésions constatées dans la substance blanche de nos cas de polyomyélite antérieure chronique et subaigu
une manie provenant de l'état des instruments physiques ». Dans ces cas exceptionnels, les fous échappaient au supplice ;
des deux fois par semaine; il lui est recommandé de consulter, en cas de besoin, le Collège médical; il lui appartient
s rapports de celle des établissements destinés au trai- tement des cas récents... enfin c'est aussi dans le but d'ap-
t à rendre insuffisants, et les établissements récents réservés aux cas aigus, et les anciens asiles transformés en hos
ques, la même direction médicale et servant l'un d'hôpital pour les cas aigus, l'autre d'hospice pour les chroniques. L
ôpital urbain destiné à admettre le plus promptement possible les cas aigus; 2" une colonie agricole pour les aliénés c
pour les aliénés infirmes. L'hôpital de séjour transitoire pour les cas aigus devait, d'après Griesinger, être situé au
serviraient de bureau d'admission, d'hôpital de traitement, et, le cas échéant, de clinique de psychiatrie. Les autres
dissous. (Revue neu- rologique, oct. 1894.) E. B. Il. Note SUR un cas DE L.aII\ECT03f1E POUR paraplégie congénitale;
romures retardent l'apparition des crises, mais dans la plupart des cas font plus de mal que de bien; 4° En cas d'agita
mais dans la plupart des cas font plus de mal que de bien; 4° En cas d'agitation maniaque, l'isolement peut être néces
ussi complète qu'intéressante, l'au- teur passe en revue les divers cas d'intervenlion chirurgicale dans les aliénation
a trépanation ? Les opérations ont été surtout préconisées dans les cas de folie traumatique ou de pression intracrânie
la chirurgie cérébrale chez les aliénés, on peut toujours, dans les cas désespérés, tenter une opération qui, bien prat
il reste à savoir si l'opération présente quelque utililé. Dans le cas de traumatisme récent, avec délire consécutif, el
et après mûres réflexions. Sur la question de l'opération dans le cas de pression intracrâ- nienne, l'accord est loin
influence sédative est incontes- table dans l'immense majorité des cas , elle est malheureusement éphémère et ne se ret
ogiques, mai 189b.) E. B. X. LES paralysies faciales OTITIQUES : UN cas traité par résection DES PAROIS DU CANAL DE P.1
e diminution marquée de la paralysie. A propos de la relation de ce cas , MM. Chi- pault et Daleine donnent une descript
ces points corticaux est bien connu : il sera donc facile, dans un cas donné, de les mettre à découvert et d'introduir
touri puis le doigt jusqu'à la région cherchée; et de fait, dans le cas présent, trois incisions faites s'étaient renco
s eut pu être évacué. (Revue neurologique, mars 1895.) E. B. XII. Cas DE MYXOEDÈME traité avec succès par l'extrait thy
entra à l'hôpital, il présentait l'ap- parence caractéristique d'un cas avancé de my aoedème. Un premier mode de traite
ursive type à propos de laquelle l'auteur, P. Hoisholt, rappelle le cas de Bodius (1649) et ceux de Bourneville et Bric
eil de la circulation : aussi constitue-t-il un bon médi- cament en cas d'angoisse cardiaque, d'insomnie asystolique. Che
ables paralysies généralement passagères. Dans un certain nombre de cas , les symptômes rétrocèdent en totalité ou en gr
la clinique de la faculté de médecine de Vienne. Les deux premiers cas pré- sentent comme signes particuliers : le jeu
'apparition des signes paralyti- ques était différent dans les deux cas . Dans le second les troubles fonctionnels des n
es si bien décrit par Goldflam se retrouvait surtout dans le second cas . Chaque muscle qui se con- tractait plusieurs f
à une amélioration qui dure jusqu'au- jourd'hui. Dans le quatrième cas il s'agit d'une malade un peu ner- veuse qui pr
és est assourdie, moins claire que dans les endroits sains. Dans un cas de maladie de 1\Iénière, il y avait complète ob
a deux formes : une forme subaiguu et une forme chronique. En tout cas il ne s'agit pas du tout de la prolifération du
sur 830 autopsies, dont 656 hommes el 174 femmes. Kroemer, sur 196 cas , n'en a trouvé que 30 avec diminution de poids
alotte crânienne. -L'auteur l'a trouvée augmentée de poids dans 192 cas (140 hommes, 52 femmes), ce qui donne un total
de 21,3 p. 100. Une diminution de poids n'a été trouvée que dans 28 cas , ce qui donne une pro- portion de 3,3 p. 100. L
oe a été examiné chez 31G sujets. Il était bien déve- loppé dans 78 cas , complètement disparu dans 43 cas, ce qui indiq
Il était bien déve- loppé dans 78 cas, complètement disparu dans 43 cas , ce qui indiquerait que le diploe n'est normal
ce qui indiquerait que le diploe n'est normal que dans le quart des cas . Pour les sutures, les résultats se rapprochent
tures, les résultats se rapprochent de ceux de Kroemer qui, sur 104 cas , les constata complètement disparues dans 27,8
parues dans 27,8 p. 100 et partiellement dans 35,5 p. 100. Dans 110 cas on trouva des exosloses. La dure-mère ne prés
ne présenta des modifications macroscopiques que dans la moitié des cas . La plus importante est la pachyméningite inter
ommes. La méningite chronique simple existait dans 85,9 p. 100- des cas . La lept01¡léningite purulente donne une propor
sées des méninges à l'écorce furent trou= vées dans 26,6 p. 100 des cas ; les adhérences localisées dans 14,9 p. 100. La
p. 100 390 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. des cas . Il était normal dans 23,6 p. 100 des cas; moyenn
OLOGIE PATHOLOGIQUES. des cas. Il était normal dans 23,6 p. 100 des cas ; moyennement granulé dans 20,3 p. 100; très gra
ion de 14,3 p. 100. Des lésions localisées ont été trouvées dans 70 cas dont 54 hommes et 16 femmes, dans une proportio
travail de Reinhard qui trouva une dégénérescence grise dans cinq cas . La dégénérescence et l'atrophie du nerf optique
ue sont une lésion relativement fréquente, Kaes l'a trouvée dans 41 cas dont36hommes et 5 femmes. La dégénérescence et
ce et l'atrophie du moteur oculaire cranien ont été trouvées dans 8 cas . L'atrophie du nerf acoustique dans 3 cas. Le
n ont été trouvées dans 8 cas. L'atrophie du nerf acoustique dans 3 cas . Les méninges rachidiennes ont été trouvées mod
les épaississe- ments des méninges existèrent dans 25,7 p. 100 des cas , la lepto- méningite spinale purulente dans 0,7
méningite spinale purulente dans 0,7 p. 100. Hématomyélie dans 1 cas , dilatation du canal central chez 3 hommes. ' P
est suffisante et que le tonus vasculaire se maintient : tel est le cas pendant l'état de veille ou d'activité intellec
nerf qui aboutit à cette partie ou à cette extrémité : 8° Dans les cas de non-fonctionnement prolongé ou d'impotence a
al, 20 janvier 1894.) , L'auteur rapporte l'observation de quatre cas intéressants et présentant entre eux des analog
ès longtemps après le traumatisme (plus de deux ans dans l'un des cas ) et qu'une amélioration un peu nette n'a commencé
eu recours à une traction sur la colonne vertébrale. Dans tous les cas les malades'se sont trouvés mieux pendant l'élo
leurs membres, et leur sensibilité était moins obtuse. Dans un des cas rapportés le malade ne pouvait; vider son intesti
XXXIX. ETUDE SUR la dégénérescence DES CELLULES NERVEUSES dans UN cas d'atrophie cérébrale localisée; par le Dr PROUT.
dirige en montant, par exemple, vers les colonnes de Clarke. Tel ce cas de tumeur de la base du cerveau caractérisé en
ames SHAW, (bain, part. LX1X, 1895, p. 74.) L'auteur examine trente cas observés par lui de 1879 à 1880, , REVUE DE PAT
eur estime avec raison que l'état de la pupille peut, dans certains cas , donner des indications précieuses pour le diagno
atistiques régionales indiquent plutôt une diminution du nombre des cas . Les statis- tiques ne sont pas faciles. La com
s. Les statis- tiques ne sont pas faciles. La comparaison entre les cas anciens et récents ne peut porter que sur un pe
iculté du diagnostic au début et du décès dans une bonne partie des cas , tout au commencement de l'affec- tion. On est
98 entrées d'Arabes de 1860 à 1890 il n'y eut jusqu'en 1877 au- cun cas de paralysie générale. De 1877, sur 253 admission
, sur 253 admissions il y eut REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 403 13 cas , soit une proportion de 5,13 p. 100. Il s'agissai
13 cas, soit une proportion de 5,13 p. 100. Il s'agissait dans ces cas de malades qui avaient changé leurs occupations h
. Comme l'apparition de la paralysie générale, dans la majorité des cas , a lieu cinq à quinze ans après l'infection syp
catholique alors que de nombreuses recherches sur la proportion des cas de paralysie générale chez les officiers par ra
, particulièrement fré- quent à Macassar. Il s'en produit un à deux cas par mois, qui coûtent la vie à une quinzaine de
L'étiologie n'est guère connue; on accuse les abus d'opium. En tout cas cette maladie n'a été observée que chez les hom
aques congestives; celles-ci ont été observées dans 59,33 p. 100 de cas chez l'homme et 60,38 p. 100 des femmes. P. K.
prouvée. Il faut limiter 'l'usage de l'alcool en thérapeutique aux cas dans lesquels son action physiologique peut êtr
des non- SOCIÉTÉS SAVANTES. 409 19 abstinents. 25 à 30 p. 100 des cas d'aliénation mentale sont pro- voqués par l'alc
il est vrai que l'alcool est un excellent hypnotique dans certains cas . Il faut bannir complètement des asiles d'alién
s arrêts de développement et peut-être les psy- choses séniles. Les cas de paranoïa avec atrophie des fibres d'asso- ci
e secondaire consécutive à la paranoïa. M. MEYER a constaté dans un cas de paranoïa une atrophie des fibres dans les co
enne (méthode de Weigert). Il est d'accord avec M. Tuczek : dans le cas qu'il a observé l'atrophie était prédominante d
l'auteur, souffraient d'un catarrhe chronique de l'estomac. Dans ce cas il faudrait attribuer un rôle important aux troub
ychoses observées chez les femmes étaient la paranoïa chronique (17 cas ), la même forme avec affaiblissement intellectuel
daire (10), la confusion chronique (23); il faut y ajouter quelques cas d'idiotie, de' manie périodique. La durée moyen
/2. Les règles paraissent avoir une influence dans environ 20 ou 25 cas p. 100, et agissent en déterminant habituellement
persécutés-persécu- teurs. M. Hoestermann rapporte brièvement un cas de folie à deux dans lequel la psychose se mont
es etd'halluci- nations, bien que peu actives. M. Flûgge laisse ces cas de côté et donne deux observations qui présente
entent l'ensemble symptomatique décrit plus haut. Dans le premier cas il s'agit d'un malade, âgé de quarante-cinq ans
sive et à l'indigence dans la formation des idées. ' Dans le second cas , il s'agit d'un sujet antérieurement condamné p
tions dé- lirantes par des actes violents, impulsifs. Dans tous les cas , il sera possible et utile à l'aliéniste, au mé
précède ou accompagne des accès de délire; d'autres fois, etc'estle cas le plus fréquent, elle n'apporte aucune modificat
ité urinaire; malheureusement ses recherches n'ont porté que sur un cas . Il a trouvé que les urines non sucrées étaient f
que nous le dirons plus loin, un dortoir en bas s'impose pour des cas médicaux ou chirurgicaux où l'immobilité la plus
et d'en provoquer cer- tainement de nouveaux. RECUEIL DE FAITS. CAS DE MALADIE DE LANDRY D'ORIGINE INTLUENZIQUE SUI
t par la relative bénignité de cette affection, rangeable parmi les cas de la maladie de Landry, s'ajoute celui du rôle
humatisme,'ont été constatés aussi par M. Mossé dans le premier des cas de maladie de Landry d'origine influenzique que
rveux, et que les agents infectieux, dans le plus grand nombre -des cas n'agissent pas par influence directe, locale, du
on des idées, parfois d'agitation, de délire. Dans une catégorie de cas le trouble de la mémoire apparaît presque d'une
écents ; il peut se présenter presque à l'état isolé. Dans d'autres cas , en même temps que l'amnésie grave, prédominent
ique exagérée. L'altération de la mémoire présente dans beaucoup de cas et lorsqu'elle est bien prononcée, les caraclèi
néralisée, suivie souvent de celle des membres supérieurs. Dans les cas très graves peuvent s'ajouter des paralysies de
E PATHOLOGIE MENTALE. amyotrophique plus ou moins diffuse. Dans les cas difficiles, il est toujours possible de découvr
iniques et les lésions de l'écorce cérébrale décrites dans certains cas d'intoxi- cation grave chronique, il est probab
sychiques. J. SLGL.U. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 465 1LVIIf. Un cas d'amnésie partielle continue; par FER.RARI. (ri
bacille particulier que les auteurs ont toujours rencontré dans les cas observés jusqu'ici. Il y a des formes de délire
iste des fibres psychomotrices inhibi- toires. J. Ségus. LVII. UN cas DE démonopathie; par BONFIGLI, (Riv. sp, di, fl'8
par l'auteur lui ont donné les résultats suivants : Dans tous les cas d'hémiplégie spasmodique infantile, le crâne es
ononce pas. (The alienist and neztaoloist.; juillet 1893.) LXVI. UN cas DE psychose polynévritique; par le Dr P. SOLLIER.
rveux. (Revue neurologique, août 1895.) E. B. LXVII. ETUDE sur un cas DE tabès U1>IRADICULAIRE CHEZ un paralytique
extérieur, en un mot de la lésion essentielle du tabes. Le nouveau cas dont il donne la description complète, met bien e
issent ses agents producteurs, soit rester station- naire : dans ce cas , la démence précoce qui est la règle, semble, c
chez des sujets adultes. La forme de folie observée a élé dans un cas un délire mélan- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. j
lique ; dans un autre un état d'excitation maniaque : dans ces deux cas , la blennorrhagie a servi peut-être seulement de
réparée déjà par l'hérédité ou la dégénérescence. Dans un troisième cas , l'infection blennorrhagique a déterminé une vé
t des streptocoques. Dans cet ordre d'idées, l'auteur rapporte deux cas démonstratifs comme preuve de l'existence d'une f
CK (de Prague) fait remarquer que l'on connaît depuis longtemps des cas d'hallucinations se produisant par accès et d'u
t d'une étude particulière, il avait déjà publié un grand nombie de cas de folie traumatique. (Prager JIedie. Wochensch
e. Wochensch¡ ? 187\), 1880.) 11 a insisté sur ce fait que dans ces cas l'affaiblissement intellectuel s'accompagne de
de début. M. H.411N (de Breslau). Examen anatomo- pathologique du cas de cécité corticale, publié par Lissauer dans l
1\1. HAH11 (de Breslau). Recherches anatomo-pat1wlogiq¡¡es sur un cas d'absence d'un hémisphère cérébelleux. - Il s'agi
globes oculaires aux lésions intéressant le raphé. Il a observé un cas dans lequel une altération du raphé a déterminé
mouvements des yeux. M. FREUND (de Breslau). Démol1st ! o.tion d'un cas de surdité cor- ticale (aphasie sensorielle sou
ans les Arcle. f. Psychiat. M. ADLER (de Breslau) fait connaître un cas de vertige unilatéral. Le malade, un homme de t
sensation de vertige. L'auteur cherche à donner l'explication de ce cas par la théorie d'Ewald sur les fonctions du labyr
thologie du système nerveux central. L'auteur communique d'abord un cas de tumeur des nerfs optiques dans lequel, à par
ses des tuniques moyenne et adventice des artérioles. Dans un autre cas , M. Pick a montré de semblables myomes dans les
rophie muscu- laire, spinale progressive. L'auteur a déjà publié un cas de ce genre (Allg. Zeilsch. f. Psychitit., t. X
Pas de troubles de la sensibilité aux membres supérieurs. Dans ce cas , contrairement aux faits connus actuellement, la
sive. M. Bonhoffer (de Breslau) veut prouver en s'appuyant sur un cas de psychose aiguë qu'il a observée, qu'il n'est p
festations d'asym- bolie motrice. M. Heilbronner (de Breslau). Un cas d'asymbolie. - Il s'agit d'un homme de quarante
nce d'altérations des cellules ganglionnaires de la moelle dans les cas de névrites est d'accord avec ce que nous savon
ription d'un groupe spécial de psychoses à forme anxieuse : dans ce cas le symptôme dominant est l'anxiété, et c'est lu
choses à forme anxieuse, et n'a rien à voir avec la mélancolie. Les cas nets de psychose anxieuse non compliquée ont un
psychose anxieuse non compliquée ont un pronostic favorable. Les cas compliqués sont plus fréquents, tantôt ce sont le
ces psychoses anxieuses est en général brève. L'auteur a observé un cas qui n'a pas duré plus de quatre jours. Le diagnos
es affections mentales. D'après M. Legrain, le tiers à peu près des cas d'aliénation mentale survenant à Paris est impu
ires alcoolisés la faculté d'avoir des enfants. L'accroissement des cas d'aliénation mentale a souvent été mis sur le c
li que les autres clients. SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 Dans tous les cas , l'abstinent, doit avoir le courage de s'afficher
la pression du cubital chez 35 sujets ; elle a fait défaut dans 58 cas . Résultat douteux dans 7 cas. Pour les paralytiqu
35 sujets ; elle a fait défaut dans 58 cas. Résultat douteux dans 7 cas . Pour les paralytiques femmes on a obtenu les c
que l'analgésie du cubital se rencontre dans plus de la moitié des cas (58 p. 100) chez les paralytiques, tandis que che
hez les non paralytiques on constate la rection douloureuse dans 64 cas p. 100. Pour expliquer les différences entre le
eux auxquels il a abouti lui- même, l'auteur fait remarquer que les cas de paralysie générale qui lui ont servi étaient
uer que les cas de paralysie générale qui lui ont servi étaient des cas anciens, contrairement à ce qui a eu lieu pour
bien que ce signe ne se rencontre chez les paralytiques que dans 20 cas p. 100 et que d'autre part j'ai pu le rencontre
ne signification, puisqu'il se rencontre dans plus de la moitié des cas chez les paralytiques et qu'il fait défaut dans
ez les paralytiques et qu'il fait défaut dans plus de la moitié des cas chez les non paralytiques. Sans doute ce n'est
SAVANTES. 491 générale au début : l'analgésie des jambes. Dans les cas étudiés il s'agissait de paralytiques qui n'éta
a clinique de la Charité. Il ne l'a constaté que dans la moitié des cas . Il est à noter que dans ces cas, il existait en
'a constaté que dans la moitié des cas. Il est à noter que dans ces cas , il existait en outre des troubles de la sensib
uns il y avait perte de la notion de situation. M. BOEDEKER. Sur un cas de polioencéphalite hémorragique aiguë d'origin
s foyers d'hyper- hémie, des thromboses, etc. M. Boedeker. Sur un cas d ophtalmoplégie chronique (avec présen- tation
triques). . Discussion. -11. ICorrEN présente des préparations d'un cas de Rolioencéphalite observé à la clinique de la
e nombreux foyers de ramollissement existaient dans le ce; veau. Ce cas montre comme les observations rapportées par Th
le doit être rattachée à ce genre de causes et M. Toulouse cite des cas de contagion tels que les épidémies, le suicide
la propagation des idées et l'en- gouement en politique, enfin les cas intéressants de folie imposée, de folie simulta
leurs rapports et donne à chacune la part qui lui revient en pareil cas . La folie est le plus souvent le produit de fac
isme et récipro- quement. En particulier, on ne saurait, en aucun cas , laisser de côté l'in- fluence du système nerve
est partout : son étude permet à l'oculiste de voir, dans bien des cas , au delà .de toit le p1 onostic de l'affection,
il des -, par S. \Ieyer 59. Accroissement. Sur le prétendu - des cas de folie, par H. Tul : e, 87. Acoustique. Traje
lbronner, 4S0. Atwie héréditaire, par Fornario 1-16. Athétose. Un cas de démence juve- nile avec - double, par Roubin
ologique de la para- lytique, par Berkley, 395. DÉVOVOe.tTtua. Un cas de -, par Bonfigli, 469, Diagnostic à faire p
ssimulation chez les aliénés par Larroussinie, 336. Dualité. Deux cas de cérébrale par Bruce, 319. Ecorce. Fibres n
e l'intoxication dans l ? par J. Voisin et Il. Petit, 14, 120. Un cas ci'- alléguée et si- mulée par S. Garnier, 57.
4, 120. Un cas ci'- alléguée et si- mulée par S. Garnier, 57. 250 cas d ? par Macalester, 156. Traite- ment médical
c anes- thésie croisée par Jorand, 65. IIÉRÉDG-.1T.lSfE. Sur deux cas fami- liaux il'- cérébelleuse, par Londe 310.
e la Tourette, 76. D04 TABLE DES MATIÈRES. Hermaphrodisme. Deux cas d'- anti- - que par 11leige, 153. 1 HYDROTHÉR
ot, 74. Moelle épinière. Tubercule di, la - par Hascovec, 177. Un cas d'abcès de la , par llomen, 317. Dispo- sitio
rvation de la propriété, par Pailhas, 334. IORPIIIN0 : 11AN1E. Un cas de , par Seulecq, 39. Morvan. Maladie de et l
é par l'extrait thyroïde, par Harold, 380. Myxoedémateuse . Trois cas d'idio- tie -, traités par l'ingestion thy- r
logie. Fragments de ner- veuse, par ilassalono, 427. Peaucier. Un cas de défectuosité congénitale du du cou, par Re
che- rew, 385. Phobies. Obsessions et -, par Freud, 46. dans un cas d'in- suffisance mitrale, par Boubi- nowitch.
rgowla, 310. POLYNÉVRITIQ1;E. La psychose -, par Coletta, 461. Un cas de psy- chose , par Sollier, 472. Possédés. L
ilitiques. Mélancolie chez les-, par Devay, 324, Syringomyélie Un cas de - aty- pique par Targowla, 73. -, par Mari
97. Tumeur cérébrale. Lésions anato- miques de la moelle dans les cas de -, par Mayer, 1 10. Vertébrale . Commotion
20 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
me artériel, et les oscillations de la température centrale, dans les cas où l'état local ne fournit pas d'indications util
fréquenté que les hôpitaux ordinaires, peuvent s'attendre à voir les cas pathologiques se montrer ici sous une couleur lo-
t la maladie, lorsqu'elle s'est terminée par la mort. Dans d'autres cas , malheureusement trop rares, nous voyons s'opérer
op absolue, elle n'en est pas moins vraie dans la grande majorité des cas . Le second est une étude remar-quable sur le ramo
t rattacher à l'oblitération athéromateuse des artères la plupart des cas de ramollissement cérébral et d'apoplexie capilla
s présentent des pulsations énergiques ? Il pa-raît démontré, en tout cas , que dans l'âge sénile le pouls augmente de fréqu
elle est de 2,5 p. 100 ; de 70 à 75 ans, elle est de 1,21 p. 100. Le cas survenu à l'âge le plus avancé est relatif à un v
e de M. Vulpian. M. Mourcton a rapporté dans sa thèse inaugurale neuf cas de tuberculisation aiguë chez les vieillards. Tro
de plus de 80 ans et la phthisie aiguë était primitive dans tous les cas , à l'exception d'un seul (Thèses de Paris, 1863.)
aris, 1863.) Chaque année, nous observons à la Salpétrière quelques cas foudroyants de méningite cérébro-spinale. Dès 185
rouvent réunis dans la thèse de M. le docteur Inglessis (Sur quelques cas de méningite cérébro-spinale observés à la Salpét
fièvre jaune épidémique, dans la peste et dans le typhus, il est des cas où l'atteinte profonde de l'organisme ne se ré-vè
on traité de la fièvre jaune, a désigné sous le nom de Walking cases ( cas où l'on marche), expression pittoresque, mais à p
on pittoresque, mais à peu près intradui-sible dans notre langue, ces cas insidieux dans lesquels on voit des gens frappés
t pro-pres à la pathologie sénile ; mais si nous laissons de côté ces cas peu fréquents pour n'envisager que ceux de la cli
xtrême surexcita-tion du système circulatoire, observée dans certains cas de palpitations artérielles, et en particulier da
urd'hui. Nous voyons, en effet, la chaleur du corps s'élever dans des cas qui paraissent étrangers à toute création pyrétiq
fièvre tous les autres symptômes, et peut même servir, dans bien des cas , à en mesurer l'intensité. C'est l'emploi métho
Cornil a publié, dans les Mém. de la Soc. de Biolog. (1865) plusieurs cas de ce genre recueillis dans mon service. On sait
oie. (Arch. de niéd., 1861.) 1. Il existe presque toujours, en pareil cas , une différence de quelques frac- alors qu'il d
oindres oscillations de la chaleur animale ; car dans la majorité des cas , elles correspondent avec une grande exactitude a
pen-dant plusieurs jours, on est autorisé à penser qu'il s'agit d'un cas sévère ; lorsqu'au contraire elle tend à s'abaiss
grés successifs pendant un espace de trois ou quatre jours : c'est le cas de la fièvre catarrhale, de la broncho-pneumonie;
t même où la température s'abaisse, soit un peu plus tard; ce dernier cas est le plus fréquent (voir la figure 10) (1). Sou
des lois identiques. Nous ne nous sommes occupés jusqu'ici que des cas qui se terminent par la guérison ; quand la malad
ire ; il en est de même chez le vieillard dans la grande majorité des cas ; mais on observe assez fréquem-ment chez lui un
cette défervescence de mauvais aloi s'observe non seulement dans les cas où les 1. Consultez à cet égard le icmarquable
tableaux suivants vous présentent les tracés thermométriques de deux cas de pneumonie terminés par la mort, avec élévation
neumonie terminés par la mort, avec élévation de température, et d'un cas terminé par la guérison. Le quatrième est un cas
température, et d'un cas terminé par la guérison. Le quatrième est un cas de mort dans la défervescence. Toutes ces observa
rectum aux viscères intérieurs. Il est vrai que dans la majorité des cas , les courbes qui corres-pondent à la chaleur mani
isselle reste un peu inférieure à celle du rectum. Mais il existe des cas , et ce sont souvent les plus graves, où il se pro
lusieurs degrés. On comprend qu'il serait très insuffisant, en pareil cas , de s'en rapporter exclusivement aux résultats
iques; et le nom de rhumatisme goutteux, qu'on applique souvent à ces cas obscurs qui sont placés sur la limite des deux af
purement fonctionnelles. Il y a même lieu de croire que dans quelques cas , rares d'ailleurs, la diathèse se borne à pro-dui
clinique de ce procédé est aisée à comprendre : c'est, clans bien des cas , un moyen de diagnostic excellent. 11 permet auss
e dans le sang. Ce phénomène existe d'une manière permanente dans les cas de goutte chronique ; mais il augmente d'intensit
e nouveau quelque temps avant l'explosion de l'accès. Enfin, dans les cas de goutte ab-articulaire, on voit se manifester d
1. Voyez Reynolds: A System of Medicïne. Londres, 1886. Art. Gout. cas douteux, car il suffirait alors d'appliquer un vé
compose surtout d'urate de soude (Petit, 0. Henry) (1). Dans tous les cas , il est certain que les sueurs, spontanées ou pro
la goutte chroni-que, s'il existe une affection des reins : en pareil cas , on ren-contre un excès d'urée ; 4° Que l'alcan
s on re-gardait ces faits comme exceptionnels ; on les rattachait aux cas les plus invétérés et les plus graves. Il apparte
e sou-vent un excès de liquide dans la cavité articulaire. Dans les cas de goutte invétérée, on peut rencontrer sur le po
nue, et qui mériteraient une étude attentive. Faut-il voir dans ces cas singuliers une sorte de transition entre la goutt
au lit du malade, d'une affection pure-ment rhumatismale. Parmi les cas rares et exceptionnels on peut citer ceux où la g
tard. Mais il ne faut pas se dissimuler qu'il existe quelquefois des cas difficiles dans lesquels il se manifeste une dévi
t caractériser la diathèse goutteuse ; il peut même se rencontrer des cas où il sera utile d'avoir recours à l'étude chimiq
ra constater l'existence, quand le tophus lui-même a disparu. Sur37 cas , Garrod a rencontré 17 fois des tophus extérieurs
nom de métastases ou de rétrocessions. 11 est évident qu'en pareil cas , on doit supposer au premier abord qu'il s'agit d
acilité avec laquelle ces accidents se dissipent dans la majorité des cas . Cependant les choses ne se passent pas toujour
ou moins profondes de la membrane muqueuse elle-même. Dans d'autres cas , les malades ayant rapidement succombé Gharcot,
ger d'après ces exemples, on serait porté à croire que, même dans les cas où des troubles fonction-nels se manifestent à l'
lardacé. Ces altérations, d'après Garrod, se montrent dans tous les cas de goutte invétérée, dans lesquels l'autopsie est
bonne heure : on les a rencon-trées après sept ou huit accès. Dans un cas observé par Traube, les symptômes de cette affect
. 11 ne faut cependant pas oublier que la goutte est, dans tous les cas , une maladie essentiellement chronique. En effet,
ui, tôt ou tard, se révèle par de nouveaux accidents. S'il existe des cas de goutte passagère, marqués par un seul accès, l
dont l'impor-tance ne saurait vous échapper. Que devient en pareil cas la sécrétion urinaire? D'une ma-nière générale, e
t exister déjà tout formés dans la vessie ; il est fréquent en pareil cas de rencon-trer dans l'urine des cristaux d'acide
quelquefois précéder l'explosion. Messieurs, il est sans doute des cas où les choses peuvent en rester là et dans lesque
jamais ressenti les atteintes de cette maladie. Dans la majorité des cas , des prodromes spéciaux viendront annoncer l'expl
fluc-tuation tantôt apparente, tantôt réelle, et qui dans ce dernier cas est occasionnée par la présence d'un excès de liq
emple, l'application de sangsues sur le point malade. Dans quelques cas , heureusement fort exceptionnels, il se produit u
manière habituelle, ou, pour mieux dire, dans l'immense majorité des cas , c'est le gros orteil qui est affecté, tantôt d'u
, tantôt des deux côtés successivement. Scudamore établit que sur 512 cas de goutte le gros orteil a été frappé 373 fois au
accès, soit isolément, soit avec d'autres jointures ; et sur ces 373 cas , il en est 341 dans lesquels les accidents étaien
nchée entre la goutte et le rhumatisme articulaire. Mais il est des cas dans lesquels le gros orteil n'est affecté que se
tte; nous le verrons plus loin au sujet de l'étio-Iogie. Il est des cas exceptionnels où le gros orteil demeure com-plète
, les genoux, puis les mains, les poignets, les coudes, dans quelques cas rares enfin, l'épaule et la hanche. C'estalors qu
à ce point. Aussi, les affections intercurrentes ont-elles, en pareil cas , une gravité tout à fait exceptionnelle ; la grip
pourrait affirmer, d'après Garrod, qu'ils existent dans la moitié des cas . Leur évolution, qui a été fort bien décrite pa
i a négligé de s'exercer d'une façon toute spéciale au diagnostic des cas de ce genre est exposé à commettre des erreurs,
més, l'estomac redevient malade comme autrefois. Voilà, messieurs, un cas incontestable de goutte viscérale, dans lequel l'
s'ensuivre; Garrod en a rassemblé plusieurs observations. Dans les cas de ce genre, l'affection viscérale paraît consist
articulaires, les précéder ou les suivre; mais, dans la majorité des cas , on les voit alterner avec eux. Dans le cas où l'
ais, dans la majorité des cas, on les voit alterner avec eux. Dans le cas où l'affection viscérale est antérieure à la gout
le coexiste avec la goutte articulaire. En troisième lieu, il est des cas où l'affection des jointures se montre à l'état r
s vint confirmer complètement notre ma-nière de voir. Dans un autre cas , il y avait eu autrefois un seul accès de goutte
i, avec Budd etScudamore, deux formes symptomatiques. Dans le premier cas , le mal s'annonce sous la forme cardialgique ou s
, fréquent, irré-gulier ; il y a une tendance à la syncope. En pareil cas , surtout depuis Cullen, on fait usage de stimulan
lants, et les alcooliques sont tolérés à haute dose. Dans le second cas , la maladie prend une forme inflamma-toire. Il ex
sont plus tolérés, et l'on vante les émissions sanguines. Dans les cas où la santé doit se rétablir, tout cet appareil s
, malgré la soudaineté de l'irruption de la ma-ladie. Au reste, ces cas si terribles sont heureusement fort rares ; Scuda
c est une affection assez commune ; elle se rencontre surtout dans le cas d'asthénie, de cachexie goutteuse, et chez les in
s analogues à ceux de ladiathèse urique ; et nous savons qu'en pareil cas , les liquides gastriques et les follicules de l'e
chez des goutteux qui ont longtemps souffert de ces organes. Dans les cas de ce genre, Todd a souvent rencontré une dilatat
nt de l'estomac que Scudamore avait depuis longtemps signalé dans les cas chroniques de cette maladie. Il est d'ailleurs
s de ces manifestations en apparence purement fonctionnelles ; et les cas funestes dont nous venons de parler sembleraient
tteuse. Enfin la mort subite est ici très fréquente : ainsi, sur 83 cas de dégénérescence graisseuse réunis par Quain, la
s la mort est attribuée à la goutte remontée au cœur, ne sont que des cas de dégénération graisseuse de cet organe. Quain e
1866, p. 87. Ces faits sont assez rares : Pâtissier n'en a vu que 2 cas sur 80 malades; Garrod 1 cas sur 40; enfin, Hyde-
assez rares : Pâtissier n'en a vu que 2 cas sur 80 malades; Garrod 1 cas sur 40; enfin, Hyde-Salter, auquel on doit un tra
de-Salter, auquel on doit un traité de l'asthme, en rapporte aussi un cas . 2° Quelques auteurs anciens décrivent une pleu
e la goutte n'est pas excep-tionnelle ; Garrod en a observé plusieurs cas , et j'en ai vu un moi-même avec M. le docteur Cli
ortir les caractères (1); et l'on doit y rattacher un grand nombre de cas que les Anglais désignent sous le nom de vessie i
oulager le malade, sont-elles formellement contre-indiquées en pareil cas (Rayer.) Le diabète nous offre un second exempl
se. Ledxvich et M. Marchai (de Calvi) en ont fait connaître plusieurs cas (l). 2° Les phlegmons, les érysipèles de mauvai
peut rapprocher de ces faits la suppuration du globe de l'œil dans un cas de goutte chronique (4), et le défaut de consolid
e chronique (4), et le défaut de consolidation des fractures. Dans un cas où la malléole externe était fracturée, il survin
e à cet égard. Relativement aux phlegmasies, on peut distinguer trois cas : 1° L'affection intercurrente (pneumonie, pleu
de la goutte au moment où l'affection intercurrente se déve-loppe. Ce cas est grave ; il faut s'efforcer de rappeler la gou
caractéristique des urines qui se mani-feste habituellement en pareil cas . Ce malade était-il aibuini-nurique (2) ? IV.
es appartiennent par conséquent aux classes aisées, a rencontré trois cas dégoutte sur trente et un cas de diabète. La prop
t aux classes aisées, a rencontré trois cas dégoutte sur trente et un cas de diabète. La proportion comme on le voit, varie
diabète. Le pronostic peut être quelquefois aussi grave, en pareil cas , que lorsqu'il s'agit du diabète ordinaire; on vo
servation personnelle). Nous avons eu l'occasion de voir nous-méme un cas bien remarquable de ce genre, qui nous a été comm
atégories à cet égard. Tantôt la gravelle précède la goutte; c'est le cas le plus fréquent; tantôt elle lui succède, ce qui
s. Je n'ai point eu l'occasion d'en rencontrer des exemples, dans des cas de goutte bien authentiques ; mais M. Rayer a sig
a certainement là un contraste assez singulier, et qui suffit en tout cas pour montrer que la physionomie gé-nérale de la g
és par tous les auteurs le démontrent, et j'ai rencontré moi-même des cas de cette espèce. Il y a donc dans la constitution
ne immunité relative qu'il serait impossible de contester. Sur les 80 cas rassemblés par Pâtissier, il en est deux seulemen
jeune homme âgé de moins de dix-sept ans. 11 rapporte aussi quelques cas dans lesquels cette affection s'est développée ch
ue no-socomiale, Rennett(l) et Christison en ont rencontré un ou deux cas . Or, dans ces pays, la seule boisson alcoolique d
ts atteints de paralysie saturnine; enfin Todd qui rapporte plusieurs cas de goutte observés dans des circonstances analogu
vo-que une accumulation d'acide urique dans le sang, surtout dans les cas avancés, où il existe de la paralysie; ce fait a
uestion de la présence de l'albumine. Garrod s'est demandé si dans de cas il y a production exagérée d'acide urique ou 1.
sous l'influence de cette seule cause? Oui, peut-être, dans quelques cas très exceptionnels; mais s'il existe des causes a
; 3e Le froid humide, la suppression de la sueur, sont dans le même cas ; 4° II en est de même des travaux intellectuel
scles ; pour l'acide urique, la chose est mieux dé-montrée. En tout cas , les recherches de quelques observateurs mo-derne
'homme, les liquides gastro-intestinaux se chargent d'urates, dans le cas de saturation. Des phénomènes analo-gues peuvent
u'une seule. Les altérations articulaires^ sont les mômes que dans le cas précédent, mais avec beau-, coup plus de gravité,
e développent parfois dans les jointures, prennent souvent, en pareil cas , un volu-me exceptionnel. Au contraire, les aff
affectée. On a vu cependant l'albuminurie se déclarer clans quelques cas excep-tionnels. 3° Rhumatisme d'Reberden. Les
ous nous contenterons, pour le moment, de faire observer que, dans le cas le plus ordinaire, on ne rencontre ici que des no
e synoviale. D'après M. Ranvier, cette disposition s'oppose, dans les cas où l'articulation est envahie par le rhumatisme,
ons qui se rapportent au cas où la jointure est immobile. En pareil cas , d'après Adams, l'éburnation ne s'observe plus; m
orme alors une ankylose tantôt celluleuse, tantôt osseuse. Ce dernier cas est très rare ; il n'a lieu que dans les très pe-
ne frappe pas au premier abord, surtout si l'on compare entre eux des cas extrêmes , et si l'on met en présence , par exemp
ère la plus manifeste, si l'on choisit pour termes de comparaison des cas subaigus, qui établissent, au point de vue cliniq
ration appréciable (Grisolle, Macleod, Fuller), et que, dans certains cas , au contraire, elle peut donner naissance à l'art
rès excep-tionnels, et ce qu'on rencontre dans l'immense majorité des cas , ce sont les caractères de l'arthrite avec exsuda
elonné, quelquefois môme de véritables éro-sions. Mais, même dans les cas où il n'y a aucune altération appréciable à l'œil
Les choses peuvent en rester là, et on comprend aisément qu'en pareil cas , les éléments histologïques peuvent revenir; à l'
mme vous le voyez, de grandes analogies avec ce qui se passe dans les cas d'arthrite déformante. Mais les altérations que
ent l'analogie plus frappante encore; elles paraissent, dans certains cas , participer au travail phlegmasique. D'après Gurl
dire qu'en général ce dernier élément ne prédomine pas, sauf dans des cas exceptionnels où il s'agit d'un rhumatisme conséc
ore davantage lorsqu'il s'agit de la forme subai-guë. Ainsi, dans des cas où le rhumatisme avait duré près de deux mois, j'
avancent parfois vers les parties centrales ; il est probable que les cas de vascularisa-tion des cartilages, qui ont été s
s se trouvent combinées avec celles de l'arthrite déformante, dans le cas où les articulations sont condamnées à un repos a
iste cependant des analogies entre ces deux affections. Dans certains cas d'arthrite scrofuleuse, il y a prolifération acti
ces deux affections diffèrent les unes des autres; mais il existe des cas mixtes où elles peuvent se trouver réunies. 3°
iques et l'influence décisive du traitement spécifique, dans certains cas où le prétendu rhumatisme traî-nait en longueur,
tumeurs gommeuses par sa texture et son aspect extérieur. Dans les cas observés par M. Lancereaux, il n'y avait pas d'al
titue l'arthrite déformante peu-vent se rencontrer également dans des cas où la cause rhu-matismale ne saurait être invoqué
rencontrer toutes les lésions que je viens de décrire. Mais en pareil cas , elles se limitent presque toujours aune seule ar
que, lorsque les affections articulaires sont multiples (et c'est le cas le plus fréquent), elles se sont spon-tanément dé
ultanément les membres inférieurs et supérieurs. Dans la majorité des cas , le genou, le poignet, le cou-de-pied, en sont le
on viscérale. Mais c'est là plutôt l'exception que la règle ; en tout cas , il n'existe aucune preuve expérimentale d'une ré
pide ; elle se fait lentement et progressive-ment, sauf dans quelques cas exceptionnels où la température 1. Aitken. — Sc
ement disparu ; mais elle est pres-que toujours entretenue, en pareil cas , par quelque affection viscérale latente : une en
utres maladies fébriles. L'artère est volumineuse comme dans certains cas d'anémie, d'après MM. Monneret, Todd, 1. Hardy.
quelquefois noté ce dernier phéno-mène , mais seulement dans quelques cas exceptionnnels ; il existe d'ailleurs dans la gou
profonde qui se développe peu de jours après le début, même dans les cas où l'on n'a pas eu recours à la méthode antiphlog
étations fibrineuses du cœur. Par contre, on observe dans plusieurs cas graves un état tout opposé. On trouve alors, à l'
de ce travail inflam-matoire. On sait que, dans près de la moitié des cas , les lésions permanentes des valvules auriculo-ve
des traits caractéristiques de la mala-die; leur fréquence, en pareil cas , est en effet si grande, que lorsqu'on voit coexi
n général la formation d'un exsudât séro-fibrineux qui, dans quelques cas exceptionnels, peut revêtir le caractère hémorrha
e recouvre d'une cou-che de farine plus ou moins épaisse, suivant les cas . On sait du reste que l'inopexie (tendance à la c
soit les valvules sigmoïdes, soit la valvule mitrale. Dans quelques cas , par suite de causes inconnues, le pro-cesssus se
fonctionnel appréciable, et ne sont reconnus qu'à l'autopsie (1). Ce cas est bien plus fréquent qu'on ne le suppose ; et e
nstantanée : un ramollissement consécutif a presque toujours lieu. Un cas extrêmement remar-quable de ce genre a été rappor
voies de la circulation encéphalique. J'ai été moi-même témoin d'un cas de ce genre. La malade ayant été reçue d'abord da
st quelquefois complète au moment de l'autopsie ; mais, dans d'autres cas , on retrouve encore quelques vestiges du caillot
e a été rapporté, il y a deux ans, par Goddard-Rogers. Il s'agit d'un cas de rhumatisme articulaire aigu avec endo-cardite,
nt les complications cardiaques se rencontrent assez souvent dans des cas où peu de jointures sont affectées et où le mouve
l m'est permis d'invoquer ici ma propre expérience, j'ai vu plusieurs cas de rhumatisme subaigu, dans lesquels l'autop-sie
n fait de ce genre a été signalé par Romberg en 1846 (1). Deux autres cas se trouvent consignés dans la Thèse de M. Trastou
consignés dans la thèse de M. le docteur Bail (3). Dans le premier cas , il s'agissait d'une femme âgée de soixante-trois
remière fois, pour une hémiplé- 1. Klinische Ergebnisse, 1846. — Un cas analogue avait été déjà signalé par Todd, en 1843
ulaire offrait une vascularisation très remarquable. Dans le second cas , la malade, âgée de quatre-vingt-quatre ans, est
it de ce genre en ce moment, et M. le docteur Mauriac en a observé un cas fort remarquable à l'hospice des Ménages. 1. Co
ndocardite et la péricardite exisfentinconfes-tablement dans quelques cas de rhumatisme articulaire chro- nique; ces affe
encontrée dans la forme chronique. J'ai observé, sans doute, quelques cas de pneumonie chronique chez les rhumatisants, mai
rhumatisme chronique ou subaigu. M. le docteur Bail en a rapporté un cas fort remarquable dans sa thèse d'agrégation (1).
plication se manifester deux fois à la Salpêtricre. Dans le premier cas , il s'agissait d'une femme de soixante ans qui, p
enoux étaient le siège de craquements prononcés (2). Dans le second cas , il s'agissait d'une malade âgée de soixante-six
ec le rhumatisme chronique partiel ou généralisé. J'ai vu plusieurs cas d'ataxie locomotrice coïncider avec l'arthrite sè
le rhumatisme d'Heberden. M. le docteur Bastien m'en a communiqué un cas . L'appareil visuel peut être affecté aussi bien
res plus vo-lumineuses ne se prennent que plus tard, et même, dans le cas d'envahissement général, l'épaule et la hanche so
eusement une règle pa-reille. Remarquons toutefois que, dans quelques cas exception-nels, le rhumatisme chronique est asymé
le. Mais cette succession régulière ne se rencontre guère que dans le cas où l'évolution de la ma-ladie se fait lentement.
t la marche progressive que nous venons de si-gnaler. Dans le premier cas , la maladie présente une évolution rapide ; dans
et du carpe sur les os de l'avant-bras ; 5° Dans un grand nombre de cas , il existe une inclinaison en masse de toutes les
ns prononcée du carpe sur les os de l'avant-bras ; 5° Dans certains cas , il existe une déviation en masse des phalanges,
e, les articulations du membre supérieur se trouvent envahies. Deux cas peuvent se présenter : a. Chez les jeunes sujet
des tubercules, tantôt des aiguilles plus ou moins allongées. En tout cas , ces ostéo-phytes contribuent peu aux déformation
ssement des parties. Le terme rhumatisme noueux ne convient guère aux cas de cette espèce. b. Chez les sujets plus âgés,
t des parties molles sont les accidents les plus ordinaires en pareil cas . Mais on peut distinguer ici deux formes tout o
es mains ont subi les altérations les plus prononcées. Cepen-dant, ce cas est rare, et, en général, les extrémités inférieu
ent aussi se montrer du côté des vertèbres cervicales. Dans plusieurs cas que j'ai ob-servés moi-même à la Salpêtrière, j'a
s jointures peuvent être prises, chez un seul et même sujet, dans les cas de rhumatisme chro-nique généralisé ; et alors le
je professe une opinion diamétralement opposée. Dans la majorité des cas , ces déformations sont le résultat de contraction
ffectées ; 4° Enfin, la présence de ces mêmes déformations dans des cas où les jointures ne sont nullement affectées ; on
ncours de la rétraction musculaire. Ne voyons-nous pas, dans certains cas d'hydarthrose, une laxité énorme des ligaments de
ais d'acide urique : j'ai moi-même examiné le sang dans trente-cinq cas de rhumatisme articulaire chronique, sans jamais
que, sans jamais y trouver la moindre trace de ce principe. Dans un cas rapporté par Bocker, l'analyse chimique a fourni
id,peuvent exercer aussi une certaine influence. On voit, en pareil cas , un grand nombre de jointures pri-ses à la fois.
on évidente du pouls, et dessueurs abondantes. C'est surtout dans les cas de cette espèce qu'on rencontre les affections ca
te opinion sou-tenue par divers auteurs peut être vraie dans quelques cas . M. le Dr Bail m'a présenté un malade chez lequel
cerbations suivies par de longs inter-valles de rémission. Dans les cas de ce genre, la maladie dure habituellement moins
articulations sont envahies successivement une à une : c'est dans ces cas surtout qu'on peut étudier le mode d'enva-hisseme
e que nous avons formulée, il se rencontre chez les jeunes sujets des cas qui se comportent comme chez les vieillards : la
vue de la pathologie externe : on s'est plus spécialement occupé des cas dans lesquels l'affection s'est localisée sur une
circonstance, d'une des formes du rhuma-tisme mono-articulaire. Deux cas peuvent se présenter : tan-tôt le rhumatisme dégé
l) en ont rapporté des exemples, et moi-même j'en ai observé quelques cas à la Salpêtrière. Ainsi, chez une femme âgée de c
n survinrent des nodosités d'Heberden. D. Enfin, l'on rencontre des cas assez nombreux où le rhumatisme, après être resté
per. Adams en a rapporté divers exemples. Il cite, entre autres, le cas du docteur Percival, médecin fort distingué, qui
nuent souvent à marcher, non sans quelque difficulté. C'est en pareil cas qu'on observe dans la jointure, à l'autopsie, des
les articulations métacarpo-phalangïennes, qui présentent, en pareil cas des lésions plus ou moins accentuées. Ces nodos
si que j'ai eu moi-même l'occasion de le constater récemment. Dans le cas dont il s'agit, les nodosités avaient précédé la
u moins pour ce qui concerne le rhumatisme chronique : dans plusieurs cas , on a constaté, sur ces débris humains, les lésio
eux, il ne saurait exister aucun doute à cet égard. Sur quarante-cinq cas de ce genre, M. de Trastour avait constaté que di
are-ment après l'âge de cinquante ans. Sur cent quatre-vingt-dix-neuf cas , Macleod ne l'a vu se développer qu'une seule foi
e cinquante-cinq ans : et Fuller, sur deux cent quatre-vingt-dix-neuf cas , n'en a vu que sept après cin-quante ans. J'ai
ts de ce genre après soixante-dix ans. Il s'agissait, dans le premier cas , d'un rhumatisme aigu léger ; dans le second, il
ai déjà signalé, à propos de la péricardite rhumatismale (p. 138), le cas si remarquable que M. Martel a recueilli dans le
illi dans le service de M. le Dr Barthez. — J'ai observé moi-même les cas suivants : Une infirme de la Salpétrière, qui a
s affections sont vraiment exception-nelles. Cependant on en a vu des cas au-dessous de trente ans. Quant aux nodosités d
ble ; mais il est certain que cette cause existe dans la majorité des cas . Des habitations au rez-de-chaussée, des chambr
des ivorkliomes, en Angleterre et en Irlande, présentent de nombreux cas de rhumatisme noueux, ce qui démontre bien qu'il
stations de la diathèse rhumatismale; car je pourrais citer plusieurs cas de rhumatisme noueux, dans lesquels les poussées
rti-culaires et la scarlatine. Il faut distinguer ici deux espèces de cas . Tantôt la scarlatine provoque l'explosion d'une
p. 920. — Trousseau, Clin. Méd. de l'Hâtel-Dieu, t. III, p. 375. — Le cas de M. Lorain m'a été communiqué verbalement. de
é et devenir purulentes, comme Ta fait ob-server Garrod. Ces derniers cas mériteraient seuls le nom ^arthrites scarlatineus
avec en-docardite, survenir à l'occasion d'une simple chaudepisse. Un cas de ce genre a été observé par Brandes, et M. Lorr
eloppé consé-cutivement à des affections qui ont aussi, dans certains cas , le pouvoir de frapper directement les jointures
fets des préparations ferrugineuses ont été constatés dans plu-sieurs cas de ce genre. On sait que la ménopause est souve
,les affections cancéreuses (4) fréquentes dans lerhuma- 1. Sur 225 cas de diabète, le rhumatisme articulaire aigu a été
ec le rhumatisme noueux chez une femme ; mais le sang examiné dans ce cas , à plusieurs reprises, n'a jamais renfermé d'acid
et chez qui, plus tard, le rhumatisme noueux s'est développé. Sur 119 cas de rhumatisme noueux, Fuller (toc. cit., p. 334)
vent emporter les infirmes atteints de rhumatisme noueux ; et dans ce cas , il m'a semblé que la phtisie se faisait remarque
propriétés. — Soude, potasse lithine. — Action de ces médicaments. —? Cas dans lesquels les alcalins sont contre-indiquès.
ulsifs, — Eaux minérales. — Impuissance de l'art dans la majorité des cas . Messieurs, Nous abordons aujourd'hui la dern
ite sur le système nerveux. Je serais dis-posé à croire que plusieurs cas dans lesquels la goutte a paru rétrocéder sous l'
rocéder sous l'influence du colchique, et déterminer la mort sont des cas d'empoisonnement par cette substance (Potton).
ux, dont l'expérience a montré les graves inconvénients. Il est des cas où le colchique ne peut pas être employé. La méde
er des phénomènes cérébraux inquié-tants, et même provoquer, dans des cas d'affection rénale, l'apparition d'accidents urém
in-ture malade. Les vésicatoires sont souvent utiles, soit dans les cas aigus, soit dans les cas sub-aigus. Un petit vési
icatoires sont souvent utiles, soit dans les cas aigus, soit dans les cas sub-aigus. Un petit vésicatoire, dont la di-mensi
; cette dernière base est cependant utile chez les goutteux dans les cas où il existe, une affection hépatique, suivant Ga
t aux doses que nous avons indiquées. Il faut d'ailleurs savoir les cas auxquels le traitement alca-lin est applicable. I
... Carbonate de lithine....... 500 gr. 0,25 cent 0,10 — pareil cas , ni l'anémie profonde, ni la dissolution du sang,
ou simple-ment salines (Wiesbaden) conviennent à l'état torpide, aux cas atoniques. Il existe des eaux indifférentes, po
ns vu plusieurs l'ois les eaux de Contrexeville administrées dans les cas de goutte ancienne, avec dépôts tophacés, et les
gineuses (Pyrmont, Schwalbach, Spa) peuvent être utiles aussi dans le cas où le fer est indiqué. Nous nous bornons à ce c
ant l'atonie et en relevant les forces. Ils sont très utiles dans les cas de goutte asthénique. On emploie avec succès la
combattre les accidents les plus pres-sants de la maladie. Dans les cas où il y a des phénomènes d'acuité, les indica-tio
r que l'ar-senic reste sans effet ou se montre même nuisible dans les cas très invétérés du rhumatisme noueux, et lorsque l
n arsenicale, soit à l'intérieur, soit à l'extérieur. Dans le premier cas , on a constaté la présence de l'arsenic dans les
osé à douter. Il y a un autre médicament que j'ai employé, dans les cas de ce genre, avec des résultats analogues à ceux
fection que toutes lesressources de la médecine, dans la majorité des cas , ne parviennent pas à guérir. DEUXIÈME PARTIE
on est à peu près habitué à rencontrer, à peu près toujours en pareil cas , aux autres époques de la vie ; que, d'autre part
généraux qui touchent un peu à la métaphore, et de nous adresser aux cas concrets, afin d'y chercher quelques exemples pro
remarquer que chez eux, même au plus fort de la maladie, et dans les cas où la lésion est le plus éten-due, non-seulement
s ne se montrer que d'une manière très peu accentuée. A côté de ces cas en réalité assez nombreux, où la réaction général
où la réaction générale pêche par défaut, il en est d'autres, et ces cas ne sont pas non plus très rares, où elle se tradu
nses. Mais c'est à dessein, Messieurs, que j'ai insisté surtout sur cas anomalies que peut présenter chez les gens âgés,
au-dessus de ces chiffres. Je crois qu'il n'en est ainsi que dans des cas exceptionnels; j'ai présenté ici, il y a trois an
llards que chez l'adulte; j'ajouterai qu'elle pré-sente dans les deux cas , la même fixité, et qu'elle ne s'émeut d'une mani
térieure, dans l'âge sénile. Je vous présente un tableau relatif à un cas de pneumonie lobaire observée chez une femme âgée
aire ressortir que le désaccord éclatant que nous consta-tons dans ce cas , pris pour exemple, entre les données four-nies p
u moins sont nécessaires, surtout chez le vieillard, pour obtenir, en cas d'exploration de l'aisselle, un renseignement exa
e garan-tis ce chiffre que pour les vieillards), dévoile lui aussi un cas des plus graves. Vous le voyez, Messieurs, il e
s des tem-pératures fébriles moyennes, 39 degrés, 39°, 5, bien que le cas soit des plus graves et se termine par la mort. M
passé qu'une seule fois 39°, 5 ; — l'autre est également relative àun cas de pneumonie survenue chez une femme âgée d'envir
ombé en défervescence, ainsi que cela a lieu le plus souvent dans les cas de ce genre. Vous voyez comment ces deux tracés r
une température hyperpyrétique, 45°, 5, peut se montrer, sans que le cas soit grave, pourvu qu'elle ne per-siste au môme t
dans une maladie à type continu, la pneumonie lobaire par exemple, le cas est très grave. Ce que j'avance est fondé sur les
t durant quelques jours sans rémissions sensibles, annoncent-elles un cas grave, quel que soit d'ailleurs le nom de la mala
s respira-toires ne sont pas plus troublées que de coutume, en pareil cas , il n'y a pas de complication, et cependant, le m
il n'y a pas place pour eux dans l'organisme. Ajoutez que dans les cas de fièvre avec affection locale certains troubles
brile, constitue, sans doute, elle aussi, un danger sérieux, dans les cas où l'excrétion de ces produits se fait mal. Nous
et l'anoxé-mie, dont nous parlions tout à l'heure, que dans certains cas particuliers, auxquels nous ferons allusion par l
tion d'abord, puis une grande prostration des forces ; et si, dans le cas où il s'agit d'un animal, l'expérience est poussé
ssus d'un certain niveau, qui s'éloigne peu du taux normal. En pareil cas , vous ne l'ignorez pas, la surface pulmonaire et
la température du corps s'élever à 39, 40, 41 degrés mémo, dans un cas observé par M. Bartels, el en même temps, il s'es
il sont parfois presque littéralement foudroyés, et l'on rapporte des cas de ce genre, où la température centrale, au momen
és centigrades. Mais revenons à l'expérimentation et considérons le cas où elle est poussée jusqu'à la dernière limite. I
-lement de l'animal. Or, Messieurs, toujours la morta lieu, en pareil cas , lorsque la température centrale a dépassé de 4 o
et il devient par là au moins très vraisemblable que, dans ce dernier cas , comme lorsqu'il s'agit des animaux soumis à l'ex
Panum, établissent que c'est le cœur qui souffre surfout, en pareil cas ; d'abord excité dans son fonctionnement, il cesse
tantôt, au contraire, coagulé; et, suivant M. Richardson, le premier cas se ren-contre lorsque la mort a été très rapide ;
début de l'expérience. C'est ici le lieu de rappeler que, dans des cas pathologiques observés chez l'homme, et où la mor
émontrer que c'est là, en effet, la cause qu'il faut invoquer dans le cas où la tempéra-ture s'élève aux environs de 42 deg
virons de 42 degrés. Les faits qui précèdent se rapportent tous aux cas dans les-quels la mort survient, à la suite d'une
élevé, ont un caractère commun presque constant, .C'est qu'en pareil cas certains organes, après lam^rt, bnrenV^e^a^éra-ti
'ailleurs, on sait que l'accélération extrême du pouls, qui, dans les cas , de ce genre, constitue un signe du plus fâcheux
i de mort. Le froid développé au sein de l'organisme a-t-jl en pareil cas , sur les organes, sur les tissus, une action po-s
il faut tenir compte, non-seulement pour établir le pronostic dans un cas pathologique donné, mais encore pour régler l'ad-
i vus, elle a re-vêtu la forme hémorrhagïque avec collapsus. Dans ces cas , les malades présentaient ordinairement un remarq
rbe montre tantôt une tendance progressive à l'élévation, et alors le cas est grave; tantôt une tendance à l'abaissement, p
aison devra être heureuse ou, au contraire, fatale. Dans le premier cas , on observera une période de déferves-cence de bo
itiqua. Cette ag-gravation des symptômes est de courte durée dans les cas qui doivent se terminer par la guérison; elle ne
s vu aller en augmentant même après la mort. C'est là, de beaucoup le cas le plus commun chez l'adulte. C'est aussi ce qui
ns la leçon prochaine à quels carac-tères on peut distinguer, dans un cas où la défervescence s'é-tablit au déclin d'une pn
stants qui suivent la mort. 11 y a lieu de se demander si, dans les cas de ce genre, il faut invoquer le mécanisme ordina
hose des tissus ne se montrent pas en excès dans l'urine. » Dans deux cas de tétanos observés chez le cheval, M. Senator di
on faible d'urée (IX Ce que l'on peut dire c'est que, dans tous les cas , le système nerveux est profondément affecté. Ce
t considérable de la chaleur, la contraction musculaire, car dans les cas ordinai-res, qu'il s'agisse du tétanos ou de l'ép
thermométrique atteint alors 39 degrés. 1. Tout récemment, dans un cas de tétanos avec élévation de la température centr
ux normal. (Virchow's Archiv, octobre 1869). D'autre part, dans les cas où l'on note cette grande élévation terminale, le
fait place à un coma plus ou moins profond. On a aussi cité quelques cas à'hystérie ou tout au moins affections hy'Sterifo
n fi-nale delà température. Un fait général, c'est que dans aucun des cas dont il s'agit, on ne trouve ni dans les centres
u'il y ait eu ou non des convulsions. Elle s'abaisse rapidement si le cas est favorable, mais si la mort doit s'en suivre,
et même va en augmentant. A l'autopsie, vous ne trouvez pas dans ces cas d'autres lésions que celles de la périencéphalite
utres lésions que celles de la périencéphalite diffuse. Dans quelques cas cependant, on a constaté l'existence d'induration
ur suite comme dans la périencéphalite diffuse et, toujours en pareil cas , on observe une élévation rapide et très accusée
de vous pré-senter, à titre d'exemples, deux tableaux relatifs à des cas de ce genre. Le premier se rapporte à une femme
des mem-bres paralysés ainsi que cela se voit généralement en pareil cas . Elle était sujette à des accès épileptiques. A
s nerveux, ni dans les viscères, (i) (pg. M). Fl:,. 2i. Le second cas est celui d'une femme de soixante et un ans, atte
lésions traumatiques. Depuis un fait célèbre de Brodie qui, dans un cas d'écrase-ment de la moelle cervicale produit par
vations répétées, qu'en règle générale, la mort est précédée dans ces cas , comme dans les précédents, par une brusque éléva
telle sorte qu'une élévation brusque de la température est, en pareil cas , un indice du plus fâcheux augure (Mémoires de la
poplectiformes ou épileptiformes qui surviennent quelquefois dans les cas d'hé-miplégie de date ancienne. Dans le dernier c
lquefois dans les cas d'hé-miplégie de date ancienne. Dans le dernier cas , en effet, la température s'élève toujours plus o
al (Fig. 26). Fi/. 26. — Courbe de la température du rectum dans un cas d'hémorragie cérébelleuse terminée par la mort ci
vée par la main de l'observateur. Aux mains, aux pieds, même dans les cas les plus intenses, le thermomètre accuse le chiff
agne, par M. Guterbock, en France, par mon collègue M. Lorain. Sur 74 cas , recueillis par ce der- 1. Depuis l'époque où c
st descen-due à 35°, une fois seulement à 34°. Elle est montée dans 5 cas jusqu'à 40°. Et dans tous les autres cas elle a o
34°. Elle est montée dans 5 cas jusqu'à 40°. Et dans tous les autres cas elle a oscillé entre 37 et 38 degrés. Ainsi dans
es parties extérieures et celles des parties profondes. Dans certains cas d'agonie par exemple, il n'est pas rare de trouve
le cbiffre de la température centrale, si ce n'est peut-être dans un cas , celui d'une inflammation locale. John Simon avai
os on cite l'anémie profonde, le diabète et la phthisie dans certains cas . La température peut rester abaissée, pendant une
l'interprétation que nous proposons ne saurait s'appliquer à tous les cas de ce genre. Tout récemment, en effet, le docteur
rd, recherchons les conditions principales qui déterminent, en pareil cas , cet abaissement de la tempéra-ture. Un grand n
1. Brown-Scquard. Société de biologie, l. I, p. 182, 1819. — H. Wyss. Cas d'empois orme ment par l'acide sulfurique (Arc/do
'acide sulfurique (Arc/do. der Heilkunde, 2e Ileft., 1869). — Magnan. Cas d'empoisonnement par l'alcool (Gazette des Hôpita
isonnement par l'alcool (Gazette des Hôpitaux, 1869, n° 82). — [A ces cas , nous ajouterons, ceux que nous avons commu-niqué
avant môme progressivement jusqu'à la mort, laquelle, dans ce dernier cas , survient en général rapidement. Il est diffici
fiées. Nous pourrions citer, à ce propos, ce qui s'observe dans les cas de gangrène traumatique ou spontanée, s'étendant
e. Nous observons fréquemment cette succession de phénomènes dans les cas de gangrène spontanée qui se produisent dans cet
thrombose des troncs artériels principaux d'un membre. Si, en pareil cas , le malade résiste à l'infection pendant quelques
e centrale s'abaisser progressivement jus-qu'à 35, 36 degrés; dans un cas même, nous l'avons vu descendre jusqu'à 34° 5. La
, nous l'avons vu descendre jusqu'à 34° 5. La mort survient en pareil cas , au milieu des symptômes d'un collapsus profond
ler tout à coup leur pouvoir respiratoire. 11 se produirait en pareil cas , suivant l'expression de Williams, une nécrémie,
s ainsi altérés auraient perdu leurs propriétés chimiques. Dans les cas où cette altération des globules se serait généra
et dans l'urine, ces éléments fondamentaux de la bile. Dans les deux cas . d'ailleurs, le ralentissement du pouls et l'abai
es veines avec la coloration rutilante du sang artériel. Or, dans les cas de ce genre, la température centrale s'abaisse, e
rature rectale était de 36 degrés. Vous n'ignorez pas que, dans les cas ftasystolie liés à une affection organique du cœu
nstant, mais c'est un résultat assez habi-tuel. Ajoutons qu'en pareil cas , l'algidité centrale peut par-fois persister ou p
ardiaque ; les recherches de Mantegazza nous ont appris, qu'en pareil cas , il se produit un abaisse-ment de la température
gligé (2). Mais le syndrome collapsus peut se produire aussi dans des cas où la température centrale reste normale, ou même
lève au-des-sus du taux normal, et suivant que l'un ou l'autre de ces cas divers se présentent, le pronostic et les indicat
fâcheuse. Ce genre d'accidents s'observe très communément dans les cas les plus divers chez les vieillards et les indivi
'il s'agisse, par exemple, de lapneumonnie lo-baire et choisissons un cas bien accentué. Jusqu'au 6'' ou 7e jour tout s'est
ralenti. La respiration ra-pide et profonde. Quelle est, en pareil cas , la signification de cet appareil de symptômes si
ralentissent et se régularisent, le pronostic est favorable en pareil cas , alors même qu'il serait survenu quelque symptôme
t prò (luit chez le malade, un sentiment de bien-être. Tel a été le cas d'une femme de cinquante-quatre ans, af-faiblie p
umonie lobaire se produit au moment de la déferves-cence, c'est là le cas le plus commun. Mais le même ensem-ble de symptôm
é, la digitale. Le pronostic à établir varie singulièrement en pareil cas . Il dépend surfout de l'influence des moyens mis
sus peut encore se manifester dès le début de la pneumonie; en pareil cas , il est en général transitoire et fait place bien
e-vêt fréquemment, comme on sait, le caractère hémorragique. Dans ces cas , à l'époque même où les pustules noirâtres ap-par
s à une immobilité complète. Tous ces accidents, dans la majorité des cas , se développent sans fièvre appréciable, mais ils
re inflammatoire. La plupart des médecins modernes font rentrer les cas dont nous venons de donner une description succin
rheumatic arthritis. Cependant, quelques auteurs ont pensé que ces cas méri-taient une place à part dans les cadres noso
rimi-tive^)', enfin J. Hayliartli l'ait évidemment allusion aux mêmes cas dans son Histoire clinique des nodosités des join
des membres, tous ces carac-tères ont imprimé à la maladie, dans les cas où nous l'a-vons observée, une physionomie partic
transporte jamais rapidement d'une jointure à une autre. Il est des cas où la douleur articulaire est à peine sensible, p
s plus intense la nuit que le jour ; elle n'existe guère que dans les cas où la maladie est depuis longtemps constituée. No
ous verrons que c'est principalement chez les jeunes sujets, dans les cas où la maladie a coïncidé avec la grossesse, l'acc
, l'existence de douleur, occupant le trajet des nerfs. Dans ces deux cas , c'est le nerf sciatique qui paraît avoir été att
ations de la maladie. Nous n'a-vons pu l'observer que dans ce dernier cas . Elle était blafarde, circonscrite aux parties sa
t tantôt mobiles, tantôt plus ou moins rigides: c'est dans le premier cas seulement qu'on peut y produire un craquement sec
jointures le plus souvent affectées pendant la période d'état, sur 40 cas . Articulations des phalanges entre elles (à un
seulement après l'apparition des douleurs articuhiires. Dans tous les cas que nous avons observés, la rétraction des mus-cl
t, au contraire, elle s'est montrée très tardivement. Dans tous les cas , sous son influence, les membres, et leurs extrém
, et Adams, Cyclopec. of anatomy and physiology,avl.Hand). Dans les cas où les parties molles sont maigres et atro-phiées
te vers le bord cu-bital de la main. Il va sans dire que, suivant les cas , les ca-ractères du type sont plus ou moins prono
s il y a extension des plialangines sur les pha-langes. Dans tous les cas , le pouce a une tendance presque invariable : il
ut plus guère faire usage de ses mains. Cependant, dans bon nombre de cas , le pouce reste mobile et peut servir, tant bien
pied, dont il croise plus ou moins obliquement la direction. En tout cas , il arrive assez fré-quemment que la tête du méta
ticulations du cou sont très souvent rigides. Nous avons noté dans un cas une déviation de la colonne vertébrale (scoliose)
a, le plus sou- vent, rien à faire ici, puisque, dans bon nombre de cas , cet épanchement articulaire n'a existé à aucune
le du sys-tème nerveux? Certainement la généralisation, dans certains cas , des déviations à toutes les parties des membres
de join-tures qui sont prises simultanément. Cependant, même dans les cas où l'affection s'est généralisée, ils peuvent pas
vations que huit fois sur quarante ; elle a été dans presque tous les cas , peu intense et de peu de durée ; elle a persisté
res et les seules malades pendant un temps plus ou moins long dans 25 cas ; dans 7 autres cas, une ou deux grandes jointure
lades pendant un temps plus ou moins long dans 25 cas ; dans 7 autres cas , une ou deux grandes jointures, le poignet ou le
ures, telles que le genou et le cou-de-pied ; mais, dans ce dernier cas , les petites articulations des doigts n'ont pas t
n'ont pas tardé à se prendre. Ajoutons quelques détails : dans des cas assez rares, foutes les articulations des doigts
les jointures des gros orteils ont été les premières atteintes dans 4 cas seulement. Si une grande jointure se prend en pre
pied ; le genou n'a été malade le premier que dans un petit nombre de cas ; jamais l'articulation coxo-fémorale ne s'est pri
bsolu ni mathématique, mais nous l'avons observé dans la majorité des cas . Terminons ce qui est relatif à ce sujet, en fais
la maladie. On peut, sous ce point de vue, établir deux catégories de cas : quelques malades étaient âgées de 16 à30 ans, e
ités très prononcées. Nous venons d'opposer l'un à l'autre les deux cas où la marche est la plus différente ; on conçoit
laient alterner avec une colique d'estomac, la gastralgie, et dans un cas avec un asthme. M. Requin a insisté sur la fréque
n funeste. M. Chomel n'a vu, depuis la publication de sa thèse, aucun cas de mort par suite du rhumatisme articu-laire chro
ans. Voici le résultat de nos propres recherches à ce sujet : sur 41 cas , 4 malades ont été prises à l'âge de 20 ans; 10 o
ection. L'hérédité a été notée, dans nos observations, 11 fois sur 41 cas ; mais la cause que les malades ont le plus souve
a raréfaction du tissu osseux est tout aussi remar-quable que dans le cas précédent ; les cavités médullaires du corps des
l'état normal, et en même temps privé de vascularité. Dans ce dernier cas , les parois du canal médullaire ont souvent acqui
lles paraissent d'une texture spongieuse et comme vermoulues. En tout cas , elles n'ont au-cune ressemblance avec les concré
lles occupent tantôt le centre, tantôt la périphérie. Dans ce dernier cas , elles con-tiennent souvent très exactement des r
ot, les ulcérations velvétiques, comme on dit aujourd'hui. Dans les cas où les jointures avaient conservé un certain degr
cartilage lui-même, devenu en partie fibreux. Dans presque tous les cas , la membrane synoviale était doublée à l'extérieu
ils avaient leur couleur et leur consistance normales, dans tous les cas où les jointures avaient encore conservé quelques
e d'ouvertures de corps, n'a jamais rencontré de ces dépôts, dans les cas où la diffor-mité des articulations semblait anno
e nous venons de passer en revue, ne sont nullement particulières aux cas qui font l'objet de notre étude; tous les auteurs
ènes fébriles, eu général peu in-tenses et de peu de durée. Dans deux cas sur quarante et un, nous avons rencontré une comp
ses, les lésions, les symptômes, sont au fond les mêmes dans les deux cas . Mais pourquoi, chez cer-tains sujets, les arthri
e nous n'avons pu qu'indiquer. Les analogies qui existent entre les cas que nous avons ob-servés et ceux qu'on trouve che
-tère qui dégage du rhumatisme la goutte ainsi définie; même dans les cas les plus prononcés, les plus invétérés, nous ne t
n ; mais elles y limitent l'extension et l'abduction. Dans d'autres cas , l'ankylose celluleuse intra-articulaire est comp
s mis à nu est rugueux, mais presque sans altération. Dans ce dernier cas , ¡1 n'existe aucune production fibreuse in-terméd
us forme d'amas de cristaux aciculaires d'une grande ténuité. Dans un cas ob-servé par le docteur Bramson (Arthritische Erk
t les altérations des cartilages telles qu'on les rencontrait dans le cas qu'il nous a été donné d'observer, concordent par
mann, ces cristaux doivent être rapportés à l'urate de soude. Dans le cas qui fait l'objet du travail du docteur Bran-son (
ou occuper au contraire les deux oreilles d'un même sujet. Ce dernier cas semble être le plus rare. Leur siège de prédilect
ties où. elle se porte, un dépôt de matière tophacée. Dans certains cas , les concrétions de l'oreille peuvent acquérir, c
ême à une douleur plus ou moins vive ; il n'est point rare, en pareil cas , que les vaisseaux cutanés ou sous-cutanés qui le
est chose facile : ces concrétions furent rencontrées dans 17 de ces cas ; elles faisaient défaut dans les 20 autres cas.
ntrées dans 17 de ces cas ; elles faisaient défaut dans les 20 autres cas . Sur les 17 cas où les concrétions existaient, 7
e ces cas ; elles faisaient défaut dans les 20 autres cas. Sur les 17 cas où les concrétions existaient, 7 fois elles siége
ois sur l'oreille et au voisinage des jointures ; enfin, dans un seul cas , il en existait au voisinage des jointures, bien
rtout chez celles qui sont admise à laSalpê-trière; au contraire, les cas de rhumatisme articulaire chro-nique primitif y s
ffection, et qu'il n'existait aucun signe apparent de tophus. Dans ce cas , en effet, les têtes des métacarpiens étaient sai
sont constitués par de l'acide urique ou des urates. Dans ce der-nier cas , dont notre observation a présenté un bel exemple
ts de la néphrite albumineuse avec la goutte. Il s'agissait, dans ces cas , des formes chroniques d'albuminurie, dont on a v
des dépôts qu'il a observés avec ceux qu'a décrits M. Rayer. Dans les cas de M. Rayer, en effet, ce sont des grains rouges
surface, comme les décrit Todd, sous le nom de gouty Kydney. Dans ces cas , l'urine était albumineuse et contenait des dépou
huitième attaque, peu de temps après le début de l'affection. Dans ce cas , le rein était sain en apparence, sa capsule s'en
ire in-terstitiel qui cause le rein endurci et granuleux. Or, sur 132 cas de reins lisses à leur surface, un seul, et encor
ncore est-il douteux, appartient à un sujet mort delà goutte. Sur 281 cas de reins granulés, 27 au contraire appartenaient
propre du cartilage, ou, pour être plus explicite, que (dans quelques cas au moins), la cel-lule cartilagineuse est le foye
e disposition comme la plus habituelle. Les cristaux étaient, dans le cas qu'il rapporte, composés d'urate de soude. Les ce
talement modifiée à cet égard, et que nous avons toujours vu, dans ce cas au moins, que la matière amorphe siégeait dans le
ent nefs et plusieurs fois répétés, permettent d'affirmer que dans ce cas , et probablement dans tous les faits analogues, l
ui touche les lésions des reins que celle des articula-tions. Dans ce cas , en effet, notre malade perdait avec ses urines u
e la sur-face rénale, de telle sorte que l'altération du rein dans ce cas , est un type parfait de la maladie de Bright avec
aces de dépôts d'urate de soude. Il paraît bien probable que, dans ce cas , le passage à diverses reprises dans les reins, d
our déterminer la nature goutteuse de la néphrite albumineuse dans ce cas . IV. L'intoxication saturnine exerce-t elle u
avaient eu la goutte. Inu-tile d'ajouter qu'il s'agit, dans tous ces cas , de la goutte arti-culaire la moins équivoque, et
que,, et cela n'a rien qui doive surprendre. Mais dans les dix autres cas , il n'y avait jamais eu la moindre apparence d'un
ndre apparence d'une affection goutteuse, et cependant, dans tous ces cas , deux seulement exceptés, les réactifs démontrère
sultats, l'intoxication saturnine aurait donc, au moins dans certains cas , ceci de commun avec la goutte qu'elle produirait
é moyenne d'acide urique excrété. On observa, en outre, dans les deux cas , un phénomène très remarquable : au bout des deux
la goutte au pied, et il en a éprouvé quelque soulagement. » — Trois cas de goutte articulaire consécutive à la paralysie
un corps assez nombreux, M. Christison n'aurait pas rencontré un seul cas de colique de plomb ou de paralysie saturnine pen
'à titre de renseignements. Voici d'abord l'histoire détaillée d'un cas assez remarquable de goutte chronique développée
souvent des douleurs lors des accès. Il éprouve également, en pareil cas , des douleurs qui paraissent siéger au niveau de
ne saurait donc exister con-cernant la nature de l'affection dans ce cas d'une intensité presque exceptionnelle, et cepend
sme articulaire aigu, tandis que cet excès existe constamment dans le cas de goutte aiguë ou chronique. Nous pouvons ajoute
cas de goutte aiguë ou chronique. Nous pouvons ajouter que, clans les cas , — peu nombreux à la vérité, — de goutte chroniqu
tenir de nous prononcer sur la nature de ces arthropathies. Dans deux cas cependant, elles avaient occupé exclusivement les
e classique delà goutte articulaire aiguë (1). Dans aucun de ces deux cas , ni l'hérédité ni les autres causes prédisposante
de la goutte ne pouvaient être invoquées (2). 1. Dans trois de ces cas où l'intoxication saturnine s'était compliquée d'
de urique. Le résultat de nos recherches a été négatif dans les trois cas . il e ,t vrai que nous n'avons pas opéré sur le s
nts, qui montrèrent dans tout son jour l'hé-rédité goutteuse. Dans ce cas , l'intoxication saturnine n'aurait donc joué d'au
onstamment exposés par leur profession. La goutte, développée dans ce cas , ajoute M. Charcot, peut apparaître chez les indi
e permettent point de douter que la goutte, dans un certain nombre de cas , ne doive être considérée comme con- \, Complus
es accès d'une toux ne soient pas suivis de grandes attaques. Dans ce cas , le malade n'éprouve qu'un sentiment vertigi-neux
t montrées les attaques. M. Charcot a été amené à penser que, dans ce cas , il pourrait bien s'agir de l'irritation d'un des
à la séreuse et aux ligaments péri-articulaires. Il y a donc, dans ce cas , ankylose intra-articulaire et extra-articu-laire
d'un point quelconque de la synoviale elle-même. Mais, dans d'autres cas , ce qu'il nous a semblé du moins, c'est du cartil
Le gonflement et la déformation des articulations tenaient dans ce cas : 1° à l'épaississement de la synoviale ; 2° à i'
de l'état normal que par sa viscosité plus grande, et, dans certains cas , par la présence d'une substance albumineuse plus
nique avec déformation (rhumatisme noueux). Vous en avez recueilli un cas ; il en existe un autre de Brood-hurst (Reynold's
atteintes de rhumatisme ; la pre-mière articulation affectée dans ce cas , a été le poignet ; or, le phlegmon siégeait sur
onnelle. plusieurs exemples (On Gout, p. 545); Trousseau en cite un cas (Clinique médicale, t. III, p. 375). «Fonctions
ses ordinaires du rhumatisme noueux. Todd (On Gout, p. 180) relate un cas de dysménorrhée pseudo-membraneuse, avec rhumatis
s du rhumatisme articu-laire. (Lorain) Todd, (p. 179,) cite plusieurs cas de rhu-matisme noueux développé pendant la grosse
use spécifique, génitale ou autre ; «3° Enfin, on peut observer des cas simples, purs, où l'in-fluence de l'une ou de l'a
traduction). Hémorrhagies sous-cutanées dans la goutte. — Dans des cas , à » la vérité assez rares, la coloration d'un po
page 300 de l'ouvrage cité du docteur W. Gairdner l'observation d'un cas de goutte dans lequel l'hémorragie sous-cutanée d
ulaire, revêtir dès l'origine, la forme chronique, pour spécitier les cas de ce genre, M. le professeur Monneret propose la
arement. Les concrétions topha-cées n'ont été rencontrées dans aucuns cas suivis de nécroscopie rapportés par l'auteur, (lo
gtemps (p. 25). Siège de Vaffeciion articulaire goutteuse. — Sur 40 cas de goutte primitive des extrémités inférieures ob
a, une certaine prédilection pour le côté gauche. — Dans ces mêmes 40 cas , la première attaque a porté 36 fois sur le gros
178) Cela est parfaitement exact, au moins pour un certain nombre de cas (p. 30). La goutte chronique comparée au rhumat
po-phalangiennes des deux premiers doigts, sont, dans la majorité des cas , le premier signal du mal. L'examen de 41 cas étu
t, dans la majorité des cas, le premier signal du mal. L'examen de 41 cas étudiés à ce point de vue spécial, nous a fourni
les atteintes, pendant un espace de temps plus ou moins long, dans 21 cas ; dans 7 autres cas, une ou deux grandes jointures
ant un espace de temps plus ou moins long, dans 21 cas; dans 7 autres cas , une ou deux grandes jointures, le poignet ou le
andes jointures, telles que le genou ou le cou-de-pied; mais dans ces cas , les petites articulations des doigts n'ont pas t
petites articulations des doigts n'ont pas tardé à se prendre. Dans 4 cas seulement, les join-tures des gros orteils ou les
u moins au même degré. Adams cite, comme tout à fait exceptionnel, un cas de rhumatisme noueux, dans lequel une seule des m
aygarth n1a rapporté également qu'un fait du même genre, et parmi les cas très nombreux de cette forme de rhumatisme chroni
quement suivi, mais on l'observe, certainement, clans la majorité des cas (p. 38-40). aucune tuméfaction, aucune déformat
n'en était pas tout à fait cle même, ainsi qu'on va le voir, dans le cas de M. Desgranges. On notera, en dernier lieu, dan
e une première attaque survenue accidentellement, peut, dans certains cas , laisser après elle sur les jointures des traces
328), (p. 63). Déformations permanentes des jointures dans certains cas de goutte chronique. — Les déformations permanent
s déformations permanentes des join-tures qu'on observe dans certains cas de goutte chronique se présentent sous des aspect
tantôt elles ont conservé encore une certaine mobilité, et, en pareil cas , les mouvements qu'on leur imprime s'accompagnent
alors ainsi que cela a lieu, aux mains en particulier, dans certains cas de rhumatisme noueux (E. Vidal, Considérations su
t pour ainsi dire sondée aux tissus sous-jacents (voir à ce sujet, un cas de goutte dont j'ai donné la description dans la
sif. Cela ne saurait surprendre lorsqu'on remarque que, dans les deux cas , c'est un même agent, à savoir, la rétraction spa
it bien propre à montrer jusqu'à quel point peut aller, dans certains cas , la similitude que nous signalons. Obs. — Une f
oqués par le clinitien. Il est juste de reconnaître toutefois que les cas où les déformations des extrémités supérieures se
s têtes arrondies font saillie sous la peau. Conséquemment, à part le cas assez exceptionnel où les corps étrangers mobiles
étion marque pendant longtemps fe fieu où celle-ci existait. Dans les cas où la matière tophacée demi-molle est renfermée d
elop-pent quelquefois sur la face interne de l'oreille, et, en pareil cas , on ne peut souvent les apercevoir qu'après avoir
llon naso-labial (p. 96). Rôle des ulcères dans la goutte. — Un des cas auxquels M. Gar-rod fait sans doute allusion ici,
faits de ce genre, a conseillé l'emploi des exu-toires dans certains cas de goutte chronique, et il rapporte l'his- toir
igu, tandis que cet excès existe, au con-traire, constamment dans les cas de goutte aiguë ou chronique. (Observai, on certa
dernières années, à l'hopice delà Salpêtrière. Au contraire, dans les cas , à la vérité peu nombreux, de goutte aiguë ou chr
oncernent toutes les formes et toutes les époques de la mala-die. Les cas sur lesquels elles ont porté peuvent être groupés
rhumatisme articulaire chronique progressif (noueux, généralisé), 25 cas ; 2° rhumatisme articulaire chro-nique partiel (a
matisme articulaire chro-nique partiel (arthrite sèche déformante), 4 cas ; nodosités des phalangettes, accompagnées de rhu
nodosités des phalangettes, accompagnées de rhumatisme musculaire, 2 cas ; en tout 31 cas. Par ce qui précède, on voit q
alangettes, accompagnées de rhumatisme musculaire, 2 cas ; en tout 31 cas . Par ce qui précède, on voit que la présence d'
ns saturnines, et qu'elle s'est rencontrée accidentelle-ment dans des cas d'apoplexie et de convulsions épileptiformes dont
verte de poils, — à la tête, au cou, sur la poitrine, — dans certains cas d'urémie et, en particulier dans la période dite
-rer, Vogel). L'acide libre ainsi produit déterminerait dans les deux cas la précipitation de la presque totalité de l'acid
Il faut sans doute rapporter à cette seconde catégorie la plupart des cas où la gravelle urique précède l'apparition de la
n° 4. Elle a été aussi remar-quée par le docteur Todd, dans plusieurs cas de goutte chroni-que (Clinical lectures on diseus
recueilli dans les jointures principalement affectées offre en pareil cas — comme l'a vu le docteur Todd (loc. cit) et ains
x. — Le névri-lème était le siège de dépôts d'urate de soude, dans un cas du même genre que nous avons observé M. Cornil
dent les dépôts exté-rieurs. M. Garrod a observé cependant (p. 86) un cas dans lequel une concrétion de l'oreille externe s
de la substance fondamentale homogène. On peut toutefois observer des cas , — rares à la vérité, — où l'altération velvétiqu
erve, lorsqu'il s'agit des cartilages diarthrodiaux : dans ce dernier cas , les nombreux cristaux aciculaires qui pénètrent
sions qui viennent d'être décrites peuvent rester laten-tes. Dans les cas où des graviers plus ou moins volumineux se sont
-mateuse, tantôt sous celle de la néphrite interstitielle. Ce dernier cas est, incontestablement, de tous le plus fréquent,
ney) par le docteur ïodd et quelques autres médecins anglais. Sur 152 cas de né-phrite parenchymateuse (reins à surface lis
é qu'un seul qui fut relatif à un sujet gout-teux, tandis que sur 281 cas de néphrite interstitielle (reins atrophiés, à su
bronchiques (Patholog. Society. — The Lancet, 1856, p. 98). Dans le cas rapporté par Landerer, la concrétion aortique pré
275). Plaques ostéiformes des valvules mitrales. — Lobstein cite un cas dans lequel des plaques ostéiformes contenues dan
ment. » — Charcot. OEuv. comp. t. vu. Mal. des Vieillards. 34 Trois cas de goutte articulaire consécutive à la paralysie
ne (Pracficals Remarks on Gout, etc. London, 1843, p. 44) ; un second cas de goutte développée chez un individu atteint de
la goutte. — Gaz. hebdomad., 1863, p.433, '(p. 308-311). Dans trois cas où l'intoxication saturnine s'était compliquée d'
de urique. Le résultat de nos recherches a été négatif dans les trois cas . 11 est vrai que nous n'avons pas opéré sur le sé
paraît principalement con-sister dans la sécrétion de Furate dans un cas , et dans le défaut de cette sécrétion dans l'autr
accès a toujours été trouvé riche en acide urique ; 4° dans plusieurs cas où il s'était manifesté des symptômes de goutte i
le sang peut, comme on l'a vu, se trouver chargé d'acide urique. Un cas qu'om trouvera mentionné au chapitre XII du prése
e un excès d'acide urique antérieurement aux accès. Il s'agit dans ce cas d'un vieillard qui, après avoir éprouvé plusieurs
ployées; plusieurs fois j'ai vu ce médicament occa-sionner, en pareil cas , des phénomènes cérébraux inquiétants, et provoqu
eux ou trois reprises seulement, le siège de la goutte. Dans ces deux cas on avait, chaque fois, combattu le mal par l'appl
digitale ou de la strychnine, et il n'est guère douteux que plusieurs cas cités comme des exemples de goutte remontée ou ré
rigine goutteuse. Il est certain également que dans un bon nombre des cas où la mort subite a été attribuée à la goutte rem
sous ce dernier rap-port. On voit, en effet, très-nettement dans ces cas , des acci-dents cérébraux plus ou moins graves se
des gastriques ou intestinaux se chargent également d'urates dans les cas de saturation unique. Ce serait une cause de ces
nts gastriques disparurent. (Voyez la note page 248). Dans un autre cas , il y avait eu autrefois un seul accès de goutte
nature aient été suivis d'une affection « cardiaque. Mais dans les cas où il y a eu des attaques de « goutte répétées,
) (p. 569.). Dépôt d'uvale de soude sur la sclérotique. — Dans deux cas d'ophtalmie goutteuse, M. Garrod a rencontré des
édicine, t. I, p. 824). On ne peut guère révoquer en doute, en pareil cas , l'influence directe de la goutte, (p. 575). Ur
t travail du docteur Lynch (loc. cit., obs. VII et VIII). L'un de ces cas a été reproduit avec quelques détails complémenta
ans la goutte (p. 586). Affection spinale liée à la goutte. Dans un cas rapporté par R. B. Todd (cycloped. of anat and ph
néralisé ou progressif ; c'est le rhuma-tisme noueux des auteurs. Les cas de ce groupe se distinguent surtout en ce que l'a
ig. 2) donne une bonne idée des altérations obser-vées dans un de ces cas . Les valvules avaient conservé d'ailleurs leurs
e, dans mon service, pendant le cours de l'année 1803, on a noté deux cas de péricardite ancienne et deux cas de péricardit
s de l'année 1803, on a noté deux cas de péricardite ancienne et deux cas de péricardite récente. (Voy. Cornil, Mémoire sur
tisme articulaire aigu ; seulement, moins habituelles dans le premier cas que dans le second, elles se distinguent aussi pa
s et les déviations que présen-tent tôt ou tard les membres, dans les cas où la maladie a agi avec intensité, se prêtent po
s et du carpe sur les os de l'avant-bras ; e) dans un grand nombre de cas , déviation en niasse de toutes les phalanges sur
moins prononcée du carpe sur les os de Favant-bras ; e) dans certains cas , déviation en masse des phalanges, caractérisée p
il y a exten-sion des phalangines sur les phalanges. Dans tous les cas , le pouce a une tendance presque invaria-ble ; il
t plus faire usage de ses mains. Cependant, dans un certain nombre de cas , le pouce reste mobile et peut servir tant bien q
— avec des caractères identiques, dans la goutte chronique. Mais les cas de ce genre sont tout à fait exceptionnels, et pr
de quatre ans et chez un autre garçon âgé de dix ans ; dans ces deux cas , elle présentait une intensité exceptionnelle et
roduit des déformations très prononcées. J'ai noté l'hérédité dans 11 cas sur 41. Il est certain que le rhumatisme noueux e
é, qui semblent indiquer une tendance vers l'état aigu. Même dans les cas du dernier genre, malgré l'administration du bica
rté (p. 034). Rhumatisme noueux et teinture d'iode.— Dans plusieurs cas de rhumatisme noueux, M. Lasègue a administré, av
arsenic reste sans effet ou se montre même nuisible, surtout dans les cas très invétérés de rhumatisme noueux et lorsque la
t avec la gravelle urique, soit avec la goutte confir-mée ; en pareil cas , suivant lui, la glycosurie reste le plus sou-ven
hanger en un accès de diabète. M. Rayer cite un certain nombre de ces cas , et moi-même, j'en connais un qui est très caract
es appartiennent par conséquent aux classes aisées, a rencontré trois cas de goutte sur trente et un cas de diabète. (Seege
aux classes aisées, a rencontré trois cas de goutte sur trente et un cas de diabète. (Seegen, Beitràge zur Casuistik der M
25.) — Le pronostic peut se montrer quelquefois aussi grave en pareil cas que lorsqu'il s'agit du diabète ordinaire ; la me
vives sous l'influence des moindres mouvements, et bientôt, dans les cas intenses, il se condam-nent à un repos absolu. Co
ur une large part aux vieillards, lui en avait procuré une dizaine de cas ; une visite analogue, faite cette année, a été mo
l'âge avancé entraîne avec lui ; mais, si le fait est vrai en quelque cas , il ne l'est plus d'une ma-nière générale. D'une
s mots les observations des malades que M. Charcot a présen-tées. Cas I. — Mag..., 70 ans : tremblement prédominant à l
vaille à la couture ; quelquefois les jambes et le tronc tremblent. Cas II. — Ki..., 68 ans : tremblement de la tête surt
la Salpêtrière. Pas de tremblement des mains ou de la mâchoire (1). Cas V. —Pot..., 84ans : tremblement delà tête, sans p
la maladie est incurable. M. Charcot déclare n'avoir vu signalé aucun cas de guérison. Il ne faudrait pas croire non plus q
vec une élévation notable de la température centrale. — Dans un autre cas , bien que les mouvements fussent circonscrits à u
s après la chorée débutait. Tout récemment, M. Charcot a observé un cas de chorée chez un homme âgé. Elle s'est développé
s du second type. Pig. 3. Altérations de la valvule mitrale dans un cas de rhumatisme arti-culaire chronique primitif gén
propriétés.— Soude, potasse lithine. — Action de ces médicaments. — Cas dans lesquels les alcalins sont contre-indiqués.
ulsifs. — Eaux minérales. — Impuissance de l'art dans la majorité des cas . . . ,...........................272 DEUXIÈME P
ions fonctionnelles, 65;— autopsie dans %d. des Vieillards. 39 le cas d'accidents gastriques, 65; — hemorrhagic cérébra
21 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
devant bientôt suivre. Il note 6 amblyopies mono- culaires et trois cas d'amaurose absolue binoculaire. En 1870, Tebald
ois le fond de I'oeil normal. En 1872, Noyés, presque dans tous les cas examinés à l'ophthalmoscope, trouva des lésions
de la paralysie générale, et, alors que Billod n'en cite que trois cas sur 400 malades examinés, et que Galezowski n'e
seul côté, et 8 fois l'atrophie commençante), dans 19 p. 100 des cas . Raoult, dans sa thèse inaugurale, comptait, en 1
atrophie est tantôt blanche, tantôt grise. » Il en observait quatre cas dans lesquels l'atrophie se serait propagée par l
ire ou commençante ou confirmée se rencontre de 5 à 10 fois sur 100 cas . On remarque plus souvent des altérations vascu
rement ; d'après Mendel, on ne la rencontre que dans4à5 5 p.100 des cas de paralysie générale ». Il cite l'observation
chez 28 p. 100 des paralytiques observés (-180). Dans 8 p. 100 des cas , cet état se compliquait d'une hyperémie de la pa
esworth et Bickeston, trois ans plus tard (1889) trou- vent, sur 66 cas de paralysie générale, une minorité considé- ra
rd, à la paralysie générale ». Gilbert Ballet, en 1893, rapporte un cas d'atrophie papil- laire trouvée, avec Jocqs, su
PATHOLOGIQUE. Jameson Hepburn, de New-York (1895), publie quelques cas de troubles oculaires avant même que tous les a
d'inculper la paralysie générale, mais le manque de myopie, dans ce cas , porte à croire qu'elle n'y est pas étran- gère
ralysie générale débuta chez lui par la perte de la vue. Ces sept cas constituent un premier groupe dans lequel les l
nt indécis. Le bord nasal était le plus souvent intéressé. Dans ces cas , la papille présente évidemment un degré d'alté
les 17 autres, une seule "papille était altérée, la droite dans 12 cas , la gauche dans 5. ' Chez 9 malades nous n'avon
dire que les autres ne l'étaient pas, mais simplement que dans ces cas nos rensei- gnements n'indiquaient pas la syphi
Comme dans les névrites alcooliques, nous avions bien dans certains cas de la décoloration temporale de la papille, mai
TOMIE PATHOLOGIQUE. de la 'papille étant flou dans presque tous les cas , et l'acuité visuelle des malades ne semblant p
l'état des quatre papilles soumises à notre examen. (Dans les deux cas , l'autopsie a été pratiquée moins de quinze jou
nérale. 2° La papille dont les fibres nerveuses disparues dans un cas étaient atrophiées dans un autre, était en outre
des éléments conjonctifs beaucoup moins marquée que dans le premier cas . Dans l'un et l'autre cas enfin, l'oeil qui par
eaucoup moins marquée que dans le premier cas. Dans l'un et l'autre cas enfin, l'oeil qui paraissait normal à l'examen
et à mesure qu'on remonte vers le cerveau, c'est ainsi que dans un cas que nous étudions actuellement, la sclérose pér
du globe oculaire l'est infiniment moins près du chiasma; dans les cas de névrite paralytique que nous avons examinés,
nts confirmé par l'examen microscopique, il s'agit, même dans les cas les moins accentués, d'une papillite et 4'une név
s fibres nerveuses de la rétine susceptibles de déterminer dans les cas les plus avancés la destruction totale des cell
igneusement éliminés de notre étude, pour nous limiter à ces autres cas , sans doute plus rares, mais beaucoup plus curi
ire onirique, les délires systématisés. (a) Mélancolie. Plusieurs cas sont à distinguer : 1° Les uns, peut-être plus
olique avec idées de ruine, d'auto-accusation. Ces deux variétés de cas sont à mettre à part et à distin- guer de ceux
tant les apparences d'un véritable accès vésanique2. Dans d'autres cas , la marche est moins aiguë et l'on assiste à un
t je reste fixé sur une chose, sans aboutir à rien ». Suivant les cas , c'est tantôt l'un, tantôt l'autre de ces deux
fois très courts et disparaître en quelques jours ; mais il est des cas où je les ai vus durer beaucoup plus longtemps,
à forme de rêve, dura chez lui presque un mois à chaque fois. Les cas de ce genre me semblent correspondre à ce que S
st beaucoup plus prolongé encore. Il arrive même souvent, en pareil cas , que ce délire s'alimente dans un rêve nocturne
gument à l'appui de cette manière de voir pourrait être tiré de ces cas , peut-être rares, mais nullement exceptionnels,
forment le thème de ces délires systématisés peuvent être en pareil cas de nature très diverse : idées hypocondriaques,
au délire systématisé est nettement caractérisée, on rencontre des cas beaucoup moins accentués. Ce-sont ceux dans les-
'organisation et que MM. Pitres et Régis ont signalé sous le nom de cas de transition. M110 M..., âgée de vingt-six a
par- tager cette manière de voir, applicable peut-être à quelques cas particuliers. Je croirais plus volontiers que les
s le délire, on peut se demander s'il n'existe pas, dans tel ou tel cas donné, des symptômes de nature à faire craindre
s représentations mentales qui se trouve intéressée, comme dans les cas si nombreux de contraste psychique dont viennen
façon en quelque sorte aiguë, et nous assistons alors, suivant les cas , à ces états de stu- peur, de confusion mentale
t été analysés, leur pathogénie commence à s'éclairer dans bien des cas ; en 48 THÉRAPEUTIQUE. même temps, on a appri
it les applications faites alors de ces procédés thérapeutiques aux cas de maladies nerveuses ; pour ce dernier groupe
ou adultes, et l'analyse de certains succès thérapeutiques dans des cas de lésions incurables fit admettre cette idée n
icat qui commande et règle l'action musculaire. Or, dans le premier cas , c'est le déve- loppement des muscles qui a été
ourd'hui si simple et si logique, si nous trou- vons si naturel, en cas de perturbations fonctionuelles dues à des caus
et que c'est à défaut de traitement causal qu'on a dû, en bien des cas , se contenter de remédier aux effets de lésions
a dû préciser et éprouver ses procédés, les approprier aux divers cas , en déterminer les indications et montrer.leur ef
laires et en assurent l'har- monie, on peut concevoir que, dans les cas où une perturba- tion quelconque du système ner
tuel- LA REEDUCATION MOTRICE. 00 lement : c'est pourquoi, même en cas de lésions nerveuses profondes, de destruction
de suppléances musculaires sont banaux, on en observe dans tous les cas où l'action de certains muscles est sup- primée
uts de prononciation, l'aphasie, et d'une façon générale à tous les cas dans lesquels les contractions musculaires volo
n gardé de supprimer l'emploi des autres méthodes utiles en pareils cas , massage, élec- tricité, mobilisation passive.
ue médicale ou la mécanothérapie, lesquels peuvent bien en certains cas lui être associés, mais restent des méthodes di
des troubles moteurs, d'indiquer sur quels points portera en pareil cas l'examen du malade, et quels sont ceux qui comp
priétés normales d'élasticité et de contractilité, mais, même en ce cas . ils n'ont pas par eux-mêmes d'initiative propr
essentielle au point de vue qui nous inté- resse est de savoir, en cas de troubles fonctionnels, s'il y a altération d
on ne se présentera pas dans les mêmes conditions : dans le premier cas , les neu- rones inférieurs sont en jeu : dans l
rée ou perdue, et si l'exer- cice peut dans l'un comme dans l'autre cas se montrer effi- cace, la tâche sera pourtant d
vements ne saurait être fait avec trop d'exactitude pour chacun des cas dans lesquels se pose la question de la réédu-
us avons vu aussi discuter l'opportunité de la rééducation dans des cas où un examen attentif aurait dû en écarter abso
sentir, puisqu'elle se montre très inégalement efficace suivant les cas . 21 Le même mot d'incoordination est encore ins
en effet, la fonction seule est troublée, mais, dans bien d'autres cas , les organes eux-mêmes sont lésés et doivent eu
la plupart des troubles de la motilité, il faut pouvoir suivant les cas associer à la rééducation proprement dite les aut
n de la volonté du médecin à celle du malade, est la rééducation en cas de troubles moteurs d'ori- gine corticale, chez
it toujours par l'intermédiaire du système nerveux, or il s'agit en cas de troubles moteurs d'affections essentiel- lem
es que l'on réussit parfois à améliorer les fonctions vésicales (en cas d'hypo- tonie de la paroi abdominale) ou intest
nale) ou intestinales (Froussard). Ajoutons enfin que dans certains cas , chez les ataxiques en particulier, la rééducat
elles on a pu élever des protesta- tions ; ce n'étaient là, en tout cas , que des tentatives isolées et dont le succès a
haque malade, cette règle, il a fallu néanmoins la rappeler dans le cas présent. Nous venons de mentionner quelques-uns
r la thérapeutique ; l'exercice métho- dique et prudent, inutile en cas d'atrophie vraie, est au contraire tout indiqué
ement sur le muscle lui-même par l'électricité ou par le massage en cas d'atrophie vraie, autant ces moyens deviennent
articulaire toujours plus profondément touchée, que, sauf dans les cas graves, l'anesthésie musculaire avec ses divers
l est bien évident que la question de rééducation ne se pose pas en cas de tabes fruste ou de tabes bénin sans troubles
bles, tantôt insignifiants étaient réalisés sans que la gravité des cas parût les expliquer. Aujourd'hui, si cette ques
mple, complique beaucoup les difficultés, tandis que, dans d'autres cas , l'impossibilité même absolue de la marche tien
faut tenir compte, c'est la compétence technique du méde- cin. Les cas où la rééducation n'a rien donné s'expliquent,
i donner quelques expli- cations, plus ou moins simples suivant les cas , à condition toutefois d'interdire toute initia
vue du malheur d'autrui inspire quelque résignation. C'est en tout cas un traitement long que la rééducation chez les
r au symptôme ataxie,les autres moyens thérapeutiques employés en cas de tabes conservent leurs indications propre et p
ser. Heureusement, nous pouvons aujourd'hui, et pour la plupart des cas bien choisis, répondre de façon affir- mative.
dance. Celle-ci ne représente, il est vrai, un succès, que dans les cas de grande incoordination, mais c'est alors celu
e une vie active. D'une façon générale, on peut dire que, sauf en cas de complications, la plupart des malades qui avai
x divers degrés d'amélioration auxquels nous avons fait allusion. Cas . I. M. X..., quarante ans, officier. Tabès confir
nièrement, il a été promu au choix au grade de chef de bataillon. Cas . II. M. X..., trente-six ans, officier. Tabétique
e n'est plus que pour perfectionner certains mouvements spéciaux. Cas . VI. M. 1,.... cinquante-un ans, surveillant d'us
y a peu d'années encore, le tabes était, pourlagrande majorité des cas , considéré comme une maladie sans appel, presqu
ent ce qui fait l'intérêt et, pour ainsi dire la curiosité, en tout cas l'imprévu des expériences de M. Charrin et de s
s cellules nerveuses sur toute la hauteur du névraxe. En résumé, ce cas « peut être considéré comme une expérience de l
observée dans les expé- riences antérieures. R. CIIARON. VI. Deux cas d'hémihypertrophie congénitale du corps; par A. T
MAS (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 6, 1901). Dans le premier cas , enfant de quatre mois; l'hypertrophie intéress
angue, à droite, les membres et le tronc à gauche; dans le deuxième cas , la face est indemne et l'hypertro- phie porte
'hypertro- phie porte surtout surie membre supérieur. Dans les deux cas , il y a diminution de la contractilité faradiqu
téresse à la fois les par- ties molles et osseuses. Dans le premier cas , il y a rétrocession du processus pendant les d
ES. 91 culaires des os longs, des vertèbres. L'auteur estime que ce cas ne saurait rentrer dans un cadre nosographique
'un obscurcissement de la conscience, plus ou moins graves, en tout cas pendant les phases de l'ivresse où s'est dévelo
coexiste parfois une éruption semblable à de l'urticaire. Quelques cas de prurit cutané qui, plus tard, cesse de lui-mêm
survient une amélioration. L'excitabilité élec- trique était, en un cas , normale dans les parties non paralysées, dimin
parties non paralysées, diminuée dans la région paralysée ; en deux cas , il y avait réac- tion dégénérative. Pas de tro
u de la lésion qui produit l'im- mobilité réflexe des pupilles. Les cas favorables à la recherche anatomique nous manqu
mpris les fibres centripètes des pupilles. Cepen- dant, en tous ces cas , l'étude anatomique du nerf optique n'a rien do
fugace et la gangrène en plaques névoopathique doivent, en bien des cas , être tenus pour des tableaux morbides auto- no
la théorie du goitre exophtalmique par hyperthyroidation ; ces deux cas montrent les dangers de la mé- dication thyroïd
s hypodermiques massives. Quelques injections suffiraient. IV. Deux cas de névrite sciatique, causée par des injections m
provoquée par le contact prolongé du sel mercuriel. Dans le second cas , un hématome nerveux en même temps que l'appari-
es peut faire penser à des phénomènes de conpression. Dans tous les cas , il existe à la cuisse une zone dangereuse qu'i
é les résultats favorables qu'on pouvait en attendre. Dans quelques cas , l'alitement calma un peu l'agitation, mais l'a
calma un peu l'agitation, mais l'accès fut plus long; dans d'autres cas , la confu- sion fut plus grande ; enfin, dans l
des autres, l'action de l'alitement fut nulle. M. H. VIII. Sur un cas de pachy-méningite hémorrhagique, traité par de
serrent le bouchon entre deux doigts de la main gauche, de nombreux cas de maladie de Dupuytren, il en présente des photo
dans un seg- ment du tégument. M. Dejerine a toujours vu dans ce cas la disposition radiculaire. Il est difficile d'
antes. 103 Paralysie radiculaire obstétricale. lILHuET a suivi 20 cas de paralysie obstétricale du membre supé- rieur
as de paralysie obstétricale du membre supé- rieur et en présente 4 cas à la société. Cette paralysie est causée par l'
étruite, ce qui permet d'affirmer l'existence d'un tabes'fruste. Ce cas permet donc de considérer comme tabétiques avér
lgurantes n'a pas trouvé de lésions. M. Babinski a aussi vu de tels cas sans lésions mais jamais sans lymphocytose. Pas
cuisses. Les secousses fibrillaires ont été notées dans le seul des cas où l'on ait pu assister à l'évolution de l'amyotr
ù l'on ait pu assister à l'évolution de l'amyotrophie, dans ce même cas , il y a eu des symptômes de paralysie labio- gl
er) envoie une communication lue par M. Marie au sujet de plusieurs cas de lésions des centres nerveux manifestement in
e de suggestion se montre chez eux tout à fait inefficace. Pour ces cas , ou se décide parfois, en dernier ressort, à form
. La somnoformisation me parait devoir, absolument et dans tous les cas , remplacer la chlo- roformisation dans la prati
3EItILLON. On a noté chez certains aliénés un assez grand nombre de cas dans lesquels le système pileux était assez dével
bragée et le menton partiellement garni de poils. Ce n'est pas leur cas que je veux étudier, mais celui des femmes, ass
ité dans les jugements trop rapides des fla grands délits, dans les cas de défaut d'expertise médicale, de rejet de cet
u cours de l'aliénation et dans une seconde partie, il s'occupe des cas civils. Parmi les crimes contre les peisonnes o
s par un imbécile sous l'impulsion d'un autre individu. Suivent des cas d'incapacité à tester,de non-validité de testamen
alidité de testaments et de donations, d'interdictions, etc. Chaque cas est suivi d'une discussion et d'une explication
anisation et statistique de l'asile d'aliénés de Santiago du Chili. Cas cliniques spéciaux et faits médico-légaux. Remarq
irecteurs et médecins en chef des asiles publics et privés, dans le cas de suicide, d'évasion et d'accidents graves, ains
raient chez eux. Welle menaçant un nommé Chasseuraa, ce dernier, en cas de légitime défense, lui asséna un tel coup que
par terre comme les porcs. C'est le hasard qui a fait découvrir ce cas horrible de séquestration dont l'auteur a été arr
croit en outre, que la folie à deux ne peut apparaître que dans le cas de délire de persécution. En 1882 ? dans un d
nt communiquée, d'où il tire cette double conclusion : que dans les cas de folie multiple, le sujet actif ne communique
e (Aiiii. méd.- psych., 11- 46). 2 Oscar Woods. Note sur quelques cas de folie (t deux chez plusieurs membres d'une m
(Allg. Zeilsch. f. Psychiatrie, t. LV, f. 3, août 1898). Burzio. Un cas de folie u deux (R. ricademia di medicina di Tori
. di freniatria, an. XXXVII, f. 1, p. 57-59, 1900). E.-A. Hénik. Un cas de folie à deux (Rev. neuaol., 1898, p. 25). Je
e à deux (Boston, med. and Surg. Jounn., 1900, 11- 14). W. Griffin, Cas de folie communiquée (The Journ. of ment. Science
rch. f. Psychiatrie, t. XXXV, f. 1, 1901). 3 L. Finkelstein. Deux cas de folie par transformation (Jalrobücher f. l's
isposition. Nacke. Contribution à l'influence mutuelle des aliénés ( cas d'infec- tion musicale). (liev. neurol., 1902,
ent en même temps dans la suggestion morbide, et l'on peut voir des cas où ils sont pour ainsi dire disséqués. Dans d'a
ses troubles senso- riels ; 4° la vraisemblance du délire dans les cas de folies sys- tématisées ; 5° l'appât d'un int
our un délire qui prendra un cachet tout personnel. Dans certains cas , le sujet passif peut agir sur le sujet actif ;
ement. Parmi les faits rapidement relatés dans cette observation, cas typique de folie imposée, retenons simplement cec
tion provoquée et surtout jusqu'à la réaction. Doit-on dire dans ce cas , avec M. Marandon, qu'il y a seu- lement erreur
tif, un état de dépendance, qui lui aliène en partie, dans certains cas , et totalement dans d'autres ses facultés, ce q
ieu duquel disparaissent les troubles communiqués. A ces différents cas , on peut ajouter celui que M. Marandon a publié
i- rants et une évolution plus rapide du délire, surtout dans les cas de délires systématisés. Ce qui prouve cette ac
ait là, on travail- lerait toutes les deux dans la lingerie ». Ce cas de folie communiquée fait bien ressortir la patho
folie induite ou transformée des auteurs étrangers, qui n'est qu'un cas particulier de cette dernière forme. C'est l'
à la thérapeutique des phénomènes délirants, variables pour chaque cas , il nous semble que la seule indication importa
Quant aux folies simultanées, dont nous n'avons pu obser- ver de cas , sans vouloir émettre une opinion d'accord avec
ondi. C'est la condition médico-légale des sujets passifs, dans les cas de folie imposée. Tous les auteurs, sauf récemm
son proprié- taire des persécutions dont il était l'objet. Dans ce cas , il nous. semble que cet individu était parfait
mentaux et a l'avantage de comprendre dans un même terme, tous les cas de phénomènes psychiques qui ont comme point de
i paraît intervenir, c'est dans l'impulsion seulement, mais dans ce cas elle paraît simplement suspendue, annihilée mom
trois maladies distinctes adéquates aux trois périodes, car dans ce cas il faudrait créer trois états différents qui se
utes nos observations. Enfin, les autres syndromes relatés dans nos cas donnent une idée nette des caractères généraux
, de Boulogne, dans la rétraction de l'arcade palmaire : le premier cas , chez une femme dont la paralysie du nerf facia
mée par l'examen électrique, n'a pas pu être éclairée ; le deuxième cas , chez un homme qui, de longues années avant, av
; traumatisme suivi aussitôt de la paralysie de la main. ' 1H. Un cas d'ostéite déformante de Paget avec mélanodermie ;
particularités de cette obser- vation, qui la distinguent d'autres cas similaires sont : l'intégrité des os du crâne,
6, 1901.) Trois observations de trophoedème intéressant, dans deux cas . un membre inférieur, dans le troisième, la fac
psie et des lésions possibles de la maladie. La seconde éludie sept cas . La troisième expose la noso- graphie, La mei
muscles. Le thymus était probablement pris. Planches à l'appui. Ce cas , avec celui de Weigert (tumeur maligne du thymus)
avec métastases dans les muscles. En revanche dans la plupart, des cas de myasthénie avec autopsie, on ne cons- tatait
substance toxique spéciale, de la paralysie asthénique, Tel est le cas des lipomes des reins, et des kystes dermoides co
d'émotions, l'alimentation prudente, la respiration artificielle en cas de dyspnée, les toniques, ta substitution de l'ex
jour ? ou de quelques semaines, soit avec pauses très irrégulières, cas le plus habituel, et apparition tantôt le matin
s dorsal du Woenno-mé- dilzinshy Jo2trnal. P. Keraval. XIII. Deux cas de nystagmus chez la mère et la fille : par M. Ja
ête et des yeux ; L'ab- .sence de toute lésion oculaire. Ces deux cas viennent à l'appui de la théorie cérébrale du nys
ces médicales de Lyon, 27 février 1901.) ` M. Josserand présente un cas typique de l'affection qu'Erb a décrite sous le
ncidant avec une lésion de la moelle. M. Duplant pense que certains cas de maladie de Liltle peuvent être attribués à d
que certains cas de maladie de Liltle peuvent être attribués à des cas semblables. Ici, l'existence d'une hémato- myél
facial dues à Grasset, Ilosentlal, Démange. Wollenberg cite deux cas de tremblement des paupières ; Westphall un cas d
ollenberg cite deux cas de tremblement des paupières ; Westphall un cas de trem- blement des lèvres ; Frederick lllülle
estphall un cas de trem- blement des lèvres ; Frederick lllüller un cas de tremblement, des muscles du larynx. G. C.
nces médicales de Lyon), 10 juillet 1901. M. Destot présente quatre cas d'artropathies tabétiques étudiées par la radio
ogique a toujours été négatif avec les méthodes actuelles. Dans les cas de Charcot, de Déjerine, de Thomas, les lésions
opinions si diverses émises sur la question; il cite, en effet, un cas publié récemment par Laquert et Weigert où ils
Weigert où ils trouvèrent à l'autopsie une tumeur du thymus. De ce cas et de deux autres analogues, ils concluent que
intoxication due à une lésion du thymus. G. C. XXIII. Note sur un cas de sclérose cérébrale infantile d'origine héréd
hologique, semblent prouver en effet,-dans le plus grand nombre des cas , l'origine hérédo-syphilitique des scléroses cé
ome de Weber, avec llémitrem- blement, ou syndrome de Bénédickt. Ce cas porte à sept le nom bre des cas actuellement pu
ement, ou syndrome de Bénédickt. Ce cas porte à sept le nom bre des cas actuellement publiés du syndrome de Bénédikt. (Re
son raisonnement, qui demeure intact. Sauf de rares exceptions, les cas de ce genre peuvent se diviser en deux 192 ) RE
légale, la question de savoir si l'on est auto- risé, dans certains cas , à tenter une opération à l'insu d'un aliéné ou
ent de ne pas être p odigue de responsabilités limitées, il y a des cas où - elles sont absolument indiquées : d'abord
aladies nerveuses, où l'individu ne se possède pas assez ; dans les cas douteux, doute dont le prévenu, dans l'axiome de
es idées, l'auteur apporte une importante statistique de deux cents cas médico-légaux dans lesquels il eut à faire un r
celle de la responsabilité telle qu'on la conçoit actuellement. Le cas cité par M. Wbitcway n'est qu'un fait particuli
sans aucun danger pour la justice. 1. DG lIIUSGItAVE-CLY. XII. Un cas d'homicide épileptique; parR. Peucy Smith. (T/te/
donne une relation détaillée du procès criminel, c'est que, dans ce cas , où il s'agissait d'une épileptique ayant commis
paralysie gé- aaérale. III1L. Guc.nn et Dun.os communiquent trois cas de paralysie générale, assez difficile à diagno
; en effet, ce pro- nostic ne tarda pas à se réaliser. Le second cas est relatif à un homme présentant les symptômes
n dans la parole. Ce malade était syphilitique. Dans le troisième cas , il s'agit d'une confusion mentale simple. simu
entre l'écorce, le cervelet et les centres labyrinthiques. Sur un cas de paralysie alterne avec déviation conjuguée de
uguée de la tête et des yeux. M. Thomas rapporte l'histoire de ce cas dont la lésion siégeait au niveau du genou du n
de l'air, suivis d'éructation sonores et inodores. L'intérêt de ce cas est de montrer la coexistence chez un même suje
les interpréter. lien est pourtant ainsi de l'immense majorité des cas de tics et de stéréotypies observés chez les al
intes fois, et avec raison, insisté sur cette pathogénie ; mais les cas où celle-ci apparaît avec évidence sont assez r
cipline motrice méthodique. M. CMuzoN montre les moelles de trois cas d'hémorrhagie céré- brale avec ponction lombair
on- tinues à celles des méninges. Or, M. Guillain a trouvé dans des cas de tabès récent des corps granuleux disséminés
ractérise pas une myélite, mais elle se trouve dans la majorité des cas de cachexie même sans myélite. Les malades de M
uillain n'étaient-ils pas des tabétiques cachectiques. Dans de tels cas , on trouve de ces corps granuleux même dans la
ILIPPE, invité à émettre son opinion par M. Raymond, rap- pelle les cas extrêmement nombreux de tabétiques d'une part et
nt indemne. Touche, Kussmaui et d'autres ont publié deux ou trois cas de lésions droites ayant produit l'aphasie chez d
itation cérébrale très spécial. Les troubles psychiques, dans nos cas , sont apparus dans la 204 -il SOCIÉTÉS SAVANTES
post-opératoires ; mais si le vrai délire peut naître dans certains cas , comme nous avons essayé de le prouver, d'un ét
rvant exclusivement au groupe des psy- choses post-opératoires, les cas qui ressortissent à notre définition. Même en e
, pour établir le groupe des vraies psychoses post-opératoires, des cas semblables à ceux que nous obser- vions depuis
camenteux. On ne doit pas plus les confondre qu'on ne confond les cas de folie puerpérale qu'onamèneàl'asileavec des
guérir à l'hôpital ou y mourir. L'un de nous a cité ailleurs des cas de délirants d'hôpital venus à l'asile comme al
ts dans l'une ou l'autre de ces catégories. C'est ainsi que dans le cas qu'a bien voulu me communiquer mon excellent co
int qui paraît solidement et définitivement établi, et tous les les cas survenus, chez des sujets indemnes de toute pré
deuxième du même auteur était hypochondriaque (obs.VII). Dans le cas de M. Vigouroux (obs. V), nous n'avons aucun re
un certain nombre d'obser- vations, et si nous avons cité un de ces cas , c'est pour bien montrer qu'il ne faut pas conc
avons peu de renseignements sur l'histoire de la malade. En tout cas , il s'agit d'une débile et le délire post-opérato
celles publiées dans une deuxième communication *. Même dans les cas publiés par l'un de nous, où les troubles psychiq
us le verrons plus loin, une forme de délire différente selon les cas . L'importance de la donnée étiologique d'une pa
tomiques bien définies; on ne saurait évidemment y faire rentrer le cas du malade cité plus loin et devenu paralytique
ie spéciale d'opérations. Nous en avons constaté un grand nombre de cas , publiés ailleurs. - Il faudrait donc, pour e
ifiée par les considé- rations précédentes, il suffira, dans chaque cas du premier groupe, de rechercher l'existence du
de rechercher l'existence du foyer infectieux causal. Dans certains cas le foyer a pu exister, mais a diparu presque co
r ces variétés intermédiaires et l'on doit se demander si dans ce cas la forme même du délire ne pourrait pas fournir u
Dans le mémoire déjà cité (1 ? mars 1898) l'un de nous citait le cas d'un malade envoyé dans un asile pour un délire
on de la cuisse. Depuis cette époque, il en a observé bien d'autres cas , et pense que, hormis les cas de.septicémie gén
époque, il en a observé bien d'autres cas, et pense que, hormis les cas de.septicémie généralisée, la guéri- son peut ê
t être considérée comme la règle. Il en est tout autrement dans les cas de psychoses vraies post-opératoires qui relève
le d'être amélioré par l'intervention chirurgicale. Dans les autres cas , il est absolument variable et dépend entièreme
nette. Rechercher le foyer infectieux et se comporter suivant les cas . Dans la psychose vraie, remplir l'indication chi
eut, comme certains aliénistes l'ont soutenu, ne présenter dans ces cas aucune prédisposition héréditaire ou acquise.
in- cipale cause efficiente {Magnan et Truelle). Si dans certains cas , comme nous l'avons montré dans un ÉTUDE DES PS
t se greffer sur un état neu- rasthénique, elle reste, même dans ce cas , tributaire de la mentalité des prédisposés.
là encore, le chirurgien peut rencontrer un nombre considérable de cas , où une opération pourra mettre fin aux trouble
taines catégories de prédisposés et en n'envoyant à l'asile que les cas qui ne relèvent pas de l'infection (voir thèse
se le conduira à solliciter l'intervention du chirur- sien dans les cas où elle reconnaîtra une origine infectieuse. Ob
semble nettement envoie de gnérison. Réflexions. Il s'agit dans ce cas d'un malade prédis- posé (asymétrie faciale ; v
le moindre inconvénient. Réflexions. Il s'agit certainement dans ce cas d'une jeune fille atteinte de dégénérescence me
e des commissions. Réflexions. - Il s'agit très nettement dans ce cas d'un hypochondriaque devenu plus mélancolique a
ent à l'administration des lavements et des purgatifs. Ainsi fut ce cas . Le 14 novembre, elle entra pour quel- ques jou
n du mois de mai. Réflexions. Il semble possible d'admettre dans ce cas un délire d'origine toxique ou infectieuse ; ce
anique à marche progressive et fatale dans l'immense majorité des cas . Dans le type léger de la névralgie faciale, ce
LARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 239 totalement. Dans les cas extrêmement bénins tout se borne à une simple h
ès constant dans toutes les névralgies du type léger. Dans quelques cas , mais non toujours, on retrouvera les points de
quent, mais, d'une façon générale, on peut dire, qu'à part quelques cas exceptionnellement [rebelles, lorsqu'elle dispa
des attirent l'attention surtout sur une douleur continue : dans ce cas cette douleur occupe un point précis, toujours
E. jusqu'au tronc principal et aux centres. Dans presque tous les cas le paroxysme douloureux affecte une marche anato-
ne ainsi parfois l'illusion d'une névralgie double. Dans quelques cas la grande névralgie faciale s'accom- pagne de t
du tic la grimace que fait le malade lorsque surgit la douleur. Les cas de tic vrai sont relativement peu fréquents. Ra
relativement peu fréquents. Rappelons du reste que Valleix, sur 14 cas de névralgie faciale à type grave observés par
le zona ophtalmique est regardé comme l'un des plus communs. Sur 17 cas de névralgie faciale cepen- dant parmi lesquels
muns. Sur 17 cas de névralgie faciale cepen- dant parmi lesquels 13 cas de type grave que nous avons observés, jamais à
prises avec les plus grandes difficultés. Dans les deux tiers des cas nous n'avons pu parvenir à déterminer cette cau
le que soit son type, léger ou grave, est justiciable dans certains cas d'un traitement spé- cifique, ce qui veut dire
ire cesser, et qui par conséquent ne visent qu'un petit nombre de cas , on ne connaît guère de traitement qui par la con
nitrate d'argent dans le sinus maxillaire ont réussi dans certains cas , mais bien plus souvent dans la névralgie légèr
la névralgie qu'on a soumis à ce moyen. Il est certain que dans des cas de névralgie développée sur un terrain hystériq
ique léger on a pu obtenir de notables améliorations. Dans certains cas , en combat- tant l'insomnie, l'électricité stat
u enroulée autour de la tête en manière de minerve. Dans ce dernier cas on aura soin d'interposer entre l'électrode et
allation fixe, d'employer le réducteur de potentiel.) Dans tous les cas on aura soin de n'élever l'intensité qu'avec la
me lorsque la maladie remonte à une époque déjà éloignée. Dans un cas entre autres, la névralgie trifaciale datait de
ait été fait mention de séances dépassant une demi-heure : dans un cas , trente- cinq à quarante-cinq minutes, dans l'a
nt de bien-être, une détente qui se trouve surtout marquée dans les cas de névralgie à forme grave. Un des effets parti
mes peu ou moyennement douloureuses de la névralgie. Mais, dans les cas de névralgie très violente, dans touteslesforme
ui, d'après quel- ques-uns qui affirment avoir obtenu dans certains cas une guérison pleine et entière, il est permis d
érison pleine et entière, il est permis de se demander si, dans des cas de ce genre, les auteurs n'ont pas été induits
apeutiques et nous l'avons vu réussir d'une façon parfaite dans des cas de névral- gie de ce type qui avaientrésisté à
à affirmer « qu'il reste tou- jours quelque chose ». Même dans les cas où l'absence des accès pendant de longs mois a
utres. Six malades avaient le type grave mais sans tic. Sur ces G cas , dans l'un, le nombre des séances a été notoireme
utre le traitement n'a pas été fait régulièrement. Restent donc 4 cas parmi lesquels nous notons une amé- lioration m
- lioration moyenne, et 3 très grosses améliorations. Enfin sur 4 cas de névralgie du type léger, nous noterons un trai
et nous ne saurions assez insister sur ce point. Bien que dans deux cas de névralgie faciale de ce type nous ayions obt
ombre d'auteurs, Bernheim par exemple. Il faudrait admettre dans ce cas une bien puissante influence suggestive de l'él
er que la sugges- tion ne réussit d'une façon certaine que dans les cas de névralgie-névrose, tandis que dans les cas d
certaine que dans les cas de névralgie-névrose, tandis que dans les cas de névralgie- névrite il avoue avoir peine à s'
es et en par- ticulier du tic douloureux. Peut-être dans ce dernier cas l'électricité vient-elle exercer une action sur
que le système vasculaire soit auparavant affecté, comme dans le cas d'anévrisme miliaire qui résiste moins à la press
corpuscules amylacés. Le parenchyme reste passif, sauf en certains cas légers et chroniques où l'irritation caresse le
névroglie avec nombreux noyaux, cellules étoilées assez grosses. Un cas de ce genre observé chez un paralytique général
par voie réflexe, sur les fléchisseurs de l'extrémité. En quelques cas la flexion dorsale du pied le déter- mine : ce
quent que les deux autres. Il ne se manifeste nettement que dans le cas d'hyperexcitabilité réflexe extrêmement marquée
is mois et demi. L'amélioration du goût suit la même marche dans le cas de destruction bilatérale insignifiante. L'amé-
e leur ori- gine apparente à la face antérieure du bulbe. Dans ce cas , les troubles du goût acquièrent un intérêt tout
par les ûrs Soukanoff et SaNNOUCHgINE. Dans les trois quarts des cas de malades psychiques, la con- traction idio-mu
les maladies chroniques et incurables. Il est à noter que, sur 11 cas d'épilepsie et 11 cas de délire alcoolique prol
ues et incurables. Il est à noter que, sur 11 cas d'épilepsie et 11 cas de délire alcoolique prolongé, elle n'a manqué
gine. - Ils rapportent l'observation détaillée, avec autopsie, d'un cas typique de porencéphalie traumatique constaté c
déterminé ; selon toute pro- babilité, il doit varier -suivant' les cas . Les auteurs exposant avec détails le mécanisme
nd du point où a porté le traumatisme. A. Fenayrou. XXVII. Sur un cas de méningite cérébro-spinale à streptocoque et
est doublée de crises du tube digestif; dans l'immense majorité des cas , de crises gastriques ; très exceptionnellement
arrêt dans le développement de la moelle, celui-ci dans bien des cas d'après l'auteur ne reconnaissait pas d'autre cau
t pas d'autre cause que l'hérédo- syphilis. ' G. D. XXXI. Nouveau cas de tabès fruste chez un syphilitique; par le D1
ayant en outre commis de nombreux excès vénériens. G. D. XXXII. Un cas de névrose traumatique grave; par J. CROCQ. (Jozw
ile; par le Dr SOLLIER {Journal de Neurologie, 1900, n°2). XXXV. Un cas de paralysie segmentaire; par van Gehuchten {Jour
soit du membre supérieur, soit du membre inférieur. XXXVI. Sur un cas de colique hépatique nerveuse ; par le , Dr HOB
affection. {Revue neurologique, septembre 1901.) E. B. XXXVII. Un cas de paralysie bulbaire asthénique suivi d'autopsie
utopsies n'ont donné que des résultats négatifs; toutefois, dans un cas de Widal et Marinesco, il y avait des alté- rat
altérations chromatiques. Au point de vue clinique, l'intéressant cas rapporté par les auteurs présente tous les cara
es globes oculaires; par les Drr RaYMonD et Cestan. Dans le premier cas , il s'agit, chez un homme de quarante ans, atte
tre eux les noyaux de la 111° et de la VIe paires. Dans le second cas , suivi aussi d'autopsie, il s'agit d'un tuber-
veau. {Revue neurologique, jan- vier 4901.) E. B. XXXIX. Sur deux cas de spondylite {type Betchereiv et type P. Marie)
. (Joiti-ii. de Neurol., 1902, n° 14). Ce travail est basé sur deux cas de spondylite dont l'un se rapprochait du type
dait au type Stumpell-lllarie. De l'étude compara- tive de ces deux cas , les auteurs tirent la conclusion que le méca-
HRUANDET. (Journal de Neu- rologie, 1902, n° 15). Dans les quatre cas de névrite périphérique des membres infé- rieur
ATHOLOGIE NERVEUSE. 27f> est donc, au moins dans la majorité des cas , sous la dépendance de la volonté, autrement di
ne intervention de l'écorce cérébrale est nécessaire. Dans quelques cas cependant c'est un spasme, un simple réflexe sp
e à l'auto-into- xication qu'à une action réflexe. M. H. XLIV. Un cas de sclérose en plaques à tremblement hémilatéral
atéral ; par Remlinger {Revue de Médecine 1899). Observation d'un cas de sclérose en plaques où le tremblement était
de l'épaule, par LaNNOis ELPAVIOT. {Revue deàiéde- cine 1899). Le cas observé présentait comme signe particulier une hé
a qu'il s'agissait d'une sclérose en plaques. L'auteur émet dans ce cas l'hypothèse d'une infection due à la tuberculos
la mort par déchéance car- diaque. Il s'agit probablement dans ces cas de névrite par propa- gation. M. H. XLVII. Né
oses avec le traumatisme cérébral. L'auteur rappelle, à propos d'un cas personnel, les tra- vaux de Clark sur le sujet.
atoires pendant la durée de l'état émotif. . M. H : 1NEL. LII. Un cas de névrite périphérique d'origine paludéenne; par
par Chrétien et Thomas (Revue de Médecine 1899). Observation d'un cas de tabès avec absence de douleurs fulgu- rantes
ération notable des cellules des cornes antérieures. M. H. LV. Un cas de migraine ophtalmoplégique (paralysie oculo-mot
euvent être plutôt rattachés à un acte réflexe. M. H. LVII. Trois cas de polynévrite palustre ; par C. Mathis. {Revue d
; par C. Mathis. {Revue de médecine 1902.) M. H. LVIII. Quelques cas de sclérodermie et de vitiligo chez des en- fan
nt l'affirmer, mais ils signalent les analogies qui existent et les cas qui pourraient être considérés comme une transi
ie Charcot-Marie a été porté .abusivement dans un certain nombre de cas et qu'il n'y a jusqu'à ce jour que deux cas qui
ns un certain nombre de cas et qu'il n'y a jusqu'à ce jour que deux cas qui peuvent être considérés comme indiscutables
es (atro- phie plus ou moins accentuée des fibres). 1. C. I.X. Un cas de polynévrite tuberculeuse motrice; par M. DECRO
sie et l'artériosclé- rose ; par le Dr Pelnar. A propos de quatre cas intéressants d'astasie-abasie chez des vieillar
astasie-abasie sénile chez des individus névropathiques, il y a des cas d'abasie sénile monosymptomatique; 3° la pathogno
cas d'abasie sénile monosymptomatique; 3° la pathognomonie de ces cas n'est pas moins aisée à établir que la pathognomo
nique des symptômes est donc modifié en ce sens; 6° dans quel- ques cas d'artériosclérose, la démarche des malades est mo
02). E. B. LXII. Sur un réflexe anormal du facial inférieur dans un cas de paralysie pseudo-bulbaire ; par le D'' l'cRa
agérés (Revue neurologique, septembre 1902. E. B. LXIII. Un nouveau cas de torticolis mental. Rôle de l'idée fixe, crai
basedowiens {Revue neurologique, juillet 1902). E. B. LXV. Sur un cas de pellagre accompagné de la rétraction de l'apo-
use de l'apparition de la rétraction de l'aponévrose dans un pareil cas , que cette rétraction est un trouble trophique
- mune à tous, mais dont le but est logique, utile. Dans tous ces cas , le trouble fonctionnel parait être sous la dép
st présenté rarement avec des caractères aussi tranchés que dans le cas actuel. {Revue veu- nodogique, mai 1902). E. A.
se, hallucinations fréquentes, etc. M. Bienvenu croit que, dans ces cas , la cause delà dépression est l'action sur les
uberculeuses sont des poisons déprimant les cellules nerveuses. Les cas qu'il publie seraient donc comparables à une expé
es malades qui en font l'objet. 1 M. VIGOUROUX. Dans les deux seuls cas où il a été observé rien d'anormal n'a été rele
éphrite chronique. M. Dupit rappelle que Maurice Faure a publié des cas analogues d'hépato-uéphrite graisseuse, accompa
hépato-rénaux des symptômes polynévritiques, M. Dupain a observé un cas de délire pseudo-alcoolique, chez une femme à l
nfectieux, par insuffisance hépato-rénale. M. Vallon a observé un cas analogue à celui de M. Vigouroux, chez une infi
délirantes. La céphalée, qu'on observe presque toujours dans les cas ana- logues, est rare dans le délire alcoolique
ir, son caractère de trouble indépendant d'une lésion organique. Ce cas permet donc d'affirmer que chez un malade prése
'ajouter que si, cliniquement le clonisme est le même dans les deux cas , il n'est pas démontré que dans les deux cas, s
e même dans les deux cas, il n'est pas démontré que dans les deux cas , sa physiologie pathologique soit identique. En e
été le résultat d'une sorte de traumatisme des gastroumens. En tout cas , réserve faite sur ce point de physiologie path
niques comme elle peut se montrer chez quelques névrosés, mais des cas isolés ne prouvent rien contre la règle générale.
uvent rien contre la règle générale. D'ailleurs dans la plupart ces cas de lésions organiques on la voit rétro- céder.
semblablement d'une paralysie infantile. Ne serait-ce pas un de ces cas d'atrophie con- consécutive à une méningite cér
ébrospinale comme Rendu en a publié. - M. Brissaud. C'est en tout cas une atrophie consécutive à une céphalo-myélite
erve, chose rare, la dimension normale de ses mains, il est en tout cas bas de jambes.. Fracture chez un inyopathiqzte.
ns le tabes. MM. P. Armand-Delille et Jean Camus ont examiné treize cas de tabès du service de M. le professeurDéjerine
du service de M. le professeurDéjerine; dans les deux tiers de ces cas ils ont constaté l'absence de lymphocytose. L'âge
ils ont constaté l'absence de lymphocytose. L'âge du tabès dans ces cas n'a pas semblé en rapport ni avec la présence ni
e ou de douleurs fulgu- rantes ; elle ne pouvait donc être dans ces cas un élément de dia- gnostic ou de pronostic. L
capsule périolivaire à celle du noyau rouge. A noter aussi dans ce cas l'atrophie du pédoncule cérébelleux supérieur.
ssi dans ce cas l'atrophie du pédoncule cérébelleux supérieur. Un cas de Zona et topographie radiculaire suivi d'autops
ions correspondant, on trouve également des lésions cellulaires. Ce cas vient donc apporter une nouvelle confirmation à l
trai- tement spécifique. Il propose donc qu'on choisisse deux cents cas de tabes, on en traitera cent spécifiquement et
a mise en jeu de 1' « expcclant attention », ou bien il présente un cas d'hypnotisme fortuit. C'est à la faveur d'un «
s absordent des excitants, tels que vin, thé, café. Dans ces divers cas , il faut réiormer l'hygiène intellectuelle et le
énérescence, il n'est ni curable, ni hypnotisable et même, dans ces cas , l'hypnotisme est un instrument de diagnostic com
e, ainsi que le recommandait tout récemment M. Paul Farez. Dans ces cas , suggestionnable est synonyme de curable. On no
indications de la thérapeutique générale ; mais il est de nombreux cas où celle-ci est loin de suffire. Certains de nos
25 janvier 1902. DÉDIÉE au NOM DE S.-S. KonsAKorr S.-J. POPOF17. Un cas d'ataxie cérébelleuse aiguë d'origine organique,
voit pas d'indications nettes sur l'existence de l'hystérie dans le cas en question. , Dr V. Weidenhamuer pense que les
lymo ne nie pas la possibilité de complication hys- térique dans le cas donné. M. L. S. 1111NOn rappelle que les tumeur
ilnires. L'auteur a observé dans l'hôpital de Sainte-Catherine deux cas d'alexie. C(M/. Malade, journalier, cinquante a
nça à disparaître progressivement. Le malade n'était pas gaucher. Cas Il. Malade de quante-cinq ans, ouvrier de fabriqu
ni son lit. Le malade n'est pas gaucher. La particularité de ces cas consiste dans la lésion de l'hémis- phère droit
sent que nous lisons avec les deux hémisphères. La particularité du cas Il consiste dans l'amnésie antérograde comme sy
rouble d'orientation, décrit par d'autres auteurs. L'alexie dans le cas II est aussi particulière, elle provient non pa
plication présentée par l'auteur sur l'origine de l'alexie dans ses cas ne s'accorde pas avec la manière de voir cliniq
série, t. XV. 20 306 SOCIÉTÉS SAVANTES. N'y avait-il pas dans ces cas quelque chose de plus simple, comme par exemple
Influence favorable de la thérapie spécifique. L'auteur signale ses cas par le nom de démence stupeureuse syphilitique. C
e que le rapporteur fait une erreur métho- dologique eu élevant ses cas d'après le critérium, qui lui-même est élevé de
élevant ses cas d'après le critérium, qui lui-même est élevé de ces cas . ' Dr W. SERBSKY ne voit pas de raison d'attrib
lée sur le mode' de distribution des eaux par l'apparition de trois cas de fièvre ty- phoïde, et j'ai paré au plus pres
r janvier 1901, on comptait 557 malades (282 H. et 275 F.), dont 17 cas de folie alcoolique. Les admissions dans l'année
147, chiffre sensiblement égal à celui des années précédentes. Les cas d'aliénation mentale paraissent donc être à peu
, parait avoir donné des résultats très favorables; deux nouveaux cas de tuberculose ont été seulement constatés depuis
être désignés, dans l'ordre du classement, pour être titularisés en cas de vacances ultérieures. Epreuves du concours.
vient, et on ne possède aucun renseignement sur son identité. Ce cas rappelle celui du Sauvage de l'Aue·oz, qui a fait
nte doit être réservée au traitement électrique, que, dans tous les cas , on aura intérêt à essayer avant de songer à un
, 3 décès. Il assure en outre n'avoir jamais vu de récidive dans le cas où il s'agissait d'une névralgie classique du t
lassique du trijumeau. Mais cependant une analyse approfondie des cas publiés par Krause nous a permis de relever sur
rofondie des cas publiés par Krause nous a permis de relever sur 25 cas d'extirpation du nerf, 5 cas seulement de guéri
Krause nous a permis de relever sur 25 cas d'extirpation du nerf, 5 cas seulement de guérison absolue et définitive, 3
ion du nerf, 5 cas seulement de guérison absolue et définitive, 3 cas de guérison obtenue au prix de troubles oculaires
cas de guérison obtenue au prix de troubles oculaires graves, et 3 cas avec récidive plus ou moins sérieuse du côté op
s les douleurs n'ont pas dis- paru complètement, et chez 2 de ces 5 cas , il y a eu réci- dive franche et complète, ce q
te, ce que Krause explique du reste, en déclarant que dans l'un des cas il s'agissait d'hystérie, et dans l'autre, de n
persista sept mois encore après l'opération, on voit qu'il reste 7 cas qui représentent le chiffre de la mortalité de
de cette statistique que Krause a une moyenne d'une mort sur trois cas , et une guérison absolue sur cas. Ces chiffres
a une moyenne d'une mort sur trois cas, et une guérison absolue sur cas . Ces chiffres suffisent à attester la gravité t
y, Massoutard) dénotent l'extrême gravité de l'intervention. Sur 95 cas réunis par Gérard-Marchand et Herbet, il y a eu
ard-Marchand et Herbet, il y a eu 17 décès. Becq en 1895 a réuni 41 cas avec 6 morts opératoires. Tiffany donne PARTICU
TÉS CLINIQUES bE LA NEVRALGIE FACIALE. 337 î une statistique de 108 cas dont 24 morts, sans indiquer le nombre des guér
D'après Krause lui-même du reste, il ne faut en arriver là qu'en cas de nécessité absolue, et dans son dernier travail
ve à cette conclusion, que l'opération n'est justifiée que dans les cas de gravité des symptômes et d'in- succès de tou
s'adresser d'abord aux médications usuelles quitte à recourir en cas d'insuccès à l'électricité, qui amènera à peu prè
on ne se décidera à pratiquer une interven- tion chirurgicale qu'en cas d'insuccès absolu. En dernière analyse une opér
s'étend jusqu'à la région occipito-mastoïdienne. Dans ce dernier cas , l'accès est bien plus atroce. La douleur siège p
, mais peut-être moins fréquentes la nuit qu'autrefois. « En tout cas , les crises, au lieu de durer une demi-heure, ne
es intestinaux, amélioration qui a persisté au dire de la malade. Cas . VIII. M-11 B..., fleuriste; névralgie faciale. C
ant pu constater aucun résultat à la suite de ces quatre séances. Cas . IX. B. A..., cinquante-sept ans, a eu de 1873 à
rand soulagement dans les applications que nous lui avons faites. Cas . 11V. - 111'u L..., soixante ans, est prise de né
titre, l'obser- vation que nous allons donner et qui nous offre un cas jus- 360 RECUEIL DE FAITS. qu'ici unique, cro
il y a lieu d'incriminer quelque autre cause occasionnelle dans ce cas de paralysie générale. Nous ignorons notamment
tale du système nerveux, suivant l'expression même des auteurs, ce cas viendrait s'ajouter à ceux déjà nombreux, où l'
s, voire mêmes des imbéciles. En 1888, M. L-F. Arnaud publiait deux cas de paralysie générale chez des imbéciles, rappe
à des périodes régulières et ne varient point. ' L.-F. ARNAUD. Deux cas de paralysie générale avec autopsie chez des im
ignes s'en manifestent généralement à vingt ans, mais il existe des cas précoces et des cas tardifs.- 3. Elle est incurab
nt généralement à vingt ans, mais il existe des cas précoces et des cas tardifs.- 3. Elle est incurable mais son évolut
de cet ordre comme cause de troubles vésaniques et se demande si un cas aussi net ne peut venir à l'appui de cette opin
ais relâcher la thérapeutique. 1, B. V. Troubles psychiques dans un cas de tumeur du lobe frontal; par les D"' Cestan e
son des conclusions peu positives qui se déga- gent de l'examen des cas publiés.. Le tableau clinique des troubles inte
sentimeut sexuel; le sentiment religieux et la cruauté, en certains cas , doivent être regardés comme des succédanés du
, la relégation future certaine; dans le troisième enfin, 1 Voir un cas s'en rapprochant, 1902, t. XIV, p. 462. , REVUE
t, évoluent librement devant une société complice. E. BLIN. X. Un cas de folie brightique ; par le Dr VIALLON. (Annales
urgatifs, les font en général disparaître en peu de temps. Dans les cas d'albuminurie chronique, de mal de Bright, les
'assez longue durée relevant directement de la médication ; en tout cas , les bénéfices du trai- tement n'en sont pas mo
t d'une façon étroite aux troubles albuminuriques. E. B. XI. Deux cas de manie guéris à la suite d'une infection grave;
E1(AR. (Annales médico-psychologiques, août 1901. Il s'agit de deux cas de manie, guéris l'un à la suite d'une pneu- mo
Brésil, l'auteur s'était attaché à démontrer la nature morbide du cas . Il reprend l'étude de ce sujet dans un travail
sponsabilité juridique des foules s'évanouit com- plètement dans le cas ou le vrai délire collectif est indiscutable et.
Toutefois, l'analyse psychologique de la foule s'imposera à chaque cas , car elle seule permet de vérifier si les chefs o
précoce ; par les D's DIDE et CHÉNAIS. De recherches faites sur 18 cas de démence précoce, les auteurs concluent que d
e affectés isolément ou simultanément chez le même sujet et dans ce cas l'ouïe et la vue sont intéressés du même côté.
correspondant. Il donne une direction psychologique, comme dans les cas où il se trouve déterminé par des associations
en fut ainsi dans l'obser- vation rapportée par l'auteur. Dans ce cas , les taches blanches de différentes grandeurs éta
. Les idées érotigaces dans l'épilepsie. M. Marie communique deux cas d'épilepsie associée à des rêves érotiques suiv
à une ou plusieurs impulsions terminales à frapper ou tuer. Dans un cas , il s'agit d'une véritable obsession consciente
uteurs ont signalé des phénomènes de même ordre, tels sont certains cas signalés en médecine légale d'impul- sions post
hibition, avec ou sans onanisme. Inversement on peut rapprocher ces cas de coïts éveillant la crise comitiale, tels que
'autre part l'éréthisme sexuel et l'orgasme vénérien. Dans d'autres cas qui sont la règle, c'est le centre vésico-spiua
sion du sperme avec ou sans rêve érotique associé. L'étude de ces cas pourrait peut-être un jour éclairer les pro- bl
l, dont elle est un tonique, que sur la vie sexuelle. Dans certains cas pathologiques, l'acte génital ne peut avoir lie
moteur, plus ou moins développée et accentuée selon les différents cas . En terminant les auteurs insistent sur une dis
, notam- ment au point de vue sensitif. M. Marie a vu de nombreux cas de névrite ascendante ayant SOCIÉTÉS SAVANTES.
stence de la névrite ascendante n'est qu'une expli- cation, en tout cas elle n'est pas prouvée pour le cas présenté act
st qu'une expli- cation, en tout cas elle n'est pas prouvée pour le cas présenté actuellement. M. DLJERINE insiste su
ski chez les tabétiques a pu leur permettre de faire dans plusieurs cas le diagnostic de sclérose combinée. Ils ont pu,
e sclérose combinée. Ils ont pu, par une autopsie, vérifier dans un cas , la valeur de ce signe. Ils signalent la fréque
ans la . neurasthénie et l'hystérie. L'analyse un peu serrée d'un cas de ce genre concernant un malade de quarante an
sensibilité et leur rapport à la po'cep- tion de l'espace, dans un cas de sclérose combinée. MM. VASCHIDE et Rousseau.
ts que ne guide pas l'idée d'une direction précise. Dans le premier cas , les localisations sont extrêmement précises et
cherches a donné à M. Widal 36 lymphocytoses très accentuées sur 37 cas observés. Sa technique consiste surtout à ne pa
ques de date et de formes variables. Ils ont constaté dans tous les cas la présence de la lymphocytose. Une seule fois la
t peu de douleurs et sans incoordi- nation marquée. Dans les autres cas , il n'y avait pas de relation entre le degré de
et la symptomatologie. ' M. Vaquez a trouvé la lymphocytose dans un cas d'aortite syphi. litique. M. Brissaud a trouv
ive. MM. Gombault et HALBRON n'ont eu qu'un examen négatif sur 11 cas . M. Babinski a trouvé la lymphocytose dans tous
if sur 11 cas. M. Babinski a trouvé la lymphocytose dans tous les cas chez 10 tabétiques et 7 paralytiques généraux.
ANTES. 385 Hystérie tardive. M. Dupré rapporte l'observation d'un cas d'hystérie mâle ayant débuté chez un vieillard
torze ans. Atrophie du pédoncule. 1111f. GoiLC,m et Marie dans un cas de sclérose névroglique éten- due au lobes fron
OPATHOLOGIE ET DE PSYCHIATRIE DE MOSCOU Séance du 15 mars 1902. Cas I. De A. KORNILOFP et De A. SMIRXOFF ont fait la
avale de travers. La voix et nasale. Le rapporteur exclut dans son cas la sclérose disséminée et la pseudo sclérose de
rdinaire, mais à celle qui apparaît comme familiale ou héréditaire ( cas de Drestfeld, Polieus, Frend, etc.). Le développe
omplexus de la paralysie infantile, d'après les paroles de Frend. Cas II. Fillette de huit ans, entre à l'hôpital de Sa
parait avait le plus d'influence favorable sur la maladie. Dans le cas donné, sautent aux yeux les oscillations dans l
sme, la tumeur cérébrale et l'encéphalite, l'auteur suppose dans le cas donné une tuberculose, mais pas en forme de tuber
gienne (méningite en plaque). Discussion. Dr W. Mouratoff trouve le cas II très compliqué et porte l'attention sur ce f
peut-être, le processus morbide a ici un caractère disséminé. Deux cas de méningite basilaire simple. D1' 11.-A. LoUnz
sion d'observer ces dernières années dans l'hôpital de ville I deux cas de méningite basilaire simple avec guérison. Da
lle I deux cas de méningite basilaire simple avec guérison. Dans le cas I, il s'agissait d'un jeune homme de vingt-cinq
l'hôpital, le malade avait fait 12 frictions d'onguent gris (2,0). Cas II. Malade de vingt ans. Père alcoolique. Mère pr
aladie, le malade entra à l'hôpital. Le cours de la maladie dans ce cas était presque identique à celui du cas précéden
cours de la maladie dans ce cas était presque identique à celui du cas précédent. La fièvre ne dura que cinq jours et se
), A. ICoew.or.r ne se décide pas d'exclure avec assurance dans les cas du rapporteur la méningite syphilitique (basila
ite syphilitique (basilaire). Dr B. Mouravieff relate au sujet du cas du rapporteur un cas de méningite infectieuse c
asilaire). Dr B. Mouravieff relate au sujet du cas du rapporteur un cas de méningite infectieuse chronique, d'origine g
otii a observé pendant l'épidémie de l'influenza à Moscou plusieurs cas de méningite, ressemblant beaucoup à la méningi
, ressemblant beaucoup à la méningite tuberculeuse ; mais comme ces cas se sont terminés par la guérison, il les rappor
onvolu- tions du coin gauche, avec examen histologique détaillé. Un cas BIBLIOGRAPHIE. 393 r7. ri. 394 BIBLIOGRAPHI
il cite les travaux-. De l'examen histologique, pratiqué dans deux cas par Philippe et Oberthur, il résulte qu'il s'ag
la question sur la manie. Nous avons exclu de ce matériel tous les cas , où avant ou après l'accès de la ma- nie on pou
alades un état dépressif, tant soit peu prolongé, en rapportant ces cas à la catégorie de la psychose circulaire. Cela
catégorie de la psychose circulaire. Cela se comprend bien que les cas , où la manie apparaît comme complication d'une
nile, etc., ne sont pas entrés dans notre matériel, de même que les cas , où l'état maniaque est accompagné de confusion
t, dire que dans ce travail nous avons recueilli dans un groupe les cas , où il avait un seul accès de manie, ainsi que
n groupe les cas, où il avait un seul accès de manie, ainsi que les cas où la manie a donné des récidives ; nous sommes
ues femmes, les maniaques font 1,50 p. 100 ; autrement dit, sur 200 cas de maladie psychique chez les hommes il revient
t, sur 200 cas de maladie psychique chez les hommes il revient un cas de manie et sur 300 cas de maladie mentale chez l
die psychique chez les hommes il revient un cas de manie et sur 300 cas de maladie mentale chez les femmes il revient 2
anie et sur 300 cas de maladie mentale chez les femmes il revient 2 cas de manie. Quoique le nombre de malades souffran
er le premier accès de la manie, nos données ont démontré que de 38 cas de manie le premier accès a été noté avant l'âg
404 ik CLINIQUE MENTALE. notre matériel il n'y avait pas un seul cas , où la manie se serait manifestée à l'âge de qu
autres auteurs nous trouvons partout un nombre plus considérable de cas de manie que le démontrent nos données. Mende
100 admissions à la Clinique psychiatrique de Jena, il revient 3-4 cas de manie. Gad,iaislc ? r, qui a examiné le maté
ns la période de temps de 1870-1890 a trouvé parmi 1323 malades 157 cas de manie, ce qui fai t 11, 8 p.100 (8 p.100 par
lucina- toire. Goitinikoff rapporté au groupe de la manie de tels cas , qui actuellement seraient indubitablement enregi
de 2940 1 malades psychiques pour la part de la manie il revient 46 cas (1,61 p. 100). En examinant l'hérédité chez nos
dité chez nos maniaques nous avons eu les données suivantes : de 32 cas dans 4 cas l'hérédité est niée (12.50 p. 1 00),
os maniaques nous avons eu les données suivantes : de 32 cas dans 4 cas l'hérédité est niée (12.50 p. 1 00), dans 22 ca
: de 32 cas dans 4 cas l'hérédité est niée (12.50 p. 1 00), dans 22 cas sont notées des maladies nerveuses et mentales
ntales et l'alcoolisme du père et de la mère (68,78 p. 100), dans 6 cas il y avait une indication sur les mêmes maladie
sessions morbides. Il est encore à remarquer, entre autres, que les cas de manie, où l'existence de la prédisposition h
ique avec vraisemblance que ces auteurs ont précisément observé des cas où la névrose d'angoisse et la neurasthénie se
entièrement à l'heure actuelle. En conclusion, nous voyons dans ce cas évoluer d'une marche différente les symptômes a
tions sexuel- les incomplètes o. J'ai personnellement examiné des cas très réels où l'insuf- fisance de satisfaction
traumatique ne serait qu'une variété de la névrose d'angoisse. Le cas suivant offre un intérêt d'actualité en ce qu'il
, elles ont été de tout temps régulières, et on ne saurait, dans le cas actuel, incriminer nullement une cause sexuelle
tbien des chances de toucher aussi l'autre partie. Et il faut des cas , en somme assez favorables, pour qu'on trouve l'u
. NOUVELLES OBSERVATIONS DE NÉVROSE D ANGOISSE. 415 Cependant ces cas de névrose d'angoisse pure existent. Depuis que
d'angoisse. Mais il n'en reste pas moins vrai qu'il se présente des cas où le tableau de l'affection existe à l'état pu
la névrose asthénique ni dans la psychose anxieuse. C'est pour ces cas que nous persistons à maintenir la légitimité d
et ne présentent souvent qu'un intérêt de curiosité. Tels sont les cas où les positions droites de l'occiput, les circ
auteurs prétendent seulement qu'il est im- possible d'expliquer les cas bien nets qu'ils apportent d'hérédité des prése
idences. Et cela d'autant plus que les auteurs relatent huit autres cas d'hérédité des présentations anormales par les mâ
hérédité des présentations anormales par les mâles, sans compter le cas historique, vraiment curieux, d'Agrippa et de s
M. Porak, à ne considérer que comme étant de pures coïncidences les cas d'hérédité des présen- tations anormales par le
les renseignements ont pu être un peu détaillés. Néanmoins, dans 32 cas , ils sont parvenus à remonter à l'hérédité simi
'hérédité similaire des présentations anormales. C'est parmi ces 32 cas que dix fois ils ont relevé cette hérédité par le
ntécédents de dégénérescence en général et cette recherche, dans le cas présent des stigmates obstétricaux se complique d
e de ce fait qu'il faut s'en rapporter, dans l'immense majorité des cas , à des anamnestiquespeu connus, même dans la cl
appliquer à l'homme dans leurs lignes générales et peuvent, en tout cas , servir de guide pour des recherches futures su
aciale ; par MM. VASCHIDE et 1'unras. De l'analyse délicate de deux cas de paralysie faciale, les auteurs tirent les dé
rs moindre pendant le sommeil que pendant la veille : dans certains cas même l'occlusion peut être complète ou à peu pr
B. XXII. Contribution à la psycho-physiologie des mourants. Deux cas de chorée chronique ; par MM. Vaschide et VuRras.
x cas de chorée chronique ; par MM. Vaschide et VuRras. Dans deux cas de chorée chronique, les auteurs ont recherché
en encore on pourrait penser à une suppléance fonctionnelle en tout cas fort curieuse, difficile et intéressante à comp
mécanique légère de ce dernier. Il est fortement exagéré dans les cas de vaginsme. Son absence peut être le symptôme
l'inner- vation des organes de la vie végétative, à propos de deux cas d'hémiplégie; par les Dg PAItHON et GOLDSTEIN.
s d'hémiplégie; par les Dg PAItHON et GOLDSTEIN. A propos de deux cas d'hémiplégie avec troubles vaso-moteurs, les au
nervation des organes de la vie végétative. Peu nombreux sont les cas publiés jusqu'à présent dans le but de préciser
, delà presque constance des altérations du corps strié. Les deux cas rapportés par MM. Parhon et Goldstein viennent en
émorrba- giques, des myélites par compression : dans ces différents cas , le canal de l'épendyme reste étranger à la for
rieur (Revue neurologique, mai 1902). E. B. XXXVII. Deux nouveaux cas de lésions limitées au bourrelet du corps calle
t du corps calleux; par MM. Pelsiar et SICALICBA. Comme dans deux cas déjà présentés, les auteurs ont trouvé, dans la
du bourrelet, une coloration brunâtre se poursuivant, dans l'un des cas , jusque dans la couche sous-épen- dymairede la
, docile aux ordres reçus et pourtant capable d'initiative dans les cas impré- vus : telles sont les qualités que l'on
comporterait plus de bruit et plus d'agitation, ce qui n'est pas le cas , même si les malades dormaient moins facilement
it parfois une certaine valeur, mais elle n'est pas valable en tout cas pour l'asile que l'auteur dirige, et dont les m
s négliger de s'occuper du traitement de jour, par l'alitement, des cas aigus et agités, selon la méthode préco- nisée
ers asiles de Paris, le Dr Magnan reçoit chaque année plus de 3 000 cas récents. Tous les cas aigus sont traités par le
Dr Magnan reçoit chaque année plus de 3 000 cas récents. Tous les cas aigus sont traités par le séjour au lit dans des
confiance dans la valeur thérapeutique de cette médication. En tout cas , une fois le système en vigueur, l'objection pe
énéraux il y aie plus souvent des chambres latérales, destinées aux cas spé- ciaux, méningite, apoplexie, etc,. Rien ne
chambres, habituellement ouvertes, pourraient être fermés dans ces cas spéciaux, (malades à idées de suicide, moribonds,
t ordinairement le service d'infirmière de nuit, mais remplaçant en cas de maladie ou de congé la surveillante en chef
nombre des salles, un infirmier et deux infirmières de réserve. Eu cas d'extrême urgence on détache au service de nuit
ou doivent être l'objet d'une mention spéciale, (morts, accidents, cas spéciaux, matelas mouillés, visites du personne
que l'on puisse compter sur elle pour agir avec sagesse dans les cas imprévus : il s'ensuit qu'il faut la rémunérer li
tous ceux qui ont loyalement tenté l'expérience savent combien -ces cas là sont exceptionnels. L'auteur est d'avis que le
'utile. L'auteur ne se propose pas ici de toucher au traitement des cas bruyants on agités ni aux soins qu'ils nécessit
tés ni aux soins qu'ils nécessitent pendant la nuit : chacun de ces cas d'ailleurs demande à être observé et manié suiv
tat échappe complètement aux auteurs qui par élimination en font un cas d'hystérie monosymptomatique en l'absence de tout
avons observé, dans le service du Dr Joffroy cette réaction dans 16 cas de para- lysie générale. Au contraire, dans 20
n dans 16 cas de para- lysie générale. Au contraire, dans 20 autres cas où il s'agissait de malades atteints de psychos
ce des leucocytes, car elle se trouve après centrifugation. Dans le cas de méningite, d'irritation méningée, il existe
icale et de la première dorsale. Les carac- tères particuliers à ce cas consistent dans l'anesthésie des terri- toires
ophtalmoscope. Pas de stigmate hystérique. L'intérêt majeur de ce cas git dans la difficulté de l'interprétation du s
e si curieux et si spécial. Examen histologique des nerfs dans un cas de paralysie radiculaire du plexus brachial.
- SOCIÉTÉS SAVANTES. 475 miner histologiquement les nerfs dans un cas de paralysie radi- culaire totale du plexus bra
ntrale et d'origine périphérique. MM. DÉ.1ER1NE ET M. Eggeu. - Deux cas de lésion de la couche optique, dont un confirm
tion centripète pour les sensibilités superficielles. Dans les deux cas , perte complète de la perception des attitudes
ouvements passifs dans l'extrémité supérieure gauche. Dans l'un des cas , empiétement de l'hémianesthésie pour l'extrémi
s membres du côté gauche et de la jambe du côté droit. Dans ce même cas il y a une algie cérébrale persistante continue
lés, elles savent ralentir et accélérer le mouvement. Dans les deux cas , il existe un tremblement abasique, bien visibl
jà au niveau du premier neurone du faisceau sensitif, comme c'estle cas , parle bain, aucundes centres coordinateursncse t
t nécessairement moins accusée comme le montrent si bien nos deux cas de lésions thalamiques. F. Boissier. SOCIÉTÉ D'
tation externe de la Clinique. Dans ce nombre entrent seulement les cas où les idées obsédantes font l'essentiel de la
3,62 fois prévalaient sur les femmes. La plus grande majo- rité des cas de la lésion donnée appartenait aux personnes s'o
lectuelles. La tare héréditaire existait dans 92 p. 100 de tous les cas , dans la plupart des cas on. a trouvé des indic
famille donnée parmi les plus proches parents. Dans 1/3 de tous les cas , on pouvait constater l'existence d'une hérédit
tent des particularités de caractère, consta- tées dans beaucoup de cas de ce genre ; ces malades sont des indi- 484 1
d'avoir une maladie psy- chique. Pour la plus grande majorité des cas , le début des idées obsé- dantes se rapporte à
gressivement d'une manière non remarquable; dans un petit nombre de cas seulement on peut signaler un début aigu de la
on peut signaler un début aigu de la maladie ; par exemple, dans 1 cas les idées obsédantes se dévelop- pèrent d'une m
ent de bonnes con- ditions de la vie pour de plus mauvaises; dans 4 cas - après une secousse morale ; dans 2 cas après
de plus mauvaises; dans 4 cas - après une secousse morale ; dans 2 cas après l'accouchement. Le com s des obsessions m
vations ont été observés en dépendance des causes variables; dans 1 cas , la manifestation des symptômes de la syphilis
teurs et les modifications de conscience, les auteurs notent dans 1 cas des accès épileptoïdes, dans 3 cas des vertiges
ience, les auteurs notent dans 1 cas des accès épileptoïdes, dans 3 cas des vertiges, dans 5 cas, des accès hystériformes
dans 1 cas des accès épileptoïdes, dans 3 cas des vertiges, dans 5 cas , des accès hystériformes, dans 8 cas, des synco
ans 3 cas des vertiges, dans 5 cas, des accès hystériformes, dans 8 cas , des syncopes trouble de conscience di, courte du
a maladie donnée, mais comme symptôme accessoire simplement. Dans 5 cas , le symptôme com- plexus des obsessions morbide
té dans la démence pré- coce, mais les auteurs ont exclu de pareils cas du groupe de la constitution des idées obsédant
des idées obsédantes, et les ont cités seulement pour comparer ces cas avec les cas des idées obsédantes, où ces dernièr
sédantes, et les ont cités seulement pour comparer ces cas avec les cas des idées obsédantes, où ces dernières forment
cela que si les rapporteurs avaient pris aussi en considération les cas légers qui ne nécessitent pas d'administration
G. HOSSOLIblO insiste sur ce fait que souvent dans de sem- blables cas on peut noter une hérédité tuberculeuse, et il es
t avec une intensité variable (attaques rudimentaires dans certains cas ). Freud a signalé des attaques de dyspnée, de bou
terparoxysme, l'esprit du sujet, ce qui arrive dans la majorité des cas . MM. Pitres et Régis étudient successivement tr
important est la conservation de la conscience, sauf dans quelques cas asez rares. Parmi les obsesssions idéatives cit
, qu'on rencontre le plus d'obsédés. Dans plus des trois quarts des cas , les obsessions surviennent avant la trentième an
rédité joue un rôle considérable (dans les quatre cinquièmes des cas ) ; parfois sous une forme similaire. Les obsessio
onstitutionnels de dégénérescence, mais dans l'immense majorité des cas , elles ne coexistent pas avec les stigmates phy-
nt illustrées par d'instructifs rapports médico-légaux sur quelques cas d'impulsions. L'analyse qui précède montrera pe
ion de l'asile. Dans ce chiffre figurent 13 idiots et imbéciles. 18 cas sont dûs aux excès alcooliques (154 h. et 3 f.).
un assez grand nombre d.' aliénés chroniques parmi les entrants (26 cas de folie simple remontaient à plus de six mois)
surtout l'épilepsie. J'ai obtenu de bons résultats dans quelques cas d'épilepsie à accès très fréquents, de l'administ
'est à coup sur, dit-il, un malade. Et le praticien traitant de son cas dit à ce propos qu'il est regrettable qu'il n'e
question n'en demeure pas moins très curieuse et à étudier. » Les cas analogues au précédent sont assez communs. Tels
ément, qu'à titre de conua- lescents. Ce maintien varie suivant les cas , mais ne peut se prolonger tant qu'une disposit
03. N"90. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Note sur un cas de bestialité chez la femme ; Par Cn. FÉRÉ, M
dante. (Arcla. de Neurologie, 1893, t.XXVI p. 383). ' Boëteau. Un cas bestialité (France médicale, 4891 t. XXXVIII, p.
t-huit ans, une tante à quatre-vingt-douze ans; il y a eu plusieurs cas analogues à la génération précédente. Les homme
ne pût rien comprendre à ce qui lui arrivait. A partir NOTE SUR UN CAS DE BESTIALITE CHEZ LA FEMME. 499 de cette époqu
u'elle n'obtenait qu'au prix de la honte. Quand le soir NOTE SUR UN CAS DE BESTIALITÉ CHEZ LA FEMME. 501 arrivait, elle
en pourtant la gravité de l'intoxication psychique. 4" II est des cas dans lesquels on peut rapporter les troubles ne
ques, les névroses, et diverses autres affections » ? Dans tous les cas , combien l'auteur est loin de ses affirmations
ue ». L'auteur, à propos des hystéries dites toxiques ou infec- ' Cas de Charcot, ltaymond, Mathieu, Séglas, Babinski,
erses affections du système nerveux c de sorte qu'à l'occasion d'un cas spécial il peut faire passer devant les yeux de
passer devant les yeux de ses auditeurs les projections de tous les cas analogues qui représentent les diverses phases de
le peut être mise en communication avec la pre- mière salle dans le cas où des examens psychométriques seraient utiles.
prend encore une chambre pour une infirmière ,qu'on peut appeler en cas de besoin. pendant la nuit, de la salle de surv
qui se passe dans le pavillon et de porter des secours immédiats en cas d'acci- dents. (Dans le pavillon de la division
ur éviter l'ex- tinction subite de toutes les lampes électriques en cas de court- circuit. - La veilleuse de nuit peu
). Une chambre à coucher est affectée à une infirmière qui peut, en cas d'urgence, venir à l'aide de la veilleuse. Le
l nécessaire. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LXVII. Un cas d'akathisie, d'après MM. Raymond et JANET. Ce n
temps, la sueur lui vient au front et aux mains, et, dans quelques cas , on voit de grosses gouttes qui coulent sur sa fi
médecine et de chirurgie pratiques du 10 mars 1903.) LXXIII. Deux cas de polynévrites chez deux blennorrhagiques ; pa
e en quatre groupes les formes anormales de tremblement : 1 ? Les cas où le tremblement est absent ; , 2° Les cas où
tremblement : 1 ? Les cas où le tremblement est absent ; , 2° Les cas où le tremblement s'étend à des parties du corps
des parties du corps qu'il n'intéresse pas habituellement; 3° Les cas où le tremblement est unilatéral ; 4° Les cas o
ituellement; 3° Les cas où le tremblement est unilatéral ; 4° Les cas où le tremblement, bilatéral d'abord devient unil
lexe du nerf laryngé supérieur ; 3° Il y a habituellement, dans les cas de paralysie des dilatateurs de la glotte, coex
es lésions ner- veuses dans cette dernière affection. G. C. LXXX. Cas d'hémiatrophie progressive de la langue et de la
e la langue et de la face; par Alice Woods (de San Francisco.) Le cas présente ceci de particulièrement intéressant qu'
re progressait. (Occidental med. Times, décembre 1901). LXXXI. Un cas de myopathie avec réactions électriques normales
iminution quantitative des excitabilités électriques, dans quelques cas au moins elles pourraient ne modifier en rien l
inférieurs qui sont plus accentués chez l'aîné et qui dans les deux cas se sont manifestés dès le début de l'affection.
anifestés dès le début de l'affection. R. C. LXXXIV. Sur un nouveau cas d'amyotrophie à type Charcot-Marie ; par Socn (
ance à la guérison spontanée etprogressive.», Il présente plusieurs cas dans lesquels on trouve tantôt la nais- sance à
l'absence des lésions médullaires à l'autopsie. La diversité de ces cas indique l'intérêt qu'il y aurait à définir sous
des cornes grises, de ces groupes cellulaires explique que dans les cas de thrombose ou d'embolie de l'artère centrale,
action tonique du muscle irien. Ce à quoi répond M.Rothmann que les cas de Strasburger et de Saenger diffèrent. Le prem
irien. Mais il y a plusieurs espèces de ce phénomène. 1° Il est des cas où la cause doit en être cherchée dans une affe
e. 20 L'expres- sion de réaction pupillaire myotonique convient aux cas où l'on constate certaines altérations patholog
dure peu (aphasie transitoire par simple indigestion chez l'enfant, cas de Kénock) ou s'installe à demeure fixe dans l'or
peut sombrer à tout jamais, vaincue par la vie végétative. Sur un cas de délire de Dlcdiumnité. MM. Ballet et DIIEUA.
sont très intéressants, en attirant l'attention du médecin sur les cas fréquents où les paralytiques généraux présentent
n rencontre assez fréquemment. Je me rappelle en avoir vu plusieurs cas . Je les ai constatés surtout aux membres supéri
HOLOGIE ET DE PSYCHIATRIE DE MOSCOU Séance du 2G avril 1902. Un cas d' hémihypertrophie faciale avec présentation d'u
rsque le processus, à ce qu'il parait, acheva son développement. Ce cas , au premier abord, fait l'impression, ainsi que
ppement. Ce cas, au premier abord, fait l'impression, ainsi que les cas de Danas, d'une hémiatrophie gauche, mais un exa-
droite augmentée, qui est lésée. En s'appuyant sur la pathogénie du cas , l'auteur est porté à reconnaître ici une cause
érie de photographies concernant la malade en question et aussi les cas des autres auteurs. , Discussion. Le Dr N. POST
a a lieu dans le torticolis. Le Dr Pribytkoff a aussi observé des cas semblables. SOCIÉTÉS savantes. 549 Du trouble
e. type cérébelleux et avec le trouble de divers nerfs cérébraux. Cas 1. Malade K ? de soixante-cinq ans. La période in
s droites. Diabète. Diagnostic : Affection de la moelle allongée. Cas 11. Malade B..., quarante-cinq ans. Commencement
Diagnostic : Affection spécifique du tegmentum du pont de Varole. Cas Il[. Malade, de quarante-deux ans. Période initia
ffection du tegmentum du pont de Varole et de la moelle allongée. Cas IV. Alalade P..., quarante-sept ans. Développemen
du tegmentum du pont de Varole. Se basant sur l'étude de ces quatre cas personnels et les compa- rant avec huit cas, dé
r l'étude de ces quatre cas personnels et les compa- rant avec huit cas , décrits par d'autres auteurs, dont deux ont été
ses. Discussion. Le Dr L. MINOR est d'avis qu'il y avait dans les cas du rapporteur quelque chose de semblable à la par
upe longitudinale. Grâce à cette méthode, on obtient, dans certains cas , une assez bonne imprégnation des éléments nerv
réflexe pupillaire dans la syphilis. M. Polguère rapporte quelques cas de syphilis qu'il suit depuis six ans au moins,
e de la sommation a donné les plus heureux résultats pratiques. Les cas d'anesthésies hystériques les plus rebelles ont
pose une grande résistance au cou- rant centripète. L'autopsie d'un cas de paralysie totale du plexus brachial a montré
tragus, pour voir s'il y a là réellement un moyen curatif, ou si ce cas qui l'a vivement frappé n'était qu'une simple coï
ls se guérissent comme si on avait déclenché quelque chose. En tout cas , au prochain accès de sa malade, M. Babinski de
, et l'accroissement est devenu anormal. M. MARIE rappelle qu'en un cas analogue l'ablation d'un gros testicule fit rét
s d'hémiplégie organique j'ai trouvé le signe de Babinski dans 86 cas . Parmi les 30 cas de paraplégie organique, nous t
rganique j'ai trouvé le signe de Babinski dans 86 cas. Parmi les 30 cas de paraplégie organique, nous trouvons le mal d
es 30 cas de paraplégie organique, nous trouvons le mal de Pott (la cas ), la syphilis médullaire (4 cas), le cancer de la
e, nous trouvons le mal de Pott (la cas), la syphilis médullaire (4 cas ), le cancer de la colonne vertébrale (1 cas), s
syphilis médullaire (4 cas), le cancer de la colonne vertébrale (1 cas ), sarcome des méninges (2 cas), trauma- tisme d
le cancer de la colonne vertébrale (1 cas), sarcome des méninges (2 cas ), trauma- tisme de la moelle épinière (4 cas),
arcome des méninges (2 cas), trauma- tisme de la moelle épinière (4 cas ), pellagre avec paraplégie (2 cas); tabès combi
a- tisme de la moelle épinière (4 cas), pellagre avec paraplégie (2 cas ); tabès combiné (2 cas), sclérose latérale amyo
pinière (4 cas), pellagre avec paraplégie (2 cas); tabès combiné (2 cas ), sclérose latérale amyotrophique (1 cas). Le s
(2 cas); tabès combiné (2 cas), sclérose latérale amyotrophique (1 cas ). Le signe de Babinski fait défaut dans 3 cas d
rale amyotrophique (1 cas). Le signe de Babinski fait défaut dans 3 cas de section traumatique de la moelle épinière et
dans 3 cas de section traumatique de la moelle épinière et dans le cas de cancer de la colonne ver- tébrale, mais il e
e la colonne ver- tébrale, mais il est présent dans tous les autres cas . Je ne l'ai jamais trouvé à l'état normal sur l
ommeil. La région plantaire excitée n'est pas indifférente. Dans 11 cas d'hémiplégie et paraplégie organique, l'excitatio
alades tranquilles. Une sonnette dans cha- que pièce suffit pour le cas où un malade aurait besoin d'assistance. Dans l
il aurait lieu, les instructions nécessaires pour le traitement des cas particuliers pendant la nuit. L'auteur ne conna
t soignés par des infirmières instruites dans leur art ; 2° que les cas récemment admis, les cas aigus, les épileptique
ères instruites dans leur art ; 2° que les cas récemment admis, les cas aigus, les épileptiques, les agités, les bruyants
qu'il détaille longue- ment pour l'examen anthropologique adapté au cas spécial des aliénés. A. M. VARIA. Treizième
e cephalo-rec- cleiclien. Agraphie. Voir Aphasie. AKATiusOE, Un cas d ? par Ray- mond et Janet. 530. Alcool. Voir
e de l' Cliar- cot ? lat-ie. par Sainton, 1). 282. Sur un nouveau cas d' i type Charcot-\Iarie, par Soca. 536. AnEa
thme vésical, par Hawinski, 379. Ataxie. Voir Système nerveux. Un cas cl' - cérébelleuse aiguë d'ori- gine organique,
e de . par Vi- gouronx et Lavastine, 190. Bestialité. Note sur un cas de chez la femme, par Féré, 497. Biiocv. Voir
l'innervation des organes du la vie végétative, a propos de deux cas d'hémiplé- gie, par Parhon et Goldsteiii, 455.
CuonéE. ComribuVOU 1 la psyc(ro- physiologie des mourants; deux cas de - clironique, par 1'aschide et Vzjt-pas, 453
e la psychose de - , par Ileiberg. 26n. Colique hépatique. Sur un cas de nerveuse, par Robinson, 275. Colonne verté
. Contraction. V. maladies mentales. Corps calleux. Deux nouveaux cas de lésions limitées au bourrelet du-, par l'e
ement, par Maraudon de Jlontyel, 9cJ, -. Voir Obses- sion. Sur un cas de médiumnité, par Baliet et Dlieur, 5<5. li
Contribution à l'étude Iles - par contagion, par Cairier, 129. Un cas de - bl'iâl7tique, par Yiallon, 369. La - des f
es lésions du ganglion cervical inférieur, par liouveyron, '-186. Cas d' pro- gressive de la langue et de la face,
IIF : VIEiIPEliTR01'111E congénitale du corps, par- Thomas, 90. Un cas d' - faciale avec présentation d'une malade,
'\CROI'h.IIESPA\IIL1.1UX. Le ? par Binet-Sanâlé 301. Homicide. Un cas d' - épileptique, par Smith, 193. Hypertrophi
bres inférieurs, par Gom- bault, 382. Manie p l'olr 1'ccnia. Deux cas de guéris à la suite d'une infec- tinrave, pa
. Valeur du signe de Kernig, par Josseiaud et Lesieur, 84. Sur un cas de - cérébro- spinale à streptocoque et à sta-
n sujet atteint du mal de Polt fistuleux, par Gui- bal, 272. Deux cas de basilaire simple, par Louny, *389. Voir Li
s, 456. Micropsie chez un tiqueur, par Meige, 200. blIGRlNE. Un cas de opbtalmo- plégique, par Matins, 281. Mimiq
cture chez un myo- pathiquf, par Crouzon, 296. Voir Sclérèn2c. Un cas de - avec réaction électriques normales, par
teur externe. Voir Poly- névrite. Examen lustologique des dans un cas de paralysie ra(li- culaire du plexus brachial,
paralysie infantile, par Sollier, 275. I Névrite sciatique. Deux cas de causée par des injections mercu- rielles p
ielles pratiquées dans les muscles de la fesse. par Itopter, 98. Un cas de périphérique d'origine palu- (leenne. par
e de l'isolement à l'hôpital pour les - , par llép : rme, 10t. Un cas de traumntique grave, par Crocq, 274. préséni
Noyau-rougi : . Lésion du- par Guil- main, 296. Nystaguus. Deux cas de chez la mère et la fille, par Jacqueau, 18
. Voir Pagel. Otite. Voir Accidents nerveux. Pncnvméswcme. Sur un cas de liéinorrhagique, traité par des in- jectio
ections sous-cutanées de. gela tille. par Tailleur. 99. Pages. Un cas d'ostéite déformante de avec mélanodermie, auto
nale, par Le- clerc. ils. générale. Voir Cylo- diagnostic. Sur un cas de - al- terne avec déviation conjuguée de la
par \Ver- lllenn-Salumonson. 263. infan- tile. Voir Névralgie. Un cas de - segmeiilairc, par van Gehiirh- ten, 275.
évralgie. Un cas de - segmeiilairc, par van Gehiirh- ten, 275. Un cas de - bulbaire, asthénique suivi d'autopsie, par
rébral. Voir Dégéné- rescences. . Voir atrophie. PELLVCOE. Sur un cas de accom- pagna de la rétraction de l'ap0[)e-
pation du nerf oculo-moteur externe, par llossolimo, 27 ? 'l'rois cas de palustre, par Matins, 282, Un cas de tuber
par llossolimo, 27 ? 'l'rois cas de palustre, par Matins, 282, Un cas de tuberculeuse motrice, par Decroly. 283.
nés, par Crocq, 278. Sur un anormal du facial infé- rieur dans un cas de paralysie pseudo-bulbaire, par Yerrers.83.
cutané dansla myopathie, par Ballet, 473. Sclérodermie. Quelques cas de - et da vitiligo chez des enfants, par Han
, (10-syl)llills (,t les encéphalites chroniques de l'enfance. Un cas (le - en plaques à tremblement hémilatéral, p
tisibi- lité et leur rapport à la perception de l'espace, dans un cas de - combinée par Vaschide et Hous- seau, 382
107. Sourds-muets. Enseignement des , 573. Spondylite. Sur un cas de -, par de Biicli et Debray, 277. STERI.OT1
ogénie du , par Guillait et P. Marie, 201. - Voir Crises. Nouveau cas de fruste chez un n syphilitique, par Glorieux,
ar le . par Barcia Cahuillero, 365. Torticolis mental. Un nouveau cas fle - Rôle de l'idée fixe. Crainte de voir to
n pathologique, par Vaschide et Marchand, 281. psychiques dans un cas rie tumeur du lobe frontal, par Cestan et Le-
icice. Le système psychia- trique de-, par Winlcler, 95. Zoma. Un cas de à topohraphie radiculaire suivi d'autopsie,
22 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Janvier 1896. - N" 1 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE THÉRAPE TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDÊMATEUSE TRAITÉS PAR L'INGESTIO
ord, puis du D' Eiselsberg. - 3 Bouchard (Ch.). Réflexions sur deux cas de 11 ! yxoedème, traités TROIS cas D'IDIOTIE M
hard (Ch.). Réflexions sur deux cas de 11 ! yxoedème, traités TROIS cas D'IDIOTIE MYXOEDli;MATE.USE. 3 myxoedémateuses
étant données, nous allons maintenant aborder l'exposé de chaque cas . ORSERVATION I. IDIOTIE I,fYSyDÉ3fATEUSE. Pèr
et que nous avons reproduite 1 Année 1890, t. XVI, p. 217. TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE. 5 dans le Compte rend
puis l'entrée du malade, a offert là progression suivante : TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE. I tremblement, faible
: 70; T. R. 37°,2. Urine : 525 grammes. Firl. 3. Firl. 4. TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE. li 9 juillet. La peau
uel- ques coliques. Fifl. li. Deb... en septembre 1895. TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 11 17 juillet. Pas de
près permet d'avoir une idée de son développement physique. TROIS cas D'IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 13 e ingérées (rectan
es, Wathi... Fig. 8. 1 1 Wa... à quatorze ans (mai 1889). TROIS cas d'idiotie 111YSDEIIfATEUSE. 15 ne reste pas tou
devenus beau- I% ü. 10. Wa... à quatorze ans (mai 1889). TROIS cas D'IDIOTIE 111Q : DE : IfATEUSE. 17 coup moins s
amille. -Mère, rien de. Fig. 12. Wa ? en septembre 1893.' TROIS cas D'IDIOTIE MYXCEDÉMATEUSE. 19 particulier. Grand
x, sans accidents nerveux. Dans le reste de la famille, pas d'autre cas d'apoplexie, pas d'idiots, de goitreux, de bègu
imètres d'avant'en arrière et 4 centimètres transversalement. TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. z1 , Le cuir chevelu
de M. le D' Bouvet, médecin-dentiste à l'hospice de Bicêtre. TROIS cas D'IDIOTIE MYXOEDÉMATEL'SE. 23 présent, de desqu
s grande sous une forme étoilée. A aucune époque du trai- r TROIS cas D'IDIOTIE MYXOEDÉMA.TEUSE. 25 tement on n'a rem
ds di- Fig. 13. Les trois malades au milieu de juin 1895. TROIS CAS D'IDIOTIE iYYXOEDÉMATEUSE. 27 Î minue durant l'
e de vingt ans (OBs. II) et encore moins chez elle de quatorze ans ( Cas . III). -La dose a varié d'un demi-lobe à un lob
embre 1895. t) 8 MÉDECINE LÉGALE. L'action de là glande, dans ces cas , est indiscutable, et, en raison de l'effet pro
ubitement à Lourdes. Delannoy a eu aussi les honneurs du roman, son cas est cité dans le livre de Zola, Lourdes. A la s
ières phases d'un pro- cessus pathologique qui se poursuit. Dans ce cas peu importe le faisceau et la localisation; le
eéreuse, tantôt une prolifération névrologique et qui dans les deux cas porte, peut-être à tort, le môme nom, celui de
es lésions nous les avons rencontrées sur les tubes nerveux dans un cas de tabes où la mort est survenue rapidement après
rdination, par tuberculose pulmonaire, en second lieu dans quelques cas de dégénérescences secondaires à des foyers enc
es foyers encéphaliques et plus récemment avec M. Durante dans un cas de sclérose combinée enfin et surtout dans la par
le professeur Joffroy' et nous-même avons insisté. Mais outre les cas où nous avons vu nous-même cette lésion, on la
t d'oblitération vascu- laire par artérite aiguë. , Dans d'autres cas , et c'est là ce qui doit fixer notre attention
hui, grâce surtout à la méthode de M. Nissl, constater qu'en pareil cas les granulations et bâtonnets de la cellule son
quoi on est en définitive autorisé à croire que dans la plupart des cas le mode de destruction de l'élément nerveux est
la sclérose et la prolifération névroglique qui la suit, suivant le cas , de plus ou moins près. Souvent lors- qu'on la
les causes anatomo-pathologiques de la surdi-mutité. A. M. II. UN cas DE maladie DE Friedreich, ataxie héréditaire avec
ndrassik sont passées en revue ainsi que l'ataxie cérébelleuse. Les cas d'ataxie par névrite périphérique de Déjerine son
; par l. Mackey. (British médical journal, 2 août 1894.) C'est le cas d'un enfant de six ans, atteint de parésie doulou
le considéré d'abord comme rhumatisant, il fut ensuite pris pour un cas de paralysie de Landry. Au bout de deux mois, i
btient aucun résultat de l'emploi, l'extrait thyroïdien dans un têt cas . II. Atrophie primitive des muscles du tronc et
imitive des muscles du tronc et des membres ; par 13.RLO ? C'est un cas de paralysie de Erb avec lordose chez un enfant
réussit et l'épilepsie guérit. MM. Pearcegould et l3arher citent un cas semblable. IV. Acromégalie et maladies de Grâce
es de la maladie de Graves (Scanes Spicer). Le D'' Stoker a cité un cas de goitre simple avec polype nasaux où l'extirpat
tion des derniers fit disparaître le goitre en deux mois. V. Deux cas de- luxation spontanée de la hanche chez des tabé
dants. (British médical journal, 24 novem- bre 1891·.) A. M. XII. Cas d'arthropathie DE CHARCOT avec ulcères perforants
y. (British médical journal, 9 février 1894.) L'auteur cite trois cas , dont un avec diabèle, un autre avec hypertroph
DALBY. (British médical journal, 2 et 16 mars 1895.) Ce sont deux cas de surdité hystérique avec mutisme dans l'un. L
ersistante comme dans les lésions circonscrites. A. M. XVI. Trois cas d'abcès INTRACRANIENS; par Robert MURRAr. (Britis
MURRAr. (British médical journal, 5 janvier 1895.) Dans ces trois cas d'abcès dont deux cérébraux et un cérébel- leux
e méthode qu'ont- employée MM. Outterson, Wood et Cotterelb dans un cas d'hémi- plégie avec épilepsie. A. M. XVII. Du
es trois, l'étude de l'état du rein est la plus importante. Dans un cas d'apoplexie par hémorragie d'un hémisphère, s'i
l. Hatschek. (Ja/t)'6t<C/t. f. Psy- chiat., XIII, 1.) . Sur 80 cas de cette maladie, on compte 10 faits de récidive
t. L'auteur n'a trouvé dans la population féminine de l'asile que 3 cas de latah. Il donne huit observations se rapport
rapportant à celte maladie, et dit qu'on en voit tous les jours des cas dans les rues de Java. Il s'agirait d'un affaib
ilité de lire, la faculté d'écrire restant intacte. L'importance du cas réside dans l'examen anatomique minutieux. Le m
e, une faible hypertrophie des fibres musculaires. P. K. XXXI. Un cas DE tabès au début; par Al. Tell. (Al'chiv f. Ps
ais. (Anmerican journal of insanit, janvier 1895.) E. B. SUR deux cas DE folie avec goitre, traités par l'extrait THYa0
de traite- ment qui n'a pas encore été généralement adopté dans les cas de goitre : il rapporte deux observations, tout
relativement à l'état mental. La préparation employée dans les deux cas consis- tait en tablettes contenant chacune cin
dien fut institué : il se montra beaucoup plus efficace que dans le cas précédent au point de vue physique : car le goi
t fut aussi beaucoup plus considérable. - H.1\1. C. VII. QUELQUES cas DE crétinisme sporadique traités par l'extrait
Telford-Smitii. (The Journal of mental science, avril 1895.) Les cas étudiés par l'auteur sont au nombre de quatre (tr
r sont au nombre de quatre (trois filles et un garçon); ce sont des cas de moyenne intensité, répon- dant bien aux desc
etits malades deviennent joueurs et même malicieux. Dans ces quatre cas l'auteur a eu plusieurs fois à suspendre ^l'adm
t, et donna cette fois encore les résultats espérés. Le troisième cas rapporté par l'auteur est un cas de sclérodermie
es résultats espérés. Le troisième cas rapporté par l'auteur est un cas de sclérodermie circonscrite, siégeant à la jam
sque la guérison. La quatrième et dernière observation a trait à un cas d'hémia- trophie progressive de la face. Les sp
t détruites par la digestion et par la chaleur, ce qui n'est pas le cas pour les préparations thyroïdiennes. 64 REVUE
ou acquis dans la première enfance (créti- nisme). Dans les trois " cas , la médication thyroïdienne donne d'excellents
le traitement ; mais cela n'est certainement pas vrai pour tous les cas ; l'auteur attacherait vo- lontiers plus d'impor
: on voit alors reparaître les symptômes myxoedémateux ; mais en ce cas , une suspension de quelques jours rendra à l'ag
énergie primi- tive. L'auteur rapporte ensuite l'observation d'un cas de crétinisme qu'il soumet actuellement au trai
s'exerce d'abord sur le coeur, et que l'on peut l'utiliser dans les cas de surcharge graisseuse du coeur : c'est d'aill
cal journal, le"juin 1893.) Il est question dans l'observation d'un cas de tétanie consécutif à l'extirpation de la gla
ntatives faites pour la cure de l'idiotie et de l'imbécillité ; les cas de Lannelongue, King, Horsley, Park et Agnew, a
encourageants surtout si l'on admet avec l'auteur que 2 p. 100 des cas d'alié- nation sont d'origine traumatique. Rapp
00 des cas d'alié- nation sont d'origine traumatique. Rappelant les cas de Starr, Keen et Mackensie Bacon, 111. Macpher
en Angleterre comme en France (or Rey). 31. Macpherson rapporte les cas de Shaw Batty Tuke et \Vallace, ce dernier ayant
dans le service de Stirling dont l'auteur est superintendant. Trois cas sur douze furent non pas guéris, mais arrêtés dan
laEAY (The Journal of Mental Science, octobre 1894). Il s'agit d'un cas de lepto-méningite diffuse, suppurante, ayant s
e ces membranes ne disparaissent évidemment pas avec lui. Enfin, ce cas nous montre encore qu'après que le cerveau a ét
parition des crises convulsives. R. DE ! \lUSGRAVE Clay. XVII. UN cas d'épilepsie HCKSOl\ILiC-OE : cessation DES attaqu
males et bénignes. L'auteur fait remarquer en terminant combien les cas de ce genre sont instructifs, car non seulement
rge W. Cale. (The New-York Médical Journal, 12 octobre 1895.) Les cas de folie consécutive à un traumatisme de la tête
s il fait du cerveau un locus minoris 1'esistentiæ. La folie, en ce cas , peut être provoquée par toute cause capable d'ab
des formes très diverses. L'auteur a observé, et il rapporte, deux cas de folie traumatique dans lesquels une interven
redevenu gai. La guéri- son s'est poursuivie sans interruption. Ce cas est remarquable par la tardive apparition des t
guérison. R. DE lluscaavH CLAY. XIX. Sur LE traitement séparé des cas récents ET curables D'ALlÉ- nation MENTALE DANS
érison ne peut plus être espérée. R. 11. C. XX. Trépanation dans un cas d'épilepsie; observation clinique) ; par T. DUN
ns forcés de considérer le cas'qui vient d'être rap- porté comme un cas d'épaississement syphilitique de la dure-mère.
s par un traitement antisyphilitique : ainsi l'opé- ration, dans ce cas , ne nous a rendu d'autre service que de nous me
le voit sourdre spontanément. 18 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Les cas rapportés par l'auteur sont au nombre de quatre o
de renseignements sur l'état actuel des malades. Dans le troisième cas , le malade est de l'aveu de l'opérateur, à peu
près dans le même état qu'avant l'opération. Et quant au quatrième cas , l'auteur ne mentionne que le manuel opératoire
auteur s'est proposé de démontrer qu'il existe un certain nombre de cas où la migraine et les autres affections névralgiq
ntéres- santes et très démonstratives : il a d'ailleurs observé des cas de ce genre en assez grand nombre, et ne manque
nseiller l'examen des cavités nasales, et à engager les malades, en cas de lésion reconnue, d'avoir recours à une inter
r que la rougeur et la douleur articulaires n'existaient plus. Ce cas est surtout intéressant à cause de l'usage couran
ne sont pas rares, mais en général ils ne se montrent que dans les cas où l'on a employé des doses massives, et ils so
tale- Deux ordres de faits ont été pré- sentés jusqu'alors : 1° des cas d'aliénés mis en liberté intempestive- nient pa
mis en liberté intempestive- nient par autorité de justice; 2° des cas d'aliénés authentiques con- damnés par les trib
rimes commis pendant l'état de maladie. Il manquait à ces faits des cas de condamnation d'aliénés par décision du jury.
la détermination à conseiller. M. Vallon. Je veux dire que dans des cas analogues, c'est-à- dire quand l'aliéné n'a pu
une statis- tique suisse, que le nombre des cabarets, et celui des cas d'alcoo- lisme étaient des séries de faits indé
à la fois beaucoup plus de débits de boissons et beaucoup moins de cas d'alcoolisme que le canton de Berne. Enfin M. A
est bu il domicile, il est donc très possible qu'il y ait moins de cas d'ivresse publique, mais tout autant de gens qu
'on appliquait rigoureusement la loi, comme cela a été fait dans ce cas , on verrait peu à peu le nombre des ivrognes di
boissons diminueront. NÉCESSITÉ DE L'ASSISTANCE DES IDIOTS. NOUVEAU CAS DE SÉQUESTRATION. « Le parquet de Coutances,
de clinique, médecin de l'Asile Sainte-Anne. Sommaire : I. Nouveau cas d'hallucinations unilatérales de l'ouïe. II. Dé
l'insul- tent, et, presque toujours, dans l'oreille gauche. En tout cas , les hallucinations auditives, quand elles sont
raient l'irriter et agir sur lui comme cause d'excitation. Dans ces cas l'hallucination serait considérée avec raison c
et plus récemment, en 1892, de M. Toulouse2, qui a réuni tous les cas observés jusqu'alors. Les conclusions de ces deux
lusions de ces deux auteurs sont un peu différentes. De l'étude des cas connus, M. Régis sort avec cette affirmation qu
te, au bout de trois mois de traitement. Bail * a aussi rapporté le cas d'un jeune homme qui, après un vigoureux souffl
4 CLINIQUE MENTALE. ces deux ordres de phénomènes morbides. Mais le cas le plus .intéressant, parce qu'il a, par son év
ète, une intégrité presque absolue du centre cortical. 1 Mabille. Cas de uérisozz d'hallucinations unilatérales de l'ou
u de se demander par quel mécanisme elles se sont produites dans ce cas . On peut supposer que là encore, comme pour les
vue et de l'ouïe. En somme, la lésion cérébrale donne lieu dans les cas de ce genre à des troubles subjectifs de la sen
. Wormser '. Elle parait encore plus légi- time après la lecture du cas de Lick 2. Le malade était un para- lytique gén
duction erronée de sensations morbides. Il faut rapprocher de ces cas les faits d'aura sensorielle uni- latérale acco
es ana- tomiques du rapport que nous cherchons à établir. Dans un cas où des convulsions épileptiformes débutaient par
e était au-dessous de la première circonvolution temporale. Dans ce cas , l'hallucination de l'ouïe était vraisemblablem
s et la cécité à la lésion des régions pariéto-occipitales; en tout cas , la trépanation au niveau du pli courbe fit ces
nser que les lésions cérébrales unilatérales peuvent, dans certains cas , donner lieu à des hallu- cinations unilatérale
rale, et c'est par un même mécanisme, du moins dans la majorité des cas , que les altérations des centres sensoriels et
ques donnent lieu à des phéno- mènes hallucinatoires. Dans les deux cas il y a des troubles sensitifs et des sensations
on, que l'intoxication alcoolique intervient dans la majo- rité des cas pour rendre le malade apte à produire des halluci
stence, bu presque exclusivement que de l'eau. En revanche, dans ce cas , la prédisposition héréditaire était très facil
conclut d'ailleurs à la réalité de l'accroisse- ment du nombre des cas de folie en Irlande. - R. M. C. REVUE D'ÉLECTRI
ulement les réactions électriques ont été normales. C'était dans un cas de récidive légère d'une sciatique très forte l
l'autre avec exagération pour les deux courants. Dans huit, autres cas il y a eu diminution de l'excitabilité. Dans cinq
huit, autres cas il y a eu diminution de l'excitabilité. Dans cinq cas l'au- teur a pu constater la réaction de dégéné
). Jamais elle n'a porté sur tout le domaine du sciatique ; dans le cas où elle était le plus étendue elle avait respecté
était le plus étendue elle avait respecté le mollet. C'étaient cinq cas de névrite avec amyotrophie marquée. En somme,
de strychnine, d'or, de glycéro-phosphates, de phosphore. Dans les cas où l'élec- tricité se montre insuffisante les i
hypotension, le malade est soumis d'abord aux bains statiques. En cas de céphalalgie, on met au-dessus de sa tête un di
r la sécrétion thyroïdienne qu'elle modifie et qu'elle agit dans ce cas comme le traitement thyroïdien. or L.-R. REGNIE
ucation et l'enseignement technique. Il est tellement rare, sauf le cas de crime passionnel ou acci- dentel qu'un crimi
, nullement absolue. Le terme « folie morale » a été appliqué à ces cas de défectuo- sités psychologiques congénitales
ux ; 2° le principe de non culpabilité ne peut être appliqué qu'aux cas où les actions crimi- nelles ou vicieuses sont
par quelques considérations sur l'application de ces principes aux cas d'inversion sexuelle congénitale. R. DE Musgrav
la France, t. XXXIV) a excellemment fait ressortir : dans les deux cas , il est fait usage de symboles qui peuvent être
e en perdant celle du chant ou de l'expression musicale; mais aucun cas de perte isolée du pouvoir d'expression musical
porté jusqu'à ce jour. Toutefois, un fait qui se rapproche de ce cas , jusqu'ici idéal, a été publié par Brazier d'aprè
r Brazier d'après une commu- nication écrite qu'il a reçue en 1873 ( cas de Barré, de l'Opéra-Co- mique). Wallaschek m
de l'Opéra-Co- mique). Wallaschek mentionne un certain nombre de cas dans lesquels des musiciens ont soudainement ou
les de distinguer les sonneries du clairon. Brazier rapporte quinze cas d'amnésie sensorielle consécutive à une affec-
ensorielle consécutive à une affec- tion cérébrale. Dans quelques cas d'aphasie soigneusement observés, on a re- marq
es notes accompagnait la perte de l'écriture; mais il y a aussi des cas de perle isolée de l'une ou l'autre de ces deux
DE PATHOLOGIE MENTALE. Oppenheim a publié l'observation de dix-sept cas d'aphasie, soi- gneusement étudiés au point de
re part, Finkelburg, Charcot et d'autres auteurs ont rap- porté des cas où, en dehors de toute aphasie, les malades avaie
ouvoir d'exécuter de mémoire ou de reproduire des airs entendus. Le cas de la maîtresse de piano, rapporté par Bernard
aient été instruits dans l'art de la musique, ce qui n'élait pas le cas pour les idiots; ou peut donc déduire de la com
eur, la conservation du sens musical; mais il en est de même, en ce cas , de la plupart des facultés mentales. Ribot a é
re, et c'est en effet ce que l'on observe dans un certain nombre de cas . Mais il est aussi beaucoup de déments chez les
du moment qu'à la pensée musicale du compositeur. Ils sont, en tout cas , moins accessibles à l'influence de la musique
, à l'état normal, sensible aux impressions musicales. ' Dans les cas de « melancholia attonita » toutes les facultés e
estion ; malheureuse- ment l'auteur n'a pu observer qu'un nombre de cas assez restreint. Il a cependant examiné cinquan
cusée, et au traitement de la mélancolie. L'auteur rap- porte trois cas où d'heureux résultats ont été obtenus au moyendu
de vue de la législation comparée des aliénés. ' R. M. C. VI. UN cas DE grossesse TUBAIRE sans RUPTURE DE la trompe, a
au mode de placement des aliénés curables ou incurables, suivant le cas , et à la manière de faire constater leur état d
al Science, avril 1894.) Ce travail est basé sur l'étude de douze cas intéressants : nous ne pouvons malheureusement
ives intrinsèques. Bien entendu cette remarque ne s'applique qu'aux cas purement idiopathiques de paralysie générale, et
ncontestable, c'est que dans 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. des cas rapidement mortels de paralysie générale, dans le
rer que l'apparition de ces lésions avait été précoce : dans un des cas rapportés, notamment, où les altérations muscul
- et de la déglutition. R. de 111USGR.1VECLA1·. IX. Notes sur un cas DE folie ataxique; par J. Vincent 13L.1CHFOIiD."
13L.1CHFOIiD." (The Journal of mental Science, juillet 1895.) Ce cas est un nouvel exemple de la difficulté qu'il y a
ue précision les symptômes mentaux qui se rencontrent dans quelques cas d'alaxie locomotrice et ceux qui appartiennent
t contre l'ataxie en faveur de la paralysie générale. La rareté des cas de ce genre mixte conduit à se demander s'il ne
y avoir chez le même sujet coïncidence des deux affections. En tout cas , s'il s'agit ici d'un cas d'ataxie, il faut qu'il
coïncidence des deux affections. En tout cas, s'il s'agit ici d'un cas d'ataxie, il faut qu'il ait été d'une forme par
particulièrement aiguë. Mais si, d'autre part, on a eu affaire à un cas de paralysie générale avec symptômes ataxiques, o
nérale avec symptômes ataxiques, on doit le considérer comme un des cas rares, dont Bevan Lewis a pu dire qu'ils témoig
pratique, faite sommairement devant un Congrès. IL M. C. XII. UN cas DE paralysie GENER \LE chez UNE FILLETTE DE NEUF
ar sa terminaison, par les' altérations constatées a l'autopsie, ce cas est bien et dûment un cas de paralysie générale
altérations constatées a l'autopsie, ce cas est bien et dûment un cas de paralysie générale, remarquable surtout par l'
138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. , Il est incontestable que les cas de paralysie générale chez les très jeunes suje
t de ses recherches dans les conclu- sions suivantes : 1° dans huit cas de paralysie générale examinés à une période re
mes de sulfates s'écartât sensiblement de la normale; - 2° dans les cas observés à des périodes diverses de la maladie
à s'accroître à mesure que la maladie progressait; 3° dans les onze cas étudiés de la paralysie générale avancée, l'excré
des attaques qu'aux autres époques de la maladie. R. M. C. XV. UN cas DE catalepsie avec silence prolongé alternant ave
. Les pupilles sont quelquefois inégales. L'urine est normale. Ce cas présente [de grandes analogies avec la descriptio
i sur plusieurs points importants, et l'auteur hésite à en faire un cas de catatonie. R. M. C. XVI. Manie aiguë dans
à en faire un cas de catatonie. R. M. C. XVI. Manie aiguë dans un cas DE CELLULITE PELVIENNE; par J. CHOIS- TIAN SIUP
IS- TIAN SIUPSON. (The Jou1'nal of Mental Science, juillet 1895.) Cas intéressant dans lequel des symptômes d'excitatio
outes deux sont actuellement complètes. il. M. C. XVII. NOTE sur un cas d'extraction DE corps étrangers du vagin; par W
lus la nécessité d'une exploration vaginale attentive dans tous les cas de leucorrhée rebelle chez les aliénées. R. M.
R. M. C. 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XVIII. Observation d'un cas d'épilepsie avec aphasie; par Franck IIAx. (The
les aliénés ordinaires la peptonurie se rencontre dans 41 p. 100 de cas , chez les paralytiques généraux dans 56,4 p. 100,
tain, Part. LXIX, 1895, p. 66.) L'auteur émet cette théorie que les cas de stupeur ou au moins certains d'entre eux, pe
seaux présentent une étroitesse congénitale, associée dans certains cas à une petitesse du coeur également congénitale.
ur appuyer cette théorie qu'il a déjà émise, l'auteur rapporte deux cas nouveaux, où l'on constate les différents points
tion et l'apport du sang, montre qu'il y a parallélisme dans les cas de stupeur; 3o les symptômes cliniques sont plein
vèle fréquemment une lésion cardiaque connue pour survenir dans les cas d'atrésie vasculaire congénitale ; S" le sphyg-
ec un changement dans l'état mental peut être observé dans certains cas de stupeur intermittente ; 7° l'action des médi
OLOGIE MENTALE. Il est certain que, malgré tous les soins, certains cas resteront incurables, mais on peut espérer, en
e. (Revue neurologique, janvier 1895.) E. B. XXXI. Trois nouveaux cas DE c torticolis mental » ; par les Drs BRISSAUD
ance à devenir involon- taires et à se généraliser. Dans l'un des cas par exemple, il s'agit d'un tic limité au début
e sur les rapports des psychoses et de la fièvre typhoïde. Sur 1420 cas de dothiénenterie observés à l'hopital de Bâle
s furieux. Il y a donc eu des troubles psychiques dans le quart des cas de fièvre typhoïde. Baumler, sur 73 typhiques,
des cas de fièvre typhoïde. Baumler, sur 73 typhiques, a observé 43 cas p. 100 de délires ; Louis a noté des troubles d
s ; Louis a noté des troubles de ce genre dans les trois quarts des cas . Vuillemin (Thèse, Paris 1874) a étudié la date d
uestion encore peu connue des délires initiaux ; il en a observé un cas ; il en rapporte un 'autre, encore inédit, dû à
re, encore inédit, dû à Kraepelin, et enfin il a rassemblé tous les cas antérieurement publiés qui ne sont pas plus d'u
élirantes ; leur activité n'est pas en général très grande. Dans un cas elles faisaient penser au délire alcoolique, bi
la parole embarrassée, la physionomie stupide. Fièvre. Dans les 17 cas connus, le délire a débuté dans la pre- mière s
vation de température. 11 ne parait pas y avoir eu, dans les autres cas , de rapport entre l'élévation de la température
'urine n'est pas rare, il y a parfois de l'albuminurie. Dans divers cas on a observé la répéti- tion automatique des mê
ité com- plète, être suivi d'un autre accès délirant. Dans d'autres cas , le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. loi délire d
s sujets atteints de psychoses est plus considé- rable que dans les cas non compliqués de délire. Kraepelin a trouvé co
s non compliqués de délire. Kraepelin a trouvé comme proportion des cas mortels 30,9 p. 100, et Bethe 39 p. 100. Pour c
; d'après l'auteur de 50 p. 100. Au point de vue de la gravité des cas recueillis par l'auteur, il n'y avait que trois
(Bouchut, Rostan, BarbeleL). Buhl, de l'examen du cerveau dans 31 cas , conclut qu'une dimi- nution du liquide encépha
des hémorragies, des méningites. Louis a observé dans la moite des cas une coloration rouge. Des recherches faites par
erches faites par l'auteur sur les résultats de l'autopsie dans les cas qu'il a rassemblés, il résulte que dans un certai
tes. L'examen microscopique a été bien rarement pratiqué dans les cas qui nous occupent. L'auteur a pu faire examiner p
èvre et surtout l'hyperthermie. Il accorde cependant, dans certains cas , quelque influence au poison typhique. L'auteur c
termittente, la fièvre jaune, la rage, et qui doivent dans bien des cas être attribuées à une intoxication. Diagnostic.
s'agrandissent aux dépens de la forme idiopathique. Dans bien des cas d'épilepsie idiopathique, on ne peut découvrir
dre banal, parfois même que des facteurs physiologiques. Dans ces cas , les accès se reproduisent en apparence spontaném
ubstance blanche. C'était Vierordt', qui le premier avait décrit un cas pareil. Il avait constaté dans son observation
e ainsi que dans le bulbe. Il est à remarquer cependant que dans le cas de Vierordt le tableau cli- nique de la polynév
itivement les changements du système nerveux central 'dans certains cas de la polynévrite. D'après l'opinion de ce dern
postérieurs et latéraux de la moelle épinière). En examinant les cas que nous trouvons chez d'autres au- teurs conce
e quantité de très petites hémorragies. M71llç.in constata dans son cas une lésion de faisceaux pos- térieurs, surtout
e une altération aiguë de la moelle en forme de la myélite. Dans le cas de M. Korsakow et de M. Serbskyb 1 Eichhorst. N
gisches Ceizlnalb., 1889, v. 6, p. 156. . à Korsakow et Serbsky. Vu cas de psychose polynévriliqùe avec au- lopsie. Sbo
. Dans l'ouvrage de M. le professeur Kojéwnikow 1 sont cités cinq cas de paralysie alcoolique avec autopsie, où l'on
aux (observ. II et IV) et antérieurs (observ. IV). En comparant les cas de la polynévrite décrits dans la mo- nographie
tatée de même par Bie- deharlien 3. C'est lui qui remarqua dans son cas sur la coupe transversale de la moelle épinière
nouvelle méthode de la coloration de Marchi. Campbell cite quatre cas de la polynévrite alcoolique. Dans le premier c
pbell cite quatre cas de la polynévrite alcoolique. Dans le premier cas , dans la région du bulbe et de la protubérance,
la dégénérescence disséminée des fibres nerveuses ». Dans le même cas les fibres nerveuses dégénérées ont été dis- sé
et dans les cordons et les racines postérieures. Dans le troisième cas les cordons de Goll, la zone marginale de Lissa
ient le plus grand nombre des fibres dégénérées. Quant au quatrième cas , la lésion était plus remarquable dans le faisc
adiculaire de Lissauer et des cordons postérieurs. Et dans tous ces cas , dans les racines postérieures était remarquée la
e la qualité de ces anomalies peuvent être diffé- rents dans divers cas . Le cas de la polynévrite alcoolique que nous a
té de ces anomalies peuvent être diffé- rents dans divers cas. Le cas de la polynévrite alcoolique que nous allons décr
latéraux. Les racines postérieures ont assez souifertes et en tout cas plus que les antérieures. Sur les couper transv
a méthode de Marchi. La méthode de ce dernier nous donne dans notre cas la plus nette présentation de la quantité des f
e de Marchi ne nous a pas donné des résultats définis. Dans notre cas dela polynévrite dont nous venons de parler, l'
conduc- trices. Ces changements ne se ressemblent pas dans chaque cas . Quelquefois ils sont exprimés très nettement, d'
lé des obser- vations de Campbell qui a trouvé dans tous ces quatre cas dé- crits par lui, une lésion des voies conduct
t on n'a pas trouvé de changements caractéris- tiques même dans les cas où les symptômes du côté du cerveau en forme de
e une maladie de tout le système nerveux et nous voyons que dans un cas existe la lésion très profonde de la moelle épi
roïdien comme cela était logique d'après l'interprétation donnée du cas de Bettancourt et Serrano. On pouvait de cette
e verre convenablement - tassé. Le liquide obtenu dans ces derniers cas est beaucoup plus riche en matières albuminoïde
eur, sobre. Mère, douleurs dans les jambes, pas de migraines. Aucun cas de démence ou de paralysie.] Pas de consanguini
M. C. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 205 IL Un cas DE PORENCÉl'HALIE j par CONOLLY NoRUAN et Alec. F
ompétents ne sont pas d'accord. On rencontre, chez les aliénés, des cas où s'observent deux caractères différents et même
et même individu. Dans le Brain, le Dr Lewis- C. Bruce a publié un cas intéressant de dualité de l'action céré- brale.
sant de dualité de l'action céré- brale. - Son malade présentait un cas de double conscience, et dans sa condition seco
déplore et s'en excuse avec une sincérité qui paraît complète. Le cas est doublement intéressant, d'abord au point de v
, la localisation des abcès du cerveau : il pense que dans quelques cas , il ne serait pas impossible, avec du soin et de
rer exact en ce qui concerne la névrite sénile, car, dans plusieurs cas , l'auteur a rencontré des altérations étendues du
été proposées, et publie ensuite l'observation très détaillée d'un cas de lésion étendue du cervelet; nous en indiquon
« astasie » et que Ferrier rattache à l'atrophie du cervelet. Ce cas nous montre aussi que l'existence d'une lésion cé
o-sanguinolent que l'on trouve dans les tissus de l'oreille dans le cas d'hématome; si la réponse était affirmative, il
e vue bactériologique le sang extravasé que l'on rencontre dans les cas récents d'hématome de la dure-mère. R. M. C. IX
s récents d'hématome de la dure-mère. R. M. C. IX. Observation d'un cas 1)'IIÉMIATROPHIE cérébrale; par John J. CowAN.
car alors la position des membres est indifférente ; mais, dans les cas douteux, il est nécessaire de faire asseoir le ma
ue le réflexe du genou n'est pas nécessairement aboli dans tous les cas de tabes. Il étudie ensuite l'état du réflexe du
on du réflexe du côté de la lésion; il en est de même dans certains cas d'hémiplégie consécutive à une hémorrhagie de l
re à la période de début de la démence para- lytique, sauf dans les cas où les cordons postérieurs ont été les pre- mie
, le surmenage mental, on est conduit à admettre que, dans bien des cas , l'interprétation de l'exa- gération est plus d
à éclaircir le diagnostic. Dans son premier mémoire il publiait 124 cas , il apporte aujour- d'hui 176 cas nouveaux, soi
n premier mémoire il publiait 124 cas, il apporte aujour- d'hui 176 cas nouveaux, soit un total de 300 cas. Les cas nouve
as, il apporte aujour- d'hui 176 cas nouveaux, soit un total de 300 cas . Les cas nouveaux se décomposent ainsi : I. Fra
porte aujour- d'hui 176 cas nouveaux, soit un total de 300 cas. Les cas nouveaux se décomposent ainsi : I. Fractures in
rts, 17; C. Autopsies, 13. - En réunissant les deux séries, les 300 cas qui servent de base à cette étude se décomposent
se ralentit progressivement jusqu'à ces- sation complète. Dans les cas favorables, la respiration ne subit d'ordinaire
aniques sont assez communes, mais les cloniques sont rares, sauf le cas de lésion complicante. L'état des pupilles est or
tribué uniquement à l'influence de cette lésion aussi bien dans les cas simples que dans les cas compliqués. Pour le re
luence de cette lésion aussi bien dans les cas simples que dans les cas compliqués. Pour le reste des symptômes, leur ana
conscience relèvent de la contusidn générale concomitante. Dans les cas ordinaires, il peut n'exister aucun symptôme se
le lobe frontal ou temporo-sphénoïdal, sont si fréquentes dans les cas mortels, et si rares dans les autres variétés de
ation pyo[Jénique pU1'enc ! ty¡¡¡atellse. Elle est rare, et sauf le cas de pénétration d'un corps étranger, elle demeure
cas de pénétration d'un corps étranger, elle demeure limi- tée. Les cas observés sont trop nombreux pour qu'on en puisse
énés-jusque dans les plus petites arlérioles ; mais dans ce dernier cas on observe dans les espaces périvascu- laires e
des facteurs de la folie ? L'auteur est d'avis que, dans un certain cas et dans une certaine mesure, les altérations de
tralbl., XIII, 1894.) Cette méthode produit dans presque tous les cas une améliora- tion plus ou moins notable des mo
ou la moitié postérieure de la moelle, et, encore, dans ce dernier cas , faut-il que la limite antérieure de la coupe s
la lumière, après la destruction des tubercules quadrijumeaux. Les cas dans lesquels il y a immobilité réflexe des pup
des fonctions de l'écorce, de nature probablement vasculaire. Aucun cas de ce genre n'a été publié jusq ? i,c ? t : r ? 1
cal ». L'auteur a recueilli dans la littérature plus de trois cents cas d'opérations portant sur les ovaires et sur les a
le but de guérir des névroses ou des psychoses. De ces trois cents cas , deux cents ont été suivis d'un résultat favorabl
aurait donc à la suite de l'opération de la castration 70 p. 100 de cas de guérison ou d'amélioration et seulement 30 p.
que l'intervention chirurgicale réussirait dans les deux tiers des cas . Sans insister sur ces résultats fournis par la s
, l'auteur fait remarquer qu'il faut tenir compte de la gravité des cas dans lesquels on a eu recours à la castration : i
s et pour lesquelles on avait porté un pronostic défavo- rable. Les cas de guérison ou d'amélioration - et il en est d'au
tiques sont donc encourageants. En outre, dans un certain nombre de cas désespérés, on sera toujours en droit, en dépit d
de troubles du système nerveux. Certains auteurs ont attribué les cas de castration suivis d'échecs à ce fait que l'o
s aussi, souvent lésées. Cette explication serait confirmée par les cas dansjesquels l'ovariotomie ayant été suivie d'u
écier à leur valeur les échecs que l'on impute à la castration, des cas dans lesquels celle-ci a été pratiquée par suit
ué. On 238 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. sait aussi que, dans nombre de cas , des organes ne paraissant point altérés ont pu
blation de l'organe d'où part l'excitation. Ce n'est que dans des cas exceptionnels qu'il est possible d'invo- quer,
toutes les médications autres, et surtout le massage. Mais dans les cas graves d'hystéro-épilepsie, d'excitation maniaque
lles. L'auteur rapporte cinq observations personnelles. Dans deux cas , il s'agit de jeunes filles hystéro-épileptiques,
ne fut suivie d'aucune amélioration. La castration n'a pas, dans un cas , donné immédiatement des résultats favorables; le
amélioré; la guérison se maintient depuis trois ans. Dans le second cas , les attaques convulsives ont disparu ; les atta-
l'opération. La guérison se maintient depuis cinq ans. Le quatrième cas concerne une fille publique syphilitique, habi-
théra- peutiques à attendre de la castration chez l'homme, dans des cas analogues. P. Sérieux. Il. Traitement DE l'ép
même des opérations partant sur les organes périphériques dans les cas d'épilepsie réflexe, à condition que l'ap- pari
s accès ne soit pas de date trop ancienne. L'auteur communique deux cas de guérison (résection d'une cicatrice au crâne
t les nerfs de 240 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'avant-bras), et deux cas d'amélioration réelle (extirpation d'un polype
et bien toléré; mais sa saveur et son odeur sont désagréables. En cas d'insuccès par les bromures, on conseille de leur
t serait sans action, et le premier serait aussi efficace, dans les cas en question, lorsqu'il est employé seul. L'atropi
ades longtemps maintenus en observation, les accès ont cessé dans 5 cas (depuis dix-huit mois dans l'un). Dans certains
nt cessé dans 5 cas (depuis dix-huit mois dans l'un). Dans certains cas rares, l'opium a été mal supporté; pour les aut
une nouvelle période, leurs attributions pourraient être éten- 1 Le cas échéant, un concours sur titres pourrait être org
eur thèse pourront, sur la demande de leurs chefs de service (et en cas de' besoin, à la suite d'un concours sur titres).
lets et l'action thérapeu- 250 VARIA. tique s'y concentre sur les cas diagnostiqués curables. Le reste de l'asile, se
larges corridors ser- vent de promenoir et de sallede récréation en cas de mauvais temps. - Les enfants éducables sont
les pen- sionnaires sont mis en liberté ou envoyés dans un asile en cas d'in- curabilité. On cherche à leur trouver du
monographies d'Ollivier et de Le Piez, ces auteurs ne citent que h cas de rupture des oreillettes, dont 3 cas de rupture
ces auteurs ne citent que h cas de rupture des oreillettes, dont 3 cas de rupture de l'o2,eillette droite. La lésion,
tre, soit la couche cor- ticale d'un hémisphère ; rarement, dans ce cas , il s'étend à la "surface de tout un lobe. » (T
'épaisseur. - Les veines caves ne présentent rien d'a- normal. Le cas : ; ? ' débarrassé des caillots adhérents apparaî
signes cliniques et anatomo-pathologiques indiquent que dans notre cas la rupture auriculaire s'est produite en deux t
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE, XXXVH. LA tétanie, avec observation d'un cas TYPE; par George J. PRESTON. (The New-York Médi
et l'auteur souhai- terait que le nom de tétanie fût réservé à ces cas bien définis. On peut se demander si la tétanie
communément, et l'auteur a pu en observer un assez grand nombre de cas . Le premier est celui d'un enfant qui était tom
antité considéiable de pus. L'enfant a bien guéri. Dans le second cas , un jeune homme reçoit au crâne, dans une rixe
rveau, ainsi qu'on put le constater à l'au- topsie. Dans un autre cas , chez un enfant de quatre ans, un catarrhe masa
reille moyenne : l'auteur donne des détails cir- constanciés sur ce cas , qui motiva une intervention chirurgicale et se
e quatre observations. Dans la première il s'agit probablement d'un cas de névrite d'origine diphtéritique. Le deuxième
'un cas de névrite d'origine diphtéritique. Le deuxième fait est un cas de névrite a frigore. Le troisième cas était dû
que. Le deuxième fait est un cas de névrite a frigore. Le troisième cas était dû à une contusion du nerf sciatique. Le
parition des accidents paraplégiques; il a pensé que, néanmoins, le cas était assez intéressant pour mériter d'être pub
s de diverses formes de paraplégie. R. de MUSGRAVE CLAY. XLII. Un cas DE paralysie bulbaire UNILATÉRALE SUIi41GUE, AVFC
l'au- teur a pensé qu'il ne serait pas sans intérêt de rapporter le cas qu'il a observé. Il s'agit d'un jeune homme de
déglutition était difficile, moins difficile cependant que dans les cas de paralysie bilatérale. Les aliments solides é
affaiblissement de la respiration. Tel est le résumé clinique de ce cas qui a commencé par une paralysie unilatérale de l
Il s'agit d'une affection peu commune et l'auteur en a observé deux cas dont l'observation peut se résumer ainsi : Obse
en rapport avec les autres centres. R. de Musgrave CLAY. XLIV. UN cas anormal DE SCLÉROSE EN plaques ; par Théodore D
ILLER. (The New-York Médical Journal, 25 mai 1895.) 'Il s'agit d'un cas où le diagnostic est rendu très difficile par la
s mains et des pieds, plus ample que dans la paralysie agitante. En cas d'émotion, un peu de trem- blement du visage et
ation normale, mais il bords nettement tranchés. S'il s'agit d'un cas de sclérose en plaques, dit l'auteur, ce cas est
chés. S'il s'agit d'un cas de sclérose en plaques, dit l'auteur, ce cas est anormal en ce qui touche le tremblement pui
ma- tologie de la lésion médullaire. R. DE Musgraye CLAY. XLV. UN cas DE SCLÉROSE spinale postérieure, avec prodromes O
C. Il. Cnunu. (The New-York Médical jour- nal, 15 juin 1895.) Ce cas est intéressant à cause de la rareté des symptôme
'un examen ophtalmoscopique précoce, dût-il ne donner comme dans le cas actuel que des résultats négatifs. Il s'agissai
postérieure. L'autopsie n'a pu être pratiquée. R. M. C. XLVI. UN cas DE cécité absolue (amblyopie) par anopsie. guéris
New-York Médical Journal. 10 août 1895.) - Cette observation d'un cas rare est intéressante à divers points de vue ;
ne mesure bien appréciable. L'auteur rappelle en terminant que deux cas analogues ont été publiés, l'un par Mackenzie d
matologie DES affections cérébelleuses : ANALYSE CLI- NIQUE DE CENT CAS , SUIVIE DE QUATRE OBSERVATIONS PERSONNELLES ; p
rdent avec les faits expérimentaux, et pour cela il s'appuie sur 97 cas dans lesquels le diagnostic a été vérifié à l'a
97 cas dans lesquels le diagnostic a été vérifié à l'autopsie ; ces cas se répar- tissent ainsi au point de vue de la n
tissent ainsi au point de vue de la nature des lésions : sarcome 22 cas ; tuberculose, 22 cas; gliôme, 18 cas; abcès 10 ca
t de vue de la nature des lésions : sarcome 22 cas; tuberculose, 22 cas ; gliôme, 18 cas; abcès 10 cas ; tumeur de natur
ature des lésions : sarcome 22 cas; tuberculose, 22 cas; gliôme, 18 cas ; abcès 10 cas ; tumeur de nature non spécifiée,
ons : sarcome 22 cas; tuberculose, 22 cas; gliôme, 18 cas; abcès 10 cas ; tumeur de nature non spécifiée, 13 cas ; kyst
; gliôme, 18 cas; abcès 10 cas ; tumeur de nature non spécifiée, 13 cas ; kyste, 7 cas ; ramollissement, en- dothéliome
s; abcès 10 cas ; tumeur de nature non spécifiée, 13 cas ; kyste, 7 cas ; ramollissement, en- dothéliome, tumeur sarco-
sarco-kystique, cancer, gomme, fibrome et hémorragie, de chaque un cas . Au point'de vue du siège, les lésions occupaie
oint'de vue du siège, les lésions occupaient le lobe gauche dans 32 cas , le lobe droit dans 32 cas, le lobe moyen dans 17
ésions occupaient le lobe gauche dans 32 cas, le lobe droit dans 32 cas , le lobe moyen dans 17, les deux lobes latéraux
droit et le lobe moyen dans 3, le lobe gauche et le lobe moyen dans cas . Au point de vue des manifestations cliniques,
enté la répartition sui- vante : 1° la céphalalgie existait dans 83 cas , elle faisait totalement défaut dans G cas ; da
alalgie existait dans 83 cas, elle faisait totalement défaut dans G cas ; dans 12 cas, elle n'est pas mentionnée ; 2° les
it dans 83 cas, elle faisait totalement défaut dans G cas ; dans 12 cas , elle n'est pas mentionnée ; 2° les vomissement
elle n'est pas mentionnée ; 2° les vomissements existaient dans 09 cas , manquaient dans 9, et ne sont l'objet d'aucune
lle n'est l'objet d'aucune mention ; 4° le vertige existait dans 48 cas , manquait dans 9, et n'est pas mentionné dans 4
sensibilité de la région occipitale : ce signe est douteux dans 30 cas ; dans 8 il n'est pas indiqué. L'ataxie est noté
ans 30 cas; dans 8 il n'est pas indiqué. L'ataxie est notée dans 58 cas ; elle fait défaut dans 9, et n'est l'objet d'a
lysie ou de parésie, a été observée 48 fois ; elle a manqué dans 14 cas , et dans 38 elle n'est pas mentionnée. Les conv
née. Les convulsions partielles ou générales ont été notées dans 30 cas , elles ont manqué dans 14, et 56 observations s
réciser le côté de la lésion : les observations recueillies dans 35 cas montrent qu'il n'y a pas là de règle absolue, m
vers le côté malade. Les réflexes tendineux étaient normaux dans 10 cas , exagérés dans 12, diminués ou absents dans 12.
elleuses, rangés suivant leur ordre de fréquence dans le groupe des cas étu- dié par l'auteur, sont : la céphalalgie, l
274 . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. personnelles. Dans le premier cas , il s'agissait d'une tuberculose du cervelet vé
d'une tuberculose du cervelet vérifiée à l'autopsie. Dans le second cas , on avait dia- gnostiqué pendant la vie un néop
nal, 13 juillet 1895.) L'auteur s'est proposé de rapporter quelques cas intéressants ou difficiles au point de vue du d
tirer des faits obser- vés quelques conclusions. Dans le premier cas , il s'agissait d'une méningo-encéphatite syphil
litique de la région fronto-pariétale gauche. Le traitement dans ce cas confirma le diagnostic. Les symptômes étaient ceu
ber à une paralysie générale de nature spécifique. Dans le second cas , les symptômes prédominants sont : un hoquet pe
oyen. L'origine du hoquet n'a pu être précisée. Dans le troisième cas , on avait affaire à une céphalalgie qui n'avait
d'existence : la guérison fut obtenue par le traitement ioduré. Ce cas se rattache à la première catégorie de syphilis
us rapidement modi- liable par le traitement ioduré. Le quatrième cas était caractérisé par de la céphalalgie, des és
ulation au niveau du bras, de la face et de= centres du langage. Ce cas était intéressant, car on pouvait hésiter entre d
obtenue, sauf en ce qui touche'l'amblyopie qui persiste encore : ce cas est surtout inté- ressant en ce qu'il démontre
er que lorsque le mercure fut associé à l'iodure. Dans le sixième cas , on note les phénomènes suivants : hémor- ragie
lalgie, aphasie transitoire et neuro-rétinite syphilitique. Dans ce cas la concomitance d'une lésion de la base et d'une
tablement syphilitique des lésions de la rétine. Dans le septième cas , on observa des phénomènes épileptiques, de l'a
; 7° épilepsie apparaissant après l'âge de vingt-cinq ans (sauf les cas de traumatisme, alcoolisme, satur- nisme et uré
oit la forme; 10° apoplexie avant l'âge de cin- quante ans (sauf le cas de saturnisme et de lésions cardiaques ou rénal
ement, l'auteur conclut des faits qu'il à observés : 1° que sauf le cas de contre-indication spéciale et absolue il fau
nsidérablement l'étude de cette intéressante affection. Beaucoup de cas de petit mal rentreraient alors dans l'épilepsie
eurs est probablement rare. M. Diller rapporte l'observation d'un cas que ceux qui ont spécia- lement étudié l'épilep
quement, pour se conformer à sa propre classification, rattacher le cas à l'épilepsie sensorielle. L'intérêt de l'observa
transitoire ET rétrécissement concentrique du champ visuel D\1\, un cas DE paralysie 1NP1NTILE d'origine CËR)'- Ber \LE
ncule et les hémis- phères. Le seul nom qui convient aux nombreux cas de ce genre, dit l'auteur, est celui de « ramol
chiatrie und Nervezzl,rczzz7clieiten, t. XXVII, I. 3, 1895.) Deux cas de pachyméningite cervicale hypertrophique avec
e. L'origine syphilitique est nettement démontrée pour le premier cas . elle doit être considérée comme très probable po
ifférences cliniques et anatomo-patho- logiques, par lesquelles ses cas s'écartent du type classique Charcot- Joffroy.
sions comme le démontre l'étude clinique et. microscopique des deux cas en question. Adamkievicz et Wieting ont publié
que des deux cas en question. Adamkievicz et Wieting ont publié des cas analogues. z Pour l'auteur, l'épaississement de
s'empêcher de remarquer que ce n'est pao là la règle. ' Dans les cas d'Adamkievicz, de Wieting et de l'auteur, le pro-
ssés à se livrer à des actes charnels répugnants. Dans ce dernier cas , le rêve s'accompagne de pollutions invo- lonta
plaintes d'une voisine atteinte d'une rétention d'urine; en tout cas , elle eut pour cause physique le spasme des muscl
n est en rapport avec l'histoire du gigantisme ordinaire ; dans les cas de ce genre, on a nolé une hypertrophie de la g
xie, de l'hyperkinésie réflexe. Observation II. - Il s'agit en ce cas d'une sorte d'alhélose avec les accidents convu
USCHM.11.1'. (1l'.211'GI0lf ? lLllA ? I ? ) Statistique. - Sur 6806 cas de maladies nerveuses en 14 ans (1890-94) il n'
cas de maladies nerveuses en 14 ans (1890-94) il n'y avait que 135 cas de paralysie faciale périphérique, soit 2 p. 10
fection auriculaire, soit 12 p. 100. Sur les quatre-vingt-dix- neuf cas de rhumatisme, 5r concernaient l'homme, et 45 la
pronostic. On ne note que G récidives sur les quatre-vingt-dix-neuf cas en question, soit G,1 p. 100. En voici néanmoin
légie est très rare; en un demi-siècle on en a à peine recueilli 18 cas . Mais cette observation prouve bien la progress
paire. Après une discussion intéressante, les auteurs rattachent ce cas complexe à une forme anormale de tabès combiné
e antérieure. (Revue Neuro- logique, août, 180¡j,) E. B. LXIV. UN CAS D'ARTHROPATHIE DU GEKOU, DlLATÉnALE ET SYMETRIQUE
aires du tabes. (Revue Neurologique, septembre 1895.) E. B. LXV. UN cas DE sclérose EN PLIQUES A FORME d'hémiplégie alter
ue alterne. (Revue Neurolo- flique, juin 1895.) E. Blin. LXVI. Un cas DE TUMEUR cérébrale avec hémianestiiésie ; par
le siège exact des troubles sensitifs observés. " F. B. LXVII. UN cas D'OPHTALMOPLÉGIE unilatérale COMPLÈTE ; par F.
tides puisse déterminer des attaques épileptiformes. G. D. LX. Deux cas de tumeur du canal rachidien comprimant la moelle
dans le canal rachidien où il comprimait la moelle.. Dans le second cas , il s'agit d'un homme de quarante-neuf ans qui
mant la moelle par un prolonge- ment intra-rachidien. Dans les deux cas la lésion médullaire était de même nature : il
avait été supprimée. Les constatations histologiques dans ces- deux cas étaient donc en faveur d'une intervention chiru
le ou telle circons- tance, mais n'ont pas l'habitude comme dans le cas en question de déclarer catégoriquement une cho
n question de déclarer catégoriquement une chose. L'amnésie dans ce cas manque d'une base médico-psychologique et n'est
ne sont des témoignages certains de l'état sain de l'esprit dans un cas donné. , Souvent, en effet, les actes crimine
la perception réelle et le sou- venir illusoire est, dans tous les cas , sensiblement le même. L'illusion ne présente p
objection et fournit la preuve expérimentale qu'elle, n'a, dans ce cas , aucune valeur. En effet, il expérimente depuis h
u neurasthéniques. Chacune de ces deux théories ex- plique certains cas ; elles ont le tort chacune d'être trop exclusives
, se réveiller et donner lieu -IL une symptomatologie nouvelle; les cas s'observent surtout chez. VARIA. * 313 les pe
ce temps, vivait à Paris du produit de ses vols. » - Dans tous les cas de ce genre, il serait juste de s'enquérir des
atomie pathologique de l'oedème bleu n'est même pas ébauchée. Aucun cas , en effet, ne s'est terminé par la mort et les
es, 2e série, t. I. 21 322 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de décrire un cas que j'ai eu l'occasion d'observer, d'autant t p
cas que j'ai eu l'occasion d'observer, d'autant t plus que dans ce cas le malade a succombé et que son autopsie a pu ê
euâtre des extrémités avec abaissement de la température locale; le cas de Rosenbach (Cent1'GltJl, f. Nerven., 1888, ne
et la cyanose de, la face après une émotion morale violente ; le cas de Widowilz (Jalarb. f. Kinvelc ? l vol. XXV) qui
fant de sept ans atteint d'entérite et de coqueluche. Dans tous ces cas tous les auteurs ont insisté sur la brusquerie du
nt parfois à un traumatisme phy- sique ou psychique ; dans tous ces cas aussi l'oedème a fait suite à une paralysie, un
s cardinaux ont été observés chez mon malade. En plus dans tous les cas d'oedème bleu, sauf dans celui de Damaschino où
e Damaschino où il y avait une éléva- tion de la température, et le cas de Gajkiewicz où la tempéra- ture du membre att
u-dessus, tantôt au- dessous de celle du membre sain; dans tous les cas , disons-nous, l'oedème est accompagné et même e
d'un abaisse- ment notable de la température locale. Ainsi dans un cas du professeur Charcot la différence dans la tem
ce dans la température des deux membres atteignait 4ouzo ; dans les cas de Bosit cette différence allait même jusqu'à 6
it cette différence allait même jusqu'à 6 ? O. Dans la majorité des cas , de même que dans le mien, l'oedème n'occupe qu
Tantôt l'oedème est per- sistant et dure plusieurs années (dans un cas de Charcot la durée était de cinq ans, dans mon
années (dans un cas de Charcot la durée était de cinq ans, dans mon cas l'oedème persistait pen- dant trois ans), tantô
IE PATHOLOGIQUE. suivant : comme il vient d'être dit, dans tous les cas l'oedème était précédé, en dehors du traumatism
a démontré qu'il possédait des propriétés du sang veineux. Dans les cas passagers d'oedème bleu la disparition de l'oed
ie ou cette contracture a provoqués se contre-balancent. Dans les cas durables le tableau clinique et l'anatomie pathol
res consécutifs. Une névrite à peine pro- noncée ne peut dans aucun cas expliquer les troubles paraly- tiques de tout l
stigmates carac- téristiques de l'hystérie, je devrais décrire mon cas aussi sous le nom d'oedème bleu d'origine hysté
s affections. Etant donné tout ce qui précède et si l'on exclut les cas d'oedème passager, ne laissant après lui aucune
ssager, ne laissant après lui aucune trace, le pro- nostic dans les cas prolongés ne peut être considéré comme favorabl
cas prolongés ne peut être considéré comme favorable. Ainsidans mon cas , quoiqu'il n'y ait pas de troubles trophiques n
iguë datant de quelques semaines. L'observation résumée de ces deux cas , par la netteté des phénomènes qu'ils ont permis
es microbiennes chez les aliénés se traduirait dans la majorité des cas , lorsqu'il s'agit de sujetsjeunes et non affaib
utre forme vésanique. Cette amélioration peut aller dans certains cas (obs. 1 et II) jusqu'à la disparition complète
tent les signes detnxhémie intercurrents, et, dans les deux seuls cas où nous l'avons vu se produire, l'état mental nor
érysipèle) ? L'analogie est d'autant plus frap- pante que dans ces cas comme dans les nôtres, il ne s'agit en réalité
ent un obstacle à sa vie de libertin. E. TOULOUSE. XII. DE QUELQUES CAS PSYCHOPATHOLOGIQUES DEVANT LES TRIBUNAUX serbes
VANT LES TRIBUNAUX serbes; par le D1' VAs : iTCH. Dans un premier cas , il s'agit d'un malheureux persécuté avec hallu
e, après un rapport médical, fut transféré dans un asile. Le second cas a trait à une femme débauchée qui, voulant se dé-
crime fut commis. cette femme n'était point aliénée. Le troisième cas cité a trait à un homme atteint de manie interm
'illusions ou d'hallucinations n'exclut pas la cuipabilité, sauf le cas où elles auraient sur le crime dont il s'agit u
le crime dont il s'agit une influence directe, par exemple dans le cas où un homme commettrait un crime en se croyant
ttrait un crime en se croyant en état de légitime défense : dans ce cas seulement il doit être reconnu non coupable. Ou
e. Ou voit assez que cette jurisprudence ne tient aucun compte du cas où l'homme commet un crime, en sachant que c'est
de s'il ne vaudrait pas mieux la modilier que de forcer (il cite un cas démonstratif) un jury et un magistrat à prononc
ainement pu, mais qu'elle aurait considéré son intervention dans ce cas comme une lâcheté; elle ajouta même que, à la d
punie de la servitude pénale à perpétuité, tandis que le maximum en cas de suicide ne dépasse pas deux ans; le crime n'
s à pratiquer dans leurs rapports; enfin et surtout, la crainte, en cas de tentative avortée, d'être immédiatement enfe
er bon nombre de gens tentés de se débar- rasser de la vie; eu tout cas cet internement serait plus rationnel et plus h
est bien définie et bien admise; mais l'auteur estime que, dans les cas qui ne se rattachent pas à ce type tabétique, les
le nom de paraplégie spasmodique primitive. Dans un petit nombre de cas , la maladie participe des deux formes, mais cet
t toujours possible. Les recherches de l'auteur ont porté sur 317 cas de paralysie générale, parmi lesquels 85 p. 100
bé- tique. - Le poids du cerveau est notablement moindre dans les cas spasmodiques que dans les cas tabétiques. - L'atr
veau est notablement moindre dans les cas spasmodiques que dans les cas tabétiques. - L'atrophie de la moelle est la rè
le dédoublement de la personnalité est commun ; dans la plupart des cas la maladie est incurable. Savage a remarqué qu'
, c'est-à-dire 42 p. 100 étaient dus à la même maladie. Sur ces 295 cas , 163 autopsies ont été faites (91 blancs, 72 nègr
che. - La marche de la maladie est plus rapide chez le nègre. - Les cas de guérison ou d'arrêt dans le processus morbid
ans la race noire, puisqu'on l'a constatée dans plus d'un tiers des cas où l'au- topsie a été faite. R. M.-C. XXXI. R
ailler à la prophylaxie des désordres mentaux. R. M.-C. XXXVI. UN cas d'ecchymoses accompagnant DE l'excitation déliran
fracturer les côtes. L'auteur s'est servi de cet appareil dans 158 cas , qui se répartissent ainsi au point de vue des fo
int de vue des formes d'aliénation mentale : paralysie générale, 18 cas ; démence sénile, 12 cas; mélancolie, 9 cas ; d
liénation mentale : paralysie générale, 18 cas ; démence sénile, 12 cas ; mélancolie, 9 cas ; démence consécutive, soit à
paralysie générale, 18 cas ; démence sénile, 12 cas; mélancolie, 9 cas ; démence consécutive, soit à la manie, soit à
cas ; démence consécutive, soit à la manie, soit à la mélancolie, 8 cas ; épilepsie, 4 cas; démence organique, folie ave
écutive, soit à la manie, soit à la mélancolie, 8 cas; épilepsie, 4 cas ; démence organique, folie avec hallucinations e
ganique, folie avec hallucinations et manie chronique, de chaque, 2 cas ; manie aigué, 1 cas. Il est arrivé aux conclus
allucinations et manie chronique, de chaque, 2 cas ; manie aigué, 1 cas . Il est arrivé aux conclusions suivantes : 1° L
a convexité, et de 30 livres pour la concavité, on trouve, dans six cas de démence sénile chez la femme, les chiffres e
es d'aliénation mentale, la résis- tance est diminuée : dans les 58 cas examinés, la moyenne de l'effort nécessaire pou
ort nécessaire pour fracturer les côtes a été : pour les hommes (35 cas ), de 41,04 livres du côté de la convexité, et de
té, et de 42,14 livres du côté de la concavité; pour les femmes (23 cas ), de 20,68 livres du côté de la convexité, et d
e celle que l'auteur s'attendait à rencontrer. Dans la majorité des cas , la résistance a paru un peu plus grande du côt
ui en résulte d'une manière très évidente, c'est que, dans tous les cas où la résistance de l'os à la fracture est abai
certain que c'est celle-ci que l'on rencontre dans la majorité des cas ; dans d'autres cas, une néphrite interstitielle
celle-ci que l'on rencontre dans la majorité des cas; dans d'autres cas , une néphrite interstitielle qui existerait pou
quée par d'autres grosses lésions du rein. Il a observé au moins un cas dans Jequella lésion, micruscopiquemenl douteus
it volontiers 352 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. que, dans certains cas , cette maladie peut aussi donner naissance à un
folie, on constate une prédo- minance remarquable de la manie (321 cas de manie sur un total de 473 aliénés). La paral
rare : sur le même chiffre d'aliéné*, l'auteur n'en a trouvé que 2 cas . Les causes générales sont difficiles à précise
ux bien faits pour intéresser l'observateur. R. M.-C. XLII. TROIS cas DE GUÉRISON DE H mélancolie après UNE très long
ctivement onze ans, neuf ans et demi et sept ans. Le premier de ces cas est le cas le plus prolongé de mélancolie about
nze ans, neuf ans et demi et sept ans. Le premier de ces cas est le cas le plus prolongé de mélancolie aboutissant à la g
ssant à la guérison que l'auteur connaisse, exception faite pour un cas rapporté par le Dl' Blandford, et qui avait dur
ronostique défavorable. La gué- rison a été complète dans les trois cas . R. M.-C. LIIt. Fréquence DES affections rénale
74 fois, soit dans 48 p. 100 des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3S3 cas , il a trouvé des altérations du rein. Cette propo
ndaires. (British médical journal, 2 mars 1895.) A. M. XLIV. Deux cas d'hystérectomie SUIVIE d'accès d'aliénation menta
uérit après un accès anxieux. A signaler dans le même numéro deux cas de tétanos traités par l'antitoxine. Le traitem
d'avec la syringomyélie. Conviendrait-il d'admettre deux groupes de cas : celui du type actuel et un autre dans lequel
de temps se succèdent les deux maladies. Et alors, comme dans notre cas , la syphilis peut être rendue responsable des d
sion limitée d'énergie psychique nécessaire aux mouve- ments. En ce cas , il y a arrêt de mouvements, paralysie psychique
ns (protubérance et bulbe) pourront provoquer l'épilepsie, dans les cas d'excitation mécanique de la protubérance, de com
ues, janv. 1890.) E. B. 358 REVUE DE PATHOLOGIE. MENTALE. DIIUX cas DE folie hystérique d'origine infectieuse; par
de cette idée l'auteur présente deux observations : Dans le premier cas , il s'agit d'une malade de vingt-trois ans, san
t territoires. Et même dans l'Etat de Virginie, l'accroissement des cas de folie dans la race noire a été, depuis vingt
plus complète, suffisent à expliquer cet accrois- sement énorme des cas de folie. Un fait intéressant dans l'étude de l
de dégénérescence sont fré- quents, puisqu'on en constate dans riz cas pour 100 chez les alié- nés, dans 74 p. 100 che
r 100 chez les alié- nés, dans 74 p. 100 chez les ivrognes, dans 39 cas pour 100 adultes pris au hasard. De là à procla
vue physique qu'au point de vue intellectuel. Près de la moitié des cas de folie sont constatés chez des immi- grants q
ignorer la bienfaisante loi biologique par laquelle l'es- pèce, en cas de dégénérescence, tend à la restauration du type
? \.y J ? 'ICVI ? DE PATHOLOGIE NERVEUSE. c.. '\... ? LXI. DEUX cas DE TUMEUR DU canal rachidien comprimant la moelle
oir l'insérer de nouveau telle qu'elle devait être. B. Le premier cas concerne un homme de vingt-six ans chez lequel
dans le canal rachidien où il comprimait la moelle. Dans le second cas , il s'agit d'un homme de qnarante-neuf ans qui
mant la moelle par un prolonge- ment intra-rachidien. Dans les deux cas la lésion médullaire était de même nature : il
avait été supprimée. Les constatations histologiques dans ces deux cas étaient donc en faveur d'une intervention chiru
que.(2'/ie afezisi andneurologisl, octobre 1895.) E. B. LXIII. UN cas d'acromégalie dans LE gigantisme ; par \YODS IIUT
ntre l'acromégalie et le gigantisme. Il pense que, dans beaucoup de cas , les géants sont des malades ayant peu de vitalit
rsale rap- pellent les acromégaliques, présenteraient dans certains cas une fosse pituitaire très excavée. E. T. LXIV
sse pituitaire très excavée. E. T. LXIV. Alopécie localisée dans un cas D'HYSTliRO-\EUrt-15THÉN1E TRAUMATIQUE; par le D
ui est le bégaiement. La seule différence c'est que dans ce dernier cas (de l'hystérie) l'interruption est fonctionnelle
d'hystérie, la gastralgie remplace la migraine. P. K. LXVIII. UN cas d'intoxication saturnine A symptômes extrêmement
dans le n° 20 de la Revue nou- 1"ologique (1895) et intitulé : « Un cas de méralgie paresthésique de Roth (paresthésie
bète) et de faire des réserves pour le pronostic. E. B. LXX11. UN cas DE méralgie paresthésique DE IIOTII (paresthésie
endant la marche accélérée et pendant la course. E. B. LXXIII. UN cas DE méningite TUBERCULEUSE spinale ; par ROTHGANGE
e à l'aide de douze couronnes de trépan. Mort. - A. M. LXXV. Deux cas d'abcès cérébraux ; par \I11. BARIiAU etIliRSCHFE
(de San Francisco). (Occidental médical Times, juin 1895.) Ces deux cas furent suivis de mort malgré le trépan pratiqué,
ls et vaso-sécré- toires, puis le coma final. A. M. LXXVI. Quatre cas d'acromégalie ; par R.1NSCAi, LYI-TI30u.1S et B
h medic,joll1'" 1 CI', 8juin et 19 octobre 1895.) Les deux premiers cas offraient, comme caractéristique, l'arrêt préco
sur une clientèle de 2,000 habitants à Ham- bleden, il a relevé 55 cas de goitre. Rapprochant ces faits d'un goitre dé
stoïde droite. - Après une longue discussion très documentée de son cas et d'au- tres analogues, et après avoir étudié
chiatrie und Nervenf,ralzkleeitezz, r t. XXVII, 1. I, 1895.) Deux cas d'ophtatmoplégie : 1° Une paralysie plus ou moi
bout de tiois mois. Pas d'autopsie. L'auteur après avoir discuté ce cas croit que cette paralysie peut être expliquée p
se; une lésion nucléaire lui parait inadmissible. LwoFF. LXXX. UN cas DE paramyoclonus multiplex; par BREYMAN, (Archiv
Psychiatrie und Ne1'venlï1'an/¡heiten, t. XXVII, liv. I.) Soixante cas de paramyoclonus multiplex ont été publiés jus-
s jus- qu'ici dans la littérature médicale. L'auteur en rapporte un cas nouveau qui a présenté tous les symptômes carac
ouvelle expérience produit les mêmes résultais. Intégrité en pareil cas des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
is, dans le membre para- lysé des hémiplégiques, ainsi que dans les cas où il y a exagéra- tion des réflexes tendineux.
rales : ainsi s'explique l'apparente intégrité du tapetum dans les cas d'absence du corps calleux. Les deux couches pass
e des centres visuels cortico-occipitaux qui d'ordinaire, en pareil cas , trouble la perception centrale des stimulus ré
bains tièdes salins P. K. XLV111. Ondulations musculaires dans UN cas DE sciatique DILATÉ- RALE chronique; par J. HOF
ection serait plus fré- quente à droite. Enfin Hosenherg en a vu un cas chez une dame tandis que jusqu'ici on ne l'avai
éditaire de P. Marie, le tableau cli- nique présenté par lui et les cas mixtes des différents auteurs. 390 revue d'anat
pathologique, l'auteur, se basant sur les autopsies faites dans des cas analogues aux siens, conclut : « Il s'agit dans
ns des cas analogues aux siens, conclut : « Il s'agit dans tous ces cas soit d'une anomalie, soit d'un arrêt de dévelop
ndelette intra-bulbaire de l'hypoglosse. Il ne s'agit pas, dans ces cas , comme on l'a souvent prétendu, d'une simple at
s les extrémités inférieures, surtout à droite. C'est la un nouveau cas de compression de la moelle avec abo- lition de
citation, même quand la fonction est rétablie. LWOFF. LVII. TROIS cas DE RUPTURE NON traumatique DE la VESSIE CHEZ DES
sur ces malades. L'examen microscopique a montré que dans les trois cas , les fibres musculaires de la vessie étaient at
echerche minutieuse de l'état des vais- seaux de la moelle, dans un cas de paraplégie syphilitique récent et pur de tou
ne l'infection aboutit à la production du tissu fibreux. Dans les cas observés, ces lésions, absolument banales, n'ont
ns décrois- santes. F. BOISSIER. LXIX. Anatomie pathologique d'un cas DE PARALYSIE infantile; par F. TItÉVELLAN. {Dra
ans le liquide de Muller chauffé à l'étuve à 38°. L'in- térêt de ce cas tient au moment vraiment opportun, ni précoce n
arition des symptômes se fait dans un ordre variable; dans fous les cas ceux-ci ne se montrent qu'exceptionnellement da
e des aliénés en Anglete7,i,e est ajournée; 2° M. limucc6ra. Sur un cas de paralysie chronique des muscles de l'oeil (a
une quinzaine d'années auparavant. M. FRAEi'lKEL dit observer un cas de ce genre. 4° M. IL Laeur. La question du per
e « frottage » avec cet organe. A la limite, pour ainsi dire, des cas de fétichisme hétéro-sexuel, se rencontrent les
seul, même avec les malades femmes. Le scandale est patent pour les cas de manie aiguë et le préjudice irréparable pour
ment pour buveurs, même contre son gré. L'internement aura lieu, au cas de danger pour la sécurité publique, sur la réq
curité publique, sur la réquisition des autorités ; dans les autres cas , pour- ront réclamer l'internement tous ceux qu
uto- risation de l'administration. Cette dernière peut elle-même en cas de non-intervention du tuteur provoquer le plac
tains détenus dont il favorise les penchants criminels ; tel est le cas notamment pour ceux chez qui on observe l'exis-
que les prolongements den- dritiques du neurone dégénèrent dans les cas où pourrait se trouver réalisée la même séparat
is de dégénérescence que les prolongements neuraux. Dans d'autres cas plus rares, le neurone sectionné dégénère dans
a distance du centre à laquelle la section est faite paraît en tout cas jouer un cer- tain rôle. ' Quoi qu'il en soit
hérique. Elle demande pour être reconnue, du moins dans beaucoup de cas , l'emploi des méthodes de Marchi pour l'examen
'au muscle. S'il existe deux neurones dans la voie motrice, trois cas peuvent se rencontrer en pathologie : 1° l'archin
pouvait être affecté simultanément ou iso- lément. Dans ce dernier cas , le neurone resté indemne de lésion peut être é
en pathologie. Cette variété diffère, on le comprend sans peine, du cas où les deux neurones sont frappés simultanément p
e, c'est-à-dire la lésion du faisceau pyramidal. Eh bien, dans ce cas , le téléneurone va s'altérer à son tour et la mal
es auteurs qui ont établi que la dégénérescence se faisait, dans ce cas , de l'extrémité muscu- laire du neurone vers so
a suite des atrophies des neurones de la corne antérieure. C'est le cas qui nous occupe. Les auteurs admettent, depuis
le faisceau pyramidal peut dégénérer presque com- plètement dans ce cas et la lésion qui déborde ses limites étroites l
'atteint pas le bulbe et le pédoncule. Il est probable que, dans ce cas , la dégérescence de LES NEURONES. 431 propaga
. A ce dernier point de vue seulement, c'est donc le contraire du cas précédent ; mais l'analogie n'est cependant pas m
iques qui séparent ces deux variétés, au moins dans la majorité des cas 1. Ces faits ressortiront de ce qui va être dit
smes, etc., qui sont souvent lésées d'abord, mais non dans tous les cas . En second lieu, on peut se demander, la lésion
tout de suite que les lésions qui sont primitives dans ces derniers cas , ne tardent pa à retentir sur le neurone périph
us ces neurones peut être regardée comme primitive dans beaucoup de cas où le téléneurone est intéressé. La dégénéresce
rimitivement sur la substance grise de la moelle. Aussi, en pareils cas , la subs- tance grise est-elle souvent lésée da
hes collatérales ou autres du téléneurone lui-même. Dans tous ces cas , il est de règle que la lésion respecte à peu p
f une exception où le faisceau de Turck était lésé. Mais il est des cas où la lésion d'un système physiologique se tran
ion en foyer, détrui- sant une portion limitée de l'écorce. Dans ce cas , on a non seulement des dégénérescences qui son
ndraxes de projection font d'ailleurs elles- mêmes partie. Dans ces cas , on a toutes les lésions qui ont été décrites d
es lésions habituelles ? 1 ? g&;1¡[demence, etc., etc. Dans ces cas , il est infiniment probable qu'un neurone secti
invariablement servir de guide pour l'étude de l'immense variété de cas que nous offre l'observation de chaquejour. R
ants malades, on ne saurait l'admettre d'une façon absolue. En tout cas , aujourd'hui, la hanche droite n'offre aucune d
après nos 1 Morvan. Gaz. lzebd., 1883, p. 580, 590, G27, 722; 1887 ( cas de Prouff), p. 249; 1889 (cas de ProufC et Gomb
., 1883, p. 580, 590, G27, 722; 1887 (cas de Prouff), p. 249; 1889 ( cas de ProufC et Gombault), p. 308, etc., etc. ' Jo
ie à panaris des extrémités supérieures de la syringomyélie '. Le cas qui précède nous parait appartenir à la maladie d
DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES. 467 Î EXAMEN ÉLECTRO-DIAGNOSTIQUE Du cas précédent par le Dr Régnier. Pour mesurerla dim
antérieur des pyramides et du cordon latéral des pyramides dans un cas de ramollissement ayant lésé les pyramides dans l
CADITTO. (RiV. di put. nerf. et ment., ni 2, 1896.) Dans quelques cas , correspondant cliniquement à la forme appelée
CII. Observations CLINIQUES ET anatomo-pathologiques relatives A un cas peu commun DE poliomyélite antérieure aiguë; par
forme anatomique comme les symptômes cliniques sont, dans tous les cas , identiques et par suite on ne peut en aucun cas
ont, dans tous les cas, identiques et par suite on ne peut en aucun cas les distin- guer en l'absence d'un critérium ba
s'étend à tout le système nerveux; il semble cependant que dans des cas particuliers, certaines régions soient atteintes
taines régions soient atteintes de pré- férence. L'augmentation des cas de paralysie générale résulte de toutes les cau
e, il ne faut jamais négliger le traitement suggestif dans tous les cas où il présente une indication formelle. La sugges
e doit pas être faite avec routine, mais doit se modeler sur chaque cas clinique. J. S. LXIII. LE choléra CHEZ LES alié
es fibres musculaires lisses en rapport avec la sécrétion. Dans ces cas le lait renferme tous ses éléments constituants
Age ne produit par lui-même la folie. Le dépouillement de nombreux cas dits de folie sénile montre souvent l'interven-
d'autres causes. L'hérédité y a une large part, sinon dans tous les cas ; et ce que l'on considère comme l'effet de l'âge
doublement de la conscience et ammésie réciproque. J. S. LXIX. Deux cas d'hystérie; par le D" Césare pIaNETT.1. (Il manic
ette. Mais il faut que l'idée fixe reste simple et isolée. C'est le cas , dit l'auteur, de la paranoïa bénigne 486 SOCIÉ
5. Présidence du D'' GctsTENBCRG. M. Bruns (de Hanovre) présente un cas typique d'acromégalie. Il s'agit d'une jeune fe
des préparations microscopiques et des dessins se rapportant à deux cas de tumeur de la moelle. Une discussion très ani
ntent cependant pas de dégénération. Il a eu occasion d'observer un cas identique; les symp- tômes d'une altération des
tômes d'une altération des racines manquaient d'ailleurs. Dans les cas de méningite spinale de longue durée, on Irouve l
ystérie chez les enfants. m. Bruns fait, d'après un grand nombre de cas observés par lui, le tableau symptomatique de l
ndant on les rencontre. L'astasie-abasie est fréquente, mais chaque cas a son allure clinique spéciale. On observe surt
rée rythmique, mouvements de salutation). Bruus a relevé aussi des cas de grande chorée, des états qui rappellent la pér
la période de clownisme (Charcot), des états de somnambulisme, des cas typi- ques de possession, etc. Les contractures
res de muscles isolés (tibial antérieur), Bruns a observé plusieurs cas de mutisme avec aphasie, deux cas d'auto-mutila
rieur), Bruns a observé plusieurs cas de mutisme avec aphasie, deux cas d'auto-mutilation, un cas d'obsession de se fai
usieurs cas de mutisme avec aphasie, deux cas d'auto-mutilation, un cas d'obsession de se faire pratiquer des opération
d'obsession de se faire pratiquer des opérations chirurgicales, un cas de simulation de mydriase. Pour ce qui est de
ale, etc. Il n'a obseivé jusqu'ici l'oedème hystérique que dans des cas de contracture, ce qui fait supposer que ce troub
les trophiques de la peau, il faut penser aux auto-mutilations : un cas typique de soi-disant herpès zoster gangreneux
nfants peut souvent être fait d'un seul coup d'oeil ; dans d'autres cas il exige plus de temps et dans quelques cas il
d'oeil ; dans d'autres cas il exige plus de temps et dans quelques cas il peut rester douteux malgré un examen pro- lo
des maladies 490 SOCIÉTÉS SAVANTES. organiques. Bruns rapporte un cas de pseudo-méningite etde pseudo- tumeur hystéri
is insuffisant. Bruns a lui-même pris pour un trouble hystérique un cas de cysti- cerque du quatrième ventricule chez u
qu'une issue fatale peut s'observer dans l'hystérie : Bruns a vu un cas d'anorexie hystérique chez un enfant se termine
sons de l'hystérie avec des lésions organiques : Bruns a observé un cas de sclérose multiple avec hémianesthésie hystér
ervé un cas de sclérose multiple avec hémianesthésie hystérique, un cas de para- lysie infantile d'origine cérébrale av
d'origine cérébrale avec névralgie hystérique des articulations, un cas de syringomyélie avec anesthésie hystérique don
es avec la simula- tion est parfois difficile, par exemple dans des cas d'automutilation. Mais le fait que des enfants
peuvent se livrer à des actes de ce genre prouve que, même dans les cas de simulation, il s'agit de sujets anormaux. Il
ion est de huit t ans à l'époque de la puberté. Bruns a observé des cas d'hystérie à quatre et à cinq ans ; il considèr
er dans un établissement hospitalier. Souvent cela suffit. Dans les cas plus rebelles le traitement varie suivant les c
suffit. Dans les cas plus rebelles le traitement varie suivant les cas , tout en restant un traitement psychique. Deux
sie) on emploiera l'hypnose. L'hydrothérapie froide est utile. En cas d'insuccès de la première méthode on agit différe
une épidémie d'hystérie à forme convulsive. Il a constaté aussi des cas de gué- rison rapide de convulsions hystériques
érédité. Les mesures prophylactiques ayant pour but de diminuer les cas de folie ne sauraient agir d'une façon plus eff
que le médecin aliéniste qui est journellement en contact avec les cas les plus graves d'alcoolisme ? Quel est le rôle
e des dommages-intérêts importants. BIBLIOGRAPHIE. 493 Quelques cas d'hysté1'ie mâle et de neurasthénie,- Au sujet de
symp- tômes et les complications de ces deux grandes névroses. Un cas de maladie de Morvan. L'observation que relate ic
e maladie de Morvan. L'observation que relate ici M. Grasset est un cas type de maladie de Morvan avec un tableau sympt
de la maladie de Morvan. Des associations hystéro-o1'ganigues. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associées, s
nt déterminé chez le malade les deux affections concomitantes. Un cas de pseudo-tabes post-inrectieux. Il s'agit là d'u
Basophobie ou abasie phobique chez un hémiplégique. Il s'agit d'un cas très curieux d'hémineurasthénie post-hémiplégique
l'analogie des différents types de myopathie essentielle; enfin un cas de méningisme chronique simulant la méningite t
t-cinq et trente ans. Les causes sont restées incon- nues dans 20,2 cas p. 100. Un quart des suicides environ sont dus
t des - 108. Choléra chez les - par Ventra, 482. Alopécie dans un cas d'hvstéro- neurasthénie traumatique par La- d
tats - dans les maladies mentales par Lemaitre, 407. CÉCI1É. Un cas de - absolue par anopsie, guérison ; par Schirm
e par la trépanation, par Cunnin- gham, 71. Trépanation dans un cas d ? par Greenleess, 74. - avec aphasie parHay,
- les côtes chez les aliénés, par Campbell, 50. Frif.dreich. Un cas de maladie de - , par Clarke, 14. Front. Trau
par Mac Claugher, 60. Examens des nerfs intra-thyroidiens dans un cas de - exophtalmique, par Bonne, 235. Grossesse
anpts. - Hypnotisme et la loi, par Bell, 336. Hystérectomie. Deux cas d'- suivie d'aliénation, par Lawrie, 353. HYS
responsabilité, par Krafft Ebing, 290. -, pai Voronoif, 407. Deux cas d ? par Pianetta, 484. L'- chez les enfants par
492. - mâle et neurasthénie, par Grasset, 493. Hystérique. Deux cas de folie - d'origine infectieuse, par Taty, 358
e au salicylate de soude, par Hobinson, 78. Manie aiguë dans un cas de cellulite pelvienne, par Simpson, 139. Méd
Urquhart, 137. Mélancolie. Sur la -, par Stephen- son, 133. Trois cas de guenson de la-, parNeill, 352.-ayuéconsé-
ie de - avec imbécillité et hémiplégie, par lJoul'l1evi11e,HI. Un cas de maladie de -, par Gras- set, 493. Mouflon.
. Des fibres -, par de Bechterew, 231. 1111'\OI,UÉIfATC«SR. Trois cas d'idiotie - traités par l'ingestion de glande
idémie de -, par Macphail, 45. llémia- nopsie transitoire dans un cas de - , par Koening, 280. Anatomie pathologiqu
copique du - chez l'homme, par Pusateri, 479. PORENCÉPIIALIF. Un cas de -, par Conolly Norman et Fraser,' 205. Pos
mobilité du cheval, par Férié, 146. PYCI101'ATIIOLOGN1UES. Quelques cas - devant les tribunaux serbes, par Wassitch,
, par Janowsky, 368. Sclérodermie, par Ilemngham, 7. Sclérose. Un cas anormal de en plaques, par Diller, 269. Un cas
m, 7. Sclérose. Un cas anormal de en plaques, par Diller, 269. Un cas de - spinale postérieure, par Chubb, 270. art
de Froenkel dans le traitement Sa -, par de Bech- terew, 225. Un cas de - au dé- but, par Weil, 56. ou diabète TAB
282, Pspudo-postinfecLieux, pal' Grasset, 493. Tabétiques. Deux cas de luxation spontanée de la hanche chez des -
l'estrait thvroi- dien, par Byron Bramwell, 65. Observation d'un cas hpe de , par Preston, 262. Thyroïde. Glande -
0. Sécrétion interne du corps -, par Acona, 00. Thyroïdien. Trois cas d'idiotie myxoedémateuse traitée par l'in- -
23 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ues que nous pouvons puiser dans la littérature récente et dans les cas du service, d'établir les rapports existant ent
cause de l'hésitation, souvenez- vous qu'il en est de même pour des cas nombreux dont l'évolution et l'étude anatomo-pa
ladie de Friedreich et dont on trouverait d'autres preuves dans les cas étudiés à mon laboratoire publiés par MM. Phili
ns les cordons postérieurs. MALADIE DE FRIEDREICH (F. Raymond.) Cas D... PHILIPPE et OüERTIIÜR, in Revue Neurologique
erstitielle, décrite en 1893 par Dejerineet Sottas, ce n'est pas le cas chez cette malade. D'ailleurs, et j'ai pris soin
aire fortement altéré dans les affections médul- laires, et c'estle cas chez Louise V... D'autre part, l'abolition des ré
eçons professées dans ce môme amphithéâtre. La publication des deux cas de Butimeyer, en 1887, font époque dans l'histo
ieurs des libres endogènes. MALADIE DE FRIEDREICH (F. Raymond.) Cas D... (Philippe et Of3HI2TIlÜR, in Revue Neurologi
ans les conclusions que MM. Philippe et Oberthùr ont tirées de deux cas étudiés dans mon laboratoire. Dans la névrose des
direct et antéro- latéral de Gowers et reliant ceux-ci. Mais des cas de Friedreich et Schultze, de Burr, de Bonnus et
laquelle il était porté jusqu'alors très peu d'attention. Les deux cas de Philippe et Obertlnr, plus catégoriques, mér
ine dorsale. Comparable en tous points et la XII'' paire dorsale du cas précédent, mais avec plus d intensité. W c. 3.
De même que pour la figure 2, similitude de lésions avec celles du cas précédent. MALADIE DE FRIEDREICH (F. Raymond.
ec celles du cas précédent. MALADIE DE FRIEDREICH (F. Raymond.) Cas R... (Philippe et OBERTHÜR, in Revue Neurologique
'altérations microscopiques ou macroscopiques du cervelet dans deux cas récemment étudiés dans cette clinique, qui nous
s qui n'ont rien à faire avec le syndrome Brown-Séquard. Dans notre cas , les membres inférieurs ont été pris en masse dès
e plus sûrement à comprendre la nature d'une lésion, disons dans le cas donné, d'une myélite transverse. C'est donc le
ma direct du rachis, signalés par Déjeune et Thomas (1). Dans notre cas , le choc de la chute n'a pas porté sur le rachis.
me comme pouvant créer la sclérose des cordons postérieurs. Dans ce cas , la lésion se propage de bas en haut (cordons de
quatre ans plus tard par un choc psy- chique. Il s'agirait dans ce cas d'une hématomyélie ou d'une syringomyélie. Enfi
d'une syringomyélie. Enfin nous pouvons encore rapprocher de notre cas , remarquable par son en- trecroisement médullai
s par celui-ci. C'est le trauma en chaussette qui aurait dans notre cas déterminé la lésion segmentaire et ses conséquenc
atraumatique. Ce dernier est le plus important en ce qu'il donne au cas que nous décrivons son cachet spécial. Si en ef
nous arrivons, je crois, sans peine, à comprendre la pathogénie du cas . Revenons maintenant à notre malade qui, en mai
yélopathies métatrau- matiques ? La réponse n'est pas facile. Notre cas est unique et nous n'osons dire « ab uno disce
esseur Grasset (2) qui emploie la médication hydrargyrique dans des cas qui, comme le nôtre, n'ont pas d'origine spécif
ues classique, on comprendra tout l'intérêt que comporte l'étude du cas que je vais présenter et quel intérêt rétrospec
e nor- mal, pour rétablir l'équilibre. ' (1) Fouché a rapporté un cas où le vermis fut trouvé en voie d'atrophie et où
spon- dant à la lie variété et s'accompagnant de cécité verbale. Ce cas peut prendre place, comme nous le verrons,à côt
s consonnances plus ou moins approchantes et parvient dans quelques cas à trouver le terme juste. Comment vous appelez-
sous-jacents. Notre observation se trouve ainsi très comparable aux cas rapportés par Pitres dans ses leçons, et en parti
ons relevées dans notre observation montrent bien qu'il s'agit d'un cas tout à fait analogue à ceux publiés antérieuremen
iés antérieurement. Comme le fait remarquer Pitres à propos des dix cas réunis par lui (2), « les lésions provocatrices
cuter si sa façon de voir est acceptable sur ce point. Mais en tout cas Gerdy a le mérite d'avoir aperçu le premier et
serait au moyen fessier (P. Richer) du côté portant, et non en tout cas au sacro-lombaire du côté oscillant, que ce rôl
t qu'une contraction frénatrice des extenseurs serait utile en tout cas . Enfin, et ceci me parait péremptoire pour démo
Pierre Marie, fut frappé de voir que les os avaient dans cer- tains cas un volume normal, et que dans d'autres même, loin
les malades de l31cêtre et de la Salpêtrière. Un certain nombre de cas ont pu nous échapper, en sorte qu'il nous est imp
Nos recherches ont porté sur une vingtaine d'individus ; mais en tout cas , il nous semble que cette déformation est beauc
'abord est leur attitude générale ; elle les faisait prendre pour des cas de mala- die de Paget en évolution. Debout, les
s défaut; nous l'avons trouvée chez tous nos malades, même dans les cas les plus frustes. Quelquefois, au-dessus et au-
articulations chondro-costales font une saillie moindre et dans ce cas on a une dépression longitudinale peu profonde, e
, et d'autre part leur involution à l'intérieur du thorax. Dans les cas les plus accusés, le doigt enfoncé horizontalemen
e vallée ouverte en bas vers la région épigastrique plane. Dans ces cas , les plis transversaux sont moins nombreux et m
ombaires lorsque la déformation est très accusée, et, dans tous les cas , le plan vertical qui passerait par la première
sol ». Toutefois de nombreuses variétés peuvent s'observer dans ces cas selon les points d'appui. La compensation peut
x parfois digne d'une vraie maladie de Paget (8 centimètres dans un cas ), l'affaissement du tronc, le renversement du s
e. Nous avons trouvé, chez les femmes que nous avons pu examiner, 7 cas de pseudo-Paget plus ou moins nettement caracté
it disparu. Le redressement du sacrum est appréciable même dans les cas légers. L'an- gle que fait ce sacrum avec la co
un degré plus ou moins accusé de renver- sement du bassin. Dans ces cas , on ne trouve entre les condyles fémoraux qu'un
car- tement des condyles fémoraux que nous avons vu manquer dans un cas seule- ment. Enfin il nous faut signaler un c
bord libre de la cage thoracique mais un peu au-dessus. Dans quelques cas 70 MOCQUOT ET MOUTIER ces cartilages se termi
n bas et à droite. Mais chez les femmes nous avons pu observer deux cas de scoliose, l'une dor- sale gauche, l'autre do
S SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA MALADIE DE PAGET 75 souvent, les cas où le transverse l'emporte sur le dernier sont in
tion de la maladie, qui d'ailleurs est toute différente dans les deux cas . Tandis que la vraie maladie de Paget débute à
x plateaux tibiaux » (3t. (1) Cependant il semble que dans quelques cas de maladie de Paget, on puisse re- trouver une
adre du pseudo-Paget (il n'en est certainement rien pour le premier cas du moins), mais parce que nous avons voulu montre
vent se retrouver isolées; ces éventualités sont fréquentes. Dans ces cas évidemment on ne saurait parler de pseudo-Paget
n'avait occasionné ni fracture ni luxation. Ce sont d'ailleurs des cas ambigus dont la pathogénie est fort indécise. E
upe des cyphoses séniles dites professionnelles, nous isolerons des cas où le principal facteur nous semble être une atti
principal facteur nous semble être une attitude habituelle, et des cas où un affaiblissement musculaire sénile parait jo
ement musculaire sénile parait jouer le principal rôle, en- fin des cas où la déformation relève avant tout d'altérations
la diaphyse est parfois nettement diminuée d'épais- seur. Dans les cas bien accusés, le col, la tête, le grand trochante
inférieure principalement le condyle interne sont friables. Dans un cas même, la coque compacte de l'ex- trémité inféri
ame osseuse externe en produisant une crépitation spéciale. Dans un cas où nous avons enlevé la colonne vertébrale, les
e de l'ostéoporose sénile. Cliniquement on retrouve c dans tous les cas de ramollissement osseux chez les vieillards, l
me atteinte d'ostéoporose sénile. En somme il ne s'agit pas là d'un cas de pseudo- Paget, mais de déformations fort ana
390). La vérité des miracles, 1737, t. II, p. 88. Jules Voisin. Un cas de grande hystérie chez l'homme, avec dédoublem
ans le tableau clinique des démences organiques. Ces deux séries de cas permettent de distinguer un puérilisme aigu et
lisme chronique. A cette dernière classe correspondent les nombreux cas de puérilisme chronique qu'offre à l'observatio
ncéphalopathies organiques par abcès ou tumeurs. Je rapporte ici un cas , aussi résumé que possible, de puérilisme chron
« le mal est que le barbier ne se contente pas du poil ». Ce fut le cas de Paré, qui ne se contentait pas d'exercer la
erait l'euthanasie Tout ceci est déraisonnable et criminel, en tout cas ce n'est pas nouveau. Ainsi, à Turin, Paré entr
e subissent aucun contact. Les mouvements des orteils sont, dans ce cas , des mouvements as- sociés, en rapport avec l'e
to, etc. - mais l'extension est beaucoup plus fréquente que dans le cas précédent. Elle est quelquefois seulement esqui
veux. Messieurs, Dans la précédente leçon, je vous ai présenté un cas classique de ma- ladie de Friedreich, et, à ce
taxie hérédo-spinale,décrit par Friedreich,sont venus s'ajouter des cas nouveaux, on a remarqué que parmi les ataxies f
r, interne des hôpitaux. xwo 9 122 RAYMOND d'attribuer à chaque cas nouveau,plus ou moins aberrant,la dénomination
la maladie de Friedreich et celle de P. Marie, de le rapprocher des cas analogues, et d'étudier, à ce propos, les rapport
nÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 127 Serait-ce donc alors, Messieurs, un cas de celte maladie familiale dont M. P. Marie don
dont M. P. Marie donna la première description, en rassemblant les cas épars de Nonne, de Fraser, de Sanger-Brown, de
des sphincters génito-urinaires, s'ils se montrent dans cer- tains cas , c'est d'une façon exceptionnelle. La maladie est
ue n'est pas, vous le voyez, Messieurs, directement superposable au cas qui nous occupe. Henri R... n'a présenté aucun de
a bien le facies morne ou étonné, habituellement observé en pareil cas , il n'en a pas les modifications intellectuelles
un signe d'importance capitale au point de vue du diagnostic. Le cas d'Henri R... occupe donc une place encore mal dét
les distinguer ? sur t'age d'appa- 128 RAYMOND rition ? Mais les cas de la thèse de Bonnus nous ont appris qu'il exist
ut tardif. Et ceci est absolument indiscutable maintenant que le 2° cas de sa thèse, auquel j'ai fait allusion dans ma
inique seule pour la classification exacte des formes hybrides et des cas frustes de l'ataxie héréditaire. L'autopsie,
moelle ne présentait aucune lésion microscopique, pas plus dans le cas de Nonne que dans celui de Fraser ; ce fait est
e Friedreich. » Or, depuis la description primordiale, bien peu 'de cas sont venus corroborer cette anatomie pathologiq
arie, Switalski publie l'obser- vation de François Haud... comme un cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse typique, un élève
e des lésions macroscopiques ou microscopiques du cervelet dans des cas indéniables de maladie de Friedreich. Les premièr
LLEUSE 131 qui ont été faites dans ce laboratoire à l'autopsie d'un cas avéré de mala- die de Friedreich, Je vous rap
h, Je vous rappellerai, en quelques mots, l'histoire chinique de ce cas ; il concerne une malade que je vous ai présenté
ogiques illustrés par des photographies et des préparations, car ce cas est un de ceux qui peut le plus heureusement ap
s à première vue. Bien entendu la méthode de Marclii n'est, dans ce cas , d'aucun secours, vu la lenteur avec laquelle l
t-être de s'étendre davantage. Il s'agit, comme vous le voyez, d'un cas particulièrement heureux pour la démonstration. C
t que, par ses lésions histologiques, il vient se placer à côté des cas intéressants décrits par Menzel, par Meyer, parSw
ure scléreuse, d'origine connectivo-vasculaire, comme dans les deux cas de Spiller; l'infection pourrait jouer un rôle im
isé par des troubles auditifs ; Un type généralisé, comme dans le cas de Menzel, autant de types différents que de fa
formes aberrantes et compliquées de cette dernière ne diffèrent des cas purs que par l'existence de lésions connexes da
es de liaison avec les atrophies musculaires familiales. Dans des cas récents publiés dans la thèse de Mlle Pesker, le
-médullaire. Je n'en finirais pas si je voulais vous citer tous les cas plus ou moins analogues, ceux de Lenoble et Aub
, du moins ne les avons nous jamais observées ailleurs que dans des cas de tumeurs. Donc, la subs- tance blanche est cr
oles analogues à celles que nous avons' décrites dans notre premier cas , mais plus petites, non visibles à l'oeil nu. On
foramen occipital a souf- fert tout autant dans ses fonctions. Ce cas â présenté quelque intérêt médico-lé,,Yal ; en ef
pas la témérité de vouloir tirer des conclusions générales de nos 5 cas ; nous ne voulons que diriger l'attention sur que
ivant que le néoplasme intercepte ce courant ou non. Dans le second cas une tumeur très grande peut n'avoir que des consé
n insuffisants en soient la cause partielle. 5° Or la démence des cas de tumeur est en général bien différente par ex
par les faits relatés par MM. Raymond et Cestan (l).Dans les trois cas décrits par ces auteurs,il s'agissait d'un synd
par la fixité de son type clinique, était déterminé, dans les trois cas de MM. Raymond et Cestan, par le dé- veloppemen
Tout d'abord, comme nous le démontra l'examen histologique dans un cas , ici la localisation n'est pas seulement protubér
strabisme externe, toutefois la diplopie est passa- gère et en tout cas elle n'est pas en rapport avec le strabisme et le
ubstance grise sous-épendymaire, etc.), tandis que Teillais dans un cas absolument semblable (3) pense qu'il s'agit d'une
probantes et les voici : En premier lieu, dit Nothnagel, dans les cas de lésions des tubercules quadrijumeaux antérie
sur les mouvements de latéralité. Il y a dans la littérature des cas de lésions limitées aux tubercules quadrijumeau
rs, sans paralysie des mouvements associés des yeux ; tels sont les cas de Nothnagel, de Wienland, de Einsenlohr, etc.).
Tel est l'état actuel de la question ; voyons à présent si, avec nos cas à l'appui, nous pouvons donner une solution per
pouvait constater un syndrome absolu- ment identique dans les deux cas ,et constitué par une hémiplégie sensitivo- motr
jugués de laté- ralité étaient bien conservés et au surplus dans un cas on put assister à la conservation parfaite de c
t bien les caractères de la paralysie des muscles des yeux dans nos cas , parfaitement bilatérale et symétrique, l'attei
ements associés des yeux. Journal de l'anat., 1880. (2) Bruche, A cas of double paralysis of the latéral conjugate devi
e tronc de la troi- sième paire nous a paru normal ; au surplus nos cas ne nous permettent pas, à cause de la lenteur d
s. Si l'on songe en effet à la loi posée par Nothnagel que dans les cas de tumeurs des tubercules quadrijumeaux ou de l
-moteur externe. Enfin une chose est certaine, et c'est, dans notre cas ,la disparition com- plète des cellules des noya
latéral et concentrique du champ visuel, déjà signalé dans quelques cas de lésion des tubercules quadrijumeaux (1) ; et l
on des tubercules quadrijumeaux (1) ; et l'apparition dans les deux cas d'une kératite neuro-paralytique bilatérale, asso
crits par Sorgo (1) (après Nothna- gel, Luce, Clerk, etc.), dans un cas de lésion des tubercules quadri- jumeaux. Selon
o- moteurs. Il est important encore de remarquer que, dans'tous les cas où les troubles thermiques ont été constatés, s
des centres thermo- lytiques : faut-il dès lors supposer dans notre cas une action insuffisante des centres lhermolytiq
cule quadrijumeau antérieur gauche ? Nous fûmes frappés, en tout cas , par la dissociation entre les troubles thermiq
e des tubercu- les quadrijumeaux avait-elle été suffisante dans nos cas pour produire de tels troubles ; au surplus l'a
atéraux. Cette même explication est donnée par Rickards (1) dans un cas d'hémorragie de l'étage supérieur du pédoncule ;
i siégeaient du côté hémi-anesthésié, n'est pas malaisée dans notre cas ; en effet, en plus de la destruction du ruban de
ubercule sié- geant dans la couche optique du même côté. Or dans le cas en question, c'est bien la couche optique qui d
n insisté sur ce point. Enfin une dernière remarque : dans nos deux cas , nous avons noté et insisté sur la présence d'u
a a signalé du reste (3) la propulsion des globes oculaires dans un cas de tubercule de la calotte pédonculaire avec para
onculaire avec paralysie bilatérale de la IIP paire ; dans nos deux cas ,l'exophtahnie vraiment très prononcée,jointe à
n facies tout à fait caractéristique. (1) RICKAROS, Relation d'un cas d'hémorragie dans les pédoncules cérébraux. Brit.
Ueber multiple Augenmuskel-lühmu/ ! gen, p. 265, Leipzig, 1896. UN CAS D'ACROMÉGALIE- AVEC LÉSIONS HYPERPLASIQUES DU C
professeur Dieulafoy et le 8 no- vembre 1902, salle Ste-Anne. un cas d'acromégalie 177 Antécédents héréditaires, - S
embre 1902 à mars 1904 l'état reste à peu près sta- tionnaire. UN CAS d'acromégalie 179 En juillet 1903, la force est
olumineu- ses (granuleuses sur la figure) sont éosinophiles. UN cas d'acromégalie 181 pertrophiée. Son lobe droit,
dissociée, la réticulée marquée de placards pigmen- taires. UN CAS d'acromégalie 183 jourd'hui que l'épithélium ch
En noir : les sinus. En hachure : les os enlevés à l'autopsie. UN cas D'ACROMÉGALIE 185 longueur de 20 millimètres. L
; les noyaux musculaires étaient proliférés. Nous avons dans notre cas constaté l'atrophie musculaire. Il nous pa- raî
iatria e Scienze affin vol. XII, fasc. 1, p. 72-76, mars 1902. un cas d'ackomégalie 187 elle répond en effet à la des
chez des acromégaliques, on n'en tirerait pas, plus que dans notre cas , un rapport de nécessité avec l'acromégalie. Nous
endent pas de l'acromégalie. La lésion de l'hypophyse, dans notre cas , est certaine. Le rôle de l'hy- pophyse dans la
ans l'acromégalie sont très diverses : le,; unes, répondant à notre cas , consistent en hyperplasies glandulaires va- ri
rni, sept. 1899, p. 549-5î9. (5) Obs. HENROT, in P. Marie, Sur deux cas d'acromégalie. Revue de médecine'; 1886, p. 297
rapporté des faits de lésions pituitaires sans acromé- galie et des cas d'acromégalie sans lésions pituitaires. En prem
, il ! : Berlin. klinische Woch., 12 novem- bre 1901, p. 1031. UN cas d'acromégalie 189 que toutes les observations p
acromégalie, la pituitaire fut trouvée simplement hypertrophiée. Ce cas aurait pu s'éclairer de l'explication de Schupfer
ing (3), et récemment Klippel et Vigoureux (4). Pour expliquer leur cas , Laba- die-Lagrave et Deguy proposent ou l'hypo
igouroux, frappés de l'inten- sité des lésions hépatiques dans leur cas , pensent devoir faire jouer un rôle aux trouble
et plus clair que de faire rentrer dans la description de Marie des cas qui n'y répondent pas tout à fait. Ainsi nous n
ves. Mais l'argument thérapeutique parait de peu de valeur, car les cas po- sitifs sont d'une extrême rareté et dans ce
aleur, car les cas po- sitifs sont d'une extrême rareté et dans ces cas mêmes l'amélioration ne semble avoir porté que
dical, 26 février 1898. (2) Joffroy, obs. de Dercum, Puttmann. UN CAS d'acromégalie 191 Celle hypothèse expliquerait
re chez des lapins thyroïdectomisés ? On peut supposer que dans ces cas l'hypo- physine remplace l'iodothyrine pour mai
ERcY FUR1'\IVALL. Soc. de pathol. de Londres, 2 novembre 1891. Sur 34 cas d'a- cromégalie, dont 31 avec hypertrophie pitu
r 34 cas d'a- cromégalie, dont 31 avec hypertrophie pituitaire et 3 cas avec pituitaires adénomateu- se, ramollie et fi
iée, quelquefois atrophiée, en tous cas géné- ralement touchée. Les cas comme le nôtre, où la thyroïde présente une hyp
, comme Launois et Roy, en ont fait l'examen histo- logique dans un cas de gigantisme ('1), les ont trouvées normales.
er viennent de rapporter à la Société de Neurologie (mars 190.ij un cas d'acromégalie avec lésions kystiques de la pitu
goitre, adénome de la surrénale droite et cancer de la gauche. UN cas D'AGMMËGADE 193 volume des globes épidermoïdes
le premier décrit et figure dans l'édition de 1863 de son Atlas un cas de cynanose de la rétine avec dilatation des ve
ploie l'expression de « cyanose de la rétine », mais il confond les cas de cyanose vraie avec l'hyperpigmentation DE LA
usion et proposent de réserver le nom de « cyanose de la rétine » aux cas accompagnés de cyanose généralisée. La 2e obs
ypertrophie de tout le système vasculaire. En 1877, Leber cite le cas de Knapp et ajoute une nouvelle observation ave
ar Gowers, mais dont nous n'avons pu trouver la date exacte.Dans ce cas l'acuité était très abaissée à cause d'une cong
ques jours avant la mort. En 1883, Hirschberg observe deux autres cas de cyanose. En 1890, Nagel examine une petite f
dilatées presque noires. En 1892, Hirschberg observe encore deux cas qu'il publie et ligure en 1904. Les artères rét
tambour. Le z malade a une malfor- mation du coeur. Dans ce dernier cas l'acuité est normale, tandis que dans le premie
dans le premier elle n'est que de 1/4 pour chaque oeil. Le dernier cas de cya- nose rétinienne est dû à Goldzieher, 19
- que et d'atrophie consécutive du globe. Il est probable que les cas de cyanose des rétines deviendraient plus nombr
fet l'observation de Cabot (1) dans laquelle on a constaté, dans un cas de cyanose généralisée paroxystique,une hémorragi
stique,une hémorragie par lésion de l'artère méningée moyenne et le cas de vascularisation remarquable du cerveau trouv
rique par la relation des plus saillan- tes de mes observations : Cas . I. Abbate Eugenio, 17 ans, cuisinier de son état
'est pas douteux. Notre première observation se pré- sente comme un cas de dothiénentérie avec urticaire et oedème de Qui
e nous proposons à l'examen des pathologistes. 1 (A suivre.) UN CAS DE DÉFORMATION THORACIQUE PRÉCOCE CONSÉCUTIVE A
e sont là accidents tardifs. Ici, au contraire, j'ai à rapporter un cas de déformation thoracique, précoce, survenu à l
iio1) *.mmmmm.m, . » l i m -- r^ o ? l ! .1 ? rledFAitP"rt ? i UN CAS DE DÉFORMATION THORACIQUE PRÉCOCE 211 Histoire
qu'il monte un escalier. Il souffre pour élever le bras droit. UN CAS DÉFORMATION THORACIQUE PRÉCOCE 213 Le matin, au
rôm attribue la crampe professionnelle à une myosite; il cite même un cas , où il a trouvé quatorze plaques de myosite dan
e a échoué entre ses mains. Plus tard, on a cependant noté quelques cas de guérisons avec le courant induit. Georges Bear
us exposons ici. L'intervention chirurgicale a donné à Stromeyer un cas de guérison. Par contre, Dilfenbach, Longenbuck
sie, soit de contrac- ture. Haupt est arrivé à conclure que dans le cas des crampes professionnelles la paralysie est t
lieb, attribuant l'af- fection à la cellulite chronique, a guéri un cas de crampe professionnelle en 36 séances. Nordst
par tous ceu qui ont à coeur la bonne tenue des écrivains. Dans le cas d'une affection établie, nous ne pensons pas que
ilibre de la force musculaire de deux groupes antagonistes. Dans le cas présent, cette marche à suivre est la plus justif
pose dans le récipient une série de poids, en commençant, suivant le cas , par 50 grammes et on augmente progressivement
t doigt, le médius et l'annulaire sont placés sur la canne. Dans ce cas nous aurons l'ex- tension de l'index et du cinq
ou bien d'un spasme avec adduction du pouce ? Dans la majorité des cas le spasme a lieu avec la contracture brusque de
ontracture brusque des doigts. Nous avons, cependant, rencontré des cas où cette contracture s'est accompagnée d'un red
du petit doigt ou d'une extension brus- que de l'annulaire. Dans un cas la contracture du médius et du pouce s'ac- comp
e rééducation journalière à un quart d'heure, dix minutes ; dans le cas contraire, nous invi- tons le patient à ménager
bien entendu les séances du contrôle que nous faisons dans quelques cas une fois par quinzaine ou une fois par mois. Comm
ent beaucoup la marche progressive de la rééducation. Dans quelques cas on peut également avoir recours à l'hydrothérapie
précédents avec le violon. Malheureusement, le traitement, dans ces cas , est plus long et plus- difficile que dans les
ropalhiques. Nouv. Iconogr. de la Salpêlr., 1892. Souques, Sur deux cas de guérison complète de la déformation du tronc d
. CHAUFFARD, Soc. méd. des llôpit., 5 mai 1893. Strozewski, Trois cas de scialique avec scoliose. Gazeta Cekarska, n° 6
s précédents, décrit sous le nom de scoliose alternante. C'est un cas de ce genre que nous avons eu l'occasion d'observ
rs seg- ments du corps. Voici d'abord l'observation résumée de ce cas recueillie par M. André é Bruel, externe du ser
re immobile pendant divers mouvements des.autres segments. C'est le cas de notre malade.. ''", On remarquera d'abord qu
vertébrale dans. la région. lombaire est peu accusée dans les deux cas . Et la courbure dorsale en sens inverse est presq
on, quel que soit, le côté de l'inclinaison du tronc. Dans les deux cas , les deux pieds reposent sur le sol, les genoux
l s'agit d'une sciatique spasmodique (type Brissaud). Mais dans ces cas la possibilité de se tenir également en station d
d'un côté, mais plus difficile- ment celle du côté opposé. En tout cas , il ne faut pas oublier que la dou- leur sciati
uleur dans la région lom- baire, et d'une sorte de lumbago. Dans le cas présent comme dans un assez grand, nombre d'obs
che, se tenait incliné, tantôt à droite, tantôt à gauche. Dans un cas de sciatique gauche, rapporté par Krecke (2) le t
certains 'points particulièrement douloureux. Seiffer a publié un cas de scoliose alternante volontaire dans une sciati
ies. Les problèmes de statique et de localisation que soulèvent les cas de ce genre sont des plus complexes. Déjà, pour
lon Brühl et Soupault (1), la scoliose homologue s'observe dans les cas où la douleur occupe la partie supérieure du scia
. Ici il s'agit, bien d'attitudes de défense, variables suivant les cas , mais certainement adoptées par les malades, da
OUARDEL et GILIIERT, t. IX, p. 152. (5) A. JoFrroy et E. Rnuaon, Un cas d'association du tabes à la paralysie générale,
aussi reconnaître comme origine probable, dans un certain nombre de cas , les altérations de la méninge et du système lymp
, 5 scléroses combinées. 1 or Groupe : Scléroses latérales. Les 4 cas suivants n'ont de lésions médullaires que dans le
al. SCLÉROSES COMBINÉES médullaires DES paralytiques GÉNÉRAUX 205 Cas . IL P. G. Syphilis probable; démence; paraplégie
feste'. La deuxième répond au maximum de ce dernier aspect. Mais le cas est déjà plus complexe. A la double dégénéresce
oelle cervicale. Cette sclérose postérieure per- met de faire de ce cas une sclérose combinée. Il peut servir de transiti
sistant plutôt en une simple raréfaction des fibres, se rapproche des cas précédents. Cette observation est comparable
roche des cas précédents. Cette observation est comparable à deux cas publiés par Soukhanofi et Géier (1). (1) SOUK
TIQUES GÉNÉRAUX 211 2e Groupe : Scléroses postérieures. Les trois cas suivants n'ont de lésions médullaires que dans le
iminué. Les cellules pyramidales sont d'aspect à peu près normal. Cas . VII. P. G. consécutive à un tabès avec atrophie
e la partie postérieure d'un des cordons latéraux. Aussi ce dernier cas peut servir de transition aux scléroses combiné
aux scléroses combinées. go Groupe : Scléroses combinées. Les six cas suivants présentent des lésions médullaires dans
aillarger. Il y a raréfaction des fibres de la couronne rayonnante. Cas . XII. - Dous... Pierre, 40 ans, entre à l'asile d
fait en coupes sériées suffit à éclaircir. Dans les deuxpremiers cas , l'examen des cordons postérieurs aux diffé- re
il n'en est pas de même pour les cordons latéraux. : Dans le 1er cas , ces lésions sont diffuses, et dépassant les aire
ervi- cale et le bulbe au faisceau cérébelleux direct. Dans le 2° cas , les lésions des cordons antéro-latéraux sont plu
nettement appréciable, quoique beaucoup moins important que dans le cas précédent. ' Dans le 3e cas, où syndromes clini
beaucoup moins important que dans le cas précédent. ' Dans le 3e cas , où syndromes cliniques paralytique et tabétique
s semblent s'expliquer les différences d'as- pect des deux derniers cas . Dans l'un (Dum....) la myélite diffuse, aussi
t. Nous avons vu des scléroses postérieures tabétiques. Ce sont des cas identiques aux tabes paralytiques de Raymond et
mation de la par- tie postérieure du cordon latéral, comme dans les cas de P. Marie, Guil- lain et Crouzon ; avec ménin
fondamental du cordon latéral par poliomyélite, comme dans certains cas de Klippel, la sclérose tabétique des cordons pos
étique des cordons postérieurs par radicu- lite comme dans certains cas de Nageotte. Interpréter ces faits nous paraît
ie générale ap- portent un fort appui à cette façon d'envisager les cas complexes de la cli- nique. ' Le névraxe, com
oit pas de même du névraxe. Et, de fait, ne voyons-nous pas,dans le cas par- ticulier que nous avons envisagé des lésio
ifférente qu'un tabes ou une paralysie générale, mais dont t (1) Le cas de Curioni, étudié dans le service du professeur
des animaux domestiques peuvent jeter une vive lumière sur certains cas morbides étudiés chez l'homme et dont la pathog
ovoqués par une lésion dégénérative à évolution lente. Dans notre cas , une lésion inflammatoire portant sur les circonv
ibles de provoquer les mêmes désordres. On ne saurait nier, en tout cas , l'intérêt -que présente la constatation chez un
E PROFESSEUR GRASSET CONTRACTURES PRÉCOCES ET PERMANENTES DANS UN CAS D HÉMIPLÉGIE DE L'ADULTE PAR A. GAUSSEL Che
s, ont un pronostic ordinairement sévère, mais cèdent rapidement en cas d'amélioration dans l'état du malade ; tardives
cette contracture précoce est en général passagère ; dans certains cas cependant elle persiste et se transforme alors en
érieur ; mais les ty- pes inverses peuvent s'observer dans quelques cas . A côté de l'hémiplégie de l'adulte, il faut me
. T. XVIII. Pl. XXXV CONTRACTURES PRÉCOCES ET PERMANENTES DANS UN CAS D'HÉMIPLÉGIE DE L'ADULTE (A. Gaussel) CONTR
la 3° circonvolution frontale. Il est permis de rapprocher de notre cas l'observation de M. Dejerine, à la page 483 de
e de notre malade. Or l'autopsie démontra qu'il s'agissait, dans le cas de M. Dejerine, d'une lésion corticale pla- que
t 515 de l'ouvrage déjà cité de M. Dejerine qui se rapportent à des cas d'hémiplégie cérébrale in- fantile.. Nous n'a
yroïde et du thymus ; ce dernier organe en particulier, qui dans le cas de myasthénie de Laquer-Weigert était le point de
nalogies étroites et aussi les dissemblances qu'elle offre avec les cas jusqu'ici publiés de la même affection. Par l'a
minaison mortelle même, par le néant des lésions anatomiques, notre cas appartient sans conteste à la série des myasthé
oissant dans ces dernières années (1). Par contre, elle diffère des cas précédents par deux moments, deux particularité
lbaire asthénique, Philad. med. Journ.,8 février 1902 ; RAYMOND, Un cas d'asthénie bulbo-spinale, Syndrome d'Erb- Golfl
ce. Ce contraste contribue cependant, tout en dif- férenciant notre cas de ceux jusqu'ici publiés, à justifier la concept
s dérogations à cette loi. Dejerine et Thomas ont constaté, dans un cas de paralysie bulbaire asthénique, des lé- sions
ment de ce caractère négatif fondamental, l'autopsie, dans quelques cas de myasthénie pseudo-paralytique,a permis à cer
Bloomer et Streeter). Les lésions musculaires enregistrées dans les cas de Goldflam, de Laquer-Weigert, de Hun-Bloomer-
é interprétées comme des métastases de la tumeur constatée dans ces cas . Mais ces lésions musculaires ne sont pas const
culier,examinant les muscles par biopsie, n'a rien trouvé dans deux cas . Le fait que plusieurs fois on a trouvé à l'aut
myasthénique,est, par ses constatations nécropsiques,'le pendant du cas de Laquer-Weigert : intégrité du système nerveu
in nombre de faits, ne peut certaine- ment être invoquée dans notre cas . Sans doute, nous avons bien constaté une persi
z lesquels les né- vroses règnent. Et les oedèmes, comme c'est le cas fréquent pour les maladies qui sai- sissent les
e chose de plus qu'une simple coïncidence ; parce que dans tous ces cas les tuméfactions étaient idiopathiques, indépenda
i n'étaient pas très graves. Notre observation est confirmée par le cas récent ieHarns (21) : Un garçon de il 2 ans pré
is cela n'est pas une diffé- rence essentielle. - Ainsi devant un cas d'urticaire porcelainée, un peu étendue, quels
sagères, peuvent ne pas donner de démangeaison. Et en présence de cas d'oedéme de Quinke de couleur rosée et qui déma
men des urines.Gunn (34), Osier (4) ont décrit pour leur compte des cas d'oedèmes de Quinke à la suite de l'ingestion des
ent bien démontrés. Si elles peuvent se montrer dissociées dans les cas idiopathiques (c'est-à-dire dans les cas dont nou
ontrer dissociées dans les cas idiopathiques (c'est-à-dire dans les cas dont nous ne savons pas trouver la cause),dans
ère segmentaire (Debove). Mais nous avons, même dans cet ordre, des cas de passage. Car l'oedème de Quinke peut aussi avo
oedème, si pour l'évolution nous pouvons établir toute une série de cas de passage pour lesquels nous pourrons passer d
à la langue, au front, aux mains, et parfois à la glotte. Dans ces cas , l'action réflexe nerveuse est certaine, et on
xe nerveuse est certaine, et on ne peut pas songer que, suivant les cas , les mêmes phénomènes soient dus aux lésions d'
Mathieu et Weil (82) ont fait une observation du même genre dans un cas de tumeur métastatique de la moelle; et Caïman
même nature. Cooper (31) confirma ces faits par l'observation d'un cas de paraplégie par compression de la moelle. Dan
cculente pourrait, selon Dejerine (86), être observée dans tous les cas dans lesquels la circulation veineuse du membre s
e rougeur, mais qui se présentent très pâles; et que dans les mêmes cas on observe des Caches rouges qui ne sont pas suiv
est un phénomène fré- quent» (Lesser) (80). Nous avons vu dans les cas à étiologie diverse les oedèmes circonscrits su
existent, ni sur la récidive lorsqu'ils ont disparu, même dans les cas d'alté- ration rénale, nous démontre que dans l
expéri- mentaux s'opposent. Si l'augmentation de la lymphe, dans le cas où l'on ne peut pas songer à l'altération du po
evoir une nouvelle sanc- tion. Tous les auteurs qui ont observé des cas de ce genre, ont compris que les altérations de
T CHRONIQUES 275 jours le même mécanisme anatomique qui est dans ce cas bien connu. Il s'agit donc cliniquement d'une a
ffection dont l'étiologie et l'anatomie sont bien connues. Dans les cas classiques de filariose où les parasites ou leu
uteurs que l'éléphantiasis, au moins dans la plus grande partie des cas , est due à des propriétés irritantes de la lymphe
réside uni- quement dans le mécanisme de la stase. Dans l'un des cas c'est l'obstruction des vaisseaux; dans l'autre l
anente de la production de la sécrétion de la lymphe. Dans les deux cas la conséquence nécessaire est un manque d'équilib
s, se présenter de façons diverses : mais il y a toute une série de cas de passage par lesquels on peut passer d'une form
hésiques étaient indemnes d'éruption. Il s'agit évidemment dans ces cas d'une urticaire vulgaire chez des sujets chez l
- Dans le Traité de dermat. de Hebra, vol. IL p. 131. 123. Danlos. Cas hybr. d'éléph. Annal, de Derm. et Syph., 1902, p.
s associée à un torticolis mental. - Comme c'est la règle en pareil cas , il y a un état mental tout particulier, dont l
SERVICE DE M. LE DOCTEUR OETTINGER MALADIE OSSEUSE DE PAGET TROIS CAS OBSERVÉS DANS UNE MÊME FAMILLE. HYPOTHÈSE NOUVE
, une centaine à peu près, de cette affection. Il est rare que deux cas aient été constatés dans une même famille. Malg
te curieuse maladie. Nous apportons l'observation clinique de trois cas nouveaux. Nos trois malades appartiennent à une
indiscutable, les signes de cette affection. Dans quelques-uns des cas déjà publiés on signale chez les ascendants ou
édicale, 15 juin 1894 et Académie de médecine, 3 mars 1903) cite un cas d'hérédité directe, la mère et la fille se trouva
e l'observation de deux malades, la mère et le fils. Enfin les deux cas de M. Walter, dans The .Lancer (190.), concernent
nsi l'observation que nous publions ici vient grossir le nombre des cas où la maladie de Paget s'est montrée comme une af
e de chlore. MALADIE OSSEUSE DE PAGET 297 couverte de deux autres cas dans sa famille, où l'on exerce depuis près d'u
, et nous de- vions examiner, au point de vue de la profession, les cas publiés jusqu'ici. Nous avons laissé de côté le
a eu con- fusion, comme on a pu, chez des enfants, prendre pour des cas de rachi- tisme des cas d'hérédo-syphilis. Le
on a pu, chez des enfants, prendre pour des cas de rachi- tisme des cas d'hérédo-syphilis. Le rachitisme présente avec
en effet. (1) Nous n'avons éliminé de notre statistique qu'un seul cas , celui de Blanc (1895). Il s'agit d'un jeune be
r d'un - les indications bibliographiques qui ne concernent pas des cas nouveaux de maladie de Paget.] 1. BouRcERET, Ga
aux, 1895, IV, p. 44. 20. Gilles de la TOURETTE ET MARI\ESCO (Le 2- cas ), Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, juil
UhRE. T. XVIII. Pl. XLII DYSOSTOSE CLEÏDO-CRANIENNE HÉRÉDITAIRE Cas de Couvelaire IT7';¡ JITb+P7J+- k ? ...........
les obser- vations, de rechercher dans la science quels ont été les cas d'aplasie cla- viculaire qui peuvent être rappr
tions plus ré- centes que nous avons pu compulser et quelques rares cas plus anciens que nous avons pu découvrir, bien
alent l'absence possible du fragment para-acromial remplacé dans ce cas par une apophyse scapu- laire. ' (1) PIERRE M
OSE CLEÏDO-CRANIENNE HEREDITAIRE (hillnret et Franco^) A, B, C, D Cas de Pierre Marie et Sainton. E - Cas de Hirtz.
DYSOSTOSE CLÉIDO-CHANIWNE HÉRÉDITAIRE 313 ' Il existe pourtant des cas forts intéressants de Martin, de Morand, de Sta
t'vouloir décrire à nouveau l'ensemble du syndrome. Signalons les 5 cas très nets de Hultkrantz, dont 4 dans la même fami
é- ressante puisqu'elle porte sur 6 membres de la même famille. Les cas de MM. Pinard et Varnier concernent le père et
irtz et Louste communi- quent à la Société médicale des hôpitaux un cas de dysostose cleido-crâ- nienne chez un homme d
tion. A la même époque, Preleitner (de Vienne) signale un nou- veau cas d'aplasie claviculaire chez le frère et la soeur,
ann (de San Francisco) publie une observation semblable. Le dernier cas paru semble être celui de Gross (de Kiel) ; c'e
formations caractéristiques. Il existe donc actuellement environ 27 cas connus de la maladie de Pierre Marie et Sainfon
Marie et Sainfon en comptant celui de Couvelaire et le nôtre ; ces cas comportent45 observations dont plusieurs accompag
aire). 1° L'aplasie claviculaire est le plus souvent bilatérale : 5 cas seuls (ceux de Martin, de Niemeyer, de Pierre M
t Sainton et le nôtre, n° 1) font exception. Dans la plupart de ces cas , il existe du côté normal une dépression de la
t en dehors. Son extrémité ex- terne peut être libre, comme dans le cas de Couvelaire, ou reliée par un trousseau fibre
apparence.. Il est cependant suffisamment net dans certains de nos cas pour que nous puissions l'affirmer. D'autres fo
nt symétriques des deux côtés, cependant il en est ainsi dans notre cas n° 2. Ils peuvent être réunis soit par une sorte
. ' sur le fragment externe (Pinard et Varnier) (voir fig. et notre cas n° 1) ; d'autres fois on ne trouve entr'eux qu'
le ruban fibreux et les parties squelettiques avoisinantes. Dans le cas de Rappeler il est normal du côté où le rudimen
portion claviculaire du deltoïde manque également souvent ; dans le cas de Gegenbaur, elle est représentée par des fibres
rudiment parasternal et de la bande fibreuse qui en part. Dans le 1er cas de Shermann la deltoïde est très atrophiée ains
ser- vée, mais elle est faiblement développée et peut même manquer ( cas 8) ; par contre la portion sterno-costale est n
tion manquant, ce muscle pouvait persister ; chez le 3° individu du cas n° 3 où les fragments claviculaires ont une longu
manquer. Nous avons constaté le même phénomène dans nos différents cas . De même Rappeler croit à cette absence. Scheutha
de avec l'absence du relief claviculaire : le fait est net dans les cas unilatéraux par compa- raison avec l'épaule sai
a dépression sous- acromiale ; aussi n'est-il pas très net dans nos cas . L'aplasie claviculaire peut entraîner un dépla
ivité de certains faisceaux musculaires qu'il faut ranger nos trois cas de saillie exagérée du tubercule du trapèze. Le
s sujets peuvent être très vigoureux et très habiles. Dans certains cas cependant ils se fatiguent vite, comme la malad
omme on peut le provoquer artificiellement chez notre petit garçon ( cas de Gross). De ces différentes constatations on
e et Sainton pour s'apercevoir que. dans les figures de beaucoup de cas où elle n'a pas été signalée, la déformation exis
occipitale est leplus souvent saillante : il en est ainsi dans nos cas . (1) Loc. vit. DYSOSTOSE CL);1D0-CRAN1ENNE HÉ
pas de même dans la dysostose cléido-crânienne. Couvelaire cite 11 cas de largeur inusitée des fonta- nelles chez les
<ige du sujet et le degré de persistance des fontanelles : dans le cas 3 de Pierre Marie la fontanelle antérieure est
défaut de soudure plus ou moins marqué(P.NIarie et Sainton et notre cas familial). Presque toutes les observations sign
l'irrégularité de la dentition ; elle est très nette dans tous nos cas . Nous n'avons pas constaté l'élargisse- ment et
- mètre bipariétal est augmenté (182 mm. au lieu de 160 mm. dans le cas de P. Marie et Sainton), le diamètre vertical m
fait de l'hérédité qui présente de l'intérêt. » - Si dans certains cas elle est peu nette, c'est que rarement elle ne se
rs n'ont pas recherché dans les ascen- dants ou les descendants les cas frustes sur lesquels nous insisterons plus loin
que certains autres même, comme Gross, le nient. Si par exemple les cas 17 et 21 ne nous présentent pas d'hérédité nette,
malformation spéciale de la tête et de la scoliose chez le père du cas 21 et du rachitisme'de la mère dans le cas DYSO
a scoliose chez le père du cas 21 et du rachitisme'de la mère dans le cas DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE HÉRÉDITAIRE 321 17
dité. Si d'autre part l'hérédité n'a pu être trouvée dans 10 autres cas , c'est que les parents ne purent pas être exami
et Stanniu, Gegenbaur, Wiedersheim) ; la clavicule serait dans ces cas en rapport avec la force multipliée par la mo-.
Il peut y avoir des intermédiaires entre les deux types (tel est le cas de MM. Gaillard et F. Lévy) (1), les types de d
e. Ils peuvent présenter des dépressions ou des pliures du sternum ( cas 2 de Gegenbaur, cas de Dowse, de Rappeler, cas
nter des dépressions ou des pliures du sternum (cas 2 de Gegenbaur, cas de Dowse, de Rappeler, cas 1 de Pierre Marie et
pliures du sternum (cas 2 de Gegenbaur, cas de Dowse, de Rappeler, cas 1 de Pierre Marie et Sainton, cas 6 de Carpenter,
nbaur, cas de Dowse, de Rappeler, cas 1 de Pierre Marie et Sainton, cas 6 de Carpenter, cas de Shorstein, de Pinard et
de Rappeler, cas 1 de Pierre Marie et Sainton, cas 6 de Carpenter, cas de Shorstein, de Pinard et Varnier), de la cyphos
in, de Pinard et Varnier), de la cyphose (Guzzoni), de la scoliose ( cas 4 de P. Marie et Sainton, cas de Niemeyer, de Ham
la cyphose (Guzzoni), de la scoliose (cas 4 de P. Marie et Sainton, cas de Niemeyer, de Hamilton), de la lordose (Ilirt
e pouvant aboutir à la formation d'une côte cervicale (Shorstein, 4 cas de Carpenter), de l'incurvation des os longs (She
enter), de l'incurvation des os longs (Shermann), du genu valgum (3 cas de P. Marie et Sainton, cas inédit de Couvelaire)
os longs (Shermann), du genu valgum (3 cas de P. Marie et Sainton, cas inédit de Couvelaire), des pieds plats (cas 4 d
de P. Marie et Sainton, cas inédit de Couvelaire), des pieds plats ( cas 4 de P. Marie et Sainton,cas de Carpenter), des p
nédit de Couvelaire), des pieds plats (cas 4 de P. Marie et Sainton, cas de Carpenter), des pieds-bots (cas de Dowse, 3
lats (cas 4 de P. Marie et Sainton,cas de Carpenter), des pieds-bots ( cas de Dowse, 3 cas de Kappelerj,des tibias en lame
Marie et Sainton,cas de Carpenter), des pieds-bots (cas de Dowse, 3 cas de Kappelerj,des tibias en lame de sabre (cas de
bots (cas de Dowse, 3 cas de Kappelerj,des tibias en lame de sabre ( cas de Gross, notre cas). Signalons de plus l'épile
3 cas de Kappelerj,des tibias en lame de sabre (cas de Gross, notre cas ). Signalons de plus l'épilepsie chez la malade de
e Hirtz et Louste, le pseudo-rachitisme (Shorstein), l'obé- sité (3 cas de P. Marie, Gegenbaur, Dowse, Rappeler), les dis
marastique chez l'enfant décrit par Hamilton, l'atrophie (1) Sur un cas d'achondroplasie fruste. Gaillard et F. Lévy. Bul
males ; seules les anomalies crâniennes persistent. Notre quatrième cas , le bébé représenté dans la figure, est un exem
claviculaire unilatérale. Il en est de même d'un des deux enfants du cas 2 de P. Marie et Sainton qui, mort de convulsio
convulsions à 2 ans 1/2, avait une fontanelle encore béante, et du cas (6) de Carpenter. Quant à l'étiologie de cette
Il semble que la syphilis soit la cause la plus probable. Dans notre cas en particulier nous n'avons pu que la soupçonne
mère, l'état du fond d'ocil de la fillette. Notons enfin dans notre cas la consan= guinité des parents. En résumé nou
er complète- ment. 40 Il ne nous a pas semblé dans ces différents cas que les bras et les épaules tombent en avant et
s est par- ticùli8rement net dans notre observation dont les quatre cas sont à mettre en parallèle avec les familles le
considérer comme une forme fruste de dysostose cléido-crânienne le cas de notre plus jeune enfant dont les lésions crâ
ue de M. P. Marie. Parmi les formes frustes doit aussi se placer le cas de la mère dont l'aplasie claviculaire unilatéral
mbrane; c'est la déviation latérale des lames vertébrales, dans les cas où la modification crânienne est accompagnée d'un
hacune d'elles, il invoque un processus particulier ; dans les deux cas , cependant, ce processus remonte aux premières
ervation et qu'ils ont bien voulu m'abandonner. C'est donc sur 12 cas que ce mémoire est établi. Grâce à ce matériel ab
, saisir nettement la valeur relative des faits. L'examen d'un seul cas est notoirement insuffisant, et je ne puis que
t être très peu marqué ou, au contraire, poussé à l'extrême ; dans ce cas , la face regarde directement en l'air, ainsi qu
uvé qu'une exception, la seule à ma connaissance parmi les nombreux cas décrits, chez l'un des foetus communiqués par M
pondant à peu près à l'os frontal. Il arrive alors, dans ce dernier cas , que la peau du front est doublée par une quan-
convolutions cérébrales; elle est plus ou moins épaisse suivant les cas ; elle peut même être assez mince pour qu'on ait
cation par la tumeur qui se substitue à la moelle épinière. Dans ce cas , en effet, le canal rachidien est largement ouv
ées sur le même plan. La tumeur crânienne présente, dans certains cas , quant à son étendue ou sa forme extérieure, di
oûte crânienne est aplatie ; mais elle l'est un peu moins que dans le cas gé- néral ; le front n'est pas absolument nul ;
e et vient reposer sur le dos de l'individu. J'ai pu en observer deux cas . Dans l'un d'eux la peau crânienne saine s'éten
it, à l'état frais, être plein de liquide (PI. XLIV-C). Le second cas est assez comparable au premier, quant à son aspe
crâne ou qu'elle affecte les dispositions d'un sac ; dans ce dernier cas , la mem- brane entre pour une part plus ou moin
fissure cérébro-spinale (2). La continuité a été mentionnée dans un cas très particulier, sur lequel nous reviendrons,
nce soit très étendue, comme il semble que cela ait eu lieu dans le cas de Vaschide et Vurpas (1). Ce qu'il importe de
rément, mais que j'ai néanmoins rencontrée deux fois. Dans ces deux cas , la gouttière rachidienne largement ouverte ne
oncs nerveux s'engagent dans un canal rachidien normal. Le second cas présente un aspect très comparable ; le sac cépha
e. On peut d'ailleurs concevoir, et nous verrons qu'il en existe, des cas de Pseudencéphalie sans hémicrânie, dans lesque
entendre par ce terme un peu Vague d'absence de la voûte. Dans les cas les plus complets, ce qui fait défaut et entièr
bloc osseux de forme trapézoïdale, plus ou moins réduit suivant les cas , qui représente certainement la portion basilaire
ie. Mais en somme, il n'y a pas de différence essentielle entre les cas où le trou occipital est circonscrit et ceux où
attirés en dehors, l'un à droite, l'autre à gauche ; dans quelques cas , une partie de l'écaille mem- braneuse se retro
insi ré- duite représente à elle seule le crâne membraneux dans les cas d'hémicrânie les plus complets, cela ne veut pa
u contraire, il est possible d'établir tout une série allant de ces cas extrêmes à ceux où, toutes les parties de la voût
ragments du crâne membraneux. C'est ainsi que Belhomme (1), dans un cas un peu particulier, a vu l'écaille de l'occipit
t une écaille temporale très réduite (2). Ollivier d'Angers relève un cas où existait une portion de l'os frontal (3).J'a
souvent, sinon toujours, tronqués et constamment déformés. De ces cas où la voûte crânienne existe à l'état d'indicatio
ère, allongés transversalement, également aplatis et même, dans mon cas , nettement incurvés en gouttière. Les deux pari
ronaux se retrouvent, très comparables entre elles, dans les divers cas ; les variations portent sur les dimensions trans
ment à l'apophyse basilaire sont celles que l'on rencontre dans les cas de Thlipsencéphales et Dérencéphales. A ces parti
les deux portions de l'épactal de B se rejoignent. Dans ce dernier cas , le cercle occipital est com- plet. 11,1 Dans
amment large ; mais elle est sensiblement plus réduite que dans les cas de Geoffroy-Saint-Hilaire. Entre la voûte occip
et nécessaire d'une forme à l'autre. Chacune d'elles constitue des cas très distincts, correspondant probablement à l'ép
ment projeté en avant, se rapproche de l'horizontale. Dans quelques cas , la courbure est compliquée d'une déviation lat
fréquem- ment 90 degrés, mais peut être plus ouvert. Dans l'unique cas où j'ai pu ob- server une lordose, la colonne c
région lombaire, ainsi que je l'ai très nettement constaté dans un cas . Quelle que soit son étendue, l'ouverture du ca
es. Sur les sujets soumis à mon observation, j'ai constaté quelques cas de pied-bot varus ou qui avaient du moins cette a
ion mécanique imprimée, post-mortem, aux extrémités ; dans tous les cas , les surfaces articulaires étaient parfaitement
e. C'est d'ailleurs la conclusion à laquelle aboutit Gérard pour un cas de pseudencéphalie com- pliqué de célosomie (1)
qu'il pré- sente, ainsi que le contenu du canal rachidien, dans les cas où celui-ci est lar- gement ouvert. Il n'y a pa
ence superficielle ne présente aucune modification notable. Dans un cas , cependant, j'ai rencontré des méninges extrêmeme
t rapprochés les uns des autres ; il en est d'isolés. Dans tous les cas , ils sont disposés sur une seule rangée. Leurs
'accentuer ; ils s'accentuent avec une vitesse variable suivant les cas , mais ils s'accentuent cependant, gagnant cons-
alable laisserait des traces précises après elles ; si, dans certains cas , cette hydrocéphalie a existé, ce n'est probabl
is intéressantes cependant à noter. a) Méningite segmentaire. - Les cas où les lésions méningitiques augmentent progres
ûr, un phénomène constant, et l'on observe, à ce point de vue, divers cas par- ticuliers. C'est ainsi que, chez l'un de
ici très avancés. Eu outre, les ganglions spinaux, contrairement au cas général, offrent des lésions assez marquées. Sur
de la moelle est, sans aucun doute, moins accentué ; dans tous les cas , il est intervenu plus tard, laissant à cette par
appée d'un arrêt de développement, beaucoup plus marqué que dans le cas général, arrêt de déve- loppement auquel tend à
rébro-spinal. Leur description se rap- porte incontestablement à un cas de méningite segmentaire, c'est-à-dire à des de
he cornée, disposée en assises, plus ou moins nombreuses suivant le cas , et surmontées de l'assise desquamante ; les fo
n amas de tissu conjonc- tif. La substitution est complète, dans le cas général ; chez certains individus, cependant, l
enveloppes même de )'oeil Il doit certaine- ment se rencontrer des cas où, soit que les processus aient débuté plus tôt,
cérébrale évolue parfois seule durant un assez long temps. Dans les cas où la moelle existe encore, il s'est certaineme
ion. Les diverses modalités ressortiront d'ailleurs de l'examen des cas particu- liers qui vont suivre; retenons simple
c l'intensité de l'inflammation périphé- rique. - Dans un premier cas , on observe une gaîne vasculaire très nette dans
7 Je signale, auparavant, les dispositions présentées par le second cas . Ici, la discordance est encore plus remarquabl
a désintégration est plus marquée encore, s'il se peut, que dans le cas précé- dent. C'est une bouillie informe, dans l
a dépendance de la méningite racbi- vienne. On remarque que dans ce cas , comme dans le précédent, la désintégra- tion e
'est pas l'agent immédiat de destruction du tissu nerveux. Ces deux cas nous montrent, en somme, une dégénérescence extra
tion méningitique aucun rapport de cause à effet. Bien que, dans le cas général, nous n'observions pas des phénomènes a
lètement. La disparition du cerveau retentit nécessairement dans ce cas , comme dans le cas général, sur les fibres de l
ition du cerveau retentit nécessairement dans ce cas, comme dans le cas général, sur les fibres de la moelle qui ne sont,
ordre mécanique que nous avons nettement observé dans le second des cas caractérisés par une dé- générescence de la moe
peut être accompagné d'une rupture du bulbe, il est, dans tous les cas , l'origine d'une action compressive. Cette action
ait affirmer sans réserves. Il n'en reste pas moins que dans les deux cas qui nous occupent, la moelle a nettement dégéné
atoire prenant nette- ment le pas sur tout autre processus dans les cas ordinaires, il est sans intérêt de savoir quels
ieure. Toutefois, cette altération est assez peu accentuée, dans le cas général, pour permettre d'affirmer que cette dé
ste- le proccessus nécessaire et suffisant. Ce n'est que dans des cas très particuliers, lorsque sous une influence ou
Tissu CÉRÉBRO-SPINAL DES FOETUS A RACHIS DÉHISCENT. Dans les divers cas que nous avons examinés jusqu'ici, la moelle exis
i nous a permis de surprendre le processus méningé. Nombre d'autres cas , au contraire, sont caractérisés par une amyélie
phalie ou s'il convient de la considérer comme différente. Dans les cas de canal rachidien ouvert, deux formes sont à con
-vasculaire plus ou moins creusé de lacu- nes. De même que dans les cas précédents, les vaisseaux sont particulièrement
erveux, celle qui résiste le plus longtemps, qui est, dans tous les cas , la plus tardivement envahie. Nous avions acquis
us avions acquis une pre- mière notion du phénomène par l'étude des cas précédents ; nous avions constaté la tardive in
. Il n'est pas malaisé de reconstituer la marche des phénomènes. Ce cas doit être rapproché des cas où la moelle, attei
constituer la marche des phénomènes. Ce cas doit être rapproché des cas où la moelle, atteinte de dégénérescence préméhin
rveau, ainsi que nous le verrons. Le caractère qui différencie ce cas des précédents, c'est uniquement l'ouver- ture
mbaire et là nous retrouvons les restes de la moelle. Dans tous les cas , les détritus qui les composent ne peuvent que
aucun doute n'est possible sur les rapports d'identité qui relient ce cas particu- lier il l'ensemble des autres ; ici co
sence de filets nerveux dans une gout- tière rachidienne. Ce second cas nous offre des dispositions analogues au pre- m
aractères dégénératifs accusés, moins avancés cependant que dans le cas précédent. Ce fait permet à lui seul de penser
lle s'est développée jusqu'à un âge plus avancé que dans le premier cas . De plus, l'envahissement méningitique tend à se
laires qui sont comme une tentative de formation d'une tumeur. Ce cas reconnaît la même explication générale que le pré
n seul tout, reconnaissant pour origine le même facteur initial. Ce cas nous permet aussi de nous expliquer pourquoi, sou
la méningite suit une marche exactement inverse et que, à part les cas à recrudescence segmentaire, ce PATHOGÉNIE DE L
tages supérieurs qui sont les premiers atteints. Dans notre premier cas , nous n'avons relevé aucune trace évidente de l'a
ver plus longtemps leur aspect caractéristique. Si, dans le premier cas , le trace du processus inflammatoire intra-médu
ienne par un pédicule très court et très large ; l'autre, le second cas , présente au contraire des parois épaisses creusé
ns en tout semblables à celles que nous avons décrites à propos des cas les plus fréquents ; c'est une accumulation de va
régulières, an- fractueuses, non revêtues d'endothélium et, dans le cas où la paroi est épaisse, 398 KABAUD on les re
ajoutons que le système sym- pathique ne parait atteint dans aucun cas . Sur un certain nombre de coupes pré- levées su
pieds. Cette paralysie toute localisée a été signalée dans d'autres cas (lojevnilff, Krafft-Ebing), et il est possible qu
es fois on voit le trouble de la parole ne consister, comme dans le cas de Tooth, que dans un bégaiement acquis. Chez n
Disons que ces derniers ont cependant été si- gnalés dans quelques cas (Souques, Tooth, Duchateau). - Dans quelles cat
autop- sie d'Eichhorst, les lésions que l'on trouve dans de pareils cas étant d'or- dinaire d'une tout autre nature.
n. Nous ferons remarquer ici que cette désignation, appli- quée aux cas publiés sous ce nom, n'est pas toujours exacte. S
culaires aussi prononcés, ou tout au moins en si grand nombre. Le cas qui rappelle le plus celui de Georges H... est ce
dans lesquelles l'existence de celle-ci serait démontrée. Parmi ces cas , quatre seulement montre- raient une dégénérati
eld,de Donaggio, de Friedmann, deKühneetStrüm- pell. Mais parmi ces cas , dans le premier il s'agit sans doute de sclérose
glionnaires des moelles dorsale et lombaire était atrophié. Dans le cas de Friedmann il y avait en même temps une attei
isceau cérébelleux seul, de celui-ci et du faisceau de Goll dans le cas de Kühne et Strümpell. Le cas de Donaggio sembl
lui-ci et du faisceau de Goll dans le cas de Kühne et Strümpell. Le cas de Donaggio semble donc seul remplir les conditio
conditions nécessaires. Strümpell a publié récemment trois nouveaux cas de sclérose systématisée du faisceau pyramidal,
cale. Les lésions ne dépassèrent guère la moelle. Dans le pre- mier cas du mémoire de Strumpell de 1904 (cas Polster), la
e la moelle. Dans le pre- mier cas du mémoire de Strumpell de 1904 ( cas Polster), la sclérose laté- rale excédait les l
une forme nouvelle de maladie familiale ; mais nous pensons que ce cas doit faire substituer à la dénomination de parapl
miliale celle plus générale d'affection spastique familiale. Notre cas , avec l'étendue anormale de ses symptômes nous
tremblement analogue à celui de la sclé- rose multiple. Dans des cas intitulés paraplégie spastique familiale (Jendras
lo-pupillaires. La ressemblance plus ou moins grande entre certains cas d'affections spastiques familiales et la sclérose
ich et à l'hérédo-ataxie cérébelleuse. Erb et Hodge observèrent des cas de Friedreich avec des réflexes normaux ou exag
arcot-Marie et de la névrite hypertrophique de Dejerine-Solas ou de cas complexes comme celui de Mlle Pesker. Enfin la
tions familiales, la symptomatologie peut être diffuse. Si certains cas répondentbien à un type isolé, par exemple au F
BABtNsm il y a tout lieu d'admettre que l'hémispasme est dû dans ce cas à une irritation du noyau du facial ou du nerf
ans le tic douloureux ; il s'agit peut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière affection de mouvements d'un
renseignements que m'a fournis M. Meige, rien ne prouve que dans ce cas l'affection n'ait eu pour siège le bulbe même ;
ment trois ans après le début de la maladie, donnait à penser que ces cas se rapprochent plutôt du type Leyden-Mbbius.
les articulations des quatre membres, ainsi qu'on le voit dans les cas de rhumatisme aigu polarticulaire. Les douleurs
ir constaté des douleurs autour des articulations, comme dans notre cas . Rohinson a également observé des douleurs vive
hi- manne (V. la photographie). On connaît dans la science, trois cas de myopathie, avec une lordose aussi considérab
aussi considérable : celui rapporté par Brissaud et Souques (1), le cas de Savill (2) et un autre de Dejerine (3). La l
description des myopathies depuis Duchenne de Boulogne, et les trois cas que je viens de citer, aussi bien que celui qui
ociété médicale des hôpitaux de Paris, séance du 13 avril 1894. (2) Cas traduit et publié en français par Henry MEME dans
rs de la cuisse sur le bassin, et si l'on considère à nouveau les - cas cités plus haut, nous voyons que l'explication qu
nne Mme Sacara, est la meilleure pour son interprétation. Dans le cas de Brissaud-Souques, les auteurs n'ont pas cherch
denatureà affermir notre opinion. En résumé, la lordose dans notre cas , est produite par l'atrophie des muscles extens
décrite par Marie et Onanoff (1), avec cette différence que dans nos cas , elle est seulement unilatérale. L'examen du
, et que MM. Pierre Marie et V. Crouzon (3) ont aussi communiqué un cas indiscutable d'atro- phe osseuse de l'humérus a
peau des extrémités est moite et parcheminée. C'est également t un cas de ce genre que rapporte Mme Sacara. Cet auteur a
areil Gaiffe-Tripier. Méthode polaire. Mêmes électrodes que dans le cas précédent. Muscles frontal, temporal, orbiculai
Courants galvaniques : Méthode polaire. Mêmes électrodes que dans le cas précédent. Muscles frontal, temporal, orbicul
leurs couronnés, de Briquet et de Landouzy, mentionnent de nombreux cas d'hystérie infantile. Briquet, en 1859, insiste
as d'hystérie infantile. Briquet, en 1859, insiste à nouveau sur 87 cas qu'il publie, et consacre à leur étude nombre d
'agit d'une tille. Dans notre série actuelle il y a 3 garçons sur 6 cas et, chose bizarre, pour les 3 torticolis ; mais
eut en observer d'identiques, et nous relatons ici une série de six cas , traités en quelques mois à l'hôpital des Enfants
'hôpital des Enfants- Malades, où la hanche n'est pas en cause. Ces cas concernent trois torti- colis, une fausse tarsa
, z paraissent tout à fait exceptionnels chez l'enfant, et dans les cas que nous connaissons, un seul groupe musculaire
pur, est la seule cause provocatrice. Roux (obs. II) a rapporté le cas d'un torticolis hystérique à répétition dont la
cularités diagnostiques propres à cha- que région, et même à chaque cas , on ne peut s'en rendre compte par l'étude indi
eut s'en rendre compte par l'étude individuelle des observations. Cas . I. Contracture hystéro-traumatigue du pied en ta
a mère pas davantage. Or, dans ces conditions, avons-nous dit, deux cas sont possibles : ou bien la contracture est imméd
près quelques jours de « méditation », comme disait Charcot, et les cas de cette deuxième caté- gorie sont évidemment c
e jour même. Revu en avril 1905. Aucun accident local ou général. Cas . IV.- Torticolis hysléro -tmumatiq lie. Eugène
Revu en avril 1905. Aucun accident local ou général. Dans ces trois cas , un seul coup d'oeil permettait de juger l'attitu
t il est vrai, au point de vue des muscles intéressés. Dans le leur cas , la position de la tête inclinée simplement sur
iser en flexion, le menton touchant le sternum. Dans nos 2e et 3e cas , le temps de « méditation » fut observé et nous
donné le début brusque, à la suite d'un traumatisme dans les trois cas . Cependant il faut savoir que certaines arthrit
on peut dire jamais, une sem- blable intensité, sauf dans certains cas très anciens, avec gros abcès iléo- lombaires q
en avons jamais ren- contré chez l'enfant, et d'autre paît, dans le cas actuel, aucun signe de sciatique. L'absence de
de différence dans la longueur des membres inférieurs, mais dans ce cas l'incurvation lombaire ne persistait pas sur l'
influences variables : au bout d'un an, sans cause connue, dans un cas de Pravaz ; et c'est à la suite d'une suggestion
ou à la pression sur la colonne vertébrale, ou bien, comme dans notre cas , des irradiations névralgiques. Mais ces derniè
uses peuvent s'associer en proportions variables. 1 Dans bien des cas , la contracture est démontrée par la palpation de
Wertheim-Salomonson donne une explication qui peut, dans certains cas , avoir sa raison d'être : il ne s'agit pas, pour
r. Au premier abord, cette théorie semblerait donc convenir à notre cas : mais que devient-elle en présence de cette co
dmettre l'hystérie sont assez nets. Et d'abord, comme dans tous les cas de ce'genre,nous fûmes frappés de ce fait que l
bbosité, a même existé pendant toute la maladie sans gibbosité. Ces cas , d'un diagnostic toujours délicat, se reconnais
un mal de Pott lombaire ou dorso-lombaire tout au plus, et dans ce cas les paralysies, rares d'ailleurs, doivent affecte
ange d'asthénie et de contracture mus- culaire. Le tableau, en tout cas , ne nous parait pas être celui de l'astasie- ab
ions purement neuro- logiques, notre unique but étant de relater un cas d'hystérie infantile ca- pable d'en imposer pou
térie sont loin de former une entité morbide nettement définie. Nos cas en sont une preuve très nette. Souvent la pa- t
qu'elles entraînent, ont des destinées fort variables. Si certains cas cèdent facilement sans cause apparente, si quel
lades se lèvent un beau matin guéris de la contracture, si d'autres cas disparaissent à la suite d'une émotion, il en e
s. Et le pronostic doit être jusqu'à certain point réservé dans ces cas où le diagnostic est fait tardive- ment : ce n'
t octobre-novembre de la première année il n'y eut plus de nouveaux cas , mais dès lors il s'en dé- clara de nouveau et
de police, personnage trop zélé, un peu borné,semble-t-il, en tout cas ,maladroit,qui n'avait sollicité ce poste qu'en
re les pou- voirs allait recommencer et être l'origine d'un nouveau cas de possession. Deux amoureux, un étranger à la
l'aliénée sur l'asile, l'amou- reux fut expulsé. Ce fut le dernier cas de l'épidémie de Morzine, mais aussi le signal
n sur l'importance de lésions périostales dans un certain nombre de cas publiés ; celui de Salvetti (1893); les observati
pré- sence de la variété des lésions observées dans les différents cas . Si, au point de vue clinique, ces cas présente
bservées dans les différents cas. Si, au point de vue clinique, ces cas présentent certaines analogies, les examens his
n que le sexe mascu- lin d'après Kassowitz qui, sur un relevé de 29 cas , a trouvé 25 filles et 4 gar- çons. Pour des
e tête un peu grosse et des membres trop courts. Sauf dans quelqués cas exceptionnels dont nous parlerons plus loin lVoy.
répondent t à une tête d'enfant à terme. Kassowitz, dans certains cas , a vu la circonférence du crâne égaler et dépasse
ouver- ture inférieure un peu élargie (ce qui est en particulier le cas pour l'enfant D... (fig. 4). Les déformations y
rier, Hergott, Daniel, Lequeux ; Bouchacourt et Lévi en ont réuni 4 cas dans une intéressante monographie; nous-mêmes en
oint d'ossification plongé dans une large gangue cartilagineuse. Ce cas est anormal sous plusieurs rapports. Limité aux
conséquence de l'arrêt de développement des os condyliens. Dans le cas de Klinger existait également une soudure des os
, parfois, cependant, élargi à sa base (Voy. fig. 4). Dans certains cas plus généralisés les côtes sont, elle-mêmes, él
étrécissement du trou occipital et du canal médullaire qui, dans le cas de Lampe, avait entraîné une atrophie par compr
compris entre 84 et 90, s'élève à 105 et même 120. Dans quelques cas , cependant, le raccourcissement de l'avant-bras e
s plat » (P. Marie). L'ensellure lombaire, qui existe dans tous les cas , est due il la bascule du sacrum dont nous avon
er ainsi à confusion. L'examen histologique est donc, en dehors des cas types, nécessaire actuellement pour asseoir un di
, des ostéoblastes transformés en corpuscules osseux. Dans quelques cas , cependant, les canaux de Havers demeurent un p
t un tissu spongieux assez dense. 506 PORAK ET DURANTE Dans les cas de Spillmann, la diaphyse était formée d'un côté
maladie. Des malformations diverses ont été signalées dans quelques cas : existence de 6 doigts (Virchow, Bode, Kaufman
in, et le foie était gros. Le corps Thyroïde, hypertrophié dans les cas de S. Müller et de Collmann,est normal dans les
st nor- mal chez les autres. La Pituitaire était normale dans les cas où nous l'avons recherchée. Dans le cas de Lamp
aire était normale dans les cas où nous l'avons recherchée. Dans le cas de Lampe les reins présentaient de nombreux petit
uri- naires par suite du défaut des canaux excréteurs. Dans deux cas nous avons pratiqué l'examen histologique de la m
hémorrhagies récentes, infiltration de petites cellules) et, en tout cas , trop récentes pour pouvoir leur attribuer les
ndamentale du travail de S. Mül- ler sur l'achondroplasie en est un cas type, aussi conclut-il que la cbondro- dystroph
mployé depuis lors en Allemagne par des auteurs qui, en présence de cas où le cartilage paraissait normal, se refusaient
embrouiller l'étude de l'achondro- plasie en y faisant rentrer des cas ayant des caractères, tant cliniques qu'histo-
ou chondrodystrophie. Il est probable qu'un certain nombre d'autres cas étiquetés achondroplasie ou LES \I1CHUMEL11; CO
ois, cette hypertrophie du tissu adipeux peut faire défaut. Dans le cas que nous avons publié, les doigts n'arrivaient pa
itant sous l'ongle comme un feuille de papier fort. Dans d'autres cas . dont nous avons pu observer un exemple, la diaph
d'un début à une période embryonnaire plus jeune. Dans le premier cas , l'ébauche embryonnaire de l'os s'est développée
ons osseuses compactes. Il y a ou dysplasie osseuse. Dans le second cas , l'ébauche embryonnaire elle-même semble avoir ét
e considérées comme constantes (Elles ne faisaient défaut que dans le cas de Klebs). Elles sont en général nombreuses, et
jet et même plus de 100, tant anciennes que récentes, comme dans le cas de Chaussier. - C. Lésions histologiques. 1° L'
ffectue régulièrement (voy. pi. LIV, fig. 12). Tou- tefois, dans le cas de Ilildebrand, les colonnes cellulaires, un peu
oujours exactement : 1° A côté des formes classiques, il existe des cas frustes où un certain nombre 512 POHAK ET DURAN
Ces deux formes pourraient donc exceptionnellement se combiner. Ces cas , rares du reste, et dont les observations sont
dre le veau achondroplasique avec le boeuf ! 1'ato. Le premier est un cas pathologique présentant les déformations que nous
té habituelle du thorax ou tout au moins des côtes. En dehors des cas typiques, l'examen histologique seul permet actue
lte bien conformé. Poncet et Leriche, se basant sur l'hérédité, les cas familiaux, l'intégrité rela- deux sujets observ
e ils dessinent un 0) ; 2° soit par arrêt de développement. Dans ce cas les courbures sont moins fortes, mais les os se
ie rachitique peut cliniquement simuler l'achondroplasie. Dans deux cas où nous l'avons observée chez le nouveau-né, elle
r du bassin est donc compensé, dans une limite variable suivant les cas , par une augmen- tation relative du diamètre tr
r de la radiographie pour vérifier l'état des diaphyses. Dans les cas types, l'achondroplasique avec sa grosse tête, se
oplasie vraie ou de la dysplasie périostale, mais dans les 4 autres cas , il s'agissait de rachitisme vrai classique à d
ait rester encore sur une trop grande réserve vis-à-vis de tous les cas anormaux qui n'ont pas été confirmés par des véri
traire paraît être un rachitique congénital. Silberstein a examiné un cas qui pouvait en imposer pour de l'achondroplasie
il en est peut-être de même de celle de Salvetti, ainsi que de deux cas de Kaufmann et de Johannessen. Il serait aisé d
ou auto- intoxication. En règle, il ne débute pas avant 6 mois. Les cas de rachitisme congénital sont des raretés discu
logiques. Il est, à vrai dire, des formes frustes ou anormales, des cas limites où les deux affections se rapprochent s
arge de tous les grands cadres en patho- logie, il se rencontre des cas difficiles à classer. Telle affection parfaitemen
fracturées. - La gracilité, les courbures et les fractures dans un cas , les coudures et la solidité dans l'autre sont
e ces deux affections, l'étude ultérieure d'un plus grand nombre de cas , la connaissance plus exacte du rachitisme congén
rie de dégénérés. A l'appui de cette conception, on peut t citer le cas de Kaufmann où l'enfant était le produit d'un inc
mère. La syphilis a été notée dans quelques observations. Dans deux cas que nous avons ^publiés antérieurement, nous av
cirrhose hépatique des tuberculeux.) Nous l'avons retrouvée dans un cas chez la mère d'un achondroplasique. D'autres in
tématisée il un tissu, à une espèce de cellules (musculaire dans un cas , osseuse dans l'autre). Dans l'une et l'autre f
t l'évolution régulière vers l'état adulte parfait. Si, dans certains cas , cette déviation de l'activité cellulaire est a
r mémoire de Porak et relevée, aujourd'hui, dans un grand nombre de cas , ne nous paraît contredire en rien l'étiologie
parfois déterminée par la porte d'entrée. Toutefois, même dans les cas d'infection ou d'intoxication générale, on peut o
entale, mais variété personnelle dans sa localisation. Dans d'autre cas , au contraire, la localisation est la même chez l
transmise, elle aussi, par les parents. ' Tel est, croyons-nous, le cas pour l'achondroplasie. La cause pathogène est,
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oc. d'Ubslétr., de Gyn. et de Pied., 1901). Porak et DURANTE Sur un cas d'ostéogénèse anormale (Soc. obslétr. et gyn. de
ostéogénèse anormale (Soc. obslétr. et gyn. de Paris, 1894). Deux cas d'achondroplasie avec examen histol. des os et du
ùb. Chondrodystrophia foet. (Inaug. Diss. Bâle, 1899). SEvESTnE. Un cas d'achondroplasie (Ac. de méd., juin 1905). SILB
902 et llev.ibero- americana de Ciencas med., 1903). VARIOT. - Un cas d'achondroplasie anormale sans dystrophie cranien
la forme typique de la main en trident, de Pierre Marie. SUR DEUX CAS D'ACHONDROPLASIE PAR C. PARHON, ATH. SHUNDA E
us n'avons point de connaissances précises. On conçoit donc que les cas qu'on a l'occasion d'observer valent la peine d
eine d'être étudiés et interprétés avec beaucoup d'attention. Ces cas sont d'ailleurs assez rares ou au moins l'attenti
publié en 1900. Apert (2), dans un travail assez récent, dit que les cas d'achondroplasie de l'adulte publiés jusqu'alor
moyenne. Sa mère est morte, nous n'avons pu savoir de quoi. Eu tout cas elle n'a pas souffert d'un trouble semblable à
us ne trouvons pas de troubles du côté des autres organes. SUR DEUX CAS d'achondroplasie 541 Notons encore que les test
Ainsi qu'il résulte de son observation, notre malade représente un cas typique d'achondroplasie ayant tous les caractè
es 33 ans du malade. La comparaison de notre malade avec les autres cas d'achondroplasie et surtout avec les photograph
de l'exactitude de notre diagnostic. Cette ressemblance entre notre cas et les autres déjà publiés, nous la retrouvons en
ires. Pour mettre mieux en évidence les rapports qui unissent notre cas à ceux des autres auteurs, nous avons cherché,
le, de faire une petite statistique ainsi qu'une classification des cas d'achondro- plasie publiés jusqu'à présent. En
athologi- que de cette dystrophie et en nous occupant seulement des cas qui concer- nent des enfants plus âgés ou des a
adultes, nous avons pu trouver dans la littérature un nombre de 42 cas d'achondroplasie pu- bliés dans un intervalle d
lative- ment rare et pas assez connue du pub.ic médical. SUR deux cas d'acu'ondroplasie 543 Voici d'ailleurs les noms
43 Voici d'ailleurs les noms des auteurs auxquels appartiennent les cas pu- bliés : Charpentier, Porak (6), Crimail (7)
ott (26), De Buck (27), Ley et Beck (28), Lugaro (29). Parmi ces 42 cas il y a 25 adultes et 14 adolescents ou enfants. C
u trouver l'indication du sexe. Dans 17 il s'agit d'hommes, dans 18 cas la maladie concernait par contredes femmes.La pro
tteint de ce même trouble. Le plus petit chiffre publié concerne le cas de Boeck (une femme de 23 ans), puis toujours c
plasique. Nous nous sommes occupés ici, bien entendu, seulement des cas concernant des adultes en laissant de côté les
e 105 cent. 5 est le plus petit homme achrondroplasique de tous les cas publiés jusqu'à présent. Ainsi que nous l'avo
marquer que cette micromé- lie rhizomélique n'est pas dans tous les cas aussi évidente,ni les segments rhizoméliques so
s il n'est que juste de constater que dans tous (ou à peu près) les cas d'achon- droplasie où on a pris la mesure exact
pu trouver cette tendance vers la micromélie rhizomélique.Dans les cas les plus typi- ques la micromélie rhizomélique
t la cuisse sont plus courts que l'avant-bras et la jambe).Dans dix cas d'achon- droplasie où on a pris la mesure exact
nstaté chez 5 ce renversement dans la proportion normale. Dans le cas de Huet-Caruette le bras = 12 centimètres, l'avan
tres, la cuisse = 21 centimètres, la jambe = 23 centimètres.Dans le cas de Variot (cité par Caruette) on trouve de même l
aphie la cuisse semble être plus courte que la jambe. Dans d'autres cas lamicromélie rhizométiqueestmoins prononcée. Dans
tres cas lamicromélie rhizométiqueestmoins prononcée. Dans certains cas elle n'est pas égale aux membres supérieurs et au
s prononcée aux membres supérieurs ouinver- sement. Dans d'autres cas la micromélie rhizomélique est encore moins prono
ant plus longs que les premiers. Nous avons trouvé ainsi dans trois cas les segments rhizoméliques plus longs que les m
les segments rhizoméliques plus longs que les mésoméliques. Dans le cas de Parrot le bras = 15 centimètres, l'avant-bra
la cuisse 22 centimètres, la jambe = 19 centimètres. Dans l'un des cas d'Apert (le malade Sicard), le bras=18centimètr
s=18centimètres,Pavanl-bras = 14 centimètres. Il semble que dans ce cas , la cuisse est elle aussi plus longue que la jamb
s, la cuisse est elle aussi plus longue que la jambe. Dans certains cas , ainsi que nous l'avons dit,la micromélie rhizomé
, l'avant-bras = 22, mais cuisse et la jambe sont éga- les. Dans le cas de Villaire-Cahèche la micromélie rhizomélique pr
omélie rhizomélique n'est pas éga- lement appréciable dans tous les cas et que dans certains cas cette micro- mélie rhi
pas éga- lement appréciable dans tous les cas et que dans certains cas cette micro- mélie rhizomélique, peut être prou
e normale.Lesegmentrlizoméliquepeut être relativement plus SUR DEUX CAS D'ACHONDROPLASIE 545 raccourci que le mésoméliq
e signalé chez les achondroplasiques est la macrocéphalie. Dans les cas où les dimensions de la tête ont été prises,deu
é indiqué que la tête est normale (Variot, Joachimsthal). Dans le cas de Huet et Caruette, chez une enfant de 10 ans no
par conséquent voisine de la circonférence normale. Dans les autres cas nous trouvons les dimen- sions de la tête très
e, produit l'enfoncement de la racine du nez. Seulement dans deux cas d'achondroplasie nous trouvons signalé un nez n
Vil- laire-Cabèche, Méry et le malade Sicard, d'Apert). Dans deux cas nous trouvons signalée une intelligence supérieur
la circonférence est relativement énorme, 66 centimètres. Dans les cas où l'intelligence se trouve notée comme normale
tête sont peu augmentées ou normales. C'est ainsi que dans les deux cas avec intelligence supérieure à la moyenne chez de
onférences de 51 centimètres et de 52 cm. 5. En nous basant sur les cas connus jusqu'à présent, nous pouvons dire que c
trident. Cette déformation de la main a été retrouvée dans tous les cas publiés depuis le mémoire de cet observateur. On
is le mémoire de cet observateur. On la trouve notée ainsi dans les cas de Huet et Caruette, Villaire-Cabèche, Cestan,
ette, Villaire-Cabèche, Cestan, Apert, Dide et Leborgne. Dans notre cas elle est très évidente (voir la photographie).
Joa- chimsthal), formation d'une gouttière sternale très prononcée ( cas de Cestan), double scoliose (cas de Méry). Da
gouttière sternale très prononcée (cas de Cestan), double scoliose ( cas de Méry). Dans notre cas nous avons noté aussi
noncée (cas de Cestan), double scoliose (cas de Méry). Dans notre cas nous avons noté aussi certaines déformations du t
que l'achondroplasie semble être héréditaire au moins dans certains cas , le plus net à ce point de vue étant celui relaté
malade ont été achondroplasiques. Porak et Baldwin citent chacun un cas où des femmes achondroplasiques ont donné naiss
geance de M. le professeur Obregia, nous avons pu étudier un second cas dans lequel le diagnostic d'achondroplasie est
jusqu'au condyle externe du fémur = 33 cent. 5. Du condyle SUR DEUX CAS D'ACHONDROPLASIE 549 externe à la malléole exte
ulte normal. Remarquer le raccourcissement des os dans le pre- mier cas et surtout le fait que l'humérus devient égal aux
omélie rhizomélique manque ici ou n'est que peu accentuée. SUR DEUX CAS D'ACHONDROPLASIE 551 l'hospice. La mémoire du p
us = 183 mm. Les surfaces articulaires sont très irrégulières. Ce cas se rapproche de l'achondroplasie par les caractèr
rticulation ». Ce fait, bien . que ne s'observant pas dans tous les cas , est très net dans d'autres, comme chez la mala
les membres. ' Par d'autres points ce malade diffère par contre des cas typiques d'achondroplasie. C'est ainsi que sa t
i et enfoncé à sa racine. Mais il convient de rappeler que dans les cas de Variot, de Joachimsthal de Huet et Caruette,
e sont normales, que dans un 552 PARHON, SHUNDA ET ZALPLACHTA des cas d'Apert (le malade Sicard) la micromélie rizoméli
racine du nez c'est un symptôme qui manque également dans quelques cas d'achondroplasie. On voit donc que ce deuxième
nt dans quelques cas d'achondroplasie. On voit donc que ce deuxième cas ,bien que n'étant pas absolument typi- que à cau
d'un certain nombre de symptômes, se rapproche beaucoup des autres cas d'achondroplasie et le nombre des symptômes pos
bablement pour l'achondroplasie comme pour d'autres dystrophies des cas de transition entre l'état normal et les formes l
roplasie se combine avec d'autres troubles. C'est ainsi que dans le cas de Lugaro il y avait association de l'achondropla
certain degré d'hypothyroïdisme. Ces formes mixtes ainsi que les cas de transition méritent d'être étudiés avec soin
ous attarderons pas lon- guement. La maladie semble être dans notre cas comme d'habitude congénitale et le malade n'aur
s un trouble de la fonction ou du développement de quelque SUR DEUX CAS D'ACHONDROPLASIE 553 organe glandulaire qu'il f
ntendent pas appliquer cette interprétation pathogénique à tous les cas et ils n'excluent nullement l'existence d'une a
otre première observation il y a un an. M. Obregia en comparant les cas de gigantisme avec ceux d'achondroplasie faisai
et d'une exagération de la fonc- tion de celui-ci. Dans le premier cas la vitalité du cartilage de conjugaison est nul
dienne (2), la persis- tance des fonctions du thymus (dans certains cas ) et dans la grande majorité des cas -- sinon to
ctions du thymus (dans certains cas) et dans la grande majorité des cas -- sinon toujours - l'absence de la sécrétion des
duction très marquée du poids du corps thyroïde dans notre deuxième cas est de nature à confirmer cette manière de voir.
ondroplasie est due à un trouble de cette même fonction. SUR DEUX CAS D'ACHONDROPLASIE 555 du crâne (Pittard) (33), o
ion ovarienne serait plutôt absente pendant la gestation. Dans ce cas on pourrait suffisamment expliquer l'apparition d
regardées non plus comme des modèles de continence, et Porak a vu le cas d'une femme achondroplasique qui ayant souffert
par le corps thyroïde,ainsi qu'il n'est pas impossible que dans ce cas il eut existé un certain degré d'hypothyroïdism
ur la crois- sance. Quoi qu'il en soit, n'est pas excluse dans ce cas la possibilité d'une hyperfonction des glandes
s de conjugaison du foetus. z Pierre Marie a signalé dans le même cas l'absence de soudure des épiphy- ses. Ce fait p
it terminé et prêt à être envoyé à la rédaction de la Non- SUR DEUX CAS D'ACHONDROPLASIE 557 velle Iconographie de la S
nsacrée à l'achon- droplasie. Nous y avons trouvé signalés quelques cas que nous ignorions et qui viennent s'ajouter à
t s'ajouter à ceux que nous avons cités au cours de ce travail. Ces cas appartiennent à Poncet et Leriche, Lannois, Pauly
nois, Pauly et Teissier, Jaboulay, Devay, Collmann. Dans ce dernier cas le corps thyroïde était t augmenté. Dans le cas
nn. Dans ce dernier cas le corps thyroïde était t augmenté. Dans le cas de Devay il y avait - comme dans celui de Lugaro
u gigantisme avec lequel elle est en relation manifeste en certains cas , par défaut, la glande testiculaire pourrait peut
conographie de la Salpêtrière, n° 4, 1901. 3. CFSTAN. A propos d'un cas d'achondroplasie. Nouvelle Iconographie de la Sal
e de la Sal- pêtrière, n° 4, 1901. 4. DIDE et LEBORGNE. - Nouveau cas d'achondroplasie. Nouvelle Iconographie de la S
clinique de l'achondroplasie. Thèse de Paris, 1902 21. MERY. Sur un cas d'achondroplasie. Journal de méd. et de chirurg.
Bcex. Société de méd. d'Anvers, 1901, cités d'après APLAT, SUR DEUX cas d'achondroplasie 359 29. LuGARo. - Sul cretinis
un même sujet, plaide pour l'hypothèse d'une cause unique. En tout cas , nous savons que la radiographie nous permet un
éveloppée [Sperino (11)]. On peut adjoindre l'argument que dans les cas d'amyélie de Brissaud et Bruandet (12) et de Pe
elizzi (13), on trouva les membres normalement développés; dans ces cas , même en admettant la théorie qui veut que, dans
0). Ces derniers auteurs ont clas- sé d'une façon parfaite tous les cas connus dans la science, selon le nombre des doi
ts. Il est très important à noter que dans le plus grand nombre des cas , l'anomalie s'arrête au niveau du métacarpe et du
nner le premier la démonstration de cette hypothèse. Il décrivit un cas de polydactylie dans lequel on voyait encore à
igt auquel il avait amputé la première. Jauvelle (4) a vu aussi des cas de polydactylie acquise. Coroisai,t (57), Blwnenb
lydactylie est très souvent accompagnée de la syndactylie. Dans ces cas la membrane ne relie pas seulement les doigts s
arrêt passager dans son développement, nous comprenons que dans ce cas les membres en formation heurtent contre l'obst
rption de l'os n'est pas fondée sur des faits réellement observés. Le cas de fractures intrautérines peut se présenter, [
segments. Nous connaissons l'observation d'Ehrlich (71) qui dans un cas d'absence partielle congénitale du tibia a vu l
qui a fait son ossification autour d'elle ; et comme dans tous les cas d'ossification en présence d'un corps irritant,la
per dans l'épaisseur du tendon rotulien qui fait défaut dans notre cas . En résumé, au point de vue de la mécanique, le
que de 40 observations d'absence congénitale du tibia, ont observé 10 cas d'ectrodactylie et six cas de polydactylie. Sur
nce congénitale du tibia, ont observé 10 cas d'ectrodactylie et six cas de polydactylie. Sur 76 observations d'agénésie
de la transmission héréditaire d'un caractère déterminé. Dans les cas où l'anomalie se répète toujours avec les mêmes c
mbryonnaire, puisse parfois être transmis aux descendants. Dans ces cas , en effet, l'amputation des membres défectueux ar
1824-26. 5. l'ROISIER. -Note sur l'état de la moelle épin. dans un cas d'hémimélie hémitho- racique, Archiv. de physio
edic. di Torino, 1892, n° 2, p. 153. 12. BRISSAUD et BRUANDET. - Un cas d'anencéph. avec amyélie, Nouv. iconogr. de la
Salpêtr. mai-juin 1903. 13. PEUzzi. Note anat. ed ist. sopra alcuni cas ! ..... Annali di Freniatria, 1900, mars. 14. B
autres parties de la substance grise du pont ; en tout 588 CATOLA cas elles sont bien moins colorables. Les noyaux réti
surale et de la commissure grise. Somme toute, nous avons dans ce cas une lésion à localisation multiple réalisant au
oins indépendantes et même très éloignées les unes des autres. Ce cas nous semble encore très intéressant au sujet de l
tre quelquefois la cause de l'atrophie musculaire et il rapporte le cas d'un malade ayant une atro- phie d'origine syph
93, une importante commu- nication sur ce sujet. Se basant sur deux cas personnels dont un avec au- topsie, sur une com
pement de certaines amyotrophies. A la même séance, Rendu citait un cas analogue et ajoutait que le rôle pa- thogénique
a pas. En 1897, au Congrès de Moscou, Vizioli (1) cita cependant un cas où la syphilis, prise par son sujet à 20 ans, l
et, Raichline rappela que l'année précé- dente il avait présenté un cas à la Société Médicale du IXO arrondisse- ment e
myélite signalées par Raymond et qu'il a lui-môme retrouvées dans un cas ont été signalées dans plusieurs autopsies d'am
lie, la syphilis est destinée à recueillir le plus grand nombre des cas . M. A. Léri se base sur six observations person
nnelles dont deux avec autopsie. On voit en somme que le nombre des cas probants est assez restreint. C'est ce qui m'a
s est assez restreint. C'est ce qui m'a engagé à publier un nouveau cas très typique qu'il m'a été donné d'observer réc
- puis 18 ans, etc. L'évolution peut donc se faire comme dans les cas qui ont servi à éta- blir le type classique Ara
indice précieux, mais malheureusement elle manque parfois dans les cas anciens. Les cas comme les deux que j'ai eu l
ais malheureusement elle manque parfois dans les cas anciens. Les cas comme les deux que j'ai eu l'occasion d'observer
couru ma collection d'atrophies musculaires sans y trouver d'autres cas où cette étiologie aurait été signalée. Peut-être
es à l'altération primitive de la corne antérieure et bon nombre de cas ressortissent manifestement à la syringomyélie.
aire a une certaine importance thérapeutique. J'ai déjà signalé les cas de Graves, de Wiepce, de Hammond : il faut y aj
ter ceux de Soherb et de Seeligmûller qui citent l'un et l'autre un cas de guérison rapide d'une amyotrophie chez un sy
peut-être même cette hydrocéphalie se complique-t-elle en certains cas de méningite ; mais on ne voit pas bien comment
ent et évoluer jusqu'à son terme logique. Dans un certain nombre de cas , ce terme n'est que partiellement atteint ; c'e
e seul que s'est substituée la tumeur méningitique. Dans d'au- tres cas , le névraxe tout entier a disparu. Ces variations
constances, ou toutes les deux à la fois, se présentent suivant les cas . Autant qu'il soit possible de s'en rendre compte
nouveau-né devient calme et ne tarde pas à succomber. Dans certains cas , d'ailleurs, on n'observe d'accès à aucun moment.
(2). A vrai dire, ces signes n'ont pas été constatés dans tous les cas où ils ont été recherchés ; mais, quand ils fon
e de l'anel1céphalie (Thèse de Paris, 1883).' (2) Louis VIDAL, Un cas d'ane ? tcéphalie. Montpellier médical, 1904, no
onditions secondes interviennent ensemble ou séparément, suivant le cas , sans qu'il soit toujours facile de dissocier n
s traces évidentes sous forme d'une lame plus ou moins large. Les cas qui paraissent à première vue les plus embarrassa
voûte crânienne est ossifiée et fortement aplatie contre la base. Ces cas , nous l'avons vu, se présentent sous des aspect
és cédant à la traction s'étalent en dehors ; nous rentrons dans le cas précédent ; ou bien, pris entre l'action muscul
ar leurs attaches avec le reste du squelette membraneux. Tel est le cas du crâne que nous avons figuré et décrit dans le
e posté- rieure de la suture métopique : nous retrouvons ces divers cas dans la descrip- tion et les représentations de
tion et les représentations des auteurs (fig. 3, 4 et 5). Tous ces cas , relèvent indistinctement du même phénomène : r
les retrouvons. Ainsi se relient de la façon la plus naturelle les cas de pseudencéphalie avec hémicéphalie et les cas
plus naturelle les cas de pseudencéphalie avec hémicéphalie et les cas sans hémicéphalie. Les uns et les autres dépenden
comprendre les dispositions spéciales des arcs vertébraux dans les cas où la pseudencépha- lie est accompagnée de ce q
ous la preuve que cette précocité doit également être admise pour les cas où la propagation spinale de la méningite a été
sa violence et sa persis- tance, ne peut plus les disjoindre. Les cas mixtes, où l'on trouve un canal rachidien fermé e
ns résultant des contractions musculaires et qui donnent à certains cas de pseudencéphalie une allure caractéristique,
est tout à fait vraisemblable. 11 attribue la même origine à divers cas de pieds-bots. Je n'y contredirai pas. Toutefoi
se de la pseudencéphalie et elles le jouent également dans tous les cas où une inflammation du système nerveux intervient
cifiaient ni le siège, ni la nature de l'inflammation dans tel ou tel cas * particulier, ils n'avaient pas, pour le faire
(1). OEuvre de recon- naissance pieuse, ils échappent dans tous les cas , par leur simplicité extrême à toute critique m
, p. 620. (2) BROCA, Communication écrite. (3) E. ALBERT Oeil, Un cas d'exostoses multiples, Progrès médical, ! juin 19
ascendants des malades. Si l'hérédité ne peut être invoquée dans le cas que nous avons rapporté, son influence n'en est
enfants : trois sont couverts d'exostoses. Lejars (15) a résumé ce cas pathologique dans le tableau suivant. 632 LAU
qu'on ne peut le supposer au premier abord, car dans la plupart des cas relatés, les renseignements sur les antécédents h
ché à montrer que la tare des générateurs peut jouer, dans certains cas , un rôle dans l'apparition et l'évolution de l'
toutefois faire remarquer, et il en était précisément ainsi dans le cas que nous venons de rapporter, que les manifestati
llent celles du rachitisme. Les troubles osseux, observés en pareil cas , sont en rapport avec les conditions d'alimenta
rêt, la rareté, la singularité des observations, à publier quelques cas d'exostoses ostéogéni- ques multiples ou de dév
de développement. Samuel Cooper (3) a rapporté du même A. Cooper un cas très singulier, dans lequel les yeux furent cha
sloses de forme et de volume très variables. Je citerai ensuite les cas observés : qua- tre cas Havage (1), un cas Dupl
lume très variables. Je citerai ensuite les cas observés : qua- tre cas Havage (1), un cas Duplay (2), un cas Regnoli etR
. Je citerai ensuite les cas observés : qua- tre cas Havage (1), un cas Duplay (2), un cas Regnoli etRoguetta (3), un d
e les cas observés : qua- tre cas Havage (1), un cas Duplay (2), un cas Regnoli etRoguetta (3), un de Braun (4), un de
ment 79, 108, 83 et 101 exostoses. J'ajoute à cette liste les trois cas de Bessel-Hagen (7). Dejerine considère les exo
tération spéciale dans la syringomélie (8) et Lejars en rapporte un cas . Braun (9), en 1892 en pu- blie cinq; Pommeau (
un (9), en 1892 en pu- blie cinq; Pommeau (10) en 1895 en réunit 30 cas ; Auvray et Guillain (11), en réfèrent deux, dan
es exostoses au nombre de 150 environ; Launois et Roy rapportent un cas (12); Marro (13), à l'Académie royale de médeci
12); Marro (13), à l'Académie royale de médecine de Turin, donne un cas concernant un jeune garçon de 13 ans, dont les
ès de la Société italienne de chi- rurgie (Rome, mars i 904) quatre cas d'exostoses cartilagineuses solitaires boursées
e, sur la litté- rature du sujet, je commence la description de mes cas ; je ferai ensuite quelques brèves considératio
paternel nous en avons déjà parlé incidemment dans la description du cas pré- cédent. Du côté maternel il est très imp
observer sur elle deux tu- meurs de mêmes caractères que celles des cas précédents, à savoir : circons- tance pierreuse
une tendance bien nette à l'accroissement. 642 SIMONINI Parmi les cas décrits, les plus importants sont évidemment le I
vêtue d'une mince couche d'os compact, précisément comme dans s les cas décrits par Dalla Vedova. Durant la période qui p
- crose, comme il paraît être arrivé dans l'exostose du scapulum du cas d'Hartmann (cité par Dalla Vedova). Mais on com
ment, non seulement en raison de mes observa- tions, mais encore du cas de Giommi et des autres qu'il a cités et qu'il a
ulcretum anatomic1t1n et enfin dans les écrits du Morgagni. Dans le cas de Giommi, la tumeur avait la forme d'un cône i
Uerthaud Pit EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES DE DÉVELOPPEMENT 643 Dans le cas de Poncet plusieurs des exostoses atteignaient le
usieurs des exostoses atteignaient le volume du poing. Dans mon IVe cas , l'exostose 16 que l'on trouve sur l'os iliaque
mplaires tant de la première affection que de la seconde. Dans le cas de Weber (Virchow's Archiv, 1860) à côté des exos
s aiguë que celles qui se placent sur les enchondromes ; dans notre cas , en effet, on trouve cette particularité. Un au
e développer un enchondrome (Stark etLâwen, cités par Dalla Vedova, cas de Weber). En outre, on peut encore observer, q
(embarras aux mouvements de la cuisse, oedème, etc.). » Dans notre cas , le volume, la forme mamelonnée, l'indolence et l
e la tumeur, s'opposent à ce diagnostic. En ce qui concerne mon VIe cas , où l'exostose sur le scapulum droit, est congé
ant la vie intrautérine. , J'ai rappelé, dans ma revue du début, le cas de A. Cooper, dans lequel les yeux furent expul
centre du cerveau ou du cervelet. Cornil et Ranvier ont observé un cas d'ostéome de ce dernier organe. On peut en tr
nteggix (Institutions chirurgicales, vol. 1er, 1820). Dans les deux cas de Auvray et Guillain, cités par Launois et Roy,
ouve, il resterait toujours à expli- quer le premier exemplaire, le cas primordial. Il faut donc chercher quelque facte
fficiles à être utilement classées, et cela tant pour la totalité des cas , que pour notre ignorance touchant les influenc
irritatifs chroniques m'a fait me demander un mo- ment si, dans le cas spécial, l'affection en question pouvait ;dépendr
agit en une place déterminée. Contre cela on dit que dans quelques cas se trouvent au début des douleurs intenses, mai
a est démontré par l'hérédité, plus spécialement constatée dans les cas d'exostoses multiples. Ici, il s'agit d'une ano
. Sonnenchein, Marie, Povre, Gibney, Ischer, Schor, mais il y a des cas où les exostoses peuvent ne pas être héréditair
malade qui fait l'objet de son étude est mort phtisique. Dans les 5 cas cités par Brun, on trouve des antécédents tubercu
s par Brun, on trouve des antécédents tuberculeux. Dans tous les 30 cas de Pommeau on a relevé des antécédents tuber- c
r- culeux, tant chez les malades que chez leurs ascendants. Dans le cas de Marro, au contraire, tout moment étiologique
e, d'après les précédents auteurs, cette tendance s'étend aussi aux cas d'exostoses qui ont une évolution non sup- pura
sur l'étiologie de la maladie exos- tosique, spécialement dans les cas d'exostoses multiples, en dehors du facteur hér
de Quincke et de Schultze. En novembre 1904 le Dr Nonne a publié 18 cas de ce genre. Ils ont été en partie autopsiés av
absolument négatif. K. Pichler a pratiqué l'examen anatomique d'un cas de diabète insi- pide ; il trouva une épendymit
aire un diagnos- tic. Nous pensons que la rareté extrême de pareils cas nous justifie am- plement. - z En effet sauf
de pa- reil au cours de nos recherches. Schultze (p. 236) relate un cas de Morton Prince où les ventricules étaient dil
sont fort peu infil- trés. Il nous paraît en ressortir que, dans ce cas , leur fonction n'a pas été de résorber et d'éli
à trois générations d'ophtalmoplégie externe. Outre l'intérêt de ce cas d'hé- OPHTALMOPLÉGIE EXTERNE BILATÉRALE CONGÉNI
is en particulier qu'on est souvent tenté d'incriminer en semblable cas , nous avons signalé l'absence de tout signe pos
s membres de cette famille est un fait qui parait constant dans les cas d'ophtalmoplégie congénitale. Cette donnée semb
certitude à l'affection une origine nucléaire. Cependant dans les cas d'ophtalmoplégie congénitale il paraît établi p
ait tenté de considérer comme un myopathique. A vrai dire, dans les cas de ce genre, la déformation est beaucoup moins
primitive progressive. On ne relève dans la famille de M.... aucun cas semblable, aucune tare héréditaire directe ou col
ent prémonitoire. Sans doute, dans les myopathies, comme dans notre cas , il n'existe pas de contrac- tions fibrillaires
soit acquises. Et on connaît, en particulier, un certain nombre de cas d'atrophie musculaire limitée au trapèze ou à u
u'il faut attacher une grande importance à la recherche de tous les cas frustes de dystrophie musculaire; les descripti
bre des types cliniques est vraiment excessif et il est bien peu de cas rencontrés en cli- nique qui soient exactement
en particulier, et même de chaque portion de muscle. En réalité, le cas du brigadier-prévôt ne relève d'aucun type connu.
sur le scapulum qui est immobilisé par les muscles voisins. Dans le cas actuel, au contraire, le rôle des deux os, scapul
aient singulièrement réduites. Leurs observations portent sur trois cas seulement ; mais elles concorderaient avec des
lles dépendent assez étroitement, est absolument sain dans tous les cas observés, et particulièrement dans les cas où l
ument sain dans tous les cas observés, et particulièrement dans les cas où l'état des capsules surrénales a été l'objet d
être entièrement indépendants. Cette indépendance est d'ailleurs le cas de toutes les anomalies qui accompa- gnent parf
is très antérieures à l'invasion des troubles morbides. Dans tous ces cas où une anomalie coexiste avec la méningite, il
anisme foetal et y est demeuré strictement localisée. Même, dans le cas de gémellité, l'un des deux jumeaux peut être a
é victime de l'intoxication. Il est remarquable que dans ces divers cas , la maladie du foetus ne se pro- pageât point à
li- tique. On ne peut contester que dans un assez grand nombre de cas , on retrouve la syphilis soit chez le père, soi
mettre qu'elle est plus fré- quente que ne le feraient supposer les cas connus, car,dans nombre de cas pu- bliés,ce poi
quente que ne le feraient supposer les cas connus, car,dans nombre de cas pu- bliés,ce point est complètement négligé ; l
ltés. Admettons, si l'on veut, que la syphilis existe dans tous les cas de pseudencéphalie humaine, tenons pour non avenu
mais l'auteur se contente d'une sim- ple affirmation. Dans tous les cas , la théorie de l'inflammation préalable du plac
exactitude flagrante, que les adhérences soient constantes dans les cas d'anencéphalie ou de pseudencépha- lie. J'ai mi
s bibliographiques que j'ai parcourus, il ressort nettement que les cas où une adhérence a été dûment constatée sous une
méningite ; ces déplacements ne pourraient provoquer, dans tous les cas , qu'un contact très léger et de très courte durée
n exemple chez un très jeune embryon de poulet (1). Dans tous les cas , et c'est le point essentiel, lorsque ce phénomèn
d'une large bride adhérant sur une assez grande surface. Dans ce cas , il y a acrânie au sens absolu du mot : mais cett
le facteur de cette dégénérescence secondaire ; c'est dans tous les cas , le maximum de ce qu'elle pourrait produire. Le p
ments de ces ébauches que nous retrouvons dans un certain nombre de cas . Et tandis que le système nerveux disparaissait
éningite intervienne sur des foetus plus âgés encore. Dans tous les cas , il s'agit bien ici d'une maladie foetale et non
l'Anatomie, 1901- .1902. (2) J'ai pu observer, chez l'adulte, un cas d'hétérotopie de la substance prise qui n'avait
aller plus loin et assimiler de la façon la plus complète tous les cas d'anencéphalie et de pseudencéphalie. On peut,
tumeur sera bien formée, épaisse ou relativement mince : ce dernier cas marquera l'étendue du processus terminal de sclér
mme processus accessoire, auquel répondent peut-être l'ensemble des cas d'anencéphalie (Dérencéphales et anen- céphales
s, et qui sont les plus communes. Andrieu (2) a récemment décrit un cas très curieux, (1) A. LÉni et CL. Vurpas,, Contr
al développé, paraissait indemne à l'oeil nu. L'auteur considère ce cas comme se rattachant à la pseudencépha- lie ; ce
ment; il repose sur un caractère commun, la maladie, isolée dans un cas , se superposant, dans l'autre, à une anomalie.Cet
entièrement méconnue. Mais il y a plus. Nous avons vu que dans les cas de méningite tardive, l'os- sification du crâne
anatomie, 1900). 694 KABAUD verture secondaire du rachis dans les cas de méningite foetale, ouverture qui coexiste av
(1). Chacune d'elles - ou la plupart s'efforce de ramener tous les cas à un même processus ; c'est tenter là une oeuvr
sorte d'exencé- phalie, sans déplacement du cerveau. \ Ces trois cas sont essentiellement différents les uns des autre
on le sait, peut être assez longue et atteindre 6 à 8 jours dans les cas les plus heureux. Il est fort douteux que la vi
e très excep- tionnellement, la survie observée par Durante dans un cas tout à fait différent^). Il s'agit ici, en effe
DER et A. Léri, Sur la prolongation possible de la grossesse dans les cas d'anencéphalie, Soc. de Biol, 1903, p. 1136.
DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 697 il, dans certains ; cas au-delà du terme ordinaire. Cet état de parasitis
foetale intervient d'une façon précoce ou tardive. Dans ce dernier cas , la voûte membraneuse résiste davantage et les ac
- Sur la prolongation possible de la durée de la grossesse dans les cas d'anencéphalie. Société de Biologie, 1903, p. 113
lie du Dictionnaire de médecine, 1821. E. BitISSAUD ET Bruandet. Un cas d'anencéphalie avec amyélie. Nouvelle Icono- gr
tem eines Ilemicephalen (arcs. der Psych., 34). Neveu-Lemaire. Deux cas de pseudencéphalie. Bulletin de la Société zoolog
en. Société des Sciences médicales de Lyon, 1902. Louis V1DAL. - Un cas d'anencéphalie. Montpellier médical, 1904, n° 47.
e, octobre 1905, 2° série, t. II. e Il s'agit de l'examen d'un seul cas et qui ne paraît pas avoir été fait dans les meil
servera la sage incertitude de ces conclusions établies sur un seul cas , et je ne puis que renvoyer à tout ce qui précède
asson & Clr, Editeurs TABLE DES MATIÈRES Achondroplasie (deux cas ) (3 pl.), par Pardon, SHUNDA et ZAPLACIITA, 539
et HERIJINBT, 443. Contractures précoces el permanentes dans un cas d'hémiplégie de l'adulte (1 pi.), par A. GAUSSf
234. Hémiplégie (contractures précoces et per- manentes dans le cas d'- de l'adulte) (1 1 pl.), par GAUSSEL, 241.
, par J\locQuoT et Moutier, 61. Paget (Maladie osseuse de ) trois cas observes dans une même famille. ll ypo- thèse
re pulmonaire (1 pl. lithog.), 194. Ballet et Laignel-Lavastine. Un cas d'acromégalie avec lésions hyperplasi- ques d
pl.), 2+7. GAUSSE. Contractures précoces et perma- nentes dans un cas d'hémiplégie de l'adulte (1 pl.), 241. Gruner
teils » dans l'Art (1 pl.), 117. LAIGNEL-LAVASTINE et Ballet. Un cas d'a- cromégalie avec lésions hyperplasique du
(A.). Sur quatre compositions de Goya (2 pl.), 703. 1\IATG,on. Un cas de déformation thora- cique préeoce consécutive
sse-Lafont. Maladie 710 TABLE DES AUTEURS osseuse de Paget. Trois cas observés dans une même famille. Hypothèse nou-
rs (14 fig., 3 pl), 140. Pariion, Shunda et GALPL.1CHTA. Sur deux cas d'achondroplasie, (1 pl., 3 photog.), 539. Po
que (LAMm), XLIX. Contractures précoces et permanentes dans un cas d'hemiplégie del'adulte (GAUSSE ! .). XXXV. C
24 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
après les résultats statistiques les mieux avérés, offre, pour chaque cas partiel, le plus d'avantages et le moins d'inconv
lacrymal inférieur est presque la seule usitée. Ce n'est que dans le cas où elle offre un obstacle que l'on a recours à l'
ltentle rétrécissement ou même l'oblitération du conduit, et dans les cas plus graves la carie des divers os, mais plus fré
a formation d'un canal artificiel. compression. Réservée pour les cas les plus simples, la compression est tem-poraire
dans en dehors, le retrait des membranes tu-méfiées, sauf, suivant le cas et le procédé, à favoriser cette action par l'emp
forest. Méthode de Méjean (pl. 4» fig- 2). Applicable seulement aux cas où la tumeur lacrymale, encore intacte, n'offre p
ns difficulté dans le canal et se trouve arrêtée d'elle-même. Eu tout cas , il est inutile de la faire pénétrer de plus de d
ou que la canule serait trop enfoncée ou mal dirigée. Dans le premier cas , il faudrait recommencer l'opération ; dans le se
cédé. Toutefois il faut admettre, comme dans toutes les méthodes, les cas de récidive, dont la proportion néanmoins doit êt
e canal nasal. 20 11 arrive parfois que la canule est mal engagée. Ce cas n'arrive que par la maladresse du chirurgien, qui
né trop en dedans ou trop en arrière, on a pu rompre, dans le premier cas , l'os unguis et la lamelle du cornet inférieur, e
canule s'est insinué par déchirure sous les membranes. Dans tous ces cas il convient de retirer la canule, ce que l'on opè
e s'engoue par les mucosités ou par la poudre de tabac. Dans tous ces cas il est convenable de l'extraire. M. Darcet rappor
es cas il est convenable de l'extraire. M. Darcet rapporte vingt-sept cas où cette nouvelle opération a été indispensable.
s récemment la canule eu y ajoutant de nouveaux renfleniens ; mais en cas d'extraction nécessaire, comme il y aurait de l'i
qui motivent généralement l'emploi de la cautérisation dans le second cas , ne se rencon-trant presque jamais dans le premie
r du traitement, donne lieu à des cicatrices difformes. Toutefois, le cas échéant, la perforation suivant le moyen que nous
re par la canule portée sur son mandrin, M. Pécot a proposé. dans les cas où l'on éprouve de l'obstacle à rétablir le traje
er l'étendue; elle exige le séjour d'une canule hors de portée, et en cas d'esquille ou de carie il serait très difficile d
us avons indiqué, etdontla situation permet une nouvelle opération en cas d'insuccès. 3° Trajet artificiel dans la direct
l dans la direction du canal naturel. Procédé de Dupuylren. Dans un cas d'imperforation du canal nasal, Dupuytren conçut,
e il fit cicatriser la plaie. Aucun accident n'est survenu. — Pour un cas qui lui a paru semblable, M. Malgaigne a pratiqué
érieur. Divers procédés ont été mis en usage pour y remédier. Dans un cas d'oblitération double J.-L. Petit a rétabli par l
er par l'expérience quel est le meilleur moyen à employer pour chaque cas déterminé, i ° Pour la tumeur lacrymale avec simp
en, suivant le trajet normal, est préférable aux autres; mais dans le cas où il paraîtrait inapplicable, la perforation de
ion chronique par hypertrophie vasculaire de la conjonctive; c'est le cas le plus or-dinaire ou l'ectropion proprement dit,
hors : 2° le raccourcissement de la peau par une cicatrice vicieuse ; cas plus rare , mais où la perte de substance rend la
u et même le cartilage tarse ont subi un allongement. Dans le premier cas , on emploie l'excision simple de la conjonctive;
par le secours de la chirurgie : imparfaite-ment guérissable dans le cas où elle dépend d'une paralysie complète du muscle
diminution de la contractilité du muscle élévateur. Dans ce der-nier cas , divers moyens sont employés suivant le degré de
des ciseaux droits. Pour plus de sûreté il vaut mieux, dans tous les cas , enlever un peu plus des tégumens qu'un peu moins
our de bande circulaire. Procédé de M. Hunt (fig. 9 et 10). Dans le cas de paralysie de l'élévateur de la paupière supéri
tes agglutinatives (pl. 5, fig. 8). Ce moyen ne convient que pour les cas les plus légers, où l'entropion, encore récent et
r l'introversion delà paupière, l'effet désirable est obtenu. Dans le cas contraire, procéder à une nouvelle application en
ils sur la pau-pière elle-même, l'emplirait le même effet. Dans les cas les plus légers, les cathérétiques peuvent rempla
iner s'il reste encore une introversion du bord palpébral et, dans le cas où ce phéno-mène persiste, pratiquer une excision
ngénialc et constitue l'imperforation de la fente palpébrale. Dans ce cas les parties sont accolées par une membrane mince
iddlemore n'enlève le sommet qu'autant qu'il est très opaque; dans le cas contraire, pour ne pas irriter la cornée ou l'aff
acuer des liquides purulens dont l'o-pacité nuit à la vision dans les cas d'iritis et d'hydato-capsulite. i° Ponction de
reil cristallinien, déplacé ou hypertro- 1 Voyez divers exemples de cas cités, pl. 8. t. vu. phié, s'applique immédiate
ces, la cataracte devient ou branlante ou luxée.C'est dans ce dernier cas que peut survenir son abaissement spontané. Cir
Toutefois, quoique l'art possède un certain nombre de succès dans ce cas , le plus grand nombre des chirur-giens se rangent
s opérations sur l'œil, lorsque le chirurgien est ambidextre. Dans le cas contraire, et s'il opère sur l'œil droit, le chir
autres chirurgiens. Enfin deux aides sont nécessaires : l'un, dans le cas ordinaire d'am-bidextrie, placé en arrière du mal
ent modifiée : il n'y a plus lieu de songer à la dépression; c'est le cas de pratiquer le broiement en dispersant les fragm
et le rame-ner dans la chambre postérieure, si c'est possible; 20 en cas con-traire, lehacher enfragmens dans sa nouvelle
in est dur et ossifié, c'est-à-dire impropre à l'absorption, c'est le cas impérieux de changer l'opé-ration commencée de l'
dans ces derniers temps par un oculiste ambulant, M. Bowen, pour les cas de cataracte purement capsulaire, elle forme la b
ssant sur leurs devan-ciers, veulent qu'il soit applicable à tous les cas ; mais ce pré-cepte est rejeté avec raison par les
n ou broiement. Toute aiguille à cataracte peut servir; néanmoins, le cas prévu à l'avance, celles qui ressemblent le plus
nd la nature de la cataracte n'a pas été reconnue à l'avance. Dans le cas contraire, l'indication est d'opérer par kératony
on. Indications. La kératonyxis s'applique exclusivement à tous les cas de cataracte molle, où il est impossible de songe
antérieure; et l'extraction, qui ne serait en quelque sorte, dans ce cas , qu'une évacuation, exposant, sous la pression né
omme le fait observer avec raison M. Rognetta, chacun agit suivant le cas , et comme il peut. L'essentiel est de parvenir à
ion. Si le cristallin est trouvé trop dur pour être di-visé, c'est le cas de pratiquer l'abaissement. L'aiguille étant re-t
e morceler et l'extraire par lambeaux, etc., compliquent, suivant les cas , dans la pratique, la marche de l'opération, et,
Lathyrion. Ali-Abbas, en parlant des deux méthodes, établit déjà les cas dans lesquels ou doit préférer l'une à l'autre. L
1748, il témoigne de cent quatre-vingt-deux succès sur deux cent six cas d'opération. Toutefois l'appa-reil de Daviel, tro
ns destinés à écarter, élever ou abaisser les paupières. Toutefois le cas échéant où les doigts ne suffiraient pas pour éca
e forme avec lui qu'un même instrument; 4° comme pré-voyance pour les cas exceptionnels, une pince fixe pour saisir les déb
ion ordinaire générale-ment usitée comme répondant à presque tous les cas . kératomie inférieure (planche 9). L'ouvertur
la section de la cornée trop étroite , accident assez commun dans les cas de section impar-faite , où elle a été taillée en
tion trop considérable de l'humeur vitrée. A la vérité on connaît des cas nombreux où la sortie d'une certaine quantité de
rps vitré, inévitablement suivie de la perte de l'œil.Enfin, dans les cas rares où l'œil, à l'état turgide, semble indiquer
ant avec une aiguille portée au travers de la pupille. io° Reste le cas , très rare, où le cristallin extrait laisse voir
déchirure et l'extraction avec l'érigne fine : il serait bon, dans ce cas , de ren-verser la tête en arrière, pour éviter, p
donné son nom. Indications et avantages. Employée d'abord dans les cas d'opa-cité du demi-cercle inférieur de la cornée,
s saillante et le corps vitré soupçonné de synchisis et enfin dans le cas d'ectropion sé-nile.En outre, applicable en elle-
cas d'ectropion sé-nile.En outre, applicable en elle-même à tous les cas de kérato-mie , son adoption comme procédé généra
rnée est opaque ou altérée d'une manière quel-conque. Dans les autres cas , par ce procédé on a l'avantage de moins exposer
n cornéale rend cette opéra-tion inapplicable dans un grand nombre de cas , et doit la faire accepter seulement comme une mé
r permettre l'issue facile du cristallin. Si cependant, dans certains cas exceptionnels, on devait en venir à broyer le cor
ent pas eu l'idée, beaucoup plus simple, de per-forer l'iris dans les cas d'oblitération congénialc de l'ouverture pupillai
ultérieurs n'ont plus fait que perfectionner ou combiner, suivant les cas , ces méthodes fondamentales , d'où dérivent tous
amentales , d'où dérivent tous les procédés actuel-lement en usage. cas d'indication. A. Relativement à l'iris : 1° l'a
ence très fréquente de l'iritis syphi-litique (Weller). Dans tous ces cas la cornée peut conserver toute sa transparence, l
es yeux, choisir une saison tempérée, le printemps ou l'automne. — 3" Cas simples, lieu d'élection d'une nouvelle pupille,
erne de l'œil, qui conduit inévitablement au strabisme. Dans tous ces cas il faut, pour être serviable, que la nouvelle pup
cette largeur la vision est faible, au-dessus elle est confuse. — 5° Cas compliqués. Quand la cornée est opaque dans une g
blitérer. Pour éviter l'inci-sion de la cornée, M. Montait!, dans ces cas , a proposé ses ci-seaux-aiguilles, qui n'ont pas
ité et que l'incision de l'iris décollé soit elle-même, dans tous les cas , facilement pratiquée sans que la pression nécess
PILLE NATURELLE (pl. 11, fig. i4). Créé par M. Langenbeck pour un cas où la pupille normale; était interceptée par une
tous les autres; chacun d'eux possède une valeur relative à cer-tains cas déterminés. Leur appréciation ne saurait donc se
ent contre-indiquée (Weller). B. Excision. Préférable dans tous les cas simples. Mais si la cornée n'est transparente que
qu'il permet d'en opérer l'abaissement avec facilité. Dans les autres cas le procédé de M. Langenbeck mérite la préférence,
tion très rationnelles elle trouve sou application exclusive dans les cas tic taches cen-trales de la cornée avec intégrité
ratique avec un emporte-pièce ou une espèce de trocart. Dans les deux cas , on commence par engourdir la sensibilité du lobu
sines. Procédé de M. Dieffenbach. Tenté par lui avec succès dans un cas de perte de substance, siégeant à la partie posté
ns contredit le nitrate d'argent employé par Lcscheviu. Dans tous ces cas on devra également avoir re-cours à l'emploi des
L'ouverture qui en résulte suffit pour rendre immédiatement, dans le cas de succès, l'ouïe au malade, mais elle tend bient
déviation de la cloison nasale. La sonde dont on fait usage dans ce cas offre une courbure plus considérable que celle du
. Vei-peau propose la cautérisation avec le nitrate d'argent dans les cas d'obstruction de la trompe par un engorgement phl
chement de pus supposé dans les cellules mastoïdiennes. Mais, dans ce cas , si le pus ne peut être évacué par la trompe d'Eu
à tenter la trépa-nation des cellules mastoïdiennes; clans tout autre cas elle doit être rejetée. Le lieu où correspondent
ssible la tension du tympan et sa vi-bration aux ondes sonores. Les cas qui réclament l'emploi des manœuvres opératoires
e entre la cloison et l'apophyse montante de l'os maxillaire, sauf le cas d'inclinaison anormale ou de destruction morbide
but de raccoutrer un ne/, mutilé que d'en former un nouveau. Or deux cas peuvent se présenter: tantôt il y a une perte de
e elles et d'improviser des modifications pour répondre aux différens cas qui se présentent. tumeurs du nez. Les tumeur
u'il convient le plus souvent de les combiner entre elles. Pour les cas de simple resserrement, pratiquer, à l'aide du bi
eure, et en exciser les bords si on le juge convenable. Dans tous les cas maintenir les ouvertures béantes, jusqu'à par-fai
it accidentelle-ment soit pour simuler une maladie; Deschamps cite un cas de cette nature, et nous en avons vu de semblable
trois semaines, avant que l'on soit parvenu à l'expulser : tel est le cas du phar-macien Lalouette, et tel un autre rapport
elà du voile du palais et orr la ramène dans la bouche. Dans les deux cas on attache à l'extré-mité buccale de l'instrument
deux narines, on pratiquerait le tamponnement douhle. Enfin, dans les cas où, les tampons étant trop volumineux, le malade
des usitées de nos jours mais distinguaient encore avec précision les cas dans lesquels tel ou tel procédé mérite d'être pr
chirurgien d'Avignon, pro-pose de fendre le voile du palais, dans le cas où le polype est si-tué tellement en arrière qu'o
Sacchi et P. de Marchettis reviennent au cautère actuel, et, dans un cas , ce dernier en réitère l'appli-cation pendant vin
ation, qui doit être réitérée à plusieurs reprises, et, dans certains cas , l'a été chaque jour, pendant plusieurs semaines,
et de la possibilité d'y atteindre. Ces préliminaires, dans tous les cas , sont toujours indispensables, puisqu'ils servent
diagnostic, et font juger si l'opéra-tion est praticable, ou, dans le cas contraire, de la méthode et du procédé opératoire
, Manne et Levret, les chirurgiens t. VII. de nos jours, dans les cas rares où ils Croient devoir traiter le polype par
ent tranchant. Si l'opération se fait par l'une des narines, c'est le cas de pratiquer l'excision avec un bistouri boutonné
ou pinces à polypes, dont on doit disposer plusieurs paires pour tout cas échéant, à mors plats, denticulés ou fenêtres, à
droits et boutonnés, des ciseaux plats et courbes; en outre, pour le cas d'hémorragie, un porte-caustique (fig. 12), de la
ité de l'instru-ment dans les mouvemens de torsion ; ou bien c'est le cas de porter par la bouche ou de faire porter par un
tenettes pour tâcher d'enlever toute la tumeur par fragiuens. Dans le cas où l'étroitesse de la narine apporte un double ob
crâne (Hoffmann), et en général dans toutes les directions. Pour ces cas embarrassans, et afin d'éviter la résection même
meur par fragmens alternativement par Tune et l'autre narine. Dans un cas semblable, M. Chaumet de Bor-deaux est parvenu ég
onner le temps au malade de respirer et reprendre un peu de calme. En cas d'hémorragie, toute manœuvre doit être interrompu
nt plus considérables, on ne peut cependant se dissimuler que dans le cas même où il serait possible de ne laisser aucun ru
t toujours aux points dont l'accès est le plus facile; mais, dans les cas où elle serait applicable, il semble, surtout si
nsidérer comme véri-tablement curative; mais son emploi est borné aux cas où la racine du polype est accessible à la vue et
néralement employés, en ce qu'ils s'appli-quent à peu près à tous les cas : le premier pour les polypes voisins de la narin
ssez loin dans le diploé de cet os, au point d'arriver, dans certains cas , jusqu'à l'apophyse orhitaire externe. Une cloiso
s saisir et de les extraire (Heister) : c'est donc seulement dans les cas où le sinus ne communique plus avec les narines,
L'orifice naturel était en effet oblitéré comme cela arrive dans les cas de rétention. La sonde une fois introduite fut ma
faire pénétrer la sonde dans le sinus. Mais remarquons (pie dans les cas de distension du sinus maxil-laire son orifice es
-seuse peu résistante qui forme la paroi interne du sinus. Ce dernier cas rentre, comme nous le verrons, dans les procèdes
ide du trocart de Richter ou du trépan perforatif de Desault. Dans le cas d'ou-verture insuffisante, Zwinger a dilaté l'alv
sur la paroi la plus déclive du sinus, doit être pré-férée clans les cas d'hydropisie ou d'abcès, et lorsque le sinus n'es
, du perforatif ou de la tré-phine, il est plus simple, comme dans le cas précédent, de se servir d'un fort scalpel fixé su
n longeant l'apophyse montante de l'os maxillaire. Du reste, dans ces cas on s'inspirerait principalement des conditions an
il existe une fistule buccale qu'il suffira d'agrandir. C'est dans un cas semblable que Ruffel eut l'idée d'introduire par
. Cette méthode peut être employée comme exceptionnelle dans certains cas d'oblitération simple, sans distension du sinus;
s cas d'oblitération simple, sans distension du sinus; mais, hors ces cas , la difficulté qu'on éprouve d'agir dans une foss
Témoin de retards de trois se-maines à un mois apportés dans certains cas à la cicatrisation, suivant son opinion par la pr
res après des ulcérations, surtout pour cause de brûlure : tel est le cas d'un meunier, rap-porté par Horstius; tels sont é
fice, pratiquer une fente buccale d'une longueur convenable. Dans les cas d'atrésie congéniale il est supposable que , la r
ée par Bondi n'a pas été plus heureux. A la vérité Dé-marque cite des cas où l'orifice buccal artificiel s'est conservé. To
ifs seuls; toutefois la plupart des chirurgiens, précisément clans le cas de perte de substance, ont senti la nécessité d'a
comme auxiliaire de la su-ture; et encore ce n'est guère que clans le cas où la perte de sub-stance ayant été considérable
succion. Roonhuysen, Ledran, Bayle, Busch et M. Bonfils ont cité des cas où l'opération avait parfaitement réussi sur des
sont convenablement faites : reste l'application du bandage pour les cas où la tension des lambeaux serait trop forte. 2
et peu saillant, ou que sa largeur est considérable. Dans le premier cas on peut l'exciser en entier, ou du moins ne conse
vergent en haut vers les narines (fig. 7) ou sont parallèles. Dans le cas , au contraire, où le tubercule est étroit ou bien
, Levret, Richter, B. Bell, Lapeyronie, Desault et A. Dubois. Dans un cas rapporté par Gérard, cette fente, qui avait un tr
s en 1825 la compression sur les arcades alvéole-dentaires. Dans le cas le plus ordinaire, où existe un tubercule osseux
ompression, exercée à demeure pendant dix-huit, jours, suffit dans un cas pour ramener le tubercule in-cisif de niveau avec
conçoit qu'un pareil résultat ne puisse pas être obtenu dans tous les cas , lors même que l'on y emploierait quelque moyen d
de Dupuytren. Le but que s'est proposé ce chirur-gien, applicable aux cas assez ordinaires où le tubercule labial est forte
dage. La consolidation s'est effectuée en peu de temps. Dans un autre cas M. Champion a eu recours au même moyen, et il a p
u'il s'était borné à redresser. Soins consécutifs. Quel que soit le cas , l'opération terminée, le malade doit être laissé
de Platner, sucent et avalent le sang dans une quantité qui, dans des cas rapportés par J.-L. Petit et Bichat, a été assez
rit entre trois incisions une perte de substance obligée qui, dans ce cas , se trouva de forme quadrilatère, et disséqué un
ouveau point de suture qui donne une commissure artificielle. Dans ce cas la surface tic la lèvre inférieure, dépourvue for
u inodulaire. C'est tout ce que l'on puisse exiger de l'art en pareil cas . (d) Cancer de la lèvre inférieure avec prolong
un orifice formé par la chute naturelle des in-cisives. Dans d'autres cas l'affection n'est encore qu'une striction ou une
te de longues flegmasies et de destructions syphilitiques. Un dernier cas , qui est plus ac-cessible aux secours de la chiru
tenir l'écartement des mâchoires. i0 Coins dilatans. Tenon, dans un cas où les mâchoires pou-vaient à peine s'écarter de
re pratiquée immédiatement comme l'ont opérée, avec succès dans trois cas semblables, MM. Delaserve, P. Portai et Bégin; ma
ent M. Gensoul vient de mettre en doute ce résultat, et croit que les cas de succès rapportés aux fistules du conduit de St
a glande parotide elle-même. (c) Compression. Maisonneuve , dans un cas de plaie récente par un coup de sabre à la joue,
ificiel. Cette méthode n'est applicable rigoureusement que dans les cas où la portion antérieure du canal naturel est obl
e que des fongosités se for-maient dans le canal artificiel. Dans les cas où le rétrécissement tendait à s'effectuer, il la
é comme dangereux pour la glande, Rien ne prouve en effet que dans le cas de Maisonneuve la giiérison n'ait pas été obtenue
urs sont assez efficaces pour l'objet qu'ils ont à remplir suivant le cas . La suture entortillée réussit très bien si le ca
nvoie profondément dans diverses directions des prolongemens dont, en cas de dégé-nérescence, il est à craindre que l'aband
mais qu'il s'est assuré n'être pas la glande parotide. Dans un autre cas , où le malade a guéri, il n'y avait eu d'enlevée
C'est àSiébold, en 1781, puis en 1796, que l'on rapporte le premier cas d'extirpation réputée complète de la parotide. De
ooper et M. Ilendriks auquel on doit cinq faits de guérison. Mais les cas d'insuccès sont survenus à des chirurgiens non mo
(1826), V. Mott et plusieurs autres. En résumé, sur environ quarante cas rassemblés par M. Velpcau et dont il a consigné l
ingt-cinq guérisons et de dix à quinze morts, sauf peut-être quelques cas douteux de récidive. En masse, ces résultats ne s
ou moins complète, toujours est-il que, dans le plus grand nombre des cas avérés, au dire des assistans elle a porté très p
l'environner d'une anse de fil pour être en mesure de la lier dans le cas où une hémorragie foudroyante surviendrait pendan
indispensable qu'un aide intelligent se tienne prêt à com-primer, le cas échéant. Le malade est couché sur un plan incliné
mes, des pinces incisives et autres insti'iimcns de résection pour un cas de cancer où l'on craindrait que la maladie n'eût
cre : nous ne voyons pas pourquoi on couperait, un gros nerf dans les cas où il n'existe pas de paralysie complète avant l'
aralysie n'est survenue que chez quelques malades. Au'restc, pour ces cas irréguliers il est presque impossible d'établir d
séparer. D'après M. Velpeau, l'absence de cette précaution , dans un cas survenu à M. Bégin, aurait eu pour conséquence un
erne, la pharyngienne inférieure, l'occipitale et même, dans quelques cas où l'on descend très bas, la faciale et la lingua
ment suffit pour l'arrêter. L'opération terminée, comme dans tous les cas d'extirpation de tumeurs avec dégénérescence il f
ident le plus commun est la paralysie d'une moitié de la face dans le cas où l'on n'a pu éviter la section du nerf facial.
upérieur, et ceux de la langue à son bord inférieur, cette glande, en cas de dé-générescence, fai t souvent une tumeur comm
une tumeur commune avec la parotide : mais si elle est seule malade, cas dans lequel elle se trouve ordi-nairement englobé
elle embarrasse ou empêehcles mouvemensde la langue, et dans certains cas elle peut aller jusqu'à gêner la respiration (F.
'obtenir l'inflammation adhésive des parois de la cavité, qui dans ce cas ne serait considérée cpie comme un kyste non sali
sage de ce moyen, et M. Laugier a fait connaître un certain nombre de cas du même genre. L'application du séton ne diffère
pré-férée, la nécessité de l'extirpation n'étant admise que pour les cas où l'on a affaire à une tumeur lymphatique ou aut
conduits salivaires. MM. Lasserve et Verhnes ont fait connaître deux cas de ce genre. M. Verhnes guérit son malade par une
nines, que l'enfantsuce le sang etl'avale à mesure. On cite plusieurs cas , où des enfans seraient ainsi morts d'hémorrhagie
s un laps de temps de quelques jours à plusieurs semaines suivant les cas ; mais la difficulté con-siste à empêcher de nouve
ment l'ablation d'une portion plus ou moins étendue ou même, dans les cas les plus graves, de la totalité de la langue. D'a
tion. 2° Incision et dissection. Ce procédé convient dans plusieurs cas . (a) Si la maladie est une tumeur enkystée, compr
les opérations pratiquées par divers chirurgiens, qui ne sont que des cas spéciaux, dans un même procédé. Manuel opératoi
er de la partie postérieure de la langue, (a) Cancer latéral. Dans un cas où un ulcère cancéreux partiel était situé sur le
us graves. Si on pouvait se permettre d'établir des préceptes pour un cas sem-blable, une première incision pratiquée en de
e comme complément et sauf toute ré-serve, sentant bien que, pour ces cas exceptionnels, c'est à la prudence du chirurgien
nt à une ablation par la ligature en guise de l'instrument tranchant, cas auxquels se rapportent les procédés de MM. Mayor
uant de vivre par les anastomoses avec la moitié saine. Mais, dans un cas où toute la partie antérieure de la langue était
, r. vn. absolument incurable, nécessite une ablation , et, dans ce cas , puisque, par expérience, l'hémorrhagie est peu
e mousse. 3. Divi-sion complète de la voûte palatine. Dans ce dernier cas , la scissure des os et des parties molles, est co
nt même elle s'étend aussi à la lèvre supérieure, en sorte qu'un même cas peut réclamer deux opérations différentes, en ava
ie, qui se transforme en staphyloplasti-que et uranoplastique dans le cas de perte de substance. STAPHYLORAPHIE. (Pl. 22.
, Velpeau et principalement M. Roux lui-même, qui compte près de cent cas d'opérations. Considérée en elle-même, la staph
e peut, qu'avec la main , on doit reconnaître néanmoins qu'il est des cas où l'action des instrumens est indispensable; et,
t aussi des moyens de perforation , et peuvent recevoir dans tous les cas analogues d'heureuses applications. Enfin, M. Ler
uds donl nous avons parlé plus haut. STRAPTIYLOPLASTIQUE. Dans le cas où une perte de substance trop considérable rend
omme à l'ordinaire, par des sutures. Ce procédé,qui répond à tous les cas , estpréférable aux deuxautres, enceque,sans chang
r rapprocher les bords par l'allongement des tissus. 2° Dans un autre cas M. Krimer aurait taillé de chaque côté, paral-lèl
d'eux-mêmes avant d'avoir opéré un décollement un peu étendu. En tout cas , il suffit d'une légère piqûre pour en procurer l
la forme et le volume de la petite tumeur pouvant exiger, suivant le cas , certaines modifications. L'essentiel est que les
es : l'in-cision pour les abcès, et l'excision ou l'ablation dans les cas d'hy-pertrophie ou de dégénérescence. abcès des
isons communes de l'angine tonsillaire. Ici, comme dans tant d'autres cas , la chirurgie a inventé bien mal-à-propos, pour d
liatif, et ne convient que pour produire un dégorgement dans certains cas où on peut croire qu'il n'existe qu'une turgescen
le dernier, Morand s'en était servi en guise de cathérétique dans les cas d'induration commençante. Dans ces derniers temps
imple-ment avec une sonde, si la tumeur étaitpédiculée; mais, dans le cas oùelle avait une large base, il la traversait pré
, l'inconvénient de n'agir que d'une manière déterminée dans tous les cas , et ne permet pas de poursuivre un prolongement d
elle, qu'autant que, l'on peut compter po-sitivement sur lui. Dans le cas contraire, on a recours à l'un des moyens indiqué
nière à enlever sans désemparer toute la masse de la tumeur. Dans les cas de simple hypertrophie, il suffit, pour le résult
avec des pinces sur une boulette de charpie; mais le plus sûr de ces cas , comme dans les hémorrhagies saccadées produites
ge pour ne pas blesser la langue et les parois de la bouche. Reste le cas malheureux où un chirurgien inexpérimenté ou inat
ou inattentif au-rait blessé l'artère carotide, comme on en a vu des cas cités par Tenon, Burn, Béclard et Barclay. L'hémo
tiquer immédiatement la ligature de la carotide primitive. On cite un cas semblable survenu chez une femme que M. Champion,
s cette vague dénomination. Outre F hypertrophie du tissu thyroïdien, cas le plus ordinaire et le plus simple, le goitre pe
ulente, l'indication est de la vider par ponction, mais dans tous les cas où le tissu en est solide, il faut avoir recours
derniers temps, on l'a fréquemment employé, et on a pu déterminer les cas dans lesquels il est applicable. Le séton, en thé
r est formée par des matières liquides ou diffluentes. Dans les trois cas de guérison obtenus par Addisson, la maladie étai
it que cette mé-thode pourrait avoir les plus grands dangers dans les cas de dégé-nérescence cancéreuse ou fongueuse, malgr
se ou fongueuse, malgré l'opinion contraire exprimée, pour ce dernier cas , par M. Quadri. Tout au plus pour-rait-on en essa
s l'ensemble de ces faits, M.Velpeau pense, avec raison, que dans les cas de simple hypertrophie, de fongus hématodes et de
éviter l'extirpation, toujours beaucoup plus grave, surtout dans les cas de dégénérescence vasculaire. Ligature en masse
ui portail un cancer, n'éprouva aucune amél ioration. Dans les deux cas la ligature fut pratiquée, d'après la formule gén
n œuf. Mais M. Mayor, parle nombre de succès qu'il a obtenus dans des cas très graves, et par la manière dont il a formulé
d'un mois, fut délivré d'une tumeur du volume d'une orange. Un second cas qui s'est présenté chez un jeune homme de vingt-e
la ligature a suffi à elle seule pour obtenir des guérisons dans des cas où il semblait que l'extirpation seule pût être a
bre de succès pour figurer désormais dans la médecine opératoire. Ses cas d'indication sont tous ceux où l'on peut employer
es, enkystées ou disséminées, constituaient la maladie dans plusieurs cas sui-vis de guérison, obtenus par MM. Rey et Laugi
, quelquefois variable dans les divers points de son étendue. Dans un cas vague, de ce genre, opéré par M. Bégin, une premi
inent. Extirpation. Appliquée au corps thyroïde comme dans tous les cas analogues, à l'orbite, à la glande parotide, aux
s déliés qui environnent la tumeur. En effet, ici comme dans tous les cas graves d'extirpation, dont nous avons eu à nous o
ocumens les plus authentiques, on trouve presque toujours, que si les cas de succès et de revers semblent à-peu-près se con
ication ou récidive, rentrent pour la plus grande proportion dans les cas malheureux. C'est ce vague, inévitable dans l'app
malade est mort d'hémorrhagie. Pareil résul-tat est survenu dans des cas cités par Palfin, Percy, Gooch et chez un malade
ont succombé à diverses causes. D'un autre côté si l'on consulte les cas heureux, Peckel, Ravaton, Vogel auraient compté
aurait été obligé de lier la carotide. Enfin on relaterait parmi les cas dou-teux, ceux rapportés parTbeden, Freytag, Desa
lambeaux s'ils sont sains pour mettre à découvert la tumeur. Dans le cas où les tégumens et les muscles superficiels sont
ec succès; il en est de même de M. Ilédénus qui compte déjà plusieurs cas deguérison. lia méthode de ce chirurgien diffère
s l'hypertrophie et les tumeurs sanguines, la ligature dans les mêmes cas et enfin dans les circonstances les plus graves,
artificielle, à l'aide d'une sonde introduite parle la-rynx, dans les cas d'obturation de la glotte, pour cause d'œdème ou
ndre librement, c'est une preuve assurée qu'elle est dans l'œsophage, cas auquel il faut la remonter et recommencer une nou
es manœuvres la succession régulière des deux temps respiratoires. En cas d'asphyxie, il s'y joint, pour rétablir la circul
us abandonnons ces détails et les autres moyens auxiliaires en pareil cas , comme n'étant plus de notre sujet. Telles sont
u'une plus grande quantité d'air circule dans les poumons. Dans les cas d'angine et d'œdème de la glotte, tout danger ces
alement sur les parois. Disons enfin, comme dernier mot, que dans ces cas aussi la bronchotomie est bien préférable au simp
ces sur des chèvres. Rhazès va jusqu'à conseiller l'opération dans le cas de mort imminente, mais aucun d'eux n'ose la prat
F. d'Aquapen-dente parvient à en faire admettre la nécessité dans les cas les plus urgens. Indications. La bronebotomie e
s urgens. Indications. La bronebotomie est applicable dans tous les cas où un malade est menacé d'asphyxie par un obstacl
d'asphyxie par un obstacle mécanique quelconque à la respiration. Les cas dans lesquels on en a fait usage sont des plus va
s voies aériennes. C'est à-la-fois l'in-dication la plus positive, le cas d'application le plus ordinaire et celui pour leq
ne aiguille, un petit morceau de bois ou de métal, etc. Dans d'autres cas , le corps étranger est le produit d'un accident t
uivi leur exemple. Toutefois les avantages de cette opération dans ce cas , étaient restésun sujet de doute jusqu'en 18a5 qu
asses de tubes membraniformes et à guérir ses malades. Dans plusieurs cas , vers la fin du traitement, il a pu employer avec
ent (Gaz. méd., juin 184' ) M. Maslieurat, cjui vient de publier deux cas de guérison. Si l'on consulte les résultats, M. B
, et M. Trous-seau , vingt sur environ soixante. C'est, dans les deux cas , une guérison sur trois opérations. Ce chiffre st
e contre-indication. La plupart de ceux qui ont guéri étaient dans ce cas . Ainsi donc, sans se laisser décourager parla sit
ction des chirurgiens : de simples scarifications suffiraient dans ce cas pour livrer un passage suffi-sant à l'air. D'ap
a langue, suffisent également pour en obtenir l'affaissement dans les cas de brusque turgescence inflammatoire , portée jus
oile du palais, où l'opération a été pratiquée par M. Burgess dans un cas de brûlure. Vangine œdémateuse est au nombre de
opération a réussi une fois à MM. Pur-don et C. Broussais, et dans un cas cité dans le journal complé-mentaire; deux fois à
bert et Vel-peau; deux fois à M. Regnoli, et une à M. Senn, clans des cas d'épaississement de la membrane muqueuse du laryn
, et doit enhardir les chirurgiens à en tenter l'emploi dans tous les cas où elle est indiquée. 4° Maladies du larynx. Le
t affecté de gangrène de l'épi-glotte; et nous avons déjà signalé les cas de rétrécissement traités avec succès par MM. Sen
MM. Trousseau et Amussat, dans les essais qu'ils ont tentés dans des cas de phthisie laryngée tuberculeuse, s'ils n'ont pa
n volume, une cause de suffocation qui nécessite la bronchotomie. Des cas de ce genre n'ont besoin que d'être indiqués. M
lle conduite de ce dernier chirurgien doit servir d'exemple en pareil cas . Voyant son malade menacé d'asphyxie, M. Roux eut
rcep-tible à l'extérieur, suivant l'observation de M. Namara. Dans ce cas , il vient s'offrir de lui-même dans la plaie par
e pas risquer de le dégager ou de l'enfoncer plus avant. Mais dans le cas où le corps étranger est engagé si profon-dément
mment maintenues par les bandelettes agglutinatfves. Enfin , reste le cas où l'on n'a pu découvrir le corps étranger; le pr
demeure. L'énoncé de ces indications suffit pour indiquer dans chaque cas le choix de la méthode à suivre. Pour agir dans l
la préférence qu'on lui accorde sur les autres méthodes dans tous les cas où l'on peut choisir. BRONCIIOPL ASTIQUE (Pl. 2
la plaie contraire à celle des plis de flexion du cou. Dans un autre cas , M. Felpeau eut recours au procédé de Jameson, qu
it reproduite, qui disparut par un nouveau point de suture. En pareil cas , pour se conformer au précepte que les bords de
ice gastrique ou cardiaque. Une autre observation importante, dans le cas où une sonde doit pénétrer jusque clans l'estomac
malade, au lieu du doigt, qui pourrait être mordu violemment dans ce cas , on dirige l'instru-ment avec un fort stylet ou u
duction de la sonde par la narine celle par la bouche, sauf, dans les cas où il est nécessaire de laisser l'instrument à de
de opératoire, beaucoup plus facile, doit être préféré clans tous les cas ; il est même le seul qui permette l'introduction
ures varient suivant le motif qui a nécessité l'opération. Les autres cas devant se présenter plus loin , il ne s'agit ici
a déglutition , soit pour évacuer artificiellement l'estomac dans les cas d'empoisonnement ou d'in-digestion , lorsque le m
sque le malade ne peut vomir. i° Déglutition artificielle. Dans les cas de rétrécissement orga-nique de l'œsophage, ou ap
la pâte chymeuse et diviser ou dissoudre les substances vénéneuses en cas d'empoisonnement. C'est une simple dégluti-tion a
ssement de l'œsophage les divers modes de traitement usités en pareil cas pour les autres canaux muqueux : le cathétérisme,
nature de la maladie, suivant qu'elle est plus ou moins curable. Les cas simples de coarctation ou de rétrécissement local
ppliqué avec succès aux rétrécissemens de l'œsophage. Mais dans quels cas ? D'après le bon sens d'accord avec le témoignage
ement le diagnostic, l'opération étant contre-indi-quée dans tous les cas de dégénérescence où l'on doit se borner à essaye
t sont différens suivant qu'ils sont ou non alimentaires. Excepté les cas où l'œso-phage lui-même est malade ou comprimé pa
u se trouve accidentellement dans un état spasmodique. Mais, dans ces cas , le corps, par sa nature digestive, s'amollit un
s et des perforations de l'œsophage et des organes voisins. Outre les cas très nombreux d'accidens divers, rapportés par le
uand ces essais sont infructueux, on procède au cathétérisme. Pour ce cas spé-cial , Albucasis employait un mandrin de plom
ge et de le chasser de ce canal. Si l'on ne peut y parvenir, c'est le cas d'employer les instrumens préhen-seurs. 2" Inst
it et anguleux, irrite violemment les parois du canal ; c'est dans ce cas , surtout, que la présence d'une sonde à l'inté-ri
volume, la dureté, la forme de ce corps variant dans presque tous les cas . S'il est éloigné de la plaie, on essaie de le re
rce que le cancer revient toujours. Albucasisdit n'avoir jamais vu un cas de guérison sou-tenu, ce qui prouve néanmoins que
qui prouve néanmoins que les chirurgiens arabes, si ti-mides dans des cas moins graves, pratiquaient volontiers cette opéra
Enfin , de nos jours, Monro n'a vu que quatre guérisons sur soixante cas d'extirpations; Boyer qu'un petit nombre sur cent
evers, et avant lui, Hill n'en compte que douze sur quatre-vingt-huit cas . Que prouvent ces allégations contradictoires exp
ancéreux guérit quelquefois ; mais que, dans le plus grand nombre des cas , il y a récidive. C'est ce que tout le monde sait
tiel, mais souvent difficile à résoudre, est de déterminer dans quels cas l'opération est justi-fiable et dans quels autres
la santé générale n'est pas trop gravement al-térée, puisque dans ces cas , des guérisons confirmées pendant une suite d'ann
u, et il faudrait dire par presque tous les chirurgiens exis-tans. Le cas de récidive même, après plusieurs années, peut en
é les malades bien avant le terme où elle s'est reproduite. Les seuls cas où l'opération doit sagement être proscrite, sont
à chaîne, en un mot, les instrumens propres aux résections, dans les cas où il est pro-bable que les côtes sont altérées.
our être à même d'enlever des végétations qui se formeraient. Dans le cas con-traire, on réunit par première intention, mai
r une nouvelle. Quelques praticiens em-ploient de préférence, dans ce cas , les caustiques ; le plus prudent est peut-être d
l et au toucher dans les tissus. C'est donc en particulier dans les cas simples, où la maladie est bien circonscrite, que
être utile cpiand la peau est abondante, il est évident que, dans le cas contraire, les bandelettes lui sont bien préférab
réduit la plupart de ces derniers à une simple valeur théorique. Les cas de lésion d'une artère intercostale les mieux con
ains , mais qui, par cela même qu'ils se rencontrent, constituent les cas les moins graves, sont le jet saccadé du sang au
. La double plaque de Lottery, le jeton de Quesnay, sont dans le même cas , et offrent en outre l'inconvénient île léser le
e qu'il nous semble, que de pratiquer la ligature. Voilà déjà pour un cas . Si la plaie est large, et que, par une exception
spérances et les mêmes craintes repa-raître tour-à-tour, sans que les cas dans lesquels l'opération doit être admise ou rej
n ou plusieurs foyers. Les anciens, pour poser le diagnostic dans ces cas , n'avaient d'autres indices que les signes génér
itération des vaisseaux et seulement aussi, dit M. Vel-peau, dans les cas où le sang non résorbé, devenu putride, menace de
soit arrêtée et la résorption reconnue insuffisante. Dans les quatre cas de guérison qu'il rapporle, la ponction fut prati
mes, Roc, Davies, Velpeau). Mais l'opération est justifiable dans les cas d'épan-chemens purulens à la suite de phlegmasie
ant contre-indi-quée si cette cause est grave. Toutefois il est des cas où la ponction pourrait être nécessaire, comme l'
revers dépend de la valeur du diagnostic et du pronostic pour chaque cas déterminé. Cette observation expli-que les jugeme
ccès qui ont été obtenus dans ces derniers temps. Négligeant donc les cas de succès rapportés par Bâillon, Marchettis, Diem
ffrant d'abord ceux recueillis par MM. Bullier etVel-peau : parmi les cas de guérison, Lefaucheux, Billeret, Au-douard , Fr
orfini, chacun un ; Martin, Roux, Larrey et MM. Guérard, deux, et les cas de ces derniers sont fort singuliers, les deux su
numérer, et plusieurs nouvelles guérisons opérées par M. Reybard. Les cas d'insuccès se répar-tissent de la manière suivant
faits contenus dans la thèse de M. Sédillot, qui, en retranchant dix cas de double emploi se réduisent à quarante dont tre
ur une somme de cent vingt-deux faits d'opération d'empyème, dans des cas variés, nous constatons quatre-vingt-six guérison
our deux insuccès. Enfin à l'extrême rigueur en tenant compte de cinq cas d'insuccès rapportés par M. Gimelle et de l'asser
avec succès sur un point quelconque. Toutefois, comme la dypsnée, en cas d'épanchement, exige comme plus habituelle la pos
nt circonscrit étant déterminée par l'auscultation , il n'y a dans ce cas , d'autre observation à faire, pour la ponction, q
, des linges, une mèche effilée, des pinces et des fils à ligature en cas de lésion d'une artère. Méthode par incision.
parvient, il ne s'agit que d'élargir au besoin l'ouver-ture. Dans le cas contraire, on divise encore plus profondément, ma
ine inverse de celle précédem-ment admise peut surprendre, et en tout cas nous paraît admet-tre une restriction. La conséqu
nt menace, il faut immédiate-ment boucher l'ouverture ; mais, en tout cas , il convient de n'é-vacuer approximativement que
ssi plus épais et ino-dore , c'est un indice de la guérison : dans le cas , au contraire, où le liquide s'altère, devient fé
généraux s'aggravent, indépendamment du traitement médical, c'est le cas , pour la plaie, d'avoir recours aux injec-tions p
qui diminue d'abondance et devient de meilleure nature. Dans tous les cas , dès que la mèche est établie à demeure, il faut
ecine opératoire, et comme s'il était également applicable à tous les cas sans distinction de la nature de l'épanchement, d
cations entraînent ces diverses considérations et com-ment , dans les cas particuliers, il peut être utile d'emprunter à di
uante et rentrant par la pression dans la cavité delà plèvre. Dans le cas de M. Cruveilbier, la tumeur se fit jour dans le
ions successives, les pratiquer à de courts intervalles , et, en tout cas , faire suc-céder à la ponction l'évacuation perma
me l'a fait avec avantage M. Récamier. M. Sédillot conseille, dans le cas où l'expansibilitédu poumon se fait attendre, d'é
ure est attribué à M. Larrey. On ne sait ce qu'il faut penser de deux cas anciens rapportés par Van-Swieten et Welse, et de
er positivement, comme nous l'avons vu plus haut pour l'em-pyème, les cas dans lesquels l'opération doit être pratiquée. Au
rée ou celle de sa sortie (Bagieu, Desport, Terrin). Dans le pi-emier cas , on rélargit la plaie s'il est besoin ; dans le s
traire il n'y a au-cune prise, les préceptes sont différons : dans un cas où une lame de couteau , brisée près de sa pointe
ient, ce que, du reste, il aurait tou-jours fallu faire dans tous les cas . Mais, au moins, après l'extrac-tion , la questio
jetée comme méthode générale, et elle ne convient guère cpie dans les cas où l'épanchement peu considérable existe chez des
chirurgiens admettent qu'il n'y a qu'un seul traitement dans tous les cas d'ascite, l'évacuation du liquide. Si l'hydropisi
favorisera l'action des autres moyens de traitement. Dans ce premier cas , on devra faire la ponction aussitôt que la colle
st assuré qu'il existe une hydropisie enkystée de même cpie clans les cas douteux, nous partageons l'avis de M. Malgaigne q
s à l'introduction d'un stylet mousse, pour extraire, dans le premier cas , les corps flottans qui font ob-stacle, et, dans
épend delà lésion d'un vaisseau des parois du ventre. Dans ce dernier cas , Petit-Radel conseille un moyen employé avec succ
obtenir les mêmes effets. Procédé de M. Baudens. L'observation d'un cas fortuit a fourni à M. Haudens l'idée première de
ommaire le procédé de M. Baudens, qui compte jus-qu'à ce moment trois cas d'application, dont deux suivis de succès. Ce chi
déterminer s'il est probable que ces adhérences existent, et dans le cas contraire, le premier objet de Fart est d'en prov
certains, qui aient la même valeur pour tout le monde. Ainsi donc, un cas étant donné d'une tu-meur du foie, dont, après co
par des armes àfeu, pénètrent dans l'abdomen. L'expérience en pareil cas prouve que ces corps étrangers, ou t. vu. sont
s digestives. Tout le monde connaît ces histoires consignées dans les cas rares où des épis d'orge , des lames de canif ou
des corps d'un volume , ou au moins , d'une longueur considérable. Le cas de ce genre le plus extraordinaire est celui rapp
semblent corroborer le précepte d'attendre. Pour-tant c'est dans les cas de ce genre qu'a été pratiquée la gastroto-mie. S
pportés par A. Paré, Graeger ( [613), Frisac, Beckher, on possède les cas plus récens rapportés par Cayroche (Bul. de la fa
traction de la cavité de l'estomac, d'une fourchette clans le premier cas , et d'une cuiller dans le second. Ces observation
rrons plus loin, il n'en reste pas moins douteux de savoir dans cpiel cas , ou plutôt s'il est des cas où cette opération es
te pas moins douteux de savoir dans cpiel cas, ou plutôt s'il est des cas où cette opération est suffisamment motivée. Se
eur, de telle sorte que le lieu de son gisement soit ignoré, c'est le cas de pratiquer l'opération sur le lieu d'élection,
viscère. Mais cette question ne nous paraît même pas raisonnable. Les cas où il est indispensable de pratiquer la gastrotom
otomie sont heureusement très rares, si même il y a véritablement des cas de nécessité autres que ceux où la vie du malade
eux où la vie du malade est en danger actuel ; c'est presque dire les cas où il existe déjà une péritonite qui rend fort in
igure en réalité dans les livres d'enseignement que pour mémoire, les cas dans lesquels il con-viendrait d'y avoir recours
paru une opération à peine pro-posable par impossibilité de fixer les cas où elle pourrait être rigoureusement nécessaire,
l'étranglement interne, le volvulus et l'in-vagination en offrent des cas d'application beaucoup plus communs. C'est donc
y eût pourtant étranglement, il vaudrait mieux, comme dans ce dernier cas , débrider la plaie en prolongeant un peu l'incisi
sur le côté ou renversé en arrière, on prescrit généralement dans le cas où cette portion d'épiploon ne peut pas être rédu
ndispensable de débrider pour opérer la réduction. Saba-tier, dans ce cas , conseille de pratiquer le débridement de préfé-r
gangrené. Dans le siècle dernier, on avait admis en précepte, dans le cas de gangrène, de faire la liga-ture de la portion
stin isolé. i" Etranglement simple par la paroi abdominale. Dans le cas de l'étranglement de l'intestin à l'orifice de la
dû qu'à des gaz ou à des matières très fluides. C'est dans un pareil cas de gonflement gazeux qu'Ambroise Paré a pu évacue
à débrider sur l'extrémité de l'index servant de conducteur, dans les cas où la striction est trop forte pour permettre l'i
cens du contact de la lame. a0 Etranglement par Vépiploon. C'est un cas assez rare que l'étranglement isolé de l'intestin
oit lui-même étranglé à l'orifice de la plaie abdominale. Pourtant ce cas a été signalé par Scarpa. Il est clair que la réd
t par exemple de un ou deux jours, s'est écoulé depuis l'accident. Ce cas alors pouvant être assimilé à l'étranglement gang
battre tout accident qui peut survenir. Si au contraire ce qui est le cas ordinaire, il existe des signes d'ir-ritation pér
el mobiles, tels que les anses du tube intestinal qui, dans certains cas , fuient et se déplacent au devant du corps vulnér
un certain point, l'examen des anses intestinales en regard. Dans ce cas , si la plaie intestinale n'a qu'une étendue de 3
lié récemment des faits de cette nature. Il est probable que, dans ce cas , le froncement des fibres transversales de la mem
rmer la plaie, et peut-être aussi se forme-t-il, dans la plu-part des cas , des adhérences entre la surface séreuse de la pl
rs à la petite suture, à anse simple, de Palfyn. Enfin, dans tous les cas , il est prudent, comme le con-seille M. Boyer, de
ces dernières d'après l'é-tendue de la section, limitée dans certains cas à un segment de l'intestin, et dans d'autres abso
ifs. Le résultat possible de ce procédé , soit avantage dans certains cas , soit in-convénient dans d'autres , est de pouvo
and il s'a-git de les retirer, il y aurait un risque à courir dans le cas où il surviendrait quelque déchirure, le chirurgi
e réduit et une boisson laxative donnée au malade. Dans deux ou trois cas , ce procédé de Duverger a obtenu un succès comple
ionnels. 2° Suture avec invagination. Procédé de Rhamdor. Dans un cas où une solution complète, en travers de l'intesti
Lavielle, Chemery-Havé, Schmidt, au contraire, ont rapporté chacun un cas de guérison. Enfin c'est à cette méthode qu'il fa
ande pour que l'on ait pu établir, à cet égard, des préceptes. Dansun cas , M. Smith ne put opérer l'invagination, quoiqu'il
ort de Cœlius Aurelianus, Praxagoras aurait recommandé, dans certains cas de passion iliaque, d'ouvrir le ventre pour désob
le collet du sac furent étudiés, et en conséquence on sut dans quels cas il fallait opérer pour remédier aux accidens, et
répondent à autant de circonvolutions intestinales, et, dans certains cas de hernies anciennes et volumineuses, on aperçoit
u genre et de l'espèce, on peut donner ainsi tous les caractères d'un cas déterminé. Par exemple, dans une hernie de l'inte
tre le péritoine sur son che-min, il le déplace donc avec lui, et ces cas sont incontestable-ment les plus nombreux ; mais
par conséquent point encore de sac. Mais, au reste, à part ces divers cas exception-nels , il y a toujours un sac à la hern
n delà hernie étranglée. Bornons-nous à dire ici qu'il varie dans les cas divers cpii se présentent, non-seulement sous le
ntenues à l'intérieur du sac. Mais, au reste, il faut distin-guer les cas dans lesquels l'irréductibilité est ou n'est pas
andages mal conformés et mal placés. On a dit aussi que dans quelques cas le volume énorme de la hernie s'op-posait à sa ré
droit de domicile dans le ventre. Nous ferons remarquer que, dans ces cas , il y a toujours quelques adhérences qui s'oppose
tin ; il peut même exister sur un intestin vide de matières amassées, cas dans lequel il résulte d'une constric-tion qui re
rnie s'est brusquement augmenté à l'occa-sion d'un effort, et dans ce cas l'étroitesse de l'orifice du sac est en quelque
rent que le collet du sac pouvait être aussi, dans un petit nombre de cas , la cause de striction ; et un peu plus tard, Ric
tout-à-coup de volume. Dupuytren fut aussi frappé du grand nombre de cas dans lesquels la constriction a lieu par le colle
de pla-que sur la partie renflée de l'organe, et cela arrive dans les cas assez nombreux où des tentatives immodérées de ta
ormal qui succède à une hernie , parce que c'est spécialement dans ce cas que la chirurgie opératoire offre des moyens pour
plus haut intérêt, et cpie voici : c'est que, clans les deux derniers cas , les parois contiguè's des deux tubes de l'intest
ontre des tubes sera plus pa-rallèle; et que par opposition , dans le cas de continuité, cet angle saillant sera à peine ma
l'anus anormal, qui est alors traversé par une hernie. Dans d'autres cas , l'un des bouts de l'intestin, ou même tous les d
de l'anus anormal ce que l'on voit autour de l'anus naturel, dans les cas de fistule, c'est-à-dire qu'elles donnent lieu à
ment, puis nous examinerons les particularités qu'il présente dans le cas de hernie. Canal inguinal chez l'homme. Ce cana
, concave contre lequel s'étrangle la her-nie inguinale dans certains cas , et qui a été nommé pilier in- 3o terne de l'
ces, transparentes, et paraissent avoir changé de nature. En certains cas , on trouve de la sérosité amas-sée dans un kyste
ve mince et percé d'une ou de plusieurs éraillures qui, dans certains cas , comme nous le verrons, peuvent se dilater et don
vers le ligament de Gimbernat, et en effet, ce côté est libre dans le cas d'une distribution normale des vaisseaux; mais il
ciété anatomique de Paris une pièce qui avait quelque rapport avec un cas semblable. Cette forme particulière de la hernie
que la cicatrice peut se trouver étalée sur la tumeur, dans certains cas exceptionnels, lorsque, en particu-lier, le ventr
e de sac, et qu'il était obligé de se déchirer, de se rompre, dans le cas de hernie. Ce qui confirmait cette manière de voi
resque tout de suite sur l'intestin, et que nombre de fois, en pareil cas , le sac a échappé à la recherche de l'observateur
u pour franchir l'ombilic après la formation de la cicatrice. Le seul cas où la chose n'arrive pas ainsi est celui où la he
ntelle ; elle siège plus ou moins près de l'ombilic, et dans certains cas la cicatrice ombilicale se trouve très voisine de
emps résisté aux manœuvres les mieux entendues de réduction. Dans les cas difficiles, enfin, il faudra s'aider de quelques-
déclive et relâché, la portion qui en était sortie. Louis rapporte un cas de réussite obtenue par cette manœuvre, et Richte
ite de jusquiame ou de belladone dans l'urètre, puisqu'on invoque des cas de succès pour soutenir ces diverses pratiques. L
me a ses dangers; qu'employé au-delà de certaines bornes, et dans des cas qu'il est souvent très difficile au chirurgien de
té de bandage a reçu le nom de broyer à cuiller. En outre, il est des cas où la surface de la pelote doit être plus étendue
'être soumis à la trempe. La force du ressort doit varier suivant les cas , il sera plus fort si l'on veut retenir une herni
e MM. Chassaignac et Richelot). M. Malgaigne convient que dans un tel cas elle doit appuyer sur cet os, à moins, dit-il, qu
our contenir, sans les confondre, les viscères de la tumeur. Dans ces cas aussi il est avantageux de lixer tout l'appa-reil
nt à la manière des chefs d'un bandage unissant. Enfin , il est des cas où, sans suivre aucune règle fixe, le chi-rurgien
t au siège de quelques hernies ventrales irréductibles. C'est pour un cas de ce genre que Fabrice de Hilden fit construire
uiert la certitude que l'on ne peut y donner une réponse absolue. Les cas de hernie étranglée, tels qu'ils s'offrent au pra
résolution des symptômes annonce un commencement de gangrène, pour un cas d'étranglement indolent. En résumé, ce point de
de pratique est fort difficile. En accumulant de part et d'autre des cas de succès obtenus par un usage heureux du taxis
as de succès obtenus par un usage heureux du taxis prolongé, et des cas devenus malheureux par abus du taxis, on n'avance
da Cheselden. Covillard (1640) pratiqua l'opération de Franco dans un cas de hernie étranglée frappée de gangrène. En Itali
ant décrire l'opération de la hernie telle qu'on la pratique pour les cas d'étranglement simple ; nous di-rons ensuite ce q
avec réflexion et une certaine lenteur. Ajoutons enfin qu'il y a des cas dans lesquels on trouve au-devant du sac des gang
séparés. 3e Temps. Ouverture du sac. Dans le plus grand nombre des cas , une fois le sac mis à nu, il est facile de l'ouv
ne pince on peut soulever le sac pour l'ouvrir ensuite. Dans les deux cas , on soulève donc la mem-brane pincée délicatement
de tomber d'emblée sur l'intestin. Au reste, dans le petit nombre de cas où cette particularité s'est présentée, il paraît
ur époque. Avec le crochet on soulève le ligament de Fallope, dans le cas d'une hernie crurale; et si l'on veut, employer l
er les parties sorties. Leblanc et Hoin rapportent un grand nombre de cas où l'usage du dilatateur a été couronné de succès
t à l'aide des deux branches écartées du dilatateur. Sans compter les cas où la constriction est telle qu'on ne peut glisse
hernies crurales, et, en vérité, on a peine à comprendre les nombreux cas de succès annoncés par Leblanc et le praticien de
ndées. B. Incision. Cette seconde méthode, applicable dans tous les cas et préférable à la première, consiste à faire la
faire cesser l'étranglement : en pratique, on se conduit suivant les cas , et on se guide, pour l'étendue relative à donner
l'opération, appliquée aux diverses espèces de hernies, dans quels cas on doit avoir recours au dèbridement multiple.
n d'un ou deux points de suture. Cette conduite, avantageuse dans les cas où l'opération a été simple et promptement termin
de chances en laveur de la cure radicale de la hernie. Dans tous les cas , pendant tout le temps que met à se faire la réun
'administrer un lavement simple, puis un autre un peu laxatif dans le cas où le premier n'aurait pas agi. Néanmoins cette p
elle il a subi une aussi grave opération. CONDUITE A TENIR DANS LES CAS DE COMPLICATIONS. Adhérences de l'intestin. Lor
in de suppléer par le nombre à l'étendue de la section. C'est donc un cas où le dèbridement multiple est sou-vent obligatoi
ur de l'intestin, mais on se trouve rarement dans cette nécessité. Au cas enfin où l'intestin serait libre dans l'ouverture
tendance à s'étendre du côté du ventre, et on doit craindre dans des cas semblables des péritonites mortelles. Au contrair
nfin, l'étranglement peut siéger à l'orifice supérieur du canal et ce cas est un des plus embarrassans qui puissent se prés
des hernies de Richter, pag. 3oo, addit. du traduct.). Dans tous les cas , si l'on rencontrait ainsi deux hernies situées l
pelé à faire cesser les accidens. La première chose à faire en pareil cas , est d'engager le malade à se lever, à marcher et
es capables de fixer son diagnos-tic, doit se comporter comme dans le cas d'un étranglement situé à l'orifice supérieur du
'an-neau fibreux, on ne fera cesser que dans un très petit nombre cle cas la cause de l'étranglement? S'il en était besoi
, Richter, A. Cooper, Scarpa, Lawrence, Hey et Boyer ont rapporté des cas d'hémor-rhagie due à la blessure de cette artère.
nie directe ou interne, on a fait un précepte général pour le premier cas , de débrider toujours en dehors, et pour le secon
avis. Ne nous dissimu-lons pas cependant qu'il peut se rencontrer des cas où l'artère épi-gastrique, offrant une anomalie d
au ditavoir vu, et nous avons nous-même ren-contré sur le cadavre des cas où existait cette fâcheuse disposition. Au rest
assez éloigné de l'artère pour que celle-ci soit préservée. Le seul cas réellement difficile est donc celui où la constri
sur le danger du débride-ment en haut chez l'homme, et, rappelant un cas dont Arnaud fut témoin et où la mort arriva par s
a vu un malade opéré par Dupuytren, périr d'hé-morrhagie; Hey cite un cas où la vessie fut ouverte pendant le débridement à
ien attentif, peut promettre la cure radicale dans un petit nombre de cas . La position immobile du malade sera un puissan
inage de la grande cavité péritonéale. Si l'on a obtenu dans quelques cas la cure définitive, combien aussi cle malades, in
jet des matières dans la partie inférieure du gros intestin. Ces deux cas représentent deux genres de maladies toutes diffé
e, et, d'autre part, l'état anatomique des parties offre, suivant les cas , de nombreuses modifications qui infliipnt sur le
aroi abdominale, et il n'existe point d'entonnoir membraneux. Dans le cas , au contraire, où il existe un obstacle complet o
tel constitué cpù donne habituelle-ment passage aux matières dans les cas où il y a rétention par resserrement de l'orifice
par le bout inférieur, resserré ou en partie oblitéré, comme clans le cas observé parDelpech, ou complètement oblitérée, co
supérieur de l'intestin, l'ont forcé de rétablir la fistule. Dans les cas où il a réussi, la cicatrisation a pu être obtenu
nal intestinal. Sa véritable application doit donc se restreindre aux cas où la circulation des fèces n'ayant pas été inter
toute sorte, ou après la destruction de l'éperon; en un mot, dans les cas où la maladie est en voie de guérison spontanée.
de la suture, c'était une idée toute naturelle d'y appliquer dans ces cas la méthode de l'anaplastie. M. Collier, le premie
sieurs chirur-giens avec des résultats variés. M. Velpeau, dans trois cas de ce genre, a procédé par autant de manières dif
uant à son pi-océdé, quoique justifié par la réussite dans le premier cas de son appli-cation, on peut dire qu'il laissait
de les recon-naître à l'aide du doigt indicateur seul ; mais dans les cas oû il n'en est pas ainsi, le doigt insuffisant pe
sserre considérablement, il n'en est pas moins vrai que dans quelques cas elle persiste et ne peut se fermer complètement,
ant que M. Amussat se fût occupé d'une manière toute particulière des cas qui nécessitent la création d'un anus artificiel,
rine, imagina et proposa, pour rendre son ob-servation utile dans des cas semblables, une opération chirurgi-cale qui consi
vécut ensuite de longues années (Id., t. IV, p. 45). C'est le premier cas de succès de longue durée. En 179^1, Desault fit
succès de longue durée. En 179^1, Desault fit celte opération pour un cas semblable à celui de Duret; mais l'enfant ne vécu
és avec une imperforation de l'anus , et a réussi dans une partie des cas ; il est donc parvenu, par ses modifications et se
rt contracté; mais cette con-traction n'a presque jamais lieu dans le cas de rétention des ma-tières fécales. Pour juger si
que, et souvent même jusque dans le bassin; presque toujours dans ces cas , il est enveloppé en arrière par le péritoine (Am
tin était contracté on le chercherait tout-à-fait en arrière; dans ce cas même , il se cache entièrement sous le carré des
s tégumens de la plaie avec un point de suture entrecoupée. Dans un cas d'opération de cette nature, pratiquée par M. Mal
n dans l'opération de la taille? Et si l'on nous objecte que, dans ce cas , on ne pénètre pas dans le péritoine, ne pourrons
par la membrane mu-queuse formant cul-de-sac, mais qui, dans tous les cas , n'excède pas quelques millimètres d'épaisseur, s
le bal lonnement du ventre et l'ensemble des signes propres à tous le cas cle rétention des matières stercorales; enfin le
en doit-il de bonne hem sonder tout enfant nouveau-né qui est dans ce cas , les chance de l'opération étant d'autant plus fa
opérer un enfant qui n'a pas d'aï tre chance de salut, car on cite un cas de guérison où cependai l'imperforation n'avait é
stouri droit, même à lame étroite, ne peut pli servir. C'est pour ces cas que J. L. Petit avait conseillé l'empli d'un troi
on pour assurer le calibre du cana Il ne faut pas oublier que dans un cas semblable, les récidive se produisant toujours M.
pas nettement dont par les auteurs les plus modernes, clans tous les cas de ce genre en tant cpie la cloison rectale, quel
n ano-génitale , comme il est évident que le rectum existe, c'est les cas de tenter une opération pour rétablir l'orifice d
fice dans son lieu naturel. Le Manuel opératoire diffère suivant le cas ; en général, le point de vue chirurgical est le m
les termes de la proposi-tion , c'est-à-dire qu'au lieu que, dans les cas ordinaires defistules ouvrant dans un canal natur
és d'exécution qu'elle présente. Le même chirurgien propose, pour les cas où la fistule n'est pas située très profondément,
aient dû offrir. Si au contraire le rectum manque en entier, c'est le cas de pratiquer un anus artificiel sur quelque point
l. L'indication de constituer l'anus dans son lieu naturel dans les cas d'imperforation de la partie inférieure du rectum
ou moins élevé du tube intestinal. Il faut donc l'avouer, dans les cas obscurs , ce n'est qu'en tâtonnant et comme une c
Un pareil succès a été obtenu par M. Wagler, ainsi que dans les deux cas rapportés par M. Lépine et M. Miller. La conditio
'après les signes on a lieu de sup-poser la chance moins heureuse, le cas devient embarrassant pour le chirurgien qui ne sa
plus rationnel d'inciser au périnée. Ici le sphincter existe, car les cas où il manque absolument sont bien rares; on a tou
e dé-plisser et offrant en réalité une longueur suffisante , dans les cas mêmes où il n'en serait pas ainsi, une fois l'opé
ous pensons avec Boyer que la préexistence de la con-striction est le cas le plus ordinaire, la fissure étant le plus sou-v
rts d'expulsion tendent toujours à la reproduire, outre que, dans les cas de complica-tion, pour assurer la cicatrisation,
c plus ou moins de succès des divers médicamens applicables en pareil cas , les émolliens, le cerfeuil pilé ou en décoction,
cpie d'une con-striction spasmodicpie des sphincters, comme clans les cas rap-portés par Copeland ; ou même s'il a existé d
avec succès comme auxiliaire d'un traitement spécifique dans tous les cas où la crevasse est causée par une affection dartr
son application, lorsque la fente existe en avant sur le plan moyen, cas dans lequel les partisans cle l'incision sur l'ul
ongosités, il faut en faire immédiatement l'excision. Enfin, dans les cas où la constriction est tellement forte que, même
est d'en savoir choisir et graduer à propos les moyens. Dans tous les cas où la maladie est consécutive à une affection gén
ment approprié doit précéder le traitement local, et c'est surtout le cas où ce dernier peut se borner à l'emploi de pommad
on doit essayer de la cauté-risation et de l'excision. Mais dans ces cas , comme dans ceux qui précèdent, il convient toujo
anson, tous les chirurgiens, en un mot, ont fréquemment rencontré des cas de cette nature, et M. Vel-peau dit en avoir obse
ices sont étroits. Dans cet état la fistule est dite simple, mais ces cas sont des plus rares. Ordinairement, sui-vant le s
, il est rare qu'elles s'en écartent de plus d'un centimètre. Le seul cas où elles n'apparaissent pas au premier coup-d'œil
qu'a fait M. Velpeau. Suivant ce dernier chi-rurgien, sur trente-cinq cas de fistules complètes qu'il a observées, en 1 833
a fistule est com-plète ou seulement borgne externe, et dans tous les cas il faut re-connaître la forme et l'étendue du tra
curremment; le troisième n'est qu'un procédé de vérification dans les cas douteux. i° Toucher. lie malade étant couché co
la sortie dans le rectum sera le seul signe caractéristique. Dans le cas où une première recherche serait infructueuse, il
'y engage, et l'existence de la fistule complète est prouvée. Dans le cas con-traire, avant de renoncer, comme il est possi
s sont sans résultat, comme la non-réussite ne prouve rien , c'est le cas d'avoir recours à une injection colorée par l'ori
incommode que doulou-reuse, ne présente guère de danger que dans les cas de vastes dé-collemens , c'est-à-dire précisément
ciseaux courbes. Boyer en a fait un pro-cédé régulier qui trouve son cas d'application lorsque la peau amincie est trop co
ait absolument à l'emploi de tout autre moyen, est à-peu-près le seul cas qui pourrait aujourd'hui en justifier l'emploi. L
ou de soie, un fil de plomb ou d'argent de coupelle. Dans le premier cas , le cordonnet est introduit avec un stylet aiguil
um avec l'indicateur gauche pour le ramener au dehors. Dans le second cas , le fil métallique est introduit dans une canule;
serait douteux qu'on pût en obtenir la cicatrisation et que, en tout cas , ils donneraient lieu à de longues suppurations q
rerait pas à quelque distance l'orifice rectal de la fistule, dans le cas où ils ne l'au-rait pas reconnu d'abord, un autre
d, un autre orifice qui prolongerait la fistule. Dans l'un et l'autre cas , il faut avec le bistouri à pointe ou avec des ci
nent à-peu-près sur deux côtés opposés de l'intestin. Dans le premier cas , on peut, à l'exemple de M. Jobert, réunir en un
i les sépare , mais avec le soin d'en scarifier les orifices. Dans le cas au contraire où les fistules trop éloignées ne pe
e cet orifice pour diriger dessus l'in-cision , puisque dans quelques cas l'observation de cette règle a suffi pour amener
ule, comme MM. Velpeau et Jacquier en ont cité des exemples. Mais ces cas sont rares; et si, enfin , on ne peut trouver d'o
ceux qui se présenteraient à l'esprit de tout homme sensé dans chaque cas déterminé. Les doigts et le pouce, quand on peut
par la main d'un jeune enfant, apparemment très intelligent. Mais les cas de cette nature où l'on peut se faire suppléer sa
à M. Cumano pour enlever une fiole, et à M. Dor pour un pilon dans le cas que nous avons cité plus haut. Le même chirurgien
ne tasse à café .avec un instrument lithotriteur. Enfin, il esl tel cas bizarre où le chirurgien n'a de ressources que da
s les moyens échouent par le fait de l'étroitesse de l'anus, c'est le cas d'avoir recours aux débride-mensdes sphincters av
autérisation , l'incision et l'excision que l'on emploie, suivant les cas , seules ou combinées les unes avec les autres.
en un mot qu'on les emploie pour la compression excentrique dans les cas d'hémorrhagie intérieure (pl. /iG, fig. i). Mais
apidement sur une surface, à l'extrémité d'une n'aurait pas, dans les cas d'inflammation chronique de la ma-(¡neuse rectale
avantage le bistouri. ¦ ion ici n'est qu'un temps secondaire, dans le cas où il idrait d'enlever quelque petite excroissanc
ompression la plus forte, et par cela même c'est le plus sur dans les cas dangereux, mais c'est aussi le plus douloureux. L
ères stercorales amollies, mais surtout, ce qui est plus important en cas d'hémorrhagie, avertit s'il s'épan-che ou non, du
de l'appareil à canule sur le tampon plein de Boyer. Dans ce dernier cas , en effet, ce n'est que par les signes généraux,
mêmes, de laisser l'appareil en place aussi long-temps que, dans les cas de plaie, la suppuration n'en prescrit pas l'enlè
utifs. Suture. Procédé de M. Felpeau. Ce chirurgien , dans tous les cas d'excision de tumeurs sanguines, a eu l'idée, pou
de sûreté qui laisse dégager le trop-plein de la circulation dans le cas de pléthore. Telle est l'influence de cette bémor
infirmité cruelle et qui peut avoir des suites graves. C'est pour ce cas seulement que sont réservés les moyens chirurgica
ement que sont réservés les moyens chirurgicaux. Nous disons pour ces cas seulement, car il faut se rappeler que les opérat
on sans en avoir les avantages, et finalement en ré-clame l'emploi en cas d'accident. Excision. Procédé ordinaire. Le mal
ême les efforts pour y parvenir pourraient avoir de graves dangers en cas d'hémorrhagie. Le mieux, en pareil cas, est d'exc
ent avoir de graves dangers en cas d'hémorrhagie. Le mieux, en pareil cas , est d'exciser d'abord les tumeurs accessi-bles e
ent pas s'offrir à l'opé-rateur , ce qui arrive souvent, ce serait le cas de pratiquer, si déjà on ne l'avait fait, l'incis
s , les autres le couchent sur le ventre ; mais, dans l'un ou l'autre cas , il est essentiel que le bassin soit soulevé avec
us l'enveloppe qui la renferme, avec un bandage roulé. Enfin reste le cas d'irréductibilité absolue où, comme dans la herni
nt. Toutefois, pour employer cette dernière ressource, il faut que le cas l'exige impérieusement et que la tumeur menace au
re, si la tumeur se gonfle et paraît disposée à s'enflammer, c'est le cas de pratiquer le débridement. Les principes généra
cet étranglement a eu des suites funestes. Ce n'est que dans quelques cas exceptionnels, toujours bien rares , que la natur
cès, et le même chirurgien ne fut pas moins heureux clans deux autres cas , à quelques années de distance ( 1791 , 1799). Ai
z les sujets affectés de coarctation de l'anus. Au contraire dans les cas de chute du rectum , où cet orifice est amolli, e
ompagnée d'hémorrha-gie, ni suivie d'aucun autre accident, et que les cas où elle peut être appliquée sont assez nombreux.
voisinage. Excision du sphincter anal. M. Robert a pratiqué dans un cas cette opération avec succès. Son malade étant pla
constitués, à des dégénérescences ulté-rieures. Toutefois il y a des cas où l'on est obligé de choisir entre la cautérisat
par l'excision des plis de l'anus, est actuellement réservée pour les cas où la membrane mu-queuse, altérée ou désorganisée
caustiques et l'excision ; mais ils ne sont appliquables que dans les cas où le polype n'est pas situé trop haut et au-delà
malade fut guéri. Pour plus de sécurité, il vaudrait mieux dans un cas pareil , introduire dans le rectum le spéculum de
mé-thode qu'on doit préférer, car elle est appliquable dans tous les cas où le sont les autres méthodes, n'est suivie d'au
gie qu'il n'est pas toujours possible d'arrêter. Cependant il y a des cas où le pédicule étant fort large et où un grand no
cadémie de chirurgie la repoussa. Desault ne l'admettait que pour les cas de tumeurs de mauvaise nature, bien circon-scrite
iles. Boyer, avec ses idées sur le cancer, pensait que, dans tous les cas de guérison, elle n'avait réussi que parce que la
une guérison douteuse, et deux une guérison complète; ainsi sur neuf cas ce chirurgien a obtenu cinq guérisons, trois mort
de l'instrument vers le rectum. Alors il peut se présenter plusieurs cas , i° si toute l'épaisseur des tuni-ques intestinal
retenir ses matières. MM. Baumes et Maurin ont réussi chacun dans un cas ; M. Malgaigne dit avoir observé souvent des récid
igne dit avoir observé souvent des récidives, et une surtout, dans un cas où il avait opéré lui-même, avant que la cicatris
, et généralement mauvaise , devient cepen-dant nécessaire, dans les cas où la tunique vaginale, épaissie et cartilagineus
uytren suivait pour son premier temps l'exemple de Douglas : dans les cas ordinaires , il se bornait à la simple in-cision
qu'à la partie inférieure et antéro-externe du scrotum. Dans tous les cas où le testicule n'occupe-rait pas sa position hab
ous les symptômes généraux de réaction l'accompagnent dans le premier cas , et dans le second cette réac-tion est à peine se
ir que celle de la tunique vaginale ; aussi n'a-t-on à faire, dans ce cas , que des scarifications ou des in-cisions sur la
sur cette membrane ainsi épaissie; l'excision seide convient dans ces cas qui ne sont encore que trop fréquens. L'hydrocè
us un examen attentif et un diagnosi ic certain, et encore est-il des cas (ceux où l'intestin se faisant jour à travers une
l'injection iodée , ou bien la méthode de M. Bau-dens. Mais dans les cas où, comme pour l'hydrocèle chez l'homme, les paro
préférer l'emploi, bien entendu comme application gé-nérale, sauf les cas exceptionnels que nous avons fait connaître. Nous
de celte période, le traitement est à-peu-près le même dans les deux cas ; mais la guérison se fait beau-coup moins attendr
pas en général moins de six semaines avec le vin, et dans beaucoup de cas , n'est pas définitive. Pour les cas particuliers
avec le vin, et dans beaucoup de cas, n'est pas définitive. Pour les cas particuliers nous avons dit quelles étaient les m
ave, du moins ne guérit pas. L'incision est à-peu-près dans le même cas que l'excision, seulement elle exige moins de tem
rison définitive; mais en réalité , si cet effet a lieu dans quelques cas , dans beaucoup d'autres il a manqué. Pour le sé
s réels; d'abord il peut manquer son effet, et même, quoique dans des cas rares, offrir des dangers, il peut être insuffisa
la com-pression seule peut amener l'oblitération de la veine dans le cas où elle ne serait pas traversée par l'épingle , e
s subi d'épaississement notable, la transparence existe dans les deux cas ; toutefois dans l'hématocèle, outre le liquide,
et elle pesait autant qu'on l'a pu juger, 3i kilog. et demi. Dans le cas de Walther elle pesait près de 20 kilogrammes : c
ni pesait 26 kilogrammes et l'autre 60. 45 M. Chervin rapporte un cas dans lequel la tiuneur pesait 8a ki-logrammes et
t, à peu de chose près, le procédé que suivit Larrey en 1816, dans un cas analogue, mais où la tumeur était beaucoup moins
, enfin , cette opération n'est plus réservée légalement que pour les cas où l'homme de l'art juge qu'un testicule, par lui
ujours indispensable. Dans la pratique on voit assez fréquem-ment des cas où la fonte du testicule se faisant sous l'influe
é-ration , étaient parfaitement sains. Du reste la castration dans ce cas , doit être fondée sur un examen sérieux et réfléc
der de le faire avec légèreté, après un exa-men trop superficiel. Ces cas sont de ceux où il est essentiel que le chirurgie
ations des tissus et les degrés divers où elles peuvent s'offrir, les cas où l'on peut encore en espérer la guérison par de
rmettre de l'isoler aussi bien jusque dans le canal inguinal. Dans un cas , M. Roux a éprouvé beaucoup de difficultés à le d
peut continuer à iso-ler avec plus de facilité; dans l'un et l'autre cas , il faut avoir soin de tourner le tranchant de l'
uisque cet acci-dent ne peut arriver que dans un très petit nombre de cas , il mérite à peine d'attirer l'attention et ne sa
elquefois à des accidens graves, que l'on a fait cesser dans quelques cas en relâ-chant ou en coupant la ligature, et d'un
isolée; sans dire avec M. Boyer qu'elle doive être réservée pour les cas ex-ceptionnels, on voit, d'après les faits, que l
une ou l'autre peut être employée indifféremment dans la majorité des cas . Taille des lambeaux. Dans le procédé ordinaire
Boyer a rencontré deux fois cette affection et a opéré dans les deux cas avec un succès complet ; Rossi, dans un cas sembl
et a opéré dans les deux cas avec un succès complet ; Rossi, dans un cas semblable, fut obligé d'aller couper le cordon à
les blesser, encore ne réussit-on pas toujours à les éviter. Dans un cas semblable, M. Naegèle, malgré toute l'attention q
ine. 46 M. Velpeau, cpii dit avoir été obligé d'ouvrir dans trois cas toute la paroi antérieure du canal inguinal, et d
n complète s'est fait attendre presque aussi long-temps « que dans le cas où la plaie a été couverte de charpie. » Lorsqu
taient plon-gés, versent du sang plus ou moins abondamment; en pareil cas , il ne faut jamais se hâter de défaire le panseme
ème au douzième, et la guérison de la plaie a lieu dansla plupart des cas de la quatrième à la cinquième semaine. Quelquefo
vert. On le distingue en congénial et en accidentel; dans le pre-mier cas il existe à la naissance, et dans le second, il s
d'inconvéniens , et ne nécessite une opération immédiate que dans les cas où le prépuce est très allongé et son ouverture t
on de ce genre fort remarquable. L'opération qu'on pratique en pareil cas est la circoncision. Lorsque l'ouverture du pré
à l'urine , on ne s'aperçoit de la présence du phimosis que dans les cas où la matière sébacée, sécrétée par les glandes q
x. On peut opérer le malade debout, assis ou couché ; dans le premier cas , il doit être saisi par derrière, à bras le corps
le manche en tendant en même temps la peau, et termine comme dans le cas précédent en poussant la pointe qui traverse la b
la sonde cannelée que de la boule de cire, parce que dans ce dernier cas il faut avoir un bistouri extrêmement étroit sous
ita superiùs tergus relaxatum cedere rétro potest. » Comme dans le cas précédent, si le frein remonte trop près du méat
t aussi générale. Le procédé de Coster ne convient guère que dans les cas où un gonflement accidentel a rétréci un prépuce
fisamment large. Celui de M. Malapert, tout au plus bon pour quelques cas exceptionnels, tels que ceux où il y aurait des u
nt profondément le prépuce dans le lieu d'élection, ne fait, dans les cas ordinaires, que compliquer inutilement l'opératio
rois méthodes ne conviennent ce-pendant pas indifféremment à tous les cas . Ainsi, i" lorsque le prépuce n'est que rétréci à
ue, et que le prépuce fût transformé en une coque dure, comme dans un cas observé par M. Roux où il était fibro-cartilagine
une chaise, ou cou-ché sur le bord droit de son lit; dans le premier cas , le chirur-gien s'assied en face de lui, et dans
e malade, et même pénible pour le chirurgien. On a vu , dans quelques cas , le gland s'excorier et même se déchirer. Il nous
p souffrir le malade on n'est pas plus avancé qu'au-paravant; dans ce cas , si le mal n'est pas porté à un degré con-sidérab
nd à l'aide des doigts et des pouces, que je conçois à peine quelques cas où le procédé ordinaire soit indispensable » (JlJ
deux sont décrits par Celse de la manière suivante. Procédé pour le cas où le prépuce manque par vice de con-formation. O
prépuce, à reprendre la place qu'elle avait avant. Procédé pour le cas où le prépuce manque par suite de l'opé-ration de
pouvoir attirer le prépuce en avant et le circonscrire comme dans le cas précédent; il faut d'ailleurs quand il est sain e
pas réuni les deux lam-beaux latéraux par la suture. Dans ce dernier cas , le malade sera dans le même cas que s'il eût été
éraux par la suture. Dans ce dernier cas, le malade sera dans le même cas que s'il eût été opéré du phimosis par excision.
l'œil, lui a procuré plusieurs succès; il est probable qu'appliqué au cas dont il est ici question , il réussirait aussi bi
s des anneaux métalliques de fer, de cuivre, d'argentou d'or. Dans un cas observé parDupuytren, c'étaitdans une bobec.be de
uand il n'y a, en fait, que ses annexes de prises. M. Velpeau cite un cas de ce genre fort remarquable. Il s'agit d'un homm
long-temps à franchir; il est généralement reçu que, dans beaucoup de cas , on peut se borner à enlever les tégumens et obte
éder de suite à l'amputation. Les mêmes règles sont applicables aux cas où l'on aurait affaire aune tumeur hématique, à u
, en coupant toutefois dans les parties saines. Lorsque c'est dans un cas de gangrène, on doit coupel-le pénis dans l'endro
section dans l'endroit même de la plaie; enfin, si l'on opère pour un cas d'anévrysme ouvert imprudemment, il faut couper l
oie , après avoir introduit une sonde dans la vessie : Ruysch cite un cas de cette nature opéré avec succès; Heister, Bertr
sie pour s'opposer à l'occlusion de l'urètre par la ligature. Dans le cas où les malades ne pourraient supporter la ligat
Langenbeck ne saurait trouver d'application utile cpie dans quelques cas exceptionnels, tels que celui où l'on se-rait obl
ter le bistouri jusque sous les pubis comme l'a fait M. Halle dans un cas [Gaz. Méd. i836, p. 748). Quelques chirurgiens
ffisamment à l'oblitération du méat ; M. Velpeau cite, à ce sujet, le cas d'un vieillard amputé de la verge qui ne voulut j
sser le rectum dans les divers procédés de taille périnéale. Dans les cas ordinaires, l'épaisseur de la partie de la prosta
aissant de la partie antérieure de la créte ure-trale; niais dans ces cas , le bord concave du repli regardait en arrière. C
ment le passage ; cette obturation survient très promptement dans les cas d'inflammation aiguë de la prostate. Dans tous ce
ement dans les cas d'inflammation aiguë de la prostate. Dans tous ces cas le bec de la sonde peut rencontrer des obstacles
il faut une sonde à courbure plus marquée et plus courte que dans les cas où cet état n'existe pas. Enfin, pour terminer
ume sur leur tige, mais presque circnlairement, en sorte que dans les cas où elles se contractent spasmodiquement, elles pe
che de charpie de volume convenable. Le même traitement s'applique au cas d'agglutination des deux bords d'une fente membra
r le canal artificiel. Aucune opération n'a encore été tentée pour le cas où l'oblitération remonte au-delà du gland. IIY
jusqu'à quelques millimètres du lieu ordinaire du méat, comme dans le cas de Marestin, où ce canal arrivait jusqu'à l'ex-tr
t imiter la conduite de ce chirurgien. Procédé de Marestin. Dans le cas où il eut occasion de l'em-ployer, il s'agissait
ent réussi. Procédé de Dupuytren (Pl. 49, fig- 4 et 5). Dans un des cas où Dupuytren a opéré, l'orifice anormal était trè
des sondes dissipa graduellement; la guérison fut complète. Le second cas était du même genre que celui-ci, et le même proc
le. Enfin, quant au juge-ment à porter de l'opération dans les divers cas où elle s'appli- % que, on pense généralement
ducteur ; mais peu importe le nom qu'on lui donne, car, dans tous les cas , il se pratique d'après les mêmes règles. APPAR
rtout celles d'or ou de platine, conviennent particulièrement dans le cas où elles doivent fran-chir des obstacles considér
de leur corps, est ce qu'il dit avoir trouvé de plus heureux dans les cas surtout où la prostate est gonflée; plus cet axe
proposé de n'en pratiquer qu'un seul très près du bec. Dans d'autres cas la sonde courbe, au lieu de présenter des yeux, e
lement perforée à son bec. Cette sorte de sonde est employée dans les cas où , après avoir franchi un rétré-cissement avec
un mandrin. Les bougies à ventre sont aussi employées dans quelques cas de rétrécissemens ; elles sont fabriquées de la m
non-existence d'une fausse route. Il ne faut plus ici, comme dans le cas précédent, soulever le bec de l'instrument, car o
; s'il y avait quelque fongus vers le trigone vésical ; dans tous ces cas , il faudrait agir comme précédemment; et si cela
cotiques et les caïmans plutôt que les émis-sions sanguines. Dans ces cas , M. Lallemand a reconnu que l'a-cétate de morphin
maladie dévié de sa direction normale ou tordu sur lui-même. Dans ces cas , il faut le déplisser avec des sondes assez volum
delà sonde constituent donc le signe leplus certain. Dans quelques cas cependant il arrive qu'on est dans la vessie, et
, à l'article cathétérisme du Dict. de Méd. et Chir. prat., citent un cas où ce diagnostic est difficile. « On sait, disent
r le cathétérisme, ne sont pas « très rares. Dans quelques-uns de ces cas , l'algalie semble s'ar-« rêter au col de la vessi
oche « rétractée que forme le réservoir de l'urine. » Dans d'autres cas on a vu des mucosités épaisses, et des concré-tio
propres à induire en erreur : ainsi M. Velpeau et M. Roux citent des cas dans lesquels, à la suite d'une large ulcération
le bec de la sonde dans la vessie, s'exécute exactement comme dans le cas précédent ; par consé-quent nous n'y reviendrons
à le faire cheminer, sans s'exposer à blesser les parties; en pareil cas on se trouve bien de suivre le procédé de Hey qui
asune sonde métallique à demeure dans la vessie, il y a cependant des cas qui exigent qu'il en soit ainsi ; dans un cas de
e, il y a cependant des cas qui exigent qu'il en soit ainsi ; dans un cas de fausse route , par exemple, lorsqu'on est parv
l'urètre au-dessous et en arrière de la symphyse pubienne. Pour les cas ordinaires l'abaissement du pavillon de la sonde,
ce-pendant les observateurs ont noté, et j'ai rencontré moi-même des cas dans lesquels la portion spongieuse était telleme
rapportait, à l'em-preinte qu'on a obtenue en agissant comme dans le cas où le rétrécissement est peu profond ; en effet,
E l'uRÈTRE. A l'exemple de M. Lallemand nous devons distinguer deux cas : celui où le rétrécissement ne fait que gêner la
ètrècissemens incomplets. Les méthodes opératoires em-ployées dans ce cas sont la dilatation graduée, la dilatation for-cée
u malade; il faut le tenir tantôt debout, tantôt assis; dans d'autres cas le faire cou-cher horizontalement. On introduit l
elle ressort d'elle-même aus-sitôt qu'on cesse de presser. En pareil cas veut-on forcer, la bougie se pliera si elle était
molle, on pourra déchirer le ca-nal si elle était trop dure. Dans le cas où , après des essais assez prolongés, on sent to
dont on se sert; et si on ne réussissait pas encore, ce serait là le cas de l'introduire à travers le conducteur de Ducamp
eure ou un in-stant auparavant. Il est à croire cependant que,dans ce cas , le bec de la sonde se trouvait déjà un peu engag
out si 52 rlle est conique, pour que l'urine s'échappe. En pareil cas M. Amussat fait une injection d'eau entre la tige
ne bougie qu'on avait eu peine à introduire auparavant; dans quelques cas enfin il faut absolument retirer l'algalie chaque
t dans l'urètre les mêmes phénomènes qu'il se passe ailleurs dans des cas semblables, c'est-à-dire une rétraction des tissu
cathétérisme forcé, depuis long-temps employé, s'applique surtout aux cas où il y a rétention d'urine complète, quelle qu'e
éthode exceptionnelle, dont les applications se restreignent dans les cas suivans : t° Quand les rétentions d'urine ont l
ort rare qu'il fût obligé d'y revenir une qua-trième fois. Dans les cas où Ducamp rencontrait un second rétrécissement, i
issemens, ce qui diminue beaucoup la durée du traitement; 3° dans les cas de rétrécissemens latéraux , en plaçant la pointe
lesquels elle agit ; il est effective-ment à noter que dans quelques cas , les tissus du rétrécissement sont tellement indu
e sont point nécessaires, puisqu'on ne peut les employer que dans les cas où les instrumens qui les portent peu-vent traver
ction des tissus et aux dépens du calibre de l'urètre, comme dans les cas de brûlures de la peau avec perle de substance. M
oyées, les scarifications peuvent cependant être utiles dans quelques cas . Depuis Dorner qui, au rapport de Scemmerring, le
roit très étroit et boutonné; il n'en recommande l'usage que pour les cas où le rétrécissement est très prononcé, en forme
pouvoir être remplacé par un plus gros ou un plus petit, suivant les cas . A l'autre extrémité est placé un anneau mobile q
dilatation aidée de la cautérisation, suffisent dans la majorité des cas pour obtenir la guérison de la maladie, et qu'a-l
la vessie. injections forcées. Seemmerring rapporte que, dans les cas où le rétrécissement était si fort que la bougie
este, ajoute l'auteur, quoique cette méthode ait été imaginée pour un cas exceptionnel, quelle que soit la cause de la réte
la direction de l'urètre, ou si elle s'en écarte, et dans ce dernier cas de quel côté il faut la porter pour la ramener à
aincre, on ne peut avancer que de quelques millimètres. Dans ces deux cas , s'il n'y a pas rétention d'urine complète, on n
souvent à quelques millimètres de l'orifice de sortie, dans d'autres cas aussi à un ou plusieurs centimètres. Mais communé
tate, cpie la sonde creuse le trajet de la fausse route, et, clans ce cas , son ouverture d'entrée étant situéeà l'extrémité
atteint d'abcès nrineux e! gangreneux. Il est probable que clans les cas où Boyer a em-ployé la sonde conique, cet acciden
oup pratiquée autrefois; on poussait même la hardiesse, dans quelques cas , jusqu'à ouvrir l'urètre d'un bout à l'autre. Pla
e sonde à demeure sur laquelle la plaie doit se fermer. Quoique les cas dans lesquels il convient d'inciser soient rares,
cé avec la sonde conique et à la ponction de la vessie, dans tous les cas où l'obstacle est situé au-devant de la prostate.
sait pour l'entretenir. Pour y remédier, il a suffi, dans beaucoup de cas , de tenir la sonde constamment débouchée, de sort
t que la fistule ne laissât passer aucune goutte d'urine : tel est le cas d'un jeune homme d'Abbeville , dont parle Boyer.
à dé-truire la cicatrice qu'à la consolider. On a attribué, en pareil cas , la persistance de la fistule à la présence de la
l'avivement des lèvres de la plaie. C'est ainsi qu'agit Boyer dans le cas où il la mit en usage. Les au-tres, au contraire,
se, a été employée par Earle et A. Cooper avec succès, chacun dans un cas . A. Cooper a échoué dans un autre, Del-pech a éga
de l'urine, courrent moins le risque d'en être imprégnées que dans le cas où elles sont placées juste sur ce trajet. L' u
but M. Ségalas a imaginé deux procédés dont le second s'adresse à un cas exceptionnel. L'inconvénient de ces procédés est
rent guéries. Tout le traitement a duré quinze mois(i). Dans un autre cas où M. Ségalas opéra, il y avait aussi une fistule
n abcès qui ont failli compromettre le succès de l'opération; dans le cas de M. Ricord, il n'y avait, point de fistule au p
tion déjà connue de Ledran, qui l'avait employée avec succès dans des cas de fistules du pé-rinée, compliquées de nombreux
raison de ses inconvéniens, ne leur paraît admissible que dans trois cas , i° lorsque l'urètre est oblitéré; a" lorsqu'il n
e Lachapelle en avaient parlé les premiers. Wardrop en a rencontré un cas , et M. Velpeau 8 à io depuis 1825. Chez l'une de
é dans le canal où ils sont poussés par le jet de l'urine. Dans les cas ordinaires, les calculs urétraux sont de simples
e pour donner passage au corps étranger et puis à de l'urine. Dans ce cas , si l'ouverture anormale est oblique et sinueuse,
ent oblitéré, et l'urine peut encore s'échapper. Dans l'un et l'autre cas , l'extraction, par une incision pratiquée au péri
le seul moyen à employer, seulement le procédé dif-fère un peu. i° Cas d'oblitération complète de l'urètre (Pl. 5y bis,
ordinaire à disséquer, et on s'efforce de l'entraîner au dehors. 20 Cas d'oblitération incomplète. La différence consiste
strumens spé-ciaux. Si l'on préfère l'incision, on agit comme dans le cas où le calcul occupe la région prostatique. Cette
Extraction des calculs de la portion spongieuse. Ici, comme dans les cas précédens , on peujt extraire le calcul par une i
es ressources que l'on possède aujourd'hui on ne voit guère dans quel cas cette opération pourrait être justifiée. Les moye
E L'URETRE. Cette affection est très rare. M. Hobart en a publié un cas dans la Bévue médicale de i83o (t. iv, p. 283). L
stique, et comme ressource dernière la ponction de la vessie. Dans un cas de cette espèce cité par Sabatier,on pratiqua la
té obligés de porter cette canule pendant plu-sieurs mois ; en pareil cas , il vaudrait mieux substituer à la ca-nule une so
circonstance, avant d'appli-quer le trocart, ne convient que dans les cas exceptionnels, et comme elle ne fait que compliqu
t guère proposable, et en devrait presque être pratiquée que dans les cas où un gonflement chronique de la prostate obstrue
e la prostate. Procédé de. Lafaye. Ce chirurgien se servit, dans le cas où il le pratiqua, d'une algalie légèrement courb
doit être très rarement dans l'obligation de pratiquer. Dans tous les cas , si l'on se trouvait obligé d'en venir là, on pou
oins dangereuse, à coup sûr, que celle qu'on fait à l'abdomen dans le cas d'ascite, puis-qu'elle ne pénètre pas dans le pér
e tout-à-fait exceptionnelle ; elle ne pourrait convenir que dans les cas de la nature de celui où Lafaye l'employa sur Ast
le malade à rester constam-ment au lit, peut cependant, dans quelques cas , être rendue diffi-cile et presque inexécutable,
ale. Aussi recom-mande-t-on de ne choisir cette méthode, que dans les cas où l'on sent, avec le doigt porté dans le rectum,
i toutefois l'épaisseur des parties était considérable, comme dans le cas cité par Frank où le pannicule charnu avait 4 pou
vaisseaux importans, et l'on agit en dehors du péritoine. Excepté le cas où la rétention est causée par une péritonite, de
d'une méthode nouvelle, dont l'application est si heu-reuse dans les cas simples, pour les cas compliqués, toujours si nom
e, dont l'application est si heu-reuse dans les cas simples, pour les cas compliqués, toujours si nombreux, on en est encor
r eux acquise, de la supériorité de chaque espèce d'opération pour un cas déterminé, que de la convenance per-sonnelle de l
nouvelle, la moins offensive de toutes , et applicable à un nombre de cas assez variés pour appeler l'attention de tous ceu
nct au dehors. Pour en rendre la détermination plus précise, dans les cas douteux, divers moyens sont employés : i" L'auscu
s intermé-diaires jusqu'à celui d'un œuf de poule. Mais dans certains cas extraordinaires il peut acquérir des dimensions e
placer; plus de précision au reste ne servirait à rien. Dans quelques cas au contraire, plu-sieurs calculs articulés à face
, et le second par sa pesanteur, eu égard à son volume clans les deux cas . Il y a des calculs tellement friables, qu'ils s'
appendice du calcul dont la masse est contenue dans la vessie. Divers cas de ce genre ont été rencontrés par les auteurs :
mité dans la portion prostatique de l'urètre (Ledran, M. Blandin); ce cas est facile à déterminer en com-binant le soulèvem
idé de l'auscultation et du loucher par le rectum. Mais dans d'autres cas aussi elle c'ehappe au diagnostic, et MM. Camus e
tude doit rendre le chirurgien d'autant plus circonspect que dans ces cas , outre le mauvais état de la vessie, il existe so
ept calculs renfermés dans un seul lobe d'une même vessie, et dans le cas de Dupuy tren que nous avons fait dessi-ner (Pl.
s ont succombé ; enfin telle est la puissance de l'illusion en pareil cas , qu'il est peu de chirurgiens qui n'aient par eux
ions chirurgicales, Lapeyronie, Sabatier et Richerand étaient dans ce cas . Ces faits si nombreux militent en faveur du préc
nce d'un calcul qui n'a jamais donné lieu à aucun accident ; mais ces cas sont rares et partant exceptionnels. Dans la règl
les statistiques delà taille et de la lithotritie soient parsemées de cas où la mort du malade, dans les deux premiers mois
ges les plus compétens de la convenance des moyens à employer pour un cas déterminé, nous avons cru de-voir faire entrer la
otritieetla lithotomie, qu'elle promet pouvoir suppléer dans certains cas , et dont en outre elle s'annonce comme un heureux
n'éprouvent plus aucun accident. Sur six malades qui étaient dans ce cas , le traitement ayant été continué pendant plusieu
médicament par rapport aux organes urinaires : en sorte que, dans les cas même où l'on n'obtient des boissons alcalines qu'
ls de phosphates et oxalates alcalins, 29, 60 et 17,30. Dans les deux cas les dépôts lithiques se sont trouvés de même natu
de l'archet. La longueur du foret étant calculée pour que, dans aucun cas , il ne puisse atteindre la vessie, lorsque la pou
ert point de cet instrument, que l'auteur lui-même réservait pour les cas exceptionnels où il avait affaire à de très gros
prévoit que le danger serait encore plus grand pour lui, que dans le cas où l'instrument serait simplement fixé par la mai
nte. \" Pression avec la main. Ce moyen ayant paru suffire dans les cas où le calcul était petit ou friable, on y a procé
avec une facilité presque égale à celle de la main, et cela dans des cas où la pince à trois branches ne peut s'en emparer
ie. extraction artificielle des détritus lithiques. Dans quelques cas , soit qu'il y ait paralysie de la vessie, soit qu
ivement à quoi tenaient les insuccès, et de chercher à distinguer les cas dans lesquels la lithotritie était applicable de
ulier. Cependant il est un fait certain, c'est qu'il y a une foule de cas déterminés où les malades peuvent être guéris san
a lithotritie ou la taille donnent de succès sur un certain nombre de cas pris au hasard , et de comparer ensuite ces deux
aladie, et qu'en général la lithotritie n'est pas dangereuse pour les cas simples, tandis que la taille, qui porte ses dang
qui porte ses dangers en elle-même, en offre presque autant dans les cas simples que dans tes cas compliqués. Mais, quel
elle-même, en offre presque autant dans les cas simples que dans tes cas compliqués. Mais, quelque soin que l'on apporte
ion, il ne faut cependant pas se dissimuler qu'il y aura toujours des cas réfractaires qui empêcheront d'établir une ligne
fois, amènerait presque né-cessairement une issue funeste. En pareil cas , la taille aurait, dit-on, plus de chances de réu
la faire exclure. M. Leroy prétend même que l'opéra-tion est, dans ce cas , un moyen de guérison; que le dépôt mu-queux et p
près. Toutefois, si l'on craignait d'appliquer la lithotritie dans le cas de catarrhe vésical, on pourrait tenter d'en obte
lée, ainsi que M. Jules Cloquet dit l'avoir fait avec succès dans des cas de catarrhes très intenses. 3° Racornissement e
pliquée sans beaucoup de dangers. Voici comment M. Civiale résume ces cas : i° La lithotritie est presque toujours applic
ation obtenue par un traitement préparatoire in-dispensable en pareil cas , l'absence de tout accident immédiat après la pre
enoncer au broiement et à choisir d'autres moyens. 3° Dans tous les cas il faut procéder avec beaucoup de réserve, faire
les parties latérales, le lobe moyen, ou la to-talité. Dans tous les cas , il détermine un rétrécissement de l'u-rètre, et
lus déclive, où il serait à la portée de l'instrument. Encore dans ce cas aurait-on beaucoup de peine à terminer l'opératio
s bien constitués, la lithotritie ne convient pas en général dans les cas de gros calculs, tandis qu'elle réussit fort bien
on doit agir ou s'abstenir. Sous ce rapport, M. Civiale a partagé les cas en simples et en compliqués, et chacun d'eux en p
n d'eux en plusieurs séries. Il ne nous reste plus à examiner que les cas simples, c'est-à-dire ceux où la pierre existe sa
ou plusieurs petits calculs. Le broiement convient parfaitement à ces cas , et il est suivi d'une prompte réussite. Si, au l
un seul calcul, il y en a plusieurs petits, on se trouve dans le même cas que s'il n'y en avait qu'un seul rompu en plusieu
endant, ils présentent à cet égard des variétés remarquables. Dans un cas signalé par M. B. Cooper, il était suspendu au so
ostate hyper-trophiée s'oppose à la libre sortie de l'urine. Dans ces cas la lithotritie ne peut être pratiquée avec des in
ette des hopit. , février 1838). C'est déjà bien hardi, mais dans les cas d'enkystement réel on admet difficilement que la
tôt des accidens les plus graves. H est vrai que la taille, en pareil cas , n'est guère moins dangereuse; mais alors le mieu
ée à l'extérieur avec l'instru-ment auquel elle fait suite. Dans deux cas de sa pratique, M. Le-roy a vu survenir cet accid
s que M. Hervez de Chegoin fut obligé de pra-tiquer la taille pour un cas dans lequel un morceau de pince plus gros s'était
out, et chez quelques adultes dont le canal est étroit. Dans d'autres cas elles sont déterminées par des fragmens de cal-cu
nal que le fragment occupait avant son extraction ; souvent en pareil cas , bien que le calcul soit extrait, les malades ép
ompagnée de la rétention de l'urine. M. Ci-viale conseille, en pareil cas , de pratiquer une pression douce et graduée sur l
u'à un certain point, rendre raison de ces accidens articulaires. Ces cas , où il y a coïncidence de la pierre avec une affe
s, et peuvent rapi-dement amener la mort comme M. Leroy en a cité des cas . appréciation de la lithotritie. Tout le mond
ses opérés ? Nous ne le croyons pas. Il est constant que, dans ces 97 cas , il y a eu des explorations : M. Marjolin assimil
t d'autant les organes urinaires; d'où il conclut que, au lieu de 244 cas , on doit en compter 341, sur lesquels il y aurait
st attiré avec raison, parce que personne n'ignore que, dans certains cas , la simple exploration de la vessie, avec des ins
ieu de l'espérer, on pourra proclamer un jour la lithotritie dans les cas qui en permettent l'emploi, comme la moins périll
uytren, comme il le dit lui-même, s'est trouvé plusieurs fois dans ce cas (Dictionn. de Méd. et de Chirurg. pratiques, art.
tomie). Toutefois , cette erreur ne pouvant être commise que dans les cas où le calcul est petit, elle devra être beaucoup
dans le passé, et sera surtout moins préjudiciable en ce sens que ces cas rentre-ront dans le domaine de la lithotritie. Da
stent en avant ou en arrière de l'aponévrose moyenne. Dans le premier cas , et surtout à partir de la racine du bulbe, l'inf
e les liquides trou-vent à en opérer le décollement. Dans le deuxième cas , l'infil-tration trouvant, dans l'aponévrose moye
iée peut être incisée dans une étendue plus considérable que dans les cas où elle a ses dimen-sions ordinaires. 3° Vaisse
lication générale, et dont l'emploi exceptionnel se restreint pour le cas où la pierre,en forme de gourde, s'est développée
mètre, on n'obtient pas ainsi une ouverture aussi grande que dans les cas où l'on fait à cette glande une incision latérale
lure dans son cathéter, et à son ignorance en anatomie; dans tous les cas , on ne saurait lui refuser d'avoir appliqué le pr
eint; aussi ne méritent-ils d'être cités que pour mé-moire. En pareil cas , d'ailleurs, la lithotritie serait préférable.
e, en supposant même qu'on voulût adopter la taille latérale. Dans ce cas , il vaudrait beaucoup mieux commen-cer par incise
y aurait faite eût pu suffire pour le pas-sage du calcul, et, dans le cas contraire, à l'inciser dans le sens de ses deux r
donne un haut degré de valeur à cette espèce de lithotomie, dans les cas où l'on a reconnu qu'on a affaire à un calcul vol
assis), afin d'éviter de dépasser les limites de la prostate dans les cas de calculs volumineux, a proposé de diviser cette
ues antérieures. Aussi cette méthode doit-elle être réservée pour les cas exceptionnels. Pour terminer ce qui a rapport a
oin de se munir de bandes de laine ou de toile pour lier le malade en cas de besoin. Position du malade. Autrefois, dans
avant oû on fes fixerait par un nœud simple et une rosette. Dans le cas où on laissera le malade libre comme dans ceux où
position qu'il a prise pendant tout le temps de l'opé-ration; dans le cas contraire il s'assied sur une chaise, ou, ce qui
ière est la plus difficile. Ant. Dubois y était fort habile. Dans les cas simples, la taille latéralisée, comme maintes loi
t l'indicateur de la même main placés dans les anneaux; ici plusieurs cas peuvent se rencontrer : « Si la pierre se présent
mment au-dessus du calcul sans « pouvoir le saisir. On doit en pareil cas substituer une tenette « courbe aune tenette droi
de ses grands diamètres, ce qui rend sa préhension difficile. Dans ce cas , chez les enfans , où le doigt peut atteindre dan
ore que son extraction soit impossible à cause de son volume. Dans ce cas il y aurait plusieurs partis à prendre. Si l'on n
le procédé de M. Vidal (de Cassis). Dupuy-tren a conseillé, en pareil cas , d'essayer de briser la pierre en se servant de t
sent la pierre, de manière à ce qu'elle ne puisse leur échapper. Le cas d'excès de volume du calcul ne se présentera plus
angereuse. Or, nous savons que, dans des limites données, et dans des cas cpie nous avons appréciés en traitant de la litho
endant être complètement retirées sans lâcher prise. Il faut, dans ce cas , abandonner le calcul et chercher à le saisir par
s la vessie, ou bien s'il s'est arrêté dans la plaie. Dans le premier cas on réin-troduira l'instrument dans le réservoir u
volume assez considérable, et tantôt elle se réduit en poussière. En cas de fragmens il faut chercher avec le doigt indica
ie pour reprendre ceux qui pourraient y être retombés. Dans le second cas , après avoir extrait avec la curette les plus pet
certain delà multiplicité des calculs; il faudra donc, dans tous les cas , et surtout dans celui-ci, introduire le doigt in
rait, plus tard, recommencer l'opération. Cependant il y a quelques cas où l'on est obligé de cesser toute manœuvre tenda
nstances les plus embarrassantes qui puissent se présenter; en pareil cas , la première chose à faire est d'introduire le do
on introduirait deux doigts dans le rectum, ou dans le vagin, dans le cas où l'on agirait chez une femme. Cette exploration
ser des accidens qui pourraient entraîner la mort du malade. Dans les cas où l'on ne peut atteindre le point où le calcul e
rouvée insuffisante et dangereuse. Littre a aussi conseillé, dans les cas où l'on peut atteindre la pierre, de saisir la tu
ffrir. Pour avoir voulu aller trop vite et avec trop de force dans un cas semblable, La Peyronie vit périr son malade d'hém
ans l'exemple rapporté par Ledran. Ce chirurgien pensait que dans les cas d'adhérences , l'ébranlement causé par les tracti
résultat. Ce serait un moyen qu'il ne faudrait pas négliger en pareil cas . S'il est possible d'atteindre la pierre avec l
nt à son extraction. On introduit, ainsi que le fit Garengeot dans un cas de cette nature, l'indicateur de la main gauche d
ons émollientes. suites de l'opération. Il peut se présenter deux cas , suivant qu'il survient ou non des accidens après
r plus vite les forces au moyen d'un régime convenable. Dans tous les cas on doit administrer des lavemens émolliens et que
« coule par l'angle inférieur de la solution de continuité. Dans « le cas où la honteuse elle-même aurait été blessée, c'es
trop difficile de le lier, on en pratiquerait la torsion, et dans le cas où celle-ci ne pourrait être exécutée, parce que
lus tard. Les moyens propres à y remédier sont les mêmes que dans les cas où il arrive pendant l'opération. Cependant avant
te, et qui n'est autre chose que la vessie remplie de sang. En pareil cas , il faut commencer par vider la vessie à l'aide d
ême fil l'artère et la branche ascendante des ischions. Dans quelques cas , heureusement fort rares, l'hémor-rhagie est au-d
s cpii meurent après la taille périnéale. Elle peut survenir dans les cas les plus simples comme dans les plus compliqués;
stre, et divers autres signes qui caractérisent la cystite. En pareil cas , la surface de la plaie est sèche. — Les saignées
de gouttière autour de la prostate et du col de la vessie : c'est un cas effectivement où il est fort difficile de l'évite
les chirurgiens français de lui accorder la préférence. Dans quelques cas , la blessure de l'in-testin tient au défaut d'hab
grande, pourvu que les matières stercorales n'y passent que dans les cas où le malade va à la garde-robe, et qu'il ait de
qu'à parfaite guérison; ce moyen a parfaitement réussi dans plusieurs cas où l'on avait intéressé le rectum. Quand l'ouvert
a blessure de la vésicule séminale, elle ne peut survenir que dans le cas où l'on porte l'in-cision au-delà des limites pro
a pas cessé d'être considérée comme une opération utile dans certains cas . Bazeilhac s'en déclara le partisan; après lui, s
re, en général, comme une opération utile et bonne, réservée pour les cas spéciaux qui en nécessitent l'emploi. Anatomie
arrêtons-nous pas à ce procédé qui ne pourrait être bon que pour les cas où la pierre, très volumineuse, remplirait en gra
quelques millimètres de son extrémité, pour arrêter la vessie dans le cas où le bec viendrait à passer par l'ouverture fait
ette position, pendant qu'on divise la paroi abdominale comme dans le cas précédent. Lorsqu'on est arrivé à la vessie, on p
de la sonde à dard jusqu'à la paroi antérieure de ce viscère. Dans ce cas on ne peut que diviser la vessie sur la pierre ,
trop les serrer, dans la crainte d'é-craser le calcul. Dans quelques cas , l'extraction avec les tenettes seules est diffic
la vessie largement à découvert, il n'est, pour ainsi dire, point de cas dont on ne puisse se tirer par la taille hy-pogas
extrait un calcul pesant 23 onces et a guéri son malade. On cite des cas où le calcul pesait 25 onces, 2 livres, 3 et jusq
culs adhérens et enchatonnés, offre également des ressources pour les cas exceptionnels, comme celui de M. Léonardon, où, a
exagérée; elle ne doit réellement préoccuper l'opérateur que dans les cas où le sujet étant très gras et la vessie très pro
ui nous restent des chirurgiens des deux derniers siècles; et dans le cas de Prœbisch en particulier, rapporté par Heister,
édie à rien , et ne peut donc être d'aucune utilité; on cite même des cas où il est survenu des accidens qu'on aurait pu ra
e d'une sonde dans l'urètre, ce qui n'a pas lieu dans la majorité des cas . — La pompe aspiratrice de M. Jules Cloquet et le
rarement assez abondante pour donner des craintes sérieuses. Dans le cas contraire, on y remédierait facile-ment, etd'abor
s applications d'eau froide ou même de glace pilée sur l'appareil; en cas de non-réussite , on devrait en- lever Je panse
à taille hypogastrique. Une circonstance fâcheuse néan-moins, dans le cas dont il s'agit, c'est la présence constante de l'
Côme, M. Souberbielle, Thornill, M. Crouzat de Tours, en ont cité des cas ; la sortie des intestins par l'ouverture péri-lon
n d'une violente phlegmasie et d'une suppuration abondante. En pareil cas , la chose la plus pressante à faire, est de donne
ne méthode exceptionnelle, et pensent qu'on doit la réserver pour les cas où le calcul, très vo-lumineux, présente plus de
ou latéralisée. Il est clair que nous exceptons dans ce parallèle les cas où la lithotritie doit être préférée à la lithoto
de cette dernière une mé-thode générale qu'ils appliquent à tous les cas , sans même en excepter ceux qui, au jugement du p
resta une plus volumineuse qui nécessita l'opération ; dans les deux cas Fabrice réussit parfaitement à guérir ses malades
delà vessie d'une femme. En 1740, Gooch pratiqua l'opération pour un cas analogue à ceux de F. de Hilden. En 1810, M. Faur
ois. M. Rigal l'a faite deux fois. M. A^elpeau en rapporte aussi deux cas remarquables, qui lui ont été communiqués, l'un p
nommer, ont également pratiqué avec succès cette opération, dans des cas moins graves. Manuel opératoire. — Procédé de F
pierre par le vagin, mais il ne conseillait d'agir ainsi que pour les cas de pierres très volumineuses. Alors il introdui-s
ce procédé avait bien guéri, il pensait qu'il pouvait, dans tous les cas , prévenir l'incontinence d'urine. Le procédé qu
émot, et couper avec la main droite restée seule libre; dans tous les cas , on ne doit pas donner à l'incision plus de iS à
éral ce canal soit très dila-table; M. Flaubert rapporte que, dans un cas semblable, il fut obligé de briser le calcul en p
re pas trop permis de préjuger ce qui arriverait de la suture dans un cas de plaie simple et récente, par ce qui arrive dan
re dans un cas de plaie simple et récente, par ce qui arrive dans les cas des fistules ordinaires. Appréciation des métho
des opérations de la taille, ont englobé dans leurs calculs tous les cas qui se sont présentés, sans distinction de méthod
t été important, ce nous semble, de faire au moins deux catégories de cas , savoir : ceux qui proviennent de la taille hypog
d'une certaine manière, et que l'on n'a tenu compte que des séries de cas heureux , additionnées ies unes avec les autres ,
, additionnées ies unes avec les autres , en négligeant les séries de cas malheureux. Chacun sait que, sous certaines con-d
de l'hôpital de Lunéville, nous a transmis un travail fondé sur 1629 cas , sur lesquels il n'y aurait eu que 147 morts, ou
t pas rigoureusement justes. Ils rapportent sans examen les séries de cas heureux les plus exagérées des litholonûstes, et
Jacques 67, Méjean io5; lorsque Raw en aurait guéri 1547 sans un seul cas malheureux. De tout cela je n'en crois rien ; je
t séparément : 1 mort sur 7 opérés, c'est-à-dire qu'il y aura plus de cas mal-heureux dans les grands hôpitaux, 1 sur 6, 5
u'il a puisées dans sa pratique. M. Velpeau en a rencontré vingt-cinq cas , et en a donné une bonne description : en résumé,
ence d'une contusion, ou des efforts de l'accouchement; dans les deux cas , elles résultent de la rupture de vaisseaux sangu
amais par la cautérisation. La ponction ne peut convenir que dans les cas où le sang contenu dans le kyste est encore à l'é
minerait la rupture de la tumeur comme cela est arrivé dans plusieurs cas ; ou bien l'enfant, au lieu de sortir par la vulve
pourrait s'échapper à travers une déchirure du périnée. Dans tous les cas , le volume de la tumeur en serait considérablemen
luctuation est sourde en dehors et très manifeste en dedans ; dans le cas contraire, ou même lorsqu'elle n'est pas plus sen
la ponc-tion et l'injection iodée lorsqu'ils sont volumineux; dans le cas contraire, il est plus avantageux de les inciser
es mau-vaises habitudes par l'amputation du clitoris. Si, en pareil cas , on voulait suivre la même conduite, il suffi-rai
ences médicales et dans les Archives générales de méde-cine. Dans des cas semblables, de même que dans ceux de déve-loppeme
tumeur dans un fil. Cautérisation. Elle ne conviendrait que dans le cas où la tu-meur, large et aplatie, serait dépourvue
on de la vulve. Elle peut être congeniale ou acquise. Dans le premier cas , l'occlusion, ou s'étend au méat urinaire, ou le
mation du canal qui serait suivie d'adhérences, comme on en trouve un cas dans les Transactions philosophiques (année 173a,
nsuite réunir par des points de suture, comme cela est arrivé dans un cas rap-porté par Royer (Traité des maladies chirurgo
lieu d'être bouché par une membrane mince, l'urètre est oblitéré, le cas devient fort grave. « Quelquefois, dit « Royer, l
illots et les fluides altérés encorecontenus dans la matrice. Dans un cas où il avait incisé l'hymen, Dehaen, voyant surven
e F utérus que l'hymen. Elle présente les mêmes symptômes que dans le cas précédent, et le même traitement devra y être app
existe, il serait toujours temps d'opérer. Boyer, consulté pour deux cas de cette nature, refusa positivement de faire auc
s aussi nous pourrions citer en compensation un grand nombre d'autres cas où l'on a parfaitement réussi : tel est celui que
très bien seules. Les déchirures centrales sont souvent dans le même cas , mais cependant nécessitent quelquefois les secou
sitent quelquefois les secours de l'art. On a aussi vu, dans certains cas , guérir spontanément des déchi-rures larges et lo
pas toujours. Suture. De La Motte en était grand partisan. Dans un cas où la cloison recto-vésicale était rompue et où l
nte qui se pro-longeait depuis la fourchette jusqu'à l'anus; dans des cas pareils, MM. Dubois père et fils ont échoué. Le J
les déchirures du périnée chez la femme, en rapporte aussi plusieurs cas ; enfin M. Roux qui, dans un mémoire intitulé Rest
ure des sphincters, et le vagin communique avec le rectum. Le premier cas est déjà grave, mais le second, qui réunit le vag
alimens de facile digestion. Toutefois M. Dieffenbach a opéré dans un cas le lendemain des couches; il s'agissait d'une dem
eut le bonheur de réussir complètement. Mais M. Telpeau, qui, dans un cas , re-courut à la suture le lendemain de la déchiru
suivant que la déchirure est incomplète ou complète. Dans le premier cas , la suture simple peut suffire; dans le second, q
stituer la suture enchevil-lèe, qui, en effet, lui a réussi en pareil cas . Pour la mettre en usage , on prépare des fils ci
, et leur pointe bien tranchante. La femme étant placée comme dans le cas précédent, les lèvres de la division avivées soit
es lèvres de la division avivées soit avec le bistouri, soit, pour ce cas , avec de fort ciseaux, on saisit la lèvre gauche
(Voy. pl. 69, fig. r). T. VU. Procédé de M. Dieffenbach. Dans un cas de rupture complète du périnée, apresavoir pratiq
à propos, mettre en usage di-verses autres espèces de suture. Dans un cas Saucerotte pratiqua la suture du pelletier. Noël,
s. Elles seront émollientes, détersives ou antiseptiques, suivant les cas . Il n'est pas nécessaire de placer une mèche dans
ôtés de la suture des incisions sem-blables à celles que fit, dans un cas , M. Dieffenbach, parce que les tissus sont presqu
seulement cette incision ne doit être mise en pra-tique que dans les cas excessivement graves, dans la crainte de substitu
ées par MM. Roux et Velpeau. Absence d'agglutination. Dans certains cas , par suite d'indo-cilité, de mouvemens inconsidér
e est debout, et dans l'autre, elle est couchée. Pour l'un et l'autre cas , il faut avoir la précaution de faire vider le re
n haut, on peut apprécier son poids et sa mobilité, et dans cer-tains cas sentir son fond avec l'autre main appliquée sur P
dius et l'indi-cateur au lieu d'introduire l'indicateur seul. Dans un cas où il ne pouvait atteindre le col, avec le doigt
en passant derrière la cuisse corres-pondante ; dans l'un ou l'autre cas on y pénètre comme dans celui où la femme est deb
d pas douloureusement l'anneau vulvaire, et peut servir pour tous les cas , quelleque soit la dimension du vagin : il est vr
ux employés; le verre et les tissus élastiques sont réservés pour des cas spéciaux. Application du spéculum. Avant d'y pr
numéros i,a,3. Quant au spéculum brisé, il peut servir pour tous les cas . La position de la femme doit être à-peu-près l
lacer entre ses jambes , nous nous mettons à sa droite. Dans tous les cas , pour s'assurer de la position du col, on pratiq
r au centre du spéculum sans courir le risque de le froisser. Dans ce cas , on a proposé plusieurs moyens pour le ramener au
eurs fois avec succès, nous a été également fort utile dans plusieurs cas où le col était fortement dévié et ne se présenta
, et nous préférons suivre le procédé de M. A. Jobert. Il existe un cas où aucune manœuvre ne peut réussir à ramener le c
vésico-vaginale gué-rit très bien; mais la raison en est que, dans ce cas , la solution de continuité n'est qu'une plaie sim
nt plusieurs mois , ou même pen-dant une année, a pu réussir dans les cas de fistules situées au devant du col de la vessie
lles de la vessie qui étaient récentes et peu étendues; mais dans les cas plus graves il échouait constamment, quoiqu'on eû
e application qui réussit complètement. M.Vel-peau pense que, dans ce cas , le nitrate d'argent a fait seul les frais de la
ant leur lèvre postérieure, et siDupuytren a obtenu un succès dans un cas de ce genre, on doit en conclure que son instrume
es deux instrumens précédens ne pouvaient être employés que clans les cas de fistules transversales. M. Laugier a comblé ce
stule est transversale ou longitudinale, il se com-pose dans les deux cas de griffes placées sur deux tiges. Lorsque la f
isposer les érignes obliquement et les attacher comme dans les autres cas . Les pinces mises en place sont maintenues avec d
ce rapport, et de plus les dernières peuvent s'appli-quer à tous les cas . Comme conséquence de tout ceci, nous pen-sons qu
calleux. L'orifice de la fistule étant mis à découvert comme dans le cas précédent, un petit cautère ayant la forme d'une
de l'étroitesse delà fis-tule. Elle échoue presque toujours dans les cas où la fistule est grande et surtout accompagnée d
le fut toujours con-sidérée comme une opération inexécutable. Dans un cas de fistule vésico-vaginale où J.-L. Petit fut app
rre-nœud ou dans les trous d'une pince à plaques, de manière, en tout cas , à rapprocher et à serrer les deux lèvres l'une
ans des grains de chapelet, et fait un nœud sur le der-nier : dans un cas , il a très bien réussi. La difficulté d'aviver le
ait toujours; et cependant, on le sait, c'est dans un grand nombre de cas , de l'avivement bien fait des bords de la fistul
sur le petit doigt, nous paraît encore ce qu'il y a de mieux, dans le cas de fistule transversale, parce que la sensation d
t l'une serait dans le vagin et l'autre dans la vessie. Dans un des cas où M. Jobert a appliqué son procédé avec succès,
échoué. Il nous paraît mériter devoir être essayé de nouveau. Dans le cas , où la réunion se ferait, on couperait une des ex
t permettre de rétablir plus tard la conti-nuité du vagin. 2" Dans le cas où la fistule est très élevée, il pense que l'o
tenter avant que les règles aient complètement dispara. Dans tous les cas , c'est le dernier moyen à mettre en usage; outre
e à la femme d'uriner sans le secours de la sonde, parce que, dans ce cas , l'urine ne passe par la fistule qu'au moment de
érisation seule ne peut plus faire les frais de la guérison. C'est le cas , alors, d'employer la suture. Pratiquée une ou pl
ture anormale, comme M. Vel-peau en a observé plusieurs. Si, dans ces cas , de même que dans ceux où l'on a employé, sans su
faite du forceps, d'abcès, de cancer, de gangrène, etc. Dans d'autres cas , c'est le rectum qui s'ouvre dans le vagin; Barba
l'article précédent. i° La cautérisation ne conviendra que dans les cas de fistules étroites, ou pour terminer la cure de
à rendre complète la division du périnée: la malade guérit. En pareil cas , nous pensons qu'il se-rait préférable de pratiqu
renversement du vagin, ces deux espèces de hernies peuvent, dans les cas ordinaires, être réduites et contenues par des pe
res, être réduites et contenues par des pessaires. Mais dans quelques cas ces moyens sont inappli-cables et, par exemple, s
dise UDict. des Etudes méd. art. Dystocie) qu'il n'a rencontré aucun cas où le cathétérisme ait été impossible, il conseil
l'autre aux dépens de toutes les membranes du vagin. Dans le premier cas , l'utérus peut ne pas changer de place ; mais la
tale seule peut quelquefois suf-fire. D'après Hoin et Levret, dans un cas de chute du vagin , où la tumeur faisait une sail
. Les bains froids et les bains de mer sont aussi recommandés dans ce cas . Aux pessaires, dont nous parlerons plus loin, Ch
gment ou la cavité de la membrane est la plus pro-noncée. Dans divers cas d'opération, la forme du lambeau était elliptique
agino-rectale. Ce procédé fut imaginé et employé avec succès, dans un cas , au dire de son auteur, M. Dufresse-Chas-saigne,
t tomber avec la ligature, lorsqu'elle est gangrenée. Dans ce dernier cas , Sabatier conseillait de laisser les parties gang
Bérard a pratiqué une fois l'extirpation avec le bistouri. En pareil cas , dit M. Velpeau, il est difficile d'acquérir la c
vulve, la réduction est toujours beaucoup plus difficile que dans le cas précédent, lors même qu'il n'y a aucune complicat
ptement possible par les moyens connus, et agir ensuite comme dans le cas précédent. Fixation de l'utérus. Les moyens pro
mbre de femmes atteintes de prolapsus, comme si elles étaient dans le cas de celles qui ont le périnée déchiré, et de cherc
e lui permet-trait peut-être pas de glisser sur elle , comme dans les cas précé-dens. Ce procédé n'ayant jamais été appliqu
uvant que la plupart des pes-saires ne pouvaient s'adapter à tous les cas , avait inventé un ap-pareil qui consiste en un re
er le col en arrière, et obliger l'utérus à rester en place. Dans les cas d'antéversion, c'est en avant qu'on donnera plus
nner l'idée des modifications qu'il conviendrait de faire suivant les cas qui se présenteraient; car on doit non-seulement
der sur la largeur du vagin et sur la conformation du bassin. Dans un cas où le vagin était très ample, M. Malgaigne se vit
pessaire en gimblette, d'une énorme dimen-sion, et M. Hervez, dans un cas de rétroversion, où le sacrum of-frait une concav
serait trop long de nommer, ont eu oc-casion d'en rencontrer. Dans le cas observé par M. J. Cloquet, la malade était traité
asqué par les végétations et garni d'incrustations calcaires. Dans le cas de Sabatier, le pessaire était tellement recouver
ois semaines. Le fait, de M. Bérard est exactement semblable. Dans le cas de M. Lisfranc, le pessaire faisait saillie dans
aute importance de s'assurer qu'il n'en existe pas. Dans une foule de cas , les chutes de l'utérus sont produites par un eng
aire. En résumé, les pessaires ne doivent être employés que dans le cas où le prolapsus ne consiste que dans une lésion d
connaissance dans les leçons de Grégoire, fut appelé en 1754 dans un cas de rétroversion , pour lequel il fit prier W. Hun
autres à des femmes enceintes. Madame Boivin et Dugès citent aussi 3 cas de rétroversion survenue pendant l'état de vacuit
pas réussir par cette seule cause. Il est souvent difficile, dans ce cas , d'intro-duire la sonde; car, en même temps que l
leur disposition. La position de la femme sera la même que pour les cas précé-dens. Le chirurgien, avant de faire aucune
de les briser sur place et de les enlever par morceaux. Dans d'autres cas , il lui faudra employer la scie, comme le fit Dup
réceptes généraux toutes les manœuvres variées, nécessaires en pareil cas : c'est au chirurgien à s'inspirer des circonstan
quer que ces espèces de fistules guérissent très facilement. Dans les cas d'enclavement de pessaire, le plus souvent, par s
TÉRUS. La ponction de la matrice se pratique non-seulement pour les cas de rétroversion qui n'ont pu être réduits par les
ération congéniale ou acci-dentelle de son col : dans l'un et l'autre cas , la ponction peut se faire par le vagin ou par le
ol, parce qu'on ne sera pas obligé de toucher au péritoine. Dans le cas de rétroversion, on a pour but d'évacuer les eaux
vessie (pl. 73, fig. 1 et 2). La femme étant placée comme dans les cas précédens, on tâche de trouver avec le doigt le c
ulent par la canule. Ponction par le rectum. Quoique applicable aux cas où le col utérin est oblitéré, cette opération se
eur et donne plus de facilité pour opérer. On con-duit, comme dans le cas précédent, le trocart sur le doigt indica-teur ga
et on le plonge dans le corps de l'organe. Si, dans l'un ou l'autre cas , il ne sortait rien par la canule du trocart, il
e par une sonde de femme, comme l'a fait M. Hervez de Chégoin dans un cas . Lorsqu'on ponctionne l'utérus pour une rétrove
t par y vivre. En i83q il en avait rencontré quatre exemples; dans un cas elle était grosse comme un petit œuf, et se pro
nt faire croire à la présence d'un polype. M. Arnott en a rapporté un cas qui avait amené le retournement de l'utérus sur l
yclograph. des sciences méd., i836, et M. Velpeau en a ob-servé trois cas . 70 Polypes fibreux. Ce sont ceux qui se rencon-t
avité du col. Us sont le plus souvent pyriformes, mais clans d'autres cas globuleux ou aplatis; tanto; leur surface est lis
eu lieu sam le secours de l'art. Mauriceau et Ruysch en ont cité des cas . M. Servez de Chégoin en a aussi rapporté plusieu
it chez un malade. M. Guil-lon dit avoir obtenu un pareil succès. Les cas où le seigle ergoté doit être administré sont ceu
polypes de l'utérus , ne peut être véritable-ment utile que dans les cas de petits polypes cellulo-vasctdaires, qui naisse
é d'ceuf, quoiqu'il occupât la cavité même de l'utérus. Dans l'un des cas de M. Récamier, il s'agissait d'un polype petit,
es crochets dans la substance du polype pour tirer dessus. Dans trois cas , M. Velpeau embrassa le sommet de la tumeur avec
na dans le détroit inférieur, et finit parla détacher. Dans un de ces cas , il fallut faire une incision au pédicule, qui cé
n résumé, l'arrachement n'est bon comme méthode générale que dans les cas de polypes vésiculeux et cellulo-vasculaires qui
ment. M. Récamier l'a pratiqué deux fois avec succès. Dans le premier cas , il s'agissait d'un polype ayant le volume du gro
organe. Maintenant donc, la ligature peut être ap-pliquée dans trois cas différens; savoir: sur les polypes situés hors
nable-ment étranglé par une seule anse. Il peut même se présenter des cas où l'on soit obligé d'appliquer un plus grand nom
ssurait si l'anse était assez grande pour admettre le polype; dans le cas contraire, il l'agrandissait en poussant le bout
lus simples , plus faciles à appliquer , et conviennent pour tous les cas , nous nous contenterons, ainsi qu'on le fait géné
e Desault. Ajoutons aussi que ses instru-mens suffisent dans tous les cas ; seulement, il peut être quel-quefois nécessaire
rendre raison d'accidens aussi formidables, on a pensé que, dans ces cas , on avait porté la ligature jusque sur le fond de
reprodui-saient, il faudrait enlever tout-à-fait la ligature. Dans le cas , au con-traire, où son application n'est suivie d
t d'exciser le pédicule du polype au-dessous de la ligature : dans un cas pareil, M. Demazière, de Bergues, suivant ce cpt'
iction opérée) pour en abandonner la chute à la nature. Dans tous ces cas , du reste, il faut avoir soin de faire, plusieurs
fil, et se putréfier bien au-delà « de son excision dans deux autres cas .» (Méd.opér., t.iv,p. 393.) Lorsque le polype e
ire qu'on puisse employer pour obtenir la cure des polypes. H y a des cas où l'on doit lui donner une préférence exclusive
it difficile d'aller l'atteindre pour en faire la résection. Hors ces cas , la ligature présente beaucoup d'inconvéniens, et
polype à pédicule étroit, et il n'o-sait la recommander que dans les cas de ce genre. Dupuytren, au contraire, s'appuyant
s les instrumens spéciaux, l'inconvénient de ne convenir que pour des cas déterminés. Si la tumeur cédait facilement aux
. Dupuytren et M. Hervez de Chégoin l'ont fait avec succès. Dans deux cas où la tumeur ne pouvait sortir, Dupuy-tren incisa
facilement à la dégager. La même opération a été proposée pour les cas d'étroitesse du col, lorsque le polype est encore
, d'après lui, MM. Deneux, Murât et Hervez de Chégoin. Mais , dans le cas où le polype se laisserait déprimer par l'instrum
ou diminuer le volume de la tumeur , on aurait à choisir, suivant le cas , de trois choses l'une : ou inciser le périnée,
rinée, comme M. Velpeau dit l'avoir fait une fois avec succès dans un cas avec M. Demazières de Bergues; ou fendre la tumeu
que M. Marjolin dit en avoir observé un autre, et que, dans les deux cas , la femme mourut. Mais Dupuy-tren qui n'a jamais
rut néanmoins d'une métro-péritonite en huit jours ; dans deux autres cas , il a vu des symptômes sérieux de phlébite ou de
ec la pince à trois branches, comme le conseille M. Colombat. Dans ce cas , Aétius prescrit de tâcher de le faire sortir de
ce est pour ainsi dire moulée sur lui, M. Colombat pense que, dans ce cas re-gardé généralement comme au-dessus des ressour
on du procédé de la nature qui en a offert quelques exemples dans des cas de tumeurs fibreuses pédiculées (polypes). La pre
onéale ne peut être prévue, l'incertitude et le danger, dans tous les cas , nécessitent toujours la même prudence et la même
up l'opération parce que ce procédé trouvera son application dans les cas de po-lypes volumineux ou de tumeurs renfermées d
-traver par une espèce d'opération césarienne, mais seulement dans le cas où des accidens graves devraient amener une issue
c et des douleurs dans les régions lombaires et inguinales. En pareil cas , l'attention du médecin doit être fortement attir
raitement général. 3° Ulcères cancéreux, llayle considérait dans ce cas la cautéri-sation, comme un excellent moyen théra
érapeutique, l'anatomie pa-thologique lui ayant appris que , dans les cas où le cancer com-mence par une ulcération , le ti
les qui prouvent que cette crainte est fondée, puisque, dans quelques cas , l'absorption de la substance toxique a déterminé
e-indications. Avant de passer outre, il est important d'examiner les cas dans lesquels on devra tenter l'am-putation du co
à l'Académie des sciences en i83/i, résume, en cinq propositions, les cas où il lui paraît convenable d'opérer : i° lorsque
n , la pratique a démontré à Lar-rey et à M. lisfranc, chacun dans un cas , qu'on pouvait opérer avec succès, quoique les ov
ION DU COL DE LA MATRICE SANS DÉPLACEMENT DE CET ORGANE. Il y a des cas où l'on ne peut amener le col de la matrice à la
tou-jours douloureux, tandis que la section ne l'est pas. Dans ces cas , Dupuytren, après avoir exactement embrassé le ca
uper le col de l'utérus en place , ne doit être employée que dans les cas où l'abaissement de l'organe ne pourrait être opé
e M. Lisfranc nous paraît mériter la préférence dans la ma-jorité des cas . Cependant, si l'on voulait exciser en cône le co
urbes ou la curette tranchante de Dupuytren , suffisent dans tous les cas . Suites de l'opération, et soins qu'il convient
dens les plus redoutables de l'opération. Il prétend que, dans treize cas d'excision par le procédé de M. Lis-franc, l'hémo
perforation du rectum ou de la vessie ne peut avoir lieu que dans les cas où on est obligé d'amputer très haut, et où il fa
r très haut, et où il faut cerner l'intérieur de la matrice. Dans les cas ordinaires, elle ne peut résulter que de la malad
vingt-trois succès, déposée à l'Institut par M. Lisfranc, trouve neuf cas supposés, trois double emploi, deux cas où il n'y
par M. Lisfranc, trouve neuf cas supposés, trois double emploi, deux cas où il n'y avait que des petits polypes qu'on a ex
e pour la dernière on ait eu réellement affaire à un cancer. Dans six cas cités par M. Cazenave (Bull, de l'Acad. roy. de M
que l'excision du col de 1 utérus, bornée comme elle doit l'être aux cas avérés de cancer, s'adresse à une maladie nécessa
RPATION DE L'UTÉRUS. Cette opération peut être pratiquée dans trois cas différens : i° lorsque l'utérus est renversé, c'e
sque l'organe, sans être déplacé, est envahi par un cancer. Ces trois cas méritent d'être traités à part, parce que les rés
é, n'of-frirait pas moins de difficultés à un retournement. En pareil cas , Millot a proposé d'inciser le col avec un lithot
agnée de gonfle-ment et surtout un peu ancienne; car, dans ce dernier cas , ce n'est pas seulement le col qui met obstacle à
s. Béranger de Carpi, Wrisberg, M. Velpeau et autres ont rapporté des cas où l'amputation a parfaitement réussi. D'un autre
ligature avait été couronnée de succès. Mais, en opposition avec ces cas , on peut en rappeler beaucoup d'autres où elle a
une aiguille, armée d'un fil double. C'est ainsi qu'on agit pour les cas de polypes pendans entre les cuisses, et dont le
ar de Siebold et deux par M. Langenbeck; en 1828 on en connaît quatre cas de M. Blundell, un de M. Banner et un de M. Lizar
au niveau des trompes, si son fond est sain, et même, dans ce dernier cas , il peut se dispenser d'ouvrir le péritoine. Le
opérations sur le col de la matrice ne sont justifiables que dans les cas les moins graves et où il est rai-sonnable de pou
anente, l'extir-pation complète de la matrice cancéreuse dont, sur 25 cas , on ne connaît qu'une malade de M. Evans qui ait
ou de chocolat, lactes-cent ou séro - purulent; enfin, dans d'autres cas , des ma-tières graisseuses, suifeuses , semblable
; elle peut au contraire constituer une res-source précieuse dans les cas où l'existence de la tumeur mettant les jours de
étreint chacune d'elles dans une ligature, et on les divise; dans le cas où elles sont larges et étend ues, et surtout si
breux vaisseaux, mieux vaudrait , comme le fit M. Dieffenbach dans un cas analogue, renoncer à l'opération et réunir la pla
'il n'est pas trop volu-mineux pour traverser la plaie; mais, dans le cas où l'excès de son volume fait obstacle, le chirur
incision sur la ligne blanche, M. Mac Dowel avait eu recours, dans un cas , à l'incision longitudi-nale, en dehors du muscle
encore ses efforts chez une autre ma-lade. Il en fut de même dans les cas de Macdonnald [Siebold's J., tom. v) ; de M. Chri
u'en général, elles ou leurs parens ne permettent d'agir que dans les cas où la tumeur, déjà volumineuse, déter-mine, soit
s. Aussi, ne croyons-nous le chi-rurgien autorisé à agir que dans les cas où le diagnostic est certain, et lorsque les prog
PUBIO-SYMPIIYSÉOTOMIE. Séverin Pineau pensait que, dans certains cas , l'accouchement ne pouvait se terminer sans qu'on
es uns, pensant que l'opération césarienne pouvait suffire à tous les cas , furent appelés cèsariens; tandis que , par oppos
croyaient au contraire que la symphyséo-tomie pouvait, dans tous les cas , être heureusement substituée à l'opération césar
e est maintenant une opéra-tion qui ne se fait plus que rarement. Les cas dans lesquels elle peut être applicable sont ceux
e 8 et 6 centimètres et demi (3 p. et2p. etdemi). En effet, en pareil cas , la section du cartilage inter-pubien pour-rait r
de 27 à 36 millimètres, comme Baudelocque dit l'avoir observé dans un cas sur le cadavre. Quoi qu'il en soit, en admettant
e la symphyséoto-mie est encore susceptible d'être appliquée dans les cas de vices de conformation du bassin qui portent su
provoquer l'accou-chement après le septième mois. Restent donc quatre cas d'opé-ration : i° lorsque, n'étant appelé qu'au m
étroit inférieur; 4° enfin l'opération a encore été proposée pour les cas où, le tronc étant sorti, la tête est retenue dan
ne incontinence d'urine, et une autre une claudication; enfin, sur 34 cas cités par Baudelocque, on n'est parvenu à sauver
couper le cartilage, a conseillé d'agir de cette façon dans tous les cas . Desgranges avait déjà donné le même conseil. Nou
ne voyons pas ce qu'il y aurait à gagner à cet égard. Dans quelques cas il arrive que la symphyse est déviée de la ligne
res, disent avoir observé cette soudure sur des bassins viciés. Si un cas pareil se présen-tait et qu'on eût déjà incisé le
ractions utérines, et je tente-rais l'emploi du forceps, même dans le cas où la tête, encore en-gagée dans le détroit supér
n-zième jour sans béquilles; il n'en est pas moins vrai que, dans les cas ordinaires, le temps nécessaire pour la consolida
de celui de l'autre côté parla symphyséotomie ordinaire. Dans le seul cas où M. Galbiati ait pratiqué cette opération, il a
aisser la symphyse intacte; de cette façon, on obtien-drait, dans des cas de rétrécissement extrême, un agrandissement suff
ue l'idée de régulariser cette opération et de l'appliquer à d'autres cas . Quoi qu'il en soit, le premier livre où il soi
on sur la femme vivante. Plusieurs motifs peuvent nécessiter, dans ce cas , l'opération césarienne. (a) Étroitesse du bass
s mieux sacrifier l'en-fant, c'est-à-dire avoir recours dans certains cas à la céphalotripsie, et, dans d'autres, au morcel
la certitude que l'enfant est vivant, il faut encore opérer. Dans ce cas , les Anglais préfèrent sacrifier l'enfant, en se
orts de la tumeur et de l'enfant devant seuls déterminer, dans chaque cas , le choix de l'une ou l'autre opéra-tion.-— (e) T
ou en léthargie, comme Rigaudaux, Trinchinetti, etc., en ont cité des cas , on aurait d'autant plus de chances de lui faire
te d'une maladie incurable et dans une situation dé-sespérée. Dans un cas rapporté par Millot, l'enfant vivait encore au bo
er l'artère épigastrique ou la récurrente abdominale; on en trouve un cas cité (/. deméd. Supplém., 1770, p. 173) ; les int
retirer l'enfant soit par la version, soit avec le forceps. Dans un cas où M. Baudelocque voulut essayer ce procédé, il n
se , on sait d'avance si on devra la soumettre à l'opération. Dans ce cas , il faudra l'y préparer quelques jours avant l'ac
rter de temps en temps le doigt indicateur pour le déboucher. Dans un cas où un gros caillot avait bouché le col et où il s
mes inflammatoires du côté de la plaie et du péritoine. Dans tous les cas , des cataplasmes émolliens, des lavemens, le repo
tion devra varier suivant les accidens qui se présenteront. Dans le cas où la guérison a lieu, il faut se rappeler que la
trice, et à la né-cessité de pratiquer la gastroraphie, comme dans le cas cité par Dugès, d'après Locher (Dict. de mèd. chi
nt nécessiter l'opération césarienne vagi-nale, sont, pour le premier cas , les squirrhes, les cancers, les callo-sités, les
rus a quelquefois aussi nécessité l'opération du débridement. Dans un cas de ce genre, où Marigues , de Versailles, ne put
es accouch., 1 797 ) , qu'on doive pratiquer ce débridement, dans les cas où le bras se présente, et où l'on ne peut aller
ette dilatation pour introduire la main dans l'utérus. Dans le second cas , c'est-à-dire, si le col s'est oblitéré pendant l
elle se réduit prompteinent à de très petites dimensions, et dans les cas , où le col n'était que renversé en arrière, il ne
i-cielle, pour la maintenir béante pendant quelques semaines. Dans le cas deLobstein, le retrait delà mèche fut suivi d'une
'empêcha pas les règles de venir régulière-ment par la suite. Dans le cas rapporté par M. Caffe , les règles se sont effect
enne abdominale. L'incision du vagin ne doit être faite que dans le cas où l'on sent, au travers des parois du vagin, les
jugée, si maintenant on établit le calcul sur un plus grand nombre de cas , ainsi que l'a fait M. Velpeau, on trouve que , j
hystérotomie du Dictionnaire des dictionnaires, on trouve 28 nouveaux cas qui, joints à ceux réunis par M. Velpeau, forment
avant ou immédiatement après la rupture de la poche des eaux. Sur 96 cas notés, il y a eu 67 enfans vivans et 29 morts. Da
faites en ville, 3i ont réussi. On connaît un assez grand nombre de cas où l'opération césa-rienne a été faite plusieurs
ec succès, sur la même femme. Michaélis et Lemaitre, d'Aix, en pareil cas , ont réussi chacun trois fois; M. Dariste, de la
ration de la hernie étranglée, 1 28-131. — Conduite! à tenir dans les cas de complications, 131 -133. — Accidens pendant l'
int de vue chirurgical, l'opé-ration n'étant justifiable que dans les cas où le strabisme est très prononcé. 3° Permanenc
ain nombre d'années. Toutefois comme l'intermittence, dans le premier cas , est un fait accidentel et dans le second annonce
strabisme fixe, double et di-vergent (Voy. pl. A, fig. 10 un nouveau cas rencontré par M. Amussat). Le strabisme converg
plus nombreuses et si variées qu'il n'y a pas, pour ainsi dire, deux cas qui se ressemblent exactement dans la pratique ,
e le plus fréquent et dans le rapport de 3 à 2 , car il a constaté 34 cas de strabisme congenial sur 54 ayant pour cause la
e redevient direct. Celte assertion est vraie pour un grand nombre de cas ; mais comme il n'en est pas toujours ainsi, rien
as; mais comme il n'en est pas toujours ainsi, rien ne prouve que les cas où s'effectue le retour de l'œil à sa direc-tion
cette théorie qui rendrait compte de beau-coup de récidives dans des cas où l'opération a été bien faite, la plupart des t
la cornée sont perméables (1 ). » M. Dufresse a observé à Bordeaux un cas de ce genre ; mais, dit-il, le strabisme ne se pr
dit-il, le strabisme ne se produit, chez ces individus, que dans les cas où ils veulent voir un objet avec leur œil affect
ffecté de taie; distinction qui détruit le fait, le strabisme dans ce cas n'étant qu'immédiat et instan-tané. Au même titre
hillips n'a reconnu la transformation fibreuse des muscles que dans 3 cas sur 122; i sur /(O. La transformation graisseuse
use mécanique chez les uns et les autres; mais il faut avouer que ces cas qui tiennent à un vice organique constitutionnel
aits existent, c'est à l'ana-tomie pathologique à le prouver. En tout cas ils seraient rares et presque impossibles à recon
de l'œil gauche; environ :: 1 : /j. M. Du-fresse l'a rencontré dans 9 cas sur 53 ou :: 1 : 6. 20 Myopie. Le strabisme, da
e, sinon absolument une con-tre-indication d'opérer, et dans tous les cas une source de diffi-cultés pour le chirurgien pen
ions que l'on doit le plus respecter. L'opération pratiquée dans deux cas de paralysie d'un seul muscle, par MM. P. Guersen
s pressé, à l'envi l'un de l'autre, d'opérer que de savoir dans cpiel cas il y a lieu de le faire; et que d'agir immédiatem
à admettre la nature primitivement spasmodique du strabisme dans les cas où il a succédé à une affection nerveuse,. Les fa
ctérisée par la tendance de l'œil à rester dans sa position. Dans les cas exa-gérés, surtout de strabisme convergent, la co
érin sur la transformation fibreuse des muscles rétractés, et en tout cas ne serait point une contre-indication d'opérer; m
. Dans l'absence des faits, s'il est permis de préjuger, ces derniers cas seraient proba-blement de ceux où l'opération, ap
t des contre-indications suffisantes. L'opération pratiquée en pareil cas sur deux sujets par MM. P. Guersant et Dufresse C
ans leurs causes par le fait de l'opération, ou que du moins dans les cas moins heureux, la vue en est encore beaucoup amé-
rect : la cornée plus ou moins enfoncée sous la caroncule la-crymale, cas de section du droit interne rétracté, (b) Intente
u'une forte rétraction du grand oblique seul en est la cause. Dans ce cas , suivant M. Phillips (Ténot. p. 88), l'œil strabi
s. Du reste le résultat de la section de ces derniers, guide, dans ce cas , le chirurgien. — 20 Strabisme di-vergent. Trois
e nom; il en est de même s'il est externe et supérieur. Dans les deux cas si l'œil n'est point saillant, c'est un indice cp
réalité des opéra-tions auxquels ils se rapportent, et dans tous les cas il pense que M. Pauli, de Landau, les aurait deva
e indifférence que l'on ne comprend guère aujourd'hui.» Cependant les cas de succès s'élevant rapidement à quelques centain
); M. Roux, 2; MM. Sé-dillot et Amussat,chacun 1 ; M. Velpeau G sur 7 cas , etc.Les choses en étaient là quand M. C. Phillip
nombreuses découvertes de détail sur l'étiologie et la gué-rison des cas spéciaux, et les applications qu'ils en ont faite
, p. GG.) 2" Strabisme double, mais inégal entre les deux yeux. Ce; cas , comme le strabisme simple, n'exige habituellemen
3° Strabisme double sans différence apparente. Le diagnostic eii ce cas se fonde sur les signes différentiels pour reconn
st ordinairement à-peu-près également bonne des deux « côtés. Dans ce cas l'opérateur n'a pour guide cpie des nuances « des
t M. Baudens, n'est pas constant; parfois il manque, et dans certains cas même sa valeur est inverse. Ce chirurgien a vu pl
la dilatation pupillaire plus grande du côté non dévié. Dans un autre cas , où le strabisme étant égal des deux côtés, la di
le désordre fonctionnel, est rare comme elle doit l'être. Ce sont ces cas qui nécessitent une double opération. Nous avons
de difficulté, se tourne vers l'angle opposé, il est probable que le cas est simple et qu'il suffira pour le guérir de la
pour le guérir de la section isolée du droit interne, dans le premier cas , ou du droit externe dans le second. Mais si l'œi
e et dans quel ordre? Ce que dit M. Dufresse-Chassaigne, qu'en pareil cas , la pratique est le meilleur guide, ne nous sembl
ction contraire à la déviation , ce qui restreindrait l'opération aux cas de strabisme les plus faibles et la rendrait impr
s que l'œil est très mobile et un peu enfoncé, c'est-à-dire, dans les cas les plus nombreux. Au reste il ne faut pas prendr
au sérieux comme une formule générale également applicable à tous les cas . Evidemment l'opé-rateur ne saurait s'en tirer qu
es par un rétracteur, comme on en possède plusieurs ; encore, dans ce cas , laisserait-on à découvert l'œil sain, ce qui n'e
e plus grand nombre de malades, le plus fait, et tracé, pour tous les cas , les meilleurs préceptes sur cette matière. Pro
un peu au-dessus du diamètre transversal de l'œil, si, comme dans ce cas , il s'agit d'un strabisme convergent, pour saisir
tomes cou-dés, de grandeur différente ; 4° un crochet mousse, dans le cas de section des obliques; 5° des ciseaux et des pi
artial, à-peu-près lesmêmes pour tous. Dans le plus grand nom-bre des cas , peut-être comme 1 esta 10 ou 12, un succès compl
mme 1 esta 10 ou 12, un succès complet; puis quelque demi-succès, des cas de nécessité d'une opération nouvelle ou des réci
eux des nuances d'indication ou de résultats, et peut-on préciser les cas où l'un d'eux doit être préféré aux autres? Quoiq
plus de certitude par l'opposition de ses mors. Mais on cite quelques cas où les mors plats ont causé des déchirures, des d
la plaie guérit ainsi d'elle-même. Si effectivement dans beaucoup de cas il n'est survenu aucun accident cela prouve que l
écroscopiques des résultats de l'opération. Cependant on possède deux cas examinés et publiés par MM. Hewez à Londres et Bo
nfin un fait semblable a été vu sur le vivant par M. Baudens. Dans un cas de récidive, vingt jours après l'opération, ce ch
s'écoule pas une petite cuillerée de sang. Néanmoins on cite quelques cas malheureux d'hémorrhagie consécutive. Le plus gra
puisque sur plusieurs milliers d'opérés, on ne rapporte que les deux cas publiés par M. Verhaeghe où l'œil ait été perdu p
où l'œil ait été perdu par cette cause. Il est étonnant même que les cas d'ophthalmie n'aient pas été plus nombreux, avec
° Névralgie. Je ne trouve que dans M. Dufresse-Chassaigne l'aveu d'un cas de névralgiesus-orbitaire survenue après la secti
n ho-rizontal interne. Il est à peine nécessaire de dire que, dans ce cas , il est inutile d'abaisser la paupière inférieure
n, à celle dudroit interne. La même opération se repré-sente dans les cas de section de plusieurs muscles, mais peut-être n
sion de faire cette opération pour un strabisme inférieur direct, les cas qui s'en rapprochent le plus étant ceux de strabi
rabisme et la myopie. Quant au strabisme, ce n'est guère que dans les cas complexes que l'on s'est trouvé entraîné à divise
ux ou trois autres muscles ne produisait qu'un résultat incomplet. Le cas d'application le plus ordinaire est le strabisme
tée que lorsque l'œil strabique est saillant et la vue myope. Dans ce cas , ajoute-t-il, la section du droit interne et du g
econnu, il a été tout naturel d'opérer la section du petit oblique en cas de strabisme divergent supérieur, lorsque la divi
vue théo-rique, la situation du petit oblique exigeant, dans tous les cas , une opération spéciale. Procédé imité de la se
rtent au sujet. Comme on doit s'y atten-dre, à priori, c'est dans les cas les plus simples que l'accord est le plus unanime
Ce sera, comme nous le verrons plus loin, à déterminer à l'avance ces cas embarrassans qu'il convient de s'attacher princip
dans le strabisme con-vergent; il est, comme nous le savons, d'autres cas où, par une habitude vicieuse des deux muscles vo
claires , que se présentent les difficultés. Tout le monde, en pareil cas , commence, comme nous venons de le dire, par la s
ésultats de leur pratique, il devient presque impos-sible , entre des cas variés , racontés sous la préoccupation d'o-pinio
cette question: i° dans le strabisme interne et supérieur il y a des cas où la section du grand oblique a été nécessaire,
ter en haut et en dehors; mais alors on se demande, s'il n'y a pas de cas où ce serait précisément le petit oblique seul qu
tion, ce qui rendrait inutile la section des deux autres. 3' Un autre cas du même genre de déviation, cité par M. Bau-dens
Ici les trois sections paraissent avoir été nécessaires; mais dans ce cas , connue dans celui qui précède, on ne sait encore
m-bien de muscles on sera obligé de couper. On ne peut que prévoir le cas de sections multiples , sauf à se guider pendant
œil strabique ne peut se redresser cpie peu ou pas du tout. » Dans ce cas , il est arrivé parfois que la section du droit in
l'œil dévié peut à peine faire quelques mouvemens en dedans. Dans ce cas , il faut diviser successivement les muscles droit
'auteur que dans la proportion 6 d'un à deux cents; 3" un dernier cas est celui du strabisme très prononcé en haut. M.
ultats confirment ceux obtenus par M. Baudens. Delà comparaison des cas qui précèdent, il nous paraît res-sortir cette ob
érale qui peut servir d'indice pour le diagnostic: que c'est dans les cas où l'oeil est. très enfoncé dans un sens et presq
oblique poul-ies strabismes divergens. Sections de cinq muscles. Ce cas a rapport au strabisme con-vergent lorsqu'après l
les mêmes circonstances par M. Dufresse(12 juin); mais, dans les deux cas , elle s'est accompagnée d'exophthalmie en dedans
Si l'œil est très enfoncé et fixe dans sa déviation directe, c'est le cas probable d'une sec-tion quadruple, la section de
semble par fois irrémédiable, la maladie étant revenue dans plusieurs cas , après la section de tous les muscles qui pou-vai
se déclarer. Cet état maladif m'a paru se rencontrer surtout dans les cas où l'opération est suivie de diplopie, et particu
re le temps améliorera-t-il la situation de ces malades; mais en tout cas , un inconvénient si grave et que l'on ne peut ni
rabisme artificiel. M. Florent Cunier a publié deux observations de cas où il a réussi, par un strabisme artificiel, à dé
éralement. La ques-tion, ici, n'est que du plus au moins, pour chaque cas parti-culier; il suffit pour un chirurgien habile
février i84*,M. Bonnet a commu-niqué, à l'Académie des sciences, deux cas de guérison de myo-pie, par section du muscle pet
du muscle petit oblique. Depuis, les deux der-niers ont multiplié les cas d'opérations, et M. Bonnet, en parti-culier, poss
e d'une af-fection nerveuse qu'une maladie propre : c'est pourtant ce cas que M. Phillips a cru pouvoir guérir par la myoto
maladresse dans l'emploi mécanique de la langue. 11 suffit, dans ces cas , pour faire cesser le bégaiement, de montrer aux
contribuer à acquérir cette infirmité, elle peut aussi dans certains cas en triompher sans le secours de l'opé-ration .
ée de ce défaut, cpii l'a quitté tout-à-coup à cette époque. Tous les cas qui tiennent à un vice organique constitutionnel,
elle existe, lui donner une signification trop absolue ; car dans les cas nom-breux où l'affection nerveuse, étant guérie d
re attaquée avec, plus ou moins de succès par une opération. C'est le cas du bégaiement par rétraction musculaire, qui alor
les ne soient compliquées des signes de rétraction des génio-glosses, cas dans lequel la section du muscle est indiquée com
nt à l'opération. Ainsi les traitemens locaux qui conviennent dans un cas ne sauraient convenir aux autres : c'est dans cha
re leur section sur les bords pourrait-elle, être utile dans certains cas . Toutefois, avouons que l'on ne peut avoir de don
avant tout, de bien s'assurer si l'ancyloglosse est, ou non, dans le cas d'être opéré. Souvent en effet, une cause toute a
n ligament. C'est pour prouver le danger de l'opération faite dans ce cas sans nécessité, qu'il cite l'exemple suivant, (j
o-potamus: quelques-uns n'ont éprouvé aucune amélioration. Dans aucun cas , M. Lucas n'a eu à combattre d'hémorrhagie, ce qu
en pré-voit qu'il aura à diviser ou superficiellement dans le premier cas , ou beaucoup plus profondément dans le second. Ma
par rétraction de la langue en arrière, s'est présentée dans quelques cas , mais a cessé promptement et n'a pas eu d'au-tres
uscle en arrière. Alors de nouveau on fait tirer la langue. « Dans le cas où sa pointe peut encore dépasser les dents , ce
r enlever à la langue la possibilité de sortir de la bouche. Dans ces cas on peut prédire l'insuccès de l'opération, ou du
'il ne doit jamais abandonner. Outre l'emploi de la saignée, dans les cas extrêmes, le chirurgien accroche avec un fil la p
i ne sauraient être pesés trop mûre-ment. En général, à part quelques cas rares, les hémorrhagies sont légères à la suite d
qu'on oppose à sa sortie du sang. M. Baudens (pag. io4) ne cite qu'un cas , à la suite de la double section des génio-glosse
'opérés. M. Amussat, sur quatre-vingt-cinq sujets, n'en cite que deux cas .Un seul malade est mort, dix-neuf jours après l'o
charpie pour tenir les bords de la plaie écartés, suffisent dans les cas simples.On doit s'attacher à diriger les cicatric
uvent, le rendent plus fort qu'avant l'opération. Il y aurait dans ce cas indication d'opérer de nou-veau, comme nous avons
e sont pas encore livrés au public. M. Velpeau ne compte qu'un seul cas où l'opéré, qui d'abord bégayait horriblement, fu
3i ans, les résultats ont été avantageux dans plus des deux tiers des cas . Ainsi dans le bégaiement simple, les résultats
oit par lui-même ou ses imitateurs, nous ne trouvons consignés que 24 cas de guérison et 27 avec amé- 1 0 lioration, pl
tion, plus 76 d'insuccès et 80 où le résidtat est ignoré. En masse 47 cas heureux sur 207 ; environ 1 sur 5 seulement. Il e
rale, accompagnée d'annotations concernant les lieux différens et les cas spéciaux, pour qu'un chirurgien intelligent soit
esure d'opérer, en toute connaissance de cause, la ténotomie dans les cas particuliers. C'est déjà beaucoup plus que nous-m
ets principaux, lequel est primitif, lequel secondaire ? Y a-t-il des cas opposés où ils sont alternativement causes ou eff
per et Chaussier, paraît, à M. Bouvier, sans fon-dement dans certains cas . Le peu d'abondance du liquide amnio-tique a été
cas. Le peu d'abondance du liquide amnio-tique a été signalé dans un cas par Bruckner, comme la cause du pied-bot varus, e
e théorie se déduisaient deux for-mules , le raccourcissement dans un cas , pouvant être produit par excès d'innervation des
oduit par excès d'innervation des muscles contractés, et dans l'autre cas , par diminution ou paralysie dans les muscles ant
en réalité toutes deux peuvent trou-ver leur application suivant les cas . C'est à cette même théorie que se rapportent les
convulsives comme causes de déviations congeniales ou acquises ; des cas de rétraction de toute sorte, en nombre immense,
inue des appareils orthopédiques ayant réussi dans un grand nombre de cas à vain-cre les contractures des parties molles, e
ouvemens de va-et-vient analogues à ceux d'une scie, et dans tous les cas , par la pres-sion médiate de l'indicateur gauche
ens. Toutefois cette règle n'est pas sans exception, et dans certains cas , au lieu de diviser tel tendon auprès de son inse
la section au voisinage de l'insertion fixe. Tel est, par exemple, le cas du fessier supérieur (abducteur de la jambe). Mai
à couper. Ces tâtonnemens, au reste, ne sont nécessaires que dans les cas très complexes, car dans les circonstances ordina
ut à celui des deux qui est le plus prononcé. Au reste, dans tous les cas , le chirurgien ne doit point se proposer d'obteni
riétés anatomiques de cette difformité, sont : que l'on doit, dans le cas d'insuffisance des moyens mécaniques et gé-néraux
s, se déduisent naturellement les consi-dérations qui ont rapport aux cas les plus complexes. Au lieu de présenter, comme q
. i ), ou dans le sens de la flexion (Pl. J, fig. 6). Dans le premier cas , outre le triceps sural, il peut être nécessaire
sienne, la face plantaire étant tournée directement en haut. C'est le cas de mademoiselle Élisa G. (Pl. J, fig. 6, 7, 8), g
aissé et l'extrémité métatarso-pha-langienne élevée. Souvent, dans ce cas , le talon est d'un très grand volume, tandis que
ussite, et par conséquent de contre-indica-tions pour opérer dans les cas les plus graves, sont : d'une part les courbures
bord interne du pied, la se-melle agissant comme dans les deux autres cas . Ces données gé-nérales étant bien comprises, il
les plus complexes, satisfaire aux indications que présenteraient les cas de difformités les plus singulières, comme il s'e
mmatoire n'étant survenu après ces tentatives dans un grand nombre de cas . Malgré cette assertion, nous croyons pourtant qu
ions du membre abdominal ont engagé les chirurgiens à faire, dans les cas analogues, les mêmes tentatives pour le membre th
a plupart des ténotomistes pensent qu'on peut à l'avant-bras, dans le cas de rétraction faible, couper sur les attaches sup
nsible. En transportant l'opération à l'autre extrémité du membre, en cas de rétraction d'un seul doigt, on peut encore cou
offensive, mais aussi ne peut pas amener de grands résultats dans des cas de rétraction commune où l'action des fléchisseur
ction des fléchisseurs est la principale. Enfin il y a donc, dans les cas de rétraction du coude, une section tendineuse, c
s venons d'é-noncer est le plus commun, on conçoit que, dans d'autres cas , la rétraction peut s'étendre au sterno-cléido-ma
n tout entier et même à quelques-uns des muscles sous-jacens. Dans ce cas , on coupe le sterno-cléido-mastoïdien dans toute
'autre, et paraît seul soulevé et tendu. J'ai vu le contraire dans un cas où le faisceau claviculaire formait seul une cord
our et devient apparent. » L'auteur ajoute en note : « Sur quatorze cas de torticolis an-cien, que j'ai notés, cinq fois
e fois c'était au contraire le faisceau clavicu-laire. Les six autres cas n'ont pas été suffisamment observés sous ce point
squ'à ce queje n'éprouve plus derésistance, ayant soin, comme dans le cas précédent de ne pas percer la peau du côté opposé
TIONS DES MUSCLES DU DOS. M. J. Guérin a opéré avec succès quelques cas de soulèvement de l'épaule par rétraction isolée
fréquemment la cause première des courbures, mais qui, dans tous les cas , une fois produites, maintiennent fixement le squ
sur les succès de sa pratique, ayant réussi, dans un grand nombre de cas , à obtenir un redressement assez complet, unique
eil locomoteur, et la nécessité de la myotomie étant admise en pareil cas , les muscles des gouttières vertébrales, déjà mi-
t snus-riilanre, Paris, 1S41. gement de ces tumeurs. Dans les trois cas où j'ai eu recours à cette opération, l'inflammat
obtenir l'occlusion adhésive de leur orifice, et déjà il a publié un cas de guérison de cette nature (Gaz. des hop., 2 oct
M. Velpeau sans succès, mais à la vérité la ponction, dans ce dernier cas , a été faite oblique au lieu d'être sous-cutanée.
te plus qu'à donner celui de la ponction en prenant pour exemple deux cas de nature différente, tels que la ponction de l'e
apidement les petites modifications qui ont rapport aux divers autres cas d'application. Soit, par exemple, un abcès prof
la paupière inférieure avec la pince et le bistouri (voyez, pour des cas de cette nature, Demours, pl. 19 ). Figures 9 e
érissent que par arrache-ment des cils. Figures 9 et 10. Ptérygion ( Cas analogues , Demours, pl. A0,fig. 1 et 2; et Welle
acte centrale ( Demours, pl. 28, fig. 2 ). Figure 4. Cataracte noire ( Cas analogue, Weller, pl. ^,fig- 2 ). Figure 5. Cat
?/. 22, fig.l). Figure 9. Ponction de la chambre antérieure dans un cas d'hydro-capsulite (Procédé de Wardrop). Figure
un cas d'hydro-capsulite (Procédé de Wardrop). Figure 10. Hypopion ( Cas analogue, Demours, pl. 29). Figure 11. Hypopion
'agit plus que de tordre le fil pour en pratiquer la section. Dans le cas con-traire on procède à une troisième application
TOME VII. PLANCHE 18. BECS-DE-LIEVRE. grandeur naturelle. Trois cas d'opération pratiqués par Ant. Dubois et copiés s
la division anormale (d), a terminé l'opération. Figure 3. Le même cas représenté au profil pour montrer la ma-nœuvre de
plusieurs mois après (a cicatrice effec-tuée. FIGURES 6 et 7. Autre cas de bec-de-lièvre double sur un adulte. Le tubercu
r considérable à toute l'extrémité du nez. La figure 7 montre le même cas après l'opération et la guérison. FIGURES 8,9,
sceptible,inintelligent ou indocile, ne peut la contenir lui-même. Ce cas excepté, il est préférable de n'avoir dans la bou
'ordi-naire, les trois ligatures posées et les bords avivés, pour les cas où l'écartement trop considérable n'en permettrai
sonde de Chaussier pour pratiquer la respiration artificielle dans le cas d'asphyxie. Pour faire comprendre le trajet de l'
e flexible et creuse pour opérer la déglutition artificielle dans les cas de rétrécissement de l'œsophage. L'instrument
INTESTINAUX.- ANUS ACCIDENTELS. GRANDEUR NATURELLE PLANCHE 32. CAS VARIÉS DÉTRANGLEMENS INTESTINAUX. Figure 1. (Em
e du grand epiploon adhérente à leur tunique peritoneale. Figure 3. Cas observé par M. Orfila et préparé par M. Michon (
a laissé passer l'intestin sans former de sac herniaire. Figure 5. Cas dessiné sous divers aspects en trois figures A, B
fortement contracté. Figure 6. (Pièce communiquée par M. Lisfranc.) Cas singulier de développement anormal de replis valv
s signes et les effets de l'é-tranglement intestinal. PLANCHE 33. CAS VARIÉS D'ANUS CONTRE NATURE ACCIDENTELS. Nous d
'à des mucosités intestinales. Figure 2. (Collection de Dupuytren). Cas semblable au précé-dent, dessiné à l'état de chut
oi abdominale dermo-musculaire. Figure 4. (Empruntée de Scarpa). Ce cas est donné par Scarpa en explication de sa théorie
ières reprennent gra-duellement leur cours naturel. Figure 5. Autre cas copié de Scarpa, et que l'auteur donne comme le p
al au travers de l'anneau om-bilical même et sur un homme de 30 ans ( cas cadavérique commu-niqué par M. Lisfranc). L'évase
essinées d'après une très belle pièce en cire du musée Dupuytren). Ce cas , quoique moins exagéré, est, en anatomie patholog
ébridement par une incision en dessous, de l'une à l'autre tumeur, en cas d'étranglement. Seulement il fout avertir que, po
it. D'après nature par Léveillé TOME VIE PLANCHE 39 BIS. DIVERS CAS DE HERNIES. Nous devons les sujets et les pièce
au quand le sac était simple , nous a offert, sur le cadavre, le même cas que nous avons dessiné, il y a quelques mois, sur
inguinale externe biloculaire sur un homme de cinquante ans. Dans ce cas , analogue au précédent, la hernie est un entéro-é
ans ouvrir le sac quand la striction est en ce point. Pour les autres cas , le bistouri (b) guidé par le doigt indicateur ga
4. Section de la cloison d'adossement des deux bouts de l'intestin en cas de double anus ( voy. pl. 33, fîg. 3 ). Le cas es
bouts de l'intestin en cas de double anus ( voy. pl. 33, fîg. 3 ). Le cas est représenté cadavérique pour montrer à l'intér
u-tané. FIGURE 2. Opération de la fistule a l'anus par incision. Le cas représenté est l'un de ceux où l'orifice interne
canne-lure de la sonde. FIGURE 3. Autre opération par incision. Ce cas est celui où l'orifice rectal de la fistule remon
dessiné d'après nature à l'hô-pital du Gros - Caillou (voyez le même cas après l'opération, figure 4). Figure 2. Opérati
ytren, modifié de Kinder Wood. Cette opération est ré-servée ppur les cas où, les tégumens étant trop abondans, il est néce
fait ultérieurement l'office d'un corps étranger. La jigure \ est le cas tel qu'il existait avant l'opération. Figure 5.
par compression. Figures 2 et 3. Epispadias dessiné d'après nature ( cas communiqué par M. d'Aremberg). Le pénis est bridé
nque. Figures 4 et 5. Opérations curatives de Vhypospadias, pour le cas où le canal existe en avant jusqu'à la couronne d
epuis le col de la vessie jusqu'au gland, qui forme seul le pénis. Ce cas nous a été communiqué par M. H. Larrey, qui se pr
MI -NATURE. Nous avons réuni sur cette planche un certain nombre de cas de maladie de la vessie et de l'urètre qui exigen
é, une fausse route dans laquelle est un bout dè sonde. Figure 9. Cas semblable avec deux fausses routes en Y à la base
ausses routes en Y à la base du lobe pathologique. Figure 10. Autre cas semblable avec indication de cinq fausses routes.
gurées ici dans le plan vertical, sonl variables presque pour cha-que cas et déterminées par le volume du calcul. Tome 7.
ion d'un calcul enchatonné. On a figuré ici l'opération comme pour le cas dessiné plan-che 54, fig. 12. La vue est représen
E). FIGURES i et i. Chute et renversement de l'utérus et du vagin. ( Cas extrait de la pratique de M. Amussat et où la mal
stique de M. Leroy-d'Etiolles. — 12. Pessaire du même auteur dans les cas de chute de l'utérus compliquée de fistule vé-sic
u'une opération prépara-toire pour la ligature ou l'excision dans les cas où l'étroitesse du col fait que la tumeur est com
airs, pour cette figure, est latérale du côté droit et cor-respond au cas d'inclinaison de l'utérus dans le même sens. Elle
tu après la section pratiquée. Figuhe 6, 7. Opération secondaire en cas d'immobilité de l'œil du cote opéré , avec strabi
t. Ces quatre planches sont entièrement consacrées au pied-bot. Les cas de difformités, dessinés d'après nature , nous on
rations. Pour chaque genre de difformité, nous avons représenté les cas qui en donnent la meilleure idée, avec une opérat
s opérations ne signifie pas qu'elle est la seule à pratiquer pour le cas où elle est représentée, mais seulement qu'elle s
e dans la plaie. FIGURE 6. Section de l'adducteur du gros orteil en cas de rétraction du bord inlerne du pied dans le var
. Figure s. Section du long fléchisseur propre du gros orteil pour le cas de rétraction de la figure 4. Les orteils étant é
rès les plâtres soumis à la commission de l'Académie des sciences, ce cas qui est celui de mademoiselle, Elisa G..., l'un d
ténotome et occupée à pratiquer la section. PLANCHE J. FIGURE t. Cas de varus équin avec rétraction des fléchisseurs d
ntérieur et postérieur, et celle du tendon d'Achille (c). FIGURE 2. Cas de varus compliqué. La saillie du jambier postéri
erne du pied incurvé en haut y sont très sensibles. C'està ces deux cas que s'adressent entre autres les opérations suiva
ieur et du long fléchisseur des orteils. L'opération est faite sur le cas de difformité représentée figure 1. (a, b), mains
es procédés de l'auteur posés par lui-même. FIGURES i, 2, 3. Divers cas de torticolis congenial. On remarque sur ces figu
TOME VIL PLANCHE N. Celte planche se compose d'un certain nombre de cas variés de ténolomie, empruntés de la pratique de
ux de M. J. Bouvier. FIGURE 6. Valgus compliqué chez un adulte. Les cas de cette espèce, à un âge un peu avancé, sont inc
u fléchisseur superficiel. Cette opération ne se pratique que dans le cas de rétraction des tendons fléchisseurs, comme l'i
la main et cet organe en entier sur l'avant-bras. La section, dans ce cas , doit être pratiquée préalablement sur le premier
D'après nature par N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHES O, P. DIVERS CAS DE RÉTRACTION DE MUSCLES DES GOUTTIÈRES VERTÉRRAL
25 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
n dite foie muscade, altération qu'on observe si communé-ment dans le cas de gêne de la circulation abdominale consé-cutive
ntre fréquemment de 3 à 5 noyaux (Henle) sans qu'on observe, dans ces cas , la moindre trace de scission. Voi-là, Messieurs,
ans certaines lésions extensives et invétérées des poumons. En pareil cas , ladilatation d'abord transitoire, puis permanent
t complètement disparu. Ce phénomène se retrouverait encore dans le cas où une tumeur, un abcès auraient refoulé excenlri
très marquée, que nous offrent les cellules hépatiques dans certains cas de diabète. Dans une première période, le foie de
éaction glycogène, même avec une solution faiblement iodée, en pareil cas , est très accentuée. Ceci, je le répète, ne conce
n générale et diffuse, mais particulièrement, cette fois, dans divers cas de cirrhose; alors, quelques éléments cellulaires
x. La disparition d'un grand nombre d'éléments cellulaires, en pareil cas , s'ac-compagne de modifications profondes clans l
rique, paraît être un phé-nomène vital. En effet, pendant la vie, les cas d'atrophie jaune aiguë du foie, il est de règle q
se montre encore, mais cette fois d'une façon lente, dans différents cas d'altérations chroniques du foie consécutives à l
y) au sein du tissu hépatique a été plusieurs fois recon-nue dans ces cas atrophie j aune consécutive et que là aussi, comm
rement parler une exagé-ration des conditions normales. Dans certains cas de rétention biliaire ancienne, elle peut aller j
Cornil (2) et après lui M. Hanot (S) ont fait voir que, dans quelques cas de cirrhose, appartenant principalement à la form
jet des canalicules biliaires à la surface des cellules dans certains cas où, en dehors même d'un état pathololgique, le pi
'agit là d'une sorte d'injection, pour ainsi dire naturelle. Dans des cas de rétention biliaire prolongée, ainsi que l'a re
éance, relatifs à la dilatation des capillaires biliaires dans divers cas de cir-rhose et à la présence de cellules ôpithél
14. — D'après Thierfekler. Pré-paration microscopique du foie dans un cas d'empoisonnement par le phosphore. C, Capillaires
hors de celle-ci. Cette variété d'hépatite tabulaire se voit dans les cas d'altération du foie consécutive à une gêne de la
portance à cette disposition. M. Thierfelder (2) a vu, dans plusieurs cas de maladies du cœur, les espaces lymphatiques en
charrié par les corpuscules blancs du sang, dans le système porte, en cas de mélanémie, vienne s'accu-muler surtout dans le
issu conjonctif de la capsule de Glisson et y déterminent, suivant le cas , une inflammation suppurative ou, au con- trair
- traire, une simple hyperplasie, ainsi que cela se produit dans le cas de la cirrhose vulgaire. Cet aperçu sommaire no
flammation pri-mitive delà capsule deGlisson, mais que, dans bien des cas , dans la plupart peut-être, elle ne survient au c
ntant dans le foie jusque dans les espaces interlobulaires. Dans un cas où le cochon d'Inde avait survécu douze jours, ce
étion biliaire. La bile de l'homme, recueillie durant la vie, dans le cas par exemple (1) Riolan (J.). — Defensio Vasorum
erme alors aucun élément figuré appréciable au miscroscope. Dans le cas où la bile a séjourné dans les réservoirs natu-re
oie en injectant dans le canal cholédoque du sulfate ferreux. Dans un cas , l'animal a vécu trois jours. Le foie était ratat
nce d'une lé-sion soit organique, soit fonctionnelle du foie? Dans un cas de cirrhose, où il y avait accumulation de Choles
matoïdine, vous le savez, est un produit qui prend naissance dans les cas d'épanchement de sang au sein des tissus ; c'est
i-même : la coloration verte prédomine et per-siste davantage dans le cas de la bilirubine, tandis que c'est (1) Traité d
tlas, Pl. xvm, fig. 5. la coloration violette qui l'emporte dans le cas de l'héma-toïdine. B. D'où vient la bilirubine?
anski pour expliquer la destruc-tion des cellules hépatiques dans les cas d'atrophie jaune aiguë du foie. Il n'a pas été di
ges par l'action de la bile ou des acides biliai-res. Dans le premier cas , la dissolution peut être effectuée au bout d'un
n des phénomènes névropathiques qui s'observent dans une catégorie de cas d'ictère désignés depuis longtemps en raison de c
modifications chimiques qu'il subit, la cholestérine apparaît dans ce cas , ainsi que M. Chevreul l'a fait remarquer dès 182
in-colore, que contiennent parfois les voies biliaires dans cer-tains cas pathologiques. Ici, la matière colorante fait ent
sujet a été étudié avec beaucoup de soin par M. RiUer(l). Dans trois cas où, chez l'homme, il a recueilli à l'autopsie cet
e la physiologie, 1874. Déjà Prus avait fait remarquer (1), dans un cas d'oblitéra-tion prolongée du canal cholédoque, l'
ques, ainsi que Cruveil-hier l'avait déjà déclaré (4) en parlant d'un cas à'hydropisie de la vésicule. La bile, longtemps r
opisie des voies biliaires, on désignerait, d'une façon générale, les cas où ces voies renferment un liquide séro-muqueux p
as, Bouchar-dat, Parkes, Murchison, Meissner, Brouardel, Fouilhoux. Cas dans lesquels il y a augmentation du chiffre de l
lhoux. Cas dans lesquels il y a augmentation du chiffre de l'urée. — Cas dans lesquels il y a diminution du taux de l'urée
e, qui n'existe pas à l'état normal dans la bile, s'y montre dans les cas où le sang en contient 3 sur 1000; pour que le su
'un grand nombre de métaux et de métalloïdes, principalement dans les cas d'intoxication chronique, se retrouvent dans le f
irtz, cependant, m'a dit avoir observé à la clinique de Strasbourg un cas où un épileptique, soumis durant longtemps à l'em
us forme pulvérulente. 6° On sait de longue date que, dans certains cas patholo-giques, la bile contient une proportion p
. J. C. Lehmann (3), d'une étude spéciale fondée sur l'examen de cent cas . Voici, d'après cet auteur, quelles sont les prin
sur leur existence pour expli-quer l'apparition de l'ictère dans les cas de ce genre. Les cylindres épithéliaux peuvent
i nous concerne. A. Les faits du premier groupe sont relatifs à des cas dans lesquels, autant qu'on en peut juger d'après
émie ac-tuelle, analogue à ce qu'on observe dans un certain nombre de cas de diabète. Dans deux cas ^ictère spasmodique,
e qu'on observe dans un certain nombre de cas de diabète. Dans deux cas ^ictère spasmodique, apparu à la suite d'une caus
, M. Bouchardat (1) a observé les chiffres suivants : dans le premier cas , il a trouvé la proportion énorme de 133 gr. 6 d'
maintenue à ce niveau pendant trois ou quatre jours. — Dans le second cas , de même que dans le premier, il y avait absence
qu'il a bien voulu me com-muniquer, il annonce que, dans cinq ou six cas d'ictère spas-modique qu'il a examinés au point d
par la palpation, et une augmen-tation de volume de l'organe. Dans ce cas , le chiffre de l'urée s'est élevé pendant plusieu
faire remarquer, Messieurs, que suivant toute vraisemblance, certains cas d'azoturie liés au diabète relèvent peut-être d'u
n prononcée du chiffre de l'urée. a) Envisageons en premier lieu le cas où le parenchyme du foie est lésé à peu près unif
des 24 heures est toujours diminué d'une façon très notable, dans les cas de cirrhose un peu avancée. En outre des observat
servations de M. Murchison, nous pouvons signaler par exemple : 1° Un cas de M. Hirne, consigné dans sa thèse par M. Fouilh
oscopique, toutes les garanties, désirables. Il s'agit, dans tous ces cas ; de la cirrhose atrophique, observée dans la péri
ntre 4 et 9 grammes. b) Dans une seconde catégorie, je placerai les cas de des-truction partielle lente d'une grande part
des 24 heures ont été de 6, 7 et 8 grammes. Je signalerai encore un cas de kyste du foie ayant fait disparaître la majeur
e et étendue, mais s'opère suivant un mode aigu ou subaigu. Dans ce cas , l'abaissement du chiffre de l'urée vous paraîtra
comparaison des faits avait amené M. Parkes à admettre que, dans les cas où l'urée était augmentée, l'hépatite était carat
xcrétion d'urée. J'en viens, Messieurs, aune quatrième catégorie de cas . Je range sous ce chef les observations de lésion
génération granulo-graisseuse diffuse, si souvent observées en pareil cas . 1° Ainsi, chez un malade atteint de variole hé-m
clional Diseuses of the hiver, p. 68. marquer en outre que, dans ce cas , l'urée est suppléée en quelque sorte parla prése
ations de M. Harley((M Jaundice, London, 1853, p. 80), relatives à un cas de rétention biliaire chronique consécutive à un
aire chronique consécutive à un abcès de la tête du pancréas. Dans ce cas , le foie était de cou-leur olive et un peu atroph
de cristaux. Nous allons étudier maintenant un cinquième groupe de cas d'affections hépatiques dans lesquels l'urée dimi
seulement, pour le moment, ce qui suit : Io Dans la plupart de ces cas , il y a oblitération des voies biliaires, soit pa
togène, le processus de désassimilation azotée s'exalte comme dans le cas précédent, et, en fait, la température s'élève ;
, et à laquelle j'ai fait déjà de si larges emprunts, l'histoire d'un cas qui peut être résumé ainsi qu'il suit : Coliques
end à 6 gr. 5, à 4 gr. 50. Vous voyez qu'en somme les choses, dans ce cas , se passent exactement comme elles se sont passée
r, sur cette question, une série de recherches intéressantes. Dans un cas , le chiffre de l'acide urique trouvé chez le poul
cerne la formation de cette substance. J'invoquerai tout d'abord le cas accentué de la goutte que je signalais tout à l'h
re (2), d'ailleurs, avait déjà fait cette observation et il relate un cas dans lequel pendant trois mois, l'accès de goutte
ion des accès de goutte. C'est, remarquez-le bien, seulement dans les cas de goutte invétérée que l'uricémie existe d'une f
utte invétérée que l'uricémie existe d'une façon permanente. Dans les cas ordinaires, l'accumulation pathologique d'acide u
e l'acide urique dans le sang, c'est l'existence ordinaire, en pareil cas , d'un vice fonctionnel du rein qui, ainsi que l'a
jusqu'ici relevée comme elle le mérite. Je puis citer cependant deux cas observés dans le service de M. Bucquoy et consign
de M. Bucquoy et consignés dans la thèse de M. Hanot (2). L'un de ces cas est relatif à la cirrhose hypertro-phique; dans l
ictère chronique dont la nature n'a pas été déterminée. Dans les deux cas , il y avait des dépôts tophacés aux doigts de la
e des révélations cliniques de cette espèce d'uricémie. Dans quelques cas , les malades rendent par la miction une gra-velle
Vogel). L'acide libre, ainsi produit, déterminerait, dans les deux cas , la précipitation de la presque totalité de l'aci
l faut sans doute rappor-ter à cette seconde catégorie la plupart des cas où la gra-velle urique précède l'apparition de la
u sucre est injecté dans la veine jugulaire. Il cite, en effet, trois cas de cirrhose, dont deux avec autop-sie, et un cas
ite, en effet, trois cas de cirrhose, dont deux avec autop-sie, et un cas d'oblitération des voies biliaires dans lesquels
à faire prendre aux malades de 300 à 500 grammes de sucre. Dans trois cas de cirrhose confirmée, le résultat a été de produ
le résultat a été de produire, en effet, une glycosurie qui, dans Un cas même, s'est prolongée six jours après l'injection
ccidents plus ou moins graves, tandis que dans l'immense majorité des cas , les calculs bi~ liaires ne sont reconnus qu'à l'
lle d'Allemagne, le docteur Wolff. En 40 ans, ce médecin a observé 44 cas de lithiase biliaire, avec évacuation d'un ou de
s et la colique hépatique avait existé dans la grande majorité de ces cas . Du reste, la colique hépatique est loin d'être
ltipliés que peut déterminer la lithiase biliaire. Arrêtons-nous au cas très vulgaire de la migration des cal-culs dévelo
atarrhale ou suppurée, les abcès multiples biliai-res, etc. Dans le cas où le calcul, ayant franchi l'orifice du canal ch
r l'intermédiaire d'une fistule cutanée abdominale ou enfin, dans les cas les plus malheureux, l'ulcère de la vésicule peut
aque calcul aune forme pyramidale, tétraédiique, etc. Dans ce dernier cas , on rapporte communément l'existence des facettes
à tort, a nié la réalité (1). On cite dans tous les livres le fameux cas que Lobstein a fait représenter dans l'Atlas anne
Lobstein est devenu fort rare; heureuse-ment la planche relative à ce cas singulier a été reproduite par M. Bouisson dans s
de corps étrangers constituant le noyau d'un calcul biliaire: 1° Le cas de Nauche : une aiguille de deux centimètres de l
mait le centre d'un calcul biliaire de la grosseur d'une noix ; 2° le cas de M. Bouisson : le centre du noyau était com-pos
u noyau était com-posé d'une petite concrétion sanguine ; 3° un autre cas du même auteur, observé chez le bœuf : le noyau é
ransparente, ou, au contraire, plus ou moins colorée. Dans ce dernier cas , le pigment biliaire s'est mélangé en pro-portion
éments dans la bile se montrent en quelque sorte renversées dans le cas du calcul biliaire. Ainsi, dans les calculs bil
de conglomérats brillants, rappelant ceux de la leucine ; tel est le cas du glyco-cholate de chaux : ou bien sous l'aspect
biliaire. Beigel a fait, en 1858, une observation analogue. Dans ces cas , on n'aurait eu aucun renseignement sur les sujet
jets d'où pro-venaient les calculs. Il n'en a pas été de même dans le cas de Lacarterie (1). Le malade avait été soumis à l
éjà dit, d'où vient cette chaux. Il paraît évident que, dans certains cas , au moins, elle est un produit de sécrétion de la
étion de la muqueuse de la vésicule. Le mucus-principalement dans les cas d'irritation, semble contenir de fortes proportio
te le fait publié récemment par M. Gutterbock (1). 11 s'agit, dans ce cas , de plusieurs calculs ou fragments de calculs, qu
les autres s'appliquer sans trop de difficulté à l'interprétation des cas ordinaires. Voici, très sommairement, en quoi ell
insi dire à l'état embryon-naire, en voie de formation, dans certains cas où la bile a été longtemps retenue dans la vésicu
ns cas où la bile a été longtemps retenue dans la vésicule. En pareil cas , on dé-couvre dans la bile acide, épaisse et verd
vers points clu canal cholédoque. M. Barth, entre autres, rapporte le cas d'une femme de 80 ans, morte d'apo-plexie, chez l
la constater au moment même de sa formatien, ainsi qu'en fait foi un cas relaté par M. Habershon (1): le malade avait succ
r les voies biliaires de l'homme a été plusieurs fois saisie dans des cas de moil violente. Les résultats obtenus tendent à
ue par des symptômes à peine appréciables. Quelquefois même, dans ces cas , la migration des calculs reste tout à fait laten
t aussi sur les assertions de Chomel qui prétendait que, sur 30 ou 40 cas de colique hépatique, il est à peine possible d'e
fois M. Willemin a recueilli les calculs expulsés sur un total de 150 cas de colique hépatique qu'il a observés et il avoue
olique hépatique qu'il a rassemblés, a pu cons-tamment, dans tous les cas , retrouver les calculs dans les garde-robes. La p
oser à la doctrine de Beau, je tiens de source certaine que dans deux cas où ce médecin avait, en 1862, dans son service de
usieurs jours, par un assistant peu convaincu, a permis dans les deux cas de découvrir le corps du délit. La thèse soutenue
évelopper, il est possible d'établir que, dans l'immense majorité des cas , le syndrome colique hépatique se rattache au pas
ontraction musculaire ne joue ici un rôle. Je puis citer à l'appui un cas observé par M. Gerhardt (3). Chez un sujet qui av
Ce n'est pas ici le lieu de relever les symptômes qui, dans certains cas , sont capables de révéler la présence des pierres
c'est que la co-lique hépatique est une affection apyrétique. Sauf le cas par-ticulier dont il sera bientôt parlé, à la vér
croire M. Wolff qui se fonde, comme vous le savez, sur l'étude de 45 cas , le pouls, dans la colique régulière, serait cons
autrefois déjà par Coe et plus récemment par Budd. Ainsi, dans les 45 cas qu'il a recueillis, même en l'absence de toute tr
des dou-leurs, bien à tort certainement, car ils surviennent dans des cas où la douleur n'offre rien d'exceptionnel ou même
ue surviennent les morts rapides, observées dans un certain nombre de cas de colique hépatique calculeuse, par le seul fait
, que l'ulcération suivie de per-foration des conduits biliaires. Ces cas de mort subite ou rapide, au milieu de phénomènes
re eux ont été observés par Portai. Ils se voient aussi bien dans les cas où le calcul est ar-rêté dans le canal cystique q
il est parvenu dans le canal cholédoque. M. Durand-Fardel a publié un cas du dernier génie (I). Le fait déjà signalé, de M.
rde-robes, à la suite de quelques coliques, accompagnés dans certains cas d'une diarrhée bilieuse. Il faut que j'arrête u
ssion à laquelle est soumise la bile dans les con-duits biliaires, en cas de colique hépatique, est probablement la cause d
t nettement établi par les 45 observations de M. Wolff. Dans tous les cas appartenant à cet auteur, vous vous en souvenez,
on a noté l'absence d'ictère, c'est-à-dire dans plus de la moitié des cas . Souvent, les calculs dont le passage n'a pas ame
e du canal cholédoque. Sommaire. — Des accès fébriles dans certains cas de colique hépatique. — Élévation de la températu
leçon, que la colique hépatique peut être accompagnée, dans certains cas , contrairement à la règle, d'un état fébrile tran
cessairement en rapport avec l'intensité de la douleur. Dans quelques cas où celle-ci était à peine prononcée, l'accès fébr
les voies biliaires. La température centrale, notée dans deux de ces cas , s'est élevée à 40°, 5 dans l'un, à 39°, S dans l
que hépatique, dans certaines maladies des voies bi-liaires, dans les cas , par exemple, d'occlusion du canal cho-lédoque qu
nt pas des accidents très rares. Ils surviennent dans la majorité des cas consécutivement à un travail d'ulcération dévelop
d'une colique hépatique. A titre d'exemple de ce genre, je citerai un cas communiqué par M. Richardson à M. Thudicum (Loc.
, sans ulcération préparatoire. Il est digne de remarque que, dans ce cas , il n'avait pas existé de jaunisse. Je mentionn
ai encore un fait consigné dans la Clinique de Trousseau ({). Dans ce cas , les coliques hépatiques s'étaient prolongées pen
voies biliaires s'ouvrent dans la cavité de l'intestin. Il est des cas où l'ulcération s'ouvre dans le tronc de la veine
ts qui existent entre ces vaisseaux et les voies biliaires. Plusieurs cas de ce genre ont été rapportés par Dance, Robert (
ns l'intestin, laissent après eux dans les voies biliaires. En pareil cas , la dilatation per-manente des voies qui servent
ut suivant le lieu où se fait l'enclavement. C'est ainsi que,'dans le cas ou l'oblitération porte sur le canal cystique, le
on qui, pendant la vie, ne se révèle souvent par aucun symptôme (1) Cas de Fritz (Centralblatt, 1868), de Lebert {Atlas,
(2) Virchow's Archiv, t. xxxix, 1867, p. 195-196. — Dans les trois cas rap-portés par l'auteur, le rétrécissement fibreu
on-signé dans son Atlas en y ajoutant une très belle planche. Dans ce cas , de nombreux calculs étaient venus s'accumuler su
en défi-nitive, il n'y avait pas d'ictère. Quoi qu'il en soit, ces cas sont certainement exceptionnels et, dans l'immens
es. Le foie, dans les premières phases, est volumineux; dans quelques cas , il descend jusqu'à l'ombilic (Bright). Les bords
es qui nous sont propres. Or, nous nous sommes assuré, dans plusieurs cas d'oblitération du canal cholédoque par des calcul
nouveau par Budd (3) et Frerichs qui admet, lui aussi, dans certains cas , cette destruction totale des cellules hépatiques
, 214. — Gluge. Liv. xu, Taf. n, — Aran. Gaz. des Hospit., 1860. Un cas rapporté par Virchow (1) semble établir que la de
ction commence, en pareille circonstance, par le centre du lobule. Ce cas est relatif à une obstruction calculeuse du canal
était la plus profonde. Vous n'avez pas oublié peut-être que dans un cas du même genre, Hardy avait, pendant la vie, renco
de l'ouvrage de Frerichs. A l'autopsie, il est facile, dans certains cas , de suivre, par l'incision, les con-duits dilatés
peuvent se produire, en dehors de la lithiase biliaire, dans tous les cas où les canaux cholé-doque ou hépatique sont obstr
observé toutes les altérations qui vien-nent d'être décrites, dans un cas de fistule duodéno-cholédoque. M. Barth les a ren
abcès biliaires se produisent quelquefois expérimenta-lement dans les cas où l'on a pratiqué la ligature du canal cholédoqu
kel. — Micrologie, p. 68. Société anatomique (1858,). Dans quelques cas , la veine porte a été trouvée saine ; d'autres fo
rt. — Atlas, t. n, p. 271. Thudicum, que cinq fois à peine sur cent cas de lithiase bi-liaire. La fine gravelle est, au c
ussi graves, il ne faut désespérer de rien. Ainsi, Frerichs cite le cas d'une dame chez laquelle, à la suite de coliques
les animaux qui survivent à la ligature du canal cholédoque, dans le cas où l'on établit une fistule biliaire, 11 y a, à c
ui doivent être relevés maintenant et qui s'ob-servent aussi dans les cas où l'on a lié expérimentalement le canal cholédoq
lief pour la première fois par Bright et Lloyd. M. Bright relate un cas dans lequel la stéatorrhée exis-tait, bien que le
rrhée exis-tait, bien que le canal pancréatique fût intact. Et sur 18 cas du même genre, Reeves en cite six dans lesquels l
eux conduits sont oblitérés du même coup et la stéatorrhée, en pareil cas , est en quelque sorte la résultante de cette doub
ets de l'occlu-sion du canal cholédoque. Mais, pour les deux derniers cas , l'explication est passible des objections formul
r avec l'en-semble des caractères qui lui sont propres, dans tous les cas où il y a une obstruction durable ou persistante
, décrits dans la dernière séance, fassent tout à fait défaut dans le cas où il y a fièvre intermittente. Il convient donc
, actuellement, exister ou non. Il manque, par exemple, dans tous les cas de gravelle ou de calculs intra-hépatiques qui tr
'accompagnent de fièvre intermittente. Il manque encore dans certains cas où les conditions et les lésions de la stase bili
parfois profuses jusqu'à mouiller le lit. Dans un nombre va-riable de cas , l'un des stades, le stade de sueur surtout, peut
orie que j'ai proposée pour expliquer l'abaissement de l'urée dans ce cas est juste, ce même abaissement devra survenir tou
accès font momentanément défaut. On a compté jusqu'à 31 accès dans le cas publié par M. Regnard. (Voir Planche IV). 6° Un
l'autre par un lien commun. C'est ainsi que l'on voit, dans certains cas , un accès développé dans le cours d'une colique h
ailleurs, que la condition pa- thogénique est la même dans les deux cas . Ainsi la fièvre hépatalgique, comme celle de Yan
les urines sont sou-vent altérées. L'accès fébrile, qui, en pareil cas , ne se montre que deux ou trois heures après l'in
ns les voies urinaires profondes, comme la bile est stagnante dans le cas d'oblitération du canal cholédoque, et, en con-sé
tération de l'urine paraît ici, comme l'altération de la bile dans le cas de fièvre hépatique, devoir jouer le rôle fondame
toujours accom-pagnée de fièvre uro-septique. On peut donc, pour les cas où celle-ci se manifeste, admettre à titre d'hypo
e. (1) M. Charcot a vu récemment les bactéries faire défaut dans un cas de l'al-tération en question du rein, développée
stituent un chapitre de pathologie assez complexe. 1° Dans certains cas , — ce sont de beaucoup les plus rares — la réacti
l'occasion de l'apparition de ces accidents redoutables (1). Dans un cas de Leared (2), les parois de la vésicule étaient
araît en favoriser la rupture. Cela est arrivé, entre autres, dans le cas relaté par le Dr Pepper (3). Un homme âgé de 60 a
e. Un autre accident de la cholécystique calculeuse, non moim Ki) Cas de Murchison, loc. cil., p. 106. (2) Path. Tran
utables. Il est assez commun qu'elle se termine par la guérison ; les cas de Barth et de Frerichs (obs. GLU) nous en fourni
araissent çà et là (2). Quoi qu'il en soit, dans un grand nombre de cas , l'ulcéra-tion de la vésicule aboutit à la format
nt en quelque sorte vulgaires, tandis que d'autres figurent parmi les cas rares. Vous prévoyez d'après cela, Messieurs, q
Un autre trait commun à mention-ner, c'est que, dans la majorité des cas , ces trajets fistuleux se produisent sourdement s
des calculs biliaires mérite d'être tracée à part. La majorité des cas defistules cystico-duodénales, observés par M. Mu
riques sont, nous l'avons dit, plus rares encore. Murchison cite onze cas de cette espèce. La plupart des auteurs tendent à
espèce. La plupart des auteurs tendent à admettre que, dans tous les cas de calculs biliaires vomis, le corps étranger a d
jusque dans l'estomac , mais la réalité est que, dans la majorité des cas , l'ictère et la colique hépatique ont fait dé-fau
nnés, d'émission de calculs biliaires par l'urèthre. (1) Loc. cit., cas vin, p, 192. Fistules cystico-vaginales. — D'ap
et le pus, mélangé de bile, pénètre dans la cavité pleurale. Dans le cas de Cayley, cité par Murchison, on ne découvrit pa
de Cayley, cité par Murchison, on ne découvrit pas le calcul. Dans un cas , recueilli par M. Laboulbène, le malade avait une
plus souvent, pour y donner naissance aux phénomènes de l'iléus. Ces cas , nous l'avons annoncé, ne sont pas très rares (2)
u du (1) Bévue des sciences médicales, t. vu, p. 597. (2) Voir un cas de Cohnheim, dans Virchow's Archiv, 1866, l. xxxv
n ; — 4° de l'appendice vermiforme (Budd, Trousseau); j'indiquerai un cas , consigné dans le Médical Times (1859, t. II. p.
de M. Murchison date de 1868. Voici les indications des six nouveaux cas , Nesfied. — Centralblatt, 1870, p. 543. — Philips
nsi que nous l'avons vu, M. Dechambre et moi (2). D'ailleurs quelques cas avaient déjà été mentionnés par Andral (3), et Ar
t de M. Villard(2). C'est surtout la vésicule du fiel qui, dans les cas de ce genre, est le siège primitif du mal. La lés
aloïde, — c) le squirrhe ; 2° on a aussi observé un certain nombre de cas à'épithélioma cy-lyndrique. En somme, il est ju
M. Villard, sont fondés tout au plus sur l'analyse d'une vingtaine de cas . L'altération dont il s'a-git se rencontre surtou
cancer primitif des voies biliaires, c'est que, dans la majorité des cas , il coexiste avec les concrétions biliaires. Cett
iaires. Cette coexistence se trouve signalée dans quatorze des quinze cas consignés dans (1) Thèse de Paris, 1870. (2)
au moins d'habi-tude. Ainsi M. Hilton Fagge, qui a rassemblé douze cas de cancer des voies biliaires accompagnés de grav
appeler, Messieurs, que le canal cholédoque peut être obstrué dans le cas où une lésion carci-nomateuse occupe la tête du p
le canal cholédoque et la tête du pancréas. Dans un certain nombre de cas , d'après 0. Wyss 15 fois sur 22, ce n'est qu'un s
l cholédoque pourra être seulement repoussé, tandis que dans d'autres cas , il sera étreint de tous côtés par le fait du dév
est, dans l'espèce, très fréquent, puisque, d'après Ancelet, sur 200 cas , la lésion occupait toute l'étendue de l'or-gane,
nt envahies par la lésion carcinomateuse. Toujours est-il que, sur 37 cas de can-cer de la tète du pancréas, l'ictère se ve
re se verrait 24 fois, si l'on en croit Da Costa. L'ictère, en pareil cas , coexiste souvent (15 fois) avec l'ascite en rais
sur le même modèle ou à peu près. Je crois utile, avant d'exposer le cas spécial qui doit nous occuper particu-lièrement,
ou chronique. Il ne faut pas oublier, toutefois, que dans certains cas , l'in-flammation scléreuse procède directement de
is comme maladie chronique à la suite d'un état aigu. Sans doute, ces cas sont rares, exceptionnels, mais ils suffisent pou
La monographie de M. Hanot est fondée à peine sur une quinzaine de cas , mais j'espère vous montrer que le nombre des fai
uction sensible, car les poids indiqués plus haut sont relatifs à des cas où la maladie avait duré 4 ans, 7 ans même. Il y
les indique comme ne subissant pas de modifications notables. Dans un cas publié par M. Gee (Samuel) (1), les conduits bili
s, t. vi, Maladies du foie. 15 liales de globules pyroïdes. En tout cas , il est certain que, contrairement à ce qui a lie
latation des grandes voies biliaires. Dans le plus grand nombre des cas , il existe une péritonite péri-hépatique, tantôt
le. Cette particularité de structure a été surtout constatée dans les cas où, en opposition à la règle, la mort était sur-v
est celle qui a pour siège les canalicules biliai-res. Dans tous les cas , on trouve les espaces interlobulaires sillonnés
me sculptés dans le tissu conjonctif de formation nouvelle. Dans le cas de M. Gee, bien que les traclus blancs parus-sent
anatomiques en vous faisant remarquer que dans la grande majorité des cas , Yara/e est volumineuse. Dans un cas, elle pesait
que dans la grande majorité des cas, Yara/e est volumineuse. Dans un cas , elle pesait 9o0 gr., ce qui dépasse considérable
y paraissent beaucoup plus multipliés. Un examen attentif, dans ces cas pathologiques, ainsi que l'ont montré les observa
iguë où s'observent des altérations du même genre. Y a-t-il en pareil cas création de nouveaux conduits par une espèce de b
envahis dans la cirrhose hypertrophique avec ictère. Dans les deux cas , le mécanisme est analogue, puisqu'il s'agit touj
se hypertrophique. Voici un document intéressant à cet égard. Sur 130 cas de cirrhose sans distinction, consignés en 21 ans
re et 10 où l'ictère a été intense (1). Or, dans presque tous ces dix cas , le foie était volumineux, pesait 2,100 à 3,950 g
elquefois, les matières fécales sont décolorées ; mais, dans certains cas , la bile passe encore en certaine quantité. Que
détermine une oblitération totale, générale et, alors, comme dans le cas de M. Gee, il ne passe plus de bile dans les gran
l la ge-nèse. A mon avis, il y a là exagération. En effet, il est des cas où évidemment l'ictère concomittant d'une affecti
toxication par le phosphore; l'ictère se produisait pourtant dans ces cas , et l'on ne trouvait à l'autopsie que peu de bile
rrhose hypertrophique avec lésions des canalicules biliaires. Dans le cas de M. Sa-muel Gee, elle se montra environ du troi
ême plus bas, dans la fausse iliaque droite. Si on laisse de côté les cas assez rares de leucémie et d'adénie, il ne reste
ro-noncé que subit nécessairement la vésicule du fiel dans le dernier cas . — La tuméfaction hépatique peut persister durant
l'influence présumée exclusive de l'alcool, on a souvent invoqué des cas de cirrhose très accentuée, observés à une époque
ut dans certains pays, à l'abri des excès alcooliques, ainsi, dans un cas rapporté par M. Wilkes, il s'agissait d'une petit
le hobnailed liver. Niemeyer a rapporté, d'après M. Wunderlich, deux cas du même genre concernant deux sœurs âgées l'une d
ré tout, il ne faut pas ignorer que l'on connaît un certain nombre de cas où l'alcoolisme n'était pas en jeu (2). Aussi la
on l'employait, à dé- (1) Med chir Transact., 1873, p, 27. (2) Un cas de ce genre observé par M. Griffith chez un enfan
ette eco-logie. Ainsi d'après la statistique de M. Dickinson, sur 250 cas de dégénération granuleuse du rein, 37 fois seule
V, chap. 1er, art. 6, obs. XXXV). 11 est ques-tion à cet endroit d'un cas de pleurésie avec hémorrhagie, compliqué d'ascite
e a pour effet d'accroître toutes les dimensions de l'organe, dans le cas de la cirrhose vulgaire, en conséquence de la rét
ltérations. Il est, en quelque sorte, comparable à celui que, dans le cas de la cirrhose hypertrophiqué, nous avons été con
e, publié en 1836 (1). Il déclare avoir pu, dans un certain nombre de cas , constater au début de la cir- (1) Gw/s Hosp. R
ue je connaisse. M. Frerichs, au contraire (fig 38J, a reproduit un cas exceptionnel, s'éloignant considérablement du typ
à petits grains (foie granuleux, Granulated hiver), Mais, il est des cas où la majorité des granulations atteignent les di
en un nombre correspondant de granulations secondaires. Dans d'autres cas , qui paraissent répondre aux phases avancées, ra-
ntrer et circonscrire le lobule dans toute son étendue. Même dans les cas anciens, l'enceinte fibreuse du lobule reste çà e
pour ainsi dire en chemin et jamais elle ne va aussi loin que dans le cas de la sclérose hypertrophique. 3° Après avoir o
nulaire de la cirrhose vulgaire à la disposition insulaire commune au cas de cirrhose liée à une altération primitive des c
sur ce point, je crois utile de citeg1 quelques exemples : Dans un cas rapporté par MM. Moxon et Wilks (Pathologi-cal an
(ané-vrisme faux) remontant jusque derrière le foie. — Dans un autre cas , publié par le Dr P. Giacomino cas dont il sera e
derrière le foie. — Dans un autre cas, publié par le Dr P. Giacomino cas dont il sera en-core question de nouveau tout à l
aux por-tes intra-hépatiques. Nous reviendrons dans un instant sur ce cas qui offre un bel exemple de la dilatation des vei
e rapporterai quelques faits à l'appui de ce que j'avance: 1° Dans le cas cité tout à l'heure de M. Giacomini,il n'y avait
agie dans l'épaisseur de l'épiploon gastro-splénique ; — 2° Plusieurs cas insérés pas M. Sappey, dans son important mémoire
t l'existence avait été constatée deux mois auparavant ; — 4° Dans un cas de cirrhose qui, à l'origine, était compliqué d'a
(!) et de Monneret. Frerichs a publié lui aussi (loc. cit., p. 11) un cas relatif, comme les précédents, à une oblitération
e de ces voies naturelles que s'effectue, dans l'immense majorité des cas , la circulation collatérale. 11 ne faut pas ign
ies de communication dans la cirrhose. On ne cite, en général, que le cas de M. Fauvel, consigné dans la thèse de M. Gubler
ns la thèse de M. Gubler ; mais il convient de mentionner en outre le cas de Bamberger (loc. cit., p. 572) et un autre plus
eret autrefois, et dernièrement M. Duret, l'ont fait remarquer. Sur 9 cas re-cueillis récemment par ce dernier, il n'en est
ines qui vont se jeter dans la veine cave. Nous possédons au moins un cas où le système de Retzius a servi au rétablissemen
e Retzius a servi au rétablissement de la circulation collatérale. Ce cas appar-tient à Rindfleisch (1) : la veine porte ét
vec la veine porte et, partant, elles ne sont d'aucun secours dans le cas d'obs-tacle intra-hépatique. Deuxième groupe ou
la circulation supplémentaire. Les veines suivantes sont dans le même cas . Troisième groupe. Il est formé : 1° par des va
par l'intermédiaire de cette voie dans le sys-tème général, dans les cas où le cours du sang est inter-rompu dans les lobu
hépatiques. Ces vaisseaux, à l'état normal, sont très ténus. Dans un cas de M. Sappey, que nous avons déjà cité et dans le
ligeamment confiée par M. Sappey, que le ligament ombilical en pareil cas persiste, imperméable et bien distinct des veines
ques, tantôt par celles des veines sous-cutanées et, dam ce dernier cas , on voit se produire, au voisinage de l'ombilic,
l'espèce, des signes d'un favorable au-gure. Il existe au moins six cas dans lesquels ce mode de circula-tion supplémenta
partiennent à M. Sappey, un à Giacomini (Turin, 1873) ; quatre autres cas , où l'on a pu croire qu'il s'agissait de la veine
être aujourd'hui rattachés à ce groupe, ce qui ferait un total de dix cas . Je dois mentionnera ce proposqu'enproduisantun
les ne peuvent servir au rétablissement de la circulation que dans le cas où l'obstacle siège du côté du foie, au-delà du p
-bies par le système porte abdominal sous l'influence qu'é-prouve, en cas de cirrhose, dans son passage à travers le foie,
vous remettre en mé-moire les caractères importants fournis en pareil cas par l'exa-men des coupes durcies, fait à l'aide d
M. Frerichs dit n'avoir observé cette lésion que dans la moitié des cas de cirrhose qu'elle qu'en fût l'origine. Que pens
le mode de distribution des vaisseaux portes, en outre des Dans le cas où l'occlusion ayant été produite par une ligatur
té qu'on éprouve à pousser les injections par la veine porte dans lès cas un peu avancés. C'est dans ces conditions que se
tôme très important dans l'histoire de la cirrhose. Bamberger, sur 36 cas , n'a vu que deux exceptions et encore dans ces de
r, sur 36 cas, n'a vu que deux exceptions et encore dans ces derniers cas y avait-il un épaississement de la capsule spléni
tefois, l'absence de tumé-faction splénique, notée dans la moitié des cas par Frerichs, ne peut pas s'expliquer constamment
u cœur. Ainsi, dans un mémoire bien connu, Becquerel relevait, sur 42 cas de cirrhose, 21 cas de maladies organiques du cœu
un mémoire bien connu, Becquerel relevait, sur 42 cas de cirrhose, 21 cas de maladies organiques du cœur. C'est que Becquer
faite, cette complication n'existe plus. Bamberger, sur plus de cent cas de maladies du cœur, n'a rencontré que deux cas d
ger, sur plus de cent cas de maladies du cœur, n'a rencontré que deux cas de cirrhose. Sur 30 cas de cirrhose rassemblés pa
s de maladies du cœur, n'a rencontré que deux cas de cirrhose. Sur 30 cas de cirrhose rassemblés par le même auteur, le cœu
ssemblés par le même auteur, le cœur était normal, sauf dans les deux cas ci-dessus. Nous allons voir cependant une combina
lier de la voir coexister assez fréquemment avec la cir-rhose. Sur 40 cas de cirrhose du foie fl), réunis par M. Dic-kinson
r la plupart d'origine alcoolique, les reins étaient granuleux dans 8 cas : le rapport est donc de 1 à 5. Mais bien souvent
souvent la néphrite interstitielle échappe à cette étiologie. Sur 230 cas de dégénérescence granuleuse, le foie a été en-va
chiffres de M. Stewart concordent avec les précédents : ainsi sur 100 cas de rein contracté, il a trouvé 15 cas de cirrhose
les précédents : ainsi sur 100 cas de rein contracté, il a trouvé 15 cas de cirrhose, soit 1 sur 6. En supposant que tous
a trouvé 15 cas de cirrhose, soit 1 sur 6. En supposant que tous les cas de cirrhose où il y a eu coïnci-dence fussent d'o
) Dickinson, loc. cit., p. 140. fluence. 11 ne faudrait pas dans un cas de cirrhose conclure à la réalité de la néphrite
ner sous le nom de glomérulo-né-phrite (1). Les glomérules, en pareil cas , paraissent exsan-gues, et lorsqu'on les examine
anisme il n'exisLera de coloration semblable. Le rein a donc, dans ce cas , coloré la matière colorante qui s'est (ly Heid
ans le rein ; elle est donc sécrétée, sinon excrétée^ Mais, en pareil cas , elle ne diffuse pas, comme cela a lieu dans l'ét
la solution d'indigo, le résultat est absolument le même que dans le cas précédent, c'est-à-dire que la coloration existe
irchow, on les observe chez le nouveau-né clans plus de la moitié des cas . el seulement du 2fi au 19e jour; il considère le
es canalicules quise produisent parfois chez le nouveau-né. En pareil cas , les bas-sinets contiennenl un magma noirâtre, se
Lorsqu'ils ont sé-journé longtemps dans le rein, par exemple dans les cas de lésions chroniques de cet orga-ne, ils présent
es tubes droits mais surtout dans les anses de Henle. Dans ce dernier cas , les cellules épithéliales entrent dans la consti
si, dans la néphrite parenchyma- Fig. 30. — Section du rein dans un cas de néphrite interstitielle très avan-cée. — a, Ti
he Archiv, 1873, p. 336) dit les avoir retrouvés constamment dans les cas d'ictère intense s'accompagnant d'élimination par
e la pyémie, etc.) La formation des cyilindres paraît tenir, dans ces cas , à l'action des acides biliaires sur le sang ; ca
ns le sang desquels il avait in-jecté des acides biliaires. Dans le cas de maladie rénale même, les cylindres hyalins n'o
ut donc servir à éclairer le diagnostic de la forme, et même dans des cas douteux, le diagnostic absolu de la maladie. Les
enus dans les bassinets. C'est ce qui eut lieu eu particulier dans un cas de néphrite (1) Il n'est question ici que des c
ple. Symptômes. — a) L'œdème fait défaut dans plus de lamoi-tié des cas ; souvent il est à peine appréciable. — b) Urines
eumonie, péricardite, etc. L'urémie est la terminaison habituelle des cas de ce genre. Caractères anatomiques, — Rein pet
soit. » Et il cite une sta-tistique dans laquelle on voit que, sur 26 cas de gros rein blanc, rhydropisie est signalée 24 f
gros rein blanc, rhydropisie est signalée 24 fois, tandis que sur 33 cas de rein contracté, elle ne s'est montrée que 14 f
té, elle ne s'est montrée que 14 fois, et encore était-elle, dans ces cas , à peine appréciable. Ces faits contredisent év
ite interstitielle chronique primitive. Je supposerai tout d'abord un cas dans lequel les altérations se présentent dans le
base de chaque granulation, rein, on constate encore, comme dans le cas précédent, que les rayons médullaires, dans la ré
de pouvoir observer les premières phases de l'altération que dans les cas où la mort est survenue, pour ainsi dire d'une fa
nue, pour ainsi dire d'une façon accidentelle, et jusqu'à présent ces cas sont rares. Quelques auteurs parlent avec compl
représente l'apparence de la néphrite parenchymateuse. Dans certains cas même, d'après Klebs, le rein serait très volumine
revêtement régulier, d'une seule rangée de cel-lules (1) ; en pareil cas , lorsque les petites cellules remplissent la lumi
issu embryonnaire qui les entoure. — c) Les tubes sont, dans certains cas , aplatis par places, au point qu'il est difficile
épitliélial et sont remplis de matière cireuse ; enfin, dans certains cas , il s'agit de véritables dilata-tions kystiques.
aire saillie à la surface du rein: gros comme un pois dans certains cas . ils sont en général beaucoup plus petits. 11^ co
s contre les autres (Dickinson), et d'un autre côté, que même dans le cas d'altération très avancée, on trouve toujours que
oins rares. Diokinson a observé 2.700 c. par jour, et Bartels dans un cas a vu celte quantité s'élever à 5 ou 6 litres. Aus
e relevé que celle hypertrophie ne se voit à peu près jamais dans les cas de néphrite parenchy-mateuse, où M. Dickinson ass
e est un phénomène assez rare, tandis qu'elle est habituelle dans les cas de gros rein blanc. Vous vous rappelez que Johnso
s vous rappelez que Johnson a observé 24 fois des hypdropisies sur 26 cas de gros rein blanc, et seulement 14 fois sur 33 c
pdropisies sur 26 cas de gros rein blanc, et seulement 14 fois sur 33 cas de rein con-tracté ; encore existait-il le plus s
cas de rein con-tracté ; encore existait-il le plus souvent, dans ces cas , seule-ment un peu de bouffissure, d'œdème de la
en encore, le rein devient de plus en plus imperméable, et, en pareil cas , l'hydropisie peut se produire tout comme dans le
albumine dans les 24 heures est beaucoup moins grande. Ainsi, dans un cas de gros rein blanc, Bartels a trouvé une perte de
a trouvé une perte de 14 à 20 grammes par jour, tandis que dans icois cas de rein contracté il a ob-servé seulement 1 gr. 3
physiologique de la présence de l'albu-mine dans les urines dans les cas de néphrite interstitielle, et pourquoi celle-ci
dans les 24 heures, tandis que dans d'autres analyses relatives à des cas de néphrite parenchyma-teuse, le chiffre ne dépas
d'une lésion rétinienne : ainsi, suivant de Grael'e, sur trente-deux cas d'amaurose dans la maladie de Briglit, 2 fois seu
urose urémique , de son côté, M. Badar, à Guy's Hospital, a observé 6 cas d'amaurose sine materia sur trente-huit cas d'ama
y's Hospital, a observé 6 cas d'amaurose sine materia sur trente-huit cas d'amaurose alburninurique. Mais ces accidents, s'
; ou bien des étourdisse-menfs, de la somnolence. 5° Dans d'autres cas , ce sont des secousses, des soubre-sauts dans les
ues égards à celui de la paraly-sie agitante, et que j'ai vu, dans un cas , persister pendant plusieurs semaines, sans accom
des accidents apoplectiform.es qui ont pu faire songer dans quelques cas , soit à une hémorragie encéphalique soit à un e
tité d'urée subsistaient. Les fatigues corporelles agissent en pareil cas dans le même sens que les émotions morales. Le
i, non excrétée suffisamment, s'accumule dans le sang ; aussi dans ce cas , la mort survient-elle rapidement, au milieu d'ac
phrite inters-titielle, en proie à l'urémie, et il a reconnu dans ces cas l'absence des cylindres. Au contraire, dans les
teux mortels, probablement urémiques ; il paraît agir surtout dans ce cas en limitant la sécrétion rénale. Plusieurs auteur
tiques de M. Dickinson, les plus fréquentes seraient, dans ce dernier cas , la pneumonie et la pleurésie ; la pericardite n'
fîbroïde imaginée par M. Sutton, je dois reconnaître que, dans 5 ou 6 cas de pneumonie chronique interstitielle (phthisie f
mène pas l'albuminurie qui est très rare à cet âge, et, dans les deux cas dont je parle, il s'agissait réellement de la nép
bservations que j'ai faites en grand nombre avec M. Bou-chard. Sur 49 cas d'hémorragie cérébrale, 16 fois seulement Gharg
ement 22 fois sur 100. L'hypertrophie du cœur est notée 22 fois sur 5 cas . C'est que, en effet, dans la production de l'hém
it à l'alhérome des gros vaisseaux. Je dois ajouter que dans quelques cas d'hémorrhagies intra-encéphaliques survenues sur
n désigne sous le nom de gros rein blanc (1) ; il s'agissait, dans ce cas , d'un nommé Izod, bou-vier, âgé de 25 ans ; cet h
façon plus précise, les altérations rénales qu'on rencon-tre dans les cas de ce genre. A. Examen macroscopique. — Le rein
r que les ré-sultats des investigations histologiques sont, en pareil cas , pour ainsi dire négatifs. Cependant la tuméfacti
un certain nombre de faits qui tendent à démontrer que dans certains cas , rares à la vérité, le gros rein blanc peut, à la
approchent de celles du petit rein contracté, de sorte que, en pareil cas , la séparation établie entre les deux formes pour
ein contracté, petit rein granuleux). L'atrophie consécutive, dans le cas de la néphrite parenchymatease, paraît s'effectue
observe en Allemagne, dit n'avoir rencontré, dans sa pratique, qu'un cas de ce genre ; Wilks, au contraire, en a rassemblé
te un très grand nombre dans les publi-cations françaises. Tous ces cas paraissent avoir pour caractère commun de se déve
re aussi, par Fabondance des cy-lindres urinaires, qui, dans certains cas au moins, peuvent jouer le rôle d'infarctus tubul
dans toutes les autres. 3° A l'inverse de ce qu'on observe dans le cas de rein con-tracté, les sujets atteints de néphri
phrite insterstitielle ; elle paraît alors survenir sou-vent dans les cas où on soustrait rapidement à l'organisme de grand
topsie le petit rein graisseux granulé décrit par G. M. Johnson ; ces cas sont d'ailleurs exceptionnels, et en général, la
ne repose sur aucune observa-tion décisive. Sans doute, il existe des cas dans lesquels on observe un début aigu, fébrile,
t, concourent à présenter l'altération rénale qui s'observe en pareil cas , comme une variété de la néphrite interstitielle
olifération conjonctive. De son côté, M. Klebs a décrit, dans cetains cas de scarlatine, une altération rénale qu'il désign
Enfin, M. Kelsch expose, dans son important travail, que dans deux cas de lésion scarlatineuse du rein, il fut surpris d
cutané ou du mé-sentère (Hayèm), la matière vitreuse, dans ce dernier cas , occupe le protoplasma au voisinage du noyau et r
iverses formes de cancer ; il ne faut pas oublier que, dans plus d'un cas , la condition étiologique reste tout à fait incon
out celles du gros rein blanc, avec une nuance jaunâtre dans certains cas ; mais la distinction, difficile au premier abord,
des conduits collecteurs dans la partie papillaire qui est, en pareil cas , le siège de prédilec-tion de la dégénération amy
s sur des points divers de l'or-gane ; je supposerai, par exemple, un cas dans lequel l'alté-ration amyloïde est portée à u
ions du petit rein rouge ; quelquefois il existe des kystes ; en tout cas , la réaction par l'iode permettra toujours de dis
t point parvenu jusqu'ici à reconnaître nettement, comment, en pareil cas , les alérations parenchy-mateuses ou interstitiel
veine rénale. Nous verrons que l'urine rare, qui s'écoule en pareil cas , subit d'ailleurs des modifications particulières
ns qu'on appelle albuminurie rénale, est, dans l'immense majorité des cas , un fait pathologique. Cependant vous n'ignorez
heures, après les fatigues de l'exercice. M. Edletsen a signalé trois cas du même genre. b) Il est encore une circonstanc
pas non plus s'il s'agit d'une solution d'albumine du sang. Dans ces cas , l'albumine qu'on retrouve dans l'urine s'y prése
nte avec les caractères de l'albumine de l'œuf, tandis que, dans le cas d'albuminurie normale temporaire, elle présente l
présente en certaine propor-tion en même temps que la serine dans les cas vulgaires d'albuminurie. Sous ce nom de globuline
rappelais les observa-tions de MM. Leube et Edletsen, relatives à des cas d'albu-minurie transitoire survenant chez des sol
érimentalement provoquée. Je vous rappellerai, en outre, qu'en pareil cas , l'albumine de l'œuf peut être recon-nue pour tel
mine même du sang passant dans les urines, c'est-à-dire, qu'en pareil cas , on est en présence des conditions de l'albuminur
dernier point est parfaitement con-forme à ce qu'enseigne, en pareil cas ,l'anatomiepathologique. 11 est en effet parfaitem
n pourra toujours dire que peut-être elles ne sont pas applicables au cas de l'homme. Mais, a) Lorsqu'on pratique chez le
les canalicnles. b) Les mêmes observations ont été faites dans les cas d'al-buminurie artificiellement produite chez les
êmes observations de MM. Ribbert, Posner et Litten que, dans tous les cas pa-thologiques où l'albuminurie existe chez l'hom
être rapprochées des observations qui précèdent. Il s'agit, en pareil cas , vous le savez, d'une inflammation suraiguë.) et
trois systèmes et appliquent tantôt l'un, tantôt l'autre, suivant le cas , à l'interprétation des faits. Mais d'autres, plu
usifs, s'attachent à l'un de ces systèmes et l'appli-quent à tous les cas , quels qu'ils soient. Nous allons passer en rev
é d'eau injectée était con-sidérable et l'injection rapide. En pareil cas , il y avait éléva-tion brusque de la tension arté
ction d'eau, abondante encore, était faite par petites doses. Dans ce cas , parle fait de l'action de l'eau sur les globules
encore le Journal hebdomadaire de clinique de Berlin (1) publiait un cas fort intéressant d'hémogiobi-nurie observé chez u
onsidérée comme une des conditions pathogéniques de l'albuminurie. En cas d'hydrémie, ainsi que je vous l'ai dit — et il s'
e de la persis-tance du trouble fonctionnel ; elles seraient, en tout cas , un fait subordonné, consécutif. Canstatt est peu
, l'existence d'une altération de l'albumine du sang, dans les divers cas d'albuminurie organique ou fonctionnelle, est tou
ang d'un certain nombre d'animaux ; et, précisément, dans l'un de ces cas , l'injection est faite sur un animal qui avait ét
c'est une albumine préalablement modifiée dans le sang qui, en pareil cas , a passé dans les uri-nes. Ce fait est incontesta
thermie prolongée, l'albumine du sérum, ainsi que cela a lieu dans le cas où on la soumet aune coction également prolongée,
x du rein ne suf-fit pas pour produire l'albuminurie, et que dans les cas où il y a à la fois augmentation de pression (-f-
ément qui paraît jouer le rôle capital. — D'un autre côté, il est des cas où très certainement l'augmentation de pression n
ù l'abaissement de la pression glomérulaire (— P) est évidente. Les cas du dernier genre sont même assez nombreux pour qu
ut non plus. Il faudra distinguer, dans l'exposé qui va suivre, les cas où le trouble circulatoire ne concerne pas le rei
partiel de la circulation limité au rein. 1° Considérons d'abord le cas où la circulation locale du } rein est modifiée p
ou qu'on diminue à loisir au moyen d'un instrument spécial. En pareil cas , le sang est ralenti, mais il persiste pendant to
us considérons les conditions mécaniques de la cir-culation en pareil cas , nous reconnaissons que, contraire-ment à ce qui
l cas, nous reconnaissons que, contraire-ment à ce qui a lieu dans le cas précédent, la pression est augmentée dans le glom
: + P — V, la circula- tion étant évidemment ralentie comme dans le cas précé-dent. Par conséquent, Messieurs, vous voy
grand nombre les conditions des expériences qui précèdent. Tel est le cas d'oblitération des veines rénales ou de la veine
nose sans abaissement de la xraleur de la pression cardiaque. En tout cas , un élément sur lequel il ne saurait y avoir de d
ence d'Overbeck se re- trouve assez rigoureusement réalisé dans les cas de lésions cardiaques avec asysfolie, c'est-à-dir
ns les cas de lésions cardiaques avec asysfolie, c'est-à-dire dans le cas où appa-raissent ces urines roses et albumineuses
parlais dans notre dernière réunion. La clinique montre, qu'en pareil cas , la quantité des urines et le taux de l'albumine
oire que le reflux veineux se fait difficilement dans le glomérule en cas de stase veineuse, car les injections veineuses a
itesse dont l'existence ne peut être contestée. La formule, en pareil cas , sera donc la suivante : + P — V. iUnsi, Messie
s, sera donc la suivante : + P — V. iUnsi, Messieurs, dans tous ces cas de troubles de la circu-lation générale ou locale
cardiaque. Adaptation de la théorie de la diminution de vitesse aux cas d'albuminu-rie transitoire non accompagnés de lés
s-sesse, etc. Théorie anatomique — Insuffisance de cette théorie. — Cas où il existe des lésions profondes du parenchyme
lésions profondes du parenchyme rénal sans qu'il y ait albuminurie et cas d'albuminurie sans lésions du parenchyme rénal.
e tout d'abord en opposition avec ce qu'enseigne la clinique, dans le cas delà néphrite interstitielle, par exemple, lorsqu
ypertrophie simple du ventricule gauche du cœur. On sait qu'en pareil cas la près- sion est habituellement très élevée da
ientôt retrou-ver l'occasion d'y revenir. b) Par contraste avec les cas dans lesquels la pression s'é-lève dans le systèm
er qu'ici la situation est bien diffé-rente de ce qu'elle est dans le cas de phlébosténose que nous avons considéré plus sp
e sont pas les mêmes dans l'expérience citée d'Overbeck, car, dans ce cas , s'il y a ob-stacle à l'issue du sang, veineux, d
lorsqu'elles sont poussées dans les artères. On peut donc, en pareil cas , se représenter la situation, en ce qui concerne
o-difications de la sécrétion urinaire, si souvent observées dans les cas de lésions valvulaires du cœur, alors qu'il n'y a
rectement le myocarde (péricar-dite adhésive, etc.), et aussi dans le cas de certaines lésions du poumon qui entravent le j
, relevé dans un grand nombre d'observations. Voici, entre autres, un cas où ce parallélisme est très nette-ment mis en rel
sme est très nette-ment mis en relief. Il s'agit tout simplement d'un cas d'in-suffisance mitrale (observation de Rosenstei
nditions normales. Je vous ferai remarquer, Messieurs, que dans les cas d'af-fections cardiaques, où les urines présenten
à la lésion qui vient d'être décrite. Elle la précède dans nombre de cas , et dans nombre de cas aussi la lésion peut persi
d'être décrite. Elle la précède dans nombre de cas, et dans nombre de cas aussi la lésion peut persister, alors que, par su
e l'albuminurie fébrile ; il en est de même pour un certain nombre de cas d'albuminurie observés pendant la grossesse ou
t de l'appui des faits pathologiques, car on pourrait citer nombre de cas où l'albumine se présente dans les urines sans qu
as, Bou-chardat, Parkes, Murchison, Meissner, Brouardel, Fouilhoux. Cas dans lesquels il y a augmentation du chiffre de l
houx. Cas dans lesquels il y a augmentation du chiffre de l'urèe. — Cas dans les-quels il y a diminution du taux de l'uré
e du canal cholédoque. Sommaire. — Des accès fébriles dans certains cas de colique hépatique. — Élévation de la températu
cardiaque. Adaptation de la théorie de la diminution de vitesse aux cas d'albuminu-rie transitoire non accompagnés de lés
-sesse, etc. Théorie anatomique. — Insuffisance de cette théorie. — Cas où il existe des lésions profondes du parenchyme
lésions profondes du parenchyme rénal sans qu'il y ait albuminurie et cas d'albuminurie sans lésions du parenchyme rénal...
26 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ubles paraplégiques devancent, de plusieurs mois, la gibbosité. Ces cas exceptionnels sont la source des plus grandes d
erck) (1) énon- cent un problème dont la solution est dans bien des cas extrêmement dé- licate. Chez l'enfant, la gibbo
ion rachidienne. « Ollivier d'Angers attirait l'at- tention sur des cas de mal de Pott qu'on avait complètement méconnus
octobre 1905), insistant sur la difficulté du diagnostic en pareil cas . Sur 20 cas de mal de Pott chez l'adulte, dont
, insistant sur la difficulté du diagnostic en pareil cas. Sur 20 cas de mal de Pott chez l'adulte, dont 10 suivis d'au
dont 10 suivis d'autopsie, le D" Touche (de Brévannes) (2) compte 9 cas sans gibbosité. Sans vouloir passer en revue to
ie par la pachy- méningite externe caséeuse. » Enfin, à propos d'un cas que nous résu- (1) Brissaud, Leçons sur les mal
ent constaté des troubles dus à la compression radiculaire dans des cas vérifiés à l'autopsie, indiquant notamment comm
u mal de Pott, d'après leur seul aspect clinique, en 3 groupes : 1° Cas avec signes de compression de la moelle ou des ra
de la moelle ou des racines dorsales et lombaires supérieures. 2° Cas avec signes de compression radiculo-médullaire du
ire du cône termi- nal, de l'épicône et de la queue de cheval. 3° Cas avec signes de compression de la moelle ou des ra
ec signes de compression de la moelle ou des racines cervicales. I. Cas avec signes de compression de la moelle ou des ra
variables). On lit dans les « Leçons de Charcot » (1) : « Dans un cas de Liouville observé dans le service de Béhier,
Malheureusement Chipault, dans un travail ultérieur où il publie un cas analogue (1) dans lequel la laminectomie fut su
ue à 5 ou 6 corps vertébraux. M. Brissaud cite encore brièvement le cas d'un enfant qui lui avait été adressé pour une
oite. Aucun signe rachidien. Bresci rapporte dans sa thèse (i) « un cas de paraplégie flasque avec abolition des réflex
tre, sans signe rachidien. , Citons enfin, à titre de curiosité, le cas curieux de Wert (3), dans lequel le mal de Pott
ubles vésicaux ayant fait croire à l'existence d'un calcul. Dans ce cas existait une gibbosité, dont l'auteur voulut essa
tement, le malade mourut d'un méningite. Voici le résumé de trois cas personnels, publiés in extenso au Congrès de la
ut de myélite lacunaire. Dans la même séance, M. Achard relatait le cas très intéressant d'une femme de 78 ans qui, au
ature tuberculeuse fut vérifiée par l'inoculation. A propos de ce cas , M. Achard fait les réflexions suivantes : chez l
t normal, comme l'est la région dorsale moyenne. En somme, dans les cas où les symptômes nerveux sont ceux d'une NOUVEL
de rétention des sphincters et, seulement dans un certain nombre de cas , de troubles objectifs de la sensibilité, hyper
plusieurs fois de suite, comme chez le malade de M. Brissaud. Le cas de MM. Verger et Laubie (notre obs. III) sont des
de la compression médullaire et de la compression radicu- laire. Le cas de Wert montre jusqu'où peut aller la variabilité
chard, comment aurait-on pu éviter une erreur de diagnostic ? II. Cas avec compression médullo-radiculaire de l'épic(me
le aux aines, provenant vraisemblablement de la région lombaire (ce cas marque la transition entre notre premier et not
Quoique sans autopsie, et d'un diagnostic pas absolument certain, le cas de MM. Raymond et Huet (1) mérite d'être rappor
vertèbre lombaire. D'ailleurs, MM. Raymond et Huet ne présentent ce cas que sous le titre de mal de Pott probable, « à
ons auxquelles il peut donner lieu ». Nous ne connaissons que les cas suivants avec autopsie. Triot (Thèse de Paris,
ractères principaux d'une névralgie sciatique, parfois unilatérale ( cas de Raymond et Huet, cas de Triot), ce qui ajoute
e névralgie sciatique, parfois unilatérale (cas de Raymond et Huet, cas de Triot), ce qui ajoute une nouvelle difficult
sions du cône terminal et de la queue de cheval, en général. III. Cas avec compression de la moelle et des racines cerv
ringo- . myélie, malgré certaines ressemblances. Citons encore le cas de Ruys (2) : crises de dyspnée récurrentielle ch
Dans sa « Leçon sur le mal de Pott », M. Brissaud résume deux autres cas : l'un avec atrophie légère diffuse des membres
ons dégénératives dans la moelle. Nous avons récemment observé le cas suivant dans le service de M., le professeur Ra
qu'en 20 ALQUIER esquisse M. le professeur Raymond à propos d'un cas de mal de Pott cer- vical probable, dans les li
s de la miction et de la défécation, ils peu- vent manquer dans les cas de compression limitée au segment cervical de l
ères. » Il convient d'attirer plus spécialement l'attention sur les cas où une compression de la moelle et des racines
e musculaire, et l'exagération des réflexes des membres inférieurs ( cas de Touche, de Long et Machard, etc.). Chez notr
e, soit le signe de Lasègne, soit la douleur à la pression du nerf ( cas de Triot), et surtout si la pseudo-sciatique est
(cas de Triot), et surtout si la pseudo-sciatique est unilatérale ( cas de Grognot, de Raymond et Huet). D'autres fois,
fi- cile de rapporter ces douleurs à leur véritable cause; dans les cas dou- teux, on pourra tenter l'épreuve des injec
ponction lombaire donne habituelle- ment, et sauf, bien entendu, le cas d'infection secondaire ou surajoutée, un résult
uin 1904. 22 ALQUIER ponction lombaire pourra donc, dans certains cas , aider au diagnostic. Les douleurs radiculaires
e les heureux effets du repos absolu au lit ont, dans plusieurs des cas anormaux que nous avons résumés, contribué à fair
ns résumés, contribué à faire rechercher le mal de Pott (exemples : cas de Raymond, Huet et de Brissaud, etc...) (1). O
paralysie flasque se localise aux membres supérieurs comme dans le cas de M. Broca ; d'ordinaire, on trouve tout au mo
que les racines, respectant momentanément la moelle. Dans les deux cas , cette paralysie flasque des membres inférieurs
douleurs dans le dos ou les lombes, et, tôt ou tard, dans bien des cas , l'apparition de troubles du sphincter vési- ca
ère de se relever du sujet couché par terre, peuvent, comme dans le cas de MM. Raymond etHuet, faire croire à la myopat
ne pas de troubles vésicaux contraire- ment au mal de Pott. b) En cas de spasmodicité des membres inférieurs avec intég
la cons- tatation du signe d'Argyll Robertson vient, dans bien des cas de syphilis médullaire, corroborer le diagnosti
, résultat négatif dans la tuberculose (Sicard et Cestan). Dans les cas où on a quelque raison de suspecter le mal de P
aitement antisyphilitique peut être absolument inefficace, dans des cas de myélite syphilitique bien avérée. Nous n'i
'insisterons pas sur les autres causes d'erreur possibles en pareil cas , car il faudrait passer en revue une grande parti
rtiennent pas à la syringomyélie. Remarquons cependant que, dans le cas anormal de syringomyélie dont nous parlons plus
métastases cancéreuses : les tumeurs de la moelle et des méninges ( cas de M. Raymond), enfin, la méningo-myélite tubercu
ntensité de la compression. C'est ainsi que Lannois (1) a publié le cas fort intéressant d'une femme de 41 ans, qui eut
RINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 27 Effectivement, dans les 5 cas personnels relatés dans ce travail, nous n'avon
cienne, certainement antérieure au mal de Pott ; dans les 4 autres cas , la tuberculose vertébrale était bien la seule
tuberculoses viscérales anciennes, ce qui ôte toute valeur dans ces cas à l'épreuve de la tuberculine. b) L'étude des s
pas une valeur absolue; elles exis- taient, avons-nous dit, dans un cas où il s'agissait d'une syringomyélie anormale,
901), est, malheureusement loin de permettre le diagnostic dans les cas douteux : elle n'a donné que des résul- tats to
es- saires. Force nous est donc de conclure que, si dans bien des cas , une analyse clinique minutieuse permet d'arriv
se vertébrale, que l'on arriverait peut-être à guérir dans bien des cas , en instituant à temps le seul traitement du ma
, Interne des Hôpitaux. Médecin de l'Hôtel-Dieu. (Pl. V et V Ce cas a déjà fait l'objet d'une étude dans cette Revue
ste en outre une atrophie marquée (1) E. BRISSAUD et H. GRE1VBT, Un cas de cyphose d'origine articulaire ou musculaire
ander quelle est la valeur pathogénique de la tuber- culose dans ce cas . Pour certains cliniciens (1), la coexistence d
; c'est ce que, dès cette époque, pensait P. Marie, « S'il est des cas , disait-il, ou le rhumatisme déformant détermine
ou le rhumatisme déformant détermine une an- kylose du rachis, ces cas diffèrent de ceux de spondylose rhizomélique par
hidienne, notam- ment de celles dont Bechterew a rapporté plusieurs cas et que j'ai récem- ment étudiée sous le nom de
ose hérédo-traumatique. » Depuis cette description de très nombreux cas ont été signalés ; P. Marie signalait déjà un c
de très nombreux cas ont été signalés ; P. Marie signalait déjà un cas qu'il avait observé douze ans auparavant avec C
un cas qu'il avait observé douze ans auparavant avec Charcot, trois cas dont Strümpell avait fait une sommaire men- tio
rois cas dont Strümpell avait fait une sommaire men- tion, enfin un cas probable observé par Koehler. Dès 1899, dans une
s pas là d'une affection rare, mais d'un complexus morbide (1) Deux cas de spondylose rhizomélique, par P. Marie, Soc. mé
ouvent infectieuse ou toxi-infectieuse » (2) ; d'après les nombreux cas signalés depuis, nous maintenons cette affirmat
récent sur le « Rhumatisme chronique » (3), croient que dans certains cas le froid humide jouerait un rôle ou primordial
r, etc., et comme il ne paraissait se (1) Exanten du Rachis dans un cas de Spondylose Rhizomélique, par P. Marie et A.
t les mêmes, il a pu y avoir concomitance dans un certain nombre de cas . Et ainsi, loin d'éclairer la pathogénie, la co
e puisse jouer le rôle de cause occasionnelle ou prédisposante ; le cas dont nous rapportons plus loin l'examen anatomiqu
es du rachis en tige droite, linéaires, que l'on voit dans certains cas de rhumatisme chronique, ni les ankyloses à cou
mations du rachis et à l'ankylose en flexion des hanches, dans les cas de spon- dylose rhizomélique, publiés en 1899.
ssant. Cependant cette répartition pouvait être fortuite dans notre cas unique. Or IIilton Fagge,dans une observation r
s qu'on pouvait facilement les couper avec un couteau ». Dans notre cas , le rachis, conservé depuis longtemps, lors de
ulose pulmonaire actuelle, dont le malade mourut, pouvaient dans ce cas être invoquées comme causes déterminantes. L'exam
IQUE 43 ques ; cliniquement d'ailleurs le malade était un des beaux cas du' type d'ex- tension (fig. 3, pl. VII). Ce
ments jaunes. Nous avons pu cons- tater en outre dans notre nouveau cas l'ossification des ligaments sacro- iliaques, d
les preuves multiples. En dehors du fait que, comme dans le premier cas , les ossifications rachidiennes portaient surto
s'était fortement voûté et la colonne était incurvée. Dans un autre cas nous avons'pu cons- taterla consolidation du ra
c les auteurs. C'estain si que quelques savants rapportent certains cas comme appartenant à l'infantilisme, et que d'au
infantilisme, et que d'autres, non moins autorisés, discu- tant ces cas objectifs : « l'infantilisme n'est pas cela » (1)
fondamentaux de l'enfance, et éliminer de l'infantilisme plusieurs cas qu'on y a indûment introduits : tout ce qui ne
ette affection est ainsi mieux circonscrit ; mais, malgré cela, les cas qui constituent ce groupe sont encore très différ
istence d'un rapport très intime entre « un certain nombre » de ces cas et le myxoedëme, les détacha du groupe commun, où
éminent professeur, dans une magistrale étude, décrit et oppose ces cas spéciaux, jusqu'alors méconnus ou mal différencié
reint et défini ; il présente une homogénéité remarquable, tous les cas se ressemblent ; l'ossification du cartilage ép
une reprise insolite de croissance ; et, chose importante, tous ces cas offrent l'aspect d'une enfance prolongée, c'est
edème (d'après M. Brissaud cette association est constante dans les cas du deuxième groupe et leur appartient en propre
DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 53 insister dans ce travail en étudiant un cas clinique dans lequel elle s'im- pose à première
t pour l'interprétation des infantiles d'examiner soigneusement les cas où la dégénérescence psychique, prove- nant de
ôle que l'héréditéneuro-pathologiquepeutjouer dans la genèse de ces cas . Observation. Antécédents héréditaires. Nombr
des gro- gnements. Il se déchirait et se mutilait. Pour éclairer ce cas d'idiotie congénitale, S4 , MAGALHAES LEMOS j
matique du myxoedème n'est pas accentué, et encore parce que, dans ce cas , il devrait déjà exister un début de cachexie,
telle- ment, un arrêt dans son évolution ». C'est justement notre cas . En effet, notre malade, je le répète, avec ses
tiens à bien fixer, d'ores et déjà, ce point du diagnos- tic, d'un cas d'infantilisme non pas de l'infantilisme de Lorai
l'infantilisme de M. Brissaud, de l'infantilisme vrai. C'est même un cas spécial qui, à cause de la taille, établit une
e postérieure, le tronc se présente également (1) Henkt Meige, Deux cas d'hermaphrodisme antique. Nouvelle Iconographie d
vement. » Or, cette même description s'adapte de tout point à notre cas ; donc, suivant les idées de l'éminent professe
ïde, car c'est le seul moyen d'émettre un diagnostic ferme dans les cas difficiles, mais l'obésité du cou ne le permet
ve jamais dans l'in- fantilisme. Ce que nous avons toujours dans ce cas , c'est un myxoedème atténué, fruste et peut-êtr
ass6z ? K)urin ? caractériser le myxoedème. Si nous comparons notre cas avec C611.x (I'in- fantilisme fruste qui ont ét
'est un « grand enfant*», dans toute la force du terme. Mal- gré le cas si remarquable de Hertoghe (2); le développement
une certaine valeur. « Etpuis, dit M. Brissaud, se rapportant à un cas clinique de Hertoghe, jugeons, par les résultats
t de l'examen radiographi- que, très important à connaître dans ces cas , et que nous devons à l'obli- geance de nos ami
nourricier, avec une acti- vité circulatoire restreinte. Et dans ce cas , nous avons de petits hommes, des adultes « réd
; et encore les géants à typé infantile qui s'en rapprochent. ' Le cas que nous rapportons prouve tout particulièrement
la grossesse, a été le facteur étiologique prépondérant dans notre cas . En conclusion : rapprochant notre cas de ceux
ique prépondérant dans notre cas. En conclusion : rapprochant notre cas de ceux qui ont été publiés, et en les embrassa
, et d'autre part, parce que le traitement thyroïdien dans quelques cas exceptionnels peut être d'une efficacité très min
e que transitoire. Et c'est probablement ce qui s'est passé dans le cas présent. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQ
neuro-pathologique comme cause primitive d'infantilisme. A côté des cas vulgaires de dégénérescence qui encombrent les
cin s'étant aussi adressé à moi pour me demander mon opinion sur ce cas très singulier, je lui conseillai de faire entrer
du côté de sa mère. Du reste on ne trouve dans cette famille ni des cas de syphilis ni des maladies nerveuses ou mental
phalangienne ont augmenté de volume, ce qui n'est pas ou à peine le cas des parties molles. La musculature est peu dévelo
: la flexion et l'ex- tension sont restreintes; ce qui est aussi le cas pour les mouvements de toutes les jointures des
de syringomyélie me semble tout à fait jus- tifiée. (1) Sur deux cas d'acromégalie. Hypertrophie singulière non congén
postérieures de la moelle dorsale : mais, il me semble, que dans ce cas -ci les douleurs dépendent plutôt d'une assimi-
vous aurez avec moi tiré depuis longtemps la conclusion, qu'en tout cas le système nerveux parti- cipe pour beaucoup il
re et du crâne manquent. Mais nous distinguons dans la clinique des cas typiques et atypiques : les premiers prévalent da
ophie est restreinte à certaines parties du corps. Comme dans notre cas la tête ne (1) Revue de Médecine, 1890. 86 PE
ns se montrent le plus, il n'est pas singulier du tout, que dans un cas spécial un symptôme principal puisse manquer.
altérations des extrémi- tés, et Pierre Marie lui-même a décrit des cas d'acromégalie, dans lesquels un symptôme cardin
ire, des exostoses multiples, et de l'infantilisme comme dans notre cas . Il ne me semble pas douteux qu'il y ait un rappo
e pas douteux qu'il y ait un rapport causal entre la plupart de ces cas complexes de symptômes, même si nous ne pouvons
gomyélie. Et même Holsecheconikoff) a déposé dans la littérature un cas dans lequel il existait une augmentation de vol
romégalie et de syringomyélie et Fischer (4) y joignit un troisième cas . Il se peut que notre F... souffre aussi de syrin
r a trouvé un épaississement de la substance grise centrale dans un cas d'acromégalie, ce qui ne prouve cependant pas enc
gale, mais il ajouta, qu'on trouve ces changements dans beaucoup de cas de faiblesse et de cachexie, de sorte qu'on ne pe
s extrémités, spécialement des inférieures, on trouve dans certains cas un développement insuffisant de l'appareil sexu
que du corps et de la barbe, avec une ap- parence puérile ; dans ce cas là le gigantisme est combiné avec l'infantilisme.
entes de la face (phalangettes, nez, menton, lèvres), mais dans des cas rares, il semble que, sous l'influence continue
t le radiogramme dans la Nouvelle Icono- graphie (1903, n° 1), d'un cas analogue, décrit par Péhu sous le titre d'acroc
, 1903, ne 6. 90 PEL pourraient se former dans le corps. Ainsi en cas de fonction incomplète une intoxication menace
oïdea, dont nous connaissons le mieux les conséquences nuisibles eu cas de changements morbides du tissu glandu- laire,
n quelque chose à dire en faveur de l'opi- nion, que, dans tous les cas cités il existe une altération dans la sécrétion
souvent nous a fait découvrir tant de secrets, nous laisse dans ce cas dans l'embarras, car l'ablation opératoire de la
e question superflue. Mais n'oubliez pas, Messieurs, qu'on a vu des cas d'acromégalie dans lesquels les symptômes d'une
manqueraient, tandis que l'acromégalie existerait. L'observation du cas présent ne pourrait donc pas nous donner de solut
e que nous n'avons pas ici la base solide des faits, comme c'est le cas avec le myxoedème. Les cas de Chauffard (1) e
base solide des faits, comme c'est le cas avec le myxoedème. Les cas de Chauffard (1) et de Gauthier (2) ont donné la
a preuve, qu'on trouve aussi des tumeurs de la glande pituitaire en cas d'acromégalie partielle. Chez notre F... je pré
nous avons déjà souligné ce fait. Il est remarquable, que dans les cas de prédisposition héré- ditaire ou de tuberculo
cromégalie fruste avec macroglossie, Semaine médicale, 1865. (2) Un cas d'acromégalie, Le Progrès médical, 1890. 94 PEL
ils glandulaires ? Le pronostic n'est pas favorable, comme c'est le cas en général avec ces maladies rares et intéressa
ar 104 LA SALLE ARCHAMBAULT la méthode de Weigert ou de Pal, huit cas de ramollissement étendu des régions postérieur
des lésions caractéristiques de l'aphasie sensorielle. Dans un seul cas , nous avons eu la bonne fortune de ne trouver q
gittales profondes. Les faits qui se sont dégagés de l'étude de ces cas nous ont conduit à des conclusions qui vont net
dans le corps genouillé externe. Plus récemment, à l'occasion d'un cas de lésion de la couche optique (h), Probst fait
qui proviennent du pulvinar et du corps genouillé externe (dans ce cas , ces parties ne sont pas atteintes par lésion), e
itudinal n'envoie aucune fibre à la capsule ex- terne. ' Dans des cas de lésions de la couche optique et sur d-3s coupe
si des fibres du pulvinar et du corps genouillé externe, et dans ce cas , £ ces noyaux sont in- demnes. ' Les lobes pa
qui relie le lobe occipital au lobe temporal et vice versai Dans un cas où, pendant la vie,' l-'on'aVait'pratiqué l'ablàt
ceau longitudinal inférieur.' Scla7ttz (1) fait la description d'un cas de mycrogyrie avec anomalies consi- dérables po
ans tous les sens de pièces nor- males et des coupes frontales d'un cas de ramollissement du'pli courbe et du pied de l
OPTIQUE CENTRAL 113 basale et antérieure du lobe temporal. En tout cas , Redlich pense que cette partie de la couche ex
é de la couche optique sont beaucoup moins accusées. Dans ce même cas cette partie du faisceau longitudinal qui s'engag
général de l'organisme. Il nous a paru intéressant de rapporter un cas de scoliose de l'adolescence étudié à l'Hôtel-Die
refuser à croire au rachitisme tardif. On a longuement rapporté des cas avec lésions généralisées en tous points compar
passagère et mal définie de la main droite, nous voyons qu'en notre cas , il reste unique- ment^ la cypho-scoliose. Ment
excès, étant prise d'un violent tremblement dès qu'on l'examine. Ce cas rentrerait donc dans le cadre du rachitisme tar
apidement en 6 mois une cypho-scoliose extrêmement marquée. De tels cas ne sont pas une exception, c'est vrai, mais ils
ique, celle-ci ne peut se comparer à ce que nous constatons dans le cas présent. Un obser- vateur non prévenu diagnosti
trouvera ailleurs avec détail (1), je voudrais insister ici sur un cas assez particulier d'atrophie numérique et dont
sence d'une autopsie qui eût levé tous les doutes, qu'il s'agit en ce cas d'une atrophie numérique, suivant la définition
ement névropathique. Les conclusions principales qui dérivent de ce cas sont relatives à l'atro- phie numérique et ont
pendant la parole, du voile du palais et de la langue. En tous ces cas il est bien peu probable qu'il y ait des lésions
rs de conformation ni de tares organiques importantes (1). C'est un cas de ce genre que nous rapportons ; il nous paraît
gnette » (H. Meige) (2). On peut rapprocher cette observation des cas de nanisme mitral publiés ces dernières années
s, mais ce qui établit une différence capitale,c'est que dans notre cas il ne s'agit nullement d'un rétrécissement mitral
s l'enfance d'une manière absolument patente et rapprocher ainsi le cas de notre malade des dystrophies tuberculeuses déc
cin adjoint de M. le Prof. Memrrssco, à Bucarest. A la lecture d'un cas de myopathie progressive avec troubles de la sen-
Marinesco y a trouvé des lésions pathologiques indiscutables (2). Cas . I. Le malade J.... T.... 1er examen le 17 mai
deux faits, nous nous trouvons très embarrassés d'inter- préter nos cas . Certainement ces troubles de sensibilité objecti
ROMATOSE GÉNÉRALISÉE (F. 7Q¡dler) Masson & Cic, Editeurs UN CAS DE NEURO-FIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE NOTE SUR LA
n assise ; tumeur molle renfermant quelques noyaux indurés, pen- UN CAS DE NEURO-F1BR0111ATOSE GÉNÉRALISÉE 163 dante co
ques. Quelques particularités méritent-une brève mention z 1 - Le cas de R... est congénital d'emblée. Suivant l'expres
n état général satisfaisant. L'observation deR... constitue le second cas de maladie de Recklinghausen observé par nous d
c le service militaire (1). Il s'agit bien évidemment dans les deux cas de neuro-fibromatose, type dermato-fibreux, et
d Rudler, Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1904, p. 203. UN CAS DE NEURO-FIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE 165 fibromes s
ent rien à nos connaissances sur le sujet. G. Muller signale deux cas de « névrite interstitielle chronique » relatés
e celles observées par MM. J. Brault et J. Tanton, d'Alger, dans un cas publié dans les « Archi- ves générales de Médec
Fibroneurom- bildung beim Rinde, Jachs. Bericht, 1901, p. 234. UN CAS DE NEURO-FIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE 167 Sans voulo
rée entre la maladie décrite chez l'homme par Recklinghausen et des cas plus ou moins similaires observés chez l'animal
er l'observation de M. Cadiot et celles de Zietschmann de plusieurs cas publiés en médecine humaine dans lesquels les tum
ues ou sarcoma- teuses des glandes internes. Rappelons seulement le cas de M. A. Bre- ton (2) dans lequel les capsules
océdé. A défaut d'observation vétérinaire absolument concluante, le cas unique de M. Bérard qui repérsente une véritabl
d'Alfort, Cadéac, de Lyon, Leclainche, de Toulouse. A l'avenir, les cas très rares de neuro- fibromatose animale seront
p- ports avec la neuro-fibromatose généralisée de l'homme. (1) Le cas de M. Cadiot est le seul publié en France, à notr
de Lyon du 13 novembre 1902. HOSPICE DE BICÊTRE NOTE SUR QUELQUES CAS DE TRICHOTILLOMANIE CHEZ DES ALIÉNÉS PAR CH
TRICHOTILLOMANIE CHEZ DES DÉGÉNÈRES (C. Féré) . NOTE SUR QUELQUES CAS DE TRICHOTILLOMANIE CHEZ DES ALIÉNÉS 169 OBs. I
parties du corps bien qu'il ne reste pas de traces de furoncles. Cas . II.-Pamlysie générale.-Trichotillomanie.- E. G..
algésies et les hyperthésies, in-8", 1888 ; Cri. Féré, Note sur des cas de synalgésie persistante (La Filandre médicale,
synalgésie persistante (La Filandre médicale, 1895, ne 18). SUR UN CAS DE « PARALYSIE DES BÉQUILLES », PAR F. SOCA,
loyer qu'à des beso- gnes n'exigeant pas grand effort. Tel est le cas . Le diagnostic n'est pas douteux. Le malade n'ava
ent, quoique inégalement d'habitude, aux deux côtés, comme c'est le cas dans notre observation. Au surplus, la très étr
lles et le début de la paralysie du bras, et le fait si sub- SUR UN CAS DE PARALYSIE DES BÉQUILLES 173 jectif que la pa
obser- vation serait dépourvue de tout intérêt ; ça ne ferait qu'un cas de plus, ajouté à tous ceux dont la science abo
nerf terminal. Mais si toutes les racines étaient frappées ? En ce cas , il y aurait paralysie de tout le territoire du
ien le plexus. De quelle manière ? par la 174 SOCA raison que, en cas de paralysie radiculaire, se trouveront compromis
culaire évidemment puisque, comme nous l'avons vu par l'histoire du cas , il existait chez notre malade une paralysie du
canisme des paralysies radiculaires par traumatismes portant SUR UN CAS DE PARALYSIE DES BÉQUILLES 175 sur l'épaule, es
euve irréfutable en a été donnée) sont, dans l'immense majorité des cas , radiculaires, et même, dans la plupart des obs
ires, et de ceci, la démonstration est victorieusement faite par le cas présent, le pre- mier, si je ne m'abuse, en la
ce de la paralysie dans l'aire de la distribution du radial dans le cas qui m'est personnel comme dans tous les autres
absolue qu'on pense, et il se peut fort bien que, dans beaucoup de cas , il y ail eu insuf- fisance d'examen, ou encore
ment de ceux des autres nerfs du plexus brachial. Ainsi, dans notre cas , il est certain que les lésions étaient très géné
que cette prédominance dans le radial soi la résultante des SUR UN CAS DE PARALYSIE DES BÉQUILLES 177 conditions de la
S BÉQUILLES 177 conditions de la traction, un peu spéciales dans ce cas -ci ; nonobstant, je ne ferais aucune difficulté
semble, à travers toute l'étendue du lobe temporo- occipital. 1er Cas : Lamb... Hémiplégie gauche. Ramollissement étend
nche XXXII, 1S) sectionne les circonvolutions : pre- Schéma n° I. - Cas Lamb... Fiv. 4. Ramollissement du pôle occipita
nées aux circonvolutions de la face interne du lobe occipital. 2° Cas : Ro... Hémiplégie gauche, hémianopsie à gauche,
convolution pariétale supérieure, le pli courbe, la Schéma n* II. - Cas Ro... 184 LASALLE-ARCHAMBAULT partie postérie
avec celle qui dépend des lésions occipitales. Dans un autre de nos cas (cas Giro..., planche XXXII ; 1) il existe égalem
celle qui dépend des lésions occipitales. Dans un autre de nos cas ( cas Giro..., planche XXXII ; 1) il existe également u
a partie supérieure de la couche sagittale externe. Dans nos autres cas , alors que le ramollissement atteint à peu près
llissement atteint à peu près les mêmes circonvolutions que dans ce cas Ro..., et que le pulvinar et le corps genouillé
nante que nous avons mentionnées en commençant la description de ce cas ; elle est indépen- dante de la dégénérescence t
e la dégénérescence temporale et nous ne nous en occuperons pas. 3* Cas : Lebrum.... -Aphasie sensorielle fruste, alexie
pté au niveau de la paroi ventriculaire inférieure ; Schéma n° III. Cas Lebrum... NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtriè
ur la coupe que nous étudions actuellement. b) Dans d'autres de nos cas avec lésions occipita- les profondes, l'on ne r
érie un bon nombre de fois et en la comparant avec plusieurs autres cas que nous avons trouvé la solution du problème. No
sont saines et elles se recourbent vers la bandelette optique. 4e Cas : Taverni... Astasie-Abasie. Il n'est fait aucune
le s'est déjà rapprochée de la partie moyenne de la Schéma n° IV. - Cas Tavern... 190 LASALLE-ARCHAMBAULT paroi ventr
tique, il n'existe plus trace de la grosse lésion postérieure. De Cas : Roll... - Aphasie. Epilepsie Jacksonienne. - Hé
u niveau du pul- vinar et disparaît presque aussitôt. De tous nos cas ,ce cas Roll... nous semble le plus important, le
u du pul- vinar et disparaît presque aussitôt. De tous nos cas,ce cas Roll... nous semble le plus important, le plus in
un moment donné, traverser la couche sagittale externe. Or, dans le cas que nous étudions, les fibres qui proviennent du
ser (et n'en font nullement partie) existe à l'état de Schéma n° V. Cas Roll... 1912 LASALLE-ARCHAMBAULT pureté ; ell
optique central », il n'est formé que de fibres d'association. 60 Cas : Gir... Aphasie, Démence sénile. Hémisphère gauc
I) et nous n'étudierons que certaines particularités qui rendept ce cas spéciale- ment intéressant. La première coupe
érescence intéresse aussi la troisième circonvolution temporale. Ce cas nous permet d'élucider un problème qui serait for
rieur des auteurs clas- siques) se confond avec le cingulum, dr, le cas que nous considérons, pré- sente à cet égard le
rt ont assuré la disparition de la majeure partie des Schéma n° VI. Cas Gir... LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
a description nécessairement brève et incomplète de six de nos huit cas de ramollissement; nous avons choisi les cas les
ète de six de nos huit cas de ramollissement; nous avons choisi les cas les plus instruc- tifs. Nos recherches ayant po
irons le fais- ceau optique central. Mais l'étude soignée de huit cas de ramollissement nous a fourni des rensei- gne
ions avec le segment horizontal de la couche sagittale externe. Nos cas sont également favorables à l'étude de la couche
us complexe ; c'est un fait que nous avons indiqué en décrivant les cas Tavern... et Gir... et sur lequel nous reviendron
bral ; par contre nous avons constaté cette dégénérescence dans les cas de lésion temporale ; mais, nous devons le dire
étude du faisceau de Türck sont rela- tivement rares. De nos huit cas , il n'en est qu'un qui se soit caractérisé par un
sé par une dégénéres- cence appréciable de ce faisceau ; il s'agit ( cas Gir...) d'un ramollissement des deux tiers post
égénérescence est nette, mais non con- sidérable. Dans trois de nos cas ,, la lésion atteint la moitié postérieure de la
rmal du côté du pied du pédoncule; il en est de même de deux autres cas avec lésion du tiers postérieur de la troisième
mporale. Enfin, nous avons examiné tout récemment le pédoncule d'un cas de ramollissement des deux tiers antérieurs des
e de la troisième tempo- rale. Quant au faisceau de Wernicke, nos cas nous ont démontré qu'il dégénère dans les deux
énim et à la partie postérieure du tronc du corps calleux. Dans les cas de ramollissement de la partie antérieure du lo
aillée de cette question ; il suffit de rappeler qu'à l'occasion d'un cas d'absence de la commissure calleuse, on a décri
alors la dégénérescence, peu considérable, puisqu'il s'agit (dans nos cas ) de quelques lacunes, mais nettement appréciabl
Nous reproduisons les photographies (PI.XXaYIII,` ? ` ? ,3 ? ) d'un cas fort intéressant, car il s'agit d'un foyer de dés
4 et PI. XXXII, 17). 202 LASALLE-ARCUAMBAULT Dans un autre de nos cas , il existe un ramollissement qui détruit toute la
onvolutions, surtout dans la lèvre supérieure ou inférieure (selon le cas ) de la scissure calcarine (Fig. 5 et PI. XXXII,
eux. ' Nous avons observé des faits analogues dans un bon nombre de cas ; des lésions de la troisième circonvolution te
st le seul auteur dont les idées se rapprochent des nôtres. Dans un cas de ramollissement du pli courbe et de la deuxième
a eu l'amabilité de mettre à notre disposition des coupes sériées de cas de lésions de la couche optique ; il s'agissait
les pièces de comparaison entièrement normales, proviennent de deux cas de tabès amyotrophique ancien, un cas de paraly
normales, proviennent de deux cas de tabès amyotrophique ancien, un cas de paralysie générale sans tabes appréciable par
e générale sans tabes appréciable par les mé- thodes usuelles et un cas de névrite radiculaire à polynucléaires chez une
ire à polynucléaires chez une femme atteinte de cancer du rectum. Cas . I. Tabes amyolrophique chez un homme de 46 ans,
z un homme de 46 ans, mort dans le service de M. Babinski. C'est le cas que j'ai publié dans ma note du 20 mai 1905 à l
e Pal ne décèle qu'un nombre très restreint de fibres conservées. Cas . II. Tabes amyottophique, chez une femme de 38 an
hez une femme de 38 ans, morte dans le service de 111. Babinski. Ce cas est identique au précédent ; c'est lui qui m'a
ni le plus grand nombre des préparations utilisées dans ce mémoire. Cas . III. Paralysie générale avec tabès incipiens che
intense dans les zones radiculaires moyennes ; ce n'est donc pas un cas très pur du type connu sous le nom de tabes inc
d'ailleurs jeter aucun soupçon sur la légitimité du ta- bes dans ce cas ; ceux qui ont coupé beaucoup de moelles tabétiqu
ans le nerf radiculaire par le foyer inflam- matoire qui y siège. Cas . IV. - Paralysie générale chez un homme de 34 ans
e larges eschares. La moelle, (1) Babinski et NAGEOTTE, Noie sur un cas de tabes à systématisation exceptionnelle. Soc.
très importants différencient cette névrite radiculaire de celle du cas précédent : 1° les coupes colorées à l'hématoxyli
breuses massues de croissance, terminant des fibres néoformées ; ce cas est remarquable en ce qu'il montre que des lésion
tum. Parmi les pièces de comparaison, je crois de- voir donner à ce cas une place à part ; en effet,il existe une inflamm
glion, pas plus de massues d'accroissement qu'à l'état nor- mal. Ce cas est un bel exemple de névrite radiculaire banale
mais de ce côté on la perd bientôt. Malheureusement la moelle de ce cas , conservée entière pour une étude topographique
ntait jusqu'à l'extrémité supérieure du neurone. Mais dans les deux cas de tabes ancien, où les cylindraxes radiculaires
loin, en effet, que l'on ne voit plus de bifurcations en T dans les cas de tabes avancé. 11 n'échappe que peu de fibres
des fibres régénérées ne franchissent pas le nerf radiculaire dans ce cas ; on pourrait, il est vrai, supposer que ces fi
te résistance des fibres motrices est loin d'être égale dans tous les cas , et qu'il faut ranger les lésions des fibres ra
ions éventuelles du tabes ; en effet,dans un nombre considérable de cas de tabes on trouve des lésions de ces libres, qui
s et celle des fibres sensitives varie tellement que, dans certains cas , les fibres motrices paraissent com- plètement
antérieure peut sortir lésée du foyer inflammatoire, même dans des cas où elle paraîtrait avoir résisté d'une façon abso
, j'indiquerai qu'elle se re- trouve, très accentuée, dans les deux cas de tabes ancien observés, mais que son étude y
détruites dans les deux espèces de racines est très restreint, ces cas appar- tenant tous deux à la classe des tabes a
ésion radiculaire motrice, extension qui se rencontre dans tous les cas anciens, a altéré la topographie initiale, si car
radiculaires de la région lombo- sacrée qui ont été étudiés dans ce cas . Il. - Fibres régénérées dans les racines posté
sse, qui ne modifie pas sa direction au point d'émergence ; dans ce cas , lorsque la fibre qui émet la collatérale prése
abes incipiens ; d'autres sont rétro- grades, mais souvent dans ces cas le point de réflexion de la fibre qui leur RÉGÉ
ur aboutir à la petite extrémité d'une massue pyriforme, et dans ce cas les dernières portions de la fibre sont habituell
stance blanche d'un ganglion, avec leurs capsules nucléées, dans un cas de tabes incipiens (obs. III). 228 NAGEOTTE c
à quel point de la racine remontent les massues terminales dans ces cas ; en tout cas je n'en ai vu aucune dans les cor
e la racine remontent les massues terminales dans ces cas ; en tout cas je n'en ai vu aucune dans les cordons postérieu
iennent de,l'obs. IV; celles qui sont marquées T provien- nent d'un cas de tétanos à marche très rapide (6 jours) chez un
but ; telle n'est pas, à mon avis, leur signification ; en effet le cas où elles sont le plus abondantes est précisémen
rectes montrent qu'en fait il n'en est pas ainsi, au moins dans les cas que j'ai observés. Pour arriver à destination,
ale deviendra-t-elle le procédé de choix pour déceler dans certains cas les premières traces de la souffrance des neurone
s cas les premières traces de la souffrance des neurones. En tout cas les constatations de l'observation IV semblent êt
on collatérale et de la lésion qui la pro- voque ; en effet dans ce cas , concernant un paralytique général, en regard d
aussi en sortir pour se rendre dans des points éloignés, et dans ce cas leurs boules s'encapsulent ; en un mot l'identité
travail a été remis à la rédaction, j'ai eu l'occasion d'étudier un cas de paralysie générale (homme de 38 ans), provenan
remarquablement vigoureuses au voisinage immédiat des cellules. Ce cas est très démonstratif ; il prouve que la régéné
existent en réalité chez l'homme nor- mal ou tout au moins dans des cas où elles paraissent complètement indé- pendante
s, sans parvenir à remplir son but physiologique, au moins dans les cas observés. IV. Il existe dans le tabes une lésio
canismo de la regeneracion de los nervios, ibid. J : NAGEOTTE. - Un cas de tabes amyotrophique étudié par la méthode à l'
fig. 1. a', b', c', coupes du même , nerf aux mêmes niveaux dans le cas III (tabes incipiens). - Méthode de Weigert- Pa
tées, Pl. XXXIV, fig. 1 (figure demi-sché- matique). Fig. 2. Même cas , même ganglion ; répartition des lésions cylindra
avec M. le D Papadal;i (Iconogr.,n° 2, 1905). L'une, analogue à nos cas IV et V en diffère cependant par un mode d'action
ont des processus pathologiques dont l'aboutissant sera suivant les cas l'encé- phalomalacie à type lacunaire de P. Mar
agnostic de ces différents états est possible dans la pluralité des cas . Si ce diagnostic n'a point, quant à présent du m
agné parfois d'un certain degré d'éma- ciation musculaire. Dans ces cas , l'examen anatomique des muscles permet de cons
variable et sans rapport direct avec l'altération du muscle dans ces cas .Les caractères négatifs sont aussi importants à
normal, doit-on prendre garde à la cause de la mort et éliminer les cas où la terminaison fatale fut provoquée par une
e et cachec- tisante ; les altérations musculaires relèvent dans ce cas non plus de la sénilité, mais de la cachexie do
en titubant, se servent de points d'appui, se font aider. Dans les cas plus avancés, la marche devient impossible et l'a
nt par une couleur « pâle, feuille morte » (Vulpian). Dans tous les cas exa- minés, Vulpian dont l'attention fut attiré
scles n'a pas été faite, mais nul doute qu'on aurait trouvé dans ce cas des lésions musculaires, car nous croyons qu'il e
et grâce auquel il nous a été possible en deux ans de recueillir 8 cas de l'affection que nous désirons décrire ici. É
onne et J. Lhermitte, loco cilato. 262 LEJONNE ET LHER1111TE seul cas chez l'homme, tandis que nous en avons observé 2
HER1111TE seul cas chez l'homme, tandis que nous en avons observé 2 cas typiques chez les femmes. Rappelons que c'est a
ment progressive dont la cause reste inconnue. Mais d'une part, les cas de démence sénile s'accompagnant de rétractions e
us croyons pouvoir classer la démence et les cachexies. Dans deux cas , l'alitement fut déterminé par une fracture du co
IEILLARDS 263 de pied) dans la région lombaire. Dans ces différents cas le' traumatisme local doit être mis hors de cau
ollets surtout. Ces douleurs assez vives mais pouvant dans certains cas faire défaut durent peu, remplacées qu'elles so
de côté l'état des viscères et du système vasculaire. Dans tous les cas que nous avons observés (8) il nous a été impos
n artérielle varie de 17 à 14 ; les artères périphériques dans deux cas ne présentaient aucun signe d'athérome, dans le
ne dépas- sât pas 17 de Hg au sphygmomamomètre de Polain. Dans deux cas où la pression était basse (14) nous avons cons
n la parésie se sera installée progressivement sans ictus ; dans ce cas exis- teront le plus souvent les symptômes révé
sion autre que celle du cerveau. Plus difficile est dans bien des cas le diagnostic de la paraplégie muscu- laire d'a
t la maladie que nous étudions. L'examen électrique pourra dans les cas douteux être d'un grand secours. En réalité le
at est à faire avec le rhumatisme chro- nique. Mais dans ce dernier cas les jointures sont plus ou moins défor- mées, q
aire à un rhumatisme ou à la polymyosite chronique. Dans le premier cas le siège de la douleur est articulaire, dans le
mière fois par Jaccoud n'est pas à faire, il s'agit dans ce dernier cas de jeunes sujets à antécédents rhumatismaux très
lent que de fort loin à celles qui sont décrites ici. Dans certains cas le rhumatisme se localise surtout dans les tissus
st ici de la plus haute importance puisqu'on sait que dans certains cas , ces phénomènes de rétraction peuvent se voir c
pe, en voie de cirrhose ; les poumons sont emphysémateux et dans un cas existaient aux sommets quelques tu- bercules cr
ale telle qu'on la rencontre fréquemment chez le vieillard. Dans un cas les cordons de Goll étaient un peu sclérosés à la
grand nombre de noyaux. Toutefois, nous devons ajouter que dans un cas les artères musculaires enveloppées par le tiss
ions structurales de la fibre muscu- laire. C'est ainsi que dans un cas , certains muscles des jambes présen- taient out
aire ; elle existait très nettement, quoique moins accusée, dans un cas de myopathie avec rétraction (Céstan et Lejonne
tan et Lejonne) (1). Nous rappellerons que nous n'avons pu dans nos cas , trou- ver de fibre en hypertrophie manifeste.
asma, division et éparpillement des fibres, se montre dans tous les cas , le second n'a pu être observé que d'une manière
c toutefois quelques va- riations dans son intensité. Dans quelques cas , les veines et surtout les artères des muscles
s des vaisseaux dans la genèse de la maladie. Certes, dans tous les cas les altérations des vaisseaux sont indéniables et
ent pas négligeables, du moins, elles ne semblent pas dans tous les cas être l'agent unique et indispensable des pertur
ue des cordons postérieurs. Le professeur Joffroy (3) a rapporté le cas d'un malade qui avait long- temps souffert de d
atique prolongée et très douloureuse fut un prodrome. Dans ces deux cas , les arthropathies nerveuses paraissent bien avoi
SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 7 DÉCEMBRE 1905). UN CAS DU MALADIE DE RECKLINGHAUSEN AVEC DYSTROPIIIES
HIES MULTIPLES A PRÉDOMINANCE UNILATÉRALE KLIPPEL ET MAILLARD. UN CAS DE MALADIE DE RECKLINGHAUSEN 283 lesquelles nou
melon est un peu plus vo- (1) SARAZANAS, Thèse de Paris, 1904. UN CAS DE MALADIE DE RECKLINGHAUSEN 285 lumineux que c
). II. Au point de vue étiologique, il y a eu manifestement dans ce cas transmission héréditaire et il semble même que
ine, 13 janvier 1903. (2) Buisson, Thèse de Paris, année 1904. UN CAS DE MALADIE DE RECKLINGHAUSEN 287 taient d'une f
ARIS (séance DU 5 AVRIL 1906). ICONOGRAPHIE DE L'ÉVOLUTION D'UN CAS DE MALADIE DES TICS PAR J. ROUBINOVITCH, Mé
a pu être confirmée par les témoignages de l'entourage du sujet. Le cas est peut-être intéressant aussi au point de vue
i. XLVI E F G H EVOLUTION D'UN CAS DE MALADIE DES TICS UN CAS DE MALADIE DES TICS 291 laisse tomber des objet
te d'hystérie, d'épilepsie, de neuras- thénie ou d'alcoolisme. Le cas est bien celui d'une maladie des tics quoique dif
amment une émotivité anormale et une tendance à la nosophobie. Le cas diffère cependant de la maladie des tics telle qu
de valeur en faveur de l'hypothèse proposée par Nageotte. Dans le cas contraire, si après cette, section des racines po
IMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 299 en temps utile. Dans tous les cas , nous avons opéré des animaux adultes, con- tra
; chez les chats V et VI, les 10e et 11° thoraciques, dans tous les cas d'un seul côté, de manière à conserver les racine
es autopsies, à une, deux, ou trois racines postérieures, selon les cas , depuis la dernière lombaire jusqu'à la 4° sacr
le à disséquer, la séparait des racines postérieures. Dans tous les cas , sauf chez le chien XI, nous avons pu vérifier l'
té des racines antérieures. Nous avons, dans un certain nombre de cas , prélevé les deux bouts de la racine sectionnée
904. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 301 Dans deux cas (X et XI), nous avons pris spécialement.les nerfs
ant du pôle périphérique du ganglion, le trouva atrophié. Dans un cas seulement sur 6 animaux opérés, Bonne (3) examina
on peut se rendre compte que ces examens ont été pratiqués dans 16 cas . Quatre de, ces animaux ayant subi simultanémen
e survie. Il subsiste donc 12 observations inattaquables. Dans deux cas , au 26° et au, 60e jour, il n'existait aucune a
côté des nerfs mixtes, il avait remarqué, et seulement dans quelques cas , des petites boules de myéline éparses, associé
imaux furent sacrifiés au bout de 18 à 24 jours, et dans chacun des cas , vérification faite de l'intégrité des racines an
de survie, avait trouvé les cellules ganglionnaires intactes dans 5 cas . Chez le sixième animal, il existait de légères l
de légères lésions d'origine in- flammatoire. Dans tous les autres cas , les coupes ne présentaient que des al- tératio
(constatations du 330e jour). Dès le 200e jour, et dans tous les cas , Küster constate d'une manière tout à fait évid
en au bout de 190 jours que chez un autre au 260., et dans les deux cas que chez le chat conservé 330 jours. Il n'y avait
ant jamais aperçu ce dernier dans aucune de ses opérations. Dans un cas où il avait simplement découvert les racines sans
Quant à la nature de l'opération, elle a été extradurale, dans deux cas (obs. I et V), comme dans les expériences de Kü
ite des gan- glions, et nous avons noté aux autopsies dans tous les cas que les ganglions n'avaient pas été compris dan
Les coupes ont été faites longitudinales on transversales selon les cas , mais toujours dans le même sens pour les deux
VII et IX), la survie avait été de 77 et de 97 jours. Dans ces deux cas , au milieu d'une très grande majorité de fibres t
mais comme nous n'avons pas fait des dissociations dans ce dernier cas , nous ne sommes pas en droit d'affirmer leur ab
laire 9 fibres à myéline, lar- ges de 12 à 20 lx. Dans ce troisième cas , au 42° jour, rien que des fibres de 4 IL. Repr
ire 10 jours après la section des racines pos- térieures. Dans deux cas , il avait trouvé quelques fibres en dégénérescenc
ts occasionnels produits pendant l'opération, car dans un troisième cas où il les avait évités soigneusement, il n'avai
nerfs mixtes, d'autres fibres d'origine sympathique. Rien, en tout cas , ne pourrait faire comprendre pourquoi les fibr
comme habituellement intacts dans le tabes, et Schaffer (1) dans 3 cas n'a pas trouvé d'altérations appréciables au Niss
petites, pigmentées, ou de forme anguleuse. Wollenberg (3), dans 14 cas de tabes, a trouvé l'hyperpig- mentation cellul
mé osmique et de coloration au carmin, ont vu dans presque tous les cas de tabes (sauf tout à fait au début), des altér
s un article récent enfin, Marinesco (6) considère qu'il n'y a pas de cas de tabes sans lésion des cellules ganglionnaire
blances s'arrêtent à ce point que les lésions portent dans les deux cas à peu près exclusivement sur les terminaisons pér
expliquant par la différence de la lésion radiculaire dans les deux cas . Nous croyons pour notre part, qu'il résulte de
éflé- chissons à la différence de l'atteinte apportée dans les deux cas à l'intégrité des racines postérieures. Dans un
e dans les deux cas à l'intégrité des racines postérieures. Dans un cas , il s'agit d'une lésion brutale, instantanée, ca-
écrite à la suite de la grippe ; Lannois et Paviot en ont relaté un cas lié à la tuberculose. Si on a reconnu ainsi que
rais admet- tre, comme le font la plupart des auteurs, que tous les cas dans lesquels on a constaté des foyers de sclér
t des gaines de myéline mais encore des cylindraxes (c'est dans ces cas surtout qu'on observe des dégénérescences seconda
sclérose en plaques pro- prement dite, pourrait être dans certains cas considérée comme la cause de cette seconde vari
à une artérite syphilitique. Cela serait surtout dé- montré par les cas de Bechterew, Michailow, Woioshaikin, Fournier,
à cette conclusion surtout parce qu'ils n'ont pas trouvé dans leur cas d'altérations évidentes des vaisseaux. Ces lésion
isseaux. Ces lésions au contraire ont été rencontrées dans certains cas et considérées comme primitives par beaucoup d'
inkelnburg, Flatau et Koelichen, Bielschowsky. Dejerine décrit un cas à forme de sclérose latérale amyotrophique, et
e principal dans le processus histopathologique. Il dit que dans ce cas l'origine vasculaire des plaques rend compte et d
oute au- tre infection. Cela donné, il ne s'agirait pas, dans ces cas , d'une sclérose en plaques vraie, mais d'une sc
ui viennent à l'appui d'une telle hypothèse. En effet dans certains cas elle est la seule maladie qui semble avoir joué
la sclérose (Babinski, Greiff, Orlowsky, Thomas et Long). Dans le cas d'Orlowsky il s'agissait d'une sclérose en plaque
montrer la réalité clinique. » Dans sa critique Ladame considère ce cas comme un cas d'affection syphilitique rare. Il
alité clinique. » Dans sa critique Ladame considère ce cas comme un cas d'affection syphilitique rare. Il pense qu'on peu
n Traité sur les maladies du cerveau admet qu'une petite partie des cas de sclérose en plaques repose sur l'infection syp
erplasie de la rate, périsplénite, néphrite interstitielle. Dans ce cas les plaques de sclérose n'avaient pas tous les ca
aques de la sclérose multiple vraie. Cardarelli en 1897 a relaté un cas de combinaison du tabes avec la sclérose en pla
s plus fréquentes qu'on ne l'a- vait pensé autrefois. En dehors des cas aigus ou subaigus où l'on a trouvé l'augmentati
té, des lésions vasculaires, on a trouvé les mêmes lésions dans les cas chroniques rose en plaques. On y a décrit de l'
rvation plus ou moins complète des cylindraxes ; mais dans certains cas ils peuvent disparaître plus ou moins complètem
ie est la plus vraisemblable, on conçoit aisément que dans certains cas il serait t absolument impossible de faire un d
hilitique à foyers un peu particuliers. En effet si dans le premier cas on a des lésions vasculaires plus ou moins accent
il ne nous semble pas entièrement justifié d'éliminer dans tous les cas la syphilis des facteurs étiologiques de la sclér
ante, d'autant plus que nous l'avons rencontrée aussi dans un autre cas de sclérose en plaques légitime. Il vaudrait la p
vaudrait la peine d'examiner régulièrement ces zones dans tous les cas de sclérose en plaques et particulièrement dans
histologiques des plaques de la sclérose multiple légitime. Dans ce cas le tableau clinique était dominé par une paraplég
ieures partant des segments scléreux comme, par exem- ple, c'est le cas au niveau du segment de la 6e dorsale (fig. 5), p
dans les plaques scléreuses et dans la méninge épaissie. Dans ce cas donc,nous voyons réalisée à nouveau l'existence d
en plaques, ceci est démontré aussi d'une façon indubitable par le cas de Schuster. Il s'agissait d'un homme de 32 ans
ntre dans le tableau de la sclérose en plaques vraie. Notre premier cas est particu- lièrement démonstratif à ce sujet.
ns que la nature spécifique des lésions anatomo-pathotogiques de ce cas était confirmée par les lésions périvasculaires
u système nerveux, t. I, 1892. 19. CHARCOT et Gombault. Note sur un cas de lésions disséminées des centres nerveux chez
94. Itef. Neurolog.. Centralbl., 1895. 48. Joffroy. - Note sur un cas de sclérose en plaques disséminées. Gaz. méd. de
ée de la perte du langage musical ; et, aussi, on a décrit quelques cas , fort rares, dans lesquels la perte du lan- gag
qui ne comprend pas les paroles, ne comprend pas le chant. Mais le cas n'est (1) BLocQ, Eludes sur les maladies nerveu
e, et qui ont éduqué, en plus, l'exécution instrumen- tale. Dans ce cas le trouble est perceptible et ses effets sont plu
piste professionnel de musique et un chef d'orchestre. Le premier cas , bien clair, de dissociation entre l'aphasie et l
musique entendue. Douze ans plus tard, Grasset (3) fit connaître un cas très intéressant : un ouvrier, dont le langage
al progressif à sa première période. Charcot, après avoir exposé le cas , analysa longuement les aphasies or- dinaires,
l'existence d'amusies sans aphasie,etd'aphasies sans amusie.Dans ces cas le centre d'idéation est isolé et indépendant'.
on aurait les mêmes formes que pour le langage ordinaire. « Dans le cas concret du malade présenté, l'image to- nale (a
es'd'articulation) » ; d'où Charcot conclut qu'il - s'agissait d'un cas d'agraphie et d'aphasie musicales. 366 INGEGNIE
'étude des aphasies musicales ou amusies. Hospital) (6) décrivit un cas de paraphasie musicale, qu'il appelle a ataxie
l il fait remarquer que Brazier et Lichteim avaient déjà décrit des cas de surdité musicale (1). Knoblauch (2) fut le p
dant il comprend parfaitement la parole parlée. Brazier rapporte le cas d'un homme de cinquante ans, qui, depuis- trois
en dire les paroles ; il n'avait donc pas de surdité verbale. Les cas où la surdité musicale est accompagnée de surdité
. Le Dr Ireland (1), en une étude générale de la question, cite des cas de' cette nature. D'autres sont mentionnés en une
; mais ce point est difficile- à résoudre. Il dé- crit, ensuite, un cas de surdité verbalepure et complète, chez une femm
ies pour des chants d'église. Il est possible qu'il y ait eu, en ce cas un certain degré de surdité psychique ; en réalit
crites avec le même nom par Dauriac (2). Mirallié (3) observa les cas d'un musicien d'orchestre qui, tout à coup, à s
pouvait pas fredonner de mémoire ni déchiffrer la musique. Dans ce cas il n'y avait pas de surdité musicale pure, mais
t précéder la cécité verbale et se montrer sépa- rée, comme dans le cas précédent, ou bien l'accompagner. En dehors du
e, comme dans le cas précédent, ou bien l'accompagner. En dehors du cas de Bernard il y a une observation de cécité pure
1 cécité musicale et empêche le malade de déchiffrer la musique. Le cas le plus connu (1) est celui d'un malade atteint
» parues postérieure- ment à sa cécité verbale. La pathogénie de ce cas est très intéressante puis que la perturbation
généralement la cécité verbale ; Franckl-Hochwart (3) a décrit cinq cas d'aphasies sensorielles, toutes accompagnées d'un
eur Ramos Mejia) nous avons . pu personnellement observer plusieurs cas d'aphasie motrice avec per- sistance de l'aptit
que du langage parlé et du langage musi- cal. On a aussi décrit des cas où les malades peuvent articuler, en les chanta
it devant lui (il n'avait pas de surdité mu- sicale). Dans un autre cas de Grasset, cité par Bernard, le malade pouvait
ie musicale pure est rare ; nous ignorons qu'on en ait décrit aucun cas . On sait que l'agraphie verbale pure' est extrê
arcot et Pitres induisent à l'accepter, étant corrobo- rées par les cas d'agraphies pures, sans la moindre trace de cécit
le est rare en sa forme pure;, fréquente dans la forme complexe. Le cas de Charcot est un des mieux décrits et ob- serv
ronée. La bibliographie des amusies pu- res est presque nulle ; les cas cités n'ont pas été l'objet d'études sérieuses
ment le langage ordinaire et qu'il n'eût pas d'aphasie. Le deuxième cas est' celui d'un pianiste lequel, pendant un con
d'aphasie verbale. ' . Nous croyons utile de signaler que ces deux cas d'amusie totale pure, décrits par Brazier, pour
t des amusies, émotives ou des amusies hystériques. Dans le premier cas elles durent autant que l'émotion, tandis que d
ette remarque parce que la ressemblance est notable entre un de ses cas et celui d' « amu- sie pure totale hystérique »
s du chant. Il admet donc, que les amusies peuvent survenir en deux cas . A, quand il existe une altération des centres
s (oral, écrit et mimique), la corrélation est visible en tous. les cas ; ce fait devient plus évident si on considère le
très complexes. Le bon sens personnel du clinicien sera, en chaque cas , le meilleur guide pour l'examen du malade. IX.
ce du langage musical n'a jamais été décrite. Les inductions que ce cas autorise sont de deux ordres. Physiologiquement i
équivalents musicaux des attaques épileptiques (3). Il décrit deux cas d'attaque de chant. Dans le premier le chant acco
7. 380 1NGEGNIEROS Ce groupe clinique comprendrait aussi certains cas de verve, d'imagi- nation créatrice, des crises
n couleurs, à Saint-James Hall. Il ajoute que Treitel a observé des cas de « diplacousie » chez des musiciens professio
nalé son association avec des excitations sexuelles et citent trois cas intéressants. Dans le pre- mier, l'audition de
el, mais sans amener la satisfaction complète. Nous croyons que ces cas doivent se'considérer comme étant produits par l'
ude. Il ne sera donc pas stérile pour la science d'étudier quelques cas qui présentent des ca- ractéristiques nouvelles
. Marie et Pierre MOlltier). SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS. DEUX CAS D'HÉMORRHAGIE PROTUBÉRANT1ELLE. HYPERTHERMIE. M
ussi nous a-t-il paru intéressant d'en présenter deux exemples. Ces cas sont d'ailleurs comparables, et leur étude perm
ire donne issue à un liquide limpide sans éléments anormaux. DEUX CAS D'HÉMORIHIAGIE PROTUBÉKANT1ELLE 385 Le décès su
eurs particularités retiendront notre attention dans ces différents cas . Le début a été brusque, l'évolution rapide. Entr
agie cérébrale » ; et la ponction lombaire,'négative dans le second cas , douteuse dans le premier, ne con- tribua en au
cte avec le quatrième ventricule; et c'est tout au plus si, dans le cas de l'hémorrhagie la plus étendue, on a pu no- t
no- ter de l'infiltration sanguine de la pie-mère. Dans les deux cas encore, il y eut déviation de la tête du côté de
elles, c'est le myosis (4). Il était des plus accusés dans l'unique cas où il était possible d'étudier la pupille, un de
é et de la sen- sibilité'. La paralysie n'a été flasque que dans un cas et tout à fait au dé- but. Il y a toujours eu r
fut intense, puisqu'elle atteignit (en chiffres ronds) 41° dans un cas , et 43° dans le second. Il serait intéressant d'ê
ns. Et même la grande majorité de nos vieillards (plus de 40 sur 70 cas ) déclare n'avoir jamais éprouvé aucune douleur
est nettement plus rare chez la femme que chez l'homme : 70 0/0 des cas au lieu de 88 0/0. On sait que l'arthrite est au
acarpo- phalangienne de l'index,qui manquent dans la plupart de nos cas ,qu'une fois cependant nous avons vu~coïncider a
E MONTPELLIER TRAVAIL DE LA CLINIQUE DE M. PROFESSEUR GRASSET. UN CAS D'ACROMÉGALIE AVEC LÉSION DE L'HYPOPHYSE ET DE
tituent la modification anatomique le plus souvent décrite dans les cas d'acromégalie ; nous devons la description des lé
galie ; nous devons la description des lésions observées dans notre cas à la bienveillance de M. le professeur Bosc : c'e
apitonné, arrondi, « en saucisson », que l'on observe dans certains cas . Sur le profil de la main du sujet que nous avo
ré dans son ensemble, hormis les dimensions exagérées des extré* UN cas D'ACHOMÉGAUE 393 mités, les membres gardent leu
vée très peu apparente et entraînant l'oblitération d'une grande UN CAS d'acromégalie 395 partie des capillaires intera
aucune alté- ration appréciable. La seule lésion complète dans ce cas est donc celle du corps pituitaire. Chez le mal
des symptômes rendait facile le diagnostic différentiel dans notre cas . Bien que notre malade accusât quelques poussée
1. NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XIX. Pl. LVIII UN CAS D'ACROMÉGALIE AVEC LÉSION DE L'HYPOPHYSE ET DE
seZ) . Masson & CI-, Éditeurs Pbototypi. Berthaud, Pan 1 UN CAS d'acromégalie 397 En somme le diagnostic d'acro
glande, c'est-à-dire en somme la lésion la plus habituelle dans ces cas (Souques, Parona). Notre observation est un exe
LE PROFESSEUR ERNEST-EMILE MORAVCSIK. ÉTUDE COMPLÉMENTAIRE SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE D
déjà atteint un développement presque complet. HUDOVERNIG. - SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE 399 Le pubis était couver
se pour donner une explication du processus pathologique dans notre cas , hypothèse à 400 HUDOVERNIG laquelle je suis
corps thyroïde et des ovaires sur le système osseux (Arclai- SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE 401 ves générales de méde
capables d'influencer l'action pathologique des glandes, et dans le cas présent, de la glande hy- pophysaire. L'on sa
ypophyse qu'on attribue la croissance pathologique des os. Dans mon cas la radiographie avait démontré une hypertrophie d
ement, l'amélioration de l'état psychique, ne fut pas obtenu SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE 403 davantage. Il était d
n 19°3. Radiographie faite en 1906. GIGANTISME PRÉCOCE ' SUR UN CAS DE GIGANTISME PRÉCOCE 408 combinée avec l'iodur
a sécrétion in- terne des organes génitanx. Je sais bien qu'un seul cas ne suffit pas pour entraîner la confirmation dé
sont symbolisés par des personnages d'une vérité criante ; c'est le cas de répéter le mot de Charcot : « On fait le diagn
ns ayant vécu de 51 à -lU9 jours après l'opération. Dans tous ces cas , on voit une régénération des fibres nerveuses ni
inder in Geschtviilsleit desNer- 420 marinesco ET MINEA dans deux cas de gliome du cerveau. Il décrit, au voisinage de
les boules terminales qui avaient pénétré dans la cicatrice dans le cas précé- dent ont diminué considérablement. On di
intermédiaire entre les deux bouts est mieux organisée que celle du cas précédent, mais cette organisation s'est surtout
elles FiG. 4. Portion du centre de la cicatrice conjonctive dans un cas de section de la moelle après 109 jours (chien)
us allons donner maintenant le résultat de nos recherches dans deux cas de compression de la moelle. La première observ
es bouts et des morceaux de cylindraxe non encore digérés. Second cas . C'est l'observation d'un adulte âgé de 42 ans qu
me étran- glés parle tissu conjonctif. On pourrait dire que dans ce cas , toute l'épaisseur de la moelle est constituée
la dégénérescence des cylindraxes en partie disparus. Fia. 12. Même cas que la figure précédente. Portion d'un faisceau d
elle formation donnent lieu il des espèces de plexus. Comme dans le cas précédent nous avons également trouvé dans celu
ces sensibles au point de vue des résultats observés. Dans les deux cas il se produit une néoformalion de libres nerveu
issement FiG. 13. - Coupe longitudinale du septum antérieur dans un cas de compression de la moelle par luxation de la
L DES ENFANTS MALADES ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE D'UN CAS DE POLIOMYÉLITE DIFFUSE SUBAIGUE DE LA PREMIÈRE
ou chronique de l'enfance est une affecti fort rare, le nombre des cas qui en a été signalé jusqu'à présent assez rest
rvation et compte rendu de l'autopsie et de l'étude histologique du cas Lort... Lort... Justin, âgé de 6 mois, est amen
parmi les ascendants ou collaté- raux desquels on ne retrouve aucun cas de paralysie analogue ; le père nie toute syphi
'elles devaient être fonctionnellement disparues. Il existe en tout cas , d'une façon indiscutable, un degré marqué de s
nique de l'enfance d'origine spinale et de nature familiale, quatre cas dont t il donne la description clinique; dans l
Il y avait également intégrité du bulbe et du cerveau. Des 3 autres cas d'Hoffmann, aucun n'a pu êlre suivi d'autopsie, m
, mais il s'agissait très probablement de la même affection dans le cas n° 2, qui a trait à un frère de la petite malad
l'auteur, lui a permis d'ob- server, à la même époque, deux autres cas analogues, l'un concernant un enfant de 9 mois,
encé à l'âge de 5 mois, et évolué d'une manière progressive. Le lié cas concerne un nourrisson, âgé de'14 mois, observé p
uscles quadriceps et tibial antérieur. L'auteur réunit ces quatre cas dans une description d'ensemble pour les rappro
quatre cas dans une description d'ensemble pour les rapprocher des cas observés par Werdnig, et pense qu'on peut rassemb
s cas observés par Werdnig, et pense qu'on peut rassembler tous ces cas sous la dénomination qu'il a choisie. En résumé
la ? première, deux enfants sur 6 dans la seconde. ri"Dans tous ces cas , l'enfant, normal à la naissance, remuant parfait
al. La mort survient dans les premières années de la vie ; dans les cas observés, la survie n'a'pas dépassé' 4 ans. L
les publications faites depuis, par différents auteurs, de quelques cas , dont on trouvera l'indication ci-dessous; un s
aire, et atro- phie légère des racines antérieures. Tels sont les cas jusqu'à présent publiés qui se rapprochent le plu
bien que la clinique donne des symptômes très analogues à ceux des cas rap- portés ci-dessus, les auteurs n'ont consta
topsie et concluent à une affection musculaire primitive. Tous ces cas concernent d'ailleurs des enfants plus âgés que c
cence. . A propos de cette présentation, M. Mutine ! a cité deux cas analogues qu'il avait observés récemment. Malhe
rvés récemment. Malheureusement aucune des autopsies - de ces trois cas n'a été publiée. Nous ne nous attarderons pas à
publiée. Nous ne nous attarderons pas à faire le diagnostic de ces cas avec la pa- ralysie infantile généralisée, les
te sous le nom de myatonie et dont M. Comby a récemment rapporté un cas sous le nom d'atonie musculaire congénitale et
fait une revue de tous ceux qui ont été publiés jusqu'à présent (11 cas ). « En général, dit-il, l'enfant vient au monde
uelques mois ou quelques années, elle disparaîtrait. » Certains des cas rangés dans cette catégorie par Jovane, par Sorge
UBAIGUE DE LA PREMIÈRE ENFANCE 453 trent de plus que, même dans ces cas à marche rapide,il'n'y a aucune lésion inflamma
inique ne puisse à elle seule trancher la ques- tion. Dans certains cas , la constatation seule du bacille de Hansen chez
, il nous a paru intéressant de rapporter l'histoire clinique de ce cas , en joignant à notre exposé des photographies q
lèpre ne peut être écarté d'une façon absolue on sait que, dans un cas analogue de MM. Pitres et Sabrazès, le diagnostic
agnostic et quelquefois la localisation de la tumeur. A côté de ces cas , il en est d'autres où l'épilepsie est le seul sy
symptôme de la ma- ladie cérébrale et l'on classe primitivement ces cas dans le groupe de l'épilepsie idiopathique, jus
ie vient montrer la cause du mal comitial. L'un de nous a publié un cas semblable (1). M. le professeur Raymond, dans u
eur Raymond, dans une de ses cliniques (2), mettant en re- lief ces cas où l'épilepsie est le principal symptôme d'une tu
ucun rôle physio- logique. Cette observation montre que, dans notre cas , les fibres à myéline ont été plus vulnérables
ation, notable du moins, des cellules de la corticalité. Dans notre cas , comme le fait a été déjà observé, le néoplasme a
anien est à peu près nul. L'intelligence est bien developpée. Les cas d'absence congénitale du radius, sans être fréque
SYSTÈME RADICAL 465 pouce. Geoffroy Saint-Hilaire en a rapporté un cas vu par J.-L. Petit. Otto en a observé quatre ex
es organes. Ces conclusions sont rigoureusement applicables à notre cas . Il convient d'a- jouter que l'absence du trapè
édo-syphilis (4). A laquelle de ces étiologies faut-il rapporter le cas présent. L'examen du squelette éloigne toute id
âce à l'extrême obligeance de mon collègue .M.. le Dr War- nock, un cas de psychose à caractère érotique et hallucinatoir
,et lephénomène du membre fantôme pourrait être invoqué en certains cas d'eunuchisme bien que cette hypothèse semble pl
unuchisme bien que cette hypothèse semble plutôt invocable dans les cas de castra- tion post-pubère. Quoi qu'il en so
ra ainsi comparer plus facilement les résultats obtenus dans les deux cas . Nous n'avons pas eu à notre disposition de ner
pu isoler nettement des cellules fusifor- mes comme dans le premier cas et les dissociations sont insuffisantes pour no
érieur des cordons antéro-latéraux à ce niveau est augmenté ; en tout cas les fibres des racines antérieures ne sont null
phie radi- culaire. C'est là une question à étudier sur de nouveaux cas . Quoi qu'il en soit, ces troubles de la sensibi
ion I (1) et celle d'un sujet observé par l'un de nous en 1896 (2). Cas . II (résumée). Femme de 45 ans, soeur du malade p
oique toujours très accusée chez ces malades peut être, suivant les cas , d'intensité variable. Excessivement prononcée
ue arrivé à un certain degré de développement. Il n'existe dans ces cas ni oscillations latérales des mains comme dans la
pupille signe d'Argyll- Robertson (obs. I et III). Dans ce dernier cas il existait de l'inégalité pupil- laire.Comme d
nt-elles être en- visagées comme partiellement primitives ? En tout cas elles ne dépendent nullement des lésions de scl
iste encore sur quelques éléments des nerfs ou des racines; en tout cas la dégénérescence wallérienne n'a été constatée
onnée une seule fois par Hayem sur les racines postérieures dans un cas d'atrophie musculaire deutéropathique (IInrw, Atr
nt publié la première observation : ils considéraient en effet leur cas « comme un exemple d'ataxie locomotrice de caus
écédemment allusion. En 1896 (2), l'un de nous observait un nouveau cas . absolument typique et particulièrement intéressa
essive névritique , fut discutée (3). (1) Gombault et Maillet, Un cas de tabès ayant débuté dans l'enfance, Autopsie.
ses malades et les nôtres dans l'atrophie musculaire, qui dans ces cas n'atteindrait que les muscles propres du pied et
les malades présentés par Pierre Marie rentrent tout à fait dans le cas de la névrite interstitielle hypertrophique progr
aschi (1906). C'est là une erreur absolue. Jamais à l'autopsie d'un cas d'atrophie type Charcot-Ma- rie, il n'a élé con
d'une part et celles de Marinesco et de lui-même, il s'agit dans le cas de Du- breuilh d'atrophie musculaire type Charc
elles que l'on ren- contre dans le tabes ordinaire. Enfin dans un cas observé par l'un de nous et dont l'examen anatomi
lérose hypertrophique; d'ailleurs (1) Dubreuilh, Etude sur quelques cas d'atrophie musculaire limitée aux extrémités et
ériques. Rev. de 111éd., 1890. (2) J. DEJEMKE et Armand-Delille, Un cas d'atrophie musculaire, type Charcot-Ma- rie, su
TERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 50j dans le cas de Dejerine et Armand-Delille, la malade est mort
bès et de la paralysie générale. Ce signe existait dans deux de nos cas (obs. I et III). Chez le malade observé plus ré
t nous n'avons trouvé aucun vestige de cette affection, qui dans le cas présent est pure- ment familiale et non hérédit
ue ne le pensait Louis, mais d'une manière indéniable dans certains cas , la moelle est comprimée par la lésion osseu- s
t refoulés en arrière, lors du tassement. Dans l'un et dans l'autre cas , la moelle peut être écrasée contre la paroi po
saillie osseuse, On rapproche généralement de ces faits, les rares cas où un abcès tu- berculeux, collecté sous le pér
, qui, pour les racines postérieures, ont été suivis, dans certains cas , jusque dans les cordons postérieurs. Fréquemment
se propagent aux méninges molles et à la moelle. , 3° Dans d'autres cas , les lésions inflammatoires et tuberculeuses rest
yse, et peuvent être déformées, aplaties. Dans un certain nombre de cas , l'axe gris est plus ou moins déformé, disloqué,
aux plus ou moins volumineux, rétrécis ou thromboses. 2° Dans les cas anciens, les lésions de la première phase peuvent
ère de voir a rencontré des partisans et des détracteurs. En tout cas , quelle que soit son origine, rien n'empêche d'ad
'principales constatations anatomo-histologiques faites dans ces 15 cas . ' Pour me rapprocher le plus possible de la cl
la clinique et afin de ne rien préjuger des lésions, je divise ces cas en 3 groupes, suivant le siège, dor- sal, lomba
ical du mal de Pott, mettant à part quatre faits com- plexes (trois cas de mal de Pott chez des syphilitiques, un cas de
ts com- plexes (trois cas de mal de Pott chez des syphilitiques, un cas de mal de Pott terminé par méningite). I. - M
de mal de Pott terminé par méningite). I. - Mal de Pott dorsal. Cas . I (cas 880 du Laboratoire). Evolution clinique e
e Pott terminé par méningite). I. - Mal de Pott dorsal. Cas. I ( cas 880 du Laboratoire). Evolution clinique en 2 ans
- lules nerveuses sont en chromatolyse légère, avec pigmentation. Cas . II (nu801). Mal de Fott ayant débuté cliniquemen
ervées à la suite de lésions des- tructives siégeant à ce niveau. Cas . III (n° 874). Après des douleurs rachidiennes ay
- Lésions légères de la moelle. (1) Une étude histologique de ce cas ainsi que des NI, 754. 155, 198, a été publiée
s à la néphrite et à l'artério-sclérose plutôt qu'au mal de Pott. Cas . IV (n° 75 ! ). - Mal de Pott dorsal. Mort 16 moi
QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 52 ! ' Dans le second cas , un fragment du corps de la XIe vertèbre dorsale,
on osseux adhère nettement à la dure-mère. Pour les quatre autres cas , il ne saurait être question de compression os-
cines, au niveau du foyer, étaient atteintes de sclérose dans les 3 cas suivants : Obs. I, où cette sclérose pouvait s'
us rapproché, et le tissu épidural moins fibreux. Dans les autres cas où le foyer épidural était moins considérable, at
x points présentant les lésions précédentes. Dans l'observation II ( cas datant de 7 ans), il n'y avait que de la sclé-
-même et, en.général, pleins de sang. 522 ALQUIER Dans tous les cas , le canal épendymaire est oblitéré,souvent méconn
la moelle qu'avec celles des racines. Le foyer épidural est, dans cas ,localisé au niveau de la lésion osseuse, et ne
adhérences avec la dure- mère ; il en est tout autrement dans le 6e cas (obs. IV) où nous trouvons un foyer épidural di
grande hauteur, avec symphyse étendue des méninges molles. Dans ce cas , les lésions des méninges molles étaient nettem
ffu- sion rapide et étendue, que l'on n'observe pas dans les autres cas où man- que cette infection adjuvante. II. Ma
. II. Mal de Pott lombaire. Nous serons extrêmement bref sur deux cas , qui, en raison de leur im- portance toute spéc
es lésions sont surtout radiculaires ; peu marquées dans le premier cas , intenses avec dégénérations secondaires dans le
te dans la partie inférieure (lombo-sacrée) du faisceau. Dans ces 3 cas , la compression osseuse faisait défaut ; la moell
DE POTT CHEZ L'ADULTE 529 Les racines sont englobées dans les trois cas , elles présentent des lésions histologiques dég
eux premières paires dorsales, et cepen- dant, il n'y avait dans ce cas , aucun autre signe clinique de compres- sion du
Quant aux racines postérieures, elles sont atteintes dans les trois cas ,mais sans que leurs lésions, d'ailleurs d'aspec
es différences que présente le tableau symptomatique dans ces trois cas , où cependant le siège des lésions épi- durales
- durales et médullo-radiculaires est presque au même niveau. IV. Cas complexes. Nous mettons à part quatre observati
oici, le plus brièvement possible, ces observations : 530 ALQUIER Cas avec syphilis. , OBS. XII (n° 862). - dlal de P
ulaires. En dehors de la moelle, les racines paraissent intactes. Cas . XIV (n° 870). Tuberculose vertébrale dorsale anc
? ). On voit combien il serait difficile de tenter, dans ces trois cas ,de dire ce qui revient à la syphilis ou à la tu
lose : le problème est particulière- ment complexe, pour le dernier cas , où les troubles nerveux semblent indiquer l'év
hilis, que l'anatomie pathologique montre presque éteinte ; en tout cas ., sans infiltrations péri vasculaires. Les lési
ions tabéti formes sont douteuses dans l'observation XIII. Dans ces cas , trois les lésions observées au niveau du foyer é
arallèlement sans influer beaucoup sur leurs lésions réciproques. Cas avec méningite, probablement tuberculeuse. Uns
ien, une saillie notable, dont l'action sur la moelle, variait d'un cas l'autre. Obs. XII : la saillie formée par la XI
e n'est pas nettement épaissie ; on serait tenté de con- sidérer ce cas comme un fait de compression osseuse pure. Mais l
à la ge- nèse des lésions médullaires. Ainsi donc, même dans les cas de compression osseuse évidente, il est diffici
lle-ci, nette 3 fois sur 15, c'est-à-dire, dans un cinquième de nos cas , est loin de représenter un élé- ment négligeab
t loin de représenter un élé- ment négligeable. ' Dans les autres cas , il ne saurait être question de compression osseu
onjugaison pour pouvoir tirer des conclusions fermes, dans tous les cas , mais, le plus souvent, les Irons de conjugaison
Z L'ADULTE 535 laires pouvent agir sur les racines ; dans plusieurs cas , nous avons trouvé, englobées dans le foyer épi
érieures étaient éga- lement entourées de masses lardacées. Dans le cas XIV l'autopsie montre les 6e racines cervicales
rsal avec compression osseuse), elles apparaissent surtout dans les cas de mal de Pott lombaire ou cervical. ' Il nou
ons spinaux n'ont pu être examinés que dans un trop petit nombre de cas , pour que nous puissions rien dire, d'une manière
de leurs altérations ; celles-ci étaient peu considérables, dans les cas exa- minés. Lésions des méninges molles. - Ja
ne barrière suffisante ; les méninges molles étaient, dans tous nos cas , sauf deux, respectées, sans tuberculose ni in-
s méninges molles, respectées dans les autres observations. En tout cas , l'aspect des lésions est bien différent de cel
essus qu'au-dessous des lé- sions épidurales ; même, dans plusieurs cas , ils étaient notablement di- latés. Il est év
tubercule épidural, d'autre part. Une seule fois (obs. 111), dans un cas compliqué de néphrite chronique avec forte pous
s de la compression : nous avons vu qu'on ne peut prouver, dans nos cas , la stase sanguine ni l'ischémie'; la dilatation
es compressions de la moelle avec déformation accentuée. Hormis ces cas , elles nous ont paru saines, lorsque le processus
dienne. Ceci concorde bien avec ce que nous avions déjà vu dans un cas de volumineux tubercule protubérantiel (V. Reo. n
lymorphes, sans paroi ni lumière ; nous ne revien- drons pas sur le cas curieux (obs. VII) de dilatation notable du canal
'ordinaire ne peut être précisée exactement. Dans nos deux premiers cas de mal de Pott cervical, comment distinguer, parm
ours du mal de PoU; ces carac- tères seraient à rechercher dans les cas de compression osseuse intense. Les troubles se
trouvées, cliniquement, chez 5 de nos malades, soit dans un tiers des cas . Il s'agit de néphrite aiguë ou chronique, ou d
ment, soit à l'autopsie seulement. Cette fréquence (plus de 2/3 des cas ) restreint singulièrement la valeur de l'é- pre
e Courmont, que l'on a proposées comme moyens de diagnostic dans le cas de mal de Pott, sans signes rachidiens. Enfin
GNEL-LAVASTINE. Chef de clinique La rareté des autopsies dans les cas d'hémiasynergie cérébelleuse (1) et la complexi
e, novembre-décembre1902. (2) A. Vionufoux et Laignel-Lavastine, Un cas d'hémiasynergie cérébelleuse avec autopsie. Soc
er en admettant qu'il s'agit d'une atrophie rétrograde. Enfin notre cas est confirmatif de la description donnée par Babi
ue du mécanisme des troubles moteurs, l'examen histolo- gique de ce cas atteste la valeur pathognomonique de l'hémiasyner
IASYNERGIE DROITE 551 Babinski et Nageotte (1) admettent dans leurs cas trois lésions explicatives de l'hémiasynergie e
voie centripète constituée par le faisceau de Gowerss. Dans notre cas ,de ces trois lésions la première seule existant,n
Dupuytren est aujourd'hui ainsi définie. Dans un certain nombre de cas il s'agit d'une trophonévrose en rapport avec d
t avec des lésions de la substance grise médullaire ; dans d'autres cas les plus nombreux on croit que cette affection
e pour la rétraction palmaire, en opérant une distinction entre les cas symptomatiques d'altérations nerveuses et les cas
inction entre les cas symptomatiques d'altérations nerveuses et les cas dans lesquels on n'a pu constater aucun rapport
u système ner- veux : le mécanisme de l'affection dans ces derniers cas est, jusqu'à pré- sent, purement hypothétique.
s derniers cas est, jusqu'à pré- sent, purement hypothétique. Les cas de rétraction palmaire dont l'origine trophonévro
uffisantes car, jus- qu'à présent, elles ne se rapportent qu'à neuf cas . Les altérations trouvées par tous les auteurs
ERIOSCLEROSE MÉDULLAIRE 553 positifs n'est qu'une faible partie des cas qui donnèrent lieu à un étude anatomo-pathologi
ttant d'appliquer la théorie nerveuse à une plus grande quantité de cas , nous fait comprendre aussi certaines particulari
maire et les lésions médullaires, nous la voyons évidemment dans ce cas , comme dans les autres cas déjà décrits, sous l
aires, nous la voyons évidemment dans ce cas, comme dans les autres cas déjà décrits, sous le nom de maladies de Dupuytre
' caractères des lésions indiquées par les autres observateurs. Mon cas est, lui aussi, susceptible de la même objectio
tablir une analogie avec d'autres faits bien connus. Or, dans notre cas , la coexistence de la rétraction palmaire avec un
des lésions de sclérose dif- fuse. On pourrait objecter que dans ce cas , ainsi que dans plusieurs au- tres, des échange
uoi qu'il en soit, chaque fois qu'on aura déterminé, comme dans mon cas , le rapport entre ces lésions et l'artério-scléro
oi ne pas supposer que la maladie de Dupuytren n'est, dans bien des cas , que la simple manifestation d'une altération dy-
quelques-uns (Eulenbourg, Guinebault et Cenas). Si dans beaucoup de cas les lésions névritiques manquent, il n'y a pas
qui intéresse le seul trophisme; pour cela même l'objection que les cas de névrite dégénérative ne sont pas accompa- gn
une voie ré- xix 37 558 JARDINI flexe ? Quoi qu'il en soit, les cas démonstratifs sont très peu nombreux; celui don
r la théorie névritique, il peut être appliqué à un petit nombre de cas . , Le cas que j'ai étudié doit encore être cons
névritique, il peut être appliqué à un petit nombre de cas. , Le cas que j'ai étudié doit encore être considéré au poi
ent, mais non pas d'une variété d'amyotrophie : dans la plupart des cas il s'agit de scléroses latérales ou combinées et
ce de contractures sur les atrophies. On peut se demander, dans mon cas , à propos de la pathogénie des atrophies, si la
. La première possibilité doit être exclue pas le fait que dans mon cas existait une forte réaction dégénérative et par
artérites infectieuses. Sans avoir la prétention de faire d'un seul cas une règle générale, je voudrais noter comme car
sés. Leur lieu de prédilection est la substance grise, et, dans mon cas , la substance grise périépendymaire. Cet état pa-
calcarine mais encore dans toute la convexité occipitale (Voy. nos cas Cogery et Dautri- che) s. Voilà ce que nous n
stingué contradicteur. Voyons maintenant ce que nous enseignent les cas très intéressants aux- quels l'on nous prie de
rtes, éminemment dignes de retenir notre attention. Dans le premier cas (cas Cogery) une lésion centrale circonscrite a t
éminemment dignes de retenir notre attention. Dans le premier cas ( cas Cogery) une lésion centrale circonscrite a totale
réaction corticipète qu'implique la lésion genouillée. Le second cas (cas Dautricbe) a trait deux lésions capsulaires,
action corticipète qu'implique la lésion genouillée. Le second cas ( cas Dautricbe) a trait deux lésions capsulaires, dont
a pointe occipitale ». Malheureusement, dans l'un et l'autre de ces cas , on a oublié d'insérer les planches destinées à
coloration occipitale. S'il ne fallait tenir compte que de ces deux cas , la question qui nous occupe serait vite réglée
ble. Quoi qu'il en soit, nous sommes loin de prétendre que les deux cas que nous venons d'étudier soient absolument con
nde divergence d'opinions et d'interprétations. En second lieu, les cas que l'on a choisis pour démontrer l'inexatitude d
lobe temporal. A cet égard l'on nous prie de nous en rapporter aux cas Courrière et Bras ; nous nous permettrons donc
ière et Bras ; nous nous permettrons donc d'analyser brièvement ces cas : Dans la première observation (cas Courrière)
donc d'analyser brièvement ces cas : Dans la première observation ( cas Courrière) il s'agit d'une lésion de la pointe
la coupe frontale (p. 114) qui accompa- gnent la description de ce cas nous permet de préciser la topographie des lési
s en présence de faits tellement contradictoires de tout ce que nos cas nous ont enseigné, qu'il nous est impossible d'ac
temporales, et nous y perdrions. En dernier lieu, il existe dans ce cas , un ramollissement (récent, il est vrai) de la
ésions peut compromettre nos conclusions. La seconde observation ( Cas Bras, hémisphère droit) a trait à une double lé
e « type de lésion occipitale » la vaste plaque jaune que présente ce cas Bras. Un ramollissement est occipital ou il ne
conde série de lésions ; les lésions temporales représentées par le cas Neumann (Anat., t. 11, p. 145) : « Il s'agit d'
mais ne sectionnait pas les couches sagittales de la région. » Ce cas nous paraît fort précieux et nous rappelle la lés
ît fort précieux et nous rappelle la lésion assez analogue de notre cas Roll. (Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 190) ; ra
gittales profondes. Nous sommes peu surpris d'apprendre que dans le cas que rapportent nos distingués contradicteurs :
er dans le texte qu'une seule figure consacrée à l'hémisphère de ce cas ... le schéma de-la lésion. , Quoi qu'il en soit
ions consécutives aux lésions temporales superficielles. Dans notre cas Roll ? le ramollisement ne s'étend dans la profon
sagittale externe ». Aussi, nous ne voyons pas très bien comment le cas de dégénérescence du « faisceau longitudinal in
tritifs au niveau du prolongement cylindraxile ? ' Dans les deux cas très intéressants que nous exposent M. et Mme Dej
es deux cas très intéressants que nous exposent M. et Mme Dejerine ( Cas Cogery et Dautriche, que nous avons eu le privilè
t fort difficile, sinon impossible, d'établir, dans la majorité des cas de lésions centrales ou temporales antérieures,
scence des régions postérieures. Les planches qui se rapportent aux cas très instructifs que l'on met à notre LE FAISCE
la réaction, non pas occipitale, mais simplement temporale, dans un cas de lésion ganglionnaire circonscrite, sans lacu
, sans lacunes de désintégration du centre ovale postérieur. Un tel cas supposé,il fau- drait constater, sur une coupe
, des radiations thalamiques, faisceau de Türck, etc. Or, un pareil cas n'a pas encore été publié, du moins à notre conna
céphalique sont bien connues, et ayant eu l'occasion d'étudier deux cas de dégénérescence indéniablement rétrograde, ma
ssocia- tion ; sur le volume réel du faisceau longitudinal dans les cas de lésions super- ficielles ; enfin, en copiant
ysiologisme acquis. Que l'on rencontre de l'hémianesthésie dans des cas de lésions purement corticales, le fait n'est L
ont nombreuses, mais nous en avons certainement vu dans deux de nos cas . Ces fibres com- missurales peuvent représenter
2, p. 1038-1039, 1065 ; Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 205-208 et Cas Roll, p. 190). Le faisceau optique central pren
ater sur les planches qui se rap- portent à la description de notre cas Roll. (Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 190).
é démontré de deux façons. En premier lieu nous avons vu dans trois cas (dont deux, récemment) une petite dégénérescenc
à cette note quelques indications complémentaires rela- tives à ces cas de paralysie générale exotique. Les statistique
hilis est très fréquente chez les Arabes et que la pro- portion des cas de syphilis pour l'effectif total de l'asile soum
n est d'environ 12 p. 100. On a compté, ! pour la seule année 1901,79 cas de syphilis, sur 561 admissions. NOUVELLE Ico
A. MARIE. ARABES SYPHILITIQUES ET PARALYTIQUES GÉNÉRAUX TABLEAU DES CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ADMIS EN 1905 A L'ASILE ÉGY
l de Pott chez l'adulte (4 pl.), 510. Armand-Delille et BouDET.Un cas de polyo- myelite dilluse subaiguë de la premiè
Paul Richer (1 hé- liogr.), 411. BouDET et Dcr.n.LF (Ann ? n). Un cas de po- liomyélite dill'use subaiguë delà premiè
ie de l'usage des lunettes (2 fig.), 115. Féré. Note sur quelques cas de trichotillo- manie chez des aliénés (1 pl.),
gger. Agénésie totale du système radial (1 pl.), 463. GAUSSEL. Un cas d'acromégalie (1 pl., 2 dess.), 391. GAUSSEL
- rie de la cathédrale de Toulouse (1 pl.), 415. Hudovernig. Un cas de gigantisme précoce (étude complémentaire) (t
rique des tissus (1 pl., 4 dess.), 136. ' KLIPPEL et Maillard. Un cas de maladie de Recklinghausen avec dystrophies m
raction chez les vieillards (2 pi.), 255. Maillard et ILIPPEL. Un cas de maladie de Recklinghausen avec dystrophies m
pathogénie (5 pl., 7 dess.), 32. Marie (Pierre) et F. Moutier. Deux cas d'hé- morragie protubérantielie (1 pl.), 383.
des adolescents (1 pl.), 129. Moutier (F.) et Marie (PIERRE). Deux cas d'hémorragie protubérantielle (1 pl.), 383.
ien (2 pl.), 120. HOUDINOVITCII. Iconographie de l'évolution d'un cas de maladie des tics (2 pl.), 289. Roux et Heitz
neurones périphériques (3 pl. dont 1 en couleurs) 291. Rudler. Un cas de neuro-tibromatose géné- ralisée (1 pi ), 161
cas de neuro-tibromatose géné- ralisée (1 pi ), 161. Soca. Sur un cas de « paralysie des bé- quilles », 171. Thomas
rtielle, forme atypique (3 pl.), par DUFOUR, 133. Acromégalie {un cas d') (1 pl., 2 dessins), par GAUSSEL, 391. Acr
sur quelques} (1 pl.), par J. HEITZ, 475. Gigantisme précoce {un cas de) (Élude complémentaire) (1 pl.), par Hudover
LAVA5TlNE, (1 pl., 9 dess.), 539. Hémorragie protubérantielle (deux cas d'), par Pierre Marie et F. Moutier, 383. Hyp
en avec dyslro- phies multiples et prédominance 1wila- térale (un cas de) (1 pi.), par KLIPPEL et Maillard, 282. Mo
le) (11 fig.), par NoïcA, 951. ' Neurofibromatose généralisée (un cas de) (1 pl.), par RUDLER, 161. Névrite interst
icher (hommage à) (1 héliogr.), 4H. Paralysie des béquilles (sur un cas de), par SocA, 171. Paraplégies par rétractio
, 255. Poliomyélite diffuse subaigué de la pre- mière enfance (un cas de) (2 pl.), par Armand-Delille et BOUDET. 441.
, 5 pl.), par NncEOTTe, 217. Tics (iconographie de l'évolution d'un cas de maladie des) (2 pl.), par ROUBINOVITC11t 2
1t 289. Trichotillomanie chez les . aliénés (notes sur quelques cas de) (1 pl.), par Féré, 168. Tumeurs (de quelq
27 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le mécanisme intime n'a pu être encore pénétré, me semble, en tout cas , en relation directe avec le ' Du vertige cnrcl
rimitive des zones radi- culaires postérieures ». Eh bien ! notre cas prouve une fois de plus qu'il ne faut rien exag
s de la machine à coudre, quoique Pierre Marie objecte qu'en pareil cas la vertu des mécaniciennes n'étant pas à l'abri
région antéro-externe de la jambe qui intervenaient. Dans tous les cas le malade est parvenu à reconnaître s'il avait à
quement moteur. En d'autres termes, nous pouvons souligner dans ce cas des troubles qui le rapprochent du tabès clas-
ues constatés sur ce malade, nous pouvons dire qu'il s'agit là d'un cas de tabès exclusivement moteur à incoordination
ts aujourd'hui, ils peuvent faire défaut demain; manifestes dans un cas , ils peuvent manquer dans un autre. Enfin, comm
telle affection trouvent leur sosie dans telle autre. Les quatre cas de maladie des tics que nous publions vien- nen
cédents du côté paternel qui sont des plus chargés. Dans les deux cas , le tic est tout à fait localisé; il est limité
t siège sur des muscles avoisinant le globe oculaire; dans les deux cas encore, les faisceaux musculaires en rapport im
our la mère il dure depuis trente-trois ans. Dans l'un et l'autre cas , le tic s'accompagne de phénomènes psychiques.
dations insensibles. Envisagés par rapport au traumatisme, ces deux cas établis- sent que la doctrine des spasmes réfle
insuffisante à rendre compte des phénomènes observés. Dans l'un des cas , les secousses convulsives se sont manifestées
prononcées an début, leur émission précède le déclanchement; en ce cas , on ne note pas la première projection de la la
t indiffé- remment les rues de la ville. Cette observation est un cas typique de la maladie des tics. On y retrouve t
tache originelle. En consé- quence, il est légitime de rapporter ce cas de maladie des tics àl'hérédité de transformati
gie, vol. IX, n° 2v, p. il. II PATHOLOGIE NERVEUSE. mais, dans le cas actuel, n'est pas exaète. En effet, elle laisse
mois chez l'enfant, exceptionnel- lement, elle est chronique et les cas où elle a duré un temps plus long se rapportent
n traitement approprié. Or, tous ces caractères manquent dans notre cas . D'abord, les.mouvements ne sont pas uniformes;
Quelques-uns cependant manquent au tableau; mais de ce que, dans un cas donné, on ne retrouve pas tous les éléments con
ain nombre d'observations, comme on a relevé leur présence dans des cas où la maladie des tics n'était pas en cause.
res dont se réclament les affections neuropathiques. Ainsi, dans le cas actuel, pour un dément nous trouvons six paraly
tion les lésions en foyer alors que l'on ac- cueille volontiers les cas de paralysie piogressive. Certainement, dans le
gressives 2 ». Arrivons aux troubles du système nerveux. Dans notre cas , l'écholalie seule est manifeste. Quelle est la
en chez les tiqueux que chez les hystériques'. Si l'on consulte les cas de spasmes respiratoires, compliqués d'émission
! (Obs. de M. Pitres), il y a lieu de remarquer que, dans ces deux cas , tout mouvement volontaire faisait défaut, et.
nom d'hystéro-épilepsie à crises sépa- rées. De même, il existe des cas dans lesquels l'hystérie et la maladie des tics
on de maladie des tics, il convient de comprendre non seulement les cas dans lesquels les mouvements involontaires sont
dix-huit ans (Obs. II). Son évolution est indéterminée; dans un des cas elle dure de- puis trente-cinq ans (Obs. I), da
ie. Parfois, la rapidité fait défaut (Obs. IV), mais, même dans ces cas , les tracés obtenus offrent des analogies avec
t de la volonté (Obs. I). Les troubles psychiques, dans les trois cas où ils ont été notés, se sont traduits par des
de Jh izzallo (Italie)1 t QUELQUES considérations générales SUR LES cas étudiés précédemment. Les quatre observations q
s allons les résumer briè- vement. Nous avons montré que tous nos cas simulent exactement' -des accès d'épilepsie, so
effet, les attaques se sont présentées isolément, à l'exception du cas de Bar..., lequel eut vingt-huit attaques dans
tre présence. Une ébauche de délire a été observée dans deux de nos cas (deuxième et troisième) et nous l'avons utilisée
que pour sa relation avec l'état mental du malade. Dans tous les cas une grande difficulté au diagnostic nous a été pr
ir sur le ter- rain clinique. En continuant donc l'analyse de nos cas , nous avons à faire V. Lezioni cliniche cM /'&l
aniques DU cerveau. 43 les observations suivantes : dans le premier cas , c'est très remar- quable la persistance pendan
autres, ce qui fut encore une cause de perplexité. Dans tous les cas , il est à noter la présence d'antécé- dents mor
es multiples et une hérédité cancéreuse. 0 ' ZD Dans aucun de ces cas , il n'était possible de diagnostiquer la nature
nisme avec lequel l'attaque a été constituée dans les deux premiers cas , et nous en avons tiré parti pour le diagnostic
et nous en avons tiré parti pour le diagnostic. Dans le troisième cas , la manifestation brusque d'une para- lysie, ap
en faveur de la nature hystérique de l'attaque. Dans le quatrième cas , le caractère hystérique du bégaie-- 44 PATHOLO
Ils comprennent les stig- mates hystériques présents dans tous les cas : la paraplégie (premier cas), la paralysie cru
tes hystériques présents dans tous les cas : la paraplégie (premier cas ), la paralysie crurale avec démarche de Todd, b
rale avec démarche de Todd, bégaiement et bredouillement (quatrième cas ). b) Symptômes transitoires qui se sont manifes
t dans les intervalles. Ils comprennent les pares- thésies (premier cas ), la parésie, le tremblement du bras, la céphal
bras, la céphalalgie, les étourdissements et la diplopie (deuxième cas ). c) Symptômes transitoires qui se sont manifes
'occasion des attaques. Ils comprennent l'aura hystérique (deuxième cas ), ébauche du délire (deuxième cas), aura psychi-
nnent l'aura hystérique (deuxième cas), ébauche du délire (deuxième cas ), aura psychi- que (troisième cas). . Le prem
cas), ébauche du délire (deuxième cas), aura psychi- que (troisième cas ). . Le premier groupe de ces phénomènes nous a
nous a permis d'affir- mer la présence de la névrose dans tous les cas . Les deuxième et troisième nous ont démontré la
elation qui existe entre eux et les attaques épileptiformes dans le cas de Cha... 3° L'absence de phénomènes persistant
es persistants de maladies orga- niques nous a fourni pour tous les cas un signe utile. Ceci nous a servi comme un argu
amais comme une base, parce que nous savons qu'ont été observés des cas de maladies organiques du cerveau, lesquels, pe
ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 45 névrose; dans le premier cas , ce sont les paresthésies; dans le deuxième, la
ique qui nous paraît très intéres- sante. C'est que dans tous les cas d'épilepsie partielle, avant de procéder à la t
dus sous le domaine de la névrose hystérique. Observation V. Sur un cas d'apoplexie hystérique. All..., âgé de soixante
mois de juin 1892 considérablement amélioré. Diagnostic. -Dans ce cas , le diagnostic d'hystérie, qui a été confirmé a
it quand AU... voulait serrer quelque chose dans sa main gauche. Ce cas est extrêmement intéres- sant, parce que l'âge
par Debove et Achard, sous le nom d'apoplexie hystérique '. Notre cas démontre comment cette dénomination est appro-
t un puissant appui pour le dia- gnostic en nous démontrant dans le cas d'hystérie une inver- sion de la formule du pho
is par Ballet; désormais, la littérature médicale est très riche de cas de cette espèce \ Pour ce qui est des troubles
cause organique. Or, nous avons démontré que l'hémiplégie, dans ce cas , était de nature hystérique; donc il faut concl
ête de ce travail est pleinement justifié. - Observation VL- Sur un cas d'hémiplégie hystérique présentant des caractèr
elques écailles osseuses sur la méninge subjacente. Dans le premier cas , l'hémiplégie aurait été l'effet de la compress
longtemps silen- cieuse, un silence de vingt ans, comme dans notre cas , nous paraît à vrai dire un peu trop prolongé.
état d'opportunité de contracture (Charcot). Du reste, - dans notre cas , Bo... alternait cette manière de marcher avec
igine sont de la même nature ? » En continuant l'analyse de notre cas , il nous reste à expli- quer pourquoi la paraly
p. 111. 64 PATHOLOGIE NERVEUSE. - L'HYSTÉRIE ET LE CERVEAU. notre cas , cette doctrine nous explique encore pourquoi la
n démontré qu'il s'agit ici d'une paralysie hystéro-traumatique. Ce cas nous démontre que de prudence est nécessaire da
t ne s'élève pas au-dessus de la normale et les accès reparaissent ( cas de Broch). Cette hypotoxicité est un élé- ment
agnostic pour affirmer que la série n'est pas finie et que certains cas quotidiens qui étaient considérés comme étant d
que certains cas quotidiens qui étaient considérés comme étant des cas isolés, doivent être considérés comme faisant par
lle normale ? Nous inclinons à le croire avec MM. Deny et Choupe ( cas de Vilm...), au moins chez des épileptiques femme
dans un laps de temps plus ou moins court. L'état du rein dans ces cas , joue un rôle capital. S'il est pri- mitivement
que l'élimination digestive s'effectue mal. On doit hâter dans les cas graves cette élimination des produits toxiques
, des drastiques, par des lavements purgatifs et même dans certains cas par la saignée, comme nous l'avons fait avec su
ins cas par la saignée, comme nous l'avons fait avec succès dans un cas de mal épilep- tique où la température avait at
ette albuminurie chez les indi- vidus en état de mal. Dans certains cas , elle peut être une cause de difficulté de diag
qu'il est impossible de différencier le syndrome convulsif dans ces cas qu'en s'appuyant sur les commémoratifs. En dernie
t échoué. C'est pourquoi, depuis longtemps, en présence de certains cas déterminés, j'ai cherché, après bien d'autres,
u nom de miracle, est, on peut le démontrer, dans la majorité des cas , un phénomène naturel qui s'est produit de tout t
ng est limité; pour produire ses effets, elle doit s'adresser à des cas dont la guérison n'exige aucune autre intervent
la faith-healing peut directement faire disparaître dans cer- tains cas des ulcères et des tumeurs, mais je crois aussi q
u sur et à mesure de ses découvertes, et voilà tout ! Dans tous les cas , elle est l'ennemie des négations systématiques
e hystérique. Je prends ces deux faits au hasard parmi les nombreux cas dont Carré de Montgeron a donné la rela- tion :
contracture hystérique pour qu'il ait été déjà publié plus de vingt cas analogues à celui de la demoiselle Coirin. Ma
ulcérations analogues à celle qui avait détruit le mamelon dans le cas précité 2. Je lisais dernièrement un mémoire fo
émoire fort intéressant du Dr Fowler On y trouvera l'exposé de huit cas dans lesquels il existait dans le sein des tume
d a fetich like-faith in lier régulai- médical attendant 1. » Ces cas et aussi tous les autres montrent bien que la gué
ns l'analyse des faits. C'est ainsi, par exemple, que dans tous les cas , la sou- daineté de la guérison est beaucoup pl
es, demande un temps suffisant pour s'accomplir. C'est encore là le cas de la demoiselle Coirin qui ne peut se servir d
gt jours après sa guérison qualifiée de soudaine. C'est encore le cas de Philippe Sergent rapporté par Carré de Montg
tomatique de la folie systématique (paranoia). P. KERAVAL. Il. UN cas DE CONTAGION PSYCHIQUE terminé par complète GUÉRI
zone motrice droite. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 91 IV. Un cas DE PSYCHOSE chez un saturnin; par C. AIAYER. (Y
pathie saturnine. P. K. V. Inversion ET perversion du sens génital ( cas médico-légal); par Lewin. (Neurolog. Centralbl.
e; inversion du sens génital et perversion sexuelle. P. K. VI. UN cas d'automatisme comitial ambulatoire; par le D1'
psychiques s'étaient accentués. Ils inclinent à croire que dans ce cas les modifications de la toxicité urinaire doive
te de mieux, du nom de sommeil paradoxal. 0 L'auteur en montre un cas chez un héréditaire présentant des périodes d'e
» et il est impossible de résoudre la question, à savoir si, et en cas d'affirmative, jusqu'à quel point et pour quel
on citée par l'auteur montre que cette théorie, vraie dans certains cas , ne saurait être généralisée. 11 s'agit d'un pa
alade. (Annales médico- psychologiques, 1891.) E. B. XVIII. TROIS cas DE SUICIDE SURVENUS EN TROIS ans chez trois Saurs
URVENUS EN TROIS ans chez trois Saurs; par le Dr iI : IBILLE. Les cas de suicide chez les membres d'une même famille ne
chez LES aliénés; par le Dr HOSPITAL. Observation intéressante d'un cas de mort par occlusion acci- dentelle de l'ouver
. 77.) Bénédikt (Intem, Kli7t. Rundsclwu, n° 46,1891) communique le cas suivant d'un ? garçon fluet âgé de quinze ans.
t de vue de l'étiologie, Bénédikt, pen"e qu'il s'a- gissait dans ce cas d'une intoxication microbienne ou ptomaïniqun.
occupations habituelles; on le relève : il est mort. Sur les vingt cas de mort subite relatés, la moitié environ s'est
ques-uns à peine sortis de l'adolescence. En supposant même que les cas restants dussent être éliminés comme appartenan
par MM. Mairet et Bosc. Lorsqu'on recherche l'étiologie de certains cas d'aliénation mentale, on se trouve parfois amen
r comme subordonnés à des perturbations physiques : tels sont les cas développés à la suite de quelque maladie physique
de toxicité était élevé. 'Dans la stupeur lypémaniaque et certains cas de manie, la mort survenait chez le chien à 25
Pour ce qui concerne le système nerveux, on retrouve dans tous les cas des symptômes semblables à ceux que produit l'uri
s symptômes, en existent d'autres. Dans un premier groupe (certains cas de manie, stupeur simple, folie des persécution
de fRA\KL-HOCfIR'.1RT. (Neurolog. CentralGl., 1891.) Soit : vingt cas de paralysie faciale rhumatismale (début brusque
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 109 Dans tous ces cas , il y avait atteinte de toute la moitié de la fac
paralysie. Parfois complications de troubles du goût. Excepté en un cas , ces symptômes disparurent rapidement; il est d
tômes disparurent rapidement; il est donc possible que dans les dix cas où ils n'existaient pas, ils eussent disparu av
e chronique, la folie systématique chronique. P. KERaVAL. XII. UN CAS DE PORENCÉPUAHE ACQUISE AVEC DÉGÉNÉRESCENCE SECON
bral; par H. Kreuper. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat , XLVIII, 1,2.) Cas de ramollissement cérébral ischérnique portant qu
ntre- croisement. S'il y a des fibres qui s'entre-croisent, en tout cas , il n'y en a que très peu. Les trousseaux de fi
f. Psychiat., XXIII, i.) Chez l'homme, il est de règle, dans les cas de lésions cérébrales Il'-) REVUE. D'ANATOMIE E
, XXIII, 1.) Examen de six encéphales. Conclusions. Dans quelques cas de chorée simple ou de chorée avec délire, on t
, n° 56) pré- tendu (neuf observations avec autopsie) que, dans les cas de para- lysie générale où l'on constate des sy
es de la couche optique, tandis que cet organe est indemne dans les cas où il ne se produit pas de symptômes semblables
ions de l'ouïe. L'hallucination ne peut donc pas être dans tous les cas considérée comme caractère différentiel absolu
t dans quelles formes vésaniques elle s'observe. Il cite d'abord le cas publié par M. Gilbert Ballet 2 où ces hallucina
nt très fréquentes dans la mélancolie. Il passe alors à l'exposé du cas qu'il a étudié lui-même en collaboration avec M.
it prépondérante. En analysant tous les éléments constitutifs de ce cas , l'auteur fait remarquer combien le terrain int
ique; de sorte que, à tout prendre, cette observation représente un cas typique de ce que Krafft Ebing a décrit sous le
élire de persécution par un intervalle de santé et quel est en tout cas l'âge de la malade. M. ROUBINOVITCH.' Trente-de
de dégéné- rescence mentale. M. RITTI exprime l'hypothèse que le cas de M. Roubinovitch mé- riterait plutôt la dénom
ndaire. M. Vallon pense que le délire de persécution était, dans ce cas , secondaire à la mélancolie. M. J. Séglas. En
e qu'é- pisodiques ou même faire totalement défaut. Daus certains cas , elles sont précoces et semblent être un symp-
véritable délire de négation différant du type de Cotard. Dans ces cas , tantôt l'on a affaire à des sujets jeunes, ils r
alles de santé. Quant à vouloir considérer cette affection comme un cas de « paranoïa secondaire », l'hypothèse lui sem
tion. Il se range plutôt du côté de l'opinion de M. Séglas. En tout cas son observation est difficile à classer dans les
tanxieuse tantôt joyeuse. Il en est de même de son allure. Dans les cas graves, il se produit soit une agitation intens
chéance inquiétante. La maladie se termine par la guérison (dans ce cas , elle passe généralement par une phase qui rapp
onnelles de paralysie générale typique. On constate dans le premier cas une lésion des cordons latéraux, dans le second
le second, une altération des cordons postérieurs. Dans le premier cas , il existait une paralysie du grand dentelé dro
du grand dentelé droit, avec réaction dégénérative ; dans le second cas ; c'était une paralysie des péroniers (réaction
tention sans fièvre Guérison complète et définitive. Dans le second cas , il s'agit d'une jeune fille du même âge devenue
avant de nous prononcer définitivement. M. FUERTSNER. A côté de ces cas , il y en a d'autres dans lesquels on ne trouve
on aussi de publier les observations défavorables. M. KIRN. En tout cas , on voit que l'intervention chirurgicale n'est
quand cette der- nière est contre-indiquée. , M. VORSTER. Sur un cas d'héinianesthésie cérébrale. - Il s'agit d'un h
utivement des lésions de la moelle; en dehors, bien entendu, de ces cas bien connus il existe une lésion simultanée de
érales. Les causes des psychoses puerpérales dans les trente- trois cas observés par le rapporteur sont diverses. Pour ce
es observations du rapporteur l'infection figure dans 70 p. 100 des cas . La seconde place revient au choc moral ; dans
es cas. La seconde place revient au choc moral ; dans 27 p. 100 des cas , le rapporteur invoque les influences morales c
up d'observations simultanément avec l'infection (sur trente- trois cas d'infection, dans treize cas sont notées des viol
nt avec l'infection (sur trente- trois cas d'infection, dans treize cas sont notées des violentes secousses morales).
la similitude du tableau clinique de la maladie dans les différents cas indique- rait qu'il s'agit ici d'un seul et mêm
vicales. M. le D1' Roxx fait observer qu'il est difficile, dans le cas présent, d'affirmer qu'il ne s'agit pas ici d'u
le Dr KARNtLOW se range de cet avis et conseille d'essayer dans le cas présent la méthode de sus- pension prolongée qu
ension prolongée qu'il a inventée et employée avec succès dans deux cas de la maladie de Pott. Le malade est assis dans s
uatre heures tous les jours. M. le D'' ¡\IJNOR riposte que dans les cas de ce genre c'est au chirur- gien que revient l
constituerait une contre-indication. II). M. le Dr ¡\IOURATOW. Un cas de paralysie ascendante de Landry. - Paralysie
s nerfs, en un mot tout le syndrome des symp- tômes neuritiques. Ce cas offrait les particularités suivantes : 1, nys-
l'observation du Dr Mouratow émet l'opinion qu'il est dans certains cas indispensable d'admettre la coexistence de deux
simulant la gliomatose médullaire, par l'hystérie, il considère ce cas , comme appartenant au groupe des troubles hysté
ue l'idée de cette dernière doit être complètement excluse dans les cas publiés de simple gliomatose médullaire. 0 13
ES. Discussion : M. le Dr W. ROTH'est d'accord sur le diagnostic du cas rapporté, mais il rappelle que dans la gliomato
ue. Les auteurs français ont mis en doute le diagnostic de quelques cas qu'il a publiés ; l'un de ces cas (monothermane
n doute le diagnostic de quelques cas qu'il a publiés ; l'un de ces cas (monothermanesthésie) échappa aux observations, t
appa aux observations, tandis que le cours de la maladie des autres cas a complètement prouvé le diagnostic de gliomato
assez vive en ce moment. II. M. le Dr P. Fambourère a présenté un cas de syringomyélie avec hémiatrophie de la langue
te sont exclues. Il semble très pro- bable que la pathogenèse de ce cas est une gliomatose, montée vers la moelle .allo
agé sur le segment supérieur du système nerveux, il s'appuie sur un cas de gliomatose spinale avec atrophie des nerfs o
ier ces accès à la bradycardie et trouve une complète ana- logie du cas rapporté avec les cas que M. Huchard a proposé de
dycardie et trouve une complète ana- logie du cas rapporté avec les cas que M. Huchard a proposé de nommer du nom de le
RNILOv ne voit pas assez de preuves pour être persuadé que, dans le cas rapporté, l'arrêt du pouls causait l'accès. D'a
he.. Discussion : M. le Dr W. Rora insiste sur le grand intérêt du. cas de pied bot rapporté, grâce au développement d'
sur de nombreux tableaux rap- portant des analyses d'urine dans des cas de folies liées à l'arthri- tisme, à la goutte,
tudes sur un des nombreux sujets qu'il contient. Charpentier. II. Cas de poliomyélite antérieure et de névrite multiple
i, l'attention fait-elle défaut ou est-elle affaiblie dans tous les cas où il existe une dépres- sion des forces et les
s BIBLIOGRAPHIE. z7 nerveuses et mentales,- de même que, dans des cas inverses, les effets curatifs de ces mêmes émot
Aujourd'hui, je voudrais, avant d'entrer dans là dis- cussion du cas qui vous sera soumis, compléter à Aacr3wE, t. ?
rvicale. Le fait est exceptionnel, mais il a été observé. En pareil cas , on se trouve en présence d'une paralysie atrop
cile, je n'ai pas à y insister. . Je ne veux mentionner ici que les cas principaux et non tous les cas dans lesquels un
. Je ne veux mentionner ici que les cas principaux et non tous les cas dans lesquels une affection spinale qui n'a pas
mes contractions fibrillaires que je vous ai fait constater dans le cas de poliomyélite antérieure chronique. S'agit-il
uchenne (de Boulogne) eut très certainement rangé ce fait parmi les cas d'amyotrophie progressive anor- maux par l'immi
nul doute, ces quelques remarques de Duchenne sont relatives à des cas de syringomyélie. Mais laissons de côté ces a
e ; vous pourrez voir dans son livre une planche qui a trait à un cas d'atrophie répondant bien certainement à la for
dérations qui. précèdent me permettront de bien mettre en valeur le cas qui va vous être présenté et qui nous embarrass
s et de l'exaltation des réflexes ten- dineux, c'est précisément le cas de la sclérose latérale amyotrophique, envisage
rganique, ne fût-ce que l'absence d'une impuissance motrice dans un cas d'atrophie musculaire aussi avancée. Eh bien
tout n'est pas nécessairement hystérique, chez un hystérique, les cas où la névrose s'associe à telle ou telle affectio
rés sur le tombeau du bienheureux diacre Paris, vous trouverez deux cas , celui de la demoiselle Coin et d'un nommé Serg
es peuvent rétrocéder soit lentement, soit rapide- ment suivant les cas . Ces atrophies souvent considé- rables ne s'acc
Ce sont là, toutefois, des faits très exceptionnels; puis en pareil cas l'examen électrique des muscles permetleplus so
médicale, véritablement clinique que vous auriez à prendre dans un cas sem- blable à celui-ci. OB.3ERV,TION. Scléros
r, en raison de l'importance considérable qu'il présente. En tout cas , il doit savoir l'analyser sous toutes ses formes
temps avant que l'ataxie ne se soit manifestée; il existe même des cas d'ataxie dans lesquels le phénomène en question n
erg est lié à la perversion du sens musculaire dans la majorité des cas . Ce dernier dit, comme vous le voyez, dans la m
des cas. Ce dernier dit, comme vous le voyez, dans la majorité des cas ; il reconnaît des excep- tions ; cependant il
aveugle marche souvent mieux que l'ataxique qui y voit, ou en tout cas , marche beaucoup mieux que l'ataxique ordinaire
place au-dessous du menton un écran ; tandis que dans le premier cas , elle s'effondre, dans le second, elle continue l
omme compétent et d'être récentes. Il reconnaît que dans certains cas , le signe de Romberg peut exister sans trouble
ait qui demande lui-même à être dé- montré. Donc la valeur de notre cas reste entière, et sans le secours de quelques a
e que l'aurait pu faire l'homme le mieux portant. » Dans d'autres cas , la perte du sens musculaire trouble les mouvem
ne syphilitique, 1885, p. 76 et 357. PATHOLOGIE NERVEUSE SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE DU TYPE LAND
primitive progressive. (Revue de médecine, 1885, p. 793.) SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 191 et lui
nd dentelé. D'une façon générale, l'épaule droite est un peu SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 193 plus él
telle façon que le pli du coude paraît convexe et saillant. SUR UN CAS DE .MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. '1 mort le
nous l'eussions désiré les muscles du tronc et des membres. SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 197 1 et le
GIE NERVEUSE. tres fois réunies en nombre variable. Dans ce dernier cas , on n'ob- serve pas que les unités de même appa
phiée et rétrécisse la lu- mière du vaisseau arrivant dans certains cas à l'oblitérer presque complètement. L'endothéli
, Moelle épinière. Nerfs périphériques. - Ne présentent rien SUR UN CAS DK MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 199 de part
d'exposer les quelques remarques que nous a inspirées l'étude de ce cas , nous tenons précisément à mettre en lumière ce
stoxcs tubulaires sont représentés par les zones claires». SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 201 de loge
ar rapport au cylindre-axe. M. Rakhmaninoff a a rencontré, dans des cas de névrite, des formations particulières, qui s
scules à structure alvéolaire, et qui n'apparaîtraient que dans les cas de dégénération des nerfs. Nous rapprocherons l
i des troubles de la glande thyroïde n'auraient pas existé dans les cas précités, où d'autres auteurs ont observé des f
eriindC1'ul1gen in Nervensyslem. (Th. inaug., Berlin, 1802.) SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 203 La même
logiques qui n'ont rien de commun, il est naturel de penser, et le cas que nous rapportons est une éclatante démonstrati
mme normales, nous devons néanmoins présenter quelques réserves. Au cas , toutefois, où elles constitueraient des lésions
e cet aspect spécial des coupes de nerfs était localisé, dans notre cas , au radial, alors que seuls àl'avant-bras les m
icites, pour que nous n'ayons pas à insister sur le dia- gnostic du cas . Notre autopsie confirme en effet de point en p
(Archiv. de Virchow, Bd. CXXIX, 11t. I, 1892, 2 juillet.) SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 205 A cet é
lle s'explique aisément pour peu qu'on se souvienne, qu'en tous les cas de vice d'évolution - et la myo-, patine' primi
rien, et ni les auteurs qui nous ont précédé, ni nous-mêmes dans le cas que nous venons de rapporter, et où notre atten-
entrent en jeu pour l'a réaliser. Or, nous avons vu que, dans notre cas , les nerfs étaient normaux, car nous nous somme
voir exposée par Krosing, et que nous allons rapporter avant SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 20ï que de
llules musculaires qui joueraient le rôle de pha- gocytes. Dans les cas où les fibrilles ne manifestent pas une vitalit
- Deulschc Zeilschrifl sur .rerventeilkunde, t. II, p. 139. SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 209 culaire
ment. On remarque tout d'abord une forte diminution du nombre des cas suraigus, des otites suppurées, et des mastoïdite
ées se présentent en quantité; c'est le reliquat de l'an passé; les cas graves ont été mal ou banalement soi- gnés en v
nnel propre, caractéristique. On ne trouvera de lésions que dans le cas de propagation d'une otite moyenne ou d'une lésio
symptômes n'était pas en rapport avec la légèreté des lésions. Ces cas sont fort nombreux ; et l'unilatéralité n'exclu
il auditif, qu'il soit sain ou malade, et davantage dans le dernier cas . Les neurasthéniques, dont l'oreille est attein
our- donnements sont fréquemment suivis de chute à terre dans ces cas . L'amélioration rapide que l'on obtient ici par l
ontre l'utilité du diagnostic étiologique. Je compte 12 à 15 de ces cas par année à la clinique, en- voyés comme attein
st le maladie. Le traitement quinique suffit encore dans le premier cas . Les affections utérines ont aussi de sé- rieux
a malade entre à l'hô- pital. Il est curieux de constater dans ce cas que la neurasthénie a reparu sous l'influence d
lgré la conservation de l'ouïe, avec ou sans hypéracousie, dans les cas où le vertige est bien évidemment du type dit d
est bien évidemment du type dit de Ménière. La malade n° 286 est un cas de ces névroses labyrinthi- ques associées à to
laires; mais l'ouïe peut s'altérer graduellement et lentement en ce cas . La montre est perçue à 60 centimètres à droite
année, il est passé également sous nos yeux un certain nombre de cas de surdité dues à des lésions cérébrales ou intra
traités de chi- rurgie les plus récents, je n'ai trouvé signalé de cas de plaie des lèvres produites suivant le mécani
enne, l'absence de la parole nous permettent, en le comparant à des cas semblables dont on a pu faire l'autopsie, de po
l'état de veille. Nous nous réser- vons du reste, à propos d'autres cas de ce genre, d'étudier cette particularité et d
plusieurs fois le mot. Elle est simple ou composée. Dans ce dernier cas , l'enfant répète deux, trois, quatre fois le mo
es et des principaux journaux de médecine français. XIX. Sur deux cas de rumination chez LES aliénés; parle D1' Andréa
ement que le mécanisme qu'il indique ne peut s'appliquer à tous les cas ; il vise simplement ceux du merycisme total ou
noia, elle se rapproche de celle des individus sains, sauf dans les cas d'épisodes psychoneurotiques intercurrents qui,
maniaque, la toxi- cité du sang s'élève. Dans l'idiotie, à côté de cas dans lesquels elle était normale, il en fut d'a
courant de la brique. » Doit-on créer des asiles spéciaux pour les cas aigus ? En éloi- gnant les cas aigus des asiles
n créer des asiles spéciaux pour les cas aigus ? En éloi- gnant les cas aigus des asiles, on rendrait ainsi presque nul l
nent franchement plus lentes. P. KERAvAI,. XXIX. Communication D'UN cas DE POLYURIE CHEZ UNE cérébrale; par WIEDEfEISTE
imultanéité des signes spinaux et céré- braux. Il y a cependant des cas de paralysie chronique des muscles des yeux ind
me nerveux, mais l'autopsie démontre, dans l'im- mense majorité des cas , la complication d'une affection nerveuse et le
stence de celte maladie, le D'' Gerlier en a observé une dizaine de cas nouveaux. Il s'agirait là, d'après lui, d'une n
rapie, préparations bromurées; traitement moral. Morphine, dans les cas graves, quand même on devrait produire du morphin
c'est un syn- drome commun à plusieurs classes de maladies ; 3° les cas les plus nombreux pourront être rangés dans les
rogressive et la sclérose en plaques disséminées. Dans ces derniers cas , il dénote l'altération des cornes grises antér
e Reims). (Gaz. hebd. de méd. et de chir" 1890.) L'auteur relate un cas de myoclonie qui s'est transformé au bout de pe
de chir., 1890.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 267 XIX. QUELQUES cas DE TREMBLEMENT chez LES vieillards; par J. SACA
longitudinal, mais il est plus pro- bable que, dans la majorité des cas , elle provient des petits vaisseaux de la pie-m
r contenu dans l'espace sous-arachnoïdien : en effet, dans quelques cas d'aliénation mentale, comme la paralysie généra
ans quelques cas d'aliénation mentale, comme la paralysie générale, cas dans lesquels se rencontrent le plus fréquemment
rapide- ment. (Américanjoumal of insanity, 1891.) . B. XXI. Deux cas DE LÉSION traumatique du cerveau; par le Dr DEW
E LÉSION traumatique du cerveau; par le Dr DEWRY. Dans le premier cas , il s'agit d'un homme de vingt ans admis à l'as
la syphilis est-il assez grand pour pouvoir être séparé des autres cas en tant que forme séparée. Ses observations per
ulaires précis ? C'est une question d'autopsies. - P. K. XXIV. UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE SANS LÉSIONS ANATOMIQUES;
et il n'a pas été soumis à l'examen microscopique. P. K. XXV. ! UN cas DE CONVULSIONS CLONIQUES du bras A la SUITE DE tr
phase d'excitation de la narcose chloroformique. P. K. XXVI. DEUX cas DE MYOCLONUS multiple (PARAMYOCLONUS MULTIPLE DE
log. Centralbl., 1892.) Diagnostic par exclusion. P. K. XXVII. UN cas DE paralysie traumatique bilatérale dans LE domai
vi- ' cales. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 271 XXVIII. UN CAS DE PARALYSIE ISOLÉE DU NERF MUSCULO-CUTANÉ AVEC
nerfs optiques chez les hystériques. L'orateur a, dans un groupe de cas , observé chez des hystériques une amblyopie ou
présentant des troubles hystériques plus ou moins marqués; l'autre cas concerne un homme qui, peu après la rétrocession
autre moitié du corps, qui disparut elle-même bientôt. En plusieurs cas , l'amblyopie fut précédée de malaises et de fièvr
lle-même à la strychnine ou à une influence morale; mais il est des cas dans lesquels, le processus anatomique étant pl
nombre de fibres succombent à l'atrophie. Il y a par conséquent des cas où les troubles soi-disant fonctionnels de la v
tinienne tient probablement aussi à une lésion. M. Leber a, dans un cas d'hystérie grave chez la femme, pu pratiquer l'
n trouva un glio-sarcome étendu de l'hémisphère gauche. En pareil cas il faut ouvrir largement la paroi cranienne pour
ment incapable, par ce fait, de diriger les exercices; un cinquième cas porte sur un médecin devenu par moments inhabil
jambe droite. L'anesthésie peut même occuper tout le bras ; dans ce cas , il y a hémianesthésie pas- sagère du même côté
heim. L'orateur les rapproche de la faiblesse irritable limitée des cas précédents et de la paralysie agitante typique.
graphique de résultats expérimentaux. A petites doses, en tous ces cas , il y a en même temps, paralysie sensorielle et i
ïe) ; 2° quelle est la réaction galvanique du nerf optique dans les cas de lésions organiques et d'altérations fonction
essive du système musculaire, avec réaction dégénérative ; en aucun cas il n'y eut de pseudo-hypertrophie. Disparition
ades reprennent leur lucidité et tout est fini. Mais, dans quelques cas , il se produit un stade de réaction, constitué
n n'ait lieu qu'à la suite du syndrome de la démence aiguë. En tout cas , la gué- rison reste complète sans laisser de t
son inflammation dans le ramollissement du cerveau. Il s'agit d'un cas d'encéphalomalacie, dans lequel on trouva des a
e lingual sont partiellement reconstitués. M. Gilbert décrit deux cas de polynévrite. L'un est de nature infectieuse.
it deux cas de polynévrite. L'un est de nature infectieuse. Dans ce cas , il s'agissait d'un homme de cinquante- cinq an
nt chez des femmes anémiques à la suite de travaux manuels. En tout cas , c'est une maladie des plus opiniâtres : quelqu
dégénérescence des cordons postérieurs dans le tabès ? En quelques cas (stades de début du labes), c'est la partie moy
baires qu'aux régions dorsale et cervi- cale inférieure. Il est des cas dans lesquels la lésion porte sur les fibres de
tés pronon- cées sont surtout graves et longues. Dans 17 p. 100 des cas , l'alié- nation mentale était indéniable à l'ép
Il note également la dégé- nérescence mentale préalable et dans ce cas la terminaison de la maladie par la démence. La
maladie par la démence. La guérison constitue une fin rare. En tout cas , la psychose des prisons, causée par l'isolement
ion de les y répartir avec discernement. Faire intervenir en pareil cas la ques- tion de l'honorabilité et de l'infamie
pression du sang diminue quand le stade de gaité survient (dans le cas parti- culier le stade maniaque ne se manifesta
de l'anencéphalie. La formation de la substance corticale dans les cas extraordi- naires, en dehors de l'arrêt manifes
91, p. 415.) ) M. le Dr IRY dit qu'il était certain que plusieurs cas ont été opérés d'une manière inexcusable. Ceci
de son examen de la littérature sur le sujet, et non par rapport au cas rapporté par le Dr Tuholske. La description de
r rapport au cas rapporté par le Dr Tuholske. La description de son cas se rapproche d'une grande catégorie de cas de « c
e. La description de son cas se rapproche d'une grande catégorie de cas de « cerebritis » infantile, dans laquelle le p
uerait la craniectomie. L'examen, fait à l'autopsie dans de pareils cas , révèle des processus inflammatoires étendus ou l
rieure de la moelle. Si un tel diagnostic pouvait être fait dans un cas donné, une opération ne serait pas justifiable.
pération ne serait pas justifiable. Le Dr J.-K. BAUDUY dit que le cas en discussion ne pourrait avoir été un cas de p
J.-K. BAUDUY dit que le cas en discussion ne pourrait avoir été un cas de polio-encéphalite. En premier lieu, H n'y avai
qu'on ne trouvera pas un remède. M. le D'' BARCLAY dit que dans ce cas l'opération aurait pu être très avantageuse si
oculaires. Il y a ici des hommes dignes de foi qui ont vu le même cas , et cependant leur témoignage est de beaucoup dif
re, elle,' la vit. » Rien de plus naturel n'a été accompli dans des cas aussi désespérés après une opération, la mère qui
nd d'une opinion toute personnelle. On lui apprit qu'il avait vu ce cas un an auparavant et avait dit qu'il n'y avait rie
lors on ne savait que peu de chose sur la craniotomie linéaire; des cas semblables avaient été trépanés avec un certain
e si on tirera on non un avantage, il est prématuré de rapporter ce cas mainte- nant ; et il se passera probablement hu
u'on en connaisse le résultat. Il n'aurait pas, dit-il, rapporté ce cas aujourd'hui, cinq semaines après l'opération, s
t pas question du diagnostic. Le Dr Fry a mal compris le rapport du cas , parce qu'il n'y avait pas de symptômes de para
il n'y avait pas de perte de sensibilité ni rien de ce genre. Le cas avait été examiné par les Drs Bauduy et Bremer, e
aurait dit que : c Actuellement il n'y avait rien à faire dans ces cas , mais qu'il croyait que l'époque n'était pas bien
Craniectomie dans la MICROCÉPIIALIE. M. Victor HORSLEY rapporte le cas suivant. Le malade était un garçon âgé de trois
ent frappés de l'amélioration produite chez l'enfant.Dans un second cas , le résultat fut moins heureux. Le malade était
Millier (British Médical Journal, n° 1647, p. 176) a rapporté le cas d'un enfant mâle âgé de huit mois, présentant de
tôt le mutisme résulte d'un arrêt total de la pensée. Dans certains cas , c'est une hallucination qui interdit au malade
ne idée délirante, mélancolique ou de persécution. Il est enfin des cas où le mutisme est de nature hystérique. Signalo
fallait admettre des obsessions hallucinatoires, et distinguer deux cas : 1° ou bien l'idée obsédante s'accompagne d'une
ger degré de la 'paralysie; 2° la paralysie vulgaire qui répond aux cas les plus communément observés; 3° la paralysie pa
ur, être rectiligne ou titu- bante. Enfin, dans chacun de ces trois cas , la démarche est ou non spasmodique, ce qui don
tement, qui n'a guère d'ailleurs d'intérêt en lui-même que dans les cas de dysbasies fonctionnelles. Une grande clareté
u gouvernement. Les dépenses sont à la charge des intéressés ou, en cas d'indigence, de l'assistance publique. L'Etat,
nce publique. L'Etat, au besoin, participe à ces charges et, en des cas excep- tionnels, fait parvenir des subsides à l
eçons sur l'alcoolisme. M. Albin Rousselet : Les secours publics en cas d'accidents. Prix pour 1895. Pria; Civrieux (80
LE jeûne condamné. Le verdict du juge coroner de New-York dans le cas de la mort de Stratton, le jeûneur, est digne d'ê
1893. N, 75. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE; Par le D' K
professeur Charcot a présenté dans ses leçons du mardi quel- ques cas de monoplégie hystérique. C'est l'histoire de ces
di quel- ques cas de monoplégie hystérique. C'est l'histoire de ces cas qu'il a eu l'extrême obligeance de me communiqu
jusqu'ici, quels sont les caractères communs à tous ces différents cas , tant au point de vue de l'hérédité, que de la
le professeur CHARCOT), salle Prus, lit n° 2î ? 1 Charcot. Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique, de cause tr
eçon publiée dans la Semaine médicale du 8 juin 1892, n° 29, Sur un cas de monoplégie brachiale hystérique chez l'homme
cool camphré pour se frictionner; mais le résultat fut nul. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 323 Il ne t
e chute passive de la main, en vertu de la pesanteur. Dans tous les cas , le malade est capable de porter ainsi la main
(un centimètre de différence). Dimension en circonférence : TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTERIQUE. 325 5 gauch
btient un mouvement de flexion d'ensemble des quatre derniers TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 327 doigts
re'observé jusqu'à pré- sent du moins à notre connaissance dans les cas semblables de monoplégie hystérique '. Non seul
aralysie spinale par lésion de la corne antérieure; mais dans notre cas les réflexes tendineux ne'sont pas abolis, la r
: Leçons sur la maladie du système nerveux, t. III, p. 353. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 329 9 On pe
ensibilité. J'ignore, quant à présent, ce qui adviendrait en pareil cas , chez les hystériques non anesthésiques. C'es
t et ne pas préjuger, quant à présent, ce qui adviendrait en pareil cas , chez les hystériques non anesthésiques. Quan
au point de vue amnésique a été rapportée par )[. Charcot : Sur un cas d'amnésie rétro- antérograde. Revue de méd., t.
nstate une paralysie absolue des doigts, du poignet, du coude TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 331 L et de
us d'énergie dans les mouvements du coude et de l'épaule. 1 TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 333 10 mars
eau du poignet a disparu. Le champ visuel s'est agrandi. Voilà un cas de monoplégie brachiale hystérique qui s'est dé
i par le patient ont provoqué l'éclo- sion. Le diagnostic dans ce cas ne présentait aucune difficulté; car en même te
s du mardi, 26 juin 1886. (Bulletin médical, 1888, p. 387.) TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 335 ont dur
a persisté, isolé comme il était tout d'abord. Le scotome dans ce cas semble bien avoir été le signe pré- curseur de
ile de chercher à prouver par une analyse minutieuse que dans notre cas la migraine n'est autre chose qu'une manifestat
rniers sont très difficiles, très faibles, très restreints. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 337 î Après
ée : anesthésie. - Partie à lignes verticales : hypoesthésie. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 3 9 OEil ga
stationnaires en ce qui concerne les mouvements de l'épaule. ' Ce cas est complexe, on ne saurait l'interpréter sans di
ez un même sujet, et il est parfois difficile de sé- parer dans les cas où ces deux affections se trouvent asso- ciées
t de beaucoup les limites que peut atteindre l'anes- thésie dans le cas de lésion du plexus ou de ses racines. Par sa t
paru rapidement sous l'influence d'un traitement psychique TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 341 (exerci
dans la littérature de- depuis l'année 1885 jusqu'à 1890 vingt-huit cas de monoplégie hystérique, auquel j'ajoute trois
1890 vingt-huit cas de monoplégie hystérique, auquel j'ajoute trois cas de même genre, c'est en somme trente-un cas de
, auquel j'ajoute trois cas de même genre, c'est en somme trente-un cas de monoplégie hystérique flasque. Sexe. Sur ces
me trente-un cas de monoplégie hystérique flasque. Sexe. Sur ces 31 cas , 23 ont trait à des sujets du sexe masculin et
- quatre ans : voici la distribution dans chaque cinq ans : TROIS CAS . DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 353 D'autr
ontinence d'urine, des perver- sions d'ordre moral, etc. Dans trois cas , il s'agissait d'alcooliques avérés, dans quatr
tc. Dans trois cas, il s'agissait d'alcooliques avérés, dans quatre cas , nous avons noté une récidive de paraly- sie et
cas, nous avons noté une récidive de paraly- sie et dans plusieurs cas , des crises hystériques plus ou moins nettes. C
tisme se place au 'premier rang. Ainsi nous rencontrons dans quinze cas un choc quelconque, léger ou grave, depuis le s
a fracture, comme cause provo- catrice de la monoplégie. Dans six cas , nous avons noté le saturnisme, où la paralysie
ts ou de troubles vasomoteurs, etc., dans le membre intéressé (cinq cas ). Dans trois cas une émotion morale, une cause
vasomoteurs, etc., dans le membre intéressé (cinq cas). Dans trois cas une émotion morale, une cause provocatrice avai
ntelle jusqu'à la réalisation de la paralysie psychique. Dans seize cas , il nous a été impossible de préciser la durée
é impossible de préciser la durée de cette période; dans les autres cas , les choses, ont été comme il suit : 384 CLINIQ
ffaibli, toujours une hémianesthésie du même côté ; mais il y a des cas où l'hémianesthésie existe avec une monoplégie
y a des cas où l'hémianesthésie existe avec une monoplégie pure (9 cas ). D'autres fois, l'anesthésie est limitée autou
diculaire au grand axe de-l'extrémité à la manière bien connue (15 cas ), ou bien s'étend à la moitié correspondante de l
corps, descendant jusqu'au niveau de l'épigastre ou de l'ombilic (4 cas ). Le cas de monoplégie flasque sans aucune anes
scendant jusqu'au niveau de l'épigastre ou de l'ombilic (4 cas). Le cas de monoplégie flasque sans aucune anesthésie qu
spèce (observ. I). Troubles trophiques. - Nous avons noté dans neuf cas l'atro- phie musculaire du membre paralysé, don
dans neuf cas l'atro- phie musculaire du membre paralysé, dont deux cas en même temps avec atrophie osseuse, un avec él
autres sont sans troubles tropiques. Réflexes tendineux. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 355 Autres
u l'hydrothérapie ou encore d'autres procédés. Dans la majorité des cas , la paralysie motrice et sensitive se dissipe o
ensitive se dissipe ou s'améliore parles moyens qu'on a employé (22 cas ), quelquefois cependant, elle est très tenace e
e une série des moyens qu'on applique et reste sans chan- gement (4 cas ), cinq récidives, vingt-deux améliorations ou g
s), cinq récidives, vingt-deux améliorations ou guérisons et quatre cas sans changement de la paralysie. Tels sont les
vons pu réunir ici. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 1-3. Charcot. Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique, de cause tr
ives générales de médecine, n° d'août 1890.) 26. Ballet. - Sur un cas de monoplégie brachiale hystérique avec atrophi
e des maladies du système nerveux, t. 1, Pa- ris, 1892, p. 29. UN CAS DE SCOLIOSE DANS UNE MYOPATHIE PRIMITIVE ATROPH
avons trouvé cette déformation signalée. Il semble donc que notre cas , où il s'agit d'une scoliose très nette, est le p
liale. Et afin de spécifier un peu plus, nous pouvons rapprocher ce cas du type Leydea-illcebiics- à cause de l'hérédit
d'avoir recours aux divers moyens indiqués par les auteurs pour les cas où elle est à peine dessinée. Cette scoliose se
PHIQUE. 365 formations, qui se produisent le plus souvent on pareil cas , soit du côté de la cage thoracique, soit du cô
l'altération muscu- laire a dû avoir une certaine action dans notre cas , il nous semble nécessaire de faire intervenir
ble trophique osseux ayant pour siège les vertèbres. On connaît des cas de paralysie trophique de l'enfance où les musc
ltération osseuse de cette portion du sque- lette. D'ailleurs, ce cas n'est pas le premier où soient signalés des tro
oient signalés des troubles trophiques. M. Hallion' a déjàpublié un cas semblable, où il s'agissait d'un enfant de trei
fracture spon- tanée probable. (France médicale, 1S91, n" 11.) UN CAS SINGULIER DE L'HYSTÉRIE MALE. 367 Î d'atrophie
ture probablement que la lésion musculaire. RECUEIL DE FAITS UN CAS SINGULIER DE L'HYSTÉHIE MALE; Par le professeur
de le considérer catégoriquement comme une variété à part. Dans ce cas , ni le rapport du trem- blement aux mouvements
ches ma- tériaux, affirme d'une manière catégorique, que dans ses cas , le tremblement comme un symptôme principal était
le cours de la névrose, mais plus rarement encore on rencontre des cas , où le tremblement en gardant le caractère domi
comme des attaques. Nous avions eu l'occasion d'observer un pareil cas il y a deux ans. P. S..., paysan, vingt et un a
L'individu d'une taille moyenne, d'une bonne et robuste consti- UN CAS SINGULIER DE L'HYSTÉRIE MALE. 369 tution, un pe
d'un mois, mais ils peuvent aussi éclater plus souvent étant, en ce cas , provoqués par quejque.émotion, par exemple, pa
Le malade ne peut pas indiquer la cause de sa maladie, ni don- UN CAS SINGULIER DE L HYSTERIE %IAIE. 1,; -11 t ner un
clinique de la maladie, on peut aisément conclure que nous avons un cas d'hystérie. En effet, le rétrécissement conce
vrose hystérique. Fig. "n, I' j. : 0. 37'3 RECUEIL DE FAITS. CAS SINGULIER D'HYSTÉRIE MALE. Par ses propriétés e
de Charcot. Mais un caractère tout à fait singulier acquiert "notre cas par l'apparition périodique du tremblement présen
ivant une forme du tremblement qu'il a nommée trépidatoire, cite un cas , où le tremblement hystérique se bornait, comme
ade, au membre inférieur et durait plus de dix ans. Cependant son cas ne présentait guère des périodes. L'observation
inférieur, où par con- séquence le tableau clinique rappelait notre cas sous plusieurs rapports. , Parmi les nombreus
cours de la maladie. Le même caractère porte le tremblement dans un cas très enseignant de Greidenberg (W1'atch., 1888,
que toutes celles qui ont été jusqu'à présent cité, parait être le cas de Chambard. (Hémichorée et tremblement hystéri
vu de toutes les particularités cssentielles obser- vées dans notre cas . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXXI. Suit CERT
dans notre cas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXXI. Suit CERTAINS CAS D'ABOULIE AVEC OBSESSIONS 1NTERROGATIVES ET TRO
faits ; car d'une part le mot douté n'est pas applicable à tous les cas , et, d'autre part, le mot toucher pourrait laisse
qu'après cinquante-cinq ans, ap- paraissant dans un grand nombre de cas après un ou plusieurs accès de mélancolie commu
lusieurs accès de mélancolie commune et ne se développant, dans les cas typiques, qu'après une période plus ou moins lo
ssent les autres ma- ladies graves intercurrentes. Sur vingt-deux cas , il n'y a pas eu une seule exception : le choléra
nde, ni surtout aussi générale que sur les états maniaques. Dans un cas de mélancolie chronique, la maladie intercurren
ons. (Annales médico- psychologiques, déc. 1892.) E. B. XXXVI. Un cas DE folie sans DÉLIRE; par le Dr Marandon DE MON
aliéniste peut seul, en effet, porter un jugement exact, et dans ce cas , doit-il s'offrir à la mise en liberté ? C'est
grand mal. Il n'est quelquefois que transitoire et dans beaucoup de cas il s'ac- compagne de troubles intellectuels, de
ymptômes : sommeil et automatisme passif. Il est difficile dans les cas nombreux où elle n'apparaît qu'à l'état d'interve
es. (Annales médico-psycholo- giques, juin 1892). E, B. XXXIX. Un cas d'asphyxie locale symétrique intermittente des
a législation comparée de l'aliénation mentale. R. M.-C. XLII. UN cas DE la maladie appelée KATATONIE; par Percy-Smitu.
s observations rapportées par l'auteur sont à rapprocher des autres cas où une affection aiguë intercurrente a provoqué l
u la disparition momentanée du trouble mental chez les aliénés; les cas de ce genre sont assez nombreux. R. M.-C. XLV.
sponsabilité et à l'alié- nation mentale; on y remarquera le peu de cas que font certains juges des affirmations des ex
ités scientifiques universellement acceptées. R. M.-C. XLVIII. UN cas DE rupture du CCEUR chez une mélancolique; par
ue la paranoïa est généralement consideiée comme incurable. Sur 700 cas , Kraft-Hbbing n'a pas vu .une seule guérison.
ranoïa alcoo- lique ; suivant cet auteur, les Iiallucinalions en ce cas seraient sou- vent d'ordre génital, elles affec
, de liquides irritants. R. M.-C. LUI. Observation clinique DE deux cas DE paraplégie ataxique; par F.-S.-John BULLEN.
on des phénomènes conscients. Ces faits sont mis en lumière par les cas intermédiaires entre le délire sensoriel le plus
acteur, obnubilation de la conscience se complique dans beaucoup de cas de phénomènes d'excitation, de dépression, de stu
e no- table. J. SÉGLAS. 390 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LV. UN cas d'imbécillité associé A UN arrêt de développement
éphalite de la première enfance. Question presque insoluble dans le cas actuel par suite du manque de précision des ren
ronique n'est pas constamment identique ; mais, outre qu'il y a des cas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 391 dans lesquel
pratiquement utile, au moins pour le pronostic à faire dans chaque cas . Comme on le voit, l'auteur en est resté aux pr
ces actes d'indiscipline ne pouvait pas, dans un certain nombre de cas , être attribuée à un trouble mental, et qui a pre
° La naphthaline s'est montrée fidèle et inoffensive dans tous le-- cas où elle a été employée ; une dose de 8 à 9 gramme
e douze heures. 2° Le médicament a échoué dans un certain nombre de cas , REVUE DE pathologie mentale. 393 mais à l'he
il y en a quelques autres, qu'il convient de 1 rechercher en pareil cas , par exemple le catarrhe des sinus frontaux, ce
r l'invasion rapide du délire et sa systématisation d'em- blée. Ces cas ne sont pas communs. Des antécédents syphilitiq
munes dans la syphilis; on fait entrer dans la syphilis beaucoup de cas qui ne devraient pas y figurer. Tous les gens q
M. Mali insiste sur les qualités que l'on doit cher- cher en pareil cas dans la population qui consent à recevoir les a
ésordonnés, incessants; la force musculaire parait accrue : en tout cas , jamais la fatigue n'apparaît. Les hallu- cinat
de punition ; mais une amende pourrait lui être infligée. Enfin en cas de guérison, l'aliéné, au sortir de l'asile, po
it à vivre pendant les quelques jours qui suivraient sa sortie : ce cas serait d'ailleurs le seul où les va- leurs conv
ndes fautes que celles qui consistent à faire des économies dans ce cas . L'auteur expose d'une façon brève les méthodes
l décrit et illustre une grande variété d'appareils d'extinction en cas d'incendie. L'auteur repousse l'usage de tuyaux
er : Une lettre adressée de Temesvar au Lloyd, de Pesth, signale un cas de superstition rare : c Dans la commune de Spa
° ils se montrent très rarement isolés, dans l'immense majorité des cas , certains stigmates latents coexistent avec les
tères sont justes et intéressants, ils peuvent; dans la plupart des cas , permettre le diagnostic de l'hystérie. De même
e idée trop ambi- tieuse. Nous sommes évidemment incapables dans ce cas comme dans tous les autres de faire connaitre l
'Une idée"'... En raison de l'obnubilation du moi produite dans un cas par l'hypno- tisme, dans l'autre cas, ainsi qu
lation du moi produite dans un cas par l'hypno- tisme, dans l'autre cas , ainsi qu on l'a imaginé, par lechocnerveux, ce
ateurs de l'hystérie, M. Guinon montre aussi comment, dans certains cas , on peut constater l'idée fixe qui détermine l'
coup de modération, bornant leur rôle à l'explication de quelques cas cliniques bien déterminés. Il restait à géné- r
rie de phénomènes, il les ignore même puisque, dans la majorité des cas , il se réveille de l'at- taque sans bien savoir
nséquent, il présente d'une manière plus ou moins nette suivant les cas , deux caractères et en quelque sorte deux perso
ttention et le second groupe se développe facilement. Dans d'autres cas , une sorte d'alternance périodique s'établit par
qui jouent le rôle de signal peuvent être déterminées dans certains cas par l'attouchement d'un point du corps. Un enfa
par l'étude des sugges- tions à effet posthypnotique. Dans certains cas , ces suggestions ne peuvent être exécutées avec
l, d'aucune réflexion 1. Nous avons été conduits à admettre dans ce cas et dans beaucoup d'autres semblables qu'il y av
tures sont non seulement involontaires, elles sont encore dans les cas les plus nets totalement inconscientes, c'est-à-d
des sortes de délires. Nous avons analysé il y a quelques années un cas de ce genre dans lequel un grand nombre d'accid
e, 1889, p. 436. Mêmes remarques à propos d'une autre malade sur un cas d'abolie et d'idées fixes. (Rev. phi- losophiqu
on de la conscience que l'on a constatée avec netteté dans quelques cas célèbres de double existence existe d'une façon
tremblements hystériques, après avoir analysé un certain nombre de cas de tremblements vibratoires survenus brusquemen
'hypnotisme, t. I, p. 300. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 439 Le cas de paralysie agitante que nous publions répond, d
nt de vue des symptômes réputés propres à la paralysie agitante, le cas est des plus classiques, l'on est en présence d
constaté jusqu'ici dans la sclérose latérale amyotrophique, dans un cas de lésion organique bulbo- protubérantielle et
notre confrère et ami, M. le Dr Olivier, nous obser- vons un autre cas de paralysie agitante où l'examen campimétrique p
flexes rotuliens et des fléchisseurs de la main exagérés. En somme, cas vulgaire de paralysie agitante en voie de dével
mêmes causes, débutent assez souvent brusquement; que, dans notre cas , l'hystérie a précédé l'explosion des symptômes p
s, il serait téméraire de conclure ; ce n'est pas d'ailleurs sur un cas isolé qu'il est permis d'asseoir une opi- nion
létera sans doute dans un avenir prochain par l'analyse de nouveaux cas . REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I. SUR l'action séda
De plus, c'est un excellent hypnotique, supérieur dans beaucoup de cas au chloral et à ses succédanés sur lequel il a
l'avantage de ne rester presque jamais sans effet. Dans beaucoup de cas , la duboisine semble calmer immédiatement le dé
int de vue de la sédation ou du sommeil. Dans la majeure partie des cas , la dose minima de 5 à 6 décimilligrarnmes surtou
errible maladie soient arrêtés en tout ou en partie. Dans les trois cas de trépanation, dont un personnel, relatés par
t un personnel, relatés par l'auteur, l'opération indiquée dans ces cas par des troubles de la motilité des membres, a
omplètement dis- paru. 452 revue DE thérapeutique. De ces trois cas heureux, l'auteur conclut à l'opportunité de la
ement, si elle est employée de bonne heure, on pourra dans quelques cas arrêter les progrès de la maladie et donner aux
oit que l'épanche- ment se résorbe de lui-même; mais, dans tous les cas , il persiste une déformation considérable'de l'
ployer aucune contrainte corporelle; 2° dans la grande majorité des cas où cette contrainte était regardée unani- memen
les courroies et les camisoles de force; 3° dans un petit nombre de cas cependant, les mesures de douceur sont infructu
infructueuses, tel est l'épileptique atteint de fureur et dans ces cas , il faut employer la contrainte corporelle, la
lus violents, devenir de bons travailleurs. Pourtant, dans quelques cas , cette règle de conduite n'a amené aucun résult
n'a amené aucun résultat et l'auteur nous fait passer en revue les cas où il a échoué. Actes de violence et de destruc
personnes ou leurs chambres avec leurs excréments. L'auteur cite le cas d'un homme auquel nul moyen n'avait réussi et q
s de l'emploi ou du non-emploi des moyens de contrainte. Il y a des cas , rares cependant, où la folie ne peul ètre répr
(American journal of insanity, 1892.) E. B. VI. Observation D'UN cas d'épilepsie avec ligature DE l'artère vertébral
acquis n'était pas proportionnel à la gra- vité de l'opération. Le cas dont il s'agit ici est un de ceux où cette amél
mique, demande une prudence attentive, mais qui peut, dans certains cas d'aliénation mentale ou d'affec- tions nerveuse
parables ser- vices, ainsi que dans le delirium tremens et dans les cas de sclé- rose disséminée avec tremblement très
cas de sclé- rose disséminée avec tremblement très accusé. Dans les cas d'hys- térie avec hallucinations, elle a paru p
l'alcoolisme chronique. L'abus du médicament commencerait dansle cas où l'on emploie- raitsans précautions suffisant
tions suffisantes un médicament aussi dangereux, et surtout dans le cas où on l'emploierait hors de propos, car il faut
loierait hors de propos, car il faut bien savoir que, dans certains cas , le danger est réel. R. M.-C. 456 REVUE DE thér
bien dormir. 2° Il exerce une influence sédative très nette dans le cas d'agita- tion ou d'angoisse mentale, particuliè
cas d'agita- tion ou d'angoisse mentale, particulièrement dans les cas récents et aigus. 3° Ses principaux inconvéni
Le bromoforme a donné des résultats favorables et rapides dans les cas d'excitation maniaque. Le médicament n'a jamais
être donné plus de quinze jours de suite, quitte à le reprendre en cas de retour de l'agitation. Voici la formule empl
liore notablement. J. SÉGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE LXI. UN cas DE folie DU doute avec délire DU toucher ; par
uteur n'a pas été à même de pouvoir pratiquer. J. SEGLAs. - LXV. UN cas d'amnésie rétrograde ; par le D1' R. BARONCINI.
re pour l'othématome des aliénés une origine infectieuse. Dans cinq cas qu'il a pu étudier, il était déterminé par un m
parois de la cavité. Il est nécessaire, lorsque l'on cons- tate un cas d'othématome dans une section de malades, d'user
890.) Observation détaillée, suivie d'autopsie. R. M.-C. LXIX. Un cas DE folie homicide ET suicide; par Frank ASIIB1 1;
qu'un exposé de ses vues personnelles. R. M.-C. LŸXIII, Quelques cas anormaux de paralysie générale ; par BOVVILLE B
(The Journal of Mental Science, juillet 1891.) Il s'agit de quatre. cas de paralysie générale remarquables à divers tit
tion de la maladie mentadie avec le tabès dorsal ; enfin le dernier cas était accompagné d'hallucinations d'ordre mélanco
légal qu'au point de vue médico-thérapeutique. R.M.-C. LXXVI. UN cas DE pachyméningite B1.MORRIL1GIQUE INTERNE CONSÉCU
. (The Journal of Mental Science, octobre 1891.) Observation d'un cas intéressant, suivie de la relation détaillée de
provoqué l'éclosion ; ce qu'il y a de plus net c'est que, dans ces cas , il s'agis- sait toujours de sujets prédisposés
éné; l'auteur n'a constaté ce fait que dans un très petit nombre de cas , et l'amélioration ainsi obtenue a toujours été t
server des améliorations plus durables; il est vrai qu'il a vu des cas plus nombreux dans lesquels cette même surdité ne
asymétrie et les états pathologiques cérébraux qui, dans cer- tains cas , leur correspondent, on arriverait peut-être à dé
anifester sous forme de contraction musculaire. R. M.-C. LXXX. Un cas DE cocaïnisme; par PERCY Smith. (The Journal of
ar PERCY Smith. (The Journal of Mental Science, juillet 1892.) Ce cas s'écarte du type ordinaire en ce que l'habitude d
forme démonoma- niaque, la forme hystérique. R. M.-C. L1YYI\'. UN cas DE tumeur cérébrale; par James RORIE. (The Journa
couche optique droite. Ce qu'il y a surtout de remarquable dans le cas dont il s'agit, c'est l'insignifiance des sympt
ces, auraient nécessairement attiré l'attention. R. M.-C. LXXXV. Un cas de rupture du ventricule GAUCHE du COEUR; par J
it la paroi antérieure du ventricule gauche. R. M.-C. LXXXVI. LES cas DE folie dans la pratique médicale ordinaire; p
herche à montrer que, dans la pratique médicale ordinaire, certains cas d'aliénation peuvent être utilement traités san
sités dans le traitement de la folie; il signale notamment certains cas où le trouble mental est sous la dépendance d'u
mais bien des malades que l'on hypnotise. M. Char- cot choisit des cas d'hystérie intense ou de grande hystérie et d'h
ain de lumière aurait d'ailleurs le même résultat. Mais on a vu des cas où le même phénomène s'observait à l'état de ve
opres à la maladie, phénomènes qui peuvent toutefois, dans d'autres cas , apparaître spontanément en dehors de l'hypnoti
reconnaît-il pas moins de neuf phases progressives. Enfin, dans les cas rares d'hystérie grave et d'hystéro-épilepsie, on
st assurément plus difficile, il est peut-être impossible, dans ces cas psychiques, de donner de la réalité de l'hypnos
n- cantes. Sa catalepsie suggérée, par exemple, au moins dans les cas observés par M. Robertson, ne résisterait pas au
otisme pourra certaine- ment être employé avec succès dans quelques cas , mais les obser- vations faites par l'auteur da
'homme de l'art. M. Robertson ne croit pas qu'on ait relaté un seul cas où l'hypnotisation ait été suivie de conséquenc
pendant la veille; telles sont l'idée fixe etla mélancolie. Dansée cas , l'aliéné est absorbé par la contemplation d'un
'épuisement produit par la rétention de poisons de l'organisme. Les cas cités par l'auteur viennent à l'appui de cette
s cylindres épithéliaux dans l'urine avec de l'oedème dans quelques cas . 3° Cette affection rénale peut être temporaire
phériques n'est pas l'arthrite ou le phlegmon, mais, dans tous les cas , la névrite à son premier stade de développement.
noyau lui-même. Pour prouver cette thèse, les rapporteurs citent le cas patholo- gique suivant : chez une malade attein
of les considère comme possibles, quoique peu fréquentes. Dans neuf cas de névrites, par suite d'alcoolisme, observées
'alcoolisme, observées au microscope, on n'a trouvé que dans quatre cas seulement des modifications parenchymateuses. M
i. Les conclusions basées sur les expériences faites, dans certains cas , au moyen de la destruction de l'écorce et, dan
tains cas, au moyen de la destruction de l'écorce et, dans d'autres cas , au moyen de la section du corps calleux, dans
nt une dégénérescence sem- blable, mais plus intense. Dans tous les cas , les dégénérescences occupent un champ strictem
t-à-dire des circonvolutions atteintes en même temps qu'en certains cas il constatait des anomalies des sillons et des ci
es transverses du cerveau grossies à la loupe. M. KAIIL]3.IUM. Un cas de paranoïa. L'orateur rappelle que, dans sa pr
conserver le mot paranoïa, en allemand Ver- 2,ücktheit, à tous les cas indistinctement dans lesquels il y a des idées
qu'ils s'accompagnent de troubles amalgamés. Ils se distinguent des cas de Verucktheit proprement dits ou de paraphréni
étiquette. M. VERNICKE ne partage pas l'opinion de M. Kahlbaum. Le cas précédemment observé par M. Kahlbaum (il a eu l
tout étayée par ses observations. M. KAHLBAUM. Il y a cependant des cas qui correspondent à la description de Sander et
des idées fixes est un fait général et géné- ralement reconnu. Les cas de M. Wernicke sont des exceptions. On n'a guèr
ntes, surtout quand elles sont systématisées, procèdent en tous les cas de rouages psychiques très compliqués, elles ne s
nstate pas d'exagération de la personnalité, il y a en revanche des cas dans lesquels il n'y a pas d'hallucinations et
nte de la personnalité ; ainsi s'explique son isolement dans maints cas . M. Schubert. Communication casuistique. Il s'a
titue pas le fond même de la folie systématique (paranoïa). Dans le cas particulier, elles sont le résidu d'une maladie
nissant ainsi des maté- riaux nombreux et très précieux (trente-six cas , dont trente avec autopsie) pour l'élucidation
irement être consacrée surtout à une analyse critique détaillée des cas dé- crits dans le premier volume, et à une comp
apitre spécial sous le titre de : e Hermiochropsie Kasuistih » neuf cas nouveaux, suivis d'autopsie et d'examen microscop
vation que nous avons eu-à louer dans la première partie. Parmi ces cas , il en est d'un intérêt tout particulier; citons,
lier; citons, par exemple, celui d'un enfant atteint d'hémianopsie, cas qui, ayant -abouti à l'autopsie suivie d'un exa
suivie d'un examen au microscope, est ainsi unique en son genre; ce cas s'est trouvé être une hémia- nopsie indirecte.
être situé dans le lobe pariétal ,inférieur, comme cela résulte des cas où ce lieu était affecté sans qu'il en fut résu
lique comment l'erreur a pu se procuire, en démontrant que dans les cas accompagnés de troubles visuels, la lésion n'avai
occipital; procédantsur- tout par exclusion en s'appuyant, sur des cas négatifs, l'auteur ramène successivement le lie
à l'appui de cette opinion des preuves directes, en particulier un cas observé par lui et par M. Nordenson [n° 142 (40
t de la scissure calcarine, alors qu'il avait déjà démontré par des cas précédents que la première de ces parties ne jo
séparés, mais au contraire mêlés et confondus; enfin, plusieurs des cas observés portent l'auteur à admettre que les él
ntifiques dans leur développement. » Les autres travaux sont : « Un cas de pychose consécutive au choléra », par M. le
r P. Marie. Paris, 1892. Librairie 0. Berthier. vloaconvo. Sur un cas d'acromégalie chez un enfant de lf mois, compli
85; par Lefilliatre, -39G; trépanatlon dans la , par \Vaner, 450, cas anormaux de , par Bonville, 460; avec atrophi
28 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
allucinations dites psy- chiques peuvent être considérées comme des cas de troubles psycho-moteurs. Il a surtout étudié
ou au déclin de périodes de calme relatif de l'affection, dans les cas de rémissions plus ou moins complètes qu'on tro
is. n° 334, mai 1900), Maurice Ricu a fait une étude d'ensemble des cas d'halluci- nations psychiques ou psycho-motrice
rices publiées par divers auteurs, Leroy, Sérieux, en y ajoutant un cas inédit. Il estime que, dans la paralysie généra
nce de recherche systématique de ces phénomènes dans la plupart des cas , de la difficulté d'arriver à un diagnostic pos
re un diagnostic rétrospectif des hallucinations psycho-motrices ( cas de Sérieux). En raison des lésions anatomiques
saniques ; avec le manque d'hallucinations psycho-motrices dans les cas de lésions microscopiques des centres psycho- m
, avec la généralisation très précoce dans l'immense majorité des cas de paralysie générale. M. le professeur Joffroy
les hallucinations. Ce qui semble légitimer cette hypothèse dans le cas des hallucinations motrices de la para- lysie g
re les troubles de ces deux sens des rapports étroits ? Dans '1 080 cas nous avons pu relever l'état du sens génital, l
pu relever l'état du sens génital, le sens algésique étant altéré, cas qui fournissent le tableau suivant : 18 CLINIQU
génitaux et spontanément en parlent. Or, avons-nous dit, tel fut le cas pour sept des 108 sujets dont voici à cet égard
nos sujets se déshabillaient ainsi pour aller nus, or dans ces 184 cas l'impuissance était absolue. J'ajou- terai que
ar des alterna- tives d'excitation et d'impuissance, comme c'est le cas le plus fréquent, ils ont une signification des
ins chauds, injections chaudes et autres moyens conseillés dans ces cas par les bonnes femmes pour sortir d'embarras, r
evenir mère du vivant de son mari malade. Je lui déclarai que son cas était bien amusant. Et avant qu'elle ne fut rev
25 mai (p. 342) un article intéressant de M. Cyrille Jamin. IL Deux cas d'arthropathie syringomyélique ; par P.-A. PIIEO1
ulation thoraco-claviculaire sont le siège. C'est, dit l'auteur, un cas exclusif, parce que, chez la malade en question,
e la sclérose en plaques est une affection multiloculaire ; que les cas typiques sont caractérisés par la com- pression
la com- pression des éléments nerveux sans dégénérescence, que les cas frustes proviennent de la rapide dégénérescence
: in Paralysies isolées; 2° Paralysies associées. Après étude d'un cas très intéressant observé par eux et analyse de
401S. (Nouv. Iconogr. de la Salpélrière, n° 6, 1900.) Relation de 1 cas dans la même famille, contribuant à démontrer R
hérédité dans les causes de cette très rare affec- tion. VIII. Un cas de dermo-neuro-fibromatose compliquée de phéno- ,
ar SmONL1. (Gaz : , degliosped., 1899,43.) L'auteur rapporte cinq cas de paralysie spinale infantile obser- vés dans
laire aigu dans l'étio- logie de la paralysie infantile. Ces cinq cas furent observés dans des familles différentes et
d'entre eux aboutirent au pied-bot varus équin. , L. D. XIII. Un cas d'anesthésie généralisée et presque totale; par
ralisée doit être mise sur le compte de l'hystérie. G. D. XIV. Un cas de sclérose cérébro-spinale disséminée; par J. CR
i, qn'une dépravation, une corruption innée ou acquise, et, sauf le cas de complications, ne représente pas une forme de
oient considérées comme nées d'un contrat social ou non, et dans ce cas elle nie formellement le libre arbitre (Fouillé
E 11CSGR.1VE-CL9Y. IV. Notes sur l'exécution d'un testament dans un cas d'hémiplé- gie avec aphasie; par James EDMUJSDS
s bains, d'après leurs instructions, observent les malades afin, en cas de changements graves, de prévenir aussitôt l'a
iéné comme partiellement responsable de sa conduite, alors, dans le cas où cet aliéné commet un méfait qui est sans rap-
l'a maintes fois constaté. Il peut cependant être troublé dans des cas excep- tionnels, mais un aliéné qui passe dix h
ssens. (B.).. asiles d'aliénés. 53 presque égales, l'une pour les cas aigus, et l'autre pour les cas chroniques, est
s. 53 presque égales, l'une pour les cas aigus, et l'autre pour les cas chroniques, est passible de diverses objections
nts d'appréciation de sa durée ont pour ainsi dire disparu. Dans ce cas , les contestations deviennent beaucoup plus fré
nts dans l'ulcère chronique de jambe, variqueux ou non, dont trente cas ont été aujourd'hui traités par cette méthode :
, dont trente cas ont été aujourd'hui traités par cette méthode : 9 cas personnels et 21 dus à Bardesco, Jonnesco, Paul
Sur les vingt-six réunions. soit primitives, soit secondaires, neuf cas n'ont pas été suivis, dix-sept ont été suivis,
lles et étendus; que sur les quatre insuccès, trois ont trait à des cas où ma technique n'a pas été intégralement suivi
sultat que l'élongatiou soit faite à distance moyenne. Or, dix-neuf cas traités de cette manière n'ont donné qu'un insu
cas traités de cette manière n'ont donné qu'un insuccès ; dans onze cas , l'élongation a porté à grande dis- tance sur l
est lobulée et douloureuse. Il s'agit donc d'une forme légère, d'un cas dans lequel la dystrophie est peu marquée, de t
ertrophie de la queue de cheval. M. Thomas présente les pièces d'un cas de névrite hypertro- phique interstitielle et p
lésions gommeuses et aux artérites des centres nerveux, les quatre cas observés se divisent ainsi : le premier chez un
donc très différentes d'aspect de celles que l'on observe dans les cas pathologiques et peuvent en être facilement disti
ique de la myélite syphilitique. MM. H.4.usERetTnoMAS.A propos d'un cas où les lésions des fibres étaient nettes, celle
ions névrogliques étaient nulles.) M. Touche montre les pièces d'un cas d'hémorragie cérébrale optico-bulbaire avec pto
'un cas d'hémorragie cérébrale optico-bulbaire avec ptosis, et d'un cas de paraplégie douloureuse des cancéreux. , M.
céreux. , M. 13 0 1 : "1 ET (de Marseille) envoie une note sur deux cas de mou- vements athétosiques dans le tabes. M
ion. Le traitement de cette dysphagie est peu effi- cace ; dans les cas légers, on obtient de bons résultats avec la médi
ggestion hypnotique. Discussion. M. TOKARSKY fait remarquer que les cas de dys- phagie amyotaxique s'observent très sou
in ; V. lOUR.AVIEI·'1. Séance du 21 avril 1900. V. Wassilieff. Un cas d'épilepsie corticale (avec présentation des pr
correspond aux numéros 53, 54, : i9 et 61 du schéma d'Exner. ' Le cas est intéressant au point de vue chirurgical, car
'examen complet du cerveau et chercher d'autres foyers qui dans des cas pareils sont souvent multiples. A. ToKARSKY.C
éformation de la colonne vertébrale dans la syringomyélie. Sur 38 cas de syringomyélie observés par lui, l'auteur trouv
observés par lui, l'auteur trouve ce symptôme dans 73,6 p. 100 des cas . Sur 13 autres cas notés dans les archives de l
l'auteur trouve ce symptôme dans 73,6 p. 100 des cas. Sur 13 autres cas notés dans les archives de la clinique, il le t
dans les archives de la clinique, il le trouve dans 69,2 p. 100 des cas . Mais ce n'est pas dans tous les cas qu'on peut
le trouve dans 69,2 p. 100 des cas. Mais ce n'est pas dans tous les cas qu'on peut mettre le symptôme sur le compte de
on plus de refuser la nature syringomyélique aux scolioses dans les cas où l'autopsie ne révèle pas l'existence des arthr
lie. v M. SOLOVTZOFF présente les préparations anatomiques de trois cas d'ozezcép7a«lie congénitale. L'examen des deux
éveloppement des autres régions. Il existait dans les deux premiers cas une hydrocéphalie des deux ventricules latéraux
. Rétrécissement spasmodique de l'urèllere. M. BATEAU rapporte le cas d'un étudiant en médecine qui, atteint depuis tro
ste prodige. - VI. Lionel DAURIAC fait une étude psy- chologique du cas de Kun Arpad, violoniste de sept ans, qui, doué
utomatisme somnambulique. La suggestion, souvent, ne peut, dans ces cas , intervenir comme agent thérapeutique qu'après
de Montpellier) a communiqué à l'Académie . des sciences un curieux cas de ce genre. 11 observait déjà à cette époque l
oposition ne contredit pas la conclusion : car si, dans beaucoup de cas , on peut constater chez le tuberculeux aliéné d
a toujours ainsi ; il ne paraît pas trop audacieux de concevoir des cas où l'agent infectieux fera d'abord son emprise
ate que la phtisie rallume une hystérie éteinte, Crocq signale deux cas de folie hystérique alliée à la tuberculose et
roportion de 55,fi3 p. 100. Les parents tubercu- leux dans certains cas transmettent non seulement le terrain, mais la
ciales, sur les avantages qu'il y aurait à confier dans beaucoup de cas aux professeurs aveugles l'éducation des enfants
yage ; 3° Des membres de leur famille qui les accompagnent, pour le cas où les Compagnies consentiraient à étendre la r
examen est resté incom- plet chez 12 de ces malades. Néanmoins ces cas sont comptés dans la statistique, parce que dan
anmoins ces cas sont comptés dans la statistique, parce que dans 11 cas sur 12, on à trouvé des lésions évidentes même
répondre ou à répondre négativement dans un trop grand nombre de cas . Il est réellement pénible de songer qu'au- jou
a- 84 CHIRURGIE DES ALIÉNÉES. blir même dans un certain nombre de cas une des causes de certains délires. Mais si l
derata. Mais il n'en est pas moins vrai que dans pres- que tous les cas , ce sont les familles qui refusent l'opération.
sont les familles qui refusent l'opération. C'est ainsi que sur 28 cas de métrite 2 seulement ont pu être traités. S
e seule opération a pu être pratiquée. Aucun déplacement utérin (21 cas ) n'a pu être traité. Aucune des cas de lésions
Aucun déplacement utérin (21 cas) n'a pu être traité. Aucune des cas de lésions du col et de déchirure du périnée n'a
tique pour le grand bien des malades. CLINIQUE NERVEUSE. Sur un cas d'amnésie continue, consécutif à une ten- tativ
rande fréquence. Il nous a paru cependant intéressant de relever le cas suivant parce que l'amnésie, à la fois rétro et
du sa place, affirmait qu'il devenait vieux, que sa vue baissait UN cas d'amnésie CONTINUE. 87 et que jamais plus il ne
ntensité irrégulière, s'étend donc d'une manière confuse et pour UN cas d'amnésie continue. 89 'q une période mal déter
La mémoire visuelle commune, qui, nous l'avons dit, était une UN cas d'amnésie CONTINUE. 91 des mieux conservées che
s incohérence, indifférence, apathie et démence terminale. Or, le cas de notre malade ne semble pas absolument ren- t
e confusion mentale dont M. Magnan a mon- tré la fréquence dans ces cas , et qui fut encore manifeste chez notre malade
ait donc immédiatement à l'esprit cette hypo- thèse que, dans notre cas , l'amnésie continue pouvait bien être, elle aus
t la perte de la conscience. (Revue philosoph., juillet 1899.) UN CAS D'AMNÉSIE CONTINUE. 95 l'image éveillée aux aut
rdeaux, 1895.) 96 CLINIQUE NERVEUSE. Féré signalent également des cas d'amnésie rétrograde et pour quelques jours ant
me dans les maladies infectieuses fébriles, KorsalcolT rappelle des cas analogues dans sa psychose polynévrilique ou cé
s lancer dans la spéculation. Séglas. Leçons. - Truelle. Sur deux cas d'amnésie continue. (Congres de ps ? lcle., 1900.
olument sourde de l'oreille droite. · R. de Musgrave-Clay. Il. Un cas de décomposition rapide avant et après la mort; p
résultats nuls, à cause de l'état de putréfaction du cadavre. Ce cas présente un intérêt particulier au point de vue m
ournal, 31 mars 1900.) Il s'agit d'un fait extrêmement rare : des cas de ce genre ont été quelquefois confondus avec
e Lon- dres. - M. Freudenthal rapporte d'abord l'observation d'un cas analogue par l'écoulement à celui qui sert de b
lésion du nez, et paraissant d'origine pure- ment nerveuse. ' Le cas que l'auteur décrit dans le présent travail est t
de sentir du malade, sans quoi il ne réussira pas à bien saisir le cas qui lui est soumis et pourra ignorer des indica
s doivent né- cessairement s'harmoniser. » R. deMu=graye Clan. Un cas de méningo-myélite tuberculeuse avec autopsie ;
entendre sa pensée, le malade dit prêter attention : en d'autres cas , la résonnance est si précise qu'elle absorbe tou
ens sachant bien lire et écrire n'écri- vent en miroir que dans des cas rares, exceplionnels. Ceux d'entre eux qui écri
on cylindreaxe d'une manière définitive, comme il arrive dans les cas de résection avec une grande perte de substance,
is), du réflexe patellaire z fois). Dans un certain nombre d'autres cas , les réflexes étaient seule- ment diminués. En
al; par Micuelzzi. (Il IIÉtî,g(tg711, 1900, mais.) Résumé de trente cas de tumeurs cérébrales avec autopsie. 124 REVUE
de quelques considérations sur la <ympto- matologie de quelques cas , les relations entre les symptômes et la locali
Les auteurs ont eu l'occasion d'examiner à la clinique de Pise * un cas d'crythromélalgie typique qui leur a permis de pr
ravail intéressant dont les conclusions ne reposent que sur un seul cas . L. DELMAS. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
ence )MC6c/tC, 1900, juillet.) . L'auteur décrit et figure quelques cas d'anastomose entre cel- lules nerveuses qu'il a
rique par les toxines microbiennes versées dans la circulation. Les cas fréquents compliqués d'otite purulente seraient
ster plusieurs jours. L'auteur a obtenu cette réaction dans trois cas de maladie d'Erb- Goldflamm ; dans la sclérose
; dans les tabes, inconstante; fréquente et très manifeste dans les cas de neurasthénie et d'hystérie accompagnés de myas
ée, de parésie et d'impotence motrice volontaire. Dans ces derniers cas la réaction disparaissait après guérison et pou
uérison et pouvait subir le transfert comme la parésie. Dans deux cas de pseudo-h3'pertroplrie musculaire, la réaction
on- trer qu'il en est ainsi. L'auteur a eu l'occasion d'observer le cas suivant. A la suite d'une blessure à la face pa
ortir l'impor- tance médico-légale. Il repose sur l'élude de quatre cas , diagnos- tiqués d'abord épilepsie, et que leur
nce, ont ten- dance à diminuer plutôt qu'a augmenter. Dans l'un des cas ce fut l'attaque convulsive qui permit de faire
l'attaque convulsive qui permit de faire le diagnostic. L. D. II. Cas * d'automatisme alcoolique extrêmement prolongé ;
eu avancé des suicidés se remarque dans l'augmentation actuelle des cas de suicide. Il est donc légitime d'admettre que
insi pro- voquée prépare l'impulsion au suicide, laquelle, dans les cas carac- téristiques, aboutit à l'exécution lorsq
EASTERBROOE. (The Journal of f Mental Science, janvier 1900.) Le cas est intéressant à cause de sa rareté ét de la cur
es tractus nerveux de la vision. Cécité verbale et mentale dans les cas de démence' et de manie : insuffisance des fonc
t de quelques objections et critiques. R. de MUSGRAVE-CLAY. I. Un cas de folie syphilitique; par R. D. HOTCRKIS, (The J
tels que l'alcool, prête facilement à la con- fusion. Mais dans le cas actuel, en l'absence de toute hérédité fâcheuse
ston Med. and. Surg. Jr. en 1896. Il vient d'en observer un nouveau cas . Il s'agit d'un jeune homme de 19 ans atteint d
ine. P. XVII. Lésions de chiasma optique, avec la relation de trois cas cliniques ; par William M. LESZYNSKY, (Jot/1'Il
eux nerfs optiques sans symptômes cérébraux concomittants. Dans les cas appartenant à la 4° classe où il n'y a pas de pap
et son indécision de résister à cette impulsion morbide. Dans le cas présenté par l'auteur, le diagnostic d'automatism
enfin l'ab-- sence de manifestations hystériques. l'OULARD, XIX. Cas anormal ' de paralysie saturnine, suivi d'autopsi
de tissu coojunctif et de l'endartérite oblitérante. P. XX. Deux cas de tumeur comprimant la queue de cheval ; abla-
hirurgicale suivie de guérison au^. moins momentanée. Dans ces deux cas on nota les particularités cliniques et anatomi
a les particularités cliniques et anatomiques suivantes : Premier cas . Malade de 5G ans, venu à l'hôpital avec le dia-
point de vue histologique c'était un sarcome alvéolaire. Deuxième cas . Homme de 39 ans, venu à l'hôpital avec le diag
ux et vésicaux. Le point sensible de la colonne a été dans les deux cas un guide de valeur. Il y a peu de maladies spin
migraine complexe et l'épilepsie aient la même cause dans quelques cas , et il se peut également que la migraine modifi
cture du cerveau et le prépare au mal épileptique. Dans beaucoup de cas d'épilepsie on retrouve la migraine dans l'hist
vous and Mental Desease, février 1900.) Il s'agit de trois nouveaux cas de paralysie de Landry dont un avec autopsie. ·
de paralysie de Landry dont un avec autopsie. · Résumé du premier cas : Une jeune femme bien portante est subitement
ployées : Carmin, Weigert, Nisol, Marchi., / · Résumé du deuxième cas : Homme bien portant subitement pris de faibles
mar- quée, et la guérison se fit incomplète. Résumé du troisième cas : Homme bien portant, jeune, est subitement pri
trophie musculaire avec guérison complete. Discussion : Ces trois cas présentent trois terminaisons diffé- rentes de
esthésie des pieds et des extrémités des doigts, existaient dans le cas original de Landry. Les troubles sensitifs sont
e dégénération des racines nerveuses posté- rieures, dans un de nos cas , en donne une explication partielle. La névrite
r les libres motrices. Le trouble des sphincters noté dans deux des cas , n'est pas habituel, mais il peut être expliqué
t effectif. Ces caractères se sont vus, bien que rarement, dans des cas de paralysie de Landry. Dans les deux cas qui g
en que rarement, dans des cas de paralysie de Landry. Dans les deux cas qui guérirent il y eut une atrophie musculaire
guérirent il y eut une atrophie musculaire considérable et dans le cas fatal, une dimi- nution dans la réaction des mu
te progressive est essentielle; mais, comme le montrent deux de nos cas , la termi- naison n'est pas inévitablement fata
tions électriques se rencontrèrent d'ailleurs dans un bon nombre de cas , et plus particulièrement dans ceux dont la ter
riphériques puisse exister sans modifications électriques. Dans les cas graves qui guérissent, l'atrophie et les modifi
cations électriques doivent être recherchées, mais dans beaucoup de cas la mort survient avant que l'atrophie atteigne
loyd. (Journ. of Nerv. and Mental Desease, février 1900.) Premier cas . Le malade, vu plusieurs années après sa fractu
de la lésion, la^dissociation sensitive du côté opposé. . Deuxième cas . Comme le précédent ce malade examiné dix. ans
erches anatomiques, permet quelques considérations : Dans le second cas il y a une destruction de la substance grise, e
ation de la sensibilité tactile. Ainsi se trouve confirmée, dans ce cas comme dans le premier, l'opinion suivant laquel
rant cette marche des divers faisceaux sensitifs.Dans notre premier cas , cette disposition était clairement mise en évide
t l'hémiplégie étaient du même côté que la lésion. Dans le second cas , la lésion n'est pas unilatérale, bien que la t
étude clinique fut faite quelques années avant la mort, et, dans ce cas , une dégénération progres- sive peut bien, dans
e conclusion est d'accord avec les faits pathologiques du premier cas surtout. Dans le second, la lésion de la substanc
as suffisamment unilatérale pour autoriser cette déduction, mais le cas prouve du moins que ces modes de sensation ne son
s tactiles. ' Poulard. 150 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXIV. Un cas d'amaurose hystérique monoculaire chez une jeune
au poignet et au coude comme dans la névralgie cubitale. Dans les cas plus sévères, la motilité est atteinte ; il y a d
nsi que dans la flexion des quatrième et cinquième doigts. Dans les cas très sévères les nerfs musculo-spinal et médian
v. and Mental Disease, novembre 1900.) Ces études ont porté sur 114 cas variés de maladies nerveuses dont le plus grand
onservation du sens de l'espace. Ce fait a été observé dans un seul cas d'hémiplégie, dans lequel il y avait, cependant
astéréognose peut être périphé- rique ou centrale. Dans beaucoup de cas l'astéréognose a une origine indubitablement co
as l'astéréognose a une origine indubitablement corticale. C'est le cas dans la démence; c'était le cas dans une observ
indubitablement corticale. C'est le cas dans la démence; c'était le cas dans une observation de tumeur cérébrale intéress
r donner naissance à l'image mentale de l'objet senti. Supposons un cas dans lequel les divers facteurs importants de l
s conservés; et malgré cela l'astéréognose existe. On aura, dans ce cas , de sérieuses raisons pour admettre une origine
° temporale. Cette localisation diffère de celles trouvées dans des cas cliniques semblables par les observateurs précéde
cataplasmes, et* les boues de Dax sont très efficaces dans de tels cas . , 1 Tic et Paralysie. M. Ballet rapporte le
ces dans de tels cas. , 1 Tic et Paralysie. M. Ballet rapporte le cas d'un homme de soixante-dix ans qui avait un tic
lle soit limitée, ce qui est exceptionnel. Nous en avons observé un cas chez une vieille femme, à la suite d'une attaqu
commun. Sclérose en plaques. M. TOUCIIE montre les coupes d'un cas de sclérose en plaques étendu à tout le névraxe
choréïques sans nystagmus; il insiste sur la coexistence dans ce cas du rire spasmodique avec une destruction complète
e ont pu observer chez des vieilles femmes à la Salpêtrière, quatre cas avec autopsies d'encéphalite SOCIÉTÉS SAVANTES.
M. E. Dupré et Dcvaus. L'observation anatomique et cli- nique de ce cas présente un double intérêt : d'une part elle co
istribution topographique. Mli. II. AIEIGE et Feindel rapportent un cas de tics multiples chez un jeune homme dégénéré
les neurondes. Hémispasme et torticolis. M. 1,lBt\SRY présente un cas d'hémispasme avec torticolis spas- modique chez
sion pédonculaire par tubercule isolé probable. Ils citent aussi un cas d'ophtalmoplégie totale et complète gauche avec
ns, chez un syphilitique. Rapprochant leurs observations des autres cas authentiques, déjà publiés au nombre de la ou 2
e ou d'une dysgénésie du cervelet, lésion toujours absente dans les cas authentiques, comme les auteurs ont pu encore'l
ologique du mal de Pott cancéreux. M. 013ERTII[JR. Dans beaucoup de cas les accidents de com- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' lg9
mes cliniques plaide déjà en faveur de cette manière de voir. Les cas d'évolution peu avancée comme celui présenté ici
comme celui présenté ici sont favorables à la théorie méningée. Ce cas présente en outre des lésions des racines qui p
on des tubes nerveux par les tumeurs épithéliales. ' . Etude d'un cas de paraplégie diabétique. M. G. Marinesco. 11 s
l'altération, qui a déterminé la paraplégie avec step- page dans ce cas , c'est la dégénérescence primitive des nerfs péri
la méthode de Nissl les allures des ganglions rachidiens dans cinq cas de poly- névrite très variables quant à leurs s
contrés dans la cellule radiculaire motrice. M. DUPRÉ rapporte un cas de pachiméningite chez un malade atteint de mén
PSYCHOLOGIE Séance du 18 juin 1901. Présidence de M. Voisin. Deux cas d'incontinence nocturne d'urine guéris en une seu
e, s'est maintenue depuis plusieurs années. M. Paul FA : 1.EZ. Le cas d'incontinence que j'ai récemment rap- porté av
jours et c'est ainsi qu'indirectement j'ai guéri cette anémie. Un cas de rêve obsédant. M. 131lILL01\ présente une je
êtrière. OEdème bleu des hystériques. M. Jules Voisin rapporte un cas d'oedème bleu qui occupait la main, le poignet,
nutes par la suggestion. M. Hikmet (de Constantino,ple) rapporte un cas analogue d'oedème bleu du pied chez une hystéri
ent, soit par le massage, soit par la suggestion. Je me rappelle le cas d'un individu qui, atteint d'anasarque, n'urina
le qu'il aban- donne dénote bien l'état affeclil' typique en pareil cas ; la convic- tion de la mission céleste pour la
érée par les conceptions délirantes. 1\1.. Ballet pro- pose pour le cas de Swedenborg et de ses pareils la dénomination
tablissant les sécrétions. Elles sont alors indiquées dans tous les cas où les troubles men- taux paraissent liés à des
liénés auxquels il sera particulièrement diffi- cile, dans bien des cas , d'inculquer avec la crainte du fléau les notio
s points relatifs a la discussion des asiles. - Lemaistre. Quelques cas d'hystérie anormale chez les en/'ants. Pausol. Co
és. Vallon. Les délires consécutifs ci l'empoisonnement. Noguès. Un cas de spasme de l'oesophage de nature hystérique.
me de l'oesophage de nature hystérique. Martin. Observations sur un cas de torticolis mental. - Pailhas. 1° De la dégén
aractère et des tendances comme seuls prodromes appré- ciables d'un cas de paralysie générale survenu à la suite de l'écr
oolique. L. Marchand. Tumeur cérébelleuse et épilepsie. Il. Cestan. Cas de compression lente de la moelle avec autopsie
rébrale et lé liquide céphalo-rachidien (projections) ; 2° Nouveaux cas de troubles mentaux toxi-infeetieux avec examen
igine otique. Lannuis. Observation de sein hystérique. P. Farez. Un cas de double désuggeslion. 172 varia. Laïcisatio
nion de la société dans la grande salle de l'hôtel de ville, et, en cas de beau temps, dans le jardin. Rapport de l'union
leau statistique dressé déjà par Clopatt en '1888 portant sur 272 cas , nous dispensera de statistiques plus récentes. M
sait M. le D1' Moure, qui voulut bien examiner la petite malade, ce cas représente comme la négation parfaite de la fon
es reconnaître, elle doit les comparer avec le blanc. Dans d'autres cas , le raisonnement est plus compliqué, comme elle
nt fixes, mais l'irrégularité menstruelle est si ordinaire dans les cas de ce genre, qu'on ne peut guère s'en autoriser
les résultats heureux qu'il avait obtenus avec l'ovairine, dans des cas d'hystérie juvénile provoqués de façon analogue
mblyopie avec la menstruation a été déjà signalée. Mendel a cité un cas chez une femme de quarante ans où la cécité sur
la cause directe de.l'amaurose hystérique et rapporte plu- sieurs cas à l'appui de sa thèse; dans l'un d'eux (cas de So
et rapporte plu- sieurs cas à l'appui de sa thèse; dans l'un d'eux ( cas de Sou- quière), qui rappelle assez le nôtre, i
tard, les règles apparurent et l'amaurose s'évanouit. Dans un autre cas (cas d'Amann), il s'agit d'une fille hystérique,
les règles apparurent et l'amaurose s'évanouit. Dans un autre cas ( cas d'Amann), il s'agit d'une fille hystérique, qui à
le tégu- ment externe est insensible M. 1 Cruchet et Aubaret. Un cas de cécité hystérique (Soc. de médecine et de ch
trouve une anesthésie complète du tym- pan5. C'est exactement noire cas , ce qui n'est pas fréquent, d'après tous les au
t aboutir à la surdité complète... mais dans la grande majorité des cas , la surdité hystérique ' Noie pour servira l'hi
es, Gilles de la Tourette 2, etc. De fait, si l'on élimine tous les cas dans lesquels il y avait des troubles auditifs
jusque-là, ne s'était jamais doutée qu'elle fut sourde. Plusieurs cas ont été rapportés : un' par Rabenau 8, un par R
? un par Bourlier 16 avec cécité et mutité; mais parmi ces divers cas , il n'y a que ceux de Walton, Rosenthal, Collet e
dies nerveuses. Gneycl. Léauté, p. 140-41. . « Il est très peu de cas dans lesquels il y ait surdité absolue ». (Briq
witz (p. 78). 0 Id. p. 79. 10 Loc. cil. p. 467 et 468. " Second cas cité par Walton (p. 462). 19 Prseger med. 11Toc
Walton (p. 462). 19 Prseger med. 11Tocltenschl'Îf't, 1880. 13 Un cas de surdité hystérique. (.1fédec. moderne, 1893.)
ême de l'amaurose bilatérale et on peut compter dans la science les cas de cécité hystérique 1 ». Briquet- en rapporte
cience les cas de cécité hystérique 1 ». Briquet- en rapporte trois cas , Mendel3 en a vu deux cas, Dujardin-Beaumetz et
ystérique 1 ». Briquet- en rapporte trois cas, Mendel3 en a vu deux cas , Dujardin-Beaumetz et Abadie '' un cas, Fieuzal
is cas, Mendel3 en a vu deux cas, Dujardin-Beaumetz et Abadie '' un cas , Fieuzal * un cas, Terson 6 un cas, Sevestre un
a vu deux cas, Dujardin-Beaumetz et Abadie '' un cas, Fieuzal * un cas , Terson 6 un cas, Sevestre un cas, Jacobson un
ujardin-Beaumetz et Abadie '' un cas, Fieuzal * un cas, Terson 6 un cas , Sevestre un cas, Jacobson un cas, Saint- Ange
et Abadie '' un cas, Fieuzal * un cas, Terson 6 un cas, Sevestre un cas , Jacobson un cas, Saint- Ange 9 un cas, Marlow
as, Fieuzal * un cas, Terson 6 un cas, Sevestre un cas, Jacobson un cas , Saint- Ange 9 un cas, Marlow 10 un cas, Landou
Terson 6 un cas, Sevestre un cas, Jacobson un cas, Saint- Ange 9 un cas , Marlow 10 un cas, Landouzy lt deux cas, Oppenh
evestre un cas, Jacobson un cas, Saint- Ange 9 un cas, Marlow 10 un cas , Landouzy lt deux cas, Oppenheim U un cas Claib
on un cas, Saint- Ange 9 un cas, Marlow 10 un cas, Landouzy lt deux cas , Oppenheim U un cas Claiborne' 13 un cas, Bourl
ge 9 un cas, Marlow 10 un cas, Landouzy lt deux cas, Oppenheim U un cas Claiborne' 13 un cas, Bourlier11 un cas, Adamuc
0 un cas, Landouzy lt deux cas, Oppenheim U un cas Claiborne' 13 un cas , Bourlier11 un cas, Adamuck 1 : ; un cas, Déjer
lt deux cas, Oppenheim U un cas Claiborne' 13 un cas, Bourlier11 un cas , Adamuck 1 : ; un cas, Déjerine 16 deux cas, ce
U un cas Claiborne' 13 un cas, Bourlier11 un cas, Adamuck 1 : ; un cas , Déjerine 16 deux cas, ce qui porte à une vingt
3 un cas, Bourlier11 un cas, Adamuck 1 : ; un cas, Déjerine 16 deux cas , ce qui porte à une vingtaine de cas le nombre
1 : ; un cas, Déjerine 16 deux cas, ce qui porte à une vingtaine de cas le nombre de cécités complètes hystériques publ
c. cit. 3 Deulsche Zeitchrift sur prakt. Med. 1874, no 47. Un autre cas avec ,T. Lévy : Uebcr hysl. Amaurose. 1890. .
oculaire tendent à démon- trer chez notre sujet : 1° qu'en certains cas , la vision bino- culaire n'existe pas réellemen
tale peut exister, elle existe même, puisqu'on en connaît plusieurs cas e t il nous paraît admissible d'accepter la réa
é ou amaurose complète avec abolition de la vision binoculaire. Les cas de ce genre sont extrême- ment rares, probablem
ire chez quelques stabiques et quelques hystériques, il propos d'un cas d'amallrose mono- culaire hystérique. (Archives
lu nous faire profiter de ces pré- cieux documents. z Mais si ces cas de cécité complète avec absence de la vision bi
us ne croyons pas que ces raisons puissent s'appli- quer à tous les cas . C'est l'opinion de M. Lagrange : « Les observa
. and menl. Diseuses, New-7orl : , 1893 (p..t6t-7t), rapporte trois cas d'amaurose unilatérale chez des femmes de trent
aucoup le plus fréquemment observé; c'est celui qui correspond aux. cas de presque tous les au- teurs : Parinaud, Pitre
a complet; c'est ce qui a eu lieu notamment avec la boîte de Fiées ( cas d'Armaignac) ou avec le prisme (cas de Harlan),
tamment avec la boîte de Fiées (cas d'Armaignac) ou avec le prisme ( cas de Harlan), etc.; c'est ce qui arrive encore lo
oeil, récupère aussitôt la vision de son oeil amblyope (plusieurs cas de M. Badal) etc. 2° Ou bien le réveil de la co
sul- tats différents et contradictoires en apparence, dans quelques cas , que donnent ces expériences... Il n'est même p
uisque le fusionnement des images ne se fait pas). Ainsi, dans le cas de Marthe, la vision est toujours mono- culaire
t les aiguilles de l'horloge en même temps'» ; il cite également un cas analogue observé chez une femme hystérique : c'
s plus haut deviennent très insuffisantes pour s'adapter à tous les cas ; c'est pourquoi, après considéra- tion des fai
totalement inconnus, puisqu'on en rapporte des exemples : dans les cas de Dor 1 et de Landesber la vision est alternan
s). Une observation de persistance de la vision binoculaire dans un cas d'amblyopie monocul. hystérique, Rev. eër. d'ocul
IQUE NERVEUSE. la vision binoculaire, qui semble constante dans ces cas , on se donnait la peine d'examiner les caractèr
inoculaire vraie, mais toujours intermittente et passagère, dans le cas le plus favo- rable. 3e Stade. Un pas de plus
nt rare que les termes de transition soient tous conservés, dans un cas donné, suivant l'ordre que nous venons d'indiqu
certains degrés de passage peuvent ne pas se pro- duire : dans tel cas . il y aura vision simultanée, dans tel autre, vis
ve est certaine dans l'anosmie, l'ageusie, la surdité, que, dans le cas présent, la persistance de la sensibilité visue
les éléments sont souvent si complexes qu'il faut attendre certains cas heu- reux, certaines conditions avantageuses qu
arfois l'étude delapsychologieetde la psychiatrie expérimentale des cas favorables, dont l'étude aide à déterminer le m
sa crainte elle se cramponne à la table pour ne pas tomber, dans le cas où il en serait ainsi. L'histoire pathologiqu
ré, et cette exagération est poussée beaucoup plus loin que dans le cas précédent. Car ici la malade se lève'et essaye
monde, d'hallucinations et d'illusions. Nous-mêmes, qui dans- le cas précédent, lui restions familiers, elle ne nous r
nues. Dans quel cadre clinique placer ce tableau symptomatique ? Ce cas de psy- chiatrie expérimentale pourra de la sor
e en Allemagne et dans laquelle nous devons nous demander, si notre cas ne devrait pas être placé. C'est la pamnoia a
cé. C'est la pamnoia aigue. Sous ce nom les auteurs décrivent des cas , dans lesquels on observe des hallucinations (les
ue contribution à la psy- ' chologie de l'hallucination. 2° Notre cas précise, d'autre part, comme nous l'avons dit p
rines, mais encore par les fèces. L'auteur a observé ce fait dans 4 cas sur 12. Plus qu'à l'état anatomique des reins,
ermiques portant sur la région oculaire, bien que dans ces derniers cas , des aetions plus complexes entrent en jeu. A
z.no. (Riv. di pul. 7zeiv. et ment., 1900, fasc. 4 et 6.) XXXIX. Un cas de porencéphalie; par UacBERro DEGA1'OELLO. (Riv.
tre : mais, au fond, ils ont l'aspect inflammatoire. Le siège en ce cas est plus fréquemment spécial, et alors anatomiq
dans les parties les plus délicates de l'élément nerveux. Dans tout cas de paralysie de Landry, pour l'appréciation des
ossible, les altérations primitives des secondaires. Aussi, dans le cas de dégénération des nerfs périphériques, faudra-
altérations ana- tomiquessont très légères. Cela peut expliquer les cas sine maté- ria, et mieux encore les amélioratio
ou générales des paralysies. Au point de vue technique, dans les cas de paralysie de Landry, surtout à symplômes spi
s transversales, ces états dégénératifs peuvent échapppr ou en tout cas ne se peuvent voir avec tous leurs carac- tères
monte, sur les parties posté- rieures des jambes, et, dans quelques cas même, sur la face antérieure de la jambe. ,u.°
la modification du souvenir ; celui-ci disparait plus vite dans le cas de mauvaise humeur que dans le cas inverse. ' P
i-ci disparait plus vite dans le cas de mauvaise humeur que dans le cas inverse. ' P. KEHAVAL. XLVII. Altérations spina
ana avait publié dans ce même journal (Nov. 1899) un article sur un cas de paralysie agitante, dont il avait fait une é
nnelle de cellules motrices spinales elles-mêmes. De plus, dans les cas avancés, une lésion anatomique peut être consta
qu'on trouve dans les moelles séniles et celles qu'on voit dans le cas de paralysie agitante. Les modifications décrites
modifications comme différentes de celles qu'on rencontre dans les cas sénilité. et que, en conséquence, ils hésitent a
serait bon. puisqu'il y a prolifération de névroglie dans tons les cas de paralysie agitante ceux de Dana et d'Oppenhe
cle dans les cellules nerveuses. FOULARD. XLVtIL autopsie dans un cas d'adipose douloureuse, avec examen microscopiqu
fut déjà décrite cliniquement un certain nombre de fois; dans deux cas l'autopsie fut faite, mais sans examen microsco
ercum, sans émettre une opinion absolue, pense qu'il s'agit dans ce cas d'une hypertrophie compensatrice semblable à ce
landes thyruïdes présentaient des lé-ions évidentes. Ainsi, dans un cas , la glande était « petite, indurée et infiltrée
iltrée de substance calcaire dans les deux lobes », et dans l'autre cas elle était « plus grande que normalement, plus du
) de l'autre côté; d) aucun mouvement des deux côtés (10 p. 100 des cas ) ; e) flexion de tous ou de quelques orteils (g
, avec absence de mouvement de l'autre côté (au moins 10 p. 100 des cas ); /) quel- quefois, chez les individus très sen
des hémiplégiques et diplégiques et avec la même proportion dans le cas de maladies intéressant le faisceau pyramidal ,da
gnostic; 6° Ce réflexe, très exceptionnellement, se montre dans des cas qui, ne sont pas conformes aux types reconnus'
cre ; il est encore mieux de l'empêcher de naître. Dans beaucoup de cas , on connaît aujourd'hui la cause de la maladie.
ique, unique et spécifique, anx dires des uns, prépondérant en tout cas , au dire de tous. Et dès lors, le tabes et la p
yer d'héroïsme contre ce qu'on appelle l'opinion publique. C'est le cas de rappeler le mot de Gaethe : « On ne meurt que
erne, avoir de sensibles résultats ? Ne perdons pas de vue, en tout cas , que ces conseils ne peuvent avoir d'autorité q
sé : « Les savants sont unis à travers le monde. » Tâchons, en tout cas , de contribuer avec honneur à la tâche commune.
st la débâcle urinaire avec hypertoxicité que l'on observe dans les cas de guérison et qui coïncide avec l'atténuation
ux-reeherches de Cristiani en 1898. Cet auteur a examiné dans trois cas de délire aigu l'écorce cérébrale des lobes préfr
es et la présence de bactéries. Rezzonico en 1884, décrivit dans un cas de délire aigu des embolië"s*"de ? microcoques
94, les mêmes auteurs admet- tent qu'on ne trouve pas dans tous les cas de délire aigu le bacille qu'ils ont décrit. Da
ans sept observations qu'ils rapportent, ils trou- vent dans quatre cas le streptocoque pyo; : ène, dans deux cas, le s
ls trou- vent dans quatre cas le streptocoque pyo; : ène, dans deux cas , le staphylocoque doré, et its"en*concrSnt'qu'0
x le bacille particulier qu'ils ont décrit. Rasori en 1893, dans un cas de délire ailu trouve dans le liquide céphato-r
nismes cllm muns. Ceni, en 1897, trouva constamment dans plusieurs cas de délire aiim le staphylocoque pyogène blanc et
ue dans la forme morbide en question. Kolzowsky (1898) signala deux cas de délire aigu d'origine sta- 254 SOCIÉTÉS SAVA
en 1899, viennent confirmer celles de Ceni et Kotzowsky. Dans trois cas de délire aigu, il ne put trou- ver le bacille
re dans lequel IIsTS'onnent trois observations nouvelles. Dans deux cas mortels, ils trouvèrent leur bacille, dans un cas
velles. Dans deux cas mortels, ils trouvèrent leur bacille, dans un cas moins grave des cocci communs, enfin dans un au
on du rapport de M. Carrier. J'ai pu en observer moi-même plusieurs cas personnels. On peut voir de même dans la périod
même encore, on peut n'y trouver aucun microorganisme. Dans deux cas récents que j'ai pu observer, il a été trouvé, da
, etc..., sans qu'il soit possible | de lui reconnaître dans chaque cas des différences nosologiques appréciables. Je d
ntales et dont M. S. Maleit a montré, en 1882, l'efficacité dans un cas de délire aigu. M. BRIAND. Les temps sont chang
rfois par un syndrome d'aspect systématisé de courte durée. Dans le cas par- ticulier, il s'agissait d'une femme à tare
la pathogénie, l'étiologie, sont également différentes suivant les cas . En outre, les délires décrits dans les maladie
z les sujets atteints de délire aigu. Cette prédisposition dans le' cas de délire aigu est d'après lui actionnée surtou
us, il est évident que souvent on a pris pour des délires aigus des cas qui n'étaient pas justiciables de ce diagnostic
exception observé cette complica- tion de l'accès. - Dans un seul cas , celui de Van den P..., l'éruption était généra-
à une violente colère (purpura émotif). ! Nous rapprocherons de ces cas les hémorrhagies de la conjonctive oculaire for
ions au niveau de ces régions, voire même des excoriations, en tout cas une dimi- nution de la résistance de la peau et
es. M. CROco (de Bruxelles), a pu observer un malade analogue aux cas signalés par M. Bourneville. Il s'agit d'un épile
port de M. Rayneau au Congrès de Toulouse, il a observé de nouveaux cas de psy- choses post-opératoires qui rentrent ab
t Ballet. Tumeur cérébelleuse et épilepsie. M. L. Marchand. - Les cas de tumeurs du cervelet non diagnos- tiquées son
décrit dernièrement, par M. Babinski. 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. Deux cas de torticolis mental chez des aliénées, observati
itement de cette affection. M. Etienne MARTIN (de Lyon). Le premier cas est relatif à un dégénéré atteint de délire mél
parait pas aussi modifié et aussi profondément atteint que dans le cas qu'il vient de présenter. Il s'agit de dégénéré
sur sa volonté. L'autre malade observé par M, Martin est dans ce cas . Il s'agit d'un dégénéré interné depuis plusieurs
tive de rééducation musculaire a dû être abandonnée dans ce dernier cas . En somme, le traitement du torticolis mental p
l par l'éducation des mouvements n'est pas applicable dans tous les cas et on aura d'autant plus de chance de réussir q
torticolis mental est en effet curable dans- la grande majorité des cas et les insuccès sont souvent dus à la trop courte
ioration des symptômes mentaux. M. Briand. - J'ai observé plusieurs cas de ce qu'on appelle le torticolis mental et don
t se montrer sous des influences très diverses : j'en ai observé un cas à la suite d'anthrax de la nuque; certains tics
porteurs est celui des dégénérés. M. Lannois (de Lyon) rapporte un cas de torticolis mental chez une jeune fille et do
stée. Depuis la pre- mière observation de M. Régis, une centaine de cas ont été publiés. l'apporte deux cas nouveaux, d
on de M. Régis, une centaine de cas ont été publiés. l'apporte deux cas nouveaux, dont voici le résumé : Ous. I. - P...
qui s'occupe le plus souvent, mais à un travail toujours le même. Cas . II. B..., vingt ans, célibataire, sans professio
oup la plus fréquente dans la P. G. juvénile. M. DEVAY a signalé ce cas surtout parce que ses malades ayant contracté l
t les travaux du De Régis, l'auteur étudie dans une cinquantaine de cas la question importante de la descendance des pa
taminés d'une manière indirecte ou par voie extra-génitale. Dans ce cas , la para- lysie apparaît dans les limites de te
us fréquente, car on la rencontre dans un peu plus de la moitié des cas à toutes les périodes du tabès. Cette analgésie
nalgésie, qui est de recherche facile, pourra servir à éclairer les cas douteux. L'interprétation pathogénétique de cet
-même diffère du délire de culpabilité en ce que le malade, dans ce cas , bibliographie. 281 1 se voit coupable, sans
nt de son étude - admet les divisions proposées par 1\l. Régis : 1° cas où un individu s'accuse d'un crime inexistant ; 2
. Régis : 1° cas où un individu s'accuse d'un crime inexistant ; 2° cas où un individu s'accuse d'un crime réel, mais q
crime réel, mais que de toute évidence il ne peut avoir commis ; 3° cas où un individu s'accuse d'un crime réel et qui
ccuse d'un crime réel et qui peut parfaitement lui être imputé ; 4° cas où un indi- vidu s'accuse d'un délit qu'il a co
eligieux. De son enquête, il apparaît qu'on ne rencontre qu'un seul cas de paralysie générale sur 50 alié- nés, encore
e générale : la syphilis. L'existence'de la syphilis dans plusieurs cas de paralysie générale chez les religieux, où on
sons de faire ici. Nos recherches ont porté sur une cinquantaine de cas environ : dans chacun d'eux, nous nous sommes s
injection poussée à des niveaux et à des profondeurs variables d'un cas à l'autre, tantôt au centre, tantôt à la périph
n peut per- sister dans une analgésie dépassant l'ombilic : dans un cas , le froissement du testicule restait douloureux
e, avec laquelle ils semblent étroitement liés. Cependant dans deux cas , nous avons noté une conser- vation intégrale d
té au contact de ces mêmes régions ; 2° Nous avons constaté dans un cas la conservation du réflexe pupillaire à la doul
baire de cocaïne. Exception doit être faite seulement pour tous les cas de tabès, dans lesquels les réflexes rotuliens et
ne légère turgescence ; jamais l'érection n'a été complète. Dans un cas où elle fut plus intense, on vit s'écouler lent
n aux pieds et aux rotules à la fois. Elle consistait dans certains cas en quelques secousses trépida- toires facilemen
ension forcée im- possible à vaincre. Elle est survenue suivant les cas avec l'exagération des réflexes, avec l'état na
lus lentement, tous les mouvements volon- taires ; 6° Dans tous les cas où elle a été recherchée, la force de résistanc
de la lourdeur des jambes, disaient les malades ; 10° Dans quelques cas , les malades ont présenté une véri- table titub
ales. Phénomènes sécrétoires. - '10 Dans un assez grand nombre de cas , les malades ont présenté des sueurs abondantes.
ralisée d'emblée à tout le corps, mais elle se localisait dans ces cas aux régions supérieures saines, après avoir aban-
oins nombreuses que les précédentes, ont porté sur une quinzaine de cas environ. Les ponctions ont été pratiquées suiva
procédé aujourd'hui classique et il a été soustrait dans chacun des cas une quantité de liquide céphalo-rachidien varia
peu modifiés et quand ils le sont, c'est d'une façon variable d'un cas à l'autre. Les réflexes tendineux (rotu- liens
r une apo- plexie. L'apoplexie fut très peu marquée dans le premier cas , la perte du sentiment n'ayant duré que quelque
d'une excitation mécanique des muscles, de l'émotion. En ce dernier cas se produisent des mouvements forcés, qui change
marqués et même sans modifications pupillaires dans la majorité des cas , des paresthésies visuelles, et un rétrécisseme
insèques du globe oculaire. A cette période, dans la majorité des cas , la pupille est un peu tuméfiée, les bords du d
réci; le champ visuel pour les couleurs dans la grande majorité des cas , est irrégulier et légèrement dentelé dans sa f
talmosco- piques les plus accentuées. POUL,RD. XXXI. Un cinquième cas de paralysie familiale périodique ; par Léo M.
Journal of the médical Sciences, juin 1900.) L'auteur rapporte un cas de paralysie familiale périodique, qui joint au
e l'origine toxique de cette paralysie pério- dique. P. XXXII. Un cas de paralysie de Brown-Séquard ; par Richard-F.
e Ane·ic : cta Journal of the médical Sciences, juillet 1900.) Ce cas de paralysie de Brown-Séquard eut pour cause un c
t après la céphalée. Sa fréquence est très grande (104 fois sur 140 cas , environ 75 p. 100 des cas). La névrite a peu d
quence est très grande (104 fois sur 140 cas, environ 75 p. 100 des cas ). La névrite a peu de valeur comme signe de loc
oreille moyenne. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 303 XXXIV. Un cas d'aphonie hysthérique dans un grand mal épilep-
quefois indépendamment de toute attaque convulsive. Dans ce dernier cas , une forte suggestion suffisait pour rétablir,
suggestion et même l'hypnose. Il n'est pas douteux que beaucoup de cas d'aphonie mis jusqu'ici sur le compte de l'épui
, elle parait atteindre le cerveau dans environ 1 ou 1,5 p. 100 des cas (la démence paralytique et le tabes exclus). Le
s cérébraux d'origine syphilitique apparais- sent dans 12 p. 100 du cas , suivant Hjelmann, et dans 21 p. 100 des cas, s
sent dans 12 p. 100 du cas, suivant Hjelmann, et dans 21 p. 100 des cas , suivant Fournier, de syphilis tertiaire. Combi
echerches de l'auteur ont porté sur 10 malades : dans 40 p. 100 des cas il y avait paralysie des muscles oculaires; dans
upilles ; et dans 50 p. 100 de l'atrophie du nerf optique. Dans 6 cas sur 10, on a noté la coexistence de plusieurs lés
0, on a noté la coexistence de plusieurs lésions oculaires : dans 2 cas , on a constaté une lacrymation abondante, et da
es : dans 2 cas, on a constaté une lacrymation abondante, et dans 1 cas du nystagmus. Le reste du mémoire est consacré à
ciaux de la seule grande cause déterminante, la suggestion. Dans le cas de traumatisme psychique, c'est en dernière ana
qu'ils sont assez souvent des signes de névrose, et que beaucoup de cas d'hys- térie ou de neurasthésie chez les adulte
les adultes ont eu dans l'enfance un début insidieux. Dans bien des cas aussi, l'hérédité joue un rôle, direct ou indir
u' travail et surtout de la vie el du milieu scolaires que dans les cas vraiment sérieux. R. DE \lUSGR : 1'E-CL : 11'.
aiment sérieux. R. DE \lUSGR : 1'E-CL : 11'. XXXIX. Relation d'un cas de tumeur du cervelet avec écoulement - de liqu
ptôme isolé peut attester son origine hystérique : c'est souvent le cas pour ces anesthésies à géographie bizarre, qui
t que, par exemple, à Philadelphie, il est rare de rencon- trer des cas présentant les quatre périodes décrites par les a
névrite palustre ; par BorwT. (Revue de Médecine, - mai 1901.) Un cas de polynévrite dû au paludisme. Le début par doul
Devay viennent aug- menter le nombre progressivement croissant des cas de paralysie générale juvénile qui, aujourd'hui
, qu'il s'agissait bien réellement. de paralysie générale. Dans les cas de M. Devay, la syphilis héréditaire se retrouve,
é sur ce point pour y revenir encore. Mais je relève aussi dans ces cas l'existence de la tuberculose, ce qui m'amène à
tes d'une enceinte fortifiée. Tel semble avoir été entre autres, le cas du petit village d'Ambialet, jadis place forte
cation de M. Pailhas et lui adresser de vives félicitations. . Un cas de paralysie générale à début anormal ; par M.
actures dans chacune d'entre elles. IV. Dans la grande majorité des cas , il existe un rapport étroit entre l'état des r
ans sa distribution topographique, ni dans sa nature. dans tous les cas où on peut l'observer. Tout d'abord elle varie
ivement et exclusivement cortical. D'autre part, nous possédons des cas de destruction complète du faisceau pyramidal s
idal. J'apporte en collaboration avec le pro- fesseur Raymond, deux cas de tumeur du quatrième segment t dorsal, ayant
de déter- miner la contracture, mais je puis dire que dans ces deux cas , les faisceaux pyramidaux ont complètement disp
grave valeur diagnostique : peut-être permettront-ils dans certains cas , de différencier les tabes des pseudotabes poly
réflexes. MM. L. Marchand et Cl. VURPAS. L'observation de plusieurs cas cliniques ont engagé les auteurs à entreprendre
les conditions de production des réflexes. C'est en parliculier le cas d'une jeune fille paralytique générale et tabét
du pied en SOCIÉTÉS SAVANTES. 32U 9 avant. Faut-il dire dans ces cas que les réflexes n'existent pas ; 2° on remarqu
chez les différents sujets tient peut-être à ce que dans le premier cas le muscle est tiraillé suivant la longueur même
ant des tumeurs gazeuses survenues' chez des névropathes. Dans deux cas , il y a eu intervention opératoire. Nous aurons
servations relatives à des paralytiques généraux. Dans le premier cas , il s'agit d'un paralytique général, dont le di
neville, Dupré, et Briand z M. Bourneville a rappelé que, outre les cas d'urémie et d'apo- plexie cérébrale, accompagné
Jofl'roy l'a dit, il a signalé une hypothermie très notable dans un cas de refroidissement durant l'hiver de 1870, un a
un cas de refroidissement durant l'hiver de 1870, un autre, dans un cas d'ivresse comateuse, tous deux consignés dans l
me nerveux, nous n'avons relevé la syphilis des parents que dans 20 cas , soit 1 p. 100. Nous interrogeons les parents à
Sur 482 filles atteintes des mêmes maladies, nous n'avons que deux cas de syphilis héréditaire avouée. La pro- portion
susceptibles d'être rattachées à la syphilis héréditaire. De ces 19 cas , une seule fois nous avons relevé la syphilis c
nsidérations nous paraissent expliquer le nombre très restreint des cas d'idiotie susceptibles d'être rattachés à 1'lié
ique nous ont engagé à faire un relevé aussi exact que possible des cas de maladies nerveuses de l'enfance que nous ven
t. dût SOCIETES SAVANTES. Au point de vue des « professions » ces cas se répartissent ainsi : SOCIÉTÉS SAVANTES. 33t5
on qu'il convient d'en faire peut ser- vir utilement, dans certains cas , à la prophylaxie intellectuelle. Le soir a eu
ades avant d'avoir des obsessions précises. En outre, dans certains cas d'obsession, les symptômes émotifs précèdent et
sme entre l'intensité de l'émotion et son expression. Dans bien des cas , il parait évident que l'émotion n'est qu'une c
avaux=. .. Je me bornerai à en indiquer quelques-unes : 1° Dans les cas 1 E. Régis. Manuel pratique de médecine mentale
ieux indiquer ce qui se passe dans l'obsession. · ' 3° Il est des cas enfin où l'on voit la maladie partir de l'angoiss
la peur seule de rougir. Les choses peuvent en rester là et dans ce cas , il y a phobie sans idée obsédante. Mais certai
ubles mentaux plus ou moins accen- tués. On constate que, dans cinq cas , les cellules ont conservé le type normal, ce q
ndante de l'organe soit appréciable à nos investigations. Dans sept cas , au contraire, les cellules sont mani- festemen
e altération présente exactement les mêmes caractères dans tous les cas . Nous avons, dans des publi- cations antérieure
c'est qu'en réunissant ainsi, dans une étude d'ensemble, ces divers cas aux- quels nous venons de faire allusion, nous
rique peuvent réaliser, paraissent devoir être rencontrées dans les cas où une toxi-infection, quels qu'en soient la na
bre 1898. - Sur les lésions cellulaires corticales observées dans G cas de troubles mentaux toxi-infectieux. Revue neur
vol., Ruef, éd., Paris). Importance des lésions hépatiques dans les cas de délire au cours des maladies infectieuses (C
e leur enlève rien de leur valeur ni de leur importance. , - Deux cas de troubles mentaux loxi-infeclicux avec examen
1. L.\IGXEL Lavastine, interne des hôpitaux de Paris, rapporte deux cas de troubles mentaux toxi-infectieux avec lésions
· rachi-cocuïrzisulion sous -arachnoïdienne. 1\1. MARCHAND. Dans 4 cas sur 5 de douleurs tabétiques, l'as- pirine nous
l'exalgine dans l'arsenal thérapeutique du neurologiste. Dans deux cas de crises gastriques violentes, nous avons eu r
ients d'aucune sorte consécutivement à l'injection. Dans le premier cas le malade souf- frait depuis quinze jours et fu
. 343 de reprise de douleurs depuis, trois semaines. Dans le second cas . un vomissement léger suivit l'injection, la do
ent ses indications. Nous croyons qu'il faudra la réserver pour les cas , très peu fréquents, où l'on se trouvera en .prés
incapable de suivre un tracé. (Nous avons plusieurs enfants dans ce cas ). La mémoire, des plus fugitives, fait oublier
e s'est pas démentie depuis trois ans. Réflexions. Il résulte de ce cas , dont nous n'avons donné ici qu'un simple résum
n- trer. Astoso-basophie. AL11. Dura et DELARUE rapportent sept cas d'astoso-basophobie. Ils distinguent trois form
79. Si l'on fait le pourcentage on obtient ainsi 29 p. 100 dans les cas normaux, 47,9 p. 100 en alié- nation mentale.
r 1\I1. Bérillon, l'aul lllaâniu, Baraduc et Lionel Dauriac. Deux cas de vomissements incoercibles guéris par suggestio
espèce d'alimentation et ne tarde pas à engraisser. ' Le deuxième cas est celui d'une femme de trente-cinq ans, mère
males, mais encore faire de l'orthopédie mentale et morale dans les cas suivants : troubles du caractère, mensonge, klept
udo-cyr'ossesses pur suggestion (crainte ou désir de maternité). Le cas de la reine Voga participe à la fois de l'une et
ipe à la fois de l'une et de l'autre de ces classifications. Deux cas de silophobie obstinée chez des aliénés. Dr Gin
nai- SOCIÉTÉS, SAVANTES. 339 rement pas5agère; mais dans certains cas , tels que ceux dont l'auteur présente l'observa
te raison toujours plus rebelle. La suggestion hypnotique dans un cas d'éclamj)51e puerpérale. AI. Lu Menant des rapp
dans un cas d'éclamj)51e puerpérale. AI. Lu Menant des rapporte un cas d'éclampsie puerpé- rale dans lequel la suggest
autre. Ces suggestions criminelles semblent possibles dans quelques cas ; elles ont pu être réalisées en laboratoire et s
de Nancy, la suggestion à l'état de veille est utile dans certains cas , elle n'est d'ailleurs souvent qu'une forme d'h
ervices auxiliaires aux agents physiques et mécaniques. Mais chaque cas doit inspirer des modifications particulières,
tare puisque Michelson et Axenfeld ont rapporté, le premier trois cas et le second un relatifs à des sujets vigoureux e
convient donc d'éli- miner ces 14 aliénés et ne tabler que sur 312 cas . Ils nous fournissent le tableau suivant : RÉ
s cette fusion nous trouvons que sur 359 sujets M. Féré a relevé 94 cas de dermographie d'intensité variable, ce qui fo
réaction normale, elle se montre encore chez eux dans un quart des cas , puisque sur 672 malades examinés à Bicêtre et
ce sur 19 alcooliques n'ont rencontré 394 CLINIQUE MENTALE. aucun cas de dermographie. Mais nous n'avons plus aucun b
is catégories d'aliénés nous trouvons 92 sujets qui ont présenté 12 cas de dermographie, soit une proportion de z13 p.
icêtre. Pour les vieillards chez lesquels nous n'avons trouvé aucun cas de dermographie, ils ne figurent pas dans le ta
e les convulsifs, il n'a trouvé, avons-nous dit plus haut, que deux cas de dermo- graphie au degré excessif, un chez un
z les aliénés, les auteurs ont été frappés de ce fait que, dans les cas de mélancolie aiguë au début, la pression artérie
que le malade passe de l'état aigu à l'état subaigu. Dans tous les cas aigus, on a trouvé les réllexes cutanés très ac
sur la conduite du malade. En somme, il semble que la majorité des cas de mélancolie suive une marche définie avant de
encontre la glycosurie, le ur Bond l'a constatée onze fois dans 114 cas récents de mélancolie, tandis qu'il ne l'a pas re
lancolie, tandis qu'il ne l'a pas rencontrée une seule fois~dans 82 cas récents de manie. On a avancé que l'épi- lepsie
te beaucoup à faire, et jusqu'à ce que nous ayons rencontré plus de cas présentant des lésions tabétiformes définies, n
culaires internes con- sidérée comme caractère dominant dans treize cas d'idiotie, sans faire de distinction entre les
nant dans treize cas d'idiotie, sans faire de distinction entre les cas où il y avait de la paralysie et ceux où il n'e
la paralysie et ceux où il n'en existait pas. Il divise ces treize cas en trois groupes, dont les deux premiers ne com
en trois groupes, dont les deux premiers ne comprennent qu'un seul cas : le cas du premier groupe, déjà publié ailleur
groupes, dont les deux premiers ne comprennent qu'un seul cas : le cas du premier groupe, déjà publié ailleurs par l'aut
le cas du premier groupe, déjà publié ailleurs par l'auteur est un cas de mydriase alternant avec des réactions pupillai
ment de mauvais augure : mais on devra pourtant se souvenir dans ce cas que la mydriase alternante se rencontre dans la
se compose lui aussi d'une, observation solitaire : il s'agit d'un cas de paresse pupillaire transitoire, associée il
l'objet du présent mémoire. Enfin le troisième groupe comprend onze cas dont l'auteur rapporte les observations résumée
s filles, dont l'âge variait de sept à quinze ans. Neuf étaient des cas de paralysie cérébrale infantile, et dans tous le
étaient des cas de paralysie cérébrale infantile, et dans tous les cas , sauf trois, l'insuffisance mentale remontait il
laires, presque toujours, et monoculaires une seule fois : dans les cas binoculaires, on a constaté : 1° la perte total
nombreux : mais on est frappé de ce fait que, en analysant les onze cas dont REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 411 il s'ag
être écartée avec quelque vraisemblance. Dans la majeure partie des cas où cette hérédité est admissible ou pro- bable,
sque nous rencontrons la syphilis des parents, dans la majorité des cas de démence précoce avec altération des réaction
nts, l'insuffisance ou la perte de la réaction pupillaire, dans les cas d'affaiblissement mental infantile, doit nécessai
rpentier. Le mémoire se termine par quelques considérations sur les cas , au nombre de six, où l'autopsie a été pratiquée.
ntrer dans les périodes avancées de la paralysie générale : un seul cas était un cas de syphilis cérébrale. R. de MU5Gl
s périodes avancées de la paralysie générale : un seul cas était un cas de syphilis cérébrale. R. de MU5Gl\.\\'E-CL\Y.
Gl\.\\'E-CL\Y. Xi. Emphysème du tissu aréolaire sous cutané dans un cas de mélancolie avec stupeur; par Thomas-Philip C
sations sont différentes dans la mélancolie et dans la manie, et en cas de réponse affirmative, où siègent les altérati
at de dissolution du système nerveux, la réduction, dans-le premier cas (mélancolie) se fait le long des lignes sensori
des lignes sensorielles de l'arc nerveux réflexe, et dans le second cas (manie) le long des lignes motrices. Et après l'e
dans la mélancolie; en effet, il y a un groupe assez bien défini de cas de mélancolie qui se terminent ordinairement et
entales ou convul- sives. L'auteur toutefois n'a vu que très peu de cas de folie primi- tive de la puberté : presque to
aboutit à la démence. L'apparition des crises épileptiques dans les cas de manie ou de mélancolie ayant déjà une certaine
épilepsie se présente alors souvent sous la forme de petit mal. Ces cas se ter- minent par la démence. L'auteur termine
ve et « difficile. » - Il. de MUSGRA'yE-CLAY. XXIV. Notes sur 206 cas consécutifs de manie aiguë traités sans le seco
nal o/' Olentcal Science, janvier 1900 ) Voici le détail de ces 206 cas qui comprennent 29 récidives : guérisons, 171 ;
ques eux-mêmes, est certainement coupable de l'éclosion de bien des cas d'hystérie. Un esprit bien équilibré subit, plu
éplorable : augmenter le salaire des serviteurs et leur assurer, en cas de bons services, une retraite pour leur vieill
, est de la moitié du traitement. Une indemnité proportionnelle, en cas d'infirmités, est accordée après dix ans d'exer
irement insuffisant, si l'on tient compte surtout des absences, des cas de maladie, des vacances, etc. Il propose la ré
me il est dit dans les asiles de la Seine, avec cette réserve qu'en cas de décès la moitié de l'in- demnité de l'ayant
BRIAND l'ait observer qu'on doit faire en sorte que l'on puisse en cas de nécessité se débarrasser de vieux employés qui
si la chose est rendue nécessaire par les particularités de chaque cas ; 3° D'après une enquête faite dans les asiles r
t exclusivement attribué au gouverneur, afin d'assurer, pour chaque cas individuellement, une enquête complète ; 5° L
ne permet pas de la faire subir à tous dans la même séance; dans ce cas , les questions sont rédigées par le jury chaque j
ue leur population est plus dense et plus élevée. La proportion des cas aigus exigeant une admission d'urgence, est en
itions sociales; ces derniers facteurs augmentant la proportion des cas aigus nécessitant une hospitalisation immédiate
écessitant une hospitalisation immédiate. ' 2° Cette catégorie de cas aigus dont la proportion, est beau- coup moins
rovincial. Le transfèrement peut avoir lieu plus tôt s'il s'agit de cas chroniques. Pour des villes plus con- sidérable
ant de prudence que d'expérience, elle ne devra servir que dans les cas où il y aurait à combattre des tares originelle
arés impropres au service militaire. On a relevé dans la moitié des cas l'existence chez les ascendants de tares hérédi
100 n'ont pu terminer leur instruction primaire. Dans un tiers des cas 446 VARIA. on a noté des arrêts de développem
es sujets examinés sont des buveurs d'habitude ; dans 60 p. 100 des cas on a constaté l'alcoolisme chronique. Le plus s
ais état des reins ou même d'une néphrite méconnue et dans certains cas le délire aigu n'est, à la lettre, qu'une folie
qu'elle relève de l'urémie latente, et tel nous paraît avoir été le cas de notre malade. ASILES D/ALIÉNÉS. Le pavillo
s des aliénistes et neurologisles, La Roclrelle, 1893.) Note sur un cas de folie urémique consécutif Ii un 1'étl'écisse
ans pour un service modèle, elles sont trop restreintes et en tout cas très éloignées de la salle d'opération. Elles se
tance psychologique. C'est Guislain 1, qui le premier a décrit des cas semblables dans sa leçon sur la « folie », sans
it plusieurs pas en avant puis en arrière. En général dans tous ces cas , les malades ne peuvent pas dire au juste pourq
pour ne pas compromettre un ami en parlant. Ce mutisme en pareil cas est véritablement un acte stéréotypé. 5° Stéréo
t. Le langage écrit comprend l'écriture et le dessin. Dans les deux cas , nous allons rencontrer des stéréotypies divers
un certain nombre qui sont en rapport avec le délire. Tel est le cas d'un malade du service de M. Séglas. S... Antoi
éfendre contre l'attaque de l'esprit du mail ». Enfin, dans quelque cas l'écriture stéréotypée est complè- tement modif
ite pour expliquer l'acte. Cette théorie peut suffire dans certains cas pour interpréter quelques stéréo- typies. Dans
pre- mière théorie. Mais, d'une part, dans la grande majorité dés cas , elle est manifestement insuffisante ; d'autre pa
plus tard. - Yoilà comment se produisent les stéréotypies dans les cas typiques de délires systématiques 2. 1 F. Iia
inder a déjà signalé avant lui la dégénérescence dans 70 p. 100 des cas . Mais dire que le cerveau est congénitalement fai
complète. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES. 493 Tel est le cas par exemple du délire des négations systé- mati
que de ceux [qui ont assisté à l'évolution du délire ». Tel est le cas d'un malade du service, qui réalise bien le typ
pour le faire manger. Les stéréotypies pouvant se produire dans les cas oit il y a de l'affaiblissement psychique, on n
u doute (bien que le CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STERÉOTYPIES. 499 cas soit assez rare), lorsque la maladie dure déjà de
voient surtout dans les délires systématiques, évoluant dans ces cas parallèlement au délire. Mais on peut les rencont
idée délirante cons- ciente ou subconsciente. Mais, dans le premier cas , il est rare qu'ils aient la longue durée des s
are qu'ils aient la longue durée des stéréotypies; et dans les deux cas , ils ne ressemblent pas comme forme aux mouve-
tes hypothèses, le diagnostic est très facile. Voici maintenant des cas où il est déjà plus difficile. Un paralytique g
cuisse avec sa main. S'agit-il de stéréotypies dans ces différents cas ? Oui, dit Ricci, qui place le grincement de de
'accès (épilepsie procursive par exemple). Mais évidemment dans ces cas on ne peut pas dire qu'il s'agit de stéréotypie
u sens ou nous avons défini le mot. On peut pourtant citer quelques cas plus voisins des stéréotypies. Tel est le suiva
is « J'écaille mon poisson ». Il nous suffira de rappeler en pareil cas l'obnubi- lation de la conscience propre à tous
certain. Notre unique but est de consigner dans ces notes quelques cas intéressants, peu ou pas connus, antérieurs au
echerché dans les auteurs du XVIe, du hvli° et du XVIIIe siècle les cas que l'on peut rattacher au mutisme hystérique.
are, d'après M. Gilles de la Tou- rette qui dit à ce propos : « Les cas ^de surdi-mutité hystéri- que sont peu nombreux
utité hystéri- que sont peu nombreux puisque Lemoine, qui ignore le cas de Mendel, paraît n'en avoir pas rencontré dans
remarquable par la durée du mutisme qui est de quatorze années. Les cas de mutisme les plus prolongés cités par les aut
es des curieux de la nature, ans IX et X, 1678 et 1679, relatent un cas de mutisme hystérique inter- mittent remarquabl
ciences contient un certain nombre de faits du même genre. Voici un cas intéressant datant de 1700. - Une fille, âgé de
principa- lement si elle se promenait au frais, mais enfin dans ce cas -là même, elle en était quitte pour prendre deux
conduisit plus tard son fils à employer le même traitement dans le cas suivant. Le résultat fut également excellent, e
t de sa propre voix pour rendre grâce à Dieu2. N'est-ce pas là un cas semblable à celui de Bateman : un malade, aphasiq
11 semble assez vraisemblable que nous sommes ici en présence d'un. cas de mutisme hystérique occasionné par l'accouche
e pourvoyeuse des cures imprévues et extraordinaires. Même dans les cas qui paraissent les plus invétérés, une émotion
une joie peuvent provoquer tout à coup la guérison. » A propos du cas de Jean Mafurlin observé au xx° siècle, il n'es
eau à pneumocoques ; par BOJ,4FT. (Revue de Médecine, 1901.) Deux cas d'abcès du cerveau avec pneumocoques l'un consécu
neumocoques l'un consécutif à une broncho-pneumonie, l'autre est un cas de méningite avec abcès central, consécutive à
516 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. de nombreux cas observés par l'auteur, à des foyers lacunaires
rosses affections en foyers, il nous reste pour sujets d'études des cas aigus qui représentent la pluralité des observati
strées par la méthode de Marchi ne se sont rencontrées que dans les cas les plus graves, dans les formes les plus aiguë
à la direction des recherches de l'avenir. Il faut soumettre chaque cas au plus grand nombre de méthodes de recherches
Ces angiomes ne sont pas communs, et l'auteur n'en connaît que sept cas dans le cerveau.,Les remarques de l'auteur sur ce
insi : l'état curieux des vaisseaux de la pie-mère, observé dans le cas actuel et dans celui de M. Beadles, ainsi que le
bservé dans le cas actuel et dans celui de M. Beadles, ainsi que le cas de Starr et Mac Cosh où les membranes seules étai
hlmacher que cet état débute par les membranes molles; mais dans le cas actuel comme dans celui du D' Beadles, le sang
umatique, et il est intéressant de remarquer que dans plusieurs des cas connus d'angiome du cerveau, on note dans les a
on note dans les antécédents une lésion de la tête, et que, dans le cas actuel il y avait une hémiplégie antérieure, en
ouble de la circulation cérébrale. R. DE MusGRAVE-CLAY. LXIII. Deux cas de leptoméningite ; par J.-O. W AKELIN BARRATT.
ATT. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) Dans ces deux cas on a pu étudier non seulement les états his- to
térieures à l'apparition de la leptoméningite finale. Dans ces deux cas la leptoméningite n'a pu être reconnue pendant
s difficile. Les particularités les plus intéressantes de* ces deux cas sont fournies et résumées de la manière suivante
nt de fourneau de pipe en terre. - Il. DE AlUSGRAVE-CLAY. LXV. Un cas de gliome du corps calleux; par C. Mahel BLACKWOO
ut daus un état semi-comateux, sans avoir eu de convul- sions. Ce cas montre le caractère vague des 'symptômes dans le
l- sions. Ce cas montre le caractère vague des 'symptômes dans le cas de tumeur du corps calleux, et, par suite, les
pouvons par conséquent qu'indiquer. R. M. C. LXVIII. Relation d'un cas de névrite faciale associée à une névrite ' rét
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. laire. Sur ces huit cas , l'auteur a trouvé le clonus rotulien six fois
géré verbalement et suivant les indications particulières de chaque cas . G. D. LXXV. Réflexes tendineux et réflexes cut
sterien, disparaissent avant les réflexes tendineux. Dans plusieurs cas les réflexes tendineux non seulement n'étaient
ogie, 1900, n° 24.) . De l'examen attentif d'un certain nombre de cas de lésions du cerveau et de la moelle, M. Van G
ER. (The New Yorls Médical Journal, 21 juillet 1900.) Si, dans un cas d'hystérie, du type actif ou convulsif, on admi-
EUTIQUE. 531 réduire les doses plus ou moins rapidement suivant les cas . Quand on les réduit rapidement, il est bon de
ut à fait dernière- ment, de l'atrophie simple du nerf optique. Les cas sont peu nom- breux, mais les résultats ont été
isons anato- miques sur lesquelles il appuie cette opinion. Dans 32 cas de maladie de Basedow traités par l'excision il
edow traités par l'excision il a eu : guérison dans 28,1 p. 100 des cas ; amélioration marquée dans 80 p. 100; insuccès
ganglion sympathique cervical supérieur est indiquée dans tous les cas de glaucome, où ' elle a pour résultat d'abolir
eux ganglions sympa- thiques cervicaux supérieurs constitue dans le cas de glaucome, d'atrophie simple du nerf optique,
intervention chirurgicale net- tement définie, et donnant dans les cas appropriés des résultats positifs. R. DE Musgra
rte medica, 1899, n° 40.) , Courte revue critique à l'occasion d'un cas observé par l'auteur. L'examen électrique a mon
ifications qualitatives à la réaction. De la critique de son propre cas et de l'étude au diagnostic différentiel, l'auteu
esthésie il s'agit vraisemblablement d'une névrite périphérique. Le cas guérit à la suite de quelques applications à to
, les osse- lets et les muscles. G. UENY. 1 XII. Traitement des cas récents de folie; par C.-I. l3una. (The amerieu
médecin doit, en remontant dans les antécédents, assigner à chaque cas d'excitation ou de dépression, sa place noso- g
hyroïdien. Revue des résultats obtenus dans le trai- tement de 4032 cas de folie; par William MABON et Warren L. BABMCK
empruntés à des périodiques anglais; un autre tableau analysant G1 cas , une feuille de poids et des heures de sommeil,
ons suivantes : 1° La dose d'extrait à donner dépend entièrement du cas indivi- duel. Dans quelques cas, 25 grains, tro
rait à donner dépend entièrement du cas indivi- duel. Dans quelques cas , 25 grains, trois fois par jour peuvent être né
mêmes résultats peuvent être obtenus de l'usage de 5 grains. Chaque cas doit être à lui-même sa loi; 2° Il est essentie
es plus favorables du traitement thyroïdien sont à espérer dans les cas de manie aiguë et de mélancolie avec accès prol
uisque nous avons trouvé que la température maxima moyenne dans les cas recueil- lis sur des hommes était de 9906; 7° L
upport de l'opinion publique éclairée; 5° Une grande proportion des cas de folie ont leur source dans des condi- tions
nt graduellement complétés. M. Magnan rappelle que, dans certains cas , le diagnostic d'al- cooliques chroniques avec
L'auteur termine son mémoire par une étude d'ensemble de tous les cas de folie non myxoedémateuse dans lesquels, pour d
ivité, absurdité, répréhensibilité) est dans l'immense majorité des cas , sous la , dépendance de l'affaiblissement spéc
ns. L'examen micrographique prouva qu'il s'agissait réellement d'un cas de paralysie générale juvénile. L'observation
faiblesse intellectuelle progressa. Il ne s'agissait davantage d'un cas de démence épileptique bien que la malade ait e
s de la méningite tubercu- leuse. , 542 SOCIÉTÉS SAVANTES. · Un cas de gliome cérébral. M. ViGouRoux rapporte une a
cérébral. M. ViGouRoux rapporte une autre observation relative à un cas de gliome cérébral l'amenant-aux remarques suiv
compréhensible, s'occupe raisonnablement. Il voudrait savoir si ces cas sont fréquents. 112. DupkiN répond qu'il observ
opsie fit découvrir une tumeur du cervelet. M. Colin a observé un cas analogue chez une jeune fille, sujette à de vio
llé de la question, je puis signaler dès maintenant que ce sont les cas suraigus qui sont les plus justi- ciables de la
les de la méthode. A titre de curiosité, je veux cependant citer le cas d'une déli- rante chronique chez laquelle les t
, n° 2.) L'auteur a appliqué la suspension dans le traitement de 37 cas 544 BIBLIOGRAPHIE. des différentes affections
Adipose douloureuse, par Achard et Laubry, 57. Autopsie dans un cas d ? par Dercum, 128. Affaire WaldsteIn à Prague
monoculaire chez une jeune fille, par Veasev, 150. Amnésie. Un cas d'- continue consécutif à une tentativt de sui-
du - à pneumocoques, par Itecroly, 515. - Cervelet. Relation d'un cas de tumeur du -, par Mac Caskev, 308. CIiROM
évroglie, pd ! ' 1\0- bertson, 520. llrnno-w;urso-cmttouerose. Un cas de , par llauslialter, 41. Désintégration. De
yers lacu- naires de -, par P. Malle, 515. Diabétique. Etude d'un cas de para- lysie -, par Marinesco, 1 ;'9. Ecorc
368. Thérapeutique de la , par Sainsbury, S3 : t. Traitement des cas récents de , par Burr, 534. Fou. Odyssée d'un
IÈRES. noyaux des nerfs moteurs, par Whitehead, 529. Gliome. Un cas de - cérébral, par Vigouroux, 542. Glycosurie
maladies ner- veuses, par Damliewsky, 532. LEPT03fÉNINf,ITE. Deux cas de -, par Barratt, 521. Liquide. Ecoulement p
ie. Théorie relative à la mélan- colie et à la , par Turner. 411. Cas de traités sans médica- tion sédative, par Hitc
te, par Nonne, 227. - fami- liale périodique, par Crafts, 301. Un cas de - de Buown Sequard, par Woods, 302. Par \l
el de la -, par Pitres et Abadie, 28'J. I'Ol ? E\CI.PH 1LIE. Un cas de -, par Deganello, 223. Professions. Influe
par lllotschoutlcowslci, 118. Testament. Exécution d'un dans un cas d'hémiplégie avec aphasie, par Edmunüs, 45. T
brocq, 535. Tic et paralysie, par Ballet, 154. Torticolis. Deux cas de mental chez les aliénés, par E. Martin, 27
29 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
Leipzig, 1895. xiv 1 2 JOUKOWSKY tologique du cerveau dans les cas d'hémianopsie, ne se rencontre pas souvent. D
rencontre pas souvent. Dans cette communication il s'agit de deux cas d'hémianopsie déter- minés par la destruction d
déter- minés par la destruction de la région cortico-visuelle. Ces cas ont été mis à ma disposition par mon maître, M.
rection, que je faisais l'examen histolo- gique des cerveaux. l°r Cas . - Un vieillard, qui pendant son séjour à l'hospi
par une mince Fig. 1 bIS. Hémisphère droit, face interne. Fig. 2. Cas I. P, pariétale. 0, occipitale. Fus, fusiforme.
e inféro-postérieure des couches systiques (Fig. 4). Fig. 3 et 4. - Cas I. - P, pariétale ascendante. - 0, occipitale. Fu
moelle donna des résultats négatifs. L'étude histologique de ces cas nous a montré, que la lésion était loca- lisée
esquels on remarque la formation de tissu conjonctif. Ainsi dans ce cas nous avons eu une lésion exclusivement de l'appar
nopsie d'origine centrale non compliqué d'autres symptômes. Le 2e cas est aussi celui d'un vieillard, qui n'avait pas d
ance blanche du gyrus marginalis est complètement détruite. Fig. 5. Cas II. - Hémisphère droit, face interne. ANATOMIE
es fron- tales, colorées par les mêmes méthodes que dans le premier cas . Je vais dé- crire d'abord les altérations micr
t la substance blanche est détruite presque complètement. Fig. 6. Cas II. - C, cunéus. - K, fissure calcarine. lg, lo
nche de la deuxième circonvolution temporale,de la deuxième Fig. 7. Cas H ? P, pariétale. - T, tem- porale. - Fus, fusi
ction des fibres à myéline et une légère sclérose. Dans ce second cas , ainsi que nous l'avons vu, il s'agissait d'une p
ibresdu faisceau longitudinal inférieur,surtout dans leur Fig. 8. - Cas II. - P, pariétale. - T, temporale. - Fus, fusi
sule interne. L'hémianopsie double, que nous avons observée dans ce cas , était déterminée, par conséquent, par la destruc
la cécité verbale avec agraphie totale, qui accompa- gnait dans ce cas l'hémianopsie, doit être attribué au ramollisseme
on détermine le phénomène de la cécité verbale. L'étude de ces deux cas confirme les résultats des recherches d'autres
lgré la grande étendue de la lésion du lobe occipital dans les deux cas , nous n'avons observé ni dans le faisceau de Grat
dégénérescence proprement dite, bien que la lésion dans le premier cas fût très ancienne. On pouvait observer seulement
ans leur voisinage immédiat. Par conséquent, il s'agissait dans ces cas d'une lésion surplace de ce faisceau et non pas
NIQUE MÉDICALE DE BUDAPEST (CLINIQUE DE nI. LE Pr JENDRASSIK). UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT
: la malade ne peut pas siffler, elle ne peut pas gon- Fig. 1. UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 13
e la phona- nation. ' La participation des nerfs crâniens dans ce cas est la suivante : L'abaissement de la paupière
t de la paupière gauche supérieure, c'est-à-dire la faiblesse de UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 15
générescence, la participation des nerfs crâniens rapprochent notre cas de ce syndrome, mais la différence de l'évoluti
le village ne pourrait être sérieusement mise en rapport avec notre cas ; malgré les renseignements insuffisants, l'on ne
- dre les symptômes décrits avec une paralysie postdiphtérique. Ces cas s'améliorent rapidement et celui de Alaignault,
solution étiologique. Selon 1\'1. Jendràssik (1), qui a observé trois cas de ce genre, une certaine dégénérescence hérédi
tota- lement de ceux que nous avons vus chez notre malade. Dans ce cas il ne s'agit pas d'accès d'épuisement variable,
ômes inaccoutumés, qui rendent difficile la classification de notre cas , et lui donnent quelque intérêt sont les suivants
entres supérieurs.. , (1) A belgyogyaszat kézikoenyve, Vol. 6. UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT 17
ningite, laquelle s'étend quel- quefois sur le bulbe. , Parmi les cas de poliomyélite, avec symptômes bulbaires, on n'e
, avec symptômes bulbaires, on n'en trouve pas de semblable à notre cas . Les observations de Medin (1) à l'oc- casion d
n d'une épidémie de poliomyélite en 1887 à Stockholm contiennent 17 cas , dans lesquels se trouve signalée une complicatio
les noyaux de ces nerfs étaient affectés. Ensuite il faut noter les cas semblables rapportés par Lamy et par Ganghoffner,
'autopsie ; Dauber (2) a aussi fait une communication rela- tive au cas d'un enfant de 8 mois et demi dont la maladie com
de petits foyers d'inflammation. Le même travail, fait mention d'un cas de Roger, dans lequel la poliomyélite s'é- tend
la poliomyélite s'é- tendit sur le noyau du trijumeau et d'un autre cas de Drexler, qui cons- tata un processus inflamm
erveau d'un chien à côté d'une poliomyélite. Mais dans aucun de ces cas il n'est pas question de trouble de la sensibil
e ces cas il n'est pas question de trouble de la sensibilité. Les cas qui nous semblent plus rapprochés du nôtre sont l
e pro- duisit. L'auteur conclut à une myélite bulbaire, il cite son cas . comme une localisation anormale de la poliomyé
ite aiguë' des enfants. ' Quincke a présenté dans son cours le même cas comme une poliomyé- lite des noyaux bulbaires,
e de la réaction électrique restée normale. Brauer (2) mentionne un cas semblable d'un enfant de 11 mois, dont la malad
tes d'une encéphalite aiguë d'une localisation supra-nucléaire. Les cas de Hoppe-Se) le ! ' et Brauer sont très analogues
Brauer sont très analogues au mien. Il s'a- git dans tous ces trois cas des restes d'une inflammation guérie avec perte
as atteints. Le fait, que les lèvres et les ailes du nez dans notre cas , la langue et le voile du palais dans celui de
alite des enfants. En outre les troubles de la sensibilité dans notre cas et dans celui de Hoppe-Seyler prouvent, que le
autre part l'existence des troubles sensitifs prouvent que dans ces cas il ne peut être question d'un processus analogu
fants, au contraire il nous semble très vraisemblable, que dans les cas appartenant à cette catégorie il s'agit d'une m
s d'une façon satisfaisante. Nous avons eu l'occasion d'observer un cas de kyste parasitaire du cer- veau, causé par le
t tuméfié, sphérique et peu coloré. En résumé, on remarque dans ces cas , deux aspects différents des cellules pyramidal
la moelle épinière, nous n'y avons rien trouvé d'anormal. Si les cas de kystes à échinocoques du cerveau rapportés dan
siégeant autour des artères temporales. Lancisi (1709) rapporte des cas de kystes du cerveau ; Bianchi (1749) signale dan
res organes n'est pas encore nettement établi. D. Thomas, sur 2.000 cas de kystes hydatiques de différentes ré- gions,
n trouve dans le cerveau une proportion de 4 0/0. Da- vaine sur 376 cas n'en rencontre que 22 dans le cerveau, Cobbold 16
cas n'en rencontre que 22 dans le cerveau, Cobbold 16 fois sur 136 cas , Neisser 68 fois dans 900 cas, Madelung 1 fois su
s le cerveau, Cobbold 16 fois sur 136 cas, Neisser 68 fois dans 900 cas , Madelung 1 fois sur 196, Fin- sen d'Islande 4
900 cas, Madelung 1 fois sur 196, Fin- sen d'Islande 4 fois sur 255 cas . Quant à leur fréquence par rapport aux autres
aux autres tumeurs cérébrales,-la statistique de Haie White sur 100 cas de tumeur encéphalique, mentionne 4 kystes (san
s hydatiques sur 480 tumeurs, celle d'Allen Starr 30 kystes sur 300 cas chez des enfants au-dessous de 19 ans, enfin Pa
vec ses quatre oscules et sa cour.onne de crochets. » Dans un autre cas , Grasset trouve 9 petits kystes gélatineux dans c
et analogue aux oeufs de certains helminthes. Ducamp, rapportant un cas observé par lui, écrit : « La poche examinée au
e de Flammarion, a rencontré des cro- chets. Rabot a trouvé dans un cas une tête d'échinocoque. Remarquons de suite que
trouve dans, le cerveau tant de l'hommequedes animaux, en dehors de cas debotriocépbaleadmis par Kûhn de Saint-Pétersbo
ndeur. Morgan, a cependant relevé sur 40 observations complètes, 10 cas de kystes de cette nature dans les lobes cérébr
otubérance. La vésicule était unique dans notre observation, or les cas de vésicules multiples et pluriloculaires sont
nt difficilement, ou même une fois formées se détruisent ; dans ces cas l'échinocoque au lieu de donner naissance à des
- lement à la région occipitale. La durée en est variable ; dans un cas d'Odile, elle aurait été de trois ans, d'autres
et Budd rapportés par Ililton Fagge (environ 40 ans) ; on a vu des cas d'hydatides du cerveau évoluant en 10 ans (Har-
rogressive. La mort subite est. fréquente et Szczypiorski cite deux cas de terminai- son de ce genre de kystes hydatiqu
rganes. C'est ainsi que Szczy- piorski parle d'une éruption dans un cas d'hydatide du cerveau. Gries- nard signale une
arlatine pendant l'évolution d'un kyste du crâne. Rabot relatant un cas de kyste du cerveau parle d'une éruption indéte
riasis (Thompson), d'une roséole (James). Achard rapporte plusieurs cas où la mort suivit une ponction, ou un traumatis
lus grave. KYSTES PARASITAIRES DU CERVEAU 27 Clémenceau a cité un cas unique dans la science de guérison spontanée pa
e signe pourrait, d'après lui, servir pour établir le diagnostic de cas analogues, il propose d'aus- culter la tête et
onnant lieu à aucun symptôme morbide ; à plus forte raison dans les cas plus fréquents de parasites res- tant de taille
yant amené pendant la vie aucun phénomène morbide. Grasset, cite un cas analogue. Sur 56 cas d'hydati- des du cerveau s
vie aucun phénomène morbide. Grasset, cite un cas analogue. Sur 56 cas d'hydati- des du cerveau signalés dans la thèse
vidus qui ont succombé à des lésions très di- verses. C'est dans 36 cas seulement que la mort a été réellement due à l'
veau, des hydatides dans d'autres or- ganes et Kuchenmeister sur 88 cas d'hydatides du cerveau n'en a trouvé que 11 foi
omme sont assez fréquentes et d'après Leudet il y en aurait plus de cas à Rouen qu'à Paris (46 fois sur 280 au- topsies
n Amérique et dans l'Inde. C'est en Islande et en Australie que les cas de kyste de cette nature développés dans les di
servé 41 fois chez l'homme et 45 fois chez la femme. Finsen sur 255 cas , l'a trouvé 74 fois chez l'homme et 181 fois ch
du parasite qui agit lui- même comme corps étranger. Graham cite un cas de ce genre. Les trau- matismes de la tête peuv
e consé- cutive à un traumatisme ; Babinski et Vulpian ont pour des cas d'hydati- des cérébrales observé des faits anal
UX, DE GOTHARD ET RICHE curative. Auvray, dans sa thèse,rapporte 16 cas d'ouverture du crâne pour kyste hydatique du ce
rès Flammarion, la trépanation explo- ratrice est indiquée dans les cas diagnostiqués : méningite tuberculeuse, lorsque
-rachidien, guérison. Progrès méd., 1899. BRALLT ET LoEpEn. - Trois cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique,
Archives général, de méd., mars 1900. Riche et de Gothahd. - Deux cas de kyste parasitaire du cerveau dus au ténia echi
2, 1890. llOPlT,1 L AN DlI¿IL (SERVICE DE M. LE D' MATHIEU). UN CAS DE LADRERIE CÉRÉBRALE PAR MM. LÉOPOLD LÉVI ET
AIRE Ancien interne lauréat des hôpitaux Externe des hôpitaux Les cas de ladrerie cérébrale, tout en n'étant pas except
renseignements particuliers. C'est à ce titre que nous publions le cas suivant observé dans le service de notre excellen
? '. pour que nous puissions mettre en doute son existence. r UN CAS DE LADRERIE CÉRÉBRALE 33 Dans la pensée que les
e la malade, que nous avions prévenue, dès le début, de la gravité du cas croyant l'enfant guérie, voulut lui faire regag
rance. Fig. 3. - Deux cysticerques appendus à une artériole. UN CAS DE LADRERIE CÉRÉBRALE 35 En le comprimant entre
t de nouveau au voisinage de la membrane propre. En résumé, notre cas concerne une jeune fille de 17 ans chez qui a évo
Dans les statistiques des hôpitaux d'Erlangen et de Dresde, sur 34 cas , 21 fois ils se rencontraient dans le cerveau. Su
sion de tout autre organe (1866). Plus tard Kuchenmeister réunit 88 cas de cysticerques cérébraux. Bastrocchi, Clémenceau
asi- tes, dont 22 dans les méninges et 89 dans les centres. Dans le cas qui s'est offert à notre étude, le nombre des c
à la façon des l' haltères ; nous avons de même signalé dans notre cas que les kystes étaient appendus soit par unité,
hez notre malade dans la protubérance, et dans le pédoncule. i UN CAS DE LADRERIE CÉRÉBRALE 37 Une question fort inté
37 Une question fort intéressante qui se pose à propos de tous les cas , et qui mériterait d'être tranchée dans l'espèc
t que les oeufs du tænia pénètrent par le tube digestif, et dans ce cas il y a, soit auto-infestation de la part d'un s
s devons insister sur quelques i faits particuliers. - Dans notre cas tout d'abord le nombre des symptômes fut très lim
nstatés à l'autopsie. Il n'y aurait pas de symptômes dans les 2/3 des cas de parasitisme cérébral (Clémenceau). , Il es
issions per- mettent de comprendre la latence absolue dans d'autres cas analogues. Il y a lieu de signaler encore l'abs
s caractérisé. Dès le premier examen nous écartons l'hypothèse d'un cas de surdité verbale, ou de surdité due à l'inatt
nc nous prononcer sur l'existence de troubles agraphiques ; en tout cas signalons ce fait qu'il exis- tait un kyste dan
emaines. La fréquence des phénomènes d'excitation corticale dans le cas d'hydatides du cerveau a été signalée par Gries
t ne leur est pas im- putable. Le cerveau, ainsi que dans plusieurs cas de Kuchenmeister, était le seul organe atteint
uche (disposition conforme, comme on sait, à la loi générale, dans le cas d'ankylose à la troisième période de la coxalgi
ffection médullaire ou névritique. On a pu incriminer dans quelques cas une arthrite, tuber- culeuse par exemple; cette
ns. Quant au genu recurvatum par contracture du quadriceps fémoral ( cas de Gérard Marchand) (3), il ne ressemble en rien
tte extrémité osseuse, aboutissant à la coudure de celle-ci : notre cas s'en distingue fa- cilement par l'absence de to
rches, les seuls travaux publiés sur la question. . Dans tous les cas étudiés par ces auteurs, la déformation siégeait
n de localisation sur un membre ou sur l'autre, l'étude de tous les cas connus actuellement, permet encore de dé- gager
compagnée d'effacement du creux poplité : cette déviation, dans les cas auxquels nous faisons allusion, est toujours très
pédie, t899, p. 432, fig. V (Judson) ; - 1898, p. 384, fig. 4 (Pho- cas ) ; 1895, p. 195, fig. 4 (Calot). 56 GASNE ET CO
t dans la nature différente des faits observés, un grand nombre des cas de M. Campenon relevant, comme nous l'avons mon
l'examen clinique, concorde avec celui-ci sur ce point. - Tous les cas connus se rapportent à un genu recurvatum fiasque
quelques mouvements de latéralité que la palpation décèle facilement ( cas de Campenon, Potel, le nôtre). Enfin l'intégr
vraiment peu commune. Mais il ne faut pas oublier que dans cinq des cas rapportés par M. Cam- penon, l'emploi d'un appa
de disparaître, continue d'exister et s'exagère. Bien plus, dans le cas de notre malade,.où la lésion siège sur le membre
ns des faits signalés, elle est incapable de s'appliquer à tous les cas . Ainsi, chez notre malade, aucune, des explicat
erminer d'une façon précise l'attitude de la hanche. Les deux seuls cas que nous connaissions (celui de Marty et le nôtre
re malade en est un exemple remarquable. Nous avons vu qu'en pareil cas , la cause de la déformation ne peut être qu'un al
une mobilité articulaire beaucoup plus exagérée encore que dans les cas de Faure et Frenkel, ils fournissent donc un ap
nfini de variations. , Quelques médecins modernes ont dans quelques cas employé le même procédé qu'Hermippus. Le gran
mourants et même les cadavres. Les médecins ont observé de nombreux cas de ée genre ; Borelli, Tackius racontent des ré
uvements complexes, non connus et non décomposés, savoir dégager de cas multiples l'attitude caractéristique et toujours
ntionnels (chaînes, démon volti- geant,'troupeau de porcs). Dans un cas cependant, nous avons trouvé un effort, vers la
es ne présentent rien de particulier (voir figure L). Dans les deux cas , le malade est, comme toujours, reproduit une sec
s hystériques ; on croyait ainsi « enchaîner le démon », ou en tous cas lui faire subir une géhenne humiliante et pénible
é qui a pu être analysée jusque dans ses premiers stades, grâce aux cas où les eschares ou l'infection urinaire ont provo
ous publions ici. Entre autres particularités intéres- santes de'ce cas , la diminution remarquable du volume de la moelle
és en coupes fines après inclusion dans la paraffine. L'étude de ce cas comprend : 1° Le relevé topographique des lésio
ETUDE histologique DES lésions. 1. Méninges. La dure-mère, dans ce cas , est absolument indemne, et il n'y a en aucun p
ement inflammatoire produit par les lésions péri-vas- culaires ? Le cas actuel-ne se prête guère à cette recherche qui ne
e recherche qui ne peut être profitable que si elle s'adresse à des cas récents. Ici au contraire la maladie a duré prè
succès thérapeutiques on a pu enregistrer dans un certain nombre de cas . Il est vraisemblable qu'il existe à cette périod
s grand nombre de segments. Il est donc possible que, dans quelques cas , la syphilis spinale n'agisse que par une dimin
ns le spina bifida, j'ai eu l'occasion d'observer quelques nouveaux cas qui encore une fois me confirment que les diffor-
x nous pou- vons éclaircir le mécanisme même de cette difformité. Cas I. - Sur la photographie n° 1 (Pl XI) est représe
n cervicale de la moelle et de la partie du bulbe rachidien dans un cas d'ouverture de la colonne vertébrale dans sa pa
e dans sa partie inférieure, correspondent à la valvule de Tarin. Cas II. - Sur la photographie n° 3 est donnée la vue
e l'ouverture de la colonne vertébrale. Tableau analogue à celui du cas I. Le cervelet est mal développé dans sa partie
re qui passe directement dans la moelle allongée. - Dans ces deux cas nous observons : 1° le prolongement extraordinair
rçoit seulement, quand nous soulevons un peu le cervelet ; dans nos cas il est tellement abaissé, qu'on l'aperçoit dans l
ert en haut par le cervelet dans toute son étendue et dans nos deux cas la partie abaissée du 4° ventricule est couverte
d'une membrane contenant la valvule de Tarin. 4° Enfin dans ces deux cas nous remarquons le manque de développement du l
s remarquons le manque de développement du lobe médian du cervelet. Cas III. - Même tableau (Phot. 4 PI. XI) : le vermis
a moelle allongée, la- 120 SOLOVTZOFF quelle, comme dans les deux cas précédents, se dirige vers la moelle épi- nière
verte par les membranes épaissies qui recouvrent le 4e ventricule. Cas IV. - Ici la moelle allongée n'est pas suspendue
sa partie postérieure. Pareil épaississement de la moelle, dans ce cas , comme dans les précédents, se produisait aux d
pas de la moelle épinière, mais reste directement liée avec elle. CAS V. - Dans ce cas non seulement nous ne voyons pas
épinière, mais reste directement liée avec elle. CAS V. - Dans ce cas non seulement nous ne voyons pas, que sur la mo
ation de la partie postérieure de la moelle allongée, comme dans le cas précédent, et pourtant la moelle dans la région
qui ne dépend pas seulement delà partie postérieure comme dans les cas précédents. Ce déplacement de toute la moelle all
ption du tableau macroscopique passons à un examen microscopique. CAS 1. Planche XII Phot. 6. - Plus haut qu'à la p
est formée de deux moitiés. Avant de continuer la description de ce cas , essayons de nous orienter dans le tableau que
et comme la partie dorsale de la moelle allongée est placée dans ce cas en arrière des cordons postérieurs de la moelle é
DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 127 L'intérêt de ce cas , entre autres, consiste en ceci, qu'ici les moiti
ro-latéral. Oulre cela, il faut remarquer que les pyramides dans ce cas se réduisent à un faisceau pyramidal antérieur ;
Après cette courte digression passons à la suite de l'examen de ce cas . Planche XIV Phot. 18. - L'olive inférieure d
déjà sur la coupe des noyaux dentelés. Cela s'explique : dans notre cas , à cause de l'allongement du 4e ventricule, la
de la première tribu de sa classifica- tion des monstres. C'est un cas de ce genre que nous avons eu l'occasion d'obse
eaux, d'où le nom de pléromélie que l'on pourrait appliquer dans ce cas d'hémimélie. Les avant-bras paraissent d'autant
de reconnaître des traces de cubitus, comme il en existait dans le cas rapporté par 111dI. llloucbet et Vail- lant (1)
nne une ressemblance éloignée avec (1) A. VIOUCIIET et Vaillant, Un cas d'hémimélie avec radiographie. Bull. de la Soc.
la soudure du premier métacarpien avec le trapèze modifié. Dans ce cas l'os du carpe corres- pondrait seulement au sca
sition intéressante, qui rappelle celle que l'on rencontre dans des cas de doigts surnuméraires. L'os qui s'articule avec
nt appuyer contre la partie supérieure du sternum. Ainsi, dans le cas que nous venons de rapporter, il n'existe de malf
mlnel sur les malformations des mem- bres (1), nous avons trouvé un cas (cas XI, p. 18), qui présente les plus grandes
sur les malformations des mem- bres (1), nous avons trouvé un cas ( cas XI, p. 18), qui présente les plus grandes resse
oite, de notre ectromélien. Kummel donne cette observation comme un cas atypique d'absence du radius ; il la palpation
aissaient être des pouces, il nous semble bien plus probable que le cas correspond ainsi que le nôtre à l'absence du cu
re que l'absence du radius ; Kummel, en effet, n'a pu réunir que 13 cas de la première contre 67 de la seconde. Voici r
Voici résumées, d'après lui, les altérations accompagnant dans ces cas l'absence du cubitus et l'indication des autres
né et du 5° orteil ; tibia incurvé ; pied-bot varus. X. - KUMMEL, cas V, 1895 (4). - Enfant mâle de 6 mois. - La moitié
re inférieur, du même côté, absence partielle du péroné. A ces 13 cas nous pourrions en ajouter deux autres publiés dep
. XVIIIO Congr., 1889, I, p. 76. (8) Mouchet A. et Vaillant Cn., Un cas d'hémimélie avec radiographie. Bull. de la Soc.
té par une tige fibreuse renfermant quelques noyaux osseux. L'autre cas a été publié par Pagenstecher (1) ; il concerne u
grandes variétés, comme le montrent les indica- tions sommaires des cas précédents. Du côté de la main on remarque le p
u radius. Dans le travail de Kûm- mel on peut voir figurés quelques cas de ces dernières. Un cas aussi est figuré, d'ap
de Kûm- mel on peut voir figurés quelques cas de ces dernières. Un cas aussi est figuré, d'après une pièce du musée Du
Bou- vier sur la main-bote (1). Personnellement nous avons vu deux cas sem- blables, l'un chez une jeune fille de 19 a
t par les quatre derniers doigts ; nous ne pouvons dis- poser de ce cas qui a été adressé de la consultation de chirurgie
chainement publié. Nous reproduisons ici la radiographie de l'autre cas que nous avons vu chez une enfant de 9 ans présen
voir aussi la disposition de la main par rapport à l'avant-bras. Ce cas répond bien au type des, déformations accompagn
sence du radius. Kummel, avonsrnous vu, a réuni dans son travail G7 cas d'absence du radius. On y pourrait ajouter quel
G7 cas d'absence du radius. On y pourrait ajouter quelques-uns des cas rapportés par Bouvier dans l'article que nous a
main-bote. Les difformités du membre supérieur, observées dans ces cas , présentent beaucoup moins de variétés que les
nt beaucoup moins de variétés que les difformités observées dansles cas d'absence du cubitus ; elles diffèrent beaucoup
temps dans d'autres régions du corps, pour un certain nombre de ces cas , se ressemblent davantage entre elles que ne le f
e font les difformités analogues, accompagnent aussi ,dans certains cas , les malforma- tions par absence du cubitus.
ageux pour l'étude et pour la compréhension des faits de réunir les cas plus ou moins semblables en groupes dans lesquels
peut servir d'un pré- cieux guide. Suivant cette classification le cas dont nous avons rapporté l'observation rentrera
de partie. C'est dans cette division que l'on peut faire rentrer le cas de notre sujet. Pour plus de clarté dans le gro
r le cas de notre sujet. Pour plus de clarté dans le groupement des cas d'hémimélie il nous semble que l'on pourrait en
membre inférieur, mais nous aurons plus spécialement en vue ici les cas d'hémimélie du membre supé- rieur. Dans le pr
5 rudimentaires de ceux-ci. Un exemple de ce genre est donné par le cas rapporté par M. Gasne dans cette Iconographie (
, hémimèles par absence de la tige ou rayon cubi- tal, rentrent les cas semblables au sujet de notre observation et les d
x défauts de leurs membres. Comme exemples nous pourrions citer les cas rappelés par I. G. Saint-Hilaire dans son trait
appelés par I. G. Saint-Hilaire dans son traité de tératologie : le cas du phocomèle observé par Duméril ; celui observ
cas du phocomèle observé par Duméril ; celui observé par Dumas : le cas d'un ectromèle, dont l'adresse a été plusieurs
aire lui-même, qui, suivant les expressions de cet (1) G. GASNE, Un cas d'hémimélie chez un fils de syphilitique. Nouv. I
ormation ; deux seulement ont été jumeaux, circonstance qui dans le cas présent ne nous paraît pas avoir grande importanc
a fécondation ; en faveur de cette opinion on peut faire valoir les cas où ces anomalies et malformations ont été trans
té transmises par hérédité; on en a cité des exemples pour quelques cas d'ectromélie et d'ectrodactylie. Pour quelques au
; il ne peut pas être plus question de régression atavique dans ce cas d'absence du cubitus que dans des cas d'absence
e régression atavique dans ce cas d'absence du cubitus que dans des cas d'absence du radius où l'aspect est complètement
ganes mater- nels), elles seraient d'origine exogène. Dans quelques cas d'ectrodactylie, d'hémimélie et même d'ectromél
ence de doigts rudimentaires, comme il en existe souvent en pareils cas , peut s'expliquer par un nouveau bourgeon- neme
ès complet développement. On a toutefois opposé à cette opinion des cas où les parties existantes étaient assez complèt
s ne croyons pas que cette objection permette de repousser dans ces cas l'action d'une compres- sion ou d'une constrict
es ; dans ces Conditions on a pu (1) BunN F., et CII.IILLOUS M., Un cas d'hémimélie. La Presse médicale, 19 août 1896,
ait la multiplicité et la symétrie observées assez souvent dans ces cas de malformations ; cette symétrie existait no-
et une symétrie assez grande on* d'ailleurs été signalées dans des cas bien établis d'amputations congénitales. Pour
A côté de malformations pardéfautil existerait donc, aussi dans ce cas , des mal- formations analogues à celles dites p
et comme actuellement nous avons l'occasion d'en observer plusieurs cas , nous pensons faire oeuvre utile en étudiant ic
épétition continuelle du même mouvement. Après avoirétudié quelques cas typiques de ces affections, nous en discuterons
a pathogénie, l'étiologie, le pronostic et le traitement. Comme les cas de crampes et de paralysies des écrivains sont tr
particulièrement intéressante, car elle dénote sûre- ment, dans ce cas , des lésions dégénératives des nerfs moteurs de c
sive, qui commence, comme on le sait, par le pouce. Mais dans aucun cas , cette dernière affection ne s'accompagne de tr
habituellement les affections nerveuses pro- fessionnelles. Dans le cas présent, on peut facilement l'expliquer par la pr
ion complète ' de son affection. , Observation II. Notre second cas concerne une jeune femme de 28 ans, brodeuse à la
oter l'action. La meilleure façon d'utiliser l'électricité dans ces cas est l'emploi du bain électrique. Dans le fond d'u
n traitement approprié.-Cependant, il faut avouer qu'aucun des deux cas précédents ne nous laisse grand espoir de complèt
stigation étaient plus parfaits, on pourrait la noter dans tous les cas où la paralysie est flaccide. En tout cas, son ap
it la noter dans tous les cas où la paralysie est flaccide. En tout cas , son apparition jette un jour nouveau sur la lo
position particulière qu'il sera difficile de combattre. Ces quatre cas sont des exemples typiques de ces affections nerv
le membre. E. Dans les débuts, et au cours du plus grand nombre des cas , on n'ob- serve aucune altération apparente de
s'accompagner (['atrophie et le spasme d'hypertrophie. Le plus beau cas d'hypertrophie qu'il nous a été donné d'observer,
et II sont au contraire des exemples d'atrophie. Dans ces derniers cas , existent aussi quelques modifications des réac
de circonstances variables. A notre avis, il y a toujours dans les cas de paralysie, un léger degré de réaction de dégén
es, hémiplégie à début lent, sclérose en plaque. Mais dans tous ces cas on peut se convaincre par un examen attentif qu
la raideur survenant quand elles ont écrit très longtemps; mais ces cas ne rentrent pas dans notre cadre. La pathogén
affections nerveuses professionnelles est encore très obscure ; les cas que nous venons d'étudier peuvent nous aider, nou
es modifications de-la contractilité électrique, observées dans nos cas I et IL Théoriquement la lésion ne peut être loca
le malade de continuer ses occupations ; aussi, dans la pluralité des cas , la maladie en reste-t-elle à ce stade (stade d
sie flaccide et atrophique que nous ne constatons que dans deux des cas précités. Pourquoi ne pas alors raisonner par ana
ine mesure, à de l'hypertrophie. C'est ce qui s'est produit dans le cas de la crampe des écrivains rapporté plus haut.
es I et Il : elles sont probablement irrévocablement détruites. Les cas de gué- rison peuvent néanmoins facilement s'ex
sez peu marqué pour passer inaperçu. C'est ainsi que, dans certains cas , l'affec- tion peut arriver rapidement à la par
lement forte que tout travail est rendu impossible. Dans ce dernier cas , l'affection en restera à ce stade, à moins que
éthode est plus importante que la durée du travail. Dans cer- tains cas , on rencontre une prédisposition nerveuse hérédit
nd rôle dans l'étiologie. Celle-ci est très marquée dans nos quatre cas . Parmi les prédispositions héréditaires, il faut
re l'anémie et ses complications, la syphilis, et, dans beaucoup de cas , )'inf ! uenza.Une<o.renn'6,provenantdes tro
e a été livré à lui-môme sans suivre de traitement. Dans nos quatre cas , la maladie durait depuis longtemps, aussi le p
se manifeste sous l'influence de tous les mouvements du membre. Les cas les plus graves sont ceux qui s'accompagnent de
triques, ce qui indique toujours une lésion définitive du nerf. Des cas que nous avons étudiés ici, le moins avancé est
à ne pas réveiller le spasme. Il est à remarquer que dans tous les cas de crampes des écrivains soumis à noire observati
lle est bien dirigée. Ce traitement semble surtout réussir dans les cas où la crampe des écrivains semble principale- m
yosciamine contre le tremblement et quelquefois au chloral dans les cas graves. Lorsqu'on est appelé à traiter la paral
traiter toules les causes prédisposantes. L'amélioration dans notre cas de crampe des télégraphistes semhle due en part
et ALBERT DEVA A propos de l'histoire clinique et nécroptique d'un cas d'endothéliome méningé, dont nous avons déjà co
teur, ou chercher le fil de son discours, qui s'achève, suivant les cas , en quelques soupirs sonores ou dans un sourire
z notre malade, a été un état que l'on rencontre souvent, en pareil cas , et qui est, pour ainsi dire, la note psychopat
cellules s'écarter pour laisser la place à un globe. Dans d'autres cas on les retrouve contre les cloisons. Mais c'est s
doit être un de ces globes non atteint par la coupe. Dans certains cas enfin, on trouve, au milieu des lobes, des espa
ces néoplasmes, tantôt par une zone assez étendue comme dans notre cas , tantôt par un pédicule plus ou moins volumineu
olumineux au centre du protoplasma. Ces corps peuvent dans certains cas présenter plusieurs noyaux à leur intérieur ; ce
cellules fusiformes, ni cellules embryonnaires. Il conserve dans ce cas le nom d'épithéliome, à cause de l'absence de g
englobe par un ciment probable, mais n'ayant de charpente en aucun cas ; elle se rapproche surtout des sarcomes par l'a
es ont été envahies par un proces- sus dégénératif, mais dans aucun cas , on ne peut constater la présence de paroi véri
héliomes des méninges, mais à ceux de toutes les séreuses. En lotit cas si l'endothéliome a une individualité hien spécia
ges, du testicule, de la plèvre; la tumeur varie dans chacun de ces cas , contrairement à ce qui se passe pour les sarco
. A côté de la dégénérescence graisseuse, il est toute une série de cas où le noyau présente des vacuoles, tandis que le
aisseaux dure-mériens et, comme nous l'avons dit plus haut, dans ce cas il s'agit de modifications d'abord prolifératives
centriques. La substance qui envahit la cellule peut, dans quelques cas , se conglo- mérer sous forme de grains, sortir
nvier; mais ils ne le conçoivent pas de la même manière. Dans notre cas , nous nous rattachons à l'opinion des auteurs f
on aspect normal et n'est que légèrement gonflé. Mais dans d'autres cas , son nucléole n'existe plus, tout le noyau se t
cale, 1891. (3) Ballet, Lésions de l'écorce et de la moelle dans un cas de démence, Presse médi- cale, 1897. 200 DUPR
e l'atrophie de la cellule et sa disparition complète ». Dans notre cas , comme dans l'immense majorité des observations o
est en droit de conclure à la cause réelle des lésions. Dans notre cas ,le cerveau était soumis à une forte com- pressi
lie la présence de noyaux entourant les cellules nerveuses dans des cas de méningites et d'encéphalites. De même Lugaro
enteuse et l'éruption bromique est la plus com- mune. Dans d'autres cas plus rares on trouvera des troubles cutanés plus
a vaso-dilatation cutanée. Au total, nous avions au maximum dans ce cas les conditions qui ont été indiquées par Barthé
ves générales de médecine, juillet 1898. (3) Peut-être est-ce à des cas de ce genre qu'a eu affaire le Dr LvosTON qui pré
ns la production du dermographisme par le mécanisme indiqué pour le cas précédent. Mais je crois superflu d'insister su
de l'accommodation, de la miction et de la vaso-constriction, tous cas neurones étant restés à un état assez voisin de l
et de l'hystérie, ainsi que l'anesthésie dou- loureuse et aussi Je cas de notre malade, qui présente de l'hyperalgésie e
ion spéciale. Cette coloration se fonce naturellement dans tous les cas où le sang afflue à la peau (effort, froid, chaud
ut s'expri- mer ainsi. Nous nous proposons d'étudier aujourd'hui un cas de la deu- xième catégorie. Dans la description
st amenée à faire des hypothèses plus ou moins compliquées, en tout cas toujours très nom- breuses, qui cadrent d'aille
it le plus souvent d'images vi- suelles mentales ; si dans certains cas , la malade présente ce qu'il semble, des halluc
atiques ou conscientes. " 248 VASCHIDE ET VURPAS VI Bref, notre cas présente une histoire clinique assez claire pour
peut être l'origine de phénomènes pathologiques spéciaux dont notre cas est un exemple. Un délire par introspection peu
anisme du raisonnement et de la psychologie de l'induction. Notre cas (et en parlant de lui nous pensons à un grand nom
eur de la Maison des Enfants trouvés et de la Maternité à Moscou. Cas II (PI. XXVIII). Immédiatement au niveau de l'o
amides et derrière elles la couche du ruban de Reil. Comparant ce cas avec le précédent, nous voyons que la grande diff
la grande diffé- rence entre eux consiste en ce que dans le premier cas le 4e ventricule s'est abaissé beaucoup plus qu
cas le 4e ventricule s'est abaissé beaucoup plus que dans le second cas . Encore tout au com- mencement, quand seulement
ement commençait à se montrer sur la moelle épi- nière, dans le le' cas , la partie abaissée du bulbe, à son bord supérieu
respondant au plancher du 4e ven- tricule (Phot. 6). Dans le second cas le 4c ventricule est bien moins élargi et seule
nt dans la région supérieure, mais dans celui-ci comme dans l'autre cas , la partie postérieure de la moelle allongée s'es
forme la coupe du ruban de Reil, et en avant d'elle, dans le second cas , l'entrecroisement des pyramides ; dans le prem
ns le second cas, l'entrecroisement des pyramides ; dans le premier cas , par la raison que les pyramides sont disposées s
ux et leur entrecroisement n'existe pas (Phot. 25). Dans le premier cas , ainsi que dans le second, outre la dislocation d
cervelet se trouve déjà à son plein développement et dans nos deux cas , par suite de l'allongement vers le bas du 4e v
artie inférieure est couvert seulement par les seules enveloppes. Cas III (PI. XXIX). Phot. 28. A ce niveau commence
ont déjà disparu, nons ne trouvons pas l'asymétrie. Comme dans les cas précédents, grâce au déplacement de la moelle a
rouver. En ce qui concerne la structure du cervelet, comme dans les cas précédents, les deux hémisphères se rapprochent e
émisphères du cervelet, son lobe médian n'étant pas développé. Ce cas se distingue des cas précédents. Déjà à l'oeil nu
t, son lobe médian n'étant pas développé. Ce cas se distingue des cas précédents. Déjà à l'oeil nu (Phot. 4) on 260 S
oitiés, bien que le caractère en soit analogue, comme dans les deux cas pré- cédents.Les cordons postérieurs de la moel
se placent entre les faisceaux fondamentaux du cordon antérieur. Ce cas est encore intéressant parce que les pyramides so
es pyramides sont placées seulement dans un des cordons latéraux. Cas IV (PI. XXX). Contrairement il ce qu'on a vu da
. Cas IV (PI. XXX). Contrairement il ce qu'on a vu dans les trois cas précédents nous ne trouvons pas ici que sur la
la moelle épinière etde l'allongée sont analogues à ceux des trois cas précédents, mais ils sont plus faiblement indiqué
ite la partie dorsale des cordons latéraux. Ainsi, comme dans les cas précédents, la moelle est partagée en deux moi-
ocation de la moelle allongée pas si fortement indiquée que dans le cas IL Phot. 39. La moelle est formée de deux moiti
ation postérieure. Ce ta- bleau rappelle la photographie 26 dans le cas IL Phot. 40.- Entre les deux parties de la moel
s deux parties de la moelle la fusion est achevée. Com- me dans les cas précédents, la fusion s'est accomplie au niveau o
nts correspondent à la moelle normale et tout à fait comme dans les cas précédents, à cause de l'allongement du 4e ventri
a moelle allongée dans cette même direction ; le cer- velet dans ce cas apparaît dans la coupe seulement au niveau où dis
olives inférieures 262 SOLOVTZOFF La différence principale de ce cas avec les précédents consiste en ce que la parti
vec elle. Au restant, les changements s'ont très analogues avec les cas précédents, et comme là les principaux concernent
et postérieure se forme un isthme (Phot. 39) ; mais dans ce dernier cas l'isthme est large. Ensuite la partie postérieure
niveau de la formation de la couche du ruban de Reil (Phot. 40). Cas V. Ici nous ne trouvons pas que sur la moelle é
ement de la partie postérieure de la moelle al- longée, que dans le cas précédent. La moelle épinière et l'allongée ont u
lives inférieures, nous rencontrons le même tableau, comme dans les cas précédents, seulement encore plus nettement exp
apparition très ordinaire, il est vrai ; nous-même avons décrit un cas , où pendant l'accumulation trop grande de liquide
simultanée de l'hydropisie dans d'autres ventricules ; ainsi dans ce cas où le cervelet était absent, à côté de l'hydrop
non uniformément, mais d'un côté prin- cipalement, ainsi dans le 3e cas nous voyons que le 4° ventricule et la moelle a
sa partie supérieure doit s'élargir, et effectivement dans tous nos cas nous remarquons son élargissement. Par la dis
original que nous avons remarqué à l'examen micros- copique de nos cas . A raison de ce que la moelle allongée s'est abai
oivent prendre la direction horizontale ; nous voyons dans tous les cas les cordons postérieurs dans la moelle épi- niè
ière, en formant une sorte d'isthme étroit. Comme dans le troisième cas la moelle allongée s'abaisse sur un côté de la
épinière et de l'allon- gée reste sans changements ; dans tous les cas ils ne se déplacent dans aucune direction et co
dans la moelle nor- male sont couvertes du cervelet, dans tous nos cas sont couvertes seulement de la valvule de Tarin
défectueux de l'embryon, développement que vient entraver, en pareil cas et par divers mécanismes encore incertains et t
e frappé par cette ressem- blance que M. Féré rapportait en 1890 le cas d'un dégénéré qui présen- tait cette anomalie.
vations exis- tant dans la littérature médicale se rapportent à des cas où l'hypertri- chose localisée révélait un spin
lque peu différente et plus étendue. En effet, si nous relevons les cas publiés, nous constatons que le plus grand nomb
ertrichose localisée sus-jacente. Il est probable que beaucoup de ces cas passent inaperçus. Comme observations nous pouv
tice bibliographique nos 20,32, 33, 37 bis, 38, 39, 40 et 42] et le cas d'une fillette de H ans qu'il nous a été donné
Lyon, dans le service du regretté Dr Levrat. Enfin, dans d'autres cas , l'hypertrichose lombo-sacrée existe sans qu'il
. etc. [V. Notice bi- blionraphiquen°5 1, 3, 13, 15, 19, 29]. A ces cas nous pouvons joindre celui que nous avons pu ob
'étant exercée sur l'embryon. Il est regrettahle que la plupart des cas d'hypertrichose lombaire n'aient pas été envisa
tif, aucun trouble trophique, troubles qui sont si fréquents dans les cas de spina bifida occulta, n'était à constater ch
son intéressante thèse inaugurale sur les hypertriclloses (34), les cas cités par M. Voisin (1) dans son livre sur l'id
es vertèbres lombaires et du sacrum. NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE. I. - Cas d'hypertrichose localisée dorsale, lombaire, sa
in, Ornstein, médecin de l'armée grecque, altire l'attention sur le cas d'un soldat hel- lène présentant une épaisse to
ltérieurement, Ornstein signale à la même Compagnie, plusieurs autres cas ana- logues. 2. Virchow. Zeitschrift sur Ethn
t o(a clinicallectu1'e on spina bifida occulta. Revue de quelques cas antérieurs d'hypertrichose lombaire. Deux cas nou
ta. Revue de quelques cas antérieurs d'hypertrichose lombaire. Deux cas nouveaux. Plusieurs figures. 10. Conrad Brunn
na bifida occulta mit cangenilaler lumbaler Hy- pel'l1'ichose. Ce cas est celui d'un homme âgé de 20 ans, atteint de sp
na bifida occulta mit 7V)/pe)'<)' ! cAostS lumbalis. Deux autres cas de spina bifida avec hypertrichose lombaire. 11
istik der spina bifida occulta mit locales, Hypertrichose. . Cinq cas . Fille âgée de 7 ans. Fissure vertébrale siégea
. 381. BeitrazJzur Spina bifida occulta lumbo-sacralis. Plusieurs cas . 22. E. Saalfeld. Virchow's Archiv sur palh. An
pina bifida mit Typer- lrichosis lumbalis. 28. J. Rotgans. - Deux cas rapportes in « geneeskundige kring te Amsterdam,
janvier 1899, in Revue médicale de l'Est, 15 mars 1899, p. 186. Un cas de spina bifida. Femme de 45 ans, présentant au
73 33. Sainton. - Revue d'orthopédie, II, 1891, p. 455. Note sur un cas de spina bifida occulta. 33 bis. Shield. - Tr
ÈRIÉIOE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NEI/VEU, A PROPOS D'UN CAS D'ACHONDROPLASIE (1) R. CESTAN, Chef de clini
OPLASIE (1) R. CESTAN, Chef de clinique à la Salpêtrière. « Les cas d'achondroplasie chez les adolescents ou les adul
A' A" B 13, B" ACHONDROPLASIE ET MYXOEDEME A, A', A" Un cas d'achondroplasie chez une fillette de 9 ans (Eug,
d'achondroplasie chez une fillette de 9 ans (Eug, X.). B, B', B" Un cas de nanisme myaedematcux, femme de n2 ans f Mart.1
as de nanisme myaedematcux, femme de n2 ans f Mart.1. A PROPOS D'UN CAS D'ACHONDROPLASIE 279 9 au lieu de 1 tète 3/4 po
tion complète impossible). EXPLICATION DE LA PLANCHE XXXV F, Fui, Cas de BOECKII. (Arch. f. Gynsekolo- gie, 1893, t.
de BOECKII. (Arch. f. Gynsekolo- gie, 1893, t. XLIII, p. 263.) G, Cas de JoacumsraeL. (Deuts. med. IVochenschriff, 18
JoacumsraeL. (Deuts. med. IVochenschriff, 1899, p. 288.) H, II', Cas de Charpentier (In Porak, Nouv. Arch. d'Obst.,
e Charpentier (In Porak, Nouv. Arch. d'Obst., 1890, p. 25.) I, J, Cas de Porak. (Nouv. Arch. Obst. et Gynec., 1890, p
, J, Cas de Porak. (Nouv. Arch. Obst. et Gynec., 1890, p. 21.) K, Cas de .I0.ICIlIIISTHAL (loc. cil.) , M, Cas de Tho
Gynec., 1890, p. 21.) K, Cas de .I0.ICIlIIISTHAL (loc. cil.) , M, Cas de Thomson. (Edinburgla med. Journ., 1893, t. X
e Thomson. (Edinburgla med. Journ., 1893, t. XXXVIII, par. 2.) N, Cas de BALL\VY\. (Med, News., 1890, p. 138.) 0',
I, par. 2.) N, Cas de BALL\VY\. (Med, News., 1890, p. 138.) 0', Cas de Pierre Marie, Claud. [Presse méd., 14 juille
', Cas de Pierre Marie, Claud. [Presse méd., 14 juillet 1900.) P, Cas de Pierre Marie, Auat. (Ibid.) NOUV. ICONOGRAPH
IQUES EXPLICATION DE LA PLANCHE XXXVI Q, Foetus achondroplasique. Cas de PoRAK. (Nouv. Arch. d'Obst. et de Gynécol.,
droite) et chez une ,1 ? plJsique (à gauche). -- - ? A PROPOS D'UN cas d'achondroplasie 281 et XXXVIII). Pour nous pla
le au point de vue clinique une entité mor- bide et dans ce dernier cas quelle place lui assigner dans la famille des n
s du corps, c'est l'homuncul us, c'est l'homme vu par A PROPOS d'un cas d'achondroplasie 283 le gros bout de la lorgnet
sont les lésions du bassin. « Certains auteurs ont bien signalé des cas d'achondroplasie héréditaire. Nous avons trouvé
ondroplasie héréditaire. Nous avons trouvé, chez les auteurs, trois cas dans lesquels l'influence héréditaire aurait ét
observée,mais les renseignements donnés 284 CESTAN dans ces trois cas sont insuffisants et ne permettent aucune critiqu
e. C'est en 1860, que VIüller reconnaît un rachitisme A PROPOS d'un cas d'achondroplasie 285 spécial qu'il dénomme rach
és. 3. Lamelles osseuses. 4. Espaces médullaires. A PROPOS D'UN cas d'achondroplasie 287 cellules rondes, cavités m
ie n'était vraisemblablement pas héréditaire et qu'il était en tout cas très exagéré de comparer les achondroplasiques au
fau' des mois et des années pour y parvenir chez l'a- A PROPOS d'un cas d'achondroplasie 289 dulte. Cette objection de
let 1900. (On trouve dans cet article la bibliographie complète des cas d'achondroplasie observés sur des individus âgés
sur des individus âgés de plus de 10 ans. Je me borne à relater les cas publiés depuis lors.^ LEY Er de l3nc. - Société
ons de décrire sont remarquablement cons- tants dans les différents cas jusqu'ici publiés. La diminution considérable d
le, il ne débute pas avant six mois. On cite bien, il est vrai, des cas de rachitisme congénital ; ce sont des raretés ;
ations par compression intra-utérine due à l'oligam- nios,comme les cas que j'ai publiés(l) et dont l'un est représenté (
9. Voici quelques nouvelles observations du même genre : MACË, Un cas d'oligamnios. Société d'obstétrique de Paris, 21
ios. Société d'obstétrique de Paris, 21 février 1901. LON\AIIiE, Un cas de malformations plastiques du fcettt.s, eod. loc
que. Société de neurologie de. Berlin, 14 janvier 1901. HopFA, Un cas de contractures multiples congénitales. Société m
Masson & C'e, Editeurs j'hotol}PIC Belthalld, Paris. SUR UN CAS DE RACHITISME FAMILIAL PAR R Le D' A. ZIMMERN
ITISME FAMILIAL (Zinrmerr). Masson & Cu : , Editeurs SUR UN CAS DE RACHITISME FAMILIAL 301 tombe brusquement da
. Taille 1 m. 17. Né à terme, a marché à l'âge de 16 mois. SUR UN CAS DE RACHITISME FAMILIAL 303 Vers l'âge de 3 ans,
bserve dans des généra- tions successives, mais plus rares sont les cas où, sévissant comme une véritable épidémie, il
et il n'est pas indifférent de publier dans tous leurs détails, les cas qui se présentent à l'observation. Voici les tr
nginiennes de l'annulaire gauche sont ankylosées. Dans le premier cas , il s'agit d'une macrodactylie chez un enfant âgé
s'observer aussi dans la microdactylie. Rieder (1) a rapporté le cas d'un père et de sa fille ; chez le premier, il
sence de pha- langes n'ont été que très rarement notées. Dans notre cas se vérifie aussi l'allongement compensateur de
vérifie aussi l'allongement compensateur de la phalange distale au cas de disparition de la phalange intermédiaire.
les deux autres présentent une anomalie par défaut. Dans ces trois cas , il nous a été impossible de remonter à la cause
50 fois par minute, ou en amplifiant un peu les secousses ; dans ce cas il arrive que le synchronisme est moins absolu, e
e qu'on l'appelait au laboratoire à une heure inaccoutumée. Dans ce cas le tremblement s'installe sans autre trouble. Rar
habituels, vulgaires, de la névrose sont absents. C'est bien ici le cas de se demander si le terrain spécial sur lequel l
dents du surmenage et qu'elles concourent dans un certain nombre de cas à la genèse de la neuras- thénie acquise au mêm
pas à exciter leur odorat. Cependant il est possible dans quelques cas de constater la valeur de l'appoint apporté par
re, les conditions d'un si vaste problème, si nous con- sidérons le cas de notre tumeur, et si nous essayons de nous rend
Divers auteurs allemands, cités par P. Marie (1), ont rapporté des cas d'encéphalopathie urémique chez des saturnins,
t l'issue d'une certaine quantité de liquide céphalo-rachidien. Ces cas sont ceux de Seegelken (Mûnch. med. Wo- chensch
tdeNoelke (Deutsche med. Wochensch., 1897). Mais une série d'autres cas d'urémie cérébrale a fourni des résultats défav
s commise : le diagnostic d'uré- mie cérébrale a été posé, dans des cas où la nécropsie a démontré l'exis- tence d'une
éphalopathies : l'intoxication. Cette intoxication est, dans les deux cas , d'origine cellulaire, intrinsèque : c'est une
ésenté d'accidents cliniques durables dus à cette compression : les cas classiques de Thomson, rapportés par Jaccoud(4)
ue nous rapportons plus loin, sont de beaux exemples anciens de ces cas de guérison, que l'antisepsie moderne a mul- ti
s un processus discutable dans son existence et son action, en tout cas graduel et lent dans ses progrès, d'ailleurs va
e demandent si la mé- ningite chronique diffuse constatée dans leur cas s'est développée « en con- séquence de la seule
sposé par l'alcoolisme à ce mode de lé- sions méningées. Dans notre cas , la brièveté relative de l'évolution du néo- (1
en foyer représentée par le kyste : et, presque toujours, dans ces cas , on observe des lésions inflammatoires chroniqu
éren ts degrés d'évolution, sur l'écorce de no- tre sujet : dans un cas de coma diabétique, nous avons constaté un ensemb
n : l'examen microscopique de l'écorce n'a pas été pratiqué dans le cas des derniers auteurs; mais il est intéressant,
ndogènes, et à l'intoxication locale d'origine néoplasique. Dans le cas de MM. Joffroy et Gombault, l'examen histologiq
ler et KAPLAN, Syndrome de Korsakoff et lésions médullaires dans un cas de tumeur cérébrale. AUgem. Zeitsch. f. Psych., o
st à M. Pierre Marie, que revient l'honneur d'avoir trouvé dans les cas de Fraser, Nonne, Menzel, Klippel et Durante, pub
s français et étrangers ont rap- porté les observations de nouveaux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse grâce auxquels le
ns connue que le syndrome clinique. Jusqu'à ces derniers temps, les cas de Menzel, Fraser et Nonne étaient les seuls su
sur lesquels se basaient nos notions ana- tomo-pathologiques. Le cas de Menzel qui présente des différences considérab
mme n'appartenant pas à t'hérédo-ataxie cérébelleuse, mais comme un cas intermédiaire entre celle-ci et la maladie de Fri
ntermédiaire entre celle-ci et la maladie de Friedreich. Le premier cas avec autopsie où le diagnostic d'hérédo-ataxie cé
érédo-ataxie cérébel- leuse fut fait avant la mort du malade est le cas de M. Miura. xiv 20 374 SWITALSKI Jusqu'à p
ns le service de M. Pierre Marie j'ai eu l'occasion d'examiner deux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse el dans un de ces ca
d'examiner deux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse el dans un de ces cas de pratiquer l'exa- men du système nerveux. L'o
comme nous l'avons -déjà dit, les seuls jusqu'à présent. Dans le cas de Nonne, le cerveau était diminué de volume et s
rfs périphériques cette lésion était t moins prononcée. ' Dans le cas de Menzel l'examen a révélé que la moelle, le bul
s beaucoup moins prononcées que celles des lobes. Fraser dans son cas relève des lésions dont nous empruntons la descri
de la protubérance et du bulbe n'est pas mentionné. Miura dans son cas remarque que le cerveau était plus petit. Le cerv
en microscopique obtenus par les auteurs et celui obtenu dans notre cas , on verra qu'à beaucoup de points de vue les lé
i concerne la moelle, elle est remarquablement petite dans tous les cas comme l'indiquent les chiffres cités plus haut. D
us les cas comme l'indiquent les chiffres cités plus haut. Dans les cas de Fraser, Nonne el Miura on ne constate pas de
rouvons des lésions de la substance blanche et grise. Dans les deux cas les lésions ont beaucoup de ressemblance, quoique
he occupent plus les parties anté- rieures de la moelle que dans le cas de Menzel et que dans ce dernier le faisceau py
it atteint. Au point de vue de l'intensité de la sclérose, les deux cas sont conformes. Ni dans le cas de Menzel ni dan
l'intensité de la sclérose, les deux cas sont conformes. Ni dans le cas de Menzel ni dans le noire la sclérose des faisce
considérable de fibres bien conservées. Nous trouvons dans les deux cas des lésions de la substance grise. Les lésion
s des lésions de la substance grise. Les lésions du bulbe dans le cas de Menzel et dans le nôtre se ressem- blent aus
x cérébelleux di- rects, des noyaux des faisceaux de Goll ; dans le cas de Menzel, en outre de ces lésions, on constata
e lésion des olives. Les lésions qui ont été trouvées dans tous les cas examinés sont l'atrophie des fibres du pédoncul
respondre à celle que nous constatons chez Haud.... Dans tous les cas où les racines et les nerfs périphériques ont été
les différences qui existent entre les résultats obtenus dans les 5 cas , la première pensée est celle qu'il s'agissait
ent pas. Nousne voulons pas insister ici sur la symptomatologie des cas de Fraser, Nonne, puisque cet examen critique a
de M. Londe. Le résultat de l'examen du système nerveux de ces deux cas , excepté des petites différences, est le même,
etites différences, est le même, comme nous l'avons vu. De ces deux cas se rapproche celui de Miura : pas de sclérose d
atrophie du pédoncule cérébelleux moyen. En présence de ces deux cas qui ont tous les traits communs au point de vue
que et au point de vue anatomique il est difficile d'interpréter le cas de Menzel. Le syndrome clinique correspondait à c
troubles du côté de la vision qui n'existaient pas dans ce dernier cas , mais le résultat obtenu par l'examen du système
système nerveux est différent. C'est pourquoi P. Londe considère le cas de Menzel comme étant un cas intermédiaire entr
. C'est pourquoi P. Londe considère le cas de Menzel comme étant un cas intermédiaire entre la maladie de Friedreich et l
voir ne nous parait pas juste et au contraire nous con- sidérons ce cas comme conforme à ceux des auteurs précités et au
ésultat de notre autopsie. Justement le tableau anatomique de notre cas se rapproche de celui deMenzet,etnotre malade é
observation a servi pour établir le nouveau type clinique comme les cas de Fraser et Nonne. Il est vrai que, dans les d
entiellement héréditaire, familiale, ne s'agisse pas dans les trois cas de la même affection, surtout avec des symptôme
et la protu- bérance, des lésions plus profondes que dans les mêmes cas de Nonne, Fraser et Miura. Quelle peut être l
t nous trouvons le système nerveux atrophié comme il l'est dans les cas de Fraser, Nonne. Si la survie dure plus long-
. Si la survie dure plus long- temps, ou peut-être si dans certains cas les lésions du système vasculaire sont plus pro
rveux par suite des lésions des vaisseaux,comme les voies motrices ( cas de Menzel) et certains nerfs crâniens. C'est
aissance. Menzel, qui a comparé les préparations du cervelet de son cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse avec celui d'un foet
nt des conditions expérimentales fournies par l'observa- tion de ce cas . Nous laisserons de côté toute construction hypot
rtes d'association, nous sommes conduits à supposer que, dans notre cas , si ces parties propres au bulbe n'existent pas c
étendent que son action est purement inhibitrice. Notons dans notre cas l'intégrité relative du faisceau sensitif. Quel
ent, croyons-nous, la synergie des mouvements rencontrés dans notre cas en particulier, malgré l'absence de toutes les
proposant d'y revenir dans un travail ultérieur. En résumé notre cas peut être considéré comme une expérience de phy
ogiques nous ont amenés à faire sur la structure du névraxe dans ce cas particu- lier. Posons donc bien la question.
examens elle a fait preuve d'une grande loquacité, interprétant son cas au point de vue médical et se servant d'expres-
rette a pu la reproduire dans son entier : toutefois il rejette les cas dans lesquels il existe des tumeurs dans la mam
urette qui cite des observations de Landouzy, de Liouville (dont le cas a été le point de départ de la thèse de Connard
ns- forme en noyaux cancéreux. Tous les chirurgiens connaissent ces cas . Si un traitement suggestif bien dirigé ne les
s, une malheureuse qui a été atteinte de cancer du sein ». Dans mon cas , je n'ai pu retrouver ni cette étiologie par sugg
d'une garde-malade qui avait eu antérieurement l'occasion de voir des cas de cancer du sein, qui fait volontiers montre d
lle Iconographie de la Salpêtrière, t. VIII, 1895. (3) Chipault, Un cas d'hémorrhagie hystérique du sein. Presse Médicale
hagie hystérique du sein. Presse Médicale, 1896. (4) P. Sainton, Un cas d'hemorrhagies multiples d'origine hystérique ave
e. Celle-ci est habituel- lement unilatérale. Toutefois dans un des cas d'Hoffmann où il y avait en même temps des sueu
it de Liouville et Gilles de la Tourelle dit aussi avoir observé un cas analogue avec prédominance très marquée cependant
hypertrophie essentielle des seins par les chirurgiens ; à côté des cas vrais, quelques-uns pourraient ressortir à l'hy
ément (1). Le gonflement du sein est passager ou permanent. Dans le cas de Féré par exemple, il suffisait d'une émotion
n somme la règle générale. Bien que j'aie classé ma malade dans les cas d'hypertrophie simple, je dois rappeler ici qu'
opinion de Bro- die qui refusait le caractère hystérique à tous les cas dans lesquels il y avait des tumeurs. Nous avon
Tou- retle analyse avec soin un mémoire de Fowler portant sur sept cas de tu- meurs du sein pour lesquelles des chirur
in. (1) P. DELDET, Traité de Chirurgie, 2° édition, t. V, cite deux cas chez des jeunes filles ayant guéri sans opérati
vent se combiner et se confondre. La galaclorrhée est notée dans un cas de Briquet et dura sept ans, en- tretenue par d
ignalé dans Hippocrate, comme le remarque Chipault en rapportant le cas indiqué plus haut et où le sang était assez abo
d'autres ayant très vraisemblablement la même origine Dans quelques cas rares, c'est l'ulcération du mamelon et de la pea
restait littéralement plus que la peau et lesos . (1) G. Gasne, Un cas d'anorexie hystérique- Nouv. Icon. delà Salpêtriè
e la peau était normale : ceci ne se rencon- tre guère que dans les cas anciens. Il semble bien d'ailleurs qu'au début
périphériques indiquée par les auteurs. J'ai cependant observé deux cas de contracture consécutive à la paraly- sie du
on du cubital depuis la main jusqu'à l'aisselle. Seulement, dans ce cas , il n'y eut pas de paralysie antérieure. L'hist
cas, il n'y eut pas de paralysie antérieure. L'histoire du premier cas qui m'a éclairé pour le diagnostic du second es
le â pu être la cause de cette paralysie ? ' ? Duchenne décrit cinq cas par contusion ou blessures du nerf ; Erb,dans Z
e du nerf; Grosz, observ. VI de Cestan,unpar syphilis; Ballet, deux cas par compression habituelle du nerf chez des alc
enfin, Braun. dans Nothnagel, par chloroformisation, comme dans le cas que je décris. On a décrit des paralysies d'aut
s proviendraient toujours de l'action d'une compression. Dans mon cas , la compression du nerf se révéla par l'ecchymose
i disparaît par la flexion complète du doigt. Main- tenant, dans le cas que je décris, pour peu que la puissance nerveuse
que la grande névrose est associée à une lésion organique. Mais les cas de contracture de la main, de nature hystérique,
tion des doigts avec flexion des premières phalanges. Dans un autre cas de Charcot, le plus semblable à celui que je dé
e bord externe de la seconde phalange de l'index (1). Dans tous ces cas , et ceci est leur caractéristique, l'attitude e
nseurs. Je considère ces observations comme fondamentales. Dans mon cas , on obtient même presque l'extension complète a
rente dans la zone innervée par le cubital. Observation II. Le 2e cas corrobore ce diagnostic ; c'est un homme de 78 an
une machine, à 4 ou 5 centimètres au-dessus du poignet. Typographe. Cas remarquable. Guéri. - Obs. XV, par blessure d'a
sie du nerf cubital droit, sans cause connue. ERB dans Ziemssen. Un cas par névrome au-dessus du coude, produit par de fr
, produit par de fré- quents chocs Iraumatiqites. GowERs. - Trois cas par flexion du coude durant le sommeil. BERNHAK
. EICIInoRST· Pathologie interne. SEELIGMULLEa dans Eichhorst. Un cas par décubitus supinus prolongé, chez une dame o
DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE pr DÉJERINE. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET, AVEC MÉLANODERMI
HUDELO et Jean HEITZ Médecin des hôpitaux Interne des hôpitaux Le cas d'ostéite déformante de Paget que nous rapportons
ALADIE DE PAGET (Hudelo et Heitz) Cubitus, radius et péroné. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 417 7 tions osseu
MALADIE DE PAGET (Hndeln et Heit1) Squelette de \.\ jambe. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 419 physe supérie
is ; au milieu, un tibia normal. o Masson & Ch, Editeurs UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 421 sur un plan h
l'épaisseur de la diaphyse. Il ne se fait pas de couches super- UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 423 ficielles d'o
qu'aucun des groupements paraisse atrophié. Un bon nombre de ces UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET ' 425 5 cellules
tre part que la malade avait les réflexes rotuliens abolis. En tout cas , il ne s'agit là que d'une lésion légère. Les z
de la maladie de Paget. Il a pu être constaté à l'autopsie, dans le cas présent, que le crâne n'avait absolument rien,
L. Lévi, Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1897, f. 113. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 427 7 valvules au
térielles se soient lo- calisées dans les petits rameaux. En tout cas , ces constatations presqu'unanimes nous paraissen
cause de l'ostéite déformante. Cliniquement, Pic (3) présentant un cas de maladie de Paget, à une société lyonnaise, f
(3) Pic, Lyon médical, 1897, p. 425. (4) L. LÉVI, loc. cit. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 429 mes lésions d
avoir provoqué artificiellement la nécrose. Il a obtenu dans tous les cas la chromatolyse d'un seul groupe cellulaire du
ur l'état des glandes à sécrétion interne. On peut admettre en tout cas , qu'il n'y avait en aucun cas de grosses lésion
ion interne. On peut admettre en tout cas, qu'il n'y avait en aucun cas de grosses lésions du corps pituitaire. Nous l'av
es lésions vasculaires et parenchymateuses. On a vu que, dans notre cas , les lésions étaient encore plus avancées. On ne
'autopsie. Mais la maladie d'Addison était présu- mable. Dans notre cas également, il semble y avoir simplement une coïn-
apsule surrénale est une lésion très rare ; Pilliet (2) rapporte un cas de cancer du pancréas, où la capsule surrénale pr
on ictérique devait prédominer. Lefas (3) rapporte également deux cas de sclérose plus ou moins com- plète de la caps
re, nous trouvons dans le traité de Lancereaux (t. III, f. 792), un cas de sclérose des capsules chez une femme de 30 a
rricière. Par là s'expliquait très facilement ce fait, que tous les cas de maladie de (t) Marie, Soc. méd. hôp., 15 jan
. soc. of London, 1885, t. 36, p. 436. (5) Béclère, loc.. cil. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 431 Paget s'étaie
estés sains. Il est frappant pour l'es- prit, de constater, dans le cas qui nous est personnel, l'intégrité des ar- tèr
e rappelle e que ce dernier était intact. Mais d'autre part, si les cas d'artériosclérose généralisée sont fréquents, l
part, si les cas d'artériosclérose généralisée sont fréquents, les cas de maladie de Paget sont très rares, et une aut
épaisseur anormale. Il est donc un fait certain, que dans les trois cas où des nerfs des membres inférieurs ont été exami
la même manière quand c'est une jambe ou l'autre qui agit. Dans le cas d'association des mouvements de la jambe droite
et impossibles tandis que la jambe peut encore se mouvoir ; dans le cas d'association des mouvements de la jambe gauche
ivité volontaire associée. Il n'y a qu'une exception, c'est dans le cas où le travail associé est le mouvement du membre
ourcil froncé, son regard sévère font entrevoir toute la gravité du cas . Sur une table, il côté d'une fiole bouchée de
sier nosographique et iconographique du Trophoedème. Enfin l'un des cas rapportés par M. A. Thomas mérite à plus d'un tit
mbreux permettent d'affirmer la réalité de ce groupe nosographique ( cas de Mathieu, Follet, Lourier, Debove, Iligier, Duc
ourier, Debove, Iligier, Duck- worth, Vigouroux, etc.). C'est à ces cas qu'il convient de réserver le nom de trophoedèm
on isolée, frap- pant un seul sujet dans une famille. Tels sont les cas récents de Vigou- roux, Prothon, Rapin, Herto;h
avons eu l'occasion de nous occuper antérieurement, rapprochant des cas de mitron (22 dans une même famille sur 6 génér
alés par Desnos, Iligier, etc., et nos observations personnelles (8 cas sur 4 générations). M. Lannois en a rapporté un
nois en a rapporté un nouvel exemple au Congrès de Paris de 1900 (4 cas sur 3 générations). Les caractères de l'oedème
s). Les caractères de l'oedème sont les mêmes dans ces diffé- rents cas , et semblables d'ailleurs à ceux décrits dans les
diffé- rents cas, et semblables d'ailleurs à ceux décrits dans les cas isolés (2). On peut admettre également l'existe
ns étiquetées éléphantiasis congénital. Nonne en a décrit plusieurs cas . Dans l'un d'eux (1) R. Cassireii, Dievasomotor
présenté tout récemment à la Société de Pédiatrie (28 dé ? 1901) un cas d'Eléphanliasis congénital des jambes et des pied
s. La toute récente observation de M. II. Mabille fait connaître un cas de trophoedème des deux membres inférieurs, coe
s plusieurs observations, ce qui permet de croire que dans certains cas le trophoedème chronique peul être la résultant
dème, - et des troubles sensitifs qui s'y superposent dans quelques cas , - vient à l'appui de celte localisation. On ne
insisté autrefois. Le caractère familial se retrouve dans plusieurs cas ; souvent, l'affection suit une marche progressi
lusieurs cas; souvent, l'affection suit une marche progressive; les cas qui débutent à l'époque de la puberté sont à ra
réelle vraisemblance. Mais il ne faut pas oublier qu'il existe des cas familiaux et des cas con- 470 ' llGi\121 MEIGE
. Mais il ne faut pas oublier qu'il existe des cas familiaux et des cas con- 470 ' llGi\121 MEIGE génitaux. Il faut p
ouver associé à d'autres troubles trophiques, osseux, comme dans un cas de Vidal (de Lyon), ou musculaires. D'ailleurs,
jambes, un membre inférieur tout entier, ou les deux à la fois Aux cas déjà publiés, j'ajouterai le document figuré ci-j
ensitif, moteur ou trophique. Il est donc tout à. fait comparable aux cas de Vigoureux, Lannois; etc. C'est bien encore u
eux membres supérieurs sont atteints simultané- ment. Bien plus, ce cas se rapproche des exemples d'eedémede Nonne et d
une hypertrophie du squelette et des parties molles. Dans quelques cas plus rares la prolifération du tissu cellulo-cuta
e seule presque toute la difformité. Faut-il voir dans ces derniers cas une localisation du trophoedème sur une moitié
er sur le visage aussi bien que sur les membres. Cependant dans les cas bien étudiés jusqu'alors, y compris celui de M. I
léments constitutifs d'une dystrophie hyperplasique, comme dans les cas où il est associé à l'hypertrophie squelettique d
légitime - de la pa- ralysie infantile, appelée même, dans certains cas , à représenter, à elle seule, toute la symptoma
plus épais que celui qui enveloppe les membres sains, Dans quelques cas exceptionnels, le tissu cellulaire sous-cutané
essive. Evidemment, conclut Vergnes, il faut admettre dans tous ces cas une liaison entre t'épaississement du tissu cel
iomyélite antérieure, se borne à une mention laconique : « Dans des cas exceptionnels, le tissu cellulo-adipeux domine
que ordinaire, aussi le souvenir pourrait-il en être perdu, dans le cas où les phénomènes (1) La paralysie pseudo-hyper
é du début ou inversement. Nous venons d'entendre Vulpian parler de cas où l'épaississement adipeux s'ob- serve souvent
soit restée localisée dans un ou deux muscles. » « Dans quelques cas , dit Boulloche (3), la paralysie infantile n'abou
décrit des types divers, pouvait relever dans un certain nombre de cas , de lésions médullaires ayant affecté des centr
s aussi d'un certain nombre d'ailleurs. L'analyse de ces différents cas lui parait propre à fortifier la doctrine des cen
s, à établir l'étroite parenté qui nous paraissait exister entre le cas que nous avons observé et la paralysie infantil
moelle. Or, ces mêmes manifestations manquant également dans notre cas , nous donnent là une preuve de plus en faveur du
précoces partout excepté sur le membre atrophié. JoLLY a observé un cas semblable pour le membre inférieur. Lannois rap
ns ses leçons orales à la Faculté de Paris (1897), rappelle que, en cas d'éruption générale à la peau, rien ne se montre
ques auteurs, l'on ne sera pas surpris de son apparition dans notre cas . L'on pourrait se demander, il est vrai, pourquoi
i est l'objet de ce travail. Nous remarquerons d'abord que dans les cas d'hypertrophie unilatérale des membres qui ont él
el et Trenaunay (2), avec cette différence cependant que dans notre cas le squelette est demeuré indemne. L'on pourrait
est pas toutefois qu'on n'en puisse par ci par là découvrir quelque cas analogue. M. Prothon a présenté à la séance d'a
mple fièvre, soit sous celle de quelque ma- ladie infectieuse. Le cas d'cedènae seg1J ! entail'e, présenté à la Société
tablir le diagnostic différentiel qui la sépare ou la rapproche des cas très divers qu'il a pu recueillir, y compris « le
e la mélamérie s'accorde bien ici avec les faits. A l'occasion d'un cas observé par Joffroy, concernant une malade at-
té sur la forme héréditaire du mal. Nous publions aujourd'hui trois cas de trophoedème chronique. Fidèle à la règle que
tères du trophoedème. Le caractère héréditaire n'existe pas dans ce cas . Le début du mal, au dire des parents, est très
sparu en même temps que les règles, comme c'est presque toujours le cas chez les femmes atteintes d'hypothyroïdie bénigne
a scarlatine. Elles ont 'cependant été observées dans la moitié des cas . Le facies basedowien et les particularités dys
e et tendance très légèrement oedémateuse. . Comme on le voit, le cas de X... est fort complexe, mais le phénomène su
laire chez divers membres de la même famille. Il en est de même des cas de Lannois Un Iconographie delà Salpêtrière, 19
ronique ». Et l'on se souvient que Desnos et Mathieu ont décrit des cas de ce genre sous le nom d'oedème rhumatismal ou
ar une ligne circulaire au tiers inférieur de la cuisse (dens notre cas , au OBSERVATION DE TROPHOEDÈME 507 tiers supé
ibution métamé- rique (Grasset) : le siège de la lésion est dans ce cas dans une tranche de la moelle lombo-sacrée d'au
t alors une dystrophie conjonclive, un trophaedème qui, se- lon les cas , serait une affection héréditaire, familiale, aig
rait une affection héréditaire, familiale, aiguë ou chronique. DEUX CAS D'HÉMJl-JYPERTHOPHOE CONGÉNITALE DU CORPS PAR
osé : dans leur travail, Sabrazès et Cabannes n'en rapportent aucun cas démonstratif; il s'agit alors en quelque sorte d'
n. Elle se présente avec des caractères assez différents du premier cas . Bien que l'examen de ces deux malades ne nous
NOGRAPHIE DE LA SALPËrRttR'E1 T. XIV. PI. LXVIII B A C DEUX CAS D'HEMIHYPERTROPHIE A et B, Hémihypenrophle ,tlt
C. Hypertlophie de la m.tin gauche. (Obs. IL) - (A. Thomas). DEUX CAS D'UÈMIHYPERTROPniE CONGÉNITALE DU CORPS 509 Obs
intenant les mensurations. Longueur du corps 59 centimètres. DEUX CAS D'nÉMIHyrERTHOPUIt ! CONGÉNITALE DU CORPS 511 L
Longueur du corps 78 centimètres. - - - .- 512 ANDRÉ THOMAS DEUX CAS D'11É1111nYPEIiTROPIIIE CONGÉNITALE DU CORPS 513
la peau se présente avec les mêmes qualités des deux côtés. DEUX CAS D'nÉMI11YPERTROPIlIE CONGÉNITALE DU CORPS 815'
formant, la physionomie des déformations ankylo- santes est dans ce cas tout autre; il ne s'agit pas non plus d'ankyloses
kyloses congénitales par oligamnios comme j'en ai rapporté quelques cas (1), l'o- ligamnios ne peut causer d'ankylose v
eur. Sans invoquer d'autres différences, le fait qu'il y a dans notre cas une lordose et non une cyphose suffit à éloigne
ue du processus morbide, c'est encore à cette observation que notre cas ressemble le plus. Bref ce malade ne me parait
que nous avons constatées : . (1) 11RITCIIEV561-GOC1113AUI, Sur un cas d'ankylose articulaire progressive et géné- ral
* " " De quoi peut-il s'agir, et de quel diagnostic étiqueter ce cas ? Il ne s'agit certainement, ni de rachitisme,
êlettes » (1) de métal « ayant une petite oreille pour les tenir en cas de nécessité»; il en fallait au moins deux ou t
a patiente. Une servante apporte « l'eau de la reine de Hongrie, en cas que la ma- lade appréhende de tomber en faibles
dirent l'un et l'autre leurs bras, le genre de mort usité en pareil cas étant l'ouverture des veines. Pour Sénèque, vie
hotocollogr. et 1 photograv.), 290. Achondroplasie (A propos d'un cas d'), par R. CESTAN (6 pl. en photocollogr.), 21
que de l'), par Jou- IWWSKY (8 fui ? ), 1. Hémihypertrophie (Deux cas d'), par A. Thomas (2 pl. en photocollogr.), 50
ARD et RICHE (1 pl. en photocollogr.), 19. Ladrerie cérébrale (Un cas de), par Lùo- pOLD-Lnvi et Louis LEMAIRE (4 fig
ier pl, en pho- tocollogr.), 213. Ostéite déformante de Pagel (Un cas d') avec mélanodermie. Autopsie, par Lu- cien
HEIn (4 pl. en photocollogr.), 415. Paralysie bulbaire aigué (Un cas de) chez un enfant, par KOLLARITS (2 fig.), H.
IIIOITZ (1 pl. en photograv. 21274. . Rachitisme familial (Sur un cas de), par A. Zimmern (2 pl. en photocollogr.), 2
hystérie (2 pl, en photo- collogr.), 213. CESTAN R. A propos d'un cas d'achon- droplasie (6 pl. en photocollogr.), 27
pl. en photocol- logr.), 528. HEITZ (Jean) et (Lucien) HuDrLO. Un cas d'ostéite déformante de Paget avec mé- lanode
(3 pl. en photocollogr.), 496. HUDELO (Lucien) et (Jean) IIEITR. Un cas d'ostéite déformante de Paget avec mé- lanode
l'hémianopsie d'origine intracérébrale (8 fig.), 4. KOLLARITS, Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez un enfant (2 f
(1 pl. en photocollogr.), 402. LEMAIRE (Louis) et Léopold-Lévi. Un cas de ladrerie cérébrale (4 fig.), 32. LÉOPOLD-L
ladrerie cérébrale (4 fig.), 32. LÉOPOLD-LÉVI et Louis LEMAIRE. Un, cas de ladrerie cérébrale (4 fig.), 32. ' LONG E.
leuse (2 tig., 2 pl. en photocollogr.), 373. Thomas (André). Deux cas d'hémihyper- trophie (2 pl. en photocollogr.),
s la syphilis spinale chronique (21 fig.), 105. Zmamn.r A. Sur un cas de rachitisme fa- milial (2 pl. en photocollogr
sur l') (A. APERT),$XXiX à XLII. - Achondroplasie (A propos d'un cas ) (R. CESTAN), XXXIII à XXXVIII. Ankylose géné
lgie (G. Gasne et CounTELLEMONT), Il à IV. Hémihypertrophie (Deux cas d') (André Thomas), LXVIII et LXIX. Hérédo-at
30 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e psychique. Nous voudrions montrer qu'il peut aussi, dans certains cas , devenir le point de départ d'un état d'esprit
deviennent sombres, misanthropes et songent même au suicide. Ces cas sont loin d'être exceptionnels. L'enquête que nou
vent le moyen ne réussit pas et il sent affluer le sang. Dans les cas les plus ordinaires, il éprouve, au moment de la
ent de l'humeur, vite réprimée et il se plaisante lui-même. Dans ce cas , il ne se préoccupe pas beaucoup de l'incident.
s ce cas, il ne se préoccupe pas beaucoup de l'incident. Dans les cas plus forts, par exemple au milieu d'une compagnie
me catégorie. Nous avons, dans ces dernières années, observé huit cas L'OBSESSION DE la ROUGEUR. 7 typiques de ce g
N DE la ROUGEUR. 7 typiques de ce genre et c'est en rapprochant ces cas que nous allons résumer les traits principaux d
rès malheureux. ' Identiques comme origine et comme début, ces huit cas offrent aussi symptomatiquement, des caractères
tremblement général. La rougeur est plus ou moins vive suivant les cas . Elle va du rouge clair au rouge écarlate, sans
r, diarrhée subite, etc.), survient d'habi- tude et marque, dans ce cas , la dernière période de la crise qui ne se prol
, nous n'avons réalisé d'amélioration notable. Ce n'est que dans un cas où la peur de la rougeur s'est trouvée liée à l
logie 'clinique. Et d'abord, il est incontestable que dans tous les cas la tendance à la rougeur émotive précède, parfo
une émotion plus ou moins vive et plus ou moins marquée suivant les cas . Ici encore, l'idée fixe est inséparable de l'é
XIV, p. 193. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 31 On peut rapprocher des cas précédents celui de M. H. Dagonet'. « Dieu est
Le dernier terme de l'état pathologique, qui dans une partie des cas se traduit par l'inhibition partielle, c'est-à-di
sabbat. On peut l'observer dans nos asiles et Baillarger en cite un cas dans son Mémoire sur les hallucinations (5 SI).
e et non une hystérique. 36 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Dans les cas douteux et criminels une attention plus grande
ser une lutte pleine d'aigreur, souvent maladroite ; voyez : ' le cas du conseiller G. Pfizer, par R. Lutz. - - de ll
Centralbl, XV, 1896.) Remaniement critique de la question. Tous les cas de folie morale se peuvent ramener à trois grou
nnante, à savoir Je terrain de dégérescence mentale, existe dans ce cas comme dans tous les cas analogues : aussi,- en
n de dégérescence mentale, existe dans ce cas comme dans tous les cas analogues : aussi,- en se servant du terme de c p
entale. (Annales médico-psychologiques, oct. 1596.) 1. B. XII. UN cas DE délire raisonnant DE dépossession. : ,; par
orité administrative pour être interné dans un asile d'aliénés. Les cas de ce genre ne sont pas absolument rares : fort
giques, décembre 1896.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. UN CAS DE CHORÉE CHRONIQUE CHEZ L'ADULTE AVEC ALTÉR \TIO
S DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ; par le DI IONDUR.1NT. Il s'agit d'un cas de chorée développée, chez une femme de dix- hu
cule étaient recouverts de granulations. En somme il existe dans ce cas une combinaison de signes cliniques avec des mo
par la tempéra- ture superficielle du crâne pourront, dans certains cas , être pré- cieuses, non qu'elles permettront de
AS DUE A L'ÉCRITURE SEULE; par le D1' Hugues. L'élude de nombreux cas de crampes ou de paralysies des écri- vains a c
sitions névropathiques. La preuve en est que, dans beaucoup de ce= cas de névroses professionnelles, on ne rencontre pas
emarque que, d'une part, au Japon où la syphilis est fréquente, les cas de tabès sont rares et d'autre part, dans la ra
dans une pratique de vingt années, [il n'en a pas rencontré un seul cas . A son avis il est une cause du tabes dont on n
rasthéniques, on arrivera à une conclu- sion facile. Comme, dans le cas de neurasthénie, nous rencontrons la tare névro
EUSE. de MM. Charcot, Marie et Souques, appelle l'attention sur les cas de névrite périphérique liés à des altérations
ns du système nerveux central avec troubles trophiques. A. M. XI. Cas DE paralysie DE LANDRY; par Herbert RoBsoN. (Br
alvanisme, considère comme de nature fonc- tionnelle la plupart des cas de surdité nerveuse et termine en étu- diant l'
luche; par GnAiG.(7M ! sA meclical Journal, 13 juin 1896.) C'est le cas d'une enfant de trois ans atteinte de coqueluche,
en trois endroits. A. M. 54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. r XIX. Cas de cécité brusque ET de brusque restauration de l
vait pris un peu d'iodure de potassium. L'auteur estime que dans ce cas , on se trouve en présence d'une lésion cortical
rmes. (Amener ! journal of inscatzil, avril 1896.) E. IL XX. Deux cas DE tétanie d'origine gastrique; par M. 11ORENO y
entrecoupée et pénible, intelligence intacte comme dans le premier cas , pouls filiforme, température 38 ? Pas d'antécéde
en outre des toxines gastriques laisser dans la pathogénie de tels cas un certain rôle au pouvoir réflexe excito-moteu
de la prophylaxie dans le même sens que Bouveret et Dévie; dans les cas graves le traitement arrive presque toujours tr
mpte des antécédents immédiats pour le pronostic : la gravité de ce cas en quelque sorte foudroyant peut tenir au mauva
et être faits très régulière- ment. Ou doit redoubler d'activité en cas de menaces de tétanie. F.1301ss11<.1\. XXI
os; mais après avoir lu quelques mots, quelques lignes ou, dans les cas les plus heureux, quelques phrases d'un journal
elles qui résultent de la simple asthénopie, et parce qu'il y a des cas où l'asthénopie fait défaut. Il se distingue au
os, l'élec- tricité, la gymnastique méthodique ont pu, dans certain cas , donner quelques résultats favorables. J. Ségla
analogue à celles des Drs llamadier et Tambroni. J. S. XXVII. UN CAS DE PARALYSIE POST-DIPHTÉR1T1QUE AVEC AUTOPSIE; J
ence très fine, pointillée. En résumé la lésion dominante dans ce cas a été une polynévrite segmentaire périaxile, le
dans les meilleures conditions opératoires. F. BOlssnOE. XXIX. UN cas de tumeur cérébrale; symptômes initiaux surtout S
vingt fois sur vingt malades. Entre la période praeataxique et les cas extrêmes, tantôt on le constate, tantôt on ne l
t finit par atteindre la couche granuleuse périphérique. Il est des cas où cette destruction des granulations occupe un
ude médico-psychologique sur E. Zola. M. GARmER demande si, dans le cas où M. Toulouse aurait ren- contré chez son suje
'affection grave à laquelle il est fait allu- sion. Dans le premier cas je ne l'aurais dévoilée qu'avec l'assenti- ment
t et le marasme complets. Mais il importe de rele- ver que, dans ce cas , la paralysie générale était compliquée de lési
llulaire est appliqué uniformément à Montelupo, sans distinction de cas cliniques : il n'y a ni réfectoire, ni salles d
portes sont fermées ; 14 asiles d'aliénés. 4° De traiter chaque cas d'épilepsie par les méthodes scienti- fiques le
ar le a kreisphysicus » du district auquel appartient le malade. En cas d'empêchement du « kreisphysicus », ou s'il est
tificat de collocation délivré par un médecin quelconque. § 4. En cas d'urgence la collocation peut avoir lieu en vertu
à moins qu'il ne soit médecin de l'asile où se trouve le malade. En cas d'empêchement il est remplacé par le médecin de
rtificat qui décide du maintien ou de la sortie du malade. Dans les cas douteux, l'explo- lation doit être renouvelée à
il ayant compétence pour prononcer la mise sous tutelle et, pour le cas où le domicile du malade serait inconnu, cette si
a seul le droit : 1° d'ordonner l'isolement d'un malade. hormis le cas d'urgence. Ces malades isolés doivent être insc
rdre émané du ciel. » Il serait peut-être intéressant de scruter ce cas avec soin et de voir dans quelles limites se co
par diagnostic; beaucoup de rechutes de malades déjà traités, des cas légers de mélancolie, quelques impulsions homicid
e à tout jamais la guérison du malade en convalescence, car hors ce cas le refus, était de règle, que de le laisser embra
sous la surveillance des infirmiers et des infirmières; dans les cas exceptionnels de convenance ou de nécessité recon
is les visiteurs n'aientàpénétrer à l'iniérieur de celui-ci hors le cas de maladie incidente néces- sitant le séjour au
ministériel du 20 mars z1857. Ce règlement, il est vrai, prévoit le cas où, pour des raisons de convenance et de nécess
s. Le règlement ministériel du 20 mars 1857 ne prévoit nullement le cas où celles-ci s'effectueraient en 9 dehors des i
tueraient en 9 dehors des instants réglementaires, pas même pour le cas de danger de mort. Il est complètement muet à c
ce visa est une simple formalité et alors le directeur joue dans ce cas un rôle ridicule ou il explique le droit de ref
e dans mon mémoire des Annales médico-psycholo- giques examiné deux cas : celui du refus de recevoir les parents et cel
du directeur n'en sera pas plus amoindrie qu'elle ne l'est dans le cas de toute autre prescription médicale. Comme o
ons de jours ni d'heures. En second lieu la latitude aussi, dans le cas d'un parloir unique, de faire voir les grands a
sensibilité générale (E. Ilaeckel, Huxley) : elles ne sont que des cas de spécia- lisation de cette dernière (Grant Al
ces suppléances des diverses régions du cerveau rendrait en tout cas inutile l'hypothèse de toute fonction spécifique
que, tandis qu'elle est centrale pour le nerf moteur. Dans les deux cas le nerf se termine en s'arborisant, le nerf mot
. Dans le tableau qui va suivre, l'auteur donne un résumé de onze cas étudiés par lui et d'autres anatomo-pathologisles
r recours à la main gauche. Aussi la maladie n'est-elle pas dans ce cas la cause du fait en lui-même, mais la cause de
mais qu'il leur est supérieur à tous deux. F. BoISSIER. XXXIX. UN cas remarquable DE grande hystérie ; par R. Merino
ion spinale pré- domine l'innervation cérébrale affaiblie. Dans son cas une série d'éléments émotionnels ont déprimé la
de encouragée par son entourage. L'auteur insiste sur la gravité du cas , le bon effet de l'hypnotisme qui a sauvé la ma
ar L. 0. DARKSCIIE1VITSCiI. (Neurolog. Ce2z- 12,albl., XV, 1896.) Cas de dégénérescence ascendante de la moelle; étude
on des réflexes tendineux, notamment du réflexe patellaire (dans le cas de section élevée de la moelle); ces réflexes son
nal (réflexe anal) par l'introduction du doigt, etc.. Dans tous ces cas , le train postérieur s'amaigrit rapidement sans q
rdons latéraux dans les pyramides. 2° Celle-ci a lieu dans tous les cas récents, jusqu'à quatre semaines au moins après
i- nue la nutrition du système nerveux central. 6° Dans nombre de cas récents on peut constater l'existence de quelques
ation avec M. Cololian, interne de son service, et relatives à deux cas de tabes classique s'accompagnant d'hallucination
ent remercie M. Briaud de sa communication. Questions au sujet d'un cas de médecine légale en matière d'aliénation ment
officiellement de l'examiner et conclut à sa mise en liberté. Ce cas paraît intéressant en ce sens que l'on peut se de
opérations sont des armes à deux tranchants, dispensant suivant les cas le REVUE DES THÈSES DE BORDEAUX 147 bien ou l
ue comme une cause prédisposante; elle manque dans un bon nombre de cas ; l'hérédité similaire est assez rare. Il n'y a pa
es à l'étranger, ni dans les théories où elle a donné dans quelques cas , par une action difficile à préciser, de bons r
apparence de grossesse, ce qui n'est pas absolument exact. En tout cas , au point de vue mental, la pseudo-grossesse vésa
e démêler ce qui appartient à l'une ou à l'autre ; 3° il existe des cas , enfin, dans lesquels on ne note ni lésion phys
tre un symptôme du tabès. Elle se produirait dans 8 à 10 p. 100 des cas environ. Elle se montre à toutes les périodes d
trés intentionnellement, c'est-à-dire des eunu- ques. Dans les deux cas , la perte des glandes testiculaires semble déte
é aux agents microbiens vulgaires. J.-B. CHARCOT. III. Sur quatre cas de neurofibromatose généralisée; par E. Feindel
ssant de rapprocher de cette hypothèse l'obser- vation récente d'un cas de fibromatose généralisée congénitale étudié p
les livrer aux impulsions de leur délire, dangereuses pour eux, le cas actuel en est la preuve, dangereuses pour les a
n-8° de 24 pages. -.Toulouse, 1896. Ed. Privât. BHA31 (E. de). Un cas de myélite diffuse. (Thèse de Lausanne, 1896.)
colie. (Arch. de Neurol., nO' 68 et Ga, 1892.) - P. Sérieux. Sur un cas d'hallucinations motrices chez un paralytique gén
nce, du lan- gage oral, ne pourront pas non plus présenter (dans le cas d'une maladie mentale) des hallucinations audit
facilitant ainsi quelque peu l'expression de leurs idées. C'est le cas du sourd-muet qui motive ces lignes. Mais quelq
hallucinations symboliques du sourd-muet illettré seront, dans le cas d'une maladie mentale, apte à les produire, visue
es produire, visuelles mimiques et psycho-motrices mimiques ». Le cas suivant donnera la preuve de la première de ces d
t celles-ci peuvent revêtir la forme d'hallucinations dans un tel cas . Après tout, quelque chose d'analogue se produi
ons répondre affirmativement ou négativement ; et peut-être dans ce cas aurions-nous pu surprendre un dialogue sans voi
r se fixer avec une égale intensité. Elles se trouvent dans le même cas que les images visuelles et graphiques des paro
ncordent exactement avec les circonstances observées dans le second cas mais non avec celles du premier. A savoir : pré
la toile. Mon estimé confrère M. le D'' La Riva m'a fait part d'un cas semblable. Aucun de ces sujets n'était visuel.
uets dans un but distinct du nôtre, croit voir en lui un moteur. Ce cas est vraiment anormal. En outre, il ressort du r
sujet. A s'en rapporter à certains faits il semblerait que ,dans le cas où il y a prédominance des phénomènes halluci-
de systématisation du délire et de ses autres caractères. Dans le cas précité les conceptions délirantes sont demeurées
u point de vue général, d'établir une opposition tranchée entre les cas où l'hérédité psychopathique existe et ceux où
à l'exclusion d'une psychose religieuse systématisée. A côté des cas où les obsessions affectent un caractère épisodiq
rogressive, du moins chronique et incurable. Tel est par exemple le cas suivant rapporté par Leuret. Il 1 Celte observa
spect clinique est alors très analogue à celui des possé- dés ; des cas d'inversion sexuelle sont de même expliqués par
nce aux incubes et succubes; il est à remarquer que dans ce dernier cas , les coïts imaginaires sont particulièrement do
es ne le supportent plus; elles ont tendance à se replier ; en tout cas elles s'allongent difficilement. Les escarres, do
iser le repos. Il a eu recours à l'exercice dans un grand nombre de cas , et tout en reconnaissant sans difficulté qu'il
n. Enfiu M. Clouston constate en terminant que s'il existe quelques cas de folie reconnaissant pour cause un surmenage
nombre dus au surmenage mental. M. Tuke pense que dans ce dernier cas il existe un état congestif de la substance corti
uls. M. Clouston ne conteste pas un seul ins- tant qu'il existe des cas auxquels s'applique la description de 208 REVUE
08 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. M. Tuke; mais il pense que même dans ces cas l'exercice doit encore être préféré au repos ;
re être préféré au repos ; il pense en effet, que, dans beaucoup de cas , la nutrition de la cellule cérébrale est plus sû
cal dû à une stimulation trop continue (l'auteur laisse de côté les cas où la folie relève d'une dégénérescence des élé
L'observation tant clinique que nécroscopique d'un grand nombre de cas a montré que dans la manie, comme dans la mélan
considérations que M. Tuke a traité par le repos un grand nombre de cas d'aliénation menlale ; la proportion REVUE DE T
des améliorations a dépassé 90 p. 100. L'auteur admet que tous les cas dont il s'agit (il n'a retenu que 40 cas, ne voul
'auteur admet que tous les cas dont il s'agit (il n'a retenu que 40 cas , ne voulant parler que de ceux qui ont été soum
dus en partie à une sorte d'attention expectante. Il rapporte deux cas intéressants dans lesquels la cra- niectomie a
petits malades et sur les résultats physiques obtenus même dans les cas qui paraissaient réunir toutes les conditions fav
e en donne des résultats utiles d'un caractère per- manent dans les cas de microcéphalie congénitale ordinaire, où la d
favorise alors le développement du cerveau. Mais le diagnostic des cas dans lesquels il convient d'y avoir recours est h
ées; elles le sont REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 211 également dans les cas d'affaiblissement mental avec hémiplégie ou ath
sion exercée par un caillot ou une fausse membrane. III. Dans les cas d'altération mentale due à un épanchement hydro
tre avantageuses en atténuant une pression exagérée. IV. L'un des cas mentionnés dans ce mémoire (celui de M. Anderso
donne- ront des résultats favorables au moins temporaires dans les cas d'imbécillité par syphilis héréditaire'. 1. R.
table interne qui avait pénétré avec lui dans le tissu cérébral. Le cas démontre l'utilité d'une intervention rapide et
es de l'axe cérébro-spinal ; il faisait connaître à cette époque 22 cas de ponction, pratiqués sur-10 malades. Deux ans
méningite. Celte année (1895). Fùrhinger a donné le résultat de 86 cas , comprenant plus de 100 ponctions ; mais jusqu'ic
s s'élève à 35, comportant jusqu'à 7 ponctions dans un seul et même cas . Ses cas se répartissent ainsi : méningite supp
à 35, comportant jusqu'à 7 ponctions dans un seul et même cas. Ses cas se répartissent ainsi : méningite supposée tube
; hémorrhagie spinale, 1 ; manie aiguë, 3; l'observation des autres cas n'a pas été recueillie. Le procédé opératoire e
mais l'auteur préfère, même dans REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 213 ces cas , la ponction latérale. Chloroforme facultatif ou
ces cas, la ponction latérale. Chloroforme facultatif ou suivant le cas . L'auteur préfère l'anesthésie ; il indique ensui
l'aiguille varie suivant Quincke, de 2 à 6 centimètres ; mais un cas de Goldscheider montre qu'il faut être prêt à all
ique en général, mais seulement de rechercher s'il n'existe pas des cas , difficiles et exceptionnels, où il est avantageu
désire s'expliquer tout d'abord : ils ont trait à la limitation des cas où la contention mécanique est applicable, et à
des moyens employés pour la réaliser. En ce qui touche le choix des cas , il estime qu'elle ne doit être employée que po
générale qui lui paraît dangereuse et dépourvue d'avantages. Les cas dans lesquels l'immobilisation forcée des mains e
t indiquée sont exceptionnels et peu nombreux : ce sont d'abord les cas chirurgicaux, où son utilité ne peut guère être
chirurgicaux, où son utilité ne peut guère être contestée; puis les cas de tendance au suicide, non pas les cas ordinai
re être contestée; puis les cas de tendance au suicide, non pas les cas ordinaires, mais ceux dans lesquels les violenc
te perpétuelle absolument épuisant pour le malade ; puis encore les cas de mutilations volon- taires de toute sorte; en
core les cas de mutilations volon- taires de toute sorte; enfin les cas de masturbation, qui sont ceux où l'auteur hési
L.N7 15 l'appui de ses assertions, il rapporte onze observations de cas exceptionnellement difficiles, et dans lesquels
son pour se priver des services qu'elle peut encore rendre dans des cas exceptionnels, et sous la forme très atténuée q
on a recours, épuisent non moins inutilement ; enfin, dans quelques cas , augmentation de la liberté réelle de l'aliéné,
se dégagent pour l'auteur d'une longue étude d'un grande nombre de cas de folie épileptique sont les 'suivantes : on n
on observe souvent avant et après les attaques d'épilepsie. Sauf le cas d'extrême excitation ou de maladie intercurrent
considérée comme un auxiliaire, plus ou moins puissant suivant les cas ; puis il aborde l'étude, ou plutôt, l'énumérati
ongue et brillante REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 217 -j suivant lui des cas dans lesquels on peut utilement avoir recours à
très utile chez un cer- tain nombre de malades, et surtout dans les cas anciens et rebelles ; l'adonis vernalis, qui, a
les ; l'adonis vernalis, qui, associé aux bromures, a dans certains cas une efficacité réelle. Dans certains cas d'au
romures, a dans certains cas une efficacité réelle. Dans certains cas d'auto-intoxication, le régime, l'antisepsie du
are qu'elle ne dépasse certainement pas la proportion de un ou deux cas sur mille. 2o Dans les cas chroniques où l'épil
ainement pas la proportion de un ou deux cas sur mille. 2o Dans les cas chroniques où l'épilepsie est réellement de cau
rra que rarement modifier la marche de la maladie. 3° Le nombre des cas connus, dans lesquels une opération quelconque
uteur pense que l'on pourrait sans peine compter sur ses doigts les cas authentiques et indiscu- tables de cette nature
ont les suivantes : 1° Dans environ un pour cent de la totalité des cas , l'épilepsie a pour cause originelle une lésion
r cause originelle une lésion de la tête. 2° Dans une proportion de cas beaucoup plus considérable, on trouvera pour ca
ve. 3° Dans l'état actuel de la science et de notre expérience, les cas qui relèvent d'une hémorragie méningée ne sont ju
justicia- bles d'aucune opération. 4° Dans le très petit nombre de cas recon- naissant pour cause une lésion de la têt
nt la fréquence d'une manière permanente. 5° En prenant en bloc les cas trauma- tiques dans lesquels une intervention o
ances de succès durable sont grandes ; si l'on pouvait choisir cent cas d'épi- lepsie dans lesquels le traumatisme ne r
de ces cas'. R. de 111USGItAVG CLAY. 1 Dans la grande majorité des cas d'épilepsie où la craniectomie a été pratiquée
ion, après une rémission 220 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIII. SUR UN cas d'alcoolisme chronique traité empiriquement avec
pourrait sans doute être utilement essayé dans un certain nombre de cas , jugés favorables à son application. R. de ltIU
complémentaire basée SUR ' L'ÉTUDE D'UNE SECONDE SÉRIE DE soixante cas ; par LEWIS-C. BRUCE. (1'he Journal of mental Sc
la bromu- ration (Kobert). Mais ce médicament n'est pas propre aux cas qui nécessitent une action rapide et intense; i
nt leur développement jusqu'à dix-huit ou vingt ails; dans certains cas la puberté peut arrêter tout à la fois les progrè
rnal of insanity, juillet 1896.) E. B. XV. Considérations SUR 368 cas DE DÉMENCE paralytique; par le 1) IRwING Neff.
ING Neff. L'auteur donne une série de tableaux statistiques sur 368 cas de démence paralytique qu'il a observés à l'Asi
1878 à 1895. Sur ce nombre, 86 p. 100 étaient des hommes. Dans 42 cas pour 100, la syphilis était l'unique agent étiolo
p. 100 de crises épileptiformes et 30 p. 100 de cachexie. Dans 12 cas pour 100 la maladie s'est développée entre vingt-
ans; dans 58 p. 100 entre trente et quarante-cinq ans. Enfin dans 1 cas pour 100 la maladie s'est dévelopée entre quinz
nre de vie qu'ils subissent dans nos institutions pénales. Dans les cas où toute espérance d'amélioration n'est pas per
par des habitudes de travail, de se suffire à eux-mêmes : quant aux cas sans espoir ou incorrigibles, ils devraient être
ican Journal of insanily, juillet 1896.) E. B. XVII. Examen DE CENT cas DE paralysie générale; par DI' PHELPS. ~ De l'é
CENT cas DE paralysie générale; par DI' PHELPS. ~ De l'étude de 100 cas de paralysie générale, l'auteur déduit que si l
ralysie générale correspond bien à une entité clinique, beaucoup de cas « limites » se présentent avec des anomalies qui
ints de contact. De même le diagnos- tic peut être délicat dans les cas de démence alcoolique avec symp- tômes paralyti
s, d'états séniles avec prterio-sclérose et signes paralytiques, de cas d'épilepsie ancienne. Aussi M. Phelps serait-il
sive. Quelques- uns des symptômes classiques pourraient suivant les cas être absents pour être remplacés par des symptô
bien démontrés que dans 21 cassur 100, mais dans presque tous les cas elle pouvait être soupçonnée, en raison des habit
blie, l'incu- bation avarié entre six et quinze ans. Dans aucun des cas exami- nés, le surmenage cérébral n'a pu être i
e à titre de complication secondaire. Dans le plus grand nombre des cas , le trouble mental qui accompagne le goitre exo
goitre exophtal- mique, il est incontestable que, dans beaucoup de cas , le goitre exophtalmique donne une empreinte to
ements qui s'opèrent dans la circulation cérébrale. Dans les deux cas cités par l'auteur de trouble mental accom- pag
ieux ont indiqué les rapports avec le goitre exophtalmique dans les cas de psychoses : toutefois, M. Soukhanoff, tout e
attaque plus ou moins soudaine avec impulsion à l'homicide. Dans le cas classique, « l'homme amok » quitte la maison, cou
terminée par un sommeil profond et prolongé. Dans presque tous les cas , l'homme amok est sous le coup de chagrins et d
s indigènes sont héréditairement accoutumés à ne faire que peu de cas de la vie de leur prochain. (Annales médico-psych
s données étiologiques et de la forme mentale particulière à chaque cas . J. SÉGLAS. XXV. Des hallucinations VISUELLES
ssification suivante : il hydro- céphalie primitive, comprenant les cas ordinaires, à pathogénie inconnue; 2° hydrocéph
à pathogénie inconnue; 2° hydrocéphalie secondaire, comprenant les cas consé- cutifs à la méningo-encéphalite ou aux t
té directe de la lésion est rare; Bourneville en a pourtant cité un cas intéressant (hydrocéphalie de la mère et de deu
alcoolisme parait être un facteur puissant chez les parents (sur 22 cas , Bourneville a trouvé chez les parents 16 fois
uraient pas conduit autre- fois. R. M. C. ' XXIX. Notes SUR trois cas de gangrène spontanée; par W.-B.MoRTON. (The Jo
ngrène est rare chez les aliénés; l'auteur a pu en rassembler trois cas , dont il publie dans ce travail les observations,
, janvier 1896.) Les deux auteurs relatent successivement plusieurs cas très inté- ressants de folie morale, dans lesqu
mental dû à une hémorrhagie de la surface du cerveau : c'est un des cas assez rares où les symptômes sont surtout unila
erne le D Noir. (B.) . 232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Le second cas parait être un cas ordinaire de manie alcoolique,
) . 232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Le second cas parait être un cas ordinaire de manie alcoolique, avec cette parti
et de la moelle. On pourrait, à non moins juste titre, en faire un cas de manie traumatique chez uu homme prédisposé a
veur de la manie alcoolique simple post-traumatique. Le troisième cas est un cas de manie traumatique provoquée par u
manie alcoolique simple post-traumatique. Le troisième cas est un cas de manie traumatique provoquée par une lacérati
nce complet de la guérison est assez suprenant. Les deux derniers cas sont des exemples de symptômes mentaux et nerve
rophie lente de la substance corticale. Dans le premier de ces deux cas la fracture avec dépression ayant été traitée ave
se pulmonaire. La dépression mentale parait accompagner surtout les cas où il existe des zones superficielles douloureu
u cuir chevelu. R. DE Musgrave-Clay. XXXV. Etude DE QUARANTE-QUATRE cas d'affections fébriles survenues chez DES aliéné
son de l'affection mentale. A l'occasion de ce fait, il a étudié 44 cas de scarlatine et de fièvre typboïde observés da
re typboïde observés dans l'asile qu'il dirige de 1866 à 1894 : ces cas se répartissent ainsi : scarlatine 6 ; fièvre t
aujourd'hui très controversée. - R. DE IVIUSGRAVE-CLAY. XXXVI. UN cas DE manie RÉCURRENTE ; par John G. HAYELOCK. (Th
ier 1896.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : Les cas de diabète, ou plus exactement peut-être de glyco
us ; dans les cinq autres ils étaient chroniques. Ces cinq derniers cas (dont quatre se rapportaient à des femmes) étai
derniers cas (dont quatre se rapportaient à des femmes) étaient des cas de démence secondaire : dans deux une légère ré
sparut lors- que parurent les symptômes de manie. Mais en somme ces cas ne démontrent pas grand'chose au point de vue d
arallélisme des deux ordres de symptômes. Sans préciser pour chaque cas la forme de folie, on peut remarquer que dans l
chaque cas la forme de folie, on peut remarquer que dans les douze cas aigus, le symptôme prédomi- nant était la mélan
e propos, il est à remarquer que quatorze fois sur l'en- semble des cas observés, on a pu être renseigné sur les habitude
ois qu'elle apparait aussi nettement chez les aliénés, Dans six des cas dont il s'agit les peines et anxiétés morales é
taient signalées comme cause des troubles cérébraux. Dans les douze cas aigus, sauf un, il existait des antécédents héréd
ouvé sur le malade des stigmates ner- veux. Dans deux on signale un cas de diabète dans la famille. Le réflexe du genou
iabète dans la famille. Le réflexe du genou était exagéré dans cinq cas , insuffisant dans un cas; il faisait défaut dan
réflexe du genou était exagéré dans cinq cas, insuffisant dans un cas ; il faisait défaut dans deux cas de diabète avanc
dans cinq cas, insuffisant dans un cas; il faisait défaut dans deux cas de diabète avancé. Chez tous les malades la tem
s'élevait pas toujours quand la glycosurie disparaissait. Dans cinq cas sur douze il existait des signes manifestes de
'urine elle-même ne s'élevait au-dessus de la normale que dans cinq cas des duuze cas aigus. Sauf dans un cas, il y a t
me ne s'élevait au-dessus de la normale que dans cinq cas des duuze cas aigus. Sauf dans un cas, il y a toujours eu par
de la normale que dans cinq cas des duuze cas aigus. Sauf dans un cas , il y a toujours eu parallélisme entre le maximum
) les symptômes mentaux dis- paraissent dans la grande majorité des cas ; dans les lésions cardiaques et dans la phtisi
dispa- raître et reparaître de temps en temps ; mais dans quelques cas , dans les lésions du rein par exemple, ils ne d
t de marasme. Quatre ans plus tard, M. Sachs a constaté un deuxième cas semblable dans la même famille; la marche des é
constatées à l'autopsie Si bizarre que fût l'analogie de ces deux cas , il pouvait y avoir là une simple coïncidence; ma
eillies dans les auteurs, neurologistes ou oculistes. La nombre des cas que M. Sachs a pu relever est actuellement de 1
t ajouter que, parmi les symptômes observés dans quel- ques-uns des cas , mais non dans tous, figurent le nystagmus, le
antes qu'elles prennent une réelle valeur diagnostique : sur les 19 cas cilés, elles ont été constantes et identiques d
ur les 19 cas cilés, elles ont été constantes et identiques dans 14 cas ; dans 4 cas, il n'y a pas eu d'examen oplitalmo
s cilés, elles ont été constantes et identiques dans 14 cas; dans 4 cas , il n'y a pas eu d'examen oplitalmoscopique, et
as, il n'y a pas eu d'examen oplitalmoscopique, et, dans le dernier cas , l'ob- servation n'est pas complète. Trois au
ologique, la prédisposition de famille est manifeste puisque les 19 cas cités appartiennent à dix familles, et qu'on a'
commune ; les antécédents éclaireront le diagnostic dans le premier cas ; dans le second, l'absence de lésions oculaires
eurs ayant écrit sur ces sujets. R. DE ! \IUSGRAVE-CLAY. XLII. UN cas léger DE folie avec STUPEUR, dans LEQUEL ON pouva
e est à plusieurs égards semblable à celle que l'on observe dans le cas de suggestion. Le malade reçoit des suggestions
i déterminent les mêmes actes chez des sujets non aliénés. Dans ces cas , la maladie mentale joue un rôle en ce sens qu'
fiant, paragraphe 14, que l'interdiction pourrait être prononcée en cas de maladie mentale, lorsque l'aliéné se trou- v
e de se faire une idée exacle des mesures spéciales prises pour les cas d'imbécillité. M. CUDASCH trouve inutiles des d
de 31 p. 100. L'alcool a joué un rôle important dans 50 p. 100 des cas nouvellement admis au cours de cette année. Le
oliques sont aussi élevés à Dresde, c'est qu'on admet à l'asile les cas aigus à évolution rapide. Dans ces dernières an
urbulence et de l'anxiété. M. WEBER a trouvé, dans 10-16 p. 100 des cas , l'alcool comme facteur étiologique (asile de S
4.) M. le professeur PELMAN ouvre la séance. M. WEBER présente un cas de crâne en forme de tour. Le sujet, un ingénie
sposition aux maladies mentales, mais on connaît toute une série de cas dans lesquels il se compliquait de troubles du
tiques et en particulier d'atrophie. Weiss et Brugger ont publié 16 cas de crâne en forme de tour avec atrophie des ner
trophie des nerfs optiques ; entre autres chez deux frères. Dans le cas actuel il n'y a qu'une légère décoloration de l
communique deux observations de tumeurs cérébrales. Dans le premier cas , intéressant par sa localisation et son point d
ution à l'étude des tumeurs, thèse, Bonn, 1896.) Dans le deuxième cas il s'agit d'un homme de trente-un ans chez lequ
de la moelle dans la syringomyélie. Dans un nombre considérable de cas , les cavités de la moelle sont d'origine congén
Ce travail sera publié ulté- rieurement. M. Brie (DÜren). Sur un cas d'encéphalite primaire aiguë hém01'- ragique. -
r Leichtenstern, Fiirbringer, Kônigsdorf, Schmidt. Il rapporte un cas personnel. Une femme de trente six ans entre à l'
uche optique, noyau lenticulaire, centre ovale). Il s'agit, dans ce cas , d'une véri- table encéphalite aiguë-hémorragiq
ait a été noté dans d'autres obser- vations. M. Kerries. Quelques cas de folie communiquée. - Le premier cas 252 SOCI
ations. M. Kerries. Quelques cas de folie communiquée. - Le premier cas 252 SOCIÉTÉS SAVANTES. concerne une famille M
irantes. Le rôle du père a toujours été assez effacé. Le deuxième cas concerne deux frères et une soeur internés tous
ur l'usage de la glande thyroïde dans l'alié- nation, par E. Brush; Cas dans lesquels l'aliénation a été invo- quée dev
assification de la folie et obscurité du diagnostic, par Mitchell ; Cas de cécité subite avec retour subit de la vue, p
alades. Vaurien, brute, c'est bientôt dit; mais pour bien juger ces cas , il faut connaître les antécédents héréditaires
ou moins désagréables d'ori- « gine purement subjective ; dans ces cas rares on peut « constater une véritable anosmie
et du goût des tabétiques, ou n'en disent qu'un mot comme c'est le cas pour l'ouvrage d'Althaus. Mais si l'on cherch
observations où les mêmes symptômes existaient. Dans le premier des cas de MM. Joffroy et Hanot il y avait unepe2,vei,s
e trou- vait à tout ce qui était douceâtre ou sucré. Dans le second cas il y avait diminution de la sensibilité guslati
dait que son corps dégageait une odeur fort désagréable. Dans un cas cité par le Dr Falret le malade se plaignait qu'o
qu'on ne le pense généralement, d'autant plus que dans beaucoup de cas ces troubles ne sont pas mentionnés parce qu'il
diviser l'ensemble des faits en deux catégories : D'une part les cas où le goût et l'odorat sont profondément modifi
des se plaignent et attirent de ce côté l'attention du médecin. Ces cas sont surtout ceux où il y a perversion du goût
e de poisson pourri. Dans cette même caté- gorie il faut ranger des cas où le phénomène est moins désa- gréable, mais n
ou par le goût la nature des aliments qu'il prenait. Eh bien, ces cas où les phénomènes sont très intenses, ne nous par
rapport aux autres signes de la maladie. Cette seconde catégorie de cas nous a paru très fréquente, beaucoup plus fréqu
une dizaine de TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 261 cas . L'ensemble de ces faits nous parait donc indique
ue elle nous a semblé diminuée et, au contraire, augmentée dans les cas de perversion du goût où la salivation est plus
, ce qui démontre que c'est bien ce nerf qui est en cause en pareil cas . Le cas le plus net que nous ayons rencontré de
émontre que c'est bien ce nerf qui est en cause en pareil cas. Le cas le plus net que nous ayons rencontré de ces pares
d'ailleurs que l'éternuement ne soit provoqué dans l'un et l'autre cas par des troubles de la sensibilité nasale. Mais
la face et probablement d'un état congestif vaso- moteur et dans ce cas il y a toujours des bruissements et des sifflem
rsions de la sensibilité spéciale. L'odorat et le goût sont dans ce cas le siège de sensations subjectives. Les malades
sses sensations du goût et de l'odorat étaient continuelles dans ce cas . Chez d'autres ma- lades nous avons observé des
rras gastrique soit rare au cours du tates ; loin de là. Et dans ce cas il est évident que le goût participe à la malad
hique analogue à celui de la langue et qui lui aussi, dans bien des cas , tient sous sa dépen- dance les troubles de l'o
, ces saveurs et ces odeurs pouvaient, mais heu- reusement dans des cas rares, être pénibles aux malades et devenir cau
'une des affections les plus douloureuses qui soient. Dans quelques cas ces mêmes troubles comportent des conséquences
t de l'odorat. , Le tableau de la persécution peut devenir dans ces cas très ' Voir rierret. Congrès cie médecine menta
iétés de troubles qui viennent d'être cités et en consé- quence des cas où les perturbations de l'odorat et du goût dev
surtout bien rare que la sphère du trijumeau soit épargnée dans les cas où le goût et l'odorat sont intéressés. C'est l
servent les troubles du goût et de l'odorat, du moins dans tous les cas où ils se manifestent avec une grande intensité
que les symptômes en ques- tion se lient souvent au tabes. En tout cas ils peuvent être l'indice très précoce de la pa
au début de la mala- die. On sait que dans la grande majorité des cas de tabes ce sont les troubles de la sensibilité
ignes précoces et dont la valeur doit être la même. Dans d'autres cas le symptôme a moins d'importance parce qu'il ap
moindre modification du côté de la langue et des muqueuses. Dans un cas il y avait en Archives, 2e série, t. III. 18
complexes et fort intéressants. Ils se rapprochent, dans ce dernier cas , de crises douloureuses périphériques ou viscér
'examen histologique de ces glandes a montré qu'il existe en pareil cas des lésions inflammatoires du parenchyme glandula
c une grande rapidité. Les conclusions qu'on pourrait tirer dans le cas d'une autopsie faite dans les conditions où nou
oût et de l'odorat par l'altération de nerfs différents suivant les cas , c'est-à-dire, soit par la lésion des nerfs de
it peut-être même par les nerfs du sens musculaire. 1° Il est des cas où le glosso-pharyngien et le nerf olfactif 1 L
de la sensibilité spé- ciale de l'odorat et du goût. Même dans les cas où il y a anesthésie du trijumeau à la face, si
ilité spéciale en laissant de côté le trijumeau. 2° Dans d'autres cas les symptômes relèvent des nerfs de la sensibil
ectement les troubles de l'odorat et du goût. C'est dans ce dernier cas qu'on observe parfois cet état particulier de l
lace du réseau nerveux diffus de Golgi 2. A l'exception de quelques cas très rares, tels que 1 Voir Archives de Neurolo
nue (Lenhossek, Ehrlich, Cajal) : cette arborisation prouve en tout cas que, entre le courant nerveux apporté de la peq
e d'activité et la conserva- tion des fonctions cérébrales dans les cas de grave lésion de tel ou tel département encép
grand nombre de filaments paraît absolu- ment inextricable. En tout cas , ce serait une prétention téméraire. de l'aveu
t le caractère criminel de l'acte qu'il accomplit. Les plus tristes cas démolie, au contraire, sont pré- cisément ceux
n'y a pas une folie, mais des folies, et de s'en tenir à l'étude du cas particulier soumis à leur examen. Enfin les thé
mieux, parmi les plus nécessaires. R. DE MuSGUAVE CLAY. III. Un cas DE médecine légale ; par 130N'ILLG li. Fox. (The
N'ILLG li. Fox. (The Journal of Mental Science, janvier 1890.) Ce cas s'ajoute aux cas déjà trop nombreux qui démontren
The Journal of Mental Science, janvier 1890.) Ce cas s'ajoute aux cas déjà trop nombreux qui démontrent l'insuffisanc
ial dans ces dernières années; il cite l'affaire Goulfé-Bompard, le cas de Czynski en Allemagne, celui de M. Donald en
ue, préméditée. G. Deny. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLII. Un cas de tétanie; par FRANCIS EDWIN Park. (New- Yo1'l¡]
assez détaillées sur le diagnostic, l'étiologie et le traitement du cas dont il s'agit. R. DE IUSGRAVE CLAY. XLIII. N
hés à l'intoxication du sang. Telle est évidem- ment l'étiologie du cas rapporté par l'auteur, le seul parmi les trois
iologie du cas rapporté par l'auteur, le seul parmi les trois cents cas au moins de névrite périphérique qu'il a observés
sion du nerf radial, traitée par la suture secondaire. Le quatrième cas est une lésion du plexus brachial. La cinquième
as est une lésion du plexus brachial. La cinquième se rapporte à un cas de névrite trauma- tique du cubital, traitée pa
uma- tique du cubital, traitée par l'élongation. R. M. C. XLV. UN cas d'intoxication alcoolique aiguë CHEZ UN JEUNE enf
'ALBERT ABRA31S. (New-Yoz·k Médical Journal, 31 octobre 1896.) Le cas est intéresssnt à un double point de vue : d'abor
it de l'hémi-atrophie faciale une trophonévrose. R. M. C. XLVII. UN cas DE MYXOEDEME DE la GORGE ; par John W. FARLOW.
1';e-V. JAcoBy. (New-Yo1'k Médical Journal, 9 novembre 1895.) Les cas d'épilepsie diabétique ne sont pas communs ; l'au
vait coexistence du grand et du petit mal. Il résume brièvement les cas déjà publiés et s'attache à démontrer que chez
ait due à l'acétonémie. Il insiste en terminant sur ce fait que les cas d'épilepsie acétonémique viennent puisamment à
lepsie (Féré-Voisin-Régis), l'analogie qui existe entre beaucoup de cas de convulsions urémiques et l'épilepsie rapproché
ue nous possédons sur la nature auto-toxique de l'urémie, enfin les cas d'épilepsie acétonémique sont autant de faits q
e spécialement la psychologie. Il. DE lIZUSGR.1\'E CL.1Y. LI. Trois cas DE paralysie DE 13110N\-SEQU.1RD, avec quelques
soin et avec détail-, elles concordent presque entièrement avec les cas de même nature, au nombre d'environ soixante-qu
avec rigidité spas- modique, sans atrophie marquée). Dans quelques cas la corne anté- rieure demeure indemne, mais com
sont exagérés, les superficiels diminués ou absents. Dans les deux cas de l'auteur où la lésion siégeait à la région c
urvu que le sens musculaire le soit, l'auteur ne connaît qu'un seul cas (celui de Charcot et Gombault) dans lequel le s
ensibilité tactile demeurait normale : encore s'agissait-il là d'un cas de sclérose, affection qui peut laisser indemne
eut laisser indemnes les fibres de la sensibi- lité générale. - Les cas de paralysie de Brown-Sequard paraissent démont
fonction est abolie, c'est que la lésion est bilatérale. Parmi les cas où cette fonction a été modifiée d'une manière
psychopathologie légale, 1897, l. XXIX, nO 1, p. 78-88.) Tous les cas d'épilepsie peuvent être divisés en deux groupes
ications sont des causes occasionnelles dans la grande majorité des cas , de même que l'âge. L'épilepsie sénile, c'est-à
présente sous les mêmes rapports l'épilepsie des enfants. Les deux cas rapportés par l'auteur, dans l'un, début à soixan
ité. B... insiste sur ce fait que le cerveau est intéressé dans ces cas de dystro- phie musculaire. 2° Deux soeurs de
uis quelques années seulement que les symp- tômes ont progressé. Le cas 1 rentre dans le domaine de la paraly- sie spas
1 rentre dans le domaine de la paraly- sie spastique familiale ; le cas 2 rappelle les faits décrits par Hoffmann comme
lysie spastique des membres inférieurs) ; il se rapproche aussi des cas décrits par SeeligmÜlIer sous le nom de scléros
omme caractéristiques des tumeurs de la région frontale. De pareils cas d'artério-sclérose peuvent aisément être pris p
a syphilis ne doivent pas être attribuées à une myélite (à part les cas de méningo-myélite gommeuse), mais à un ramolli
nt par thrombose. On ne range aujourd'hui dans les myélites que les cas de lésions médullaires plus ou moins primi- tiv
e lésion médullaire. On n'a pu le faire avec certitude que dans les cas très rares où l'on a constaté l'exis- tence dan
ques des pro- cessus inflammatoires ont été observés aussi dans des cas de tumeurs ou de compression de la moelle, qu'o
rs multiples, l'éncéphalo-myélite, la sclérose en plaques, certains cas de scléroses systématiques combinées. L'influen
pneumogastrique. Peut-être ces hémor- ragies déterminent-elles les cas de mort subite observés dans le choléra. Les pn
Le tableau clinique et l'examen histologique montrent que -dans ce cas il ne s'agissait ni de paralysie générale, ni de
écédemment et siégeant dans la subs- tance grise centrale. Dans ces cas il s'agissait aussi d'hémorragies récentes loca
nes présentent les mêmes lésions, permettent d'admettre que dans le cas du malade ictérique les hémorragies ont été éga
que les classes aisées. Les autopsies sont très rares (1 p. 100 des cas ), par suite de scrupules religieux. Les famille
jamais de continuité d'un prolon- gement à un autre. Dans tous les cas sans exception, l'affaire se borne au simple co
hiques et la fine structure du système nerveux. Mais, dans tous les cas , nous devons tenir compte de cette doctrine, car
e banales, comportant le maniement du plomb ne pro- voquent que des cas isolés d'intoxication saturnine, mais qui cepen
ourra encore bien souvent éviter l'apparition de ces derniers. Le cas suivant révélera ce que nous n'avons, malgré des
u autres produits; nous avons laissé de côté leur étude qui dans le cas présent, n'offrait aucun inté- rèt pour nous. M
ement normal doivent êlre attri- buées, dans l'immense majorité des cas , à un arrêt, ou à un retard momenlané dans la c
cences secondaires DES CENTRES ET VOIES OPTIQUES PRIMITIFS DANS LES CAS D'ANOPHTHALMIE CONGÉNITALE ET DANS L'ATROPHIE D
a soumis à un'examen microscopique les centres nerveux dans quatre cas d'anopllthalmie et trois cas d'atrophie du globe
opique les centres nerveux dans quatre cas d'anopllthalmie et trois cas d'atrophie du globe oculaire. Les tubercules qu
ou de Gud- den. La commissure de Forel était absente dans tous les cas ; elle joue donc probablement un rôle dans la vi
iégeant au niveau.de la région sus-claviculaire.. Ce qui donne à ce cas une physionomie toute particulière, c'est la pa
'après les autres, au niveau des sixième et septième. Dans tous les cas , ce qui est certain, c'est la participation, non
cinquième et sixième paires cervicales, comme cela existe dans les cas typiques de cette paralysie, mais aussi de la r
llule est riche en éléments chromatophiles et vice versa. Dans le cas de tabes simple, ces lésions de la colonne de Cla
colonne de Clarke existent aussi, mais moins accentuées. Dans le cas de paralysie générale comme dans ceux de tabès,
alogues, ou s'agit-il là d'une disposition qui existe dans d'autres cas ? En exa- minant, pour élucider cette question,
les mâchoires de 153 alié- nés et les a trouvées déformées dans 81 cas , soit dans 52,80 cas pour 100. (American journa
alié- nés et les a trouvées déformées dans 81 cas, soit dans 52,80 cas pour 100. (American journal of insanity, octobr
énérescence sont signalés, il y a souvent à se demander si, dans un cas donné, les particularités signalées soit du côt
, par A. Marina. (Neurolog. Centralbl., XV, 1896.) Il s'agit d'un cas de crampe des écrivains avec la particularité s
surtout dans les centres sous-corticaux du cerveau, mais en tout cas en un point quelconque de l'encéphale. Chez les c
OELLE; par A. BANCE et R. MUNIR. (Bmrin, été et automne 1896.) Ce cas est à mettre à côté de ceux de Baslian, Kohler et
escence diffuse. Or Gombault et Phi- lippe seuls avaient signalé un cas dans lequel la région dorsale présentait la dég
e de la périphérie. D'autre part ces mêmes auteurs signalaient deux cas de tabès où la dégénérescence ascendante totale
es mêmes régions de fibres qui dégé- nèrent de haut en bas dans les cas de lésions supérieures. Ceci permettait donc d'
le ? 2 - MM. Bruce et Muir pensent avoir élucidé ce point. Pour les cas des auteurs cités plus haut, il s'agit de dégén
légère dégénérescence diffuse au milieu de la zone radiculaire. Ce cas s'accorde aussi avec deux cas de Schultze (écra
au milieu de la zone radiculaire. Ce cas s'accorde aussi avec deux cas de Schultze (écrasement de la queue de cheval et
tte même bandelette (sillon et périphérie) demeurée saine. Enfin le cas de Hoche éclaire complè- tement la question en
ur pénétrer dans la substance grise. Or ce faisceau pouvait dans ce cas être pour- suivi en haut au-dessus de la région
OGIE PATHOLOGIQUES. admise par plusieurs physiologistes. Un curieux cas de folie rap- porté par Bruce donne à cette thé
rs. L'auteur a recours à une hypothèse ingénieuse pour expliquer ce cas bizarre. Les deux hémisphères du sujet, habitué
ènes d'excitation mentale. Il faut encore remarquer dans ce curieux cas que le langage n'était pas aboli dans le stade
ale, on est en présence d'accidents purement fonction- nels, car en cas de méningite, la fontanelle est proéminente et te
x, les autres de diverses catégories, l'auteur a trouvé trente-deux cas d'altérations chroniques de la crosse ou de la
la crosse ou de la portion initiale de l'aorte. De ces trente-deux cas , onze seu- lement présentaient des altérations
ns exclure ces deux ordres de facteurs, il faut y ajouter, dans les cas de paralysie générale ou de marasme précoce, le
re DE possession; par ANGIOLELLA. (Il J11anicomio, \Il, fasc. 1.) Cas de délire sensoriel avec idées de démonopathie pr
sorielle à la paranoïa; il montre aussi, comparativement à d'autres cas assez fréquents encore aujourd'hui, que le délire
circulatoire et les anomalies des processus mentaux. Dans certains cas les troubles de l'appareil circulatoire sont une
ie mentale qui détermine les troubles circulatoires] : mais dans un cas comme dans l'autre, comme le cerveau ne peut re
tistique relative A la FOLIE héréditaire, portant SUR PLUS de mille cas observés A l'asile du comté D'EsSEX; par JOIIn To
elques considérations intéressantes. R. DE Musgrave CLAY. LUI. UN cas DE FOLIE dégénérescence DE DÉVELOPPEMENT, avec IN
cependant il est difficile de voir chez ce malade autre chose qu'un cas de dégénérescence héréditaire mal défini, ayant
e en trois parties : I. L'auteur a rassemblé en un tableau tous les cas de paralysie générale à début précoce publiés j
de paralysie générale à début précoce publiés jusqu'à ce jour; ces cas sont au nombre de 38. Chaque colonne du tableau
sont singulièrement facilitées ainsi que la comparaison des divers cas entre eux. II. La seconde partie du mémoire e
e du bras droit. Mort. Parmi les particularités intéressantes de ce cas il faut signaler : la syphilis héréditaire, l'h
2° Le début de la maladie s'est fait de quinze à seize ans dans 11 cas , de treize à quatorze ans dans 8 cas, de dix-sept
de quinze à seize ans dans 11 cas, de treize à quatorze ans dans 8 cas , de dix-sept à dix-huit dans 5 cas. Les autres
de treize à quatorze ans dans 8 cas, de dix-sept à dix-huit dans 5 cas . Les autres périodes de la jeunesse comprises ent
uf et vingt- deux ans fournissent un moindre contingent de (4 à 2 cas ). 3° La durée moyenne de la maladie a été, dans
(4 à 2 cas). 3° La durée moyenne de la maladie a été, dans les 23 cas qui ont pu être utilisés pour cette recherche,
u être utilisés pour cette recherche, de quatre ans et demi. Dans 5 cas la maladie a duré plus de sept ans. 4° Des tare
. 4° Des tares héréditaires ont été trouvées dans 86,6 p. 100 des cas . L'influence de l'hérédité névropathique est donc
ns la paralysie des adultes, et même que dans les psychoses. Dans 5 cas on a noté la paralysie générale chpz le père, d
5 cas on a noté la paralysie générale chpz le père, dans un sixième cas la paralysie chez la mère, et dans un autre la
la mère. L'hérédité similaire se rencontre donc dans 25 p. 100 des cas . Dans 6 observations le père était un alcoo ! i
rveuses 66,6 p. 100. 5° Etiologie. En ne tenant compte que des 34 cas sur lesquels on a des renseignements précis, on
s renseignements précis, on note la syphilis comme certaine dans 17 cas (50 p. 100) ; si on y ajoute, eu premier lieu, le
e dans 17 cas (50 p. 100) ; si on y ajoute, eu premier lieu, les 12 cas de syphilis très probable, et en second lieu le
lieu, les 12 cas de syphilis très probable, et en second lieu les 2 cas de syphilis pro- bable on a les proportions de
philis pro- bable on a les proportions de 85 p. 100 dans le premier cas et de 91 p. 100 dans le second. (Chez les adult
corps ou au niveau d'un membre. Les réflexes ont fait défaut dans 7 cas ; ils étaient exagérés chez 15 malades. L'atroph
érés chez 15 malades. L'atrophie optique a été rencon- trée dans 12 cas pour 100, c'est-il-dire plus fréquemment que chez
ence). 9° Fréquence de la paralysie juvénile. Alzheimer a observé 3 cas de paralysie juvénile contre 3 deparalysie géné
ue des maladies mentales de Heidelberg, sur cent- quatre-vingt neuf cas , on n'a observé que dix fois un début sous form
rdes, excès de toutes sortes). Cependant, il est toute une série de cas dans lesquels, malgré une analyse précise du ta
rale est une maladie de l'âge adulte : sur cent quatre-vingl-neuf cas nous n'en avons observé que trois chez des sujets
pour écarter co diagnostic. L'auteur a observé un certain nombre de cas de ce genre dans lesquels une rechute s'est pro
les. Affaiblissement intellectuel avec euphorie. Dans neuf autres cas l'évolution a élé la même : on a constaté des r
e deux à dix ans entre le premier et le second accès. Dans tous les cas qui précèdent, le premier accès n'a pas été con
antes. 383 encore une fois le calme rétabli. Sur cer.tquarante-deux cas de folie circulaire, l'auteur a observé des con
vé des conceptions délirantes à durée pro- logée dans li p. 100 des cas . Une malade, par exemple, a élaboré tout un rom
nce hypnotique exercée sur elle par un médecin. Est-ce pour cela un cas de paranoïa ? Non pas. Il y a encore toute une sé
succomba à ses blessures. L'auteur a observé un certain nombre de cas dans lesquels, à la suite de blessures, se montrè
dans le personnel de surveillance des asiles. Ce sont d'abord deux cas d'hystérie traumatique chez des infir- mières.
n service, et obtint une pension mensuelle de 50 marks. Un septième cas est celui d'un infirmier devenu neurasthénique
sujet aucun autre facteur des troubles neurasthéniques. Les sept cas qui précèdent, recueillis, sauf un seul, dans le
fférentes catégories se classent ainsi d'après l'observation de 240 cas : '388 SOCIÉTÉS SAVANTES. Chez ces derniers s
nsitoires sans autres symptômes épileptiques ? L'auteur rapporte un cas qui le démon- trerait. Peut-on diagnostiquer
faut savoir que l'épilepsie peut débuter par un accès de délire (9 cas sur 193) avant toute autre ma- nifestation conv
La dégénérescence chronique épileptique se rencontre dans 00 à 70 cas p. 100. Elle est caractérisée par une diminution
ils ne peuvent servir au diagnostic. Dans le plus grand nombre des cas , il n'existe, chez les épileptiques, en dehors
matique. W. a trouvé des tares héréditaires dans 49 à 50 p. 100 des cas (hérédité similaire : 19 p. 100). Pour ce qui e
: 19 p. 100). Pour ce qui est des causes directes, l'examen de 189 cas d'épilepsie vraie donne les résultats sui vants :
èle, chez les enfants, par des lacunes du sens moral. Dans les deux cas , se manifeste une irascibilité très accusée qui
ues. Ils précèdent ou suivent les accès convulsifs. Dans le premier cas , ce sont des « auras » toujours identiques : ha
de la plus haute importance, au point de vue médico-légal. Tous les cas de folie transitoire doivent faire penser à l'é
n accès délirant ou dans l'intervalle des crises. Dans ce der- nier cas , pour apprécier la responsabilité du sujet, on év
r devant le tri- bunal l'existence de l'épilepsie, surtout dans les cas d'équivalents psychiques de la maladie, il faut
malies de l'humeur qui surviennent sans cause extérieure. Sur 50 cas il les a constatées dans 64 cas p. 100, et même d
nnent sans cause extérieure. Sur 50 cas il les a constatées dans 64 cas p. 100, et même dans 78 p. 100 si l'on ne tient
ont la source de grosses difficultés devant les tribunaux. Dans les cas de nostalgie accompagnés parfois d'impul- sions
généralisent habituellement à tout le corps. On pourrait, dans ces cas , penser à un empoisonnement par des produits to
l'isolement est souvent nécessaire. Fiirstner décrit ensuite des cas dans lesquels on voit survenir un accès épilept
le cérébrale). Fürstner cite plusieurs exem- ples, entres autres un cas dans lequel une encéphalite survenue à l'âge de
tence de l'hystérie chez de tout jeunes enfants : il cite plusieurs cas , entre autres deux, dans lesquels la peur avait
océdé thérapeutique souverain consiste dans l'isole- ment. Dans les cas d'épilepsie tardive qu'il a observés, les mala-
anomalies de la sphère sexuelle. L'auteur, après avoir rapporté un cas d'exhibitionnisme chez un individu cultivé, non
te le diagnostic est souvent difficile, mais il est certain que les cas authentiques de catatonie ont un pronostic comm
intervalle. Pour élucider cette question, Kraepelin a rassemblé 63 cas de catatonie. L'affection est plus fréquente ch
de catatonie. L'affection est plus fréquente chez la femme. Dans 24 cas on observa une rémission; et sur ces 24 sujets, 1
ubles accentués; par le nombre restreint des accès, puisque dans 22 cas p. 100 seulement, il y a eu plus d'un seul accè
M. KREUSER a, dans son asile, quelques infirmiers mariés ; mais ces cas doivent rester l'exception. M. FÙRSTNER. La que
novembre. Présidence de M. KRAEPELIN M. VoRsTER (Stephansfeld). Un cas de dégénérescence hyaline isolée dans le lobe f
tologiques, et insiste sur les différences qui exis- tent entre les cas récents et les cas anciens de dégénérescence hy
ste sur les différences qui exis- tent entre les cas récents et les cas anciens de dégénérescence hyaline. Contrairemen
loïde. Répondant à une question de M. Kraepelin, il déclare que les cas de dégé- nérescence colloïde qu'il a observés,
ence sénile. SOCIÉTÉS SAVANTES. 403 M. 'l'HOMA (Illenau). - Trois cas de tumeur cérébrale. - En général les médecins
un établissement spé- cial. Il y a cependant toute une catégorie de cas dans lesquels les symptômes psychiques sont au
era une névrite optique ou un oedème de la papille. I. Le premier cas observé par M. Thoma estceiui d'un homme âgé de
avec un stroma résistant de tissu conjonctif. II. Dans le second cas , il s'agissait d'une femme, âgée de cin- quante
noïa. Le siège des tumeurs était, lui aussi, différent dans chaque cas : 1° lobe temporal ; 2° lobe occipital ; 3° cerve
cas : 1° lobe temporal ; 2° lobe occipital ; 3° cervelet. Les trois cas présentent cependant certains traits communs. A
ques dans l'artériosclé- rose. L'auteur étudie un certain nombre de cas observés à la cli- nique de psychiatrie de Stra
général trois ou quatre ans après le début de la maladie ( dans un cas , après une durée de trente-trois années, de qua
pour cause une hé- morragie récente particulièrement abondante. Les cas en ques- tion ne se distinguent des apoplexies
a été incertain). Sur 100 femmes, sensibilité à la pression dans 88 cas , analgésie dans 9 cas ; résultat douteux dans 2
100 femmes, sensibilité à la pression dans 88 cas, analgésie dans 9 cas ; résultat douteux dans 2 cas. La comparaison d
ression dans 88 cas, analgésie dans 9 cas ; résultat douteux dans 2 cas . La comparaison des chiffres trouvés chez les p
s'accroîtra lorsqu'on aura pu étudier d'une façon satisfaisante les cas dans lesquels l'analgésie du cubital existe che
té constatée que chez 8,69 p. 100, c'est-à-dire dans le dixième des cas . Pas de cas d'analgésie chez la femme. Mais la se
que chez 8,69 p. 100, c'est-à-dire dans le dixième des cas. Pas de cas d'analgésie chez la femme. Mais la sensibilité
son travail, ce qui fait qu'il n'a pu présenter un grand nombre de cas . Si des recherches ulté- rieures confirment les
au est d'une couleur bleuâtre. L'auteur prétend qu'il s'agit d'un cas d'hémiatrophie totale croisée à l'instar de l'h
mènes inflammatoires dans la peau (ce qui n'avait pas lieu dans les cas déjà publiés), de la douleur spontanée et du go
elet en forme d'un noeud isolé. Les auteurs ont fait mention de dix cas semblables déjà pu- bliés et indiquent, que cet
description complète, détaillée du type choisi de cellules. En tout cas , nous savons qu'il n'a pas été possible d'éclai
démontrant l'existence d'une lésion médullaire isolée dans certains cas de maladie de Little en souligne encore l'intér
urront aller plus loin et y puiser la notion de cause dans quelques cas . On ne pouvait mieux compléter le travail d'ens
e la question, dont l'étude se termine par une statistique de mille cas . La symptomatologie du morphinisme et celle de
de poisons. La fièvre activant le mouvement nutritif joue dans ces cas d'in- toxication un rôle favorable. Enfin de no
si ses prédécesseurs n'ont réussi que dans un nombre res- treint de cas à provoquer chez des animaux normaux, par la seul
r une critique savante. En s'appuyant sur un tableau raisonné de 70 cas d'épilepsie symptomatique et de 46 cas d'épilep
un tableau raisonné de 70 cas d'épilepsie symptomatique et de 46 cas d'épilepsies réflexes l'auteur montre que la prem
simple dans les petites attaques, suivie de stase veineuse dans les cas compliqués, explique tous les troubles d'origin
ine sévère et châtiments, nous sommes, dans un très grand nombre de cas , inconsciemment et a\ec les meilleurs intention
se de séjour forcé au lit. Il est étrange que la possibilité de ces cas n'ait pas été indiquée, même à titre exceptionn
pas été indiquée, même à titre exceptionnel. J'ai réuni tous nos cas de paralysie générale terminée par la mort, pen
preté et de quelques précautions antiseptiques. II. Mort. - Nos 33 cas de mort se répartissent en 3 groupes fort inéga
intercur- rente, étrangère à la paralysie générale, nous trouvons 6 cas : trois fois, mort rapide par affection broncho
e n'a pas été faite; mais il est bien évident qu'il y avait dans ce cas des complica- tions médullaires étendues. Il
ssement considérable. La durée de la paralysie géné- rale, dans ces cas , a été assez courte : deux ans en moyenne. Les
les deux groupes précédents puisqu'elle atteint 4 ans 1/2. Dans un cas à début tabétique la maladie a duré plus de 10
iété épi- leptique, la durée totale a dépassé 7 ans. Enfin, dans le cas unique terminé par le marasme, la durée a été d
aux fractures chez les paralytiques. Dans un très grand nombre de cas , elles ne sont pas un effet direct de la paralysi
faits consignés dans ce travail. J'ai dit plus haut que, dans les cas où la paralysie générale s'est terminée par une
dins sous la surveillance des infirmiers et : infirmières; dans les cas exceptionnels de convenance ou de nécessités re
e visite ménagée à propos suffira à faire disparaître dans bien des cas ; c'est, enfin, la subordination de la volonté r
st analpliabétique. Mais ce qui appelle surtout l'attention dans ce cas , ce sont les déformations que présente le crâne
aborieux et une interruption de la circulation placentaire. Dans le cas de Guadalupe, l'accouchement fut rapide et sans
qu'il a conservées avec lui en naissant. Clinquement parlant, ce cas forme partie du groupe varié compris aujourd'hu
urnal, 4 juillet 1896.) Les auteurs se proposent : 1° de décrire un cas de paralysie ascendante aiguë, principalement a
nt de vue des lésions ana- tomiques ; 2° de rechercher, d'après les cas déjà publiés, la nature pathologique de cette m
e publient les auteurs peuvent se résumer de la façon suivante : ce cas fournit une exacte contrepartie clinique du cas
façon suivante : ce cas fournit une exacte contrepartie clinique du cas primitivement publié par Landry et présente des
, et avec conservation de l'excitabilité faradique des muscles : Ce cas contraste avec le cas de Landry et avec quelque
de l'excitabilité faradique des muscles : Ce cas contraste avec le cas de Landry et avec quelques cas ultérieurs en ce q
s muscles : Ce cas contraste avec le cas de Landry et avec quelques cas ultérieurs en ce que les symptômes cliniques so
de la paralysie de Landry dans les nerfs périphériques résulte d'un cas unique, publié il y;a vingt ans par Déjprine :
giques démontrables dans le système nerveux. Il est certain que les cas où l'autopsie a été négative ne présentaient pas
liniques les divers types de lésions. R. DE Musgrave-Clay. LV. UN cas d'aphasie amnésique, avec QUELQUES remarques sur
ce pour lui l'énumération. Il a la notion de temps et de lieu. Ce cas parait être un cas d'aphasie amnésique pure, c'es
ration. Il a la notion de temps et de lieu. Ce cas parait être un cas d'aphasie amnésique pure, c'est-à-dire d'imposs
égénérescence cellulaire généralisée. Il. DE MUSGRAVE-CLAY. LVI. UN cas d'atrophie musculaire A DÉBUT BRUSQUE; par Théo
Théodore DITTER. (New- YOl'k Médical Journal, 6 juin 1896.) Dans le cas dont il s'agit la maladie a débuté par des phéno-
che, avec début insidieux et marche progressive et assez rapide. Ce cas s'écarte du type normal par la brusquerie du dé
ar II. PEREY SMITH. (Nezv-Yorlc médical Journal, 6 juin 1896.) Ce cas dans lequel aucune intervention chirurgicale n'a
érébrale. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 LIII. UN cas DE paralysie BULBAIRE AIGUË, avec remarques SUR l
stic; par W. AUZAL. (New-York médical Journal, 14 mars 1896.) Les cas de paralysie bulbaire aiguë ne sont pas communs,
très documenté et très personnellement renseigné. R. M.-C. LX. UN cas DE thrombose DU SINUS L4TI3B.\L : guérison après
l Journal, 29 août 1896.) L'auteur a publié, il y a trois ans, un cas de thrombose du sinus latéral dans lequel l'int
ait pas réussi à sauver la vie du malade; il avait tiré argument de cas malheureux pour conseiller une exploration préc
n non spécialiste. Actuellement il est heureux de publier un second cas , suivi de guérison, et il en rapporte l'observati
ison, et il en rapporte l'observation détaillée. R. M.-C. LXI. UN cas DE CIIORÉE congénitale; par Georges-J. PRESTON-
rnal, 14 mars 1896.) La chorée congénitale est extrêmement rare. Le cas rapporté par l'auteur est celui d'une jeune fil
it être invoquée dans les deux tiers de n'im- porte quelle série de cas de chorée pris en bloc. R. DE IUSGR : 1VE-CLAY.
pe, le réflexe a manqué 43 fois, soit à peu près dans 16 p. 100 des cas . Sur 157 hommes du même groupe, il manqué 65 fo
même groupe, il manqué 65 fois, soit à peu près dans 41 p. 100 des cas . Dans le second groupe formé de 100 aliénés, le
, le réflexe a manqué chez 6 femmes sur 45 (soit dans 13 p. 100 des cas ) et chez 11 hommes sur 55 (soit dans 20 p. 100
3 p. 100 des cas) et chez 11 hommes sur 55 (soit dans 20 p. 100 des cas ). Ces chiffres mon- trent une différence assez
Nordiskt l1ledicinskt Arkiv., 4896.) Il s'agit, dans le premier des cas relatés, d'une malade qui, après un accouchemen
érée ; quant au centre .de la moelle, il était presque intact. Ce cas fournit un excellent exemple de la forme très rar
son origine de l'utérus et des trompes de Fallope. Dans le second cas , un jeune homme ayant joui jusqu'alors d'une .s
st presque intacte; il n'y a pas de méningite spinale. Ce dernier cas paraît démontrer que la perception des irritation
est plus générale chez les femmes que chez les hommes (de tous les cas 73 p. 100 chez les femmes et 27 p. 100 chez les
symptômes dyspeptiques, s'étant trouvés dans 05 p. 100, de tous les cas . La forme la plus ordinaire de la dyspepsie a été
e la plus ordinaire de la dyspepsie a été l'hyperchlorhydrie. De 32 cas dans lesquels l'examen chimique du contenu stom
ont été marqués d'hyperchlorhy- drie, 8 d'hypochlorhydrie et dans 8 cas |la quantité de l'acide hydro- chlorhydrique éta
ité de l'acide hydro- chlorhydrique était normale. Dans 12 des 16 cas d'hyperchlorhydrie, la digestion était ralentie
16 cas d'hyperchlorhydrie, la digestion était ralentie ; dans les 8 cas d'hyro-resp-anachlorhydrie dans un seulement, e
cas d'hyro-resp-anachlorhydrie dans un seulement, et dans aucun des cas où la quantité d'acide chlorhy- drique était no
ndaire, mais, selon lui, il est pourtant possible que dans certains cas les troubles dyspeptiques soient primaires et pui
Les données anamnestiques nous apprennent que dans la plu- part des cas de neurasthénie les patients ont déjà été chétifs
plus active des causes psychiques et l'auteur l'admet dans certains cas , mais il trouve sa portée exa- gérée ; il le pr
ontraire un des facteurs les plus puissants de la neurasthénie. Les cas accompagnant des lésions traumatiques, de même qu
nie. Les cas accompagnant des lésions traumatiques, de même que les cas dépendant do l'onanisme doivent être comptés pa
cette mala- die-là et il avance particulièrement, que le nombre des cas de neurasthénie, traités à la clinique d11e]sin
ayant causé la maladie, mais plutôt comme ses suites. Même dans les cas relativement peu nombreux d'affection locale, c
KSONNIENNES. M. Pollosson et son interne M. Pont font connaître uil cas de tumeur vasculaire de la voûte s'accompagnant
étal, à l'occasion du traumatisme. Il pense intervenir. LXVII. Un cas DE maladie osseuse DE Pajet SUIVI d'autopsie. C
r. LXVII. Un cas DE maladie osseuse DE Pajet SUIVI d'autopsie. Ce cas est intéressant en raison de l'étendue des déform
te pas toujours la dernière, c'est quelquefois le rouge, et dans ce cas Ja théorie du rétrécissement concentrique ne pe
qu'une autre. (Revue neurologique, novembre 1896.) E. li. LXIX. UN cas DE syndrome DE Weber, suivi d'autopsie ; par les
e DE Weber, suivi d'autopsie ; par les Drs SOUQUES ET CONNUS. Les cas de syndrome de Weber, suivis d'autopsie, sont rel
la conscience et la mémoire se comportent exactement comme dans les cas où ces syndormes ne font pas fonction équi- val
ier ordre de la névrite qui s'en est suivie. - On se trouve dans ce cas en présence de la double 'influence étiologique
de courte durée si les suites de couches sont simples, alors qu'au cas contraire elle aura de grandes chances pour évo
ieuses. (Revue neurologique, août 18'JG) ' " E. B. LXXV. QUELQUES cas de paraphasie ET DE SUItDlfl3 verbale ; par le
sion de la première circonvolution temporale gauche : dans les deux cas où l'autopsie put être faite, c'est en effet su
fet sur cetle circonvolution que fut trouvée la lésion. Dans un des cas , notamment, il existait deux taches de ramollis
st nécessaire, dans la pratique journalière des asilés, d'avoir ces cas bien présents à l'esprit, car la paraphasie' 47
ous les signes cliniques d'une anémie pernicieuse. L'examen de ce cas , et d'un certain nombre de cas relatés dans ce
e anémie pernicieuse. L'examen de ce cas, et d'un certain nombre de cas relatés dans ce travail, permet d'établir que d
de cas relatés dans ce travail, permet d'établir que dans quelques cas d'anémie perni- cieuse il y a rapport de cause
existe chez une dame de leur connaissance. L'auteur explique les cas observés par la capacité de ces ma- lades de so
e soumis aux mouvements volontaires. C'est ainsi qu'on a décrit des cas , où certaines personnes pou- vaient à leur gré
l'auteur est porté à donner une explication analogue. Dans certains cas ces changements n'ont lieu que dans le cristallin
peut aussi s'étendre sur d'autres mouvements de l'oeil. Le premier cas est regardé par l'auteur comme une capacité appar
capacité provient à la suite d'un exercice prolongé et envisage ces cas comme exceptionnels. M. Evetzicy a connu une
devenait myope dès qu'elle se mettait à lire; il paraît que dans ce cas jouait un grand rôle l'idée de la myopie qui ag
ètement l'in- fluence de l'exercice. AI. Kojewnikoff explique les cas cités, par une habitude de faire des mouvements
896. MM. ÂLEXANDMFF et Mm·on. Intervention chirurgicale dans deux cas de lésion de la moclle épinière et du cerveau che
s. Con- tribution à l'étude de la syringomyélie résultant des mêmes cas . Premier cas. Une fillette de douze ans était a
tion à l'étude de la syringomyélie résultant des mêmes cas. Premier cas . Une fillette de douze ans était atteinte pendant
central dans la partie supérieure de la région dorsale. Deuxième cas . Il s'agit d'une fillette, âgée d'un an, atteinte
ée la description des préparations microscopi- ques. Dans le second cas (hydrocéphalie interne et spina bifida) le cana
31 482 SOCIÉTÉS savantes. ment du canal central. Dans le premier cas (myélite par compres- sion) au-dessus de la com
une affection d'origine embryonnaire. M. Minor suppose que ces deux cas indiquent l'origine embryon- naire de la syring
r exemple, de l'hématomyélie, etc., etc. M. ROT ! ! indique que ces cas , où la prolifération de la névroglie s'est déve
ine parasitaire de la maladie en question. Selon M. Mouratoff les cas cités ne présentent qu'un intérêt tératologique
rigine hématomyélique de cette dernière, M. Mouratoff croit que les cas de Schulze ne donnent rien que des analogies an
nt : 484 -il sociétés savantes. l'enfance. L'auteur admet dans ce cas des hémorragies sous-ménin- gées et il explique
otrice des yeux on n'a pas constaté d'anomalie. M. FOKARSKY cita un cas de narcolepsie, qu'il avait observé chez un gar
psewlo- SOCIÉTÉS savantes. 1185 aphasique. L'auteur observe deux cas d'une confusion pseudo- aphasique, dans l'un de
e, qui sont si propres à l'amentia manicans. En se basant sur ces cas l'auteur pense que les troubles de la parole, a
nte fonctionnelle. M. FOKARSKY fit attention à ce que dans certains cas d'cemnésia de Aleynert pendant tout le cours de
ie montre que la prédisposition héréditaire que l'on trouve dans 75 cas p. 100, se traduit en général par une impressio
e irritation spinale. Ce qu'on ne peut admettre, c'est que tous les cas de névrose par anxiété soient d'origine sexuelle.
menté de 28 p. 100. Le Dr Spencer conclut de ces recherches que les cas de folie ne sont pas plus nombreux actuellement
tabétiques. Il a pn étudier les coupes sériées (4000 environ) de 10 cas de tabes observés à diverses périodes, dans le se
du tabes. La sclérose du cordon de Goll, si elle est, dans certains cas , le résultat d'une dégénération secondaire des
- phomanes, obsédés et impulsifs, les mastoïdes persécuteurs, les cas de suicide indirect, les criminels par passion qu
r del Greco, 371. .11,iiisii, motrice totale par Bruns, 327. - Un cas d' - amnésique, par Simpson, 457. Artériosclé
'infection de l'appaleil -, par Meunier, 154. Cnow-SEQUAnD. Trois cas de paraly- sie de -, par Bailey, 323. Buveurs
euse. Développement de l'écorce -, par Lui, 354. Cérébrale. Trois cas de tumeur , par Thomas, 403. Cescnrso-c.sm vs
ine isolée dans le lobe -, par Vors- tel', \02. Gvnghène. Trois cas de - ¡,ponta- née, par Ilortoii, 230. GOITRE
e de il -, par Marina, '50. D04 TABLE DES MATIERES. Hystérie. Cas remarquable de grande -, par Marino y Sanchez,
ment des -, par Clouston et Tuke, 207 ; par Mayer. 209. Manie. Un cas de - récurrente, par Havelock, 23 i. Médecine
. Un cas de - récurrente, par Havelock, 23 i. Médecine légale. Un cas de - en matière d'aliénation, par Bargy, 142.
e légale. Un cas de - en matière d'aliénation, par Bargy, 142. Un cas de -, par Bonville Fox, 310. D1EDIC01'SYCIIOL
générale. Période termi- nale de la -, par Armand, 67, 433. Cent cas de -, par Phleps, 22L Psendo - par Ilyslop, 375
d'origine gastrique, par Moreno y Lopez, 54 ; par Ortega, 55. Un cas de , par Park, 31H. Thyroïdienne. De l'alimenta
ar attaques spéciales et troubles de l'ouïe, par Luhrmann, 49. Un cas de -, par West, 59. Sur l'ana- tomie pathologiq
Vision. Récit personnel des phéno- mènes morbides, 376. Weber. Un cas de syndrome de suivi d'autopsie, par Souques et
31 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
observations à la Société médico- psychologique, nous suivions des cas analogues dont nous nous proposions aussi de fa
Des Indes à la Planète Mars suivi de Nouvelles observations sur un cas de som- nambulisme avec glossolalie. Malgré l'a
epris M. P. Janet à la Société de psychologie en 1902 à propos d'un cas de Plié- nornènes d'apport. Au bénéfice de la
co-psy- chologique en avril 1J03; il serait utile de rechercher les cas MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 3 de délire à forme méd
cas MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 3 de délire à forme médianimique et les cas d'aliénation sur- venant chez les médiums pour
s les limites de ce délire, débutant et finissant avec lui. Dans ce cas , le trouble mental ne diffère de la médiumnité
3° Un délire vésanique de forme quelconque peut venir compliquer un cas de médiumnité ordinaire durant depuis un temps
rminaison naturelle de certaines médiumnités. Cela pourrait être le cas du malade de MM. Ballet et Monnier-Vinard, comm
onservent plutôt leur caractère psychique ou psychomoteur; en aucun cas elles ne proviennent du dehors, d'un point quel
fort de concentration cérébrale, le secours de la table est dans ce cas même quelquefois necessaire. Dessins médianim
crois- sance des centres nerveux. Que devient cette loi dans les cas pathologiques ? Si une suture prématurément syn
interpréter les faits. Ce qu'il importe de savoir c'est que seul un cas de synos- tose complète et prématurée du crâne
est de nature à s'oppo- ser au développement d'un cerveau sain. Le cas doit être rare, car ainsi que nous le faisions
ânes recueillis au musée de Bicêtre, nous n'avons relevé qu'un seul cas de synostose complète et encore le cer- veau qu
stamment : un petit cerveau s'accompagne d"un petit crâne; tous les cas de microcéphalie en sont la démonstration. Qu
t aussi surmonter un corps relativement développé et, dans tous les cas , l'étude du crâne qui en a été faite est démons
ue M. Bour- neville en a relaté de nombreux exemples, dans tous les cas où un hémisphère est atrophié, la paroi corresp
sion céré- brale absente ne s'oppose pas à leur occlusion. Dans ces cas la synostose totale ou très avancée, d'ailleurs
ment la cause de l'atro- phie cérébrale. Ce qui est vrai pour les cas de microcéphalie l'est égale- ment pour les cas
i est vrai pour les cas de microcéphalie l'est égale- ment pour les cas où le cerveau est atteint d'un retard peu prono
ensons que ces explications donnent entière satisfac- tion, mais en cas qu'il y ait malgré tout des incrédules, nous al
ntes qui sont encore plus démonstratives car elles reposent sur des cas ayant la valeur de véritables expériences réali
qui appartenaient à des sujets peu avancés en âge. Dans le premier cas la base cra- nienne a été insuffisamment impres
uraient traduire un arrêt de développement minime. Dans le second cas , les inclinaisons diffèrent trop peu pour avoir
elle est, la plupart du temps, plus ou moins renflée. , Dans nos cas , un côté rappelle donc l'aspect normal, tan- di
e action trophique directe sur l'os qui le recouvre (ce qui dans le cas d'atrophie de" cet organe, entraînerait une atr
l'Inégalité des hémisphères cérébraux et cérébelleux, comprenant 90 cas que nous avons publiés dans notre Compte rendu
quons-le, la différence d'épais- seur est peu marquée dans certains cas et nullement compa- rable à celle qui accompagn
ant néanmoins un épaississement notable), nous avons aussi d'autres cas où la réalité de cette, action est hors de dout
as où la réalité de cette, action est hors de doute, par exemple le cas de R ? chez .lequel l'atrophie des lobes fronta
essaire. On trouvera des explications très complètes au sujet de ce cas dans les Bulletins de la Société d'An- thropolo
s faits sont discordants : augmentation d'épais- seur dans certains cas , aucune modification dans d'autres .ou même ami
exemples. - La figure 13 et les planches III et IV reproduisent un cas caracté- ristique. Bien que relativement petit,
pas d'un arrêt de développement de l'un des hémisphères. En tout cas , si l'on conserve à cette forme le nom de plagio-
are nullement certain que la guérison soi définitive ; mais en tout cas le médicament parait être celui qu'il convient
dre des causes de cette affection nerveuse. C'est ainsi que dans un cas très signi- ficatif d'acropareslhésie, l'auteur
t qu'on peut à juste titre généraliser les conclusions tirées de ce cas . Il faut probablement placer le siège des trouble
ervicale. (Revue 11eu- rologique, janvier 1903). E. B. IV. Sur un cas remarquable de contracture post-hémiplégique; p
asie-abasie labyrinthique ; par Pierre Bonnier. 'L'auteur étudie le cas d'un jeune malade de 11 ans présenté par Déjeri
uivie d'autopsie et d'examen histologique, d'ailleurs négatif, d'un cas de chorée mineure de Sydenham chez une jeune fi
de Sydenham chez une jeune fille de dix-sept ans. A pro- pos de ce cas , l'auteur fait un historique de la maladie et exp
eur, celui-ci serait pathologique et se rencontrerait dans tous les cas où l'on constate le réflexe de Babinski. (Revue
paralysie faciale. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 55 Deux nouveaux cas leur permettent de revenir sur ce symptôme dont
volume des parties molles. L'au- teur présente, avec le résumé des cas publiés antérieurement, une observation personn
publiés antérieurement, une observation personnelle détaillée d'un cas se rapportant à cette dernière forme. R. C. X
ée d'un cas se rapportant à cette dernière forme. R. C. XVIII. Un cas d'hémiatrophie faciale progressive; par CALMETTE
rocession, à genèse apparente (traumatisme ou ^infection). C'est un cas de cette dernière variété qui est rapporté dans c
limination de doigtsen général, estparticuliènimentindiqué dans les cas de gigantisme pour prévenir les déformations ulté
naires des deux côtés). R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 57 Un cas de syphilis héréditaire tardive à forme cérébro-
sions permet de déterminer leur nature spécifique. R. C. XXIV. Un cas de myopathie atrophique progressive avec trou-
i'.ion des réllexes tendi- neux et de l'excitabilité électrique. Ce cas présente en outre un phénomène rarement signalé
thésie cutanée, phénomène qui permet de le ranger dans la série des cas mixtes où le système nerveux doit sûrement inte
par SABmxÈs. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière.) Observation d'un cas de Labes par hérédo-syphilis, présentant une dé
upart des causes prédisposantes et déterminantes signalées dans des cas analogues. Comme causes prédisposantes ce sont
e forme le tremblement reste indéfiniment unilatéral. Ce sont ces cas seulement, dit l'auteur, qu'il faut décrire comme
blement à la face, à la langue, à la mâchoire. G. Carrier. XXIX. Du cas d'hystérie à grandes manifestations. Fièvre hysté
urs est intéressante à cause de la grande richesse symptomatique du cas (asthénie, vomisse- ment incoercibles; accès de
5.) L'auteur en fournit deux nouvelles observations. Dans les deux cas , la macro-esthésie sur- vint à la suite de névr
des plus intéressantes d'un malade âgé de trente-six ans. C'est un cas rare de paralysie générale développée chez un i
que, de la raideur de la nuque avec opisthotonos, et, dans quelques cas , des attaques épilepti- formes, des ictus céréb
e de l'équateur cérébelleux, au voisinage du bulbe. Dans ce dernier cas , l'analyse des effets de la compression des pai
ps. (Revue neurologique, octobre 1903.) E. B. ' XIII. Note sur un cas de ramollissement du cervelet avec étude des dé
on de dégénérations secondaires a engagé les auteurs à publier leur cas . Les coupes en série n'ont révélé que quelques
e ; par MM. E. \VEtLt et L. GALLA YHDIN. Examen histologique d'un cas de myélite aiguë diffuse avec maximum au niveau
toires en cellules épi- thélioïdes se produit-elle surtout dans les cas à évolution subai- guë, de préférence ceux à al
rbale, ou encore des troubles d'aphasie sensorielle ; dans d'autres cas enfin, des symptômes de compression des nerfs d
ogastrique. (Revue neurologique, novembre 1903). E. B. XVII. Deux cas de tumeur du nerf auditif; par M. J. LéPIYE. Le
d a permis à l'auteur d'observer, à quelques mois de distance, deux cas de tumeur du nerf auditif, dans le service du p
. C. 68 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXI. Un cas de sclérose symétrique des lobes occipitaux; par
onakow, qui explique la conservation de la vision centrale dans les cas de lésions des sphères visuelles parce fait que
étendue du territoire cortical de la vision. Il. CHAHOK. XXII. Un cas de phocomélie et hémimélie ; par HALBRON. (Nouv.
mimélie. H. C. XXIII. Recherche des microbes de Winogradsky dans un cas d'ostéomalacie sénile ; par L. Lacomme. (Labora
comme a recherché dans plusieurs observations, entre autres daus un cas d'ostéomalacie sénile, la véracité des arguments
téomalacie. Des recherches auxquelles s'est livré M. Lacomme sur un cas d'ostéomalacie sénile, il résulte que l'analyse
o-organisme rappelant les ferments nitrificateurs. Dans deux autres cas d'ostéomalacie les recherches de l'auteur ont é
us épaisse qu'une feuille de papier. Ce type serait superposable au cas publié par les auteurs. 3° Dans le troisième type
de « petit mal » non plus que d'attaques légères ou graves. Dans un cas comme dans l'autre le malade est épileptique et
mais après trente ans d'expérience, .l'auteur estime que, pour des cas moyens, et pour des malades qui consentent à pe
and Philadelphia Médical Journal, 19 sep- tembre 1903.) 1 Sur 33 cas d'épilepsie les résultats ont été les suivants :
Sur 33 cas d'épilepsie les résultats ont été les suivants : dans 21 cas , aucune amélioration, ni passagère ni permanente;
s 21 cas, aucune amélioration, ni passagère ni permanente; dans 8 cas les attaques ont diminué de fréquence et de gravi
n chirurgicale n'a constitué qu'une partie du traite- ment ; dans 3 cas , l'aggravation a été manifeste ; dans 1 cas il y
u traite- ment ; dans 3 cas, l'aggravation a été manifeste ; dans 1 cas il y a eu guérison apparente, mais cette guéris
t des imbéciles. La statistique donnée par l'auteur porte sur 194 cas , divisés en deux groupes : le premier groupe (1
porte sur 194 cas, divisés en deux groupes : le premier groupe (111 cas ) donne les résultats les plus immédiats : le se
pe (111 cas) donne les résultats les plus immédiats : le second (83 cas ) donne les résultats plus permanents. Premier
ion (dont la nature est indiquée dans ce mémoire à propos de chaque cas ). 30 (27 p. 100),amé- lioration de nature non i
élioration. L'auteur conclut en disant qu'on ne connaît pas un seul cas de défectuosité mentale congénitale où l'interv
des atteints de troubles bulbaires d'origine optique. Dans l'un des cas , le bulbe droit étant intéressé il y a eu. des
intérieur et possibi- lité d'épeler le nom d'un objet désigné. Un cas d'adipose douloureuse. MM. RAYMOND et.GuiLLAIi
calisation rare de l'ostéopathie spécifique aux os de la main. Un cas de kyste derrnoïde dus centres nerveux. MM. RAY
ons coupé les yeux de 11 tabétiques amauroti- ques et dans tous les cas nous avons trouvé un nombre encore considérable
ombre habituel de ces éléments bien que dans quatre au moins de ces cas nous n'ayons trouvé dans le nerf correspondant
ime. La couche des fibres optiques'de la rétine était dans tous ces cas très diminuée d'épaisseur, mais nullement propo
sur un fond uniforme, parsemé de cellules névrogliques. L'examen de cas plus récents nous a montré que ces nodules repr
es lésions vas- culaires prédominantes au pourtour du nerf dans des cas d'altéra- tions syphilitiques diverses du systè
uleurs d'aniline. Ces techniques sont trop peu comparables. En tout cas , si un réseau central infirme le neurome, l'abs
e supérieure de la' scissure pariéto-occipitale. Mais dans les deux cas on a constaté une dilatation considérable du ve
ubstance blanche de toutes les circonvo- lutions : dans l'un de ces cas on a constaté de plus l'existence dans la corne
t l'existence d'un processus épendymaire ou sous-épendymaire. Ces cas ne sont pas les seuls dans lesquels nous ayons tr
hystérique simulant le clonus du pied. 'M. CANTONNENT présente deux cas de goitre exophtalmique avec torticolis mental
hyp- notique a ravivé le souvenir du mécanisme de la marche. D.ux cas de névralgie guéris par la suggestion hypnotique.
leur côté anesthésique aussi bien qu'à leur côté sensible ; danF ce cas , le retour de la sensibilité précède toujours l
littérature concer- nant la psychose polynévrilique, et ont cité un cas personnel de la psychose de KOHSAKOFF. Malade d
s fantastiques qu'au commencement. Les rapporteurs considèrent leur cas comme un cas le plus typique de la psychose de
qu'au commencement. Les rapporteurs considèrent leur cas comme un cas le plus typique de la psychose de KORSAEOFF. Ensu
ant la psychose de KoasAorF; ayant basé leurs conclusions sur 200 cas à peu près de la maladie en question, décrits par
mes; surtout saute aux yeux ce fait que la plus grande majorité des cas de psychose de Korsakoff sont d'origine alcooli
rsakoff sont d'origine alcoolique. Dans les trois quart de tous les cas de la maladie de KORSAKOFF, c'est l'alcool qui
end seulement les hommes, alors on verra que parmi eux le nombre de cas de psychose de IORS.fEOFF,d'originealcoolique,
s auteurs (SCHULTZE, Monkemoller, R911ANN, LuCrERATH) décrivent des cas de psychose de KOHSAKOFF sans phénomènes cliniq
s cliniques neuritiques, mais il faut remarquer que dans pas un des cas de ce genre il n'y avait eu d'examen microscopi
s de ce genre il n'y avait eu d'examen microscopique des nerfs; ces cas ne sont pas nombreux et tous ils appartiennent
e chez les alcooliques ; elle est même très douteuse. Dans certains cas , on observe la combinaison de la psychose de Ko
hose de Korsakoff avec la polio- encéphalite de 'VEHNrcEE; dans des cas rares la psychose de Iion- sakoff peut se compl
ychose de KORSAKOFF. Pour con- clusion, les rapporteurs ont cité un cas de ce genre, observé à la Clinique Psychiatriqu
V.-W. VOROBIEFF indique sur cela qu'il peut exister trois genres de cas : 4° Lorsque la psychose de Korsakoff apparait
ganiques et non provoquées par elles. W.-P. SEHBSKY remarqua que le cas , sur lequel insiste W.-A. nIOURATOFG', est peu
if, car, autant qu'on peut le juger parla brève communication de ce cas , les nerfs périphériques n'ont pas été examinés
s cellules endothéliales, la neu- ronophagie. L'étude anatomique du cas donné démontre que, entre ce cas de poliomyélit
ronophagie. L'étude anatomique du cas donné démontre que, entre ce cas de poliomyélite et les myélites aiguës, il n'y a
mme preuve de quoi ont été présentées des pré- parations d'un autre cas d'hydrophobie : un garçon de quatorze ans, dix
modifications^ 88 BIBLIOGRAPHIE. dans la- lyssa, on peut, dans ce cas , s'associer à l'opinion de M. Crocy qui n'envis
de Van-Gehuchten et d'autres. -- L.-S. Vlli\on n'envisage pas le cas du rapporteur comme polio- myélite typique, mai
as du rapporteur comme polio- myélite typique, mais plutôt comme un cas de lyssa avec localisa- tion du processus, entr
cornes antérieures aussi. A.-A. Korniloff est d'avis que dans le cas du rapporteur existe une infection générale qui
ire le tableau clinique ainsi que le tableau anatomique, et dans le cas donné il n'y a rien de caractéristique pour'la po
cie à l'opinion de MM. MINOH et Korniloit, et cite, en abrégé, deux cas de poliomyélite, où il avait trouvé des modific
ec parathyroïdectomie est tou- jours suivie de mort. ' * Dans les cas de parathyroïdectomie la survie ne peut s'expli-
s et dont certains phénomènes con- vulsifs de l'enfance et certains cas d'éclampsie puerpuérale parais- sent être la co
and il existe dans l'organisme une rétention du calcium. Dans les cas avancés l'acromégalie où le calcium a la tendance
thérapie pituitaire serait indiquée d'une façon rationelle dans les cas où une tendance à l'élimination exagérée du calci
a pas été signalé, il est pourtant possible qu'elle existe dans les cas avancés d'acromégalie, L'opothérapie ovarienne
urnal de Méde- cine de Paris, 17 janvier 1904). . .VARIA. 93 UN CAS DE LÉTHARGIE. Un cas de léthargie des plus inté
e Paris, 17 janvier 1904). . .VARIA. 93 UN CAS DE LÉTHARGIE. Un cas de léthargie des plus intéressants vient de se pr
USE. CLINIQUE DES MALADIES NEUVE USES. - LA SALP1 : TIIIGItE Deux cas de lèpre nerveuse 1. Par le professeur RAYMOND
eut parfois arriver à la guérir presque complètement. Dans tous les cas /sa pathogénie a été singu- lièrement éclairée l
je vous rappellerai également son histoire, et l'examen de ces deux cas me permettra de vous faire connaître les aspect
nc tout d'abord vous dire comment celle-ci a évo- lué dans les deux cas qui nous occupenl. ' Le malade que je vous prés
Il n'a jamais eu de syphilis, de paludisme ni de dysenterie. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 99 Les premiers symptômes qu
A l'avant-bras, cette atrophie n'est pas moins évidente, la DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 101 t mensuration montre,
hésie. Ces explications s'appliquent à toutes les figures. " DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 103 Enfin, Messieurs, les ré
t sur le nez le siège d'un érythème spécial : il Fir¡. 1 il. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 105 est surtout marqué autou
égion sus-orbitaire gauche, elle est séparée de la Fi-7. 18. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 107. précédente par une band
tation de volume ne se rencontre qu'à droite. Elle intéresse DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 109 notamment les deux branc
surtout prononcé au niveau des deux mains. Celles-ci, en un DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. l'il 1 mot, présentaient tou
d'un abcès et datant de cinq à six ans ; à la face Fis. 20. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 113 dorsale du pied gauche u
'heure quelle est l'impor- tance de ces troubles. Fig, 22, DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 115' J'ajoute enfin, 'Messie
n rouge vineux; celle-ci a persisté pendant une F ig. 21. i. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 11-7 quinzaine de jours, pui
i les localisations sont différentes, nous retrouvons dans les deux cas le même début insidieux, la même évolu- tion le
s modifiés dans leur volume et leur consistance. C'est que ces deux cas relèvent en réalité d'une seule et même affecti
est certainement l'atrophie musculaire, si accentuée dans les deux cas , et qui mérite de retenir notre DEUX CAS. DE LÈ
accentuée dans les deux cas, et qui mérite de retenir notre DEUX CAS . DE LÈPRE NERVEUSE. 119 attention. Chez notre f
analogies et ce serait une erreur grossière que de porter dans les cas qui nous occupent le diagnostic d'atrophie musc
ont modifié leur opinion à cet égard, c'est qu'ils ont observé des cas qui n'étaient plus l'atrophie musculaire type.
ne véritable dissociation telle que nous en observons dans bien des cas de cavités médullaires. Mais un pareil dia- gno
tenir compte de< autres symptômes que je vous ai mentionnés : en cas de syringomyélie en effet la symétrie de l'atro
-dire d'un signe que nous considérons à bon droit comme constant en cas DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 121 de syringomyé
signe que nous considérons à bon droit comme constant en cas DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 121 de syringomyélie; la déf
nt aller jus- qu'à la chute des phalanges, se montre dans nombre de cas trop nette pour prêter à la moindre discussion,
ingomyélie en tant que maladie autonome et voulant ne voir dans les cas de cavités médullaires que la destruction de la
rnière opinion, à vrai dire, n'a pas été généralement admise et les cas rares dans lesquels le bacille lépreux a été tr
on du volume des troncs nerveux : devons-nous donc conclure dans le cas présent à l'existence de la névrite interstitie
aladie familiale : voilà donc autant de raisons d'éliminer, dans le cas présent, le diagnostic de névrite interstitiell
tive : la polynévrite saturnine seule présenterait des locali- DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. li3 sations rappelant celles
ents pour affirmer sans crainte d'erreur que vous avez affaire à un cas de lèpre. ' Mais ce n'est pas assez que d'avoir
sez que d'avoir déterminé la nature de l'affection en cause dans le cas présent et le diagnostic serait incomplet si no
anifeste, et dans les siècles suivants on n'en signale plus que des cas isolés. Pourtant, on s'est demandé si cette dis
ste : à Paris nous en observons régulièrement tous les ans quelques cas dans les hôpitaux spéciaux Aussi l'étude de la
eux. La nature et la répartition des troubles trophiques que DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. t25 l'on rencontre chez les'
ar exemple, laquelle ne fait pas défaut chez notre malade. Dans ces cas , de même que dans la rhinite ou l'orchite lépre
aris'en et quelles réactions histologiques 'sa ' présence pro- DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 127 voque dans les tissus en
paisseur des cordons nerveux ? On peut bien admettre, pour certains cas , l'arrivée du bacille par embolies, suivant les
MM. Sicard et Cestan, ont repris les expériences d'infections DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 129 expérimentales de. poudr
n dont il est atteint, quel pronostic convient-il de porter dans le cas présent ? D'une façon générale, vous n'ignorez
lmoogra, l'ichtyol, le salicylate de soude ont donné dans plusieurs cas des succès; ici le collargol a rendu les plus g
iumnité spontanée à la suite de laquelle se sont succédées dans son cas la plupart des spécialités médianimiques que to
al de celui des mystiques purs, elle est aussi près que possible du cas de Swedenhorg. Ce dernier comme elle, était tom
ait secondaire et qui n'a rien à voir avec la classification de ces cas consiste dans la diversité du niveau intellectu
logique et animée d'une tendance apostolique active. En un mot, des cas semblables représentent le point de jonction du
és et reconnaît que leur attitude était absurde. Il y a là comme un cas de « folie à deux» dont elle était l'élément ac
onceptions diffère plus ou moins dans sa teneur. Ils sont en tout cas à rapprocher des démonomanes et font partie ave
l'on compare les symptômes toxiques de cette série avec ceux des cas dans lesquels on'avait l'ait agir du sérum de lap
s'agit d'une pure réaction locale, bien moins intense que dans les cas précédents. A la suite de l'exa- men des multip
'auteur montre, avec de nombreuses figures à l'appui, qu'il y a des cas de paralysie générale dans lesquels la déchéance
excessivement dégénérée. On peut néanmoins se demander si certains cas d'atrophie diffuse ne ' Voy. Archives de Xenrol
ut diffus ? Pour résoudre la question, il n'y a qu'à exa- miner des cas tout à fait récents ou relativement récents. P.
l'autre patte (llyperréllexe croisé). Le clonus du genou en maints cas atteint les degrés les plus extrêmes et dure pas
hé- nomènes spasmodiques faibles ; ces derniers seulement dans le cas où les vibrations sont appliquées près de l'artic
c'est un réflexe d'autant qu'il est exagéré d'un seul côté dans les cas de lésions anatomiques cérébrales et spino- cer
dans la sclérose latérale amyotrophique, il disparaît dans certains cas de poliomyélite où la ceinture scapulaire est a
toral à l'humérus : il y a excitation mécanique de ce tendon; en un cas par le même mécanisme les segments antérieurs d
éaction paradoxale apparente à la lumière n'a été observée qu'en un cas diridectomie ; la vraie réaction paradoxale à l
ion en sens opposé de la tête. MM. Roussy et GAUCKLER présentent un cas suivi d'autopsie où on trouva dans l'hémisphère
rescence secondaire dans la cap- sule interne (lésion ancienne). Ce cas (sauf pour cette lésion ancienne) est en tout s
Marie, dans la syringomyélie sont rares. L'hypertrophie dans ces cas peut porter soit sur les os, soit sur les parties
soit sur les parties molles. La radio- graphie a montré que dans le cas présenté l'hypertrophie porte sur les parties m
tteint de rétention d'urine : le décubitus prolongé dans le premier cas , la macération dans le second ne peuvent donc ê
raire, est active, originale, dans la création de son modèle. Trois cas de fragilité des os chez des aliénés. , MM. MAR
ne étude qu'ils ont faite sur les frac- tures spontanées dans trois cas de psychose organique, tirent les conclusions s
euvent s'ob- server dans l'épilepsie avec ou sans idiotie. Dans ces cas , les frac- tures peuvent se produire au lit, au
ulaire vive chez des individus normaux. Mais je n'ai pas vu un seul cas de fracture spontanée chez les nombreux para- l
auprès de leurs collègues des asiles, ont recueilli une centaine de cas de trauma- tismes crâniens suivis de troubles m
entre le traumatisme et l'apparition de la folie. ' 3° Parmi les cas où il peut y avoir lieu à expertiser. on peut c
nt 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. les aliénés sortis guéris des asiles au cas d'accidents survenus chez l'employeur, coïncida
es troubles psychiquessont bien difficiles àétablir; dans plusieurs cas , l'autopsie n'a révélé aucune lésion attribuable
près qu'il se fût logé une balle dans la tête. M. Marie. Il y a des cas d'une- extrême difficulté d'interpréta- tion, c
mentaux, et dans la pratique, ce problème se pose quelquefois. Un cas de folie ci deux avec infériorité relative de l'o
persécution, développé chez la fille puis adopté par la mère. Le cas est intéressant par l'absence des éléments que La
b) En ce qui concerne la préexistence du délire chez l'actif, le cas n'est pas davantage en faveur de la théorie class
urs points sont à noter : 1° La genèse de l'état obsédant : dans ce cas il s'agit d'une obsession acquise ; la malade n
ET DE PSYCHIATRIE DE MOSCOU - . SÉANCE DU 21 FÉVRIER 1903 ' Un cas de myolrynie dans la polioence phalo-rnéningite a
poser le commencement d'un processus chronique. La particularité du cas donné consiste dans cela que les contractions v
erveuses des cornes anté- rieures. H2 Z . SOCIÉTÉS SAVANTES. Un cas de psychose de Korsakoff. B.-A. GuiLiAnovsKY. M
0RSA60rF le plus souvent est provoquée par l'alcool ; mais dans ces cas la période initiale de la maladie n'est pas si
période initiale de la maladie n'est pas si accentuée que dans les cas où la psychose de KORSAKOFF est provoquée par l
s'améliorant lentement, même à desconditions favorables : dans ces cas la personnalité du malade est conservée et sa con
mais le diagnostic différentiel est comparativement facile dans ces cas , vu les phé- nomènes accessoires (la modificati
eurs ne réfutent point la .possibilité de l'existence dans certains cas . 174 4 SOCIÉTÉS SAVANTES. rares il est vrai,
a combinaison de la tumeur cérébrale avec la psychose de EORSAEOFF ( cas de MEYER, MONKE : .IOLLER et KAPLAN); z ici se
de MEYER, MONKE : .IOLLER et KAPLAN); z ici se rapportent aussi les cas de syphilis cérébrale, où, d'après l'avis de M.
stion, peuvent s'associer des vastes ramollissements cérébraux. Les cas de la psychose de KonsAKOFF, sans polynévrites
ratifs, car les nerfs périphériques n'ont pas été examinés dans ces cas . Il existe des troubles psychiques, où il n'y a p
onsaxoFxetdoit encore être bien étudiée. Comment faut-il traiter le cas , où l'amentia apparait non comme accès temporai
de Korsakoff ? W.-A. u'IOURATOFF démontre sur cela qu'il existe des cas de dé- mence appoplectique, sans névrites, répé
st porté à limiter les maladies de KopSAMFF ' > seulement par le cas typique de psychose dans les polynévrites. W.-P
de psychose dans les polynévrites. W.-P. SERBSKY trouve que dans le cas , dont parle W.-A. 31ouR.&- TOFF, il y avait
ent du cerveau s'est associé après. Cela donne à penser que dans le cas de la clinique du professeur BECHTEREFF, où les
es, elles ne peuvent pas être envisagées comme délire absurde. Un cas de carcomatose de la moelle épinière. P.-A. PRÉ
en mois. Le traitement est long, comme il doit l'être dans tous les cas d'alcoolisme ; car la cure ne peut être définitiv
influence hypnotique a devancé la sug- gestion. Toutefois, dans les cas graves, il est indispensable d'ob- tenir le som
ie suivant que l'organisme est sain ou malade et, dans ce der- nier cas , suivant que la maladie est à son début, à son ap
ns en invoquant la périodicité de certains troubles délirants. Un cas grave d'hystérie. 11. BÉniyLON présente une jeu
intéressant les gradés ainsi que les non gradés, et portant sur des cas de : phobies diverses, anxiété, anesthésies, SO
vus cutané ou sous-cutané. Il conclut, toutefois, que l'élude des cas observés, jusqu'à présent, démontre que ces faits
ordre : Membres : faces internes des bras, des cuisses. Dans aucun cas nous n'avons vu les lésions se localiser à un tra
s vite. Nous n'avons pas rencontré d'affection hépatique dans les cas de naevi multiples, et nous n'avons pas vu que le
ement des noevi fut plus rapide, ni leur nombre aug- menté dans les cas de maladie du foie. CLINIQUE MENTALE, La phob
ards et cette tendance à les fuir peuvent s'exagérer, dans certains cas , jusqu'à prendre les proportions d'une peur obs
manie de se croire observé, des idées de persécution. Dans tous les cas , la phobie du regard repose sur un fond de timi
tincts. Toutefois, il est possible qu'ils s'associent dans certains cas pour constituer une forme mixte. Citons mainten
roubles psychiques variés et se termine dans l'immense majorité des cas par la perte complète de la raison. Le début de
tellectuelles , auquel se surajoutent , dans la grande majorité des cas , des états de dépression, d'excitation, de conf
ent sans cher- cher à se rendre compte de son usage, comme dans les cas d'abo- lition du sens stéréognostique. Cet état
on peut entraîner l'oubli même de la fonction paralysée. - Dans les cas de stupeur complète, les injonctions, les sollici
utanés ont été trouvés faibles ou abolis dans la moitié environ des cas . Il en est de même des réflexes lumineux et acc
ffre des dimensions variables ; dans un peu plus des deux tiers des cas le diamètre serait exagéré. En outre de ces mod
ralysie généaale, ne contient pas d'éléments figurés : dans quelque cas cependant on a noté l'existence d'une lymphocy-
glandes sexuelles (testicules, ovaires), pour un certain nombre de cas (la grande majorité) et, pour les autres, à une
montre chez les dégénérés, c'est seulement dans un petit nombre de cas . Cette constatation ne porte nullement atteinte
ration de la cellule nerveuse et de ses prolongements dans tous les cas de démence précoce (slip- pel et Lhermitte). On
u second plan, parce qu'elle était circonscrite et limitée dans les cas qu'ils ont examinés : mais si cette proliférati
seule traite vers la démence définitive et incurable. Dans les deux cas , il ne s'agit donc pas réellement d'une démence
sont plus aujourd'hui envisagés de la même façon : il est nombre de cas , dit M. Séglas, en parlant des délires systé- m
l. Il est pro- bable qu'en réalité, il est l'un et l'autre. En tout cas , M. Magnan a signalé l'existence de délires sys
ues généraux. Son élève, M. Pécharman, a également relevé plusieurs cas de délire systé- matisé chez des vieillards, c'
déments précoces ; cette répétition monotone des mêmes mots dans un cas , des mêmes idées dans l'autre, ne peut être que
sur ce point la clinique, en établissant l'existence, dans tous les cas de démence chronique, de lésions matérielles de
cellule, mais tandis que l'élément noble est seul intéressé dans un cas . dans l'autre sa gangue vasculo-conjonctive parti
s, d'autant plus qu'elle est basée non pas sur l'examen de quelques cas de démence pré- coce, comme celle de MM. Klippe
bent rapidement dans la démence; on peut concéder que dans quelques cas , rares, du reste, cette démence est vraiment pr
facultés n'apparaît que tardivement; voire même que, dans certains cas , elles se termi- nent par des guérisons solides
e qu'il y a lieu de réserver l'appellation de démence précoce à des cas survenant avant l'achèvement du développement c
upart des cas. M. Duphé (de Paris). - J'ai observé, pour ma part, 2 cas de - SOCIÉTÉS SAVANTES. 229 de démence précoc
autre depuis huit mois. L'avenir décidera s'il s'agit dans ces deux cas de rémission ou de véritable guérison; la cessa
on ou de véritable guérison; la cessation des accidents est en tout cas complète. Ces faits sont analogues à ceux qu'on
a maladie, une très légère anémie. En outre, dans la majorité des cas , on trouve, aux divers stades de l'affection, une
litique ni aucune cause appréciable d'irritation ménin- gée. Dans 6 cas , nous avons cependant réncontré une lymphocy- t
ence entre les lésions trouvées par MM. Klippel et Lhermitte dans 4 cas de démence précoce (diminution du nombre des cell
importance pathogénique au pro- fit de l'auto-intoxication. Dans 17 cas de démence précoce, j'ai trouvé des antécédents
es coïncidences. Nous pensons que les hallucinations sont, dans ces cas , le produit de l'éréthisme vasculaire chez des
vations tirées des auteurs et de notre prati- que personnelle. Un cas de démence précoce avec autopsie. MM. Raoul LER
ituation des altérations secondaires aux lésions périphériques. Ces cas servent, cependant, à démontrer la valeur prati
sations pour l'interprétation des symptômes morbides. En somme, les cas favorables sont peu nombreux, et parmi eux un p
rre confirment très heureusement la conception de Kroepelin. Deux cas de délire aigu traités avec succès par les bain
es autres causes étant seulement occasionnelles. - Réflexions. Un cas de maladie de Raynaud, suivi de mort, chez une je
ervation est à rapprocher de celle publiée par Gayet en 1875 et des cas décrits depuis le tra- vail de Wernicke sou,s l
contractures, attitudes sté- réotypées qui, dans un petit nombre de cas peuvent, à la longue, entraîner dans les muscle
les déments, habituellement curables, mais pouvant, dans quel- ques cas , devenirdéfinitives, rappellent l'atrophie muscul
'une rétraction définitive (Brissaud). Il s'agit en somme, dans ces cas divers, mais analogues, d'une véritable maladie
ans chaque main un des poids ou un . des cubes à apprécier. Dans ce cas il arrive que les malades atteints de troubles
s phéno- mènes de suggestion sont moins fréquents, surtout dans les cas d'hystérie à symptômes classiques (anesthésie c
abitude pour obtenir une guérison définitive. L'auteur rapporte des cas d'insomnie et d'attaques d'habitude. Un moyen
tue un moyen réellement héroïque d'arrêter les accès. Dans tous les cas , où M. Crocq et son assistant, M. Marlow, ont e
et rare dans la paralysie générale. D'autre part, on admet que les cas de tabes avec cécité sont pres- que toujours de
admet que les cas de tabes avec cécité sont pres- que toujours des cas de tabes essentiellement bénin, dans lesquels l
que piqûre (ce qui constitue l'état normal) dans 75 à 80 p. 100 des cas . Dans d'autres cas (20 à 25 p. 100) la piqûre d
constitue l'état normal) dans 75 à 80 p. 100 des cas. Dans d'autres cas (20 à 25 p. 100) la piqûre de la cornée n'est pas
accompagnées de réflexes dont le plus fréquent (75 à 78 p. 100 des cas ) est le clignement réflexe, puis viennent le la
oir deux sensations et encore d'une façon restreinte (25 p. 100 des cas environ) que lorque l'écartement très grand att
n faut de beaucoup. La question se réduit donc à l'examen de chaque cas particulier par le médecin traitant. Placez si
puisse, comme n'importe qui, plus tard devenir aliéné, et qu'en ce cas sa qualité de criminel dominerait sa qualité d'
és. Ceux-là n'ont pas encore eu maille à partir avec la justice. Au cas même où, dans l'asile, ils se seraient rendus c
t réformer l'outillage des asiles d'aliénés. En attendant, dans les cas urgents, on pourrait, sur rapport spécial du méde
ffection menr tale, on les, empêcherait dans l'immense majorité des cas de devenir, criminels, ou délictueux. Et il pas
termédiaire des Sociétés de patronage. La réintégration rapide en cas de rechute est assurée et par cette surveillanc
ls doit être conservé, car on peut et on doit admettre que les deux cas coexistent, la folie d'une part, les tendances cr
aliénés après condamnation, parce que j'estime que, dans nombre de cas , il s'agit d'aliénés méconnus, qui n'ont pas fa
aliéné criminel amélioré ou guéri qui demande son exeat. En pareil cas , il me parait nécessaire de réclamer l'interventi
t, Voisin, Magnan. Motet, Peronne, Respaut et Gabriel, relate trois cas de réveil de délire alcoolique, deux dus à un c
s le trauma et la privation de tout hquide alcoolique. Le troisième cas tout particulièrement s'est produit a la prison
ooliques chez les buveurs de profession. Il se produirait dans ce cas un phénomène analogue à celui qu'on observe à l
e aux conclusions sui- vantes, basées sur l'examen minutieux de 100 cas d'hystérie, choisis parmi les plus typiques.
ns fréquent (5 p. 100); celui du poignet n'a jamais existé dans nos cas . Surtout fréquent dans les formes accompagnées
ns jamais observé le vrai réflexe de Babinski en extension dans nos cas typiques d'hystéries ; au contraire nous avons
nos cas typiques d'hystéries ; au contraire nous avons noté dans 8 cas , soit 8 p. 100, le signe de l'éventail. Nous, c
rmale suffit pour créer la volonté d'arrêt. Mais il se présente des cas où les procédés habituels d'éducation se montrent
CABANNES (de Bordeaux). L'érysipèle de la face peut, dans quelques cas exceptionnels, s'accompagner de lésions du nerf
s du nerf optique. Nous avons eu l'occasion d'observer récemment un cas de névrite optique post-érysipélateuse qui s'ac
à la périphérie du nerf optique. Cette cellulite, qui peut dans des cas très rares amener un véritable phlegmon suppuré
ique où il est engainé dans un anneau osseux. ci) Dans le premier cas , il existe des phénomènes cliniques très nets :
ès vite et reste le plus souvent irrémédiable.. b) Dans le second cas , il survient de l'atrophie optique sans névrite
supprimerons du même coup la douleur épigastrique; 3° Il existe des cas où on ne trouve aucune lésion pouvant reten- ti
e, loco dolenti, avec bobine à gros fil et à faible intensité. Un cas de polynévrite éthylique ayant évolué sous la fon
ascendante extenso-progressive presque entièrement superposable aux cas princeps de Landry, de Leudet, de Labadie-Lagra
près son entrée. Les particularités intéressantes à relever dans ce cas sont les suivantes : ' 1° La longue période p
até la présence de sucre en quantité notable. Dans presque tous les cas un régime alimen- taire sévère joint à la médic
MM. Henry MEME et FEINDEL (de Paris). A l'occasion de plu- sieurs cas de tics observés chez de jeunes sujets venus à la
des parents rend souvent cette correction très difficile ; dans ces cas l'éloignement familial devient une nécessité ab
parce que méconnus parles tribunaux; c) une troisième catégorie de cas pourrait être ajou- tée aux précédentes, c'est
e broncho-pulmonaire. Ces accidents sont surtout fréquents dans les cas de tabes avancés, quoique pouvant apparaître pa
venant ensuite semblable au tabétique ordinaire ; 2° Dans le second cas , il n'y a plus d'accès fébrile véritable, mais
re très efficace ; il a été le seul qui puisse arriver à calmer les cas dans lesquels les douleurs sont particulièremen
combattre très heureusement les phé- nomènes d'incoordination ; les cas soumis au traitement par le nitrite de soude qu
cause de l'humanité et de son pays. Etude anatomo-pathologique d'un cas de paralysie infantile au point de vue de la to
Bucarest). Nous avons pra- tiqué l'examen anatomo-pathologique d'un cas de paralysie infan- tile, quatre-vingts ans apr
t de vue de la topographie des atrophies on pourrait parler dans ce cas d'une topographie segmentaire complète pour la
musculaires. Pour la cuisse, les lésions sont minimes dans nos deux cas . Elles correspondent néanmoins aux groupements
lative de troubles auditifs peut se trouver en particulier dans les cas qui font l'objet de cette communication. Les
égorie importante d'états vertigineux. D'autre part, dans plusieurs cas , j'ai rencontré une association de cette maladi
presque uniquement cliniques. J'apporte au Congrès l'histoire d'un cas dans lequel l'observation- clinique de l'état m
de l'araignée, une étude toute nou- velle de Bourdon et Dide sur un cas d'amnésie continue, conte- nant l'indication de
ous conduit à l'étiologie, au diagnostic et au pronostic des divers cas d'idiotie et d'imbécillité. Après avoir passé e
recommander aux agents ou aux per- sonnes intervenantes, en pareil cas , de ne pas avoir de moments d'inattention, mais
ont démontré que les obsessions débutent dans plus de la moitié des cas dès l'enfance ou à l'adoles- cence, avant la fi
, mais j'ai su quelques mois après qu'il s'était tué. Voilà donc un cas où, à aucun moment avant le mal, le sujet n'a s
ncomplètement satisfaite de l'excita- tion génésique. Mais, dans ce cas , nous voyons une obses- sion apparaître peu apr
ami commun pour en avoir, dans Je désir bien naturel de suivre un cas si intéressant. Y... se décida alors à m'annoncer
tresse que Paris avait séduite. Voilà, par conséquent, un troisième cas où, à aucun moment, le sujet n'a souffert de la
s de le devenir, aussi bien et peut-être plus encore dans le second cas que dans le premier, s'il a une tare fami- lial
mme nous avons déjà eu l'occasion de le dire plus d'une fois, les cas les plus légers de la constitution idéo-obsessive
ité de s'occuper de quelque chose, alors nous aurons devant nous un cas de psychose, où les états psychiques obsédants
mélancolie avec idées obses- sives ; en ayant affaire à de pareils cas , nous avons pu constater, en questionnant les m
avaient eu, encore auparavant, des idées obsessives; dans certains cas de ce génie, c'est-à-dire dans la mélancolie AS
tion de notre manière de voir, nous nous permettons de citer ici un cas s'y rapportant, où encore avant l'apparition de
l comprenait que tout cela lui semble à cause de sa ma- ladie. Le cas suscité présente un grand intérêt, selon notre av
tres étaient cyniques, obscènes, sacrilèges et grossières ; dans le cas donné sautent aux yeux les associations obsé- d
aimait. Troisiè- mement, il est intéressant de noter encore dans le cas donné ce fait que les idées obsessives et les r
un caractère sensoriel et se reproduisaient extérieurement. Dans le cas donné, nous avons l'exemple d'une forme halluci
tives qui étaient en liaison avec son état mélancolique. Si dans ce cas il aurait eu des hallucinations obsédante's, al
luait sur les états obsé- dants d'une manière dépressive. Dans le cas sus-cité le malade parle volontiers avec le méd
ntraste sont d'un contenu obscène, indécent et cynique. 1 Dans un cas ,* observé à la clinique psychiatrique de Moscou
z un malade, de quarante ans, abusant des boissons fortes ; dans ce cas , après l'abus de l'alcool, se développa d'une m
forme' de mélancolie alcoolique, qui, comme ordinairement, dans, ce cas aussi, était accompa- gnée d'hallucinations aud
nant le malade sur son caractère d'avant, nous apprimes que dans ce cas de psy- chose alcoolique, c'est-à-dire, de méla
antes (de contraste) dans l'état mélanco- lique. Et dans d'autres cas , s'y rapportant, c'est-à-dire, là, où nous cons
us permettons de faire les conclusions suivantes : 1. Dans certains cas d'états mélancoliques on observe des associatio
lancolie récidivante avec états psychiques obsédants. 2. Dans les cas où existe la combinaison sus-indiquée des phéno
n se borne simplement à faire l'occlusion des yeux. Dans ce dernier cas le sujet est absolument rebelle, il se débat, c
, demande instamment à ce qu'on lui ouvre les yeux. Dans le premier cas , au contraire, il est calme, obéit passivement
des fondions organi- ques ; que cet équilibre soit détruit et deux cas se présen- tent : ou bien le sujet est éveillé
cie son état de pseudo-veille de son pseudo-sommeil c'est, dans' un cas , les yeux ouverts, dans l'autre, les yeux fermé
316 RECUEIL DE FAITS. toujours anesthésique et que pas plus dans un cas que dans l'autre elle n'a de perceptions nettes
de calibre des vaisseaux : on n'en a noté que dans 23,2 p. 100 des cas . Il n'existe pas de différences essentielles en
desquelles il résulte ce qui suit : 1° Dans l'immense majorité des cas , il y a hyperexcitabilité. 2° Immédiatement apr
d'une irritation chro- nique comparable à ce que l'on voit dans les cas de troubles ner- veux graves et chroniques cons
e intimement liés aux attaques d'hystérie habituelles. Il est des cas où l'on observe des convulsions rhythmiques pres-
r à l'hystérie. Il faut, par suite, toujours rechercher, en pareils cas , l'état de la sensibilité, des organes des sens
opsie. Alexie. Agraphie. L'auteur insiste sur ce qui suit. Dans les cas purs d'aphasie sensorielle optique, il peut aussi
akow. - P. KERAVAL. LI. De l'absence des réflexes patellaires en un cas de myélite dorsale par compression avec dégénér
tre la dégénérescence radiculaire est plus pro- noncée que dans les cas de ce genre. L'anémie, le marasme, les accident
a perception de l'acide et du sucré, du salé et de l'amer. Dans les cas nombreux de troubles dans le territoire de la cin
n terminale des libres gustatives issues de divers ganglions. En ce cas il faudrait admettre que les fibres de la neuvièm
ciente (Bekanntheils- gefuhl, Belwnntheitsqualitoet). En certains cas de désorientation qui surviennent chez les anxi
n état d'angoisse assez fort. M. Pick a retrouvé cet accident en un cas de neurasthénie sexuelle; le malade indique qu'
musique triste la diminuerait. Il s'en faut de beau- coup. Dans les cas mêmes où tout porte à croire que la musique va
imera à l'appareil musculaire une extrême activité. Il y a même des cas dans lesquels c'est un mor- ceau mélancolique q
l'idée stimulante ? On peut faire un raisonnement inverse pour lés cas où les conditions du travail à accomplir étant
ièrement et au besoin contrôlées par des idées antagonistes ? En ce cas , il faudrait se représenter le négativisme cata
Revue de médecine. Août 1902.) Trois observations. Dans deux de ces cas , la rougeur émotive, devenue une obsession pour
icle en russe et en allemand. Ce réflexe s'observe surtout dans les cas d'hémiparésie, d'hémiplégie, et en général dans l
pmann : il pense que l'existence de la surdité verbale pure dans le cas de lésion bilatérale du lobe temporal n'est pas
hique (Voprossy Navno-psiehitseheslwi J11edilziny, 1901), publie un cas d'ataxie cérébelleuse aiguë, qui rappelle les o
¡l'enié psiclciatrü, 1900), avec cette différence qu'il y a dans ce cas non alcoolisme chronique, mais tare héréditaire e
ransitions de l'état convulsif à l'état normal. M. II. \11V. Sur un cas de paramioclonus multiplex. Etat psychi- que sp
L. HAUDnIx. (P&IiCli- nique de Bruxelles. Novembre 1902.) Un cas d'hérédosyphilis chez un enfant de dix ans. Des s
ne sensibilité marquée de l'arcade zygomatique, très nette dans les cas plus récents. L'auteur affirme avoir découvert
mité correspondante ou les mem- bres ; les mouvements étaient en ce cas uniformes, liés, c'est-à- dire que le même mouv
nt de disparition de ces réflexes. Silvestrini a du reste décrit un cas de myoclonie pure où les réflexes palellaires f
rétraction de l'aponévrose polinaire, déjà signalée dans quel- ques cas , a été étudiée sur 226 malades d'un service d'ali
diée sur 226 malades d'un service d'aliénés. Il en a été observé 14 cas , ce qui donne une proportion de 6,19 pour 100.
onne une proportion de 6,19 pour 100. Observée d'après les ' divers cas d'aliénation, c'est chez les paralytiques génér
bée malade : il est vrai qu'elle était albuminurique. Deux nouveaux cas traités par le même procédé comprennent une psy
on qu'on prenne toutes les précautions aseptiques voulues, dans les cas d'asthénie physique et psychique. C'est en somm
fée sur un fonds d'asthénie ou d'ané- mie. » P. 11ER : 1-AL. VII. Cas d'infantilisme pancréatique ; résultats du traite
ng trouva que le total de l'acide phosphorique dans l'urine dans le cas présent lorsque le malade était au régime lacté
esto- mac, ou que la sécrétion pancréatique est ajournée. Dans le cas présent, après l'administration d'une capsule d
ui n'avaient aucune maladie gastrique ou intestinale; dans les deux cas , on trouva l'iode dans la salive une heure et d
t3 TABLEAU indiquant l'âge, la taille, le poids, etc., dans le cas d'infantilisme pancréatique décrit dans le texte,
te- ment sur la même échelle. Rema q2ces. - Je suis d'avis que ce cas est un type distinct d'in- fantilisme dû à la s
it distinct du crétinisme sporadique, avec lequel beaucoup de ces cas ont été sans aucun doute confondus. Le malade ne
tion qu'il vole, ou se noyant persuadé qu'il surnagera ; ce dernier cas a été observé à la colonie familiale de Gheel,
ont être organisés à Irkoust, Kharbiu et Tchita pour faire face aux cas , toujours crois- sants, de folie qui surgissent
ctions s'ils le désirent. Les internes provi- soires remplacent, en cas d'absence ou d'empêchement, les titu- laires av
elquefois, mais il n'en sera pas ainsi dans un trop grand nombre de cas ; nous avons vu, en effet, qu'il y a encore quel
niers temps : l'insuccès du bromure de potas- sium dans beaucoup de cas (la majorité de nos épileptiques des asiles d'a
s et même par nous), son succès relatif dans un certain nombre de cas , son efficacité définitive dans un petit nombre
nombre de cas, son efficacité définitive dans un petit nombre de cas , viennent complètement à l'appui de notre ' Voi
s autre chose que de l'épilepsie vraie, dans la grande majorité des cas ; il suffit pour s'en convaincre de faire une e
l'alcoolisme et l'on sait avec certitude 'que plus de moitié des cas d'épilepsie se rencontrent chez des descendants
vie intra-utérine, non seulement on peut prévenir dans beaucoup de cas les con- vulsions de l'enfance et tous les acci
re de potassium, comme nous l'avons vu et ainsi que l'attestent les cas déjà assez nombreux où il a suffi pour faire di
du soir, moitié le matin à la même heure. On peut, dans quelques cas , lorsque le bromure occasionne des accidents cu
uelquefois; mais le trional sera toujours un synergique précieux en cas d'insuffisance d'action de bromure de potassium
r, a attiré l'attention sur cette question. Cet auteur a observé un cas avec paralysie de la mimique du nerf facial gau
observatiens est due à Oppenheim Les symp- tômes présentés dans le cas décrit par cet auteur montraient l'existence d'
e temps tendance irrésistible au rire. Westphal ', qui a observé un cas semblable s'exprime ainsi : « La gaieté et le b
'irritation de la couche optique, l3echterew6 a également publié un cas de rire forcé qu'il avait observé chez une fill
oisièm e ventricule. Ces faits semblent en contradiction avec les cas précé- demment décrits de Nothnagel et de Gower
iologie pathologique de la couche optique. RECUEIL DE FAITS. Deux cas de mérycisme; PAR LES DOCTEURS RAVIART, F T C
CAUDRON, Médecin-Adjoint. Interne, à l'asile d'Armentières. Les cas de mérycisme sont-ils rares, les observateurs dé-
epuis qu'il est étudié en France, on en a publié plus de deux cents cas , dont les plus connus sont les auto- observatio
u mérycisme dans les Archives de Neurologie. Rappelons également le cas observé par Duvivier, dans le service de M. le
s sur lesquels nous n'avons que peu de renseignements, qui, en tout cas , ne sont pas mérycoles. Il ne présente rien d'a
s intellectuelles jusqu'au moment où, étant au régiment, appa- DEUX CAS DE MÉRYCISME. 391 raissent des idées délirantes
naire. C'était une fillette de dix-neuf ans, appartenaut à une DEUX CAS DE MÉRYCISME. 393 famille fortement entachée d'
par PAULY. (Bévue de médecine. Dé- . cembre 1902.) M. H. LXIX. Un cas de langue double ; par Lrrz. (Médical Record. 1
t rester inactif, mais il agit si on le renforce. De même, dans les cas où il n'y a' pas de mouvements utérins spontanés,
l'hypoglosse : si ces deux territoires sont épargnés, comme dans le cas présent, l'excitation sous-corticale suffit à exp
ontaires et morales, et c'est celle-ci qui serait troublée dans les cas de psychasthénie ou de psycholepsie visés par J
nstamment. Il ajoute que jusqu'ici on n'a pas encore publié un seul cas de paralysie générale indiscutable avec intégrité
l n'est pas exceptionnel de rencontrer dans les asiles d'idiots des cas de paralysie générale juvénile, et surtout chez
ivement débiles. Doivent être rangés dans cette catégorie, certains cas d'idiotie méningitique de Bourne- ville en tant
ifs étendus de diverse nature, mal étu- diés encore. Enfin certains cas peuvent, peut-être, être rattachées à l'hébéphr
02, n° 14.) De l'examen de l'état du réflexe du fascia lata dans 12 cas de lésions du cerveau ou des méninges, les aute
e notées, c'est que le réflexe du fascia lata était aboli dans deux cas de compression du cerveau sans altération de l'éc
que. Exemples à l'appui : 4 maniaques, 4 paralytiques. Soixante-six cas de démence précoce, parmi lesquels six pros- ti
des fréquents accès convul- sifs ou syndromes psychiques ; dix-neuf cas . L'ensemble des espèces précédentes constitue u
ilitique des vaisseaux du cer- veau ; une psychose de détention; un cas d'imbécile souteneur et coupable d'effraclion;
détention; un cas d'imbécile souteneur et coupable d'effraclion; un cas de criminel-né non aliéné; un cas de crétin trè
neur et coupable d'effraclion; un cas de criminel-né non aliéné; un cas de crétin très débile. l'. KIOEAVAL. V. Contr
le l'auteur fait ressortir que l'angoisse peut apparaître dans deux cas : 1° Quand les centres nerveux qui com- mandent
précier la nature morbide de leurs hallucinations. Mais en certains cas , ils déli- rent vraiment et attribuent à leurs
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l'appui de son opinion il rapporte trois cas de psycho-névrose simple dans lesquels on a con
x bras et il une moi- tié des doigts et des orteils. G. D. XV. Un cas d'association dutabes à la paraysie générale; p
e parfois; les circons- tances permettent aux auteurs d'en citer un cas démonstratif et de conclure uue fois de plus qu
e spécial s'éloignant plus ou moins du tabes vul- gaire, il est des cas , néanmoins, où concurremment à la paralysie gén
à la paralysie générale, évolue un tabes légitime. Dans le premier cas , c'est la même maladie qui envahit l'ensemble d
adie qui envahit l'ensemble de l'axe cérébro-spinal; dans le second cas , la paralysie générale du cerveau est purement
neumonie, etc. accompagné de symptômes cérébraux graves et dans les cas d'abcès cérébraux sus- ceptibles d'une interven
int de vue thérapeutique la ponction lombaire est employée dans les cas aigus et subaigus de méningite séreuse, dans la c
nction lombaire ne sont pas considérables (bien qu'on ait publié 26 cas de mort), à condition de régler l'écou- lement
lques centimètres cubes et de ne pas pratiquer la ponction dans les cas de tumeur céré- brale. ' Voir l'observation q
cussion : Erb signale l'importance de la ponction lombaire dans les cas douteux au point de vue de l'étiologie syphilit
étiologie syphilitique. Schultze a constaté des résultats dans deux cas de méningite. Hoche annonce la publication proc
stion dû à la Clinique de Fribourg. Nonne a vu une guérison dans un cas d'hydrocéphalie trauma- tique après des ponctio
garde (ainsi que Schultze) contre le danger de la ponction dans le cas de tumeur cérébrale. Schünborn a ponctionné 1
. Chez 25 tabétiques il a trouvé de la lymphocytose dans tous les cas ; de même dans 13 cas de méningite, et sur 5 cas
il a trouvé de la lymphocytose dans tous les cas ; de même dans 13 cas de méningite, et sur 5 cas de sclérose multiple
tose dans tous les cas ; de même dans 13 cas de méningite, et sur 5 cas de sclérose multiple dans 3 cas. Résultats néga
dans 13 cas de méningite, et sur 5 cas de sclérose multiple dans 3 cas . Résultats négatifs dans le tétanos, la carie des
vertébres, les tumeurs cérébrales, les névroses. 11 a fait dans 20 cas la cryoscopie du liquide, sans résultats consta
, 650 cen- timètres cubes de liquide dans l'hydrocéphalie. Dans les cas où l'on supposait qu'il n'existait pas une augm
sion cérébrale, dans l'idiotie post-méningitique. Nonne (Hambourg). Cas de pseudo-tumeur cérébrale avec guérison. L'aut
Cas de pseudo-tumeur cérébrale avec guérison. L'auteur a observé 12 cas d'une affection caractérisée par l'en- semble s
ort. Il ne s'agissait ni d'hydrocéphalie, ni de tuberculose. Un des cas à issue mortelle succomba rapidement après avoi
ès avoir été considéré comme guéri durant 2 ans ; dans les 3 autres cas , l'autopsie a été négative. A comparer avec l'h
Sur le délire alcoolique fébrile ddlagnan.- L'auteur en a observé 3 cas terminés par la mort. Autopsie néga- tive au po
Sur 370 indigènes aliénés, il n'a pas trouvé un paralytique ou un cas de syphilis cérébrale, tandis que sur 50 aliénés
s cérébrale, tandis que sur 50 aliénés européens il en a constaté 8 cas . Les processus démentiels jouent le même rôle q
r il convient de ranger dans la folie maniaque- dépressive tous les cas de psychose fonctionnelle où une dépres- sion e
ni d'une manie simple, ni de la manie périodique, mais il relate un cas de mélancolie périodique pure et deux cas de fo
odique, mais il relate un cas de mélancolie périodique pure et deux cas de folie à double forme non circu- laire, à acc
as à la folie maniaque dépressive. M. Thomsen signale encore deux cas de guérison ou d'amélio- ration considérable de
a démence pré- coce. Ce diagnostic est difficile surtout dans les cas de stupeur : on admet que dans la catatonie, ce
ient parti- culièrement difficile et même impossible n'est dans les cas où il s'agit des formes mixtes de la folie mani
lgique, 1902, nos 104, 105 et 106.) . Etude clinique basée sur 40 cas de démence précoce observés sur des sujets de d
la démence précoce serait caractérisée, dans l'immense majorité des cas , par un état de torpeur ou d'agita- tion, des m
el est définitivement constitué. - « Cette schématisation des trois cas de catatonie que je viens de rapporter semblera
tion symptomatologique que je viens de décrire, ne répondait qu'aux cas dans lesquels la catatonie survient... mais il
s d'engendrer la prédisposition acquise, on pour- rait observer des cas mixtes résultant de la combinaison des deux dég
(Archives de Neurologie, t. VIII, 1899, p. 30). P. Keraval. XLIV. Cas insolite de spasme facial ; myokymie limitée au f
e. Comparé aux observations de Hoffmann, Montesano, Erb, Marina, ce cas en diffère par la marche rapide, par l'absence
aire lorsque le syndrome est au complet, ce qui se présente dans le cas rapporté par l'auteur. Il concerne un jeune hom
tes les fois qu'il sort en public. Marcel Viollet. \ XLVIII. Un cas de tétanos céphalique avec paralysie faciale et
alique est encore assez élevée (61 p. 100). Notons eu outre que les cas de tétanos accompagnés de para- lysies crânienn
logique des nerfs atteints de paralysie soit resté négatif dans les cas mortels on tend à admettre que ces paralysies s
ome facial diamétralement opposé à celui en question. G. C. L. Un cas de voix eunucoïde datant de l'ictus dans l'hémipl
ue et par l'examen électrique des muscles du larynx. G. D. LI. Un cas de tétanos céphalique avec diplégie faciale; par
e peut être considéré comme constant puisqu'il s'est montré dans 15 cas de paralysie faciale périphérique. Voici en quo
ire qui est convulsé en haut. Ce phénomène est dû à ce que dans les cas de paralysie faciale, la paupière supérieure n'
Dr Bienfait. (Journ. de Neurologie, 1904, n°2.) Observation d'un cas de paralysie faciale intéressant en raison des
hallucination, d'auto-suggestion. Il s'agira dans la plupart de ces cas de forme hystériques graves avec épi- sodes plu
toujours son origine dans un pro- cessus inconscient. Même dans ces cas , il y aura dans la dénonciation quelque circons
on qui se traduit par le mensonge plus ou moins habituel. En tout cas , l'expert tiendra compte des preuves spécifiques,
ignante, pourront mettre en mesure d'établir un jugement sur chaque cas particulier. Si l'on est en face d'une hystér
ue l'expert ne craigne pas de déclarer que l'on peut faire quelques cas de ses allégations et le magistrat par une inst
édical Neus, n° 1613, vol. 83, p. 1110.) Après un bref exposé des cas délicats où le médecin peut être appelé à formu
aucun code la con- tamination vénérienne n'est considérée comme un cas de divorce, sauf au Kenbucky. Partout ailleurs
ts. En ce qui concerne l'annulation du mariage, l'auteur cite des cas où la contagion syphilitique en a été la cause. M
té la cause. Mais on em- ploya des artilices de procédure ; dans un cas , il est parlé de mal- formations rendant imposs
ions rendant impossible les rapports sexuels normaux; dans un autre cas de fraude, l'homme ayant nié la syphilis avant
amination antérieure ou posté- rieure au mariage, et font du second cas seul un cas de sépara- tion. La femme qui a c
térieure ou posté- rieure au mariage, et font du second cas seul un cas de sépara- tion. La femme qui a contracté la
on ». On peut cependant enten- dre plusieurs experts, et, « dans le cas de désaccord, c'est au col- lège médical qu'il
. Hoche pense que ces prétentions ne tendent à rien moins, dans les cas où l'état mental est douteux, qu'à transformer le
nt investis tous deux de ce droit et se missent d'accord sur chaque cas . G. Deny. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. VIII. Com
à doses longtemps prolongées, il n'agit sur aucun viscère. Dans le cas d'accoutumance, il suffit de doses lentement pr
tronc et empêche les soulèvements du bassin. L'auteur relate trois cas de fracture de la rotule chez un hystérique, un
infirmerie et même un petit hôpital, pour le traitement de tous les cas de médecine ordinaire ou de chirurgie; 3° des ate
s affections des organes des sens peuvent, peut-être, dans certains cas , décider de l'éclosion du delirium tremens ou de
nt, achètent un ou plusieurs litres et retournent chez eux. Dans ce cas il est rare que la bouteille revienne; elle circu
boit sans contrôle, et on paie ce qu'on déclare avoir bu. En tout cas , il est intéressant de noter que les mesures pris
al. Les médecins légistes savent que, dans l'immense majorité des cas , les prévenus arrêtés pour incendies sont de minu
ir- miers, jointe à la sienne propre, suffira dans la plupart des cas à fixer définitivement le médecin. Ce ne sera pas
ux sont par définition même peu faciles à trai- ter et, de plus, en cas d'amélioration ou de guérison, on peut toujours
uites contre les médecins, etc., et surtout à de nouveaux crimes en cas de rechute. Et puis, la justice ne peut prononc
que les épi- septiques ordinaires, et peuvent y succomber. C'est le cas de l'enfant dont nous venons de relater l'his
t le malade succombe '(période méningitique) . Enfin, dans d'autres cas , les accidents méningitiques disparaissent, Fig
dien. (Voir le numéro de juillet, p. 39, fig. 8, et PL. 1 et II, un cas analogue : Hypertrophie compen- satrice des os
UES. Des faits qu'ils rapportent, il semble d-écouler que, dans les cas où il existe des symptômes nets mais diffus de
énorme variété signalée par les 1),- Me Dowall et Cowan. Dans leurs cas , le cuir chevelu était converti en de grands pl
s claire- ment, par les différents sillons annexés. Remarques. Ce cas d'idiotie congénitale est un excellent spéci- m
on du tissu cérébral' et de la fonction cérébrale. Cliniquement, un cas d' « amentia » primitive essentielle ne peut pa
particulièrement attrayant; cependant l'examen pathologique de tels cas est fascinant pour ceux qu'intéresse l'étude du
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 485 XCVI. Sur un cas de torticolis congénital avec autopsie et examen
ont constatées au niveau du muscle sterno-cléido-mastoïdien dans ce cas de tor- ticolis congénital ne leur semblent pas
ervation recueillie dans le service de M. le professeur Poncet d'un cas d'hémiplégie consécutive à la'' 486 REVUE D'ANA
s la ligature, contrairement à ce qui eut lieu dans tous les autres cas publiés ; puis, parce que cette hémiplégie eut
légie eut une prédominance marquée pour le membre supérieur. ' Le cas que l'auteur présente autorise à rejeter les théo
eu faveur des deux hypothèses. On peut admettre, que dans certains cas , le cercle de M'illis est irrégu- lièrement dév
leuses dans les démences paralytiques, sénile, vésanique. Dans deux cas de démence sénile il a constaté des proliférati
in. Pour expliquer le premier point, on pourrait admettre dans ce cas , qu'à un moment donné c'est la disproportion même
ns orificielles, mais n'existant point en réalité. - G. C. CI. Un cas d'anecéphalie avec amyélie; par BmssAUD'et BRUANU
. (Nouv. Iconogr. de la Sulpétulèrc. IV° 4. 1903.) 11 s'agit d'un cas de malformation portant sur deux régions sy- mé
son étiologie et de ses caractères cliniques, il touche en certains cas à l'épilepsie jacksonienne, en d'autres à l'hém
raux, de préférence dans les noyaux lenticulaires; parfois dans les cas d'ictus, on trouve de petits foyers de ramollisse
es altérations vasculaires. Il s'agit en somme dans la majorité des cas d'une sclérose com- binée postérô-latérale. M
traire les troubles sensoriels. " L'auteur fait remarquer que ces cas sont. rares, il rappelle quatre observations pu
u'il est difficile au clinicien de la soupçonner. G. C. LVIII. Un cas d'acromégalie avec diabète. - Tumeur du corps p
diabète, fait signalé par Marie dans un tiers ou même la moitié des cas . - Ils rappellent les diverses hypothèses donné
aphie permet de faire le diagnostic à début osseux. G. C. LX.Deux cas de Chorée chronique : 1° Chorée congénitale molle
rmal. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 495- Les auteurs rangent ce cas dans le groupe des chorées dites con- génitales
sse ou surtout un accouche- ment laborieux, ce qui existait dans le cas publié par les auteurs. L'anatomie pathologique
tomie pathologique n'en est pas encore au point; mais dans tous ces cas de chorée congénitale, qu'elle soit spasmodique o
e; par Lannois (Soc. méd. des Hôpitaux de Lyon, 22 mars 1904). Le cas de troplroedéme chronique rapporté par M. Lannois
ie. Il rappelle que l'épi- lepsie parait, dans un certain nombre de cas , déterminer des oedèmes plus ou moins transitoi
e de cas, déterminer des oedèmes plus ou moins transitoires, tel le cas de Teissier et Lecreux et celui plus récent de
s cli- niques de l'ostéomalacie nerveuse, ils ont trouvé dans trois cas des lésions médullaires coustantes : une dégéné
accentuée sur les par- ties molles, ce qui permettrait de ranger ce cas dans une catégorie intermédiaire entre l'élépha
cv. Iconogr. de la Salpétriêre. N° 4. 1903.) A l'occasion de deux cas nouvellement observés, les professeurs R... et
un mode de dystrophie du tissu nerveux et cutané qui, dans certains cas , vient se surajouter aux autres dystrophies (cu
nique, il n'en est pas de même au point de vue pa- thogénique : les cas observés par l'auteur appartiendraient à la sph
aso-moteurs. Le cou a diminué de 3 centimètres. G. C. XIV. Sur un cas de neuromyélite optique aiguë; par MM. \VEILL e
IQUE. SOI Albutt invoque une méningite ascendante se basant sur les cas semblant relever d'une origine traumatique. Kat
et CAVAILLON. (Nouu. Icozzogo. delà 8(ilpéti,ièi,e. c\o 4. 1903.) Cas d'artropathie trophique avec ouverture de l'artic
on ; ce que coûte la déchéance en chronicité; les dépenses pour les cas aigus repré- sentent par suite autant d'économi
la ba- lance dans un sens ou dans l'autre ; mais la rareté même des cas publiés sur les associations tal1eto-parü lytiq
e Americun Journal of Insanity. 1, 03, p. 417- 426). S. XXXVI. Un cas de démence précoce avec autopsie ; par William-
'article un court historique avec la classification de Lissaner des cas anormaux de paralysie géné- rale : 1° Paralysie
al of Instlnitll, VU, 03, p. 61-i3). Statistiques portant sur 1.300 cas . Conclusions : 1° Difficulté de ces recherches.
endant des névroses variées ou de l'alcoolisme dans 46,5 p. 100 des cas ; 2° Alcoolisme, épilepsie et folie combinés pa
lepsie et folie combinés paraissent responsables de 38,5 p. 100 des cas ; 3° l'alcoolisme paternel existait dans 18 p.'
100 des cas ; 3° l'alcoolisme paternel existait dans 18 p.'100 des cas ; 4° les mala- dies sans relation avec le systè
précoce. Leur enquête leur a fait trouver parmi leurs 31 malades, 7 cas de rétrécissement mitral pur, associé chez tous
ent considérable de l'organisme. Ils admettent que, dans certains cas , il doit y avoir une relation entre ces trois é
M. CRUCHFT (de Bordeaux) a noté la fréquence de l'hippus dans le cas de méningite tuberculeuse, de tumeur du cervelet,
MM. Déjerine et Thomas. Dans une seconde communication, il note le cas de deux jumeaux atteints l'un d'épi- lepsie, l'
autre de migraine ophtalmique. M. Oddv (de Marseille) communique un cas de lésion de l'épicone dans une plaie de la moe
érapie. M. E. de GErEasLau (de Gothembourg Suède) rapporte divers cas dans lesquels la suggestion expressément dirigée
ls dorment, ils détruisent d'eux- mêmes leurs autosuggestions. Un cas de trac chez un musicien. M. Paul FAREZ. - M. X
ntale et les rayons Blondlot, par M. NAOUM KOTIK (d'Odessa). - Un cas de claire audition, par M. PEWNI1ZKY (de Saint-Pé
ensuite de longs extraits du livre de Gilles de la Tourette où des cas semblables à celui du jeune Berthaux sont relev
ie; gros coeur; mort par asvstohe, par Paviot et Beutter, 487. Un cas d'- avec diabète. Tuineui du corps pituitaire,
. Remarques sur la pathologie des -, par Plclc, 51. Adipose. Un cas d'- douloureuse, par Raymond et Guillain, 74. &
système nerveux central, par Nissl. 154. A : 'EI\CEPII ,"LIE. Un cas d'- avec amyélie, par Brissaud et Bruan- det,
et sclérose en plaques, par Thomas, 62. Voir Tumeurs. Noie sur un cas de ramollissement du avec étude des dégénéres
tion d'une de Syden- ham chez un hystérique, pai Barjon, 58. Deux cas de chro- nique, congénitale molle , héréditai
pathologique auto- nome, par Soukhanoff, 414. Contracture. Sur un cas remarqua- ble de post-hémiplégique, par Devic
é par la suggestion hypnotique, par fililo de Majewska, 181. Deux cas Archives, 2° série, t XVIII. de - aigu traité
quelques délires chroniques hallucinatoi- res, par Marie, 232. Un cas de précoce avec autopsie, par Leroy et Laigne
tine, 232. De la précoce chez les jeunes gens, par Mefus, 419. Un cas de pré- coce, avec autopsie, par Dunton, 504.
e, pat Muenzer, 396. Fièvre hystérique Voir Hystérie. Folie. Un cas de à deux avec infériorité relative de l'organe
coordination sous-corticale, par Clapaiède. 53. HÉmATROPIIIE. Un cas d'- faciale progressive, par Calmette et Pa-
s localisations dans le noyau de l ? par Parhon, 63. Hystérie. Du cas d'- à grandes manifestations. Fièvre hystérique
s manifestations. Fièvre hystérique, par Lannois et Porot, 60. Un cas grave d ? par Bérillon. z Voir Phénomène plan
à la pathologie du sentiment de l ? par Pick, 336. Infantilisme. Cas d'- pancréatique, résultat du traitement, par B
e de la psychose de - par Sou- khanoff et Boutenko, 84, 173. Un cas de psychose de -, par Guil- liarovsky, 172. K
3. Un cas de psychose de -, par Guil- liarovsky, 172. Kyste. Un cas de dermoide des centres nerveux, par Raymond et
s centres nerveux, par Raymond et Courtellemont, 76, Langue. Un cas de double, par Leitz, 394. cérébriforme chez
. Signe de -, par Iliéry, 480. Léchage. Voir Tics : Lèpre. Deux cas de - nerveuse, par Raymond, 97. Lésions corti
ice chez l'homme, par Lévi, 340. Voir Cervelet. - Léthargie. Un cas de -, 33. LIÉBEACLT. Eloge de -, par Van Rent
n abcès de fixation. Guétison, par Probst, 433. Merycisme. Deux cas de -. -par Raviait et Caudron, 390 Méthode hy
ns du cordon antérieur de la -, par P. Marie et Guillain, 164. Un cas de carcomatose de la - épinière, par Préobrag
Flatau,344 par Marie, 509. lloor,mnE. Voir Spasme. Myokynif. Un cas de dans la po- hoencéphalo-méningite aiguë, par
hoencéphalo-méningite aiguë, par Delektorsky, 170. MyopATHiE. Un cas de atrophi- que progressive avec troubles de
NEUROFIBROS.1RCOMnTOSE. La , par Cestan, 53. NEUROMYELITE. Sur un cas de op- tique aiguë, par Weill et Galla- vaidi
- me et la théorie du -, par Du- Faute, 407. ' Xevr algie. Deux cas de - guéris par la suggestion hypnotique, par
TEILS. Etude sur le phénomène des -, par l\1armesco. 63. Os Trois cas de fragilité Iles - chez des aliénés, par Marie
Briche, Raviart et Caudron, 277. Etude anatomo-pathologique d'un cas de - infantile au point de vue de la topographi
sation cérébrale, par 425 - faciale. Voir Phénomène palpébral. Un cas particulier de - facial, par Bien- fait. 427
163. Voir Ecorce cérébelleuse. P1RA1170CLO\US multiplex. Sur un cas de -. Etat psychique spé- cial, par Brtrand, 33
- Sacrement chez les prêtres, par Bechterew, 412. Phocomélie Un cas de et hémi- mélie, parllalbron, 68. Photophob
par Préobra- ]en>ky, 87. Polynévrite. Voir Intoxication. Un cas de - éthylique ayant évolué sous la forme'de pa
à l'asile départemental de Dijon, par Garmer, 525 · ! R,\Y1'AD. Un cas de maladie de- suivi de mort chez une jeune f
ectoral, par Bechterew, 159. Ue l'absence des patellai- res en un cas de myélite dorsale par compression avec dégénér
lérodermie, par Huet, 509. Sclérose en plaques. Voir Cezaelet. Un cas de - symétrique des lobes occipitaux, par March
sur le trajet du faisceau central de la calotte, par Sorgo, 397. Cas insolite de - facial, myokymle limitée au facia
Les - expéri- mentaux, par Laignel-Lavastme, 407. Syphilis. Un cas de - héréditaire tardive à forme cérébro-spinal
tique du-. Le nilrite de soude, par ObeOhur et Bousquet, 278. Un cas d'association du à la paralysie générale, par J
fourreau de sabre chez un , par Sabrazès, 57. - - 'l'É1AOS. Un cas de céphalique avec paralysie faciale et oculair
paralysie faciale et oculaire ; guérison, par Haltenhoff, 425. Un cas de céphalique avec diplégie faciale, par Boucha
e et chez le cheval, par Rudler et Chomel, 499 Toriicolis. Sur un cas de - con- génital avec autopsie et examen ins
l- sive de -, pat Abadie et Grenier cie Gardenal. 349. Trac. Un cas de -- chez un musi- cien. par Farez, 511. Tra
vec vomissements incoercibles et fécaloides. par Paviot, 66. Deux cas de du nerf auditif, par Lépine, 60. Voir Vomi
oïdes du II" venturi- . cule, par l'amut, 130. Voix eunucoïde. Un cas de - de l'ictus dans l'hémiplégie, par Grasse
Wyroubow, 323. VlIVOGRADSRY. Recherche des mi- crobes de dans un cas d'ostéo- malacie sénile, par Lacomme, 68. Yeu
32 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
e moitié du x\ ni0 siècle, à la suite de résultats d'autopsie de 16 cas récents et anciens de maladies de cerveau chez
y, dépression of spirits bor- dering on idiotism ». Dans un autre cas l'os frontal et l'un des os pariétaux étaient épa
t l'hypophysis cerebri per os chez des chiens et des chats. Dans le cas le plus favorable les animaux mouraient au bout
de température, jusqu'à 43° C. Richard Schultz (2) a communiqué un cas de gliome de la glande pinèa- lis s. cenarium.
la glande pinèa- lis s. cenarium. Il arriva, en analysant tous les cas de tumeur de cette glande, le sien compris, cas
analysant tous les cas de tumeur de cette glande, le sien compris, cas connus par la littérature, à la conclusion sui-
ii51,un(yen bestehen, etc. » . ' Pli. Zenner (3) nous communique un cas d'une tumeur ovale de la glande pinealis (gland
um et poussait dans les ventri- cules. Zingerle (5) communique un cas de sarcome du corpus callosum, qui prenait son
sme, la cécité et la Balkellalaxie. Le D' Voegele (6) communique un cas de maladie psychique et de fai- blesse physique
moitié relative du fornix ou le fornix tout entier. Dans d'autres cas j'introduisais l'instrument, penché obliquement e
auche du chiasma nervi opt. Par conséquent on avait réussi, dans ce cas , à léser le corpus du fornix lui-même. L'animal
le Dr A. Gianelli sont par- venus à la suite de la comparaison des cas décrits de maladie des lobi frontales ou cervea
, il nous paraît évident que tout ceci indique, en'compre- nant les cas de Flechsig et de Gianelli, que le dérangement ps
hez des malades souffrant de névralgie, particuliè- rement dans les cas de tabesdorsalis, il résulte comme étant probable
la cons- cience réagit aux irritations de douleur. Avec ceci les cas de maladie du conarium, cités ci-dessus et recuei
a contracture, surtout de la contracture précoce, mais même dans le cas de contracture tardive, il ne suffit pas d'ex-
mène de la contracture tardive était expliqué, quand survinrent les cas de paraplégie spasmodique sans lésions dégénéra
Cestan,F. Raymond, F. Raymond et S.A. Sicard,etc.,et vice-versa les cas de compression médullaire ou de section totale de
ue la théorie n'était pas bonne ? quand dans la grande majorité des cas de contracture on trouve cette lé- sion du fais
érise l'état tétanique des cellules des cornes antérieures dans ces cas de contracture. En somme la contracture des hém
sur ce centre est diminuée, enfin dans la très grande majorité des cas de contracture tardive on constate à l'autop- s
volonté devenait impuissante à isoler le mou- vement dans tous les cas où l'excitation se faisait sentir avec un certain
, et les assistants peuvent les constater. » Damsch a rapporté deux cas de mouvements associés, chez des sujets dont la
DE LA CONTRACTURE 33 idiots, paralysés ou non, aussi bien dans les cas de lésion de l'écorce du cerveau que dans ceux
ord avec les physiologistes, on concluait que chez l'homme dans les cas de lésion transversale complète de la moelle, d
des réflexes et la rigidité musculaire, ou la contracture, dans les cas où l'influence des hémisphères cérébraux est se
s parties plus fortement que dans les conditions normales. Dans ces cas il s'agirait d'une action non contrebalancée de
ouvons encore moins expliquer pourquoi dans la presque totalité des cas chez l'adulte, la contracture se produit en flexi
- les. L'examen histologique en coupes sériées montre dans ces deux cas la délimitation exacte des régions détruites et
renflement lombo-sacré (Ci ? 6). Par contre il n'y a pas, dans ce cas , de dégénérescence descendante du FPyC. Quant à
ours une hémiplégie complète (P. Marie) (1) ; et cependant bien des cas antérieurs au nôtre ont prouvé que dans les régio
ection de la zone rolandique moyenne, et inversement. Dans les deux cas on observe une paralysie mo- trice simultanée d
en tous points. Nous avons autrefois uti- lisé un certain nombre de cas d'hémiplégie pour nos recherches sur les voies ce
trouvait en présence d'une monoplégie brachiale. Mais dans'tous ces cas il s'agissait de lésions récentes et nous ne pouv
chées l'une de l'autre que les circonvolutions rolandiques. Dans le cas particu- lier la circonvolution Pa ne peut être
secondaires, mais d'un défaut de sclérose de remplacement. Dans les cas de lésions cérébrales infantiles avec longue surv
e de plus grandes dimensions. C'est ainsi qu'un examen incomplet du cas qui nous occupe aurait pu conduire à la conclus
pied du pédoncule cérébral. Or nous voyons au contraire dans notre cas que les fibres descendantes delà voie motrice occ
uve que rarement des documents aussi probants que le notre dans les cas de ramollissement ou d'hémorragie du cerveau, M
nomènes de suppléance sont nuls à peu de chose près. Dans le second cas une lésion très étendue de la zone motrice du c
on et l'on voulut faire rentrer dans la maladie de Raynaud tous les cas de gangrène symétrique des extrémités. On ne doit
roche de celui-ci : Bewoets (1894), Rliakmaiiinoff ont rapporté des cas où une névrite dégénérative généralisée s'accom
seaux, allant presque jusqu'à l'o- blitération. Belkousky a cité un cas d'atrophie des fibres nerveuses avec sclérose d
voir d'y penser, d'autant que la syphilis semble agir dans certains cas de maladie de Raynaud par oblitération artériel
es au cours des vascu- larites chroniques localisées. Elle est un cas d'artérite chronique localisée des petites artéri
éléments essentiels de la dé- finition de la maladie de Raynaud. Ce cas n'appartient pas non plus aux formes incomplète
Raynaud. Les formes frustes qui se rapprocheraient le plus de notre cas sont les formes lentes. M. Séecite, dans son ex
te, dans son excellent article de la Pratique DC1'Jnatologiqnc, des cas de maladie de Raynaud où l'accès dure plusieurs
hermie locale avec un peu de cyanose, et cela indéfiniment ». Notre cas ne répond en rien à la définition de Raynaud, car
la symptomatologie est maintenant si précise, on ne trouve que des cas épars de gangrènes sy- métriques, le plus souve
de névrite, d'ar- térite, d'ostéite condensante ou raréfiante. Les cas de\Iounstein (1), de Pitres et Vaillard (2), de
térieures, ils diffèrent par leur étendue et leur marche. - Notre cas par sa symptomatologie et sa pathogénie si précis
(2) PITRES et VAILLARD, Altérations des nerfs périphériques dans deux cas de maux perforants plantaires et dans quelques
. Cette classification n'est ri- goureusement juste que pour chaque cas en particulier : ainsi il arrive, bien que le f
il arrive, bien que le fait soit rare, de voir dans une famille de cas congénitaux un cas non congénital (Milroy, Tobi
e le fait soit rare, de voir dans une famille de cas congénitaux un cas non congénital (Milroy, Tobiesen). Ces réserves f
is congénital, héréditaire et fa- milial, comprenant la plupart des cas familiaux de Milroy et Tobiesen, les cas de Non
comprenant la plupart des cas familiaux de Milroy et Tobiesen, les cas de Nonne, Lortat-Jacob. 4° Enfin un trophoedème
'un seul membre de la famille. Ce type paraît le plus rare de tous ( cas de Rapin-Long, observation III dti-ni-émoii-e de
n III dti-ni-émoii-e de Rapin, le trophoedème facial d'Hertoghe, le cas de Collet et Beuller). C'est à cette dernière v
Milroy, Nonne, Jopson, Collet et Beutter en' font mention ; dans le cas de Sicard et Laignel-Lavastine, tandis que la j
eillesse. A parcourir l'his- toire de sa vie, loin de considérer ce cas comme un cas de trophoedème douloureux, on est
arcourir l'his- toire de sa vie, loin de considérer ce cas comme un cas de trophoedème douloureux, on est bien plutôt t
laisse penser que celle-ci est normale dans la grande majorité des cas . On l'a trouvée abaissée chez plusieurs sujets
ts de la dystrophie doit être rare. IIertoghe en a rapporté un beau cas (obs. I de son mémoire). Par contre, plusieurs au
Raymond, un oedème de la main chez une hémiplégique. Dans les deux cas , oedème dur, chaud, indolore dans le décubitus
une différence dans sa manière de se présenter dans les différents cas : sa sémiologie très moderne manque. Je n'ai ja
fs, et celui des déments, spécialement paranoïdes ? Dans tous les cas , ces emblèmes sont absurdes, car ils entendraient
tées à leur tour ; et dans les déments précoces, il sera, selon les cas , plus ou moins rapidement muable, mais il aura
pti- tudes esthétiques de l'esprit. Il est vrai qu'on peut, sur des cas isolés, deviner quelque chose en gros. Kraepeli
je viens de parler, altérations plus ou moins distinctes, selon les cas . Et entre l'état normal et l'état morbide, il y
e ses voluptueux disciples. Ainsi par la Zarathustra. Dans tous ces cas , le germe d'une grande, énorme activité de foncti
défectueux en présence des incertitudes de ces derniers ; dans les cas douteux, toute importance du phénomène dans la
, siège le plus sou-- vent à l'occiput, à la nuque, mais il est des cas où elle est généra- lisée à tout le crâne. Enfi
me, auquel divers savants ont eu recours, ne donne souvent, dans ce cas , que des ré- suitats incertains et difficiles à
ns cette affection. Ces observations suivantes reposent donc sur 15 cas que j'ai personnellement étudiés ; elles repose
e j'ai personnellement étudiés ; elles reposent aussi sur 53 autres cas que d'autres ont étudiés ailleurs. Un 4 (i) J
Anzeiger, t. XV, p. 237, une descrip- tion sommaire des 5 premiers cas : une femme alors âgée de 46 ans, une mère et ses
d'une fille de ans 1/2 qui présentait des anomalies semblables. Les cas observés par Scheuthauer (3) (2 cas) et par Tod
t des anomalies semblables. Les cas observés par Scheuthauer (3) (2 cas ) et par Todd et Terry (4) ont été repris par plus
lets, et non les descriptions détaillées (sur- tout pour le dernier cas ). - Enfin, les trois crânes brièvement décrits
e catégorie, quoi- que nous ne sachons rien des clavicules dans ces cas -là. Les pièces anatomiques que j'ai pu, grâce à
nmoins, on ren- contre des individus mésocéphales et, dans l'un des cas que j'ai observés, l'indice a été seulement 72,
les dimensions (1). La voûte crânienne était aplatie dans tous mes cas , le front carré et bombé, les bosses en général
ne seraient pourtant pas constants, à en juger d'après les quelques cas décrits par d'autres auteurs. La forme de la ré
ieures de la paroi latérale du crâne, que j'ai trouvé dans tous les cas . Sur les crânes, les dimensions des temporaux éta
ement la position oblique des temporaux qui fait que, dans certains cas (Marie et Sainton), les pavillons des oreilles so
surtout le long de la ligne médiane. Il en était ainsi dans 5 des 6 cas que j'ai examinés, et aussi dans les cas de Manou
n était ainsi dans 5 des 6 cas que j'ai examinés, et aussi dans les cas de Manouvrier et Terry. Dans le sixième crâne,
riait de 8 à 11 cm., la largeur maxima de 1 à 3,5 cm. Dans l'un des cas , il y avait deux lacunes de 3 et cm. de long. L
. et se continuait jusqu'au lambda. Je n'ai trouvé que dans un seul cas le défaut d'ossification limité à la région de
dessous de 6 ans, j'ai relevé des observations faites sur 10 autres cas avec espaces membraneux. Plus fréquente encore
ans la région obélique. Elle a été observée dans 19 au moins des 24 cas où les auteurs ont donné des indications sur l'ét
les auteurs ont donné des indications sur l'état du crâne. Dans les cas que j'ai étudiés personnellement (crânes et sujet
la région astérique enfoncée chez mes sujets vivants et, dans deux cas , j'ai cru sentir de petites lacunes, sans pulsa
elle astérique à l'âge de quelques mois ; deplus, j'ai trouvédans 3 cas des restes de la partie supérieure de cette fonta
fontanellaire ptérique et même de pe- tites fentes entr'ouvertes (2 cas ). Un caractère très important du crâne dysostos
res plaques du même crâne m'a convaincu qu'il s'agit aussi, dans le cas étudié par ces auteurs, d'un pariétal divisé en
des individus probablement non dys- ostosiques. Enfin dans certains cas d'hydrocéphalie extrême des forma- tions analog
eur Romiti montrent que des relations analogues existaient dans les cas qu'ils ont étudiés. - Dans mes 6 crânes dysosto
dont la figure 1 ci-jointe représente la section médiane. Dans deux cas , par contre, il y avait une courbure plus adouc
ccipital (Albrecht) qu'à la synchondrose sphéno-occipitale. Dans le cas que représente la figure (cf. aussi la radio- g
igure (cf. aussi la radio- graphie de la pl. XVII) et dans un autre cas , la lame quadrilatère semblait allongée ou plus
ie inférieure de l'écaille ; on remarque, en outre, dans , tous les cas , la position très oblique du trou occipital et de
ses sont toujours très réduites ; il en est de même, .dans tous les cas , pour les grandes ailes du sphénoïde et, la plu
largeur ; l'indice orbital moyen de mes crânes est 111, 7 (dans un cas , il atteint même 125), tandis que le maximum in
, 3 seulement avaient une suture fronto-nasale dis- tincte. Dans le cas de Manouvrier et dans l'un des miens, il n'y avai
nterorbitaire des frontaux s'allongeait par en bas. Dans les autres cas , une dépression plus ou moins marquée, correspon-
asaux rudimentaires. La longueur des nasaux ne dépassait dans aucun cas 10 mm., se réduisant quelquefois à 4 mm. ; en g
Il en résulte que l'ouverture nasale est relativement haute. Dans 6 cas au moins (y compris ceux de Manouvrier et de Ro
emplacés par un élargissement de ces apophyses. Il n'y a qu'un seul cas où j'aie trouvé des lacrymaux à peu près normaux,
E 103 parées par un interstice d'une largeur de 1 à 30 mm. Dans les cas .extrê- mes, l'angle postérieur du malaire se ré
sur des sujets dysostosiques vivants. J'ai pu sentir, dans certains cas , une dépression correspondante, à la suture fro
s le dos du nez sans aucune inflexion. On peut, dans les pre- miers cas , mesurer assez aisément la longueur des nasaux ;
as, mesurer assez aisément la longueur des nasaux ; dans les autres cas , où les nasaux manquent peut-être, on peut néanmo
eption près) très peu développée. Il y avait manifestement, dans un cas , un large espace non ossifié ; dans 4 autres ca
festement, dans un cas, un large espace non ossifié ; dans 4 autres cas , j'ai pu sentir, au milieu de l'ar- cade, une b
nt agrandi et de forme irrégulière ; on a en ou- tre observé dans 3 cas , des sutures incisivomaxillaires persistantes, et
e la soudure des deux incisives inférieures gauches, dans plusieurs cas des dents plus grosses que la normale, et tout
ose basilaire n'était visible dans la radiographie. Pour un autre cas indiqué par Fuchs [Wien.klin. Wochenschr., 1907),
ues du crâne étaient à peine sensibles. De plus, il y avait dans ce cas une formation d'osselets accessoires nombreux sép
une branche de la sylvienne. Au point de vue clinique, l'intérêt du cas est encore plus frappant. Il faut remarquer tou
onner, et parce que l'intervention chirurgicale a pu, dans certains cas , donner des résultats brillants. Enfin, il impo
de la péritonite tuberculeuse qu'à un sarcome rénal. Même dans les cas où le sarcome vertébral est primitif, le diagnost
mal de Pott tuberculeux est souvent porté ; témoin, entr'autres, le cas de Pfeiffer l) : chez un jeune homme de 20 ans,
vertébral évoluent parfois avec une rapidité surprenante : dans le cas de Poulain (2), la paraplégie était devenue com
s accidents est plus lente : 1 an chez notre malade, 1 mois dans le cas de Pfeiffer. Lorsque le sarcome verté- bral est
ureusement loin d'en être toujours ainsi, et trop nombreux sont les cas d'insuccès, ou même de mort opératoire. L'inten
t insiste sur l'intégrité, parfois complète, de la moelle en pareil cas , ce qui explique la rapide guérison de la para-
apide guérison de la para- plégie, après l'intervention. Dans notre cas , de même que dans celui de Pfeiffer, la myélite
roites, Lv, Si à Sv, atteintes de méningo-radiculite syphilique. Ce cas , dont les observations anatomo-cliniques se compt
lement du liquide céphalo-rachidien. Au point de vue anatomique, ce cas confirme l'opinion classique (2) sur les dégéné
ieures et les zones de Lissauer restent intactes. » J'ai, dans le cas présent, constaté tous ces faits, sauf l'intégrit
ilippe, Schaffer (4) et Wallenberg (5) ont la même opinion. Dans le cas actuel le triangle ne contient pas de fibres dé
Hoche au-dessus de VI montre que l'ana- tomie de la moelle, dans le cas actuel, ne répond pas à la description de (1) L
dans tous les autres. Et des transitions doivent exister entre les cas de méningite radiculaire syphiliti- que de hémi
TOIRE DE LA CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DU PROF. E. TANZI) A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE TUBERCULEUSE AIGUË
seconde forme, c'est-à-dire, la forme amyotrophique. Le nombre des cas qu'on en trouve relatés dans la bibliographie m
elle observation à la sta- tistique connue, d'autant plus que notre cas était caractérisé par des par- ticularités clin
re. Parfois elle se faisait très inquiète et devenait A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPIIIQUE l31 I plus ou moi
iphérique, ne présente aucune lésion macroscopique. A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 133 Résumé cliniqu
tractures, symp- tômes qui faisaient complètement défaut dans notre cas . La forme de Klippel, elle aussi, est très faci
a souvent confondu l'une des formes avec l'autre et que beaucoup de cas décrits au chapitre de la poliomyélite aiguë de
ace parmi les 011- servations de polinévrite amyotrophique. Notre cas est de fait parmi ceux qui peuvent prêter à des e
spondants ; mais, il faut le noter, 134 G. CATOLA il s'agit là de cas tout" fait exceptionnels. D'ordinaire, tant chez
aphie médullaire ou vasculaire,plus ou moins évidente. Dans notre cas la localisation suivant le territoire d'innervati
but est tout à fait exceptionnel et dû ordinairement, comme dans le cas de Rosen- heim,à des hémorragies dans les tronc
ans les troncs nerveux, hémorragies qu'on n'a pas vérifiées dans le cas actuel. Il y a, en second lieu,à mentionner la ré
ans la bibliographie médicale. Nous en possédons un exemple dans le cas de Carrière où la paralysie amyotrophique se tr
sie était circonscrite aux muscles de l'épaule ; mais dans ces deux cas les phénomènes paralytiques ne s'étendirent pas a
llaire ou delà région sus-claviculaire, par exemple), A PROPOS D'UN CAS DE POLYNEVRITE AMYOTROPHIQUE 135 ainsi qu'on en
AS DE POLYNEVRITE AMYOTROPHIQUE 135 ainsi qu'on en trouve relaté un cas par Babinski où, justement un de ces ganglions
ériphérique) à progression inverse, tandis que dans tous les autres cas de paralysie de Landry avec lésions névriti- qu
as de paralysie de Landry avec lésions névriti- ques tuberculeuses ( cas de Nauwerck et Barth, de Elsentohr) on avait to
du bacille de Koch, mais à ses toxines : dans la majeure partie des cas décrits, en effet, le foyer bacillaire primitif
dans ces différents organes à la fois ainsi qu'il a été dans notre cas . Il faut enfin noter que dans beaucoup de cas d
u'il a été dans notre cas. Il faut enfin noter que dans beaucoup de cas de polinévrite amyotrophique, à côté de la toxi-i
l'éthylisme chronique dans l'origine de la polinévrite. Classer ces cas , sans beaucoup de réserves, dans le chapitre de l
cause toxique en dehors de la tuberculose ; il s'agissait donc d'un cas pur, analogue à ceux qui ont été décrits par Vier
'acéton et le xylol ana ; après, dans le xylol pur; A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 137 4° Inclusion e
mparfaite à cause des modifications physico-chimiques A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 139 subies par le
N CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 139 subies par le tissu. Dans le cas actuel cependant, avoir obtenu une réaction pos
pliquer cette même méthode à l'étude de la moelle épinière dans des cas de ce genre. Il faut cependant noter à ce propo
re chez les tuberculeux et que c'est justement dans certains de ces cas qu'ils ont appliqué la mé- thode de Marchi. Les
va des lésions dégénératives légères et diffuses dans A PROPOS d'un CAS DE POLYNEVRITE AMYOTROPHIQUE 141 I 5 cas : les
fuses dans A PROPOS d'un CAS DE POLYNEVRITE AMYOTROPHIQUE 141 I 5 cas : les corps granuleux étaient très nombreux surto
ce blanche de la moelle et dans les racines. Nonne (1899), dans 3 cas de tuberculose foudroyante sans symptômes de dé
sion d'un trouble de la moelle. hahlden (1901) en étudiant 6 de ces cas à l'aide de la même méthode trouva lui aussi un
(1899) et quelques autres enregistrent, au contraire, de ces mêmes cas dans lesquels la méthode de Marchi avait donné de
ux faits indépendants. Goldscheider et Moxter (1895), à propos d'un cas de polynévrite tuber- culeuse caractérisée par
quelque altération médullaire. Steinert (1904), en étudiant deux cas du même genre,observa unique- ment un certain d
t Bernd (1905) pour la trouver méthodiquement appliquée à plusieurs cas de ce genre. Dans 8 cas sur 13 ils trouvèrent,
rouver méthodiquement appliquée à plusieurs cas de ce genre. Dans 8 cas sur 13 ils trouvèrent, à côté de lésions ancien
ion était localisée à la virgule de Schultze. Dans presque tout les cas la portion extramédullaire des racines antérieure
tout dernièrement (1906) en étudiant l'anatomie pa- thologique d'un cas de psycho-polynévrite chez un alcoolique tubercul
res, névrite parenchymateuse des racines postérieures A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 143 et dégénératio
e gliose à foyer décelable avec la méthode de Van Gieson. Dans le cas qui nous appartient la méthode de Marchi a donné
er que si la réaction histochimique, que nous avons obtenue dans un cas où les altérations des fibres nerveuses sont sa
du membre supérieur et du membre infé- rieur, sauf, dans ce dernier cas , une partie du nerf sciatique, montrent, à n'im-
a-musculaires présentent : parois très épaissies avec A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 145 augmentation d
névrites dégénératives (dégénérescence primaire) aux- quelles notre cas appartient, et les dégénérescences secondaires du
rescence toxique,ou primaire, elle s'effrite ; que, dans le premier cas ,le cylindraxe prend part dès ledébutau processu
ée des lésions des nerfs péri- phériques il nous semble que dans le cas actuel elles ne différent nulle- ment des altér
morphologiques relativement peu marquées, non superposables en tout cas à eelles de la dégénérescence wallérienne. Le fai
on- daire. Il nous faut donc conclure que la même cause et, dans ce cas , une cause toxique, avait engendré dans le syst
qui n'ait pas encore rejoint les racines médullaires, car, dans le cas actuel, ainsi que nous l'avons déjà relevé, les
ériphéristes). Or, les constatationsanatomo-pathologiques que notre cas nous a donné l'occasion de faire sembleraientplai
tochtone ou primaire, indépendante de toute lésion du A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 147 centre médulla
ce travail nous voulons encore faire remarquer que dans beaucoup de cas de polynévrite tuberculeuse relatés dans la bibli
et qu'elles se rencontraient, au contraire, seulement dans quelques cas isolés en employant d'autres méthodes d'inocula
E AMYOTROPHIQUE TUBERCULEUSE AIGUË A TYPE DESCENDANT. A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 149 4. LEUDET. - E
s - pulmonum. Berl. klin. Woch., n° 8, 1892. 41. Cli.111COT. Sept cas de polynévrite. Revue neurologique, n" 1, 1893.
amyotrophique des tuberculeux. Thèse de Paris, 1898. 51. CESTAN. Un cas de polynévrite motrice chez un tuberculeux. Bull.
culeuse et Psychose. Société de Neur. de Paris, 1900. A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE A\IYOTROPH1PUE 151 64. Colella.
ose pulmonaire. Gaz. des Hôpitaux, p. 1041, 1901. 71. De BUCK. Un cas de polynévrite tuberculeuse. Société belge de Neu
1903. 82. S.wn (R.). Histoire clinique et 'examen histologique d'un cas de sclérose médul- laire polysystématique {sclé
ister pour expliquer la propagation de l'excitation dans les autres cas . Ce phénomène de propagation de la contractilit
membres qui s'observe chez un hémiplé- gique contracture, dans les cas les plus communs, nous voyons qu'au 'membre sup
cture, et leur présence simultanée n'a jamais fait défaut, dans les cas avec contracture. En résumé, pour nous, toute c
E ET LA FOLIE PAR le Docteur B. PAILHAS d'Albi. Dans les deux cas ici relatés, s'agit de sujets cultivés et pouvant
e de sa formation sco- laire des aptitudes à dessiner, il n'en fait cas et usage qu'au moment des accès délirants, rése
nous voulons y voir un sens symbolique, voyons-y l'image du peu de cas que les femmes font parfois des sciences exactes
confus est justement destiné à indiquer et surtout à remémorer, en cas d'oubli, à l'auteur de ce des- sin, qu'il ne l'
une attitude tourmentée, sup- pliante ou voluptueuse, dans tous les cas , passionnée. Nous allons en faire une femme ado
si bien à « l'éclusée » psychique de l'un de nos malades. En tout cas rien ne saurait mieux expliquer comment et par qu
ique, variété congénitale unique, page 68, lignes 2 et 3, lire : le cas de Rapin-Long-, observation III du mé- moire de
ion III du mé- moire de Rapin, le trophoedème facial d'Hertoghe, le cas de Collet et Beutter. page 71, ligue 20, lire
AIGUËS PAR W. B. HOPE et HERBERT FRENCH. 1 . - -......- 'Le cas qui nous a fourni l'occasion d'écrire ce mémoire
u'elles n'ont pas existé en tant que phénomène prédominant dans les cas similaires de trophoedème héréditaire rapportés
ne pression forte et plus prolongée qu'il n'est nécessaire dans les cas de l'oedème ordinaire, on pouvait obtenir un go
u'elle présente l'enflure familiale mieux que ne le font les autres cas que nous avons photographiés à l'exception d'Alic
l'arbre généalogique ci-joint (Voy.page 184). * Le diagnostic du cas de notre malade, Alice Wherrell, aurait présenté
ieurs » (1902). La littéra- ture contient bien un certain-nombre de cas isolés, mais des études d'en- semble de l'oedèm
s ont uniquement été données par les auteurs cités ci-dessus. Les cas de Milroy sont les plus nombreux ; 22 personnes a
eux ; 22 personnes affectées sur 97 individus en 6 générations. Les cas de Meige sont au nombre de 8 et ils appartienne
sont au nombre de 8 et ils appartiennent à 4 générations. Les trois cas de Rolleston appartiennent à 2 générations. Nou
de Rolleston appartiennent à 2 générations. Nous-mêmes, comptons 13 cas sur 42 personnes de 5 gé- nérations. En France
dème, quoique pouvant constituer une réelle difficulté pour certains cas , peut ordinairement être rejeté du fait de l'ét
lement sans qu'on puisse leur attribuer une cause ; et même dans un cas les « jambes enflées » existaient quelque vingt
est la distribution de xxi 13 194 HOPE ET FRENCH l'enflure. Les cas rapportés par Meige concordent avec les nôtres su
un temps, l'oedème s'arrêtait à la cheville ; nous avons plusieurs cas dans lesquels l'oedème s'arrête aux genoux, et d'
tion est primitivement une névrose vaso-motrice. Relations de ces cas avec les cas d'oedème angioneurotique et ceux d
itivement une névrose vaso-motrice. Relations de ces cas avec les cas d'oedème angioneurotique et ceux d'autres névro
ynaud ; c'est-à-dire qu'il serait bien diffi- cile de confondre nos cas avec des cas de maladie de Raynaud,quoique, en
-à-dire qu'il serait bien diffi- cile de confondre nos cas avec des cas de maladie de Raynaud,quoique, en plus de leur
de Raynaud. Semblablement, on ne pourrait pas les prendre pour des cas d'urticaire factice. On ne pourrait pas non plus,
ins, il y a nettement des points où l'oedème angioneurotique et nos cas de maladie de Milroy viennent au contact ; c'est
upposons être à l'origine du trophoedème. Points sur lesquels nos cas ressemblent, et points sur lesquels nos cas diffè
Points sur lesquels nos cas ressemblent, et points sur lesquels nos cas diffè- rent de ceux qui ont été rapportés par d
té rapportés par d'autres observateurs. Les points sur lesquels nos cas et ceux rapportés par d'autres se res- semblent
e douleurs dans les jambes pâles et enflées (cela existait dans nos cas en dehors des « attaques aiguës »). 5° Absence
qu'il est apparu. Il y a toutefois quelques points sur lesquels nos cas diffèrent des autres. Meige, par exemple, insis
tient compte de l'apparition de l'eedéme à la pu- berté ; dans nos cas il n'en est pas un seul où l'oedème ait été const
étonner que de telles différences puissent exister, attendu que les cas rapportés par chaque observateur constituent pour
appartient à une seule famille ; par conséquent,alors que tous les cas d'un groupe familial ressemblent l'un à l'autre,
ambes peut être congénital et exister à la naissance comme dans les cas de Milroy, ou bien il peut être héréditaire et
à une période constante après la naissance (puberté) comme dans les cas de Meige, ou à un âge variable, comme dans nos
dans les cas de Meige, ou à un âge variable, comme dans nos propres cas . Le traitement de cet état. Il n'est guère be
à l'état de la jambe. Un observateur a obtenu des avantages dans un cas par le traite- ment électrique, et un ou deux a
ème ; mais lorsque l'enflure a atteint un haut degré, comme dans le cas d'Alice Wher- rell, il semble tout à fait impos
ons- tituer un obstacle fâcheux à la grossesse. Cela n'a pas été le cas , et même dans une observation où les « attaques
le n'est pas par elle-même nuisible à la vie, quoique dans certains cas l'oedème puisse devenir assez OEDÈME PERSISTANT
re la locomotion très difficile ou même impos- sible, comme dans le cas d'Alice Wherrell. Il y a souvent une histoire d'é
raisons de croire qu'il existe sous ces trois états morbides et nos cas de maladie de Milroy une condition pathologique
ur origine un processus atteignant tous les tissus de la main et le cas qu'ils présentaient était d'origine mixte. Il
éries basedowienne et myxoedémateuse peuvent s'as- socier, dans des cas d'interprétation particulièrement délicate, qui d
lle des idiots par lésions cérébrales macroscopiques. Dans certains cas le myxoedème con- génital est moins complet ; t
de apprend le roumain, qu'elle ne connaissait pas. De même dans les cas classiques d'infantilisme myxoedémateux de Comb
hologique. On voit la netteté de l'opinion de M. Brissaud. Dans ces cas -là, l'état mental, qui le puérilisme, est donc en
ra- ment hypothyroïdien. 4 ('-laisse, en 1899, en a rapporté deux cas . ,. f l Dans le premier, les phénomènes de lass
pelée une « cho- rée des idées ». La mémoire est atteinte. Dans les cas atténués, les mala- des se souviennent moins bi
ROÏDIENS 215 langue étrangère qui s'oublient les premiers. Dans les cas les plus accen- tués, les noms propres sont les
s, les noms propres sont les premiers à faire défaut. Dans certains cas , Charcot, Westphal ont vu la mémoire si mauvaise
e à la suite de l'injection exagérée de thyroïde. Egalement dans un cas d'Angiolella, la thyroïdisme alimentaire ressem
roïdienne. ' b) Les psychoses chez les basedowiens. , Dans les 42 cas réunis par Hirschl, toutes les formes de folie so
lle se croyait en butte à la malveillance et à l'insulte. Dans un cas de Devay, des palpitations angoissantes, une inso
nt sur les sujets les plus divers. Le quatrième groupe comprend des cas avec hallucinations que la plu- part des auteur
sychoses, on ne peut ne pas être frappé de retrouver, dans certains cas , exagérés la plupart des caractères de la mentali
, Béclère, Pader, Robinson, etc... Il y a lieu de considérer deux cas dans les rapports qui existent entre le goitre
précède le goitre ; 2° Elle lui est consécutive. Dans le premier cas , certains auteurs, comme L. N. Robinson, Pader,
roupe de neurologistes parmi lesquels je me range. Dans le deuxième cas , on peut admettre que l'hystérie n'est plus la
uelques jours ou de quel- ques semaines. Ce n'est que dans quelques cas rares qu'ils se prolongent, susceptibles alors
quents dans la maladie de Ba- sedow, peuvent prendre, dans certains cas , une intensité telle qu'elles créent une vérita
soit sous celle de manie, la mélancolie ou la manie étant dans ces cas symptomatique de la maladie de Basedow,». Jacqu
aut rapporter au goitre exophtalmique, non seulement la plupart des cas de mélancolie anxieuse, mais de psycho- ses div
ous l'influence de l'intoxication exogène alcoolique; dans certains cas , l'intoxication n'a fait que mettre en relief ou
ut jamais oublier, la suggestion. Son rôle paraît évi- dent dans un cas de Rattner, où l'antithyroïdine de Moebius amélio
nalogue à ceux des basedowiens typiques. Richardson a observé six cas de syndrome de Basedow complet ou fruste compli
marque qu'on peut, avec L. Lévi et H. de Rothschild, considérer des cas analogues comme des types du carac- tère dépend
osion du syndrome basedowien et de la psychose ; mais dans certains cas il me paraît démontré par la clinique et l'opot
ternat. de méd., Lisbonne, 1906. Rapport. Béclère (2). - Un nouveau cas de myxoedème guéri par l'alimentation thyroïdienn
s chiens thyroïdectomisés. Revue neurol., 1903, p. 282. Boetger. Un cas de maladie de Basedow compliqué de folie. Allgeme
mique et manie. The Lancet, 1er décembre 1877. CIIALIFII (J.). - Un cas de nanisme thyroïdien. Gaz. des hôp., 19 novembre
) décembre 1897, p. 491. 228 LAIGNEL-LAVASTINE E DIEUL \FOY. Un cas de maladie de Basedow. Cliniques. 1896, p. 184.
es. 1896, p. 184. Dinkler. - Histoire et anatomie pathologique d'un cas grave de maladie de Basedow avec hémiplégie, sy
annin. Revue méd. de la Suisse romande, 20 janvier 1896. Jensen. Un cas de maladie de Basedow compliqué de folie. Allgeme
ANDOUZY. - Journ. de méd. et de chir. pratiques, 1886. LAUGER. - Un cas de myxoedème guéri par l'opothérapie thyroïdienne
juillet 1907. LORAND. Presse méd., 1904. Mac CLANGHY. - Sur deux cas de folie avec goitre traités par l'extrait thyroï
e de Moebius. Neurol. Centralbl., 1907, p. 201-213. Raviahd. Sur un cas de goitre exophtalmique 'et hystérie avec accès d
ue. Journ. of ment. se, janv. 1905. STOIGESCO et B.1C.1LOGLU. -Deux cas de myxoedème guéris par l'ingestion de tablettes
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hûp., 1897, 26 mars. - Le myxoedème, 1898. Radiographies dans un cas d'infantilisme myxoedémateux. Soc. méd. des hôp.,
e Mya : oedeM ! e. The Lancet, 23 avril 1904. Zalplachta (J.). - Un cas de psychose basedowienne sous forme de confusion
période de début de l'hémiplégie, variable comme durée suivant les cas , et dé- pendant de la rapidité et de l'intensit
hystériques. Je viens d'observer dans le service de M. Babinski un cas de vraie rééducation de la démarche chez une hy
eux que l'on constate dans la paraplégie organique. Voici encore un cas de paralysie hystérique du membre inférieur droit
on trouve à chaque instant des signes deparadoxalité. Dans tous ces cas c'est l'absurdité de la conduite de ces malades q
la démarche dans les mala- dies nerveuses, sur la démarche dans un cas de névrose articulaire hysté- rique, dit que la
ulation était entièrement perdue, ici, comme dans beaucoup d'autres cas , la contradiction prouve le défaut de réalité.
cle peu marqué aux fonctions d'une articula- tion. En examinant les cas dans lesquels la claudication ou autre espèce d
jointure est réellement malade l'affection est très évidente. Les cas choréiformes sont plus sujets à induire en erreur
l'idée d'une affection du genou. Beaucoup plus compliqués sont les cas de chorée légère de tout le membre inférieur, d
che. » La ressemblanèe n'est pas, il est vrai,très marquée. Dans un cas cepen- dant, Paget avoue que la démarche simula
ère atteint d'une affection scrofuleuse grave de la hanche. Dans ce cas la malade se tenait debout et marchait par imit
puyait sur le côté sain. Il était de 50 centimètres dans le premier cas et de 20 centimètres seulement dans le deuxième ;
t par saccades en avant et latéra- lement du côté malade. Dans un cas analogue que j'ai observé dans le service de M. l
les avait remarqués dans une leçon sur cette malade. Un troisième cas de cette démarche paradoxale je viens de l'observ
i concerne les algies hystériques, un ca- ractère paradoxal dans un cas d'hystérie traumatique dans les Leçons de clini
Il y a quelquesjours j'ai observé, dans le service de M. Babinski, un cas analogue sur une femme qui se plaignait de vive
mblée le mot : hystérie. 240 NERI Charcot sur la démarche dans un cas de chorée rythmée dit : « la ma- lade progresse
e ne pas reconnaître une démarche d'un hystérique. Dans les rares cas douteux il suffit de quelque astuce d'examen (fai
ischen Gangarten. Deut. Arch. für Klin. méd., 1901. xxi , 16 UN CAS DE GYNECOMASTIE PAR le J)f BOIGEY, médecin-ma
Nouvelle Iconographie DE la SALPtTRU ! RE T. XXI. PI. XXXVI UN CAS DE GYNÉCOMASTIE B0lâ By . Masson et Cie, Edit
aquelle P ? tire son revolver, apporté inten- tionnellement pour le cas où V... reconduirait encore ; il fait feu à deux
mée. SOCIÉTÉ NEUROLOGIE DE PARIS. Séance DU 2 ,1LILLET 1908. UN CAS DE POLIENCÉPHALO-MYÉLITE AIGUE, PAR BRISSAUD
ci Gy). Masson & Cie, Éditeurs Phototypie Berthaud, Paru UN CAS DE POL1ENCÉPHALO-MYÉLITE AIGUE 255 lièrement au
, les mouvements d'opposition sont lents mais possibles, surtout UN CAS DE POLIENCMPHALO-MYÉLITE AIGUF. 257 pour la mai
e sens vertical a sensiblement t même amplitude que la veille. UN CAS DE POLIENCÉPHALO-MYÉLITE AIGUE 259 Mobilité plu
bilité ou l'hypoexcitabilité faradique du muscle. Ce n'était pas le cas , à la date du 19 mai, c'est-à-dire 5 semaines a
s qui manquent chez notre malade. Toutefois, les quelques phéno- UN CAS DE POLIENCIsPHALO-MYÉLITE AIGUE 261 mènes doulo
iomyélite antérieure aiguë avec polynévrite, parésie du facial : un cas ; Poliomyélite antérieure aigué avec parésie du
rieure aigué avec parésie du nerf facial et de l'oculo- moteur : un cas ; Poliomyélite antérieure aiguë, avec participa
rieure aiguë, avec participation de l'oculo-moteur et du vague : un cas ; Poliomyélite aiguë avec participation du faci
uë avec participation du facial, du vague et de l'acces- soire : un cas ; Poliomyélite antérieure aiguë avec participat
e aiguë avec participation de l'accessoire [et de l'hypoglosse : un cas . Poliomyélite antérieure aiguë avec participati
cial, du trijumeau, du vague, de l'accessoire et de l'hypoglosse : un cas . M. Scltmiergeld, lui-même, rapporte deux obse
onction lombaire ne nous permit pas, comme on l'a vu dans plusieurs cas de polio- myélite antérieure aiguë, de déceler
cause. UNIVERSITÉ DE NANCY EXAMEN ANATOMIQUE ET HISTOLOGIQUE D'UN CAS DE MICROGYRIE HÉMISPHÉRIQUE, PAR P. HAUSHAL
rologique s'est enrichie de nombreuses publications relatives à des cas de microgyrie et plusieurs auteurs ont essayé d
i complète que possible. Nous venons aujourd'hui relater un nouveau cas personnel. Observation CLINIQUE. Lucie M... e
u. Neurologie, Bd. V, 1905. EXAMEN ANATOMIQUE ET HISTOLOGIQUE D'UN CAS DE MICROGYRIE 267 ** où le volume est normal ou
les couleurs basiques qu'avec les couleurs acides ; mais ni dans un cas ni dans l'autre, il n'est possible d'en étudier
. NOUVELLE Iconographie DE la SALPLTRIERE. T. XXI. Pl. XLVII UN CAS DE MICROGYRIE HÉMISPHÉRIQUE (Haushalter et R. C
LA SALPLTRIERB. T. XXI. Pl. XLVIII C EXAMEN IIISTOLOGIQUE d'un CAS DE MICROGYRIE IIEWSPlIE1UQUE (Flausbaltcr et R.
hie de la SALPETRISRH. T'. XXI. Pl. TLIX EXAMEN HISTOLOGIQUE D'UN CAS DE MICROGYRIE FIÉIISPIIÈRIQUr-, (Haushalter et
). Masson et Cie, Editeurs EXAMEN ANATOMIQUE ET HISTOLOGIQUE D'UN CAS DE MICROGYRIE 269 EXPLICATION DES PLANCHES Pl
n autre réflexe controlatéral, celui du tendon d'Achille. Dans deux cas de paralysie spasmodique, la percussion du ten-
ntraire ce mouvement est assez mar- qué ; dans un certain nombre de cas , le gros orteil avait moins de ten- dance à se
peu avant' que le gros orteil n'ait commencé le sien. Dans certains cas , d'un côté seulement, l'excitation de la plante d
revu et signalé dans quel- ques observations. Ganault (1) cite le cas d' « un hémiplégique droit chez lequel le ré- f
spice de Sainte-Mar- guerite, j'ai pu observer un certain nombre de cas d'ankylose vertébrale. Il m'a paru que deux d'e
cette affection. (1) PIERRE Marie et LERI4 Examen du rachis dans un cas de spondylose 1-hizoteié- lique. Société médica
omplets, épars et disparates, Pierre Marie et Leri ont apporté deux cas très nets constituant un type anatomo- patholog
ale que j'ai re- cueillie est la reproduction identique de ces deux cas antérieurs. Si elle n'apporte pas de faits nouv
tte raréfaction (1) Pierre Marie et Leri, Examen des rachis dans un cas de spondylose rhizomélique, 24 février 1899.
e de la Salpêtrière, n 1, janvier-février 1906. (2) Raymond, Sur un cas de rhumatisme chronique vertébral. Nouv. Iconogr.
dont nous ne parlerons en conséquence que très brièvement ; mais ce cas d'infantilisme est cependant très important en ce
actères qu'on trouve communément à l'examen radiographique dans les cas d'hydrocéphalie congénitale (Pl. LUI). La selle
facilité à la détermination de la forme clinique présentée par nos cas et à l'interprétation la plus probable des causes
nombreuses théories de l'acromégalie ont été soutenues et bien des cas ont été publiés. Pendant les 22 ans passés depuis
e cette maladie ne paraîtra pas superflue ; il s'agit d'ailleurs de cas qui présentent une importance particulière, à cau
aussi de certaines recherches personnelles. ' Observations. le, cas . Filippo Pierattini, âgé de 32 ans, né à (iruscol
s de doigt [l'arcade costale sur la ligne hémiclaviculaire. ' II° cas (PI. LVI, B). Felindo Nardi, âgé de 37 ans, peint
que. Pression artérielle humérale droite 135 millimètres Hg. Ille cas (PI. LVI, B). Nardi Nora, âgée de 14 ans, née à G
ACROMÉGALIE 331 Résumons ce qu'il y a de remarquable dans mes trois cas . Je vais considérer : 1° l'hérédité acromégaliq
élrique plus prononcé à droite qu'à gauche ; 3° l'absence dans deux cas des symptômes oculaires qui sont souvent caractér
lésions de l'hypophyse. Dans la bibliographie nous trouvons peu de cas d'acromégalie hérédi- taire ; Fraentzel (1) a d
acromégalie chez deux frères et leur père ; Schwoner (4) parle d'un cas où la mère était acromégalique et les parents d
mère était acromégalique et les parents de haute stature ; dans un cas de Warda (5), un des enfants du malade accusait
ants du malade accusait des signes évidents d'acromégalie, dans mon cas enfin il s'agit d'un père et de sa fille, acrom
père et de sa fille, acromégaliques tous deux. On connaît déjà des cas d'hémi-acromégalie ; c'est-à-dire des cas où l'
deux. On connaît déjà des cas d'hémi-acromégalie ; c'est-à-dire des cas où l'acromégalique présente ses déformations ac
se de l'acromégalie qu'en passant ; car si môme l'on s'en tient aux cas que j'ai décrits, on peut voir combien il est d
de la maladie. Je tiens seulement à constater que plus j'observe de cas (j'en suis au 8e), et plus je vois avancer dans l
aucoup de traits communs avec ces maladies. En effet, dans bien des cas j'ai pu observer qu'il y avait torpeur, somno-
s semblable à celui que présentent les myxoedémateux. Dans d'autres cas le tremblement, t'exophthatmie, le signe de Graëf
isent des symptômes de la maladie de Basedow. Dans presque tous les cas , sinon dans tous, il y a la grande asthénie que
aladie d'Addison, dans celle d'Erb- Goldflam, ou bien dans certains cas de cette forme de Basedow qui a été décrite sou
m d'asthénique. J'ai recherché la réaction myasthénique dans quatre cas d'acromégalie je l'ai trouvée caractéristique d
es modifications des organes intérieurs. En effet, dans deux de mes cas j'ai pu suivre la façon de se comporter du foie e
ne beaucoup de valeur aux lésions de la thy- roïde,je vais citer un cas que j'ai observé; c'est seulement à présent, 15 a
e pré- sumer un début de néoplasie intra-crànienne. Dans un autre cas j'ai pu constater l'évidence que la maladie avait
rcique double de la capacité nor- male. Doit-on admettre qu'en ce cas l'hypophyse, altérée dès le premier jour, soit
atable à présent parce que son volume a suffisamment augmenté ? Les cas étudiés sont certes en nombre trop limité pour qu
éorie admise généralement. Le fait que j'ai constaté dans un de mes cas , c'est-à-dire l'hérédité acromégalique, n'est p
avoir hérédité directe ; le professeur Grocco en a rappelé quelques cas ; un d'un typique se trouve décrit dans ses leço
tri- buent à l'acromégalie une origine médullaire (presque tons les cas d'acromégalie accompagnés de syringomyélie décr
des signes les plus ca- ractéristiques de l'acromégalie ; dans les cas douteux sa présence peut décider du .diagnostic
à la muqueuse et surtout aux pupilles du V lingual, qui en certains cas parvient à avoir un volume énorme. On peut par
ès de sécré- tion interne de la glande, si l'on pense qu'il y a des cas ,et ils ne sont pas rares, où la maladie persist
'à une diminution de la fonction thyroïdienne (par exemple quelques cas de crétinisme et d'infantilisme). Donc en ce qu
ie soit causée par une altération primitive de l'hypophyse.Deux des cas dont vient de parler repoussent cette hypothèse,
de mes nombreuses recherches sur la nutrition, j'ai trouvé dans des cas d'acromégalie des chiffres très élevés se rappo
ions ci-dessus mentionnées et à un degré mar- qué que dans certains cas ; dans d'autres je les ai trouvées à un degrébien
t l'examen radiographique des extrémités a appris que dans bien des cas l'augmenta- tion de volume a sa cause plutôt da
ause plutôt dans les parties molles que dans les os ; dans d'autres cas cependant on a remarqué des altérations des épiph
ées ossifiées. On a trouvé altérées aussi les articulations dans un cas typique d'os- téoarthropatllie chez un sujet at
nt celles qui ont été constatées sur le crâne. En effet, il y a des cas où l'on a trouvé des sinus frontaux et maxillai
hs, Eulemburg, etc. Ces recherches ont démontré que dans beaucoupde cas d'acromégalie et dans tous ceux où cliniquement u
un état cachectique. C'était d'autant plus admissible que dans un le cas , chez un sujet se maintenant en état satisfaisa
ière, de la Camp (1) communiqua à la Société médicale de Marburg un cas dans lequel à côté d'altérations progressives, il
i des régressives. Si nous passons maintenant aux radiographies des cas que j'ai décrits plus haut, je dirai que dans l
un léger gros- sissement uniforme de l'os. L'examen du troisième cas a montré la selle turcique peut-être légère- me
s, en dehors du grossissement habituel de l'os. Celui du deuxième cas a montré une selle turcique normale. L'examen r
a montré une selle turcique normale. L'examen radiographique de ces cas paraissait devoir être le plus intéressant vu que
à travailler sans se plaindre du moindre trouble. Dans un quatrième cas où l'on a fait la radiographie du crâne, des ma
ns osseuses à côté d'épaississements,surtout au calcanéum ; dans le cas d'une femme âgée de 32 ans, une calcification d
) en trouva jus- qu'à 18 0/0. La quantité de l'éosinophilie dans le cas de cet auteur n'était pas constante, si bien qu
, p. 19l5. 340 GIUSEPPE FRANCHINI ET G. GIGLIOLI Moi-même, dans 4 cas étudiés autrefois à ce point de vue, dans deux
rs des examens faits à des périodes diverses. Dans le premier des cas décrits ci-dessus, à l'examen histologique du s
le nombre est toujours supérieur à la normale. Pour les deux autres cas , la particularité n'existe pas. L'examen chromocy
ticularité n'existe pas. L'examen chromocytomé- trique du troisième cas nous a montré une remarquable érythrocithémie (
sait pas la raison. Pour conclure, nous voyons que dans plusieurs cas d'acroméga 1 ie on a constaté des lésions du sa
normoblastes, de leucocytose bien prononcée et presque de leucémie ( cas de Silva et de Wlaieff), quelquefois de myélo-
ornerai à reporter un résumé de l'examen clinique relatif aux trois cas dont j'ai donné l'histoire dans cet article. Da
ore, le calcium, le magnésium elles corps gras. Dans le troisième cas , où en outre de l'érythrocythémie il y avait en-
poids spécifique fut trouvé supérieur à la normale. Dans tous les cas il y eut augmentation de l'alcalescence, du résid
ésidu sec et des cendres. L'azote total fut trouvé augmenté en deux cas , le chlore et le phosphore étaient en quantité
ormale et le calcium et le magnésium très abondants. Dans les trois cas on trouva une remarquable lipoïmie ou lipoïdémi
a quantité élevée d'albuminoïdes qu'on a pu constater dans tous les cas . J'ai dit lypoïmie ou lipoïdémie, et je vais m'
démie, et mon hésita- tion est justifiée si l'on songe que dans mes cas anciens et aussi dans les trois cas ici décrits
fiée si l'on songe que dans mes cas anciens et aussi dans les trois cas ici décrits, les recherches sur les échanges maté
ne ; il est difficile de se contenter de cette constatation tirée des cas qu'on trouve dans la littérature, à savoir que
cholesthérine. En résumé, je conclurai en disant que dans les trois cas d'acromégalie étudiés on a trouvé des altératio
ET G. GIGLIOLI Mes recherches dans ce travail s'étendent aux trois cas . Pour le premier l'étude des échanges matériels
s neutres, les savons et la cholesthérine. Ici, comme dans d'autres cas , j'ai remarqué une forte augmentation des graisse
78 : de Pl 05 degr. 5,90 et une rétention de Ca 0 degr. 3,50. IIe cas . Les recherches durèrent une période de six jours
n de N uréiquepar rapport à l'N total bien plus marquée'que pour le cas précédent,augmenta- tion des phosphates terreux
L'absorption des graisses a été normale et encore ici, comme pour le cas précédent, on trouve la même anomalie dans leur
rétention de Ca 0 de gr. 0,45 et de magnésie de gr. 1,29. ' IIIE cas . Malheureusement dans ce cas je ne fus pas à même
5 et de magnésie de gr. 1,29. ' IIIE cas. Malheureusement dans ce cas je ne fus pas à même de faire toutes les recher
rs et les altérations se montrèrent en tout semblables à celles des cas précédents. L'élimination de la chaux urinaire
par jour. En résumant tout ce qui concerne l'échange dans les trois cas d'acro- mégalie étudiés, on voit que les résult
ore, et une rétention de calcium et de ma- gnésium. Dans le premier cas , correspondant à la période grave où il existai
étention du calcium s'est remarquablement réduite. Dans le second cas , où la maladie est depuis longtemps stationnaire
t légères, mais de même sens que les précédentes. Dans le troisième cas , l'examen des aliments et des fèces faisant défau
es, c'est-à-dire d'origine intestinale. Et en effet, dans le second cas un examen complet des divers groupes azotés ave
érée et précisément diminuée. L'augmentation vérifiée dans tous les cas de l'indican est en relation autant avec des lé
le Dr Oberndoerffer a récemment écrit à propos des échanges dans un cas d'acromégalie publié dans les Zeits. f. klin. M
chaux de gr. 8,771, et il en tire la conclusion que l'échange en ce cas d'acromégalie ne présente aucune anomalie carac
produit l'effet opposé. C'est précisément ce qui est arrivé dans son cas . Et encore je me demande de quelle façon on peu
et égard. Les bilans des deux séries de recherches dans mon premier cas d'acro- mégalie, ne parlent-ils pas dans le mêm
peu à peu station- na ires. Nous voyons encore que dans le second cas , où le malade se trouve dans un état de bien-êt
maladie ? Certainement non ; et il faut absolument, et dans tous les cas , qu'il y ait des altérations des échanges matér
des échanges matériels dans l'acromégalie ; le fait qu'en quelques cas on ne les a pas trouvées; vient de ce que le pa-
Parcs HOSPICE DE BICKTHE SERVICE DE 31. LE P PIERRE MARIE DEUX CAS D'OXYCÉPHALIE CRANES « EN TOUR » DES AUTEURS AL
'avoir reçu en cette région aucun traumatisme. Le nez, volumi- DEUX CAS D'OXYCËPHAUF 351 uenx, fait uu angle ouvert à g
ile de préciser. Meltzer (1), dans un travail récent portant sur 20 cas d'enfants atteints de cécité et de crânes en to
ue et du 7'hw'mschoedel, Neur. Cen- tralblatt, 16 juin l9oS. deux cas D'o\l'Cl ? PIIAL1R 353 3 moment une accentuatio
mités du crâne adulte trouvent leur cause dans l'enfance). Dans les cas les plus accentués les phénomènes inflamma- toi
ans la synostose pré- maturée, peut-être même a-t-il, dans certains cas , association des deux processus : « la pression
ulsions dans l'enfance. Ce phé- nomène a été noté par Patry dans 10 cas sur 74 observations, dont 16 per- sonnelles (le
, à forcer les points faibles de la boîte crânienne. Dans, certains cas , où la synostose pré- maturée. des sutures médi
2) POMMEROLLE De la dynostose normale, Th. de Paris, 1869. ' * DEUX cas D'OXYCÉPHALIE . 355 Légère diminution du diamèt
ertige. Cette céphalée a été trouvée déjà fréquemment. Parmi les 10 cas observés par Patry, il l'a rencontrée 6 fois :
arait pas atteinte en ce qui concerne nos deux mala- des : c'est le cas le plus fréquent (Patry),et il convient de se rap
à ces malformations. Ajoutons que Meltzer a retrouvé 15 fois sur 20 cas des végétations adé- noïdes et 19 fois le nez f
es troubles accessoires peuvent se rencontrer à l'étal isolé. Dans un cas , Weber signale : léger strabisme divergent, nys
strabisme externe et de la limitation des mouvements du globe DEUX cas d'oxycéphalie 357 dans tous les sens, à un rapp
nt raison. La syphilis ne paraît pas probable (Patry). Dans un seul cas elle paraît bien établie. Deux malades ont cont
l semble que les troubles ne soient pas très rares : 12 fois sur 20 cas il a trouvé l'odorat perdu. Il est intéressant de
t la plus forte. » Il nous a paru intéressant de rapporter ces deux cas et de résumer l'état de la question en raison d
e. La pression a at- teint un degré moindre que par exemple dans le cas d'une tumeur encap- sulée et agissant surtout p
agnostiqué. (Voir obs. VI, n° 3, 1906.) ' Remarque commune aux deux CAS .-Les tumeurs n'agissant que peu sur le courant
ue l'on se donne, les coupes ne passent pas au même niveau. Dans le cas qui nous occupe par exemple la tumeur a repouss
es de l'hémisphère gauche, qui ont été décrites plus haut. Pour des cas de ce genre il semble justifié d'attri- buer à
nne reste dans des limites que le cerveau peut supporter. Ce fut le cas chez notre malade et cela explique sans aucun dou
Redlich a recherché les lésions diffuses de l'écorce dans quelques cas de tumeurs cérébrales (Festschrift zur Feier des
stsynonyme d'association : on ne peut guère en douter. Or, dans les cas de tumeur que j'ai eu l'occasion d'examiner, le
il occasionne la mort de son hôte. Au point de vue humain, c'est un cas pathologique, mais, au point de vue des microbe
oit par répétition physiologique. Pour distinguer arbitrairement ce cas du suivant avec lequel se confond en réalité, n
a peur. DE LA PATHOGÉNIE DES NÉVROSES 385 dérée, du geste dans le cas présent. Le dernier état, l'équivalent organi-
n des terrains sablonneux qui for- ment leur habitat. Dans tous les cas de mimétisme, je ne puis voir que des effets du
est si bien fonction delà matière qu'elle ne reproduit rien dans le cas de surdité et que l'enfant est muet parce qu'il
t limité à ces deux faits absolument démonstratifs. Mais les autres cas présents actuellement à mon esprit sont moins pro
is avec une telle énergie qu'il donne lieu, non pas seulement à des cas de contagion isolés, comme on pourrait en rappo
, religieux ou domestiques ont toujours eu le don de multiplier les cas de folie et d'hystérie. En 1904, dans l'étude s
itation de l'être complexe à fonctions différenciées. Dans les deux cas , il y a attouchement médiat ou immédiat de la m
nts, je pense aussi qu'elles sont impuissantes à expliquer tous les cas . Le bégaiement survenu brusquement à la suite d
mieux caractérisée, l'intervalle est comblé par toute une série de cas intermédiaires, si bien qu'il est impossible de d
arrivons à la paralysie en passant par la parésie et par d'au- tres cas intermédiaires qui n'ont pas été spécialement dén
. La névrose et l'état normal ne se distinguent donc que dans leurs cas extrêmes, comme la raison et la folie du reste.
cins qui y attachent de l'im- portance ; ils trouveront souvent des cas intermédiaires aux cas intermé- diaires et des
l'im- portance ; ils trouveront souvent des cas intermédiaires aux cas intermé- diaires et des cas qui ne rentrent dan
ront souvent des cas intermédiaires aux cas intermé- diaires et des cas qui ne rentrent dans aucun cas. Pour moi, les ter
ires aux cas intermé- diaires et des cas qui ne rentrent dans aucun cas . Pour moi, les termes hystérie et neurasthénie
rne les malformations des extrémités, ce fait s'ajoute aux nombreux cas de syndactylie qui ont été publiés dans ces derni
INODACTYLIE 411 Jusqu'ici, en effet, les auteurs qui ont publié des cas de syndactylie, simple ou compliquée, ont étudi
ous concerne, nous avons observé, dans ces dernières années, quatre cas de syndactylie. Dans le premier, suivi et publié
é la syphilis, devint ultérieurement paralytique général. Le second cas est relatif à cette curieuse dégénérée, fille de
ment mental greffé sur le fonds primitif de faiblesse mentale. Le cas de Pierre peut être considéré comme caractéristiq
ement des bras et des épaules. Pour élucider plus complètement le cas de notre malade, il est intéres- sant de le rap
t le cas de notre malade, il est intéres- sant de le rapprocher des cas analogues. Pour cela nous avons mis à contribut
pour- rait le croire. Elle est unilatérale dans les deux tiers des cas , bilatérale dans un tiers. Elle est souvent ass
homologue du membre inférieur, l'absence du tibia. ,c Dans quelques cas , la malformation fait partie de monstruosités plu
u l'atrophie plus ou moins accentuée de l'index. Cependant dans des cas rares, le pouce existe en général très atrophié ;
ns des cas rares, le pouce existe en général très atrophié ; dans des cas opposés également rares, il n'y a que deux ou m
ci, parfois au contraire plus long que celui du côte sain (dans les cas unilatéraux). Sur les pièces de dissection on a
uille. L'agénésie des cellules nerveuses répondant à la main dans les cas d'ectromélie est consécutive à la malformation
n amniotique, ou dans des brides et adhérences de l'amnios. Dans un cas de Kirmisson l'adhérence (1) APERT, Bulletins d
ix observations) met d'autre part en relief leur parenté. Dans le cas de notre malade tout traitement semble devoir êtr
fet que la dé- nomination choisie par M.Brissaud s'adapte à bien de cas , mais que cepen- dant pour le plus grand nombre
ises. Aux dystrophies cardio-vasculaires diffuses appartiennent les cas d'in- 422 2 ' ETTORE LEVI fantilisme du type
re. Aux cardio-angio-dystrophies limitées appartiennent surtout les cas de sténose de l'orifice pulmonaire et mitral, d
mitral ; la formule hématique est diffé- rente. Souvent dans ces cas il s'agit plutôt d'enfants embrionali que de vrai
tiles qui ont été décrits, étaient des hérédo-tuberculeux : de tels cas ont été publiés par Andral, Hirtz, Lorain, Fane
appétit sexuel minime. Lrancreau,Fec°raccirci, etc., ont décrit des cas d'infantilisme par malaria chronique ; chez ces
mes explica- tions sont invoquées pour la pellagre héréditaire; des cas d'infantilisme par intoxication pellagreuse chr
ur cités comme causes d'infantilisme. Byrom-BI'a1n1Cell a publié un cas d'infantilisme pancréatique par lésion congénit
grand rôle dans la ge- nèse de l'infantilisme du type Lorain et des cas très démonstratifs dans 424 ' ETTORE LEVI ce
Ranschbtcry, De Sanctis, etc. Joffroy a récemment observé dans deux cas de paralysie générale juvé- nile, des symptômes
95) a vu par exemple la coexistence dans une même fa- mille de deux cas de myxoedéme franc avec idiotie,de deux cas decli
même fa- mille de deux cas de myxoedéme franc avec idiotie,de deux cas declioncli-6- dystrophie grave, d'un nain rachi
x cas declioncli-6- dystrophie grave, d'un nain rachitique, et d'un cas d'obésité infantile; il a soigné deux cousins g
faits nodulaires,nécrotiques, hémorragiques, etc. et dans quelques cas du goitre. Selon Roger il s'agirait dans ces ca
. et dans quelques cas du goitre. Selon Roger il s'agirait dans ces cas de lésions parasyphililiques qui pourraient exp
vidu et surtout l'infantilisme. Apert trouva à la nécropsie de deux cas d'infantilisme de Lorain des lésions notables e
idu ; le traitement thyroïdien pourra donc être utile même dans les cas d'infan- tilisme dystrophique non dysthyroïdien
matique et sans modifier aucunement le processus pathogénique. Les cas d'infantilisme dystrophique dans lesquels la path
vations de Ferranini en sont une preuve évidente. , Ainsi dans le cas d'infantilisme de Vigoltroux et Dehnas, qui, pend
vue de l'Ecole française, le développement, différent dans les deux cas , des processus normaux d'ossification du squele
s en général. Springer et Sarbanesco soutiennent aussi que dans les cas d'arrêt de développement dus au rachitisme, à l
ait être prématurée. Je dois dire à ce propos que non seulement mes cas personnels démon- trent le contraire, mais que
ne- contredit pas cependant notre thèse, car il s'agissait dans ce cas non d'un infantile mais d'un nain. Dans le cas
l s'agissait dans ce cas non d'un infantile mais d'un nain. Dans le cas de Dupré et Pagniez l'ossification des cartilages
iphy- saires des os longs était imparfaite; il est vrai que dans ce cas il y avait en même temps des symptômes nets de
sme dégénératif de Lorain et dysthy- roïdieh en même temps. Dans ce cas le traitement thyroïdien améliora les symptômes
hez trois'infantiles du type Lorain. Joffroy/ a récemment publié deux cas CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYP
hysaires du genou et de la main. Schuller explique différemment les cas de cette catégorie et les croit causés par une
causés par une lésion primitive des glandes séminales ; il cite un cas de Redlich ( Wiener klinische Rundschau, 1906)
r être prises en considération dans le jugement différentiel de nos cas ; il ne nous reste qu'à conclure lequel de ces
ropos des deux soeurs seul'... s'applique également à mon troisième cas : ce grand garçon de 22 ans n'en paraît pas plu
des organes génitaux, nous force à mettre en relief que si dans ce cas on ne peut pas parler d'infantilisme partiel on
considérable prévalence d'infantilisme sexuel. A ce détail près, ce cas réalise aussi un type classique de Lorain et son
qui doit être considéré comme physiologique pour son âge ; en tout cas certainement beaucoup plus avancé que celui des
ades. Nous n'avons par conséquent aucune raison d'admettre pour nos cas le diagnostic d'infantilisme mixte ou combiné q
d'infantilisme mixte ou combiné quia été par exemple posé clans le cas de Dupré et Peigniez où les symptômes d'hypothyro
ce sujet, de citer l'intéressante observation de Rose qui, dans un cas d'obésité familiale chez une malade de 15 ans,
s de la même famille ; un frère a enfin un palais ogival. Dans un cas d'infantilisme (compliqué d'adiposité générale et
aient cousins germains. Ce même argument peut être invoqué dans nos cas comme une cause adjuvante ; les parents de nos
tion des séreuses seraient surtout responsables dans cette série de cas . D'autres auteurs (Lereboullet, Ilayem) ont att
lésions hépatiques la détermination de l'infantilisme. Dans notre cas nous ne saurions invoquer une telle hypothèse : l
lables, sont minimes. Nous ne pouvons d'ailleurs incriminer dans ce cas aucun autre organe, car nous avons vu que notre
ble est que l'infantilisme (type Lorain) a été déterminé dans notre cas par des lé- sions cardiaques graves survenues à
me de Lorain et déterminé les causes les plus probables dans chaque cas dé l'arrêt du développement ; nous avons démont
e respecter l'usage et d'appeler infantiles du type Lorain tous les cas de misère physiologique de l'adolescence qui se t
ui intégralement ses idées à ce sujet : nous ne croyons pas que nos cas et les quelques cas analogues déjà cités et qui
idées à ce sujet : nous ne croyons pas que nos cas et les quelques cas analogues déjà cités et qui représentent des ex
qu'on ne doive leur conserver ce nom que par respect l'usage. Les cas que nous avons étudiés ne présentent en effet le
que au point que la recherche manuelle en soit impossible. Dans nos cas le corps thyroïde n'est pas seu- lement facilem
soi-même un indice suffisant et sûr d'une lésion thyroïdienne ; le cas de polysarcie publié par Rose et que nous avons
is de nombreuses observations anatomo-cliniques ont montré dans des cas appartenant à cette série des lésions légères ou
etc., ont observé des lésions trophoglandulaires multiples dans des cas de gigantisme. Selon Klebs la pathogénèse de l'
et dans la maladie de Basedow, et 3,Ja2,chiafava a observé dans des cas d'infantilisme l'hypertrophie du thymus. Nous v
oïdienne sont universellement connus. Cerioli a publié récemment un cas d'hypertro- phie mammairc chez un basedowien ;
es à sécrétion interne et particulièrement des ovaires. Dans un des cas publiés dans notre mémoire on avait remarqué, l
igoureux et Delmas parle aussi en faveur de cette théorie ; dans ce cas d'infantilisme les,lésions les plus graves intére
ésions les plus graves intéressaient la glande diasthématiyue. Le cas de liedlich cité par Schiller parle dans le même
cas de liedlich cité par Schiller parle dans le même sens. Dans le cas de tumeur de l'hypophyse de Peclalcranz et Zak (c
commentant ces observations, admet que l'anomalie génitale dans ces cas n'était pas se<on- daire, mais en rapport di
monstrative rapport à l'in- fluence trophique du testicule; dans ce cas en effet un syndrome très net d'in- fantilisme
erions obligé de faire rentrer dans le giron de la dysthyroïdie les cas cliniques les plus dissemblables et chaque syndro
'insuffisance thyroïdienne soit l'altération fondamentale de chaque cas d'infantilisme et que les multiples altérations
infantilisme myxoedéma- teux, mais on ne peut en dire autant de ces cas d'infantilisme chez lesquels, comme chez nos tr
in de savoir s'il doit comprendre dans cette catégorie les quelques cas de nanisme vrai avec persistance de cartilages
ide. Pour prouver cette hypothèse il cite le fait que dans quelques cas de crétinisme on trouva les glandes séminales p
cs) elles ont été trouvées complètement hypoplasiques. A propos des cas de tumeurs de la base (surtout hypophy- saires)
on d'un centre cérébral de la base. Schuller pense que dans de tels cas les affections de l'hypophyse et des glandes sémi
façon, selon nous par trop simple et pas assez prou- vée, tous les cas cliniques qui parlent contre la doctrine qu'il so
me Halmagrand expliquerait l'infanti- lisme pubéral.. De même les cas d'infantilisme qui ont été imputés à l'hypophyse
ande dans les différentes formes cliniques est claire dans quelques cas et obscure dans d'autres. Dans les définition
la forme et le con- tenu de l'analyse psychique dans les différents cas selon les différents âges et la nécessité de po
antile) impeccable ». DeSanctis ajoute d'ailleurs avoir observé des cas de mentalité normale. sur des corps infantiles
infantiles, description qui ne saurait s'ap- pliquer à beaucoup de cas et surtout aux nôtres. M. Gaspero a récemment r
o ne nous semble pas devoir être applicable avec rigueur à bien des cas . Nos malades en effet nous ont montré de posséd
entent en somme plutôt qu'un exemple de psychisme en miniature, des cas d'infan- tilisme intellectuel partiel avec rédu
eloppement psychique ; par comparaison il faudrait dans ce genre de cas faire subir le même interro- gatoire à plusieur
re donner en quelques mots une' description s'appliquant à tous les cas du syndrome de l'infantilisme psychique et somati
t nous devons accepter la création de toute la série habituelle des cas frustes, combinés, mixtes intermé- diaires, etc
j'ai recueilli moi-même il y a deux ans dans un court mémoire sept cas (dont l'un inédit) dans lesquels l'anémie et la
ire porter un diagnostic erroné de tumeur cérébrale ; dans quelques cas la guérison seule révéla l'erreur de diagnos- t
ement par Burton-Fanny, Jollye, Patrice et Banllister, Dans notre cas une telle hypothèse aurait pu être séduisante jus
I est toujours très rare qu'une période aussi longue que dans notre cas , se passe sans que le, moindre symptôme en foye
pauvreté de poils, dystrophies unguéales, etc. ' Une autre série de cas présente pour nous un plus haut intérêt ; il a ét
e des nerfs optiques et les troubles menstruels ; dans aucun de ces cas l'atrophie optique ne fut pré- cédée par des fa
pré- cédée par des faits de papillite. . Abelsdorf a vu dans son cas d'enchondrome de la base du crâne, l'amé- norrh
nt le plus souvent l'aménor- rhée et l'atrophie optique. Sur quatre cas de tumeurs de celle nature il observa trois foi
eurs de celle nature il observa trois fois l'aménorrhée, et dans un cas des faits d'infantilisme par- tiel : la matrice
le type infantile et la malade n'avait jamais été réglée ; dans ce cas aussi il y avait atrophie optique qui n'avaitpas
trophie optique qui n'avaitpas été précédée de papillite. Dans le cas de tumeur de l'hypophyse de Pechkranz et Zak, cit
]evoir,à des faits d'infantilisme sexuel, mais aussi dans quelques cas très rares à un syndrome d'infantilisme total.
es à un syndrome d'infantilisme total. C1ll'schin,q;¡ a décrit deux cas de cette nature ; le premier sujet, Max D. 456
orale. La tumeur de l'hypophyse était un tératome. Dans le deuxième cas , l'atrophie optique fut primitive ; le développe-
il droit-l'amblyopie et l'amaurose se firent plus tardivement. Le cas de Nazari est encore plus démonstratif : il s'agi
pas de quelle forme clinique d'infantilisme il s'agissait dans son cas : mais la photographie du sujet témoigne nettemen
e Sanc- tis sur l'origine de l'infantilisme non myxoedémateux. Un cas tout à fait analogue à celui-ci est fourni par l'
celui-ci est fourni par l'observation de VigOU1'OltX et Delmas, ce cas fut considéré pendant la vie comme un exemple d
ie précoce telle que l'ont décrite Ancel et Boin était donc dans ce cas la première à incriminer. Nous avons donc vu qu
peuvent se lier à des faits d'infantilisme partiel et dans quelques cas très rares à un syndrome d'infantilisme général
nstrative, car la lésion de l'hypophyse n'était pas unique; dans le cas de Na : ;a1'i par exemple la tuberculose coexiste
renoncer à formuler avec sûreté l'hypothèse clinique que dans notre cas une tumeur de l'hypophyse soit la cause unique no
e l'hypothèse qui nous a paru d'abord si séduisante. En pensant aux cas de Nazàri, de Vigoecroux et Delmas dans lesquels
e compensatrice de l'hypophyse, on pourrait supposer que dans notre cas une lésion primitive atrophique des glandes sexue
peut invoquer enfin des arguments cliniques vulgaires : dans notre cas on n'eut pas d'hémia- nopsie bitemporale ni auc
erfs crâniens ni d'anos- mie, symptômes qui sont fréquents dans les cas de tumeurs de l'hypophyse. Dans celles-ci on a
é au contraire deux symptômes qui sont extrê- mement rares dans les cas de tumeur dé l'hypophyse. En effet Axenfeld, C2
ing, Lazoson et Habers7aona, .4.bel"dol'll soutiennent que dans les cas de tumeurs de l'hypophyse la papillite est extrêm
ommencement de la maladie, est aussi rare que la papillite dans les cas de tumeur de l'hypophyse et elle est déterminée a
ation de la selle turcique. L'hypothèse qu'il s'agisse dans notre cas d'une tumeur de l'hypo- physe de nature bénigne
uile d'une hydrocéphalie con- génitale, n'existaient pas dans notre cas . Nous avons vu que le crâne de Marguerite non s
ne pouvons admettre une micro-hydrocéphalie, car si cela eût été le cas , les symptômes d'hypertension intracrânienne se s
sutures coronaires) : déformations du crâne qui manquent dans notre cas . A la microcéphalie peuvent s'associer parfois
u crâne peut être canse de faits analogues, mais aussi bien dans un cas que dans l'autre l'atrophie optique est primiti
st primitive et non pas secondaire à la papillite 'Comme dans notre cas . Ayant éliminé toules les hypothèses possibles
me base anatomique de cette maladie on a trouvé dans quelques rares cas une légère méningite basilaire simple qui, par l'
ente et encore moins de la méningite tuberculeuse; mais, dans notre cas , tout symptôme d'un processus aigu fait défaut, d
end une marche tout à fait chro- nique et aboutit, comme dans notre cas , à une complète cécité. D'autres fois la sympto
tic furent en effet très fréquentes jusqu'à présent. Pour de tels cas les seules données différentielles sont,selon Opp
années et qui doivent être considérées au moins comme rares dans le cas de tumeur cé- rébrale ; enfin l'absence de tout
u réflexe patellaire (Grober) peuvent se trouver aussi bien dans un cas que dans l'autre. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'I
ue de tels faits parlent en général pour l'hydro- céphalie, dans le cas spécial ils s'étaient produits dans l'enfance et
ux connue et, selon Oppenheim, elle est dans la grande majorité des cas de nature syphilitique. Une méningite basilaire
e basilaire simple primitive devrait être admise pour expliquer les cas de Huguenin, Carré, Carnzichael et Lun : ; ; da
iquer les cas de Huguenin, Carré, Carnzichael et Lun : ; ; dans ces cas les nerfs optiques sont le plus souvent comprom
ngite séreuse ventriculaire de Quincke, mais il existerait même des cas de méningite basilaire avec hydrocéphalie. Touj
ingites évidentes sans augmentation du liquide cérébral. Dans notre cas nous n'eûmes d'aucune façon la symptomatologie co
lle-même capable de dé- terminer une telle altération. . Dans les cas de forte hydrocéphalie s'établissant rapidement,
onduire enfin à une .déformation de la selle turcique. Dans notre cas la ponction lombaire ne put être pratiquée que 18
r cette cause primitive, nous verrons que cette hypothèse a dans le cas spécial le maximum de probabilité. Les symptôme
t même plus tard dans la troisième et quatrième décade de la vie (2 cas de.0ppeni)eim). 1 Que l'hydrocéphalie congéni
Lorain, d'o- rigine probablement cardio-dystrophique dans l'un des cas ,hérédo-syphi- litique dans les deux autres. '
as être refusé aux sujets du type Lorain qui peuvent être, dans les cas purs comme les nôtres, à bon titre des infantil
ure preuve de notre thèse est donnée par le fait que dans nos trois cas était évidente la non-soudure des épiphyses qui,
ondem. Klin. Monalsbl. f. Augenheilk., 1903. ACHARD et Démanche. Un cas d'atrophie tesliculaire. Bulletins et mémoires de
01- 1902. Briquet. Presse méd., 1899. , BRISSAUD et BAUER. - Un cas d'infantilisme réversif avec autopsie. Bull. et m
hera. - 8ul'l'hypel'tl'ophie de la glande pituitaire consécutive à la cas It-alion. Arcli. itaL'de Biologie, 1905, Bd. XL
IION et JEANDELIZE. - Sur l'origine testiculaire possible de certains cas d'ii¡/antt- lisme. Province médicale, 23 juin 1
lage . Ref. Neurol. Centralbl., 1906, p. 621. ' 1 " Ronchetti. Un cas d'infantilisme. L'ospedale Maggiore, n° 2, 1908.
4. SIKARSKY. - Die Seele des [(indes. Leipzig, 1902. Soca. Sur un cas de sommeil prolongé pendant 7 mois par tumeur de
PARIS (Séance DU 5 novembre 1908). ÉTUDE ANATOMO-CL1NÏQUE D'UN CAS DE TABES ET DE PARALYSIE GÉNÉRALE 1 ., CHEZ U
affections est assez exceptionnelle pour que nous insistions sur un cas que, dans le service de l'un de nous, nous avon
servation clinique sont à signaler. Tout d'abord c'est la rareté du cas . La paralysie générale n'est pas chez l'enfant
ement est loin d'être une simple curiosité clinique, puisque aux 47 cas retenus par Hirtz et Lemaire dans une excellente
livré à des recherches bibliographiques étendues,ajouter les trois cas de Williamson (1), un cas d'Ermarkorff (2), z (
bliographiques étendues,ajouter les trois cas de Williamson (1), un cas d'Ermarkorff (2), z (1) Review of neurology and
iés sont rares chez les enfants. 1 Nous n'avons retrouvé que quatre cas : un de Marchand (2), un de Strümpell (3), un d
et un de Roasenda (Rivista nelt1'opathologica; janvier 1908). Le cas que nous publions tire un gros intérêt de son éti
ement à ma curiosité médicale la découverte de la lésion. En tout cas , la simulation n'a pas été possible pour la derni
ne certaine fréquence chez les sujets hystériques ? Puisque « ces cas ne courent pas les rues », puisque nous ne pouvon
par des troubles trophiques analogues à ceux qui se voient dans le cas des lésions organiques du système nerveux central
ouchées par des embo- 496 VALOBRA lies ; et comme dans ce dernier cas , il se forme une gangrène sèche, la plaque d'an
rme de gangrène de la peau se produit, dans l'énorme majo- rité des cas , chez les sujets hystériques à la suite d'un peti
errien a annoncé à Lausanne qu'il avait influencé par suggestion un cas de ce genre. (2) Pour ce qui concerne la présen
il a seulement affirmé que cela est vrai dans la grande majorité des cas . Et per- sonne ne peut contester la vérité de c
rologiste du monde, et que, par conséquent, le premier peut dans ce cas obtenir ce que le deuxième n'obtiendra jamais.
EMARQUES SUR LE MÉMOIRE DE M. VALOBRA 507 Je ne m'arrêterai pas aux cas de gangrène hystérique cités parM. Valo- bra. C
orisé il dire qu'il avait été induit en erreur autrefois et que les cas observés par lui n'étaient pas démonstratifs. Il
n'étaient pas démonstratifs. Il a été établi que, dans l'un de ces cas , les bulles d'un prétendu pemphigus hystérique ét
utanées spontanées chez les su- jets hystériques, 506. BOIGFY. Un cas de gynécomastie (1 pl.), 242. Boscul. Sur les
ILLC, Léon KIND]3En(; et RlcnET fils. Etude anatolllo-clinique d'un cas de ta- hes et de paralysie générale chez un e
générale chez un enfant de 15 ans (1 pl.),415. Brissaud et Gy. Un cas de poliencéphalo- myélite aiguë (1 pl.), 254.
e poliencéphalo- myélite aiguë (1 pl.), 254. Ciron. A propos d'un cas de polynévrite amyotrophique tuberculeuse aiguë
9. COoLLm et IIAU.IlALTER. Examen anatomique et histologique d'un cas de microgyrie hémisphérique (3 pl.), 263. Cou
u permanente d'étiologie inconnue (2 pl.), 56. Gy et BaissAuD. Un cas de polyencéphalo- myélite aiguë (1 pl.), 254.
254. Haushalter et COLLIN. Examen anatomique et histologique d'un cas de microgyrie hémisphérique (3 pl.), 263. HEI
.). 247. Meige. Le professeur Joffroy (1 pl.), 510. 31LItlE. Deux cas d'oxycéphalie, crânes en tour des auteurs allem
33 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
à l'Université de Genève à l'Université de Zurich. La plupart des cas d'anévrysme des artères de la base du cerveau n'o
ment de la rupture de l'anévrysme (1). C'est pourquoi, bien que les cas d'anévrysmes des artères cérébralessoientrelati-
en trouve très rarement dans la littérature médicale. Lespre- miers cas datent de la fin du XVIIIe siècle (2). Nous avons
ut-être un bruit de souffle, comme on l'a constaté parfois dans les cas d'anévrysmes intra-crâuiens (1). Une constata-
is un peu plus petit que celui des fibres à marche inverse. En tout cas on peut affirmer qu'il y a une réduction de ces f
considérable du nombre de leurs fibres et sont dégénérés. C'est le cas en particulier pour le faisceau central de la cal
mais aussi et surtout quant aux lésions anatomo- pathologiques. Les cas bien observés d'anévrysmes de l'artère vertébrale
e tumeur anévrysmale croissant lentement offrent à l'étude de notre cas un intérêt particulier, spécialement quant aux
sensibilité dans la région du trijumeau, au visage, etc. Dans notre cas ce sont bien en effet, comme nous venons de le
t le décès. La littérature médicale renferme, il est vrai, maints cas de déficits d'un hémisphère du cervelet, à marc
2) vient d'en publier une observation très détaillée. Mais dans les cas de ce (1) Ladamk, Symptomatologie und Diayzosli
sion de la protubérance était beaucoup moins marquée que dans notre cas , ou même faisait complètement défaut. Chez notr
jusqu'ici une explication satisfaisante. Reinhold (1) a publié un cas semblable, il y a quelques années. s'agis- sait
yer morbide avait épargné complètement la pro- tubérance. Dans le cas de Reinhold le syndrome ataxique était exactement
. Les voies conductrices qui étaient également lésées dans les deux cas . celui de Reinhold et le nôtre sont : le corps
même côté. Ce qu'il y a de particulièrement intéressant dans notre cas , ce sont les conséquences secondaires dues à la
e de dire quel rôle ont pu jouer dans la symptoma- tologie de notre cas la destruction du pédoncule cérébelleux supérieur
aux inter- ruptions des fibres qui s'y trouvaient. Il est en tout cas fort difficile de donner une explication anatomiq
tives aux destructions du cervelet observées cliniquement. D'autres cas de lésions d'un hémisphère du cervelet furent p
chen (7), Menzel (8), Lannois et Paviot (9). Menzel a noté dans son cas que le corps restiforme avait diminué d'en- vir
te voie présente un certain degré d'atrophie. Il s'agissait dans le cas de Menzel d'une diminution considérable du cervel
terminal du nerf vague ( ? ) ce qui serait une erreur (10). En tout cas il se borne à in- diquer qu'il existe dans les
atrie, vol. XXII, 1891, p. 160. (9) M. Lannois et J. PIYIOT, Sur un cas d'atrophie unilatérale du cervelet. Revue neuro
tion sensible des fibres nerveuses. Nous avons constaté dans notre cas un amincissement général du pont et du pédoncul
à droite. Edinger a constaté aussi cette atrophie croisée dans son cas . Mais il y a toutefois une différence à signaler
différence à signaler entre son observation et la nôtre. Dans notre cas la substance grise était par- tiellement atroph
a connexion avec le pédoncule cérébelleux moyen. Tandis que dans le cas d'Edinger le pédoncule cérébelleux moyen droit ét
ation de la substance grise du côté opposé, à gauche. Dans les deux cas le pédoncule cérébral était atrophié segment in
de cette région interne du corps restiforme qui ont disparu, dans le cas qu'il a publié avec Neuburger. (1) L. Edinger
ions. Peut-être est-ce le fait de la compression directe dans notre cas ? Nous n'avons.pas constaté sur nos coupes d'at
ubstance grise des noyaux de la couche optique à droite, dans notre cas , n'offrait pas de modifications appréciables, mai
éral du noyau rouge, etc.). Par contre Edinger affirme que dans son cas il n'y avait pas de dif- férence appréciable en
ule cérébelleux supérieur ne fût pas aussi compromis que dans notre cas . Cette atrophie complète du noyau rouge croisé
ns notre cas. Cette atrophie complète du noyau rouge croisé dans le cas de Edinger est bien remarquable, et ne correspond
e nous n'avons pas constaté de dégénération notable du thalamus. Le cas de Edinger, plus encore peut-être que le nôtre,
ue répond-il à la réalité, et ne peut-on pas, eu égard aux nombreux cas de neurofibromatose congénitale et familiale pens
s non appa- rent ? Peut-être môme pourrait-ou penser que dans notre cas la cause dé- terminante de cette éruption subit
son, 1890. NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE 37 rôle que dans d'autres cas on a pu attribuer à un traumatisme, à l'intoxi-
s n'apparaît pas avec toute l'évidence que nous trouvons dans notre cas . Nous avons assisté à la constitution progressi
rgie, janvier 1894, p. 50. (2) Jeanselme, Etude histologique sur un cas de maladie de Recklinghausen. Société de dermat
tin grêle, l'estomac elle côlon transverse; Modrzewski (3) dans son cas de neurofibromatose congénitale en signale sur
sur le trajet des nerfs de l'intestin. BERGGRUN (2) releva dans son cas des nodosités stomacales et intestinales ; MERKEN
es nodosités stomacales et intestinales ; MERKEN (3) dans un de ses cas en constata au niveau de la muqueuse buccale. D
Marie et Bernard, Chauffard, Delore etc. en France, ont publié des cas dans lesquels les tu- meurs cutanées ne semblen
ites ; nos recherches bibliographiques nous ont permis de réunir 80 cas similaires, épars dans la littérature médicale.
loppement et de volume des tuméfactions. C'est ainsi que dans les cas les moins accusés, le malade présente seu- leme
antôt divisée en deux lobes par un sillon médian. Dans ce der- nier cas , les deux tumeurs supérieures et les deux inférie
t en avant et. en arrière, de ten- tures (Schmidt). Dans certains cas , « le volume du cou et de la tête allant progress
ion médiane qui fait circonvallation l'ombilic. Le nombril, dans le cas de Schmidt, est profondément enfoncé et comme rét
née, est le siège d'une infiltration graisseuse généralisée dans le cas de Virchow-SclIOLLmuller. La même région, moins
clIOLLmuller. La même région, moins le périnée, est envahie dans le cas de Bucquoy, où une double tuméfaction graisseus
et surtout le dos comme capitonnés de tumeurs. Mais, même dans les cas de ce genre, les extrémités des membres res- te
émité distale. Deux données importantes se retrouvent dans tous les cas : les tumé- factions sont symétriques, tantôt d
caractères objectifs de l'adéno-lihome. Dans l'immense majorité des cas , les tuméfactions lipomateuses ne constituent g
rax, etc. D'autres fois les accidents sont beaucoup plus menaçants ( cas de M. Hayon, de Bryk, de Madelung). Le maladede
on n'a observé une disparition complète des tumeurs. Dans quelques cas cependant (Brodie, Baker), on a vu les masses lip
et K.). CORIIAC, St-Tltovtrts's Hospital Reports, 1884, vol. XIII, cas n° 2. F. E. W..., âgé de 25 ans s'est aperçu de
ON in Marc Cormac, St-T11Omas's lloshital Reports, 1884, vol. XIII, cas n° 4.. Homme de 60 ans ayant des lipomes depuis
ng, Archiv. f. Ici in. Clrir2trg., 1888, B. XXXVII, p. 106 et suiv. Cas n°3. IL Qu..., âgé de 59 ans, agriculteur etplu
UE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE) UN CAS D'ANOREXIE HYSTERIQUE PAR GEORGES GASNE Che
inique à la Salpêtrière. Il est toujours intéressant de publier des cas d'anorexie hystérique. C'est un syndrome relati
é- sente lorsqu'il est méconnu : on meurt d'anorexie hystérique. Le cas que nous publions montre jusqu'à quel degré d'é
(G. Gnsuc.) Masson & CU : , Editeurs rnonourn s,ruma, rn UN CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE 33 des douches, 15 douche
lades. Monosymptomatique ou non, l'anorexie se guérit de la même UN CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE 55 façon que les accident
it le sujet de ce travail. ÉCOLE DU SERVICE DE SANTE DE LYON UN CAS I) E * TYMPAN1SME ABDOMINAL D'ORIGINE HYSTÉ
Emoi ! .) Masson & C ? 1 ? Jitett Pototrnle N<rlGaud, UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'ORIGINE HYSTÉRIQUE 39
d'en préciser l'origine. Il se sait atteint d'une maladie incu- UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'ORIGINE llYSTÉHIQUE GI
heure pendant la météorisa- tion. 62 F. BENOIT ET R. BEUNARD UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'ORIGINE HYSTÉRIQUE G3
uelque sorte à la distension instantanée de son ventre, et c'est le cas de notre homme. Quant à la cause provocatrice d
alytiques faites par les observateurs modernes depuis Briquet. , UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'ORIGINE HYSTÉRIQUE 65
ez les hys- tériques ne sont pas rares, il n'en est pas de même des cas où ce météorisme est intermittent et ]Jrorocabl
et. Le seul diagnostic qui nous paraisse mériter discussion dans le cas pré- sent est celui de simulation. Nous n'y cro
il s'agissait alors de météorisme permanent, et non, comme dans le cas de S... d'un météorisme intermittent provoqué p
a disparition au cours de ces derniers états (Verhoogen (5) cite le cas d'un hystérique chez qui l'atonie abdominale s'
elles ne sont parallèles, comme elles le seraient si,comme dans un cas de MM. Raymond et Janet (obs. 141), le diaphrag
n chez les météorisées de ce temps, dites parfois hydropiques. UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'ORIGINE HYSTÉRIQUE 67
a pneumorrhée. Il est bien entendu que nous ne parlons que de notre cas : dans un cas analogue (8), Brodie aurait démon
Il est bien entendu que nous ne parlons que de notre cas : dans un cas analogue (8), Brodie aurait démontré l'existenc
et lluchard(12), dans leur description des troubles intestinaux UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'ORIGINE HYSTÉRIQUE 69
az intestinaux, in- suffisamment maintenus (a). Si, dans certains cas , les hystériques sont sujets à la paralysie de l'
n résumé, nous croyons nous être trouvés chez S... en présence d'un cas d'hystérie viscérale mono-symptomatique, comme c'
d'hystérie viscérale mono-symptomatique, comme c'est si souvent le cas chez les jeunes sujets, se traduisant par des att
ina-bifida ; soit enfin des lipomes de la région lombaire. Or notre cas ne rentre dans aucune ces catégories. Voici cet
s de la tumeur. Un dernier genre, celui qui se rapproche le plus du cas actuel, est le molluscum pendulum solitaire. Co
pédicule, attei- gnant parfois un volume énorme (16 kilogr. dans un cas de Wirchow), le molluscum est formé par un stro
ve affection nerveuse, folie ou épilepsie, on ne sait trop, en tous cas le nom de « mal herculéen » est resté synonyme d'
l en est l'auteur ? Très probablement un émule de Brouwer ; en tous cas , un artiste qui a voulu imiter la manière du maît
rmule qui le précède sur deux gravures différentes méritait en tout cas d'être relevée. D'aiileurs, Carolus Allaerdt se
moins efficace que l'intervention à main armée. Cependant, dans le cas actuel, elle de- meure sans effet, et le fumeur
ans ses mots, le vieux hollandais, « brave l'hon- nêteté ». En tout cas , il dit fort crûment ce qu'il veut dire : Claes
e » par arrachement n'était pas toujours couronnée de succès. En ce cas , s'il faut en croire Carolus Allaerdt, on avait r
, Saint-Dizier (Haulo-Marnu). 13e année ? 2.. , Mars-Avril SUR UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS PAR TUM
video. J'ai observé dans ma clinique de Montévidéo (Hôpital de la cas dont les traits singuliers peuvent servir à compl
hyse. C'est là la raison qui excuse et même autorise la relation du cas suivant et les quelques considérations que j'ai c
ait de spontanés qui paraissaient produits par la faim, cardans ces cas elle demandait souvent à manger. Mais dans tous
cardans ces cas elle demandait souvent à manger. Mais dans tous les cas la malade ne tardait pas à se rendormir. En outre
douleur était assez forte pour réveiller la malade qui demandait UN CAS DR SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS '103 qu'o
e inférieure de l'encéphale (la tumeur occupe la région ombrée). UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 105 mais
rimitivement aux dépens de l'hypophyse ( ? ). Ce qui frappe dans ce cas , ce qui en fait l'intérêt, c'est le sommeil. Ce
te question souvent em- barrassante ne se pose pas pour nous. Notre cas rentre sans doute dans les sommeils pathologiqu
euvent entrer dans les premiers. Ainsi ce paragraphe comprendra ces cas de sommeil chez les aliénés dont la durée a été
quand il y en a eu plus d'un ; et si l'on veut comprendre dans ces cas la catatonie de Ialbaum la durée du sommeil peu
e de Ialbaum la durée du sommeil peut être indéfinie. Tels sont les cas de Legrand du Saule, de Seimelaigne, de Roussea
Rousseau, de Cimussel, de Benjamin (Charlo- tenburg) etc. Dans ces cas , il s'agit souvent, je pense, 'de pseudo-sommeil
aractères, est le som- meil profond et durable, si bien que dans le cas de Gayet il persista 5 mois avec de rares' réve
t dans quel groupe parmi les sept indiqués devons-nous placer notre cas ? Est-ce une narcolepsie ? Ballet définit la narc
t à intervalles quelquefois très rapprochés. » On peut ajouter à UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 107 titre
e a un cachet assez particulier qui manquait tout à fait dans notre cas . Les muscles ont toujours été un relâ- chement
arce qu'il ne viendra à personne l'idée de faire de notre malade un cas de coma de 2e ou 3e degré. Mais pourrait-on par
du sommeil qui me fait surtout repousser le coma. Si on appelle ce cas un cas de coma il faut alors renoncer à distingue
meil qui me fait surtout repousser le coma. Si on appelle ce cas un cas de coma il faut alors renoncer à distinguer ce so
e moment, on ne peut que repousser l'appellation de coma pour notre cas . - Il doit donc être casé dans la 7e et dernièr
ommeils divers. Il est certain que nous ne pouvons rapprocher notre cas des sommeils sans lésion organique bien établie
la maladie de Gavet ou Veruicke nous voyons en effet un sommeil UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 109 souve
MMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 109 souvent très prolongé (5 mois, cas de Gayet) interrompu par de rares réveils spont
eil provoqué était possible. C'est exactement l'his- toire de noire cas . - Et, chose curieuse et frappante, l'action co
curieuse et frappante, l'action compressive de la tumeur dans notre cas portait au maximum exactement sur la région qu'on
maximum exactement sur la région qu'on a trou- vée altérée dans les cas de Gayet et Wernicke. Cette région était comme
t et Wernicke. Cette région était comme l'on sait dans ces derniers cas , la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sy
ne extrêmement fréquent. Il est présent dans l'immense majorité des cas . Mais il s'agit là d'un phénomène terminal et p
n a vu un certain nom- bre dans le cours même de la maladie.Dans ce cas le coma a disparu spon- tanément ou par interve
lusieurs semaines, 5 ou 6. ou encore davantage. Il y aurait même un cas , celui de Marquezzy (Bull. Soc. anal., 1887) da
ou de sommeil. Cependant les paroles de M. Ballet en commentant le cas , paraissent in- diquer qu'il s'agissait bien de
nt une forme de coma léger ou même le sommeil. Si j'élague tous les cas qui pa- raissent se rapporter assez clairement
l ou au coma j'arrive au chiffre de 32 surina première série de ces cas , c'est-à-dire approximative- ment 8 0/0. MM. Ba
approximative- ment 8 0/0. MM. Bail et Krissabcr avaient trouvé 34 cas sur 185 c'est-à- dire 20 0/0 ; mais il est prob
les différentes espè- ces de sommeil. Pour ma 2" série on trouve 38 cas de somnolence pour 336 ; c'est-à-dire 10 0/0 .
t-à-dire 10 0/0 . La somnolence s'est présentée sous des aspects UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 111 i div
trouvé un phénomène excessive- ment rare dans ma première série de cas . On peut dire que les cas de som- meil véritabl
sive- ment rare dans ma première série de cas. On peut dire que les cas de som- meil véritable, indiscutablement différ
mnolence manquent à peu près complètement. J'ai trouvé cependant un cas non dou- teux, celui de Devic et (âourmont due
ndication : Le malade s'endort facilement. J'ajoute que beaucoup de cas de sommeil sont probablement t cachés sous l'ét
'étiquette éminemment élastique de somnolence. Dans ma z2' série de cas le sommeil est au contraire fréquent : 28 cas sur
Dans ma z2' série de cas le sommeil est au contraire fréquent : 28 cas sur 336. Mais il est pour moi certain que, dans
ent : 28 cas sur 336. Mais il est pour moi certain que, dans ces 28 cas , il yen a un grand nombre qui sont tout à fait
t juste à la frontale ascendante, trombose de la sylvienne. Dans ce cas il s'agit d'une espèce de narcolepsie, sommeil ve
est plus remarquable c'est que le sommeil n'est plus un épisode UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 113 passa
seur d'un oeuf de poule siégeant dans le corps strié droit. Dans ce cas comme dans'le mien, le sommeil n'est interrompu q
puis longtemps. Du reste il ne parait pas douteux que ce soit ia un cas de sommeil, car s'il se fût agit de coma,on com
conversations avec ses amis etc. Il est peut-être moins sûr que le cas du Dr Stanniens soit un cas de vrai sommeil et
etc. Il est peut-être moins sûr que le cas du Dr Stanniens soit un cas de vrai sommeil et non pas de simple somnolence
à celles que je viens de résumer. D'après Oppenheim il y aurait des cas dans lesquels le sommeil profond avec réveil pr
a),n'est, pas inconnu dans l'histoire des tumeurs cé- rébrales. Mon cas se place naturellement à côté des autres et surto
cas se place naturellement à côté des autres et surtout, à côté du cas de Stanniens. Mais il dépasse tous ceux que j'ai
physiologiques, à la durée près, du phénomène. A ce point de vue ce cas est probablement unique ; il serait toujours ex
s positifs ou négatifs de tumeur de la fosse moyenne. Or dans notre cas ,la clinique permettait d'affirmer que la tumeur,
était assez grande. Elle devait en effet comprimer le pédoncule UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS J15 olfac
n résulte est inefficace parce qu'elle est insuffisante. Dans notre cas la tumeur chevauchait sur les nerfs ; mais elle
1 INTRODUCTION. HISTORIQUE. En 1868, Charcot publiait le premier cas d'arthropathie ta\J6tique. Peu de temps après,
s lésions typiques des arthropathies tabétiqut : 3. Ces* le premier cas non douteux d'arliiropathie tabétique de la colon
. viennent classiques : elles seront citées dorénavant sous le nom de cas de Pitres et Vaillard. En 1888, paraît, en Al
ertébrale fortement déviée, Il ne s'agit pas là de tabes vrai et ce cas , par trop douteux, n'est pas re- tenu dans la s
ment en effet font mention de déviations vertébrales, en dehors des cas deFrie- dreich. Ces faits, justifiables des mêm
ibilité, mais n'en donne aucune preuve. Il cite seulement les trois cas de Kroenig et l'observation deB. Au- ché : il r
pêtriére en 1893 (2). A l'article Tabes, fIallion rapporte les deux cas de Pitres etvaillard, les trois observations de K
ales tabétiques en un premier groupe, dans lequel il place les cinq cas déjà connus ; il n'y ajoute aucune observation pe
nes. Aussi ses conclu- sions sont-elles formelles : « en dehors des cas d'ostéo-tii-iliropatliies et fractures spontané
même pas de ramollissement notable. C'est vraisemblablement là un cas d'ostéo-arthropathie tabétique de la colonne ve
e retenir comme tel. En résumé, à l'heure actuelle, on connaît cinq cas non douteux d'ostéo- arthropathies de la colonn
servations cliniques avec autopsie, de Pitres el Vaillard, et trois cas cliniques de 1\.1'03- nig. Devant ce nombre inf
ent appartenu ces vertèbres. On ne connaît donc, en somme, que deux cas avec autopsie d'ostéo-arthropathies vertébrales
que celle des nécropsies ; en révélant le diagnostic dans certains cas douteux de tabes frustes ou de tabes au début, en
our des tabes trophiques, véritables ataxies de nutrition. Dans ces cas , il semble que l'affection médullaire, fruste par
de se luxer, ce qui explique l'é- norme raccourcissement. Dans ce cas , à part les faces articulaires usées obliquement,
ticulièrement exposé à la compression. Caradec a mentionné aussi le cas d'une sciatique du poplité interne chez un syphil
de la polynévrite syphilitique. LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 155 Cas . I. - Personnelle (Service de M. le professeur Ra
et les masses musculaires ne sont pas douloureux à la pression. ' Cas . III. - RODET, Gazette médicale de 1859. Début
a pu en effet ranger dans le groupe polynévrite syphilitique, deux cas publiés par Schmidt en 1888 dans la Revue médical
médicale de l'Est ; or l'au- teur ne voit dans ses malades que deux cas d'analgésie totale au cours de la période secon
er cette analgésie à une altération névritique. Kahler a décrit son cas que nous avons rapporté plus haut comme un exem
ique ou de lésions infectieuses surajoutées, du moins dans certains cas on ne pouvait accuser que l'action de la tuberc
une fois des troubles moteurs imputables à une névrite ; c'était un cas de sciatique, et il est très possible que cette
vail de MM. Spillmann et Etienne de la Revue de médecine de 1895 (1 cas de Iietli, 1 cas de Leyden, 1 cas de Forestier,
mann et Etienne de la Revue de médecine de 1895 (1 cas de Iietli, 1 cas de Leyden, 1 cas de Forestier, 1 cas de Gilbert e
e la Revue de médecine de 1895 (1 cas de Iietli, 1 cas de Leyden, 1 cas de Forestier, 1 cas de Gilbert et Noca, 3 cas d
ne de 1895 (1 cas de Iietli, 1 cas de Leyden, 1 cas de Forestier, 1 cas de Gilbert et Noca, 3 cas de Spillmann et Etien
i, 1 cas de Leyden, 1 cas de Forestier, 1 cas de Gilbert et Noca, 3 cas de Spillmann et Etienne). Peut-on expérimentaleme
ons pas et nous sommes obli- gés d'accepter comme indiscutables les cas de polynévrite survenant chez un syphilitique,
tion d'un traitement mercuriel intensif. Nous accep- tons ainsi les cas de Rodet, Grosz, Fordyce, Midleton.Spillmann et E
odet, Grosz, Fordyce, Midleton.Spillmann et Etienne, enfin nos deux cas personnels, chez lesquels les troubles moteurs on
ne rentrent pas dans le cadre de la polynévrite aiguë ou subaiguë ( cas de Kahler, Taylor et Sorrentino), dans un deuxièm
'intoxications multiples, syphilis, mercure, lésions rénales, alcool ( cas de Brauer, Raymond, Gilles de la Tourette), dan
olynévrites qui paraissent exclusivement causées par la syphilis (2 cas personnels, cas de Rodet, Midleton, Fordyce, Gros
paraissent exclusivement causées par la syphilis (2 cas personnels, cas de Rodet, Midleton, Fordyce, Grosz, Spillmam et
de la syphilis à une date du chancre infectant variant depuis 1 mois ( cas personnels , cas de Rodet) jusqu'à 13 et 14 moi
e date du chancre infectant variant depuis 1 mois (cas personnels , cas de Rodet) jusqu'à 13 et 14 mois (cas de Grosz), a
epuis 1 mois (cas personnels , cas de Rodet) jusqu'à 13 et 14 mois ( cas de Grosz), avant ou pendant l'éclosion des syph
trouble amélioré par un traitement antisyphilitique. Enfin nos deux cas sont des exemples d'une polynévrite presque exc
rois formes, motrice, sensitivo-motrice, pseudo-labétique. Tous les cas ont eu un pronostic fa- vorable, exception fait
ins rapidement au traitement iodo-mercuriel. Dans la majorité des cas , le diagnostic est aisément porté, et dans l'es-
lynévrite s'impose au point de'vue cli- nique, cependant il est des cas , dont nos deux malades sont des exemples, où l'
que certain pour trancher la question, cependant dans notre premier cas la dissémi- nation des troubles des réactions é
aire motrice sur les altérations de son cylindraxe. Mais de pareils cas sont exceptionnels et par ses signes cli- nique
dicale. Aussi il nous a paru intéressant de rapporter brièvement ce cas clinique. Il s'agit d'une femme de soixante-tro
lement l'altention sur l'extension considérable des lésions dans le cas que nous publions, l'angiome ici prend un segment
int précieux fourni par la radiographie dans l'interprétation de ce cas dont les manifestations cliniques peuvent être
. Il est difficile de rencon- trer une simplicité plus grande. UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE GUÉRI PAR LA. SUGGESTIO
Voy. Bull, de l'Académie de Sciences, séance du 4 décembre 1899. UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE 177 vait s'en servir qu
, Clinical lectures on paralysis, 2° cdil., Londres, 486, p. 20. UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE 179 J'ai saisi l'occasi
ue la jambe .ma- lade est oscillante ou portante. Dans le premier cas à la phase de double appui, on constate une attit
ation de la jambe normale FIG. III (Jambe normale oscillante). UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE l8l le tronc commence à
ent, on compare les données fournies par la cinématographie dans le cas actuel d'hémiplégie hystérique à celles observées
es membres touchés. C'est nne paralysie massive, et ce fait nous UN CAS D'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE 183 explique toutes les
rticulière. Les difficul- tés ne surgissent en réalité que dans les cas exceptionnels où les premières masses lipomateu
dispo- sition à peu près symétrique. Toujours le lipome, en pareil cas , consti- tue une tumeur nettement circonscrite
dérant comme atteint d'adéno-lymphocèle, est, à n'en pas douter, un cas d'adéno-lipomatose. On sait d'ailleurs que l'adé-
rthritiques. On les rencontre surtout chez la femme (1G fois sur 20 cas pour Potain, 3 fois sur 4 cas pour Vernenil). De
surtout chez la femme (1G fois sur 20 cas pour Potain, 3 fois sur 4 cas pour Vernenil). De plus, leurs caractères disti
la poitrine et même dans le médiastin. Il existe, d'ail- leurs, des cas de transition dont le malade de M. Debove (publié
ype. Il existe actuellement dans la littérature médicale plus de 80 cas d'adé- no-lipomatose symétrique : la maladie n'
eur qu'a présentée : \1. Tuffier à la Société de chirurgie. En tout cas , ce n'est pas à des pro- ductions de ce genre q
malades dont l'observation n'avait pas été publiée. En dehors des cas qui figurent dans notre mémoire de la Société méd
e des hô- pitaux et dans la thèse de Rehns nous devons signaler : 3 cas observés par Péan, Leçons de clinique chirurgic
irurgicale, t. IX, page 1089, et Tribune médicale, 1898, p. 147 ; 3 cas rapportés très brièvement à la Société de chirurg
la Société de chirurgie, page 1118, séance du 1 décembre 1898), un cas communiqué par M. A. Pitres à la Société de Méd
ance du 9 juin 1899 (Journal de méd. de Bordeaux, no 34, p. 394), 2 cas publiés dans la thèse de Tapie (Paris, 1899) et
de Tapie (Paris, 1899) et observés par M. Nélaton et M. Legueu et un cas rap- porté par M. Demons à la Société de Médeci
hieu, Dartignolles, Boucher, von Waal, Langer, etc.). Mais, dans ce cas , la maladie diffère le plus souvent du type class
ce prédisposante manifeste : il se trouve noté dans 30 pour 100 des cas . L'adéno-lipomatose a parfois coïncidé avec d'a
poussées inflammatoires, aiguës, subaiguës ou chroniques. Dans les cas que nous avons personnellement étudiés, tout pa
IS ET R. BENSAUDE ' Les causes locales, l'hérédité (excepté dans le cas de Stoll), ne semblent jouer aucun rôle. La c
ucun rôle. La cause intime de l'affection nous échappe. Si, dans un cas , M. Delbet a constaté la présence du microbe qu
faut attendre le résultat de recherches ultérieures. Dans quelques cas on a recherché si le sang ne contenait pas de f
à nu toute la partie antérieure du cou. Il est également vrai que les cas sont aujourd'hui nombreux de coexistence des ps
productions lipoma- teuses. En se basant sur l'examen de sept cents cas de lipomes de diverse nature, Grosch formule le
e la peau (Sick,Cursch- mann). Unna lui-même avoue que dans le seul cas de lipomes symétri- ques venu à sa connaissance
'alcoolisme n'est pas constante : nous l'avons noté dans 30 0/0 des cas ; Madelung, dont l'attention avait été attirée s
multiples, les divise en deux catégories : la première comprend les cas dans lesquels, en môme temps que les tumeurs, on
dont l'existence est bien souvent reconnue par hasard. La plupart des cas .d'adéno-Iipomatose symétrique appartiennent in
bution symétrique des tumeurs et sur leur coexistence dans quelques cas avec des affections plus ou moins graves du systè
rent nullement dans le cadre de l'adéno- lipomatose : tel le fameux cas de Butterkirsch et Bumke, où le dévelop- pement
sses cervicales se fait autour des vaisseaux comme centre ; dans un cas , Langer suivit un prolongement qui s'enfonçait da
stème circulatoire ; 3° Enfin bien que la relation de l'autopsie du cas de Darbez soit obscure, on ne peut pas ne pas ê
BOWLBY, Medico-chil'ul'gical Transactions, 1886, vol. LXIX, p. 49, cas n° 7. W. IL, vacher, 29 ans. Alcoolique. Pas de
'alcool absolu dans les tumeurs, mais sans le moindre résultat. , Cas . XVI (PI. XXIX). Du Castel, Bull. de la Soc. de d
LA SAI.I'J11'KltI\E T. XIII. PI. XXXI ADENOLIPOMATOSE SYMÉTRIQUE Cas de Langer (Lal/l1ais et Bensaude) Masson &
r agrégé Pierre Marie. Notre maître ayant dans son service quelques cas d'hémiplégie traumatique dus à l'introduction de
recherches bibliographiques, nous avons trouvé un certain nombre de cas cités dont il ne nous a pas été possible de déc
le de découvrir les observations, ce qui porterait le nombre de ces cas à une soixantaine environ. On ne trouvera ici rie
insisterons plus spécialement sur l'étiologie qui est dans bien des cas très curieuse, et dont les condi- tions se réal
rceps), ni de la question non moins étenduedu traitement. Lepremier cas regarde MM. les accoucheurs ; quant au second,
nt et à partir de 1875 nom- breux sont les auteurs qui publient des cas d'hémiplégie traumatique tant en France qu'à l'
smes du crâne. Cependant M. Sclilô[fei- de Prague ayant réuni vingt cas de . traumatismes crâniens afin de les étudier
nt de vue de l'intervention, Iious avons compté dans cet ensemble 9 cas compliqués d'hémiplégie. Le tout porta sur un e
898. 212 RENÉ MARTIAL Nous nous sommes efforcé de réunir tous les cas publiés à ce sujet et nous pouvons dire qu'il e
que toutes les langues d'Europe, mais nous n'avons pu réunir que 47 cas suffi- samment nets. Malheureusement quelques-u
s avec assez de soin. Mais il n'en demeure pas moins acquis que les cas d'hémiplégie trauma- tique ne sont pas très rar
donnent lieu à cette affection sont extrêmement variés. Sur les 47 cas dont nous parlons plus haut, 21 sont dus à des co
mière catégorie nous compterons alors 5 tentatives de suicide et 15 cas suites de coups et blessures. On conçoit immédiat
rbitaire. Au bout de quelques jours ap- paraissait l'hémiplégie (ce cas dont l'observation appartient à M. le pro- fess
i les observations que nous avons prises à l'hospice de l31cétre un cas qui offre quelque similitude avec le précédent. N
forer le cràne déterminant ainsi une hémiplégie. Dans deux autres cas , ce sont des mineurs qui reçoivent sur la tête un
r lieu les régions occipitale, frontale et palatine. Il y a bien un cas où le choc a porté sur le sourcil, mais il para
sur le sourcil, mais il paraît bien devoir se ranger au nombre des cas d'hystéro-traumatisme et sort par conséquent des.
s batailles entre hommes pris de boisson, de sorte que, dans nos 47 cas , nous pouvons har- diment déclarer qu'il y avai
beaucoup plus fréquente puisque nous la trouvons dans la moitié des cas ou à peu près. Elle n'a d'ailleurs rien qui doive
s jusqu'à plusieurs heures. Elle peut cesser, puis revenir. Dans un cas de Schtôfter le blessé resta sans connaissance pe
n autre symptôme qui, celui-là, se présente assez souvent parmi les cas d'hémiplégie traumatique. Nous voulons parler de
aumatique. Nous voulons parler de l'hémianopsie. Sur l'ensemble des cas que nous avons réunis ou sur lesquels il nous a
us a été possible de recueillir quelque document, nous relevons : Cas d'hémiplégie traumatique avec hémia- il nopsie
nopsie latérale homonyme classique. ! 220 RENÉ MARTIAL Parmi ces cas d'hémianopsie, nous citerons immédiatement celui
e Manquât et Grasset, l'hémianop- sie est aussi accusée que dans le cas présent, aussi typique. Elle l'est peut-être mo
égie traumatique, même tardive, ainsi que nous le verrons dans deux cas de Browning. Un autre signe est peut-être un
nt, il y a eu du strabisme, de la di- plopie. De même dans quelques cas nous avons trouvé du ptosis de la pau- pière su
ons trouvé du ptosis de la pau- pière supérieure, notamment dans un cas publié par M. le professeur Grasset. - Schéma
rmi les observations que nous avons pu réunir, nous avons trouvé 10 cas d'aphasie dont au moins La moitié étaient des c
s avons trouvé 10 cas d'aphasie dont au moins La moitié étaient des cas d'aphasie complète et un seul de paraphasie. Six
aient des cas d'aphasie complète et un seul de paraphasie. Six de ces cas ont guéri après intervention, en voici deux dus
le de la suppléance fonction- nelle... » Mais trois autres de ces cas ont guéri avec un traitement purement pal- liat
us en rapport avec son état physiolo- gique acquis. Dans les autres cas , l'infirmité subsiste, la chronicité s'éta- bli
ents athétosiques et des mouvements rythmiques, Browning en cite un cas , Abel et Colmann un autre, ils ne sont pas très
tique ne paraît donc pas être un événement trop grave dans ces deux cas . Dans un cas de Schlôller, un jeune homme âgé d
ît donc pas être un événement trop grave dans ces deux cas. Dans un cas de Schlôller, un jeune homme âgé de 18 ans attein
usement, il n'en est pas toujours ainsi et voici l'observation d'un cas étudié par B. Bramwell, qui le prouve. Observat
de son état, il était devenu triste et même mélancolique. Dans le cas , également cité plus haut (Obs. VII) nous voyons
ait et saisissait rapidement une plaisanterie dit l'auteur. Dans un cas de Manquat et Grasset, le malade n'ayant plus de
ù le souvenir a été effacé comme avec une éponge, ainsi que dans ce cas . Dans l'observation rapportée par Mathieu nous
était beaucoup plus lent. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 235 Dans un cas qui nous est personnel, nous avons constaté, outr
avant sa tentative de suicide il calculait très facilement. En tout cas , la difficulté pour l'addi- tion était formelle
raisonnement étaient au contraire demeurés satisfaisants. Dans un cas rapporté par Browning, on voit un homme, instruit
les du caractère. On retrouve ces dernières dans environ quinze des cas que nous avons collationnés. Le plus souvent ce
observé par plusieurs auteurs et Browning, notamment, en cite deux cas . 236 RENE MARTIAL Ces modifications du caract
est également complètement changé A la vérité, nous n'avons aucun cas de changement si complet et si to- tal à offrir
et des autopsies ont révélé des foyers hémorrhagiques. Il s'agit de cas où, un traumatisme ayant porté sur le crâne, il y
sans que l'écorce paraisse lésée, du moins grossièrement. Sur 47 cas d'hémiplégie traumatique nous comptons 14. cas d'
rossièrement. Sur 47 cas d'hémiplégie traumatique nous comptons 14. cas d'hémi- plégie différée ou tardive. Les délai
pable de produire la paralysie) sont extrêmement variables. Dans un cas elle s'est produite au bout de 36 heures, deux
e au bout de 36 heures, deux fois au bout d'une semaine, dans trois cas après trois se- maines, puis ensuite nous trouv
laps de temps variant de 50 jours, 2 mois à 5 mois et plus. Dans un cas qui nous est personnel, il se serait écoulé plu
, vu l'ab- sence de gens pouvant nous renseigner, nous déclarons ce cas douteux et n'en parlerons pas davantage. Il n'e
lusieurs mois est réellement considérable. Et ce- pendant dans deux cas , il s'agissait d'une fracture de la base du crâne
à l'autopsie, c'est-à-dire de fracture grave. Dans la plu- part des cas il n'y a pas de fracture de la boîte osseuse et c
seuse et cela dans une proportion de 7 p. 10. Sur un ensemble de 10 cas , nous trouvons que huit fois, malgré la violenc
ps. Et cependant parmi les 8 accidents relatés dans l'étiologie des cas correspondants, il y en a eu de très graves : un
ulement malgré la gravité du choc, qui est évi- dente dans ces deux cas , le sujet ne perd pas connaissance, mais encore
est pour ainsi dire transformé en tronc rigide; ce qui n'est pas le cas ici. Pour toutes ces raisons, et malgré l'exist
t la seule à notre avis qui explique d'une manière satisfaisante ce cas diffi- cile. Inutile d'ajouter qu'aucune inte
fatale paraît plus fréquente que dans la forme immédiate. Dans le cas suivant du professeur von Krafft-Ebing, la paraly
nir. L'hémicranie ou simple migraine peut s'y joindre comme dans le cas présent. Voici donc un signe d'une réelle impor
ement il ne nous a pas été possible de l'observer dans aucun de nos cas personnels. Il n'était pas signalé dans les obs
identité bien établie et qu'elle ne saurait être confondue avec des cas d'hystéro-lraumatismes bien que ces derniers fuss
est restée quelques semaines dans un état de cachexie profonde. UN CAS DE MALFORMATION DIGITALE DITE EN « PINCE DE HOM
disparu et l'échancrure se prolonge jusqu'au carpe. Dans ce dernier cas , les deux doigts extrêmes peuvent avoir leur sq
rties molles, des éminences thénar et hypothénar ; et comme dans le cas du sal- timbanque de Morel-Lavallée les deux br
nt plus que des vestiges du pouce et de l'auriculaire comme dans le cas de Londe et Meige. Lorsque le métacarpe subsist
et la pince de homard peut être utilisée par le sujet. Tel était le cas de Temperly, publié dans le traité d'Annandale
MATIONS DIGITALES « EN PINCES DE HOMARD » ('P. et F..411nrr1 ) UN CAS DE MALFORMATION DIGITALE DITE EN. PINCE DE HOMARD
s de homard, et notamment de celui que nous venons de rapporter, un cas de monodactylie, observé par M. Tissier dans le s
ermédiaire aux deux métacarpiens extrêmes, n'existe nulle trace. Ce cas montre donc que des faits de monodactylie à ceux
MAXILLAIRES SUPÉRIEURS, PENDANT L'AVULSION D'UNE CA- NINE, DANS UN CAS DE TABES ; LARGE BRÈCHE DE COMMUNICATION BUCCO-
rice est si féconde en in- cidents pathologiques qu'il n'est pas un cas nouveau de tabes qui n'offre à l'observateur at
forations artificielles grâce auxquelles on désinfecte les sinus au cas de sinusite maxillaire. Autour de cette perforati
AUTOPSIES. En tête de cette deuxième série, nous plaçons les trois cas publiés déjà en 1888 par Kroenig dans le Zeitsc
et continue, sans une plainte, la conversation interrompue. Dans le cas de crampes isolées du membre supérieur gauche, on
observations suivantes sont toutes inédites, elles comprennent deux cas observés par M. le professeur Pitres, et quatre o
n 1886 dans ma thèse inaugurale (2) (p. 56-73). (1) l\IAHl11ESCO,Un cas d'hémiplégie hystérique guérie par la suggestion
t-à-dire si l'on commence par le bleu de toluidine. Dans ce dernier cas le bleu s'efface sous l'influence de la solution
ession du nerf. Le phénomène de la chromatolyse diffère suivant les cas . La chromatolyse est autre dans les neurones mo
ferons suivre d'une analyse détaillée et d'une discussion de chaque cas , en rele- vant chemin faisant, les points les p
renseignements précis au sujet des lentilles utilisées dans chaque cas . ' Expérience I. Lapin adulte auquel on a rés
nnent une apparence chagrinée et légèrement plus foncée que dans le cas précédent. A la périphérie des cellules on voit u
une forte saillie à la périphérie. Ces cellules sont dans quelques cas (1 fois sur 100 environ) démesurément agran- di
. Les hlocs qui ont été refoulés à la périphérie forment, selon les cas , une bordure continue ou discontinue, mais ils
et pathologiques d'un même ganglion, car nous n'avions pas dans ce cas , comme chez le lapin et le chat, un ganglion no
ehuchten et Nélis (Presse médicale, Névraxe) ont fait exclusivement cas de ce genre de lésion pour diagnostiquer à coup
mailles très,lar- ges et très ténues, on peut imaginer que, dans le cas actuel, cette couche, dé- pouillée de la plupar
e qu'à un processus d'hyperplasie névroglique qui ne serait en tout cas que peu intense. 2° Cellules de Purkinje. - La
il se trouve ; assise, couchée, debout, pendant la marche ; en tout cas ils n'augmentent pas dans ces deux dernières cond
,sinon pendant la -iefoetale, du moins après la naissance ; en tout cas ces atrophies n'ont rien·de commun avec les agé
our rendre compte des lésions dégénératives. Il s'agit dans notre cas d'une atrophie dégénérative, mais avec ce ca- r
clinique par un léger degré d'ataxie (1) LAN\OIS et Paviot, Sur un cas d'atrophie unilatérale du cervelet. Revue neurolo
ons comme appartenant au même type anatomo-clinique : dans les deux cas la maladie a eu un début tardif, chez des individ
né- ralisée de la peau et des muqueuses. (1) PIERRET, Note sur un cas d'atrophie pÙiphèl'iq1f,ÆJ du cervelet avec lésio
de Rojet et Collet a été considérée par différents auteurs comme un cas de sclérose en plaques localisée au cervelet, b
ble. Par son évolution, son début précoce, sa nature histologique, le cas de Pierret diffère notablement des nôtres; rest
sont profondément lésés, au même degré que l'écorce, comme dans le cas de Schullze (1), ne sauraient être comparées à no
ions et s'accom- pagne de rétrécissement du champ visuel ; dans les cas de SangerBrown, les réactions pupillaires il la
edreich. Lorsque le mémoire de Marie a paru, il n'existait que deux cas suivis d'autopsie, celui de Fraser (6) et celui
e, celui de Fraser (6) et celui de Nonne. De l'examen anatomique du cas de Fraser, nous n'avons que peu de renseignements
La lecture des résultats de l'autopsie et de l'examen anatomique du cas de Nonne ne laisse subsister aucun doute. z L'a
ons d'atrophie du cervelet chez le frère et la soeur; dans les deux cas l'autopsie fut pratiquée et les pièces soumi- s
ses à l'examen histologique; l'atrophie du cervelet est dans ces deux cas très nettement d'origine scléreuse ; comme la m
rait d'une prédisposition familiale, mise en activité dans les deux cas par une maladie infectieuse qui serait ou la diph
ophie du cervelet, l'absence de lésions histologiques dans les deux cas , le caractère familial de la maladie et ses manif
d'af- fection familiale ou héréditaire; n'existe-t-il donc pas des cas isolés de myopathie ou' de maladie de Friedreic
cessus de destruction lente; il n'existe qu'un point commun avec le cas de Nonne, c'est la petitesse du système nerveux
ie dans l'incoordination fait défaut dans nos observations, en tout cas elle est un symptôme très inconstant des atro-
t, soit les voies afférentes ou efférentes. Ce n'est pas, en tout cas , une des moindres curiosités de. la pathologie
alade est atteinte ne peut par consé- quent être envisagée comme un cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse; l'âge avancé auqu
n atrophies scléreuses, dégénératives et simples, comprend tous les cas . Cette classification anatomique nous semble la m
rs, abcès, ne comporte pas, par contre, dans la grande majorité des cas , de difficultés sérieuses. Duchenne de Boulog
plupart des cas d'atrophie du cervelet ; d'après Londe, il y a des cas où le tableau clinique réduit de part et d'autre
s réflexes rotuliens : cette conclusion semble exagérée et dans les cas bien authentiques, avec confirmation anatomique
ur la même raison que les symptômes nerveux consignés dans certains cas d'anémie pernicieuse rappellent la titubation c
'ayant pas été suffisamment attirée du côté du cer- velet ; dans le cas de maladie de Friedreich qu'il a publié, Auscher
ections ; le tremblement intentionnel est moins constant et en tout cas moins intense dans l'atrophie cérébelleuse que
; l'exagération- des réflexes est plus considérable dans le premier cas . Babinski (1) fait remarquer, et à juste raison,
, soit à l'intérieur soit à l'extérieur du cervelet, comme c'est le cas dans la sclérose en plaques. Les malades attein
la conservation de quelques régions de l'écorce dans la plupart des cas et d'autre part à la suppléance exercée par le ce
RENÉ MARTIAL (Suite) Anatomie pathologique. 1 Sur tous les cas d'hémiplégie traumatique que nous avons trouvés o
principal et des esquilles d'un volume variable..Cependant dans un cas observé par un auteur anglais, il n'y avait qu'
ensuite dans le cerveau. Comment se produit l'hémiplégie dans le cas de fracture avec enfonce- ment ou par contusion
la région pariéto-occipitale ou la région fronto-temporale. En tout cas il résulte de la lésion de l'artère méningée mo
blessée. D'après Schlôffer, Wiesmann l'avait trouvé 70 fois sur i;î cas d'hé- morrhagieet Ransenhoffauraitpratiquéune f
particulier, nous ne l'avons notée que sept fois sur quarante-sept cas . Il ne nous est pas possible d'en tirer un sign
égard. Quant aux trépa- nations,à peine pourrions-nous compter deux cas où on trouva l'hématome correspondant à la dila
frontaux, ils sont insignifiants, nous n'en avons relevé qu'un seul cas dans notre statistique. Ces traumatismes, même
atisme mais d'hémorrhagieet deramol- lissement simples. Dans deux cas cités par Browning, des traumatismes violents : u
osseuse du cerveau et qu'il y ait cependant une hémiplégie. Dans ce cas ,comment se produit-elle et l'absence de fractur
a nous explique la production des hématomes de la dure-mère dans ce cas , il faut encore penser aux hémorrhagies plus pro-
ait bien citer l'alcoolisme comme cause prédisposante, mais dans un cas de Krafft-Ebing où les ren- seignements à cet é
constituent dégé- nèrent quand la 3e circonvolution est intéressée; cas de Manquât et Grasset). D'ailleurs, cette théor
sé jusqu'à présent. Cependant Schiôner ne l'a pas constatée dans un cas (Obs. X). La trépanation ayant eu lieu, on ne tro
nce d'entrecroi- sement des pyramides. Ledderhose aurait trouvé six cas d'hémiplégie non croisée, c'est-à-dire six cas
se aurait trouvé six cas d'hémiplégie non croisée, c'est-à-dire six cas où la paralysie se serait produite du même côté
ue manifestement organique, qu'il a opérée, et pas plus que dans le cas précité (Obs.X) de Schlôf1'er, il n'a trouvé d'é-
ent il s'agit d'une balle de revolver. Nous n'avons trouvé que deux cas où c'était une lame de couteau qui avait pénétré.
la substance nerveuse. Les choses sont d'autant plus obscures qu'en cas de lésion il se forme une sorte de magma de san
t complètement confirmé par les rayons Roentgen. » Voici quelques cas où l'on a pu obtenir des indications relativement
la partie antérieure de la capsule interne. Eulenburg rapporte le cas d'un jeune homme qui avait reçu un coup de revo
algré que le trajet des projectiles soit un peu différent suivant les cas , il présente ceci de commun que ce sont toujour
coïncidant avec la paralysie traumatique et nous avions trouvé '14 cas sur 47 où l'hémiopie ou le scotum était signalé
cas sur 47 où l'hémiopie ou le scotum était signalé. Or sur ces 14 cas de rétrécis- sement plus ou moins complet du ch
e circonvolutionnelle pouvait se produire mais, dans les six autres cas nous ne saurions affirmer que la bandelette n'a
s sur le plancher de l'orbite le long de l'angle interne, dans deux cas leur passage s'est effectué à tra- travers le s
face : entrant par la joue et ressortant dans le cerveau et dans un cas , il s'agissait d'un projectile ayant pénétré par
projectile ayant péné- tré par le frontal. Nous connaissons cinq cas de paralysie par traumatisme intra-orbitaire :
naissons cinq cas de paralysie par traumatisme intra-orbitaire : le cas du prévôt d'armes dont nous avons donné l'observa
r au chapitre étiologie et que nous a communiqué M. lé Dr Marie, le cas de la petite Marcelle L... (Obs.III) qui appart
petite Marcelle L... (Obs.III) qui appartient à i\I.Ie Dr Marie, un cas égale- ment déjà cité dû à Bramwell, un cas de
t à i\I.Ie Dr Marie, un cas égale- ment déjà cité dû à Bramwell, un cas de Bergmann et un de Becliterew. Dans aucun d'e
e tubercule mamil- laire de ce côté est sain et sauf. Dans ces deux cas on aurait donc eu déjà une hémianopsie. - Dan
gueur de la tige est très grande. Cependant dans l'observation III ( cas du prévôt d'escrime) au moins une longueur égal
uêtes répétées n'ont jamais pu nous renseigner à cet égard, en tout cas , ce malade n'a jamais présenté (l'hémianopsie.
au gauche) assez semblables à la précédente,sont l'image fidèle des cas cliniques déjà cités et correspondent exactemen
il résulte de ces expériences que les parties cérébrales lésées en cas de pénétration par la voie orbitaire sont presque
- duire à la lésion des centres cérébraux. Nous avons trouvé deux cas de pénétration par la joue. Nous en avons déjà
aphasie et la parésie des membres. Nous n'avons trouvé qu'un seul cas de paralysie du bras gauche avec parésie de la
neus......... » .. * Enfin il nous reste à dire quelques mots des cas où l'hémiplégie succède à une encéphalite traum
ède à une encéphalite traumatique. Nous n'en possédons que quelques cas , parmi lesquels une hémiplégie survenue à la su
pique et montre bien les lésions telles qu'on les constate dans ces cas . Les différences dans les points de détail ne s
; on provoquant une hémorrhagie ou une encéphalite. Dans ce dernier cas , il agitsans doute en déterminant la lo- calisa
c du siège de la lésion ne présentera de difficulté que dans peu de cas . S'il n'y a pas frac- ture du crâne il ne sera
ons pu re- cueillir le mode de terminaison pour une cinquantaine de cas . Le pronos- tic n'est pas falal le plus souvent
pas falal le plus souvent, mais il estsérieux. En effet dans quinze cas seulement nous avons relevé la guérison complète
té d'attribuer ces imperfections à la caducité. Mais en face de ces cas où la guérison se produit plus ou moins lenteme
se produit plus ou moins lentement, il faut inscrire quinze autres cas où nous avons noté le passage ' l'état chroniqu
ofesseur Bergmann et aussi M. le professeur Gralf, surtout dans les cas où un projectile est entré dans le cerveau. Cepen
urgiens ont tenté d'intervenir dans différentes occasions. Dans les cas où il y a enfoncement d'une portion de la calotte
lier ont pratiqué plusieurs fois avec succès et nous avons compté 6 cas où la guérison est survenue rapide et complète
même après perte de substance cérébrale. Cela s'est produit dans un cas de M. le professeur Berger que nous avons relaté
rofesseur Berger que nous avons relaté plus haut. Egalement dans un cas de Schooner de Prague. Dans une ob- servation q
e on voit l'enfant demeurer el grandir infirme. Voici maintenant un cas de CI). T. Poore de New-York dans lequel la gué
lait aussi bien que les autres enfants de son âge , Voici donc un cas où un mal est remplacé par un autre et où l'épile
nous appellerons la guérison temporaire. Dans un certain nombre de cas qui tous concernent des hé- miplégies à la suit
MM. Bergmann et Graff, qui ont rapporté l'un deux, l'au- tre quatre cas de ce genre, se prononcent contre l'intervention
fet séduisants et nous avons reproduit plus haut l'observation d'un cas due à M. le professeur Berger dans laquelle cet
nnaître l'histoire ultérieure des blessés. M. le Dur Berger cite le cas d'un magistrat qui avait reçu une balle de re-
ral ; Geschwind et Koeler, cités par le même auteur, rapportent des cas semblables. - Ce n'est donc pas impunément que
matisme. Elle est relativement peu fré- quente puisque sur tous nos cas nous ne l'avons relevée que huit fois : ai l'oi
is fois on avait jugé nécessaire de trépaner. Dans presque tous ces cas il s'agissait de gros hématomes, d'enfoncements
iquer d'une façon générale les tendances ac- tuelles. Dans certains cas il paraît sage d'attendre traumatismes par ball
'au point de vue du pronostic. Toutefois, il ne faut pas oublier ce cas cité parmi Manquât et Grasset, d'un malade qui,
ablement été plus sévères. C'est ce que fait penser aussi cet autre cas mentionné par le professeur Berger. Un magistrat
lie ne sont que peu prononcés, néanmoins, on ne saurait invoquer le cas de ce malade contre l'opinion soutenue par M. B
Enfin le diabète paraît être une particularité intéressante de notre cas . On a plusieurs fois rencontré, en même temps q
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIERE UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTHROPA'l'HlE PAR GEORGES GASNE
a SALPETR11 : RR T. XIII. Pl. LVII Pbototyple Bi rthand r.rn UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTHROPATHIE (G Gasne.) ' Masson
D'OSTÉO-ARTHROPATHIE (G Gasne.) ' Masson & Ci, EditClI15 UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTI1ROPATI1lE 1,0 ? Ce débuta été
édio- Nous. Iconographie DE la SALPLTRIL`RE T. XIII. PI. LVIII UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTHROPATHIE (G. GrtS11e.) UN CA
II. PI. LVIII UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTHROPATHIE (G. GrtS11e.) UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTHROPATHIE 407 annulaire on a si
encore reconnaissable et s'articulant en somme avec l'extrémité UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTliROPATnIE 409 des premières ph
ection qui pourrait se développer plus tard. Quoi qu'il en soit, le cas reste intéressant, ne serait-ce qu'à titre de c
yroïdie franche chez des enfants. J'ai présenté également plusieurs cas d'infantilisme Lorain, sujets grêles, gringalet
sonne- ment est bien visible. L'expérience que j'ai en matière de cas absolument semblables, me permet d'affirmer que
rvention, à des moyens purement illusoires. Après avoir montré deux cas de myxoedème fruste chez l'enfant, je ter- mine
mine par un exemple de myxoedème franc. On a si souvent publié des cas de cette espèce dans ces derniers temps, que l'
rive à -1 m. 324, gagnant 0 m. 29. Soitprès de 30 centimètres. UN CAS D'AV1YOTItOP111 L. PROGRESSIVE DITE ESSENTIELLE
rait tend à son tour à être comblée par l'obser- vation de nombreux cas disparates, impossibles à faire rentrer complètem
NCE (J. 9hadie et /. T)t)0)'f'.t. Masson & C ? EJitcl11s UN CAS DA\fYOTROPI11E PROGRESSIVE 417 Les mensurations
en le « pied tombant » (PI. LXIII). Les mensurations donnent : UN CAS d'AMYOTROPHIE PROGRESSIVE 419 caractères sont n
use et traînante » typique, sur- tout remarquable à gauche.. , UN CAS D'AMYOTROPIIIE PROGRESSIVE 421 En résumé : Tous
illés dans les tableaux sui- vants : 422 ABADIE ET DENOYÉS UN CAS D'AMYOTROPniE PROGRESSIVE 423 le cas qui nous o
422 ABADIE ET DENOYÉS UN CAS D'AMYOTROPniE PROGRESSIVE 423 le cas qui nous occupe, sont : voûte ogivale, dents irré
cliniqne semblables il ceux du type péronier de Tooth, ou des trois cas de Bosc. Ni contractions fibrillaires, ni troub
eptembre 1896. 424 ABADIE ET DENOYÉS Ce n'est pas non plus : Un cas d'atrophie musculaire progressive neurotique de H
que de Hoffmann, car il n'y a aucun trouble de sensibilité; Ou un cas d'amyotrophieprogressive myélopathique de Werdnig
t été précédemment décrites et auprès desquelles nous plaçons notre cas en « situation d'attente ». LES OSTÉO-ARTHROPAT
ons tabéliques en deux groupes. Dans le premier, il range les trois cas de Kroenig, les deux observations de Pitres et Va
la période des déviations dues à des lésions localisées : les deux cas de Pitres et Vaillard(obs. 1 et II), les trois ma
cervicale coexistant avec une lordose lombo-sacrée. Encore dans le cas , il n'existait pas, à vrai dire, de lordose dor
la plus habituelle : la scoliose se rencontre dans presque tous les cas et c'est autour d'elle que semblent se grouper
de la cin- .quième lombaire (obs. V et VII). Elle est dite, dans ce cas , gibbosité an- gulaire. Elle peut au contraire
es : on peut en con- cevoir d'autres. On pourra rencontrer dans des cas analogues la longue gibbosité faite d'une courb
scoliose dorso-lombaire est la plus fréquente. Bien plus, dans les cas rares où elle ne constitue pas la déformation p
ôt d'avant en ar- rière, tantôt d'arrière en avant. Dans ce premier cas , le promontoire s'é- loigne du pubis, le coccyx
diminuent. Le bassin prend la forme en entonnoir. Dans le deuxième cas , au contraire, le promontoire fait saillie au dét
e observation fait mention de ces mouvements : ils étaient, dans ce cas , tous conservés et possibles en tous sens. Mais
ant donné la nature de l'affection, équivaut à une guérison. C'est le cas d'un malade de Kroenig : dans l'impossibilité d
: fumer sans cesse du tabac, boire continuellement du thé, avoir en cas de nécessité recours au café, et pren- dre de l
u et leurs poumons. Tout cela est évité par la perte heureuse en ce cas de la sensibilité de la muqueuse. Mais chose pl
nt de ces funestes effets du tabac, et Cohausen nous en rapporte un cas qui lui est personnel. Il y a quelques années,
hémérides médico-physiques d'Allemagne (déc. 2, ann. 9, obs. 26) un cas de surdité dû à l'abus de la fameuse poudre. Il l
aux hémoptysies et à la phtisie, Cohau- sen dit en avoir relaté un cas dans son Neo Thea. Les anatomistes ont pu se re
poumons. Les Acta EI'l¿dito1'l¿m de Leipzig (1715) renfer- ment un cas curieux de polype de l'oesophage dû à l'abus de l
sur les vers des fosses nasales. Le jurisconsulte pose pour chaque cas ses conclusions sur les propriétaires des organes
orrigea-t-il ses contemporains ? La chose est peu probable; en tout cas , sa tentative méritait d'être signalée. Notre but
MÉDECINE DE BUDAPEST (CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR LAUFENAUER) UN CAS DE PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEURE CHRONO Par
s peuvent en jus- tifier la publication. On trouve bien souvent des cas de cette maladie dans la littérature médicale,
te maladie dans la littérature médicale, mais je n'ai pas trouvé de cas semblable, ni avec cette persistance prolongée,
. Au fond ce n'est pas une lésion très rare, mais il y a dans notre cas quelques traits qui PARALYSIE BULBAIRE SUPÉRIEU
ilatérale, c'est peut-être le fait le plus remar- quable dans notre cas . Nous n'avons jamais pu trouver dans la littératu
cas. Nous n'avons jamais pu trouver dans la littérature médicale un cas semblable, où les lésions restent pendant six ans
restent pendant six ans restrein- tes sur un seul côté ; il y a des cas avec la prédominance unilatérale des paralysies
ominance unilatérale des paralysies ou parésies, mais dans tous ces cas , il y a au moins une affec- tion légère d'un de
gère d'un des nerfs crâniens du côté opposé ; ou sinon, ce sont des cas de la paralysie bulbaire supérieure compliqués so
urée longue et non compliquée qui ajoute un intérêt spécial à notre cas . La maladie débuta, il y a déjà six ans, par la p
ralysie bulbaire supé- rieure n'est pas stationnaire, et dans notre cas elle ne l'est pas, la maladie fait d'habitude d
baire inférieure ou d'une atrophie musculaire, tan- dis que dans le cas indiqué, tout le progrès de la maladie se manifes
s pa- ralysies bulbaires supérieures et inférieures, et comme notre cas a débuté par une paralysie bulbaire supérieure
aines conclusions et certaines considérations théoriques. Voilà nos cas : Cas I. A. P... décéda à l'âge de 45 ans. Il
nclusions et certaines considérations théoriques. Voilà nos cas : Cas I. A. P... décéda à l'âge de 45 ans. Il y a plu
préparations de l'écorce cérébrale par la méthode de Golgi dans le cas donné a démontré que les cellules nerveuses avec
sseaux. Parmi les faisceaux dégénérés de la moelle épinière dans le cas donné la lé- sion du faisceau pyramidal du cord
olume était diminué et le noyau présentait une forme irrégulière. Cas II. A. D..., 32 ans. Deux ans avant la mort app
e blan- che sous-corticale avec les préparations correspondantes du cas premier, nous ne voyons entre elles qu'une ress
quantitative et non qualificative. Les modifications dans le second cas ont été bien moins marquées que dans le premier
dégénérescence de la région motrice de l'écorce cérébrale. Dans ce cas aussi on a noté aux niveaux des pédoncules céré
uses, mais la quantité de ces globules est moins grande que dans le cas premier, où les modifications en général étaien
étaient bien plus profondes. L'examen de la moelle épinière dans le cas donné démontre une dégénéres- cence très sensib
x latéraux peut être distinguée même à l'oeil nu. Ainsi que dans le cas premier, ici aussi la dégénérescence est observ
es pigmentaires et graisseux, ce qui est encore plus marqué dans le cas premier. Les deux cas, décrits plus haut, prése
seux, ce qui est encore plus marqué dans le cas premier. Les deux cas , décrits plus haut, présentent une grande ressemb
ifférents, ce qui se trouve en correspondance avec cela que dans le cas premier la maladie a duré plus longtemps et le
t et de faiblesse, 5-6 ans après le début de la maladie, et dans le cas second l'issue fatale arriva inopinément pendant
ladie. Les troubles moteurs étaient beaucoup plus prononcés dans le cas premier; il y avait là des contractures dans le
tres systèmes et dans les voies conductrices spinales, etc. Dans le cas second les troubles moteurs étaient moins mar-
tions histo-pathologiques étaient moins grandes que dans le premier cas ; ici la dégénérescence du faisceau latéral dro
oit dans la moelle épinière était moins marquée que dans le premier cas ; d'ailleurs, ensemble avec cela il y avait aussi
le dans le faisceau pyramidal latéral du côté opposé. Dans les deux cas on a observé à la périphérie de la moelle épi-
nt par l'écorce cérébrale jusqu'à la moelle épinière, dans le premier cas a été exprimée d'une manière très marquée seule
primée d'une manière très marquée seulement d'un seul côté, dans le cas second elle était presque égale des deux côtés. D
E PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 493 d'un cas de paralysie générale, où il y avait une dégénére
rage, dédié à la même question et basé sur les investigations de 21 cas de paralysie géné- rale (par la méthode de Marc
1 cas de paralysie géné- rale (par la méthode de Marchi) ; dans six cas la dégénérescence des voies pyramidales a été e
voies pyramidales a été exprimée intensément d'un seul côté; dans 9 cas elle était marquée d'un seul côté ou des deux c
s 9 cas elle était marquée d'un seul côté ou des deux côtés; dans 6 cas il n'y avait point de dégénérescence nette. En
histopatholoiques, Starlinger (1) dans la première catégorie de ces cas fait attention à l'existence des troubles moteurs
érescence des voies pyramidales ; dans le troi- sième groupe de ces cas il s'agissait des malades qui présentaient une
ales dans des psychoses séniles ; mais il n'en trouva pas dans cinq cas avec phéno- mènes d'autres maladies mentales.
tre autres, les résultats de l'examen de la moelle épinière dans 12 cas de paralysie générale (par le procédé de Marchi
r le procédé de Marchi et aussi par celui de Busch) ; dans tous ces cas il trou- vait, ensemble avec d'autres dégénéres
le cours du temps, proche de l'issue fatale. Ainsi, donc, dans les cas avec un cours rapide de maladie ou avec exacerb
'hypertrophie thyroïdienne soient strictement latéralisées. Dans un cas de Burney Yeo l'hypertrophie thy- roïdienne por
pertrophie thyroïdiennes unilatérales siègent du même côté. Dans le cas de coïncidence du goitre exopththalmique avec l'h
alisation prédominante des deux syndromes. C'est à cet égard que le cas actuel m'a paru présenter quelqu'intérêt. Obs
clairement; mais qui parut avoir été un écoulement vaginal. En tout cas on ne relève chez elle aucune trace de syphilis
ail (-1), illustré de radiographies d'arthropathies tabétiques. Notre cas vient à point, pour continuer la série. Voici l
iographiques en multipliant t les observations analogues à ces deux cas , permettront de distinguer, à côté de l'ostéoal
nt au niveau de la face postérieure des vertèbres altérées. Dans un cas même, la dure-mère présentait un aspect tomente
omplications trophiques. Cependant nos observations ont trait à des cas de tabes plutôt moteurs que sensitifs. De plus,
fois seulement des malformations de la colonne vertébrale. Un seul cas , il est vrai, s'imposait par l'intensité des symp
eurs n'en a cure : souvent il les ignorait com- plètement. Dans les cas plus fréquents où il en a connaissance, elles ne
ns les scolioses de la maladie de Friedreich, aussi faut-il dans ce cas éviter de prendre pour un ataxique vrai un hérédo
d'atrophie ; mais ceci n'est pas pour nous surprendre, car c'est le cas ordinaire pour toutes les coupes du système nerve
ême très avancée pour un certain nombre de cellules. Comme pour les cas précédents, nous avons ici sous les yeux tous les
t-deuxième jour après le début de la réaction. Mais même dans les cas où la chromatolyse n'était pas parachevée nous n'
es nerfs et les cellules ne sont pas res- serrées. Comme dans les cas précédents, nous n'avons pas toujours rencontré s
yse ou au début du processus de réparation, et nous pouvons dans le cas présent en tirer une conclusion positive,-puisque
t surtout par la vacuolisation du proto- plasma cellulaire. Dans le cas présent c'est le mode de régression le plus ré-
ifice postérieur des fosses nasales et a été avalée. Il est en tout cas probable qu'une balle au moins est encore dans
rès grand effort d'attention pour voir avec les deux yeux : dans ce cas , il aperçoit une deuxième image à la gauche de l'
rès troublée, c'est ce qui nous a empêché de le citer au nombre des cas d'hémiplé- gie traumatique tardive.) Michel H
. argent, de Cicu. med., t. III, p. 129-135. 1887. Grasset (J.). Un cas de paralysie alterne d'origine traumatique. Journ
e chirurgicale, 8° sér., Paris, p. 577. ' 1888. 11lATillEu (A.). Un cas d'hémiplégie spasmodique infantile d'origine trau
moteur. Marseille méd., juin. 1890. A. Manquât et Eo. Grasset. Un cas de paralysie alterne de l'oculo-moteur commun a
ilopoplexie. Wien. klin. Wochensch., nu 5. 1896. l'AXAS. - Sur un cas d'hémianopsie compliquée d'hémiplégie. Bulletin m
iplégie. Bulletin médical, Paris. 1896. 9laumcE BOURLIEIS. - Deux cas de fracture du crâne avec hémiplégie et aphasie,
York) i inBEiowxtXG. 1897. E. LEVOULE et A. Teiuiet. - Elude sur un cas de monoplégie incomplète consé- culive à un tra
plus en plus et est remplacé par la sclérose. Mais dans ce dernier cas on trouve parfois des traces d'inflammation se pr
réolaire dans la substance blanche. J'ai eu l'occasion d'examiner 6 cas de myélite aiguë et dans 2 d'entre eux j'ai con
. Section longitudinale de l'artère sulco-commissurale provenant d'un cas de méningo-myélite apparue au cours d'une pneum
ssent de la moelle au bout de quelques jours; or dans mon cinquième cas la myélite qui avait présenté un début aigu n'a e
n'a em- porté le malade que 3 mois après son apparition. Le sixième cas se rapporte à un cas de méningo-myélite dissémi
de que 3 mois après son apparition. Le sixième cas se rapporte à un cas de méningo-myélite disséminée remarquable à tous
e D' Jur- bure. Fio. 2. Méningite avec myélite disséminée dans un cas de paralysie ascendante accompagnée d'oreillons
ête seulement à la phase hémor- rhagique, ce qui est arrivé dans le cas récent de Schiff. Les leucocytes le plus souven
ès nombreux à leur intérieur dont ils Fig. 4. - Se rapporte au même cas que la précédente. Foyer de myélite aiguë déve-
asculaire ou interstitielle, on trouve, tout au moins dans quelques cas , un agent microbien. Les phénomènes de réacti
nt quelquefois de vrais nodules et il est fort probable que dans ce cas la réaction des cellules névrogliques est due à
570 MARINESCO La théorie était vraie surtout en ce qui concerne les cas de myélite aiguë, mais elle avait besoin d'être
rvations de ce genre se sont multipliées, de sorte que le nombre de cas de myélite avec examen anatomo-pathologique et ba
on. Si les observations de myélite aiguë sont assez nombreuses, les cas avec examen anatomo-pathologique complet et ave
iologique positif se réduisent à une quinzaine. Dans la plupart des cas , le microbe n'a pas été cherché, ou bien quelquef
i par les cultures, ni par l'examen anatomo-pathologique. Voici les cas de myélite aiguë où on a retrouvé des microbes so
Schultze, de Bonn, a FiG. 7-8. Cellule nerveuse radiculaire dans un cas de myélite expérimentale produite par le strept
du liquide extrait par la ponction lombaire le méningocoque dans un cas de paralysie infantile. Ainsi qu'on le voit, le
de Homen et les miennes ont montré que les microbes, dans certains cas , après avoir accompli leur oeuvre de destructio
logique est absolument négatif. L'absence de microbes dans un autre cas de myélite avec réaction vasculaire intense n'e
à la variole, parmi lesquelles il faut citer, en première ligne, le cas de Auché et IIobbs, et celui que j'ai publié avec
nt nous, Roger et Damaschino.Westpba) et Leyden avaient déjà vu des cas de myélite après la variole. Strümpel a observé u
déjà vu des cas de myélite après la variole. Strümpel a observé un cas de myélite aiguë après un panaris. Comme spécim
point dans une surface muqueuse malade nous pouvons mentionner les cas suivants qui n'ont pas été tous accompagnés d'e
ous accompagnés d'examen anatomo-pathologique. Hochhaus a publié un cas de myélite aiguë au cours d'une amygdalite ; Eb
e manifestations nerveuses doit surtout s'accompagner dans quelques cas de troubles ressortissant à la myélite, ainsi qu'
uqueuses ou viscérales, nous sommes obligés d'admettre que dans les cas où cette myélite se produit, ou hien lemicrobe s'
sont intervenus. Je suis disposé à admettre que dans la plupart des cas de myélite aiguë il existe un état de vulnérabili
Grasset). Les infections qui parfois sont associées, comme dans les cas de Babès, Auché et Ilobbs, Jaccoud, Curschmann, d
. 8 bis. - Coupe transversale de la moelle dorsale supérieure dans un cas de myé- lite aiguë chez l'homme, due à la prése
a première fois reconnu comme névrite ascendante véritable certains cas de paraplégie, dite réflexe. Un des cas les plus
cendante véritable certains cas de paraplégie, dite réflexe. Un des cas les plus dé- monstratifs à cet égard'a été comm
édicale. J'ai eu l'occasion d'étudier le système nerveux dans trois cas de rage observée chez l'homme, dont un avait pr
e-mère crânienne. Voici le résultat de ces examens : dans les trois cas de rage chez l'homme, il y avait des lésions in
culose, après la résection du pneumogastrique, etc. ; dans quelques cas de rage expérimentale par virus fixe. Tout récemm
qu'elles motivent une grande I'ic. 10. Cellule radiculaire dans un cas de rage humaine. Le malade est mort avec des ph
ésion banale. Dans la moelle épinière, j'ai constaté dans les trois cas de rage chez l'homme des réactions vasculaires
substance blanche, tantôt dans la substance grise. Dans deux de ces cas , j'ai retrouvé autour des cellules nerveuses, m
éliales de la capsule des cellules des ganglions spinaux, dans un cas de diabète insipide ; elle est identique à celle
cellulaire ressem- blant à celui qu'on observe dans la rage. Même cas que la figure précédente. 576 MARINESCO Pachr
complète. Cette achromatose est très caractéristique dans un de mes cas , car la plupart des cellules ne présentent plus d
tes dans la moelle ou dans le bulbe. Par contre, dans la plupar des cas , les cellules des ganglions spinaux présentaient
la névrite as- cendante chez l'homme et chez les animaux, dans un cas de diabète insipide, etc. Je con- viens cependa
ogi- ques et les recherches expérimentales ont montré qu'il y a des cas de myé- lite aiguë avec toutes les réactions or
la myé- lite. Il y a deux hypothèses à invoquer, pour expliquer ces cas . 1° Les mi- crobes ont bien existé dans les foy
rôle des microbes dans la pathogénie de la myélite, la plupart des cas de cette affection .étaient dus au froid et au tr
lques altérations cellulaires que nous avons décelées dans quelques cas ne méritent pas le nom de myélite. On peut dire
e dois cependant faire une réserve à ce point de vue, car dans deux cas de traumatisme de la colonne vertébrale, j'ai ren
pie-mère au processus de l'inflammation médul- laire. Dans tous les cas de myélite bien accusée que j'ai eu l'occasion
te opinion. Le degré de cette méningite est variable, dans quelques cas elle est extrêmement accusée, dans d'autres, el
que la réaction des cellules névrogliques est très accusée dans les cas où la méningite est intense et que cette réaction
111A IiM\CSCO détermine que' rarement la méningite, et même dans ce cas , elle est loca- lisée au voisinage des vaisseau
rarement lorsque le microbe est lancé dans le sang. Dans ce dernier cas , pour qu'une vraie localisation se manifeste, il
sus anatomo-pathologique. En effet, nous avons trouvé dans tous les cas de myélite bien caractérisée, une réaction vascu-
J'ai eu l'occasion d'observer, au point de vue anatomo-clinique, un cas de ce genre. Le malade a présenté tous les phén
sans déterminer des réactions vasculaires et leucocytaires. Dans ce cas les microbes compromettent la nutrition du tiss
on à droite de la substance blanche antérieure. i'io. 18 B. Le même cas que la figure précédente ; l'inflammation est lim
la myélite diffuse à type ascendant, telle que'je l'ai vue dans les cas étudiés avec MM. Marie et OEttinger. L'injectio
rès rare et dans la pathologie humaine on ne con- naît que quelques cas parmi lesquels les mieux étudiés sont les observa
ons, à des nodules. Enfin, dans quelques infections, comme c'est le cas pour le pneumocoque et le méningocoque, les micro
se n'a pas été vue fréquemment par les observateurs attendu que les cas de ce genre se présentent rarement. Puis, vient
laire, avec déplacement et atro- phie considérable du noyau dans un cas de myélite aiguè chez l'homme. L'altéra- tion a
placé, comme on le voit sur la figure. Je pense que dans ce dernier cas , ainsi FiG. 24. - Cellule radiculaire à l'é-
s qu'après l'arrache- ment d'un nerf. Je viens de trouver dans un cas de myélite expérimentale due à l'injec- tion d'
entielles sous le malade, et par la balnéation continuelle. Dans un cas de myélite aiguë à forme très douloureuse j'ai
tôt en écriture en miroir (1). Résumons les traits principaux de ce cas : une enfant née gauchère, ap- prend à écrire s
te et aussi de la main gauche. Il apparaît déjà, et c'est ce que ce cas très typique met nettement en lumière, que chez
la preuve; le sujet, dont Mari- nesco (1) a récemment communiqué le cas à l'académie de médecine, « a eu pendant son en
à écrire en miroir de la main gauche. Risley (1), qui rapporte le. cas , dit qu'elle était naturellement ambidextre, c'es
sez délicat arriver à écrire en miroir de la main droite : c'est le cas de certains lithographes; on peut aussi, même lor
crois que cette supposition est réalisée dans un certain nombre de cas : en ce qui me concerne, si je cherche à écrire
a manifestation d'une tendance instinctive. A ce propos revenons au cas de notre petite fille ; rappelons-nous qu'elle a
des muscles oculaires. Elles sont constituées dans la majorité des cas par la réunion des éléments suivants : 1° ptosi
ngénitale a été publiée en 1840 par Baumgarten. Cet auteur prit son cas pour un strabisme interne bilatéral congénital ;
ses malades, que la pathogénie de cette maladie tient dans tous les cas à une anomalie dans le développement ou dans l'in
l- baires des nerfs moteurs des yeux. Lucanus (1886) admet dans son cas la même pathogénie ; il incrimine une altératio
marqués chez son malade. En 1888, Lawford communique une série de cas familiaux d'ophtalmo- plégie complète. Les obse
es oph- talmoplégies congénitales et rapproche ses observations des cas d'amyo- trophie étudiés pour des muscles d'autr
nous (Dr Cabannes)a eu la bonne fortune d'observer et de suivre un cas d'ophtalmoplégie congénitale des mieux caractéris
féminin est représenté par le chiffre de 35 0/0. Dans la moitié des cas environ, l'affection est héréditaire et familia
res. L'étude des antécédents collatéraux est aussi muette : dans un cas seu- lement une tante d'un malade était atteint
patients tournent aussi la tête de tous côtés pour voir. Dans le , cas de Mauthner, la tête était toujours tournée vers
t aussi marqué d'un côté que de l'autre, inégal ce- pendant dans un cas de Heuck et dans celui de Mauthner. La hauteur de
t du sourcil jusqu'au bord ciliaire est de 3 centimètres dans notre cas , de 28 millimètres dans le premier cas de Hirsc
de 3 centimètres dans notre cas, de 28 millimètres dans le premier cas de Hirschberg, et de 20 millimètres dans le secon
s le premier cas de Hirschberg, et de 20 millimètres dans le second cas de Hirschberg. L'aspect des téguments de la pau
complet et l'ouverture de la fente palpé- brale notée dans quelques cas (Schenkl, cas de Heuck, 2 cas de Hirschberg, (1
uverture de la fente palpé- brale notée dans quelques cas (Schenkl, cas de Heuck, 2 cas de Hirschberg, (1) Ce chapitre
ente palpé- brale notée dans quelques cas (Schenkl, cas de Heuck, 2 cas de Hirschberg, (1) Ce chapitre que nous avons f
ou de l'autre ouverture palpébrale(Schenkl, Heuck). Dans le dernier cas de Gourfein la fente des paupières n'existait p
alpébrale ; dans quelques observations (Schenkl, Schruder, Heuck, 1 ? cas , Cabannes, cas de Gourfein) cette fente augment
quelques observations (Schenkl, Schruder, Heuck, 1 ? cas, Cabannes, cas de Gourfein) cette fente augmente de la sorte de
e. La coexistence de l'épicanthus et du ptosis est notée dans le 2e cas de Hirschberg. Les rebords orbitaires et les po
et malaire ainsi que la surface du frontal étaient aussi dans notre cas plus aplaties que normalement. Il est des cas
nt aussi dans notre cas plus aplaties que normalement. Il est des cas (Cabannes) où les yeux sont toujours larmoyants b
ussi bilatérale mais extrêmement marquée pour l'oeil gauche dans un cas de Heuck. L'oeil droit présentait un volume éno
ophtal- mie manque et les yeux ont leur profondeur normale. Dans le cas de Mauthner, l'oeil droit (Hyperm.) était même
xophtalme. Les axes des yeux sont souvent inclinés en bas (Schenkl, cas de Heuck, Cabannes, Lucanus, Tilley, Stenheim,
cet angle n'est pas toujours égal pour les deux yeux et dans trois cas (Heuck) il y avait entre la valeur de chacun de
es axes des yeux sont en outre habituellement convergents. Dans les cas de Schenkl, Hirschberg, Schroder, Raehlmam, Uthof
complètement paralysés. Certains d'entre eux semblent dans quelques cas plus volontiers épargnés d'une façon plus ou mo
ées, nous trouvons le muscle droit supérieur paralysé dans tous les cas , deux fois seulement (dans les 4 cas de Lawford,
périeur paralysé dans tous les cas, deux fois seulement (dans les 4 cas de Lawford, dans ceux de Gunn, dans le le, de H
ité est entièrement abolie, 2 fois elle l'est partiellement, dans 2 cas de Heuck pour le droit externe; dans le le, cas d
rtiellement, dans 2 cas de Heuck pour le droit externe; dans le le, cas de Heuck et le 1 eu de Hirschberg pour le droit
k et le 1 eu de Hirschberg pour le droit inférieur. Dans 2 autres cas , le droit inférieur (Lucanus et Gast) et le droit
s cas, le droit inférieur (Lucanus et Gast) et le droit externe (3e cas de Gourfein, 2° cas de Hirschberg) sont entièreme
rieur (Lucanus et Gast) et le droit externe (3e cas de Gourfein, 2° cas de Hirschberg) sont entièrement indemnes. Le pe
rement indemnes. Le petit oblique est complètement paralysé dans 11 cas ; dans 3 autres (1er, 3e et 4° de Heuck) il cons
s (1er, 3e et 4° de Heuck) il conserve un peu de sa fonction.Dans 3 cas (Cabannes, Mauthner, 2' cas de Hirschberg) il e
l conserve un peu de sa fonction.Dans 3 cas (Cabannes, Mauthner, 2' cas de Hirschberg) il est entièrement sain. Le droi
e Hirschberg) il est entièrement sain. Le droit interne est dans 10 cas complètement paralysé ; dans un cas, sa fonctio
n. Le droit interne est dans 10 cas complètement paralysé ; dans un cas , sa fonction est diminuée (leur de Heuck).Dans
lysé ; dans un cas, sa fonction est diminuée (leur de Heuck).Dans 6 cas elle est tout à fait conservée [2 derniers de H
[2 derniers de Heuck, Cabannes, Mauthner (oeil gauche),Gourfein (3e cas ), Hirschberg (2" cas), Gast]. Le grand obliqu
Cabannes, Mauthner (oeil gauche),Gourfein (3e cas), Hirschberg (2" cas ), Gast]. Le grand oblique est complètement para
(2" cas), Gast]. Le grand oblique est complètement paralysé dans 10 cas , partiellement dans 6 (2 derniers de Heuck, Rae
uck, Raehlmam, Schenkl, Uthoff, Hirschberg) ; il est indemne dans 5 cas (2e, 3e de Heuck, Mauthner,Lucanus, 1" de Hirsch-
stances rares que nous voyons un oeil re- lativement indemne (` ? ° cas de Heuck et Mauthner) alors que la mobilité de
ements res- tants seront plus ou moins limités. Tantôt, et c'est le cas le plus ordinaire, on n'obtient que des mouveme
e latéralité se complique de celle de la convergence. Il existe des cas cependant où celle-ci reste normale alors que les
u ÉTUDE SUR t'OPIITALMÜPLtGIE CONGÉNITALE 628 moins dans quelques cas (2 derniers de Heuck, Cabannes et Lucanus) est
ntacts, des mouvements de rotation du globe oculaire : ainsi dans 5 cas (Mauthner, " de Heuck, 2e de Hirschberg, Lucanu
s mouvements sont dus à l'action du petit oblique. Dans deux autres cas (Hirschberg) l'inclinaison de l'extrémité supérie
existe cependant dans les 5 observations de Gourfein et dans le 2e cas de Hirschberg. Les oscillations sont habituelle
ntes ; plus rarement elles s'effectuent dans le sens horizontal (5e cas de Gourfein) ou bien encore consistent en mouve
de convergence. Il existe de l'inégalité pupillaire dans le premier cas de Lawford, dans celui de Raehlmann. Les pupi
neuses (Lawford). Ils se produisent aussi pour la convergence (,le' cas de Heuck). Dans le dernier cas de Gourfein, le
sent aussi pour la convergence (,le' cas de Heuck). Dans le dernier cas de Gourfein, le réflexe lumineux est le seul qu'o
très bien sous l'influence de l'atropine. On ne signale dans aucun cas d'anomalie dans la structure de l'iris, du cris
u du corps vitré. Nous devons ajouter que l'on ne trouve dans aucun cas de modification dans l'aspect ou la forme des glo
lobes oculaires et que la tension de ces derniers recherchée dans 3 cas (Lucanus, Gast, Ca- bannes) n'offre rien d'anor
) n'offre rien d'anormal. L'examen ophtalmoscopique pratiqué dans 8 cas (Schenkl, Cabannes, 3 premiers cas de Gourfein,
ophtalmoscopique pratiqué dans 8 cas (Schenkl, Cabannes, 3 premiers cas de Gourfein, Lucanus, 1ex cas de Hirschberg et Ga
8 cas (Schenkl, Cabannes, 3 premiers cas de Gourfein, Lucanus, 1ex cas de Hirschberg et Gast) mon- xm 41 626 CABANNE
1 626 CABANNES ET BARNEFF tre une papille ronde et normale dans 4 cas (Schenkl, Cabannes, 3° de Gourfein, 1" de Hirsc
e Hirschberg), excavée dans une étendue plus ou moins grande dans 4 cas (Lucanus, Gast, 2 premiers cas de Gourfein), ento
étendue plus ou moins grande dans 4 cas (Lucanus, Gast, 2 premiers cas de Gourfein), entourée d'un croissant staphylom
d'un croissant staphylomateux situé dans la région temporale dans 3 cas (Schenkl, Cabannes, 1er de Gourfein), au-dessus
t le contour de la papille mais plus marqué dans la région externe ( cas de Gast). La couleur de la papille est blanche
erne (cas de Gast). La couleur de la papille est blanche dans le 2° cas de Gourfein. Elle est atrophiée dans le cas de
est blanche dans le 2° cas de Gourfein. Elle est atrophiée dans le cas de Schrôder, excavée bilatéralement dans 1 obse
nterne (Cabannes). Leur calibre est habituellement normal ; dans le cas de Gast, il existait à leur niveau du pouls veine
s d'anomalie ; la pigmen- tation est ordinairement normale ; dans 2 cas (Schenkl, Gast) elle se dis- posait sous forme
varie entre 1/10, 1/6, 1/3 et 1. Elle est égale dans les 2 yeux (leur cas de Heuck, 3e cas de Ueuck, 1er et 30 cas de Gou
/6, 1/3 et 1. Elle est égale dans les 2 yeux (leur cas de Heuck, 3e cas de Ueuck, 1er et 30 cas de Gourfein) ou inégale p
gale dans les 2 yeux (leur cas de Heuck, 3e cas de Ueuck, 1er et 30 cas de Gourfein) ou inégale pour l'oeil droit et l'
inégale pour l'oeil droit et l'oeil gauche du même sujet (2" et 4c cas de Heuck, Mauth- ner, 2a cas de Gourfein). Dans
l'oeil gauche du même sujet (2" et 4c cas de Heuck, Mauth- ner, 2a cas de Gourfein). Dans le seul cas de Mauthner, nous
" et 4c cas de Heuck, Mauth- ner, 2a cas de Gourfein). Dans le seul cas de Mauthner, nous trouvons l'acuité visuelle ég
, nous trouvons l'acuité visuelle égale d'un côté à l'unité. Dans 6 cas (Schenkl, Cabannes, Lagrange, tue et 5e de Gour
Les deux yeux sont myopes à des degrés divers dans le 1er et le 2e cas de Gourfein, dans le cas de Schrôder, de Raehlm
s à des degrés divers dans le 1er et le 2e cas de Gourfein, dans le cas de Schrôder, de Raehlmann, Lawford, Gazépy ; il
n peu rapprochée ÉTUDE SUR L'OP11TALVIOPLT : GIE CONGÉNITALE 627 ( cas de Heuck). Le malade de Mauthner ne pouvait lire
e que lorsque le livre était placé à sa droite. Dans.la plupart des cas , sans doute à cause du jeune âge des malades, i
açon rapide. La diplopie n'existe pas habituellement (Schenkl, 1 er cas de Heuck, Mauthner, 1er cas de Hirschberg), ou
xiste pas habituellement (Schenkl, 1 er cas de Heuck, Mauthner, 1er cas de Hirschberg), ou bien elle se produit dans le r
d'un prisme faible entre l'oeil et l'objet. Dans presque tous les cas la recherche du champ visuel est difficile parc
er du tout ou bien parce qu'ils fixent mal. Il est normal dans deux cas (Lucanus, Gast), rétréci dans sa moitié supérie
ns deux cas (Lucanus, Gast), rétréci dans sa moitié supérieure (1er cas de Heuck) à cause de l'inclinaison en bas des a
recherché dans quelques observations est normal (Schenkl, 1er et 3e cas de Gourfein). Telles sont les considérations cl
nt les considérations cliniques concernant l'état de l'oeil dans 17 cas d'ophtalmoplégies congénitales que nous avons ana
lysés. Les autres organes des sens sont normauxdans le ler et le 2e cas de Gour- fein. L'ouïe est très bonne dans le ca
ns le ler et le 2e cas de Gour- fein. L'ouïe est très bonne dans le cas de Schenkl et dans le nôtre. On la trouve profo
enkl et dans le nôtre. On la trouve profondément altérée dans le 3e cas de Heuck, à cause de per- forations bilatérales
e trijumeau et les autres nerfs crâniens sont dans presque tous les cas en très bon état. Il existe cependant de l'anesth
de l'anesthésie trigémellaire et de la surdité unilatérale dans un cas de Gazépy ainsi que des malforma- tions des doi
nformé, les os des membres sont bien constitués à l'exception du 3e cas de Heuck où les épiphyses sont vo- lumineuses (
uses (rachitisme). L'état général des malades est excellent. Dans 3 cas .( 1 or et 2" de Gour- fein, Cabannes) les malad
te ordinairement stationnaire toute la vie (Lucanus). Dans certains cas rares, le ptosis et l'immobilité des yeux dimi-
s musculaires sur le globe, des droits supérieur et externe dans un cas de Heuck où l'opération fut pratiquée, de tous
et du grand oblique dont l'insertion était avancée, dans un second cas de Heuck suivi d'autopsie. Rossi, Dieffenbach o
n'ait été rencontré dans aucun des rares examens pratiqués dans ces cas . Macken- zie, Wrisberg, Klinkoch et Sclnn ont o
s ces cas. Macken- zie, Wrisberg, Klinkoch et Sclnn ont observé des cas d'absence totale de tous les muscles des globes
enseignements plus précis sur l'état du système nerveux que dans un cas de Bernhardt relatif à une paralysie partielle de
ont vu la presque totalité des nerfs orbitaires manquer dans trois cas d'hydrocéphalie compliqués de microphtalmie.
), partisans fervents de la théorie nerveuse, incriminent dans leur cas la paralysie ou le défaut de développement des
t, Saint-Petersburger med. 'Vochensch., 1894. 632 LANNOIS Mais le cas le plus remarquable est celui de Milroy (1). Sur
22 ont été atteints de cet oedème des extrémités inférieures. Le cas de M. Meige lui-même pour ne pas porter sur un au
hotographie dans le court espace de temps dont nous dispo- sions. Cas . II. La nommée D... (Annette), femme P..., âgée d
pied. Aucune lésion viscérale. Pas de troubles de la sensibilité. Cas . IV. - Victorine P..., âgée de 3 ans, est la nièc
moire, sa faiblesse,cette malade donnait de suite l'impression d'un cas de myxoedème fruste, d'autant plus qu'il était
mer ce diagnostic et la notion d'hérédité permit de clas- sifier le cas plus exactement. Le caractère héréditaire est d
t à noter cependant qu'un des-chaînons peut manquer, comme c'est le cas pour ma quatrième petite malade dont le père es
. Il est bon de souligner, à côté de l'hérédité maternelle de notre cas , l'é- pilepsie du père qui n'est peut-être pas
ème définitif n'a pas échappé à M. H. Meige : c'était d'ailleurs le cas chez sa 638 LANNOIS . première malade, et il
as chez sa 638 LANNOIS . première malade, et il cite également un cas de la thèse de Follet (1), où à la suite de pou
est certain qu'on trouverait dans la littérature beaucoup d'autres cas isolés d'oedème chronique, blanc, dur, indolore,
uellement. - Tout au moins devra-t-on chercher désormais devant des cas semblables si la notion d'hérédité ne vient pas
. , (1) Follet, Thèse de Paris, 1895. (2) Lannois et Paviot, Deux cas de chorée héréditaire avec autopsies (Congrès des
urologistes de Toulouse, août 1897, et Revue de médecine, 1891). UN CAS DE DERMO-NEURO-rIBROM'I'OSE COMPLIQUÉE DE PHÉNO
tion que nous apportons ici, où, après avoir cru avoir affaire à un cas atypique de syringomyélie, nous nous sommes ape
formation considérable de la colonne vertébrale. (flnusbnllcr) UN CAS DE DERMO-NEURO-FIBROIiATOSE 641 Sphincters. - P
ions, pas même la petite tumeur du coude droit. En présence de ce cas , à l'époque de notre premier examen, lorsque les
le ou de ses muscles, finalement nous pensâmes pouvoir rattacher ce cas à la syringomyélie, une syringo- myélie un peu
a sensibilité tactile, mais Raymond n'a-t-il pas réuni une série de cas dans lesquels des sy- ringomyélies authentiques
: mais nous savons que l'on a décrit des syringomyélies à forme UN CAS DE DERM0-NEUR0-F1BR0MAT0SE 643 de sclérose en p
ltérations cutanées de la maladie deRecklinghausen : à ce moment le cas de notre malade s'éclairait d'un jour nouveau.
mpagnée de troubles de la sensibilité, que se résumaient dans notre cas les phénomènes spinaux ; et comme les troubles
eut donc lui attribuer une origine purement musculaire ; dans notre cas elle était in- dépendante d'une soudure vertébr
côtes, de la clavicule, du sternum, ou du crâne notés dans quelques cas , en particulier dans une observation fort intér
ement suivie d'une chromatolyse faible et de courte durée. Dans ces cas , la réparation des lésions cellulaires se fait
origine des nerfs lésés, la lésion est ici plus profonde que dans les cas précédents. L'opinion unanime des auteurs en té
oudure n'a aucune importance pour la réparation ultérieure. En tous cas son influence sur les phénomènes de réparation n'
toxication et d'autres troubles généraux. Or c'est précisé- ment le cas dans les expériences que nous venons de citer. En
as essentielles, car les phénomènes sont identi- ques dans les deux cas ; ils ne diffèrent que par leur intensité, leur d
ence manifeste sur le phénomène de la réparation. Dans aucun de nos cas nous n'avons constaté à l'autopsie la réunion d
nombre de cellules en voie d'atrophie dans ce ganglion. Nos autres cas nous ont donné des résultats exactement semblable
influence sur le phénomène de la réparation, puisque dans tous nos cas celle-ci a eu lieu en l'absence de toute coalesce
qu'il attire à sa suite le protoplasma cellulaire déformé. En tout cas nous ne pouvons pas admettre que l'expulsion du n
tons par contre sans conteste l'expulsion passive du noyau dans les cas de vacuolisation cellulaire que nous avons analys
Marinesco jusqu'au 100° jour. Nous rappelons que, dans aucun de nos cas , nous n'avons observé la moindre augmentation d
lieu lorsque la cellule a subi des lésions trop profondes; dans ce cas elle s'atrophie et disparaît. L'atrophie et la di
phase de réorganisation de la substance chromatique comme c'est le cas pour le noyau dorsal du vague chez le lapin, par
urait certainement rencontrée des deux côtés. Or, ça n'a pas été le cas . Les cellules du ganglion normal n'en présentai
photograv., 3-pl. en photo- collogr.), 1. Anorexie hystérique (Un cas d'), par GEon- CES Gasne (2 photocollogr.), 51.
phénomènes spinaux et de déformation vertébrale considérable (un cas de), par Haushalter (1 photocollogr.), 639. E
Acmard et LOEPER (3 pl : en photocol- logr.), 398. Hémiplégie (un cas d') hystérique guéri par la suggestion hypnotiq
gr.), 494. Malformation digitale dite en « pinces de homard » (Un cas de), par F. ALLmsn et P. LEREBOULLET (2 radiogr
e sur l'), par Barneff et Cabannes, 615. ostéoarthi-opctiltie (Un cas rare d'), par Georges Gasne (2 pl. en photocoll
en photocol- logr., 9 dessins), 116, 260, 42, 502. Paralysie (un cas de) bulbaire supérieure chronique, par IIudover
r R. Ces- TAN (1 pl. en photocollogr.), 153. Sommeil prolongé (un cas de) pendant sept mois par tumeur de l'hypophyse
r A Dr·.vnm et E. DUPRÉ (2 pho- tocollogr.), 498. Trophoedème (un cas de) chronique hél'é- ditaire, par LANNOIS (2 ph
otocollogr.), 71. Tympanisme abdominal d'origine hysté- rique (Un cas de), par l3r.aaano et l3saocT (2 photocollogr.)
llogr., 9 dessins), 116, 260, 425, 502. AnA ! )tE et J. DENOYLS. Un cas d'amyotro- phie dite essentielle avec reaction
l, en photocol- lographie), 398. F. Ai.lard et P. Lereboullet. Un cas de malformation digitale dite « en pinces de
J. Il. Cohausen contre le tabac (1 pl. 448. BENOIT et Bernard. Un cas de tympanisme abdominal d'origine hystérique (2
3 pl. photocollogr.), 41, 184, 243. Bennanu (Raymond) et BENOIT. Un cas de tympanisme abdominal d'origine hysté- riqu
oto- collogr. en couleur et 2 fig), 330. DnKOYËsJ.etJ. Asrame. Un cas d'amyo- trophie dite essentielle avec réaction
xophtalmique alternes (1 photocollogr.), 494. Gasne (GEORGES). Un cas d'anorexie hys- térique (2 photocollogr.), 51.
Un cas d'anorexie hys- térique (2 photocollogr.), 51. GASNE G. Un cas rare d'ostéo-arthropathie (avec 2 pi. en photoc
ome seg- mentaire (2 pl. en photocollogr.), 169. IIAUSIIALTER. Un cas de dermo-neuro-fibro- matose compliquée de phén
e de l'enfance (avec 4 pl. en photocollogr.), 411. HUOOVEHNIG. Un cas de paralysie bulbaire supérieure chronique (1 p
. en photocollogr.), 41, 184, 243. P. LEREBouLi-ET et F. ALLAHD. Un cas de malformation digitale dite '1 en pinces de
atose généralisée (3 pl. en photocol- logr.), 26. Marinesco G. Un cas d'hémiplégie hysté- rique guéri par la suggesti
a- ralysie générale (2 pl. en photocollogr.), 478. SocA. Sur un cas de sommeil prolongé pendant sept mois par tumeu
34 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
nellement précoce, l'évolution et la na- ture de ces troubles. Le cas que nous rapportons nous semble intéressant à bea
saud. Je dois même dire que je ne connais pas, parmi les géants, un cas plus accusé d'infantilisme, surtout en ce qui con
ent, en général, à l'acromégalie à début précoce. Et c'est bien son cas . Le pied est grand et difforme, comme on peu[ f
autre chose que l'acromégalie. Et il ne s'agit pas ici d'un de ces cas insuffisamment caractérisés en présence desquels
ur apparition chez lui (1) ? (1) On sait que la grande majorité des cas de l'acromégalie sont de début postérieur Nouve
et 15 ans (Surmont,Lynn,Thomas, Uhthoff) ; et d'après Sternberg les cas qu'on a décrits chez les enfants sont contestab
écrits chez les enfants sont contestables. Moncorvo a rapporté un cas exceptionnel d'acromégalie chez une petite fille
rieures, inférieures et céphalique. (1) Dans l'immense majorilé des cas , le gigantisme se produit à 1 époque de la pu-
de taille et avait l'apparence d'un garçon de 15 a 16 ans. C'est le cas le plus précoce de gigantisme manifesté après la
congénitale. Du moins on ne saurait pas le nier. Il est, en tout cas , absolument certain que ces deux états, ont début
ux legs héréditaires que nous venons de relever se trouvent dans ce cas . Et les causes accidentelles de toute nature, l
adies infectieuses entre autres ? Quelle est leur influence dans le cas présent ? Il est de notion courante que l'on ob
- ler qu'on observe aussi l'atrophie des glandes sexuelles dans des cas tout à fait opposés, pour ce qui est du dévelop
, INFANTILISME ET ACRO.IÉGALIE 23 de petites jambes. Voilà, en tout cas , de quoi penser qu'une autre glande s'en mêle.
s succéder au gigantisme et semblant, dans un assez grand nombre de cas , le mode de continuation naturelle de ce dernie
rais, et il en est ainsi assurément du moins pour la ma- jorité des cas puisse relever d'un trouble de la sécrétion hypop
Le corps thyroïde et l'hypophyse, par exemple, se trouvent dans ce cas ; ils collaborent tous les deux à la fonction d
action en se portant aussi directement sur les autres. Mais dans ce cas . en face de cette multiplicité de lésions, il e
consécutive à une lésion primitive du corps thyroïde, comme dans le cas récemment rapporté par A. Calderera, et concern
nt entie l'hypophyse et les organes génitaux. Dans presque tous les cas de lésion hypophysaire, les auteurs constatent un
ie, vol. 63, n°3, P. 4905. Cite par Marinesco et M. Goldstein, Deux cas d'hydrocéphalie avec adipose généralisée. Nouvell
vu l'hypophyse plus grande et plus lourde qu'à l'étal normal dans 8 cas de castration chez les femmes. J'ai tout dern
e l'hypophyse consécutive à l'ovariotomie. Et de même dans tous les cas analogues. Bref,étant donnée l'analogie fonctio
thyroïde, à cet effet invoquée par le prof. Brissaud (et sans en tout cas la né- gliger) les variétés cliniques de l'infa
parents au moment de la conception de ces en- fants ? ' ! En tout cas ,et quoi qu'il en soit de ces antécédents hérédita
yphilitique etalcoolique, ai-je-dit, elle peut produire, à côté des cas vulgaires de dégénérescence qui encombrent les
donc que des dégénérés. J'ai émis cette opinion en l'étayant sur un cas clinique que je crois assez démonstratif, et j'
r noire collègue Magalhaes Lemos (de Porto), qui voit dans tous les cas d'infantilisme général ou partiel- des syndromes
plication du tableau clinique que le gigantisme présente dans chaque cas particulier. En tout cela, il va sans dire, c
res essentiels de l'infantilisme tirai, et assez distinct, dans les cas purs, du type de gigantisme acromégalique. 2° C
semble être sa lésion causale, du moins dans l'immense majorité des cas . Mais il est 32 MAGALHAES LEMOS. - GIGANTISME,
au double point de vue clinique et anatomo-pathologique, plusieurs cas (l'ostéomalacie qui nous ont permis d'apporter
e de ce syndrome. Nous commencerons par donner l'observation de nos cas pour discuter ensuite la valeur des faits que n
emblent en découler. Observation I (PI. V et VI). Dans le premier cas il s'agit d'une crétine sourde-muette que l'un de
asion d'étudier au point de vue anatomo-patholo- gique un troisième cas qui offre beaucoup d'intérêt parce qu'il s'agit d
ouvaille de nécropsie et que la lésion thyroïdienne constatée dans ce cas a été prévue d'avance après l'examen des os.
tâmes avec surprise des altérations osseuses semblables à celles du cas précédent. Etant donné notre expérience antérie
ce de rechercher les sels minéraux dans les os de ces deux derniers cas . Voici le résultat auquel il est arrivé. Dans
iers cas. Voici le résultat auquel il est arrivé. Dans le premier cas l'os examiné contient 22.7282 0/0 sels minéraux,
22.7282 0/0 sels minéraux, dont 3.0965 0/0 CaO. 1 Dans le second cas on trouve z9 0/0 sels minéraux, dont 5.0506 0/0
nés. Les épreuves radiographiques des os longs de ces deux derniers cas donnent des résultats assez concordants, savoir
tion de la paroi osseuse. Cette altération coexiste dans le premier cas avec l'ablation du corps thyroïde qui a été ext
se. CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'OS1'ÉOJIAL.1CIE 45 Dans le second cas le corps thyroïde était très petit (8 grammes) et
térations osseuses et celles de la glande thy- roïde dans ces trois cas une simple coïncidence, ou existe-t-il par contre
est ainsi que deux d'entre nous ont publié les observations de deux cas d'ostéomalacie sénile et dans les deux la glande
deux la glande thyroïde fut trouvée malade (1 ). Dans l'un de ces cas le corps thyroïde était transformé en un goitre p
oïde. Il yavait aussi des infiltrations calcaires. Dans le second cas la glande ne pesait que 15 grammes et présentait
présentait égale- ment des altérations scléreuses. Dans un autre cas publié par l'un de nous avec M. JiANo(2),j[ s'agi
e une espèce d'ostéomalacie de la colonne vertébrale. Mais ces cinq cas que nous avons pu étudier par nous-même sont loin
bles voisins avec le syndrome de Basedow. Il en était ainsi dans le cas de KOFPEN (3) ayant trait à une femme de 23 ans
llaire. Reklinghausen (4) diagnostiqua l'ostéomalacie. Il publia le cas dans Vircchozv's- Fesischrift (1881, Berlin).
rlin). L'auteur pense que l'ostéomalacie était conditionnée dans ce cas par le syn- drome de Basedow et partage l'opini
la suite de l'accouchement et est régionnaire, tandis que dans son cas elle s'est développée, dit l'auteur, sur des base
ébut de la maladie. Dans la discussion Goldscheider dit que dans un cas de Basedow il a examiné les os sans trouver rie
vait les dimensions du poignet. Latzko (7) a observé dans plusieurs cas la coexistence du syndrome de Ba- sedow avec l'
ence du syndrome de Ba- sedow avec l'ostéomalacie. Dans un de ces cas il s'agit d'une femme âgée de 54 ans atteinte dep
u syndrome de Basedow, et depuis 1893 d'ostéomalacie. Dans un autre cas , il s'agit d'une femme de 32 ans, ostéomalacique
symptômes de tétanie et le syndrome de Basedow. Dans un troisième cas l'ostéomalacie datait depuis 1889, taudis que le
asedow n'aurait apparu que 5 ans plus tard. Enfin dans un quatrième cas le syndrome de Basedow aurait précédé de 7 ans
ie de Hoenicke, nous trouvons que Latzko a observé dans deux autres cas la coexistence de ces deux syndromes. Un autre
drome de Basedow depuis 1879 et ostéomalacie depuis 1893. Dans le cas de Hofmeier (9), il s'agit d'une femme ayant eu t
ome de Graves. Le corps thyroïde avait volume d'un poignet. Dans le cas de Hoenicke (10), il s'agit d'un homme de 47 ans
plutôt d'un tissu ostéoïde. Von Jaksch et Rotky pensent que dans ce cas il s'agit d'un processus diffé- rent de celui d
ssus osseux, mais n'admetteut pas, comme le fait Iloenicke pour son cas , qu'il s'agit de l'ostéomalacie véritable, mais d
- cessus voisin peut-être. Ils pensent qu'il a dû exister dans leur cas un certain degré d'hypothyroïdisme. Il convie
n degré d'hypothyroïdisme. Il convient également de citer ici les cas où on trouve la coexistence du syndrome de Base
ainsi que nous venons de le dire, la scoliose semble dans certains cas pou- voir êlre considérée comme une sorte d'ost
dit simple et dans les thyroïdites, etc. C'est ainsi que, dans le cas de Senator (14), le corps thyroïde était volu-
cas de Senator (14), le corps thyroïde était volu- mineux. Dans les cas de Finkelburg (15), Pommer (16), Poppe (17), l'os
s- téomalacie était également accompagnée d'un goitre. . Dans les cas de VTUIfI' (18), l3aal : e I t9), Sommer (20), le
Enfin il a étudié, au point de vue de l'état du corps thyroïde, 33 cas d'ostéomalacie à la Clinique du Professeur llof
ofmeier (il Wurzburg), et voici ce qu'il a trouvé. Dans un de ces cas l'ostéomalacie coexistait avec le syndrome de Bas
es qui se retrouvent dans ce dernier sont présents). Dans 15 autres cas d'ostéomalacie on trouve un goitre moyen ou petit
omalacie on trouve un goitre moyen ou petit. Dans la plupart de ces cas un trouve aussi des symptômes tels que des palp
re, etc., qui rappellent le syndrome de Basedow. Dans deux autres cas il existait une hypertrophie thyroïdienne légère
istait une hypertrophie thyroïdienne légère : Dans l'un de ces deux cas on retrouve le tremblement. Dans l'autre il est
inute. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 5 L Dans un autre cas on trouve en même temps l'ostéomalacie et une thy
ne thy- roïdite. La malade avait 90 pulsations par minute. Dans 7 cas on ne trouvait pas (cliniquement) un corps thyroï
présence des affections du corps thyroïde. Ce n'est que dans quatre cas qu'on n'avait noté aucune manifestation de la p
manifestation de la part du corps thyroïde (pourtant dans un de ces cas on trouve 108 pulsations par minute et la malad
avait souffert de transpirations généralisées). Citons encore le cas récent de Haberkant (31) qui, dans un cas d'ostéo
lisées). Citons encore le cas récent de Haberkant (31) qui, dans un cas d'ostéo- malacie avec troubles mentaux, trouva
aussi la constatation de Monéry (32) qui dans le corps thyroïde d'un cas de ce syndrome ne put pas déceler l'existence d
Cela ne veut pas dire qu'il en soit toujours ainsi, car dans les deux cas communiqués par l'un de nous avec Goldsteim (33
quantité assez grande (0,011 et 0,0088). Ainsi qu'on le voit, de 33 cas d'ostéomalacie où on trouve certaines indicatio
indications sur l'état du corps thyroïde on ne peut retenir que trois cas , on ne trouve aucun symptôme (et encore on peut
(45), Ser (46, Chape- lier (47). Gautier (48), en réunissant les cas publiés jusqu'à l'apparition de son excellent l
son excellent livre 'sur l'opothérapie thyroïdienne, trouve sur 37 cas 32 résul- tats positifs, et seulement cinq néga
uve sur 37 cas 32 résul- tats positifs, et seulement cinq négatifs ( cas de Guinard, un cas de Poi- rier, le cas deRocha
ésul- tats positifs, et seulement cinq négatifs (cas de Guinard, un cas de Poi- rier, le cas deRochard, celui de Slahel
et seulement cinq négatifs (cas de Guinard, un cas de Poi- rier, le cas deRochard, celui de Slahel (49), un cas de Ser).
rd, un cas de Poi- rier, le cas deRochard, celui de Slahel (49), un cas de Ser). El dans ces cinq cas il s'agissait de
s deRochard, celui de Slahel (49), un cas de Ser). El dans ces cinq cas il s'agissait de cas de fractures compliquées ou
Slahel (49), un cas de Ser). El dans ces cinq cas il s'agissait de cas de fractures compliquées ou d'ancienne pseu- da
nsi que Moraczevski (57) en étudiant les échanges nutritifs dans un cas d'acromégalie trouva que l'administration du corp
t une exagération de la rétention du calcium déjà existante dans ce cas . IIaushalter etGuerin (58) trouvent que l'urine d
tations, et sur la base des résultats donnés par des urines dans un cas d'infantilisme avant et pendant le traitement t
parler que du tissu osseux, nous rappellerons que dans certains des cas que nous avons déjà cités il existait des phénomè
ltérations parathy- roïdiennes à l'examen anatomo-pathologique d'un cas d'ostéomalacie. Nous ajouterons enfin qu'on tro
Dumitresco et Nissipesco (73) n'ont pu confirmer que pour certains cas les résultats des auteurs américains. Ces deu
, Seligmann, Fochier, etc. (84). Il est vrai qu'on trouve aussi des cas où l'opération est restée sans ré- sultat, et I
est restée sans ré- sultat, et Iloenicke cite à ce point de vue les cas de Poppe (85), Kunz, Fehling, Latzko, Truzzi, S
), Schaula, Morisani, Gusserow (87). Nous pouvons leur ajouter le cas de Cramer (88), et dire encore que Frenkel et S
), et dire encore que Frenkel et Schuller ont traité avec succès un cas d'ostéomalacie parle lait de chèvre châtrée.
oit, l'influence favorable de la castration dans un grand nombre de cas ne saurait être contestée, et les statistiques pu
ontrent suffisamment. C'est ainsi que Polgar nota 6 guérisons sur 7 cas , Dusche-Iladdenhau- sen, 3 guérisons sur 6 cas,
ta 6 guérisons sur 7 cas, Dusche-Iladdenhau- sen, 3 guérisons sur 6 cas , et Truzzi, 82 guérisons sur 97 cas. D'autre pa
ddenhau- sen, 3 guérisons sur 6 cas, et Truzzi, 82 guérisons sur 97 cas . D'autre part nous connaissons aujourd'hui l'in
e la croissance, d'où le gigan- tisme qu'on observe dans de pareils cas . Dans le même ordre d'idées il convient de rapp
tique de Sternberg (89). Jusqu'à l'âge de 40 ans, la proportion des cas d'acromégalie est presque la même dans les deux
m sous l'in- fluence de la castration, opération qui a eu dans leur cas comme dans beaucoup d'autres une influence des
con- teste pas l'influence favorable de la castration dans certains cas . 'Celte influence doit être cherchée en tout ca
tion dans certains cas. 'Celte influence doit être cherchée en tout cas dans le rétablissement de l'équilibre phosphoré
angeli, Ferroni, Stoker. Bernard remarque encore que les différents cas ne sont pas comparables en ce qui concerne leur
aient peut-être avoir quel- que rapport avec l'hypophyse. Dans un cas d'acromégalie rapporté par Broca (114), lecalcané
r par la pression au doigt. IIutschinson (115) trouve dans un autre cas une osléoporqse marquée de tout le squelette, e
marquée de tout le squelette, et le même phénomène existait dans le cas de Prej- beanu (116), l'analyse chimique montra
- beanu (116), l'analyse chimique montra d'ailleurs dans ce dernier cas , une diminution considérable des sels minéraux.
en rapport très probable avec l'hypo- physe, on a publié aussi des cas d'infantilisme tel que celui de Nazari, en rapp
mois,chez le chien, de 3 ou 4 grammes de thymus,ont observé dans un cas des déformations costales, analogues à celles s
nfin Arcangelli elFiocca (ils5) réussirent à isoler le diplocoque des cas d'ostéomalacie humaine. Nazan (146), Binaghi
au- teurs, dans le sang, la moelle osseuse, l'urine, etc. Dans le cas de notre crétine avec tétanie latente et ostéomal
s pas que les choses doivent se passer de cette façon dans tous les cas . Avec d'autres auteurs nous admettrons que l'os
Nous rappellerons ici que Ilanot (149), en examinant les coupes du cas d'ostéomalacie qu'il a publié avec Bouley (150)
s glandes endocrines. Nous devons dire ici que dans l'un des deux cas de Stefanelli et Lévi la malade avait une hyper
elles qu'on rencontre dans l'ostéomalacie. Il est vrai que dans ces cas de tabes avec troubles osseux si marqués, il se
de la survie de ces animaux. Nous devons ajouter encore que dans un cas de tétanie chronique du service de l'un de nous
conclusion que cette diminution ne peut être affirmée dans tous les cas . On peut trouver en outre une diminution du cal
. Bd N'Il lleft, 1, p. t. 13. Louis DUDnEulI.-CU \ II8AnOEL. - Un cas de maladie de Basedow héréditaire accom- pagnée
eber Kastrat. bei Osteom, Wiener klin. Woch., 1890. 81-. Guéniot. - Cas typique d'ostéomalacie. Bull. de l'Acnd. de Med.,
cteur de la salle des Admissions et des Consultations médicales. Le cas que je 'désire rapporter appartient-il à la diffo
-il partie de quelque forme similaire ? Pour pouvoir classifier mon cas avec de plus sûres données, je tâcherai 'avant
plus tard décrivait magistralement Madelung, il est certain que les cas relatés ne pouvaient pas donner une lumière suffi
tes (1) de Siegrist (1908) on peul évaluer à 50 le nombre total des cas décrits. A ce chiffre on doit aujourd'hui joind
tal des cas décrits. A ce chiffre on doit aujourd'hui joindre les cas publiés en 1908 c'est-ir- dire les observations
1909\ l'oncet et Lericlie (1909), Pull (1909), Palazzi (1909) et le cas de Mac Léman (1909). D'après la description de
(1909) et le cas de Mac Léman (1909). D'après la description de ces cas , description le plus souvent très précise et di
, d'après les données anatomiques que nous possédons sur quel- ques cas très rares (Madelung-Franke), et enfin d'après le
n, un traumatisme. Comme exception à cette règle nous avons le seul cas de Kirmisson dans lequel la main, par rapport a
s il conserve ses rapports avec le carpe (la plus grande partie des cas décrits) ; parfois le radius perd ses rapports
radius perd ses rapports avec les os du carpe et il est comme luxé ( cas de Dupuytren, Begin, Boinet, Guépin). Dans d'au
mme luxé (cas de Dupuytren, Begin, Boinet, Guépin). Dans d'autres cas la radiographie nous permet d'observer des courbu
fait voir des hyperostoses au cubitus et au radius. En beaucoup de cas la difformité est bilatérale et parfois parfaitem
latérale et parfois parfaitement symétrique. Selon Siegrist, sur 50 cas de maladie de Madelung, on note cas avec des lé
étrique. Selon Siegrist, sur 50 cas de maladie de Madelung, on note cas avec des lésions unilatérales et 28 cas avec lési
aladie de Madelung, on note cas avec des lésions unilatérales et 28 cas avec lésions bilatérales. La difformité affecte
formité se manifeste évidente entre 10 et 20 ans ! Mais on cite des cas dans lesquels l'affection se manifesta insidieuse
a insidieusement et sans causes apparentes à un âge avancé. Dans un cas de Madelung la suliluxalion en avant de la main
xalion en avant de la main se constitua à l'age de 22 ans ; dans un cas de Bartliès elle fut observée à de 36 ans, mais d
dans un cas de Bartliès elle fut observée à de 36 ans, mais dans ce cas , la difformité doit probablement son débuta une
buta une chute faite 6 mois aupara- vant. De même Barthès relate le cas d'un sous-officier qui présenta la difformité t
de 32 ans, probablement à la suite- d'une contusion. Dans quelques cas très rares l'affection de Madelung peut être co
t être congénitale, à cette opinion se range Jean, se basant sur un cas de difformité bilatérale décrit en 1875 avec le
it en 1875 avec les résultats de l'examen analomo- pathologique. Ce cas a été rapporté par Delbel auquel peut s'adresser
associée à d'autres malformations. D'ordre congénital est aussi le cas décrit par Arduin en 1902 sous le titre de « luxa
n congénitale incomplète du poignet ». Jagot estime aussi que son cas décrit en 1897 est d'ordre congénital et hérédi
97 est d'ordre congénital et héréditaire. Congénital fllt enfin mon cas qui certainement appartient à la forme décrite
érations topographiques qui produisirent la diffor- mité dans notre cas ,j'ai pensé utile de présenter ici un schéma des o
érations osseuses de la région radio-carpienne observées dans notre cas (V. fig. schématiques .1 et 2). Il suffit de co
de la dite difformité. Pour le moment il est certain que dans notre cas ,'altération du squelette est congénitale, certi-
. Mais cette deuxième hypothèse ne peut être mise en jeu dans noire cas que cum grano salis ; soit parce que la possibi
de la maladie de Madelung. Avant tout il n'y a aucun doute que mon cas doit être considéré comme faisant partie de ce
ulsion d'inlluences mé- caniques. 13arlhés au contraire décrit deux cas de maladie de Madelung ë' chez des sujets âgés,
s ou les collatéraux d'autres difformités osseuses ou articulaires ( cas lez et 3e de Siegrist) ; enfin un facteur pour ai
liologique d'une certaine importance. J'ai déjà parlé plus haut des cas de maladie de Madelung d'origine foetale et j'a
origine foetale et j'ai aussi montré l'origine congénitale de noire cas , exposant à cet égard mes idées qui, basées sur
xpliquer la plus grande partie des difformités congénitales, et mon cas contribuerait ainsi à éclairer le rôle du facte
le que soit cause originaire qui produise la difformité. Dans notre cas cependant à la période foetale, pour une cause
position du cubitus et du radius. Par rapport à la pathogénie, mon cas se détache aussi de tous les autres cas décrits
apport à la pathogénie, mon cas se détache aussi de tous les autres cas décrits. En effet, suivant la majorité des auteur
ôme consécutif à cette disposition du radius. Conclusions 1° Le cas que j'ai décrit, par la difformité caractéristiqu
ormité de Madelung ou subluxation spontanée du poignet. 2° Dans mon cas la déformité est bilatérale et parfaitement symét
es difformités d'ordre foetal, nous pouvons admettre que dans notre cas , par des contractions utérines ou par quelques an
ung, Berlin. klinische Woch., 1908, no 50. 13. J.\COI : LET. - Un cas de maladie de Dupuytl en Madelung, Revue d'orthop
24. JACOULET. Vedi sopra. 25. MAC Leur. - Idem. 26. Arduin. Un cas de luxation congénitale incomplète du poignet . R
p. 159 (conf. lavoro dell'Abadie e di Siegrist). 28. PIOLLET. - Un cas de radius curvus, Lyon médical, 1906, n° 46. 29
actylie est l'anomalie dont nous nous occuperons, à l'occasion d'un cas que nous avons observé nous-mème à l'hôpital de S
métacarpiens et carpiens sont à l'état normal. Il s'agit donc d'un cas d'hexadactylie bilatérale des mains,' sur un suje
re inférieure grosse et une légère blésité. Voyons maintenant si le cas pré- sente quelque chose de particulier et quel
t de doigts. Il y a en cela une oscillation notable dans les divers cas . Ainsi, pour en citer quelques exemples, Ruysch
ts à la main droite et six à la main gauche ; Morand (2) observa un cas où chaque main présentait sept doigts ; Suviard
ain et douze à chaque pied ; Hagenbach (G) décrit, entre autres, un cas de quatorze doigts à chaque pied ; etc. Les a
st très rare, si bien que Maupertuis en a rencontré seulement trois cas sur 100.000 habitants. Blot ne l'a observée qu'un
ment une seule fois sur ' ! 1..000 nouveau-nés. Spoto n'en a vu qu'un cas en trois ans dans un asile d'aliénés abritant 1
ques-uns des exemples les plus remarquables, ylaupertuis observa un cas , dans lequel cette anomalie se répétait jusqu'à l
e cons- tant. Il existe en effet à ce sujet dans la littérature des cas où l'hérédité manque. D'ailleurs, si l'hérédité
nt aux premiers linéaments des phalanges, supérieur à cinq, dans un cas allant jusqu'à neuf (2). 2° Données d'anatomie
ent il ces signes la valeur de phénomènes réversifs. C'est dans les cas où la transmission directe man- que que les aut
peler que ce genre d'hérédité ne se rencontre pas toujours dans les cas où il n'y a pas d'hé) édité directe. Il y a en
s ascendants quelque signe que ce soit de dégénérescence (2). Notre cas même, et c'est là qu'en réside, à notre avis, l'u
te du caractère pathologique (6) ». liasse croit que la plupart des cas de polydactylie appartiennent à la tératologie,
, s'il n'a avec eux qu'un rapport de proximité, on ne peut, dans ce cas -là, parler de schistodactylie puisqu'il n'y a auc
omme le voudrait Ahfeld, ou d'autres causes) peuvent, dans quelques cas , en loca- liser l'action au point correspondant
e de Médecine mentale. Nous avons eu l'occasion d'observer quelques cas pouvant être rappor- tés à la Presbyophrénie de
lir de rapport entre le tableau clinique et l'étiologie, que dans les cas où des formes cliniques bien nettes se manifest
contrer exac- tement le même tableau clinique, sans polynévrite. Un cas de ce genre m'est rappelé par la femme d'un méd
tade chronique existaient au complet. « Je traite, en ce moment, un cas analogue qui se manifesta à la suite d'une inte
, elle ne se manifeste que chez les vieillards, et dans beaucoup de cas , ne révèle aucune autre étiologie. En cela, elle
vous souvenez des deux exemples que je vous ai présentés : dans un cas , il s'agissait d'une femme de 78 ans, Mme H..., q
guérir,et c'est assez fréquenl,est de 4 à S semaines. Dans d'autres cas , la chronicité s'installe d'une façon insen- si
est encore bonne ; c'est l'avis de tout le monde. » « Dans bien des cas , par contre, il existe un sentiment exact de la m
reconnaissent la voix de leur père ou de leur soeur. Dans tous ces cas , l'alcool semble jouer un rôle important. a Le
é, tandis que la psychose de Korsakoff se manifeste dans 55 0/0 des cas , entre 30 et 50 ans. En outre, abstraction fait
. On peut tout au plus trouver des difficultés diagnostiques dans les cas où il existe en même temps des excès notables d
sychose de Korsakoff, et, en règle géné- rale, lorsqu'on observe un cas de Presbyophrénie, il y a lieu de recher- cher
syndrome presbyophréuique et le syndrome de Korsakoff. « Dans les cas que nous avons observés, l'ensemble du tableau mo
e de l'assimiler complète- ment aux démences, puisque,dans certaius cas , la presbyophrénie peut guérir. Ou voit ainsi s
la presbyophrénie et la psychose de Korsakoff. « Dans beaucoup de cas ,une enquête anamnestique minutieuse et un examen
hrénique se ramène à une variété de fabulation ; il re- présente un cas de « Mythomanie associée». « Cette forme (4) de
est l'hébéphrébénie pour les psychoses de la puberté. Dans les deux cas , l'auteur se propose d'isoler une espèce dans un
ur se propose d'isoler une espèce dans un genre ; et, dans les deux cas , le nom de l'espèce n'est autre chose que la trad
ff notamment, se rencontrer a tous les âges (à l'âge adulte dans un cas de Deny et Camus) (1). Mais la notion de syndro
ns d'apporter, une contri- bution personnelle, d'après les quelques cas dont nous allons résumer l'histoire. OBSERVAT
ique qui s'attache au syndrome dit presbyoplirénique. Dans tous les cas , l'association de l'amnésie de fixation à la conf
nt syphilitiques et ai-léi-io-scléi-etiges; fréquemment on voit, en cas d'insuffisance hépatique ou rénale, surtout chez
à l'albuminurie (3). Le diagnostic différentiel est, dans tous ces cas , d'autant plus difficile que le syndrome observé
e peut être le seul résultat clinique de l'amnésie de fixation. Les cas sont fréquents où une amnésie de fixa- tion, mê
utre analogie rapproche la rêverie de la fabulation : dans les deux cas , non seulement la vie allo-psychique est conservé
et ccntnésique ; la fabulation mylhopalhique constitutionnelle. Les cas de fabulation consécutive ou équivalente aux état
'homme éveillé remplace le rêve de l'homme endormi. Dans certains cas , le presbyophrénique, sujet à de fréquents accès
sain qui raconte un rêve. Il est souvent très difficile, en pareil cas , de distinguer la fabulation consécutive à l'onir
actère professionnel, mouvementé, fantastique, terrifiant. Dans les cas notamment où l'étiologie toxi-infectieuse s'impos
ien déterminée de son existence (entre 30 et 40 ans). Dans d'autres cas , on observe le tableau clinique du Puérilisme, dé
entre en jeu. Vraisemblable à titre d'hypothèse, dans beau- coup de cas de fabulation chez les amnésiques, et propre à ex
ie, ce facteur éliologique peut être relevé, en fait, dans certains cas , où, comme dans nos observations 1 et II, l'act
lie à des anté- cédents mytliopathiques incontestables. - En pareil cas , l'activité créa- trice n'est plus simplement p
ent pour son propre compte avec complai- sance et exubérance. Ces cas particulièrement intéressants, permettent de ratt
oncevoir le syndrome presbyo- phrénique comme la rencontre, dans un cas donné, d'une cause (1) Duras, Puérilisme dément
ais de la fabulation. La Presbyophrénie caractérise donc, en pareil cas , des états d'affaiblis- sement relatif, démenti
ité pathologique. - Eu 1892, le Professeur HekhteretI a décrit cinq cas « d'une affection spéciale qui se manifeste par
érédo-traumatique » (Pierre Marie). En 1897, Slriimpell a décrit un cas d'ankylose complète de la colonne vertébrale et
e de la colonne vertébrale et des articulations du bassin ; dans ce cas , les articulations* de l'épaule et toutes les a
e qui a fait, en 1898, une 'description cli- nique parfaite de deux cas d'arthropathie chronique sous le nom de Spon- d
<'(;'31)),0;, vertèbre, pix, racine, pÛQ" membre). Dans ces deux cas , toute la colonne vertébrale et les articulations
ont été assez rares. Nous avons trouvé, clans la litté- rature, 15 cas d'autopsie (quelques cas décrits par MM. Bekhtere
s avons trouvé, clans la litté- rature, 15 cas d'autopsie (quelques cas décrits par MM. Bekhtereff, Marie et Léri, Pie
ous le nom de spondylose rhizomélique, donnèrent la description des cas « d'immobilité » de la colonne vertébrale ou de
mmobilité » de la colonne vertébrale ou des articulations, mais ces cas n'ont, au fond, rien de commun avec la spondylo
scou (Service pour les maladies ner- veuses du Or Préobrajensky) 13 cas , et 3 cas hors de l'hôpital ; soit 16 cas en to
ice pour les maladies ner- veuses du Or Préobrajensky) 13 cas, et 3 cas hors de l'hôpital ; soit 16 cas en tout d'immob
ses du Or Préobrajensky) 13 cas, et 3 cas hors de l'hôpital ; soit 16 cas en tout d'immobilité delà colonne vertébrale et
omélique décrite pour la première fois par M. P. Marie. Dans quatre cas qui ont eu une Nouvelle Iconographie DE la SAlP
t pas encore été faite. Voici d'abord un exposé rapide de nos seize cas que nous avons observés personnellement. Obse
LOSE RHIZOMÉLIQUE 135 gidité des muscles dorsaux. Il s'agit dans ce cas de rhumatisme articulaire chronique, ayant débu
et 1 femme). La littérature ne signale, à notre connaissance, qu'un cas chez la femme (le cas de Gasne). 2° Le début de
ature ne signale, à notre connaissance, qu'un cas chez la femme (le cas de Gasne). 2° Le début de la maladie se fail à
ouvent dans les mêmes parties de la colonne vertébrale que dans les cas de la forme aiguë. Dans les mêmes parties se dé
imitation des mouve- ments et, plus lard, une ankylose absolue. Les cas sont très rares où le processus de l'ankylose c
s où les douleurs et l'immobilité se propagent de bas en haut (onze cas ) ces dou- leurs se manifestent dans la région s
quefois, mais bien plus rarement, dans une direction opposée (trois cas ) : il commence à la région du cou et des articu
immobile dans toute sa longueur, de la tête jusqu'au sacrum (dans 8 cas ), ou bien elle n'est immobile qu'à la région dors
, ou bien elle n'est immobile qu'à la région dorso-lombaire (dans 6 cas ). 11° La cyphose de la colonne vertébrale prése
La déviation ne se trouve le plus souvent qu'à la partie dorsale (8 cas ), ou bien elle siège à la partie cervicale infé
partie cervicale inférieure et à la partie dorsale supé- rieure (3 cas ) ; il existe parfois une cyphose de la partie dor
il existe parfois une cyphose de la partie dorsale et lom- baire (1 cas ). La configuration de la colonne vertébrale sau
colonne vertébrale sauf la déviation en avant est normale; dans un cas la cyphose s'est accompagnée d'une scoliose peu
l n'y a pas de saillies postérieures des vertèbres. 12° Dans nos 14 cas , la lordose lombaire physiologique est aplatie.
des articulations des genoux ont été légèrement limités. Dans trois cas on trouve dans les antécédents personnels, des
trophie avec épaississement des muscles longs du dos. Dans quelques cas on observe un tremblement fasciculaire, mais on n
rdons postérieurs de la moelle. ÉTUDE ANATOMO-PATHOLOGIQUE - D'UN CAS DE MALADIE DE DERCUM CHEZ UNE IMBÉCILE ÉPILEPTI
e douloureuse. (1) GUILLAIN et ALQUIER, Etude analomo-patltol, d'un cas de mal. de Dercum. Arch. de méd. exp. et d'Anat
cum. Arch. de méd. exp. et d'Anat. pathol., 1906. (2) Le PLAY, Un cas de mal. de Dercum. Soc. de Neurologie, 1903. (3
al. de Dercum. Soc. de Neurologie, 1903. (3) Srcnno et Roussy, Deux cas d'adipose douloureuse, suite d'ovariotomie. Soc.
est celle de Dercum et Mac Carthy (-1 ). Le système nerveux dans ce cas était normal, part quelques anomalies des circonv
ent la présence de symptômes basedowiens chez leurs sujets. Dans le cas de fini Nain et Alquier (5) il existait des lés
ns de G. Price(6) on trouve les lésions suivantes : dans le premier cas des lésions inflamma- toires de la glande thyro
a- toires de la glande thyroïde et de l'hypophyse, dans le deuxième cas une prolifération du tissu conjonctif de la gla
e l'hypophyse. La lésion des surrénales n'est constatée que dans un cas , celui de Mac Carthy (7), et consistait en une
t Levesque (10) ont relevé (1) Dercum et nlec Carthy, Autopsie d'un cas d'adipose douloureuse.American journal 1 of Med
se. Presse médicale, 1903, à 28. (9) E. V. Taylor et J. S. LUCE, Un cas d'adipose douloureuse. Boston med. journ , févr
ston med. journ , février 1906. ? (10) Le Meignen et Levesque, On cas de maladie de Dercum à rémissions passagères^,
erfs périphériques étaient normaux. On peut admettre que dans notre cas les altérations dystrophiques étaient bien sous l
e occipitale pour se rendre à la calcarine. Rth étant, dans notre cas , plus rapproché de la tumeur et lésé de façon p
a puissance de résistance de ces faisceaux de projection. Dans un cas précédent (obs. VIII), l'évacuation des ventricul
les jours qui lui sont donnés sont supportables. Ce ne fut point le cas . Nous devons par tous les moyens possibles cher
néré jusque dans le tub mam. plus petit il droite qu'à gauche. Ce cas , qui par sa longue durée semblait devoir être uti
urée. ' On peut mettre en parallèle avec le manque d'hémianopsie du cas pré- cédent, le fait que J. ne fut pas apraxiqu
ement très bien conservée. Mais d'une pari, ceci est fréquemment le cas dans les cerveaux à tumeurs, tandis que le type
ntaines alors que fréquemment elles en sont elles-mêmes. Les deux cas ci-dessus illustrent cela de façon frappante : Ob
e résultat que h. 6° Perforation spontanée du crâne ; 7° Dans des cas de tumeur spécifique, le ramollissement de certai
ffre plus que les masses grises. 1110 WEBER 10° Enfin, dans des cas très chroniques, on peut observer, même chez l'
s modifications de la configuration de la boîte crânienne. Dans les cas de tumeur d'un seul hémisphère et surtout à parti
é), il peut y avoir avantage à ponction- ner ce dernier. Dans les cas de néoplasmes qui mettent obstacle au courant ven
onique ou nerveux, myxoedème, maladie de Dercum, etc. A côté de ces cas , où l'infiltration même du tissu donne de son éta
s signalée à propos de la plupart des sels de mercure (1). Mais les cas où le processus gangreneux a atteint une aussi
Les ulcérations cutanées bilatérales ne sont pas rares. Dans certains cas mêmes, la perturbation des actes nutritifs semb
Il est probable que les grandes images se vendaient couramment. En cas de succès, les éditeurs étaient même obligés de s
mot paraissant du même âge. ' J'ai eu l'occasion d'en observer deux cas dont l'histoire clinique est obscure et présent
lle. Dans la seconde, on en relève 11. Dans l'un comme dans l'autre cas , c'est un nombre minimum : les coupes ayant été
e est très obscure. Le diagnostic n'a pas été fait : dans le second cas on a pensé à de l'urémie, dans le premier à un si
céphalie des ventricules, circonvolutions aplaties. L'obs. V est un cas d'angiosarcôme comprimant la protubérance, le bul
fération névroglique, peut-être de nature tuberculeuse. Dans son 2e cas , il s'agit d'un homme de 19 ans, qui présenta une
par la corne occipitale saillante en dedans. Ludlum (3) dans deux cas de méningite, l'une cérébro-spinale aiguë, puru
r oblitération de l'aqueduc. Iloppe (1) admet théoriquement que les cas oit le syndrome de tumeur cérébrale guérit peuv
s citerons les faits suivants : Quincke (2). L'auteur rapporte un cas de « Stauunas hydrocepllalus » hydrocéphalie pa
Sylvius. - L'auteur mentionne encore sans le rapporter en détail un cas d'hydrocéphalie des 3 ventricules par un kyste
le vermis inférieur du cervelet. - A. Stern (4). L'auteur publie 4 cas personnels et rapporte 68 cas ras- semblés dans
et. - A. Stern (4). L'auteur publie 4 cas personnels et rapporte 68 cas ras- semblés dans la littérature. Il retrouve p
un rôle important. ' L'auteur explique même la mort subite dans ces cas -là par une obtura- tion complète d'un passage,
t amenant une hypertension intra-crànienne brusque. Dans d'autres cas , l'oblitération n'est plus évidente, mais les aut
et ne pas adopter de conclusions trop absolues : dans notre premier cas , où l'aqueduc de Sylvius n'est pas intéressé, l
ée par leptoméningite : cette lésion manquait totalement dans notre cas personnel, où les méninges de la base étaient abs
urs dans la recherche du diagnostic exact. Voici l'observation du cas : i Observation (PI. XXXI, XXXII). Bon... Jos
gauche. Il est hors de doute qu'il s'agit,, chez notre malade, d'un cas de sy ringo- myélie. La main en griffe, la di
. on ne voit pas les espaces interosseux comme cela se voit dans un cas d'atrophie vulgaire. La couleur de la peau de l
e la main cheiroméga- lique ou de la main type Morvan, car avec ces cas une confusion nepour- rail pas se faire. Et m
durent encore aujourd'hui sous la même forme (fig. 9). Comment le cas doit-il être interprété ? Suivant la nomenclature
erprété ? Suivant la nomenclature aujour- d'hui à la mode,est-ce un cas de folie maniaque dépressive ou de démence préc
e guère, sous son aspect complet, d'une façon durable, que dans ces cas de démence juvénile, qu'en raison de leur ana-
s divers d'un syndrome catatonique, tel qu'on le rencontre dans les cas qualifiés de démence précoce. Et l'on n'aurait
ire de teinte mélancolique prédominante, comme dans certains de ces cas qu'on appelle aujourd'hui pes cas mixtes. De pl
nante, comme dans certains de ces cas qu'on appelle aujourd'hui pes cas mixtes. De plus il était à noter que ce trait par
ation vient à l'appui de cette remarque de Kroepelin que « bien des cas qui se montrent sous la forme d'accès semblables
r que dans le vaste cadre de la démence précoce, à côté de quelques cas méri- tant peut-être vraiment une description à
ataxie intra-psychique (Urstein). La présence possible, en pareil cas , d'intermittences complètes et pro- longées s'a
, englobée depuis dans la folie maniaque dépressive, il ressort des cas du genre de ceux que nous venons de rapporter que
non plus de critérium symptomatique permettant à coup sûr, dans un cas douteux, de distin- guer les deux formes, on pe
façon sensible, au profit de la maniaque dépressive, le nombre des cas de dé- mence précoce dans ces dernières années.
aire, de la dé- mence précoce, et fait remarquer que, dans bien des cas , l'identité d'évolution peut faire attribuer à
la folie maniaque-dépressive. La description que donne cet auteur des cas qu'il a observés rappelle beaucoup nos propres
ire contradic- toires, nous avons cru intéressant de signaler trois cas de noevi observés récemment, et qui offrent le
o- sées aux leurs. Nous-mème, nous n'avons pu trouver que ces trois cas parmi les 500 aliénés de notre service. Quoi
us sommes demandé dans quelle catégorie pouvaient rentrer les trois cas que nous avions recueillis, et nous avons cherché
ce iuterépiueux de la colonne cervicale. (Fig. 1 et 2). , Dans ce cas -là, il semble bien que les théories cutanées soie
n des taches pigmentées. Nous avouerons que nous n'avons pas sur ce cas d'opinion bien arrêtée. Observation III. Mans
donné le nom de noevus variqueux ostéo ? ypertrop)jique. Dans le cas qui nous occupe, les varices paraissent faire déf
loppement anormal 1 du tissu cellulaire et graisseux; dans tous les cas nous pouvons admettre l'existence d'une forme f
noevi sur la surface du corps parait bien, dans un grand nombre de cas , correspondre à une disposition radiculaire. (1
delà spondylose rhizomélique, à une description détaillée d'un seul cas , mais les conclusions que nous poserons seront
conclusions que nous poserons seront basées sur l'étude des quatre cas . Toutes les figures qui suivent sont des photog
prise entre la tête (F) de la côte et deux vertèbres (A et C) du cas do Spondluse rhizom. : B, disque interv. conservé
erver- tébral (fis.10, PI.XXVII).Sur la pièce pathologique de notre cas , aucune structure articulaire n'apparaît ; on n
ligamenteuse courte qui ne permet qu'un mouvement court. Dans notre cas , tous les rangs des apophyses obliques à ossifi
des articulations des hanches, des genoux et des épaules dans notre cas , montre qu'il présente en divers en- droits des
la nature même de l'affection. 2° Spondylite tuberculeuse. En ce cas , les douleurs ne sont pas aussi intenses; elles
forment une cyphose locale accentuée. Les grandes articulations, au cas de spondylite tuberculeuse, sont rarement attei
ession radiculaire, et rendent les vertèbres douloureuses. Dans les cas douteux, les symptômes caractéristi- ques sont
caractère atrophique et hypertrophique, ce qui n'a pas lieu dans le cas de la spondylose rhizomélique. 2° L'inflammatio
3° Forme traumatique héréditaire de M. 13c%Irtere/f. Dans tous les cas que décrit Bekhtereff, l'affection se porle exclu
t convulsions des extrémités). La cause de la maladie dans tous les cas est l'hérédité et le traumatisme, d'où le nom d
nce des racines des nerfs rachidiens. Les pièces anatomiques de ces cas montrent des foyers isolés de dégénérescence de
es. On peut se demander s'il ne s'agit pas simplement dans certains cas de maladie de Bekhtcreff, de pachyméningile spi
pertrophique ( ? ) lio Brissaud el Grenet ont, en 1 ! IO, décrit un cas (l'ankylose du rachis LA SPONDYLOSE nI11Z0111hL
is LA SPONDYLOSE nI11Z0111hLIQUF 249 chez un homme de 37 ans ; ce cas diffère du type P. Marie et Strumpell par l'int
sulte de ces modifications soit une « ankylose fibreuse n, soit (au cas de transfor- mation du tissu conjonctif nouvell
or et Cassirer, de la clinique d'Oppenheim de Berlin ont décrit des cas d'immobilité du rachis d'origine myopathique. L
ces douleurs s'accentuaient à l'occasion des mouvements. Dans deux cas , le rachis constituait une colonne verticale et
forme d'ankylose des articulations. En 1905, M. Berger a décrit un cas analogue. Les signes communs des deux cas sont
05, M. Berger a décrit un cas analogue. Les signes communs des deux cas sont les suivants : le jeune âge des malades (2
sur les vraies causes de la spondylose rhizomélique. Dans plusieurs cas , il n'y a aucun rapport évident entre une cause n
1° Les changements brusques de température que nous trouvons dans 4 cas : l'ouvrier de la verrerie, exposé à la chaleur d
n rapport évident avec l'affection princi- pale ; dans les 8 autres cas l'urétrorrhée n'existait pas. 3° Dans 9 cas, l'
ale ; dans les 8 autres cas l'urétrorrhée n'existait pas. 3° Dans 9 cas , l'affection commença sans cause aucune. si La
on qui vint s'ajoutera l'affection idiopathique. Parmi les 9 autres cas , il n'en est qu'un où la tuberculose des sommet
rage (Obs. du D' Lubovitcli). 6° La syphilis est signalée dans cinq cas sur quatorze. Nous ne pouvons considérer aucune
s sommets des poumons, sont imparfaitement ventilés. Sur nos quatre cas d'autopsie, trois fois la mort a été due à la t
fois la mort a été due à la tuberculose. TRAITEMENT Dans tous nos cas , on a largement administré les médicaments intern
umeurs de la glande pinéale. A. Pappenheimer donne le résumé des 36 cas de tumeurs de la glande pinéale qui sont décrit
du tissu conjonctif et du tissu névro- glique. Dans tous les autres cas , les noyaux en fer à cheval ont été trou- vés c
oit la boule ap- puyée sur la membrane du noyau.Ensuite on voit des cas où la membrane est rompue et la boule en train
oin, parce que ces cellules ont paru être les plus communes dans un cas où le parenchyme était détruit, et où par conséqu
out différent des cel- lules aux noyaux échancrés ; on voit dans ce cas deux noyaux unis par un pont plus mince qui app
s pendant que la périphérie du protoplasma est libre. Dans quelques cas , autour de quelques-unes de ces cellules granuleu
parties du cerveau. Nous ajouterons que nous avons vu, dans un seul cas , outre ces cellules, quel- ques cellules sembla
en cellules dont toutes les granulations sont lipoïdes.En quelques cas on voit dans le protoplasma des granules pe- ti
ans être en conlact avec le tissu conjonctif. Cependant dans peu de cas nous avons observé des calcifications dans les se
types de glandes faites par Anglade et Ducos. Dans plusieurs des cas examinés, nous avons trouvé de petits kystes, u
sultat d'une division de l'épen- dyme n'a été trouvé dans aucun des cas que nous avons examinés ; on le suppose d'aille
s mastcellules ou une certaine forme de cellules de déblai. En tout cas il est remarquable que ces cel- lules se trouve
onction. Si bien que la glande pinéale a une fonction. Dans un seul cas nous avons trouvé une dégénére-cence totale de
de l'organe ; nous regrettons beaucoup que nous ayons reçu dans ce cas deux glandes confondues ; celte glande fut, ou
CHERCHES CYTOPATHOLOGIQUES SUR LES GANGLIONS RACHIDIENS DANS DEUX CAS DE PARALYSIE SPINALE INFANTILE DE DATE ANCIENNE
achidiens correspondant aux membres malades. Ainsi, dans le premier cas de paralysie spinale à type monopiégique, seuls l
ôté correspondant au membre atrophié sont lé- sés. Dans le deuxième cas de paralysie spinale à type paraplégique les ga
raisons suivantes : Il leur nombre n'est pas variable comme dans le cas des corpuscules paranucléolaires, car ils sont to
érées celle position est à peu près de règle. En effet, dans les deux cas de poliomyélite antérieure chronique, j'ai pu c
ole n'est pas sus- ceptible de se déplacer ; le plus souvent, en ce cas il réagit par un bour- geonnement intense. Mais
la substance chromatophile la moins altérée. Dans les deux premiers cas , la situation centrale du nucléole pourrait êtr
cléole celui-ci doit garder sa situation normale. Dans le troisième cas , les échanges nutritifs sont complètement abolis
et de ce déplacement nucléolaire, l'auteur dit que dans beaucoup de cas , il a observé un déplacement du nucléole accomp
pothèse d'une issue normale du nucléole chroma- tique dans certains cas , nous sommes impuissants, à l'heure actuelle, à
on, dont la largeur est égal à la particule migra- trice... Dans le cas du nucléole, il semble que son issue mécanique do
nt à unétatspé- cial de la cellule dans laquelle il a lieu. Dans ce cas , il ne s'agit plus d'un simple entraînement méc
tie par lequel il quittera définitivement le noyau. Dans ce dernier cas , on peut voir des cellules dont la membrane mod
possède cette propriété (d'être continuel), elle jouit aussi en tout cas d'une certaine perméabilité. Elle peut laisser
é et ne paraissant pas avoir subi de modi- fications. Dans quelques cas , il nous a été impossible de constater sa pré-
énomènes précédemment décrits n'ont pu être constatés que dans deux cas de paralysie spinale infantile. Sur un grand no
. Mais, nos observa- tions ne portent, jusqu'à présent que sur deux cas de paralysie spinale, infantile, nous n'avons é
nous n'avons jamais trouvé une phase un peu plus avan- cée. En tout cas , nous croyons qu'on pourrait considérer l'extério
cellules gan- glionnaires avec des noyaux atrophiés et même dans ce cas on trouve tou- jours l'hypertrophie du nucléole
ps un nombre considé- rable de granulations fuchsinophiles. Dans ce cas ces granulations apparais- sent de (aille inéga
é- néisée, mais souvent il ne perd pas son individualité et dans ce cas il apparaît assez nettement. Grand nombre de fo
omporter en face des substances colorantes ; en effet dans les deux cas l'aspect du noyau est le même, mais les affinit
itiques, de l'axone ou de l'appareil neu- rofibrillaire, mais en ce cas on ne peut tirer aucun renseignement de nos piè
t le corps de la cellule ne se trouvent pas sur le même plan. En ce cas il s'agit très probablement d'une dislocation de
t vacuolaire seliouve toujours altérée : ainsi dans la majorité des cas , les corps de Nissl font L complètement défaut
titution, c'est-à-dire que les filaments apparaissent dans tous les cas constitués d'un nombre variable de granules sphér
celle du noyau, les filaments au lieu de se ramifier comme dans le cas précédent en plusieurs branches, aug- mentent d
eur au sur et à mesure' qu'ils s'éloignent du centre. Dans les deux cas la formation se trouve située à une distance asse
e ne fasse pas défaut se trouve beaucoup moins marquée que dans les cas précédents. Donc, l'exis- tence d'un certain ra
autre au côté sain, par exemple les sixièmes ganglions cervicaux du cas de paralysie spinale type monoplénique, il est
ot la formation d'un nodule ne peut plus être considérée dans notre cas comme la dernière étape du processus pathologique
rage humaine expérimentale. En ce qui concerne l'élude de nos deux cas de paralysie spinale infantile de date ancienne
citer. L'aspect que présentent ces ganglions est en tous (1) Sur un cas parisien de Poliomyélite nigné (Maladie de Ileine
tique atteigne un aussi grand nombre de nerfs crâniens et en pareil cas la lésion est ordinairement plus ou moins bilat
dullaire. Une telle lésion devient bien improbable et dans tous les cas entraîne- rait infailliblement l'atteinte des v
avant tout des syndromes de compression intra-crànienne. Des trois cas qu'il 1 apporte,deux s'accompagnent de stase pa
oisième est survenu chez un jeune homme tuberculeux.- Dans l'un des cas avec stase la lésion parait vraisemblablement d
lysie de l'hypoglosse avec celle du spinal. Tel était probablement le cas des malades de Minor et en particulier il en ét
ainsi dans la remarquable observation de M. Souques (1) et dans le cas récent de Ferrari (2). Cependant ces tumeurs
touchés il est presque toujours le pre- mier atteint. Or dans notre cas , S des 7 dernières paires sont sûrement atteint
illaire est un signe inconstant de tumeur, mais son absence dans un cas comportant l'atteinte d'un aussi grand nombre de
littérature quelques observations de ce genre, en par- ticulier un cas de Ilvana et Vysin (1) où il s'agissait d'une tub
'étude avec M. Salin (4), et qui est sensiblement constant dans les cas de compression nerveuse par lésion tuberculeuse d
u glycose normal, qui ne s'observent que dans la moitié environ des cas . Ces modifications du liquide manquaient complè
s syndromes bacillaires, et notamment il en était ainsi dans un des cas déjà cités de Minor. Dans tous les cas et malgr
l en était ainsi dans un des cas déjà cités de Minor. Dans tous les cas et malgré quelques réserves sur la possibilité d'
par cer- tains côtés sans toutefois s'identifier avec lui. C'est un cas de ce genre que nous avons observé récemment. U
is de relever ni convulsions, ni infections graves. On le voit, les cas de ce genre sont d'un classement et d'une inter
. le professeur Marie, en 1886; à partir de ce moment, le nombre de cas publiés a rapidement augmenté, et d'après la stat
ique de Sternberg, il a monté jusqu'à 282 en 1897. La plupart des cas publiés sont conformes au type classique décrit p
mes au type classique décrit par Marie ; on rencontre cependant des cas atypiques, où manquent quelques symptômes signa
lés comme classiques par M. le professeur Marie. Ainsi ,on a vu des cas où il n'y avait point de lésions du côté des pied
man (6)], de la mâchoire (Engelhardt), et Chauffard (7) a publié un cas d'acromégalie sans déformation des pieds ni des
cuter plus longtemps cette question, je passe à la description d'un cas d'acromégalie fort inté- ressant que j'ai obser
et de la nuque, partout ailleurs elle est bien conservée. Dans le cas actuel, nous avons affaire à un cas d'acromégalie
e est bien conservée. Dans le cas actuel, nous avons affaire à un cas d'acromégalie atypique, vu l'absence des déform
montrent bien que nous avons affaire ici à la démence précoce. Le cas que nous venons de décrire se distingue par certa
mains. Chauffard a publié une observation analogue, mais, dans son cas il s'agissait d'une acromégalie au début, tandi
du mot, coexistant avec l'acromégalie. La statistique exacte de ces cas n'est pas facile à faire d'une part à cause de
essive qui accompagne le plus souvent l'acromégalie ; tels sont les cas de Pick, de Garnier et de Saintenoise, que Barr
tenoise, que Barros (9) cite dans sa thèse; tel est probablement le cas de Brunet et 328 MIKULSKI celui de Tinzi-Grag
atteinte d'une psychose maniaque dépressive. Barros enfin décrit un cas d'acromégalie ayant des équivalents épilep- tiq
es. Aussi, serait-il très précieux de réunir et de publier tous les cas d'acro- mégalie accompagnées d'une psychose, af
aux mala- des du système nerveux, j'ai eu l'occasion d'observer un cas de difformité congénitale des mains sur lequel
er une étude car, si la littérature du sujet est déjà abondante, le cas présente toutefois quelques caractéristiques sp
moitié gauche. Voyons maintenant quelles sont les particularités du cas en présence du- quel nous nous trouvons. 332
signes somatiques et parfois même psychiques de dégénérescence. Mon cas prouve que cette doctrine ne peut pas non plus
t l'examen analytique de ces radiographies, constater que, dans les cas de simples déformations congénitales des mains
ophie de la moitié gauche du thorax, qui n'a d'égale en aucun autre cas de la littérature médicale. Le détail morphologiq
, les déformations ci-dessus rappelées et la poly- dactylie dans le cas dont il s'occupait, ont une valeur essentiellemen
Mais cette explication, quoique d'ailleurs on en doive faire grand cas , est, à mon avis incomplète. On doit toujours d
iment pas difficile, si l'on considère qu'il s'agit dans le premier cas d'influences qui agissent sur un système en voie
issent sur un système en voie de déve- loppement, et dans le second cas qu'elles s'exercent sur un système com- plèteme
acilement, à moins que son ataxie ne soit pas trop avancée. Dans ce cas , la marche est plus difficile, les pieds sont éca
r un seul pied, surtout si les yeux sont fermés. Il y ci donc des cas incontestables de malades tabétiques et ataxiques
nt à un tel degré d'intensité, que nous en avons vu dernièrement un cas dans le service de M. le professeur Marinesco ;
morales, comme l'a décrite Frenkel, on la constate surtout dans les cas d'ataxie très avancée. C'est alors qu'en voulan
seule jambe, ou s'il veut sauter à cloche-pied, etc. Dans tous ces cas , l'organisme a été pourvu de muscles puissants
s aussi que le tronc n'oscille pas latéralement. Supposons, dans ce cas , que les muscles situés autour de l'articulatio
omen, le muscle s'étend. En s'étendant le muscle durcit, et dans ce cas , il durcit d'aulant plus qu'il est contracté dès
peut dire presque automatiquement. Voilà pourquoi dans ce dernier cas la fatigue met beaucoup de temps pour apparaîtr
eulement sur une jambe, sont d'autant plus difficiles que, dans ces cas -là, le malade doit se raidir vigou- reusement p
cette conclusion de Frenkei, car nous n'avons pas observé de pareil cas ; nous sommes mieux d'accord avec Frenkel quand
le ne peut pas n'èlreqtf une elle est si exagérée, comme dans les cas de genu recurvatum,que les tibias sont luxés en a
e tous mes remerciements, il m'a été possible de faire l'étude d'un cas particulièrement intéressant de syphilis cérébro-
icle actuel, de donner la des- cription systématique et complète du cas considéré au point de vue clinique et au point
ômes de cystite. Il y. a lieu de signaler que l'on pouvait, dans ce cas , parler de pseudo- tabes syphilitique. Depuis l
re fixée dans la formaline. 364 . HEIMANOW1TSCH La description du cas extrême d'atrophie dont nous nous occupons exig
s de la plus large acception de ce terme. Il était donc, dans notre cas , impossible d'arriver à poser le diagnostic d'a
lité d'un diagnostic d'atrophie ne saurait être admise que dans les cas où il peut s'agir d'une atrophie systématique (
tères spinales qui supprime l'apport nutritif; dans l'un et l'autre cas , la moelle subit des rétractions. Cela n'a pa
de penser aux troubles circulatoires. Oppenheim a publié un seul cas d'atrophie du système nerveux central (moelle é
mis l'atrophie en rapport avec les troubles en question. Dans le cas de ces derniers auteurs, le malade avait présenté
recherches expérimentales de Soukhanoff et d'autres. Cependant le cas d'atrophie que nous présentons ici paraît unique
unique dans son genre. Il reconnaît une tout autre étiologie que le cas de Long et Wiki, dans lequel d'ailleurs l'atrop
'atrophie est fort loin d'atteindre l'intensité reconnue dans notre cas . Après ce que nous allons ajouter, il paraîtra év
enchymateuse de tous les faisceaux. Or cela n'existe pas dans notre cas . Dans la région dorsale de noire moelle, c'est-
achy- méningite, ni la leptoméningite ne sauraient être, dans notre cas , la cause de l'atrophie; on ne peut cependant p
utile de prolonger celte discussion; la seule cause qui dans notre cas est susceptible d'expliquer l'état atrophique de
ue nous désirions aboutir. FACULTÉ DE MÉDECINE DE LYON UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE (ÉTUDE CLINIQUE ET radiographi
, Apert, Regnault,. pour ne citer que les principaux,et de nombreux cas ont été publiés à pro- pos desquels les nouvell
table retour ancestral. Nous voulons simplement apporter un nouveau cas qu'il nous a été donné d'observer dans le servi
de Lyon, alors que nous étions son interne (1). Si, de l'étude d'un cas isolé la question dé l'achondroplasie ne retire
nt satis- faisante. Cette idée légitime la publication des nouveaux cas d'achondro- plasie, qui se sont multipliés d'ai
ien voulu nous permettre d'utiliser cette observation. UN nouveau cas d'achondroplasie 369 Observation. B... Adrien
ONDROPLASIE (J. Rebattu). Mnsson W f ! tr FHÎTf"nn : UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE 371 372 REBATTU Les cuisses
CHONDROPLASIE (Radiographie du genou). (f. Rebattu). UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE 373 qui frappe le plus, c'es
une mal formation signalée par 1Je Levi qui l'a retrouvée dans les cas de Marie et de Dufour et la considère comme car
é de la débi- lité d'esprit achondroplasique. Boulenger a décrit un cas d'idiotie chez une achondroplasique, et Cbaumie
e spécial des achondroplasiques, dont l'in- telligence, suivant les cas , peut être supérieure, égale ou inférieure à la
argument contre la conception héréditaire, en faveur · ' UN nouveau cas d'achondroplasie 375 de laquelle des faits impr
nt de l'achondroplasie, mais ont établi son existence dans quelques cas . Notons cependant des faits, d'apparence parado
ance des membres, qu'il faut incriminer. Il existe d'ailleurs des cas de gigantisme atténué, que l'on a décrits aussi
arition et, que la croissance cesse. Il semble donc bien qu'en pareil cas l'hypofollctionnement du testicule soit respons
rs.prouesses génitales. Qu'on les revoie quelques années UN nouveau cas D'ACHONDIIOPLASIE . 377 7 plus tard : ils n'ont
elative des membres attire l'attention. Il semble bien qu'en pareil cas , le développement des fonctions testiculaires soi
. Journal de neurologie, 1901, p. 13. BROCA et DE8AT-PO ? SON. - Un cas d' achondroplasie. Soc. de pédiatrie, 19 mars 190
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franchement en opposition avec ce que nous avons observé dans notre cas , c'est la limitation de l'intelli- gence dont p
par de bons esprits médicaux à une malformation physique. C'est le cas par exemple pour la maladie de Parkinson. Ici l
; on devine qu'il n'est pas facile à résoudre puisqu'il n'est qu'un cas parti- culier de cette question si souvent posé
ions c'est peu, étant donné le nombre relativement considérable des cas d'achondroplasie pu- bliés. Le second ordre d'a
Nous avons pu observer, au cours de ces deux dernières années deux cas de polydactylie chez des aliénés, et il nous a se
e l'hospice dont la population dépasse 900 malades. Voici donc deux cas de polydactylie observés tous les deux dans un
les deux dans un hospice d'aliénés. - Dans le premier de-ces deux cas il s'agit d'une femme.atteinte de créti- 3') G
crvés parMarsh ( ? ) chez une même malade. Ces faits auxquels notre cas vient s'ajouter parlent au moins pour la nature
nuus a insisté dans un travail antérieur (3). Dans notre premier cas la polydactylie n'est que rudimentaire, car la
diographie montre l'état normal des os de la main. ' Dans le second cas on voit un doigt surnuméraire implanté sur le '
érons comme pathologique. L'unilatéralité même du phénomène dans ce cas spécial nous semble devoir être interprété dans
qu'après une première période de vie normale ; mais sans doute les cas qu'il en avait observés n'étaient ils pas d'une n
logique, ou, si l'on veut, ce syndrome provisoire, à l'aide de deux cas remarquablement étudiés, en 1906. Cette premi
ière est due à MM. Brissaud et Bauer, qui, en rapportant un nouveau cas à la même So- ciété Médicale des Hôpitaux de Pa
antilisme type Gandy ». Gandy lui-mêmeabordait,à propos desonsecond cas une discussion autre- ment intéressante sur le
rippe (obs. XVIII), d'une abondante hémorragie (obs. IV). En pareil cas , on ne sait au juste où l'infection a frappé :
u'il y a de plus frappant, c'est l'cige du début. La moyenne des 20 cas donnerait 32 ans ; mais à part les observations X
esanteur au niveau de la face et du front. S'est-il agi en pa- reil cas de simples coïncidences ? De même, des polyuries
u lotit jeune sujet (au dessous de 12 ans). On voil bien qu'en ce cas , il ne s'agit pas de ces castrats ou eunuques d
e présentent point avec celle pureté de symp- tômes ; même dans les cas originaux de Gandy, on note une fois une cer- t
ne mesure l'allure masculine. Mais il est à noter que ces derniers ( cas de Gougerol) sont des sujets déjà âgés, qui ont
eux assez vibrants ; la bouffissure est déjà plus rare ; beaucoupde cas s'accompagnent de la note : pas de bouffissure ou
isée à la face, Gandy (obs. IX et XIII) de peau sèche, dans un seul cas d'oedème passager, et. dans son cas I, de bouffis
II) de peau sèche, dans un seul cas d'oedème passager, et. dans son cas I, de bouffissure franchement généralisée. Si
e véritable ichthyose, d'origine sans doute thyroïdienne dans trois cas au moins. Mais c'est un symptôme qui s'installe t
ileux est profondément touché : les cheveux sont dans la moitié des cas sinon raréfiés, du moins durs, cassants, comme ce
s uns et le déficit des secondes sont réalisés dans l'unanimité des cas , et sont d'ailleurs une des conditions indispen
arçonnet de 8 ans. Enfin les cordons ne sont plus perçus et dans le cas où le toucher rectal a été fait (comme chez nos m
ux, bulbo-caverneux et crémaslériens, recherchés dans la moitié des cas sont abolis. Enfin c'est le désir psychique q
écèle aucun trouble ; la riposte est vive. Ceci pour la plupart des cas et au moins dans un premier slade : car lors- q
comme nous l'avons dit, ne s'étahlissent-ils que dans la moitié des cas . Par contre, l'état moral se modifie davantage
re trois fois relatée, des écoulements aqueux par les narines (deux cas ) d'une abondance étrange, des céphalées tenaces
voir plus raisonnablement être incri- minée quoique, dans un de ces cas , elle se soit montrée normale à l'au- topsie et
on et des organes sexuels que ceux que nous avons décrits : en tout cas il agit bien plus sur la fonction et sur la parti
d'abord inconstants et ne sont ensuite pas nécessaires; et dans les cas où ils exis- tent ils ne se sont que rarement i
difficile à éliminer. En effet, les troubles obtenus dans les deux cas devraient logiquement être calqués les uns sur le
icales doubles restent exceptionnelles ; il faut rechercher de tels cas pathologi- queseu Russie, où la secte religieus
inisme. MM. Leriche et Cotte en ont récemment rapporté un fort beau cas , et leur sujet, obéissant à la règle, a perdu s
à l'état neutre se traduirait par du virilisme. Mais dans les deux cas , ces individus ne font que tendre à uu type indif
re a déjà été entrevue depuis longtemps : Rénon et Del ille,dans un cas d'insuffisance 420 CORDIER ET RE13A'lTU surré
romes pluriglandulaires. 3° Or, si l'on peut admettre dans certains cas cette simultanéité de l'at- teinte des glandes
ettement toute autre manifestation pathologique. Et même, dans le cas de Claude et Gougerol, si les glandes endocrines
lober toute la pathologie des glandes en- docrines. Il en dégage un cas de syndrome de Mickulicz avec hypo-ovarie, hypo
lui de syndrome de Mickulicz. Il tend de même à indi- vidualiser un cas de maladie de Dercum avec insuffisance thyroïdo-t
ET REBATTU tielle très marquée. Il paraît donc certain qu'en pareil cas la dysthyroïdie ait eu le rôle primordial. Il
die ait eu le rôle primordial. Il semble en être de même dans les cas de Rumpell, de Djemil-Pacha, et aussi, croyons-
e premier phénomène pathologique fut toutefois une orchite. Dans le cas de Dalché également, le début des troubles fut
ions et l'atrophie testiculaire ouvrirent la scène clinique dans le cas de Sainton et Dupré. La lésion tes- ticulaire (
térale et l'impuissance consécutives à une fièvre typhoïde. Dans le cas de Brissaud et Bauer, s'il y avait un peu de myxo
ccusé et même discutable dans plusieurs observations. Dans certains cas enfin, la thyroïde et le testicule (ou l'ovaire)
us l'influence d'une maladie infectieuse. Il est impossible en tout cas de s déterminer avec certitude si l'un de ces o
n de ces organes a été touché primitive- ment. Il existe donc des cas d'orchite atrophique syphilitique, traumatique,
me discutable, est en tout L'INFANTILISME RÉGRESSIF OU TARDIF 423 cas certainement secondaire. Dysthyroïdie et dysorchi
igeetde Brissaud, il n'y a guère que Magnus-Lévy qui ait signalé un cas d'impuissance, et Ewald la diminution de l'instin
sse place au syndrome d'infantilisme tardif. Pourquoi dans certains cas , qui restent l'exception, l'insuffisance thy- r
Il faudrait savoir si cette faculté persiste longtemps et en pareil cas , il serait intéressant de s'assurer s'ils ne se
estmal décrit. II estdifrieile d'expliquer pourquoi dans cer- tains cas c'est le féminisme qui est réalisé et dans d'autr
ant un més canisme d'ailleurs très mal connu. H. -Mais il est des cas d'atrophie testiculaire en apparence totale qui
lisation du syndrome de Gan- dy. Il est paradoxal de voir en pareil cas persister la fonction endocrine du testicule, a
s sexuels secondaires : c'est ce qui avait lieu notam- ment dans un cas de MM. Widal et Lutier, ayant trait à un sujet pr
'système endocrine n'est pas constante et que, au moins dans certains cas , L'INFANTILISME RÉGRESSIF OU TARDIF 429 on ne
eurs militaires ont été jugés, par suite de ces infirmités, dans le cas de l'invalidité absolue. « J'attribue principal
R11RE. T. XXIV. PI. LXVi 1\IvA\TIIIS\IF 'l'ARI>II' Obs. XVI ( Cas de Gall<l1'erdill et Reballll), ¥.¡¡'iflt1 '
RIARE. "1", XXIV. PI. LXVI 1\IvAN'l'1LIS\(E TARDIF Ob,. XVII ( Cas de Cordier el Frauiillnu, photographie d'.ltvil 7
rétendu, mais il tort, qu'il avait encore des érec- tions : en tout cas , depuis un an il n'a eu aucune émission de liquid
un peu d'exten- sion du champ visuel. J'ai dans mes souvenirs un cas bien plus indiscutable, puisque je connais- sai
911, date de l'examen. BIBLIOGRAPHIE (1) Achard et DEHANCHE. Un cas d'atrophie testiculaire. Société Médicale des Hôp
de la Salpêtrière, janvier- février 1901. Brissaud et BAUER. - Un cas d'infantilisme réoersif avec autopsie. Société Mé
écembre 1907. Revue de médecine, 1908. CORD19R et PHAticu.LON. Un cas d'infantilisme du type réversif avec syndrome plu
GlARD. Société de Biologie, 1901. HALL(1P&r1U el NtCOLixi. Un cas de féminisme chez un adulte. Société de dermatolo
1911. RICHON et JADELIZE, - Sur l'oiigine testiculaire de certains cas d'infantilisme. Pro- vince médicale, 23 juin 19
ve mêlés les signes plus ou moins évidents, individualisés dans les cas schématiques d'insuffisance de chacune de ces g
t l'étiologie infectieuse de ces lésions : tubercn- lose dans notre cas , syphilis dans d'autres. « Déjà plusieurs auteu
aud et Bauer, 1907 et surtout Gandy, 1906, avaient signalé quelques cas cliniquement semblables, mais ces auteurs les a
ns-nous dit avec M. Claude, des auteurs qui publièrent les premiers cas de cet ordre; il nous a donc fallu, dans un tro
ens primitif. » Ce syndrome thyroïdo-testiculo-surrénal n'est qu'un cas parmi le vaste groupe des insuffisances plurigl
ent donné la preuve thérapeutique (I). Peu après ils publiaient des cas de même ordre et vulgarisaient la valeur thérapeu
rose et d'atrophie semblent un peu plus marquées encore que dans le cas de Claude-Gougerot. Parathyroïdes. - On ne trou
llulaires lobulées, allongées et plus (1) Il en fut de même dans le cas de Claude-Gougerot. 458 GOUGEROT ET GY ou moi
moins dense. Les lésions sont donc encore plus intenses que dans le cas Claude-Gougerot, où la sclérose intertubulaire
lules mal dilférenciées dans la lumière de quelques tubes ; dans le cas Claude-Gougerot, on notait dans la lumière de cer
uriglandulaire des améliorations, voire même des guérisons dans des cas où l'opothérapie uniglandulaire n'avait pas réuss
lle, dans l'Afrique centrale. Nous donnons ici la photographie d'un cas qui provient de l'An- ouilandtPl.LYXI,f.1 ¡; no
andtPl.LYXI,f.1 ¡; nous en sommes redevables au Dr Murray; un autre cas , dans la même région, a été mentionné par le Dr J
Dr Howard. Plus récemment, nous avons ob- servé (H. S. Stannus) un cas typique d'achondroplasie à Zanzibar, chez un in
aland. Nous nous proposons de décrire ici, avec quelque détail, six cas de micromélie humérale congénitale, quatre chez
e. Autant que nous sachions, et réser- ves faites aux deux ou trois cas existant dans la littérature et dont il sera fa
anes ne décèle rien qui s'écarte de la normale. De même que dans le cas précédent, la seule défectuosité à si- gnaler c
quelque différence avec ce qui vieut d'être décrit dans les autres cas . Le sujet montre bien le fait caractéristique d
urs sont normaux aussi bien que le tronc et la tête. Comme dans les cas précédeuts, les humérus sont raccourcis d'une faç
. Les deux doigts auriculaires sont recourbés en çrochet. Dans le cas actuel, de même que dans le cas V, les mouvements
sont recourbés en çrochet. Dans le cas actuel, de même que dans le cas V, les mouvements des articu- lations des bras
RALE CONGENITALE 469 Si nous envisageons dans leur ensemble les six cas décrits en détail ci- dessus, nous notons qu'il
; ceci résulte mieux encore de son association, au moins dans trois cas , avec d'autres anomalies que tout le monde adme
nt huméral symétrique analogue à celui que nous avons noté dans nos cas . Il est vrai que Bryantet Birkitt, en 1862, ont
et Birkitt, en 1862, ont décrit indépendamment l'un de l'autre deux cas de raccourcissement humerai unilatéral, et qu'en
Jonathan Hutchinson en a décrit un troisième. Mais nul de ces trois cas n'est comparable aux noires, non seulement en r
une entité morbide propre, on .peut avancer le fait que dans trois cas sur les six ici décrits, elle se présente sous un
leurs l'un de nous (H. S. Sla11l111S)-se rappelle avoir vu d'autres cas similaires, également sans complications d'aucune
que où nos premières observations (H. S. Stanuus) ont été faites,un cas du môme genre a été rapporté par Banjos, AperletF
négatives ; mais comme il fut impossible d'exa- miner, sauf dans un cas , les parents de nos sujets, l'information ne sau-
aucun doute dans l'esprit au sujet de l'identité de nature de leur cas et des nôtres. En conséquence, il semble justifié
Pour pouvoir soutenir cette manière de voir, il faut considérer les cas IV, V et VI. Dans les cas V et VI, l'anomalie de
e manière de voir, il faut considérer les cas IV, V et VI. Dans les cas V et VI, l'anomalie de l'humérus se montre asso
iée avec le raccourcissement d'un certain nombre de doigts. Dans le cas IV, il y a en outre raccourcissement des avant-br
ux de s'étendre sur la possibilité de re- lations causales dans les cas considérés. Il semble suffisant de consigner ic
hondroplasie typique, bien que nous ayons à rappe- ler que certains cas de celle maladie ont été décrits qui ne présentai
i ne présentaient pas la malformation en question. Dans la série de cas ici publiée, c'est plus particulièrement le n°
roit n'offre aucune relation avec l'achondroplasie. Dans nos deux cas qui concernent des femmes, l'état des doigts ne s
ndroplasie. Maintenant il importe de rappeler qu'un grand nombre de cas ont été publiés comme des exemples d'achondropl
s, atypiques, incomplets. Ainsi Jules et Roger Voisin ont décrit un cas dans lequel les membres étaient plus LA 1111CRO
elatives des deux segments du même membre. Du- four a enregistré un cas où il y avait absence de la main en trident et où
tères mentionnés ci-dessus n'existaient pas. Chavigny a rapporté un cas d'achondroplasie dans lequel l'unique symptôme de
it l'état des mains. Si de tels faits doivent être acceptés comme des cas d'achondroplasie, il n'est pas douteux qu'un jo
Il est clair que le fait d'introduire sans discrimination de pareils cas dans le cadre de l'achondroplasie ne prèle pas
'avis que rien ne saurait justifier le classement de notre série de cas sous la dénomination d'achon- droplasie. En r
écutifs aux lésions nerveuses, en signalant l'im- portance dans ces cas des troubles des réactions vaso-motrices et sudor
ner la lésion d'un tronc nerveux périphérique. S'il existe dans les cas que nous étudions des lésions périphériques, ce
s discrètes, insidieuses, qu'il faut dépister et qui, dans lous les cas ,ne présentent pas de distribu- tion topographiq
r les notions acquises sur les atrophies abarticulaires. Un troisième cas se présentant dans des conditions particulièrem
n parfait accord avec l'exa- men aux rayons X. * .... Dans ce cas , la clinique a réalisé une véritable expérience d
'avant-bras. Nous n'avons relevé de lésion nette que dans les trois cas que nous publions. Il est vrai que suivant la r
uatre ans après l'accident des lésions encore très nettes. Les deux cas ne sont pas superposables car le second blessé,
'état du blessé, loin de s'améliorer, s'est plutôt aggravé. Dans ce cas , la lésion tro- phique des os constitua un sign
s conclusions. Il mérite pourtant d'être retenu, car s'ajoutant aux cas déjà publiés, il comporte un ensei- gnement. To
pratiquer la radiographie. Un résultat positif constituera dans ces cas un élément précieux qu'il serait impossible de
isait avec les yeux fermés. L'explication est la même que dans le cas précédent : le malade écrasait la mie, parce qu
i pour l'ouvrir, il ouvre les deux mains à la fois. Dans ce dernier cas , il arrive que, nous nous opposons à ce qu'il o
squement, en fai- sant du bruit. Il arrive, surtout dans ce dernier cas , qu'avant de s'asseoir son bassin oscille et le
bras appuient bien dessus, il cher- clie alors à se lever. Dans ce cas , il lui arrive, ou bien de ne se lever qu'en pa
e lever, ce mouvement se fait si brusque- ment, que dans le premier cas il fait du bruit eu s'asseyant et dans le second
thèse, nous avons remarqué que le signe de Romberg existait dans ce cas et qu'il était même très accentué. L'explication
ue et cinétique étaient très troublés, et encore parce que, dans ce cas , le sens articulaire étant aboli aux membres in
us nous-attendons qu'il pose le pied beaucoup plus loin que dans le cas précédent. En réalité, après avoir fait poser a
eur, quoique se ser- vant malheureusement pour la démonstration, de cas hystériques, arrive tout de même à cette conclu
ns rachidiens (Recherches cylopallto- log igues sur les - dans deux cas de para- lysie spinale infantile de date ancien
rehes ryto- pathologi(lues sur les ganglions rachidiens dans deux cas de - de date ancienne) (4 pl.). par Jonnesco, 2
erches cytopatholo- giques sur les ganglions rachidiens dans deux cas le paralysie spinale infantile de date ancienne
, 90. 111wcuwu (L.) et NOUET Etude ana- tomo-patliologiquc d'un cas de maladie de Dercum chez une imbécile épilepti
NOUET (Il.) et )laucuwu (L.). Elude ana- tomo-palhologiclue d'un cas de maladie de Dercum chez une imbécile éplielit
e de la maladie de Madelung (1 pi.), 71. lteu,twu (J ). Un uoweau cas d'acUonlro- ('I ? ie (5 pl). 368, REU \'1 iU
35 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
face, dans le côté du corps opposé à la lésion cérébrale. Dans ces cas cette lésion siège soit sur les circonvolutions r
it, de sorte qu'au premier abord il sem- ble qu'ici, comme dans les cas précédents, l'hémiplégie de la vision soit xi i
est paralysée, et inversement quand l'hémiopie estgauche. Dans ces cas la lésion du lobe occipital détermine donc dans
s ou moins accusée se joignent les symptômes de l'aphasie. Dans ces cas il s'agit toujours d'une hémiplégie droite, ave
otubérance ou le bulbe. Tantôt on aura simplement, comme dans les cas précédents, une hémi- plégie croisée, c'est-à-d
mun ou même son noyau d'origine. Examinons successivement ces trois cas . ' Que se passe-t-il si la lésion siège dans le
d'une manière véritablement schématique. La lésion siégeait dans ce cas , au niveau de la région oli- vaire gauche qui é
he, intéressant le faisceau pyramidal et les fibres de ^hypoglosse ( cas de Anna Goukowski). savez qu'à la suite de la s
alterne de l'hypoglosse. On ne l'observe que très rarement, mais le cas que je viens de rappeler m'a paru, par sa simpl
e dans toute sa simplicité, ce qui est loin d'exister dans tous les cas . Et tout d'abord, je tiens il vous mettre en ga
ire donne toujours lieu à un syndrome de We- ber. Sans parler des cas où la lésion peut n'intéresser aucune fibre motri
ion sans qu'il existe aucun symptôme d'hémiplégie alterne. Dans ces cas les nerfs des 3°, 6°, 7e ou 12e paires ont été
soit. Andral, Charcot et Bouchard, moi-même. etc. avons publié des cas de ce genre. Voyons maintenant ce qui s'est pas
ne manière erronée. L'aphasie a été en effet signalée dans certains cas de lé- sions pédonculaires gauches et quelques
a part je mets en doute l'existence de l'aphasie mo- trice dans ces cas , de même que je n'admets pas ce faisceau spécial
de la sorte ni l'hémiopie, ni la paraphasie qui coexistent dans ce cas avec le syndrome de Weber. Pour expliquer l'hém
émiopiques. Si l'hémorrhagie du pédoncule cérébral ne peut, dans ce cas , expliquer les phénomènes observés, nous allons
n, et contrairement à ce que l'on observe habi- tuellement dans les cas d'hémiopie par lésion du lobe occipital, le champ
es symptômes temporaires d'apha- sie sensorielle (l'aphasie dans ce cas de lésion de l'hémisphère droit s'expliquant pa
s, et même détermi- ner de la sorte plusieurs foyers, comme dans le cas de Luton (1). Nous ajouterons que le plus souve
s le cas de Luton (1). Nous ajouterons que le plus souvent dans ces cas compliqués (et en réa- lité c'est à un cas de c
le plus souvent dans ces cas compliqués (et en réa- lité c'est à un cas de ce genre que nous avons affaire) il serait tém
mes, ou bien qu'au contraire il s'agit, comme cela existait dans le cas de Luton, d'oblitérations multiples ayant chacu
qu'elle soit, ce qui est dû à la résorption du sang épanché dans le cas d'une hémorrhagie, ou au rétablissement, à un c
ou au rétablissement, à un certain degré, de la circulation dans le cas d'oblitération vasculaire. D'autre part, on ne
r cette leçon ce que vous m'avez souvent entendu dire, que dans ces cas douteux, par cela seul que la syphilis peut être
me à ceux dont la maladie revêt une très lente évolution ; dans les cas d'arthropathies, de crises laryngées, lorsque l
ultats fournis par les recherches anatomiques l'élongation dans ces cas ne saurait avoir lieu. Pendant la flexion, pour
reste insuffisante pour le produire. On se basera dans ces derniers cas , pour repousser l'intervention, sur ce fait que
le produit, et qu'en conséquence il faut rejeter de cette étude, ce cas clinique mérite d'être relaie, parce que la tumeu
qui étaient nettement limitées. Commen- çons, donc, par analyser ce cas au point de vue des localisations corticales. N
destruction ou son'irritation doit produire ; mais ce n'est pas le cas pour le cortex de ce lobule. Les auteurs sont d
t en donner une explication vraiment nuisible, vu que, même dans le cas où elle s'observe, elle ne suffit pas à justifi
ysies dans les mem- bres anesthésiés des hystériques, dans quelques cas de veille somnambu- lique qui s'accompagnent d'
que les paralysies corticales, la plupart du temps dans les 2/3 des cas , suivant les statistiques de Ferrier et de Char
Bechterew, etc. ; mais simplement commme probable, attendu que les cas qui avaient servi à l'établir étaient en petit no
érieur ne sont point nombreuses, et rien qu'à ce point de vue notre cas clinique a déjà une certaine valeur ; mais les
utes les autres par- ties du cerveau étaient intactes. Excepté le cas de M. Landouzy où il y avait « une tumeur du volu
ce lobule, agissait t par son volume sur le voisinage,comme dans le cas de Gowers, par exem- ple, où il y avait un glio
oyers scléreux étaient dis- séminés dans l'écorce du cerveau. Ces cas sont de ceux qu'une critique rigoureuse ne saurai
ait dans un centre moteur nous avons les paralysies, comme dans les cas étudiés par Tood, Jakson, Pitres, Dutil et autr
On comprend aisément comment les choses se passent dans ce dernier cas . En effet, puisqu'une lésion irritative de la p
cet égard. Si d'un autre côté nous nous rappelons qu'on connaît des cas d'épilepsie partielle sans aucune lésion macros
ire, limitée à quelques muscles, et le grand mal toute une gamme de cas in- termédiaires, qui rattachent les formes ext
e des accès de délire chez le premier venu, et je pense que dans le cas présent il y avait derrière le tubercule, que j'e
élevé, et il y aurait un réel intérêt à grouper en- semble tous les cas analogues : peut-être arriverait-on quelque jour,
s, comme Boyer et Nélaton, ont pu conseiller de s'abstenir dans les cas de ce genre, c'est qu'ils avaient à redouter des
urtout qui devra décider de l'opportunité de l'opération. Dans un cas de syndactylie par exemple, il importe, avant de
rément ne doit pas limiter son examen à celui du squelette. Dans le cas de la syndactylie que nous avons choisi, il est c
ales, nous a engagé à soumettre aux radiations de Roentgen tous les cas que nous avons pu rencontrer jus- qu'à ce jour.
ire dont nous avons rapporté l'histoire (1), nous rappel- lerons le cas de syndactylie publié par MM. F. Raymond et P. Ja
uveaux que nous allons rapporter sont au nombre de quatre : I. Un cas de polydactylie : sexdigitaire complet ; auricula
ieds ; orteils « en coup de vent » au pied gauche. II. - Un autre cas de polydactylie : annulaire supplémentaire aux de
laire supplémentaire dénué de squelette à la main gauche. III. Un cas de syndactylie des doigts index, médius et annula
développement et de changements de direction des doigts. ' IV. Un cas d'ectrodactylie de la variété dite « en pince hom
é dite « en pince homard ». Didactylie incomplète. I Le premier cas est celui d'un sexdigitaire complet (six doigts à
l'apophyse où s'articulait le doigt surnuméraire. (Fig. 2.) Dans le cas actuel, on peut se ren- dre compte, en examinan
eurs pièces squelettiques. Les observations anciennes signalent des cas où il n'existait que deux phalanges ou même une s
radiographie. III A ces exemples de polydactylie nous ajoutons un cas de syndactylie. Il s'agit d'une Bretonne, idiot
fois atrophiés et déviés. IV Un dernier exemple se rapporte à un cas d'ectrodactylie observé chez un autre idiot de
ont été signalées par les auteurs. Polaillon en rappelle plusieurs cas d'après Morel-Lavallée, Menière, Annaudale (Fig
vail était déjà sous presse lorsque nous avons eu connaissance d'un cas récent d'anomalie digitale opéré par le Dr Phocas
sc. méd., art. Doigt, p. 131. (2) A. Souques et HENRI LECI.EliC, Un cas de bidaclylie de la main droite. Nouv. Iconogr.
Annaudaie. (ex Die[. enc. des se. méd., art. Doigt.) Fig. 6. - Un cas de bidaclylie de la main droite (cas de A. Souq
., art. Doigt.) Fig. 6. - Un cas de bidaclylie de la main droite ( cas de A. Souques et II. Leclerc.) APPLICATIONS DE
déclare partisan de l'intervention, d'une façon générale. Dans le cas actuel, l'opération a eu pour but d'accoler les d
YLE et C. Jarvis (Presse médicale, 26 février 1898). Il s'agit d'un cas d'ecti-odactylie des deux pieds accompagnée d'ecl
bles existent au moins transitoirement dans l'immense majorité des cas sinon dans tous les cas où la zone corticale di
transitoirement dans l'immense majorité des cas sinon dans tous les cas où la zone corticale dite motrice est lésée. Ma
ure que, après l'abolition de la zone motrice, il y a dans tous les cas des symptômes d'anesthésie ou du moins d'hypoes-
ades atteints de cécité, de surdité psychique. Il y aurait dans ces cas abolition des images commémoratives tactiles et
n des centres d'asso- ciation ou vice versa, il faut avouer que les cas sont rares où les hasards des destructions path
ar des destructions anatomi- ques, l'hystérie va le réaliser et les cas que nous avons rapportés sont des exemples frap
e totale d'observation accompagnant la photogra- phie, l'intérêt du cas résidera presque uniquement dans son côté pittore
ai tété possible de faire quelques remarques intéressantes, car les cas semblables à celui-ci paraissent assez nombreux
instants de temps à autre, nous avons vu, sans les chercher, trois cas absolument semblables et dus à la même cause, la
et l'autre de 32 ans avec la variole à 17 ans. S'agit-il dans ces cas d'une de ces névrites post-varioliques décrites p
la cuisse est-elle aussi plate ici qu'elle est bombée dans l'autre cas . Je n'insiste pas sur les autres différences mo
elconque. Il y aura donc la plus grande ressemblance, dans les deux cas ; entre les caractères de la marche. D. Marche
Londe). quelques variétés DE la marche ET DE LA COURSE 13 dans ce cas , il existe un moment relativement assez long pend
force en rapport avec le degré et la durée delà contraction, C'est le cas du muscle quadriceps dans la marche en flexion.
CONSERVATION DES RÉFLEXES PATELLAIRES DANS LE TABES DORSALIS UN CAS AVEC AUTOPSIE. PAR Ch. ACHARD et LÉOPOLD-LÉVI
es dorsalis et constitue souvent un symptôme précoce. Cependant les cas cliniques, où ce signe a fait défaut, sont loin d
au moins dans la période préataxique. Déjà Erb (1) en signalait un cas dans son Traité des maladies dit système nerveu
bord, apparut en même temps que l'incoordination. Plus tard, sur 59 cas d'ataxie locomotrice confirmée, il signale deux f
la conservation des réflexes patellaires. Hamilton (2) cite quatre cas de tabes où les réflexes rotuliens étaient prés
até l'existence des réflexes dans une proportion de 2,4 0/0. Dans 4 cas arrivés à la période d'état, le réflexe patella
particulier sur les symptômes oculaires qui figurent dans tous les cas , et qui se traduisent dans quatre cas par l'atro-
es qui figurent dans tous les cas, et qui se traduisent dans quatre cas par l'atro- phie papillaire, une fois par de l'
Quant aux réflexes, toujours pré- sents, ils sont exagérés dans un cas , inégaux deux fois, soit que l'un des réflexes
tre, soit qu'au contraire un des réflexes soit exagéré. Quant aux cas où l'autopsie a été pratiquée, ils sont moins nom
r klin. Wochensch., 1891). (2) IluGiii.i ? Gs Jackson et TAYLOR, Un cas de retour des réflexes patellaires après hé- mi
mment interpréter la conservation des réflexes rotuliens dans notre cas ? z A l'état normal, la voie réflexe sensitivo-
lition du réflexe. A ce point de vue, il est bon de tenir compte de cas , comme celui de Westphal, où les réflexes rotul
ent on peut interpréter sa présence exceptionnelle. Dans certains cas de tabes, le réflexe rotulien, d'abord aboli, a r
p. 492. (5) Goldflam, lac. cil. 92 CII. ACHAIID ET L. LÉVI Les cas où le réflexe est conservé sans avoir jamais disp
racines, est, d'après cet auteur, toujours intéressée dans tous les cas de tabes où le réflexe rotulien a dis- paru. El
pporté par Westphal, cet auteur appuie son opinion sur trois autres cas . Dans l'un dû à Schmidt, les réflexes disparurent
sions dépassaient peine la limite de la zone.Westplial vit, dans un cas personnel, l'abolition des réflexes survenir il d
XES PATELLAIRES DANS LE TABES DORSALIS 93 côté. Et de même, dans le cas de Minor (1) relatif à un homme de 48 ans, syph
était en rapport avec une lésion de la zone de Westphal. Dans notre cas , on constate que la zone d'entrée des racines est
Reste à expliquer la rareté de cette conservation ? En réalité, les cas de tabes avec conservation des réflexes ne sont p
pas entièrement à toutes les exigences. Dans l'énorme majorité des cas , les observations des maladies n'ont pas été fa
si, F. Hebra dit catégoriquement que malgré qu'il ait vu près de 50 cas de cette maladie il ne peut presque rien dire d
a contagiosité de celte affection. E. Wilson, qui avait vu bien des cas de lichen ruber, ne dit rien de positif sur l'éti
Vidal). M. le professeur A. Paspeloff trouve aussi dans beaucoup de cas de lichen ruber qu'il avait observés des altéra
nerveux central. Ainsi Kobner, qui a fait des observations dans 52 cas de lichen ruber, compte celte ma- ladie au nomb
e pres- que toujours les éruptions cutanées. L'auteur cite les deux cas suivants, qui sont très instructifs ; dans l'un
ne femme de 45 ans, atteinte de paralysie bulbaire ; dans le second cas , c'est un homme, médecin, chez lequel le lichen r
, s'est développé dans la direction des nerfs. Vidal nous cite un cas de lichen ruber où l'éruption s'est montrée bie
e extrêmement pénible et doulou- reuse. Besnier nous fait part d'un cas de lichen ruber qui s'est développé chez une ma
nerveuse, qui avait souffert du diabète. Ni- contowsky décrit deux cas de lichen ruber où la localisation des éruptions
r l'étiologie nerveuse de la maladie. Jacquet cite toute une série de cas de lichen ruber, dans lesquels on employa avec
pique d'après la méthode de Jacquet. Remesolf décrit en détails un cas de lichen ruber de la clinique du professeur A.
n stries sur la peau le long des nerfs sur les membres inférieurs; un cas semblable est décrit par Galloway. Les observat
montrées après de fortes émotions (colère). Donc, dans la série des cas de lichen ruber que nous avons cités, on voit d
parle le fait que le lichen ruber a été observé dans la majorité des cas chez des personnes nerveuses, par exemple chez
physi- ques agissant sur le système nerveux du malade. Tel était le cas de Vidal quand les éruptions du lichen se sont
une opération chirurgicale, longue et douloureuse. Dans quelques cas , l'éruption se borne strictement à un côté du cor
a direction d'un nerf quelconque de la peau; on a aussi observé des cas où pendant l'apparition du lichen ruber on avait
ement dans les observations de Koebner Dreynel, de même que dans le cas cité par H. Hebra et Fleischmann, qui ont vu dans
ue dans le cas cité par H. Hebra et Fleischmann, qui ont vu dans un cas de lichen ruber le développement de tubercules
ofesseur M. Stoukovenkoff nous avons toujours pu remarquer dans les cas du lichen ruber qui y étaient observés, telles
ltérations dans l'état du système nerveux. Je cite briève- ment les cas les plus typiques de ce genre. 1. - Lichen rube
malade perd l'équilibre en fermant les yeux. Ainsi dans tous les cas du lichen ruber que nous avons observés nous po
ins prononcées dans le sys- tème nerveux des malades. Dans certains cas , cela s'exprimait par la dispo- sition des érup
qu'elles suivaient la di- rection des nerfs comme dans noire second cas . Dans le troisième cas nous pouvons constater q
rection des nerfs comme dans noire second cas. Dans le troisième cas nous pouvons constater que la maladie s'est dé-
maladies nerveuses était distinctement exprimée. Dans le quatrième cas nous pou- vons remarquer que l'exagération cons
'est-à-dire avec la dissociation syrinomvéliclue. Dans le cinquième cas , l'éruption des papules du lichen, précédée d'u
ns de la sensibilité et les troubles trophiques dans ces der- niers cas nous permettent d'y reconnaître la gliomatose, qu
en même temps les altérations cutanées en question. Dans les deux cas suivants cette dépendance du lichen ruber de ,
de défense à la place de la dent gauche incisive. Ainsi, dans ce cas , le lichen ruber, qui s'est développé chez un suj
nt pour la plupart par la prédisposition héréditaire; dans d'autres cas , ils peuvent être acquis. De quelque manière qu
eutique est aujourd'hui en mesure d'agir efficacement dans certains cas contre cet état d'enfance permanente auquel toute
la question. L'étroite pa- renté qui unit jusqu'à les confondre les cas frustes de celte affection à cer- tains types d
'heureuse expression employée par M. Thi- bierge (2), à propos d'un cas analogue, « un myxoedémateux démyxoedé- matisé
les recherches de MM. Springeret Serbanesco ont montré que dans les cas d'arrêts de développement imputables au rachitism
ppartiennent à John Frecke (1740), John Cop- pin (-liu.1).. ". Le cas d'Henry appartient également au milieu du XVIII.
s dans une journée. D. Rogers, en 1833, donne la description de son cas avec relation d'autopsie, mais son observation
i, ont eu l'occasion d'étudier à l'hôpital St-Sauveur, de Lille, un cas remarquable de myosite ossifiante progres- sive
184.h., Vilhinson 18G, Viliam Skinner 1861, pu- blièrent chacun un cas . * En 1864-65, Virchow, dans son Traité sur les
avancé. Ivan Minkewitsch (1867) relate son fait sous le litre « un cas d'ossifi- cation extraordinairement développé »
nous occupe. Deux ans après, Zollinger soutient une thèse sur « un cas d'ossification pathologique très étendue », bie
aître de Dusch, Munchmeyer observa, pen- dant de longues années, un cas analogue. Ce fut pour lui le point de dé- part
awkins, Rogers, Wilkinson, Henry, Skinner, Minkewitsch, et enfin le cas qu'il a observé lui-même. - Les idées de Munc
Dusch « ne fnt-ce, dit-il, que pour faciliter la classification des cas , le groupement de ceux dans lesquels l'altération
a étudié lui-même avec Florschuetz. Comme Munchmeyer, il admet les cas de Lieutaud, Portai et Lobstein comme ressortis
la myosite ossi- fiante (1). En 1878,Nicoladoni décrit un nouveau cas de myosite ossifiante et, dans les judicieuses
uteurs ; si au lieu d'admettre (1) Comme nous l'avons fait pour les cas de Lieulaud, Portai et Lobstein, nous allons do
ito. Podraski, OEsterr. Ztsch. f. pract. Ileilk., 1813, ne 19. Le cas de Podrasky est relatif il. des ossifications tra
t supposer qu'il s'agit d'un simple ostéome, et ce que nous disons du cas de Vito s'applique également aux autres observa
it la bonne fortune d'étudier avec le scalpel et le microscope, les cas de Munchmeyer et de Florschuetz-Gerber et il ar
dans le tissu conjonctif. En 1879, Ilelferich, à propos d'un autre cas , adopte la manière de voir de Mays, pour lui au
E PROGRESSIVE 119 servations. A celles citées par Gerber, moins les cas de Portal, Lobstein, Lieutaud, Podraski, il ajo
ajoute, celles de Hulh, Nicoladoni, Iïelferich, Partsch, Kuëmmel, 5 cas déjà publiés et trois autres nouveaux dont deux
mmes redevables d'avoir reconstitué l'ôbser- vation de Lendon. Le cas de Pollard est intéressant au point de vue du tra
e squelette d'un sujet atteint de la maladie de Munchmeyer. Dans le cas de Bruck il y avait association de cette dernière
es muscu- laires striées, très peu modifiées. A propos d'un autre cas , Furstner s'exprime ainsi : « Après durcisse- m
, ils se confondent successivement l'un dans l'autre. Dans quelques cas , la tumeur s'arrête à la période fibreuse de l'év
.) er). Plus souvent une petite partie de la tumeur (Hawkins, notre cas ) offre une structure cartilagineuse, tandis que
ar du tissu osseux solide (tumeurs de la région fessière dans notre cas ). , Du reste en tenant compte exclusivement de
u compact qui recouvrent leurs surfaces (Gerber-Mays). Dans notre cas , le fémur et le tibia gauches sont solidement réu
lle- ment tendre qu'une épingle les pénètre facilement. » Dans le cas de Munchmeyer, Mays a constaté une raréfaction no
se. Le tissu conjonctif est en général très développé dans tous les cas de myosite progressive avancée; là où normaleme
cation et la formation de nouvelles bandes ligamen- teuses. Dans le cas de Munchmeyer-Mays, la capsule de l'articulation
ligament cervical postérieur se trouve notée dans presque tous les cas . Un nouveau ligament très puissant s'était dévelo
due à la rétraction des masses fibreuses s'insérant sur les os. Les cas dans lesquels on trouve la synostose des surfac
peauciers de la face, le pharynx ont été rarement touchés. Dans un cas de Bockaï (Stonham) il y a eu ossification des
l avancé jusqu'au voi- sinage immédiat du squelette, comme c'est le cas le plus fréquent, la masse osseuse néoformée se
fications prennent avec le squelette sont telles, que dans quelques cas , on voit bien que le squelette prend part à leur
-mêmes parfois des lames secon- (1) Lendon note également, dans son cas , une légère altération des surfaces articu- lai
r les faits en deux grandes classes. Un premier groupe embrasse les cas où les ossi- fications se montrent surtout dans
pathologiques ont pour siège surtout le squelette, appartiennent le cas de Munchmeyer et le nôtre. Les masses osseuses
inacces- sibles à la vue, le plus souvent au dos. .Dans d'autres cas , il y a un léger état fébrile, la température att
tendrait à l'articulation elle-même, exception faite sans doute des cas où la myosite ossifiante s'ajoute au rhumatisme
yosite ossifiante s'ajoute au rhumatisme articulaire, comme dans le cas d'Henry, d'après Munchmeyer. Les ganglions corr
phase, ou l'a même complètement dépassée ; c'est ainsi que dans le cas de Munchmeyer, la fièvre a duré 54 jours. Une f
contractions fibrillaires que détermine un courant induit. Dans ce cas donc, la dégénérescence simple constitue la ter
mettre après un examen superficiel des observations. Ainsi, dans le cas de Hawkins, on a constaté « le 14 juin 1843 une
autre tumeur osseuse sur le grand dentelé ». Il y eut donc, dans ce cas , un in- tervalle de trois à quatre mois entre l
elle met plus longtemps : trois mois et demi à quatre mois dans le cas de Hawkins ; huit, dans celui de Kohts. Souvent
- phérie donne absolument la sensation du cartilage (Hawkins, notre cas ). Lorsque la tumeur est assez superficielle, la
envahissaient toute une région, tout un segment de membre; dans le cas de Pincus il y avait une stase vei- neuse très
ez, aux mains et aux extrémités inférreures, à partir du genou. Ces cas rares ne peuvent évidemment être rapportés à l'
, eux-mêmes, sont fibreux, atro- phiés. Senator a trouvé dans notre cas une exagération de la contraction idio-musculai
ien,elle reste mobile au milieu des parties molles. Dans le premier cas , elle offre la forme d'une exostose puissante,
s con- duisant le plus souvent à l'ankylose du coude. Dans d'autres cas l'affec- tion continue ses ravages, elle attaqu
le plus 134 A. WEIL ET J. NISSIM souvent' au dos ; 13 fois sur 40 cas , où le siège initial des tumeurs est net- temen
et Dambressi, Rogers, Zollinger aux deux épaules à la fois. Dans le cas d'Henry, l'avant-bras droit a été le siège des pr
mastoïdien gauche comme première atteinte du mal. ' Dans quelques cas la tumeur primitive s'est montrée dans plusieurs
culation droite de la mâchoire, à l'épaule et au bras droits (notre cas ). Plusieurs observateurs ont constaté au début
ormule n'est plus exacte aujourd'hui. Munchmeyer lui-même, dans son cas , a décrit l'ossification du triangulaire du mento
pement de ses attributs sexuels. Ceux-ci, qui, dans la majorité des cas , se réduisent à des proportions (1) Consulter à
GASNE et A. LONDE, Applica- tion de la radiographie à l'étude d'un cas de 1nyxoedème. Acad. des sciences, 21 mars 189S
ogie (3) une série d'observations de sclérodermie généralisée et un cas de morphée scléreuse, avec plaques lardacées, de
es de Dermatologie, tome I, 1880. () nAI1'l'Il;LE)IY, Note sur un cas de sclérodermie en plaques. xi ' 10 .. 142
ore, Bronson présentait à la New-York dermalological Society (2) un cas de Morphée. Il s'agissait d'un homme de 31 ans ay
rver dernièrement dans le service de M. le Professeur Spillmann, un cas de sclérodermie en coup de sabre, re- marquable
racine du nez et remonte verticalement vers la (1) DnoUOE, Quelques cas de sclérodermie localisée. Thèse Paris, 1898. (
rvation nous a. paru intéressante à plus d'un litre : c'est un beau cas de sclérodermie en coup de sabre, accompagnée d'u
de la face du côté hémiplégique (1). Hcldenberg a rapporté même un cas d'hémiparésie isolée de la langue dans l'hystér
s du cou (Rev. de médecine, 1891, p. 161). (2) C. IIELUE\l3EIiG, Un cas d'hémi-parésie partielle gauche de la langue d'or
intérêt : 1° Une lésion cérébrale datant de l'enfance et laissé ces cas de troubles fonctionnels en quelque sorte négli
rement la télé est penchée en avant, et elle est telle, en certains cas que le menton touche le sternum ; tantôt elle est
qui sont, exceptionnellement atteints par le processus; dans notre cas et dans celui de Pinter, il y avait des noyaux
Cette différence d'aspect du clos tient à ce que dans les premiers cas (Copping, Brensohn) l'ossification indépendamme
qui régit la position des membres et de la tête ? Pourquoi dans tel cas , il y a une espèce de tor- licolis gauche alors
ainsi l'hallux valgus congénitale (Godlée, Sympson, Stomham, notre cas ). Les gros orteils du malade de Munchmeyer sont r
nt avec le premier métatarsien. Fuerstner dit avoir trouvé dans son cas toutes les phalanges des gros orteils, mais légèr
des gros orteils avec hallux valgus ; même constatation dans notre cas du côté gauche. Pincus a trouvé une microdactyl
hates 2 gr. 70, urée 29 gr. 2, A. uriqueOgr. 52 par litre. Dans les cas de Partsch de Pincus, il y avait une diminution d
tion séborrhéique abondante. Gerhardt et Pinter signalent dans leur cas de /«/c/7 ? o de la moi- tié de la tète avec ro
t conduire à la formation de collections purulentes ; dans d'autres cas , au contraire, lorsque l'abcès se forme pendant
ante progressive est trèsprécoce dans ses mani fes- tations. Sur 42 cas , où la date du début est nettement spécifiée, nou
rédilec- tion pour le début de la myosite progressive. Dans les 6 cas restants, on l'a vue commencer deux fois à 19 ans
ssortissent pas tous à la maladie qui nous occupe. Pincus, sur 38 cas , trouve 29 hommes et 9 femmes, les hommes sont
rt (32 1/12 : 1). Pays. Au point de vue ethnographique, sur les ai0 cas que nous avons recueillis, 20 appartiennent à l
er notre maladie est constitutionnelle : 1° Parce que dans certains cas , bien observés par des praticiens exercés (Uhde
. Hayem dans le dictionnaire de Decbambre, Eichliorst à propos d'un cas de myosite ossifiante localisée, ont tous les d
nière de voir. Klemm émet la môme opi- nion en s'appuyant sur trois cas de tabes qu'il aurait découvert dans les 22 obs
es 22 observations de Pinter ; nous les avons vainement cherché ces cas de tabès. Schwartz, il propos d'un cas analogue
avons vainement cherché ces cas de tabès. Schwartz, il propos d'un cas analogue à celui de son maître Eichlorst, dont
, faitconstater la concomitance du tabès avec les ostéomes dans son cas , la concomitance de la myosite ossifiante pro-
uses, telles que épilepsie, atrophie du nerf optique, dans d'autres cas , et croit devoir attribuer les ossifications il
omoteur; la symétrie des groupes musculaires atteints dans bien des cas ; l'existence fréquente d'une anomalie congénit
ossifiante comme une myopathie primitive. Friedberg admet pour le cas de Wilkinson une myopathie simple, une myosite
il se produit un épanchement sanguin ; il n'en est rien ;-dans deux cas de fracture. on a remarqué une fois une consolida
- tent pas de conclure; du reste, comme l'a dit Virchow, il est des cas où les deux processus sé montrent tellement voi
à évoluer. Nous ne connaissons pas la raison pour laquelle dans tel cas l'affection brûle pour ainsi dire ses étapes et d
milieu desquelles se trouve le sujet. La mort est survenue dans le cas de Munchmeyer, 27 ans après les premières manifes
kewitsch ont succombé ù la tuberculose aiguë, Mays a trouvé dans le cas de Florsclmlz-Gerher une pleurésie purulente en
oute son action et la perpétue. Cependant il peut se faire, mais le cas est exceptionnel, que les avan- tages obtenus p
ar litre. Sensibilité et organes des sens normaux. (A suivre.) UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH A DÉBUT TARDIF. AU
ester il )'age de quinze, seize et dix-huit ans. Il existe même des cas où ce début clinique se fait à une époque beauc
que plus tard qu'on lui dit qu'il marche comme un homme ivre. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH A DÉBUT TARDIF 179 Il
au niveau de la IIIe sacrée. F. Coupe du nerf musculo-cutané. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICn A DÉBUT TARDIF 181 A l
n cervicale, atteint-elle le faisceau de Gowers ? " ! C'est là un cas de Maladie de Friedreich, dont quelques points, o
res au- teurs pensent de même. M. Déjerine (1) en a présenté deux cas très nets. Chez l'un de ses ma- lades en partic
re et troubles de la sensibilité. Soc. de biologie, 1890, p. 43. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH A DÉBUT TAIDIF 183 Ces
la sclérose du faisceau de Turck ne soit pas signalée dans tous les cas . Nous avons signalé aussi l'intégrité des vaiss
t-à-dire onze ans auparavant. D'ailleurs, dans un certain nombre de cas (Fried- reich le' cas; Rülimeyer 2e cas), les n
ravant. D'ailleurs, dans un certain nombre de cas (Fried- reich le' cas ; Rülimeyer 2e cas), les nerfs ont été trouvés att
, dans un certain nombre de cas (Fried- reich le' cas; Rülimeyer 2e cas ), les nerfs ont été trouvés atteints, beau- cou
beau- coup moins profondément, il est vrai. Guizetti (1) dans un cas personnel, a fait une étude complète des ra- ci
es, les pos- térieures très malades. Il en était de même dans notre cas . « Au commencemenl du nerf (là où commence le n
ans les nerfs musculaires. Il en vient la conclusion que, dans ce cas actuel de Maladie de Fried- (1) Guizetti, Le al
opinion soutenue par presque tous les auteurs. Il existe d'autres cas de Maladie de Friedreich à début tardif. Le frère
res atteints. Si la débilité est grande, on verra se développer des cas de Maladie de Friedreich à début précoce ; si, au
18î6, p. 93. (i) Brousse, Th. Montpellier, 1882. (8) Auscher, Un cas de maladie de Friedreich suivi d'autopsie. Bullet
qui apparaissent à un âge plus avancé, vers 10 ou 12 ans ; dans ces cas l'arrêt du développement du cerveau, et par con
à demi-tête, qui pour la plupart naissent morts, mais qui, dans des cas exceptionnels, peuvent cependant vivre 2 ou 3 j
pourquoi on leur donne aussi le nom de anencéphales. Dans d'autres cas , non seulement les os de la voûte crânienne sont
niens sont soudés. Ce sont là les micro- céphales. Dans les trois cas , que nous allons présenter, il s'agit d'anencépha
question avaient des têtes très grandes. La microcéphaHe dans ces. cas s'explique par l'accumulation d'un liquide dans
encore forma une fissure dans le cervelet. En comparant les trois cas en question, nous voyons qu'il existe une grand
s tubercules qua- drijumeaux défigurés, il est vrai, dans les trois cas et les couches optiques également défigurées. I
'est presque rien resté des hémisphères ; seule- ment, dans le le'' cas , le cerveau était un peu plus développé que dans
u liquide au-dessus d'un cerveau peu développé fit con- sidérer ces cas comme une hydropisie de la dure-mère, le cerveau
crânienne qu'un seul feuillet de la dure- mère, tandis que dans nos cas la membrane de la dure-mère consistait, comme n
division de la dure-mère en deux feuillets n'a pas eu lieu dans nos cas et le liquide s'accumula sous la dure-mère au-d
des Enfants trouvés, presque tous les ans, on rencontre un ou deux cas d'anencéphalie et d'hydrocéphalie interne. En out
anencéphalie et d'hydrocéphalie interne. En outre, il y a plusieurs cas avec examen microscopique décrits par différents
t du professeur 1. Arnold (2) et d'autres. - Arrêtons-nous sur le cas du professeur Arnold, car ce cas est inté- ress
d'autres. - Arrêtons-nous sur le cas du professeur Arnold, car ce cas est inté- ressant par ce fait qu'il s'agit d'un
mier signala ce fait en 1870, il en nota l'absence complète dans un cas . Dana aussi démontra un fait semblable chez un
ale qui avait vécu deux jours et demi. Vllle Léonoff décrit dans un cas d'anencéphalie un* arrêt de développement des f
grande cérébelleuse latérale. En ce qui concerne l'examen de nos cas , nous nous sommes servi dans nos expériences de
issure était plus accusée dans la région cervicale; (1) Mme LÉOVOr, Cas d'anencéphalie. Le Moniteur (russe) de neuropatho
ONGENITALES DU CERVEAU Coupes du méscncéphalc (N. Solovtzoff) A Cas il. Coupe du bulbe au niveau des olives. Absence
olives. Absence complète de pyramides. (Ph. S.tlachnikoff ) 13 - Cas IL Coupe de la protubérance au niveau de l'entrec
voies qui Fio. 1. Coupe de la moelle épinière (région cervicale) ( cas III). Fie 2. - Coupe du bulbe au niveau de l'
niveau de l'entrecroisement des pyramides. Absence des pyramides ( cas III). 192 N. SOLOVTZOFF viennent de l'écorce
ontraire très accusé. Ce sont surtout les anomalies des cellules du cas II et du cas III qui sont les plus remar- quabl
accusé. Ce sont surtout les anomalies des cellules du cas II et du cas III qui sont les plus remar- quables, car c'est
et du cas III qui sont les plus remar- quables, car c'est dans ces cas qu'il y avait le moins de cerveau ; dans le 1er
c'est dans ces cas qu'il y avait le moins de cerveau ; dans le 1er cas le fait est moins marqué, mais toujours assez pou
le reste des hémisphères était plus grand que dans les deux autres cas . En traitant par la méthode de Golgi on voit tr
ît pas toute noire et Fie. 3 et 4. Cellules de la corne antérieure ( cas 111). Le noyau est entouré d'un réticulum proto
in- tervertébraux se sont développées normalement ? Dans nos trois cas les hémisphères cérébraux manquent presque tota
onnait le cerveau,se sont FiG. 5. - Cellule de la corne antérieure ( cas II). Grandes vacuoles sur la périphérie avec qu
ès l'opinion contemporaine, que par le contact ; pourtant, dans nos cas , ce contact n'a pas eu lieu, car tout le neuron
; de sorte que les cellules motrices de la moelle épinière dans nos cas étaient privées de cette influence indispensabl
nt. En un mot nous avons le droit de considérer les cellules de nos cas , comme des cellules embryonnaires incomplètemen
si singulier des cellules mo- trices de la moelle épinière dans nos cas et celui des cellules dans les embryons durant
MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX, (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE). SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET PAR R F. RAYMOND Prof
tème Nerveux. Messieurs, Je vais consacrer la leçon de ce jour au cas d'une jeune m soulève une intéressante question
uestion de diagnostic topographique selon toute vraisemblance, d'un cas de tumeur de l'encéphale exactement, d'un cas d
e vraisemblance, d'un cas de tumeur de l'encéphale exactement, d'un cas de tumeur du cervelet. Le cas en question va me
umeur de l'encéphale exactement, d'un cas de tumeur du cervelet. Le cas en question va me servir de point de départ d'u
it 15 ans lorsqu'elle perdit son père qu'elle aimait énorme- SUR UN cas DE TUMEUR DU CERVELET 215 ment. Elle en éprouva
était NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE, T. XI. PL. XXVIII, UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET (F. Raymond.) l3Wr,ut d
u IIl° volume des Cliniques des Maladies du Système nerveux. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 217 appliquée sur le crân
re mania- que, les attaques épileptiformes et syncopales.. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 2t9 . .. Diagnostic.
résente aucun signe d'une lé- sion rénale. En second lieu, dans les cas d'urémie chronique, les troubles en question ne
ent entrer en ligne de compte. Il ne saurait être question, dans le cas présent, d'une de ces lésions (le déficit, causée
ormuler. Se péut-il que, chez noire malade, nous ayons affaire à un cas de sclérose en plaques ? Certes, rien dans so
s affaire à un cas de sclérose en plaques ? Certes, rien dans son cas ne rappelle la sclérose en plaques classique, a
conscrites de l'encéphale, el en particulier du cervelet. Témoin le cas si intéressant, publié par le professeur Pierre[
us récemment par MM. II. Royer et J. Collet (2). Pour en revenir au cas de notre malade, nous pourrions supposer, chez
lieu de tenir compte de l'évolution essentiellement progressive du cas ; il y a lieu de tenir compte des manifestations a
qui me sont dictées par des erreurs de diagnostic commises dans des cas analogues à celui de notre malade. Il se pourra
la yerte cle la vue, de la Ululation. (1) C. PIERRES, Note sur un cas d'atrophie périphérique du cervelet. Archives de
velet, etc. Archives de Neurologie, novembre 1893, p. 353. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 221 Non seulement ces tro
ue des accidents causés par les tumeurs cérébrales. Je suppose le cas où une néoplasie susceptible d'accroissement, tel
, qui a été constatée chez X... peut être indifféremment, selon les cas , un phénomène de compression générale ou un phé
raîne fatalement le diagnostic de lésion du cervelet, et dans notre cas , il s'agirait d'une tumeur. La vérité est celle
vérité est celle-ci : la titubation ne manque presque jamais dans les cas de lésion du cervelet ; par contre on l'a obser
re on l'a observée, mais à titre tout à fait exceptionnel, dans des cas de lésions encéphaliques qui n'avaient aucun ra
n, Deutsche me- dicinische `1'ochenschrift, 1892, no 1), . SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 223 Vous savez la positio
e des troubles sensitifs et moteurs qui ne manquent jamais dans les cas où une tumeur faisant her- nie dans le quatrièm
r pouvoir atteindre les deux nerfs optiques ou le chiasma. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 225 Reste une dernière hy
nière hypothèse, qui se concilie avec toutes les circons- tances du cas ; elle consiste à localiser la tumeur à la face su
quer là dessus, dans le courant de l'année dernière, à propos d'un cas de tumeur du cervelet, qui s'était accompagnée
son radicale. Dans une leçon de l'année dernière (1), relative à un cas de tumeur de môme siège, je me suis longuement
x. Deuxième série, p. 709 et suivantes, Paris, Doin, 1897. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 227 qui ont été tentées,
U CERVELET 227 qui ont été tentées, ou qui peuvent l'être, dans les cas de tumeurs céré- brales. Je vous rappelle qu'en
tion simple, de la ponction des ventricules. Chez le malade dont le cas a fait l'objet d'une leçon, l'année dernière, j
ntricules. Instruit par ce précédent, j'ai jugé préférable, dans le cas actuel, de recourir il une simple trépanation.
ra- tiquée et permît de faire les constatations suivantes. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 229 atrophiés. Tous les v
el des sensations douloureuses était presque impossible et, en tout cas , restait tout à fait subjective, quelquefois même
is une formation ner- veuse, l'irritant directement ; dans d'autres cas elle s'enfonce dans l'orifice d'une glande, san
semaines ou les premiers mois de la vie, mais toujours liées en ce cas à une dystrophie primitive, originelle. On les
z fréquemment dans l'hérédo- syphilis. Pour l'énorme majorité des cas , elle n'y est que peu accentuée, peu ap- parent
s latéral droit. Fig. 1. - Asymétrie crânienne et faciale dans un cas d'hérédo-syphilis (E. Fournier). LES MALFORMA
la disparition d'une ou de plusieurs sutures normales. Plusieurs cas de ce genre ont été relevés. Je citerai seulement
s genres ou, pour mieux dire, de tous Fil-. 2. - Crâne acrocéphale ( cas de Legrain). LES MALFORMATIONS CRANIENNES CHEZ
S MALFORMATIONS CRANIENNES CHEZ LES HËRÉDO-SYPHIUTIOUES 243 En tout cas , j'ai trouvé là un crâne d'enfant semblant bien p
onc (qu'il me soit permis de le noter au passage) un exemple de ces cas si curieux d'hérédo-sphilis de seconde générati
emple de ces cas si curieux d'hérédo-sphilis de seconde génération, cas encore entachés de doute pour certains médecins,
sez commune dans l'hérédo- syphilis ; beaucoup plus commune en tout cas qu'on ne veut encore actuellement l'admettre, s
et, certes, je n'ai pas la prétention d'avoir décou- vert tous les cas qu'on a pn citer. Je me bornerai ici à rapporte
o temps. Marié dès la première année de sa (1) Le relevé des autres cas recueillis figure dans notre thèse Stigmates dyst
mblablement syphilitique au cours de la première grossesse, en tout cas traitée comme telle par son médecin pour « des ta
ature médicale française et étran- gère, que j'ai pu consulter, 147 cas d'enfants entachés d'hérédo-syphilis et hydrocé
de très obligeantes communications. Au total donc, j'ai réuni 170 cas dûment authentiques d'hydrocéphalie s'étant pro
duire bien davantage, si je ne m'étais astreint à ne citer que les cas offrant, soit par l'autorité de leurs auteurs,
e de l'Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX, DANS UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTI
uite dans l'enfance, pendant la période de déve- loppement. Dans ce cas , et nous allons en fournir un exemple, on peut
Nous avons eu l'occasion de faire cette remarque, dans de nombreux cas , où systé- matiquement, ou à propos de cas inté
marque, dans de nombreux cas, où systé- matiquement, ou à propos de cas intéressants observés chez des tuberculeux, les d
. Foyer de sclérose au niveau de la corne gauche. 2. Moelle dans le cas J'atrophie simple, saite d'atrophie du genou, qui
ciale de tout le squelette du membre. M. Klippel (3) a publié trois cas dans lesquels, à la suite d'un trauma- tisme su
e et un arrêt de développement du membre correspondant. L'un de ces cas , suivi d'ailleurs d'autopsie, se rapproche beauco
mpossible. Le fait de l'aplasie osseuse est donc bien établi. Notre cas en fournit un nouvel exemple Ci). En second l
eux ob- servations de Klippel (2) doivent être discutées. Dans un cas d'arthrite du genou, suivie d'atrophie musculaire
et les altérations médullaires diffuses et généralisées. Le second cas a trait à l'autopsie et à l'examen histologique p
es, mais très peu marquée, d'après l'avis môme de l'auteur. Notre cas est plus favorable, car l'atrophie n'est pas disc
sacrée. L'atrophie médullaire avait d'ailleurs été reconnue dans un cas plus ancien de Leyden (1), concernant une ankyl
origine des nerfs se rendant aux muscles frappés d'atrophie. C'est un cas particulier de la formule de Marinesco (2) : L'
te dynamique, elle ne se manifeste par aucune lésion médullaire. Un cas , qui, comme le nôtre, met en évidence l'atrophi
linilz dei- Huckenmarkskrankheiten, Berlin, 1898. (2) Maiunesco, Un cas de lésion traumatique du trijumeau el du facial a
exemple, Darlachewitscli et Tichonow (89 : 3) ont montré, dans des cas de paralysie faciale non spécifique, la dégénéres
pourquoi, si l'atrophie est exceptionnelle, elle existe dans notre cas , il suffit de se reporter aux expériences de Vanl
ppe- ment, pendant la période de croissance. On peut rapprocher des cas d'atro- phie d'un membre, consécutive aux arthr
peut porter essentiellement sur la corne antérieure, comme dans les cas d'IIayem et Gilbert (3), Déjerine et Mayor (4). L
out à fait différente. Nous pouvons à ce point de vue rappeler deux cas personnels. .Le premier se rapporte à une paral
totalité, est plus grêle que celle du côté opposé. Dans un deuxième cas relatif à un malade de GO ans, atteint dans l'e
voit donc que l'examen histologique permettrait de séparer, dans un cas douteux, l'atrophie d'un membre par lésion périph
incertaine ; que l'apparence du membre est comparable dans les deux cas . Ce qui déjà facilitera la distinction clinique,
de l'écorce de cause périphérique, la théo- rie qui s'applique aux cas d'amputation de membre convient à ceux d'impote
des hôpitaux (séance du 22 juillet 189S) des pièces provenant d'un cas de paralysie traumatique inférieure du plexus b
osseuse bien manifeste sur la pièce et qui permet de rapprocher le cas de f. Apert du cas pu- blié ici. -DE LA MYOSI
ifeste sur la pièce et qui permet de rapprocher le cas de f. Apert du cas pu- blié ici. -DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGR
es parois de l'aisselle, ainsi qu'il semble résulter de l'examen du cas , sans que cela y soit dit clairement; si nous t
ans la myosite ossifiante, il nous semble légitime de considérer le cas d'Aber- nethy comme appartenant à l'affection q
sification que nous avons placé ailleurs. Oiis. VIII. - Hawkins, Un cas de formation osseuse dans les muscles, London m
s ostéoblastes et des canaux de Ha- vers. Ons. XII. Zollinger, Un cas d'ossifications pathologiques étendues, thèse d
ntroduction du petit doigt. Fig. 1. Myosite ossifiante progressive ( Cas de Zollinger). DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRES
e de la raideur des fausses côtes. Il y a là une différence avec le cas de Skinner où le thorax restait immobile parce
nue d'étendue dans l'espace Fig. 2. Myosite ossifiante progressive ( Cas de Munchmeyer). DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRE
nt fixées au tronc. Seuls Fig. 3. - Myosite ossifiante progressive ( Cas de Nicoladoni). 302 , A. WEILL ET J. NISSIM d
main, sauf la malformation Fig. 4. Myosite ossifiante progressive ( Cas d'Helferich). 304 1. WEILL ET 1. NISSIM congé
Kuemmel, XI ! " congrès allemand de chirurgie. - Présentation d'un cas de myosite ossifiante progressive. Archives de La
lph, 13 ans, né le 24 avril 1870 à Hambourg. Dans la famille pas de cas semblable. 14 jours après la naissance, sa gouver
des hras possible jusqu'à Fig. 5. - Myosite ossifiante progressive ( Cas de Kuemmel) 308 A. WEILL ET J. NISSIM 40°. Ro
de la 7" dorsale, épaisse Fig. 6.- Myosite ossifiante progressive ( Cas de Kuemmel). DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSI
musculature des jambes avec une excitation di- recte. Ons. XXII.- Cas de UIIDE, in thèse de Pinter, 1883 (1). N. de B
EAS H(C TOLUTVR"ÆSTRVM ! 118 Année N° 5 Septembre-Octobre 1898 UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE PAR R E. FEINDEL
1'. Froussard) ^Altitudes du malade dam différents mouvements. UN CAS DE SPONDYLOSE RüIZ0111LIQUE 323 l'ankylose, la
ieure du péroné gauche est i 21 centimètres au-dessus du plan. · UN CAS DE SPONDYLOSE RnIZ011ÉLIQUE 325 au-dessus vient
sur sa tête, etc. Mais tandis que le bras gauche peut être élevé UN CAS DE SPONDYLOSE RIIIZO\IÉLIQUE 321 presque vertic
rapide produit vite de la fatigue. La douleur, dans ces différents cas , est la même; c'est ce que Duf... nomme sa doul
, une douleur du sternum. Ainsi, lorsque Duf.. éternue, un point UN CAS DE SPONDYLOSE RHtZOMÉLIQUE 329 limité du sternu
ont moins limités et bien moins dou- loureux qu'il y a 3 mois. UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 331 Mouvements. - Ce
des douleurs dans l'aine, et des craquements dans la hanche. , UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 333 Pour ramasser un
eutsche Zeitsch. f. Nervenheilk. Bd 12, H. 2, mars 1898, p. 177. UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 335 masse par les mo
. Toutes les autres articulations sont toujours restées libres. Des cas rapportés dans le travail de M. Marie, de l'obser
la photographie a les deux hanches soudées. Enfin, signalons les cas d'ankylose de rachis de Lancereaux, de Bechte-
courbé en avant et incliné de côté dans sa par- tie supérieure. Le cas de Baumler est assez différent des aulres au poin
, AViea, lS9î, chez llolder, p. 219. (2) BCCIITEIIEW, Autopsie d'un cas d'ankylose du rachis. Conf. de la clin. neuro-psy
e est fixée en flexion légère, comme il arrive dans la majorité des cas ; le malade de Baumler avait au contraire les cuis
lose coxo-fémorale bilatérale ou unilatérale entraîne dans les deux cas des modifications très particulières de la statiq
la dou- leur. Les phénomènes douloureux ne manquent dans aucun des cas que nous connaissons. Ils sont de deux sortes :
nnaissons. Ils sont de deux sortes : la douleur à la pression en UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 337 certains points
lement, d'un mouvement brusque ou forcé. Il est à noter que dans le cas de Baumler les douleurs auraient complètement dis
se fait par étapes ; et ces étapes sont nettement séparées dans le cas de Baumler, moins dans le nôtre. Malgré la prés
le siège de gonflement ni de rou- geur. Il n'y a pas de fièvre. Le cas de Baumler fait un peu exception à cette règle.
on à cette règle. Enfin la maladie est susceptibled'amélioration ( cas deBeer) ; et, comme le signale M. P. Marie, les
peu les petites arti- culations des membres ? Le fait due, dans les cas de M. Marie comme chez Duf..., les articulation
e affir- mativement. En effet, M. Brissaud a vu avec M. Aluarran un cas où au- cune articulation n'était épargnée. Le m
que l'hérédité, les antécédents rhumatismaux font défaut dans notre cas , que l'alcoo- lisme, la syphilis manquent souve
a syphilis manquent souvent, M. P. Marie fait remarquer que ses six cas concernent des hommes, et cinq des hommes jeunes.
ne ar- thrite infectieuse (voir Marie), avec la myosite ossifiante ( cas de Béer). ANATOMIE PATHOLOGIQUE. On peut se f
pâtement du rachis lombaire (Béer) et cervical (Baumler). Aucun des cas signalés par M. Marie n'a été suivi d'autopsie, m
lages diar- (I) Anatomie pathologique, vol. III, p. 206, 1889. UN CAS DE SPONDYLOSE RIIIZOMÉLIQUE 339 llirodiaux usés
eunesse des accidents herpétiques variés, et M. Lancereaux donne le cas comme un exemple d'arthrite chronique herpétiqu
ans son Traité de l'IcpéLzsae (p. 117), l'indication de plu- sieurs cas que l'on pourrait rapprocher de la forme étudiée
thologique pouvant encore fournir quelque éclaircissement sont : le cas du « chat barre de fer » de Bricon (1), l'an- k
ancereaux, Leyden et Goldscheider et avec le peu que nous savons du cas autopsié par Bechterew, nous conduit à penser qu'
ne beaucoup de vraisemblance à cette supposition, c'est que, dansée cas de Baumler (ler temps) l'ankylose dorso-lombo-sac
immobilisé. Au deuxième temps (cervical) du processus d'ankylose du cas de Baumler, le cou s'était immobilisé en flexion,
t définitivement t fixé dans une position il peu'près normale. UN CAS DE SPONDYLOSE RTIIZO)ITLIQUE 341 Il est permis
douloureux avaient beaucoup di- minué d'intensité. (1) Nissim, Un cas de myosite ossifiante progressive. Soc. anatomiqu
ent ne permettent pas de la méconnaître ; on peut dire que tous les cas se res- semblent et sont presque superposables
le. Historique. En 1836, Boeck signale, pour la première fois, un cas d'hémihypertro- phie congénitale. M. Ollier,
ovski (189ai), Stembo (1896). En 1895 Arnheim communique un nouveau cas à la Société de médecine de Berlin suivi d'auto
ents. Les 'cheveux sont plus rudes à gauche au devant de l'oreille. Cas . V. (PASSAUER, Virehow's Archiv., 1866.) Passau
ksichtigung der Pigmentation. Charité-Annalen, IX, S. 619.) Dans un cas de Lewin, l'hypertrophie est croisée. Tout le c
e. Ons. XL (In thèse de Masméjean, Montpellier, 1887-88.) Dans un cas de Truc et Masméjean, concernant un enfant de 13
Glasgow M. J., 189t, XLI, 189 à 19G.) En 1894, Mac Grégor publie un cas d'hypertrophie unilatérale chez un en- fant.
ch., 1896, n. F. XIII, 2fi5.) Stembo, l'année suivante, rapporte un cas d'bémihypertrophie de la partie supérieure du c
QUE ET PATHOGENIQUE DES CAS CONGENITAUX. CONCLUSIONS. Le nombre des cas congénitaux que nous avons recueillis s'élève à l
is dans notre observation, au 8° mois dans celle de Ziehl). Dans un cas (Sabrazès et Cabannes), la mère fait au 4° mois u
alement indemnes de cette difformité. Finlayson relate cependant un cas d'anomalie des extré- mités chez un frère. Les
atteint ordinairement les tissus -mous et les os sous-ja- cents (11 cas ). La joue est augmentée de volume dans sa totalit
udes, plus secs, moins souples (Heumann, Ziehl, Kiwull). Dans notre cas , ils sont frisottés en une traînée avec hy- per
hy- perchromie du cuir chevelu dans la région occipitale. Dans 7 cas , les os participent complètement à l'hypertrophie
i- nairement régulière, exceptionnellement irrégulière et rugueuse ( cas de Kiwull). Les os peuvent être saillants en qu
gales, mais mal implantées (Kiwull, Sabrazès et Cabannes) ; dans ce cas , les gencives peuvent être exubérantes (Kiwull) ;
opposé à la malformation (Kiwull, Sabrazès et Cabannes). Il est des cas où la langue est normale (Finlayson, Fischer, etc
Kiwull, Sabrazès et Cabannes), ou simplement paresseuses, au- quel cas la mimique est légèrement contrariée dans son jeu
résistance électrique augmen- tée (Sabrazès et Cabannes). Dans le cas de Friedreich, la malade se plaint de sensations
ens sont habituellement intacts. Le goût est conservé même dans les cas d'hémihypertrophie linguale, sauf dans l'observat
du côté hyper- trophié. L'ouïe est ordinairement normale. Dans le cas dû à Ollier l'acuité au- ditive était plus marq
index, le médius et l'annulaire du côté opposé (Finlayson). Dans le cas de Lewin l'hypertrophie est croisée, le bras corr
tion de Ziehl le malade hydrocéphale était inintelligent. Dans deux cas (Boeck, Kiwull) la maladie était manifestement pr
ue sialorrhée, modi- fications de la température locale, etc. Les cas d'hémihypertrophie faciale congénitale ne sauraie
uivant mérite, à ce point devue, d'être cité par analogie : dans un cas communiqué par M. Martin Saint-Ange à Isid. Geo
tation ou une diminution proportionnelle. « C'est ainsi que dans le cas que je viens de citer, dit Isid. Geoffroy St-Ifil
r au cours de la grossesse (7% 8 mois) n'est signalée que dans deux cas . Si on interroge la tératologie expérimentale q
s le sens de l'exaltation on dans le sens de la dépression. Dans le cas de l'exaltation aussi bien que dans le cas de la
e la dépression. Dans le cas de l'exaltation aussi bien que dans le cas de la dépression le défaut de synergie trophiqu
pinal Irritation )) (1840) dans lequel l'auteur fait men- tion d'un cas survenu chez une femme de 38 ans, comme conséquen
du nerf sous-orbitaire. Berger (0.) de son côté (1872) rapporte un cas semblable consécutif à tille névralgie tenace d
83) l'affection aurait apparu vers la fin de la 2e année. Dans le cas de Montgomery (1893) le premier signe du mal date
ie Spinal Irritation, 18'O.) Stilling signale très succinctement le cas d'une femme de 38 ans qui a vu tout le côté dro
hiv fiir klinische Medicin, 1872, p. 393). Berger (0.) a observé un cas d'hémihypertrophie faciale acquise survenue, 36
ts Il ! Jpel't1'ophie. Berlin klin. Wochensch., p. 700, 1883.) Le cas de Schieck concerne une fillette de 9 ans venue a
eloppés. Les pupilles sont égales. L'enfant est peu intelligente. Cas . IV. - (M. Montgomery, Médical News, 1893, t. 2
omery, Médical News, 1893, t. 2, p. 61.) M. Montgomery signale un cas d'hémihypertrophie faciale non congénitale surv
n extrémité inférieure la peau est verruqueuse, comme dans certains cas d'éléphantiasis. La salive ne s'écoule pas par la
Revue neurologique du 28 fé- vrier 189, 114.) Ch... Dana cite le cas d'un jeune homme de 19 ans dont les parents, ai
formidable. Il y a dés céphalées de temps à autre. L'intérêt de ce cas réside dans l'association du gigantisme, de l'a
ihypertrophie faciale. » ÉTUDE CLINIQUE ET 1'.\TI ! OGl ? iIQUE DES CAS ACQUIS. CONCLUSIONS. Les cas acquis sont au n
CLINIQUE ET 1'.\TI ! OGl ? iIQUE DES CAS ACQUIS. CONCLUSIONS. Les cas acquis sont au nombre de 5 ; ils se répartissent
pas l'indication du côté malade. Au point de vue descriptif, les cas acquis se rapprochent des cas con- génitaux ; c
lade. Au point de vue descriptif, les cas acquis se rapprochent des cas con- génitaux ; cependant l'évolution et la phy
ns 35G J. SABRAZÈS ET C. CA131NE5 (Montgomery). Dans les 3 autres cas , le début n'est pas nettement pré- cisé. Ordi
re, au lieu d'être plus rapide du côté hypertrophié, comme dans les cas congénitaux, semble être plus lente (Schieck, Mon
i toujours intacte. L'affection est nettement progressive dans deux cas (Schieck, Montgo- mery). Un examen microscopiqu
s le tissu conjonctif et autour des vaisseaux). La pathogénie des cas acquis, encore peu nombreux, que nous venons de
ou. Nous avons déjà eu l'occasion de rapporter antérieurement trois cas de difformités congénitales du cerveau (2). Dan
rois cas de difformités congénitales du cerveau (2). Dans ces trois cas , le tableau ana- tomo-pathologique était analog
traiter d'une manièreplus détaillée. En nous basant sur de nouveaux cas que nous avons observés récemment, nous désirons
ig. 1. - Coupe transversale au niveau de l'aqueduc de Sylvius dans un cas d'hydro- céphalie congénitale. Dilatation des v
d'une hydrocéphalie interne très accentuée, nous pou- vons citer le cas suivant : Cas Il Il s'agit d'un enfant, âge pre
lie interne très accentuée, nous pou- vons citer le cas suivant : Cas Il Il s'agit d'un enfant, âge presque de deux ans
i recouvre la table interne de tous les os crâniens. Ainsi, dans ce cas , on voit que dans les ventricules latéraux, il y
, un reste de l'écorce cérébrale attenant au repli falciforme. C. Cas I. Base de l'encéphale examinée dans l'eau. La me
l'eau. La membrane prend exactement les contours du cerveau. D. - Cas IL Encéphale : moelle allongée, cervelet, et un r
utres en- droits s'est transformé en membrane très fine. Ainsi,ce cas permet de comprendre nettement comment sous l'inf
exemples d'une semblable hydrocéphalie nous rappellerons les trois cas décrits par nous antérieurement. Nous voyons la b
ne et au-dessus desquels se trouve un liquide transparent. Dans ces cas , sous l'influence de l'hydrocéphalie survient une
breux épais qui recouvrent les couches optiques. En somme, dans les cas où l'écorce cérébrale amincie ne prend pas l'as-
e. Au sujet de la cause qui a pu provoquer l'hydrocéphalie dans ces cas , on devra considérer que les faisceaux fibreux
peul d'ailleurs rien dire de positif concernant l'étiologie de ces cas ; aussi est-il difficile de savoir si la syphilis
une anomalie cérébrale d'apparence analogue. Nous voulons parler du cas où le cer- veau n'arrive pas à se développer pa
nce d'une tète très petite, où les fonta- nelles manquent. Dans les cas de ce genre, comme on peul le voir dans la coll
de monstruosité, nous rapporterons l'ob- servation suivante : . Cas II. Enfant âgé de jours. Les sutures sont soudées
S CONGENITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (N. Sotovt/on') 1 : . - Cas III. Absence totale de voûte crânienne ; vue de f
e même, de dos. H. - Cas Il'. Absence de la voûte crânienne. I. - Cas V. Absence de la voûte crânienne ; vue de face J,
seulement. La difformité du cerveau la plus marquée comprend les cas où l'on cons- tate l'absence totale de ce derni
loppement in- complet des os de la voûte crânienne. Dans de pareils cas , on ne trouve plus que la base du crâne, recouv
lors se trouve représenté sur la photographie (PI. XLI, E, F, G). Cas III. La partie faciale de la tête, excepté le fro
upé- rieure. ' L'observation suivante peut servir d'exemple de ce cas d'ouverture in- complète de la cavilé crânienne
lète de la cavilé crânienne avec manque partiel des os de la voûte. Cas IV. Fillette, née à terme, ayant vécu quelques he
en arrière et sur les côtés d'une bordure chevelue. En comparant ce cas avec le cas précé- dent, nous voyons qu'ici, da
t sur les côtés d'une bordure chevelue. En comparant ce cas avec le cas précé- dent, nous voyons qu'ici, dans la partie
tes et la partie postérieure des os occipitaux, on voit que,dans ce cas , la partie inférieure du bulbe seule est conservé
que la paroi postérieure qui est réduite à presque rien. Dans ce cas , la cavité crânienne est ouverte seulement dans s
uvert sur une longueur plus ou moins grande. Nous le voyons dans le cas suivant : Cas V. Filletle, née un mois avant te
ngueur plus ou moins grande. Nous le voyons dans le cas suivant : Cas V. Filletle, née un mois avant terme ; son corps
tement fendu, mais avec absence totale de cerveau, nous citerons le cas suivant : Cas VI. Ici, la monstruosité est énor
is avec absence totale de cerveau, nous citerons le cas suivant : Cas VI. Ici, la monstruosité est énorme, car outre l'
MITÉS CONGENITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (N, Solo\ tlolt') . Cas 11. Cyclope. L, vue de f.tte ; K, de profil ; M,
pour expliquer les difformités de la tête dans ces quatre derniers cas (Cas III- VI), accompagnées d'absence de la voû
expliquer les difformités de la tête dans ces quatre derniers cas ( Cas III- VI), accompagnées d'absence de la voûte cr
tral, prenant l'aspect de l'anencéphalie et de l'a- myélie. En tout cas , puisque chez nos quatre monstres les yeux étaien
entral chez nos monstres. Commençons par l'examen des deux premiers cas . 1° Enfant-âgé de 2 ans environ, chez lequel so
r la soudure prématurée de fontanelles (PI. XL, D). Dans ces deux cas , il n'existe pas d'anomalie dans la topographie d
ne bande claire située au milieu des cordons antérieurs. Dans notre cas , chez l'enfant qui a vécu 4 jours, le faisceau py
aces des voies pyramidales, elles manquent totalement dans les deux cas . Quant au ruban de Reii, il existe chez les deu
gion cervicale ; atrophie des cordons latéraux des deux côtés. P. - Cas II. Coupe de la moelle allongée, au niveau de l'e
, qui manquent totalement (PI. XLIII, R). (La coupe appar- tient au cas II, où les couches optiques manquaient presque to
ne présente rien d'anormal à ce niveau (PI. XLIII, S). (La coupe du cas où les couches opti- ques sont bien développées
on dont nous nous sommes servi pour nos préparations. Dans les deux cas les coupes du système nerveux cen- tral ont été
ruban de Reil principal n'est pas également développé dans nos deux cas ; ainsi dans le cas Il, chez l'enfant qui a vécu
ipal n'est pas également développé dans nos deux cas; ainsi dans le cas Il, chez l'enfant qui a vécu 4 jours, et chez l
2 ans et chez qui les couches optiques étaient plus dé- veloppées ( Cas I), le ruban de Reil principal était bien dévelop
FFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (N. Solovtzofr) Cas I. - T. Coupe au niveau de l'entrecroisement des
ORMITES CONGENITALES DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL (N. 5010\'tl.oO") Cas I. - W. Coupe faite au niveau des nerfs oculo-mot
mé, quelles sont les particularités que nous trouvons dans ces deux cas , principalement t dans le premier cas, celui de
nous trouvons dans ces deux cas, principalement t dans le premier cas , celui de l'enfant de 2 ans ? Ce sont : 1° l'ab
eaux internes accessoires. Passant maintenant à l'examen des autres cas , nous allons nous arrêter à celui de la fillett
la moelle épinière existait seule, le cerveau manquant totalement ( Cas III). La voûte crânienne n'existait pas et la bas
s bien dévelop- Fig. 2. Cellule pyramidale de l'écorce cérébrale ( Cas I). 380 NICOLAS SOLOVTZOFF pés; quant aux cor
mbrane, dans laquelle on distingue des fibres de myéline. Dans le cas du cyclope (Cas VI), chez qui la colonne vertébra
aquelle on distingue des fibres de myéline. Dans le cas du cyclope ( Cas VI), chez qui la colonne vertébrale était L fen
e par le procédé de Pal, on pouvait voir nette- ment, comme dans le cas précédent, les cordons postérieurs; quant aux c
aient dans les cellules nerveuses. Passons maintenant à l'examen du cas où la colonne vertébrale était totalement fendu
à l'examen du cas où la colonne vertébrale était totalement fendue ( Cas V) ; comme nous l'avons déjà mentionné plus hau
ITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (N. SoloYtzoff) a. - Cas III. Coupe de la moelle, région cervicale. Absenc
amidales, cérébelleuses, et de la racine spinale du trijumeau. b. Cas 1', Moelle épinière et membrane recouverte de fib
mbrane recouverte de fibres myéliniques, racines postérieures. c. - Cas Il'. Moelle épinière; par suite de l'hydromyélie
membrane ; la région postérieure est e ? ti ornement atrophiée. d. Cas 1-. Moelle allongée. Absence des faisceaux de Gol
ryon il la première moitié de sa vie intra-ulérine. Dans tous les cas précédents, à l'exception du premier, les cellule
de la corne antérieure de forme irrégulière contenant des vacuoles ( Cas V). 382 NICOLAS SOLOVTZOFF développement pend
ais si le cerveau est fixé Py. 4. - Cellule de la corne antérieure ( Cas V, le cyclope). Fig. 5.- Cellule de la corne an
ieure (Cas V, le cyclope). Fig. 5.- Cellule de la corne antérieure ( Cas IL). DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NE
e épinière, l'aspect des cellules apparaît différent. Ainsi dans le cas de l'enfant âgé de deux ans, l'hydrocéphalie inte
cellules motrices de la corne antérieure. Voilà pourquoi, dans- ce cas , on ne peut noter qu'une diminution de la quant
ois, et non seulement par les recherchés qui ont porté sur ces cinq cas patholo- giques, mais encore par la suite de no
par la suite de nos recherches sur les embryons. Revenons encore au cas de cette fillette dont le canal vertébral était
ncore au cas de cette fillette dont le canal vertébral était fendu ( Cas V) ; nous avons trouvé dans la membrane qui recou
- nienne, grâce à quoi une partie du bulbe s'était aussi conservée ( Cas IV). L'hydrocéphalie interne s'était aussi prop
it et progressivement devient presque nulle (PI. XLVII, C). Dans ce cas le canal vertébral est élargi, mais pourtant il
urions vu alors un aspect analo- gue à celui qu'on observe dans les cas ou la colonne vertébrale est com- plètement fen
st réduite à une simple mem- brane (l'l. XLVI, 13). Dans le dernier cas (Cas IV) l'hydrocéphalie céré- hro-spinale n'at
duite à une simple mem- brane (l'l. XLVI, 13). Dans le dernier cas ( Cas IV) l'hydrocéphalie céré- hro-spinale n'atteign
postérieure (PI. XLVI, C). En un mot l'hydromyélie dans ce dernier cas n'étaitpas assez marquée pourprovoquer une ouve
aurions vu chez cette fillette aussi un tableau analogue à ceux des cas précédents c'est-à-dire que les coupes transversa
bryonnaire. VI. Toutes les difformités que nous avons observées (12 cas ), sont rela- tives à des monstres du sexe fémin
cherches dans la portion cervicale de la moelle : rien d'anormal (1). Cas observé en Angleterre ou en Australie. Nous a
sente il la Société de médecine de Budapest, le 23 février 1889, un cas de myosite ossifiante progressive. Il s'agit bien
ère fois à 4 ans et'demi. Fig. 9. - Myosite ossifiante progressive ( Cas de Lendon, d'après The Laacet). 390 A. WEIL ET
ès The Laacet). 390 A. WEIL ET J. NISSIM Ons XXXII. S\\'ENSON, Un cas de myosite ossifiante multiplex. Hygiea, Stockh
rsal, les pectoraux et une partie du deltoïde étaient ossifiés. ' Cas . XXXIV. J. 13RErrNSORrr, Berlin, ! clin. Wocllens
e l'absence de la 2° phalange. 392 A. WEIL ET J. NISSIM Dans ce cas l'ossification a commencé sans douleurs, sans rou
e progrès. uns. XLI. - GIIINEY, Boston med. journ., 1894, p. 43. Un cas de Ill. 0. avec exostoses multiples. Garçon,
il nous est devenu possible de déterminer, dans un grand nombre de cas , le siège vraisemblable ou certain d'une lésion i
ourante, pour le plus grand bien des malades. On ne compte plus les cas où une épilepsie par- tielle, une paralysie, un
eussions jugés réfractaires à la thérapeutique, et dans beaucoup de cas , ces guérisons revêtent les apparences d'un mir
ience propres au pouvoir du cerveau de l'hystérique. Il faut, en ce cas , supprimer ce reste de pouvoir et de conscience p
autono- mie, il nous parait indispensable d'exposer les détails du cas que nous av ons observé. 420 0 A. SOUQUES ET
e mais encore des sus et sous-épineux, éléva- teurs du bras dans ce cas . 3° Elévation en dehors du bras, jusqu' l'horiz
iatrie de Berlin (1), Remak déclara qu'il n'avait observé que trois cas de paralysie isolée du muscle grand dentelé, tand
paralysie isolée du muscle grand dentelé, tandis qu'il avait vu six cas de paralysie du même muscle, associée 1 celle des
e cette localisation doit être rare, puisque sur une vingtaine de « cas d'atrophie ou de paralysie du grand dentelé que j
ui meuvent l'épaule sur le tronc et le bras sur l'épaule. « Dans ce cas ,les signes pathognomoniques de la paralysie du gr
région scapulo-humérale, considérer dans l'espèce ce fait comme un cas de paralysie isolée du grand dentelé. Une des d
en 1855, ajoute en note : « Depuis lors j'ai observé bien d'autres cas de paralysie ou d'alro- « phie du grand dentelé
rand dentelé, dont j'aurais pu exposer le sommaire à la suite « des cas précédents. » Nous ne pouvons que regretter, au p
faite. Nous savons, au demeurant, que Duchenne regardait comme des cas de paralysie complexe tous les cas de paralysie
que Duchenne regardait comme des cas de paralysie complexe tous les cas de paralysie isolée du grand dentelé, publiés a
plupart de ces diverses observations, de savoir par exemple si tel cas se rapporte il une paralysie associée, car ces
d'ailleurs tenir le même raisonnement critique à propos de certains cas publiés depuis Duchenne. Pour ce motif, il est
ésiées : tout récemment \Val- ther Schlottmanu (3), étudiant quatre cas de paralysie périphérique du nerf spinal, concl
f du grand dentelé et ceux du trapèze scapulaire ont, dans quelques cas exceptionnels, une origine commune. On peut évi-
alysie des muscles innervés par ces nerfs. Gowers a observé trois cas de paralysie radiale, consécutifs à une vio- le
nons a le répéter, d'une pure hypothèse, qui ne peut convenir qu'au cas de notre malade et aux cas sinon identiques du
re hypothèse, qui ne peut convenir qu'au cas de notre malade et aux cas sinon identiques du moins analogues étioiogique
ndant l'élévation volontaire du bras. 1° Possibilité (dans quelques cas ) d'élever le bras au-dessus de la ligne horizon
saillie sous la peau. » ' C'est exactement ce qui a lieu dans notre cas . Et Duchenne ajoute : « ce mouvement de rotatio
e, dont il reste distant de six centimètres environ. Or, dans notre cas , ce pa- rallélisme fait défaut. L'obliquité rés
aut et en dedans de un cen- timètre, et encore faut-il que, dans ce cas , l'angulaire et le rhomboïde jouissent de toute
Peut-être pourrait-on faire quelques réserves sur ce point. En tout cas , le trapèze a aussi pour rôle de fixer le bord
ns l'intention de l'a- border dans un prochain travail. , Dans le cas présent, la réponse importe peu. Notre malade est
ait que dans les faits où le trapèze est simultanément paralysé. Le cas que nous rapportons ici ne nous permet pas de t
ontraction isolée du deltoïde qui détermine directement, dans notre cas , l'obliquité du bord spinal du scapulum, dans l
la gouttière scapulo-thoracique sera plus profonde dans le premier cas . D'autre part, dans l'élévation du bras en dehors
association paralytique semble en effet déterminée, dans cer- tains cas , par leur contraction simultanée, capable de prod
molles du berceau et d'une hau- teur très peu considérable. En tout cas , on remarqua presque immédia- tement après que
norer ; la malade dit au contraire les avoir toujours eues; en tout cas elle en prend depuis la date de son hospitalisati
esquellesun n,c- vus atteignait une parlie étendue du corps, tel le cas de J. W. Ilulke (1) (1) Patiiogénie des angiome
colère. Nous n'avons trouvé dans les publications antérieures aucun cas compa- rable au nôtre soit comme intensité, soi
c'est l'épilepsie qui avait fait intervenir le chirurgien. Dans le cas de Péan, il s'agissait d'une épilepsie partiell
ologique montra être un angiome. Il en était encore de même dans le cas de Pollosson : l'angiome avait donné de l'épi-
u d'espérer qu'elles seront bientôt surmontées. NOTE SUR - UN CAS DE CHORÉE VARIABLE . AVEC CONTRACTIONS FASCICUL
eth century practice of medicine, t. X, 1897, p. 664. NOTE SUR UN CAS DE CHORÉE VARIABLE 455 quille ; elle a eu la ro
l'1 Ut Fio. 1. Contractions fasciculaires des Deltoïdes dans un cas de chorée variable. A. Courbes des contractions
sa transformation en chorée vulgaire, comme on peut le voir dans le cas actuel. (1) CELLE, Chorée consécutive à une aff
llabit chorea (The Amer. Journ. of med. se, May, 1897). NOTE SUR UN CAS DE CIIORÉE VARIABLE 4.5() L'apparition du délir
et celle qu'on observe dans l'élévation volontaire du bras dans le cas de paralysie du grand dentelé. La contraction
l'élude des doigts il ressort (Revue de chirurgie, 1898). SUR UN^ CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE. PAR LE
hystéri- que. Mais il n'existe pas, à ma connaissance du moins, des cas publiés, et bien étudiés de tachypnée hystériqu
-je pensé qu'on ne trouverait pas dénuée d'intérêt la relation d'un cas de cette nature aussi curieuse que complexe que
hénomènes physiques, les mêmes à peu près que la veille. ' SUR UN CAS DE 'I'ACIlYI'NI3 HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 4G3 Dux
els nous la trouvons à notre visite du matin au milieu d'une SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 465 formidab
uf de légers vestiges de sa maladie pleuro-pulmonaire. Tel est le cas . Pour classer tant de symptômes divers et en sais
? On pourrait penser à une pl eurésie tuberculeuse; mais il SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 467 s'agirai
Mais pour un contraste aussi choquant il ne pourrait s'agir que des cas très spéciaux (tuberculose suffocante, maladies c
i d'une affection pulmonaire grave. El puisque une affection SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 469 pulmonai
ème attaque les choses se sont passées d'une manière réelle- SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 471 ment sug
onchite. Nous ne contesterons pas ces faits, mais à coup sûr, notre cas n'entre pas dans une semblable description. Je la
ues laryngées dans le cadre desquelles n'en- tre pas non plus notre cas , du moins sous l'aspect que nous considérons ic
née laryngée très intense a joué aussi son rôle. En dehors de ces cas , il y a une dyspnée hystérique très spéciale, trè
cot. Moi-même j'eus l'occasion de l'étudier personnellement dans le cas qui appartient à M. Charcot. Cette dyspnée se c
rellement très super- ficiels. Ils peuvent atteindre, comme dans le cas de M. Charcot, à plu- sieurs reprises un chiffr
que M. Charcot n'a pas hésité un instant dans son diagnostic en des cas où la dyspnée était la seule expression de la mal
ue ceux qui tiennent à l'hystérie. . Avec cette interprétation du cas plusieurs faits, de prime abord singu- lièremen
vant d'attaque de dyspnée en dépit des attaques sans nombre. SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 473 d'hystér
angères à la la- chypnée, et telle est précisément l'originalité du cas . ' La dyspnée est bien de nature hystérique ; m
ières erreurs aussi bien de diagnostic que de pro- nostic.Parmi les cas dont j'ai mémoire.j'en rapporterai un vraiment cu
'hôpital Ancien interne à l'hôpital de Rothschild. de Rothschild. Cas . XLII. Stephen PAGET, Un cas de myosite ossifiant
ôpital de Rothschild. de Rothschild. Cas. XLII. Stephen PAGET, Un cas de myosite ossifiante. The Lancet, 9 février 18
rt avec l'étendue de l'ossification. Glycosurie alimentaire. [ Le cas de M. l3uncnIIOUT est, avec celui de BOCKS, le de
urg, 1875. Gorlée. Trans. clin. Soc. Lond., 1886, p. 333. GïRXEY. Cas de myosite ossifiante avec exostoses multiples. B
vol. CXXVIII, 537-541. REIDIIAAR. Thèse de Bâle, 1885. ROGERS. Un cas d'ossification du tissu musculaire. Am. J. of med
III, 386-388. SALMAN. - Thèse de Berlin, 1893. ScHULTZE et Erb. - Cas d'ahopleie musculaire progrès. Arch. f. Psych. u.
h., 1896. ZIEGLEII. - Anatomie pathologique, T. Il. Zollinger. Un cas d'ossification pathologique très étendue. Thèse d
a lllOCllc, s\lIthl'C" ('111111 toutes ses créations cliniques. Les cas particuliers se fusionnent à ses CIlX. Cil 1111
MEME (15 phot, 2 fig.), 34. Atrophie des cent/'es nerveux, dans un cas d'atrophie musculaire el osseuse d'origine ar
riable avec contractions fascicu- laires des deltoïdes (note sur un cas de) et craquements articulaires. par Cn. rrns.
fig.), 454. Conservation des réflexes dans le tabès dorsalis. Un cas avec autopsie, par Achard et Léopold Lévi (9 ph
l'éliologie du), par A. Lindetrem, 94. Maladie de Friedreich (Un cas de) à début tardif, par L. Boaws (6 lig.), li8.
métrie, par MocxHTKOVSKY (2 fig.), 230. Spondylose rhizomélique (Un cas de), par E. FEINDEL et Il. Froussard (11 phot.,
Y (2 phot., 5 fig.), 1. Tachypnée hystérique secondaire (Sur un cas de), par J. Soc, 461. Traitement de l'ataxie lo
par Gilles DE la TOURETTE et G. GASKE. 18. Tumeur du cervelet (Un cas de), par F. RAYMOND (3 fig. et 1 pl.), 213. T
3. Achard et Léopold Lévi. Atrophie des cen- tres nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et osseuse d'origine arti
miplégie spasmodique et épilepsie (1 phot.), 446. Bossus (L.). Un cas de maladie de Fried- reich à début tardif (6 fi
e grand dentelé (15 phot.), 419. FEINDEL (E.) et P. Froussard. Un cas de spondylose rhizomélique (11 phot., 6 fi- g
hizomélique (11 phot., 6 fi- gures), 321. Féré (Cu.). Note sur un cas de chorée variable avec contractions fasciculai
litiques (2 fig. et 4 pl.), 238. Froussard (P.) et E. FEINDEL. Un cas de spondylose rhizomélique (11 phot., 6 fig.)
t A. Achard. Conservation des réflexes dans le tabes dorsalis. Un cas avec autopsie (9 phot.), 83. LÉoroLD Lévi et Ac
83. LÉoroLD Lévi et Achard. Atrophie des centres nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et osseuse d'origine arti
, 9 fig. et 1 pl.), 114, 154, 276, 387, 475. Raymond (F.). Sur un cas de tumeur du cervelet (3 fig. et 1 pl.), 213.
ihyper- trophie faciale (2 phot., 1 fig.), 343. Socs (J.). Sur un cas de tachypnée hysté- rique secondaire, 461. So
ve (Weil et Nissim), XIX, XX, Ll. Myosite ossifiante progressive ( Cas de Ht : tM)AAn1, XXXVI. Naevus angiomateux de
le solitaire du lobule pariétal droit t (IGALIL1E5 LEMOS), Il. Un cas de tumeur du cervelet (F. Raymond), XXVIII. L
36 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
rappants pour ne pas sauter aux yeux. Dans l'hospice, en général, les cas très accentués, réputés incurables, sont seuls ad
nt réalisées. La consultation fonctionne depuis deux ans déjà, et les cas qui nous intéressent, en raison de la direction p
té dans la description classique de Duchenne (de Boulogne). Dans ce cas , comme dans bien d'autres, veuillez le remarquer,
ices, ou bien encore dans les paralysies faciales graves. En pareil cas , et c'est là un caractère de ce qu'on appelle en
e de l'excitabilité faradique; eh bien, cela n'avait pas lieu dans le cas actuel; le courant galvanique, même avec 50 éléme
ice du professeur Erb, les réactions électriques des muscles dans les cas d'affections articulaires (de l'épaule, du genou,
ltats ont été contrôlés nombre de fois par ceux de Erb, que, dans ces cas , il y a une simple diminution de l'excitabilité é
ement les extenseurs de l'articulation qui sont atteints. Et, dans ce cas , l'atrophie, présentant les caractères de l'atrop
re et l'affection de la jointure peuvent-ils être invoqués dans notre cas ! Oui, incontestablement; vous allez le reconnaîtr
ires ou de cause articulaire. Si, en effet, dans un grand nombre de cas , les arthrites pro-topalhiques, spontanées ou tra
e, affection non inflammatoire, non douloureuse, et, comme dans notre cas , une arthrite légère peuvent déterminer les mêmes
s nerfs moteurs et trophi-ques des muscles extenseurs (crural dans le cas qui nous concerne), puisque le résultat, quand il
uand il se produit, est constant, c'est-à-dire que, toujours, dans le cas d'irritation des nerfs du genou, c'est sur les
r de l'élément cellulaire. Faut-il conclure de là que, si, dans les cas de ce genre, on recourait, dès l'origine, à un tr
traitement sera conduit 1. Comme on vient de le voir, dans certains cas , un muscle absolument inexcitable par les courant
con- Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 3 Dans ce cas , l'affection spinale d'origine articulaire s'est
omme dit le professeur, le choix entre la faradisation, cela est le cas habituel. Il est possible que, dans certains cas,
ation, cela est le cas habituel. Il est possible que, dans certains cas , l'affection spinale et l'affection musculaire co
es de la jointure ou s'étendant à tout le membre. Ce sont même là des cas très fréquents et l'on sait que, dans ces conditi
exion, les fléchisseurs l'emportant sur les extenseurs. Dans d'autres cas , l'atrophie et la contracture se combinent. Ces
ulation. Le service de la clinique renferme, en ce moment, quelques cas fort intéressants, à mon avis, et tout à fait dig
t de vous entretenir aujourd'hui même de ces faits. I. Le premier cas que je vais vous soumettre vous fera reconnaître
es où la piqûre, la contusion, la foulure se sont produites. C'est le cas , par exemple, pour le rhumatisme articulaire aigu
t sous les mêmes influences. J'entre immédiatement dans l'exposé du cas , et, chemin faisant, je signalerai les enseigneme
, au contraire, sous le non à'ky siéra-épi-lepsie à crises mixtes les cas dans lesquels l'hystérie seule existe, mais dans
de fixer ces faits dans l'esprit est la suivante : 11 existe dans ces cas de paralysies qui reconnaissent pour cause une lé
pètes, tendineux ou autres, déterminent les mêmes effets que dans les cas où il existe une lésion des centres nerveux ; la
dice du premier volume de mes leçons faites à la Salpêtrière. Dans un cas , à la suite d'une chute sur le dos de la main, on
pas appliqué. Ainsi, il existe une différence remarquable entre ce cas et le précédent, tellement que nous sommes condui
onduits à nous demander si nous ne sommes pas en présence d'un de ces cas singuliers de simulation dont est remplie l'histo
tende à la face, rien d'extraordinaire ; cela s'est vu dans nombre de cas . Enfin, rien de plus naturel que le spasme soit t
et que les malades trouvent souvent eux-mêmes, empiriquement. Dans le cas actuel, le point d'arrêt serait la paupière elle-
re est même assez régulière pour pouvoir être utilisée, dans certains cas de diagnostic difficile. Ainsi, dans certaines ar
ifficile. Ainsi, dans certaines arthrites de la hanche, dans certains cas de morbus coxse senilis peu avancés, par exemple,
nt de la fesse, dans certaines affections chroniques de la hanche. Le cas que je vais vous soumettre appartient à la catégo
myotrophique prédominant sur les extenseurs l. Mais, entre les deux cas , il y a, sur un autre point, un rapprochement à é
accentués qu'un médecin instruit a été conduit à penser que, dans ce cas , la lésion spinale était primitive, les arthropat
n des urines, etc. Ainsi, vous le voyez par ce qui précède, dans le cas où la parésie amyotrophique prédomine, la contrac
certaines athropathies, la paralysie amyotrophique est, comme dans le cas précédent, le fait capital, il n'en est pas de mê
ou instinctive, destinée à atténuer la douleur; car, dans beaucoup de cas , et, en particulier, en ce qui concerne la hanche
duit à admettre que la contracture spasmodique réflexe est, en pareil cas , l'agent principal delà déviation articulaire. Ce
fessiers, et que je vous ai déjà signalé comme pouvant, dans certains cas difficiles, contribuer à fixer le diagnostic. I
tenseurs et fléchisseurs de la jointure affectée. Mais, dans d'autres cas , par suite de la diffusion de la lésion spinale,
yé d'établir autrefois 1 que les déformations qu'on observe en pareil cas , et que nous nous bornerons à considérer aux extr
trouvons tellement semblables, qu'on pourrait s'y méprendre, dans des cas où il n'existe pas d'affection articulaire, et où
st la contracture des interosseux qui est en jeu. Mais, dans certains cas , cependant, nous rencontrons une déviation des do
s articulations sont lésées par le fait du rhumatisme noueux; dans le cas que je vous présente, vous retrouverez le type d'
ion des propriétés de l'élément ganglionnaire représentent, en pareil cas , les deux phases successives d'un même processus
deux phases successives d'un même processus morbide. Mais il est des cas dans lesquels la dépression fonctionnelle de la c
ier lieu. Mais vous n'avez pas oublié, sans doute, que, même dans ces cas , du moins à en juger par les quelques observation
hez lui seulement l'état actuel, nous reconnaissons qu'il s'agit d'un cas vulgaire, des plus classiques, et dont le diagnos
e démence paralytique. Rien de plus classique, je le répète, que ce cas , aujourd'hui que l'on sait qu'il existe une forme
e paralysie générale sans aliénation. Mais ce qui fait l'intérêt du cas , c'est le récit des phénomènes du début, fait d'u
plégie temporaire; tantôt c'est une attaque épileptiforme ; enfin, un cas assez fréquent est celui où, sans perte absolue d
la moitié des objets. L'examen campimétrique, très utile en pareil cas , fait reconnaître un défaut hémianopsïque, en gén
e des phénomènes, dans la migraine ophthalmique simple. Dans d'autres cas de migraine, dite accompagnée, on voit s'ajouter
3. — Représentant le rétrécissement homonyme du champ visuel, dans un cas demi-graine ophthalmique. (Empruntée à la thèse d
as s'arrêter sans critique à l'idée juste pour l'immense majorité des cas , que le scotome scintillant et les autres phénomè
vert, du bleu et du jaune, celle du rouge persistant seule. Voici un cas étudié par M. le Dr Parinaud, qui montre claireme
part cette dernière particularité, ils peuvent se rencontrer dans le cas de lésions cérébrales en foyer occupant la capsul
écente, un élève de M. Ollivier, M. Klein1, n'a pas réuni moins de 77 cas d'hystérie chez l'homme. La proportion serait, du
hez la femme. «- Je me bornerai à citer, à titre d'exemple, un seul cas : Un garçon de 17 ans, S..., de Moscou, vint me c
Yhysteria major. Comme exemple du dernier genre, je pourrai citer le cas d'un garçon de 13 ans, que je vis en consultation
tie, 1881, p. ¡10 avec lequel furent étudiées les particularités du cas , et par le caractère très accentué des phénomènes
trouble intellectuel, malgré la répétition fréquente des accès. Le cas de l'enfant que je vais vous montrer est moins co
moins riche, si je puis dire, en phénomènes très accentués ; c'est un cas de petite plutôt que de grande hystérie; pourtant
ablir un diagnostic différentiel. Il serait superflu de confronter ce cas avec ceux plus classiques que je vous ai décrits,
ronostic est relativement favorable en général, et absolument dans le cas actuel. Pas de doule sur le résultat, parce que,
bien la valeur thérapeutique de l'isolement réel, dans ces sortes de cas : au bout de quatre ou cinq jours, les attaques ét
out que des traces de l'amblyopie. Ch. F. SEPTIÈME LEÇON o Deux cas de contracture hystérique d'origine traumatique
de la nouvelle année scolaire, j'appellerai votre attention sur deux cas pathologiques qui se sont offerts récemment à not
ue plusieurs d'entre vous ont eu déjà l'occasion d'examiner. Ces deux cas m'ont paru dignes de vous occuper un instant; ils
mbule, j'entre immédiatement en matière par l'étude du premier de ces cas . Il s'agit, vous le voyez, d'une jeune fille de
cident se produire à la suite d'un traumatisme ; mais dans ce dernier cas , en général, le début de la contracture n'est pas
uro-musculaire, dans le sommeil hypnotique, Pour en revenir à noire cas , vous voyez que cette suite de considérations per
suite de cette étude à notre prochaine leçon. HUITIÈME LEÇON Deux cas de contracture hystérique d'origine trauraa- ti
ans la dernière leçon, je m'étais proposé de mettre en parallèle deux cas qui se sont présentés en même temps à notre obser
d'une action traumatique, une blessure par un éclat de verre dans un cas , une brûlure superficielle dans l'autre. Ces deux
l^êlraTÎautant plus volontiers qu'il s'agit là incontestablement d'un cas rare entre tous, instructif au premier chef, et b
érimentateur qui résistait. Rien jusqu'ici qui distingue nettement le cas du simulateur de celui de la malade ; mais c'est
de notre jeune malade, nous pensons l'appliquer point pour point, au cas du sujet mâle que nous allons maintenant considér
les caractères du féminisme ; ce sont, au moins dans un bon nombre de cas , des hommes robustes, présentant tous les attribu
hamp visuel pour les couleurs qui ne puissent se rencontrer en pareil cas . Je vous en ai déjà montré un exemple. 2° L'ova
l'hystérie féminine manque chez l'homme; mais chez lui, dans quelques cas au moins, l'irritation du testicule, retenu dans
épileptique se retrouve également chez l'homme (voir entre autres les cas de MM. Bourneville et d'Olier, de M. Fabre (de Ma
tude vraiment pathologique de notre malade. Il est certain, en tout cas , qu'on ne saurait imaginer un homme capable de la
e qui trouble quelquefois son sommeil. Il s'agit donc maintenant d'un cas fruste par excellence, mais d'un cas dont la natu
. Il s'agit donc maintenant d'un cas fruste par excellence, mais d'un cas dont la nature hystérique, si j'ai réussi dans mo
mplété un tableau clinique qui pourrait s'appliquer parfaitement à un cas de sciatique spontanée, rhumatismale ou de toute
e l'affection névralgique a été intense. Elle s'accompagne, en pareil cas , ainsi que l'ont fait remarquer MM. Bonnefin et L
uzy, elle se manifeste de bonne heure (au bout de 14 jours, dans un cas ) après le début des premières douleurs et dans le
jours, dans un cas) après le début des premières douleurs et dans les cas même où le membre n'a jamais été immobilisé. La t
omaine du nerf où a siégé la névralgie ; ainsi, par exemple, dans des cas où la douleur a occupé exclusivement le tronc du
chement difficile et qui avait nécessité l'emploi du forceps. Dans ce cas , la névralgie a été suivie d'une atrophie paralyt
épandues sur un grand nombre de muscles se sont produites, dans notre cas . Mais il nous faut insister actuellement sur un
légèrement tuméfié. Cet état rappelle ce que l'on voit, dans certains cas de paralysie infantile de date ancienne. La sensi
et galvanique est modifiée en moins, c'est-à-dire que, dans les deux cas , il faut un courant plus fort que dans l'état nor
s myélites centrales diffuses. Appliquons maintenant ces données au cas de notre homme. L'examen des divers muscles affec
c la région lom baire inférieure, d'après toutes les circonstances du cas et siège vraisemblablement surtout dans la substa
ode pseudo-névralgique ; période paralytique ; période spasmodique. — Cas particulier ; Guérison avec rétraction des muscle
hincters, et d'autres symptômes spinaux qui n'existent pas dans notre cas . c) Si ce n'est pas la moelle et ses enveloppes
issement et de celte- compression peuvent se faire sentir, suivant le cas , soit sur les norfs du plexus brachial, soit sur
uelquefois des deux côtés ensemble. Cette lésion, admise dans notre cas , nous explique : 1° la bilaléralité de la sciatiq
l n'est pas besoin d'insister sur sa gravité. Avant d'abandonner ce cas , permettez-moi, Messieurs, de vous faire quelques
us le nom de pachyméningite cervicale hypertrophique. L'intérêt de ce cas est double : 1° la malade a guéri ; 2° la gué-ris
c'est justement sur cette intervention utile de la chirurgie dans un cas d'affection spinale développée spontanément, que
sommes maintenant en mesure de tirer parti du fait actuel ; c'est un cas régulier, classique, sauf sur quelques points d'i
ouvement d'extension normale ; car j'avais déjà vu que, dans certains cas de rigidité due à des rétractions fibreuses surve
re sans trop de fatigue. Ch. F. et probablement aussi dans d'autres cas de paraplégie par compression, la longue persista
la jointure ; 3° L'intervention chirurgicale est nécessaire en pareil cas ; elle seule peut délivrer le malade d'une compli
ttrait obstacle à la station et à la marche. ONZIÈME LEÇON Sur un cas de /6ecité verbale. ^) / Sommaire. — Définiti
os efforts. Le hasard, en effet, a réuni dans notre service plusieurs cas pathologiques d'une simplicité, d'une pureté vrai
orables à l'analyse physiologique. L'exposé clinique de l'un de ces cas fera l'objet de la leçon d'aujourd'hui ; les déve
de devra fournir la substance seront renvoyés à une autre leçon. Le cas dont il s'agit offre, si je ne me trompe, un des
rin, Trousseau, Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16 observations. — Cas cliniques. — Cas suivis d'autopsies. — Localisati
ussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16 observations. — Cas cliniques. — Cas suivis d'autopsies. — Localisation. — Fréquence d
ude, encore peu vulgarisée parmi nous, de cette forme clinique. Notre cas , ajoutai-je, se distingue de la plupart de ceux d
je pense, afin de mieux faire ressortir l'intérêt qui s'attache à ce cas , d'en rapprocher quelques-unes des observations a
rice, qui s'est peu à peu dissipée plus tard, laissant, dans quelques cas , la cécité verbale à l'état d'isolement. Toutes c
e relever que la cécité verbale a pu se montrer primitivement isolée ( cas d'Àrmai-gnac, de Guéneau de Mussy)1 sans complica
s troubles visuels sont vaguement signalés, dans un certain nombre de cas ; l'hémianopsie, telle qu'elle existait chez no
Étendue du champ visuel de P..,, le 21 février 1883. 4° Dans notre cas , ces mouvements instinctifs des doigts-venant en
r ce procédé que des mots très courts. 5° J'en viens maintenant aux cas suivis d'autopsie. Ces cas sont au nombre de troi
rès courts. 5° J'en viens maintenant aux cas suivis d'autopsie. Ces cas sont au nombre de trois, l'un appartient à M. Déj
lly et Chantemesse3. Malheureusement, l'histoire clinique de tous ces cas a laissé à désirer, parce que la cécité des mots
hénomène qui joue un rôle important dans l'histoire clinique de notre cas ; je veux parler du phénomène de l'hémianopsie, d
'homme, pourraient servir à nous faire comprendre comment, dans notre cas , il y a coïncidence de l'hémianopsie latérale et
la cécité verbale.'La môme interprétation pourrait être appliquée au cas de M. Wesfphal. Mais vous saisissez immédiate-
t à remarquer, cependant, que le phénomène de l'hé-mianopsie, dans le cas où il n'est pas aussi accentué que chez notre mal
le cas où il n'est pas aussi accentué que chez notre malade, dans les cas , par exemple, où la ligne qui limite le défaut vi
a répétition du spasme vasculaire ait pour conséquence, dans certains cas , d'amener, à la longue, dans les parois des vaiss
s qu'à en féliciter le malade, car, à en juger d'après l'histoire des cas publiés jusqu'ici, la cécité verbale une fois éta
mplètes, t. iii, Système nerveux. 12 TREIZIÈME LEÇON o Sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision men
formes de la mémoire. - Mémoire visuelle. — Observation de Gallon. — Cas de suppression brusque de la vision mentale. — Se
me de la mémoire. » J'appellerai aujourd'hui votre attention sur un cas pathologique remarquable et bien propre à mettre
ession isolée de l'une des formes de la mémoire. Il s'agit, dans ce cas , de la perte de la vision mentale des objets (Men
is, le 11 juillet 18S3. De ce fait, on pourrait rapprocher un autre cas que j'ai récemment observé, et où il s'agit d'un
Y aphasie1, me fondant sur l'analyse clinique d'un certain nombre de cas appropriés, je me suis appliqué à établir que ce
actériser, on dira qu'il y a amnésie verbale auditive dans le premier cas , amnésie verbale visuelle dans le second; mais qu
— celle-ci se montrant d'ailleurs plus ou moms accentuée, suivant les cas — lorsque les images motrices, soit d'articulatio
trophie musculaire de fonne progressive. Je me propose d'utiliser ces cas et d'entrer à leur sujet dans quelques développem
nous établissions la distinction suivante. Tout d'abord viennent ces cas dans lesquels la lésion de la substance grise est
acher aux maladies dont elles dépendent. En second lieu, viennent les cas dans lesquels la lésion des faisceaux blancs es
cliniquement par l'amyotrophie. Il est certain que l'on rencontre des cas dans lesquels le début, postérieur à la 20e ann
ns gagnant progressivement la racine du membre. On rencontre dans ces cas des secousses fibrillaires et la réaction de dégé
cette catégorie d'amyolrophies était très vaste ; mais le nombre des cas qui la constituent semble devenir de plus en plus
justement de savoir ce que sont devenus, ce que tendent à devenir les cas que les recherches modernes détachent tous les jo
r Eulenburg et Cohnhein, en 1866, par moi-même en 1871, que, dans ces cas , la lésion du muscle est complètement indépendant
'Erb avec la maladie d'Aran-Duchenne, et de fait, si l'on examine les cas que Duchenne a rassemblés dans son Traité de Céle
ière sur la question qui nous occupe : hypertrophie apparente dans un cas , atrophie dans l'autre, c'est le seul point de di
ralysie pseudo-hypertrophique. Je suis en mesure de vous présenter un cas qui marque, en quelque sorte, la transition entre
n chef de clinique, M. Marie, que cette particularité avaitfrappé. Ce cas reproduit donc, pour ainsi dire, au point de vue
muscles en apparence normaux, quant au volume. Où faire rentrer ce cas , dans la forme juvénile deErb, dans la paralysie
opathie progressive primitive. Voilà donc déjà un certain nombre de cas qui peuvent être, vous le voyez, soustraits au ty
ue la malade n'ait ni frères ni sœurs atteints de la même maladie, «e cas me semble 1 se rapporter à la forme décrite par M
de CElectrisation localisée, dit en avoir rencontré une vingtaine de cas ,. et, dans la Revue photographique des hôpitaux,
out naturellement porté à conclure que l'amyotrophie relève, dans ces cas , d'une lésion spinale, comme dans les cas du type
myotrophie relève, dans ces cas, d'une lésion spinale, comme dans les cas du type Duchenne-Aran, dont ils ne représenteraie
effet présenté, l'an dernier à l'Académie des Sciences, l'histoire de cas typiques de l'atrophie musculaire progressive in-
e musculaire progressive in- fantile de Duchenne, et dans un de ces cas , l'autopsie a démontré qu'il n'existait aucune lé
pinière, soit des nerfs périphériques. Il s'agit donc encore dans ces cas de myopathies primitives. Je puis vous montrer
complète des muscles de la main. Remarquons en passant que, dans ces cas , les muscles de la langue, ceux qui servent à la
serait démontrée, au moins en partie, si l'on trouvait d'une part des cas dans lesquels le début aurait eu lieu par les mem
où la face n'aurait été prise que tardivement, et, d'autre part, des cas dans lesquels plusieurs membres d'une même famill
nons de décrire. Eh bien ! ces faits se sont rencontrés. Il existe un cas de M. Remak où le début a été celui de la forme j
articulière, mais seulement d'une variété. Donc, en tenant compte des cas de transition, les formes si diverses que nous av
ne) ; 4° ces formes de transition, telles que je vous en ai montré un cas , où la faiblesse musculaire est le fait dominant
ulaire progressive de Leyden, à début par les membres inférieurs. Les cas mixtes ou de transition permettent de rapprocher
ces formes diverses et même de les confondre. Peut-être même dans les cas décrits par M. Erb, un examen tout à fait spécial
ste des troubles des mouvements des muscles de la face; mais dans les cas légers ces troubles ne sautent Fig. 34. — Elle
ue si on ne l'eût recherchée avec soin. Le fils est un exemple de ces cas de transition dont je parlais plus haut [fig. 34
est généralement liée à l'hystérie. — Pronostic variable suivant les cas . Messieurs, Je veux vous parler aujourd'hui,
les cas. Messieurs, Je veux vous parler aujourd'hui, à propos des cas de sclérose en plaques que je vous ai montrés dan
e tambour à réaction d'un appareil enregistreur, on voit que dans les cas où les doigts tremblent par eux-mêmes, le tracé e
lent par eux-mêmes, le tracé est fortement ondulé, tandis que dans le cas contraire, dans la maladie de Basedow, par exempl
nce essentielle réside dans la pathogénie, la maladie étant en pareil cas liée à des lésions cérébrales localisées d'une ce
nque entre les mains, il le laissera bientôt tomber à terre. Dans les cas d'athétose double, ces phénomènes présentent quel
ou d'origine hystérique, bien qu'elle puisse subsister dans quelques cas par elle-même, en dehors de tout phénomène caract
ou l'autre tendon rotulien, ainsi que je le fais devant vous. Dans le cas où c'est le bras qui a été excité, immédiatement
yez, par cet exemple, que la chorée rhythmée peut être, dans certains cas , une affection grave, non qu'elle menace directem
venant par accès spontanés ou provoqués, comme dans nos deux premiers cas , mais ici toujours entremêlés avec des phénomènes
s'est pas détachée, en quelque sorte, comme affecLion autonome. Le cas est aussi, en conséquence, je l'espère, moins gra
t par Y électrisation statique, qui nous rend journellement, dans ces cas , de grands services, à défaut surtout de Y'hydrot
olement, tel que je le comprends, se pratique journellement, pour des cas de ce genre, dans d'excellentes conditions. A Par
y compris les jeunes filles nubiles, je pourrais vous citer nombre de cas où elle s'est montrée des plus efficaces. Mais, n
rouble de déglutition, aucun désordre gastrique. C'était là un de ces cas qui confinent à l'hystérie, mais qui ne lui appar
n fatale est là menaçante, et je connais pour ma part au moins quatre cas où elle est survenue. Telle était à peu près la
le a grandi, depuis un mois, qu'elle s'est développée ; dans tous les cas , son état général est devenu plus satisfaisant. P
des parents à la Salpêtrière. DIX-HUITIÈME LEÇON A propos de six cas d'hystérie chez l'homme 1. Sommaire. — L'hystér
stériques chez les grands malades des deux sexes. Relation de trois cas typiques et complets d'hystéro-épilepsie chez l'h
hystéro-épilepsie chez l'homme. — Ressemblance frappante de ces trois cas entre eux et avec les cas correspondants observés
omme. — Ressemblance frappante de ces trois cas entre eux et avec les cas correspondants observés chez la femme. Messieur
s thèses faites sous la direction de M. le Dr Olivier, a pu réunir 80 cas de cette affection. Depuis ont paru les important
; et tous ces travaux tendent à prouver, entre autres choses, que les cas d'hystérie mâle peuvent se rencontrer assez fréqu
t peut-être pas encore atteint toute leur intensité. On voit, dans ce cas , combien est délicate la mission du médecin légis
connue, comme il arrive habituellement en pareille circonstance, les cas sont devenus, en apparence, de plus en plus fréqu
qu'il y a quatre ou cinq ans M. Klein, dans sa thèse, avait réuni 80 cas d'hystérie chez l'homme ; voici qu'aujourd'hui M.
s noire service, un travail spécial sur ce sujet, a pu rassembler 218 cas du même genre dont 9 appartiennent à notre cliniq
eurs, si j'en juge d'après ce que je vois chaque jour parmi nous, ces cas -là sont bien souvent méconnus, même par des médec
er et qui résistent quelquefois à toute intervention médicale. Et les cas de ce genre sont nombreux, très nombreux, s'il es
volontiers et même affirmeront qu'il ne peut être question, dans ces cas , d'une altération organique, mais simplement dune
en tous points à celles de MM. Putnam et Wallon. Il s'agit, dans ces cas , de chauffeurs, de chefs de trains, d'ouvriers, v
ent général. L'alcoolisme, le saturnisme, ne sont pas en jeu dans ces cas , et l'on reconnaît que, suivant toute vraisemblan
t la tendance mélancolique s'observent le plus communément dans les cas d'hystérie les plus accusés, les moins contestabl
ue, en étudiant ensemble, avec quelques détails, un certain nombre de cas parfaitement caractérisés d'hystérie mâle. Chemin
. est soumis au traitement par Pélec-trisation statique qui, dans les cas de ce genre, nous donne, vous le savez, souvent d
e si tôt. Il s'agit cependant bien là, vous en conviendrez tous, d'un cas d'hystéro-épilepsie à crises mixtes (hystérie épi
autres, arrêter un instant notre diagnostic. Pour en finir avec ce cas , si parfaitement typique, j'y relèverai encore qu
psychique se retrouve en outre du traumatisme, dans quelques-uns des cas décrits par MM. Putnam, Walton, Page, Oppenheim e
art des autres malades qui vont maintenant vous être présentés. Les cas dont il va être question actuellement, sont à plu
a lumière blanche. Contrairement à ce qui a lieu dans la majorité des cas de ce genre, l'étendue du champ visuel, la notion
uivants : elles peuvent être spontanées ou provoquées ; dans les deux cas , elles ne diffèrent par aucun caractère essentiel
nombre de fois de manière à constituer des séries ; jamais, en pareil cas , la température rectale ne s'est élevée au dessus
D'après la description abrégée qui précède, vous reconnaîtrez que le cas de G. se rapproche beaucoup de celui de Rig... (l
) dont il ne diffère que par quelques points de détail. Dans les deux cas , mêmes stigmates hystériques, mêmes tendances mél
s quelques différences qu'il convient de signaler, à propos du second cas . Nous avons dit que dans quelques unes de ses a
confirmer pleinement le diagnostic. En terminant ce qui concerne ce cas , j'appellerai voire attention sur la céphalée don
e développement, soit, au contraire, l'arrêt de l'attaque, suivant le cas . Ces attaques, qu'elles soient spontanées ou pr
tes très expressifs. Il lui est même arrivé plusieurs fois, en pareil cas , de prendre la plume et d'écrire très lisiblement
lisiblement quelques phrases très correctes. C'en est assez sur ce cas à tous égards parfaitement classi que. Mais nou
uverons dans la prochaine leçon, tout aussi caractérisée que dans les cas précédents, chez trois autres malades du service
des du service de la clinique. DIX-NEUVIÈME LEÇON A propos de six cas d'hystérie chez l'homme (Suite. l) Sommaire. —
ormes anormales de l'attaque hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans lequel les attaques avaient pris l'aspect de
s avaient pris l'aspect de l'épi-lepsie partielle. — Diagnostic de ce cas : importance des stigmates hystériques. L'attaqu
sive peut faire défaut dans l'hystérie de l'homme. — Description d'un cas de monoplégie brachiale, chez un homme de 19 ans,
z un homme de 19 ans, hystérique. — Difficultés du diagnostic dans ce cas . Messieurs, Je viens terminer aujourd'hui l'é
nnelles qui est fort accentuée chez lui et diffère un peu suivant les cas . Ainsi, quand l'attaque a été spontanée, il peut
la forme des attaques, sur laquelle je reviendrai dans un instant, le cas dont je vais vous entretenir maintenant et qui co
t en proie à un délire sombre ou furieux. Ainsi, de même que dans les cas dont il a été question précédemment, la grande hy
tentive En rapprochant des observations contenues dans ce travail, le cas qui vient de nous occuper, vous serez amenés à re
ttaques peuvent également faire défaut dans l'hystérie de l'homme. Le cas que je vais vous montrer maintenant, lorsqu'il s'
nt. Mais pendant une longue période de lt mois, il s'est agi ici d'un cas fruste, d'une interprétation assez difficile, d'a
me à l'affection valvulaire du cœur. Mais une étude plus attentive du cas devait bientôt nous détromper. Sans doute, la mon
de toute modification des réactions électriques des muscles, dans un cas où la paralysie datait de 10 mois, devait faire r
ar MM. Bennet et Campbell, dans le journal le Brain1 ; mais en pareil cas , on ne rencontrerait certainement pas l'hé-miancs
'éibsence d'une autre hypothèse quelque peu valable, à interpréter le cas comme un exemple d'hystérie. D'ailleurs, les cara
alysies hystériques, des paralysies flexibles en particulier. En tout cas , on pouvait prévoir que, tôt ou tard, la maladie
es. Messieurs, en étudiant avec vous, dans ces deux leçons, les six cas d'ailleurs très significatifs, que le hasarda pla
it, la place qu'elle mérite d'y occuper. VINGTIÈME LEGÓN Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique, de cause trau
eurs, La leçon d'aujourd'hui sera consacrée à l'étude clinique d'un cas de monoplégie brachiale droite, survenue, il y a
détails dans lesquels nous allons entrer, à propos de l'analyse de ce cas ; parmi eux, il n'en est peut-être pas un seul qu
u'en somme les conditions du traumatisme sont analogues dans les deux cas . Recherchons quelles en ont été les conséquences
Seulement, son mode de distribution est bien différent dans les deux cas . En effet, tandis que chez P... la zone d'insensi
la zone aneslhésique est justement celle qui a été observée dans les cas où le plexus brachial a été profondément lésé ou
alement, à la suite d'un arrachement, par exemple, ou encore dans les cas de section chirurgicale, ainsi que cela est établ
anche que voici (fig. 58 et 59), empruntée à M. Ross et relative à un cas d'arrachement du plexus brachial ayant déter- 1
ves que motrices du plexus brachial. Si maintenant nous revenons au cas de Por..., nous reconnaissons que, chez lui, la d
u'en pareille circonstance, contrairement à ce qui se voit dans notre cas , les troubles de la sensibilité sont peu marqués,
ment avec ce que nous observons chez Por... Sans doute, dans les deux cas , le membre paralysé est pendant, flasque, sans tr
de vous montrer qu'il n'en est rien. VINGT-UNIÈME LEÇON Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique, de nature tra
vez pas oublié comment, dans la dernière leçon, étudiant avec vous un cas remarquable de monoplégie brachiale survenue chez
e monoplégie brachiale pure, telle en un mot qu'on la voit dans notre cas , est un fait presque inoui dans l'histoire des lé
ns de la capsule interne 1 ; elle supposerait d'ailleurs 1. Voir un cas de Monoplégie, par lésion de la capsule interne,
véritablement un fait rare. A peine pourait-on réunir une dizaine de cas de ce genre dans la collection de plus de 250 obs
ifs à la question des localisations cérébrales corticales Or, dans le cas de notre malade, et c'est là un fait qu'il convie
s le membre paralysé, tandis qu'il est parfaite-avéré que, dans notre cas , on ne rencontre pas dans diverses jointures la m
ne sont pas notablement exagérés, ainsi que cela devrait être dans un cas de lésion corticale avec dégénération descendante
nt au tiers moyen des circonvolutions médianes. Dans un bon nombre de cas de lésions corticales localisées à l'un des centr
llet, Le faisceau sensitif et les troubles de la sensibilité dans les cas de lésions cérébrcdes (Arch. de neurologie, t. IV
Brain, avril 1883. Il s'agit, dans l'observation de M. Ferrier, d'un cas de monoplégie crurale. 3. Allen Starr, Cortical
singulièrement, vous le voyez, avec ce que nous constatons dans notre cas , où les divers modes de la sensibilité cutanée et
n'en pas douter, une lésion des centres nerveux est présenle dans ce cas ; mais où siége-t-elle, quelle est sa nature? C'e
e qu'en faveur de cette opinion les preuves abondent. Oui, dans notre cas , la paralysie motrice, l'anesthésie et le reste s
d'ailleurs de tout point à l'opinion émise très explicitement sur ce cas , par mon collègue M. Joffroy, dans la séance de l
ance majeure et coniribuer puissamment à dévoiler l'hystérie, dans un cas de diagnostic difficile. Il s'agit de lajoo lyo
'accommodation déterminée par l'action de l'ésérine ; dans ce dernier cas , elle est en général très peu accentuée, vraisemb
ore chez les vieillards, dans la cataracte commençante, dans certains cas d'astigmatisme par kératite ou congénital. Or, il
me par kératite ou congénital. Or, il sera facile d'éliminer, dans un cas donné, les causes ci-dessus mentionnées de polyop
inséparables, tandis qu'elles ne s'observeraient pas dans les autres cas . Placez chez Porcz... un crayon tenu verticalemen
rappeler, constitueraient déjà un dossier très significatif, dans un cas surtout où ni l'alcoolisme, ni le saturnisme, ni
pas encore été étudié de très près, mais ne répond nullement, en tout cas , à la distribution des nerfs sensitifs émanant du
eut affirmer ^ue lorsque ces caractères se trouvent coexister dans un cas donné de paralysie, la nature de celle-ci ne saur
la seule concession que je puisse faire, qu'il ne s'agit pas ici d'un cas d'hystérie absolument complet, régulier, 1. Com
aucoup plus accentué, beaucoup plus facile à reconnaître que dans les cas de lésion organique en foyer, sans doute parce qu
ystérie ; elle fait défaut, suivant Briquet, dans plus d'un tiers des cas chez la femme. Notre observation vient démontrer
s, et pour leur donner plus de poids, je crois utile de rapprocher du cas qui nous occupe en ce moment, celui d'un autre hy
ence, chez les deux malades. Vous voyez jusqu'à quel point les deux cas se ressemblent jusqu'ici ; entre eux, il y a pres
roit, l'état normal tandis qu'à gauche, il y a un rétrécisse- 1. Ce cas démontre, avec bien d'autres que je pourrais cite
rétrécissement peut être en effet exactement limité à un seul œil. Le cas du nommé Gil... en particulier, cité dans une pré
et suivantes) est un bel exemple de ce genre. A propos de ce dernier cas , je ferai remarquer que le malade ayant succombé
ction d'actes réflexes. Enfin, et c'est sur ce point seulement que le cas de Pin... s'éloigne notablement de celui de Porcz
ui vient d'être rappelée, tout se rapporte à l'hystérie. Or, entre ce cas et celui de Porcz... la présence des attaques et
comble, en quelque sorte, la lacune qui existe entre celle-ci et les cas d'hystérie les plus vulgaires; elle marque, si l'
stic et il est clair que celui-ci sera infiniment moins grave dans le cas d'une affection de ce genre que dans le cas où il
iment moins grave dans le cas d'une affection de ce genre que dans le cas où il s'agirait d'une lésion organique destructiv
s une certaine mesure, de faire intervenir l'expérimentation dans les cas de ce genre. Nous savons que chez les sujets plon
ie réelle pourra, en effet, s'ensuivre ; et nous verrons qu'en pareil cas , elle se montrera souvent tout aussi accentuée cl
insi éveillée par l'intermédiaire du sens musculaire, reste en pareil cas limitée à elle-même, sans diffusion, fixée, pour
; mais le nombre des éléments mis en jeu est moins limité que dans le cas précédent, et souvent il se produit une diffusion
'une certaine résistance, de la part du sujet. Il cède, dans tous les cas , et se soumet, pour peu qu'on insiste. Toutefois
sont conservés dans les doigts. VINGT-DEUXIÈME LEÇON o Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique chez l'homme (
ésente la monoplégie de notre malade Porcz____En effet, dans les deux cas , c'est exactement sur les mêmes segments du mem
mouvements des doigts restant parfaitement libres; et, dans les deux cas également, partout où existe la paralysie du mouv
e reproduits absolument sous la même forme, dans un certain nombre de cas . En premier lieu, je vais travailler à « défaire
oyez, absolument conformes à ceux que nous avons décrits, à propos du cas de Greuz... ; je n'insisterai donc pas ; j'ajoute
sensibilité. J'ignore, quant à présent, ce qui adviendrait en pareil cas , chez les hystériques non anes-thésiques. C'en
lition des notions du sens musculaire. Le syndrome est, dans les deux cas , le même absolument. Il y a cependant à relever
ce du membre. Or, en raison de l'obnubilation du moi produite dans un cas par l'hypnotisme ; dans l'autre cas, ainsi qu'on
ubilation du moi produite dans un cas par l'hypnotisme ; dans l'autre cas , ainsi qu'on l'a imaginé, par le choc nerveux, ce
paralysie. La sensation dont il s'agit aurait donc joué dans les deux cas , le rôle d'une véritable suggestion l. Je vous
vue pathogénique, elle est parfaite, ou peu s'en faut, car ni dans un cas ni dans l'autre, les pratiques d'hypnotisation ne
paralysies imaginaires (?), due à une injonction énergique. Dans ces cas , l'idée du mouvement, la croyance qu'il aura lieu
ntention du monde, le rôle de thaumaturge, même lorsqu'il s'agit d'un cas de paralysie psychique bien avéré ; l'injonction
; tous ces moyens, dis-je, qui pourraient être mis en œuvre, dans le cas où l'impuissance motrice serait complète au comme
plètes, t. iii, Système nerveux. 24 VINGT-TROISIÈME LEÇON Sur tin cas de coxalgie hystérique de cause traumatique chez
tre, ou inversement. L'absence de lésions matérielles dans le premier cas est cependant suffisamment démontrée : 1° par la
aut pas se le dissimuler, des nuances bien délicates: aussi, dans les cas difficiles, sera-t-il nécessaire de recourir, ain
te des difficultés fort sérieuses, et, de fait, dans presque tous les cas où j'ai été appelé à intervenir pour des cas de c
t, dans presque tous les cas où j'ai été appelé à intervenir pour des cas de cette espèce, j'ai vu médecins et chirurgiens
térique peut se perpétuer, durer des mois, des années même — et notre cas nous offre un triste exemple de ce genre, — mais
plètes, t. iu, *yl m: urrcC'iX. 25 VINGT-QUATRIÈME LEÇON Sur un cas de coxalgie hystérique de cause traumati-que chez
nnelongue et M. Joffroy, je suis à même de vous faire connaître trois cas , dans lesquels cette combinaison s'est produite a
rconstances qui rendaient l'erreur difficile à éviter. Dans ces trois cas , la première impression avait été qu'il s'agissai
de lésions organi- 1. Voici du reste l'exposé sommaire de ces trois cas : ques et de symptômes hystériques, je vous fer
cela peut arriver, sans doute, mais, s'il en est ainsi dans quelques cas , dans d'autres, les plus nombreux peut-être, on v
es persister pendant l'évolution des lésions organiques plus ou 1er cas . (Observation communiquée par M. le professeur La
té cotyloïdc. Hus tard, il s'est produit un abcès symptomatique. 2e cas . (Communiqué par M. le professeur Lannelongue). P
es. Un gonflement profond fait redouter la formation d'un abcès. 3e cas . (Communiqué par M. le I)r Joffroy). Mlle X..., d
vancées. » moins graves ; par exemple, et ici je fais allusion à un cas récemment observé par nous dans le cours du rhuma
er avec vous tout d'abord la théorie, la physiologie pathologique des cas qui nous occupent, espérant rencontrer, chemin fa
udicieusement à mon avis, de l'état d'hypnotisme Dans l'un et l'antre cas , en effet, la spontanéité psychique, la volonté,
i souvent, dans les collisions de chemin de fer, on voit, suivant les cas , survenir des monoplégïes, des paraplégies, des h
uivant la théorie appliquée, dans nos leçons du dernier semestre, aux cas de monoplégie hystérique de cause trauma-tique. V
e s'était pas sensiblement modifiée. VINGT-CINQUIÈME LEÇON Sur un cas de contracture spasmodique d'un membre supérieur
produisent à la suite du choc reçu par le membre, seraient, en pareil cas , comme dans les cas où ces mêmes phénomènes se pr
e du choc reçu par le membre, seraient, en pareil cas, comme dans les cas où ces mêmes phénomènes se produisent en dehors d
— localer oder peripherer Shoklocalshok, Grœningen, etc. En pareil cas , dans une certaine étendue autour de l'endroit où
ysie motrices) avec menace de sphacèle. Tous les accidents, en pareil cas , d'après M. Yerneuil, seraient le résultat de la
de m'adresser ce malade (¡6 mai 1886), jugeant qu'il s'agissait d'un cas intéressant la médecine plus encore peut-être que
'immobilisation prolongée peut produire, vous le savez, dans certains cas et chez certains sujets, une végétation conjoncti
légie de cause cérébrale ; mais la disparition bien constatée dans le cas actuel de toute rigidité, quand le sujet est plac
ce d'action des antagonistes non paralysés. Mais il serait, en pareil cas , toujours facile, d'un côté, d'exagérer la flexio
ont décrit un genre particulier de contracture qui s'observe dans le cas de fracture, surtout aux membres supérieurs à la
par M. Léser, pour expliquer le développement de la rigidité dans les cas qu'ils ont observés. Suivant eux, le phénomène de
ctés, et il n'est pas douteux qu'un autre caractère serait, en pareil cas , l'impossibilité d'obtenir la résolution de la ri
on de la dégénération secondaire du faisceau pyramidal. Dans les deux cas , en effet, la rigidité spasmodique porte à la foi
ur, à l'aide de certaines manœuvres Pour ce qui concerne ce dernier cas , c'est-à-dire les contractures artificiellement p
velles recherches que nous avons entreprises à cet égard, à propos du cas clinique que nous venons d'étudier, nous ont conv
émianesthésie sensitive et sensorielle, etc., révélera, dans certains cas difficiles, l'existence de la diathèse hystérique
ois, chez certains sujets également du côté resté sensible; en pareil cas , la contracture se montre toujours beaucoup plus
ent, elle s'étend au membre tout entier et, dans un certain nombre de cas , elle se répand sur fous les membres et même sur
par l'intensité des phénomènes, beaucoup plus grande, dans le dernier cas . D'ailleurs, les contractures provoquées des hyst
en, ainsi que nous l'avons quelquefois observé, entre autres, dans un cas fort analogue à celui qui nous occupe la produc
nes. — Diagnostic du mutisme hystérique. Son importance dans certains cas . — Les simulateurs : il est généralement très fac
l'autre, la lésion, vraisemblablement de siège cortical, est, en tout cas , d'ordre purement dynamique et de nature — l'expé
à ; c'est matière d'histoire naturelle. Dans la grande majorité des cas , le mutisme hystérique débute soudainement. Il su
i, s'ouvre le chapitre des exceptions. C'est ainsi que, dans certains cas , le malade peut parfaitement ne pas récupérer d'e
le? Certains s'arrêteront peut-être un instant à l'idée, qu'en pareil cas , le mutisme est une conséquence naturelle de l'ap
re. Tous ces phénomènes pourraient se rencontrer, sans doute, dans un cas de paralysie labio-glosso-laryngée, d'origine bul
tère. Tous savez combien sont rares, dans le domaine organique, les cas d'aphasie motrice pure, sans complication. A la p
tre enfin d'exprimer nettement sa pensée. Il se produit là, en pareil cas , de la part du malade, une mimique saisissante au
n avis, l'idée de simulation n'est que trop souvent fondée, en pareil cas , sur l'ignorance du médecin. Cela n'a peut-être p
s'agit, en réalité, de symptômes parfaitement légitimes. Tel est le cas suivant que j'ai eu l'occasion d'observer à la pr
ses jusqu'au bout, elle eût cessé d'écrire, et, je le répète, dans le cas actuel il n'en fut absolument rien. L'autopsie du
ais, il est temps, je crois, d'en arriver à la démonstration de notre cas . Elle pourra, je pense, être faite rapidement, ap
qui se ressent forcément de son éducation fort incomplète. Dans le cas actuel, en dehors des caractères spéciaux du muti
est bon de relever que ce dernier phénomène n'est pas, dans les deux cas , de même ordre et reconnaît, au contraire, un méc
te leçon par une démonstration expérimentale, en vous présentant deux cas de mutisme artificiellement provoqués chez deux h
particulier, les Laçons XXI et XXII. APPENDICE I. Deux nouveaux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'homme, fr
par MM. Babinski et Berbèz. (Voir les Leçons XX, XXI et XXII.) 1° cas de paralysie rystéro-traumatique survenue a la su
Cette disposition est bien différente de celle qui s'observe dans les cas où l'aneslhôsie des membres inférieurs est la con
de la Fig. 86 et 87. — Distribution des zones d'anesthésie dans les cas de paralysie partie des divers segments des membr
ant plus ou moins profondément la substance grise centrale. En pareil cas , l'anesthésie des membres inférieurs s'étendrait
ême temps très accentuée. Donc, en ce qui concerne la paralysie, le cas de Lelog... ne diffère cliniquement, par aucun ca
Lelog... ne diffère cliniquement, par aucun caractère essentiel, des cas où, mez les hystériques hémianesthésiques hypnoli
coup, la paralysie partielle ou totale d'un membre inférieur. Dans le cas de paralysie partielle des mouvements d'une joint
ans leur type de développement parfait. Il est clair que les divers cas qui viennent d'être passés en revue représentent
ent à tous les autres. Il suffira donc de considérer, par exemple, le cas du sujet hypnotisé où les accidents sont portés a
illeurs dans des conditions plus accessibles à l'analyse. Or, pour ce cas -là, M. Char-cot propose d'admettre que c'est dans
érébral (nervous-shock), inséparable de l'émotion, produira en pareil cas , chez un sujet prédisposé, la modification mental
paraplégies produites par la foudre. Pour en revenir maintenant au cas de Lelog..., il ne nous reste plus qu'à détermine
n. VExpression des émotions, p. 30 elpass. Paris, 18 77. t. Voir un cas de paraplégie survenue à la suite d'un rêve, comm
raison de la dissociation facile de l'unité mentale, du moi, dans les cas de ce genre, ces centres peuvent être mis enjeu,
pfverlelzung. Iéna, 1886. Les détails qui précèdent relativement au cas de Le Log... datent du 19 avril 1886. Voici, en r
ates hystériques persistent chez lui à peu près comme ci-devant. 2° Cas de monoplégie brachiale hystéro-traumatique surve
ontracture). 11 n'est pas nécessaire de s'étendre longuement sur ce cas de monoplégie hysléro-traumatique, car il est en
aralysie motrice n'a pas été complète du premier coup et que, dans ce cas par conséquent, comme dans les autres du môme gen
les notions du sens musculaire. On pourrait dire que, dans ce dernier cas , la paralysie de l'appareil fondamental du mouvem
aits de paralysie par suggestion hypnotique, comme dans bon nombre de cas de paralysie hystérique avec flaccidité, reconnai
areil fondamental des mouvements volontaires. Par contre, l'étude des cas de paralysie psychique portant uniquement sur le
Il y a quatre jours, à notre consultation du mardi, s'est présenté un cas de paralysie motrice, à début brusque, digne de f
llissement cérébral; car, nous l'avons vu, il n'existe pas dans notre cas d'hémiplégie véritable, mais une monoplégie assoc
Ce n'est pas davantage une hémiplégie de nature spinale, car, dans ce cas , vous le savez, la paralysie et l'anesthésie devr
les caractères que nous allons indiquer comme absolus ; le nombre des cas observés jusqu'à ce jour sont, en effet, trop peu
, comme nous venons de le dire, au nombre de quatre. Dans deux de ces cas , il s'agit d'une monoplégie brachiale ; dans les
ion des cornes antérieures de la moelle et des nerfs moteurs. Dans ce cas , il ne peut môme plus y avoir de contestation au
variété d'atrophie et l'atrophie hystérique est que, dans le premier cas , la modification dynamique des cornes antérieures
nique du cerveau et du faisceau pyramidal, tandis que, dans le second cas , les modifications des diverses parties du systèm
évacuation d'urine. Bateman (Gaz. hebdomad., 1870) signale quelques cas d'aphasie hystérique et rappelle qu'à la Société
nomènes d'aphonie et de mutisme présentés par le malade. Trois autres cas qu'il a observés en môme temps sont publiés dans
les qui ont été publiées jusqu'ici, j'ai rassemblé une vingtaine de cas . L'examen attentif des malades que j'ai pu suivre
es malades, l'hystérie. J'ai cependant fait exception pour le premier cas que je relate longuement, en raison des détails i
t fréquemment, tantôt terribles, tantôt agréables et, dans ce dernier cas , accompagnées de pertes séminales. L'attouchement
moment de l'admission de la malade, n'était pas disposé à voir là un cas d'hystérie, en raison des phénomènes de déviation
r une ardoise. Wilks, consulté pour celte malade, crut reconnaître un cas d'hystérie et promit la guérison si la malade vou
lle entre dans le service du Dr Wilks, le 7 avril 1886. Comme dans le cas précédent, par la persuasion morale et par l'élec
s utérins ou d'autres organes, qu'on rencontre ordinairement dans ces cas . Obs. XIX. — (Communiquée par mon ami le Dr Cha
apportées un peu longuement, montre, qu'à peu de chose près, tous ces cas de mutisme sont identiques et présentent les cara
est privé de la parole. Nous disons, en général, car dans certains cas (voy. obs. VIII, XVII, XIX) l'aphonie existait de
existait depuis un certain temps avant la perte de la parole. Dans un cas de M. Revilliod, il est dit que la phonation alla
catégorie de l'hystérie. Ce sont elles qui fournissent, dans certains cas , au médecin, ce succès facile et toujours surpren
facilement influencé par cette maladie, de sorte que, lorsque dans un cas de mutisme, le laryngoscope nous démontre l'absen
arynx seul est atteint, la voix haute seule est compromise. Dans le cas cité par M. Revilliod, le mutisme était complet,
yngée portant sur d'autres muscles que le crico-thyroïdien. Dans le cas de Jarvis (voy. obs. XVIII), il s'agissait d'une
mes, Krishaber avait noté une paralysie d'un abducteur. Dans certains cas , comme dans cette dernière observation, on peut v
, sans aucune modification du mutisme. L'aphonie n'a donc, dans ces cas complexes, rien de particulier ; on a constaté, a
erveuses, préciser aussi nettement et du premier coup d'œil, tous les cas d'origine hystérique ; mais je veux dire que par
e, en effet, en rien aux aphasies de cause organique. Dans ce dernier cas , nous voyons le malade faire un effort pour saisi
grité de l'intelligence et de la faculté graphique. Or, dans certains cas d'aphasie, due à une lésion organique, on peut ob
ades, en même temps que l'aphasie, pourrait embarrasser dans certains cas ; mais on n'observera pas, chez l'hystérique, de d
êtrière, M. le professeur Charcot a montré à ses auditeurs un nouveau cas à'agraphie. A celte occasion, il est entré dans q
tres formes d'aphasie 2, d'autre part, il montrait que, dans certains cas , la 1. J.M. Charcot.— Differenli forme d'afasia
mme toujours, fournit des arguments sans réplique. Fréquents sont les cas où l'on voit la cécité verbale la mieux caractéri
'est pas très rare de la voir exister seule, sans aphémie ; plusieurs cas de ce genre ont été publiés, et celui que l'on
sion n'est pas exactement localisée en ce point, et c'est en somme le cas le plus fréquent, un autre phénomène viendra s'y
ots, et, grâce à ces mouvements, il finit par les comprendre; dans ce cas , le centre moteur qui préside à l'articulation de
'est cependant pas une loi absolument générale, il y a réellement des cas où la suppression des centres sensoriels visuel e
s dont les centres jouissent de la plus grande autonomie que, dans le cas 1. On peut dire par exemple que M. le Pr Striek
arées, si le centre de cette mémoire vient à être altéré. Et, dans ce cas , on peut voir, par exemple, la seule lésion du ce
d de la 2e frontale gauche). On peut ainsi se convaincre que tous ces cas qui pourraient être considérés, a priori, comme a
........................................ 8(3 SEPTIÈME LEÇON. deux cas de contracture hystérique d'origine traumatique.
ité neuro-musculaire..................... 91 HUITIÈME LEÇON. deux cas de contracture hystérique d'origine traumatique (
ode pseudo-névralgique; période paralytique ; période spas-modique. — Cas particulier : Guérison avec rétraction des muscle
rin, Trousseau, Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16 observations. — Cas cliniques. Cas suivis d'autopsies. — Localisation
Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16 observations. — Cas cliniques. Cas suivis d'autopsies. — Localisation. — Fréquence d
..................................... 166 TREIZIÈME LEÇON. sur un cas de suppression brusque et isolée de la vision men
formes de la mémoire. — Mémoire visuelle. —Observations de Galton. — Cas de suppression brusque de la vision mentale. — Se
est généralement liée à l'hystérie. — Pronostic variable suivant les cas .............. 215 SEIZIÈME LEÇON. spiritisme
en Angleterre........... 238 DIX-HUITIÈME LEÇON. a propos de six cas d'hystérie chez l'homme. Sommaire. — L'hystérie
stériques chez les grands malades des deux sexes. Relation de trois cas typiques et complets d'hystéro-épilcpsie chez l'h
d'hystéro-épilcpsie chez l'homme. Ressemblance frappante de ces trois cas entre eux et avec les cas correspondants observés
'homme. Ressemblance frappante de ces trois cas entre eux et avec les cas correspondants observés chez la femme............
me....................... 253 DIX-NEUVIÈME LEÇON. a propos de six cas d'hystérie chez [/'homme (Suite). Sommaire. — F
ormes anormales de l'attaque hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans lequel les attaques avaient pris l'aspect de
es avaient pris l'aspect de l'épilepsie partielle. — Diagnostic de ce cas : importance des stigmates hystériques. L'attaq
sive peut faire défaut dans l'hystérie de l'homme. — Description d'un cas de monoplégie brachiale chez un homme de 19 ans,
z un homme de 19 ans, hystérique. — Difficultés du diagnostic dans ce cas ................ 280 VINGTIÈME LEÇON. sur deux
gnostic dans ce cas................ 280 VINGTIÈME LEÇON. sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique, de cause trau
ions électriques............. 299 VINGT ET UNIÈME LEÇON. sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique, de nature tra
.............................. 315 VINGT-DEUXIÈME LEÇON. sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique chez l'homme (
.............................. 344 VINGT-TROISIÈME LliÇON. sur un cas de coxalgie hystérique de cause traumatique chez
oroforme....................... 370 VINGT-QUATRIÈME LEÇON. sur un cas de coxalgie hystérique de cause traumatique chez
............................... 386 VINGT-CINQUIÈME LEÇON. sur un cas de contracture spasmodique d'un membre supérieur
ion du tissu fibreux.................... 399 VINGT-SIXIÈME LEÇON. cas de mutisme hystérique chez l'homme. Sommaire. —
nes. — Diagnostic du mutisme hystérique. Son importance dans certains cas . — Les simulateurs : il est généralement très fac
es hystériques hypnotisables... 422 APPENDICE. I. — Deux nouveaux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'homme; fr
est développée l'hystérie, 240. Elongation du nerf médian dans un cas de contracture traumati- que, 1^2. Epidémie d'h
oxalgie hystérique, 395,— ses résultats, 396; — ses résultats dans un cas de contracture hys-téro-traumatique, 419. Métho
37 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ivent être considérées comme essentiellement provisoires. Quant aux cas eux-mêmes de simulation, je ne partage point l'
éritablement simulée, j'en ai, pour mon compte, observé de nombreux cas . -Ici c'est un individu qui, pour échapper à la
udeur, cherche à se faire passer pour inverti sexuel. Dans tous ces cas , et j'en passe encore nombre d'autres similaires,
d'une imitation plus facile. Ce qu'il y a enfin de particulier à ce cas , c'est que l'aveu de sa simulation a été fait p
re sa res- ponsabilité était abolie ou atténuée, et dans ce dernier cas examiner s'il devait être considéré comme un in
branlée. Trouvant que le juge d'instruction ne semblait faire aucun cas de ses lettres, ce prévenu avait adressé ensuite
efois plusieurs minutes à terre, après chute, mais qui n'est pas le cas ordinaire, que les mouvements sont cloniques et
il le leurrait de réponses évasives, s'en rapportant pour juger son cas aux notes du registre de la loi. C'est alors qu
lie impulsive ne ren- trait en aucune façon dans les données de son cas , et que de l'autre le délire des persécutions p
rauté, de méchanceté précoce, etc., ce qui n'était pas davantage le cas de Cing..., qui ne manifesta subitement des sig
u Congrès de Toulouse, ne sont pas moins dangereux. Dans le premier cas , en effet, on ne fait rien, ou pas assez, sous
entre trois robes de nuance différente, mais de la même qualité. En cas d'évasion, il sera encore facile de les reconna
rien de leur exacte délimi- tation dans l'écorce. Dans le premier cas le principal symptôme sera l'ataxie des mou- ve
la fois trop rares et trop rapidement mortelles dans la plupartdes cas pour que leur étude puisse fournir des notions
Turk-Charcot et pensent que l'hémianesthésie n'existe que dans deux cas : 1° Lorsqu'il y a une lésion thalamique détrui
partiel au niveau de la couche optique. La clinique montre en tout cas que dans l'hémi plégie cérébrale vulgaire due à
roubles des sens musculaire et stéréo- gnostique dans 23 p. 100 des cas . Il a établi que le défaut du sens musculaire é
les aurait trouvés que 2 fois sur 50 observations. Dans ces deux cas il admet qu'on doive les rapporter à une lésion d
a l'examen attentif de ses observations montre que dans beaucoup de cas les malades n'ont été examinés qu'un ou deux an
. ! Wladimir Muratov. Localisation du sens musculaire à propos d'un cas de traumatisme cérébral. (Nell1'ologischen Cecilr
1897.) SENS MUSCULAIRE. 37 existaient dans l'immense majorité des cas d'hémiplégie cérébrale, mais qu'ils tendaient à
ouvements actifs, de position et de résistance. Dans la plupart des cas la notion de position est manifestement altérée t
rceau de pain par la facilité avec laquelle il l'écrasait. Dans les cas où le toucher actif ne donne aucun résultat mal
une de Dubbers, où l'examen nécroscopique a été pratiqué. Dans les cas que nous avons rapporlés dans notre thèse inaug
A îie ? ica2z Journal of ¡nsanil ? avril 1899.) E. 13. 111. Deux cas de folie syphilitique ; par le professeur BERKLEY
de folie syphilitique ; par le professeur BERKLEY. Dans un premier cas , il s'agit d'nn homme de vingt-huit ans, syphil
ations vasculaires sont moins intenses que dans l'écorce. Le second cas rapporté par l'auteur est un cas de folie aiguë d
enses que dans l'écorce. Le second cas rapporté par l'auteur est un cas de folie aiguë dé- veloppée pendant la période
choc nerveux, la préoccupa- tion de l'opération, aient, suivant les cas , une certaine part dans l'apparition des accide
nt du deuxième au troisième jour après l'opération et que, dans les cas où ils se développent tardivement, trois ou qua
si fréquemment les uns que les autres (dans plus des deux tiers des cas ), à la pre- mière période de la paralysie génér
ent, abolition) au début du mal, pour faire le diagnostic, dans les cas douteux. Les troubles de ces réflexes ne fourni
lexes tendineux et hyperexcitabilité musculaire ; pseudo- tabes (11 cas ); amblyopie avec choroidite (rare); hypochondrie;
le malade peut quit- ter l'atmosphère morbigène, au moins dans les cas légers. III. Troubles psychiques. - Ils peuvent
matière de pronostic. 3° En revanche, comme jadis, on constate des cas de démence extl'aordinairement rapide. Alors, e
t-être des recherches anatomiques exactes permettront-elles, en ces cas , et dans ceux de démence familiale de IIomen, d
e l'auteur, faites à l'Asile d'aliénés de l3urglii>lzli, sur 233 cas de manie, 17 seulement peuvent être considérés co
ivement guéri, soit une proportion de 7,3 p. 100. Et -encore dans 7 cas seulement il a pu être prouvé qu'aucune rechute
puis quatorze à vingt et un ans, ce qui porterait la proportion des cas de manie simple aiguë à 4,7 p. 100 cas de manie
porterait la proportion des cas de manie simple aiguë à 4,7 p. 100 cas de manie. Quoi qu'il en soit, il parait certain q
la détermination de l'état mental et moral autrement dit, dans un cas donné, la santé mentale ou la maladie mentale.
la réalité et c'est alors le véritable terrain de la folie. Si les cas extrêmes sont faciles à apprécier il n'en est p
cas extrêmes sont faciles à apprécier il n'en est plus de même des cas de transition, des cas intermédiaires en présen
les à apprécier il n'en est plus de même des cas de transition, des cas intermédiaires en présence desquels le médecin
au moral, avant la période des grandes attaques. E. BLIN. XII. Un cas de paranoïa alcoolique; par 11. Seaux. (liull. de
E MÉDECINE LÉGALE. L'observation a l'asile n'est pas admise dans le cas où l'inter- diction est contestée, ou quand il
ne noire, quelquefois bleu-foncé associé à un peu de rouge. Un seul cas concerne un tatouage rouge (deux lettres en rouge
d neurologist, janvier 1899.) E. 13. V. Rapport médico-légal sur un cas d'épilepsie psychique; par les D" de DIOOR et D
ue. L'apparence de l'intégrité de l'esprit, constatée dans certains cas , tels que ceux d'épilepsie non compli- quée de
orie thyroïdienne du goitre exophtalmique. Il admet qu'à côté des cas où la lésion thyroïdienne est primi- tive, il e
ortée mais aucun d'eux n'a guéri. La mixture cependant a eu dans un cas des effets manifestes consistant en une diminut
en une diminution du nombre ou de l'intensité des accès ; dans deux cas on a observé en outre une REVUE DE THÉRAPEUTIQU
sien presque complète de l'urination au lit. Dans les cinq autres cas , on n'a pas constaté de modification des accès.
nt de Betcherew s'est montré supérieur aux bromures seuls dans cinq cas . Dans un cas où son action avait été nulle le t
ew s'est montré supérieur aux bromures seuls dans cinq cas. Dans un cas où son action avait été nulle le traitement de
ts assez satisfaisants. G. D EN Y. III. Traitement et guérison d'un cas de tic sans angoisse; par M. P. IIartenberg. (R
t, au traitement local et peut même être aggravé par lui; en pareil cas , il faut ^'attacher à modifier le terrain patholo
tervention de ce sommeil est loin d'être néces- saire dans tous les cas pour obtenir des résultats thérapeutiques par l
éliorations à 10 p. 100; l'effet n'a été nul que dans 17 p. 100 des cas . Sur 27 malades atteints d'affections organique
iques et neurasthéniques; l'auteur estime que dans la pluralité des cas d'hystérie et de neurasthénie, on doit recourir
éma- niaques (sur 12 traités); il signale aussi la guérison de deux cas d'alcoolisme chronique, d'un cas de morphinoman
signale aussi la guérison de deux cas d'alcoolisme chronique, d'un cas de morphinomanie et d'une psychose consécutive
et d'une psychose consécutive à l'influenza et l'amélioration de 3 cas de délire systématisé, d'un cas d'insanité mora
l'influenza et l'amélioration de 3 cas de délire systématisé, d'un cas d'insanité morale, de 2 cas d'obses- sions, d'u
on de 3 cas de délire systématisé, d'un cas d'insanité morale, de 2 cas d'obses- sions, d'un cas de syphiliphobie etc.
tématisé, d'un cas d'insanité morale, de 2 cas d'obses- sions, d'un cas de syphiliphobie etc. Nous trouvons encore men-
ruels, etc. L'au- teur fait remarquer, que, dans un grand nombre de cas incurables, il a réussi à faire du bien à ses m
ces si elles sont faites pendant le sommeil artificiel; et, dans ce cas même, elles agissent d'autant mieux et plus vit
ion ou de sédation, le cerveau diminuant ou augmentant, suivant les cas , son influence active sur les tissus; on comprend
au contraire la guérison au bout de trois semaines. G. D. IX. Un cas de sclérose en plaques traité par la méthode de r
observer que la méthode de rééducation dont il s'est servi dans ce cas , diffère par le but poursuivi, les procédés emp
plaques, des résultats plus favorables que ceux qu'il a eus dans le cas présent; mais la persistance de ces résultats r
on- traction spasmodique de tous les muscles organiques. Dans les cas d'aboulie générale, l'émotivité dépressive très d
eloppée des sujets, a une tendance plus ou moins marquée suivant le cas , à entrer enjeu à propos des diverses détermina
tte susceptible de s'accompagner d'une véritable angoisse. Dans ces cas , l'émotivité revêt tour à tour des modes d expr
engagent à persévérer dans cette voie. A. Fenayrou. XI. Quelques cas traités par l'hypnotisme et la suggestion; par
ood MASON. (The New-York médical Journal, 14 jan- vier 1899.) Les cas rapportés par l'auteur peuvent se diviser en quat
pportés par l'auteur peuvent se diviser en quatre caté- gories : 1° cas d'un caractère purement psychique ; 2° cas démon-
quatre caté- gories : 1° cas d'un caractère purement psychique ; 2° cas démon- trant les effets de la suggestion sur le
nce absolue : les muscles sont atrophiés, les doigts contractés. Ce cas est traité par le sommeil hypnotique seul, sans
en réalise un second en permettant de soigner dans la famille les cas sporadiques. Les résultats de ce traitement sont
de des résultats du traitement, il convient de distinguer entre les cas qui appar- tiennent à la première enfance, à l'
à un traitement que de réclamer de lui une égale influence dans les cas où l'organisme est depuis des années assommé pa
ra exercée pendant un temps plus court. L'auteur rapporte ici trois cas appartenant à la toute première enfance ; il rapp
otie crétinique complètement développée ; l'auteur en rapporte deux cas ; et il y a enfin une troisième caté- gorie, qu
r se propose de démontrer que cette opinion n'est pas fondée. Les cas où la suppression radicale du médicament produit
is qu'il serait trop long de résumer ici, et il ajoute qne ces onze cas sont suffisamment démons- tratifs pour prouver
ésultat extraordinairement heureux du traitement thyroïdien dans un cas de myxcedème, par S. G. Bonney. (The Net-York M
déplaçant avec la croissance de l'ongle. On notera surtout dans ce cas la courte durée du traitement, les très faibles
TIQUE. XVI. Zona consécutif à l'administration de l'arsenic dans un cas d'épilepsie ; par Perce CLARK. (The New-Yorl Mé
né d'origine bronique et l'apparition du zona. L'auteur rapporte un cas dans lequel l'eclo- sion rapide du zona après l
déprimé. La guérison fut parfaite. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XVIII. Un cas remarquable d'épilepsie avec cinq cent dix-neuf a
quels l'auteur s'est proposé d'attirer l'attention en rapportant ce cas intéressant sont bien connus et d'ordre négatif.
uf heures. IL DE Musgraye-Clay. XIX. Etude clinique de vingt-quatre cas de paralysie agitante, avec quelques remarques
her quels sont les facteurs qui influencent sa marche. Sur les 24 cas étudiés, il y a 18 hommes et 6 femmes. L'hérédité
a 18 hommes et 6 femmes. L'hérédité directe a été constatée dans 4 cas , l'hérédité indirecte dans 4 cas; l'absence de
ité directe a été constatée dans 4 cas, l'hérédité indirecte dans 4 cas ; l'absence de toute hérédité dans 11 cas ; les
'hérédité indirecte dans 4 cas; l'absence de toute hérédité dans 11 cas ; les renseignements man- quent dans 5 cas. A
e toute hérédité dans 11 cas ; les renseignements man- quent dans 5 cas . Au point de vue de l'étiologie, on peut résume
ussi sur le traitement. P. DE AIusGRWE-CLiY. XX. Relation de quatre cas de méningite cérébro-spinale épidé- mique, part
al, 19 août 1899.) Bien que les symptômes cliniques dans les quatre cas rapportés par l'auteur indiquassent clairement
e pouvait être fourni que par la ponction lombaire. Dans les quatre cas , on rencontre soit dans le liquide retiré, soit
tant de 110 a été 'atteint. Le liquide spinal présente, suivant les cas , des aspects variables qui ont une valeur diagn
t, et de constater aussi l'absence de toute lésion rénalp. Dans les cas de néphrite il ne faut pas donner de fortes dos
pendant le cours du traitement. R. DE IUSCR1VE-CL.1-. Dans quels cas l'intervention chirurgicale est-elle justifiée
et on soulage mieux. R. DE nIUSGIt3VE-CL.11. XXIV. Étude sur deux cas de tumeur cérébrale, avec la relation des résul
quelques remarques sur trois points qui étaient communs à ces deux cas : 1" l'absence de réflexes rotuliens au début d
V. Excision du ganglion cervical sympathique supérieur doit dans un cas de glaucome, avec une revue des travaux publiés
voir recours la première fois qu'ils se trouveront en présence d'un cas de glaucome sans perte complète de la vue. La r
ré la localisation de la lésion, l'hémiplégie soit très faible. Ces cas sont rares au moins à cet état de netteté. Disc
at de netteté. Discussion : M. MARIE a vu assez fréquemment de tels cas à Bi- cêtre. M. Brissaud et M. MARIE font remar
Son action a été particulièrement efficace contre l'asthénie et le cas de il ! . Béclère, bien connu de tous, en est un
ignes complets, au nombre desquels se trouve l'asthénie, il y a des cas frustes, sans pigmen- tations. L'un de ceux-ci
ées par les auteurs. t M. 13alO's.\UD présentera.prochainement un cas analogue. 111. Socques. Traumatisme de la queue
Cliniquement, la maladie a évolué en trois semaines. - Le deuxième cas , plus classique, représente un mal de Pott vert
fiés, remplissent des gaines myéliniques, amincies et dilatées. Ces cas heureusement choisis, démontrent la pluralité d
rofesseur Raymond. AI. Gilles DE la TOURETTE montre combien de tels cas prouvent la réserve que l'on doit apporter dans
l'on doit apporter dans les interventions chirur- gicales dans ces cas de myélite, dite par compression et qui sou- ve
ont bel et bien des myélites tuberculeuses. M. TOUCUE communique un cas de ramollissement de la région SOCIÉTÉS SAVANTE
u pied du pédoncule et du faisceau pyramidal des deux côtés. Deux cas de méralgie pareslhesique traités par résection d
la résection du fémoro-cutané, intervention insignifiante, dans les cas rebelles et graves de méralgie paresthésique.
de méralgie paresthésique. MAI. Marie et MARiKEsco communiquent six cas d'encéphalite dont deux suppurés, avec dégénéra
sule interne, etc. 86 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Etienne de Nancy : un cas de purpura hystérique et un cas d'ecchymoses sp
SAVANTES. M. Etienne de Nancy : un cas de purpura hystérique et un cas d'ecchymoses spontanées chez un neurasthénique.
érique et un cas d'ecchymoses spontanées chez un neurasthénique. Ce cas paraît exceptionnel à M. Gilles de la Tourette
uffrait de ce trouble depuis sept ans. M. Paul FAREz. Je connais un cas analogue traité avec succès par 11. Bérillon et
lation tout son glucose en réserve sous forme de glycogène. Dans ce cas le foie extirpé après la mort ne contient ni gl
l est évident que si l'on fait rentrer dans cette rubrique tous les cas de chorée chronique, le tableau symp- tomatolog
entière. Nous pensons en conséquence qu'il faut se restreindre aux cas typiques de la maladie, et n'accepler qu'avec une
dont l'anatomie pathologique est à peine ébau- chée, comme c'est le cas pour la chorée dégénéralive. Nous prendrons don
choréique, après bien des années de maladie. Il y avait plusieurs cas d'épilepsie dans sa famille. Deuxième génératio
aire de Sydenham. Je me bornerai à faire remarquer que dans notre cas les sources héréditaires pathologiques sont de de
e différentiel, d'autant plus qu'on l'ob- serve aussi dans certains cas de chorée de Sydenham. Les émotions morales, la
er comme cela est arrivé pour un des malades de Facklam, et dans un cas rapporté par Osier. Les troubles de la déglutit
sychique élémentaire est mentionné dans la très grande majorité des cas de chorée de Huntington, où il atteint même un
ne déchéance précoce profonde des facultés intellectuelles. En tout cas il forme, à notre avis, le ') 08 ' - PATHOLOGIE
rais désiré, mais qui représente néanmoins la forte majorité des cas publiés jusqu'ici. Je prends les observations par
e-t-il plus de détails sur ces incidents dans son mémoire ? En tout cas cette observa- tion isolée au milieu de tant d'
n de prouver, comme on l'a dit, la fréquence du suicide, dans les cas de King, où le suicide est tout au contraire une
ctti, la même année, dans un travail souvent cité, rela- tant douze cas de chorée héréditaire dans deux familles pro- v
et dont nous reparlerons, ne dit pas un mot de suicide sur les neuf cas de chorée dans la famille Rinderknecht. En 1888
e de médecine, sur lequel nous aurons à revenir. Dans aucun des six cas rapportés par Lannois, il n'est parlé d'impulsi
ide dans la chorée de Huntington. Hoffmann, en 1888 aussi, a quatre cas personnels, chez lesquels il ne parle pas d'idé
ls, chez lesquels il ne parle pas d'idées de suicide. Même année le cas de Klippel et Ducellier, avec quatre autres cho
éricains, ne dit pas un mot du suicide, et Seppilli, qui n'a pas de cas personnels, se borne à dire, d'après les auteur
-t-il une généralisation aussi affir- mative ? En citant deux seuls cas , celui de King et sa pre- mière observation, do
t Mirto publient 5 observations sans parler de suicide. En 1891 les cas de Jolly et Remak n'en font pas mention. Il n'e
ive de suicide, sans la connaissance desquelles on ne peut juger le cas . En '189 ? notre collègue Greppin publie l'inté
n'est pas question d'idées de suicide. Il en est de même dans les 2 cas de Schmidt parus la même année. En 1892 encore,
de suicide. Néanmoins dans les réflexions dont il fait suivre ses cas , l'auteur dit que dans la chorée héréditaire les
dans les observations publiées par Sinkler. Schlesinger publie 3 cas aussi en 1892, où il ne parle pas de suicide, O
leurs observations de 1893. Menzies (1892 et 1893) non plus sur 38 cas . Il en est de même pour le cas de Lannois et Ch
nzies (1892 et 1893) non plus sur 38 cas. Il en est de même pour le cas de Lannois et Chappuis (Lyon médical, 1893). Os
Chappuis (Lyon médical, 1893). Osier (1893) non plus (nom- breux cas dans deux familles), à en juger d'après l'analyse
à en juger d'après l'analyse de Neurologisches Cezzt·alblatt. Les cas présentés le 28 mai 1895"à la Société de Neurolo-
e Facklam avec 8 observations personnelles de l'auteur. Dans deux cas seulement il est parlé d'idées de suicide. Une
S DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 113 au suicide étaient-elles dans ce cas de même nature que celles que nous avons observ
nérative » et dans lequel nous ne trouvons la mention que d'un seul cas de suicide chez la tante choréique d'un de ses
d'un de ses malades, qui se noya de désespoir. Nous tenons enfin un cas qu'on pourrait rattacher à la chorée, bien que
ent subi la suggestion de sa compagne, comme c'est ordinairement le cas banal chez les imbéciles. Quant au troisième ca
ordinairement le cas banal chez les imbéciles. Quant au troisième cas (Obs. IV), il est dit simplement qu'un homme de
ubles mentaux dans la chorée de Huntington. Il n'existe pas un seul cas absolument certain de suicide ou môme de tentat
miers symptômes de la chorée. Or, il n'en est rien. Les quel- ques cas de suicides et de tentatives de suicide que nous
nt le caractère propre à la débilité mentale et n'ont pas celui des cas ordinaires de paranoïa. Par contre l'affaibliss
le à celui de la paralysie générale. Il existe peut-être même des cas où les deux maladies ont évolué ensemble sur le m
, le 24 octobre 1897, le professeur Binswan- ger de Iéna, a cité un cas de sa clinique dans lequel on aurait trouvé à l
topsie les signes typiques de la paralysie générale, ajoutant qu'un cas semblable aurait été observé à la clinique de l
osition à ceux-ci, nous devons citer les auteurs qui ont publié des cas de chorée héréditaire sans troubles mentaux.
lié des cas de chorée héréditaire sans troubles mentaux. Les deux cas de Ewald d'abord, où l'on n'a constaté ni affai
s aient été soumis à une analyse psychologique spéciale et, en tout cas , leur maladie n'a pas été suivie assez longtemp
ais en avait pris son parti et le supportait avec rési- gnation. Ce cas peut être dénommé « chorée chronique », mais on
orte raison de la « chorée dégé- nérative ». ' J'ai déjà parlé du cas de Kornilow, dont je n'ai pu consulter TROUBLES
ètement dans la maladie des tics ? On sait en effet que beaucoup de cas de chorée récidivante de l'en- fance appartienn
ida1'ttm doit être rayée du cadre nosographique, parce que tous les cas de soi-disant chorée des femmes enceintes resso
deux portions originelles de la scissure de Holando. Dans quelques cas très rares la réunion n'a pas lieu et c'est ce
et les a confirmées, tout z en maintenant que dans la majorité des cas la scissure de Holando se forme par un seul sil
dont la partie supérieure est plus superficielle. Dans un tiers des cas cependant, au sixième mois, Hetzius a constaté
ants des paralytiques généraux qu'elle ne l'est généralement et les cas de longévité extraordinaire y sont aussi bien p
épatique. L'alcoolisme est un facteur éliologique important dans ce cas . Aux 30 individus morts d'affection hépatique,
marquée dans l'établissement ? Forcément, par conséquent, même en cas d'assistance normale, et parfaite, il y aura touj
ublique, en ce qui con- cerne les dépenses territoriales. En tout cas , l'assistance publique et les soins des aliénés i
i loin, à raison de la forme de leur maladie mentale. Et, en tout cas , le transfert s'en pourra faire par coupes, en de
. Minor, au Congrès de Moscou disait, le 21 août 1897 : 1° Dans les cas graves, avec autopsies, de lésions traumatiques
de la sub- stance de la moelle épinière dépourvu de règle. Dans les cas rares de compression légère, on peut trouver le
140 REVUE d'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. deux derniers cas , les douleurs ne cessent pas pendant le décubi-
concerne les altérations vasculaires, rien de nou- veau, sauf en un cas , où la sclérose se développait certainement le
, est particulièrement facile dans l'hydrocéphalie externe. Dans le cas d'hydrocéphalie interne, on pratique une incisi
la mémoire; insomnie, constipation. Il y faut joindre, en d'autres cas , de l'affaiblissement de l'intelligence, de l'ach
olivaires. Si cette observation est exceptionnelle, dans les autres cas on constate toujours quelque dégénérescence des
et là. Homme vigoureux de quarante- neuf ans, non nerveux. Dans le cas de M. Good, c'est une infir- mière parfaitement
pyramides, en continuant directement leur trajet cérébral. Dans les cas donc où il n'y a pas de cordon antérieur des py
éminées, dont le nombre n'est point du tout plus grand que dans des cas où les cordons antérieurs des pyramides sont bien
nt le nerf, on arrête la phase de régénération de la cellule. En ce cas , vingt jours plus tard, la cellule diminue de \
es anomalies de l'oxy- dation suivantes. Toujours, surtout dans les cas graves, il y a diminution plus ou moins considé
Lepin, indiquerait une décom- position de la lécithine. En bien des cas enfin il y a élévation du rapport de la quantit
ifférente de celle du tact et de la douleur, car on a noté dans les cas pathologiques, qu'elle a parfois disparu, alors q
veauté ; l'auteur croit néanmoins devoir publier l'observation d'un cas dans lequel l'emploi de l'atropine et du bromur
ubstance toxique ait cessé d'agir ; et si comme cela parait être le cas chez la majorité des épileptiques, la cause est
ans un climat froid, mais il faut néanmoins dans un grand nombre de cas préférer ce climat froid aux climats chauds sur
n de l'exsudat par le pus, et diminue ainsi le danger dans tous les cas où le malade survit pendant les trois ou quatre
trois ou quatre premiers jours. 4° 11 résulte de l'observation des cas que j'ai eus sous les yeux que l'on peut espére
udat. 5° Je sais parfaitement que l'amélioration constatée dans les cas que j'ai observés peut résulter d'une simple co
ins aucunement à tout ce que j'ai pu observer aupara- vant dans des cas semblables. 6° Je suis convaincu que chez le pr
inué pendant quelques jours de plus ; et si je rencontrais un autre cas pareil à celui de mon second malade, je n'hésit
67 ï pagner de délire à deux si les malades vivent en commun. Les cas de démence précoce, prématurée ou présénile, la f
produit par l'atrophie, quantité qu'il a vu s'élever, dans quelques cas , jusqu'à 300 grammes; 3° Par la diminution du p
poids de l'encéphale des femmes paralytiques était diminué dans 80 cas de 47 à 438 grammes, qu'il différait peu du poids
cas de 47 à 438 grammes, qu'il différait peu du poids normal dans 7 cas et que dans 7 autres il était augmenté de 20 à
42 fois et présentait une augmentation de 61 à 183 grammes dans 27 cas . A l'état normal les hémisphères cérébraux sont
ent une plus grande activité physiologique était- atrophié dans 101 cas , tandis que le droit ne l'était que 71 fois. - Ce
que 71 fois. - Cette iné- galité était de 10 à 15 grammes dans 144 cas et de 16 à G7 grammes dans 93 cas. , Elle per
était de 10 à 15 grammes dans 144 cas et de 16 à G7 grammes dans 93 cas . , Elle permet de constater l'atrophie du cerve
n perdu de son poids physiologique que chez les autres.-Dans les 30 cas où le cerveau était plus volumineux qu'à l'état
à gauche. Présentation de photographies de coupes de moelle dans un cas spécial de tabès. M. Klippel. Cette moelle pr
ère sclérose diffuse. Donc, malgré l'abondance des lésions, dans ce cas , il n'y a de lésions cornu- radiculaires postér
s, la moelle étant malade par elle-même; et ne faut-il pas dans 'ce cas aussi considérer les lésions lombaires diffuses c
euvent par conséquent laisser voir des dégénérations.. Mais dans le cas cité, le malade étant tuberculeux, ces lésions
la syringomyélie cavitaire admise par tout le monde; ainsi dans un cas , les deux formes avaient évolué sur la même moe
mpose pas de différence de nature. M. Philippe. En effet dans des cas où le processus anatomique est d'instinct, la n
vicale pour prendre naissance après dans la région dorsale, dans le cas si intéressant de MM. Philippe et Oberthur. M
, qu'un moyen exceptionnel, très efficace cepen- dant dans certains cas déterminés. M. Paul Ferez. Il a déjà été publié
ques. Aboulie et suggestion. M. Pau DE SdINT-VIAIiTIN rapporte un cas d'aboulie qu'il a guérie par suggestion directe
otrices de la moelle. Mais cette théorie était incomplète. Dans les cas de paraplégie flasque et de lésion < transve
Dans notre longue carrière, c'est à peine si nous en avons vu deux cas , et encore étaient-ils douteux. Dr Daniel Brune
rté plus grande, quitte à rétrocéder dans une section inférieure en cas d'incartade. Les malades étant curables et néces-
yurique était un homme et un adulte. C'est la règle : de très rares cas ont trait à des personnes du sexe féminin. L'al
s accidents hystériques chez l'homme. La pollakiurie est, en pareil cas , signalée par presque tous les auteurs ; elle e
se, mais commandée par l'activité du centre cérébral urinaire. Le cas de notre malade n'est cependant pas comparable à
réclamait de nous ni des considérations, ni des hypothèses sur son cas pathologique. Il nous a été donné d'obtenir sa
erminé l'affection qu'il y avait contractée. Il s'agit bien là d'un cas de polyurie hystérique provoqué par suggestion
mac et de la poitrine était un facteur important dans la gravité du cas . Sans nous arrêter aux modifications du caractè
la pathogénie est à contrôler. RECUEIL DE FAITS. Guérison d'un cas d'épilepsie héréditaire, datant de cinquante an
mme est à peu près la même que celle des personnes de GUÉRISON D'UN CAS D'ÉPILEPSIE HÉRÉDITAIRE. 225 sa condition, n'es
et 1872, j'ai observé avec le plus grand soin cette malade dont le cas me paraissait intéressant et je n'ai jamais obs
ives, 2' séiie, t. IX 15 226 6 RECUEIL DE FAITS. La guérison d'un cas d'épilepsie grave, héréditaire, au bout d'une d
ut se retirer, il tombé sans connais- sance ; 2" En dehors de ces cas , il est pris le jour de crises convulsives, ann
e la ques- tion. Cet aspect le voici : en 1878, Echeverria, sur 143 cas d'épi- lepsie traumatique guéris notait 93 guér
: erreur complète. Agnew, en 1891, ne compte que 4 guérisons sur 57 cas dont 32 autres avaient paru momentanément améli
. * J. SÉGLAS. XV. Singulière manière d'être des pupilles dans un cas de para- lysie générale au début ; par Zanzi. (
début ; par Zanzi. (Riv. di pat. nerf. et ment., fasc. IX, 1899.) Cas de rigidité pupillaire intermittente. Il s'agit d
t exagéré l'importance. L'idée d'absorber dans cette forme tous les cas de manie et de mélancolie ne correspond pas à l
a une pro- fonde déchéance des fonctions organiques. Dans certains cas , cette déchéance est purement fonctionnelle, sa
une involution précoce de l'organisme. La pro- portion des premiers cas est de 39 p. 100; celle des seconds de 10,9 p.
aucune guérison, et seulement 4 améliorations. Dans tous les autres cas , la marche de la psychose ne présenta aucune ré
d'affaiblissement psychique acquis, sont d'autre part communs à ces cas , et à ceux-là seuls qui en grande partie sont dés
damentaux que la maladie décrite par Hecker. J. SÉGLAs. XXI. Deux cas d'idiotie myxoedémateuse ; par Tanzi. (Riv. di
nt les plus graves; et riétés possibles y compris la folie dans les cas d'idiotie légère ou morale. nulle, absence de t
les tableaux du rêve est à remarquer. Si le diagnostic de certains cas d'épilepsie peut tirer quelque secours de cette
fois en faire son profit. M. Maurice Ducosté n'a pas hésité dans un cas à placer des vésications circulaires au-dessus
es et paranoïa diverses plus ou moins compliquées de démence. Dix cas dataient de plus de dix ans; dans quatre cas il y
iquées de démence. Dix cas dataient de plus de dix ans; dans quatre cas il y eut REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 239 9 l
Sur l'étiologie et le traitement de la neurasthénie (analyse de 333 cas ); par J. COLLUIS et C. PIIJLLIPS, de New-York (25
sement développé au dépend du côté clinique que le grand nombre des cas invo- qués semblait impliquer; 4° Sur le traite
e l'examen des urines chez les aliénés, avec le compte rendu de 202 cas ; par Edwin-G. KLEtN. (The 11'eiv York Médical J
oxalates étaient en excès chez six des malades déprimés. Dans trois cas sur quatre, les chlorures ont été trouvés en ex
état dyspeptique. On a trouvé de la peptonurie deux fois sur douze cas de paralysie générale. Sur les 202 cas observés,
ptonurie deux fois sur douze cas de paralysie générale. Sur les 202 cas observés, l'albumine a été trouvée quatre fois.
-réveil que par des sensations assez peu caractéristiques. Dans ces cas l'inconti- nence d'urine a une grande valeur sé
e convulsive. Récemment l'auteur a pu observer un certain nombre de cas dans lesquels il existait un symptôme peu com-
gissait effectivement d'un signe probant de l'épilepsie. Dans ces cas , l'examen de l'urine révéla dans le liquide la pr
zoïdes qui ne s'y rencontraient pas à d'autres moments ; et dans un cas , la présence d'une morsure récente de la langue
ours indiqué comme de lun- gueur égale des deux côtés ; cinq ou six cas , dans lesquels Bour- AnCII1YES, 2* série, t. IX
yxoedème infantile ou congénital doit actuellement com- prendre les cas congénitaux autrefois décrits sous le nom de ra-
avons constaté la réunion des sutures osseuses du crâne ; dans les cas sporadiques, au contraire, on remarque une tend
mateuse que dans la forme endémique. L'auteur a observé plusieurs cas de crétinisme sporadique, et il les relate dans
e sporadique, et il les relate dans son travail ; le premier de ces cas était remarquable par trois particularités très
t eu de l'ictère. 244 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Dans le second cas , où une amélioration fut obtenue comme chez le
timbre normal. Le petit malade a toujours froid. Dans le troisième cas , il s'agit d'un enfant d'un mois qui pré- senta
ent thyroïdien, tout cela indiquait nettement qu'il s'agissait d'un cas de crétinisme congé- nital. Il est intéressant
étinisme congé- nital. Il est intéressant de remarquer que, dans ce cas , la propor- tion de l'hémoglobine au début étai
et n'existe pas encore à la période initiale. Dans ces différents cas , le traitement thyroïdien a certainement arrach
'a pu aboutir à la restauration parfaite de l'état psychique. Des cas pouvant simuler le crétinisme ont été publiés par
rétinisme ont été publiés par divers observateurs, tantôt comme des cas de pseudo-crétinisme, tantôt comme des cas de c
ateurs, tantôt comme des cas de pseudo-crétinisme, tantôt comme des cas de crétinisme vrai. La dénomination de pseudo-
ible de plusieurs objections, mais il demeure certain qu'il y a des cas qui pour n'être pas du crétinisme vrai, sont tr
de la dégénérescence du crétinisme. 1° L'auteur a pu observer un cas de la première catégorie ; il REVUE DE PATHOLOG
sivement rare ; M. Koplik a été assez heureux pour en rencontrer un cas : il s'agit d'un en- fant de dix ans, sans héré
lligence de ces malades est ordinairement très vive. Dans aucun des cas publiés on n'a trouvé d'albuminurie. En somme l
ndre notre but. » R. DE nIUSGR1'G-CLaY. XXXVIII. Observation d'un cas de neuro-psychose traumatique ; par C.-E. IDE.
sons, repousse cette hypothèse; aussi admet-il qu'il s'agit dans ce cas d'une neuro-psychose traumatique vraie. R. M. C.
50 ont été attribués à la phthisie. Sur 72 autopsier 24 étaient des cas de phthisie; mais même dans les autres autopsie
e a été puissamment aidée par l'encombrement. Dans la plu- part des cas où la tuberculose a été constatée, elle était réc
trouvé la dégénérescence du tissu pulmonaire aussi souvent dans les cas d'insuffisance rénale que dans ceux qui se ratta-
croscope révélait une hyperplasie du tissu connectif. Dans tous les cas aussi on a trouvé des adhérences pleurales, acc
si on a trouvé des adhérences pleurales, accusées surtout 'dans les cas de phthisie naturellement, et attei- gnant leur
s ainsi atteints n'est mort de tuberculose. Dans un grand nombre de cas , exception faite pour ceux dont le début a été
lué lentement et l'amaigrissement n'a jamais été excessif. Dans les cas lents, les bacilles sont peu abondants et peuve
coques, des streptocoques et quelquefois des pneumocoques. Dans les cas rapidement mor- tels au contraire, les bacilles
dans la jeunesse et aussi à un âge très avancé, ce n'est pas de ces cas précoces ou tardifs que l'on veut s'occuper ici,
s fréquentes, mais nullement pathognomoniques. Dans la majorité des cas les réflexes profonds sont exagérés durant la p
e deux élé- ments, l'un cortical et l'autre bulbaire. Dans bien des cas les symptômes bulbaires font défaut. Les troubl
tômes aphasiques, mais l'aphasie vraie ne se rencontre pas, sauf le cas de complications. La sensibilité géné- rale n'a
gne palhognomonique, mais sur un grou- pement de symptômes. En tout cas il ne doit jamais reposer uni- quement sur les
lus grave de ces maladies et se termine fatalement dans au moins 95 cas sur 100; mais il est bon de se souvenir qu'il e
ns médullaires et la spondylose. M. LEUGNET LAVASTI1E présente un cas typique de spondylose rhizomélique ; le malade
Les formules hématologiques et urinaires sont nor- males. Sur un cas a" hémispasme. J. 13AUmsm. - Voici un malade âgé
à des mouvements spasmodiques du bras. Ce qui fait la rareté de ce cas c'est que le spasme du membre supérieur est ici
e c'est à une perturbation de ce genre qu'il faut attribuer dans ce cas le spasme musculaire. Si maintenant on considèr
du cou chez ce malade sont semblables à ceux qu'on observe dans les cas ordinaires de spasme fonctionnel du cou, on est c
de ressemble a une main athéto- sique, ce qui n'est pourtant pas le cas , et la prédominance du spasme est telle que tou
admis- sible ; mais elle ne doit être que secondaire, dans de tels cas le processus mental doit toujours être à l'orig
els cas le processus mental doit toujours être à l'origine. En tout cas l'athé- tose vraie reconnaissant pour cause une
mouvements de la main de ce malade et ceux de l'athétose dans notre cas la main prend souvent l'attitude d'une main qui
e confirma promptement la guérison. Je pourrai par contre citer des cas de lésions organiques où le signe des or- teils
mal en dehors des crises. 11 ne me parait pas démontré que, dans le cas de M. Gilles de la Tourette, il se soit agi de
ème pyramidal pût être considéré comme normal ; et, s'il existe des cas de ce genre, ils doivent être tout à fait excep
és pendant la vie, c'est-à-dire le double syndrome de Weber. Deux cas de ramollissement du cervelet. M. Touche. Sa pre-
on suppurées et de submatité du sommet droit permet de rattacher ce cas à la bacillose. Il se distingue des formes habi
a- tion purement sensitive, son évolution précoce. A propos de ce cas , l'auteur rappelle le rôle important qu'il faut
ose comme facteur étiologique des maladies du système nerveux. Un cas de surdité et de cécilé verbales suivi d'autopsie
orielle ; 2° en ce qu'elle consti- tue un exemple exceptionnel d'un cas d'aphasie due à la sclérose cérébrale atrophiqu
jacksonienne et l'épilepsie générale. M. de FLEURY présente deux cas d'épilepsie sensorielle (auditive). Chez l'une
aphie de la question. Le fait de J.-K. Mitchell m'a tout l'air d'un cas de rhumatisme vrai réveillé par le traumatisme,
e rhumatisme vrai réveillé par le traumatisme, le fait de Gull d'un cas d'oedème hystéro-traumalique des extrémités, le
'oedème hystéro-traumalique des extrémités, le fait de Delprat d'un cas d'arthrite traumatique due au même accident que
s constatations radiographiques, l'arthro- pathie me parait dans ce cas , être de nature trophique. Elle se rapproche de
Psychose d'origine infectieuse.- M. Ballet pour M. ANGGLAD cite le cas d'un malade atteint de polynévrite des membres in
fait du besoin d'interpréta- tion de la part du malade. Dans un tel cas si l'on peut dire névrite infectieuse, il est i
nvulsions localisées, 31 n'ont pas eu de convulsions. Dans tous les cas la dose toxique mortelle est restée sensible- m
a patho- génie des accès ; 2° L'épilepsie générale dans beaucoup de cas est l'expression d'une affection cérébrale, dan
up de cas est l'expression d'une affection cérébrale, dans d'autres cas c'est une , névrose de l'écorce : 3° L'anatomie
aractérisées que dans cette observation. En outre, il croit que son cas , confirme l'hypothsèe de Kahler et Picq, et il pe
iques de lapoliencéphalite de nature inconnue. Observation II. - Le cas est intéressant au point de vue étiolo- gique.
culose sur le développement de la polyencépha- lite dans le premier cas de l'auteur. On peut supposer également une myé
er que l'ataxie aiguë se montre aussi dans la méningite séreuse. Le cas de M. Kornilloff est peut-être un cas de méning
dans la méningite séreuse. Le cas de M. Kornilloff est peut-être un cas de méningo-encéphalite (comme les observations
éphalite (comme les observations de Oppenheim). S. N.\LB\NDOW. Un cas de syringomyélie héréditaire. L'auteur a eu la
uteurs sont très peu nombreux et peu démonstratifs, de sorte que le cas de M. Nalbandow peut êt'e considéré comme le pr
rte que le cas de M. Nalbandow peut êt'e considéré comme le premier cas bien établi de la transmission héréditaire de l
aux frais de la commune et après l'heure réglementaire, puisque en cas d'incendie, on paie à boire à ceux qui travaill
r de maints prolongements protoplasmatiques qui ont dans le premier cas par leur lon- gueur des épaississements et des
ce cérébrale des .animaux adultes nor- maux très rarement, dans les cas pathologiques se renforce et s'exprime en outre
le peu de temps après l'intoxi- cation ; il se développait dans les cas en question presque toujours seulement dans que
e qui dépend de diverses conditions, et l'état moniliforme dans ces cas porte tout de même un caractère un peu autre, à
s porte tout de même un caractère un peu autre, à savoir : dans ces cas pré- valent souvent des gonflements sphériques,
fait nous-même des expériences identiques, nous eûmes dans tous les cas ana- logues des résultats négatifs. A présent
L'analogie existe seulement relativement à ce que dans le premier cas l'état moniliforme des prolongements protoplas-
l'affaiblissement des capacités mentales, tandis que dans le second cas l'état moniliforme, ressemblant à un cet tain d
tat moniliforme, ressemblant à un cet tain degré à celui du premier cas , sert à démontrer un développement incomplet de
s de Neuro- logie, 1891, vol. XXVIII, n° 90.) Léplne (R.). Sur un cas d'hystérie à forme particulière. (Revue de méde
que à la chasteté, s'amputent les parties génitales ; ce dernier cas est particulièrement fréquent si j'en crois ma pr
. Je ne connais pas, dans la littérature médico-psychologique, de cas analogue à celui-là. Cependant Bail rapporte succ
cès, suivre et examiner de plus près le malade; mais il s'agit d'un cas de clientèle observé par hasard, et où les inve
uxquels sont sujets les épileptiques ; la brûlure a été, dans notre cas , très étendue et très profonde, et pourtant le ma
leur du traitement chirurgical de l'épilepsie et de l'idiotie. Le cas de M. le Dr .Jacquin est du plus haut intérêt. Le
épaissies par un processus d'artério-sclérose. Il existait dans ce cas des troubles trophiques des mains et des pieds,
ne rareté dans la paralysie générale, et quelquefois, comme dans le cas actuel, la syringomyélie se trouve en rapport d
pécifique subit des altérations notables et constantes. En pareil cas , dans la région de l'écorce où prédominent les
e. Il convient de noter l'abaissement considérable observé dans les cas de folie pellagreuse, de démence paralytique et
rLuGARO. (Riv. di pal. nerv. et ment. fasc. VI, 1899.) XLII. Sur un cas de malformation de la moelle épinière chez une
e la position du sujet est plus voisine de la verticale, et en tout cas . que la posi- tion du tronc est plus droite. La
99.) 312 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LU. Un cas de tumeur du cervelet ; par LIBERTI : ,(1. (Ann.
'accès, pour aller ensuite en diminuant graduellement dans certains cas , ou pour revenir immédiatement dans d'autres it
dans d'autres it la quantité normale. On doit admettre que dans les cas de sitio- phobie il y a trouble des fonctions i
Roma, VII, fascicule 14 (juin 87 et janvier 88). 11 s'agissait d'un cas de paralysie périphérique incomplète, par lesion
un; la réaction pupillaire par la paupière permettrait, en quelques cas , tous les autres mouvements des pupilles étant
on- vaincre de l'existence d'une vraie grille. Qu'il publie en tout cas sa méthode de coloration pour qu'on puisse cont
e ces dernières ne se myélinise que plus tard (Flechsig). En tout cas , de très bonne heure, apparaît dans le pied du
t-elle dans le premier segment du globus pallidus,; il est, en tout cas , fort mince dans la partie inférieure du pied du
loniques se rencontrent, en général, au même degré. Dans certains cas très rares il peut arriver que seuls les spasmes
l'épi- lepsie. Sur 200.000 attaques observées par l'auteur, un seul cas peut se rapporter à celte variété d'épilepsie.
s peut se rapporter à celte variété d'épilepsie. De l'étude de ce cas qu'il relate tout au long et des recherches eff
s décrits sont-ils uniformément associés ? 2° Manquent-ils dans des cas qu'on peut croire être de même nature. 3° Peu
croire être de même nature. 3° Peuvent-ils se rencontrer dans des cas qu'il y a des raisons de croire pathologiquemen
a seconde question, sa croyance est qu'il existe un grand nombre de cas qui ne présentent pas les symptômes mus- culair
iverses bien qu'il soit de beaucoup plus fréquent dans la classe de cas auxquels Kraepelin a donné le nom de démence pr
le. (The American journal of insanity, avril 1899.) E. B. III. Un cas d'athétose bilatérale avec quelques symptômes i
ymptômes inaccoutumés; par le Dr G. C.MPIJ¡¡ : LL. Il s'agit d'un cas d'athétose bilatérale chez une enfant de deux a
es formes de névroses gastriques, tympanite et vomissements. Deux cas sont cités de vomissements graves causés par irri
diagnostic peut être quelquefois difficile. Suit la relation d'un cas intéressant de névrose cérébro-gas- trique se p
he alienist and neu1'ologisl, janvier 1899.) E. B. V. A propos d'un cas de tabes cervical ; par le 1), de BucK. (Journa
de BucK. (Journal de Neurologie, 1899, n° 13.) L'auteur relate un cas de tabes, qui, contrairement à la règle général
La sensibilité tactile est relativement conservée. G. D. VII. Un cas de méningite syphilitique frontale (arachnoïdite
à l'appui de la théorie métamérique de Brissaud. La première est un cas de myélite transverse, d'origine traumatique, dan
laires perpendiculaires à l'axe de ces membres. La seconde est un cas de sclérose en plaques s'accompagnant au niveau
ant le sommeil il n'existe aucun mouvement choréique. G. D. X. Un cas d'épilepsie jacksonienne hystérique ; par J. CR
guérison par suggestion indirecte prouve bien qu'il s'agissait d'un cas d'épilepsie jacksonienne d'ori- gine hystérique
élément toxique infectieux qu'il n'a pu déterminer. A propos de ces cas il esquisse une revue rapide des épidémies anal
tiques et brachiales avec névralgies; par W. MORTON (15 avril). 80 cas résumés traités par l'électrisation statique guér
réconise le traitement préventif par courants de haut potentiel; 2° Cas de névrite multiple alcoolique avec autopsie; p
deuxième ou troisième mois de la vie embryon- naire. J. S. XV. Un cas de « dyspituitarisme » par tumeur maligne de la
que l'étiologie et la pathogénie permettent le rapprochement de ces cas avec les psychoses dégé- nératives. L'hystérie,
nt souvent l'hystérie chez les prédisposés; le syndrome est dans ce cas le même que dans l'hystérie ordinaire dont on n
d'hystérie d'origine infectieuse distincte. F. BOISSIER. XVII. Un cas classique d'hystérie ; par RANFOLDI. (ans. di neu
stion étant admise, il reste fort difficile, dans la généralité des cas , de faire la part de l'action de chacun de ces
une donnera des résultats plus favorables que l'autre dans certains cas et se montrera inférieure à elle dans des circo
ENAYMU. XXV. Paralysie bulbaire asthénique, avec l'observation d'un cas ; par John Punton. (Journal of ne/'vous and men
re est plus difficile à cause de l'absence d'atrophie dans les deux cas . Le diagnostic de paralysie bulbaire vraie repo
moelle et du pont. La paralysie bulbaire asthénique aurait dans ce cas profité, pour se développer, de la faiblesse héré
mateux et de symptômes pro- pres au goitre exophtalmique. Plusieurs cas analogues ont été publiés antérieurement, mais,
s cas analogues ont été publiés antérieurement, mais, dans tous ces cas , le myxoedème a suivi les symptômes du goitre e
t constatée plus tard mais resta légère. W. Osier pense que dans ce cas il y a perversion des fonctions de la glande th
aladie de Graves. p. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 343 XXVIII. Un cas de pachyméningite interne hémorrhagique chez un
ervous and mental di- sease, novembre 1899.) L'auteur rapporte ce cas de pachyméningite hémorrhagique sur- tout intér
ent que l'acromégalie est due à une affection de l'hypophyse, et le cas qu'ils rapportent, loin de combattre cette théo
théorie vient l'appuyer fortement, en montrant que, dans certains cas de tumeur de l'hypophyse, on peut expliquer l'abs
hyse malade ; 2° l'histoire clinique : chez un très grand nombre de cas d'acromégalie on observe : des symptômes de tum
upillaire) est tout à fait intacte. P. XXXI. Etude statistique de cas de tabes observés à « Johns Hopkins hospital »;
OUS aizd mental disease, février 1899.) L'observalion porte sur 111 cas et voici ce que donne celte sta- tistique : S
ci ce que donne celte sta- tistique : Syphilis : Certaine dans 12 cas ; douteuse dans 63 cas. Dans un nombre importan
ta- tistique : Syphilis : Certaine dans 12 cas ; douteuse dans 63 cas . Dans un nombre important de cas on ne retrouve
ine dans 12 cas ; douteuse dans 63 cas. Dans un nombre important de cas on ne retrouve aucune trace de maladies vénérie
du tabes. Symptômes marquant le début du labes : Douleur dans 57 cas ; ataxie dans 24 ; engourdissement des extrémit
crises gastriques dans 4; douleur allant du pénis au rectum dans 2 cas . Fréquence relative des divers symptômes : Atro
réquence relative des divers symptômes : Atrophie optique : dans 11 cas parmi lesquels deux furent accompagnés d'ataxie m
és d'ataxie marquée, SOCIÉTÉS SAVANTES. 345 8 d'ataxie légère ; 1 cas fut sans ataxie. Dans la plupart des cas d'atro
s cas d'atrophie optique l'ataxie fut donc légère. Dans deux de ces cas d'atrophie optique le signe de Romberg existait
it en dépit de la cécité. Paralysie des muscles de l'oeil : dans 33 cas . Signe d'Argyl- Robertson : dans 70 cas. Puis
muscles de l'oeil : dans 33 cas. Signe d'Argyl- Robertson : dans 70 cas . Puissance sexuelle : Elle fut recherchée dans
son : dans 70 cas. Puissance sexuelle : Elle fut recherchée dans 75 cas . On nota la perte de la puissance et du désir d
e dans 75 cas. On nota la perte de la puissance et du désir dans 38 cas ,. parmi lesquels trois furent précédés d'exagér
furent précédés d'exagération. Dans 24, affaiblissement ; dans un ' cas , puissance perdue mais désir persistant ; dans un
ns un ' cas, puissance perdue mais désir persistant ; dans un autre cas , augmentation du désir et de la puissance ; dan
ns un autre cas, augmentation du désir et de la puissance ; dans 10 cas , fonctions sexuelles normales. Troubles du se
nctions sexuelles normales. Troubles du sens musculaire : dans 38 cas sur 44 examinés. Arthropathies de Charcot : fur
sur 44 examinés. Arthropathies de Charcot : furent typiques dans, 5 cas ; gonfle- ment suspect des jointures dans 3 aut
ques dans, 5 cas ; gonfle- ment suspect des jointures dans 3 autres cas . Troubles mentaux : dans 7 cas. SOCIÉTÉS SAVA
suspect des jointures dans 3 autres cas. Troubles mentaux : dans 7 cas . SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE S
EL rappelle qu'à la dernière séance il a entretenu l'assemblée d'un cas de dia- bète hydrurique au cours d'une phtisie.
que au cours d'une phtisie. M. Robin a étudié égale- ment plusieurs cas de polyurie et de grand diabète dans la phtisie
à fait analogues à celui de M. Klippel. M. Sauvages en rapporte un cas pareil survenant à la suite d'une fièvre typhoïde
u'une violente émotion morale. Le diabète polyu- rique dans de tels cas peut ainsi que d'autres névroses telles que la
tre comme cause déterminante une infection chez un prédisposé. Un cas de maladie de Basedow héréditaire avec oedème des
cipation des glandes parathyroides dans le processus morbide ? Un cas de myopathie primitive avec cypho-scoliose énorme
mmunique pour les auteurs une série de photographies relatives à ce cas . Névrite cubitale chez un boulanger. M. HUET. C
relatives à ce cas. Névrite cubitale chez un boulanger. M. HUET. Ce cas est un fait de névrite professionnelle, le mala
ne présente pas de réaction de dégénérescence. M. Marie a vu des cas analogues chez des tanneurs. Un cas de surdité
nérescence. M. Marie a vu des cas analogues chez des tanneurs. Un cas de surdité verbale chez un paralytique général. M
ose de la substance blanche et au ramollissement de l'écorce). Ce cas peut donc - chose rare dans les autopsies de para
habituellement de lésions circonscrites. M. Marie n'a jamais vu de cas de surdité verbale absolument pure. Il croit de
mais vu de cas de surdité verbale absolument pure. Il croit de tels cas exceptionnellement rares. Dans des ser- vices c
cerveaux de paralytiques généraux peuvent permettre de décrire des cas d'une telle netteté. M. DËJEtUNE reconnaît la r
hiques dans les services hospitaliers tient sans doute à ce que ces cas pris à un premier examen pour des aliénés ou des
miplégie droite avec aphasie. M. Marie communique pour M. ToucnE ce cas dans lequel la malade avait conservé.la faculté d
discutée et qui cependant eût dû être soulevée à propos de quelques cas publiés sous ce nom surtout les cas bilaté- rau
e soulevée à propos de quelques cas publiés sous ce nom surtout les cas bilaté- raux et à évolution tabétique ultérieur
ans cette description que sur les caractères qui différenciaient ce cas d'un cas de méralgie : les analogies étaient be
description que sur les caractères qui différenciaient ce cas d'un cas de méralgie : les analogies étaient beaucoup pl
me Mmo B... est glycosurique, je pense un moment avoir affaire à un cas de « syndrome lévulosurique » de P. Marie, mais
les 18 paralytiques généraux admis pour la première fois que quatre cas de syphilis et n'en a pas noté un seul cas sur
première fois que quatre cas de syphilis et n'en a pas noté un seul cas sur les 13 décédés dont 8 étaient à l'asile depui
mortalité de ces derniers établissement à ceux de province, où les cas de folie aiguë et récente, plus graves que ceux
et les ouvriers au milieu desquels s'étaient développés de nombreux cas de diarrhée cholériforme. Le le, janvier 1867,
lisation. (Anévrismes miliaires de la rétine et du cerveau dans un cas d'alcoolisme chronique. Compte rendu de la Soci
nsité sous l'action d'une excitation périphérique. Nous avons vu un cas semblable dans le service de il. Magnan. C'étai
t avant l'excitation. Dans cet ordre de faits, Mierzejewski cite le cas d'un avocat halluciné entendant des voix d'espi
e, la nature de la lésion n'est pas la même. La cause dans les deux cas est l'alcool, sans doute, mais tandis qu'il y a
Dans deux ser- vices seulement nous pouvions rencontrer de pareils cas : à l'Infirmerie du Dépôt et à l'Admission de S
ntoxiqués, atteints d'une grande agitation mentale et physique, les cas de delirium treanens, avec ou sans fièvre. Nous
aps de temps, surtout parmi Messieurs les officiers, la plupart des cas se rapportaient aux maladies du système nerveux
diverses affections du derme et des mem- branes muqueuses en aucun cas on ne peut regarder le ma- lade comme complètem
mbinaison des préparations iodurées, surtout dans le traitement des cas invétérés de la syphilis. En outre, l'introduct
oyer chaque jour avec une brosse à dents, les dents et la langue en cas où cette dernière se trouverait chargée. Ce q
ence personnelle; mais, il me semble que cette méthode cède en tout cas à la première. D'abord dans le traitement par l
nous dérangeons jusqu'à un certain point la digestion même. En tout cas , à juger d'après les données anamnestiques, cet
la quantité de mer- cure introduite dans l'organisme dans les deux cas , n'est pas la même, mais il n'y a aucun doute,
arter la douleur des injections sous-cutanées. Seulement dans les cas dangereux, où le traitement doit s'effectuer très
isait sérieusement et si on ne lui démontrait les conséquences en cas de désobéissance. Maintenant, parlons du traite
e qui s'éteint parfaitement, peu à peu, des deux yeux. Excepté le cas de tabès héréditaire, dans tous ces cas de tabè
, des deux yeux. Excepté le cas de tabès héréditaire, dans tous ces cas de tabès atactica gagné vous constatez toujours
isissant toujours la même direction, ou en appliquant dans tous les cas le môme nombre d'élé- ments, qui donnent dans d
us les cas le môme nombre d'élé- ments, qui donnent dans différents cas un courant d'une force différente, c'est comme
rant continu et sans avoir toujours la même direction; car dans le cas contraire le passage du courant continu à trave
les diverses parties tous les dix ou quatorze jours. 4° Dans les cas de la déchéance particulière de l'activité du c
tement que je fais subir aux tabétiques, et il n'y a pas eu un seul cas où le malade ne sentît un certain soulagement a
dans le lointain, ce phénomène, dis- paraissait. Parfois, dans les cas invétérés du tabès, quand la période des douleu
se déclarent que pendant le cours de la maladie et dans ce dernier cas leur apparition est souvent le signal de recrud
artissaient ainsi au point de vue de la variété de la psychose : Un cas de dépression mélan- colique simple, huit cas d
é de la psychose : Un cas de dépression mélan- colique simple, huit cas de mélancolie stupide, seize de délire mélancol
ribution à la localisation de la conscience musculaire basée sur un cas de lésion traumatique de la tête ; par WL. Mu-
vés. Il peut être perdu si l'un de ces centres est lésé. 2° Dans le cas de lésion périphérique, c'est-à-dire quelque lé
eption peut être atteint par suite d'une lésion du cerveau, dans le cas d'apoplexie par exemple, et dans ces cas le sen
lésion du cerveau, dans le cas d'apoplexie par exemple, et dans ces cas le sens stéréognostique peut être perdu quand b
de Boston). (Journ. of ne¡'vous and mental disease, 1899.) C'est le cas d'un médecin âgé de vingt-six ans qui-mourut deux
bservés, l'aug- mentation de toxicité ne fut pas constatée. Dans un cas seulement le sang était plus que normalement to
rition de la concavité normale de la région lombaire. Dans certains cas , il y a seulement « rigidité de la colonne ver-
ations scapulo-humérales étaient aussi immobilisées (Mutterer, deux cas observés par M. Marie et qualifiés cr spondylos
ar M. Marie et qualifiés cr spondylose rhizomélique »). Dans deux cas (Oppenheim, Bechterew) on a observé des trou- b
téophytes sur les vertèbres). Mais il n'est pas évidentque tous les cas soient primitivement arthritiques. Dans deux de
ntque tous les cas soient primitivement arthritiques. Dans deux des cas qu'il rapporte, il a au contraire l'impression
au réveil que le soir au momeut de se coucher. Foulard. LXIX. Un cas de tumeur de la moelle épinière ; par le Dur Jose
ule et la première côte. P. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XLII. Un cas d'ivresse furieuse; par le Dr FRANcoTTE. (Bull. d
étant donnée la courte durée des accidents qu'il a eu affaire à un cas d'ivresse pathologique et non de délire alcooli
t aller jusqu'au meurtre et au suicide. Dans la grande majorité des cas , ce délire est accompagné d'idées obscènes. P
'alcoolisme qui, uni à la dégénérescence, engendre presque tous les cas . Enfin on peut signaler l'hystérie, la neurasth
sie doit être considéré comme une forme de paranoïa. La plupart des cas sont des variétés de paranoïa alcoolique ; les
ée et le délire de jalousie est parfois difficile : dans le premier cas le caractère morbide se reconnaîtra par ce fait
l'intensité des causes qui leur ont donné naissance. Dans le second cas , les illusions, les hallucinations, les interprét
ce. La médecine légale se ramène à une question de diagnostic. En cas de délire de la jalousie bien caractérisé, l'irre
jalousie bien caractérisé, l'irresponsabilité s'im- pose. Dans les cas de jalousie excessive, non délirante, la respon-
s, saturnisme, etc., sans signes de lésion cérébrale localisée ; 3° cas hystéroïdes, assez incurables pour être rangés
lan et n'a guère d'autre rôle que de protéger les infir- mières, en cas de délire passager d'un des pensionnaires. Le n
blable aussi ? Quant à la perte de cons- cience, elle peut, dans un cas comme dans l'autre, être complète ou incomplète
conscience avec l'activité des centres nerveux les plus élevés, les cas rappor- tés et tous les cas semblables confirme
es centres nerveux les plus élevés, les cas rappor- tés et tous les cas semblables confirment nettement l'opinion de H.
die ensuite les points de ressemblance entre les deux catégories de cas . L'observation clinique nous apprend que d'une
stations nerveuses variables elles aussi. Par exemple dans certains cas d'épilepsie, la « décharge-» initiale est suivi
se rencontrent pourtant aussi dans l'alcoolisme aigu. Dans quelques cas , aussi bien chez l'alcoo- lique que chez l'épil
llule nerveuse en assure l'intégrité. L'auteur n'a pas vu un seul cas d'épilepsie idiopathique dans lequel l'alimenta
ompue par un nettoyage complet du tube diges- tif. Sur plus de cent cas pris au hasard, l'auteur n'a pas rencontré une
une seule fois un état normal de la nutrition : dans 40 p. 100 des cas l'estomac était dilaté : dans 90 p. 100 du catarr
ne accentuation ou une exaltation de la conscience. Dans ce dernier cas , l'auteur admet qu'un abaissement plus ou moins
lique le mieux les faits cliniques que l'on rencontre dans certains cas rares de somnambulisme et dans les états connex
. (The New-York médical Journal, 47 avril 1897.) Résumé de quatre cas dans lesquels la correction d'un défaut visuel
en démence après cette limite. Il résulte de cette division qu'un cas de paralysie générale, selon qu'elle surviendra
classification naturelle, même complète, ne peut englober tous les cas , une division est réservée aux cas indé- termin
plète, ne peut englober tous les cas, une division est réservée aux cas indé- terminés et mixtes, non susceptibles, d'e
ssi tabétique encore à la période préataxique. Considérant ces deux cas et les seize cas relevés par M. Souques dans la
ore à la période préataxique. Considérant ces deux cas et les seize cas relevés par M. Souques dans la littérature rapp
seize cas relevés par M. Souques dans la littérature rapprochés des cas de paralysie générale conju- gale et de ceux où
a est possible, et je suis arrivé ainsi à observer une quinzaine de cas de tabes conjugal. Je n'ai pas de statistique à
les tabétiques mariés. Je crois cependant pouvoir affirmer que les cas de ce genre sont trop communs pour qu'il soit per
llaire ou d'incoordination motrice. J'ai noté dans plusieurs de ces cas que le mariage avait eu lieu fort longtemps, on
njugal est plus rare ou moins connu, car je n'en ai retrouvé que 16 cas . M. Babinski a dû tomber sur une série heureuse.
e sur ce fait que quand l'examen histologique aura été fait. Deux cas de cécité corticale. M. Touche communique des des
ippe et HUDOEVRNIG apportent l'étude histologique détaillée de deux cas appartenant à cette encéphalopathie infantile, qu
ion de picotement, ou de chaleur, ou même de brûlure. Dans quelques cas examinés, le sujet accusait la vibra- tion et e
a- tion et en même temps une sensation de brûlure ; dans d'autres cas , la brûlure s'accusait seule ou ne survenait que
que tardivement. L'auteur a soumis à cet examen 43 sujets, dont 16 cas atteints de tabes, 7 de myélite, 4 de gliomatos
ts, dont 16 cas atteints de tabes, 7 de myélite, 4 de gliomatose, 1 cas de sclérose en plaques, 7 cas de névrites, 2 ca
bes, 7 de myélite, 4 de gliomatose, 1 cas de sclérose en plaques, 7 cas de névrites, 2 cas d'épilepsie, 1 cas de poliencé
4 de gliomatose, 1 cas de sclérose en plaques, 7 cas de névrites, 2 cas d'épilepsie, 1 cas de poliencépha- lomyélite, 3
cas de sclérose en plaques, 7 cas de névrites, 2 cas d'épilepsie, 1 cas de poliencépha- lomyélite, 3 cas d'hystérie et
de névrites, 2 cas d'épilepsie, 1 cas de poliencépha- lomyélite, 3 cas d'hystérie et deux cas de polyarthrite déformante
pilepsie, 1 cas de poliencépha- lomyélite, 3 cas d'hystérie et deux cas de polyarthrite déformante. Les observations dé
es correspondants du sens de vibration. Dans l'immense majorité des cas , on a constaté des troubles manifestes de ce mode
exceptionnel de l'observation de M. Nalbandoff. Dr M. LUNTz. Deux cas de traitement opératoire de l'épilepsie cor- ti
la cause des accès épilep- - tiques, et il estime que dans les deux cas , les Tésulats opératoires sont peu encourageant
s de la sensibilité vibratoire. Dans les myélites, surtout dans les cas graves, on a observé une concordance complète e
u squelette et en plus aux os des membres inférieurs; dans quelques cas les troubles vibratoires ne se manifestent que
troubles vibratoires correspondaient presque à celles- là. Dans un cas d'hystérie sans anesthésies, on a constaté une
s les os du bassin et les parties centrales des membres. Dans les cas d'hystérie avec anesthésie cutanée, des troubles
lie héréditaire . - L'auteur a observé à l'hôpital Catherine trois cas de syringomyélie non douteuse chez un vieillard â
ivement de trente-deux et dix-huit ans. La particularité du premier cas consiste dans les phénomènes d'acromégalie dans
que du diaphragme disparait pour ne plus revenir. M. Bérillon. Ce cas rentre dans ce que j'ai appelé la sugges- tion
ersiste. Phobies tactiles et visuelles. M. Paul Farfz cite quatre cas de phobies conscientes avec anxiété, angoisse,
les traumatisme et les sur- veiller tout particulièrement dans les cas d'infection ou d'intoxica- tion ; ces dernières
sion d'un trouble mental plus accentué. M. Jules Voisin. - Dans ces cas , il s'agit d'individus dont l'héré- dité est ch
j'ai essayé tour à tour les divers médicaments préconisés en pareil cas ; c'est encore l'hypnotisme qui m'a donné les ré
up, quoique sans autopsie, sont encore fort intéressantes. Des deux cas types, l'un est une cécité psychique avec légèr
sterait fréquemment en une double lésion des lobes occipitaux ; les cas les plus intéressants reconnaissent pourtant gé
n du processus destructif à la substance blanche. Enfin de quelques cas il ressort que l'agnoscie visuelle spéciale par
rant buccal, pied tabétique, etc.) ; A. Fougères. Sur deux nouveaux cas d'ulcère variqueux traités par élongation des n
tion fasciculaire du sciatique (avec figures) ; M. Bardesco. Sur un cas de mal perforant et sur deux cas d'ulcères vari
vec figures) ; M. Bardesco. Sur un cas de mal perforant et sur deux cas d'ulcères variqueux traités par élonga- tion de
on du nerf postérieur et de ses branches terminales; Jaboulay. D'un cas de troubles trophiques du pied et de la jambe t
nsion des filets nerveux entourant l'artère fémorale ; - Roncali.Un cas d'abcès traumatique du lobe temporo-sphénoïdal
ésié partielle- ment ; ici, c'est la vue qui réagit; dans tel autre cas , ce sont les oreilles. Chez notre malade, il y
ervient, dans la règle, que d'une façon secondaire et dans tous les cas , accessoire. Ainsi, malgré l'apparence logique,
i- tation cutanée, ou d'un organe des sens. M. Séglas rapporte le cas d'une malade qui s'est entendue appeler « vieille
moment qu'on fermait une porte. Tous les aliénistes ont observé des cas pareils, ils ont vu des hallucinations paraître
, l'écorce s'est montrée excitable 25 fois sur 38 ; en un tiers des cas , elle ne fut pas excitable, mais il s'agissait,
de refroi- dissement de la surface du cerveau, excepté dans quatre cas où l'expérience fut conduite avec toute la prud
nt normaux chez deux sujets et dégénérés chez un troisième. Dans un cas de myopa- thie de Leyden ils étaient accrus en
apparence nor- male quant à leur structure. - Normaux aussi dans un cas d'atrophie musculaire progressive et dans un ca
maux aussi dans un cas d'atrophie musculaire progressive et dans un cas de névrite péri- phérique, ils étaient au contr
névrite péri- phérique, ils étaient au contraire atrophiés dan, un cas de trau- matisme du plexus brachial remontant i
de la sensibilité et de la motilité ; atrophiés également dans des cas de section expérimentale de troncs nerveux chez
tamérie spinale. Présentation et discussion. d'un certain nombre de cas de zona, de scléroder- mies, d'urticaire, de li
et Nelis sur les modifications des cellules de la moelle dans les cas de mélectomie récente. La localisation motrice mé
tologiques trouvent leur confirmation dans divers faits cliniques : cas de lésions alrophiques du noyau du facial avec
avec participation des muscles orbiculaire, sourcilier et fronlal; cas de paralysie bulbaire progressive infantile et
ales. A. rENAYROU. 516 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LXXXIV. Un cas de paraplégie avec autopsie ; par Van Gehuchten.
s de la paraplégie. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXII. Un cas d'acromégalie; par le Dr W.-M. 1,EYriSKY. (Journa
ur les autres couleurs, ne permet pas d'incriminer l'alcoolisme. Le cas est intéressant en ce qu'il a permis de poser u
ou la sclérose disséminée. Se basant sur l'analyse soigneuse de 17 cas suivis d'autopsie, il donne à la maladie les ca
s : . Etiologie : L'anémie pernicieuse se voit dans 10 p. 100.des cas ; dans les autres cas on trouve d'ordinaire une a
anémie pernicieuse se voit dans 10 p. 100.des cas ; dans les autres cas on trouve d'ordinaire une anémie très marquée o
sthésie, faiblesse, mala- dresse et très légère anasthésie. Dans un cas , le mal a débuté. par 'r les bras. Les nerfs cr
dans' un 518 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. nombre considérable de cas , il s'agit d'anémie pernicieuse typique. Marche
ouleur, l'apparition de troubles du rectum et de la vessie. Dans un cas de Dana, on constatait une dissociation des sensi
forme aiguë, on trouve comme causes : fièvre infectieuse moitié des cas ); traumatisme (rare); otite moyenne. Examen bac-
du cou et des jambes ; secousses. Fièvre quelquefois (un tiers des cas ). Plusieurs de ces symptômes peuvent manquer et l
lume du crâne, l'absence de symplômes localisés. , FOULARD. XXXV. Cas de syringomyélie; par Carslam. (British medical
l Journal, 31 décembre 1898.) L'auteur expose dans cet article un cas détaillé de syringomyélie avec quelques symptôm
ie géné- rale à la douleur, au chaud et au froid. D. M. XXXVI. Un cas de tuberculome de la protubérance annulaire; pa
nté- rieure gauche de la protubérance annulaire. XXXVII. Quelques cas de torticolis spasmodiques ; par R. H. PARny. (
R. H. PARny. (Bntish médical Journal, VII, 1898.) L'examen de ces cas , au nombre de trois, inspire à l'auteur les rem
mille de 97 individus échelonnés sur 6 générations et présentant 22 cas de difformité oedémateuse des membres inférieur
auteur portant sur 4 générations d'une même famille et présentant 8 cas d'oedème chronique (ces cas n'étant imputables
ions d'une même famille et présentant 8 cas d'oedème chronique (ces cas n'étant imputables à aucune des affec- tions co
de Meige, mais avec cette particularité qu'il n'a été relevé aucun cas analogue chez les ascendants. R. C. XLIII. L'ur
crétion des phosphates urinaires est augmentée dans la majorité des cas d'épilepsie et le rapport des phosphates alcalins
quivaut à une somme considérable d'exercice normal. Dans tous les cas SOI est resté plus ou moins au-dessous du taux
resté plus ou moins au-dessous du taux normal. Dans bon nombre de cas , et pour un bon nombre d'attaques on a trouvé u
ne diminution et 5 fois un état station- naire. Sauf dans un seul cas l'excrétion de l'acide urique a toujours été un
supérieure à la toxicité normale. R. de lIUSGli4VE-CLAl. XLIV. Un cas de gliome du corps calleux; par le Dr Charles ZAL
eux sont extrêmement rares, la litté- rature n'en connaît que vingt cas . Il n'y a aucun changement dans le fonctionneme
reins. Quant à la raideur, elle était observée par Ii;6sterdans un cas du gliome de la partie antérieure du corps call
r a présenté une vision oculaire normale. G. DE Majewska. XLV. Un cas de syphilis héréditaire de la moelle épinière ave
ons périphériques ou radiculaires, de sorte qu'il faut voir dans ce cas , une affection systématisée de la moelle d'orig
inale et secondaire à un ancien foyer de myélite. 11. C. XLVI. Un cas de syringomyélie avec troubles de la sensibilité
; par van GEIIUCIITEr¡. (Joll1'n. de Neurologie, 1899, n° 18.) Ce cas de syringomyélie présentait plusieurs particulari
r Raymond a consacré une de ses leçons cliniques à la discussion du cas d'un enfant de six ans, qui a présenté, à la 52
oudre. M. le professeur Raymond en cite plusieurs exemples. Dans le cas dont il s'agit, le diagnostic de diplégie céré-
es derniers temps, cette affec- tion comme curable ; mais, dans les cas terminés par guérison, on a toujours le droit d
de du diagnostic et de se demander si on n'a pas été en présence de cas d'hystérie ou de neurasthénie, maladies capable
. IIUUüELI.. (The New-York Médical Journal, 17 juillet 1897.) Les cas de perte complète de la vision de l'un ou des deu
isuelle au bout de quelques jours ou de quelques semaines, sont des cas rares. Aussi l'auteur a-t-il cru avec raison qu
. Jules Voisin Suggestion par lettre. M. Jules Voisin rapporte le cas d'une jeune fille qui fut guérie assez vite de
avait remise dans ce but. M. BERNIIEDI (de Nancy). Je puis citer un cas analogue. Il inté- resse une brésilienne hystér
E NEUROLOGIE Séance du 3 mai 1900. - Présidence de M. Joffroy. Un cas de tétanos céphalique avec diplégie faciale. (Tit
l'ont mené à la mort en soixante-douze heures. Il s'agit donc d'un cas de tétanos céphalique typique avec diplégie fac
du nez occupant exactement la ligne mé- diane. Si l'on rapproche ce cas de ceux où la paralysie faciale et le trismus s
le point d'inoculation et la diffusion de la toxine tétanique. Un cas d'hémianopsie homonyme temporale gauche avec cons
ypothénar à une compression assez forte et prolongée. "- Sur un cas de`paralysie spinale infantile avec participation
ine d'un nerf récurrent ont été atteintes par ce processus. Dans ce cas la survie a été possible en raison de la locali
mitée des lésions du bulbe. M. MARIE. - Nous voyons en effet peu de cas avec phénomènes bulbaires et phénomènes liés au
ntile se montre souvent sous forme d'épidémies, ce qui dans de tels cas est un bon guide pour le diagnostic. Chez nous
ions épidé- miques ne venant pas nous donner d'indications, de tels cas nous font naturellement penser à la méningite e
cide (idem) ; - Du diagnostic, différentiel du délire aigu (idem) ; Cas remarquable de fureurs passagères (idem) ; - Le c
ition se borne souvent à atténuer le mal, à l'enrayer, et, dans les cas les plus graves, mais aussi les moins fréquents
es hygiéniques, et ses moyens d'action ne comprennent dans certains cas particuliers que des bromures, des vésicatoires
ou rend l'individu sans défense contre les influences du dehors. En cas d'indocilité, les seules sanctions pénales doiv
symptômes compli- qués de la -, par \\'urcester, 328. CÉCITÉ. Un cas de surdité et (le - veibales, par Séreux et n
sie, par 1l0ckhlltIS, 158. EPILEPSIE. Rapport médico-légal sur un cas d' -, par de Moor et Du- chàteau, 57. Traitemen
n, il. Zona consécutII il l'adminis- tration de l'arsenic dans un cas d' -, par Clark, 7f. - avec 519 attaques en 4
m, 160. La bromiuine dans l' -, par l3oloni, 165. Gué- rison d'un cas d' - héréditaire par une attaque d'hémiplégie,
par Jacqum, 299. Accès téta- noïdes dans l' -, par Clark, 327. Un cas d' - jacksonnienne hys- térique, par Crocq, 331
33. Glaucome. Excision du ganglion cervical sympathique dans un cas de -, par Boll, Henaud et Bartlett, 80. IIÉ11
mouvements auxiliaires des -, par Amant, 311. IIÉAl15PA5J1E. Un cas d' -, par Ba- binski, 253. Hérédité. Sur l' d
urs, par Lugaro, 310. Hystérie et infection, par Esquerdo, 332. Cas classique d ? par Ram- boldi, 333. II1'STÉnO-
uence des rêves chez une -, par Béril- joli, 178. Idiotie. Deux cas d' myceoeJéma- teuse, par'l'anzi, 236. Happons
roi- (liqine etmaladie de llasedow, par Jamius, 60. Ivresse. Un cas d' furieuse, par Fraucotte, 427. Ivrognerie.
par Âjatn, 9+. Localisation de la conscience mus- culaire dans un cas de trauma- TABLE DES MATIÈRES. Sol tlsme de
Heterotopie, canal double et triple de la -. par Senator, 320. Un cas de tumeur de la -, par Collins, 426. Morphini
c., par Osier, 342. Myxoedème. Traitement tliytoidieii dans un. cas de-, parBonney, 71. Variété de fruste, par Cam-
trophie du cerveau dans la -, par Bru- net, 167. Pupilles dans un cas de - au début, par Tanzi. 233. Si- philis cér
uel- ques considérations surla thérà- peutique, par Liébault, 64. Cas traités par l'hypnotisme et la - par Osg-ood
iques du -, par Lenhossek, 316. Tabès. Coupes de moelle dans un cas de -, par Klippel, 171. - cervical, par de Rucl
magne, 185. Zona consécutif à l'administration d'arsenic dans un cas d'épilepsie. par Clark, 7 4. TABLE DES AUTEUR
38 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
rois semaines de cela, il s'est présenté devant nous un homme dont le cas nous a particulièrement intéressés. Avant d'entre
de vous le présenter de nouveau et d'insister plus longuement sur son cas . Or, sur ces entrefaites, les manifestations pu
semblables, qui constituent, quand on les trouve représentés dans un cas donné, un fondement solide pour établir le diagno
a circulation, à une anémie de la substance cérébrale, comme c'est le cas probable dans les paraly sies transitoires, si,
tion récente, publiée en Hollande par M. Wismann (1) et relative à un cas d'épilepsie crurale hystérique. A côté des cas
(1) et relative à un cas d'épilepsie crurale hystérique. A côté des cas purs de monoplégie ou d'épilepsie partielle, rele
e, soit d'une lésion ordinaire, il faut, enfin, compter aussi sur les cas mixtes. Je veux parler de ces cas dans lesquels i
faut, enfin, compter aussi sur les cas mixtes. Je veux parler de ces cas dans lesquels il y a, à la fois, paralysie perman
s hydatiques publiés par Grio-singer (2) et M. F. Widal (3), quelques cas de ramollissement (4), d'hémorrhagie (5), de tume
à des faits relativement rares, surtout si on ne tient compte que des cas contrôlés par l'autopsie, car, particulièrement d
rs exemples pour mon propre compte et j'en ai autrefois rapporté deux cas dans mes leçons (8). Quand on considère la tube
s lo centro ovale, dans les régions corticales. Mais, dans ce dernier cas , il s'agit d'ordinaire de méningite anormalo frap
ent donné, devenir l'origine d'une généralisation bacillaire. Dans ce cas , une intervention chirurgicale pratiquée de bonne
s ces données anatomo-pathologiques ? C'est que, dans la majorité des cas , la monoplégie et Fépilepsie partielle crurale dé
délire, la fièvre, font habituellement défaut. Et, si, dans quelques cas rares, révolution est rapide, fébrile et se termi
nalée par letableau clinique, ne pourrait-onpas songer, dans quelques cas , à l'intervention chirurgicale ? Si la tuberculos
mprends que l'on écarte d'emblée toute intervention. Et cependant des cas particuliers peuvent se présenter : La tuberculos
La phthisie, en somme, n'est pas toujours incurable, et dans tous les cas une prolongation de quelques années, un sursis, n
figures schématiques et dessinées d'après nature, se rapportant à ce cas ; les premières ont été publiées dans les Bull, d
pparition tardive d'une monoparésie crurale. Tel est, en résumé, le cas que je voulais étudier avec vous ; outre l'intérê
ne prononçant pas une parole à moins de nécessité absolue, et dans ce cas communiquant entre nous tout bas, à l'aide do la
marque extérieure dénotant la réalité de cette perception et, en tout cas , elles ne provoquent aucune espèce de suggestion.
'odeur d'un parfum et l'idée de fleurs odoriférantes. Dans d'autres cas , au contraire, la véritable nature du tableau qui
it aussi que cette troisième période de l'attaque peut, dans certains cas , prendre un développement considérable aux dépens
nes ; des attaques de sommeil. Bordeaux, 1885. faisant allusion aux cas de M. Pitres, affirmait que ce fait n'est pas trè
hystérie qu'il est assimilable à une sorte « d'hystérie larvée ». Les cas auxquels Gilles de la Tourette fait allusion sont
ons, acquérir un développement considérable. Il s'agit alors de ces cas si bien étudiés par Hughlins Jackson (1), sous le
n étudiés par Hughlins Jackson (1), sous le nom d'automatisme mental, cas dont M. Ribot (2) a rapporté de curieux exemples,
te confusion — qui me semble devoir être rattaché, dans bon nombre de cas , au somnambulisme hystérique dont il ne serait al
, n'a pas la plus légère connaissance de ce qu'il a fait (Ribot). Les cas de cette catégorie sont relativement faciles à di
des accès d'épilepsie convulsive, et ces signes, dans certains de ces cas , ont précédé immédiatement le désordre psychique.
positifs de la médication bromurée, qu'on sera autorisé à ranger ces cas parmi les somnambulismes épileptiques. * Le s
assivité augmente. Enfin, dans une dernière classe se rangeront ces cas actuellement considérés comme des exemples de « d
de « dédoublement de la personnalité ». La description bien connue du cas de Félida, par M. Àzam, est à cet égard démonstra
l. Edwards, — Marie et Souza-Leite. — Prog. mèd., 20 oct. 1884. les cas de ce genre dont nous nous occuperons seulement i
ante, l'élément convulsif se trouvant rejeté au second plan. Dans les cas les plus ordinaires, les deux dernières périodes
té, la zôanthropie. On avait déjà à la vérité observé et publié des cas de ce genre. Les deux observations bien connues d
lia l'histoire quatorze ans plus tard (2). Il s'agit dans ce second cas d'un homme de 27 ans, chez qui le début des accid
l'idée d'écrire. Mais nous laisserons de côté cette particularité du cas de ce malade, pour y revenir plus loin à propos d
plupart d'entre eux sont loin d'être aussi complexes que le deuxième cas de M. Mesnet, bien qu'ils ne soient pas moins car
s plus loin. P. Richer fait observer avec raison, à propos des divers cas qu'il rapporte, que le délire peut être accompagn
l'attaque à l'état d'intégrité ou de simple ébauche, ou, dans d'autre cas , être absolument isolé chez un hystérique. Le c
ou, dans d'autre cas, être absolument isolé chez un hystérique. Le cas publié par M. Garnier (4) présente à tous égards
nt limité. Ce sont bien là les caractères signalés plus haut dans les cas que nous citions. Nous y reviendrons avec quelque
au voleur. Dans les Leçons du Mardi, M. Oharcot cite encore d'autres cas de cette espèce. L'un d'eux (2) a trait à un je
tique du même gymnase. Dans le même ordre d'idées, citons encore le cas rapporté sous le titre d'hystérie maniaque infant
sous le titre d'hystérie maniaque infantile par M. Blocq (1). Dans ce cas le délire dura plusieurs jours et fut suivi par d
et marquèrent la fin de la crise somnambulique. * * Dans tous les cas que nous venons de citer, au point de vue nosogra
jà voir, par la brève description que nous avons donnée, que tous ces cas , malgré les grandes analogies qui les rattachent
ation d'idées et d'actes saisissante. D'autres au contraire, les deux cas de M. Mesnet et celui de M. Garnier en particulie
térie des jeunes garçons que l'on rencontrera le plus grand nombre de cas de la première catégorie. Nous avons pu observe
i fort effrayé son entourage (1). Comme on le voit par les quelques cas qui précèdent, le délire de la phase passionnelle
nifestations extérieures. Il y a cependant un trait commun à tous ces cas , c'est que dans le délire l'initiative est laissé
t de la personnalité qu'on appelle la zôanthropie : les ma- (1) Les cas de ce genre sont extrêmement fréquents. Depuis qu
garçon est également en voie de guérison. (G. G.). lades, en pareil cas , abandonnent, comme on sait, leur propre individu
mise en relief par M. Mesnet, que nous avions déjà signalée dans les cas plus haut cités. Cette fille, transformée en chat
e. C'est, en effet, ce qui se produit, pour le moins dans beaucoup de cas : en pressant sur les zones hystérogènes, lorsqu'
nerons plus loin, on en trouve dans les leçons de M. le Pr Gharcot un cas absolument typique. Le malade n'avait pas pu êt
lumière. S'il s'agit do noctambulismo, il semble qu'il y ait dans ce cas une sorte de transition entre le somnambulisme no
manifestations hypnotiques, telles que la catalepsie, ce qui rend le cas moins net et le classe dans les cas de transition
que la catalepsie, ce qui rend le cas moins net et le classe dans les cas de transition que nous nous proposons d'étudier u
ultérieurement. Enfin M. le professeur Charcot, faisant allusion à ce cas de M. Pitres, affirme que le fait n'est point trè
sur les niasses musculaires, ni par le souffle sur la peau. Dans ces cas , il entre de lui-même dans son délire, jouant ave
nt chez eux. Pour cette raison, il ne serait que juste de grouper les cas de cet ordre sous la rubrique de Somnambulisme hy
que nettement caractérisée. Mais il existe aussi, avons-nous dit, des cas dans lesquels ces dernières peuvent être réduites
ètement. Dans cette dernière catégorie rentre à bon droit le deuxième cas de M. Mesnet. Chez ce malade « la transition de l
un bel exemple d'hystérie traumatique chez l'homme. En réalité, le cas de M. Mesnet présente une petite difficulté d'int
trouve singulièrement amoindrie si l'on est en mesure de fournir des cas de transition, pour ainsi dire, montrant que le f
n, pour ainsi dire, montrant que le fossé est moins profond entre les cas absolument typiques comme nos deux précédents et
nd entre les cas absolument typiques comme nos deux précédents et les cas tout à fait frustes comme le sien. Du reste ce ne
-sives ou simplement d'autres signes d'hystérie. » Cette catégorie de cas comprend celui du malade de M. Mesnet. La seconde
rend celui du malade de M. Mesnet. La seconde englobe précisément ces cas de transition auxquels nous faisions allusion que
lignes plus haut et qui nous sont précieux pour relier entre eux les cas complets et les cas tout à fait frustes. M. P. Ri
qui nous sont précieux pour relier entre eux les cas complets et les cas tout à fait frustes. M. P. Richer la caractérise
On ne fait pas difficulté de considérer comme attaques de sommeil les cas bien connus de ces dormeuses dont le sommeil dure
iodes classiques. Mais est-ce là une raison pour nier l'existence des cas complets, aujourd'hui presque universellement adm
odes, notre étalon, nous sert précisément à interpréter sainement les cas incomplets ou anormaux. L'attaque la plus fréquen
oir à ce sujet les traités de MM. Eichhorst, Hii% la description d'un cas d'hystérie chez un soldat allemand de MM. André e
téristique du type de l'attaque hystérique (1). Mais revenons à nos cas de somnambulisme. Nous dision s donc que nos mala
es par les phénomènes typiques de la grande attaque. Au contraire, le cas de M. Mesnet représente l'autre extrémité de l'éc
ment défaut. Nous allons maintenant donner la description d'un de ces cas de transition où l'on verra l'élément convulsif p
concentration du malade est certainement un peu moindre que dans les cas précédents. Non pas qu'il s'occupe davantage des
que le degré de concentration du malade apparaît moindre que dans les cas précédents. Il nous avait dit, à plusieurs repris
Arch. f. klin. Med. 47 Bd., 5 et 6 Heft, Mars 1891, p. 549). Dans ce cas , qui nous semble bien devoir entrer dans le cadre
stérique et ressemble beaucoup, à certains points de vue, au deuxième cas de M. Mesnet, le malade acceptait toutes les sugg
venir sur les analogies qui rapprochent les uns des autres les divers cas que nous venons de rapporter. Nous y avons suffis
appréciation indiscutable. Les différences qui distinguent les divers cas les uns des autres sont toujours d'ordre secondai
ées ou ses préoccupations du moment. Et cela est dans la majorité des cas bien aisé à découvrir. Le jeune Letell..., le g
dans son délire, loin de constituer une différence qui sépare chaque cas , est au contraire une des caractéristiques les pl
rantes que l'on provoque à l'aide d'impressions sensorielles. Dans ce cas , bien que nous fassions naître de nouvelles idées
ées ainsi sont d'une intensité et d'une durée différentes suivant les cas . Il nous a paru qu'à ce point de vue elles étaien
le qu'il vaudrait mieux réserver cette dénomination à certains autres cas désignés parfois sous le nom de vigilambulisme et
l'observation de notre jeune journaliste. Dans la plupart des autres cas que nous avons décrits, la succession des halluci
avortées ou même effacées, ainsi que cela peut se voir dans certains cas . A propos du somnambulisme naturel ou noctambul
il nous paraît bon de faire remarquer que, dans un certain nombre de cas , il doit rentrer dans le cadre du somnambulisme h
noctambulisme simple, lorsqu'on aurait distrait de ce groupe tous les cas nocturnes d'automatisme épileptique et de somnamb
e délire, des actes plus ou moins naturels ou bizarres. Mais, en tout cas , c'est lui qui toujours tient le haut du pavé. No
me, il ne nous écoutera plus. En outre chez lui, dans la majorité des cas , il n'existe aucun phénomène somatique semblable
hypnotique, au contraire, sans parler de la présence, dans les grands cas au moins, des signes somatiques, de la contractur
d'hypnose sans la moindre convulsion. On pourra même, dans certains cas , comparer ces deux états chez le même sujet et vo
tout et à lui faire jouer un rôle prépondérant. A ce point de vue, le cas rapporté par M. Forel (de Zurich) mérite d'être s
et guérissait les maladies. Dans ses deux ouvrages, M. Forel range ce cas de somnambulisme dans la catégorie de l'hypnose,
de de début de l'attaque, les caractères du délire qui rapprochent ce cas de celui de notre jeune garçon charcutier à qui o
vant d'en faire l'objet d'une publication ultérieure, fondée sur deux cas fort intéressants de dédoublement hystérique de
oposé par MM. Eggeret Lereboullet pour désigner l'état second dans le cas de Felida observé par M. le professeur Azam. 11 e
est préférable de beaucoup au terme « somnambulisme » appliqué à des cas où le sujet semble parfaitement éveillé. p2) Le
ur les Maladies du système nerveux, t. III, p. 357. cèdent, en tout cas , dans la vie commune ainsi que dans un songe, pla
e l'on connaît sous le nom de dédoublement de la personnalité, et son cas est, comme vous l'alliez voir, tout à fait sembla
irait qu'il s'agit ici d'une reproduction en tous points fidèle de ce cas . A propos de ces études sur les sommeils pathol
r quelques rares retours, tantôt spontanés, tantôt provoqués, en tout cas de peu de durée, de l'état antérieur, état prime,
mière jeunesse. On ne connaît pas, du reste, je le crois du moins, de cas de dédoublement de la personnalité, dans lesquels
que d'hystérie (Voir plus haut, n0S XXVII et XXVIII). Il y a, en tout cas , à faire valoir, dès à présent, que ces deux mani
se développer entre deux attaques hystériques. La scène dans les deux cas est inaugurée par une attaque et terminée par une
XVIII, p. 70). Charcot, t. u 12 passionnelles peut, dans certains cas , prendre la place principale parmi les autres phé
lle revêt le plus souvent la forme délirante. Mais, dans ces divers cas , il y a à considérer un certain nombre de nuances
sans importance. Mais encore parmi eux que de différences suivant les cas ! Les uns, complètement et profondément concent
e, vécue par une seconde personne, et qui peut prendre, dans certains cas , un développement assez considérable, puisque l'o
au sujet l'idée d'une personnalité étrangère. Le deuxième groupe de cas , alternance de deux personnalités, diffère du pre
, changer un homme en femme, un manouvrier en roi, etc. Ce sont les cas du second groupe qui nous occuperont ici. A vrai
impossible de dire si elle se produira. De plus, il se rencontre des cas , ainsi que nous le verrons par la suite, dans les
ivent à disparaître complètement. Nous retombons à ce moment dans les cas du premier type. Mais, revenons maintenant au s
t que cette seconde personne, qui se manifeste passagèrement dans les cas précédents, est la même que celle qui prend une p
ne place prépondérante et se substitue à la personne normale dans les cas de dédoublement de la personnalité. C'est possibl
délire peut varier considérablement d'un sujet à l'autre. Suivant les cas , on sera (1) Georges Guinon et Sophie Woltke. —
s (Voir plus haut n° XXVIII, p. 134,obs. du nommé de B...) et dans le cas bien connu de M. Mesnet (1). Il n'est point contr
de M. Mesnet (1). Il n'est point contraire à la raison d'imaginer des cas encore plus simples et servant de transition , pl
ue le meilleur, pour ne pas dire le seul moyen de diagnostic, dans un cas de longue durée. L'oubli de la personnalité nor
mnésie particulière, d'autant plus difficile à dépister dans bien des cas que le malade n'attire pas spontanément l'attenti
ous l'entendons ici, le trouble de la mémoire peut varier suivant les cas . Tantôt le dédoublement n'est pas absolument comp
le-ci ignore totalement celle-là. Il en résulte ce fait que, dans les cas d'alternance bien nette, lorsque la première pers
es ignorées, qui sont les accès de condition seconde. Dans d'autres cas au contraire, et les deux que j'ai eu l'occasion
alyse des observations déjà publiées et l'exposition de deux nouveaux cas fort intéressants qui appartiennent au service de
premières études sur le dédoublement de la personnalité. Les premiers cas publiés, pour n'être pas très vieux, remontent ce
éconnus. Il suffit, pour l'étude de ce phénomène, de se contenter des cas publiés comme tels, et la connaissance n'en remon
Le premier est celui de Mitchell et Nott, plus connu sous le nom de cas de la Dame américaine de Mac Nish (1). Il a été r
état nouveau, de connaissances acquises dans Yêtat ancien, font de ce cas un exemple bien net de dédoublement de la personn
taque hystérique non plus léthargique, mais convulsive. * Dans le cas que nous devons à M. le Dr Dufay (1), on trouve u
r rappelé les faits le plus brièvement possible. Il s'agit clans ce cas d'un jeune femme de vingt-huit ans environ. Penda
lement une manifestation nocturne, déduction faite, bien entendu, des cas se rattachant à l'automatisme comitial ambulatoir
al ambulatoire nocturne, et peut-être même au vigilambulisme. Dans le cas de M. Dufay, pas plus que dans un grand nombre de
ulisme. Dans le cas de M. Dufay, pas plus que dans un grand nombre de cas de ce genre, on ne trouve noté aucun signe permet
sition entre les derniers exemples de somnambulisme hystérique et les cas de dédoublement hystérique de la personnalité.
r celle dont je viens de parler, rapprochent indubitablement les deux cas l'un de l'autre. La différence qui les sépare nou
Dans la suite, il apprit qu'ils avaient cessé vers 1886. Tel est le cas de M. Dufay. On peut en résumer en quelques mots
eux chez la malade de M. Dufay, est encore bien plus accentué dans le cas qui a été rapporté par F. Vizioli (2). Le malade
mé encore davantage dans l'opinion qu'il se trouvait en présence d'un cas d'hypnose spontanée. Mais, pour moi, je ne puis v
ses, à la fin d'une attaque d'hystérie dûment caractérisée. Dans le cas de M. Ladame (de Genève) (1), l'attaque hystériqu
taques de somnambulisme nocturne. L'élément hystérique est, dans ce cas , représenté par l'attaque de sommeil qui précède
chanter, jouer du piano. * * Il en est à peu près de même dans le cas dû à M. Bo-namaison (1). Chez sa malade les facul
jeune fille porte les stigmates de l'hystérie (1) Bonamaison. — Un cas remarquable d'hypnose spontanée, grande hystérie
Charcot, ou bien succéder à une attaque de catalepsie. Dans d'autres cas , elle est simplement précédée d'une courte phase
Bonamaison arrive aux mêmes conclusions que Vi-zioli, à propos de son cas , qui présente de grandes analogies avec celui-ci.
s que je donnais ci-dessus, je pense qu'il vaut mieux ranger aussi ce cas dans ceux de dédoublement de la personnalité de n
ite d'une attaque vulgaire d'hystérie. Remarquons déjà que, dans ce cas , l'état second né d'une attaque de sommeil se pro
ptions d'état normal de une ou deux heures par jour. Comme dans les cas de Dufay, de Ladame, l'état II est relativement p
plets sur le dédoublement de la personnalité, je signalerai encore un cas de M. Bianchi (1). La brièveté avec laquelle l'au
eusement pas d'en tirer grandes conclusions. Mais c'est bien aussi un cas de dédoublement périodique de la personnalité, ch
it avec une froideur marquée. Nous n'en savons pas plus long sur ce cas . Mais si nous ne pouvons le mettre à profit à cer
pour permettre de le ranger, ainsi que l'a fait M. Bianchi, dans les cas de dédoublement hystérique de la personnalité.
dans les cas de dédoublement hystérique de la personnalité. * Le cas rapporté par M. Verriest (1) est particulièrement
e cite textuellement MM. Bourru et Burotqui donnent une analyse de ce cas . « C'est également une hystérique, qui, vers l'
ent à refaire. A proprement parler, il s'agit plutôt, dans ces deux cas , d'amnésie absolue que de dédoublement vrai de la
ile à dire. Il y a là une sorte de zone de transition occupée par des cas mal délimités. En tous cas, ce ne sont pas ceux-l
ui nous occupent spécialement ici. * * * J'arrive maintenant au cas de M. Camuset dont l'histoire est aujourd'hui sin
t si intéressant de variation de la personnalité. Avant d'en venir au cas de M. Azam, non moins bien étudié que celui-là, j
é d'origine hystérique, je Charcot, t. ii. 14 ne comprendrai pas le cas de M. Tissié (1) pour cette raison que le malade,
s étaient complètement inconscientes, les autres demi-conscientes. Ce cas se rapprocherait plutôt des faits de fugues incon
faveur de cette hypothèse. Pour ces raisons je laisse donc de côté ce cas si intéressant à d'autres titres et j'arrive main
ôté ce cas si intéressant à d'autres titres et j'arrive maintenant au cas bien connu de M. Azam, celui de Félida X... M.
cessation des troubles qu'il avait si minutieusement étudiés (3). Ce cas étant universellement connu, je me contenterai de
us jusqu'à ce jour de dédoublement de la personnalité, à rapporter un cas dû encore à M. Azam et qui se rapproche beaucoup
mois de bonne santé. Comme on le voit par cette courte analyse, le cas du jeune Albert X... est tout à fait analogue à c
a Salpêtrière, clans le service de mon maître, M. le Pr Charcot, deux cas bien caractérisés de dédoublement de la personnal
t, en 1885, c'est-à-dire depuis sept ans, ne s'est révélé à moi comme cas de personnalité dédoublée que vers le mois de mar
ent par quelques détails bien typiques de donner une idée nette de ce cas si intéressant. Ses antécédents héréditaires so
de cette rigidité qui fait souvent croire à de la catalepsie dans des cas où il n'y a en réalité que de la contracture. La
lité par le sens musculaire et les sens spéciaux, qui caractérise les cas complets. On sait que l'on peut, chez certaines
isables, produire la catalepsie par un bruit subit et éclatant. Notre cas diffère de ceux-là en ce qu'il suffît, pour arriv
omatisme psychologique, p. 130), qui cite également (p. 108) quelques cas de malades paraplégiques à l'état de veille et pa
ypnotique. Mais c'est d'hypnose provoquée vraie qu'il s'agit dans ces cas et non de vigilami ulisme hystériqtie. Il n'en es
isonnant d'après ce qu'on a vu dans la suite et par analogie avec les cas déjà connus, en particulier avec celui de Félida,
. J'ai cité plus haut un exemple de ce genre (p. 230). Donc, dans ces cas , pas d'hésitation possible sur le mode de transit
nsidérations qu'ils comportent. J'arrive tout de suite à notre second cas de vigi-lambulisme. Son observation se trouve rés
quer le dédoublement de la personnalité '? Aussitôt, éclairé par le cas de Marguerite D..., que nous connaissions depuis
bientôt la conviction qu'il s'agissait chez elle tout simplement d'un cas identique de vigilambulisme hystérique, marqué pa
pontanément, soit qu'on le provoque artificiellement. Dans ces deux cas , le passage de l'état B à l'état A est toujours m
l'une de l'autre. Il ne paraît pas en être ainsi dans la majorité des cas , tout au moins en nous bornant à ceux que nous av
e. Telle est la règle habituelle. Mais on sait qu'il peut exister des cas , rares à la vérité, dans lesquels le somnambule n
dédoublement de la personnalité d'origine hystérique. Dans tous les cas , ce qui incite encore à considérer ces malades co
onserve la notion de son être, contrairement à ce qui a lieu dans les cas d'aliénation complète de la personnalité. Il ne s
bitude presque automatiques ou réflexes, qui sont, dans bon nombre de cas , conservés en tout ou en partie dans le vigilambu
une opération, si simple qu'elle fût, d'arithmétique. Dans certains cas , il est remarquable que le malade choisit pour ai
la première de la seconde, ce qui paraît vrai, puisque dans nombre de cas celle-ci a une notion, soit parfaite, comme chez
x malades. Mais si les auteurs ne les mentionnent pas dans les autres cas , du moins ne constatent-ils pas expressément leur
avoir s'ils les ont recherchés. En présence de l'identité de nos deux cas , dont l'un avait évolué sous nos yeux et chez qui
ris, 1880, p. 54. festations analogues dans quelques-uns des autres cas publiés. On a vu que ces phénomènes étaient les
de caractériser son état second. Il est donc possible que, parmi les cas de suggestibilité prononcée à l'état de veille, o
à l'hôpital, j'inclinerais fort à croire aujourd'hui, éclairé par les cas que j'ai eus depuis lors sous les yeux, qu'elle é
plement une vigilambule hystérique. En est-il de même dans quelques cas connus de suggestibilité très accentuée à l'état
étudié ces faits de suggestibilité à l'état de veille, les compare au cas de Félida de M. Azam, sans conclure d'ailleurs à
Paris, 1886. (2) Liégeois. — Delà suggestion hypnotique, etc.. Le cas le plus typique, à ce point de vue, est celui de
dans la condition normale. Comme on le voit, dans presque tous les cas , le malade est, si l'on peut ainsi parler, en mei
t en rendre compte dans une certaine mesure. Tout d'abord, dans les cas comme celui de Félida, où la mémoire de l'état pr
e. Comme on a pu le voir, par la lecture des observations, il y a des cas dans lesquels on rencontre, à ce point de vue, de
r considérable. On ne devra jamais omettre de les rechercher dans les cas de ce genre, car la singulière ressemblance qu'il
ère ressemblance qu'ils présentaient dans l'un et l'autre de nos deux cas prouve tout au moins qu'ils ne doivent pas être d
ute peu ordinaire, puisqu'il ne s'est rencontré dans aucun des autres cas publiés et qui existait chez l'une de nos malades
se apparente, pour un observateur non éclairé (tout au moins dans les cas très caractérisés)... Que I-.'S phénomènes convul
ile de justifier cette manière de voir en examinant chacun des divers cas dont nous avons rapporté l'histoire. Commençons p
début de l'état second. Ce n'est pas moins caractéristique dans le cas de M. Ver-riest. Au début une attaque franche mar
rque également le début des phénomènes de dédoublement dans son autre cas (Albert X...). J'insisterai principalement sur
t important à constater, parce que nous le trouvons seulement dans ce cas , l'état vigilambulique peut cesser à la volonté d
r l'assimilation avec la période des attitudes passionnelles dans les cas où la crise vigilambulique ne dure que quelques h
yant recours aux faits et rien qu'aux faits. Prenons par exemple le cas de Bonamaison. On ne fera pas difficulté d'admett
odification de la période passionnelle de l'attaque. On connaît des cas de délire hystérique ayant duré plusieurs semaine
térique : le somnambulisme et le vigilambulisme hystériques. Dans les cas les plus accentués et les plus typiques, ils diff
e peut venir à rencontre de l'hypothèse soutenue dans l'un et l'autre cas . (G.%.). notablement l'un de l'autre. En effet,
On l'a vu, en ce qui nous concerne, pour Marie H... Mais il est des cas de somnambulisme hystérique (le malade de B... de
délirantes personnelles est à un degré beaucoup moindre que dans les cas plus accentués et, en somme, le somnambule présen
tivement rare, qu'il ne se soit livré à des actes délictueux (Voir le cas de M. Garnier dans mon précédent travail). Le vig
s avoir méthodiquement étudiées à la manière des cliniciens. Sur un cas ^^mnésie rétro-antérograde pro-* ablerrijejd^d^ir
rrijejd^d^iriqi np. hya!6iciç[u e ( 1 ) Sommaire. — Présentation du cas : shock nerveux, attaque, amnésie rétrograde ; am
s livrer dans la leçon d'aujourd'hui pourrait être intitulée : Sur un cas d'amnésie rétro-antérograde vraisemblablement de
ent même, comme je vous le disais. Singulier contraste qui fait de ce cas un cas exceptionnel, peut-être unique jusqu'ici !
e, comme je vous le disais. Singulier contraste qui fait de ce cas un cas exceptionnel, peut-être unique jusqu'ici ! Appe
rchiv, gén. de méd., 1881, p. 129). (2) Bidon. — Note à propos d'un cas d'amnésie post-éclamp-tique (Revue de méd., 1881,
t éphémère et ne peut être comparé, ni comme degré ni comme durée, au cas qui nous occupe, dans lequel l'amnésie dure déjà
Revue philosophique (août 1880). (3) Kœmpfen. — Observation sur un cas de perte de mémoire [Bullet. Académie de mèd., 18
n vérité de supercherie et de simulation. J'aurais pu, à propos de ce cas , soulever un intéressant problème de médecine lég
en même temps qu'il s'attachait à faire l'analyse psychologique de ce cas intéressant. C'est d'après les renseignements qu'
eçon faite à la Salpétrière, avec quelques mots en particulier sur le cas de Mme D... (Voir Archives de Neurologie, juillet
résence du sucre dans l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas , les troubles nerveux ont été mis sur le compte d
e sucré. Mais le dernier mot n'est pas dit à cet égard. Dans tous les cas , il existe toujours jusqu'ici un diabète, maladie
ar MM. Raymond et Oui mont4, était bien de nature à faire songer à un cas de tabès vrai. En réalité la méprise a été commis
période du labes peut avoir une composition normale... Dans plusieurs cas , nous avons observé la présence du sucre. Général
é. » De son côté. Eulen-burg3 relève (u° 12 de ses 125 labéliques) le cas d'un malade atteint de tabès vrai dont l'urine av
la discussion qui suivit, Sénator affirma qu'il ne connaissait aucun cas de ce genre. L'année suivante, Reumont1 publiai
ssait aucun cas de ce genre. L'année suivante, Reumont1 publiait un cas analogue à celui d'Oppenheira, et Fischer2 à son
onstatée par divers auteurs. Eulenburg ne l'a vue qu'une fois sur 125 cas de tabès. Un de nous, dans l'urine de 50 tabétiqu
n'est-il nullement démontré qu'il se soit agi vraiment dans tous ces cas de glycosurie tabétique. Quelque rare qu'elle s
e diabétique? Nous ne le croyons pas. Nous pensons que, dans certains cas , l'interprétation doit être toute différente. Il
oujours dire pseudo-tabes diabétique. Il est, en d'autres termes, des cas où le tabès vrai et le diabète sucré coexistent c
ment, côte à côte, chacun pour leur propre compte. 11 s'agit, dans ce cas , de deux entités distinctes, indépendantes, simpl
lui-ci il s'agit encore du, (1) Voyez t. I, p. 257, n° XIII, Sur un cas de paraplégie diabétique. (Leçon de M. le profess
et del'ataxie locomotrice progressive. Les deux familles sont dans ce cas représentées chez le même sujet, sans qu'il y ait
lant au point de vue pathologique sa double origine. Je crois que des cas semblables doivent exister; reste à savoir si des
s dans l'avenir viendront me donner raison. » Eh bien ! ce sont des cas de ce genre que nous apportons ici pour essayer d
état morbide nerveux chez le fils d'un diabétique. Zimmer rapporte le cas d'un jeune diabétique dont le père était névropat
ez grand nombre étaient morts d'affec (1) Jordao.— Consider, sur un cas de diabète sucré. Th.de Paris, 1857. — Estudos so
Andral, dans une note lue à Y Académie des Sciences, en 1875, cite le cas de deux individus qui, avant de devenir diabétiqu
ettre une relation causale entre les deux ordres de troubles. Dans le cas contraire, il s'agirait de coexistence d'affectio
dépendantes. Dans une étude intéressante2, M. Lecorché relève trois cas de diabète sucré avec hérédité névropathique. Une
ronique, père du diabète, en ces termes. « J'ai vu, dit-il, plusieurs cas d'ataxie locomotrice coïncider avec l'arthrite sè
ntiennent autre chose que des coïncidences fortuites. Mais, quand ces cas sont nombreux au contraire, la relation n'est pas
ritique des rapports du même ordre. MM. Landouzy et Ballet citent six cas de tabès où il n'y avait que l'arthritisme (rhuma
veloppe dans les cordons postérieurs les scléroses que, dans d'autres cas , on observe sur d'autres organes. » Faut-il men
fond de l'œil chez Lem... est catégorique sur l'existence, dans noire cas , d'une atrophie tabétique. Il n'est, du reste, pa
locomotrice progressive. Nous ne sommes donc pas ici en présence d'un cas de pseudo-tabes diabétique mais bien d'un cas d'a
as ici en présence d'un cas de pseudo-tabes diabétique mais bien d'un cas d'association du véritable tabes avec le vrai dia
ourraient être opposées à cette manière de voir : 1° Il s'agit d'un cas de pseudo-tabes diabétique dans lequel les phénom
seconde objection est beaucoup plus sérieuse. Et pourtant, dans notre cas , la glycosurie ne saurait être symptomatique d'un
igine tabétique. Bref, comme dans l'observation III, il s'agit d'un cas d'association du labes vrai avec le véritable dia
du labes vrai avec le véritable diabète sucré. Mais, contrairement au cas précédent, c'est ici le tabès qui a débuté et le
de la même argumentation et des mêmes conclusions : elle a trait à un cas d'association du tabès avec le diabète sucré. O
ion existe aussi chez un seul individu. Et très vraisemblablement ces cas d'association tabético-diabétique sontplus fréque
au tabès seuls. Encore une fois, nous ne nions en aucune manière les cas de pseudo-tabes diabétiques ni ceux de glycosurie
s exemples personnels. Mais nous voulons faire une place clinique aux cas d'association, qui la méritent bien. Dans les r
Dans les recherches que nous avons faites, nous n'avons pas trouvé de cas analogue. Nous devons faire une exception en fave
tageons entièrement. Voici comme spécimen le résumé d'un de ces trois cas : Observation VII. (Fischer, Centralb. fur Nerv
aître. —^Pour notre compte, nous admettons très volontiers, dans ce cas , l'association du tabès vrai avec le véritable di
r, lorsque, sans affirmer catégoriquement, il écrit : « Dans tous les cas , rien ne prouve qu'il se soit uniquement agi du d
maladie, ni faire J'autopsie. Cependant, quoique le diagnostic de ces cas ne soit pas ferme, je pense qu'on ne peut sûremen
ssociées chez un même individu. Sans doute il pourra se présenter des cas où le diagnostic devra rester en suspens, mais, l
t des réflexions qui accompagnent chacune de nos observations. Deux cas peuvent se présenter en clinique : tantôt au cour
nné, la présence du sucre dans les urines. Il s'agit, dans le premier cas , de déterminer si l'on a affaire au vrai ou au fa
surie symptomatique du tabès ou d'un véritable diabète, dans les deux cas de savoir, en un mot, si deux entités distinctes
e diagnostic à distance. M. Charcot, dans une leçon déjà citée sur un cas de paraplégie diabétique, en a tracé un parallèle
s ataxies saturnines, béribériques, arsenicales, dans la majorité des cas de pseudo-tabes jusqu'ici observés » '. (1) Cha
dépendance d'une intoxication taba-gique, nous avons vu que dans ces cas il s'agissait probablement d'association tabético
alysies des muscles oculaires, quoique Kiwalkowski en ait rapporté un cas ; on a relaté une paralysie du muscle droit exter
manifeste de la papille. L'atrophie était assez avancée dans quelques cas , au point que les artères rétiniennes étaient fil
as, au point que les artères rétiniennes étaient filiformes. Dans les cas de cette espèce, on a trouvé des troubles de l'ac
Pour Althaus « le renseignement le plus important est fourni dans ce cas par l'examen ophthal-moscopique... Mais on n'oubl
es observations publiées jusqu'ici parlent toutes en ce sens. Dans le cas d'Oppenheim, la malade rendait de 7 à 13 grammes
est purement relative. Elle est encore amoindrie par ce fait que les cas de glycosurie tabétique sont encore trop peu nomb
nce de premier ordre et ils doivent toujours être recherchés. Dans le cas d'Oppenheim, le pouls battait de 100 à 120; dans
trois derniers symptômes concomitants ne sont mentionnés que dans le cas d'Oppenheim. La constatation chez un tabélique
iste incontestablement avec l'affection la première en date. Dans ces cas d'association, il ne s'agira plus que de départag
aitement pourra fournir des renseignements intéressants dans quelques cas , mais non dans tous. B. — Etant donné un tabès
à tirer de cette étude les conclusions suivantes : 1° 11 existe des cas d'associations du tabès vrai avec le véritable di
e progressive en particulier ; 3° Pour établir le diagnostic de ces cas d'association et les séparer du pseudo-tabes diab
tômes habituels du diabète, on peut affirmer le pseudo-tabes. Dans le cas contraire, on aura des présomptions en faveur du
manquent, il y aura de fortes probabilités — le nombre restreint des cas de glycosurie tabétique empêche d'être plus affir
gies suffira-t-elle par elle-même à entraîner la conviction. Sur un cas de paralysie conjuguée de la sixième paire (1).
ans les paralysies périphériques de la sixième paire. Dans ce dernier cas , on observe, au contraire, un strabisme interne d
ir., 1887, n° 46, p. 727). — Parinaud et Georges Guinon : Note sur un cas de paralysie du moteur oculaire externe et du fac
), cet examen n'ayant pas été fait par l'auteur que nous citons. Un cas analoguea été égalementpubliépar MM.Hughes Bennet
ont trouvé une lésion du noyau de la sixième paire. Il s'agit dans ce cas d'une femme de 67ans, domestique, qui entra àPadd
rale. Bienquela lésion na soit pas lamême dans sa nature, que dans le cas précédent, on peut dire cependant que les deux fa
n agent aussi brutal que le nodule tuberculeux. De plus, dans notre cas , il nous a semblé que la disposition topographiqu
la plus grande partie du noyau. Nous pensons donc que si dans notre cas il n'a pas existé de paralysie faciale, cela tien
ient l'aspect et la consistance qu'ils présentent d'habitude dans les cas de ce genre, où l'on observe, comme on sait, spéc
86, p. 105-128 et Progrès médical, 1887, t. VI, p. 118 et 139. Deux cas de Myopathie progressive du type Landouzy-Dejerin
iée en mars 1885, M. le P1 Charcot, par l'étude clinique de plusieurs cas rassemblés dans son service, montrait les liens é
donné de son évolution, lorsque la face est prise en dernier lieu, un cas de forme facio-scapulo-humérale peut rester longt
re plus éclatante si on avait pu faire pour (1) Voir à ce sujet les cas à début facial tardif do MM. Landouzy et Dejerine
e cité, page 836), mais seulement au point de vue clinique. Or, aucun cas de ce genre n'avait encore été décrit jusqu'au jo
portance aux signes tirés de l'examen électrique des muscles dans ces cas . En effet, MM. Bédard et Rémond ont montré l'exis
té cle ce phénomène paraît donc (1) Bédard et Rémond. — Note sur un cas de paralysie pseudo-hypertrophique avec réaction
çons du professeur, mémoires, notes et être très grande suivant les cas , d'où la nécessité de ne pas y attacher une impor
e l'orbiculaire. Mais est-ce là une raison suffisante pour rejeter ce cas hors du type facio-scapulo-huméral de la myopathi
orme facio-scapulo-humérale de la myopathie. Donc, à notre avis, ce cas rentre légitimement dans la forme facio-scapulo-h
e facio-scapulo-humérale. Voici, d'ailleurs, la relation d'un autre cas que j'ai eu l'occasion d'observer à la Salpêtrièr
ubles de la sensibilité. Il me semble réellement que clans ces deux cas l'existence de la pseudo-hypertrophie de certains
s que nous avons émises avant d'en venir à la description de nos deux cas . Bien que certains arguments, suffisants déjà à n
isément faite d'une façon certaine, au point de vue clinique, dans le cas de M. Brissaud et dans le mien. On en peut donc c
es, comme clans la paralysie pseudo-hypertrophique et la majorité des cas du type facio-scapulo-huméral, tantôt associées c
ne lui soit pas absolument identique. Il est à noter que, ni dans ce cas , ni dans aucun de ceux que nous avons pu observer
ie et Onanoff. — Sur la dé formation du crâne constatée dans certains cas de myopathie progressive primitive. {Soc. méd. de
cement latéral du thorax en masse. En effet, nous n'avons, en aucun cas , constaté ce second élément de déformation chez l
nous semble donc devoir être prise en considération, surtout dans les cas difficiles. Il est certain qu'à première vue, si
erti toujours par l'aura hystérique, a le temps, dans la majorité des cas , de choisir sa place pour tomber, ou, lorsqu'il e
ertissement qui leur est donné est trop court, dans la généralité des cas , pour leur permettre de prendre leurs précautions
tient conserve la conscience. C'est une condition nécessaire. Dans le cas contraire, le phénomène quelconque, moteur, sensi
oins longue, l'accès épileptique, lequel peut être lui-même, dans ces cas , précédé de l'aura véritable. Ces phénomènes, que
egré notablement moindre que dans l'hystérie. Cependant il existe des cas dans lesquels le malade ne signale aucune espèce
sence réelle de l'aura qu'à l'ignorance forcée du malade. Ce sont les cas dans lesquels les accès sont exclusivement noctur
tent, les phénomènes de l'aura. On en trouvera quelques-uns parmi les cas que nous rapportons. En examinant, sur le conse
êtrière (1), l'un de nous fut frappé du nombre relativement grand des cas dans lesquels l'aura est parfaitement nette et de
ue (soixante et onze). En effet, nous avoris éliminé tout d'abord les cas d epilepsie partielle due à une lésion cérébrale,
herches ont porté exclusivement sur les épileptiques simples, sur les cas d'épilepsie-névrose, sans lésions nerveuses manif
ous y insisterons chemin faisant. Pour classer nos soixante et onze cas , nous avons adopté la division usuelle en auras m
ngoissante, etc.). Enfin, parmi les auras complexes, nous plaçons les cas dans lesquels l'aura est constituée par l'ensembl
tc., soit combinaison de l'une et des autres. On conçoit que dans les cas de ce genre le diagnostic devient beaucoup plus d
Avant de venir à la description ou plutôt à la nomenclature de nos cas , car elle sera très brève, autant que possible, i
rche des antécédents héréditaires, que nous avons faite dans tous les cas . En ce qui concerne la description de l'accès,
res ont été conduits avec la plus scrupuleuse méthode et que tous les cas simplement douteux ont été rejetés, ainsi que ceu
hystérie, par exemple. Notre statistique porte sur soixante et onze cas pris, avec la bienveillante autorisation de M. le
son service de clinique, à la Sal-pêtrière. Sur ces soixante et onze cas , vingt-huit ont été trouvés absolument sans aucun
olument sans aucune espèce d'aura. Dans ce nombre figurent les quatre cas à accès exclusivement nocturnes dont nous parlion
l'ensemble de notre petite statistique. Restent donc quarante-trois cas dans lesquels on a pu constater la présence de l'
se décomposent de la manière suivante : 1° auras motrices. (Sept cas .) Sous ce nom on doit comprendre tous les phéno
-ci ne représentent pas l'accès lui-même, mais simplement l'aura. Les cas de ce genre comptent pour deux dans le total des
l'aura. Les cas de ce genre comptent pour deux dans le total des sept cas d'auras motrices. Observation I. Aur... Charl
c début au niveau de la main et propagation au bras. Outre les deux cas d'aura jacksonnienne, si caractéristiques dans le
iatement attacher. C'est un phénomène qui n'est pas fréquent. Le même cas montre en outre l'aura pouvant se transformer en
roprement dite : phénomènes psychiques et secousses des bras, dans un cas ; congestion de la face et aura jacksonnienne dan
ace et aura jacksonnienne dans l'autre. 2° auras sensitives. [Six cas .) Afin de ne pas multiplier les subdivisions, n
ter-closet si elle avait le temps d'y arriver, sur le chemin, dans le cas contraire, et elle revenait à elle souillée de ma
it à elle souillée de matières fécales. 3» auras visuelles. (Deux cas .) Les troubles qui constituent les auras visuel
s exemples d'hallucinations visuelles extrêmement complexes. Les deux cas que nous avons observes sont assez srmples.. Mais
mp visuel. Nous n'avons plus revu la malade depuis cette époque. Ce cas est rendu curieux par le fait de la coexistence d
arition des symptômes. 4° auras auditives et vertigineuses. (Cinq cas .) Sur les cinq cas dont l'exposé va suivre, un
. 4° auras auditives et vertigineuses. (Cinq cas.) Sur les cinq cas dont l'exposé va suivre, un seul a trait à une au
a a consisté en mouvements de manège. 5° auras psychiques. (Trois cas .) Comme nous le disions en commençant,nous avon
tations de nature difficile à déterminer. C'est ainsi que dans un des cas dont la relation suit, l'aura consistait en une s
édante ayant réussi, l'accès n'est pas venu. Il s'agit bien dans ce cas d'une véritable réminiscence et non d'une halluci
ujours. Bégaiement intermittent. On pourrait faire à propos de ce cas les mêmes remarques que pour le cas précédent. Ce
On pourrait faire à propos de ce cas les mêmes remarques que pour le cas précédent. Ce n'est pas d'hal- lucinations véri
rédominante que nous avons pensé plus naturel de la classer parmi les cas d'auras psychiques et non parmi ceux d'auras comp
s et non parmi ceux d'auras complexes. 6° auras hystéroïdes. (Dix cas .) Cette espèce d'aura, à laquelle nous donnons
oins nettement à l'aura gastrique hystéroïde. Il cite entre autres un cas de Herpin où il y avait constriction douloureuse
nes douloureux épigastriques, des sensations d'étouffement et dans un cas l'aura rappelle « la sensation bien connue dans l
rappelle « la sensation bien connue dans l'hystérie, et dans bien des cas d'épi-lepsie pure la sensation perçue paraît exac
ue les phénomènes complexes de l'aura hystéroïde. Par le nombre des cas que nous avons pu réunir, il semble qu'elle soit
puisqu'elle forme à elle seule presque le quart de la totalité de nos cas avec (1) Russell Reynolds. — Epilepsy, etc.. —
l comitial, diagnostic quelquefois difficile néanmoins. Mais dans les cas insolubles au premier examen il reste toujours le
stence des phénomènes de l'aura hystéroïde paraît bien avérée dans ce cas , bien que la malade ne se souvienne pas de les av
urs ainsi et nous allons la voir beaucoup mieux caractérisée dans les cas suivants. Observation XXVI. Ranch... Charlotte,
'estomac qui remonte de là à la gorge en l'étouffant. Dans les sept cas qui précèdent, les phénomènes de l'aura se bornen
vec les autres pour former l'aura hystérique complète. Dans les trois cas qui vont suivre, on remarque, au contraire, une é
tements dans les tempes, qui caractérisent cette dernière. De pareils cas peuvent cependant se rencontrer, mais à la vérité
un des accès, de phénomènes moteurs, qui faisaient de l'aura, dans ce cas , une aura complexe et non une simple aura hystéro
ndue de l'aura comitiale. Nous la trouvons en effet, en comptant cinq cas que l'on trouvera plus loin, quinze fois sur quar
cinq cas que l'on trouvera plus loin, quinze fois sur quarante-trois cas d'épilepsieavec aura, c'est-à-dire dans plus du t
epsieavec aura, c'est-à-dire dans plus du tiers ou presque 35 0/0 des cas de ce genre. C'est un chiffre sans aucun doute fo
permis de prévoir. Si la présence de cette aura peut, dans certains cas , rendre singulièrement difficile le diagnostic, d
du malade au point de vue de l'hystérie, seront, dans la majorité des cas , suffisants pour éviter une regrettable confusion
n les a administrés à doses suffisantes. 7° auras complexes. (Dix cas .) Nous arrivons maintenant à une catégorie de c
complexes. (Dix cas.) Nous arrivons maintenant à une catégorie de cas que nous sommes obligés de ranger sous une rubriq
ices, sensorielles, psychiques, etc., mais non plus isolées. Dans les cas de cette catégorie, deux ou plusieurs d'entre ell
d'aucune sorte, et la lecture des observations et l'examen des divers cas en dira plus long que toute espèce de considérati
stituent, diffèrent en somme pratiquement chez chaque malade. Dans un cas , en effet, elle est courte, au point que la malad
moins avertie est la malade. Jusqu'ici nous n'avons examiné que des cas dans lesquels il y a, pour former l'aura, associa
connue. Un ou deux accès par mois, principalement nocturnes. Dans ce cas elle ne se souvient de rien. Aura ayant précédé
rnes, différente de celle qui précède les accès de petit mal. Dans le cas suivant, nous constaterons l'association du syndr
ique avec d'autres manifestations. Remarquons en passant que les cinq cas , ajoutés aux dix autres que nous avons mentionnés
utres que nous avons mentionnés plus haut, donnent un total de quinze cas d'aura hystéroïde sur quarante-trois cas d'épilep
, donnent un total de quinze cas d'aura hystéroïde sur quarante-trois cas d'épilepsie avec aura précédant les accès, c'est-
rtaine forme, leur allure générale, leur durée, en font dans certains cas une caractéristique de l'attaque hystérique. Dans
cas une caractéristique de l'attaque hystérique. Dans certains autres cas , au contraire, où ils ne se présentent plus alors
, ils se rapporteront à l'accès épileptique. Cela dit, revenons aux cas complexes dans lesquels l'aura hystéroïde a été t
tions visuelles, d'autre part des manifestations mo triées. Dans le cas suivant, on est en présence d'une aura encore plu
de l'aura et fait son accès. Nous avons réservé pour la fin le seul cas où nous ayons observé l'aura hystéroïde complète,
e se déshabiller complètement. A la suite de cette nomenclature des cas , nous avons cru bon de placer un tableau synoptiq
nom renvoient aux numéros des observations, de 1 à 43. Les 28 autres cas , sans auras, dont les observations n'ont pas été
» » 1 1 » 1 » Nos recherches ont donc porté en apparence sur 71 cas . Mais il nous paraît naturel de déduire de ce tot
ence sur 71 cas. Mais il nous paraît naturel de déduire de ce total 4 cas à accès exclusivement nocturnes, dans lesquels l'
avons trouvé l'aura 43 fois, soit en moyenne dans 64,18 pour 100 des cas examinés. Si l'on compare ces résultats à ceux
a signification que nous lui attribuons ici. Or, d'après lui, sur 100 cas d'épilepsie avérée, 43,2 fois l'aura était présen
2 fois l'aura était présente, 40,7 fois elle manquait, enfin, dans 16 cas , elle était douteuse. Ce chiffre de 43,2 pour 100
us tard (1870) et qui sont complètement différents. En effet, sur 100 cas d'épilepsie, il n'a constaté l'aura, en moyenne,
l considérable de 1,000 malades. Il a trouvé l'aura présente dans 505 cas , absente dans 495, ce qui donne le chiffre de 50,
sente dans 505 cas, absente dans 495, ce qui donne le chiffre de 50,5 cas avec aura pour 100. Cela est bien inférieur à not
e mentionner les résultats fournis par nos observations. Sur nos 43 cas avec aura, nous avons trouvé : (1) Echeverría,
loe. cit. (2) Gowers, loc. cit. AUBAS NOMBHE ABSOLU pour 100 cas avec aura POUR 100 CAS AVEC OU SANS ADRA Motr
loc. cit. AUBAS NOMBHE ABSOLU pour 100 cas avec aura POUR 100 CAS AVEC OU SANS ADRA Motrices...... Sensitives..
0/0 4.50 0/0 14.79 0/0 14.79 0/0 35.82 0/0 100 (1) Ainsi sur 100 cas d'épilepsie en général, on trouve 10,5 fois une a
10,5 fois une aura motrice, 9 fois une aura sensitive, etc.. Sur 100 cas d'accès comitial avec aura, on aura 16,3 fois une
fois. En ramenant au chiffre total de 100, on trouve donc que sur 100 cas d'épilepsie en général elle se rencontre 22,4 foi
00 cas d'épilepsie en général elle se rencontre 22,4 fois, et sur 100 cas d'accès comitial avec aura 35 fois. Il n'est poin
ieurs mois, et l'examen répété du professeur, en particulier dans les cas difficiles, constitue un élément d'instruction pr
arcot trouve cette liste prête et il choisit tout de suite, parmi les cas jugés à première vue les plus intéressants, un ce
riptions. Mais il est loin d'en être toujours ainsi. Dans nombre de cas il est impossible de poser ex abrupto, en quelque
e nécessité au point de vue clinique et thérapeutique. La plupart des cas de tabès, de sclérose en plaques, de paralysie gé
iffre totaJj|es consultations s'élève à 3.168, parmi lesquelles 1.913 cas observés chez des malades venant consulter pour l
du diabète sucré .... 1 Diagnostics non déterminés et douteux. 35 Cas ne se rapportant pas a la neuropathologie........
levé tout d'abord et dans cette statistique. C'est le petit nombre de cas ne se rapportent pas à la neuropathologie : 153 p
précis. Ainsi dans les 153 sujets en question se trouvent de nombreux cas de vertiges dus à l'anémie, à des affections card
tous les malades qui se présentent à la consultation. Le nombre des cas ne se rapportant pas à la neuropathologie serait,
ait, il est vrai, singulièrement augmenté, si on y comprenait les 115 cas de rhumatisme subaigu et chronique notés dans le
de des tumeurs cérébrales de nature tuberculeuse. En effet sur nos 10 cas , il y en a 3 qui sont très vraisemblablement des
s la leçon publiée au début de ce volume (n° XXIV). Parmi les trois cas de morphinomanie qui se trouvent dans le tableau
intérêt à un point de vue particulier. En effet il s'agissait dans ce cas oVun ménage de morphinomanes. Le premier, le mari
mes obligé de leur laisser quitter l'hospice non guéris. Sur nos 81 cas de tabès il est intéressant de signaler que nous
e indéterminée. Signalons en passant le nombre relativement grand des cas d'amyotrophies d'origine articulaire et abarticul
ce a fait de grands progrès dans ces dernières années. Parmi les 18 cas de névralgie faciale, il y en a deux qui relèvent
manifestement de l'hystérie et appartien- nent à cette catégorie de cas étudiés récemment par M. Gilles de la Tourette (1
Nous avons cru devoir placer sous des rubriques spéciales quelques cas d'associations morbides bien caractérisés. Nous a
nifeste de la chorée de Sydenham avec l'hystérie, sans comprendre les cas signalés par M. P. Marie, dans lesquels on trouve
in une fois la combinaison du tabes avec le diabète sucré. Ce dernier cas est à ajouter à ceux du même genre que nous avons
que les cris d'animaux transportés chez rhomme sont, dans certains cas au moins, la conséquence d'une imitation involont
ue a donnée en 1854 de la toux hystérique, peuvent être appliqués aux cas de bêlement, de mugissement, d'aboiement hystériq
anormale, un groupe à part ; ainsi les attaques convulsives en pareil cas sont vraiment rares ; rares aussi les autres acci
dant que, d'après mon expérience personnelle, dans un grand nombre de cas de ce genre, la recherche des stigmates sensitivo
es préliminaires et actuellement je vais passer à l'examen des divers cas que j'ai sous la main et à propos desquels je vou
complémentaires relatives à l'histoire de ces bruits laryngés. 1er Cas . — Voici d'abord une jeune fille nommée S..., â
e à droite. Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel. Dans ce cas , je l'ai fait remarquer, le bruit laryngé se prod
ce côté, se rapproche du hoquet, chez le jeune garçon que voici. 2e Cas . — Il est âgé de quinze ans, un peu adipeux, jouf
gauche. Aucune anomalie à signaler du côté des organes génitaux. 3e Cas . — Voici maintenant un cas comparable au précéden
ignaler du côté des organes génitaux. 3e Cas. — Voici maintenant un cas comparable au précédent, mais plus accentué dans
involontairement en émoi et le fait aboyer. Ici encore comme dans le cas précédent, malgré la ressemblance avec un aboieme
avantage à employer cette dénomination. Il importe de savoir en tout cas qu'il n'existe en réalité pas de chorée de Sydenh
e malade et en même temps il jette le couteau, caries actes en pareil cas suivent involontairement les paroles involontaire
ein, la copro-lalie peut se voir dans la meilleure société. Témoin le cas produit par le professeur Pitres, d'une jeune fil
re, etaussi le mot de Cambronne ; dît venia, verbis. Témoin encore le cas de la marquise de D..., que j'ai entendue de mes
us facilement se transmettent par voie de contagion. Je puis citer un cas de ma pratique où l'origine contagieuse d'un brui
n, est une parole ou un acte contenus. Cela est vrai surtout dans les cas particuliers où cette collection d'idées associée
d'idées associées qu'on appelle le moi est obnubilée. Or justement ce cas se présente à un haut degré dans l'état somnambul
d'une hystérique, mais bien d'une tiqueuse, d'une coprolalique. Et ce cas -là est bien intéressant à considérer car la copro
sion, la dissémination du groupe est le plus sûr moyen qui, en pareil cas , devra être opposé à la propagation du mal ; c'es
e de secousses convul-sives, et c'était tout. Généralement, en pareil cas , l'attaque complète survenait quelques heures apr
e sont pas ceux de l'épilepsie saturnine. Jamais les malades, dans ce cas , ne décrivent d'arc de cercle dans leurs mouvemen
ne manifestation syphilitique. Il ne pourrait être question en tout cas que d'une lésion corticale qui devrait siéger dan
e à forme d'épilepsie partielle. L'an dernier j'ai montré encore un cas de ce genre (Progr. méd., 1885, t. II, p. 88), où
e l'hémianesthésie hystérique, la nature de l'hémianesthésie, dans un cas donné, ne peut, en général, être établie que par
blie que par la considération des symptômes concomitants. Or, dans le cas présent, le malade étant en même temps hystérique
urnisme, pour la goutte par exemple ? La goutte, en réalité, dans ces cas , n'est pas une affection saturnine au même titre
ire plus, ne se prêtent pas à l'interprétation que j'ai donnée de mon cas ? Ne s'agirait-il pas, alors, je le répète, le
-il une hémianesthésie saturnine? je répondrai : un certain nombre de cas d'hé-mianesthésies qui ont reçu ce nom relèvent d
nom relèvent de l'hystérie (1) ; la chose est certaine pour plusieurs cas et il est probable qu'il en est de même pour tous
paraît se dégager de notre étude, c'est que, en raison du nombre des cas où il existe de l'hémianesthésie dans le saturnis
êter à cette interprétation, et je puis aujourd'hui vous présenter un cas qui me semble plaider fortement en faveur de l'op
dents apparussent. Si l'on a dans l'esprit l'idée, comme c'était le cas il y a dix ans, que l'hystérie n'existe pour ains
lepsie alcoolique. Il est inutile de faire ressortir combien, dans le cas présent, une semblable interprétation serait erro
érique. (Travail de M. Georges Guinon).........177 xxxi. Sur un cas d'amnésie rétro-antérograde probablement d'origin
registrer dans la mémoire les faits actuels). Caractère hystérique du cas . Cette amnésie n'est en réalité qu'apparente. L
avail de MM. Georges Guinon et A. Souques). ... 289 xxxiii Sur un cas de paralysie conjuguée de la sixième paire. (Tr
. (Travail de MM. Blocq et Georges Guinon)......349 XXXIV. Deux cas de myopathie progressive du type Landouzy-Dejerin
re : (Voir Moteur oculaire externe.) Neurasthénie : statistique des cas de — à la policlinique de M. le Pr Charcot à la S
iabète, 325 ; Signes communs au — et au diabète, 330; Statistique des cas de — à la policlinique de M. le Pr Char-cot à la
39 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t 1898. , N° 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE AVEC LÉSIONS TAB
érébraux sur les symptômes spinaux l'entraîne à se demander dans un cas « si le malade était véritablement atteint d'at
rquer que ce n'est pas précisément là la marche obser- vée dans les cas plus récemment publiés. Baillarger est beaucoup
rale paraît arrêter la marche de l'ataxie locomotrice; il cite le cas d'un malade « qui a guéri d'une paralysie général
lequel ressemblait beaucoup à l'ataxie locomotrice ». Dans d'autres cas les deux maladies suivraient leur marche parall
l'ataxie locomotrice. (Ama. médico-psychol., t. VIII, 1862.) UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 3 Il n'est pas
de paralysie générale chez les médullaires délirants, car, dans ces cas , le diagnostic clinique n'est pas toujours véri
ur cette difficulté qu'il y a d'établir un diagnostic exact dans le cas où l'on se trouve en présence d'accidents céré-
Westphall et deux autres de Plaxton. Bien que dans plusieurs de ces cas , le délire des grandeurs se fût prolongé très l
n à l'observation qu'il vient de rap- porter, il ajoute : « dans le cas que je viens de citer, il n'y avait aucune adhé
eut faci- lement s'y tromper et qu'il- y a,, dans la plupart de ces cas , un diagnostic très difficile à établir. Déjà,
l'heure actuelle, il considère que dans le plus grand nombre de ces cas où l'on croirait à première vue à l'existence d
Formes pinales. (Archives de Médecine expér., n° 1, 1891.) . UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 5 près, d'analy
n de l'atro- phie des racines postérieures d'autre part. C'est un cas de ce genre dont nous relatons ci-après l'obser-
cooliques. . Ce malade a été le sujet d'une leçon clinique : Sur un cas de para- lysie générale juvénile à début spinal
t appréciable, de l'inégalité des pupilles, la droite est plus UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 7 dilatée que l
il n'y existe peu de fibres saines ; on y voit les vestiges de UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 9 fibres en voi
dorso-Ioinbaire. (Elle a subi une déformation post-moitem.) UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE, il J Fig. 3. Mo
lésée. Tout le reste du cordon postérieur est sain, dans tous les cas très peu malade, car aux confins du septum les
l'épendyme est comblé comme dans les coupes sous- jacentes. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 13 L'épaississe
uns et aux autres. Fig. 6. - Moelle cervicale inférieure. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. Il 1; b) Etage
la destruction caractérise le tabes, se trouvent respectées dans le cas qui nous occupe. Evidemment si, ayant étudié un
pa- rément, sans qu'il soit tenu compte de la succession des UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 17 7 étages, le
ois il parait manquer quelques fibres, mais il y en a dans tous les cas très peu d'ab- sentes et cette lésion, si légèr
r les coupes 6 et 7. Une telle figure pourrait être obtenue dans un cas de tabes à début cervical, mais il n'y a pas li
t à cette atrophie, visible à l'oeil nu, correspond la dégéné- UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 19 rescence gra
énérale. (Archives de Méd. e,1'pél ? le' nov. 1892, page 850.) UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 21 sans nul dou
miner la dégéné- rescence cellulipète de ces ramifications. Dans ce cas il est de règle que la lésion respecte à peu pr
sont les considérations que nous avons cru bon de présenter sur ce cas , qui, comme on le voit, peut être uti- lisé pou
s fibres exogènes, mais celui des fibres endogènes. N'est-ce pas le cas de répe- ter ce que l'un de nous disait en 1894
casion de les noter dans les observations suivantes : dans l'un des cas , il s'agit d'idées de négation élémentaires au
ncolique d'une folie périodique alternante. Enfin dans le troisième cas les idées de négation prédominèrent un certain
déchéance, de ruine. Ce qui donne un aspect un peu particulier à ce cas , c'est l'état men- tal qu'a présenté la malade
Sa famille la retire de l'asile en janvier 1897. Dans ce troisième cas les idées de négation ont encore eu une très gr
les premiers accidents mentaux ; plusieurs détails donnent à notre cas un aspect un peu spécial. C'est d'abord lagrand
C'est d'abord lagrande précocité du délire des négations; dans les cas à évolution la plus rapide, on ne le voit guère
dehors de la débilité mentale qui ne paraît pas exister dans notre cas . En dernier lieu il faut remarquer le mode de t
a - réalité de sa guérison. Mais que le fait soit réel ou non, le cas n'en reste pas moins difficile à classer. Ce qu'i
elle n'est pas rare ~et se manifeste de diverses façons. Dans les cas les plus typiques, elle débute d'une façon presqu
ans le corps social, il y a guérison avec déficience. Dans d'autres cas , la destruction continue et le patient devient
conduite et des opinions baroques. Ainsi qu'on l'observe dans des cas de démence sénile et secon- daire, la démenée d
i dans son essence est une démence primaire de la puberté. Dans ces cas , avec début d'apparence aiguë, l'affection est
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1L t fond de l'affection. Dans les cas spuranoïques, les impressions sont décousues, s
e de médecine et de chirurgie : 10 décembre 1897.) Observation d'un cas d'ophlalmoplégie nucléaire, remarquable surtout
ieu de considérer la varicelle comme l'infection provocatrice de ce cas d'ophtalmoplégie nucléaire. Cette cause n'avait p
été signalée par les auteurs. M. Marfan rappelle qu'il a observé un cas de paralysie infantile développée au cours d'une
é conteslée, dil-il; mais elle n'en demeure pas moins exacte, et le cas actuel la confirme. 1 A. Fenayrou. III. Syndr
Presse médicale, 21 décembre 1897.) Observation très détaillée d'un cas de syringomyélie remar- quable surtout : 1° en
rap- porte plusieurs observations, et fait remarquer que, dans ces cas , il s'agit, non de myxoedème fruste, mais de my
PSEUDO-SYSTÉU.1TIQUE DE la moelle ÉPINIÈRE avec polynévrite dans un cas DE diabète sucré; par le professeur E. Bonardi.
pseudo-systématique de la moelle épinière avec polynévrite dans un cas de diabète sucré, Bronclio-alvéolite spécifique
stolo- 'gique. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4'5 VU. Un cas DE sclérose latérale A31TOTROPHIQUE A DÉBUT BULBA
fesseur E. BO : ÜItOI, (Il Morgagni, n° 10, 1897.) Il s'agit d'un cas clinique, dont l'analyse très détaillée conduit
labio-laryngée la sclérose laté- rale amyotrophique. R.. VIII. UN cas DE contusion DU cerveau. CONTRIBUTION A l'étude D
que ce centre siège dans la deuxième temporale gauche qui, dans ce cas , était intacte. - L'existence d'une hémianesthé
qu'elles dé- bordent ces derniers pour ainsi dire. A propos de ce cas l'auteur soutient une discussion très intéres-
s cataractes du Nil. L'auteur a rencontré sans les chercher trois cas identiques d'atrophie réellement squelettique du
complète, mais laissant intacts la sensibilité et le squelette. Les cas semblables, tant par leur localisation que par
, la colère surtout jouerait un rôle important dans lagenèse de ces cas subits de maladie de Base- dow. L'attitude, la
iate des lésions oculaires; il en était ainsi, par exemple, dans le cas de la tumeur orbitaire signalée par Berger, et qu
e signes physiques permet d'éliminer toute cause organique. Dans le cas d'hématemèse le sang est tou- jours rouge, Lies
fs prédominant à gauche et hyperthermie. Les auteurs, rappelant les cas déjà observés de tumeur du corps calleux, se de
reste que l'hypothèse d'une névrite par insuffisance hépatique. Des cas de ce genre ont déjà été signalés par Teissier,
a polynévrite paludéenne avait jusqu'ici été peu observée. Quelques cas avaient été signalés par Landouzy, Granet, Singer
, etc., la plupart étaient confondus avec le béribéri. Les nombreux cas observés dans ces dernières années particu- liè
. Plus rarement l'affection atteint les membres inférieurs, dans ce cas , il y a paralysie des exten- seurs. Les troub
lvanisation, faradisation, arsenicaux, -etc. M. HmEL. XIX. Sur un cas d'acromégalie; par le D1' Guizeppe FINZI. (Bull.
ophie du tissu embryonnaire autour du canal central. A propos de ce cas et de ceux publiés par Chantemesse, Recklengaus
uv. Icono01'. de la Salpétrière, nez3, 1897.) Leçon clinique sur le cas suivant : un homme qui a exercé longtemps la pr
ne sorte. A raison de ces particularités, l'auteur se demande si le cas qu'il a observé est un accès de migraine ophtalmo
anée de tous les noyaux d'origine de l'oculo- moteur. Dans certains cas de paralysies périodiques transformées en paral
catalepsie se sont manifestés à la suite d'une kélotomie : dans ce cas , la mort parait avoir été déterminée par la tox
omme échappant à tout traitement. Le professeur Betcherew publie un cas , le premier de ce genre, d'amélioration rapide et
es. DARDE. lIl. Extirpation double du SY1P.IllIQLE cervical pour un cas de forme fruste DE maladie de 13ASEIJOW; par MM
Leyden, Hirschberg, Targowla à M. le professeur Raymond, etc. Sur4S cas connus, dans lesquels elle a été employée, on n
rticulièrement efficace et cons- titue la méthode de choix dans les cas où l'ataxie s'est constituée rapidement, et où
de paralysies réelles ou d'hypereslhésie profonde ; enfin, daus les cas de tabes avec artropathies et fractures. Au d
antôt définitifs, tantôt au contraire transitoires; dans ce dernier cas , il faut recommencer périodiquement le traitement
r, 1897.) Le traitement par l'opium associé au bromure convient aux cas qui n'ont pas été sérieusement influencés par l
ommencer par l'opium associé au bromure, excepté peut-être dans les cas où il y a eu terreurs, émotions morales, chagri
(Zeitschrift sur hypnotis1nUS, t. V, fasc. 1.) Relation de quelques cas traités par l'hypnotisme dans le cou- rant de l
eau froide dans la pra- tique médicale, l'auteur rapporte plusieurs cas cliniques (aphasie hystérique, coxalgie hystéri
ence de l'hydrothérapie au moyen de douches ou de la balnéation. Le cas suivant, en rai- son de sa gravité et de l'infl
lepsie définitive, bien que le fait soit rare. Il est rare, en tout cas , de voir des accès convulsifs aussi intenses et a
des accès convulsifs aussi intenses et aussi prolongés que dans le cas rapporté par l'auteur. L'état du sujet était te
rapidement actif. Le chloroforme et le chloral, utiles en certains cas , étaient ici contre-indiqués; ils n'auraient fa
fs d'autre origine, tels que l'épilepsie, l'éclampsie, l'urémie. Ce cas démontre encore qu'un poison circulant dans le
avant et après le traitement thyroïdien. Le Dr Parker a présenté 60 cas . M. Telfort-Smitli étudie plus spécialement l'i
aise pour eux ; mais je crois alors à une fausse interprétation des cas qu'ils ont observés.. M. ARNAUD expose, à propo
Chez les femmes, ils n'ont pas vu depuis plus de dix ans un seul cas de paralysie générale ; une fois seulement ils l'
volution. Il estime que l'élément essentiel du diagnostic, dans les cas difficiles, repose sur la déter- mination rigou
t avec des lésions anatomiques déterminées, et de réserver tous les cas douteux jusqu'à ce que la vérification anatomiq
M. TOULOUSE. En dehors des signes démentiels, il n'y a, dans les cas douteux, qu'à attendre l'apparition de l'inégalit
nière façon de se lever s'observe accidentellement dans d'autres cas de douleurs unilatérales de l'extrémité inférieur
ltérations qu'il a trouvées dans les cellules de la moelle dans les cas des paralysies diphtéritiques doivent être consi-
résentent rien d'anormal. Il n'est pas douteux qu'il s'agit dans ce cas d'une syringomyélie de la partie cervicale et d
ce qui est un phénomène assez rare dans la syringomyélie (voir les cas analogues de Rossolimo et de Korb, où à l'autop
or- males). Une autre particularité, plus intéressante encore de ce cas , c'est l'hypertrophie totale de toute l'extrémi
t l'hypertrophie totale de toute l'extrémité supérieure droite. Des cas semblables ont été décrits par Marie et Alaixuer
une des prochaines réunions de la Société. Dr W.-A. SAMGUINE. Un cas de lèpre anesthésique avec autopsie. Le malade
canisme par lequel elles fait la maladie, ils pénétrent pour chaque cas sa pathogénie; passant enfin à l'expression sympt
tique, ils cherchent si l'action de la cause ne donne pas à chaque cas clinique un cachet spécial. De cette délicate a
envisagée de même. En réalité, il n'en est rien; il s'agit dans ces cas d'une paralysie cérébrale à forme de paralysie
ée. Pour MM. Mairet et Vires, cette hérédité mentale comprend « les cas dans lesquels on rencontre chez les ascendants
tuent une provocation. La symptomatologie dans l'un ou dans l'autre cas se marque de phénomènes de dépression, et la clin
s créent chez le descendant une prédisposition qui, dans cer- tains cas , représente un véritable senium proecox, qui touj
inflammation et de dégénération banales. Mais, dans l'un et l'autre cas , ces processus réalisent les mêmes lésions d'infl
ATOMIE PATHOLOGIQUE. tenant compte que de nos observations. En tout cas , par son importance, elle s'impose à notre atte
k et de Furstner, qui ne les ont rencontrées que dans 75 p. 100 des cas observés. Nos constatations ont été faites sur
carac- térisent. On nous accordera que le rapprochement de ces 20 cas acquiert une importance spéciale de par ce fait q
ltérer dans la para- lysie générale. Dans le plus grand, nombre des cas , l'altéra- tion porte à la fois sur la substanc
. a) La substance blanche. Nous l'avons vue altérée dans tous les cas , et son altération, visible à l'oeil nu, après qu
. Pour notre part, nous avons la ferme conviction que dans quelques cas de nécropsie avec lésion cérébrale négative ou
e. Nous ne l'avons pas fait et nous avons écarté de notre série les cas de ce genre, ne pouvant affirmer que les sujets
sté- rieur se localisent exactement dans le faisceau de Goll. Ces cas sont les plus rares. Plus généralement on voit le
presque toutes les fibres nerveuses du cordon postérieur dans deux cas . Les cylindres-axes eux-mêmes avaient disparu,
plus fréquente que la chro- matolyse. Elle s'observe dans tous les cas de paralysie géné- rale à longue durée, celle q
to- méningite qui environne complètement l'organe dans quel- ques cas , et dans d'autres, au contraire, se limite au seg
la tota- lité de ses fibres endogènes, sont, presque dans tous les cas , respectées. Les fibres exogènes, au contraire,
la justifier pleinement. S'il est vrai que l'on peut, dans quelques cas rares, suivre la lésion du faisceau pyramidal à
, on est bien forcé de reconnaître que, dans la grande majorité des cas , cette lésion a son maximum dans la région dors
s qui s'observent dans cette maladie. Belmondo2, qui en a étudié 20 cas , au point de vue clinique et anatomique, a trou
ralytiques sont des syphitiques dans la proportion de 98 p. 100 des cas . La fréquence de la syphilis dans les anté- céd
Lamy, Sottas, etc. Tout récemment, un auteur allemand, parlant d'un cas de paralysie générale juvénile, affirme qu'elle
le des lésions de la paralysie générale. Dans quel- ques-uns de ces cas , l'altération du système nerveux périphé- rique
parvenue à un degré extrême. Pouvons-nous invoquer encore dans ces cas l'intervention d'agents toxiques ? La question
mais ces troubles ne sont pas tou- jours de même ordre dans chaque cas , et, dans le même cas, à différentes périodes d
sont pas tou- jours de même ordre dans chaque cas, et, dans le même cas , à différentes périodes de l'évolution de la ma
faisceau pyra- midal croisé ne peut être considérée, dans tous les cas , comme une dégénération descendante ayant pour
ble bien être intoxiqué, puisqu'il est, dans la grande majorité des cas , un syphilitique. En outre, les lésions vascula
e critiques relativement à la réalité de la guérison. Voilà donc un cas de délire systématisé, dont le début re- ' Déli
élire professionnel chez cette malade autrefois bonne musicienne. CAS DE FIÈVRES TYPHOÏDES CHEZ DES ALIÉNÉS. 103 mont
re intimes et, par suite, la thérapeutique. A PROPOS DE CINQUANTE CAS DE FIÈVRE TYPHOÏDE . CHEZ DES ALIÉNÉS ; Par M
es de la Seine. Ayant eu l'occasion assez rare d'observer plusieurs cas de fièvre typhoïde chez des aliénés, il nous a
sur les troubles psychiques. En France nous ne connaissons que des cas isolés ; il n'en va pas de même à l'étranger où
otamment, J. Kean (in the Jour- nal of mental science) a observé 38 cas de fièvre typhoïde. Il oppose ce chiffre à six
ce) a observé 38 cas de fièvre typhoïde. Il oppose ce chiffre à six cas seulement de scarlatine et arrive à cette concl
artificielles. Au mois d'octobre elle quitte l'asile. Voilà deux cas de manie qui paraissent avoir été nettement amé
Mais la curabilité de la manie ôte à ces observations beau- / CAS DE FIÈVRES TYPHOÏDES CHEZ DES ALIÉNÉS. '105 cou
s modifications favo- rables sont loin de se produire pour tous les cas . D'autre part, que le pronostic de la manie vie
(bien que nous ayons perdu la malade de vue depuis), enfin, dans le cas de M"B..., il n'y a pas eu de dérivation du tou
la malade « relativement » guérie obtient sa sortie. - Ce dernier cas nous donne une idée des difficultés de cette ét
oncho-pneu- monie, ou encore l'association de l'une et de l'autre ? Cas exceptionnel, il est vrai, que celui de M"e G..
ceptionnel, il est vrai, que celui de M"e G... Voilà donc cinquante cas de fièvre typhoïde ; simple coïncidence peut- ê
fièvre typhoïde ; simple coïncidence peut- être la manie, dans deux cas , a bénéficié, en apparence, d'une - influence s
car elles montrent que la faradisation est contre-indiquée dans les cas où comme dans la paralysie pseudohypertrophique
t directement le courant sans porter le collecteur au zéro. Dans ce cas il y a une cause d'erreur due à la polarisation
aïque sans modifications qua- litatives se rencontre dans les mêmes cas et suivant toute proba- bilité est caractéristi
ltération de l'irrigation sanguine du nerf. Rien cependant dans les cas pathologiques ne permet encore de rapporter à cet
lir les rapports entre l'épilepsie et les auto-intoxi- cations. Son cas , en montrant d'une façon certaine l'enchaîne- m
ment une paralysie des muscles intrinsèques de l'ml ; de plu, en ce cas , les deux yeux sont affectés ainsi que, tôt ou
QUES; par A. Hoche. (Neurolog. Cent1'albl" XVI, 1897.) Etude d'un cas de sclérose latérale amyotrophique combinée à u
la couche optique ou du corps strié. Même remarque à l'égard des cas de Kussner et Ewald (Archiv. f. Psychiat., VIII,
courant puisse passer à un certain moment. P. Keraval. XXXII. UN cas d'ivresse pathologique; par le Dr REPOND. (ReV.
il; l'attaque hystérique se termine brusquement dans la plupart des cas et est suivie parfois de phénomènes délirants.
, de décider de la nature d'une affection convulsive, mais dans les cas difficiles il conseille de s'attacher surtout aux
es, au caractère du malade et enfin à l'hypnotisme. G. D. XXXIV. UN cas ISOLÉ DE maladie de Friedreich ; par le Dr BERDEZ
e. L'auteur fait remarquer à ce propos que sur près de deux cents cas de maladie de Friedrich qui ont été observés et p
sérum de Maragliano, sans résultat; que d'ailleurs il considère son cas comme incurable. L'auteur remarque que le sujet
troublés. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 123 XXXVII. Deux cas de gigantisme suivi d'acromégalie ; par E. Bris-
lle turcique. De plus les statistiques démontrent que la moitié des cas de gigantisme fait retour à l'acromégalie. Conc
le même individu celle-ci succède à celui-là. » R. C. XXXVIII. UN cas DE SCLÉROSE EN plaques cérébro-spinale CONSÉ- C
nostique et pathogé- nique tendant à établir qu'il s'agit bien d'un cas de sclérose en plaques développé chez un hérédi
i les lésions de la glande thyroïde sont pri- mitives et dans aucun cas d'examen de cette glande après la mort elle n'a
l'opinion de Ger- hardt, qu'il partage, à savoir que dans certains cas le corps thy- roïde peut n'être pas touché alor
on rencontre dans la syringomyélie. Elle permet dans la plupart des cas de diagnostiquer la gliose péri-épendymaire; 4°
e de gouttes d'une solution d'acide phéllique à t5. Dans les deux cas observés, la douleur fut supprimée pendant quatre
e- ment après la troisième ou quatrième injection. R. C. LIII. UN cas DE CONTRACTURE HYSTÉRO-TRAUMATIQUE DES MUSCLES DU
is, trois mois après celle-ci. Nosogra- phie d'après l'ensemble des cas connus. Il s'agit d'individus jeunes, de vingt-
s de quelques semaines, comme le dit Four- nier. A côté de cela, un cas de Gaikiewicz long à se rétablir, et un cas de
ier. A côté de cela, un cas de Gaikiewicz long à se rétablir, et un cas de Gros et Lancereaux, caractérisé par deux attaq
du pneumogastrique, ou certains endroits du bulbe). Donc, dans les cas purs de diabèteinsi- pide compliqué d'hémianops
précis, où il y a d'énormes lésions du cerveau. Il ne reste que le cas de David (1889). En voici un autre concernant l
ielle de la peau et à l'inaction des par- ties malades ; dans notre cas , elle serait pour ainsi dire indépen- dante de
grandes ressemblances avec cette dernière affection, dans les deux cas , il n'y a pas de phéno- mènes inflammatoires in
obable que les diverses trophonévroses ont diverses causes. Dans le cas de Schulz caractérisé par de la sclérodermie, a
scence de la capsule surrénale gauche. Dans l'hémiatrophie faciale, cas de Schlesinger, on constata des lésions central
tré- mité supérieure droite. C'est une observation à rapprocher des cas avec autopsie de Strümpell, Lichtenstein, Koeni
durée des séances a varié entre dix et quarante minutes suivant les cas ; la fréquence et le nombre en ont été réglés d'
réglés d'après l'intensité et la ténacité des - symptômes ; dans un cas , 58 applications ont été faites en deux mois et
t inconvénient, à plus forte raison, de tout danger. Dans plusieurs cas , où d'autres médications avaient entiè- ment éc
que la section à la scie ait été un peu oblique; on forcera, en ce cas , les résultats en chiffres ronds. Les mêmes préca
mures soit adaquate à leur action sur le déplacement du Cl. En tout cas , l'analyse du sang montre que la plus grande pa
e que la plus grande partie du Br est retenue dans le sang; dans un cas où la teneur en Cl du sang fut REVUE DE THÉRA
t la cause ' du bromisme, il n'y avait qu'un pas. En effet, dans un cas de bro- misme au début, en augmentant l'ingesti
fications caractéristiques de la balance d'oxygène, Dans quelques cas , au moment de l'accès, il ya a diminution carac-
aire d'al. ler en outre comprimer d'autres points douloureux, en ce cas on s'adressera au creux poplité à l'angle formé
directement le nerf contre la face posté- rieure du fémur. Dans les cas où le malade se plaint de douleurs tout le long
a compression instru- mentale, aucune indication, car il existe des cas dans lesquels, quoique la sciatique soit chroni
cependant ils résistent à tout traite- ment ; par contre, certains cas témoignant d'une névrite légère et rapide guéri
, avril 1898, p. 1158). Pendant cinq ans, le Dr Baguer a traité des cas d'aliénation men- tale au début, à la consultat
lapham a fait de même à l'hôpital royal de Sheffield. Daus les deux cas , les résultats ont été satisfaisants, tant pour
; par A. AIORISON. (British. médical journal, octobre 1856.) Deux cas de crises monoplégique trépanés avec succès chez
le et nouvelle. Dans les mêmes numéros d'octobre 1896 est relaté un cas de greffe réussie de la moelle épinière d'un la
, juillet 1897.) C'est une sorte de statistique opératoire de douze cas , avec figures, donnant le résultat des examens
rtion postopératoire, dit l'auteur. Guérison. A. MARIE. XXXIV. Deux cas DE MENINGOCBLE OPÉRÉS avec succès ; par SPAUTON
nt l'un trois semaines, l'autre trois mois. La tumeur dans les deux cas ne contenait pas de cerveau et consistait en un
es douloureux et génito-urinaires et de l'incoor- dination) dans 17 cas . R. C. LE traitement DU GOITRE exophtalmique pa
e exophtalmique, surtout dans les formes sans goitie, et dans les cas où l'indication se pose de recourir au traitement
rucci, directeur-médecin chef. - Médecine mentale a la campagne. Un cas de respiration de Cheyne- Stockes à cycle très
par le Dr Régis. - Les centres viscéraux de l'écorce cérébrale. Un cas de chorée saltatoire hystérique datant de 25 an
iques; par le D'' Lannois. Sur le traitement des tics. Sur quelques cas d'oedèmes nerveux; par le Dr Meige. - Epilepsie
ciété l'exigent. Le Prési- dent du Conseil d'administration (ou, en cas d'empêchement, un des vice-présidents) est prés
de. Il représente la Société en justice, mais il ne peut agir en ce cas qu'en vertu d'une délibéra- tion spéciale du Co
'à la majorité des deux tiers des membres présents. ART. 19. - En cas de dissolution, l'assemblée générale désignera
toute forme nosogra- phique doit être basée principalement sur les cas typi- ques. Cependant cet axiome ne fait guère
oute la littéra- ture médicale jusqu'à nos jours, qu'une dizaine de cas décrits plus ou moins sommairement. Impossibl
insignifiants, voire même faire absolument défaut. Tels sont les cas de Schataloff et Nikiforoff 2, de V'estpllal 3, d
complètement ou n'étaient que transitoires et peu impor- tantes : cas de Schultze ', de Richter= et le nôtre. La para
bas en haut. La marche de l'affection est aussi variable suivant le cas . D'après l'avis de Westphal, une marche rapide
he rapide aboutissant à une mort précoce serait la règle ; dans son cas toute l'affec- tion ne dura que cinq semaines,
dans son cas toute l'affec- tion ne dura que cinq semaines, dans le cas de Schulz vingt- trois jours seulement, dans ce
n jours. Nous voyons cependant une marche bien différente dans le cas d'Ollivier, où la durée de l'affection a dépassé
QUE NERVEUSE. voie du diagnostic clinique. Le fait est que de douze cas con- nus, dans un seulement (celui de Bruns) on
haute importance n'est pas à discuter, se - trouvait aussi dans le cas de Hippel : l'affection nerveuse étant déjà bie
ul doute n'a été émis sur la nature de l'affection. Dans les autres cas on croyait avoir affaire à une tumeur cérébrale
et Pasteur, Westphal, Busch) était aussi très prononcée dans notre cas . SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 1
donne le plus souvent naissance aux néoformations de ce genre (les cas de Schultze, de Coupland et Pasteur, de Cra- me
ma- teuses qui porte le nom d'endolhéliome. Sous ce rapport notre cas est analogue à celui de Nikiforoff et Schatalof
ions la structure de la néoplasie différait un peu : ainsi, dans le cas de Schulz, il s'agissait d'un sarcome alvéolair
o- plasie et les vaisseaux ; elle était bien intime dans tous les cas , ce qui n'est guère étonnant vu la grande abondan
les parois vasculaires tout à fait normales, tandis que dans notre cas elles présentent des altérations de la plus hau
écente de cette partie. Les condi- tions étaient les mêmes dans les cas à marche rapide, publiés par les auteurs ; le s
n enveloppait le cordon médullaire sans pénétrer dans sa substance ( cas d'01- livier, de Coupland et Pasteur, de Cramer
tissu nerveux (ainsi elle détruisit une partie du cervelet dans les cas d'Ollivier et de Busch, la queue de cheval dans
ce médullaire pouvait aussi être atteinte; néanmoins, même dans ces cas le tissu nerveux paraissait très peu altéré en
tendance à envahir le tissu nerveux, c'est certainement dans notre cas que cette malignité a atteint son plus haut deg
que la formation des cavités intra- médullaires pût être dans notre cas indépendante, nous est fournie par le fait de l
pareille connexion peut faire défaut. , Néanmoins, même dans notre cas , le canal central présen- tait des anomalies gr
prolongements ou des sinuosités, enfin devient double. Dans notre cas , la dilatation du canal central n'était pas très
ernière phase d'un seul processus morbide appa- raissent dans notre cas parallèles ; tous deux atteignent une intensité
es tumeurs médul- laires ou méningées; Seliultzel en a signalé deux cas , Wiclimanii 2, Zerratll3 et d'autres en ont rap
r ICronthal4 quia a aussi publié une observation analogue. Dans son cas la moelle cervicale était comprimée par un sarc
ilaté. D'après l'avis de Kronthal, la syringomyélie était dans ce cas la conséquence du sarcome ou plutôt de la compres
1 (syringomyélie avec pachyméningite cervicale hypertrophique), les cas de Kôller2, de mener3, de Vulpian1, d'Oppenheir
c. C'est aussi à cette cause qu'est due la syringomyélie dans les cas de tumeurs siégeant dans la fosse crânienne posté
t évident que cette théorie ne s'applique qu'à un certain groupe de cas , quoique ce groupe ne comprenne pas seulement l
ll, 1897. N° 17. ÉLIMINATION DU BLEU DE MÉTHYLÈNE. 189 tous les cas de compression de la moelle en général quelle q
nspection avec ou sans le secours du chloroforme,soit dans certains cas d'urines très pigmentées, en précipitant les pi
ques ou vertiges pendant le temps de l'élimination. Dans certains cas cependant, nous avons trouvé l'élimina- tion à
s résultats ne sont contradictoires qu'en apparence, car dans ces cas , nous avons fait, à la vérité, l'injection de ble
'injection fût faite pendant une période intercalaire. Mais, dansée cas , nous avions noté chez la malade un état saburral
mptiques 1. D'autre part, on sait que 11. Castaigne, dans plusieurs cas d'élimination très retardée du bleu ainsi que M
singulièrement attachante, et si variée qu'on peut dire que chaque cas présente ses particularités qui doivent être mi
importe de déterminer il quel groupe, à quelle forme appartient le cas soumis à l'examen; cette précision clinique est
amené l'aliéné à commettre l'acte qualifié crime ou délit. Dans les cas simples, les difficultés ne sont pas grandes ; ma
1879), Bowne (1881), Schnabel (1883) et bien d'autres signalent des cas de folie consécutifs à une ampu- tation de cuis
mars 1885, Barwel communique à la Pathological Society of London un cas de folie consécutive à l'ovariotomie et plusieu
tent des faits analogues. Brun (1886), Savages (1887), publient des cas de délires post- opératoires, qu'ils attribuent
. En Amérique, pendant l'année 1889, 1'illlebrown mentionne trois cas de troubles mentaux à la suite des opérations gyn
rd Thomas rapporte à l'Académie de médecine de New-York trente-huit cas nouveaux. Des mémoires sur la question sont aus
opératoire. Il inspire la thèse de Vène où se trouvent consignés 68 cas , dont 38 sur l'ap- pareil génital de la femme.
été de chirurgie, plusieurs chirurgiens des hôpitaux rapportent des cas d'aliénation consécutifs à des interven- tions
l'étude si intéres- sante que M. le D,, Régis (1893) a faite sur un cas de folie consécu- tive à une ovaro-salpingectom
s sous-cutanées de suc ovarien. M. Régis admet que dans beaucoup de cas les folies post-opératoires relèvent d'une auto
-intoxication. C'est aussi l'avis de Buttler-Smythe qui rapporte un cas de manie survenue à la suite d'une rupture du r
t dans cette catégorie de malades qu'il faut chercher les prétendus cas de folie post-opératoire. Si, trompé par leurs
M. le Dr Régis à la Société de médecine de Bordeaux, il s'agit d'un cas de confusion mentale avec dépression mélancoliq
gagné et finit par se suicider. M. Le Dentu, en s'appuyant sur 68 cas , admet deux formes bien différentes de délires
e 2° la forme calme, dépressive, lypémaniaque. Dans l'un et l'autre cas on peut - constater des particularités sur lesq
té des auteurs. Tout ce que l'on peut dire, c'est que dans certains cas que l'on ne peut guère prévoir, chez certains p
en spécial caractérisé par la recherche obsédante du mot. Dans le cas emprunté à la thèse de Vène et dans celui de Pren
ire suffit à lui seul pour engendrer le délire. Ce serait plutôt le cas de dire que là encore l'exception confirme la r
ifférentes statistiques publiées, qu'on ne rencontre guère que deux cas de folie post-opératoire sur cent interventions.
fixer une marche ni un pronostic définis. A ce point de vue, chaque cas doit être considéré en particulier. Essai de pa
opération n'a que très peu d'importance dans l'immense majorité des cas . SOCIÉTÉS SAVANTES. 2)7 7 On a incriminé l'
e chez quelques- uns de l'iode dans l'urine. , Mais à côté de ces cas particuliers, il est bien certain que l'on a mi
u'on ait continué le pansement iodoformé. Même quand il s'agit d'un cas véritable d'intoxication iodoformique, la notio
être con- sidérés comme d'origine urémique. M. Le Dentu a publié un cas de ce genre. Quant au rôle de J'infection, il e
ticémie est devenue une rareté, il devrait donc en résulter que les cas de folie consécu- tifs aux intoxications chirur
entiel qui survient à la suite de la thyroïdectomie et les nombreux cas de guérison de ces accidents par le rétablissem
nt une preuve irrécusable à l'appui de cette opinion. Mais, dans ce cas , il y a corrélation constante entre l'extirpati
uvais état. M. Régis cons- tatelesbons résultats que donne dans ces cas l'analyse chimique et biologique : elle met en
e 111 : Picqué. Sur près de 3.000 opérés, il n'aurait observé que 5 cas bien nets de délires post-opératoires. - M. G
lles conditions pendant près de huit jours, il n'y a pas eu un seul cas de psychose. Je dois ajouter que je n'ai pas vu
dico-légal, fait eu commun avec MM. Pitres et Lande, sur un nouveau cas du même genre, qu'il classa sous le nom, fort b
le du délire processif. L'auteur en a observé récemment uu septième cas , qui offre certaines particularités intéressant
ommuniqué au Congrès. ' L'auteur donne une observation détaillée du cas et met en relief les particularités qu'il prése
névroglique. M. Magnan, tout en reconnaissant qu'il existe d'autres cas de ce genre, croit cependant que la dégénéresce
re dans l'étiologie de la paralysie générale. M. Régis rappelle les cas publiés par M. Christian, et en outre les obser
'auto-accusation systématique. M. SÉGL.1S (de Paris). Il existe des cas de folie systématique dans lesquels le délire e
irantes, à type de délire systématisé aigu hallucinatoire. Dans ces cas aigus, les récidives sont fréquentes, souvent s
vé cinq épileptiques à mélanodermie. M. Zeré avait déjà signalé ces cas . Chez ces malades, la mélanodermie consiste en
phique, attribuable au sympathique. L'auteur rapporte ensuite trois cas d'épileptiques améliorés par la sympathectomie, e
trois cas d'épileptiques améliorés par la sympathectomie, et treize cas d'intervention du même genre à conséquences varié
équences variées (améliorations, statistiques et aggravations). Ces cas ont été opé- rés par M. Jaboulay. On peut concl
Van Gehuchten et quelques autres neurologistes, qui ont relaté des cas de paraplégie flaccide avec abolition des réflexe
raux de la moelle et la paralysie avec contracture permanente. Le cas que je viens d'observer et que je vais résumer br
ces constatations, il nous faudrait reconnaître aujourd'hui que ce cas est contraire à la théorie de Charcot et qu'il
moteur sont aujourd'hui nom- breuses. Il ne manquait que de voir un cas de tabès moteur se compliquer d'atrophie muscul
en délimité la question, il trace la conduite- de l'expert dans les cas de troubles mentaux transitoires et arrive- enf
ières. Je ne suivrai pas son exemple et j'élimine d'emblée tous les cas dans lesquels. l'individu soumis à l'expertise
traire, que l'apparence, que le masque. Dans l'immense majorité des cas , au moment de l'examen, le trouble mental qui a
e parait être le véri- table noeud de la question ; existe-t-il des cas dans lesquels ni l'examen ni les commémoratifs
le rapporteur, déclare n'avoir jamais vu dans sa longue carrière de cas de folie transitoire qu'il n'ait pu rattacher à u
un examen minutieux du passé du malade pour le déceler. Il cite un cas de kleptomanie qu'il a pu rattacher à un accès
permettent de le considérer comme un piédisposé. M. Vallon cite un cas analogue de tentative homicide chez une femme a
ces délires transitoires, , il pourrait cependant se rencontrer un cas où la cause soit inconnue, étant donnés les ana
es anamnestiques négatifs et nos connais- sances actuelles. Dans ce cas , dit-il, l'embarras du médecin expert serait ex
mande de ses collègues, ajoute d'ailleurs qu'il ne peut citer aucun cas de ce genre. Il résume son opinion dans les pro
auriez manquer à la loi d'ata. visme. « Puis il m'a semblé que ce cas remarquable de puissance de suggestion impérati
iartérites dont le début est toujours le tissu conjonctif. Dans ces cas , l'endartère n'est atteinte que secondairement. C
Cependant, les lésions nerveuses ne paraissent pas, dans certains cas au moins, devoir être mises sur le compte des lés
oreucéphalie, la syringomyélie, qui relèvent, dans la plu- part des cas , d'un processus gliomateux, ne paraissent pas sou
yers multiples, mais d'un foyer unique. Nous venons d'observer un cas typique de cette variété : un homme de quarante
ien, cet oedème est précisé- ment le même que celui qui, dans notre cas , a dissocié, puis lésé des éléments nerveux de
nous avons insisté. Le malade que nous avons observé présentait un cas type, un cas d'étude, de la variété que nous te
isté. Le malade que nous avons observé présentait un cas type, un cas d'étude, de la variété que nous tenons à dégager.
e typique dont l'autopsie ne fournit pas la justification. Dans ces cas on trouve souvent des foyers multiples dans les
û à une oblitération artérielle partielle et lointaine. Si dans des cas du même genre, il n'y a pas, comme dans notre obs
étrécissement de la fente palpébrale que l'on observe dans certains cas tient à une diminution de la tonicité du moteur
é invoqué déjà par MM. Jeoffroy et Achard, pour interpréter dans un cas de névrite périphérique les lésions d'autopsie
OEdème monoplégique. M. 1>EicE expose ensuite l'observation d'un cas d'oedème monoplé- gigue avec hérédité collai ér
il dirige. Au cours de cette visite, M. le Dr Petrucci a montré les cas les plus intéres- sants de l'épidémie de myélit
. . Des centres corticaux des viscères. M. Paul Sollier. Nouveaux cas à l'appui des recherches précé- dentes de l'aut
ntres corticaux sont encore inconnus. L'auteur signale six nouveaux cas , dont trois se rapportent au centre de l'estoma
les et cliniques, pour la déter- mination définitive des centres. Cas de respiration de Cheyne-Stockes. M. TERRIEN ra
res. Cas de respiration de Cheyne-Stockes. M. TERRIEN rapporte un cas de respiration de Cheyne-Stockes, inté- ressant
ut à fait exception- nellement du délire alcoolique. Il cite quatre cas seulement en dix ans, et pourtant les ivrognes
a Roche-sur-l'on, vient appuyer l'affirmation du De Terrien. ' Un cas de chorée saltatoire chronique datant de vingt-ci
GE a fait une communication SOCIÉTÉS SAVANTES. 253 sur quelques cas d'oedëmM nerveux et M. ALLARD sur un Cas de myo
SAVANTES. 253 sur quelques cas d'oedëmM nerveux et M. ALLARD sur un Cas de myopathie primitive avec examens électriques
vi une marche progressivement croissante aboutitssant dans quelques cas à la mort. Dans la seconde partie, il insiste s
toutefois qu'il ne reconnaisse l'utilité de la trépanaliou dans des cas bien définis et, à l'appui, il montre la calotte
ychiques post-opératoires. M. TERRIEN (de la Vendée) rapporte trois cas de troubles psy- chiques post-opératoires. 1
e de bien exécuter le programme. SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 Premier cas . Femme de trente-cinq ans, frappée, à la suite
séances, la guérison était com- plète, et M. Terrien profite de ce cas , ajouté à bien d'autres qu'il a signalés dans l
mplement l'appareil qui efface les paralysies hystériques. Deuxième cas . Femme de soixante-quatorze ans qui, après l'ab
nt psychothérapique supprime instantanément l'accident. Troisième cas . Homme de soixante ans, opéré d'un carcinome du
ctrisation statique au contraire présente, tous les avantages. Un cas de paralysie faciale double d'origine 6ulbceir·e.
lectrique, l'auteur montre l'inutilité du traitement local dans les cas qui présentent la réaction de dé- générescence.
ns les cas qui présentent la réaction de dé- générescence. Dans ces cas ; le traitement local est inutile sinon nuisible
e le médecin de lui avoir mis des vipères dans le ventre, etc. Un cas de maladie de Liltlc. M. Poix (du Mans) rapport
l'on ne reçoit par an que 137 aliénés sur lesquels il n'y a que 80 cas de folie récente, qui ne sont pas même tous susce
ement cubant environ 35 mètres. Je crois que nulle part, à moins de cas exceptionnels, elles ne sont em- ployées comme
la sphère sexuelle chez les aliénés; en trois ans il n'y a eu qu'un cas de grossesse d'une malade et une tentative de v
la dualité telle que la soutient llansen, nous allons présenter un cas typique de syringomyélie qui est à notre étude
ienne. SYRINGOMYÉLIE. 281 Brissaud' a récemment décrit quelques cas de pachyménin- gite cervicale hypertrophique av
que avec dissociation syringomyé- lique de la sensibilité. Dans les cas cités par cet auteur, la période douloureuse a
ctéristiques; en l'absence de douleurs et delà rigidité du cou, ces cas entreraient dans le cadre de la syringomyélie,
e manque ja- mais dans la vraie lèpre. » (Hansen et Looft.) Dans le cas que nous étudions, il n'y a eu jusqu'à présent
mates hystériques, nous avons considéré comme syringo- myélie un cas récent que nous présentons succinctement. Femme
tement ceux des quatre membres, ceux du tronc et du visage. Dans le cas de Manuel de la 0..., les muscles atrophiés cor
inférieurs et du visage auraient pu échapper à ses attaques dans un cas de vraie lèpre anesthésique. En comparant la li
it dans la lèpre anesthésique. Jusqu'à présent on n'a signalé aucun cas de lèpre anesthé- sique où les déviations de la
origine remonte peut-être à la vie intra-utérine. Et comme, dans le cas que nous venons de citer, il n'existe pas d'ant
anté physique laisse plus à désirer qu'il y a cinq mois. Voilà deux cas de folie que l'on aurait été tenté de consi- dé
roubles intellectuels, mais il n'en est pas moins évident le second cas n'en fait-il pas nettement la preuve, que ce n'es
invoqués dans les faits de ce genre, se sont trouvés réunis dans le cas spécial rapporté par M. Debove ; mais cet auteur
une paralysie du voile avec une paralysie faciale, et pense que les cas qui en ont été rapportés soulèvent plusieurs ob
ticulier des aphasiques et leur capacité civile dans les différents cas . A. Marie. LUI. Myélites localisées; par B. 13H
PATHOLOGIE NERVEUSE. 293 auteurs, pour leur part, ont rencontré six cas de labes avec conser- vation des réflexes. L'un
ntré six cas de labes avec conser- vation des réflexes. L'un de ces cas , avec autopsie et examen histo- logique complet
ar l'abolition des réflexes patellaires. R. t : HAftoN. LV111. UN cas D'AMYOTROPHIE DE la main DROITE ; par VAN GEHUCHT
r ratta- cher cette amyotropie à une syringomyélie. G. D. LIX. Un cas d'anurie hystérique avec élimination supplémentai
EN. (Journ. de Neuro- logie et d'Hypnologie, 1898, n° 8.) Dans un cas d'hémiplégie organique, l'auteur a constaté l'exi
outre, observé la même modification du réflexe plantaire dans trois cas de tabes dorsal spasmodique. M. van Gehuchten cro
odique). G. D. 294 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -LXI. UN cas DE maladie DE CHAMOT ; par les D" DE Buck et L. D
ariété d'atrophie muscu- .laire progressive. NI S'appuyant sur un cas de sclérose latérale amyotrophique dont ils don
; par B. 13RAUVELL. (British médical Journal, mai 1898.) C'est un cas de lésion traumatique de la colonne vertébrale au
au niveau des 5° et 6° vertèbres cervicales. L'auteur rapproche un cas analogue où des paralysies viscérales (vésicale
c les paralysies transitoires des membres. Traitement dans les deux cas par l'élec- tricité, les massages et les inject
l; par F. FISIIEII, (Occid. medic. Time, mars 1898.) A propos des cas d'ataxie observés au Cooper collège de San Fran
'auteur s'appuyant sur six observations personnelles et sur les six cas rapportés par M. Hennequin est donc autorisé à fo
sion fatale des acci- dents dégénératifs. A. Marie. LXXVIII. DEUX cas DE névralgie DU trijumeau ET DE trismus associés
ish medicul journal, janvier 1897.) L'auteur, s'appuyant sur deux cas , estime qu'il peut y avoir relation de cause à
égorie, ayant entraîné une para- plégie, guérie depuis. A propos de cas suivis de mort, il rappelle les altérations név
paraly- sies dues à des modifications inflammatoires de la moelle, cas qui bien que rares n'en constituent pas moins d
tituent pas moins des complications puer- pérales. Il relate cinq cas de myélite puerpérale qu'il a pu observer pen-
pen- dant deux années dans les salles d'hôpital de Kings. Tous ces cas étaient de nature subaiguë ou chronique, et des
nécessairement après l'achèvement de l'évolution.générale,- dans un cas deM. Bech- terew, le début de l'affection remon
er- ceptions lentes. Le traitement thyroïdien a été essayé dans ces cas , maïs d'après M. Kletcher Beach, on n'en retire
ALES; . par WILLIAMSON. (British med. Journal, juin 1898.) Treize cas d'examens ophtalmoscopiques chez des malades atte
e, n° 3, 1897.) Ces anomalies - dont l'auteur a rassemblé plusieurs cas peuvent se rencontrer isolément ou réunies chez
tumeurs du bulbe, il convient d'en rapporter avec détails tous les cas nette- ment observés. Le cas suivant est inté
d'en rapporter avec détails tous les cas nette- ment observés. Le cas suivant est intéressant en raison du' peu de sign
par suite des mouvements respiratoires. Elle ne suffit pas, en tout cas , pour chasser le liquide céphalorachidien de ses
nation extravagante. On doit conclut l'auteur reconnaître dans ce cas de macrodactylie « un vice congénital de développ
ures et d'une par- tie des cordons postérieures (Figures). C'est un cas qui ne rentre dans aucune des catégories connue
aladiè-là est une affection plus diffuse que systématique. C'est un cas fruste dans lequel on constate l'association d'
dérable de cette excitabilité, mais cela n'a-t-il lieu que dans les cas de lésions en foyers (Wernicke) ; peut-elle ser
d'induction. Bien des faits montrent cepen- dant que si, en pareils cas , il y a une très grande diminution de l'excitab
e la tétanie, mais par des causes diffé- rentes ; elle est, en tout cas , parente de la réaction dégénérative partielle
IS; par W. CLARKE. (Quarterly med. Journal, avril 1898.) C'est un cas de fermeture incomplète du canal rachidien avec
fonctions perverties (voir dans le numéro d'octobre, même année, un cas de goitre exophtal- mique traité par ingestion
de divers éléments. En pre- mier lieu, se placent, dans beaucoup de cas , sinon dans la majo- rité, les éléments d'ordre
traumatisme qui nécessite une opération d'ur- gence. Dans d'autres cas , une intoxication, et surtout l'intoxication al
t comme traumatisme psychique ou comme cause déprimante, et dans ce cas l'affection qui en dérive a les caractères des ps
hez ces malades. La psychothérapie par le rêve est appelée dans ces cas à rendre de réels services. G. DENY. III. Par
s de deux à six ans avant l'apparition de la maladie. Dans tous les cas où l'on trouve ces symptômes chez un homme, arr
mie a été associée à l'élongalion du pneumogastrique. C'est le seul cas de guérison que nous ayons enregistré. Les mala
t hyotéro-épileptiques, de sorte qu'on peut se demander si dans les cas où l'opération semble donner des résultats favo
nce est complète. On comprend que l'on puisse, un temps, dans ces cas , confondre la démence paralytique avec la démen
20 grammes, le bulbe 7, et le cervelet 135 grammes. Dans certains cas , la paralysie générale est une complication de
dhérence de la pie-mère à la couche corticale du cerveau dans trois cas (obs. 6, 8 et 12) ; ramollissement de cette sub
HIATRIE DE MOSCOU. Séance du 8 mai 1898. N. SdIATALOFF. - Trois cas de soi-disant arthrite ankylosante de la colonn
peut être misesurle compte de l'arthropathie. M. IIIINOil cite le cas d'un de ses malades chez lequel, à côté de l'im
couche réticulaire et de la couche supplémentaire interne. Dans un cas de ce genre que M. S... a eu l'occasion d'obser
faisceaux fondamen- taux des cordons antérieur et latéral. Dans le cas où l'hydrocéphalie atteint le canal central, on
ons antérieur et latéral, et les racines antérieures. Dans tous les cas où l'on constate l'absence des faisceaux pyrami-
fourni le terrain sur lequel s'est développée la gliomatose dans ce cas particulier. Ayant pu suivre, sur un grand nomb
de Gowers, son trajet et sa terminaison dans le cerveau. Dans un cas de sarcome de la moelle et de ses enveloppes au
f et Kojewnikow. III. MM. G. PR1BYTKOFF et S. ïVi.cor.IETxorr. - Un cas d'abcès de la moelle épinière. Mme X..., âgée
ertitude l'actynomycose de la moelle comme cause de l'abcès dans ce cas particulier. Des remarques sont faites par nI\I
i les principales professions, le métier des armes est celui où les cas de folie- douce ou délitante - sont le plus rar
nt en Prusse empoisonnés parla morphine. 11 en a compté jusqu'à 135 cas dans une année, soit 80 hommes et 55 femmes. Pa
e de cer- taines maladies mentales 1. Toutefois, dans beaucoup de cas , nous ne pouvons mesurer la valeur de cet agent
e dans l'urine indique le fonctionnement imparfait du foie. Dans ce cas , le délire est-il lié au trouble hépatique ? C'
le délire, fébrile ou non, si commun chez les vieux urémiques, des cas de confusion mentale, des pseudo-paralysies gén
lors la forme psychopatique est quelconque. Dans un petit nombre de cas , au contraire, la lésion du foie paraît d'une i
o-toxémie, et la preuve en est fournie par M. Klippel lui-même. Son cas unique de folie hépatique débute par le syndrom
infections graves et des auto- intoxications d'origine variable. Un cas dû à M. Joffroy est qualifié de pseudo-paralysi
une affection hépatique nous semble pouvoir être incriminée dans le cas précédent : les urines hémaphéiques du début, l
ominé. HÉPATISME ET PSYCHOSES. 361 L'examen psychologique de ce cas n'est pas sans soulever des questions intéressa
roduit le plus direct de l'hépa- tisme ; on l'observe dans tous les cas où le foie fonctionne mal, dans les états bilie
début des états graves, mais peuvent aussi se rencontrer dans les cas sans gravité réelle. On les observe dans la lithi
lui, d'admettre qu'en dehors de tout alcoolisme, le délire, dans le cas d'auto- intoxication hépatique, puisse revêtir
recte et cette fois, j'ajouterai spécifique de l'alcool. Dans ces cas très simples nous ne voyons pas comment on s'y
rait M. Klippel, car : « le délire alcoolique se montre en certains cas en relation évidente avec l'auto- intoxication
revêtir l'alcoolisme délirant, il se présente dans la majorité des cas sous des traits assez facilement reconnaissables
e. III. Dans notre seconde observation, nous avons affaire à un cas de folie aiguë éclos au cours d'une crise hépatiq
ence tout au moins, subordonné au premier. Mais alors que dans le cas précédent l'affection du foie était d'une natur
oubles intellec- tuels. - Nous répugnons cependant à voir dans le cas présent un trouble mental sympathique ou réflex
montré, en effet, que les troubles psychiques en question soient un cas de folie du type confusion mentale primitive.
à la lésion viscé- rale, conformément à ce qui s'est passé dans les cas publiés sous le nom de folie hépatique. Obser
es délirants chez les gens jusqu'alors réputés sains d'esprit ; les cas de folie hépatique de M. Charrin rentrent préci
ionnels du- foie dans les maladies mentales. Dans la majorité des cas , le trouble hépatique vient se joindre à d'autr
ique sur le cerveau. Il est rationnel d'admettre que- dans certains cas , sans l'appoint de l'intoxication hépatique, le
uer l'explosion de la folie. Le foie intervient sans doute, dans ce cas , par le mécanisme de l'auto-intoxication, et la
souffrances locales provenant de la lésion. Mais dans les nombreux cas que nous avons observés, nous n'avons jamais vu
nels dans la periencéphalite, et ils se demandent même si, dans les cas où ils ont été notés, ils ne dépendaient pas pl
établi que la sensibilité cuta- née est obscurcie dans beaucoup de cas , particulièrement dans les périodes extrêmes.
épendamment de toute attaque spéciale. Mickle dit avoir observé des cas très nets d'hyperesthésie localisée et entre au
squelles il l'est le moins ; si toujours ou seulement dans certains cas ces troubles impriment une direction particuliè
à la troisième période nous avons échoué dans plus de la moitié des cas , soit dans 57 p. 100. Voici maintenant la natur
attribuer la mort à un suicide, répu- gnance qui, dans beaucoup de cas , pousse même à écarter cette hypothèse, alors q
ue sa légitimité n'était pas douteuse. Comme exemple de ce genre de cas , où il est impossible d'affirmer d'une façon ce
enregistrés comme syncopes ou pneumonies. La nature suicide de ces cas est restée cachée. Nous n'avons pas à approfond
perdu de sa force, depuis qu'on le considère dans la majorité des cas , tout au moins comme le résultat d'une aberration
ez raisonnable d'admettre que les efforts faits pour en ignorer les cas ou les tenir cachés sont con- jointement diminu
TIQUE SOCIALE telles » . Les morts par les armes à feu sont dans un cas dif- férent. Il est également rare qu'on les
icide lorsque telle est leur cause. Les chiffres véridiques dans ce cas ne sont donc pas le nombre des morts enregistré
icides par poison et par noyade. Je les ai tenus séparés des autres cas , parce qu'il était présumable que les statistiq
ous. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 3, 1898.) .) , Observation d'un cas de sclérodermie en coup de sabre, remar- '- qua
bue la prédominance au système nerveux. L'auteur pense que, dans ce cas spécial, il y aurait lieu d'admettre une lésion
oses croissantes : amé- lioration progressive. " R. C. LXXX1X. UN cas DE maladie DE FRIEDRE1CH .1 début tardif : autops
ie de Friedreich est sujette à de grandes variations; cependant les cas ayant débuté après l'âge de vingt ans peuvent êtr
e cliniquement. (Revue neurologique, février 1898). E. B. XCI. UN cas DE CHORÉE ÉLECTRIQUE ; par le Dr 130NaRDI. En r
aRDI. En raison de la rareté de cette affection, l'auteur publie un cas de chorée électrique ou maladie de Dubini, avec
e, mai 1898.) E. B. ACII. Lésions DES CELLULES DE la moelle dans UN cas DE maladie DE Parkinson ; par les Drs Ballet et
qui l'a le premier signalé en 1823, au phénomène suivant : dans le cas de paralysie faciale périphérique, quand le suj
de l'oeil se tourne en haut et en dehors. L'auteur a déjà cité huit cas dans lesquels ce trouble était nette- ment asso
icité sont en quelque sorte exaltés : or, c'est presque toujours le cas lorsqu'il y a irritation labyrinthique, et cell
troubles oculo-moteurs observés. Or, M. Bonnier, en parlant de huit cas auxquels l'application de sa théorie semblait. lé
nce descendante et, partant, la contracture paraplégique. Dans le cas où l'agent compressif, liquide ou solide, détermi
ment altérée. (Revue neurologique, juin 1898.) E. B. XCVI. SUR un cas D'ABCÈS DU lobe temporal gauche; par les Drs P.
i le lobe temporal, les ponctions avec des trocarts étant en pareil cas mani- festement insuffisantes. Cette observatio
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 409 par la réunion d'un certain nombre de cas en un groupe com- pact, Charcot commença par so
e com- pact, Charcot commença par soustraire toute une catégorie de cas appartenant nettement à une entité morbide spéc
a lettre, cette dernière affection constituait environ un tiers des cas de s'en atrophie musculaire progressive. De mêm
s de s'en atrophie musculaire progressive. De même presque tous les cas que Duchenne range dans sa catégorie B (dernièr
ne, de Boulogne. (Revue neurologique, décembre 1897.) E. B. C. Un cas de paramyoclonus multiplex associé A l'épilepsie;
par AMORE-BoNELLI. (Riv. sp. di (1'en, 1897. fasc. 1.) Etude d'un cas de tremblement essentiel héréditaire, suivi de
le diagnostic de cette variété de tremblement. J. S. CIV. Sur un cas DE tabès spasmodique familial; par T .UI8l\ONI et
T .UI8l\ONI et FlNZI. - (Riv. sp. di (1'en., fasc. II, 1897.) Ce cas mettrait en évidence les points suivants : le tab
uses héréditaires ou familiales et dans la très grande majorité des cas unis à des manifestations morbides autres. Les
nérale ; par J. LORD. (British med. Journal, mai 18()x.) C'est un cas de gangrène spontanée, infectieuse et secondaire,
ld) ; par PARKES Weber (Edinburgh Médical Journal, juin 1897.) Le cas suivant est plein d'intérêt en raison des acciden
on des malades qui succombent dans un état de mal épileptique. Ce cas , qui par sa netteté et sa simplicité a la valeur
tat convulsif suivi de mort. L'interprétation la plus logique de ce cas est donc d'admettre que REVUE DE MÉDECINE LÉG
A la première des variétés d'épilepsie psychique se rapportent les cas dans lesquels la fureur épileptique s'ajoute aux
ureur épileptique se manifeste comme symptôme isolé ; dans les deux cas le tableau de la fureur épileptique est pareil.
lade une amnésie absolue de ce qui s'est passé ; mais dans quelques cas , cette amnésie ne survient qu'au bout d'un cer-
responsabilité absolue s'applique aux intervalles lucides, dans les cas où les sphères intellectuelles et mentales de la
rées. La responsabilité conventionnelle et partielle s'applique aux cas où les jugements sains de l'esprit non affecté
u des organes sensoriels. L'irresponsabilité totale suit tous les cas où les facultés de l'es- prit et de l'âme ont é
rmal à la démence, et les accès d'épilepsie psychique. , Tous ces cas exigent, avant d'être jugés, une expertise médico
Chaque expert doit pouvoir examiner seul le prisonnier ; 3° Dans un cas médico-légal, l'époque du jugement ne doit être
it pas forcément que cet individu soit sain. Il cite à ce propos le cas d'un jeune homme de vingt-sept ans qu'il eut à
ntenant tombé à la période de démence terminale. En présence d'un cas de simulation, i ! est donc prudent de pro- lon
isme taré, un cerveau déséquili- bré. L'action de l'alcool dans ces cas est plus forte. De toute façon l'alcoolique, hé
peut être considéré comme complète. Il convient d'étu- dier chaque cas en particulier et d'en tirer une conclusion. Il n
le mot qu'on emploie c'est en réalité une punition. Dans certains cas les médecins devraient donc déclarer qu'un crim
on serait en rapport avec celle des juges et celle du public. Les cas dans lesquels l'irresponsabilité totale doit être
du mal. Les idiots, les imbéciles. les sourds-muets, présentent ces cas de responsabilité modifiée. Ils commettent souv
cines, des nerfs périphériques, de la moelle, de l'écorce, dans les cas normaux où à la suite des vivisections, des int
, du tabes, des maladies infectieuses. P. Keraval. XXXVIII. Douze cas d'alcoolisme traités par la strychnine ; par J.
que malade et à deux ou trois jours d'intervalle. Dans aucun de ces cas la guérison ne s'est maintenue plus de quelques s
la guérison ne s'est maintenue plus de quelques semaines; dans deux cas seulement les malades, effrayés par une maladie
é, qui lui a 1 éussi dans revue DE thérapeutique. 423 plusieurs cas , uni au lavage et à l'antisepsie des voies digest
ens propres à activer les sécrétions, pourra devenir, dans bien des cas d'épilepsie générale, une mé- thode de traiteme
entuellement sur l'état névropathique des sujets à opérer. Dans ces cas , on peut seulement profiter de l'opération, ren-
règle générale, les lésions de la thyroïde dans un grand nombre de cas de maladies mentales ne peuvent pas être considé-
Il semble plutôt très vraisemblable d'admettre que, dans certains cas au moins, ces altérations font cortège, en tant q
ée comme un fait secondaire, aggravant l'état mental, dans tous ces cas , si l'on soupçonne une fonction insuffi- sante
ouleurs, ou bien chez des sujets à tempérament nerveux ; et dans ce cas elle est une névrose fonctionnelle au même titr
sile de Nape, l'auteur a eu d'excellents résultats dans cin- quante cas à l'aide de la suppression rapide : au bout de si
de temps est nécessaire pour arriver à une guérison réelle. Dans cas de morphinomanie non héréditaire, si la maladie
e avec une éponge imbibée d'eau chaude. L'opium ne sera donné qu'en cas de légère anxiété. Si, traitée de la sorte, la
x peut seule lui permettre les recherches nécessaires à l'étude des cas qu'il rencontre. La psychiatrie comprend tout c
ances indispensables pour intervenir utilement, aussi bien dans les cas où l'aliénation mentale vient d'être constatée, q
t une consultation après l'examen d'un aliéné, et un rapport sur un cas d'aliénation mentale. Il sera accordé au candid
e service de M. le Dr Déjerine à Bicêtre, fut faite l'autopsie d'un cas dont le diagnostic clinique porté avait été : p
le présent travail que l'anatomie et l'histologie pathologiques du cas . L'histoire clinique de la maladie en rapport a
s, pour l'amabilité qu'il a eue de nous aban- donner l'examen de ce cas intéressant. Qu'il agrée aussi nos sentiments d
ramifiés. Le protoplasma cellulaire est tantôt homogène et dans ce cas le noyau est difficilement reconnaissable, tantôt
il est gra- nuleux, le noyau alors bien visible. Mais dans les deux cas le pro- toplasma est fortement coloré par le ca
liquement, mais le plus souvent perpendiculairement. Dans ce dermer cas , le prolongement possède uu renflement tiiangu-
ser. Mais pour tirer tout le profit désirable de l'analyse de notre cas d'in- flammation cérébrale, nous jugeons utile
es purulents. Ayant observé les mêmes formes cellulaires dans trois cas d'altérations pathologiques en foyer chez l'hom
ons cérébrales et la même évolution de l'inflammation dans tous les cas . C'est ce qu'ils appelèrent l'encéphalite t1'al
emplacée par la prolifération névroglique (cicatrisation) ; dans le cas con- traire il en résulte un kyste ou une plaqu
qui lui ont servi pour ériger sa forme d'encéphalite. Sur les 16 cas que cet auteur rapporte dans son travail, 13 so
els. Nous ne pouvons attacher aucune importance aux 13 pre- miers cas de Friedmann. A part d'autres reproches qu'on p
culiers (Friedmann) n'ont été qu'une trouvaille fortuite. Les trois cas personnels se répartissent comme suit : deux ca
ortuite. Les trois cas personnels se répartissent comme suit : deux cas sans his- toire clinique dont l'un (observ. XIV
r Fried- mann comme encéplialite chronique multiple. Le troisième cas présentait à l'autopsie, à part les foyers d'encé
i par-là, en voie de régression. Ces foyers peuvent être uniques ( cas n° 3) ou plus souvent nombreux. Ils siègent toujo
ouvent nombreux. Ils siègent toujours dans la substance blanche. Le cas n° 3 siège bien dans la cor- ticalité, mais il
ue ceux caractérisant la chorée d'IIuntington. C'est aussi l'unique cas qu'on a essayé de rattacher au type d'encéphali
vations se sont multipliées; chaque année apporte quelques nouveaux cas . Mais, fait important à signaler, c'est l'étiol
comme Murawielf3 font de longues discussions pour savoir si leurs cas appartiennent au type Wernicke ou Strümpell de
ce processus inflammatoire. Passons maintenant à l'analyse de notre cas . Macroscopi- quement, nous avons affaire à une
uis longtemps (Gierke, Boll, Axel, Key). Mais comme pour ce dernier cas , on a voulu invoquer les rapports directs des c
que dans un sens ou un autre, ce que nous avons observé- dans notre cas nous autorise au moins de douter de l'exactitud
. Le reste de la substance blanche paraît normal. Donc dans notre cas , au point de vue morphologique, nous nous trouv
les constituent l'essence même de cette forme d'inflammation. Notre cas démontre que nous n'avons affaire là qu'à des é
comprend jusqu'à un certain point la méprise de Fried- mann. Notre cas montre que, loin des foyers inflammatoires, les
delà substance fonda- mentale et des cellules névrogliques dans les cas d'encépha- lite aigué non suppurative décrits c
4° Les foyers d'encéphalite aiguë peuvent coïncider dans le même cas avec des foyers d'encéphalite subaiguë. Ces der-
ne peuvent servir que d'agent accessoire non provo- cateur. 7° Les cas de paralysie générale à attaques convulsives co
e surexcitant certains éléments de l'hémisphère cortical, dans le cas où l'obsession, roulant sur des morceaux étudiés,
érée par un surmenage intellectuel quelconque non musical ; dans ce cas , elle rappelle des obsessions musicales sur des t
crite avec ses subdivisions : pyromanie, klepto- manie, et pour les cas où lès lésions du sens moral étaient plus évide
inique montre que ce n'est qu'une question de degré; que, dans tout cas de folie le sens moral est louché, et que dans le
e, dans tout cas de folie le sens moral est louché, et que dans les cas de folie morale les facultés intellectuelles ne
l'anatomie pathologique, le psychiatre étudie l'évolution de chaque cas de la même façon que le médecin d'hô- pital sui
nés, nous trouvons des hôpitaux séparés, destinés au traitement des cas récents et des cas aigus. Cette détermination
des hôpitaux séparés, destinés au traitement des cas récents et des cas aigus. Cette détermination indique sûrement le
de, car on ne s'applique pas assez à leur confier le traitement des cas au début de la folie. Les statistiques démontre
ysie générale et la folie épileptique 80 p. 100 au moins des autres cas sont améliorables par le traitement; mais cela es
es possibilités de guérison sont sérieuse- ment diminuées ou que le cas devient désespéré. Comment remé- dier à cet éta
e méd. ment, de Belgicl'ce, 1898, n° 89.) Cette étude porte sur 100 cas de delirium tremens observés à l'hôpital Saint-
nantes ou occa- sionnelles de l'accès on a constaté que sur les 100 cas observés, 17 î présentaient des complications d
entaient des complications dont deux d'ordre Lraunialique. Tous les cas exempls de complications ont évolué sans fièvre ;
t celle absurdité en répondant à toutes les objections que c'est un cas unique dans les annales mé- dicales, méritant d
'épilepsie survenue après soixante ans. Conclu- sions : 1° Tous les cas d'épilepsie peuvent être divisés en deux groupe
causes, à la seconde série, et servent, dans l'immense majorité des cas , de facteurs provocateurs de la maladie produit
maladie produite par la prédisposition pathologique; il y a peu de cas où elles aient la valeur d'agents générateurs, de
es causes occasionnelles les plus importantes. La syphilis, en tout cas , n'est jamais la seule cause de paralysie génér
us minime a besoin d'être la dernière cause, de sorte qu'il y a des cas où l'addition à l'invalidité cérébrale de la sy
toires de l'écorce a été sou- lignée par Lissauer. Dans les trois cas , il y avait dégénérescence des faisceaux pyra-
l'un soit prédominant l'autre moins actif suivant tel ou tel autre cas , c'est possible, mais les deux lésions sont indis
Examen des caractères anormaux somatiques ET fonctionnels dans LES cas DE dégénérescence physique ET d'arrêt DE développ
) REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 485 XXX. Un cas DE vagabondage mystique ; par DONATI. (Riv. sp. d
phtérique ne modifie la substance blanche de la moelle que dans des cas exceptionnels, alors que la toxine streptococci
ui regarde la technique microscopique, l'auteur estime que dans les cas concernant des maladies infectieuses la méthode
N. SOL01 TZOPF. (Nouv. lconogr. delà Salpêtrière, un 1898.) Trois cas d'anencéphalie ou plutôt de microcéphalie par hyd
ées de chromatine et présentent de grandes vacuoles. L'étude de ces cas pathologiques comparée avec celle de systèmes ner
DONAGGIO. (Riv. S. cli f1'e1a., fasc. IV, 1897.) - XLIII. SUR un cas de sarcome DE la fosse crânienne POSTÉRIEURE DROI
dans le sang le bacille spécifique qu'ils ont décrit. Dans quelques cas , en revanche, l'examen bactériolo- gique du san
ngénieux et les condi- tions expérimentales constantes. Pour chaque cas le nerf baigne une minute dans une solution au
e- voir et de rendre l'eau ? Ou jouit-il de celte propriété dans le cas seulement de lésions cérébrales notamment de lé
s sans être trop sensibles ' aux altérations post-mortem. Dans un cas de démence sénile avec artériosclérose, au milieu
ce qui permet de supposer un trouble local de nutrition. Dans un cas de mélancolie sénile, la plupart des cellules ont
e la dispositioD des corpuscules de Nissl en tourbillons. Dans un cas de mort huit jours après une hémorrhagie ménin-
sl en même temps que les noyaux paraissent élargis. Dans un dernier cas , où le malade, après un gros rhume, eut des spa
eu augmen- tée) peut accompagner des troubles cérébraux. Il est des cas où elle est combinée à des troubles convulsifs
motrice.- b) Sensorielle, exemples : les aphasies de Grashey ; les cas où l'affaiblissement de la mémoire sensible de
ifficile l'intelligence des mots et des propositions exprimées; les cas de Goldscheider.- c) Alexie, impossibilité de l
externe du lobe occipital et du lobe pariétal. 2° Fonctionnelle. - Cas dans lesquels le malade n'est pas en état de do
jet qu'il se représente dans l'esprit le nom qui lui convient. C. Cas mixtes Une petite lésion organique peut détermine
e vraie ; elle est infiniment plus rebelle, paroxystique et en tout cas sujette à rechutes. L'état neurasthénique accom
adjonction comme dans le tabès, par association comme dans certains cas d'hystérie. Le diagnostic souvent liés difficil
aitement. C'est, en outre, un résumé pratique fortement rehaussé de cas cliniques qui eu précisent encore la valeur pour
les contradictions hypocrites que nous professons à l'égard de tels cas ? Je l'ignore. Enfin, chez eux, il n'est pas pe
obtenir réparation, rien qu'en menaçant de se suicider. En d'auttes cas la mort volontaire d'un homme entraine fataleme
mort, à la souffrance de vivre séparés. M. Proal met en relief les cas où c'est la femme passionnée et inquiète des suit
exemples qu'il relate sont bien faits pour nous en convaincre. Les cas de dépeçage criminel au Brésil sont presque const
rencontrechez nous. Il se présente aussi de même au Brésil. Dans le cas du juge Pontes Visguero, vieillard qui, en 1875
ur le ci iminel. C'est avec ce caractère qu'il se présente dans les cas de crimes commis par des métis. En 1892, sur une
ivement de la volonté de la famille intéressée ». Je lui citerai le cas des Ossèthes, où la vengeance du sang est le pr
sur 100 internés pour donner 80 suicides causés par l'ivresse et 45 cas de folie, suite de l'alcool, sur 100. Est-ce to
ens qui pousse l'un d'eux à se débarrasser de l'ivrogne. Tel est le cas de Blériot, condamné par les assises de l'Eure
lexion du journal est très juste. Nous avons relaté sommairement un cas analogue moins le nombre des arrestations. Le m
us grande que la consom- mation de l'asile ne le comporte : dans ce cas , la quantité de pro- duits supplémentaires devr
mporal gauche, par P. Marie et Sainton, 406. AciioilGALII. Sur en cas d ? par Fmzi, 31. -, par Esterre, ? 99. Adole
posthé- nl1plég,que, par van Gehucbten, 408. CO\ 1 USIO. Sur un cas de - du cer- veau, par Lamarchia, 45. COIIDOS
raitement au -, pat Mossohno et llourawiew, 421. Gigantisme. Deux cas de et d'acromégalie, par Brissaud et 11. Meig
,11%ECOT, par de BllCk et de Moor, 294. Maladie DE Fmenrssrcn. Un cas de- par Berdez, 121. à début tardif, par Bonn
dez, 121. à début tardif, par Bonnus, 402. MAL1DIC DE Lill LE. Un cas de -, par Poix, 259. maladie de Pyrkinson. Lé
. maladie de Pyrkinson. Lésions des cellules de la moelle dans un cas de -, par Ballet et Faure, 404. 1\1 IL IDIE d
ique cérébro-spi- nale, par Gianulli, 110. - ' )11NINGOCILE. Deux cas de - opé- rés avec succès, par Spanton, 144.
ues, par Hoche, 117. î. Paralysie générai e progressa e. Sur un cas de juvénile avec les sons tabétiformes ries cor
le par compression, par Brissaud, 406. Etat des réllexes dans les cas denasque,parvan Gehuchten. 496. Parvsitisme d
Proal, 519. Sympathique. Extirpation double du cervical pour un cas funeste de maladie de liasedow, par Cercliez
40 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é, le facial supérieur est indemne, ou n'est atteint que dans des cas très rares et exceptionnels. Tous les auteurs ins
ent dû mettre en garde les cliniciens : dans l'immense majorité des cas , presque dans tous les cas d'liéiiii- 'plégie c
cliniciens : dans l'immense majorité des cas, presque dans tous les cas d'liéiiii- 'plégie cérébrale infantile se montr
'ils peuvent en général fermer l'oeil sain isolément. Dans tous nos cas nous avons trouvé de la paralysie de l'orbicula
alysie de l'orbiculaire, qui ne pourra plus être niée dans tous les cas d'hémiplégie de cause centrale. » Coingt(1878
férieure de la face, ils n'en sont pas toutefois très éloignés. Les cas dans lesquels ces filets ont été directement et
Que le muscle frontal du côté paralysé dans le plus grand nombre de cas d'hémiplégie soit lésé, cela n'est pas douteux.
ue pour ainsi dire jamais dans ces muscles, spéciale- ment dans ces cas d'hémiplégie où les muscles inférieurs de la fa
u facial inférieur, du côté du facial supérieur dans la plupart des cas tout semble normal. Si l'on s'en tient à un exa
ouvaient isolément fermer chaque oeil. Nous n'avons utilisé que les cas où les rensei- gnements étaient suffisamment pr
ur est la règle dans l'hémiplégie cérébrale vulgaire. Dans tous les cas d'hémiplégie que nous avons observés et où le f
upérieur était aussi atteint; plus ou moins d'ailleurs, suivant les cas : tantôt presque indemne, tantôt nettement frappé
LINIQUE NERVEUSE. , indemne, et c'est à peine si l'on note dans ces cas une légère différence d'un côté à l'autre malgr
ralysie existe, mais atténuée et pour ainsi dire latente. En tout cas , cette paralysie du facial supérieur dans l'hémi-
uvait fermer un oeil iso- lément. Il ne faudra tenir compte que des cas où le malade sera très affirmatif à cet égard.
oit, le signe de Revillod mérite d'être recherché, et dans certains cas , quand le malade a perdu la faculté de fermer i
e son côté relevé souvent ce symptôme. Enfin relevons que dans un cas nous avons observé la con- traction secondaire
ns observé la con- traction secondaire du facial supérieur. Dans ce cas les rides sont plus accentuées du côté paralysé
TAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 19 et n'existent pour ainsi dire plus. Ces cas sont de beaucoup les plus rares, et même except
afoy). Les expériences de Ferrier, Bartolow, Sciammana ; certains cas d'épilepsie jacksonnienne (Weiner, Hitzig, Féré,
e point où se détache la troisième circonvolution frontale. Dans le cas de Milla2 la paralysie totale du facial gauche
maintenant ce que nous a donné l'examen macroscopique. Le premier cas concerne le nommé M... Pierre-Jean, 83 ans (Obs
nous pouvons encore invoquer un fait récent. Silva ' a publié un cas d'épilepsie jacksonienne ; les crises débutaient
ie du facial supérieur dans l'hémiplégie. Dans un certain nombre de cas , plus fréquent qu'il ne semblerait au premier a
palpébrale du côté para- lysé est plus ou moins ouverte suivant les cas . Souvent les deux fentes sont égales et il est
us contre-balancée. Pourquoi n'en est-il plus de même dans certains cas d'hémiplégie ? Parfois le rétré- cissement de l
est réel, bien que peu accentué. Nous l'avons relevé dans 8 de nos cas d'une façon nette. Une autre fois nous avons vu
alpébrale rétrécie à certains mo- ments, égale à d'autres. Dans ces cas il s'agit évidemment, au point de vue clinique,
avec paralysie faciale chez des hémiplé- giques ; Chouppe relate un cas remarquable où chez un hémiplégique le ptosis s
- rieure est presque de règle, mais très vite, il disparaît ; les cas où il persiste sont beaucoup plus rares. Mais je
ations avec autopsie en font foi ; mais dans-l'immense majorité des cas il accompagne la paralysie du facial. - Comme
tout point d'appui, le releveur devrait donc se contracter dans ce cas , si la théorie de M. Brissaud était exacte, ave
dans la paralysie radiale, rapproche ses deux extrémités et dans le cas actuel relève la paupière et augmente la fente
rique la fente palpébrale est toujours élargie et que dans certains cas de paralysie faciale centrale elle peut être dimi
e dimi- nuée, rétrécie. Quelle différence y a-t-il entre les deux cas ? Dans l'un, la lésion est périphérique ; elle
eur oculaire commun à l'hémi- plégie n'est pas fatale dans tous les cas . Quand la fente pal- péhrale est plus largement
domen, sont sus- ceptibles de déterminer une folie sympathique ; le cas est surtout manifeste pour l'hypochondrie qui n
tés suivantes : Le tonus de l'oeil parait diminué, surtout dans les cas de mélancolie avec stupeur. Le regard est ter
tablement ralentie. Les pupilles sont dilatées dans la majorité des cas . L'examen ophthalmoscopique du fond de l'oeil n
à un oedème qui envahit la rétine; cela s'observe surtout dans les cas de mélancolie avec stupeur, quand nous consta-
sations peut atteindre 100- 120 par minute, n'étant dans les autres cas de mélancolie simple ou avec stupeur que bien r
s tendances à boire ne se sont pas manifestées de nouveau. V. Les cas de ce genre ne sont pas rares et appartiennent
rieur droit avec parésie du pneumogastrique et du phrénique dans un cas d'an- gine diphthérique; par VARNALI (de Bucare
de Bucarest). (Presse médi- cale, 13 août 1898.) Observation d'un cas d'angine diphthérique compliquée de névrite pér
ractères les plus constants des polynévrites. A. Fenayrou. Il. Un cas de paralysie ascendante aiguë ; par MM. Roger e
miner les agents microbiens les plus variés. A. FENAYROU. III. Un cas de paralysie faciale double d'origine bulbaire;
n des contractures. L'emploi de l'électricité doit être réservé aux cas de paralysie faciale avec réaction partielle de d
recherche de l'excitabilité électrique a permis à l'auteur, dans un cas qu'il rapporte, de prévoir l'évolution de la mala
èse. A. FENnYRoU. V. Méningite cérébro-spinale épidémique. Quelques cas observés à la clinique du professeur C.-P. Dely
(d'Athènes). {Presse médicale, 28 mai 1898.) Relation de quelques cas de méningite cérébro-spinale observés au cours
e et pétéclliale, d'autres foi5, une forme abortive. Dans plusieurs cas , elle a eu une évolu- tion foudroyante. Six mal
mine dans les urines a été constatée jusqu'à la mort, dans tous les cas funestes, tandis que ce symptôme a dis- paru au
ymptôme a dis- paru au bout de quelques jours, dans tous les autres cas . L'examen bactériologique de l'exsudat des méni
emblent rares dans la somnose, mais ont été signalées dans certains cas ; un auteur anglais, Ciark, donne même à la mal
à son pouvoir accélérateur de la nutrition. A. Fenayrou. VIII. Un cas de paralysie juvénile avec syphilis héréditaire ;
ralysie juvénile avec syphilis héréditaire ; par le D' SPOmTO. Le cas rapporté par le Dr Saporito porte à 75 environ le
' SPOmTO. Le cas rapporté par le Dr Saporito porte à 75 environ les cas aujourd'hui connus de paralysie générale juvéni
nue dans la race nègre, l'auteur a pu recueillir chez le nègre huit cas d'épaississement particulier de la peau, ayant
ions de crétinisme sporadique chez la race caucasique. Sur les huit cas , quatre se trouvaient chez des idiots, un chez
t localisé aux téguments du cuir chevelu et du cou. Dans deux des cas les cheveux étaient, au niveau des parties myxo
comme un léger rebondissement quand la pression cessait. Dans sept cas sur huit la glande thyroïde était ou atrophiée ou
. Lèpre anesthésique ; par le Dr Hersman. L'auteur a pu observer un cas de lèpre anesthésique à l'hôpital de Pittsburgh
ordinairement dans les formes anesthésiques. L'observation de ce cas confirme les idées de limiter sur la lèpre à sa
avec sénilité précoce, le malade choréique '.identiquement aux deux cas ci-dessus, même forme, même marche, senium préc
senium précoce, démence, a une fille athétosique. D'après ces trois cas , ceux de Diller, Suckling, Sinkter, Reynolds, O
omotrice, et de la colonne de Clarke. Rapprochant ces don- nées des cas graves de chorée ordinaire avec hypérémie cortica
de modifications essentielles. P. Keraval. XIV. Myokymie dans un cas de paralysie saturnine ; par 0. BuuEn. · (Neuro
ncore. Il va sans dire que la première étape du traitement d'un tel cas doit être de ramener le malade aux habitudes ré
istorique des doctrines de l'oplitlialmoplénie, 'l'auteur cite deux cas d'une ophthalmoplégie externe progressive, chro
rogressive, chronique, d'une pureté rare et sans complications. Ces cas offrent un intérêt encore plus spécial parce qu
'iodure de potassium et l'électricité. On a aussi traité le premier cas par si ictions mercu- rielles mais sans aucun e
en le fixant par des sutures de catgut au muscle frontal. Dans le cas premièrement opéré, on a obtenu une guérison pri-
ant lever sa paupière jusqu'à environ un centimètre. Dans le second cas le résultat fut troublé par une infection de la
urtout ses deux branches supérieures du côté droit, dans le premier cas . Le fait que les malades étaient jumeaux et que
uve qu'elle est bien exécutable et mérite d'être pratiquée dans les cas où le ptosis a atteint un très haut degré. (Fii
e vue ; ce n'est plus le chirurgien qui les observe, comme dans les cas d'excitation, mais bien le médecin aliéniste, à
) E. B. 111. Rapport préliminaire, clinique et pathologique, sur un cas de démence progressive ; par les D,s K. Mils et
de l'ancé- phale. Trois faits de tumeur de la zone rolandique ; un cas de tumeur de la base du crâne comprimant à gauc
moteur oculaire com- mun, le pathétique, et les nerfs optiques ; un cas de tumeur du cervelet avec hémiplégie flasque e
as de tumeur du cervelet avec hémiplégie flasque et amyotrophie; un cas de tumeur du cervelet avec triade complète et p
t avec triade complète et paralysie double de la sixième paire ; un cas de tumeur du cervelet avec perte totale de la vue
de tumeur du cervelet avec perte totale de la vue et de l'ouïe ; un cas de tumeur du centre ovale avec des périodes d'é
ébelleuse, l'autre simulant l'hémiplé- gie avec hémianesthésie ; un cas de tumeur de la protubérance avec paralysie alt
ème et septière paires d'un côté, hémiplégie de l'autre ; un second cas de paralysie alterne avec paralysie des sixième
e chez une personne plus ou moins avan- cée en âge et ayant en tout cas dépassé la trentaine. Les facultés intellectuel
nnaissable à l'ophthalmoscope, s'observe environ dans 90 p. 100 des cas . Ces symptômes permettent de faire le diagnostic
entiellement fami- liale. Le professeur Raymond présente d'abord un cas typique, complet, de celte affection. Quatre au
ue d'une tare neuropathique générale, et non du tabès paternel. Son cas est un hybride. L'atrophie héréditaire de la pa
onnue. Le professeur Raymond a pu en montrer à ses auditeurs quatre cas , et présenter une cinquième observation. Suiven
nt déjà été analysées dans ces Archives (1897, II). A propos d'un cas d'hémisection traumatique de la moelle, le prof
nce à s'améliorer progressivement jusqu'à disparaître dans bien des cas . La leçon suivante est consacrée à l'étude d'un
égie faciale est rare. M. Raymond a pu en présenter à ses élèves un cas où la maladie a évolué en deux temps. D'origine
déterminée, ainsi que le zona qui a accompagné son apparition. Un cas de polynévrite subaiguë est une occasion pour le
ment sanguin est celle de M. Dejérine. Le seul caractère commun des cas publiés est leur début brusque. 1 La scléroderm
la glande thyroïde. Enfin le volume se termine par l'étude de deux cas d'hystérie mâle. Le premier malade présente une
s du système nerveux le traite- ment est souvent ingrat, il y a des cas pourtant, où une thérapeu- tique bien menée peu
ar les frictions, une saignée, des purgatifs, il y aura en tous les cas des précautions consécutives à prendre, comme de
ns la nature. Le pronostic en outre peut être bénin dans le premier cas , alors qu'au contraire il est grave dans le sec
illeurs n'est point rare et il sera bien difficile dans beaucoup de cas de faire la part de l'un et de l'autre dans l'en-
disparaissent il faudra diminuer mais nonpas cesser, sauf dans des cas malheureusement exceptionnels. Quand le bromure
doit prendre son éducation. Enfin, la conduite à tenir suivant les cas au moment où un mariage devient possible, puis
ues accompagnées dont il donne un exemple. Le traitement dans ces cas sera identique à celui de l'épilepsie, c'est-à-di
pourtant obligé quelquefois d'y avoir recours. On substitue dans ce cas l'extrait thébaïque à la morphine puis on débar
sse en revue les formes principales. Dans l'un comme dans l'autre cas , le traitement doit être guidé par la pathogéni
qu'elle est unique, M. Gilles de la Tourette indique avec soin les cas où il faut intervenir et ceux qu'il faut respecte
'auteur émet l'opinion personnelle que tout au moins, dans bien des cas , le pied plat valgus ne devient douloureux que lo
e mal de Pott syphilitique, et il est bon de remarquer que quelques cas de pachyméningite cervicale hypertrophique peu-
uels elle se manifeste seront congénitaux, précoces ou tardifs. Les cas congénitaux comprennent : 1° les enfants mort n
ons cliniques d'une syphilis congénitale de la moelle épinière. Les cas précoces sont ceux où la détermination médullai
a détermination médullaire s'effectue pendant l'enfance. Enfin, les cas tardifs, c'est-à-dire ceux où les accidents appar
rtera l'emploi du mercure et de l'iodure de potassium ; suivant les cas , il faudra administrer le mercure an moyen de f
nt du tabes est en général ingrat ; on peut toutefois dans bien des cas soulager les tabétiques : le traitement médicamen
hoïde; l'influence heureuse du traitement médico-pédagogique sur un cas très curieux d'idiotie congénitale complète.
Berlin (1895) exposa ses études anatomiques sur le cubital dans le cas d'analgésie partielle. A l'examen microscopique
e manque que chez 20/100 des paraly- tiques généraux, et que sur 63 cas d'aliénés non paralytiques, 8, c'est-à-dire 12/
à un symp- tôme qui existe, il est vrai, dans une grosse moitié des cas de paralysie générale, mais qui atteint chez le
f, il s'accuse d'avoir injurié Dieu et d'avoir volé des gâteaux. En cas d'être jugé, il préfère qu'on le condamne. Sa m
hémère et trompeur, car la malade succombe le 12 octobre 1897. Ce cas entre dans la forme de mélancolies décrites sous
arement une congestion que nous avons trouvé pourtant dans quelques cas ; un liquide céphalo- rachidien abondant dans l
tées, engorgées, les artères rétrécies. Dans 3 p. 100 environ des cas , nous avons trouvé les lésions confirmées de la
n effet que le foie était atteint et malade dans pi,esqite tous les cas : soit une congestion marquée ; soit une altéra
e la tuberculose dont on a trouvé les lésions à l'autopsie. Dans un cas nous avons trouvé des ecchymoses scorbutiques,
es de l'intestin et des séreuses. RECUEIL DE FAITS. NOTE SUR UN CAS D'HÉRÉDITÉ RÉGRESSIVE; PAR LES DOCTEUBS S. GA
assent frappés de stérilité. Dans notre observation, il s'agit d'un cas positif de véri- table régénération. En effet,
es quelques mensurations ci-après ont pu être faites. NOTE SUR UN CAS D'HÉRÉDITÉ RÉGRESSIVE. 131 supérieur . De cette
e et d'autres hypothèses que peut suggérer la constatation de notre cas de régénéra- tion. celui-ci n'en apparaît pas m
rescence, aurait dû être frappée de stérilité, ou tout au moins, en cas de grossesse, accoucher d'un pro- duit des plus
en outre, les circonstances qui les auront rendus nécessaires. En cas de danger imminent, attesté par le certificat d'u
d l'application des moyens méca- niques sans nécessité « et dans ce cas le médecin doit motiver l'emploi de ces procédé
ficat médical de tout nouvel entrant, il signale au Comité tous les cas de malades reçus à l'asile en état de restreint
gne ou il fait soigner le personnel, appelle un chirurgien dans les cas où il le juge néces- saire. Il fait une enquête
s le répé- tons, dont nous nous occupons dans cette analyse. « En cas d'urgence, le malade peut être reçu à 1 asile d'e
roduc- tion de l'art. 19 de la loi du 30 juin 1838. Dans les autres cas , tout placement est soumis à une ordonnance du
ndigent ou d'un malade réputé dangereux, la sortie, dans le premier cas , ne peut être autorisée que par le Conseil de l
ralysie générale, donnent des indications dignes d'intérêt. Dans un cas de paralysie générale à marche rapide, les prépar
Modifications des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans un cas de délire aigu et dans un cas de delirium tremens
rveuses de l'écorce cérébrale dans un cas de délire aigu et dans un cas de delirium tremens ; par le D'' A. Ilocri. L
nterpréter les lésions rencontrées dans ces cellules. Dans les deux cas qui font l'objet de ce travail, l'autopsie comp
ocessus patholo- gique ayant donné naissance à la psychose. Dans le cas de délire aigu se rencontre, dans les cellules
spect que présentent aussi, en partie, les prolongements. Dans le cas de delirium tremens, les altérations cellulaires
logique de l'écorce et du liquide cérébro-spinal dans quarante-sept cas de folie ; par le Dr Tomlinson. En 1896, le D
de folie ; par le Dr Tomlinson. En 1896, le D1' Babcock, dans un cas de délire aigu, trouva des streptocoques et des
logiques pour le liquide cérébro-spinal et l'écorce ont porté sur 2 cas de délire aigu, 1 cas de stupeur aiguë, 4 cas d
de cérébro-spinal et l'écorce ont porté sur 2 cas de délire aigu, 1 cas de stupeur aiguë, 4 cas de paralysie générale,
corce ont porté sur 2 cas de délire aigu, 1 cas de stupeur aiguë, 4 cas de paralysie générale, si cas de folie séuile et
élire aigu, 1 cas de stupeur aiguë, 4 cas de paralysie générale, si cas de folie séuile et 31 cas de démence terminale.
ur aiguë, 4 cas de paralysie générale, si cas de folie séuile et 31 cas de démence terminale. Dans un des cas de délire
si cas de folie séuile et 31 cas de démence terminale. Dans un des cas de délire aigu on trouva des streptocoques; dan
un des cas de délire aigu on trouva des streptocoques; dans l'autre cas de délire aigu et dans la stu- peur aiguë, il y
stu- peur aiguë, il y avait des colibacilles. Dans aucun des quatre cas de paralysie générale ne se trouvait le même mi
8 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ' Dans deux des cas de folie sénile, le liquide cérébro-spinal était
s et dans les deux derniers des bacilles pyocyaniques. Parmi les 34 cas de démence terminale, dans 7 le liquide cérébro
ans 7 le liquide cérébro-spinal était stérile, et dans le reste des cas se trouvaient huit formes différentes de mi- cr
ue douleur avec les sensations de chaleur. L'auteur rapporte sept cas de psychro-oesthésie : chez les malades atteint
n des narines ou autres actes réflexes ; 4° il existe dans certains cas une dépendance entre l'irritation génito-urinaire
leur, l'abondance, l'irrégularité des règles peuvent, dans certains cas . dépendre d'une cause intra-nasale. ' REVUE
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 151 Ce dernier auteur cite quelques cas dans lesquels la douleur de certaines formes de
e nom de zones génitales. L'auteur a pu observer un grand nombre de cas cliniques relatifs à ces rapports entre le nez
pour le chat, quatorze pour le cochon d'Inde ; 3° chez l'homme, des cas cliniques montrent que la femme peut être fécon
ntrent que la femme peut être fécondée par un homme castré. Dans un cas , du Dr Pruneteau, des spermatozoïdes vivants fu
rganes terminaux et l'écorce du cerveau ? La couche optique en tout cas se distingue des autres émissaires de conducteu
ière pariétale ; de là les troubles du sens muscu- laire en pareils cas , etc., etc. P. Keraval. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
pareils cas, etc., etc. P. Keraval. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 1. Un cas de résection totale et bilatérale du sympathique
it les sept temps de l'opération comme il la comprend et relate son cas : homme vingt et un ans, attaques depuis une pe
t quelques-uns seulement étaient hospitalisés; de l'élude de ces 15 cas il tire les conclusions suivantes : 1° les alcool
lorsque l'alcoolique est agité; l'insuccès presque certain dans ces cas aurait une mau- vaise influence sur la confianc
e thérapeutique compte à son actif un certain nombre de succès. Aux cas déjà publiés, où la médication thyroï- dienne a
ès rapidement amélioré. M. Odilon Mar- tin pense que, dans tous les cas de maladie de Basedow, on est en droit de tente
de Saint-Dié). Presse médi- cale, 27 août 1898.) Observation d'un cas de goitre exophthalmique, contre lequel les méd
ubliées, pour établir que ce mode de traitement peut dans certains, cas donner d'excellents résultats. A. FENaYRoU. V
mbre 1898.) L'auteur traita par l'injection de glande thyroïde cinq cas d'hé- morragie utérine de causes diverses, dont
les efforts excessifs, bien que encore insuffi- sants dans certains cas , que doit faire l'organisme pour se débar- rass
t plus jeunes et par suite moins résistants. - A. Fenayrou. X. Deux cas de tumeurs cérébrales opérées avec succès et suiv
t d'autres fois vingt-cinq ans après comme j'en viens d'observer un cas . Peut-être cette infec- tion, de même que l'alc
iprive, Bourneville pour le créti- 1 Voir tourneville : Note sur un cas de 7nyxoe(lèi ? 2e ou cachexie pachy- clerzniqu
compliquée de cachexie pachydermique (avec Bricon, 1880); Nouveaux cas d'idiotie myxoedé- maleuse, 1888, 1889, 1SJ0, 1
ogie ont été réimprimés dans les Comptes rendus de 731cëlr·e; Trois cas d'idiotie myxoidé- matecrse traité par l'ingest
(Congrès des aliénistes et neurologistes, Bordeaux, août 180à); Six cas d'idiotie myxoedémaleme; BIBLIOGRAPHIE. 171
maleme; BIBLIOGRAPHIE. 171 nisme sporadique; enfin à propos des cas d'infantilisme opposé à la cachexie parathyroïd
s indications à fournir aux familles, qui les consulteraient sur le cas de ces malheureux enfants malades. * Il est r
il allait être envoyé au Dépôt, en attendant qu'on statuât sur son cas , lorsque M-c Berthe M..., qui avait appris ce qui
gestion cérébrale. (Le Soleil du 14 décembre 1898.) Voici encore un cas dans lequel on ne semble pas avoir appliqué la
t Péron, l'abuminurie post-paroxystique existe dans la moitié des cas , surtout dans l'état de mal. 1 Seyfert. Dublin
utent-ils, pour diagnos- tiquer la névrose-épilepsie dans nombre de cas , ainsi que pour étudier, avec un critérium nouv
ès l'expérience. Néanmoins il existe une toxicité, puisque, dans un cas , le sérum sanguin d'épileptique a provo- qué la
eptique a provo- qué la mort dans des convulsions, et dans un autre cas , un grand malaise qui a duré plusieurs heures d
ons. Le lendemain l'animal se porte bien. Nous n'avons que ces deux cas , et nous ne pouvons dire, en outre, que le sang
y a donc une toxicité. Que se passe-t-il alors dans l'un et l'autre cas ? La présence des toxines dans l'organisme fait
e qu'on constate le plus et l'anes- thésie totale le moins dans les cas de troubles de cette per- sonnalité ; mais il n
s ces conditions de ne pas conclure que dans l'immense majorité des cas les altérations expan- sives ou dépressives de
e normalité du sens tactile, nous l'avons retrouvée même dans les cas de délire génital, par exemple chez un sujet qui
fut l'exception, et étant donnée, je le répète, la masse énorme de cas où le fait ne s'est pas produit et ceux où il s
oïncidences, non d'un lien de cause à effet. Voici quelques-uns des cas les plus nets que nous ayons cons- tatés : Le
r l'abolilion du tact siégeait des deux côtés. Je citerai encore le cas d'un malade qui eut une aberration étrange, une
it d'être éclectique et de conclure que dans l'immense majorité des cas il n'y a aucun rapport entre les altérations du
nt souvent même pas leur chemise. Le tact serait-il altéré dans ces cas ? Dans 208 de nos consta- tations nous avons no
e question par l'affirma- tive. Certes, dans l'immense majorité des cas nous avons dans nos constatations trouvé le tac
ct a toujours été trouvé normal. XIV. Dans l'immense majorité des cas , le tact a été trouvé normal avec les altératio
teurs étaient les plus accusés. XVII. Dans l'immense majorité des cas , le tact a été trouvé normal, quelles que fusse
esexistent à la première période, à en juger par l'évolution de nos cas , que la marche de la paralysie générale ne sera
- phobie ou crainte de la gale occupe la première place. Certains cas de dermatophobie dus à la présence de rougeurs su
des; cet élément joue un rôle prépondérant dans la produc- tion des cas de dermatophobie à deux ou à plusieurs et de phob
es toniques peuvent être prescrits utile- ment, mais, dans tous les cas , il faut traiter par des médications appropriée
peutiquement chez ces malades. Elle parait réussir surtout dans les cas où, à la suite d'auto-intoxications et d'infect
; î° le délire onirique correspond très probablement, dans tous les cas , à une intoxication, et semble en être la carac
possédant de nombreux points de contact et pouvant, dans nombre de cas , coïncider chez le même individu. Les divers si
g alienist and iieiil-ologist, avril 1898.) E. Eux. IX. Sur trois cas d'impulsion chez des dégénérés ; par le Dr ISCO
revêtir, chez un seul individu, l'acte impulsif. Dans le premier cas , l'impulsion morbide est consciente et ne va pa
et ne va pas jusqu'à l'acte. Il n'en est pas de même dans le second cas . où l'impulsion morbide est de deux sortes : ta
ons- ciente, en raison de l'état vertigineux du sujet. Le troisième cas présente un exemple des délires surajoutés chez
to-infec- tions microbiennes comme causes de l'encéphalite dans les cas où celle-ci est de caractère nettement inflamma
ection. D'autre part, ces hôpitaux spéciaux pourraient recevoir les cas douteux. (The a ? e) : ts< and 12eil,ologist
elle dans la maladie de Graves; par le De Bauton JACUBS. Dans les cas mortels de maladie de Graves, la mort peut sur-
idement mor- telle dans la maladie de Graves et résume ensuite huit cas sembla- bles recueillis dans divers auteurs. (A
et devient psychiquement anesthésique et amnésique. Dans le premier cas , il s'agit d'un homme de cinquante ans, interné
nullement les tentatives : hérédité très chargée. Dans le second cas , il s'agit d'un homme de cinquante et un ans qu
chez les intoxiqués par l'alcool, comme le second malade, dans les cas de fièvre spécifique et particulièrement chez l
nerveuse très chargée, comme était le premier malade. Dans les deux cas 1 apportés la condition subconsciente fut insta
nément produite, comme dans l'impulsion épileptique. Dans le second cas , il est probable que la suspicion jalouse si ca
le professeur Mesehedes (K5nigsberg) en rapportant l'histoire d'un cas de psychose chez un lépreux disait qu'à son avis
ible, dans une famille amie ou dans une famille rétribuée : dans le cas de tendances suicides,, homicides ou destructiv
ernement. Si le bromure rend de grands et réels ser- vices dans les cas d'insommie due à l'byperhémie cérébrale accom-
de mélancolie et de tendance au suicide, il est dangereux dans les cas d'insommie provoquée par l'anémie cérébrale qu'il
é, du massage abdominale avec ou sans électricité. Il a aussi des cas de folie se développant chez des adolescents (fol
L'auteur signale une proposition de loi et un assez grand nombre de cas de folie maintenus en famille, en observation spé
folie et mise en surveil- lance officielle. Il estime que bien des cas de folie pris tout au début pourraient être ave
ns urinaires corrélatives au trai- tement. D1' A. Marie. N\11. Un cas de myomiélie ; par le Dr Théodore Miller. (Médica
les loca- lisations des diverses anestbésies. A. V. XXill. Trois cas de torticolis spasmodiques ; par Il.-II. Parry.
lleur résultai : massage, extension, galvanisme, tout échoua et son cas fut réputé incurable. ' A son entrée à l'infi
mplètement et en peu de mois la guérison fut complète. Un troisième cas en ce moment en traitemenisubit la même opé- ra
utre les muscles occipitaux ; 2° le traitement médical, qui dans ce cas , a duré plu- sieurs mois, n'a eu aucune influen
isions, a trouvé le prépuce absent cinq cent l'ois; dans deux mille cas , il était peu développé. P. I ELL : 1 Y. XXV.
ont encore peu nombreuses; l'auteur n'en a encore observé que trois cas dont deux très carac- téristiques. Quelques cas
e observé que trois cas dont deux très carac- téristiques. Quelques cas recherchés par lui chez des auteurs étrangers s
r les cuisses, les genoux étant en demi-flexion. Le petit nombre de cas observés ne perm -t pas encore de fixer la marc
ici aucune autopsie n'a pu être faite. La présence, dans deux des cas observés, des nodosités de Bou- chard tendrait
ientie viennent de donner tout récemment l'observation d'un nouveau cas . Le début de la maladie remonte- rait à l'âge d
I l31EL. 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXVI. Trois nouveaux cas d'amyotrophie primitive progressive dans l'enfa
LTEn. (Revue de médecine, 1898.) Trois observations portant sur des cas d'amyotrophie précoce à début insidieux et à dé
écoce à début insidieux et à développement relativement rapide. Ces cas rentreraient dans des formes intermédiaires aux
pilepsie. Ce n'est pas l'opinion de M. Féré qui, rappelant certains cas où l'invasion brusque du sommeil était manifeste,
as constamment et peut être avantageusement remplacée dans certains cas par un entraînement suggestif, à l'état de veille
s guérisous ou améliorations ont été obtenues par l'auteur dans des cas de paralysies rebelles, principalement chez des n
898, de la Presse médicale, M. Itéâis rap- porte l'observation d'un cas d'hypnosie traité par M. Gaide, méde- cin delà
s réflexions clu'il déclare sujettes à contrôle. Il constate que ce cas réalise cli- niquement, de la façon la plus net
ats. A. 1"ENAYROU. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 231 XXXHL Deux cas de paralysie radiculaire obstétricale du plexus
traités avec succès par l'électricité. Il exis- tait dans les deux cas une diminution parallèle des excitabilités galv
dique, en applications galvaniques et faradiques combinées. Dans un cas , il a été entrepris quatre mois après la naissa
'une et l'autre du trai- tement thyroïdien. A. Fenayrou. XXXV. Un cas d'hémianopsie latérale consécutive une blessure
ressante sur la localisation de cette affection et par une revue de cas semblables. XXXVI. L'alcoolisme; ses conséquenc
nn et Riche. (Presse médicale, 15 octobre 1898.) Observation d'un cas d'hystérie traumatique survenu chez un jeune ho
par M. Catiiin. (Revue médicale, 8 octobre 1898.) Observation d'un cas de paralysie faciale survenue chez un jeune hom
rmale, permet- tait de penser que l'on se trouvait en présence d'un cas sérieux, et de poser un pronostic fâcheux. Néan
au germe du rhu- matisme articulaire aigu. A. Fenvyrou. XL. Trois cas de névralgie du trijumeau d'origine dentaire non
êtres tentés et étudiés avec soin, car à l'heure actuelle, certains cas de tabes même pris à leur début sont réfractaires
par l'expérience de nombreux auteuis, car le plus grand nombre des cas d'hystérie grave, les paralysies et contracture
e, les paralysies et contractures, l'astasie-abasie, et surtout les cas types de chorée rythmée, s'observent proportionne
gnostiqué, alors qu'il s'agit d'hystérie. C'est dire que dans les cas difficiles le diagnostic d'hystérie exige des c
ignement seul fera cesser les manifestations morbides dans certains cas : c'est ce qui se présente souvent pour les sympt
de ser- vice du fonctionnaire du district : ce qui n'empêche, qu'en cas de nécessité, on ne les enferme dans une cellul
-mille l'un de l'autre. En 1896 a été construit un hôpital pour les cas aigus, médicaux et chirurgicaux. Cet hôpital co
par des doses énormes de bromure prises depuis longtemps. Dans ce cas , la suppression immédiate du bromure, en même t
coudre ou )'ttpop/to6t'e, etc. M. LE Secrétaire général rappelle le cas d'une agoraphobique qui rasait les murs et ains
stic. Ataxie cérébelleuse héréditaire. Particularités familiales du cas : 1° Parésie des muscles droits oculaires inter
égorie d'observations. Il parait nécessaire d'admettre que dans les cas d'ataxie cérébelleuse héréditaire, l'arrêt de dév
t à d'autres régions du système nerveux (là moelle épinière dans le cas de Nonne), et notamment aux régions motrices.
B. MOUn,1\vIE\V. Séance du 18 septembre 1898. I. N. ScHOS;N. Deux cas d'infantilisme. L'orateur rappelle d'abord l'ob
e Hertoge, qui admet une étiologie générale et unique pour tous les cas d'infantilisme et caractérisa la patho- génie d
ile. Le terme « infantilisme » ne saurait guère être appliqué à des cas pareils. M. KOJL ? W.41KOW pense que l'infant
sensibilité au-dessus de la zone de l'anesthésie complète dans un cas de myélite transverse. Or, le cas de M. Pick es
e l'anesthésie complète dans un cas de myélite transverse. Or, le cas de M. Pick est fort ancien, il a été publié il y
que M. Pick adresse à M. Minor est donc peu justifié, tandis que le cas de M. Marinesco est très différent. En effet, l
r n'ait pas fait l'examen de l'épithélium du canal central dans les cas sur lesquels il s'appuie. M. MOURATOW ne croit
par le liquide épanché. D'autre part le rôle delà syphilis dans les cas de S..., n'est pas suffisamment démon- tré. Dan
EOw ne peut pas admettre que les altérations vascu- laires dans les cas de M. S... soit de nature syphilitique. Elles p
des renflements multiples, fusiformes ou sphériques ; dans quelques cas , on voit le prolongement se désagréger en une s
. Il s'agit d'un processus destructif sans doute, pourtant dans les cas légers la restitution ad integrum du prolon- ge
t KOJEWNIKOW prennent part à la discussion. III. Vu. Mourawieff. Un cas de désagrégation aiguë de la ntyé- line dans le
muns tous les médecins (avec figure) ; la relation détaillée de six cas d'épilepsie avec autopsie, par Ohlma- cher (3 p
psie avec autopsie, par Ohlma- cher (3 pi.); de la ressemblance des cas précédents d'épilepsie avec certaines maladies
tablissement d'un institut pathologique d'État, par le même; - deux cas de méningite typhoïde, par Ohlmacher; - techniq
de méningite typhoïde, par Ohlmacher; - technique microscopique et cas d'abcès cérébelleux consécutif à un abcès de l'
dérés comme des aliénés, dans la VARIA. 255 grande majorité des cas ; qu'ils sont sujets à des périodes d'excitation
s'observe un délire systématisé de teinte mystique. D'une part les cas où les idées religieuses sont l'expression d'un
ratives. les idées religieuses pouvant exister dans l'un et l'autre cas ? En Belgique, Guislain oppose au délire religi
s analogues des déments paralytiques l. Il y aura donc lieudans ces cas , de faire le diagnostic avec la paralysie génér
e cause d'erreur que l'examen somatique permet d'éviter. Dans les cas ordinaires et de méningo-encéphalite sans excit
re est souvent de nature mystique. Kraft-Ebing rapporte plusieurs cas de ce qu'il appelle Post- epileptisches religio
délire religieux est fréquent dans l'hystérie. Un certain nombre de cas de possession démoniaque rappor- tés par les an
mportance moindre. Il est de notion élémentaire, en effet, dans les cas de folie communiquée, que l'on peut distinguer
e coexistante possible. , Si, dans l'observation directe pour les cas simples, la dis- tinction qui nous occupe est a
est aisée, il n'en est plus de même lorsqu'on se trouve en face de cas complexes, d'hybrides combinant les psychoses p
lus ou moins dégénératives, à un fond mental hystérique. Dans ces cas , on pourrait objecter que les troubles psycho-
assez nette ici pour qu'il ne soit pas besoin d'y insister. Dans le cas précité les conceptions délirantes sont demeu-
occupent (mystiques), d'établir une opposition tran- chée entre les cas à hérédité psychopathique et ceux où elle manqu
ion dans les psychoses, mais encore elle nous révèle, dans bien des cas , la nature de l'auto-intoxica- tion dont il s'a
halalgie est intense, pénible, gravative, si violente dans certains cas que ce sont ses paroxysmes mêmes qui paraissent
sont ses paroxysmes mêmes qui paraissent créer le délire et en tout cas le précédent immédiatement. C'est là, à notre a
e hallucina- toii,e. La torpeur est très fréquente; dans certains cas , à elle seule elle est caractéristique. Du jour
es, à la réalité éveillée, qu'il domine complètement, dans certains cas . Il y a là comme une sorte de dédoublement, com
ferme les yeux; c'est qu'aussi, et un degré plus marqué et sauf les cas où l'agita- tion ou la stupeur sont trop intens
conséquence, délire systématisé, circonscrit, limité dans certains cas à quelque idée fixe qu'on a vu, dans ces condit
malades atteints de psychoses infectieuses ou auto-toxiques et, en cas de succès, si ces malades ne recou- vreraient p
tte idée à exécution, nous avons été assez heu- reux, dans quelques cas , notamment dans celui rapporté au chapitre des
r pendant long- temps nous nous sommes astreint à observer tous les cas de ce genre à l'hôpital Saint-André, comme à l'
éré ou correspondent à une confusion intellectuelle ; or ce dernier cas est celui de la stupidité 1. » Baillarger, s'il
tembre 1807). 298 PATHOLOGIE MENTALE. avoir montré par quelques cas frappants que ces délires sont souvent dus au s
d'auto-intoxication. 299 ce point que, par l'analyse de son propre cas , l'auteur arrive à cette conclusion, but de son
on, but de son travail, que « le délire fébrile peut, dans certains cas , être assimilé à un rêve se produi- sant à l'ét
ent à ma consultation de la Faculté ou à ma clientèle de ville. Les cas publiés par les autres auteurs, en particulier
les mêmes concluions. On ne reçoit guère, dans les asiles, que des cas dans lesquels l'infection, l'auto-intoxic ? tio
ous avons dit un mot, on peut avoir affaire encore à deux ordres de cas : ceux où le délire onirique, caractéristique d
véritable vésanie, manie, mélancolie ou paranoia secon- daire. Ces cas , les derniers surtout, présentent de grandes di
y qui, grâce à l'emploi de la séro-réaction de Widal, a pu, dans un cas , préciser le diagnostic et recon- naître sous l
urs de ce travail et nous nous bornerons à rappeler que suivant les cas , ces psychoses peuvent se terminer par la mort,
empoi- sonnement est à son maximum. En même temps, et suivant les cas , on administre les sédatifs, les bains, les toniq
tion et de préserver l'état général, souvent très précaire dans les cas de ce genre. Nous n'hésitons donc pas à nous jo
x et aux auteurs étrangers qui préco- ' Tnty. (le Il';(/(Il dans un cas de l'.sclro.sc. (Lou mégi- M/, ! 897.) REVU
qu'il a, me semble-l-il, une réelle importance, que dans nombre de cas on pouvait, par la suggestion hypnotique, faire
PATHOLOGIQUES. 30S XVII. Etude microscopique de la moelle dans deux cas de Mal de Pott ; par William G. SPILLER, profes
ions de moelle de deux-sujets morts du mal de Pott. Dans le premier cas la moelle a été peu comprimée par la vertèbre d
moelle a été peu comprimée par la vertèbre déplacée, dans le second cas la com- pression était grande et due au déplace
ion de la surface dorsale du gland; il montrait aussi que, dans les cas de troubles des fonctions génitales, la présenc
été brusque et la moelle complètement sec- tionnée : dans ces trois cas , la paralysie flasque avec abolition des réflex
rs accompagnée d'une abolition des réflexes tendineux. Dans les six cas la moelle lombo-sacrée n'était le siège d'aucun
schématique qui nécessiterait une épure à une grande échelle. Les cas cliniques classiques des auteurs sont illustrés p
tag- mus, l'atrophie optique et l'imbécillité. D' Marie. XXIV. Un cas de lésion localisée du quatrième ventricule; pa
312 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVII. Sur un cas de paralysie ascendante aiguë sans lésion histolo
hodes.. Il est bon, d'ailleurs, de remarquer que même dans certains cas de maladie de Landry avec lésions, il n'y a pas
mique. (Revue neurologique, oct. 1898.) ' E. Blin. XXVIII. Sur un cas d'atrophie unilatérale du cervelet ; par les Dr
cellulaire. Cette altération cellulaire a été rencontrée dans deux cas de dégé- nérescence du myocarde, dans un cas de
é rencontrée dans deux cas de dégé- nérescence du myocarde, dans un cas de kyste hydatique du foie avec perforation de
hydatique du foie avec perforation de la cavité abdominale, dans un cas de tubercu- lose avancée et dans un cas de méni
cavité abdominale, dans un cas de tubercu- lose avancée et dans un cas de méningite tuberculeuse. REVUE D'ANATOMIE E
tte altération cellulaire spéciale, se rencontrait, dans quatre des cas examinés, une autre altération caractérisée par
Les conclusions de ce travail sont les suivantes : 1° dans certains cas de lèpre, il existe des lésions des cordons posté
nogr. de la Salpétrière, n° 5, 1898.) L'auteur a pu rassembler 12 cas d'hydrocéphalie interne et a pu étudier, spécia
st point fortuite en effet et les auteurs qui ont pu en observer un cas très intéressant montrent, au cours 318 REVUE
r association paralytique semble en effet déterminée, dans certains cas , par leur contraction simultanée, capable de pr
ésente aucun danger pour la santé. G. Derny. XXXIX. Note sur deux cas de névrite périphérique avec résultats expérime
les rappelées au récent congrès d'Angers par M. Brissaud. Dans le cas d'Huishelwood la rétraction de la paupière supé-
au central ventriculaire de la troisième paire. A. Marie. XLV. Un cas d'acromégalie avec hémianopsie bitemporale et i
EVrRDI et TORRACtir. (Riv. sp. di /ren., fasc. 2, 1897.) XLVI. Un cas d'anarthrie capsulaire avec autopsie; par J. ABDI
2' série, t. VII. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1L1\. Un cas de tétanos suivi d'autopsie; par le De DoNETn.
suivi d'autopsie; par le De DoNETn. Ayant pratiqué l'autopsie d'un cas de tétanos 13 heures après la mort, l'auteur a
entes de Brener et de Freud, l'ana- lyse psychologique délicate des cas qu'elle présente amène à cette conclusion que l
s de rire forcé. 5° Artériosclérose généralisée. Il s'agit ici d'un cas de paralysie pseudo-bulbaire partielle d'origin
souvent congénitale; acquise elle est des plus rares. Une revue des cas observés et des opinions émises sur la pathogén
ypertrophie hémifaciale acquise est toute différente. L'élude des 5 cas seulement qu'elle comporte dans la littérature
rueux et bestial fixé dans une photographie. L'auteur rapproche son cas de ceux qui ont été déjà publiés sur cette ques
fec- tions spasmo-paralytiques et l'épilepsie. R. C. LVII. Sur un cas de chorée variable avec contractions fasciculaire
aires. R. C. 328 8 [REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LVIII. Sur un cas de tachypnée hystérique secondaire; par le Dr S
ette observation, détaillée et intéressante, n'est, en somme, qu'un cas de tachypnée hystérique, vue par Lasègue et décri
faillance lipothymique. On sait également que dans un bon nombre de cas d'hystérie il existe au contraire une analgésie
ique. Cette analgésie s'observe également dans un certain nombre de cas de maladies organiques du système nerveux, nota
en effet des recherches de M. Pitres que dans près de la moitié des cas de tabes l'épigastre est moins sensible à la pr
aux coups qu'à l'état normal et que, dans un cinquième environ des cas , il est complètement analgésique. M. Pitres a e
bles ataxiques. L'immobilisation doit être réduite au minimum, en cas de nécessité. La mobilisation, si utile chez l'at
communiquée à une des séances prochaines. P. PnÉoi3RAirNsKy. Deux cas f : <'«)'</tt'OpCt</t : 'MS;/) ? )M/0))'
excroissances osseuses, encore plus prononcées que dans le premier cas . La communication de M. Préobrajensky a été acc
ique. S. TCHERNISCUEFF. Recherches analomo-pathologiques dans tin cas de rage chez l'homme. Voici le résumé des const
phères. Le cervelet est l'endroit le moins affecté. S. POPOFF. Un cas d' ankylose de la colonne vertébrale. Jeune hom
mmobilisation et ankylose consécutives. L'auteur pense que tous les cas , décrits dans la littérature, 'de déformation d
ésidence DE M. Jules Voisin. Hypnotisme et sommeil prolongé dans un cas de délire alcoolique. M.Paul Fanez rapporte le
prolongé dans un cas de délire alcoolique. M.Paul Fanez rapporte le cas d'un délire alcoolique polymorphe avec hallucin
e rapportés. Ce fait confirme l'efficacité delà suggestion dans les cas d'alcoolisme aigu ou chronique ; il met en outr
idité cireuse caractéristique de l'état cataleptique-franc. Daus ce cas , la crise d'hystérie, en déterminant l'inhibiti
, la Manie hallucinatoire (Mendcl), dans le cadre de laquelle notre cas pourrait, à la rigueur, se ranger. Mais cette f
pe- lin de cette maladie correspond assez bien, en effet, à notre cas , sauf le mode de début, que nous étudierons par l
guë partielle de Kretz, les délires d'épuisement de Voigt, certains cas de folie systématique de Buch. Fritscli. Jahrbi
ser la durée d'une façon certaine : ce qu'on peut affirmer, en tout cas , c'est que consécutivement à ces troubles hallu
s'être trompé en soutenant le principe de la décus- sation. Dans le cas que nous allons signaler ici cas que nous consi
ncipe de la décus- sation. Dans le cas que nous allons signaler ici cas que nous considérons comme la confirmation de l
tre conforme avec la réalité des faits qui se sont produits dans le cas actuel ni avec ce que les expériences d'autres
t-elle pu avoir une déviation pareille ? Il faut avouer que dans ce cas cela n'a pu se produire. SYNDROME CONSÉCUTIF
DE LA MOELLE. 355 On connaît dans la littérature médicale quelques cas , en particulier celui de Millier, chez lequel l
ite du côté opposé à la pénétration de l'arme; mais dans ce dernier cas le point d'accès de l'arme était situé à une tr
forcément l'hémisection de la moitié gauche de la moelle. Dans le cas de la Munoz, l'arme a pénétré depuis un point s
é delà corne postérieure, vont se terminer à l'opposé. Mais en tout cas , on ne peut assigner à ces fibres, qu'aucun pro
n hypothétique de conduire les impressions allochiriques. Dans le cas de Munoz, nous croyons que dans l'espèce se son
n'ayant trouvé dans la bibliographie que nous avons consultée aucun cas pareil, nous l'avons considéré comme nouveau da
nt l'oeil. Cet oeil, tout en ne lar- moyant que dans quelques rares cas , offre bien l'aspect d'un oeil affecté et qui p
'une paresse véritable. La pupille est dilatée dans la majorité des cas , bien qu'on observe des exceptions. 358 REC
vons encore que le tonus oculaire est légère- ment augmenté dans le cas de mélancolie avec stupeur et dans quelques cas
nt augmenté dans le cas de mélancolie avec stupeur et dans quelques cas de mélancolie anxieuse. L'exploration ophtalmos
rveux central, l'auteur présente quatre nouvelles obser- vations de cas tératologiques rares dans lesquels l'analyse macr
oppement, mais une hydrocéphalie interne avec hydromyélie dans deux cas . La cause de toutes ces difformités est l'hydro
tion dans les révélations du microscope, qui dénotent dans tous les cas toutes les lésions fines de l'artérite chroniqu
al ont pour cause la syphilis héréditaire. R. Ciiaron. LXIII. Trois cas d'ataxie cérébelleuse héréditaire dans la même
olcu. Iconor. de la Salpétrière, n° 1, 1890.) Les observations de cas multiples de cette affection, suivis en même te
classique décrit par Marie se retrouve intégralement dans tous les cas , mais rehaussé de quelques touches qui constitu
(Nouv. jfcoïoyr. de la Sulpêtrière, n° 4, 1899.) Observation d'un cas délicat pouvant en imposer pour la myo- pathie
développement des antécédents myxoedémateux. G. D. LXVIII. Sur un cas d'hydrocéphalie hérédo-syphilitique ; par le Dr
au traitement spécifique. G. D. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XI. Un cas de tic rotatoire guéri par la psychothérapie; par
ans l'obésité et myxoedème. Dans les mêmes numéros de juillet, deux cas de médication séro- antitoxique pour le tétanos
(Qualerley Médical journal, juillet 1898.) L'auteur relate quatre cas d'épilepsie Jacksonnienne. Le trépan a servi à
'intervenir comme cause dans la folie et, dans un certain nombre de cas leur guérison peut amener la disparition du tro
icel2z joiii,ital of iiisanity, j juillet 1898.) E. B. XVIII. Trois cas de pollakiurie psychopathiques guéris par sugge
ions, que le travail en commun s'impose souvent et qu'il a, en tout cas , l'avantage primordial de nous présenter les un
para- noïen aura le pas sur l'élément psychonévrotique. Il est des cas où les deux éléments se tiennent en balance. De
de longues années, mais ils sont rares. Régis n'en a observé qu'un cas se rapportant à un prêtre, hérédi- taire, qui,
ancolique avec paroxysme aigu rappelant la lypémanie du début. Ce cas montre, ainsi que l'ont dit 111\I. Séglas et Angl
suffit à faire disparaître le trouble mental. Que devient, dans ce cas , la constitution paranoïenne supposée nécessaire
x. M. le D'' Lalanne (de Bordeaux) apporte une observation sur un cas de délire systématisé secondaire consécutif à un
. Augmentations trimestrielles de 2 fr. 50 à 5 francs, suivant les. cas . Personnel DE surveillance (Femmes). Une surv
lésion cérébrale. M. Ballet a eu la bonne fortune de trouver trois cas de polynévrites présentant des délires orinique
évritiques. Existent-elles toujours ? Non. M. Ballet, dans certains cas , n'a pas trouvé de lésions cellulaires. Dans un
, dans certains cas, n'a pas trouvé de lésions cellulaires. Dans un cas , dont il donne l'observation, la mort du sujet av
ersiste. Ces faits ne sont pas rares et il en a observé lui-même un cas typique. Baillarger avait déjà signalé ces fait
hénomènes semblables et les psychoses que l'on observe dans de tels cas affectent surtout la forme de la confusion ment
pourquoi nous avons eu l'honneur de vous soumettre ce travail. Un cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en pl
er l'attention des cliniciens en relatant d'une manière sommaire un cas de trem- blement à distribution segmentaire che
concurrence vitale, et le plus souvent elle est peu grave. Dans les cas où il y a hérédité morbide, le début de la neuras
e 17, les soucis d'affaires 19, l'alcoolisme 3 fois. Enfin, dans 19 cas , je n'ai pas trouvé de cause. Ici encore l'inte
orale dont Huchard a dit avec tant de raison qu'elle était, dans ce cas , plus efficace que toute intervention médicamen
s, 2° série, t. VU. 26 402 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Vallon cite un cas de paralysie générale qui s'est amendée à la su
ion chirurgicale. M. Febvré, répondant à M. Régis, dit que dans les cas rapportés il ne s'est jamais agi d'enlever d'or
e. Les auteurs, après avoir indiqué les particularités cliniques du cas , insistent sur SOCIÉTÉS SAVANTES. 403 les r
tre démontrée avec certitude. M. 1)'ASTR09 dépose un rapport sur un cas de paralysie alterne supérieure survenue chez u
lbuminurie après les crises épilepliq2aas. MM. Lannois et MAYET. 50 cas observés. L'albuminurie a tantôt été constante,
donné à la dose de 0 gr. 50 centigr., 1,2 et 3 grammes suivant les cas , dans du thé chaud ou en injection hypodermique
hysiologiques doivent être faites. SOCIÉTÉS SAVANTES. 1105 Deux cas d'astasie et d'abasie : M. Grasset (de Riom). R
ssage et les vibrations mécaniques : AI. le D1' Buisson. Quelques cas d'obsession urinaire ; maux perforants plantaires
ment pendant des mois jusqu'au rétablissement complet même dans les cas d'abla- tion complète du cervelet; 2° Le troubl
e les exercer, sans parler que la natalité est très faible dans ces cas . Même si le divorce devait porter atteinte à l'
t lorsqu'il s'agit d'un malade violent et dange- reux ; 3° Dans les cas difficiles, les experts ne manqueront pas à for
e qui ne leur empêchera pas de pro- noncer catégoriquement dans les cas simples et précis; 4° Les erreurs d'expeitise s
rteur conclut qu'il faut la 412 SOCIÉTÉS SAVANTES. réserver aux cas : 1° incurables et, 20 rendant impossible la coha
maladie aura existé pendant cinq ans au moins, cependant pour les cas d'évidence extrême la durée de la maladie pourra
mme absolument indis- pensable, en la réservant toutefois aux seuls cas où la personnalité du malade a subi de graves a
maladie au lieu de cinq ans devrait être réduite à un an ; dans les cas douteux elle pourrait être de deux ou trois ans e
ossolimo. Séance du 18 décembre 1898. L. Minor. Présentation d'un cas de pse 2t(lo - ltype i-1 i,oi)hie anus- caluioe
ernières affections. a Discussion. M. Rossolimo affirme que dans un cas d'atrophie musculaire progressive de type de La
dien lui a donné un résultat objectif positif. P. Préobrajensky. Un cas de pSei<0-Aype)'Op/tt'e iiiiiseil- lai,e.
nner une description plus détaillée des lésions médullaires dans le cas en question. S. SOUIirIAN01·r· et N. Orloff. Co
s de Ballet et Faure). D'autre part les troubles psychiques dans ce cas sont caractéristiques pour la psy- chose polyné
ce blanche adjacente. Il est intéressant à noter que dans plusieurs cas de Wernieke des symptômes polynévritiques ont été
. Srni3siiy considère la troisième observation des auteurs comme un cas de syphilis cérébro-spinale, tant au point de v
du trai- tement spécifique. M.MouRATOwne considère pas non plus ce cas comme un cas de polynévrite. M. KOJLIW.NIKOFF c
ent spécifique. M.MouRATOwne considère pas non plus ce cas comme un cas de polynévrite. M. KOJLIW.NIKOFF croit à l'associ
F croit à l'associa- tion de la syphilis et de l'alcoolisme dans ce cas . M. Tokarsky ne croit pas l'amélioration des tr
eut donner lieu à des malentendus. M. Roth rappelle entre autres un cas de psychose polynévritique à début apoplectifor
isme cl le traitement de l'alcoolisme. M. VLAVIAKOS s'appuie sur le cas , récemment rapporté par M. Farez, ainsi,que sur
uie sur le cas, récemment rapporté par M. Farez, ainsi,que sur deux cas personnels, pour exposer et jus- tifier l'emplo
me la stupeur; sa forme accentuée absorbe même un certain nombre de cas autrefois rangés sous le nom de la stupeur. Il
m de la stupeur. Il faudrait même réserver ce mot pour désigner les cas où l'ac- tivité des facultés est conservée mais
lus vaste; par sa forme moyenne et légère, elle englobe beaucoup de cas divers où l'on avait remarqué de la dépression
ie est encore une forme d'instabilité. Elle est dans la plupart des cas ,exception faite de l'épilepsiejacksonienne, un vé
es mentaux. La symptomatologie est à peu près la même dans tous les cas lorsque le délire est constitué et l'auteur ass
e façon toute spéciale sur le traitement moral. « On en fait peu de cas , dit-il, dans nos asiles et à tort, car il est d'
en France. Le bégayement est considéré dans tous les pays comme un cas d'exemption du service militaire. On peut être
n de cette curieuse répartition géogra- phique ? Si l'on compare le cas d'exemption du service militaire VARIA. ' 429
Qui vive ? » ou de transmettre intelligemment une consigne. Dans le cas contraire, il est classé dans le service auxili
ue la famille de l'in- terné est dans l'indigence. Tel n'est pas le cas , car la famille du jeune homme interné n'est pa
ait même une pension de retraite assez élevée. C'est à vérifier. Ce cas n'est malheureusement pas isolé. Au lieu de provo
es primitifs, aigus ou chroniques. Il est à remarquer que, dans les cas de ce genre envisagés jusqu'ici, un des élément
se trou- vait ainsi singulièrement facilitée. Or, il est d'autres cas , tout à fait analogues, où cet élément importan
omatique et l'évolution de l'affection, on peut distinguer : 1° des cas à évolution chro- nique; 2° des cas aigus revêt
on, on peut distinguer : 1° des cas à évolution chro- nique; 2° des cas aigus revêtant la forme de délires d'emblée plu
prolongés ou de simples bouffées délirantes. 1. Voyons d'abord les cas à évolution chronique. Le début des accidents d
epose essentiellement sur des interprétations délirantes : dans les cas de forme chronique que nous avons observés, nou
, somatique ou psy- chique, d'un état mélancolique fondamental, ces cas diffèrent de la mélancolie pour se rapprocher a
se résigner volontiers à cette perspective. Tout en faisant peu de cas de l'utilité de ses efforts, il ne semble pas a
rticulière du délire eût pu éveiller au pre- mier abord l'idée d'un cas de mélancolie. Mais nous savons aujourd'hui que
la mélancolie ou la folie systématique. C'est ainsi que, dans le cas actuel, le délire d'auto-accusa- tion ne peut ê
mentaux et caractéristiques de cette affection. Quel est, en pareil cas , l'avenir des malades ? Dans la forme chronique
que- ment. 444 PATHOLOGIE MENTALE. II. Passons maintenant aux cas aigus. Si nous nous bornions à énumérer les dif
s. Nous n'insisterons pas; nous dirons seulement que, même dans les cas aigus, on s'aperçoit 'encore souvent que DÉLI
qui relèvent de la mélancolie. Nous avons déjà noté que, dans ce cas , les conceptions déli- rantes s'étaient montrée
'accouchement, du retour de couches qu'on pourrait invoquer dans ce cas , ne nous parait avoir eu en réalité qu'une impo
côté', et des observations personnelles cliniques de l'autre (1050 cas de vices de la parole)-, nous tâcherons de prés
atique- ment ; . 3° L'alexie isolée (cécité verbale) survenant en cas de lésion de la scissure interne (flissura calc
1 .)" Y alexie d'association ou cécité verbale d'asso- citation en cas de lésions du pli courbe (g. supraangularis). L
cale ; 2° aphasie auditive com- prenant l'aphasie de Grashey et les cas , où l'affaiblissement de la mémoire auditive em
nier processus étant moins compliqué que le premier ; dans d'autres cas de ce trouble, il est impossible de faire la le
parole des autres. Pour nous c'est de l'aphasie motrice. Dans les cas un il est impossible d'agir sur la cause même d
corticale (dysphasie) ousubcorlicale (dysarthrie); dans le premier cas , nous avons affaire à du balbutiement physiolog
mbattre le balbutiement. On doit recourir à cette méthode même en cas de perforation palatine, car l'opération la mieux
ts) ont subi le traitement complet; tous avec bon résultat. Sur 234 cas de balbutiement, y compris la prononciation vic
s vicieuses) et chez toutes le résultat désiré a été obtenu. Sur 53 cas de nasonnement ouvert, nous avons traité 9 suje
ude des observations recueillies nous fait voir que la majorité des cas de vices de la parole se rapportent à la famill
ne corticale ou subcor- ticale, indique comment il faut traiter les cas regardés jus- 460 RECUEIL DE FAITS. qu'ici
e qu'il a éprouvé pendant son accès; il n'en est pas ainsi dans les cas de simple dépression mélancolique comme celle d
urose bilatérale; M. Gilles de la ToureLLe dit en avoir vu quelques cas seulement et il rappelle les suivants : deux de
otre malade elle a eu une durée anormale. Il est vrai que dans un Cas rapporté par Ilarlan , elle persista pendant six
s L)I, Van Cishuciu'en et de l3uci.. Les auteurs ont pu utiliser un cas de désarticulation de la hanche 1 ? REVUE D'A
dent entièrement avec ceux qu'ils avaient constatés dans un premier cas : il existe donc, à en juger par la localisatio
t particulièrement sur un travail récent de halhden portant sur dix cas de porencéplialies avec recherches histologique
diagnostic en reconnaissant comme cause du porus : dans le premier cas , un ramollissement cérébral trombosique datant
ement cérébral trombosique datant de longues années, dans le second cas une hydrocéphalie consécutive à des tumeurs tub
des tumeurs tuberculeuses et relativement récente. Dans le premier cas l'auteur rencontre une membrane de néofor- RE
aractère anatomique de la porencéphalie acquise. Dans le deuxième cas . qui narait dépourvu de membrane, il constate,
ne disposition analogue à celle qui a été constatée dans le premier cas . La comparaison des signes anatomiques et micro
natomiques et microscopiques soigneusement recueillis dans les deux cas , semble donc démontrer clairement l'existence,
me dans l'autre, de la membrane néoformée, parvenue dans le premier cas à la période d'état, dans le deuxième cas à la
parvenue dans le premier cas à la période d'état, dans le deuxième cas à la période initiale. D'où il se dégage nature
mais par la voie soûs-duremérienne, elles ont produit dans tous les cas un ensemble de symptômes pathologiques très par
gauche; par A. llanem. (Journ. de Neurologie, 1899, n° 4.) XLV. Un cas de tabes incipiens avec exagération des réflexes
le noyau sensitif du nerf de la dixième paire. G. D. XLVIII. Deux cas de porencéphalie ; par Wigihïswout. (l3rccin L\
ment, destruction des circon- volutions préfrontales. Pour ces deux cas , l'auteur repousse toute hypothèse de tuberculo
phalite comme ori- 476 sociétés savantes. gine. Pour le premier cas il croit à un développement défectueux aggravé
légal, qui ne les a pas empê- ches d'être méconnus. Dans ce dernier cas , l'erreur peut provenir des experts qui se trom
etter de voir punis des aliénés criminels ou délin- quants dans les cas où la maladie mentale est la cause indiscutable
instance l'office d'experts suffisamment aptes à diagnostiquer les cas d'aliénation faciles et à éveiller l'attention
liénation faciles et à éveiller l'attention des magistrats dans les cas difficiles. Il serait en outre nécessaire d'éte
nstructeurs, de façon à les mettre en état de mieux reconnaître les cas dans lesquels un doute peut planer sur l'intégr
urs judiciaires relevées et permettant de soulever, dans les autres cas , des doutes capables de légitimer une expertise
our but d'empêcher la con- ' Nous avons relaté un certain nombre de cas de ce genre dans nos Comptes rendus de (le 1880
me des prisons et du corps d'épreuve qui fait éclore ces nom- breux cas d'aliénation chez des gens non prédisposés. Nous
emblent ou non constituer des actes d'indiscipline. Dans le premier cas : absence illégale, injures, refus d'obéis- san
le service, ils n'ont pas porté atteinte à la disci- pline, dans ce cas l'homme est envoyé à la visite du médecin du co
stions de responsabilité; loin de la ; il y aura toujours nombre de cas embarrassants, demandant une observation attent
ienne rapidement obligatoire. M. Giraud appelle l'attention sur les cas déjà cités par M. Taty, où l'aliéné a été mécon
que les experts ont méconnu les troubles mentaux. Il en rapporte un cas au nom de M. Samuel Gar- nier. lien a lui-même
as au nom de M. Samuel Gar- nier. lien a lui-même observé plusieurs cas . Il a, entre autres, eu l'occasion de faire une
tise, aucun aliéniste n'est à l'abri d'une erreur, surtout pour ces cas spéciaux de folie morale. Il faut dire, toutefo
mal définies et comme M. Giraud, je crois que les erreurs dans ces cas sont sou- vent difficiles à éviter, cela d'auta
nts de cette forme 1 Nous avons eu, à Bicètre, un certain nombre de cas analogues. (li.) 484 SOCIÉTÉS SAVANTES. de
» appartiennent à cette catégorie et j'ajouterai que dans un de ces cas l'aliénation a été soupçonnée par les magistrat
ttentif mais presque toujours passif et à n'intervenir que dans les cas , d'ailleurs peu fréquents, où le malade sort du
surveillante qui interviennent en attendant le médecin. Si dans ces cas tout à fait rares, l'isolement momentané dans u
literie ; intervention moins dangereuse pour le personnel dans les cas de plus en plus rares, d'ailleurs, de vio- lenc
urs caractères. Quant à l'anémie, à l'amaigrissement, sauf quelques cas excep- tionnels dus à des causes spéciales (tub
eur état, de i à 4 heures en plein air dans les jardins. Dans les cas très rares où des pratiques d'onanisme semblent
OCIÉTÉS SAVANTES. Myélite syphilitique diffuse; par L\FFARGUR. Un cas de névralgie ovarienne guérie par la suggestion;
si signalée comme très fréquente. Le D1' Pagliano en a observé huit cas sur quarante observations. On a appelé l'atten-
ar Hanot et Bucquoy. Il est fort possible que, dans la majorité des cas , les idées délirantes de la convalescence de la
prolifération nucléaire. Nous rappellerons que Boucarut a publié un cas analogue dans le Nouveau Montpellier médical du
ie de Landry. Elle est parfois d'origine infectieuse comme dans les cas de Galleta. On voit sur les coupes de la moelle
iminué. Sensibilité normale. En résumé, il ne s'agit pas, dans ce cas , d'un défaut de dévelop- pement des faisceaux p
méningées qui ont été suivies de lésions scléreuses, comme dans les cas analogues de Sarah Mac lutt, de Railton. L'amyo
. Le trait de fracture se continuait jus- qn'à la base du crâne. Ce cas peut être rapproché de celui de Ransohoff qui,
ntlee. Alexander, Gaingée. Que le lecteur note, au passage ces deux cas de trépana- tion, pour des hémorragies méningée
Néanmoins, l'intensité du traumatisme nous a engagé à rapprocher ce cas du précédent. 111. Pachyméningite. Hémorragie i
a-médullaires sont beaucoup plus rares. Nous en avons communiqué un cas au Congrès pour l'avancement des sciences (Mars
és dans les coupes de la moelle et des méninges Barie a vu, dans un cas analogue, des streptocoques. Chez notre malade,
vralgie neurasthénique, migraine (i aura ; par Lasiacq-Dounoy. Un cas de paralysie infantile traité par l'électricité ;
agit de corpuscules névrogliques, et Lugaro est de son avis. Sur un cas d'hydrocéphalie aiguë; par ENGELHARDT. Journée
. Communications diverses : M. PUJOL (de Marseille) communique un cas de Névralgie utéro-ovanienne guérie par la sugges
uérie par la suggestion hyp- notique ; M. Paul FKREZ fait part d'un cas de Fausse angine de poi- trine consécutive à un
e. EXPLICATION DES PLANCHES. Planche I Coupe du crâne dans un cas d'atrophie considérable des lobes frontaux du c
AKAS)E.Deuxcasd'astasieetd ? par GI asset, 05. ACnOHI : G1LIE. Un cas il'- avec hémia- nopsie bi-temporale et inférie
rograde, parSicard et Biche, 234. - AIfYOTHOPI11E. Trois nouveaux cas d'- primitive progressive dans ' l'enfance, p
fonde chez les tabétiques, par Pitres, 328. - - A1.41;THHIE. Un cas d ? capsulaire avec autopsie, par Abadie, 320.
- sécutive à un rêve subconscient, par Farez, 400. Ankalose. Un cas d'- de la colonne vertébrale, par Popoft, 333.
- de la colonne vertébrale, par Popoft, 333. Arthropatiiies. Deux cas d'- syriu- gomyéliques, par Préoblajanslcy,.
'Aia, G07. -, 513.. Assassin. Un de seize ans, 175. AST151E. Deux cas d'- et d'abasie. par Grasset, 405.. ,j .ITAxI
j .ITAxIS célébelleuse héréditaire, par ? Ilossoliino, 246. Trois cas d' céré- belleuse héréditaire dans la .même '
es cen- ties supérieurs du -, par l'aton, 418. Cervelet. Sur un cas d'atrophie uni- latérale du -, par Lannuls et
n, par Clal l : a, 9+, Le coeur dans la-par ha- vier, 172. Sur un cas de-variallle avec contractions fasclculaires de
z les aliénés, par lera- val et Laurent, 97. Dégénérés. Sur trois cas d'impulsion chez des -, par Iscovesco, 216. D
gu, par Coston, 213. Modi- liuatiun Hescrllules nerveuses dans un cas de et dans un cas de delirmn tremens, par Ilocl
3. Modi- liuatiun Hescrllules nerveuses dans un cas de et dans un cas de delirmn tremens, par Ilocll, 141. Délire a
l, 141. Délire alcoolique. Hypnotisme et sommeil prolongé dans un cas de - -, par Farez, 334. DI : LUU; psychique.
Démence. Rapport préliminaire, cli- nique et pathologique sur un cas de - progressive, par 311lis et Schively, 73.
ile de Iliclitnoti(l de Du- liliii, 21. Epilepsie essentielle. Un cas de ré- section totale et bilatérale rln wm-
bactériologique de l'écorce ei du liquide cérébro-spinal dans 17 cas de -, par 'l'omlmsou, 1 i ï. \Lysucisme et -, p
associée du muscle - , par Souques et Duvai, 317. HÉMiANOPSiE. Un cas d' latérale consécutive à une blessure péné-
teur dans l'étiolonie de la Iolle, par Stearns, 72. - Note sur un cas cl' - ré- gressive, par Partner et Sante- noi
ni- tales du système nerveux central, par Solovtzolf. 336. Sur un cas d' hérédo-syphilitique, par Andeoud, 362. 1
on, 490. HraoTISvE. Ahus de l' - 430, et sommeil prolonge dans un cas de délire alcoolique, par l'ai-ez, 334. HvsTé
suffisance de ren- seignements en France, 253. Infantilisme. Deux cas d' -, par Scholu, 58. Influence microbienne e
shi, 160. Mal de PoTT. Etude microscopique de la moelle dans deux cas de ? par Spillei,, 305. Médian. Section ancienn
oinet, 499. Méningite Cél'éb ! '0-Splilale épidémi- que. Quelques cas observés à la clinique du professeur P. Delati-
ze ans. Epilepsie jacksonnienne, par Bouchaud, ? 9. Myéline. Un cas de désagrégation aiguë de la- dans le système n
ypliili- tique diffuse, par La(Targue, 190. '11O\ ! ! I : LIE. Uu cas de -, par Th. Miller, 225. Myopathie primitiv
idité de la doctrine du - , par Barker, 31G. Névralgies. Trois de cas du triju- meau d'origine dentau'e non ac- com
et les vibrations mécaniques, par Bouis- son, 405. Note sur deux cas de avec résultats expérimentaux com- paratifs
c hémiplégie spas- modique et épilepsie, 327. Obsession. Quelques cas d' uri naire ; maux perforants plantaires pré
Optique Lésion de la bandelette, par Maheim, 474. Parmasie. Un cas de ascendante aiguë, par Roger et Josué, 58.
roit avec parésie du pnenmon- gastrique et du phré- nique dans un cas d'angine, diphtérique, par Varnali, 58. Un ca
é- nique dans un cas d'angine, diphtérique, par Varnali, 58. Un cas de faciale double d'ori- gine bulbaire, par Mal
Un cas de faciale double d'ori- gine bulbaire, par Malty, 59. Un cas de - juvénile avec syphi- lis héréditaire, par
avec syphi- lis héréditaire, par Saporito, 62. )1%oli,mie dans un cas de- saturnine, 66. Sur un cas de - aseendante
ar Saporito, 62. )1%oli,mie dans un cas de- saturnine, 66. Sur un cas de - aseendante aiguë sans lésion histologiqu
- alcoolique et poly- névrite infectieuse, par Tllln , 233. Deux cas de obstetriucale du plexus brachial, par Allard
par Catrin, 234. pseudo-bnlbaire, par Marie et Vigouroux, 188. Un cas de de Landry, pai Boinet, 497. Paralysie géné
émotionnelle du sys- tème, par Bidon, 490. - PoLLnriDrsIE. Trois cas de psycho- pythiques guéris par suggestion, -
, par Abrams, 152. PsEUDO-nYpr : nTnopH ! E. Présentation d'un cas de - musculaire, par Minor, 412. Un cas de mus-
pH ! E. Présentation d'un cas de - musculaire, par Minor, 412. Un cas de mus- culuire, par préohrajenshi, 413.- Psy
Itussell, 151. Rage, liecheicnes anatomo-patholo- giques -dans un cas de - chez l'homme, par Tscllerniscllell, 332.
'appareil sexuel, par inlacliellsie, 150. Sclérose en plaques. Un cas ' de tremblement segmentaire dans la - , par
nadieu-Lamt, 328. Traite- ment thermal du -, par Belugon, 405. Un cas deincipiens,pa ! van Gelnichien, 474. Tabétiq
trique profonde chez les -, par Pilres, 328. Taciiypnée. Sur un cas de - hysté- rique secondaire, par Soca, 328.
r un cas de - hysté- rique secondaire, par Soca, 328. Tétanos. Un cas de suivi d'au- topsie, par Donetti, 322. Thès
par la psychothérapie, par Neu- terghem, 362. Torticolis. Trois cas de- spasmo- riique, par Parry, 225. 'rRMIBLE3
. Trois cas de- spasmo- riique, par Parry, 225. 'rRMIBLE31ENT. Un cas de - segrnen- taire dans la sclérose en plaques
a sclérose en plaques, par Grasset, 395. Tumeurs cérébrales. Deux cas de opérées avec succès et suivis de guérison,
64. Tumeurs 1\TPA-CRAIC\\ES, par Fer- rier, 310. Ventricule. Un cas de lésion loca- lisée du qnatneme ventricule, p
41 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
de la troisième circonvolution frontale et de l'opercule rolandique cas Moriceau (Fig. 137 et 140, p. t47);Voy. aussi cas
ercule rolandique cas Moriceau (Fig. 137 et 140, p. t47);Voy. aussi cas Schweigoffer, Fig. 416 et 118, p. 134). Dans
i cas Schweigoffer, Fig. 416 et 118, p. 134). Dans ces différents cas , la zone dégénérée occupe la substance blanche no
) et partie adjacente du segment postérieur (Cip) voy. en particulier cas Schweigoffer, Fig. 116, p. 134). 2. Segment m
ndaires, de nombreuses libres de projection du lobe occipital (voy. cas Courrière, et Bras, Fig. 83, 84, 85 et 93, p. 1
le rolandique et de la partie adjacente de l'opercule frontal (Voy. cas Schweigoffer (Fig. 116 à 122, p. 133 et suiv.),
(Cip) et dans la partie interne du pied du pédoncule cérébral (Voy. cas Rivaut, Racle, Richard, Fig. H2 il 162, 165 à 173
l'étage antérieur de la protubérance et dans la pyramide bulbaire ( cas Schwei- goffer, Fig. 116 à 122, p. 133). 2. S
thode de Weigert. Les zones dégénérées sont colorées en jaune (voy. Cas Courrière, p. 108, Fig. 80 à 86). Al, anse le
les obliques, parallèles à la bandelette optique, (fin. 12, 31, 32, cas Courrière et Bras, Fig, 93, p. 108 a 120) on cons
tiellement à la suite des lésions des lobules lingual et fusiforme ( cas Courrière et Bras, p. 108 à 120). Le faisceau d
artie moyenne des deuxième et troisième circonvolutions temporales ( cas Neumann, Fig. 135, p. 144) et ne dégénère ni à
bral, on trou- vera toujours aux confins de la région sous-optique ( cas Schweigoffer, Fig. 120, p. 136), en dedans de c
e appartenant au système du pied du pédoncule cérébral. Si dans ces cas Fic. 37 et 38.-Dégénérescence des trois cinquiè
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 55 FiG. 39 et 40. - Cas Bizaguet. Dégénérescence de la partie moyenne du
erf moteur oculaire commun. il exisle un pes lemniscus superficiel ( cas Cogery, Fig. 177, p. 175), on verra sur les cou
s, du faisceau moyen du pied du pédon- cule cérébral, telles que le cas Bizaguet (Fig. 39 et 40). Dans ce cas, la zone
cule cérébral, telles que le cas Bizaguet (Fig. 39 et 40). Dans ce cas , la zone dégénérée (P(cl) occupe dans la région
Cette disposition si spéciale ne s'explique qu'en admettant dans ce cas l'existence d'un pes lemniscus superficiel volumi
E PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL (Résultats basés sur l'étude de 53 cas de dégénérescences secondaires.) Les connexions
des parties antérieures des noyaux interne et externe du thalamus ( cas Moriceau, p. 149, Fig. 137 et 140); les lésions
é- rieure et les fibres radiées. tions frontales et pariétales ( cas Scheule, Naudin, Heudebert, Schweigoffer, p. 12
rapproché de la scissure de Sylvius. Les lésions du lobe pariétal ( cas Jouan, Leu- dot, p. 121, Fig. 96 à 105), retent
postérieure du noyau externe du thalamus; celles du lobe occipital ( cas Courrière et Bras, p. 108, Fig. 80 à 95) sur le
as, p. 108, Fig. 80 à 95) sur le pulvinar; celles du lobe temporal ( cas Heu- debert, Le Seguillon, Neumann), p. 137, Fi
orbitaire), de l'opercule frontal et de l'opercule rolandique (voy. cas Moriceau, Fig. 139 et 140,rp. U7, cas Schweigof
e l'opercule rolandique (voy. cas Moriceau, Fig. 139 et 140,rp. U7, cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122, p. 134); elles pa
ique et aux parties adjacentes des lobes frontal et pariétal. (Voy. cas Scheule, Fig. 106 à 112, p. 129, cas Naudin, Fig.
bes frontal et pariétal. (Voy. cas Scheule, Fig. 106 à 112, p. 129, cas Naudin, Fig. 113 à 115, p. 132, cas Heudebert,
cheule, Fig. 106 à 112, p. 129, cas Naudin, Fig. 113 à 115, p. 132, cas Heudebert, Fig. 191 Ù 128, p. 138, cas Schweigoff
din, Fig. 113 à 115, p. 132, cas Heudebert, Fig. 191 Ù 128, p. 138, cas Schweigoffer, Fig. 116 il 122, p. 134). Intimem
e et inférieure, du gyrus supra-marginalis et du pré- cunéus. (Voy. cas Courrière, Fig. 80 à 86; cas Bras, Fig. 87 à 95 ;
ra-marginalis et du pré- cunéus. (Voy. cas Courrière, Fig. 80 à 86; cas Bras, Fig. 87 à 95 ; cas Dautriche, Fig. 92 à 9
cunéus. (Voy. cas Courrière, Fig. 80 à 86; cas Bras, Fig. 87 à 95 ; cas Dautriche, Fig. 92 à 96; cas Jouan, Fig. 96 à 1
Fig. 80 à 86; cas Bras, Fig. 87 à 95 ; cas Dautriche, Fig. 92 à 96; cas Jouan, Fig. 96 à 100; cas Leudot, Fig. 101 à 10
g. 87 à 95 ; cas Dautriche, Fig. 92 à 96; cas Jouan, Fig. 96 à 100; cas Leudot, Fig. 101 à 105; cas Le Seguillon, Fig.
Fig. 92 à 96; cas Jouan, Fig. 96 à 100; cas Leudot, Fig. 101 à 105; cas Le Seguillon, Fig. 129 à 133.) Elles font partie
la circonvo- lution de l'hippocampe (II) et du lobe occipital. Voy. cas Heudebert (Fig. 124 a 128, p. 140); cas Courr
et du lobe occipital. Voy. cas Heudebert (Fig. 124 a 128, p. 140); cas Courrière (Fig. 80 à 86, p. 108); cas Bras (F
(Fig. 124 a 128, p. 140); cas Courrière (Fig. 80 à 86, p. 108); cas Bras (Fig. 87 il 95, p. 114); elles passent par
tique et du pied du pédon- cule cérébral (cette coupe appartient au cas Bras, cécité corticale, p. 115). Méthode de Wei
imement unies. L'étude des dégénérescences secondaires montre (Voy. cas Bras, hémisphère gauche, Fig. 93) qu'elles occupe
couche moyenne du tubercule quadrijumeau antérieur (RQa) (Fig. 169, cas Racle, Fig. 147, cas Rivaut, côté sain et T. te
ercule quadrijumeau antérieur (RQa) (Fig. 169, cas Racle, Fig. 147, cas Rivaut, côté sain et T. ter, Fig. 320, p. 6H).
es persistent intactes dans les lésions de la sphère visuelle (Voy. cas Courrière, Fig. 82) et dans les lésions du lobe
(Voy. cas Courrière, Fig. 82) et dans les lésions du lobe pariétal ( cas Heudebert, Fig. 121., Leudot, Fig. 103) et grâc
capsule interne leur trajet est en général facile à suivre dans ces cas . Les radiations du tubercule quadrijumeau posté
calité cérébrale, en particulier, de la corticalité pariétale (Voy. cas Pradel, Fig. G9, 70, 71, 72, cas Leudot, Fig. 1
de la corticalité pariétale (Voy. cas Pradel, Fig. G9, 70, 71, 72, cas Leudot, Fig. 101.). L'origine corticale et le t
is forment la partie interne du pied du pé- doncule cérébral. (Voy. cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122.) Le plus grand no
très appréciable de la pyramide bulbaire (Fig. 121 et 122, p. 136, cas Schweigoffer). Dans son trajet pédonculaire, le
t dans toute la hau- teur de son trajet pédonculaire. Dans quelques cas toutefois, lorsqu'il existe un pes lemniscus su
ère à la suite de lésions de l'opercule rolandique (Fig. 116 à 122, cas Schweigoffer) et après les lésions centrales, c
rtie infé- rieure du segment antérieur de la capsule interne (Cia) ( cas Cogery, Fig. 174 à 180); dans ce dernier cas le
capsule interne (Cia) (cas Cogery, Fig. 174 à 180); dans ce dernier cas le faisceau geniculé (Ci[g]) est lésé; les lési
érieur de la capsule interne (Cia) respectent le faisceau geniculé ( cas Racle, Fig. 165 à 173), et, partant, ne détermi
a capsule inlerne (Cip), situées immédiatement en arrière du genou ( cas Séjalon, Fig. 181 et 182, cas Jouan, Fig. 97 à
es immédiatement en arrière du genou (cas Séjalon, Fig. 181 et 182, cas Jouan, Fig. 97 à 100, cas Carré, Fig. 186 à 188
e du genou (cas Séjalon, Fig. 181 et 182, cas Jouan, Fig. 97 à 100, cas Carré, Fig. 186 à 188), respectent le faisceau in
fois des fibres saines, disposées en fascicules lâches et obliques ( cas Rivaud, Fig. 150; cas Richard, Fig. 231), qui s
, disposées en fascicules lâches et obliques (cas Rivaud, Fig. 150; cas Richard, Fig. 231), qui s'épuisent chemin faisant
hode des coupes microscopiques sériées montre toutefois comme dans le cas Rivaud, qu'il s'agit, le plus souvent, de fibre
usque dans le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. (Voy. cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. 151 et suiv.) Tous l
rébral. (Voy. cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. 151 et suiv.) Tous les cas ne sont cependant pas justiciables de cette inter
e frontal. Ces fibres ne peuvent avoir qu'une origine corticale, le cas Pradel (vaste lésion cor- ticale avec dégénéres
ces fibres ne peuvent avoir une origine caudée ou lenticulaire. Le cas Mauriceau (Fig. 137 à 1 il, p. 14,) montre en o
d du pédoncule cérébral, en particulier de son faisceau interne. Le cas Mauriceau paraît en contradiction avec le fait
s fibres dans la face orbi- taire du lobe frontal, bien que dans le cas Rivaud, dont le faisceau interne contenait quel
cipât nettement à la lésion primitive. (Voy. Fig. 142 et 147.) Le cas Richard (Fig. 213 il 233) pourrait être invoqué e
ormale'et si les fibres du faisceau interne du pied du pédoncule du cas Richard ne proviennent néanmoins du secteur moyen
PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 9 volume de la pyramide bulbaire ( cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122); et que les dégén
ig. 116 à 122); et que les dégénérescences des trois quarts moyens ( cas Scheule, Fig. 106 à 112) s'accompagnent toujour
égéné- rescence. Le pourquoi de la rareté de ces lésions. les cas qu'ils ont rapportés il s'agissait de lésions à l
sule in- terne. » (J. Dejerine, Illénz. Soc. Biologie, 1893.) (Yoy. cas Cogery, Fig. 4 ïG, p. 173; cas Dautriche, Fig.
Illénz. Soc. Biologie, 1893.) (Yoy. cas Cogery, Fig. 4 ïG, p. 173; cas Dautriche, Fig. 192 à 19G.) La dégénérescence d
terne et le segment inférieur de la cou- ronne rayonnante. Dans ces cas il existe dans la région sous-optique, ainsi qu
ainent pas d'as- symétrie appréciable de la pyramide bulbaire (voy. cas Neumann, Fig. 134 à 136), tandis que les dégéné
nt toujours une petite diminution de volume de cette pyramide (voy. cas Schweigoffer, Fig. 122). Les dégénérescences de
e, voire même d'une atrophie complète de la pyramide bulbaire (voy. cas Scheule,Fig. 112). Historique des fibres de pro
e lésion. Bien que ces dégénérescences s'observent surtout dans les cas de lésions centrales des hémisphères occupant n
avec les cordons postérieurs de la moelle. Meynert, eu égard aux cas d'hémianesthésie d'origine cérébrale rapportés
ent l'occasion de constater la dégénérescence de la pyramide dans des cas de lésions pathologiques du gyrus sigmoïde chez
1° PAR LA MÉTHODE DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES 2" DANS CERTAINE CAS D'AGÉNÉSIES DU MANTEAU CÉRÉBRAL. I. - DÉGÉNÉRES
rescence wallérienne ou cellulifuge. Nous savons aussi que, dans ce cas , la cellule présente des altérations de texture (
ment chez l'adulte dès que la lésion est un peu ancienne (Fig. 55, cas Brichard, cas Dautriche, Fig. 192 à 194, p. 182
dulte dès que la lésion est un peu ancienne (Fig. 55, cas Brichard, cas Dautriche, Fig. 192 à 194, p. 182). Nous savons e
ow, Langley et Grunbaum, etc.) ou lorsqu'elles sont anciennes (voy. cas Pradel, p. 100 et suiv.) - enlraînent une atrophi
e la bandelette optique, ou du ruban de Reil médian (Fig. 57 et 58, cas Pichepin, voy. aussi cas Rivaud, p. 151, Pradel
ou du ruban de Reil médian (Fig. 57 et 58, cas Pichepin, voy. aussi cas Rivaud, p. 151, Pradel, p. 100), soit une dimin
x de la voie pédonculaire respectés par la dégénérescence (Fig. 60, cas Bizaguet), ou le système de projection du rhine
tion du rhinencéphale, en particulier le trigone cérébral (Fig. 61, cas Rivaud), mais encore toute la moitié correspondan
é correspondante de la calotte pédonculo-protubérantielle(Fig. ti0, cas Bizaguet; Fig.73 à 75, cas Pradel), la moitié c
lotte pédonculo-protubérantielle(Fig. ti0, cas Bizaguet; Fig.73 à 75, cas Pradel), la moitié correspondante du bulbe (Fig
g.73 à 75, cas Pradel), la moitié correspondante du bulbe (Fig. 76, cas Pradel ; Fig. 57, cas Pichepin; Fig. 152, cas R
, la moitié correspondante du bulbe (Fig. 76, cas Pradel ; Fig. 57, cas Pichepin; Fig. 152, cas Rivaud) et la moitié de l
te du bulbe (Fig. 76, cas Pradel ; Fig. 57, cas Pichepin; Fig. 152, cas Rivaud) et la moitié de la moelle épinière oppo
oitié de la moelle épinière opposée à la lésion cérébrale (Fig. 77, cas Pradel; Fig. 157, 158, 159, cas Rivaud). A topo
posée à la lésion cérébrale (Fig. 77, cas Pradel; Fig. 157, 158, 159, cas Rivaud). A topographie de lésion égale, l'atrop
date plus ancienne. Il est intéressant de comparer à cet égard les cas d'hémiplégie cérébrale infantile (cas Pichepin, F
t de comparer à cet égard les cas d'hémiplégie cérébrale infantile ( cas Pichepin, Fig. 56 à 59; cas Rivaud, Fig. 142 à
les cas d'hémiplégie cérébrale infantile (cas Pichepin, Fig. 56 à 59; cas Rivaud, Fig. 142 à 162) aux cas d'hémiplégies a
antile (cas Pichepin, Fig. 56 à 59; cas Rivaud, Fig. 142 à 162) aux cas d'hémiplégies anciennes de l'adulte, cas Pradel
Rivaud, Fig. 142 à 162) aux cas d'hémiplégies anciennes de l'adulte, cas Pradel, onze ans de durée (Fig. 66 a 78); cas B
nciennes de l'adulte, cas Pradel, onze ans de durée (Fig. 66 a 78); cas Bizaguet, quinze ans de durée (Fig. 60); cas Co
durée (Fig. 66 a 78); cas Bizaguet, quinze ans de durée (Fig. 60); cas Cogery, vingt-deux ans de durée (Fig. 178,179,180
); cas Cogery, vingt-deux ans de durée (Fig. 178,179,180). Dans les cas d'hémiplégie cérébrale remontant à l'enfance et s
amollissement occupant la moitié droite de la pro- tubérance. (Voy. cas Brichard, IIIe partie.) La dégénérescence rétro
ON DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 93 FIG, : ;1. 1 c. SG, : i ï et : i8. - Cas Pichepin, hémiplégie cérébrale infantile, datant
articipation des noyaux gris centraux. Il existait en outre dans ce cas une dilatation de la corne occipitale et du car
ian et lieiiiii- trophie en masse du tronc encéphalique dans un cas Ù'heIl11- plégie cérébrale m- t'antilo gauche
compensatrice, vicariante pour ainsi dire; très appréciable dans le cas Pichepin (Fig. 57 et 58), elle atteint un degré
as Pichepin (Fig. 57 et 58), elle atteint un degré excessif dans le cas Rivaud (Fig. G2 et 63; voy. aussi les figures 1 i
ussi les figures 1 il, 147 à 1 ? p. 153 et suiv. se rapporlant à ce cas ). Dans le centre ovale, la capsule interne elle
sinage immédiat du foyer primitif cortical et se réduira Fig. 59, - Cas Pichepin. fragments des couches interolivaires du
calolte du pédoncule cérébral et de la voie pédon- culaire dans un cas de dégénérescence de la partie moyenne du pied du
dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral. ( Cas Bizaguet, voy. Fig. 39, p. 55.) FiG. Gi. Atroph
) FiG. Gi. Atrophie en masse du pilier antérieur du trigone dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. (Cas Rivaud,
antérieur du trigone dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. ( Cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. l : il et suiv.) L'atr
e grossissement. atrophie indirecte du ruban do Reil médian dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. (Cas Rivaud,
ruban do Reil médian dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. ( Cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. 150 et suiv.) (Colorai
t de la pyramide antérieure du bulbe (Fig. 63) du côté sain dans un cas d'hémiplégie céré- brale infantile avec agénési
e céré- brale infantile avec agénésie de la pyramide du côté lésé. ( Cas Rivaud, voy. p. 151, Fig. 142 à 102.) Bibliot
ce rétrograde des fibres corticipètes. En d'autres termes, dans les cas de lésion sous-corticale ou capsulaire et il en
ge, plus lentement dans le sens celluli- pète (voy. en particulier, cas Dautriche, Fig. 192, à 194, p. 182, lésion du s
es sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante et le cas Brichard, Fig. 55 lésion protubérantielle, dégéné
pathologie expérimentale, car elle ne peut s'appliquer que dans des cas de lésions récentes et on ne peut l'employer pour
mis en évidence dans certaines agénésies du manteau cérébral (voir cas Longery et Richard, p. 185 et suivantes). Lorsq
cellule d'origine. La méthode de Weigert per- mettra bien, dans ces cas , d'établir le trajet du neurone court lésé, mais
aussi, dans FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 99 ces cas , ne faut-il jamais négliger d'étudier, soit par l
ressent de ce fait à peu près toutes les fibres de projection. Le cas Pradel.- Hémiplégie droite avec contracture et ap
t à l'âge de 68 ans (Fig. 66 à 78) - représente en quelque sorte le cas idéal, schématique pour celle étude (voy. Dejerin
la circonvolution frontale interne et le lobe orbitaire. FIG. 66. - Cas Pradel. Hémiplégie droite avec contracture et aph
e mort à 68 ans. Topographie de la vaste lésion corticale. Fig. 67. Cas Pradel. Hémiplégie droite avec contracture et aph
le atrophie en masse. - Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. 3 Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participa
pied du pédoncule cérébral. 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participa
de projection de la région occipitale (faces interne et externe), ce cas correspond en réalité à une destruction de tout
omme aspect bien que réduit de volume (Fig. 67 et 68). FIG. 68. - Cas Pradel. Coupe horizontale passant par la partie s
RES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 103 1° Il existe dans ce cas : une dégénérescence totale de toutes les fibres
halamus (Fig. 67, 68), le centre médian de Luys (\m), le FiG. 69. - Cas Pradel. Coupe horizontale passant par la région s
de Reil médian (rgRm). - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participa
pied du pédoncule cérébral. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participa
e com- plète des fibres de projection corticale, on pouvait dans ce cas étudier à l'état dissocié pour ainsi dire les r
rne, conséquence directe de sa dégénérescence (Fig. 78). FiG. 70. - Cas Pradel. Région sous-thalamique. - Dégénérescence
1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. Ce cas montre donc : 1° Que la corticalité cérébrale e
interne et externe, au noyau rouge de Stilling,; FiG. 71 et 72. - Cas Pradel. Région pédonculaire supérieure. - Dégénér
terne (Cgi) du locus Niger et du noyau rouge. (Méthode de Weigert.) Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participa
pied pédoncule cérébral. 1 106 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Pradel. \'aste lésion corticale sans particip
dont les unes s'épuisent dans le locus niger et la Fic. 73 et 74. - Cas Pradel. Région pédonculaire moyenne et inférieure
phalique, ainsi que du locus niger. 2/1 grandeur nature. Fig. 75. - Cas Pradel. Coupe transversale de la protubérance. -
calotte gauche. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIG. 76. - Cas Pradel. Dégénérescence totale de la pyramide gauc
a corticalité cérébrale (Voy. Ruban de Reil, IIIe partie) ; 4° Ce cas montre en outre que le corps strié (noyau caudé
rement avec l'atro- phie considérable de la couche optique. Si ce cas nous renseigne parfaitement sur les con- nexion
le avec le thalamus et le noyau rouge et l'absence ou le FiG. 77. - Cas Pradel. Quatre coupes de moelle des régions c
e la moelle. Méthode de Weigert 3/1 grandeur nature. Fig. 78. - Cas Pradel. Coupe horizontale du segment postérieur
n sous-optique du côté sain (Fig. 67), et avec la Fig. 161, p. 163, cas Rivaut, hémiplégie infantile; ici la lésion rem
du man- teau cérébral. Méthode de Weigert 15/i grandeur nature. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans participa
ibres de projection cortico- bulbaires ou cortico-médullaires (voy. cas Courrière, Fig. 80 à 80, et cas Bras, Fig. 87 i
ulbaires ou cortico-médullaires (voy. cas Courrière, Fig. 80 à 80, et cas Bras, Fig. 87 i à 95, p. 115). Les lésions du
porale, lobules lingual et fusiforme); 3° Du tapetum (Tap) (Voy. cas Courrière et Bras) qui envoie un grand nombre de
gone cérébral tributaires du lobe limbique (Voy. p. 278). Dans le cas Courrière (cécité verbale pure, Fig. 80-86), il s
oi inférieure du ventricule et se rendre avec le forceps FiG. 80. - Cas Courrière. Cécité verbale pure. Topographie des l
Dégénérescence du bourrelet du corps calleux. (Voy. Fig. 8G.) Ce cas a trait à un malade que l'un de nous a observé et
e par le foyer de ramollissement récent (Rr, Fig. 86). FIG. 81. - Cas Courrière. - Cécité verbale pure. - Coupe horizon
radiées du pulvinar (Pul). Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Cas Courrière. Cé- cité verbale pure. Plaque jaun
pieddu pédoncule cérébral. 112 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Courrière. Cé- cité verbale pure. Plaque jaun
sceau deTûrck et du pied du pédon- cule cérébral. Fc. 82 et 83. Cas Courrière. Cécité veibale pure. Coupes horizontal
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. t13 FIG. 84 et 85. - Cas Courrière. Cécité verbale pure. Coupes horizontal
g. 8a). Méthode de Weigert. 3/2 gran- deur nature. ' TOME II. 8 Cas Courrière. Cé- cité verbale puro. Plaque jaun
édoncule cérébral. 114 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fie. 86. - Cas Courrière. Cécité verbale pure. Coupe vertico-tra
'hémisphère. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 115 Le cas Bras a trait à un vieillard de 64 ans, atteint de
du lobe occipital; elles peuvent être suivies sur FiG. 87 et 88. - Cas Bras. Topographie de la double lésion corticale d
et 88. - Cas Bras. Topographie de la double lésion corticale dans un cas de cécité corticale. A droite, plaque jaune anc
arine et du pli cunéo-limbique, (Voy. J. Dejerine et Vialet, Sur un cas de cécité corticale diagnostiquée pendant la vie
el confirmée par l'autopsie. (C. R. Soc. Biologie, 1893, p. 983.) Cas Bras. Cécité corticale. Topogra- phie de la d
corticaux de la vi- sion. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion des
de la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. FiG. 89. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Topog
Fig. 87) il n'existe à la face interne du lobe occipital FiG. 90. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe
sont colorées en jaune.) Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du c
do la bandelette optique. , 118 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du c
e très intense, bien que limitée, des couches sagittales Fic. 91. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe
r de la deuxième circonvolution temporale et occupent la Fig. 92. - Cas Bras. Cécité corticale.7JemMp/t<i)'e gauche. C
3/2 grandeur nature. Les zones dégénérées sont colorées en jaune. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du c
t de la bandelette optique. 120 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras. Cécité corticale par double lésion du c
à peu près parallèle au plan de section des ganglions de la base du cas Schweigoffer (Fig. 116) passe par la voûte de l
apsule interne sont parfaitement normaux. Il existe enfin dans ce cas une dégénérescence limitée bien que très intense
ne dégénérescence limitée bien que très intense du corps Fig. 93. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisphère gauche. Coup
du lobe pariétal, même lorsqu'elles sont isolées, 1 ic. 9t et 93. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisphère gauche. Coup
rées en jaune. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Fic. 96.- Cas Jouan. (Bicêtre.) Topographie de la cavité porenc
t d'après une photographie. 122 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe limité
ionnent par conséquent les couches sagittales du segment FIG. 9-1.- Cas Jouan. (Bicêli-e.)Cavi Lé poieiicéplitilique du L
ne de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul). Il existe en outre dans ce cas de petits foyers lacunaires disséminés dans le se
RCE CÉRÉBRALE. 123 postérieur de la couronne rayonnante. Dans ces cas , on observe toujours une dégéné- rescence secon
icifuges et ]des fibres corticipètes. Mais on peut rencontrer des cas plus rares, il est vrai, que les précédents, et d
aisceau compact du segment postérieur de la couronne rayonnante. Le cas Jouan (Fig. 96 à 100) en est un exemple très net.
Jouan (Fig. 96 à 100) en est un exemple très net. Il existe dans ce cas une lésion de déficit (cavité porencéphalique) me
u foyer, la striai ion des couches sagittales (Fig. 96). Fin. 98. - Cas Jouan. Coupe horizontale un peu oblique en bas et
e de la capsule externe. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe limité
du pédoncule cérébral. L 124 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe limité
courbe contient des fibres de projection, et qu'il Fig. 99 et 100. Cas Jouan. Monoplégie facio-linguale avec contracture
apsule interne immédiatement en arrière du genou. Remarquer dans ce cas l'intégrité de la moitié postérieure du pied du p
psule interne. Lorsque la lésion du lobe pariétal est plus étendue ( Cas Leudot, Fig. 101 à 105), lorsqu'elle intéresse
te, à la dégénérescence du pulvinar, de la partie supé- Fig. 101. - Cas Leudot. (Bicêtre 1890.) Plaque jaune de la circ
on de la vue autre que l'hémianopsie droite. (Voy. Dejerine, sur un cas d'aphasie senso- rielle (cécité et surdité verb
capsule interne et en partie par son segment pose térieur (Cip). Cas Leudot. Apha- sie sensorielle. Lé- sion du pl
grité du faisceau de Turck. 126 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Leudot. Apha- sie sensorielle. Lé- sion du pl
érébral Intégrité du faisceau de Turck. FiG. 102, 103 et 104. - Cas Leudot. Aphasie sensorielle avec hémianopsie par
de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 121 Cas Leudot Apha- sie sensorielle. Lé- sion du ph
icale : Lorsque la lésion primitive intéresse l'opercule ric. 10. - Cas Leudot. Aphasie sensorielle avec hémianopsie. Pla
ule [Ci(g)] et le cinquième interne du pied du pédoncule 'cérébral ( cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122) ; clans une lésion
re des circonvolutions frontale (Fa) et pariétale ascendantes (Pa) ( cas Scheule, Fig.100 à 112), elle occupera dans la ré
a capsule interne et du bord interne du pied du pédoncule cérébral ( Cas Naudin,Fig. 113 à 41a, cas Heudebert, Fit. 124 à
d interne du pied du pédoncule cérébral (Cas Naudin,Fig. 113 à 41a, cas Heudebert, Fit. 124 à 128). C'est là une loi que
l'un de nous a formulée en 1892 et qui est basée aujourd'hui sur 37 cas personnels de lésions corticales examinées à l'
radiées de l'extrémité antérieure du thalamus qui sont dégénérées ( cas Schweigoffer, Fig. 119); si elle occupe la partie
adjacente du thala- mus qu'il faut chercher les fibres dégénérées ( cas Scheule, Fig. 108). Ce fait montre donc que dan
der de fibres de projection pour la région tome II. 9 FIG. 106. - Cas Scheule (Bicêtre 1892). Hémiplégie gauche datant
s- cences, Fig. 102 à 117.) 130 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Scheulc Hé- miplégie gauche. Ha- mollissement
ntense de la pyramide anté- rieure du bulbe. 1'u : .107 etl08. - Cas ScheuJe ! Bicêtre 1892). Hémiplégie gauche datant
dégénéres- cence très intense de la pyramide antérieure du bulbe. Cas Scheule. Ilé- miplégie gauche. Ra molhsscmcnt
ramide anté- rieure du bulbe. 132 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Naudin Mo- noplégie brachiale droite. Enfonce
partiellement dégénéré dans les lésions de la zone rolan- dique ( cas Schweigoffer, Fig. 417 et 118) et la dégénérescen
le noyau caudé et (juicontient la fois des fibres FIG. 113 à 41. - Cas Naudin (Bicêtre 1894). Traumatisme du crâne, ch
rt supérieur des circonvolutions frontale et pariétale ascendantes ( cas Scheule. Fig. 106 à 112). - Les lésions du lobu
de la face externe des circonvolutions rolandiques, mais même dans le cas où cette dernière lésion n'est pas apparente à
la partie antérieure de la circonvolution pariétale inférieure (Voy. cas Leudot) (Fig. 101 à 105). Le champ de dégénér
supérieur des circonvolutions frontale et pa- riétale ascendantes ( cas Naudin. Fig. 113 à 115).- Il s'agit dans ce cas d
riétale ascendantes (cas Naudin. Fig. 113 à 115).- Il s'agit dans ce cas d'un enfon- cement du crâne ayant contus et lés
eur de la capsule interne (Cip) un siège plus antérieur que dans le cas précédent (Fig. 114). Il en est de même pour le s
égénéré du pied du pédoncule cérébral (P). (Fig. If;j). Comme dans le cas précédent, il existe une disparition des fibres
du deuxième quart inférieur de la zone rolandique. - Le cerveau du cas Heudebert (Fig. 124 à 128) présente deux lésions;
une monoplégie bra- chiale droite avec aphasie 121). Comme dans les cas précédents, la dégénéres- cence occupe le segme
ayonnante (pCR), le segment lenticulo- 134 DES CENTRES NERVEUX. Cas Schweigotfer. Monoplégie f acio-lin- guale ga
de dégéné- rescence est reportée encore plus en avant que dans les cas précédents. Elle occupe, dans la région thalami
des trois quarts externes optique (Fig. 127 et 128). Comme dans les cas précédents, on observe encore ici une dégé- nér
aire ou pédonculaire dégénérée. 4° Lésion de l'opercule rolandique ( cas Schweigoffer. Fig. 116 à 122). - Il s'agit dans
rolandique (cas Schweigoffer. Fig. 116 à 122). - Il s'agit dans ce cas d'une porencéphalie acquise, taillée pour ainsi d
érieur de la zone rolandique et le pied de la troisième FiG. 116. - Cas Schweigoffer. Monoplégie facio-linguale gauche et
s. clin, in Leresciie, Thèse. Paris, 1890. Obs. XXVI. FiG. tiS. - Cas Schweigoffer. Monoplégie facio-linguale gauche. C
ur de la capsule interne (Méthode de Weigert). 2/1 grandeur nature. Cas Schwcigojfcl'. .Mono plé-i e ficio-1 in guale
ébral. Légère diminution de volume de la pyra- mide bulbaire. Cas Schweigoifer. Monoplégtofacto-hn- guale gauch
es sériées mon- tre que le faisceau dégénéré FIG. 119 et 4 ? 0. - Cas Schweigoffer. Coupes horizontales obliques en
ainsi que le montre la différence de volume que présentent dans ce cas les pyramides antérieures (Fig. 122). LOBE TE
u interne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger dans le cas Schweigoffer. (Porencéphalie acquise de l'operc
e du bulbe sans dégénéres- cence appréciable. Méthode de Weigert. Cas Schweigeffer. \fonoplégiofacio-lin- guale gau
rtie postérieure et supérieure de ce lobe (Fig. 123). Dans le premier cas (cas Heudebert, Fig. 124 à 128) ce sont les 3e
postérieure et supérieure de ce lobe (Fig. 123). Dans le premier cas ( cas Heudebert, Fig. 124 à 128) ce sont les 3e et 2'
rose, celui de l'artère cérébrale postérieure en vert. Fig. 124. - Cas Heudebert (Bicêtre, 1892). Aphasie totale, le mal
rck. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 139 rG. 126. Cas Heudebert. Aphasie totale. l'a- ralysie facia
ne et du faisceau de Turck. 140 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Heudebert. Aphasie totale. Pa- ralysie facial
externe et du faisceau de Turck. sont atteintes; dans le second ( cas Le Seguillon,Fig. 129 à 133), ce sont le gyrus su
cir- convolution postérieure de l'insula (Ip). Dans l'un et l'autre cas il s'agit, en général, de lésions à la fois cor
cales qui atteignent les couches sagittales du FiG. 125, 126, 127. - Cas Heudebert. Coupes horizontales passant par les ré
> (Pul), (lu corps genouillé ca;<enM(Cge)se joignent, dans ce cas des dégénérescences propres au lobe temporal. Ce
n temporale une dégénérescence du corps genouillé inlerne (Cgi). Le cas Heudebert (Fig. 42'r à 128) qui nous a déjà servi
le interne en avant des radiations du corps genouillé FiG. 1` ? 8.- Cas Heudebert. Coupe de la région pédonculaire infé
u pied du pédoncule ou faisceau de Tiirck (FT). Il existe dans ce cas une dégéné- rescence manifeste de la pyramide
du pied du pédoncule cérébral (Fig. 128). Il existe donc dans ce cas une dégénéscence : 1° des fibres cortico-thalamiq
ième externe du pied du pédoncule cérébral. Il est impossible dans ce cas de déter- miner ce qui, dans la dégénérescence
e cérébral dans les lésions du lobe occipital rapportées plus haut ( cas Courrière, Fig 80 à 83 et cas Bras, Fig. 87 à 9
lobe occipital rapportées plus haut (cas Courrière, Fig 80 à 83 et cas Bras, Fig. 87 à 9 : i, p. 109 à 121), il est perm
r de la lésion des 2° et 3° circonvolu- tions temporales. Dans ce cas , il existe en outre une dégénérescence du faiscea
nt au moins en partie de la dégénérescence du faisceau uncinatus. Cas Le Seguillon (Fig. 129 à 133) : il s'agit d'une
dyme du carrefour ventriculaire. La dégénérescence occupe dans ce cas (Fig. 130 et 131) la région rétro-lenticulaire
égénérées- Elle occupe, dans le pied du pédoncule céré- FIG. 129. - Cas Le Seguillon (Bicêtre, 1892). Hémiplégie gauche
ence du pumnar ;W u) CL de la zone de w er- nicke (W.) Fig. 131). Cas Le Soguilloii. Plaque jaune du pli courbe, de
partie postérieure du noyau 144 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Le Seguillon. Plaque jaune du pli courbe, do
ès intense de la py ra- mide antérieure du bulbe. lnc. 132. - Cas Le Se- guillon. Hémiplégie gauche avec contra
antérieure. Comparez à ce dernier point de vue la Fig. 132 avec le cas Leudot (Fig. 103 et 10 ! r) (commis- sure antér
(Fig. 103 et 10 ! r) (commis- sure antérieure intacte), et avec le cas Jouan (Fig. 98) dans lequel la commissure antér
et. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Fic. 433- rie. 133. - Cas Le Seguillon. Hémiplégie gauche avec contractur
partie postéro-supérieure du noyau rouge (NI3). Il existe dans ce cas une dégénérescence très intense de la pyramide
indemne. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 145 Dans ce cas , il existe donc une dégénérescence des fibres cor
natus (Fu) (Fig. 132) et du faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce cas est particulière- ment démonstratif pour l'étud
ans le deuxième segment externe du pied du pédoncule cérébral. Ce cas présente en outre une particularité intéressante.
e s'observe que lorsque le lobe temporal est lésé (p. T9 et 80). Le cas Neuman (Fig. 134 à 136) a trait aune lésion isolé
moyenne des deuxième et troisième circonvolutions temporales. Dans ce cas il existe une dégénérescence du segment sous-le
sectionnait pas les couches sagittales de la région. Dans deux autres cas , à topo- graphie analogue, la dégénérescence se
Cirl) ; les unes TOME u. 10 146 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Neumann. Dé- générescencedufas- ceau externe
s de dégénéres- cence de la pyramide bulbaire. FiG. 134 à 136. - Cas Neumann. (Bicêtre, 1893.) Trouvaille d'autops
bliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière Fig. 137. - Cas Moriceau. Hémisphère gauche. Aphasie transitoire.
et interne du thalamus (Ne et Ni). (Voy. aussi Fig. 138 et 141.) Cas Moriceau. Ra- mollissement de I'o\- trémité a
pied du pédoncule cérébral. 148 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Moriceau. Ra- mollissement de l'ex- trémité a
us. Intégrité du pied du pédoncule cérébral. FiG. 138 et 139. - Cas Moriceau (Bicêtre, 189). Ramollissement de l'extr
pendant trois à quatre- mois une aphasie transitoire. FiG. 140. - Cas Moriceau. Hémisphère droit. Ramollissement de l'e
11HO' (A. ? l11) , jusque dans la face orbitaire du lobe frontal ( cas Heudebert, Fig. 126 et 127). LOBE FRONTAL. Le
emière et deuxième ei,co21vollitio ? Sfi-012tales(Fi et 1<'2) ( cas Moriceau IL d., Fig. 139 et 140) entraînent une
s deux tiers antérieurs de la troisième circonvolution frontale (F3) ( cas Moriceau, IL g. Fig, 137, 138 et 141) sectionne
le segment antérieur de la capsule interne est caractérisé dans ces cas , bien plus par la minceur de ses fascicules que p
ses fascicules que par l'étendue des zones dégénérées. Fig. 111. - Cas Moriceau. Hémisphère gauche. Inté grité du pied
Hémisphère gauche. Inté grité du pied du pédoncule cérébral dans un cas d destruction des deux tiers antérieurs delà tr
nterne (Cia) sont rares. Celles qui en occupent la partie supérieure ( cas Racle, Fig. 165 à 173) empiètent en général sur
la par- tie inférieure du segment antérieur de la capsule interne ( cas Cogery, Fig. 174 à 180), intéressent en même te
n thalamique inférieure, le faisceau geniculé. Dans l'un et l'autre cas , il existe une dégénérescence du pied du pédonc
s la région sous-thalamique. Lorsque le faisceau du genou est lésé ( cas Cogery, Fig. 174 à 180), la dégénérescence occupe
gment moyen de la couronne rayonnante qui est con- jointement lésé ( cas Racle, Fig. 165 à 173), la dégénérescence siège e
loi Les lésions du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ( cas Rivaud, Fig. 142 à 162; cas Racle, Fig. 165 à 1
postérieur de la capsule interne (Cip) (cas Rivaud, Fig. 142 à 162; cas Racle, Fig. 165 à 173; cas Cogery, Fig. 174 à 1
terne (Cip) (cas Rivaud, Fig. 142 à 162; cas Racle, Fig. 165 à 173; cas Cogery, Fig. 174 à 180; cas Carré, Fig. 186 à 1
. 142 à 162; cas Racle, Fig. 165 à 173; cas Cogery, Fig. 174 à 180; cas Carré, Fig. 186 à 188; cas Séjalon, Fig. 181 et
. 165 à 173; cas Cogery, Fig. 174 à 180; cas Carré, Fig. 186 à 188; cas Séjalon, Fig. 181 et 182; cas James Fig. 183 à
174 à 180; cas Carré, Fig. 186 à 188; cas Séjalon, Fig. 181 et 182; cas James Fig. 183 à 185) déterminent, dans la région
bral, et la zone dégénérée en occupe le deuxième cinquième interne ( cas Séjalon, Fig. 182; cas Carré, Fig. 188); les lési
rée en occupe le deuxième cinquième interne (cas Séjalon, Fig. 182; cas Carré, Fig. 188); les lésions de la partie moye
ip) font dégénérer la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral ( cas James, Fig. 184); les lésions de la partie post
rtie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ( cas Carré, Fig. 186; cas Lavigne, Fig. 189) entraîn
egment postérieur de la capsule interne (Cip) (cas Carré, Fig. 186; cas Lavigne, Fig. 189) entraînent une dégénérescenc
ntéresse le segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl) ( cas Cogery, Fig. 176 et 177). Les lésions exclusive
terminent par conséquent une dégénéres- cence du faisceau de Turck ( cas Dautriche, Fig. 192 à 196). Ces considérations
Ces considérations une fois posées, il est intéressant d'étudier les cas en détail. A. - Vaste lésion corticale et sou
as en détail. A. - Vaste lésion corticale et sous-corticale. Le cas Rivaud (Fig. 142 à 162) se rapporte à une lésion
rticulier le noyau caudé (Fig. 144) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Hicaud. lIé- miplégie cérébrale infantile gau
capsule interne (Ci[g]) et la parlie postérieure FiG. 142 el 143. - Cas Rivaud. (Bi- cêtre 1893.) Hémiplégie cérébrale
ibres cortico-thalamiques du pulvinar (Pul), des noyaux Fic. 144. - Cas Rivaud. Hémiplé- gie cérébrale infantile gauche
- quer les quelques rares fibres respectées du segment moyen de Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauc
u py- ra midal homolatéral. 154 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauc
nt dépourvu (Fig. 146), ce qui tient évidemment Fic. 147, 148, 149. Cas Rivaud. Coupes horizontales passant par la pa
4G et 149, 3/2grandeurnature. 156 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Ilê- miplégie cérébrale infantile gau
rière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 157 Fig. 150. - Cas Rivaud. Dégéné- rescence des quatre cinquièmes
' gauche. Méthode de Weigert. 2/1 1 grandeur nature. FiG. 151. - Cas Rivaud. Coupe transversale sectionnant la partie
oie pédonculaire gauche. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauc
au py- ramidal homolatéral. 158 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauc
enouillés externe et interne (Cee, Cati) (Fis. 149), de FIG. 152. - Cas Rivaud. Coupe transversale du bulbe passant par l
ramide gauche. Méthode de Weigerl. 4/1 grandeur nature. Fig. 133. - Cas Rivaud. Coupe transversale du bulbe passant a
yau rouge (\R) (fin. 1 r8 et 149) du locus niger luc. 151 et 155. - Cas Rivaud. Coupes passant par le collet du bulbe et
rdon latéral gauche. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauc
trice de la pyramide gauche; faisceau py- ramidal homolatéral. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauc
ême est diminuée de volume; mais on ne retrouve pas, comme dans les cas de dégénérescence secondaire de l'adulte, rempl
'adulte, remplacement des faisceaux pyramidaux dégénérés (Comparer ce cas avec le cas Pradel, Fig. 77). Ce n'est que sur
acement des faisceaux pyramidaux dégénérés (Comparer ce cas avec le cas Pradel, Fig. 77). Ce n'est que sur les coupes do
pas ici une dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral ce cas présente néanmoins de nombreuses analogies avec l
cérébral ce cas présente néanmoins de nombreuses analogies avec le cas Pradel (Fie. 66 à 78). rovr. Il. il l')G. 15\
grise et cordons blancs). Méthode de Itosin. 6/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauc
eau p- ramidal homolatéral. 162 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauc
correspondant à la lésion, mais ici intervient proba- I'tc. 160. - Cas Rivaud. Hémiplégie cérébrale infantile. Un fragme
dans l'hémiplégie cérébrale infantile. Ce qui frappe encore dans le cas Rivaud, c'est la petitesse, l'atrophie extrême de
l'adulte, même lorsqu'elles sont très anciennes, comme Fig. 161. - Cas Rivaud. Un fragment grossi de la partie antérieur
ques les unes des autres. (Comparer cette figure avec la Fig. 78 du cas Pradel.) Méthode de Weigert- Pal. 10/1 grandeur
78 du cas Pradel.) Méthode de Weigert- Pal. 10/1 grandeur nature. Cas Hivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gatt
ramidal homolatéral. 164 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. dans le cas Pradel (Fig. 78), les radiations strio-tlialamicl
strio-tlialamiclues et strio-sous-thalamiques- ne sont pas dans le cas Rivaud séparées les unes des autres par des inter
dire--l'él at de la pyramide le démontre suffisam- ment. -]Dans les cas d'agénésie par malformations des hémisphères céré
vie intra-utérine, cette disparition est encore plus accusée (voy. cas Richard, Fig. 220). Chez l'adulte, par contre, le
sceau disparu, tout en occupant une étendue moindre que ce dernier ( cas Pradel, Fig. 78). Le cas Rivaud est enfin remar
cupant une étendue moindre que ce dernier (cas Pradel, Fig. 78). Le cas Rivaud est enfin remarquable par l'hypertrophie c
lace en avant du col de la corne postérieure (Fig. lî). FIG. 162. - Cas Rivaud. Coupe passant par la partie inférieure de
rne, sans participation du faisceau géniculé (Ci)g).- Le cerveau du cas Racle (Fig. 165 à 173) présente une lésion cent
e supérieure du segment postérieur (Cip) de FiG. 165, 166 et 167. - Cas Racle. Hémiplégie droite avec contracture et apha
ns la partie inférieure du segment antérieur de la capsule et de la Cas Racle. Hénll- plégie droite avec aphasie. Lés
tielle du faisceau gé 1 calé. 168 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Racle. Ilénit- plégie droite avec aphasie. Lé
contenu de substance grise, que la membrane épendymaire FiG. 168. - Cas Racle. Ce cas concerne un homme mort à l'âge de
stance grise, que la membrane épendymaire FiG. 168. - Cas Racle. Ce cas concerne un homme mort à l'âge de 62 ans, attei
de la commissure antérieure (coa). Sur ces coupes, on voit se déta- Cas Racle. llénu- plégie droite avec aphasie. Lés
rtielle du faisceau géniculé. 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Racle. Hémi- plégie droite avec aphasie. Lési
les fibres du pied du pédoncule sont d'ori- gine corticale (Voy. cas Pradel, p. 100). Étant donnée la topographie de
s'enchevêtrent dans la région sous-optique et le fais- Fin. 172. - Cas Racle. Cinq coupes du pied du pédoncule cérébral
mamillaire. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIG. 173. - Cas Racle. Coupe transver- sale de la partie inféri
ux antéro-internes de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert. Cas Racle. Hémi- plégie droite avec aphasie. Lési
nes dans le corps de Luys (Fig. 170 et 171). 3° Il existe dans ce cas une intégrité parfaite du noyau antérieur du thal
Reil médian dans son trajet pédonculaire et protubérantiel. 4° Le cas Racle est encore intéressant par la présence d'un
du segment sous- lenticulaire de la capsule interne (Cisl). - Le cas Cogery est la contre-partie du cas Racle. Chez
a capsule interne (Cisl). - Le cas Cogery est la contre-partie du cas Racle. Chez ce dernier il s'agit d'une lésion c
une lésion de la partie inférieure du segment antérieur FiG. 174. - Cas Cogery. Topographie de la lésion de déficit (po
). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. - 173 FiG. 1 îa. - Cas Cogery (Bicêtre, 1893). Syphilis cérébrale chez u
lenticulaire de la capsule interne (Fig. 176) (Méthode de Weigert), Cas Cogery. Hémi- plégie gauche, sur- tout du mem
ente du segment postérieur de la capsule inlerne. Dans le pre- mier cas (Racle) il existe une dégénérescence des parties
gert. FIBRES DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 175 Fic. 177. - Cas Cogery. Coupe pas- sant par la partie inférieur
épreuve négative » du pied du pédoncule de Racle. L hémisphère du cas Cogery présente trois lésions : une petite lésion
le interne et le pied du pédoncule cérébral : Fig. 178, 179, 180. - Cas Cogery. Coupes passant par la partie moyenne de l
gauches et du feutrage du noyau du cordon de Burdach gauche (.NI». Cas Cogery. Hémi- plégie gauche, sur- tout du mem
e la cou- ronne rayonnante. 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Cogery. Hémi- plégio gauche, sur- tout du mem
être subie jusqu'à la région lombaire inférieure. Il existe dans ce cas : 1° par suite de la lésion du corps genouillé ex
al, et siège immé- diatement en dehors de lui (Fig. 182). Dans le cas Carré (Fig. 186 à 188), l'hémisphère droit présen
ule cérébral (Fig. 188), une situation plus postérieure que dans le cas Ségalon; elle occupe en effet le deuxième cinqu
ncule cérébial son deuxième cinquième externe (Fig. 188). Dans le cas James (Fig. 183 à 185), la lésion centrale occupe
ide bulbaire est ici dégénérée en totalité (Fig. 18). TOME Il. 12 Cas Séjalon. Des- truction do la partie antérieur
érescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule. Cas James. Hémi- plégie droite. Lésion de laparti
nce de la partie moyenne du pied du pédoncule. Fig. 181 et 182. Cas Séjalon. Lésion centrale de la partie moyenne
s niger. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. rc.183, 484,185. - Cas James. Hémiplégie droite. Foyer du putamen dé
pédoncule cérébral et du locus niger (Fig. 188). 2° Lésion destruc- Cas Carré. 1° Lé- sion de la partie an- térieure
externe du pied du pédoncule. 180 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Carre. 1° Lé- sion de la partie an. tenoure d
érescence du deuxième cinquième externe du pied du pédonculo. Cas Lavigne. Lé- sion de la partie pos- térieure
de Reil médian. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nalure. Dans le cas Lavigne (fig. ils9, 190 et 191) enfin, il s'agit
la partie profonde du corps genouillé interne, la ré- 1 ic. 189. - Cas Lavigne (Bicêtre, 1893). Hémiplégie droite. Lésio
(coa). Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIG. 190 et 191. - Cas Lavigne (Bicêtre, 1893). Hémiplégie droite. Coupe
cérébral (Fig. 191). nié- thode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Cas Lavigne. Le- sion de la partie pos- térieure
ne dégénérée occupe une situa- tion encore plus externe que dans le cas Carré (Fig- 188). 11 existe enfin dans ce cas u
lus externe que dans le cas Carré (Fig- 188). 11 existe enfin dans ce cas une dégénérescence de la couche de fibres super
ence des voies optiques en amont et en aval du foyer primilif. Le cas Dautriche (Fig. 192 à 190) a trait à un homme de
en que petites ont entraîné de par leur siège la dégé- 1'ic. 192. - Cas Dautriche. Hémiplégie gauche avec contracture et
rck. Méthode de Weigert-Pal. 5/4 grandeur nature. Fir. 193 et 191. - Cas Dautriche. Hémiplégie gauche avec contracture et
ie supérieure du pédoncule aux confins de la région sous optique. Cas Dautricho. Hémiplégie gauche avec contracture
teurs centraux de la vision. 184 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Cas Dautriche. Hémiplégie gaucho avec contracture
une dégénérescence partielle du corps genouillé Fig. 193 et 196. - Cas Dautriche. Hémiplégie gauche avec contracture et
pilier antérieur, mais qui est infiniment moins intense que dans le cas Cogery (Fig. 175) où la lésion avait sectionné
iété sur la partie externe du pédoncule cérébral. Il existe dans ce cas une intégrité parfaite du ruban de Reil médian (R
e, ou encore à la simple étude macroscopique des pièces. Les deux cas que nous rapportons (cas Longery et Richard) sont
e étude macroscopique des pièces. Les deux cas que nous rapportons ( cas Longery et Richard) sont le complément des cas
que nous rapportons (cas Longery et Richard) sont le complément des cas Pradel et Rivaud. Chez l'un (cas Longery), le r
et Richard) sont le complément des cas Pradel et Rivaud. Chez l'un ( cas Longery), le rhinencéphale est presque normal,
longitudinales et la pyra- mide antérieure du bulbe est absente. Ce cas est donc le pendant du cas Pradel, p. 100, mais
mide antérieure du bulbe est absente. Ce cas est donc le pendant du cas Pradel, p. 100, mais chez Longery il s'agit d'u
dullaire, à la suite d'une vaste lésion corticale. Dans le deuxième cas (cas Richard), il existe bien un manteau cérébr
ire, à la suite d'une vaste lésion corticale. Dans le deuxième cas ( cas Richard), il existe bien un manteau cérébral (F
et inférieure. Les fibres de projection se sont développées dans ce cas , mais elles n'arrivent à la capsule interne que
ment supérieur de la couronne rayonnante dans la capsule interne. Ce cas peut être rapproché du cas Rivaud (p. 151, Fig.
e rayonnante dans la capsule interne. Ce cas peut être rapproché du cas Rivaud (p. 151, Fig. 142 à 162), chez le- quel
pied du segment supérieur de la couronne rayonnante. Mais les deux cas tératologiques (cas Longery et Richard) diffèrent
érieur de la couronne rayonnante. Mais les deux cas tératologiques ( cas Longery et Richard) diffèrent 186 ANATOMIE DES
ngery et Richard) diffèrent 186 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. des cas Pradel et Rivaud en ce que l'anomalie d'évolution
en diffèrent encore par l'absence complète du système calleux dans le cas Longery, et par l'agénésie partielle du tronc d
gery, et par l'agénésie partielle du tronc du corps calleux dans le cas Richard. Ils en diffèrent enfin par l'existence d
yonnaire épaissie et prolongée, il faut dans l'un et l'autre de nos cas admettre qu'un processus régressif survenu à une
ce processus est certainement postérieur à celui qui dans nos deux cas a déterminé l'absence de soudure du manteau cér
le plancher de la cavité ventriculaire, distingue complètement nos cas des observations d'agénésie du corps calleux pu
ps calleux publié jusqu'aujourd'hui et qui sont peut-être moins des cas d'agénésie du système calleux que des cas d'agé
ui sont peut-être moins des cas d'agénésie du système calleux que des cas d'agénésie du tronc du corps calleux. Dans tous
eux que des cas d'agénésie du tronc du corps calleux. Dans tous ces cas , en particulier dans les cas de Onufrowicz et F
tronc du corps calleux. Dans tous ces cas, en particulier dans les cas de Onufrowicz et Forel, Kaufmann, Anlon, et parti
e Onufrowicz et Forel, Kaufmann, Anlon, et particulièrement dans le cas de Hochhans, les deux ventricules latéraux parais
qui recouvre les couches optiques. Mais il n'est figuré dans aucun cas une seconde lame comparable à celle qui, dans n
ré dans aucun cas une seconde lame comparable à celle qui, dans nos cas , occupe le fond de la scissure inler-hémisphériqu
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 187 Étant donné que dans notre cas Longery le manteau cérébral n'était comparative
le faire n'importe quelle lésion pathologique ou expérimentale, ce cas démontre donc l'existence de fibres thalamo-corti
bres cortico- thalamiques et des fibres thalamo-corticales. Mais ce cas montre en outre : 1° que les fibres thalamo-cor
nous avait déjà conduits l'étude des dégénérescences secondaires. Cas Longery. - (Fig. 197 il 212). Hydrocéphale avec m
eu saillants et grisâtres, il en est de même des lnc. 197 et 198. - Cas Longery. Topographie des régions agénésiées du ma
e par la pie-mère et ses arborisations vas- culaires. Fie. 199. - Cas Longery. L'encéphale (hydrocéphalie avec malforma
ée en gris. (Dessin fait d'après une photographie.) - 1 m. 200. - Cas Longery. L'encéphale vu par sa face supérieure ap
remière circonvolution limbique gauche. (D'après une photographie.) Cas Lougery. \fal- lormation cérébrale : Agénésie
es etstrio-sous- thalamiques. 190 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agénésie d
sse, qui se réfléchit sur la face Fie. 201. - Figure schématique du cas Longery. La cavité ventriculaire unique (VI), é
et la face intraventriculaire du noyau lenticulaire. 1 ic. 202. - Cas Longery. Coupe vertico-transversale passant parle
ié droite. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 grandeur nature. FiG. 203. - Cas Longery. Coupe vertico-transversale passant : à d
putamen. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 grandeur nature. FiG. 204. - Cas Longery. Coupe vertico-transversale passant à dro
s nombreuses à droite, ont piesquc disparu à gauche. F ! ( ? 205. - Cas Longery. Coupe vertico-transversale passant par l
ture. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 193 Fig. 206. - Cas Longery. Coupe vertico-trausversale passant par l
Th). Mé- Iiiode de Weigert-Pal. : i/2 grandeur nature. FiG 207. - Cas Longery. Coupe vertico-transversale du pédoncule
ed du pédon- cule ne contient pas la moindre fibre. IO'1E n. 13 Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agenésie d
tue vraisemblable- ment vers le 2e mois de la vie intra-utérine. Ce cas , dans lequel lout le contingent des libres cort
niveau de l'entre-croisement piniforme (xpin, Fig. 211), l'iG.zu». cas Longery. uoupe passant paries tubercules quadri
e Meynert (CM, Fig. 202 et 203). Tous ces faisceaux son Fin. 209. - Cas Longery. Coupe passant, par les tubercules quadri
fibre longitudinale. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 grandeur nature. Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agénésio d
ctives, surtout, lorsqu'elles remontent à la première enfance (voy. cas Rivaud, Fig. 145 et cas Pradel, Fig. G7 et 68). E
elles remontent à la première enfance (voy. cas Rivaud, Fig. 145 et cas Pradel, Fig. G7 et 68). Elle tient indubitablem
suite même de la malformation cérébrale. Elles existent FiG. 210. - Cas Longery. Coupe passant par la partie moyenne des
lpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 197 dans ce cas à l'état de pureté, sans mélange de fibres cortic
i par suite de l'agénésie des fibres cortico-rubriques. FIG. 211. - Cas Longery. Coupe passanl har la partie inféiieure d
cale supérieure. 1 Méthode de Weigert-Pal. 7/1 grandeur nature. Cas Longery. Mat- formation cérébrale. Agenésie d
ise est abondante comme elle l'est à cet âge chez un enfant normal. Cas Richard. - Porencéphalie double avec malformation
cérébrales soient en grande partie développées chez cet Fig. 213. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation c
it ici encore d'une malformation cérébrale très analogue à celle du cas Longery et survenue dans les premiers stades de l
rtie antérieure du lobe temporal; les circonvolutions l'JI;. 21 L - Cas Richard. Face latérale de l'encéphale. La ligne a
PT, pôle temporal. - Vf, la corne frontale du ventricule latéral. Cas Richard. Por- encéphalie double avec malforma
15. - Régions de la corticalité détruite par la porencéphalie dans le cas Richard. Fig. 210. - Cas Richard. Porencéphalie
lité détruite par la porencéphalie dans le cas Richard. Fig. 210. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation c
antérieures du bulbe sont absentes, et il existe ici, comme dans le cas Long, un méplat médian bordé de chaque côté par
nvolutions si fréquentes dans les porencéphalies peu étendues (Voy. cas OHier,Fig.237) ou dans les agénésies du corps c
es, il existe une scissure calloso-marginale, interrompue Fig. 217. Cas Richard. La paroi inférieure de la ca\ité ventric
avant avec la partie infé- rieure, basale du septum lucidum (SI). Cas ltichard. Yor- encéphalie double avec malform
Forel et Onu- frowicz, Hochhans, Kaufmann, Zingerle, etc., dans les cas d'agénésie du corps calleux Dans le cas Richard
n, Zingerle, etc., dans les cas d'agénésie du corps calleux Dans le cas Richard, le tronc du corps calleux est incomplète
Le plancher de la cavité ventriculaire unique présente, comme dans le cas Longery, deux saillies ovoïdes, les ganglions d
ps du trigone et du tronc du corps calleux chez l'homme. Nos deux cas Richard et Longery mollirent en outre que, à un c
psule interne se continue avec le FiG. 218. - Figure schématique du cas Richard. La cavité ventriculaire unique est lim
u occipito-frontal (OF) (Fig. 220, 221, 222 et 223). Fil,. 219. - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du lobe occip
de repère 6 de la Fig. 213. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. Cas Richard. Por- encéphalie double avec malforma
et strio-sous- thalamiques. f i ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Richard Por- encéphalie double avec malformat
io-thala- nuques et strio-aous- thalamiques. Fig. 220 et 221. - Cas Richard. Coupes vertico-transversales passant, l'
rès volumineux, forme une épaisse couche verticale, homo- Fig. 222. Cas Richard. Fragment d'une coupe vertico-transversal
; celles qui proviennent du bord externe et de l'écorce Fic. 223. - Cas Richard. Fragment d'une coupe vertico-transversal
e la circonvolution du corps calleux dans la région où le Fig. 22 - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du manteau cé
. 22 - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du manteau cérébral du cas Richard, passant par la ligne de repère 2 de la
erhémisphérique qui relie les deux moitiés du manteau cérébral. ; Cas Richard. Por- encéphalie double avec malforma
re. FIBRES DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 209 Fie. 220. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation c
lih). Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. TJ\l1' II. a Cas Richard. P rencéphalio double avec malformati
et de la partie postérieure du tronc du corps calleux. Fig. 227. - Cas Richard. Coupe horizontale oblique passant par la
un forceps postérieur très allongé. Nous n'avons pas eu Fin. 228. - Cas Richard. Le segment postérieur de la capsule inte
de substance grise. Méthode de \\'cigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cas Richard. Po- rencéplialie double avec malform
s et strio-sous- thalamiques. 212 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Richard. Po- rencéphalie double avec malforma
ala- miques et strio-sous- thalainiques. à notre disposition un cas personnel d'agénésie de corps calleux sans porenc
du ventricule latéral qu'elles contournent en( rochet. FiG. 220. - Cas Richard. Coupe horizontale oblique passant par le
u y arrivent-elles par le faisceau supérieur de la cou- Inc. 230. - Cas Richard. Loupe horizontale oblique passant par la
ANATOMIE [DES CENTRES NERVEUX. ronne rayonnante ? Dans le premier cas , elles affirmeraient l'existence de fibres cortic
anomalie d'évolution; nous ne savons pas comment s'effectue dans ces cas le bourgeon- nement du cylindre-axe et l'on peu
la base (comparer les Fig. 22G et 227 avec les Fig. 202 à 204 du cas Longery). Le segment postérieur de la capsule i
ormalement larges (Fig. 229) qui s'adossent directement FiG. 231. - Cas Richard. Coupe passant par le pédoncule cérébra
térieur. Méthode de Weigert-Pal. 3/2 grandeur nature. Fic. 232. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation c
calotte. Méthode de Weigeit-Pal. 5/1 grandeur nature. FIG. 233. - Cas Richard. Coupe transversale du bulbe passant par
s Voies centrales de la sensibilité générale, Thèse Paris, 1899.) Cas Richard. l'o- rencéphalie double avec malform
o-latéral présente la même pauvreté en fibres à myéline que dans le cas Longery (Fig. 212). Fibres de projections, Dégé
nal. pali. du corps humain, livr. 28-32. - J. Dejerine. Noie sur un cas d'atrophie d'un lobe cérébral observé chez un c
périeure de la zone motrice et le lobule paracentral, comme dans le cas Scheule (Fig. 106), elle se traduit cliniquemen
eure de la circonvolution rolandique elle donne lieu, comme dans le cas Heudebert (Fig. 124), iL une monoplégie bruchio-
'enfance ou avant la naissance, relever d'une porencéphalie double ( cas Ollier, Fig. 237), et présentent alors le tableau
e quart supérieur des circonvolutions rolandiques, comme dans notre cas Naudin (Fig. 113), ou bien partielles et n'inté
elle du faisceau pyramidal (Bicêtre, 1892). (Voy. J. Déjerine. Deux cas de rigidité spasmodique congénitale. Maladie de L
ésion occupant le quart inférieur de la région rolandique. Dans ces cas le facial supérieur n'est jamais absolument int
i, de chaque côté du corps, fonctionnent simul- tanément tel est le cas pour les muscles de la moitié supérieure de la fa
r de paralysie du voile du palais et de troubles de la déglutition ( cas Schweigoffer, Fig. 117). Enfin, si la lésion de
(Barlow, 177 ; Bouchaud, 1895); la figure 238 a trait à un nouveau cas de paralysie 1·seudo- FIBRES DE PROJECTION DE L
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 225 bulbaire d'origine corticale. Dans ce cas comme dans celui de Barlow, l'oper- cule fronta
upée par chaque représentation motrice. On a cepen- dant observé un cas de paralysie complète des deux hypoglosses sans p
cendante, elle a été rencontrée par Barlow et par Bouchaud dans les cas précédemment cités. Elle existait également d'une
ités. Elle existait également d'une ma- nière très nette dans notre cas personnel (Fig. 238). Dans ces trois cas, l'operc
nière très nette dans notre cas personnel (Fig. 238). Dans ces trois cas , l'opercule frontal était altéré des deux côtés
eurs par lésion corticale ou centrale. Il est probable que, dans ce cas , la paralysie doit être peu accentuée, les muscle
s unila- térales ont été jusqu'ici très rarement observées. Dans un cas de Garel (1890), il existait une lésion très lé
l'extrémité inférieure de la frontale ascendante, et, dans un autre cas du même auteur, la lésion siégeait au niveau du
a capsule interne. Semon et Horsley ont fait remarquer que dans ces cas l'examen histologique du bulbe n'ayant pas été
'un centre cortical laryngé ayant une action croisée. Dans les deux cas que l'un de nous a rapportés en 1891, concernan
e, car l'examen histologique du bulbe a été pratiqué. Dans ces deux cas , les lésions sous-corticales avaient détruit la
mme, ces troubles sensitifs sont très fréquemment observés dans les cas d'hémiplégie par lésion corticale. Ils peuvent po
temps, pendant de longues années. Lorsqu'elle diminue - et c'est le cas le plus ordinaire, la règle pour ainsi dire-c'e
yez Localisations sensitives capsulaires, p. 256). Dans beaucoup de cas d'hémianesthésie d'origine corticale, on a consta
une vingtaine- empruntées à différents auteurs. -Dans aucun de ces cas , du reste, il n'existait une intégrité absolue
ctile et le sens stéréognos- tique n'était très altéré que dans les cas où cette dernière avait disparu. Or, dans le pl
où cette dernière avait disparu. Or, dans le plus grand nombre des cas rapportés par cet auteur, la circonvolution par
onvolution pariétale ascendante n'a été trouvée intacte que dans deux cas déjà anciens (Vetter, Grasset) et un récent dû
entelle du gyrus supramarginalis au cours d'une trépanation pour un cas d'épilepsie traumatique, ces auteurs ont observé
culaire. L'absence de tout trouble paralytique distingue nettement ce cas , des lésions traumatiques ou opératoires de la
agnés de troubles parétiques. Mais, quelque intéressant que soit le cas rapporlé par les chirurgiens améri- cains, il e
ions sensitives, nous ferons remarquer que, dans aucun des nombreux cas d'aphasie sensorielle dont nous avons pratiqué
ainsi que le pli courbe du reste, fussent lésés dans la plupart des cas . En d'autres termes, pour nous, il n'est pas démo
els, en particulier l'hémianopsie, ne s'observent en effet dans ces cas , que lorsqu'il s'agit de lésions profondes qui at
tte optique. .1'11, chiasma des nerfs optiques. Dans quelques rares cas , on a cité l'hémiach1'Omatopsie (Verrey, Henschen
anée des trois centres produirait l'hémianopsie complète. Les rares cas d'hémiachromatopsie ou d'hémianopsie en secteur s
ie, et celle hémianopsie est aussi complète, aussi absolue, dans un cas que dans l'autre, et revêt les mêmes caractères
e avec autopsie (1893) et auquel se rapportent les ligures 87 à 95 ( cas Bras). Dans ce cas la cécité fut d'emblée complèt
93) et auquel se rapportent les ligures 87 à 95 (cas Bras). Dans ce cas la cécité fut d'emblée complète. D'autres fois, l
et qui ont été suivies d'examen microscopique, il existe encore un cas de Berger (obs. III, 1885), un de Chauf- fard (
), un de Chauf- fard (1885) et un de Bouveret (1887). Dans tous ces cas , il s'agit d'une double FIBRES DE PROJECTION DE
roisée (Hutin, 1877; Renvers Alt). Le plus souvent elle est dans ce cas passagère, la première circonvolution temporale
ieure de la zone auditive. Quoi qu'il en soit, d'après les quelques cas suivis d'autopsie observes chez l'homme, on peu
re que la surdité corticale permanente ne se rencontre que dans les cas de lésions bilatérales des lobes temporaux, et en
siéger dans la masse blanche du lobe temporal gauche, comme dans le cas de Liep- mann. Dans ces trois formes d'aphasie,
s, repose sur l'examen clinique et analomo-pathologique de nombreux cas person- nels. L'intégrité du langage intérieur
ralysie est d'origine corticale ou non. Très souvent, dans le premier cas , sur- tout si la lésion est de nature irritativ
ont en réalité peu communes, et combien est restreint le nombre des cas véritablement utilisables pour l'étude des locali
les pour l'étude des localisations cérébrales; môme dans ce dernier cas , ne doit-on pas s'attendre à rencontrer des phéno
l'opercule frontal et rolandique (Déjerine). Parfois, comme dans le cas rapporté par );tienne (1896) et dans celui repr
porté par );tienne (1896) et dans celui représenté dans la Fig. 97 ( cas Jouan), la paralysie faciale sera isolée. Cette
ractères que lorsqu'elle relève d'une lésion corticale, dans les deux cas , en effet, le facial supérieur n'est pas absolu
en effet, le facial supérieur n'est pas absolument intact. Dans le cas que nous rap- portons (p. 122) et qui a été étu
a vie il avait été noté l'existence d'une paralysie bulbaire dans ces cas de lésions symétriques du noyau lenticulaire, i
(Voy. aussi Comte. Th. Paris, 1900). Il existe cependant nombre de cas où, en l'absence de toute lésion protubé- ranti
retrouvée depuis par plu- sieurs auteurs. Or, lorsqu'on étudie ces cas par la méthode des coupes micro- scopiques séri
eur de la capsule interne. Nous avons pu constater ce fait dans trois cas de paralysie pseudo-bulbaire et dans lesquels,
ire. La première, rapportée en 1880 par l'un de nous, con- cerne un cas de monoplégie du bras droit accompagnée d'anesthé
ne; la seconde est due à Bennet et Campbell (1885). Dans ce dernier cas , il existait une lésion en foyer du volume d'un
tefois, nous avons été à même de constater plusieurs fois, dans des cas de lésions anciennes du tiers ou du quart posté
173) une contracture plus intense du membre inférieur que dans les cas de lésions de la partie moyenne de Cip, se tradui
fonctionnant d'une manière automatique dans la marche sont dans ce cas , et il n'y a rien d'étonnant à ce qu'une monoplég
n effet lésé en même temps que le segment postérieui tCip) dans les cas d'hémichorée post-hémiplégique de l'adulte, et l'
e, et l'hémianes- thésie que l'on rencontre le plus souvent dans ce cas relève de la lésion de la couche optique, ainsi
ai : se traduira par une hémiplégie vulgaire, pouvant dans certains cas se complique d'hémianes thésie et d'hémianopsie
dans certains cas se complique d'hémianes thésie et d'hémianopsie ( cas Dautriche, p. 182). Ces dernières se traduise
isuel avec amblyopie du côté anesthésié. En d'autres termes, dans ces cas , les troubles de la sensibilité étaient les mêm
ment postérieur de la capsule interne (Cip) se traduit dans certains cas par une hémiplégie compliquée d'hémianesthésie,
autrefois à l'appui de l'existence du carrefour sensitif,' sont des cas relevant de l'hystérie et publiées à une époque o
commençait à peine à être admise. Il faut songer en outre dans les cas d'hémianesthésie organique, à la possibilité - bi
uisant le segment rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne. ( Cas Dautriche, p. 182), sectionne en même temps il ce
le déterminera la production d'une hémianopsie homonyme latérale. Les cas de Bibliothèque des Internes en Médecine de l
rapporté plusieurs exemples avec son élève, Long. Si - et c'est là le cas le plus fréquent - le tiers postérieur du segme
Ce dernier symptôme par contre pourra durer indéfiniment, dans les cas de lésion de la partie antéro-latérale de la prot
topsie rapportées jusqu'ici, on voit que, dans l'immense majorité des cas , la couche optique était lésée en même temps qu
le segment postérieur de la capsule interne et, dans les très rares cas où la lésion du thalamus n'est pas indiquée, on
hémiplégiques non anesthésiques. Nous avons observé nous-mêmes deux cas très nets de ce genre, étudiés par la méthode des
oduit qu'une hémiplégie banale sans troubles de la sensibilité. Les cas qui sont représentés Fig. 181, 182 cas Carré, Fig
ubles de la sensibilité. Les cas qui sont représentés Fig. 181, 182 cas Carré, Fig. 129 à 133, cas Lavigne, Fig. 187 à
s cas qui sont représentés Fig. 181, 182 cas Carré, Fig. 129 à 133, cas Lavigne, Fig. 187 à 188, cas Le Seguillon, sont d
g. 181, 182 cas Carré, Fig. 129 à 133, cas Lavigne, Fig. 187 à 188, cas Le Seguillon, sont des plus démon- stratifs à c
Seguillon, sont des plus démon- stratifs à cet égard. Dans ces deux cas , en effet, où le segment postérieur de la capsu
supérieure devraient produire de l'anesthésie, ce qui n'est pas le cas . Le même résultat devrait être observé dans les
st pas le cas. Le même résultat devrait être observé dans les rares cas où le segment capsulaire est seul altéré, sans pa
réalisée que dans les deux conditions suivantes à savoir : 1° dans le cas de lésion thalamique détruisant et les fibres t
. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 259 Dans ce dernier cas , la lésion est du reste toujours très étendue. Ce
ernacki, Reichenberg, Oppenheim). Il nous a été donné d'observer un cas analogue suivi d'autopsie. En résumé, la doctri
ation conjuguée des yeux et de la rotation de la tête dans certains cas d'hémiplégie. Paris, 1868. - HEDLICII. Ueber die
lt;, 521, P39. - CLapaREnE. Du sens musculaire à propos de quelques cas d'hémiataxie posthémiplégique. Thèse inaug. Genèv
memorics. Journ. of nerv. and. ment. Dis., 1894. - Dejerine. Sur un cas d'hémianesthésie de la sensibilité générale obser
ntribution à l'étude des localisations sensitives de l'écorce. Sur un cas d'hé- miplégie avec hémianesthésie de la sensib
lésion cérébrale corticale. Revue neurolog. 1893. - Du même. Sur un cas d'aphasie sen- sorielle (cécité et surdité verb
ales) suivi d'autopsie. Soc. Biol., 1891, p. 167. - Du même. Sur un cas de cécité verbale avec agraphie. Autopsie. Soc. B
lé corticale (autopsie). Soc. Biol., 1893. - DEJEUNE et Sérieux. Un cas de surdité verbale pure terminée par aphasie se
escence complète des fibres longitudinales de la capsule interne. - Cas Rivaud. (Hémiplégie cérébrale infantile (p. 150)
dans les vastes dégénérescences de la cap- sule interne, tel que le cas Rivaud (p. 151, Fig. 142 à 162). En dedans de l
5), et abandonnent à cette dernière des fibres ou en reçoivent ; ce cas ne permet pas, en effet, d'élucider ni l'origin
au cérébral, du corps calleux et du septum lucidum. Dans les deux cas , Longery et Richard (p. 187 à216), que nous avons
rieure. Le tronc du corps calleux fait complètement défaut, dans le cas Longery (Fig. 201), il n'est développé dans le
défaut, dans le cas Longery (Fig. 201), il n'est développé dans le cas Richard (Fig. 22) que dans sa partie antérieure.
que dans sa partie antérieure. Néan- moins, il existe dans les deux cas une profonde scissure interhémisphérique logeant
aux ne forment qu'une vaste cavité unique et bilobée. Dans les deux cas le corps du trigone occupe entre les deux ganglio
nce au ni- veau des piliers postérieur et anté- lieur. Ces deux cas montrent donc net- tement que le développement
. 260. - Les fibres perforantes du bourrelet du corps calleux dans un cas de dégé- nérescence du bourrelet consécutive il
forme néanmoins un faisceau bien délimité. Toutefois, dans quelques cas relativement rares, on voit un ou plusieurs fas
térieur et suivre un trajet parallèle bien qu'écarté. Dans certains cas , on voit un faisceau aberrant (fTga) se détache
fer, Fig. 202 et 203), est intéressé sur les coupes horizontales du cas Racle (Fig. 168 à J 72). Il ne doil être confon
ria alba tuberis) dans son trajet à travers le tuber cinereum (Voy. cas Racle fig. 16j à t73, p. 167). Bibliothèque des
articipation de la masse blanche sous-jacente. Dans l'un et l'autre cas , l'atrophie porte sur tout le tubercule mamil-
millaire. ainsi que le montrent les coupes sagittales (Fig. 263). Cas Chab trouvaille d'autopsie. Ce cas se rapporte a
es coupes sagittales (Fig. 263). Cas Chab trouvaille d'autopsie. Ce cas se rapporte a une lésion très limitée (plaque j
'alveus et la fimbria sont tributaires de ces cellules. tnc. 266. - Cas Chab Topographie de la plaque jaune superficiel
c les ganglions interne et externe du tubercule mamll- taire. Cas Chab Plaque jaune du pli rétro- hmblquc, de l
çoit en effet le faisceau commissural sain de la corne Fisc. 267. - Cas Chab Lésion du pli rétrolimbique, de la partie ad
une dégénérescence partielle du tamia 'lotir : m. 19 Fig. 268. - Cas Chab. Plaque jaune superficielle du pli rétrolimb
gles inféro-externe et supéro-externe du carrefour ventriculaire. Cas Chab. Plaque jaune du pli rétro- limbique, de
ec postérieur du corps calleux. Les fibres dégé- Fig. 269,270, 271. Cas Chab. Plaque jaune superficielle du pli rétrolimb
to-frontal (OF) le long de l'angle externe du ventricule latéral. Cas , Chab Plaque jaune du pli rétro- limbique, de
u faisceau occipito- frontal. 292 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Chab. Plaque jaune du pli retro- Innbique, de
t traversent le pied de la couronne rayonnante (Fig. S69 à 272). Ce cas montre donc que les faisceaux différenciés du cen
notre hydro- céphale avec porencéphalie et malformation cérébrale ( cas Richard, Fig. 220 à 223, p. 201). Chez l'adulte
ie de fibres consécutive à certaines lésions encéphaliques. Dans le cas Chab (Fig. 2G et 2GS). les libres sagittales occi
uses y sont presque normales. La Fig.273 est la contre-partie de ce cas : ici les fibres sagittales occipito- frontales
missurales calleuses et avec des fibres de projection corticale. Ce cas permet de délei miner le trajet et l'origine cort
i appartiennent au faisceau septo-thalamique (Voy. p. ? gaz). Notre cas Chab (Fig. 266 à 272, p. 28a) n'est pas non plu
de fibres qui appartiennent à la capsule de ce noyau. Dans quelques cas rela- tivement rares, le noyau externe fait sai
rieur du trigone reste intact, et il est par contre intact dans les cas de lésions expérimen- tales ou pathologiques de
a qui entraînent une dégénérescence du pilier antérieur du trigone ( Cas Chab., Fig. 266 à 272). Les recherches récentes
; aucun ne se porte en haut vers l'écorce cérébrale ; dans quelques cas rares, ils émettent au niveau de leur coude une
hez le singe et le chien (1 895). Ces lésions minimes dans tous les cas , et qui tiennent vraisemblablement à la dégénéres
analogue de la diminution de volume en masse que subissent dans ces cas toute la moitié correspondante du tronc encé- p
a calotte, qu'à l'inactivité fonctionnelle de ces mêmes régions. Le cas Rivaud (p. Cil, Fig. 142 à t62) en est un exemple
egment postérieur de la capsule interne (Fig. 147, p. 1JJ). Dans ce cas datant de la première enfance et où le malade s
e la lésion primitive et à sa section par cette dernière. Dans ce cas , l'atrophie du thalamus atteint un degré extrême
nant chez l'adulte, soit qu'il s'agisse de lésions du lobe frontal ( cas Moriceau Hg. et 11(l., Fig. 137 î et 140, p. 14
il s'agisse d'une destruction complète de la corticalité cérébrale ( cas Pradel, Fig. 66 à 78, p. 100 et suiv.) Dans le pr
cérébrale (cas Pradel, Fig. 66 à 78, p. 100 et suiv.) Dans le premier cas le malade sur- vécut 10 ans, dans le second 19
second 19 ans, à la lésion corticale. Ni dans l'un ni dans l'autre cas , le noyau caudé ou le putamen n'étaient altérés.
lésions de la corticalilé cérébrale [lobe frontal, zone rolandique ( cas Schweigoffer, Fig. 116 à 121, p. 133 et suiv.),
weigoffer, Fig. 116 à 121, p. 133 et suiv.), lobe occipito-temporal cas Chab, p. 287, et plus particulièrement à la sui
pparaissent alors en général normales sur le champ dégénéré (ItGp) ( cas Le Séguillon, Fig. 131, p. 143 ; cas Jouan, Fig
sur le champ dégénéré (ItGp) (cas Le Séguillon, Fig. 131, p. 143 ; cas Jouan, Fig. 97, p. 122). Sur les coupes sériées
as Jouan, Fig. 97, p. 122). Sur les coupes sériées on peut, dans ce cas , les suivre, en bas et en arrière, dans les cou
nlerne et relient la queue du noyau caudé au globus pallidus (Fie) ( cas Heudebert, Fig. 126, p. 139; Cas Bras, Fig. 90
au caudé au globus pallidus (Fie) (cas Heudebert, Fig. 126, p. 139; Cas Bras, Fig. 90 et 91, p. 117 et 118). Dans les
arable à ce que l'on constate dans la couche optique dans les mêmes cas ; mais, d'autre part, on ne peut affirmer que le g
part, on ne peut affirmer que le globus pal- lidus possède dans ces cas autant de fibres radiées, ou un feutrage aussi
de Marchi qu'est dévolue la tâche d'élucider celle question. Deux cas de lésions cérébrales récentes, l'une étendue, l'
Marchi, par l'un de nous, avec son interne Long, ainsi qu'un autre cas '.étudié récemment, nous permettent d'affirmer
t tous deux des fibres de projection de la corticalilé cérébrale. Cas Caillot. Hémiplégie gauche récente avec hémianest
oncule cérébral, c'est-à-dire sur toutes les coupes qui intéressent Cas Call1ot. Hamol- lisscment sons-corti- cal Sou
a partie externe du taenia thalami (Fig. 283). Fig. 283, 284,285. - Cas Caillot. Hémiplégie gauche avec hémianesthésie et
(CL), dont la dégénérescence est légère, mais manifeste (Fig. 281). Cas Hilaire. - Hémiplégie gauche avec hémianesthésie
e, du bras du tubercule quadrijumeau antérieur. Sur les Fic. 286. - Cas Hilaire. Topographie de la double lésion cortical
Fic. 286. - Cas Hilaire. Topographie de la double lésion corticale. Cas II ilaire. Plaque jaune du pli cnurbo, du lob
lidus et du corps do Luys. 316 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Hilaire. Plaque jaune du pli courbe du lobule
artie exlerne de la capsule du noyau rouge. Inc. ? 87, ? 88, 289. - Cas Hilaire. Hémiplégie droile. Plaque jaune détruisa
cales sont intactes et les fibres horizontales sont dégénérées. Ces cas montrent donc que certaines lésions corticales et
s pu étudier le trajet des fibres de projection striée : 1" dans un cas de vasle lésion corticale avec dégénérescence c
les fibres d'origine corlicale et intégrité complète du corps strié ( cas Pradel, Fig. G6 à 78, p. 100); 2° dans plusieur
u corps strié (cas Pradel, Fig. G6 à 78, p. 100); 2° dans plusieurs cas de lésions corticales étendues avec dégénéresce
c dégénérescence d'un grand nombre de fibres de la capsule interne ( cas Rivaud, Fi". 142 à 1G2, p. 151 et suiv.); 3° à
p. 151 et suiv.); 3° à l'aide de la méthode de Marchi dans plusieurs cas de lésions étendues ou limités du corps strié (
i dans plusieurs cas de lésions étendues ou limités du corps strié ( cas Ronse, Fig. 296 à 301); 4° dans deux cas de mal
s ou limités du corps strié (cas Ronse, Fig. 296 à 301); 4° dans deux cas de malformation du cerveau avec arrêt de dévelo
nteau cérébral à la partie supérieure du corps strié. Dans l'un des cas (cas Longery, Fig. 197 à 212, p. 187), l'écorce c
cérébral à la partie supérieure du corps strié. Dans l'un des cas ( cas Longery, Fig. 197 à 212, p. 187), l'écorce céré-
e des fibres de projec- tion corticale faisait défaut. Dans l'autre cas (cas Richard, Fig. 213 à 231, p. z toute l'écor
fibres de projec- tion corticale faisait défaut. Dans l'autre cas ( cas Richard, Fig. 213 à 231, p. z toute l'écorce ét
la suite de lésions du lobe occipital et du lobe occipito-pariétal ( cas Bras, Fig. 90 et 91, p. 117 et 118, el cas Heud
lobe occipito-pariétal (cas Bras, Fig. 90 et 91, p. 117 et 118, el cas Heudebert, Fig. 125 et 126, p. 139). Les fibres
complètement dégé- nérées à la suite d'une vaste lésion corticale ( cas Pradel, Fig. 66 à 78, p. 100), ou sous-cortical
us-corticale, surtout lorsque cette dernière remonte à l'en- fance ( cas Rivaud, p. 151, Fig. 142 à 162). La comparaison d
g. 142 à 162). La comparaison des figures 293 et 294 appartenant au cas Rivaud est très démonstrative à cet égard. Dans
ons strio-thalamiques (Rsth) de la région thalamique moyenne, dans un cas d'hé- miplégie cérébrale infantile avec dégénér
projection corticale du segment postérieur de la capsule interne. ( Cas Rivaud, p. z1, détail de la figure 145, p. in.)
ne couche continue, qui, - grâce à la rétraction des tissus dans ce cas , masque en quelque sorte l'emplacement des fibr
trio-thalamiques (ttstn) de la région thalamique intérieure dans un cas d'hémiplégie cérébral infantile avec dégénérescen
e projection corticales du segment postérieur de la capsule interne. ( Cas Rivaud, p. 151 et suiv.) Méthode de Weigert-Pal
ld au moment où il aborde le pulvinar (comparez avec fig. 83, p. 112, cas Cour rière). - lme, lame médullaire externe ; l
ulier de la voie pédonculaire, se surajoute nécessairement dans ces cas à la dégénérescence des radia- tions striées et
ine au point de vue de la dégénérescence des radiations striées les cas de lésions centrales rapportées p. 167 à 185, on
t est bien mis en évidence par la méthode de Weigert-Pal. Dans le cas Racle, par exemple (Fig. 165 à 173, p. 167 et sui
ibres de projection corticale (Fig. 169, 170, 171, p. 169). Dans le cas Dautriche (Fig. 192 à 196, p. 182 et suiv.), il e
siennes saines. Dans les lésions plus circonscrites, telles que les cas Segalon, Lavigne, Carré, les dégénérescences so
ncore et se confinent au plan du secteur lenticulaire lésé. Dans le cas Segalon (Fig. 181 et 182, p. 178), il existe un
ie antérieure du corps de Luys et de l'anse lenticulaire ; dans les cas Lavigne (Fig. 189 à 191, p. 180) et Carré (Fig.
énérées. On les voit traverser, en fascicules serrés et parallèles ( Cas Ronse, Fig. 296 à 301), le segment postérieur d
Fig. 297) et la partie antéro-inlerne de la capsule du noyau rouge. Cas Ronse. - Il existe dans ce cas deux lésions, l'un
nlerne de la capsule du noyau rouge. Cas Ronse. - Il existe dans ce cas deux lésions, l'une sous-corticale, sous-jacente
hémianesthésie datant de treize mois. (Voy. Long, Th. Paris, 1899, Cas XI, p. 257.) Cette lésion a entraîné les dégéné
s parties interne et. GANGLIONS 1111ACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 333 Cas Ronse. 1° Lé- sion sous-corticale sous-jacent
e sa cap- sule de fibres. * 334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Ronse. 1° Lé- sion sous-corticalo sous-jacent
is le faisceau de Turck (Fig. 299 et 300) . FIG. 296, 297 et 298. - Cas Ronse. Hémiplégie gauche avec contracture et hémi
présente sous l'aspect de foyers lacunaires Fic. 299. FiG. 299. - Cas Ronse. Hémiplégie gauche avec contracture et
. Méthode de Marchi. 2/1 grandeur nature. Fic. 300. FiG. 300. - Cas Ronse. La zone de dégéné- rescence du système d
ies interne et externe du pied du pé- doncule. Méthode de Marchi. Cas l2oosc. 1^ Ld- sion sous-corticalo sous-jacen
ée du segment postérieur de la capsule interne, en par- FiG. 301. - Cas Ronse. Hémisphère gauche sain. Dégénérescence de
laire, jusque dans le globus pallidus. Il existe, en outre, dans ce cas , un petit foyer lacunaire du globus pallidus ay
suite à la dégénérescence capsulaire. Il existe, en outre, dans ce cas , une dégénérescence partielle du toenia thalami
la lésion directe de ce faisceau par un des foyers lacunaires. Ce cas démontre : 1° Que le corps strié envoie des fib
ptique et qui est connu sous le nom de commissure de Meynert (CM). ( Cas Ronse, Fig. 297, 298 et 301.) Ce faisceau appar
cher du troisième ventricule (p. 408). - Dans aucun des nombreux cas de lésions centrales traités par la méthode de
l assurée par l'artère communicante postérieure sont rares. Dans un cas qu'il nous a été donné d'ol)sei ? er(Cas Gardette
rieure sont rares. Dans un cas qu'il nous a été donné d'ol)sei ? er( Cas Gardette,Fig. 302 à 309), la dégénérescence de
es en sens inverse, des fibres striofuges et des fibres striopètes. Cas Gardette. - (Fig. 302 à 309.) Ici il s'agit d'une
dégénérées (Rsth) peuvent être suivies du foyer 1'ic. 302 et 303. - Cas Gardette (Salpêtrière, 1896). Double lésion de l'
g, Les voies centrales de la sensibilité générale. Th. Paris, 1899. Cas XII, p. 26 ). Cas Garde t te. Double lésion d
es de la sensibilité générale. Th. Paris, 1899. Cas XII, p. 26 ). Cas Garde t te. Double lésion do l'hémisphère dro
ed du pédon- cule cérébral. 31O ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Gardette. Dou- ])le lésion de l'hémi- sphère
. 30j et 30G) ni de la partie interne du pied du FiG. 304 et 305. - Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Coupes horizontales
érébelleux supérieur fait place au noyau rouge. i'ic. 30G et 307. - Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de l
sceau interne du pied du pédoncule cérébral. (Méthode de Marchi.) Cas Gardette. Dou- ble lésion do 1'liénii- sphère
pied du pédon- cule cérébral. 342 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Gardette. Dou- ble lésion de l'hénu- sphère d
e lenticulaire (Al) (Fig. 30t, : 30.5, 306, 30T), il n'existe dans ce cas aucune dégé- nérescence du ruban de Reil médian
rescence ne dépasse-t-elle pas le sillon bulho-protubérantiel. Ce cas démontre : 1° Que les radiations strio-tlialami
ent pas de connexions avec la couche optique. Fie. 308 et 309. -- Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de l
irment pas ces faits expérimentaux de v. Monakow. Dans les nombreux cas de lésions corticales rapportés plushaut (p.91
ans les lésions étendues de la corticalité cérébrale, comme dans le cas Rivaud (p. 151). Il était toutefois dégénéré avec
vec les autres noyaux thalamiques dans la vaste lésion corticale du cas Pradel (p. 100). Ce noyau entre donc chez l'hom
onnexion avec la corticalité cérébrale, mais son intégrité, dans le cas Scheule (p. 133), prouve qu'il n'est pas en con
noyau interne, à la suite de lésion destructive de ces régions (Voy. cas Moriceau, p. 147). Pour v. Monakow, la zone cor
partie antéro-inférieure des noyaux interne et externe du thalamus ( cas Gardette, Fig. 302 à 309). Le noyau interne reç
cales est démontrée à l'état de pureté pour ainsi dire dans nos deux cas d'hydrocéphalie congénitale avec malformation c
ion cérébrale remontant aux premiers stades de la vie embryonnaire ( cas Richard et cas Longery, p. 185 à 216). Les fi
emontant aux premiers stades de la vie embryonnaire (cas Richard et cas Longery, p. 185 à 216). Les fibres strio-tlaa
droit et dégénèrent à la suite des lésions du noyau lenti- culaire ( cas Ronse, p. 332) et à la suite de lésions thalamiqu
- culaire (cas Ronse, p. 332) et à la suite de lésions thalamiques ( cas Gardette, p. 338). La multiplicité d'origine
oujours partielle. Dans les vastes et anciennes lésions corticales ( cas Pradel, p. 100, Rivaut, p. 151), la dégé- néres
rès destruction de la zone corticale visuelle, mais encore dans les cas d'ablation, d'énucléation ou d'atrophie du glob
e lésions corticales ou sous-corticales de la sphère visuelle (Voy. cas Courière, Bras, p. 188 et suiv.), ainsi qu'à la
la méthode de Marchi. Jusqu'ici, en effet, on a surtout étudié des cas de lésions corticales anciennes par les méthode
e. Si la méthode de Marchi, même lorsqu'on l'applique à l'étude des cas très récents, ne permet pas toujours d'éliminer c
au sens de la dégénérescence. Nous l'avons appliquée dans plusieurs cas et nous avons pu con- stater qu'à la suite de l
t sectionne la sub- stance blanche des circonvolutions rolandiques ( cas Hilaire, Fig. 286 p. 313) la dégéné- * rescence
à la suite de lésions corticales anciennes ou remontant à l'enfance ( cas Pradel, p. 100, cas Rivaud, p. 151), il s'agit
corticales anciennes ou remontant à l'enfance (cas Pradel, p. 100, cas Rivaud, p. 151), il s'agit dans ces cas d'une atr
nfance (cas Pradel, p. 100, cas Rivaud, p. 151), il s'agit dans ces cas d'une atrophie indirecte, rétrograde et diminua
uban de Iteil médian et du pédoncule cérébelleux inférieur : dans ces cas , disons-nous, on observe constamment une diminu
phie indirecte, rétrograde, cellulipète, qui diminue de haut en bas ( cas Carré, p. 179, cas Lavigne, p. 180). Dans les l
ograde, cellulipète, qui diminue de haut en bas (cas Carré, p. 179, cas Lavigne, p. 180). Dans les lésions récentes de la
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, on observe dans les cas Les fibres thala- mo-corticalcs. 372 2 ANAT
res est démontrée, à l'état de pureté pour ainsi dire, par nos deux cas d'hydrocéphalie congé- nitale avec malformation
deux cas d'hydrocéphalie congé- nitale avec malformation cérébrale ( cas Longery, Richard). Dans l'un des cas (cas Longe
e avec malformation cérébrale (cas Longery, Richard). Dans l'un des cas (cas Longery, p. 187, Fig. 197 à 212), l'écorce e
c malformation cérébrale (cas Longery, Richard). Dans l'un des cas ( cas Longery, p. 187, Fig. 197 à 212), l'écorce et par
de fibres de projection faisaient complètement défaut; dans l'autre ( cas Richard, p. 198, Fig. 213 à 231), l'écorce étai
arriver au segment postérieur de la capsule interne. Dans les deux cas , il existe dans le thalamus de nombreuses libres
ulaire. Elles dégénèrent soit à la suile de lésions du corps strié ( Cas Ronse, p. 330, Fig. 29fi à 301), soit consécuti-
, Fig. 29fi à 301), soit consécuti- vement à une lésion thalamique ( Cas Gardette, p. 336, Fig. 302 à 309). 3. Connexion
des segments antérieur et postérieur de la capsule inlerne dans un cas d'agénésie du manteau cérébral. (Voy. Cas Longery
la capsule inlerne dans un cas d'agénésie du manteau cérébral. (Voy. Cas Longery, p. 186, Fig. 197 a 212.) 374 ' ANATO
ions du thalamus et traitées à l'aide de la méthode de Marchi (Voy. cas Gardette, Fig. 302 à 309 p. 338). Mais ces fibr
volution du corps calleux; les libres dégénérées suivraient dans ce cas la voie du fornix longus, du taenia thalami et de
calité frontale, rolandique ou pariéto-temporo-occipitale. Dans les cas de dégénérescence du bras du tubercule quadriju
la dégénérescence s'étendre II la commissure postérieure. Dans les cas de dégénérescence du taenia thalami consécutive
), mais la commissure postérieure était toujours respectée dans ces cas . A notre avis, la commissure postérieure ne dég
vinar et la partie adjacente du noyau externe du thalamus. Dans ces cas les fibres dégénérées de la com- missure postér
nula homolatéral et dans celui du côté opposé (Fig. 320, voy. aussi cas Caillot, Fig. 283, cas Hilaire, Fig. 287). Une
s celui du côté opposé (Fig. 320, voy. aussi cas Caillot, Fig. 283, cas Hilaire, Fig. 287). Une autre partie provient d
s pallidus, sont particu- lièrement faciles à suivre, soit dans les cas de destruction étendue ou totale de la cortical
de la corticalité cérébrale sans participation des corps opto-striés ( cas Pra- del, Fig. 78, cas Rivaud, Fig. 148, 149),
le sans participation des corps opto-striés (cas Pra- del, Fig. 78, cas Rivaud, Fig. 148, 149), soit dans les anomalies d
tions de l'écorce cérébrale et du système de projection corticale ( cas Lon- gery, Fig. 203, 20ut, cas Richard, Fig. 22
du système de projection corticale (cas Lon- gery, Fig. 203, 20ut, cas Richard, Fig. 226 à 228), soit encore dans les
Fig. 203, 20ut, cas Richard, Fig. 226 à 228), soit encore dans les cas de dégénérescences secondaires de ces fibres, con
lésions du noyau lenticulaire et traitées par la méthode de Marchi ( cas Ronse, Fig. 298). Le corps de Luys elle systè
cence du corps de Luys et des fibres qui lui arrivent est dans ces cas pro- portionnel à l'étendue de la lésion destru
ais lorsqu'on applique la méthode de Mar- chi, on constate dans ces cas une dégénérescence très légère du corps de Luys
GION SOUS-OPTIQUE. 401 lequel elles s'irradient (Déjerine et Long) ( cas Caillot, Fig. 283 et 284 et cas Hilaire, Fig. 2
les s'irradient (Déjerine et Long) (cas Caillot, Fig. 283 et 284 et cas Hilaire, Fig. 287 et 288). Le corps de Luys reçoi
avons montré en effel dans un travail basé sur l'examen de nombreux cas de lésions cor- ticales, capsulaires protubéran
, traitées par la méthode de Weigert-Pal, ainsi que par de nouveaux cas soumis à la méthode de Marchi que la destructio
faveur de ces connexions les résultats fournis par l'examen : 1° d'un cas d'anophtalmie bilatérale congénitale; 2° d'une
partie interne du pied du pédoncule cérébral. Or, les deux premiers cas montrent simplement que la commissure de Meyner
t simplement que la commissure de Meynert persiste intacte dans les cas d'atrophie de la bandelette optique et qu'elle
exion avec les corps genouillés interne ou externe, et le troisième cas ne peut être invoqué en faveur de l'hypothèse de
ommissure de Meynert à l'aide de la méthode de Marchi dans quelques cas de lésions destructives GANGLIONS INFRACORTICAU
du noyau lenticulaire, en particulier du globus pallidus. Dans ces cas , la bandelette optique était parfaitement intac
inuer avec le feutrage dégé- néré du sommet du globus pallidus. Ces cas démontrent donc que la com- missure de Meynert
e de Meynert prend son origine dans le noyau lenticulaire. Dans ces cas , le système des radiations strio-luysiennes est,
ommissure de Meynert ne peut relever que de la lésion lenticulaire ( cas Ronse, Fig. 297, 298 et 301). Le corps de Luys
e (méthode de Marchi) par suite de la lésion du noyau lenticulaire ( cas Ronse, Fig. 297, 298, 301), soit dans les dégénér
soit encore dans certaines malformations cérébrales, telles que le cas d'anophtalmie bilatérale rapporté par Darkschewit
ogénétique, ni par celle des dégénéres- cences secondaires. Dans un cas de lésion du noyau lenticulaire avec dégénéresc
scence de quel- ques fibres strio-luysiennnes rendait évidemment ce cas moins démons- tratif au point de vue des connex
vinar) par l'intermédiaire des fibres que nous avons décrites (Voy. cas Rivaud, Fig. 160, p. 162). Il contient en outre q
e optique, le chiasma et les deux nerfs optiques d'autre part (Voy. cas Cogery, p. 173, Fig. 174 à 180 et cas Dautriche,
s optiques d'autre part (Voy. cas Cogery, p. 173, Fig. 174 à 180 et cas Dautriche, p. 182, Fig. 192 à 196). Les dégénér
entre visuel cortical ou des radiations optiques de Gratiolet (Voy. cas Cour- rière, p. 109, Fig. 80 à 86; cas Bras, p.
optiques de Gratiolet (Voy. cas Cour- rière, p. 109, Fig. 80 à 86; cas Bras, p. 1-15, Fig. 87 à 95) ne dépassent pas,
fais- ceau temporal d'un côté peut ètre seul respecté comme dans le cas de Jatzow, par exemple, où un sarcome de l'oeil
fibres rétiniennes à l'excep- tion du faisceau temporal gauche; ce cas réalise donc l'expérience de Gud- den et de Gan
du faisceau temporal ou direct de l'oeil non énucléé. Dans quelques cas rares et anormaux tels que les cas rapportés par
'oeil non énucléé. Dans quelques cas rares et anormaux tels que les cas rapportés par Ganser, par Schlagenhaufer, le fa
ètement isolé du reste des fibres du nerf op- tique ; dans ces deux cas , il longeait le côté externe du nerf optique, cro
latérale, pour se terminer dans le corps genouillé externe. Dans le cas de Schlagenhaufer, il ne paraît correspondre qu'à
s fibres de la moitié inférieure ou ven- trale des deux rétines. Le cas de Marchand, confirmé par Uhthoff et par Hensch
de la scissure calcarine. Toutefois, on ne connaît cliniquement aucun cas Dissociation et en- chevêtrement de ces fai
des champs visuels qui restent définitivement perdus. Dans de tels cas , si l'on a l'occasion de faire l'autopsie, on tro
is c'est là une généralisation peut-être trop hâtive. Dans les divers cas observés (Foerster, IIenschen, Laqueur et Schmi
'est là en effet qu'on la trouve figurée par Darkschewitsch dans un cas d'anophthalmie congénitale. Quant à nous, dans no
tsch dans un cas d'anophthalmie congénitale. Quant à nous, dans nos cas d'énucléation bilatérale ou d'atrophie optique
vant.être homologué avec la commissure de Gudden du lapin. Dans les cas d'atrophie optique uni ou bilatérale, rapportés p
Gudden est en général passée sous silence. Schlagenhaufer dans son cas d'atrophie bilatérale des nerfs optiques, avec fa
sillon interlobaire ou interlobulaire. Dans l'immense majorité des cas , ces sillons limitent une circonvolution ou une l
antage, au niveau d'un point de terminaison commun. Dans ce dernier cas , on voit en général des lamelles qui lapis- sen
de la branche verticale de l'arbre de vie du vermis. Dans quelques cas , sa profondeur est moindre, le lobe central s'imp
cas, sa profondeur est moindre, le lobe central s'implante dans ces cas sur la branche verticale de l'arbre de vie médian
général, libre dans une étendue de 3 à 5 millimètres; dans quelques cas , il se détache encore davantage de la valvule de
ncrure marsu- piale, et le bourgeon terminal est représenté dans ce cas par une lamelle sessile adhérente au tubercule
ieure du tubercule valvu- laire est un peu plus étendue que dans le cas précédent, mais ne dépasse guère la largeur de
eux à trois lobules secondaires bien développés. Dans l'un et l'autre cas , la face superficielle ou postérieure du tuberc
ou la face superficielle du tubercule valvu- laire. Dans ce dernier cas , la lamelle d'union peut être superficielle, fo
quelquefois assez profond, et le lobe digastrique comprend dans ces cas trois lobules imbriqués de dedans en dehors. La
s lésions pathologiques qui intéressent l'écorce cérébelleuse (voy. cas Vasseur, Chap. IV), ou détruisent la substance
IV), ou détruisent la substance blanche centrale sous-jacente (voy. cas Drevel, Chap. IV). Elles diminuent en outre lor
érieur de la protubérance et il semble n'être, dans la majorité des cas , qu'un faisceau détaché, aberrant des fibres tran
âtre. Les deux pyramides peuvent complètement faire défaut dans les cas d'agénésie de l'écorce cérébrale, par hydrocéph
s pyramides, on trouve un méplat situé entre les deux olives. (Voy. Cas Longery, MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. z Fig
y. Cas Longery, MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. z Fig. 199, 210 et Cas Richard, Fig. 216. 233.) D'autres fois encore, a
a naissance, on peut observer une agénésie complète d'une pyramide ( cas Ri- vaud, Fig. 132, 153, p. 158). Dans ces ca
d'une pyramide (cas Ri- vaud, Fig. 132, 153, p. 158). Dans ces cas , la pyramide contro-laLéralc peut prendre un
pyramidales homolalé- rales de la moelle sont très nombreuses ( cas Ri- vaud, Fit. 151,157, 162, p. 159 et 161).
,157, 162, p. 159 et 161). Il semble véritablement que dans ces cas , la pyramide saine supplée la pyramide ar- rê
ie à la surface du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) ; dans ces cas , l'isthme postérieur parait com- plètement fusi
ue par une mince et étroite lamelle au corps resti- forme ; dans ce cas l'épithélium épendymaire comble tous les intersti
nt à la moindre traction exercée sur le bulbe. Dans l'un ou l'autre cas , la languette postérieure peut être quelquefois r
soit par un bord profondément déchiqueté et irrégu- lier. Dans ces cas on trouve constamment, le long du bord inférieur
r, on les retrouve toujours sur les coupes, mais elles sont dans ce cas plus ou moins développées, profondes et recouve
terne de leur trajet, dans la zone acoustique. Dans l'un et l'autre cas , la striation longitudinale du plancher est très
partie cette striation longitudinale. Les stries recouvrent dans ce cas toute la zone auditive, interrompent les sillon
uli teretes ou en dehors d'eux ; leur extrémité interne est dans ce cas couverte par la substance grise centrale. De leur
st impossible de donner une description répondant à la majorité des cas . Les stries acoustiques divisent le plancher du
rieur adhérent des valvules de Tarin. Mais il ne s'étend dans aucun cas en arrière jusqu'à la limite postérieure du nid
ires montre que le contingent du faisceau de Türch est minime (Voy. cas Neu- mann, p. 145), que celui du segment intern
interne du pied du pédoncule est faible, mais incontestable, (Voy. cas Schweigoffer, p. 131), et que le contin- gent d
e (coupes H 9, à H 14, Fig. 438 à 4H., p. 657 à 677). Dans quelques cas toutefois, on voit le faisceau pyramidal s'étal
ée par Pick et V. Gehuchten est particulièrement manifeste dans les cas de dégénérescence du faisceau pyramidal traités
riétés indi- viduelles el sont bien mises en évidence : 1° Dans les cas de dégénéres- cence du faisceau pyramidal trait
du faisceau pyramidal traités par la méthode de Marchi; 3° Dans les cas d'agénésie ou de dégénérescence totale et ancienn
nt à quelques fines fibres isolées, appréciables seulement dans les cas de dégé- nérescences traités par la méthode de
véritable petit faisceau compact et très bien délimité (Fig. 372 et cas Rivaud (fPyhl), Fig. 151, 156, 157 et 162, p. 159
is de Clarkc. La voie pédonculaire peut faire défaut, soit dans les cas de malfor- mation cérébrale avec agénésie compl
érébrale avec agénésie complète des fibres de projection corlicale ( cas Longery et Richard, p. 185 à oh6, en particulier
5 à oh6, en particulier Fig. 208 à 212 et 231 à 233), soit dans les cas de lésions de l'hémisphère cérébral sur- venant
sceau pyramidal croisé et fibres pyramidales homolatérales, dans un cas de dégénérescence complète de la pyramide antérie
tale des fibres dont la myélinisation est plus ou moins parachevée ( cas Rivaud, p. 151 et Fig. 152 à 159) ; suivant les c
ins parachevée (cas Rivaud, p. 151 et Fig. 152 à 159) ; suivant les cas , cette absence de la voie pédonculaire peut êtr
es cas, cette absence de la voie pédonculaire peut être bilatérale ( cas Longery et Richard) ou uni- latérale (cas Rivau
ire peut être bilatérale (cas Longery et Richard) ou uni- latérale ( cas Rivaud). Dans les cas que nous avons été à même d
le (cas Longery et Richard) ou uni- latérale (cas Rivaud). Dans les cas que nous avons été à même d'obser- ver, le pédo
res transversales et de la substance grise antérieure du pont dans un cas d'atro- phie de l'écorce cérébelleuse. Intégrit
nculaires (VP). Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur na- ture (Voy. Cas Vasseur, chap. IV. Pour l'obs. et le protocole d'
berrantes posléro-exlernes (Fpe) (Fig. 377, 37C, 375, 374), dans un cas de dégénérescence de la partie moyenne de la voie
tro-lenticulaire. (Méthode de Marchi.) Il existe, en outre, dans ce cas , une dégénérescence du bras du tubercule quadri-
sur nos coupes normales au pédoncule du tubercule mamillaire (PTm). cas de dégénérescence de la voie pédonculaire trai-
mande encore à être élucidé par de nouvelles recherches. Dans les cas de dégéné- rescence de la voie pédon- culaire
fibres pyramidales homolatérales profondes et superficielles, dans un cas . CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCEPHALE. 5
térieure homolatérale et qui sont particulièrement nombreuses dans ce cas . la partie postérieure de la voie pédonculaire,
voie pédonculaire, deviennent particulièrement manifestes dans les cas de dégénérescence de la voie pédonculaire traitée
a méthode de Marchi (Fig. 378, 379, 380, 381, 382). L'examen de ces cas montre que les fibres aberrantes protubérantielle
ndes, au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel ; dans ce dernier cas , elles représentent de véritables fibres aberra
ns le locus niger, et sont tout particulièrement évidentes dans les cas d'agénésies de la voie pédonculaire (cas Richard,
èrement évidentes dans les cas d'agénésies de la voie pédonculaire ( cas Richard, xLn, Fig. 231, p. 204). Faisceau lon
tué en dehors et en avant du faisceau longitudinal postérieur (voy. cas Rauber, Ille partie, chap. IV). Le faisceau cen
de l'arbre de vie médian, et le lobe central ne représente dans ce cas qu'un des lobules du monticule. L'axe de la lin
me l'ont soutenu quelques auteurs. Elles existent en effet dans les cas d'agénésie de la voie pédonculaire (cas Richard
existent en effet dans les cas d'agénésie de la voie pédonculaire ( cas Richard Fig. 232) et ne dégénèrent pas dans les l
es, pénètre dans la sub- stance blanche, et a pu être suivi dans un cas par Cajal jusqu'au voisinage du noyau dentelé e
ou moins dense. On voit toutefois celle couche apparaître dans des cas pathologiques, an cours de la paralysie générale
le progressive et dans la sclérose en plaques (Weigert) et dans ces cas , les fibres névrogliques transversales entouren
des lobes d'un hémisphère ou du vermis. Il n'est pas rare dans ces cas , même si la destruction est superficielle et n'im
42 (1934) Oeuvre scientifique
ur capitale. Ils dénotent l'existence d'une lésion et dans bien des cas vous mettent en mesure d'en déterminer la natur
ces crises, une asymétrie faciale, a pensé qu'il s'agissait là d'un cas d'hémispasme d'ori- gine hystérique. Vous pouve
ment alors, le réflexe de la convergence est aboli et dans certains cas même, les troubles pupil- laires s'accompagnent
able de la sémiotique des maladies nerveuses ; il est dans bien des cas la seule manifestation d'une affection méningée c
e l'intérêt. La disparition du réflexe achilléen permet dans certains cas de distinguer la névrite sciatique de la pseudo
lexes tendineux n'a pas moins de valeur que leur abolition. Dans un cas de paraplégie crurale, l'exagé- ration bilatéra
xe cutané plantaire subit ordinairement une transformation dans les cas de pertur- bation dans le système pyramidal; le
, ou bien si elle est, soit hystérique, soit simulée. Si, en pareil cas , avec un courant de 15 ou 20 milliampères, on n
t être écartée (Babinski). On arrivera à la même conclusion dans un cas de surdité unilatérale si l'inclination ou la r
ns troubles circulatoires et sécrétoires ; si, par exemple, dans un cas de monoplégie, de monoparésie, ou de névralgie
'il se développe des phlyctènes à sa surface; gardez-vous en pareil cas de certifier sans examen plus approfondi qu'il
t de l'épilepsie s'applique aussi d'une manière générale à tous les cas où l'on note une émission d'urine qui, en apparen
OGIE commune. Les faits de ce genre sont complexes et en de pareils cas il est souvent difficile ou même impossible de
rdinairement en mesure de porter des diagnostics précis et, en tout cas , en procédant de cette manière, vous vous mettr
. Sans doute, ce sont les signes objectifs qui permettent, dans les cas de ce genre, d'affirmer l'existence d'une lésion
ner, prendre dans sa poche une pièce de monnaie sont, dans certains cas , les phénomènes prémonitoires d'une hémiplégie.
à type radiculaire, et du signe des orteils a permis dans quelques cas de reconnaitre l'existence d'une tumeur intra-rac
en état de définir ses souffrances; il en résulte que dans bien des cas les plaintes des malades de ce genre ne sont pas
our ce qui concerne l'a partie mimique, par un comédien. Il y a des cas où la tromperie serait singulièrement aisée : I
dre le change à bien des experts. Je ne veux pas dire que, dans les cas de cet ordre, il soit toujours impossible de di
s, ne sont pas très communs dans la pratique habituelle, hormis les cas d'accidents pouvant entrainer des dommages inté
je ne m'en occuperai pas davantage, je ferai aussi abstraction des cas de simulation, sans intérêt véritable, par per-
années que j'ai adopté cette méthode, je n'ai pas constaté un seul cas d'hémianesthésie chez des sujets qui, avant de me
séance du 22 février ¡8g(j. Ai observé dans un certain nombre de cas d'hémiplégie ou de t monoplégie crurale liée à
n sur le métatarse. Il m'a été donné d'observer ce trouble dans des cas d'hémiplégie récente remontant à quelques jours
ie récente remontant à quelques jours seulement, ainsi que dans des cas d'hémiplégie spasmodique de plusieurs mois de d
ce trouble n'est pas constant. J'ai aussi observé dans plusieurs cas de paraplégie crurale due à une lésion organiqu
OGIE suite de la piqûre de la plante du pied, mais, comme en pareil cas , il n'y a pas chez le malade même de point de c
la flexion, tantôt par de l'extension des orteils ; dans ce dernier cas , ce sont généralement les premières excitations
de la plante du pied par un acte de la volonté ; il faut, dans des cas de ce genre, renouveler l'excitation en la pratiq
aussi incontestablement de nature organique. Comme dans le premier cas , on constate ici un mouvement réflexe normal du
xes tendineux. Mais j'ai constaté aussi ce phénomène dans plusieurs cas d'hémiplégie récente, flasque, où les réflexes
e au point de vue de l'intensité : il est très marqué dans certains cas où l'hémiplégie est légère et où la motilité vo
contre, il peut être fort peu accusé et faire même défaut dans des cas où la paralysie est très prononcée. Généralemen
ls du pied paralysé. J'ai vu le phénomène des orteils dans quelques cas de méningo-encé- phalite diffuse; il y avait al
vrai, d'une méningo-encéphalite diffuse associée au tabes. Dans un cas d'épilepsie partielle, j'ai eu l'occasion de cons
phénomène des orteils et il est généralement plus prononcé dans les cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine céréb
flexes tendineux. Je l'ai constaté du côté de la paralysie, dans un cas d'hémiplégie spinale avec anesthésie croisée du
nt abolis. Enfin, j'ai noté le phénomène des orteils dans plusieurs cas de maladie de Friedreich. Je dois vous indiqu
alysie flasque ou par de la contracture. Il n'existait pas dans les cas de myopathie progressive primitive, de névrite pé
orteils étaient complètement atrophiés, mais il s'agissait là d'un cas tout à fait spécial, les orteils se trouvant, e
pur; toutefois, il peut exister, ainsi que vous l'avez vu, dans des cas de tabes associé à une affection du système ner
anique ou la méningo-encéphalite, capable de le produire. Dans deux cas de section traumatique complète de la moelle, obs
e trau- matisme. Mais on n'est pas en droit de conclure de ces deux cas que le phénomène des orteils doive toujours fai
cessité de cette relation; mais je puis déclarer que, dans tous les cas où j'ai constaté le phénomène des orteils, cett
anciennes ainsi que dans les hémiplégies toutes récentes, dans les cas où les fibres nerveuses du faisceau pyramidal éta
ème pyramidal, n'en dénote pas la gravité. Il peut exister dans des cas de paralysies très légères, de paralysie curable
, tandis qu'inversement on observe très nettement ce signe dans des cas où, malgré l'existence d'une lésion du système
re remarquer que sa valeur sémiologique est surtout grande dans les cas où l'état des réflexes tendineux ne permet pas
ériode l'hémiplégie hysté- rique de l'hémiplégie organique; dans un cas de ce genre, l'existence du signe des orteils e
racines postérieures, la présence du phénomène des orteils, dans un cas de tabes, sera un indice important, en révélant
, il me parait avoir une certaine signification. Récemment, dans un cas de paraplégie crurale consécutive à un traumati
turbation du système pyramidal, qui peut être précieux dans certains cas douteux. IV RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES
rs positions sont bonnes et doivent être essayées successivement en cas d'incertitude : -. i" Jambes croisées ; c'est u
a été question précédemment exis- tent dans l'immense majorité des cas ; l'absence de l'un d'eux doit donc être consid
, le réflexe du tendon d'Achille serait absent dans 20 pour 100 des cas . En employant la technique que j'ai proposée (voi
25 fois sur 100. Mohr aurait noté leur absence dans 33 pour 100 des cas chez des jeunes soldats bien por- tants. Pour S
évidence ; mais avec les procédés usuels, clans un grand nombre de cas ils semblent faire défaut. Ce que nous venons
eptible d'être pris pour une contraction tendino-réflexe. En pareil cas , on est exposé à se tromper dans son interprétati
l'affaiblissement ou l'abolition des réflexes tendineux. En pareil cas , la percussion du tendon rotulien occasionne indi
. Je signalerai incidemment un procédé m'ayant permis dans certains cas de faire apparaître un réflexe tendineux qui m'
us faibles d'un côté que de l'autre. L'interprétation d'un pareil cas est simple. En effet, l'asymétrie dénote un éta
des troubles fonctionnels unilatéraux. Il va sans dire qu'en pareil cas les réflexes du côté malade doivent être considér
eux peut n'éprouver aucun malaise; il en est ainsi dans beaucoup de cas de tabes fruste. C'est un phénomène qui présent
ladie de Duchenne de Boulogne et permit de la déceler dans bien des cas où autrefois elle eut été méconnue. Les réflexe
es procédés que j'ai indiqués, on constate, dans un grand nombre de cas , leur présence alors que les réflexes des membr
tant le plus souvent atteint avant le réflexe de flexion. En pareil cas , la percussion du tendon du triceps brachial pr
celui du tendon d'Achille, et ne s'étend pas au delà. Dans certains cas , l'irréflectivité, même quand elle envahit plusie
après le tabès, étudier les névrites. Dans la grande majorité des cas de névrites, en effet, on observe un affaibliss
peuvent reparaître, au moins en partie, et l'on voit, dans bien des cas , le domaine de la subréflectivité et de l'irréfle
n de tous les réflexes tendineux des membres supérieurs ; en pareil cas l'état des réflexes des membres inférieurs dépe
résenté, Jumentié, Jarkowski et moi, à la Société de neurologie, un cas de méningite hypertrophique où les réflexes n'é
et Dejerine, Erb, Marie, Guinon, Léri et d'autres ont rapporté des cas d'abolition du réflexe patellaire avant que le
peut-elle provoquer de l'irréflecti- vité ? On a rapporté quelques cas de myasthénie avec affaiblissement et même abol
es n'ont pas été lésés. Mais on doit se demander si dans d'autres cas l'irréflectivité peut être permanente. A ce p
concomitantes d'arc réflexes devaient être incri- minées. Dans ces cas , l'irréflectivité est d'une interprétation très s
, 1891, n° 2 : Paraplégie flasque par compression de la (moelle) un cas de compression de la moelle cervicale où j'avais
ns la question sans la résoudre. On a rapporté un grand nombre de cas où des altérations encéphali- ques, causées en
iste, à la vérité, des transitions, et il peut être malaisé dans un cas donné, d'affirmer que la frontière de l'état norm
la surréflectivité. On l'observe, en effet, dans un grand nombre de cas de maladies médullaires. . Outre l'impression
rocédant de cette façon on obtiendra, dans un assez grand nombre de cas , une trépidation identique dans sa forme à cell
antage de l'épilepsie parfaite. Quoi qu'il en soit, dans ces divers cas , il est extrêmement facile de reconnaître qu'il
De même, en redressant fortement la main on obtient, dans certains cas , une série de secousses identiques à celles du
quand il est bien marqué. Dans le même ordre de faits rentrent les cas où sous l'influence d'un déplacement du membre,
ale, dépend bien plus souvent d'une lésion spinale; dans ce dernier cas , à la vérité, la surréflectivité atteint ordinair
avec le côté sain décèle la surréflectivité. Dans la majo- rité des cas , la différence entre les deux côtés est particuli
le pensait autrefois. Sur li,% ni NSK 1. . 5 66 SÉMIOLOGIE dix cas d'hémiplégie récente observés par Ganault C), le
éré cinq fois. MM. Gendron et Miraillé ont relaté l'histoire de six cas d'ictus apoplectique examinés quelques minutes
, comme autre exemple d'hémiplégie sans dégénération secondaire, un cas de néoplasme intra-crânien qui comprime le faisce
possibles de cette compression, régressera parfois, comme dans les cas d'hémorragie de la capsule externe ou d'hémorra
gresser pendant des mois avant d'atteindre son apogée. Les divers cas d'hémiplégie que nous avons envisagés jusqu'à pré
t. L'absence de surréflectivité tient peut-être à ce que, en pareil cas , la couche opto-striée seule est atteinte et que
antérieures acquièrent une certaine intensité. J'ai même observé un cas de sclérose latérale amyotrophique dans lequel
exa- gérés (Strumpell a signalé le fait et Claude en a rapporté un cas ). Il est possible qu'il s'agisse d'une excitati
tération d'un os ou d'une articulation. La surréflectivité, en pareil cas , prédomine dans la région avoisinant la lésion
complètement abolis avant l'hémiplégie. Le plus souvent, en pareil cas , la lésion du faisceau pyramidal n'influencera
l'ir- réflectivité a fait place à de la subréflectivité. En pareil cas , sans doute, les lésions radiculaires étaient m
brachial était non seulement conservé mais même exagéré; en pareil cas , les effets de la percussion diffèrent suivant
l au- dessus du huitième segment. Comment se comportent, dans ces cas d'inversion du réflexe du radius, les réflexes
Enfin, l'un des deux peut être aboli et l'autre exagéré ; en pareil cas on a le droit de dire à priori que c'est le réf
agéré, celui de pronation étant aboli ; il ne s'est rencontré aucun cas où le réflexe d'extension étant aboli, celui de p
sse est parfois portée à son degré le plus élevé ('). Dans certains cas la contraction musculaire se maintient 10, 15 sec
s ou de pressions exercées sur les parties profondes. Si dans les cas types l'exagération des réflexes de défense saute
76 SÉMIOLOGIE on plie fortement les orteils. Cette manoeuvre, en cas de surréflectivité, provoque généralement une f
avions en vue. Comment se comportent les réflexes cutanés dans les cas de lésions pures des arcs tendino-réflexes prod
p d'intérêt. Elle mérite au contraire de fixer l'attention dans les cas de lésions constituant des causes de surréflect
eurs. Les réflexes cutanés présentent assez commu- nément en pareil cas les modifications suivantes : les réflexes abdomi
n connaît des faits qui ne cadrent pas avec elle : 1" dans certains cas de lésion de la voie pyra- midale avec surréfle
édical, n octobre 1\)10. 78 SÉMIOLOGIE Lévy-Valensi relative à un cas de complète solution de continuité de la moelle
, avec les réflexes de défense ensuite. Dans la grande majorité des cas de surréflectivité tendineuse, surtout quand el
ité et l'autre de l'irréflectivité, entrent en conflit. Or, en pareil cas , le phénomène des orteils est ordinairement pré
t la surréflectivité tendineuse des réflexes de défense. Dans les cas où les lésions spinales sont cantonnées dans la v
rmaux. Au contraire, dans les scléroses spinales diffuses, dans les cas de compression de la moelle par tumeur, pachymé
us avons étudié précédemment l'état des réflexes tendineux dans les cas où le tabes s'associe à une hémiplégie organique
Little que cette opération a été pratiquée, et déjà, dans bien des cas , elle a été couronnée de succès. Grâce à elle,
cirrhose du foie (Revue neurologique, n° 4, rgiz, p. 229). Dans les cas types de cette affection les réflexes tendineux
xes de défense toujours très forts ; e) dans la grande majorité des cas , signe des orteils. Ajoutons que la rigidité en
umeur intra-rachidienne, ou une pachyméningite ; en outre, dans les cas de ce genre, quand ils sont très caractérisés, la
au point de vue qui nous occupe. Après avoir indûment incorporé des cas de paralysie organique dans le domaine de l'hys
mais elle ne les fait jamais disparaitre complètement, et, en tout cas , elle ne fait subir aucune modification à l'éta
ôté de la paralysie. Un hystérique peut, il est vrai, dans certains cas , exécuter volontairement. à la suite de la perc
time à l'aide des caractères que j'ai indiqués. J'ajoute qu'en pareil cas ce n'est guère que le réflexe rotulien qui para
voir rien vu de pareil et je suis convaincu qu'il s'agissait dans ces cas d'associations hystéro-organiques. Pour établir
éflexes tendineux relève de l'hystérie il faudrait prouver, dans un cas donné, d'une part que la paralysie, en rai- son
M. Ettore Levi, intitulé : « Quelques nouveaux faits relatifs à un cas d'hystérie avec forte exagération des réflexes
s nécessaire de disserter longuement pour établir que dans bien des cas ce diagnostic est difficile et même impossible,
fférentiels classiques; il est arrivé à tout médecin d'observer des cas de ce genre. Les caractères dont on se sert pou
érieuse présomption, mais je suis d'avis qu'ils ne peuvent en aucun cas procurer la certitude et je vais chercher, en l
ou bien ils sont transitoires, ou bien ils se manifestent dans des cas graves se terminant rapidement par la mort. Le mé
s autorisé à soutenir actuellement que, dans la grande majorité des cas , les caractères intrinsèques four- nissent des
ives en bien et en mal. Ai-je besoin d'ajouter que, dans certains cas d'hémiplégie, la face n'est que très légèrement
éno- mènes paralytiques ; ils peuvent les précéder et dans bien des cas ils sont associés les uns aux autres. De plus l
ain à l'ouverture de la bouche ; il s'agissait probablement dans ce cas d'un véritable spasme ; on constatait du reste en
e signe du peaucier, quand il existe nettement du côté sain dans un cas d'hémiplégie, constitue un indice de lésion organ
e légère diffé- rence entre les deux côtés ; généralement en pareil cas , le degré de flexion est plus prononcé du côté
roite que dans l'hémiplégie gauche. C'est princi- palement dans les cas d'hémiplégie récente, flasque, sans exagération o
'ai constaté aussi, ce qui peut paraître surprenante) dans quelques cas d'hé- miplégie ancienne avec exagération des ré
uvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc dans plusieurs cas de sciatique où les muscles extenseurs de la cu
t les réflexes tendineux du côté paralysé peuvent être, suivant les cas , normaux, exagérés, affaiblis ou abolis, tandis q
conséquence une tré- pidation du pied qui se propage dans certains cas au membre entier et qui rappelle la trépidation
s l'un de l'autre ; c'est ainsi qu'on pourra affirmer dans certains cas qu'un mouve- ment consécutif à la percussion d'
on ou l'exagération des réflexes tendineux du côté paralysé dans un cas d'hémiplégie constitue un indice important de lés
tendineux. Je dois reconnaître cependant que j'ai observé, dans un cas de contrac- ture hystérique crurale paraissant
céphale, abolir le réflexe cutané abdominal, et dans la plupart des cas d'hémiplégie hystérique que j'ai examinés j'ai co
aucun mouvement apparent. Je ne pense pas qu'il s'agisse en pareil cas d'une véritable abolition du réflexe et je supp
ominale à la suite d'une excitation de la peau de l'abdomen dans un cas d'hémiplégie doit être considéré comme un indic
consécutifs à l'excitation de la plante du pied sont, dans bien des cas d'hémiplégie organique, plus faibles du côté para
eille affection. Sa valeur sémiologique est surtout grande dans les cas où l'état des réflexes tendineux ne fournit pas
période l'hémiplégie hystérique de l'hémiplégie organique ; dans un cas de ce genre l'existence du phénomène des orteil
n et des doigts, la griffe particulière qu'on observe dans bien des cas d'hémiplégie orga- nique et qui est la conséque
ut dans l'hémiplégie hysté- rique et, s'il semblait exister dans un cas , il s'agirait probablement d'une simulation de
tte à des alternatives en bien et en mal et que même, dans certains cas , elle disparaisse transitoirement d'une manière
, ils sont pres- que toujours exagérés et il existe dans bien des cas de la trépidation épileptoïde du pied. 7° Les
s proposé de démontrer, on peut arriver dans la grande majorité des cas , en se fondant sur les caractères intrinsèques,
ils sont atteints. Il est bien entendu que je fais abstraction des cas où, l'intelligence étant très amoindrie, le mal
intitulée : « Substitution des images aux sensations, à propos d'un cas d'hallucina- tions et d'illusions multiples. »
t plusieurs mois sous un aspect à peu près semblable. Comme dans le cas précédent, on ne constata durant cette période,
çon suffisante pour être fixé sur ce point. En effet, dans les deux cas que j'ai relatés, les familles considéraient ce
faire. Je ferai remarquer, en terminant, qu'il s'agissait, dans les cas observés, d'hémiplégie gauche. L'anosognosie se
se en flexion qui est de beaucoup le plus fréquent, mais il y a des cas où il affecte le type d'extension : la cuisse s
. Il y a donc lieu de les employer à tour de rôle, surtout dans les cas où les réflexes sont difficiles à mettre en évide
tions particu- lières qu'il importe de ne jamais négliger en pareil cas ('). (') Je dois faire remarquer que les mouveme
nférieur restant immobiles. Ces deux phénomènes sont donc en pareil cas nettement dissociés. Une observation anatomo-cl
Long (2) vient à l'appui de ma manière de voir : il s'agissait d'un cas de paraplégie par section complète de la moelle
hémiplégies incomplètes et feraient, au contraire, défaut dans les cas où l'hémorragie ou le ramollis- sement créent d
ls existaient d'ordinaire du côté de la paralysie motrice ; dans un cas cependant il les avaient observés du côté oppos
opposé (*). Enfin, la surréflectivité est bilatérale, dans certains cas , mais prédomine d'un côté('). I)ans la maladie
is l'intensité de cette surréflectivité est très différente selon les cas . On sait qu'il en est de même pour la surréflec
ment ou l'abo- lition des réflexes tendineux. J'ajoute qu'en pareil cas la réapparition des phénomènes spasmodiques sou
médul- laire au moyen des réflexes de défense fut vérifiée dans 16 cas (') : dans 12 cas, il s'agissait de tumeurs int
oyen des réflexes de défense fut vérifiée dans 16 cas (') : dans 12 cas , il s'agissait de tumeurs intra-rachidiennes, don
intra-rachidiennes, dont 3 de tumeurs extra-dure-mériennes ; dans 2 cas , de syndrome de Brown-Séquard par coup de coute
s 2 cas, de syndrome de Brown-Séquard par coup de couteau ; dans un cas , de méningite hypertrophique cervicale, où (')
e, où (') Voici les publications dans lesquelles furent relatés ces cas , en grande partie réunis dans la thèse de mon é
s, 1913 : Babinski et Jarkowski, Revue neurologique, 3o mai Ygio (3 cas ); Académie de médecine, Bulletin médical, 17 ja
e expérience nous a appris qu'il fallait seulement tenir compte des cas où le territoire de la surréflectivité envahit
ignements utilisables. Il n'en est pas moins vrai que dans bien des cas de compression spinale, il sera possible d'acquér
qu'avec une certaine lenteur son attitude primitive ; dans certains cas , la contraction musculaire dure 10, 15 secondes,
tronc ; nous reviendrons ultérieurement sur ce point. Dans certains cas , tandis que l'excitation du pied et de la jambe
de la flexion du pied chez le sujet normal (exception faite pour un cas de simulation qu'on pourrait d'ailleurs dépiste
es orteils et la flexion réflexe du pied sont, dans la majorité des cas , associées et je serais sans doute le dernier à
relatée par Dejerine, Lévi-Valensi et Long(') : il s'agissait d'un cas de paraplégie par section complète de la moelle o
re externe le signe de Babinski nettement positif et isolé. Dans ce cas , c'est la flexion du gros orteil qui fait partie
blir qu'il pouvait y avoir dissociation de ces deux phénomènes. Les cas où cette dissociation existe, sans être très co
. 1 z. RÉFLEXES DE DÉFENSE 133 pseudo-bulbaires, ou dans certains cas d'hémiplégie ancienne » ; et, dans un deuxième
ire ('), ils écrivent encore : « l'on peut cependant voir, dans les cas où, par suite du combat entre le réflexe normal
du pied et parfois aussi une flexion des orteils. Or, dans certains cas patho- logiques, chez les malades atteints d'hé
t une flexion des quatre petits orteils, cette excitation, dans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, pro
tendineuse. « J'ai constaté, disais-je, ce phénomène dans plusieurs cas d'hémiplégie récente flasque, où les réflexes ten
nne, ils peuvent être faibles et semblent même abolis dans certains cas . Je sais bien que l'exploration des réflexes te
Je ne puis souscrire à cette opinion, m'étant assuré dans quelques cas de paraplégie en flexion que les réflexes tendi
dant laquelle il y a eu surréflectivité tendineuse. Mais il y a des cas où, dès le début, les réflexes tendineux sont a
que l'affaiblissement des réflexes tendi- neux a été noté, dans ce cas , dès le début de l'affection et n'a pas été pré-
autres renseignements ayant une portée pratique, notamment dans les cas de compression de la moelle ? C'est une question
e expérience nous a appris qu'il fallait seulement tenir compte des cas où la surréflectivité envahit une partie plus o
bles. » Il n'en est pas moins vrai, pensons-nous, que dans certains cas de compression spinale, il sera possible d'acqu
éflexes de défense est particulièrement intense et durable dans les cas de paraplégie spasmodique par compres- sion de
n, par des réflexes de défense très marqués. Mais dans ces derniers cas , la phase pendant laquelle les réflexes de défe
secondaire de la voie pyramidale à l'examen anatomique dans de tels cas n'a pas de signification spéciale parce que, co
réflexes à l'état physiologique.. Mais il y a plus : daus certains cas , les réflexes de défense patholo- giques surviv
apporter, elle peut au contraire dénoter une aggravation : dans les cas de section complète de la moelle, ces réflexes
pas toutes concordantes, ce qui tient sans doute à la diversité des cas et à ce qu'un même auteur a eu seulement l'occa
a lieu de comparer ces faits de paraplégie à début brusque avec les cas d'hémiplégie cérébrale succédant à un ictus apopl
on réflexe des orteils et la flexion réflexe du pied. Dans quelques cas , des neurologistes, présents à une attaque, ont
porte peut-être comme dans l'hémiplégie cérébrale. J'ai rapporté un cas d'hémiplégie spinale avec anesthésie croisée du
enant, écrivent-ils, qu'il peut exister chez l'homme, dans quelques cas seulement il est vrai, un réflexe d'extension c
totales, il n'y aurait pas de véritables réflexes croisés : dans 6 cas sur les 8 cas observés, la flexion réflexe du côt
'y aurait pas de véritables réflexes croisés : dans 6 cas sur les 8 cas observés, la flexion réflexe du côté excité s'ass
ferai remarquer que l'on a très rarement l'occasion d'observer des cas avérés de section totale de la moelle. Ce sont
exes de défense toujours très forts; e) dans la grande majorité des cas , signe des orteils. Ajoutons que la rigidité en
r intra-rachidienne, ou par une pachyméningite ; en outre, dans les cas de ce genre, quand ils sont très caractérisés, la
tteignent pas, même après la période de shock, les muscles dans les cas de paraplégie consécutive à une section totale
pas nécessaire non plus qu'il y ait lésion irritative comme dans le cas déjà signalé de M. Babinski (Paraplégie en flex
uivant qu'on excite le côté sain ou le côté malade. Dans le premier cas , la main se porte sur le point excité comme pou
à sa partie antérieure, soit à sa partie postérieure. Dans certains cas , nous avons été frappés par la constance avec l
u dès mes premières observations particulièrement intenses dans les cas de compression de la moelle et de sclérose spin
rveux semble absolument normal. Est-il permis de soutenir en pareil cas qu'il y a libération de la moelle ? Ce ne serai
thologique de ces réflexes ne se comprendrait-il pas mieux dans des cas de ce genre, si l'on admettait qu'il est sous l
Ainsi les trois mouvements élémen- taires de flexion sont, dans ces cas pathologiques, intimement liés entre eux; ils s
ce n'est plus le droit antérieur qui peut être incriminé en pareil cas , et voici quel semble être le mécanisme du phén
our cause les mêmes dispositions anatomiques. Ajoutons que, dans le cas où la contracture est forte, les mouvements con
Mais les mouvements conjugués peuvent se manifester aussi dans les cas où la contracture fait défaut. Ils sont dus alo
u système pyramidal, ils peuvent se manifester égale- ment dans les cas où les troubles de la motilité ont une autre orig
ner une abolition des réflexes tendineux de ce ? membre même dans les cas pathologiques où il y a hyperréflexie tendineus
xterne. De ces observations il semble permis d'inférer que, dans le cas où l'on trouve le signe des orteils, le réflexe
e organique dans la zone limitrophe possède, au moins dans certains cas , un caractère qui fait défaut dans les anesthés
ntaires est plus complexe qu'on ne le suppose et que, dans certains cas de lésions du névraxe, on peut voir se produire,
n perçoit une inspiration brusque et bruyante. ' '. " Comme dans le cas I, cette surréflectivité est particulièrement mar
dition que ces excitations soient bien plus vives. Dans les trois cas de syndrome de Brown-Séquard que nous venons de
bservations I et III, et nous l'avons constaté encore dans un autre cas que nous rela- terons ultérieurement ; il n'a p
e, et en tenant compte de l'hyperalgésie toujours présente dans les cas observés jusqu'ici, nous les appellerons réflex
s de défense. Il est facile d'établir avec certitude, dans certains cas de lésion spinale, que le centre des réflexes d
n. Quant au centre spécial des réflexes hyperalgé- siques, dans les cas que nous avons observés, il siège sans doute au-d
e Neurologie de Paris, séance du g novembre ig 1 1. Dans certains cas de paraplégie spasmodique où la motilité volition
la motilité volitionnelle ne dure que quelques minutes. Dans des cas de paraplégie incomplète, les mouvements volontai
lexes de défense. On pourrait aussi supposer qu'il s'agit, dans les cas de ce genre, d'asso- ciations hystéro-organique
ite ou tumeur. Elle peut avoir surtout une valeur pratique dans les cas de néoplasie, lorsque se pose la question d'une i
qu'on a signalé depuis longtemps de la paresse pupillaire dans des cas de ce genre ; je dirai de plus, à l'ap- pui de
rveux m'ont donné un résultat nettement positif dans la plupart des cas ; il s'agit donc là d'un phénomène physiologique,
alysie de ce nerf. Sans contester qu'il en soit ainsi dans certains cas , je me crois en mesure de soutenir que le méca-
fait défaut à droite et il est très faible à gauche. Comme dans le cas précédent, il s'agit, selon moi, de tabès fruste.
ui me conduit à me demander s'il n'en a pas été ainsi dans d'autres cas d'ané- vrisme aortique accompagnés de troubles
gine syphilitique selon toute probabilité. J'en conclus que dans un cas où chez un aortique on se demande s'il existe u
Relativement au grand nombre d'individus atteints de syphilis, les cas d'abolition des réflexes pupillaires sont évide
nale confirmée. Il y a du reste tous les intermédiaires entre les cas où l'une de ces trois affections est dans son c
alogues à ceux qu'exécutent les malades que vous venez de voir ; ce cas est particulièrement intéressant, car, en faisant
pour exposer les phénomènes qui se présentent chez l'homme dans les cas d'affections cérébelleuses et labyrinthiques, et
une ou de l'autre cause. Mais ce que nous nous z) Huppert relate le cas d'un homme de 23 ans, faible d'esprit (depuis l'â
rientation, que le mouve- ment soit rapide ou lent. Dans ce dernier cas , il est vrai, le tabétique peut plus aisément c
rrête parfois en deçà du but qu'il doit atteindre. Ainsi dans les cas typiques, les mouvements démesurés des cérébelleu
uvements démesurés à leur plus haut degré de développement dans des cas où l'hypotonie, telle qu'on la recherche en cli
u notre attention. Voici ce que nous avons constaté dans le premier cas que nous avons observé et qui, étant donné la n
nce que le sujet dispose d'une force musculaire normale, ou en tout cas suffisante pour lui permettre de maintenir volont
ée de la cuisse et de la jambe. On conçoit que dans l'un et l'autre cas les mouvements de chaque segment de membre pour
CÉRÉBELLEUSE 197 nous a servi de type, nous rapportions un deuxième cas . Voici un extrait de l'observation : · La déamb
ome que nous avons exposé avec J. Nageotte en nous basant sur trois cas : Hémiasynergie, latéro- pulsion et myosis bulb
te interprétation ne saurait être appliquée à ce phénomène dans les cas que nous avons ici en vue ; nous avons bien spéci
ment les différences fon- damentales que l'on peut établir dans les cas typiques. D'une façon générale chez les cérébel
nt à l'appareil cérébelleux ainsi qu'à la voie sensitive. En pareil cas , si l'on n'y prend garde, on est exposé à faire
ésion atteignant la voie médullo-cérébelleuse ascendante ; dans les cas de ce genre qui d'ailleurs, dit-il, seraient exce
nce d'asynergie, la titubation s'associe à l'hypermétrie. En pareil cas la démarche peut présenter, il est vrai, d'assez
es cérébelleux des troubles de la sensibilité profonde, sauf dans des cas isolés. « Mais l'indubitable insignifiance des
, ou bien qu'il est en mouvement, qu'il se déplace. Dans le premier cas l'équilibre peut être qualifié de statique et dan
atique et dans le second de cinétique. De plus, comme dans les deux cas que nous avons en vue, la réalisation de l'équi
Dans ce but nous avons intentionnellement, chaque fois, supposé le cas où le phénomène est net et pur. On ne peut procéd
ès net, d'intensité moyenne ou simplement ébauché ; dans ce dernier cas il prend surtout de la valeur quand il coexiste
de leur éclosion. Quand plusieurs signes sont observés dans un même cas , ils renforcent mutuellement leur valeur indivi
méconnue et constituer une trouvaille d'autopsie. La relation de cas de ce genre n'est pas exceptionnelle dans les div
ou de ramollissement plus ou moins anciens. Mais on note aussi des cas d'atrophie ou plutôt d'agénésie partielle s'étend
faits il n'apparaît jamais de symp- tômes. Il en est ainsi dans les cas latents d'agénésie, quelquefois aussi dans cert
é de façon temporaire. Il peut en être ainsi, par exemple, dans les cas d'hémorragie ou d'embolie. Une pareille régress
sultats justifient les suppositions des cliniciens qui, à propos de cas de déficits cérébelleux restés latents, avaient i
sateurs (cerveau, labyrinthe, voie sensitive), explique dans certains cas la gravité, la ténacité des troubles cérébelleu
troubles cérébelleux. André Thomas, traitant ce sujet, rapporte un cas d'atrophie olivo- ponto-cérébelleuse où l'exame
n plein hémisphère. Mais il est aussi permis de penser qu'en pareil cas les lésions ne sont pas exclusivement cantonnées
ence et produire soit une latéropulsion, soit, dans la majorité des cas , une déviation angulaire correspondant parfois
. La différence est nette quoique un peu moins sensible que dans le cas précédent. Avec les courants vollaïques, le facia
es premiers jours qui suivent le début de la paralysie. Or, dans ce cas , elle dure depuis fort longtemps et aujour- d'h
tabilité électrique, bien moins prononcée, à la vérité, que dans le cas précédent, mais pourtant absolument nette. Ces
aboli) ; j'ai eu sou- vent l'occasion de constater ce fait dans des cas analogues. Enfin, et c'est surtout sur ce point
y est particulièrement accentué. Le phénomène en question, dans les cas que je présente, est facile à mettre en évidenc
es du mollet, je disais ceci : « Le phénomène en question, dans les cas que je présente, est facile à mettre en évidence
, les vibrations continuent à se faire sentir. » Dans de nombreux cas de contractures, de paralysies ou de parésies d
, en hiver, des réactions électriques d'hypothermie locale dans les cas de contractures ou de paralysies dites fonctionne
MM. Babinski et Froment ont étudié, il y a déjà longtemps, dans des cas de paralysies et de contractures consécutives à d
dans les contractures et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec réaction de dégénérescence. L
rement confirmé notre manière de voir. On constate, dans certains cas , que les muscles qui ne réagissent pas à des co
classique. Il ne semble pas impossible, du reste, que dans certains cas , à l'aide d'appareils faradiques plus puissants
nostic et il y aura lieu de le rechercher systématiquement dans les cas où par les procédés habituels on obtient une R.
nt du muscle. 2° Galvano-galvanique simultané. On sait que dans les cas de polio- myélite, de névrite, lorsque les musc
é, il m'a semblé digne d'être relaté. Je le rapprocherai d'un autre cas remarquable que j'ai observé. Il s'agit d'une f
dienne chez des malades atteints d'urémie à forme cérébrale. TROIS CAS DE GLIOMATOSE CÉRÉBRALE ? ) (DISCUSSION.) M.
it pas indiquée et si la trépanation n'aurait pas pu donner dans ce cas un résultat plus ou moins satisfaisant. Il étai
Ballet, Société de Neurologie, séance du 7 février igoi. III DEUX CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE DU LOBE FRONTAL [J. BABINSK
s ne sont pas moins intéressants. Je vais relater brièvement deux cas de néoplasme cérébral où le diagnos- tic, exact
xact en partie, n'avait pu être suffisamment précisé. Dans ces deux cas , conformément à ce qu'on avait supposé, la lésion
econnu qu'elle était constituée par un gliosarcome. Dans ces deux cas , la céphalée, les vomissements, la stase papillai
rs, tant s'en faut, à l'endroit où siège le mal, mais dans ces deux cas il ne s'agissait pas d'une simple prédominance
mis à cet égard une erreur. Serait-il possible de l'éviter dans un cas ana- logue ? La ponction cérébrale, suivant la
le seul moyen de conduire au diagnostic. Ainsi donc, dans ces deux cas , la céphalée était plus marquée du côté opposé
tumeur. Quant aux troubles visuels, ils étaient dans un de ces deux cas plus prononcés du côté où le néoplasme s'était
des rémissions notables, à la suite de l'emploi du mercure dans des cas de néoplasmes encéphaliques non syphilitiques (2)
es hémiplégies paradoxales, dont on a rapporté un certain nombre de cas , peuvent être dues à une compression qu'exerce
édical du 20 avril 1.9 1 o. On sait que dans la grande majorité des cas de tumeur cérébrale la O crâniectomie constitue
s irréparables, tels que la cécité. On conçoit la valeur, en pareil cas , d'une intervention capable de faire disparaître
uée malgré les dangers qu'elle peut faire cou- rir : quand, dans un cas de néoplasme, il est possible de la mener à bonne
E LA CRANIECTOMIE DÉCOM PRESSI V E 21) S'il est essentiel, dans les cas que nous avons en vue, de ne pas dill'é- rer l'
bon de rappeler aussi que la rachi- centèse a exercé dans certains cas une action favorable sur l'oedème des papilles.
s, je tiens à dire que les dangers de cette interven- tion dans les cas de tumeur cérébrale me semblent avoir été considé
faits sont exception- nels, si l'on tient compte du grand nombre de cas d'oedème cérébral où la rachicenthèse a été pra
ai pas observé d'accidents semblables, peut-être parce qu'en pareil cas , j'ai l'habitude de ponction- ner le malade pla
orte aucune trace apparente de cette infection. Que faire en pareil cas ? Pratiquer une ponction lombaire et rechercher l
illaire vient à céder après un délai de dix à quinze jours. Dans le cas contraire, on procède, dans un deuxième temps,
UA 7'111 1, iTI - ? PAR TIF AFFECTfONS NON PYRAMIDALES 1 SUR UN CAS D1 HÉMISPASME (CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA PAT
t à droite, comme si les muscles du côté opposé entraient en SUR UN CAS D'HÉMISPASME - ! 5 ? jeu. Quoi qu'il en soit, l
e c'est à une perturbation de ce genre qu'il faut attribuer dans ce cas le spasme musculaire. Si maintenant on considèr
que je vous présente sont semblables à ceux qu'on observe dans les cas ordinaires de torticolis spasmodique, on est cond
avaient des caractères identiques à ceux que l'on observe dans les cas ordinaires de l'affection connue sous la dénomi
e du cou ou torticolis, dit mental, est lié, au moins dans certains cas , à une irritation du système pyramidal. M. Dest
cette pathogénie doit s'appliquer sinon à tous, du moins à certains cas de spasme du cou, de torticolis dit mental. TOR
ésions dont elle dépend doivent être, au moins dans la majorité des cas , superfi- cielles ; autrement, il serait diflic
rès du genou, loin du coude ». Enfin, comme c'est fréquent dans les cas de ce genre, il existe en même temps des troubles
12 mars 1920 à la Société médicale des Hôpitaux), ont rapporté des cas de torti- colis dit mental, dans lesquels il ex
ace et du cou, des sterno-mastoïdiens en particulier. Comme dans le cas précédent, le résultat de l'inter- vention a ét
néralement définitive ; c'est du moins ce que j'ai constaté dans le cas de section du médian, du cubital, du sciatique, d
la suite d'une section complète de ces nerfs ; je dis qu'en pareil cas le retour à l'état normal chez l'adulte est excep
étaient plus modestes ; ils pensaient seulement que, dans certains cas du moins, alors que le spasme prédomine dans le
st généralisé à la plupart des muscles du cou ; mais, même dans les cas les plus favorables, le succès de l'opération n
. Il s'agit donc simplement de savoir si, dans un certain nombre de cas , on a obtenu des résultats suflisamment nets et
te que le sterno-mastoïdien du côté opposé n'a pas régénéré dans ce cas , qu'il reste complètement atrophié, comme cela a
du spinal, d'un côté ou des deux côtés, est légitime dans certains cas , notamment quand les spasmes prédominent (') Re
combinée de la cuisse et du tronc. Je l'ai constatée dans certains cas où la chorée était à peu près également marquée
le malade exécute le mouvement inverse. Mais c'est surtout dans des cas de chorée prédominant notablement d'un côté du
cas de chorée prédominant notablement d'un côté du corps, dans des cas d'hémichorée, que j'ai eu l'occasion de l'observe
considérer ce signe comme per- mettant de distinguer, dans certains cas , la chorée de Sydenham de la chorée hystérique,
s, léger tremblement, amoindrissement de l'activité. Ce serait un cas banal de syndrome parkinsonien post-encéphalitiqu
it plutôt soutenir l'hypothèse de mutisme hystérique car, en pareil cas , comme dans l'observation de notre malade, l'inte
mot. Or, parfois ce malade est capable de parler aisément. Dans ce cas , il parle, dit-il, facilement après un léger effo
appellerons un fait observé par l'un de nous(3), très analogue à un cas rapporté en q) 1'1 par Meige(') et qui, à (1) A
Q. Nous avons observé deux malades rentrant dans cette catégorie. Cas I. Voici une jeune femme de 27 ans atteinte, en m
taux, 27 juillet 1922. 280 - AFFECTIONS NON PYRAMIDALES En pareil cas , on observe à la fin de l'inspiration, une sorte
it que pendant le sommeil, sa respiration est absolument normale. Cas II. Ce jeune homme de 18 ans aurait été atteint,
En résumé, en admettant comme établi que les effets obtenus dans le cas que nous venons de relater soient la conséquence
mai 1902. 203 9, AFFECTIONS DU CERVELET tement, mais qui, dans le cas contraire, amène de la titubation, de l'in- coo
lms cinématographiques et des coupes histologiques se rapportant au cas princeps qu'il a relaté, il y a longtemps (lési
e savoir exacte- ment comment étaient disposées les lésions dans le cas que nous avons en vue, où ces phénomènes étaien
ce système dans l'asynergie ne doit pas être prépondérante en tout cas , car l'asynergie est presque exclusi- vement li
ue l'étude de ces réflexes de cause psychique nous a donné, dans le cas pathologique dont il est question ici, exactement
s de valeur différente dont on établit le rapport. Dans ce deuxième cas , si, au cours de l'expérience, c'est l'organe en
plégie organique, à laquelle ils semblent alors liés ; mais dans le cas qui nous occupe ils sont indépendants de toute
défaut dans une proportion de 3o pour 100 et ont remarqué dans ces cas une « résistance » à l'action du courant. J'ai de
née, un courant semblable, de quel- ques secondes de durée, peut en cas de trouble labyrinthique provoquer des sensatio
es. Cette augmentation de résistance peut s'observer aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne accompagnée d'oedème
ois, bien plus rarement, la tête se porte en avant. Dans certains cas , pendant le passage du courant, on voit la tète e
courant, la tête s'incline du côté de l'oreille malade ; en pareil cas , à l'ouverture du courant, la tête reprend immédi
sont ordinairement conservés dans les plaques de sclérose. Dans les cas où l'intégrité n'est pas complète, il se dévelo
chronique peut présenter une évolution aiguë. On peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la scléros
araissent s'en dégager. Considérons d'abord le premier de ces trois cas . Je me bornerai il attirer l'attention, sans m'
qu'il y avait SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 323 dans ce cas entre l'intensité de la contracture et l'état des
faisceaux pyramidaux de la moelle n'étaient aucunement altérés, ce cas confirme cette donnée, qui repose sur quelques
subi de dégénérescence secondaire ; il prouve de plus qu'en pareil cas , la contracture peut même atteindre un degré ex
contracture permanente et la contracture avec flexion dans certains cas de paraplégie, s'est exprimé à ce sujet, dans une
ect., XXIII Band, p. 343. 2° Etal du faisceau pyramidal dans quatre cas de contracture spasmodique infantile, par MM. Cl.
en partie, corroborées par les faits que je rap- porte : sur trois cas , en effet, il y en a deux où il s'agit de compres
n'est pas acceptable, du moins si on voulait l'appliquer à tous les cas de paraplégie spasmodique de la forme dont il est
des éléments nerveux, et qu'ils étaient encore plus marqués dans ce cas que dans les autres. (') Leçons sur les maladie
e paralysie loca- lisée précisément du côté où elle siège en pareil cas . Je suis amené ainsi à admettre, malgré l'absen
plus justifiée qu'il existe dans la science un assez grand nombre de cas analogues opérés avec succès. Je ne serai pas c
e mou- vements réflexes exagérés, du..moins dans un grand nombre de cas . Considérons maintenant la forme de paraplégie
les cuisses; cette flexion est plus ou moins prononcée, suivant les cas , et n'est pas nécessairement symétrique. La con
D'après les faits que j'ai observés jusqu'à présent, c'est dans le cas où l'anesthésie manque que la contracture en flex
ens et des ulcérations sacrées se produisent dans la généralité des cas , du moins à une période avancée de l'évolution de
d petit à petit à défigurer et à trans- former. Mais, dans certains cas , qui semblent rares, il est vrai, les signes es
J'ai déjà dit qu'il peut résulter d'une myélite aiguë, mais en pareil cas ses traits sont peu accentués. Habituellement
il. C'est même ce que j'ai toujours constaté jusqu'à présent dans les cas où la contracture en flexion avait été très pro
arésie), que l'on note chez certains blessés des membres. En pareil cas nous avons relevé également une notable diminut
l'oedème ont été assez souvent constatés aux membres inférieurs en cas de paraplégie spasmodique, et en général rattac
LIÉE A UNE IRRITATION DES CORNES ANTÉRIEURES DE LA MOELLE DANS UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE ? ) Il y a tout lieu d'admettr
- ble symptomatique cadrant avec ce diagnostic. Ce serait même un cas assez banal ne méritant pas d'être relaté, n'étai
subie par les fais- ceaux pyramidaux. Mais est-il possible, dans ce cas , de lui attribuer une pareille origine ? Il me
tabétiques, il y a une perturbation dans les deux réflexes, et les cas , assez rares du reste, dans lesquels le réflexe
é constaté s'il avait été recherché, au moins dans quelques-uns des cas de tabès avec conservation du réflexe rotulien
linique des maladies nerveuses le réflexe du tendon d'Achille. UN CAS DE CRISES GASTRIQUES TABÉTIFORMES LIÉES A L'EXI
pas la valeur sémiologique qu'on leur prête d'habitude. Dans notre cas , les crises étaient, depuis six ans environ, sé
: hématémèse ou m,déna. 3° Il peut donc être indiqué, dans certains cas , en face de crises gastri- ques invétérées, qua
l, il demande à être cherché parce qu'il se manifeste dans bien des cas sous une forme fruste et ne s'impose pas alors
niers quinze jours; je les présente à la Société. Il s'agit de deux cas de tabès hérédo-syphilitique d'autant plus inté
ai, contester ce diagnostic et, comme l'a fait Gumpertz (3) dans un cas analogue, soutenir qu'il s'agit (') Publié dans
festation de syphilis jusqu'à l'âge de dix-huit ans ; c'est donc un cas d'hérédo-syphilis tardive. La coexistence du ta
de rechercher la cause pour laquelle l'agent morbide frappe dans ce cas de part et d'autre le système nerveux. S'agirai
la est possible et je suis arrivé ainsi à observer une quinzaine de cas de tabes conjugal. Je n'ai pas de statistique à
les tabétiques mariés. Je crois cependant pouvoir affirmer que les cas de ce genre sont trop communs pour qu'il soit p
llaire ou d'incoordination motrice. J'ai noté dans plusieurs de ces cas que le mariage avait eu lieu fort longtemps, 11
l'épreuve du séro-diagnostic. Il serait intéressant aussi dans les cas de syphilis familiale de savoir quel était, au
s le début, bilatérale et symétrique. La névrite observée dans ce cas a les caractères de celte forme spéciale de névri
le, rhumatisme, grippe, etc., pouvant du reste l'engendrer. Dans le cas présent il nous est impossible d'affirmer que l'i
ue, troubles mentaux) à la névrite rétro-bulbaire. Ce qui rend ce cas particulièrement intéressant, c'est qu'à la névri
tabes spondylosique ». J'ai déjà eu l'occasion de dire que, dans un cas de spondylose accom- pagnée de douleurs névralg
e mari ait été également atteint de tabes et qu'il s'agisse là d'un cas de tabes conjugal. Observation II. - Homme âgé
trerait du côté temporal. M. Charcot l'a vu, dans la ma- jorité des cas , prendre la forme de rétrécissement concentrique
scotomes hémiopiques ou en secteur s'observent aussi dans certains cas , et peuvent même présenter une distribution telle
matériel clinique, nous constatons que dans la grande majorité des cas le champ visuel est dans le tabes irrégulièreme
t cette donnée depuis longtemps acquise. Toutefois on a signalé les cas où la vision centrale reste indemne, malgré un
er que cette forme n'est pas exceptionnelle. ' Il existe donc des cas d'atrophie tabétique des nerfs optiques où l'on
Et le scotome central était le symptôme dontla pré- sence, dans les cas douteux, signifiait névrite rétrobulbaire, le plu
pinion qu'on peut obser- ver le scotome central dans 2 pour 100 des cas d'atrophie tabétique. D'après M. J. Galezowski,
D'après M. J. Galezowski, ce pourcentage atteindrait 4,3 pour 100 des cas . On cite partout les cas de Bunge, de Panas, de
e pourcentage atteindrait 4,3 pour 100 des cas. On cite partout les cas de Bunge, de Panas, de Von Grosz ; -I1 : I. J. Ga
t six observations. On doit regretter que la grande majorité de ces cas de scotome central dans l'atrophie tabétique ai
ccompagnés d'observations. D'après ces observations, la plupart des cas de scotome central consta- tés chez les tabétiq
de lésions tabétiques de ses nerfs optiques. 1.' Il y a d'autres cas où le scotome central n'est qu'un scotome central
t possible, comme l'ont avancé quelques auteurs, que, dans certains cas , il s'ajoute à l'atrophie tabétique une névrite
uel particulière à cette affection ; 2° Dans la grande majorité des cas , le champ visuel pour le blanc est irrégulièrem
pair avec la limitation du champ visuel ; 3° On observe aussi des cas où le rétrécissement concentrique s'accom- pagn
st le plus souvent dû à une lésion surajoutée. Dans la majorité des cas , il s'agit d'une névrite rétrobulbaire consécutiv
la moelle. Il est donc important d'enregistrer avec grand soin les cas que l'on peut rencontrer et c'est pourquoi nous
urquoi nous publions avec détails l'obser- vation suivante : , Le cas que nous rapportons est donc une observation typi
ée prennent tous les modes. Petren insiste sur le fait que dans les cas de coups de couteau ayant amené des troubles bi
e la sensibilité tactile est toujours prise. D'autre part, dans les cas compris dans ses deuxième et troisième groupes,
fonde du côté opposé, c'est-à- dire du côté de la lésion ; dans les cas du troisième groupe la sensibilité profonde peu
'ici aucune preuve anatomique, nous note- rons simplement que notre cas rentre dans le troisième groupe de la classific
on de notre malade, nous avons eu l'occasion d'exa- miner un second cas de syndrome de Brown-Séquard, très net (dû à une
donc pas d'un fait isolé. Il est pourtant à noter que dans les deux cas ces mouvements réflexes étaient également exagé
t, qui n'a pas été, à notre connaissance au moins, signalé dans des cas analogues aux nôtres, nous paraît digne de fixer
troublée qu'à celles où cette sensibilité est abolie. Dans ces deux cas , il existe donc une anesthésie étendue qui intére
cines sacrées. Cette constatation peut nous servir à interpréter le cas de la troisième malade. Observation III. M"e
eurs segments médullaires correspondants. Mais, en rapprochant ce cas des deux précédents, et considérant qu'il exist
l'exposé de ces nouvelles observations : Premier malade (quatrième cas ). - NI. E..., négociant, se portait bien jusqu'en
conservée pour la jambe et la cuisse. 1 Deuxième malade (cinquième cas ). S... Henri, 44 ans, charretier, entre le 3o mar
tant donné que les tumeurs comprimant la moelle sont, dans bien des cas , susceptibles d'être extraites par une opération
on du réflexe du radius, décrite par l'un de nous('). Mais dans les cas les plus communs, où la lésion siège à la régio
on peut provoquer ces réflexes a une hauteur qui varie, suivant les cas . Or, la hauteur jusqu'à laquelle s'élève sur le
uences qui ont un intérêt pratique. Nous avons vu que dans certains cas , rares il est vrai, l'anesthésie donnait, au po
ation de la limite supérieure, des indications infidèles. En pareil cas , le chirurgien ne trouvant pas la tumeur dans l
'agit d'une tumeur intra-dure-mérienne, car il est utile, en pareil cas , d'abréger autant que possible le temps opérato
iques ana- tomo-cliniques montrent que, dans la grande majorité des cas , les tumeurs intra-dure-mériennes, développées
t d'une tumeur intra-rachidienne si la lésion est courte. Dans cinq cas de ce genre que nous avons observés et où il y a
pui de cette allégation nous rela- tons l'observation complète d'un cas de méningite cervicale hypertro- phique dont la
nd l'expérience est faite après qu'elle s'est reposée, mais dans le cas contraire elle ne peut y parvenir et son corps
abitude dans les compressions de la moelle il n'y avait pas dans ce cas de troubles objectifs de la sensibilité permett
ypertrophique. Nous avons pu avoir la vérification anatomique de ce cas et elle vient compléter cette observation ; aus
t avec cette méningite, comme cela a déjà été signalé dans quelques cas ; il n'y a pas Fig. 4. - 7e segment cervical : c
déjà plus dans le 6e segment. La voie motrice est du reste dans ce cas lésée sur un autre point, à la partie moyenne du
te cervicale hypertrophique, mais nous ferons remarquer que dans ce cas ce terme est impropre, les lésions de la pachy-
L'examen et l'interprétation des troubles de la sensibilité dans les cas j de compression médullaire sont souvent diffic
s les lésions transversales destructives de la moelle. ' Voici un cas de ce genre (fig. 53), les signes constatés (para
son service aux Invalides, vérifier cette disposition dans quelques cas de section de la moelle par un projectile de guer
disposition ana- logue que l'on doit s'attendre à trouver dans les cas de compression médul- laire à la phase avancée,
sur la variabilité des réflexes de défense, en particulier dans les cas de tumeur de la moelle. L'anesthésie instable o
es- thésie (voir fig. 55, 56 et 58). Nous voyons parfois dans ces cas le phénomène suivant : les excita- tions appliq
une dissociation syringomyélique, ainsi que cela avait lieu dans le cas correspondant à la figure 58. L'éloignement d
Par contre, cette particularité contraste. avec ce qu'on voit dans le cas de lésion intra-spinale, telles que la syringom
a-duremé- rienne comprimant la moelle du 5e au ge segment dorsal ( cas pu- blié par J. Babinski, Lecène et Jarkowski
a 2-4 apo- physe épineuse; anesthésie ther- mique et douloureuse ( cas publié par MM. Babinski, de Martel et Jumenti
temps tombée en discrédit. Mais on a, nombre de fois, signalé des cas où l'on avait fait fausse route. Les erreurs
rreur commise le plus ordinai- rement. Nous pensons que, dans les cas de ce genre, on a dû prendre pour repère la lim
hui banales. Mais ce qui faisait la difficulté et l'intérêt de ce cas , c'était le diagnostic de la nature de la lésio
roubles de motilité. Nous rappelle- rons que nous avons publié deux cas où l'amélioration a été encore plus tardive. Da
eux cas où l'amélioration a été encore plus tardive. Dans un de ces cas (') où il s'agissait d'une tumeur intra-dure- mé
commença à exécuter quelques mouvements volontaires. Dans un autre cas où l'on avait affaire à une paraplégie type exten
ns beau- coup plus denses que cela n'a lieu d'habi- tude dans les cas de ce genre. La libéra- tion de la tumeur est f
travail en collaboration avec Enriquez et Jumen- tié, a rapporté un cas de ce genre ('). Mais l'observation que nous veno
rendu l'extraction notablement plus laborieuse que dans les autres cas de tumeurs intra-dure-mériennes, pour lesquelles
es réactions sont souvent très vives et elle est pratiquée dans des cas où il existe des altérations dont il est impossib
ps, par suite de la présence d'un obstacle pathologique. Dans notre cas nous avons des raisons de croire qu'il en était
déduire des considérations précédentes : Il serait sage, dans les cas où une compression par tumeur semble probable,
ont en principe disposés à une intervention à bref délai. Dans un cas où l'on croirait avoir intérêt à soumettre le mal
savoir que depuis il a également observé des adhérences dans quelques cas d'injec- tions intra-durales de lipiodol. ' X
ésordres profonds, puisque les troubles fonctionnels sont en pareil cas susceptibles de rétrocéder et de disparaître tota
ienne comprimant la - i moelle dorsale, opérée avec succès. Mais ce cas mérite, croyons- nous, d'attirer l'attention et
it rapporté un fait établissant que l'arrêt pouvait faire défaut en cas de néo- plasie ; mais, dans son observation, le
chez notre malade, les troubles étaient déjà très accentués. Notre cas montre donc et c'est là une donnée pratique à r
-mêmes avions rapporté un fait de cet ordre ; mais, de plus dans ce cas , un examen radiographique pratiqué à la suite d
urbe à conca- vité tournée vers l'extrémité céphalique. Or, dans le cas qui fait l'objet de notre communication actuell
peut-être à une différence de siège. La pre- mière figure, celle du cas antérieur, se rapportait, en effet, à une tumeur
mpagne pas des modifications qu'on observe habituellement en pareil cas dans l'état de la réflectivité tendineuse et de
exes de défense diffèrent-ils de ce qu'on voit d'habitude en pareil cas ? L'état des réflexes tendineux peut s'expli- q
moelle. L'un de nous a publié déjà (') un fait de cet ordre dans un cas où il s'agissait, très vraisemblablement, de syri
e liée à une irritation des cornes antérieures de la moelle dans un cas de syringomyélie. Société de Neurologie, 6 févrie
intensité est sujette à des variations. Il est entendu que certains cas de compression de la moelle échappent à cette déf
te supérieure de l'anesthésie maxima que, dans un certain nombre de cas , on a cru devoir localiser la tumeur bien au-de
caractère qui pourrait peut-être faciliter la distinction : dans des cas de compression liée soit à une tumeur intra-méd
s affections, la coxalgie, par exemple, et qui peut servir, dans un cas dou- teux, à établir le diagnostic de sciatique
s les traités classiques. Je l'ai constaté non seulement dans des cas de sciatique intense, avec amyotrophie notable,
lgie, épi- thète qui n'implique pas, du reste, l'idée que, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du nerf. «
ngle. Cette attitude particulière s'explique par l'intervention, en cas de paralysie de l'adduc- teur du pouce, d'une a
équence il y a tout lieu d'admettre que l'hémispasme est dû dans ce cas à une irritation du noyau du facial ou du nerf
dans le tic douloureux; il s'agit peut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière affection, de mouvements d'un
renseignements que m'a fournis M. Meige, rien ne prouve que dans ce cas l'affection n'ait eu pour siège le bulbe même ; o
s supérieurs et la face, cela est démontré par un certain nombre de cas ('), peuvent se prendre aussi dans la suite. La
rière, dans le service de M. Charcot, deux malades qui sont dans ce cas . MYOPATHIE PROGRESSIVE PRIMITIVE 441 Signalon
lle, et du reste l'anomalie n'est pas très accentuée, car, dans les cas auxquels nous faisons allusion, ce sont des muscl
développement ; elles montrent ainsi qu'il existe, dans cer- tains cas , pour le système musculaire, comme pour le systèm
ppement ('). (') C'est, en particulier pour les centres nerveux, le cas de la sclérose latérale amyotrophique. II SUR
s a observe déjà (Revue 11'euroloigue, décembre pno, p. 602), dans un cas de myopathie à type facio-scapulo-huméral le ph
de plus que ce malade soit hypno- tisable. Il semble vraiment qu'un cas de ce genre réunisse les meilleures conditions
pas suffisante : ce qui le prouve bien, c'est que jamais, dans les cas de cet ordre, la persuasion n'est suivie d'une gu
ection que l'on pourrait me faire. Il n'est pas rare d'observer des cas d'hystérie incontestable se manifestant par des c
lles sont toutes susceptibles de guérir par ce moyen et si, dans un cas donné, malgré l'échec essuyé par la psychothérapi
qu'il s'agit d'hystérie, c'est que j'ai observé au préalable d'autres cas ayant un aspect clinique identique et tout à fa
arrivés à cette notion, c'est que nous avons auparavant observé des cas de monoplégie ayant les mêmes carac- tères clin
roduise d'abord par suggestion, qu'on le guérisse, au moins dans un cas , par persuasion, et que l'on démontre qu'il a d
ensuite, mais alors seulement, en droit, en présence d'un nou- veau cas identique, de diagnostiquer l'hystérie, même si l
ent psychique reste sans effet. Du reste, j'ajouterai que, dans les cas d'hysté- rie où la psychothérapie ne semble pas
é décrite depuis longtemps et récem- ment encore on en a relaté des cas qui ont été considérés comme indiscu- tables.
disparaître ces trou- bles et je puis dire que, sauf dans quelques cas exceptionnels où j'ai été en face de « professi
pharyngé », car l'excitabilité- réflexe n'est jamais abolie dans ce cas . Les stigmates se développeraient à l'insu du m
n crise et en apparence inconscient. sachant fort bien qu'en pareil cas son inconscience n'est pas réelle, que l'on a a
années que j'ai adopté cette méthode, je n'ai pas constaté un seul cas d'hémianesthésie chez les sujets qui, avant de me
malade, ils font défaut, tout au moins dans la grande majorité des cas , quand l'examen est pratiqué avec la méthode qu
e plus, que ce malade soit hynopti- sable. Il semble vraiment qu'un cas de ce genre réunisse les meilleures conditions
nais qu'on pourrait discuter cette opinion et soutenir qu'en pareil cas l'amyotrophie n'est que le résul- tat du repos
p visuel sont la conséquence de la suggestion médicale et, dans les cas où la suggestion n'est pas apparente, il est na
on de l'hystérie. 2° On m'a fait cette autre objection : il y a des cas d'hystérie franche qui sont rebelles à la persu
rganiques de l'encéphale ; or, personne n'ignore que, dans bien des cas , le traitement hydrargyrique, quelque intensif
l'ex- périmentation, ayez soin de choisir comme objets d'étude des cas bien nets au point de vue du diagnostic et écar
avec le début d'une accalmie, mais, même si vous avez affaire à un cas des plus favorables, vous constaterez sans peine
rôle de la psychothérapie dans la neurasthénie, adressez-vous à un cas de neuras- thénie bien franche, à la forme dite
reinte et ne peut être comparée à celle que vous avez dans certains cas d'hystérie, où, en quelques instants, vous guér
se chez certains sujets et de les faire disparaître dans cer- tains cas sous l'influence unique de la persuasion ; or, ce
, ou d'oedème hystérique, et je crois que ceux qui ont rapporté des cas de cet ordre ont été induits en erreur par des
turies puissent dépen- dre de l'hystérie ; ce sont probablement des cas d'association hystéro- organique mal interprété
u de la tuberculose rénale. Il est à remarquer, d'ailleurs, que les cas de prétendue hémorragie hys- térique sont deven
en suintant, n'est pas hystérique; on ne constate jamais, dans les cas de ce genre, les caractères qui appartiennent aux
durée. Veut-on soutenir que c'est un accident secondaire ? Dans ce cas , qu'on montre la fièvre étroitement subordonnée
hystérique pourrait avoir le même effet et il ne saurait, en pareil cas , être question de fièvre hystérique. L'hystér
lle n'existe pas, on la méconnaît plus souvent encore dans bien des cas où elle existe, non pas à l'état de pureté, mais
e insurmontables dans les expertises médico-légales relatives à des cas d'hystéro-traumatisme. Il y a aussi tout lieu d
d'être contredit, que l'on a fréquemment rapporté à l'hystérie des cas d'hémiplégie organique, mais je soutiens que de
hémiplégie a été consécutive à une émotion ; inversement, j'ai vu des cas d'hémiplégie hystérique chez des individus âgés
se comprend d'ailleurs très bien ; que l'on peut, dans beaucoup de cas , associer artificiellement une hémianesthésie sug
tions hystéro- organiques, la présence d'une hémianesthésie dans un cas d'hémiplégie n'en décèle nullement la nature.
'hui tous mes collègues sont d'accord avec moi. Ainsi donc, dans un cas d'hémiplégie, l'exagération unilatérale des réf
ficile de se sous- traire. Un confrère qui croyait avoir observé un cas intéressant de fièvre hystérique m'avait demand
, d'une manière générale, il y a beaucoup de médecins qui, dans des cas parti- culiers, se laissent prendre à des menso
facilement. Sur quoi donc peut-on se fonder pour admettre, dans un cas donné, que la simulation est en cause plutôt que
de la simulation. Voici sur quoi je fonde cette opinion : parmi les cas nom- breux que j'ai observés, cette méthode ne
dont les assertions étaient sans valeur. Qnoi qu'il en soit, chaque cas de ce genre peut fournir matière à discus- sion
e de mercure du thermomètre et il n'est pas douteux que beaucoup de cas de fièvre, dite hystérique, qui ont été publiés
en ou de quelque autre artifice. Il est bon de savoir que, outre le cas où la fraude est intéressée, il en est beaucoup
fesseur Dieulafoy en a relaté récemment à l'Académie de médecine un cas remarquable. Mais, me diront sans doute mes con
ouve pas encore que de pareils faits ne dépendent pas dans certains cas de l'hystérie. Effectivement, je n'ai pas encor
te de certaines circonstances, il n'est pas possible, dans tous les cas particuliers, d'établir leur union, on peut dire,
s lanternes ». Si l'on dit qu'il s'agit de suggestion dans le premier cas , il faut dire au moins que dans le second c'est
s de nombreux signes qui nous permettent, au moins dans beaucoup de cas , d'atteindre presque la certitude. Parmi ces si
e expérience que j'ai pratiquée le plus souvent avec succès dans le cas de paralysie brachiale d'origine suggestive : je
'un grand danger soit particuliè- rement apte à produire, en pareil cas , un changement dans le cours des idées ? Le mal
cette association nosologique. Mais ce lien existe-t-il et dans ce cas quel est- il ? On a cru le trouver dans ce fait q
très longue des troubles qu'elles présentent est due, dans bien des cas , à l'Impression fâcheuse qu'exercent sur leur e
ssurément non. Il est bien plus logique de dire que dans de pareils cas il s'agit d'associations de l'hystérie avec d'a
à une psychothérapie habilement pratiquée, le médecin qui, dans un cas de ce genre, aura vu échouer ses tentatives théra
ive qui parfois permettra de déceler la fraude ; mais, même dans le cas contraire, il ne se portera jamais garant de sa s
istence d'une partie de la psychiatrie. Assurément, dans cer- tains cas particuliers, on pourrait se trouver très embarra
E 513 n'arrivera au but qu'en suivant un chemin détourné. En pareil cas , l'hyp- notisme devient tout à fait légitime et
le état morbide, une « névrose émotive » ; il ne trouva pas un seul cas d'hémianesthésie ou de rétrécissement du champ
sté à une crise convulsive; il affirme n'avoir pas constaté un seul cas de paralysie ou de contracture. Des enquêtes du
d'inquiétude ou d'émotion. Et ce qui nous parait efficace dans ces cas , ce n'est pas tant la suggestion que le process
Mais M. Tinel et ses collaborateurs, ne se bornant pas à publier ce cas comme simple document, semblent en tirer des dé
e nerveux, des réac- tions vaso-motrices anormales et dans quelques cas même de véritables lésions organiques. » MM,
motivité ou des bouffées confusionnel- les, ont fait poser, dans le cas 12, à des neurologistes avertis, le diagnostic
non plus. MM. Tinel, Baruk et Lamache semblent en faire bien peu de cas puisque, dans leur observation qu'ils intitulen
de modèle devant les yeux, le rôle de la suggestion qui, en pareil cas , a généralement une source extra-médicale, peut
st-à-dire la moitié des maladies chroniques ». Ainsi un sixième des cas de maladies lui paraissait imputable à l'hystérie
ujourd'hui, M. Souques, relevait « dans une salle de 32 malades, 26 cas d'une authenticité indiscutable », avec anes- t
. A la même époque, dans le service de M. Raymond, à Saint-Antoine, 8 cas étaient observés dans les deux seuls mois de fé
nnées, dans une salle de clinique générale de 38 lits, passaient 22 cas d'hystérie mâle indiscutable. El maintenant ? P
, je crois bien qu'il y a plus de dix ans que je n'en ai observé un cas sérieux dans mes salles. C'est que, depuis Char
constata, ni dans l'élément militaire, ni dans l'élément civil, de cas d'hystérie pas plus pendant la période de recul
stériques qui suivaient. Il y a des chances pour que, dans certains cas , l'état confusionnel ait passé inaperçu. Les vi
es observés en neurolo- gie de guerre n'a permis de constater aucun cas de cet ordre qui fût pro- bant. Quant à l'opi
ut sembler en opposition avec cette manière de voir. Il s'agit d'un cas de paralysie de la main, sans aucun signe dénot
té d'une lésion organi- que est parfois indiscutable, même dans des cas où l'efficacité remar- quable de la contre-sugg
mettre 534 HYSTÉRIE-PITHIATISME E que l'on était en présence d'un cas d'hystérie pure. Et cependant, les conditions d
istes se sont crus cependant en droit d'affirmer que, dans certains cas d'hystérie observés pendant la guerre, la suggest
les conditions mêmes de l'observation. Il est incontestable en tout cas qu'à l'heure actuelle ces stigmates sont infini-
- tiel sur lequel il convient d'insister, ils ne sauraient en aucun cas nous autoriser à rattacher à l'hystérie les tro
its de même ordre ; il y a tout lieu de penser que plusieurs de ces cas , dans lesquels la guérison a été obtenue rapideme
les reprises et les saccades qui existent toujours dans ce dernier cas . Quelques auteurs ont même soutenu que les contra
ue nous apprend à cet égard la neurologie de guerre ? Dans tous les cas de contracture hystérique qu'il nous a été donné
de résoudre la question en litige. Voici comment il procéda dans un cas où il avait porté le diagnostic de contracture
a persistance de la contracture pendant le sommeil : or, dans notre cas , la bande ne s'est pas rompue... Le fait que je
ent spécifié autrefois, il est essentiel d'éliminer du débat tous les cas dans lesquels des rétractions fibro-tendineuses
e pour le moins l'hystérie n'est pas seule en cause. Dans aucun des cas sus-mentionnés l'examen pendant la narcose n'a ét
s. En est-il de même pour les réflexes cutanés ? Aucun des nombreux cas d'hystérie que nous avons observés n'est venu j
tionnelle de cause hystéro-traumatique ou autre peut, dans certains cas , produire une abolition complète ou une très gr
s étaient également en état de contracture. En résumé, sur les cinq cas relatés par M. Déjerine où le réflexe serait ab
ste ne put faire état, au cours de la discussion de 1908, d'un seul cas bien établi d'oedème hystérique. La conception an
onsidérés comme hystériques. avaient pour cause, ainsi que dans les cas de A. Lévi et Roger, une constriction volontair
s les travaux de Babinski, que ces oedèmes n'existent pas. Dans les cas de ce genre, il s'agit toujours d'une simple supe
nt pas d'habi- tude d'oedème bien marqué. Dans trois sur quatre des cas d'oedème pré- tendu hystérique qui ont été publ
es contractures pendant le sommeil. Ajoutons que, dans aucun de ces cas , l'épreuve thérapeutique n'a donné de résultat po
é, il est vrai, l'existence des troubles trophiques osseux dans six cas de contractures dites névropathiques qui s'étaien
flexe. En dehors de ces observations très sujettes à caution, aucun cas de trou- ble trophique hystérique n'a été publi
névrosiques. « On ne les constate jamais, ajoutait-il, que dans le cas où les phénomènes névrosiques ont été provoqués
e cette thérapeutique persuasive. » Est-il besoin d'ajouter qu'en cas d'association, les troubles hystériques seuls d
vulsions chez des individus atteints de délibité mentale. En pareil cas , la psychothéra- pie est beaucoup moins efficac
e que nous avons dit précédemment, nous le répétons, s'applique aux cas dans lesquels l'hystérie se présente à l'état d
pithiatiques purs : ni» réforme, ni grati(i ? cation. 2° Pour les cas où les accidents pithiatiques sont associés à des
par l'un de nous ; « Etant donné l'intérêt yM'<7 y a, dans les cas de troubles pithiatiques rebelles soit purs, so
nt parfois des états parétiques du pied. On peut observer en pareil cas des contractures associées ou non à l'amyotroph
et des parties profondes peut être modifiée. M. Descosse, dans des cas d'arthrite du genou, ajoute-t-il, a constaté de
par arme à feu de la cuisse (Weir-Mitchell, Morehouse et Keen); les cas d'inflammation dite réflexe (Brown-Séquard), etc.
, à séparer ces deux catégories de faits et donnaient dans certains cas , les moyens de les différencier. Sur quels symp
éléments d'appréciation d'ordre majeur... Si, par exemple, dans un cas de monoplégie, de monoparésie ou de névralgie o
et nous écrivions (') : «Nous devons reconnaitre que, même dans les cas où l'exagération de la réflectivité était contest
thermoasymétrie quand la paralysie est unilatérale, mais en pareil cas le trouble n'est que léger. Je suis d'avis qu'u
pe des phénomènes dits réflexes. Ces troubles sont communs dans les cas de lésions dues à des blessures par projectiles,
ermettant de rendre évidente la surréflectivité tendineuse dans des cas où elle était douteuse à l'état de veille. Ch
titude vicieuse ; il en était ainsi, en particulier, dans plusieurs cas de contracture de la jambe en flexion. , Ces
ent où nous poursuivions ces recherches surgirent de tous côtés des cas d'interprétation difficile qui suscitèrent toute
ore énigmatique ; ils attirent l'attention sur l'existence dans ces cas d'un état psychopathique spécial qui serait venu
: qu'ils étaient pour ainsi dire constants, bien qu'il y eut, d'un cas à l'autre, des différences dans leur degré d'inte
mes des membres et, parfois encore, à la suite de gelures. Dans les cas de plaie par projectile, la lésion peut n'intér
sseurs. TROUBLES VASO-MOTEURS ET THERMIQUES. Dans la majorité des cas , comme on vient de le voir, les troubles vaso-
ux les étudier ('). Nous faisons abstraction dans cette étude des cas où les troubles vaso- moteurs sont bilatéraux e
le pyromètre thermo-éleetriq ue de M"" Grunspan) atteint, dans les cas où les désordres sont le plus marqués, 8" à 8°,5.
dans de l'eau à 38° ou 4o", le membre malade devient dans certains cas aussi chaud et même plus chaud que le membre sa
elques observateurs en erreur en leur faisant croire, dans certains cas , à une guérison, alors qu'il ne s'agissait que
procher ce phénomène de la contrac- tion idio-musculaire ; dans les cas où elle est peu accusée, la surexcita- bilité m
de très notables proportions ; l'asymétrie peut même, dans quelques cas , après réchauffement artificiel, devenir à pein
étendues mais très brèves. Certains auteurs ont pensé que, dans les cas de blessure des membres, la lenteur de la secou
, d'une remarquable lenteur; elle est aussi lente que dans bien des cas de réaction de dégénérescence caractérisée. Afin
dans les contractures et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec réaction de dégénérescence. L
ypotonie est quelquefois très prononcée, aussi accusée que dans les cas d'altérations nerveuses les plus profondes, mai
re malade et faire complètement défaut dans les autres. Suivant les cas on obtient, par des mouvements passifs, une sur
cité, il n'y a lieu de tenir compte de cette hypotonie que dans les cas où elle est très nettement asymétrique. Lorsqu'
mparable à la décalcification osseuse si souvent observée en pareil cas . Il est à remarquer que dans certaines affectio
s, eux aussi, un peu forts. On ne peut en tenir compte que dans les cas où l'asymétrie est nette. Rappelons à ce propos
c lenteur du mouvement comme l'a montré Clovis Vincent('). Dans ces cas les troubles physiopathiques, en particulier la
dileb et Balba1ls, Troubles de la température locale 1\ propos d'un cas de paralysie, dite réflexe, du membre inférieur,
i, pp. 84-y5. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 56g Dans plusieurs cas de parésies réflexes atteignant le membre inférie
haude, les troubles de sensi- bilité s'atténuaient. Dans quelques cas d'acro-myotonie, Sicard a observé une anesthésie
hypothèse, et nous nous rangeons à celte conception, que, dans les cas soumis aux épreuves précédentes, l'anesthésie est
es typiques, nous avons pu constater que, dans un certain nombre de cas , la répartition topogra- phique des modificatio
n type nettement radiculaire. Nous avons éliminé, bien entendu, les cas où des troubles physiopathiques se trou- vaient
elles peuvent être très rebelles à la thérapeutique et dans certains cas incurables. Elles ne font presque jamais complè
iverses. Les rétractions sont exceptionnelles, au contraire, dans les cas de paralysie ou de contracture pithiatique et e
lysie ou de contracture pithiatique et encore leur réalité dans les cas d'hystérie pure ne nous paraît-elle pas prouvée.
être observée non seulement dans les névrites, mais aussi dans les cas de contractures ou de parésies d'ordre réflexe.
ts concer- nent des contractures du membre inférieur. Dans quelques cas de contrac- tures du membre supérieur (main d'a
es résultats thérapeutiques très satisfaisants dans la majorité des cas . Mais abstraction faite bien entendu de l'éléme
lexe, nous le répé- tons, ne se modifient qu'avec lenteur. Dans les cas où l'amélioration a été le plus nette, dans ceu
rgano-ré flexe. Ce mode d'association n'est pas rare. Dans bien des cas de lésion limi- tée au nerf radial, ayant déter
ntion d'un facteur « réflexe » semble encore plus évidente dans ces cas de causalgie du sciatique que nous avons observés
de même ordre qui avaient été constatés au membre blessé. Dans le cas que nous venons de relater le problème clinique é
autre à lui accorder une importance excessive. Considérons un des cas d'association hystéro-réflexe précédemment sign
ue les modes d'association peuvent être plus complexes que dans les cas que nous avons cités. Les troubles nerveux cons
si communes à la suite des blessures de guerre. A vrai dire, les cas où les troubles dans le fonctionnement d'un mem-
tte indication motrice ». Retrouve-t-on ces trois facteurs dans les cas d'atrophie musculaire, dite réflexe ? L'excitat
éments de cette substance. Mais Vulpian, envisageant uniquement les cas d'amyotrophie simple et ceux de paralysie amyotro
res peuvent se trouver combinés chez un même sujet. « Même dans les cas de paralysie amyotrophique, ajoute encore Charcot
penser, puisque l'examen pendant la narcose la décèle dans certains cas où elle est latente à l'état de veille. Parfois
d sur des sujets qui avaient été atteints de tétanos. Dans certains cas , plusieurs semaines après la guérison apparente
plus importantes. Il est possible qu'il en soit ainsi dans certains cas , mais ce mécanisme doit être au moins exception
ns les paralysies et contractures que nous étudions, mis à part les cas d'association réllexo- organique, rien n'autori
par exemple, le bras au-dessus du coude et jusqu'à l'épaule dans un cas de lésion de la main. Quelquefois même l'autre
ontractures réflexes ne répondaient pas dans la grande majorité des cas aux lois des réflexes : loi de symétrie, d'irra
réflexes : loi de symétrie, d'irradiation, de généralisation... Le cas que présentent aujourd'hui MM. Babinski et Fromen
clinique à ce que l'on observe en expérimentation : dans ce dernier cas , en effet, les phénomènes observés se produisent
de faits, association que nous avons observée par exemple dans des cas de contracture des mus- cles pelvi-trochantérie
resque systématiquement l'emploi de la psychothérapie même dans les cas où les troubles nerveux d'origine réflexe sont tr
tives thérapeutiques, il n'y a pas lieu, semble-t-il, dans tous les cas où, la réalité des troubles physiologi- ques su
de nouveaux traitements dans le même Centre neurologique. Dans les cas tenaces on pourra proposer une réforme, mais ce
soin des blessés nerveux contre la tendance au pessimisme dans les cas de ce genre. Nous avons fait observer que si la
ccorder un congé ou même une réforme temporaire est légitime dans les cas où les troubles physiopathiques sont très inten
persuadés que le mercure exerce, au moins sur un certain nombre de cas de tabès, une influence favorable. Il faut reco
on à cet égard il est nécessaire d'avoir observé un grand nombre de cas de la maladie de Duchenne ; sinon, l'on est expos
aru donner des résultats satisfaisants, je crois devoir signaler deux cas d'atrophie papillaire tabétique. Ol3SErtVA1'r
se sont aussi atténués. Il est incontestable qu'il s'agit là d'un cas de tabes un peu anormal, il est vrai, parce que
est de 5/2 5. On peut, il est vrai, soutenir qu'il s'agit de deux cas particulièrement heureux et que l'arrêt dans l'
nt remarqué l'heureux effet de la ponction lombaire dans cer- tains cas d'affection du nerf optique. Nous voudrions montr
bénéfices que l'on peut retirer de la ponction lom- baire dans les cas de névrite optique d'origine intra-crânienne, pou
ur la technique à suivre, et sur les précautions à prendre dans les cas d'hypertension du liquide céphalo-rachidien, et
devons insister sur l'impor- tance de cette ponction dans certains cas , au point de vue du diagnostic. PONCTION LOMBAI
e, la stase de la papille, furent contraires à ce diagnostic. Les cas que nous venons de rapporter peuvent être classés
est douteuse. Il est vraisemblable cependant qu'il s'agissait d'un cas de méningite. C'est surtout l'étude clinique de
rânienne. Amélioration rapide des troubles subjectifs dans certains cas , diminution parfois considérable des symptômes
invoquée. Il est intéressant de constater que dans presque tous nos cas , la pre- mière évacuation du liquide céphalo-ra
les résultats de la 59q THÉRAPEUTIQUE ponction lombaire dans les cas de stase de la papille. L'amélioration des trou
pour diminuer la compres- sion intra-crânienne (Obs. VII). Dans le cas de tumeur cérébrale, les résultats de la poncti
que palliatifs. La méthode de Quincke ne doit être employée dans ce cas , que si une opération plus radicale, telle que
ai- res de compression intra-crânienne qu'ils présentaient. Dans le cas où le diagnostic est douteux, cette persistance
oire). . PONCTION LOMBAIRE DANS LES NÉVRITES OPTIQUES 5g Dans les cas de névrites optiques consécutives à une tumeur in
ne, la ponction lombaire ne peut être que palliative. Dans tous les cas , où elle est indiquée, la ponction lombaire devra
mptômes de compression seront plus mar- qués. Il sera utile dans ce cas , de renouveler la ponction, autant de fois que
e antérieur : bourdon- nements, diminution de l'ouïe, surdité ; les cas où une amélioration a été obtenue sont exceptio
nels. L'analyse des observations que j'ai rapportées montre que les cas où le bienfait de la ponction lombaire est surt
rovoque des réflexes de défense, etc.. C'est ainsi que, dans les 13 cas de tumeurs juxta-médullaires que j'ai fait opérer
mots de la radiothérapie à laquelle j'ai eu recours dans plusieurs cas . Chez une malade (tumeur à la région dorsale) opé
tard, il y a eu sédation passagère des douleurs ; dans un troisième cas de tumeur à la région dorsale, où il est vrai, il
thélioma du sein, et où il n'y a pas eu de vérification anatomique, cas qui diffère par conséquent de tous les autres q
ement d'une aggravation considérable de tous les troubles. I)ans un cas de tumeur à la région cervicale que je rapportera
que revient l'honneur d'avoir le premier conseillé en 1887, dans un cas de tumeur qu'il avait diagnostiquée, l'interven
tion, laquelle fut pratiquée sur ses indications par Horsley. Les cas de tumeurs juxta-médullaires que j'ai fait opérer
Quelles ont été les suites de l'extraction de la tumeur ? Dans 5 cas , les malades ont succombé au shock très peu de te
au shock très peu de temps après l'intervention. Le pourcentage des cas de mort est élevé dans cette sta- tistique ; ma
ans les meilleures conditions, il y a des risques à courir. Dans un cas , le malade, malgré l'énucléation de la tumeur, es
meur, est resté dans le même état que précédemment. Dans un autre cas , il y a eu une amélioration rapide, mais le malad
tion qui ne semble pas pouvoir être incriminée. Dans les 6 autres cas , l'opération a été couronnée de succès. Dans un
6 autres cas, l'opération a été couronnée de succès. Dans un de ces cas , il s'agissait d'une tumeur intra-dure-mérienne d
uitté Paris et ne nous a pas donné de ses nouvelles. Les 5 autres cas se rapportent à des tumeurs de la région dorsale.
se rapportent à des tumeurs de la région dorsale. Dans un de ces 5 cas , on avait affaire à une paralégie spasmodique en
smodique en flexion permanente. 600 THÉRAPEUTIQUE Dans les autres cas , il s'agissait de paraplégies présentant les prin
e, n'ayant perdu de vue aucun de ces sujets. Dans un de ces trois cas (femme de 60 ans) qui, en France, a été le premie
n de ces trois cas (femme de 60 ans) qui, en France, a été le premier cas (') que l'on ait publié de guérison de paraplégi
igar, a été la conséquence d'une bronchopneumonie. Dans un autre cas (2), observé et traité à peu près au même moment
tion que la régres- sion des troubles a été si lente. Quant au 4e cas de paraplégie spasmodique, type extension-flexion
s courants voltaïques à hautes intensités nous a donc donné dans ce cas un résultat au moins égal à celui qui a été obten
ions. Nous concluons de l'observation de ce fait que, même dans les cas les plus graves de névralgie faciale ayant rési
s X avaient joué là un rôle thérapeutique. J'avais relaté encore un cas de mal de Pott sur lequel les rayons X avaient
la syphilis du système central en voie d'évolution, n'était dans ce cas que légère. Il est probable que les lésions ne
Paris, séance du G avril r 1 1 - En igo8, l'un de nous publia un cas de « spondylose et douleurs névralgiques très a
ifficultés ni douleurs. Nous apportons aujourd'hui la relation de 4 cas de sciatique-névrite qui, d'abord traités sans
anière de conclusion, qu'après avoir essayé quelque temps, dans des cas analogues, les médi- cations habituelles : repo
rps muqueux de Malpighi (Société anatomique, 4 mai 1883). 5. Deux cas d'épithélioma pavimenteux ayant vraisemblablement
cause une hémorragie méningée (Revue de Médecine, rSS3). 7. Sur un cas de pseudo-pellagre (Gazette médicale de Paris, 18
Comptes rendus de l'Académie des Sciences, janvier 1884). g. Sur un cas de myélite chronique diffuse avec prédominance de
rieures de la moelle (Revue de Médecine, 1884). - . 10. Note sur un cas de pneumonie tuberculeuse pseudo-lobaire avec abs
réflexe antagoniste de Schaefer (Id., 13 janvier igoo). 57. Sur un cas d'hémispasme. Contribution à l'étude de la pathog
rier 1901). 69. A propos de la communication de M. Ballet sur trois cas de gliomatose cérébrale (Id.). 7o. Hémiasyner
ertige voltaïque (Société de Biologie, 25 avril 1903). go. Sur un cas de mélancolie guéri à la suite immédiate d'un acc
éralisée (Société d'Ophtalmloogie, 6 décembre 1904). 1 13. Sur un cas de névrite dù peut-être à l'usage d'engrais artif
trapèze droit et tic de la face (Id., 6 juillet tgo5). 120. Sur un cas de tabes à systématisation exceptionnelle (en col
et les troubles trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). t6o. De
. 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). t6o. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal (Id., 6 mai 1
e M. Ettore Levy intitulé : « Quelques nouveaux faits relatifs à un cas d'Hystérie avec exagération des réflexes tendineu
ure liée à une irritation des cornes antérieures de la moelle dans un cas de syringomyélie (Société de Neurologie, 6 févr
(en collaboration avec Vincent et Barré. Id., 6 mars igi3). 202. Un cas de crises gastriques tabétiformes liées à l'exist
tin de l'Académie de Médecine, 13 février 1917). 246. A propos d'un cas de claudication intermittente par endartérite (en
laboration avec Heitz. Société de Neurologie, 7 mars 1918). a54. Un cas de réflexe achilléen contro-latéral homogène (en
vec Moricand. Société de Neurologie, 11 avril 1918). 255. Nouveau cas de réflexe achilléen contro-latéral chez un homme
ociélé de Neurologie, 4 aoùt 1920). 260. Raideur musculaire dans un cas de syndrome parkinsonien consécutif à une encép
63a INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 262. Etude des troubles moteurs dans un cas de choréo-athétose (en collaboration avec Jarko
Stase papillaire guérie par la trépanation crânienne 236 III. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal 23g IV. - D
` . , , QUATRIÈME PARTIE AFFECTIONS NON PYRAMIDALES 1. - Sur un cas d'hémispasme.. 255 II. - Sur le spasme du cor 2
43 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
nombre. La pratique la plus étendue ne fournit que de loin à loin les cas analogues, les cas qui peuvent s'éclairer mutuell
la plus étendue ne fournit que de loin à loin les cas analogues, les cas qui peuvent s'éclairer mutuellement. Un dessin fi
itième et dix-neuvième siècles, une foule de figures représentant des cas pathologiques remarquables. Le premier, en effet,
ssaire. L'art du coloriste sera également mis à contribution dans les cas nombreux où la magie des couleurs devra compléter
te cette surface ressemblait à la surface AAA. Ne seraient-ce pas des cas semblables qui ont fait dire à P. Portai et autre
avec ou sans communication avec la cavité de la vésicule; et, dans le cas de communication, une pression légère exercée sur
une observation superficielle, la cause probable de l'avortement. Ces cas , de même que celui que je viens de O Dict. do m
ux grossesses hydatiques dans ma pratique particulière. Dans les deux cas , des pertes irrégulières se sont manifestées vers
dinaires, de douleurs peu expultrices, tellement que dans l'un de ces cas , au bout de quatre jours de douleurs très-vives,
uelques heures après une masse vésiculeuse fut expulsée. Dans ce même cas , des accidens inflammatoires du côté de la fosse
ait seule subi la transformation vésiculeuse, tandis que dans l'autre cas la totalité du placenta était convertie en une ma
nt la destruction du fœtus? Je n'ai pas trouvé de fœtus dans les deux cas que je viens de mentionner ; mais cela ne prouve
, il en résulte seulement un arrêt dans le développement : et dans le cas actuel, bien qu'il soit probable que madame *** f
omptitude. Instruit par l'expérience, j'ai pu tout récemment, dans un cas obscur, porter un diagnostic qui paraissait bien
rtériels, cause si fréquente de gangrène spontanée ou sénile. Dans le cas de pétrification du placenta, c'est l'atrophie d'
très-naturel. Je ne pense pas qu'une hémorrhagie moyenne, qui dans ce cas fut la suite de l'insertion du bord du placenta s
our ainsi dire étouffé par un tissu de nouvelle formation. Tel est le cas dont il s'agit. L'anatomie de texture nous appren
mort? N'a-t-elle été suivie d'aucun désordre fonctionnel, et dans le cas où elle en aura causé, quels sont-ils ? sont-ils
de toute affection organique des viscères thoraciques. Dans quelques cas d'inflammation chronique du rein, les vomissemens
ns les uretères, dans les calices et le bassinet, ont-ils été dans le cas actuel en totalité ou en partie cause de l'inflam
intervalles, ainsi que nous l'avons fait avec tant de succès dans un cas de néphrite par cause externe. Dans le cas actuel
vec tant de succès dans un cas de néphrite par cause externe. Dans le cas actuel, il fallait agir avec d'autant plus de vig
e pus, m'a permis de voir le réseau complètement vide ; mais, dans ce cas , le volume du rein ne dépassait pas l'état nature
à en tirer quelques inductions. i°. Si nous voulons appliquer à ce cas d'imperforation du rectum cette grande loi si féc
tulé : De monstrosâ duplici-tatey page i55. Il est vrai que, dans les cas cités par Meckel, les artères qui de l'aorte se p
ission de certaines autres ? Comme fait pathologique, je regarde le cas actuel, non pas comme preuve de l'absorption de l
mme qui avait un cancer utérin en détritus. Ici se rapporte le beau cas de vaisseaux et de ganglions lymphatiques injecté
e preuve de l'absorption du pus ; mais il serait très-possible que ce cas fût, comme les précédens, un exemple d'inflammati
jectés comme ils l'auraient été par du lait. C'est sans doute à des cas analogues que Meckel fait allusion dans ce paragr
mement fin à l'extrémité postérieure de la luette vésicale. Dans ce cas , comme dans celui représenté figure 4 la main éta
rse sont parfaitement distincts et m'ont paru dans l'état naturel. Ce cas prouve manifestement que la déformation de l'astr
te antérieure du calcanéum au scaphoïde. Il est évident que, dans des cas de cette espèce, l'opérateur devrait, sans hésite
vident que cette union n'est point le résultat d'une maladie. Dans ce cas , comme dans le précédent, il est clair que l'opér
œtus une pression médiate ? Il semble, au premier abord, que, dans le cas où les eaux de l'amnios sont peu abondantes, l'ut
s parties de lui-même un corps résistant, inflexible : ainsi, dans le cas actuel, les jambes, au lieu d'être fléchies en ar
t dans l'utérus, que j'ai occasion d'observer tout récemment un autre cas tout semblable : ainsi le pied-bot représenté pla
ts et même chez quelques sujets adultes : cependant, dans beaucoup de cas , ils sont déformés. C'est ainsi que, sur un pied-
rtilage articulaire de la poulie est détruit en grande partie dans le cas représenté fig. 5 et 6, planche ni : il l'était c
t plus volumineuse que le déplacement est plus complet. Dans quelques cas rares, la marche se fait en partie sur cette tête
tête; n'y a-t-il pas contradiction? Non sans doute, car dans l'un des cas la compression est continue, et dans l'autre la c
nds encore plus loin que M. Dupuytren les ressources de l'art dans le cas de difformité du cal, et je crois qu'il peut enco
ire. » J'ai pu acquérir la preuve du contraire; car d'abord, dans les cas que j'ai observés, l'aponévrose plantaire avait s
rer, et j'ai acquis la conviction que ce ligament aurait été, dans le cas actuel, sinon l'obstacle principal, au moins le p
l cependant qu'il y eût absence des muscles de la jambe dans certains cas de pied-bot. On m'a assuré avoir vu un cas de ce
de la jambe dans certains cas de pied-bot. On m'a assuré avoir vu un cas de ce genre, mais je ne puis garantir l'authentic
ermanens n'avait point échappé au père de la médecine; c'est dans des cas de cette espèce, c'est-à-dire dans les pieds-bots
ce, c'est-à-dire dans les pieds-bots sans déformation de l'astragale, cas qui sont beaucoup plus fréquens qu'on ne l'imagin
fans pieds-bots que j'ai examinés. Il me paraît probable que, dans le cas actuel, ce ligament était accidentel, de même que
e demande quelquefois si cette malade serait dans la catégorie de ces cas de fièvre rémittente (et j'en possède plusieurs e
tre-indication au tâtonnement méthodique qu'on doit employer dans les cas douteux. Tout-à-coup, le ii septembre, sur le s
s, tout enfin fortifiait cette opinion. Jetais tenté de rapprocher ce cas de celui qui fait le sujet de la figure 3; mais i
la suite de plusieurs accès fébriles. Dans le plus grand nombre de cas , la fluxion sanguine sur la rate? qui accompagne
davantage du type quotidien et surtout du type rémittent : si dans ce cas on ne se hâte d'arrêter la fièvre, non point par
u ce qui a pu lui nuire, demandez-leur un plan de traitement pour des cas semblables. Certes ce n'est pas de l'éclectisme,
céder au fébrifuge. Mais n'espérez pas dans le plus grand nombre des cas un accès complet : le stade de froid, souvent le
ou de toute autre médication, et par l'absence de douleur. Dans le cas qu'on vient de lire, bien que la rate fût le sièg
au faire; il sera bien difficile d'arriver, dans un certain nombre de cas , aune précision de diagnostic qui ne laisse rien
fût la forme de la maladie. Ce qui tue dans le plus grand nombre des cas , ce n'est pas le mal local, à moins qu'il ne s'op
mation proprement dite, et ce 11e livraison. 3 n'est que dans des cas fort rares qu'on rencontre en même lernps du pus,
amollissement de la rate, oano ^liW arit ^ans le plus grand nombre de cas , à faire la part de cette singulière altération
? Était-ce une fièvre rémittente pernicieuse syncopale? Dans tous les cas , il était évident que le siège de tous les symptô
ourrait donner la raison suffisante des symptômes graves que dans les cas où il occuperait une grande étendue, et ici il ét
'est de déterminer quel est le mode de traitement convenable dans les cas de cette espèce. On a dû remarquer que ma premièr
quina administré à temps et à dose convenables ; que dans beaucoup de cas une langue sèche, rouge et noire n'était pas une
qui entraînent tout-à-coup des symptômes promptement mortels. Dans le cas actuel j'attribue la mort au ramollissement des c
rébrales adjacentes, précipite le terme fatal. Il paraît que, dans le cas actuel, c'est au ramollissement qu'il faut attrib
toutes parts par le tissu morbide. J'ai également rencontré, dans un cas de tumeur blanche du genou, une grande quantité d
se a pu être sécrétée autour d'une lésion aussi grave. Mais, dans les cas de cette espèce, la graisse est déposée dans ses
rasse dans des lésions organiques de divers ordres. Il m'a cité trois cas en particulier. Un cas a pour sujet uije dame aff
organiques de divers ordres. Il m'a cité trois cas en particulier. Un cas a pour sujet uije dame affectée de carie de plusi
cariées une couche épaisse de matière grasse concrète. Dans un second cas , cette matière grasse était contenue dans l'épais
et interne, sous la forme d'une volumineuse tumeur. Dans un troisième cas des trajets urineux anciens furent trouvés rempli
ois il y a extravasation dans l'inflammation. Au demeurant, il est un cas de pneumonie qui présente la plus grande analogie
le système circulatoire. Ainsi il m'est arrivé bien souvent clans ces cas de rencontrer dans le poumon, le foie, à côté d'a
en appréciées que pour le scorbut. Mais dans le plus grand nombre des cas , un seul organe est le siège de ces hémorrhagies.
veines étant changé, sous le rapport de la qualité du sang : dans un cas d'apoplexie pulmonaire, suite de maladie du cœur
du cœur dans l'exemple que je citais à l'instant. Mais, dans tous les cas , quelle est la cause formelle ? Nous l'ignorons c
permettre au sang de s'épancher dans la cavité thoracique. Tel est le cas de Corvisart, qui a pour sujet le docteur Fortass
quelques Inslans, c'est ce qu'il n'a pas clé donné de savoir. Dans le cas de M. Bayle, le malade fut pris de dyspnée subite
poumon lacéré à la manière du cerveau dans l'apoplexie. Dans un autre cas rapporté par M. Andral , le malade succomba avec
ventricule; de là une différence immense dans les résultats; dans le cas actuel, il y a eu ouverture du foyer à l'extérieu
r aurait été transpercé. Il se pourrait cependant que dans ce dernier cas la portion des parois du cœur qui reste intacte f
t de publier dans le ae volume du Journal hebdomadaire de médecine un cas de ce genre. iiie livraison. ^ 3e. Livraison.
ONS ET CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA GANGRÈNE DU POUMON. ¦ Ce cas m'a paru pouvoir servir de type pour la gangrène
s et collatérales ; soit enfin par celle des veines : dans le premier cas , la circulation est interrompue dans tous les vai
est interrompue dans tous les vaisseaux de la partie; dans le second cas , le sang n'arrive ni par le tronc artériel princi
raissent le plus ordinairement une prédisposition nécessaire. Dans le cas actuel, une bronchite chronique avait précédé; un
e sérosité trouble avec ou sans fétidité. Je pense que c'est dans les cas de gangrène consécutive à la pneumonie (pion renc
l exemple de pneumonie franche entourant le foyer gangreneux. Dans h; cas représenté planche n, il existait un petit foyer
ns du poumon, il est difficile de remonter à son origine; et, dans le cas représenté planche n, sans les foyers gangreneux
ée, tantôt elle s'étend d'une manière irrégulière ; j'ai vu plusieurs cas dans lesquels une escharre blanche, ou plutôt une
. Je n'ai jamais vu de foyers gangreneux plus multipliés. que dans un cas présenté à la Société anatomique par M. Pinault.
oivent produire de bons résultats. D'ailleurs ici comme dans tous les cas où les règles de l'art ne sont point encore fixée
su nerveux. A supposer que l'interruption ne fût pas complète dans le cas actuel, il est aisé de concevoir cette interrupti
ÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LES ANÉVRYSMES DE LA CROSSE DE L'AORTE. Ce cas m'a paru pouvoir servir de type pour les anévrysm
atation ou ampoule ovoïde fusiforme qu'on a pu regarder dans quelques cas comme anévrys-ma tique : quelquefois même la dila
ttribués àl'anévrysmc actif ou passif du cœur. J'ai vu vingt fois des cas de cette espèce. Comment se fait-il que dans le c
vu vingt fois des cas de cette espèce. Comment se fait-il que dans le cas actuel le cœur soit dans son état naturel? Je ne
oche AC qui était sur le point de s'ouvrir dans le péricarde. Dans un cas récemment présenté à la Société anatomique par M.
ilaginiformes, ossiformes. Le malade mourut subitement. Dans un autre cas que je dois à l'obligeance de M. Honoré, médecin
cendante offrait d'ailleurs une dilatation ovoïde comme dans tous les cas analogues. Mais comment se fait la rupture des
couches concentriques jusqu'au milieu des concrétions; dans d'autres cas , plus abondant, il se mêle au sang ou aux concrét
rois. Alors survient une véritable fluctuation, tellement que dans un cas d'anévrysme à la crosse de l'aorte avec perforati
ent opposées à l'hémorrhagie. On a vu le même phénomène dans quelques cas de rupture spontanée. La sécrétion du pus tarde p
on dilatée, mais parsemée de plaques ossiformes elliptiques. C'est un cas de ce genre, bien plus frappant encore, qui a été
ion, doivent être regardés comme dus à un hasard heureux ou comme des cas exceptionnels. L'adhérence spontanée du kyste aux
le tentative. Une contusion ou une commotion du foie a été, dans ce cas , la cause évidente de la production organique : j
nt au-dessous de la membrane ventriculaire, qu'il s'est opéré dans le cas actuel une espèce de transsudation du sang à trav
quises sur l'apoplexie cérébrale, nous reconnaîtrons aisément dans le cas actuel trois ordres de lésions qui appartiennent
r l'enveloppe propre, oppose une barrière invincible dans beaucoup de cas à l'épanchement du sang au dehors. Cependant il p
i, de même que M. Dubois , veut bien mettre à ma disposition tous les cas remarquables qu'il a occasion d'observer. bras
uses de compression graduelle produisent dans le plus grand nombre de cas des phénomènes graduels, il arrive souvent qu'ell
nitis spinal. C'était même là le diagnostic que j'avais porté dans le cas qui fait le sujet de la planche vi. J'avais annon
mité inférieure; rarement occupait-il la peau du tronc. Dans d'autres cas , cette cause se fixe sur les cordons nerveux : j'
s'étant fixée sur la moelle épinière, il y a eu paraplégie : dans un cas malheureux, soumis actuellement à l'observation d
e m'en impose pas, vu l'ampleur que peut acquérir l'estomac en pareil cas . J'ai trouvé une tumeur formée par le pylore canc
vrai pour le plus grand nombre des cancers, et peut-être même pour le cas en question : mais je me suis assuré que, dans un
euses aréoles veineuses qui constituent la muqueuse vaginale, dans le cas de cancer du col de l'utérus étendu à la partie v
se lentement couche par couche les parties qu'elle affecte ; c'est le cas le plus ordinaire : de là l'ichor cancéreux, dont
ins il reste quelque chose de plus que la membrane péritonéale, et ce cas ressemble exactement à l'amincissement pur et sim
est l'amincissement ou atrophie des parois de l'intestin. Or, dans le cas actuel, la perforation ne peut être le résultat q
ssement ou bien du ramollissement gélatiniforme; dans l'un et l'autre cas , en effet, il y a décoloration complète des tissu
la raison dans la différence de siège et de condition; ainsi, dans le cas actuel, c'est le colon qui a été perforé; il l'a
Il me semble que, si jamais la ponction peut être conseillée dans un cas de tympanite, ce doit être dans ce cas, et je cro
n peut être conseillée dans un cas de tympanite, ce doit être dans ce cas , et je crois qu'on ne devrait pas hésiter à la pr
. Je préfère donc rapprocher de la description qu'on vient de lire un cas analogue décrit avec une rare exactitude par M. F
r au-dessous d'elle le cartilage intact; elle semblaitdans ce dernier cas , « déposée entre le cartilage conservé sain et la
ide urique, i ; hydrochlorate de soude, i ; perte, 2 parties. Dans le cas représenté planche ni, les concrétions arthritiqu
e siège, l'induration du tissu cellulaire, que j'ai constatée dans le cas représenté planche in, et que j'ai vue bien plus
phalanges détruites en grande partie, soit régulièrement, et dans ce cas les doigts conservent leur direction naturelle; s
parait principalement consister dans la sécrétion de l'urate dans un cas , et dans le défaut de cette sécrétion dans l'autr
présente une courbure graduelle; et ici, comme dans presque tous les cas de déviation de l'épine, il n'y a aucun rapport e
s notablement comprimer la moelle, d'où le défaut de paraplégie. Ce cas est un des plus beaux que je connaisse sous le po
en arrière, rentrant en devant, plus considérable encore que dans le cas précédent, a été apporté à mon laboratoire. Les m
'il y ait paralysie permanente des extrémités inférieures. Dans aucun cas la propriété isolante des membranes fibreuses n'a
et mourut en naissant. L'accouchement avait été très-laborieux. Ce cas offre beaucoup de rapport avec celui qu'on trouve
dans laquelle la division paraît plus considérable encore que dans le cas représenté figure i, conduit à celui de M. Cassan
. 3. Utérus bifide dans son corps et dans son col, double vagin. — Ce cas (demi-grandeur) a été décrit et figuré par le doc
n pouce au-dessus de l'orifice inférieur du vagin, tandis que dans le cas représenté figure 1, de même que dans celui de Bo
ulaire, par cela seul qu'il (*) Recherches ahatom. et phys. sur les cas d'utérus double et de supcrfétation. Paris , 1826
ronds, nous sommes fondés à conclure qu'il n'y a ici, comme dans les cas précédens, qu'une matrice divisée. Fig. 5. Utér
je, la moitié d'un utérus sufnra-t-elle au développement du fœtus. Le cas représenté fig. 1 et l'le prouve d'une manière év
ns sa moitié droite, avec une seule trompe et un seul ovaire. Dans un cas d'utérus bilohé, publié par M. Ollivier (**), la
tation ; à plus forte raison la superfétation est-elle facile dans le cas de double vagin et de double col utérin. (*) Bu
t, surtout après l'avulsion violente du placenta adhérent ! Dans le cas actuel, se rencontraient presque tous les degrés
ignées dans l'excellent Mémoire de M. Dance sur la phlébite. Sur huit cas de phlébite utérine, quatre fois l'inflammation é
, ces foyers purulens que M. Dance a rencontrés dans presque tous les cas qu'il a décrits et qui ressemblent exactement et
étonnés de cette identité de lésions consécutives dans deux ordres de cas en apparence opposés, car l'inflammation qui s'em
de l'exhalation de cette fausse membrane. Le caillot, dans le premier cas , et la fausse membrane, dans je second, servent e
tion de veine enflammée, ou bien il se mêle au sang : dans le premier cas , tantôt ce pus sera absorbé et l'oblitération du
acèrent, s'usent y et le pus s'épanche à l'extérieur : dans le second cas , le caillot obturateur, sourdement miné par l'abs
es doivent le produire dans la phlébite; dans l'un comme dans l'autre cas , la formation du pus est extrêmement rapide; l'in
ite soit spontanée, soit traumatique; et, de même que dans ce dernier cas , tantôt c'est le foie seul qui est affecté, tantô
Mais pourquoi les mêmes symptômes n'ont-ils pas lieu dans tous les cas de suppuration considérable? Le pus ne serait-il
donc admettre l'opinion de quelques observateurs qui, frappés dans le cas qui nous occupe de la ressemblance qui existe ent
e partir d'un point comme d'un centre ou d'un foyer , dans combien de cas l'altération locale ne semble-t-elle pas un des e
avait été rejeté à la surface et atrophié par compression. Voilà un cas où l'extirpation a du être sans récidive, car les
Vingt-einquième bulletin de la Société anatomique. « Dans quelques cas , la substance du testicule est convertie en un ti
ent du pus à la suite des grandes opérations chirurgicales. Dans le cas représenté figure 4, le malade succomba au bout d
e les suites de l'opération, qui en général réussit très-bien dans ce cas , cette forme de maladie se conciliant presque tou
le mode aigu, tantôt sous le mode chronique ; et dans l'un et l'autre cas , ou bien elle envahit le tissu cellulaire sous-mu
récissement de la glotte. Réflexions. -— On ne saurait nier dans ce cas l'existence de l'inflammation du tissu cellulaire
ivre dans une étendue proportionnelle au décollement. Je regarde le cas représenté figure i comme devant être placé à côt
ort est moins prompte encore, on ne trouve que du pus, et c'est là le cas de notre malade. Je dois faire à ce sujet une rem
peut-être de quelque utilité. J'en ai acquis la preuve dans plusieurs cas . Sous le rapport thérapeutique, je ne saurais t
ecommander la médecine la plus perturbatrice possible. Appelé pour un cas de ce genre, qui après un jour d'incubation prése
struction du périchondre, la nécrose des cartilages du larynx dans ce cas , doivent être mis sur la même ligne que la destru
uniques dans la science, lorsqu'il y a un mois on me présente un beau cas , disait-on, de perforation de l'œsophage. Quel n'
énoïdes avec les cricoïdes étaient entièrement détruites. » Dans le cas qu'on vient de lire, M. Bouillaud attribue la mor
'occlusion plus ou moins complet. L'individu se trouvait dans le même cas que les animaux auxquels on a coupé les nerfs de
omme l'exemple d'un asthme de nouvelle espèce, je le regarde comme un cas d'inflammation sous-muqueuse de la région sous-gl
t plus, en quelque sorte, qu'un épiphénomène. Au demeurant, dans le cas actuel, l'altération organique rend parfaitement
r, et surtout de l'épiglotte, m'a été d'un très-grand secours dans ce cas , comme d'ailleurs dans l'exploration de toutes le
de l'abdomen à la manière d'une ascite. Il est probable que, dans ce cas , une seule vésicule aura, par son développement,
paississemens cartilagineux et osseux. i°. Poche unique comme dans le cas précédent, mais de sa face interne s'élèvent des
evant des intestins qu'il refoule en arrière, en sorte que dans aucun cas possible, et dans aucun degré de développement le
édiate, la précision peut être portée au point de distinguer, dans le cas de complication, ce qui appartient au kyste de ce
rte qu'il est impossible de l'atteindre; ajoutez que, dans ce dernier cas , la cavité pelvienne est remplie par une tumeur q
e uniloculaire séreux ; la fluctuation m'a paru la même dans les deux cas : mais je crois qu'on pourra souvent distinguer l
trêmement obscure, ou plutôt n'existe pas ; on peut, dans beaucoup de cas , reconnaitre les bosselures de la tumeur, soit à
ire séreux. La ponction ne peut remplir son objet que dans ce dernier cas . La distinction des kystes en uniloculaires et mu
un mot portée à son dernier terme. On voit donc que, dans beaucoup de cas , il est difficile de distinguer l'idiotie congéni
du crâne ; il y avait diminution sensible de volume du crâne dans le cas suivant, où les deux hémisphères étaient atrophié
ne dans le cas suivant, où les deux hémisphères étaient atrophiés. Ce cas nous permettra, en outre, de comparer les effets
senté qu'un endurcissement extrême de la substance cérébrale. Dans le cas actuel, c'est à l'atrophie et à l'induration du c
r avec la cavité du ventricule latéral correspondant. Pronostic. Le cas sera prochainement mortel, peut-être avant le hui
adies pour que nous puissions atteindre dans le plus grand nombre des cas la rigueur mathématique, mais j'affirme que l'étu
résultats qui étonnent le vulgaire des praticiens. Mon secret dans le cas actuel est celui-ci : j'ai diagnostiqué une apopl
éphalalgie, point de vomissemens; mais, dans le plus grand nombre des cas , les vomissemens sont les premiers symptômes et q
é de chercher dans l'estomac la source de tous les symptômes. Dans le cas actuel, j'ai commis cette méprise pendant les pre
éflexions. — On ne saurait méconnaître L'analogie qui existe entre ce cas et ceux représentés planche i. Il y avait en effe
re ce cas et ceux représentés planche i. Il y avait en effet, dans le cas actuel comme dans les cas précédens, un peu d'eau
tés planche i. Il y avait en effet, dans le cas actuel comme dans les cas précédens, un peu d'eau dans les ventricules, mén
erminé la formation de la méningite ; cela doit être dans beaucoup de cas , attendu que les tubercules se forment d'une mani
seaux de la pie - mère sont injectés, mais beaucoup moins que dans le cas précédent ( fig. 2 ) ; infiltration légère du tis
isse invoquer en faveur de l'acuité de la lésion, car dans combien de cas des altérations bien plus considérables, mais moi
es et de lobules, suivant le siège de l'obstacle; et, dans ce dernier cas , il est quelquefois très-difficile de distinguer
cellulosité, et voilà un kyste formé. Il est rare que dans ce dernier cas la même cause qui agit sur une granulation n'agis
représentés planche iv, et auxquels j'aurais pu ajouter bien d'autres cas qui n'en auraient été que la répétition, et nommé
même par une simple section, la trace est indélébile : dans certains cas , la cicatrice est osseuse; c'est lorsqu'un os ou
aut de développement et dessiccation du fœtus correspondant dans un cas de grossesse double. (PLANCHE VI, VIe LIVRAISON
e LIVRAISON. i Réflexions. — Il suit de ce fait, i°. que, dans le cas de grossesse double avec placenta unique, les deu
se décoller indépendamment de l'autre moitié ; en sorte que, dans le cas de grossesse simple, un placenta pourrait n'adhér
t cependant l'enfant venir à terme. 3°. Que par conséquent, dans le cas d'hémorrhagic utérine qui survient dans le cours
du placenta commun aux deux fœtus, nous devons conclure que, dans le cas de grossesse double avec placenta unique, l'hémor
éduit à sa charpente fibreuse et vasculaire. Ce sont probablement des cas de cette espèce qu'on a désignés sous le titre de
s, et même l'avantage qu'on a paru en retirer dans un grand nombre de cas ; de là les avantages des stimulans de toute espè
cas ; de là les avantages des stimulans de toute espèce dans d'autres cas , tous moyens qui seraient incendiaires dans de vé
ce exacte des follicules de Peyer; car, dans le plus grand nombre des cas , la forme de l'altération rend si exactement cell
araît n'être qu'accessoire, consécutive dans le plus grand nombre des cas , devient quelquefois prédominante et constitue un
t disséminées, tantôt groupées et comme tassées. J'ai vu récemment un cas dans lequel les deux derniers pieds de l'intestin
par du mucus épaissi ; tantôt dans une inflammation aiguë, et dans ce cas le follicule est plein de pus ou de matière pseud
sorganisation ; quelquefois elles s'escarrifient en masse, et dans.ce cas , il n'est pas rare de voir le feuillet iléal de l
re complètement détruits par une ulcération circulaire; dans d'autres cas , de petites ulcérations se manifestent çà et là e
nt formées aux dépens des follicules épars. Il est clair que dans ces cas , non-seulement les follicules sont détruits par l
re entéro-mésentérique de MM. Petit et Serres. Or il se rencontre des cas dans lesquels l'inflammation des ganglions mésent
ndiquer soient distinctes les unes des autres dans un grand nombre de cas , cependant il n'est pas rare de les rencontrer co
ntre les granulations, les pustules ou les ulcérations; dans d'autres cas , la muqueuse est prodigieusement injectée, d'un r
N 1 son extension du dedans au dehors, de même que, dans d'autres cas , à son extension du dehors au dedans; mais aussit
juge l'état des ganglions contenus dans son épaisseur. Dans d'autres cas , il n'y a pas seulement injection du péritoine, i
l'autopsie justifia complètement mon diagnostic. Dans l'un et l'autre cas , les méninges étaient moyennement injectées. Il n
ieuse. Quel est le praticien qui n'ait pris le change dans quelques cas , et qui n'ait cru à un délire symptomatique alors
ner des signes certains à l'aide desquels ils puissent, dans tous les cas , distinguer le délire symptomatique du délire idi
ute de la fièvre. J'ai eu plusieurs occasions de la constater dans le cas d'entérite folliculeuse ; quelques malades étant
e la pneumonie), bien qu'il soit latent dans le plus grand nombre des cas , ne doit pas être dédaigné : s'il n'explique pas
atifs, il faudrait pouvoir peser, mesurer, soumettre au calcul chaque cas individuel; autrement, comme je le disais tout-à-
centaine, des unités de mille. Ce qui nous importe donc, ce sont des cas particuliers bien définis; or il est certain que
nte ni leurs succès ni leurs revers, se reprocher amèrement, dans les cas malheureux, les antiphlo-gistiques s'ils en ont u
le traitement que j'ai suivi avec succès dans un très-grand nombre de cas : ainsi boissons aiguisées avec eau de Rabel, lor
lquefois ont été salutaires, même le vingtième jour. Mais, dans aucun cas , je n'ai usé largement de la méthode antiphlogist
LI. Si la méthode antiphlogistique modérée peut suffire dans quelques cas , si elle convient en général dans la première pér
portunité, pour l'emploi des toniques; c'est d'établir quels sont les cas dans lesquels il faut, dès le début, prodiguer le
t, dès le début, prodiguer les toniques à la manière de M. Petit, les cas dans lesquels la médecine expectante ou la méthod
te ou la méthode antiphlogistique sont seules indiquées, et enfin les cas où le traitement tonique doit succéder au traitem
dire un grain le matin et un grain le soir), m'a paru, dans quelques cas particuliers, triompher du délire. J'ai été condu
r une médication tonique et stimulante enhardissent à l'étendre à des cas où elle n'est nullement indiquée, et je pourrais
vésicatoires volans ou à demeure m'ont paru, dans un grand nombre de cas , influer avantageusement sur la marche de la mala
re. Quant aux sinapismes, je les multiplie plus ou moins, suivant les cas . XLVÏ. Il est des entérites folliculeuses aiguë
tuellement plus graves que les premières? J'ai eu à me louer, dans le cas de constipation, d'une forte infusion de tamarins
t nul pouvoir ni pour faire le bien ni pour faire le mal, et dans les cas où il n'existe aucune indication positive, la méd
déclin ; j'ai vu les accidens les plus graves survenir dans quelques cas immédiatement après son emploi. Il n'en est pas d
ection dans les follicules muqueux. 3°. Stark a figuré un très-beau cas d'entérite folliculeuse granuleuse, et se demande
survenir en l'absence de toute perforation de l'intestin; tel est le cas suivant que je viens d'observer à la Maison royal
supporté par la tunique fibreuse de l'intestin. Peut-on dire, dans le cas qu'on vient de lire, que l'éruption intestinale é
s escarres, et même ont été détruites bien au-delà des follicules. Ce cas est un cas de gangrène circonscrite et de gangrèn
et même ont été détruites bien au-delà des follicules. Ce cas est un cas de gangrène circonscrite et de gangrène non-circo
pas employé plus tôt le fébrifuge. Certes ici, comme dans les autres cas d'entérite folliculeuse, on ne trouve pas dans la
ntionne à ce sujet deux faits d'étranglement interne. Dans le premier cas , l'étranglement était produit par l'appendice ver
de nouveau entre l'arcade iléo-cœcale et le sacrum. Dans le second cas , la constriction était produite par une trompe ut
cordon ombilical, d'où ils rentreraient peu-à-peu dans l'abdomen. Les cas dans lesquels cette disposition s'est présentée m
cas dans lesquels cette disposition s'est présentée me paraissent des cas anormaux. (1) Archives de médecine, t. 19, p. 3
es filiformes résulte la production cornée totale; que, dans d'autres cas , la production cornée ne résulte pas de l'agglomé
depuis longues années. Il me paraît infiniment probable que, dans ce cas , le poids des couvertures, en comprimant l'extrém
ession impossible. Si les individus qui la présentent étaient dans le cas de marcher, il faudrait scier avec beaucoup de pr
une part, et Walther de l'autre, ont raison pour un certain nombre de cas . La planche i prouve de la manière la plus manife
ier au o-énéral. Louis et les frères Wenzel avaient observé chacun un cas de tumeur fongueuse naissant de la face externe d
eurs fongueuses. Siébold, Walther et Graff, au contraire, ayant vu un cas de carcinome des os du crâne, en ont conclu que t
ions divergentes, à la manière d'une cristallisation. Dans ce dernier cas , elles sont presque toujours pédiculées. On voit
s. On voit dans les planches de Baillie (dixième fascicule, pl. i) un cas de tumeur de cette espèce : on dirait les aiguill
re les autres. Les parois du crâne sont perforées. Tel était aussi le cas observé par Ebermaier, avec cette différence qu'i
face interne de la dure-mere. XI. J'ai eu occasion d'observer deux cas de tumeurs osseuses et careinomateuses, nées du p
uses, nées du plan supérieur et du plan postérieur du rocher. Dans un cas , la tumeur soulevait la tente du cervelet qui par
enait une substance de nature évidemment carcinomateuse. Dans l'autre cas , trois tumeurs sphéroïdes volumineuses, d'apparen
plus commun que de voir l'hémiplégie survenir instantanément dans ce cas comme dans l'apoplexie la plus instantanée. Un ho
aissance, que certains même l'ont niée tout-à-fait. Indépendamment du cas décrit par moi, « elle avait lieu dans ceux de Ba
ût manifesté immédiatement. XIV. Mais dans le plus grand nombre des cas , et surtout lorsque la tumeur cancéreuse occupe q
r apoplectique : on peut même les distinguer l'une de l'autre dans le cas d'instantanéité par quelques phénomènes étrangers
nt et le mouvement de telle ou telle partie du corps. Mais il est des cas dans lesquels l'erreur de diagnostic, au moins qu
ion, bien qu'elle fut le seul moyen curatif, est impraticable dans le cas de tumeur cancéreuse interne de la dure-mère; car
ner son existence. L'extirpation ne serait donc applicable qu'au seul cas de tumeur cancéreuse externe de la dure-mère. Enc
a paralysie ou affaiblissement d'un seul côté seulement ; tel est le cas représenté planche 1. On voit en effet que, dans
st le cas représenté planche 1. On voit en effet que, dans ce dernier cas , la tumeur agissait verticalement de la voûte ver
eur agissait verticalement de la voûte vers la base du crâne; dans le cas actuel au contraire (planche 11), 8e. Livraison
res, et je l'engage vine livraison. 3 perte de l'olfaction, dans le cas dont il s'agit, n'est rien moins que constatée, p
ns du malade qui affirmèrent qu'il avait joui de l'olfaction. Dans le cas représenté planche m, il y avait perte complète d
ée comme la cause de l'hémiplégie; mais alors pourquoi, dans d'autres cas , des tumeurs beaucoup plus volumineuses développé
que soit son siège. Le second effet de la phlébite est, dans quelques cas , la décoloration complète du coagulum, qui ressem
-même : mais, d'après ma manière de voir, le caillot, dans le premier cas , et la fausse membrane, dans le second, servent e
tion de veine enflammée , ou bien il se mêle au sang. Dans le premier cas , tantôt le pus est absorbé et l'oblitération du v
sent, se lacèrent, et le pus s'épanche à l'extérieur : dans le second cas , le caillot obturateur, sourdement miné par l'abs
es doivent le produire dans la phlébite. Dans l'un comme dans l'autre cas , la formation du pus est extrêmement rapide et l'
e, soit spontanée, soit traumatique ; et de même que, dans ce dernier cas , tantôt c'est le foie qui est affecté, tantôt c'e
ui de ma manière d'envisager Y apoplexie capillaire. Dans l'un de ces cas le sinus longitudinal supérieur, le sinus latéral
s le corps strié droit et dans la couche optique gauche. Dans l'autre cas , le sinus longitudinal supérieur et les veines cé
convulsifs des autres, l'air de stupeur, la céphalalgie dans quelques cas , décèlent sans doute une souffrance du cerveau. M
et de chir. pratiques , art. Apoplexie} , pouvoir expliquer ces deux cas d'apoplexie, et en général l'apoplexie capillaire
iode de la maladie. Les deux observations suivantes nous offrent deux cas de sous-arachnitis aiguë générale, dont l'un rent
rachnitis de toute la surface du cerveau et du cervelet comme dans le Cas précédent, avec cette différence qu'au lieu d'une
ésentent les deux observations qu'on vient de lire ? Pourquoi dans un cas existait-il de la fureur, de la loquacité, et dan
t dans l'autre un état d'hébétude ? Est-ce parce que, dans le premier cas , l'inflammation a eu pour résultat la formation d
la compression du cerveau a dû être plus considérable dans ce dernier cas que dans le premier; elle a également dû être plu
car rien nest prompt comme l'exhalation de la sérosité dans certains cas , d'où l'apoplexie séreuse des auteurs. 8e. Livr
ltés intellectuelles ; il était doué d'une intelligence ordinaire. Ce cas est donc en opposition avec celui représenté (ve
sse des atrophies par défaut de nutrition; en un mot, dans le dernier cas , aucune fibre cérébrale ne manquait, à proprement
dans l'espèce de lamelle en laquelle cet organe est converti dans le cas d'épanchement séreux ou purulent. 3°. La sérosi
ophie de l'hémisphère correspondant du cervelet. Dans l'un et l'autre cas , nous trouvons le crâne parfaitement conformé; d'
laires et des impressions digitales tout aussi prononcées que dans le cas d'intégrité de ces lobes antérieurs. Ce fait est
dépendamment de toutes circonstances étrangères. Dirons-nous, dans le cas dont il s'agit, que les lobes antérieurs avaient
IIigmore pénètrent l'épaisseur du testicule ; ou bien, comme dans les cas dont il s'agit, des tubercules plus ou moins nomb
spermatiques sont dans l'état le plus parfait d'intégrité. Dans des cas semblables ne pourrait-on pas extirper la tumeur
uelque intérêt l'observation suivante qui se rapporte parfaitement au cas actuel, et qui montre dans tout leur jour les inc
umine. Je crus à la formation d'un abcès, d'autant mieux que, dans un cas semblable, j'avais observé une terminaison par su
opération a été cernée entre deux incisions semi-elliptiques. Dans un cas semblable, j'enlèverais une plus grande quantité
pratiquer l'amputation? L'examen de la tumeur a démontré que, dans le cas actuel, il n'est pas certain qu'il y ait eu rcpul
. On dit alors que la matière cancéreuse est infiltrée. Dans les deux cas , le tissu propre est parfaitement sain dans le pr
e au zèle de M. Delestre. théorie. Devons-nous le regarder comme un cas exceptionnel? mais en mécanique il n'y a point d'
de luxation de l'articulation du poignet sans fracture du radius. Les cas de ce genre sont tellement rares, que M. Dupuytre
TIONS. Luxation du poignet. Luxation du Coude. regarde tous les cas de luxation du carpe sur l'avant-bras, rapportés
n du carpe sur l'avant-bras, rapportés parles observateurs eonime des cas de luxations consécutives à la fracture de l'extr
en opposition complète avec la description donnée par les auteurs, le cas représenté planche 2, fig. 1, 2 et 3, rentre enti
TB est à peine prononcée. La fig. 4 (planche 4) représente un autre cas de luxation en arrière de l'extrémité supérieure
même niveau que le sommet de l'olécrane, et néanmoins, dans les deux cas , les extrémités inférieures ou carpîennes EC des
ent au niveau de l'apophyse coronoïde du cubitus. De même que dans le cas précédent, une coupole fibreuse CF coiffait la tê
roisième du bel ouvrage de Sandifort, où l'on trouve représentés deux cas de luxations en arrière du radius avec ankylose d
ose des extrémités supérieures du radius et du cubitus. Dans ces deux cas , le radius et le cubitus se croisent à leur parti
ur partie supérieure comme dans une forte pronation. Dans l'un de ces cas , représenté fig. i, -2, 3, pl. CIII (Muséum anato
es rapports avec la cavité correspondante du radius. Dans le second cas , il y a également soudure du radius avec le cubit
allongement avec amincissement que nous avons remarqué dans les deux cas représentés pl. 3 et pl. 4- Les signes de cette l
. Si on me demande maintenant pourquoi il y avait ankylose dans les cas représentés par Sandifort, tandis qu'elle n'exist
présentés par Sandifort, tandis qu'elle n'existait nullement dans les cas représentés planche 3 et planche 4 , je répondrai
luxation incomplète en arrière du radius sur l'humérus : or, dans le cas de luxation incomplète, la pronation de l'avant-b
able, l'immobilité de l'articulation beaucoup plus grande que dans le cas de luxation complète; car, dans la luxation compl
t même de la peau, à travers laquelle s'échappe l'humérus. J'ai vu un cas de cette espèce chez une dame qui tomba de cheval
articulations temporo-maxillaires. Eustachi, Columbo, rapportent des cas semblables. J'en cherche vainement des exemples d
ure simple ou par fusion, et non point par invagination comme dans le cas précédent. Voici d'ailleurs quelques détails sur
cice plus ou moins prolongé de l'articulation. J'ai connaissance d'un cas ce genre, dans lequel, pour combattre cette rigid
espérai qu'une ankylose mettrait un terme aux douleurs, comme dans le cas d'ankylose générale rapporté par Percy; l'événeme
es rayures de la lame éburnée TE. Réflexions. — Comme dans tous les cas d'usure des cartilages, nous trouvons des signes
r des franges synoviales FS, fig. i, i'. J'ai vu quelquefois, dans le cas d'inflammation aiguë des synoviales, les cartilag
ou bien dans l'épaisseur des franges synoviales; que dans le premier cas la synoviale est refoulée en dedans; que la porti
ulaire comme la cause de quelques-uns de ces corps. J'ai vu plusieurs cas de cette espèce. Mais rien n'est plus facile que
assez de lait, s'il ne refuse pas une autre nourrice : dans tous les cas ne le perdez pas de vue, il est menacé d'une mala
vre, comme un phénomène cadavérique; car il n'existait dans aucun des cas que j'ai observés aucune trace de péritonite, et
ture chaude que par une température froide ; plus fréquemment dans le cas d'autopsies tardives que dans le cas d'autopsies
roide ; plus fréquemment dans le cas d'autopsies tardives que dans le cas d'autopsies précoces : or, j'ai trouvé cette alté
me du £ros intestin s'étendre à la surface du rein; et enfin, dans un cas , la totalité de l'estomac, des intestins grêles
ssement gélatiniforme représenté planche a, nous verrons que, dans ce cas , c'est la paroi antérieure de l'estomac qui est d
mmencement d'altération cadavérique. D'où la difficulté dans quelques cas , et en particulier dans celui qui vient de nous o
es eux-mêmes en une masse aréolaire et gélatiniforme. Dans ce dernier cas , l'organe conserve ses formes, mais singulièremen
épigastrique. Cette morosité, je l'ai constamment remarquée dans les cas rares où l'estomac est complètement envahi : la m
tion du pylore elle-même n'imprime de mélancolie profonde que dans le cas où le cours des matières est complètement interce
cancéreuse affecte le cardia ; il fut porté jusqu'au suicide dans un cas que j'ai eu occasion d'observer. 10e. Livraison
ée d'eau. IX. Voici la conduite que j'ai coutume de suivre dans des cas de ce genre. Je commence par laisser reposer l'es
rée d'eau ou de lait. Rarement l'opium a-t-il été utile, même dans le cas de vive douleur. Le sucre doit être en général pr
question d'empoisonnement a dû être soulevée dans un grand nombre de cas de ce genre. C'est ainsi que les charbonniers de
été empoisonné. Il y avait également soupçon d'empoisonnement dans un cas du même genre publié par M. Rullier. Ulcère sim
occupait l'un des points de cette zone. Réflexions. — Je regarde ce cas comme un exemple d'ulcère aigu de l'estomac. L'ét
conde ulcération commençante se voyait à une petite distance. Dans le cas représenté fig. 1, pl. 6, les trois tuniques ont
ière générale, elle ne doit pas être non plus repoussée dans tous les cas , car elle répond à un certain nombre de faits : a
out les poumons. IV. Si l'anatomie pathologique étaye dans quelques cas la théorie des tubercules préexistans, comme caus
doctrine générale; car elle nous montre, dans l'immense majorité des cas , à côté de ces abcès toutes les phases de l'infla
consécutifs aux solutions de continuité, dans l'immense majorité des cas , il était naturel d'admettre un rapport de cause
e cœur qui contenaient du pus, m'ont également paru, dans beaucoup de cas , exempts des caractères dits anatomiques de l'inf
e douleur par la pression m'a permis de diagnostiquer, dans plusieurs cas , des abcès du foie. Ainsi, les abcès superficiels
du kyste purulent, aucune trace d'inflammation; en sorte que, dans ce cas , il semblerait que le pus a été déposé purement e
ellulaire, est un fait trop général, et dans le plus grand nombre des cas , trop indépendant de toute commotion et de toute
atérales n'ont pas porté le liquide dans le torrent delà circulation, cas dans lequel cette injection est immédiatement mor
n/lammat., Nouv. Bibl. méd., t. iv, p. 1 et i53, 1826. XV. Dans Jes cas précédens, le désordre était local. Si l'animal a
nguins, et qu'à chaque foyer aurait répondu une veinule lacérée : ces cas sont le type des abcès disséminés dans l'épaisseu
une barrière qu'ils ne peuvent franchir que dans un certain nombre de cas . Le jeu de mots des anciens, vena portarían porta
moyen d'une sécrétion bilieuse plus abondante, et qui, dans d'autres cas , les laisse passer dans les voies de la circulati
nale et bronchique, doivent donc avoir lieu dans un certain nombre de cas d'infection du sang. Tous les systèmes capillaire
capillaire général et le système capillaire pulmonaire dans d'autres cas ,bien plus, franchissant plusieurs fois les divers
quoi des abcès multiples des viscères ne surviennent-ils pas dans les cas de vastes collections de pus, par exemple dans la
A quoi tient cette différence ? Y aurait-il absorption du pus dans un cas et non absorption dans l'autre cas ? Voici l'expl
urait-il absorption du pus dans un cas et non absorption dans l'autre cas ? Voici l'explication qui découle immédiatement d
arce qu'on pourrait les récuser à juste titre dans un grand nombre de cas , et regarder le pus contenu dans ces vaisseaux et
lette droite : cette attraction s'est exercée sur l'air dans quelques cas particuliers, lorsque l'orifice de la veine a été
au foie, c'est qu'ils se sont contentés dans le plus grand nombre de cas de l'observation de ce viscère dont les lésions l
ion. Les veines diploïques ont été trouvées purulentes dans plusieurs cas de plaies de tête coexistant avec des abcès du fo
nfiltrée de pus, donna immédiatement la solution de la difficulté. Ce cas -là aurait très-certainement été rapporté comme un
é-sive , qui n'a aucun résultat fâcheux dans le plus grand nombre des cas : cette phlébite a constamment lieu à la suite de
est pas au-dessus des ressources de l'art dans l'immense majorité des cas . XXXVI. La phlébite adhésive n'a donc que des e
re avec des abcès ordinaires. Je rapporterai plus loin avec détail un cas dans lequel il existait dans l'extrémité inférieu
ture secondée par l'art pourrait en triompher dans un grand nombre de cas , si le pus, qui se renouvelle incessamment, ne re
aucune communication entre ces deux collections. Réflexions. I. Ce cas présente un exemple d'inflammation des grosses ve
nguins, là du pus infiltré; plus loin du pus rassemblé en foyers. Ces cas -là sont souvent confondus sur le vivant avec des
é en foyers. Ces cas-là sont souvent confondus sur le vivant avec des cas de phlébite, et on conçoit que leur terminaison d
res phlébites. C'est ainsi qu'il n'est pas rare de rencontrer dans le cas d'inflammation des veines du membre supérieur, à
s dans ces derniers temps sur la phlébite, je n'ai rencontré que deux cas dans lesquels le pus de la veine communiquât avec
rdinaires de l'absorption , a° être évacué au dehors. Dans le premier cas , point d'accidens généraux, et souvent point d'ac
accidens généraux, et souvent point d'accidens locaux; dans le second cas , il peut n'y avoir que les accidens locaux d'un a
raît enfin complètement quand du pus a remplacé les caillots. Dans le cas que je viens de citer, les débris de veines que j
ême temps que la membrane interne des veines; et enfin, j'ai cité des cas dans lesquels l'inflammation était bornée au tiss
nt-ils quelque rôle dans cette circulation : je dois dire que dans ce cas les ganglions lymphatiques de laine étaient très-
des phlébites. Il n'est pas impossible que dans un certain nombre de cas , le vaisseau redevienne perméable au sang. Ainsi,
le pus, cause matérielle de l'inflammation viscérale ; 4° que dans le cas où cette phlébite, qu'on pourrait appeler primiti
l'artère pulmonaire. Je les ai rencontrées dans un certain nombre de cas de pneumonies diffuses qui avaient envahi la moit
èvre, foyer qui fut la source d'une hémorragie interne mortelle. Le cas représenté planche iv m'a paru pouvoir servir de
ois qu'elle est excessivement rare : car, dans l'immense majorité des cas , les symptômes généraux et locaux de la gangrène
s on l'observe dans les cavernes des phthisiques. Je l'ai vue dans un cas de bronchite chronique purulente. Enfin, tous les
te. Enfin, tous les signes de la gangrène peuvent manquer: tel est le cas suivant communiqué à la Société Anatomique par M.
naissent à son niveau, et tous ceux qui naissent au-dessous. Dans un cas d'induration presque cartilagineuse du bulbe, que
inspira toires, soit par défaut d'action du poumon lui-même. Dans le cas actuel, on voit que les tubercules quadrijumeaux
uivant leur nombre et bien propre à désorienter le praticien. Dans un cas de ce genre, on crut à l'existence de plusieurs e
nd nombre de faits tendent à établir le contraire. Cependant, dans un cas , il y eut souvent imminence d'avortement; la mala
occupe le polype et la cavité utérine. J'ai eu occasion d'observer un cas de ce genre-Madame Caizi, déjà mère de plusieurs
la déchirure de vaisseaux considérables; le tamponnement est dans ce cas le seul moyen de prévenir une mort imminente. L
nté ne soit pas entraînée avec le corps étranger; tandis que, dans le cas de tumeur fibreuse, le passage du corps étranger
e de polypes, par rapporta ce même tissu utérin, que, dans ce dernier cas ,l'utérus est en quelque sorte étranger aux altéra
sentait tous les caractères du tissu propre de l'utérus comme dans le cas représenté fig. i, a, 3. La portion de polype con
après ramollissement préalable du tissu de l'utérus. Dans ce dernier cas , la déchirure peut être extrêmement considérable
age du fœtus de la cavité utérine dans la cavité péritonéale. Dans le cas d'intégrité du tissu de l'utérus, la déchirure n'
me, sans épanchement dans la cavité du péritoine. III. Tel était le cas de l'individu dont le foie est représenté Pl. i ;
de l'individu dont le foie est représenté Pl. i ; tel était encore le cas d'un autre individu qui offrait en même temps que
ver, pour toute cause de mort, l'ascite et un foie granuleux; mais ce cas est fort rare, et presque toujours il existe, soi
turel, et qu'alors le foie est augmenté de volume; que, dans d'autres cas , cette substance rouge s'atrophie complètement et
une prédilection spéciale pour le foie; de telle sorte que sur vingt cas de cancers par niasses disséminées, observés dans
rd produire de bons effets, ont complètement échoué dans une foule de cas . Les sucs chicoracés, le savon officinal, les eau
nchements , sur - tout le long des divisions veineuses. Dans quelques cas , on arrive par degrés insensibles du tissu normal
trouve-t-011 une seule tumeur dans le foie ; dans le petit nombre de cas de tumeur unique que j'ai rencontrées, il existai
inflammation aiguë ou chronique du péritoine. Dans un grand nombre de cas , l'ascite symptomatique du cancer au foie me para
, il serait probable que la variété dure se transforme, dans quelques cas , en variété molle ; toujours est-il qu'on rencont
indépendamment des tumeurs, a doublé, triplé de volume. Dans d'autres cas , le foie est atrophié, soit partiellement, soit g
e volume naturel, et même soit au-dessous de ce volume. Dans certains cas , la substance du foie était réduite au sixième et
ion de l'ascite et de l'anasarque, je dois dire que, dans beaucoup de cas , ces phénomènes consécutifs m'ont paru reconnaîtr
péritonite consécutive est plus souvent partielle, et dans ce dernier cas , tantôt elle envahit la totalité du péritoine, qu
as et un cancer de la partie supérieure du rein gauche; dans un autre cas , le cancer du foie coïncidait avec le cancer de l
erne, ou bien s'ils sont consécutifs. La même réflexion s'applique au cas suivant qui vient d'êtrp présenté à la Société an
ines qui aboutissent à ces abcès, sont saines, mais que dans quelques cas , elles sont elles-mêmes enflammées dans une plus
ins grande étendue. Eh bien, il n'est pas rare de rencontrer, dans le cas de tumeurs cancéreuses du foie, une ou plusieurs
ues lignes, parce qu'ils paraissent s'anastomoser entre eux. Dans ces cas , il est vrai, on ne peut affirmer rien autre chos
ion faite par M. Bérard, aujourd'hui professeur à la Faculté, dans un cas de cancer à la région cervicale antérieure : l'
rtères prennent un arrangement proportionnel. J'ai vu, dans plusieurs cas de cancers à la mamelle, de cancers axillaires, d
inées dans l'épaisseur de ce qui restait du lobe droit. Dans un autre cas , des praticiens distingués crurent à l'existence
e cœur. Quant à l'ictère, il ne s'observe que dans un petit nombre de cas , dans ceux où les gros troncs biliaires sont comp
que dont ils sont quelquefois suivis. J'ai vu un nombre prodigieux de cas dans lesquels la vésicule était remplie de concré
t accusé le plus léger symptôme du côté de cet organe. Dans un de ces cas , la vésicule était très dilatée, et son fond adhé
e thèse soutenue à la Faculté, le i janvier 1828, par M. Chaule, deux cas très remarquables d'inflammation de la vésicule c
t cordon celluleux; sa fossette s'efface en partie, et c'est dans des cas de cette espèce, dont plusieurs se sont offerts à
. Le péritoine seul a conservé son caractère. J'ai vu dernièrement un cas de ce genre : le calcul était composé de cholesté
calculs adhérens ou enchatonnés. VIL II est bien difficile, dans le cas d'inflammation de la vésicule coïncidant avec des
ntes de la présence de calculs. Il n'y avait pas de calculs dans deux cas oùla cystite s'est terminée par perforation de la
'où péritonite suraigùe, et mort en quelques heures. Dans l'un de ces cas , la perforation avait eu lieu par escharre; dans
iamètres horizontaux d'un pouce 5 lignes. M. Fiedlcr, qui rapporte ce cas , fait observer qu'il n'y avait ni ictère, ni doul
taire, aient pu donner lieu à tous les symptômes de l'étranglement?Le cas suivant, présenté à la Société anatomique par M.
st un fait curieux qui peut trouver son application dans une foule de cas . X. Doit-on penser que des calculs biliaires pu
quelquefois supprimer entièrement la circulation de la bile. Dans un cas présenté à la Société anatomique par M. Bérard, l
ites divisions^ étaient considérablement dilatés. XII. A côté de ce cas de dilatation énorme des conduits biliaires par s
obstacle aucun an coure do ce licrùido : doux foio j'ai rencontré ce cas . Le ÛSSU du foie paraissait plus humide que de
de extraordinaire que peuvent acquérir les conduits biliaires dans ce cas . La vésicule biliaire VB contient et des calcul
anaux biliaires ; aussi n'était-il pas ictérique. XV. A côté de ces cas où des calculs si remarquables par leur nombre et
ont pas obstrué les voies biliaires, il est curieux de noter d'autres cas où un petit calcul, engagé dans l'ampoule commune
ne simple coïncidence, 1 altération du foie que j'ai observée dans le cas suivant. Le cadavre d'un individu sur lequel je
ie de vin concrète, qu'on exprime à la manière de vers. Dans certains cas , toutes les divisions du canal hépatique ayant su
deux foies d'enfans et sur plusieurs foies d'adultes : dans tous ces cas , les parois des petits kystes étaient extrêmement
s auraient été atrophiés par la compression. Ici, comme dans d'autres cas , l'atrophie aurait donc succédé à l'hypertrophie.
'interception du cours des matières est bien plus complet que dans le cas d'hypertrophie pure et simple de la membrane musc
obstacle mécanique au cours des matières, a lieu dans l'un et l'autre cas ; mais dans le cas où on trouve l'estomac rétréci,
au cours des matières, a lieu dans l'un et l'autre cas; mais dans le cas où on trouve l'estomac rétréci, le vomissement su
s, et il était en rapport avec la quantité d'alimens ingérés; dans le cas où l'on trouve l'estomac dilaté, le vomissement n
sement aurait lieu peu de temps après l'ingestion des alimens dans le cas de rétrécissement du pylore avec altération delà
êmes, et la mort a lieu par défaut dénutrition. J'ai cité ailleurs un cas où le rétrécissement fut le résultat de la cicatr
eignier, interne de la Charité, a présenté à la Société anatomique un cas où l'estomac avait acquis un volume énorme avec h
atif est le seul qui soit applicable; car dans l'immense majorité des cas , il n'y a pas de traitement curatif, et c'est par
sse renaissant circule avec le sang ; et peut-être , dans beaucoup de cas , l'une des sources de ce levain est - elle dans l
ndes, ne contenait de pus. Cette remarque s'applique à la plupart des cas de ce genre que j'ai eu occasion d'observer. 2°
e du pus dans les vaisseaux lymphatiques. Dans un certain nombre de cas , le tissu de l'utérus est lui-même infiltré de pu
andé s'il ne serait pas possible que la péritonite fût, dans quelques cas , le résultat du passage du pus de la cavité de la
est bien certainement le résultat d'une inflammation. Dans quelques cas , il m'est arrivé de rencontrer les ovaires ramoll
ternité ,ne m'ont permis de constater autopsiquement que sept ou huit cas de cette maladie. Je rappellerai ici une considér
observe si fréquemment d'après la phlébite , sont assez rares dans le cas de présence du pus dans les vaisseaux lymphatique
suivies de pleurésie que les péritonites simples. Je mentionnerai des cas dans lesquels les malades, convalescentes du typh
isseaux lymphatiques, et de constater l'intégrité des veines dans les cas de cette espèce. Le nombre des vaisseaux lymphati
e dans un seul vaisseau. Le pus ne m'a paru franchir que dans un seul cas les ganglions qui sont en général la limite# Le p
aux lymphatiques à une certaine distance des ganglions; dans certains cas , il ne dépasse pas les ligaments larges, ou même
car celte surface interne est tapissée dans le plus grand nombre des cas par un détritus sanguinolent, par une couche séro
ais j'ai été dissuadé de cette manière de voir par un grand nombre de cas , dans lesquels j'ai rencontré, tantôt des vaissea
t le résultat d'un grand nombre d'observations , savoir que dans le cas où les malades, ayant résisté aux accidents primi
bsorbants eux-mêmes. XX. Il suit de cette discussion t que dans les cas où l'on rencontre du pus dans les vaisseaux lymph
é. Le mauvais effet ou l'inutilité des évacuations sanguines dans des cas analogues, et même généralement dans tout le cour
de qui fait le sujet de cette observation, vint grossir le nombre des cas malheureux. Prescription -.Lpécacuanha, xxiv gr
créter par l'absorption de sa partie la plus séreuse. Dans d'autres cas , les femmes qui avaient résisté à la péritonite,
ent progressif, elle tendra à en opérer la réduction, excepté dans le cas où le prolapsus est complet. L'utérus figuré pl.
se développant en outre avec beaucoup de lenteur, on conçoit dans ce cas l'alongement graduel et la non réduction de l'uté
ples d'utérus bifides. La science n'en possédait peut-être qu'un seul cas , successivement figuré par Grauel, Eisenmann et M
que j'ai reproduit ( fîg. 5, pl. V, IVe livraison. ) Encore, dans ce cas , l'utérus était-il seulement cloisonné dans son c
ses) essentiellement des utérus bifides; car nous avons vu, dans un cas d'utérus bifide observé quelques jours après l'ac
anger au travail de la grossesse ; il n'y avait, dans l'un et l'autre cas , adÉun vestige de membrane caduque. Il n'est peut
. Il n'est peut-être pas sans intérêt de rapprocher de ces faits deux cas de grossesse extra-utérine , avec absence complèt
ormes entre les divers individus. Il n'est pas rare de rencontrer des cas de tumeurs fibreuses très-volumineuses, entièreme
, qui sont toujours accompagnées d'accidents très-graves. V. Un des cas les plus remarquables d'expulsion de corps fibreu
remèdes au moment de l'invasion. Je ne saurais raconter ici tous les cas où, à l'apparition du plus léger malaise, d'un sp
gorgées, et d'autres fois l'eau de poulet très chaude; dans certains cas , l'abstinence complète de boissons; dans d'autres
; dans certains cas, l'abstinence complète de boissons; dans d'autres cas , l'ingurgitation d'une très grande quantité de li
ipécacuanba suivi de laxatifs leur avait parfaitement réussi dans des cas analogues. La stomatite survenant dans une périod
s et quelques sangsues à l'anus ont suffi dans l'immense majorité des cas . VIII. Enfin, un grand nombre d'individus antér
e flux de bile indique que les premiers observateurs n'ont vu que des cas de ce genre. Le docteur Good a récemment proposé,
s ou non sanguinolentes avec épreintes, comme dans la dyssenterie. Ce cas m'a paru grave; il exige de la part du médecin un
asard m'avait conduit depuis long-temps à leur emploi. Dans un de ces cas de choléra sporadique que nous observons tous les
ux lavements frais, on associera avec succès, dans un grand nombre de cas , les sangsues à l'anus ou sur le trajet du colon,
nce de toute boisson. Je n'ai employé la saignée générale que dans le cas d'indications particulières. X. Le dévoiement c
e dernier moyen que je rapporte en grande partie la guérison dans des cas de dévoiements chroniques très graves. Plusieurs
s dont les avantages ne m'ont pas paru suffisamment démontrés dans ce cas . XII. Le dévoiement cholérique peut être porté
s plus foudroyants succéder à quelques selles cholériques. J'ai vu un cas très grave de dévoiement cholérique qui fut précé
incessamment, malgré l'emploi des barbarismes animés d'alun. Dans ce cas , la soif était insatiable, la bouche aride. Ce n'
dirigés, (ces deux espèces très rares peuvent être rangées parmi les cas exceptionnels); 3° en ceux XIVe LIVRAISON. 2
ou avec indifférence sur la température des boissons. Dans ce dernier cas , la guérison est très rapide; dans le premier cas
ns. Dans ce dernier cas, la guérison est très rapide; dans le premier cas , elle annonce une irritation plus profonde et plu
ent cholérique et cède à un régime persévérant. Les plus remarquables cas de ce genre que j'aie en l'occasion d'observer, o
à une augmentation de sécrétion, revêt le mode inflammatoire dans les cas graves pour devenir une entérite , une gastro-ent
térite. Dévoiement cholérique ; gastro-entérite. Mort. Tel est le cas d'un étudiant en médecine , âgé de vingt-neuf à t
l'oubli de tout autre soin hygiénique. Je me rappellerai toujours le cas d'une cuisinière qui me fut envoyée par sa maître
, les vomissements et les crampes manquent au contraire dans quelques cas . Un mot sur chacun de ces symptômes. IX. dessel
ce malade qui le 28 avait pu se faire transporter chez lui. Dans le cas qu'on vient de lire, la rapidité de l'amélioratio
rodromes ont été longs, lors même qu'ils auraient été légers, dans le cas sur-tout où il y a eu des alternatives d'augmenta
une période plus ou moins orageuse. Il est donc probable que dans les cas de choléra algide, si rapidement guéris, mentionn
lus formidable de toutes, est la suivante, dont j'ai observé quelques cas , chez des personnes affaiblies par des maladies a
e règle n'est pas sans exceptions : par opposition , on rencontre des cas où la réaction ne peut pas avoir lieu malgré la p
iforme de la muqueuse de ces gros intestins, absolument comme dans le cas représenté fig. II, pl. 2. Pûen de particulier
léra je n'ai eu occasion de le rencontrer que dans un petit nombre de cas . Voici l'extrait d'un de ces cas : après les symp
ncontrer que dans un petit nombre de cas. Voici l'extrait d'un de ces cas : après les symptômes accoutumés de selles, de vo
aux, qui lui rappelaient le lieu de sa naissance. XX. Dans tous les cas précédens, nous n'avons trouvé aucune lésion qui
extérieurs. Que si on objecte que la mort a été trop rapide dans les cas précédents, pour que la congestion sanguine ait p
r le long du rachis, assurant en avoir obtenu de bons effets dans des cas désespérés.) Eau de Seltz; infusion de tilleul fr
des selles sanguinolentes, des mucosités teintes de sang; et dans le cas de mort, j'ai rencontré, dans le gros intestin, l
met hors de doute l'existence d'eschares considérables dans certains cas . 14e. Livraison. Pl. 4. MAL AD I E S DES INTE
t depuis deux jours un dévoiement auquel elle était assez sujette. Le cas parut si peu grave, que M. Clarens se borna à con
quelques-unes présentent la forme oblongue^ elliptique, comme dans le cas d'entérite folliculeuse avec gangrène. Plusieurs
escharifiés et entourés d'une injection considérable. XXIV. Dans le cas précédent, la malade a succombé après la période
ond que cela lui est impossible. Cet état m'alarme et me rappelle des cas analogues dans lesquels la mort a suivi de près c
canal alimentaire, est au contraire très rapide, comme dans tous les cas de congestion sanguine considérable sur les organ
la synovie, entre les doigts qu'on écarte. Dans un grand nombre de cas , la surface extérieure de l'estomac et des intest
urulent ou pseudo-membraneux. Ce fait m'a rendu moins inexplicable un cas de péritonite qui a été observé chez un cholériqu
hez un carnassier (voy. planche I, fig. i, XIV livr. ); dans d'autres cas , la contraction était bornée à la portion pyloriq
tinale; souvent elle était dans l'état le plus naturel. Dans d'autres cas , les follicules gastriques étaient très développé
contracté sur lui-même, dans une étendue considérable; dans d'autres cas , étranglé de distance en distance. J'ai noté quel
ns d'autres cas, étranglé de distance en distance. J'ai noté quelques cas d'invagination sans trace aucune d'inflammation.
tions imperforées, au moins en apparence. Dans un certain nombre de cas , le développement a porté exclusivement sur les f
jamais je n'ai rencontré d'inflammation aussi prononcée, que dans le cas figuré pl. V, où un grand nombre de follicules ét
r Lintestin rectum, l'S iliaque, l'arc du colon; enfin, dans quelques cas (voyez pl. IV, fig. 1) , la presque totalité du g
s le choléra, une véritable gangrène du gros intestin , c'est dans le cas figuré pl. V : la forme elliptique des plaques ga
uée par un petit point noir (pl. IV, fig. 1). Dans un grand nombre de cas , ces follicules sont environnés comme par une esp
ssait plus lentement et qu'il ne rougissait même pas du tout, dans le cas où la couche superficielle ou croûte vient à se d
pneumo-gastriques, le système nerveux tout entier m'a paru, dans les cas nombreux où je l'ai examiné, dans l'état le plus
3a, in-8°. entière dans les lésions anatomiques, puisqu'il côté des cas où ces lésions ont été très prononcées, nous trou
es cas où ces lésions ont été très prononcées, nous trouvons d'autres cas où elles étaient légères, douteuses et même nulle
le plus exercé, de déterminer à priori, dans le plus grand nombre des cas , si un canal intestinal qui lui serait présenté,
es et autres signes d'inflammation observés dans un certain nombre de cas , ont fait regarder par les uns le choléra-morbus
e. Mais les lésions d'organes n'étant qu'un effet, et dans tous les cas ne pouvant être considérées que comme un élément
t la plus grande analogie avec ceux du choléra : dans l'un et l'autre cas , ce sont des crampes, l'angoisse épigastrique, l'
que dans les gros vaisseaux. Dire quelle est la limite qui sépare les cas où la maladie est purement locale et se concilie
et se terminait par la mort au bout de quelques heures. A côté de ces cas si rapidement mortels, se voyaient des cas beauco
ques heures. A côté de ces cas si rapidement mortels, se voyaient des cas beaucoup moins graves, dans lesquels la maladie p
maintenir le système nerveux dans un bon état de réaction. (1) Les cas de dysenterie observés a la suite du choléra n'on
de toute espèce d'inconvénient, et qu'on a pu utiliser dans quelques cas . B. Moyens thérapeutiques dirigés sur la muqueu
mateux dans lequel ils ont succombé. Néanmoins je n'en ai, dans aucun cas , négligé entièrement l'usage : mon but, en le mai
nitrate de bismuth a rendu de grands services en Angleterre, dans les cas de vomissements opiniâtres. Le musc, le camphre,
nsultent l'état de la langue, et restreignent l'emploi du vomitif aux cas où il y a quelque matière à évacuer ; or ils déte
aux cas où il y a quelque matière à évacuer ; or ils déterminent ces cas par la percussion de l'épigastre et des autres ré
des principaux tourments des malades, et, dans l'immense majorité des cas , elle est dirigée vers les boissons froides. Leur
malade : l'eau de Seltz frappée de glace convient éminemment dans le cas de vomissements opiniâtres. Lavements. Si on se
s demi-heures, toutes les heures, toutes les deux heures, suivant les cas . Les lavements à la glace ont été très-utiles dan
suivant les cas. Les lavements à la glace ont été très-utiles dans le cas de selles excessives : souvent j'alternais les la
, seules suivies de collapsus : tous citent des succès, même dans les cas où le pouls était misérable, presque insensible.
beau faire, aussitôt que la veine est vidée, la source est tarie. Les cas où une grande quantité de saug a pu être retirée,
s cas où une grande quantité de saug a pu être retirée, sont donc des cas dans lesquels la circulation se faisait encore li
ous l'influence des contractions du cœur. Il n'est peut-être pas un cas de choléra asphyxique dans lequel je n'aie eu rec
il existe des symptômes de congestion sur tel ou tel organe. Dans le cas où la saignée est indiquée, mieux vaut plusieurs
Ces symptômes n'ont point ici la gravité qu'ils offrent dans d'autres cas ; ils céderont tôt ou tard; souvent le hoquet se d
d'ailleurs superflu de tracer des règles de conduite pour chacun des cas particuliers qui peuvent se présenter : le traite
ombent pendant l'accouchement. Je l'ai observée dans presque tous les cas rapportés ordinairement à l'asphyxie ou à la faib
en même temps les lobes postérieurs du cerveau ; enfin, dans certains cas , le cerveau et le cervelet sont couverts d'une co
njectée, qu'elle présentait une couleur rouge-amarante. Dans tous les cas que j'ai observés, la dure-mère spinale était dis
ltration séro - sanguinolente que l'on observe tous les jours dans le cas de présentation du sommet de la tête. Très-souven
e l'accouchement, est impossible à déterminer dans un grand nombre de cas . Ce n'est point l'application du forceps ; bien l
a longueur du travail ? cela est probable pour la grande majorité des cas : toutefois , nous avons vu des enfants apoplecti
r les parties molles extérieures, après la sortie de la tête, dans le cas de présentation de l'extrémité céphalique, ou apr
tion de l'extrémité céphalique, ou après la sortie du tronc , dans le cas de version ou de présentation par les pieds, cett
constriction, dis-je , ne serait-elle pas, dans un certain nombre de cas , une cause d'apoplexie. La compression du cordon
, une cause d'apoplexie. La compression du cordon ombilical, dans le cas de présentation de ce cordon, a quelquefois causé
manière la plus manifeste. Il serait possible que , dans beaucoup de cas où la cause de l'apoplexie est impossible à déter
canique, qu'il sera possible de prévenir dans le plus grand nombre de cas , par une terminaison opportune de l'accouchement,
ra prévenir l'apoplexie qui tient à la compression du cordon. Dans le cas de présentation par les pieds, l'application hâti
accouchement , préviendra la mort de l'enfant, si fréquente en pareil cas . VIL L'apoplexie des enfants nouveau-nés s'acco
ane : on aurait dit de gros tubercules. Réflexions. Voilà un de ce» cas de léaiou» complexes dans lesquelles il est bien
un bain aromatique, moyen qui réussit en général assez bien dans des cas analogues en apparence. Il mourut le lendemain. A
iste entre les deux observations qu'on vient de lire. Dans le dernier cas , la femme était dans un état de cachexie, suite,
a fois, et de la syphilis et du traitement mercuriel. Dans le premier cas , la malade était depuis longtemps dans un état va
eux thymus parfaitement distincts sur la ligne médiane; dans d'autres cas , les deux thymus communiquent entre eux. Le thymu
œtus qu'il faut étudier ses maladies. Il semblerait que dans quelques cas , il y ait, ou bien rétention du produit sécrété,
vec l'établissement de la respiration. Dans un plus grand nombre de cas , la maladie date de plusieurs jours et peut-être
qui me paraît trop légèrement résolue, dans le plus grand nombre des cas . Observation . Mort par infiltration séreuse du
lieu par masses plus ou moins considérables, absolument comme dans le cas représenté fig. 1. Observation 10- Pustules cut
EXPLICATION DES FIGURES. Les figures 1, 2, 3, représentent trois cas d'inflammation pseudo-membraneuse de la bouche, d
t pour cette affection, une barrière qu'elle ne franchit que dans des cas excessivement rares. L'exsudation pseudo-membrane
mie, et ne présente d'autre altération qu'une rougeur, légère dans le cas de pseudo-membrane discrète (fig. 1); intense dan
ère dans le cas de pseudo-membrane discrète (fig. 1); intense dans le cas de pseudo-membrane con-fluente (fig. 2 et 5). I
nx, sans lésion aucune de la muqueuse pharyngienne. Cepeudant dans le cas représenté fig. 2 et 2', de fausses membranes rem
même figure les bords des ulcérations sont d'un rouge foncé. Dans le cas représenté fig. 6, des vomissements noirs avaient
illard, dont la science doit déplorer la perte prématurée. Sur quinze cas qu'il a observés, huit avaient pour sujet des enf
plus ou moins considérable de la substance cérébrale. C'est dans des cas de cette espèce qu'on a vu des enfants hydrocépha
c déjettement et déformation des os de la voûte. Dans l'un et l'autre cas , l'absence du cerveau doit être produite parla mê
telles que des compressions mécaniques, ont pu être invoquées dans le cas d'anencéphalie avec ouverture du crâne, cette opi
ineuse ; que le seul obstacle qui s'opposait à l'hydrorachis, dans ce cas , était dans une lamelle fibreuse, prolongement de
évolution des organes. Et l'on verra dans le cours de cet ouvrage des cas de tubercules du cervelet tellement considérables
de l'habitude de la masturbation. Si le fait était bien constaté, le cas actuel serait la réfutation la plus directe du sy
ranchit d'une manière graduelle. Il est probable que dans beaucoup de cas , comme dans celui qui précède, l'intestin doit s'
le premier temps de l'opération, soit pour le débridement. Dans le cas de hernie ovalaire étranglée , le procédé opérato
icle œuf (Dict. deMédec. en 11 vol.), a rapporté à l'hypertrophie les cas décrits par Morgagni, Iluisch et autres observate
trophie les cas décrits par Morgagni, Iluisch et autres observateurs, cas dans lesquels le volume du placenta leur a paru h
face en suppuration ». On rjourrait à la rigueur admettre que dans ce cas ce n'est pas le tissu du placenta, mais bien les
ourni le pus; mais une pareille interprétation est impossible dans le cas suivant : en divisant le placenta, il trouva dans
ans la membrane fibreuse mince qui recouvre chaque cotylédon. Dans un cas rapporté par le docteur Garin ( Journ. de médec.,
fœtale en même temps qu'un grand nombre sur la face utérine, dans un cas rapporté par M. Carestia (voy. Dict. des Se. méd.
VIe LIVRAISON.) Péricardite. Les figures i et 2 représentent deux cas de péricardite hémorrhagique. Je n'ai aucun rense
es membranes a été comparé. Il est également probable que c'est à des cas de cette espèce que s'applique l'expression de cœ
daient en général aux mamelons de la surface du cœur. Comme dans le cas représenté fig. 1., la pseudo^membrane était form
auche une masse considérable de matière tuberculeuse. Dans un autre cas , l'adhérence entre le péricarde et le cœur avait
do-membranes dans la péricardite sont tout-à-fait mécaniques. Dans un cas de péricardite présenté à la Société anatomique l
t spirale des fibres charnues superficielles des ventricules. Dans ce cas , la couleur de cette pseudo-membrane était lie-de
érations chirurgicales. Ces abcès ayant été sur-tout observés dans le cas de plaies de tête, on a cru pouvoir l'interpréter
bre de faits, mais ne s'appliquent nullement à la grande majorité des cas ; par exemple, à ceux où une tumeur blanche ayant
ie en particulier. De nombreuses observations ont prouvé que dans des cas où aucune veine libre ne paraissait enflammée, le
remment avec les poumons, la rate et d'autres viscères. Dans quelques cas , les abcès de tous ces viscères semblent être con
es de leur formation successive. On conçoit d'ailleurs que dans les cas où la phlébite affecte quelqu'un des points du sy
'existe qu'un, deux, trois petits foyers. Il est probable que dans ce cas le malade aurait résisté à la lésion du foie, si
des veines hémorrhoïdales peut donner lieu aux abcès du foie. Dans le cas suivant ces abcès ont été provoqués par des tenta
us demi-concret réuni faisant foyer. Quelques-uns de ces abcès, et ce cas est fort rare, étaient remplis par une matière as
était infiltré et solide, circonstance qui a pu faire croire dans des cas analogues aux tubercules préexistants. Chaque gra
yx : la fin de la moelle vient se perdre dans la tumeur comme dans le cas représenté fig. 3' : de cette tumeur naissent les
t que j'ai rempli les fonctions de médecin de cet Hôpital. Un sixième cas est représenté pl. III, VIe livraison. Un septièm
infiniment probable que le travail d'ulcération pourra, dans quelques cas , envahir toute l'épaisseur des parois de la poche
ne ouverture ancienne. Une pareille méprise aurait été facile dans le cas représenté fig. 3. Dans les sept cas que j'ai o
rise aurait été facile dans le cas représenté fig. 3. Dans les sept cas que j'ai observés, la tumeur occupait l'espace co
nés sans hy-drorachis, sans spina bifida; et d'ailleurs j'ai vu deux cas de spina bifida, dans lesquels le cerveau présent
lquefois assez épaisse pour distendre fortement la dure-mère. Dans le cas représenté fig. 4, une fausse membrane verdâtre e
ur: elle occupaitle tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Dans d'autres cas , lorsque la mort a été rapide, on trouve les vais
d'altération considérable de la moelle qu'il aurait observée dans un cas de spina bifida; mais il est probable qu'il s'en
jours trouvé lamoelle intacte dans toute sa longueur, excepté dans le cas représenté fig. 3 ' , où sa partie inférieure éta
une épingle occupait le centre de ce ramollissement. Dans plusieurs cas , le pus occupait à la fois et la cavité de l'arac
ion. Le séton proposé par Desault, la ligature pratiquée dans un seul cas où elle a été suivie de mort rapide, doivent égal
éplacements ( Pl. V, XVIe livraison)* Cette planche a pour objet un cas de chute ou prolapsus de l'ute'rus que j'ai obser
avait subi. Le tissu de l'utérus était ramolli, comme dans tous les cas où il est le siège d'une fluxion quelconque. xv
u'il occupe sa situation normale, devienne si rarement malade dans le cas de prolapsus. Réflexions. I. Pour donner une id
ement très prononcé et même quelquefois plus considérable que dans le cas que j'ai fait représenter (voy. fig. 3). Il était
j'ai fait représenter (voy. fig. 3). Il était si grand dans un autre cas de prolapsus, qu'attirant fortement l'utérus en h
Thèse du Concours. Paris, i83i , in - 4°, pl. VIII, fig. 3. Dans un cas où le bas-fond de la vessie avait été entraîné to
rine. Le développement très considérable de la vessie , dans tous les cas que j'ai observés, prouve avec quelle difficulté
quelquefois le cathétérisme très difficile. On voit en effet, dans ce cas , le stylet ou la sonde introduits dans le méat ur
mais, et s'il se déplace, c'est dans une très petite étendue. Dans un cas où il y avait incontinence des matières fécales,
et constituait une sorte de prolongement infundi* buliforme. Dans le cas représenté par M. Cloquet, le rectum fort dilaté
disposition sur le cadavre, mais j'ai la certitude d'avoir observé un cas de ce genre sur le vivant. Je fus appelé, en 1816
ilité ou peut-être l'opportunité de l'extirpation de l'utérus dans le cas de dégénération cancéreuse de cet organe. J'ai ét
atation latérale. L'hypertrophie des veines s'observe dans tous les cas où un grand mouvement nutritif normal ou morbide
n organe; telles sont les veines utérines dans la grossesse , dans le cas de tumeurs considérables, fibreuses, encéphaloïde
stase du sang, maladie. Il suit de ces considérations, que dans le cas représenté pl. VI, 16e livr. , il y avait dilatat
superficialis. Le développement de ces veines a lieu dans tous les cas d'obstacle à la circulation dans les veines profo
dans une trame aréolaire à mailles fibreuses très serrées. Dans le cas représenté pl. V, il y avait non-seulement dilata
urg., tom, i, pag. 280 ) qui rapporte ce fait, dit qu'il a observé un cas de ce genre. La tumeur occupait l'hypogastre, éta
ion. Or^ l'étude de ces veines, soit dans l'état normal, soit dans le cas de dilatation rapporté plus haut, m'a convaincu q
t de sa communication avec la veine porte, elle reçoit, comme dans le cas précédent, une veine des parois abdominales. Qu
la veine ombilicale dans le débridement de la hernie ombilicale, les cas de perméabilité de cette veine après la naissance
is une hémor rhagie par lésion de l'ombilic, qui devint funeste. Le cas d'hémorrhagie par biessure de la veine ombilicale
par biessure de la veine ombilicale rapporté par Cabrol, et enfin le cas de Coschwitz qui a vu cette veine pleine de sang
seul tronc qui va se jeter dans la veine-porte hépatique. Les deux cas que je viens de citer ne ressemblent à celui qui
ui est le vestige de la veine ombilicale. Il est douteux que, dans le cas de M. Ménière, la veine contenue dans l'épaisseur
in. Une dernière considération, c'est la petitesse du foie, dans le cas représenté pl. VL L'existence de la veine ombilic
s qu'on ne le croit ordinairement, échappent, dans un grand nombre de cas , à celui qui se contente d'étudier le cerveau env
'absence de la presque totalité du cerveau. Dans un certain nombre de cas , le retrait des os du crâne se fait aux dépens de
siste dans une diminution pure et simple du volume ; Io dans d'autres cas , c'est une sorte de ratatinement de ces circonvol
manifestement un épanchement de sang antérieur. Dans l'un et l'autre cas , la sérosité remplit les vides qui existent entre
volutions, et occupe le voisinage des cicatrices celluleuses. Dans ce cas , la surface des circonvolutions présente le plus
de la corne d'Ammon B G, était indurée et jaunâtre. Réflexions. Ce cas d'atrophie des circonvolutions, dans lequel chaqu
mmuniquant avec les circonvolutions voisines, doit être rapproché des cas d'hydrocéphalie, dans lesquels chaque hémisphère
e moyenne de la prostate est quelquefois considérable: Hunter a vu un cas dans lequel il avait acquis le volume d'un œuf de
vessie. M. Bérard aîné rapporte, dans sa dissertation inaugurale, un cas de ce genre. Sur le cadavre d'un homme qui avait
ois extrême : à raison de l'espèce de cul-de-sac que présente dans ce cas la portion prostatique du canal de l'urètre, le b
ard heureux qu'on parvient à pénétrer dans la vessie. Dans certains cas , ce n'est pas la partie moyenne de la prostate, m
latéraux qui proéminent dans l'intérieur de la vessie; je possède un cas de ce genre. L'orifice vesical se trouve transfor
partie antérieure de la vessie arrivait jusqu'à la prostate. Dans ce cas , comme de coutume, cette glande avait acquis une
s pour la juger que cette méthode ait été mise à exécution. Dans le cas où l'obstacle au cours des urines ne pourrait êtr
s ne pourrait être ni écarté ni détruit, si cet obstacle, et c'est le cas le plus fréquent, consistait dans une végétation
ne pourrait-on pas, au lieu de la ponction de vessie proposée dans ce cas par les chirurgiens les plus distingués, transfor
vésicale mode de coloration qu'on observe assez généralement dans le cas d'irritation chronique de cette membrane ; 2° l'é
parois de la vessie, épaisseur due exclusivement, comme dans tous les cas de même nature, à la membrane musculeuse hypertro
je ne connaissais qu'un moyen, c'était de forcer l'obstacle ; que le cas étant insolile et grave, il me paraissait convena
délibérer. Je fis part à M. Dupuytren de ma manière de voir dans le cas actuel et de la nécessité du cathétérisme forcé.
tération , que j'ai rencontrée cinq ou six fois. Jamais je n'ai vu de cas plus remarquable de cette déchirure, que celui d'
upart des organes et en particulier dans le système musculaire. Aucun cas ne m'a paru plus frappant que celui que M. Guénea
ient molles au centre et très dures à la circonférence, comme dans le cas de tumeur sanguine considérable du cuir chevelu.
sies aigries ou chroniques, et j'ai cru pouvoir établir dans quelques cas une liaison entre ces deux phénomènes. Nous dev
ème douloureux, sans le mode de développement de l'œdème qui, dans le cas actuel, avait débuté par l'articulation du genou
au lieu d'envahir en même temps la totalité du membre, comme dans le cas d'oedème, proprement dit. D'une autre part, l'abs
t d'une phlébite, soit d'une inflammation sous-aponévrotique; dans le cas actuel, il y avait à la fois phlébite et inflamma
l'axe, tantôt suivant la circonférence de cet organe. Dans le premier cas , le ventricule droit, bien qu'il s'allonge consid
lie que forme la cloison du ventricule dans sa cavité. Dans le second cas , comme dans la fîg. 1, le ventricule droit n'atte
'allongement de linfundibulum de ce dernier ventricule. Dans les deux cas , les deux ventricules représentent assez bien les
anisme de la formation des trois tumeurs anévrysmales que présente le cas actuel. Ces tumeurs ne communiquent pas avec la c
e d'une solution de continuité de cette cloison membraneuse. Un des cas de hernie thoracique rapporté par J. L. Petit (OE
que rapportée par Béclard, vient à l'appui de ce qui précède. Dans ce cas , il y avait deux sacs herniaires : l'un petit, vi
suppuration, décomposition d'une partie des liquides épanchés-Dans le cas représenté pl.IV, ire livraison, l'altération éta
taient remplies de matière encéphaloïde adhérente aux parois: dans ce cas , où l'altération était beaucoup moins avancée que
rendre compte pourquoi l'injection tentée par M. Bérard aîné, dans un cas de cancer du corps thyroïde a eu ce résultat , qu
occupent la surface de ces organes, comme les abcès multiples dans le cas de phlébite, attestent l'infection générale et me
tomique par M. Sédillot, l'un de ses membres, répond parfaitement aux cas représentés fig. 1 et 2. Deux masses tuberculeu
étendue de chacun de ces organes où ils n'aient été observés. Daus un cas présenté à la Société anatomique, par M. Nélaton
déposée autour de l'origine de la plupart des nerfs crâniens. Dans ce cas , l'encéphale était parfaitement sain. C'est dan
bercules occuper primitivement la substance blanche du cerveau. Les cas d'adhérence des tubercules à la substance cérébra
uleuse est infiltrée dans la substance cérébrale elle-même. Dans le cas d'infiltration, la matière tuberculeuse forme une
de cavités plus ou moins considérables, que j'ai vues dans plusieurs cas remplies d'un pus ayant tous les caractères du pu
mésentériques: ils peuvent cependant en être indépendants. Dans deux cas soumis à mon observation, les poumons et les gang
quelquefois exaltées, d'autres fois affaiblies, et même dans certains cas perverties: l'épilepsie, les convulsions, des vom
santé la plus florissante à un état désespéré. Dans presque tous les cas , les tubercules ne déterminent d'accidents que lo
s ganglions lymphatiques externes et internes. Dans l'un et l'autre cas , l'art est réduit à une médecine purement symptom
es sont quelquefois l'élimination de parties nuisibles, dans d'autres cas la substitution d'une partie à une autre : cette
ésente la face interne du corps de l'utérus s'observe souvent dans le cas d'oblitération du col et par suite de rétention d
a été guérie parle seul fait de l'injection. L'analyse de tous les cas authentiques de pili-mixtion consignés dans les a
onsignés dans les auteurs , conduit à cette conséquence, que tous ces cas doivent être rapportés à l'ouverture d'un kyste o
kystes pileux ovariques présente beaucoup de variétés. A côté de ces cas dans lesquels l'ovaire énormément dilaté, égalait
oils adhérents tiennent au kyste : i° par une de leurs extrémités, ce cas est le plus rare; i° par un des points de leur lo
s d'un bulbe pileux ; les seconds en sont dépourvus Dans ce dernier cas , les poils peuvent être maintenus, i° à l'aide d'
kyste ovarique avec dents qui fût dépourvu de poils. Dans tous les cas soumis à mon observation, les dents ressemblaient
r des parois du kyste; et ce fragment osseux, m'a paru, dans quelques cas , appartenir à l'os maxillaire supérieur. Il exist
e temps que des dents semblables à celles de la première : tel est le cas rapporté par Anderson. Deux dents de lait étaient
ais rencontré une portion de squelette aussi considérable que dans le cas représenté pl. V; mais au milieu de cette masse o
dents et les os d'implantation. Cette bride n'existait dans aucun des cas de kyste simplement pileux que j'ai observés. D
s un espace limité par un tissu cutané parfaitement distinct. Dans un cas , le tissu cutané formait une sorte de tumeur pédi
cas, le tissu cutané formait une sorte de tumeur pédiculée. Dans le cas représenté planche IV, le tissu cutané tapissait
, quarante ans , sans manifester leur présence : et à l'exception des cas où par leur volume considérable ils ont fixé l'at
pubères et chez les hommes: elle ne saurait non plus s'appliquer aux cas où le kyste pileux occupe l'épaisseur du foie, de
uments qui établissent la pénétration d'un germe par un autre dans le cas de présence congéniale d'un fœtus plus ou moins c
grossesse, mais qu'on observe ordinairement du 3e au 4e mois. Dans ce cas , la mort est presque toujours produite par hémorr
lente lorsque l'hémorrhagie se fait d'une manière graduelle. Dans un cas que j'ai observé à l'hôpital de la Maternité avec
t dont la couche extérieure était constituée par le placenta. Dans ce cas , une grossesse ovarique étant parvenue à une péri
êtu par une pseudo-membrane épaisse et très dense. i° Dans d'autres cas , le fœtus devient adhérent aux parois du kyste ov
jusqu'à la mort de l'individu sans donner signe de sa présence. Les cas de fœtus momifiés qui ont séjourné plus ou moins
la mort à laquelle la présence du fœtus n'a pris aucune part. Dans un cas observé à Leinzel en Souabe, en 1720, de même que
Dans un cas observé à Leinzel en Souabe, en 1720, de même que dans le cas que j'ai rapporté , la malade devint grosse et ac
ême situation. On n'a pu reconnaître les trompes et les ovaires. Le cas rapporté et figuré par Denman d'après Hamilton, e
tait pas le siège de la tumeur, car la malade était réglée. Dans le cas adressé à l'Académie royale des Sciences par MM.
du tissu de l'utérus la transformation fibreuse, je répondrai par les cas de tumeurs fibreuses pétrifiées qui existent depu
d'ailleurs que l'époque de la mort du fœtus peut être , dans quelques cas , postérieure au terme naturel de la grossesse : a
t des fœtus momifiés semblent appartenir à des fœtus à terme. Dans un cas rapporté plus haut, le fœtus avait deux incisives
is on en trouvait souvent deux, quelquefois cinq, six, huit : dans le cas d'acéphalocystes multiples, tantôt toutes les acé
sulte une disposition enkystée, qui peut être primitive dans d'autres cas . Lorsque le pigmentum est à l'état concret, les
s masses concrètes peu régulières moulées les unes sur les autres. Ce cas dans lequel il y a transformation du grain glandu
n et l'autre de ces états peuvent exister primitivement ; que dans le cas où l'un vient à succéder à l'autre , l'état de pi
bercule, et je crois avoir prouvé, au moins pour un certain nombre de cas , que le tubercule dit à l'état de ramollissement
estin grêle et du gros intestin des individus avancés en âge. Dans ce cas , chaque papille est colorée en noir à sa pointe o
la cavité crânienne, ce liquide remplacera le cerveau. Dans tous les cas , il y aura spina bifida occipital. Le renverseme
pouvait être par lui-même, la cause de cette déviation et que dans un cas de pied-bot, les pieds étaient arc-boutés sous la
ns de la Société anatomique est venu confirmer cette théorie. Dans un cas de grossesse extra utérine , le fœtus à terme éta
à un cancer siégeant dans les parties molles. C'est surtout dans le cas de cancer mammaire non opéré ou opéré avec récidi
nsformation facile en tissu spongieux, rend compte du petit nombre de cas dans lesquels il a été envahi. Ainsi chez un indi
présence des tumeurs cancéreuses dans leur épaisseur : dans quelques cas , des douleurs ostéocopes très vives accompagnent
sternum et la peau correspondante avaient été envahies. Ainsi dans ce cas , le périoste, le tissu adipeux médullaire et la s
ironnantes lorsqu'il a franchi le périoste, de même que dans certains cas il se propage des parties molles aux os. Comme
os du crâne, aux os du bassin, à l'humérus, au fémur, aux côtes. Les cas de cancer du tibia, de cancer des os du bassin, d
ane médullaire et le tissu osseux tout à-la-fois; tandis que dans les cas que j'ai décrits et figurés, la lésion serait lim
ée du cœur. J'ai déjà fait représenter ( 111e livraison, pl. i ) un cas de rupture du cœur. Je crois devoir rappeler ici
pertrophie : il n'est nullement question de mort subite. Or, tous les cas de rupture du cœur que j'ai eu occasion d'observe
du cœur que j'ai eu occasion d'observer depuis cette époque sont des cas de mort subite. Il est vrai que chez un individu
r et les perforations spontanées du même organe, que, dans le premier cas , le tissu du cœur est sain au pourtour de la bles
s me portent àpenserque la perforation du cœur était complète dans ce cas comme dans tous les faits du même ordre, mais que
e rupture oblique très étroite du côté du ventricule. Dans un autre cas de mort subite recueilli sur un homme de 78 ans,
oncrétions calcaires aux valvulves sigmoides de l'aorte. 3° Dans le cas que j'ai rapporté (111e livr., pl. i),j ai cru de
ragilité remarquable du tissu de l'organe ; si bien que dans tous les cas que j'ai eu occasion d'observer ce tissu se morce
cuper la totalité du cœur, elle peut être circonscrite. Dans quelques cas , le cœur, si vous en exceptez la fragilité, n'off
ui est seulement d'un rouge plus obscur que de coutume; dans d'autres cas , le tissu du cœur est remarquablement altéré. Ain
ns l'épaisseur du cœur au voisinage de la rupture. Cependant, dans un cas de perforation qui avait lieu au voisinage du som
dans sa couleur qui est d'un jaune serin. Dans un certain nombre de cas , l'altération est exactement limitée à la substan
coexister avec ces points jaunes? XXe LIVRAISON. I Dans quelques cas , la substance grise des circonvolutions primitive
le, et cette coloration peut s'étendre à la pie-mère. Dans d'autres cas , la surface du cerveau (circonvolutions et anfrac
'on dirait qu'elle a été faite avec un emporte - pièce. Dans d'autres cas , les deux moitiés d'une circonvolution sont sépar
4. Apoplexis Capillaires ; ramollissemens. étaient allées dans ce cas au-devant des faits cliniques, et que mes recherc
es sinus. J'ai cité ailleurs (vme livr., pl. 4)? à- l'occasion d'un cas d'inflammation du sinus de la dure-mère deux obse
celle qui fait le sujet de la fig. 1, pl. 4? xxC Hvr- Dans Fun de ces cas , le sinus longitudinal supérieur, le sinus latéra
le corps strié droit et dans la couche optique gauche. Dans l'autre cas , le sinus longitudinal supérieur et la veine céré
mation des veines et l'apoplexie capillaire : et comme, dans d'autres cas , on trouve un ramollissement du cerveau tout-à-fa
g. 1 et la fig. 2), ne doit-on pas conclure que, dans l'un et l'autre cas , le siège immédiat de l'altération et le mode de
doivent être recueillis avec une grande attention; eux seuls, dans le cas qui précède, m'ont permis de diagnostiquer soit u
ces ou différences de coloration primitives s'observent dans tous les cas où la mort a lieu promptement après l'invasion de
uances ou différences de coloration consécutives s'observent dans les cas où la mort n'arrive qu'après un temps plus ou moi
volutions d'un hémisphère et même des deux hémisphères. Dans certains cas , le ramollissement occupe à-la-fois la substance
u ramollissement, elle peut être très considérable. Ainsi, j'ai vu un cas dans lequel toutes les circonvolutions antérieure
membrane du ventricule étaient converties en bouillie; dans un autre cas la substance grise du plus grand nombre des circo
dissement, de céphalalgie plus ou moins vive; cependant dans certains cas , l'hémiplégie est instantanée, sans antécédens di
s que l'apoplexie. Dans le courant d'une année, j'ai vu à peine trois cas d'apoplexie avec foyer, sur une vingtaine de cas
'ai vu à peine trois cas d'apoplexie avec foyer, sur une vingtaine de cas de ramollissement. Onpeut guérir d'un ramolliss
n dans une autre partie de son étendue. Reflexions.—La mort dans ce cas doit être attribuée autant à l'altération des pou
ent quelquefois la substance grise des corps striés, et dans d'autres cas la substance blanche: il est cependant une paraly
ramollissement lui-même, qui, à l'exception d'un très petit nombre de cas , n'arrive à son apogée qu'au bout de quelques jou
, cette maladie peut être en général soupçonnée et même dans quelques cas positivement diagnostiquée; 3° qu'en opposition a
out à-la-fois et par les vomissemens et par les selles; dans quelques cas il est rendu exclusivement par les selles qui ont
t de la perforation. J'ai dû me reprocher l'emploi du vomitif dans le cas suivant que j'ai eu occasion d'observer à la Salp
éfaut de développement et dessiccation du fœtus correspondant dans un cas de grossesse double.............. --Transformat
44 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
res supérieurs. Si bien que le mot obsédant s'impose, dans quelques cas , comme une production parasitaire, en dehors du
nfu- sion du malheureux patient, impuissant à le retenir. Dans ce cas , l'image tonale est apparue d'emblée, sans autr
la Tourette et l'un de nous avons eu l'occasion de citer plusieurs cas dans lesquels les paroles grossières s'associai
idée déterminée; mais que l'obsession émane, comme dans ce dernier cas , de la région antérieure ou du centre cortical
centre cortical postérieur, elle amène l'impul- sion. Dans tous les cas , le calme et le soulagement suivent l'émission
t du mari, obligé d'attendre la fin d'apprêts inu- tiles et en tout cas fort inopportuns. Elle a toujours eu de longues
coup d'une décharge de la région psycho-motrice 1. *. 1 Magnan. - Cas de folie héréditaire : syndromes épisodiques inté
d'hygiène et les habitudes maladives reprenaient leur empire. Ce cas fort instructif donne une idée de la marche en
ut pas cesser de se poser des questions. DE L'ONOMATOMANIE. 15 Ce cas est intéressant par son délire polymorphe qu'év
mme une espèce à part. Il considère les faits de Duchenne comme des cas de myélite- diffuse subaiguë qui ne se distingu
des cas de myélite- diffuse subaiguë qui ne se distinguent d'autres cas -de cette maladie que. parce, que les cornes an
es antérieures de la substance grise ont été plus altérées dans ces cas que dans d'autres...1 - - 1 1 1)' 1 1 1 , Qua
iguë, Vulpian exa- minant d'une façon très attentive la plupart des cas qui ont été publiés comme tels depuis Duchenne,
se aucun debout. Par une analyse critique, il mon- tre que tous les cas dénommés ainsi sont des exemples de myélite dif
e distinguent de la myélite subaiguë habituel le en ce que dans ces cas de Duchenne, les cornes antérieures paraissent
i les renseignements sont incertains, d'é- tablir un diagnostic. Le cas ci-après nous paraît être une de ces déviations
et voici comment il s'exprime à ce sujette Assurément, il y a des cas de myélopathies dans lesquelles se pro- duisent
comme caractérisant le type qu'il voulait établir,mais ce sont des cas qui ne se distinguent pas par des caractères bi
que. Est-ce dire, comme Vulpian le soutenait, qu'il s'agit, dans ce cas , d'une myélite diffuse centrale avec prédominan
de et la description de Du- chenne pour que nous ne donnions pas ce cas comme un type de paralysie générale spinale dif
ce travail et ne pas nous égarer, nous décrirons exclusivement les cas d'amnésie typiques, comme dit M. Charcot, en la
airement de côté les amnésies légères ou incomplètes et surtout les cas complexes et confus auxquels je vous déclare d'
terai pas. Mais j'ai eu l'occasion d'observer dans le service un cas de ce genre si curieux qu'il pourra je crois résu
et avait une achromatopsie complète dos deux yeux'.) Ce sont des cas de ce genre qui ont été désignés sous le nom d'am
ntrer une amnésie complète portant sur tous les souvenirs. Certains cas cependant, celui de Mac Nish, celui de Weir Mit
typique. Vous savez qu'il y a ici dans le service de M. Charcot un cas d'amnésie probablement unique dans son genre. L
qu'elle ne sait où elle est et qu'elle se croit encore à Cognac. Ce cas d'amnésie est extraordinaire et vous ne serez p
ssi complète', mais, quand on a appris à la reconnaître d'après ces cas typi- ques, on ne tarde pas à constater qu'elle
constamment se surajouter aux autres formes d'oublis ' Etude sur un cas d'aboulie et d'idées fixes. (Revue philosophique
(Revue philosophique 1891, t. I, p. 258-384.) . , ! Charcot. Sur un cas d'amnésie rétro-antérograde, probablement d'ori
Sollier nous montre une variété d'amnésie continue très analogue au cas de M ? D..., mais non absolument identique ; no
pérations élémentaires, nous aurons affaire à des démences ou à des cas d'hystérie. Il y a donc intérêt, quand cela est
us demanderons, si elle est sup- primée ou lésée gravement dans les cas d'amnésie que nous avons décrits. Nous arrivero
ous faire sur ce point une conviction personnelle. Voici un autre cas plus complexe, Marguerite a de grandes attaques
vénements de sa vie au mois d'août ou au mois d'octobre. Ce dernier cas est le plus frappant, il vient confirmer les au
caractère du sou- venir inconscient n'existe pas seulement dans le cas de M™" D.... Je l'ai 'montré sur cette malade,
dérable; mais on pourrait aussi bien le mettre en évidence dans les cas d'amnésie localisée et moins grave. En général,
de dire que je n'ai pas de réponse générale s'appliquant à tous les cas , mais, dans certains cas' particuliers, il m'a
us les indiquer. Ainsi que je vous l'ai dit en commençant, l'un des cas d'amnésie qui m'avaient le plus frappé était ce
amnésies hystériques; elles ne sont exactement applicables qu'à des cas très par- ticuliers, c'est pourquoi je les indi
s générale, mais qu'elle n'est pas nécessaire et que, dans certains cas , elle peut être rompue et vous comprendrez pour
pli- cation des amnésies comme particulière et limitée à certains cas . Ce n'est que dans un petit nombre de circonsta
ns phénomènes de mémoire; nous croyons les rencontrer dans certains cas de somnambulisme. Je n'ai pas la prétention d'é
ésie hystérique. 53 Par bonheur, nous pouvons vous présenter ici un cas remar- quable de ce phénomène, qui est en réali
ions particulières de l'am-, nésie, nous croyons que, dans certains cas , elle peut être trouvée dans les anesthésies qu
les résultats ont été médiocres, et cependant dans la plupart des cas on avait été guidé, pour placer l'instrument, par
convulsives tous les mois. 1 Il nous paraît certain que, dans ce cas , le traumatisme est le facteur étiologique de l
, suicides, impulsion, de mélancolie, suicide, etc... Dans certains cas , l'affection était très ancienne, parfois on du
ici uniquement pour la rareté du fait. Il s'agit sans conteste d'un cas de véritable dipsomanie, c'est- à-dire à accès
est-il sujet à critiques, mais nous l'avons fait pour assimiler ce cas à l'automatisme des comi- tiaux et des hystériq
M. J. ? ¡OL.\.X. (The Journal of mental Science, avril 1889.) Ce cas est celui de deux frères qui présentaient entre e
s ont racontée en des termes presque identiques. R. M. C. III. UN cas d'hallucinations SENSORIELLES avec obsessions ;
s couleurs; 9° examen ophthalmoscopique négatif dans la plupart des cas ; 10° l'acuité centrale est absolument indépendant
vêtu la forme de délire systématique (para- noï(t. P. K. VIII. UN cas DE PSYCHOSE POLYNI3VRITIQUE avec autopsie; par Ka
IX. DES psychoses CONSÉCUTIVES A l'influenza, avec remarque SUR un cas DE paralysie progressive; par J. KRYPIAYIEWICZ. (
cusations et vilipendages de la presse et du public. P. K. XI. UN cas DE paralysie générale A FORME circulaire; par H.
de la paralysie générale. Ici aussi, comme d'ordinaire, dans les cas de ce genre, élément héréditaire. P. K. XII. DE
ORURE DE SODIUM DANS LE COLLAPSUS CONSÉCUTIF A L'ABSTINENCE DANS LE CAS D'UNE psychose aiguë; par A. MERCKLIN. (Central
x à vingt minutes et dure de une à huit heures. Il n'est que peu de cas dans lesquels le sommeil obtenu dépasse plusieu
aliénée. Mais ne dépassez jamais la dose de 0,002. Il est, en tout cas , appelé à rem- placer l'hyoscine ; s'il est act
yoscine ; s'il est actif à plus haute dose qu'elle, il est, en tout cas , bien moins dangereux. P. K. REVUE DE; PATHOLOG
ation correspondant à ces centres) ne fonction- nent plus. C'est le cas de notre malade qui en est un type. 3° Perte de
POPOFF. (iJledi- zinsk. Obozr., n° 18, 1891.) L'auteur décrit un cas d'hémiplégie survenue à la suite d'un séjour tr
rrhagie venue s'ajouter à la pre- mière. J. ROUBINOVITCH. III. UN cas d'aphasie sensorielle TRANSCORTICALE; par A. PicK
, assez souvent aussi, tous les muscles qui meuvent le pouce. Trois cas ont été publiés dans les comptes rendus sani- t
e ne pouvant dépasser cent à deux cents pas. ' ' - P. K. , IX. Un cas DE POLIOENCÉPHALITE supérieure ET inférieure avec
ule. Marche rémittente et intermittente de bien de ces symp- tômes. Cas unique de guérison. L'auteur classe les cas con
n de ces symp- tômes. Cas unique de guérison. L'auteur classe les cas connus d'après leur évolution et leur étio- log
es années. A cette catégorie appartiennent le plus grand nombre des cas publiés jus- qu'ici. Le complexus symptomatiq
minution de l'activité des champs corticaux visuels. P. K. XI. UN cas TYPE DE PARAMYOCLONUS MULTIPLE; par E.-A. HOMEN.
t du z punch n'a pas été supprimé un jour ou l'autre et si, dans ce cas , les hallucinations ont momentanément cessé. Ce
pression. ' ° SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 - M. JOFFAOY. La majorité des cas de tumeur cérébrale venus à ma connaissance se
nus à ma connaissance se sont terminés par la mort subite, comme le cas qui nous est indiqué. Pour ce qui est des hallu
u donner une interprétation rigoureuse du fait qu'il a rapporté. Le cas lui a paru intéressant à signaler. Il l'a rappo
M. Samuel Garnier m'a prié de demander l'avis de la Société sur le cas suivant : 11 s'agit d'un ancien épilep- tique q
la Société s'engage dans une voie dange- reuse en discutant sur un cas aussi délicat sans avoir sous les yeux et l'inc
les pièces anatomiques : cela ne nous a pas empêchés de discuter le cas que l'on nous a soumis. Nous pouvons tout aussi
as que l'on nous a soumis. Nous pouvons tout aussi bien discuter le cas de V... J'ai hâte de dire que je le considère c
avec l'approbation ou l'improbation officielle d'un rapport sur un cas d'une telle importance. La Société décide d'adres
sychiques se termi- nant par la mort. On sait en effet que tous les cas de chorée ne sont pas bénins. Je possède cinq o
construire dans ce but des hospices à la charge des communes ou, en cas d'insuffisance de ressources, des départe- ment
uisible, puisqu'on la tourne. Quand les autorités sont saisies d'un cas d'aliénation mentale, quand elles sont invitées
ital qui puisse disposer d'un espace suffisant pour recevoir et les cas curables et le matériel de l'enseignement. Il n
ignement. Il n'est pas pas possible de soustraire à la clinique les cas chroni- ques ; d'ailleurs le pronostic n'en est
il pas : « ce qui importe le plus au médecin c'est de spécifier les cas incurables qui ont guéri. » Tous les cas doivent
cin c'est de spécifier les cas incurables qui ont guéri. » Tous les cas doivent pouvoir figurer dans une clinique. Il f
mouvements qu'exige la parole restés parfaits. Dans les deux autres cas , ce sont des accès d'aphasie passagère ainsi qu'i
ice en pareille occurrence; mais, à côté de cela, nombreux sont les cas dans lesquels cette tâche est difficile, sinon
quée à l'ivresse, prêterait à rire si elle n'était triste. Dans les cas exceptionnels, elle n'est pas nécessaire; chez
s et à la clinique psychiatrique de Breslau. M. OEBEAE. En maints cas , il importe d'interner dans un asile spécial le
tème pédagogique appliqué aux imbéciles. Sans doute, en beaucoup de cas , il est impossible de décider si l'on a affaire
des causes d'erreur qui pourront être à l'avenir évitées. En tout cas , il appert qu'il faut construire des asiles spéci
'après M. Sommer, il est à peu près^impossible d'expliquer certains cas de troubles de la parole par les divers schémas e
sont néga- tifs, totalement négatifs. Discussion : M. GRASHEY. Le cas d'aphasie que j'ai décrit il y a six ans, j'ai
nouveaux tractus et de nouveaux centres pour expliquer de nouveaux cas d'aphasie. Evidemment, il en a imaginé de nouveau
tion, mais sont-ils exacts ? En second lieu, ce serait là le second cas d'aphasie de Grashey qui existe dans la science
lade sur lequel Grashey a fait ses belles recherches. C'est donc un cas unique, une merveille, et cette merveille est t
ations, en ce qu'elle touche à l'aphasie, alors que des milliers de cas ont servi à l'établir. Autant vaut la nier sous
nce de l'expérimentateur a des limites, dans l'immense majorité des cas , parce que les conceptions suggé- rées agissent
tourment très grand. Or, en 1889, il arrive au chiffre de vingt-six cas positifs. L'examen des diagnostics formulés nou
s observa- tions 5, 42, 13, 14 ont trait des alcooliques; en pareil cas , comme l'indique l'auteur, le traitement de l'a
s habitudes acquises n'ayant que des rapports passagers et, en tout cas , peu intimes avec une cons- titution psychique
n d'être inoffensifs; on ne les mettra donc en vigueur que dans des cas qui, à raison de la gravité des accidents morbi
uée par un spécialiste compétent et accommodée aux circonstances du cas individuel. Qu'on s'en serve chez les psychopat
usqu'à pré- sent peu employé l'hypnotisme, je ne l'ai employé qu'en cas de nécessité, sans avoir grande confiance en lu
cas de nécessité, sans avoir grande confiance en lui. En plusieurs cas de mélancolie simple, de folie alcoolique et hy
s guérisons, tantôt une amélioration considérable. Une critique des cas publiés serait trop défectueuse et, en bien des p
Dr Rorn trouve une certaine analogie entre cette observation et les cas d'Oppenheim et de Nonne. Il est pos- sible que
ation et les cas d'Oppenheim et de Nonne. Il est pos- sible que les cas de ce genre formeront un groupe morbide à part
Les deux maladies ne seraient alors que les extrêmes d'une série de cas formant transition de l'une à l'autre. Les deux o
s dans le genre de l'observa- tion II de Dubreuil, c'est-à-dire des cas , caractérisés par une atro- phie musculaire trè
n'ayant presque pas d'alté- rations spinales ; viennent ensuite les cas qui manquent absolument d'altérations spinales,
nerfs périphériques. Il serait permis de supposer l'exis- tence des cas manquant totalement d'altérations du système ner-
cas manquant totalement d'altérations du système ner- veux. Si des cas de ce genre venaient un jour à être constatés où
ble une trépanation, puis pratiqué la ponction, enfin dans d'autres cas , après la ponction on a eu recours au drainage.
jet de la paracentèse des ventricules du cerveau, je me rappelle un cas qui s'est produit quelques années après que j'e
elle un cas qui s'est produit quelques années après que j'exerçais, cas dans lequel on eut recours jusqu'à six fois à la
sion récente de la Faculté médicale de Dorpat, l'histoire de quatre cas d'hydrocéphalie chronique qu'il avait traités p
hronique qu'il avait traités par ponction, et dont il présentait un cas à la Faculté. Le malade était un petit garçon de
a contracture de la nuque et de la bouche disparut. - , Le second cas concerne un enfant de deux ans atteint d'hydro-
n est due à son traitement. § VI. La trépanation pratiquée dans LES cas D'HYDRO- CÉPHALIE aiguë ET CHRONIQUE; par le D`
commode et au moyen de l'emploi ultérieur du drainage. Sur les cinq cas traités de cette manière, à Philadelphie, trois l
lque sorte, sans le savoir, le procédé préconisé par M. Quincke. Le cas de M. 'Audry ne paraît pas encourager à recouri
, 1892. L'auteur nous expose l'histoire clinique et anatomique d'un cas observé par lui, qui diffère un peu du type mor
uestion. , bibliographie. 139 Ce qu'il y a de particulier dans le cas de M. Duchesneau, c'est qu'on constatait une at
oppa vite et à la fin de la vie elle était généralisée. Deux autres cas de M. Guliac et de M. Claus sont à rapprocher d
t toutes conditionnées. par la lésion du tissu osseux, qui, dans ce cas , consiste dans l'envahissement de la pres- que
ssion des nerfs rachidiens, 'dans des trous de conjugaison, dans le cas de lésions osseuses rachidiennes excessives, co
excessives, compression qui entralne les douleurs observées dans ce cas . La dégénérescence des muscles joue de son côté u
st prépondérante. Le président du conseil d'admi- nistration (ou en cas d'empêchement un des vice-présidents) est 144 V
et des assemblées générales. Il assiste à toutes les séances, et en cas d'empêchement, il adresse au président, et avan
affaires contentieuses et dans les affaires judiciaires; mais en ce cas il ne peut agir qu'en vertu d'une délibération
e délivrer au moment de la sortie de l'asile de traitement. Dans ce cas le maximum du secours est fixé à 20 francs. A'R
omité de direction dans l'intérêt de la Société. ART. 21. Dans le cas où la Société cesserait d'exister, les im- meub
ettre à un contemporain, M. Charles Ford appelle l'attention sur le cas d'un individu sorti d'un asile comme n'étant pl
qu'il n'est pas possible de faire des certificats établissant leurs cas comme devant être soumis au traitement restreint
veront jamais grande peine et grand souci, certains seront dans le cas d'en ressentir un violent chagrin, d'autres enfin
années; mais, une fois adoptée, l'administration sera en mesure, le cas échéant, d'empêcher des familles malheureuses d
tion de M. le Dr Riu ne pourrait donc être accueillie que dans le cas où l'administration préfectorale de la Seine voud
is deux ans au moins à Paris ou dans les environs. J'aurai soin, le cas échéant, de faire une démarche dans ce sens aup
psychiatrie cette opération n'est pas bien fondée, excepté dans les cas où il y a une irritation locale bien nette. Les
iladelphie, 1892. Printed by G.-H. Buchanan and C°. GRASSET. - Un cas de maladie de Morvan. Leçons recueillies par Gu
hors texte. - Paris, 1892. Librairie G. Chanon. Grasset. Quelques cas d'hystérie mâle et de neurasthénie. Leçons recu
Paris, 1892. H. Jouve. Rousselet (Albin). Les secours publics en cas d'accidents. Volume in-8° de 150 pages. Prix :
ête, une barre à l'esto- mac, des suffocations; et lorsque dans les cas analogues, elle veut passer outre, ces malaises
d'un employé de la maison, la maladie grave d'une nièce, etc. Ce cas est intéressant par l'hérédité similaire du mêm
st précédée de secousses tétaniformes avec opistothonos. Dans dix cas sur treize, le coefficient urotoxique, calculé
la toxicité urinaire était supé- rieure à la normale. Mais dans ces cas il y avait de la fermen- tation ammoniacale, da
s il y avait de la fermen- tation ammoniacale, dans les deux autres cas la diurèse était diminuée. ' . Ces expérience
e grande différence d'appréciation dans les résultats, ét en tout cas elles ne donnent pas les résultats qu'a obtenus M
essentielle n'est pas contesté. Nous avons laissé de côté tous les cas douteux et tous les cas d'épilepsie symptomatiq
ontesté. Nous avons laissé de côté tous les cas douteux et tous les cas d'épilepsie symptomatique. Ceci une fois fait
ns pu recueillir toutes les urines des vingt-quatre heures dans ces cas déterminés. Cependant, nous n'avons rien néglig
s, et voilà pourquoi nous n'avons pas d'expériences relatives à ces cas . Nous avons recherché des malades qui avaient,
preuve de ce que nous avançons. Il n'y a qu'une exception, c'est le cas où les malades sont pris de la démence. Les exem-
ui va suivre pourrait sembler assez artificielle, puisque plusieurs cas d'amblyopie transi- toire nous présentent des f
ie de l'affection. a). Forme du scotôme scintillant. Les premiers cas d'amaurose partielle temporaire sont dus à Vate
uelle, parfois encore de nausées et de vomis- sements. Il y a des cas , où les troubles oculaires en forme de scotôme
lacés par les troubles visuels du scotôme scin- tillant (exemple le cas de M. du Bois-Raymond, relaté dans la thèse de
cas de M. du Bois-Raymond, relaté dans la thèse de M. Baralt, et le cas de Tissot). Lorsque les accès sont accompagnés
nt avec du gargouillement stomacal suivi d'éructations. - Dans le cas de Dianoux (13), le scotôme revêtait quelquefois
s résultats tout à fait négatifs. i ? Dans l'immense majorité des cas , l'acuité visuelle reste in- tacte malgré de lo
malgré de longues années de souffrance (pendant trente ans chez un cas de Testelin (14).' Néanmoins le scotôme peut pe
' Néanmoins le scotôme peut persister bien longtemps, dans quelques cas exceptionnels '. On ne pourrait pas assigner de
), nous semble très importante. 208 CLINIQUE nerveuse.' Plusieurs cas d'amblyopie transitoire, même -caractérisés par
s peuvent se subs- tituer aux autres. Ainsi, par exemple, dans un cas relaté par Baralt (`0), un j eune homme de ving
tels que l'embarras de la parole ou l'engourdissement d'un membre ( cas de Baralt). La douleur céphalique suit les trou
tion de vertige, des nausées et des vomissements, qui, en plusieurs cas , marquent la fin de l'accès. Parfois encore on
pendant leurs règles. l'amblyopie transitoire. 209 Dans d'autres cas on a une seule, ou deux, ou trois attaques irré
visuel dont nous nous occupons. L'hémiopie transitoire, à part les cas qui tirent leur origine de lésions organiques d
migraine ophtalmique, soit le scotôme scintillant. Dans ce dernier cas (scotome scintillant hémiopique de Mauthner) il
fréquente. Les premières observations d'hémiopie fugace sont trois cas rapportés par Vater (1 i 33) dans une dissertat
les deux observations de Wollaston et d'Arago (1824). Il y a des cas (par exemple celui de M. Verneuil, relaté par B
attaque dura 10 à 12 minutes, et la seconde, surve-' ' Rappelons le cas de Wollaston, qui fit époque pour les études sur
rare, d'après les observations publiées. Encore plus rares sont les cas enregistrés, où l'hémiopie intéressait la moitié
ète (partielle et passagère, bien entendu). Voici, maintenant, un cas d'amblyopie transitoire accompa- gnée de migrai
enait l'hémiopie, tantôt latérale, tantôt na- sale. Dans ce dernier cas , le malade disait qu'il éprouvait la sensation
la forme d'une hémiopie supé- rieure ou inférieure. Dans d'autres cas l'obscurcissement commence dans le côté tem- po
dans notre observation ci-dessus, tout entier le champ visuel. Les cas où le malade dit de n'éprouver autre sensation
sensation que d'un simple obscurcissement de z la vue (exemple les cas de Raullet 31) sont évidemment des cas de scotô
ent de z la vue (exemple les cas de Raullet 31) sont évidemment des cas de scotôme central, monoculaire ou binoculaire,
er (véritable dysphasie ou paraphasie motrice). Beaucoup plus rare ( cas d'amblyopie transitoire associée à l'épilepsie
ait avoir salé de la viande avec du tabac à priser. Dans d'autres cas on pourrait rencontrer les troubles analo- gues
Féré (24), et dans quelques observations de Raullet (30 et 31). Les cas dans lesquels les attaques d'amblyopie transito
Ce dernier est du reste, cumme nous le dirons tout à l'heure, le cas le plus fréquent. b). Les troubles de la sensib
ique, et il est facile de comprendre que, dans un certain nombre de cas , le syndrome migraineux passe en second lieu, o
mpagne si souvent l'amblyopie transitoire. Néanmoins, dans certains cas le mal de tête se traduit parune véritable doul
n trouve réunies les observations non interprétées, antérieures aux cas rapportés par MM. Charcot et Babinski, et deux
ie et non rarement les phénomènes du scintillement. ' Dans un des cas relatés par Babinski, il existait au niveau de
ression faisait apparaître immédiatement le scotôme. "Dans un autre cas , la pression d'une zone ovarienne gauche produi-
difficile, à résoudre. M. Gilles de la Tourette croit, que pour ces cas l'examen des urines pourrait trancher le doute
rétrécissement con- centrique du champ visuel, et dans un quatrième cas (Babinski- Parinaud), l'oeil étant examiné au m
ystérie tire sa pathogénie'. Nous ne saurions rattacher beaucoup de cas d'amblyopie transitoire (accompagnée ou non de
raître par la pression sur des zones hystéro- gènes, etc. Dans ce cas , et lorsque le sujet ne présente pas d'autres s
compagne habituellement le ver- tige épileptique, et, dans certains cas , c'est l'amblyopie qui 1 Néanmoins, les crises
tre elles. C'est ce qui me sem- blait démontré, par exemple, par un cas observé à la Salpêtrière (111"° Lise L..., ving
i les accidents prodromiques de l'ataxie locomotrice, et d'autres cas analogues ont été signalés par Duchenne 6. Rapp
. Les accès d'amblyopie transitoire précèdent dans la plupart des cas , et même de plusieurs années, les accès d'épileps
aralysie géné- rale ont été mis en lumière par un certain nombre de cas publiés jusqu'à présent, et entre autres par de
ée. J'ai pu observer, grâce à l'obligeance de M. Charcot fils, un cas tout à fait analogue dans le service de M. Brissa
les troubles oculaires chez les paralytiques généraux (trois cents cas ). Il a trouvé que ces troubles sont d'autant pl
arac- tères d'être le plus souvent fugaces et incomplets. Dans ce cas , il a noté amaurose transitoire; dans un autre
plets. Dans ce cas, il a noté amaurose transitoire; dans un autre cas le scotôme central transitoire, sous forme de vér
t de dépister à son début l'existence d'une maladie grave, dans les cas où, ni la syphilis (qui peut produire l'épi- le
moteurs et plus souvent encore d'amblyopie transi- toire. Dans ces cas donc, l'amblyopie transitoire ou migraine ophta
son service qu'une seule de ce genre; mais depuis cette époque les cas d'aphasie motrice pure et isolée, sans partici-
Féré, dans la deuxième 'édition de cette thèse, n'en rapporte aucun cas nouveau, et nous n'en avons rencontré aucun aut
ntré aucun autre depuis 1885 dans la littérature médicale. Tous les cas d'aphasie motrice pure, re- latés ces dernières
lysie soit du mouvement, soit de la sensibilité. L'aphasie, dans ce cas , était le symptôme unique et l'atrophie de la t
l'autopsie. » Une figure très démonstrative accompagne ce récit. Ce cas est pourtant moins pur que le nôtre, car M. Bou
oires que représentent les caractères écrits. » Peut-être est-ce le cas de notre malade, peu lettré, qui s'aperçoit tout
Nous sommes maintenant en état de comprendre pourquoi dans certains cas , le cerveau peut être traversé et subir une vaste
respondant, ou elle peut diffuser dans les centres voisins. Dans ce cas , elle suit l'ordre dans lequel ces cen- tres so
uérit sou malade. Il éxiste une relation encore plus remarquable du cas d'un malade qui survécut après avoir été trépan
sure curative et encore plus comme moyen préventif, dans cer- tains cas où les autres chirurgiens avaient l'habitude de s
ques, souffrirait beaucoup dans sa réputation. Qui sait même, si en cas de mort, on ne mettrait pas sur son compte un h
it, British Med. Assoc. Meeting. Glascow, August, 1888.) C'est le cas d'un garçon qui avait fait une chute six jours au
hylactique ont été aussi bien mises en évidence. Quoique bien des cas de fractures par enfoncement et autres formes d
qui ont pu être écartées par des interventions opportunes. De ces cas , je puis en citer beaucoup. Un des plus beaux a é
membranes eérébrales. Il résulte de l'examen des statistiques des cas actuellement opérés les cures étant différemmen
toule probabilité. On a rapporté en effet comme guéris beaucoup de cas qui depuis n'ont pas été soumis à une observati
'ont pas été soumis à une observation chirurgicale ultérieure : Les cas dans lesquels l'entière cessation des accès a été
aussi sérieux à une distance plus éloignée. Dans quatre-vingt-deux cas rapportés par Walsham, il y avait une cicatrice
épression ou autres marques de traumatisme. Dans les deux tiers des cas , on trouva une portion d'os enfoncée, altérée ou
ou malade. La dure-mère paraissait saine dans un grand nombre de cas , mais dans quelques-uns elle était épaissie, adhé
e à 58 p. 100 le nombre des succès, je peux seulement trouver douze cas où la ces- sation des accès ont duré un an aprè
imple trépanation du crâne ne soit problé- matique. Dans tous les cas , la trépanation n'est pas indiquée, à moins qu'
de la British med. Ass. en 1888, il a donné les détails de nombreux cas où il eut à pratiquer des opérations sur le cer
tait par les principes des localisations cérébrales. Sur vingt-deux cas , il en a opéré dix-huit avec succès et pour ceu
ies du monde et on trouve continuellement dans les jour ? naux, des cas d'applications plus ou moins heureuses des princi
e a été maintes fois mise en pratique que l'épilepsie dans tous les cas où elle se traduit par un monospasme ou un prot
corticaux, et consécutivement la dis- parition des accès. Dans un cas qu'il rapporte et où le spasme se montra dans le
rement disparu malgré l'ablation de la cause irritative. Certains cas fournissent un fort appoint à la trépanation prév
a blessure extérieure, il n'en est pas moins vrai que dans certains cas de suffusion hémorrhagique, ces opérations ont eu
rébraux soit toujours très grande, nous pouvons citer bon nombre de cas où ces abcès ont été diagnostiqués et opérés av
où ces abcès ont été diagnostiqués et opérés avec succès. Dans un cas que j'ai rapporté moi-même, la situation de l'abc
uvons souvent pas opérer. Mais, d'un autre côté, il y a beaucoup de cas de tumeurs situées DES LOCALISATIONS CEREBRALES
comme ayant arraché le malade aux étreintes de la mort. Le premier cas d'opération pour tumeur cérébrale fut diagnos-
t affaiblis par de longues souffrances antérieures. Dans d'autres cas , les tumeurs enlevées avec succès se sont repro
s, on peut trouver dans la littérature médicale plus de trente-deux cas , dans lesquels la tumeur a pu être enlevée avec
avec succès et le malade soulagé. Il résulte de nos analyses et des cas parvenus à ma connaissance, que la guérison est
nnaissance, que la guérison est survenue dans plus de la moitié des cas . On peut comparer avantageusement ces résultats
eur signi- fication est que la guérison survient dans la moitié des cas . C'est là une raison pour penser que les plus g
pplication de méthodes chirurgicales pour le traitement de certains cas où l'aberration et la faiblesse men- tales préd
ù l'aberration et la faiblesse men- tales prédominenl. Tel est le cas de Lannelongue pour l'idiotie microcéphalique,
au longitudinal postérieur du bulbe, mais extrêmement nette dans le cas où il y avait atrophie complète du noyau de l'hyp
RIQUES A la destruction DES noyaux D'ORIGINE, pour faire SUITE A UN cas de paralysie bulbaire avec sclérose latérale AMYO
ellules nerveuses incluses dans le nerf lui-même ? P. K. VIII. UN cas DE RKDUPUCATION ET D'nÉTEMTOPlE partielles DE la
moelle; par L. JacoBSON. (NeuroL. Centralbl., 1891.) Il s'agit d'un cas de myélite transverse ascendante avec tubercu-
" et 33° paire nerveuse rudi- mentaire. M. Hoche a aussi observé (5 cas sur 6 examens) des cellules nerveuses au-dessou
. K. 264 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. XV. UN cas d'anomalie dans LE trajet DES FIBRES ET DE redoub
bles de la parole et de la déglutition. De l'étude analytique des cas de la bibliographie, un point se dégage. Les fo
rie REVUE d'anatomie ET de PHYSIOLOGIE pathologiques. 265 en tout cas peut se produire (dans les cas de foyers protubér
YSIOLOGIE pathologiques. 265 en tout cas peut se produire (dans les cas de foyers protubérantiels) non seulement par de
té doive être rattaché à une lésion du noyau lenticulaire. XX. UN cas d'atrophie musculaire spinale PROGRESSIVE COMPLIQ
s mettant en communi- cation avec deux crayons écartés, suivant les cas , de 1, 3, 10 milli- mètres, on en transmet la c
acte et les rapports que vous cherchez'. J. P. E;ERAVAL. XXIV. UN cas d'atrophie musculaire précoce CHEZ UN hémiplégiqu
er venu. La température est normale. Six ou huit médecins ont vu le cas , tous ont vérifié cette haute température, quoi
ment éclatait. (The med. Record. 9 avril 1892.) Il s'agit là d'un cas si exceptionnel que, malgré les dires de l'aute
ications faites, on est en droit de se montrer sceptique. XIV. UN CAS DE TABES DORSAL TRAUMATIQUE AVEC ULCÉRATIONS PLAN
triques aux deux pieds avec troubles [de la nutrition. P. K. XV. UN cas DE POLIOMYI'sLENCFPH.1LITE CHRONIQUE ; par K. SCH
UE ; par K. SCHAFFER (Centralbl. f. Nervenheilk, N. F. II, 1891.) Cas caractérisé par l'atteinte isolée des fonctions m
s pour ces tumeurs par les chi- rurgiens de Philadelphie. Dans un cas , c'était un fibroma pesant quatre onces et partan
lle le malade n'a eu que six attaques d'épilep- sie. Dans le second cas , opéré également par Keen, la tumeur était loca
vant à la suite d'une chute et d'une hémorrhagie. Dans le troisième cas , on ne trouva pas de tumeur, et dans le quatriè
découvrit un kyste occupant le cuneus, on en fit l'extirpation. Le cas dont l'issue fut fatale au bout de trente-six heu
pas constaté la présence de symptômes locaux. Naturellement, ces cas ne sont pas assez nombreux pour me permettre d'
de succès pour une opération, comme le prouve l'histoire de divers cas semblables. Si l'excroissance était un sarcome
r un essai d'extirpation. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 273 Les cas dans lesquels les opérations peuvent courir des c
t manifestée à l'occasion d'une maladie fébrile ? 2 P. K. XIX. UN cas DE. paralysie de BROWN-SÉQUARD ; par A.-E. KJOEH.
rès au milieu du dos, à gauche de laligne médiane. P. K. XX. DEUX cas DE paralysie générale AIGUE ; par ZACHER. (Neur
le, constituant une chorée héré- ditaire atypique. P. K. XXII. UN cas d'atrophie musculaire par lésion articulaire (ATR
ages commé- moratives des impressions optiques. P. K. XXV. SUR UN cas DE paralysie PROGRESSIVE CHRONIQUE DES MUSCLES DE
nd plus loin en demi-lune ou en un ovoïde arrondi. P. K. XXVI. UN cas DE SCLÉROSE EN plaques cérébrospinale chez l'enfa
ysie générale, nous rencontrons sur 32 observations personnelles 14 cas de perturbation intellectuelle en rapport certa
les, douleurs des membres, douleurs en cein- ture). Dans ces quatre cas , la santé revenait entre les grossesses; à chaq
ce délire hypochondriaque spécial que comme un symptôme de certains cas graves de mélancolie anxieuse, devant passer à
nom de délire d'énormité. Il faut noter cependant qu'il existe des cas très rares; il est vrai, où le délire d'énormité
urs de la mélancolie avec anxiété et gémissements; 3° dans certains cas de mélancolie avec grande anxiété, on observe p
ortalité, si bien étudiée par Cotard, mais il ne semble pas que ces cas aient des caractères assez spécifiques tou- jou
sateur ; le délire des négations n'est pas une entité et, à côté de cas représentant l'évolution typique de Cotard, M. Ca
n suffisante pour y voir une contradiction aux idées de Cotard. Ces cas différents ne se- raient-ils pas seulement de s
parmi les négateurs, une fois qu'on a reconnu qu'il existe bien des cas correspondant à la description de Cafard. Tout
lles ne sont pas pathognomoniques comme il le croyait; mais dans ce cas elles revêtent toujours les caractères diagnostic
d'un accès vésanique à début tardif; elles peu- vent en ce derniur cas se systématiser et l'on rentre alors dans les f
rmer les premiers et dans toutes les maladies n'existe-t-il pas des cas frustes à côté des typiques ? D'ailleurs les di
utre côté, M. Camuset semble considérer comme contra- dictoires des cas présentant certaines différences d'évolution, tel
de l'absence, au début, de phénomènes émotionnels. Il existe des cas qui, sans rentrer dans ce cadre, nous montrent le
ble, paraît entrainer un pronostic grave, mais cependant il est des cas de guérison. Le pour- quoi de celte différence
eux dont elles sont l'interprétation. 40 Il existe certainement des cas de mélancolie avec délire des négations dont l'
290 SOCIÉTÉS SAVANTES. moins du délire typique de Colard. Mais ces cas n'infirment pas les premiers; ils doivent être
n'infirment pas les premiers; ils doivent être considérés comme des cas moins com- plets, frustes, des variations que d
lan- colie, avec des caractères cliniques tout différents. Certains cas sembleraient constituer des formes de passage e
les autres. M. PICHEN01' (d'Auxerre) rapporte une observation d'un cas de mélancolie anxieuse avec délire des négation
de marasme dans lequel meurt le malade. J'ai observé en 1883 quatre cas dece genre. Un fait que j'ai aussi remarqué, c'es
ns constitue une phase plus avancée de la mélancolie. Dans tous les cas , cliniquement, on ne saurait les confondre et pra
i- quement on doit se comporter différemment dans l'un et l'autre cas . M. Charpentier (de Bicêtre). Depuis dix ans j'
rplexe. M. P. Garnier (de Paris) n'a par trouvé dans sa pratique de cas 292 SOCIÉTÉS SAVANTES. confirmant les vues de
euse, il en est d'autres où il sur- vient plus rapidement. Mais ces cas , quoique de marche différente, ne sont nullemen
générale, ou le secret médical est absolu et général dans tous les cas , ou il est relatif et livré à l'appréciation de
simple pour aborder cette étude est de choisir un certain nombre de cas . C'est ainsi qu'une question qui se présente le
s supérieurs d'humanité, sont-ils réellement applicables et en tout cas ne sortirions-nous pas de notre rôle en nous co
es ou vos écrits n'appiennent plus rien à personne. Dans le premier cas , l'article de loi relatif au secret professionn
large mesure des faits analogues dans l'ordre moral. Dans le second cas , il devrait y avoir des gradations dans l'appli
e la vérité aux personnes qui ont placé le malade. En dehors de ces cas , le secret médical doit être absolu. Le certi-
eut pas se dispenser de donner à l'état-civil le nom de la mère, en cas d'accouchement d'une aliénée, même s'il s'agit
qui, lui, n'est qu'une forme du devoir. Il n'y a vraiment que deux cas dans lesquels la violation du secret profession
née; elle est du reste monnaie courante, et loin de restreindre les cas où il est permis de violer le secret profession
édecin aliéniste devrait être autorisé à signaler aux autorités les cas de folie dangereuse dont il peut avoir connaiss
ice de sa profession, tout comme le médecin ordinaire à l'égard des cas de maladie conta- gieuse. M. Régis. ' ' En ma
en faire comprendre les dangers, s'il y a de l'hérédité. Dans ces cas , je cherche à provoquer une consultation, deux s'
ssaire que les pouvoirs publics provoquassent des enquêtes dans ces cas pour établir les responsabilités et poursuivre,
« Une amélioration de l'état menlal se produit pour la plupart des cas envoyés de l'asile en famille. Ce changement peut
que le malheureux soit assisté à domicile s'il y a lieu, et dans le cas contraire le plus près possible de son domicile
s en liberté, 227 seulement doivent être considérés comme étant des cas de guérison, les 79 autres ayant été réintégrés
umière; cependant elles ne sont pas absolument vraies dans tous les cas : il est telle circonstance où l'idée de perséc
mant plus tard en idées de persécution. A partir de ce moment, les cas évoluent comme un délire de persécution vulgaire.
re, ont ici complètement fait défaut. Au contraire, l'évolution des cas qu'il rapporte se rapproche de celle qu'on obse
hez le mélancolique, l'ensemble de la maladie, l'évolution fait ces cas beaucoup plus voisins des délires ordinaires de
us voisins des délires ordinaires de persécution. J'ai observé un cas , sinon tout à fait semblable, au moins com- par
ller simultanément les aptitudes délirantes du sujet. Dans certains cas , le goitre exophtalmique lui-même agit, chez un
ivité qui est à la base de la maladie. Celle-ci n'est souvent qu'un cas particulier des troubles fonctionnels qui, chez
luence de la maladie de Basedow. Ce fait est commun à bien d'autres cas ; mais ici il y a quelque chose de particulier.
encéphalite interstitielle est réellement fort peu accusée. Dans un cas semblable, la théorie de l'étouffement de M. Luys
n primitive des cellules nerveuses. Il est à remarquer que, dans ce cas , on rencontre la lésion dans l'encéphale dans l
examen microscopique. M. MORDREZ (du Mans) a observé récemment un cas de paralysie générale sans lésions macroscopiqu
ralysie générale sans lésions macroscopiques. M. DoUTRrBENTF,. Le cas que AI. Joffroy vient de rapporter est-il un ca
. DoUTRrBENTF,. Le cas que AI. Joffroy vient de rapporter est-il un cas de paralysie générale type ou de syphilis cérébra
re à part désormais. M. le Dr Ch. Vallon présente une note sur un cas de paralysie générale vraie consécutive à une e
mes malades a été observé pendant huit ans. M. Vallon. Aucun des cas de pseudo-paralysie générale pu- bliés jusqu'ic
crctniectomie linéaire et la crdniectomie à lambeaux. Dans les deux cas , il faut une brèche plus ou moins longue et lar
n quelques jours, la troisième a suppuré trois semaines; dans aucun cas , il n'y a eu de nécrose. « Le plus jeune de mes
des opérés. Un tableau détaillé des âges, des particula- rités, du cas , de la date des opérations, du traitement consécu
ographies de leur cerveau. Par opposition à cette première série de cas , M. Bourneville fait voir les photographies pri
res de quelques-uns d'entre eux. Il insiste particulièrement sur le cas de l'enfant Henri Maz..., qu'il a montré au Con
que. ' M. Gilbert-Ballet demande à M. Bourneville s'il a vu un seul cas où le développement du crâne ait été entravé pa
sutures. M. BOURNEVILLE répond que personnellement il n'a vu aucun cas d'ossification prématurée de toutes les sutures
ui qui mérite toutes nos préfé- rences. -M. ROUDY (de Dôle) cite le cas d'un de sesjnalades, idiot, et qui fut égalemen
fut également trépané sans aucun résultat. M. BOURNEVILLE. Dans les cas où la craniectomie semble avoir produit des rés
re dans les dilatations énormes de l'estomac : la pathogénie de ces cas est sans doute multiple ; l'auto-intoxication y j
is on peut le considérer comme un épileptique larvé, car il est des cas intermédiaires qui le prouvent. M. RAYMOND (d
D (de Paris) rappelle aussi le travail de Kussmaul. Dans le premier cas , il regrette que l'examen de l'urine n'ait pu ê
M. 13oUCIIEREAU. M. J. SÉGLAS (de Paris) lit une observation sur un cas d'hystérie avec automatisme dans la période d'a
, l'observation d'un malade du ser- vice de M. Deny, à Bicêtre. Les cas de ce genre ne sont pas classés actuellement en
n men- tale : sans doute, la confusion mentale existe dans bien des cas , tels par exemple que certaines folies puerpéra
u'on leur vole leur pensée en sont aussi des exemples. M. Régis. Le cas de M. Chaslin pourrait peut-être rentrer dans l
ut de quelques piqûres et le succès a été obtenu dans 75 p. 100 des cas , principalement chez les femmes excitées. Il es
agement pou- vant être apporté à ces petits infortunés. Un second cas de craniectomie opéré par l'auteur il y a quelque
par le Dr Lannelongue (de Paris). (M. Keen donne un résumé de ces cas .) L'histoire du cas queje suis sur le point d'opé
gue (de Paris). (M. Keen donne un résumé de ces cas.) L'histoire du cas queje suis sur le point d'opérer est la sui- va
des bras, et le dé- faut d'intelligence était loin d'aider dans ce cas . Les pupilles répondaient à la lumière et'étaie
ion peut être la cause déterminante, il y avait cependant, dans les cas observés, rien d'a- normal dans le développemen
lle peut amener, car jusqu'ici nous n'avons que le rapport des deux cas de Lannelongue C'est là une expérience qui me p
ont d'os à la suture coronale. ' M. Keen ignorait par conséquent le cas du D' Lane, résumé plus haut. (B.) ' DU TRAIT
oulage par le plâtre liquide est pour ainsi dire impossible dans le cas présent j'ai proposé la manière suivante : La t
s et ainsi de suite jusqu'à ce que le moulage soit complet. Dans le cas où l'occiput ou le frontal seraient trop proémi
endroits incisés aussitôt après l'enlèvement du moule. Mais dans le cas présent ceci a été inutile. Dans les opérations
chimiques, préférant ne pas employer de sublimé corrosif dans ces cas -là. Tous les instruments sont bouillis dans l'app
séparée avec beaucoup de soin de l'os, et mon avis est que, dans ce cas , elle est plus adhé- rente que d'habitude. L'in
courbe que d'ordinaire, et large d'un quart de pouce seulement. En cas d'hé- morrhagie de la méningée moyenne, je fais
22 338 thérapeutique CHIRURGICALE. Encouragé par le rapport d'un cas de Lannelongue, travail que je n'avais vu que d
RANIOTOMIE linéaire (faussement dénommée : craniec- tomie) dans LES cas DE MICROCÉPHALIE; par le Dr W.-W. KEEN, profess
n aux faits. Le Dr Bauer emploie le mot craniotomie à propos de son cas (voir plus loin), mais le mot trépanation est,
ra- tion. Dans le AedicalNews, du29 novembre 1890, j'ai publié un cas de craniotomie linéaire pour la microcéphalie.
alie. L'objet de la présente note est de compléter l'histoire de ce cas , d'en relater deux autres que j'ai eus, d'ajout
later deux autres que j'ai eus, d'ajouter quelques remarques sur un cas semblable 340 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. qui
hirurgie à l'Académie de médecine de Kansas, faisant, avec les deux cas de Lannelongue et celui de' Wyeth, huit en tout
uit en tout qui ont été opérés. Je signalerai également deux autres cas pratiqués avant le mien, pour la même maladie et
is pas devoir être classées comme opérations de craniotomies. 4er Cas . Pour les débuts de l'histoire voir les Médical N
élioration progressive et considérable, mais pas autant que dans le cas de Lannelongue. L'enfant ne crie presque plus,
remière. (Il s'agit de l'enfant dont il est parlé plus haut, IL) 2" Cas . K.-K. fille, malade du Dr F.-X. Dercum. Etat, le
ème jour. La marche de la guérison est identique à celle du premier cas . 3° CAS : - J.-L. H., garçon âgé de seize mois,
La marche de la guérison est identique à celle du premier cas. 3° CAS : - J.-L. H., garçon âgé de seize mois, vu le 10
cune autopsie ne put être faite en dépit des plus grands efforts. Cas IV. (Gerster et Sachs.) A. F..., fille âgée de qu
tête rasée étaient : DU TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'IDIOTIE. 345 Cas VI ET VII. Deux cas rapportés par Lannelongue dan
: DU TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'IDIOTIE. 345 Cas VI ET VII. Deux cas rapportés par Lannelongue dans l'Union médicale
apportés par Lannelongue dans l'Union médicale du 8 juillet 1890. Cas VIII. Cas du Dr Mac Clintock. (V. p. 350.) Si l
ar Lannelongue dans l'Union médicale du 8 juillet 1890. Cas VIII. Cas du Dr Mac Clintock. (V. p. 350.) Si l'on consid
s du Dr Mac Clintock. (V. p. 350.) Si l'on considère ces différents cas , on est frappé par ce fait que deux, parmi ces
oppement cérébral aussi faible, accompagné comme dans mon troisième cas d'une circulation défectueuse, sont les moins p
e opération. Selon moi, la cause qui a déterminé la mort dans mon cas , était due à une affection cardiaque, et dans les
mort dans mon cas, était due à une affection cardiaque, et dans les cas de Sachs et de Gerster, elle fut attribuée à un
dire aux parents qu'il y a plus de risques certainement que dans un cas ordinaire de trépa- nation. Quant à moi, je sui
'os enlevé chasse en dehors celui qui vient d'être détaché. Dans un cas récent de laminectomie spinale, je me servis du
ôtés du crâne et je ne conseillerais pas cette façon d'agir dans un cas de craniotomie. Il est probable que ce mode d'o
les résultats heureux apportés à la condition mentale dans ces six cas : le deuxième cas de Lanne- longue a été rappor
reux apportés à la condition mentale dans ces six cas : le deuxième cas de Lanne- longue a été rapporté presque aussitô
trop vite pour qu'on puisse juger de ses résultats. De même pour le cas de Mac Clintock. Chez les quatre autres enfants
nts, il ne peut être question d'amélio- ration, très rapide dans le cas de Lannelongue, plus lente mais sûre dans man c
ès rapide dans le cas de Lannelongue, plus lente mais sûre dans man cas et dans celui de Wyeth. Nous avons en consé- 34
des raisons suffisantes qui nous encouragent à opérer dans d'autres cas et c'est pour cela, et à cause du résultat fata
s et c'est pour cela, et à cause du résultat fatal obtenu dans deux cas , que j'ai été amené à faire connaître si vite l
naître les résultats immédiats pour servir de guide dans les autres cas . Dans la clinique des médecins et chirurgiens d
de Saint-Louis, d'avril et mai 1890, le Dr Louis Bauër rapporte le cas d'une jeune femme sur laquelle il a pratiqué la
d'une jeune femme sur laquelle il a pratiqué la craniotomie pour un cas de microcé- phalie. On ne donne pas son âge, ni
al News du 3 janvier 1891, le Dr Trimble (de Baltimore) rapporte le cas d'un enfant âgé de trois ans, auquel il fit l'o
décembre 1890 on nota quelque amélioration. Je n'ai pas compris ce cas sous le titre de craniotomie linéaire, car il m
de craniotomie linéaire, car il me semble que ce sont là de simples cas de trépanation pra- tiquée pour la microcéphali
n entier, pour ainsi dire, tandis que dans la trépanation, pour les cas cités plus haut, on a simplement enlevé deux bout
rande extension. Quant aux résultats obtenus, quoique dans bien des cas le temps écoulé soit trop court pour nous perme
plus de décès que la simple méthode employée ordinai- rement. Deux cas ont été déjà suivis de mort; et si l'on fait une
que par la méthode de Wyeth. Les mêmes remar- ques s'appliquent au cas de Mac Clintock. § V. CRANIOTOMIE linéaire POUR
vol. LVIII.) Il n'y a pas encore un an, Lannelongue rapportait deux cas dans lesquels, par l'ablation de deux longs mor
Journal of the medical Sciences, june 1891), il paraîtrait que six cas ont déjà été opérés. Au meeting dernier du Cong
du Congrès français de chirurgie, M. Lannelongue a rapporté sur 25 cas . Les cas sont encore relativement peu nombreux,
ès français de chirurgie, M. Lannelongue a rapporté sur 25 cas. Les cas sont encore relativement peu nombreux, et je va
d'aide pour cela. REMARQUES, - L'amélioration déjà obtenue dans ce cas jus- tifie la valeur de l'opération. Si d'ici s
Que leur vie soit grandement compromise, je ne le crois pas. Sur 26 cas opérés par Lanne- longue, un seul mourut de sep
ble, que les spasmes laryngiens étaient d'origine méningitique. Les cas de mort, tout compris, ne sont que de 12 p. 100
u sang ajouterait au danger de l'infection. § VI. COMPTE RENDU D'UN cas DE CRANIOTOMIE linéaire pour MICROCÉPHALIE; par
ans le Kansas Médical Journal pour le mois d'août 1891, rapporte le cas suivant : Hélène C..., âgée de trois ans et hui
2 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. - Le tableau ci-dessous présente sept cas , quatre de garçons et trois de filles, leur âge
bien à une fièvre scarlatine consécutive à celle-ci. Sur les trois cas qui ont guéri, le résultat est le suivant : un
prononcer, l'autre enfin est amélioré. S'il était vrai que dans ces cas , il y avait un développement défectueux du cervea
n de permettre la croissance du cerveau. Tel n.est cependant pas le cas . La réunion prématurée des su- tures est tout à
on prématurée des su- tures est tout à fait visible, et dans un des cas notés dans le tableau, le cerveau ne remplissai
RAITEMENT CHIRURGICAL DE 1.'IDIOTIE. 353 Lannelongue rapporte vingt cas de trépanation pour des cas de microcéphalie. L
IDIOTIE. 353 Lannelongue rapporte vingt cas de trépanation pour des cas de microcéphalie. La mortalité suivaut l'opérat
tion plutôt que de les livrer au trépan es aux bistouris. Les seuls cas discutables seraient ceux d'athétose dans lesqu
tater l'ossification ou la non ossifi- cation des sutures. Dans son cas , le Dr Ransohoff assure que la suture sagittale
e leur intervention n'est pas justifiée dans l'immense majorité des cas . (A suivre.) BOURNEVILLE. BIBLIOGRAPHIE VII
théorie de Virchow, qui n'était d'ailleurs applicable qu'à certains cas , et à laquelle l'auteur lui- même a renoncé. De
ains; que l'arrêt de déve- loppement du cerveau n'est, en aucun des cas observés, la consé- quence d'un arrêt de dévelo
sont entraînées par des altérations de la moelle elle-même. En deux cas , les lésions des faisceaux pyrami- daux dominen
des s'élèvera à 250, surtout s'il y a dans une forte proportion des cas récents, on demandera deux médecins-adjoints. »
médecin adjoint pour 300 ou 350 maladies chroniques, mais pour des cas récents et chronique tout à la fois (comme dans l
emie. Salon des Sociétés savantes, on pourra s'occuper d'un curieux cas de folie. Le 10 mai dernier, un sieur L..., qui
us venons de traverser une période de chaleurs exceptionnelles. Les cas d'insolation, tant à Paris qu'en province, ont
oût, une des plus chaudes, on a relevé à Paris un certain nombre de cas graves. C'est ainsi que : M. X..., terrassier à
s américains heureuse- ment rares qui excusent leurs décès dans les cas de craniecto- mie, en laissant entendre qu'ils
e tout était fait et aussi pour pouvoir lui rappeler le mot dans le cas où celui-ci viendrait pen- dant la journée à s'
mouvement d'une autre région des centres psycho-moteurs. Dans le cas dont nous nous occupons, ce n'est plus seulemen
ogie mentale. tuellement le mot obsédant, vient s'ajouter dans ce cas , la douleur physique due aux nouvelles qualités
e tutelle indispensable et de suivre le traitement. Dans quelques cas , les onomatomanes, exaspérés par la ténacité si
orale si puissante du mé- decin, le traitement dans la majorité des cas se réduit à l'emploi des bromures qui modèrent,
de mettre en relief, il sera facile dans la plus grande partie des cas d'établir le diagnostic. 4 Travail de la cliniq
oyons-nous, le diagnostic. Ces observations concernent : a). Quatre cas d'hystérie à forme d'épilepsie par- tielle ; b)
a). Quatre cas d'hystérie à forme d'épilepsie par- tielle ; b). Un cas d'apoplexie hystérique; c). Un cas d'hémiplégie
d'épilepsie par- tielle ; b). Un cas d'apoplexie hystérique; c). Un cas d'hémiplégie hystérique ayant des caractères qu
é soumise à l'électricité statique. Diagnostic. L'observation de ce cas nous paraît extrême- ment intéressante; on y tr
clinique. C'était bien de cette façon que l'on avait interprété le cas de Gill... : cependant, en étudiant avec soin s
celle-ci peut être généralisée. Y a-t jl à s'étonner que dans notre cas elle frappât le bras gauche, lequel comme les j
s la clinique de M. Charcot d'une étude très approfondie. Parmi les cas que j'ai pu y obser- ver j'ai été frappé par le
servée d'autres fois dans l'hystérie ; Souza- Leithe en a décrit un cas classique chez une jeune fille de onze ans 1.
r les maladies du système nerveux, t. III, p. 213, la relation d'un cas extrêmement intéressant a ce propos. 1 398 path
essant a ce propos. 1 398 pathologie NERVEUSE. corticale; dans le cas négatif, nous aurions ainsi une démons- tration
eine si le foyer eût été unique, devient presque absurde dans notre cas dans lequel les lésions seraient multiples. De pl
avoir les centres excito-moteurs de la jambe, tandis que dans notre cas les accès commencent par le bras '. c. Les ac
e cette maladie dans G... c'est vrai que Loewen- feld 2 rapporte le cas d'une femme de trente-quatre ans chez laquelle-
s raisons évidentes. f. Serait-ce l'épilepsie sensitive, dans notre cas l'équi- 1 Loewenfeld. Contribution à l'étude de
ielle, soit de cause organique, ne pourrait être admise, dans notre cas , qu'en nous basant sur des données exceptionnelle
ec son issue. Nous nous croyons donc autorisé à maintenir dans ce cas le diagnostic d'hystérie. Cette observation nou
que ; M. Charcot l'a observé quelquefois. Du reste, il en est de ce cas comme du précédent : si l'on s'en tient à l'exa
s expliquer la diplopie, nous autorisent à la considérer dans notre cas comme une manifestation hystérique. b). En or,
observe que l'évolution de la tuberculose est plus bénigne dans les cas qui commencent comme celui-ci par une bronchorrag
ue l'hystérie ne complique l'épilepsie comme il arrive sur 11 des i cas étudiés par ces obser- vateurs, ou à moins que
suel dans l'épilepsie a des contours très irréguliers. Dans notre cas , le rétrécissement a persisté pendant tout le t
cats ; les plus fortes stimulations ne sont pas perçues. Dans notre cas le sulfure de carbone et une solution saline tr
premier coup, main- tenu pendant longtemps. Cependant, même pour ce cas , le diagnostic d'hystérie peut être affirmé en
rusque d'une paralysie préexistante, comme il est arrivé dans notre cas . 4° Dans la dernière série d'attaques, il est e
onsidérations, nous nous croyons autorisé à émet- tre, même pour ce cas , le diagnostic d'hystérie. Pour ce qui est de l
cas, le diagnostic d'hystérie. Pour ce qui est de l'étiologie de ce cas , elle nous parait très intéressante. Les causes
u moins de bonnes raisons pour l'affirmer. Il existe, en effet, des cas d'hystérie bien avérée, provoqués par l'éclat d
e. Le professeur Charcot, dans ses Leçons du mardi1, en rapporte un cas très beau, en l'illustrant avec d'autres cas ti
mardi1, en rapporte un cas très beau, en l'illustrant avec d'autres cas tirés de la littérature. L'on peut m'objecter que
es cas tirés de la littérature. L'on peut m'objecter que dans notre cas furent absents les signes les plus caractéris-
troubles de la motilité, ni de la sensibilité. L'hystérie, dans ces cas , saute aux yeux, comme dit M. Char- cot. Ils dé
és cliniques ultérieures de la névrose. Même sous ce rapport, notre cas est analogue aux précédents. A ce propos, il su
e pas de trace d'aphasie sensorielle ou motrice. Diagnostic. - Ce cas nous offre un tableau extrêmement ressemblant à
umirent Fiq... au traitement spécifique. Et cependant, même dans ce cas , le dia- 420 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. gnostic d
l'hystérie ', que dans les affections organiques,.sans que dans un cas ou dans l'autre il y ait des caractères différe
illement symptomatique des lésions organiques. En outre, dans notre cas , il n'y avait pas de trace de paralysie de la l
i nous puisse expliquer ces phénomènes. En analysant à présent ce cas au point de vue de son étio- logie, nous rappel
uenza a une élection toute particulière sur le système nerveux; les cas d'hystérie, d'aliénation mentale. de myélite, d
pas ici le lieu d'y insister; plus la grippe doit avoir agi dans ce cas à la manière de toutes les autres infections, à
e manière d'action pour ainsi dire générale, l'influenza dans notre cas a donné leur forme à certaines manifestations d
incitation vaso-motrice jusqu'aux vais- seaux optiques. « Dans le cas des accès migraineux, l'irritation partirait du
: l'irritation péri- phérique sensitive (sur le pneumogastrique en cas de troubles digestifs, 'sur le trijumeau en cas
pneumogastrique en cas de troubles digestifs, 'sur le trijumeau en cas de migraine) puisse provo- quer le réflexe mote
yo- pie transitoire; mais, quand la migraine succède (et c'est le cas le plus fréquent) aux troubles de la vue, comment
tée de la substance - cérébrale, qui peut être suivie dans certains cas d'une période de congestion (Latham). Cette hyp
e. Même les phénomènes qui précèdent, accompagnent et suivent les cas les plus simples de scotôme scintillant (ceux d
de la sensibilité générale et, spéciale, qui ne pourraient, dans le cas de trouble de la circulation corticale, coïncider
SITOIRE. 427 Du reste, la forme del'hémiopie, on plutôt de certains cas de rétrécissement latéral du champ visuel, que
mène « scintillement ». , - La description soigneuse de plusieurs cas de scotôme seintil- lant démontre que l'amblyop
servations (par exemple, celle rapportée par M. Javal, ou encore le cas personnel de Baralt) nous montrent parfaitement
émio- pique scintillant, nous sommes conduits à admettre dans ces cas une lésion corticale, dans un foyer où vont about
cination visuelle à forme hémiopique), le phénomène se rapporte aux cas pathologiques de Wetter, de Pick et autres, en
ssent provoquer des troubles visuels. Même en admettant possible ce cas , l'hémianopsie devrait s'accompagner d'hémiplég
e l'aphasie, même lorsque la lésion principale siège, comme dans le cas de l'amblyopie transitoire, dans le lobe occipita
as au trouble de l'activité psychique pour l'articulation des 1 Les cas publiés par cet auteur (hémianopsies passagères à
te circonvolution au centre de la mémoire optique. La plupart des cas d'hémiopie transitoire (complète ou par- tielle
côté où les troubles moteurs et sensitifs vont se déclarer, dans le cas d'épilepsie partielle. Cette hémicranie sembler
la migraine (corticale ? ), encore si peu connue. On rapporte des cas d'amblyopie transitoire, où le trouble de la vu
hémiamblyopie verticale serait plus Il Il en était de même dans un cas de Spiérer, très démonstratif (On. llonalsbl. f
siège cortical de l'affection, si l'on ne pensait que nombre de ces cas appartiennent à l'hémiupie par- tielle, c'est-à
vation de Baralt, par exemple, qui pourrait tout d'abord sembler un cas typique d'hémiamblyopie verticale, confirme not
delette, se séparent en un endroit quelconque du cerveau 1. Dans le cas de Charcot-Féré (hémiopie nasale), les phénomèn
ui nous semblent très intéressantes. Avouons, tout d'abord, que les cas dans lesquelsl'amblyopie transitoire est accomp
ue la raison du nom de migraine ophtal- Ce serait l'explication des cas relatés par Parinaud et par Coursserant (hémiop
u- bles nerveux de cette espèce. Mais, d'autre part, le nombre de cas de migraine vulgaire non accompagnée de trouble
mpagnée de troubles visuels est beaucoup plus con- sidérable que le cas d'amblyopie transitoire, accompagnée ou non de
uisse se combiner ou s'al- terner avec la migraine. Et, encore, les cas d'amblyopie tran- sitoire simple seraient bien
par suite de l'âge et de l'amélioration de la santé. (Exemple, les cas de Du Bois-Ray- mond et de Tissot, relatés par
ncore très obscure, peut-être n'est- elle pas la même dans tous les cas ; notre intention n'est pas de discuter ce point
ssoire lié à la maladie principale. En effet, abstraction faite des cas où l'amblyopie transitoire 'est sûrement de nat
aralytique. Or, voilà les faits qui confirment cette notion dans le cas spécial des accès de migraine ophtal- mique : l
" troubles visuels persistants chez des choréiques, et enfin les cas de Naftel ' et de Fûrstner , cités par Robin 5.
ur les mettre d'accord avec leurpatho- génie commune. ' Plusieurs cas , entre autres celui de Dianoux et de Javal, dém
rent à l'évidence la nature hémiopique du scotôme scintillant. Le cas de Dianoux et autres semblables, où le scotôme
nt respecté, c'est justement parce que le trouble visuel a, dans ce cas , la forme hémiopique, et nous savons que, dans
yope du champ visuel (double inner- vation de la macula). Mais le cas de Parry (scotôme central binoculaire et scin-
tres binoculaires et monoculaires dans la même hémis- phère, et les cas d'amblyopie transitoire monoculaire (cas rares,
même hémis- phère, et les cas d'amblyopie transitoire monoculaire ( cas rares, en comparaison des binoculaires) prouven
blyopie transitoire atteint une seule hémisphère ; mais, il y a des cas où nous pouvons déduire sûrement, de la forme d
lyopie, une affection des deux hémisphères à la fois. Ce sont les cas d'amaurose temporaire complète bilatérale. 1
LYOPIE TRANSITOIRE. 439 (voir notre observation, p. 26 bis), ou les cas rares de restric- tion concentrique brusque du
10 et 12. En effet, il nous semble juste de considérer ces derniers cas comme une hémiopie double, et de les rattacher
ch, Wernicke, Forster, etc.. 440 . CLINIQUE NERVEUSE. puisque les cas de migraine vulgaire sont sûrement plus nom- br
les cas de migraine vulgaire sont sûrement plus nom- breux que les cas de migraine ophtalmique, puisque les trou- bles
, dissociées ou accompagnées, on aurait simplement à noter dans les cas d'ambliopie transitoire, quelle forme ce troubl
de migraine ophtalmique, sur lesquelles Charcot a insisté, sont des cas où l'amblyopie transitoire (soit simple, soit a
110 L'amblyopie transitoire doit être rangée, dans la plupart des cas , comme la migraine, parmi les troubles nerveux pu
, parmi les troubles nerveux pure- ment dynamiques. Même dans les cas où les accès d'amblyopie accompa- gnent ou préc
ubles se présentent ensemble (migraine ophtal- mique), soit par les cas où les deux troubles s'alternent et se substitu
te (hémiopie horizontale homonyme), soit incomplète, comme dans les cas typiques de scotôme scin- tillant. t.. Le tro
chent pas grande impor- tance, puisque, dans la grande majorité des cas , les accès sont assez espacés, ont une durée tr
quelconque, des troubles de la digestion) et dans plusieurs de ces cas le trouble vaso-moteur cérébral peut être envis
rébral peut être envisagé comme un phénomène réflexe. Dans d'autres cas , par exemple lorsque l'accès survient après un
ur la vision d'un seul oeil ou pour la vision binoculaire. D'autres cas (hémia- nopsie double, amaurose transitoire bil
transitoire liée à l'épi- lepsie sensitivo-sensorielle (surtout les cas relatés par Féré) démontrent la possibilité que
le syndrome a une signification plus grave, surtout dans ce dernier cas , où les troubles corticaux tiennent à des lésio
l'observateur n'en peut rien apprécier. Seulement, dans quel- ques cas (comme celui d'hémiopie ou de rétrécissement con-
ombre d'autres maladies ner- veuses ou même être suivis de mort (un cas de Féré), nous comprendrons la difficulté et l'
a migraine ophtalmique. (Th. de Paris, 1883.) 32. Féré. Note sur un cas de migraine dpthalmique à accès répétés suivis
lactée des mamelles'. J'ai eu l'occasion, d'ailleurs, de voir deux cas analogues, quoique moins complets. Un indi- vid
tte pensée renferme des images visuelles ou musculaires suivant les cas du mouvement des jambes, des images visuelles d
le système complexe dont elle n'est qu'un petit élément. Dans les cas de suggestion que nous cherchons à analyser, no
nces extérieures. Prenons un exemple et choisissons pour l'étude le cas le plus complet. J'affirme à Berthe qu'elle a s
alement en dehors de la personnalité actuelle. Sans doute, c'est un cas énorme de sugges- tibilité que je vous montre,
cience et du monde extérieur et de sa propre personnalité. Mais les cas les plus nets sont les plus instructifs, et nous
la suggestion qui subsistent plus ou moins altérés dans les autres cas . Je vous disais, en commençant, que les suggest
esté fort embarrassé, non sur l'inter- t Pierre Janet. Etude sur un cas d'aboulie et d'idées fixes. (Revue philosophiqu
le peut expliquer la suggestibilité. III. Quand vous étudierez un cas d'aboulie, vous serez, je crois, frappé comme m
udis que les autres sont conservées. - . J'ai pu, dans l'étude du cas typique dont je vous parlais,' établir une dist
rcot, Rendu, Souques, Michel et Tiercelin, Cantacuzène... etc.,) le cas que nous avons pu suivre nous a paru intéressan
re des persécutions, coexistence signalée par M. Troi- sier dans un cas de mutisme hystérique, rapporté récemment à la
ison du mutisme et de l'amaurose. Faut-il en conclure que, dans les cas analogues, on doive toujours compter sur un rés
nce, avril 188 ! J,) L'auteur a rassemblé dans ce mémoire plusieurs cas intéressants de folie incendiaire, et l'étude d
plusieurs cas intéressants de folie incendiaire, et l'étude de ces cas le conduit à repousser l'existence de la folie
tiel sont des éléments diagnostiques peu favorables. C'est dans ces cas que l'expert sera heureux de pouvoir abriter se
z le plus grand nombre, de véritables accès maniaque; dans tous les cas , on cons- tate une empreinte de la dégénérescen
e la conscience; les hallucinations se reproduisent dans qnelques cas par le seul fait de la volonté de l'individu. D
nt toute une catégorie de dégénérés psychiques; on retrouve dans ce cas , chez ces individus, lorsqu'ils deviennent alié
tion que le dégénéré est incapable de réprimer est, dans quel- ques cas , provoqué à l'état normal par le simp 1 e fait de
-psyciaologiqzies, 1891.) E. B. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 483 VI. Cas IÉDICO-LÉGL; par le D' ÂNDREWS. (American journal
montrent les premiers signes d'idées - ambitieuses. En somme, un cas type de délire chronique. E. B. , VII. Crime ET
pathologiques peuvent avoir avec les faits incriminés; 3° En aucun cas l'expert aliéniste n'est fondé à pousser à des
iles spéciaux. Cette conclusion parait surtout s'imposer dans les cas où sous prétexte de responsabilité partielle, o
lle il n'a REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 485 pu résister. Préciser le cas échéant, l'influence que ces conditions patholo
AN DEVENTER. (Centl'albl., f. Nervenheilk., N. F. II, 1891.) Deux cas de suggeslion étrange. L'une est particulièrement
di- tions l'efficacité des deux hypnotiques. Folie simple : dans 1G cas , la moitié est franchement défavorable; le chlo
arativement sur les mêmes individus a donné onze succès pour treize cas . Paralysie générale : sur quinze cas, quatre à
onné onze succès pour treize cas. Paralysie générale : sur quinze cas , quatre à peine sont favo- rables ; ici encore,
méthylal échouait, le chloral réus- sissait ; en effet sur quatorze cas traités par le chloral, il y eut dix succès.
réussi. M. Marandon de Monlyel n'a pu l'expérimenter que dans trois cas , et a eu un succès pour deux insuccès. Folie ép
épileptique : pas de résultat précis. Folie alcoolique : dans deux cas d'insommie persistante, les résul- tats du méth
rebelle. Ce qui le condamne irrémédiablement, c'est, même dans les cas les plus favorables, la rapidité de l'accoutuma
es. Six fois résultat parfait, quatorze fois, de- mi résultat. Deux cas seulement de succès durable. Six fois, aucun ré
t, en revanche, il est toxique, peut produire le collapsus. En tout cas son action n'est pas persis- tante. P. K. III
ividus ne soient pas considérés comme des aliénés et, dans tous les cas , qu'ils ne soient jamais envoyés dans les asile
M. GaisNtea se défend d'avoir jamais envoyé dans les asiles un seul cas d'ivresse délirante, dans le sens qui lui est don
Séance du 25 juillet. Présidence DE M. ÇnnISTIA1V. Observation d'un cas de maladie de tics convulsifs avec mouvements p
s est bien regrettable pour la doctrine pan-suggestive parce que le cas paraissait bien choisi parmi ceux susceptibles
lité en les interdisant, c'est une contradiction etinhabJe. En tout cas ce serait un singulier moyen d'achalander ces é
chez l'homme. - L'orateur montre des préparations empruntées à deux cas d'a- z Voir séance du 15 juin 1891, Archives de
rite périphérique en rapport avec le tabès. M. POEDEKER décrit un cas de pamlysie p1'ogl'essive des muscles des yeux
homme de quarante-sept ans, porteur d'une chorée d'lluntington. Le cas est publié dans la thèse d'Esser (avril 1891).
. Le second malade de M. Remak est particulièrement intéressant. Le cas ressemble très peu à la chorée d'Huntington, il
e (Charité Annalen, t. IV, 1879). Depuis lors, j'en ai vu plusieurs cas à quelques détails près. Il est impossible de l
e compliquer la paralysie infantile spasmodique, croit que dans les cas de ce genre, il s'agit de lésions cérébrales or
tômes rétrocèdent, au moins en partie, le plus ordinairement. Le cas présenté dans l'espèce n'a qu'une vague ressembla
cela d'employer les termes : aigu ou chronique, en effet il y a des cas de chorée chronique qui ont dé- buté à l'âge de
e d'lluntington des syndromes spasmodico- choréiques. M. LEwN. Un cas médico-légal d'inversion du sens génital. (Publ
malade. Les sujets en expérience étant isolés ou non (en ce dernier cas , les réactions étaient atténuées), on les soume
le pôle positif est plus actif que le pôle négatif. Etudions les cas reconnus antérieurement à l'examen galvanique e
ultat ni du faisceau d'étincelles ni des effluves obscures. Un seul cas a fait exception à cette règle ; il s'agissait
ans entraîner d'ondes con- tractiles. Enfin l'auteur rappelle les cas de névrite multiloculaire qu'il a a décrits dan
statique ne peut avoir de valeur électro- diagnostique. En quelques cas de réaction dégénérative à évolution graduelle,
éciable dans l'hystérie, surtout comme agent suggestif. En certains cas de névrite grave, où les autres courants ne son
ez le chien. Dans la migraine, elle n'a réussi qu'une fois sur sept cas . Dans les névralgies cépha- liques continuelles
de sevrage, de douleurs dans les extrémités. On dut, dans tous ces cas , administrer de 20 centigrammes à 1 gramme. Acc
e présentait une dégénérescence mani- feste. - M. KOEPPEN dans un cas de maladie de Basedow a trouvé une légère rouge
grise, rien de plus. M. GOLDSCIIEIDER a trouvé simplement en pareil cas une différence de coloration des deux sympathiq
sion des pneumogastriques ni des corps restiformes. Dans un autre cas il n'y avait aucune anomalie. M. Oppenheim. Mes
s aussi l'atrophie du corps restiforme. Mais il n'y avait pas en ce cas de phénomènes ressortissant à la maladie de Bas
au lit du malade ; il n'y a pas à s'y tromper. Eh bien ! en pareil cas , l'autopsie révèle l'existence de lésions sclér
empoisonneuse d'Aïn-Fezza.- M. Hihig a montré comment dans bien des cas les attaques naturelles de sommeil peuvent être m
le. Enfin, j'ai présenté moi-même au Congrès une étude sur quelques cas d'annésie antérograde dans la maladie de la dés
de 38 pages. Lille, 1892. Librairie Quarré. GEASSET et Castor. - Un cas de pseudo-tabès post-iiifectieux. - Para- lysie
ypographie et lithographie Ch. Bochm. Grasset et GUIBEAT (H.). - Un cas de maladie de Morvan. Brochure in-8° de 26 page
asson. Grasset et C1STAN. - Des associations hystéro-orgauiques. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associées av
° de 10 planches. - Lille, 1892. Librairie Quarré. Gh'ERvoxpREZ. Un cas de suture du poumon. Brochure in-8° de 7 pages,
nes, 361 ; - d'asiles à la Nouvelle-Zélande, 361. Médico-légal ( cas ), par Andrews, 483. lIIÉTHYLAL chez les alién
45 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t 1900. Nu 55. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Sur un cas d'hémorrhagie méningée sous- arachnoïdienne ;
le. C'est à ce titre que nous croyons intéressant de rapporter le cas suivant que nous avons pu étudier avec soin clans
oute probabilité que ce point de rupture était tout proche. En tout cas l'existence de'ce petit auévrysme sacciforme jo
s relations avec les lésions rénales : vingt fois sur quarante-neuf cas il. y avait une néphrite interstitielle concomi
sanguine. C'est évidemment sur une artère malade que dans les deux cas se produit la rupture, mais c'est ordinairement
s restreinte du volume d'un petit pois par exemple comme dans notre cas où la lésion portait sur une artère de moyen ca
noïdiens. Prus , par exemple, dit bien l'avoir observé dans ses six cas . Mais encore le coma se présente-l-il avec des
ie sous-méningée. Prus n'avait constaté l'hémiplégie que dans trois cas sur douze et Serres en avait même nié la pos- s
agie cérébrale. M. le profes- seur Lépine l'observait dans les deux cas de son mémoire déjà cité. Chez notre sujet l'
, malgré que Boudet les ait observées quatorze' fois sur vingt-sept cas et que Legendre les range au nombre des symptôm
d'une hémorrhagie intra- arachnoïdienne concomitante, mais en tout cas cette coïnci- dence qui est loin d'être constan
kfen en effet ont pu l'observer °, c'est qu'il s'agissait dans leur cas d'une liémorrhagie sous- . Dictionnaire de méde
elles siègent plus fré- quemment à la base du cerveau. Dans notre cas ce qui dominait la scène c'étaient les phé- nom
nche- ment secondaire intra-arachnoïdien. Il est possible en tout cas que celui-ci tiennent sous sa dépendance les raid
82-85 dans la Deulsch. Zeil. f. Chir. une statistique basée sur 257 cas et d'après laquelle la trépanation aurait donné
tic de siège et de localisation. Il est bien certain que dans notre cas , où la question d'une intervention avait été ag
hain les progrès de la chirurgie intra-cranienne. On voit en tout cas par notre observation que l'existence de phénom
plus fréquents que ne l'indiquent beaucoup d'auteurs. Dans notre cas notamment ces phénomènes devaient faire diagnosti
ai chez un même malade, variabilité qui a été très nette dans notre cas , nous paraît devoir consti- tuer un bon signe d
une indication opératoire suffisante, puisque dans la plupart des cas d'hémorrhagie sous-arachnoïdienne par exemple, la
i été, en effet, très surpris de constater combien dans beaucoup de cas , le paralytique général, même à une période déj
rare la frigidité prématurée qui ne se constate que dans certains cas . M. Voisin ajoute que cette excitation s'accentue
noté,'en effet, la perte des facul- tés génitales, dans beaucoup de cas , un an et plus avant le début de la paralysie g
facultés génitales a été 20 CLINIQUE MENTALE. notée dans quelques cas comme symptôme prodromique; que d'un autre côte
ades sont en mesure de les cons- tater jour par jour. Dans tous les cas , un fait est indéniable : leur existence dans l
oisième lieu, à noter l'absence d'excitation génitale dans tous les cas à forme dépressive, que la dépression fût calme
de Bicètre de 1898 (p. 198) nous avons fait suivre la relation d'un cas de Sclérose tubéreuse du tableau récapitulatif
en moins prononcées chez Gr... que nous ne l'avons vu dans d'autres cas . IV. Les accès épilepti formes ont été très rar
trouvé dans la vessie qui fait le sujet d'une figure. A. M. IL Un cas de torticolis mental; par E. Noguès et J. SIROL.
dehors de la tare dégénérative, comme parait l'ad- mettre Féré ? Le cas des auteurs, accompagné de bégaiement hé- rédit
rvations sur la nécessité d'une nomenclature précise applicable aux cas de défectuosité mentale congénitale qui ne peuv
r M. B. Ray. (The Jour- nal of lIeiii(il Science, avril 1898.) Ce cas , qui s'est terminé par la guérison, est surtout i
folie aiguë à cet âge. Il est difficile d'autre part de voir là un cas de folie de la puberté, car le malade ne présenta
sition; il faut donc admettre qu'on se trouve bien en présence d'un cas de folie aiguë chez un très jeune sujet '. IL 1
s la mesurer par le taux de la mortalité des enfants nés dans ' Les cas de folie chez les enfants ne sont pas rares ainsi
qui s'écartent de ce type sont probable- ment dus, dans beaucoup de cas , à des oscillations dans l'intensité du second
é en prison pendant une partie de sa grossesse '. R. M. C. VU. Un cas de paralysie générale juvénile; par A. Hrmx 1301'
comme symptômes. Il est vrai que l'athéro- masie peut dans certains cas coïncider avec la paralysie générale vraie qui
t 14 filles (pour les autres le sexe n'était pas indiqué) et sur 13 cas observés par l'auteur on comptait 8 garcons et 5
a choréomanie, la folie morale, l'hystérie. Kelp a même rapporté un cas de folie circulaire chez un garçon de treize an
aise à cet égard.) M. Wigtesworth a décrit il y a peu de temps deux cas de maladies cérébrales à forme de dégénérescenc
.) L'auteur a employé l'extrait thyroïdien avec succès dans trois cas , chez un myxoedémateux atteint de manie, chez un
nsidérer l'enfant comme un microcéphale ; il faut voir là plutôt un cas d'idiotie traumatique, le traumatisme étant repré
lle, qui lui permette de gagner sa vie ou à peu près. Dans tous les cas , les travaux qui s'accomplissent au dehors doiven
sme et la suggestion avec plus ou moins de succès. LWOFF. XII. Un cas d'épilepsie Jacksonienne guéri par la cràniectomi
épété de l'alcool, s'il existe, n'a rien d'organique, sauf dans les cas de dipsomanie; il n'est que l'indice d'une souffr
méthode lui adonné de bons résultats dans un assez grand nombre de cas . L'auteur rapporte sommairement les obser- vati
des raisons multiples et il est nécessaire, dans un grand nombre de cas , de sortir le buveur de son milieu habituel phy
éduquées ; par contact et par attraction elles arriveraient en tout cas à former un personnel d'élite. P. IiHn.avnr.. V
s paillassons et quelques simples objets en bois. 11 n'y a pas de cas de crétinisme sporadique dans rétablissement ; ma
ent industriel. On y trouve toutes les formes d'idiotie et quelques cas curieux de difformités et de troubles nerveux.
i est sous la surveillance immédiate du médecin-directeur ; sauf le cas de nécessité d'une observation plus prolongée,
d'un gardien choisi par le médecin directeur, suivant la nature du cas . Pour les pensionnaires, les conditions pécunia
raitement que l'on y suit demeure inapplicable à un grand nombre de cas de folie. D'autre part tous les cas admis n app
applicable à un grand nombre de cas de folie. D'autre part tous les cas admis n appartiennent pas, il s'en faut de beau
aux malades des accidents sérieux. De 1888 à 1893 il n'y a eu qu'un cas de grossesse chez une aliénée, mais en 1893 il
z une aliénée, mais en 1893 il y en a eu deux. On ne connait pas de cas où un aliéné ait eu des rapports sexuels avec u
é, signifie leur acceptation à ce titre par le conseil communal; en cas de contravention, ils sont passibles de la radi
on et l'isolement des malades ne doivent être employés que dans des cas tout à fait exceptionnels et d'une manière tell
tout à fait exceptionnels et d'une manière tell1polail'e; en aucun cas les gar- diens ne peuvent prendre sur eux d'app
s son rapport de 1894, ajoute que bien que le règlement précise les cas qui ne doivent pas être admis dans la colonie,
on qui rattache la chorée de Sydenham au rhuma- tisme. Sur dix-sept cas observés par lui il n'a trouvé le rhuma- Archiv
ugeole ou grippe en tant que cause occasionnelle; enfin il a vu des cas de chorée dans la grossesse qu'il est vraiment im
aud qui a étudié précisément ces paralysies associées assure que ce cas rentre parfaitement dans l'un des trois types c
ieure, mouvement qui dépend de l'orbiculaire seul et auquel dans ce cas l'abaissement de l'oeil ne prend aucune part.
t de déve- loppement des organes génitaux. AI. Babinski rapporte le cas d'une jeune fille de dix-sept ans, morte avec t
sidéré comme le succédané de la suggestion hypnotique dans tous les cas où celle-ci ne peut être employée. Ce mode de s
; je rappelle qu'à l'une de nos dernières séances, j'ai rapporté le cas d'un enfant atteint d'incontinence d'urine et g
ibilité. Pour en faciliter la mise en action, nous ferons appel, en cas de dépression, à une émotion stimulante, ou à une
ter tout ce qui est mal et chez nous et chez les autres et c'est le cas de répéter la parole de Sénèque : je suis deven
lle peut devenir pour elles une alliée sérieuse et' il n'est pas de cas où elle ne puisse trouver l'occasion de s'emplo
ds des hémisphères céré- braux, l'état du faisceau pyramidal dans 4 cas de contracture spasmodique infantile, un cas de
sceau pyramidal dans 4 cas de contracture spasmodique infantile, un cas de guérisonde manie avec nympho- manie, chez un
à part une complète étude sur une épidémie de fièvre typhoïde : 21 cas , dont 10 enfants idiots. Et n'oublions pas l'ac
ontinence absolue ; nuisible aussi la grossesse dans la majorité de cas ; nui- sible encore l'accouchement. Les faits o
. La descendance de l'épileptique est dans l'immense majorité des cas lourdement et souvent similairement tarée. Légale
une cause de divorce. Le médecin consulté doit l'empêcher, en tout cas ne jamais le conseiller et lutter de toutes ses
ment à 2 grammes par jour. quantité moyenne et variable suivant les cas . Par l'administration préalable de l'opium, Fle
repos au lit, la diète, les lave- ments fréquemment répétés, et en cas d'intolérance, la sup- pression de l'opium par
o 2, Stein 3 qui se montrent très favorables. Ce dernier rapporte 6 cas où il 1 Flechsig. Neur. centr., 1897. Salzburg
y eut suppression totale des accès; mais il est à remarquer que ces cas ne furent suivis que pendant deux mois, temps b
ltats . observés dans la clinique de Binswanger. Le premier, sur 15 cas , a eu 15 améliorations portant à la fois sur le
suppression totale des crises pendant sept mois. Le second, sur 45 cas , dont 11 sont la continuation des précédents, a
t mal, la méthode de Flechsig lui paraît surtout indiquée dans le cas d'accès très violents. Il signale aussi l'amélior
ts psychiques, surtout il forme mélancolique. . Aurelio Lui,, sur 3 cas , a obtenu une fois la suppression totale des ac
suppression totale des accès pendant quatre mois; dans les 2 autres cas , une diminution notable de leur nombre et de le
Ils ne constituent pas, pour eux, des contre-indications. En pareil cas , Aure- lio Lui conseille simplement de suspendr
périmentée sans résultats ; Froenkel n'a obtenu que 1 succès sur 10 cas ; Boehm n'a rien obtenu le plus souvent '; Poll
accidents les plus graves, quel- quefois même des décès. Sur ° ? 00 cas parveuus à sa connais- sance, il a relevé 8 déc
ar un exercice constant ; de même ne pourrons-nous les recouvrer en cas de perte qu'en 88 THÉRAPEUTIQUE. nous astreig
nouveau à de fréquents exercices. Ceci sera à plus forte raison le cas quand celte perte ne provien- dra pas seulement
inime. J'expose ci-dessous, à l'appui de ce qui précède, quelques cas choisis dans ma longue pratique ; ils doivent éga
et de gymnastique (Vienne, 1890), Antoine Bum a publié à Vienne des cas de malades où mes appareils et ma gymnastique d
ons, dans les rhumatismes musculaires et dans l'hystérie ; dans des cas semblables, je fais faire au membre malade des
n malade plus court que celui de la main bien por- tante ; dans les cas de récentes fractures articulaires et aussi pou
es raideurs de jointures, j'ai également ob- tenu, et cela dans des cas presque désespérés, une motilité très suffisant
e néanmoins être à même de le faire cette année ; pourtant quelques cas que j'ai traités avec la gymnastique passive so
ltat pourrait être positif; mais en fait il ne l'a été que dans des cas spéciaux où l'on tombait sur des épilepsies jac
n aient été les diagnostics et les localisations, il faut noter des cas innombrables où l'abla- tion même de la lésion
r ordinaire. Et l'on voit en y regardant de près, que dans tous les cas de guérison confirmée il y avait tumeur énucléa
si stables, que l'intervention est régulièrement inutile. Dans les cas de traumatisme avéré eux-mêmes, 4 p. 100 seulemen
on que les acci- dents soient de date récente. Naughl rapporte un cas intéressant à cet égard; les circons- tances pa
tat douteux; je voudrais seulement faire aussi allusion aux deux cas de Collins (lirain, 1896, p. 366) qui présentent,
- veau ne fut pas entamé et l'opération fut plus tardive; en tout cas j'ai cru intéressant de la puLlier ici, ne serait
êtu la teinte hortensia comme cela se produit généralement dans les cas de mort par suite d'état de mal. Sur quelques p
u moins au-dessous de l'âge de Léonie. Mais ici comme dans tous les cas semblables et comme M. Bourneville l'a si bien
extrêmement lourde et épaisse, chose fréquente d'ailleurs en pareil cas , les pariétaux et le frontal présentent dans le
autre genre d'épilepsie et faire hésiter, la malade devait en tout cas profiter de la présomption prépondérante, ce qui
fut fait. Mais si la marche fut ce qu'elle est toujours en pareil cas même dans le cas de trépanation spontanée rap-
si la marche fut ce qu'elle est toujours en pareil cas même dans le cas de trépanation spontanée rap- portée par Jacqui
et les lésions trouvées à l'autopsie rapprochent ce fait du premier cas de Cullins cité plus haut. Est-ce à dire cepe
le où avait siégé la trépanation, et l'on sait combien dans de tels cas ce procédé s'est trouvé inefficace. Enfin chez le
» (Winkler.) Je ne dis pas qu'il faille être aussi absolu, en tout cas si l'ou- verture du crâne me paraît définitivem
ns le morbus sacer idiopathique, il faut encore choisir parmi les cas jacksonniens d'apparence ceux que l'on croit devo
e signe d'Argyll. Or, M. Parinaud dit l'avoir observé dans quelques cas d'hémiopie corticale, sans préci- ser d'aifleur
s la cause de cette hémiopie. M. Déjerine l'a vu unilatéral dans un cas de syringomyélie ; MM. Sauvineau et Lévy, bilat
s de syringomyélie ; MM. Sauvineau et Lévy, bilatéral dans un autre cas de syringomyélie-tabéti- forme. Ce sont là des
lité clinique que l'on peut observer dans le tabes. Dans ce dernier cas , la sclérose pyra- midale provoquera l'exagérat
t décrite par plusieurs auteurs : Kuh, Dinckler et Marinesco, et le cas de Dinkler est particu- lièrement intéressant :
ymptômes de la myélite s'effaçant tout à fait devant ceux du tabes ( cas de Dinkler). Telles sont les deux hypothèses qu
et l'état des réflexes tendineux, et que, dans un certain nombre de cas , les réflexes tendineux sont exa- gérés alors q
itish médical Journal, VII, 1898.) L'auteur passe en revue quelques cas d'osLroporoes, d'hyperos- tose, et de ramolliss
ie. C. ScuÉPILOFF. VII. Remarques sur les lésions observées dans un cas de paralysie spinale chronique d'origine syphil
parles urines, amélioration des crétins). I. C. XIII. Un nouveau cas d'épilepsie avec persistance du thymus, hy- per
utop- sies d'épileptiques qu'il a'pratiquées récemment. Sur ces six cas , il a observé quatre fois un état particulier q
tations cérébrales de la maladie '. H. de 111USGnAVE-CLaY. XIV. Un cas de porencéphalie imparfaite, relaté par T. ALDOUS
considérations générales exposées par l'auteur à l'oc- casion de ce cas et s'y rapportant. En ce qui touche l'état patho-
n'est pas incom- patible avec cette idée. Kundrat a montré que les cas intra-utérins présentent une disposition radiée
- brale on ne rencontre pas de dégénérescence secondaire. Dans un cas publié par Wiglesworth et Campbell et attribué à
de cette sclérose'au- dessus -de la décussation ; et dans un autre cas publié vers la même époque il n'y avait ni hémi
diots épileptiques nous avons noté la persistance du thymus dans il cas , soit 13,7 p. 100 et dans 168 autopsies d'idiot
s non épileptiques nous avons noté la persistance du thymus dans 13 cas , soit 7,6 p. 100. Si l'auteur veut bien parcour
direction de leurs impulsions soit naturellement inconnue. Dans le cas dont il s'agit le corps calleux était plus atro
reparaissent, ce qu'ils font alors sous une forme exagérée. Dans le cas dont il s'agit (et cela est ordinaire dans les
xagérée. Dans le cas dont il s'agit (et cela est ordinaire dans les cas de ce genre) on s'est trouvé en présence d'un spa
estreinte par l'inhibition corticale. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur cérébrale avec autopsie; par G. L. WALL
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 131 XVI. Anatomie pathologique d'un cas d'ataxie héréditaire; par A. MHYHR et Saucer BR
t 24 avaient subi l'ataxie héréditaire transmise par une aieule. Le cas présenté est le n° VI du tableau. Femme de soix
ion lombo-sacrée ; par A. BRUCE. (Drain, vol. 20, p. 262.) Sur un cas d'ataxie où tous les faisceaux ascendants des cor
pouvoir conclure à l'existence d'une atrophie quelconque. XIX. Un cas de tumeur cérébrale avec autopsie; par van GEIIUC
très souvent elles apparaissent distinctement en séries et, dans ce cas , on ne peut se refuser à admettre les groupes p
guéri, soit 38,5 p. 100 ; si on en élimine la démence secondaire (3 cas ) on arrive à une proportion de guérison de 50 p
r les véritables indications en faveur de l'alitement en tel ou tel cas , au point de vue mental ; il ne faut pas perdre d
au point de vue mental ; il ne faut pas perdre de vue que, dans les cas où l'alitement a agi favorablement sur les mala
uds, quelquefois un médicament calmant, un court isolement dans les cas extrêmes, l'évacuation opportune des intestins
on les voit aller humblement se coucher dans une pièce séparée. En cas de refus persistant, on place le lit dans une c
froid du crâne siégeant au niveau de la tempe. Dans la majorité des cas le diagnostic de tuberculome avait été considér
es du cer- veau est justifiée, chaque fois qu'il ne s'agit pas d'un cas de tuber- culose avancée ou généralisée. G. DEN
es paralysies et des anesthésies, on pourra dans un grand nombre de cas , arriver à une conclusion exacte, mais il en es
nostic pourra présenter des difficultés insurmontables. G. D. IL Un cas d'ophtalmoplégie orbitaire ; par J. Crocq. (Journ
htalmoplégie, d'après M. Crocq, ne peut être nucléaire, car dans ce cas les altérations seraient limitées au domaine des
ysie des deux .branches orbitaires du trijumeau ne pourrait dans ce cas . exister. La lésion doit fata- lement siéger da
pression ou une altération névritique rhumatismale. G. D. III. Un cas d'amyotrophie progressive d'origine traumatique ;
r F. Savo. (J01l7'll, de Neurologie, 1899, n° 23.) Il s'agit d'un cas d'amyotrophie de la jambe droile avec dimi- nut
gine traumatique. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 149 IV. Un cas de poliomyélite aiguë en voie de guérison; par J.
nés à des troubles moteurs et sphinctériens. 11 s'agirait donc d'un cas de poliomyélite en voie de guérison. G. D. V.
Romberg deux fois chez des aveugles. Le D1' Leszynsky rapporte le cas d'une femme tabétique aveugle, qui présentait une
ataxie considérable quand elle réunissait ses pieds, mais, dans son cas . au moment où elle fermait les yeux l'ataxie di
tulien égal des deux côtés, mais exagéré. Amélioration rapide. Ce cas est surtout intéressant par le développement d'ac
onostic est toujours favorable. R. DE 111csceAVE CLAY. VIII. Sur un cas d'infantilisme myxoedémateux; par J. GoYANES. (
ignes pour diagnostiquer ce genre d'infantilisme, qui, dans de tel. cas , peuvent être confondus avec les infantilismes
épileptique dans le demi- centre visuel d'un côté, et dans bien des cas une décharge épilep- tique peut prendre naissan
oumis. (Revista de lled. y Cir. practicas, n° 592.) F. B. XII. Un cas aigu de maladie de Graves et son anatomie patholo
PH. COOMBS IiN.re. (l3rvizz, vol. 20, p. 385.) De l'étude de 120 cas et de toutes les théories proposées, ce mémoire
e plus souvent très au-dessous du dommage causé. La comparaison des cas ayant donné lieu à des procès avec ceux qui ne
efois refroidissement, contusion du dos par chute dans une cave; un cas d'atrophie musculaire sans réaction dégénératri
-dire une paralysie glossolabiopharyngée. comme dans les deux seuls cas connus d'IIorward (American Journal of médical
e mais l'image laryngoscopique est celle que l'on obtient en pareil cas dans le tabes. Or, dans la paralysie larynsée b
Beruheimer). Les accidents convulsifs et l'idiolie constatée en ce cas particu- lier étaient en rapport avec les altér
sultat. La même forme clinique de l'alcoolisme se produira dans tel cas où", la prédisposition individuelle étant très pe
ements à l'excès seront très grands ; il se produira dans tel autre cas où, la prédisposition individuelle étant très gra
logique de la microcéphale. Elle doit être abandonnée dans tous les cas d'idiotie et ne peut être pratiquée, avec quelq
que apparence de SOCIÉTÉS SAVANTES. 161 raison, que dans certains cas où, à côté de la faiblesse mentale, on constate
1° La paralysie générale n'apparaît que dans près de la moitié des cas sans attache héréditaire et semble être alors une
aquc à forme évolutive- - M. CASTIN commu- nique l'observation d'un cas de délire hypochondriaque à forme évolutive aya
e, en remplacement de celle occupée par M. Bouchereau. 1 Voir les cas publiés dans les Archives de Neurologie et les no
n'a observé que 11 familles chez lesquelles on ait pu constater 23 cas d'aliénation mentale susceptibles d'être qualifié
identique. ' AI. Christian ne croit pas qu'on rencontre beaucoup de cas réels de maladie mentale familiale. Il fait exc
ction, ajoute-t-il, on ne saurait davan- tage nier la fréquence des cas sur lesquels M. Trénel a attiré l'attention. Ce
fréquence des cas sur lesquels M. Trénel a attiré l'attention. Ces cas sont très nombreux. Il suffit de faire appel à
hes dans la même direction que M. Trénel et j'ai, tantôt trouvé des cas similaires, tantôt des cas disparates. M. ARNAU
que M. Trénel et j'ai, tantôt trouvé des cas similaires, tantôt des cas disparates. M. ARNAUD. Ce qui serait intéressan
ulière et sans marche ni évolution précise, ce qui n'est pas ici le cas ; ou cela peut revêtir le caractère d'accès régul
ucoup pendant ses accès. M. DÉJERINE. = Ce caractère différencie le cas des neurasthénies avec accès de boulimie pendan
0 tabétiques : le premier phénomène s'est montré dans 41 p. 100 des cas , le deuxième phé- nomene dans 42 p. 100 des cas
dans 41 p. 100 des cas, le deuxième phé- nomene dans 42 p. 100 des cas . Le malade sur lequel je viens d'avoir l'honneu
'atrophie optique a cessé d'évoluer. Comme Winkler qui a publié des cas semblables il croit que ce traitement peut arrê
ner ses impulsions jusqu'alors irrésistibles. L'hypnotisme dans ces cas est précieux, puisqu'il développe le pouvoir d'
cience française. La première leçon est consacrée à l'étude de deux cas de tu- meurs de la zone rolandique. Les convuls
rations du même système. Le professeur Raymond peut en montrer deux cas : l'un où l'examen microscopique fut négatif; l
e peut se montrer dans le tabes. Sauf. dans le BIBLIOGRAPHIE. 173 cas de Déjerine, elle relève toujours des lésions nuc
t de la langue est un syndrome rare. Après une revue des principaux cas ana- logues, le professeur Raymond étudie les d
t à reconnaître, fait l'objet des deux leçons suivantes, et dans le cas présent, elle semble avoir été con- sécutive à
eure pour l'exposé de leurs rapports. Ceux-ci ne sauraient en aucun cas être lus en séance. Ces rapports, seront imprim
runet (de Paris). - Des responsabilités pénales et civiles dans les cas de placements familiaux d'aliénés, par les Drs
itôt que se produisent les premiers troubles intellectuels. Dans ce cas encore les malheurs sont dûs à ce que l'on n'a
dans son coeur, l'image de Dieu. c'est méconnaître les innombrables cas de folies engendrées par la vie ascétique et par
janvier a été, pour la même période, de 40. Enfin, l'admission des cas aigus est très facilitée : les malades sont adm
k. On transfère dans ce dernier établissement les chroniques et les cas sans intérêt pour l'enseignement. La clinique
Et cependant, la clinique devait recevoir un nombre considérable de cas aigus : d'où une proportion anormale de sujets
nt particulier. Le problème était ainsi posé : grande proportion de cas aigus : agités ou malades à surveiller suppress
linique, nous le répétons, sert de bureau d'admission pour tous les cas aigus et graves d'une grande ville et de ses en
s d'une grande ville et de ses environs, a pu réduire le nombre des cas dans lesquels il s'est vu obligé de recourir à
ont quatre aigus, il y ait presque en permanence et même la nuit en cas de besoin - un étudiant de garde. On arrive ain
ES CLINIQUES l'bYCHI.a'l'RIQUt;S. 03 ' état de conl'ubion profonde, cas d'ailleurs rare, un grand nombre des fous furie
ours à un lit capitonné placé dans la salle de surveillance, ou (en cas de nécessité absolue) au transport du patient d
et la guérison semble devoir être complète. * G. DENY. XXV. Deux cas de névralgie du sciatique et de ses branches d'
, n°7.) L'auteur s'appuie pour affirmer l'origine grippale des deux cas de sciatique qu'il relate dans ce travail sur c
diagnostic de pachyméningite spécifique de la région cervicale. Le cas était intéressant en ce qu'il présentait un exe
s de la tête purent se faire très librement. A. POULAUD. XXVM. Un cas de poliomyélite antérieure aigue chez un jeune
suivantes : Au point de vue clinique, il est facile de diviser les cas de cécité hystérique en trois classes : 1° Un
ifestation d'une certaine forme de folie. Les malades sont, dans ce cas , comme ces jeunes filles qui s'astreignent à un
tion est en suspens. Quelque chose d'analogue peut survenir dans le cas de cécité hystérique. Pour- quoi et comment, pe
ure, être regardée comme une circonstance fortuite. On a décrit des cas dans lesquels les membres supérieurs ont été pr
nt progresse cette affection. Il n'y a donc qu'un certain nombre de cas dans lesquels la paralysie ascendante de Landry s
troubles de la sensibilité, Landry les recherchait. et dans un des cas qu'il rapporte, il y avait des troubles très nets
steraient pas en règle générale, et cela parce que dans beaucoup de cas , ils ne constituent pas un symptôme marquant. 4
220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. rapide de la maladie. Dans des cas plus lents dans leur évolution, les troubles tr
ue, de nier la possibilité de leur apparition future, même dans ces cas qui se terminent rapidement par la mort. 5° E
essus auquel on puisse appliquer le nom de « maladie », et, dans ce cas , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 11221 il vaut
frontaux qui étaient le siège d'une plaie contuse. G. D. XXXI. Un cas de sclérose en plaques avec fou rire ; par J. CRo
par J. CRocQ. (./ou)' ? : . de Neurologie, 19CO, n° 8.) XXXII. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec phéno-
bulbaires, l'auteur croit pouvoir affirmer qu'il ne s'agit dans ce cas ni d'une atrophie musculaire progressive, ni d'un
lie, mais d'une sclérose latérale amyotrophique. G. D. XXXIII. Un cas d'épilepsie jacksonienne guérie par intervention
use suffi- sante du développement du tabes ? Bien qu'il rapporte un cas de tabes survenu après une chute de voiture che
rale ; on la trouve certaine ou probable dans près de 80 p. 100 des cas ; elle peut être affirmée avec certitude dans 5
des cas ; elle peut être affirmée avec certitude dans 50 p. 100 des cas . Elle existe comme seul facteur 31 fois p. 100.
évropathique ou. vésanique se rencontre environ , dans le tiers des cas , mais ce chiffre est sûrement trop faible. L'hé
(en considérant les infections comme des intoxications). XLII. Un cas d'ophtalmoplégie nucléaire progressive; par AUS
gestion cérébrale apoplectiforme est, dans le plus grand nombre des cas , un accident épileptique ou éclamptique, quelqu
ions a été contestée, et on a pu soutenir qu'il n'y avait, dans ces cas , entre le goitre exophtalmique et le myxoedème
près le début des accidents. L'auteur fait remarquer que, dans ce cas , la naissance du myxoedème et la terminaison de
rs, en contra- diction avec aucun fait. M. Faure n'a trouvé dans le cas de cette malade aucune particularité capable d'
e théorie anatomique et pathogénique qui puisse convenir à tous les cas de maladie de Basedow. Le goitre exophtalmique
e, que l'on donne à la maladie de Basedow. · A. FENAYROU. XLV. Un cas de tumeur du lobe occipital; par le Dr Weber. (Re
du des agents provocateurs de la folie. R. M. C. VI. Notes sur un cas propre à ouvrir une discussion sur la rédac- ti
s aliénés certifiés tels, et sur les devoirs des médecins en pareil cas , par W.-B. MORTON, (The Journal of Mental scien
cédents de folie dans sa famille et pouvait être considéré comme un cas type de stupeur mentale. 11 eut plusieurs inter
u le tribunal de rendre un arrêt qui eût été intéressant. Dans le cas actuel, en présence d'un état de lucidité absolue
la responsabilité criminelle émit l'opinion « que dans beaucoup de cas il est juste et équitable de punir un aliéné pour
aisse, dans le but d'exercer et de développer ce pou- voir dans les cas curables et de contribuer ainsi à rétablir un équ
érir et de reprendre leur place dans la société ; et s'il s'agit de cas chroniques et incu- rables, c'est un moyen de m
sement trop souvent l'occasion d'observer, l'alcoolisme. Dans les cas simples que voyons-nous ? Un délire, toujours le
lame des conditions spéciales réalisa- bles dans un petit nombre de cas seulement. L'hospice asile, largement ouvert, p
uit à ses éléments essentiels devrait comprendre l'hôpital pour les cas aigus, les quartiers de surveillance pour les a
iehen (d'Iéna, Allemague). En se basant sur à peu près quatre cents cas de maladies mentales, dont les premiers symptôm
chose de puberté spéciale, qui devrait com- prendre la majorité des cas de maladie mentale dans la puberté. La seule ps
éphrénie de Kahlbaum, ne fournit qu'un relativement petit nombre de cas au gros des psychoses de la puberté ; 3° Les
ost-pubiques. Seulement, un alitement n'est admissible que pour les cas où il y a une exa- cerbation prononcée. Concl
ité morbide n'existe pas. On doit réserver le nom d'hébéphrénie aux cas de démence. Les psy- choses qui se développent
piques, des formes mixtes qui guérissent dans plus de la moitié des cas ; 5° La mélancolie apparaît le plus souvent sous
t les causes de ce délire ; , La guérison arrive dans la moitié des cas ; elle est annoncée généralement par des crises,
ate presque toujours de l'amnésie rétro-antérograde, comme dans les cas de psychoses polynévritiques; 9° La paralysie
aux règles ordinaires de la médecine légale des'aliénés ; mais les cas relatifs à la capacité civile sont écartés, puisq
capacité civile avant vingt et un ans. 11 n'y a qu'à considérer les cas concernant la responsabilité criminelle, qui es
ndérant de l'auto- intoxication dans la genèse d'un grand nombre de cas de folie de la puberté. M. MA131LLI, (Le Roch
ion, en six groupes : .' 1° Morts dans le cours du premier accès, 3 cas ; 2° Démences pré- coces, 33 cas. La démence pr
dans le cours du premier accès, 3 cas ; 2° Démences pré- coces, 33 cas . La démence précoce s'est produite chez 18, dès l
; chez 9, dès le second ; chez 2 à la suite du troi- sième. Dans 4 cas , l'accès a dégénéré en folie systématisée secon-
econ- daire avec affaiblissement mental ; 3° Folies périodiques, 20 cas . Toutes les formes y sont représentées; 4° Réci
formes y sont représentées; 4° Récidives à échéances variables, 25 cas . Ces récidives sont le plus souvent bénignes et
tic éloigné; 5° Folies avec conscience (obsessions et impulsions) 9 cas . La folie avec conscience dure en général la vie
la vie entière; 6° Malades perdus de vue après le premier accès, 30 cas . L'aspect clinique du premier cas observé perme
de vue après le premier accès, 30 cas. L'aspect clinique du premier cas observé permet de les confondre, au point de vu
riques de dégénérescence ou de ner- vosisme acquis. Dans tous les cas d'hystérie étudiés par moi, j'ai trouvé que des
la dégénérescence héréditaire ou acquise. C'est ce que montrent les cas rapportés comme exemples, où l'on voit la rouge
ue manifestation de la paralysie générale. L'auteur rapporte quatre cas à l'appui de cette thèse. Une méthode de traite
on que la description classique répond tout au plus à la moitié des cas . , Les malades qui deviennent impotents présent
er, celui des sujets morts dans le marasme, comprend seulement deux cas . Le second, avec neuf cas, est celui des malade
ans le marasme, comprend seulement deux cas. Le second, avec neuf cas , est celui des malades qui ont succombé à une aff
enferme les malades emportés par un ictus cérébral, et il compte 36 cas . La conclusion qui découle de ces faits est que
utile. 1° Elle paraît légitime, car quiconque a observé et suivi un cas de névrose d'angoisse, ne saurait douter que le
évélait l'existence d'une sclérose des cordons postérieurs dans les cas de tabes dorsalis ; la sympto- matologie de cet
stence d'une atrophie des racines antérieures de la moelle, dans un cas d'atrophie mus- culaire progressive. Guidé par
1900. Extrait de la Revue neurolo- gique. BABINSISI (J.). Sur un cas d'hémispasme (Contribution à l'étude de la path
t. X. IS 274 THÉRAPEUTIQUE. nés russes, mais seulement dans des cas isolés. Ce n'est qu'en z1593 que la nécessité d
res ne le considéraient que comme un procédé thérapeutique dans les cas isolés. Cependant ces deux côtés de la question
esure le régime au lit convenait à tel ou tel malade. Dans certains cas , il faut un repos au lit prolongé, presque cons
son lit. La position horizontale continue n'est exigée que dans des cas peu nombreux. Le régime au lit absolu, appliqué
p d'eux se reposent également après le bain. G° Enfin, il y a des cas plus ou moins nombreux dans les- quels les mala
e dans la salle commune. Cependant il y a, incontestablement, des cas où le malade proteste beaucoup contre ce régime
tem- pérature élevée, disposés à un épuisement rapide). Dans des cas pareils il est préférable de recourir au maintien
lade dépérir dans la chambre isolée. Mais si j'admets dans quelques cas isolés le maintien des malades au lit par les i
'entre pas non plus dans le système de No- Restraint la camisole en cas de lésions chirurgicales, bien qu'elle soit adm
econde objection que l'on fait au système en question c'est que, en cas , qu'il est suivi par de la contention forcée par
e suivent leur cours d'une manière beaucoup plus tranquille ; les cas de suicide sont devenus plus rares chez les mélan
nforcée par la constatation positive qui a été faite dans plusieurs cas du bacille d'Eberth à l'état de pureté dans le
lusieurs cas du bacille d'Eberth à l'état de pureté dans le pus des cas de thyroïdites abcédées (Jeanselme) et par la réa
olloïde, à laquelle nous rattacherons les troubles observés dans le cas présent, ou enfin, la sclérose terminale de l'o
, la sclérose terminale de l'organe qui peut aboutir, comme dans le cas récemment décrit par notre camarade Remlinger 3
Garnier. (Société de biologie, leur octobre 1898.) 3 Remlinger. Un cas de myxoedème spontané de l'adulte : guérison par
éter à son sujet, ce que disait M. le profes- seur Charvot, dans un cas de même origine' : « Le sujet est, comme dans n
hoïdiques sont maintenant bien connues, il n'en est pas de même des cas , où elles s'ac- compagnent de troubles basedowi
glande thy- roïde, sont signalées comme ayant réalisé dans certains cas , le syndrome basedowien. Dans la communication
citée de MM. Gilbert et Castaigne, il est question de deux autres cas ayant donné lieu à des symptômes basedowiens, e
, de la tuberculose. Roux de Lausanne aurait observé un intéressant cas de stru- mite après l'influenza dans la maladie
ns la maladie de Basedow. G. Singer de Vienne ? a observé dans cinq cas , au début de la thyroï- ' Charvot. Loco cilalo.
, nous croyons pouvoir admettre, au moins pour un certain nombre de cas , l'origine infectieuse du goitre exophtal- miqu
de l'origine infectieuse de certaines maladies de Basedow. En tout cas , nous tenons à faire re- marquer que, par ses c
et de suppuration, la tumeur thyroï- dienne semble bien, dans notre cas , avoir été constituée par un tissu de nouvelle
Traité de l'Aliénation mentale décrit aussi, avec des figures, deux cas de microcéphalie, et Gall et Spurzheim dans l'A
pius remar- que dans ses Observations medicæ rariores que, dans les cas d'idio- SECTION DE PSYCHIATRIE. 303 tie obser
es tumeurs et des ulcérations, produites, chez les idiots, dans les cas de troubles mentaux. Finalement, Esquirol dans
mongol », des tissus osseux, cutané, muqueux et cardiaque. 5° Les cas névropathiques congénitaux (genetous). 6° Les c
rdiaque. 5° Les cas névropathiques congénitaux (genetous). 6° Les cas amaurotiques. 7° Le crétinisme sporadique. 8°
). 6° Les cas amaurotiques. 7° Le crétinisme sporadique. 8° Les cas présentant des atrophies partielles et locales.
nt la microcéphalie, quand les conditions précédentes manquent. Des cas ont été rapportés d'idiots dont la tête mesurai
(casdu D'Beacli, 1. 31. Congres Trans., 1881), 13 pouces 1/4 33,6 ( cas du D'Wilbur, rapport Neio-York LunnticAsylunz (
lbur, rapport Neio-York LunnticAsylunz (1837) et 16 pouces 3/142,6 ( cas du Dr Shuttleworth .1ollrll. Menti. Science, oc
ppés que la région temporo-sphénoïdale et occipitale. Dans les deux cas décrits par Cunningham et Tell'ord Smith (Transac
ie, mais nos observations, parmi lesquelles dans un grand nombre de cas les sutures étaient impar- faitement fermées au
ma faible- ment coloré. 2° L'hydrocéphalie comprend à la fois les cas d'origine posté- SECTION DE PSYCHIATRIE. 305
IATRIE. 305 rieure et antérieure à la naissance. Mais dans les deux cas , la forme de la tête, inversement ovoïde, si on
ventri- cules latéraux dans leur long diamètre; alors que dans les cas acquis, l'augmentation se fait dans le sens ver
augmentation se fait dans le sens vertical et transversal. Dans les cas congénitaux, la membrane pariétale (épendyme),
ntenu mesurant fréquemment plus d'une pinte (0 litre Gi9) ; dans un cas relaté par le 1)' Beach, on a trouvé 3 pintes d
. L'atrophie par compression est la lésiuu caractéristique dans ces cas , qui affectent, chez les enfants dans la périod
bien les cellules que les fibres nerveuses. Parfois, comme dans un cas rapporté par Bourneville, où les hémisphères du
re d'une atrophie par compression antérieurement à la naissance. Un cas intéressant de l'association des deux formes qu
ous le titre de : Anatomie d'un cerveau le.lromierocéphude. Uans ce cas (jeune homme de dix-neuf ans), la tête mesurait
rapporté (Journal médical et chirurgical de l'Ecosse, mars 1898) le cas d'un enfant de trois ans chez qui on trouva, à
de varole et la moelle seuls étant très petits, pesant dans chaque cas environ une demi-once (il. gr.), tandis que le po
la vie foetale ». (Affections mentales des enfants.) 5° Dans les cas névropathiques congénitaux (genetous), surtout
rconvolu- tions petites, fragiles et frisées (microgyrie). 6Ù Les cas d'idiotie survenant très tôt dans la vie d'enfant
tions symétriques de la macula ont toujours été observées dans tels cas , et la lésion essentielle du cerveau semble êtr
le cràne est très bien conformé et les sutures unies. Dans quelques cas , le foramen magnum est plus petit qu'à l'état n
nde thyroïde a une struc- ture rudimentaire ou est absente. Dans un cas , elle était hypertro- phiée, mais elle ne pouva
sa fonction, à cause de l'affection du tissu glandulaire. Dans les cas qui n'ont pas été traités par le corps thyroïde
s clavicules. 8° Parmi les vices locaux et partiels, notés dans les cas d'idiotie nous pouvons mentionner les connexion
tions médicales et chirurgiccclas, 1861 et 1866), ayant décrit deux cas d'idiotie dans lesquels le corps calleux étail
s la variété para- lytique de l'idiotie. Shuttleworth a rapporté un cas dans lequel on trouva une brèche de 4 pouces (1
Affections mentales des enfants, p. 51. Planche à montrer). Dans un cas relaté par Beach les parties affectées étaient
rneville, Shuttleworth, Beach et les autres. Passant maintenant aux cas dans lesquels les troubles se mani- festent à u
1. Syphilitiques (et aussi de la paralysie générale infantile); IV. Cas paralytiques. 1. Les lésions pathologiques dans
ile); IV. Cas paralytiques. 1. Les lésions pathologiques dans les cas éclamptiques, ceux associés aux convulsions gra
rition normale des circonvolu- tions. Le De Holt a trouvé dans le cas d'un enfant qui eut plus de 3 500 accès convuls
ans la motor area, et une augmentation de la névroglie. IL Dans les cas épileptiques de l'idiotie, le Dr Bevan-Lewis a no
marqué la vacuité des noyaux des cellules corticales dans un pareil cas , encore que, comme pour le premier observateur,
subissant une métamorphose régressive ou adi- peuse. Dans quelques cas , on a trouvé les capillaires frappés de dégénér
érale infantile. Depuis que le D1' Clouslon décrivit, en 1877, un cas de l'affection chez un garçon de seize ans, sou
veloppement, 100 observations environ ont été réunies. Mott a vu 18 cas , et des relations ont été publiées sur 89 autopsi
liées sur 89 autopsies. Le dernier observateur établit que, dans 16 cas où on a pratiqué l'examen post mortem, les lési
ordinaires de la paralysie générale furent relevées. Dans tous ces cas , l'atrophie spécialement des circonvolutions fr
ntricules et l'état granuleux de l'épendyme furent observés. Dans 6 cas , l'hémisphère gauche pesait moins que le droit. L
laire autour des vaisseaux (Archives de Neurologie). IV. Dans les cas paralytiques, la paralysie peut survenir avant
sie peut survenir avant ou après la naissance, mais la majorité des cas appartiennent à la dernière catégorie. S'il n'y
avec une atrophie concomittante des membres du côté opposé. Dans un cas signalé par Beach, il y avait épaississement de
u cordon spinal du côté opposé. Sous le troisième chef, celui des « cas accidentels ou acquis », nous comprenons : 1°
celui des « cas accidentels ou acquis », nous comprenons : 1° Les cas traumatiques, dus à la compression de la tète pen
sage du forceps et les lésions produites par des accidents ; 2° Les cas post-fébriles (inflammatoires) comprenant l'idiot
otie hypertrophique ; 3° L'idiotie sclérotique. I. Les premiers cas du groupe iraunzalique qui s'offrent à nous son
la tête à cause de l'étroitesse du bassin, ou, dans quelques rares cas , à l'écra- sement par le forceps. En règle géné
ds supérieurs des deux hémisphères. Osier ne croit pas que tous les cas sont ainsi produits, et il pense avec Jacobi qu
s les cas sont ainsi produits, et il pense avec Jacobi que certains cas sont dus à des méninge-encéphalites foetales. L
pasmodique, de la paraplégie, ou de la diplégie cérébrale. Dans ces cas , l'intelligence peut n'être que peu atteinte, quo
'usage judicieux du forceps. SECTION DE PSYCHIATRIE. 311 Dans les cas d'accidents par chute sur la tête pendant le jeun
ale, mais nous avons noté des degrés variables de gravité. 2° Les cas post-fébriles (inflammatoires) comprennent ceux q
aiguës, telles que la variole, la typhoïde, la scarlatine. Dans des cas semblables, on trouve un épaississement des mén
hémisphères. I.e poids du cerveau est très augmenté, dans quelques cas , il dépasse de 15 onces le poids normal. D'après
alie, la distance entre les yeux est augmentée, ce qui n'est pas le cas dans l'hypertrophie. 3° Cas sclérotiques. Cette
yeux est augmentée, ce qui n'est pas le cas dans l'hypertrophie. 3° Cas sclérotiques. Cette variété a été soigneusement é
août 1894) la sclérose atrophique fut trouvée dans non moins de 96 cas . et la sclérose tubéreuse fut relevée 13 fois.
12 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. turellement, dans beaucoup de cas , à la période terminale. D'après ses expérience
de Tuke (1892). Pour ce qui est de l'aspect microscopique, dans les cas d'idiotie, on a déjà fait allusion aux caractèr
c l'intelligence, tout en restant anormalement rares, même dans les cas de plus faible insuffisance mentale. C'est à
s une série de dessins de préparations microscopiques faites dans 5 cas de cerveaux d'idiots qu'il a examinés personnel
diffé- rentes régions en jetant un coup d'oeil comparatif avec les cas observés par Hammerberg. Résumé du rapport su
rconvolutions microgyriques, mais ils peuvent être sans microgyrie ( cas de Meine. Matell). Le premier cas décrit dans l
s peuvent être sans microgyrie (cas de Meine. Matell). Le premier cas décrit dans la science est celui que j'ai commu-
D'autre part, en 18-ils, je suis revenu avec plus de détails sur ce cas , dans une communication sur l'anatomie pathologiq
en vessies à parois minces ; l'épaisseur des hémisphères dans lé cas décrit par Monakow atteignait de l;i à 3 millimèt
as décrit par Monakow atteignait de l;i à 3 millimètres, et dans le cas que j'ai décrit de 16 à 4 millimètres. Dans ce de
dans le cas que j'ai décrit de 16 à 4 millimètres. Dans ce dernier cas , la substance grise comprenait les deux tiers d
a substance blanche un tiers seulement et parfois même moins. Ces cas sont de beaux exemples de l'exiguïté que peut att
rs accom- pagnés de microcéphalie et de microgyrie. Dans les autres cas , la substance blanche des hémisphères est amoin
n- sions moins élevées et la microgyrie peut faire défaut. Dans les cas bien étudiés sous le rapport histologique avec
stologique avec l'application des nouvelles méthodes de recherches ( cas de mates), Moine, Mona- kob, etc.), on a trouvé
ffisant des fibres myéliniques intracorticales transverses. Dans le cas de. Monakow n'existaient ni fibres tangentielle
ni fibres tangentielles zonales, ni stries de Vicq-d'Azyr; dans le cas de Matell les fibres tangentielles zonales, les
ies de Baillarâer et de Vicq-d'Azyr étaient développée-; ; dans les cas de Meine les stries tangentielles n'existaient pa
ines) et longues (unissant des circonvolutions lointaines), dans le cas de Monakow elles disparaissaient pour la plupar
ns le cas de Monakow elles disparaissaient pour la plupart; dans le cas de mates, de Meine, les associations courtes ét
développement. Les faisceaux radiés, assez bien développés dans le cas de Mona- kow étaient extrêmement minces dans le
eloppés dans le cas de Mona- kow étaient extrêmement minces dans le cas de llatell. L'insuffisance de la substance blan
e. La substance grise des circonvolutions se présente dans certains cas avec toutes ses couches caractéristiques bien d
éments, parmi lesquels existent les cellules géantes; dans d'autres cas les cellules sont ratatinées, il n'y a pas de r
'une couche inter- médiaire large et puissante de neuroblastes (mon cas ) ou une couche d'éléments ganglionnaires ressem
nt à la quatrième couche de la substance grise des circonvolutions ( cas de Mate)), 316 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECIN
ganglionnaires. Une strie de la subs- tance blanche sépare, dans le cas de Meine, la quatrième couche de la couche inte
ie sous-corticale diffuse de la substance grise. Mais dans ces deux cas , le type reste le même, et son caractère spécial
i se constate par la présence des neuroblastes), et dans les autres cas dans un état de déviation de développement (qui
llules nerveuses peuvent être accompagnées d'idiolie. Mais dans ces cas le système de liaison des circonvolutions est arr
es fonctions cérébrales. C'est ainsi peut-être que s'expliquent des cas de profonde idiotie' sans espérance, dans lesquel
qne proprement dite ou symptomatique). Nous n'avons observé aucun cas d'idiotie pouvant être rattaché exclusivement à
par méningo-encéphalite-diffuse, avec ou saus térédo-syphilis. Ces cas forment avec l'idiotie ordinaire d'une part, la
rra être supprimé, temporai- rement ou définitivement, que dans des cas spéciaux déterminées- par ordonnance médicale;
la surveillance et les soins nécessaires^, sans lui, dans certains cas , ceux-ci seraient « même impossibles/ ; donc, p
moyens de la thérapeutique, qui d'ailleurs doit être appropriée au cas et à l'individu. L'application de l'alitement,
ggestions « psy- chiques » ; 6° Il est donc indiqué dans tous les cas où il faut agir contre des symptômes d'irritati
; 3° qu'on ne se serve d'aucun moyen de contrainte, sauf dans des cas très rares et exceptionnels; 4° que le personnel
guérison dans le lit a été obtenue 11 fois, soit dans 20 p. 100 des cas ; 35 fois les auteurs de la communica- tion ont
comme une méthode de traitement devant être généralisée à tous les cas ; 2° La plupart du temps il est inutile, ou prod
lles pour l'aire lever les malades; 3° L'alitement, dans certains cas , parait utile en ce sens qu'il diminue la durée
nt sous la direction du centre auditif. Cependant, l'observation de cas analogues prouve qu'il ne faut pas seulement co
cialement sur un symptôme que nous avons toujours retrouvé dans les cas typiques d'aphasie motrice pure : c'est la pert
mule est exacte, mais exige quelques additions complémentaires. Les cas analogues à celui d'une petite fille que nous a
riture droite de la main droite d'abord, puis de la main gauche. Le cas de cette fillette concourt à démon- trer, ce qu
iés de latéralité vers la droite, constatée chez le malade. En tout cas , l'observation relatée par l'auteur fournit la
s associées des mouvements de latéralité des globes oculaires. Un cas de paralysie bulbaire aslhénique suivi d'autopsie
importance et peut être rapprochée de celle qu'on observe dans les cas de paralysie pseudo-bulbaire. Cette observation
tres d'association. Le principe de classification est dans les deux cas essentiellement différent. Il résulte de tout c
indre à la guérison par un progrès lent mais continu; dans certains cas , il convient. en quelque sorte, de don- ner plu
est exécuté, etc. Il veut être fusillé, guillotiné. Dans quelques cas se manifestent des idées de négation : il n'y a
ir, il est changé en bête, etc. Dans. 342 BIBLIOGRAPHIE. certains cas surtout lorsque l'affaiblissement intellectuel l'
re sans cesse des sottises, d'être devenus fous, etc. Dans d'autres cas le malade n'est pas touché par les con- tradict
les con- tradictions les plus évidentes. Dans un petit nombre de cas apparaissent des signes catatoni- ques : mutism
es malades se trouvaient être entre cinquante et soixante ans ; les cas les plus précoces débutant peu après la quarant
délirantes absurdes. Le sexe féminin est frappé dans 60 p. 100 des cas ; il est par con- séquent plus exposé que le sex
osition acquise : l'hérédité n'a été relevée que dans 53 p. 100 des cas parfois il s'agissait de parents éloignés. Remarq
la folie ma- niaque-dépressive, ou à la démence précoce : quelques cas doivent être attribués à la folie des dégénérés
de faiblesse psychique) serviront au diagnostic, qui dans certains cas pourra être difficile. Les éléments les plus util
pas atteint un degré accentué. Enfin il existe un petit groupe de cas dans lesquels des troubles dépressifs se sont m
me, leur délire pauvre. Il n'est pas sûr qu'il faille attribuer ces cas à la mélancolie. Les formes de la mélanco- lie
par des transitions graduelles à la confusion sénile. Dans certains cas on peut se demander s'il ne s'agit pas de dé- m
s se rencontrent pour le diagnostic avec la paralysie générale. Les cas qui surviennent entre quarante-cinq et cinquant
llard. Les jour- naux de Paris racontaient, ces jours-ci, l'étrange cas de folie de ce cocher des pompes funèbres, nomm
é cette séance répugnante. (Petit Parisien, 15 septembre.) Voilà le cas où jamais d'appliquer rigoureusement la loi sur
der massage, Zw. auplage, p. 1,1897. 3 Courtade. Note sur quelques cas cl'leénaipli71e, cité par P. Marie. 356 - théra
ns cutanées chroniques ne doi- vent pas arrêter le massage. Dans un cas nous avons massé tous les jours la face externe
t, on était obligé de la poser comme une seule masse. Dans un autre cas , l'accès datait depuis deux ans et la malade ne
se dépêche de poser sa jambe malade, n'importe comment. Dans notre cas , nous lui donnons un point de repos au moment d
de décomposer la marche en trois, quatre, cinq temps, etc. Dans un cas , que notre distingué confrère M. Créquy a bien
litre que nous les employons chez les hémiplégiques. Dans un de nos cas on lit matin et soir des mouvements passifs du
d'abduction les muscles abduc- teurs et opposant du pouce. Dans un cas , dont l'ictus remonta à deux ans, nous sommes a
lus vite on constate ses bons effets. Nous l'avons appliqué dans un cas trois jours après l'ictus, malgré l'interdictio
ois et demi, notre malade descendait déjà l'escalier. Dans un autre cas , nous avons débuté à la fin du troisième mois a
sait et se servait de son bras le mieux possible. Dans un troisième cas , nous avons commencé notre traitement six mois
les bons effets du traite- ment étaient plus lents à venir dans ce cas , c'est parce que la malade fut massée par les m
ion générale et l'état physique laissent souvent à désirer. Dans un cas de monoplégie symptomatologique de la sclérose
restent souvent -sans grande modification. Dans quelques-uns de nos cas nous avons cons- taté que la sensibilité cutané
it d'autres laxatifs. L'électricité a été employée dans deux de nos cas avant notre traitement. Dans ces deux cas elle
employée dans deux de nos cas avant notre traitement. Dans ces deux cas elle n'a donné que des résultats négatifs. Chez
e musculaire. Sans discuter la valeur de l'électrothérapie dans les cas des hémiplégiques, nous la laissons souvent de
onner dans le traitement de l'hémiplégie de bons résultats. En tout cas , il présente l'avantage d'être simple dans son
uent, il doit durer jusqu'à ce que le symptôme persiste. Dans les cas légers, il est d'une courte durée ; dans les cas
persiste. Dans les cas légers, il est d'une courte durée ; dans les cas résiduels ou bien dans les cas d'hémiplégie pro
il est d'une courte durée ; dans les cas résiduels ou bien dans les cas d'hémiplégie prolongée, il est également prolon
as d'hémiplégie prolongée, il est également prolongé. Dans tous les cas il accélère la guérison par l'amé- lioration de
plus de 0 m. 75 et tapissées de matelas mobiles, renou- velables en cas de besoin. L'une des parois se meut à charnière à
68. Population, le 31 décembre 1895 : 156. Sur le nombre total des cas traités en 1895, on a relevé 562 pa- tients (29
pi- leptiques ou hystériqnes, imbécillité, idiotie, crétinisme); 88 cas (83 hommes et 5 femmes) de délire alcoolique, e
et d'un tuyau de toile contenus dans une sorte d'armoire vitrée. En cas d'alarme, la vitre peut être brisée et l'appare
e, la tête étant plongée sous l'eau le plus longtemps possible. Les cas d'hystérie, de neurasthénie sont assez fréquem-
Le nombre des malades (fin 1893) s'élevait à 35, non compris les cas de délire alcoolique. 392 li ENSEIGNEMENT. fe
délire alcoolique. 392 li ENSEIGNEMENT. ferts. La proportion des cas de délire alcoolique ne s'élève qu'à 2,2 p. 100
s l'épilepsie tardive, discute minutieusement les particularités du cas , formule le traitement : abstinence complète et
écial, dit bouton de Munich'. MI : Grashey raconte avoir observé un cas de paralysie radiale chez un malade camisolé do
s de cuir épais. Le traitement par le lit est employé dans certains cas , chez les mélancoliques. L'alimentation artifi-
ode. Les courants d'action prennent une direction contraire dans le cas où l'électrode est appliquée sur le centre cortic
ppliquée sur le centre cortical présumé de l'organe excité. Dans le cas contraire le courant de repos est simplement re
ermann et de Moussons l'auteur a pu démontrer dès 1889 que dans les cas où l'impuis- sance motrice est accompagnée d'un
ue le malade ne puisse plus exécuter aucun mouvement. Uans d'autres cas où la contracture naissante accuse un certain d
ssement du muscle par un processus de dégénérescence. Dans certains cas de paralysie atrophique dégénérative la seconde
u le muscle. Les résultats sont d'ailleurs identiques dans les deux cas . Une bobine induite est placée dans le circuit
'excitabilité est augmentée et elle l'est davantage dans le premier cas . Avec la cathode galvanique et l'anode faradiqu
action myasthéuique électrique de Jolly conclut qu'on peut dans des cas identiques porter un pronostic favorable. 11 y
le syndrome d'Erb correspond à plusieurs entités morbides. Dans un cas que j'ai observé la réaction de Jolly qui manqu
te de l'exci- tation galvanique. 11 y aurait lieu daus ces derniers cas de tenir compte de l'action polaire, car l'aute
l'action polaire, car l'auteur a remarqué dans un certain nombre de cas que l'épuisement n'étant pas complet, les muscles
incontinence d'urine nocturne et diurne par l'électricité. Dans les cas d'incontinence nocturne les applications un peu
électrode introduite dans l'urètlire. Claus emploie dans les mêmes cas les courants de Morton un pôle est relié à la t
ation varie de 20 à 30 minutes. Séance fous les deux jours. Sur six cas soignes, j'ai une guérison complète durant depuis
stal de 0 au potentiel utilisable qui varie de 12 à 25 volls. Les cas traités' sont' : une atrophie musculaire survenue
tal guérit ensuite rapidement l'atrophie musculaire. Le troisième cas est une paralysie réflexe des muscles court flé
aux. Ces dessins pourront alors servir de base à la description des cas anormaux ou pathologiques. En même temps il ne
ique, mais simplement faire connaître un procédé d'expérience. Un cas de ramolli -sèment complet des lobe droit et lobe
ion. M. le professeur A. PicK (de Prague) rappelle qu'il existe des cas semblables à celui que vient de rapporter M. Frie
t de rapporter M. Friedel Pick, ceux de Halm et de Bruns; quant aux cas où l'on a constaté des lésions grossières du ce
ion de l'hystérie. M. Bruns (de Hanovre). J'ai observé et publié un cas tout à fait analogue à celui de M. Fr. Pick, ég
s et réflexes des yeux. M. Friedel PicK (de Prague). -J'ai cité des cas analogues; mais je.n'ai-pu recueillir tous les
. -J'ai cité des cas analogues; mais je.n'ai-pu recueillir tous les cas publiés, surtout le cas dont parle MM.; A. Pick
logues; mais je.n'ai-pu recueillir tous les cas publiés, surtout le cas dont parle MM.; A. Pick et Bruns et qui, d'aprè
ces- sion des troubles sensitifs et trophiques; enfin dans certains cas d'affection trophique à topographie dite radicu
phie dite radiculaire et avec asso- ciation de scoliose, tels qu'un cas de sclérodermie et un cas de neurofibromatose q
vec asso- ciation de scoliose, tels qu'un cas de sclérodermie et un cas de neurofibromatose qui ont pu être ainsi trait
A. PicK (de Prague). Tout en reconnaissant que pour une partie des cas de M. P. Marie l'explication de celui-ci soit l
ns qui le font croire à la genèse pathologique de l'autre série des cas , décrits comme état criblé. M. le professeur OB
ntradiction apparente ? Comment comprendre que les lésions, dans un cas , n'engendrent pas de paralysie, alors qu'elles en
. Eh bien ! il m'a semblé que la paralysie qui survenait dans ces cas , avait besoin, pour se produire, d'un ou de plusi
roubles mentaux plus ou moins accentués. On constate que, dans cinq cas , les cellules ont con- servé le type normal, ce
ante de l'organe soit appré- ciable à nos investigations. Dans sept cas , au contraire, les cellules sont manifestement
altération présente exacte- ment les mêmes caractères dans tous les cas . Nous avons, dans des publications antérieures,
c'est qu'en réunissant ainsi, dans une étude d'ensemble, ces divers cas auxquels nous venons de faire allusion, nous po
rique peuvent réaliser, paraissent devoir être rencontrées dans les cas où une toxi-infection, quels qu'en soient la na
Tokarski croit que l'alitement par intervalle peut, dans cer- tain cas , donner des résultats plus utiles que l'alitement
ar conséquent, on ne doit pas confondre avec l'état d'obsession les cas suivants : 1° Les actes sexuels commis par des
n'est que l'équivalent du sens génital normal. Mais il y a là des cas exceptionnels où l'intensité et la durée pathol
uelle dans les vraies perversions, joue un rôle important. Dans ces cas , la perversion sexuelle obsédante apparaît comm
femme, de tabliers, de mouchoirs, de souliers, de même que certains cas de bestialité et de pédophilie érotique. Quan
la constatation de cette dernière qu'on a droit de reconnaître ces cas pour des syndromes de cette dégénération. Cou-t
névrasthénie, etc.) et avec retour périodique. Il y a du reste des cas rares dans les- quels la lutte a été de très co
des cas rares dans les- quels la lutte a été de très courte durée ( cas de transition aux cas purement impulsifs). On d
s- quels la lutte a été de très courte durée (cas de transition aux cas purement impulsifs). On doit aussi mentionner d
ransition aux cas purement impulsifs). On doit aussi mentionner des cas où, au comble de la crise. la conscience se tro
four- nir les raisons par lesquelles. soit en général, soit dans le cas actuel, l'inculpé se trouvait sous le poids d'u
l'effet de l'insuffisance des forces intel- lectuelles et morales ( cas de transition vers le groupe des crimi- nets im
t à la responsabilité criminelle, on doit reconnaître que, dans les cas d'obsession où l'irrésistibilité de l'action es
ibilité de l'action est prouvée, il n'y a plus crime ni délit. Eu cas que le juge n'accepte pas ces états d'obsession-i
t employés assez indifféremment l'un pour l'autre. Dans beaucoup de cas . ils apparaissent bien, en effet, comme deux st
liers, bonnet, etc., etc.) tantôt il est corporel et ne vise, en ce cas , qu'une partie déterminée des formes féminines,
la plu- part des flagellateurs sont des sadi-fétichistes. Mais les cas les plus démonstratifs sont fournis par les piq
e la lésion. Les deux planches que nous reproduisons, concernant un cas d'idiotie symptomatique d'une destruction compl
és, idiots, imbéciles ou épileptiques, il manque dans 73 p. 100 des cas (Bourneville). A relever une observation fort i
par une observation d'hydrocéphalie, l'odyssée d'un épileptique, un cas de fulie de l'adolescence, ce volume prendra plac
s faire- une opinion personnelle, basée sur l'examen d'un nombre de cas suffisant et capable de nous donner la raison d
ogique différent dans la moelle. 11 divise ainsi en trois types les cas de paralysie générale qui peuvent'se présenter.
générale, les réflexes tendineux sont exagérés dans la plupart des cas ; l'exagération des réflexes qui est la règle a
la règle au début de l'affection, peut faire place, dans certains cas à l'abolition des réflexes au sur et à mesure que
se ; le réflexe cutané plantaire est altéré dans les deux tiers des cas , et cette altération consiste aussi souvent en
ches faites jus- qu'alors, Cestan rappelle que Babinski a publié un cas de paralysie générale avec suppression des réfl
ôpitaux, 1900. RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. li53 cas pathologiques, l'excitation de la plante du pied
ous avons cru devoir éliminer, comme sujets d'observation, certains cas particuliers, pouvant devenir une cause d'erreur
al et très rarement aboli ; ° En outre, dans un certain nombre de cas spéciaux, le réflexe subirait une perturbation
n dans la paralysie générale vraie. b). Au contraire, dans quelques cas de paralysie généra- lisée syphilitique (pseudo
t celui du réflexe plantaire. Nous avons observé, en effet, dans ce cas , la concomitance de l'exagération du réflexe ro
que. Nos constatations tendent, en effet, à prouver que, dans les cas de paralysie généralisée syphilitique, il exister
s. 467 comme des enfants qui peuvent, dans la grande majorité des cas , tirer bénéfice d'un traitement médico-pédagogiqu
ls sont réputés inoffensifs, ils reslent dans les familles; dans le cas contraire ils sont internés dans les asiles d'a
l'enseignement psychiatrique ; création d'asiles urbains pour les cas aigus et de colonies ouvertes pour les chroniques
; épileptiques et « nerveux » : 123. Consultations, en 1889 : 564 cas . Population de la clinique (juillet 1895) : 120
fait, cette oscillation entre le choix embryologique du sexe et les cas d'hermaphrodisme SECTION DE PSYCHIATRIE. 483
'érotomane, l'amour est dans la tête». Il est certain que, dans les cas les plus nets, le désir est absolument idéal. L'i
pulsif. Il est des obsédés sexuels, comme celui dont j'ai publié le cas dans les Archives de l'anthropologie criminelle
médecine légale, une question d'espèce et de mesure, et dans chaque cas , il convient d'étudier et de peser l'état obséd
. MM. Vallon et WAUL (Paris). 11 résulte de l'étude de nom- breux cas de paralysie générale que l'on trouve fréquemment
, par du délire onirique. J'ai eu l'occasion d'étudier récemment un cas typique de délire de brûlure, d'où il suit : Qu
491 l nous l'avons observée, nettement prononcée dans le tiers des cas des dégénérés. Presque tous les autres, sans pr
eloppé nettement sous l'inlluence d'une infection : dans le premier cas , à la suite d'un abcès phlegmoneux du sein, dan
n délire systématisé d'une durée de quarante-huit heures. Le second cas constitue un type de confusion mentale psycbo-p
s constitue un type de confusion mentale psycbo-primitive. Les deux cas se terminèrent rapide- ment par la mort. Au p
té dans l'étiologie des états mentaux chez l'enfant. M. Dans -)16 cas de débilité mentale ou d'imbécilité, l'hérédité
débilité mentale ou d'imbécilité, l'hérédité existait dans tous les cas . Dans Si- cas de psychoses di- verses, l'hérédi
le ou d'imbécilité, l'hérédité existait dans tous les cas. Dans Si- cas de psychoses di- verses, l'hérédité se trouvait
Dans Si- cas de psychoses di- verses, l'hérédité se trouvait dans 6 cas , soit 92,8J p. 100. Sur ces 300 cas l'alcoolism
, l'hérédité se trouvait dans 6 cas, soit 92,8J p. 100. Sur ces 300 cas l'alcoolisme se rencontrait dans 68 p. 100 des ca
100. Sur ces 300 cas l'alcoolisme se rencontrait dans 68 p. 100 des cas comme facteur étiologique et la folie dans 38 p
00 des cas comme facteur étiologique et la folie dans 38 p. 100 des cas . 5m/" la physionomie el la progression de certa
roubles mentaux plus ou moins accentués. On constate que, dans cinq cas , les cellules ont conservé le type nor- mal, ce
ante de l'organe soit appréciable à nos inves- tigations. Dans sept cas , au contraire, les cellules sont manifeste- men
e altération présente exactement les mêmes caractères dans tous les cas : forme globuleuse de la cellule, "migration pé
rique peuvent réaliser, paraissent devoir être rencontrées dans les cas où une toxi-infection, quels qu'en soient la na
u Verger, annexée ci l'asile d'A uxerre ; par le D1' Lapolnte. Un cas d'empoisonnement par la strychnine par erreur d'u
par le Dr DrrEnov. Des responsabilités pénales et civiles dans les cas de placements familiaux d'aliénés; par les D'"
dité qu'ils désignent sous le nom de psychique, et qui comprend les cas dans lesquels existent chez les ascendants des
es observations actuelles, l'abolition des réflexes ten- dineux, en cas de maladie du cerveau, est exceptionnelle et peut
condaire de la moelle. . 7° L'abolition des réflexes tendineux en cas de maladie du cer- velet n'est notée que dans u
e maladie du cer- velet n'est notée que dans un nombre restreint de cas de cette 496 CONGRÈS international DE MÉDECINE.
réflexes est la règle. Aussi semble-t-il bien probable que dans les cas de tumeur du cervelet cette abolition était plu
s réflexes rotuliens est un symptôme de mauvais augure, excepté les cas possibles mais rares où la perte de ces réflexe
réussisse à provoquer par des moyens appropriés ce réflexe dans des cas où il semblait absent, même avec des essais réi
ses afférentes venant du muscle lui-même (le triceps crural dans le cas de la « secousse» » du genou) et des neurones m
la moelle au-dessus des lombes; par Bruns (de Ilanovre). 1° Aucun cas nouveau n'est venu infirmer jusqu'à présent la
pagnée par l'abolition du réflexe patellaire ; 2° d'autre part, les cas observés avec exactitude au point de vue du phéno
urs parallèles à des variations dans le tonus des muscles. Dans les cas où le réflexe était fort, le tonus des extenseurs
rt, le tonus des extenseurs l'était pro- portionnellement. Dans les cas de diminution du réflexe, il s'agis- sait, soit
u'ils perdent par là même beau- coup de leur signification. En tout cas , dans les paraplégies spas- modiqnes, ils sont
les paraplégies spas- modiqnes, ils sont souvent anormaux. Dans un cas de paraplégie spastique avec exagération des ré
é quel- ques pages de mon rapport et entre autres la description du cas de section totale de la moelle que j'ai observé
l'exagération de la réflectivité médullaire, M. Bruns rapporte les cas de compression médullaire accompagnés de paraly
s réflexes étendus aux deux membres inférieurs, et il rapproche ces cas pathologiques des faits que l'on observe chez l
is entièrement d'accord avec M. Bruns. Je n'ai pas dit que dans les cas de lésion transversale complète de la moelle, tou
a grenouille déca- pitée. M. Il. IIIRS1113EItG (Paris). - Dans un cas de myélite syphilitique j'ai eu l'occasion d'ob
ation de la méthode de Marchi à l'étude systématique d'une série de cas de lésions récentes corticales ou sous-corticales
e la dégénérescence descendante du ruban de Reil constatée dans ces cas est due à la dégénérescence des fibres aberrantes
te. D'une façon plus générale tout exa- men anatomo-pathologique de cas d'aphasie doit être fait actuel- lement sur cou
l'aphasie motrice. Mais aussi longtemps qu'on n'aura pas fourni un cas d'aphasie motrice pur au point de vue clinique
3' frontale gauche comme centre de la parole articulée. Dix-neuf cas d'hémipléuic avec hémiana-lhèsie tactile el doulo
e l'incoordination, ainsi qu'à d'autres troubles tabétiques. Si les cas de ce genre sont relativement rares, cela tient p
e. M. Ilonm (d11elsingfors). - Je pourrais citer plusieurs de mes cas de labes, dont au moins quatre, autant que je peu
sensorielles voi- sines. l.es agents pyogènes y arrivent, eu pareil cas , par le transport indirect au moyen des voies s
indirect au moyen des voies sanguines. C'est en ce sens là que les cas cliniques que l'auteur a mention- nés, selon lu
chir les orteils (GO p. 100), l'extension s'y voit en 20 p. 100 des cas . Quand il existe une lésion organique ou une at
arement ; chez les enfants la flexion se produisit en 30 p. 100 des cas , en 12 p. 100 il y eut extension évidente et en
iquide dans les ventricules ; sclérose granuleuse.de l'épendyme; un cas en outre de pachymé- ningite interne hémorragiq
n cas en outre de pachymé- ningite interne hémorragique. Dans ces cas , les prolongements protoplasmiques d'un nombre
lles des individus normaux. Il est; tout à fait exceptionnel en ces cas -là de constater des cellules dont; REVUE D'ANAT
armonie physiologique de la l'onction musculaire. Dans le premier cas , il y a exagération de la tonicité des muscles,
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 519 XXXIII. Lésion anatomique dans un cas de paralysie uni-latérale de l'oculomoteur comm
'espèce, une lésion primaire des cellules, exactement comme dans le cas de paralysie progressive multilo- culaires des
UROLOGIE. Séance du 8 novembre 1900. Présidence de M. JorroS·. Un cas de troubles de la sensibilité chez un amputé. M.
M. Touche présente les photographies de coupes se rapportant à deux cas de cette affection affectant l'un la moelle dor
jusque-là. M. Marie montre 'des photographies relatives à d'autres cas iden- tiques dont l'un montre une paralysie inf
pathie tabétique. - M. Pécharmant présente les phologra- phies d'un cas de tabes ancien de six ans au cours duquel derniè
ment associé à une rétinite du côté opposé. M. I\LIPPEL rapporte le cas d'un homme de quarante-huit ans, qui pendant la
e.-M. Léopold LÉvi. Le signe de Babinski s'est rencontré dans 10/20 cas de fièvre typhoïde. Il est apparu aux différent
t la convalescence. Le délire a été fréquemment observé. Dans aucun cas , il n'y a eu coïncidence du signe de Konig, ni
typhoïde ne semble pas augmenter la gravité de la maladie. Tous les cas se sont terminés par guérison. M. Babinski. M
- reuse, puisqu'il accuse le phénomène du pied dans 50 p. 100 des cas de typhoïde où il l'a cherché; en tout cas, il y
pied dans 50 p. 100 des cas de typhoïde où il l'a cherché; en tout cas , il y a la une notion nouvelle, et la preuve qu
le. Zona thoracique en bande horizontale. m. Brissaud rapporte un cas de zona s'étageant dans les 5e, 6° et 70 espaces
auriculaire. La léthargie chez les poissons. M. Cnncz signale le cas de poissons qui, pendant huit mois de l'année r
2. Goitre exophtalmique. Organothé- rapie et -, par White, 47. Un cas aigu de -, par Fowvell, 153. - mortel avec co
. .Mémoire. Problème de la -, par solfier, 69. Méningée. Sur un cas d'hémoiragie sous-arachnoidienne , par Cour-
46 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
EUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. - . Paraplégie spasmodique dans un cas de compr de la moelle dorsale équivalant à une
dans sa classification, en cite des exemples ; il rappelle aussi le cas d'Habel (para- lysie flasque avec exagération d
eau, paraplégie spasmodique avec anesthésie, p. 58. Versiloff. Deux cas de tumeurs de la moelle, paraplégie spasmodique
oirs constitue la règle ; il faut ajouter que dans presque tous les cas relatifs à ces formes, la mort sur- vient rapid
flexes et clonus du pied. Nous en avons une preuve nouvelle dans le cas suivant : Detil..., trente-huit ans, vernisseur
a paraplé- gie spasmodique peut se manifester et persister dans les cas de destruction lente d'un segment de moelle dor
tion complète de la moelle, nous citerons, mais sans y insister, un cas fort inté- ressant par son anatomie pathologiqu
elle de tout point ce que nous avons observé nous-même dans notre cas . Cependant nous ne pouvons identifier cette obser
diminués. D'ailleurs il suffira de rappeler les analogies de notre cas avec celui de Charcot et lfichaud 1. ' L'un d
oubles de sensibilité d'une topographie assez singulière. Dans ce cas , la gibbosité pottique est lombaire. Le tact est
t un temps ainsi que cet auteur lui-même en rappelle un exemple, ce cas de Chipault où l'anesthésie avec thermo- anesth
lis, croit à l'action suggestive de la suspension ; il cite même un cas où la suspension a fait cesser les troubles gas-
ion agit par la suggestion 1. Ils obtinrent 20 améliorations sur 29 cas de maladies nerveuses, dont 4 améliorations sur
ations sur 29 cas de maladies nerveuses, dont 4 améliorations sur 6 cas de tabes. Ils concluent leur travail en affirma
axiques. Deux mois plus tard, furent présentés par Charcot d'autres cas de tabes, traités par la pendaison. En 1890, M.
M. Gilles de la Tourette put déjà donner une statis- tique sur z100 cas d'ataxiques traités par la pendaison. Le nombre
suspension, et en tira de très bons résultats. La statistique des cas traités par la suspension, et publiés jusqu'à p
an- koff2, vient de publier une statistique approximative de 2212 cas de maladies nerveuses, dans lesquelles on appliqu
ension. De ce nombre, on obtient 902 succès (40, 8 p. 100). De 2212 cas , 1907 furent atteints du tabès, dont 698 amélio
e dernière 993 tabé- tiques, et qui obtint 267 améliorations et 786 cas sans mo- dification appréciable. Charcot publia
ions et 786 cas sans mo- dification appréciable. Charcot publia 114 cas tabétiques, N 1 M. Gilles de la Tourette. Leç
améliorés, et 5 aggravations. M. Gilles de la Tourette publia 100 cas , dont 60 améliorations et 40 sans modification. D
orations, et 8 sans résultats. Mendel etTeulenbourg publiè- rent 34 cas de tabes soumis à la suspension ; 18 améliorés
ues et a obtenu 21 améliorations et 5 insuccès. Rosenbaum publia 61 cas , dont 26 furent améliorés par la suspension, 25
es juvenil, de l'hystérie, del'ataxie spasmodique, et dans tous ces cas il obtint des améliora- tions très appréciables
mortels, occasion- nés par la pendaison. On compte en ce moment 13 cas mor- tels publiés et produits par le procédé de
mort étouffé par la branche antérieure de la pièce mentonnière ; un cas de Sayre ; un cas de Gorezky ; un cas de Carlo
a branche antérieure de la pièce mentonnière ; un cas de Sayre ; un cas de Gorezky ; un cas de Carlo Borsari; un cas de
de la pièce mentonnière ; un cas de Sayre ; un cas de Gorezky ; un cas de Carlo Borsari; un cas de Forsier; trois cas
un cas de Sayre ; un cas de Gorezky ; un cas de Carlo Borsari; un cas de Forsier; trois cas de P. Blocq; un cas d'Erb;
cas de Gorezky ; un cas de Carlo Borsari; un cas de Forsier; trois cas de P. Blocq; un cas d'Erb; un cas de Remak; un
cas de Carlo Borsari; un cas de Forsier; trois cas de P. Blocq; un cas d'Erb; un cas de Remak; un cas d'Erb, etc. « La
Borsari; un cas de Forsier; trois cas de P. Blocq; un cas d'Erb; un cas de Remak; un cas d'Erb, etc. « La plupart de ce
e Forsier; trois cas de P. Blocq; un cas d'Erb; un cas de Remak; un cas d'Erb, etc. « La plupart de ces accidents se sont
s convulsifs, l'amné- sie, la rupture vasculaire. Hammond publia un cas avec parésie du bras, produite par la pendaison
alades en ajoutant des poids supplémentaires de 1 2 kilogrammes, en cas quand le poids propre du patient était insuffis
ofesseur Raymond dans sa leçon sur la mé- thode de Frenkel. Dans ce cas la flexion forcée n'a aucune action sur la queu
occipitale, en faisant notre planche plane, car l'extension dans ce cas se comporte directement sur le rachis, y compris
directement sur le rachis, y compris sa portion cervicale. Dans les cas , où les malades présentent un poids faible, nou
appareil de Sprimon consiste en ce que la traction dans le deuxième cas est progressive, métho- dique, calculée et véri
ouvons nécessaire d'amoindrir l'effet de la traction, comme dans le cas de neurasthénie, etc. En plaçant la planche incli
che pour recevoir la tête du patient. L'occiput se trouve dans ce cas au-dessous de la surface du plan de' la- planche,
le se fit faire la pendaison et l'élongation. Nous insistons sur ce cas , parce qu'il montre la supériorité de la suspen
e. J'eus pour ma part, il y a trois ans, l'occasion d'en relever un cas qui m'intrigua fort et que je n'osai publier, à
nt jusqu'à la mort ? Quoi qu'il en soit de cette interprétation, ce cas d'hémorrhagie à siège insolite m'a paru digne d
- tion analogue de Hopkins. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Un cas peu commun de méralgie 'paresthésique avec boiter
oth en 1895 ; et depuis cette époque on en a publié une centaine de cas , parmi lesquels on est surpris de voir qu'il n'
ané externe. L'auteur relate avec soin l'observation détaillée d'un cas atypique de cette affection, ayant présenté que
dans les réflexions qu'il place à la suite de cette observation. Ce cas , en effet, est un de ceux dans lesquels non seu
té; d'où l'apparition des symptômes au moment de la marche. Dans le cas actuel, la claudication intermittente est class
die pendant la convalescence d'une fièvre typhoïde. On a publié des cas de ce genre par infection typhique, mais ils so
xterne, ce qui ne s'est rencontré que dans un très petit nombre des cas publiés. Avant de porter un diagnostic ferme su
udo-l11éralgie est arrivé à la conclusion qu'il s'agissait ici d'un cas de méralgie paresthé- sique complète, affectant
sultats défini- tivement avantageux. R. DE 111USGRnE-CLaY. II. Un cas de syndrome de Brown-Sequard; par M. François.
t définies. G. DE<'iY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 IV. Un cas de polynévrite motrice d'origine grippale; par M.
ur le cerveau et ensuite sur les nerfs périphériques. G. D. V. Un cas de polynévrite d'origine diphtérique; par M. GLO-
- ment thyroïdien et l'iodure de potassium. G. D. VII. Un nouveau cas d'hypokinésie asthénique ou syndrome d'Erb; . p
du tympan et qu'elle était d'origine rhumatis- male. G. D. IX. Un cas de cécité verbale pure ; par le Dr Rapin. (Rev. M
es pathologiques. R. C. .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 49 XII. Un cas rare d'ostéo-arthropathie; par G. GASnE. (Nouv. I
e est assez incertaine. A noter cependant que, dans la majorité des cas , il s'agissait de tabes plu- tôt moteur que sen
Dcphé et Devaux. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n" 5, 1900.) Cas de tabes inférieur sensilivo-trophique à localisa
pourra être dénommé « périarthropathie tabétique. » R. C. XV. Un cas d'amyotrophie progressive dite « Essentielle » ;
ter à l'heure actuelle une classification simplement arbitraire. Le cas en question présente de l'atrophie progressive
trophie neurotique de Iloffmann ou myélopathique Werding ; c'est un cas atypique différent de ceux qui ont été déjà déc
que les auteurs placent en « situation d'attente ». R. C. XVI. Un cas de paralysie bulbaire supérieure chronique ; par
uv. Iconogr. de 1(t n° 5, 1900.) L'auteur se défend de présenter un cas très rare : la polioencé- phalite supérieure ch
le domaine de la conscience par une nouvelle suggestion. Dans ce cas il y a probablement perception puis neutralisatio
endant le meil- leur moyen d'investigation ; l'auteur a observé 144 cas de cho- réiques depuis six ans, au dispensaire
e forme alternante, ce qui fait penser à l'auteur qu'il y a dans ce cas deux hémichorées pouvant chacune varier dans le
eux hémichorées pouvant chacune varier dans leur intensité. - Ces cas de généralisation symétrique sont souvent au débu
- Ces cas de généralisation symétrique sont souvent au début, des cas à prédominance hémilatérale qui se généralise sec
aurait alors deux hémichorées juxtaposées et d'égale intensité. Les cas de généralisation d'embjée sont assez rares et so
paradoxal). Quelquefois ils peuvent être nor- maux ou exagérés ; le cas le plus fréquent est la suppression bila- téral
iligo; par Gaucher. (Revue de médecine, décembre 1900.) Dans huit cas observés, il y eut constamment rapport azoturique
eux. (Policlinique de Bruxelles, décembre 1899.) . M. H. XXIV. Un cas de sclérose cérébro-spinale multiple de forme ana
ssent comme cause à la sclérose multiple ; 2° l'existence dans leur cas d'une cause adjuvante, auto-intoxica- tion par
VEUSE. 55 tion sont celles de l'arthritisme. Betcherew a relevé des cas sem- blables à côté d'autres qu'il rapporte à l
o- York Médical Record, 10 décembre 1899.) C'est la relation d'un cas de diabète sucré combiné à la maladie de Basedo
. (Revista de 1 31ed. y cÏ1'llgia pract., n° 675.) Il s'agit d'un cas datant de deux ans, cas rebelle et de diagnostic
y cÏ1'llgia pract., n° 675.) Il s'agit d'un cas datant de deux ans, cas rebelle et de diagnostic difficile pour lequel
mais elle ne fit que retarder l'heureuse issue. En somme, dans les cas de moyenne intensité comme celui- ci, si le méd
XXXV. Revue sur la chorée chronique progressive avec relation d'un cas ; par Clarence-A. Goop. (The American journal of I
. Il termine par la description détaillée du système nerveux d'un cas qu'il a étudié. Les lésions les plus manifestes s
prévenu par une hygiène convenable de l'enfance, un grand nombre de cas d'épilepsie pourraient donc également être préven
de leurs formes cliniques; Fère en fait deux équivalents. Tous les cas cités à l'appui de cette opinion sont des cas de
équivalents. Tous les cas cités à l'appui de cette opinion sont des cas de mi- graine ophtalmique. Tous troubles sensor
x épileptiques et migraineux sont étroitement liés. Dans 6 autres cas , symptômes migraineux et épileptiques sont diss
de telles attaques. Il est curieux cependant que, jusqu'en 1891, 13 cas de ce genre soient seulement cités, et encore r
iénistes. Il note en effet un progrès marqué dans la proportion des cas de démence et des rémissions temporaires, plus
ait d'ailleurs le facteur causal pour au moins les trois quarts des cas . Il blâme enfin la civilisation moderne et sa v
naturelle des forces pendant la nuit, etc., etc. - SIMON. XL. Un cas de syndrome d'Erb. (Paralysie bulbaire asthénique
système nerveux central qu'à l'appareil cir- culatoire. En certains cas , le premier est seul atteint : ces subs- tances
iffère du tissu normal par sa compacité et sa densité. Le présent cas n'est donc pas un cas d'ostéomalacie classique,
par sa compacité et sa densité. Le présent cas n'est donc pas un cas d'ostéomalacie classique, il s'en rapproche. A
ue, fabriqué en abondance, dissoudrait les sels de chaux. En tout cas c'est un fait plein d'intérêt. Les processus osse
eaux minérales du Cau- case, de 1895 à 1899 se décomposent en : 201 cas de syphilis cer- taine, soit 62,4 p. 100; 66 ca
composent en : 201 cas de syphilis cer- taine, soit 62,4 p. 100; 66 cas de syphilis douteuse, ou 20,5 p. 100; 55 cas da
, soit 62,4 p. 100; 66 cas de syphilis douteuse, ou 20,5 p. 100; 55 cas dans lesquels la syphilis est absolument niée, ou
se générale de l'économie (pans- clérose de Letulle) : il est en ce cas simultanément endogène et exogène. Pour la plup
ant à la sclérose suppléant le tissu nerveux qui disparait. En tout cas le tabes doit être regardé comme : soit une mod
t surtout accusé chez les jeunes épileptiques. P. KERAVAL. LI. Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez une enfant; par
ge des éléments blancs autour des noyaux du bulbe ». R. C. LU. Un cas de ladrerie cérébrale; par MM. Léopold Lévi et Lo
LEmAiRE. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° 1, 1901.) 1 Dans ce cas il s'agit d'une jeune fille de dix-sept ans, qui,
MON. V. Épilepsie avec amnésie rétrograde. Étude médico-légale du cas d'Amos D. Palmer; par Edward CowLES. (The Amer'iw
e. 11 faudrait aussi supprimer l'éti- quette de fou, qui écarte les cas de début. Mais, en somme, le malade est mieux à
er des personnes saines d'esprit; danger exagéré, sur un millier de cas d'arrestation soi-disant illégitimes examinés p
ait pas plus d'erreurs de diagnostic ; c'est qu'on ne place pas les cas de début. On pourrait au reste faire un pavillon
la notion de la perte du bien et du mal, comme cela arrive dans les cas extrêmes de manie, de démence, etc., formes qui
t indiquer des conditions mentales défectueuses; 3° dans tous les cas où la défense allègue l'irresponsabilité de l'acc
amen médical complet et indépendant envisageant tous les aspects du cas ; 4° ils devraient confier cet examen à ceux qui
ty, octobre 1899, p. 295 à 306. N'avons-nous pas perdu de vue les cas de transition ? Tout le monde se croit apte à j
rieures à ses facultés intellectuelles ; n'est-ce pas proprement le cas des récidivistes qui savent cependant ce qui ré
gnostic de la poliomyélite et de la névrite aiguës à propos de deux cas de monoplégie crurale. MM. BRISSAUD ET LONDE. C
consécutive prédominante à la cuisse. Donc, il s'agit dans les deux cas d'une monoplégie crurale dou- loureuse, sans tr
ur désigne ainsi l'impossibi- lité de rester assis, il rapporte les cas de deux hommes qui, dans la situation assise ét
mouvements hémichoréiformes. MM. I'EIt`DEL et 111EIGE rapportent le cas d'une jeune fille de dix- huit ans d'une intell
laire, la pro- lifération du tissu cellulo-graisseux. Dans un autre cas , il s'agit d'une femme de trente ans atteinte d
n segmentaire, et de cause actuellement indéterminée. Dans cerfains cas , le tro- phoedème chronique est, en outre, héré
hie conjonctive, dite, si l'on veut, trophoedème, et qui, selon les cas , sera congénitale, héréditaire, familiale, aiguë
ose cérébrale. M. G. GUILLAIN présente deux pièces relatives à deux cas de porose cérébrale, « L'état de fromage de gru
et albuminurie nerveuses. M. J. Roux (de Saint-Etienne) rapporte un cas de glycosurie et d'albuminurie syphilitiques, i
ée comme un élément de gravité pour le pronostic. Quinze nouveaux cas d'élongation trophique (mal perforant, ulcère v
ne du cubital, une à de l'oedème trophique chronique. Dans tous ces cas , malgré la gravité et l'ancienneté des lésions,
ment limitée au territoire du nerf ou des nerfs élongés. Dans un cas de Roucoli et dans celui de Vince, où les lésions
der- nier a seul guéri. Contrepartie de cette constatation, dans un cas d'OteroAcevodo, où le nerf saphène interne fut
du névraxe chez un anencéphale. M. Touche montre les pièces d'un cas d'hémichorée organique. MM. FAURE et Laignel-La
ment conservée et présente une amplitude exceptionnelle en pareil cas . M. HuET a eu l'occasion de voir deux myopathiq
tractions soient amples chez le petit malade de M. Brissaud dont le cas est encore récent. Si chez les myopathiques la
firment les données théoriques qu'il a établies il y a sept ans. Ce cas n'est cependant SOCIÉTÉS SAVANTES. 89 segment
M. Long (de Genève) une série de photographies myopathiques. Quatre cas d'hémorrhagie de la capsule externe avec hémianes
grandes améliorations, aucun nouveau progrès n'a été effectué,. Ce cas montre donc une fois de plus qu'il faut être tr
ille de dix ans persiste. Ce qui était hystérique a guéri. C'est un cas d'hystérie survenu sur des lésions organiques p
latéral de la jambe consécutif ou non à des périodes fébriles, d'un cas d'oedème de la joue gauche. Avec ces trophoedèmes
hernie crurale parla thyroïdisation. M. 1\I £ IGE conteste dans ce cas la réalité du rachitisme, il y aurait plutôt si
r localisatrice plus grande qu'on ne le dit d'ordinaire. Il y a des cas , en particulier, d'épilepsie jaksonienne comitial
e, d'en diagnostiquer le siège par des symptômes concordants. Trois cas semblent démontrer que lorsque cette origine es
anisme ce que la dipsomanie est à l'ivrognerie ; c'est un véritable cas d'onano- manie. M. Jules Voisin. - J'ai souve
é employés; or par l'hypnotisme, j'ai obtenu des guérisons dans des cas analogues, certaines fois même en une seule séa
'emblée la possibilité de la continence de Robert d'Arbrissel. Un cas de cécité verbale. M. Bérillon rapporte un cas
rt d'Arbrissel. Un cas de cécité verbale. M. Bérillon rapporte un cas de cécité verbale constaté chez un jeune soldat
ien écrire, mais pas du tout lire. Il - cite, à ce propos/ un autre cas de cécité verbale' observée chez un enfant et i
ar sa mère. - BIBLIOGRAPHIE. 93 M. Bellemanière rapporte quelques cas d'inhibitions analogues suggérées aux enfants d
inique DE M. LE professeur A. Pitres. ' , ... ? 1 i Étude sur six cas de paralysie hystéro-alcoolique bénigne du memb
nsultation externe de notre maitre, M. le professeur Pitres, treize cas . - Sept de ces cas répondaient très exactement
notre maitre, M. le professeur Pitres, treize cas. - Sept de ces cas répondaient très exactement à la magis- trale d
ndant bien de paralysies hystériques, car il - suffit dans tous les cas d'un petit nombre de séances d'élec- trisation
es avant l'apparition de la paralysie (obs. 1 et II). Dans ces deux cas , la paralysie s'est-installée la nuit; dans les
s apoplectiques, ni de vertiges, ni de douleurs vives. Sauf dans un cas où elle siégeait du côté gauche, la para- lysie
isseurs. Le degré de l'impotence motrice a été très variable d'un cas à l'autre. Certains de nos malades n'avaient qu'u
ur main le moindre mouve- ment volontaire. · Dans la majorité des cas (cinq fois sur six), on a noté sur le membre pa
paralysé) a toujours été efficace. Il est à remarquer que dans les cas récents où la paralysie ne datait que de deux à
on (obs. 1 et III) tandis qu'il en a fallu trois ou quatre dans les cas où la maladie durait depuis plusieurs semaines.
coce, car il est très vraisemblable que s'ils étaient négligés, les cas les plus bénins au début devien- draient extrêm
ons faites par le promoteur de la suspension donnèrent dans trois cas comme allongement, 0,03, 0,04 et 0,045. Cette all
tites hémorragies des méninges, de la substance grise, et dans un cas , de la moelle épinière. Le professeur Benedict co
50 aggravés et 40 douteux. A cette statistique on doit ajouter ils, cas d'ataxie de M. Ostoukoff, 10 améliorations, 2 s
toukoff, 10 améliorations, 2 sans résultat et 2 aggravations, et 10 cas que nous avons eu l'occasion de traiter avec l'
raiter avec l'extension au moyen de la planche inclinée.- De ces 10 cas , 2 virent tous leurs troubles considérablement
douleurs fulgurantes,' du signe de Romberg, etc. En somme sur 10 cas nous obtenons 7 améliorations, 2 incertains et un
omme sur 10 cas nous obtenons 7 améliorations, 2 incertains et un cas sans résultat. Parmi les effets rares, produits
é même le retour des réflexes rotuliens. Marina publia également un cas semblable. Re- nault trouva le retour des réfle
nces de sus- pension, Kirchener a vu le retour des réflexes dans un cas de myélite. Nous avons constaté chez un tabétiq
rvation précédente, elles peuvent disparaître complètement. Dans un cas les douleurs ont cédé après deux mois d'extensi
est moins fréquente que l'amélioration de l'incoordination. Sur 207 cas d'amé- ' F. Raymond. Clinique des maladies du s
ontester le bienfait du traitement spécifique, qui resta dans notre cas inactif jusqu'à l'interven- tion de la suspensi
ereff1 conclutdans son travail sur la suspension, que dans certains cas la suspension, appliquée systématique- ment, ag
des ventricules. Abadieet Darier ont communiqué, en 1889, plusieurs cas où la suspension agit sur les affections aiguës
(Yeurol. Centralblatt, n° 7, 1893.) 128 THÉRAPEUTIQUE. cite trois cas , dont l'un, absolument aveugle, commença à dist
giques précoces des cellules ganglion- - naires, avec relation d'un cas ; par MAUDE l3. MARTIN. (Tlie Ame- ricain Journa
it de l'hérédité de la malade. Il établit un rapprochement entre ce cas et ce qui se passe dans l'alcoolisme où après u
Simoun. ' IV. Numération des globules blancs du sang dans quelques cas de paralysie générale ; par C.-Il. JENKS. (The
élèvement du sang par ponction du lobule de l'oreille. Analyse de 9 cas . En somme, rien qui puisse aider au diagnostic
tre la théorie de la rétraction quand on cherche à l'appliquer à un cas donné;*elle est impuissante à rendre compte des
hez eux que dans la population générale d'âge correspondant; 2° Les cas daus lesquels la folie est due seu- lement à l'
éro-cérébelleux dorsal jusque dans le bulbe, ainsi que le montre un cas d'embolie expérimentale du même^ auteur. De là
ral sont conservés. P. KEHAYAL. XI. Lésions dégénératives dans un cas de myélite aiguë ; par G. IiI6ELES. (11 eurolog
ppartenir -à une dégénérescence secondaire. - Pourquoi, en pareil cas , celui d'une myélite ayant à peine duré un mois
1895, dans la Prragrr medic. Wochensclarift, M. Pick a publié deux cas dans lesquels les vaisseaux des méninges molles d
Deux observalions suivies d'autopsie et d'examen histologique. leur cas : hémianopsie gauche homonyme latérale causée par
la paroi interne de la corne postérieure de l'hémisphère droit. 2° cas : hémianopsie double avec cécité verbale et agrap
voisines des lobes temporal et pariétal. A noter que dans les deux cas , il n'existait pas, malgré l'étendue des lésion
corps calleux. La sclérose du faisceau de Gratiolet, dans les deux cas , dépendait de petits foyers de ramollissement l
laquelle on découvre des parasites et plusieurs échinocoques. Ce cas anormal par l'âge du sujet, par les dimensions et
conogr. de la Salpétrière, n° 2, 1901.) Analyse très soignée d'un cas observé par les auteurs et ainsi 144 REVUE d'an
obscure de cette malfor- « mation, les auteurs incriminent pour le cas observé par eux, l'ori- gine exogène. · XXII.
zOFT). (Nouv. Icono,gr. de la Salpétrière n° 2 et 3 1901.) . Cinq cas nouveaux de spina bifida soumis à l'examen histol
Sollv.leono ! J'" de la Salpétrière, n° 3, 1901.) A l'occasion d'un cas d'endothéliome méningé dont l'observation a été
, 19 juin 1901.) L'examen des coupes histologiques faites dans deux cas d'atro- phie parenchymateuse du cervelet et col
nt par rangs et dardent des prolongements fibril'ormes : tel est le cas des foyers d'origine des nerfs craniens. Beauco
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 d'un noyau primitif. En ce cas , ils le circonscrivent d'assez près, en gardant
ments sera l'objet d'un pro- chain travail avec planches. En tout cas , la cellule nerveuse a, comme la fibre, une origi
vean qui contiennent les centres de la vie psychique, mais, en tout cas , les produits de l'expérimentation et de l'obse
s laquelle apparurent les premiers troubles. M. RAYMOND a vu deux cas analogues d'origine blennorrha- gique. - - Pa
sième et de la quatrième paires autour de l'aqueduc de Sylvius. Des cas analogues mais sans autopsies au cours de la sc
beaucoup plus qu'autrefois de tabès à évolution arrêtée et plus de cas frustes. Y a-t-il moins de progression que jadi
de progression que jadis dans cette maladie, y a-t-il dans certains cas même cessation de progression, ou même quelquef
, ou même quelquefois régression comme cela a pu paraître ? En tout cas , dans quelle mesure le traitement spécifique pe
rente qu'autrefois, peut-être cela tient-il à ce que la plupart des cas frustes ou légers diagnostiqués aujourd'hui grâ
ser des tabès intenses, j'ai vu aussi ces syphilis n'amener que des cas légers. Le tabès peut donc être parfois bénin p
du même avis, mais il fait quelques remarques. Il voit parfois des cas de tabès évident à marche rapide dans lesquels
s la guérison de l'incoordination; mais le tabès reste. Or dans ces cas là il y a deux choses; d'une part des lésions sim
vropathe atteint de nystagmus. · M. Touche montre les pièces d'un cas de syndrome de Weber. M. Bishof-Werder communiq
crampe des écrivains. Renvoie aussi la photographie des pièces d'un cas d'aphasie motrice sans 6K ? <t ? M'e étudiée c
d de la troisième frontale. M. Roux (de Saint-Etienne) adresse un cas de maladie de Dencmrm avec goitre exophtalmique
ique de celles qui président à ces fonctions. M. Voisin rapporte le cas d'un malade qui présentait la plupart des phéno
suggestion, soit par le choc émotionnel. Traitement hypnotique d'un cas de névrose t1'émulante chezune femme de soixant
ulante chezune femme de soixante-seize ans. M. FARTEZ rapporte un cas de tremblement aux allures de trem- blement sén
uéri en quelques séances de suggestion hypnotique. C'est un nouveau cas d'hystérie apparais- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 163
tre plongées dans le sommeil hyp- notique, ainsi que le prouvent le cas actuel et quelques autres très probants. SOCI
Mtg : t6(<(; chorée d'tluntigton. Résultats de l'autopsie d'un cas de chorée d'Huntigton : Macroscopiquement. - Ce
tisfaits de leur nouveau milieu d'exis- tence ; 5° dans beaucoup de cas on a pu remarquer une améliora- tion éclatante,
Société accepte cette proposition à l'unanimité. N. VERSJLOFF. Un cas d'ucronzégalie. L'observation a trait à une fem
c l'hydrocéphalie du 4" ventricule plus ou moins prononcée dans ces cas . Elles font ordinairement défaut, lorsque le qu
rison. Elles peuvent être brusques ou progressives, dans ce dernier cas la disparition des souvenirs suit la marche inv
, in-8" de 1 pages. (Extrait de la Revue neurologique.) Petit. - Un cas de mérycisme chez un dégénéré, in-8° de 12 pages.
ue déjà mis en lumière, il y a cinquante ans, par Casper, dont le cas remarquable avait été reproduit en partie par Wes
à Hoche qu'il n'avait pu vérifier s'il s'agissait vraiment, dans le cas de Casper, d'un cas d'éreuthophobie pure, atten
pu vérifier s'il s'agissait vraiment, dans le cas de Casper, d'un cas d'éreuthophobie pure, attendu que Westphal n'en
otive dominait la scène et avait été relevée. Mais c'étaient là des cas uniques incidemment relatés, et que n'accompagn
là des cas uniques incidemment relatés, et que n'accompagnaient ni cas similaires, ni essai descriptif, '. ni considér
hyness. l3ritislz Médical Journal, septembre 1896.) 3. Breton. Un cas d'érythrophobie obsédante. (Gazette des Hôpitaux,
ion de la rougeur. (Congrès de Moscou, août 1897.) 12. Popoff. Un cas d'érythrophobie. (Société de Neurologie et de P
- lander déclare notamment qu'il ne voit rien dans l'ensemble des cas publiés qui autorise à décrire l'éreuthophobie co
ion il l'élude de la psycho- physiologie des émotions à propos d'un cas d'éreulhophobie. (Revue de psychiatrie, juillet
e la pulsation et ralentissement du pouls capillaire. Dans les deux cas , remarquent les auteurs, le sujet rougit et pour-
rchand sont exactes, pourrait correspondre tout aussi bien dans ces cas à de la vaso-constriction qu'à de la vaso-dilat
première année d'internat du lycée (année scolaire 81-8b). En tout cas , mon attention n'a été attirée qu'à cette époque.
ressenti l'obsession de la rougeur. Analysons maintenant quelques cas types, c'est-à-dire analysons mon état physique
l'affection, qui provoque une douleur aiguë et vous réveille. Deux cas peuvent se produire : on pleure. Une espèce d'a
axi- mum de l'affaiblissement elle ne nous a pas présenté un seul cas de celle-ci. Ici le maximum appartient hautement
de toute réaction. Quant à la dermographie, si pour l'ensemble des cas elle occupe le rang intermédiaire, supérieure e
u était assez rare, celles-ci étant dans la grande majorité des cas altérées en moins. La différence que nous const
très rare. Dans les cinq dernières années, il n'en a relevé que 12 cas , dont 9 chez des hommes et 3 chez des femmes.
qui on n'a pu trouver d'autre antécédent que le paludisme. Mais ce cas unique n'est pas suffisant pour conclure que l'in
e n'ont rien de spécial à cet état. L'accouchement peut en certains cas être un des facteurs étiologiques de la folie,
DO. (Révista de Méd. . y cin. pract., n° G63.) L'auteur relate un cas très typique de confusion mentale survenu au co
ent un praticien de clinipue générale pourra-t-il choisir ? En tout cas chacun aurait traité le malade et l'aurait guéri
a dégénérescence et la difficulté d'y remédier. SDION. XII. Trois cas de paralysie générale chez des femmes jeunes; par
nt au-dessous de 1000 grammes. Il parait y avoir eu, dans les trois cas , en dehors de l'atrophie, arrêt de développemen
général innisciplinés ou désertent. L'auteur en cite une dizaine de cas où il a noté de nombreux stigmates d'ordre physiq
mates d'ordre physique. SI%ION. XIV. Stigmates de dégénérescence. Cas d'Amos D. Palmer; par Walter Cnausslvc. (The an
, p. 000.) 1 220 0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. plus complètes du cas d'Amos D. Palmer, imbécile épileptique, resté i
u traitement préconisé, tableau résumant les effets obtenus dans 53 cas . Simon. XVII. Diagnostic différentiel des états
éralement une gestation normale par ailleurs. Dans presque tous les cas où Tomlinson a trouvé des troubles mentaux aux di
ux époques de l'adolescence et de la puberté. Un tableau analyse 60 cas . La plus grande paitie des femmes qui deviennen
sont pas cependant les degrés extrêmes les plus dangereux, mais les cas limites, car ils sont atteints dès qu'ils tombe
névralgie laisse aussi à penser que la névralgie elle-même, dans ce cas , serait symptomatique d'un état névropathique p
nation transitoire revient à Griesinger (1866) et l'analogie de ces cas avec l'aura et le délire épileptique ne lui ava
ura et le délire épileptique ne lui avaient pas échappé. - 1° Les cas où le délire est causé par la sensation seule de
ns de la conscience plus considérables. Après avoir résumé quelques cas d'auteurs étrangers, K. Ebing rapporte des obse
s les observations : : ' - 1° Particulièrement embrouillés sont les cas de neurasthénie cer- taine qui passe graduellem
ré eux, leur jeunesse artificielle et sont dépréciés. Dans les deux cas , ils dégringolent. Les uns tombent dans les bas
délires d'exlrospection (analyse du monde extérieur). L'étude d'un cas de délire systématisé chronique chez une dégé-
e danger, pour les aliénés, de chutes même légères, comme dans le cas présent où le malade était seulement tombé de son
médical, 1901, n° 28, p. 29). MM. Lannois et H. Carrier publient un cas fort curieux d'ano- malies de la main droite, d
les principales déformations que les auteurs ont relevées dans leur cas . La main droite présente une déformation dite e
reste du corps. D'après cela, Laiiiiois et IL Carrier rangent leur cas dans le genre des hémimélies de Geollroy Saint-
ion atavique, et l'hérédité familiale qu'on ne retrouve pas dans ce cas . Ils rangent les ano- malies de leur malade, qu
t. · La théorie exogène a été défendue par M. Duval, pour qui les cas d'hémimélie sont des amputations congénitales. Il
ROLOGIE Séance du 6 février 1902. Présidence DE'M. Gombault. Deux cas de compression lente de la moelle ayant donné lie
ie spasmodique. - MM. Brissaud et FEIN DE L, de l'étude de ces deux cas , tirent les conclusions suivantes. Une section
icatrice, peut donner lieu à une paraplégie spas- modique. Les deux cas rapportés sont destinés à faire nombre parmi le
ux observa- tions ne donne pas raison à ses anciennes idées. Deux cas d'une tumeur ayant comprimé lentement la moelle
est fréquent dans le tabes, , M. Marie n'est pas convaincu que le cas fruste soit bien réelle- ment un tabes. Il a ob
e de cinq ans, mais une fièvre typhoïde a ramené l'infantilisme. Ce cas pourrait s'intituler infantilisme thyroïdien hé
lui dit de se relever, et le fait en grimpant après ses membres. Ce cas difficile à classer mérite le nom d'hypotonie g
ce généralisée avec signe de Babinski., M. Lortat-Jacob rapporte un cas de névrite périphérique avec signe de Babinski.
M. Crocq admet d'ailleurs la présence de ce phénomène dans de tels cas , au cours desquels M. Lortat l'attribue non à u
t de paraître dans le Neurotogische ,Cenlralblall- la relation d'un cas semblable que l'auteur désigne sous la dénomina
rs plus un infirme qu'un malade. Cet infirme peut, dans beaucoup de cas , redevenir un homme à peu près normal. Parmi le
solument contra- dictoires. En somme le tabétique, dans beaucoup de cas , peut guérir cliniquement avec une thérapeutiqu
É D'HYPNOLOG'IE ET DE PSYCHOLOGIE Séance du 21 janvier 1902. Deux cas de fausse grossesse. M. LE MENANT des CHESNUS r
eux cas de fausse grossesse. M. LE MENANT des CHESNUS rapporte deux cas de fausse grossesse nerveuse dans lesquels l'il
lesquels l'illusion a duré jusqu'à la fin du neuvième mois. Dans un cas , la suppression des règles était due à la méno-
a suppression des règles était due à la méno- pause ; dans les deux cas , la passion de la maternité a été le facteur ét
rsuasion, la convic- tion, la démonstration, l'imitation, etc. Un cas de toxicophobie. M. Henry LEMESLR présente une
; par leur aspect ces amas diffèrent de ceux qu'on observe dans les cas de dégénération vraie. Ce n'est donc pas, à vra
personnes étrangères aux études et aux expériences hypnotiques. Un cas cité par Braid concerne un enfant de cinq ans et
mestique, après avoir assisté à une séance de magnétisme animal. Le cas du garçon de dix ans du procès célèbre de Tisza
, qui n'eut point lieu. Les phénomènes de stigmatisation, Comme les cas de deux extatiques, saint François d'Assise et
suggérer des actions inconscientes au sens moral du mot`1 Dans un cas , cité par M. Vires, un sujet ne voyait pas le pro
t dont l'absence lui fut suggérée pendant le sommeil. Dans un autre cas le sujet saluait le profes- seur Massé, alors q
olie. Cet article comprend deux chapitres. Chapitre I. Notes sur 60 cas de syphilis cérébrale observés, à l'asile et à
s de syphilis cérébrale observés, à l'asile et à l'hôpital (dont 22 cas suivis d'autopsie) . - Le trouble le plus fréqu
bservé a été la méningite syphilitique de la base. Presque tous les cas mortels ont présenté il l'autopsie une méningit
y avait aussi, mais à un degré moindre, méningite spinale. Tons les cas autopsiés ont présenté une lésion profonde des
ues des artères (grandes et petites) bibliographie. 253 et dans 5 cas , il y avait des masses gommeuses dans le cerveau,
, la scissure de Sylvius était le siège le plus fréquent. Plusieurs cas ont présenté des lésions communes à la base et
paralysie générale (le diagnostic de p. g. fut porté dans quelques cas ) tels ont été les principaux symptômes. Suit un
étaient paralytiques et sur ces 23, la syphilis était sûre dans 16 cas ; 4 étaient douteux. et 3 négatifs. Suit le dét
ion postérieur ou spinal et des vérifications périphériques dans un cas de paralysie générale accompagnées d'éruptions
DaRRATT. -, Etude faite sur les moelles de deux hémiplégiques. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec dégénérat
es de l'écorce, et diagnostiqué paralysie générale ; par Mort. Un cas d'anémie pernicieuse avec symptômes médullaires.
éné- ration de tous les cordons de la moelle ; par le même. Trois cas de tumeur du troisième ventricule; par MOTS et
tal gauche avec convulsions épilepti- formes ; par BrADLEs. Trois cas différents de lésions multiples du système nerveu
ons multiples du système nerveux cen- tral; par TREDYOLI. Ces trois cas , qui n'ont pu être classés, ont présenté l'aspe
prostra- tion. Les docteurs déclarent n'avoir jamais vu semblable cas patho- logique. Est-il réellement fou ? (La Nou
tre secondaire, si l'une vient se greffer sur l'autre et, dans ce cas laquelle est le tronc et laquelle estla greffe. S
s que le hasard des circonstances fait surgir tour à tour. Dans les cas de ce genre, il semble bien que le fait essenti
te à l'émotion. Il s'en faut de beaucoup, en réalité. Dans certains cas , l'émotion peut être jouée : on pleure sans êtr
estpas seule- ment au théâtre que cela se rencontre ! Dans d'autres cas , l'expression extérieure de l'émotion estinvolo
hide et Marchand concluent également, de leurs expériences sur un cas d ? ·e2cilaop7aobie, « que les phénomènes cérébra
Conlrib. il l'élude de la psychologie des émo- tions, à propos d'un cas cl'éneulleop)vobie, Revue de psychiatrie, juil-
pparait que longtemps après les premières obsessions; dans tous les cas , il n'est jamais qu'un incident, important sans
a lutte contre l'idée obsédante, elle est secondaire, dans bien dès cas . Enfin, si la genèse des émotions et des obsess
dmettrons donc que la cause des obsessions est variable suivant les cas ; tantôt, c'est dans les phénomènes organiques
ulique, dirons-nous, l'adaptation ' Baymond et Arnaud. Sur certains cas d'aboulie avec obsessions in lerrogalives et tr
de la volonté. Annal, méd. psycli., 1847, t. X. 3 P. Janet. Sur un cas d'aboulie et d'idées fixes. Rev. philos., mars et
ence singulier mais qui se justifiera dans la suite, je rapporte le cas psychologique le plus remarquable et le plus fr
reulophobie (La pratica duel medico, décembre, 1900). Hasl;o\ec. Un cas cvei-ezilhophobie (Casopis céskych lék, 1900). (P
l'enfance constituent une manifestation extrêmement rare. Dans le cas actuel, l'anomalie primitive n'existait que dans
ns m'engagent à ne pas retarder plus longtemps la publication de ce cas instructif à tous ces points de vue. Il y a q
ale. J'ai conservé ces deux balles comme souvenir attris- tant d'un cas certainement rare et épouvantable. Ainsi se dév
poser à l'ennemi extérieur. Si on pèse l'origine et la marche de ce cas si singulier de trouble- mental, on ne peut s'e
théorie d'IIeinroth peut-elle l'expliquer ? » Faut-il voir dans ce cas une punition de Dieu, un effet du péché origine
lleinroth lève- rait peut-être la difficulté et ne mettrait pas ce cas sous cette L'IDIOTIE morale. z87 rubrique, ma
un dégoûtant lupus ou un nez écrasé ? Mais il n'est pas besoin d'un cas tel que celui que nous signalons pour mettre en
phtisique à trente-quatre ans; convulsions de l'en- fance. Le seul cas pathologique à relever dans la famille mater- n
malades 1 La gymnastique et l'hydrothérapie ont pour but, dans les cas de ce genre, de modifier non seulement les acci
nutrition. Sinon. II. L'hématoporphyrinurie, avec la relation d'un cas consécutif à l'usage du trional; par Robert-E.
r le traitement et le milieu, avec quel- ques notes relatives à 200 cas ; par Martin-W. Bahr. M. D. (I'he Alienist and N
ie qui n'évolue pas. L'auteur fait des réserves pour ce qui est des cas de guérison : ce ne seraient souvent, selon lui,
t là le résultat de son expérience : elle est surtout basée sur 200 cas étudiés de près et dont il résume l'étiologie,
tologie (signalant entre autres faits qu'il n'a observe sur ces 200 cas que 29 auras dont il indique la nature). L'aute
ement médicamenteux de trois mois environ, modifia- ble suivant les cas . Il est répété à plusieurs reprises, avec des v
plus rapide pour les nerfs superficiels.il s'agissait sur- tout de cas anciens datant parfois de douze, voire de dix-hui
p de tendance il négliger. R. Dewey passe en revue quelques-uns des cas où il l'a essayé et les résultats qu'il en a ob
a gasserectomie qu'à la der- nière extrémité. Simon. IX. Quelques cas de chorée traités par le cacodylate de soude ;
faisants, bien que la preuve de l'absorption reste à faire dans ces cas . Dans ces conditions, l'auteur a songé aux caco
même dose. Les résultats obtenus ont été excel- lents, sauf dans un cas de chorée hystérique et un cas de chorée chroni
s ont été excel- lents, sauf dans un cas de chorée hystérique et un cas de chorée chronique progressive probablement hé
trois fois par jour, n'a donné de résul- tats favorables qu'en des cas isolés et temporairement. P. KERAYAL. XI. De
ur dégagée par les becs de gaz que l'on vient d'allumer, ou dans le cas d'excitation cérébrale due, par exemple à la fa
les formes de blépharoptose : M. Bre-man l'a vue manquer dans un cas de blépharoptose familiale, suite de variole, et
soif chez 6 p. 100, avec cette particularité que dans la moitié des cas , au moment où le patient rouvre l'oeil, la pupill
ie, consen- ; suelle, avec l'autre oeil qui se ferme. Dans les deux cas cette ten- dance mydriatique est opposée à la r
énéral convulsif du corps : l'auteur a retrouvé ce symptôme dans un cas de contusion des vertèbres cervicales; on pouva
nce. Dans la para- lysie générale, elle a été rencontrée dans 2.084 cas sur 3.010, soit dans 68 p. 100. C'est un symptô
i dans la syphilis, après la variole. Paul Sérieux. XL111. Sur un cas de rachitisme familial; par A. ZnnIEl\N (cVotev.
t S.%13RAzes. " (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1901. Un cas de macrodactylie chez un enfant de trente et un m
: difformité congénitale, mais non héréditaire, ni familiale. Deux cas de micro- dactylie : le premier dû à un raccour
phalange et de la phalangette de doigts mal formés. Dans les trois cas il a été impossible de remonter à la cause de ces
es. M. B. Séance du 28 Octobre 1901. Présidence de M. JOFFROY. Un cas d'hypnotisme terminé par la mort. ,. M. SOLLIER
générale. M. Arnaud a été mis au printemps dernier en présence d'un cas semblable à celui qui vient d'être rapporté et
MM. Féré et Lance, en effectuant les recherches, avaient trouvé 48 cas positifs sur 229 aliénés, ce qui donnait nne pr
e la suppression brusque n'ont pas été exagérés ? M. Joffroy. Les cas de morts survenus avec la méthode de la suppres
ie. M. Joffroy répond qu'il l'applique indistinctement a tous les cas . - M. 13. Séance de janvier 1902. PRÉSIDENCE DC
, à l'édification d'un roman délirant bien charpenté. Dans certains cas , il est vrai, des hallucinations peuvent apparaît
ost-épileplique transitoire. ' M. IlEVEROca (de Kral) a observé des cas de paralysie des mem- bres inférieurs survenue
nteur du processus tabé- tique ; est-ce à cause de l'ancienneté des cas observés à Bicètre, ' où n'entrent que des mala
né quand les malades se font liospitaliser. En effet, sur trois des cas où les corps granuleux ont été trouvés, la mort
'est-ce pas de la sclérose tubéreuse de Bnssand ? Il s'agit en tout cas d'une sclérose acquise à un âge déjà avancé. Ce
que présente M. Touche. La lésion qu'on a sous les yeux est en tout cas exceptionnelle chez l'adulte et il ne voit pas
, amené l'aphasie et la régression démentielle. Il s'agit donc d'un cas d'idio- tie acquise. Déjénération pyramidale
était intact. Pourquoi cette absence du. signe de Babinski dans un cas aussi net ? J. 13,\J31;\ISKI. -Je ferai remarqu
e de Friedreich, et, à cette occasion, je tiens à dire que' dans ce cas , aini que dans un autre cas de maladie de Fried
occasion, je tiens à dire que' dans ce cas, aini que dans un autre cas de maladie de Friedreich, l'examen du liquide cép
s. Quand elle est encore monolatérale, elle peut permettre dans les cas d'inégalité pupillaire à réflexes nor- maux de
yphilis. Sur 100 gommes du voile du palais, ne voit-on pas 12 ou la cas dans lesquels on ne trouve pas trace de syphili
is trois mois, aucune crise n'est survenue. M. GUILLAIN rapporte un cas d' hémiplégie avec lésion du splé- niam. 1111
orte qu'il est impossible de définir le mode de l'infection dans ce cas par- ticulier. V. Semidadoff et V. VEiDENHAMM
du facial gauche et un spasme tonique du bras du même côté. ' Ce cas s'ajoute à ceux que nous avons publiés sur les co
roubles cérébraux graves qui ont déterminé la mort. A noter dans ce cas la présence de phénomènes de paralysie, notamme
sie de la face et du bras du côté gauche, chose assez rare dans les cas de cysticerque du cerveau. Discussion. M. Boiii
rguments plus précis. et d'ordre nosolo.iclue. existe notamment des cas cliniques où la syphilis cérébro-spinale se 'co
- rhagies. - · En résumé, l'examen prouve qu'il existe dans notre cas : 1° des altérations typiques de la syphilis mé
rs de cette observation, l'auteur a eu l'occasion d'ob- server deux cas analogues (sans autopsie), dans lesquels on voit
possible que les accès d'épilepsie jacksonienne ont, dans quelques cas , la même origine que ces ictus transitoires; 3°
t remarquer que la paralysie générale est telle- ment rare dans les cas de la syphilis avérée, qu'on a le droit de dout
, méthode qui, dans certaines circonstances bien définies, peut, en cas de diagnostic difficile ou douteux, entraîner l
t de paralysie générale. Le cyto-diagnostic négatif dans le premier cas , positif dans le second, permet de faire un dia
figurés dans le liquide céphalo-rachidiell caractériserait, dans ce cas , la démence sénile. Par contre, il ne faudrait
coïncidences l'auteur les eût pas- sées au profit de sa thèse, les cas contraires auraient été négligés comme exceptio
injecté à des lapins s'est montré inactif . dans 60 à 70 p. 100 des cas , convulsivant à un léger degré dans 23 p. 100 d
70 p. 100 des cas, convulsivant à un léger degré dans 23 p. 100 des cas , nettement épileptisant dans 1 à : j p. 100 des c
s 23 p. 100 des cas, nettement épileptisant dans 1 à : j p. 100 des cas . L'examen des urines n'a montré à la suite des
IBLIOGRAPHIE. 349 c'est il M, Bourneville que sont dus les premiers cas . Il analyse longuement sept de ses observations
relate celles des autres auteurs. Sa liste, en ce qui concerne les cas publiés par le méde- cin de Bicêtre, est incomp
Cheyne- Stokes céphalique. Les troubles respiratoires ne sont qu'un cas particulier d'oscillations fonctionnelles rythm
02. N° 77 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Note sur un cas d'hystéro-épilepsie à crises dis- tinctes, avec
ssé autour d'elle pendant l'accès. - Nous avons donc affaire à un cas typique de cette combi- naison de l'hystérie et
bservées purent lui être attribuées ; de plus, on put ' Note sur un cas d' hystéro-épilepsie chez l'homme. (Progrès midi-
fférente et d'une explication beaucoup plus complexe. Dans certains cas , elles sont en relation directe avec les crises
par le rêve de l'attaque. » (Gilles de la Tourette2.) Dans d'autres cas , elles n'ont aucun rapport avec les accès; elle
VoMueMe /co)to ? apA : e de a Salpêtrière, 1. III, 1890. Différents cas d'ecchymoses spontanées se trouvent relatés ent
e tissu sous-cutané ou dans l'épaisseur de la peau (dans ce dernier cas , observé le 24 janvier, avec desquamation consé
dans les attaques isolées (Bourneville 2); mais pas, comme dans le cas qui nous occupe, sans aucun rapport avec ces de
es 3, revêtant soit le type 1 Cf. Une desquamation analogue dans un cas de Martin, cité par Mora. * Recherches cliniq
l'existence de la fièvre hystérique est le fait que, dans certains cas , des malades ont pu simuler des élévations de t
il prenait lui-même la tem- pérature rectale, et cela même dans des cas où peu de temps aupara- vant des mensurations f
ne de dégénérescence; sa taille est de 1 m60 1. Réflexions. Notre cas rappelle de très près celui qui figure à la pag
ublié autrefois dans la Revue photogr. des hôpitaux (1871, p. 7) un cas analogue avec dissection par notre ami Troisier.
section par notre ami Troisier. Le même volume contient deux autres cas . L'an dernier, au Congrès de Limoges, nous avon
et de radio- graphies relatives à diverses malformations, dont deux cas d'hemi- mélie. Lorsque nous publierons ce trava
mi- mélie. Lorsque nous publierons ce travail, nous rappellerons le cas très intéressant de 111bi. Garmer et Santenoise
lle jette sur l'interprétation des malforma- tions. Simpson cite le cas d'un foetus dans le bras fut amputé par un repl
e la Société d'Anthropologie (1890, p. 224 et 489) ; il s'agit d'un cas d'Hémimélie dans lequel la présence de bourgeon
d'Arnientiércs . d'Armcntieres. Différents auteurs ont décrit des cas de folie survenant t chez des jumeaux, et insis
que 12 ans). Soukhanoff dans un travail paru en 1900 ', a réuni les cas de confusion mentale avec excitation, folie cir
ublions aujourd'hui, est un exemple fort remarquable de ce genre de cas . ODSERVATI015. - Quinzeb... (Alphonse-Désiré),
ême évolution. Il ne saurait être question de folie induite dans ce cas par la simple raison qu'il s'agit de paralysie
Faut-il admettre une simple coïncidence ? La similitude des deux cas nous paraît trop grande pour qu'il n'y ait aucu
il n'y ait aucun rapport entre eux. Il s'agit bien, pour nous, d'un cas de folie gémellaire apportant une contribution
s originale à l'étude de l'étiologie de la paralysie générale. Un cas intéressant de paralysie faciale double d'origi
DIAX-DELGADO. On a écrit beaucoup sur la paralysie faciale, mais le cas que je vais rapporter, mérite je crois d'être p
nerf, lorsque celui-ci augmente de volume par l'inflammation. Ce cas enseigne que pour faire un bon pronostic dans les
sses erreurs. Enfin, nous avons cru devoir le publier, car c'est un cas original devoir, chez le même malade, deux para
cales de Lyon, 21 mars 1900.). M. Lannois rapporte l'histoire d'un cas de vertige familial ob- servé chez une petite f
isinage. La surdité serait bilatérale dans les trois cinquièmes des cas . D'après May, dans la moitié des cas, il y aura
ans les trois cinquièmes des cas. D'après May, dans la moitié des cas , il y aurait auparavant des lésions plus ou moi
ourliennes, l'otite externe de Fournie. Il cite, en terminant, un cas de guérison de surdité ourlienne unilatérale, c
e trouvait que dans les lésions nerveuses périphériques. Dans trois cas , MM. Lannois et Fayolle ont vu l'hypertrophie,
hie, osseuse accompagner l'hypertrophie musculaire. Dans deux des cas , il n'y a eu ni mensuration, ni radiographie. Dan
'une simple hypertrophie sans dystrophie osseuse, alors que dans le cas de Destol, l'os était altéré. t. Deux causes pe
inal, par un mécanisme analogue à celui qui s'observe dans certains cas de paralysie infan- tile à extension tardive. G
qu'on admette une névrite spontanée, fait sans précédent. C'est un cas unique de paralysie exactement limitée au nerf
ment limités au nerf musculo-cutané, montrent que lorsqu'en pareils cas il y a anesthésie de l'éminence thénar et du pouc
est plus tardive, modérée, peu étendue : elle fait défaut dans les cas bénins. La sensibilité à la pression est en gén
du froid sont séparés. 380 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans les cas d'empoisonnement intense, on a noté parésies et
. (Cenl1'alúl. f.Nervenlieillc., XXIII, N. F. XI, 1900.) C'est un cas de maladie de Thomsen d'une espèce particulière.
depuis il a observé trois 38 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' cas dans lesquels, sans aucun doute la syphilis a été
tés du corps : elles sont parfois perceptibles au contact. Certains cas témoignent de différences entre la sécrétion de
sme de la phonation adaptée à cet instrument, montrent que c'est un cas de véritable bégaiement dans l'acte de sonner d
'ailleurs être le siège d'un trouble de l'innervation de ce genre : cas d'Oppenheim chez un trompette ; de Struempell c
s peuvent être autres que ceux des parents, et qu'il faut en chaque cas tenir compte de l'influence paternelle ou mater
trouble de la cornée, plusieurs fois de la parésie, jamais, en tout cas , les accidents épileptiformes des parents. Pour
es phénomènes hypnotiques, avec l'analyse psycho- logique exacte du cas à traiter. P. KERAVAL. LXXXIV. A propos d'un ca
logique exacte du cas à traiter. P. KERAVAL. LXXXIV. A propos d'un cas d'achondroplasie; par R. Cestan. (Nouv. Iconogr
us les symptômes ni de tous 394 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. les cas , mais il ne faut pas oublier que les lésions créé
nt simuler une tumeur ; 3° Affections à foyers multiples : dans ces cas , la syphilis peut ressembler à la sclérose diss
ringe- myélite : l'auteur se borne il la signaler n'ayant pas vu de cas où la syphilis l'ait simulée ; 10° Nerfs périph
la pratique orthopédique et il signale et rapporte quelques-uns des cas les plus intéressants qu'il lui a été donné d'o
suivi de succès, facilitait le diagnostic : l'auteur ayant eu deux cas de mort dans cette maladie, ne peut partager ce
te maladie, ne peut partager cette manière de voir : il rapporte un cas que nous résumons ici : Homme de quarante ans,
logique de- Brooklyn (à laquelle il communique ce travail) un autre cas de paramyoclonus multiple chez une jeune irland
Le début de la maladie remonte actuellement à dix-huit mois. Ces cas ne sont pas communs. Hammond dit que cette maladi
eront ici leur indication formelle. Rien n'est plus utile en pareil cas que l'ensemble des états de calme que réalisent
tre bulbaire et cérébelleuse, spinale, ou périphérique et due en ce cas à de la névrite multiple. Elle peut apparaître
pson et de \1'illiamsou. L'ataxie bulbaire 'comprend la plupart des cas publiés par Leyden sous le nom d'ataxies centra
atteint, et les symptômes bulbaires sont les plus saillants : ces cas , ainsi qu'on l'a déjà fait remarquer se rattachen
spinale syphilitique. Au point de vue des symptômes, dans tous les cas rapportés par l'auteur, l'ataxie était particul
r ou de température. Les réflexes du genou étaient abolis dans deux cas , légèrement exagérés dans un troisième. Il exista
adie. On peut dire que le pronostic est plus favorable que dans les cas ordinaires de paralysie spinale syphilitique ou
aboutis- sant soit à l'hémorragie, soit au ramollissement. En tout cas l'absence de fièvre et de douleur et la rapidit
des raisons qu'il déve- loppe, l'auteur pense qu'il s'agit dans les cas qu'il a observés d'un ramollissement brusque pa
E-CLAY. XCII. Anesthésie. Paralysie périphérique : observation d'un cas peu commun de paralysie brachiale bilatérale su
er M. Bmcwcn. (The New Y01'k Médical Journal, 27 avril 1901.) Ces cas ne 'sont pas communs, cependant plusieurs chirurg
ique du sujet : cet historique est nécessairement court, puisque le cas publié par l'auteur et que nous allons résumer ic
xplications ou interprétations que les auteurs ont données dans des cas semblables ou simplement analogues et constate
analogues et constate qu'aucune d'elles ne s'applique exactement au cas dont il s'agit. Mais quelle que soit l'explicatio
le bord de la table ; en outre il ne faut avoir recours que dans le cas de besoin réel à la rotation et à l'hyper-exten
oit être plus fréquente que ne le laisserait supposer la rareté des cas publiés. En présence de ces phénomènes d'aspect
ctions organiques du système nerveux, le nombre croissant enfin des cas mixtes et des cas de transition, il semble légi
du système nerveux, le nombre croissant enfin des cas mixtes et des cas de transition, il semble légitime de conclure enc
pas tentée. Con- trairement à ce qui se passe d'ordinaire en pareil cas , la ponction donne un peu de sang et une ecchym
ement et sortit guérie. , L'auteur fait remarquer, à propos de ce cas , que l'on a une ten- dance fâcheuse à considére
épour- vue de tout danger, alors qu'elle peut, comme c'était ici le cas , donner lieu il des troubles fonctionnels parfa
de commettre l'acte criminel incriminé. ' P. SÉftrLU\. XVIII. Un cas de meurtre par impulsion homicide pure ; par J.
Mental Science, avril 1901.) Il n'est pas commun de rencontrer des cas de meurtre commis par une personne d'ailleurs r
ion. - M. Wigles\\'oorth termine par quelques considérations sur le cas de cette malade au point de vue médico-légal, e
78 comme atteints d'épilepsie psychique. La plupart de ces derniers cas ne seraient pas qualifiés d'épileptiques si ce
vent place quelques observations intéres- santes). Dans beaucoup de cas d'homicide épileptique, la cons- cience est con
eptiques où le crime est commis en état d'inconscience absolue. Ces cas s'accompagnent fatalement d'amnésie. La quest
ogie criminelle, novembre 1001; janvier 190.) Comment concilier les cas si fréquents d'infanticide avec l'ins- tinct ma
mée pendant des années à l'asile de Villejuif. ' L'intérêt de son cas réside dans la logique et la correction par- fa
colora- tion les centres nerveux de nombreux épileptiques dans des cas de mal comkial essentiel aussi bien que dans de
ce de la lésion en foyer du centre de l'audition. S'appuyant sur ce cas et sur des faits analogues, les auteurs propose
a une grande importance. Cet exa- men n'ayant pu être fait dans ce cas , les présentateurs basent leur diagnostic de po
que. Ils croient aussi assez important, pour le diagnostic, dans le cas actuel, le fait que des lésions assez accentuée
e qui est l'équivalent d'un réflexe physiologique provoqué, dans le cas actuel, par une lésion du nerf sous-orbitaire,
ic mais bien un spasme. 1 M. Dastros lit une communicaticn sur un cas de syndrome de Bénédict avec autopsie. ' M. I
n'est atteinte nulle part. Il n'y a aucune lésion auriculaire. Ce cas , intéressant par le caractère presqu'exclusivemen
ira- toires et les hattements cardiaques, que l'on observe dans ces cas . Cette dissociation serait due à l'anémie encép
traumatisme et les consé- quences graves qu'il peut avoir dans les cas de lésions organiques des centres. Cette indica
mie spinale, la pneumococcémie ou pneumococcie ; mais dans certains cas et en particulier dans le cas rapporté par l'au
u pneumococcie ; mais dans certains cas et en particulier dans le cas rapporté par l'auteur, l'agent pathogène peut êtr
à la conduite à tenir, elle doit être celle que l'on tient dans les cas d'une fracture de la base. Contre l'amaurose,
hopédique non sanglant ; 2° les ostéo-arthropathies infec- tueuses ( cas de l'observation de l'auteur) où les intervention
esque tou- jours modifiés dans la chorée de Sydenham, 90 p. 100 des cas . Dans presque toutes les formes un peu intenses
mes un peu intenses de la maladie, ils sont affaiblis 80 p. 100 des cas . La chorée touche l'encéphale comme le démontre
horées. Comme lésions anatomiques on trouve dans un grand nombre de cas mortels de la chorée vulgaire des lésions infla
rs miliaires d'inflammation, des thromboses vas- culaires. Dans les cas de chorée chronique on rencontre les mêmes lési
au Petit Journal le fait suivant : « Les aliénistes s'occupent d'un cas sans précédent dans les annales de la psychiatr
CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. - PROFESSEUR RAYMOND. Sur trois cas d'hémianopsie ; MESSIEURS, Nous avons actuell
optique centrale, sur laquelle plane encore maintes obscurités. Les cas pathologiques, qui vont servir de thème à cette
étendue du champ visuel, des deux côtés, sauf H'ig. 19. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 4335 toutefois dans une étroite
espérales; elle est tombée dans un état d'ané- Fig. 22. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 437 mie accompagnée d'une grande
aussi bien quel'ensemble de ses facultés intellectuelles. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 441 ( 'Diagnostic - Messieurs, d
ui doive nous étonner. Sans doute, dans la très grande majorité des cas , les manifestations convulsives de la syphilis
alade n'aille en progressant. Deuxième exemple clinique. Ce premier cas est à mettre SUR trois cas d'hémianopsie. 443
Deuxième exemple clinique. Ce premier cas est à mettre SUR trois cas d'hémianopsie. 443 en parallèle avec celui d'un
inées avec l'administration interne de l'iodure de potas- SUR TROIS cas d'hémianopsie. 447 I \ sium. Une certaine amé
ntualité se réalise, que l'amélioration aille en progressant. En ce cas , j'inclinerai volontiers à incriminer la syphil
n mari est affecté du tabes, et, dans la très grande majorité des cas , cette maladie se développe chez d'anciennes syph
ils se tassent, pour constituer le tronc du nerf, lequel, SUR TROIS CAS D'HÉMIANOPSIE. 449 9 après avoir traversé la ch
ennes du nerf optique, le premier est de beaucoup le plus SUR TROIS cas d'hémianopsie. 451 important ; il reçoit enviro
yons maintenant de quelle façon les choses von t se passer dans les cas où une lésion intéresse la voie optique dans sa
est entendu que les fibres nerveuses,' dont se composent SUR TROIS cas d'hémianopsie. 453 les bandelettes optiques, vo
Vicleo2u's A1'chiv t. tS'J9, CLVIII, fasc. 3, p. 4fi6.) SUR TROIS cas d'hémianopsie. 455 métrique très minutieux démo
latives à la conservation de la vision centrale, des deux côtés, en cas d'intégrité de la partie posté- rieure du fond
ster, si la vision centrale est habituelle- ment conservée dans les cas d'hémianopsie d'origine corti- cale, ce serait
on Monakow, l'intégrité habituelle de la vision, centrale, dans les cas d'hémianopsie, serait imputable à ce que la rég
ianopsie homonyme laté- rale, et il en sera encore de même, dans le cas d'une lésion qui désorganise la zone corticale
ant qu'il s'agisse de lésions corticales,.puisque nous ne SUR trois cas d'hémianopsie. 487 sommes pas encore fixés sur
associée à la perte de la vision des objets; c'est précisément le cas chez les deux malades que je vous ai présentées.
insi, chez le troisième malade qu'il me reste à vous présenter. Son cas est particulièrement intéressant, en raison de
on constate chez lui, en sus des troubles de la vision. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 459 Troisième exemple clinique.
race ne rappellent en rien l'écri- ture dite en miroir. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 463 b Je vais le faire écrire
testablement ce désordre du langage écrit ne s'observe que dans des cas de lésions de l'hémisphère gauche. Pour ce qui
lies successives, à quelques jours d'intervalle ; car, ne SUR TROIS cas d'hémianopsie. 465 l'oubliez pas, avant son att
vale, qu'en faveur de lésions corticales diffuses, comme c'était le cas chez les deux malades présentés en premier Arch
oire de distribution de l'artère cérébrale postérieure. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 467 térieure. En effet, ce vaiss
MIANOPSIE. - Messieurs, je vous avais promis de mettre à profit les cas de nos trois malades, pour vous tracer une sort
iques donnent incontestablement lieu à de l'hémianopsie. En pareils cas , celle-ci se présente également sous la forme h
, qu'on a représenté comme faisant toujours défaut dans le second cas et qu'on observe seulement, mais pas toujours,
second cas et qu'on observe seulement, mais pas toujours, dans les cas de lésion du corps genouillé externe ou du pul-
ue cette réaction pupillaire fait défaut, quand la source SUR TROIS cas d'hémianopsie. 469 9 lumineuse est dirigée sur
es optiques dans toute son épaisseur (en A fig. 30), et là c'est le cas habituel, quand la lésion siège au voisinage du
e, quand la lésion siège plus en amont, à la base du crâne; en ce cas , elle peut n'intéresser qu'une portion limitée d'
gauches, des deux champs visuels. Les malades n'en ont SUR TROIS CAS D'HÉMIANOPSIE. 47'1 pas conscience (du moins da
e com- pliquer d'une hémianopsie gauche, ou vice versa. En pareil cas , la vision centrale est seule conservée, ce qui s
Werniqke (réaction pupillaire hémianopsique) fait défaut, dans les cas d'hémianopsie corticale ou sous-corticale. Cett
lésion du pédoncule cérébral (hémiplégie motrice, plus SUR TROIS cas d'hémianopsie. 473 rarement hémianesthésie), av
vons pertinem- ment que les unes et les autres dégénèrent, dans les cas de lésions destructives de la zone corticale vi
ts soit normal, soit patho- logique est variable suivant les divers cas 1. Intense, elle s'exerce soit méthodiquement e
rtains d'entre elles. Ayant fait un examen complet et soigné d'un cas de délire par introspection mentale, particuliè
amenée à faire des hypo- thèses plus ou moins compliquées, en tout cas toujours très nombreuses qui cadrent d'ailleurs
si le rôle que l'introspectioi tale joue dans la genèse de certains cas d'halluci dites psycho-motrices. Est-ce là une
uer ici un rôle capital. Nous ne voulons pas cependant baser sur un cas isolé toute une théorie des hal- lucinations ps
avons voulu simplement insister sur la genèse et le mécanisme d'un cas observé attentivement et mi- nutieusement, sans
ieusement, sans doute ce mécanisme doit se rencontrer dans d'autres cas ; l'examen psychologique dans chacun de ceux dan
penser, le mécanisme et la genèse même de ces hallucinations. Le cas est typique et c'est pour cela que nous l'avons c
suit dans notre for intérieur et qui dans la ma- jorité extrême des cas n'arrive pas à ébaucher un mouve- ment articulé
Eu d'autres termes, la perception de la synthèse psychique dans ce cas comme dans un grand nombre d'autres du même gen
dédaigné, aussi croyons- nous utile de publier aujourd'hui ces cinq cas de paralysie générale conjugale que nous avons
aralysie générale conjugale que nous avons pu réunir. L'étude des cas de ce genre est des plus fructueuse, malheureusem
ralytique. - , Mais la syphilis, ne peut être trouvée dans tous les cas , probablement parce qu'elle n'est pas toujours
n III, la seule cause que nous y ayons relevée. Dans le quatrième cas , ni alcool, ni syphilis, un trauma- tisme crâni
de la paralysie géné- rale chez la femme. Dans aucun de ces cinq cas , l'apparition delà même affec- tion chez les co
e le résultat d'une simple coïncidence. Si dans les deux premiers cas , où la syphilis conjugale paraît enjeu, le lien
l'ap- parition chez elle de la paralysie générale. Dans les cinq cas l'affection évolua à peu près simultané- ment c
la para- lysie générale. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXXIX. Un cas de psychose post-opératoire ; par M. Orlon, de la
sparut quand la malade commença à aller mieux. D'après l'auteur, ce cas ne peut être attribué à l'atropine, puisque la
a campiinétrie suffit pour diagnosliquer l'atrophie au début; en ce cas , les données périmétriques prennent une importa
d'atrophie autour d'elle, marche avec une extrême lenteur. Dans les cas très rares où l'amblyopie commence par un scoto
e, il a fait une myosite. Le trouble de la mémoire a, dans les deux cas , porté sur les faits récents, avec des variatio
e à l'ombre d'une pupille insensible à la lumière peut, en certains cas , produire la réaction consensuelle de l'autre p
he habillé, après avoir écrit quelques mots sur un. papier, pour le cas où il perdrait 800 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
ultiple, qui ont été retrouvées par Buzzard et Bevan Lewis dans des cas où la para- lysie agitante ressemblait extraord
ou sans causes occasionnelles : ceci peut aussi avoir lieu dans le cas de constitution congénitale sans syphilis. Préd
naitre ; le diagnostic rapide et le prompt traitement effectif d'un cas de folie dépendent de l'avis du médecin ordinai
'insuffisance des garanties données à la sécurité publique dans les cas de mise en liberté de certains alié- nés danger
OLOGIE Séance du 15 niai 1902. Présidence DE M. GOM13AULT. Sur un cas d'endothéliome épilhélioïde du noyau rouge. MM.
noyau rouge. MM. RAYMOND et CESTAN présentent les préparations d'un cas de tumeur épithélioïde de la région pédonculair
agit bien là d'une algie d'origine centrale. M. Ballet a vu trois cas semblables. sociétés savantes. 513 M. RAYMOND
te aucnn fait probant. M. RAYMOND. - 11 faut aussi tenir compte des cas de tabes qui guérissent sans traitement ou avec
le corps est en repos ou qu'il est en mouve- ment ; dans le premier cas il est statique, il est cinétique dans le secon
l » pourrait s'appliquer à ce mode de perturbation. Dans certains cas de lésions auriculaires le vertige est irrégu-
tige voltaique qu'il est utile de connaître ; on l'observe dans des cas de lésion des deux oreilles avec surdité complète
d'une chute de quatre mètres de hauteur, il rappelle trois autres cas analogues. Le traumatisme médullaire est en effet
che pour la seconde proposition. M. Touche présente les pièces d'un cas de cécité avec conserva- tion de la vision inte
tziennes, les rayons X, le radium ne donnent rien). Deux nouveaux cas de lésion limitée du bourrelet du corps calleux.
orps calleux. MM. PELN\R et Scalicka (de Prague). Il s'agit de deux cas de décoloration brunâtre du bourrelet du corps
deux cas de décoloration brunâtre du bourrelet du corps calleux; un cas anté- rieurement présenté donna heu à une discu
sphères et M. Marie qui en faisait une lésion locale. Dans les deux cas actuels, il y a aussi des lésions corticales, mai
s intéressantes du service. Le premier chapitre est consacré à un cas d'affection familiale à symptômes cérébro-spiazau
l'autopsie a montré une atrophie cérébelleuse très accentuée. - Un cas d'¡di9- tie myxoedémateuse, très améliorée parl
l'cesophage chez les idiots : Mort par hématémèses foudroyants. Un cas d'idiotie symptoma- tique, de pochynzéaziazgite
es intermittents présentant de l'excitation maniaque : même dans ce cas , la pensée du dément précoce se meut dans un cerc
nical, en somme sous forme inorganique, il y a dans la majorité des cas des phénomènes d'intoxication. Le cacodylate de
ique ; les injections rectales peuvent êlre employées dans certains cas et en cas de nécessité son administration par la
injections rectales peuvent êlre employées dans certains cas et en cas de nécessité son administration par la bouche e
upa, Benedikt, Kussmaul, Gutzmann, Waldenburg en- citent quelques cas ; mais ce n'est qu'avec Coën (de Vienne) que comm
ous les faits, sans exception, qu'il a observés. Ce ne sont pas les cas « intéressants » qui ont le plus d'importance.
éjà, et on croit tout savoir quand on a classé un certain nombre de cas typiques. Pour chaque malade Kraepelin a établi
e la maladie pouvait permettre de le faire avec certitude. Tous les cas observés ont, dans ce but, été suivis pendant l
es ont fourni des résultats souvent surprenants. Les mille premiers cas se répartissent ainsi : · 530 VARIA. très d
Frledlander, 64. Bergeron. Voir Myoclonie. li«01'\-SI : QU.WSD. Cas de syndrome de -. par François, 46. Cacodylat
ue progressive, par C1.-A. Good, 56. Voir Ilunlinglon. Quel- ques cas de-, traité par le caco- dylate de soude, par L
GOWEITS. Voir Fibres spinales ascen- rlarsles. Grossesse. Deux cas de fausse , par Le Menant des CLrsnais, 2ta.
évrose. L' - et les suggestions h\ PlJotlilues, par Vires, 50. Un cas d' - tell11l ! 1é par la 111011, par Solller, 3
idiotie, par Bourneville, 517. IIS'S1'E ! t0 LPILEPSIE. Note sur un cas d' - à crises distinctes, avec fcchymoses spo
dans la syphilis spinale chro- nique, par Long et Wiki, 143. Deux cas de compression lente de la -, par Bnssaud et Fe
s de compression lente de la -, par Bnssaud et Feindel, 241. Deux cas d'une tumeur ayant compnmé lentement la -, par
41 - après amputation, par Bikeles, 303. Monoplégie crurale. Deux cas (le par Brissaud et Londe, 81. " TABLE DES MA
os - par Souques, 242. Myélite aiguë. Léstonsdé5énéraVves dans un cas de -, par G. Bilieles. 136. ? pa : 13;l : eles,
rashiéme. Voir Folie. Voir Acide urique. Névralgie parestbésique. Cas peu commun de - avec bâterie inter- mittente,
res, par Glorieux, 53. - trémulante. Trai- tement hypnotique d'un cas de - chez une lemme de soixante-seize ans, pa
G amque et l'O\CTIO\1 : L, parGaupp, 388. OSTI : O-ARTItOPATIIIG. Cas rare d ? par Gasne, 49. Des d'origine synngom
udisme et de la géné- rale, par Marandon de \Ionty'el, 217. Trois cas de - chez des femmes jeunes, par Worcester, 2
énérale gémellaire homomorphe, par Ké- ¡aval et Itaviart, 370. Un cas de - faciale double, par Dias-Del- gado, 372.
térieures du plexus brachial, par Btassert, 390. - périphérique ' cas peu commun de - brachiale survenue pendant la
- géné- raux, par leznil,o\v. 494. Paraplégie spasmodique dans un cas de compression de la moelle dor- sale éqUival
, 502. , Poliomyélite. Voir Monoplégie cru- ralle. Polynévrite. Cas de d'origine grippale. Cas de - d'origine diph-
Monoplégie cru- ralle. Polynévrite. Cas de d'origine grippale. Cas de - d'origine diph- térique, par Glorieux, 47.
tion des globules TABLE DES MATIÈRES J11 blancs du- dans quelques cas de paralysie générale, par C. H.Jenko, - 132.
401.' z Toema, Voir Kystes parasitaires. ToXIC01>110131E. Un' cas de par H. Lemesle, 2tt}. Transmissibilité hér
47 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
let 1897. N° 19. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. \ ? (Symptôme
d'hémorragies anciennes ainsi que d'hémorragies récentes. » ' UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 3 Le diagnost
spécialement l'hallucination unilatérale de la vue. Pendant tout UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. à le séjour à
pe ! , médecin des hôpitaux, qui nous a guidé dans cet examen. UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 7 Quelques-un
donc être posé d'une façon assez rigoureuse. A ce point de vue, ce cas rappelait celui qui a été décrit par UN CAS DE
A ce point de vue, ce cas rappelait celui qui a été décrit par UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 9 M. Brissaud
fait remarquer en outre l'in- tégrité de la 5° paire. Dans notre cas , le diagnostic de tumeur cérébelleuse une fois
ge de la malade. Ce symptôme est absolument excep- tionnel dans les cas de tumeur du cervelet et de la protubé- rance ;
x faits qui puissent en être rapprochés plus ou moins. Luys cite un cas de Blin 2 où l'on trouva à l'autopsie un kyste
émités. Nothnagel8 enregistre une observation d'Oliver qui, dans un cas de gliome du lobe moyen, nota des changements d
oteurs dans les lésions de la protubérance et citent à ce propos un cas de Rendu (Elévation de la tempéra- ture au bras
ent en une démence progressive. Il n'est guère possible, dans notre cas , d'expliquer l'anémie unilatérale autrement que
3, 34, et Compte rendu de Bicélre, pour 1888. . Nothnagel cite un cas analogue de Lépine. 3 Jacobsohn et Jamane. Sur
sse cérébrale inférieure. (Arch. f. Psychiatrie, 29, 1, 1896.) UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 11 être là au
iquer la parésie qui aurait existé au début. Pour conclure, notre cas nous paraît jusqu'à un certain point remplir le
ait pas encore décrit les troubles vaso-moteurs de la face dans les cas de ce genre, sauf l'inflammation vaso-paralytique
ner deux catégories de faits : d'une part (comme toujours en pareil cas ), on peut attribuer l'inertie intellectuelle et
s survenant en dehors de toute intoxication alcoolique ; d'une UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 1 ri part la
précises et aussi singulières » que dans notre observation; dans un cas il y avait coexistence d'hallucinations mobiles
es et immobiles, d'ailleurs invariables d'aspect. Ferberg2 sur 38 cas qu'il a recueillis dans la littérature, note, s
illis dans la littérature, note, sans donner d'autre détails, trois cas d'hallucinations de la vue. D'autre part Macabi
ssent rares (du moins elles n'ont guère été enregistrées), dans les cas de lésions du cervelet. Nous noterons le cas curi
nregistrées), dans les cas de lésions du cervelet. Nous noterons le cas curieux mais complexe de Laborde cité par Leven
ressemble beaucoup à celle de M. Bris- saud, mais, dans ce dernier cas , il est à noter que malgré la similitude de la
'une modification de la forme des dendrites fines, et dans certains cas d'un développement de ramilles nouvelles. L'a
s facultés mentales. M. Raymond, tout récemment a constaté, dans un cas de tumeur du cerveau un anéantissement des fibr
iens entre les dendrites et les fibres cylindraxiles; dans tous les cas de démence, fût- elle amenée par une lésion org
a mémoire, en forme d'amnésie et de réminiscences fausses. Dans des cas de para- lysie générale et de démence sénile, d
es nerveuses terminales. Il existe en outre, du moins dans certains cas une altération de la structure de la substance
e faits de l'époque de sa maladie, ce que nous obser- vons dans les cas de psychose polynévritique qui finit par une gu
rones isolés entrent en connexions réciproques dans la majorité des cas à l'aide de contacts des dendrites et des fibre
issances de la texture fine du système nerveux ; mais dans tous les cas la théorie que nous venons d'exposer jette une
TIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DU MUTISME CHEZ L'ENFANT QUI ENTEND. (UN cas DE GUÉRISON.) Par Auguste BOYER, Professeur a
ative chez d'autres et après une opération chi- rurgicale 'dans les cas de vices de conformation des organes vocaux. Ma
es dernières observations de M. Ladreit de Lacharrière concernent 2 cas de mutisme persistant dans les- quels la parole
de naissance ne nous semble pas constituer à propre- ment parler un cas d'aphémie, d'aphasie motrice. L'aphémie est en ef
de la langue, du palais, des lèvres (Charcot-Bouchard). Or dans le cas de mutisme de nais- sance il n'y a ni perte des
tal. 30 THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. muets de Paris'. Or, un cas de ce genre vient précisément de se présenter d
dans la relation qui va suivre tous les détails désirables sur le cas dont il s'agit. Puisse cet exemple permettre de r
manière particulière le savant praticien ainsi que ses élèves. 3 Le cas de mutisme chez l'enfant qui entend semble être p
xpression du Dr La- vrand : « Nousavons constaté un grand nombre de cas de mutité chez des enfants entendants. » (Mémoi
III. L'exemple du jeune D... nous paraît justifier, dans cer- tains cas , l'admission d'enfants semi-idiots ou arriérés pr
re suivi est (loin d'être absolu, et qu'il est à modifier selon les cas . C'est cette méthode qui nous a réussi, entre a
r notre service de Bicêtre nous publions des observations sur les cas intéressants, en même temps que nous exposons l
ntanément, là elle a été enlevée; les effets sont .les mêmes. Les cas de crétinisme endémique se rapprochent beaucoup d
bués au choc sont dus à l'intoxicatior par l'anesthésique. Dans les cas où le malade vient de subir un grand traumatism
l. de la soc. de méd. ment, de Belgique, septembre 1896.) Dans 10 cas de démence sénile avec insomnie, le trional, admi
d'après GoweiS, une première attaque serait la cause de nombreux cas d'épilepsie. Il importe surtout de savoir dépiste
les sujets affaiblis par une longue maladie. P. II ELL.11. VU. Un cas DE mélancolie avec lipome; démence apparente ; op
ive. R. DE IUSGRAYE-CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Sur un cas DE maladie DE LITTLE; par M. leprofesseur f. Raym
ofesseur f. Raymond. (Semaine médicale, 1897, n° 1.) II. SUR deux cas DE sclérose latérale amyotrophique A début bulb
Little pour justifier le nom de maladie de Little appliqué à ce cas ; mais ce n'est là que le diagnostic clinique,
mptômes et les lésions constatées à l'au- topsie. Revenant alors au cas qu'il présente, M. Raymond montre l'extrême dif
pliqué de la sclérose latérale amyotrophique que soulèvent les deux cas suivants : Dans le premier la maladie est déjà
ligne; seulement cette association habituelle obligatoire dans les cas de sclérose latérale amyotrophique peut faire d
s cas de sclérose latérale amyotrophique peut faire défaut dans les cas d'atrophie musculaire progressive. Toutefois, l
diques dans la sclérose latérale, et qui consiste à dire : dans les cas de contracture posthémiplégique le faisceau lat
t aussi la sclérose latérale amyotrophique et il en est de même, le cas de Leyden nous montre la lésion sans le symptôm
e même, le cas de Leyden nous montre la lésion sans le symptôme, un cas de Senator résumé ici nous montre le symptôme s
intensité décroissante le type inverse de ce qu'on observe dans les cas de lésions en foyer de la zone psycho- motrice
ive; elle doit l'être d'abord par l'ana- tomie pathologique, car le cas de Senator n'est qu'une exception et à la dégén
ier le bénéfice d'un traitement hâtif à l'hôpital ; enfin, pour les cas obs- , curs et difficiles, elle subordonne l'ex
l'hypospadias. M. CHRISTIAN croit qu'il n'y a anomalie que dans le cas où l'or- gane ne peut fonctionner normalement.
emande beaucoup de précautions remarqua l'auteur, car il y avait un cas , chez le professeur Op- penheim, où un malade m
liorer. Le sucre disparut totalement de l'urine après un mois. Le cas donné, d'après l'auteur, présente un tableau clin
ès compliqué et de certaines particularités, qui le distinguent des cas de paralysies asthéniques, décrites déjà auparava
cles de la langue et du palais mou est une seconde particularité du cas décrit. Cette atrophie qui restait sta- tionnai
reste des symptômes et le cours de la maladie apparaissent dans le cas cité, d'après l'auteur, très caractéristiques p
lbaire asthénique, ce qui donne à l'auteur le droit de les unir aux cas peu nombreux de cette maladie, qui ont été décr
ement de l'endroit et du caractère des changements morbides dans le cas en question. M. KORNILOFF hésite à rapporter
le cas en question. M. KORNILOFF hésite à rapporter totalement ce cas à la catégorie de la paralysie asthénique, vu q
ue. M. JAKovENKO trouve qu'il serait plus juste de donner dans ce cas à la maladie en question, le nom de paralysie ast
s du rapporteur et pense que l'atrophie désignée plus haut, fait ce cas très précieux ; il admet que dans certains cas
e plus haut, fait ce cas très précieux ; il admet que dans certains cas de paralysie asthénique des degrés différents d
même, par les signes de dégénérescence. M. le professeur RoTH. - Un cas très rare de développement d'iinner- vation mus
e congénitale, comme entité clinique. Le rapporteur a observé douze cas de maladie 78 SOCIÉTÉS SAVANTES. de Little, d
u. Remarques de M. le professeur Kojewnikoff. II. M. ORLOVSKY. Un cas de gomme syphilitique de la moelle épi- nière.
inor et Mouratoff. Séance du 20 septembre 1896. I. Mouravieff. Un cas d'encéphalite hémorragique Aiguë. Il s'agit d'u
orps géniculé interne. D'après l'avis du rapporteur, il s'agit d'un cas de poliencépha- lite hémorragique aiguë supérie
du mécanisme anatomique vas- culaire dans ces régions. En outre ce cas confirme l'opinion que le même cas peut provoqu
re dans ces régions. En outre ce cas confirme l'opinion que le même cas peut provoquer des procès morbides en même temps
stence des phénomènes inflammatoires et dégéné- ratifs. Le second cas , pris de la clientèle privée de M. Rossolimo, con
ation des facultés psychiques. Les phénomènes oculo-moteurs dans ce cas sont sans doute d'une origine centrale ; il est
ussioa.-11. Rossolimo indique que d'après ses observations dans les cas d'encéphalite hémorragique aiguë circonscrite, on
, ni faits. M. Mooratoff trouve possible d'admettre dans le premier cas , l'existence des hémorragies, comme suite de l'
aux de longue durée dans laparalysie générale. L'auteur décrit deux cas . de convul- sions cloniques continuelles d'un c
alles entre les accès épileptiformes chez des paralytiques. Premier cas , hémi- plégie et aphasie, accès épileptiformes
ôté droit. L'autopsie donna les mêmes résultats que dans le premier cas : en outre des dégénérescences descendantes sec
cubital. L'auteur rapporte les hyperkinésies classiques de ces deux cas au groupe des mouvements choréïformes, et athétoï
n que la possibilité de leur origine corticale, les rapprochent des cas d'épilepsie partielle continue décrite par l' M
' M. le professeur KOVALEVSKY (de Varsovie) mentionne plu- sieurs cas semblables de sa pratique, mais qui ne donnent pa
la méthode si fructueuse de son maître Charcot, M. Raymond part de cas cliniques, rappro- chés et discutés, pour établ
e l'autre, si le diagnostic différentiel est faisable dans bien des cas , sur le terrain de l'anatomie patholo- gique, i
nfections est considérable. Le professeur Raymond étudie d'abord un cas clinique de polynévrite sulfocarbonée, les para-
alpêtrière ce traitement a été systématique- ment institué. Dans un cas le traitement a été suivi de la dispari- tion p
sibilité musculaire ont diminué proportionnellement. Dans un second cas , l'amélioration a porté sur les mêmes symptômes
. L'histoire de la paralysie alterne est complétée par l'étude d'un cas remarquable d'hémi- plégie alterne sensitive du
n sont plus fréquents qu'il ne semblerait au premier abord. Dans le cas actuel, il s'agit d'une forme rare, une aboulie
Surgical Treatment of Epilepsy. )) D'' A. Voisin (de Paris) : « Un cas d'épilepsie jacksonienne traité avec succès par l
schen (de Upsala), G. Ballet (de Paris), A. Voisin (de Paris). UN cas d'instabilité mentale avec perversion DES INSTINC
se ces états de service, et je ne sais rien de plus tragique que le cas d'un père qui, après avoir essayé tout, trop cert
14 février 180' ? .) Nous avons déjà rapporté un certain nombre de cas analogues, qui, groupés, pour- raient servir de
je voudrais vous parler des rap- ports qui existent entre certains cas de maladies du système nerveux et la maladie qu
même rôle dans la production des polynévrites. Mais à côté de ces cas directement et entièrement impu- 1 Les myélites
s myélites infectieuses. Rapp. au Congrès de Bordeaux, 1805. - Deux cas {l'hystérie provoquée par une maladie aiguë (fièv
oire, partiel, ou même impossible établir. - Et alors pour tous ces cas grande est' l'obscurité de leur étiologie et pa
à savoir si réellement, comme je le crois, il y a dans beaucoup de cas un rapport entre la sclérose multiple disséminé
veux bien caractérisée. Si maintenant nous poursuivons l'analyse du cas , nous ver- rons que notre malade a autre chose
a sclérose latérale amyotrophique. . Voici maintenant un deuxième cas bien comparable d'atro- phie musculaire encore,
ration des réflexes tendineux. Vous aurez d'avance une idée de ce cas en parcourant quelques-uns des diagnostics insc
grandes articulations de l'arthrite sèche avec craquements... Ce cas est bien analogue au précédent, seulement ici l'a
tance grise. DU SYSTÈME NERVEUX. 109 On peut rapprocher de notre cas le suivant qui est dû à Nonne ' et qui, étant s
oyaux et prolifération du tissu con- jonclif intcrîihrillaire. Ce cas fort intéressant achève notre démonstration. J'in
sence notée d'altération des vaisseaux médullaires montre que ces cas ne sont pas des artérioscléroses, mais que Ja scl
aits qui me paraissent établir nettement qu'au moins, dans certains cas , l'atrophie musculaire progressive peut être as
ue sans difficulté la sclérose des autres organes. Voici un autre cas analogue : il s'agit encore d'une femme ataxiqu
mprendre que par la notion de la com- plexité étiologique. Dans les cas dits parasyphilitiques, le labes par exemple, l
itres. Mais je veux encore citer un autre exemple dont vous avez un cas dans le service, les polynévrites. , 11 s'agi
ose, sa cirrhose hépatique ou s'On emphysème pulmonaire. C'est le cas de dire un mot du rôle, des infections et des i
us rattachons à la sclérose multiple disséminée. Seulement dans ces cas , il se surajoute d'autres éléments étiologiques
elle de la muqueuse stomacale, néphrite chronique. Leudet étudie ce cas comme méningite chronique et donne lalésion gas
1 me semble que j'ai suffisamment étayé ma thèse : dans beaucoup de cas de maladies du système nerveux il y a en même t
ération dans cette manière de voir. Je ne prétends pas que tous les cas de sclérose aient la même pathogénie, le même p
tissu de soutenement : c'est une autre variété. Mais dans les deux cas le résultat final est le même : c'est la sclérose
etulle, Bard et Brault; qu'au fond, ils ont simplement envisagé des cas différents; que tout le monde a raison, chacun
écoles. Je ne chicanerai pas Huchard sur la proportion relative des cas que chacun admet de son espèce : la part laissé
osclérose; que cette artériosclérose est, dans un certain nombre de cas , l'origine de quelques autres scléroses, mais q
l'arthritisme; eaux minérales; iodure.... Puis, comme dans tous les cas où il n'y a pas de traitement spé- cifique trio
cause de ses vomissements. Je ne voudrais pas conclure certes de ce cas que les vomisse- ments incoercibles de la gross
vant de procédera l'avor- tement, quand bien même, comme c'était le cas chez notre malade, on ne constaterait aucun sti
ur vingt-six causes de folie post-opératoire, après avoir exclu les cas d'opérations portant sur le crâne ainsi que ceux
le crâne ainsi que ceux dans lesquels on pouvait invoquer d'autres cas de folie que l'opéra- tion elle-même, et il don
avail le résultat de cette étude ainsi limitée. Sur ces vingt-six cas , dix-sept ont été des cas de manie, dont deux s
te étude ainsi limitée. Sur ces vingt-six cas, dix-sept ont été des cas de manie, dont deux seulement se sont développé
emmes et huit hommes. Une des femmes est morte. Sur les neuf autres cas , il y en avait quatre de mélancolie, un de para
quatre de démence : l'auteur en fait deux groupes, l'un composé des cas de mélancolie et du cas de paralysie générale,
teur en fait deux groupes, l'un composé des cas de mélancolie et du cas de paralysie générale, l'autre formé par les cas
e mélancolie et du cas de paralysie générale, l'autre formé par les cas de démence Dans le premier groupe les symptômes
vent conduire un homme à la perte de sa raison. On peut imaginer un cas où la colère serait remplacée par une maladie p
rrespond pas nécessairement à un relèvement parallèle du nombre des cas de folie, et ce qui confirme encore cette maniè
s et les usurper. Le mécanisme physiologique et pathologique, en ce cas , découle du mécanisme décrit pour l'arrêt. La b
, c'est l'évolution du milieu ambiant. R. DE MusGRAYE-CLAY. V. UN cas DE stupeur mentale prolongée terminé par guérison
e après trois ans et demi de maladie. R. DE11USGRAVE-CLAY. VI. UN cas DE stupeur mentale : guérison après une durée de
u point de vue du diagnostic, l'auteur établit qu'il s'agit là d'un cas de stupeur mélancolique : tous les faits observés
lamma- toire des cellules nerveuses. R. DE MUSGRAVE CLAY. VII. UN cas DE FOLIE diabétique; GUÉRISON immédiate DÈS la DI
tistique par laquelle on est arrivé à trouver une proportion de 273 cas d'alié- nation mentale pour 10 000 prisonniers,
sont pas complètement éli- minés.. R. de i\IUSGlt.IVE-CL9Y. X. Un cas DE FOLIE DEUx; par..... (Occidental Médical Time,
FOLIE DEUx; par..... (Occidental Médical Time, , novembre 189b.) Cas d'un homme de soixante ans entré à l'asile en mêm
toujours connue très nerveuse, viulente, facilement irritable. Ce cas de folie à deux rentre, dit l'auteur, dans la for
donner. Il. BELTAY. il ? ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XII. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE, FORME HYPOCONDRIAQUE, AVEC
'ataxie, etc. Il fut alors évident que l'affection mentale était un cas bien caractérisé du type nommé par les auteurs
ptômes négatifs, ambitieux, et l'absence de l'état de confusion. Ce cas , d'un autre côté, ne correspond pas à la manièr
outefois naturellement impossible de tirer une conclusion d'un seul cas . (Nordiskt J11edicins1ct A2,liis, 1897, Bd. VIII.
re processif peut présenter des rémissions et devenir dans certains cas curables. LWOFF. XIV. Cas montrant l'importan
des rémissions et devenir dans certains cas curables. LWOFF. XIV. Cas montrant l'importance D'UN diagnostic précis dans
ournal, décembre 1896 1.) . L'auteur a eu l'occasion d'étudier 33 cas d'invertis sexuels en dehors de sa pratique méd
Au point de vue héréditaire, on a observé chez 10 d'entre eux des cas d'inversion chez les ascendants. Un petit nombre
s 2 ou 1 Voir dans le t. XIII, p. 255 du même journal, l'ass. de 32 cas . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 145 3 cas «fill
ême journal, l'ass. de 32 cas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 145 3 cas «fillatio » est le mode préféré ; chez les autres
e ce qu'on appelle le tonus psychique individuel. L'auteur décrit 4 cas de lésions de ce lobe. 1° Femme, vingt-trois
e a enucléer. Le reste du cerveau sain. L'analyse détaillée de 50 cas analogues, dont4 abcès et46 tumeurs de diverses
cile à déterminer, elle est pourtant quelquefois réelle. Sur ces 50 cas , 11 i opérations dont 4 abcès et 7 tumeurs ont
4 abcès et 7 tumeurs ont donné 2 succès. F. BOISSIER. III. Trois cas DE NÏ30PLASIES avec formation DE cavités dans la
midal croisé et du faisceau antérolatéral des- cendant gauches. Ces cas montrent que les altérations de la syrin- gomyé
ATHOLOGIQUES. IV. Contribution A la pathologie DE l'épilepsie. Deux cas avec EX- CISION ET examen d'une portion de L'ÉC
a des altérations dans lastructure des portions exci- sées dans ces cas d'épilepsie. Pourquoi donc se refuserait-on à e
ie est telle que Golgi l'a décrite. R. DE Musgrave CLAY. VIII. UN cas DE tumeur du cerveau; par Ii'L8TCI ! 1\ B8.\CU. (
t d'opacité des membranes : les altérations anato- miques, dans ces cas , sont caractérisées par des phénomènes de proli
s arrondies fait presque toujours entièrement défaut, même dans les cas avancés. - La plupart des altérations observées
tres termes le fais- ceau de Bield serait le sien. ' P. K. XI. UN cas DE paralysie DU nerf récurrent gauche DUE A UN AN
ANÉ- vrisme de l'aorte. (Occidental Médical Times, janvier 1897.) Cas d'un anévrisme de la crosse chez un homme de quar
de ce mémoire sont les suivantes : 1° Dans les deux cinquièmes des cas les idiots ont un palais suffisamment bien conf
a différence est une question de degré et non de nature. 4° Dans un cas comme dans l'autre, il s'agit d'un développemen
sensiblement, au-dessous de huit ans, au moins dans la majorité des cas . 6° Il n'existe aucune conformation spé- ciale
t ou ne savent plus exécu- ter, a été appliquée par l'auteur dans 6 cas , dont il donne l'ob- servation : dans tous les
l'auteur dans 6 cas, dont il donne l'ob- servation : dans tous les cas les symptômes ataxiques ont disparu graduelleme
ces, mais aussi dans l'intervalle des séances. En somme, dans les cas de tabes avec ataxie, le traitement par l'éduca
owski con- tre les troubles génilo-urimtires ; en effet, dans 3 des cas cités, une amélioration durable de la miction a
s, une amélioration durable de la miction a été obtenue, et dans un cas le coit est redevenu possible, après une suppre
difficile à effectuer, et dont les modes doivent varier avec chaque cas en particulier. Pour ramener l'excitation sexue
t à des rechutes qui, au lieu de faire un malheureux pourraient, en cas de mariage, en faire deux et plus même, s'il y
epsie; par le D G. RoGERS. L'auteur a eu l'occasion d'observer deux cas intéressants, d'une part par la longue durée de
complet des autres méthodes de traite- ment. De l'étude de ces deux cas il tire les conclusions suivantes : 1° Les état
lène, l'hydrate de chloral et le chloralamide. Dans la majorité des cas le trional doit être prescrit à la dose de 1 gram
re fâcheux : si l'hélllatoporphyrinurie été constatée dans quelques cas après son administration, elle est cependant be
le soit relevée. Il faut songer à ces propriétés de la peau dans le cas d'émacia- tion extrême avec mauvaise nutrition,
s, surtout à de l'acné; mais là ne se bornent pas, dans beaucoup de cas , les incon- vénients des bromures et l'on peut
vantages multiples de ce système d'hospitalisation. R. 1L-C. XV. UN cas de morphinomanie guéri par la codéine; par.......
la codéine; par....... (Occidental Médical Time, septembre 1895.) Cas de guérison d'un morphinomane de vingt-huit ans q
de Kandal. (British médical journal, 27 juin 1896.) L'intérêt de ce cas consiste en ce que c'est un crétinisme avec goi
Bourne- ville, l'enfant présentait un pseudo-lipome du thyroïde. Ce cas est difficile à classer si l'on admet la divisi
alade s'était opposé à l'internement au lieu de l'accepter. En tout cas , c'est une regrettable procédure que celle qui
k admet bien que l'usage du has- chisch est dans un grand nombre de cas la cause principale (il est souvent associé à l
es. Quelquefois le chanvre indien détermine de la manie aiguë : ces cas sont les plus graves : ils durent quelquefois p
. - Au point de vue de la folie, la commission pense encore que les cas où le haschisch peut être invoqué comme l'une d
u'il faut encore abaisser à 4, 5 p. 100, si l'on ne retient que les cas où le chanvre indien peut seul être incriminé.
ts gangreneux. soins aseptiques ; maladies infectieuses, secours en cas d'acci- 168 REVUE d'assistance ET DE législatio
rais d'entretien de ces déshérités qui, dans la grande majorité des cas , sont susceptibles d'être amé- liorés ou même g
rles. B. La FOLIE D'UNE évangéliste. Le Petit Parisien raconte un cas singulier de folie mystique qui s'est produit j
présent les titres suivants : Dr A. W. Rentorghem (d'Amsterdam), un cas de ¡Tic rota- toire (spasmes cloniques, diopath
riodes de leur évolution; en d'autres termes, nous avons étudié des cas de tabes initial et des cas de tabes avancé. Le
d'autres termes, nous avons étudié des cas de tabes initial et des cas de tabes avancé. Les uns devaient, évidemment m
ésion tout entière, et la lésion seule. Arrivons aux résultats. Nos cas de tabès initial montrent d'abord que le mal dé
érieur, comme le répètent quelques travaux récents. Sans doute, les cas que nous avons pu exa- miner étaient trop avanc
un processus primitif, au cours du tabès médullaire. Dans ces trois cas , la lésion, uniquement cervico-dorsale, respectai
lérosé dans la région cervicale. La seule conclusion à tirer de ces cas , conformément aux lois de l'histologie patholog
l'aspect pseudo-scléreux d'un cordon postérieur tabé- tique ; en ce cas il n'y aurait pas à faire intervenir une pro- l
ésion au niveau des filets radiculaires enserrés par lui. « Dans un cas DES LOCALISATIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS
ner cette conclusion. Nos recherches ont été ici pratiquées sur des cas de tabes peu avancés dans leur évolution. Ce ch
vertébraux nous ont paru remar- quablement intactes, même dans les cas de tabès avancé, si l'on met de côté l'hyperpig
sèdent une fixité remarquable : dans la très grande majorité des cas , ils débutent, évoluent et s'achèvent, chacun sui
u commencement à la fin, avec un examen histolo- gique complet. Nos cas personnels sont trop peu nombreux, pour nous pe
intra-médullaire, ce tabès aurait peu de tendance à s'étendre; les cas que nous 112011. PATHOLOGIE NERVEUSE. avons p
s presque uniquement radiculaires. Dans un autre ordre d'idées, nos cas nous ont aussi montré que les douleurs étaient
qui, dans l'état actuel, dit le Dr Dubief, est pour la plupart des cas réduit au rôle de chef interne, adversaire né d
faire les plus grandes opérations chirur- gicales et de soigner les cas de médecine les plus compliqués ? Pourquoi le j
Si le système proposé par le Dl' Dubief était adopté, si dans les cas de division des services la Chambre décidait que
ices médicaux et administratifs dans les mêmes mains. Dans tous les cas mieux vaut mille fois conserver l'état de chose
édecin en chef ne serait pas le subordonné du médecin-directeur; en cas de désaccord entre eux sur une mesure à prendre
irecteur, ce qui change de tout au tout la situation. Dans tous les cas , je le répète, rien de cela n'est dans la loi,
généraux ne demandent pas la divi- sion et ce sera certainement le cas dans le Nord, dans la Seine- Inférieure et dans
économes et les receveurs qu'on devrait toujours choisir, dans les cas de division du service, l'admi- nistrateur, cel
, connaître à fond son sujet et trouver les moyens appropriés à son cas , demandent non pas seulement des heures, mais d
que l'aliéniste, lui, soit arrivé à entrevoir la vérité sur un seul cas , car il approfondit non pas seulement le présen
l'inverse du Dr Dubief, je demande que la clientèle, en dehors des cas de sa spécialité, lui soit formellement interdi
ut songer à cette intoxication. L'auteur admet enfin que certains cas d'apoplexie où l'autopsie ne révèle aucune lési
'acide urique. On peut grouper dans le même ordre de faits certains cas de paralysies transitoires. La connaissance de
par Byron BRAINLL. (EdinbÓU1'gh Med. Journal, février 189 i.) Ce cas fournit à l'auteur l'objet d'une leçon clinique o
sibi- lité récurrente. P. RELLAY. XII. SUR LE zona, A PROPOS D'UN cas avec éruption généralisée; par Alex. HASLUND.
r Alex. HASLUND. L'auteur a observé, dans son service d'hôpital, un cas de zona dorso-abdominal chez une femme, âgée de
titre d'une efflorescence universelle, comme dans les deux uniques cas de la même espèce que l'auteur a trouvés dans l
ture, communiqués par Lipp etWasielewski. M. Haslund estime que ces cas , de même que a les vésicules aber- rantes » (Te
MURRAY. (Edinbo1tl'gh 11/ed. Journal, février 1897.) Dans l'un des cas , il s'agit d'une femme de soixante-trois ans, a
érieure, la langue, les mains ont un volume considérable. L'autre cas concerne une femme de trente-sept ans. Le goitre
soudure s'opère. L'auteur rappelle que Lancereaux a rapporté trois cas d'acromé- galie avec maladie de Basedow. Dans d
trois cas d'acromé- galie avec maladie de Basedow. Dans deux de ces cas , la glande pituitaire était hypertrophiée. Ne p
images commémoratives des signes visuels de l'écriture; c'est en ce cas qu'il y a perte de la faculté de copier, tandis
ppuyée par l'autopsie et l'examen microscopique, et rapprochée d'un cas plus simple, M. Rossolimo conclut ainsi : la L'
e la femme ; plus rare- ment les affections respiratoires. Voici un cas dans lequel l'excita- tion est partie des organ
n'en est pas moins chronique et généralement incurable : un seul cas de guérison au bout de deux ans.'Le plus habituel
s, toujours très utile, peut devenir indis- pensable. Dans certains cas même, ni les renseignements sur le début de la
e persistant; les probabilités de paralysie générale sont, dans ces cas , très faibles, et, tout au moins, il y a certitud
dans les antécédents des paralytiques généraux (80 à 90 °/0) ; les cas relativement nombreux de paralysie générale juvén
ériode de la vie le surmenage n'existait pas. Il en est de même des cas , plus rares il est vrai, de paralysie générale
i que celui de la syphilis; cependant, on a déjà rapporté plusieurs cas de paralysie générale développés consécutivemen
éorie syphilitique de la paralysie générale, M. Régis a invoqué les cas où cette maladie se développe dans l'adolescenc
maniaques. L'analogie entre ces deux espèces de malades est dans ce cas tellement grande que le diagnostic différentie im
décadence intel- lectuelle initiale est moins prononcée que dans le cas précédent. - Je ne puis examiner ici chaque var
Cavalié, prosecteur à la Faculté, ont fait une communication sur un cas de neuro-fibromatose centrale du cervelet et de l
bservations d'hystérile infantile à des erreurs de diagnostics, ces cas devant être classés dans l'épilepsie, la chorée,
s reviendrons plus loin, l'auteur rapporte deux cent soixante-douze cas plus ou moins résumés. Ces deux cent soixante-d
xante-douze cas plus ou moins résumés. Ces deux cent soixante-douze cas , classés par ordre chro- nologique et par pays
ancy pendant l'année scolaire 1892-93 ». Celte thèse rapporte trois cas d'hystérie infantile, pris dans le service de P
ulsives et une monoplégie très rapidement guérie. L'auteur parle de cas nombreux d'hystérie infantile qu'il a vus dans
rons à revenir, en rappelant, au chapitre des formes cliniques, les cas de ce genre, cités par Ollivier, si important à
er chez plusieurs enfants d'une même famille. Comme on le voit, les cas de contagion nerveuse sont loin d'être rares dans
ssi une influence comme chez l'adulte. Giuseppe Villani a relaté le cas d'un garçon de quinze ans qui eut de l'hystérie
astasie-abasie, portait un prépuce très long. Dénucé a rapporté des cas analogues, insistant sur l'état nerveux causé p
urs de l'hystérie. Isnard rapporte, dans sa thèse citée (p. 141, un cas , d'après Railton, d'un enfant de six ans ayant
as d'antécédents héréditaires de nervosisme. Nous avons relaté un cas de délire consécutif à une fièvre typhoïde qui, d
.une peur, vers l'âge' de sept à huit ans. Nul doute que dans ces cas il s'agissait d'un bégayement hystérique dont la
inence se con- forme strictement à celte règle : sur les trente-six cas que j'ai observés, dix-huit fois l'affection ex
canisme des accidents hystériques n'est pas unique; dans cer- tains cas , les petits malades, profonds dormeurs, ne s'assi
de l'hystérie chez les incontinents est justifié, dans beaucoup de cas , par l'existence antérieure ou simultanée d'autre
nfantile : abandonnée à elle-même, elle guérit dans la majorité des cas au moment de la puberté, mais avant de disparaîtr
estion supprime, en effet, l'incontinence dans les trois quarts des cas et même là où elle échoue, son action se fait s
rmer que l'incontinence d'urine n'est, dans un très grand nombre de cas , qu'une manifestation de l'hys- térie. M. REN
ndant à l'application pratique de la suggestion hypnotique dans ces cas . Nous citerons le résumé ci-après de la note lu
t nettement indiqué dans le traitement de l'hystérie infantile. Les cas dans lesquels l'indication a été éta- blie par
nes, l'incontinence d'urine et de matières fécale=. Dans tous les cas , lorsque la suggestion sera appliquée ration- n
résenté un désordre beaucoup plus grand des facultés, dans certains cas même un véritable délire. M. LAMARQ(de Bordea
de début et dans la marche des accidents. Il s'agit dans les trois cas de choc moral ou physique (explosion de gaz, ch
à l'état de veille a amené une guérison très rapide dans les trois cas . M. Pailhas (d'Albi). - A côté des hémorrhagies
attacher à la diathèse hystérique. 61, SOCIÉTÉS SAVANTES. Trois cas d'hystérie infantile. MM. S.BRASLS et LAUas rap
ies à cause de l'identité de la cause occasionnelle. Dans les trois cas on observe au début un choc moral ou physique.
ie) précisés par l'examen du sang et des urines ; 3° dans ces trois cas la suggestion à l'état de veille a réussi d'une
ns la seconde enfance réussir plus facilement que chez l'adulte. Un cas d'hystérie infantile. M. BÉzy rapporte un cas d
e chez l'adulte. Un cas d'hystérie infantile. M. BÉzy rapporte un cas d'hystérie infantile. Une fillette de quatre an
ar la valériane et l'hydrothérapie ' avait été aussi institué. Un cas de tremblement hystérique chez une fillette de on
blement hystérique chez une fillette de onze ans. - M. BÉzy cite un cas de tremblement hystérique chez une petite fille
e chez une petite fille de onze ans et demi. Après avoir rappelé un cas analogue de Pierret, de Lyon, et un de Baumel,
uelles et manuelles, nous a réussi dans la très grande majorité des cas , sans récidive, ainsi que les renseigne- ments
ent depuis quelque temps a produit une légère amélioration. Trois cas de paralysie hystérique chez l'enfant. Valeur thé
de dégénérescence permet d'éloigner l'idée d'hystérie. Il réfute le cas de Gilles de la Tourette et Dutil et les affirmat
ignement, et l'autre des obligations légales du service médical. En cas de besoin, le nombre des médecins adjoints pour
ologie de la paralysie générale, qu'il a étudiée dans plus de mille cas . Le Congrès a décidé que la session de 1898 aur
ermis cette division. Mais, en général, dans l'immense majorité des cas , cela ne sera pas si aisé. Dans un ser- vice de
qu'un séquestre inutile nuit. Si l'isolement est bon dans certains cas , il est nuisible dans d'autres. Enfin si notre
s agricoles ? Il n'est appli- cable qu'à des chroniques, et dans ce cas l'Open-door ne se dis- tingue guère de nos asil
icace qu'ils aient à leur dis- position pour amener la guérison des cas curables, à savoir l'isole- ment. N'est-ce pas
tion des malades. L'auteur a observé ces dernières années les trois cas suivants : Premier cas. - Chez un garçon de dix
eur a observé ces dernières années les trois cas suivants : Premier cas . - Chez un garçon de dix-huit ans se manifesta, l
s, de la corde vocale et du nerf abducteur du même côté. Deuxième cas . - Homme de quarante six-ans, commis ; syphilis
ment fibrillaire. Paralysie du palais mou du côté gauche. Troisième cas . - Femme de quarante-huit ans, toujours bien po
palement sur la coïncidence des symptômes principaux dans ses trois cas et, s'arrête encore sur certaines ques- tions a
et du pharynx. - Pour expliquer l'anesthésie du pha- rynx dans son cas , le rapporteur est porté à admettre une lésion
s pour l'expli- cation de la paralysie du palais mou dans les trois cas par une lésion de la branche de la portion motr
a portion motrice du trijumeau. Discussion. - M. NATANSON cite deux cas , observés par lui : dans le premier il y avait
attention à la difficulté du diagnostic différentiel dans certains cas , entre une affection intra-cérébrale ou basale
faveur de l'atfec- tion extra-cérébrale banale, car on observe des cas de lésion de la protubérance, avec phénomènes t
OEOFF indique encore que les troubles de la déglutition dans divers cas peuvent être de différente origine sans que l'l
ux versions. - Voilà un fait en faveur de l'Open-door. UN curieux cas DE léthargie. La Justice du 14 ma; raconte le f
s DE léthargie. La Justice du 14 ma; raconte le fait suivant : « Un cas assez extraordinaire de léthargie vient de se m
ite la façon dont elles aboutissent progressivement dans cer- tains cas à des troubles mentaux de nature spéciale, quelqu
ne mesure équitable, à un contrôle despotique qui, dans beaucoup de cas , est un barbarisme. Sur ces entrefaites survint
prendre, c'est peut-être le moyen le plus sûr, mais, dans tous les cas , le plus agréable, pour arriver, sans encombre,
ce visa est une simple formalité et alors le directeur joue dans ce cas un rôle ridicule, ou il explique le droit de re
renseignements, ou bien ils les provo- quent. Dans l'un et l'autre cas , le visa du directeur constitue une violation f
le et ancienne, en se basant tout simplement sur une trentaine de cas recueillis(33)dans des conditions absolument spéc
les, à mon avis, pour aboutir à une règle géné- rale. En effet, les cas de M. Arnaud n'ont trait qu'à des hommes, et se
on générale qu'il critique est basée à la fois sur l'observation de cas appartenant et au sexe fort et au sexe faible,
arer les causes déterminantes et les causes aggravanteùe tous les cas . Il n'y a rien d'étonnant à ce que M. Arnaud, q
tait revenue. Cette observation offre un certain intérêt, car ces cas d'amnésie hystéro-traumatique doivent être rare
éri. La respiration de Cheyne-Stock faisait défaut et dans tous les cas de pseudo-méningites que j'ai ren- contrés, je
vie habituelle. Avec l'enfant de l'OBSERV.ITIO.1 II, c'est le seul cas d'hystérie infantile où j'ai réussi par suggest
des urines et du liquide absorbé était hors de proportion, même en cas de diabète, avec l'âge de l'enfant. Un jour que
t âge d'aussi accentué. D'après mes recherches, je ne trouve pas un cas analogue qui soit signalé dans la science. Ce
rhardt, qui a réuni dans un travail (thèse 96) un certain nombre de cas , la soif chez l'hydrurique serait moins ardente
z un hystérique, une association de deux maladies distinctes ? Un cas , à peu près analogue, rapporté par Grand à la S
iment trop rapide due évidemment à la suggestion. Pour moi, dans le cas de Grand, la nature hystérique de l'affection n
l- tats de la même méthode d'examen chez six malades : 1° dans un cas de névrite du cubital, on ne rencontre aucun élém
e rencontre aucun élément nerveux de la peau nulle part; 2° dans un cas d'herpès zoster avec névralgie intercostale, il
e (3 observations en tout), aucune altération. P. KERAVAL, XI. UN CAS DE TREMBLEMENT CONGÉNITAL; par Augustus Usiner.
précoce, plus on est en droit dépenser à une cause organique. Le cas suivant que rapporte Eshner, en raison de son app
'autres signes indiquant une affection organique, constitue bien un cas de tremblement congénital. Il s'agit d'un homme
atteint d'un tremblement congénital essentiel. P. RELLAY. XII. UN cas DE poliomyélite aiguë chez un médecin ; par le D1
paralytiques et atrophiques, l'auteur pense qu'il s'est agi dans ce cas d'une poliomyélite aiguë. XIII. INFLUENCE du ta
suite, on doit être très strict pour en autoriser l'usage en pareil cas , surtout dans les asiles. J. Ségalas. XIV. Su
taire, dont l'origine centrale est délimitée localement dans chaque cas , ainsi par exemple que dans les paralysies. J.
e coeur dans l'attaque d'épilepsie est capable de rendre compte des cas de mort consécutifs à un seul accès con- vulsif
t cru devoir tenir compte ni des causes éliologiques variables d'un cas à l'autre, ni de l'âge de l'en- fant au début d
té d'urée trouvée et le paroxysme épileptique, car, dans cer- tains cas , il y avait augmentation, et, dans d'autres, dimi
s nerveuses par le smegma accumulé entre le gland et le prépuce, en cas de phimosis. L'auteur rapporte l'observation d'
oubles trophiques. Cet état porte surtout sur les homnes (2T sur 30 cas ) de plus de trenle ans.' Il est consécutif au s
à une cause hérédo syphilitique la paralysie générale juvénile. Les cas sont plus fré- quents qu'on ne le croit jusqu'i
jusqu'ici ; il en a été observé 22 en France et de nombreux autres cas ont été observés à l'étranger. On ne saurait tr
ns d'examiner soigneuse- ment tous les' jeunes déments précoces. Un cas de ce genre qui avait été très discuté, fut aut
ns de paralysie générale. M. BEZY fait remarquer que dans nombre de cas d'hydrocéphalie spécifique, le traitement antis
sous l'influence de leurs hallucinations. M. Sabrazès rapporte le cas d'une jeune fille ayant présenté des borborygme
ion par la sangle dePlénard. MM. Dubuisson et Anglade rapportent un cas d'épilepsie trauma- lique suivi d'autopsie. Le
evelu et des méninges, esquille comprimant la première frontale. Ce cas démontre qu'un sujet peut vivre avec perte de s
ce soit intéressée pour produire des accidents épileptiques. Deux cas de chorée héréditaire avec aittopsie. L.4,NNois
is et Paviot (de Lyon) ont pu faire l'examen histo- logique de deux cas de chorée héréditaire, datant l'un de vingt ans,
n antéro-latérale et le cérébelleux direct. La lésion dans ces deux cas est donc très analogue à celle qui a été décrite
roient pas qu'on puisse englober dans une même description tous les cas de chorée chro- nique dont les unes ont de gros
l'étude nous permet les conclusions suivantes : i° Dans tous ces cas , sauf un, on rencontre des facteurs suscep- tib
sus, que l'a1'lhl itisme produit la paralysie générale, et dans ces cas l'affection prend, en général. tous les caractère
llule. C'est donc la dégénération, l'inflammation qui font, dans ce cas , éclore la paralysie générale. L'hérédité alcoo
e travail anatomique soit morpho- logiquement le même dans tous les cas . Mais cette lésion anato- mique peut être due à
ine, qui était né dans les Basses-Alpes où on n'a jamais signalé de cas de paludisme. M. Aug. Vosix. M. Rey a-t-il fa
rente), il voit beaucoup de paludiques, et jamais il n'a observé un cas de folie primitive, reconnaissant nettement pou
duire aux mêmes résultats. Je suis donc porté à croire que dans les cas obser- vés par M. Rey, il faut faire intervenir
ns toutes les expériences faites sur les animaux de laboratoire. Un cas d'acromégalie traitée par la médication thyroïdie
tée par la médication thyroïdienne. MM. BAYLAC et G. Fabbe. Dans un cas d'acromégalie à évolu- tion lente, sans retenti
phénomènes suivants. La sensi- bilité viscérale a persisté dans un cas , et a été la première à repa- raître dans le de
ation était plus développée. Le fait suivant, relevé dans un de ces cas , vient à l'appui de cette opinion. Le rappel de
de Marchi) des dégénérescences ascendantes et descendantes dans un cas de tnmeur (tubercule du pont de Varole) qui a d
érations sont constatées encore, par la méthode de Marchi, dans six cas de tumeurs cérébrales. Dans tous ces cas on a p
éthode de Marchi, dans six cas de tumeurs cérébrales. Dans tous ces cas on a pu voir la dégénérescence plus ou moins ma
médullaire des phénomènes d'une dégénérescence secondaire. Dans des cas , où la lésion est plus forte, dans les faisceaux
rque un amincissement local très marqué de l'écorce cérébrale. Ce cas peut être regardé comme une forme intermédiaire e
t son opinion, le rapporteur ne nie pas pourtant la possibilité des cas d'épilepsie générale d'origine réflexe ou d'ori-
gine réflexe ou d'ori- gine toxique. - M. \1'cmFr;Ir.»IFR cita un cas où les circonvolutions étaient atta- quées, mai
paralysies, d'idiotie et d'épilepsie en différents degrés dans des cas de la même lésion et dans le même endroit ; il
la répétition fréquente des accès. En observant le cours de pareils cas , on rencontre de telles transformations de la m
e lésion assez rare du plexus brachial, type Ducheune-Erb ; dans ce cas la lésion devait être occasionnée par une tumeu
dans la fosse sus-claviculaire. Comme distinction, pourtant, de ce cas des cas typiques provenant d'une lésion de la c
fosse sus-claviculaire. Comme distinction, pourtant, de ce cas des cas typiques provenant d'une lésion de la cinquième
septième racines ; de sorte que dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 349 notre cas il faut admettre non seulement la lésion de la ci
me racines cervicales, mais encore de la septième. M. VERzILOFF. Un cas de maladie de Thomsen (avec présentation d'un m
de Thomsen (avec présentation d'un malade). Le rapporteur décrit un cas typique de maladie de Thomsen chez un soldat de
des extrémités devinrent plus libres. Le rapporteur cite encore un cas de myotonie, observé dans l'ambulatoire de cett
ctéristiques de la maladie en question, mais, comme dans le premier cas , sans tare héréditaire et sans caractère famili
(de Grec1 ! '), mais qui n'est pas aussi de trop grande valeur. Le cas du rapporteur présente une combinaison des deux
que le diagnostic clinique est même impos- sible (Cassier). Dans ce cas l'infection syphilitique a mis un cachet très m
L'auteur note le manque de données concernant cette question (un cas décrit par Potain et deux autres par Lapinsky). L
TOFF et M. le professeur KojEwnrorOFF admettent que dans de pareils cas il existe dans les veines elles- mêmes un terra
2° le rapport du processus en question à la glio-e et au gliome. Le cas suivant a servi à l'auteur pour l'étude présent
aux latéraux et de ceux de Furk. Ayant cité, en abrégé, encore deux cas de sa clinique, ayant rapport la question, l'au
mer confirme la possibilité des dégénérescences secondaires dans le cas du rapporteur. M. le professeur Roth différenci
res dans le cas du rapporteur. M. le professeur Roth différencie le cas donné des cas typiques de sclérose en plaques o
s du rapporteur. M. le professeur Roth différencie le cas donné des cas typiques de sclérose en plaques où il faut adme
atérale, envahissant seulement le nerf facial, et ayant comparé ces cas avec les observations de Mann, de Kortum et de
hn (de la clinique de Mendel) le rapporteur communique en détail un cas , observé par lui-même : Le malade S..., âgé de
autres se contractent bien. Le rapporteur est porté à voir dans son cas une altération du pont de Varole, et vu la péni
gion voisine. D'après l'avis de M. 110R1\ILOFI·, le diagnostic du cas rapporté ne peut être posé qu'avec un certain d
raumatique ou à la suite du ramollissement. Le rapporteur cite deux cas d'épilepsie corticale observés par lui dans ces
epsie corticale observés par lui dans ces derniers temps. Premier cas . Il s'agit d'une jeune fille de vingt-trois ans.
convolutions centrales et à la circonvolution angulaire. Deuxième cas . Homme de trente-deux ans. A dix-sept ans se dé
exe sont effacées, l'hé- misphère est élargi. En comparant ces deux cas , le rapporteur nota que la paralysie cérébrale
n observe chez les adultes dans l'épilepsie traumatique. Le premier cas confirme l'ancien avis du rapporteur concernant
musculaire de la destruction des fibres arciformes. Dans le second cas , la lésion primitive en forme de foyer causé par
s locales, certains tics et paramyoclonus (dont il est rapporté un- cas très '. , .1 . BIBLIOGRAPHIE. 361 curieux),
rimerons toutefois le regret que l'auteur ne se soit pas occupé des cas où l'application de cette méthode peut devenir
sonnages continuent toujours d'y paraître de la même manière. En ce cas vous pourriez m'envoyer les noms de quelques-un
de source. Pas la plus légère trace de sucre. C'est donc encore un cas de diabète insipide. 1 Voir Archives de Neurolo
ndant. A part cette petite infirmité, il se porte très bien. » Ce cas ressemble assez à celui d'un homme de cinquante
i assisté. Jules Simon, Société des hôpitaux, 189G, signale un joli cas de coxalgie chez un petit malade de douze ans qui
tion qui va suivre, on va trouver la confirmation de ce fait, et le cas , nous le verrons, semblerait probant, et de profo
n en chef de l'asile de la Boche- sur-Yon, en a signalé de nombreux cas dans les Archives de Neurologie. Plus heureux q
frère a rappelé dans sa thèse « Hystérie en Vendée » et ce dernier cas plus probant. Essaierai-je de l'expliquer ? Ne
pied bot. Varus équin. Je ne pourrais dire que quelques mots sur ce cas pourtant inté- ressant, je ne retrouve que des
s observations, mais je devais me limiter. Je tenais à signaler les cas les plus intéressants parmi ceux qu'il m'a été
n'est point discutable, aussi je n'insiste pas. Du reste, sur J 8 cas d'hystérie, relatés ici, nous en trouvons 8 au-de
donc que, si l'hystérie de l'enfance n'est point rare (les nombreux cas publiés l'indi- quent), elle n'a certainement p
). Il y a cependant un symptôme que je n'ai, pas rencontré dans les cas de pseudo-méningites que j'ai observés, c'est l
respiration irrégulière a pourtant été notée par Gran- cher dans un cas de pseudo-méningite hystérique (observa- 1 Tout
r à une époque plus avancée de la vie. Renard et Swolfs ont cité un cas d'hystérie chez une jeune fille de quatorze ans
iplégie atrophique de l'enfance. Je pourrais rappeler encore ici ce cas de myopathie primitive (type Erb) chez une jeun
de la hanche décrit dans le même mémoire. C'est surtout dans ces cas d'association intime qu'il est indispensable de
t de résister trop longtemps à toute autre médication; mais dans ce cas on doit le faire avec une extrême réserve, car
illaires de l'oreille. L'othématome se produit dans la majorité des cas d'une façon spontanée, sans coups, blessures ou
s parents et connaissances nous ont nié l'exis- tence de tout autre cas d'aliénation mentale ou maladie nerveuse dans l
le droit d'nne étude d'histologie pathologique, pour juger dans ce cas du rôle des névrites périphériques comme cause,
chronique et constipation. Aussi la rencontre-t-on surtout dans des cas mortels. C'est ce qui a eu lieu chez une hystériq
ydalion, légère coagulation du protoplasimi, Mosso, Binz). Dans les cas où le trional agit directement comme toxique on
ire un grand pas au traitement chirurgical de cette affection. Le cas suivant est fort intéressant, en raison des heure
es d'excitation plutôt que dans celles de dépression. Dans certains cas il entraîne une diminution ou même une suspensi
l'épilepsie réflexe se rencontre dans un bien plus grand nombre de cas que ne le pense le Dr Peterson lorsqu'il écrit qu
démontré que le Dr Peterson est dans l'erreur lorsqu'il dit que les cas de ce genre, bien authentiques et dignes de cré
ne modifie que rarement la marche de la maladie. Dans 87 p. 100 des cas réunis par l'auteur, le soulagement apporté à l
els la fatigue oculaire joue un rôle important (déduction faite des cas relativement peu nombreux où les crises d'épileps
es et pratiques, dans la série rapportée par l'auteur de vingt-deux cas traités par la méthode ophtalmologique, est, à
r dans un nombre plus considérable de 412 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. cas alors même que l'oculiste est particulièrement ha
lbl. l. Newenheilk., XVIII, N. F., IV, 1895.) N'utilisant que les cas appuyés par des commémoratifs bien exacts, et p
utre secondaire, si l'une vient se greffer sur l'autre, et, dans ce cas , laquelle est le tronc et laquelle est la greffe.
vient de faire remarquer aussi, avec M. Séglas, que, dans nombre de cas , les obsessions débutent par une phase d'angoisse
it servir de base à leur classement. Dans une première catégorie de cas , tout se réduit aux phéno- mènes de l'émotivité
u s'objective sur un sujet déterminé. Dans une seconde catégorie de cas , aux phéno- mènes de l'émotivité pathologique s
Etat obsédant ci anxiété diffuse ott panophobique. Dans le premier cas , celui que nous avons en vue ici, les sujets sont
ait qu'on allait lui annoncer un deuil. Et cependant, dans tous ces cas , il n'existait aucune raison plausible à cette
a- tion, de l'innervation vaso-motrice de l'activité glandulaire. Cas d'anxiété diffuse ou panophobique. Les exemples d
des sujets à prédisposition héré- ditaire beaucoup moindre, en tout cas non dégénérative. Dépourvus d'une tare forte le
er-paroxysme, l'esprit du sujet, ce qui arrive dans la majorité des cas . Et c'est ainsi que, par une pente toute nature
dans la pratique, non à des phobies systématisées pures, mais à des cas intermédiaires ou de transition entre la phobie
de trouble à la fois émotif et intel- lectuel. Au reste, dans les cas mêmes où l'obsession survient d'emblée. sans av
oxystique et il est rare qu'elle soit tout à fait continue. En tout cas , dans l'intervalle des crises et même durant le
u crime, ce qu'il est. impossible de nier, c'est seulement dans des cas déter- minés, en particulier dans les cas où l'
c'est seulement dans des cas déter- minés, en particulier dans les cas où l'obsession n'est pas pure et où il s'y join
non ? Eh bien sur l'ensemble de nos observations, nous avons trois cas de suicide et plusieurs tentatives. L'obsédé pe
l'obsédé à un degré de responsabilité qui peut varier, suivant les cas , depuis la responsabilité à peu près entière jusq
int dans son rapport au Con- grès inteanational de 1889. ' Divers cas d'obsessions aux hallucinations ont été publiés,
evêt le caractère obsédant (hallucination obsédante). Dans les deux cas , l'hallucination peut affecter une forme quelco
me aiguë. La marche des obsessions est aiguë ou chronique. Daus les cas aigus, l'accès survient brusquement à la suite
s symptômes encore très sensibles d'émoti- vité obsédante. C'est le cas de beaucoup de phobies syttématisées, de celles
et se posent indéfiniment les mêmes questions. Mais, même dans ces cas , les paroxysmes ne font pas défaut. La durée de
ent; en un mot, qu'il y ait des récidives de la maladie. Il est des cas où un accès d'obsession ne guérit que pour faire
CIETES SAVANTES. 421 répétition fidèle des précédents. Tel est le cas d'une de nos mala- des, aujourd'hui âgée de qua
compressions plus prolongées ou plus fréquemment réitérées. Dans 3 cas , notamment, nous avons noté une dissolution presq
ale des altérations cellulaires observées dans un certain nombre de cas de polyné- vrite, M. Marinesco a encore contrib
fet, que les lésions cellulaires, réalisées dans ces deux ordres de cas , sont fort dissemblables. Cependant, nous venon
t qu'il puisse se présenter, en'anatomie patholo- gique, tel ou tel cas dans lequel l'aspect des cellules altérées ne p
ion de la substance achromatique, éventualité qui présente dans les cas de lésions primitives de la cellule nerveuse, l
vré les mouvements physiologiques. M. L. miner, de Moscou. Dans les cas graves, suivis d'autopsie, d'affections traumat
e (contusion, écrasement) de la substance médullaire. Dans quelques cas rares (suivis d'autopsie) de compression moins gr
local uni ou bilatéralement on peut constater dans la majorité des cas l'existence de lésions net- tement localisées.
aux doit être considérée comme un phénomène exceptionnel et dans ce cas l'hémorragie se cantonne le plus souvent dans l
la région du processus réticulaire de la corne antérieure. En tout cas , l'auteur n'a jamais vu l'exten- sion de l'héma
n cen- trale », avec ou sans mélange de sang. Enfin dans quelques cas l'hématomyélie préexistente avec destruc- tion
t être le point de départ de formation de grandes cavités. Dans des cas plus anciens ces cavités peuvent s'entourer d'u
entourer d'un anneau de tissu névroglique hyperplasié. VI. Dans ces cas le canal central se montre généralement non pas
vations d'affections trauma- tiques de la moelle, à l'exclusion des cas de myélite transverse, ce phénomène peut acquér
comme signe différentiel. VIII. 11 y a lieu d'admettre que dans les cas de dissociation syrin- gomyélique exclusive il
exclusive il n'existe qu'une seule lésion centrale loca- lisée. Ces cas arrivent rarement à l'autopsie, car, à l'instar d
te de l'ingestion de jambon, sau- cisses ou de viandes avariés; des cas ont été observés l'année dernière en Belgique o
ion sérieuse et motiver un traitement curatif, parce qu'en quelques cas une névralgie seule peut tuer le malade. Il cite
résultent de son application hypodermique profonde, cite quelques cas de guérison et enfin le propose comme le remède l
vralgies périphériques. Etude clinique et anatomo-pathologique d'un cas d'hématomyélie centrale. MM Pitre et SABRAZÈs
myélie centrale. MM Pitre et SABRAZÈs,de Bordeaux. Il s'agit d'un cas d'hémato- myélie centrale de la partie effilée
deux ans, et des données de l'autopsie. En somme, il découle de ce cas que l'hématomyélie centrale peut simuler, au po
r, renferme aussi les nerfs accélérateurs. Je n'ai observé dans ces cas , après l'injection thyroï- dienne, aucune accél
célération du pouls, après l'injection thy- roïdienne, même dans le cas où le pouls, par suite d'un tonus exagéré du ne
s, par suite d'un tonus exagéré du nerf vague, est ralenti. Dans le cas où l'on irrite, par exemple, le centre du nerf
que l'étude histologique spéciale con- cernant les bulbes dans les cas d'hyperthyroïdation font l'objet d'autres étude
rogressive chez la femme. M. B. GREIDENBERG (de Simphéropol). - Les cas de paralysie gêné raie chez la femme sont deven
ie de la syringomyélie. 1 M. Maixner (de Prague). Dans une série de cas où la syringo- myélie se présenta sous le type
méritent de l'intérêt à cause de leur caractère. Il s'agit de deux cas de chei- romégalie unilatérale, d'un cas qui se
ractère. Il s'agit de deux cas de chei- romégalie unilatérale, d'un cas qui se présente sous l'aspect de la maladie de
un cas qui se présente sous l'aspect de la maladie de Raynaud, d'un cas compliqué de tahes et enfin d'une observation c
ers de ramollissement intéressant le centre optique dans le premier cas et l'écorce céré- brale dans le second cas. L
optique dans le premier cas et l'écorce céré- brale dans le second cas . La dégénérescence rétrograde qui, à la suite d
utôt dont on est le premier médecin. Le traitement institué dans ce cas sera toujours le traitement mixte, et, sauf int
acer l'arthritisme comme élément étiologique faisant, dans certains cas de tabes, indication thérapeutique. Si l'arthri
ciaux qu'impose à certains leur nature arthritique. Dans quelques cas ; dit Bouchard, où les névrites primaires du tab
ntoxication gastro-intestinale, j'ai vu des douleurs qui, dans deux cas , allaient jusqu'à produire une certaine impotence
s, allaient jusqu'à produire une certaine impotence et qui, dans un cas , se compliquaient d'accidents cérébraux, céder tr
Le régime et l'antisepsie gastro-intestinale remplissent, dans ces cas , une véritable indication causale. Nous y reviend
par milli- gramme, au lieu de le prescrire par centigramme. En tout cas , il faut interrompre de temps en temps le trait
ssé le nitrate d'argent, qui peut agir très utilement dans quelques cas sur les douleurs fulgurantes, mais a peu d'acti
n rôle absolument de premier ordre. C'est également vrai pour les cas où la sclérose est localisée sur ie protoneurone
ions d'usage et s'il n'y a aucuu signe de sclérose rénale ; dans le cas contraire, on emploiera le vésicatoire à l'ammo
ployé l'oxalate de cerium. L'étude du chimisme stomacal dans chaque cas fournira des indications complémentaires utiles
laire, compatible avec la persis- tance da la lésion (comme dans le cas de Schultze). Ce moyen doit être employé en deh
aires sont le point de départ d'indications spéciales dans certains cas . Atrophies musculaires. M. FRIEDEL PICK (de P
Atrophies musculaires. M. FRIEDEL PICK (de Prague). Dans différents cas il est impos- sible d'établir, suivant le table
oli encéphalite de Vernicke. D'origine inconnue dans la plupart des cas , son facteur étiologique, le plus constant dans
une lente convalescence, le malade peut recouvrer dans un tiers des cas la plénitude de la santé. Rare, parce qu'elle
'encé- phalite hémorragique, on trouvera déjà réunis cinquante-neuf cas . L'encéphalite hémorragique mérite donc de pren
du fait des injections, peuvent se résumer ainsi : Dans tous les cas : réaction fébrile fugace apparaissant moins d'
mplètement disparu après les 10 premières injections. Dans tous les cas : amaigrissement progressif plus ou moins consi
e qui n'avait jamais présenté ce symptôme (obs. I). Dans un autre cas (obs. VII), aggravation des tendances maniaques.
obs. VII), aggravation des tendances maniaques. Pour la plupart des cas : accentuation des troubles psy- chiques post-p
des séries. Augmentation du nombre total des attaques dans tous les cas , sauf deux (obs. II et VIII). Toutes les fois q
au cours de périodes maxima des attaques, et cependant, dans aucun cas , il n'a été constaté d'attaques pendant la prem
troubles psychiques post-paroxystiques et provoquent dans certains cas des accès délirants à forme maniaque. RECUEIL
sence des deux symptômes précédents, on ne doit pas oublier que les cas types réunissant tous les symptômes d'une malad
. Si nous avons pensé à recueillir cette observation, c'est que les cas d'acromégalie sont encore très limités puisqu'u
lève du professeur Kraft-Ebing, a donné un résumé des 43 principaux cas qu'il a recueillis dans la littérature médi- ca
as qu'il a recueillis dans la littérature médi- cale '. Dans ces 43 cas , toutes les formes de folie, manie, mélancolie,
, et à l'abri de tout souci. Un fait à remarquer, noté déjà dans le cas de Paul', c'est l'éclosion d'une crise aiguë de
tre exophtalmique après la guérison, ou, plus exactement dans notre cas , pendant .la période d'améliora- tion de la psy
tons ; nous disons : la maladie de Basedow détermine dans quelque cas , par le fait de poisons du système nerveux, soit
2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXI. Courte communication SUR UN cas DE dystropuie musculaire PROGRESSIVE, NOTABLEME
(pho- bies et les habitudes qu'elles-enlrainenl). 3° Analyse d'un cas de folie systématisée chronique., - Il s'agit d
e locali- sation constante et typique du trou. Sans doute, dans les cas les plus nombreux il occupe le territoire de la
ues), soit de la porencéphalie tardive (même genèse). Dans ces deux cas , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 501 l'embolie
liscller (Deulsche Zeitschr f. Nervenheilk. VI); on trouve, dans ce cas , à. l'autopsie lès lésions de la paralysie suba
opsie lès lésions de la paralysie subaiguë. P. KERA VAL. XXXV. Deux cas DE paraplégie après l'accouchement; par LEESON.
r LEESON. (The Edinburgh médical Journal, p. 411, 1897.) Ces deux cas méritent, d'attirer l'attention, en raison de la
peu, et bientôt la malade est tout à fait guérie. Dans le second cas , il s'agit d'une primipare de vingt-six ans, qu
s la marche n'est possible qu'au bout de trois semaines. Ces deux cas ont plus d'un point de rapprochement. Ces deux
es deux cordes vocales; mais d'autre part il n'y aurait pas un seul cas authentique de para- lysie d'une corde vocale p
cliniques ne sont pas plus probants. Il n'est pas rapporté un seul cas où la lésion d'un lobe frontal ait entraîné une
oeil avec l'autre. Ces considérations se trouvent confirmées par le cas sui- vant, dont l'étude anatomo-clinique offre
e, qui avait été suggérée à première vue. P. l3GLt.11'. \\1VII. U,r cas d'amnésie; par le D'·' Bisiiop. Il s'agit d'un
ine point les influences nocives exogènes, indubitables en certains cas ; elles sont alors des causes occasion- nelles q
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 505 M. Strumpell annonce que s'il y a des cas de sclérose en plaques où l'on constate du trem
de la mauvaise humeur, de la misanthropie, de la défiance. En notre cas , les actes impulsifs sont dangereux, par suite
interne, peut-être une méningite. Quoi qu'il en soit, l'intérêt du cas gît dans l'apparition brusque et simultanée de
lables. Avec de la patience on réussira dans la grande majorité des cas à trantformer un impotent, un infirme, en un ho
moyens à employer eu égard aux causes de cette affection. Dans les cas de tabes précédés de syphilis, le traitement sp
estations syphilitiques (peau, os, muqueuses, etc.), enfin dans les cas où le traitement spécifique antérieur a été ins
et névrasthéniques. 2. L'effet est toujours immédiat et en maint cas définitif. 3. La promptitude et efficacité de cet
dicaments et corroborer les résultats obtenus par eux. Même sur des cas de moindre gravité, on doit avoir recours aux méd
dération sérieuse dans le traite- ment curatif, parce qu'en quelque cas la névralgie seulement peut tuerie malade. - 2.
i résultent de son application ipodermique profonde, conte quelques cas d'importance de guérison et enfin le propose co
particulièrement attachés aux formes typiques de la mélancolie, aux cas pouvant aboutir à une évolution en quelque sort
on peut, comme Lasègue l'a fait pour les persécutés, distinguer des cas , offrant avec ces derniers d'ailleurs certaines
bolition presque complète de l'activité psychique. Dans beaucoup de cas cet état est accompagné de la plus grande sugge
dent pas l'un de l'autre immédiatement et on peut rencontrer des cas où la grande suggestibilité se manifeste malgré l
expérience de l'hypnotiseur et on ne peut observer que rarement des cas où l'hypnotisation provoque une espèce d'ex- ci
ssant qui a d'autant plus de valeur qu'il agit quelquefois dans des cas où tous les autres remèdes sont restés sans auc
des paralysies alcooliques (paraplegia alcoolica) et de cer- tains cas de l'épilepsie jacksonienne. Les injections de
ions de Brown-Sequard rendent de grands services sur- tout dans les cas du tabès où en raison d'antécédents syphilitiques
venu à cette conclusion par l'observation d'un très grand nombre de cas dans lesquels, pour des causes diverses, j'ai d
se rapportant à des traumatismes de l'encéphale déjà anciens et 20 cas de trépanation suivant une fracture plus ou moi
S. Certains chirurgiens ont été assez heureux pour rencontrer des cas d'accidents cérébraux caractérisés par de l'épile
peint de la région des centres moteurs dans l'écorce cérébrale. Ces cas simples sont relativement peu communs : dans les
mmuns : dans les grandes séries de trépanation, on doit compter des cas très nombreux dans lesquels l'épilepsie jackson
ses lésions ne touchant que fort peu ces centres moteurs. Parmi les cas qui peuvent entraîner la con- viction, je puis
de la base du crâne sans lésion du parenchyme cérébral. Dans ces cas il y eut des attaques d'épilepsie jacksonienne. D
as il y eut des attaques d'épilepsie jacksonienne. Dans deux de ces cas les attaques sont restées limitées aux membres su
désordres anatomo-pathologiques qui les motivent, et si, en dernier cas , les rares succès enregistrés par des personnalit
oyons utile d'entrer plus loin dans ce détail. Chacun des multiples cas que nous aurons à traiter exigera peut-être que
ruments. Nécessité et urgence de l'intervention opératoire dans les cas de lésions cérébrales; par le Dr LAVIST.1 (de M
ures et moyennes, et avec elles, la mémoire et l'intelligence. Ce cas est intéressant, parce qu'il contribue à donner p
est èncore physiologiquement en étude. M. A. Voisin a observé un cas d'épilepsie jacksonienne chez un jeune garçon d
son type primordial.' On l'observe plus fréquemment dans le premier cas . Quand elle se généralise, elle a ordinairement
e le trouver parfaitement limité ; 522 SOCIÉTÉS SAVANTES. dans un cas pareil la souffrance n'était pas dyscrasique, il
est justement indiquée comme ressource curative radicale, en pareil cas . Vingt-cinq interventions pratiquées dans des c
cale, en pareil cas. Vingt-cinq interventions pratiquées dans des cas multiples d'épi- lepsie jacksonienne d'ordre pa
e pathologique ne m'ont donné que des résultats incomplets. Le seul cas de cure radicale a été d'origine traumatique et
celui du kyste cérébral déjà mentionné. Le mieux passager dans les cas de syphilis cérébrale (syphilome méningé) n'a d
le rétrécissement pupillaire, disparaissent dans la suite. Dans le cas de résection partielle, il s'est produit chez les
éral des opéréss qui reste parfait et même s'améliore dans certains cas . Ainsi tombent, chez l'homme du moins, les donn
e face au rétrécissement permanent, comme je l'ai vu dans un de mes cas où la dilatation, pupillaire pré-opératoire éta
us, signe de Ballet, quand ils existent, comme dans mon troi- sième cas , disparaissent aussi après l'opération. Ceci s'ex
n intermédiaire. L'excellent résultat que j'ai obtenu dans l'unique cas que j'ai opéré ainsi, cas où tous les symptômes
nt résultat que j'ai obtenu dans l'unique cas que j'ai opéré ainsi, cas où tous les symptômes étaient des plus accentué
e la clinique et de la physiologie pathologique. Il s'agit, dans ce cas , de mouvements involontaires localisés aux extrém
lativement rare, même chez les individus nerveux ; l'auteur cite 50 cas de neurasthénie dont 27 ne se rapportaient pas
dépendent de la névrose de l'estomac et dis- paraissent avec elle Cas de maladies cérébrales dans lesquelles les foncti
\vol1.TH (de Londres). Je donnerai sommaire-' ment les détails de 4 cas : 3 d'abcès cérébraux ou cérébelleux pro- duits
cérébelleux pro- duits par des otites moyenne ssuppuratives, et un cas d'hémorragie cérébrale par suite de traumatisme
observations qui démontrent que ce phénomène a été observé dans des cas de lésions du cerveau, comme suite de bles- sur
sécution ; d'après nos obser- vations elle manque dans un tiers des cas . Certains délires de per- sécution paraissent s
délire de persécution ; nous la relevons dans plus d'un quart des cas , toujours très lourde. L'alcoolisme est également
mme médecin en chef d'un service public d'aliénés. ' ART. 4. - En cas d'absence ou d'empêchement du professeur, le ch
demnité annuelle de mille deux cents francs (1.200 francs). Dans le cas d'absence simultanée du professeur et du chef d
édi- cales et administratives de médecin en chef; et ce n'est qu'en cas d'absence ou d'empêchement du professeur que le
l'expérience seule fait découvrir. C'est ce qui est arrivé pour le cas rapporté par l'auteur et sur lequel on ne saurait
ar elle-même ; donc, elle ne devait pas placer son mari et, en tout cas , disposer de fonds auxquels elle n'avait pas le
erf sciatique. Un intervalle de un à deux jours doit, dans tous les cas , séparer deux applications. La guérison est durab
i se présente alors avec un tableau clinique spécial. Le nombre des cas de paralysie générale a subi dans ces trente dern
ces trente dernières années une augmentation parallèle au nombre de cas d'alcoolisme; les hommes sont les plus frappés,
elui-là... » 542 ' varia. - Nous croyons pouvoir rapprocher de ce cas , celui d'un de nos malades, Villac..., dont l'u
rrait-on décréter une loi d'Etat pour légaliser l'opération ? En ce cas quelles seraient vos idées sur une loi de ce ge
usés de crimes, par Carswell, 16r. - en liberté, 286. Amnésie. Ln cas d' -, par Bishop, 503. Amnésiques. Troubles d
intéressant la région pré- fronlaledu -, par \-illiason, 146. Un cas de tumeur du -, par Flechter Beach, 153. CERV
6. Un cas de tumeur du -, par Flechter Beach, 153. CERVELET. Un cas de gliome volu- mineux du -, par Trénel et An
tumeur du canal rachidien.par Lanphéar,42. Léthargie. Un curieux cas de -, 286. - hystérique, par Loeven- feld, 32
48 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u'elle comporte en est ou impossible ou dangereuse. N'est-ce pas le cas de certaines conceptions trop exclusi- ves de l
au besoin, n'est-il pas recevablc il poursuivre son médecin dans le cas où celui-ci ne s'en est pas tenu à la morphinis
onnelle qui, seule, peut engager la responsabilité. Et même dans le cas où serait faite la preuve de l'imprudence ou de
n'en dit pas un mot dans son travail. En 1899. j'avais décrit un cas de sourire imposé (1), clans lequel la crainte
me suis spécialement arrêté sur ces états el j'ai décrit dans trois cas nouveaux l'élut nerveux pathologi- que spécial
que les malades le comprennent eux-mêmes très bien ; dans certains cas . les malades évitent le regard d'autrui parce q
anormal et qu'on en peut juger d'après leur regard ; dans d'autres cas . les ma- lades sentent, comme ils disent, une i
, Il" 2. p. HT. LA PHOBIE DU REGARD. l : i 1) décrit mes premiers cas cités, j'avais maintes fois observé ces étals m
avec la difficulté psychopalhique de miction : dans tous les autres cas , la phobie du regard d'autrui s'observait dans
es bien particulièrement. TouL d'abord, nous nous arrêterons sur un cas qui présente la combinai- son de la phobie de r
lien devenir la viclime de la mélancolie, et ceci dans le meilleur cas . lime semble que la cause de ma maladie réside
base psychologique de cette phobie du regard d'autrui de no- tre cas , il est évident qu'il s'agit visiblement d'un éta
habi- tude fut abandonnée complètement. « Il y avait pourtant des cas uniques d'onanisme, mais actuelle- ment il est
e mon étal psychique pendant ces accès, je vous indiquerai quelques cas . - « Quand je me promène avec mes proches conna
ion survient, quelque fort que soit le besoin d'uriner ; de pareils cas il yavait 18 et seulement dans un seul il n'y ava
avait pas de ré- tention en présence du monde; dans un seul de ces cas il n'y axait pas de rétention. Quand j'entre da
la respiration restent normaux. Ce qui est caractéristique dans ce cas , c'est que le malade note le lien intime entre
ervation suivante de la crainte du regard d'au- trui appartient aux cas plus nets que les précédents, plus caractéristi
ique de la phobie du re- g-al'd d'autrui, il faut remarquer dans ce cas , ceci, que malgré que les commencements de la m
ssion impure dans ses yeux lorsqu'on la regarde Notons ensuite un cas de phobie du regard d'autrui, qui existait chez
pte pas les conséquences ordinaire des excès alcooliques. Dans ce cas -ci le lien entre la phobie du regard d'au- trui
s yeux les défauts de sa sphère sexuelle. Pour compléter encore les cas cités, je peux noter une description très nette
ouvent ils cachent leurs yeux sous des lunettes som- bres ; dans le cas contraire, on peut remarquer en leur parlant qu
pch., 1902. ' LA PHOBIE DU REGARD. 29 même article, dans certains cas dans la supposition des malades qu'on peut reco
s l'aspect de leurs yeux, d'après leur regard même. Dans d'autres cas , elle réside dans le préjugé très répandu de la
les malades, devant le regard d'autrui ; nous le trouvons- dans le cas du premier malade qui détermine son état maladi
, l'expres- sion impure, etc.). Il faut remarquer qu'il y a dans ce cas une certaine analogie entre l'état maladif que
ment par Pitres et Régis (2) ; celle-ci apparaît dans cer- tains cas comme résultat d'un état affectif primitif ; da
ains cas comme résultat d'un état affectif primitif ; dans d'autres cas , elle suit immédiatement l'idée imposée. Il est
qui donne au 'regard une expression effroyable ». Dans le second cas le malade éprouvait du larmoiement au regard d'
le malade éprouvait du larmoiement au regard d'autrui ; dans le 3e cas , la malade « éprou- vait » le sentiment d'une e
t » le sentiment d'une expression impure de son visage ; dans le 4' cas le malade parle dans sa lettre d'un clignotemen
oute société, les exposant un isole- ment pénible. La plupart des cas de phobie du regard que j'ai obser- vés se sont
s l'onanisme joue probablement un grand rôle au moins dans certains cas , Il faut encore noter ceci : 1° Lit, crainte du
vec la crainte de rougir, comme cela s'observait dans noire premier cas ; 2° La phobie du regard d'autrui peut se combi
ILES PUBLICS D'ALIÉNÉS. 31 miction par exemple, dans notre deuxième cas pour la- quelle j'avais consacré un travail spC
j'avais décrit une observation cor- respondante. Mais dans certains cas , laphol>ic du regard d'autrui apparaît 'dans
e pathologique. Quant au traitement, je dois dire que dans tous mes cas observés le traitement général fut très utile,
dois dire que ce' dernier moyen doit être recommandé dans tous les cas de phobie du regard d'autrui, mais tou- jours c
nature à associer, pour un but tendant à restreindre dans certains cas l'exercice de la liberté individuelle, les déci
es certificats nepourrontetrc délivrés par le médecin-adjoint qu'en cas d'empêchement constaté du médecin en chef. » En
n en chef) ne peut être suppléé par le médecin-adjoint que dans les cas d'absence autorisée ou d'empêchement constaté »
o- ciation d'avec le centre cortico-im olontaire, Dans le premier cas , toute manifestation de la volonté libre étant
t présente de l'hyperexcitabilité réflexe. Il était exagéré en deux cas de tétanie. P. Km,\V \1., \1, Nouveau phénomène
se transmet à la moelle spinale ou aux raci- nes antérieures; en ce cas ce serait un phénomène rappelant celui de Chvos
en ce cas ce serait un phénomène rappelant celui de Chvostek. En un cas de tumeur de la région dorsale de la moelle (au
ssise, souvent alors il s'étend aux extenseurs de la jambe. Dans un cas de diplégie spasmodique, on obtenaitle réflexe lo
ent chez les gens bien portants ; il est nettement exagéré dans les cas pathologiques. Etant donné la grande quantité de
périostiques dans la partie du corps paralysée, ce qui n'est pas le cas pour les paralysies fonctionnelles. P. Keraval.
ciels se distinguent des noircissures pathologiques ; en ce dernier cas , on a affaire à des miettes de myéline isolées ou
de l'azote suit la courbe de l'ingestion de l'azote, et qu'en aucun cas l'azote urinaire ne fut supérieur à la quantité
rane élastique, - .T Chorée et catatonie, ' M. ACHARD rapporte le cas d'une fille de dix-huit ans, atteinte de catato
llectuelle trois jours avant sa mort. M. ACHARD rapporte aussi un cas d'hémiplégie hystérique sur- venu à l'àge de G4
s, à la suite d'une émotion. MM. P. Roy et Il. Dupouy rapportent un cas d'amnésie rétro- antérograde ayant débuté brusq
fillette en rapport avec des malformations acquises. Dans les deux cas de cet auteur, pris dans le serv ice du D1' Marie
des débiles mentaux. L'auteur pense qu'il existe un grand nombre de cas de ce genre, où des déforma- lions, minimes, pa
progres- sive des internements. Parmi les admissions, signalons 12 cas de manie alcoolique (IL), 37 cas de débilité me
Parmi les admissions, signalons 12 cas de manie alcoolique (IL), 37 cas de débilité mentale (18 Il. et 19 F.) et .')cas
alcoolique (IL), 37 cas de débilité mentale (18 Il. et 19 F.) et .') cas d'imbécillité (il.), 2 d'idiotie, 2 d'idiotie ave
M. Charron. Parmi les 78 décès (ô' ? Il. et ' ? 6 In.), relevons 8 cas de tuber- culose pulmonaire. Dans le Compte a
est édifiée sur le terrain arthritique. Dans la grande majorité des cas , l'acide urique été trouvé en excès dans l'urin
ner un vrai déprimé du système nerveux (hypotension). Dans le 1 CI' cas : régime lacté ou lacto- végétarien, purgatifs
rine, nitrite de soude, eaux naturelles diurétiques. Dans le second cas , il est, au con- traire, nécessaire de favorise
e des décès de 30 à 90. Il n'est pas donné d'observer à l'Asile des cas nombreux d'into z xication alcoolique aiguë : l
il ne lui est permis de signer aucun certificat, d'engager en aucun cas sa responsabilité personnelle ? Comment compter
dont le chirurgien se mettrait volontiers à notre disposition en cas d'événement. L. Nous n'avons pas davantage de p
si ces faits se vérifient chez les enfants gauchers. Dans tous les cas , il semble apporter une justification à notre hab
onctions s'ils le désirent. Les internes provisoires remplacent, en cas d'absence ou d'empêche- ment, les titulaires av
5 ? 116 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE c 1 sur un cas ae lésion ae ia queue ae cnn ? par tuberculose
recherches statistiques sur la nature de l'élément étiologique, un cas seulement de tuberculose y est men- tionné. Un
étiologique, un cas seulement de tuberculose y est men- tionné. Un cas d'ostéite tuberculeuse du sacrum avec pa- chymé
se de la symphyse sacro-iliaque et du sacrum, le cite comme le seul cas , jusqu'alors publié et confirmé à l'au- topsie,
l. Le fait que, dans la littérature chirurgicale ancienne sur des cas de tuberculose sacrée ou lombo-sacrée, on parle
en loin d'être dé- monstratives ; j'en ai pu trouver seulement deux cas et cela dans la thèse de Conta : mais ici encor
s caséeuses, l'épaississement de la dure- mère qui dans un des deux cas est dite présenter des tu- bercules agglomérés
s agglomérés contenant de nombreuses cellules géantes. Dans le même cas , les racines de la queue de cheval n'offraient
offraient pas de lésions (examen par dissocia- tion) ; dans l'autre cas on ne parle pas de l'état des ra- cines. C'est
peut pas être décrite d'après les autopsies publiées, car dans le cas publié par Cestan et Babonneix, il est sim- ple
complication, je crois intéressant de rap- porter ici l'étude d'un cas de tuberculose sacrée avec lésion secondaire de
Il paraît qu'ici la dure-mère, comme il arrive dans la majorité des cas de tu- berculose de l'espace épidural propagée
erfs intra-musculaires. Au point de vue anatomo-pathologique, notre cas est intéressant en ce qu'il nous montre une des
acrée peut retentir sur les raci- nes de la queue de cheval le seul cas de Cestan etBabon- neix jusqu'ici publié, de pa
ulose sacrée ou lombo-sacrée. Au point de vue clinique aussi, notre cas offre des par- ticularités intéressantes. Je ne
nt, ainsi que nous l'avons dit plus haut, très rares ; dans le seul cas avec autopsie, de Ces- tan et ]3aboniieix, dans
s il existait des troubles sphinctériens ncts. Dans la majorité des cas , on trouva, outre les si- gnes de tuberculose p
lia- que droite étaient très douloureux à la pression. Dans le 2e cas , la partie supérieure de la symphyse sacro-iliaqu
ression, ainsi que la pression bilatérale du bassin. \ Dans notre cas , le sacrumet les parties environnantes n'offrai
es faits habituellement constatés; en effet, dans la majorité des cas la carie se développe primitivement dans les corp
e canal rachidien et de se propager au tissu épi- dural. Dans notre cas , le toucher rectal n'a pas été fait, mais il es
lésions radiculaires présentes ou d'en produire de nou- velles. Ce cas m'a paru digne d'être publié par ce qu'il se ra
est encore l'observation qui nous a renseigné. Dans la majorité des cas , et sur ce point, tous les auteurs tombent d'ac
raître* les . troubles mentaux. Aussi conseille-t-il, dans tous les cas d'hypocondrie ou de mélancolie, d'examiner atte
e es- pèce de stupeur, de sidération du système nerveux ? Pour ce cas , je ne vois que deux explications possibles. Ou
entrées annuelles ne s'élèvent pas ci plus de 200. Bans tous les cas , et notamment si ce chiffre est dépassé, le minis
de Sicard. La constance de l'irritation des méninges, même dans les cas non coiiipli(Itiés(Na- gcotte) n'est selon lui
aux et (les observations soignées. Vomi- ci d'abord le bilan de 1 8 cas ci diagnostic clinique indubitable pour lesquel
ologique négalifa\ec une augmentation de l'alhumine. Dans les mêmes cas on n'a rencontré qu'une fois de nombreux leucoc
la syphilis, on puisse constater un état positif, bien que dans ce cas , l'augmentation des éléments soif relativement
o-spinal ? Reproduction (le huitohsenalions personne fies. Dans les cas cliniquement nets de troubles men- titin séiiil
olie choréique, de (le (léiiience précoce, on n'obtint t sauf en un cas ,qu'un résultat, c3-LologitLue négatif. Or, en c
t t sauf en un cas,qu'un résultat, c3-LologitLue négatif. Or, en ce cas , il s'agissait d'un in- dividu sûrement syphili
dividu sûrement syphilitique. Sur 4 imbéciles, on obtint en un seul cas un résultat cytologi- que positif ; il s'agissa
uuatifs qui se produisirent autour du corps étranger. Trente-deux cas à diagnostic obscur, ont été soumis à la ponc-
bien entre la folie alcoolique, la démence précoce, l'épilepsie (I cas , 1 ponc- tion), ou encore entre la syphilis cér
u encore entre la syphilis cérébrale, et la paralysie géné- rale (4 cas , 8 ponctions), ou entre une maladie organique et
), ou entre une maladie organique et une affection fonctionnelle (3 cas , II ponctions), ou enfin de préciser l'espèce d
in de préciser l'espèce de trouble mental inhérent à la polynévrite cas ,l ponc- tion). Or, en aucun de ces cas, l'analy
al inhérent à la polynévrite cas,l ponc- tion). Or, en aucun de ces cas , l'analyse du liquide céphalo-ra- chidien n'a p
ssion du liquide a éLé ren- contrée 12 fois qui se décomposent en 4 cas de démence sénile (2 fois) ; 8 cas de démence p
12 fois qui se décomposent en 4 cas de démence sénile (2 fois) ; 8 cas de démence précoce très avancée (4 fois) ; 2 cas
énile (2 fois) ; 8 cas de démence précoce très avancée (4 fois) ; 2 cas d'im- bécillité (1 fois) ; 4 cas. d'épilepsie t
précoce très avancée (4 fois) ; 2 cas d'im- bécillité (1 fois) ; 4 cas . d'épilepsie traumatique (2 fois) ; un cas à di
- bécillité (1 fois) ; 4 cas. d'épilepsie traumatique (2 fois) ; un cas à diagnostic irrésolu. Dans laparalysie génér
ne autre une méningite aiguë, on trouve une lymphocytose modérée IG cas ), faillie (2 cas), nulle (4 cas). En général le n
ngite aiguë, on trouve une lymphocytose modérée IG cas), faillie (2 cas ), nulle (4 cas). En général le nom- bre des lym
trouve une lymphocytose modérée IG cas), faillie (2 cas), nulle (4 cas ). En général le nom- bre des lymphocytes n'atte
ges. Cinq observations prouvent que la lymphocytose peut dans les cas douteux, servir à éclairer le- diagnostic. entre
ementtrés étroit clair ou obscur. Puis viennent en presque tous les cas des petits leucocytes uni-nucléaires. Ce qu'on
llules éosinophiles et les cellules granu- lo-graisseuses. Dans les cas où il n'existe pas d'hyper-lymphocy- tose, d'or
hyper-lymphocy- tose, d'origine pathologique, c'est-à-dire dans les cas examinés sauf les paralytiques, les lahétiques,
On peut aussi chasser au- paravant le cajeput par le xylol ; en ce cas la face externe du cou- ne-objetbrille comme un
aire sous l'influence de l'oc- clusion palpébrale. Il n'y a en tout cas ni paralysie de l'accom- modation, ni atrophie
ui n'ont coutume ni de lire ni d'accommoder, inapplicable aussi aux cas , rares d'ail- leurs, de myosis sans immobilité
l'augmentation de la pression du liquide cérébro-spinal en pareils cas , et peut atténuer l'oedème papillairc. Pourqu
Cause inconnue. Le malade a jadis manié beaucoup la céruse. Dans le cas de : \1, Vitek il s'agit d'un jeune garçon de 11
héréditaire. MM. D1 ! .TERINE, LEENHAI2DT et Moréro. 11 s'agit d'un cas d'épilepsie jacksonienne survenant chez une jeu
à un arrêt de développement de la première temporale gauche. Deux cas de purpura à topographie radiculaire. JI. P. AR
gie fiasco-spasmodique pottique. MM. Dur ré- et Camus rapportent un cas de cette affection sans compression de la moell
doigts et des orteils. )1\I. IOUTIhR et Robert Grasset montrent un cas de sclérose latérale amyotropliique évoluant de
t eu déjà unpremieracces assez semblable. JI. LEGItAIN a observé un cas de confusion mentale chez un étudiant porteur d
lésion. M. KERAVAL rappelle que M. Cechterew a publié beaucoup de cas analogues. , M. ARNAUD fait remarquer que les d
dépendants de toute lésion, rien ne permet d'affirmer que, dans les cas cités, on puisse scientifiquement conclure à un
l'impossibilité deles renouveler. 136 " SOCIÉTÉS SAVANTES. Deux cas de perversion sexuelle causée par des difformités
pendant le sommeil naturel. M. ltomeoTts (de Corfou) rapporte deux cas guéris par sugges- tion hypnotique. Dans le pre
pporte deux cas guéris par sugges- tion hypnotique. Dans le premier cas il s'agissait d'un tic de suc- cion chez un enf
onoi- déisme ou tout au moins d'expectante attention. Dans tous les cas , les idées introduites par l'initiateur se comp
it pas manier les images articulatoires avec virtuo- ailé. Dans ces cas et dansheaucoup d'autres de ce genre, l'inapti-
ire, )1. Giraud, a été retrouvée plusieurs fois, notamment dan= les cas d imbécillité. Trois imbéciles étaient tilles d
ue. » Comme cause occa- sionnelle, l'alcoolisme est invoqué dans 2G cas . « La syphilis a été relevée seulement cinq foi
ropre qui est enjeu. Parmi les maladies incidentes, signalons (rois cas d'othémato- me des oreilles, accidents qui devi
s distractions) l'isolement, le repos, la suralimentation. Dans les cas légers, ce sont les entre- tiens psychothérapiq
u- tour de lui une atmosphère de conviction de guérison. Dans les cas plus graves, le malade sera maintenu au lit dans
in suppléant, comme son nom l'indique, me rempla- çanl seulement en cas d'absence ou d'empêchement. La question en est
te des sorties réglementaires, des congés annuels bien mérités, des cas de maladie, etc. Nous comp- tons beaucoup sur v
uchet (de Bordeaux), Brissaud et Henry Meige, qui rapportent' des cas très curieux de tic hystérique, d'hémispasme fa
thogénique de l'idée hypochon- driaque devra s'adresser surtout aux cas simples, précoces et légers des préoccupations
coces et légers des préoccupations neurasthéniques, et négliger les cas complexes, graves et tardifs des idées dénégati
arues chez des sujets psychiquement normaux. De même, dans tous les cas d'hallucinations, Ilead a constamment trouvé la
rculeux conscients qu'il observait. Pour Gamble, un grand nombre de cas d'aliénation mentale ne seraient que des manife
les coenesthésiques.. · Tout le monde admet l'existence de certains cas plus ou moins exceptionnels d'hypochondrie symp
bétiques, alcooli- ques, enléritiques, etc.) mais, eh dehors de ces cas , dont d'ail- leurs le nombre augmente en même t
naler l'influence souvent- considérable que prennent, dans certains cas les troubles proprement psychi- ques. Il ne suf
ypochondriaque. Mais l'importance de chacun d'eux varie suivant les cas , et généralement en raison inverse l'un de l'au
eutes, chirurgiens, laryngologistes, dentistes, etc.) Même dans ces cas , où le rôle de la mentalité apparaît nette- men
. t. Les auteurs ont d'abord éliminé de leur étude les différents cas où les idées hypochondriaques, bien que très réel
e sui- cide peut être considéré comme volontaire et dégager en ce cas une compagnie d'assurances sur la vie de toute ob
les héritiers de son client. Il n'y a pas de règle fixe et tous les cas doivent être examinés soigneusement. Mais quand
e lui avoir communiqué une maladie vénérienne, etc. Dans tous ces cas , on se souviendra que plus l'élément psychique
il importera de déterminer, par une analyse soigneuse de cha- que cas , la part de la prédisposition psychique constitut
teur n'a parlé que de l'hypochondrie physi- que et il a négligé les cas si nombreux d'hypochondrie psy- chique, dans le
origine somali- que de ce délire a été admise par eux dans certains cas , et je n'en veux pour preuve que la remarquable
ent y ren- trer. - Le chirurgien est dès lors, en droit, dans ces cas particuliers de poser le problème de la façon s
problème de la façon suivante : en présence d'une même lésion, deux cas peuvent se présenter : 1° Si le malade possède
de sa lésion, et cette préoccupation reste légi- time. 2" Dans le cas contraire, l'analyse mentale qu'il fera de son
son rapport, de s'élever contre les opérations pratiquées dans ces cas . Je suis de son avis d'une ,/ façon générale, s
t la limite des unes et des autres ? , J'ai publié ailleurs trois cas de préoccupations hypochon- driaques chez des m
ut en admettant que l'intervention chirurgicale peut, dans certains cas , guérir 1 hypochondriaque, I. Boy pense que le
apporteur est trop modeste et qu'il pourra, dans un grand nombre de cas , comme nos collègues le font d'ailleurs journel
lcoolique, Etal local. Reste l'étude de l'état local. Dans certains cas , les troubles viscéraux sont grossièrement symp
éraux sont grossièrement symptomaliques.Le rapporteur nous cite les cas intéressants doDupré, de Mirallée et de Vigoure
intéressants doDupré, de Mirallée et de Vigoureux. Mais il est des cas difficiles, tel celui cité plus haut du prof. B
ricocèle, que j'ai étudiés dans une note spéciale..Mais ce sont les cas de déplacement d'or- ganes, comme le rein mobil
a-t-il des lésions concomitantes des annexes ? P Dans ce dernier cas , les troubles fonctionnels sont-ils exac- temen
le qu'il faut rattacher les états hypochondriaques. Dans quelques cas , il est vrai, cette perturbation peut suc- céde
ons diverses. Séance du 2 août. Présidence DE 112. GIRAUD. Sur un cas de délire métabolique à base hypochondriaque ;
s d'autopsie. Il résulte de ces faits qu'il y a lieu, dans tous les cas , de chercher attentivement le substratum morbid
tisfaction pré- dominaient. Les altérations étaient dans le premier cas pré- dominantes dans les cellules étoilées avec
des cellules de Purkinje ; elles étaient inverses dans le second cas . Remarques sur les délires du « parasitiférisme
éritable conviction délirante, et s'accompagner d'hallu- cinations. Cas d'une malade chez qui on observait en même temp
rante peut compliquer un délire de persécution de forme classique : Cas d'une malade per- suadée que ses ennemis lui av
r le fonds d'un délire systématise évoluant d'une façon chronique : Cas d'une malade qui croit loger ainsi un « ver poi
as d'une malade qui croit loger ainsi un « ver poilu » colossal, et cas d'une ma- lade qui se croit enceinte depuis vin
au Congrès sont particulièrement démons- tratifs. Dans le premier cas ; chez une hystérique de 30 ans, on voit, à la s
t disparaître encore après une nouvelle hypnose. Dans le deuxième cas , il s'agit d'une jeune hystérique de 14 ans 1/2
Dl' CRUCHET. -Dans le spasme facial périphérique en général, trois cas peuvent se présenter : 1° Le spasme est primiti
s VALEUR SÉMÉIOLOGIQUE DES TROUBLES PUPILLAIRES. 187 constitue un cas de ce dernier genre. Les caractères princi- pau
ît paradoxal que les réac- tions électriques soient, comme c'est le cas ici, conservées ab- solument normales. Valeur
re dite « à bascule» » qui est absolument physiologique ou, en tout cas , ne consti- tue qu'une anomalie congénitale com
ctions histologiques et les symptômes cliniques ne soient, dans ces cas , d'ordre bien différent. Au cours du té- tanos,
ement, insidieu- sement, sans réaction sensitive ni motrice ; et en cas de gué- rison confirmée,chacun sait que les ner
ements. Le branle-bas peut être général, s'étendre, par exemple, au cas de névrite ascendante du membre supérieur, à to
ensité progressive, une opération sanglante ne sera autorisée qu'au cas de cal hypertrophique, d'hyperostose, de chéloïde
es- ments du membre et même résection des racines postérieu- res ( cas de Abbe, de Benett, de liorsley, de Chipault, Luc
morts un temps variable après l'opération. Dans presque tous ces cas .il existait des lésions des cordons postérieurs
trajet des fibres parties d'un membre étant identique dans tous les cas . les ganglions altérés et les libres médullaire
t voici ce que nous avons constaté : En premier lieu, dans certains cas . nous avons trouvé de ces boules de dégénéresce
t dans les racines mêmes.' * En second lieu, nous avons noté dans ? cas , en plus des al- térations des cordons postérie
s à sa fois homo et hétérolatérales, si dis- semblables suivant les cas , que nous avons rencontrées dans 196 CONGRÈS DE
amyotrophie du membre inférieur gauche. Nous avons, dans tous les cas , observé que le temps perdu du réflexe rotulien
nés, . le temps perdu pour le seuil a été on moyenne de 0',07. Un cas de paralysie spinale aiguë de l'adulte à forme
onoplégique est rare ; la statistique de Mûllcr (1880) en indique 3 cas sur un total de 46, soit une proportion d'envir
une proportion d'environ 6 °/0. Voici l'observation d'un semblable cas . Homme, bonne santé habituelle ; rien d'importa
e seuil a toujours gardé exactement la même va- leur, dans tous les cas . Je conclus donc que la surface du per- cuteur
evâmes du sang d'othématoriies chez des paralytiques généraux (cinq cas ) et nous ensemençâmes sur bouillon, sur gélatin
us ensemençâmes sur bouillon, sur gélatine, sur agar-agar. En aucun cas il ne fut obtenu de culture. Et cependant, dans
En aucun cas il ne fut obtenu de culture. Et cependant, dans trois cas , l'othéma- tome s'était produit depuis moins de
ut. Le signe de Ker- nig signifiait bien lésion médullaire. Dans le cas où le signe de Kernig existait au début de la p
C'est au début que sa présence a le plus d'importance, car dans les cas de paralysie générale fruste, sans signe d'Argy
those émotive conjonctivale. Dr nIANHEIMER GOMMÉS. - On connaît les cas de rougeur obsédante de la face. Toute autre ré
eur des yeux n'apparaît dans aucune autre occasion. Dis- cussion du cas . Un trouble émotif paraît bien être à la base d
etenue très longtemps avant d'uriner. 11 semblé bien que, dans ce cas , on ait affaire à de l'oedème cérébral. Les par
acentral droit. Dr G. DoUTREBENTE, L. MARCHAND ET M. OLIVI'FR, -Les cas 204 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOG
tardive sont assez rares ; il nous a paru intéressant de publier le cas suivant : 11 s'agitd'un malade,âgé de 64 ans, d
du premier âge avec les altérations cérébra- les acquises. Dans le cas que nous publions, hérédité mor- bide vésanique
des dont le diagnostic même était encore douteux. Dans cer- tains cas , ils ont trouvé une assez forte proportion d'albu
it donc très désirable d'établir avec certitude si, dans cer- tains cas bien définis, les illusions et les hallucinations
doute, à cet égard des renseignements in- téressants ; mais dans le cas de confusion mentale hallucina- toire, les alté
es nerfs étales ganglions spinaux (\epveu, z) (1), permet, dans les cas types, d'assister au développe- ment progressif
oint de vue pathogénique, je pense qu'il y a lieu de distinguer les cas où l'hallucination est d'origine primitivement
ès (Bordeaux). - Dans le tabes il' n'est pas rare (1) NcPV1EU. - Un cas de rage (Compte rendu de la Société de biologie
ction motrice contre une sensation d'engourdissement. Dans d'autres cas , ces sté- réotypies reproduisent des mouvements
n a été attirée sur ces faits, il nous a été donné d'en réunir cinq cas et de rapprocher ces stéréotypies des momemenls
doigts de la main sont rarissimes, et je n'en ai jamais vu un vrai cas , et je fais toutes réserves n'ayant pas vu les
cas, et je fais toutes réserves n'ayant pas vu les malades sur les cas communiqués par M. Sabrazès. - M. Sabrazès. L
ont pas aussi rares que cela. Dernièrement, nous en avons publié un cas . Il s'agit d'un aveugle qui, au début de sa céc
i les malades de nos asiles. Je pourrais en montrer trois ou quatre cas à M. Meige. 11 s'agit, en général, de déments p
t dans la démence complète. M. neige. Il s'agit, je crois, dans les cas qu'on nous cite, bien plus de stéréotypie que d
r le mérite d'avoir réalisé ce progrès. Tour à tour, et suivant les cas , celui-ci prescrit à des « vaporeux », quisouve
Turck, Bonnefous, Kroepelin, etc. A propos de l'ob- servation d'un cas de délire maniaque agité qu'il a soumis à l'act
e surprise de Van-Helmont, ait ignoré la méthode de Pomme ; en tout cas , il ne la mentionne ni ne la suit, se bornant à
ppement humide est adopté de préférence par Kroepelin dans certains cas d'agitation maniaque caractéri- sés par la rési
l ou le bain en pluie. On pourra aussi avoir recours, dans certains cas , au maillot humide, au demi-maillot, à la ceint
mersion de courte durée en eau froide (Pomme) ; mais, dans bien des cas , il y aura lieu de recourir au bain prolongé (B
viendront pas contre-indiquer l'emploi du bain lui-même. Et dans ce cas , le traitement hydrothérapique devra se limiter
élancolie n'est point exclusive des états d'excitation et, dans ces cas où se range la mélanco- lie anxieuse, « les bai
à l'action débilitante du bain tiède, il semble préférable, en ce cas , de recourir à des bains très chauds (C. Dent), p
tion (cyanose, refroidissement des extrémités, etc.). Dans tous les cas , la réaction sera très attentivement surveillée
e. On se souviendra aussi que Morel avait utilement employé, en ces cas , l'emmaillotement humide constamment réfrigéré,
devront être, en règle générale, proscrites. Ce n'est que dans des cas spéciaux, et après un examen approfondi de l'ét
es du malade et de ses capacités réactionnelles qu'on emploiera, en cas d'excitation aiguë, les grands bains tièdes et
montré quels avantages on pouvait retirer du bain prolongé dans des cas de para. lysie générale avec eschares ou tendan
compte l'application hydriatique. Ici prendront place, suivant les cas , les bains chauds et froids, les demi-bains, le
al dès qu'ils dépassent la durée d'une demi-heure, et que, dans ces cas , ils doivent être supprimés, toutes les fois qu
les 1 apparences de l'excitation et de l'agitation. C'est dans ces cas d'épuise- ment organique que l'on évitera, avec
tion gé- nérale et risquent d'en épuiser les sources. 4° Dans les cas de folie caractérisés par une asthénie réelle e
l'indication de le rejeter on d'en différer l'emploi. G" Il est des cas de folie aiguë, d'essence plutôt sthénique, - t
it que l'agi- tation disparaît, mais je suis convaincu que dans ces cas -là on serait arrivé au même résultat sans ce tr
decine, dispa- raisse. M. 111NHEIIdER Gommés (Paris). -- Dans les cas d'excitation générale avec barbouillage et scat
es, la même balnéation a suscité, le gâ- tisme volontaire. Dans ces cas , on se trouvera mieux, pour obtenir des effets
15 tel 20 se- condes suivies d'une douche générale en jet. Dans les cas de folie de l'adolescence,principalement dans l
ée au côté temporal de la pupille à l'image droite. Dans un ou deux cas , il nous a semblé que cette décoloration peut a
qué de vérifier la teneur du sérum sanguin en alexine, dont - UN CAS DE GASTRITE HYSTERIQUE. 233 les relations étroi
oumis à l'épreuve. Cette sensibilisatrice existe dans les 3/4 4 des cas , même dans ceux où l'hémoculture était restée né-
eur intervention est très fréquente, bien que non cons- tante. Un cas de gastrite hystérique traitée par la psycho- t
retenue très longtemps avant d'uriner. Il semble bien que dans ce cas , on ait affaire à de l'oedème cérébral. Les par
minaux qui résultent de l'insuffisance' diaphragmati- que. Dans les cas légers, l'examen clinique ne révèle que l'a- ma
les troubles respiratoires que nous venons d'énumé- rer.- Dans les cas graves, il se produit de véritables accès d'asp
endre que l'atten- tion, la volonté, l'intelligence, pourront en ce cas , comme dans d'autres désordres de fonctions mot
peuvent triompher des troubles que nous venons de décrire. Dans les cas que nous avons étudiés, des exercices élémentai
racine externe du tronc) que vient renforcer un gros faisceau UN CAS D'HYSTÉRIE SIMULANT LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 230
st un phénomène de rappel dépendant d'intoxica- tions variées. Un cas d'hystérie simulant la sclérose en plaques et l
isa de même, surtout de ce côté. L'examen anatomique permet dans ce cas d'éliminer ab- solument la sclérose en plaques
La pathogénie de l'atrophie doit se rapprocher, dans de pa- reils cas , de celle qu'on observe dans les altérations céré
ur pro- duire l'atrophie musculaire. Note anatomo-clinique sur un cas d'hémiplégie an- cienne avec température plus é
ucarest). - Nous revenons avec l'examen anatomo-pathologique sur le cas à propos duquel M. Ch. FÉR1( a eu l'obligeance
un phénomène de déficit (ou d'exci- tation ? ) du thalamus. Dans ce cas , il pourrait servir avec les troubles de la sen
Lésions du cerveau et du cervelet chez une idiote aveugle- née (2° cas ). M. leD'GiRAUD (Antoine) (de Lyon).Nous avions
ez les lapins énucléés. Nous venons tout récemment de rencontrer un cas absolu- ment superposable : il s'agit encore d'
phie progressive Aran-Duchenne, une place doit être réservée aux cas d'origine syphilitique. La possibilité en avait d
Les faits probants sont cependant encore peu nombreux. . Dans le cas présenté par Lannois, il s'agit d'un homme dcqua-
doigts. Bien que le traitement spécifique ait échoué dans quelques cas , il compte à son actif des améliorations encoura-
ne affection contre laquelle nous étions tout à fait désarmés. Deux cas de carcinome secondaire des centres nerveux.
nes (Bordeaux) présentent des prépara- tions microscopiques de deux cas de carcinome secondaire des centres nerveux, se
ent des prépa- rations de cellules hématomacrôphages provenant d'un cas d'hémorragie cérébrale avec irruption ventricul
des espaces sous-arach- noidiens et peut-être aussi, dans certains cas , de corps granu- leux ayant englobé des hématie
re 1905 " Nu 118 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Sur un cas de délire métabolique de la personnalité lié à
ls, un être extraordinaire, hors des lois naturelles ; et, dans des cas plus accentués, se manifestent des idées de pos
iaque : il est en ] lois, en verre, en caoutchouc, etc.. ; dans des cas plus complets la transformation corporelle est
sa sortie prématurée. « Quand je suis entrée la première luis 't UN CAS DE DÉLIRE MÉTABOLIQUE DE LA PERSONNALITÉ. 259 l
les personnes qui l'entourent, sait dire leur nom, mais prétend UN CAS DE DÉLIRE METABOLIQUE DE LA PERSONNALITE.. 2G1
fléau du genre humain ; aussi rcdoute-t-ello toujours les plus UN CAS DE DÉLIRE MÉTABOLIQUE DE LA PERSONNALITÉ. 263 g
il nous semble difficile de ne pas admettre qu'il s'agisse là d'un cas de délire métabolique de la personnalité, ou, s
Les sensations actuelles que lui (1) G. DENY et Paul Camus. Sur un cas d'hypocondrie aber- rante due à la perte de la
conscience du corps. In 7<f. de Ncnrolo- gie, 15 niai 1905. UN CAS DE DÉLIRE METABOLIQUE DE LA PERSONNALITÉ 265- p
ent l'observation. Les différences cliniques relevées dans les deux cas sont dues uniquement à ce que dans l'un il s'ag
ique des cho- ses dont la sensation persiste. » . Dans le premier cas , il y a, d'après M. Bonnier, hypo ou aschématie
de place, ou une place qui n'est pas sa place propre, comme dans le cas que nous venons de rapporter. Il n'a jamais été
3) 1903. L'aschématie, par P. Bonnier, in Revue neurologique, 30 UN CAS DE DÉLIRE MÉTABOLIQUE DE LA PERSONNALITÉ. 267 (
PATHOLOGIE MENTALE. est d'ordinaire très marquée et, dans certains cas même, peut dominer la scène au point de légitim
ou externe, il s'agit. Il y a lieu enfin de distinguer, suivant les cas , la psychose infectieuse de la méningite, delà
mment de l'amnésie lacunaire, qui est à peu près la règle en pareil cas . Traitement. Au point de vue thérapeutique, le
; rage (1). Il. Grippe ouinfluenza. Si l'on en excepte quel- ques cas rares et isolés, notés antérieurement, ce n'est
pelant presque celle de la méningite. L'agitation est dans certains cas des plus violentes, et le malade, principalemen
ctérisée au syndrome paralyti- que. Beaucoup d'auteurs ont cité des cas de ce genre, dans lesquels rien ne manquait au
rien ou que fort peu de choses au bout de quelques se- maines. Le cas de Krypiakiewicz,dans lequel la démence LES PSY
rogressivement est, à ce point de vue, exceptionnel, de même que le cas plus ré- cent de G. Borie, de Cumberland, termi
erret, qui les a fort bien décrites. les ré- sume ainsi, d'après un cas typique. avec Paret : stase des globules dans l
llement curables et ce n'est qu'ex- ceptionnellement, dans certains cas de délire aigu fébrile, qu'elles peuvent abouti
pro- pre et on peut affirmer que,dans la très grande majorité des cas de psychoses infectieuses, la cause réelle du dé-
dilatées, soit contractées. Le strabisme n'est pas rare ; dans les cas graves, on observe le prolapsus de la paupière
e période ancienne de son existence. The Lancet a récemment cité un cas curieux de ce genre. 2° Psychoses de la convale
citation bien marqués. Griesinger et Rondot (1883) ont rapporté des cas de démence subite, d'obtusion 2SO psychologie]
ansformations pathologiques de la cellule elle- même. Ainsi dans un cas de ramollissement sons-cortical ayant amené la
sement présentait cette confusion caractéristique. (G. 13c,r,·r. Un cas de surdité verbale par lésion sus-nucléaire Rev
correspondant. Le professeur Marinesco (1) a fait con- naître le cas de deux jeunes gens auxquels on avait enlevé à
ce et l'objet. Si l'objet n'est pas tenu entre le pouce et l'index, cas le plus rare, il-est placé entre deux doigts co
de la plante du pied ». Le phénomène primitivement observé dans les cas d'hémiplégies orga- niques ou cérébrales est im
entualité qui se produit chez le nouveau-né » (Muu- XESCO. Sur deux cas do paralysie uasque, etc. Revue Neurologique, 1
cns opérés peuvent se retrouver, moins nets il est vrai, dans des cas de troubles organiques du faisceau pyra- midal.
st l'aile Il après 1 observation de 116 enfants. Il est signalé des cas exception- uels où, comme dans le cas ci le par
6 enfants. Il est signalé des cas exception- uels où, comme dans le cas ci le par Darwin (Preyer : L'âme de l'enfant, p
r l'issue du liquide en dehors de la cavité buccale » (2 ? Dans les cas d'a- nencéphalie observés par Arnold, Sabrazès
'apparaît comme savoureuse et digne d'être retenue. Dans tous les cas , les internes distingués ont un moyen de res- t
istologiques de la myopathie progressive. L'auteur signale d'autres cas publiés de myotonie atrophique ; de tels faits,
ractérisé anatomiquement par l'atrophie du cervelet ; or il y a des cas mixtes, et le Professeur en présente deux, dont u
mander si ceux-ci ne sont pas l'exception. En effet, dans plusieurs cas publiés, l'atrophie du cervelet s'associe à des
n a été at- tiréesur ces faits) deslésions cét'ébelleuses,drins des cas indéniables de maladie de Friedreich. D'où il r
oliose, attitude pathologique du pied (équinis- me). Dans les trois cas , extrême petitesse du système nen euxcen- tral
sont atrophiées, les fibres raréfiées. L'auteur rattache ces trois cas à une forme intermédiaire entre 1'liéi-édo-ala
pètrière, 190'I, n" 5.) Observation intéressante vu la rareté des cas de spasmes fonc- tionnels bilatéraux. 310 rev
n sur l'origine de ces granulations. F. T. X. Analyse de quelques cas d'affections cérébrales ; par 31. J. FÉDOROW. (
à la polio- myélite, on ne saurait espérer que leur présence en un cas ana- logue permît àl'avenirtle diagnostiquer l'
lliblementàlastatistique. Il existe actuelle- ment, y compris notre cas , 9 observations de poliomyélite an té- rieure c
celle de Sylenham, ni la sclérose en plaques, ni le Friedreich. Ce cas pst rapproché par Boucarut de celui d'un ma- la
mme que chez l'homme (Morsclli) ; ildéhutebrusquement dans certains cas (Belmondo) et ne s'accompagne pas de manifes- t
agro-typhus n'ont rencontré aucune variété d'as- pergillus dans ces cas . Ils ne signalent pas davantage les corpus- cul
t décelable dès avant l'accès, le plus souvent après, mais en aucun cas reliée à cet accès dans un rapport de cause à e
t pas être prise au pied de la lettre. Dans une statistique de 41 cas , des blessures constatahles n'ont existé que 19
oto)'. de la Salpètrière, ¡¡JO '1, no ; : ¡.) , Obel'\ ation d'un cas de syringomyélie qui ne présente rien que de tr
us cavitaire dé- crits par eux se retrouvent au moins dans certains cas de syrin- gomyélie. )lais alors il y a peut-êtr
stologique spé- cifique de la syringomyélie. F. Tisser. XXX. --Un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte av
ns vasculaires était vraisemblablemenlla syphilis. F. T. XXXI. Un cas de myopathie avec rétraction ; examen anatomiqu
ère, IcJll4, no 5.) Vérification anatomo-pathotogique d'un des deux cas de myo- pathie familiale publiés par les auteur
IE. 327 22; - épilepsie; 17, alcoolisme, 32 dont 24 h. « Dans 187 cas (sur 229 entrées), nous n'avons pu avoir de rense
alade. Ces sorties sont demeurées définitives dans presque tous les cas . » Ces résultats sont faits pour encourager les m
llons s'est manifestée dans la seule division des hommes, et dans 4 cas sur les 15 constatés chez nos aliénés, il y a e
e, 18 autopsies sur 23 décès ; à Vallée, 16 sur 19. Dans les autres cas , il y a eu opposition. BIBLIOGRAPHIE. 329 C'e
et 521 1 ? .) ; Admissions en 1904, 244 (119 II. et 125 F.) dont 13 cas d'é- pilepsie, G d'hystérie, 26 de paralysie gé
une médication pathogénique et qui s'inspire de la diver- sité des cas . Les méthodes récentes de traitement : alitement,
ques généraux sont sII)hilili4lues, e[(Itie d'au- tre part certains cas de paralysie générale n'ont certainement pas po
d'en envoyer davantage aux cours. 332 BIBLIOGRAPHIE. majorité des cas la paralysie générale est d'origine syphilitique
te de paralysie générale. Il importe dès lors de dif- férencier les cas de méningo-encéphalite diffuse de nature uni- q
mélange n'amène qu'une simple dépression. L'alcool, dans le même cas . ne produirait qu'un simple affaiblissement psy
e mélancolie plus délirante, plus en rapport avec la tarc. C'est le cas dans l'observa- tion suivante. 1)nscuv. riUV
à mélancolie. Nous avons trouve le foie lésé dans beaucoup d'autres cas Le nombre de nos observations s'élève à plus de
chyme hépatique que nous a démontrées l'examen histologique dans un cas de mélancolie doivent-elles être imputées égale
rofesseur Gilbert et : \1. Lereboullet. Quoiqu'il en soit. dans les cas de guérison de mélanco- lie que nous avons obse
ans les deux états, la même alimentation doit réussir dans les deux cas ; et c'est ce qui arrive. Les aliénistcsproscri
es, tels que l'hystérie, la svringo- mplie et certaines paralysies ( cas de l3arl.er). Un sait d'autre part que Mlles Yo
et des autres, que«le meilleur exercice est le repos»'' '1 Kn tout cas , la conclusion formelle du rapporteur est que l
aux avant d'en préconiser l'emploi chez l'homme C'est aller en tout cas beaucoup trop loin, de xouloirériger en dogme la
Heilporn (d'.\l1\ers) a montre d'intéressantes radiogra- phies d'un cas d'awoméqalie. La selle lurciquo apparaît no- ta
ÉS SAVANTES. présence d'un clonus fruste de lu rotule dans certains cas de neurasthénie traumatique ; de M. Debray sur
it nitre aussitôt l'idée d'impuissance. La fatigue esl, suivant les cas , auto ou lié- téro-suggérée, avant ou pendant l
st amené à don- ric.23. - Coupe horizontale de l'hémisphère gauche ( cas n" 703 du laboratoire). 382 REVUE DE PATHOLOGIE
a syphilis,. dont l'action est, en parlicu- lier, évidente pour les cas de Iraralyic générale juvénile pour Fie. : iL -
u[deIasypItilis' : l'inuHrat,[)6rivasculaire étant, dans le premier cas , consLi6ué surtoul,par des plamazellcll. et des
e Po,. 1 ? - Elélllellh de l'iulillrat méningé, paralysie générale ( cas 806 du laboratoire}. . 1 384 REVUE DE PATHOLO
rapie locale quotidienne ou biquotidienne est loul indiquée dans ce cas .. - (13.). REVUE DE PATHOLOGIE. lENIALE. 3ci5
llement. F. TissoT. Essai de recherches médico-statistiques sur 900 cas de paralysie générale des aliénés; par G. A. 1)
ut, le réflexe 111l'IItollllit'r du ré- 111'\(' buccal. En quelques cas , quand ou frappe la lèvre supé- rieure ou infér
;lIli ? qui, dall '1111'1- 888 REVUE DE PATHOLOGIE ! EKTAL1. que» cas , sont plus ou moins exagérés. 11 a Iles cas .où l
THOLOGIE ! EKTAL1. que» cas, sont plus ou moins exagérés. 11 a Iles cas .où l'activité (les muscles de la jambe' el du
pI la guérison "'l',1. établie l'lll1ainlpnu ? L. \\ ? Ht... XI. Un cas d'idiotie amaurotique héréditaire : par .lame 1
qlW le ll'aill'. ment ne fut pas exécuté. C'("lail h idemmenl. un cas d'idiotie amaul'ulique héréditaire cl il résult
S l'i sans complications. . Autant que je me rappelle, vingt-sept cas semblables ont nln enregistrés. ( : 'est un rai
ont nln enregistrés. ( : 'est un rait curieux que presque tous ces cas , sinon fous, se son ! rencontrés dans des famil
suites fatales chez les enfants avant l'âge de aiis, comme ce ru le cas ici..le suis convaincu que celle maladie n'a pa
es noies seront d'un intérêt appréciable, car voilà certainement un cas de plus a ajouter à la liste très restreinte de
ertainement un cas de plus a ajouter à la liste très restreinte des cas de celle incurable maladie. ' Voici à titre d
he journ. of ner- tous and. ment, diseuse, l ! 103, p. Il. - IX. Un cas d'idiolie fali- 11ale amaul'olique, pal' ,Ialll
. Lxnnois et .1.%Ali3oN. (Lyon médical, lui mai t905 n° 20.) , Un cas de paralv sic générale il marche rapide dans Ipql
n bouillie Ionien avant conservé une coque périphérique.. Dans le cas où la lésion médullaire équivaut à une section, o
néral, une paraplégie flasque avec abolition des réllexes. Dans les cas des auteurs, il y avait, bien paraplégie flasque,
tion épileptoide Le fait, qu'ils inellenl surtout en relief dans ce cas , c'est, la dissociation de l'état du tonus musc
il' pal' le ch1orull' d'etinte. M. Lannois insiste, iL propos de ce cas , sur l'importance qu'il a a il pratiquer la sug
Lannois. (Soc. mèd. des 7cp, de Li/on 1 i fév ricn 1 ! 10a.) L'n cas d'abcès e\tra-dure-merien consécutif à une utile
rle trou déchiré postérieur et donne un ahci's rdl'O' ltltarynien. ( Cas du Kessel et de' Kossi de ! 11'aunslein.) L'int
se traduit ici par des phénomènes de déficit. e, C, \ \1'll.- Deux cas d'atrophies musculaires ; par il .M. Lt : nts E
E el I'romknt. (6'oc. mèd. des 7 ? Lijon, Ii janvier l'JO. J Deux cas d'atrophies musculaires : le premier répondant au
les malades prennent alors l'aspect delà maladie de Thomsen. Ces cas sont intéressants, car ils établissent un lien en
reuse de la cuisse rlrnilc vl'oriinc fruumaLitluu. I; inturil de ce cas réside : dans l'apparilion tardive de l'alrophie.
in du traumatisme et le poursuivit pendant près d'un an.) De tels cas peuvent soulever de grosses questions m(nlico-lu,
es hémoplysies. Foyer de râles au sommet droit. S'agit-il dans ce cas de simples névrites, prédominant sur le radial,
is de celle-ci. L'attitude surtout est très semblable dans les deux cas : debout, les vieillards présentent une voussure
l'occasion de publier,en collaboration avec le 1)' Lournoville, un cas d'idiotie morale caractérisée par une manie du
itiques des membres. Cependant, il confirme que la névrite dans ces cas , aune prédilec- tion marquée pour le crural ell
fois, la faiblesse musculaire est diffuse et s'accompagne, dans les cas graves, d'une sensation de malaises et de fatigue
ction à la ma- ladie. La démence vraie n'existe pas, mais, dans les cas a évolution lente, l'abrutissement el le défaut
une consultation après l'exa- men d'un aliéné, et un rapport sur un cas d'aliénation.- Il sera ac- cordé au eandillatqu
a Lan. terne, 27 septembre.) Xe connaissant pas les détails de ce cas , nous ne pouvons nous prononcer sérieusement su
e pouvons nous empêcher de faire remarquer que dans la majorité des cas , les épileptiques sont ir- responsables. Nombre
- sile pnur Ileman(ler (lu renforl. - D'où la nécessité en pareil cas , d'être en nombre. Relevons le danger que courent
onctions s'ils le désirent. Les internes provisoires remplacent, en cas d'ah- sence nu d'empêchement, les titulaires av
ter les constatations anatomo- pathologiques laites par nous dans 4 cas de résumer dans ses grandes lignes les différen
sur l'origine osseuse des compressions médullai- res, même dans les cas à évolution lente, où la compres- sion se ferai
sion osseuse directe de la moellc;ils conviennent que dans quelques cas une 'arête osseuse, une esquille, un rétrécisse
aussi interprète les altéra- tions médullaires rencontrées dans un cas de paraplégie pottique comme une myélite produi
moelle, durant un certain temps, se complique dans la majorité des cas très vite d'une myélite. Il est peu vraisemblab
tissu nerveux. Enfin, il paraît aussi indéniable que, dans certains cas , l'irritation des masses tumorales ad- jacentes
ns ses expériences et de celles décrites par les auteurs dans les cas de compression lente produite par des processus
pathologiques, lui font croire qu'on peut admettre aussi, pour les cas de la supposée myélite par compression, une mêm
éveloppement des phénomènes paralytiques, en admettant quc dans ces cas la destruc- tion des libres nerveuses se fait e
lle décrits par Kahler sont trouvés par K1JDRI- : \VTSKI (1) dans 3 cas de tu- meurs de la colonne vertébrale (myélome,
tique. Ils sont encore rencontrés par Schmaus (2) dans l'étude de 5 cas de paehy-méningite tuberculeuse, et l'auteur n'
éningite tuberculeuse, et l'auteur n'hésite pas à admettre pour ces cas , avec Kahl,cr,l'hypothèse de stase lymphatique,
que ou de l'am- moniaque. Il en conclut que si dans la majorité des cas existent les conditions mécaniques pour la prod
uction de la stase lymphatique dans le sens de Kahler, il y a des cas dans lesquels l'hypothèse d'oedème par oblitérati
'si légères qu'elles ne peuvent exercer aucune pression. Pour ces cas , la seule explication possible se réduit au- proc
ique de la moelle dans ie mal de Pott sont les suivantes : dans des cas rares, la lésion médullaire est (1) MUIlI2E\1'I
nt longitudinal postérieur et la dure-mère : dans la' plupart des cas , la tuberculose se propage au tissu épidural, v
plus importante de la' compression ? Cet oedème est dans quelques cas un' oedème de 'stase dû à l'oblitération des vo
t inflammatoire, collatéral, dû à des toxines : pour la plupart des cas toutefois, il résulte de la combinaison de ces-
es des méninges et de la moelle même, qui se peut observer dans les cas ou la péri-pachyméningite atteint un haut degré
int un haut degré de développement. Toutefois, dit-il, ce dernier cas se présente rarement d'une façon durable, et l'
e ; on doit admettre une myélite, selon Schmaus, seulement dans les cas où il y aune tu- berculose de la moelle ; tous
nt osseux du canal vertébral se retrouverait seulement dans 2 % des cas de paraplégie pottique : toutefois la plupart d
ensystemu \'II. S., 737. 1°0·t, 420 pathologie nerveusic. ' des cas relevées de compression médullaire par sténose
e cette manière de- voir ; CHIP\t'LT (1)'la rcncontreune fois sur 5 cas de pa- raplégie pottique (section totale de la
ection totale de la moellc par arête osseuse) ; G u usa Licite deux cas de compression osseuse dans lesquels l'étrangle
l 1(', pratiquées sur des pottiques à paraplégie persistante.' Deux cas d'effon- durement vertébral de la' colonne dors
u ont été commuai- quéspar CROCQ (2) : Fickler ( : ) observe dans 2 cas sur 20 la paraplégie duc à une compression, oss
dans 2 cas sur 20 la paraplégie duc à une compression, osseuse. Un cas in- téressant décompression par arête osseuse a
par arête osseuse a été publié par LONG et 1 : 1CHARD (4) : dans ce cas il n'y avait pas de 1)tellyiiiéiiiiigitc,' et b
ubles circulatoires est aussi invoquée par STROEBE (/. c.) pour les cas , non rares, ou la sténose du canal vertébral pr
ans qu'il y ait un rétrécissement important du canal vertébral. Des cas semblables ont été, après cet au- leur, publiés
lité décompression osseuse de la moelle qui se ferait dans certains cas de spondylitc tuberculeuse guérie ou presque, p
Louis et Olli- vicr. Qu'elle agisse sur la moelle, surtout dans les cas de compression osseuse relativement lente, en p
confirmation très évidente de cette ma- nière de voir. A part les cas , encore assez rares, de compression di- recte d
eset due la lésion médullaire, en partie au/moins, relève, dans ces cas , du facteur mécanique de la compression directe
roduit des troubles circulatoires. Il est donc évident que,dans les cas dits par compression directe, un facteur import
uente : ScHMu's (/. c.) observe la déformation de la moelle dans 32 cas sur 52 ; KnASKE (/. c.)dans 5 sur 14, Chipault(
ns le travail de 1 lc.rLu (/. c.) on la trouve mention- née dans 10 cas sur 20 ; de façon qu'on peul à peu près ' admet
peu près ' admettre, avec Kraske, qu'au moins dans la moitié des cas de paralysie pottique. la moelle est directement
(/ c.), Long et JMACHARD, et d'autres auteurs ont décrit plusieurs cas où la moelle, parfois augmentée de volume, prés
ment inflammatoire peut jouer, à lui seul, ou, dans la majorité des cas , avec l'élé- ment mécanique, un rôle dans la pr
n effet, certains auteurs; en relatant l'oedème constaté dans leurs cas ne soulèvent pas l'hypothèse d'un oedème inflam
on des. voies sanguines et lymphatiques ell'érentes ; dans les deux cas . le trouble cir- culatoire est simplement l'eff
cette hypothèse. 432 PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans l'élude de ses 20 cas , il a trouvé seulement dans les cas de forte pe
VEUSE. Dans l'élude de ses 20 cas, il a trouvé seulement dans les cas de forte perte en substance nerveuse une dilatati
sion et l'oblité- ration des vaisseaux radiculaires, soit, dans les cas où la compression médullaire est très intense,
ssion. Fickler a retrouvé cette dé- génération cunéiforme dans deux cas ; dans les deux cas il s'agissait de compressio
rouvé cette dé- génération cunéiforme dans deux cas ; dans les deux cas il s'agissait de compression de la moelle dorsa
agissait de compression de la moelle dorsale moyenne comme dans les cas de Schmaus et Scarpatetti qu'il cite. Le fait q
tiques, elles n'atteignent, selon Jickler, que dans la minorité des cas un degré suffisant pour déterminer l'ischémie ;
pendant de ces altérations vasculaires dans environ un quart de ses cas . (1) flmatc. .l'f/;N\ ? rP6y ? r/c, XXVIII, p.
érite spécifique qui évolue dans la dure-mère. Fickler dans un seul cas sur 20 a pu constater ce fait; il s'agissait ic
re, avec Schmaus, qu'il existe une vraie myélite seulement dans les cas dans lesquels cette lésion a les caractères spé
depuis les travaux de Schmaus, j'ai pu en relever seule- ment deux cas , un de Chipault (/. c.), l'autre de Philippe et
l de cultures très virulentes de bacille de Koch, ont pu, dans deux cas sur deux, reproduire la propagation de la tuber
e l'infiltration par les tractus vasculaires ; toute- fois, dans le cas d'Oddo et Olmer, la spécificité bacil- laire de
primaire, indépendante de toute lésion méningée, est prouvée par le cas publié par Philippe et Cestan (/. c.) : (1) - D
enses des cellules motrices dorso lombaires. Philippe interprète le cas comme une myélite disséminée paren- chymateusc
pour expliquer des lésions médullaires analogues survenant dans les cas de mal de Pott où il y a une pachyméningite. Ce
uer les lésions médullaires que ces auteurs ont rencontrées dans un cas où il n'y avait pas, il vrai dire, un mal de Po
actuelle- ment. '' , .. On doit toutefois convenir aussi, et les cas que nous exposons plus loin en sont une confirm
ur le terrain de l'anatomie pathologique on rencontre parfois des cas de mal de Pott dans lesquels on ne peut expli-
facteurs pathogéniques, l'action de l'élément toxique. Ce sont les cas où on retrouve des lésions nettes d'cedènte méd
ression des voies lymphatiques et sanguines efférentes. Ce sont les cas où on rencontre des lésions destructives de la
d'interpréter comme con- séquence de troubles ischémiques. Pour ces cas , les trou- bles circulatoires d'ordres divers q
les circulatoires d'ordres divers qui,dans la grande majo- rité des cas , suffisent il expliquer les lésions médullaires,
nt sur l'élément nerveux même. Si on admet cette hypothèse pour ces cas , on peut se demander si l'élément toxique ne jo
e ne joue pas également un certain rôle dans la grande majorité des cas de mal de Pott où les troubles circulatoires mé
a genèse des altérations médullaires, et qu'enfin, dans beaucoup de cas , celles-ci relèvent des actions réunies de ces
Je rapporte ici l'étude anatomo-pathologique de la moelle dans 4 cas de mal de Pott. chez des malades ayant présenté
Pott. chez des malades ayant présenté des troubles médullaires. Ces cas ont été recueillis dans la clinique de M. le pr
nveillance qu'il n'a cessé de nous témoigner, La moelle,dans chaque cas , ri. été étudiée au niveau de pres- que cliaquc
thologique delà moelle, nous n'avons donné avant l'exposé de chaque cas qu'un résumé succinct de son observation cliniq
et la moelle, ce qui résulte du protocole d'autopsie. ' 4 PREMIER cas . .\I. IL ? 2j ans. Début de la maladie en jan-
plus de la moitié delà circonférence de la moelle. - , Dans notre cas , en résumé, la péri-pachyméningite nous paraît
lus forte. ' Au point de ,vue des dégénérescences secondaires, le cas offre quelque intérêt aussi par la dégénérescence
es. ' SUR LA PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MEDULLAIRES. 447 Deuxième cas . Thérbe li ? 50 ans, rien à noter dans ses anté
1lbo-acl'ée et dorsale, aucune particularité. ' . ' Remarques. Cç cas offre plusieurs points intéressants à considére
- gite tuberculeuse sans tuberculose osseuse correspon- dante.Les cas de ce genre sont fort rares : SCHLESINGER (1) e
rares : SCHLESINGER (1) en cite quelques rares exemples ; outre'ces cas , le cas déjà cité de Dupré et Delamare et un ca
SCHLESINGER (1) en cite quelques rares exemples ; outre'ces cas, le cas déjà cité de Dupré et Delamare et un cas publié
emples ; outre'ces cas, le cas déjà cité de Dupré et Delamare et un cas publié par 111.- neberg (2), je ne sache pas qu
sache pas qu'il en existe d'autres dans la littérature. Dans notre cas , toutefois, il faut faire des ré- serves : en p
/7 ul, Cellt7'.1blntt, 12° : 3, S. 331. 4tS2 PATHOLOGIE NERVEUSE. cas précédent, des phénomènes d'oedème des éléments
oedème de stase qu'en lé- sant mécaniquement la moelle. . Pour ce cas aussi.' il est vraisemblable qu'on peut écar- t
sement du courant lymphatique : faut-il donc ad- mettre que dans ce cas l'u'dème n'est pas seulement d'o- rigine mécani
inflammatoi- re, d'origine toxique,dans le sens de Schmaus. Notre cas est intéressant parce que, avec une lésion SUR
ment incomplète, on avait l'abolition des .réflexes tendineux : des cas semblables ont été publiés par plusieurs auteur
flexes est due aune névrite par laquelle on pu déjà expliquer des cas analogues, surtout au cours du mal de Pott : très
if ou objeclifde névrite dans les membres inférieurs. Dans d'autres cas , on a intcr- prété l'abolition des réflexes com
(stase) au niveau de la moelle lombaire. l3.iRTrt.s (11, \, dans un cas de mal de Pott dorsal avec pachyméningite et lé
res lombaires, surtout dans leur trajet intramedullairc. Dans notre cas , non seulement une coupe comprenant toutes les
ans vouloir discuter celte opinion, nous nous borBon s, pOUl' notre cas , il dire que nous n'avons pas constaté ces trou
croyons, à expli- quer l'absence des réflexes rotulicns dans notre cas , où la lésion cervicale est bien loin d'être co
, où la lésion cervicale est bien loin d'être complète. Troisième cas . M. L., 77 ans. Déhul de la maladie, paraît-il, i
alités de ce nouveau genre spécial de compression osseuse : notre cas semble en être un exemple évident ; ici, en eff
le sacro-lombaire et dans la moelle dorsale inférieure. Quatrième cas . A. l"" jt) uns. Début de la maladie en jan- vi
que nous ne puissions avoir la prétention de tirer de l'étude de 4 cas seulement des conclusions fermes sur la pathogé
de Pott en général, il nous semble cependant que, de l'étude de ces cas , peut découler quelques réflexions. Nous voulon
éflexions. Nous voulons dire que si,dans le plus grand nombre des cas , il existe dans la pachyméningite, les conditions
ainsi que l'affirment plusieurs observateurs autorisés, il est des cas où cette pachyméningite est trop faible et trop
les altérations observées. Il faut alors, pour l'explication de ces cas . invoquer un autre fadeur patho- génique : et c
re que par une action directe sur les éléments nerveux. Ce sont ces cas qui donnent à penser que, même pour ceux où la
Médecine de Paris, a envoyé à la Société un travail original sur un cas d'acromégalie avec gigan- tisme, examiné partic
) de l'examen du sang, dans deux types ex- trêmes d'acromégalie. Le cas observé par M. Sakorra- phos concerne un malade
ent MM. Sabrazèsel Bonnes, s'écartait de la normale dans le premier cas par une' diminution du taux de l'hémoglobine, p
une lymphocytose relative et absolue très marquée. Dans le deuxième cas , le taux de l'hémoglobine et le nombre des glob
iminution du nombre des leuco- cytes (6 mille). (Dans l'un des deux cas , les auteurs, MM. Sabrazès et Bonnes, ne disent
Ici le nombre des polynucléaires est plus élevé que 'dans les deux cas analysés. | Le nombre des mononucléaires est no
e l'étaitpas chez ceux de Sabrazès. Je répète qu'il s'agit ici d'un cas de gigantisme sans acromégalie proprement dite;
dite; ce qui pourrait peut-être expliquer les particularités de ce cas et les différences qui le séparent au point de
t les différences qui le séparent au point de vue hématologique des cas d'acromégalie simple ou combinée an gigantisme.
point de vue lymphocy- tique est si notable. - D'ailleurs, notre cas , bien que caractérisé par du gi- gantisme sans
aient référer à d'autres causes,nous terminerons par un résumé du cas clinique correspondant. - Le malade examiné, M.
ismes correspondant, dit-il, à la description de Bra. Dans quelques cas , il obtint des cultures pures qui démontrèrent
s'opposait pas au rôle joué par eux dans l'épilepsie et qu'en tous cas , les vues actuelles sur la pathogénie dumorbus su
lure venue du dehors. 11\I. Tirelli et Brossa (2) ont examiné douze cas d'épilep- sie essentielle anciens et graves ; c
ssent, en somme, porter sur trois points principaux : 1" rareté des cas où l'examen du sang se montre positif; 2° résis
vais passer en revue ces différentes objections : . a). Rareté des cas oit l'examen du sang se montre posi- tif. Cette
de celle interprétation; mais, il nie semble bien que dans certains cas , chez les malades Souo.. el ,J"cQ" notamment, M
ement délimité, .l'en ai, en Allemagne et en Angleterre, observé 37 cas dans ces derniers temps, dont j'ai étudié les ca-
restes de glandes étaient répandus dans le tissu adjacent. Dans un cas , il n'y avait, aucune tracé de forma- tion de c
mental science. (2) Nous avons vérifié celle absence dans tous les cas dont nous avons fait l'autopsie el, il y a quel
avons fait l'autopsie el, il y a quelques semaines encore, dans le cas de l'entant Donna... dont nous publierons p ! '
ncéreux d'aspect bleuâtre et adhérent à la pie-mère. Dans un second cas , il s'agit d'un homme atteint de cancer primiti
a à grandes cellules localisé au vermis superior. Dans un troisième cas , on avait allai ré à une tumeur delà cuisse gau
une série de mesures palliatives. Il paraît indispensable, en tout cas , d'enregistrer scrupuleusement les cas de tuber
araît indispensable, en tout cas, d'enregistrer scrupuleusement les cas de tuberculose et d'élucider la question des ca
crois pas qu'il faille voir ' 1 là de simples coïncidences, car ces cas sont trop nombreux : je ne pense pas davantage
es observations qui font l'objet delà discussion de M. Pic- qué. Le cas cité par M. Roy ne pourrait d'ailleurs, juger le
exclusion du tissu v·asculo-conjoncti( qui était sain. , , , Deux cas de démence précoce avec autopsie et examen histol
l'observation de deux autres déments précoces. Il s'agit de deux cas de démence précoce à forme hébéphréni- que. Ces
et ce n'est qu'à la sixième qu'il fut reconnu aliéné. Dans les deux cas , on relève des lésions de méningite aveccette d
hez le deu- xième, ellesétaient encore en activité. Dans ce dernier cas , elles avaient été assez intenses pour donner l
montrent l'inutilité des inter- ventions opératoires dans certains cas d'idiotie, mais aussi la réa- lité des fonction
st pratiquée asepti- tluement, avant l'âge adulte, comme dans notre cas (1). · ' M. Vallon fait remarquer combien est i
¡'excitabilité électrique du nerf facial. 1)1. BABINSKI montre deux cas d'hémiplégie faciale périphérique ancienne, dan
que le côté sain, sans aucune ressemblance avec la H. D. L'un (les cas est léger, résultant d'une otite suppurée ; l'a
ention sur la réossification de la brèche, qui existe dans tous les cas de craoiectomie chez des enfants ou des adolescen
raphie. " < ' Rhumatisme chronique . '' t ,i : 1 M. GAucKLER.- Cas intermédiaire entre les arthropathies ner- veus
uand il n'existe pas enco- re de lésions du fond de l'oeil. Dans un cas , plus de quinze jours avant l'apparition de la
formes principales, l'effacement et la confusion. Dans le premier cas , le malade est incapable d'écrire soit les lettre
fficile d'accorder une signification quelconque, mais dans d'autres cas , ils servent à symboliser les hallucinations et l
et celle de Manz et Mauthner,qui accepte le siège basai. Depuis les cas av ec autopsie publiés par Gubler, Weiss, Thoms
dant aucune différence entre l'un et l'autre côté. Dans deux autres cas où l'on pratiqua ponction lombaire, le cyto-dia
venir le plus brillant. Principaux travai x nu I) Pierre Boy : Un cas de goitre exophtalmique chez un garçon de 4 ans 1
ue. (Soc. de Pédiatrie, déc. 1901. En collab. avec M. VAmuT.) 5. Un cas de blépharoplose post-typhique (Soc. de Pédiatr
el, du 1=- "août 1905.) ' ' Mariage des épileptiques. Dans certains cas , le médecin f ? t,consu ! t,6pai'd(L'pitGj)Hf[U
bro - spinales. Voir timibles qicyullaires. ' Analyse de quelques cas cl'- cérébrales, par Fedorovv, p. 310. .LLB
musculaire et bradycardie, par Lépine et Froment, p. 399. Deux cas 1 d'atrophies musculaires, par Lépine et From
nerveux avec présenta- tion de pièces, par Sabrazès, p. 206. Deux cas de se- conda iru des centres ner- veux, par S
adie de Paget, par Mocquot et Mon- tier, p. 401. Délire. Sur un cas de - méta- bolique à base hypochondria- que,
puyées sur cinq observations inédites, par Leroy, p. 184. Sur un cas de - métaboli- que de la personnalité lié à d
chtcrew, rj. 387. précoce ancienne, par Wey- gaucli, p. 388. Deux cas de précoce avec autopsie et examen histologiq
ique&. Y CIl' De 1'11Wt ? Jsy- chies. Gastrite hystérique. Un cas de traitée par la psy- chothérapie, pai '4Tmo
édo- bacillaire, par Clande et Le- jonnp, p. 491. Hystérie. Un cas d'- simu- lant la sclérose en plaques et la s
? -- veau. Idiotie. Voir 'fraifemPllt mé- dico-pédagogique. Un cas - d'- am'1urotique hérédi- taire, par .Iame B
n à la casuistique de la -, par Meinertz, p. 128. Myopathie. Un cas de avec rétraction, examen anatomi- que par C
ré- missions dans la générale, par Marie et Violet, p. 134, Un cas de spinale aiguë de l'adulte 11 tonne mono- p
aymond, p. 380. Essai de recherches médico-statistiques sur 900 cas de générale des alié- nés, par Dlodow, p. 385.
rullun, p. 142.' Perversions sexuelles, par Violet, p. 56. Deux cas de - - causée par des diffor- mités acquises
érieure chro- nique et sv ringomyélie, par l{osso)imo, p. 317. Un cas de antérieure aiguë de l'a- dulte avec lésion
mmobilité pu- pillaire. Purpura. Voir Dermato-ps1j- chies. Deux cas de à to- pographie radiculaire, par .\rtnattd
ulaire, par .\rtnattd-I)clillc. 1. 1 : 8. Queue DE cheval. Sur un cas de lésion de la par tu- berculose sacrée, par
49 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
rteau percuteur, ou la contraction totale du muscle ; dans les deux cas la contraction produite persiste un temps très
e et persistante, tandis que NO n'en produit pas, ou dans les rares cas où il s'en produit, la contraction est courte et
courant, en état de tétanos incomplet. Voyons ce qui se produit, en cas de maladie de Thomsen, dans ces trois condition
du muscle, mais l'effet produit par celle-ci, c'est-à-dire, dans ce cas , la ferme- ture des doigts sur une poire en cao
comparable au trouble myotonique des mouvements volontaires dans le cas de répétition des mêmes mouvements.) B. Excitat
(Phénomène comparable au trouble des mouvements volontaires dans le cas d'une seule contraction énergique et brusque sous
trouve sa confirmation dans les expériences de Lombroso et dans le cas avec issue léthale de Borsati dans lequel l'aut
tématisées avec processus inflammatoire ou dégénératif. Dans les deux cas , nous avons de la sclérose et le traitement dev
UX. 23 la suspension ne donne des résultats favorables que dans des cas bien dé- terminés et qu'en dehors d'eux, son ac
tion languissante. La suspension sera peu utile ou inutile dans les cas où les symptômes morbides sont provoqués par la
pa- rable. La suspension doit avoir des effets nuisibles dans les cas de l'hyperhémie déjà existante ou bien quandle
aration d'avec leurs centres trophiques et on comprend que dans ces cas , la communication ne pouvant être rétablie, la
s nerveux intacts et la suspension peut devenir utile même dans les cas des lésions en foyer avec dégénérescence second
ion des fibres, à leur état d'irritation, à leur atrophie. Dans ces cas , l'action de la suspension variera selon la par
itement est impuis- sant. L'amélioration est dans la majorité des cas de peu de durée parce que, la suspension ne se
la suspension est ralentie, nous n'avons qu'à citer comme preuve les cas où on a observé pendant la séance l'oedème des
, sera représentée par le poids total de ce dernier. Entre ces deux cas extrêmes, il y a évi- demment une infinité de c
r. Entre ces deux cas extrêmes, il y a évi- demment une infinité de cas intermédiaires. En partant de ce principe, nous
roue dentée tourne en avant ou d'avant en arrière. Dans le premier cas , ce plan, d'horizontal qu'il était, devient ver
ellement, il aurait pu en résulter des accidents, et clans tous les cas , le traitement aurait dû être abandonné. Avec la
ardera à revenir à son état primitif. Par conséquent, dans tous les cas où nous supposons les symptômes morbi- des être
ée, mais sou- vent renouvelée. Il va de soi que si, dans certains cas , nous n'avons recours qu'à un de ces modes d'ac
s séances étant de 107, la moyenne pour chacun de 36. Dans tous les cas , les douleurs lancinantes ont disparu, la marche
était améliorée, tout en laissant beaucoup à désirer. Dans tous les cas , le signe de Rombergest de- venu moins prononcé
stationnai- res. L'impuissance a été suffisamment améliorée dans un cas pour que le malade ait pu remplir ses devoirs c
ful- gurantes ont dieparu complètement. S'il était permis dans le cas présent de faire abstraction delà possibilité d
ce des résultats obtenus, j'ai in- terrompu le traitement dans deux cas après la quinzième séance, ayant constaté préal
ant constaté préalablement un certain degré d'amélioration. Dans un cas , les douleurs fulgurantes ont réapparu après 22
sultats que j'ai obtenus par la suspension prolongée concernent les cas de sciatique. Il m'est impossible encore de dir
rois que la diagnose d'hystérie est suffisamment justifiée. Notre cas nous rappelle ceux d'hémispasme glosso-lahié hyst
à la Salpètrière, Policlinique 1887-1888 (1). Seulement dans notre cas le spasme est bilatéral, il n'est pas compliqué
et la langue n'y participe pas. Nous n'avons pu trouver de pareils cas dans la littérature soit française, soit étrang
ils cas dans la littérature soit française, soit étrangère. Le seul cas que nous ayons pu trouver où les deux nerfs fa-
if des deux côtés ou d'une contracture permanente, comme dans notre cas . Notre malade est parfaitement rétablie, comme
oujours un symptôme : la fièvre. Celte fièvre affecte dans bien des cas un type constant qui peut même servir comme éléme
vives du système nerveux, transitoires ou prolongées, qui dans ces cas élèvent la température. Il n'existe pas alors d
riole avec des températures normales et hypo-normales. Il s'agit de cas exceptionnels très difficiles à expliquer, mais q
me celui que décrit Rosenthal (3). On pourra voir par l'histoire du cas qui va nous servir à étudier la fiè- vre hystér
rations organiques propres aux fébricitants. Jusqu'à l'époque où ce cas fut observé, il n'existait pas d'expérience cli-
ec perte de l'appétit, mais ainsi que je l'ai démontré dans plusieurs cas , malgré un pouls de 100 à 120, la température d
s consécutives de la sensibi- lité et la motilité ; Briquet cite 20 cas de ce genre. Il est question comme nous voyons
L'auteur publie 3 observations de la dernière forme. Dans les trois cas , les femmes n'avaient pas eu d'attaques convulsi-
rent postérieu- rement. . Debove (2) a publié en l'année 1885, un cas qui offre réellement de grandes analogies avec
nvalescence fut rapide. \Vite, cité encore par Manzieri rapporte un cas de fièvre. hystérique obi- servé chez une jeune
devait être fonctionnelle. Dans la môme année Bordoni (3) décrit un cas d'hyperthermie hysté- rique périodique. Les sti
existence d'une fièvre hystéri- que. Il a observé que dans certains cas la température est plus élevée la nuit que le m
contraire qui arrive. Enfin Manzieri (2) publie en l'année 1888 un cas de fièvre intermittente qu'il classe, avec rais
teur considère comme étant de proba- ble nature hystérique. Mais ce cas peut être mis de côté, parce que, en plus qu'il
les manifestations se présentèrent en 1883. En définitive, on a 6 cas de fièvre dont la nature hystérique n'est point
tés de l'anurie hys- térique est l'apyrexie des malades, et dans le cas présent depuis le 11 août que l'urine fut suppr
l'urine. Il n'y a pas d'élément suffi- sant pour affirmer dans les cas pareils que l'anurie est simplement une ma- nif
l'anurie est simplement une ma- nifestation de la névrose. Dans les cas ordinaires, le problème est plus simple : suppr
e, ni prudent de se prononcer, car s'il est vrai que, comme dans le cas présent, il s'agisse d'un phénomène fonctionnel
peut se développer des maladies avec lésion, surtout quand c'est un cas exceptionnel. . L'absence d'élément pathologiqu
nfirma la non exis- tence de lésion rénale et je crois que dans des cas analogues d'anurie hys- (4) d. 1\1. Charcot-, L
adie l'anémie est rapide et la peau prend un teint pâle; dans notre cas , le teint fut toujours rosé et la coloration des
E DE LA SALPÊTRIÈRE. fièvre manque, et cet élément existait dans le cas présent; c'était là la causedes difficultés pou
al rôle clans l'une et l'autre occasion. Ayant en considération les cas observés de fièvre hystérique, on peut con- clu
èvre ne doit pas être mise complètement de côté, car jusqu'ici, ces cas n'ont point d'autre explication possible. - J.
efois précédée par des attaques convulsives plus ou moins répétées ( cas de Bour- neville et Pilliet (1), Ross (2), Delh
encore plus exceptionnels. Ainsi (1) l3ournecille et Pilliet, Deux cas d'alhétose double avec imbécillité, (Archives de
ughes (2), elle survint après un accident de chemin de fer, dans le cas d'Ollivier (3), à la suite d'une chorée de Syde
as droit atteint à huit ans, le bras gauche à quatorze ans. Dans le cas de Blocq et Blin, recueilli clans le service de
cela est arrivé, dans les faits de Barrs (5) et de Leube. Dans les cas de Charcot et Huet, Ku- rella (6), les mouvemen
n de Massalongo qui croit qu'ils sont constants. Cependant dans les cas de Dreschfeld, Oulmout, Warner etc... les auteu
aison s'ef- forçait de la repousser avec les mains. Dans quelques cas , elle est le siège de mouvements si fréquents et
les interosseux, dorsaux et palmaires sont at- teints dans tous les cas avec une intensité variable, après viennent les f
essorts rouillés ». Membres inférieurs. -Dans les neuf dixièmes des cas les membres inférieurs sont également le siège
ts, l'arti- culation tibio-tarsienne accompagne aussi dans certains cas les orteils. C'est tantôt une circumduction trè
oissent cependant pas toujours la vitesse des mouvements et dans le cas de Kurella, les grimaces devenaient effroya- bl
ence de la volonté, des émotions, des mouvements vo- lontaires. Les cas d'l'JulenIlerg et de Lange sont les seuls dans le
u- des des membres ; dans les formes légères, c'est-à-dire dans des cas où les mouvements sont très peu marqués, on ne
es. La rigidité dont nous venons de parler peut dans cer- ,%*^tains cas rendre l'examen des réflexes tendineux très diffi
enir les réflexes. Une autre particularité très notée dans quelques cas et notamment par Adser- sen ; c'est qu'il peut
e difficile et quelquefois impossible. Elle peut être dans certains cas telle que les malades ne peuvent quitter leur l
peu, ils durent cependant pendant toute la vie clans la plupart des cas et chez quel- ques-uns ils atteignent un tel de
après Audry, ces déviations se rencontreraient clans un sixième des cas d'athétose double. Il ajoute quelque part dans so
d'une autre maladie et en particulier de-la paralysie infantile. Le cas de Mitchell est bien net à cet égard, vers ]'age
Il faut aussi se rappeler qu'il s'est certainement agi, dans certains cas , d'hémiplégie spastique bilatérale el qu'on peu
e véritable macroglossie. La description de Blocq et Blin dans leur cas , est des plus frappantes à cet égard. Pourquoi
rs ? C'est, suivant l'opinion d' Audry, parce que dans ces derniers cas les spasmes et les contractures font défaut et ne
ria- ble de leur intensité, sont notés dans plus des deux tiers des cas . Encore faut-il remarquer que dans les faits re
mbarrassée et empâtée. L'examen des cordes vocales pratiqué dans le cas de Haie White (1) a donné des résultats négatif
pasmes musculaires plus marqués. Dans ces faits et surtout dans les cas un peu accusés, la parole est vrai- ment « tiré
athétose de la face et de la langue. L'élocution peut dans quelques cas s'améliorer mais fort peu, en tous cas, avec le
élocution peut dans quelques cas s'améliorer mais fort peu, en tous cas , avec le temps (cas de Bourneville) ; elle peut d
quelques cas s'améliorer mais fort peu, en tous cas, avec le temps ( cas de Bourneville) ; elle peut devenir aussi de plus
ce sa main gauche au-dessus et de cette fa- çon il écrit. Dans le cas d'Audry et dans celui de Charcot et Huet, le cray
llisible que le malade est ob- servé ; on sait en effet que dans le cas de Charcot et Iluet, l'écriture de leur malade
habiller et déshabiller, de leur donner à manger, et dans certains cas de les tenir au lit. On en voit quelques-uns qu
és dans la seconde enfance, l'adolescence ou l'âge adulte, dans les cas de Barrs, Sharkey, Hughes, Massalongo, etc. Les a
s et surtout le trouble de la parole assez accen- tué dans certains cas pour les rendre incompréhensibles, font qu'on ne
et qui gardent un pouvoir intellectuel suf- fisant et dans certains cas assez bon. Chez les premiers, les fonctions céré-
ir d'Audry. Certes il ne faudrait pas trop généraliser ; il est des cas , comme celui de (1) Richardière, th. Paris 1881
ive. De plus, on peut rencontrer ces troubles alliés à l'épilepsie ( cas de Warner et Mitchell). Greenless signale chez
ce conservée. Massalongo. Intelligence assez lucide. Mémoire bonne ( cas du nommé Riccardo). Idem. Intelligence claire
nce et le caractère ne sont pas modifiés. Audry. Très intelligente ( cas de la nommée M. D.). En somme, sur 87 cas d'ath
Audry. Très intelligente (cas de la nommée M. D.). En somme, sur 87 cas d'athétose double publiés jusqu'aujourd'hui, nous
conservée chez 21 malades, autrement dit dans presque le quart des cas . La présence des troubles intellectuels existe
s se répètent pendant une période de plusieurs mois ; dans d'autres cas elles peuvent ne jamais abandonner le patient ; m
tudier ce point, il est bien vraisemblable que dans la majorité des cas les parents n'auront pas su faire la différence
Ces contractures offrent des degrés d'intensité variable : dans le cas de Joffroy et Huet les adducteurs de la main so
otence peut-être assez marquée pour mériter le nom de parésie. Le cas de Greenless est tout à fait exceptionnel, l'athé
cture et qui est guérie avec les restes d'une paralysie faciale. Le cas de Rau est du même genre. Troubles vaso-moteurs
rtri- chose locale a en effet été rencontrée assez souvent dans les cas de spina- bifida apparent ou latent (3). Mais l
scend verticalement en esquissant la forme d'une queue (4). Dans le cas actuel, (1) E. Landois, Des déviations du rachi
cutives pour bien montrer comment se comportent les muscles dans le cas d'excitations réitérées. Entre chaque ligne il
près les troubles myotoniques de la contraction volontaire, dans le cas de répétition successive des mouvements. Nous v
ions le spasme myotonique a disparu, comme c'est ta règle en pareil cas (voir plus Imlll, section A). A la cuisse droit
as ici sur les particularités que nous avons constatées dans certains cas (notamment sur les tracés de la figure 15 et su
s interruptions du courant. La cause réelle, dans ces deux derniers cas , nous paraît être la même que précédemment, des c
nt un temps variable, dépassant parfois une minute. Dans cer- tains cas , même, par exemple lorsque les excitations ont ét
). Messieurs, Je veux aujourd'hui appeler votre attention sur un cas qui nous a beau- coup préoccupé, ces jours-ci .
tir le tabes ataxique à son début. Avant d'entrer dans l'exposé des cas il me paraît nécessaire, pour le bien mettre en
henne (de Boulogne), type qui répond certainement à la majorité des cas de tabès, les symptômes classiques se groupent
ves. Comme je le disais tout à l'heure, dans l'jmmense majorité des cas , ce sont : -1° les douleurs fulgurantes à retou
réparés à interpréter et à appré- cier toutes les particularités du cas qui va vous être présenté. Il s'agit d'un homme
je vous rappellerai que j'ai déjà eu l'oècasion de vous montrer un cas tout à fait analogue. Vous en trouverez l'obser
avait déjà complètement disloqué l'articulation. L'histoire de .ce cas esl, je le répète, identique ai celle de notre ma
s'agit. La modification anatomique préparatoire que subit en pareil cas le tissu osseux se montre, vous le sa- vez, par
e pour conséquence une fracture. Mais alors on doit distinguer deux cas : tantôt la fracture est fragmentaire, c'est-à-
SALPÊTRIÈRE. bien, de reconnaître les choses dès l'origine. Dans le cas présent, un dia- gnostic précoce n'eu pas été i
uisse raccourcie d'au- tant. C'est ainsi, Messieurs, que, dans le cas présent, l'application de quel- ques-unes des r
considérable. Cette question n'intéresse pas seulement la clinique. Cas particulier des rapports qui unissent l'étal du
omènes de compression spinale, au moins dans l'immense majorité des cas . Des lésions médullaires consécutives aux dévia
s-à-vis des incurvations les plus accentuées, il semble exister des cas où le rétré- cissement du canal rachidien, très
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Leyden (1), après avoir rappelé ce dernier cas , ajoute qu'il a vu lui- même « un sujet atteint
teur, il résulte que la déviation vertébrale a été indiquée dans 18 cas sur 70, soit une proportion de 25 0/0. Ainsi qu
ontrent dans la proportion de 50 0/0. Elles existaient 7 fois sur 8 cas inédits qu'il a fait figurer dans sa thèse. La
e vers i'age de 33 ans.-On peut se demander, il est vrai, en pareil cas , s'il ne s'agit pas d'une scoliose vulgaire simpl
ites et nous avons obtenu les résultats suivants : /.i .' ? Sur 5 cas où la déviation scoliotique dorsale était il conv
vaient 'débute par )e'côté,,droit, 2 fois par le côté gauche. Sur 6 cas avec convexité dorsale' gauche, début des mêmes
unilatérale ou une symétrie assez nette de ces mômes troubles. Sur 7 cas de convexité dorsale droite, nous avons trouvé
he ; 1 fois, il n'existait aucune inéga- lité de répartition. Sur 6 cas de convexité dorsale gauche, prédominance à gau
ance à gauche 5 fois, à droite 1 fois. Enfin, si l'on choisit les cas où se rencontre d'un côté une prédominance extr
mptômes syrin- gomyéliques, on trouve : convexité dorsale droite, 2 cas : prédominance el droite. Ce sont les obsei-N a
albl. fiir Nerven- /t7 ? M)if/e, 1887). Conrexité dorsale gauche, 2 cas ; prédominance ci gauche. Ce sont les observatio
r les troubles musculaires, con- trairement à ce qui parait être le cas le plus fréquent. C'est là un type de déviation
ifestation de la ma- ladie de Morvan. Proull' en signale ensuite un cas . C'est alors que Morvan lui-même, à qui ce symp
- ractères et en discute la pathogénie. Symptomatologie. Dans les cas observés par Morvan, la déviation était toujour
rtain âge. La courbure occupait toute la région dorsale, sauf dans un cas où elle n'intéressait que la partie supérieure
i a été pri- mitivement frappé de paréso-analgésie ». Dans les huit cas de scoliose con- nus de Morvan, la paréso-analg
erait consécutive il la scoliose, est peu acceptable, même dans les cas où la scoliose précède les manifestations nerve
st facile à comprendre. Une lordose paralytique surviendra dans les cas , d'ail- leurs rares, où les muscles sacro-lomba
ite une seule observation, encore le diagnos- tic était-il, dans ce cas , assez suspect. Enfin certaines déviations parais
et une incurvation dorsale secon- daire en sens inverse. C'était le cas chez une petite fille que nous avons eu l'occas
is étaient indemnes, et de force égale des deux côtés. Il est des cas de scoliose où la pathogénie est moins nette, et
d'invoquer une pure altitude compensatrice. Laborde prétend que ces cas sont au moins exceptionnels ; il ajoute que d'a
ncipaux caractères. La déviation existe au moins dans la moitié des cas . Elle appa- raît d'ordinaire 2 à 5 ans après le
adie. Cependant elle peut précéder les autres symptômes, et dans un cas de Friedreich, les premiers troubles ataxiques
'une scoliose vulgaire, fortuitement concomitante. Notons encore un cas cle M. Déjerine (1) dans lequel cypho-scoliose
ES. 151 Il s'agit d'une scoliose à convexité dorsale droite dans un cas sur trois, avec légère courbure de compensation
u lieu d'une scoliose pure et simple, on observe, dans un quart des cas de dé- v iation, une cypho-scoliose. Parfois ce
Soca, une scoliose dorsale et une lordose lombaire ; dans quelques cas , la lor- dose a occupé le même endroil que la s
). Tabes. Kroenig (2), dans un intéressant travail, a réuni trois cas , observés par lui, de lésions vertébrales chez
ignalé déjà deux exemples. Les déviations observées dans ces divers cas constituent une variété très particulière, un g
e la Salpe.trière, pl. XI, page 8, une photographie représentant un cas de scoliose dans la maladie de Friedreich. (2)
t étudiés au point de vue clinique ; ils paraissent ressortir a des cas de fractures vertébrales, combi- nés sans doute
ore affirmé par des symptômes bien caractéristiques ; dans tous les cas rappor- tés les malades n'avaient pas suspendu
une spondylolistèse nettement caracté- risée. Kroenig a pu dans un cas mobiliser l'un sur l'autre les deux segments DE
n transversal, dont le sens est déterminé sans doute, comme dans un cas de Pitres, par la modification de forme d'une o
articu- lière, distincte du talles, on relève dans cet ouvrage deux cas de scoliose chez des ataxiques. Mais tout indiq
t probable que l'attention une fois fixée sur ce point, de nouveaux cas surgiraient. Cependant les déviations liées à cet
ns systématisées, bilatérales, sensiblement symélri- ques. Certains cas de syringomyélie font toutefois exception. Noto
hi- que ; nous avons pu nous-même constater celle absence dans deux cas bien nets. CHAPITRE II 1)I : W1'l'IO\S l'.1
Q U ES. 161 Ainsi qu'il était naturel de le penser, c'est dans les cas de lésions mus- culaires bilatérales, symétriqu
sme de la déviation diffère, ainsi que sa forme, dans l'un et l'autre cas . A l'état normal, dans la station debout, l'équ
s hystériques. Du- chenne (1), qui en a observé et décrit plusieurs cas , ne dit pas que chez ses sujets l'hystérie fût
se. Voici comment évoluent les symptômes, si on en juge d'après les cas assez longuement suivis. A l'occasion d'une chu
r. Le sommeil chlorofor- mique a triomphé de la contracture dans le cas de Durel, et la guérison s'est maintenue il la
les observations de Duchenne; elle faisait également défaut dans le cas de Duret. Il semble donc que la contracture éparg
sement, peuvent se produire rapidement el même brusquement dans les cas de contracture forte. Le traitement comme le pr
le septembre 188(i, et en observait peu de temps après un deuxième cas . Instruit de cette découverte, M. Bal- let en I
ut au contraire la regarder comme une rareté, si l'on considère les cas où elle constitue une forte difformité. Elle comp
(4) Albert, Wien. med. Presse, nos 1 et 3, 1886. (ti) Berbez, Dcux cas de sciatique déformante (France méd., 1887). (6
0, ne 21. 1. (14) Lamy, Revue d'orthopédie, i 891, p. 210 et : Deux cas de sciatique spasmodique avec déviation homolog
la constitue une exception signalée par M. Charcot. Dans le premier cas l'épine iliaque est forcément abaissée du côté ma
ue; la hanche fait une forte saillie du côté malade. Dans le deuxième cas , le bassin reste horizontal dans son diamètre t
tives de redressement. Il existe quelque gêne respiratoire dans les cas très prononcés. I IALLIUN, Ancien Interne de
peu près égales ; tan- tôt NF l'emporte, tantôt PF. Dans ce dernier cas la réaction myotonique rappelle, dans une certa
nt. La durée de cette contraction d'ouver- ture atteint suivant les cas , et suivant les muscles de 5 à 30 secondes. (On
ouvent les troubles sensitifs sont absents; cependant dans quelques cas on a observé un certain degré d'hy- peresthésie
in nombre d'auteurs de deux maniè- res différentes. Dans le premier cas , il convient de faire intervenir l'hys- térie c
qué en diverses reprises l'examen ophthal- moscopique dans 3 de nos cas , mais le résultat était toujours négatif.. Audi
ractilité électrique reste intacte dans l'athétose double. Dans mes cas , l'examen électrique prati- qué par M. Vigourou
ts (il n'en est parlé dans aucune autre observation) : Dreschfeld. ( Cas du nommé 0. L.). Tête asymétrique. Éminence par
. Massalongo,. (Lombroso). Dolichocéphalie très prononcée. Idem. ( Cas du nommé Espositi). Front bas. Gibotteau. Crâne
proportions normal. L'appétit génésique est conservé dans certains cas . Le cas de Barrs est unique : sa malade, at- te
ions normal. L'appétit génésique est conservé dans certains cas. Le cas de Barrs est unique : sa malade, at- teinte d'a
thétosiques doubles est généralement calme, el dans la majorité des cas fait cesser les mouvements. 4. Marche. Durée. T
soit on ne connaît pas encore dans la littérature médicale un seul cas de guérison complète de l'athétose double. Ajouto
guérison complète de l'athétose double. Ajoutons aussi que dans les cas où la mort a eu lieu, c'est toujours par une autr
er, par la tu- berculose ; chez celle de Lange par suicide. Dans le cas de Blocq et Blin, autopsie faite par Huet, de l
Blocq et Blin, autopsie faite par Huet, de la tuberculose. Dans le cas d'Adsersen par scar- latine ; sur trois de mes
re. .... Lange paraît avoir atténué la lassitude musculaire dans le cas de Mlle L... '^par le massage et l'administrati
if de l'hémi- plégie spasmodique infantile double, propose dans les cas d'accouchements difficiles, lorsque les convuls
et de l'athétose (Congrès de Berlin). Broca a aussi trépané dans un cas de monoplégie brachiale du type in- fantile spa
elui que font les cochers pour exciter leurs chevaux. Dans quelques cas il y a des morsures de la langue et des lèvres.
ections. Les impressions morales les augmentent aussi dans les deux cas . La parole" est presque toujours modifiée consi
m. L'état mental des choréiques est modifié dans les deux tiers des cas d'a- près Marcé (1). On observe des troubles in
ention. Les troubles plus graves qui peuvent survenir dans certains cas ne nous occupent pas ici. Le plus souvent les t
uérison, au plus tard en quelques mois, dans l'immense majorité des cas . L'athétose double est toujours congénitale, lent
étosi- que double est né un imbécile, au moins dans la majorité des cas où la maladie s'accompagne de troubles mentaux.
ité des cas où la maladie s'accompagne de troubles mentaux. En tout cas dans la chorée chro- nique le désordre mental v
durée oscille entre quelques jours et cinq mois et dans 90 0/0 des cas la terminaison est fatale. Paramyoclonus mult
dans le service de M. le pro- fesseur Charcot. Depuis, de nouveaux cas ont été rapportés par Chauffard, Lemoine et Lem
leur coïncidence avec certains symp- tômes pourrait, dans quelques cas , faire légèrement hésiter, au premier abord, le
e de M. le professeur Fournier). Nous voulons simplement exposer le cas suivant qui a donné lieu à un certain nombre d'
ccusée de simulation ; d'autre part, on trouve dans les auteurs des cas qui paraissent beaucoup se rap- procher de celu
EDITEURS TROUBLES TROPIIIQUES SYMÉTRIQUES 203 Paris, 1890. Deux cas de gangrène spontanée de la peau chez les hystéri
dernière est apparue. Brunelli, qui a noté la date du début clans 5 cas , a donné les chiffres suivants : la dévia- tion
n mois après le commencement des douleurs ; 3 mois après, dans deux cas ; enfin au bout de 6 mois dans un autre. D'ordi
ent, à l'affection primitive. Il y aurait lieu de penser, en pareil cas , à des rétractions fibreuses telles qu'il s'en
ison que l'examen sous le chloroforme permettrai de discer- ner les cas de ce genre. On sait aujourd'hui que la déformati
hose lombaire liée à la compression de la queue de cheval ; dans ce cas , la même action se produisant des deux côtés te
servé un exem- ple qui répondait à la description de cet auteur; le cas a été communiqué en 1890 à la Société clinique
rs le côté de la sciatique, tantôt en sens inverse. Dans le premier cas , il y a allongement apparent du membre malade, qu
dès lors forcé de se fléchir dans la station debout. Dans le deuxième cas , il y a raccourcissement de ce membre, et le pi
se homologue. Cela parait d'autant plus vraisemblable que, dans les cas de ce genre, certains points douloureux : point
rares pour permettre de tracer l'évo- lution de la maladie. Dans un cas de Lamy, la déviation a débuté et dis- DES DÉVI
isse se montrer notamment chez les hémiplégiques et dans les divers cas de contracture des muscles fléchisseurs latéraux
compagne de douleur sciatique. L'attitude est la même dans les deux cas . On tiendra compte des autres signes de la névros
qu'on rencontre cette attitude à un degré bien caractérisé. Deux cas peuvent s'observer. Dans l'un, l'aspect des malad
ncliné vers la jambe paralysée, qui est demi-fléchie. Comme dans le cas précédent, les dernières vertèbres lombaires, per
l'abduction du membre inférieur impotent. On le voit, ce deuxième cas réalise une véritable scoliose homologue. Le ba
onsécutive aux hémiplégies anciennes. M. Ter- rier (1) a observé un cas où une contracture de ce genre, exagérée par un
rale, un véritable pleuro-sthatonos. Nous devons dire que, dans les cas du moins que nous avons eus sous les yeux, cette
te, et cela par le même mécanisme qui détermine une lordose dans le cas de paralysie des muscles extenseurs directs du ra
extenseurs lombaires. Les termes sont superposables clans les deux cas : 1° concavité du rachis tour- née vers le côté
onnelle dans la première de ces affections : il en cite pourtant un cas : il s'agissait d'une scoliose principale il co
r il est vrai une difformité considérable; on peut invoquer dans ce cas une participation du rachis à l'atrophie osseus
uses est en tous cas mal connue. Cer- tains auteurs rapprochent les cas de ce genre de l'osléomalacie de cause nerveuse
Notons que dans une observation « d'ostéo- malacie survenue dans un cas de démence chronique », observation appar- tena
NOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. Nous avons rencontré tout récemment un cas de scoliose extrêmement marquée chez une jeune
ent le rachis dans le plan médian. Elles ont été observées dans les cas de paralysie ou d'atrophie symétrique 1° des mu
Elle siège le plus souvent dans le muscle carré des lombes; dans ce cas elle ne s'accompagne pas de rotation verté- bra
e compensation dorsale. On l'a vue également s'attaquer au trapèze ( cas de Pravaz). Elle peut déterminer une cypho-scol
, ou croisées, ce qui est habituel, doivent être attribuées en tous cas à une contraction musculaire prolongée des fléchi
hropathies tabétiques, on voit que les symptômes diffèrent. Dans le cas d'arthropa- thies tabétiques, on rencontre par
ique. En poursuivant cette discussion nous aurons surtout en vue le cas de Balth..... D'abord c'est là un cas parfaitem
nous aurons surtout en vue le cas de Balth..... D'abord c'est là un cas parfaitement développé, présentant par conséque
de bien le connaître. Les des- criptions des auteurs concernant les cas qu'ils ont rencontrés sont insuffi- santes et n
lysie unilatérale des muscles spinaux coïncide, comme dans certains cas de paralysie infantile, avec la période de déve
éveloppement du rachis. S'agit-il d'une contracture ? Dans certains cas , nous avons vu la contrac- ture unilatérale pro
c'est là que siège habituellement la courbure prin- cipale dans les cas où la contracture est en cause. Pour toutes ces
rtes incurvations vertébrales, telles qu'il s'en rencontre dans les cas accentués de scoliose des adolescents. La preuv
rps, mais de plus, pour expliquer la déviation vertébrale en pareil cas , on pourrait invoquer d'autres causes, à savoir
Beh. et Mme Ot., nous ont paru mériter de prendre place à côté des cas décrits par M. le pro- fesseur Charcot sous le
ui qui a été publié par M. Bidon dans la Revue de médecine en 1891. Cas . II. Mme OL. Fanny, âgée de 30 ans, ne présente r
férence qui existe dans la forme de la contrac- tion, même dans les cas où les contractions des muscles normaux devien-
de psychiatrie de St-Pétm'sbourg, sept. 1888) (1) a trouvé, dans un cas type de maladie de Thomsen, que la période d'exci
rs était diminuée chez notre malade, comme c'est la règle en pareil cas . En effet, la percussion du tronc du fa- cial,
plupart des auteurs qui ont observé, depuis le travail de Erb, des cas de maladie de Thomsen, et cette réaction paraît d
se prolongent habituellement de 5 à 30 secondes, et, dans certains cas , peuvent dépasser une minute. L'excitabilité fa
lées par Erb, et la plupart des auteurs qui ont rapporté depuis des cas de maladie de Thomsen, dans l'excitabilité fara
ique. Tontes ces modifications existaient, comme on l'a vu, dans le cas que nous avons observé ; mais, de plus, nous pens
s (de 2 à 15 in- terruptions par seconde) il se produisait clans le cas d'une excitation pro- longée (de 1/2 à 3/4 de m
essivement; cette décontraction lente se pro- longeait, suivant les cas , 1/2, 3/4 de minute et même davantage. Ces ex-
resseuses et toniques. Le pôle positif parait, dans la majorité des cas observés, l'emporter sur le pôle négatif, et prov
icité de la contraction ; il en était mani- festement ainsi dans le cas que nous avons observé, comme le montrent nos t
lectrode, et enfin à la persistance de la contraction qui suivant les cas atteint 5, 10, 30 secondes ou davantage. Quel
trouvée, avec tons les caractères précédents, uniquement dans ' ces cas . Nous avons, de notre côté, pendant les recherche
ce, ataxie locomotrice, ataxie de Friedreich, elc.) ; dans tous ces cas (1) nous n'avons rien trouvé de comparable il l
action myotonique. Aussi concevra-t-on facilement (1) Dans certains cas de névrites périphériques l'excitation mécanique
de celle réaction puisse être d'une grande importance dans certains cas où les troubles myotoniques de la motilité volont
ur ainsi dire suivant un plan établi d'avance. Dans la majorité des cas il n'existe pas de perte de connaissance au mo-
hétose double. Hémichorée. - L'hémichorée peut être dans certains cas confondue avec l'athétose double. Les mouvement
concours possible de circons- tances analogues dans l'un et l'autre cas doit attirer l'attention. Nous ne parlons pas i
fréquemment l'hémiplégie infantile par lésions cérébrales. Dans ce cas l'état mental souvent affecté dans l'un et l'autr
les. Dans ce cas l'état mental souvent affecté dans l'un et l'autre cas , l'âge du début de la maladie, les convulsions
inement induire en erreur un examen un peu superficiel. Mais, en ce cas encore, la constatation de la limitation des mouv
ntellec- tuels. En prenant les observations "en bloc, Feer, sur 178 cas de tabes dor- sal spasmodique publiés, a trouvé
ence ; cette règle cependant souffre des exceptions, et on a vu des cas survenant chez les femmes adultes. Chez les fem
limités à un seul côté que bilatéraux. Voici le résumé de quelques cas de ce genre : 258 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
lysie infantile. Tout récemment, Massalongo vient de rappor- ter un cas dans lequel il a observé des mouvements involonta
ts de la face, de la langue ni dans les sens spécieux ». Quoique le cas soit unique dans la science, le diagnostic est pe
s secousses involontaires des doigts. Remak déclarait que, dans son cas et dans celui de Lowenfeld il ne s'agissait pas d
observation des mouvements involontaires au cours de l'hystérie. Le cas est rapporté par Wiszwianski. Il nous semble, d'a
r cependant que l'hystérie, cette grande simulatrice, ne puisse, en cas de contagion par exemple, simuler ou plutôt imite
l'athétose double. Mais sans vouloir discuter l'interprétation des cas de Wiszwianski, le fait seul que les mouvements
- tuellement à Bicétre dans le service de M. Bourneville. Dans un cas d'Hâte White, un oncle avait été atteint d'aliéna
Pilliet, Massalongo, Audry, etc. Enfin on a remarqué dans certains cas que les parents étaient très âgés lorsque leur
c'est là la règle ; il en est ainsi dans la plus grande partie des cas . Il suffit pour s'en convaincre de compulser le
antes : d'Osier, Go- wers, Bourneville, Sollier, Pilliet, Audry, un cas personnel (obs. n° 2). (A suivre) DIAiITRI IVAN
termine rapide- ment un besoin très marqué de sommeil. « Dans les cas de migraine même bénigne, ces vibrations très rap
r les vibrations. Les séances sont d'une durée variable suivant les cas . Les résultats qu'il a obtenus dans le traiteme
'un sommeil calme qui lui procure un grand soulagement Sauf dans un cas , le tremblement n'a pas paru être sensiblement
est pas liée à une affection organique de l'encéphale. - Dans trois cas , la vibration s'est montrée comme l'avait vu déjà
tions agissent particu- lièrement sur l'encéphale c'est que dans un cas où les phénomènes spinaux étaient prédominants,
'encéphale puissent amener des modifications bienfaisantes. Dans un cas de dépression mélancolique, des résultats très
que notre maître emploie uniquement le fauteuil trépidant pour les cas bien déterminés de paralysie agitante dans laqu
1882 et 1884 une longue série d'expériences thérapeutiques sur des cas variés de folie, particulièrement sur cette for
au niveau du point douloureux, soit sur le front. 3° Dans quelques cas d'hypocondrie avec névralgie occipitale on réussi
ues. 5° L'action de la méthode vibratoire fut dans la moitié de nos cas fugace et éphémère ; ce fait joint à nos connai
leçon et sur lesquels M. Chouppe a insisté en apportant de nouveaux cas dans une excellente revue sur la Médecine vibrato
ique et hystérique, la migraine, l'insomnie, et aussi dans certains cas de dépression mélancolique. Evidemment il faudra
a durée moyenne de la séance doit être de 10 il 15 minutes dans les cas de céphalée neurasthénique, de migraine et d'in-
ette vibration ne reste pas localisé au crâne ; son action dans les cas de neurasthénie n'est pas seulement efficace dans
ite, le traitement lui-même, la méthode ne présentant dans tous les cas aucun danger ni immédiat ni éloigné ainsi que n
TE, Ancien chef de clinique des maladies du système nerveux. DEUX CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE L'anorexie hystérique est
dieux de maigrir quand même, comme cela est arrivé dans un des deux cas rapportés ci-dessous. NOUVELLE Iconographie de
N DANS L'ANOREXIE HYSTÉRIQUE O}J3ATTAILLE A ^Clfj^V LDfTHuns DEUX CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE. 277 A son arrivée à l'ét
2, 3, 4, Anorexie J;ou IS J3""TTAILLE & ...eu LDITEURS DEUX CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE. 279 Lors de son entrée à
on est supprimée. 280 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. UN CAS D'HYPERTROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS AVEC TROU
compagné de douleur, de parésie et de troubles vaso-dilatateurs. Ce cas nous a paru intéressant à rapporter, en raison
AGE ET DE MEME TAILLL) JOUIS 'J3ATTAILLE & VIE ÉDITEURS UN CAS D'HYPERTROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS. 283 le r
es différences sont trop grandes pour qu'on puisse y songer dans ce cas . II y a par contre deux affections qui ne sont
re part, la maladie de Raynaud présente quelques,traits que nous UN CAS D'HYPERTROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS. 285 n'av
hôpitaux. G. GAINEZ Interne provisoire des hôpitaux. UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN Charles M... 62 an
des déformations qui ont été minutieusement décrites par UN nouveau cas DE syringomyélie TYPE MORVAN. 287 MM. Monod et
PE MORVAN JOUIS 'j3A7TAILLE & WIC Í j} ! ! ÍYJ¡¡ UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN. 289 la températur
un point limité où il ne sentait pas la veille, mais même dans ces cas il commet des erreurs de lieu et de sensation con
impossible de le classer sous une autre rubrique. Actuellement ce cas doi t rentrer dans la syringomyélie, tout comme l
nous avons rapportée, ici même, l'an dernier (1). En effet, (1) Un cas de syringomyélie type Morvan, Nouv. Iconogr. 1891
TYPE MORVAN ¿;OU¡S }3A'rT.\ILLr : : A «-Or, £ t>uRs UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN 291 la maladie du
'). Maladies infectieuses. Massalongo leur attribue la plupart des cas d'athétose double qui sure iennent dans l'enfan
n°2), la maladie a débuté par des convulsions. Ollivier rapporte un cas , dans lequel un en- fant atteint de chorée vulg
avec les athétosiques doubles. Audry, dans son mémoire, a réuni 79 cas . Anatomie pathologique. Pathogénie. L'anatomie
e des pures hypothèses. Ce court chapitre a pour but d'énumérer les cas dans lesquels l'examen post mortem a pu être prat
ce sont des lésions organiques, variables ou banales, quoique dans le cas de Kurella l'auteur signale de la pachyméningit
nclure dans un sens affirmatif et nous rappellerons à cet égard les cas de Kurella, de Déjerine et Sollier, de Putnam e
acer à côté des chorées chroniques qui paraissent être dans le même cas , sans vouloir préjuger de la localisation des l
incontestable qu'elle présente des degrés ; mais que le nombre des cas complets est aujourd'hui assez considérable pou
veuses, sous forme de mouvements involontaires. Dans ces derniers cas ceux-ci mériteraient en opposition le nom de mou-
érie), ce qui ne s'observera point dans l'athétose double, sauf les cas de combinaisons neuro-pathologiques, qu'il estbon
thétose (Inaug. Diss. Wurz- burg, 1884). Blocq et Blin. Note sur un cas d'athétose double (Revue de 308 NOUVELLE ICONOG
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. médecine, 1888). Bourneville et Pillet. Deux cas d'athétose double avec imbécillité {Archives de
he path. of Chorea (Brilish. med. J., 1859). A. Brousse. Un nouveau cas d'athétose double (Gazette hebd. des se. méd., de
d. des se. méd., de Montpellier, 1888). A. Brousse. Quatre nouveaux cas d'athétose (Mont- pellier méd., 1879). Félice B
). Delpech. De l'orthomorphie, 1828. - Déjerine et Sollier. Premier cas d'autopsie d'athétose double datant de la premièr
el des maladies de l'enfance, 1889. Julius Dreschfeld. Sur quelques cas d'athétose (Revue mens. de méd. et de chier., 1
et d'un intérêt plus local puisqu'il repose sur un petit nombre de cas , tous empruntés à la nationalité belge, nous a né
s avons eu l'occasion d'observer à l'hôpital des Enfants-Malades un cas complexe d'hystérie qui simulait à s'y méprendr
en donne plusieurs observa- tions. Enfin, Briquet réunit plus de 80 cas d'hystérie chez des enfants seu- lement de 1 à
alé sa fréquence vers 12 ans. La statistique de Briquet comprend 87 cas ayant également débuté avant 1`2 ans ou à cet â
dit encore M. Gilles de la Tourette, qui a le premier mentionné des cas d'hystérie chez les jeunes garçons (Genève, 1740)
térie deviennent plus rares. Raulin, nous dit Briquet, a cité trois cas d'affections hystériques hé- réditaires qu'il a
l'enfance qui va de 3 à 10 ans figure à peu près pour un quart des cas dans la statistique de Clopatt. Dans sa thèse (
en- fants au-dessous de 5 ans. M. Vibert a rapporté récemment deux cas très nets de névrose traumatique, survenus chez
as d'une grande utilité. M. le professeur Grancher (2) a observé un cas pour lequel l'hystérie débuta très nettement ch
certaines phases de l'attaque hystéro-épiteptique. Mais tous les cas ne sont pas aussi nets et ici vient se placer not
fonds immuable, c'est la dégénérescence mentale ». « Combien de ces cas , ajoute-il, ne sont-ils pas étiquetés, purement
es petits garçons que chez les adultes. Mais dans un {¡on nombre de cas , les symptômes sont identiques chez des sujets
e part, leur simulation par l'hystérie peut dans un grand nombre de cas être si parfaite que beaucoup de ces cas ont dû
ut dans un grand nombre de cas être si parfaite que beaucoup de ces cas ont dû passer complètement inaperçus et donner le
thode il suivre qui est de tous points excellente et qui suffit aux cas les plus complexes, ceux par exemple des associ
ion de l'hystérie par les maladies nerveuses organiques ? Nombre de cas rapportés par cet auteur peuvent s'expliquer sa
aucune explication, que cela n'in- firmerait en rien la valeur des cas contraires, beaucoup plus nombreux et non moins
plus avancée : M. le pro- fesseur Charcot a pu fournir récemment un cas unique d'hystérie simula- trice du syndrome de
t aussi débuter par des convulsions et l'apoplexie exister clans un cas comme dans l'autre (1). L'hémiplégie faciale n'
té et que l'opinion de Todd reste encore vraie pour la majorité des cas (2). L'atrophie des membres peut faire complète
t la règle la plus commune dans les paralysies hystériques. Mais au cas môme où celle atrophie existerait, sans raccour-
n rapport avec le degré d'altération dudit faisceau ; dans tous les cas , elle est sur- tout marquée au niveau des extré
. M. Raymond lui-même, dans sa remarquable thèse (1875), à côté des cas d'hémichorée où il a trouvé la lésion classique d
lésion classique de la capsule in- terne, signale beaucoup d'autres cas où les mouvements choréiformes étaient le résul
localisation classique. Depuis, Chambard (3) (1881) a rap- porté un cas d'hémichorée associé à une forme d'héttre.aableae
troubles des sens spéciaux sont extrêmement rares dans le pre- mier cas , ils sont fréquents dans le second. Enfin, si o
x. Mais les difficultés de diagnostic ne sauraient exister pour les cas extrê- mes. Nous ne discutons ici que les cas o
ient exister pour les cas extrê- mes. Nous ne discutons ici que les cas où la simulation est possible, c'est- à-dire le
ns ici que les cas où la simulation est possible, c'est- à-dire les cas où la maladie organique, affectant un type dégrad
porter tous ces développements, puisqu'il s'agit non seulement d'un cas intéressant, mais d'un cas nouveau. C'est en vain
nts, puisqu'il s'agit non seulement d'un cas intéressant, mais d'un cas nouveau. C'est en vain que nous avons cherché l
AUMATIQUE Messieurs, I. Nous allons aujourd'hui nous occuper d'un cas de névrose trau- matique. C'est un cas intéress
ujourd'hui nous occuper d'un cas de névrose trau- matique. C'est un cas intéressant à cause de la netteté avec laquelle l
ment des cauchemars avec des visions terrifiantes, qui ont dans ces cas l'importance d'un symp- tôme. HYSTERIE TRAUMA
portance et contribuer puissam- ment à découvrir l'hystérie dans un cas de diagnostic difficile (1). » Cette polyopie s
i chez les vieillards, dans la cataracte commençante, dans certains cas d'astigmatisme par suite de kératite ou congénita
arables de la polyopie et on ne les observerait pas dans les autres cas . Nous prenons cette assertion si concluante, si
sitifs produira une base d'appréciation très significative. Dans ce cas , les phénomènes que nous observons ne se présente
vement gros, et à 15 ou 20 centimètres excessivement petit. Dans ce cas la polyopie n'existe pas, mais nous trouvons la m
pas un phénomène constant comme la macropsie qui se produit dans ce cas . III. Poursuivons notre examen. Jusqu'ici nous
vrose est là seus ses traits les plus ca- ractéristiques et dans ce cas , comme dans beaucoup de cas analogues, l'hys- t
les plus ca- ractéristiques et dans ce cas, comme dans beaucoup de cas analogues, l'hys- térie se trouve provoquée par
tai tentouréededifficul tésqui disparaissentengrande partie dans le cas que nous étudions. Le professeur Charcot avait
bre. Eh bien ! par suite de l'obnubilation du moi, produite dans un cas par l'hypnotisme et dans l'autre cas, comme on
ation du moi, produite dans un cas par l'hypnotisme et dans l'autre cas , comme on se l'est imaginé, par le choc nerveux
on dont il s'agit, aurait en conséquence joué le rôle dans les deux cas d'une véritable suggestion ». Comme vous le voy
re- ment pourquoi le choc produit l'idée d'une paralysie. Mais le cas que nous observons nous place dans un terrain sur
Mais l'hypothèse émise par Charcot ne suffit pas à expliquer tous les cas dans lesquels nous voyons apparaître des phénom
ui parfois provo- quent les phénomènes hystériques. Dans d'autres cas , selon les observations de Nieles (braira, -1890,
us- que de la substance cérébrale. C'est-à-dire que dans tous les cas où nous voyons apparaître des phéno- mènes hyst
ent une sug- gestion traumatique. Au moins dans quelques-uns de ces cas , le trouble nerveux est le résultat d'une lésio
léneu 111ent se déduit le traitement que nons devons suivre dans ce cas . Nous alloll. OU11\etll'e notre malade au trait
e. Nous essayerons avant tout l'action de l'hypnotisme qui dans des cas semblables, a produit les plus brillants résult
ation la plus nette de faradiser le grand sympathique dans tous les cas où il y a une hyperémie d'un organe dont les fi
induits apparaissant et disparaissant QIl'I1 ? 11t compter dans ce cas . Cette addition a élé démontrée par Vulpian, inve
nt parce qu'il ne s'agit ici que des artères superficielles. Dans les cas où il y inflammation d'une partie du membre inf
t pendant 5-10 minutes. Voici les résultats que j'obtiens. Dans les cas d'inflammation des tissus de la jambe d'origine t
tions de l'artère fémorale et même ses branches terminales dans les cas où l'inflammation réside dans la partie la plus
qu'au bassin. La faradisation de l'artère fémorale donnait dans ces cas un résultat des plus brillants; non seule- ment
s, comme je le fais presque toujours depuis quelque temps. Dans les cas d'arthrite rhumatismale des membres supérieurs j'
nerfs cubital et médian qui sont presque toujours atteints dans ce cas et dont l'irritation peut avoirdes conséquences
supérieur atteints de la névrite. ¡ser- Que faut-il faire dans ces cas et dans tant d'autres, ou c'est le cerveuellt l
on cervicale inférieure, au-dessus de la clavicule. Dans le premier cas c'est le ganglion inférieur du grand sympathique
les résultats étaient tout aussi satisfaisants que dans le premier cas . Mais il fallait voir l'action de la faradisati
ans l'orbite, à cause de la diminution de son volume. Dans quelques cas rares j'ai vu la pupille se dilater à un degré
ne faradisation qui durait 10, 15 minutes ne suffisait pas dans les cas graves pour faire disparaître la rougeur inllamma
lque temps (pendant une demi-minute à peu près dans la majorité des cas ) ; dès que ce temps est écoulé, la congestion res
du cou est utile dans la prosopalgie odontalgique surtout dans les cas chro- niques dans lesquels le tissu sous-cutané
n'y a pas de fièvre. Mais elle est rarement indispensable dans ces cas . C'est par la faradisation du cou que je traite
ouvements passifs augmente de plus en plus et devient dans certains cas insurmontable; on dit alors que c'est la contra
il cette inquiétude des malades, la faradisation du cou est dans ces cas plus difficile que dans tous les autres ; il fa
ilité de l'hé- miplégie. Il est vrai qu'on voit en général dans les cas légers (où l'on ne peut pas supposer Une ruptur
s sans que la contracture tardive s'établisse; mais il y a d'autres cas où l'on voit le retour de certains mouvements vol
antagoniste. C'est à une pseudo-paralysie qu'on a à faire dans ces cas . Le mouvement est saccadé, ralenti, limité ou mêm
a gymnastique passive, habile, et cela réussit d'autant plus que le cas est plus invétéré. On voit alors le retour de la
el groupe musculaire dont le malade était privé. Il y a enfin des cas où les contractions antagonistes n'apparaissent q
quelquefois suivis de mouvements involontaires différents selon le cas ce qui est parfaitement en accord av ec notre thé
s faits cliniques. On voit en effet la contracture tardive dans les cas graves presque toujours, qu'il y ait ou non ret
à notre avis, par le travail régénérateur de la nature. Dans les cas très invétérés on n'observe que très rarement une
sage, la gymnastique passive habile ont plus de succès que dans les cas où la contracture tardive est moins ancienne. C
ue de la pseudo-paralysie de tel ou tel groupe musculaire. Dans les cas plus graves la contracture peut disparaître sans
le succès est plus ou moins considérable selon les particularités du cas . Même dans les cas les plus heureux il reste to
u moins considérable selon les particularités du cas. Même dans les cas les plus heureux il reste toujours quelque chose
l'hé- miplégie. Je n'ai obtenu une guérison complète que dans deux cas d'hé- miplégie spasmodique que j'attribue à une
ue que j'attribue à une encéphalite consécutive au typhus. Dans les cas ordinaires on ne parviendra qu'à modérer la réact
aque côté, je constatais le retour du bruit vésiculaire et dans les cas où il y avait crépitation, une crépitation plus g
ance de la moelle. La rapidité du processus morbide varie selon les cas . Dans les plus graves une certaine partie de la
ques jours et la ter- minaison fatale n'est pas rare. Dans d'autres cas , non seulement le malade ne meurt pas, mais les
à un certain point, à la destruction; on ne voit pas comme dans les cas de la (1) J'ai démontré l'effet de la faradisat
continence de l'urine, des contractures, des paresthésies. Dans les cas les plus favorables les malades sont même en ét
le rapide et la mala- die évolue lentement. Ce n'est que dans les cas de la seconde catégorie qu'on peut attendre des
le pronostic que la date de la maladie à l'exclusion toutefois des cas tout à fait invétérés. Je n'ai pas besoin de
endue, la disparition des contractures et du tremblement. Dans le 1 cas où le malade peut marcher, le pas est après la fa
'effet est plus ou moins encourageant selon les particula- rités du cas ; une paraplégie grave ne disparait jamais à la su
uses qui les relient entre eux. Le succès de notre méthode dans les cas favora- bles plaide en faveur de cette hypothès
laide en faveur de cette hypothèse. Mais j'ai obtenu aussi dans les cas les plus graves des résultats satisfaisants après
ans le genre de la myélite. Je n'ai pas eu l'occasion de traiter un cas aigu ; dans les cas chroniques, la faradisation
yélite. Je n'ai pas eu l'occasion de traiter un cas aigu ; dans les cas chroniques, la faradisation du cou n'est pas du t
vent disparaît parfaitement après la première séance. Dans d'autres cas l'ataxie ne disparait pas, mais la démarche est
ferme devient bientôt plus long après les séances suivantes, si le cas est favora- ble. Quant à l'anesthésie, les mala
a faiblesse des membres pelviens croissante. Ces observations et le cas Erb-Schultze parlent eu faveur de l'opinion de
sence chez un homme de caractères féminins nettement accusés. Des cas analogues ont été décrits sous le nom d'infantili
ise, ni aucun doute sur la réalité de son sexe. D'autre part, son cas , au point de vue pathologique, est des plus intér
68. llystérie traumalique, par Orrego Luco, 339. Hystérique (Deux cas d'anorexie -), par Wallet, 276. (Contracture fa
des avant-bras d'ori- gine probablement), par Veillon, 201 ; (Un cas d'hypertrophie des pieds et des mains avec trou
dés), par Gil- les de la Tourette, 119. Syringomyélie (Un nouveau cas de -), type Morvan, par Souques, 286. Tabès a
50 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la recherche si délicate de la toxicité des urines. Dans quelques cas , nous avons trouvé à la fois des signes d'insuf
épato-rénal analogue à celui que décrivit M. Maurice Faure dans des cas plus aigus 3. IL- Dans une excellente revue sur
que dans les asiles. » Il est, en effet possible, que dans certains cas , l'étiologie rénale passe inaperçue chezdes alién
niques manifestant l'insuffisance rénale. Il s'agit bien entendu de cas chroniques et frustes, de petite urémie et non
stigation nous a permis de déceler l'étiologie rénale dans quelques cas , dont nous rapportons les plus typiques, ces ca
nale dans quelques cas, dont nous rapportons les plus typiques, ces cas n'en sont pas moins relativement très rares. De
bles rénaux et de troubles délirants peut se rencontrer dans trois cas 1" Un délire aigu peut être le symptôme passager
l'étiologie rénale peut échapper à l'attention du médecin dans les cas mêmes où le brightisme doit être mis en cause,
- naître en l'absence de tout autre symptôme clinique. Il est des cas , dit M. le professeur Dieulafoy-, où le délire
de signe carac- téristique du brightisme. M. Cullère 3 a cité deux cas assez probants à cet égard : dans l'un l'étiolo
recte- ment sur la production des troubles cérébraux que dans les cas aigus (ivresse délirante). M. Klippel a montré qu
cool, s'en rapportant à l'usage si fréquent de ce poison. Dans un cas de M. Régis le syndrome délirium tremens termin
amen des prin- cipaux organes et de leur fonctionnement. Dans les cas difficiles et douteux (comme le sont souvent ce
origine réelle, l'état ma- ladif est méconnaissable. » Il est des cas où les toxines rénales produisent sur le cer- v
s produisent sur le cer- veau des altérations durables, et dans ces cas la démence con- sécutive au délire n'a aucun ca
asiles au début d'une crise délirante d'origine urémique. Dans les cas cura- bles, il voit des malades pour ainsi dire
- bles, il voit des malades pour ainsi dire «déflorés. » Dans les cas chroniques il peut constater un trouble mental pe
. Mais tout en tenantcompte de cette objection, il faut, dans les cas aigus comme dans les cas chroniques, rechercher c
mpte de cette objection, il faut, dans les cas aigus comme dans les cas chroniques, rechercher chez les aliénés les cau
une grande importance, car elle commande le traitement. Dans les cas subaigus comme dans les cas chroniques, le régi
elle commande le traitement. Dans les cas subaigus comme dans les cas chroniques, le régime lacté absolu est la base
sseur Dieulafoyl, l'alimen- tation forcée et la douche. Entre les cas observés dans les hôpitaux et les nôtres, s'éta
x qu'exige le système des pavil- lons dispersés, du grand nombre de cas aigus, des exigences de l'enseignement, du tran
mande, à moins de danger pour la sécurité publique. Dans ce dernier cas , un avis est envoyé au « médecin de cercle » qu
avis est envoyé au « médecin de cercle » qui fait un rapport sur le cas et confirme ou non la nécessité du maintien. Da
rt sur le cas et confirme ou non la nécessité du maintien. Dans les cas où la sortie d'un malade est refusée à la famil
ecin, le ministre de l'Intérieur intervient. De même, dans tous les cas liti- gieux qui peuvent se présenter. En cas
même, dans tous les cas liti- gieux qui peuvent se présenter. En cas d'urgence, le directeur peut admettre un aliéné s
que l'admission des patients puisse avoir lieu sans retard; 3° En cas d'admission de sujets pour lesquels il n'y a pas
e tient compte que des exigences de l'ensei- gnement. Dans certains cas , des malades transférés dans les asiles peuvent
ies préalablement : la détermination des mesures ne devait en aucun cas dépendre de l'appréciation subjective de l'expéri
sultats au point de vue du diagnostic et du pronostic dans certains cas douteux. Son livre est divisé en quatre parties
iques et phonographiques ne peu- vent être recueillis dans tous les cas ; il en est de même des don- nées fournies par l
on Hessois ne faisant pas partie de la catégorie ci-dessus, si leur cas pré- sente de l'intérêt au point de vue de rens
te par le directeur de la clinique, qui peut refuser d'admettre les cas ne présentant pas d'intérêt au point de vue de
le malade aurait présentés pour la sécurité publique. § 6. Dans les cas urgents un malade pourra être admis provisoiremen
5 devront alors être remplies dans un laps de quatorze jours. En cas d'admission provisoire d'un malade relevant de l'
he 7 fixe les conditions des frais de séjour, variables suivant les cas . CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIES
. IV. Sorties de la clinique. § 22. La sortie des malades, sauf les cas prévus par le paragraphe 29, est ordonnée par l
tie des sujets Hessois est toujours une sortie provisoire, dans les cas où le malade est mis en liberté et rentre dans le
mps de trois mois, à dater du jour de sa sortie, le malade peut, en cas d'aggravation, être réintégré à la clinique, ap
s avisé afin qu'il puisse donner son consentement. § 29. Dans les cas où le représentant d'un malade déclarerait s'oppo
atteints de maladies mentales chroniques et non pas seulement des cas aigus; les élèves feront ainsi connaissance avec
ce avec )'euoht<t0 ! t et la terminaison des psychoses, avec les cas intéressants au point de vue des questions ayan
des maladies mentales de Paris (1879). RECUEIL DE FAITS. Sur un cas de rachitisme congénital avec nanisme, chez un
e subit de ralentissement qu'au bout de quelques mois. Dans notre cas , le nanisme parait différer du nanisme ordinaire,
-même. Mais il reste à interpréter ce rachitisme. On sait que les cas de rachitisme intra-utérins sont peu fréquents
urs possibles étiolo- giques. Du côté paternel, il n'y a eu aucun cas de rachitisme, ni chez les ascendants, ni chez
ui ajoute encore à la difficulté d'interpré- tation pathogénique du cas , c'est qu'il se trouve intercalé par son rang d
les progrès de l'enfant, montrera à nos lecteurs que même dans les cas les plus graves on obtient de très sérieux résu
'histoire de Lem... en est la preuve. Nous avons cité bien d'autres cas analogues qui justifient notre opinion. REVUE D
quée à certaines périodes et revient encore de temps en temps. Les cas de rumination qui étaient nombreux dans le serv
contredit, celles qui se basent sur les résultats observés dans les cas de lésions transversales de la moelle : les uns p
nsidèrent comme répondant à une sec- tion complète de la moelle les cas que d'autres et Crocq en parti- culier rapporte
uditif sont sou- vent le siège de ces lésions irritatives, mais les cas où la provoca- tion est réalisée par l'excitati
cience d'autres organes qui ne se révèlent jamais à nous dans aucun cas soit physiologique, soit pathologique. Elle peut
au retour de la fonction normale; de même elle peut, dans certains cas , reconnaître non seulement la position et le fo
'effectue sans qu'intervienne la décision de la volonté. Tel est le cas de la plupart des actes habituels. S'il se pro-
étaient dilatés à des degrés et pour des raisons différentes. Les cas 1 et 2 concernent une hydrocéphalie interne consé
ricule, l'acqueducde Sylvius, étaient comprimés. Enfin le troisième cas a trait à l'hydrocéphalie interne idiopa- pathi
En somme, la plus grande dilatation des ventricules appartient aux cas à tumeurs ; vive aussi, celle de l'hydrocéphalie
ervation 3 d'hydrocéphalie interne idiopathique ( ? ) et les autres cas sont topiques. On y voit la prolifération des c
tissu par de petites cellules, les traces d'un exsudat. Les autres cas ne présentaient pas toute la complexité de ce t
) : on a dû se contenter du diagnostic de tumeur du cerveau. Sur 20 cas de lésions du corps calleux (surtout des tumeurs)
e (Kaufmann, Erb, Ber- kley, Leichtenstern) et il n'a pas manqué de cas dans lesquels au heu d'une tumeur on avait diag
oclinique du corps cal- leux a, du reste, le bilan suivant : sur 20 cas où le corps calleux REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
ortion plus ou moins moins étendue de l'hémisphère, et même dans le cas de Zingerle il y a compression de la couche opt
cile chez les aliénés atteints de maladies du coeur de préciser les cas favorables à une intervention chirurgicale, car l
urcis et les renseignements erro- nés ou peu dignes de foi. Dans le cas actuel, il est à peu près cer- tain que l'anest
mique fort intéressante : on se serait attendu à rencontrer dans ce cas des déformations crâniennes extérieures qui fai
pitaux petits et 'arrêtés dans leur développe- ment ; enfin dans un cas il y avait des irrégularités et un défaut de dé
us élémentaire d'irritabilité réflexe. H. DEMusGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur cérébrale, par le Dr CUYLITZ. (l3zcll.
tre de ce travail en indique nettement l'intérêt. Il s'agit de deux cas d'abcès encéphalique dont l'unsiégeait dans le lo
de localisation sont trop souvent absents ou insuffisants. Dans ce cas les signes qui pouvaient mettre sur la voie du di
fection semble plaider en faveur de cette étiologie. G. D. IV. Deux cas de maladie nerveuse familiale intermédiaire entre
E et AUBINFAU. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 69 Il s'agit de deux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse d'une forme partic
formes fondamentales il y ait lieu de faire une place à part à des cas très rares qui, par suite de particularités ass
Pour les autres, c'est une lésion d'origine névrogtique. Dans un cas rapporté tout au long par les auteurs, la lésion
ologique, mai 1901). E. B. IX. Névrômes intra-médullaires dans deux cas de syringomyélie avec mains succulentes ; par l
ischossvverder. L'auteur en étudiant des coupes de moelle dans deux cas de syringomyélie, y a rencontré des névrômes do
et anatomique. 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Or dans les deux cas il s'agissait de syringomyélie, avec mains succ
itime de se demander, autant que permet de le faire l'étude de deux cas seulement, si la syringo- myélie avec mains suc
ore assez rares pour justifier la publication des quelques nouveaux cas présentés par l'auteur. De nombreuses théories on
plus complexe, car il est vrai- semblable que, dans la majorité des cas , des troubles vasculaires (ischémie, stase sang
la dépendance des excès alcooliques. R. de Musgrave-Clay. XII. Un cas d'atrophie musculaire progressive et un cas de pa
Musgrave-Clay. XII. Un cas d'atrophie musculaire progressive et un cas de para- lysie pseudo-hypertrophique chez de je
VEUSTARDTEII. (The Aew-Yo ? ,Ii médical Journal, 5 juillet 1902). Cas . L Atrophie musculaire progressive juvénile, (for
es énormes d'antitoxine ; SOCIÉTÉS SAVANTES. z 7° Il existe des cas qui ont été traités alternativement d'abord par
ent qui a donné les résultats les plus satisfai- sants ; 8° Trois cas ont été récemment traités à New-York par l'anti-
UROLOGIE Séance du 4 juin 1903. - PRÉSIDENCE DE M. P. Ricana Deux cas d'izénzicraniose. BRISSAUD LEREBOULLET,présente
nt sans doute, on retrouvera d'autres observations similaires. Un cas de tabès ayant débuté cinquante ans après l'infec
t le tabes a débuté quarante-cinq ans après. M. Babinski, a vu un cas de tabes débuter en 1896 pour une syphilis pris
être suivie jusque dans la région lom- baire. 11 y aurait donc des cas de la maladie dite de Little où la dou- ble lés
lligence et delà face et par l'absence d'attaques épileptilormes Le cas actuel semblerait dû à une artérite syphilitique
ralité SOCIÉTÉS SAVANTES. 77 des globes oculaires. Dans ces trois cas le syndrome observé a con- sisté en cette paral
rs cette rectification. Maladie de Dercum. M. DiDr, , rapporte le cas et montre les photographies d'une femme de soix
ski et Delerme, ont recherché les réactions électriques dans divers cas d'embolies récentes des membres. La réaction de
centes des membres. La réaction de dégénérescence présente dans ces cas un type particulier que les auteurs comparent à
générale et du tabes chez les indigènes d'Algérie et rapportent un cas de paralysie générale chez un arabe syphilitique,
LON. L'abolition du secret professionnel présenterait dans certains cas spéciaux, des avantages indéniables; mais il ne
s de la tuberculose au point de vue bactériologique ? Soit, en tout cas l'enfant de parents tuberculeux nait tuberculis
té et delà sugges- tionnabilité. Suivant les sujets et suivant leur cas pathologique, c'est l'une ou l'autre de ces tro
s grandes cellules motrices ; il s'agit dans la grande majorité des cas d'une dégénération atrophiante qui entraîne la
lons sont susceptibles de se compliquer de paralysie, même dans les cas bénins. Cette paralysie, qui est tantôt diffuse,
De G.lUn4UD. Il résulte des recherches de l'auteur qu'il existe des cas de tabes où, malgré les plus minutieuses recher
rer de cela qu'elle mente vérita- blement ? Souvent il y a dans son cas une simple erreur, c'est-à- dire un pseudo-mens
urdité, qui suivent une marche progressive et fatale. Dans d'autres cas , dus à une double suppuration des yeux et des o
ennes générales; enfin il n'est pas possible de comparer les divers cas de cette affection entre eux. C'est dans ce but
médecins, désireux d'employer une méthode exacte, de comparer leurs cas au nôtre 1. Ajoutons enfin que la technique emp
individu normal d'environ 126 millimètres (Papillault). Dans notre cas , cette dimension est considérablement réduite e
à une substance inuci- noïde. On a, de plus, constaté-dans certains cas la présence de mucine dans tous les tissus, y c
couches denses de tissu fibreux, qui se voient toujours dans les cas de méningite franchement scléreuse. Chez Deb...,
ent de la mort, presque foudroyante, elle était descendue à 34°. Ce cas d' hypothermie s'ajoute à ceux que nous avons c
1880 jusqu'à ce jour, il a toujours existé dans le service quelques cas de myxoedème infantile. De là, un certain nombr
ons devoir rappeler à la fin de cette observation : '1° Note sur un cas de crélinisme avec 9 ? iyxoedèi ? be ou cachexi
rendu de '1886, p. 3 (en collaboration avec P. Bricon); 3° Nouveau cas d'idiotie avec cachexie paclcdermiqzce; idiotie
iotie î ? iyxoedénialeuse. Compte rendu de 1894, p. 9 ? - 9° Ti-ois cas d'idiotie 9 ? zyxoedénialeuse traités par l'ing
tes et 12eiti-ologisles de Bo ? deaztx, t. II, p. 178; '10° Nouveau cas d'idiotie avec cachexie pacAyde ? 'Mt ! yMe. Co
ion faite à la Société de Biologie, séance du 15 mai 1896; 110 Cinq cas d'idiotie myxoedémaleuse (Bul- letin de la Soci
de la rétine de l'eeil droit; nous pensons que la publication de ce cas rare apportera une contribution utile à l'élude
des éléments nerveux de la rétine, métamorphose fréquente dans les cas de décollement, perdu tout le fin réticulum de
ois elle en est également détachée en certains points ce qui est le cas dans notre figure 19. Les cellules épilhéhales qu
ment épaissies, Si. leur lumière peut même être oblitérée, c'est le cas de l'artériole figurée en 23. Les veines sont f
ésultats les plus importants et les plus sûrs, obtenu dans tous les cas du traitement intensif, c'est la disparition rapi
ition en rap- port avec l'amélioration des accidents morbides ; six cas concer- naient des sujets affectés d'épilepsie
fets physiologiques des médicaments. Cela est surtout vrai dans les cas de siphylis cérébrale, où l'on voit quelquefois l
des malades libres affectés de formes de psychoses légères, et les cas de troubles mentaux non justiciables de la séqu
énilité prématurée, et Cullerre a noté la forme dépressive dans les cas où la maladie est associée à des lésions athéroma
gre. Les registres de Broadmoor relèvent 253 infanticides : dans 24 cas l'infanticide a été double, dans 8 cas triple.
t 253 infanticides : dans 24 cas l'infanticide a été double, dans 8 cas triple. Les tentatives de meurtre sont au nombr
point de vue médico-légal. On a dit que dans un tiers au moins des cas de folie puerpérale, les tendances au suicide o
lus rare, la folie puerpérale la forme la plus commune. L'étude des cas observés à Broadmoor montre que l'infanticide est
le terme de folie puerpérale est ordinairement appliqué, à tort aux cas de cet ordre. Les chiffres relevés à Broadmoor po
ne qu'un mois en règle générale, mais en accorde deux pour certains cas discutables, et Campbell Clark, pour les cas in
rde deux pour certains cas discutables, et Campbell Clark, pour les cas incertains et mixtes, va jusqu'à deux et trois
deux et trois mois. En étudiant REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 159 les cas de Broadmoor, l'auteur a rapporté à la folie puer
tudier le meurtre des nouveau-nés : l'asile de Broadmoor fournit 20 cas de cet ordre : dans ce nombre on compte seize f
ize filles-mères. On sait com- ment les choses se passent en pareil cas : l'enfant crie, la mère affolée le tue ; le ju
uer la folie passagère; très passagère en effet, puisque sur les 20 cas de Broadmoor, douze femmes ont pu être remises
misère physiologique et misère sociale. Comment s'étonner en pareil cas d'un infanticide qui, le plus souvent, s'accomp
parfois de tentatives de suicide. Il est à remarquer que dans les cas d'infanticide les idées religieuses sont très sou
: leur âge est plus élevé que pour la folie puerpérale. Dans les cas d'homicide se rattachant aux troubles mentaux qui
° Les attaques antérieures : ces attaques sont dans la majorité des cas , puerpérales : on en comptait 24 cas à Broadmoor.
ques sont dans la majorité des cas, puerpérales : on en comptait 24 cas à Broadmoor. 4° la pré- disposition héréditaire
à Broadmoor. 4° la pré- disposition héréditaire rencontrée dans 28 cas . 5° l'épilepsie à titre de complication. 6° l'i
qu'il s'agisse d'une femme mariée ou d'une veuve. Dans trente-trois cas le meurtre de l'enfant avait été commis sous l'
vait été commis sous l'influence de la folie de la méno- pause. Ces cas ressemblent à ceux qui ont été décrits ci-dessus.
ement la proportion de la paralysie générale. Près de la moitié des cas , 44,3 p. 100, s'observent de trente-cinq à qua-
00, n'avaient pas d'enfants : ou bien elles n'avaient pas conçu (55 cas ) ; ou elles avaient avorté ; ou enfin leurs enf
du tabès pour une complication accidentelle. Il existe du reste des cas où la tare héréditaire est vraisemblablement de n
l'homme, une marche plus bénigne. Mais l'amaurose y prédomine : 21 cas . On y rencontre l'hémi- anesthésie hystérique t
Basedow symp- tomatique, par lésion du faisceau solitaire ( ? ) : 3 cas . P. Keraval. XV. Observation de myasthénie ps
nt aussi que s'il essaie d'avaler il n'étouffe. La dysphagie, en ce cas , porte plutôt sur les aliments solides, surtout
trice ; elle n'est donc suppo-able que dans un très petit nombre de cas tout à fait légers, et surtout dans ceux où une
ts permettent de croire que l'origine de l'appendi- cite en pareils cas remonte à insuffisance de l'appareil musculaire
tate la teinte sanguinolente du liquide céphalo-rachidien dans deux cas d'hémorrhagie cérébrale, Braun, IirBuig, en All
La date d'apparition et de disparition de la coloration dans les cas d'hémorrhagie est variable ; elle apparaît généra
, la lutéïne. R. LEMY. 166 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1\ll. Un cas d'asthénie bulbo-spinale. Syndrome d Erb-Goldflam
ire ? Le malade aurait présenté un ictus apoplectiforme ou, dans le cas d'une polyoeiicéplialite supérieure, des symptôme
uérison, soit par les résul- tats de l'examen histologique dans des cas où des phénomènes de paralysie bulbaire se trou
le ne portant que sur la phase épileptique elle-même. Il existe des cas où l'amnésie épileptique n'est pas seulement sim-
r bien peu attiré l'attention des auteurs M. Séglas en a observé un cas portant sur une période de vingt- REVUE DE PATH
nd d'une semaine ; pour le troisième de vingt jours. Dans ces trois cas l'amnésie était absolue, complète. Elle a persi
e, complète. Elle a persisté dix jours dans le premier et le second cas , vingt-deux jours dans le troisième. La quest
par la destruction et l'absorption de ceux-ci. Il. Leroy. XXVI Un cas de cancer cérébelleux ; par M. le professeur Raym
d (Presse Médicale, 8 octobre 1902). Intéressante clinique sur un cas de syndrome cérébelleux, dont Tétiologie était
int de départ est vraisemblablement méningé. il. Leroy. XXVII. Un cas d'épilepsie consécutive à une lésion traumatique
ment intéressant de cette observation (bien qu'un certain nombre de cas analogues ait été publié dans ces dernières ann
fèrent pas sensi- blement de ceux de la neurasthénie; dans d'autres cas , ils sont différents ou bien plus accusés. Ai
qui ne présente à ce moment aucun des symptômes du grand mal. Les cas d'épilepsie silencieuse, sont loin d'être rares e
ecine pure qu'en médecine légale. Médicalement ils représentent les cas les plus purs de folie soudaine et complète; au
association extrêmement pauvre; elle est nulle dans la majorité des cas . Les sujets ne trou- vent aucune image dans la
ets normaux. La neurofibromatose. M. CESTAN. Présente un deuxième cas de sarcomatose nodu- laire primitive de tout le
érébelleuse et surdité bilatérale. Au point de vue histologique, ce cas présente SOCIÉTÉS SAVANTES. 118 l'intérêt d'a
inghausen peut s'accompagner de locali- sation nerveuse centrale (1 cas personnel de Tailleur), d'autre part leneurolib
é de l'intelligence, la localisation corticale est certaine dans ce cas . Il faut accorder une grande importance à la na
ppui de celte opi- nion il [appelle qu'il a dans son service treize cas d'hémiplégie infantile parmi lesquels deux seul
ant seul ici à avoir autopsié trois maladies de Little, deux de ces cas étaient dus à des lésions médullaires. M. BFIIS
brale, il faut la redéciire, La conrénitalilé ne suffit pas en tout cas à établir la maladie de LUtte qui pour M. Briss
aut faire une grande part à la naissance avant terme. Sur les trois cas de M. Déjerine il y avait une maladie de Little
s trois cas de M. Déjerine il y avait une maladie de Little et deux cas de paralysies spasmodiques cor'icales et les piè-
at normal; il est au contraire très commun et très intense dans les cas de lésion du faisceau pyramidal. Il est fréquen
lérose spasmodique chez lesquels, ils ont relevé ainsi que dans des cas de scléroses en plaques et de scléroses combinées
que. Archives, 2° série, t. XVI. 12 17 SOCIÉTÉS SAVANTES. Trois cas de névrites radiales. M. BADiNsEi présente deux
névrites radiales. M. BADiNsEi présente deux malades et rapporte le cas d'un troisième atteint d'une douleur postérieur
de identique, tenant l'épaule gauche relevée. Il a vu de nombreux cas de ce genre. Myoclonie et Epilepsie. MM. Gilb
fait qui ressort nettement de l'observation des auteurs etd'autres cas cités par M. G. Ballet, c'est la possibilité de
e. ' Bourneville. SOCIÉTÉS SAVANTES. 179 M. Halbron rapporte un cas de glyome du corps calleux, avec hémiplégie pro
iques chez les tabétiques. M. MËDËA envoie une communication sur un cas de polynévrite toxique, probablement amylique.
eur longueur sans nullement s'atrophier ni se tétracter. Dans aucun cas de cyphose ou de scoliose même très acusée à évol
e un et trois ans l'extension est exceptionnelle en dehors des deux cas suivants : A) dans les affections du système nerv
ns les affections du système nerveux : il n'a cependant pas dans ce cas la même valeur que chez l'adulte SOCIÉTÉS SAVAN
s pathologiques. en particulier aux atteintes toxiques; B) dans les cas de troubles profonds de la nutrition générale,
ale, ceux-ci paraissent avoir pour corollaire dans presque tous les cas un retard dans le développe- ment du faisceau p
ystérique . MM. Ernest DoraÉ et J. Camus. L'observation concerne un cas d'association, chez un hystérique, de deux synd
mencements microbiens. L'étude clinique et cytodiagnostique de ce cas prouve combien 182 SOCIÉTÉS SAVANTES. peuvent
le cerveau accepte trop vite et réalise donc trop rapidement Comme cas cliniques, tirés de ma pratique, je citerai : un
pidement Comme cas cliniques, tirés de ma pratique, je citerai : un cas d'ova rialgie, qu'on allait opérer et que j'ai
t opérer et que j'ai guéri par suggestion en deux séances un second cas opéré, celui-ci, malgré mon avis, et dont,j'ai
cidive ainsi que les symptômes moraux ayant suivi la mutilation; un cas de paralysie agitante, guéri, pas évidemment, m
agitante, guéri, pas évidemment, mais soulagé pendant trois ans; un cas du sifrdité, datant de trois ans, guéri en six
n cas du sifrdité, datant de trois ans, guéri en six semaines; deux cas SOCIÉTÉS SAVANTES. 183 d'application à la chi
deux cas SOCIÉTÉS SAVANTES. 183 d'application à la chirurgie; le cas d'une jeune fille hystérique, tenue en état de
par la sug- gestion . M. Stadeliunn (de Wurtzbourg) rapporte des cas de contracture hystérique du genou et de trembl
'il s'agit d'enfants en bas âge et non hypnotisables. Dans tous ces cas d'incontinence nocturne, l'enfant dort trop pro
r être elficace, doit réveiller à demi le dormeur; dans de nombreux cas analogues, j'exige que l'enfant, sans cesser de d
breux chevaux; il distingue un hypnotisme fortuit avec, suivant les cas , catalepsie, léthargie, somnambulisme, fascinat
ion obscure; l'intelligence consiste à s'adapter immédiatement à un cas contingent et en grande partie nouveau dans la
les, le traitement du tabès cloosalis, la conduite à tenir dans les cas de tumeur cérébrale, le traitement des atrophie
ccomplissement de sa vingtième année. (Le Malin du 11 juillet.) Les cas de ce genre ne sont malheureusement pas rares.
t, mais par simple coïncidence. L'obses- sion et le délire, dans ce cas , ne sont pas directement reliés l'un à l'autre.
exceptionnelle. M. Magnan adonc raison dans l'immense majorité des cas , mais M. Séglas ne se trompe pas quand il affir
cet aliéniste comporte quelques exceptions et qu'il y a quelques cas curieux dans lesquels le délire se manifeste comm
t justement et dans quelle forme, je me permets de citer ici un des cas de ce genre. Il s'agit d'une malade d'âge moyen
tère d'élément raisonnant. On ne peut pas admettre non plus dans ce cas de jalousie hystérique, qui s'exprime dans une
r d'avoir une maladie psychique avec perte de conscience. Dans le cas donné, d'un côté saute aux yeux la conduite abs
sive, on ne peut pas réfuter l'idée que, peut-être, dans de pareils cas existe une combinaison des états psychopathique
psychique héré- ditaire, et comme l'organisation psychique dans le cas donné s'exprime en forme de constitution idéo-o
il, concerne la peur pathologique du refroidissement. Dans certains cas de constitution idéo-obsessive la peur du refro
rler d'une constitution idéo-obses- sive ; par conséquent, dans ces cas la peur obsédante du refroidissement apparaît l
es obsédantes, il faut rapporter aussi la peur des montres; dans le cas , où dans la constitution idéo-obsessive il nous
l'ai- guille de montre en mouvement, et à la fin se forma dans ce cas une phobie des montres; cette phobie était si m
éveillait chez la malade un senti- ment d'une grande peur. Dans le cas donné existait encore une peur de voir les obje
mptômes, se rencontrant 202 CLINIQUE NERVEUSE. dans de semblables cas , il faut pourtant, pour éviter les malentendus,
L'analyse des urines du 5 décembre donne : RECUEIL DE FAITS. Un cas de maladie des tics ; guérison ; P.n COITIi\E'I
dents héréditaires. Nous nous bornerons à rappeler les nom- breux cas de congestion et d'apoplexie du cerveau, le caféi
Krapelin, dans lesquelles on se borne à énoncer le pourcentage des cas où les malades présentaient des antécédents hér
coce, il sera nécessaire de réunir, de grouper un certain nombre de cas bien étudiés, suivis pendant longtemps et d'en
cette affection, et dont nous avons, M. Meeus et moi, observé cinq cas sur un total de soixante-cinq déments précoces.
ce hébéphréno-catatonique, ayant été soigneusement vérifié dans ces cas . 0 M. Meige (de Paris). Les anomalies de la fon
dique la participation active des muscles abaisseurs. Dans les deux cas , le relâchement musculaire n'est pas complet, l
dances régulières avec des aliénés traités dans sa section, et en cas de maladie, avertit les proches. ' 1 Tous les t
arge deux infirmiers ou deux gardes d'aller chercher le cadavre. En cas de guérison, le médecin SOCIÉTÉS SAVANTES. 229
le nou- veau nourricier, et lui donner ou lui refuser un aliéné. Au cas contraire, il n'a aucune prise ni sur ce placem
us les lésions sont précoces et plus elles sont diffuses; ainsi les cas de méningites occupant une large étendue, les art
- lis antérieure, je suis d'accord avec eux pour un bon nombre de cas . L'encéphalite paralytique inflammatoire appara
e persistance et des caractères qu'il ne comporte pas dans d'autres cas pathologiques' ? Enfin, comme dernier argument,
céphale, qui sont fréquentes dans l'artériosclérose. On peut en ces cas rencontrer de l'athérome jusque sur les gros vais
us et chronique. Les néoplasmes syphilitiques ou autres sont, en ce cas , les lésions préalables, les points d'ap- pel d
ns à l'action des toxines d'une tuberculose pulmonaire ayant en ces cas une marche lente et parfois latente. Telle est
y- siens générales névriliques qui, leur sont applicables en pareil cas . Telle est la pseudo-paralysie générale par lés
s der- nières s'accusent de moins en moins dans la longue série des cas , par rapport à ce qu'elles sont dansles formes
n pourrait encore se demander si le stade initial varie suivant les cas et en particulier si les formes inflammatoires ne
oindre des mastzellen, qui apparaissent toujours assez rares en ces cas . D'après Ehrlich, les mastzellen sont chargées de
ômes que présentent les différents malades, en particulier dans les cas qui ont été qualifiés d'atypiques par Stoick. Com
icaux et bulbaires, les localisations spinales semblant en'quelques cas évoluer d'abord isolément, impliquent que le pr
bro-spinal. ' Ainsi, la diffusion des lésions commune à tous les cas , le degré de la virulence, les affinités région
upe spécial de paralysies générales, si ce n'est peut-être dans les cas où ces lésions athéromasiques sont prépondérantes
e corpuscules hyalins Dans un deuxième groupe, nous avons réuni les cas où les lésions inflammatoires, parfois moins in
osclé- rose. Dans un dernier groupe, nous proposons de ranger les cas qui paraissent se rapporter au type décrit par
ombreux (éléments normaux du cortex altérés et leucocytes). Dans un cas nous avons noté la présence, dans les méninges,
ection secondaire (eschare). M. R. VEREOOGEN (de Bruxelles). Dans 8 cas de tabes avancé affection que M. Klippel assimi
e n'ai rencontré ni polikylocytes, ni hématoblastes ; dans 2 de ces cas il y avait une mononucléose accentuée (50,5 et
la scène qui l'a emolionnée. Nul doute, à notre avis, qu'en pareil cas , il n'y ait re- tentissement sur le foetus, et
ormations du bassin ont été rencontrées deux fois. Nous avons eu un cas d'exostose ostéogénétiqueattribuable au ra- chi
caucasique. Personnellement nous en avons observé une vingtaine de cas . En voici les principaux signes : Tète petite,
puberté su- bissent leur évolution régulière. Onnote cependant des cas de cryp- torchidie. Deux de nos malades ont été
est de 1 m. 325 : d'où la différence de 14 centimètres en moins. Cas II. Sigur... (Louis G.), né le 3 octobre 1885 est
n âge est de 1 m. 63. D'où différence en moins de 32 centimètres. Cas III. Volfin... (Georges), né le 29 juillet 1883,
à cetâge est de 1 m. 67, d'où différence en moins de 25 cent. 1/2. Cas IV. Van de Cast... (Paul-Em.-Ad.-), né le 12 févr
'où différence en moins de 30 centimètres. SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 Cas V. Le Br... (Sainte-Marie), douze ans (fig. 20).
compte des traitements suivis, on peut dire que, dans 60 p. 100 des cas , le tabes s'arrête dans les premiers symptômes,
la vie du malade en est à peine diminuée. C'est dans 30 p. 100 des cas seulement qu'il peut porterie nom dé progressif
,ique chez, les tahéliques M. Maurice Fauve (Lamalou, Hérault). Les cas d'amélioration ou de guérison du tabes par le t
ont peu nombreux. D'autre part, nous savons que, dans 60 p. 100 des cas , le tabes a une tendance spontanée aux ar- rêts
s publiées en collaboration avec les De' Belugou et Cros, sur 2 500 cas , il ré- sulte que le pourcentage des améliorati
rcuriel, et chez ceux qui n'en ont subi aucun. Enfin, le nombre des cas où la thérapeutique antisyphilitique s'accompagne
accompagne d'aggravation, est beaucoup plus grand que le nombre des cas où la même thérapeutique s'accompagne d'amélior
ie faciale périphérique. MM. Dupuy-Dutemps et Cestan. Dans quinze cas de paralysie fa- ciale périphérique, que nous a
ères, normalement, le globe de l'oeil se convulsé en haut. Dans les cas de paralysie faciale il entraîne et relève dans
rdres vaso-moteures (névroses vaso-motrices). · En somme, dans le cas actuel, la crampe des écrivains et l'angios- pa
à parler sans s'imposer de ne pas rapprocher ses lèvres. En pareil cas , la meilleure psychothérapie consiste à dire la
établir des chiffres moyens servant de formes de comparaison. 2° En cas d'hypotonie, le nombre des excitations nécessai
jours été notablement supérieur à la moyenne des sujets sains. Deux cas seulement faisaient exception, mais les , malad
nécessaires pour provoquer, le tétanos musculaire peut suivant les cas présenter des écarts et que ceux-ci sont en rap-
on sur les fractures spontanées des paralytiques. Il en rapporte un cas personnel où dix fractures se reproduisirent sous
de causes futiles chez un hérédo-syphihtique, mor paralytique. Ces cas de dystroptnes précoces des os chez ces futurs
cette note dit que ces aliénés sont bien connus et il relate deux cas où il a été appelé comme expert à examiner des in
VJIO Oas. Garçon, treize ans. Végétations adénoïdes abon- dantes. Cas à peu près identique au précédent, sauf que, aprè
rer, continue à se fatiguer. Les tracés successifs, dans ce dernier cas , bien qu'espacés, vont en s'abaissant à mesure
u'il surpasse en solidité. Pour augmenter sa rigidité dans certains cas , on .peut introduire dans son intérieur une pet
tiehkine se rangent à cet avis. 7')'o ! t&psc/n ! tes dans un cas de sclérose en plaques. IL Laknois (de Lyon). L
et devenir le symp- tôme le plus saillant de l'affection. C'est un cas de ce genre que Lannois rapporte. Un homme de
XVI. 18 374 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Raviart rapporte à son tour un cas observé et autopsié dans le service de M. 11ER.
mélalgie et de la maladie de Haynaud est un fait rare en clinique ( cas de Mills, Potain, Morel-Lavallée, L. Lévi). En vo
légères s'expriment par un caractère scrupulo-izzquiet; 2° dans des cas plus graves, cette constitution se manifeste pa
r des idées obsédantes, des pho- bies, etc. (psychopathie) ; 3° les cas encore plus graves s'expriment sous la forme de
, en y incluant les tics psychiques (Meige rt Feinclel) et certains cas de névrose d'an- goisse (Frerc 1, IItti-teiibe
ières règles, par le poids énorme des foetus (4.300 grammes dans un cas , malgré l'ab- sence de tête, alors'que le poids
édaient un bulbe, mais non les parties sus-jacentes. Les très rares cas contraires de monstres n'ayant pas de bulbe et
rs des psycho-neuroses on ren- contre des troubles analogues. Trois cas de neurasthénie ayant · SOCIÉTÉS SAVANTES. 277
erveux supérieurs comme celle de tous les autres systèmes. Sur un cas de délire de lIé(littii2nilé. MM. Ballet ET DII
vue de la psycho-physiologie des médiums. M. 13ots·rES a observé un cas analogue dont il donnera la des- cription compl
e pense que l'interprétation de ces faits est la même que celle des cas de dermographisme qu'on observe parfois dans la
e de la volonté. Communications diverses. ' M. Jules Voisin. Un cas d'hémiplégie hystérique datant de cinq ans. Gué
la perception de la lumière à l'examen oph- tatmoiogique; dans les cas simples, on ne constate absolument rien d'anorm
étudie le diagnostic généralement aisé, parfois difficile dans les cas de simulation. Lie pronostic et le trai- tement
ilis peut être incri- BIBLIOGRAPHIE. 285 minée dans 43 p. 100 des cas . Sur 100 tabétiques, 31 n'ont aucune descendanc
nt au réieil une grande lassitude carac- téristique. Enfin dans les cas où les névroses se trouvent asso- ciées, les tr
e sénile est curable, en s'attaquant à l'artério-sclérose. Dans les cas sans ressources les malades abou- tissent au ra
a pas longtemps sans avoir de nouveaux démêlés avec la justice. Les cas de ce genre sont légion, j'en suis convaincu. N
mmes, deux pour femmes, une maison de convalescence et une pour les cas qui exigent un traitement et des soins spéciaux
e que 15 enfants, elles sont pour le moment employées pour d'autres cas . La Société Nationale pour l'occupation des épi
ra bientôt une réponse favorable. L'expérience a démontré que les cas de jeunes épileptiques sont ceux dans lesquels
tion physique aussi bien qu'à l'éducation intellectuelle et dans le cas des plus jeunes enfants on emploie le système «
où, à mon avis, ils ne devraient pas être. Beau- coup des meilleurs cas de la colonie de Chalfont ont été ceux de colon
nous voyons les causes apparentes, qui la produisent dans certains cas , avoir des effets opposés dans d'autres. La dou-
matique est d'origine plus obscure encore. Elle se produit dans les cas où les centres supérieurs ont perdu tout pouvoi
mène une recrudescence des phénomènes morbides. Mais c'est dans les cas d'hallucinations psycho-motrices que le réveil
; et nous l'avons pu constater, en toute cer- titude, dans certains cas , chez des malades capables de rendre compte de
mme ceux-ci, une confirmation sérieuse de cette théo- rie. Dans son cas , Janet attribue en outre à l'insomnie, comme co
égra- lement ses conclusions, comme le remarque Brodmann. En tout cas , Brodmann a constaté ceci chez son malade trépané
récente, admet de même que l'insomnie survient aussi bien dans les cas où la pression sanguine est élevée que basse, m
sque après le sommeil réparateur. Cette perte s'accusa même dans un cas par une dimi- nution de deux onces par rapport
hloral est le plus universel des hypnotiques. On l'emploie dans les cas les plus variés, dans tous les cas, peut-on dire,
pnotiques. On l'emploie dans les cas les plus variés, dans tous les cas , peut-on dire, d'in- somnie; c'est à lui que l'
eut-être exa- gérée sur la foi des expériences sur les animaux. Les cas de mort sont presque toujours dus à des lésions
ifs consécutifs à son emploi doivent le faire rejeter dans tous les cas où l'on peut craindre l'exagération d'un état s
t spasmodique. Il n'en est pas moins un hypnotique utilisé dans les cas les plus variés avec un certain succès. Les doses
ypnotique. Mais les dangers de leur emploi sont trop certains elles cas de mort avec troubles moteurs, respiratoires et
es sulfones n'aient été employés avec des succès variables dans des cas en apparence identiques. Le sommeil, plus rapid
adjuvantes du besoin de sommeil. Ils sont à éviter dans tous les cas où existe une faiblesse physi- que marquée. Ils
physi- que marquée. Ils donneraient de meilleurs résultais dans les cas . d'agitation motrice (on est en droit, en effet
r, évidente surtout dans les intoxications), de moins bons dans les cas hallucina- toires : on leur a même attribué le
faut pas hésiter à atteindre progressivement 1 gramme dans certains cas et ce n'est qu'à ce prix que l'action hyposthén
est indiqué, mais seulement à la période de décroissance. Dans les cas aigus, l'al- coolisme en particulier, il a donn
nné lieu à des accidents toxiques. L'emploi des opiacés est en tout cas à éviter comme simple hyp- notique. Quant à la
es inconvénients d'accoutumance morbide ; ce- pendant, il existe un cas d'héroinomanie. La péronine serait aussi recomm
a beaucoup médit de ce médicament merveilleux. Il est cependant des cas où il faut à toute force calmer les malades et
s plus refuser de paralyser une agitation incoercible dans certains cas . Il est bien entendu qu'on ne devra l'employer
as. Il est bien entendu qu'on ne devra l'employer dans ce but qu'en cas de nécessité et quand l'état physique ne s'y op
tuellement il vaut mieux s'abstenir de son emploi prolongé dans les cas aigus : mais il a éprouvé que, dans les manies
s les intoxications mortelles n'ont pas été enregistrées, sauf deux cas discutables. Il rapporte par oui- dire un cas d
registrées, sauf deux cas discutables. Il rapporte par oui- dire un cas d'intoxication accidentelle par injection de 1 ce
n artificielle pendant plusieurs heures avec succès d'ailleurs. Les cas recueillis par les auteurs montrent que les sym
ffet sédatif ne dure que ce que dure l'action de la dose ; dans les cas chroniques, les doses fractionnées par injec- t
umérer toutes les affections mentales et nerveuses pour exposer les cas SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 où il est couramment p
on disparue. Par analogie avec l'épilepsie on l'a appliqué dans les cas périodiques, mais il n'a guère donné de résulta
s examiné à fond la question de la diète des chlo- rures ; dans les cas rares d'excitation épileptique où elle fut essa
omure a été donné à hautes doses, continues et répé- tées, dans les cas de grande excitation, de façon à obtenir, comme
s états d'agitation, avec quelques exceptions spéciales (cer- tains cas de psychoses de la puberté), il est admis sans co
ains permanents et prolongés. Il est de pratique courante, dans les cas d'insomnie simple, de donner un bain tiède le s
idéal de la médication sédative. Il nous manque une statistique des cas où l'hyoscine a dû être employée simulta- némen
en moins employée. Cet ostracisme, dû aux accidents con- sécutifs ( cas de mort par congestion pulmonaire, par collapsus)
Les erreurs d'une thérapeutique symptomatique peuvent aggraver des cas bénins facilement cura- bles au contraire en s'
a scopolamine, n'a jamais été dépassée. Dans un certain nombre de cas , les malades soumis à ce mode de traitement ont p
de l'adulte ne repose encore que sur l'étude d'un petit nom- bre de cas anatomo-pathotogiques. Duchenne (de Boulogne) a p
est aujourd'hui généralement contestée. Il n'en est pas de même du cas publié par Schultze en 1878, du cas que William
tée. Il n'en est pas de même du cas publié par Schultze en 1878, du cas que Williamson a relaté en 1890 et d'un cas de
ar Schultze en 1878, du cas que Williamson a relaté en 1890 et d'un cas de Von Eahiden publie en 1893, qui nous paraiss
'un cas de Von Eahiden publie en 1893, qui nous paraissent être des cas incontestables de polio- myélite antérieure aig
qui exprimait l'idée, en 1890, « qu'il n'existe actuellement aucun cas de poliomyélite aiguë de l'adulte dont le diagnos
nce de cette entité morbide. Nous avons eu l'occasion d'observer un cas clinique de polio- myélite antérieure aiguë che
ature de la lésion initiale. Nous croyons cependant que, dans notre cas , la destruction de la substance grise doit être a
cellule nerveuse nous permet d'affirmer que, dans la majorité des cas , le contact entre les cellules nerveuses est assu
ons, à des idées délirantes ou à l'idée fixe du suicide. Certains cas , cependant, échappent à cette pathogénie et sem-
nement de la glande, qu'il faut attribuer le mal comitial en pareil cas ? Je crois plutôt, comme on l'admet pour le myx
dans le sang et empoisonnant ainsi nos cellules nerveuses. En tout cas , l'absence ou la mauvaise qualité de la sé- cré
ation. La douleur à volonté. M. le professeur Brissaud cite trois cas très intéressants de ma- lades atteints de névr
ons personnelles cliniques et anatomiques et des recherches sur les cas jusqu'ici publiés, nous ont convaincu que la mé
méningo-myélites syphilitiques. Nous avons pu réunir près de trente cas où la syphilis existait manifes- tement dans le
trême fréquence avec laquelle la syphilis a été rencontrée dans les cas où elle a été recherché, d'au- tre part, parce
l'on trouve pour le tabès. Les lésions rencontrées par nous dans un cas ont été des lésions de méningo- myélite vascula
idaux ; c'est sans doute ce qui a pu donner lieu, dans un nombre de cas , à l'exagération des réflexes et à l'extension
maladie de Charcot; il est vraisemblable de supposer que les rares cas signa- lés de sclérose latérale amyotrophique à
térale amyotrophique à très longue évolution étaient en réalité des cas de meningo-myélites syphilitiques sem- blables
pu séparer les amyotrophies progres- sives syphilitiques des autres cas de maladie d'Aran.Duchenne; trois symptômes nou
ie précédant l'atrophie, la plus courte évolution. Mais de nouveaux cas nous ont montré que les douleurs, parfois signa
ux cas nous ont montré que les douleurs, parfois signalées dans des cas de soi-disant amyotrophies Aran-Duchenne, ne so
depuis 1895 (ingestion de glande fraîche de mouton). Sauf dans les cas où les cartilages épiphysaires étaient soudés,
tatoniquc (Meeus) sont particulièrement établis ; la plupart de ces cas ont été observés pendant de très nombreuses ann
cieux de connaître des signes permettant d'établir le pronostic des cas particuliers. Quels sont les symptômes autorisa
issera choir ou trop vite ou trop lentement. 11 a observé plusieurs cas , mais pas encore suffisamment pour établir une
trangement avec la gravité de de la situation pathologique. Dans le cas contraire, lorsque le pué- rilisme s'allie à la
ions de la névrose, un syndrome de nature hystérique. Dans d'autres cas , lorsqu'il est chronique, le puérilisme représe
e la syringomyélie est connue, les auteurs ont rapporté de nombreux cas dans lesquels coexistaient avec elle des troubl
édullaire ne présente pas un très grand intérêt. Mais à côté de ces cas . il en est d'autres dans lesquels les troubles
ontrer beaucoup plus marqué, c'est ainsi que Iledlicli a observé un cas de mélancolie chronique et que plus récemment P
avorable à l'éclosion de troubles mentaux. Aussi, rapprochant notre cas de ceux précédemment observés, croyons-nous pou
ression mélancolique plus ou moins prononcé qui peut, dans certains cas , se compliquer d'idées déli- rantes de persécut
er et de mordiller des excoriations labiales; ces auteurs citent le cas d'un chien devenu onychophage. Mais actuellement
citation et dépression périodique. Délire circulaire fruste dans un cas de syphilis héréditaire. MM. F. Raymond et PIER
des traces d'iritis ancien et des synéchies qui immobilisent * Les cas de ce genre sont fréquents chez les aliénés, en p
es expériences, inséré dans le journal Hygiène, était basé sur -153 cas et a provoqué une vive dis- cussion à la Sociét
ployé ce mode de sommeil avec le plus grand succès dans beaucoup de cas . En 1896 il a parlé sur le même sujet au Congrè
le comme cela est conforme aux moeurs du Nord. Pourtant, dans des cas spéciaux on prend soin de pratiquer une séparatio
moyen d'investigation. Enfin, je me permets d'ajouter la liste des cas soignés par le D1' Wetterstrand, 13 décem- bre
gnés par le D1' Wetterstrand, 13 décem- bre 1900. Description des cas soignés par le. Dl Wetterstrand, 13 décembre 19
Paul Faiez (Paris). En pathologie nerveuse ou mentale, de nombreux cas paraissent justiciables du traitement moral; ce-
couchés,'dégrafTés ou complètement habillés. Suivant les doses, les cas pathologiques, la mentalité du malade la techni
spéciales impressionnent, en tant que suggestions appropriées à son cas , le malade qui les repoussait à l'état de veill
impulsifs, fous moraux, impuissants. Ils ont conscience de lent- cas pathologique ; ils le déplorent et voudraient bie
par Chardon et Raviart. (Sera publié dans le prochain numéro). Un cas de retard de la parole par malformation anatomiqu
mpléter cette étude, je voudrais vous entretenir aujour- d'hui d'un cas de retard de la parole par suite de malformation
nt une intervention chi- rurgicale. Donc, dans un certain nombre de cas , le chirurgien est appelé à aider le médecin.
es et explorer la force musculaire car, ptesque toujours, en pareil cas , il y a une inégalité des membres. 2 Rappelon
, personne ne le conteste, seulemement il est utile de dire que les cas où une opération quelle qu'elle soit puisse avoir
s suites les plus fréquentes de ces opérations. Mais, même dans les cas heu- reux, clnrurgicalement parlant, on s'aperç
de l'évolution des facultés intellectuelles. Il y a plus, dans les cas mêmes ou l'obstacle est apparemment péri- phéri
le. Je ne m'étendrai pas sur la symptomatologie qui caractérise ces cas , mais tous deux ont cela de commun qu'ils sont pr
ent ne pas être dépourvus d'une certaine intelligence et le premier cas que je vous fais passer en est un exemple. En eff
disait M. Bourneville, il y a un moment : il faut traiter tous les cas après les avoir exa- minés d'une manière approf
très rare, si même cela existe. Il s'agit ordinai- rement, dans les cas d'hystérie dite morphinique, d'un état hysté- r
les trou- bles hystériques se montrent. Elle est, dans ce dernier, cas , assez passagère et disparait très rapidement a
ocale des processus de réparation et de guérison que se rapporte le cas suivant : Résumé de l'observation : X..., célib
ations étroites avec la thyroïde, parait aussi insuffisante dans le cas actuel ; la malade est à peine réglée ; elle a
en outre les altérations de la pituitaire rencontrées dans quelques cas d'infantilisme, on peut se demander si certaines
oiygiandutaire. En tout état de cause il y a lieu de rechercher les cas où, comme dans l'exemple précè- dent, des sympt
e intégrante de la symn- tomatologie du spasme; seulement, dans les cas de Bernhardt, de Newmarkt et de H. Frenkel, les
ions organiques, et le spasme facial- est de ce nom- bre. En pareil cas , les symptômes qui appartiennent en propre à la
ns sa main la plante du pied de l'Enfant, et dans la plupart de ces cas , l'extension du gros orteil est très nettement
. Novembre 1903. ? 95. ARCHIVES DE NEUROLOGIE THÉRAPEUTIQUE. Un cas de guérison complète de cécité (/teMna;MOpS ! e)
tliologue, et tous les deux tombèrent d'accord qu'ils avaient en ce cas affaire à l'acronaegalie et que l'affaiblissement
plusieurs spécialistes, entre autres le docteur J.-ll. llene. Le UN CAS DE GUERISON COMPLETE DE CECITE. 387 docteur J.-
parents de l'oeit. Les autres mem- bres du consilium admirent en ce cas l'acromegalie et comme dans cette forme du déra
normal, les réflexes rotuliens sont très affaiblis, presque com- UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 389 plètement a
on presque neutrale et est un peu trouble. 11 y a Fin. 21>. UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 391 des jours,
saillant, on ne voit pas non plus de déviation de la co- 2 î. UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 393 lonue verté
ngue durée. En outre, le malade après sa chute devint apa- pli UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 395 thique, les
cervelet et sur la moelle épinière. Par conséquent Fin. -16. ' UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 397 nous avons
erveau, je conseillai à mon patient, comme je le fais dans tous les cas analogues, de même que dans les cas de pression
comme je le fais dans tous les cas analogues, de même que dans les cas de pression d'un méningite exudativesurles mote
rielle com- me nuisible à l'organisme. On cite ordinairement divers cas de stomatite et d'autres faits pareils, malgré
slsyphililica en particulier. Notes cliniques de la Fin. 30. - UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 399 Enfin, les
ns étaient faites par un aide-chirurgien expérimenté. Fin. 32. UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 401 De temps en
favorable. Tout proche de l'infirmerie, ce qui est dans tous les cas un avantage, il est orienté d'une façon fort sati
m- bres d'isolement spécialement aménagées.de façon à recevoir le cas échéant nos tuberculeux agités. Enfin, chemin fai
ement incohé- rent, etc. La catatonie n'arrive, en somme, dans ce cas , qu'un cer- tain temps après le retour des trou
e grave que nous avons signalée. Nous trouvons, en somme, dans ce cas : 1° les causes ha- bituelles de la mélancolie
la [-hase ultime de la psychose dégénérative, il est cependant des cas où la démence n'apparaît que très tardivement e
signer cette variété d'aliénation mentale par dégéné- rescence. Ces cas ne sont peut-être pas aussi rares qu'on le croi
e celles-ci progressaient ne se modifiant pas au contraire dans les cas où la paralysie géné- rale n'avait fait aucun p
hie 422 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. papillaire se produire dans deux cas alors que les malades avaient à peine atteint l
le était atteinte chez quatre autres, la gauche seule dans un autre cas ; Enfin six malades seulement avaient leur fond
pille présen- tant de l'atrophie blanche. Nous avons pu dans cinq cas pratiquer l'examen histologique, et, comme il s
cellules ganglion- naires diversement lésées disparaissent dans les cas les plus avan- cés. REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
M3 Contribution à la connaissance de l'organe de l'odorat dans un cas d hemicéphalie chez 1 homme, par L. de Mouiult (N
rosé ou violet. On peut encore fixer au platine (l't CI,.) : en ce cas on évite le fond rougeàtrc. Inclure dans le bau
matique M. Strauss a noté 13 millimètres de Hg., taudis que dans un cas de dilatation du coeur, d'origine traumatique, sa
stater matériellement l'exis- tence de points douloureux. Dans cinq cas de névrose traumatique la pression sanguine a m
ozuyotro- phique, à l'hémiah opine faciale progressive, à nombre de cas de paralysie spinale spasmodiquc, à la myélite
ructure ou prédisposition anomale et pourquoi elle porte suivant le cas sur tel ou tel 430 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
reste d'autres appareils éphémères, si l'on en juge d'après maints cas de sclérose de l'oreille moyenne, d'emphysème p
s, le réflexe cornéo-maudibulaire appa- rait net dans la moitié des cas , et simplement esquissé chez la plupart des aut
rsiste quelquefois alors que le réflexe cornéen a disparu, dans les cas de coma consécutif aux métastases carcinomateus
lissement syphilitique de la protubérance, à l'épilepsie : dans ces cas -là le réflexe en ques- tion était le seul que l
on frappe sur le point d'émer- gence du faciale paralysé, dans les cas d'hyperexcitabitité s'entend. Cest bien là du r
rbite. Comme cette réaction pupil- laire a pu être engendrée en des cas où les autres réactions des pupilles étaient ét
rpoudaut au l'oyei ; ce faisceau a encore été trouvé dégénéré en un cas d'hémorrhagie du plancher du quatrième ventricu
t à la moelle en dehors des grosses olives. Ce faisceau n'a en tout cas pas de relation avec le faisceau pyra- midal, c
paux de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 43J ces cas peuvent se résumer ainsi : le, cas : homme attein
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 43J ces cas peuvent se résumer ainsi : le, cas : homme atteint de manie, cicité, réflexe» pupi
laires abolis, réflexe du genou aboli, pas d'ata- xie, syphilis. 2e cas : homme de 39 ans, démena cécité, réflexes pupi
abolis, pas d'ataxie, réflexe du genou bien conservé ; syphilis. 31 cas : homme de 33 ans, dément, réflexes pupillaires
ions normales, réflexe du genou conservé, syphilis. Dans le premier cas , le seul où le diagnostic ait été vérifié à l'a
rieurs, où les lésions toutefois étaient moins accentuées. Dans les cas sans autop- sie, les symptômes ont été tellemen
sie, les symptômes ont été tellement semblables à ceux du premier cas qu'on peut logiquement les attribuer à une cause
ne cause identique, et si l'on remarque que dans les trois premiers cas , l'existence de la syphilis était avérée, et qu
itement asti- syphilitique.. - R. de Mosghave-Clay. XXXVIII. Deux cas de lipome du cerveau; par Adèle de Steicer (The
rs travaux sur cette question est celui de Nonne, qui, sur dix-sept cas d'anémie pernicieuse, a noté dix REVUE D'ANATOM
fois un état de dégénérescence de la moelle, sur lequel dans deux cas seulement, les symptômes observés pendant la vie
par l'état général grave sur lequel ils se greffent. Dans d'autres cas , reconnus de bonne heure,, ils donnent lieu à d
? , 442 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XL. Un cas de tumeur des lobes frontaux du cerveau, dans leq
ur trai- tement. Il insiste surtout sur ce double fait que, dans un cas de neurasthénie confirmée, on n'arrive à rien s
La première partie de ce travail basée sur l'étude clinique de 10 cas de démence précoce juvénile a déjà été analysée d
se sent observé, ou quand on l'invite à exécuter un acte. Dans les cas les moins accusés, il tente, sans y pleinement
nte, sans y pleinement réussir, de satisfaire le médecin ; dans les cas prononcés, cette invitation suffit à engendrer
de la mutinerie. Celle-ci est naturellement admissible en bien des cas . Mais l'impossibilité mentale d'exécuter un mouve
st rien. P. Keraval. 4t6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. V. Quelques cas de folie pellagreuse, par John WARNOCK. (TAc ./
genou est ordinairement exagéré, bien qu'il ait fait défaut dans 45 cas . La perte de l'usage des membres infé- rieurs e
ations détaillées et intéressantes. H. de llossaavr,-Cr.r. VI. Un cas d'hallucinations unilatérales, et surtout musical
'auteur a publié dans le Journal of Mental Science d'avril 1901. Le cas est celui d'un homme de soixante-seize ans, san
. saurait être pris dans le sens absolu : « car s'il s'applique aux cas , qui, réellement, ne comportent pasde « remède,
que curative, nous permetd'opérerdes semblants de miracles dans les cas de paralysies et de contractures hysté- riques.
en altérant le caractère systémati- que ? Nous avons pensé qu'un cas , dont l'observation clinique avait pu être répé
des suggestions involontaires, des questions posées. Dans certains cas même, comme par exemple l'étude des hallu- ciné
si le frémissement de ses lèvres ne venait le trahir. Dans certains cas même tout phénomène extérieur cesse mais on est
s. Le monologue seulement nocturne est très rare; il est, en tout cas , beaucoup plus difficile à observer. Au contraire
u de son langage, idéor- rhée, assounances, etc. Mais dans bien des cas , la pensée du malade paraît passer d'une idée à
le monologue n'est en fait qu'une résultante et si l'on étudie les cas particuliers on voit qu'il peut se rattacher im
s, je les garde, je le ? tiens. Voleurs, assassins. » Dans d'autres cas , c'est un état émotionnel intense qui provoque
gale.If y a des trous pour le prince, de Galles, » Dans certains cas le malade monologue pour répondre à des halluci
invec- tive ses ennemis avec la plus grande véhémence. fel est le cas de S..., persécuté mégalomane, très halluciné et
l'oreille : a Ah ! il ne peut pas ; je suis consigné. » Dans les cas précédents il s'agit d'hallucinations senso- ri
ns verbales motrices et surtout impulsions verbales. 4 Tel est le cas de L..., tabétique délirant avec idées de persécu
. Cela les empêche de le faire chanter. On peut rapprocher de ces cas ceux des monologues à forme dialoguée dans lesq
ec des faits de dissocia- tion de la personnalité ; mais il est des cas encore plus caractérisés dans lesquels il se pr
dit constamment après ses crises : « m... ? cochon ». Dans d'autres cas le monologue remplace l'accès épileptique. C'es
onologue remplace l'accès épileptique. C'est un équivalent. Dans ce cas le discours peut être plus prolongé. « Catherin
s atteints de confusion mentale se mettent aussi à monologuer ; ces cas sont rares mais méritent d'être signalés. Leur
... des robes... sur le banc. » Très souvent, et c'est peut-être le cas le plus fréquent, le monologue a son point de d
plus ou moins prononcé des facultés intellec- tuelles. Tel est le cas de T..., dément paranoïde qui ne cesse de se livr
a appelé le lcazgcge ·é/lexe (B,obertson). On sait qu'en ce dernier cas , le malade parle, émet des idées généralement t
il n'y a rien. Le malade n'a pas pensé, n'a rien élaboré. C'est le cas de ces personnes qni, vous abordant, disent : «
dées figureraient encore les mono- logues par éclaolalie. Dans ce cas les malades ne répètent, que les mots entendus.
ntérieure de leur vie délirante. Il arrive souvent et c'est même le cas le plus fréquent que ces différentes conditions
aux autres et des façons les plus diverses. Tel est par exemple le cas de F..., malade en état de démence alcoolique a
que ces mots : « Ah, mon Dieu ! 1 Ah, mon Dieu ! » D'ailleurs, le cas suivant réunit cette évolution : G..., mélancol
e au langage elliptique ou à l'incohérence vraie. Dans le premier cas , il est plutôt en rapport avec une forme aiguë (e
itation maniaque, par exemple) et souvent curable. Dans le second cas , il est en rapport avec la démence et dénote l'iu
souvent le monologue est à la fois diurne et noc- turne et dans ce cas il est le plus souvent la manifestation d'un ét
atérales de l'oreille avec les hallucinations de l'ouïe ; (Sur un cas de guérison simultanée d'otite externe unilaté-
ouchon de cérumen les abolit définitivement, dès le même soir. Ce cas est analogue à celui qui fut publié par M. Mabill
cérumen. Dans cette observation les hallucinations étaient Mabille. Cas de guérison d'hallucinations iiiiilcttéî-ales cle
correspondant. Il donne une direction psychologique, comme dans le cas où il se trouve déterminé 1 1 ? iall. Considéra
héorie me semble .corroborée par le fait suivant noté dans certains cas et en particulier dans une observation de M. Jo
voir sur lui aucune influence causale. Nombreux assurément sont les cas négatifs où des individus porteurs de lésions d
lan de discuter ici cette opinion que je crois fondée dans certains cas . Voir P. Sérieux et J C ppra. Les Psychoses à b
ige pas plus qu'elle ne provoque l'hallucination. il est d'autres cas où le cerveau, encore qu'il soit en imminence h
'elles ont cessé lorsque l'excitation a pris fin ? - ? Mais dans ce cas l'action de la lésion j'y reviendrai bientôt -
ne observation de Pick, citée par M. Séglas comme contradictoire du cas de M. Mabille. « Pick a rapporté « le cas d'une
comme contradictoire du cas de M. Mabille. « Pick a rapporté « le cas d'une aliénée chronique sourde de l'oreille gauch
pui de l'opinion queje soutiens et se concilie sans peine avec le cas de M. Mabille. Notons immédiatement que la malade
sans doute indépendant de la lésion. C'est laisser entendre que ce cas ne me semble pas superposable au cas de il. Mab
C'est laisser entendre que ce cas ne me semble pas superposable au cas de il. Mabille ; ils représentent deux variétés
'idées. » On ne saurait mieux dire, mais faut-il eu déduire que les cas de guérison simul- tanée de lésions périphériqu
être, Iesllallucinations tantôtdeviennent bilatérales comme dans le cas de Pick, tantôt disparaissent comme dans la plu
dans le cas de Pick, tantôt disparaissent comme dans la plupart des cas ? 2 La solution de cette question capitale devi
ralilé con- sécutive de l'hallucination. Au contraire dans tous les cas analogues au nôtre, si l'on admet le dualisme f
ance et démontrer qu'il peut exister, du moins dans la majorité des cas , entre les deux phénomènes une relatiou de caus
soriel seul, sans intervention de l'élément intellectuel. Dans ce cas . malgré l'unilatéralité de la lésion, l'hallucina
avec la guérison de Lr lésion : l'hallucination devient bilatérale ( cas de Pick cité par Séglas). 5° Enfin la lésion
l'hallucination sont alors parallèles et leur guérison simultanée ( cas de Mabille et majorité des cas d'hallucinations
allèles et leur guérison simultanée (cas de Mabille et majorité des cas d'hallucinations unilatérales). REVUE DE PATHOL
lie Jozi,iifilofJle)ilalSt;iei2ce. Juillet 1902). Ce qui donne à ce cas un certain intérêt c'est l'association des phén
d'origine auto-toxique. (Revue zacurolo- mars 1901 ) E. Blin. Un cas de torticolis mental; par le D' Séglas. Sous le
urologique, février 1901.) E. B. XXXIII. Le syndrome de Briquet (un cas de paralysie diaphrag- matique d'origine hystér
montré que des lésions d'appa- rition rullv s'accompaenent, lan, le cas de section complète de la moelle, d'une paraplé
ogique, février 1902.) E. BLIN. XXXV. Paraplégie flaccide dans un cas de pachyméningite cervi- cale; par \lnl. lBuSS.
iulellec- tuel, la paralysie générale était extrêmement rare (deux cas sur 190 malade-,). Aujourd'hui que les moyens
par ailleurs, la paraly- sie générale reste aussi peu fréquente (4 cas sur 25K malades, dont 3 ayant vécu longtemps ho
ttente. Il cite des chiffres à l'appui de cetle manière de voir (40 cas ), et il exprime l'espoir que ce mode de traitem
aladie organique desquels s'ajoutent quelques troubles mentaux, des cas bizarres qui ne rentrent dans aucune catégorie
néraux il y a le plus souvent des chambres latérales, destinées aux cas spé- ciaux, méningite, apoplexie, etc,. Rien ne
chambres, habituellement ouvertes, pourraient être fermés dans ces cas spéciaux, (malades à idées de suicide, moribonds,
t ordinairement le service d'infirmière de nuit, mais remplaçant en cas de maladie ou de congé la surveillante en chef
nombre des salles, un infirmier et deux infirmières de réserve. En cas d'extrême urgence on détache au service de nuit
ou doivent être l'objet d'une mention spéciale, (morts, accidents, cas spéciaux, matelas mouillés, visites du personne
que l'on puisse compter sur elle pour agir avec sagesse dans les cas imprévus : il s'ensuit qu'il faut la rémunérer li
tous ceux qui ont loyalement tenté l'expérience savent combien ces cas là sont exceptionnels. L'auteur est d'avis que le
'utile. L'auteur ne se propose pas ici de toucher au traitement des cas bruyants on agités ni aux soins qu'ils nécessit
tés ni aux soins qu'ils nécessitent pendant la nuit : chacun de ces cas d'ailleurs demande à être observé et manié suiv
autres, ceux qui ont des idées de suicide, les épileptiques, et les cas graves d'intoxica- tion alcoolique. Depuis que
, le maillot hu- mide et les bains chauds prolongés. Ce n'est qu'en cas de paroxys- mes violents, dangereux pour le mal
onnel qu'on prescrit les narcotiques. S'il est nécessaire dans un cas chirurgical, d'empêcher le malade de se lever,
M. G. Ballet. Paralysie générale sénile. M. Toulouse rapporte un cas de paralysie générale chez une femme âgée de so
. Délire hallucinatoire chez un Lrigtique. M. ViGounoux expose le cas d'un artério-scféreuxatbuminurique ayant un dél
antes. ' . M. G. Ballet' fait ressortir que le principal intérêt du cas pré- senteparM"°Gery réside dans la coexistence
ur séméiologique du clo- nus du pied n'est donc pas infirmée par ce cas . ' La main bote dans la maladie de Friedreich.
ité à haute fréquence ont amené une certaine améliora- tion. Deux cas de myélite aiguë au cours d'un carcinome secondai
'au-dessus de l'ombilic. L'examen anatomique a montré dans les deux cas une myélite aiguë transverse de la région dorsa
gion dorsale inférieure et des lésions cancéreuses. Dans le premier cas , elles consistaient en : carcinome de l'esto- m
la 10e racine dor- sale postérieure droite. Dans l'un et l'autre cas , l'évolution clinique se divise en trois actes
ssant de rechercher l'époque d'apparition de ce symp- tôme dans les cas de tabes supérieur. Faits en désaccord avec la
tionnement des organes nerveux. M. DURANTP présente les pièces d'un cas de section des nerfs de l'avaut-bras dans leque
normal, qu'il soit diminué ou qu'il soit augmenté, car les trois cas se présentent. Sa sclérose est la lésion habituel
fut guéri à la fois de ses tics et de sa phobie labiale. En pareil cas , la meilleure psychothérapie consiste dire la v
s contractions musculaires. Aussi a-t-on essayé d'appli- quer a ces cas la méthode des exercices eurythmiques et de favor
égénéralion rétrograde cor- respondant à différents muscles dans le cas d'amputation, d'atro- phie, etc., et établir, p
r Gourjon, 86. des enfants idiots, 93. Asthénie bulbo-simnale. Un cas d' . Syndrome d'Krb-Goidfiatn, par ' llawnonr
it Muscles. TABLE DES MATIÈRES. 517 AtIt01'III6 %IUSCI,1,41RE. Un cas Il' - processive et un cas de parante pseudo-
RES. 517 AtIt01'III6 %IUSCI,1,41RE. Un cas Il' - processive et un cas de parante pseudo-hypertrophlyne chez de ,1,(
le tem- pérameut nrurops3chopatliiyue, par Sharp,4t3. Cancer Un cas de - cérébelleux, par Raymoiid, 170. Castrati
ou amaurose hystérique totale ou bilatérale, par 1(erneis, 284. Un cas de guérison complète de -, par Tchines. 385.
-, par Sicard, 165. Cerveau. Voii Localisalion-, voir Haie. Deux cas de lipome dit par de Steiger, 4'i0. Cuwcor In
t Lrlglmsme, par Virouioux et 1, 1, 137, - Voir Obsession Stii un cas de - de médiumnité, par liallet et Dheur, 277
alions sur la - maniaque dé- pressive, par Thomsen, 351. Quelques cas de - pellagreuse, par Warnock, 416. fONl : l1
6ltanofT, Sa. - Voir Imprégnation à l'argent. Hallucinations. Un cas d' - unila- térales, et surtout musicales de
steiner, 432. IIÉ611CÉPH1LIE. Voir Odorat. IIÉAIICawI05E. Deux cas d' -, par lirissauri et Lereboullet, 75. Hémi
ia ! ocah- sattoii des fonctions mentales, par Mao-Donald, 63. Un cas de tumeur des fiontaux du caveau dans lequel
drich, par et Sicai(1, 5 ? 6. Miladii : neneuse familiale. Deux cas de - intermédiaire entre l'héréilo-ataaie céréb
l'oxide de carbone, teimiuee pat la guérison. par Pausln, 61 Deux cas de- aiguë au cour-, d'un carcinome secondane de
La - trltaclale et son trancment, par Barbier, 152. hHiTns Tries cas de radiales, par tiabin.l.l, 178. Voir lpl)i,
at. Contribution à la connais- sance (le l'organe de l' - dans un cas Cl'ilemic'1)111lie Liiez l'homme, par Mourait,
u'ag- matique. Voir Syndrome hYS16"- 1'l.qlie. - flacctde dans un cas de pachyméningite cervicale . par Brissaud et
PUÉRILISME mental, par Dupré, 349. Rachitisme congénital. Sur un cas (le avec nanisme, chez un enfant arriéré, par
es expérimentaux, par La;;nel-t.avxaUue, 331. Le - de Briquet (un cas de paralysie (1 i«tpllr,.g triai] il [le d'orig
h-ii et néptvssion mélanco- Ilyne. Délire cuculdur Iruate Jdn. un cas - héréditaire, pai lidymout rtJaU. 355. Smu :
355. Smu : ,covrELn : . \éumimrs int-aine- duli.tire. dans (letix cas (le - aveu t,cetileiites. par Bis- lioil, wei
is. Des mouvements atticiosicliies dans le , par But- net, 72. Un cas de - ayant débu- té cinquante ans après l'infec
t l'eindrl, 69. Les - du cheval, par Étudier et Cllau- mel, 77 Un cas de mal nlle des-, guérison, par Bourneviile t l
r avec la neurasthénie, par Coggethal, 419. Tunmun cérébrale Un cas de -, par Cuylitz. 66. -Voit- Lobes frontaux
51 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
he Real Encyclopédie, « Artikel Zeinge ». Mais cet auteur, dans les cas observés par lui, avait noté l'existence à la b
e bord gauche de la langue, en se rapprochant de la base; dans deux cas ces sensations n'étaient pas seulement localisé
muqueuse ni ulcération, ni tuméfaction, ni épaississement. Dans un cas seulement, la muqueuse de la langue offrait un
entiste de son pays; celui-ci, instruit paraît-il, et dans tous les cas se rendant un compte exact de l'état mental de so
t et prit le caractère d'une obsession. La prothèse n'était dans ce cas que d'un faible secours, parce que les dents ar
te malade guérira-t-elle ? Il est permis d'en douter. Dans tous les cas , ou ne pourra intervenir uti- lement qu'après l
ement dans cette catégorie 'de malades qu'il faut faire rentrer ces cas de manie con- sécutive à des inhalations d'éthe
ntoxication et du choc opératoire, restant à fixer. On a publié des cas de guérison d'hystéro-épilepsie par l'extractio
solue, posée à la perfecti- bilité du cerveau humain. Dans les deux cas , la conscience finirait sans aucun doute par ab
vraisemblable sous cette forme d'hypo- thèse scientifique. En tout cas , cela repose de cet opti- misme béat, vulgaire
s zones « sensitivo-idéatives » aux centres moteurs corticaux : les cas de tics convulsifs, sur lesquels Charcot et ses
ma- lades. Bianchi a d'abord trouvé que, dans les deux tiers des cas , les mains participent au tremblement de la fac
x sur les hallucinations verbales (motrices', Tamburini rapporte un cas tout à fait pur du même genre, caractérisé par
le. Au lieu d'être situé dans le lobe occipital, comme ce serait le cas dans une hallu- cination de cette nature, le si
tre cortical, une émission de mots pourra se produire : ce sera un cas d'impulsion incoercible, qui constitue pour Tam
ent un afflux plus considérable du sang dans cet organe ? En tout cas , les observations et les expériences de Masso d
int les qualités fonctionnelles propres. Il faudrait réduire, en ce cas , de 9/10, tout au moins, la quantité de substan
astasie-abasie. J. Grasset lui consacra ensuite trois leçons « D'un cas d'hystérie mâle avec astasie-abasie** , Berthet
zette hebdomadaire, 30 novembre 1888. ° J. Grasset. - Lecons sur un cas d'hystérie mâle avec astasze-abasie. Montpellie
astasze-abasie. Montpellier méd., mars 1889. · Berthet. - Sur un cas d'astasie et d'abasic. (Lyon méd., juillet .188
cale, 1889. - SUR l'astasie-abasie. 61 de ses leçons en 1884 à un cas < d'Abasie forme trépidante à la suite d'une
même la littérature s'est encore augmentée. Fr. Helfer a étudié un cas d'astasie-abasie, survenant après l'influenza2.
as d'astasie-abasie, survenant après l'influenza2. Ladame décrit un cas de cette affection sous forme d'accès3 et le pr
son travail ' : « Le début est assez brusque, dans la plu- part des cas ; à la suite d'une émotion vive ou d'un léger trau
que le lendemain. Dans ses observations, Souza Leirte parle de cinq cas du même genre, une petite épidémie d'astacie-ab
onnels, on note un surme- nage intellectuel. - Ladame a publié un cas de malaise, se produisant chez un homme de 30 a
but brusque cinq fois (1 ? 2e, 4e, 8e et 9° obs.) ; pour les autres cas , l'affection se produit moins vite, et quatre c
; pour les autres cas, l'affection se produit moins vite, et quatre cas même lentement. En tenant compte de ces remarqu
s fussent plutôt jeunes; toutefois, nous connaissons du moins trois cas se rapportant à des personnes âgées. L'un est l
es personnes âgées. L'un est l'observation XI de Blocq 1, puis deux cas de vieillards, dont l'un a été vu par M. Charco
uis deux cas de vieillards, dont l'un a été vu par M. Charcot et un cas du professeur Binswanger. De plus, cinq à six c
M. Charcot et un cas du professeur Binswanger. De plus, cinq à six cas se sont pré- sentés à la Salpêtrière, au cours
sième malade). Nous pouvons donc conclure, que dans la majorité des cas , l'hérédité nerveuse a été constatée chez des s
rps en excitant l'écorce à travers la dure-mère, le premier dans un cas .d'ulcéra- tion cancéreuse, le second, dans un
premier dans un cas .d'ulcéra- tion cancéreuse, le second, dans un cas de trépanation. Mais leurs résultats, quoique s
qu'ils désiraient enlever pour guérir l'épilepsie focale. Un de ces cas a été observé par Ilorsley et plusieurs autres on
isations cérébrales et ses conséquences pratiques 3. Dans un de ces cas , la moitié inférieure des deux circonvolutions
ment celui noté au commencement de ses attaques. » Dans un second cas publié par Keen a « en touchant l'écorce avec l
correspondent avec différents centres déjà définis. Dans un autre cas de Lloyd et Deaver 2, on mit à nu une région de
ne contraction des muscles de la face du côté opposé. Dans quatre cas de Nancréde , on obtint des mouvements du pouce
e, est représenté dans tout le centre du bras, ou bien que c'est un cas de diffusion de l'excitant. Il est difficile de
bles par l'excitation de différentes régions corticales en certains cas , m'ont conduit à croire que ces mouvements peuven
de latente est plus longue de quelques centièmes de seconde dans le cas d'excitation du lobe occipital que dans le cas d'
s de seconde dans le cas d'excitation du lobe occipital que dans le cas d'excita- tion du centre frontal de l'oculo-mot
ntre frontal de l'oculo-moteur ; indiquantainsi que dans le premier cas , l'impulsion nerveuse doit être transmise à trave
se à travers au moins un centre nerveux de plus que dans le dernier cas . Ceci concorde avec l'hypothèse que dans un cas
que dans le dernier cas. Ceci concorde avec l'hypothèse que dans un cas les mouvements étaient réflexes et dans l'autre
e est incomplète, unie ou bilatérale, l'hémiopie résultante dans un cas , ne dure pas, ni la cécité permanente dans l'autr
ion empiétait sur la scissure occipito-pariétale. Dans ces derniers cas , il m'avait semblé que les défauts de la vision o
» Malgré la destruction étendue des deux lobes occipitaux dans ce cas , l'animal, un peu plus de deux heures après l'opé
uve évidente de la conservation de sa vision précise. Dans un autre cas où les lobes occipitaux furent enlevés par une
immédiatement postérieure à la scissure occipito-paiiétale. Dans ce cas , le pansement ayant été arraché, la plaie devint
cissure panéto-occipitale et la région du pli courbe, et dans aucun cas , on n'a eu ni hémiopie ni cécité complète perma
que les troubles hémiopiques sont transitoires, tandis que dans le cas cité plus haut, il parait y avoir eu une extirpat
parfaite qui reste après l'ablation des deux lobes occipitaux (voir cas 25 et et 26) fait penser que le centre en rappo
ucune autre por- tion du lube occipital. J'at moi-même rapporté des cas l où on note de l'hémiopie temporaire il la sui
courbes produit une amblyopie croisée temporaire. Il rapporte deux cas de lésions successives des plis courbes. Dans u
que, dont la pathologie est obscure mais on l'a aussi noté dans des cas de maladie organique, - Ordinairement avec la c
tion du champ visuel du même côté. - J'ai moi-même relaté plusieurs cas semblables' 1 etGuwers 2 en a vu aussi; Sbarkey
s cas semblables' 1 etGuwers 2 en a vu aussi; Sbarkey a a publié un cas semblable très bien observé. L'autopsie a montr
jeter des rayons lumineux eutiérement sur le' côté aveugle. Dans un cas , récemment dans mon service, au Kinr Collège Il
en faisant des lésions du lobe temporal. Le résultat dans les deux cas fut une hémiopie du côté opposé. Dans les deux ca
at dans les deux cas fut une hémiopie du côté opposé. Dans les deux cas le tractus optique gauche fut divisé et dans le
tait projetée sur la moitié droite. Chez le singe et dans plusieurs cas chez l'homme d'hémiopie dépendant des lé- sions
amblyopie croisée par lésion du pli courbe chez le singe, comme les cas semblables chez l'homme, je ferai allusion à l'
nutrition de l'oeil. Cette hypothèse demanderait que dans tous les cas d'amblyopie par lésion cérébrale il y ait intégri
la sensibilité du globe de l'oeil. Mais ce n'est certainement pas le cas ; car, quoique l'amblyopie hystérique est aussi
n n'est nullement atteinte. Comme preuve je m'en rapporterai à deux cas (cas I et cas III) cités par Hutchinson dans le
st nullement atteinte. Comme preuve je m'en rapporterai à deux cas ( cas I et cas III) cités par Hutchinson dans les Oph
ent atteinte. Comme preuve je m'en rapporterai à deux cas (cas I et cas III) cités par Hutchinson dans les Ophthalmic I
supérieures ou inférieures du champ visuel. Cependant, ce sont des cas d'hémiopie très incom- plète et peu durable com
t des cas d'hémiopie très incom- plète et peu durable comme dans le cas que je vous montre dans lequel on peut voir un
entres eux-mêmes. C'était sans aucun doute là la pathologie dans le cas auquel j'ai fait allusion tout à l'heure, car ce
t quelque trouble de la parole. Il est douteux qu'on ait publié des cas strictement de lésions corticales du lobe occip
directe ou indirecte des radiations optiques. Dans la plupart des cas d'hémiopie qui ont été examinés après la mort, da
on, mon ami et élève le Urlvvens a réuni et analysé la majorité des cas sinon tous d'hémiopie avec autopsies, avec lési
qu'elles n'ont pas certainement compris d'autres régions. De ces 41 cas d'hémiopie, 13 étaient dus à des lésions de la
me lésions du lobe occipital seul. De ces 15 il n'y en avait que 2 ( cas de Hun1 et de Doyne 2) dans lesquels il n'y avait
une autre lésion atteignant le thalamus optique; et dans un de ces cas , celui de Doyne, le siège de la lésion n'est pa
ge de la lésion n'est pas décrit avec grand soin. Dans les autres cas , les lésions étaient diffuses, 6 des lésions de
s et pariétales ensemble, le pli courbe étant atteint dans tous ces cas . Par suite de la fréquence relative avec laquel
s, des radiations optiques de la région temporo-occlpitale. Dans le cas de Sé¡ ! l1Ïn', qu'il cite à l'appui de son hypot
ale et une partie du gyrus de l'hypo- campe ? On a aussi publié des cas où des lésions non seulement unilatérales mais
ble visuel d'aucune sorte. - ' Amer. Jourt. Med. Science) : , 1887, cas I. ' Ophthal. Soc. Nov. z, 1889. ' '-Tite jou
1887, p. 213. , Op. cit. ' Depuis la rédaction de cette leçon, un cas a été publié par Dulepine (Tians. Patle. Soc. L
e droite était associée à un ramollissement du coin gauche. Dans ce cas , cepen- dant. il y avait une lésion artérielle
iques ou à des éclairs suivis d'amblyopie temporaire, comme dans le cas de Hughes Cbennette 1, pendant que des lésions
de trouble notable des sensations visuelles, quoique dans quelques cas où la lésion de la région oc- cipito-angulaire
la plus grande partie de la cir- convolution occipitale moyenne. Ce cas est donc trop complexe pour peimettre des concl
r à la destruction générale de cette lésion iconoclastique. Dans un cas c'est celle du plat dans lequel l'ani- mal a ét
vi- sion centrale est celle qui est la moins affectée dans tous les cas que la lésion du centre.visuel, soit uni ou bi-
actéristique de la methemoglobine. On observe ce même fait dans les cas d'intoxication par l'aniline. Les glo- bules sa
e bons effets de l'acéta- nilide dans la fièvre typhoïde et dans un cas de fièvre palu- déenne grave. Son action doit ê
e fièvre, elle ne détermine pas de refroidissement et dans certains cas elle suspend la douleur et amène le sommeil. El
cen- tigrammes. Le même auteur l'a employée avec succès dans deux cas de névralgies, et dans un cas de sclérose en plaq
ur l'a employée avec succès dans deux cas de névralgies, et dans un cas de sclérose en plaques, elle a diminué le tremb
ugmenté la force du malade. Tiller a essayé l'antifébrine dans neuf cas d'épilepsie à la dose de 0 gr. 75 centigrammes
t est bien toléré, mais son action ne parait favorable que dans les cas où les accès sont peu nombreux et encore est- e
ion) : ils entrent dans leur troisième catégorie. P. K. Il. Trois cas DE paralysie PROGRESSIVE avec lésion en FOYER dan
des années plus tard, atteints : de paroxysmes convulsifs ; en tout cas , il n'en guéritque très peu. Le traumatisme crâni
ent d'ailleurs nullement la justesse de son opinion. P. K. XI. Un cas d'hydrocéphalie d'un volume INSOLITE; par F. Tucz
utieux de dix-sept paralytiques généraux. Conclusion. Dans bien des cas , la paralysie générale modifie l'excitabilité gal
modification n'a de valeur diagnostique que dans un petit nombre de cas . P. K. XIV. La connaissance ET la PERTE DE conn
rte de connaissance, hallucinations, couvulsions. P. K. XVIII. Deux cas DE simulation DE TROUBLE mental; par DE Krafft
nt secondaires, la formation pathologique des idées suivant dans ce cas la même marche que le processus physio- logique
t pu débuter par les centres supérieurs de la mentalité. Certains cas d'ataxie locomotrice, dans lesquels la relation d
délusions. Il n'y a rien d'illogique, a supposer que dans d'autres cas , où le rapport de causalité est à la vérité moi
e promoteur ou le patient du milieu de 1865 à 1888. P. K. XXI. UN cas DE paralysie alcoolique avec lésion centrale; p
s confrères sera entendu. - R. M. C. XXIV. Folie chronique : quatre cas DE guérison; parS.-A.-K. STR\- han. (The Journa
-K. STR\- han. (The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Les cas où la folie chronique se termine par la guérison
'auteur a pensé qu'il y aurait quelque intérêt à publier les quatre cas qu'il a observés. Dans trois de ces cas la guér
ntérêt à publier les quatre cas qu'il a observés. Dans trois de ces cas la guérison s'est produite à la suite d'un tran
dans 122 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. la littérature médicale les cas analogues qui ont été publiés, l'au- teur a été
ues qui ont été publiés, l'au- teur a été très frappé que dans deux cas rapportés par le Dr Franci (The journal of Ment
oujours sans utilité comme moyen de traiter ment 1, - Dans un autre cas , c'est un autre agent perturbateur, (la ménopau
VAGE. (The Journal of Mental Science. Juillet 1888.) Il s'agit d'un cas d'autant plus intéressant qu'on rencontre le pl
s les asiles des autres départements ne nous a fait connaître aucun cas de guérison. Bien au contraire, on nous a signa
portance de cette observation. \I. C R. M. C- XXVII. Un singulier cas DE SUICIDE; par W.-B. TATE. (The Journal of Men
ypodermiques) ou endort (voie gastrique). Il convient dans tous les cas de procéder par doses gra- duelles et de ne pas
avec le bromure, ou en l'asso- ciant à l'atropine; dans Ce dernier cas , on le donnera surtout quand l'épilepsie est fr
OCIÉTÉS SAVANTES. 133 M. BOEU\1LER (de Fribourg). Présentation d'un cas d'affection chronique de la moelle avec ataxie
é- 1 aux de la moitié droite de la moelle. Discussion. M. EnD. Ce cas constitue un excellent document contre la théor
à, le succès dû aux bains de sudation dans l'im- mense majorité des cas . M. Manz (de Fribourg) communique au Congrès l'
. L'examen isolé des extré- mités décèle que, dans la pluralité des cas , tout trouble du sens de la pression marche de
bres blanches émanées des deux premières temporales. Comme dans ces cas il y avait aussi des altérations secondaires da
e sa manière de voir sur la névrose traumatique. Il en a observé 24 cas à la clinique du professeur Erb. 11 les divise
Les troubles visuels ont été étudiés par Kast et Willerand dans 20 cas de maladie de Basedow. Aux symptômes déjà connu
t plus ou moins accentué du champ visuel. Il n'y avait pas dans les cas en question de stigmates de l'hystécie. De même q
a dé- mence paralytique persistante ; 4° de guérisons dans certains cas deparalysie générale àforme vésanique, guérison
et peuvent s'expliquer alors par de simples troubles circulatoires; cas où la paralysie générale ayant été plus ou moin
ion de 80 alienés sur la statistique de l'année 1888. Le nombre des cas de guérison a été en moyenne de 57,5 pour cent
circonscrit, à un nerf ou à une branche nerveuse. C'est un de ces cas que nous allons étudier ensemble et vous verrez
ien, pourvu qu'il ne se force pas à marcher, car, dans ce dernier cas , elle se fait de nouveau sentir avec une grande i
t d'une dépigmentation ; il constitue dans l'immense majorité des cas , sinon toujours, une manifestation dystrophique
pathiques ou deutéropathiques). Ce qu'il y a de particulier dans le cas actuel, c'est la parfaite limitation de l'ecchy
culière- ment remarquable. Mais il n'y a pas à en tirer, dans notre cas , une conclusion spéciale, moins quel'influence
nes morbides, il est bien rare qu'on ne constate pas, même dans les cas les plus frustes, certains signes, auxquels on
née, scléreuse, érythématheuse, vésiculeuse, ulcéreuse, suivant les cas . L'herpès zoster figure au nombre de ces dystro
forme d'une demi- ceinture complète ou incomplète, comme c'était le cas de notre malade. Sur le trajet des nerfs des me
sion apparente de la substance grise, dans le plus grand nombre des cas observés, justifiait cette hypothèse ; et il fa
lysie, si elle était d'origine exclusivement périphérique ? Dans le cas où le poison apporté par la circulation aurait ag
ial, pourquoi aurait-il épargné celles du long supinateur ? Dans le cas où il se serait fixé sur le tronc du nerf ou su
presque exclusivement motrice, du moins dans l'immense majorité des cas , il fallait d'abord et de toute nécessité, supp
érieures semblait assez caractéristique (quoique variable selon les cas ), pour expliquer une névrite secondaire, DES CE
se de Me Déjerine Klumpke parait absolument démonstrative. Mais les cas négatifs ne valent jamais les cas positifs, et,
olument démonstrative. Mais les cas négatifs ne valent jamais les cas positifs, et, si, comme l'enseignait depuis longt
localement sur les ramifications nerveuses, du moins dans tous les cas . Lorsqu'on se trouve en présence d'un Archives,
s les rameaux malades. Leudet, par exemple, signale, le premier, un cas de névrite alcoolique limitée aux seules branch
ti- tion symétrique des lésions périphériques ? Enfin, dans notre cas , la limitation des phénomènes moteurs, sensitifs
oins la plupartmention- nent quelques altérations spinales. Dans un cas d'OEttinger 1, la lésion vacuolaire des cellule
as sortir du domaine des myélopathies, laissez-moi vous signaler un cas , vulgaire s'il en fut, où ces modifications « d
circons- crites, et l'autopsie démontre, dans un certain nombre de cas , 180 1 CLINIQUE NERVEUSE. que les cellules de
les muscles correspondants sont atteints de la même façon. Dans ce cas , la section du grand nerf sciatique détermine u
histologique montre qu'il n'y a plus trace de myélite; et dans ces cas , souvent les nerfs périphériques en rapport ave
l est vrai, encore invisible, rudimentaire, mais suffisante en tout cas pour engendrer une névrite dégénérative. Cette
s vont aux nerfs de Lancisi. Il faut enfin noter que, dans quelques cas , les nerfs de Lancisi n'apparaissent pas au niv
ée; puis reprendre ensuite sa place sous cette dernière. Dans les cas où la susbtance grise est accolée à la face sup
ffet, quand on soulève la circonvolution crétée, on voit, dans ce cas , la lame réticulé se présenter sous forme de pe
n contact avec la bande grise du corps godronné, laquelle, dans ces cas , est fixée au corps calleux, comme je l'ai dit
s de TIEDEMANN relatives à des absences de nerfs olfactifs dans des cas de malformation du cerveau (cyclopes particuliè
t ne peuvent marcher normalement. De même que dans la plupart des cas de Blocq, des stigmates d'hystérie coexistent trè
observations est un nombre exagéré, car il n'accorde qu'à trois des cas de Blocq (obs. 3,4, 5) le droit d'entrer dans le
du désordre des mouvements, que la qualité des troubles, ramène les cas à trois types distincts, troubles occasionnés p
par la moelle est pré- pondérant, aussi conclut-il, à l'occasion du cas observé par lui, à une modification fonctionnel
mineraient clini- - quement le même ensemble symptomatique, dans un cas de lésion organique. Nous regrettons de ne pouv
ifiques de l'association ? En séparant de l'astasie-abasie tous les cas , comme nous le disions plus haut, où il existe
1 Charcot. Leçons du mardi, 89, 5 mars, p. 367. * L'autopsie d'un cas de mal de Pott, où après paraplégie la faculté de
t occasionner des troubles de la station et de la marche, ainsi les cas où les mouvements peuvent être plus ou moins em
ns empêchés par des douleurs, Binswanger préfère ranger le peu de cas qui restent dans le grand domaine des obsessions
ul rapport qu'on puisse établir ici, est qu'il s'agit dans les deux cas de troubles psy- chopathiques. Toutefois, sans
que les désor- dres mentaux diffèrent essentiellement dans les deux cas . Si l'hypocondriaque est attentif jusqu'à l'obs
r intégralement ensuite, il ne peut être alors question, dans ces cas , de lésion organique. Si toutes ces notions acqui
euvent être très considérables, puisque Tanzi a noté, dans quelques cas , jusqu'à 3° centigrade. Si l'on songe que, dans
d'éviter toute cause d'erreur. D'où il peut arriver, comme c'est le cas actuel, que les différents observateurs peuvent
ale supérieure fut atteinte uni ou bilatéralement. Dans deux de ces cas (XI et XII) dans lesquels le lobe temporal était
côtés. Je dis plus ou moins complètement, parce que dans un ou deux cas , un petit lambeau de substance grise appartenan
à l'autopsie, mais pratiquement la lésion fut complète dans les six cas , quelques morceaux de substance grise dans les
une trace de la circonvolution ne pouvait rester. Dans tous les six cas , le résultat fut le même. L'ouïe ne fut pas seule
'une façon évidente par une double lésion, ce n'était certes pas le cas chez les nôtres, et il n'y avait pas de doute p
sentées dans chaque hémisphère cérébrale. C'est indubitablement le cas ; car l'extirpation unilatérale n'a jamais donné l
à cause du défaut de profondeur de la scissure de Sylvius2. Dans ce cas , la division postérieure de la circonvolu- tion
XVIII, p. 124. Fig. 20. . LES LOCALISATIONS CEREBRALES. : il515 cas importante dans lesquels cette double lésion s'es
lesquels cette double lésion s'est rencontrée. Shaw ' a rapporté le cas d'une femme âgée de trente-quatre ans, qui deux
nce des nerfs optiques ? Mais l'attaque soudaine de surdité dans ce cas coïncidant avec des symptômes de lésion cérébra
ructions des premières circonvolutions temporoles sont la cause. Un cas semblable a été publié par Wernicke et Friedloe
io. 23. 3S6 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. Seppili a trouvé que sur 17 cas avec autopsies, dans tous la circon- volution t
ution temporo-spliénoïdale supérieure était atteinte et que dans 12 cas , la seconde et la troisième étaient aussi atteint
12 cas, la seconde et la troisième étaient aussi atteintes. Sur 25 cas de surdité verbale rassemblée par le Dr Ewens sur
dix ne présentaient qu'une lésion du lobe temporale. Dans 7 de ces cas , la première temporale était parti- culièrement
les limites exactes de la lésion ne furent pas établies. Dans huit cas , la lésion comprenait aussi bien le pli courbe
le pli courbe que la circonvolution temporale supérieure; dans six cas les lésions avaient envahi la circonvolution temp
les parties avoisinantes des lobes occipitaux et parié- taux et un cas est rapporté comme dû à une lésion du pli courbe
est rapporté comme dû à une lésion du pli courbe seulement. Dans ce cas , il parait y avoir eu à la fois de la cécité et d
r eu à la fois de la cécité et de la surdité verbale. Dans tous les cas , sauf un, il y avait une lésion évidente de la
ne lésion évidente de la circonvolution temporale supérieure. Les cas de décharges auditives, ou de sensations auditive
du centre auditif dans cette circonvolution. Gowers a rapporté deux cas de cette nature2. Dans l'un une tumeur, dont la
lui que ferait une machine. Et Hughes Bennett' a rapporté plusieurs cas de décharges de sensations auditives suivies d'
tage. On a trouvé la circonvolution supérieure atro- phiée dans des cas de surdité de longue date ou de sourds-muets co
de longue date ou de sourds-muets congénitaux. Milles4 rapporte le cas d'un homme sourd depuis trente ans ; le cerveau
t, d'a- près Tooth, en derniei lieu le cervelet. Gowers rapporte un cas do lésion unilatérale de la moelle qui semblera
les observa- tions prises chez l'homme. Cependant, en étudiant les cas qui ont été présentés à l'appui de la théorie d
mouvement. Dans quatre, on ne dit pas la méthode employée. Dans un cas , on dit que le sens musculaire paraît être norm
as aussi exactement que l'autre la différence des poids. Dans trois cas , le. sens muscu- laire était intact dans le mem
ntact dans le membre d'autre part anesthésique, mais dans ces trois cas il y avait conservation de la sensibilité tactile
s musculaire paraissait perdu dans la jambe paralysée, mais dans ce cas il y avait une anesthésie du bras du même côté
n'ait fait aucune recherche du sens musculaire, , La plupart de ces cas ont été rapportés par Brown-Séquard dans les Ar
. II, 1865, p. 117. ' Brown-Séquard, Lancet, vol. II, 1868, p. 689, cas 2. '262 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. pendant que
act n'est donné sur les autres formes de la sensibilité. Des autres cas , dans un le sens musculaire était perdu dans le
état sur le membre anesthésie n'est pas mentionné. C'était le seul cas avec autopsie.-Dans un autre, le cas de Koebner5,
pas mentionné. C'était le seul cas avec autopsie.-Dans un autre, le cas de Koebner5, on a trouvé, en examinant le membr
i étaient commu- niqués passivement, et Jaccoud G a publié un autre cas semblable. Donc, quoiqu'il semble y avoir quelq
ibilité sont perdues. Tel est l'état de la question; les détails du cas suivant que j'ai observé récemment ont quelque
peut diriger ses mouvements avec assez de précision. Dans un autre cas , le malade devient subitement paralysé de la ja
de de car- bone) produisent des paralysies analogues. P. B. 11.UN cas DE chorée chronique héréditaire AVEC autopsie, pa
intéressant de rapprocher ce fait'de celui de Klebs. Dans ces deux cas d'autopsie de chorée avec examen microscopique de
Pas d'autopsie. (Echo méd. de Toulouse, 1889.) G. D. VIII. SUR un cas d'astasie ET d'adasie ; par M. BERTIIET. Observ
plomb agit directement comme agent toxique sur le cerveau; dans ce cas on observe : des symptômes généraux ou des symptô
est particulièrement à lire. L'auteur groupe ensuite quarante- deux cas tirés de la bibliographie dont il tire ce qui sui
Of.OGIE NERVEUSE. muscles des yeux. V. Allures des pupilles sur 100 cas . Il est impossible d'analyser un mémoire de 168
uel. Les troubles de la vue sont constitués par le scotome central ( Cas . XV à XXIII). -le rétré- cissement plus ou moin
ète myosis - modification de l'excitabilité) que dans 11 p. 100 des cas . P. K. XIX. Sur la maladie DE THO¡¡SE1'I. (On T
sur 150 individus mordus par des chiens douteux ou non, il y a eu 3 cas de rage 1,8 p. 100. En 1887, sur 101 il y a eu
te opinion est bien séduisante. P. K. XXV. Examen anatomique d'un cas DE sclérose latérale AIIYOTRO- PULQUE; parO. UO
NERFS MOTEURS, DES NERFS mixtes ET DES RACINES ANTÉRIEURES DANS UN CAS DE TABES DORSAL; par NONNE (Arch. f. Psych., XI
phériques avec dégé- nérescence musculaire au début (comme dans les cas de Oppenheim et Siemerling). Cette dégénérescen
6 gr, 51 chez la femme, et respecte le lobe frontal. Dans tous ces cas , la moitié droite du cerveau continue à peser dav
eau; les nom- bres précédemment donnés sont erronés. P. K. XV. UN cas DE myélite transverse avec syringomyélie, SCLÉROS
teur ajoute qu'il est impossible d'édifier une théorie basée sur ce cas , car il entraînerait à croire que les fibres de
ryo- kinèse de leur noyau. P. K. XXXIII. Examen HISTOLOGIQUE D'UN cas DE pseudo-hypertrophie musculaire; par H. PREIS
DES NERFS crâniens SUR LE plancher DU quatrième ventricule, dans UN cas DE rage canine; par N. Popow. (Neurol. Centralb
he du cerveau, qui sont évidem- ment de nature conjonctive. En tout cas , jamais il ne se fait de scission du noyau dans
au du solide envisagé. Or, quand un solide s'accroît, ce qui est le cas du cerveau, sa surface augmente comme le 'carré d
e équation ne se réalise pas, mais il n'en est pas de même dans les cas pathologiques. L'absence de corps calleux, dont
.- Influence DE L INPLUENZ1 SUR L'ALIÉNATION MENTALE, par B1RTELS.- CAS D'ALIÉNATION MENTALE A LA SU11E DE L'INJ1LUENZA
tématique (paranoia) par l'action DE l'influenza, par M. mets. Deux cas DE DEUTÉROI'\THCONSÉ- cutives L'INFLUENZA guéri
Nous diviserons ces mémoires en trois groupes. Le premier groupe ( cas de Pick, Becker, Bartels) a pour formule l'influe
s complications psychiques ressortissant à l'influenza : 1 l'un des cas concerne un jeune homme de vingt-deux ans, qui fu
tement après l'influenza de la mélancolie; elle se perdit. En aucun cas l'influenza n'améliora ni ne guérit une psychose
idémique. Al'établissement même, on a observé plus de quatre-vingts cas d'influenza. M. HEIIKES. A l'asile de Wehnen, l
nés, 6 infirmières, 2 infirmiers. M. ROLLER (de Brake) raconte un cas de guérison par l'influenza. 11 s'agit d'un dél
M, ENGELKEN, Sur 20 aliénés qu'il traite, il n'est survenu aucun cas d'influenza. Il l'a eue personnellement ainsi que
. Br. in-80, 47 pages. Dans ce travail, les auteurs publient deux cas présentant une particularité commune : une amyo
sées consécutivement à une lésion céré- brale. I. Dans le premier cas , il s'agit d'une femme atteinte d'aphasie avec
ue l'observation clinique laisse dans l'ombre. II. - Dans le second cas , il s'agit d'un homme de trente-cinq ans, entré
aminée d'après la méthode employée déjà par MM. Kojevnikoff dans un cas de sclérose amyotrophique latérale ', on a pu t
tissu conjonctif interstitiel. A côté du symptôme commun avec le cas précédent, c'est-à-dire 1 Cas de sclérose latér
. A côté du symptôme commun avec le cas précédent, c'est-à-dire 1 Cas de sclérose latérale amyotrophique. (Archives de
° 18.) BIBLIOGRAPHIE. 299 de l'amyotrophie de cause cérébrale, ce cas présente aussi un intérêt spécial. En effet,
musculaire; tantôt cette dernière se développe rapidement dans les cas qui ne s'accompagnent pas d'une destruction compl
nt pas d'une destruction complète du faisceau pyramidal; enlise ces cas extrêmes, il faut admettre tous les cas intermé
sceau pyramidal; enlise ces cas extrêmes, il faut admettre tous les cas intermédiaires. ' Quel est le pronostic de ces
nné d'observer, s'est proposé d'interpréter psychologique- ment les cas analogues. Procédant par déduction, il étudie suc
ations. Les recherches bactério- logiques entreprises dans ces deux cas ont montré que le sang ne contenait ni bactérie
i sont consacrées aux maladies du système nerveux. L'analyse d'un cas de paralysie radiculaire du plexus cervical est
aralysies, diphtériqueset alcooliques. L'au- teur rapporte aussi un cas de méningite tuberculeuse, avec locali- sations
e de points absolument nouveaux. . VARIA. 303 A l'occasion d'un cas de tremblement chronique généralisé, intermitte
n hôpital détaché destiné au traitement des infirmes, malades et de cas aigus. De cette façon, les malades seraient sous
teur médical, il est dangereux pour lui-même et pour les autres. En cas d'évasion du malade, on pren- dra des mesures é
etourner chez les autres somnambules et de leur demander conseil en cas de maladie. - La morphinomanie A deux. On a déc
es que nous venons de citer. On en trouverait facilement quelques cas , entre autres dans la thèse récente de M. L.-R. R
r-le-champ n'a pu que constater le décès de cette malheureuse. Un cas U'.1MNÉSfE.- « Une dame, paraissant âgée d'une qu
yée à l'infirmerie du dépôt. »- Il s'agit là vraisemblablement d'un cas d'amnésie par shock nerveux. UN CRIME COMMIS SU
ie générale (1866). - Des rémissions et de la démence dans certains cas de paralysie générale (1879). - Influence des sup
E Hospice DE la SALPÈ1RIÈRE. - M. LE PRorr : SÓEUR CHARCOT SUR UN CAS D'HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER1; I
n externe, mardi dernier, une jeune fille de dix-huit ans dont le cas m'a paru offrir un certain intérêt clinique. Vous
elques déve- loppements. Et s'il en était ainsi, vous disais-je, le cas serait probablement fort sérieux, car le syndrô
. Je tiens, avant de passer à l'examen et à la discus- sion de ce cas , à vous exposer quelques considéra- tions conce
ument typique. C'est en effet pour la première fois qu'on publie un cas , à localisation unique et très nette, montrant
noté cette sorte de paralysie alterne, mais malheu- reusement, son cas était complexe. Il y avait en effet des lésions
ervir de type aux paralysies pédonculo-protubérantielles. Dans ie cas de Mayor, comme dans celui de Gubler, il est qu
moteur oculaire commun dans son passage à travers le pédoncule. Le cas de Weber, au contraire, a trait à un foyer hémo
ical, n° 22, 1874. HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. S23 cas de Mohr cité par Nothnagel est bien démonstratif
ns produire le syndrome de Weber. Je n'en veux 1 pour preuve que le cas d'Andral , concernant une femme, atteinte d'une
ncéphalique qu'une lésion ancienne du pédon- cule cérébral. Dans ce cas très évidemment l'oculo- moteur commun n'avait
, être intéressés, à la fois, ainsi que cela s'est vu dans certains cas de com- pression. Mais entrons plus avant dan
e syndrome de Weber. Règle générale, i dans l'un comme dans l'autre cas , le nerf de la troi- HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SY
1 il est tout aussi facile de comprendre que, dans le pre- \ miel' cas , c'est-à-dire quand le nerf est lésé dans l'in-
dilatation de la pupille. La paralysie incomplète varie suivant les cas ; quoique plus rare, elle existe 1 néanmoins, té
moteur que parce que nous allons avoir à discuter tout à l'heure un cas de ce genre. Telles sont, Messieurs, les condit
avec une paralysie des membres du côté opposé du corps. Dans les, cas de ce genre, la paralysie du facial se 'comport
la para- lysie de la paupière. Il serait vraiment utile, dans des cas de ce genre, lorsque la paupière tombante n'offre
un signe que je crois appelé à rendre de réels services dans les cas où on hésite entre la nature spasmodique ou par
qu'il avait cm remarquer un certain abaissement du sourcil dans les cas de spasme palpébral. Ptosis palpébral. Dans
d'établir l'origine véritable d'un ptosis. Je ne parle pas ici des cas où il y a participation des autres muscles de l
cas où il y a participation des autres muscles de l'oeil; dans ces cas , l'origine paraly- tique est évidente. Mais n'o
Supposez-le associé au blépharospasme pré- cédent et voyez, dans ce cas supposé mais possible, quelle serait l'importan
t rien ou presque rien quand on ne connaît qu'un épisode. Dans le cas présent, ces données héréditaires constituent un
t aussi que cette troisième période de l'attaque peut dans certains cas prendre un développement considérable aux dépen
suggestions'. Enfin M. le professeur Charcot, faisant allusion aux cas de M. Pitres affirmait que ce fait n'est pas tr
st visible qu'ils ont donné le nom de bé- gayement hystérique à des cas absolument dissemblables. Et d'abord, qu'entend
endant des heures, des journées, des semaines des mois, suivant les cas . Quant à ce qui concerne l'influence du chant,
triade dont nous avons parlé. Et, en vérité, plus nous étudions ces cas et moins nous sommes surpris de ce résultat, car
re. Lorsque sa santé est rétablie, il s'aperçoit qu'il bégaye. Ce cas rentre évidemment dans la catégorie des bégaiemen
qu'il rattache à l'hys- térie, et il n'hésite pas à rapprocher son cas de la variété de bégaiement décrite par M. Ball
ique. J'ai déjà dit, dès les premières lignes de ce mémoire, que le cas de M. Ballet ne ressemblait en rien à celui de
vulgaire et j'es- père avoir fait une démonstration complète que le cas de M. Pitres ne ressemble en rien aux cas de M.
nstration complète que le cas de M. Pitres ne ressemble en rien aux cas de M. Ballet. Aussi bien s'il ne s'agis- 372 PA
nde à M. Pitres la permission de protester énergiquement. * Dans le cas de M. Ballet aussi bien que dans le nôtre, dit
sonne ne s'était avisé de faire intervenir l'hystérie dans tous les cas de bégaie- ment. NOTE A L'OCCASION DU MÉMOIRE
ont personnels, car on a vu qu'il a une opi- nion différente sur le cas de M. Pitres. Il rappelle, il est vrai, Roze et
cette partie. Rech- terew et Ilossolymol cependant, ont publié des cas de dégénéres- t Voy. Arch. de Neurolog., n° 60,
on de l'écorce des hémis- phères, mais j'ai remarqué dans plusieurs cas , dans lesquels les lésions s'étendaient profond
opposé du corps. Une autopsie soigneuse a montré que dans tous les cas la région de l'hippocampe (corne d'Ammon et cir
repro- duction de l'aspect superficiel de la lésion de l'un de ces cas et de la trace du sillon du cautère'. Le résult
que n'étant pas encore en vogue à cette époque. Les lésions dans ce cas 2 étaient sirictement limitées aux régions de l
rri- vés et montrent que la sensibilité tactile était dans tous les cas ' Voir fig. 105. Flt7 ! cti07 ! S of the Brai7
posé. La mort cependant arriva le second jour, de sorte que dans ce cas on ne peut pas conclure quant t à la durée. D
hémianesthésie plus ou moins marquée et persistante. Dans quelques cas , l'anes- thésie comprend presque tout le côté o
it ou plutôt se localisait en des régions définies. - Dans tous les cas cependant, dans lesquels l'insensibilité était
a persisté quoiqu'a un moindre degré pendant les semaines dans les cas où les animaux ont été aussi longtemps con- ser
s où les animaux ont été aussi longtemps con- servés. Dans d'autres cas dans lesquels la lésion apparemment était légèr
'abord très mar- quée disparut ensuite entièrement. - Dans quelques cas , l'hémia- nesthésie prit la forme d'une incapac
capacité de localiser le siège de l'irritation, tandis que dans un cas où la diminution de la sensibilité était très f
a circonvolution marginale seule, la dégénérescence dans ce dernier cas occupe la partie postérieure et externe du cordon
ostérieure et externe du cordon pyramidal croisé et dans le premier cas toute la même région. Ces explications ne sont
. Dans mes premières expériences, j'ai trouvé que, dans plusieurs cas où j'avais coupé ou détruit par une inflammation
s, pour permettre la conservation du sens de l'odorat, même dans le cas où il ne serait pas si intense qu'auparavant. -
nt longtemps pour per- mettre des observations convenables. Dans ce cas la portion anté- rieure du lobe temporal gauche
et les bulles olfactives étaient normaux. Quoique Munk pense que ce cas montre que la circonvolution de l'hippocampe es
rine gauche et le goût du côté droit de la langue.) - Il y a peu de cas cliniques et pathologiques, relativement en faveu
demander si l'anesthésie générale coïncidente de la narine dans ce cas explique l'anosmie; car j'ai trouvé que l'odora
erveau. Ce sujet demande donc de nouvelles recher- ches. Il y a des cas cliniques qui sont en faveur du rapport direct
us et du bulbe olfactif. Mais Churton et Griffith 3 ont rapporté un cas dans lequel l'odorat était atteint du même côté
ent au moins, une lésion du bulbe olfactif. On a publié plusieurs cas de sensations de goût ou d'odeurs dans le cas d
On a publié plusieurs cas de sensations de goût ou d'odeurs dans le cas des lésions du gyrus uncinatus. M. Lane Hamilton
cas des lésions du gyrus uncinatus. M. Lane Hamilton en a puhlié un cas sans lésion des nerfs olfactifs; Vorcester en a p
compte par la destruction incomplète du centre par la tumeur. Ce cas , comme les autres que nous avons cités, est, suiv
tres olfactifs. Le docteur James Anderson 1 a cepen- dant publié un cas d'une sensation d'odeur et de goût particulière
ion con jugée de la tête et des yeux du côté gauche, comme Jans les cas semblables chez l'homme, la déviation conjugée
paralysés avec exagération des réactions tendineuses, comme dans le cas d'hémiplégie incurable cérébrale chez l'homme.
ux du côté droit de la moelle jusqu'à la région lombaire. Dans le cas représenté fig. 37, la lésion faite à l'extrémité
ysés. Cet état per- sista huit mois; on tua alors l'animal. Dans ce cas aussi, on trouve une dégénérescence secondaire
ramides, mais devient bilatérale dans la moelle. Cependant, dans le cas du centre laryngé qui est plus manifestement bi
ce collège il y a douze ans, je vous ai montré un certain nombre de cas rassemblés de diffé- rentes sources qui venaien
e les cliniciens ont cessé de publier leurs observations. Des 483 cas de maladies corticale et sous-corticale rassemblé
nt produire des affections in- directes d'autres parties), j'ai 110 cas d'hémiplégie du côté opposé par lésion générale
légie du côté opposé par lésion générale de la zone rolaudrique; 90 cas de monoplégie par lésions limitées de cette zon
; 90 cas de monoplégie par lésions limitées de cette zone ; dont 11 cas de monoplégie crurale par lésion du lobule para
entral et du tiers supé- rieur des circonvolutions ascendantes ; 33 cas de monoplégie bra- LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES
e bra- LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 40S chiale, comprenant trois cas d'excision chirurgicale par lésion de la partie
par lésion de la partie moyenne des circonvolutions ascendantes, 19 cas de para- lysie du bras et de la face par lésion
face par lésion de la moitié inférieure de la zone rolandique et 10 cas de paralysie faciale par lésion du tiers inféri
du tiers inférieur de cette lésion. En plus, j'ai des notes sur 20 cas d'a- trophie de l'écorce de la région rolandiqu
toujours exécuter ce tour appris, quoique GolLz pense que. dans des cas rares, un chien puisse exécuter cet acte après
nts de la langue sont gravement atteints, quoique la langue dans le cas d'extirpation unilatérale se meuve normale- men
es moteurs est si frappant qu'on ne peut douter que dans le dernier cas , lu sensibilité est conservée tandis que dans l
ielles de l'écorce motrice sont sensitives, ils ont detruit dans un cas les couches superficielles de la substance grise
la paralysie par lésion de la zone motrice est dans la majorité des cas essentiellement motrice et ne s'accom- ' pagne
é tactile, musculaire ou géné- rale.J'ai moi-même observé plusieurs cas et réuni beaucoup d'autres lésions de la zone m
vés normaux. Mais il est vrai aussi que dans un bon nombre d'autres cas de lésions de la zone motrice, on a observé un
e entre une lésion particulière et un symptôme particulier. Dans le cas de la zone motrice, il a été démontré que des lés
généralisée suivant la position et l'étendue de la lésion. Un seul cas de paralysie par lésion de la zone motrice cortic
trouble de la sensibilité est suffisant pour renverser une foule de cas positifs dans lesquels les deux symptômes semblen
s ci-dessus cités ont tirées de cette espèce de preuve. Car des 110 cas de lésion géné- rale de la zone de Rolando prod
né- rale de la zone de Rolando produisant une hémiplégie, dans 52 cas la sensibilité était intacte (dans un de ces cas
émiplégie, dans 52 cas la sensibilité était intacte (dans un de ces cas une grande partie de l'écorce motrice était exc
t pas mentionné, dans 21, elle était quelque peu at- teinte. De ces cas , dans un, la sensibilité était émoussée sur le
t une hyperesthésie générale, plus marqué du côté paralysé. Dans un cas , toutes les sensibilités étaient conservées, ma
es, mais la localisation du contact était défec tueuse 3. Dans ce cas cependant, la table interne du crâne avait été en
ce cérébrale, produisant ainsi une hémi- plégie générale. Dans deux cas la lésion s'étendait profondément dans la subst
a lésion s'étendait profondément dans la substance blanche. Dans un cas , la lésion corticale était compliquée par la pr
te hé- morrhagique dans les deux circonvolutions centrales. Dans ce cas et dans cinq autres, l'insula de Reil et la cap
mpagnée d'un fourmil- lement anesthésique du pied paralysé. Dans ce cas il y avait des dépôts tuberculeux aussi bien da
une mé- ningo-encéphahte ou méningite tuberculeuse diffuse. Dans 10 cas de monoplégie crurale par lésion du lobule para
entionnée dans deux. Dans un «, la sensibilité à la douleur était ' Cas . de S. H. Brain, vol. X, p. 95. * Tripier. Rev.
' Cas. de S. H. Brain, vol. X, p. 95. * Tripier. Rev. mens. 1880, Cas . 4. 5 Bramwell's Case journal, 28 août 1875.
la jambe se gangrena après avoir pré- senté de l'anesthésie. Des 15 cas de paralysie du bras et de la jambe par lésion
intacte dans six, non mentionnée dans cinq et affectée dans quatre cas . Dans trois de ces cas, le lobule paracentral é
mentionnée dans cinq et affectée dans quatre cas. Dans trois de ces cas , le lobule paracentral était profondément atteint
lésion était à proximité ou comprenait le gyrus fornicatus. Dans un cas de mon service d'une cicatrice traumatique au t
paraît enfin pendant t que persistait la paralysie motrice. Dans ce cas , la lésion atteignait le gyrus fornicatus. De
ce. Dans ce cas, la lésion atteignait le gyrus fornicatus. Des 35 cas de monoplégie brachiale, il y a 5 cas d'excision
le gyrus fornicatus. Des 35 cas de monoplégie brachiale, il y a 5 cas d'excision de portions de l'écorce pour la cure
de portions de l'écorce pour la cure de l'épilepsie focale. Dans 2 cas de von Bergman 3 etKee,14 la sensibilité était
uche avec une perte du sens musculaire dans le bras gauche. Dans ce cas , les cordons sensitifs pour tout le côté opposé
ans 12, non mentionnée dans 15 et atteinte dans 3. Dans l'un de ces cas on avait à faire à une gomme 8. Dans le second
la sensibilité était abolie surtoute la surface du corps '. Des 19 cas de lésions de la moitié inférieure de la zone d
e dans 11, non mentionnée dans 5, atteinte dans 3. Dans l'un de ces cas un noyau sanguin de l'insula de Reil confirmait
ace et du bras et l'anesthésie du côté droit du tronc. Le troisième cas , publié aussi par Petrina, est sem- blable au s
e cas, publié aussi par Petrina, est sem- blable au second. Des dix cas de maladie du tiers inférieur de la zone de Rol
t intacte dans 4, non mentionnée dans 5, et altérée dans 1. Dans ce cas 4, il y avait une anesthésie non seulement de la
face mais aussi de la moitié du tronc. 11 semble donc que de 284 cas atteignant la zone de Rolando en totalité ou en
les clini- ciens les plus dignes de foi, et dans beaucoup 5 de ces cas on déclare avoir recherche spécialement les dif
echerche spécialement les différents modes de sensibilité. Dans les cas restant aucune note détaillée sur l'état des diff
,joui,2z. 1878. Pett,itia. - Zeitsch. f. lleilkunde, vol. XI, 1881, cas 1. ' lbrd., cas 6. ' Petrina. - Sup. cit. cas
Pett,itia. - Zeitsch. f. lleilkunde, vol. XI, 1881, cas 1. ' lbrd., cas 6. ' Petrina. - Sup. cit. cas 3. ' Mins (Tran
nde, vol. XI, 1881, cas 1. ' lbrd., cas 6. ' Petrina. - Sup. cit. cas 3. ' Mins (Trans. Amer. Cong. of Phys., etc., 1
Soc. Anat., 1876, p.7UU); Laquer (Inaug. Dissert., Bresiau, p. 71, cas 10); Mills (Université de Aléd. Mag., nov. 1889
rain, vol. IX, p. 74); Ballet (Arch. de Neurologie, vol. V. p. 275, cas 1); Lloyd et Deaver (Am. Jour. )léd. Se., vol. 96
, vol. 96, p. 477); Keen (Cérébral Sargery Am. Jour. Méd. Se, 1888, cas 3). On pourrait ajouter à ces cas plusieurs cas
Sargery Am. Jour. Méd. Se, 1888, cas 3). On pourrait ajouter à ces cas plusieurs cas d'hémiplégie avec aphasie (non suiv
our. Méd. Se, 1888, cas 3). On pourrait ajouter à ces cas plusieurs cas d'hémiplégie avec aphasie (non suivis d'autopsi
ns lesquels les symptômes indiquaient une lésion corticale. Dans un cas récent de paralysie absolue du bras droit avec su
able aux animaux. 412 -. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Dans 28 de ces cas la lésion n'était pas confinée àla zone de Roland
les lobes adjacents et particulièrement le pariétal. Les 35 autres cas ont été déjà analysés et j'ai montré que les lési
, soit les cordons sensitifs dans la capsule interne. Même dans les cas où de pareilles lésions ne peuvent être démontr
ions ne peuvent être démontrées, j'admets volontiers que de pareils cas existent, il est plus logique de supposer qu'ils
e. Car les recherches les plus soi- gneuses dans un grand nombre de cas n'ont pas réussi à decouvrir la plus légère att
e motrice. Comme preuve à l'appui, je vous décrirai avec détails le cas sui- vant. La malade est une daine âgée de 50 a
dessous du pli courbe et ne put l'enle- ver sans danger. C'était un cas où sans doute les cordons sensi- tifs de la cap
ibilité tactile et musculaire de tout le côté opposé du corps. Ce cas a une certaine importance au point de vue de l'hy
sens de la position des membres a été quelquefois observée dans le cas de lésions de cette région, quelquefois compliq
a lésion envahit aussi la ré- gion occipito-angulaire comme dans le cas ci-dessus et dans un cas publié par Westphal '.
ré- gion occipito-angulaire comme dans le cas ci-dessus et dans un cas publié par Westphal '. Mais la cause réelle de
exécutés avec une absence totale de tout sens de mouvement. Das le cas bien connu décrit par Schùppel ', le malade ane
m'a avantagé d'une réponse dont je cite le passage suivant : « Les cas d'hémianesthésie hystérique peuvent se rencontr
aut dégré de l'échelle hémianesthésLque ». Je me rappelle aussi les cas d'hémianesthésie' dans lesquels le sens de la p
ns musculaire. On peut admettre que cela n'arrive pas dans tous les cas , mais le point essentiel est que cela peut arri
as, mais le point essentiel est que cela peut arriver dans quelques cas , et un cas de ce genre est suffisant pour démon
point essentiel est que cela peut arriver dans quelques cas, et un cas de ce genre est suffisant pour démontrer que l'
- respondance avec les capacités motrices de l'animal. Dans pareil cas , les centres moteurs de. la moelle de l'homme che
ouvrable soit sensitif soit moteur. Mais j'ai trouvé dans plusieurs cas , qu'après que les symptômes qui suivent l'ablat
Traits. Part. II. 188î. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 419 Dans un cas où j'ai enlevé le lobe frontal des deux côtés par
il n'y avait aucun autre trouble, ni sensitif ni moteur. Dans ce cas , les corps striés étaient aussi blessés plus à ga
ent d'hémorragie cérébrale, le dixième jour de l'opération. Dans ce cas , la déviation conjurée des yeux, per- sista plu
887 vol. 15. p. 270. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 421 temps. Les cas publiés de traumatismes ou de maladies des lobes
des facultés motrices ou sensitives en général ; et dans plusieurs cas , on a observé un certain tiouble intellectuel et
semblables à ceux rencontrés chez les chiens et les singes. Des bî cas de lésions de la région frontale réunis de diff
la diminution de la douleur ou une cessation complète dans tous les cas de névralgie congestive. Les effets obtenus ont
dre. L'action de l'exalgine a été beaucoup moins favorable dans les cas de sciatiques chroniques, de rhumatismes et sur
e du Dr Gaudi- neau qui a pu réunir 75 observations portant sur des cas de rhumatismes, gastralgies, migraines, névralg
s longtemps et élever les doses. M. Desnos n'a rencontré qu'un seul cas de névralgie absolument rebelle, même à une dos
ice avec l'exalgine, M. Desnos a administré ce médi- cament dans un cas de tabes fruste et a fait disparaître non seule
placement des aliénés dans les asiles, on pourrait placer quelques cas cités paru. leD·Gtraud, de Rouen, de condamnati
e demande si, en dehors de l'a- liénation mentale, il n'y a pas des cas où, par suite de faiblesse d'esprit ou de toute
ssion, de l'ivresse, etc. ; il n'en est pas moins vrai que dans les cas où, par suite d'une contrainte morale réellle,
ée, la tâche du médecin et du magis- trat est facile. Mais dans les cas de délire partiel, faut-il avec Delasiauve et T
la théorie de la responsabilité partielle des aliénés dans quelques cas , Tardieu invoque l'exemple des alcooliques. D'a-
ractée pour faciliter l'exécution du délit. Dans les trois premiers cas seulement, la peine est diminuée dans des proport
l'éducation, le milieu établissent entre les accusés. Pour tous les cas en dehors de l'aliénation mentale, le principe
enir compte des différents degres de responsabilité. Ainsi, dans le cas de faiblesse d'esprit, l'on comprend que le méd
ine dans de fortes proportions. L'atténuation de la peine, dans les cas où la responsabilité est limitée, n'a pas paru
facultés et un état plus ou moins marqué de démence. Dans quelques cas exceptionnels, la guérison peut être obtenue ap
auteurs ont donné le nom de délire chronique. Enfin, dans quelques cas rares, le délire existe sous forme in- termitte
per consécutivement à l'idée délirante, dans la grande majorité des cas , les autres symp- tômes, les hallucinations de
nte et successive. Le délire de persécution semble, dans quelques cas , reposer en- tièrement sur des hallucinations d
ées ambitieuses pour constituer une forme complexe. - Dans quelques cas ,'dit M. Dagonet, on voit apparaître des idées a
ou moins prolongé, ce dernier disparaissant entièrement, et dans ce cas les idées anciennes s'effacent et le malade aband
REVUE ANALYTIQUE. joies nouvelles existent ensemble; dans certains cas enfin les deux phases peuvent alterner : un dél
plus rapidement la déchéance intellectuelle. Schüle a cité quelques cas rares où les deux ordres d'idées déli- rantes,
ujours suspendues et qu'on conslatait dans le plus grand nombre des cas des idées délirantes de nature triste et un del
le. Alcoolisme Le délire des persécutions accompagne, dans quelques cas , de véritables accès maniaques : on observe alo
sécution. La paralysie générale présente, elle aussi, dans quelques cas relativement rares, les manifestations délirant
ns la connaissance des idées abstraites. Ces explications visent le cas où l'idée délirante serait une idée abstraite; ma
us peine de ressentir une profonde angoisse. M. le Dr Régis cite un cas d'obsession genito- phrenatrice typique et d'au
d'une légère atteinte de mélancolie ou d'hypocondrie. Dans certains cas , les idées mélancoliques et hypocondriaques ont
lus actives, se sont compliquées de délire, et même on a signalé un cas de suicide. Dans un second groupe de psychose
de manie aiguë, ailleurs un délire de persécu- tion ; dans d'autres cas enfin éclate subitement une paralysie géné- ral
ques, les psychoses asthéniques simples, à l'exception de cet tains cas de délire de colapsus, sont générale- ment béni
D'où l'importance, au point de vue du pronostic, chaque fois qu'un cas de folie éclate après une affection fébrile alg
us malades de la campagne. L'hérédité s'y révèle dans 54 p. 100 des cas . Du 1 ? juillet 1884 au 31 décembre 1888, sur 551
compagnées souvent (30 p. 100) d'affections organiques du coeur. 60 cas de ménopause dans le cours des psychoses chroniqu
pouvons que consigner les conclu- sions. 1° Il existe un groupe de cas morbides de la jeunesse qui ne rentre pas dans
Allg. Zeitsch., f. Psychiat., XLVI, 5.) Nouvelles analyses de 146 cas empruntés aux auteurs. Il Différence entre la f
opulation infé- rieure de Berlin, on constate, dans un cinquième de cas , une lésion certaine des cordons postérieurs; d
cas, une lésion certaine des cordons postérieurs; dans un tiers des cas , une lésion probable des cordons latéraux. Sur
ue l'intelligence et la parole ne soient pas lésés; dans ce dernier cas , on peut recourir à des maisons d'hydro- thérap
raux sont ceux de la paralysie générale. P. K. XXXV. DE VINGT-SIX cas de paralysie PROGRESSIVE CHEZ la femme ; par L.
toujours créé de toutes pièces les phénomènes morbides. Il est des cas dans lesquels il y avait lésion organique préal
observations de mutisme avec stupeur et il a remarqué que dans ces cas les malades, si on plaçait un livre devant eux, l
ux, lisaient le plus souvent en 'prononçant bien les mots. Dans ces cas , dit l'au- teur, ce sont les images visuelles q
aine importance, alors qu'il est nécessaire de se prononcer sur des cas de psycho-neuroses. Leur présence pourrait faire
période inlerparoxyslique et apparaît dans le plus grand nombre des cas après la convulsion.- Du coté de la motilité, il
abilité cutano-musculaire) se vérifient dans un nombre restreint de cas appartenant à la grande histérie, et indépendam
(et indépendamment de toute suggestion) à l'état de veille dans des cas de grande hystérie où ils constituent autant de
constituent autant de stigmates hystériques; donc dans les quelques cas où on les rencontre dans l'hypnotisme, ils n'en s
e n'est donc pas une névrose provoquée, puisque dans les quel- ques cas où il apparaît comme tel, il ne fait que mettre a
hystériques simples, hystériques graves, mais tout ce qui dans ces cas complique le cadre symptomatique n'est pas dû à l
a sentait mieux que personne les exagérations de son texte; en tout cas le système du jury qui en constituait la caract
enir principalement à une classification étiologique et dans chaque cas individuel, chercher SOCIÉTÉS SAVANTES. 461 l
énie des atro- phies musculaires reste inexpliquée dans beaucoup de cas , ce qui dépend en partie de l'insuffisance de n
e provoquant infail- liblement l'atrophie, mais dans la majorité de cas il faut incrimi- ner une lésion de la région mo
ette communication, M. le professeur Sikorski a demandé si dans les cas où on a trouvé des lésions dans le sys- tème ne
rnière forme prend souvent le caractère de la manie et peut dans ce cas être dé- nommée dysnoia deliriosa maniacalis. D
ce cas être dé- nommée dysnoia deliriosa maniacalis. Dans quelques cas , la folie aiguë présente dès le début des phéno
e dysnoia demenlica. Les observa- tions démontrent qu'il existe des cas qui ressemblent d'après leurs accès à la folie
présentent un début assez rapide et finissent par la guérison. Des cas semblables peuvent également être rattachés aux
lore. La marche de la confusion aiguë présente, dans la plupart des cas , une succession de plusieurs périodes d'évolution
diverses et par les affections fébriles aiguës ; dans beau- coup de cas on a le droit de supposer une intoxication par de
resque normaux. Pendant ces trois dernières années, sur trois cents cas des formes aiguës de la folie, l'auteur en a ob
par- ticularités singulières dans la marche de l'affection dans ces cas , il est permis de les placer dans un groupe spé
'après lui, ce n'est pas une hémi- parésie que l'on observe dans ce cas , mais une différence dans l'in- tensité de l'in
urs de sang, et, au con- traire, de passer assez rapidement sur des cas plus ordinaires et plus intéressants au point d
r régulièrement (scier le bois, cultiver les jardins, etc.). Dans 5 cas , on a appliqué la suggestion hypnotique. Les ré
déclaration suivante : « La peine capitale est abolie, excepté les cas où les lois de la guerre en disposent autrement.
Société DE psychologie PHYSIOLOGIQUE. On sait que, dans cer- tains cas , mal déterminés encore, il est arrivé qu'on ait c
e optique et cécité psychi- ques par Freund, 268 ; - cerveau d'un cas d' , par Schloes, 276. ASILES D'ALIÉNÉS : nomin
éiiés, par .NrlFS crâniens ( altération des noyaux des -1 dans un cas de rage canine, 28G. Nerveux (corpuscules), a
énérale avec lésions de la capsule interne, par Zacher. 113; - 2G cas de - chez la femme, par Grelpin, 452 ;- sinru-
52 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
troisième. Il ne fut pas fait d'autopsie. Trenel 2 rapporte deux cas de mort dûs à des troubles cérébraux mal déterm
un enfant qui succomba au bout de huit jours ; il pense que dans ce cas la rétrocession s'est faite sous l'influence de
halalgie, de délire, et même de mort. Niemeyer' cite également un cas de mort par ménin- gite dans le cours des oreil
te dans le cours des oreillons. On trouverait certainement d'autres cas de termi- naison fatale à la suite des accident
Groffier, Ressiguier, etc. Plus récemment Malabouche2 en a cité un cas , et M. Gillet' a rapporté l'histoire d'un homme
consacré aux manifes- tations nerveuses de la goutte, on trouve un cas d'o- reillons dans lequel il survint des accide
ces accidents nerveux et les rendit classiques. On connaît les deux cas qu'il avait observés : chez le premier malade,
part, nous avons vu à l'hôpital militaire de la Charité, à Lyon, un cas qu'on aurait facilement pris pour une méningite
tes- ticule. On trouve de même dans la thèse de Lemar- chand', un cas de Laveran, où l'état général était si grave qu
ble, nous aurons à revenir sur ce point, qu'il existe dans les deux cas un état inflammatoire des méninges, mais dans l
une véritable encéphalite superficielle. Nous résumerons d'abord un cas recueilli dans le service du Dr Monro, et dont
a recouvré l'intégrité du langage en septembre 1883. Enfin dans le cas que nous avons nous-mêmes ob- servé, l'atteinte
ourrait expliquer les phénomènes d'excitation cérébrale, il est des cas , comme le nôtre, où l'intégrité du coeur est ne
point de départ de l'embolus ; dans l'intéressante discussion d'un cas d'hémiplégie droite et d'aphasie survenues chez
ENINGITIQUES DES OREILLONS. 13 La complexité des lésions dans notre cas rend toute explication bien plus difficile enco
redoutables en apparence qu'en réalité. Au contraire, dans quelques cas de nombre heureusement restreint, elles donnent
lé sur elle l'attention dans un travail où se trouvent rapportés un cas qu'il a étudié personnelle- ment et deux autres
publiées par Thomsen, Remak, Saundby etc. ; il semble donc que les cas soient plus fréquents qu'on aurait pu le penser
ymptômes ont été cons- tatés et que l'affection s'est dans tous les cas montrée sous un aspect toujours semblable. .
. Il pense que Môbius a tort de considérer son observation comme un cas de tumeur, et qu'il est plus probable que cette
augmenté, surtout du côté nasal. Observation VIII. (R. Saundby). Un cas de migraine avec paralysie de la y paire (Lance
cles ni aucune altération du fond de l'oeil. Saundby considère ce cas malgré les lacunes de l'observation (lacunes du
malade que plusieurs jours après le début de l'affection), comme un cas de « migraine récurrente avec paralysie de la 3
aire », et rappelle qu'il y a deux ans il apublié dans la Lancet un cas beaucoup plus accen- tué de cette affection, le
us la rubrique « Lettres d'Angleterre » l'indication de deux autres cas de cette affection : l'un de Suell chez une fille
atation de la pupille duraient en général plusieurs jours. Quant au cas de Ormerod, les détails nous manquent et nous n
fondre ce syndrome présentant des caractères tout spéciaux avec les cas assez nom- breux où il existe des paralysies oc
l existe des paralysies oculaires à répétition. Dans cette série de cas , il faut signaler entre autres les tumeurs de l
tuent qu'une minime partie de la zone sensitive I » : Dans notre cas , la localisation des lésions de ramollissement au
ara- 1 Voy. les travaux de Pitres, Issartier et, eu particulier, un cas de para- lysie générale, rapporté par ce dernie
ple mémoire, le fait de l'absence totale de vomisse- ments, dans ce cas comme dans celui qui suit. Or, l'intolé- rance
tifs ; ainsi Malinverni, cité par Gavoy rapporte l'observation d'un cas d'absence congénitale du corps calleux chez un ho
igneusement, et de décrire avec tous leurs détails anatomiques, les cas de lésions de ces centres et d'en déterminer ex
spliénoidale du ventricule latéral. RECUEIL DE FAITS NOTE SUR UN CAS D'INVERSION DU SENS GÉNITAL AVEC l : l'ILl : P5
genre. L'inversion du sens génital dont nous rappor- tons ici un cas est l'une des modalités les moins fré- quentes
tatée chez une cou- sine germaine du père, également folle. Notre cas présente encore un autre intérêt : G... est épi
l que notre malade tient de ses ascendants héréditaires. Dans notre cas , nous voyons évoluer simultanément le syndrome
serve son indépendance. Notre observation montre donc en outre un cas de coexistence de deux troubles intellectuels.
uement la valeur des diverses modifications signalées pour certains cas dans les centres nerveux. Si l'on veut parler d
ait du diabète même, et que, si ce dépôt a pu être constaté dans le cas de mort par acétonémie, c'est que la terminaiso
ndre signe de lésion rénale, ni albuminurie, ni anurie, et c'est le cas dans la plupart des observations de coma diabét
oire, si intéressant qu'il soit, en le supposant vrai dans tous les cas , et qui, même dans la pensée de l'auteur, est p
truction granulo-graisseuse des fibres du coeur, qui, dans certains cas , détermine une véritable paralysie cardiaque av
e saurait constituer un mode d'interprétation applicable à tous les cas . Restent les altérations du sang lui-même ; on
is cette suppression de la glyco- surie est exceptionnelle dans les cas de coma, et d'autre part elle s'observe fréquem
excès de matières grasses dans le sang des diabétiques. Dans trois cas de coma diabétique, ces auteurs ont observé que
it et Hertz ont constaté cet état lipémiquedu sang dans deux autres cas de coma diabétique. Starr prétend même avoir re
is- seuses des capillaires. Enfin, il faut remarquer que dans les cas de Sanders et Hamilton il est dit expressément qu
re d'observations, édifiait une hypothèse, qui ne s'adaptait qu'aux cas restreints dont il avait été témoin. Aujourd'hu
es symptomatiques ne sont pas moins bien tranchées. Dans le premier cas , les malades tombent progressivement ou brusque
phyxie, la face est pâle et les téguments décolorés. Dans le second cas , les phénomènes débutent par une période d'exci
ucune théorie n'a pu sembler satisfaisante et applicable à tous les cas . Les faits de notre premier groupe peuvent s'ap
inhalation du chloroforme ou de l'éther. Le diabé- tique, en pareil cas , est soumis à l'action d'une cause sem- blable.
ère dont les accidents se produisent, leur similitude dans tous les cas , semblent bien indiquer qu'ils résultent de l'a
une cornue de chimiste n'est capable ? Ce n'est, d'ailleurs, pas le cas pour l'acétone. En distillant du sucre et de la
diabétiques eux-mêmes offrent une résistance variable, suivant les cas , à l'action de l'acétone. On en voit présenter,
sorte de demi coma. 11 n'est pas douteux qu'un certain nombre de cas décrits par les auteurs, depuis Prout, et rangé
de la pneumonie chez les vieil- lards et qui peut aussi, en pareil cas , devenir mortel. Ce qui, pour nous, fait la gra
des inspi- rations étant de vingt à vingt-cinq par minute; en tout cas , la dyspnée caractéristique de l'acétonémie man
ions de collapsus nous semblent devoir être absolument séparées des cas de coma où ces deux signes se constatent. Il
nerveux. Ces différents symptômes se rencontrent réunis dans les cas typiques ; ils peuvent se combiner de diverses ma
as typiques ; ils peuvent se combiner de diverses manières dans les cas incomplets; mais l'odeur aigrelette de l'haleine
e des accidents graves qui menacent le dia- bétique ; dans d'autres cas , elle ne se produit qu'au cours même des phénom
e nous parait le même que pour l'urémie gastro-intestinale. En tout cas , ils ne mé- TROUBLES NE11VKUX DANS LE I)lAliÈ'I
pu donner l'idée d'une complication péritonique. Buhl a observé un cas où la diarrhée était assez abondante pour mérit
singulière qui con- traste avec son épuisement général. » En pareil cas , la gène respiratoire se produit sous forme de
nce extrême et aboutissant rapidement au coma mortel. Dans d'autres cas , l'intensité est moindre; les malades se plaign
bserve une certaine incohérence de la pensée ou du langage. Dans un cas , de véritables acci- dents de manie aiguë, ont
n continue et fatalement mortelle, il faut faire une place pour les cas où l'acétonémie, s'essayant en quelque sorte av
s nous donnent une fréquence égale dans les deux sexes. Sur nos 114 cas , nous avons noté sept fois le coma acétonémique
elle a frappé depuis tous ceux qui ont eu l'occasion d'observer des cas d'acé- toiiéniie 1. Elle se trouve signalée dan
cé- toiiéniie 1. Elle se trouve signalée dans plus de la moitié des cas colligés par J. Cyr, 17 fois sur 32. D'ordinair
CHEZ LES FEMMES. 75 Affections aiguës intercurrentes. Dans d'autres cas , l'acé- tonémie apparaît dans le cours ou à la
ste-t-il une con- nexion, un rapport entre ces deux états ? En tout cas , la con- nexion, est loin d'être ni nécessaire,
e quarante- quatre ans, modéré dans son genre de vie. Dans les deux cas , l'évolution fut bénigne et rapide; l'améliorat
aires postérieurs. P. K. 78 revue DE pathologie nerveuse. III. Un cas DE paralysie ascendante aiguë; parJ. HOFFMANN (
io-scapulo-huméral, scapulo-huméral, fémoro-tibial. Dans le premier cas , quand les muscles de la face sont atteints, la p
s son étiologie, ses symptômes, son évolution. J. SÉGLAS. V. Deux cas DE la maladie des jointures DE CHARCOT; par Cit.
it. A1'HIN. (Médical Ch ? ,onicle, avril 1885.) 11 s'agit de deux cas d'arthropathies du genou; l'un est survenu pend
ique eût été remarqué. Comme le fait remarquer l'au- teur, ces deux cas sont très propres à montrer que le trauma- tism
w. (The Glascoiv médical journ., sept. 1885.) M. Frew rapporte un cas d'ischurie hystérique chez une femme offrant de
ue; mais, contraire- ment à ce qu'on observait si nettement dans le cas de M. Charcot, les matières vomies n'avaient au
rt des ras, directement parallèle à l'état psychique; dans certains cas , elle vient et s'en va avec l'altération psychopa
épendam- ment de l'attaque et de son mode. Il s'agit, dans tous ces cas , d'un rétrécissement concentrique du champ visu
presque absolument normal des fonctions sensorielles. Dans quelques cas isolés, on noterait une anesthésie cutanée bila
anesthésie sensorielle unilatérale et vice et versa; eu d'au- tres cas , l'atteinte plus marquée d'un appareil sensoriel
érique à la suite d'une émotion morale (OBs. XXXVI). Dans ces trois cas , il y eut rétrécissement concentrique du champ
oit le seul phénomène ou le phénomène principal dans la plupart des cas de cette sorte, on observe un rétrécissement co
t associé a d'autres anomalies sensitivo-sensorielles. Exemple : un cas d'agoraphobie (OBs. XXXVII), caractérisé par un
ur croit que les attaques syucopales qui ont'été signalées dans les cas de pouls lent seraient souvent de véritables atta
basilaire. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 85 X. Noie SUR un cas d'oblitération de l'artère basilaire ET SUR QUE
des caractères même du caillot, l'auteur pense qu'il s'agit dans ce cas non pas d'une thrombose mais d'une embolie, bie
ement cérébral terminent cette observation. G. D. XI. Noie SUR UN cas DE pied tabétique avec lésions osseuses ET arti
rébrale), ils ont une fonction centrifuge. Ceci posé, il existe des cas de manie idiopathique à marche typique (une obs
r six malades. L'Etat a la charge des dé- penses; mais, en certains cas , on obtient des contributions des communes. La
l'entraîne ' leur élimination de Boadmoor. P. K. VU. Etude sur un cas DE suicide par coups DE revolver (affaire G. de
ure pourra fournir quelques données utiles pour l'appréciation de cas analogues. G. D. V111. Cas DE folie sénile, AVE
ités névropathiques servant de préambule, l'auteur a rassemblé sept cas de Jolie observés chez des vieillards. Les deux
observés chez des vieillards. Les deux premies et les deux derniers cas sont des cas de mélancolie sénile ; le troisièm
des vieillards. Les deux premies et les deux derniers cas sont des cas de mélancolie sénile ; le troisième est un cas de
erniers cas sont des cas de mélancolie sénile ; le troisième est un cas de démence sénile avec hémiplégie; le quatrième
s symptômes de la paralysie générale des aliénés; dans le cinquième cas , il s agit d'un vieillard de soixante ans, méla
présente que de bien faibleschances de guérison. R. NI. C. IX. Un cas DE paralysie générale chez une jeune femme; début
'auteur fait remarquer en terminant que l'intérêt que pré- sente ce cas réside surtout dans l'âge de la malade ; bien que
aire remonter encore plus haut. Il existe déjà dans la science deux cas de paralysie générale à début exceptionnellemen
ce (seize ans pour l'un et douze ans pour l'autre) '; mais ces deux cas ont trait à des garçons ; le 1 Voy. Journal of
obre 1877 et d'octobte 1881. 1. 94 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' cas actuel parait être le plus piécoce de ceux qui on
jouter que, si l'on étudie, pour les comparer entre eux et avec les cas observés chez l'adulte, ces trois cas exception
omparer entre eux et avec les cas observés chez l'adulte, ces trois cas exceptionnels on constate : 1° que dans aucun de
es trois cas exceptionnels on constate : 1° que dans aucun de ces cas précoces il n'y a eu d'idées de grandeur, ni même
le ont toujours été très accusés ; 3° que dans deux au moins de ces cas , la durée de la maladie a été d'une longueur ex
la maladie a été d'une longueur exceptionnelle. R. M. C. X. Deux cas de mort rapide, AVEC symptômes manuques ; par G
le lésumé sommaire des deux observations : la première a trait à un cas de paralysie générale au début; dans la seconde
congrès de médecine mentale tenu récemment à Anvers. Note sur un cas d'amnésie traumatique par M. Rouillard. Il s'ag
bide ne s'est manifesté depuis. M. Charpentier voit bien dans ce cas , l'histoire d'une malade ayant ses règles, fais
liquerait la chute dans l'escalier. M. Motet rapporte deux autres cas d'amnésie traumatique ve- nant à l'appui de l'o
sie ou les troubles con- gestifs ne sont que des hypothèses dans le cas qu'il rapporte. M. LEGRAND du Saule, au contrai
ion s'établit, et, avec elle, la guérison. Il y a donc, en certains cas , une relation pathogénétique enlre une affection
e troubles nutritifs et d'onanisme. En réalité, il n'y a que peu de cas dans lesquels l'affection génitale est démontrée
sychopathies des premiers jours qui suivent la délivrance. Dans ces cas , il doit exister une prédisposition hérédi- tai
est-il invariablement inoffensif ? L'orateur a vu une catégorie de cas où le traitement a produit ou accéléré une psycho
ure anormale du manteau de substance blanche de la moelle épinière. Cas dans lequel un gros épanchement de sang isolé d
. Et ces deux causes réunies peuvent concourir au même but. En tout cas , il importe de remarquer que les masses com- pa
totalement transmise au contenu de tuyau R; par conséquent, dans le cas le plus favorable, la pression a 1 intérieur de
a des perversions morales impulsives. A côté de cela, il existe des cas qui, semblables, par leurs caractères et par le
, les actes impulsifs, surtout du côté sexuel, ainsi qu'en bien des cas l'ona- nisme, souvent issu d'ii ritation spinal
, dans ces dix dernières années particulièrement. eu à observer des cas fréquents de perturbation mentale chez des inst
la syphilis de l'étiologie du tabès. Un récolement de cent nouveaux cas de tabès typiques révèle 43 p. 100 de syphiliti
autre cause, car le substratum anatomique est le même dans les deux cas . Il est probable, en résumé, que la syphi- lis
SFrriG.uuLLea. Myélite des &teut'.s.L'orateur communique quatre cas de paralysie spinale alcoolique (sans autopsie).
uatre cas de paralysie spinale alcoolique (sans autopsie). Les deux cas les plus légers concernent des gens qui étaient c
rurent quand les patients cessèrent la dégustation. Les deux autres cas se rapportent à des buveurs de profession ; la sy
cles, voire des contractures M. Skixigmuller. Sur l'hémiunesthésic. Cas intéressant de paralysie de la sensibilité et d
hémianesthésie cérébrale et l'hémianesthésie hystérique. A côté des cas , rares en Allemagne, d'hémianesthésie ovarienne
mmation la cornée soustraite à l'influence nerveuse, et si, dans le cas où cette inflammation survient, on arrive à la
lammation survient, on arrive à la guérir, on doit pouvoir, dans le cas de paralysie, mettre à l'abri des accidents du
NTES. Hl Discussion : M. Jehn. On ne peut suivre l'évolution d'un cas pathologique que dans les établissements combin
es nerfs péroniers, rarement celui du facial ; on a vu en plusieurs cas du strabisme. Jamais d'atrophie musculaire dégé
s ren- contrées par lui et les auteurs dans la chorée mortelle, les cas dans lequels on a trouvé un foyer embolique l'i
ies du système nerveux. M. Benedikt a rapporté, en outre, plusieurs cas d'amnésie et un cas de manie de grandeurs qui a
ux. M. Benedikt a rapporté, en outre, plusieurs cas d'amnésie et un cas de manie de grandeurs qui auraient été égalemen
prétendu. D'autre part, il résulte de l'examen minu- tieux des sept cas cités, que la marche de la paralysie générale n
ROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE CONSIDÉRATIONS CLINIQUES A PROPOS D'UN CAS D'ALIÉNA- TION MENTALE INTIMEMENT LIÉE A UN ABC
D, A. Ai.1111ET, agrégé. Il y a quelque quatre ans, j'observais un cas d'alié- nation mentale qui me frappa à différen
minai- son d'une manie ; par les rapports qui existaient, dans ce cas , entre la marche et la terminaison de la folie et
é particulière de la maladie mentale ? Etions-nous en présence d'un cas de Archives, t. Xi. 9 130 PATHOLOGIE MENTALE.
oigts. A quel genre d'aliénation mentale avons-nous à faire dans ce cas ? Des troubles physiques, l'embrouillement de l
ment de l'aliénation mentale; et, d'une manière spéciale, dans le cas actuel, par l'étroite relation qui a existé entre
ifestée l'aliénation mentale de B..., et tout démontre que, dans ce cas , il existe une relation de cause à effet entre
adie aiguë, comme la fièvre typhoïde, le rhumatisme, etc. Dans le cas de B..., la cause morale à la suite de laquelle
tervenir, et comme en fouillant l'étiologie, on ne trouve dans le cas actuel aucune autre cause susceptible d'être incr
ation mentale, devons-nous démontrer directe- ment ce rôle. Dans ce cas , cette démonstration est chose facile et ressor
ingo-encéphatite. Et cependant, par l'évolution qu'a suivie dans ce cas la maladie, nous n'aurions pas dû avoir d'hésit
ntité morbide qu'il cherche à établir. Cet argument est relatif aux cas de guérison de paralysie générale rapportés par
guérison de paralysie générale rap- portés par les auteurs sont des cas de fausses para- lysies générales, ce sont des
auteurs sont des cas de fausses para- lysies générales, ce sont des cas de folie paraly- tique. . L'observation de B.
n'est pas un motif suffisant pour nous permettre de rejeter dans ce cas l'existence d'un travail inflammatoire, comme p
te ressemblance, pas plus que sur la différence qui sépare ces deux cas , relativement à la nature des rapports qui ont
z B..., ce siège est au niveau de la fosse temporale. Dans les deux cas , ce travail n'atteint que secondairement l'appa
ques maladies aiguës un rôle important dans l'étiologie de certains cas d'aliénation, les auteurs modernes sont absolum
urtout à son âge avancé; or, rien de sem- blable n'existait dans le cas de B... Et cependant nous n'avons pas hésité ch
eint. C'est que, d'une part, cette influence s'est affirmée dans ce cas d'une manière exceptionnelle, par le rapport in
mode d'action pathogénique de ces maladies, on doit, dans certains cas , invoquer leur nature, dans beaucoup d'autres,
des lésions sys- tématisées de la moelle, de fixer les yeux sur les cas dans lesquels les altérations sont complexes, e
rée des maladies du système nerveux, il fal- lait commencer par les cas les plus simples, et c'est ce que l'on a fait.
e l'adulte, etc. Chemin faisant, les observateurs recueillaient des cas plus complexes. Mais on se contentait de les no
e comme des raretés ou des anomalies. Aujourd'hui la liste de ces cas complexes s'est con- sidérablement allongée, et
dans le seul fait de l'hé- rédité, et nous verrons que beaucoup des cas d'ataxie dite héréditaire appartiennent, en réa
Pierret (1871-72)3, n° 6 de nos tableaux. Leyden4 cite un nouveau cas (u° 7) ; mais il ne tire pas encore de conclusi
°8. Prévost2 en publie une nouvelle en 1877 : n° 9. Il qualifie les cas de cet ordre de « rares, si ce n'est presque in
légers troubles de sensibilité et de vessie, etc. Il en a vu trois cas et en cite plus spécialement un dans lequel il
es; mais, à propos du tabes dorsal spasmodique, il dit' quant aux cas compliqués des symptômes de sclérose postérieur
IE NERVEUSE. laires et l'exagération des réflexes. Il y a aussi des cas où le mélange des deux types est intime et où l
ic devient douteux. On devra admettre le plus probablement dans ces cas une sclérose simultanée des cordons latéraux et
ème autopsie de Kah- ler et Pick-2 (n° 20) sans observation, et les cas de Slrûmpell3 (ti" 21, 22 et 23). En France,
re les hésitations que l'on avait encore alors à diagnostiquer un cas qui, croyons-nous, était du tabes combiné. « ..
. (Revue de mérlec.), 18S ? , 142. 164 PATHOLOGIE NERVEUSE. breux cas d'ataxie que nous avons eus sous les yeux. D'au
trépidation tout à fait sem- blable à celle qu'on observe dans des cas de lésions des faisceaux latéraux de la moelle
om-Bramwei 12 dit dans son livre : « Je voudrais bien rencontrer un cas d'ataxie locomo- trice avec propagation de la l
ce avec propagation de la lésion aux faisceaux' latéraux. Un pareil cas jetterait, je crois, une vive' lumière sur le c
du réflexe rotulien... Quel est l'état du réflexe rotulien dans un cas d'ataxie qui s'est compliqué de sclérose latéra
rbide, et ils dissocient et éparpillent sous cinq chefs, les divers cas publiés au lieu de les tous réunir (comme nous
est rien. Seule, l'observation II du 1 Ballet et Minor. Etude d'un cas de fausse sclér. <enta<. combinée de la m
ineux) avec des lésions des cordons de Burdach; mais la plupart des cas sont uniquement spasmodiques et latéraux. A c
Friedreich, on altache une importance majeure. Comme la plupart des cas de maladie de Friedreich appartiennent au tabes
ments étiologiques interviennent presque nécessairement dans chaque cas : les causes de la DU TABES COMBINÉ. 169 mala
servations, disons cepen- dant, à titre de documents que sur les 33 cas résumés dans nos tableaux, il y a vingt hommes
(n° 9) et une chute sur la tête une fois (Il' -91). Quant à nos 3 cas personnels, ils concernent des hommes et voici
, c'est que l'hiver dernier, j'ai eu la bonne fortune d'observer un cas typique d'hémianop- sie latérale, qui resta sta
ès la mort, de sorte que, à part l'intérêt purement scientifique du cas , ce fait ne peut que nous encourager à faire pe
neuse, des localisations cérébrales. Avant de donner la relation du cas que j'ai observé, je veux faire quelques remarq
le but et le plan de mon mémoire, je considérerai exclusivement les cas publiés d'hé- mianopsie, dans lesquels l'autops
s, l'important travail du D' Starr, qui donne le résumé de tous les cas d'hémianopsie publiés jusqu'en janvier )88t, le
er quarante. J'ajouterai que j'ai essayé de me procurer pour chaque cas l'observation originale, dans laquelle j'ai fai
, afin d'éviter toute espèce d'erreur, de pouvoir mieux grouper les cas et d'en apprécier plus pleinement la valeur pat
e que j'ai cherché avant tout à présenter cette riche collection de cas de façon à en faire un document d'une utilité i
puis plus d'un siècle. En 1723, Vater et Heinecke décrivaient trois cas de ce genre sous le nom de visus dhnidialus.
sultat d'une hémiopie nasale. Actuellement, dans la description des cas , on a l'habitude et il est préférable de ne pas
ision dans un hémisphère. L'objet de ce travail est d'étudier les cas suivis d'autopsie, d'hémianopsie latérale due à
que et produire ainsi l'hémia- aopsie du type périphérique (voy. le cas de Hirschberg, n° 5). 9. Les lésions des lobes
il, qui s'appuient sur quarante observations avec autopsies et cinq cas traumatiques sans autopsie, que j'ai pu recueil
rès les avoir soigneusement analysés, j'ai divisé ces quarante-cinq cas en six catégories. 1. Les cas, au nombre de qua
ysés, j'ai divisé ces quarante-cinq cas en six catégories. 1. Les cas , au nombre de quatre, où la lésion est mal déli-
par conséquent, inutiles pour l'étude de la localisation. 2. Les cas , au nombre de trois, où la lésion portait sur des
a compres- sion des fibres du nerf et du chiasma optiques. 3. Les cas , au nombre de six, dans lesquels l'hémianopsie
llé latéral ou de la couche optique, ou des deux ensemble. 4. Les cas où l'hémianopsie était due à une lésion de la s
la substance blanche du lobe occipital, au nombre de onze. 5. Les cas d'hémianopsie traumatique, due à des lésions de
e l'encéphale sous-jacent. Ceux-ci sont au nombre de cinq. 6. Les cas , au nombre de seize, où l'hémianopsie était due à
cente. Dans ce groupe, se trouve mon obser- vation. Parmi ces seize cas , il y en a quatre dans lesquels la lésion était
division que j'ai adoptée. Je donnerai cependant à part les quatre cas concluants, avec des figures permettant au lect
écier pleinement leur valeur. Mais auparavant, je veux rapporter un cas traumatique d'un intérêt extrême, en ce que l'h
7''i ? 1. Le trajet probable de la balle à trajets le cerceau dans le cas III (Keen et Xhomson) est indiqué par la portio
a relation entre la lésion et le trouble visuel n'était pas évidente. Cas mal rapportés ou · || . 1 indéterminés. -Nontbr
indéterminés. -Nontbrr : 4. |, 1 .li ! ' 1 i ' TABLEZ' 1 1 ' Cas d'hémianopsie par lésions situées principalement
ons que peut soulever l'insuffisance de l'examen anatomique dans ce cas , sont considérablement diminuées de valeur par
fait qu'il est en concordance avec nombre d'autres ; si c'était un cas contradictoire ou anormal, il aurait certaineme
lles conclusions pouvons-nous raisonna- blement déduire de tous ces cas ? 2 1. Que des lésions de la face interne des l
28, 29, il et 45. J'ai essayé de fondre ensemble les schémas des 16 cas avec lésions occipitales (en dehors des cas tra
mble les schémas des 16 cas avec lésions occipitales (en dehors des cas traumatiques) sur une même feuille de papier, p
opsie des deux yeux du côté opposé à la lésion. 7° Comme dans aucun cas il ne s'est produit d'hémianopsie ni d'amblyopi
rables aux deux théories de Munk et de Ferrier. Mais d'une part les cas les plus concluants, ceux avec les lésions cort
r Ferrier et Munk s'ex- pliquent facilement et que quelques-uns des cas de mon 6° groupe ( observations 26 et 32 ) peuv
clinique et de l'examen anatomo-pathologique. Je ne connais qu'un cas qui soit en faveur de Charcot ' tandis que les se
nais qu'un cas qui soit en faveur de Charcot ' tandis que les seize cas que je vous ai lus parlent hautement contre ell
a première) ' Petrina. In t'rayer Zcitsch. f. Heillc, Il,. p ? 9;i, Cas VIII. Voy. tableau 1. Archives, t. Xi. 14 2
dans l'hémisphère opposé à la moitié du champ visuel obscurcie. Les cas traumatiques rentrent de prime abord ou après c
ns cette catégorie ou dans le n° 6 (observation 3). Dans tous les cas compris dans les paragraphes 3 à 7 inclu- sivem
te une lésion du nerf optique, excepté, bien entendu, dans quelques cas de tumeur, où l'on doit s'attendre à trouver de
où l'on doit s'attendre à trouver de la névro-rétinite. LISTE DE cas D'FIÉ61111\0l'SIE d'origine centrale avec autopsi
. f. pract. Aztgetzheilkmzde, 1877, p. 251. 41, 1877. Jastrowitz. Cas rapporté brièvement dans son travail in llirsch
blâitei f. Augei2heilliiiiide, xx, 141, 1882. 29, 1882. Huguenin. Cas cité dans l'article de Haâb. 30, 1882, Diiesche
pour servir 1 la localisation cérébrale des troubles de la \ision. Cas iii (du service de Charcot). Archives de Neurol
sseur Chaucot, d'avoir bien voulu nous autoriser à publier ces deux cas . Nous remercions également notre excellent ami,
autres, nous relèverons les particularités que comporte le présent cas . A l'âgé de sept ans, alors que le trouble séri
à côte en se modifiant peut- être jusqu'à un certain point; en tout cas elles alternent dans leurs manifestations. La p
DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 227 sente un cas type dans lequel trois périodes principales sont
t M. le professeur Charcot en analysant la maladie de Porcen...', cas riche d'enseignement; nous pourrons appliquer ces
sur la combinaison de l'hystérie avec le 1 J.-M. Charcot. Sur deux cas de moizoplégie 6rah. hyst., etc. Prog. médical
IOLOGIE. 233 rhumatisme articulaire presque toujours aigu, dans ces cas -là, en remarquant qu'elle est plus fréquente ch
use provocatrice, qu'il peut succéder à cette éclosion là, c'est le cas de notre malade ; qu'enfin, si le rhumatisme mo
e souvent les mani- festations de l'hystérie on voit aussi quelques cas où ces mani- festations, principalement les con
même temps d'autres d'organes (olive cérébelleuse etc...); en tout cas l'extirpation totale de la moitié du cervelet e
xions indirectes avec le cerveau ? Tout est hypo- thétique. En tout cas , étant donné l'importance de la connexion en- t
ue delà perfectibilité organique du cerveau humain. « Dans les deux cas , la conscience finira, sans aucun doute, par se
qui, à sa terminai- son, correspondrait au point de départ; dans le cas contraire, nous aurons une ligne irrégulière pr
ette méthode peut être naturellement employée dans toutes sortes de cas . Je n'en envisage que quelques-uns : les enfant
rtes de combinaisons de la flexion; il fléchit le coude, et dans ce cas nous voyons se produire sur la courbe un phénom
, le malade tient l'avant-bras et la main dans la flexion. Dans des cas rares, cette tendance à la flexion survient dans
pelée à rendre. E. lancuur. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIII. UN CAS DE CHORÉE TRAITÉ AVEC SUCCÈS PAR LE BROMURE DE
ent, et dues à MM. Lorain, Desnos, Gallard et des Brûlais. Un autre cas a été rapporté par M. le DrPetrovitz2. Tout réc
er par des doses faibles, que l'on élève progres- sivement. Dans le cas actuel, nous avons fait prendre les capsules du
s dans les maladies du système moteur. Io Il n'y a alors que peu de cas , il n'y a même que certains stades de paralysie
cordon postérieur du même côté. Pas d'autopsie. P. K. XIX. SUR un cas d'affection spinale avec cécité ET paralysie géné
mande si ces autrescauses nesontpas également actives même dans les cas où l'hérédité existe et si ce n'est pas à elles p
e si on veut se borner à étudier l'influence de l'hérédité. Dans ce cas , il faut alors distinguer entre eux : les hérédit
e. 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Sébastian donne le compte rendu d'un cas de folie aiguë mortelle accompagnée de convulsi
ë mortelle ; tout diagnostic exact est du reste impossible. En tout cas , il n'en existe aucun autre semblable dans la l
on. Il serait plus correct, jusqu'à nouvel ordre, de recueillir les cas en question, et SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 d'en r
langue). M. IDELER a observé, dans le vieil asile de la ville, deux cas de délire aigu chez la femme. dans le cas de Lé
l asile de la ville, deux cas de délire aigu chez la femme. dans le cas de Lévy, constaté l'existence de sueurs visqueu
ournis que les asiles publics en observations de toutes nuances. Le cas de Lévy rappelle non un délire aigu, mais une m
ations de même ordre que l'on trouve quelques compte rendus sur des cas de folie. Il n'est cependant pas dou- teux que,
, etc. L'ad- ministration des boissons alcooliques est réservée aux cas spéciaux. Au repas ordinaire', on donne du thé
ne parait pas être très fréquente; l'auteur n'en a observé que deux cas , en près de deux ans, à la clinique du professe
ans, à la clinique du professeur Belz; il s'agissait, dans ces deux cas , d'un stade assez avancé de la maladie. L'idiot
ts imputables à un douanier sont régis par les§ 237 et 238 selon le cas , mais avec augmentation de peine. § 240. La loc
on 400 ans. Pendant la dernière révolution, il y en a eu encore des cas isolés. ' Médecine légale de lapsychiatric au J
cher cette question, on a recours devant la cour, àdes médecins les cas les plus difficiles sont soumis à une explorati
cétone dans le produit de la distillation de cette humeur) dans les cas où les malades, peu ou point fébri- citants, pr
l'état clinique variait. La conclusion est que, à l'exception d'un cas , ces réactions ne se montrent que chez des mala
) pré- senta nettement les réactions Lieben et Légal, dans tous les cas de refus conipletdpiiouri-iture, et cela dès le
connue de la pomme, exhalée par les sitiophobes, fut notée en deux cas à l'approche des malades; dans l'un de ces fait
ans l'autre, elle ne fournit que la réaction Légal. Dans le premier cas , l'urine exhalait aussi l'odeur douceâtre de la
lle de l'acétone par la prolongation de l'abstinence. Dans un autre cas , le produit de la distillation de l'urine montr
vation tout à fait isolée ; il ne reste, pour l'acétonurie, que les cas d'alimentation insuffisante. M. Loehr n'a pas t
e produise; mais le produit de la distillation offre, dans les deux cas , la même réaction. Ou bien, pour nous servir de
et la diacéturie ne doit précisément consister qu'en ceci ; dans un cas la décomposition a déjà lieu partout dans l'organ
a décomposition a déjà lieu partout dans l'organisme, dans un autre cas elle a lieu pendant la distillation. . On ignor
ganisme la ou les substances en question. IIoppe-Seyler,a, dans son cas d'intoxication par l'acide sulfurique, rencontr
lle ne se produit que plusieurs jours plus tard. Il a rencontré des cas d'affaiblissement intellectuel dont la cause ne
traumatisme. M. Loehr senior n'a enregistré dans sa pratique aucun cas de ce genre; peut-être est-ce parce qu'il s'agi
ste peut-être aucune espèce de guérison; car on rencontre, dans les cas où la guérison est produite cliniquement, des d
diffuses dans les cordons postérieurs. On peut regarder comme les cas les plus favorables ceux dans lesquels le process
de la migraine et de la céphalée chez la femme. (En allemand.) Deux cas sont rapportés dans lesquels le traitement loca
ent vit donc en paix avec le monde extérieur. En revanche, dans les cas plus défa- vorables, il faut demander à l'asile
e genre ont augmenté à l'asile d'Hildeslieim. Il en est de même des cas d'affaiblissement intellectuel et d'imbécillité.
s-énoncées explique la diminution re'ative, mais encore légère, des cas de guérison. Aperçu relatif aux améliorations i
M. Rubarth. A Westphalie, dans ces derniers temps, il y a plus de cas curables que jadis : cela tient à la gratuité de
que jadis : cela tient à la gratuité de pensions qui concernent des cas morbides récents. M. Nicol, médecin praticien à
s, et un malade affecté de paralysie spinale spasmo- dique. Dans un cas de tabes ataxique, il y avait conservation du r
Schuele et de Krafit- Ebing). « Bien que, ajoute M. Kelp, les sept cas de Norman ne représentent pas des observations
qui permet d'en éclairer la marche plus vivement que dans d'autres cas . » C'est, du reste, l'histoire des psychoses co
ès d'épilepsie ou rem- plaçant un accès ou une aura épileptique. Le cas de Kelp révèle, après la cessation de l'asthme
tions de la vue, d'une ressemblance frappante avec les accidents du cas de Griesinger (névralgie de la cinquième paire).
.3 '. Discussion ; M. HITZIG. iN'a-t-on pas trouvé, dans les deux cas en question, de troubles de la parole ? M. 11
de à l'anode, ou une onde rétrograde comme il s'en produit dans les cas d'hyperoxcitabilité mécanique anormale des musc
les autres comptent de quarante à quarante- cinq ans. Dans tous les cas on a trouvé des anomalies du crâne, un état tro
es pyramides, en a ravagé partiellement les noyaux. Dans les quatre cas , atro- phie du nerf optique, dégénérescence gri
ivis de graves accidents cérébrospinaux, survenus dans le pre- mier cas , la suite d'une psychose fonctionnelle ayant duré
ANTES. précoces. L'évolution ultérieure fut caractérisée ; en trois cas , par du tabès ; en un cas, par un foyer sis dan
on ultérieure fut caractérisée ; en trois cas, par du tabès ; en un cas , par un foyer sis dans la moelle allongée (ment
écoce se manifeste par des accès d'épilepsie et d'aphasie. Dans les cas où des processus diffus de l'écorce -aboutissen
t-il de la distinguer de la paralysie générale et, notam- ment, des cas dans lesquels, les symptômes cérébraux se précé
s spéciale àlapara- lysie générale, car Tuczek l'a signalée dans un cas de démence sénile indéniable, ce qui prouve que
de valeur que si on les caractérise avec netteté. De plus, dans les cas décorés à tort de paralysie générale, il est fr
, ils font totalement défaut, et l'évolution en est tout autre. Ces cas sont donc à séparer de la paralysie générale cl
orité des paralytiques généraux; et, d'après Fuerstner, ce sont les cas où le tabès se combine à la paralysie générale.
, dès la période foetale, il a pu atteindre un développement élevé ( cas d'Hartdegen '), il peut exister dans l'enfance
oppement élevé (cas d'Hartdegen '), il peut exister dans l'enfance ( cas de Bourneville, Brueckner, Pol- lak 2). Les ano
se des cordons postérieurs. Il faut principalement tenir compte des cas dans lesquels l'individu a, dans son enfance; p
es formes « de démences; un établissement destiné au traitement des cas « aigus ne saurait naturellement fournir les ma
ern). Sur la paralysie saturnine. Com- munication provisoire sur un cas de paralysie saturnine avec atrophie, chez un h
fidèles. Cependant, qu'on veuille bien remarquer que, dans tous les cas de paralysie générale examinés par lui, (au nom
si, par exemple, les altérations ne prédominent pas, en tel ou tel cas , sur l'écorce du territoire moteur, sur celle des
tre encore décelé d'autres traces d'anêts de développement. En tout cas , si l'atrophie des fibres intracorticales du ce
t de des iii 1 e,jul)t ioii s de la conscience. L'orateur étudie un cas de manie transitoire marquée par une évolution
les erreurs alors que la guérison a eu lieu; nouvel exemple dans un cas d'interruption de la con- naissance remontant à
rsécution, sans qu'il y ait terrain alcoolique. M. Feurstner. Les cas de Beumler sont dûs à de l'anémie avec hallucin
se rapportent a des affections épileptoïdes. M. TuczEK. Dans mon cas , il y a eu un accès isolé, conséquence directe
hallucinations sensorielles. M. Schuele. Krafft-Ebing, parmi les cas du même genre, ne produit sous la dénomination
Tuczelc que ceux qui ont récidivé. M. 1'ucze. Schwartzer cite des cas qui ont évolué sans récidive; Krafft-Ebinb agit
au- teur a étudié de près le rhythme des tremblements dans quatre cas de paralysie agitante chez des individus de soixa
aturément chez les individus atteints de débilité mentale, dans les cas de traumatisme, chez des êtres impubères. Qua
tremens lui-même, les formes mixtes en sont plus fréquentes que les cas tout à fait purs. Voici quelques exemples princ
delirium tremens se montre immédiatement après l'excès, mais aucun cas soumis à un examen complet ne démontre pareille
ue les autres phénomènes ont disparu, quoique dans la pluralité des cas , elles s'évanouissent à leur tour. Il peut s'y
pontané de Witkowski; Magnan (1874) et de Speyr(1882) décrivent des cas de ce genre elles modalités de passage au delir
uvelle cons- truction d'un bâtiment d'isolement, nécessaire dans le cas où une maladie infectieuse se déclarerait; on a
pour malades. Dans le courant de l'année on a vu naître de nombreux cas d'érysipèle souvent graves. On a pu oc- cuper a
A L'ÉTUDE DE LA NÉVRITE SEG.IENTAIRE (altérations DES NERFS dans un cas DE paralysie diphthéritique) ; Par MM. A. PITRE
ds du précédent. « Contrairement, dit-il, à ce qui se passe dans le cas de la section d'un nerf, 1 Gombault. Contributi
première description, P. Meyer seul a signalé son existence dans un cas de paralysie diphthé- ritique '. Au cours de
eu l'occasion d'observer des faits analogues lorsque l'examen d'un cas de paralysie diphthéritique généralisée nous a
GMENTAIRE. 349 ambrée où se rencontrent des noyaux ovoïdes. Dans ce cas également, les recherches les plus attentives n
II). Le cylindre-axe n'y est pas mieux reconnaissable que dans les cas précédents. Dans une autre forme de l'altératio
ou les amas de myéline, soit dans les seg- ments atrophiés. Dans ce cas encore, aux portions altérées font suite des se
des tubes dégénérés sur toute leur longueur. Or, tel n'est point le cas ; les formes de la lésion sont identiques de par
ette coexistence a été signalée par M. Gombault dans les différents cas qu'il a étudiés, et par P. Meyer dans la paraly
mble rationnelle, elle n'est peut-être pas applicable' a tous les cas . Nous avons eu, en effet, l'occasion d'observer
les divers degrés de l'altération et dans l'immense majorité des cas , sauf pour le cas particulier de la diphthérie, i
l n'y aura aucun mouvement visible malgré tous les efforts; dans ce cas , je crois qu'il est bien sûr que ce n'est pas l
ce n'est pas le « centre d'inhibition » qui est en action. Dans ce cas , c'est aisé d'entrevoir la cause de l'empêcheme
ensité d'inhibition détermine seule la grandeur de l'effet. Dans ce cas , on peut faci- lement comprendre que l'irritati
é que pour un moment, et tout de suite il se contracta un peu. Ce cas , je crois, a eu lieu alors quand le centre, dans
ve en sommeil léthargique peut, au moins dans une grande partie des cas , se tenir debout ou assis, dans la position en
ici touchant les phénomènes des réflexes tendineux. Même dans les cas où l'exagération de ce symptôme est très pro- .
réaction reste persévérante. Il arrive bien quelquefois, dans les cas où la fonc- tion réflexe de la moelle épinière
i dans un muscle qui n'était pas directement irrité; mais, dans ces cas , cette propagation de l'irritation se fait selo
- nistes, les muscles contractés se relâchent; au con- traire, en cas de vraie exagération de cette activité, toute i
circonstances normales, l'une et l'autre voie est ouverte; dans des cas pathologiques, l'arc du deuxième ordre peut êtr
ordination plus ou moins accentués existent dans les deux tiers des cas (22 sur 33). Dans -13 cas (nos 1, 2, 6, 9, 10
entués existent dans les deux tiers des cas (22 sur 33). Dans -13 cas (nos 1, 2, 6, 9, 10, 11, 13, 15, 17, 18, 19, 32
egré, soit dans les quatre membres, soit dans deux. Dans 8 autres cas (no' 3, 4, 5, 7, 12, 23, 29 et 30), le phénomèn
luence de l'occlusion des yeux est expressé- ment indiquée dans six cas (il" 1, 4, 15, 24, 28 et 33). Enfin, dans 11 ca
indiquée dans six cas (il" 1, 4, 15, 24, 28 et 33). Enfin, dans 11 cas (il" 8, 14, 16, 20, 21, 22, 24, 25, 26, 27 et 3
ômes douloureux sont notés sous des formes diverses, dans 19 des 33 cas . Dans 10 observations (nos 1, 2, 14, 16, 19, 23
pression circulaire, gastralgiques, dans les lombes, etc. Dans 14 cas (n08 4, 5, 7, 8, 10, 11,12, 20, 22, 24, 27, 28,
loureux n'a été inscrit dans l'observation. En rapprochant les 11 cas négatifs pour l'incoordi- nation et les 14 cas
n rapprochant les 11 cas négatifs pour l'incoordi- nation et les 14 cas négatifs pour les douleurs, on voit qu'il en re
eu aucun phénomène d'incoordination ou de sensibilité. Sur les 26 cas positifs à ce dernier point de vue, l'anesthési
lopie, paralysie oculaire, amblyopie, cécité) ont été notés dans 13 cas (u"8 3, 7, 9, il, 12, 13, 16, 17, 19, 21, 24, 2
, 13, 14, 16, 18, 19, 21, 25, 26 6 et 32). Enfin seulement dans 3 cas (11" 6, 8 et 20) on n'a signalé aucun des sympt
ion clinique. Nous pouvons donc dire, en somme, que dans tous les cas réunis dans nos tableaux, on a noté quelque phé
étiques et surtout les phénomènes d'excitation motrice. 1. Dans 3 cas seulement (11" 20, 23 et 31), dont celui de Kah
ervation, on n'a pas noté d'affaiblissement moteur. Dans 3 autres cas (nous 17, 25 et 30), les troubles moteurs sont
énomène du pied, la démarche spas- tique ou des convulsions dans 26 cas sur 33. Sur les 7 autres cas, un (n° 20) n'a pa
as- tique ou des convulsions dans 26 cas sur 33. Sur les 7 autres cas , un (n° 20) n'a pas d'observa- tion, un autre (
evé statistique un peu aride me paraît très claire. Dans tous les cas relatés sur nos tableaux on a noté quelque symp
bleaux on a noté quelque symptôme du tabes ataxique ; dans tous les cas , sauf un, on a noté quelque symptôme du tabes s
pasmo- dique. On peut donc dire, déjà de par la clinique, que ces cas appartiennent à un type spécial, qui n'est ni le
des réflexes rotuliens n'est pas expressément indiqué, soit que ces cas fus- sent antérieurs au travail de Westphal sur
signe dans le tabes, soit pour toute autre cause. Sur les 19 autres cas , l'abolition est signalée dans 12 (noe 10, 13,
derniers, il y avait exagération, mais à des degrés divers. Dans un cas (n° 21) les réflexes sont indiqués comme « cons
que l'abolition est beau- coup plus fréquente que l'exagération (12 cas sur 19) et même dans les 7 cas avec exagération
plus fréquente que l'exagération (12 cas sur 19) et même dans les 7 cas avec exagération, ce symp- tôme n'a un degré co
'oeil nu, et nous pouvons remarquer en passant, que, comme dans les cas déjà relatés par les auteurs, cette intégrité c
pensons pouvoir admettre : - - 1" Qu'il existe un certain nombre de cas d'épilepsie essen- tielle ou symptomatique acco
es cornes occipitales des ventri- cules latéraux; 2° Que dans ces cas les convulsions cloniques sont propor- tionnell
r cela de prendre les précautions convenables et, dans le choix des cas et le mode d'application, de se laisser guider
se laisser guider par le vulgaire bon -sens. * R. 11. C. XXI. Un cas DE tumeur endothéliale DE la DURE-MÈRE : Paralysi
. W. MAC DOWALL. (Tlze Journal of Mental Science, avril 1884.) Le cas est celui d'un homme de quarante-huit ans qui ava
1 à 4 centigrammes. G. D. - XXIII. Epilepsie J.1CK50NIENNEDANS un cas DE LÉSION sous-corticale : par L. Bouveret et M
au pyramidal au niveau du foyer de ramollissement. G. D. XXIV. Un cas de congestion cérébrale POPLECTIRORME ou d'apople
l'hyperémie, il se recou- .Hait impuissant à la préciser. ' - Un cas de ce genre doit suggérer quelques réflexions au
suite à ses observations person- nelles sur les paralysies légères ( Cas . I et II), il constate que les phénomènes tendi
ratives graves, d'ori- gine névritique ou poliomyélitique. Dans les cas de paralysie grave, atrophique, à lésion intens
ysie grave, atrophique, à lésion intense du nerf ou de la moelle ( Cas . III), la-réaction dégénérative se transforme, lo
action dégénérative du système musculaire correspondant que dans le cas de lésion spinale, et, avant tout, comme nous l'a
ion spinale, et, avant tout, comme nous l'avons cons- taté, dans le cas de sclérose latérale amyotrophique. 2- La persis-
liomyélite) ou périphérique (névrite) ; cette absence survit, dans le cas de retour à la normale, longtemps à la réaction
ébrale varie involontaire- ment, par conséquent on ne saurait faire cas de quelques degrés ou centi- mètres dans l'ampl
centrales, le genre de courants à employer. P. K. XXVIII. SUR UN cas DE DESTRUCTION DU LOBE temporal gauche par UN N
riphérique). L'auteur avoue que le choix du genre de courants en un cas donné est loin d'être toujours aussi facile. P.
s en un cas donné est loin d'être toujours aussi facile. P. K. UV cas D'ANGIOS\RCOME central DE la moelle ; par G. GLAS
ux planches à l'appui. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XI. Un cas DE perversion sexuelle chez un homme; par G.-H.
au contraire, que l'on n'ait recours à la voie rectale que dans les cas exceptionnels où cette voie est la seule,qui re
te voie est la seule,qui reste ouverte à la nutrition. Il mdiquejes cas où l'on est réduit à ce moyen de conserver la v
er des stimu- lants diffusibles. Enfin, l'auteur rapporte plusieurs cas de collapsus dans lesquels l'administration de
« ne le suppose communément. Bien que je ne puisse citer aucun « cas où le diagnostic et le traitement d'une affection
nse que l'on n'en sera pas étonné si l'on songe que le « nombre des cas récents de folie que j'ai pu étudier a été beau-
is souhaité; or, il est bien évident « que c'est seulement dans les cas récents que l'on peut espérer « des succès de c
ue l'on peut espérer « des succès de ce genre. Toutefois, parmi les cas mentionnés « dans les tableaux ou commentés dan
ne pas admettre, comme très probable, qu'il doit se présenter « des cas dans lesquels, faute d'avoir reconnu une affectio
e des résultats d'une « réelle valeur pratique. » R. M. C. XV. UN CAS ATTRIBUÉ A LA MANIE AIGUË, TERMINÉ PAR LA MORT AP
s constatations faites à l'autopsie ne permet- tent de rattacher ce cas à aucune autre catégorie pathologique qu'à la p
de manie aiguë terminé promptement par la mort. R. M. C. XVI. UN cas DE FOLIE consécutive A UN traumatisme DE la 1tète
mois de séjour à l'asile, il sort guéri. Il. 11. C. XVII. Quatre cas DE MÉHXCOUEDANS une seule famille; par Joseph W
Journal of Mental Science. Jamier 1885). Considérés isolément, ces cas qui ne s'écartent pas du type classique de la m
es suggestions utiles. R. M. C. XX. Sur L\ pathologie DE certains cas DE « 21EL : INCFIOL1.1ATT0NITAu » ou démence ai
intérieurs plus nombreux, en étudiant d'autre part avec soin deux cas de démence aiguë qui se sont terminés par la mort
muler les conclusions suivantes : - 1" De l'ensemble mal défini des cas que l'on désigne habituelle- ment sous le nom d
s inductions sont actuelle- ment basées sur un trop petit nombre de cas pour devenir défini- tivement valables; mais la
nt valables; mais la terminaison parla mort est assez rare dans les cas de ce genre pour qu'il ait cru intéressant de rel
« mique du sang est incontestablement, dans un grand nombre de « cas , intimement lié aux maladies mentales. « 2° Le
ité du sang et la « guérison mentale. « 110 11 y a, dans tous les cas , une amélioration bien nette « dans l'état du s
r et qui- « nine; c)fer seul; d) extrait de malt. « 430. Dans les cas observés, l'arsenic s'est montré peu utile « co
rison mentale, les conditions opposées que l'on observe dans les « cas de démence incurable et persistante, l'améliorati
itions intérieures permet- tant la rapide évacuation des malades en cas de danger. - - R. M. C. ' Archives, t. XI. 28
es de malades, sont directement en rapport avec la curabilité des cas qui y figurent. 4° Ces résultats, bien que basé
ie, soit, plus fréquemment de la ma- nie aiguë; celle-ci, en pareil cas , se rapproche souvent par la nature du délire,
pement de la folie avec hallucinations. R. M. C. XXV. Note SUR UN cas DE maladie D'ADMSON associée A la FOLIE; par S.
bservation des deux soeurs est relatée avec détail. R. M. C. XXVII. Cas DE MEURTRE durant UN accès DE FOLIE temporaire pr
de se traduire par une convulsion physique. a R. M. C. XXVIII. LE cas Hawranek : par F. SCHLANGENH-1USEN (Allg. Zeitsch
ent par d'autres, leur association à des caractères hétérogènes (6. cas ). A des degrés plus avancés, il devient diffici
icile ou à peine possible de reconnaître beaucoup de mots écrits (2 cas ). Aux degrés extrêmes, tous les mots sont défig
ui a écrit est incapable de se relire. L'auteur donne d'abord trois cas dans lesquels les malades estropient de diverse
M. Tripier en faveur de la déviation du rhythme cardiaque dans les cas de pouls lent associé à l'épilepsie. La constat
que (Archiv f. Psych., VIII, 2). Si ces procédés sont insuffisants ( cas les plus graves), on galvanise le sympathique -
: ou non (anode dans la fosse auriculo-maxillaire) et même dans les cas de lésion organique (cathode dans la région préci
A FACE; par M. BERN- HARDT (Arch. f. Psych., XV 3). ' Dans quatre cas del'auteur, dont le présent mémoire contient une
ion. D'après Bern- hardt, la science contient actuellement dix-sept cas d'élongation du facial pour tic convulsif, qui
pour tic convulsif, qui se décomposent en une guérison persistante ( cas de Southam) deux résultats incertains (cas de S
ne guérison persistante (cas de Southam) deux résultats incertains ( cas de Southam et de Gray) deux résultats partiels
ion. P. K. III. Injection hypodermique DE nitrite d'amyle dans UN cas DE LOMBAGO ; CONVULSIONS EPILEPTIFORMES CONSÉCU
la peau de personnes saines aux doses de 0,005 à 0,02 ; dans trois cas , il a invariable- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 443
rvation à l'appui). A l'intérieur, 0,02 à 0,05 entraînèrent en deux cas sur cinq, une obnubilation de la vue avec hébét
et 92 administrations internes, on réussit dans le cin- quième des cas relatifs aux premières, et quatorze fois sur les
un effet curatif permanent car son emploi prolongé a dans plusieurs cas imprimé une évolu- tion favorable à des cas de
olongé a dans plusieurs cas imprimé une évolu- tion favorable à des cas de lypémanie et de stupidité restés sta- tionna
prend que ce résultat peut être atteint dans « un certain nombre de cas , par la galvanisation directe de la « tête et d
ux afférents sur lesquels cet équilibre « repose en partie. Dans ce cas , la galvanisation rachidienne, et la « faradisa
nt tonique et un excitant de la nutrition générale; « dans quelques cas aussi, l'emploi judicieux de l'électricité est
que M. de Watteville se croie actuellement autorisé à préciser les cas où cette méthode peut se montrer particulièreme
prudence. Enfin, il est permis de prévoir que ce n'est pas dans les cas anciens et confirmés que l'électricité rendra s
de l'illu- sion des sens montre bien cette complexité; car, dans ce cas -là, la sensation reste ce qu'elle doit être, ma
ailleurs, parmi ses nombreuses observations, l'auteur ne cite aucun cas de suicide accompli par des sujets dont l'état
uicide imposé; 2° un suicide simultané (le seul exemple cité est un cas de folie gémel- laire) ; 3° un suicide coanmuni
u très vagues qui ne sont souvent que des « faits divers ». En tout cas les quelques observations détaillées qu'on trouve
sont ordinairement conservés dans les plaques de sclérose. Dans les cas où leur intégrité n'est pas complète, il se dév
ter une 458 BIBLIOGRAPHIE. évolution aiguë; on peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la scléros
itement par le sul- fate de quinine n'est pas applicable à tous les cas . » Nous le croyons volontiers, mais on aurait p
lcooliques (délire des) par Wit- kowski, 317. Aliénation mentale ( cas d') intime- ment liée a un abcès s'ouvrant pa
tement des atlectious meutales, par Voisin, 263, 446. Suicide ( cas de), 92 : suicide à deux, par Chpolianski, 454.
, par Adamkiewicz, 988; (cura- bilité du), par Eulenburg, 989; ( cas de,, par Nicol, 296; - ( '-et syphilis), par Be
53 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peut-être pas un seul trouble fonctionnel qu'on n'ait dans certains cas rapporté à tort ou à raison à cette névrose. -
celle qui a été notée dans les DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 17 deux cas de monoplégie hystérique rapportés par M. Charc
qu'il a eue 1 Progrès Médical, 1885, nos 34, 37, 39, 40. Sur deux, cas de monoplégie brachiale hystérique de cause tra
à cité, rapprochent de leur obser- vation personnelle plusieurs des cas publiés, et con- cluent que tous ces faits doiv
. Le premier type comprend des scléroses diffuses; le second, des cas d'ataxie locomotrice dans lesquels la lésion at
s latéraux, fout partie du système cen- tripète ; le troisième, des cas d'ataxie locomotrice dans lesquels la lésion pr
dent non, détruisent l'unité de cette maladie et en éparpillent les cas dans des groupes disparates. Sur ce point, je
lésion, diffuse en avant, systématisée en arrière. On a cité des cas de lésion diffuse dans le cerveau et de lésion
logie pathologique générale de la maladie, il faudrait, dans chaque cas , mettre en rapport la topographie particulière
opographie particulière de la lésion avec les symptômes spéciaux du cas . Ce serait fort intéressant, mais cela nous ent
réflexes rotuliens est au contraire un symptôme qui, dans certains cas , aura une très grande importance pour le diagno
tre impossible. Cependant il y a des signes qui, dans beaucoup de cas , permettront un diagnostic. 38 PATHOLOGIE NERVE
plutôt des jalons, des indications qui serviront dans beaucoup de cas , et surtout quand on pourra suivre le malade as
trompera encore souvent et qu'on pourra confondre, dans beaucoup de cas , la sclérose en plaques avec le tabes combiné c
ou mieux de sodium, chlorure d'or et de sodium, etc., suivant les cas . Il en est de même des indications tirées de l'
les observations plus haut. Si on l'emploie, ce devra être, en tout cas , toujours avec une extrême prudence. Les couran
tions personnelles, résumées plus haut, et surtout les trente-trois cas (suivis d'autopsie) qui figurent dans nos table
syndrome n'est nullement caractérisé par son étiologie. Beaucoup de cas de maladie de Friedreich doivent être rangés so
n constitue donc une myélite mixte. Il y a aussi dans beaucoup de cas des lésions méso- céphaliques, céphaliques ou m
nmarks, et dans le Progrès médical (20 février 1886) le résumé d'un cas de sclérose combinée présenté à la Société anat
GIE NERVEUSE. ou bien la faculté de comparaison manque-le premier cas est le manque de mémoire, le deuxième le dé- fa
en ren- contre des exemples bien marqués dans l'hystérie, et ces cas ont une grande importance dans la médecine léga
it par des passes sur le' visage l'hémi-catalepsie, mais dans trois cas elle se présentait au côté opposé des passes, d
ans trois cas elle se présentait au côté opposé des passes, dans un cas du même côté. Touchant ces cas, Heidenhain et G
au côté opposé des passes, dans un cas du même côté. Touchant ces cas , Heidenhain et Grùtrner font remarquer qu'on n'
e hypothèse, je ne pourrais pas les comprendre^ Et, dans d'autres cas , cette explication donne des résultats plus con
ication donne des résultats plus contradictoires encore : dans deux cas , en irritant lé côté droit cette irritation fut
té droit cette irritation fut suivie dé l'aphasie; dans deux autres cas , l'aphasie accompagnait l'irritation du côté ga
auto-suggestion dans le somnambulisme provoqué. « Il s'agit dans ce cas , disons-nous, d'une hémorragie qui s'est produi
de, sensations antérieurement emmagasinées. » A vrai dire,' dans ce cas , l'expression d'auto-suggestion dans le sens pr
comme siège de la suggestion. Il n'est pas douteux que, dans notre cas , l'apparition des hémorragies cutanées ait lieu
ériorisation de souvenirs emmagasinés. Il semble y avoir eu dans ce cas une sorte d'auto-suggestion véritable. Nous ins
s, i 884.) On trouve dans ce travail outre la relation de plusieurs cas de paralysie faciale empruntés à différents aut
affection suivie d'autopsie, personnelle à l'auteur. Comme dans les cas analogues, la lésion occupait la circonvolution
ers inférieur le centre des mouvements de la face. G. D. VIII. UN cas d'hémianesthésie DE cause cérébrale avec MOUVEMEN
ons de fièvre calarrbale accompasnées d'encéphalite et même dans un cas de méningite suppurée. X. DE LA MÉNINGITE 'fUI3
cueillie par M. PAUL Berthod. (Gaz. m(M. de Paris, 4884.1 XI. Deux cas de lésion cérébrale; par le Dr A. Brousse, chef d
l'arthrite déformante, les varices des membres, etc... G. D. XIV. Cas DE méningite cérébro-spinale chronique; par ? H.
peut être guérie par la guérison de la lésion initiale. Il a trois cas d'épilepsie traumatique person- nels : le premi
ant. Plus tard, les lésions étaient devenues définitives. Le second cas relate une chute sur le côté gauche de la tête,
ec dépression. Pas de nouvelles postérieures de la malade. Un autre cas , soigneusement examiné, était celui d'un homme
avait fait, avant l'âge de trois ans, une chute de cheval. Dans ce cas , comme le montre l'opération, un fragment osseu
1851), Séville (18p3), Teruel (1864). Valence (1869). P.K. IV. UN cas de porencépualie avec idiotie ET RIGIDITÉ spasmod
risent son exécution; 4° qu'il peut encore y avoir suicide dans les cas de dépression brusque, momen- archives, t. XII.
nce dès la quatrième semaine. Deux morts parmi les aliénés; en un cas , il s'agissait d'un dément de quarante-deux ans (
réfraction, son accommodation, son fond d'oeil, afin d'éliminer les cas dou- teux, et de remédier aux perturbations dio
s avancés en âge alors même qu'ils ne s'exercentplus. P. K. X. UN cas DE FOLIE ayant DURÉ SEPT ANS : traitement par L'É
ALEX. ROBERTSON. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) Ce cas est celui d'une femme de cinquante ans, atteinte
erminer la classifi- a cation. - 3° Cette exaltation, dans certains cas , ne présente « aucun caractère qui puisse la fa
celle de la pa- « ralysie générale. Il arrive aussi, dans quelques cas , que lessignes « physiques des deux affections
c constances se rapportant à la maladie; et même, dans quelques « cas rares, l'étude de la marche de la maladie peut se
« très peu de chose, pour les faire disparaître. 1> R. M. C. UN cas DE folie circulaire; par HERBERT PACKFR. (The J
s démêlés des fous circulaires avec la justice. R. M. C. XIII. UN cas DE manie aiguë s'accompagnant D'UNE affection qua
il a pu constater l'existence de symptômes mentaux. Dans ces quatre cas , les troubles intellectuels étaient caractérisés
ante en raison du très jeune âge du sujet; on sait en effet que les cas de manie aiguë REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 71
eux aliénés et internés dans un asile. R. M. C. XVI. Sur quelques CaS DE paralysie générale avec sclérose latérale de
daire, ascendante ou descendante. L'auteur pense que, dans certains cas , les altérations sont d'origine primitivement m
t dans ses résultats. R. 11. C. XIX. Guérisons inattendues : deux cas ; par le U Willeit. (The Journal of Mental Scie
lleit. (The Journal of Mental Science, juillet 1 R8 L) Le premier cas est celui d'un ecclésiastique de trente ans. qui,
out d'un an, il put quitter l'asile complètement guéri. Le second cas est celui d'un homme de vingt ans, présentant les
greffées sur un état d'imbécillité déjà ancien. R. M. C. XXI. UN cas de paralysie générale avec P.ICÜYMÉNINGIT1 : : pa
siège de mouvemenls choréiques. Cela étant, on pense de suite à un cas ordinaire de chorée post-hémiplégique, tels que
ne s'accompagnait d'aucune rigidité tonique : il faut donc rayer ce cas de la catégorie des mouvements choréi- formes c
oisines de la capsule. On ne peut pas davantage le ranger parmi les cas décrits par Gowers sous le nom d'hémi-ataxie, le
taché à l'atrophie des lobes frontaux; il rangerait volon- tiers le cas actuel parmi ceux qui viennent à l'appui de cette
arents ou d'amis) : le tableau suivant montre que la proportion des cas dus à cette cause est très uniforme, qu'elle es
tres malades qui sont susceptibles de guérison. R. M. C. XXVI. Un cas DE démence avec aphasie. ATROPIIIE(uvecsclérose7)
ccompagne une planche intéressante. R. M. C. XX VIII. Note sur un cas DE folie impulsive; par Richard UREESE. (The Jo
Richard UREESE. (The Journal of Mental Science, octobre 1883.) Le cas rapporté par M. Greene ne s'écarte guère du type
rien laissé à désirer depuis plus de deux ans. Peut-être, dans les cas de psychopathie inquiétants, serait-il bon de p
a méthode antiseptique, lasuppura- tion provoquée. P. K. XXXI. UN cas DE prolifération DE l'épendyme, avec sclérose sou
CHIQUES; par J. PERETTI. (Arch. f. Psych., XVI, 2.) Sur vingt-trois cas de grossesse chez les aliénées, quinze obser- v
engendrée au cours d'une psychose curable : dans la pluralité des cas , l'état de gravidité exerce une influence défavor
ine généralement par la démence; la démence frappe surtout dans les cas d'évolution compliquée ou d'état mixte ainsi qu
faudrait donc rayer du langage le terme d'idée fixe, même dans les cas de conceptions irrésistibles, de folies systéma
un nerf ou du centre sous-cor- tical lui-même). P. K. XXXVIII. Un cas DE folie aiguë MORTELLE avec CONVULSIONS locali
te impul- 86 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. sion est, dans bien des cas , altribuable à d'autres causes qu'à la recherch
façon à posséder un ensemble d'observationssur l'hérédité directe ( cas le plus sim- ple) appuyées sur des documents pe
ont d'autantplus accentués, que l'on a principalement affaire à des cas dans lesquels l'ascendant a été atteint de psycho
ou diabète, choléine, urémie, goutte, rhumatisme, déchets dans les cas de dyspepsies, dans les maladies de la respirat
ions attentatoires à la morale et à la vie des semblables ; dans ce cas , il y a transmission héréditaire, soit que les pa
tion de ces communications antérieures*. Il persiste à dire que les cas dans lequel l'alimentation forcée est indispensab
l'orifice ; on constatait des pulsations dans les artères ; dans un cas . on a pu les voir même dans les veines. Dans l'
ce nous le communiquait, et l'on prenait le tracé. Quoique, dans ce cas , tous les autres effets de l'amylnitrite surve-
ésie. Le malade avait aussi une aphasie motrice, et, comme c'est le cas dans ces maladies, il était d'humeur variable;
rendre des services considérables. Dans ces recherches, sauf les cas où l'amylnitrite n'a produit aucun effet, nous
ent avec rapidité sous l'influence de ce corps. IR.1CLIDY. II. Un cas DE trépanation du crâne pour épilepsie; par A. ER
circula- tion podalique (pinceau électrique), produit du sommeil (2 cas de paralysie générale). P. K. VII. Traitement
etc.). Les courants continus ont particulièrement réussi dans cinq cas de mélancolie; sous leur action, les sensations a
nt disparu et la maladie a guéri en 11, 14, 18, 49, 30 jours. Trois cas de mélancolie stupide ont guéri sous l'influenc
tement pendant deux, trois, voire six mois (1879-1885.) P. K. IX. Cas DE paralysie DE LANDRY guérie par L'ERGOTINF pa
résulterait-elle pas de troubles vaso-moteurs ? P. K. X. Encore UN cas DE paralysie par INJECTION sous-cutanée d'éther;
'ailleurs rapporté que (The Medic. Record, t. XXVI, 15-18), dans un cas de foyer hémorrhagique ancien, limité, dans la pr
Séance du 9 mars 1883. Présidence DE il. WESTPHAL. M. II%DLICII. Un cas de tétanos céphalique. Jeune garçon de deux ans
rrespondants. Guérison com- plète vers la fin d'août. Or, sur seize cas de tétanos céphalique connus jusqu'ici, on rele
aralysie péri- phérique ? Ce n'est d'ailleurs pas constant dans les cas qu'il a fournis à GüLerbock; il y avait paralys
M. BERNHAItDT a publié, dans le Zeitschr. f. Klin. med., VU, 4, un cas dans lequel, malgré l'existence d'une paralysie f
er, Gnauck a fait une communication sur ce point 1. Voici plusieurs cas nouveaux de sclérose en plaques, avec névrite o
s'agit d'une simple dé- coloration de la papille. M UHTHOFF. Les cas présents ne donnent lieu à aucune espèce de con
rologie, XL, p. 80 et 83, et Progrès médical, 1885. A propos de six cas d'hystérie chez l'homme. '1\1. Oppenheim a publ
t-il sous roche une lésion organique ? Réponse dubitative ; en tout cas , il s'agit non d'une hystérie, mais d'une névro
'épicanthus congénitale et l'ophthalmoplégie 3. M. WESTPHAL. Sur un cas remarquable de paralysie périodique des quatre
ne d'ordinaire l'excitation électrique. M. Jastrowitz communique un cas semblable. Séance du 13 juillet 4 885. Présiden
e du 13 juillet 4 885. Présidence DE M. WESTPHAL. M. LILIBVFELD. Un cas de névrite multiloculaire chez un alcoolique, r
core est-elle relativement faible. Discussion : M. REMAE. Dans le cas qu'il a communiqué à la dernière séance, il y a
chez les aliénés non paralytiques, chez les tabétiques ou dans les cas de lésion céré- brale, est tout au plus de 1,4
assagère pendant trente heures. Sur deux cent quatre-vingt-dix-huit cas de folie systéma- tique, quatre malades étaient
tiques généraux; inertie pupillaire à la lumière en quarante quatre cas , soit 54 3 p. 100. Chez les autres aliénées, di
uarante quatre cas, soit 54 3 p. 100. Chez les autres aliénées, dix cas d'inertie pupillaire portant sur trois démences
le ophthalmiques, il a vu deux fois de l'inertie pupillaire dans le cas d'arrêt de formation congénitale de l'écran iri
dans ses recherches ? Comment se présentait le phénomène dans le cas des pupilles inégales ? Quel était l'âge des indi
l était l'âge des individus examinés ? M. MOELI. Dans 10 p. 100 des cas qui lui appartiennent, il y avait des ditrérenc
ne sont pas affectés de mouvements choréiques. Syphilis spinale (un cas ), immobilité de la corde vocale gauche, près de
influence des onctions mer- curielles. - Paralysie saturnine : six cas sans altération ; un cas caractérisé par une pa
er- curielles. - Paralysie saturnine : six cas sans altération ; un cas caractérisé par une paralysie de la corde vocal
es vocales et de la parésie des adducteurs. Tumeur cérébrale : un cas de gliosarcome du corps strié et du lobe temporal
(généralement à gauche, de même que pour le reste du corps ; en un cas , inversion de l'action des cordes vocales qui se
a phonation, elles s'écartent très largement. Railway- spine : deux cas ; anesthésie très étendue de la peau et de la mu-
'endroits irrégulièrement disposés. Pseudo- paralysie bulbaire ; un cas ;-l'autopsie démontra plusieurs foyers disséminé
ement paralysée, de même que les extrémités de ce côté. Aphasie : 4 cas , un des malades observé pendant cinq semaines p
ure due, d'après les expériences de Krause, dans un grand nombre de cas , à une contracture spasmodique des adducteurs d
- cutive à une lésion du noau du laryngé supérieur. Dans un autre cas , la dyspnée se montrait subite en pleine rue, et
e contracture bilatérale des adducteurs. - Tabès : sur trente-trois cas de trouble fonctionnel grossier, l'orateur à ob
on (comparaison avec le nystagmus ataxique de Friedreich). En trois cas de crises laryngées chez des tabétiques, l'orat
constaté des phénomènes d'excitation spéciaux du larynx; en chaque cas , il existait une contracture bilatérale des add
nt par intervalles, tout à fait après le badigeonnage à la cocaïne ( cas de la clinique de Gerhardt). Si l'on rapproche l'
de déchet congénital de certains territoires de la moelle. (Voy. le cas de liemak : spina bilida chez un enfant.) M.
artielle du noyau du nerf vago-accessoire, acceptable dans certains cas , n'explique ni la soudaineté de la contracture
a névrite multi- loculaire. - Préparation à l'appui. Il s'agit d'un cas de paralysie atrophique des extrémités inférieu
aussi des symptômes qui indiquent une lésion centrale, et, dans un cas donné, il est difficile d'exclure ou de diagnos
très nettement des foyers anciens. Ce qui est remar- quable dans le cas d'Oppenheim, c'est l'apparition finale de la SO
pouls, il a insisté égale- ment sur son accélération dans quelques cas ; du reste, même au début, de la névrite, on peu
isme durait depuis un temps assez long. M. Liman parle en détail du cas de Anna Rolher (procès Graef); il montre que ce
ch. f. Psych., XVII, 1.) P. KËRAVAL. BIBLIOGRAPHIE IF 1. Sur un cas de destruction du lobe temporal gauche pur un néo
à démontrer : il. Bouchot, par exemple, a depuis longtemps cité des cas où la névrose avait succédé à un traumatisme. B
et en passant devant l'asile. Mais ce n'est pas absolument pour ces cas graves et ur- gents, qui doivent pourtant arriv
ini. Je crois pouvoir affirmer que, dans nos grands asiles, en tout cas , la préparation de ces confé- rences sera intér
ne permet pas de le faire subir à tous dans la même séance; dansce cas , les questions sont rédigées par le jury chaque
ésigner sous le nom d'idiotie avec cachexie paclaydermique. \ Les cas authentiques que nous avons recueillis et peut-
réduisent, en effet, à quatre, et, fait capital, da : is ces quatre cas on a relevé l'absence de la glande thyroïde. D'
d'idiotie avec cachexie pachydermique ; la deuxième, à l'examen des cas d'extirpation de la glande thyroïde, suivie de
ze au milieu des clavicules. Je fus frappé de la ressemblance de ce cas avec celui du crétin de Highgate. La mère me dit
echerches futures sur les fonctions de la glande thyroïde. Ces deux cas sont, sans aucun doute, deux cas types d'idioti
de la glande thyroïde. Ces deux cas sont, sans aucun doute, deux cas types d'idiotie crétinoïde, ou mieux d'idiotie co
iait dans les « Medico-c/zirurgicaITransactions) de 1871 un autre cas de cachexie pachydermique chez un enfant idiot.
chydermique. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE 143 Le quatrième cas est dû à M. Fletcher Beach '. Observation IV. C
(Voir fig. 7). Nous nous abstiendrons de consigner ici les autres cas d'autopsie de myxcedèl1le parce qu'ils ne se rap-
EXIE PACHYDERM1QUE. 145 ce travail'. Nous donnons de suite les deux cas d'i- diotie crétinoïde qu'il nous a été donné d
allée faire ses couches, bien qu'habitant Paris 1 Les autopsies de cas de cachexie pachydermique ne sont du reste actu
rment, au niveau des hypo- Ji1g. 8. - Celle figure représente trois cas d'idiotie : le premier (à gauche) avec goitre,
thermomètre de surface est de 3 ? t, à droite comme à gauche. Le cas de Gr... est un exemple de myxoedème a forme lé
., que nous publierons dans le prochain numéro, est au contraire un cas de myxoe- dème type, où aucun symptôme ne fait
le donnons-nous qu'en faisant des réserves. Ce qui semble en tout cas bien certain c'est que le voyage de R... a été
xis- ARCHIVES, t. XII. 12 170 CLINIQUE NERVEUSE. tence. Dans le cas actuel cette bémianesthésie jointe à la vive cé
nsi que leurs enfants. N'a jamais entendu dire qu'il y ait eu aucun cas de paralysie, ni d'attaques d'aucune sorte, ni
pas augmenté. Cette observation est presque calquée sur les deux cas de monoplégie hystéro-traumatique publiés par M
-t-il quelque chose de particulier à signaler ? L'examen des divers cas que nous avons observés montre que l'atrophie m
e genre est encore limité, et ne rencontrera-t-on pas plus tard des cas contredisant la proposition que nous venons d'é
mes d'autant plus porté à admettre que l'atrophie est bien, dans ce cas , attribuable à l'hys- térie, que, dans. plusieu
n de volume analogue, et il nous semble que dans un grand nombre de cas de paralysie hysté- rique, sinon dans la majori
ents caractères de cette réaction, le résultat a été, dans tous les cas , absolu- ment négatif. Il s'agit donc là d'une
vue électrique. Cette donnée pourrait servir au diagnostic dans un cas où l'on serait dans le doute pour savoir s'il s
es cornes antérieures de la moelle et des nerfs moteurs'. Dans ce cas , il ne peut même plus y avoir de con- testation
ariété d'atrophie et l'atrophie hystérique est que, dans le premier cas la modification dynamique des cornes antérieure
que du cerveau et du faisceau pyramidal, tandis que, dans le second cas , les modifications du système nerveux sont tout
tement inaperçu, pour ainsi dire, car s'il a été noté dans quelques cas , il a été relégué à un plan tout à fait seconda
ribuer le silence qu'o.i a gardé à leur égard. RECUEIL DE FAITS CAS DE PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË (Paralysie
vier et de Westphal se rapportent à ces publications. Dans tous ces cas l'autopsie n'a découvert aucune lésion pathologo-
absolument négatifs. Par le fait de cette dernière circonstance, le cas que je vais décrire acquiert un véritable intérêt
quent suffisamment le tableau clinique de la maladie, quoique notre cas s'éloigne peut-être du type régulier de la para
ut-être du type régulier de la paralysie ascendante aiguë. Voici le cas : Le malade Nicolas Marozolf, âgé de cinquante-
une terminaison fatale rentre absolument dans le cadre de tous les cas connus sous le nom de paralysie ascendante aigu
net de l'action thérapeutique toute puissante exercée dans certains cas par la suggestion hypnotique sur les accidents
es lésions corticales bien limitées, est encore assez restreint, le cas suivant ayant pour DES LOCALISATIONS FONCTIONNE
xamen pour le doctorat en médecine, avec succès.) Ce qui, dans ce cas , a un certain intérêt, c'est que, après dispari
à peu, ont disparu, il semble y avoir une certaine parenté entre ce cas -ci et le cas de M. Charcot de cécité ver- bale
sparu, il semble y avoir une certaine parenté entre ce cas-ci et le cas de M. Charcot de cécité ver- bale et hémianopsi
ace de la lésion était en partie différente et plus étendue dans le cas de M. Charcot. Quant à l'affaiblissement de l'é
s par l'intermédiaire de la cavité arachnoïdienne. P. K. XVII. Un cas de convulsions réflexes statiques ; par A. I : RL
ltérations du goût (atteinte de la corde du tympan.) P. K. XX. Un cas DE névrite multiloculaire avec athétose ; par L
logie, t. XII, p. 21 y. 91 le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. autre cas de névrite rapporté par lui dans le même recueil.
ême recueil. (Voir cette analyse plus loin.) P. K. XXI. UN second cas DE CO-ATTEINTE DES muscles DE la face dans l'at
nale marquée sans trouble de la sensibilité. Voici, par exemple, un cas du second genre : ataxie spinale pure exclusive,
s et nouveaux, l'auteur rapporte deux faits. L'un d'eux concerne un cas de tabès typique sans ataxie; dégénérescence év
uzejewsky, '1885, t. 1.) Dans ce travail, l'auteur a réuni quarante cas (publiés par diffé- rents auteurs), d'empoisonn
é qu'il devient impossible d'en suivre le trajet individuel. Treize cas de tabes dorsal ont décelé l'atteinte constante
E du . tabès, par VotGT. (Ccnt1'Ulbl. f. Nervenheilk, 1883.) Cent cas de tabès frai tés par l'auteur, ou 1883 et 1884 c
t malade arrive à faire cesser la blépharoptose. P. K. XXXIII. Un cas DE paralysie DES MUSCLES DE L'OEIL A la suite DE
aisseaux que le névrilemme, et cela du même coup. P. K. XXXIV. UN cas DE névrite généralisée avec altérations électriqu
UELQUES remarques SUR la communication DElil. REMAK, intitulée : Un cas de névrite généralisée, par L. LOEWENFELD.- Rép
rvé leur conductibilité. Peut-être y a-t-il lieu de penser qu'en ce cas les manchons de myéline sont seuls alté- rés (E
ement et, par suite, dépourvus d'originalité frappante, et, en tout cas , ne consistant pas en cette rotation lente et c
la tuméfaction inlermitlanle des mains 1 Voy. Archiv. de Neurol. Un cas de névrite multiloculaire avec atlié- tuçe. t.
auteur insiste sur l'action favorable du pinceau faradique dans les cas récents ou anciens de névrite quelconque ou tra
e la lésion en chaque cas particulier), sur l'atteinte, dans un des cas de la face dorsale de la phalange unguéale du p
ompte régénération d'un petit segment de fibres. P. K. XXXVII. Un cas DE sclérose HTHUALE .\\fV'OTROI'IiIQUE; par A. Ko
ce sysliiiie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -2-)7 A rapprocher du cas publié par le même auteur dans les Archives de
n de certains phénomènes dans le domaine de l'encéphale. Tel est le cas de l'existence dela para- lysie du muscle droit
postérieur sur une grande étendue des deux côtés. P. K. XXXIX. UN CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE (GLIOSARCOME DE LA glande p
tions du système nerveux : on n'enregistrerait pas dans l'espèce de cas nuls ou douteux. ' P. K. XLI. CONTRIBUTION A
chent à des poussées névritiques. Deux tableaux finaux résument les cas de Struempell, Mueller, Ioeli, Schulz, Fischer,
s expériences. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 31 1 XLIII. Un cas DE tumeurs SYPHILITIQUES ( ? ) dans LES méninges
terrain non spécifique ? Autant de questions insolu- bles. En tout cas ici, il faut éliminer la tuberculose ou tout 23
ar TH. SOELAN. (Allg. Zeitschr. f. Psych., XLII, 2). Il s'agit d'un cas de tumeur unique (solitaire) du cerveau : sarco
s. 1 Voir Charcot. Leçons du Progrès médical, t835. A propos de six cas d'hystérie chez l'homme et Archives de Neurolog
cu- tifs aux accidents de chemin de fer en font, dans beaucoup de cas , une entité spéciale qui ne se confond avec aucun
nfond avec aucune des ma- ladies connues. Dans un certain nombre de cas , ils repré- sentent une forme mixte de psychoné
'attendre il modifier favorablement l'état moral du détenu dans les cas mêmes où celui-ci n'offre originellement aucune
si bien qu'il faut cinq ou six hommes pour le contenir. Dans ces cas , on l'a vu, assis tranquillement à son bureau,
le vol, le suicide, sont possibles. L'attaque épileptique, dans ces cas , affecte surtout les parties du cerveau, lobes
s malades ne sont évidemment pas responsables, dans leurs accès, ce cas est fort semblable à celui du convict Havy Patr
auses ont pu provoquer l'épilepsie, l'auteur arrive à collecter 600 cas sur lesquels 420 faits comprennent des indication
alliera à cette devise : « Mind is body ». P. K. L \"1. Note sur un cas d'épilepsie congestive; par M. Truc, interne de
re qu'il s'agit d'une épilepsie d'origine congestive. G. D. LVII. Cas d'épilepsie trutés par LE borax; par Ch.-F. CoLSO
er est considérable L'auteur parlera du borax, essayé dans quelques cas à l'hôpital des épileptiques et des paralytique
des paralytiques de Londres, et qu'il essaye depuis trois ans : 1" cas . Femme, trente ans, intelligence conservée. Ses a
6 en 1882, en suivant une marche pro- gressivement décroissante. 28 cas . Sur une femme de trente- six ans. La décroissa
u'on doit attribuer la bizarrerie des impulsions et il m'oppose des cas choisis dans la pathologie ordinaire. Ses exemp
sie géné- ruile. - Dans ces dernières années, on a observé quelques cas de psychoses présentant, pendant leur évolution
étées; ici la marche est extraordinairement traînante; dans le seul cas qui jusqu'ici ait terminé son évolution, la mort
ie, connue sous la dépendance du même processus. Car dati, les deux cas la psychopathie com- mence par une courte agita
ec attaques congestives intercurrentes. Symp- tômes connus aux deux cas : d'abord, dépression mélancolique précédée, da
qu'on lui impose et doit être incité à s'alimenter. Dans le second cas , on reconnaît aussi la catatonie bien marquée d
première observation comme une paralysie générale, c'est plutôt un cas de catatonie ou si l'on préfère une autre termi
plégie spinale brusque des pre- miers mois devrait, conformément au cas récent de Hitzig être rattachée, quoique la moe
un épanchement sanguin (aucun signe nécroscopique). Dans le second cas , la rapidité de la démence, l'absence du phénom
uns aux bout des autres des mots dépourvus de sens (Froenkel); les cas de catatonie seraient donc des cas de paralysie
épourvus de sens (Froenkel); les cas de catatonie seraient donc des cas de paralysie générale pro- longée (Ideler). M
R, senior. Et les pesées du corps entier ? M. Hans La : un. Dans un cas on a pu établir un accroissement de poids de 3
a pu établir un accroissement de poids de 3 kilogr. ; dans un autre cas , au bout de 8 jours le malade avait diminué de
e 0,10 chez les individus sains d'esprit, elle fournit, en bien des cas , un résultat qui contente patients et médecins. U
abitués au véhicule huileux. Discussion : M. FALK. Quels sont les cas d'aliénation mentale dans lesquels le médicamen
à employer dans l'hystérie. M. LOEIIR senior. Usez-en dans tous les cas où un hypnotique doux est indiqué. M. Mueller
Les membres de la société sont invités à fournir un rapport sur les cas qui leur sont per- sonnels, en ce qui concerne
1886. N" 36, ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES; Par M. A.-J
Grâce aux accès bizarres et au cours capricieux de la maladie, les cas d'hystérie chez les soldats peuvent donner lieu
s tout cela par expérience. Je veux apporter l'histoire de quelques cas d'hystérie observés à l'hô- pital militaire de
; l'atrophie musculaire n'existe pas; on constate une ten- QUELQUES CAS D'IIYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 267 dance
tent jusqu'au 28 juin, jour de la sortie de l'hô- pital. QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 269 Un débu
on organique quelconque, me font reconnaître l'hystérie de Ch... Ce cas a été montré dans son temps à notre confé- renc
ignements anamnestiques parlent en faveur de l'hystérie. QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 271 Observa
réflexes tendineux sont très exagérés ; sur le pied droit QUELQUES CAS D'HYSTÈRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 273 il exis
que le malade ne marche que sur le bord externe du pied. QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 275 Au mois
té l'hôpital avec une parésie des jambes, le 8 juin 1885. Dans ce cas , nous trouvons les accès d'hystéro- épilepsie n
convulsions toniques, accompagnées d'une perte de connaissance. Ce cas est évident et je ne veux pas hésiter plus long
et et disparu en une seule nuit. N'avions-nous pas affaire, en ce cas , à une simula- tion ? Je n'ai pu l'admettre à c
à un choc apoplectique, lequel n'a pas eu lieu; le nerf QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 277 facial
ES RUSSES. 277 facial est normal, ce qui arrive rarement dans les cas d'hémiplégie cérébrale suivie d'anesthésie; malgr
les particularités du carac- tère du malade, j'ai dû reconnaître un cas d'hys- térie. jf Observation VIII.- 11..., so
1885. Il souffrait de douleurs sourdes dans les jambes. Un QUELQUES cas d'hystérie dans LES troupes RUSSES. z79 examen
28 décembre / 9 janvier 1885. L'examen du malade fait voir quelques cas D'HYSTÉRIE dans LES TROUPES RUSSES. 281 que l'i
ater ni hérédité ni d'autre cause évidente de la maladie. Dans ce cas , on ne pouvait supposer que l'hystérie ou la si
ut plus se représenter la position de ses membres au point QUELQUES CAS D'HYS1`ERIE DANS LES TROUPES RUSSES. 283 que, l
je n'ai pas besoin de prouver le dia- gnostic de l'hystérie dans ce cas . Observation XI. - F..., jeune soldat. Le 8/20
champ visuel est rétréci concentriquement ; trouble dans QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 285 la sens
plus; les sensations musculaires sont en désordre, comme dans le cas précédent : il ne trouve pas son nez. Les réflexe
, nous voyons qu'elle était indiquée par : 1. La surdi-mutité (2° cas ), qui a apparu subitement et disparu avec la mê
s qu'on pût obser- ver aucune lésion de l'oreille; 2. Le mutisme ( cas 3' et 9'). Le mutisme du 2° cas était causé par
lésion de l'oreille; 2. Le mutisme (cas 3' et 9'). Le mutisme du 2° cas était causé par la paralysie des cordes vocales
a pas été examiné au laryngoscope ; 3. La surdité chez un malade ( cas 11°) est passa- gère, d'abord complète pour les
rique du champ visuel ou d'hé- miopie accompagnée d'hémianesthésie ( cas 1°, 6e, 7°, 8°; 1 Oe, 1 le); dans le 7° cas, no
agnée d'hémianesthésie (cas 1°, 6e, 7°, 8°; 1 Oe, 1 le); dans le 7° cas , nous avons eu une polyo- pie monoculaire, et,
s le 7° cas, nous avons eu une polyo- pie monoculaire, et, dans les cas 10° et 11°, une macro- pie. Ces deux derniers t
e des hommes. Je n'ai pu ob- server la dyschromatopsie que dans les cas 10° et 11°. 5. L'anesthésie des muqueuses. Cell
mérite une attention particulière parce qu'elle paraît constante (7 cas sur 11); on ne l'a pas observé chez les quatre'
es quatre'autres parce qu'ils n'étaient pas examinés. Dans certains cas (7, 9 et 10), l'anesthésie du pharynx présentai
harynx présentait le seul trouble de la sensibilité; dans le 10e, cas cette anesthésie et celle de la conjonctive éta
ie des'muqueuses et de l'affaiblissement de l'ouïe et de la vision ( cas 10 et 11); l'hémiasnes- thésie a été observée s
as 10 et 11); l'hémiasnes- thésie a été observée sur trois malades ( cas 2, 6 et 8); un trouble tout particulier de la s
é gauche du corps et l'anesthésie complète sur la droite, comme les cas d'hémianesthésie ordinaire. Les malades 1 cl, 3
mianesthésie ordinaire. Les malades 1 cl, 3" et 4° présentaient des cas d'analgésie, accompagnée de troubles de motilit
thésie se rencontre bien plus rarement; le malade 11e présentait un cas d'hyperesthésie de tout le corps QUELQUES CAS D
e 11e présentait un cas d'hyperesthésie de tout le corps QUELQUES CAS D'AYSTBRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 287 que rem
RUSSES. 287 que remplaça, plus tard, une anesthésie complète; les cas 3, 5 et 6 offraient une hyperesthésie des ver-
nts. 7. Des troubles de la motilité sous la forme d'hémi- plégie ( cas 6); le 5e malade avait une paralysie des membre
eurs et du bras droit; cinq malades étaient atteints de paraplégie ( cas 1, 3, 4, 8 et 11). Dans ces derniers cas, la pa
nt atteints de paraplégie (cas 1, 3, 4, 8 et 11). Dans ces derniers cas , la paralysie était accompagnée de phénomènes s
uvements volon- taires et de véritables accès hystéro-épileptiques ( cas 1, 5, 10, 11). Ordinairement, quelques heures a
tre, aux vomissements et aux accès d'angine de poitrine. QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 289 10. Le
cation d'amas liquide dans les articulations. 11. Dans les 5° et 8° cas , on pouvait observer une élévation de la tempér
ion locale. Quant à la température après les accès, une seule fois ( cas 5) elle monta à 39° '; dans tous les autres cas
, une seule fois (cas 5) elle monta à 39° '; dans tous les autres cas , elle resta normale, ou 37°,6 - 37°,7. Ainsi, l
r le principal rôle dans l'étiologie de l'hystérie. Ainsi, dans les cas 1,3,4, 7, 8, 9, nous avons eu affaire à des réc
cidives de troubles hystériques qui avaient eu lieu auparavant; les cas 3, 8 et 10 nous montrent une pré- disposition d
de famille à l'hystérie. Parmi les causes accidentelles dans le 3e cas , il a existé un léger trau- matisme ; dans le 1
les dans le 3e cas, il a existé un léger trau- matisme ; dans le 1° cas , une violente émotion morale, peut-être, tient
morale, peut-être, tient aussi à un traumatisme. Dans les autres cas , on n'a pu trouver un motif évident ou accidentel
e la maladie. Par rapport au diagnostic, on peut diviser tous les cas ci-dessus en deux groupes : le premier renfermera
sur- dité, la combinaison d'une hémiplégie avec une para- piégé ( cas 6). Ce qui contribue considérablement à porter
température; tandis que le sentiment de l'at- touchement persiste ( cas 5), l'abolition de la sensibilité douloureuse s
es-mêmes offrent des particularités frap- pantes. Voici un exemple ( cas 6) : le maladeestatteint d'une hémiplégie compl
eut cependant marcher en s'aidant un peu d'une béquille; QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 291 quand i
s a eu plus de succès. L'exercice a été le plus efficace. Dans le cas d'aphonie (cas 3), je demandais au ma- lade à p
e succès. L'exercice a été le plus efficace. Dans le cas d'aphonie ( cas 3), je demandais au ma- lade à prononcer d'abor
llabes, et j'obtenais des résultats satisfai- sants ; dans tous les cas de paraplégie, j'excitais les malades à faire d
prouver, je puis citer le fait suivant que j'ai observé : dans les cas où le diagnotic était retardé pour une cause ou
RVEUSE. hystériques dans les troupes ne sont pas rares. Outre les cas que j'ai cités, je pourrais rapporter encore to
cas que j'ai cités, je pourrais rapporter encore toute une série de cas où les malades étaient amenés à l'hôpital comme
a sensibilité étaient typiques pour l'hystérie. Je veux traiter ces cas dans un article pro- chain, où je me propose de
aire, un développement plus Fi ? 17.- Cette figure représente trois cas d'idiotie : le premier (à à gauche) avec goitre
sensiblement hypertrophié. Nous reprenons maintenant l'exposé des cas d'idiotie crétinoïde avec cachexie pachydermiqu
ïde avec cachexie pachydermique, publiés par les auteurs . Voici un cas de M. Bouchaud', paru en 1884, et que nous repr
physeavec une grande facilité. M. Bouchaud, après avoir rapporté ce cas qu'il rat- tache au crétinisme sporadique, croi
ence de la mucine a paru faire défaut dans un certain nom- bre de cas de myxoedème. Tous les autres symptômes observé
probable que, s'il avait eu l'occasion de voir auparavant quelques cas types de myxoedème, il n'aurait pas hésité. Nou
étation. Le Progrès médical a publié, le 4 février 188 ? un autre cas d'idiotie crétinoïde, observé par M. Char- pent
sme; marche et parole nulles; bouffissure de 1 Charpentier. Nouveau cas de myxoedème ou cachexie pachydep- mique. Arc
idiot de Bicêtre, dont M. Bourneville a publié l'observation, comme cas de cachexie pachydermique. En effet, elle a le
grand du Saulle avait porté le diagnostic de crétinisme. Les deux cas suivants sont empruntés aux journaux anglais. L
te par l'auteur de la diminution de la glande thyroïde. Le second cas est dû à M. Armand Routh, qui l'a publié dans l
publié dans le Médical Press and Circular, sous le titre de « Un cas de crétinisme sporadique, avec appa- rence de m
s IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 337 qui existent entre son cas et ceux de MM. W. Gull et Hilton Fagge. « Les r
lative de ces accidents pathologiques est inconnue. Dans les quatre cas de M. Hilton Fagge, ceux dans lesquels le créti
ande thyroïde; toutefois, il lui paraît vraisemblable que, dans son cas , on avait affaire à une absence de développemen
n de M. Bail, il nous semble résulter d'une manière évidente que ce cas appartient à la catégorie des idiots crétinoïde
rme des circonvolutions noté à l'autopsie dans un certain nombre de cas . IDIOTIE AVEC CACHExIE PACHYDERMIQUE. 347 M.
t de dévelop- pement. » Justement, dirons-nous, parce que dans le cas spé- cial, à supposer que le crétinisme vrai ne
, d'une congestion pulmonaire. Nous pouvons encore citer, parmi les cas de créti- nisme sporadique avec myxoedème que n
créti- nisme sporadique avec myxoedème que nous avons réunis, un cas de M. Goodhart 1. Observation XIII. Absence d'a
ent. ' L'auteur, tout en faisant ressortir la ressemblance de son cas avec le myxoedème de l'adulte, ne croit pas à l
sus-claviculaires, l'absence probable du corps thyroïde, etc. Aux cas de crétinisme avec myxoedème paraîtrait aussi d
la parole était lente, indistincte; l'enfant était idiote. Quant au cas de M. Baillarger il paraît plutôt s'agir d'un m
accompagnement d'idiotie nous montrent aussi que souvent, dans ces cas , le fonctionnement de la glande thyroïde était
par suite de son atro- phie. En voici quelques exemples. Dans le cas de M. Brandes, il s'agit d'un homme de quarante
s publiées sous le nom de myxoedème et se rapportant à des enfants ( cas de Sliattock, etc.). 352 -1) CLINIQUE NERVEUSE.
éga- lement à noter que la thyroïde était très atrophiée dans le cas de Hale White et qu'elle était dégénérée' dans
ée dans le cas de Hale White et qu'elle était dégénérée' dans les cas de Ord, Greenfield, Cushier s. L'atrophie de la
Miller8, Hamiltone, Oliver', Abbott 8, Hadden", etc.; dans quelques cas , l'atrophie était si accusée que la glande ne p
itation; enfin, dans d'autres, l'existence même de la 1 Brandes. Un cas de myxoedème. (Extrait des comptes rendus du Co
e; absence de follicules clos; vaisseaux oblitérés. 4 Dans un autre cas du même auteur, le corps thyroïde paraissait nor-
auteur, le corps thyroïde paraissait nor- mal. - Dans l'autopsie du cas de Ord, faite par Greeiirield, il est noté que
Ord, Gowans', Lunn 2, Sermon'). Il faut ajouter que, dans nombre de cas de myxoe- dème, l'observation est incomplète; s
rapportent à d'autres affections, telles que la néphrite, etc. (le cas de il. Braser, par exemple). 1 Edes. - Clinical
eliologg of lhc disease. (The Lancet, 14 juillet 1883, p. 56 ! . Le cas de M. Henrot, où laglande thyroïde est notée co
vé, car le diagnostic de myxoedème nous parait discutable. Dans les cas de M. Morvan. il n'est pas fait mention de la gla
n d'anormal dans la région thyroïdienne; il en résulterait, en tout cas , que si l'alr- sence ou l'atrophie de la glande
fficile à vérifier sur le vivant, ces malades ne présentent en tout cas pas d'hy- pertrophie du corps thyroïde. 35 '(
urellement à examiner les 'conséquences de la thyroïdectomie. Les cas d'extirpation totale de la glande thyroïde sont
rdus de vue. Nous donnerons ci-dessous la statistique de tous les cas qui sont parvenus à notre connaissance, mais au
ous croyons nécessaire de relater, en quelques lignes, un des rares cas de myxoe- dème opératoire suivi d'autopsie* : i
on cellulaire de toules les par- ties de la glande. 2 Deux autres cas ont été suivis d'autopsies, mais ces autopsies, m
résentent aucune valeur, - M. W. Stokes vient de publier un nouveau cas a\ec autopsie que nous analyserons plus tard.
e qui concerne son rôle dans les échanges nutritifs. Les premiers cas de myxoedème opératoire, c'est-à-dire consécuti
s la même année M. Julliard' en publia brièvement deux nou- veaux cas . Il faut noter que la cachexie paraît d'autant
es extirpations partielles'. . Nous donnons ci-après le tableau des cas de ca- chexie pachydermique observés à la suite
de chirurgie, 1883, p. 585.) 3 On a signalé, cependant, quelques cas de cachexie à la suite d'extir- pations partiel
artielles; mais, outre leur rareté, on peut se demander si, dans ce cas , les parties de la glande abandonnée étaient suff
i dit Archives, t. XII. 21 Fig. 24. - Elle représente une opérée ( cas 9) de 11. Kocher et sa soeur jumelle. 362 CLI
ré, pas d'albuminurie ni 1 Nous n'avons pas de détails sur un autre cas de Kocher remontaHt à l'époque de sa première c
'époque de sa première communication, ainsi que sur quelques autres cas qu'il aurait observés depuis. 364 CLINIQUE NERV
4885 des symptômes très graves myxoedémateux '. 33° Bruns. C'est le cas dont l'autopsie a été relatée plus haut (p. 355
e ; extirpation totale; deux mois après, cachexie 6, 1 Un troisième cas de thyroidectomie totale, relaté par Grundler et
stes allemands, Berlin, 1886. 6 On a encore signalé quelques autres cas de myxoedème opératoire, (W. Stokes; t cas avec
signalé quelques autres cas de myxoedème opératoire, (W. Stokes; t cas avec autopsie), dont quelques-uns sans aucun déta
Stokes; t cas avec autopsie), dont quelques-uns sans aucun détail ( cas d'Occhini, de Huggi, etc.). 366 CLINIQUE NERVEU
tale. La cachexie pachydermique aurait encore, dans de très rares cas , été observée à la suite de thyroïdectomies par
uscep- tibles des mêmes critiques que celles de M. Milculicz. Les cas parvenus à notre connaissance appartiennent à M
ie pachydermique fruste à la suite d'une résection de l'isthme. Ces cas se trou- vent en partie expliqués par l'observa
pas avoir constaté l'atrophie de la glande chez son opéré. Sur 24 cas d'extirpation totale, Kocher aurait observé 18
le, Kocher aurait observé 18 fois la cachexie pachydermique; sur 11 cas , MM. Reverdin ont noté 5 cas de cachexie; Baum-
fois la cachexie pachydermique; sur 11 cas, MM. Reverdin ont noté 5 cas de cachexie; Baum- gartner a eu 5 myxoedémateux
aum- gartner a eu 5 myxoedémateux sur 11 1 opérés ; M. Julliard 2 cas également sur 11 opérés; Küster 1 cas sur 4 thy
11 1 opérés ; M. Julliard 2 cas également sur 11 opérés; Küster 1 cas sur 4 thyroïdectomies totales; - Pietrzi- kowsk
cas sur 4 thyroïdectomies totales; - Pietrzi- kowski-Gussenbauer, 3 cas sur 9 extirpations totales, etc. Soit en tout 3
Gussenbauer, 3 cas sur 9 extirpations totales, etc. Soit en tout 39 cas , dont 13 hommes et 26 femmes (en retranchant un
Soit en tout 39 cas, dont 13 hommes et 26 femmes (en retranchant un cas de Kocher sur lequel les détails nous manquent)
nt la marche parait fatalement progressive, si l'on en juge par les cas que nous avons rassemblés. De toutes les hypo
elle qui rencon- trait le plus grand nombre d'adversaires. Mais les cas de myxoedème observés par MM. Reverdin, Kocher,
r, etc., à la suite de l'extirpation totale du corps thyroïde, le cas du Pacha, ceux de Curling, de H. Fagge, etc., q
lésion grave ou de l'absence de la glande thyroïde. La révision des cas publiés par les auteurs permet du reste d'affir
pliquerait pour- quoi, chez certains idiots crétinoïdes ou dans les cas très chroniques de myxoedème, la dégénérescence
s symptômes plus ou moins comparables à ceux qu'on observe dans les cas de myxoedème ; opérés toutefois à un intervalle
a survie aurait atteint 1 M. Niehans (de Berne) aurait observé deux cas de cachexie pachy- dermique à la suite de l'ext
tions successives; les résultats seraient comparables dans les deux cas . Selon eux, il résulterait de leurs recherches
sujet sera mieux traité en décrivant avec détail le traitement d'un cas imaginaire, ac- compagné des photographies et d
hloroforme, au con- traire, produit une dépression marquée. Dans le cas d'une complication cardiaque, ces considération
ent abandonnées pour l'emploi d'un anesthésique plus sûr. Dans le cas de mon second malade, le coeur était déplacé en d
ne contre-indication suffisante de l'emploi du chloroforme. Dans le cas où il y a 384 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. e
t faire une pareille opération sous l'action de la cocaïne. Dans ce cas , on doit faire attention d'employer une très fo
i remarquer que l'ouverture du cràne, comme c'est habituellement le cas lorsqu'on fait une explora- tion, a commencé pa
ument dé cinq cen- timètres de diamètre est le plus commode dans ce cas . Lors- qu'on peut conserver la dure-mère intact
7 rience sur ce point ne soit fondée chez les hommes que sur cinq cas , dont trois étaient des cas de tumeur du cerveau,
oit fondée chez les hommes que sur cinq cas, dont trois étaient des cas de tumeur du cerveau, je suis porté à croire qu
ains, et récipro- quement elle n'a jamais fait défaut sur mes trois cas de tumeur. (Les deux cas dont je ne tiens pas c
elle n'a jamais fait défaut sur mes trois cas de tumeur. (Les deux cas dont je ne tiens pas compte ici, sont : 1° le cas
tumeur. (Les deux cas dont je ne tiens pas compte ici, sont : 1° le cas des D" Bennett et Godle, publié dans les Medico
et Godle, publié dans les Medico-chi1'w'g¡'cal Transactions; 2° un cas de tumeur cérébrale que je viens d'opérer). S
tion menace d'être empêchée par la pression ou non. Dans le premier cas , la pression peut être facilement diminuée en o
d'importance. Il ne serait pas inutile d'observer ici que, dans le cas d'une seconde opération, on trouverait le tissu
ution des expériences sur lesquelles est basée cette méthode. Trois cas servent d'exemple à cette communication. Les tr
ode. Trois cas servent d'exemple à cette communication. Les trois cas que j'ai traités, suivant la méthode ci-dessus dé
général et fournissent quelques idées qui ont leur utilité pour les cas à venir. Peut-être je ferais mieux de faire les
es paralysés et les épileptiques, pour les soins assidus donnés aux cas suivants : . Cas I. - Jacques B..., âgé de ving
épileptiques, pour les soins assidus donnés aux cas suivants : . Cas I. - Jacques B..., âgé de vingt-deux ans, fut adm
mois suivants. Jusqu'à présent, le malade n'a pas eu d'attaques. Cas IL - Thomas W..., vingt-deux ans, fut admis à l'h
e Dr Jackson et moi nous avions décidé d'exécuter ce détail dans le cas possible où il n'y aurait pas de grosse altérat
foyers caséeux, reconnus tuberculeux à l'examen mi- croscopique. Cas III. George-W. J..., vingt-quatre ans, fut admis
re y a-t-il un troisième système ayant un troisième centre. En tout cas , jusqu'ici l'on n'a trouvé que deux centres, un
; un courant moyen de 3 à 4 milliampères suffit à la plu- part des cas . On se servira de surfaces rhéophoriques, mesurée
éso- rienter au plus haut point le discernement; exemples : maint cas de folie systématique primitive dans lesquels le
pinceau faradique combiné au traitement antisyphilitique, dans les cas de tabes où il y avait eu syphilis antérieure.
s améliorations, se produire plusieurs insuccès. M. JEHN. Dans un cas de tabes survenu au cours d'une psychose simple
( d'Heidelberg ) montre des préparations de muscles empruntées à un cas de maladie de Thomsen1. On y rencontre l'hypert
Neurologie. Revues analytiques. 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. tées à un cas d'atrophie musculaire généralisée ; il pense que
héorie des zones chromoleptiques serait fausse. Enfin il discute un cas de porencéphalie. Par l'intermédiaire de M. Fre
r le somnambulisme provoqué, et de vouloir bien lui communiquer des cas bien observés. - - II. SECTION DE physiologie.
ique du bras ou de la jambe avec épilepsie corticale. Dans les deux cas le membre atteint présentait de la tension mus-
tendineux. Intégrité par- faite dela sensibilité. Dans deux autres cas de monoplégie syphi- litique, la sensibilité co
ions des appa- reils nerveux qui occupent le parametrium ', dans le cas d'atrophie simple et p,ii,amét2,itique. - Dans
um ', dans le cas d'atrophie simple et p,ii,amét2,itique. - Dans le cas de puerpéralité normale, l'auteur a trouvé une
alysie infantile cérébrale.- L'été dernier, l'auteur a observé neuf cas de paralysie cérébrale corres- pondant au table
au tableau morbide de la poliencéphalite aiguë de Struempeil 3. Six cas se rattachent à la forme hémiplégique ; trois c
Struempeil 3. Six cas se rattachent à la forme hémiplégique ; trois cas concernent la forme monoplégique. Dans la premièr
le bras, arrêté dans sou développement (il en était de même pour un cas de monoplégie brachiale) ; le trouble de la nut
de l'athétose des doigts qui atteignait en outre les orteils (trois cas ) ; deux d'entre eux présentaient des troubles i
ans après l'inva- sion de la paralysie, épileptique. Dans tous les cas , la paralysie n'était pas flasque, comme cela a
'administrer des boissons alcooliques aux enfants ; il indique deux cas de cirrhose hépatique, pendant l'enfance et env
nt à la temporisation et influencent les décisions. Mais, dans le cas spécial on a temporisé plus que de raison, semb
, la marche et le traitement convenable de la maladie. Si dans ce cas tout a été fait, il n'est pas, nous semble-t-il,
ort' fait sur le terrible événement du château de Berg. Rarement un cas n'a présenté plus spécialement . varia. 419 J
s ont beaucoup parlé il y a deux mois, comme d'une nouveauté d'un cas extraordinaire, d'une malade de la Salpêtrière, n
naire, d'une malade de la Salpêtrière, nommée Eudoxie Hé.... Or les cas d'attaques de sommeil sont assez fré- quents ch
anées d'éther, 101 ; -(bulbaire avec sclérose latérale), 112 ; - ( cas de spi- nale ascendante aiguë de Lan- dry), p
54 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt fréquemment entre elles. Mais ne s'appliquerait-il qu'a quelques cas , son utilité n'en serait pas moins incontestable.
table. Nous avons pu crbserver longuement et minutieusement trois cas de syphilis cérébrale dans' lesquels la vérificat
- férentes et assez pures gomme intra-cérébrale dans le pre- mier cas , syphilis méningée dans le second, syphilis arté-
le troisième. C'est avec ces trois observations, en nous aidant des cas semblables recueillis dans la littérature, que
m. La raison en est facile à com- prendre : en effet, en dehors des cas d'anévrismes et de ruptures artérielles que nou
bien à des manifestations médul- laires concomitantes comme dans le cas que nous rapportons plus loin. , L'épilepsie
soit surmenage, soit enfin auto-intoxication rénale. comme dans le cas rapporté plus loin. L'épilepsie de la syphilis
s au tableau de la syphilis artérielle ; à part, bien entendu, le cas exceptionnel de destruction de la partie postérie
eur présence ne doit pas faire rejeter ce diagnostic. Dans quelques cas on a pu, à l'ophtalmoscope, diagnostiquer des l
es oculaires sont très rares ; elles n'existent guère2 que dans les cas de compression d'un nerf par une artère dilatée
s cas de compression d'un nerf par une artère dilatée comme dans le cas rapporté plus loin. Loin d'aider au diagnostic
: vienne un surmenage quelconque elle fléchit, et c'est, suivant le cas , une paralysie, des phénomènes aphasiques ou un
à éteindre l'activité d'un cerveau ischémié, ou bien dans d'autres cas , beaucoup plus rares, déterminer comme nous l'a
il s'agit d'une monoplégie, quelquefois très limitée, comme dans le cas que nous rapportons plus loin. Elle survient br
e. Mais le fait est plus rare et on devra toujours redouter dans ce cas des lésions irrémédiables de ramollissement. Ce
angle latéral, par une dilatation de la carotide interne. Dans un cas de Knapp ' il y avait une dilatation bilatérale d
ous dirons qu'on a voulu rattacher à la syphilis cérébrale certains cas de migraine ophtalmique; que souvent on peut dè
nd pract. med., n° 4, 1873. La lésion, il est vrai, dans ce dernier cas , n'était peut-être pas syphilitique. 'S)ji)tman
rusque, soit la rupture d'un gros tronc de la base. Dans le premier cas il y a anémie brusque d'une grande partie de l'
thrombose sont assez fréquentes. Letulle 2 a rapporté récemment un cas de syphilis artérielle par thrombose de la caro
interne à sa bifurcation. Dans le même article il rapporte aussi un cas mortel par rupture de la sylvienne gauche à son
cas mortel par rupture de la sylvienne gauche à son émergence. Ces cas de rupture ne ' Charrier et Klippel. - Revue de
mettait que ce sera là un puis- sant élément de diagnostic pour les cas dans lesquels sponta ? nément ou après un traum
symptômes connus del'excès de pression intra- cranienne ». Dans un cas d'hémorragie ventriculaire, la ponction lui don
liquide san- glant contenant de nombreux globules rouges. Dans un cas analogue, Furbringer fit la ponction après la m
it la ponction après la mort et retira du sang presque pur. Dans un cas d'hémor- ragie bulbaire et cérébelleuse, la pon
la vie lui donna également du sang presque pur. Freyau, dans deux cas d'hématomes sub-dure-mériens, trouva le liquide
erminale par des accidents plus graves qui emportent le malade. Lés cas bien connus où la syphilis cérébrale prend le m
ébello-spasmodique, qui était typique, offrait peut-être dans notre cas une pathogénie spéciale qui n'a peut-être pas e
sion cérébelleuse, irritative (sclérose, tumeur, abcès). Dans notre cas , elle semblait due en partie à l'anémie du cerv
ôté opposé, réalisant ainsi une forme d'hémi- plégie alterne. Les cas analogues ne sont pas exceptionnels. UhtholT', su
e. Les cas analogues ne sont pas exceptionnels. UhtholT', sur 150 cas de syphilis cérébrale a relevé 26 fois la paralys
d'une para- lysie croisée des membres. n . Raymond= a observé un cas ayant beaucoup d'analogie avec le nôtre. Il s'a
gie diminua mais sans disparaître entièrement. Raymond rapproche ce cas des autres variétés d'hémiplégie alterne : synd
ation) qui serait atteinte également par le processus. Dans notre cas la difficulté était analogue'pour la paralysie
faisceau pyramidal. On connaît des observations semblables; dans un cas de Raymond* il y avait paralysie simultanée des
côté. Le type cérébral de la paralysie faciale gauche dans notre cas ne nous permettait guère d'admettre une explicati
mond de repousser la compression de la pyramide, puisque dans notre cas la paralysie, n'atteignant que le bras, respect
ites, et qu'on a trouvé des névrites cutanées dans presque tous les cas de troubles trophiques (Babinski)3. D'après n
t due à une altération des nerfs périphériques dans bon nombre de cas , et qu'elle peut se localiser dans la sphère des
thésie se montre fort rarement. Griesin-er3 a observé dans quelques cas un état passager d'hyperesthésie considérable à
action musculaire dans la formation de l'oedème. C'est peut-être le cas des para- lytiques qui ont des dégénérescences
ave inférieure (expé- rience de Lower) ne produit de l'oedème qu'au cas de section du sciatique. ' L'oedème a été con
les plaies ou contusions des nerfs; Mongeot 1 en rapporte plusieurs cas . On a signalé de simples névralgies produisant
es, sont usées dans leur hauteur, rarement en épaisseur. Dans les cas moins graves (Ier degré), la partie usée est plan
ée est plane, polie, la dentine est de coloration normale. Dans les cas graves (2e degré), la pulpe est à nu ou insuffi
forme d'un cercle brunâtre, que l'on rencontrerait dans quelques cas . M. Magnant pour vérifier ces différents faits,
atteints de paralysie géné- rale. Dans au moins les deux tiers des cas , dit-il, « on ne trouve aucune altération du fo
lève, M. Ramadier 8, qui attira l'attention en rapportant plusieurs cas de paralytiques atteints de zona. Schüle note a
sans aucun doute. Il y est même assez fréquent : nous en relevons 3 cas sur i Lenoir. Article Trophonévrose in Dict. Ja
t., 1886. Trad. française Duhamel et Dagonet. 10 Gonnet. Quelques cas de zona chez les paralytiques généraux (Thèse d
nfirmée de la paralysie générale. Tout dernièrement,- à propos d'un cas de zona ophtalmique chez un homme de trente ans
e la nature cen- trale du zona. Nous avons eu aussi à observer un cas de zona ophtalmique survenu quelques mois avant
autopsie. Mais c'est M. Christian 2 qui attira l'attention sur deux cas de maux perforants chez des paralytiques généra
cliniciens et les auteurs classiques. Nous n'en avons observé qu'un cas . Notre malade a éte vue plusieurs fois et exami
ceps fémoral. Mais il a soin de vous dire que ce n'est que dans les cas excessifs qu'on peut dire qu'il y a hypo- tonie
llement ataxiques. Seulement l'ataxie existant d'ordinaire dans les cas avancés de tabes, et manquant au début de l'aff
notable, témoignent d'un grand angle d'extensibilité (89°), en tout cas d'un angle qui est supé- rieur à celui des autr
t là tout ce qu'il y a de certain. L'auteur ajoute : Il est en tout cas intéressant de constater que : , a). Les muscle
a dégénérescence descendante des cordons latéraux. Mais il y a des cas où le clonus podalique existe, et non ce réflex
ombaire, il y aura clonus podalique et clonus rotulien sinon, ou en cas d'inégale lésion des deux régions, il n'y aura pa
podalique; son existence des deux côtés semblait devoir, dans un cas de l'auteur, en faire un signe de lésion organiqu
rotation du côté lésé, ainsi que les phénomènes ataxiques. Dans le cas de parésie des extrémités du même côté, dans le
ectrique et mécanique du radical et des muscles qu'il anime dans un cas de paralysie par compression de radical, Tablea
UE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 57 simple dans trois cas , compliqué de réduplication dane un cas, et, ch
IQUES. 57 simple dans trois cas, compliqué de réduplication dane un cas , et, chose particulière, le tout dans la moelle
cette notion est toujours d'origine périphérique. E. BLIN. XX. UN cas DE mouvements DU membre inférieur droit associés
position première. Il paraît vraisemblable d'admettre que, dans ce cas , l'ensemble des actes nécessaires pour l'élabor
le ne conduit pas toujours à son atrophie ; dans un grand nombre de cas , une phase de réparation succède à la phase de
ant que la portion nerveuse inter- médiaire soit atteinte. Dans ces cas la dénomination de névrite ascendante ne répond
achromatique une masse incolore, d'aspect vitreux. Dans les deux cas , elle aboutit à la mort de la cellule nerveuse.
ouent le. rôle de neurophages. Il existe aussi, dans la plupart des cas d'affections primitives des centres nerveux, des
des os, de la moelle et des nerfs a démontré qu'il s'agissait d'un cas d'atrophie numérique affection caractérisée par l
es physiologistes modernes. Récemment encore, Gowers, à propos d'un cas de para- lysie complète et isolée du trijumeau,
ara- lysie complète et isolée du trijumeau, avec abolition du goût, cas publié dans ce journal et analysé précédemment
la lésion aux racines du trijumeau. Mais comme la plu- part de ces cas n'ont pas eu de contrôle anatomique, ils perdent
sa totalité, elle est dès lors bien voisine de l'autre. Aussi le cas de Erb, où le trijumeau était enserré dans une ma
ermettent pas toujours de porter un diagnostic ferme. Dans quelques cas , un syndrome spécial signalé par deux chirurgie
ïdienne. A. Fenayrou. XXXIII. LÉSIONS DE la moelle épinière dans un cas d'amputation congénitale des doigts; par MM. So
ut et avec beaucoup d'intelligence, guérir très vite. Dans d'autres cas où l'incompatibilité d'humeur ou l'absurdité de
s malades n'ont pas guéri plus promptement qu'auparavant. En tout cas , quelle que soit l'influence du séjour au lit sur
ques auteurs sont d'avis que, dans 72 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ces cas , la médecine étant impuissante, c'est aux procédé
re, et deux ou trois interventions sont nécessaires pour chacun des cas , et pour s'atta- quer, en somme, à'une névrose
ucun n'est spéci- fique, et l'on peut se demander, en présence d'un cas d'épilepsie guérie, si cet heureux résultat n'e
cherchera autant que possible à divertir son esprit. Dans quelques cas , on pourra recourir avec utilité à la suggestio
r favorablement la maladie. C'est ce qui a lieu en. effet. Tous les cas de section du sympathique ont été suivis de suc
s sont toujours incertains ; les récidives sont fréquentes dans les cas .suivis de guérison. ' A. f ENnvaoo. - VII. GOI
s l'accomplissement de certains crimes. Il reprend un à un tous les cas célèbres en Amérique, tels que ceux d'Hayward,
ut que cet acte ne lui répugne en rien. L'hypnotisme ne joue dansce cas qu'un rôle déterminant absolument secondaire. Il
e action criminelle ; mais doit-on le con- damner pour ces quelques cas d'ailleurs très rares, quand il peut par ailleu
s d'esprit; par F. BEACH (Medico-legal Journal, mars 1895). Trois cas de crimes commis par des faibles d'esprit dont un
dmet une responsabilité atténuée ; mais il pense que la plupart des cas de ce genre ne sont relevables ni de l'asile ni
ir de se suicider, comment, nous médecins, classerons-nous, dans un cas donné et après examen, le mal dont souffre celu
n, s'assurer si la sonde est ou non introduite dans l'oesophage; en cas de fausse route, les accidents d'asphyxie ne so
concurremment avec les escroqueries, que dans le but de pouvoir, en cas de besoin, les alléguer comme une preuve de déran
caractère décrit par Hutchison. Ne serait-ce pas tout simplement un cas de démence précoce ? M. ARNAUD regrette que l
pas à la paralysie générale dans l'enfance pour lui la plupart des cas ne sont que des observations d'encépha- lite ou
ien difficile de nier ce diagnostic. M. ARNAUD. Il existe plusieurs cas non douteux suivis d'au- topsie très complète.
ctéristiques. 84 SOCIÉTÉS savantes. M : Voisin a aussi observé un cas de paralysie générale chez une jeune fille. La
E PSYCHIATRIE DE MOSCOU Séance du 7 mars 1897. M. Loorrrz. Deux cas de cécité corticale et psychique (avec présen-
icale et psychique (avec présen- tation des préparations du premier cas ainsi que d'un malade). Premier cas. M..., âgée
ion des préparations du premier cas ainsi que d'un malade). Premier cas . M..., âgée de cinquante-cinq ans. Abus médiocre
é du côté droit, et dans la couche optique du même côté. Deuxième cas . - Un homme, AL ? iî;é de trente-six ans, entra
et l'activité psychique du malade est tout à fait normale. Dans ce cas , le tableau clinique de la cécité corticale s'exp
coin et de l'ergot de Morand) trouvée à l'autopsie. Dans le second cas , vu la conservation complète des facultés intelle
u- velles avec les anciennes a moins souffert. Sous ce rapport le cas de l'auteur présente une ressemblance avec un c
ous ce rapport le cas de l'auteur présente une ressemblance avec un cas de Charcot et avec le premier cas de MuDer, dans
présente une ressemblance avec un cas de Charcot et avec le premier cas de MuDer, dans les- quels a souffert aussi prin
tériels ci la base du cerveau. Les rapporteurs communiquèrent trois cas , dans lesquels à l'au- topsie on trouva des ané
on trouva des anévrismes artériels dans la base cérébrale. Premier cas . La malade, âgée de quarante-sept ans, entra à
e dans les artères, il y avait des thrombus rouge foncé. Deuxième cas . Un homme de quarante ans fut placé à l'hôpi- t
régu- lier, dans lequel se trouve un grumeau rouge. Dans ces deux cas on a observé en outre une augmentation en volum
e et une athéromatose de l'aorte. 88 SOCIÉTÉS SAVANTES. Troisième cas . Un malade, âgé de soixante-neuf ans, entra à l
nsis- tait qu'en un seul tissu conjonctif fibroïde ; dans le second cas la paroi était composée de la membrane interne
a relevé la signification de l'étude clinique détaillée de pareils cas , dont le diagnostic est parfois possible même p
et son cours avec oscillations continuelles; l'auteur rapporte son cas à la « para- lysie asthénique bulbaire », en aj
es névroses ordinaires. Vu l'intérêt particulier scientifique de ce cas , l'auteur juge utile d'in- diquer la marche de
et de disparaître. Ce fait à son tour parle en faveur de ce que le cas donné, malgré ses particularités, peut être rap
POSTOWSRY et SOUKSANOFF. Ce dernier indiqua que Marinesco, dans un cas , a trouvé des modifications très marquées des c
ischer. CLAPARlioE (Ed.). Du sens musculaire il. propos de quelques cas d'hémiataxie poslhémiplégique. Volume iu-S° de
oit de la boîte cranienne, soit de la substance cérébrale : dans ce cas la méningite vient simple- ment donner sa note
éninges peuvent secon- dairement envahir la substance cérébrale (le cas est fréquent pour la gomme circonscrite) ou bie
ression des vaisseaux (ischémie, ramol- lissement). Dans tous ces cas , aux combinaisons anatomiques répon- dent des c
rès variables. Nous les laisserons de côté pour n'envisager que les cas où les 1 Voir Archives de Neurologie, n° 25.
la méningite épendymaire, à la dilatation des ventricules. C'est un cas de ce genre qu'on trouvera plus loin. D'autres
ée, soit à un côté delà tête, soit à un point précis. Dans les deux cas elle s'accompagne le plus souvent d'hyperesthés
tère de profondeur que nous trouverons dans la gomme. Dans certains cas , sur- tout dans la première variété, due surtou
avec abolition de la réaction pupillaire ; soit enfin, et c'est le cas plus caractéristique, hémianopsie hétéronyme le
et deviennent la source d'interprétations délirantes comme dans le cas que nous rapportons plus loin, où la malade cro
dépendance des lésions de l'écorce et rappelle celle de cer- tains cas de paralysie générale grave. L'iclits apoplecti
'envahisse- ment de l'écorce par l'encéphalite spécifique. Dans les cas plus bénins où il paraît sous l'influence d'une
persis- tant, l'hémiplégie incomplète, par exemple, comme dans le cas que nous rapportons plus loin. Il est un dernie
par cachexie progressive et tuber- culose pulmonaire comme dans le cas suivant. ' Oppenheim. Bei-liii Klin. Vocle., n°
nt de la localisation de la lésion, sont très variables suivant les cas . Produits habituellement par la destruction de
on le verra par la lecture de l'observation. Seu- lement, dans ces cas les troubles objectifs sont extrêmement minimes
ou l'excès de tension sont réels, mais ne s'appliquent qu'à quelque cas ; l'excès de tension réclame d'ailleurs lui aus
s à faire délirer un cerveau héréditairement prédisposé ? Dans le cas qui nous occupe, la prédisposition est acquise au
génie de la papille étranglée. Devic et Courmont' ont rap- porté un cas où la cessation de l'excès de tension (ablation
s croyons que l'oedème de la papille se rencontre surtout dans le cas de tumeurs gommeuses, la névrite optique surtout
e, etiasyphilisgom- meuse, la névrite optique. Uthoff en a cité des cas . § 12. Evolution. Nous n'établirons pas de type
la gomme peut subir une double évolu- tion. Elle peut, et c'est le cas surtout pour l'infiltration dif- fuse, s'accroî
limiter par une coque fibreuse, s'enkyster com- plètement ; dans ce cas elle donne de moins [en moins prise aux intoxic
prédisposantes et déterminantes ne sont pas les mêmes dans tous les cas . On attribue généralement aussi à la paralysie
naisons de cette soi-disant paralysie générale. Il a fallu quelques cas de guérison, guérison relative tout au moins, q
quelques cas de guérison, guérison relative tout au moins, quelques cas de disparition des troubles soma- tiques, pour
ne de la paralysie générale proprement dite; mais, comme dans ces cas il y avait eu possibilité de rapprochement du typ
lus , de descendants femelles que de descendants mâles ? · 2° Les cas d'hérédo-syphilis se rencontrent dans tous les
'origine toxique dont elles ne sont que phases. Beaucoup d'autres cas assez variés, que je n'aurais pu exposer ici dans
comme je le crois, elles nous per- mettront bientôt, en présence de cas rappelant nos anciennes paralysies générales et
rmaphrodisme psychique. Notes SUR la PERVERSION SESUELLB, AVEC DEUX CAS CLINIQUES D'INVERSION SEXUELLE ; par le Dr W. LEE
ur l'inver- sion et la perversion sexuelles, l'auteur rapporte deux cas intéres- sants d'inversion Sexuelle. Le premier
t de son amour est tout le bonheur qu'il souhaite. Dans le second cas , il s'agit d'un artiste de trente-huit ans chez
folie, les uns trouvant l'alcoolisme comme cause dans SOp. 100 des cas de folie, d'autres dans 40 p. 100 seulement ou
nité comme facteur dans la production de la folie, et que, dans les cas considérés, d'autres facteurs importants avaien
rmenage intellectuel, qui correspond à une augmentation notable des cas de suicide chez les adolescents. Ce C'est égale
ervations rapportées se ressemblent par plus d'un point et sont des cas mixtes, comme on en rencontre si fréquem- ment
ales më ! co-ps;/c/t0/o- giques, juin 1897.) E. BuN. VI. Quelques cas de démence syphilitique; par le Dl Christian. A
elques cas de démence syphilitique; par le Dl Christian. A côté des cas où la syphilis agit non comme agent spécifique
En dix-huit ans, sur près de 2,000 aliénés, il n'en a relevé que 7 cas . Combien cette proportion change, si l'on fait
la guérison, ce qui n'est 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. pas le cas , malheureusement, pour la paralysie générale vrai
endant une signification ou plutôt une pathogénie. L'auteur cite un cas dans lequel les rêves pénibles de la,nuit (chut
la statistique de l'auteur montre son existence dans 59 p. 100 des cas , et ce signe peut, lorsqu'il est joint à quelqu
surtout en ce qui concerne les aliénés : l'auteur rapporle quelques cas de prétendus aveux, n'étant en réalité que des fa
s ovaires n'a donné aucun bon résultat, au contraire. Dans certains cas l'opération peut agir sur l'état mental comme l
nder ou la ventrofixation. L'hysté- rectomie était indiquée dans 12 cas (tumeurs fibreuses, chute de l'utérus, carcinom
) 7 furent faites par la voie vaginale et 5 par l'abdomen dans deux cas soit 17 p. 100, l'état menlal fut amélioré 10 d
ométrite, de kystes de l'ovaire, de tumeur interne, etc. Sur ces 34 cas 11 malades recouvrirent à la fois la santé phy-
malades présentant des symptômes vraiment identiques. Dans tous les cas , la maladie débute brusquement sous l'influence
ssistant, un contact brusque, un mot prononcé (géné- ralement en ce cas le nom d'un animal féroce, et surtout du tigre,
deux groupes ne constituent qu'une seule et même maladie. Certains cas de la forme imitative ressembleraient à l'hypno
- rieuses et souvent très amusantes des deux formes de Latah. Les cas d'imitation les plus intéressants sont ceux qui s
e ; quelques-uns même sont, pour des Malais, très intelligents. Les cas de Latah ne sont jamais envoyés à l'asile, et l
esque exclusivement annexée au tabes est la paralysie générale : le cas dont il s'agit est une exception à la règle. Le
cès énorme du liquide céphalo-rachidien. Il est évident que dans ce cas une progressive et lente dégéné- rescence a évo
w) sont les principaux caractères de la névrose trémulante. Dans le cas étudié par M. Labbé, la forme hémiplégique du t
attacher à une sclérose cérébrale infantile. A. FENAYROU. XXX. UN cas DE PERVERSION du sens génital; par M. Rosenbach.
VERSION du sens génital; par M. Rosenbach. M. Rosenbach rapporte un cas assez complexe de perversion du sens génital. I
ge consanguin, il appartient à une famille où l'on compte plusieurs cas d'idiotie. Le père, en outre, a été interné à l
J. SEGLAS. (Presse médicale, Il mars 1897.) Laissant de côté les cas ou la confusion mentale n'est qu'un symptôme ou
i persiste encore trois semaines environ. ' Il s'est agi, dans ce cas , non de méningite, mais d'un syndrome seudop-mé
La pathogénie est incertaine. A l'autopsie, on ne trouve, en pareil cas , dans les centres nerveux que de la congestion
ariable, suivant l'intensité et la durée de l'in- fection. Dans ces cas , la neurasthénie serait un véritable com- mence
la notion de la dégé- nérescence morale. Nous n'avons guère que le cas de Marie Schnei- der dans lequel il y ait eu fo
e n'ayant guère qu'un potentiel moyen, le milieu ne peut, en tout cas , produire qu'un criminel latent et non manifeste.
oraux. Elle peut donner naissance à des actes pathologiques ; en ce cas , il faut rechercher si l'individu qui les a com
voir d'un époque, d'un mouvement révolutionnaire, etc.... En tout cas ; à notre avis, l'idée prédominante pathologique,
chirurgicales qui s'adressent au corps thyroïde, bénignes dans les cas de goitre simple, deviennent très graves dans l
é et l'efficacité de la résection du sympathique cervical, dans les cas les plus graves de goitre exoph- thalmique vrai
avité et à l'efficacité des opérations thyroïdiennes dans ces mêmes cas , font de la résection du sympa- thique une opér
reize ans. Après l'échec des diverses médications usitées en pareil cas , M. Ferrand a eu recours à la suggestion et a sou
crise ne s'est produite. A. F. X. SUITE DE l'observation du premier cas DE myxoedème guéri par l'extrait thyroïdien; pa
roïde qui peut être provoquée par des causes diverses. Il cite deux cas de myxoedème l'un dû à une lésion syphilitique
ccompagnent l'observation. A. V. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 161 XII. Cas DE crétinisme sporadique traités par la glande th
Buit. med. journ., en 1891. A. V. XIII. Observation CLINIQUE D'UN cas DE psoriasis traité par l'extrait thyroïdien ;
t. me(l. journ.. mars 1894.) L'auteur relate une observation d'un cas de psoriasis diffus et ancien, guéri par l'empl
Le même médecin publie dans le Br'it. 7He ? ]ourn., avril 1894, des cas de lupus et d'ichtyosis traités et guéris par l
états morbides. Son plus grand succès a été une amélioration d'un cas de démence avec hésitation de la parole, tremblem
ole, tremblement des mains et faiblesse des jambes. Dans les autres cas aucun change- ment durable ne s'est manifesté.
iscutable et si le pourcentage des guérisons diminue, c'est que les cas susceptibles d'être traités de cette façon l'on
de thyroïde comme un médicament de grande valeur surtout dans les cas de stupeur, de folie puerpérale et climatérique t
stiquer l'incurabilité. Le Dr Clouston apporte une observation d'un cas de manie juvé- nile traitée sans succès par les
i de la glande thyroïde. Pour lui, négliger ce remède dans certains cas de folie, c'est ne pas faire profiter son malad
Keudal). (Brit. ined. jourzz., juin 1896.) L'auteur considère ce cas comme intéressant à cause de la rareté des crét
e affection jouent un rôle dans l'étiologie du tabès. Dans les 47 cas de tabès que l'auteur a traités dans les neuf der
eurement subi par les malades. Il a constaté avec certitude, dans 7 cas , un chancre mou; dans 32 cas, c'est-à-dire 164
. Il a constaté avec certitude, dans 7 cas, un chancre mou; dans 32 cas , c'est-à-dire 164 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 68
APEUTIQUE. 68 p. 100, une syphilis généralement légère. Dans ces 32 cas , 'i l'exception d'un seul, le traitement antisy
ntisyphilitique avait été tout à fait insuffisant et, dans quelques cas , très tardif. Ces chiffres con- firment ainsi p
ssive combinée avec des exercices coor- dinatoires. XVIII. SUR un cas DE syphilis cérébrale énergiquement traité avec
i DE névrite mercurielle ET de GUÉRISON; par le Dr W. Krauss. Les cas de méningo-encéphalite spécifique sont, parmi les
. Krauss. Les cas de méningo-encéphalite spécifique sont, parmi les cas de syphilis cérébrale, les plus susceptibles de
7.) E. B. XIX. RÉSECTION bilatérale du sympathique cervical dans UN cas DE GOITRE Ex01'HTHAL311QUE; par MM. Chauffard e
mène du pied à gauche. 1111. PmuYrbor.r Werziloff admettent dans ce cas une hémorrha- gie dans la substance grise de la
M. le professeur 110JEWN11101·1 attire l'attention sur la pureté du cas de MM. P... et W... et croit à l'étendue considér
es organes internes. En résumé, les particularités intéressantes du cas actuel sont : 1° l'altération extrêmement prono
es deux processus pathologiques qu'on observe simultanément dans ce cas , notamment la gliomatose avec syringomyélie, et l
ringomyélie. Cette théorie est juste pour une certaine catégorie de cas de syringo- myélie, et notamment dans les cas o
certaine catégorie de cas de syringo- myélie, et notamment dans les cas où ii s'agit d'une compression médullaire, occa
ette observation sont des processus d'origine congénitale et que le cas de M. Orlovski peut être cité à l'appui de la thé
es corps étrangers dans l'estomac des aliénés. L'auteur relate le cas d'un mélancolique qui avala une pince casse-noi
rouvée. - MM. Rupm.N, JAKOWENKO, Korsakoff et Pribytkoff citent des cas analogues. Asiles d'aliénés. Marseille et Aix.
questions qui échappent à leur compétence ! Voici, en exemples, des cas qu'il cite : un Italien meurt dans un hôpital à
n un mot, ayant chacun un département judiciaire ; 2° que pour tous cas d'urgence les méde- cins aient à remplir des fe
venir dans la maison, de soi- gner le personnel et de remplacer, en cas d'absence, les médecins de la division des alié
très fréquemment dans la paralysie générale. Nous avons observé 17 cas de troubles trophiques des ongles sur nos 57 ma
squ'à l'atrophie, la dystrophie et la chute. Dans la majorité des cas , l'ongle jaunit, brunit. Il présente sur sa fac
troubles des ongles chez les paralytiques généraux. Les sept autres cas sont signalés au cours des observations (obs. X
es pupilles paresseuses et inégales. La malade gâte. E. Régis. Un cas de dystrophie et de chute spontanée des ongles
dans la para- lysie générale. Nous l'avons observée 26 fois sur 57 cas . Il est difficile de préciser son début, ne pou
alise aux tempes et au sommet de la tête, mais dans la majorité des cas elle est disséminée en clairière. Nous n'avons
ante, unie, lisse (calvitie). Dans quelques 186 CLINIQUE MENTALE. cas l'alopécie est symétrique, commence par les tempe
ompétent, M. Christian3, après avoir passé en revue et critiqué les cas publiés avant '188ë, ne croit pas à « l'ostéite
ralytiques généraux ». Dans une période de six ans et demi, sur 250 cas , il n'a pas observé une seule fracture. M. Simo
nous- même d'observation à citer, et nous n'en avons jamais eu de cas . D'ailleurs, des cliniciens distingués, qui ont v
que les émi- nences thénars sont envahies d'abord ; mais il a vu un cas où l'affection a commencé par une atrophie cons
ont dues aux névrites périphériques. Hoche= (de Hambourg) cite deux cas d'atro- phie des muscles de la main avec invers
e la formule électrique. L'examen microscopique de l'un de ces deux cas montre une atrophie dégénérative des muscles, l
ures et les racines des nerfs étant saines. Herting mentionne trois cas de rupture non traumatique de la vessie chez de
peut notamment se limiter à un seul côté . C'est exacte- ment le cas de la malade dont nous rapportons l'observation.
igus. C'est bien là une double preuve de névrite périphérique, le cas de cette paralytique chez qui la névrite se manif
produits azotés par les urines (Durante). Nous avons noté déjà deux cas d'amaigris- sement rapide parmi nos malades (ob
mi nos malades (obs. IX et XV), et nous rapportons ici un troisième cas . Ocsenvwuov LXVIII. Amaigrissement considérable
raux, 48 ont présenté des troubles trophiques. Dans la majorité des cas , ils ont eu plusieurs troubles à la fois. Ainsi
! r8 paralytiques généraux. L'alopécie a été comptée 26 fois sur 57 cas , mais ce chiffre nous paraît exagéré. Dans le n
perte des cheveux surtout passe aisément inaperçue. En écartant ces cas douteux, où l'alopécie semble être bien antérie
e en ligne. Les mêmes considérations nous obligent à en écarter les cas douteux. Les altérations dentaires n'attirent p
l'attention des familles que la chute des poils. Nous signalons 19 cas cons- tatés. Les troubles des ongles, au cont
gles, puis la naissance d'autres ongles atrophiés. Nous avons eu 17 cas de troubles unguéaux. L'ichthyose se passe de t
4 fois l'oedème des mains ou des pieds. 3 fois le zona ; dans un cas , il a précédé la paralysie géné- rale. Trois de
TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE RECUEIL DE FAITS. NOTE SUR LE CAS TÉRATOLOGIQUE COMPLEXE D'UN ALIÉNÉ (gigantism
elques mensurations et constatations physiques sur cet individu : CAS TÉRATOLOGIQUE COMPLEXE D'UN ALIÉNÉ. 203 Les bou
centimètres de hauteur et 3 cent. 75 de largeur maxima. Firl. 2. CAS TÉRATOLOGIQUE COMPLEXE D'UN ALIÉNÉ. 205 Ajouton
énil. En effet, chez les eunuques, leur castration empêche tout à CAS TÉRATOLOGIQUE COMPLEXE D'UN ALIÉNÉ. 207 fait le
'organes génitaux externes mâles, et comme on l'a constaté dans des cas simi- laires (Marie-Madeleine Lefort), ne peut-
tte soeur. Le problème tératogénique à résoudre au sujet de notre cas n'est pas moins ardu. On n'a pas oublié que la na
ue je puis heureusement compléter immédiatement la rela- tion de ce cas intéressant, puisqu'elle n'a pu même trouver pl
bourses, absence de testicules qui sont remplacés par deux petites CAS TÉRATOLOGIQUE COMPLEXE D'UN ALIÉNÉ. 209 masses
HOLOGIQUES. XXXV. RÉFLEXIONS SUR LES LÉSIONS DE LA MOELLE DANS DEUX CAS d'anémie pernicieuse; par Miche ! CLARKE. (Bret
e ! CLARKE. (Bret. med. J02lra., 2 octobre 1897.) Dans le premier cas , les lésions médullaires consistaient en une dé
de la partie postérieure du cordon latéral gauche. Dans le second cas , la substance grise de la moelle présentait des
se était granuleuse en partie, désorganisée et abaissée. Ces deux cas forment un contraste frappant : l'un offrant une
chronique, l'autre une lésion de la substance grise. Dans les deux cas les cellules nerveuses traitées par l'acide chl
E; pal' ANGIOLELLA (Il Manicomio, anno XI, fasc. 2-3.) Dans douze cas examinés par l'auteur, il existait constamment
lésions semblables des vaisseaux se rencontrent aussi bien dans les cas où préexistait chez le sujet une infection syph
ATHOLOGIQUES. 213 XLII. Étude CLINIQUE ET anatomique, relative A UN cas DE diplégie, spasmodique congénitale (maladie d
sieurs variétés de folie, et surtout dans les cerveaux séniles. Les cas où l'auteur les a rencontrés le plus souvent ét
s. Les cas où l'auteur les a rencontrés le plus souvent étaient des cas de paralysie générale, de folie alcoolique, et
igre reliquat de cytoplasme, sans aucun prolongement. Même dans ces cas extrêmes, le pourtour du cyto- plasme correspon
visible. Cet état pathologique a été observé par l'auteur dans des cas dont l'àge variait de vingt-huit à quatre-vingt
de la moelle. G. D. XLVI. LE mécanisme DES mouvements réflexes; UN cas DE compression DE la moelle dorsale avec abolit
et 17.) - Les conclusions qui se dégagent de ce travail basé sur un cas de compression lente de la moelle dorsale sont
rsale sont les suivantes : 1° Au point de vue clinique, a) dans les cas de lésion transver- sale complète de la moelle
flexe à la douleur, qui persiste d'une façon constante; b) dans les cas de compression de la moelle cervico-dorsale on
une cellule se colore totalement comme celle de Parkinje. Dans ce cas , ses prolongements protoplasmiques sont aussi col
ologie, 1897, no, 12 et 13.) Ce travail contient la relation d'un cas d'aphasie sensorielle totale. Le malade présent
immunisation a donc un substratum anatomique. P. KERAVAL. LVI. UN cas insolite DE lésion de la partie cervicale du gran
- même au rétrécissement du champ de la conscience. Dans certains cas , cependant, l'amaurose hystérique unilatérale par
apparue fréquemment dans le milieu où il a observé. Dans certains cas , les plus nombreux, d'encéphalopathie satur- ni
par l'auteur, forme ménin- gitique est toujours grave ; dans un des cas cités par M. Thouvenet, elle a entraîné la mort
ranquille avec hallucinations de la vue et de l'ouïe. Dans d'autres cas (forme convulsive), la maladie s'est traduite p
s présentant une étiologie différente, l'auteur a observé plusieurs cas de tachycardie rythmique et arythmique. Dans un
é plusieurs cas de tachycardie rythmique et arythmique. Dans un des cas rapportés il sagissait d'une tachycardie rapide a
e tachycardie arythmique rebelle a tout traitement. Dans un autre cas , l'effet du cyclone fut une sorte de chorée hys
de la rareté de l'acromégalie chez les enfants, l'auteur relate un cas de cette affection qu'il a observé chez un nègre
fications bio-chimiques si mal connues. A l'appui l'auteur cite des cas répondant clinique- ment à des types des lésion
onne cérébelleuse et les cordons pyramidaux croisés ; dans quelques cas mêmes, les racines grises postérieures sont touch
es faisceaux. ' A. V. 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. X. SUR un cas DE myélite SUBAIGUF DORSO-LOMBAIRE; par MM. Ch.
dence fréquente des deux conditions, symptômes et lésions. Mais des cas peuvent se produire où lésions et symptômes ne
cident plus et l'auteur en cite plusieurs exemples. Dans un premier cas , un enfant présentait tous les signes cli- 'niq
ndant l'affec- tion eut une terminaison favorable. Dans un second cas , où l'enfant avait succombé avec des symp- REVU
s. . Le terme de méningite sert pour couvrir un certain nombre de cas cliniques à pronostic défavorable : il serait pré
emble sous beaucoup de points à l'épilepsie de l'encéphalite. Ces cas présentent une première période d'épuisement nerv
avec soin les fonctions du foie et le régime prendra-t-il dans ces cas une grande importance thérapeu- tique. (The Ali
utrition ? Toujours est-il que névrose et phtisie semblent dans ces cas deux processus émanant d'un même substratum, de
zda Carthago du très distingué M. Escu- der. F. BOISSIER. XVI. UN cas d'atrophie musculaire PROGRESSIVE d'origine traum
ra-médullaire. On est donc conduit à penser qu'il s'est agi dans ce cas d'une atrophie .musculaire progressive plus ou
'autre part, la grossesse suit son cours normal. Dans la moitié des cas environ, la grossesse n'exerce aucune action sur
p. 100 et que l'accouchement se fait avant terme dans 20 p. 100 des cas . A. Fenayrou. XVIII. SUR UN cas d'hémianopsie h
it avant terme dans 20 p. 100 des cas. A. Fenayrou. XVIII. SUR UN cas d'hémianopsie horizontale INFÉRIEURE D'ORIGINE
ives ou secondaires. Les lésions constatées par les auteurs dans le cas qu'ils rapportent ont la même localisation que
silivo-sensorielle par exemple; mais lorsqu'on est en présence d'un cas de polyurie monosymptomatique, comment savoir q
st souvent incertain ; la suggestion hypno- tique est dans bien des cas impuissante et, de plus, elle a été suivie d'ef
rés simples non hysthériques. La distinction est donc dans certains cas impossible entre la polyurie hystérique et la p
polyurie neurasthénique est à peu près impossible. Dans d'autres cas , lorsque par exemple. une polyurie insipide reb
BOUCHAUD. (Presse médicale, 28 avril 1897.) L'auteur rapporte un cas de migraine ophtalmoplégique diffé- rent de ceu
d'un certain temps à une paralysie permanente, il n'y a eu dans le cas présent qu'un seul accès et la paralysie, qui e
égique ; d'une part, si la maladie peut se développer à trente ans ( cas de Charcot), il n'y a pas de raison pour qu'elle
et d'amnésie continue ; 3° cette insomnie se rattache dans certains cas à des phénomènes de somnambulisme plus ou moins
logique de la paralysie ascendante aiguë, les auteurs rapportent un cas de cette affection qu'ils ont observé. Il s'a
ttte. Chez les deux autres, la démarche est plutôt titubante. Ces cas correspondent assez bien au type de la maladie fa
E protopathique ; par E. LENOBLR. (Revue de médecine, juin 1897.) Cas d'anémie pernicieuse primitive survenue chez un h
énomènes d'irri- tation constatés pendant la vie. L'intérêt de ce cas consiste dans la rapidité de l'évolution de la
f, Bobinski, Haury, Atwood, Rose, Frischer), l'auteur apporte douze cas observés à la clinique psychiatrique de Moscou.
-t-elle une entité morbide spé- ciale ? , il arrive dans certains cas que les symptômes de névrite sont à peine prono
tains auteurs (Babinski, Henry), s'appuyant sur quelques-uns de ces cas , pensent qu'il n'y a pas lieu d'établir un lien o
mais la cause première semble être l'alcoolisme dans la plupart des cas . C'est surtout dans les cas d'origine nettement
être l'alcoolisme dans la plupart des cas. C'est surtout dans les cas d'origine nettement alcoolique qu'on observe un
oolique qu'on observe une prédominance des troubles psychiques. Ces cas sont également ceux dont le pronostic semble le
nt le cerveau que les nerfs périphériques ». M. HAMEL. XXVIII. UN cas DE gliome cérébral; par DEVIC et CODMONT. (Revu
eur de la face.. - . L'ALCOOLISME AU CONGRÈS DE BRUXELLES. 241 Ce cas montre que des troubles mentaux spéciaux, accès d
endre la signification des mots qu'il lit. L'auteur rapporte ici le cas d'un paralytique général qui au cours de sa mal
rdu la notion de leur usage. Il n'y a ni aphasie ni agraphie. Des cas analogues ont déjà été décrits par quelques auteu
vu, d'affirmer bien haut que le buveur est dans un grand nombre de cas un être curable et que la cure du buveur est un
opère sur un sujet fatigué ou sur un sujet reposé. Dans le premier cas , l'alcool donnait de l'énergie; dans le dernier
e, à une situation qui était devenue tout à fait anormale ; mais en cas d'absence par maladie ou par vacances d'un ou d
rmettrait de se suppléer mutuellement. Il serait pru- dent, en tout cas , de ne pas émettre un voeu avant de s'être assuré
médecins, aujourd'hui il est composé également de 4 méde- cins. En cas d'absence de l'un d'eux, un des trois autres méde
ins de l'Administration qui le place dans un asile d'aliénés. En ce cas je demande que le dossier administratif de ce m
es- sante et utile. Il va de soi qu'il en est de même pour tous les cas . Je ne fais que renouveler ici une demande que
e, les rapports des médecins aliénistes ne suivent pas le malade en cas de transfert. Il y a là une lacune à combler da
nt entretenu, elle n'aurait réussi que bien incomplètement. En tout cas , la note Archives, 2e série, t. IV. 17 258 BI
le Dr ROUBY. . A propos du fameux procès Cauvin, A). Rouby cite le cas d'une de ses malades, petite, chétive, qui dans
tre juristes, les médecins pourraient toujours, les éclairer en des cas pareils ; et le rôle de Y anthropologie enmt- i
st tout à fait simi- laire au délire de dépossession. Dans certains cas même la distinc- tion n'est pas facile entre le
i ne peut-on formuler de règle générale à cet égard; tout dépend du cas et de l'espèce, et le principe de la res- ponsa
tion. L'apprécia- tion médico-légale de leur responsabilité dans le cas de faute grave contre la discipline s'impose, e
l'amnésie est dérègle dans le suicide par pendaison ? Dans les deux cas , pourtant, il y a asphyxie; aussi croyons-nous
qu'un résultat de l'irritation cérébrale qui, limitée dans d'autres cas à une zone motrice, produit l'épilepsie jackson
lement et n'eurent aucune suite fâcheuse; mais dans aucun des trois cas il ne se produisit de sécré- tion lactée, ni au
juste de le déclarer, les initiatives les plus généreuses. C'est le cas quand il s'agit d'oeuvres colossales, de montag
t renoncer dans ses prescriptions à un produit qui, hormis quelques cas rares et peut-être douteux, n'est jamais indiqu
on générale, les accidents se rencontrent plus fréquemment dans les cas où les accidents secon- daires ont été les plus
de l'infection : d'après une statistique de Naunyti, 80 p. 100 des cas se présentent dans les dix premières années qui
les dix premières années qui suivent l'infection. La majorité des cas se présentent entre vingt-cinq et quarante ans
système ner- veux jouent le rôle de causes prédisposantes ; sur 100 cas de syphilis cérébrale, Carnowsky a trouvé l'alc
cas de syphilis cérébrale, Carnowsky a trouvé l'alcoolisme dans 43 cas , la neurasthénie dans 29, et des traumatismes c
, la neurasthénie dans 29, et des traumatismes crâniens dans 5 ; 23 cas seulement étaient indemnes de prédispositions.
a myélite aigus syphilitique, avec une observation. Dans tous les cas , en général, on rencontre une première période
é, l'artérite syphilitique et les gommes. Sur une statistique de 90 cas de syphilis cérébrale publiée par Fournier, il
s de syphilis cérébrale publiée par Fournier, il y eut 14 morts, 33 cas d'amélioration avec infirmités graves, 14 cas d
il y eut 14 morts, 33 cas d'amélioration avec infirmités graves, 14 cas d'amélioration avec infirmités légèies, et 30 gué
iques qu'il faudra la rechercher surtout, mais bien plutôt dans les cas aigus qui présentent des idées délirantes non s
ttribué à ces mouvements le qualificatif de folie des muscles. Cinq cas cliniques, avec tracés, cités par l'au- teur lu
cés, cités par l'au- teur lui servent à démontrer que dans certains cas , il existe, asso- ciés à ces mouvements ordinai
caractérisés par la fatigue, à laquelle se joindront dans certains cas des hyperesthésies ou des troubles de la sensib
nérale qui constitueront les symptômes secon- daires. Dans certains cas , les symptômes secondaires pourront paraître pr
97.) E. B. 3t4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXIX. A propos D'UN cas très intéressant DE maladie D'.\DDISON. Cancer
ocié à la tuberculose des capsules surrénales. Mais l'importance du cas réside dans les lésions spinales indépendantes
atteints de ces mouvements ; 3° Comme le signe de Romberg dans les cas peu avancés d'ataxie, les mouvements involontai
es symptomatiques de l'hystérie. Au fibrome se sura- joute, dans ce cas , une topoalgie névropathique. E. B. XLII. Quatr
joute, dans ce cas, une topoalgie névropathique. E. B. XLII. Quatre cas d'affection cérébelleuse A rapprocher DE l'ataxie
utopsie); par G. Spiller. (Brailz, part. LXXVI, 1896.) Ces quatre cas proviennent de l'école des Enfants arriérés de
inution de volume de la moelle. Fraser et Norme con- sidèrent leurs cas comme des arrêts de développement. La maladie d
euvent être des formes dif- férentes de la même maladie; il y a des cas où les deux syndromes sont simultanés et où le
ouleurs. Cette longue en- quête est donc surtout'pbysiologique, les cas cliniques qui la com- posent équivalent à autan
spécialistes en cardio et pneumopathoiogie. F. Boissieb. XL1V. UN cas dont l'autopsie démontre la guérison D'UNE premiè
ie qui rend les mouve- ments pénibles. L'auteur pense que dans ce cas il s'est produit une lésion des racines rachidi
éter- miné par le trapèze; mais ce qu'il y a de remarquable dans ce cas , c'est que l'enfant n'a accusé aucune douleur l
té constatée que deux à trois mois après. P. RELLAY. XLVI. SUR un cas d'acromégalie ; par ROXBURGII et COLLLS. (British
prématuré des paraplégies (Gowers et IlupprechL). L'auteur cite 20 cas personnels se décomposant comme suit : REVUE DE
and intérêtclinique parlaprésence des signes s inaccoutumés dans un cas de paralysie bulbaire incontestable. La maladie
on début lorsque les gros signes classiques font défaut; 1 dans ces cas , ce; tains symptômes de moindre importance peuven
muscles isolés sont extrêmement rares dans l'hystérie. Dans un des cas de ce genre (celui de Verhoogen, voir Gilles de
soulagement, elle n'est pas dan- gereuse, elle l'est moins en tout cas que les narcotiques et anesthé- siques. Il est
r l'aI'IiES VEBEn. (Edim- bourg médical Journal, juin 1897.) . Ce cas , très intéressant en raison des accidents mortels
de la température. L'enfant meurt dans des conditions analogues aux cas d'état de mal épilep- tique, trente-six heures
y, sans avoir jamais repris connaissance. L'auteur fait suivre ce cas de quelques considérations intéres- santes et c
que avec une évo- lution presque toujours régulière ; dans quelques cas rares, il ne se montre qu'avec un caractère épi
rares, il ne se montre qu'avec un caractère épisodique et, dans des cas plus rares encore, certaines de ses phases sont
volution régulière sont au nombre de quatre : 10 Dans 45 p. 100 des cas , le délire comprend une phase de per- sécution,
galomanie et se termine par la démence ; -, 2° Dans 23 p. 100 des cas , la démence y fait défaut, mais cette forme n'e
e développe- ment de la première ; 1 3° Enfin, dans 32 p. 100 des cas , la phase mégalomaniaque manque et le délire es
e termine en fait assez souvent, par la démence. Dans beaucoup de cas on retrouve, jusqu'à la fin, des idées de persé
à évolution systématique progressive et n'en constitue pas, en tout cas , une phase obligée. Il n'est que l'indice d'une f
de la maladie, déterminés par Lassè,,ne se retrouvent dans tous les cas . S'ils manquent, c'est qu'on n'a pas affaire à
t neu- rologistes, les questions suivantes : 1° Connaissez-vous des cas de folie choréique ayant donné lieu à des accus
eptique, REVUE DE pathologie mentale. 335 l'auteur rapporte-douze cas de formes rares. Cas 1 : avant sa crise, le mal
athologie mentale. 335 l'auteur rapporte-douze cas de formes rares. Cas 1 : avant sa crise, le malade prononce à plusie
que fois qu'il la prononce de nouveau, le ton devient plus élevé. Cas 2 : la scène commence par un sentiment indéfiniss
abattement et fond en larmes en pous- sant parfois de 'grands cris. Cas 3 : douleur dans l'hypochondre gauche localisée
s 3 : douleur dans l'hypochondre gauche localisée dans les muscles. Cas 4 et 5 : une demi-heure avant chaque attaque, l
at de rêve qui le rend incapable d'accomplir l'acte le plus simple. Cas 6 : dix à douze heures avant la crise, migraine
ures avant la crise, migraine violente localisée à la tempe gauche. Cas 7 : spasme clonique des masseters. Cas 8 : dans l
localisée à la tempe gauche. Cas 7 : spasme clonique des masseters. Cas 8 : dans la moi- tié des cas, la crise est préc
Cas 7 : spasme clonique des masseters. Cas 8 : dans la moi- tié des cas , la crise est précédée par une sensation d'odeur
, la crise est précédée par une sensation d'odeur de fumée de bois. Cas 9 : dix ou douze heures avant l'attaque, le ma-
lade perd toute sensibilité de la moitié antérieure de la langue. Cas 10 : douleurs lancinantes à la partie moyenne de
10 : douleurs lancinantes à la partie moyenne de la cuisse gauche. Cas 11 : sensation d'engourdissement sur toute la pér
he. Cas 11 : sensation d'engourdissement sur toute la périphé- rie. Cas 12 : sensation de froid sur la région lombaire. (
assification des maladies mentales. L'auteur cite une liste de 15 cas de délire grave traités au cours des onze derni
l- ques-unes des observations les plus intéressantes. Dans tous les cas la symptomatologie a été celle de l'excitation.
es conditions, tant mentales que physiques. Le début, dans tous les cas , a été soudain, avec grande élévation de la tempé
soudain, avec grande élévation de la tempé- rature. Dans plusieurs cas , l'examen des urines a montré de l'albu- mine e
lbu- mine et un excès de phosphates. Gâtisme dans la majorité des cas . Sur quinze cas il y a eu douze morts, deux guéri
n excès de phosphates. Gâtisme dans la majorité des cas. Sur quinze cas il y a eu douze morts, deux guérisons, et un ca
cas. Sur quinze cas il y a eu douze morts, deux guérisons, et un cas terminé par la démence. (American journal of insn
. (American journal of insnnity, avril 1897). E. B. XXXVIII. CINQ cas d'hystérectomie dans la folie; par le D' Aven-
des organes pel- viens. Au cours de ces deux dernières années, cinq cas d'ablation de l'utérus et de ses annexes ont ét
us et de ses annexes ont été pratiqués dans cet asile : il y eut un cas suivi de mort, un cas suivi de guérison du désord
nt été pratiqués dans cet asile : il y eut un cas suivi de mort, un cas suivi de guérison du désordre mental et sur les
aussi intervenir comme cause prédisposante. L'auteur rapporte le cas d'un malade atteint de manie chronique et qui e
nt à ce dernier facteur, puisque l'auteur n'a pu en trouver un seul cas authentique. L'observation présente, des plus c
sés en pérégrinations était toujours nul. A beaucoup d'égards, ce cas ressemble au somnambulisme ambu- latoire. Comme
ément sous une forme plus ou moine atténuée. Il faut distinguer les cas où le délire s'accompagne de phéno- mènes convu
le voit devant lui (hallucination visuelle contemplative) ; en tout cas , il l'entend sous forme de voix auditive (hallu
mbiant sur le malade et du malade sur le milieu ambiant. Et dans le cas où le mal est fait, où l'épidémie est déjà déclar
ut être préexis- tante ou consécutive à la méningo-encéphatite. Les cas du premier genre sont très rares. Il est peu fr
n dans le 'cours de la méningo-encéphafite. Se trouve-t-on dans ces cas en présence d'hystérie essentielle ? Non. Il n'
; impor- tance d'un traitement moral, psychique, approprié à chaque cas emploi de la suggestion sous toutes ses formes.
es expériences, faites sur des chiens, il résulte que dans tous les cas il a constaté, dans les membres du côté opposé
cercle, hallucinations. Dans le dernier, l'auteur relate différents cas de névroses ou de maladies organiques diverses,
qu'il lui a été donné d'observer et pour la plupart de traiter. Ces cas pour les névroses se rapportent à l'épilepsie,
r; 3° il peut intervenir pallia- tivement et remédier dans certains cas d'une façon remarquable aux symptômes généraux
uvent qu'il peut obtenir de très beaux résultats ; 5° dans tous les cas , il interviendra le plus tôt possible et suivra
ns-nous jamais tant attention que lorsqu'ils cessent, ce qui est le cas dans les affections menta- les qui nous occupen
ntiellement et primitivement perverties ou abolies; dans ce dernier cas , les innombrables perceptions organiques incons
e une série d'intermédiaires entre les formes aiguës simples et les cas chroniques complets dont le délire systé- matis
le correspondent les malades hantés par des animaux : même dans ces cas on peut découvrir des troubles psychomoteurs at
Les phénomènes psychomoteurs s'observent, avons-nous dit, dans ces cas bien qu'ils soient plus difficiles à mettre en
rants, etc. Il est permis de penser que nous avons affaire, dans ce cas , à des phéno- mènes psycho-moteurs atténués, et
sur lesquelles nous reviendrons d'ailleurs plus loin, à propos des cas où elles sont de règle (possession). LE DÉLIRE
'absolu touchant les cellules des ganglions abdominaux ebque chaque cas doit être examiné à part; il incline toutefois op
ns fonctionnelles du neurone. Mais si cette explication convient au cas spécial des amputations, elle serait insuffisan
titution du nerf au point de vue fonctionnel et anatomique. Dans le cas de rétablissement du courant nerveux, les cellule
on arborisation terminale est un organe d'émission, pré- sentant un cas très net de la loi de la multiplication des effet
atérales, elles doivent posséder d'autres fonctions, en beaucoup de cas au moins (p. 151) : ce se- raient, non des appa
aucune lésion sensible à l'ophtalmoscope. Il s'agit donc, dans le cas étudié, d'une perte bilatérale intermittente de
e à l'hystérie majeure. Et si j'ai cru devoir relater brièvement ce cas de perte intermittente de la vision bilatérale
encontrée que trois fois\ Il cite comme des faits exceptionnels les cas relatés par Pomme, Allègre , Landouzy. Au contr
que les liquides stercoraux et urinaire exercent, dans beaucoup de cas , sur la peau ou sur les eschares de nos paralyt
on permettant de songer à une lésion du cervelet. Dr DEVAY. LIX. UN cas d'ostéite déformante DE PAGE. Interprétation DES
e tuberculose pulmonaire et péritonéale. Comme particularités de ce cas , l'auteur signale : la symétrie croisée des lés
s faisceaux de Goll et les faisceaux pyramidaux. La discus- sion du cas et sa comparaison avec ceux de Gilles de la Toure
398 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. LX. SUR un cas d'hémisection traumatique DE la MOELLE (Syndrome
Leçon magistrale qui embrasse non seulement l'analyse critique d'un cas très intéressant d'hémisection traumatique de la
estant de ses jours, mais bien : « Dans la très grande majorité des cas . une amélioration progressive, plus ou moins ra
e côté. Dr F. DEVAY. LXIII. LÉSIONS DE la moelle épinière dans UN cas DE diabète sucré; par les Drus Souques et Makin
rique qu'il faut rechercher l'origine de ces lésions 'dans certains cas de diabète sucré. En somme, la moelle peut être
diabète sucré. En somme, la moelle peut être altérée dans certains cas de diabète sucré, soit isolément, soit en même
certains diabétiques. Elles constituent, sans doute, dans plusieurs cas le substratum anatomique du signe de Westphal. (R
eux observations rapportées par l'auteur montrent que dans quelques cas de paralysie de certains muscles le sujet arrive
ituer au muscle paralysé l'action de muscles sains. Dans le premier cas il y avait paralysie complète du muscle del- to
substituaient par leur action au deltoïde paralysé. Dans le second cas , il s'agissait d'une névrite traumatique du ple
lée zone marginale ou faisceau profond du cordon latéral. Dans un cas de sclérose latérale amyotrophique, l'auteur a pu
de l'alcool; pour d'autres, cet automatisme pourrait dans certains cas se développer dans le cours de l'alcoolisme chron
sence d'autres éléments étiologiques quelconques expliquant dans ce cas l'état morbide; mais avant tout l'anamnèse et l
La question peut alors se poser ainsi : Doit-on ramener tous les cas d'automatisme syphilitique à la catégorie de l'au
me épileptique déterminé par la syphilis, ou faut-il considérer ces cas comme un état morbide développé indépendamment
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 407 que pas de cas dans lesquels l'application d'autres appareils or
tre appliqués plus souvent qu'on ne le fait. L'auteur rapporte deux cas favorables d'application des appareils orthopéd
due à un professeur agrégé de Montpellier qui en a observé quelques cas . On peut interpréter de plusieurs façons les fa
stiques, quand elles sont bien faites; 2° l'étude étiolo- gique des cas de paralysie féminine ; 3° celle de la paralysie
tions, le traitement spécifique devrait être efficace dans les deux cas . Il ne s'explique pas pourquoi les lésions de l
venait d'y être importée. Quinze ans après on signalait le premier cas de paralysie générale. MM. Ritti et Toulouse co
la forme galopante de la démence progressive, S. et W. invoquent un cas de paralysie générale à forme galopante, qu'ils o
ale. Passant à l'évolution de la maladie, les auteurs admettent des cas de délire aigu à évolution plus longue, chroniq
s petits îlots macroscopiques, ci-dessus désignés. Dans le deuxième cas l'examen microscopique n'a pas été prati- qué.
e au contraire à l'avis de Semidalow et Weidenhamer. 11 rappelle un cas personnel de délire aigu, où l'autopsie a révél
jours, les deux autres, six jours seulement. Dans tous ces ' trois cas la cavité crânienne ne contenait que le cervelet
ns la struc- ture des cellules des cornes antérieures dans les deux cas : les granulations chromatophiles apparaissent
nclure que les cellules des cornes antérieures, dans tous les trois cas pré- cités, ont dû subir un arrêt de développem
ique au tableau ana- tomique, on peut admettre qu'il s'agit dans ce cas d'un processus analogue à celui de poliencéphal
sOLImo et ORLOVSKY pensent que la localisation des lésions, dans le cas de M. Wersiloff, tient probablement à l'extension
n probable du noyau rouge. L'auteur a eu l'occasion d'observer un cas analogue en 1891 et d'en faire l'autopsie. Il s
s et le cervelet. La soustraction du système du noyau rouge dans le cas de Bonhoëffer a également donné lieu à l'hémichor
IEFF ne croit pas que la localisation présumée de la lésion dans le cas présenté parM. Mouratow, soit bien fondée. Quant
ornilow. Séance du 30 janvier 1898. Dr G. PA1HYT&oEF. -Sur un cas de tumeur siégeant à la limite de la partie cer
prend aussi part a la dis- cussion. · D' 1 ? lI. VEfiZILOrr. Deux cas de compression de la moelle épi- nière. Obser
vantes : 10 les symptômes radiculaires font souvent défaut dans les cas de tumeurs médullaires, ce qui rend le diagnost
s cordons antérieurs et latéraux, décrite par M. Werziloff dans son cas , s'observe égale- 'ment expérimentalement chez
orme essentielle, idiopathique de l'affection. Dans la majorité des cas on peut admettre, en effet, que le syndrome de
latations vasculaires), trouble spécial auquel on attribue, pour le cas traité, un rôle prépondérant dans la forma- lio
saires au circuit; opération inoffensive; méthode de choix dans les cas graves, curative dans tous les cas où la guéris
nsive; méthode de choix dans les cas graves, curative dans tous les cas où la guérison est possible, mais ne mettant pa
a été envoyé à l'infirmerie du Dépôt. (XIXe Siècle, 23 mars.) Ce cas montre combien il serait nécessaire de faire surv
uin 1898. ? 30 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. DIAGNOSTIC DU SIÈGE PAR
OCALISATIONS RADICULAIRES ; Par MM. ROUX et PAVIOT (de Lyon). Les cas complètement observés de tumeur de la moelle ne
aucune manifestation cutanée ou muqueuse; sa femme n'a jamais UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 435 eu de fausse couche
rçus; sur le scrotum, les piqûres sont seules parfois senties. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 437 Le malade est incap
euxième dorsales à droite, entre les septième et huitième cervi- UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 439 cales à gauche. Il
L'impression à l'autopsie fut donc que l'on avait affaire à un UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 441 gliome de la moelle
ontour. A la périphérie des lobules les cellules et leurs noyaux UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 44S surtout sont encore
là sensibilité consciente sont au contraire peu accusés. Dans notre cas , il n'y eut à aucun moment de l'incoordination,
lité. c). En remontant, dans les membres supérieurs nous trou- UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 447 1 vions des signes
it peut-être conduit à une intervention chirurgicale, comme dans le cas très analogue de Raymond '. La localisation ini
vrooliques de ta moelle. (Arch. Neur., 1893, t. XXVII, p. 97.) UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 4 lt9 sensations thermi
ences contradictoires, et s'est demandé, dans la suite, si dans les cas qu'il avait observés il ne s'agissait pas de ph
guère en effet, s'expliquer que par une action dynamogénique. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 451 côté opposé à la se
i pourquoi. L'élude en est très facile lorsqu'on a comme dans notre cas , comme dans le syndrome de Brown-Séquard, de l'
ion'a été observée en particulier et d'une façon très nette dans un cas de Raymond (hémisection de la moelle par un coup
en ait dit, l'existence de l'incoordination motrice (en dehors des cas où celle-ci est sous la dépendance de lésions c
notables dans l'appréciation de différents poids (et encore dans ce cas les autres sensibilités interviennent). En ré
rière, respectant plus ou moins les cordons postérieurs, dans notre cas par exemple. La seconde indique au contraire un
- rent le centre dilatateur des pupilles au niveau delà partie UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 458 inférieure de la mo
Remarque. - L'excitation des nerfs crâniens produit encore dans ce cas de la dilatation de la pupille, mais c'est par l'
l'article de F. 1'raulc'- soit dans celui de ? erteimer 3. Notre cas apporte à la discussion un élément qui a l'avan-
oabre.) Loc. cil. 1 liribsnud. Presse médicale, 1896, p. 17. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 455 Les troubles de la
le est partout d'une structure absolu- ment uniforme. Dans d'autres cas (de Raymond', de Moeller3) ) il y avait au cont
résumé, nous n'avons rien vu là qui puisse permettre, comme dans le cas de M. le professeur Raymond, de considérer que
perdues par des tubes nerveux régénérés. Il nous semble, pour notre cas du moins, que nous ne pou- vons interpréter ces
l'éternité. Cette idée d'immortalité se rencontre surtout dans les cas où l'agitation anxieuse prédomine. Dans la stup
n la plus facile de ce phénomène psychologique se trouve dans les cas , qui ne sont pas rares, où les séries d'idées, à
er une division, une séparation fatale de la personnalité. Dans les cas très développés où ce cercle d'idées, qui accom
ation voient dans ce cercle d'idées un être étranger. Dans quelques cas , on trouve dans ces dis- cours insensés... une
comme on la méconnaît dans les rêves ; mais il ne saurait dans ces cas y avoir de doutes... L'hallucination consiste é
dans leur corps et désignent constamment l'épigastre. « Dans les cas de ce genre, l'homme perd la conscience de son
sentie diable qui lui dit d'aller se noyer. Leuret ' rapporte des cas analogues. Cotard 2, qui rappelle d'ailleurs le
aient des possessions par un ou plusieurs démons ; dans le deuxième cas , le nombre en pouvait atteindre, suivant eux, c
qui traversaient la bande- lette longitudinale postérieure. En tout cas , du noyau du moteur externe parlent un assez gr
ut au plus, empêcher la formation de nouvelles combinaisons dans le cas où le foyer producteur de toxine serait encore
le, surtout à la paroi externe de la couche olivaire; dans certains cas le cylindraxe est difficile à reconnaître, mais
s, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 487 dans les cas de parésies de la jambe, les mêmes mouvements se
i'oei) ; pas de nystagmus . Comparant cette observation aux autres cas semblables, l'auteur reste dans le doute puisqu'i
rites qui viennent du ruban de Reil latéral. P. Keraval. XCVHL UN cas POUR SER\ IR A l'étude DU MÉNINGIS.)IE; par CII.
s nerveuses, l'auteur a eu l'occasion d'observer toute une série de cas , à systématisa- tion plus ou moins évidente, ma
es observations détaillées, accompagnées de photographies. Tous ces cas (noevi pigmen- taires simples, verruqueux et pi
superficiel. - II. Trijumeau.111. In- tercostaux. En comparant ces cas personnels avec ceux qui ont été publiés antéri
re deux terri- toires nerveux voisins. Dans l'un comme dans l'autre cas l'ano- malie congénitale doit être attribuée à
tion ou infection ? Mais cette lésion ne saurait expliquer tous les cas , particulièrement les noevi successifs ou symét
les autres modes de suicide. En voici une observation. Or, tous les cas publiés' frappent par l'apparition de convulsio
toïdes, hystéroïdes, tétanoïdes et clo- niques, durent, suivant les cas , une heure à douze heures. BIBLIOGRAPHIE. .499
cas, une heure à douze heures. BIBLIOGRAPHIE. .499 Dans tous ces cas , il s'est produit plus ou moins, de l'asphyxie,
t après le rappel à la vie. L''obsGructiozz des carotides , dans le cas où la suspension n'a été que temporaire, se tra
aliénés qu'une interdic- tion, j'avais toujours l'habitude dans les cas de lucidité partielle d'émettre verbalement un
ues nullement justiciables de l'opération, qui reste, dans certains cas bien définis, légitime et nécessaire. Et les aute
tre l'épilepsie partielle et l'épilepsie essentielle. Dans certains cas l'épilepsie généralisée peut très bien se prêter
valeur théra- peutique, puisqu'elle pouvait indiquer, dans certains cas , le point de départ de la décharge paroxystique
. Ce serait une faute grave en effet que d'identifier dans tous les cas le centre qui se décharge avec le foyer épilept
ev. de Dled.1885). On objectera peut-être que l'hémiplégie dans ces cas , l'épilepsie est due à l'oedème partiel, ou à des
ication elle- même. Ceci ne prouve pas moins l'inopérabilité de ces cas . Tout un autre groupe d'épilepsies partielles p
tion. C'est ainsi que l'intervention est toujours indiquée dans les cas de spasmes subintrants partant toujours du même
ion absolue de l'intervention. L'intervention est indiquée dans les cas d'hémorrhagie subdu- rale traumatique. et réuss
ant que la lésion relève d'un traumatisme ou d'une autre cause. Les cas d'épilepsie à antécédents traumatiques fourniss
graphique absolue de la cicatrice avec la lésion cérébrale est un cas rare. Nombreux sont les cas où, après incision de
catrice avec la lésion cérébrale est un cas rare. Nombreux sont les cas où, après incision de la dure- mère au niveau d
s satisfaisant. ' Si donc l'inlervention chirurgicale dans certains cas bien définis d'épilepsie partielle à localisati
e Lamy n'étaient que la seconde phase du processus. Dans certains cas , la méningite spinale syphilitique peut rentrer
bles, la sta- tistique de Gilbert et Lion donne encore [un tiers de cas rapide- ment mortels. Le^traitement sera inst
e dans les hémiplégies de cause cérébrale. Cabrol (Emile). Sur un cas de tabes avec artliropathies mul- tiples et hém
ues. Comme traitement, la suggestion est indiquée, surtout dans les cas où l'inteiiigence du malade est assez bien conser
ent symptomatique n'est pas toujours couronné de suc- cès. Dans ces cas , les accidents ont cédé à l'administration du p
le on met la mousse. Cette alèze est absolument, nécessaire car, au cas .contraire, lorsque la mousse aura absorbé une
rbantes, elle n'estplus aussi tendre que la mousse fraîche. En tout cas , elle ne peut pas servir indéfiniment, et au bo
ntaires précoces et la mise en observation médicale transitoire des cas de folie douteux avant la déclaration définitiv
Que dans lus asiles actuels il soit créé une colonie dans tous les cas où elle n'existe pas et que les services médicaux
0 malades; les fonctions de directeur étant confiées, dans tous les cas , au médectn en chef de grade le plus ancien ;
ale ; celle-ci pourrait sans doute être appliquée avec avantage aux cas d'aliénation mentale où le changement de milieu
a pas eu scandale, plaintes des voisins, délit ou crime. En pareil cas , on ne saurait trop se hâter et bien se rendre
ent par succomber à des accès de delirium tremens. M. Walsh cite le cas d'un de ces chevaux qui ne manque jamais de pas
heureux si quelqu'un de nos lecteurs pouvait nous renseigner sur ce cas , qui nous parait intéressant. Monument DUCHENNE
rze ans, par Valdès, 215. - par Roxburgh et Collis, 319. ADDISON. Cas très intéressant de malade d' -, par Bonardi, 3
tance grise de la - , par Ciaglinski, 66. Lésions de la - dans un cas d'amputa- tion congénitale des doigts, par So
ern, 315. Tac'r. l'aralyste du-pal Dubbers, ! rS8. Tératologiqce. Cas complexe chez un aliéné, par S. Gainier et San-
55 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lles qui nous ont paru* les plus caractéris- tiques pour chacun des cas . CHAI'ITl1'E I. - CTT11 : IP VISUEL. A. Champ
ts dépressifs. ; . D'interprétation avec hallucinations de la vue.- Cas . 120. Mme R..... Eudeline, femme B, 37 ans. Ent
is, soit d'une façon irrég-ulière, soit globalement ; mais dans ces cas , la diminution de l'attention des sujets était
champ est élargi dans toute son étendue. y. Maniaque intermittent. Cas . 48. Mlle D... Virginie, âgée de 46 ans, Entrée
e malade a des hallucinations terrifiantes, le champ visuel dans ce cas nous a présenté une oscillation contraire pour l'
s a ons noté l'irrégularité des pupilles dans plus de la moitié des cas que nous avons observés. Ainsi que le font rema
ssi fréquemment. C'est ainsi que nous l'avons noté, dans 62 % des cas de paralysie générale que nons avons observes ;
s aliénés examinés, nous n'avons noté le symptôme que dans 32 % des cas . Les formes que peut prendre la pupille sont de
esoin de revenir sur ce point ; nous de- vons cependant signaler un cas , où la déformation était si prononcée, en ovale
ÉNÉS. 29 Pour Terrien, elle existerait dans plus de la moitié des cas . MM. Rodier, Dubos et Pansier estiment que l'on
emment constaté (trois lois plus d'après notre observation 37 % des cas ) dans la paralysie géné- rale que dans les autr
ation moyenne. Nous avons d'ailleurs noté ce myo- sis dans 25 % des cas . U Nous n'avons jamais pu constater ni la réact
avant nous se sont occupés de la question, nous avons dans certains cas trouvé des vaisseaux flexueux, des veines dilat
différences de calibre pourraient n'avoir rien d'anor- mal. Dans un cas , la papille nous a paru uniformément décolorée
iodes de la paralysie générale. Enfin dans un assez grand nombre de cas (15 %), nous avons constaté un liseré blanchâtr
plus fréquemment sur les artères que sur les veines ; dans quelques cas nous avons vu cette lésion se manifester non pl
e. La vision nous a paru le plus su- vent conservée ; dans 50 % des cas , elle était normale ; dans 13 % seulement des c
e ; dans 50 % des cas, elle était normale ; dans 13 % seulement des cas , elle était inférieure à 1 /2. B. Etats déliran
lexe, nous a paru fréquente. Nous l'avons constatée dans 39 % des cas ; elle se manifestait généralement par la lenteur
ration normale, pour prendre une teinte grisâtre ardoisée. Dans les cas où nous l'avons observé, tantôt ce halo entoura
ment présenté que d'un seul côté à la fois. Dans presque tous les cas l'acuité visuelle était normale, ou seulement t
rait, en très petit, l'image du voile qui borde la papille dans les cas d'embolie de l'artère céré- brale. Nous avons
n'avons-nous tenu compte, pour arriver à cette proportion, que des cas tout à fait nets. Si dans plusieurs cas le rétr
à cette proportion, que des cas tout à fait nets. Si dans plusieurs cas le rétrécissement nous a paru fugace, susceptib
ne s'accompagnant enfin d'aucune lésion papillaire, dans d'autres cas au contraire, il nous a été donné de constater
inés considérés dans leur ensemble était normale dans la moitié des cas ; dans 10 % seule- ment des cas, nous l'avons t
était normale dans la moitié des cas ; dans 10 % seule- ment des cas , nous l'avons trouvée inférieure à 1/2. CONTRIB
vons trouvé de l'inégalité pupillaire dans un assez grand nombre de cas (24 %). Jamais nous n'avons constaté de myosis
es étaient généralement en état de dilatation moyenne. Dans aucun cas nous n'avons trouvé les réflexes à la lumière o
te, quelquefois de' rétrécissement artériel, mais la proportion des cas où nous avons constaté ces signes ophtalmoscopi
. La vision des mélancoliques a été trouvée normale dans 68 % des cas examinés ; dans 7 % seulement des cas elle étai
ouvée normale dans 68 % des cas examinés ; dans 7 % seulement des cas elle était inférieure à 1 ;2. Nous avons noté q
nt des cas elle était inférieure à 1 ;2. Nous avons noté quelques cas de dyschromatopsie ; les couleurs les plus diff
oe- pelin). Sur 23 malades examinés, nous n'avons noté qu'un seul cas de myosis. Dans six cas les pupilles étaient ir
ades examinés, nous n'avons noté qu'un seul cas de myosis. Dans six cas les pupilles étaient irrégulières ; nous n'avon
. Le réflexe se faisait lentement ou incom- plètement dans 30 % des cas à la lumière, dans 40 % des cas àl'acccommodati
ou incom- plètement dans 30 % des cas à la lumière, dans 40 % des cas àl'acccommodation, dans 8 % des cas à la fois à l
cas à la lumière, dans 40 % des cas àl'acccommodation, dans 8 % des cas à la fois à l'un et à l'autre. Le fond de l'o
ent externe et le bord flou de la papille dans un certain nombre de cas . Il nous a paru cependant que le fond de l'oeil
e la périvascularite. L'acuité visuelle était normale dans 50 % des cas ; dans un cas seulement elle était inférieure à
rite. L'acuité visuelle était normale dans 50 % des cas ; dans un cas seulement elle était inférieure à 1 : /2. D. Et
Les pupilles nous ont paru généralement étroites ; dans 17 % des cas , elles étaient en véritable myosis. Très sou- v
st l'état de flexuosité des vaisseaux du fond de l'oeil (50 % des cas contre 28 % pour l'ensemble des aliénés). Nous
iénés). Nous avons trouvé l'acuité visuelle normale dans 66 % des cas examinés. La dyschromatopsie s'est fréquem- men
d'une façon générale, ne nous a paru normal que dans la moitié des cas . L'amé- tropie de beaucoup la plus fréquente es
nous avons rencontrée faible (égale à une diop- trie) dans 24 % des cas , plus forte (au-dessus de une CONTRIBUTION A L'
N A L'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIÉNÉS. 35 dioptrie), dans 11 % des cas . Viennent ensuite la myopie et l'astigmatisme,
s 36 CLINIQUE MENTALE. avons examinés, et en particulier dans des cas d'inter- mittences irrégulières, où aucun autre
aire chez les aliénés. Riv. sp. t/re ? fasc, 2, 1897. Truelle. Un cas de paralysie générale avec hallucinations. A. N
sans motif n (4). Cette for- mule, qui parait applicable à tous les cas de véritables fugues élimine une foule de faits
s), etc.. Tous ces mots ne s'appli- quent qu'à tel ou tel groupe de cas . Le mot « fugue » plus court d'ailleurs, et ne
s visions terri- fiantes. Il en est ainsi dans un certain nombre de cas ; malgré les apparences, ils sont assez rares,
aissance des excès alcooliques du sujetet l'anamnèse sont, dans ces cas , fort utiles et sou- vent même nécessaires au d
issent généralement ensemble au début de la manie ; beaucoup de ces cas sont catalogués à tort « alcoolisme ». Il sembl
tK.ek. A 20 ans, fièvre typhoïde grave. A 26 (1) S. Dobiiotwoiisky. Cas d'automatisme ambulatoire e extrême- ment prolo
s présentent des symptômes et des si- gnes de toxémie ; 3° dans les cas d'exaltation mentale l'indoxyl est rarement aug
son taux est normal ou inférieur au taux normal ; 4° dans quelques cas de troubles mentaux, l'indoxyl est en excès aus
les symptômes et les signes de toxémie sont accusés ; ; 5° dans les cas rapportés par l'auteur, la guérison mentale a été
ntelligence du texte R. 111. C REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Un cas de pseudo-angine de poitrine chez un épileptique,
ll/'1laloj mental Science, janvier 1905.) Il s'agit bien ici d'un cas de fausse angine de poitrine, c'est-à- dire d'a
S1 malades, atteints tI'afrecli()n nerveuses l'auteur a relevé 1071 cas de neurasthénie, dont S03 chez l'homme et 808 c
REVUE DE PATHOLOGIE IOERVEI.;Sr. 1) : menuisiers ébénistes (.')7 cas ), les cordonniers (0 cal. les peints es ( ! x)
es tylonraphes (°1)., , D'après cette statistique, la,. moyenne des cas de neuraslliénie chez l'ouvrier est de 1 i; ? c
teil. sif, lorsque ce travail est à à l'air libre. G. Deny. V. Un cas de glossoplégie unilatérale isolée due probableme
qui préside au développement des hallucinations. G. DENY. VII. Un cas de tumeur du lobe temporal; par le Dr Déroute.
rose permanente soudaine avec atrophie optique et épilepsie dans un cas de porencéphalie avec pachyméningite hémorragiq
urnal of Mental Science, juillet 1904.) Il n'est pas facile dans ce cas dont l'auteur publie l'observation clinique d'e
qu'elle non plus n'ait pas pro - voqué d'autres symptômes; enfin ce cas est intéressant et en- courageant en tant que d
permettent nullement d'apprécier la virulence particulière dans ces cas , mais ils montrent d'une façon certaine l'action
d'une façon certaine l'action étiologi- que de la syphilis dans les cas où cette infection a été ignorée. Le traitement
ur le tabès confirmé, L. WHAL. REVUE DE THERAPEUTIQUE I. Sur un cas dans lequel le traitement par l'extrait thy- ro
rnal of Mental Science, Janvier 1904) Observation intéressante d'un cas de manie aiguë, datant de 9 ans, chez une femme
e) ne tardaient pas à se manisfester. R. DE MUSGBAVE CLAY. II. Un cas d'épilepsie : cessation des attaques sous l'influ
itaux spéciaux. R. de Musgrave-Clay. ,\ IV.' Note clinique sur un cas de constipation rebelle causée ^"par une accumu
paru nettement préférable à la voie sous-cuta- née. Dans plusieurs cas on a pu constater que l'emploi de ces sérums n'
ipal et le plue fidèle est une action hypnotique manifeste (50% des cas ). Les sérums ont aussi pour conséquence ordinaire
cert. ii ' R. DE MUSGRAVE CLAY. Vil. Action de l'atropine dans un cas de pouls lent per- manent ; par Simon (de Paris
l of Mental Science, juillet 1905.) L'auteur relate sommairement un cas de folie avec stupeur et un ras d'érotomanie ép
faut régler la dose comme on réglerait la dose d'un laxatif dans un cas de constipation : ordi- nairement cette dose va
naire donnée en une fois. 5° Le véronal est efficace aussi dans les cas chroniques lorsque l'exacerbation de l'agitation
vacité subjective d'une hallucination sensorielle. 6° Dans tous les cas de folie où une sédation est nécessaire et où le
7° L'incoordination musculaire des extrémités a été notée dans deux cas de manie très aiguë après l'administration de 1
ntait une agitation extrême associé au délirium tremens, et dont le cas se compliquait de congestion pulmonaire, de dil
faut ou s'il ne faut pas donner d'hypnotique constitue pour chaque cas particu- lier un petit problème à résoudre. E
rsistance elle ne menace d'avoir des conéquences mentales. Dans les cas où la mentalité est en - core saine, dans les n
on peut être amené à s'abstenir de médicaments hypnotiques dans les cas récents et probablement curables, l'humanité tant
'à l'égard de ceux qui l'entourent, en impo- sera l'emploi dans les cas où il n'y a aucun espoir de guérison. Au point
normale : très difficile est le diagnostic de la simulation dans ce cas . à moins qu'elle ne soit très gros- sière ou qu
ssion nommée par l'Association Médico-Psychologique pour étudier un cas de double cons- cience ; par Alfred Wilson (The
l'alcool ; 3° amnésie pendant la phase auto- matique, ou, dans les cas où l'amnésie est incomplète, conser- vation, to
soit néga- tive. R. DE nIUSGItAVE-CLAY. III. Note clinique sur un cas de manie aiguë pour servir à l'histoire de la m
Mental Science, avril 1904.) Etude intéressante, relatant divers cas d'obsessions, mais trop variée et trop détaillé
ystérie aucune ligne de séparation nette, mais il y a beau- coup de cas qui seront qualifiés d'hystérie par tel médecin e
cin et de folie par tel autre : l'auteur pense que dans beaucoup de cas d'hys- térie et de folie, la cause est exacteme
exactement la même,et cette opinion s'applique particulièrement aux cas qui débutent par l'hystérie pour finir par la f
de l\[rrS<1RAVE Ct.AV. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 65 VI. Un cas de folie aiguë hallucinatoire d'origine trauma-
ante et publiée avec soin dans tous ses détails. R. M. C. VII. Un cas de démence précoce; par Henry M. EusTACE. (The
a- tions publiées et c'est pourquoi l'auteur relate avec détails le cas d'un jeune homme de 21 ans qui présentait les s
or il avait autrefois souffert de la syphi- lis ; d'autre part, les cas juvéniles de paralysie générale so nt presque t
mortem dans les systèmes digestifs et respiratoires sur beaucoup de cas de paralysies générales et dans le système urin
sies générales et dans le système urinaire et génital dans tous les cas , leur bacille para- lycans (apparemment un baci
forme actmo-mycosique ou leptothrix équivalent en beaucoup d'autres cas ). Ils ont isolé le bacille dans le cerveau, en
ucoup d'autres cas). Ils ont isolé le bacille dans le cerveau, en 4 cas et en grand nombre dans les foyers de la pneumo
en grand nombre dans les foyers de la pneumonie. Sur trois de cinq cas , ils avaient trouvé des bacilles dans le fluide
ts et une chèvre infectés par des bacilles diphtéroides isolés d'un cas de paralysie présen- tèrent des symptômes pre m
dans ceux des lucides. Ces organismes peuvent se rencontrer dans le cas de san- té comme en cas de maladies. D'autre pa
es organismes peuvent se rencontrer dans le cas de san- té comme en cas de maladies. D'autre part, les D" Emery et le (
rises épileptiformes ; l'au- teur se demande s'il n'y a pas dans ce cas corrélation entre les deux syndromes angoisse e
n brèche : d'ailleurs ce serait une faute grave lorsqu'on étudie un cas de trouble mental, de laisser de côté l'examen
terme « paranoïa « est utile si on en restreint l'appli- cation aux cas de folie chronique avec délusions dans lesquels
la vie et qu'elles relèvent ou non de l'hérédité. 2° Dans tous ces cas , on doit tenir grand compte de l'impor- tance d
ou précéderait le trouble affectif. 3° En admettant l'existence de cas aigus dans lesquels les délu- sions paraissent
lesquels pour- tant la guérison paraît se produire, beaucoup de ces cas ne sont que la phase initiale d'une folie chron
tellectuel, il n'y a aucune difficulté à reconnaïtre que cer- tains cas de paranoïa débutent par un désordre mental aigu
les faire rentrer dans la dé- mence précoce un groupe important de cas dans lesquels on obser- ve de la débilité menta
(Umversalkrankheit) ou l'on pourra faire rentrer un grand nombre de cas , et qui ne man- quera pas, dans un avenir proch
des hallucinations terrifiantes chez les jeunes hystériques.Ici le cas est typique, c'est celui d'un jeune dé- généré
légers. G. C. XV. Les troubles mentaux dans la lèpre à propos d'un cas de psychose polynévritique chez un lépreux ; pa
iologie de ces accidents. L. WAHL. XVI. Quelques remarques sur deux cas de type épileptiforme ayant présenté quelques c
S- Fotn (The Journal of Mental Science, Juillet 1904.) Le premier cas est celui d'une femme de 57 ans, atteinte de ma
ucune attaque : depuis trois ans, la malade va très bien. Le second cas est celui d'un enfant de treize ans et demi ayant
raitement de la folie aigue sera nettement séparé du traitement des cas chroniques, et où les malades aigus seront trai
n qui pense qu'il est peu scientifique de ranger dans la démence un cas dont on peut avoir ensuite à constater la guéri
rrive assez souvent ; il a d'ailleurs été frappé du grand nombre de cas qui ne sont nulle- ment conformes aux définitio
ure- mère, avec coloration'rouillée, se rencontre dans un quart des cas au moins ; 2° la pie-mère et l'arachnoïde sont
mais les érosions lors de leur enlève- ment, manquent dans 40 b des cas ; 3° les granulations de l'épen- dyme du quatri
orité des hommes, mais elle est moins commune qu'autrefois dans les cas où le diagnostic porté est celui de paralysie g
sécution, les tendances au suicide sont plus communes ; 7° 80 % des cas , lors de leur entrée à l'asile présentent des a
urnal of mental Science, juillet 1905.) L'auteur a observé quelques cas de folie due à la déchéance de l'âge (il n'est
st pas nécessaire que cet âge soit très avancé),et il donne sur ces cas des détails intéressants. Il a essayé de détermin
es sciences médicales et sociales. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXIX - Un cas de paralysie générale des aliénés avec méningo-
écoulés une complication rare. Il faut remarquer aussi que, dans ce cas , alors que la lésion scléreuse est la lésion maxi
Autre point : comment expliquer les symptô- mes spinaux ? Voici un cas de méningo-myélite chronique avec no- dules iso
t il faut une fois de plus, se résigner à reconnaître qu'il est des cas de pathologie nerveuse où le diagnostic clinique
monodéisme ou tout au moins d'expectante atten- tion. Dans tous les cas , les idées introduites par l'initiateur se comp
nome pouvant fonctionner sans le contrôle du cerveau, dans certains cas pathologiques. En- fin, nous lisons : « 11 ne p
d'inflammation est caracté- risé par un exsudât; mais dans cerlains cas , l'exsudat caractérise aussi la sclérose.- 3° l
ie nerveuse et mentale. Dans la première leçon, l'auteur analyse un cas de paralysie spinale périodique qui se distingu
un cas de paralysie spinale périodique qui se distingue de tous les cas connus de pa- ralysie périodique, laquelle d'ai
urs se rencontre fort rarement avec cette différence que dans ledit cas , pendant les accès de pa- ralysie, on observait
ant quelques changements. Dans la 6e leçon, l'auteur en exposant un cas jHdiciaire-ps¡¡- chiatrique (tentative de meurt
s les plus simples et les plus clairs ». La "e leçon roule sur un cas de psi/chose mixte dégénératif, ayant pour élém
e toute maladie mentale. Ensuite Stchcrhak s'étend longuement sur 5 cas d'affection du tronc cérébral (dont un cas avec
s'étend longuement sur 5 cas d'affection du tronc cérébral (dont un cas avec autopsie), servant d'exacte illus- tration
la localisation atiatoiiii- que du processus morbide dans tous les cas de lésions, organi- ques du système nerveux. Ce
dans tous les cas de lésions, organi- ques du système nerveux. Ces cas sont si bien choisis qu'ils ou- vrent en détail
le lecteur, toute l'anatomie physiologique du tronc cérébral ; ces cas sont : 1° affection bulbo-spinale glioma- tcuse
diaphragme d'origine. hystérique », « Paralysie hystérique » (deux cas ), et « Pseudo-apoplexie hysté- rique ». Ces c
ystérique » (deux cas), et « Pseudo-apoplexie hysté- rique ». Ces cas offrent à l'auteur la possibilité de se prononcer
qui existait.chez le médecin. Dans la 12° leçon, l'auteur expose un cas d'inversion sexuelle chez une femme guérie par
à l'infec- tion générale. La 15e leçon contient la description d'un cas d'hy- pe1'trophie de la face combinée avec la s
e avec la sclérodermie. Enfin dans la 16e leçon, l'auteur analyse 4 cas d'atrophie mus- culaire progressive qui représe
es formes de l'atrophie musculaire progressive établis en vertu des cas purs ne peuvent avoir qu'une signification limité
r un « jeteur de sorts », est soupçonné de n'être pas étranger à ce cas de folie extraordinaire; on parle de certains f
aliéné ! Serait-ce que cette définition est jugée superflue ? En ce cas , il faudrait avouer notre infériorité, nous aut
bien admettre que,même au LA REVISION DE LA LOI DU 30 JUIN 1838. cas où il se serait trompé, le médecin a dû être de b
ns le placement des aliénés, ce devrait être exclusivement dans les cas de placements d'office. Les enquêtes policières
nous accorder en termes exprès, de donner des consultations sur les cas de notre ressort et de pratiquer les expertises
bien vague, et avis consultatif signifie qu'on pourra dans tous les cas négliger de le lui demander ou passer outre. D'
l'alitement dans son service, les autres médecins, consultés en ce cas , je sup- pose, devront-ils se ranger aux idées
aient l'opinion publique dans presque, peut-être même dans tous les cas , parce qu'ils seraient nécessaire- ment précédé
la se pratique actuellement ; un jugement ne s'explique que dans le cas où le tribunal croit devoir or- donner d'office
ner le malade à l'asile revenait à la famille seule ; dans certains cas , on envoyait bien des gardiens, voire même des
sse-t'il avant celui des parents, et ce dernier l'emporte- t-il, en cas de conflit, sur l'avis de la personne qui a de-
arent, on ne faisait nulle difficulté de lui confier le malade : le cas est très rare du reste, car il suppose le décès
S DÉMENCES. 131 L'art. 23, autorisant la transformation en certains cas du placement volontaire en placement d'office,
s phases maniaques de la psychose. L'observationII se rapporte à un cas de folie maniaque non délirante. La fugue ales
t à des mania- ques non délirants ; les observations IV et Y à deux cas de manie délirante. LES FUGUES DANS LES PSYCH
me parfois d'une intelligence très éveillée. Ce- pendant il est des cas où la véritable cause de la fugue ne saurait pa
anisme physiologique de la dégénérescence. Un a affaire suivant les cas soit il la contraction anisoll'ope qui est disc
lement dû à la sécrétion de la glande pituitaire. il. XIV. Sur un cas de myotonie. Considérations sur le syndrome myo
s tuber- culeux ; par Dumesnil (Bulletin médical, nov. 1900). Des cas analogues ont déjà été signalés par Berlin (1905)
ité du processus à évolution fibreuse ; on rencontre alors.dans les cas exceptionnels où le tableau est au grand comple
ièvre hystérique sans gra- vité. ' - L. Wahl XXI. Pathogénie d'un cas d'hystérie liée à une tumeur céré- belleuse; pa
si difficile, particulièrement à la période préataxique : des trois cas que rapporte l'auteur l'un est relatif à une fe
le- ment la mu'que d'une démence commençante ou non. » XXXIII. Un cas de paralysie générale de développement; par Jas
ude intéressante mais ne portant naturellement que sur un nombre de cas assez restreint. R. M. C. XL. Les présentations
commj J n'étant pas sujets aux hallucinations ; toutefois certains cas ac- compagnés de troubles hallucinatoires ont é
ons nerveuses. L'auteur pense qu'il faut distinguer dans ces divers cas plusieurs catégories cliniques. / 1° Représenta
llni/¡ xtoiu ? s dans le t c,Jn,li- lution idéo-obsessice. C'est le cas des dégénérés obsédés à luni - dérament émotif.
ec les vieilles superstitions de la sorcel- lerie, et cela dans des cas où nous pouvons être à peu près certains que le
n; 4° la guérison de la maladie mentale survient : même' : dans les cas qui paraissent désespérés ; mais il ne faut pas p
donne des résultats avantageux. , . R. DE Musgrave Clan. XLVI. Un cas d'idiotie amaurotique de famille ; par James Bu
James BuRNET. (The Journal of Mental Science, janvier 1905.) Les cas de celle maladie sont rares ; l'auteur n'a pu enr
e ; aussi a-t-il bien fait de rapporter avec soin et avec détail le cas qu'il a observé et qui, ainsi qu'il arrive pres
é par la mort avant que l'en- fant ait atteintl'âge de deux ans. Le cas actuel n'était pas d'origine syphilitique ; il
éve- loppement du tissu nerveux. Il faut noter que presque tous les cas , sinon tous les cas, de cette maladie ont été r
ssu nerveux. Il faut noter que presque tous les cas, sinon tous les cas , de cette maladie ont été rencontrés dans des fa-
génique du délire des négations. MM. DENY et P. CAMus/à propos d'un cas de délire de négation corporelle et d'un autre
us/à propos d'un cas de délire de négation corporelle et d'un autre cas de délire de négation intellectuelle, font ress
i et surtout une prédisposition à délirer. M. LAROUSSINIE cite le cas d'un jeune homme qui, au cours d'une grippe à f
us avoir d'estomac. M. Vallon considère qu'il s'agit plutôt là d'un cas de délire in- fectieux. Note sur l'emploi, du
alogue, recueillie dans son service, a été publiée par M. LworF. Un cas comparable a encore été communiqué par M. Dheur
non par l'Ad- ministrateur provisoire, qui serait intervenu dans un cas analo- gue. M. Marcel Briand estime que le mé
un délire systématisé chronique d'interprétation, compara- ble aux cas signalés par Sérieux et Capgras et chez lequel
trouve une phraséologie caractéristique de sa débilité mentale Un cas de délire chronique à forme nxégalomaniaque, avec
laires, un symptôme important de trau- matisme cérébral. Si dans le cas cité le traumatisme est inter- venu dans l'étio
te d'une maladres' se, ou même d'un ictus. ,,1. VALLON. - Dans le cas présenté par M. Collet, le trauma- tisme s'est
Lésions des racines des ganglions rachidiens et des nerfs dans un cas de maladie de hriedreich. "1;\1, D;JERINE et A.
ine sur la chorée de Sydenham. ,,1. [hBtNSK¡ a obtenu dans certains cas de bons résultats par l'injection de bromhydrat
des troubles mentaux chez les épileptiques, et la sclérose dans ce cas est la conséquence et non la cause de l'épilepsie
se dans ce cas est la conséquence et non la cause de l'épilepsie. Cas de trophoedème chronique par MM. Parhon et Floria
MM. Parhon et Florian (note communiquée par M. J lenry i\leige). Ce cas intéressant est attri- hué aune altération des
sous-cutané. 1 Communication de ;\1.\1. LENOBLE et 'AUBINEAU sur un cas de nystagmus miJoclonie. Dissociation des réf
9U0 francs la seconde, 1000 francs la 3°, 1100 francs pour la 4e en cas de prorogation. Les in- ternes docteurs recevro
phy- siologiques des hémisphères cérébraux. Supposant que' dans les cas d'agraphie ou d'aphasie par lésion de l'hémisph
Chez tous les animaux, chez l'enfant,chez l'hypnotisé dans certains cas pathologiques et chez les sujets arrêtés de bon
distinct et éloigné de ce- lui auquel elle en transmet : tel est le cas de la cellule py- ramidale, etc. Quant aux or
, ou bien il y a symétrie par rapport à un axe ; ou encore, dans le cas d'une irrégu- larité dans le développement des
un cordon formé d'une seule rangée de cellules, ce qui esc aussi le cas dans le dévolop- pement normal ; seulement, che
e de la segmentation disparaissant rapidement ; mais, dans tous les cas , les cellules se rapprochent et finissent par f
ire toute la physiologie, car la coordi- nation, toute naturelle en cas d'unité, est au moins diffi- cile à se représen
de départ d'une réaction, soit « volon- taire » et précise (dans ce cas il se peut qu'un seul côté agisse, mais les deu
te), soit spontanée et alors locale ou généralisée; dans ce dernier cas , celui des émotions, le plus fréquent et le plu
d'idées symbolisant des jugements et des raisonnements'. Or ici le cas est tout 'autre 'que pour les 'complexus dont l
met encore mieux en évidence la nécessité de la synergie ; dans les cas où l'impression périphérique a un caractère spati
arentes de celles que nous combattons (Cotard, etc.). Dans certains cas , quoique le déficit unilatéral ne soit pas tota
r l'au- tre hémisphère, ne peut être mise en doute. Tels sont les cas où manquent dans le pédoncule et la moelle les fi
i (1905) est à ce point de vue tout à fait caractéristique- Dans ce cas , et dans beaucoup d'autres où le déficit était
érie des Vertébrés. Il est enfin incapable d'expliquer les nombreux cas connus d'hémiatrophie cérébrale ou de vaste por
u d'un asile départemental voisin, ce qui se justifie dans certains cas . On éviterait ainsi le danger que ces con- damn
fait ! 1pan il y a pré- somption de folie. Actuellement, en pareil cas ,' le magis- trat instructeur réclame une expert
responsabilité doit entraîner une réduction de peine dans tous les cas , et même souvent l'acquitte- ment, elle constit
t plus redoutable qu'un aliéné, doit être considéré dans tous les cas comme un malade, et, par suite, être admis à l'as
de l'aliénation s'impose, et il n'y a pas lieu à discussion ; ou le cas est douteux, et alors, l'opinion d'un des médec
procédure d'assises toute neuve' : c'est le jury qui, dans tous les cas , sera appelé à prononcer sur la question de res
comme le rédacteur en chef de ce journal, qui n'en voient en aucun cas le besoin ; et 3° ceux qui demandent que ces as
8 avait prévu la nomination par le tribunal d'un curateur, dans des cas déterminés (art. 38), mais ces cas devaient êtr
tribunal d'un curateur, dans des cas déterminés (art. 38), mais ces cas devaient être fort rares, car pour mon compte j
ne de l'aliéné. 2° Le curateur doit veiller à ce que l'aliéné, en cas do sortie ou d'évasion, n'accomplisse aucun act
s intérêts. Je ne vois pas bien comment il y parviendra, surtout en cas d'évasion ; et si l'aliéné a des idées de suici
rovisoire, membre de cette commission, au moins dans ia plupart des cas ! On peut prévoir de sérieuses difficultés de c
à la gestion de ses intérêts et à ceux de sa famille. Il existe des cas où tel aliéné riche paye inutile- ment une pens
la sortie, si celle-ci est obtenue, ce qui est bien exceptionnel en cas d'inter- diction, il peut s'opposer à ce que so
s. A noter que la loi de sursis peut être appliquée dans tous les cas ; c'est une consolation. TITRE V.- Dispositions
u, de nervosisme et d'arthritisme est fréquente. Il s'agit, dans ce cas , de sujets à la fois hypo et hyperthyroïdiens q
de provoque encore ces variations. Et il ne s'agit pas seulement do cas , comme celui présenté ici même, dans lequel une
peie;- thénie cérébrale. Il est permis d'admetlre dans ce dernier cas , que la malade, tout en étant hypothyroidienne
du corps thyroïde. C'est bien le tempérament neuro-arthritique. Des cas de ce genre montrent l'attention avec laquelle
othérapie Iliyi-oidienticlec qui nous amène ù conclure que dans les cas envisagés, l'hyper- llhyroidie est la conséquen
peut être congénitale,où apparaître dans les premiers mois, dans un cas même, elle ne s'est développée qu'à i'âge de 13
ut être augmenté par décision du ministre de l'Intérieur. Dans ce cas , les membres supplémentaires sont nommés moitié
al. Le médecin-directeur en fait partie et le préside-Dans certains cas , le ministre de l'Intérieur peut, sur l'avis du
ecteur d'asile privé faisant fonction d'asile public peut, dans les cas prévus par les règlements d'administration faits
deman- der qu'un nouveau rapport médical lui soit fourni. Dans le cas où il serait reconnu que l'aliéné ne reçoit pas l
chose vaine, qui ne correspond à rien de sérieux, ni de réel. Un cas de Toxicomanie traité par la suggestion hypnotiqu
Déjà en 1894 le ]Jr Bérillon soupçonna le rôle considérable joué en cas d'incontinence d'urine par la suggestion, dans
te, sans que soit abolie pour cela sa personnalité consciente. Le cas de Soleillant devant la médecine psychiatrique
pte du Ministère de la ('lierre. Parmi les admissions, signalons 14 cas de folies alcoo- liques, au lieu de 0-en 1904 e
vement quand les malades refusent de s'alimenter, et, dans tous les cas , ne pas les ligoter avec de grosses cordes d'éc
seront classés en trois groupes : A) Le premier comprendra tous les cas d'alcoolisme simple, quelle qu'en soit la forme
xclusive des troubles cérébraux. B) Le second groupe comprendra les cas d'alcoolisme pré- sentant l'un ou l'autre de çe
sme pré- sentant l'un ou l'autre de çes caractères, savoir : que le cas soit compliqué de dégénérescence ou de débilité
un simple dénombrement. C) Enfin le troisième groupe comprendra les cas de folies de toute espèce (manie, folie intermi
,paralysie générale, délires systématisés, etc.) qui, sans être des cas d'alcoolisme proprement dits, comptent l'intoxi
e à la conduite immédiate à tenir par le médecin en présence d'un cas clinique urgent de médecine, de chirurgie ou d'ob
r- met pas de la faire subir à tous dans la même séance ; dans re cas , les questions sont rédigées par le Jury chaque j
onsabilité des médecins-directeurs et des médecins en chef dans les cas d'évasion, suicide, ou d'accidents graves. - Les
son remarquable travail sur la démence précoce (1), oùil étudie 40 cas ,nous donne des renseigne- ments précis sur la p
la période initiale (période d'augment), de 29 malades. . , 10 cas : mélancolies. 8 cas : états délirants et hallu
ériode d'augment), de 29 malades. . , 10 cas : mélancolies. 8 cas : états délirants et hallucinatoires. < 7 ca
: mélancolies. 8 cas : états délirants et hallucinatoires. < 7 cas : manies. 4 cas : stupidités. M. le Dr Albrec
cas : états délirants et hallucinatoires. < 7 cas : manies. 4 cas : stupidités. M. le Dr Albrechl, de Riga 12J :
xelles) a bien .voulu nous envoyer la statistique suivante : - Il cas : états dépressifs, 4 cas : états confusionnels
nvoyer la statistique suivante : - Il cas : états dépressifs, 4 cas : états confusionnels. ' 2 cas : états mixtes 1
: - Il cas : états dépressifs, 4 cas : états confusionnels. ' 2 cas : états mixtes 111a111aC0-(ll)l'PSSIf. 1 cas :
s confusionnels. ' 2 cas : états mixtes 111a111aC0-(ll)l'PSSIf. 1 cas : stupeur. ' M. Baruk, médecin directeur de l'a
uniqué le résultat de ses recher- ches portant sur 20 malades. li cas : mélancolies. 6 cas : états maniaques. 5 cas
es recher- ches portant sur 20 malades. li cas : mélancolies. 6 cas : états maniaques. 5 cas ! confusion mentale.
ur 20 malades. li cas : mélancolies. 6 cas : états maniaques. 5 cas ! confusion mentale. 2 cas ! démence d'emblée.
ancolies. 6 cas : états maniaques. 5 cas ! confusion mentale. 2 cas ! démence d'emblée. ! cas : délire hallucinatoire
maniaques. 5 cas ! confusion mentale. 2 cas ! démence d'emblée. ! cas : délire hallucinatoire aigu. L'analyse des 20
dans lu thèse de Trepsat (1 nous permet de les répartir ainsi : 7 cas : mélancolies, n cas : étals maniaques. 4 cas
sat (1 nous permet de les répartir ainsi : 7 cas : mélancolies, n cas : étals maniaques. 4 cas : états mixtes (mélanc
épartir ainsi : 7 cas : mélancolies, n cas : étals maniaques. 4 cas : états mixtes (mélancolie et agitation). (1) T
coce. Thèse de Paris, 1 <.JO : ; , . 76 CLINIQUE MENTALE. ' 3 cas : confusions mentales. 2 cas : début fébrile.
O : ; , . 76 CLINIQUE MENTALE. ' 3 cas : confusions mentales. 2 cas : début fébrile. Dans la thèse de CUcnais (1),
ns la thèse de CUcnais (1), sur 10 catatoniques nous trouvons : 7 cas : mélancolies . (icas : états maniaques. 5 ca
s trouvons : 7 cas : mélancolies . (icas : états maniaques. 5 cas : états mixtes. 1 cas : confusion mentale. No
mélancolies . (icas : états maniaques. 5 cas : états mixtes. 1 cas : confusion mentale. Notre étude sur 75 déments
s fait cons- tater les faits suivants : Période prodromique. 65 cas : états dépressifs (neurasthénies 1 et mélancol
65 cas : états dépressifs (neurasthénies 1 et mélancolies). ' ' , cas états neurasthénico-hystérifOl'me". 4 cas : éta
et mélancolies). ' ' , cas états neurasthénico-hystérifOl'me". 4 cas : états psychasthéniques (neurasthénies avec ob
neurasthénies avec obsessions et phobies.) Période initiale. 35 cas : mélancolies. 21 cas : états mixtes (maniaco-d
essions et phobies.) Période initiale. 35 cas : mélancolies. 21 cas : états mixtes (maniaco-dépressifs ou états de
s (maniaco-dépressifs ou états de stupeur suivis d'agitation). 13 cas : états maniaques. 4 cas : états confusionnels.
états de stupeur suivis d'agitation). 13 cas : états maniaques. 4 cas : états confusionnels. 2 cas : délires pseudo-s
tion). 13 cas : états maniaques. 4 cas : états confusionnels. 2 cas : délires pseudo-systématisés iL base d'interpr
c affirmer que la dépression morale constitue dans la majorité- des cas le fonds principal de la démence précoce ; on l
suite du relèvement de ses tendan- ces fondamentales » . Dans ces cas , la douleur morale luit un moment dans le champ
dats. -Cet auteur a pu, grâce à ces procé- dés, diagnostiquer trois cas d'hébéphrénie à début mé- lancolique chez des j
morale qui l'oppresse.» » Le diagnostic devient difficile dans les cas où les mala- des gardent le mutisme. Il s'agit
a démence précoce. Le diagnostic s'affirma par la suite. Dans les cas difficiles, il faut une surveillance pro- longé
lie, la douleur morale tend àt progresser ou à s'améliorer dans les cas bénins. Elle évolue sans solution de continuité
ter jusqu à une période avancée. M. Rogues de Fursac (2) cite des cas de syndrome de Cotard. Les autres conceptions d
numéro de mars, p. 177. 204 ' PSYCHOLOGIE. sagère comme dans les cas d'hypnose » (p. 26). C'est donc à la simple ana
un état de conscience donné. On dit avec raison que dans tous ces cas il y a des consciences, voire même des personna
s faits également classi- ques que l'on désigne sous la rubrique de cas de double conscience simultanée, et qui, comme
ns motrices puissent coïncider, avec ceux de l'état conscient. Ce cas conduit au groupe très important des associations
états ou syndromes organiques et états de conscience. Dans tous les cas de synthèse mentale défectueuse il peut y avoir g
'ensemble des sensations du côté gauche ou du bras gauche. Dans les cas précédemment envisagés, il avait formé des groupe
ucidée.ouplu- tôt, s'il est possible de les rattacher dans certains cas à des circons- tances particulières, on n'a pas
bconscience de M. Janet (p. 371, vaut-elle mieux ? » Non : dans les cas visés il y avait « simultanéité » ; de plus « s
personne entière. La valeur probante n'est pas même restreinte aux cas de troubles de la synthèse psychique accompagné
modification « de la relation entre nos deux coêtrcs » (p. 47). Les cas avec symptômes SUR LA SYMÉTRIE BILATERALE DU CO
, deux moi se succèdent sans signes organiques dimidiés. Tel est le cas de cette « démente » alternativement religieuse
e ultérieurement dans ces Archives. En 1902, meuler avait publié un cas de « délire unilatéral », dé- lire des actes de
s deux moi- tiés du cerveau et faisait remarquer que, pour un autre cas (Licp- 302 -> PSYCHOLOGIE. ganisme, il fau
e est, de toutes façons, trop compréhensif. Admettons que, dans les cas envisagés, la conscience ait pu avoir pour subs-
perturbées par l'intervention do ces dernières. Mais dans les deux cas , non seulement les deux hémisphères fonctionnen
pe par sa nature même à toute localisation (Cf. avec la critique du cas Louis V. p. 000 à 000.> : 301 1 ' PSYCHOLO
des co-êtres ou le moi) se rattache chaque personnalité dans les cas où il y en a deux seulement, comme chez les luna-
simultanéité de deux moi sans signes organiques dimidiés : les deux cas sont d'ordre pathologi- que.Le premier est celu
e cite à plusieurs reprises et le rapproche avec raison de certains cas normaux : « L'orateur maître de sa parole, qui,
pour que la biindividua- lité devienne évidente (p. 47) ? Les trois cas relèvent du même mécanisme, mais les deux derni
tion les fonctions motrices des deux moitiés du névraxe ? Dans ce cas donc il n'y aurait pas simple « gouverne- ment
exactement l'observation de tant de faits analogues. Le deuxième cas est celui d'un sujet qui « entretient en même t
idée tout à fait étrangère à la conversation. Dans l'un et l'autre cas , l'hémisphère gauche, non seule- ment « gouvern
a dernière des catégories entre lesquelles nous avons ré- parti les cas cités par l'Auteur (p.27 à 29) à l'appui de sa
es peuvent réaliser toutes les combinaisons possi- bles. Le dernier cas milite dans le même sens : l'occlu- sion d'un o
fonctionnelle d'un hémisphère, ou, en d'autres termes, que, dans ce cas , les hémisphè- res agissent, même pour un temps
se. L'Auteur rapporte encore, d'après l'ouvrage cité de Ribot, le cas d'un sujet en train de lire et dont la lecture
corticales intéressées dans les deux hémisphères. , Le troisième cas , également cité d'après Ribot qui l'a- vait emp
arcot ou d'autres observateurs sur plusieurs sujets. Dans plusieurs cas , de certains détails (parole, opposition ici pa
ar l'autre), on peut conclure que le moi persistait, comme c'est le cas habituel dans les hallu- . cinations unilatéral
e la mimique lesquels se trouvent ainsi dissociés, dimidiés dans le cas actuel. Le sujet avait, comme les précédents, a
éée par l'hypnose ou certains états émotifs intenses. Dans tous les cas où la nature des excitants est telle que l'on n
u au contrôle de l'Etre complet, ou au contraire. ... En ce dernier cas , au dualisme entre les deux cosses sentants...
une modification quelconque produite en elle par celui-ci ? Le seul cas qui permettrait d'envi- sager cette possibilité
interne affirme com- me constante l'unité de la conscience. Or, ce cas n'existe pas : une intégration, un système d'ét
me d'états de conscience peut se manifester seul, avons-nous vu, en cas de synthè- se antérieure insuffisante ; ces man
pour ceux de « dou- ble conscience » simultanée. ' Donc en aucun cas , la conscience qui est en scène n'est celle du
rd de quelle manière fonctionne la loi du 30 juin 1838 ; 1° dans le cas d'un internement à la suite duquel aucune récla
testations des malades ou des tiers. Nous supposerons dans les deux cas qu'il s'agit d'un placement volontaire dans un
nous n'ignorions pas que la plupart des incidents douloureux et des cas de séquestrations arbitraires, se produisent da
te à cet égard. Le païquet est saisi de l'internement dans tous les cas et il a le droit de pour- suivi e d'office, mêm
visée par le juge de paix, le maire ou le commissaire de police. En cas d'urgence, le visa n'est exigible que dans les qu
e qui fait effectuer le place- ment, ou de la personne à placer. En cas d'urgence, l'admission - peut avoir lieu sur la
surer ce transport suivant les prescriptions de l'article 29. En ce cas , le fonctionnaire ainsi requis doit faire procé
dans les délais et formes prévus à l'article 9. ART. 19. Dans les cas de transfèrement d'un aliéné d'un éta- blisseme
u conseil, l'opposant enten- du, s'il y a lieu. AnT. 2c. En aucun cas , l'interdit, ne peut être remis qu'à son tuteur
ECINE LÉGALE. 341 que d'une rétention thermique, car dans les deux' cas il y aurait une augmentation de température, ta
tion de température, tandis que l'abaissement est net dans tous les cas . Dans la seconde période (parésié' vasculaire e
mais un point sur lequel il faut insister, c'est que dans tous les cas , durant les premières périodes, alors que la pert
sont pas trans- missibles. Mais alors de quoi hérite-t-on dans le cas d'alcoolisme des ascen- dants ? Probablement d'
u germe soit sur celle du sperme, peuvent ac- croître dans certains cas l'intensité de l'un ou de l'autre de ces fac- t
'un ou de l'autre de ces fac- teurs héréditaires, ou, dans d'autres cas , les éliminer. Car la cellule du germe a sa vie
ale est régie par le droit commun ; elle ne peut être engagée qu'en cas de faule ou de négligence grave. , S'il arriv
appartient en général le choix et le renvoi du personnel. Dans le cas contraire, c'est l'Etat ou la province qui pourra
c'est l'Etat ou la province qui pourraient être condamnés. En aucun cas , il n'est permis au médecin de se soustraire pa
t de la volonté, on ne doit pas s'attendre à la rencontrer dans les cas où existe un déficit notable des facultés intel
ribution à l'é- tude de la démence épileptique, la relation de deux cas de mé- - ningo encéphalite non tuberculeuse de
t hommes et 3 femmes sont venus de diverses maisons d'aL'l'èt .-2'2 cas de l'ulie toxique (°0 IL=' 1 .). Sorties : 10
rale '(dite « de garde »)de 5 minutes : De la condui- te à tenir en cas de rétention complète d'urine. Restaient dans f
ecours d'urgence en casd'laémoptysie abondante. Conduite à tenir en cas d'asphyxie par pendaison. , Asile D'ALIÉNÉS de
est que la perte de la conscience des sensations, car dans certains cas le sujet qui pré- tend ne pas percevoir les exc
fonctionnel ; il est donc lui-même fonction de ce centre ? Dans ce cas , c'Est l'état de ce centre qui importe, et non
aits semblent bien confirmer. Voilà déjà trois opinions sur le même cas . En voici une quatrième ; il ne s'agit pas de r
cez ou lui faites une injonction énergique,il arrive-dans certains cas à le mouvoir. La volonté ne saurait se dissocie
fortune que toutes sont bonnes, et que cela dépend uniquement des cas , et peut-être bien aussi du point de vue où l'on
rencontrent associés au phénomène somatique. Et, de fait, dans le cas que je viens de prendre comme exem-. ple, toute
bles,mais vraies. Seulement une seule d'entre elles s'applique à un cas donné. De sorte qu'il semble vraiment assez, di
psychologue de l'observa- teur sont presque gênantes dans certains cas , et il m'est arrivé souvent de découvrir des ca
à des troubles pour lesquels on aurait pu édifier, et dans certains cas même on avait édifié, des interprétations vraim
uter physiologiquement. Il avait absolument raison,et s'il est un cas où la nécessité de penser de la sorte s'impose c'
divisé, dédoublé. - Mais pour cela, il est nécessaire- et c'est le cas le plus fréquent que l'inhibition ne soit pas a
e laisser paralysé par aboulie, ou par distraction. le Dire dans ce cas que le champ de conscience est dimi- nué, que l
nous en considérons plusieurs frappés simultanément, comme c'est le cas ordinaire, si nous remarquons en outre qu'ils s
physiologique dont j'ai montré tout à l'heure l'applica- tion à un cas de paralysie pour la mettre en parallèle avec l
des centres cérébraux atteints. Ceux-ci peuvent bien dans certains cas - comme dans ces paralysies ou contractures qui
hèse n'est pas le duplicisme : elle cherche seulement à imaginer un cas s'en rapprochant le plus possible ; je la résum
stique suprême du moi fonctionnant et qui persiste intacte dans les cas envisagés. 1 ' D'autre part, « le corps cal
thésique,se sont déjà modifiées jusqu'à un certain point ; dans le cas contraire le sujet verra dans l'acte le résultat
pas le fléchir ; le motif détermi- nant paraît être dans plus d'un cas la prédominance de l'image d'un des mots de la
a délibération et précédant immédiatement l'acte ou la décision. Ce cas met en évidence l'influence prépondérante des cau
ité qui selon moi est un véritable axiome. Si je me trompe, en tout cas , c'est en nombreuse compagnie, comme je vais le
n délai de quinze jours ces- sent d'être exécutoires. ART. 27. En cas de danger imminent, attesté par le certificat d
ux prescriptions de l'article pré- cédent. ART. 28. Dans un aucun cas , les aliénés dirigés sur un asile ne peuvent êt
ectué volontairement ou sur la demande des particuliers, et dans le cas où leur état mental pourrait compromettre la sécu
in traitant doit dé- clarer si l'intéressé est ou non guéri, et, en cas de guérison, s'il est ou non suspect d'une rech
autre' personne, peuvent se pourvoir aux mêmes fins. Dans tous les cas communication de la demande est faite par le proc
maire de la commune et au curateur à la per- sonne. Ce dernier, en cas de rechute du malade pendant son congé, doit ve
formément à l'article 610 du Code civil ; 2° A ce que l'aliéné, en cas de sortie provisoire ou d'évasion, n'accomplisse
lle est demandée par les parents, le conjoint ou l'associé. Dans le cas où l'aliéné a des parents proches, compris dans
est reçu par l'administrateur datif. Ce compte est rendu de même en cas de nomination d'un administrateur judiciaire. A
socié, la direction des affaires particulières ou sociales, Dans ce cas , le conjoint ou l'associé doivent communiquer à l
la situation fi- nancière de l'entreprise. ART. 49. Dans tous les cas , la personne chargée de l'adminis- tration des
chambre du conseil, le ministère public entendu. Dans ce dernier cas , la vente des immeubles se fera aux enchères publ
mêmes conditions, à l'exception de l'hypothèque légale. Dans aucun cas , ces pouvoirs ne peuvent être moindres que ceux
l. L'autorisation de la Commission de surveil- lance ne peut, en ce cas , suppléer l'autorisation du conseil de fa- mill
'administrateur pro- visoire légal, judiciaire ou datif, suivant le cas . Dans le cas de signification de pièces relativ
pro- visoire légal, judiciaire ou datif, suivant le cas. Dans le cas de signification de pièces relatives à une instan
aragraphe du présent article. Le tuteur de l'aliéné interdit et, en cas de non-interdiction, l'administrateur provisoire,
, jusqu'au jour de sa sortie défi- nitive de l'établissement et, en cas d'interdiction judiciaire, jus- .qu'au jugement
blissement ; ils subsistent pendant les sorties provisoires, et, en cas d'évasion, jusqu'à ce que la sortie définitive
assés avec le département, con- formément à l'article 4. Dans aucun cas , les Conseils généraux ne peuvent disposer des
matière de contribu. · tions directes. - ART. 59.- A défaut ou en cas d'insuffisance des ressources énon- cées en l'a
et qui seraient placés dans un établissement spécial d'aliénés. En cas de contestation, il est statué par le Conseil de
de la caisse des retraites du département où est situé l'asile. En cas de change- ment d'un de ces fonctionnaires d'un
e la présente loi, ni lors- ^ que cette personne se trouve dans les cas énoncés aux articles 21 et 22. 414 . LÉGISLAT
état de cette personne, est puni de la réclusion. ART. 67. Dans les cas prévus aux articles 63, 6'i, 65 et 66 ci- dessu
lles sont accordées les autorisations énoncées à l'ar- ticle 3, les cas ou ces autorisations peuvent être retirées, les o
nécessaires à' l'exécution de la présente loi. ART. 69. Dans les cas prévus par l'article 3 et 4, si le Gou- verneme
chisme) ; plus tard cette influenceest moindre, nulle même dans les cas de mutilation acceptée : (castration rituelle des
isance ovarienne peut être congénitale ou acquise : dans le premier cas elle produit l'infantilisme (dystrophie ovarienne
ude est dans l'emploi systémati- que de l'opothérapie dans tous les cas qui peuvent en être justi- ciables. F. TISSOT..
l : 1 les caractères du pouls dans la démence précoce. On prend des cas de démence précoce paranoide, hébéphrénique, pa
par le Pape. R. de 1\IUSGRAVE Clan. Liez La pathologie de quatre cas d'idiotie épileptique ; par M. HARVE7 B.11RD. (
servent en même temps de résumé aux points principaux de chacun des cas rap- portés ; nous les reproduisons donc à peu
ortés ; nous les reproduisons donc à peu près intégralement. 1° Ces cas démontrent la variété des lésions dans l'idiotie
ent et un déplacement du noyau,c'est-à-dire une dégénérescence. Les cas rapportés par l'auteur ne révèlent aucune- augmen
ais ils montrent la fréquence des altérations des membranes. Sur 73 cas de kystes de l'arachnoïde, Lewis a trouvé un se
ranes. Sur 73 cas de kystes de l'arachnoïde, Lewis a trouvé un seul cas d'idiotie et quatre d'épilep- sie ; or, sur les
un seul cas d'idiotie et quatre d'épilep- sie ; or, sur les quatre cas de l'auteur, il y avait dans deux forma- tion d
re. Mais ce qui est plus important en- core,c'est que dans tous les cas la pie-mère et l'arachnoïde étaient épaissies e
t des adhérences très accusées. L'auteur pense que dans beaucoup de cas la méningite est la lésion primitive de l'idiot
gite est la lésion primitive de l'idiotie épileptique ; dans un des cas il est manifeste qu'il en a été ainsi, mais dans
té de la substance grise elle-même. Au point de vue étiologique les cas rapportés ne comportent au- cune explication sa
ndue et souvent très accusée des vaisseaux extra-cérébraux dans des cas où la sénilité ne pouvait pas être accusée de ces
uis revenant à l'observation du malade, il montre que dans quelques cas une invasion bacillaire est repousséo avec succ
e nettement rattachés aux attaques (Raecke) et l'au- teur relate un cas dans lequel elle survint pendant des attaques J
le survint pendant des attaques Jacksoniennes. , Dans beaucoup de cas de folie aiguë à forme confusionnelle, on 428 R
s accusés d'écholalie, mais il semble que ce soit toujours dans des cas où l'intelligence du langage parlé est défeclue
l'intelligence du langage parlé est défeclueuse. Si l'on passe aux cas d'écholalie s'accompagnant d'aphasie trans- cor
icale sensorielle,on voit qu'elle se rencontre quelquefois dans les cas de lésions massives, surtout au voisinage du lobe
au voisinage du lobe temporal gauche ; mais souvent aussi dans des cas qui ne présentent aucune lésion de ce genre et
résentent aucune lésion de ce genre et qui sont tout simplement des cas de dé- mence sénile, avec atrophie et dégénéres
rès ac- cusées. L'auteur rapporte ici plusieurs observations. Les cas d'écholalie les plus difficiles à interpréter son
eur période initiale des symptômes de folie aiguë. Plusieurs de ces cas paraissent répondre à la description de la déme
n. L'auteur termine par diverses considérations se rapportant aux cas rapportés dans le mémoire. R. de Mus grave CLAN.
! AN, (The Journal of Mental Science, janvier 1906.) Il s'agit d'un cas de paralysie générale qui présentait quelques p
ux sujets d'un développement supérieur ; t° caractères spéciaux des cas juvéniles ; 9° caractères spéciaux dans l'assoc
. c) La marche de la maladie est ordinairement favorable dans les cas où l'alcoolisme est d'acquisition récente; d) l'a
R. de Musgrive CFAY- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 429 l lIr.- Un cas de tumeur cérébrale avec sommeil; par 11AILLARD
e l'attribuer à l'intoxication néoplasique. - F. 'Ctssor. XXV. Un cas de maladie de Recklinghausen avec dystrophies m
dé l'embryon. I ? l'tssoT. XXVI. Iconographie de l'évolution d'un cas de maladie des tics; par I,OUHINOVITCH. (Nouv.
de leur apparition, les tics dont il est atteint depuis dix ans. Ce cas démontre que la seule volonté du liqueur ne suf
un abcès du cervelet. 11 semble bien que l'épilepsie était dans ce cas symptomatique, car quand l'écoulement de l'orei
ophiques du colon. Elle apparaît beaucoup'moins facilement dans les cas de folie congénitale et chez les sujets dont la
certain qu'elle active d'une manière très appréciable la marche des cas aigus, surtout chez les adolescents : il est do
ur sont nécessaires. diviser les aliénés en quatre groupes : 1° les cas d'hôpital (infirmerie). 2° les cas chroniques dan
iénés en quatre groupes : 1° les cas d'hôpital (infirmerie). 2° les cas chroniques dangereux ; 3° les cas chroniques in
as d'hôpital (infirmerie). 2° les cas chroniques dangereux ; 3° les cas chroniques inoffensifs et capables de travailler
° les cas chroniques inoffensifs et capables de travailler ; 4° les cas chro- niques inoffensifs et incapables de trava
à même de juger du traitement provisoire qui con- vient dans chaque cas et son avis devrait être motivé dans le bulleti
SIDENCE DE JI. 13ABINSKi : ! Communication de M. 13ABINSKI sur deux cas de signe d'Ar- gyll-Roberison sans lymphocytose
ns lymphocytose du liquide céphalo-rachidien, et qui s'ajoutent aux cas déjà relevés de tabès sans lympho- cytose. Pr
nt encore du tremblement mercuriel. Ils ajoutent que, dans certains cas analogues, on a trouvé de la lym- phocytose ave
que qui a des crises convulsives avec hématémèses abondantes, et un cas de néoplasme cérébral ayant débuté par une hémo
du syndrome thalamique avec hémiplégie. M. CLAUDE rapporte aussi le cas d'une épileptique dont l'aura consiste en une s
e du trijumeau est excep- tionnelle. M. Souques a vu récemment un cas analogue avec ophtalmo- plégie externe bilatéra
s symptômes d'hypothyrofdie qu'on re trouve si fréquemment dans les cas d'arriération mentale. Il con- vient d'insister
ce, au poinlde vue pédagogique, de-ce traitement thyroïdien dans le cas de bégaie- ment. Epuisement rapide de la sens
oire est le perfectionnement de celle do MM. Luvyet Roaudouin. Un cas de maladie de Dercum. MM. CROuzoNct Marcul Nath
. M. GiLBERT 13\LI.F : T apporle uneobservalion à l'appui de deux cas où il a cherché à prouver que la sitiomanie est u
ôt qu'une impulsion. M. Duré croit 1\ une -.impie association. Un cas de tabes trophique. )1. Gilbert lit l'observai
n. Un cas de tabes trophique. )1. Gilbert lit l'observai ion d'un cas de tabes du service de M. OUI.%IONT ayant début
symétrie : dissociation syringomyélique de la sensibilité dans deux cas de lésion pedonculaire et protubérantielle. MM.
donculaire et protubérantielle. MM. Souques et CI.. rapportent deux cas sur celte question; / bibliographie. 441 L
si étendues que, si l'on s'en tient à l'examen d'un petit nombre de cas , il peut fort bien arriver qu'elles masquent ou
les confirmant et les complétant par l'examen d'un grand nombre de cas nouveaux. Son ouvrage, de tous points remarquab
teurs et des médecins en chef des asiles publics d'aliénés dans les cas de suicide, d'évasion ou d'accidents graves. 2° E
ulisme,il faut que toute la corticalilé soit prise, ce qui n'est le cas que des grandes hystériques a manifesta- tions
hystériques a manifesta- tions multiples et généralisées : dans les cas plus légers il n'y a pas de vigilambulisme, il
leur dépendance, ou en sont-ils indépen- dants, et dans ce dernier cas comment se fait le passage d'une repré- sentati
ables aussi, permanen- tes ou paroxystiques, de l'hystérie. Dans un cas il y a un engourdissement.localisé, dans l'autr
n plus seulement rééducation localisée). Enfin,si on a affaire à un cas de vigilambulisme, le réveil dans l'hypnose se
ont toutes et leur rai- son d'être et leur application suivant les cas , en tenant compte soit de la cause de la maladi
rée du sommeil, mais par années, comme en témoi- gnent les nombreux cas de vigilambulisme que j'ai rap- portés, avec de
ées par ces excita- 456 CLINIQUE nerveuse. tions locales dans des cas de troubles localisés sont iden- tiques à celle
l est rare en effet que l'arrêt cérébral soit complet, même dans le cas où il apparaît comme tel (paralysie flasque, lé
bservations comme base de ma théorie c'est que ce sont les premiers cas qui se sont présentés moi, et que, par cela mêm
éduction « n'est applicable, du moins dans la grande généralité des cas , aux sciences sociolo- z giques » (p. 143. Par
n plus complète et plus sûre ; tel est, on ne sau- rait le nier, le cas de la sociologie, du moins dans ses parties les
limitée seulement par les causes extérieures, lesquelles seules, en cas de faute, seront prises pour excuse. Le détermi
ilité illimité, ou bien le sentiment de non responsabilité dans les cas ou les causes internes (états affectifs, états
à démontrer l'exis- tence d'une double individualité, même dans les cas donnés par lui comme les plus probants ; puis,
de la logique des images ; la synergie des hémisphères est dans ces cas presque certaine, même si l'on ne tient pas com
nando).-(Hypertrophie compensatrice du fais- ceau pyramidal dans un cas de cérébroplégie infantile), Rivista di patol.
t de la lésion cardiaque qu'est due l'hypotrophie. A rapprocher des cas de nanisme mitral. La malade présente en outre
par ANTIIEAUME et VIGNOT. (L'Encéphale, 1906, n° 4.) Exposé d'un cas remarquable par la complexité du contenu et la
ut être posé qu'à la suite d'examens répé- tés et fouillés. Dans le cas spécial, l'idée délirante commande la disciplin
con, de la Salpêtrière, 1906 n° 1.) Observation très détaillée d'un cas d'infantilisme vrai, type Brissaud,associé à la
1906, no' 1 et 2.) L'examen histologique en coupes sériées de huit cas de ramol- lissement étendu des régions postérie
mais pas d'observations précises. 5°Odeur : pas notée dans tous les cas , mais quelquefois très forte 6° Densité : notée
us les cas, mais quelquefois très forte 6° Densité : notée dans 963 cas : 1.000 à 1009, 5 fois ;-1010 à 1019; 364 fois
. 7° Constitution chimique ; phosphates. Dans près de 25 pour % des cas (240 sur 969) les phosphates étaient en excès,
dans celles qui étaient acides ; 8° Albumine : Dans 7 pour cent des cas , on a trouvé de l'albumine en plus ou moins grand
: Sa présence a été constatée dans 25 pour cent de la totalité des cas ob- servés. Mais tous ces cas étaient des cas d
dans 25 pour cent de la totalité des cas ob- servés. Mais tous ces cas étaient des cas de glycosurie, avec dispa- riti
nt de la totalité des cas ob- servés. Mais tous ces cas étaient des cas de glycosurie, avec dispa- rition éventuelle du
s cas de glycosurie, avec dispa- rition éventuelle du sucre : aucun cas de diabète sucré n'a été cons- taté. R. de MUSG
réaction agglutinative s'est produite sans exception dans tous les cas de manie avec ou sans confusion de folie circul
e, d'épilepsie avec excitation. Elle ne s'est pas produite dans les cas de folie ayant une autre cause que l'infection ba
es deux qui est le plus tôt et le plus facilement compromis dans le cas de trouble mental ; 3° que lorsque le système m
ion » ; 2° à en juger par les résultats du traitement dans l'un des cas observés par l'auteur, la présence de l'indoxyl
d'en être la consé- quence ; 4° le fait d'avoir pu observer quatre cas types de mélan- colie sans indoxyl urinaire sem
inaire semble démontrer que nous ne pouvons pas considérer tous les cas de mélancolie comme présentant de l'in- toxicat
qu'une fois des lésions cellulaires corticales ; par contre sur 28 cas de délirants manifestes, il existait 13 fois de
isiens. G.-D. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE LXVL- Note sur quelques cas de trichotillomanie chez des alié- nés ; par Fé
par ETIEN1V et PERRIN. (Nouv. Icon. de la Salp., 1906, n° 3.) Les cas analogues connus sont relatifs à des paralytiques
eh au Caire, l'auteur a recueilli des éléments statistiques sûr les cas de syphilis et de paralysie générale chez les Ara
'asile environ 75 % de la population traitée. En 1901 il y avait 46 cas de paralysie générale dont la grande majo- rité
4 environ) arabes égyptiens. Il fut relevé pour la même an- née 76 cas de syphilis et sur 25 paralytiques généraux arabe
: la plupart des mala- des restent encore dans les familles et les cas de P. G. restent ordi- nairement ignorés. C'est
ans la démence pré- coce ; on les observe en effet dans les 31' des cas environ, d'après l'auteur. Parmi ceux que l'on
s'ajouter au cours d'une myopathie progressive. F. T. XXX.-Sur un cas de « paralysie des béquilles» ; par SocA. (Nouv.
la béquille jouant le rôle de poulie de réflexion. F. T. XXXI. Un cas de neuro-fibromatose généralisée. Note sur laneu-
un infantile, ni un hypothyroïdien, ni un débile. A propos de ce cas l'auteur a recherché dans la littérature les ob
alisée dans la série animale : cette affection y est rare, mais les cas décrits sont REVUE de'pathologie nerveuse. 497
ns nerveuses d'origme pottique. Après l'exposé d'un grand nombre de cas , personnels ou autres, l'auteur aborde le diagnos
térieure aiguë de . l'adolescence à topographie radiculaire ; 2° Un cas de neuromyo- site post-varicelleuse.- J\n1. LE¡
dissociation syringomyélique de la sensibilité .- M. IARINRSCO Un cas d'amyotrophie Charcot-Marie à début par les membr
Marinesco et liIINEA : Etude des ganglions spinaux dans un nouveau cas de tabes. - M. NoïcA : Sur le phénomène de diss
éjerine espère la représenter guérie. M. Déjerine signale encore un cas d'hémiplégie infantile avec mouvement choréifor
BAR croit à l'origine congénitale de la syringomyélie dans quelques cas ; il apporte à l'appui trois observations dans le
nerf sciatique MM. BRISSAUD,SICARD et TANON ont vu de ce fait deux cas de paralysie des membres inférieurs avec abolit
névralgies du trijumeau. Tic isolé de la paupière inférieure Ce cas de dissociation rare,a été observé par MM. RAYMON
xterne et de l'accommodation. t M. GALEZOVVSKI, qui présente ce cas de paralysie dissociée, pense qu'il s'agit de l
ND et ALQUIER présentent la photographie de piè- ces provenant d'un cas de paralysie pseudo-bulbaire ; on y voit des la
Syndrome de Weber avec hémianopsie M. Rossi et Roussy ont étudié le cas par des coupes en série où l'on voit un gros fo
latine. Contagion et prophylaxie ont été étudiées dans les di- vers cas . Il en a été de même pour certaines maladies para
nous prouvent que tout n'a pas été perdu pour eux, puisque dans un cas d'asphyxie par pendaison nous avons trouvé des in
embres de cette famille, et, en vérité, rien n'est plus probant..Le cas de la famille Racine n'est pas moins frappant :
permanente soudaine avec atrophie optique et épi- lepsie dans un cas de poren- céphalie avec pachyméningite hémorr
géné- rale ; par A. Marie, p. 495. ARQYLI.-HoBEIISTO ? Sur deux cas de signe d'- sans lympho- cytose du liquide cép
rmo ; dissociation syringomyélique de de la sensibilité dans deux cas de lésion pédonculairc et pro- tubérantielle
s tissus ; par Klippel, p. 486. Atropine. Action de l'- dans un cas de pouls lent permanent ; par Simon et Schmidt,
n nommée par l'Asso- ciation médico-psychologique pour étudier un cas de double ; par Wilson, p. 61. Le re- tour de
r Lionec Dauriae, ]J, 2 ! J. Constipation. Noie clinique sur un cas dercbcUccauseepar une accumulation de noyaux
-- d'interpré- tation et paranoïa ; par Deny et Camus, p. 152. Un cas de chronique à forme mégalo- maniaque, avec a
le transi- toire ; par Klippel, p. 415. Démences. Voir Fugues. Un cas de précoce ; par Henry M. Eustache, p. fi5. p
et de sa va- leur clinique ; par '1'0\\ mend, p. 50. Dercum. Un cas de maladie de ; par C ! '0u ? On el Nathan, p.
gie de l'- ; par Lagrange, p. 258. EPILEPSIE. Voir Amaurose. Un cas d'- : cessation des atta- ques sous l'influence
3-(5. Voir Otite. Epileptiforme. Quelques re- marques sur deux cas de type ayant présenté quelques caractères in
gale ; par de Bocck et de Rode, p. 61. Extrait thyroïdien. Sur un cas dans lequel le traitement par 1 ? a donné div
par Comby, p. 138. Folie. Voir 11 nlisérums. Voir Hystérie. Un cas de -- aigui' hallucinatoire d'origine trau- m
Lésions des racines des ganglions rachidiens et des nerfs dans un cas de maladie de ; par Déjerine et Thomas, p. 15
re.Voir Sommeil. - Voir Troubles psychiques. GLOSSOPI,1 : GIE. Un cas de - unilatérale isolée, due proba- blement à
ntile avec hallucination; par Arsimoles, p. 70. Patho- génie d'un cas d'- liée à une tumeur cérébelleuse : par Bern-
ar P. Sollier, p. 353, 449. ; par Déjerine, p. 500. IDIOTIE. Un cas d'- amauro- tique de famille ; par Burnet, 'p
eptique ; par Ilamel et Wahl, p. 148. Manie. Note clinique sur un cas de aiguë pour servir à l'his- toire de la man
Bruce, p.6 1. 4. Marche. Voir Phobie. Médecine psychiatrique. Le cas de Soleillant devant la - ; par l3égnaull, p.
primitive progressive ; par Noica, p. 496. i\IYOTO : \'IE. Sur un cas de ; considération sur le syndrome myotonique
eurofibromatose périphéri- que et centrale ; par Houx, p. 441. Un cas de généra- lisée. Note sur la - animale ; par
0.Observations statistiques sur la ; par Ilarvey Baird, p. 73. Un cas de générale des aliénés avec méningo-myé- lit
ningo-myé- lite syphilitique ; par Grahan, p.76.- Voir Muscle. Un cas de générale de développement; par lliddlcmass
Gras- seL, p. 441. - générale ; voir Arabes syphilitiques. Sur un cas de - des béquilles ; par Soca, p. 496. - Voir
Voir Troubles nerveux. Pouls. Voir Atropine. l'sr..ono-angine. Un cas de de poitrine chez un épileptique ; par Rowe
oLL. Recherches cliniques. Voir Epi- lepsie. RECKLINGHAUSEX. Un cas de maladie de - avec dystrophies multiples et
ions syphilitiques. Formes frustes du - ; par Raymond, p. 139. Un cas de trophique ; par Gilbert, p. 440. Le traite
par Depinay et Grollet, p. 78. Iconographie de l'évolution d'un cas de maladie des tics ; par Roubinovitch, p. 430.
Tissus. Voir Atrophie. céré- bral ; voir Tumeur. Toxicomanie. Un cas de Irai- té par la suggestion hypno- tique ;
et La- roche, p. 438. THlCIIOTlLLOIA : -¡ lE. Note sur quelques cas de chez des aliénés ; par Féré, p. 494. Triju
- ladie du sommeil ; par Robert Jones, p. 138. 'l'noPIIOEDÈAIE. Cas de chro- nique ; par I'arhou et Florian, p. 1
alysie générale. Les - men- taux dans la lèpre à propos d'un d'un cas de psychose polyné- v ritique chez un lépreux ;
s concernant la dans les asiles ; par Menzies, p. 433. Tumeur. Un cas de - du lobe temporal ; par Deroitte, p. 54.
temporal ; par Deroitte, p. 54. cérébelleuse ; voir Hystérie. Un cas de-cérébrale avec som- meil ; par Maillard ct D
56 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
efois que les idées fixes ne se développent d'ordi- naire, sauf des cas tout particuliers, qu'à une époque déjà assez a
nt avoir cette force et cette persistance. Sans doute dans certains cas , des caractères partiellement analogues aux sti
yperesthésies et les contrac- tures ne sont pas pour nous, dans les cas les plus ordinaires, de véritables augmentation
me de phé- nomènes subconscients, faciles à constater dans bien des cas . On peut produire par la distraction elle-même
e d'autotomie psychologique spontanée dont il existe d'ailleurs des cas non douteux. Ainsi l'on sait que les personnes
r Briquet', peut-être trouverait-on des faits sem- blables dans les cas de « sein irritable » signalés par plusieurs au
rédisposition même aux maladies infectieuses qui sont dans certains cas évidents, ne nous étonnent nullement dans cette
tions très précises des mêmes faits. Nous pensons que dans certains cas ; la désagré- gation de l'esprit causée par l'al
re très durable et prendre tout à fait la forme hystérique; dans ce cas , quel que soit l'agent provocateur, il est néce
ion de l'esprit ne se présente pas de la même manière dans les deux cas . Dans l'hystérie les phénomènes psychiques ne p
es infectieuses, la-fièvre typhoïde en particulier et dans certains cas les auto-intoxi- cations', les maladies organiq
eut soutenir qu'elles n'affectent jamais un seul muscle, excepté le cas où ce muscle est l'instrument unique d'une fonc
dre et d'articuler telle autre, comme je l'ai observé dans quelques cas inédits. Ce même pouvoir de dissociation se ma-
différence qui prête grandement à penser. Naturellement, il y a des cas de paralysie hystérique dans lesquels l'intensi
i, on les reconnaît au moyen d'autres caractères ; mais ce sont des cas qui ne portent pas l'empreinte typique de la né
rappelle par contre avec quelle ténacité la sensibilité persiste en cas de lésion nerveuse. 36 CLINIQUE NERVEUSE. Si.
part des éléments nerveux qui ne sont pas complètement détruits. En cas de lésion cérébrale, on connaît la fréquence et
comitante est indistincte, fugace et ne se trouve pas dans tous les cas . Il n'y a que quelques localisations tout à fai
entres séparés, mais d'un territoire continu d'association. En tout cas , il existe toujours une raison tirée de l'anatomi
eux déterminera les pro- priétés de la paralysie aussi bien dans le cas d'anémie fugace que dans le cas d'anémie perman
de la paralysie aussi bien dans le cas d'anémie fugace que dans le cas d'anémie permanente et définitive. Je ne crois
'est la solution du problème que nous avons posé, car dans tous les cas de paralysie hystérique on trouve que l'organe
hystérique toujours une idée autosuggestive directe comme dans les cas traumatiques de M. Charcot, nous avons réussi à
us profondément situées ; il a trouvé, au contraire, dans plusieurs cas (observations 3 et 6) que tandis que les fibres à
, que les auteurs ont notée d'une façon évi- dente dans un de leurs cas .- L'augmentation des cellules chro- mophiles da
SGLAS. XIII. Contribution aux affections DES lobes temporaux : - UN cas DE SURDI-MUTITÉ; UN CAS DE LÉSIONS DU LOBE TEMP
n aux affections DES lobes temporaux : - UN cas DE SURDI-MUTITÉ; UN CAS DE LÉSIONS DU LOBE TEMPORAL GAUCHE SANS SURDITÉ
ILI. (Riv. sp. di fren., fasc. III-IV. 1892.) 1° Observation d'un cas de surdi-mutité dans lequel l'autopsie révéla u
mécanisme de la formation du langage, on peut admettre que dans des cas semblables où les circonvolutions temporales so
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 2° Observation d'un cas de lésions destructives anciennes du lobe tempe
répondant promptement, la parole ayant été toujours intacte. De ce cas et d'autres analogues, l'auteur conclut que che
gré aussi préconise-t-il ce médicament dans cette affection. XX. Un cas D'EXOPHTIIALMIE compliquant une néphrite; par HAR
B. CHARCOT. XXI. Observation CLINIQUE ET ANATOMO-PATIJOLOGIQUE D'UN cas DE POLlOM1ÉL ! TE antérieure avec altérations N
difficile) observées SUR certains points DU système NERVEUX dans un cas d'hémiplégie spasmodique; par Edwin GOOD.1LL. (Th
ers tissus. 3° Section de l'écorce cérébrale (aire motrice) dans un cas de mélancolie aiguë, avec agrandissement des es
élancolique très accusé. L'absence d'enfants tenait, dans les trois cas au manque de spermatozoaires chez les maris qui
deux semaines, le malade était complètement guéri. Se basant sur ce cas , le rapporteur trace une esquisse générale de l
présenta- tion du malade. Le malade, âgé de trente ans, présente un cas typique de cette maladie : augmentation du volu
ypothèse (Kojevnikof). Séance du 4 décembre 1892. M. M. LUNTZ. Un cas de la maladie de Friedreich (avec présen- tatio
ccasionnée par les émanations mercurielles,18l0; Mémoire sur divers cas de furoncles, d'anthrax, pustules malignes, 184
furoncles, d'anthrax, pustules malignes, 1841 ; Mémoire sur divers cas de réten- tion d'urine, 1841; - Mémoire sur div
e sur divers cas de réten- tion d'urine, 1841; - Mémoire sur divers cas de fractures, 181; Expérience sur les conjoncti
des nombres ; - le suicide ; - la dégénéres- cence humaine; sur un cas de nanisme ; - le crétin de Batignolles. Il éta
ôt à accepter, et enfin, s'il s'agit d'un alcoolique, ce qui est le cas le plus fréquent, de la facilité avec laquelle
faite par le Dr Shuttleworlb sur la nécessité de s'accorder dans le cas de maladies infectieuses. Heureusement, aucune
Médecine, médecin de l'hôpital Lariboisière, Je viens d'observer un cas de syringomyélie, remarquable par la rapidité d
clusion naturelle de ce rapproche- ment est que, dans bon nombre de cas de syringomélie, la cavité se développe aux dép
et, vers le point où commence la cavité principale, qui, dans notre cas , a une origine toute différente, ainsi que nous a
S TUMEURS ? NÉVROGLIQUES DE LA. MOELLE ÉPINIÈRE. 119 cipale dans le cas actuel; on la voit qui commence en arrière de la
S DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 123 l'on observe dans le tabès et dans les cas de compression située à la partie moyenne ou in
flement cervical. (M. A. Gom- bault, Société anat., 1891.) Dans ces cas , en effet, la dégénérescence, au lieu d'être to
nération ner- veuse que présentent les racines postérieures dans le cas qui nous occupe. L'étude de la régénération de
complète chez les pigeons après section de la moelle (sur plusieurs cas de cicatrisation de plaies faites à la moelle é
use de la syringomyélie; , . la nature du processus morbide dans le cas actuel cadre très bien avec cette particularité
ant la désagrégation médullaire par une sorte d'oedème chronique ( cas de Langhans, de Kronthal, de Schültze, expérience
ue la section com- plète n'amenait pas cette formation. 1 Dans le cas actuel nous avons affaire à une tumeur, et cette
at. XI, 1892) a rapporté douze observations sem- blables ; dans ces cas , dont la durée atteint rarement trois ans, il n
un point et une cavité dans un autre, mais Miura pense que dans ces cas la légitimité du gliome est douteuse. On a ch
iquer plutôt un processus inflammatoire. D'ailleurs même dans les cas où il s'agit nettement d'une tumeur circonscrite,
ec les- vaisseaux;, mais dans d'autres circonstances, et c'était'le cas pour la cavité prin- ` . 'çipale `de la tumeur
anttvi'iq'nlpv.^l) ,,0 ,2'7dtS(y as 9'1'4. : q ? IP.WI' ' I : ' UN Cas d'alexie sous-corticale (DE Wernicke) ; 'par 0.'
il,.... '( ! ¡ l , l ,1 ? 'IÎ'f : I ? T ? 1 , : ' Il . ? p Il' Un cas 'de' pellagre avec SYaINGOiYÉLIB j ' par ' le' Dr
avec les' apparences^ d'une myélite transverse - .dorsale. Dans ,ce cas ,.le diagnostic peut s'aider de, symptômes d'ord
ômes d'ordre secondaire soit coexistant' (comme, la cyphose dans le cas actuel),'soit même antérieurs, (dans le, cas ac
me, la cyphose dans le cas actuel),'soit même antérieurs, (dans le, cas acluel ? IésiIlI t,rop41qe 132 REVUE DE PATHOLO
ables =9 à111' p. 100. Chez les 118'Russes syphilitiques,-il y a 22 cas de tabes et 10 cas'de paralysie générale, tandi
ez les syphilitiques juives;pas'unè'seitle paralysie générale' et`1 cas de'tabes.')1 ! " '' 'rrtli. ri Illf L l ? t' i, i
qf ? `rr, ni '.Mil J ! III "1 PI dlH ho ? tfJP qn f)c''1l1c. V. Un CAS D APHASIE DANS la syphilis cérébrale; p.r K..H !
- .. 1ti 1 ? J 'II 1- i .tl · f lit " j...Ioo'l '1 i .(Mît VII.'UN cas DE méningite chronique; par J.-W. PARTON. \ ? t'&
é hygiène. "'7 Ce' fait p1Onre u.n ? foi dp ? s ,que, même dans les cas en apparence incurables de névrite toxique (ou
erminologie allemande) : 'Yoy.1Klumpke et'Sécrétan. 'Ana- lyses des cas relevant du territoire supérieur du 'plexus'(Klum
cines cervicales (Rose) ;la paralysie la plus étendue est celle des cas de Beevoret Remak, etc.' t . -.JIJ,··IJnv° . loI
es du. médian,, anesthésie du pouce et de l'indicateur. 1 Quelques, cas de paresthésie (musculo-culané et médian). « ql
ce' est diminuée. r 'P.,lÍER.\V,\L.1 .J,b.71 Ji-i-/l t XIII. Deux cas singuliers DE maladie DE FIHEDIlEICII; par Rossi.
ltérations de la' moelle, des nerfs périphé- riques, etc ? Dans les cas précités, la glycosurie trouve'son expli- catio
tJ1 : )(rd <)1' p' : f(11 ! hl s,tlbper( 8;iil«tnon ? "X1V.8SDR UN CAS 4D-Ê TON; pa' L·GREPPIN ? lrd ' ' ? ' 'l "'' &g
um l à hautes dosés pourrait biéIi"'êti-'éJadmii1Ïst'ré 'en pareil' cas . "1 P.' K' : ici - .u=,t Ii ,11. ".lhd "lfJt -i
t j" fspd . » ' il \,... ..., , W ·.1 '" 1 tr ? ." t fil 1 XA.'DEUS cas d'ataxie'locomotrice"avec maladie DES jointures D
ermettant la, tête dû tibia' de 'prendre1' sa/'place comme dans un" cas de genu vaigum accentué. Pas de douleur; le gen
réflexions résumées que nous donnons ici. Ilest bien-connu que les cas de cette espèce sont.souvent confondues avec de
culaires nécessitant l'amputation ou la résection. C'est surtout le cas de ceux qui s'ac- .compactent de symptômes nerv
stitue un caractère important de ces arthropathies tabétiques Deux cas semblables ont été rapportés parle Dr James Murph
'1 syphilis, '' les' auteurs font remarquer que si; dans le premier cas , la ? spécificité est certaine,'1 elle est'abso
liquer l'affection ? Dans son'opinion, une large'proportion ''dès'- cas 'prétendus ttabétiques ? sont"d'origine1 syphilit
horée1 d'il untingtdnl remarqua- bles''par l'hérédité dans les deux cas ; une- de' ces -observations ,REVUE¡DE PATHOLOGI
gt; ` s lxf 1 REVUE 'DE -PATHOLOGIE -NERVEUSE.- 145 ' XXVIII.(1Un, cas d'anurie hystérique;, par IIOLST. (Ceiitralbl. f
des, régions psyho-rnoti-ices. 1 - , 1 , ' Il s'agit donc, dans,ces cas , d'une agraphie d'origine sensorielle,* caracté
. ,1 ' . P. Keraval. 'J r i '.<-,, , , (1 11- i . XXXIII. UN cas D'HÉTÉROTOPIE de la moelle CHEZ un paralytique, t
t à l'examen' des planches. ' ' ' P. K. ! - 1 1 l . / " , XXXIV. Un cas de paralysie faciale congénitale; par F. Schultze
L'opération faite à l'origine ai subi des modifications dans deux " cas par Wyetli et DIàcClintoch.lls enlevèrent une lan
alotte qui répond' bien 'mieux au but.' b l Après avoir rappelé les cas de Keen,"de Gerster et Saclis; ceiui'de Wyeth e
yeth et Mac Clintock, 111.^' Clistow' Parhwell ajoute que dans un 4 cas opéré par lui, Morrison a noté une véritable amél
oration' mentale très'marquée; Lanne- longue a rapporté vingt-cinq' cas 'dont un seul' suivi' de'mort, et'' dans les au
vingt-cinq' cas 'dont un seul' suivi' de'mort, et'' dans les autres cas survivants on a remarqué de l'amélioration. Au
puis être d'accord. même avec ce chirurgien distingué. Sur ces ' 41 cas , 5 sont morts-et 36' ont été suivis d'amélioratio
e à la vie ? ? V iq L'opération est encore récente, et aucun de ces cas n'est resté ? 11 assez longtemps sous l'observa
r pouvoir juger oùatteindra"' l'amélioration qu'on peut obteuir. Le cas que je vous ai montré ' 1 est, le premier, qui
t..I 1'C,IJ Id rr1l ? ...., r .7· ? If 1 Bld \ 'tfT' if ... III. Un cas d'idiotie crétinoïde; par, le D FRANCOTTE.I1' '1
lire n'est dU'reste<pasJsi>l'are qu'oncle suppose;,il il y, des cas où la variation générale du délire est composée
l>.).dIJ : D/I ,n'J '11;(1 ? l : ;1111 ? i ? ? "r, .. VI. SUR UN cas d'hémianopsie bilatérale avec cécité psychique,
\ f iJ t . 1 , \ 1 -..., i , , ! ( j...., c J ' ' 'un' ' 'XlI'TRoÍs cas cliniques; par Clarke. 1 annn.t`a ·n --i ' " w
1 est de règle, parmi'' les aliénistes, dé regarder la majorité des cas de folie datant de deux- ans comme incurables. Le
' ' 'b >- ' '* f» r. Tut.' . ,...,.1 , .\.,.... 'Of' 4 "..., ' Cas I. j- Un homme de trente-quatre ans, mélancolique
`,Tr ? "'1 ? tL' fr n't ioIfI' ni, m.. 'r' ,1 - " ? ? ..., - ,- r Cas il. Le second cas est un cas de manie puerpérale
fr n't ioIfI' ni, m.. 'r' ,1 - " ? ? ..., - ,- r Cas il. Le second cas est un cas de manie puerpérale accom- pagnant l
fI' ni, m.. 'r' ,1 - " ? ? ..., - ,- r Cas il. Le second cas est un cas de manie puerpérale accom- pagnant l'écia'mpsie
son fut complète. lUI. '1 1 . - ' ,)t') , ) 1 -i ï ,CI. , . i , T Cas 1)1 ? L'auteur publie un cas remarquable de létha
. - ' ,)t') , ) 1 -i ï ,CI. , . i , T Cas 1)1 ? L'auteur publie un cas remarquable de léthargie qui lui a été communiq
es^ , 1" , 1" .) Concomitante comme elle est dans presque. tous les cas , la mI- crocéphalie peut cep ? q.<;I ! l ? t
.n ? ", qU,Il ry , ait''synostose.' Down,,de Londres,.ra'ppôrté des cas de microcéphalie dans lesquels' les sutures ne^
n ilditfén parlant d'un' cas particulier : « Je désire rapporter ce cas de microcéphalie au plus haut degré,, sans syno
chose' que de simples causes mé-' caniques comme productrices de ce cas -ci et d'autres analogues. » rShuttlewôrth, aprè
-ci et d'autres analogues. » rShuttlewôrth, après avoir rapporté un cas similaire, dit : « J'in- cline à croire que la
dans ses autopsies nombreuses et approfondies, il n'a trouvé qu'un cas où il existait de la compression sur le cerveau
de la compression sur le cerveau, tandis que, dans la'plupart1 des cas , les circonvolu- tions sont pleines-et arrondie
ne; mais, au con- traire, il semble, exister, dans presque tous les cas , une surabon- dance de liquide, sous-arachnoïdi
ès les observations des cerveaux de microcéphales, qui dans tant de cas démontrent un arrêt avant que l'évolution dont
âne ». Wilmarth dit : a Je suis convaincu que, dans la majorité des cas , le crâne ne pousse pas, simplement parce que l
linéaire. Ceux qui ont survécu à l'opération ont subi dans quelques cas une certaine amélioration, mais rien ne démontre
on donnée à l'enfant par ses pa- rents et ceux qui s'intéressent au cas , avaient obtenu dans la plu- part des cas série
ceux qui s'intéressent au cas, avaient obtenu dans la plu- part des cas sérieux d'arriération mentale, quelque améliorati
de ces deux travaux, quelques remarques sommaires : 1° S'il y a des cas de microcéphalie avec synos- tose prématurée, c
S'il y a des cas de microcéphalie avec synos- tose prématurée, ces cas sont une exception ; 2° contraire- ment aux dir
. Et, le 20 juin dernier, à l'Académie de médecine; 8° dans ce même cas , l'opération a fait constater que les os Auciii
que le dit le D'' C. Par- kyle, puisque, sur les quatre-vingt-trois cas de craniotomie que .nous avons résumés dans le
ze décès; 5° quant aux amélio- rations enregistrées dans trente-six cas sur quarante et un, selon M. Parkyle, il faudra
heures de sommeil. Cette observation ne concerne toutefois que les cas graves, car généralement 2 grammes de trional exe
ue greffé sur une dé- mence paralytique. M. LIEBfANN. De quelques cas de folie consécutive au traumatisme. L'auteur p
'en rend sur- tout compte par l'examen ophtalmoscopique. En pareils cas on obtient 50 p. 100 de guérisons. Les friction
qui surgit à la suite des différents récits que la curiosité de ce cas avait fait surgir dans le district. La jeune fill
pu lui faire prendre des aliments liquides. C'est là évidemment un cas de catalepsie, et, bien que le fait d'avoir été
eureuse jeune fille. (The Lancet, 15 juillet 1893, p. 149.) R. Ce cas et la curiosité malsaine dont il est l'occasion r
casion rappelle l'exploitation faite en Belgique, par le clergé, du cas de Louise Lateau et par la famille du cas de la
lgique, par le clergé, du cas de Louise Lateau et par la famille du cas de la jeunesse du pays da Galles. B. INFLUENC
(.T.). - Sur les hallucinations verbales psycho-motrices . dans un cas de délire de persécution systématisé à évolution
ubliaient qu'en se hasardant dans l'étude d'un sujet discrédité, en cas d'insuccès, il s'était ex- posé à compromettre
nopportunité de l'administration des préparations opiacées dans les cas de néphrite albumi- nellse ou chronique, sur l'
z les tabéliques (en collaboration avec Féré), 1883 ; Deux nouveaux cas de sclérosé latérale amyotrophique suivis d'autop
nzatomaazie (en collabora- tion avec Magnan), 188 ? - Deux nouveaux cas de sclérose latérale amyotrophique suivis d'aut
e l'aliéné Mistral (en collaboration avec Pierret), 1888 ; - Sur un cas de paraplégie diabétique, 1890 ; - Sur un cas d
ret), 1888 ; - Sur un cas de paraplégie diabétique, 1890 ; - Sur un cas d'hystérie simulatrice du syndrome de Weber, 18
d'hystérie simulatrice du syndrome de Weber, 1891 ; - A propos d'un cas d'hystérie masculine : 1 ° paralysie dissociée du
iques ; trau- matisme, alcoolisme, hérédité nerveuse, 1801 ; Sur un cas de para- lysie radiculaire de la première paire
dans quelques autres maladies des centres nerveux, 1802 ; - Sur un cas de paralysie générale progressive à début très pr
ments, mouvements choréiformcs et chorée rhythmée ; A propos de six cas d'hystérie chez l'homme ; Sur deux cas de monop
e rhythmée ; A propos de six cas d'hystérie chez l'homme ; Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique, de cause tr
ale hystérique, de cause traumatique, chez l'homme. - 1886 ; Sur un cas de coxalgie hystérique de cause traumatique che
s de coxalgie hystérique de cause traumatique chez l'homme ; Sur un cas de concmcl1l1'e spas- modique d'un membre supér
l'homme, en conséquence de l'application d'un appareil à fracture ; Cas de mutisme hystérique chez l'homme. - 1887 : De
re ; Cas de mutisme hystérique chez l'homme. - 1887 : Deux nouveaux cas de paralysie hysléro-trltu- matique chez l'homm
-traumatique du genou. - 1890 : De la maladie de 11101'van j Sur un cas d'hyslél'o-t1'aumalisme; Monoplégie brachiale h
hystérique développée à la suite d'une fracture du radius; Sur un cas de migraine ophtalmique; Des tremblements hystéri
musculaire progressive (en collaboration avec Marie, 4886);-Sur un cas d'anmésie rétro-antérograde probablement d'orig
sie générale; Arthropathies précoces dans le tabes dorsalis; Sur un cas de monoplégie brachiale chez l'homme, présentant
r la foudre (1889) ; - Traitement du vertige de Minière (1890) - Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive; Enco
90) - Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive; Encore deux cas de syphilis 206 J.-M. CHARCOT. cérébrale ; Su
Encore deux cas de syphilis 206 J.-M. CHARCOT. cérébrale ; Sur un cas de claudication intermittente par oblitération
veilleux sédatif; peu ou prou elle apaisa toujours et dans tous les cas l'agitation et souvent substitua une tranquilli
la période de tranquillité, après abandon du remède, a été dans 22 cas de : plus d'un mois, 6; vingt jours, 1; quinze
miers jours ne se recouvrait plus, dès qu'elle était perdue. Sur 22 cas où les effets avaient été tout d'abord très rem
continues variant de 2 à 4 milligrammes. Toujours et dans tous les cas , quelles que fussent celles-ci, le médicament
s, nausées et vomituritions aux heures des repas. Dans ces quatre cas sur onze, soit dans la proportion de 36 p. 100,
ion des pupilles et sécheresse de la gorge. Enfin, dans les trois cas qui suivent, soit dans la proportion de 27,4 p.
ont pas été accrues, mais il n'est pas douteux que, même dans ces cas les plus défavorables, l'intensité de l'agitation
favorables, dans la manie aiguë, nous n'avons pas rencontré un seul cas complètement satisfaisant, seulement 20 p. 100
chose près, de ceux obtenus chez les maniaques. Voici d'abord cinq cas où l'accoutumance ne s'est pas produite ou ne s
s; il n'avait jamais eu de troubles digestifs. De même, les trois cas suivants, dans lesquels l'accoutu- mance, il es
, mais après une période d'action efficace, étaient également des cas aigus. Observation XXVII. Alfred Rut..., trente
ion pupillaire avec troubles passagers de la vue. Ainsi, sur huit cas de lypémanie dans lesquels l'influence sédative
oisine s'est manifestée plus ou moins long- temps, cinq étaient des cas aigus ; au contraire dans les six qui suivent e
certaine mesure mais n'amenant pas l'apaisement, quatre étaient des cas chro- niques. Dans la lypémanie, nous avons don
p d'oeil d'ensemble sur les résultats obtenus dans nos vingt-quatre cas de vésanie, manie et lypé- manie, nous voyons q
pte accoutumance. Si, maintenant, entrant plus dans le détail des cas , nous comparons l'action de la duboisine chez les
merveilleux sédatif, ca- pable d'apaiser toujours et dans tous les cas l'agitation ma- niaque et lypémaniaque, soit vé
on malade éloignent l'idée d'une sclérose vraie, et rap- proche mon cas de la pseudo-sclérose en plaques, observée auss
aussi dans le rhumatisme. Il serait intéressant de savoir si les cas analogues, non traités, ont abouti à la sclérose
es, non traités, ont abouti à la sclérose en plaques vraie. En tout cas il faut noter que parmi les milliers de paludiq
rut treize heures après l'opération. Le rapporteur qui a analysé ce cas et d'autres rapportés en tire deux conclusions
on de cinq ans, atteint d'épilepsie jacksonnienne, une fois dans un cas de méningite chronique avec contractures généra
ois sur des idiots. Comme je me propose de faire sur ces différents cas un article spécial, je n'insisterai pas ici sur
r la valeur de cette opération. Je me bornerai à dire qu'à part les cas de microcéphalie, et encore elle a été loin de me
halie ET CRANIECTOfIE par le Dr HADDEN. Le Dr Hadden a fait voir un cas de microcéphalie chez un enfant atteint de rigi
a naissance. Le Dr Wallace Ord et le Dr Lees ont fait connaître des cas semblables et la question de la crâniectomie fu
mise. Il écarte l'idée des impressions maternelles et dit qu'un tel cas formait les z10 de ceux de l'asile de Earlswood
rès lents. Il renvoie à un examen qu'il a fait après la mort sur un cas d'adulte, chez lequel les lobes occipitaux étai
x et où il y avait aplatissement du gyrus angulaire. La plupart des cas deviennent épileptiques. Une opération a été pr
deviennent épileptiques. Une opération a été pratiquée dans quatre cas , mais il ne sait pas encore les résultats. (Soc
t à l'appui de la thèse que nous avons soutenue, que, sauf dans les cas où la défectuosité mentale reconnaît pour cause
- tère. Le bromure de potassium uni à l'exalgine a, dans quelques cas , déterminé une légère amélioration qu'on eût pu o
entales, les auteurs ont résumé sous forme tabulaire les différents cas , suivis ou non de succès, dans lesquels on a eu
ou non de succès, dans lesquels on a eu recours à l'hypnotisme; ces cas sont au nombre de cinquante et appartiennent à
purement hypnotique qu'au point de vue théra- peutique. Dans quatre cas , les malades ont paru présenter une légère amél
ir joué un rôle plus effi- cace que l'hypnotisme. Dans le quatrième cas , il n'y avait pas de stupeur et si la suggestio
con- naître que c'était de la suggestion sans hypnotisme. Dans deux cas , l'hynotisation des malades a été certaine, mai
aine, mais la suggestion n'a été suivie d'obéissance. Enfin dans un cas qui, au début, semblait pro- mettre de beaux ré
ormel avait nécessité l'emploi de la sonde. En outre, dans certains cas , malheureusement pas dans tous, l'hypnotisme pe
le de l'hypnotisme chez les aliénés ; s'il peut être utile dans les cas qui viennent d'être indiqués, il est à peu près
idées avec inconscience. C'est le procédé Mercklin. P. K. IX. UN cas DE démence aiguë; traitement par LES applications
sés. L'auteur expérimente actuellement le même traite- ment dans un cas de mélancolie rebelle datant de trois ans ; mais
cas de mélancolie rebelle datant de trois ans ; mais dans le second cas la malade n'a pas été rasée ; il a constaté une
uissent être considérés comme démonstratifs. R. M.-C. XI QUELQUES cas d'épilepsie traités par l'hydrate d'amylène ; p
es : peut-être ces avantages ont-ils été réels et durables dans les cas les plus légers ; mais dans les cas graves, ils o
été réels et durables dans les cas les plus légers ; mais dans les cas graves, ils ont promptement cessé de se manifes
conditions on peut se deman- der si l'amélioration obtenue dans les cas légers était bien réelle- ment due à l'agent ph
égers était bien réelle- ment due à l'agent pharmaceutique. En tout cas , M. Dun estime que les résultats qu'il a obtenu
véritables folies par auto-intoxication. On peut dire que, dans les cas où l'intoxication est aiguë, la folie se manife
d'un délire aigu, toxique, semblable au délire alcoolique (c'est le cas pour la folie urémique); lorsque l'intoxication
urs que l'hypertoxicité des urines a coïncidé dans presque tous les cas avec un état saburral très accusé '244 'SOCIÉTÉ
serves sur la signification de ces dernières expériences. Dans deux cas de confusion mentale, l'une post-puerpérale, l'au
ques et morales, les urines ont été nette- ment (légèrement dans un cas ) plus toxiques qu'à l'état physiolo- gique et l
entale puerpé- rale. Les ptomaïnes faisaient défaut dans ces quatre cas . Dans six autres, au contraire, on en a trouvé
ille et le cobaye. Il est intéressant de relever que, dans ces deux cas , l'expérimentation faite avec l'urine en nature
donne la parole à M. A. Voisin (de Paris), qui rap- porte quelques cas de délire qu'il a observés chez des opérées d'o
n termine par l'observation d'un hépatique répondant assez bien aux cas décrits par les auteurs du rapport sous le nom
sur la toxicité des urines chez les épileptiques aliénés. Dans les cas de crises en série, il y a tout d'abord prodrom
nces à l'hypertoxicité pendant la phase consécutive de détente. Les cas d'hypotoxicité continués semblent correspondre
de maladies mentales préexistantes; les autres se rapportent à des cas où il semble y avoir rapport direct, de cause à
se, etc., etc. Au point de vue clinique, on rencontre dans tous ces cas le même ensemble de symptômes qui ne diffèrent
yphoïdes, cachectiques. , - Ces remarques s'appliquent aux quatorze cas : mais en outre à propos de deux d'entre eux, M
, ceux de la maladie. Chez ses malades, M. Séglas a trouvé, dans un cas , le coefficient protoxique supérieur à la norma
gé dans la journée du 5 et avait eu six sangsues le 6. Dans l'autre cas , les urines examinées les 22 juin, 7, 8, 15 juill
e pendant les trois autres. La toxicité du sérum recherchée dans ce cas fut trouvée égale à la moyenne normale. L'ana
e chimique des urines n'a donné rien de particulier pour le premier cas : recherche des ptomaïnes infructueuse. Dans le
remier cas : recherche des ptomaïnes infructueuse. Dans le deuxième cas , il y avait une légère diminution de l'urée, des
ints d'une façon identique, l'urine est plutôt hypertoxique dans un cas et constamment hypotoxique dans l'autre. Et tan
constamment hypotoxique dans l'autre. Et tandis que dans le premier cas l'analyse chimique reste négative, dans le second
ns le premier cas l'analyse chimique reste négative, dans le second cas l'analyse de ces urines hypotoxiques montre des
à remarquer que la thérapeutique somatique qui donne dans tous les cas de meilleurs résultats consiste à relever la nu
présente deux observations minutieusement prises, dont l'une est un cas typique d'auto-intoxication d'origine gastro-inte
s déjà mentionnés. Sa seconde idée, simple hypothèse, est que son cas d'auto-intoxication pourrait être justiciable du
ions gastro-intestinales. Laseconde observation est rela- tive à un cas d'auto-intoxication, non plus microbienne, mais d
excrémentitielle est la cause première de l'intoxication. Les deux cas sont superposables au point de vue psychique, bie
ne peut avoir à peu près aucune valeur. Les aliénés, dans certains cas , peuvent faussement témoigner contre eux-mêmes;
de trois jours, à la suite des crises, on devrait demander dans ces cas un examen médical préalable pour déter- miner n
l'état mental. - 111. BncAlVn appelle l'attention du Congrès sur le cas possible de faux témoignages se corroborant par
sse par suite d'un délire commun, M. Régis a d'ailleurs signalé ces cas . 1 M. DOUTREDENTE rappelle un cas de persécuté
M. Régis a d'ailleurs signalé ces cas. 1 M. DOUTREDENTE rappelle un cas de persécuté à idées d'empoi- sonnements mort à
énonciations des ma- lades les plus extraordinaires, il rappelle le cas de ce malade mort d'étranglement interne à l'As
aussi de la négligence de l'administra- tion supérieure, qui, en ce cas , semble avoir obéi à un sentiment mesquin et ag
du patronage. La responsabilité de la Com- mission de patronage, eu cas d'accidents causés par les aliénés sortis, a ét
arpentier, un tel malade, au nom de la dégénéres- cence, serait, en cas de délit, interné comme irresponsable alors que
hotographie des enfants. Il signale les points principaux de chaque cas . Dans un premier groupe concernant l'hydrocépha
tinguent l'hydrocéphalie sans malformations importantes du cerveau ( cas de Cher..., Coeu..., Ess..., Gar..., Gre..., Lo
née ou non d'hydrocéphalie enkystée. Un autre groupe comprend les cas dans lesquels le crâne pré- sente les caractère
graphies concernant un enfant de son service nommé Moquer... Eu ces cas , il y a une hydro- céphalie ventriculaire seule
éphalie n'in- téresse que l'un des ventricules latéraux, tel est le cas de Fau... (hémi-hydrocéphalie). 260 SOCIÉTÉS
e. M. Bourneville rappelle que Barthez et Rillet ont si- gnalé deux cas analogues, l'un personnel, l'autre emprunté à un
près de trois ans. Pour avoir quelques chances de succès, dans ces cas , il faut intervenir le plus tôt possible et conti
s, et le gain pour les autres de 1,36, différence en plus. Sur deux cas d'obsessions et d'impulsions à forme continue.
dividu est obsédé à l'état pour ainsi dire permanent. Son premier cas est relatif à une femme âgée de vingt-cinq ans,
e type de l'arilhmomanie à forme continue. Dans le diagnostic de ce cas , l'auteur démontre que cette malade n'entre pas
durée des obsessions ; 3° Lutte pour l'obéissance à l'obsession en cas d'absence venant du dehors. Le second cas conce
éissance à l'obsession en cas d'absence venant du dehors. Le second cas concerne une femme âgée de quarante-cinq ans, a
es obsessions décrites par lui. On voit en effet que, dans les deux cas , la forme d'obsession n'est pour ainsi dire qu'
re vouloir simplement signaler l'al- lure particulière que ces deux cas d'obsession présentent, surtout à cause de leur
ois aboutissent à un délire des négations systématisé comme dans un cas rapporté au Congrès de Blois par l'un des auteu
ux persécutés raisonnants, l'un de nous avait proposé de ranger ces cas sous le nom de variété psycho-motrice du délire d
u'il accuse. On peut même ren- 264 SOCIÉTÉS SAVANTES. contrer des cas où il en arrive à formuler un délire de négation
bien sommaire : parmi ces derniers sur- tout se rangent de nombreux cas très disparates, parmi lesquels il serait certa
inemment in- fectieux. Au point de vue mental il s'est agi dans ces cas d'états mélancoliques sans fièvres. L'auteur ét
u malade est immobile tandis que l'autre réagit encore. En pareil cas , la pupille immobile ne réagit pas non plus sous
UE NERVEUSE. CONTRIBUTION A L'ETUDE DES TUMEURS DU CERVEAU : z UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF Par M. le D' F. RAYMON
s qu'elle affectait. De plus, il m'a été permis de vérifier dans ce cas les idées que j'ai avancées l'an dernier à la S
sont conservés autant qu'on peut en juger; l'ouïe parait absolu- UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 37S ment intacte. La
ésion, mais lorsqu'on veut écarter la scissure jnlel'-hémi'3phé- UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 277 7 rique au niveau
e . aa' de la figure 13 ; compression des deux lobes frontaux. UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 279 l'ourlet gauche a
visés. Picro-carmin et hématoxyline. - (obj. 7 Vérick, oc. 1.) UN CAS DE CHOME NEURO-FORMATIF. 281 tumeur colorés en
arafine; picrocarmin et safranine. (Obj. 2, Vériclc, oc. 1.) . UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 283 l'on peut suivre
picrocarmin et hdma- Goaylinc. (Obj. 7, Vérick, oc. 1.) 1 1't UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 285 1- "' ". '/> s
lule nerveuse au cas où elle viendrait à manquer; 01 ? on trouve UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 287 Î dansée cas actu
uer; 01 ? on trouve UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 287 Î dansée cas actuel, autour de la cellule pyramidale et dans l
truction de leur lieu d'origine, la face interne du lobe frontal UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 289 gauche. On suit c
des fibres tangentielles dans toutes les couches de l'écorce. UN CAS DE GLIOME l'OEUH.O-FOlOIATIl'. 293 lobe frontal
tres troubles qu'un change- ment de caractère et d'humeur dans huit cas de lésions variées des lobes frontaux. 1 D'au
ssertion. Il me semble donc absolument légitime de placer dans le cas actuel la dégénérescence si étendue de ces fibres
sions qui ont amené une démence si rapide et si profonde. Dans le cas de tumeur avec compression du cerveau que j'ai
ervation qui précède confirme absolument ces vues; c'est un. second cas de dégénérescence, corticale du cerveau sous l'
directement contre la boite cranienne, montre bien la légiti- UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 295 · 'Il/ -, 1. mi
la zone motrice, qui était l'endroit le moins atteint dans les deux cas ,que j'ai observés.1 Dans ces deux cas, en effet,
moins atteint dans les deux cas ,que j'ai observés.1 Dans ces deux cas , en effet, la distribution de l'atrophie était
mière observation, avec la description des lésions dans le deuxième cas (fig. 25 à 31). Je Fig. 25. - Tumeur du cerveau
ont été données; et encore la plupart d'entre elles ont trait à des cas où la tératologie joue un grand rôle. Virchow
tiquée suivant la ligne C CI des figures 25 et 26. (Loc. cil.) UN CAS DE GL : OOE nl;Ulio-1GHJI1'l'11 07 petites tume
ielles de l'écorce de l'hémisphère gauche. (Loc cil.) '' if Il UN CAS ! DE GLIOME NEURO FORMATIF ',12üD ^néanmoins il
ne des névromes centraux, tels que Yirchow les a décrits. 1 Dans le cas de Hayem (Note sur un cas de névrome médul- lai
tels que Yirchow les a décrits. 1 Dans le cas de Hayem (Note sur un cas de névrome médul- laire ou cérébrome développé
es, avec les cylindres d'axe qu'elles émettent. Tantôt, et c'est le cas le plus fréquent, il se forme simplement de la
ent les éléments caractéristiques des autres formes. Ainsi, dans le cas actuel, le tissu est mi-partie gliomateux, mi-
mbre des malades traités pen- dant l'année. En dehors de quelques cas de tuberculose, maladie commune chez les aliéné
réservés, n'ont pas joui cette année de la même immunité. Plusieurs cas graves se sont en effet déclarés parmi les memb
entendu, mais ne se manifeste plus chaque automne que par quelques cas isolés; beaucoup d'années sont même absolument
nue à l'Asile. Depuis cette époque on en voit tous les ans quelques cas ; et on compte de ce chef deux ou trois décès pa
, les extases, les possessions y jouent un rôle caractéristique. En cas de possession démoniaque, on assiste à un vérit
d'un quart des admissions; et l'on peut estimer qu'en éliminant les cas de folie simple déjà arrivés à la période de dé
signalés comme cause déterminante de l'aliénation mentale. Ces dix cas se décomposent ainsi au point de vue nosologiqu
u des grandeurs. » Il y a lieu de distinguer à ce sujet. Il y a des cas (rares) dans lesquels, pendant des années, la s
oïa, cette exagération de la personnalité entre- tenant en certains cas seule le délire, et ne faisant défaut dans aucu
de cause toxique (alcool, plomb, arsenic, toxine). Il est, en tout cas , certain, qu'il y a une psychose spéciale ratta
ns concernant l'enfance et la puberté, qui se dé- composent en deux cas de chorée avec aliénation mentale (onze et trei
mentale (onze et treize aus; guérison chez fillette et garçon). Un cas de stu- peur guéri chez un garçon de quatorze a
e, et le carac- tère de la courbe obtenue sont changés. En certains cas les ré- flexes patellaires sont inégaux; en d'a
nt remarquablement altérés; exa- gérés et inégaux, dans beaucoup de cas , ils disparaissent pendant les attaques de gran
s s'établit lentement et graduel- lement après l'accès; en quelques cas de disparition persistante des réflexes, le réf
nd sa force normale, seulement en une- demi-heure, - 60 En quelques cas , le réflexe disparu, puis revenu après l'accès,
et le manque d'hémoglobine s'y trouvent dans le nombre maximum des cas , l'hypoglobulie dans le plus grand nombre d'ent
ns le plus grand nombre d'entre eux; à côté de cela il est quelques cas où l'on rencontre un pouvoir isotonique et une
hémoglobine et le nombre des globules dans le plus grand nombre des cas se trouvent dans des conditions phy- siologique
llent dans les moyennes physiologique pour le plus grand nombre des cas . J. SÉGLAS. XXII. SUR l'état mental DE CHRISTIN
e. J. SÉGLAS. » REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 323 - 1 XXIV. Un cas (de folie associée A' LA chorée A'UN AGE avancé; p
es de ses travaux sont-elles presque des traduc- tions : ce sera le cas pour le présent mémoire. ' L'auteur rappelle d'
ow (psychose polynévritique toxémique) ne s'applique pas à tous les cas de folie amnésique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE M
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 32t) . ' il "'1 fr, '1' 1'1 ,.[, .. UN cas DE mélancolie INDUITE ; par"K.70. DEES. " .J (A
, on séquestre son mari, elle guérit.'P. K'. 1 - - IL' XXVIII. UN cas d'aliénation mentale chez l'enfant; par F. Feulac
5° Mais il est certain qu'on peut constater cette embolie dans les cas qui ont été indiqués sans qu'il existe de lésion
antes peuvent provoquer des hallucinations; l'auteur cite plusieurs cas dans lesquels cette influence peut être invoqué
formuler le dia- gnostic d'affection systématique combinée dans les cas de lésion des cordons postérieurs et latéraux,
s latéraux et posté- rieurs, sans paralysie générale, et que maints cas d'affection pure des cordons latéraux sont au -
oir établi ces relations. Cela n'empêche évidemment qu'il y ait des cas de tabès avec paralysie tenant à une autre lési
nant à une autre lésion, et qu'en certains SOCIÉTÉS SAVANTES. 33d cas une lésion combinée de plusieurs faisceaux- n'évo
symptômes de la myélite diffuse.-Tout le. monde sait qu'il y a des cas frustes atypiques qui n'infirment en rien les acq
i aux belles décou- vertes que l'on sait; c'est parce que, dans les cas de sclérose pure- ment spinale en apparence, no
un complexus clinique correspon- dant au tableau morbide des autres cas de la myélite chronique. Quant aux affections s
res. M. GOLDSCHEIDER rappelle que M. Charcot a constaté en pareil cas des anomalies dans l'excrétion des phosphates.
surajoutée à une hémiparésie d'origine organique. Puis, en certains cas , il peut y avoir un trouble physiologique dans
un spasme pur dépourvu de toute complication. Sur les trois autres cas , il est douteux que les troubles de l'innervati
congénitales de l'innervation, comme le veut1\[ : e. mak ? En tout cas , il est bon de rappeler que dans ces hémiplégies
state dans l'innervation des deux facials. M.OPPENHEIM a décrit des cas de parésie faciale faisant corps avec une hémip
l. On en trouvera une autre dans la thèse de M. Steinthal. Dans des cas de ce genre, la parésie n'était que faible au r
a éga- lement signalé l'influence des maladies du coeur et, dans un cas (Schmidt), celle de la syphilis. Mais, indépend
lammation locale, etc. Sous ce rapport il convient de mentionner le cas inté- ressant cilé par Moebius : il s'agit d'un
.temps la forme de baguettes de tambour. Le rapporteur mentionne un cas du même genre : chez un malade, probablement un
ation d'un abcès. Le rapporteur présente en outre un malade dont le cas montre le rôle important que joue la prédisposi
, une place distincte.. · 2° On ne doit pas confondre'avec elle les cas de tic simple 'isolé, de même que le tic convul
ent atteinte, soit dans son ensemble, soit partiellement. Témoin le cas d'un nommé S... qui avait oublié trois langues
a sonde ou à l'aide d'injections de peptone. Inutile de dire que ce cas , unique en France, laisse bien loin derrière lui
rr, ..... l1ff .t.Nous remarquons dans l'Echo du 17. courant, qu'un cas , sem- blable à celui rapporté dans un récent nu
4 ? 9yens ? l : f}ta- tion externes.,Le caractère. essentiel de ce, cas est' le même que celui que nous avons rapporté,
relle, ^car il paraît évident que chez les Slaves et les Celtes ces cas sont beau- coup plus, communs que chez les^ aut
La Salpêtrière, chez les Français, nos voisins, montre beaucoup de cas similaires, et dans notre pays 01 z,).. mme a L
robablement de la même race. Nous n'entendons pas souvent parler de cas semblables dans les pays nord, du royaume et il
du cervelet avec lésions secondaires de la protubérance. Comme les cas de ce genre sont rares, et plus rares encore ce
les troubles de la parole. Le même contraste se retrouvait dans un cas décrit par par Meynert. Sur une coupe au nive
ses sont depuis longtemps connues. En 1872, M. Pierret' a publié un cas type d'atrophie cérébelleuse, accompagné d'un e
mpagné d'un examen microscopique de la protubérance et du bulbe. Ce cas et celui que nous publions ici offrent tant au
euses analogies pour ne pas tenter de les rapprocher. Dans les deux cas , à la lésion cérébelleuse, étaient associées la
l'expérimentation (Mar- chi 2, etc.) et l'anatomie pathologique des cas où la lésion était localisée à une moitié du ce
mier article sur l'atrophie cérébelleuse, et 1 Pierret. Note sur un cas d'atrophie périphérique du cervelet avec lésion
) SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 363 dis que dans notre cas il n'en restait aucune trace. On sait que les o
mplement souligné. Dans cette hypothèse, que l'examen anatomique du cas que nous publions parait autoriser, c'est par l
ai- rées par l'anatomie pathologique. Il semblerait d'après notre cas qu'elles sont indépendantes du système cérébelleu
alogies que nous avons trouvées au point de vue anatomique entre le cas publié par M. Pierret et le nôtre, se retrouven
e nôtre, se retrouvent sur le terrain de la clinique. Dans les deux cas , longue durée de la maladie; titubation cérébel
des membres supérieurs; troubles de la parole; nys- tagmus dans un cas , dans l'autre, troubles oculaires qui pour- rai
es mouvements volontaires; phénomènes douloureux à la nuque dans un cas , dans l'autre céphalalgies; mais sensibi- lité
é de diagnostic des maladies de l'encéphale, où sont colligés les cas d'atrophie jusqu'en 1883, Nothnagel * s'attache à
ouvaient suffire à la coordination et Nothnagel cite précisément ce cas comme' venant à l'appui de sa thèse sur la late
M. Pierret avait de fréquents maux de tête; ils sont notés dans le cas de Schultze 1 ; la malade de Seppili 2 avait un
leur fixe à la nuque, cette douleur de la nuque se retrouve dans le cas de Menzel3 et dans le nôtre où elle aurait duré
'état de la sensibilité n'était pas mentionné, ou bien, et c'est le cas pour la plupart, il est dit expressément qu'ell
s pour la plupart, il est dit expressément qu'elle était normale ( cas de Combette4, Diiguet 3, Andral0, Menzel7, Brosse
ions de la motricité du globe oculaire; strabisme bilatéral dans le cas 368 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. d'Andral; dans le
ilatéral dans le cas 368 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. d'Andral; dans le cas de Menzel les yeux, dont les mouvements pouvaie
s les sens, se tournaient invinci- blement à droite; enfin, dans le cas de Seppili et dans le nôtre, nystagmus, nouvell
us avons retrouvé ces troubles, si nets chez notre malade, dans les cas suivants : Combette : parole difficile et bégay
presque continuelle- ment une sorte de grognement. Dans ce dernier cas , évi- demment, la parole se rapprochait davanta
la paralysie glossolabiée; mais on vient de voir que dans plusieurs cas elle était scandée, émise par saccades, rappe-
celle de la sclérose en plaques. Ajoutons que dans plusieurs de ces cas on a fait un examen microscopique de la protubé
4e ventricule, hypoglosse compris, ont été reconnus sains dans les cas de Pierret, de Meynert et le nôtre; on ne trouvai
un facteur concomitant : les altérations des olives. En effet, les cas où les troubles de la parole étaient les plus mar
etits centres (Pierret, Schulze, Menzel, nous-mêmes); dans les deux cas de Combette et de Verdelli, on note les troubles
absolue des noyaux et des racines de l'hypoglosse, ensuite dans les cas comme celui de Lallement' où la sclérose bien n
squ'à la mort de la malade. A citer encore contre cette théorie les cas où il y avait troubles de la parole sans altéra
ce dernier argument, d'ordre négatif n'a pas une grande valeur : le cas de Meynert est d'ailleurs le seul de cette caté
d : on peut le faire avec d'autant plus de probabilité que dans les cas connus jusqu'ici de troubles de l'articulation
elief les ressemblances que présentait notre observation avec les cas jusqu'ici connus, nous avons dû forcément passer
vions pu rassembler à ce sujet dans' r la littérature. Les quelques cas aujourd'hui connus où ce symp- tôme a été renco
ons à Leube1 la première mention de ce symptôme. En décrivant trois cas de sclérose en plaques accompagnés de troubles
un essai d'interpré- tation de sa pathogénie. Il s'agissait de deux cas de sclérose en plaques qui n'ont pas reçu, il e
e de cette affection. Récemment Krzvwicki' donnait la relation d'un cas de tremblement des cordes vocales observé chez
pencer 2 a décrit sous le nom de nystag- mus pharyngo-laryngien, un cas singulier de tremblement des cordes vocales, ch
uvements ont toujours persisté. Nous trouvons ici, comme dans notre cas , un tremble- ment, continu; il ne semble pas d'
illations soient exagérées par les mouvements du.larynx; dans notre cas nous n'avons pu faire aucune cons- tatation de
elque chose de plus qu'un tremblement intentionnel. Dans ces deux cas ils ne présentaient pas une fréquence identique ;
e identique ; ils étaient au moins trois fois plus nombreux dans le cas de Spencer : de ' Krauseï Travail analysé in Jo
thyro-aryténoïdiens; le reste de l'observation offre dans les deux cas de grandes dissemblances; enfin, l'absence d'au
ne, tumeur cérébelleuse), interdit de lui reconnaître dans tous les cas une cause identique. En ! ce qui concerne la sc
syst. nerveux, t. I, p. 267. 374 RECUEIL DE FAITS. comme c'est le cas dans plusieurs observations, ces symptômes peuv
and complet, le fait que nous publions en est la preuve. Il est des cas où rien dans ce trem- blement, ce nystagmus, ce
nctement condamnés. Ainsi se passaient autrefois les choses. ' Le cas de ces délinquants n'inspira aucun écrit jusqu'à
cident est demeuré latent, existant en puissance, et semble dans ce cas avoir attendu, pour éclore, l'intervention d'une
ne comportent ni exigences contre nature, ni appétits exagérés. Le cas est d'une grande simplicité. L'exhibition exist
est livré à des actes de bestialité. M. Magnan a brièvement cité le cas de cet homme dans ses Recherches sur les centre
e accompagne la fonction nerveuse normale; c'est seulement dans les cas anormaux que la décharge prend la forme explosi
ns faire est un aveu d'ignorance. R. DE iiIUSGRAVE-CL.1Y. XL1. UN cas DE FOLIE avec STUPEUR CONSÉCUTIVE A l'hypnotisme
M. J. NOLAN. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1891.) Ce cas est intéressant à plusieurs titres : d'abord il d
cide ; 4° par le caractère rebelle de l'insomnie. R. M. C. XLII. Un cas DE PERVERSION sexuelle ; par le Dr URIUD.1RT. (Th
e Dr URIUD.1RT. (The Journal of Mental Science, janvier 1891.) Ce cas est assez banal au point de vue de la pathologie
IE MENTALE 389 à la pudeur, est très sévère sur ce point) ; dans le cas dont il s'agit, le magistrat a, non sans hésita
(Cent1'albl, f. Ner venheilk. N. F. III, 1892.) Epidémie de seize cas . Chez les premiers malades, la èvre typhoïde ex
comprend lescas de manie furieuse, mania cum furore; le second les cas de manie gaie, mania cum hilaritate. L'auteur con
s aliénés dans le Royaume-Uni a augmenté dans la proportion de 1500 cas par an : il sait que la statistique s'est efforcé
s la démence secon- daire, et varie très faiblement dans les autres cas ; 3° l'homme sain n'excrète pas plus d'urée que
x et qui demeure par là rebelle à toute analyse. R. M. C. LVI. Un cas DE folie avec DILUSIONS; par le Dr KEAY. (The jou
ONS; par le Dr KEAY. (The journal of Mental Science. Avril 1891.) Cas dans lequel la guérison a été obtenue au bout de
WSS, (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 23.) A. Première série de quinze cas (étude clinique et anatomo- pathologique). Etud
que dans les dégénérescences secondaires. Mais, comme dans quelques cas de tabes il n'y a pas d'altération vascu- aire,
ississement vasculaire existeà tous les degrés dans tous les autres cas , ce n'est pas là l'essentiel. Il nous faut donc e
. (Nrl9'Oi. Centralbl., 1892.) Quatre observations. Dans tous ces cas excepté un (mort précoce) les noyaux en questio
UE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 405 et tombe dans le cas du langage populaire. C'est voir trop complè- t
. Ballen qu'une méthode uniforme n'ait pas été suivie dans ces 1565 cas , car alors, pour chacun des points à étudier et
565 cas, car alors, pour chacun des points à étudier et pour chaque cas , on eût trouvé une constatation affirmative ou
: la première pourtant a été observée. dans près de la moitié des cas de manie, et au moins dans les deux tiers des cas
de la moitié des cas de manie, et au moins dans les deux tiers des cas de dépression mentale. On rencontre assez sou
volutions n'a malheureusement été notée que pour un petit nombre de cas , mais il est assez remar- quable que, dans 80 p
bre de cas, mais il est assez remar- quable que, dans 80 p. 100 des cas de mélancolie aiguë, cette dis- position était
était très simple, tandis que la proportion est renversée pour les cas de manie. Dans les formes chroniques de la mani
noïde et les hémorrhagies siégeant sous la dure-mère, en dehors des cas de démence consécutive bien accusée, appartienn
nicité. L'atrophie du tissu cérébral existe dans les deux tiers des cas , et si l'on considère les cas où elle atteint u
rébral existe dans les deux tiers des cas, et si l'on considère les cas où elle atteint un degré assez accusé, elle est
aliénation ; elles ne figurent que pour 16 p. 100 dans le total des cas d'hémorrhagie et de ramollissement, et sont ent
, la condensation du tissu osseux a été observée dans la moitié des cas , et l'épaississement de la voûte crânienne dans
été rencontrée avec une fréquence (un peu plus des trois quarts des cas ) et à un degré tout à fait inusités dans les au
ais il est à remarquer que très souvent (dansplus d'un septième des cas ) elle était accompagnée d'hémorrhagie dans la c
Les signes de congestion ne se montrent guère que dans le quart des cas . Les altérations de la substance médullaire ne
heureuse- ment été recherchée que dans un nombre assez restreint de cas : sur trente-quatre cas où elle fait l'objet d'
rchée que dans un nombre assez restreint de cas : sur trente-quatre cas où elle fait l'objet d'une mention, elle a été
a été rencontrée dix-sept fois, soit exactement dans la moitié des cas . Les scléroses superficielles, dans la maladie
die qui nous occupe, ont été constatées seulement dans 6 p. 100 des cas . Les adhé- rences méningo-corticales n'ont été
a normale. R. DE Musgrave-Clay. XLI. Histologie pathologique d'un cas d'idiotie épileptique d'origine syphilitique; p
le était de nature sarcomateuse. R. DE IUSGR.1VE-CL.1Y. XLIII. UN cas DE développement anormal du cuir chevelu; par '
ccentuée. L'examen des autres malades a abouti à la découverte d'un cas analogue, mais bien moins accusé, chez un autre
ensée de soutenir, comme un principe, qu'on fût autorisé dans aucun cas à délivrer un certificat d'aliénation mentale,
lis cherchait à établir une méthode de la suggestion forcée dans le cas où les malades sont réfractaires à l'hypnotisat
les malades sont réfractaires à l'hypnotisation. En étudiant ces cas M. Tokarsky n'y voit pas de raisons suffi- sant
it que l'emploi de violence, comme méthode à suivre dans certains cas , doit être complètement rejeté. Il rappelle ensui
ite, que la force ne peut être employée par le médecin que dans les cas où un dan- ger immédiat pour les malades ou pou
pour ceux qui l'entourent doit être éloigné et que dans les autres cas tous les autres moyens devraient être appliqués
quelques mots au début de sa communication, le rapporteur décrit un cas de cette maladie, observé chez une institutrice,
ent. Après avoir remarqué qu'ici, de même que dans la plupart des cas décrits, le délire des négations s'est développé
passé l'âge de quarante- cinq ans, le rapporteur pense que dans les cas typiques de ce genre chez les mélancoliques le
volution progressive. M. Korsakov est d'avis que la description des cas de délire des négations a une grande importance
ch de W. Griesinger), semble peu suffisante. On observe beaucoup de cas où le délire mélancolique évolue par l'associat
ente de la vie psychique. M. Serbsky pense néanmoins que dans les cas de ce genre le raisonnement doit certainement j
idérable dans le développement du délire. M. Butzke trouve que le cas cité par W. P. Serbsky n'est pas SOCIÉTÉS SAVAN
ttence. M. Serbsky insiste néanmoins sur le caractère typique de ce cas et pense que si le délire semble ici moins syst
e psychique. Les mouvements choréiques ne se renouvelèrent plus. Ce cas peut être rangé dans la catégorie de la chorée
p chorea West). Le professeur Kojevnikov ne pense pas que, dans les cas du genre qui vient d'être décrit, on puisse att
orme distincte, la chorée paralytique. 2. M. le Dr Sémidalov : Deux cas de lathyrisme. Après avoir fait un historique t
ducteurs de la cuisse principalement pendant la nuit. Dans tous ces cas il y a eu prédominance des phénomènes parético-
parético- spastique aux extrémités inférieures; dans la moitié des cas on a observé des troubles passagers et peu impo
ubles passagers et peu importants des organes pel- viens, dans cinq cas un tremblement passager des mains. Les ré- flex
hypothèse est d'autant plus vraisemblable que l'on a observé des cas de myélite dans l'empoisonnement par le phosphore
de la méninge-myélite). Le rapporteur propose de donner à tous ces cas la dénomination générale de biennorrhagimus ou
bieunorrhagicus. Le D''Mouratov pense qu'on peut expliquer tous les cas de lésion biennorrhagique du système nerveux so
la myopathie arthro- pathique, soit par la névrite et que, dans le cas de Leyden, la lésion peu prononcée de la moelle
ystème nerveux par l'urëthrite blennorrhagique antérieure et que le cas de Leyden ne prouve pas l'existence des myélites
fréquentes; la main gauche se gèle facilement. Evidemment c'est un cas d'anomalie, probable- ment congénitale, restée
aperçu qu'à l'âge de quatorze ans. Discussion. M. JOLLY. Dans des cas d'hémihyperhydrose la pilocarpine produit génér
oral se fatigue plus vivement que le plan nasal; qu'il y a même des cas dans lesquels la fatigue se limite au plan temp
étudié le périmètre et connaisse les lois de ces phénomènes. En ce cas , l'intervention de l'appareil à fils de Wilbran
systématique du champ visuel agrandit le punutum COECMrn. En pareil cas la tache aveugle augmente exclusivement vers la p
ilatérale du noyau moteur du triju- meau. On a toujours vu dans les cas de foyers unilatéraux une para- lysie bilatéral
lytique du maxillaire inférieur et ouverture de la bouche dans un cas de paralysie bulbaire apoplectique, dans son trav
elait l'attention sur les douleurs d'origine centrale à propos d'un cas dans lequel on trouva une lésion au foyer de la
ormalement agissent toujours de concert ne sont paralysés, dans les cas de foyers unilatéraux que lorsque les noyaux ou l
mentale combinée avec la neurile muliple dégénérative » ; « Sur un cas de psychose polyncurilique avec autopsie ,; ; Coz
leur importance n'est pas toujours également crande. Dans tous les cas , l'auteur est convaincu que le rapport entre le
lle on se trouve souvent, dans la pratique, de rattacher tel ou tel cas observé en clinique à l'une des formes de Krafft-
rsqu'on peut faire une pareille constatation, c'est qu'il s'agit de cas particuliers, semblables à celui que nous signa
différents de ceux des délires de persécution habituels. C'est le cas de notre malade, c'était aussi celui d'un autre
matisé, différant d'ailleurs comme symptômes et comme évolution des cas envisagés par Cotard. Ils n'ont plus rien, plus
h. ( Ibid., p. 98.) 446 CLINIQUE MENTALE. nous a pu observer deux cas semblables dans lesquels on pouvait noter un dé
rsécutés raison- nants, l'un de nous avait-il proposé de ranger ces cas sous le nom de variété psycho-motrice du délire
troubles psychopathiques qu'il accuse. On peut même rencontrer des cas où il en arrive à formuler un délire de négatio
bien sommaire; parmi ces derniers surtout se rangent de nom- breux cas très disparates entre lesquels il serait certaine
que. Il y a six mois j'avais appelé M. Babinski en Vendée pour un cas de névrite du plexus cardiaque à forme anormale.
'il me donnât le conseil de rassembler en un fascicule les nombreux cas de névropathie qui s'étaient présentés et devai
il n'a présenté aucun accident nerveux. - A propos de ce dernier cas , il me semble utile de faire remar- quer, comme
t il lui est impossible d'imprimer le plus léger mouvement. Dans le cas qui nous occupe, l'enfant persuadé qu'il s'est
ionnelle, et la paralysie psychique est produite. Seulement dans ce cas la paralysie s'est produite plus rapidement que M
était revenue. Cette observation offre un certain intérêt, car ces cas d'amnésie hystéro-lraumalique doivent être rare
ions organiques. Tout dernièrement on relatait dans les journaux un cas de guérison de la chorée par l'hypnotisme. Je
alade puisque sur elle je n'ai pas fait d'hypnotisme. Toutefois les cas de ce genre sont encore assez rares pour que l'
oublées, le cerveau reste intact. J'avoue sans fausse honte, que ce cas tout d'abord me troubla. C'était de l'atrophie
e, dans certaines écoles, on s'est trop pressé de conclure dans des cas à peu près analogues. Il importe donc de se mettr
une arthrite tubercu- leuse. Je la fis mettre dans un appareil. Ce cas se produisit dans ce pays de Saint-Fulgent dont
ancoliques, des vicieux hystériques. Et certes, dans ces différents cas , l'hypnotisme peut et doit agir. Mes expérience
'est à l'hérédité névropathique surtout que sont dus ces nom- breux cas de maladies nerveuses, hérédité, il est vrai, qui
u'une action secondaire. Il faut mettre iL part, cela s'entend, les cas où des affections visibles des ovaires rendent
es observations qu'il fit l'amenèrent à essayer l'hydrastine dans 6 cas d'épilepsie. Donné à l'intérieur en solution d'un
la suite.F. Kh. Gadziacki employa également l'hydrastine dans un cas d'épilepsie, mais n'obtint aucun résultat. Le tra
après les recherches de B. Worotynski, le suspension, en cer- tains cas , agit favorablement sur les troubles de la vue, m
on simple qui présente le moins d'oscillations et même, en quelques cas , peu d'oscillations; 5° l'opération psychique d
itri , .' t ' ;il f) t f , ; .n. Tj ; Etude microscopique dans un cas de(paralysie faciale consécutive à une otite. C
pin, du streptocoque que l'auteur a réussi à. isoler dans plusieurs cas d'olhé ? matome des aliénés. ^Au contraire par
s frustes' de la synn- 1, 'g'omyelië ? L'oPateur én décrlt qûèlques cas auxquels il 'manque encore'' là 'sanction' J an
i, RémakJ'il est'arrivé"a diagnostiquer )à''syrinL gomyétie en sept cas , à l'aide de cet oedème spécial des extrémités
? lfr9Wn'·sl' aanîî J9 enr.rt (lit 111 ? Bruns.' Présentation d'un cas ' cénicalê inférieure. ,fl l;tüdé ? du`'i·éflés
uze . mille cinq'cents admissions, parmi. lesquelles. vingt- trois. cas 1 de paralysies' périphé- riques 'a'v"è'è c1oli
outes- les fois'qu'il-y a'dégénérescence'du' muscle. Ainsi, dans un cas de paralysie saturnine des péroniers, il y avait
d'une certaine manière. Le symptôme migraine, si fréquent en pareil cas , vient à l'appui de l'irradia- tion centrale. T
gite tuberculeuse. Or, l'herpès labial qui se montra dans ces trois cas , eût-il pu suffire à établir ce diagnostic ? La
inflammatoire aigu. Mais l'apparition de l'herpès labial en pareil cas , ne permet pas d'affirmer qu'on ait affaire à une
liféré viennent former la gaine nouvelle des jeunes fibres. En tout cas , il n'y a ni hyperplasie nerveuse discontinue p
efois, quoi qu'en dise E. Pflüger, la cocaïne agit encore, dans les cas où il y a paralysie du sympathique (complexus sym
er). Ceci n'infirme point la théorie. On peut admettre qu'en pareil cas , ou bien le sympathique n'était pas complètement
progressivement davantage ou bien qu'on est fatigué ; en ce dernier cas , la capacité au travail diminue gra- duellement
rchiv f. Psychiat., XXV. 2.) P. KÉRAVAL. BIBLIOGRAPHIE VIII. Un cas de pseudo-tabes post-iizfectieux; par le professe
nt ce qu'on appelait autrefois un pseudo- tabes. A l'occasion de ce cas M. Grasset refait l'histoire des pseudo- tabes
ait dans sa doctrine un amendement considérable ». J. Noir. X. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associés, avec
font défaut à ses cinquante- trois observations. J. Nom. XII. Un cas de maladie de Morvan; par le professeur Grasset.
n; par le professeur Grasset. Mont- pellier, 1892. Il s'agit d'un cas très net de maladie de Morvan, avec panaris ana
es illustrent cette intéressante leçon. P. S. XIII. A propos d'un cas de maladie des tics convulsifs avec mouve- ment
s qui lui sont propres (p. 236), que l'isolement peut dans certains cas rendre des services pour le traitement de l'hys
hystérie et dans les principales intoxications. Mais, dans tous les cas , à moins de névrite périphérique, le mode de prod
urs auteurs et échappent à la critique scientifique. P. S. XV. Un cas de méningite tuberculeuse ; par E. RIBEROLLES. (E
ES1'llÉSIE, contributionàl ? ., par Friedmann, 498.1 1 Il Alexie, cas d' sous-corticale, par 0. Berkhem, 131. Alién
l'étude de 1' = à ouvrir les asiles, etc., par Walms- ley, 82; Un cas d' - mentale i chez' l'enfant, par Ferlach, 325
e, de la folie -, par Cri. 1'iUn, 324.. 1 q t AIYLÙ';E, quelques, cas d'épilepsie traités par l'hydrate ti ? par E.
céphalie, observation d'1 , par ,téonowa, 4s.ï. Il' - Anurie,- un cas d' hystérique; par llolst, 1 ia. i 1 1 Aphasi
à l'asile royal de Gartnavel, par Yellowlees, 83. ' Ataxie, un cas d' - locomotrice avec maladie des jointures dp
par Dourdorfi; 419. , Blépharoptose, lésions anatomiques dans un cas de - congénitale, par siemerling; 402.' ' ' '
f men- , 0, taies, par Rieger,' 1G ? .1" 11/9 Il') Cécité, sur un cas "d'hémianopsie bilatérale' avec psychique, 'par
ons' Norbury, tr 1b8 : "r ,· , 1 ! JI) t J l 'il e Crorée, sur un cas de ? do 1,lIu- tington, par Greppin, 138;'rye-
er, 40} j sur la-paralytique, par Fitatov,417. Climquks, '.trois, cas , par Clarke, " \ ^i H ? ? J " ~ 10,101. tr,,
ëphatiej et ? , par, - lIadden, 36.. J ? .. 1 Ca> : Tmouo ? un cas d'idiotie ? pari ,v l''rancotte, 153. ,ry ,n n
390; le ? de Locunolé, . 512 ? p uuln ,a ? 1 o i Cuir chevelu, un cas de;développe- ment , anormal, du' , , par Mac
ing; 156 ;. sur le des négations,, par Serbski, 415. Démence, un" cas de = aigue, par A. Robertson; 239. ( Déments,
. . ? ... ...., .. .J 'f . q"l'('I) ) '1 '¡ ? Epilepsie, quelques cas ,,d ? traités ., par, l'livdratéd'amylène, par E
ura, 236. ' ' 1 Exercice illégal de la médecine, 89. Exophtalmie, cas d'- compliquant une néphrite, par Harold, 58.
ar A. Sarbo, 88. 1 Folie, les drames de la 91, 512; de quelques cas de consécutive au traumatisme, par Liebmann,
la systéma- tique au point de vue clinique, par Neisser, 318; un cas de associée à la chorée à un 1 âg-e avancé, p
l'influence du milieu sur la production de la har Savage, 329; un cas de avec stupeur consécutive à l'hypnotisme pr
par No- lan, 388; criuu· et chez la femme, par Xoecke, 300;'un cas de - avec dilusion,parlieay, 395. 1 Il il ''
la des jambes, par Krauss;' h83. ' FIIIEDIIEICII (Maladie de). Un cas de ! 1 , par huntz, 62; deux cas sin- guliers
' FIIIEDIIEICII (Maladie de). Un cas de ! 1 , par huntz, 62; deux cas sin- guliers de -, par Ilossi, 137. " GnosE
tion à' la théolie des ? par Pick, 163. 1 z - Hémianopsie, sur un cas ci'- bilaté- rale avec cécité psychique, par
normale etlrathologtque, parSan- son, 269, 1 II¡ : TtlloPIE, un cas d'- de la moelle ' chez un paralytique général,
s, une accusée en crise - 95 ; de la fièvre -, par Sarbo, 138; un cas d'anurie- par Halot, 145; contribution à l'ét
ution à l'état mental des -, par Long- bois, 168. - Idiotie, un cas ci'- crétinoide, par Fraticotte 153; la craniec
phalie et 1' , par J. l3eechel. 235; histologie pathologique d'un cas d'-épilep- tique d'origine syphilitique, par
tude des de la mémoire, par Scheldtler, 326. Impulsions, sur deux cas d'obses- sions et d'- à forme continue, par R
errant, Le il la Salpêtrière, par H. Meige, 343. Lathyrisme, deux cas de -, par Semidalov, 418. Lésions, microscopi
pour les places de des asiles d'alié- nés, 508. Mélancolie, un cas de induite par R.-O. Dees, 325; manie et, par
l'artère moyenne dans l'endocrâne, par G. Peli, M. v Méningite, cas de chronique, par J.-W. Plaxton, 133; contribut
l'herpès labial dans la cérébro- spinale, par Klamperer, 496; un cas de tuberculeuse, par Ri- berolles, 506. Mémoi
ouches Il et III de, par Kaes, 485. MICROCÉPHALIE, rapport sur un cas de -, opération, mort, etc., par Binuies, 235
ives aux amputations, par Marinesco, 480; par, Hedlich, 4.84;/ un cas de,lé- sion hémilatérale .de ,1a ? par Stieol
IjS, Morte, la - vivante, 346" ,r Ir : . Morvan (maladie de), un cas de ? par Grasset, 504. ' Motrice, prétendue a
208. ' ',... . ,. m. 1"{ "'UI lt 1] ? 1'1 Obsessions, sur, deux., cas d,· ? et " d'impulsions,, forme/continue, par
er, ,136; de , " l'aphasie dans Ia ? générale, par Ascher.142; un cas de raciale ''congénitale, par Se))ultze,14G;
l'écorce cérébrale'des'- 'néïiéraûï,"par `Lioubinrow,' 53; ;' ,un cas d'hétérotopie';¡'dâns 'lIa si moelle, chez^un ?
laJ1 '' dus' 1'lis-' ' pocliondrie, par 111 '457. fi, Pellagre, | cas de' -^ avec syringo- ,0'ihyélie,' par Pellizzi,
? pscndo ? d'origine ''palustre, par Trianta- ( phillydès, 232. Un cas de et 61 hystérie' associées avec autopsie, p
e crâne pendant le -=, pal' l\lackenzlC; 489. " Somnambulisme, un cas de spon- tané, par Hoefelt, 155. - -« Sphinct
le,1 par Heilbronner; 132. te t tin z a il , Î SS'I21\GOM1'I;LIE, cas de pellagre avec - , par l'ellizzi; 131. ? Sy
tion à l'anatomie patholo- gique du - dorsal, par Krauss, 396.;Un; cas ,drpseudo - post- infectieux par Grasset, 502.
aladie, des con- ? vulsifs, par Tokarsky,'341 ! 'Alpl'0- ' pas'd'un cas de maladie des par Roubihowitch, 504 ! 1 ! \/I'
57 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Archives, 3° série, 1907, l. II. 1 2 ASSISTANCE. , dans tous les cas et à coup sûr quelles réactions se ma- nifester
RÉS. 7 Il serait manifestement puérile d'incriminer dans ces deux cas le choix fait à l'asile. Rien à l'hôpital ne pouv
11 la famille qui les reçoit quelques petits services, et en tout cas ils exigent certainement une surveillance moins
insister sur ce sujet. Une autre leçon que nous enseignent les deux cas pré- cédemment relatés, et plus particulièremen
ettement rattaché à la dualité anatomique des cerveaux. En tous les cas les expériences de suggestion à ce propos sont ne
rveau ». Mais aujourd'hui comme hier, M. Janet ajoute « En tous les cas ». Aujourd'hui comme hier. M. Janet paraît bien
est une formation plus ou moins nettement paire, et dans quelques cas . amphibiens, par exemple -, jusqu'à l'évidence. E
persiste pas dans la femme ; mais on la constate néanmoins dans les cas anormaux fréquents. Enfin à cette liste des organ
at est « celui qui se produit, nous dit seulement Cha- bry, dans le cas de déviation des facettes de segmentation », un
se fabriquer les organes qui leur manquaient. L'important en tout cas , c'est que Maas comme Chabry, et Campton comme Ma
utomatiques, ou imparfaitement voulus ou délibérés. L'existence des cas phéno- (1) Il est d'autres preuves fournies par
distinguibles à la simple observation de l'oeuf entier; tel est le cas de l'oeuf d'Oursin où l'on reconnaît trois zone
de symétrie, enfin par rapport à un point central. Dans ce dernier cas , l'oeuf est dit isotrope. Or, il existe, non seul
e pendant les premières segmentations, de telle sorte que, dans les cas nombreux où les premiers blastomères sont de ta
chacun peut encore donner un embryon complet, ce qui est encore le cas . a-t-on vu, pour les quatre blastomères ré- sul
deuxième division . 42 . PSYCHOLOGIE' « On a pu, dans certains cas , étudier au point de vue de la répar- tition de
tition des substances l'ovule non encore fécondé. Or, dans tous ces cas , quels que fussent le mode de répartition et la n
ontrer, par exemple, que, dans une observation citée par l'A. comme cas de trouble alternatif des deux hémisphères, cer
amais « à relier ses idées entre elles. n RECUEIL DE FAITS Sur un cas d'oedème à évolution d'apparence spontanée chez
ymond, Marie, Gombault, Oppen- (1) Service du U' Journiac. SUR UN CAS D'OEDEME A EVOLUTION [('APPARENCE SPONTANEE. 49
s dans son tiers supérieur. Des mensurations exactes, donne- SUR UN CAS D'OEDÈME A ÉVOLUTION D'APPARENCE SPONTANÉE. 51
fet l'hyperthermie et 1'liyperh,)-drose localisées qui ont SUR UN cas 1)'(EDi ? MF A ÉVOLUTION d'apparence SPON7 ANÉE.
imes qu'elle commande. Stofella.pour expliquer un certain nombre de cas plus ou moins analogues au nôtre, mais accompag
e, à côté de la tache méningitique et du dermo- graphisme, certains cas d'oedème paralytique avec ecchy- mose spontanée
ès légère du gros orteil et la flexion plantaire du pied. Dans cinq cas de lésion cérébrale organique, Schaefer (Neurol.
don duquel a porté l'excitation, mais bien son antagoniste. Dans un cas de coma profond, où aucun signe de lésion local
xamens permit à M. de compléter ses pre- mières recherches. Dans 85 cas d'hémiplégie organique, il y eut 26 fois flexio
re de sujets ne pré- sentaient qu'une légère hémiparésie. Dans 59 cas de paraparésie organique (44 myélites et 15 sclér
cléro- ses en plaques), il y eut 35 fois flexion plantaire. Dans 45 cas le signe de Babinski fut positif. Le réflexe pa
lexe pathologique du dos du pied serait donc plus,fréquent dans les cas de lésion de la moelle; dans les paraparésies,
et plus facile à produire du côté le plus atteint : ainsi dans les cas de syndrome de Brown-Séquard, il est plus net d
s moteurs. Le réflexe de Mendel aurait une certaine valeur dans les cas où se pose la question d'une lésion du faisceau
ue et, notamment, le signe de Babinski. M. passe en revue plusieurs cas d'hémiplégie capsulaire ou cor- ticale, de lési
hez 4 Macacus rhesus, puis su- ture de la dure-mère ; dans tous les cas , réunion per primat, Les animaux furent tués un
amp de dégénération est le plus souvent rectiligne. Dans cer- tains cas , une partie des fibres des cordons postérieurs pa
océphale ses dimensions restent stationnaires dans presque tous les cas (hauteur de la tête, arc biauriculaire, diamètre
ur le sol et la patte se pose souvent sur la face dorsale ; dans ce cas seulement on voit apparaître les troubles dits tr
de 13onn.(Neurol. Ctrbl.,XXV, fas. 9, p. 391 à 401, 6 fig.) Trois cas de paralysie générale avec état variable des réfl
ordons postérieurs paraissent sains. L'auteur remarque que dans les cas I et III, il y avait dans la moelle lombaire su
ais plus accusée que du côté opposé.Il rappelle à cette occasion un cas d'Achard et Lévi : tabes, conser- vation des ré
espectant la zone de pénétration des ra- cines. Il rapproche le IIe cas du cas de Pick et de Nonne et pense avec ces au
nt la zone de pénétration des ra- cines. Il rapproche le IIe cas du cas de Pick et de Nonne et pense avec ces auteurs q
ne mobilité anormale de la rotule. L'A. l'a rencontré dans quelques cas de myélite chronique, as- socié à la paralysie
érieur droit ; convulsions toujours limitées à ce mem- bre ; dan le cas de Dieulafoy, en effet, les convulsions commen-
acti- vité, puis, successivement, tous les centres voisins. Dans le cas de l'A. les convulsions commencèrent d'abord pa
s physiques, sans aucun phéno- mène nerveux nouveau. L'intérêt du cas réside dans la gravité de l'encéphalite et dans
ans des encéphalites telles que celle qu'il rapporte. cite quelques cas dans lesquels l'infection se serait faite par les
RSIN. (Rev. med. de la Suisse Romande, 1906, n° 8.) Relation d'un cas de phlébite du sinus caverneux qui put être dia
nent à l'appui de la seconde opinion : Il s'agit dans le premier cas d'un jeune homme qui fut atteint de paraplégie
de l'exa- men microscopique du système nerveux dans quarante et un cas d'épilepsie idopathique ;ces données servent de
re que la stase, sans quoi ce ne serait pas seulement dans deux des cas de compression de la carotide de Kussmaul et Tenn
on de la carotide de Kussmaul et Tenner, et dans 71 % seulement des cas de Joffroy, mais bien dans tous, que l'on aurai
e sorte ina- chevées. M. Turner croit avoir démontré que dans les cas qui servent de base à son travail, 70 % présent
à une zone silen- cieuse ou explosive de l'écorce. Dans le premier cas , on conçoit que les phénomènes prendront le car
ce qui concernece facteur, que, à certains moments et dans certains cas particuliers, les cel- lules nerveuses soient p
s nerveuses soient particulièrement irritables, si bien que dans un cas la stase provoquera une crise unique, alors que d
à une série de crises, voire même à l'état de mal. Sauf dans les cas qui se compliquent de maladies générales in- fl
ès commun de voir apparaître l'épilepsie chez les aliénés âgés. Ces cas sont intéressants en ce que le mé- canisme de l
'anémie cérébrale résultant des lésions artérielles. Dans plusieurs cas où M. Turner a pu faire l'autopsie, il a constaté
donne comme assez fréquente dans la nenrasthénie.Cu.BoNNE, III. Un cas d'ophtalmoplégie unilatérale totale et complète
la périphérie du champ,qu'il ne regarde pas. L'A.rapporte un autre cas , moins convaincant, où, chez une débile, le même
le physiologique aurait abouti à des idées de persécution ; en tout cas , les deux champs visuels étaient beaucoup plus ét
ssolimo, avaient déjà rattachés à la lésion de ces fibres. Dans 8 cas antérieurs semblables, l'ataxie coïncidait avec u
en dehors des olives. Les troubles oculo-pupillaires notés dans le cas de l'A. et dans celui des auteurs français cité
du noyau de Deiters. Il rapporte ensuite, mais très brièvement, un cas qu'il rapproche du précédent et également sans
s manouvriers. D'une enquête méticuleuse qui porta sur 55 des 160 cas autrefois examinés et décrits par l'A., celui-ci
usieurs ou la totalité des signes de la triade (voir plus bas); ces cas pourraient être considérés aussi bien comme des
herchait en comprimant le plexus brachial) manque dans un tiers des cas , mais il serait pathognomonique ; tout au plus, d
LOGIE NERVEUSE. 73 L'A. a trouvé dans la littérature une dizaine de cas analogues. Il suppose qu'une cause accessoire q
n'importe quelle autre origine infec- tieuse. F. Tisser. X. Deux cas d'hémorrhagie protubérantielle. Hyperthermie. M
e et Moutier. (Nouv. Icon. de la Salp. 1906, n° 4.) Dans les deux cas , début brusque, évolution rapide, myosis' hémip
érieures et des nerfs moteurs. L'auteur passe en revue les quelques cas épars dans la littérature médicale, tous sont rel
tranché par au- cune investigation biopsique. F. TISSOT XIII. Un cas d'acromégalie avec lésion de l'hypophyse et de
sseuse et articulaire. F. TissoT. XV. Etude complémentaire sur un cas de gigantisme pré- coce.Contribution à l'étude
sies). F. Tisser. 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Yin. - Sur un cas d'aphasie-apraxie; par d'HoLLANDER, (Bull, de '
iet, avec des obsessions, des hallucinations. L'auteur voit dans ce cas la combinaison de deux états psychopathologiques
s pour avoir une certaine importance dia- gnostique (16 fois sur 20 cas ) : 1° hypo- ou analgésie générale res- pectant
istianisme, à la persécution des chrétiens, etc. Cependant dans les cas de confusion mentale aiguë où l'obnubi- lation
de ces troubles ; bien plus, ils émettent l'hypothèse que dans les cas de Basedow avec troubles psychiques et dégénére
ituant la psychose maniaco-dépressive ; qui sait même si cer- tains cas de cette psychose ne relèvent pas d'une perturbat
us- sion des opinions et ses observations personnelles ; il y a des cas d'association manifeste de l'hystérie ou de l'é
s surtout à la puberté et à l'involution. D'après les relevés des cas publiés par les auteurs français et étrangers,
e affection congénitale, où Ú ou rencontre l'hérédité dans 90 % des cas , et qui ne se développe souvent qu'aux deux poi
ntermittents à la période d'involution ;c'est là,dit M. Ducosté, un cas dont la connaissance est d'un intérêt capital ;
rmittents. Dans le même ordre d'idées, on peut avancer que certains cas rapportés à la paralysie générale à double form
tains cas rapportés à la paralysie générale à double forme sont des cas ' de folie intermittente dans lesquels la pério
QUPLIER communique en son nom, ainsi qu'au nom de M. VICOURO1JX, un cas de délire de persécution sans hallucina- tions
hasiques qu'a présenté leur malade.Mais à l'égard de la surdité, le cas observé semble contredire cet auteur, lorsqu'il
hypnotique;il insiste sur lesdétails de technique que comporteun cas de ce genre, en particulier sur la production fic
uéri de ses crises par la méthode liypnotliéi,apiclue.Done,ceitains cas présentant tous les caractères de l'épilepsie peu
premier degré de développement, ou bien s'il s'agit d'un véritable cas d'ioditie incurable où l'opération n'offriraient
uparavant et décrit la technique personnelle qu'il emploie dans les cas de ce genre. Les anormaux dans l'antiquité. M
ceux qui ressortissent de la chirurgie, il reste que la plupart des cas de stérilité sont dus à des troubles fonctionne
ecins, doit être considérée comme une ma- lade, et dans beaucoup de cas elle trouvera sa guérison dans le traitement ps
utition de cent vingt-cinq grammes d'eau par jour. C'est un nouveau cas de jeûne, plus prolongé toutefois que ceux, déj
ns la littérature scientifique. En 1881, M. Motet fait connaître un cas d'at- teutat à la pudeur. En t 1 SS'i, Garnie :
ur. En 1889, Proust communique à l'Académie des sciences morales le cas d'un jeune homme condamné pour escroqueries fai
es une mentalité criminelle et que son rôle se borne, dans tous les cas , à libérer des tendances vicieuses latentes au
iscipline » par les aliénés pour en faire un hôpital d'isolement en cas de choléra. On transféra alors les aliénés à Co
ponsabilité physiologique. Cette manière de faire, dans beaucoup de cas , ne présente pas, il est vrai, de gros inconvén
simplement synonymes des mots normal ou malade. Mais dans d'autres cas .elle en- traîne des conséquences fâcheuses ; on
insuffisamment la société contre un délinquant redoutable. C'est le cas de l'expression de responsabilité atténuée. L
quand il s'agit d'un aliéné, et il convient lui-même que, dans ces cas , la conclusion s'impose d'elle-même sans qu'il
ue M. Ballet recommande surtout l'abstention; je veux dire dans les cas intermédiaires entre l'aliénation et la normali
uffisante pour se protéger efficacement. La courte peine, en pareil cas , va à rebours du bon sens, c'est l'augmentation
iscernement qui permet des degrés et que l'on emploie déjà dans des cas analogues lorsqu'il s'agit de délinquants encor
mer ? Il restera seulement entendu pour les médecins qu'en aucun cas il ne saurait impliquer une idée philosophique, d
me de témoignage par l'expertise médi- cale,surtout par rapport aux cas criminels, où la vie humaine est en danger, est
'est une véritable honte pour la médecine que maintenant plus aucun cas important de démence homicide n'est jugé sans q
loi abolissant la question de l'hypothèse comme fac- teur dans les cas criminels aurait bien pu être appelée loi pour
uer la quantité de parjures par les témoins-mé- decins dans de tels cas . Les experts-médecins sont des hom- mes comme l
9 130 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES LT NEUROLOCISTES. étudié le cas : « Ce n'est pas nécessaire de m'appeier dans ce
S. étudié le cas : « Ce n'est pas nécessaire de m'appeier dans ce cas , mon rapport ne serait pas à l'avantage de votre
n'était que la dixième partie de sa valeur réelle, et dans quelques cas , dont j'ai eu connaissance, pour jurer que ces
ces comme témoins dans des procès de condamnation, où dans quelques cas où ils juraient que des lots n'avaient que peu
pronostic. En 1890, Magnan rattache à la folie intermittente les cas de manie et de mélancolie récidivantes, engloba
que la folie intermittente. KRAEPELI.N,en 1899, rattache tous les cas de manie à la folie CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNI
de folie maniaque dépressive ; et il y fait entrer encore tous les cas de mélanco- lie, sauf ceux qui ne se développen
e. La folie maniaque-dépressive est héréditaire dans 80, 90 % des cas et peut-être dans tous. Elle est plus fréquente c
fréquente chez la femme. Elle se développe dans les deux tiers des cas avant 25 ans, le premier accès apparaît général
s faits qui lui avaient permis de décrire cette psychose, comme des cas de folie maniaque-dépressive développés au mome
LADE et ,ACQUI ? vT ont essayé de définir anatomi- quement quelques cas de folie périodique par « la prolifération névr
rpris de la statistique de M. Régis, d'après laquelle 70 à 80 % des cas de manie ou de mélancolie qu'il a observés appa
ections. Cette proportion me paraît considérable ; elle est en tout cas de beaucoup supé- rieure à celle de la plupart
à l'étude des localisations motrices corticales. A propos de trois cas de sclérose laté- rale amyotrophique avec dégén
ur de cette nouvelle conception. ; Nous avons pu suivre, dans trois cas de sclérose latérale CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉN
bulbe, la protubérance le pédoncule.et la cap- sule. Dans les trois cas , l'étude de la topographie des lésions cortical
nnées jusqu'ici classiques sur la délimitation de cette zone. Nos cas personnels nous autorisent à admettre que, très
, nie les troubles trophiques dus à l'hystérie. Je lui ai cité un cas de fièvre hystérique. Je vous dirai sa réponse
i cité un cas de fièvre hystérique. Je vous dirai sa réponse : « le cas est impressionnant, a-t-il écrit, et il entraî-
Quant aux troubles vaso-moteurs dans l'hystérie, j'en ci- terai un cas type. M. Babinski ne m'adressera pas ici le re-
- cables, nous venons de le voir. '-' Enfin, je puis présenter un cas assez remarquable de trou- bles trophiques de l
hystériques, puisque l'hystérie à crises est très rare en Vendée, 3 cas sur 300 environ, voilà la propor- tion. 3° C'
e de ces recherches que, dans aucun service, on a pu lui montrer un cas de ce génie, et que tous les spécialistes de la
ons enrayées. A la suite de ces excitations qu'on varie suivant les cas , suivant la pré- dominance de telles ou telles
ses actes et on oublie de le juger sur sa personne. Dans les deux cas , le médecin, particulièrement le médecin psycholo
que et physiologique de l'homme des siècles pas- sés. Dans les deux cas il fait oeuvre d'historien et de savant. Je cro
sentent en projections d'intéressantes photographies et coupes d'un cas d'agénésie cérébrale par transformation kystiqu
if. 156 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGIS 1 ES, Trois cas d'hypothermie d'origine nerveuse. MM. L. Marcha
régulier et lentement progressif. Les auteurs rapportent les trois cas suivants : 1° Obs. : Début de la paralysie géné
sujets ne contenaient aucune substance pathologique ; dans un seul cas , elles renfermaient des traces d'indol. Les exa
t étaient des femmes ; 3° La paralysie gé- nérale est dans 75 % des cas de nature syphilitique ; Les conclusions sur l'
folie alcoolique est très rare en Grèce, 4,11 % ; elle compte 83 cas , dont 3 femmes seulement, sur un total de 2.000 a
de d'une solution de cette substance. Ils ont obtenu dans plusieurs cas une dispari- tion momentanée des illusions, et
orisé, nous semble-t-il, à user de ce traitement chez l'hom- me, au cas de néoplasies cérébrales ou médullaires, traitées
ultats. Il ne faut pas s'attendre à voir des résurrections dans les cas avancés, alors que les lésions destructives son
lésions destructives sont nombreuses et indélébiles, mais dans les cas pris au début, chez les malades présentant le s
grands malades incapables de se tenir, même assis et, davantage de cas de Labes frustes et dont beau- coup restent fru
eux. Il ne soigne pas le tabès, mais il soigne des tabétiques. Un cas d'agénésie cérébrale par transformation kystique
nne et supérieure les fibres thalamo-cor- ticales étudiées dans des cas comparables par M. et 1\11110 Dé- jerine. Arc
te sous le nom de paraplégie par rétraction des vieillards. Dans le cas que nous avons observé il existait une amyotrop
édullaire dont le résultat a été l'exa- gération des réflexes. Ce cas était, en outre, remarquable par la faible intens
r les ganglions spinaux et les racines postérieures dans 5 nouveaux cas de tabès simple ou associé à la paralysie génér
et ? Discussion par MM. Dupré etDuFoUR, 166 SOCIÉTÉS SAVANTES. Un cas de névrite ascendante. M. AYN.auD présente une
e. Ataxie des muscles oculo-moleurs et paralysies oculaires dans un cas de tabès juvénile. lII,CANTONNET,présente un
e de M. Déjérine : \ la Salpêtrière; c'est l'examen histologique d'un cas de zona tho- racique, suivi d'autopsie. Contr
icard et TANON n'ont pas obtenu par l'in- jection d'alcool dans ces cas les résultats satisfaisants vantés par Schlosse
ci de l'asynergie cérébelleuse, par lésion du pé- doncule ? En tout cas l'affection est progressive, peut être de nature
e de la rétine ; M. Déjérine a vu cette réaction très nette dans un cas de lésion calcarine. Anatomie pathologique de
Anatomie pathologique de l'hystérie. M. CLAUDE a trouvé dans deux cas des lésions d'épaississement méningé et d'atrop
à une mé- ningo-myélite confirmée par la ponction lombaire. Deux cas de sclérose latérale amyotrophique à début tardif
e amyotrophique à début tardif. MM. Rossi et Roussy présentent deux cas . La méthode psycho-analytique et les « abwehr-p
er sa conception de l'origine sexuelle de ces psychoses; qu'en tout cas ,la méthode a l'avantage d'éclairer l'état mental
mala- de et exerce sur la maladie une influence thérapeutique. Un cas de syringomyélie avec chiromégalie suivi d'autops
chiromégalie suivi d'autopsie. Communication de M. LnEnwTTE. Deux cas d'arthrite réflexe d'origine nasale. Cas commun
ion de M. LnEnwTTE. Deux cas d'arthrite réflexe d'origine nasale. Cas communiqués par M. BONNIER qui ont guéri l'un par
le traitement du coryza, l'autre par une cautérisation du cornet ; cas à rapprocher de l'asthme des foins et de certai
arce(lu'il s'agit d'une aliénée dite crimi- nelle et que, en pareil cas . l'Administration et la magistrature mettent gé
bservé des troubles de l'accommodation. Despa- gnet (2) rapporte le cas d'une malade atteinte de lour- deur des paupièr
ses formes, parfois même de cécité plus bu moins complète. Dans ce cas , il convient de sè demander s'il ne s'agit pas
au même trouble constaté au début de la crise d'hystérie. En pareil cas , « les objets n'apparaissent « plus aux yeux de
leurs crises, voient des traînées lumineuses. Voisin (4) cite le cas d'une jeune fille qui, avant l'attaque, voyait de
ésumer et de comparer les lésions décrites par les auteurs dans les cas intitulés par eux-mêmes « Démence précoce ». No
ons sur l'anatomie pathologique de la démence précoce à propos d'un cas . In Revue neu- rologique, 15 avril 1905. (i2)
e cérébrale. Bulletin de la Société unalomique, novembre 1905. Un cas dedémence précoce avec autopsie, in Congrès de Pa
ques. Jan- vier-février190G. Dans la même séance, Vigouroux cite un cas de dé- mence précoce dont il a fait également u
l a fait également un examen histologique. (14) Doutrebente et Deux cas de démence précoce avec autopsie et examen hist
, Neisser (3), Lubouschine z (4). Les recherches allemandes sur des cas clinique- ment bien définis sont beaucoup plus
stion dans ces ouvrages de lésions trouvées principalement dans les cas de catatonie. Le terme de Dementia precox n'app
difications anatomo-pathologiques de l'é- COITC cérébrale dans deux cas de démence précoce. (In Journal de Neuro- logie
ation d'Alzheimer (1) sur les lésions anatomiques trouvées dans des cas de délire aigu. En ce qui concerne la catatonie
tudier que les observations nettement données par les auteurs comme cas de démence précoce et dont nous avons pu nous p
nte ayant déterminé la mort. Comment, en effet, peut-on, dans ces cas , faire la part d'une affection secondaire qui n
udiées par nous on s'aperçoit, en effet, que, dans la plupart des cas les malades ont été exposés pendant un temps plus
es (1). C'est ainsi que Victor Parant'fils comparant les lésions du cas de Dunton avec celles décrites par Alzheimer di
les altérations nerveuses notées dans cette maladie... » Dans le cas publié par Laignel-Lavastine et Leroy au Congrè
a démence précoce. Or si nous examinons les causes de mort dans les cas que nous avons cités, nous voyons que sur un to
sont écoulés entre les décès et les prélèvements de pièces dans les cas qui nous occupent : Dans le cas de Dunton, l'
s prélèvements de pièces dans les cas qui nous occupent : Dans le cas de Dunton, l'autopsie aurait été faite huit heu
n, l'autopsie aurait été faite huit heures après la mort. Dans le cas de Laignel-Làvastineet Leroy publié aux Congrès
27 octobre 1903, et l'autopsie fut pratiquée le 29 octobre. Dans le cas de Laignel-Lavastine et Leroy relaté dans le Bu
ouvelles méthodes de Cajal n'ont été appli- quées que dans quelques cas ; (Doutrebente et Marchand, Laignel Lavastine) (
différents travaux que nous avons cités plus haut concernant des cas intitulés : « démence précoce », on constate qu'i
vantes que nous empruntons à quelques-uns d'entre eux. Dans leurs cas , Laignel-Lavastine et Leroy n'ont trouvé aucune
l'altération porterait sur le tissu neuro-épithélial. ' Dans les cas publiés par Alzheimer,et qui sont rangés par ce
cellules étaient enserrées par le tissu de soutien. Nissl, dans des cas d'évolution plus lente, sans rétrac- tion appar
nt souvent com- parables entre elles s'ils en jugent par leurs deux cas examinés. Ils pensent que ces lésions sont de m
chand insistent sur la lésion mé- ningée qu'ils ont trouvée dans le cas publié par eux, et ils discutent les rapports d
uvelles recherches entreprises par nous à Bicêtre et portant sur 10 cas ont de même été constamment néga- tives. tùilla
chez des sujets atteints de confusion mentale aiguë. Lorsque les cas de confusion mentale guérissent avec intégrité
s de l'écorce. Si, au contraire, le cortex a été altéré, on a les cas qui constituent les troubles mentaux chroniques
es points attribués à chacune des épreuves est fixé à 30. Dans le cas où le nombre des candidats ayant pris part aux de
ndidats qui ont passé avec succès les épreuves du concours sont, en cas de plusieurs places vacantes, classés par le ju
elle, très mal acceptées d'ailleurs, comme c'est malheureusement le cas fréquent. Il y n certes là une leçon à retenir
de l'aphasie, je crois pouvoir opposer les faits suivants : a) Un cas d'aphasie sensorielle ; le malade était bavard,
urs. Pas trace d'anarthrie dans le sens de M. Pierre Marie. b) Un cas de destruction complète de l'insula, sauf la pre-
xterne ; le malade ne présentait pas trace d'aphasie motrice. c) Un cas d'aphasie totale avec intégrité apparente de la
. J'estime donc que la psychothérapie n'a que peu d'action dans ces cas . Les ma- lades qu'elle a paru améliorer ou guér
s) pense qu'il y a intérêt à recher- cher la pathogénie dans chaque cas de neurasthénie. Sans in- sister, puisqu'il fer
hschild, il a étudié la neuras- thénie thyroïdienne, et il cite des cas de malades neurasthéni- ques qui étaient des hy
Ecchymoses spontanées oni/ormes. M. ETIENNE (Nancy) communique un cas d'éruption ecchy- motiquc, occupant nettement l
parai- son des effets et des rapports. L'observation porte sur 24 cas de mélancolie anxieuse, dif- férente par l'âge
ire ne révéla pas de lymphocytose. Ce qui constitue l'intérêt de ce cas , c'est que la mère, la soeur et le frère du mal
riques que j'ai recueillies je relevais dernière- ment au moins 120 cas très nets dans lesquels on retrouve ce délire t
voir complète- ment oublié ce qui vient de se passer. Dans bien des cas , comme j'ai essayé de le montrer ' (2), cette a
érons un phénomène très voisin de l'idée, de langage. Dans bien des cas nous voyons des crises singulières de logorrhée
ènes de mutisme hystérique doivent être étroitement rapprochées des cas de parole et d'écriture automa- CONGRÈS INTERNA
sont pas moins restées des unités psychologiques et dans certains cas elles s'émancipent dans leur ensemble. Mais ici
sommes amenés à les rattacher nettement à l'hystérie dans certains cas ,il faudra pour les comprendre faire intervenir la
e, diminuée d'une pii,t,atigmeitée de l'autre, trouve dans tous les cas ,sa compensation dans un trouble opposé, ce qui do
eunes pa- rents. La mère d'un grand homme est, dans la majorité des cas entre 25 et 35 ans, et le père entra 30 et 45 a
mmes sont des premier-nés, leurs parents sont. dans la majorité des cas , d'un âge mûr (le père de Léonard DA Vinci avai
être de même si la lésion est bilatérale. L. WAIIL. XXI. - Sur un cas de maladie des plongeurs ; hématomyélie chez un
La nature de la lésion, d'après les rares autopsies faites dans ces cas , semble être des foyers d'hémorragie (hématomyéli
arrier. ? 4 Zi REVUE t J, P : 1T.IOLU Il : NERVEUSE. XXII. Sur un cas de rhumatisme cérébral ; recherches bactério- l
n rétrécissement mi- tral peu serré et ancien. Albuminurie. 1 Les cas de ce genre sont excessivement rares, car on ne r
'hémorrhagie cérébrale au cours du rétré- cissement mitral. Dans ce cas le rétrécissement mitral semble être resté au s
). L'auteur met en relief les symptômes particuliers qui dans les cas de tumeurs des méninges médullaires doivent mettr
inance qu'on ne rencontre pas à un aussi haut degré dans les autres cas de méningo-myélites ou de myélites transverses.
as de méningo-myélites ou de myélites transverses. G. C. XXVL- Un cas de tumeur des méninges rachidiennes ; par MM. L
exemples où cette intervention a été. suivie de succès dans deux cas d'épanchoment sanguin sous dure-mérien. Si l'hé
ar tuberculose. Parmi les maladies intercurrentes, nous trouvons 18 cas de tuberculoses diverses. Parmi les sorties fig
levé bien qu'aucune épidémie n'ait sév i sur notre population. Deux cas de lièvre typhoïde, dont un mor- tel, ont été o
raités dans la salle commune d'infirmerie. Il en fut de même pour 4 cas d'érysipèle et chaque fois nous avons re- grett
étaient rares et consti- tuaient des exceptions. Pour ces quelques cas isolés, le court sé- jour dansune colonie comme
ade. Après l'internement le malade aurait le droit de soumettre son cas à un praticien appelé et payé par lui. Que cela
: \Cf. Parle prof. Alexandre STCI1ERI3AK (Varsoie)t, OBs. I. Un cas d'hypoesthésie sexuelle avec fétichisme chez un
on pathologique du sentiment de dégoût avec le sentiment sexuel. Le cas décrit se dis- tingùe des cas ordinaires de fét
e dégoût avec le sentiment sexuel. Le cas décrit se dis- tingùe des cas ordinaires de fétichisme en ce que le sens géné
un stigmate psychique de dégéné- rescence chez notre malade. En ce cas , nous avons dans la sphère des sentiments un ph
assez nettement que l'association anormale des sentiments est en ce cas originaire et non acquise ; cela est démontré p
n'est pas non plus question d'inver- sion sexuelle. ' OBs. Il. Un cas d'hyperesthésie sexuelle avec fétichisme chez une
âgée de 25 ans, d'une famille névropathique où il y a eu plusieurs cas de psychose,est venue me consulter sur les nom-
'ont pas été examinés. En analysant les anomalies sexuelles dans ce cas ,nous devons noter, avant tout, le fond principa
gasme voluptueux; au point de vue psychologique le fétiche, dans ce cas , est une représentation visuelle complète et d'
utres termes, la malade a recours à la coquetterie. Mais dans notre cas la coquetterie a le caractère évi- demment path
au- tre cause, c'est-à-dire de ce que la coquetterie dans notre e cas est intimement liée à l'élément essentiel de la p
- donnent à la malade la satisfac- tion complète. Ainsi, dans notre cas , la coquetterie ren- ferme en elle-même le moye
LLES 265 - normales ou anormales - en général. Mais dans tous ces cas , « la modification » de la coquetterie n'est qu'u
épasser certaines limites dans ses ma- noeuvres de coquetterie. Ces cas diffèrent du fétichisme, bien entendu, par le m
chisme, bien entendu, par le manque de caractère pathologique. Le cas queje viens de décrire doit être considéré comme
ficile de déterminer avec précision l'origine du fétichisme dans ce cas ; mais il est hors de doute que les tendances p
st aperçue pour la première fois de sa « bizarrerie », mais en tout cas nous avons certaines rai- (t) V. les observatio
culier, chez Mme Y., est acquis et non originaire, comme c'était le cas dans l'observation pré- cédente (Mme X.). Quant
n évident ; le fond dégénératif très grave est non moins évident. Cas . 111. - Un cas de sadisme et de fétichisme chez u
e fond dégénératif très grave est non moins évident. Cas. 111. - Un cas de sadisme et de fétichisme chez un adolescent.
lade rencontrait dans un livre ou dans un journal la description de cas pareils, il lisait et relisait plusieurs fois c
ait au malade « un plaisir cordial énorme » mais le plaisir dans ce cas n'était pas suivi d'éjaculation. Si la dame éta
la forme de sadisme compliqué de fétichisme, est bien clair dans ce cas et ce diagnostic n'a pas besoin de commentaires
les détails du développement des tendan- ces sadistiques dans notre cas démontrent bien, qu'au point de vue psychologiq
n peut disposer librement - voilà ce qui attirait le malade dans ce cas et non les attraits d'une comtesse, comme femme
ance qui n'est pas sans importance pour l'étude non seulement de ce cas , mais de plusieurs formes des anomalies sexuell
ain qui se trouverait dans des circonstances analogues ; et dans ce cas « ces cir- constances analogues» consisteraient
et de les diriger dans ce sens. Notre ob- servation prouve en tout cas qu'on ne peut pas laisser le développement sexu
intenant au mécanisme psychologique d'o- rigine du fétichisme en ce cas . En fin de compte, notre malade, d'un sadiste s
e sadisme seraient as sez éloignés l'un de l'autre, mais dans notre cas il existe entre les deux phénomènes une relatio
tichisme chez le malade, il faut noter que le fétichisme, dans ce cas se présente comme le fétichisme acquis, mais so
ques, évidemment originaires. On ne peut pas reconnaître dans notre cas l'élément homosexuel, quoique l'aspect des homm
des animaux garrottés. La justesse de notre interpréta- tion en ce cas est démontrée par le fait que le malade ayant t
résulte que l'élément d'inversion sexuelle n'existe pas dans notre cas . En dernier lieu, il faut observer que, dans ce
pas dans notre cas. En dernier lieu, il faut observer que, dans ce cas , com- me d'ailleurs dans un certain nombre d'au
ue, dans ce cas, com- me d'ailleurs dans un certain nombre d'autres cas , nous trouvons le stigmate psychique de dégénér
lateurs dispo- sés à nous refuser le droit d'exercer hésiterait. le cas échéant, à auppeler après de l'un des siens le
cine par les médecins d'asile, acquièrent toute leur valeur dans le cas des asiles de grande ville que j'ai surtout env
s, etc., elle a même interdit toute participation du Trésor dans le cas où la valeur du centime communal dépasse 6,000
le d'ailleurs pas les inconvénients que présenteront, dans certains cas , ces créations. En réunissant, dans un même loc
d'une autre commune après accord des communes intéressées. Dans le cas où l'école autonome de perfectionnement n'est p
les entoure étaient analogues à celles que l'on rencontre dans les cas de tumeurs, d'empyème ventriculaire, etc. Il n'
le III ; ils constatèrent la lésion des deux noyaux du IV dans des cas de paralysie unilatérale du gland oblique ; ils
réalisent pas le type mo- teur. Intégrité de ces noyaux dans des cas de paralysie durable du sphincter et de l'accom
ité des mouvements réflexes.' MM. CANTONNET et M. LANDOLT citent le cas d'un sujet de cinquante-quatre ans, hogdsonien,
- gine supranuclaire. Inutilité du traitement chirurgical dans un cas de torticolis mental de Brissaud. MM. SICARP
.LONG lit le procès-verbal de deux autopsies faites par lui;dans un cas de monoplégie crurale, il s'agissait d'une lésion
e la verge. j\1 : \I. ALQUIER et ? 1F.NDICINI n'ont trouvé, dans le cas de pa- raplégie dû à la myélomalacie, que des t
stion. M. Paul FAREz rapporte, avec photographies à l'appui, deux cas inédits de brûlure par suggestion, dus l'un à Pod
e Saratow et l'autre à Wetterstrand de Stockolm). Rapprochant ces cas de ceux précédemment publiés, en particulier par
èrement des phlyctènes provoquées par autosuggestion. Dans un autre cas , j'ai provoqué par suggestion une phlyctène lar
de hystérique avait besoin d'un révul- sif, je n'hésiterais pas, le cas échéant, à provoquer la sinapisation ou la vési
uer la sinapisation ou la vésication suggestive et à communiquer le cas à la société. M. DEMONCHY. A-t-on essayé de gué
guérison prochaine, et très souvent la suggestion se réalise. Faux cas de suggestion mentale. M. Félix RcGNAULT. Un al
t produit devait l'empêcher de boire. M. BERILLON. Ces différents cas de suggestion étaient exa- minés avec l'esprit
les cu- res qu'il a réalisées à son Institut et qui intéressent les cas sui- vants : neurasthénie, hystérie, paralysies
gue française. ART. 12. En dehors de cette assemblée annuelle et en cas de besoin urgent, le président peut, sur avis c
ont vérifiés par deux membres désignés par le comité. ART 16. -En cas de dissolution de l'association, les sommes qu'el
illeurs, une somme pouvant varier de 1550 à 186G 1'1'. ,suivant les cas ,et rétro- grader de la moitié au tiers la pensi
les .retenues faites sur les traitements et avantages en nature. En cas de chan- gement de résidence, le montant des re
tes ses obligations réglementaires et légales ; il ne peut, en tout cas , prêter son concours au médecin en chef dans le
traitants ou qu'ils conservent le même titre. Dans l'un et l'autre cas , ces fonc- tionnaires devront avoir une partici
édecin-ad- joint, chacun chargé d'une division, il sera bon que, en cas d'ab- sence ou d'empêchement de l'un d'eux, le
e 1907. N° Il ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE; , Sur un cas de délire à deux avec modes dëaébút f et de col
aurait compris qu'en 1903 toute l'importance de cette vision SUR UN cas DE délire A deux 323 survenue en 1888. Nombre d
s de persécution. Les preuves de l'imminence morbide, nous SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 32G les trouvons dans les anté
communication pour l'idée seulement. Déjà sous ce rapport, notre cas participe de deux pro- cessus et ressortit à de
pas. 1\l'lle Granet, active, méfiante, sans cesse occupée de SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 327 raisonnements, voit se mul
, à la recherche d'un docteur Mollenbecque, ancien médecin ' SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 329 9 de l'armée. En mars, let
pensées telles que celles-ci : « J'ai dû renvoyer mes deux 1 SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 331 filles ; le monde comprend
te soignée.Bien éloignée de la réticence.elle expose volontiers son cas ,soit oralement soit par écrit. Nous ayant propo
e, par des obsessions impulsives, et par ces association s ' SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX a33 psycho-sensorielles spécia
l, l'oubli facile des conceptions et leur facile renouvcl- . SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 335 lement, la systématisation
communiqué», au sens intégral du mot, ne convient donc pas à un tel cas , il n'est que partielle- ment admissible. En ef
do, que l'importance de l'apport psychique a été réduit, dans notre cas , au mini- nimum imaginable. · SUR UN CIS DE D
(3 %) ; entre amis ou amies, elle est plus rare encore (pas un seul cas sur une série de 72) ; alors que entre soeurs e
lle cherché à elle- même ni des richesses ni des grandeurs. Dans le cas par- ticulier, aucune n'a créé à l'autre d'apti
ansmission de l'aptitude à les exploiter. Par certains traits notre cas se distingue des cas ha- bituels. Les deux codé
ude à les exploiter. Par certains traits notre cas se distingue des cas ha- bituels. Les deux codélirant vivent la maje
a misère a d'ailleurs agi différemment chez les deux de- ' z SUR UN CaS DE DÉLIRE A DEUX 339 lirantes ; Mille Granet, s
a été plutôt rapide. Elle l'est d'ordinaire, semble-t-il, dans les cas de délire collectif. Dans tous les modes de dél
de de collaboration de nos deux délirantes. Un grand nom- bre des cas de délire collectif présente cette même diffi-
r de repères, autour des- quels grouper les autres, par contre, les cas intermédiai- res, contrairement à ce qui se pas
e passe ailleurs, sont forcé- ment les plus nombreux. Dans chaque cas , les individualités s'influencent par leurs qua
de nar- cose dont elle estime la durée à trois jours et qui en tout cas a dé- passé 36 heures. Cette période de narcose
vue Pratique des Connaissances Médicales, septembre 1906.) · SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 341 Il s'agit d'un adulte ayan
lcoolisme éthylique chronique,ne doit pas nous surpren- dre dans ce cas suraigu.L'absence de douleurs spontanées sert jus
leur origine dans le cours de la nar- cose toxique. En résumé, ce cas met bien en évidence certains traits de l'into-
s supérieures) at- teinte ici légère, beaucoup plus marquée dans le cas de Barbe. Peut L être y aurait-il là une sorte
tion élective qu'il convien- drait de rechercher désormais dans les cas d'intoxication par l'al- cool à brûler. Cette m
Guérison infiniment plus rapide'et plus complète que dans nos deux cas d'intoxication par l'alcool à brûler. (Voir obser
festé dès le début une allure nettement rémittente, que . SUR UN CAS DE DELIRE A DEUX 343 nous retrouvons à quelque
drai son argent. N'en parlez pas, à cause de son mari. » · SUR UN CAS DE DÉLIRE A DEUX 345 5° Une accalmie remarquabl
devoir subir des additions et suppressions telles, que*dans , UN CAS DE DÉLIRE D'INTERPRÉTATION 347 quelques années
d'analyse et de synthèse peut-être en soi trop am- bitieux, en tout cas impossible ici. PATHOLOGIE MENTALE Un cas de
am- bitieux, en tout cas impossible ici. PATHOLOGIE MENTALE Un cas de délire d'interprétation ; Par le D' R. BENON
Elle avait quatorze ans, quand son père vient à mourir ; elle . UN cas de délire d'interprétation 349 désire vivement
t trop faciles à se procurer ? Peut-être veut-on la marier, dans le cas où son mari serait mort, ce qui se peut, mais c
elle ne trouve pas exactement le but poursuivi par ses persécu- UN cas DE délire d'interprétation 351 teurs, elle se r
quand elle se rend à la Brasserie des 11 ? pour demander à M. UN CAS DE DÉLIRE D'INTERPRETATION 353 Paul A ? une pla
ans une des dernières places qu'elle occupe, chez une cocotte, ' UN cas DE DÉLIRE d'interprétation 355 rue V...-M..., n
mbre d'actes et elle manifeste certaines tendances qui ont, dans le cas présent, une grande importance symptomatique et
n'avait pas continué ces gestes avec une exagération, une mal- ' UN CAS DE DÉLIRE D'INTERPRÉTATION 357 veillance éviden
lire d'interprétation de très courts épisodes hallucinatoires. UN cas DE DÉLIRE d'interprétation 359 Les psychoses dé
u malade,non prévenu d'ailleurs. L'expérience produisit toujours (4 cas ) des h. semblables ou iden- tiques aux h. habit
x stimulis galvani- ques. Récemment Borghesini (Padova) a décrit un cas de myas- thénie dans laquelle l'examen histolog
démon- trait une lésion très profonde des fibres striées et dans ce cas on observait une prompte réaction myasthénique
. Si pour les modifications électriques ob- servées dans le premier cas la définition réaction myasthénique est très ex
symptôme fut observé par Flora, Alber- toni et par l'A. dans trois cas avec la réaction de Jolly. Notre hy- pothèse ex
: atrophie des deux hémisphères et mi- crocéphalie. Dans tous les cas de longue survie, hydrocéphalie ventriculaire.
s phénomènes morbides. L'accès convulsif n'est-il pas dans bien des cas l'expression pure et simple de l'hyperimpressio
s encore fixée. Quant à la névroglie, elle présente dans différents cas de troubles psychiques des cellules à cytosome
omènes spasti- ques. Anosmie bilatérale. On peut dire que,dans ce cas ,les impressions sensorielles fournies par le cô
n rôle analogue à celui du centre de Broca dans ceux du langage. Ce cas montre la grande importance des représentations
x, conformément, du reste, à l'opinion la plus 1 épandue. Dans cinq cas de tabes, dont un au début, S. constata, au con-
ire que la pie-mère envoie dans la moelle, signes plus nets dans le cas de tabes incipiens, mais existant encore dans d
nets dans le cas de tabes incipiens, mais existant encore dans des cas datant de plusieurs dizaines d'années. L'infiltra
rieurs mais s'étendait sur toute l'épaisseur de la moelle ; dans un cas où elle fut recherchée dans tout le névraxe, S.
c céré- bral, mais non dans l'écorce cérébrale. Elle manqua dans un cas de pseudo-tabes alcoolique et dans la dégénérat
OLOGIQUES. 371 de bons résultats de l'emploi des vibrations dans un cas de myo- pathie atrophique progressive. F. TISSO
sché- mique. F. TISSOT. XLI. Examen des centres nerveux dans deux cas d'hystérie ; par CLAUDE. (L'Encéphale,1907, n°
doit éviter de con- fondre l'hystérie avec la démence précoce. Les cas de grande hys- térie,que l'on ne voit plus comm
il suffit d'enlever pour rétablir les mictions anormales. Dans le cas contraire on aura recours à des massages tonifian
nt faradique à in- terruptions lentes. G. DENY. XXXVI. - Sur deux cas de fièvre hystérique;par M. 1 SSAÏLO- VITCII-Du
s sujets qu'il classe en deux groupes représentés chacun par un des cas cités : l'hystérie serait en cause pour le deux
e à cela que sont dus les vo- missements. L. `'VAxL. XL. Sur deux cas d'épilepsie jacksonnienne; par M. DURAND. (Soci
. WAHL. XXVII. Ein Fall von Erb'scher Krankheit. (Myasthénie). ( Un cas de maladie d'Erb); par A. KNOBLAUCH, (Ctrbl. f.
une tumeur médiastinale. K. ra- pelle que dans un grand nombre des cas publiés il y avait des néo- formations dans dif
pasme glosso-lalJ1é de côté opposé. Kunig rappelle à propos de ce cas ses travaux sur la question (Nrlg. Ctrbl., 1892
rvenh. u. Psychi., XXIX, f. 220, p. 665 à 680, 1er sept. 1906.) 5 cas de troubles vasomoteurs,moteurs et trophiques rap
ongtemps. R. fait une longue critique de chacun des symptômes des 5 cas : « combinaison de formes communes de la névros
les symptômes cardinaux». L'existence de signes cardiaques, dans un cas et, dans deux autres,de troubles physiologi- qu
es peut être ramené à des troubles vasomoteurs. D'autre part dans 4 cas , l'hystérie ne pouvait être mise en cause, d'ap
issoT. LV. Obésité familiale; par RosE. (L'Encéphale 1907, n°.3.) Cas intéressant par la précocité de soudure des épiph
T. LV. Note sur l'état actuel de la pellagre dans les Landes. Un cas de pellagre avec confusion mentale stupide; par R
elle avait son dernier l'oyer,est une rareté.L'auteur en apporte un cas très caractéristique avec sa triade symptomatiq
laire par interposition d'un verre coloré. F. TISSOT. LVIII. - Un cas d'atasie-abasie choréiforme ; par Lejonne et Co
a sa localisation corticale dans le pied de F\ mais dans les rares cas publiés d'aphasie motrice pure l'examen macroscop
rie. F. TISSOT. LXII. - Etude clinique et anatomo-pathologique d'un cas de sclé- rose en plaques ; par RAYMOND et GUÉVA
aques ; par RAYMOND et GUÉVARA-RAJAS. (L'Encé- phale, 1907, n 3.) Cas de sclérose en plaques bien établi par les phénom
ial ne laisse une trace dans la mémoire que dans un petit nombre de cas . 4° Amnésie dans les vésanies. Cette partie de
les plus délicats de la psychiatrie. Fréquents sont, en effet, les cas où la perte du souvenir, alléguée par un inculp
de vue médico-légal : ce groupe comprend, en effet, la plupart des cas se rattachant à l'épilepsie, à l'hystérie, à l'
grand rôle dans l'influence des sorciers sur leurs adeptes. - Les cas de sorcellerie furent d'abord isolés, puis ils pr
de parler dans une langue étrangère). Après la relation de quelques cas isolés et de contagion des exorcistes, l'auteur
es impulsions. Devant la puissance de l'in- conscient dans certains cas , on peut se demander, dit Dupouy, si ce n'est p
1° à l'état de la responsabilité, irresponsabilité dans le premier cas , atténua- tion à divers degrés dans les autres;
1er janvier 1906, 1010 (H. 417 : F : 593). - Entrées, 219, dont 25 cas de folie toxique et 11 cas d'imbé- cillité et d
417 : F : 593). - Entrées, 219, dont 25 cas de folie toxique et 11 cas d'imbé- cillité et d'idiotie. - Sorties : 167,
eureux résultats » dit M. Sizaret. Nous avons à noter encore neuf cas de fièvre typhoïde, dit M. Sizaret. Parmi les c
sque sous mes yeux. Le caractère général de la maladie comme d'un cas do polynévrite était évident après le premier e
es extrémités n'est'pas, d'après mon expérience, fort rare dans les cas des intoxications et auto-intoxications diverse
u'on peut nommer l'acronévrite ; les grands troncs nerveux dans ces cas ne sont pas du tout douloureux à la pression, e
partie, ce syndrome acronévritique s'observe également dans notre cas , mais on ne peut évidemment pas admettre ici la f
Les symptômes que nous venons d'énumérer appa- raissent dans notre cas comme un complément clinique de l'acronévrite e
TE. 400 compris. Ainsi il est possible d'admettre que,dans notre cas ce sont plutôt les branches profondes des nerfs q
le carac- tère partiel des symptômes est très prononcé dans notre cas . Même les branches plus petites, les branches « p
pourrait expliquer ce phénomène curieux de l'acronévrite dans notre cas , si on n'admettait pas l'af- fection des filets
tanée et les altéra- tions de la sensibilité articulaire dans notre cas : au mo- ment de la disparition des troubles de
use de la sensibilité articulaire au niveau des doigts, tantôt - on cas du pro- cossus plus léger et non étendu - pourr
nt l'affection est démontrée par les symptômes cliniques dans notre cas . Dans ce cas, simultanément, sont affectées des
n est démontrée par les symptômes cliniques dans notre cas. Dans ce cas , simultanément, sont affectées des branches ner
idérés à ce point de vue, semblent à leur tour témoigner dans nqtre cas en faveur dp la tendance du processus névritjqu
névrite). Il est impossible d'expliquer l'ataxie aiguë dans notre cas par une lésion quelconque du système nerveux cen-
tes de la moelle, du tronc cérébral et du cerveau. Mais, dans notre cas , le manque des symptômes cérébraux et spinaux,
L'origine fonctionnelle (hystérique) de l'ataxie aiguë dans notre cas doit être exclue aussi à cause du carac- tère c
nte des réflexes profonds. Ainsi le diagnostic définitif dans notre cas est le sui- vant : ataxie polynèvritique aiguë
linique particulier de la polynévrite cor- respond aussi dans notre cas une étiologie toute par- ticulière. Cliniquem
t l'empoisonnement aigu par les homards est bien évident dans notre cas et il ne nous reste qu'à défi- nir plus exactem
a plupart d'un caractère très général qui se réduisent à ce que des cas pareils d'empoi- sonnement qui sont parfois mor
Jaksch (l. c. p, 585) dans quelques lignes seulement dé- crit un cas : une nombreuse société avait mangé, le soir, d
s. L'auteur ne dit rien des symptômes de l'empoisonnement Dans le cas rapporté par Potain (2), « le malade présen- ta
t contractures dans les membres, hypertrophie de la rate ». Dans un cas re- marquable d'empoisonnement collectif rappor
du canal intestinal. Malgré les symptômes très graves dans quelques cas , tous, les 85 malades se sont rétablis.. Dans
ans quelques cas, tous, les 85 malades se sont rétablis.. Dans le cas de Camus (1) l'empoisonnement B' est pro- duit
t que des symp- tômes très peu prononcés. Tous les malades, dans ce cas aussi, se sont rétablis. Les observations men
rétablis. Les observations mentionnées montrent que,dans tous les cas cités d'empoisonnement, soit par les homards (1
stro-entérile aiguë infectieuse, variant d'après son intensité, des cas les plus légers de gastro-entérite simple jusqu
rme typhoïde (Richardière) (2),laquelle doit-on bien distinguer des cas de la vraie infection spécifique (fièvre typhoi
médiaires des huîtres ou des moules. La gastro-entérite, dans notre cas , a le caractère infec- tieux assez net (l'éléva
servée pendant quelques jours, indique préci- sément que dans notre cas le sang s'est épanché en petite quantité dans l
intoxication aiguë par le plomb, nous savons bien que même dans les cas favorables la convalescence est très longue et
ularité clinique de lagastro- entérite aiguë infectieuse dans notre cas . Ainsi, ce n'est pas une gastro-entérite cholér
rite infectieuse hé- morrhagique qui caractérise cliniquement notre cas d'empoisonnement par les homards. Outre les t
ptômes apparents du côté du cerveau et du tronc cérébral dans notre cas témoigne contre l'ingérence de ces substances a
que nous ne sommes ren- seignés sur les symptômes aigus dans notre cas que par le récit (pourtant très détaillé) du ma
estèrent peut-être in- connus ! 1 La circonstance que, dans notre cas , il s'agit de l'em- (1) Les intoxications, 1961
ma- lade de dormir), mais le jour suivant, leur toxicité on tous cas s'est accrue considérablement. A ce qu'il paraît,
die à la suite de laquelle s'est produite la polynévrite dans notre cas est assez évident dans ce sens pour que nous ay
la plus grave comme la plus légère. Entre autres, sont connus les cas précis de i'ataxie polynévritique aiguë qui se dé
variant de quelques-uns iL plusieurs centaines (229 accès dans le cas présent), survenant d'emblée ou pro- gressive
convulsive. Le nombre des accès a été con- sidérable. Dans certains cas , il peut être limité à quel- ques-uns. Au lien
a période convulsive comprend nous le répétons un grand nombre de cas . Archives. 3- série, 1PC7, t. II. 28 434 CL
3- série, 1PC7, t. II. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. Dans d'autres cas , après cette période convulsive, les accès cess
ente. Il est vrai, si l'on veut, qu'ils considéraient surtout « les cas relativement rares où il y a retour fidèle des
is des symptômes propres de la manie et de la mélancolie ; dans ces cas , toutefois, le polymorphisme affectif présente-
uguées, pour quelles causes, l'état dépressif est-il, dans certains cas , assez court et assez vague pour passer inaperç
finition, on alla jusqu'à parler de paranoia aiguë curable pour des cas de confusion asthénique hallucinatoire, et de p
usion asthénique hallucinatoire, et de paranoia périodique pour des cas relevant de la folie maniaque dépressive. » Pui
es conceptions délirantes concernant la santé ». Mais où placer les cas , d'ailleurs extrêmement va- riés, où, à défaut
. Tout lec- teur retrouverait sans doute en ses souvenirs plus d'un cas s'adap- tant à merveille aux diverses descripti
ons données ; mais n'au- rait-il pas à se demander si le nombre des cas non classés, ou classés par complaisance pour u
. REVUE DE TH1 : R : 1PI : U11QUl : . 4 ? rite administrative les cas d'aliénation mentale constatés à la pri- son. -
s établissements pour le traite- ment des maladies nerveuses et des cas de folie à la période du dé- but où l'interneme
qui a été ouvert cette année à Brighton et où l'on soigne tous les cas nerveux,sauf ceux qui nécessitent l'inter- neme
ions qui mettent en relief l'im- portance de la numération dans les cas où la clinique et un exa- men imparfait du liqu
voir un culot de centrifugation suffisant). * G. DENY. II 1. - Un cas d'état de mal épileptique traité par la ponction
de Médecine, 9 avril 1907.) Cette méthode a été essayée dans 243 cas ,dont 43 ont été suivis dans les asiles de Marév
e Maréville et de Quatre-Mares, elle consiste à in- jecter dans les cas moyens de 20 à 30 c.c. dans les cas graves; de 40
consiste à in- jecter dans les cas moyens de 20 à 30 c.c. dans les cas graves; de 40 à 80 c. c. de sérum de cheval imm
um de cheval immunisé contre le bacille de la dysen- tarie.Dans les cas se rapportant aux asiles, les auteurs ont trouvé
vé de guérison chez ceux de ces malades traités par le sérum Sur 16 cas à Maréville il n'y a eu que deux décès ; sur 27 c
le sérum Sur 16 cas à Maréville il n'y a eu que deux décès ; sur 27 cas à Quatre-Mares, 5 décès dont l'un presque imméd
it combien sont faibles les ressources de la thérapeutique dans les cas de dy- senterie survenant chez les cachectiques
érie plusieurs jours de suite, 3, 4, 5 ou 6, suivant la gravité des cas , l'expérience clinique ayant montré l'efficacit
toutes les formes de la maladie, elle doit intervenir dans tous les cas ,même dans ceux qui auraient été trai- lés préal
le mal perforant. t. La dénudation de la fémorale semble, dans ce cas , agir sur les filets sympathiques qui entourent
at intéressant concorde avec celui déjà obtenu par M. Patel dans un cas semblable et avec une observation rapportée par
lica- tion la plus fréquente des traumatismes crâniens ; or dans le cas présent on était d'autant mieux autorisé à la p
le doute, vu la diversité et l'incons- tance des faits : il y a des cas où les troubles constatés, tout en rap- pelant
st évident qu'il devient res- ponsable de leur éclosion. Il est des cas où la prédisposition peut- être affirmée, pour
ndrer les différents états d'idiotie chez les des- cendants. Sur 14 cas d'idoties diverses rapportés par les auteurs et
e avec soin, 8 comportent des an- técédents de tuberculose seule (4 cas ) ou associée à d'autres causes, ce qui fait que
res, il en existe quelques observations probantes. Si dans certains cas il a été constaté des rapports entre les halluc
s ou par toute autre impres- sion auditive, ou l'écholalie dans les cas contraires. La nature pri- maire ou secondaire
pri- maire ou secondaire de ces troubles est à discuter dans chaque cas . On a pu se demander si la fuite des idées est
dans la syringomyèlie. MM. Rose et LEMAÎTI\E l'ont relevé dans deux cas de syrin- gomyélie, siégeant du même côté que l
t parallèlement. Déjerine, Lévi, Sauvineau, avaient déjà relevé des cas de syringomyélie sans association de tabès ou de
paralysie est spasmodique à droite ; ils concluent dans le premier cas à une compression de la queue de cheval, dans l
lentes, régulières, continues et ho- monymes. 11 en a observé onze cas en deux ans, coexistant tou- jours avec une dév
omas non hémiplégiques, il y aurait un bon élément de diagnostic. Cas de névrite parenchymateuse et de compression dans
e compression dans le rocher, produisant le spasme facial, dans les cas de paralysie faciale. Communication de M. Thoma
ique. Observation rapportée par M. Couhtellemont. On sait que les cas de trophoedéme chronique peuvent être classés en
ngénital, familial congénital, acquis et congénital unique. Dans le cas présenté par l'auteur, la dystro- phio est cong
es phlyctènes ont cessé depuis ; l'hystérie n'est donc pas, dans ce cas , la cause du pemphigus : elle n'a fait que lui
consent à parler de responsabilité et d'irrespon- sabilité pour les cas extrêmes et faciles, à plus forte raison devra-
trêmes et faciles, à plus forte raison devra-t-on le faire pour les cas difficiles et embrouillés de la « zone frontièr
'est-à-dire d'imputabilité complète, partielle ou nulle, suivant le cas . Il s'agit là- d'une Il'uyre médico-psychologiq
r les personnes punissables, c'est-à-dire qui se sont mises dans le cas d'être punies en deux catégories : les excusabl
cupation du juge doit être de penser à des excuses possibles et, le cas échéant, d'en faire bénéficier l'individu punis
e la folie était posée, on prescrivait au juge de punir l'accusé en cas de simulation, et de le faire inter- ner si la
des esclaves et ouvrait la porte à une action rédhibitoire.pour le cas où un esclave aurait été vendu comme sain d'esp
s un Inter- valle lucide. L'aliénation intermittente était, dans ce cas , as- similée à la hoiterie intermittence chez l
les infanticides et quelle est leur atti- tude après le crime ; ces cas mériteraient d'être étudiés non pas seulement p
corpion, etc. Tic douloureux du pied. M. Maurice l1LOCH rapporte un cas de douleurs siégeant à la face externe de l'ext
airement si on en prend et... on nie, on dissimule... même dans les cas les plus nets.» II. 474 bibliographie. XIV.
surtout de la moindre fréquence des habitudes alcoo- tiques». Les cas de P. G. chez la femme tendent à se multiplier.
endent à se multiplier. Parmi les maladies intercurrentes, notons 7 cas de tuberculose pulmonaire. « En l,lOf, la liè
culose pulmonaire. « En l,lOf, la lièvre typhoïde avait fourni ni cas ; en 1\10,J, 52 ; nous en avons enregistré, en
urni ni cas ; en 1\10,J, 52 ; nous en avons enregistré, en 1900, 17 cas , dont G chez les llom- mes et 1 1 chez les femm
firmières ont continué à se montrera la hauteur de leur lâche ; les cas de fièvre typhoïde qui ont frappé certains d'en
des points attribués à chacune des épreuves, est fixé à 30. Dans le cas où le nombre des candidats ayant pris part aux
ndidats qui ont passé avec succès les épreuves du concours sont, en cas de plusieurs places vacantes, classés par le ju
.CIIOnn01'L.1SI1·..VOIl' C(Illl(S(01l mentale. Acroméc.ai.ie. Un cas d' avec li·sion de l'hypohhysc ct de la selle
ésie totale du système ra- dial, par Français et Kgger, p. 73. Un cas d' cérébrale par 'transformation kystique du
chwartz, p. 75. Les - musi- cales, par Ingcgnieros, p. 75. Sur un cas d' apraxie, par Archives, 3* série, 1907, t. II
a : des muscles oui110-1110-- teurs et paralysie oculaire dans un cas de tabès juvénile, par Gantonnct, p. 166. - ocu
rigine myclo- pathque, par Leclerc et Rou- bicr. Arthrite. Deux cas d' réflexe d'origine nasale, par Bonnier, p.
ue par hallucina- tions psychiques, par Mar- chand, p. 85. Sur un cas de à deux avec modes de début et de collabora
brûler chez l'une des codctirantcs, par Cléram- bault, p. 321. Un cas de délire - d'interprétation, par Bénon, p. 3
- tale, p. 113. expérimentale, par Habinovitch, p. 162. Sm deux cas d' jacksonnienne. par,Durand, p. 378. - Voir
otisme. Voir 77f17)L ! (Sf77C. Epileptiques. Voir Auras. EUI3. Un cas de maladie d' -, par Kuoblauch, p. 381. 1ac11
racines postérieures, par Roux et ileitz, p. 63. Fièvre. Sur deux cas de - hvs- 484 TABLE DES MATIERES, torique,
ar Orschansky, p, 59. Gigantisme. Etude compiemen- taire sur un cas de précoce. Contribution à l'élude de l'os- s
ue alterne, par Dupré et Léger, p. 167. 1 [É)IOI\J\IIAGIE. Deux cas d' - prolubéranlicllc. I typcrthcr- mie. Mort
par Pick, p. (j ! 1. Hypophyse. Voir Tumeurs. Hypothermie. Trois cas d' - d'origine nerveuse, par Mar- chand et Ol
l' -, par Crocq, p. 365. Exa- men des centres nerveux dans deux cas d' -, par Claude, p. 371. Considérations généra
p. 1 t 1. ' Névralgies sciatiques. Voir ? lections. Névrite. Un cas de ascendan- te, par Aynaud, p. 166. Cas de p
lections. Névrite. Un cas de ascendan- te, par Aynaud, p. 166. Cas de parenebymateuse et de compression dans le
compression dans le rocher, produisant le spasme facial, dans lcs cas de paralysie facia- le, par Thomas, p. 465. N
S MATIERES. Obésité familiale, par Rose. p. 385. OEDÈME. Sur un cas d' - Ù é\ 0- lution d'apparence spontanée che
narcl, p. 105. Opothérapie. Voir Myopathie. OrnTm.wor ? ctr. Un cas d' unilatérale totale et complète avec cécité
307. Pellagre. Note sur l'état actuel de la dans les Landes. Un cas de - avec confusion men- tale slupide, par Régi
-diaqnostic, importance de la numération, par Lamelle, p. 454. Un cas <; d'état de mal épileptique, trai- té par
hagie cérébrale, par Bé- riel et Savy, p. 235. Rhumatisme. Sur un cas de - cérébral, recherches bactériolo- giques,
ERES. de des localisations motrices corticales. A propos de trois cas de latérale amyotrophique avec dégénération d
Marchai de la moelle au cortex, par Rossi et Roussy,lt. 140. Deux cas de latérale amyotrophique à début tardif, par
et Roussy, p. 168. Etude, clinique et anatomo-pathologique d'un cas de en plaques, par Ray- mond et Guérava-Rajas,
ggestion. Voir Timidité.- et hystérie, par Babinski, p. 167. Faux cas dé mentale, par F. Régnault, p. 305. Action de
u- bles trophiques intenses, par Raymond el Lejonne, p. 167. Un cas de avec chiroméga- lie suivi d'autopsie, par Lh
p. 367. Torticolis. Inutilité du traite- ment chirurgical dans un cas TABLE DES MATIERES. 489 de mental de Brissa
itte, p. 62. des méninges médullaires, par Cha- vigny, p. 225. Un cas de des méninges rachidiennes, par Lannois el
58 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dévia- tion ne s'accompagne pas, comme cela est habituel en pareil cas de contracture des muscles de la face du côté c
s caractéristiques. Il en fut de même chez Bon... Dans ce dernier cas , il y eut une première phase d'aphasie hystériq
pas toujours dans les mêmes conditions. Dans un certain nombre de cas , il précède ou il suit le mutisme. La période d
le lendemain, à l'aphasie a fait place le bégaiement. Dans divers cas rapportés par MM. Charcot et Cartaz, le bégaiem
observé, d'une attaque convulsive. Peut-être existe- t-il dans ces cas , une période aphasique assez courte, pour échap
e elles ( ? , x), cette impossibilité peut être absolue. C'était le cas chez Cab ? lorsqu'on insistait, il faisait des
ent in- diqué. M. Charcot l'a positivement constaté dans quelques cas . Voici notamment ce qu'en dit M. Cartaz dans l'
on spasmodique, tremblement). ' CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SI
. ' CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES MEMB
ntre bien en même temps lès analogies et les différences avec notre cas : « Se- cousses singulières, souvent symétrique
singulières, souvent symétriques, ordinairement non ' Leçons sur un cas d'hyslerie mâle avec astasie-abasie, in Montpelli
ne dis- persion de phénomènes que nous n'observons pas dans notre cas . La malade présente, au contraire, une fixité de
u malade. Le premier caractère ne distingue en aucune façon notre cas du paramyoclonus; il l'en rapproche au contraire.
T TREMBLEMENT. 33 tantané; il ne se développe, dans la majorité des cas , aucun mouvement ayant l'apparence d'un mouveme
l'identifier à ce dernier. La chorée électrique doit être, en tout cas , éliminée, du diagnostic, dans le fait que je v
i tout de suite qu'elle présente un tic ou -plutôt qu'elle offre un cas bien caractérisé de ce que l'on appelle la maladi
ordinaire. » Vous voyez que cette définition répond parfaitement au cas dont nous nous occu- pons : la salutation de no
stances, séparés des véritables tics convulsifs; mais dans d'autres cas , dont notre observation est un type, ces tics l
TREMBLEMENT. 37 Voilà donc un premier enseignement à tirer de notre cas : il ne faut pas négliger, chez l'enfant, ces t
les avons jamais rencontrés seuls, mais toujours associés, dans des cas assez graves, avec des tics des autres parties
ns pas, pour cette raison, observé une grande variété ". Dans notre cas , l'unique manifestation a été, pendant toute un
membre. Ce fait appelle immédiatement un rapprochement entre notre cas et les paralysies choréiques qui, elles, sont c
la manifestation la plus atténuée, du phéno- mène. Dans d'autres cas , le a ah » est remplacé par le « hem », que l'o
au cours de ses phrases, répétait le mot a cousisi ». Tantôt (et le cas est beaucoup plus fréquent), les mots in- volon
est, au contraire, de trouver habituellement ces stigmates dans les cas analogues. Comment faut-il comprendre et recher
é; MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. 41 ses rapports dans certains cas , avec l'aliénation mentale, sont connus, et les
expliquer sa demande, elle a exigé sa sortie. Le seul intérêt de ce cas se tire des particularités symptomatiques qu'il
avten FRANCOTTE, Professeur à l'Université d(; Liège. III. - Deux cas de myélite aiguë. - L'intérêt prin- cipal des d
III. - Deux cas de myélite aiguë. - L'intérêt prin- cipal des deux cas de myélite dont il s'agit me semble résider dan
observées. L'évolution symptomatique a été la même dans les deux cas et néanmoins, on relève entre les lésions de l'
rences ; en outre, certaines altérations constatées dans le premier cas , présentent des caractères peu ordinaires qui m
ons d'éléments parfaitement semblables et formant, comme dans notre cas , des couches assez régulièrement stratifiées. D
s la myélite aiguë n'a rien d'anormal ; mais ce qui donne à notre cas , comme il ceux de Küssuer et Brosin, d'Achard et
tre cas, comme il ceux de Küssuer et Brosin, d'Achard et ' Sur un cas de myélile aiguë diffuse... (Archives de médecine
ps amyloïdes assez abondants. 1 On peut également rapprocher de ces cas , une observation de myélite aigué publiée par G
d'être exposées avec celles que nous avons décrites dans le premier cas , on constate de notables différences. A la véri
e l'organe, en diminuant graduellement d'intensité. Dans les deux cas , le processus a entraîné la des- truction des f
dans les détails. ETUDES SUR LA MOELLE ÉP1NI1 : RE. 55 Le premier cas nous présente une infiltration cellu- laire abo
s antérieures ont subi la dégénérescence vitreuse. Dans le second cas , au contraire, les espaces péri- vasculaires so
breux corps amyloïdes qui font complètement défaut dans le premier cas . Du côté des cellules des cornes antérieures, o
E PATHOLOGIQUE. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. de l'affection dans les deux cas et d'autre part, il n'est point du tout établi
n7 : lacilec des RÜckenmUl'kes. Traduction allemande, 1883. p. 235. CAS DE TÉTANOS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE. 57 Î d'une part
amen microscopique ne s'est pas fait de la même façon dans les deux cas : la moelle de la malade R... a séjourné dans l
iffé- rences dans l'aspect des lésions. RECUEIL DE FAITS SUR UN CAS DE TETANOS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE Par CAl\1 USET,
rations qui peuvent découler des particularités observées. Voici un cas de ce genre observé dans mon service et que, po
s par mois. Absences fréquentes. - Tous les mois à peu près, à la CAS DE TETANOS CHEZ UN EPILEPTIQUE. 5U suite d'une
mon service et je l'ai constatée relativement très souvent. - Ce CAS DE TÉTANOS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE. 61 n'est pas un
ire vésanique ayant son origine réelle dans l'hé- rédité. Est-ce le cas de notre malade ? - Son délire extra- épileptiq
e délirante primitive, ses déductions sont logiques. Il est dans le cas de ces déments apoplectiques qui arrivent au dé
stence de deux névroses convulsives. 11 s'est d'abord passé dans ce cas ce qui se passe le plus souvent dans l'épilepsi
aire. Les lésions trouvées aux autopsies dans la moelle sont sans CAS DE TÉTANOS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE. 63 importance p
en nature et en gros fragments ainsi qu'on peut l'observer dans les cas d'empoi- DU PHOSPHORE ET DE SES PRÉPARATIONS. «
une extrême difficulté; il peut même être impossible dans certains cas . La douleur vertébrale n'est pas caractéristique,
cès par congestion sont les seuls signes pathognomoniques. Dans les cas où l'anesthésie, les examens prolongés, les antéc
associés en plus ou moins grand nombre permettront dans beaucoup de cas d'établir le diagnostic de tumeur cérébelleuse.
e cas d'établir le diagnostic de tumeur cérébelleuse. G. D. V. UN cas d'absence bilatérale PRESQUE complète DU MUSCLE
mplète DU MUSCLE trapèze; par W. ERB. (Neurol. Centralbl., 1889.) Cas unique (observation très complète) avec examen mi
thique suite de surmenage. Le troisième fait (Obs. III) concerne un cas de chlorée consécutif à la terreur. 11 en rappr
rimitive de certaines zones du système de conductibilité motrice ou cas pur d'ophtalmoplégi progressive bilatérale : pa
inférieur ou réaction DU TENDON DU masséter, en CE QUI CONCERNE UN CAS DE SCLÉROSE latérale amyotrophique avec CLONUS
rale amyotrophique (Beevoor), dans le spasme hystérique, et dans un cas de lésion organique du cerveau probablement bul
probablement bulbo-protubérantielle (de Watteville). P. K. IX. UN cas DE paralysie isolée DU regard EN haut, avec AUTOP
rina indique que la suspension améliore l'ataxie dans la moitié des cas , mais n'exerce aucune intluence heureuse sur la
euse sur la virilité : elle aggravé les douleurs dans la moitié des cas . P. K. XII. Contribution A la théorie DE la nat
et persistante du phénomène du genou; à côté de cela, dans quelques cas , il est extrêmement difficile de provoquer le réf
ent difficile de provoquer le réflexe tendineux patellaire; dans un cas même on ne l'obtint qu'en em- ployant la méthod
e ans, et de deux sujets absolument bien portants. P. K. XXII. UN cas DE maladie DE 'I·H031SEN ; par G. Fischer (Neur
s cellulaires rappelant les noyaux du sarcolemme. P. K. XXIII. UN cas DE thrombose autochtone DE la carotide gauche ;
segment postérieur de la deuxième lemporale gauche. P. K. XXV. Un cas DE paralysie par COMPRESSION (pendant LE sommeil)
nd sommeil de deux heures, cette paralysie porta, ce qui en fait un cas unique, sur tous les nerfs moteurs et sensitifs
écrire ici l'évo- lution ultérieure qu'a revêtue la maladie dans le cas de Friedreich, et l'autopsie qu'il a pratiquée
ité n'exerce aucune intluence même palliative. P. K. ~~ XVIII. UN cas de 1UBLRCULK DE la protubérance; par L. BRUNS.
i troubles de la sensibilité. Etude cri- tique comparative d'autres cas . - P. K. XX. Hystérie CHEZ l'homme; par FRANCIS
qui alimente les centres ganglionnaires de l'écorce cérébrale. Les cas , assez communs, dans lesquels le jeûne, l'anémi
ues à un morceau de fer désaimanté. L'auteur rapporte ensuite trois cas bien nets d'hystérie chez l'homme; nous les rés
es avec les autres. I. Mélancolie et folie systématique. A côté des cas types, il existe une folie systématique mélanco
e deux mois et demi et trois mois après l'opération. Dans ces trois cas , on ne trouve que la dé- générescence du faisce
e de treize : faits de paralysies générales à formes diverses ; six cas de démences séniles et secondaires ; cinq obser-
tamment dans les affections cérébrales dues à la sénilité; dans ces cas , -l'atrophie des fibres intracorticales marche
ns aussi rencontré une atrophie très nette de ces fibres dans trois cas de psychose épileptique ; on constatait alors,
cellules. Cette dernière forme de l'altération se rattacherait aux cas d'athéromes accompagnés de dégénérescence graisse
être toujours une encéphalite interstitielle; en revanche, en aucun cas de paralysie générale avancée, ou ne notera l'a
s cordons laté- raux en avant du faisceau pyramidal. Il s'agit d'un cas de frac- ture avec déplacement. Au niveau de la
radiculaires sensitives dont il est le pro- longement, car, dans un cas de dégénérescence des cordons de Goll par lésio
itre indique qu'on ne peut remplacer la vue par une analyse dans ce cas spécial. P. K. XIV. Quelques remarques SUR LE t
observés et qu'il mérite une lecture attentive. R. M. C. XXI. UN cas DE dégénérescence totale DU pied D'UN pédoncule ;
bution A la perception unilatérale d'excitations DOU- BLES dans LES cas DE FOYERS occupant un hémisphère cérébral,* par
t situé sous la dure-mère sont de beaucoup plus fréquentes dans les cas de folie chronique, on peut néanmoins les renco
peut néanmoins les rencontrer dans un nombre relativement faible de cas de folie ~aiguë, et cela surtout, sinon uniquemen
ique. lorsque les symptômes se rapportent à la mélancolie. Dans les cas de ce genre, l'hémorrhagie peut constituer une
e d'entraîner la mort du malade; 5° Si, dans la grande majorité des cas , on peut en toute certi- tude exclure l'origine
llla111 DUDLEY. (TIL Journal of Mental Science, juillet 1886.) Ce cas est intéressant, parce qu'il démontre la relation
ophie du corps olivaire du côté opposé; mais il n'a pas rapporté de cas démonstratifs. 11 convient de remarquer que che
irconvolutions étaient bien conformées. Après avoir rappelé que des cas également démonstratifs (et absolument cuufirma
sur le coeur et la circulation est telle que, dans presque tous les cas , le caractère spleyynogrupphique du pouls s'écart
st abaissée et le tracé est celui du pouls dicrote. A mesure que le cas devient chronique, le pouls re- ptend plus ou m
on des impulsions nerveuses dans lesystème vaso-moteur. 7° Dans les cas d'imperfection mentale congénitale attribuables
Il. Tabès \TAXO-SPA.5M')DfUUE (Paraplégie ataxique) survenu dans un cas DE démence primitive ; par J. STEWART. (The Journ
r l'ait remarquer que par quelques-uns de ses principaux traits, ce cas ressemble à un cas de paralysie générale; mais ni
ue par quelques-uns de ses principaux traits, ce cas ressemble à un cas de paralysie générale; mais ni durant le séjour
t des psychoses de dégénérescence. - 2° Que dans un grand nombre de cas la maladie se limite à la neurasthénie; mais qu
elle de la névrose et de la psychose organisées. 4° Que, dans des cas exceptionnels, la neurasthénie peut engen- drer
ence, à des délusions hypocondriaques, etc. R. M. C. IV. Quelques cas de fièvre typhoïde chez des aliénés par n. PERC
al uf Mental Science, avril 1S87.) L'auteur relate sommairement six cas de fièvre typhoïde surve- nus chez des aliénés;
typhoïde surve- nus chez des aliénés; nous ne rapporterons pas ces cas , et nous nous bornerons à résumer les réflexion
athologie mentale. 103 typhoïde a déjà été signalée : dans deux des cas de l'auteur les symptômes de manie se sont nett
és dès le début de la fièvre, et la manie n'a pas reparu. Dans un cas , la fin de la maladie a été marquée par de la dé-
à la fièvre typhoïde chez les sujets sains d'esprits. Dans l'un des cas , il est à noter que le malade avait eu un dé- l
u un dé- lire presque maniaque au cours d'une scarlatine. Dans un cas , le malade était en convalescence mentale, avant
vre, et sans être aucunement re- tardée par elle. Dans trois autres cas , aucune amélioration durable ne fut obtenue.
s autres cas, aucune amélioration durable ne fut obtenue. Dans un cas toutefois, l'excitation maniaque qui aurait const
blement le traitement; il est intéressant de remarquer que, dans ce cas , l'excitation intense fut remplacée par le déli
le délire beaucoup plus calme de la fièvre typhoïde. Dans un autre cas , la dépression mentale que présentait le malade n
chez lui aucune amélioration de l'état mental. Dans aucun de ces cas , le fait de l'aliénation mentale n'a intro- dui
ro- duit d'éléments capables de modifier le pronostic de tel ou tel cas donné. La fièvre' typhoïde, dit l'auteur en ter
s. Tout ce que l'on peut dire actuellement, c'est que dans certains cas de folie, une fièvre typhoïde intermittente peut
nte peut couper court à la maladie mentale. H..\1. C. V. Quelques cas DE tendance au suicide chez DES sujets atteints
. (The Jo1t1'nalof Mental Science, octobre 1886.) Dans le premier cas , il s'agit d'un homme de 40 ans que la perte d'
e se noyer ; mais le courage lui manque au bord de l'eau. Le second cas concerne un homme 104 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
e perdre pied il se ravise et renonce au suicide. Dans le troisième cas , le malade approche un couteau de sa gorge pour
tous étaient des hommes ; mais l'auteur se l'appelle nettement deux cas qui étaient relatifs à des femmes. Les faits
bien consécutive à la plus fu- tile contrariété. Les deux premiers cas peuvent se i encontrer dans d'autres formes de
quelle l'idée du suicide s'efface et est oubliée R. 11. C. VI. UN cas d'intoxication saturnine chronique avec épilepsie
usieurs autres : dès les premiers accès, tuu- 'Nous avons publié un cas de ce genre dans le t. IV, p. 52, des Archives
r que parmi les psychoses curables à début récent, on rencontre des cas dans lesquels, - contraire- rement à ce qui se
qui joue le rôle prépondérant; il est convaincu que certains de ces cas peuvent légitimement former uu groupe, tant en
de ce genre à la dé- mence ou à la mélancolie. H. M. C. VIII. UN cas de folie DE l'adolescence ; par John KEA Y. (The
e Journal of Mental Science, avril 1888.) L'auteur a considéré ce cas comme un cas de folie de l'adoles- cence, bien
f Mental Science, avril 1888.) L'auteur a considéré ce cas comme un cas de folie de l'adoles- cence, bien qu'il diffère
ou reli- gueuzes : en somme, l'état mental pathologique n'est en ce cas que l'état mental ordinaire de la plupart des s
uefois multiples, mais finissent généralement par guérir. - Dans le cas observé par l'auteur, la dépression a été const
a été constante, sans la moindre alternative d'exaltation : or, les cas de mélancolie chez les adolescents s'a CI ompag
péché impardonnable et se considérait comme destiné à l'enfer. - Le cas était en somme dé- favorable : les hallucinatio
s accidents pyohémiques bientôt suivis de mort. R. M. C. IX. DEUX cas DE FOLIE SYPHILITIQUE après alcoolisme avec SYM
e s'il ne devientpas une médication spécifique. lt. M. C. X. Deux cas du guérison de folie chronique : par Lloyd FRANCH
HIS. (The Journal of Mental Science, janvier 13S .) Dans ces deux cas , la maladie mentale avait duré au moins cinq, a
ns, à dater de la première apparition des symptômes ; dans les deux cas aussi, le retour à la santé mentale a été complet
tres asiles où ils avaient été considérés comme incurables. Dans un cas comme dans l'autre, il s'était agi primitivemen
ble, une phare maniaque bien définie et prolongée. Dans l'un de ces cas , la reprise des occupations habituelles, dont l
rincipal dans le rétablissement de l'équilibre mental. Dans l'autre cas , le choc déterminé par une lésion physique para
avoir été le point de départ de la convalescence. R. M, C. XI. Un cas DE folie morale Colin ; par M. CA112PELL. (The
montre que son état continue à s'amé- liorer. L'auteur a rangé ce cas , à l'exemple des classiques, dans la « folie mo
Si ou les connaissait bien on serait autorisé à pro- voquer un des cas nettement déterminés, des maladies fébriles art
orsque la maladie mentale ne date pas de plus de six mois ; que les cas psychopathiques aigus quelle qu'en soit la modali
ie générale. Inactivité du traitement spécifique. P. K. XVIII. UN cas DE FOLIE circulaire avec lésions anatomiques, p
de de Weigert (hémat0xyline), l'auteur acon5taté que, dans tous les cas , il existe une diminution plus ou moins prononcée
ll). Castration pour cause d'aliénation men- tale. - Il s'agit d'un cas de lypémanie hallucinaloire. Le texte du délire
lechsig 0 (1384) peu favorable à ces hardiesses. M. 13EVrto cite un cas de guérison par castration. Il s'agissait d'une
M. Krcemer, dans son dernier compte rendu an- nuel, mentionne trois cas de laparotomie pratiquée pour hystéro- épilepsi
ces dernières années l'occasion d'observer chez les aliénés quatre cas de paralysie la bio ? 1 osso -pliat-y iizée, et d
ntes. z117 7 voile du palais, la dysphagie. On ne constata qu'en un cas des acci- dents du côte de la respiration, de l
itaire. A l'asile de Brake près Lemgo, sur 277 malades on compte 58 cas d'hérédité directe, 51 cas d'hérédité indirecte
près Lemgo, sur 277 malades on compte 58 cas d'hérédité directe, 51 cas d'hérédité indirecte, 17 d'éléments d'hérédité
la folie alcoolique se manifeste. Les causes morales n'ont en tout cas qu'une valeur occasionnelle. Discussion. 11. Bi
AI. Buddeberg s'élève contre l'alimentation artificielle en pareil cas , parce que la siliophobie est due moins a la dépr
ie, que le diagnos- tic n'a été fait pendant la vie qu'en les seuls cas où il s'agissait de cette affection. BIBLIOGR
1V. De l'anesthésie sous ses divers modes dans la ptréso-analgésie. Cas frustes de 1)a ? ,éso-ttnalgésie; par le Ur MonvA
après quatre séances. L'au- teur a traité encore vingt-deux autres cas de tabe, dont treize ont été sensiblement améli
vertébrale se fait mieux suivant son axe. Le Dr de Beck signale un cas de névrose traumatique survenu chez un machinis
s aussi d'anthropologie criminelle, et même dans un grand nombre de cas . aux médecins ayant des services d'aliénés, d'é
pour 100 suicides il y ' Voyez Archives de Neurologie. ' C'est le cas de lire la Bibliothèque diabolique, au Dr Bournev
iques agissent alors de concert, d'où la démence précoce en pareils cas souvent accompagnée de troubles moteurs. Il ser
es fois que leurs accès sont fréquents en les mettant comme dans le cas précédent dans l'im- possibilité d'avoir un tra
phie des muscles du membre inférieur pouvant survenir dans certains cas de sciatique rebelle est due vraisemblablement
l appuyait sur l'absence de l'atro- phie musculaire dans le premier cas , et sur sa présence et son apparition rapide da
ais elle est loin d'y être en général aussi accentuée et, en tous cas , elle n'y estjamais aussi précoce. Mais si nous
avant le travail de M. Landouzy, M. Bianchi ' 1 avait rapporté des cas de compression du nerf scia- tique dans le bass
. Mais il était étrange de voir les lésions se localiser dans des cas semblables au domaine du sciatique poplité- ext
qu'il s'agit ici, peuvent se loca- liser. SeeligmuHer a observé un cas dans lequel, après un accouchement à l'aide du
1118 PATHOLOGIE NERVEUSE. Un autre auteur, M. Noune', a publié un cas de sciatique simple, non traumatique, dans lequ
tibial postérieur nous paraît, si nous en jugeons par le nombre des cas publiés et par les nôtres, moins fré- quentes q
ophie des extenseurs. La localisation n'est pas moins nette dans le cas -suivant, que nous empruntons à la thèse de Lef
abord; mais nous verrons, à mesure que nous examinerons de nouveaux cas , que cette consi- dération est peut-être d'une
consi- dération est peut-être d'une importance médiocre. En tous cas , ce qu'il fautretenir de cet exemple, c'est que
, sinon impossible. SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 133- Le cas suivant est encore emprunté à Lefebvre. Observa
la localisation des lésions a encore été plus étroite que dans les cas précédemment relatés. Nous voyons en effet que
ions ner- veuses, ne sont plus tout à fait les mêmes que dans les cas qui précèdent. En effet, comme on le verra ici,
être admise, d'autant plus que l'auteur veut l'appliquer à tous les cas , et ainsi que nous le disions plus haut, affirm
s haut, quelquefois même dans le petit bassin. Selon lui dans les cas où l'on constate à la suite de l'accou- chement
er là-dessus l'opinion de M. Lefebvre et montre que dans bien des cas les paralysies occupaient également à un plus ou
attendions à trouver là la réaction de dégénérescence comme dans le cas pré- cédent. Bien qu'elle n'existe pas, on ne p
ons-nous, la seule valeur réelle qu'on puisse lui attribuer dans ce cas . Un autre point aurait pu prêter à discussion c
t de cet organe. On aurait donc pu penser- qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux du premier groupe. Mais nou
sensibilité étaient moins accentués et moins étendus que dans le cas précédent. Dans l'observation qui suit, ils son
toute la scène. Arri- vons maintenant- à la descrip- tion de deux cas dans lesquels l'anesthésie, qui existe à un h
itifs sont donc faci- lement explicables chez cette malade. Dans le cas suivant, au contraire, nous serons obligés, pou
er de particulier. Les théories mises en avant pour interpréter les cas traumatiques déjà observés, tom- bent devant le
ie dé- générative des muscles.. CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SI
s.. CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES MEMB
rédité de transformation soit surtout l'hérédité similaire. Dans ce cas , la chorée chronique revêt à un haut degré l'as
t cependant les mouvements sont plus lents et dans la plupart des cas aussi moins étendus. L'influence de la volonté y
'analogie, que de différences ? D'abord l'hérédité fait, dans notre cas , entièrement défaut. De plus et surtout, les mo
e malade, les mouvements de pédale et de saut, classiques en pareil cas , font totalement défaut. Si nous nous rapport
sujet difficile avec un talent incontesté. Mais il faut,, dans le. cas actuel, prendre ce tremblement, symptôme primordi
mplètement défaut dans MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. 195 notre cas . Bien au contraire, la trépidation paraît dans
s'exagérer quelque peu sous l'influence de l'acte- voulu ; en tout cas , le tremblement persiste, s'il ne s'augmente, l
et d'une valeur absolue; avec cette res- triction que dans certains cas , on peut constater un trem- blement apparent de
e façon par les mouvements constitue un troisième type dont notre cas démontre la réalité clinique. Cette variété sém
avancé entraine avec lui ; - mais, si Le fait est vrai en quelques cas , il -ne l'est plus d'une manière générale; d'un
rivé, dans des recherches pratiquées en 1876, à en relever que cinq cas . ' Il , , 1. . Enfin, Démange étudie avec soin
on peut aussi l'observer chez l'adulte et dans la jeunesse. Dans un cas , il a vu la trépidation apparaître à vingt ans
kinson, mais bien l'hystérie; qu'il s'agit en un mot, dans notre cas , d'un tremblement hystérique à forme de tremble-
ce. - 2° tja.f<K ? e<'ë,u'a/OH'e se rapporterait davantage au cas de . la malade qui fait l'objet de ces leçons.
et plus nets aux membres supérieurs. Dans un certain nom- , bre de cas , il faut pour les mettre en. évidence, prier les
d'en. tracer une des- cription rigoureusement applicable à tous les cas ..11. ressemble tan- rôt au tremblement' de la m
d'autres' fois, le tremblement alcoolique.1 » - i -"i 1 t . z Le cas de notre jeune fille entre bien dans cette catégo
dernièrement ï11 ? 1e, professeur Castan a publié une leçon sur un cas de pseudo-sclérose en plaques, consécutive à la v
rique. Pitres avait déjà signalé la possibilité du fait. « Certains cas de tremblement chronique qu'on aurait décrits j
ns le service de M. le professeur-agrégé Mossé, j'ai relevé trois cas où le rapport du tremblement avec l'hystérie para
it de nature hystérique, mais je sou- tiens qu'un certain nombre de cas relèvent d'une pareille étio- logie. Aussi n'ai
bornerai à vous donner le résultat de l'analyse des urines dans le cas qui nous occupe, en le comparant aux faits clas
n ' des phosphates s'est trouvée' pleinement vérifiée dans tous ces cas . ? On ne peut s'empêcher de rapprocher ce résul
La propor- tion des phosphates terreux est également'accrue dans ce cas . Voici ces conclusions : ,'1 i - 10 L'acide p
es. Les deux conclusions semblent difficiles à concilier. En tout cas , toutes deux s'accordent à montrer la difficulté
e d'affection organique devienne à son tour une névrosée. Dans ce cas , la ligne de démarcation entre les troubles anato
e organique et aboutisse tardivement à une lésion. Rappelez-vous le cas , aujourd'hui classique, de la vieille hystériqu
culaire commun), il existe dès lors une grande analogie entre notre cas et le syn- drome de Benedikt. Nous aurions donc
aits intéressants qu'il est bon d'avoir présents à l'esprit dans le cas où l'occasion se présenterait de les vérifier.
gie que j'ai tenté son emploi, d'ailleurs nettement indiqué dans le cas qui nous occupe. L'amélioration se poursuivra
En Allemagne, Simon, , Poelchen, Alberti, en rapportant quelques cas nouveaux, ont cherché surtout à établir la path
er deux formes, l'une chronique, l'autre aiguë. Dans le pre- mier cas , les signes de l'empoisonnement passent presque
les intellectuels (Lan- ceraux') peuvent seuls le révéler. Dans ces cas , on a signalé des troubles paralytiques fugaces
servations de paralysie des extenseurs des doigts 1 : dans tous ces cas , la sen- sibilité était intacte. Dans une obs
de la vessie, le deltoïde (Ons. pers.). Nous n'avons relevé que six cas de monoplégie de tout un membre et encore n'est
Sauf une fois, c'est le membre supérieur qui a été touché; dans le cas auquel nous faisons allusion (Alberti 2) la jam
l'anesthésie, chez l'autre la sensi- bilité est respectée; dans un cas seulement il y eut une atrophie légère qui disp
une atrophie légère qui disparut plus tard. Il n'existe que quatre cas de paraplégies des membres inférieur-; qui se s
oxy- carbonée. Pour lui, on l'observe dans plus de la moitié des cas . Ces hémiplégies seraient soit secondait es4, c
s paralysies ; ils font défaut cependant dans plus de la moitié des cas et en outre il y a plusieurs observations où l'
alysies ayant duré un certain temps; ils ne manquent dans aucun des cas qui ont été suivis d'autopsie. Un des plus ca
pâtement que l'on observe dans le membre paralysé. Ainsi, dans un cas cité par Lytten ' de paralysie du membre supérieu
s d'herpès ? de troubles trophiques variés. C'est ainsi que dans un cas de paralysie de l'avant- bras (Rendu) la peau d
'état de la contractilité galvanique. M. Rendu a cons- taté dans un cas de paralysie des extenseurs, que la réaction él
- cles reparut avant la contractilité volontaire. Leudet, dans un cas analogue de paralysie des extenseurs, Lytten, B
as analogue de paralysie des extenseurs, Lytten, Bourdon, dans deux cas de monoplégie bra- chiale, ont obtenu les mêmes
t ; la plupart des observations sont muettes sur ce point . Dans un cas (Rendu), les réflexes tendineux étaient exagéré
nement par le charbon sont le plus souvent suivies de guérison. Les cas dans lesquels elles ont' persisté longtemps, ce
seurs), en trois mois (monoplégie brachiale), de même dans certains cas d'hémiplégie. D'autres fois il peut persister u
ition 'des troubles paralytiques. La mort ne s'observe que dans des cas très graves dès le début. (Observations de Bour
On a encore signalé ces altérations des nerfs dans deux ou trois cas où il y eût des eschares sans troubles paralyti
'opinion des anciens auteurs (Bourdon). Mais, comme dans tous les cas où l'examen a été pratiqué, les nerfs ont été tro
noyau de cerise à un oeuf de pigeon. Nous-même, en avons observé un cas fort net dans le service de notre excellent maî
à elles qu'il attribue les paralysies, d'autant plus que dans un cas l'autopsie a montré une altération du nerf. Alb
commune sur les ex- tenseurs du pied et de la main-- puis, dans ces cas , la coexistence de troubles trophiques variés,
par le charbon ; elle pour- rait aussi servir à expliquer certains cas de para- lysips fugaces. C'est là une hypothèse
hèses seules sont permises : les observations dans la plupart des cas ne sont pas assez explicites. Pour nous, passan
29 sommes conduit à penser qu'il y aurait peut-être dans certains cas , lieu de songer à l'hystérie. Il est bien dé- m
rtant pour le diagnostic fait toujours défaut. Cependant il y a des cas où il semble que l'on puisse soupçonner l'hysté
l'hémiplégie organique et l'hémi- plégie hystérique ? Dans tous ces cas on pourrait in- voquer en faveur de l'origine n
ans qui après être resté plusieurs jours dans le coma ' Baur. - Un cas d'empoisonné nent par le charbon. (Wurlemb. Med,
écrite plus récemment par le professeur Verneuil. Dans ces derniers cas , à la suite d'une contusion toujours intense, i
la blessure, ni même l'extrémité lésée, mais, presque dans tous les cas , il s'agit d'une anesthésie incomplète dans le
thésie complète avec diminution du réflexe; dans un petit nombre de cas , il note 1 Goeningen. Uber denshock. Wiesbaden,
citabilité faradique, et une sensation d'engourdissement. Dans un cas dû à Lamotte, on voit un coup de queue de billa
mode de distri- ' bution de l'anesthésie nous en dispense. Notre cas doit au contraire par la nature des troubles sen-
s la plupart chez lafemme (43 femmes, 4 hommes) donl ne donne que 7 cas écourtés à dessein. Troubles subjectifs de la s
erf, rien que sa fonction dans un ordre spécial enfin il existe des cas en faveur d'une altération réelle des nerfs sen
Seconde obser- vation. Paralysie parotite moyenne. - Dans les deux cas , la paralysie, quoique franchement périphérique
rontale. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 239 XXXIII. UN cas d'épilepsie traumatique guérie par trépanation; p
ce propos, Erlenmeyer rappelle que, si l'on veut obtenir en pareil cas une guérison durable, il faut en outre institue
ubitable; sucre dans les urines d'une densité de 1028.- En tous ces cas , il manque la preuve qu'il s'agisse de névroses
de forme, sa mobilité étant conservée. Dans l'immense majorité des cas , cette altération 240 REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
pas vu de faits d'exophtalmie, sans maladie de Basedow, excepté le cas de tumeur orbitaire et de proéminence physiologiq
ut émaner d'autres fac- teurs que de l'exophthalmie. Il est en tout cas facile de compren- dre que, de toutes les fonct
faiblis, vite la convergence souffrira. C'est ce qui arrive dans le cas d'épuisement nerveux généralisé. Eh bien ! dans
ndre degré, que dans la ma- ladie de Basedow. P. KERAVAL. XLI. Un cas D'HYSTËRO-ÉPILEPStE CHEZ L'HOMME; par J. POLLAK.
'autopsie seule pourrait éclairer la question. P. KERAVAL. XLIV. UN cas d'hypéridrose unilatérale; parj. FLtIEDL.ENDER.
ostic : névrose irri- tative sans'lésion organique. P. K. XLV. UN cas DE CYSTICERQUE DE la couche OPTIQUE; par W. MANAS
t leur flaccidité, leur calme, leur lourdeur accoutumés. P. K. L. Cas rare DE NÉVRITE ascendante avec paralysie réflexe
à la valeur du traitement, si éclatant se montrât-il comme dans ce cas . L'auteur communique un second fait semblable a
econd fait semblable amélioré par la faradisa- tion. P. K. LU. UN cas DE convulsion DE la langue idiopathique; par A. E
ne dans l'économie l'espèce d'infeclion pa- thogène. P. K. LV. UN cas DE cyanose IIÉfIL.1T13RALE DE la face survenant A
ose gauche contrastant avec l'hyperhydrose droite). P. K. LVI. UN cas grave d'épilepsie réflexe : contracture EN flexio
sur le patient) ; l'affection persiste. P. K. LVII. SUR quelques cas INSOLITES DE paralysie saturnine ; - par P. J.
plus âgé. Discussion du diagnostic. Pas d'autopsie. P. K. LXI. UN cas d'alexie avec hémianopsie homonyme DU COTÉ DROIT
vement associé de la paupière SUPÉRIEURE EN état DE parésie dans LE cas D'UNE BLÉ- PHAROPTOSE UNI-LATÉRALE congénitale;
nou absolument absent d'un côté. (Observation VI). P. K. LXVI. UN cas DE CHORÉE héréditaire DE l'adulte; par ZACHER (
passagèrement en interrompre les manifestations. P. K. LXVII. Un cas DE dyslexie (type-Berlin) avec TROUBLES DE l'écri
otivité pathologique. Imbécillité. OBS. X. Vol. Débilité mentale. - Cas . XI, Escroquerie commerciale sur une débile : s
ER (Allg. Zeitschr. f. Psychiat., XLIV, 1.) Relation abrégée des 14 cas de paralysie générale, terminée par la mort à l
ez les morts de phtisie, on trouve que, dans l'immense majorité des cas , la tuberculose a été consécutive à la folie. Le
.. elle se montre parfois de bonne heure, principalement dans les cas graves de mélancolie. P. Keraval. XXIX. CONTRIB
ilepsie; il doit en cer- ' 256 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tains cas être imputé à la même cause, si l'on s'en rapport
wissen und Strafe. Theoretisches und praktisches). P. K. XXXI. UN cas D'IDIOTIE CONSÉCUTIVE A l'application DU forceps
es obstétricales n'a été constatée que dans un très petit nombre de cas . Il n'en est pas de même de l'asphyxie à la nai
te. (B.) - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 257 Î X111. Guérison d'un cas DE DÉMENCE aiguë; par 0. DORNDLUETH. (Neurol. C
. Question de toxines, encore indéchiffrable. P. K. XXXIV. SUR un cas DE conceptions irrésistibles (obsessions) et d'ac
emps après, tableau clinique de la para- lysie générale. Le premier cas seul est accompagné d'autopsie. Méningite chron
ons. L'une, d'après lui, doit être considérée comme appartenant aux cas dans lesquels la folie n'est qu'un accident abs
e ET de physiologie pathologiques XXXII LÉSIONS anatomiques dans un cas DE paralysie DIPIITHÉ- RITIQUE ; par W.-C. 11RA
tte atrophie s'accentue surtout chez les jeunes animaux et dans les cas de désarticulation de la hanche. En pareil cas
animaux et dans les cas de désarticulation de la hanche. En pareil cas les nerfs sensitifs sont seuls altérés dansles ne
dans la MOELLE; par P. KRONTEIAL. (Neurol. Centralbl., 1888.) Le cas envisagé ici concerne la moelle d'un saturnin che
yers de sclérose et de myélite concomitants. Si l'on résume les dix cas d'hétérotopic existant dans la science, et l'au
tique. Il ne faut pas confondre les coïncidences, c'est-à- dire les cas de syphilis chez un paralytique général, par exem
dans sa statistique de 560 observations de paralysie générale que 9 cas de syphilis certaine. Il est nécessaire d'être ri
goureux dans la recherche de la syphilis et de ne pas prendre des cas de syphilis cérébrale pour des paralysies général
ttention sur ce fait que. l'intoxication pouvait bien dans certains cas n'avoir commencé qu'après le début de la para-
ète transitoire des paralytiques généraux. M. Charpentier cite le cas d'un paralytique général avec glyco- surie inte
t aux rémissions dans l'état intellec- tuel. M. SAURY rapporte un cas de cocainisme. Il s'agit d'un officier qui, fum
ion française pour l'avancement des sciences, comprenant vingt-cinq cas . Sou nouveau mémoire comprend un cas inédit obs
ciences, comprenant vingt-cinq cas. Sou nouveau mémoire comprend un cas inédit observé par lui à l'asile départemental
ental de Mâcon, grâce à l'obli- geance de M. Thénot, et sept autres cas empruntés l'un au D'' llan- ning, les autres au
du Congrès : 1° un tableau statistique comprenant qua- rante-quatre cas ; 2° les photographies de fous ses malades prises
1890. - Présidence DE M. BALL. M. GAUIt.IND (de Rouen) rapporte un cas de Guérison de folie à la suite d'une opération
à la suite d'une opération de cataracte. M. Séglas rapproche de ce cas un cas analogue dans lequel la guérison des tro
uite d'une opération de cataracte. M. Séglas rapproche de ce cas un cas analogue dans lequel la guérison des troubles psy
visuelles qui paraissent avoir tou- jours été prédominantes dans ce cas et des images kinestétiques : les images auditi
tions de l'idiotie et de l'imbécillité, les fausses démences et les cas de démences guéries. Au point de vue étiologiqu
ence dans le troi- sième groupe ; l'auteur termine en rapportant un cas de démence chez un jeune diabétique dont le dia
dont le diabète aurait disparu après trois ans de traitement, et un cas d'athérome généralisé aux artères et artérioles
dans la liste de classement donnée par le Congrès de 1889, certains cas pouvant rentrer dans deux ou plusieurs catégori
i parait loin d'être satisfaisante, quoique plausible dans certains cas . Elle n'explique pas pourquoi la syphilis détermi
des lésions trauma- tiques. M. DUBUISSON présente les pièces d'un cas de porencéphalie . Presque tout l'hémisphère ga
atif pour les incurables. M. Boucher (de Rouen) lit une note sur un cas de trépanation tardive dans un cas d'épilepsie
r (de Rouen) lit une note sur un cas de trépanation tardive dans un cas d'épilepsie Jacksonnienne. Il s'agit, dans cette
encore devoir s'effacer en 1890. L'au- teur conclut à l'appui de ce cas que la trépanation doit être tentée même lorsqu
il s'agissait d'anciens syphilitiques. Il pense que, dans tous les cas où il est impossible de faire le diagnostic dif
à faire usage du traitement spécifique qui, dans un grand nombre de cas , amène des rémissions ou la guérison. M. SAuR
par conséquent on hérite simplement d'une prédisposition. En tout cas , il est de première importance de recueillir des
t pas moins vrai que Mendel l'avait conslatée dans 56,50 p. 100 des cas . Ce qui prouve qu'il faut bien préciser les uni
it propre à cette maladie. Discussion. M. SANDER. On a publié les cas [d'aliénation mentale consécutive à l'influenza
guère modifié les psychoses préexistantes. M. LEHMANN décrit trois cas de psychopathies consécutives à l'in- fluenza o
aladie infectieuse, agisse sur le système nerveux.' Ainsi, dans les cas légers, la fièvre est modérée et de courte durée;
j'ai vu l'influenza peu sévir chez les aliénés, mais j'ai suivi un cas mortel. Il s'agissait d'une vieille dame dément
que chronique est imminente. M. Schuchardt a observé à peu près 190 cas d'influenza à l'asile; le personnel fut bien pl
. Sur un chiffre de population de 1000 individus, il y a eu 80 à 90 cas d'influenza, dont 60 cas chez les aliénés; parmi
ation de 1000 individus, il y a eu 80 à 90 cas d'influenza, dont 60 cas chez les aliénés; parmi ceux-ci, les hommes fur
et de la mort dans les folies toxi- ques ; de l'incurabilité et des cas curables dans la paralysie géné- rale et les dé
érences; le lobule paracentral reste indemne dans la ma- jorité des cas . M. Charpentier regrette que MM. Keraval et Tar
rapports avec les troubles sensoriels. Il montre que dans certains cas de mélancolie) ceux notamment qui s'accompagnen
OCIÉTÉS savantes. De la résistance électrique de la mélancolie : Un cas de maladie de Basedow et de mélancolie délirant
La maladie de Basedow semblait donc très probable : mais dans les cas frustes, il faut trouver le plus de symptômes pos
ssive, deux àformeanxieuse) et six fois, c'est-à-dire dans tous les cas , les seuls que l'auteur ait eus à sa dispositio
chez les mélan- coliques. - Cette constatation peut, dans certains cas , comme le précédent, servir au diagnostic d'une
l, il ne s'accom- pagne pas de perte de connaissance, sauf dans les cas graves; il peut coexister des troubles sensorie
n vient de découvrir à Aboen, canton de Saint-Bonnet-le-Château, un cas horrible de séquestration. Il s'agit d'une fille
et ce n'est qu'après la guerre du Paraguay que l'on en observa des cas à Rio-de-Janeiro. En 1875, on le signalait à Ba
ndes, au Japon et aussi parmi les populations brésiliennes. Dans ce cas , elle serait d'origine parasitaire et due à un
par l'hypnotisme, dans des opérations très douloureuses. Le premier cas fut celui d'une femme de vingt-cinq ans. Elle f
et de boucler les crétines (B.). 302 FAITS DIVERS. Le deuxième cas fut celui d'une domestique de dix-neuf ans qui,
bruyante et un pouls plus lent. Le Dr Bramwell fit remarquer que le cas suivant, un garçon de huit ans, était plus réfr
mment il faut procéder pour arriver à se faire, à ce sujet, dans un cas déterminé, une opinion fondée. Je vais d'abord
e de terminaison et il n'y a aucun stigmate hystérique. En pareil cas , le diagnostic d'hystérie peut paraître diffici
on peut, à bon droit, 310 CLINIQUE NERVEUSE. porter, même dans ce cas , le diagnostic de mu- tisme hystérique. Ce que
ète, quelques-uns des arguments sur lesquels on peut fonder dans un cas donné le diagnostic d'hystérie et nous avons ch
ont sous la dépendance de l'hys- térie, et le diagnostic, en pareil cas , n'est pas douteux. Mais il est évident qu'avan
résultats obtenus par le traitement peuvent apporter dans certains cas , quelques probabilités en faveur du diagnostic.
ro-pathologiste exercé; l'hystérique, en effet, parviendra, dans ce cas , à présenter un aspect sympto- matique qui rapp
la même valeur. Suivant le nombre auquel ils seront réunis dans un cas déterminé, et l'importance individuelle de chac
nt la méthode que nous venons d'exposer, c'est en soumettant chaque cas à une analyse rigoureuse qu'on pourra arriver à
que et d'hystérie. Le diagnostic s'impose en effet, dans ces divers cas , et il suffit de lire avec attention la descrip
premiers groupes. En effet l'évolution de la migraine a été dans ce cas contemporaine de celle des attaques hystériques
s maintenant à l'OBSERVATION II. Nous avons à faire valoir, dans ce cas , pour démontrer que la mi- graine est d'origine
stérie et la migraine est assurément moins apparente que dans les cas précédents. En effet les accès de migraine ne s
onc jamais à dédaigner; son utilité se manifeste surtout dans les cas où la méthode expérimentale n'est pas applicabl
IE. après l'enlèvement de la substance grise; elle adhère dans ce cas , par sa terminaison, à l'extrémité interne de l
e sur cet espace se ramasserait sous cette forme. En effet, dans ce cas , la substance grise manque totalement ou est en
rçoit pas à l'état normal, peut être rendue apparente dans certains cas pathologiques. Il y a quelques mois en faisant
K LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE. 57 que sur un certain nombre de cas intéressants qui se sont présentés à la consult
urs reprises dans les travaux, sortis de ce laboratoire. Tous les cas examinés par nous peuvent être rangés en deux c
s cas examinés par nous peuvent être rangés en deux catégories : 1° cas positifs concernant les ma- ladies dans lesquel
eptibilité différentielle est modifiée par le processus morbide; 2° cas négatifs où la perceptibilité différentielle pa
aladie. Bien entendu, nous n'avons pas à parler ici de ces derniers cas , dans la catégorie des- quels nous rangeons : l
qui nous intéresse. Nous nous occuperons ici exclusi- sivement de cas positifs, auxquels appartiennent : l'a- taxie l
, autant que possible, nous prenions en considération seulement les cas dans lesquels on constatait une acuité visuelle
à l'état physiologique. Cela devient surtout indispensable dans le cas qui nous concerne, vu que les données fournies
n de constant : parfois insignifiante, elle atteint dans quelques cas une valeur de 1/3 en faveur de la vision binocu
pour chacun des deux yeux la fraction 1/140, on aura 1/200 pour le cas de la vision binoculaire. En expérimentant sur
el. Il est vrai que nous obser- vions aussi l'inverse dans certains cas , comme ceux de spasme d'accommodation, de paral
sme d'accommodation, de paralysie des mus- cles de l'oeil, etc. Ces cas sont suffisamment clairs par eux-mêmes, pour qu
ues faits suivants appar- tenant au même ordre d'idées : 1° dans le cas d'une amplification de l'image rétinienne pour
visuelle ? Nos recherches nous permettent toujours d'énumérer trois cas , pour lesquels cette question comporte l'affirm
pour lesquels cette question comporte l'affirmative. 1° Tous les cas de (roubles de l'accommodation et de la réfract
ont montré la pos- sibilité de relations toutes semblables dans les cas d'amblyopie d'origine tabétique ou d'autre natu
ntre l'acuité visuelle et la perceptibilité différentielle dans les cas de'troubles de l'accommada- tion présente pour
différentielle. A cette pre- mière catégorie se rapportent tous les cas organiques, où le passage des impressions lumin
s compris entre la rétine et les centres occipitaux, comme dans les cas d'intoxication alcoolique, chez les ataxiques e
'acuité visuelle. A cette deuxième catégorie se rapportent tous les cas de l'amblyopie hystérique. 382 PHYSIOLOGIE.
et plus ce dernier se rétrécit, plus la première diminue. Dans les cas où les deux yeux sont atteints, nous avons cons
férentielle, on peut con- clure, au moins pour un certain nombre de cas , qu'a- vec la diminution graduelle de l'éclaira
ux facteurs une disproportion qui ressort encore davantage dans les cas pathologiques, alors même que l'on emploie la m
ale. La disproportion établie ci-dessus se constate aussi dans ! es cas de daltonisme et d'ataxie locomotrice progressive
état de dyschromatopsie très pro- noncée. On voit, dans tous les cas , que la perceptibilité diffé- rentielle peut re
s de la mémoire, mais simplemènt d'attirer l'attention sur certains cas d'amnésie qui revêtent au premier abord l'aspec
s trop le remercier, a bien voulu nous confier le soin d'étudier ce cas intéressant et nous autoriser à vous le rappor-
e sur la teinte mystique de ses idées délirantes. C'est en somme un cas atténué de folie communi- quée. Etant donné le
ains faits de son existence. Nous signalerons ici que dans d'autres cas , d'une seconde catégorie, elle a des sou- venir
et de l'esprit. folie puerpérale; amnésie, etc. 401 dans tous ces cas , les troubles de la mémoire sont justiciables d
fréquente de cette gym- nastique particulière. Pour ce qui est du cas de la mémoire intellectuelle, la marche que nou
recherches minutieuses (au- topsies) ont révélé que dans de pareils cas , les hémisphères n'a- vaient pas été entièremen
opposé n'avait pas été extirpé complète- ment. Cependant, dans des cas où on n'a pas pu trouver une seule trace des hé
t compatible pendant assez longtemps avec la vie; tout autre est le cas pour les mammifères. Chez eux, l'opération prod
sphères. Quoique l'ablation ait été loin d'être complète dans aucun cas , cependant les phénomènes décrits par lui compo
que les animaux normaux. Nous pouvons cependant dans beaucoup de cas , sinon dans tous, rapporter ses mouvements soi-di
de conscience chez d'autres que nous-mêmes et encore moins dans les cas d'animaux inférieurs à l'homme. Mais nous somme
e 37, emoruntée à M. Exiler d'après l'examen d'un certain nombre de cas de lésions de l'hé- misphère gauche vous montre
ation corticale et après l'exci- tation médullaire. Dans ce dernier cas , la courbe s'élève brus- quement et dure peu; d
r cas, la courbe s'élève brus- quement et dure peu; dans le premier cas , elle s'élève graduel- lement, est plus prolong
ique. (Echo méd. de Toulouse, 1886.) " G. DENG. XLVI. NOTE SUR un cas d'hémianopsie latérale DUE A la COMPRESSION D'U
'immobilité fixe unilatérale réflexe de la pupille. Dans ce dernier cas , les pupilles sont inégales, mais réagissent co
la lumière et sous l'influence de l'accommodation . Il faut en tout cas spécifier avec le plus grand soin la dimension de
dernier agit comme organe d'excitabilité réflexe. P. K. XLIX. Un cas DE DÉGÉNÉRESCENCE secondaire descendante DU faisc
ceau EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL ; par C. WINELER. - UN CAS DE DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE BILATERALE DU FAISCE
DES yeux ; par M. HOYET. L'aliénation mentale est dans beaucoup de cas (56 p. 100) en relation avec des maladies de l'
analyse plus complète n'en dirait pas davantage. ' P. K. XL11L Un cas grave de pseudo-paralysie générale alcoolique ;
elle il résulte que les circonstances atténuantes admises dans tels cas , refusées dans les trois quarts des faits (voy.
ue, de l'exagération des réflexes patellaires. Il le rapproche d'un cas de délire des négations chez un amputé dont la
eu la syphilis ; 37,6 p. 100 étaient alcooliques. P. K. LXII. Un cas DE CHOU;STÉATOME observé A l'asile d'aliénés DE
uës ou chroniques. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 443 LXV. UN cas D'ÉPILEPSIE psychique; par GERSTACÉER. (Allg. Z
ac- tère, les attaques élèvent la température. P. K. LXVIII. Deux cas D'ÉRYSIPÈLE DE la face ayant AGI SUR UNE MÉLAN-
Chez la seconde malade, l'érysipèle, fébrile comme dans le premier cas , n'exerça qu'une influence passagère sur l'évol
sueurs de sang, et au contraire de passer assez rapidement sur des cas plus ordinaires et plus intéressants au point d
presse. Heureusement elle n'a tué 454 FAITS DIVERS. personne. Le cas de l'asile de Flathurst est des plus regrettables
ments par un direc- teur administratif qui ne pourra être, en aucun cas , l'un des mé- decins de l'asile. » Des plaint
t la nécessité de ce genre d'établisse- ments destinés à guérir les cas curables et à préserver la société des dangers
, par Rosenheim, 86. Cerveau , troubles d'équilibration dans deux cas de tumeurs du lobe pariétal du -, par Bernheim
ons aigües de la paralytique, par Buddeberg, 118; - guérison d'un cas de aiguë par Daru- bluetli, 257; - rapports de
Krauss. 251. Doute, folie du - par Kowalewsky, 102. Dyslexie, cas de-par Bruns, 251. Electrique, irritabilité des
11'16, effets delà sugges- tion , par Friedlander, 71. Épilepsie, cas d' traumatique gué- rie par trépanation, par Wo
as d' traumatique gué- rie par trépanation, par Woelckers, 239; - cas grave d' - réflexe par Eulenburg, 2f7; - rappor
sonntenne, et folie, par : lfende1,258;-trépanation tardive dans un cas d' Jacksonnienne, par Boucher, 579; pathogénie
parBuiswanger, 37 ; psychique, par Gerstacker, H3. Epileptique, cas de tétanos chez un - , par Camuset, 57; - durée
panés, par Erluniger. 249. Équilibration, troubles d' dans deux cas de tumeur du lobe parié- tal du cerveau, par Be
r Boulloche, 212 ; faciale il re- pétition, par l\loeblus, 2'rG ; - cas insolites de saturnine, par I\loebius, 248, p
75. Protubérance (Tubercule de la), par Bruns, 80. Psychiatrie, cas de la clinique de- de Prague, par Pick, 439.
59 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
spice de la S1L.I ? fItIItC. M. le professeur CHARCOT A PROPOS D'UN CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE : 1° PARALYSIE DISSOCIÉE D
e l'hystérie mascu- hne en France et à l'étranger. Descliption d'un cas de paralysie faciale d'origine hystérique porta
areté relativement au spasme glosso- labié hystérique. Dans notre cas , début de la névrose a l'occasion d'un traumatism
rd'hui est 10utsimplement unhystérique mâle. C'est doncensomme un cas assez vulgaire. En effet, vous le savez, depuis
pitaux et agrégé de la Faculté '. Il a fait la statis- tique des cas d'hystérie qu'il a rencontrés pendant son exerc
ultatlU11 (lit lfurettza central (Pro ? .llécl. 27 juillet 1880). CAS 1) HYSTERIE MASCULINE. ;¡ l'hystérie légère,, c
t mon interne, qui a relevé dans une des précédentes années tousses cas d'hystérie mâle qui se sont succédé dans ses-sa
e soit suffisant. Ainsi, M. Bitot, à Bordeaux, a observé plus de 20 cas d'hystérie mule dans le seul service de cliniqu
je ne me trompe, à inscrire à l'actif de l'hystérie bon nombre de cas désignés sous le nom de névrose traumatique. A
n faut, au même degré, aussi s'y prend-on quelquefois, paraît-il, CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. H à douter de la légitimi
pas comme un événe- ment. C'est à tout prendre, jevous l'ai dit, un cas banal; seulement, vous le savez, la clinique at
ique attentive trouve à peu près toujours à signaler, même dans les cas les plus simples, en apparence les plus vulgair
nt nouveau, quelque combinaison inattendue. A ce point de vue notre cas prendra de l'intérêt. En effet il nous présente
cientifiques. double emploi, je m'em- presse de vous avertir que ce cas de paralysie faciale hystérique est celui-là mê
eite7z ! lebel' die traumutischen ¡Yen rosel1 lGoc. cil., p, 81). CAS 1)'IIYSTÉRIE MASCULINE. 7 Je vous rappellerai t
de me détacher actuellement, cependant non sans con- dition. Le cas est encore intéressant à un autre point de vue.
L'hérédité est là, présente, sans doute, comme dans la majorité des cas , mais plusieurs agents provo- cateurs se disput
isans de l'hystérie symptomatique auraient beau jeu à en faire un cas d'hystérie toxique ; les habitudes alcooliques
al- heureusement presque jamais de se liver en ces occa- sions. CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. 9 De plus la présence de
? 'f de la face et zOllc/¡lIsléI'Ofll\l/cúd'/¡i/POCOlll/¡'cgaur/¡c CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. Il l de bêtes en rêve. De
'hys- térie. Il me faut maintenant faire ressortir tout l'intérêt CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. 13 a n de cette constatat
Mais si on y regarde de près, on trouve le plus souvent, dans ces cas , les caractères d'une déviation spasmodi- que e
ut la sortir hors de la bouche. Il en est ainsi par exemple dans le cas publié par 1\1. Strassmann sous le titre d'hémi
arac- tères d'une paralysie faciale droite ? J'en dirai autant du cas plus ancien de Lebreton 2 où l'on dit qu'il y a
de la face dans lhéntipiégie hystérique (Prof ! . l/1éd" 1888), - CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. t5 pas démontré que les p
e- persisterai dans ma négation, prêt à me rendre toutefois pour le cas où la paralysie faciale, dont pour le moment je
d'un malade ÿ. Quelque temps après, AI. Chantemesse, publiait trois cas de pa- ralysie faciale hystérique avec monoplég
E NERVEUSE. chez l'homme. Il faisait remarquer que, dans tous ces cas , la paralysie est peu accentuée et qu'il y a to
me série. Ils ne sauraient être tout à fait séparés. Vient enfin le cas de M. Ballet'2, qui a trait à ce même malade qu
xemple de même nature dû à M. Bonnet 3. Cela fait donc en tout cinq cas émanant d'auteurs tout à fait dignes de foi et
ue peut produire l'hémispasme glosso- labié des hystériques. Cinq cas bien constatés, il est vrai, c'est peu encore;
st vrai, c'est peu encore; mais c'est déjà quelque chose et en tout cas nous sommes forcés dès aujourd'hui, tout en mai
jourd'hui, tout en maintenant que dans la très 'grande majorité des cas , la paralysie faciale 'Gilles de la Tourette. -
es Hop., 1890, li novembre. 3 Bonnet. - Soc. mèd. des IIÔp" 1890. cas d'hystérie masculine. 17 n'accompagne pas l'hém
orie des paralysies corticales n'est repré- sentée que par quelques cas assez rares. - Voilà donc les choses remises en
pas en somme que l'abus du vin et de l'eau-de-vie puisse paraître CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. 19 moins honteux à avouer
compris par ce qui précède, je ne puis voir chez notre malade qu'un cas d'hystérie « comme un autre;'» dans lequel étio
attaque hys- téro-épileptique. Il était à l'Entrepôt occupé à son CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE. 21 travail habituel, lors
e, dans l'espèce,- l'importance pratique de l'une d'entre elles ; cas d'hystérie masculine. à je veux parler de l'alc
i- cule tout intérieurement. » Plus loin : « Ma pensée git, il me CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 31 semble, à l
relief l'importance de l'articulation mentale involontaire dans les cas de ce genre et le dédoublement de la personnali
dédoublement de la personnalité. PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE 11YS1');BO-TRrIUIIaTIQUG DES QUATR
mblé qu'il pouvait y avoir cependant quelque intérêt à relater un cas de ce genre, observé par nous, à Sainte-Anne, dan
tre membres ne sont point chose banale. Briquet n'a observé que six cas de ce genre. Chevallier, qui a fait de ces para
réunir que vingt et une observa- tions. Dans plus de la moitié des cas , la paralysie s'est montrée .à la suite d'une a
ois sans attaque après une vive émotion morale. Landouzyen citeun cas survenu àlasuited'une attaque con- sécutive ell
e elle-même à des chagrins et à une vive frayeur. Skey a observé un cas analogue après un accident de chemin de fer. Br
ans les quatre membres. Dans toutes ces observations relativement CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 33 anciennes,
. En re- vanche, le rôle de l'auto-suggestion apparaît en plus d'un cas . D'autre part, dans les observations d'hystéro-
. Les gendarmes ! » Pas d'attaques convulsives, pas de paralysie. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 33 30. - Légèr
Une étroite bande verticale d'anesthésie réunit les bottes du mem- CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 37 bre inférie
bilité à la température n'a été recheichép que pour les membres. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 39 9 thorax, l
e 'Zone de sensibilité normale pour tous les modes comprenant les CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 41 doigts, et
Pointillé : Sensibilité à la température et à la piqûre seulement. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 'M duite : le
En mars, nous avons revu la malade : des troubles moteurs et 10. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 4o sensitifs s
rapidement sur les traits communs à l'observation précédente et aux cas déjà pu- bliés d'hystéro-traumatisme, pour nous
M. le professeur Charcot insiste beaucoup, et qui offre dans notre cas un certain intérêt étant donnée la tendance à l
a- morphose incessante des troubles de la sensibilité. Dans notre cas , l'anesthésie est mobile : ses territoires s'agra
ces 'dorsale et palmaire, des mains; la zone sensible à la tempé- CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 47 'l rature g
lacontractilité électrique, tous signes qui man- queraient dans les cas types d'hystéro-traumatisme. - Cependant M. Bab
peau était « froide, marbrée de ta- ches violettes » comme dans le cas de monoplégie par névrite du plexus brachial op
d, en mou - Charcot. Maladies du système nerveux, t. III, p. 460. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES.. , 49 vements
ants ; la cause occasionnelle des secousses a été, comme dans notre cas , une émotion vive, M. Tordens de Bruxelles, a
ésie paraplégique... le choc ner- veux cérébral, produira en pareil cas . chez un sujet prédis- posé, la modification me
out préparé pour la transformation par auto-suggestion d'une im- , CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. Si puissance m
racines postérieures dans la moelle épinière; en vue de ce dernier cas , j'ai choisi comme objet d'observation le cobay
e petite distance du commencement du renflement lom- baire. Dans le cas de succès d'une hémisection complète de la moel
édait ordinairement à l'opération. Comme je l'ai déjà dit, dans les cas d'une hémisection complète dans la région dorsa
e du côté corres- pondant ; cette dépendance était à noter dans les cas , où l'ani- mal atteint d'une paralysie complète
essus suppuratif dans la plaie. Ainsi je peux donner l'exemple d'un cas , où le cobaye ne vécut que trente-six heures.
partie gauche est restée intacte (fig. 1 i). En m'appuyant sur ce cas , qui a été suivi d'autopsie, je pus conclure qu
uyer Fig. 11. 56 ,ANATOMIE. ' 1 1 ce fait, on peut rappeler des cas , lorsque en faisant l'hémisec- tion, la plus ou
te (fig. 2). Fig. 12. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. , 57 Donc, dans ce cas , il y avait en même temps un tableau in- comple
fibres du cordon antérieur qui est resté intact. \ Dans les deux cas , c'est-à-dire après une section unilatérale com
lir dans la patte paralysée, avec la seule différence, que dans les cas de la seconde catégorie, le rétablissement étai
dix jours, suivant le degré de la paralysie précédente. Mais les cas de la seconde catégorie sont pour nous sans im-
rcevoir la dégénération décrite dernièrement par Gozoers ' dans les cas de dégénération ascendante de la moelle épinièr
et présente une perte insignifiante de fibres blan- ches ; dans ce cas , nous avons à faire, évidemment, aune dégénéres-
e opération, ainsi que dans toutes les opérations suivantes du même cas , après lesquelles après l'hémisection de la moe
e plus tard, Brown-Séquard publia un autre ou- 'vrage sur plusieurs cas de cicatrisations des plaies, faites à la moell
tes à la moelle épinière avec retour des fonctions perdues dans les cas d'hémisection unilatérale chez les cobayes; il
z. mec ! . de Paris. 1850, p. 250.) * l3rown-SGquard.-Szwpzlvseeurs cas de cicatrisation des plaies, faites à la moelle
pinière, mais une sec- tion transversale et un écrasement; dans les cas où il y avait une simple section, les mouvement
rection centripète et centrifuge. C'est justement l'analyse de ce cas que fait H. Eickhorst, dans son ouvrage; il y d
il y ait aussi des opinions en faveur de la régénération. Dans ce cas , les expérimentations les plus importantes sont
obable, parce que Eickhorst . lui-même décrit dans son article deux cas qui avaient été ob- servés plus ou moins longte
ux cas qui avaient été ob- servés plus ou moins longtemps : dans un cas , il n'y avait ni restitution des fonctions, ni
ière, on ne peut igno- rer une circonstance très importante dans ce cas : comment ne pas mêler les mouvements volontair
était écrasée à l'aide d'une baguette en verre. Nous sommes dans ce cas tout à fait d'accord avec Freusberg (1. c. p. 3
es; je ne sais si l'on pourrait positivement démontrer que dans les cas , où sur des préparations dissociées où sur les ..
la cicatrice en y en- trant d'en haut et d'en bas ? Dans tous les cas , dans une suite d'opérations produites par d'au
n tissu nerveux régénéré. De là, il est facile de passer à d'autres cas lorsqu'on peut observer la restitution des fonc
le, ou de la moitié de la moelle épinière et admettre que dans ce cas aussi il n'est point de régénération d'éléments n
d qui parle de régénération de fibres nerveuses trouvées dans les cas d'hémisection chez les cobayes. De cette manièr
alysée, à travers une région intacte de la moelle épinière; dans ce cas , une deuxième hémisection, faite un peu plus ha
exions du carrefour et du pédoncule étaient évidentes dans certains cas ; en soulevant la bandelette optique, il était
port avec les troncs olfactifs. J'ai fort heureusement rencontré un cas qui m'a conduit dans la bonne voie. Faisceau
qui m'a conduit dans la bonne voie. Faisceau médullaire. Dans ce cas , le pédoncule cérébral présentait sur sa face i
osition anatomique des bandelettes médul- laires, si nette dans les cas dont je viens déparier, je l'ai toujours retrou
fixée. Elle n'est pas aussi apparente, aussi tranchée que dans, ce cas , mais on ne peut s'y mé- prendre et on peut tou
on de ces tractus sur le bord postérieur du champ objectif. Dans ce cas , les racines internes et externes des nerfs olf
oncourir à former la bande diagonale, comme je l'ai dit à propos du cas particulier dont j'ai parlé. Déjà est indiqué
FACTIF AVEC la couche optique. (Arc intermédiaire.) Dans quelques cas assez rares il est vrai, il existe, entre la ba
jour à la simple vue : elle est constante. Et, si dans quel- ques cas , elle est moins blanche et moins accusée, il es
aux longitu- dinaux, entre-croisés entre eux et couverts, dans ce cas , d'un voile de substance grise. Pour en avoir u
plus difficile à distinguer. J'ai pris comme type de description le cas où le cro- chet de l'hippocampe laisse entre sa
stitueraient l'arc intermédiaire de l'appareil optique. 1 Dans ce cas , le ruban qui occupe cet intervalle aboutit, au n
sons déjà de l'appareil olfactif, je rappellerai que, dans certains cas , des échanges de fibres ont lieu entre le ruban
s Bibliographiques 1. Piliers de la voûte, Gratiolet, à propos d'un cas d'anencéphalie : « les corps striés, le corps c
a n'existe chez eux qu'à l'état d'hypo- thèse et pour expliquer les cas d'anosmie croisée. Et même cette commissure, év
rieure par le crochet. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS DEUX NOUVEAUX CAS D'ASTASIE-ABASIE ; Par le D' L. BONAMAISON, D
porteurs du nouveau syndrome. Nous avons à notre tour observé deux cas très nets d'asta- sie-abasie ; dans l'un l'hyst
nte, mais bien d'une manifestation delà grande né- 94 DEUX NOUVEAUX CAS D'ASTASIE-ABASIE. vrose dont la symptomatologie
quel réside tout l'intérêt de cette observation. 96 DEUX NOUVEAUX CAS D'ASTASIE-ABASIE. De prime abord, nous avons cr
amen plus attentif nous a démontré que nous étions en présence d'un cas type d'astasie-abasie. Les membres inférieurs d
s qui précèdent, nous paraissent devoir être considérées comme deux cas types d'astasie-abasie. Elles répondent en effe
ôt les convulsions pré- cèdent ces paralysies permanentes (c'est le cas ordinaire), tantôt les paralysies précèdent les
duisent ces convulsions, Seppilli a trouvé, dans les deux tiers des cas , des néoplasies, plus rarement des mé- ningo-en
f des convulsions épileptiques, encore que, dans un grand nombre de cas , elles soient d'origine corticale. Contributo a
- quait les formes différentes des convulsions, cloniques dans un cas , toniques dans l'autre. En somme, Chirone ressusc
e ? Seppilli, dans une note clinique publiée en 1888, a cité quatre cas dans lesquels les accès convulsifs avaient bien
érences, ramollissement de l'écorce, néoplasie). Dans les cinquante cas d'épilepsie partielle qu'il a recueillis, Seppi
e, mais c'est que, selon lui, les observateurs n'ont publié que des cas où des lésions bien nettes se rencontraient à l
peut être de nature organique ou fonctionnelle ' . Dans les quatre cas de Seppilli, la cause prochaine des accès aurait
it en dehors des zones mo- trices proprement dites. Dans le premier cas , écrit M. le pro- ' Il. Ventra. Sitl valore sem
ice) : la démonstration anatomo- clinique est faite. Dans le second cas , ces phénomènes seront caractérisés par des tro
ont été enlevés, Mais comme les convulsions se limi- tent, dans ce cas , aux groupes musculaires innervés par la région
ions. Seule, la déviation latérale des yeux persiste encore dans ce cas lorsqu'on excite un certain point de la sphère
aissaient en proie à des hallucinations terrifiantes. Dans d'autres cas , ils tombaient au contraire dans un tel état d'
lle, Lyon, 1888, 438.) DE l'épilepsie corticale. H3 Au sujet d'un cas fort curieux d'épilepsie observé par S. Venturi
ourtant une région d'élection, et, à peu d'exception près, tous ces cas d'épilepsie corticale sont la conséquence d'une
orme de spasmes localisés à un groupe musculaire. Seppilli cite des cas d'épilepsie dite idiopathique où ces processus
ions dans les deux moitiés du corps. « Il existe, dit Seppilli, des cas d'épilepsie jackson- nienne, dans lesquels, par
rtir de n'importe quel point du système nerveux. Que l'on songe aux cas d'éclampsie ou d'épilepsie aiguë par irritation
s nerveux. Mais, si l'origine diffère, dans l'un comme dans l'autre cas , « le mécanisme de l'accès est iden- tique. »
implique bien que le point de départ des convulsions est, dans ces cas , l'aire sensitivo-motrice de l'écorce cérébrale.
nsité et la diffusion de l'accès 1. Pour être applicable à tous les cas cliniques possibles, la théorie corticale de l'ép
des termes plus larges et moins exclusifs. Si, dans la majorité des cas , l'épilepsie jacksonnienne est toujours provoqu
re aussi quelquefois par une lésion sous-corti- cale 2. Du moins un cas , probablement unique, que Seppilli a eu l'occas
omo-pathologiques aux- quelles pourrait donner lieu l'analyse de ce cas , Seppilli ne veut retenir que le fait suivant :
érieure du crâne; par H. Oppenheim. (Neurol. Centralbl. 1889.) DEUX cas DE TUMEUR DE la fosse postérieure DU crâne ; pa
s. Deux d'entre elles con- cernent une tumeur cérébelleuse. Dans le cas d'Oppenheim, la tumeur avait aplati le bulbe et
lle étranglée bilatérale; tels furent les accidents. P. K. II. Un cas DE POLIO-ENCÉPAALO-MYÉLITE PROGRESSIVE; par SEE
liose; par M. BERNHARDT. (Centralbl. f. Ner- venheill;. 1889.) - Un cas DE syringomyélie avec contribution A l'examen D
les animaux.- Inversement, M.Bernhardt prouve que sur soixante-dix cas de syringomyélie, il a trouvé seize à dix-huit
DE remarque ; par M. BERNHARDT. (Centralbl. f. Neweniceilk., 1889.) Cas isolé DE DYSTROPHIE musculaire progressive (typ
capulo-liumé ? ,al), par SPERLING. (Neurol. Centralbl., 1889.) Deux cas DE DYSTROPHIE musculaire PROGRESSIVE (type faci
diques; 2° une forme paradoxale dans le sens de la flexion, dans un cas de tumeur du toit du quatrième ventricule, au n
à la suite du réflexe, demeurant raide en extension. P. K. X. Un cas DE TUMEUR ISOLÉE DE la glande pinéale; par E. KNY
taques épileptiformes), mais de meilleure heure que dans les autres cas . . P. K. XI. Un cas DE tumeur cérébrale; par OP
, mais de meilleure heure que dans les autres cas. . P. K. XI. Un cas DE tumeur cérébrale; par OPPENHEIm et Remak. (N
pu donner une intervention chirurgicale. Remak cite à ce propos un cas heureux; un an après un traumatisme, la trépana
'ÉCORCE CÉRÉBRALE; par P. ROSENBACH. (Neurol. Centralbl., 1889). Un cas d'épilepsie partielle, par Roller. (Ibid.)- CON
lILI;<¡. (.lIt ! ]. Zeitsch, f. Psycho XLVI, 5.) . Vingt-trois cas d'anatomie pathologique avec histologie. On y t
trois cas d'anatomie pathologique avec histologie. On y trouve deux cas de dégénérescence des faisceaux latéropyrami- d
quatre faits de dégénérescense des deux espèces de faisceaux, un cas d'hydromyélie, soit 5B p. 100 d'altérations de la
it certaine chez six d'entre eux, probable chez quatre. Sur les six cas précédents, il y avait quatre exemples de lésio
uand on con- serve les hémisphères, les résultats sont, en certains cas , les mêmes; donc l'excitation n'a pas pour simp
eyer et Beyer, Leyden, Kahler et Pick, Welt, Kiewliez) et de quatre cas personnels, M. Friedmann conclut ainsi : Le pro
réflexions des cordons postérieurs). L'alaxie qui se montre dans le cas de foyers des lobes pariétaux est donc identique
eures; de ces olives part, vers le cerveau, le faisceau central de la cas lotte de Bechterew qui prend lin à la base, dan
néral donne lecture d'une observation de M. Brignier-Corbeau sur un cas de paralysie compliqué de délire aigu. M. B.
hysté- riques dangereux; 3) dans un but diagnostique, dans certains cas obscurs. Séance du 10 novembre 1890. i. Le
a malade le caractère de la chorée. 2. Le D' EGOROF communique un cas de gliomatose de la partie cervicale de la moel
n compte rendu concis les détails cliniques et ana- tomiques de ces cas , ainsi que les conclusions de l'auteur et la di
nt les divers modes de mani- festation de l'apraxie dans différents cas , considère comme pos- sible de rattacher la for
Kornilof désirerait qu'on ne rangeât sous le nom d'apraxie que les cas dans lesquels la faculté de faire quelque chose
e qu'il est plus exact de comprendre sous le nom d'apraxie tous les cas dans lesquels existe un trouble de la faculté d
nt de ces deux épidémies, l'élément religieux, si fréquent dans les cas de ce genre, manquait totalement. 3. M. S. Ki
étendant à la moitié gauche du corps quadrijumeau. Se basant sur ce cas et rappelant des observations anatomiques puisé
t avec le sens musculaire. M. Kornilof dit qu'il a pu observer un cas de tumeur de la couche optique, dans lequel il
ements mimiques. , - Séance du 18 janvier 1891. 1. M. Douurovine. Cas d'une affection psychique post-typhoïde. Un prê
amélioration dans l'état de la mémoire. Le rapporteur considère ce cas comme une psychose polyneuritique, dans laquelle
ommunication, quelques-uns (MM.Serhstey, Ouspiensky) considèrent ce cas comme une paraly- sic alcoolique pure ; d'un au
évelopper prochainement son opinion plus en détail. 3. M. EeoROF. Cas de syringomyélie. Sous ce titre, le Dr Egorof c
. EeoROF. Cas de syringomyélie. Sous ce titre, le Dr Egorof cite le cas d'un syphilitique chez lequel on remarquait (pend
ogiques. Les sutures sont plus ou moins effacées dans la moitié des cas au moins. La plupart d'entre eux cubent moins o
olie par des troubles de la circulation cérébrale. Seuls un ou deux cas ont rendu cette théorie extrêmement plo- bable.
enons le seul fait où cet argument aurait quelque poids, prenons un cas de folie circulaire dans lequel, sur un seul et
question d'espèces. Discussion. M. ALTER. Effectivement, il y a des cas où il faut faire de l'isolement. Mais à Leubus,
scléroses symétriques semblables étant surtout fréquentes dans les cas de syphilis du système nerveux (et peut-être auss
dans la circulation par influence purement nerveuse. Mais dans les cas où la maladie est entièrement déterminée par une
le de substance, l'hypnotisme est complètement impuissant. Dans les cas mixtes, où à côté des phénomènes qui dépendent de
et l'inquiétude. Le médecin doit appli- quer l'hypnotisme dans les cas où tous les autres moyens sont t épuisés et où
e admet encore la possibilité de la guérison , de même que dans les cas où l'emploi de tous les traitements symplomatiq
ymplomatiques n'a pas donné de résultat satisfaisant. Dans tous les cas , un médecin qui refuse actuellement de traiter so
oisin) afin d'obtenir l'hypnose. M. TOKARSKI a répondu que dans les cas où les troubles fonction- nels sont greffés sur
ues comme anormaux. M. Jakovenko demande à M. TOKARSKI dans quels cas l'application de l'hypnotisme se trouve contre-
le parenchyme ; le pronostic est moins grave relativement dans les cas de cysticerque; le diagnos- tic absolu est impo
raissant le matin, calmée après le repas. 2° L'insomnie, surtout en cas de cause relevant du surmenage intellectuel et
olique, elle n'existe pas, en tant qu'entité morbide, sauf dans les cas ex- ceptionnels où les malades sont intoxiqués
xpert tout alcoolique qui s'est rendu coupable d'un délit : dans ce cas , si le délinquant est reconnu taré, l'expert do
eurs communications pour la rédac- tion des procès-verbaux. Dans le cas où ce résumé n'aurait pas été remis, le texte r
des et l'avantage même des, finances départementales. C'est dans un cas comme celui-là que pourrait intervenir utilemen
re 1891. N" 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE DE LA PREMIÈRE PAIRE D
, qui serait si intéressante pour éclairer le dia- gnostic dans les cas difficiles, n'est pas même com- mencée. Ces cas
gnostic dans les cas difficiles, n'est pas même com- mencée. Ces cas difficiles, auxquels je fais allusion, 1 5, mai
nvaincre du nombre et de l'importance que peuvent prendre en pareil cas les causes d'erreur, je me placerai tout d'abor
arguments qui l'appuient. Puis, faisant volte-face, j'examinerai le cas à un nou- veau point de vue, et je vous démontr
différentiel que je vais agiter devant vous, et précisément dans le cas actuel, le diagnostic n'est pas, tant s'en faut
rsonnels qui mérite de nous arrêter; il mentionne seulement un de CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 163
oc. of London. XXXIX. ' Thèse de Paris. 1890, p. 188. ' P. 181. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 165
t la syringomyélie asymétrique. D'ailleurs, nous avons affaire à un cas récent qui pourra se déve- lopper ultérieuremen
ue la lésion atteint les cordons latéraux. Il s'agirait dans - le cas présent d'une altération de ces faisceaux dans
harcot. Leçons sur les Mal. du syst. nerveux, t. II, p. 116 et 292. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 167
e cilio-spinal. M. Bruhl les a ren- contrés dix fois sur-trente-six cas . Le nystagmus a été parfois signalé, en pareil
s sur-trente-six cas. Le nystagmus a été parfois signalé, en pareil cas ; notre sujet en est exempt. Il ne présente pas
, si nous ne nous trom- pons, satisfaisant dans tous ses détails. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 169'
iculaires à l'axe du membre, ainsi qu'on le voit également dans les cas d'hystëro- traumatisme local. Ici, remarquez-le
t qu'il peut se montrer en diverses circonstances. Con- ' Dans un cas de lèpre anesthésique par places la sensibilité t
rmique et la sensibilité àladou- leur étant absolue. (A. Sass. Deux cas de lèpre nerveuse, Dnitsch. arch. f. Kli2z. Ile
tions tactiles y sont conservées, et simplement un peu émoussées. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 171
111' Klumpke. - Parai, rad. du plexus brachial. Rev. de méd., 1S85. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 173
t dans de la dysesthésie, phénomène que j'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles moteurs et r
accident pri- mitif. Vous trouverez des renseignements à ce sujet CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 175
seulemeut des avantages d'ordre spéculatif, elle entraîne, dans le cas présent, une con- séquence pratique des plus im
est parfois chose délicate, et qu'il peut présenter, dans certains cas , un grand intérêt pratique. Je vous aurai fait
i publié dans les Annales médico- psychologiques l'observation d'un cas de traumatisme chez un lypémaniaque, avec perfo
lutôt que sur la gauche : aussi remarquons-nous, contraire- ment au cas précédent, que l'hémiplégie a lieu à gauche et
t se poser la même question d'interventibn chirurgicale que dans le cas précédent, avec la même nécessité impérieuse, la
tion de la blessure et jusqu'à la guérison complète ; comme dans le cas resté célèbre, et que j'ai déjà cité autre part
ception, qu'elles soient aiguës, diffuses ou spécifiques. Dans le cas de tumeurs cérébrales de traumatismes avec ou s
oies dispo- sées dans la moitié opposée de la moelle. Dans tous les cas , c'est juste pour la partie de la moelle épiniè
ysés à cause de l'ancienne hémisection de la moelle. Alors, dans le cas d'une paralysie de la même extrémité postérieur
re, la section a légèrement atteint le côté droit. Ainsi, dans ce cas , après la destruction de la commissure du Fig.
ttacher très nettement sur la muraille alvéolée de l'uncus. Si, par cas , la fin de la racine externe 206 ANATOMIE. da
tôt passe au-devant de la commissure blanche, tantôt derrière (ce cas m'a paru le plus fréquent), et va à la rencontre
,' d'une autre part. L'existence de l'arc direct explique les les cas d'anosmie non croisée; l'entre-croisement partiel
l'écorce sans qu'on puisse préciser sa destination. - Dans tous les cas , elle ne se continue pas simplement avec les ne
e valent que par le talent du dissertant et ce n'est certes pas mon cas ! Elles ne valent pas dans le cas particulier l
cherches des physiologistes et des anatomo- pathologistes ; en tout cas , leurs fonctions pour n'être pas déterminées pa
s tard, courte agitation avec quelque désordre dans les idées. Deux cas de psychose stupide assez longue. Deux observat
te criminel motivé et prémédité du malfaiteur, il y a place pour un cas intermédiaire, celui où le crime a été commis p
frontière demeure évidemment incertaine par suite de l'existence de cas intermédiaires. Le milieu joue d'ailleurs un rô
de trente-cinq à quarante ans. Au point de vue étiologique, les 128 cas d'épilepsie crimi- nelle de l'asile de Broadmoo
épilepsie crimi- nelle de l'asile de Broadmoor (déduction faite des cas nom- breux où les renseignements ont fait défau
ents ont fait défaut) se décomposent de la façon suivante : dans 22 cas , il existait un vice de con- formation congénit
s 22 cas, il existait un vice de con- formation congénital; dans 16 cas , on a pu obtenir la certitude d'une prédisposit
a pu obtenir la certitude d'une prédisposition héréditaire; dans 10 cas , il existait une cause idiopathique (insolation
cause idiopathique (insolation, fièvre, frayeur, etc.) ; dans 10 cas , la maladie reconnaissait pour cause un traumatis
une lésion du crâne et 1 fois un coup de feu à l'aine) : en tout 68 cas , à étiologie précisée. , Si l'on rapproche de l
es délits ont été légers, la séques- tration ne devant pas, dans ce cas , dépasser le maximum de la peine infligée. Le d
dans l'épilepsie qui disparaissent durant le traitement ou dans les cas graves et invétérés, diminuent de nombre et d'i
ints de troubles cardiaques. En effet, dans le plus grand nombre de cas , l'action de l'hyoscine sur le coeur se fait re
marquée surtout dans le domaine des fonctions médullaires. L'unique cas de guérison a été observe chez une femme attein
x injections. Outre l'excitation psychique observée dans différents cas , les injections de liquide tes- ticulaire s'acc
année précédente). Cette augmentation était progressive. Dans trois cas même les accès devinrent de plus en plus violents
sur trente hommes et trente-six femmes. Dans la grande majorité des cas , les résultats ont été favorables. Le médicamen
ou 40 grammes de cette solution dans du vin ou du cidre.) Dans un cas d'état de-mal, l'auteur a fait trois injections s
ate d'amylène pur. Les accès ont cessé subitement. Dans cinq autres cas d'état de mal, les résultats ont été également
surprenants. L'hydrate d'amylène n'a pas été encore essayé dans des cas graves d'état de mal. Après un emploi prolongé
se manifeste d'ailleurs même après de faibles doses. Dans quelques cas , cette somnolence a disparu avec l'accoutumance
onstipation. Jamais ces troubles n'ont été durables. Dans plusieurs cas , l'action antiépi- , leptique diminue après six
e expérience, l'action du médicament paraît être plus sûre dans les cas d'épi- lepsie nocturne que dans les cas où les
aît être plus sûre dans les cas d'épi- lepsie nocturne que dans les cas où les accès étaient diurnes et nocturnes. On n
est apparue une autre affection. Cependant en médecine mentale, les cas de guérison complète survenant presque au momen
s deux maladies est engendrée par l'autre. En résumé, en dehors des cas peu nombreux où l'alcoolique chronique non prédis
plus faible. D'autre part, que donne la clinique ? Dans un premier cas , l'on a affaire, et c'est là le cas le plus com
e la clinique ? Dans un premier cas, l'on a affaire, et c'est là le cas le plus commun, à l'alcoolisé chronique qui s'a
du cou; changement de caractère de l'animal. L'auteur voit dans les cas aigus quelque chose d'ana- logue aux attaques d
sont fréquentes ; la marche, par suite, en est plus lente, sauf les cas d'attaques épileptiformes qui sont assez fréquent
s la paralysie générale.) L'étude de M. Charpentier a porté sur 735 cas . Il s'est limité aux malades alcoolisés entrant
quence. En cinq ans nous avons trouvé 83 alcooliques avérés sur 135 cas de paralysie générale ; 3° La forme spéciale de
à l'alcoolisme depuis l'ivresse jusqu'à la démence paralytique, les cas 'suraigus ou rapidement mortels, les cas d'immo
a démence paralytique, les cas 'suraigus ou rapidement mortels, les cas d'immobilité, les cas de rémission ou de guéris
les cas 'suraigus ou rapidement mortels, les cas d'immobilité, les cas de rémission ou de guérison, quelle que soit la
nement relativement à l'affirmation de '1\[' Pierret concernant des cas de paralysie générale sans encé- phalite inters
effet, guériraient-ils plus si on les prenait à temps, et, en tout cas , les nombreux dangers qu'ils font courir à autr
tielle, limitée, est un' moyen de formuler ses conclusions dans les cas de difficulté ou d'impossibilité d'un diagnosti
iques (type Falret) sans hallucination. Il faudrait encore, dans ce cas , distinguer des persécuteurs per.é-' cutés faci
y a le persécuteur d'occasion, pour ainsi parler, qui représente le cas le plus délicat : ce sont souvent des malades c
ée ou autre; il y a lieu de se demander seule- ment, en présence de cas semblables, si le malade a agi sous l'in- fluen
de dégénérescence démontrant une organisation anormale; dans ces cas on demandera les circonstances atténuantes. Quant
dernières ne pourraient se baser que sur l'examen physique dans ce cas . Nous pouvons du moins exprimer ici le désir que
dre commun. Or, ce sont pré- cisément ceux-là qui intéressent comme cas discutés et embarras- sants. Malgré que M. Falr
folie. On récompense un fou qui fait une action d'éclat, il est des cas où un délit commis par lui pourrait entraîner u
la plus grande efficacité a été reconnue. Seul ou mêlé, suivant les cas , à la digi- tale, au fer, à l'arsenic, il a con
employée avec l'hydrothérapie, qui a été reconnue dans bien des - cas comme un puissant adjuvant de la médication '. »
On en peut distinguer à ce point de vue différentes catégories. Les cas d'infirmités plus ou moins graves, compliqués d'é
rature n'est générale- ment pas modifiée ; cependant, dans quelques cas , les auteurs ont trouvé des oscillations thermo
- rique et de déchets organiques. M. Magnan rappelle que dans ces cas la dilatation pupillaire pro- dromique s'accomp
itial de la température comme M. Mairet. Il signale en terminant le cas possible d'attaques bulbo-spinales sans participa
oprement dit ni perte de connaissance par suite, il en a observé un cas très net chez une femme âgée. M. COCT.\G;o1E cl
s à l'étranger se multiplieront ; la proposition Reinach a prévu ce cas , mais n'y obvie pas, car elle prescrit une simp
. M. Weill fait observer que la fièvre typhoïde n'a dans tous ces cas ni plus ni moins d'action que tous les processus
alisation éveille l'idée de la pellagre, l'auteur croit que dans ce cas l'in- fluence de l'état du système nerveux doit
orte que deux observations à l'appui de sa façon de voir ; dans ces cas les malades n'ont rien fait pour devenir paralyti
mort rapide et la cachexie paralytique. M. REY. - Trépan dans un cas de paralysie générale. Il y a tout lieu de croi
poussée jusqu'à la difformité, s'observe dans plus de la moitié des cas . Les fosses nasales sont presque constamment le s
lle des cornets. » M. le D1] CHAUMIEZ fait une communication sur un cas d'halluci- nations persistantes de la vue, liée
l'atropine, la cocaïne, l'alcool, dont nous avons observé plusieurs cas dans notre pratique médicale s'en rapprocheraie
Leur usage est encore nécessité par l'insuffisance, dans certains cas , de l'instruction professionnelle des gardiens ou
- Présidence DE M. BoUCHEREAU. M. ROUILLARD lit une note sur trois cas de troubles cérébraux consécutifs à la scarlati
e de compte pour expliquer l'excitation. Il a observé lui-même deux cas de délire aigu au début de la scarlatine. Une s
té inférieure gauche et en particulier du pied. M. Oppenheim ? Un cas de lésion combinée des cordons de la moelle épi
inquante à soixante séries de cellules à l'état normal. Or, dans un cas pathologique, on en a trouvé vingt-cinq atrophiée
t-cinq atrophiées; l'atrophie du groupe entier était complète en un cas d'atrophie du noyau de l'oculomoteur commun, le
les deux autres noyaux ayant été épargnés. , M. SIEMERLING, - Un cas d'hystérie grave avec aliénation mentale. A l'a
processus dégénératif. 270 O ' SOCIÉTÉS SAVANTES. M. SPERLING. - Cas insolite de dystrophie musculaire progressive (
dinaire. Publié dans Centralb. f. Nerven- heilk. M. SPERLING.- Un cas de dysti-ophiemiisculaire progressive en ayant,
ce du 8 avril 1889. - PRÉSIDENCE de M. W. SANDER. M. Siemerling. Un cas de névrite alcoolique avec myosite. Une femme d
ns des nerfs et des muscles sont simultanées. M. OI'PE1VI1G1M. Un cas de tumeur cérébrale. Mémoire publié à part. M
minées. Contrairement à ce que disent les livres, l'auteur a sur 30 cas de cette maladie, confirmée par l'au- topsie ou
examen clinique bien fait, observé des troubles vésicaux. Dans six cas seulement, ceux-ci man- quaient totalement. Le
été au Xe congrès international de médecine (1890). M. Mam. Trois cas d'altération du nerf optique à la suite de lési
perdu la mémoire des faits récents. MM. Bernhardt et KItoIVTfIAL. - Cas de névrose traumatique avec autopsie. Voy. le N
scher et non pas seulement dans la chorée. M. POLLEN- BKRG. En tout cas pas dans le noyau lenticulaire normal. \l. SIE-
rement un délire systématique, par une gra- dation progressive. Ces cas sont assez rares, mais ils démontrent que la fo
, p. 271 et suiv. 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. tiques. Le nombre de ces cas est de 28, ce qui représente à peu près 8 à 10
éunis dans le même complexus morbide (Kahlbaum, Kroepelin). En tout cas , la stéréotypie des attitudes et des mouvements
'influenza des psychoses paralytiques et hystériques, ainsi que des cas de folie systématique. Mais celle-ci préexistai
ion héréditaire ou individuelle. L'in- fluenza n'est donc, en aucun cas , la seule cause psychopathogéné- tique. Nous te
n avait affaire à une toxine, on obser- verait plus fréquemment des cas graves de démence aiguë. Enfin, il semblerait q
e l'influenza n'a pas d'importance; nous n'avons pas vu non plus de cas de démence aiguë. M. FtscHER signale des troubl
celle-ci a très peu sévi sur les malades agités. M. Kuhnen. - Un cas de contagion psychique terminé par complète gué
stance intermédiaire aux raies devient plus obscure ; en cer- tains cas , les prolongements prennent une apparence plus ho
e toutes les cellules du noyau sont affectées. M. KtOEusEft. - Un cas de porencéphalie. L'anatomie pathologique de ce
M. Iladden, dans une monographie basée sur l'observation de douze cas , décrit une affection caractérisée par des mouvem
ête. Quelquefois le nystagmus est unilatéral ; enfin, dans certains cas , au lieu d'être horizontal, il était vertical : i
pendant les périodes d'accès. BIBLIOGRAPHIE. 289 Dans plusieurs cas a été constatée, au moment de la crise, une sor
on réflexe de la période active de la dentition peut, dans certains cas , donner naissance aux secousses de la tête ou l
entition. Les traumatismes de la tète, qu'on a rencontrés dans sept cas , paraissent constituer tout d'abord une donnée
ieure au traumatisme. Le Dr Hughlings Jackson a émis l'idée que ces cas sont une variété de chorée spinale. M. Hadden r
une variété de chorée spinale. M. Hadden rattache à l'épilepsie les cas où s'est rencontrée de la perte de la conscienc
on, peut paraître excessive, et l'on est tenté d'étendre à tous les cas ce que l'auteur affirme de quel- ques-uns, c'es
e la maladie peut être tiré du traitement : en effet, dans tous les cas , le bromure de potassium a eu une action effica
s le New-York medical Journal du 30 août 1890, l'auteur a décrit un cas de démence avec paranoia dans lequel les halluci-
ne excitation plus ou moins prolongée du lobe oc- cipital. Dans les cas de migraine, elles seraient dues à des spasmes
nce le système nerveux périphérique. Mais lors- qu'il s'agit de ces cas où toute cause fait défaut, la difficulté est p
ir être infirmé par l'examen mi- croscopique. Ce n'est que dans les cas où prédomine l'élément douleur avec ses formes
loeli et Marinesco : syphilis du système nerveux; Dr Sioli : sur un cas de cécité corticale avec troubles du toucher; Dr
uction légère et qui abrite onze ménages, avait pris feu. » . Les cas de ce genre sont malheureusement très communs. Le
sucré. Mais le dernier mot n'est pas dit à cet égard. Dans tous les cas , il existe toujours jusqu'ici un diabète, ma- l
CLINIQUE NERVEUSE. l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas , les troubles nerveux ont été mis sur le compte
MM. Raymond et Oulmoutb, était bien de nature à faire songer à un cas de tabes vrai. En réalité, la méprise a été com
riode du tabes peut avoir une composition normale... Dans plusieurs cas , nous avons observé la présence du sucre. Génér
» De son côté, Eulen- burg3 relève (n° 12 de ses 125 tabétiques) le cas d'un malade atteint de tabes vrai dont l'urine
a discussion qui suivit, Sénator affirma qu'il ne connaissait aucun cas de ce genre. L'année suivante, Reumont publia
sait aucun cas de ce genre. L'année suivante, Reumont publiait un cas ana- logue à celui d'Oppeinheim et rischer à so
nstatée par divers auteurs. Eulenburgne l'a vue qu'une fois sur 125 cas de tabes. Un de nous, dans l'urine de 50 tabéti
-il nulle- ment démontré qu'il se soit agi vraiment dans tous ces cas de glycosurie tabétique. Quelque rare qu'elle s
iabétique ? Nous ne le croyons pas. Nous pensons que, dans certains cas , l'interprétation doit être toute différente. I
point toujours dire pseudo-tabes diabétique. Il est en un mot des cas , où le tabes vrai et le diabète sucré coexisten
, côte à côle, chacun pour leur propre compte. Il s'agit, dans ce cas , de deux entités distinctes, indépendantes, sim-
roupe (glycosurie tabétique) il convient d'en Cliat-cot. - Sur VA ! cas de paraplégie diabétique. (Archiv. de Neurol.,
'ataxie locomo- trice progressive. Les deux familles sont dans ce cas représentées chez le même sujet sans qu'il y ait
au point de vue pathologique sa double origine. Je crois que des cas semblables doivent exister ; reste à savoir si
ans l'avenir, viendront me donner raison. » Eh bien ! ce sont des cas de ce genre que nous apportons ici pour essayer
at morbide nerveux chez le fils d'un diabétique. Zimmer rapporte le cas d'un jeune diabé- tique dont le père était névr
bservé que chez les ascendants de diabé- ' Jordao. Considér. sur un cas de diabète sucré. Th. de Paris, 18 : ï7. - Estu
que des rapports du même ordre. MM. Landouzy et Ballet citent six cas de tabes où il n'y avait que l'arthritisme (rhu
loppe dans les cordons postérieurs les scléroses que, dans d'autres cas , on observe sur d'autres organes. » Faut-il men
observations et nous arriverons à catégoriser, avec exactitude, les cas où la transformation est l'exception, et ceux,
cé, car il repose également, au moins dans le plus grand nombre des cas , sur un fond de tristesse. Magnan', dans ses
t cependant que « le délire de persécution constitue, dans quelques cas , une forme spéciale d'aliénation mentale ayant
Berry ont dis- paru après l'assassinat du duc, et ainsi dans chaque cas . Mais quand, après avoir écouté leur récit, on
otable de l'intelligence. La démence vraie ne survient que dans les cas de complication accidentelle (hémorrhagie céré-
- brale, ramollissement du cerveau, etc.) : j'en ai rencontré des cas . ' (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE IIEMIATROPHI
qu'en 1884, Lewin 4, dans son étude très détaillée, en énumère 70 cas publiés antérieurement ety ajoute une observation
iffre n'est pas parfaitement exact. Lewin ne fait nulle mention des cas de Plasher1, Story2, Charcot et des deux cas de
fait nulle mention des cas de Plasher1, Story2, Charcot et des deux cas de Jessop et Brown'. Par conséquent, son observ
n recueillir, dans des sources qui m'étaient accessibles, encore 40 cas publiés depuis le mé- moire de Lewin, c'est-à-d
rêt de premier ordre; c'est pourquoi je juge à propos de publier le cas suivant : S..., jeune fille de vingt-cinq ans,
met de voir qu'on a fait entrer dans le même cadre, d'une part, les cas où des phénomènes atrophiques étaient limités à
ation séparément et d'apprécier toutes les particularités de chaque cas . Toutefois, une pareille tâche est trop étendue
re actuellement, d'au- tant plus que dans un nombre considérable de cas rapportés, nous ne trouvons ni la précision néc
usieurs bran- ches du nerf trijumeeu. Ici s'adapte, par exemple, le cas rap- porté par Dekhtereff (voy. ci-dessus la li
jusqu'à la suture lambdoïde, le long du nerf sus-orbitaire. Dans le cas de Kolaczek, nous avons aussi des douleurs, des
t à fait ana- logue. On ne saurait presque douter que dans tous les cas cités, il s'agit d'une affection périphérique i
c les maladies de ce dernier système qu'il faut considérer tous les cas que je viens de citer. L'atrophie faciale, ne d
en que, abstraction faite de la catégorie considérée, le nombre des cas d'hémiatrophie faciale progressive diminue cons
é affecté. Ce der- nier fait nous autorise à ne pas exclure dans le cas cité, la pos- sibilité d'une origine centrale d
par l'autopsie ' ; toutefois on trouve dans la littérature quelques cas si soigneusement étudiés et si exac- tement déc
se de maux de tète, de vertige, et il s'ensuivit une attaque ' Deux cas avec autopsies apportés par Pissling et Jolly, vu
cette opinion dans toute son étendue sans qu'on puisse nier dans le cas présent l'origine intracranielle de la maladie.
morbide. Si l'on consulte la littérature ancienne, on y trouve des cas tout à fait analogues, je fais allusion au cas
nne, on y trouve des cas tout à fait analogues, je fais allusion au cas rapporté par Parry où les phénomènes atrophique
ôté gauche de la face apparu- rent après une hémiplégie gauche, aux cas de Pissling, de de Graefe, etc. Dans tous les
gie gauche, aux cas de Pissling, de de Graefe, etc. Dans tous les cas de cette catégorie, il s'agit, je crois, d'une
nique, d'une part, et, d'autre part, ses particularités dans chaque cas singulier. On n'a examiné jusqu'à présent que c
stant la dilatation de la pupille. Il en est de même pour le second cas rapporté par Seeligmuler, et dans lequel se produ
. Des faits pareils sont loin d'être isolés. Brunner a observé un cas d'hémiatrophie faciale progressive gauche dans
sympathique gauche causait de la douleur. Friedenthal a publié le cas d'une fille de quatorze ans, atteinte d'atrophi
'influence du système nerveux vaso-moteur. Romberg nous décrit deux cas analogues dont l'un avec pâleur s'étendant jusq
tation violente par le courant interrompu. - ' Ce qui, dans notre cas , contribue éminemment à éclaircir le caractère
us, c'est surtout dans l'affection du nerf sympathique que, dans le cas présent, il faut rechercher la cause du mal. A
tefois, ce qui précède ne nous autorise pas à conclure que tous les cas concernant l'atrophie progressive de la face pu
aso di hemiatrophia progressiva faciei. Lo speriment, 1885. (Quatre cas ). `VAitVFINGE. - EU fall af f Hemiatrophia faci
letins de la Société des aliénistes à Saint- Pétersbourg, 1886. (Ce cas a été décrit auparavant par RFPMAN,4. Voy. les
che Alitlheiluiiqen. Alicnch. med. Wochensch., 1886, n° 14-16 (deux cas ). SUCKLING. - Unilatéral progress. facial atrop
Ueber Hemiatrophia facial, progress. Inaug. Diss. Bonn. 1888 (deux cas ). EsTOR. Hémiatrophie faciale. Revue de méd., 1
nde, 1889, n° 10. 11ALT. - Le Progrès médical, 1889. ' BLUME.\AU. Cas d'atrophie faciale unilatérale. (Messager de Ps
Fid., 1890. HOSPICE DE la Salpêtrière. - SERVICE DE M. CHARCOT. CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE BRACHIALE TOTALE; Par
- L'hypothèse la plus simple à faire et qui s'adapte le mieux à ce cas , c'est qu'à la suite du traumatisme dont nous a
par- ticulier par ceux de Erb, de Mllo Klumpke, Prévost, etc. Ce cas méritait donc d'être rapporté d'un côté, parce qu
distance qui sépare ces derniers du siège de la lésion.' Dans le cas qui nous occupe, on a constaté un abaissement d
ble de tirer aucune conclusion de ce fait, étant donné que dans des cas analogues, les auteurs ont noté un abaissement
, DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÙRIE MALE. 375 .1 i en tout cas n'a joué aucun rôle dans sa production puisqu'ell
quelques auteurs récents. ' Enfin, à propos de ces deux nouveaux cas d'hystérie mâle, nous croyons utile de rappeler
ux nouveaux cas d'hystérie mâle, nous croyons utile de rappeler les cas que nous avons publiés antérieurement. Ils ont
étone et de 2 parties de mercaplan éthylique : on obtient dans ce cas le mercaptol éthylique d'après la réaction suivan
ons diverses a obtenu le sommeil 7 fois sur 10 et toujours dans les cas d'insomnie nerveuse. Le résul- tat était incert
ns. ' Otto a expérimenté le sulfonal comme calmant, dans certains cas d'excitation prolongée et à doses fractionnées de
nal surl'appareil gastro-intestinal a été nulle, sauf dans quelques cas où la dose administrée a dépassé 3 grammes. La
dépassé 3 grammes. La motilitc a été nettement touchée dans deux cas (dose 5 grammes). Au réveil on a parfois cons-
LI, oct. 1890.) Le ganglion de Gasser a été examiné dans trente-six cas de mala- dies diverses, et l'on a trouvé quelqu
de ces éléments nerveux ainsi que de petites hémorrhagies; dans un cas d'herpès du trijumeau, Wyss et Kaposi ont trouv
grande valeur. Les troubles du ganglion spinal ont été vus dans un cas d'herpès soster. Des lésions du ganglion cardia
r. Des lésions du ganglion cardiaque ont été trouvées en différents cas : anévrysme de l'aorte, hypertrophie du coeur,
entement ascendante. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALB. 403 Sur ces 668 cas de paralysie générale, aucun n'a été observé av
démence paralytique, se montre une progression croissante dans les cas d'alcoolisme. De plus, si on fait le relevé des p
ussi observe-t-on assez souvent chez eux comme chez les laïques des cas d'aliénation mentale simple. Donc, s'ils sont rar
comme la toxhémie typhi- que, mais chez des sujets prédisposés. Les cas de Roehring témoi- gnent d'une déchéance physio
fibres qui ne sont pas encore totalement détruites. P. K. XIX. UN cas DE paralysie DE PLUSIEURS NERFS crâniens ; par
1. Séance du 28 juin 1890. Présidence DE M. PEL111N. M. PRiE. Un cas d'aliénation mentale dans la névrite multilocu-
de ! lIispelhaum '. M. NOETEL a observé à l'asile d'Andel'l1ach six cas de psychose consécutive à l'influenza; dans tro
del'l1ach six cas de psychose consécutive à l'influenza; dans trois cas , l'influenza joua simple- ment le rôle d'une ca
L'influenza a-t-elle produit l'aliéna- tion mentale ? . En aucun cas , elle n'a suffi à déterminer la folie; elle a don
inissent par se réunir en une surface commune. M. ZACFIER. - Deux cas de paralysie générale aiguë. La première observ
paralysie géné- rale dura environ deux mois et demi. Dans les deux cas , les vais- seaux et le tissu interstitiel n'éta
des fibres SOCIÉTÉS SAVANTES. 417 myéliniques. Il existe donc des cas de paralysie générale ayant pour substratum ana
ostérieur devait être rétréci, ainsi que je l'ai démontré en pareil cas . m. PELMAN. Ne serait-ce pas une maladie infectie
420 SOCIÉTÉS SAVANTES. tement disparaître l'épilepsie qu'en un seul cas ; chez 5 p. 100 des sujets, les attaques diminuè
tique. , ' Discussion. M. NEUE : -IDORFF (de Bernbourg). C'était un cas de catatonie ; le rapport entre l'hémorrhagie r
iénés. 422 SOCIÉTÉS SAVANTES. . Discussion. M. NEUENDORFF cite un cas de suicide imprévu chez un malade aliéné depuis
nce du 9 juin 1890 '. Présidence DE M. W. SANDER. M. KRONTHAL. Deux cas anatomo-pathologiques remarquables de la moelle
éance du 14 juillet 1890. - Présidence DE NI. SANDER. M. MENDEL. Un cas de paralysie de plusieurs nerfs crâniens. Voy.
de formation, notamment aux mains et aux doigts. ' M. Lei-,4. Un cas médico-légal d'abus de la cocaïne. Voy. Neu- ro
sem- blables, pas d'équivalents épileptiques. M : MITTENzwEIG. Ce cas n'a pas trait à une psychose; ce sont des troub
de l'entretien, de la bonne tenue des malades, et au traitement des cas suraigus et des mala- dies incidentes. Un servi
et que secondent des internes, le médecin-adjoint n'est utile qu'en cas d'absence ou de maladie, durant le mois de cong
pour eux. Le rôle de cinquième roue de carrosse, utile seulement en cas d'accident, attribué jusqu'ici aux médecins adj
mination au grade de médecin en chef, ni son il traitement en aucun cas , ni sa pension de retraite. La carrière des asi
loi ce summum jus n'est-il pas une summa injustitial Dans tous les cas le découra- gement du corps de l'adjuvat est de
s ce genre d'exercices et de distractions. Il en sort dans tous les cas aigri, car il a souffert tout le temps du rôle
oncours de l'adjuvat même pour la région de la Seine. Dans tous les cas il serait équitable de conserver les droits acq
physiolo- gique; et se montre développé 'à l'extrême dans quelques cas pathologiques, ainsi qu'il appert d'excellentes
relatifs à la respiration et à la nutrition. C'est dans ce dernier cas qu'apparaissent des phénomènes d'une complexité i
atténuée ou de l'irresponsabilité, l'auteur pense qu'en dehors des cas où l'aliénation est manifeste, on doit se montrer
est si peu dangereux et que cela guérit sans douleurs dans quelques cas , par le traitement de l'auteur. P. S. VARIA
apable de se subvenir à lui-même. Ceci est encore plus vrai dans le cas d'une personne, homme ou femme, qui, lorsqu'elle
é de prendre ce qui se trouve, le tra- vail obtenu dans beaucoup de cas devient une cause d'épuisement physique et mora
re ne peut avoir ici qu'une légère influence. Presque 30 p. 100 des cas d'idiotie et d'imbécilité ont pour cause et sont
es infectieuses et accidents après la naissance. Toutefois d'autres cas sont dus à une peur soudaine ou aune lésion pro
chiffre irait en augmen- tant d'année en année. L'augmentation des cas de suicide serait en rapport direct avec la civ
permettant d'être eux-mêmes un peu des experts. (Semaine méd.) UN cas DE fulguration. La Lancet rapporte le cas suivant
xperts. (Semaine méd.) UN cas DE fulguration. La Lancet rapporte le cas suivant. Un coup de foudre atteignit un homme c
les maladies men- tales, par Roscioli, 227. Astasie-abasie (deux cas d'-), par Bonamaison, 93. ATHOPIXE et duboisi
s d'or et de so- dium dans la -, par Boubila, 259; trépan dans un cas de - , par Rey, 260 ; à Gheel, par Peeters, 4
60 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
DES MALADIES DU srSTtMEEREU. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE). SUR UN CAS D'HEMISECTION TRAUMAT1QUE DE LA MOELLE 1 (SYN
mière leçon du Vendredi de la présente année scolaire, l'étude d'un cas pathologique qui offre de l'intérêt à un triple p
ciété de biologie, 1850, p. 10 et Gazette médicale, 1850, p. 556. - Cas de perle de la sensibilité d'un côté du corps et
ogie, 1868, t. 1, p. 160 et 116 et 1869, t. 2, p. 236 et M3. SUR UN CAS D'UÈMISt'CTIOX 'lli1U1111TIQUE DE LA MOELLE 3 é
a continuité, soit par une tumeur - cela se voit notamment dans les cas de gliomatose et de syringomyélie- soit par un fo
ue. Il y a deux ans, j'ai consacré une de mes leçons à J'étude d'un cas où le syndrome de Brown-Séquard était vraisembl
istoire, puis je tâcherai de faire ressortir l'intérêt qu'offre son cas au triple point de vue déjà mentionné. 4 F. RAY
mon a été entamé, car immédiatement après l'accident, le ma- SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 5 lade a
vait une ligne légèrement festonnée. Il avait de la peine il SUR UN CAS D'il ÉMIS ECT10N TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 7 tou
- La partie ombrée correspond au territoire d'hypoesthésie. SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE Enfin le
che. Vous voilà au courant de toutes les circonstances cliniques du cas . N'avez-vous pas été frappés, messieurs, de la
n de la moelle pratiquée sur un chien, un cobaye ? N'est- ce pas le cas de dire que l'attentat dont a été victime cet hom
e l'exagération des réflexes tendineux, ce qui est la règle dans le cas d'une section incomplète de la moelle, d'une se
s troubles moteurs et sensitifs {Syndrome de Brown-Sequard). SUR UN CAS D'llÉMISEC'rION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE il [ t
TRAUMATIQUE DE LA MOELLE il [ tenant, je puis vous certifier que le cas de notre malade constitue en quelque sorte un d
part de l'exagération de la il, PAUL HICIIER déformation dans les cas pathologiques, il y a lieu néanmoins d'attirer
DESCRIPTION DU TYPE ET CONSIDÉRATIONS PATHOGÉNIQUES AU SUJET D'UN CAS NOUVEAU par z HENRI MEUNIER Chef de laborat
entale à la tératologie (Dareste). L'observation pure et simple des cas spontanés doit également apporter son contingent
culatoire et du système nerveux central. Ainsi comprise, l'étude d'un cas tératologique est susceptible de recouvrer de l
à des recherches comparatives. Avant d'aborder description de notre cas personnel, qu'il nous soit permis de rappeler l
intéresser un, deux,«trois (2) ou les quatremembres : dans ce dernier cas , elle constitue ce qu'on appelle l'Ange. L'Am
rnant un pareil sujet, on n'est pas loin d'être édifié sur tous les cas observés, tant il est vrai que les monstruosités
e la curiosité publique, et par conséquent le don d'exciter, (1) Un cas célèbre de phocomélie quadruple est celui de CAZO
rare : la bibliographie médicale n'en mentionne qu'une trentaine de cas (1), dont nous avons pu analyser 22 dans leurs,
avons pu analyser 22 dans leurs, mémoires originaux. Les différents cas d'amèles décrits par les auteurs ne se rapporte
? 1blio[jI ? Senr.o, Ldtz et JACKSON). x 2 Fig. 1. Amèle parfail ( cas de Uuck) : Fille de quatorze ans, dont les quat
es cav ités cotyloïdes faisaient également dé- faut, ce qui rend ce cas particulièrement extraordinaire. (Fig. 6.) 9. G
main (appendices digitiformes, articulés, ongles) ; dans le premier cas nous di- rons qu'il s'agit d'une amélie à tenda
ce phocomélique. Cinq exemples : 1. Musée de GorTTINCrN, 1791. Ce cas , mentionné par Forster, se rapporte à une estam
os orteil. (Fig. 10.) 5. Le cinquième exemple concerne notre propre cas ; nous allons en donner la courte histoire : O
bauche rudimentaire d'orteils que nous nous appuyons pour ranger le cas parmi les amèles im- parfaits à tendance phocom
ses, qui devaient peut-ètre subir l'ossification, mais qui, dans ce cas , étaient très en retard sur les pièces terminal
dra- matiques dans lesquelles elle s'est produite : dans un de ces cas ,la mère du monstre avait eu, quinze mois aupara
u monstre, presque toujours aux premier et deuxième mois (tel notre cas ) ; nous n'insisterons pas davantage sur cette thé
la place des membres absents. Cette théorie est plausible pour les cas où les moignons renfer- ment des os dont la dia
uement interrompue, mais elle pa- raît difficilement applicable aux cas d'amélie que nous avons rapportés et au nôtre e
tre trophique du membre. Cette théorie invoquée par Brandt pour son cas d'amélie, n'a été jusqu'ici éclairée d'un examen
lie, n'a été jusqu'ici éclairée d'un examen anatomique que pour des cas d'ectromélie partielle. Sur deux embryons humains
En vé- rité, celte recherche n'était nullement facilitée dans notre cas , du fait de l'anomalie quadruple; au contraire.
NARD;'1893.-==-- Pl'écs de tératologie, p. 349. VARIOT, 189. - Deux cas d'hémimélie, avec examen de la moelle, J. de Clin
après un moulage en plâtre. La 3e photographie d'après nature. UN CAS D'HËMIMËL1L CHEZ UN FILS DE SYPHILITIQUE par
membres; le terme plus particulier A'Hémimélie est réservé pour les cas où le segment basilaire d'un membre existant et a
court, terminé le plus souvent par des doigts imparfaits (1). Ces cas d'ectromélie sont assez rares, pour qu'il y ait t
LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX X UN CAS D'HÉMIMÉLIE CHEZ UN FILS DE SYPHILITIQUE 33 Le
spon- tanée des membre in ntéro, elle s'applique, non seulement aux cas où le segment terminal du membre est absent, ma
aux cas où le segment terminal du membre est absent, mais aussi aux cas où persiste, comme dans l'observation qu'on Aie
i de cette thèse, M. Ma- thias-Duval fait valoir que dans les rares cas où l'on a communiqué le résultat de la dissecti
nements accidentels pour qu'on put admettre celle théorie dans les cas où l'ectromélie porte sur plusieurs membres en
a régénération n'est qu'une hypothèse, la coïncidence entre certain cas d'ectromélie, une altération des filets nerveux e
de où est la cause, où est l'effet, si la lésion médullaire dans le cas d'ectromélie est consécutive à l'anomalie des m
t la naissance, comme (1) Voir Presse médicale. 1896, 19 août. UN CAS DE HEMIMELIE Chez un enfant heredo-syphilitique
hez un enfant heredo-syphilitique. MASSON & Cie, Editeurs. UN CAS D'III : 1111111ÉL1)J CHEZ UN FILS DE SYPHILITIQUE
es inférieurs. Aussi nous croyons-nous autorisés à admettre dans le cas d'hémimélie que nous présentons, l'hypothèse d'
l'expérience. Nous montrerons ensuite les résultats obtenus dans un cas d'anomalies digitales.. Lorsqu'il s'agit d'op
semblables à celles qu'il portait lui-même. Les opérations, dans ce cas , ne sont donc pas des opérations de complaisance,
is par la radiographie suffisent à lever tous les doutes. Dans le cas que nous avons examiné, la chirurgie n'était pas
t il suit la flexion et l'extension. Mais, -selon la règle dans les cas de polydactylie cubitale, le doigt surnuméraire n
l'orteil surnuméraire paraît n'avoir que deux segments osseux. Les cas de polydactylie ne sont pas très rares. Polaillon
trois phalanges est au contraire une rareté et, à cet égard, notre cas méritait d'être signalé. Quant au mode d'articu
Telle est bien la disposition que présente notre sujet. Mais dans le cas de Morand les doigts supplémentaires n'avaient
ibreuses, ou même se souder complètement entre eux. .. Dans notre cas , l'accolement des phalanges et des phalangines re
à manche recourbé dont l'utilité semble bien problématique pour le cas actuel ; mais leur présence a paru nécessaire il
t les opérateurs aient l'air de les employer dans ce but. Dans le cas présent, tout cet attirail professionnel n'est là
s quel- ques succès merveilleux justifient toutes ses audaces. Le cas dont nous voulons parler aujourd'hui est un cas m
tes ses audaces. Le cas dont nous voulons parler aujourd'hui est un cas malheureux ; non pas qu'il doive grossir le chi
n de là. La chirurgie seule peut donner une lueur d'espoir dans ces cas désespérés; et les indications d'opérer sont fo
diagnostic de la localisation est basé dans l'immense majorité des cas sur le syndrome de l'épilepsie jacksonnienne; il
tique, simplement surajouté à ceux de la lésion diffuse. C'est à un cas de ce genre que nous avions affaire. Il est jus
rare occa- sion de satisfaction opératoire. , Voici l'histoire du cas : M... était un homme robuste de 28 ans, exerça
fois chez les épileptiques âgés et allléromateux. Ce n'était pas le cas . D'autre part, la coïncidence de la céphalée et
long des artérioles nourricières issues de la méninge. Tel est le cas . Le résultat de l'autopsie ne nous a nullement
aux maladies de l'encé- phale. La crâniectomie bilatérale, en tout cas , ne saurait être conseillée comme un procédé de
ilepsie est justiciable de la trépanation, c'est seulement dans les cas où elle est un élément de diagnostic accessoire,
signalés par Fiirstner et Zacher (1) qui ont rapporté, en 1883, un cas des mieux étudiés de syringomyélie avec autopsi
1883, un cas des mieux étudiés de syringomyélie avec autopsie. Leur cas est intéressant en ceci, c'est que les troubles
hiv. sur Psychiatrie, t. XIV, 1883. DE LA MAIN SUCCULENTE 85 d'un cas de syringomyélie qui avait envahi surtout la comm
t posé le diagnostic de syrin- gomyélie. Massius (1) a vu dans un cas de syringomyélie que le dos des mains était t t
ion élevée que l'on donne aux membres supérieurs. (1) Massius, Un cas de syringomyélie. Annales de la société médico-ch
qui pouvaient être comparables à ceux que je vais décrire. C'est un cas d'oedème et avec cyanose des mains, des pieds et
ué que la main gauche de sa malade (il s'agissait bien entendu d'un cas de syringomyélie), très large, très épaissie, éta
3eruhardt présente beaucoup de ressemblance avec la nôtre. Dans son cas , qui a trait à un malade âgé de 20 ans, l'extré
les delà sensibilité, chez Gass., sont ceux qu'on constate dans des cas semblables ; le malade présente la dissociation s
is chez cette malade contrairement ce qui s'observe dans les autres cas , la peau de la face dorsale est un peu calleuse
la moitié inférieure de la face dorsale du poignet, comme c'est le cas pour Corr.... ou bien s'étendre sur toute la face
e laisse pas voir les espaces interosseux comme cela sevoil dans un cas d'atrophie vulgaire. Mais celle main potelée es
. Le squelette ne présente pas de modifications apparentes. Dans un cas que j'ai pu étudier il l'aide des rayons de Roe
etdes doigts (1) M. Oppenheim a bien noté la sclérodactylie dans un cas de syringomyélie. DE LA MAIN SUCCULENTE 103 q
et, la présence de ce seul symptôme, permet dans un grand nombre de cas , de poser le dia- gnostic de syringomyélie. D
es trophiques atteignant les extrémités qui pourraient, dans certains cas , donner lieu il une confusion. Et tout d'abord,
bleu hysté- rique. La température locale est abaissée dans les deux cas et dans lous les deux il peut exister, ainsi qu
e assez grande quand le hasard mettra le clinicien en présence d'un cas d'oedème hystérique avec atrophie musculaire. M
on de la main. Pas de déviation vers le bord cubital. Dans un autre cas de névrite dite ascendante, survenue à la suite
comme dans la main succulente. Les ongles présentent dans certains cas des bandes pigmentées et les extrémités des pre
on se rend compte de l'induration de la peau ; enfin dans quelques cas , si on dirige le regard vers la figure du malad
rtient presque en propre à la syringomyé- lie. Ce n'est que dans un cas d'hématomyélie qui a été puplié par noire maîtr
s prononcé avec cyanose de la face dorsale de la main. Même dans ce cas ,' la main affecte une attitude différente. C'es
produire des chiffres précis. J'ajoute cependant que j'ai trouvé 4 cas de main succulente sur 25 malades atteints de s
section sciatique détermine de l'aedène ; c'est sans doute, dans ce cas que la paralysie des vaso-constricteurs joue le r
ction de l'oedème. On a rencontré également,et,j'en ai observé deux cas , l'oedème de la face dorsale des mains consécutif
des membres supérieurs. Du reste, on a observé de l'oedème dans des cas de polynévrite. L'oedème d'origine spinale est be
ambiant. (A suivre.) CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS DE CONTRACTURE HISTRO-TRAU1VIATIQUL. DES MUSCLE
t dans le service de M. le pro- fesseur Raymond, la Salpètrière, un cas de contracture hystérique survenue à la suite d
éprouvé de douleurs d'aucune espèce dans les membres inférieurs UN CAS DE CONTRACTURE UYSTÉRO-TRAUiIfATIQUE DES MUSCLES
DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET. INTERPRÉTATION D
Nous avons de même constaté des altérations médullaires dans notre cas , mais nous verrons l'in- terprétation qu'il con
44 centimètres, tandis droite elle n'est que de 40 centimètres. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 115 A 12 centimèt
de la face antérieure se trouve augmentée de telle façon que SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET U7 le fémur droit
et lombaire. Les colonnes de clarke ne sont pas atteintes. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 119 A noter encor
clérose pseudo-systématique de la moelle d'origine vasculaire dans un cas d'ostéite déformante de Paget ; prepar. au I)ic
. au I)ict-ocarLiiiii ; ocul. 1 ; ob. 1 variable (Verick). SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 121 croisé que le
ns dans les détails des examens microscopiques. A propos du premier cas il est noté à propos des cordons postérieurs :
don latéral une diminution des fibres à myéline. » Dans le deuxième cas les lésions sont plus accentuées. Elles portent s
terstitielle très proba- blement d'origine vasculaire. Dans notre cas , il s'agit, nous l'avons démontré, d'une sclérose
e l'hypertrophie est centrifuge. Remarquons néan- moins que dans le cas actuel l'épiphyse est plus atteinte que la diaphy
l l'épiphyse est plus atteinte que la diaphyse et contrairement aux cas où l'épiphyse est intéressée c'est ici l'épiphyse
t peu commune ; je ne l'ai rencontrée, bien évidente, que dans deux cas , où elle était du reste tout à fait nette, et j
décubitus dorsal nécessité par son affection. OBs. II. -Le second cas de mal de Pott dans lequel j'ai constaté l'exis-
est utile de chercher un remède à l'apophysal- gie. Dans nos deux cas , nous avons réussi à la faire disparaître par l'i
malades ; enfin, en mai 1890 (4), tablant sur une statistique de 100 cas nous disions : « 100 ataxiques à la période moy
ataxiques, si bien qu'il se produisit des accidents graves, même des cas de morl subite qui jetèrent sur elle le discréd
on est tou-. jours et facilement applicable. Dans la majorité des cas la force à déployer, mesurable à l'aide d'un dy
aite parmi les mala- des traités. Il faut savoir respecter certains cas de tabes. Tous les méde- cins ont observé des t
OELLE. ! 53 inutile d'intervenir par les moyens mécaniques dans ces cas dont l'évolu- tion modifie fort peu les conditi
pu se ré- tablir dans des conditions satisfaisantes. Dans tous les cas les symptômes oculaires ou bulbaires n'ont été
s, parésie vésicale et incoordi- nation motrice. A côté de ces 22 cas où le résultat a porté d'une façon générale sur l
cès pour 100 établi dans notre première statistique portant sur 100 cas de tabes traités par la suspension dans le servic
as excéder 5 1 8 minu- tes de durée ; elle peut être utile dans les cas où les phénomènes doulou- reux sont prédominant
léole volumineux est parfaitement sphérique et double dans quelques cas ; l'une des sphères chromatiques est alors plus g
sous forme de grains et de blocs inégalement colorés. Dans d'autres cas , la chromatolyse ne respecte plus qu'un segment l
es dans la moelle de l'homme que dans celle des animaux. Dans notre cas , la plupart des cellules des cornes pos- térieu
MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE). SUR UN CAS D'MÉM)SECT ! ON TRAUMATIQUE i . DE LA MOELLE ,
e plus en plus élevé. A. Dans un premier groupe, je vais ranger les cas d'hémisection de la SUR UN CAS D'HÉMISECTION TR
n premier groupe, je vais ranger les cas d'hémisection de la SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 167 moel
aux. Voici par exemple une observation de Reinhold (1). De tous les cas d'hémisection de la moelle, dont j'ai pu prendr
ouvrir la marche aux faits de 6 grou- pes. Il est vrai que dans ce cas l'expression clinique s'est notablement écartée
. Messerstich in das Ruclcenmarlc, etc., Memorabilirn, 1890. SUR UN CAS D'RÉ1111nECTlo\ TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 169 la
ord des fausses côtes, d'une largeur de 3 travers de doigt. Dans un cas relaté par Schultz (2), l'instrument tranchant a
ais il boitait; sa jambe gauche, atrophiée, était pendante. Dans un cas publié par Albrecbt (2), de Vienne, un coup de co
ation publiée par Joffroy, et Salmon (3) se rapporte également à un cas d'hémisection de la moelle au niveau de la 3e ver
ière, etc. Gazette médicale de Paris, 1872, nos 6, 7 et 8. SUR UN CAS D'RÉ11'(ISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE ni Au
ans ses leçons du mardi, a raconté en termes très pitto- resques le cas d'un sujet qui avait reçu un coup de couteau au v
che Zeitschrift sur Chirurgie, t. XXIX, p. 421. - (2) Gilbert. Un cas d' hémilésion de la moelle épinière. Archives de
eutsche Zeits- chrift für Chirurgie, 1881, t. XX, fasc. 5. SUR UN CAS D'UÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 113 veau
vertèbres cervicales. Erb, qui a été appelé à se pro- noncer sur ce cas , a diagnostiqué une hémisection droite de la moel
eresthésie persistait à droite. C. Un troisième groupe comprend les cas , où, du fait du niveau auquel la moelle se trou
ois devoir souligner l'amélioration rapide qu'on a observée dans ce cas ; au bout de six semaines,les troubles sensitivo-m
n, dans une observation de Brown-Sequard, qui concerne également un cas d'hémisection de la moelle, consécutive à un coup
) GASCIIL. Aerzllicher Localvel'ein, Nürnberg, 6 avril 1893. SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE nus droi
la hauteur et au niveau de la lu.' vertèbre cervicale. Or, dans ce cas , les troubles con- sécutifs se sont réduits à u
e et la 4e, in- téressaient exclusivement le côté droit. En cela le cas s'écarte donc du schéma classique. Je ne vous m
ard'sche a6 : <e ? ? 0t : . Inaugural-Dissertation, 1887. SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 177 névr
dollo spinale. Gazetta chir, di Palermo, 1879, nos 1 et 2. SUR UN CAS D'U111TSECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 179 26
exté- rieures » (1). Comme on le voit, rien de comparable dans le cas présent. Même en laissant de côté la déviation
eurs le début n'est pas le même ; ce- pendant Dupuytren rapporte un cas congénital, par certains points com- parables a
parables au mien, et qu'à ce titre je transcris : « Il s'agitdansce cas d'un jeune homme âgé de vingt et quelques années,
et par conséquent nerveuse con- vient heureusement à bon nombre de cas qui n'ont du rhumatisme chro- nique que l'appar
nombre de cas qui n'ont du rhumatisme chro- nique que l'apparence, cas de tous points comparables à la présente ob- se
s doigts en coup de vent, rétraction de l'aponévrose palmaire. » Le cas est au moins singulier et se rapproche beaucoup
ssi trouble trophique. Est-ce bien là l'explication qui convient au cas de M. Feindel ? Je l'i- gnore. Je me demande si
axe antéro-postérieur de la tête, répond dans près de la moitié des cas à la région de l'obélion, région remarquable par
nt que trois fois : j'ai pu obtenir une photographie de l'un de ces cas ; on voit de chaque côté de la ligne médiane une
e de la Clinique des Maladies du Système Nerveux. A propos d'un cas de maladie de Paget publié par l'un de nous (1),
l ils s'appliquent qui sont les plus visibles. (1) Léopold-Lévi. Un cas d'ostéite déformante de Paget. Nouv. Icon. de la
NGOMYÉLIES 203 ner celui de Thorburn qui s'est basé surtout sur des cas de fractures cons- tatées chez l'homme et ayant
e gliose. Ainsi ceci nous explique pourquoi dans un grand nombre de cas de syringomyélie la maladie débute par la therm
que la corne antérieure est touchée et comme dans la plupart de ces cas la cavité sy- ringomyélitique se développe suiv
cubital. Cette supposition correspond à la réalité des choses elle cas de Corr.... (obs. IV), en particulier sa main d
pré- férence ceux qui sont innervés par le cubital, comme c'est le cas pour le cubital antérieur qui est pris à l'avan
cette affection, des paralysies du type radiculaire, seulement son cas était d'un diagnostic difficile et cet auteur i
mble être atteint en première ligne, d'atrophie musculaire. En tout cas , et cela est très net chez Corr..., si l'atrophie
es postérieurs. Je crois pouvoir affirmer que dans un bon nombre de cas de syringo- myélie l'atrophie musculaire se pro
s les 11% III°, IVO et vue observations'de cetauteur. Dans quelques cas , comme dans les Iro, Ile et IIP observations de c
seurs se comporteront toujours de la même façon, car il existe des cas et j'en ai observé moi-même, où l'atrophie musc
avec cette marche ascendante de l'atrophie musculaire il existe des cas où celle-ci suit une marche inverse. Elle débute
que qui m'ont été fournies par l'étude anatomo-pathologique de cinq cas de syrin- gomyélie, je crois pouvoir conclure q
eur d'un ou des deux côtés. Ce ne sont pas du reste là les premiers cas de syringomyélie où cette atti- tude spéciale d
ent s'attendre à la rencontrer un peu plus fréquemment que dans les cas déjà connus. Aussi se croit-on obligé d'admettr
, c'est que la main de prédicateur peut : 'la se présenter dans des cas de pa- chyméningite compliqués de cavités dans
dentes que l'atrophie mus- culaire présente, au moins dans quelques cas de syringomyélie, un cachet spécial qui permet
à l'exclusion des autres segments du membre supérieur, car, dans ce cas , le mot d'atrophie segmentaire serait incorrect
fait admettre qu'on pourrait appeler l'atrophie musculaire dans ces cas de syringomyélie, atrophie segmentaire,c'est que
vcau de la lre dorsale, envahit la moelle dans un certain nombre de cas , segment par segment et détermine à son tour des
essivement envahissante de l'atrophie'mus- culaire surtout dans les cas de syringomyélie au. début, .je crois pouvoir 2
irer les conclu- sions suivantes : . 1. - Il existe dans quelques cas de syringomyélie, au début de l'affec- tion com
e qui méritera aussi de nous arrêter et permettra.de faire de notre cas un type de spasme professionnel ou plutôt post-
et une forme clonique plus rare à laquelle paraît appartenir notre cas , du moins à première vue. A une analyse plus se
terno- mastoïdien). C'est à ce type qu'apparliennent la plupart des cas publiés par les auteurs, notamment par Gauliez
ctionnels du cou. Une différence capitale sépare complètement notre cas de ceux-là. Chez ces malades la tête s'incline
res de l'autre. On a cependant observé, mais sans y insister, des cas de convulsion conjuguée du sternomastoïdien d'u
a bien une chorée rythmée qui se rapprocherait un peu plus de notre cas . Mais d'abord la chorée rythmée n'est pas la chor
des tics ou de névrose tiqueuse ? Nous en avons étudié ensemble un cas (3) il y a quelques années; il différait profon
de méd., 1886 et art. du Dict. encycl. des sc. médic., 1887. (3) Un cas de maladie des tics et un cas de tremblement sing
encycl. des sc. médic., 1887. (3) Un cas de maladie des tics et un cas de tremblement singulier de la tête et des memb
on voit agir un centre fonctionnel ». Nous retrouvons bien à notre cas les caractères du tic nerveux « c'est-à- dire u
er des règles... Donc, le fait que la conscience est, dans certains cas , prévenue des tics (du reste les déplacements m
sure. Il y a des tics psychiques vraiment mentaux, c'est-à-dire des cas dans lesquels la volonté faible d'un aboulique
ombien avez-vous au juste de boutons à votre gilet ? Ma foi, (1) Un cas de maladie des lies et un cas de tremblement sing
outons à votre gilet ? Ma foi, (1) Un cas de maladie des lies et un cas de tremblement singulier de la tête et des memb
tiques, avoir conscience de ces actes automatiques. Dans certains cas au contraire, il y a une sorte de dissociation en
ont purement polygonales : l'hystérie devient mentale dans certains cas ; elle ne l'est pas dans certai- nes manifestat
uand cet homme veut supprimer son tic, il y arrive dans beaucoup de cas : directement, en produisant un mouvement inverse
1 et 2) ou derrière le bâton qu'il met dans sa bouche. Et dans ces cas il déploie très peu de force. Quand au contra
entale que quand elle se complique, que dans la grande majorité des cas s'il y a des phénomènes psychiques, ce sont des
niq. médit, 1" série, 1891 : l'hystéJ'o-tl'a/l1nalisme, p. 101 ; deux cas d'hystérie provoquée par une maladie aiguë (fiè
e et d'une certaine unité. Après avoir analysé symptomatiquement le cas de notre malade, essayé d'en préciser la physio
C'est là aujourd'hui un gros chapitre bien établi, bien connu. Notre cas rentre-t-il dans ce groupe ? Evidemment non.
e du polygone est troublée, ne s'exécute plus normalement (c'est le cas de -l'écrivain, du pianiste...). Dans la variét
que semble bien être un acte répété, une habitude, comme dans notre cas . Ainsi un de ses malades fut « atteint du tic a
rme d'un tic rotatoire ». 238 GRASSET De Quervain rapproche de ce cas celui de Francis dans lequel « la posi- tion de
trombone donna lieu à un tic rotatoire ». Nous pouvons y joindre le cas de « tic de l'horloger » que Toby Colin (1) vie
1) vient d'observer à la policlinique du professeur Mendel. Notre cas n'est donc pas isolé. Son intérêt principal est d
(ou mental vrai) et le tic polygonal (faux tic mental). Beaucoup de cas étudiés par Brissaud sous le nom de torticolis me
sterno-cléido-mastoïdien, puis des muscles cervicaux) et cite sept cas guéris, trois améliorés et deux non améliorés.
oue un rôle pathogénique de premier ordre dans un certain nombre de cas d'infantilisme, mais non pas dans tous. Par consé
ment circonscrit. Mon intention est de vous faire voir que tous les cas d'infantilisme ne répondent pas à un type unifo
ISME MYXOEDÉMATEUX 241 âme, absolument et pour toujours. Tel est le cas de l'idiotie myxoedéma- teuse si parfaitement d
est-il cause ou effet ? - Ne doutez pas, Messieurs, que suivant les cas , il soit l'un et l'autre. Ainsi, je pourrais vo
l'infantilisme et de ceux du myxoedème. » (1) IIen'uy MEME. Deux cas d' hermaphrodisme antique. Nouvelle Iconographie
que la première impression soit trompeuse. Dans ces deux derniers cas les caractères sexuels secondaires ne faisaient
males ; mais tout fait croire qu'il était atrophié comme dans les cas précédents (1). L'examen impartial de ces 'fait
êtrière. ? 4. 1891. x 18 Fig. G.- Infantilisme myxoedé- mateux ( cas de lJeiâe re- cueilli dans le service du pro-
du pro- fesseur Brouardel). rig. j. iniummsuic myxoedémateux ( cas de Meige). 250 E. BRISSAUD myxoedème n'était
ar l'examen de ce malade à une conclusion différente. Il est peu de cas , je pense, aussi favorables à la démonstration
servation de MM. Marfan et Louis Guinon (Fig. 8 et 9) relative à un cas de myxoedème survenu chez un garçon de sept ans
e la persistance et de l'intégrité des fonctions psychiques dans ce cas où le myxoedème se manifestait dès l'enfance. D
cet abcès eut pour conséquence l'atro- phie du corps thyroïde. Les cas de ce genre ne sont pas rares. Quoi qu'il en so
t celles fjg. 12. - Infantilisme du type Lorain. femme de 30 ans ( cas de [1. ]eige). a Fig. 13. - Infantilisme du t
251. d'un sujet adulte. L'absence des fonctions sexuelles, dans les cas analo- gues, ne signifie rien autre chose qu'un
mps, la rend définitive. D'ailleurs vous rencontrerez bon nombre de cas du même genre où tout se borne à un arrêt de dé
alcoolisme, responsable des pires dégénérescences héréditaires. Les cas d'infantilisme qui lui sont imputés relèvent-ils
rmation cardiaque ou vasculaire et, d'autre part, il n'est guère de cas de maladie, bleue où l'on n'ait relevé un ou pl
forme un groupe beaucoup moins homogène. Il se compose de tous les cas dans lesquels soit un vice originel de nutritio
e certains Naevi suivant les territoires de branches nerveuses. Les cas anté- rieurs à 1877 ont été relevés par M. Bart
te intéressante question jusqu'en 1894, dans une note au sujet d'un cas remarquable que l'on retrouvera plus loin. Depu
Depuis lors, nous avons eu l'occasion d'observer toute une série de cas analogues, à systématisation évidente chez les
facilement réductible à une topo- graphie régulière ; ces derniers cas ne sont pas les moins intéressants, établissant
u niveau du trapèze, et arrive vers l'acromion. En somme, dans ce cas , la lésion est unilatérale, présentant manifes-
aires , sus-acl'omililes et descendantes superficielles . Dans ce cas intéressant, j'insiste sur la très grande importa
s, combinées (observ. I et VIII) ou isolées. Nous avons observé ces cas dans les deux sexes. Sur 52 cas publiés, réu- n
ou isolées. Nous avons observé ces cas dans les deux sexes. Sur 52 cas publiés, réu- nis par Galewsky et Schlossmann,
ecte, que nous voyons cependant manquer dans l'immense majorité des cas publiés. Disons encore, pour mémoire, que Muller
reportée sur l'enfant. Mais l'intérêt principal de l'étude de ces cas est surtout dans la patho- génie et l'étiologie
la ligne médiane, comme dans notre observation III, comme dans les cas de Galewsky et Schlossmann, Jadassohn, Kroener, M
ules antérieures de la moelle. Enfin, la lésion originelle dans les cas rentrant dans la théorie de 13;r,rensprung, peut
ritoire de cette branche, et non pas seulement, comme dans certains cas , à des lésions développées suivant la projection
es, le fait qu'il a constaté reste cependant exact dans de nombreux cas , et dans la plupart de nos observations, comme
sphère d'action de deux nerfs cutanés voisins. Un certain nombre de cas , notamment celui de Galewsky et Schlossmann sem
'implanta- tion des poils. Cela du moins, dans un certain nombre de cas intéressant en particulier le creux axillaire (
intéressant en particulier le creux axillaire (Esmarch, Spietschka ( cas I et II), Gal- liard, Geber, Curtis, Albers-Sch
us haut : c'est que bon nombre de nscvi, et en particulier mes huit cas personnels, ne siègent pas au niveau des lignes
niveau des lignes de Voigt. Ces hypothèses n'ont donc pas, en tout cas , une portée générale. Cependant il faut reconna
ux territoires nerveux voisins. Mais dans l'un comme dans l'autre cas , l'anomalie congénitale doit être attribuée à u
e hypothèse d'une névrite foetale peut expliquer un grand nombre de cas , que l'action hyperlrophiante s'exerce sur tout l
, âgée de 19 ans, est bien constituée. Pas trace de syphilis. Aucun cas analogue dans la famille. Tuberculose pulmonair
uement plusieurs territoires nerveux. En effet, dans les premiers cas , il est difficile de comprendre une né- vrite q
matiquement une série unilatérale de nerfs; de même, dans le second cas , une névrite intéressant une série symétri- que
s se 278 G. ÉTIENNE manifestant par une série successive de nævi ( cas de 8.vietchska, etc.). S'il s'agil de naevi sym
dicales de Lyon, 1894, 2 mai. Balzer et Ménetrier. - Etude sur un cas d'adénome de la face et du cuir chevelu. Arch.
Journ. of eut. a. genit. urin. diseases, 1890, S. 139. Darier. - Cas de noevivasculail'es verruqueux de la face. Soc.
ail ré- cent, Spiller affirme ne l'avoir trouvée qu'une fois sur 23 cas (1). M. P. Marie dit que dans quelques cas, il
ouvée qu'une fois sur 23 cas (1). M. P. Marie dit que dans quelques cas , il y a une atrophie plus ou moins prononcée de
ête, est plus allongée grâce au déplissement de l'hélix qui dans un cas présente sur son bord des nodosités multiples q
roits il est dévié aussi à droite ou sur la ligne médiane. Dans les cas d'hémiplégie gauche la déviation à droite ne peut
e, lorsque l'hémiplé- gie est abandonnée à elle-même, ce qui est le cas pour les malades des hôpitaux, qui, indigents,
re inférieur droit spasmodique, sans arthrite ni atrophie ; marche. Cas . IV. Hé1n1]Jlégie gauche, ankylose de l'épaule, a
épidation spinale; pas d'atrophie ni d'arthrite; marche. ,' ' ! \ Cas . VII. - Hémiplégie gauche. Ankylose de l'épaule d
ts deltoïdien, sus et sous-scapulaires, sous-claviculaire. Dans les cas de cet ordre, le deltoïde est toujours le muscle
eure de la face, il est fréquent de voir (1) E. FEINDEL. Sur quatre cas de neuoofibromatose généralisée. Thèse Paris, Pio
ne d'autres ; toutes ces tumeurs sont à leur place s'il s'agit d'un cas de neurofibromatose généralisée. · « Les caract
métrie est un peu déconcertante et semble en contradiction avec les cas cliniques observés. Cependant rien n'est impossib
rit est tout de suite frappé par cette coexistence qui rappelle les cas si fréquents de neurofibromatose plexiforme et cu
es détails, que si la gravure n'est pas une copie rigou- reuse d'un cas de névrome plexiforme uni à la neurofibromatose c
la neurofibromatose cutanée, l'auteur a du moins vu, et bien vu, un cas de cette association morbide, et qu'il était pé
gurations de ce genre pouvaient avoir été inspirées par la vue d'un cas de maladie de Basedow ; hypothèse qui, jusqu'à pl
S MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE) SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE (SYNDR
n- drome de Brown-Sequard offrent déjà moins de constance, dans les cas d'hémisection traumatique de la moelle, chez l'
rsales moyennes et supérieures. 3° Un troisième type comprend les cas où les membres supérieurs et le thorax particip
le est entamée à un niveau situé au-dessus de la 6e vertèbre. En ce cas on observe assez souvent, mais non toujours, de
t du nerf phrénique. 4° J'ai rangé dans une dernière catégorie, les cas où l'hémisection inté- ressait la moelle dans s
re, immédiatement au-dessus de la protubérance occipitale. Dans ces cas -là les troubles sensitifs et les troubles moteu
sur lequel je désire appeler votre attention : c'est que, clans un cas d'hémisection traumatique de la moelle chez ! : h
ar instrument tranchant qui a entamé un côté du rachis, vous SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 307 ' de
' tempestive sous prétexte de faire l'hémostase. Si, comme c'est le cas ha- bituel, l'hémorrhagie n'est pas trop profus
ment comme médecin de la famille, mais comme médecin légiste. En ce cas , vous ne vous trouverez pas seulement en présen
rement, si vous vous représentez les choses ainsi : Un homme SUR UN CAS 1)'IIÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 309 -
excessif. La vérité est celle-ci : dans la très grande majorité des cas , une amélioration progres- sive, plus ou moins
a jambe droite ; de plus ce membre le faisait beaucoup souffrir. Ce cas , soit dit en passant, offre un intérêt exceptionn
oins être considéré comme frappé d'une infirmité incurable. L'autre cas , relaté par Neumann, est encore plus instructif a
e. Somme toute, l'incapacité de travail n'a duré que 6 mois. SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 311 Le p
ce proprement dite. Soit dit en passant, on a prétendu que dans les cas d'hémisection trau- matique de la moelle, les t
siper que les troubles moteurs. L'inverse s'observe parfaitement, le cas de notre malade en est une preuve. Voilà donc
ce à s'améliorer progressivement, jusqu'à disparaître dans bien des cas . A ce propos, une question a dû se poser à vous
s tendineux du côté de la paralysie motrice, qu'on observe dans les cas d'hémisection de la moelle. A. Paralysie motric
e médullaire, Paris, 1893, p. 207. (2) ENDERLEN, IOC. Cit. SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 313 le l
G, sous l'orme d'une arbori- sation terminale ; Fig. 2. SUR UN CAS D'UÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 315 Soit
ile p de cette cellule cordonale. On conçoit dès lors que dans le cas d'une hémisection a intéressant la moitié droit
a moelle, les impressions sensitives (tactiles) qui arrivent SUR UN CAS D'IIÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 317 de
ation plausible de l'hémi-anesthésie croisée qu'on observe dans les cas d'hémisection de la moelle, si tant est qu'on ne
impressions sensitives à travers la moelle ; il faudrait : SUR UN CAS D'RÉEMISECTION TRAUMATIQUE DE La MOELLE 31J Ou
ésie profonde, musculaire, siégeant du côté de la lésion dans les cas d'hémisection de la moelle. * .. ¥ Vous voy
3', Voie sensitive chargée de la sensibilité superficielle. SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 321 .. .
ble qu'il en soit ainsi. On s'expliquerait de la sorte que, dans un cas d'hémisection de la moelle, l'anesthésie soit sus
ésie consécutive à une hémisection de la moelle. Fit. 1. SUR UN CAS D 11ÉMISECT10N TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 323 D.
haut. Parfois les doigts sont écartés. En résumé, il s'agit de deux cas de paralysie spinale infantile remon- tant à 50
ie, 20 mars 1897, RADIOGRAPHIES DES MEMBRES INFERIEURS A. Dans un cas de paralysie infantile. B. Chez un sujet sain,
(Epreuves négative ? RADIOGRAPHIES DES MEMBRES SUPÉRIEURS dans un cas de paralysie infantile. (Épreuves négatives)
égatives, suivant l'expression que l'un de nous a proposée. Dans un cas (Pl. XXXIII et XXXIV), on voit le sque- lette d
volume très appréciable portant sur toisa les os. En outre, dans le cas de paralysie infantile, les os (et la comparaison
lement sur les surfaces épiphysaires d'accroissement. NOTE SUR UN CAS DE MÉLANODERMIE RÉCURRENTE CHEZ UN ÉPILEPTIQUE
s'exagérer au point de constituer des états morbides. On a cité des cas de purpura à la suite de peur ou de colère (2).
ogie des émotions, 1892, p. 212, 245, etc. (2) LECLEnc, Obs. sur un cas de purpura hémorrhagique survenu immédiatement
s par choc moral. Ann. de dermatologie, 1881, p. 367. - Dr SM"T, Un cas de purpura hémol'1'ha.r¡ique par choc moral. La C
Belgique médicale, 1897, 1, p. 5 î Î. (G) Cii. Féré, Note sur un cas de canitie rapide. Progrès médical, 1897, 3' séri
rapide. Progrès médical, 1897, 3' série, t. V, p. 49. NOTE SUR UN CAS DE MÉLANODERMIE RÉCURRENTE 33a sur coup (1). De
peau et des poils. Le système pileux est sou- vent affecté dans les cas chroniques ; les cheveux noirs prennent un reflet
étaient teints; les cheveux blonds pâlissent. Hake Tuke rapporte un cas de manie récurrente, dans lequel les che- veux
a peau n'étaient pas rares chez les aliénés. On a cité en effet des cas de vitiligo, ou de pigmentation exagérée : tout
que. Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1895, p. 17. (7) REGARD, Deux cas de maladie ou de coloration bronzée dans le cours
ssiva. 71t'te1j. f. derm. und. syph., 188'r, I, (8) Boucher, Deux cas de coloration anormale de la peau liée à un état
of the skin simulaling the bronzed skin of morbus addi- NOTE SUR UN CAS DE MÉLANODERMIE RÉCURRENTE 335 douteux que l'ir
xie surrénale. Ann. de derm., 1889, X, p. 569. - G. Thibierge, Deux cas de mélanodermie avec pigmentation de la muqueus
errompues par des attaques convulsives plus fréquentes; NOTE SUR UN CAS DE MÉLANODERMIE RÉCURRENTE 337 quelquefois elle
UN ÉPILEPTIQUE APATHIQUE MASSON & cite, Editeurs. NOTE SUR UN CAS DE MÉLANODERMIE RÉCURRENTE 339 chiques. Le brom
e la rotule ; 40 centimètres à droite, 40 cen- timètres à gauche. Cas . XIV. Hémiplégie gauche, séjour au lit; arthrite
se lève, il marche en fauchant, mais il marche dans la majorité des cas . Il mobilise donc de ce fait les articula- tion
éthode de Marchi. Nous nous proposons de donner la description d'un cas de névrite mul- tiple suivi d'autopsie, et avec
périphérique (très rarement). C'est pour cela que, dans le premier cas , la partie centrale sera bleu-clair et dans le
eux correspondants par la méthode de Nissl démontrent que, dans ces cas , on a affaire à des altéra- tions ressemblant b
rrive à cetle conclusion que le tableau microscopique dans les deux cas est identique; seulement, clans le premier cas,
opique dans les deux cas est identique; seulement, clans le premier cas , on a l'impression d'avoir affaire à un processus
ume les modifications principales des cellules nerveuses dans notre cas de polyné- vrite- ont été observés par M. Sano
n de l'extrémité. Les phénomènes de névrite périphérique dans notre cas étaient très marqués. Il me semble donc que nou
t la partie chromatique de la cellule qui a été attaquée dans notre cas de polynévrite, ou bien y avait-il aussi alté-
que les modifications secondaires des cellules nerveuses dans notre cas , consistaient principalement en la désagrégatio
question a été atteinte. La lésion des cordons postérieurs dans ce cas porte surtout sur les voies conductrices longues
ns les cellules des ganglions spinaux ne peut être omise dans aucun cas ; mais le fait qu'à tous les éta- ges de la moe
re, néanmoins cette jeune lille, comme il arrivé sou- vent dans ces cas , se .sert de ses mains si bizarres avec une habil
qu'à constater sans pouvoir pénétrer dans leur explication. DEUX CAS . DE GIGANTISME SUIVI D'ACROMÉGALIE PAR E
IVI D'ACROMÉGALIE PAR E. BRISSAUD et HENRY MEIGE. Le nombre des cas de gigantisme s'accompagnant d'acromégalie est pl
déve- loppement de la taille en hauteur est un fait acquis. DEUX CAS DE GIGANTISME SUIVI D'ACROMÉGALIE 375 Plusieurs
toujours constatés dans l'acromé- galie, ont été retrouvés dans les cas de gigantisme avec une égale fré- quence. Enf
es, celle de Sternberg en particulier, démontrent que la moitié des cas de gigantisme authentique fait retour à l'acromé-
fait retour à l'acromé- galie. - L'autre moitié est composée des cas de gigantisme essentiel. Encore est- on en droi
aussi complètement, une fois la croissance terminée. Restent les cas , en nombre assez grand, où l'acromégalie continue
soudure indestructible des épiphyses aux diaphyses. ' - Dans ces cas , la couche périostique d'ossification poursuit sa
a littérature médicale. Nous nous contenterons de signaler les deux cas suivants : Une observation fort instructive vie
1 ? classe attaché à la légation de France à Pékin. Il s'agit d'un cas de gigantisme suivi d'acromégalie observé chez un
neuse avec un facies de brute ; ses extré- (1) J.J. 1ZATI(3NOft, Un cas 'e[C)'ome'ya ! o-yt9'fM : <MMe. Médecine moder
dicale des hôpitaux. ACROMEGALO-GIGANT1SME CHEZ UN CHINOIS DEUX CAS DE GIGANTISME SUIVI D'ACROMÉGALIE 377 mités son
scription des réflexions suivantes : « Nous sommes en présence d'un cas assez typique de gigantisme et d'acromégalie. S
a précédé l'acroméga- ACROMEGALO-GIGANTISME CHEZ UN CHINOIS DEUX CAS DE GIGANTISME SUIVI D'ACROMÉGALIE 379 lie ; il
t développées suivant le type cubique signalé par P. Marie dans les cas d'acromégalie à début tardif. Fig. 1. Géant
acromégalique de l'Asile des ouvriers invalides à Lisbonne. DEUX CAS DE GIGANTISME SUIVI D'ACROMÉGALIE 381 Nous repr
ite d'une ou deux observations. Certains auteurs ont assimilé leurs cas d'arthropathies spinales à l'arthro- pathie tab
ons os- seuses sont très précoces, peut-être primitives, et en tout cas prédomi- nantes. Malgré cette désorganisation a
ières elles ont l'al- lure aiguë, subaiguë et chronique suivant les cas , sans qu'on puisse dire qu'une évolution vraime
inée à tort. M. Brissaud, notre maî- tre (1), a montré que dans les cas où l'on avait cru pouvoir rapporter l'ar- throp
vaient été attribuées. La courte description que donne Rosenthal du cas en question a trait à n'en pas douter à une arthr
, 20 édi- tion. Il est difficile d'avoir un diagnostic ferme sur ce cas . x 27 386 PAUL LONDE de commun avec les gra
est à n'en pas douter une véritable arthropathie nerveuse, mais son cas est fort suspect de tabès : tel est aussi l'avi
égie spasmodique et peut-être hémiplégie spasmodique (comme dans le cas de Charcot et Brissaud) (4). Si l'on joint à ce
ferons mention ici de la chorée chronique : M. Auscher a observé un cas inédit de grande arthropathie nerveuse dans cet
t G. ETIENNE ont publié dans la Revue de médecine, 1894, p. 300, un cas (observé dans le service de M.SPILUIANN) d'atroph
les trophiques osseux et articulaires. Il s'agit évidemment dans ce cas d'arthropathies vraies (épaule droite, articulati
spéciale de la moelle. 1° Forme aiguë. - J. K. Mitchell relate deux cas d'arthropathies spi- nales au cours du mal de P
au niveau de la lésion spi- nale amenèrent la résolution. Dans le cas de Bail (mal de Pott également) on vit à plusieur
ouloureux, avait diminué de, volume avant la mort. Tel peut être le cas de Vincent, myélite aiguë au cours d'un mal de Po
(cité par M. Talamon) : hydarthrose des deux genoux ; tel encore le cas de Trousseau (myélite aiguë) : arthrite des deu
ne. (1) Union médicale, 1878. 388 PAUL LONDE Vallin (1) cite un cas analogue toujours avec le titre de Rhumatisme spi
e diagnostic de rhumatisme coïncidant s'applique peut-être mieux au cas de Gull, dans lequel le début d'une paraplégie, a
mbres supérieurs indemnes de paralysie. Il en est un peu de même du cas de J. K. Milchell (chute sur la nuque et le dos
une variété spéciale quant à la localisation doit être réservée aux cas de Viguès-Nélaton et Joffroy-Salmon où il s'agit
se). Dans ce groupe nous rangeons les observations suivantes : a) Cas de Chipault (3).- Fracture rachidienne (10e dorsa
rthrites des deux ge- noux. (3) Revue neurologique, 1894, p. 542. Cas cité à propos de l'analyse du cas de JEANNEL. D
) Revue neurologique, 1894, p. 542. Cas cité à propos de l'analyse du cas de JEANNEL. DE L'ATITHROPATHIE NERVEUSE VRAIE 3
avec la lésion spinale, quoique la hanche ne fut pas atteinte. - c) Cas de Michaud.I) y eut douleurs et gonflemeut du gen
; mais une hydarthrose persista avec tuméfaction notable (1). d) Cas de Lannelongue (rapporté par Dujardin-Beaumetz (2
r l'immobilisation naturelle qu'entraîne une paraplégie grave. e) Cas de Gull.-Un tubercule delà moelle chez un enfant
t-il d'arthrite tuberculeuse ? (1) A cette série il faut ajouter un cas inédit de M. M. Roques, père et fils : Arthro-
ation médecine, 11. 390 PAUL LONDE Nous joignons à cette série le cas suivant : Chipault a trouvé chez une femme « po
avec l'infection dans l'observation de Vallin. Même dans ce dernier cas nous ne voyons pas qu'on soil en droit d'assimile
ique de l'oedème du membre comme l'admet Chipault lui-même. En tout cas il ne peut être question d'arthro- pathie nerve
u ayant atteint la moelle cervicale. . Gull observa aussi, dans son cas de myélite traumatique, des raideurs articulair
clusivement dans le domaine de la paraplégie. Jeannel rapporte un cas d'arthropathie double du genou consécutive à un
ar- thropathies comparables au rhumatisme chronique. (2) Un autre cas de JEANNEL intitulé myélite aigué n'a trait qu'au
façon formelle l'anesthésie articulaire, sauf probablement dans des cas d'immobilisation absolue; qu'elles se sont term
ec ankylose, mais non la dislocation proprement dite. Dans tous les cas l'état général était plus ou moins com- promis,
rite; mais la cause de la névrite a été très différente suivant les cas : piqûre (Hamilton), plaie par éclat de de verr
es. Il peut arriver qu'une seule articulation soit prise et dans ce cas c'est une grosse articulation ou bien encore que
de l'arthropathie et le siège de la lésion nerveuse : ainsi dans un cas où le nerf médian était blessé, les articulatio
n pas douter il s'agit d'arthrites infectieuses dans la plupart des cas . Les gaines peuvent être également prises et l'au
ans les observations d'Alison l'allure fut aussi aiguë que dans les cas d'infection. La variété subaiguë n'a d'autre in
autres. L'atrophie musculaire s'explique suffisamment dans certains cas par une modification réelle de la réflectivité
dance dans cette jointure et les autres du même côté (2). Dans un cas d'apoplexie suivie d'hémiplégie gauche suivie de
illon crucial (3). L'existence de l'hémarthrose dans ces différents cas doit-elle établir un rapprochement entre les tr
reusement pas pu nous procurer le tra- vail original. (3) Dans un cas de tumeur cérébrale, Charcot trouva les synoviale
ales et né- vritiques ne sont pas dues exclusivement, dans certains cas au moins, à des lésions correspondantes du syst
lace à faire à l'auto intoxication, car Scott Alison trouva dans un cas d'hémiplégie les cartilages incrustés d'urate d
ges incrustés d'urate de soude. On comprend facilement que dans ces cas la lésion ner- veuse devienne cause prédisposan
e s'adressent pas à la totalité de la jointure dans la majorité des cas , étant donnée la multiplicité habituelle des ne
t étrange d'un doigt de géant à l'extrémité d'une main normale. Les cas en sont d'ailleurs assez rares puisque, dans so
ylie est rarement héréditaire et M. Polaillon n'a pu relever que le cas de Boéchat dans lequel l'hypertrophie portait sur
la main, atteindre le bras, parfois même une moitié du corps, le cas rentrerait alors dans l'hypertrophie unilatéral
ecine en 1869. Cependant il semble bien qu'il existe une série de cas de tran- sition entre la macrodactylie isolée
l'hypertrophie unilatérale ; il est signalé en effet dans tous les cas des stigmates de dégénérescence mais il est reg
cquérir des dimensions considérables ; cependant z x 28 Fig. 1. Cas de Curling. 402 R. CES'lAN une distinction do
éléphantiasique par l'hypertrophie du tissu cellulaire ; tel est le cas de Wagner dont le médius et l'auricu- laire éta
ubles vaso-moteurs; la sensibilité est normale.Les autres Fig. 2. Cas de Grüber. HYPERTHOPIIIE CONGÉNITALE DES DOIGTS
fection. La méthode Roengten nous a donc montré que dans ce dernier cas l'hypertrophie avait pour substratum, non le sque
ment exagéré du tissu osseux. Pour en revenir à la pathogénie de ce cas de macrodactylie, nous insis- tons plus volonti
tissu cellulaire sous-cutané semblent seuls en cause ». Mais notre cas ne paraît pas rentrer dans ce groupe des hypertro
urs dans le sens de la déviation est bien facile à déceler dans les cas où le sujet cherche à dissimuler le spasme, par
nt pas réfrénés par des antagonistes. La seule différence entre les cas divers est le nombre et le nom des muscles qui pa
is psychique, « spasme polygonal ». M. Grasset ajoute : « Beaucoup de cas étudiés par Brissaud sous le nom de torticolis
e se fasse sen- tir, avant que le spasme devienne imminent. TROIS CAS DE TORTICOLIS MENTAL LE TRAITEMENT MÉDICAL DU T
lade,, entré le 30 octobre, dans le service de M. Brissaud. Dans ce cas , la tare dégénérative est un tremblement essent
ental. Thèse de Paris, 1894. E. BRISSAUD et H. MEME, Trois nouveaux cas de torticolis mental. Revue neurologique, 1895,
DU TYPE ARAN-DUCHENNE CHEZ UN CHEMINEAU. PAR J. TARGOWLA. Le cas que nous allons relater ne présente pas un très g
on faisait t sur lui l'offrande en sacrifices expiatoires ; dans le cas contraire, la séques- tration était perpétuelle
ocrate). D'autres fois, c'est la Lèpre noire ou mélanique. Dans ces cas « la peau plus blanche, la plus caucasique, dev
érieure pend inerte et la commissure est souvent déviée. Dans les cas particulièrement graves, d'autres accidents troph
ophiés qu'un homme porte sur ses épaules : figuration probable d'un cas de para- (t) Cosme ler avait épousé une Espagno
bien être la Lèpre. L'oeil lui-même est peut-être perdu. En tout cas , l'orbite est d'une profondeur inusitée et le g
ent été dissimulés par la posi- tion du membre (2). Dans tous les cas , la griffe est manifeste, et bien que l'avant-bra
lus aisés à faire sur le vivant. Il s'agit, à n'en pas douter, d'un cas d'hémiplégie avec paralysie faciale. Regardons
peut hésiter cepen- dant à s'y arrêter, en raison de la rareté des cas de ce genre. Mais l'on peut se demander s'il ne
infirmerait pas qu'il soit un Lépreux, car nous savons que dans les cas où la Lèpre s'atta- que au visage, la perte des
oulu ou non, cette attitude répond bien à ce qu'on observe dans les cas d'atrophie musculaire portant sur les muscles tra
saillant reste à découvert, cet infirme évoque l'idée d'un de. ces cas d'amyotrophie du type facio-scapulo-huméral dont
eintre bon observateur des difformités humaines. Cependant, dans le cas présent, un tel diagnostic ne saurait être qu'une
scription du type et considé- rations pathogéniques au sujet d'un cas nouveau, par HENRI Meunier (15 fi- gures et 1 p
he),414. Contracture hystéro-traumatique des muscles du tronc (un cas de), par PAUL BICHER et A. Souques (1 planche),
tale, par E. Boix (1 photographie et 1 radiographie), 180. Deux cas de gigantisme suivi d'acro- mégalie, par E. BRI
5 photogravures), 294. Hémimélie chez un fils de syphilitique (un cas d') (1 planche), par G. GaSNE, 31. Hémisection
tion traumatique de la moelle (syndrome de Brown-Séquard) (sur un cas de), par F. IjAYUfoND (3 ligures et 1 planche e
lanodermie récurrente chez un pipi- leptique apathique (note sur un cas de), par CH. Féré (2 phototypies), 332. Noevi
otypies et 1 photogravure), 2133. Ostéite déformante de Paget (un cas d'). Interprétation des lésions de la moelle
isation possible (2 phototypies), 73. BRISSAUD et Henry MEIGE. Deux cas de gi- gantisme suivi d'acromégalie (2 plan-
lum sacro-coccygien (2 phototypies), 195. FÉRÉ (CH.). Note sur un cas de mélano- - dermie récurrente chez un épilepti
, 332. * GASNE (G.). Hémimélie chez un fils de sy- philitique (un cas d') (1 planche en pho- totypie), 31. Gilles D
Les emmurés de Tiraspol (2 phototypies), 355. Lévi (LÉOPOLD). Un cas d'ostéite défor- mante de Paget. Interprétation
xdigitaire (5 radiographies), 36. MEME (HENRY) et E. BRISSAUD. Deux cas s de gigantisme suivi d'acromégalie (2 planch
Description du type et considérations pathogéniques au sujet d'un cas nouveau (15 figures et 1 planche), 15. RAYMON
ction traumatique, de la moelle (Syndrome de Brown-Sé- quard) (un cas d') (6 figures et 1 planche en couleur), 1, 166
ve des adolescents (1 planche), 12. RiCHER (PAuL) et A. Souques. Un cas de contracture hystéro-traumatique des muscle
ule nerveuse (6 figu- res), 347. Souques (A.) et PAUL ;RICHER. Un cas de contracture hystéro-traumatique des muscle
I. Gigantisme et acromégalie chez un chi- nois, XLII, XLIII. Un cas d'hémimélie chez un enfant hérédo- syphilitique
sale primitive, II. Tic du colporteur, XXVI. Torticolis mental (3 cas ), XLVI. Tumeur cérébrale, sarcome de la pie-
61 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les langues en subissant à peine l'adultération de mise en pareils cas . En lisant, par exemple Y Allgemeine Psychopath
itions, que momentané malgré la fixité de l'idée. Il n'est, en tout cas , que conditionnel, en vertu de l'intervention d
le voir à propos des idées fixes pathologiques. Quiconque, en tout cas , témoigne de l'orientation logique d'une idée p
logique d'une idée fixe déjà entachée . de morbidité ? Il est des cas où la différence entre l'idée saine et l'idée d
iologiques aux idées prévalentes pathologiques, car dans le premier cas les éléments précédemment exposés du sens criti
xplication qui lui semble satisfaisante. A côté de cela, il est des cas dans lesquels l'idée fixe paraît en contradicti
re des idées fixes. - L'idée fixe pathologique reflète, en certains cas , l'état d'es- prit habituel du malade et ses te
gorie. Mais il est loin d'en être toujours ainsi. Nombreux sont les cas dans lesquels, sous l'influence peut-être d'une
jugement normal, c'est possible. Et, 14 CLINIQUE MENTALE. en tout cas , il est certain qu'à l'idée fausse pathologique s
le milieu où l'individu a l'habitude de vivre, elle n'a, en tout cas , que des rapports éloignés, douteux ou transformé
événement peut du reste conduire à une idée prévalente, et qu'en ce cas , l'événement en ques- tion n'a rien à voir avec
s sommes placé, tout à fait nécessaire d'établir, s'il y a, dans un cas clinique donné, idée prévalente anormale, ou id
ence entre celui qui émet une idée erronée et un fou. Il existe des cas , toutefois, où cela n'apparaît point. Si certai
qui lui est soumise. On ne saurait nier néanmoins qu'il n'y ait des cas mixtes ; par exemple, ceux des erreurs implanté
encore cependant à déloger l'erreur, ce qui est impossible dans le cas d'idées fixes morbides. C'est comme cela parce
l'action d'un mouvement purement organique. Ainsi, dans le premier cas , un incendie, une émotion vive, sera l'agent ca
néra- lement qu'à un stade passager, puisque, dans la plupart des cas , il s'y ajoute des conceptions délirantes d'expli
ple et insignifiante, voilée par le délire. C'est pourquoi dans les cas anciens, on arrive à débrouiller le délire sans
ixe hypochon- driaque quelquefois nettement délirante. Tel est le cas tiré de Krafft EIInc' et reproduit par Lau- REN
l'oeil gauche par lequel ont commencé les accidents. Dans certains cas , l'accès s'arrête là. Mais il est fréquent auss
théomaniaque. Antérieurement, on rencontre bien dans l'histoire des cas d'illuminisme, mais ils sont isolés et assimilé
Si l'on compare aux différents stades de l'évolution précitée les cas pathologiques que nous fournissent l'histoire et
x, soit à la fois religieux et politique, soit enfin, mais dans des cas plus rares, exclusive- ment politique, suivant
. MYSTICISME ET FOLIE. 4 S lion souvent renouvelée depuis, est le cas classique de Mathieu Lorat rapporté par Marc'.
s'ouvrir le ventre, se croyant enceinte du diable. Dans d'autres cas (démences, paralysies générales, etc.), la mort
qu'au point de vue des réactions vis-à-vis d'eux-mêmes; il est des cas où les moyens mécaniques de contention sont néc
logie, 1899, n° 9.) On trouvera dans ce travail la relation de deux cas de diabète au cours desquels est apparue une ré
a bilatéralité, à une lésion des centres nerveux. G. DERNY. IL Un cas d'acromégalie en gant; par 1. CRocQ. (Joum, de
modification de la sensibilité. L'auteur pense qu'il s'agit dans ce cas d'une poliomyélite chronique et pour expliquer la
e. (Gazela Lykarslui, janvier 1899.) L'auteur a observé plusieurs cas où l'angine de poitrine fut suppléée petit à pe
une nourriture substantielle et la viande convient le mieux dans ce cas . Le coeur normal absorbe 3 p. 100 sur 10 p.. 10
mencement bienfaisantes, peuvent envahir les coronaires, et dans ce cas l'organisme ne trouve plus de salut. G. de \i,aEW
ce cas l'organisme ne trouve plus de salut. G. de \i,aEWSKA. IV. Un cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en
et. (Revue Neurologique, avril.) (Voir p. 395 du n°41.) . V. Deux cas d'ophtalmoplégie externe chez deux frères jumeaux
deux frères jumeaux;' par le professeur Homen. Il s'agit de deux cas d'ophtalmoplégie externe, chronique et progress
er essai de transplantation tendineuse ou musculaire dans un pareil cas . > Archives, 2" série, t. VIII. 4 sol REVU
r ; la plaie est refermée par des sutures cuta- nées. Dans l'un des cas , il survint une infection de la plaie, qui neut
ui neutralisa totalement le succès de l'opération. Dans le second cas , l'opération eut une utilité manifeste et les r
facilement exécutable en pratique, serait à recommander dans les cas du même genre, lorsque le ptosis atteint un degré
ies généralisées dans la fièvre typhoïde ; par le Dr Etienne. Les cas de paralysies généralisées, diffuses, au cours de
myxoc- dème infantile : 1° le myxoedème congénital, comprenant les cas , d'ailleurs rares, où le corps thyroïde parait
t, mieux que celle d'une thyroï- dite infectieuse accidentelle, les cas où, dans la même famille, il y a plusieurs suje
SSAUD. (Presse médicale, ' 15 février 1899.) L'auteur rapporte un cas remarquable de chorée variable, d'où ressortent
hémianesthésie, symptôme qui fait habi- tuellement défaut en pareil cas , et la sclérose des faisceaux pyra- midaux ; pe
. Ma seconde observation est identique à la première. Dans ces deux cas , les phénomènes d'ivresse et l'alcool devin ont
du Dr Rohé, méde- cin en chef de l'asile de Maryland, porte sur 34 cas , et se décom- pose ainsi : 11 guérisons complèt
du Dr Ilobbs, médecin de l'asile de London (Ontario), porte sur 80 cas et elle donne les résultats très favorables suiva
, l'une de guérison, l'autre d'amélioration de l'état men- tal. Ces cas sont restés isolés. Aucun auteur n'a songé à en d
les aliénées en raison de lacunes hospitalières, peut dans certains cas aboutir à des résultats inespérés, en faisant ces
bénéficier des ressources de la chirurgie. Ils démontrent en tout cas , l'influence des causes physiques au point de vue
es lésions (fibromes avec hémorragie) et il supprime, dans certains cas , les autres intoxica- tions qui jouent dans la
s ou à les attribuer à des agissements occultes, donnent, en pareil cas , libre cours à leur imagination douée d'une act
e 80 de ces malades, des deux sexes, il n'y avait, à ce jour, aucun cas de paralysie générale. Voici, en terminant, q
éthode de choix être administré par les frictions cutanées, dans le cas d'ur- gence par les injections sous-cutanées. L
s. L'iodure de potassium sera absorbé par la voie buccale, dans les cas ordinaires, ou dans les cas d'urgence par la vo
absorbé par la voie buccale, dans les cas ordinaires, ou dans les cas d'urgence par la voie sous-cutanée. L'ouvrage se
traitement général, l'utilité comme traitement adjuvant dans des cas particuliers de l'électricité et de la révulsion,
es convulsions infantiles, mais celles-ci n'avaient point, en aucun cas , paru plus tard que dans la 14° année. Dans le
rriérés. 16,8 p. 100 étaient des héréditaires et en 20,3 p. 100 des cas les maladies infectieuses chroniques et les int
le, à l'accouchement, ont été les causes de l'idiotie dans quelques cas (0,7 p. 100). Dans un district de la Norvège (B
autres familles on ne trouve que 1,3 p. 100; dans 4 à 5 p. 100 des cas l'idiot était lui-même un jumeau. Le rachitisme
ladell)iiia, 1899. Chez l'auteur. XOGUHS (E.) et Sirsoi. (J.). - Un cas fruste de tabès combiné. - Brochure iti-8* de 1
. Imprimerie Mar- ques et Cio, - NoouÈs (E.) et Sirol (.1.). - Un cas de maladie d'AlYtn-Duchenne il. marche anormale
kundig oce ! '= ! C/t/. Brochure in-8° de 2t pages. Sano (F.). Un cas de paralysie d'origine scarlalineuse. Brochure
ique est circonscrite et limitée. Mais, en même temps,' en certains cas , il s'y associe des conceptions délirantes, et il
ne sorte de systématisation. Les idées fixes sont en outre, en tout cas , douloureuses et ressemblent quelquefois à des
on peut se figurer les réflexions qui peuvent s'éveiller en pareil cas dans l'esprit troublé d'une jeune femme toute n
proie pendant toute sa vie à des idées fixes ; il mettait, en tout cas , de l'entête- ment à atteindre les buts qu'il s
; ainsi s'explique le nom ancien de folie partielle usité en pareil cas . En réalité le sens critique manque et c'est ce
tours, on dérangeait son métier pendant son absence ; dans d'autres cas , il ne plaisait pas, on le regardait de travers
cutée persécutrice. Pour le professeur de Breslau, la pluralité des cas analo- gues doivent être rapportés à des idées
est le rêve et son développement exagéré. D'ailleurs en certains cas les trois phénomènes se présentent chez le même s
CUEIL DE FAITS ARRÊT DE DÉVELOPPEMENT DE L'HUMERUS GAUCHE DANS UN CAS D'HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE ; Par M. R wno
nfantile et l'hémiplégie cérébrale infan- ' P.-S. de Magalheies. Un cas de raccourcissement considérable du bras du côt
nfantiles, l'écart minimum a été de 91,66 à '100. t llé( : Jère. Un cas de paralysie spinale infantile avec participation
érés (Soc. de biol" 1897, p. 0). 122 1) RECUEIL DE FAITS. Dans le cas actuel, le rapport serait de 101,87 à 100. On v
s à nos collègues des asiles de bien vouloir nous communiquer les cas de trépanation qu'ils ont dans leurs services et,
au moral, deux mois après son entrée. L'auteur pense que, dans ce cas , l'emploi de la méthode lente eût entraîné rapi
L. (Journ. de Neurologie, 1899, n° 8.) Après avoir relaté plusieurs cas de torticolis mental ou de tics similaires qui
riture appropriée. La thérapeutique a fait beaucoup dans le premier cas , on fait des opérations, on abuse du bromure. S
ions, on abuse du bromure. Selon l'auteur, pour agir dans le second cas , il faut diminuer la consommation des produits
es intoxi- cations, le lait L'auteur pendant quatre ans a traité 30 cas d'épt- lepsie essentielle par le régime lacté a
L'auteur à vu toujours les crises d'épilepsie diminuer; il cite le cas d'un garçon qui, sous l'influence de son oncle
n contre les produits toxiques élaborés par l'organisme. Dans les cas où le lait et le brome ne peuvent pas être donnés
on peut, pour mieux faire, les alterner. G. DE L1EV'Sha. Vif. Un cas de tétanos chez l'enfant de trois ans guéri par l
I\Dr (Gactu Lekll1 ? ka, 18 mars.) L'auteur est d'a\is que chaque cas de tétanos guéri par le sérum doit être publié,
chaque injection, d'une manière absolue. L'auteur a recueilli 32 cas de tétanos connus jusqu'à ce jour, où le sérum
res une fois, l'inflammation glandulaire trois fois. Parmi ces 32 cas , il y avait 12 décès. Avant l'emploi du sérum l
chirurgie, dis- tinguer partout le facteur suggestif qui, selon les cas , s'ajoute aux symptômes d'une maladie ou aux él
rbre généalogique qui a été établi rend compte du rôle joué dans ce cas par l'hérédité paternelle. Depuis le trisaïeul
ensité de l'urticaire artifi- ciel est faible ou moyenne; dans deux cas seulement il s'est montré fort : chez un paraly
appelletti dit n'avoir trouvé dans la littérature spéciale que deux cas semblables à celui qui faisait l'objet de son t
s le début de la maladie jusqu'à sa terminaison. Dans 65 p. 100 des cas le sens algésique a été trouvé affaibli, aboli,
souvent après l'empoisonnement par le sulfonal : l'auteur cite deux cas de ce dernier genre. L'urobiline et l'hématopor
ne occasionnel. Il est possible que le sulfonal crée, dans certains cas , des conditions qui altèrent l'innervation norm
l'ectoderme ; myoclonie épisodique (paramyoclonus multiplex dans un cas de maladie de Recklinghausen) ; par MM. FEINDEL e
tense de cette portion incluse et le choc (accident grave), dans le cas actuel, a déterminé une myoclonie. Cette obse
eilles. En outre l'auteur a constaté parmi ces ouvriers de nombreux cas de difformations diverses des dents (en tout 20
ce des photographies dans ce genre de recherches. S. NALBAKDOFF. Un cas de myotonie familiale (maladie de 7'/tCH : sM),
t, à la périphérie ou même dans tout le corps cellulaire ; dans les cas plus graves (plus longue durée de l'intoxication)
nt indemnes dans presque la moitié des expériences. Dans les autres cas on trouva des phé- nomènes de névrite plus ou m
s plus sensibles à l'intoxication saturnine, et dans la plupart des cas c'est dans leur altération qu'il faut chercher
mènes paralytiques. Discussion. M. 1 ! 1 : \OR, en se basant sur un cas ancien, examiné anatomiquement, admet que la pa
tères différents de ceux que l'on observe habituelle- ment dans les cas de ce genre. L'exhibitionniste, vous le savez,
TES. 153 pas d'ordinaire des femmes qui lui plaisent. Dans quelques cas rares, il s'est onanisé et parfois l'éjaculalio
juvénile est plus fréquente qu'on le suppose. Il croit que bien des cas considérés comme de la démence précoce chez les
rencontre pas chez les épileptiques et qui sont fréquents dans les cas s'accompagnant de lésions organiques. M. DoorsE
avail que j'ai publié sur le phénomène des orteils j'ai rapporté un cas d'épilepsie jackson- nienne où ce phénomène ava
était normal en dehors des crises. Le signe des orteils dans les cas de ce genre est tantôt unilatéral, tantôt bilat
met d'écarter l'hypothèse d'attaque hystérique et pourrait, dans un cas douteux, servir à établir le diagnostic d'épile
ne pouvait faire auparavant. M. Souques comptait donc présenter ce cas à la Société de neurologie comme un exemple de
onne donc d'excellents résultats, non une guérison complète dans ce cas , mais une amélioration très notable. Claudicati
le domaine du fémoro-cutané. 11. Gilles de lv Toureite a observé un cas analogue, et il demande à M. Brissaud combien d
ison ou au moins d'amélioration, la question est délicate. Voici un cas qui pourra servir à la résoudre. Un homme de qu
ir de la 9° paire dorsale, avait détruit complètement la ' Les deux cas que nous connaissons sont également défavorables
ir des convulsifs infantiles. M. Dufour. De l'étude de soixante-six cas , il tire les conclu- sions suivantes : 1° Les c
; 4° Pratiquement, la présence des con- vulsions infantiles dans le cas de difficulté de diagnostic entre l'épilepsie e
nt l'enfance. M. HODDO cite à l'appui de l'opinion de M. Marie le cas suivant : un enfant ayant subi une infection gr
ne en est plus étendu et l'efficacité tout aussi grande. Un curieux cas d'incontinence urinaire spasmodique pendant le co
ar la suggestion hypnotique. M. VL.1VIANOS (d'Athènes), rapporte le cas d'une malade atteinte depuis trois ans et demi,
s par la suggestion hypnotique. M. Bourdon (de Méru) cite plusieurs cas d'alcoolisme et de taba- gisme guéris par la su
rapide et durable. Communications diverses : M. Jules Voisin. Un cas de délire de persécution avec hallucina- tions
iratoire, type circulatoire. 2" Dans les phénomènes de volonté deux cas peuvent se pré- senter : a) si le phénomène de
r ainsi dire, en paralysant ses autres facultés. Dans bon nombre de cas , il disparait par un traitement simple dont l'app
le traitement pourra s'ad- joindre la psychothérapie. Dans tous les cas surveiller l'état men- tal du bègue, raffermir
ortance 168 BIBLIOGRAPHIE. au point de vue médico-légal. Dans ces cas l'appréciation de la responsabilité reste natur
ur, comme la nature en présente quelquefois pour passer ensuite aux cas plus ou moins hybrides pour lesquels l'énoncé b
ètement terminer cette attachante série de faits. Chacun de ces 152 cas forme un tout qui porte en soi sa part relative
concerne la première, il reconnaît qu'elle est exacte et répond aux cas les plus habituels. C'est il eux que s'applique l
t beaucoup moins fréquents, tout en étant réels. Il s'agit dans ces cas , non pas de révulsion, comme le pensait Bail, m
e Normand, 27 juin.) Les chaleurs ont causé, à Paris, de nombreux cas de trans- ports au cerveau. Une ancienne danseu
ce réflexe est aboli dans la cécité corticale, conservé dans certains cas de paralysie des mouvements des yeux (V. plus l
r le centre antérieur ou par le centre postérieur ? Dans le premier cas , ils sont précédés de l'image sensitivo-mot'ice
l'image sensitivo-mot'ice du mouvement à exécuter; dans le second cas d'une image sensorio-motrice. Lorsque je me lèv
ulaire, capsulaire, et enfin corticale. Nous n'envisagerons que les cas où elle est .due à une lésion des hémisphères.
nous ne sommes pas autorisé à dire qu'elle a été méconnue dans les cas où elle n'est pas signalée concorni- tamment av
devrait avoir alors de l'anesthésie sensitive, de même que dans les cas précédents nous avions de l'anesthésie sensorie
reste relativement indemne. Plus difficiles à expliquer sont les cas où une lésoin unila- térale a, contrairement à
centres du même côté produit des troubles légers ; dans quelques cas rares, la lésion des deux centres du même côté
is d'origine corticale nous paraît donc avoir, dans la majorité des cas , comme condition anatomique, une lésion ' Grass
e des lésions très étendues ou multiples. Il est cependant quelques cas où la lésion étant plus limitée, l'interprétati
idérés comme les plus démonstratifs d'un centre unique. . Dans le cas de Lemoine, le malade eut en même temps que sa
nt précisément au centre oculo-moteur antérieur) fût saine. Dans le cas de Grasset, il y avait une méningite diffuse de
une méningite diffuse de la convexité des deux hémisphères. Dans le cas de Chauffard, la lésion s'étendait jusqu'à la p
a pariétale ascendante, de même que dans celui de Surmont. Dans les cas de Landouzy et de Gianelli il s'agis- sait de t
il s'agis- sait de tumeurs pouvant agir à distance. Même dans ces cas , il n'est donc pas illogique que les deux centr
le, de modifications du tonus, etc. Faut-il interpréter de même les cas où, contrairement à la règle, le facial supérie
'observation de Tiling est calquée sur la précédente. Dans ces deux cas , il y avait une suppression des deux centres oc
t probantes que nous ayons trouvées. Wernicke ' cite bien encore un cas d'Andral, et un autre de Thomson, mais l'examen
Oppenheim et Siemerling (Charité 11nna- ¡en, 1897). Dans le premier cas , il s'agissait d'un homme de soixante-cinq ans
ie incomplète des mouvements de latéralité des yeux. Dans le second cas , un malade âgé de quarante-neuf ans, atteint ég
préférons ne pas faire usage de ces observations, car dans les deux cas il y avait des lésions bulbaires. Dans le premi
a sixième paire. - Enfin on pourrait aussi à la rigueur invoquer un cas d'An- derlya 2 : il s'agissait d'un malade de l
iphérie par les radiations optiques '. - Wernicke 2 qui rapporte le cas de Tiling et y joint celui d'Andral et celui de
ariétaux inférieurs. ' Cette conclusion ne vaut que pour les quatre cas que nous avons rapportés, il est possible que c
arque pas toujours par l'attaque d'apoplexie brutale. En dehors des cas où elle peut ne se traduire que par des trouble
Fletcher 1 la décrit en 1846 et William Gull 2- en relate plusieurs cas typiques dans un mémoire de 1859 'sur les anévr
triculaire et venant ainsi à l'appui des idées de Broadbent. Deux cas qui sont venus à notre observation et qui ont p
e s'accompagnant que d'un état de confusion passager. Dans les deux cas , ces symptô- mes disparaissent au bout de peu d
ète et avec une sensation de malaise et de fatigue. Dans d'autres cas , après quelques troublés vertigineux, le malade t
t rapidement pour laisser ensuite la maladie évoluer comme dans les cas les plus typiques. Ce cas est à rapprocher de l
ensuite la maladie évoluer comme dans les cas les plus typiques. Ce cas est à rapprocher de l'observation IV de Gull :
dont se plaint le malade ; mais parfois elle n'apparaît, dans les cas dont le début se fait par une paralysie brusque
sister jus- qu'au moment où le coma terminal s'installe. Dans les cas les plus typiques, la paralysie apparaît gra- d
e produire brusquement une hémiplégie complète. Enfin dans quelques cas (obs. Puech et obs. III person- nelle) les phén
onstate le ' lendemain une hémiplégie droite. Dans plusieurs autres cas , où l'on note des phénomènes convulsifs dès le
rt des observations l'état des réflexes n'a pas été noté ; dans les cas où on les a recherchés au moment de l'apparitio
ssez généralement la marche des phénomènes paralytiques. Dans les cas où l'hémiplégie se produit brutalement comme phé-
thésie est également complète (obs. de Puech et obs. III). Dans les cas où la paralysie s'est établie progressivement,
siège habituel des lésions hémorra- giques à droite. Dans les deux cas où l'hémorrhagie siégeait à gauche, on note dan
ns les deux cas où l'hémorrhagie siégeait à gauche, on note dans un cas (obs. V de Broadbent) une simple difficulté d'é
s à des personnes en état d'ivresse. Cet état peut manquer dans les cas où le malade est frappé brusquement par des phé
ntôt d'une façon très progressive. Tandis que dans la plu- part des cas la progression se fait d'une façon régulière .de
t pendant une durée de plusieurs jours, jusqu'à vingt-cinq dans un' cas de. Broadbent (les cas I, II, III, V de Broadbe
plusieurs jours, jusqu'à vingt-cinq dans un' cas de. Broadbent (les cas I, II, III, V de Broadbent sont des types de ce
I, II, III, V de Broadbent sont des types de ce genre ; de même nos cas 1 et II). Après quelque malaise, un sentiment d
ns convulsions, La mort est, en effet, la terminaison dans tous les cas que nous avons réunis. Elle survient plus ou mo
is. Elle survient plus ou moins tôt, après quelques heures dans les cas les plus rapides, jusqu'à vingt- cinq jours dan
s dans les cas les plus rapides, jusqu'à vingt- cinq jours dans les cas les plus prolongés. La régularité de la progres
« ab- sence de coma primitif» peut ne pas exister et néanmoins le cas , de par sa marche générale, doit entrer dans cett
ne très mince couche de substance cérébrale ramollie. Dans certains cas cependant (Obs. I et II) la déchirure peut se f
pression exercée sur elle par le foyer hémorragique. Dans certains cas cependant on a observé que cette corne pouvait
ant même pas toute la surface externe du corps strié. Dans d'autres cas , l'hémorragie qui s'est faite en avant jusque d
t une hémorragie de la partie externe de la couche optique. Dans un cas , l'hémor- ragie était limitée au bord tout à fa
s la capsule interne, la corne occipitale du ventricule. Dans nos cas , nous voyons (obs. I) l'hémorragie former un fo
r un foyer volumineux dans la substance blanche antérieure. Dans le cas III, l'hémorragie s'est faite également entre l
e là qu'une simple infiltration pluL()tqu'unc hémor- ragie. Dans ce cas , le foyer primitif siège évidemment dans le pie
e en avant et en arrière, sont entièrement détruites. Dans d'autres cas , l'hémorragie ne se fait que par- tiellement au
a localisation est, dans certaines limites, constante ». Dans notre cas Il, nous avons vu que l'hémorragie ne se faisai
s. Comme nous trou- vons ces divers sièges de l'hémorragie dans nos cas d'apo- plexie progressive, nous pouvons dire qu
ive, l'hémorragie siégeait au niveau de la protubérance. Voici le cas de William Gull. Cases of tlae cérébral vessels.
am Gull. Cases of tlae cérébral vessels. (Guy's IIospital Reports). Cas . II. Aneurism in the substance of the pons vari
s anévrismes artériels eux- mêmes et qui permettrait, dans certains cas , une sorte d'usure progressive du sac sans rupt
de sérosité dans le ventricule. Peut-être est-on autorisé, dans des cas de cet ordre, à attribuer le syndrome de l'apop
° 10, 1898.) Recherches anatomiques portant principalement sur deux cas de cyclopie chez l'agneau, et conduisant aux co
du capuchon céphalique, observée et décrite par Uarestc dans les cas de cyclopie, défend des mêmes causes qui ont prod
depuis le front jusqu'à l'ébauche nasale primitive, dans les divers cas de cyclopie.. Il. Ctunox. II. Recherches sur
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 219 fectieuse ou toxique et en cas de constatation des lésions dans les centres ne
à celles que détermine l'hyperthermie expérimentale ; 2° Dans des cas infectieux fébriles, où la température a dépassé
elui produit par l'élév, tion thermique ; 3° C'est surtout dans les cas où la température a atteint ! ¡ 1°, et s'est ma
influence sur le sort ultérieur des cellules du nerf lésé. Dans le cas où elle a lieu. les cellules reviennent à l'éta
as où elle a lieu. les cellules reviennent à l'état normal; dans le cas contraire, après ce retour à l'état normal, ell
s sont jointes à ce travail. A. M. VI. Anatomie pathologique d'un cas de myélite syphilitique ; par Wiliamson (de Man
phénomènes qui 's'expliquent éga- lement dans l'un et dans l'autre cas ; c) dans la plupart des cas l'action du cervel
lbl(LIt f Nervenheil- Iiii)zde, XU, N. F. 1s.18 : t8). Il est des cas dans lesquels (porencéphalies avec idiotie) le dé
tit noyau à boi : ds irréguliers à protoplasma foncé. En ce dernier cas , il y a peu de prolongements protoplasmiques et
a suite de l'adminis- tration de l'ichthyol 1¡¡lus et extra dans 24 cas de sciatique grave, 14 guérisons, 4 amélioratio
lus efficace pour combattre cette affection, dans la généralité des cas . G. Dknv. XI. Vomissements incoercibles de natu
it surtout dans l'agitation maniaque pure. Il n'agit qu'en certains cas contre l'agitation de la catatonie et de la dém
t suggestif dépendant de la gravité et de l'individualité de chaque cas , du degré de suggesti- bilité de l'individu. Il
curremment, les bains, le KBr et autres médicaments, suivant chaque cas spécial. P. KERAVAL. XV. Le traitement orthopéd
échies dans les genoux, le plus souvent le pied bot varus. Dans les cas graves on peut voir la rotation interne avec un
aincre la résistance des adducteurs. D'après Lorenz il y a dans ces cas une élongation et une myorrhexie. Dans les cas
nz il y a dans ces cas une élongation et une myorrhexie. Dans les cas d'extrême contracture des muscles adducteurs, il
idère comme une règle générale de pratiquer le trépan dans tous les cas de fracture des - os du cràne avec dépression d
CHIATRIE DE MOSCOU. Séance du 19 mars 1899. D1' BnouEHAXstY. Un cas d'encéphalite aiguë hémorragique (avec présenta
s) avec décoloration des pupilles. 13... admet qu'il s'agit dans ce cas d'une encéphalite hémorra- tique, localisée dan
nicke. Discussion. M. MouRATOrr croit qu'il s'agit plutôt dans ce cas d'une affection fonctionnelle ou toxique diffus
els on a fait l'ablation de tout le cervelet, d'un hémisphère (deux cas ), du lobe médian et de la substanoe blanche d'un
l, dues à l'cmpoisonnement par le poisson. L'auteur a observé deux [ cas d'empoisonnements mortels dus il l'ingestion du
utopsie, les données macroscopiques ont été négatives dans les deux cas . A l'examen microscopique du cerveau et de la m
que l'on en tire; on peut s'en rendre compte sur l'analyse de deux cas récents. Il termine en justifiant la valeur théra
mine en justifiant la valeur thérapeutique de l'hypnotisme dans les cas suivants : hystérie, dipsomanie, enfants vicieu
s excellents résultats. M. Jules Voisin. Il s'agit en somme dans ce cas , comme en beaucoup d'autres, de phobies spécial
toxique pour le mâle que pour la femelle qui, dans la majorité des cas , résiste à des doses sem- blables et ne succomb
raitement ovarien, avant d'en employer un quelconque, dans tous les cas où il est indiqué, c'est-à-dire dans les troubles
aient dépendre de l'alcoolisme, con- fusion naturelle, car dans ces cas , l'on a affaire à. des troubles similaires. L
ixe; c'est une question d'espèce et de mesure, variable suivant les cas . 1 L Esssai sur le subconscient dans les ceicvr
Généralement le diagnostic est assez facile : cependant il est des cas où il est ditti- 21b (S BIBLIOGRAPHIE. cile;
tude clinique de la fausse angine de poitrine des hystériques (deux cas nouveaux). -- Bellay (Paul). Essai sur le tuai-
sai sur le tuai- lement de l'épilepsie. Considérations sur quelques cas d'épilepsie trai- tés par la trépanation. Racca
musculaire dans le tabès (sa fréquence). - Szum- lanski (Paul). Un cas d'arthropathie tabélique p1'Pcoce ci forme hyper-
9. N° 46 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE POSTOPERATOIRE; Par le D
8.) Archives, 2' série, t. V111. 17 ï 258 CLINIQUE MENTALE. les cas dans lesquels le délire ne relève d'aucune des ca
ni des malades ni des intoxiqués ». D'après lui, dans ces derniers cas les troubles cérébraux - se manifestent sous la
. Compte rendu in La Presse médicale, G août 1898.) RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 259 mie ou à une infectio
Les troubles psychiques post-opératoires sont donc, dans tous les cas , d'après M. Régis, dus à un trouble de nutrition
rôle dans l'étiologie de ces accidents. Or, parmi la multitude des cas de troubles psy- chiques post-opératoires qui o
elles observa- tions. C'est ce qui nous a décidé à rapporter ici le cas sui- vant : Observation. Sommaire : Ligature
u- reux qui se sont produits pendant son existence. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 261 1 Il a fait sept ans
scultation du coeur ne révèle aucun bruit anormal; il RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 263 existe, cependant, un
e s'améliore lentement; la plaie de l'aisselle con- 4 RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 26D tinue à suppurer, mai
La confusion des idées persiste avec la même netteté. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 267 On n'observe plus de
des malades couchés dans les lits voisins du sien, et RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 269 d'avoir appris par eu
cation. L'observation que nous venons de rapporter est celle d'un cas typique de confusion mentale. Avant de relater le
inuer encore sa force de résistance aux agents morbi- RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 271 1 fiques, modificatio
e... Le délire onirique correspond très probablement, dans tous les cas , à une intoxication, et semble en être la carac
es post-opératoires, ne constitue pas une particularité spéciale au cas que nous étudions ; la plupart des aliénistes s
ations chirurgicales, des désordres cérébraux qualifiés suivant les cas et suivant les auteurs, de vrais ou de faux dél
icale, le rôle pré- ' Professeur Joffroy. Loc. cit. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 273 pondérant nous paraît
tion de troubles psychiques post-opératoires. Abstraction faite des cas où les troubles mentaux sont la conséquence d'o
tions spéciales, tels que la glande thyroïde et peut-être l'ovaire, cas qui doivent être classés à part, il n'y a pas lie
taire ou acquise. Son influence est particulièrement nelte dans le cas que nous venons de rapporter. L'action des autr
d'ordre psychique, mais il n'en est pas ainsi, dans la majorité des cas ; le plus souvent, causes physiques et psychiqu
nfusion mentale est le type habituel des folies toxiques ; et notre cas en est un exemple bien net; cependant, d'une RE
otre cas en est un exemple bien net; cependant, d'une RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 275 part, il n'est pas en
arités qu'a présentées dans sa symptomatologie et son évolution, le cas que nous venons de rapporter. On trouve dans l'
s sa mémoire. Contrairement à ce qui s'observe dans la majorité des cas , notre malade est sorti de cette longue crise c
om- mentaires. Nous ferons simplement remarquer que dans les deux cas la lésion intéressait dans toute son étendue la p
au bras, à la moitié de la face et au membre inférieur; en tout t cas , la sensibilité à la piqûre est incomparablement
es ; peut-être 28G CLINIQUE NERVEUSE. trouverait-on dans certains cas la raison des rapports encore inexpliqués mais
gie par congestion. Mais on peut se demander pourquoi dans certains cas d'absence de règles, l'ovulation se fait quand
dans l'hémorragie menstruelle. Comment expliquer autre- ment les cas si fréquents de déviation des règles ou d'hémor-
n, grâce à elle, nous allons pouvoir chercher une expli- cation aux cas d'aménorrhée transitoire que nous avons observé
striction. Cette théorie permet de donner une explication à notre cas ; cette explication est confirmée d'abord par le.
cation intime du phénomène nous échappe ; mais ce n'est pas le seul cas où l'on ait à constater des rapports constants
idemment l'état de l'appareil génital. 11 s'agit manifestement d'un cas d'hypospadias très accentué (hypos- padias péri
, que pré- sente le scrotum divisé sur la ligne médiane. Dans notre cas , cette apparence est assez grossière; les deux
des grandes lèvres. Le raphé médian n'existe pas; dans beaucoup de cas cependant, IDIOTIE CONGÉNITALE ET HYPOSPADIAS.
se faire à un âge plus avancé, et Lan- douzy (de Reims) rapporte le cas de Marie Goulich, considérée comme fille à sa n
et des corps caverneux devait rendre à peu près impossible, en tout cas très imparfaite, l'érection. Nous en dirons aut
équilibré. -Magnan a signalé à la Société médico-psychologique deux cas d'individus, hermaphrodites simples, et qui, au
ans la genèse de certaines folies. Il s'agit, il est vrai, dans ces cas , de folies acquises, qui se développent après la
présentation du malade guéri. Très fine observation clinique sur un cas diagnostiqué tubes par un professeur anglais de n
'hystérie pure. La thérapeutique n'est pas univoque devant ces deux cas . Dans le premier, les agents physiques, les méd
estifs sans effet dans le premier. F. 1301SSIER. XVIII. Note sur un cas de zona du nerf trijumeau (branche ophtal- miqu
le Dr VILCOQ. (.%0211·lz. de Neurologie, 1899, n° 1.) XIX. Sur un cas de psycho-esthésie ; par E. GUTIIRIE. (Brain, L
à quelque lésion obscure de l'écorce comme origine. F. B. XX. Un cas de paralysie d'origine saturnine; par M. Sano.
complètement. L'auteur incline à penser qu'il a eu affaire dans ce cas à une polynévrite infectieuse du plexus brachia
modes suivants : ou bien elle est objective et réelle, et dans ces cas , les sujets qui en sont atteints, présentant un
s nerveuses par le microbe et ses toxines, détermine, dans certains cas , une répercussion sur le centre, avant même que
ladelphie d'avril 1894 à octobre 1898. Dans cet espace de temps, 80 cas furent observés qui se décomposent comme suit :
s, comme des équivalents possibles de la crise comitiale. XXX. Un cas de spasme avec contraction hémiplégique sans pa
émichorées ; par La Riva. (Académie de médecine de Jladrid.) Deux cas types d'hémichorée essentielle chez des enfants d
a cho- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 rée ; mais dans les deux cas de La Biva l'absence du signe de Bechtereew (pe
rce la localisation choréogène ' ? La question reste posée, en tout cas la chorée essentielle serait une affection infe
rès long sans aucune réaction psychique. F. Boissier. XXXIV. Deux cas d'épilepsie jacksonnienne ; par II. Bmz. Il s'a
ail a été lu il la British association d'Edimbourg. Il porte sur un cas de diphtérie où ont été appliquées les méthodes d
(British med. Journal, décembre 1898.) L'intérêt principal de ce cas consiste dans la distribution spéciale des anes
ser- vations, donne neuf faits nouveaux, et dresse un tableau de 60 cas personnels avec analyses correspondantes. Con
emme; 11° Les premières récidives constituent dans la pluralité des cas des formes plus graves de paralysie (électri. q
ne, ou encore de lésions pathologiques de la base du crâne. Dans ce cas , la récidive parait toujours occuper le coté at
réditaires prédisposés (13,3 p. 100); - 16° Il reste 66,6 p. 100 de cas où on n'a pu constater les causes précédentes; -
s et prédisposés congénitaux, ne s'appliquent pas à la majorité des cas de ce genre; - 18° L'origine infectieuse ou tox
c point d'explication satisfaisante applicable à la plu- ralité des cas de répétition d'une paralysie faciale périphériqu
aines après l'acci- dent sur tout le terriloire du nerf atteint. Ce cas de névralgie traumatique avec trouble trophique
symptomatique purement hystérique, de même que Charcot. Un voici un cas qui rentre aussi dans l'hystérie. Il n'a pas d'
les individus atteints de para- lysie faciale périphérique. Dans le cas de blépharoptose paraly- tique, il est parfois
lliampère. 5" Le reste de l'évolution cor- respond, dans les divers cas , a l'évolution de la paralysie. Dans les cas de
spond, dans les divers cas, a l'évolution de la paralysie. Dans les cas de moyenne gravité, l'excitabilité diminue très p
minue très prompte- ment avec l'apparition de la guérison. Dans les cas graves, l'excita- bilité de l'élévateur subsist
res. '7° On peut obtenir des contractions de l'éléva- teur dans les cas de-moyenne gravité et dans les cas graves de pa
ctions de l'éléva- teur dans les cas de-moyenne gravité et dans les cas graves de paralysie périphérique de l'oculomote
graves de paralysie périphérique de l'oculomoteur commun. Dans les cas légers on ne peut produire de contractions quan
nérative. Les faits n'ont pas confirmé cette pré- vision ; en aucun cas de blépharoptose produite par une paralysie fas
de contraction de l'élévateur. Pas de contraction non plus dans un cas de blépha- roptose congénitale. Aucune réaction
ans un cas de blépha- roptose congénitale. Aucune réaction, dans un cas de paralysie de l'oculomoteur commun récidivant
cose chloroformique. C'est à voir de près. P. KEKAVAL. XLIV. Deux cas d'ataxie de Friedreich; par P. Com. (Neurolog.
Massage. Exercices compensateurs de Frenkel. P. Keraval. XLV. Un cas de contracture congénitale avec hypertrophie de l
it peut-être être considérée comme d'origine intra-utérine (voy. le cas de Schuize). Le diagnostic en est, en tout cas,
tra-utérine (voy. le cas de Schuize). Le diagnostic en est, en tout cas , simple quoiqu'il y ait des points de contact a
e des masticateurs animés par la cinquième paire. Il mentionne un cas d'hémiplégie faciale également produite par un co
e la constitution de la substance fondamentale. 2° Examen de deux cas de tabes. Aucune anomalie de la substance chrom
anatomique ne permet pas d'en contester l'existence. 3° Examen d'un cas de paralysie générale. Il s'agit d'un homme de
ugmentation des substances extrac- tives éliminées. R. C. XIV. Un cas de paralysie générale des aliénés chez une enfant
appeler obsession que la sixième espèce de Rehm. En effet, dans les cas purs, il ne doit y avoir de pathologique que le
adopte très nettement la première opinion ; pour lui dans tous les cas de folie menstruelle il s'agit d'un cerveau exc
eurs familles ce qui explique, en partie, la rareté relative de ces cas dans les asiles. De Tiiivet. XIX. Stupeur men
e; par le De Noble. Il se rencontre fréquemment dans les asiles des cas anormaux qui ne prennent place dans aucun des s
aucun des systèmes de classification employés : tels sont certains cas de stupeur intermittente. L'auteur rapporte tou
de stupeur intermittente. L'auteur rapporte tout au long un de ces cas de stupeur inter- mittente à terminaison favora
n entre l'appareil vasculaire et l'appareil ner- veux : trop peu de cas de stupeur intermittente ont été observés et ét
yphilitique a été admise par les uns, niée par les autres. Quelques cas de démence syphilitique améliorés par un traite
lioration sont intimement et manifestement en rapport. Le premier cas a trait à un malade atteint de manie aigué et c
sort un mois et demi après ~son entrée. Il en est de môme du second cas . Le troisième malade est un mélancolique avec e
éjourne seulement deux mois a l'asile. Même résultat rapide dans un cas de manie et dans un cas de confusion mentale. (
ois a l'asile. Même résultat rapide dans un cas de manie et dans un cas de confusion mentale. (The alienist and nc2crol
ork a pris l'initiative de substituer au jury ordi- naire, dans les cas criminels où la folie est invoquée par la défense
iculièrement compétents. Cette juridiction a été employée pour le cas à propos duquel l'auteur publie un intéressant
alytiques générales. Ce qui caractérise surtout la démence dans les cas rapportés, c'est qu'elle augmentait après les a
amen psychologique des lésions de l'encéphale a donné dans les cinq cas , la preuve que ce dernier diagnostic, malgré cer-
un dément épileptique. : \1. Farnarier communique l'observation d'un cas d'acromégalie chez un dément épileptique du ser
rmine l'éclosion d'affections nerveuses ou mentales variées. , Un cas de paralysie générale avec hallucination. M. Tr
méningo-encépha- lie chronique, les malades qui en présentent. Ce cas offre une nouvelle confirmation de cette loi géné
tion ultérieure dans l'écorce cérébrale. D1 PRLOBHAJh'1\bhY. - Deux cas de paralysies bizarres : . P... présente deux m
99) sont restés in statu quo. Professeur HOTH et D1' IvANOrr. Trois cas de cysticerques du cerveau : Observation I. C
s relèvent sans doute de celle-ci. Discussion. M. Minor relate un cas de cysticerques multiples observé par lui et qu
t 336 sociétés savantes. graves qui éclatent brusquement dans les cas de cysticerques peu- vent être mis sur le compt
oneus). La localisation présumée de l'affection se trouve dans ces. cas immédiatement au-dessus du cône médullaire. O
lité de.la paralysie du péronier font admettre qu'il s'agit dans ce cas d'une lésion de la queue de cheval. \ Observa
ième racine sacrée. Discussion. M. l\10URAVIEFF a observé plusieurs cas de lésions médullaires du même type à évolution
e. M. KORNILOFF prend part à la discussion. Dr W. IIIOURl1'IGFF. Un cas d'apoplexie médullaire (avec présen- tation du
ignifiants. Il conviendrait peut-être, d'après AI., de désigner ces cas sous le nom d'hémato- myélie antérieure, en par
eps de 123 aliénés. Le phénomène était net- tement prononcé dans 44 cas sur 40 de démence précoce (IÜaepelin), dans les
oncé dans 44 cas sur 40 de démence précoce (IÜaepelin), dans les 28 cas examinés de paralysie générale, dans 8 cas d'im-
(IÜaepelin), dans les 28 cas examinés de paralysie générale, dans 8 cas d'im- bécillité congénitale. 11. manquait dans
le, dans 8 cas d'im- bécillité congénitale. 11. manquait dans les 5 cas examinés.d'anzerztiia (Meynert) etdans 0 cas SU
1. manquait dans les 5 cas examinés.d'anzerztiia (Meynert) etdans 0 cas SUl' 11 de psychoses émotives (dans les autres
nert) etdans 0 cas SUl' 11 de psychoses émotives (dans les autres 5 cas de ces psychoses le bourrelet n'apparaissait qu'à
ont permis de constater la présence de ce phéno- mène dans tous les cas examinés d'épilepsie (8 cas), de syphilis céréb
résence de ce phéno- mène dans tous les cas examinés d'épilepsie (8 cas ), de syphilis cérébro-spinale (6 ca), d'affecti
lis. Le phénomène faisait défaut dans les hémiplégies cérébrales (8 cas ), du côté malade, comme du côté sain et dans l'
s (8 cas), du côté malade, comme du côté sain et dans l'hystérie (4 cas ). Les recherches faites sur 10 personnes bien p
forme autonome, n'est pas encore suffisamment démontrée, et en tout cas la pré- sence du phénomène de bourrelet muscula
orF, Jaxo- WENKO, KOJEVNIKOFF et POSTOWSKY. M. Lioubouchine. - Un cas de démence organique chez une femme ' hystériqu
ions bien nettes et bien déterminées ; 2° Ces altérations, dans les cas d'intoxication aiguë, intéressent principalemen
totale. Le matériel d'examen est considérable puisqu'il comprend 15 cas , examinés aux principaux niveaux de la moelle,
giques récentes, qui ne peuvent être complétés que par l'étude de cas observés à tous ces points de vue .aussi exacteme
thodes actuelles et accompagnée des considérations générales que ce cas nous a suggérées. , I. Observation clinique.
r que dans ceux qui ont été traités au Nissl : mais dans ce dernier cas elles sont rendues moins frappantes par les déf
s de l'hypoglosse est encore moins altéré. Les lésions sont en tout cas plus nettes que celles du noyau ambigu qui en p
t du protoplasma coloré par le bleu de méthylène. Peut-on dans ce cas affirmer que l'alcool, et d'une manière générale,
par les bichro- mates qu'après action de l'alcool ; dans ce dernier cas les cellules sont souvent plus ratatinées et so
. celle de la masse, c'est-à-dire dans une vacuole. Dans tous ces cas . on voit l'amas pigmentaire prendre des bords plu
ations bactériologiques. Les recherches bactériologiques dans notre cas ont porté- sur le sang pendant la vie et sur le
mise en avant, les lésions sont précisément diffuses dans bien des cas aux cardons blancs voisins et dites « pseudo-sy
voisins et dites « pseudo-systématiques » (Marie). Tel n'est pas le cas dans notre observation. Enfin on peut soutenir
poser l'hypothèse pathogénique suivante. Dans un certain nombre de cas le liquide des méninges rachidiennes a paru spé
ide des méninges rachidiennes a paru spécialement infecté. Tels les cas si intéressants de Chante- messe et Ramond '. D
nlevé. Il semble d'après ces faits que l'on puisse, dans certains cas du moins, faire jouer un rôle dans la progression
es rachidiennes. On peut répondre que dans la grande majorité des cas on n'a relaté ni l'état ni la quantité du liquide
tés. Tout récemment, Schultze' 1 par une ponction lombaire, dans un cas de paralysie infantile, trouva du pneumocoque d
iquide céphalo-rachidien. Pourquoi n'admettrait-on pas que, dans ce cas , l'agent pathogène a envahi les cornes antérieu
t l'envahit progressivement de bas en haut, donnant dans le premier cas une poliomyélite anté- rieure plus ou moins gén
endante. Une telle hypo- thèse ne peut sans doute s'appliquer qu'au cas de paralysie ascendante par myélite. Mais si l'
te par myélite. Mais si l'on considère que, dans un grand nombre de cas où l'examen bactériologique a été fait, le micr
rivait, puisqu'il croyait à l'intégrité du système nerveux dans ces cas , les découvertes ultérieures et les progrès de
ous le nom de maladie de Landry ou de paralysie ascendante tous les cas où se réalisait l'ensemble de ce syndrome quell
nd dans une de ses cliniques', l'examen du système nerveux dans les cas de paralysies ascendantes a fourni les résultat
elle de Landry ne s'appuyait jusqu'à ces derniers temps que sur des cas où l'examen par la méthode de Nissl n'avait pas
des cornes antérieures, se rencontre aussi parfaite que dans notre cas . L'observation de Roger et JosuéJ peut seule en
n de Roger et JosuéJ peut seule en être rapprochée. A part ces deux cas il n'en n'existe pas, croyons-nous, où les lési
or notamment on ne doit donner le nom de paralysie de Landry qu'aux cas de paralysie extensive exclu- sivement motrice
eure actuelle, la pathogénie exclusivement névritique pour tous les cas de paralysie ascendante ne peut plus être légit
cher à l'opinion de Sénator et regarder comme un entité morbide les cas de paralysie ascendante aiguë avec symptômes pu
t lui réserver le nom de paralysie de Landry ? Laissant de côté les cas complexes où des lésions successives ou simulta
rche plus rapide, une extension précoce aux noyaux bulbaires. Notre cas serait un des types les plus purs de cette form
loir ratta- cher à autre chose qu'à un syndrome clinique. En tout cas il n'est pas sans intérêt (quitte il les classer
tématisation anatomo-pathologique, nous croyons que c'est à^de tels cas qu'il faut se reporter et notre observation nou
INATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 373 Conclusions. - 1° Il est des cas de paralysie ascendante à forme motrice pure, d
2° L'infection du liquide céphalo-rachidien constatée dans certains cas de paralysie ascendante semble pouvoir expli- q
l'intérieur de l'âme, les autres corporelles. » Leuret rapporte le cas du frère Gilles et du roi saint Louis qui « se
et Londe \ Roubinovitch ', .Janet 6, Pieracciui7, ont rapporté des cas d'hallucinations 1 Séglas. Progrès médical, 188
me phénomène transitoire, ne suffit pas à provoquer du délire ; les cas sont nombreux d'individus ayant des hallucinati
pour revenir aux hallucinations psycho- motrices verbales, cite le cas d'une femme de quarante ans, saine d'esprit, qu
tteints d'hallucinations psycho-motrices verbales. On a observé des cas semblables dans la manie. l3aillar- ger a eu le
n a observé des cas semblables dans la manie. l3aillar- ger a eu le cas d'un maniaque en convalescence, qui durant quin
t une voix intérieure épigastrique. blairet- 2 "a rapporté un autre cas . Janet cite un excité demi-maniaque qui prétend
cution (Legrand du Saulle, Jotfi-o3-). M. Sérieux ? a rapporté deux cas de paralytiques généraux ayant des hallucinatio
ales. - Dans les délires toxiques, surtout dans l'alcoolisme, les cas d'hallucinations psycho-motrices verbales sont tr
Vallon est sujet à critique, M. Vallon lui-même avoue que c'est un cas douteux. 1 Nous avons nous-même rapporté un c
voue que c'est un cas douteux. 1 Nous avons nous-même rapporté un cas d'alcoolique ayant eu des hallucinations psycho
ourtant, en l'espace d'une année, nous n'avons pu relever que trois cas . Observation I. - Dégénérescence mentale et hér
édomine, l'alcool a fait le reste. Un des points intéressants de ce cas , c'est que l'éréthisme du centre cortical moteu
état nor- mal et nous promet de ne plus boire. 1 Réflexions. Le cas est simple, ce fils et petit-fils d'alcoo- liqu
r les organes de la phonation et de l'articulation, mais il est des cas où cette excitation porte beaucoup plus loin, b
u centrale des organes sensoriels. Et comment expliquons-nous ces cas . Nos malades, des dégénérés et des héréditaires
E FAITS. HYSTÉRIE DE L'ENFANCE; Par BOURNEVILLE et J. BOYER. Le cas d'hystérie mâle de l'enfance que nous allons rap-
l, les circonvolutions frontales et pariétales ascendantes dans six cas d'hémiplégie due à des lésions plus ou moins an
lésions du faisceau pyramidal dans la capsule interne, n'est qu'un cas parti- culier que présente tout neurone moteur
ransmission qui est affaiblie ou abolie. Le fait que, dans certains cas , la sensibilité à la douleur est seule atteinte
. La substance chromatique et le noyau sont normaux ; même dans les cas de tabes absolu avec dégénérescence extrême des
générescence des- cendante des cordons postérieurs survient dans le cas de lésion transverse totale de la moelle tout a
sion transverse totale de la moelle tout aussi sûrement que dans le cas de lésion des racines postérieures. Puis, les f
ie des autres conducteurs sensitifs. Il est à remarquer que dans un cas de Iloesel, dans le- quel un kyste apoplectique
se avec perte de la réaction pupillaire, parfois permanente (quatre cas ), avec inégalité pupil- laire continue (un cas)
s permanente (quatre cas), avec inégalité pupil- laire continue (un cas ). Chaque expérience était suivie de parésie et
cales, dont les lésions permettent de déchiffrer l'incurabilité. En cas d'intoxication faible, prédominance des phéno-
rnières données histologiques. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XVII. Un cas de méralgie paresthésique traité par la résection
tané. On peut supposer que la com- pression s'exerce, dans quelques cas tout au'moins, soit au niveau de l'arcade crura
la résection du nerf à ce niveau semble rationnelle. Faite dans le cas présent par le D1' Mauclaire, elle a amené une
éliorés et 4 améliorés notablement; parmi les 7 guéris il y avait 3 cas de manie aigué, 2 cas de confusion men- tale, u
notablement; parmi les 7 guéris il y avait 3 cas de manie aigué, 2 cas de confusion men- tale, un cas de mélancolie ai
s il y avait 3 cas de manie aigué, 2 cas de confusion men- tale, un cas de mélancolie aiguë et un cas de morphinisme. Sur
gué, 2 cas de confusion men- tale, un cas de mélancolie aiguë et un cas de morphinisme. Sur 33 aliénés divers traités p
sont cependant très appréciables comme l'indique le tableau des Il cas cités dans le travail. Quant à la paralysie gén
traitement hydrique sur le cerveau que dans cette affection. Sur 21 cas traités par l'hydrothérapie, 6 étaient, au bout
e de traitement, qu'il a appliqué antérieurement dans deux autres cas , ne lui a donné que des résultats favorables. Aus
utes durant, toutes les deux ou trois heures, suivant la gravité du cas , jusqu'à cessalion complète et définitive du déli
à cela, les doses de bromures étaient ainsi plus efficaces. En tout cas , six semaines après la suspension de l'opium, sou
les individus jeunes n'étant épileptiques que depuis peu. En tout cas elle est exclusivement propre à des hôpitaux ou à
ie très,rare à Kasan ; depuis cinq ans, l'auteur n'a pas vu un seul cas de diplégie faciale rattachable à une polynévri
que deux de ses parents, et que seul il fut paralysé. Dans les deux cas , les accidents paralytiques suivirent très rapi-
vaccinations, huit jours après chez le second malade. Dans les deux cas , en revanche, la paralysie fut légère et le pro
ut est : REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. - 425 L'auteur en rapporte trois cas : Dans le premier cas, tabes dorsal au stage pa
APEUTIQUE. - 425 L'auteur en rapporte trois cas : Dans le premier cas , tabes dorsal au stage paralytique, il y avait
xie modérée et les symptômes physiques s'améliorent. Dans le second cas , tabes dorsal au stage ataxique, il n'y avait p
ental du malade. Aucune amélioration de l'ataxie. Dans le troisième cas , tabes dorsal à la période pré-ataxique, la pon
alyses bactériologiques et chimiques furent négatives dans tous les cas . De nouvelles expériences sont encore nécessair
adie. (Tlee alienist and neurologist, janvier 1899.) E. B. XXXI. Un cas de tic traité par suggestion; par M. le D'' Félon
pour but de guérir étaient la mi- graine et les névralgies, daus 60 cas ; les lésions des os et des join- tures dans 29
ralgies, daus 60 cas; les lésions des os et des join- tures dans 29 cas ; des maladies d'estomac dans 4 cas; des mala- d
es os et des join- tures dans 29 cas; des maladies d'estomac dans 4 cas ; des mala- dies de la peau dans 4 cas ; des tum
des maladies d'estomac dans 4 cas; des mala- dies de la peau dans 4 cas ; des tumeurs dans 2 cas. 2° Problèmes de crimi
ns 4 cas; des mala- dies de la peau dans 4 cas ; des tumeurs dans 2 cas . 2° Problèmes de criminalité ; par G. Tarde. -
observations les plus contradictoires. Baillarger signale quelques cas de délire ambitieux, pré- cédé d'accès d'agitat
que les troubles psychiques qu'on observe le plus souvent dans les cas de ramollissement cérébral en foyer consistent
il déclare qu'il n'a trouvé du délire nettement accusé que dans un cas (obs. XIX). Or cette observation, d'ailleurs fo
ion, dégé- nérescence secondaire. Le tableau clinique est, dans ces cas , celui de l'imbécillité progressive avec atroph
t il est certain qu'il reste parfois impossible à établir, dans les cas , par exemple, où, malgré une étendue considérable
'a duré que quarante-huit heures, s'est accom- pagné comme dhns les cas précédents de fièvre et de céphalée. Les facult
stème de projection (obs. IV el III); 2° l'existence, dans tous les cas , de douleurs céphaliques, en même temps que l'e
ntoxicalion a les plus accentués (obs. 1, II, III). Dans tous nos cas , où il s'agissait de foyers étendus de nécrobio
t ainsi que pour le D'Lapointe, le « travail dans la majo- rité des cas est presque l'unique moyen de traitement qui pu
telles affections, la guérison survient dans environ 60 p. 100 des cas . Du moins la tendance naturelle des psychoses a
t suspendue par l'ac- tion d'un toxique (confusion) , dans tuus ces cas , il est urgent de laisser reposer l'organe into
chacune d'elle a son mérite, ses indications, et fournit, dans des cas déterminés, d'heureux résultats; l'une complète
onsidère l'alitement comme conve- nable et nécessaire dans certains cas de mélancolie aiguë avec diminution générale de
s, sauf chez les sujets neurasthéniques, les vieillards et dans les cas de psychoses puerpérales. J. Balty Tuke, au con
l'occasion d'expérimenter le traitement par le lit dans cer- tains cas pendant quelques intérims à l'asile de Villejuif.
t alitement sont les deux méthodes générales à appliqner à tous les cas de manie3. Rappelons encore une revue générale
sations musculaires et articulaires sont plus vives dans le premier cas ..Mais cette différence est secondaire pour la dif
e résulte de plusieurs éléments qu'il classe ainsi : « 1° Dans le cas où un mouvement actif rencontre.une certaine ré
nteur seraient des variantes de cette notion de résistance. Dans le cas d'effort, il y a en plus des sensations habituell
rs mouvements volontaires. (A suivre.) 1 RECUEIL DE FAITS. UN CAS D'HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES CHEZ UN PARALY
es paralytiques généraux se présentent à peu près dans le tiers des cas et que les sens les plus fréquemment affectés s
travail intéressant sur ces faits', travail publié à l'occasion du cas d'une malade paralytique générale qui présenta
t la vraie nature peut être difficile à reconnaître. Or, dans ces cas où le diagnostic entre la névrite périphérique
observation rapportée par MM. Lereboullet et Allard, relative,à un cas de névrite périphé- rique à forme hémiplégique,
vations de tremblement; par le professeur BOINET. Dans le premier cas , il s'agit d'un officier chez qui, après des -
à une névrite périphérique d'origine infectieuse. Dans les trois cas suivants, le tremblement est d'origine hyst'é-
très probable. L'auteur a pu observer, chez des épileptiques, cinq cas de frac- tures spontanées dont trois pour le fé
ntanées dont trois pour le fémur et deux pour l'hu- mérus. Ces cinq cas comportaient comme symptômes communs : siège de
ns creux, ce dernier surtout chez les enfants bien nourris. En tout cas , il existe un spasme considérable des adducteurs.
iné. Il en expose les allures normales et montre que dans cinquante cas d'hystérie et de neurasthénie, la teneur en sub
produites par l'attaque d'é- pilepsie, a lieu, dans la majorité des cas , une paralysie plus ou moins longue (faible) de
encore contractés et que le radial est fixé. P. KERAYAL. LXI. Un cas de monoplégie spinale de la jambe droite; par .1.
ffit donc pour produire la cécité verbale. P. KERAVAL. LXIV. Deux cas de tumeur cérébrale avec diagnostic précis de la
cocaïniser l'urèthre afin d'en diminuer la sensibilité. Il est des cas dans lesquels rien ne fait, l'anurique devient
, ne pense qu'a sa vessie, et souvent ne peut pisser qu'à la sonde ( cas de Raymond avec catarrhe vésical). Mais général
n à la maladie. C'est pos- sible mais nous ne le savons pas. Si, en cas de doute, on incline à favoriser le côté humain
hardt. (Neurolog. Ces<)'< : /6 ? XVI, 1897.) Il s'agit de ces cas où on enregistre une disproportion entre le tro
cliniques semblent donc indiquer, que dans un assez grand nombre de cas , les anas- tomoses des fibres motrices rempliss
ann, que toutes les fibres de l'b3'poglosse ne sont pas en tous les cas , simultanément, et, dans une égale étendue, att
nettement limitées, c'est pourquoi l'on ne tarde pas, comme dans ce cas , à observer l'amalll'ose d'un oeil associée à u
milation, et amène l'augmentation du poids du corps ; dans certains cas , cette économie sur les substances brûlées sera
pendue par l'action d'un toxique (confusion mentale); dans tous ces cas il est urgent de laisser reposer l'organe surme
é à cette conclusion que si cette thérapeutique donne dans certains cas les meilleurs résultats elle n'est cependant pas
inctement à tous les aliénés. En effet, dit-il, si la plu- part des cas aigus sont favorablement amendés et si presque to
approchent. Après quelques jours d'essai le mieux est dans quelques cas de ne pas persister à vouloir maintenir l'alién
u 9 novembre. Présidence de M. JOFFROY. MM. DEJEUNE et l3cnNnEm. Un cas de paralysie radiale par com- pression, avec au
a-t-il coïncidence fortuite ou relation de cause à effet, dans les cas de délire chez les tuberculeux ? Il est diffici
x, existent toujours, mais ils sont plus ou moins nombreux; dans un cas , ils étaient très marqués au point d'avoir envahi
tc. Quarante- cinq fois l'ordre fut exécuté à la minute ; dans huit cas il y eut de légères différences qui n'excédèren
ra-t-il ? C'est douteux malgré l'habileté qu'il y déploie : en tout cas son livre n'a rien à y gagner. , Dans une sui
dans des conditions lamentables, sans que l'on s'en doute. C'est le cas de deux enfants, admis seulement hier à l'hôpit
lier, 1899. Imprimerie 1)elord- Boehm. - GUE.RIN et Aimé (H.). Un cas de folie intermittente avec élude de quelques é
l'état mental clans l' -, par Lassignardie, 167. ACROJIÉGALIE. Un cas d' - en gant, par Crocq, 48. Ai Fr : CTIO ! O
e, 426. Apoplexie. De l' progressive ,- parlioscet Vedel, 199. Un cas d' - médullaire, par Mouravieff, 337. Arrêt D
vieff, 337. Arrêt DE développement. Dû l'hu- mérus gauche dans un cas d'hé- miplégie infantile, par Bernard, 111.
casuis- tique de l' abasie, par Goglus- tein, 310. Ataxie. Deux cas d' de Fned- reich, par Colin, 319. Athétose.
Ataxie. Deux cas d' de Fned- reich, par Colin, 319. Athétose. Un cas d' bilatérale, par Campbell, 510. Atrophie. M
physiologie pathologique, 401. Confusion mentale. Relation d'un cas de post-opératoire, par . Fenayrou, 257. Cong
Congrès des aliénistes et neurolo- gistes, 59. Contracture. Un cas de congéni- tale avec hypertrophie de l'extré-
'1 HE'IES, Bains froids clans le -, par Letulle, 418. Démence. Un cas de organique chez une femme hystérique, par L
l' - par le poison, par Tehe ! 'l1lcheff, 237. - Encéphalite. Un cas d' aigué hé- morragique avec présentation de
sky, 233. Manifestations lar- vées de l' -, par Brown, 3 12. Deux cas d' - jacksonnienne -, par Briz, 313. - de Flech
ale infantile. Arrêt de développement de l'humérus gauche dans un cas d' -, par Bernard, 111. - gauche et para- lys
ggestion pendant le sommeil naturel, par Parez, 161. - Un curieux cas d' spasmodique pendant le coït, t, par Farez,
cbirurical de la paresthésique, par Souques et Iauclaire, 157. Un cas de - paresthésique traité par la rebec- tion
ques, par Gilles de la Tourette, 71. Ana- tomie pathologique d'un cas de- syphilitique, par \\'tlltamson, 2 ? 1. ai
derme. - épisodique, par Feindel et Froussard, 143. )IYOTONIE. Un cas de - familiale (maladie de Thomsen) compliquée
psychothérapique, par l3éi tllon, 163. OYII't'AL\I07'LLGIE. Deux cas d' - externe chez deux frères jumeaux, par Ho
stème nerveux central dans la - saturnine, par Rybakolf, l'r9. Un cas de - d'ongine saturnine, par Sano, 307. Sur )ad
des de l'oculo-moteuruommun, par Weriheim-Salomouson, 317. Deux cas de bizarres, par Prl'obrajenski. 333. Les plis
- tribution au traitement du tabès c't de la -, par Adler, 30. Un cas rie ries aliénés chez une enfant, 324. Un cas
, par Adler, 30. Un cas rie ries aliénés chez une enfant, 324. Un cas de - avec hallucina- tion, par Truelle. 322.
ct : vi n,w. tude de la descendance cles -, par 1'ahl. 311. - Un cas d'hallucinations psycho-motiices chez un , pai
observation de - . par Valin, 30,5. PS1C110-I : STII1351E. Sur un cas de -. par Gulhne, 306. Psychoses polynévritiq
palmaire chez lesdiabétillues, pal Maréchal, 48. Saturnine. Un cas de paralysie d'origine -, par Sano, 307. SCI,
rate dans la néphrite, I,ttpillsiiy, 500. Sclérose en plaques. Un cas de tremblement segmentai ! dans la -, par Gra
s-arachnoïdiennes. Des injec- tions -, par Sicard 419. SPASME. Un cas de - avec contrac- tion hémiplégique sans paial
ppréciation post-hypno- tique du -, par Bramwel, 517. Tétanos. Un cas de chez l'en- fant de trois ans guéri par le
c succès par la sug- gestion hypnotique, par Vlavia- nos, 162. Un cas de traité par la suggestion, par Féron.426. T
és par la méthode d'Anostoli, par Decroly, 229. Zona. Note sur un cas de - du nerf trijumeau (branche ophtal- mique
62 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
n'a pas dû entrer dans le cercle de ses études. L'inhabileté dans ce cas n'est pas le fait des collaborateurs, souvent for
ait ne pouvant rien conclure pour les autres, nous ferons dessiner un cas modèle ; mais quant aux différences qu'elles prés
moyens, et en nous ingéniant à modifier les ressources dans tous les cas particuliers, nous espérons pouvoir tirer de l'ar
ne répondait pas à tout ce qu'on doit en attendre; si, dans certains cas , l'on juge que nous nous sommes trompé sur les mo
t de petits corps étrangers, ou même les instrumens du chirurgien, en cas d'exploration. Dans la série des voies digestiv
bords , aux contours osseux , ayant une grande résistance ; c'est le cas des muscles sus et sous-épineux , petit rond et s
on entre l'avant-bras et la paume de la main; c'est en particulier le cas des kystes hydatiques à double poche; 20 la porti
aladie principale, essentiellement du ressort de la médecine. Dans un cas inverse, soit un calcul rénal ou hépatique, donna
es dans toute espèce de congestion ou d'épanchement, et dans tous les cas de développement de tumeurs ; toujours les aponév
travail intelligent qui crée un nouvel organe physiologique, dans des cas plus nombreux, au contraire, les transformations
iliaires de résistance n'ont pu être si solides que, dans beaucoup de cas , ils ne cèdent aux pressions qu'ils ont à support
laire, qu'elles peuvent s'épancher ou se déplacer au loin. Tel est le cas des liquides épais ou plastiques, le pus dans les
normal, contiennent les parties et s'opposent à tout déplacement. Ce cas est effectivement celui des hernies et des corps
upture ou un eraillement de la voussure gauche du diaphragme; dans ce cas , c'est surtout l'estomac qui s'insinue à travers
angers, s'ouvrir une issue à la surface des voies aériennes. Dans des cas très rares, de pareilles fistules viennent former
tablis entre la profondeur des viscères thoraciques et abdominaux. Le cas le mieux connu est celui où des abcès du foie se
bdominale dans le canal, près de sa terminaison. Dans l'un et l'autre cas , les parties déplacées, poussant devant elles le
ement, éraillement, ou déchirure des fibres des aponévroses; c'est le cas de la hernie ombilicale et de toutes celles de la
on de viscère au travers d'une déchirure d'un autre viscère; c'est le cas des ruptures du vagin et de l'utérus, où la herni
, soit l'aliment , la pâte chymeuse ou les fèces; et, dans ce dernier cas , elle prendra le nom d'anus contre nature. Dans t
ère, au-dessus de la crête iliaque. Il en sera de même, dans certains cas , des calculs urinaircs engagés soit dans les paro
est le siège des incisions les plus communes pour un grand nombre de cas : tels sont les abcès causés par les engorgemens
litérés, et donner lieu à des accidens par leur obstruction; c'est le cas du canal nasal et de la trompe d'Eustache. Enfin,
ur pratiquer un grand nombre d'opérations, sans que, dans beaucoup de cas , il soit nécessaire de pratiquer des incisions po
igature de la plupart des polypes vésiculaires. Ce n'est que dans les cas de polypes fongueux ou carcinomateux du sinus max
ie, les incisions et les cautérisations nécessitées dans une foule de cas , pour les abcès, les tumeurs fongueuses, etc. C
t formés par des adhérences fibreuses, il n'arrive presque jamais, en cas de congestion, qu'ils puissent servir de conducte
ides, le sang, le pus, ou la substance cérébrale amollie, excepté les cas de fracture avec perte de substance, puissent se
-tout par crainte de léser les vaisseaux méningés. Toutefois, dans un cas forcé, cette opération peut encore être pratiquée
lus graves que l'on y pratique sont les ligatures des artères dans le cas d'anévrisme ou de lésions traumatiques. A la limi
offre en général d'autre opération que la trépanation de l'os dans le cas de carie ou d'abcès profond du médiastin antérieu
es. Les veines principales sont satellites des artères; mais dans les cas morbides les veinules cutanées chez la femme acqu
par le pincement en repli d'une petite portion de l'estomac. Dans les cas où l'éraillcment a une grande étendue à la partie
pour l'extraction des calculs rénaux ( Verdier ), qui, dans certains cas , s'y sont engagés d'eux-mêmes, soit pour la forma
ailler, en donnant lieu à des hernies ventrales formées dans certains cas par l'intestin et l'épi ploon, ou même par la ves
rnière, en particulier, donne lieu à de nombreuses opérations dans le cas de rétrécissement. 2" scrotum. Le scrotum en lu
sa surface une légère couche graisseuse, dont l'accumulation dans les cas de hernie peut embarrasser l'opérateur, en masqua
ui n'est que le vestige du prolongement péritonéal oblitéré. Dans des cas rares, la persistance du cordon péritonéal, entra
fices vascu-laires sous la pression des viscères, donne lieu dans des cas très rares aux hernies fessières et ischiatiques.
, à laquelle elle adhère intimement à l'état normal, qui constitue en cas de hernie le canal crural accidentel. 4° Squelett
renferme. L'étranglement causé par les enveloppes fibreuses dans les cas de congestion est une raison de pratiquer de bonn
ne raison de pratiquer de bonne heure de larges débridemens. Dans les cas d'opérations, il est même souvent utile, pour pou
que l'on choisit de préférence la face externe pour opérer clans les cas de fractures comminutives, de résections et de né
-sies et les corps étrangers articulaires. On pratique, dans certains cas , sur l'articulation fémoro-tibiale, des résection
l'amputation de la jambe, et ne se cicatrise qu'avec lenteur dans les cas nombreux de solutions de continuité auxquelles l'
1 Planche i, a° 58 ; ei planche 12. t. vi. opératoire, dans les cas de nécroses, de fausses articulations ou de fract
'Achille est fréquemment affecté de ruptures, et donne lieu, dans les cas d'extension forcée, à une section devenue assez c
utant d'opérations simples, suffisantes pour chacune d'elles dans les cas les plus nombreux. Combinées en nombre et en disp
ident redoutable, dont l'opération est le seul remède : tels sont les cas d'étranglement intestinal, de lésion d'un vaissea
entraînerait ultérieurement la perte du malade. C'est, en général, le cas des amputations et des ablations motivées par des
re la vie, il nous paraît convenable d'en ajouter un dernier pour les cas , si nombreux dans l'exercice de la chirurgie, où,
res à certains organes spéciaux, l'œil, l'oreille, etc. Dans tous ces cas , ceux du moins où il n'y a pas nécessité actuelle
Tant de motifs et de considérations se présentent, applicables à des cas si variés, qu'il est impossible de rien spécifier
a maladie. A cet égard, il faut avoir toujours présens à l'esprit ces cas malheureux, qui se renouvellent journellement dan
n est forcé d'agir immédiatement pour cause d'urgence : tels sont les cas d'hémorrhagies, d'étranglement intestinal, de fra
teindre ; c'est ce qui constitue le lieu de nécessité, applicable aux cas les plus nombreux : tels sont les ouvertures d'ab
rses considérations, pour ce qu'on nomme le lieu d'élection. C'est le cas des amputations, de l'ané-vrisme par la méthode d
ù il n'y a qu'une manière d'opérer, ils se confondent, comme dans les cas cités plus haut; mais dès que, pour satisfaire à
cile à contenir dans ses mouvemens. Il n'y a d'exception que pour les cas d'urgence, comme celui d'imperforation des orific
t différer, il vaut mieux attendre vers la quatrième année : c'est le cas du bec-de-lièvre congenial, de la staphyloraphie,
que d'une phthisie pulmonaire , et dont les effets révulsifs, dans ce cas , sont bien connus ; en thèse générale, on doit se
eproduire, le chirurgien doit s'abstenir d'opérer, ou du moins, si le cas lui offre assez de chances de succès pour agir, i
omme improprement la constitution médicale. De même que dans tous les cas où l'équilibre fonctionnel est déjà ébranlé, l'op
circonstances, l'opération sans eux serait impossible. Dans certains cas môme, la fonction du premier aide ne le cède guèr
uelquefois trois, rarement quatre. Leur disposition varie suivant les cas ; la plus commune est en face et sur les côtés de
s aides se déduit des fonctions attribuées à chacun d'eux pour chaque cas déterminé. En général, si le malade est assis, l'
e fait face à l'opérateur, les autres sont à ses côtés. Dans tous les cas , celui qui est chargé du service de l'appareil es
trouver. Le troisième aide présente la lumière artificielle dans le cas où son emploi est nécessaire. Il doit bien prendr
ou à celle des autres. Dans cette énumération, nous avons supposé les cas les plus compliqués et qui exigent le concours d'
igent le concours d'un plus grand nombre d'aides. Toutefois, dans les cas les plus ordinaires, deux ou au plus trois aides
aisser le malade exhaler sa douleur par des cris. La plainte, dans ce cas , est comme la soupape de sûreté qui, laissant éch
ent cède aux moyens thérapeutiques les plus simples, usités en pareil cas : les instillations d'eau froide sur le visage, s
ntative pour reprendre l'opération, les syncopes se succèdent Dans ce cas , il vaut mieux suspendre et remettre à un temps p
a nécessité l'oblige à opérer au voisinage de la clavicule. En pareil cas , s'il se trouvait sur le trajet du bistouri quelq
ièrement sur la région précordiale , comme on l'a déjà fait en pareil cas . Mais l'insignifiance de ce moyen, qui n'enlève p
consécutifs, la situation des parties la plus convenable pour chaque cas déterminé, les intervalles des pansemens, les soi
il doit exercer dans l'attente des hémorrhagies consécutives dans les cas où elles sont à craindre, c'est surtout après l'o
uffire, au besoin, à toutes les indications. Néanmoins, pour certains cas spéciaux, ils varient de forme, d'étendue, de str
t les scies, les gouges , les cisailles, déjà très variés suivant les cas ; mais, en outre, dont les modifications ou les a
ntusion et de déchirure, dans une certaine épaisseur; et que dans ces cas , néanmoins, la réunion est immédiate ou à peine r
quelque sorte typiques, dont l'emploi répond au plus grand nombre de cas ; les autres de formes variées et réservés pour ce
ées ; (c) enfin le bistouri ailé de Chaumas, destiné, clans les mêmes cas , à écarter les viscères ; le bistouri cannelé, po
i à chape, pour le paraphy-mosis : tous quatre inusités, même dans le cas spécial pour lequel chacun d'eux avait été imagin
incisions. i° Etendue. Elle doit être proportionnée à la nature du cas qui la requiert. Les plus petites se rapprochent
extraction d'esquilles, de séquestres, de projectiles, etc., sont les cas qui en réclament le plus fréquemment l'emploi. No
udence conseille de n'inciser que couche par couche ; mais, clans ces cas mêmes, la peau, du premier trait, doit être coupé
le plat, soit sur le dos de la lame : il sert ainsi, dans le premier cas , à contenir l'instrument; dans le second, à limit
on éprouve de la difficulté à le dégager de la plaie. Il faut dans ce cas préférer la troisième position ; elle offre ce do
avec le bistouri tenu en troisième position; mais la manœuvre dans ce cas est assez difficile, l'opérateur agissant en part
dedans; mais ordinairement la cinquième position ne s'emploie dans ce cas que lorsque, étant déjà parvenu à une certaine pr
che i5, |g. t\. vol. vi. au moindre danger. Lés sections, dans ce cas , s'exécutent par de petits mouvemens de pronation
vation et l'abaissement alternatifs de l'index et de l'annulaire. Les cas pour lesquels cette manière de tenir l'instrument
due et la sûreté des manœuvres opératoires. Cette position , dans les cas où elle peut s'appliquer, offre le double avantag
er cette gaine et d'isoler l'artère elle-même. L'instrument , dans ce cas , présentant le clos aux vaisseaux, ne peut les in
ar la rencontre inattendue des surfaces voisines de la plaie. Dans le cas au contraire où les parties sont situées superfic
t faire tendre la peau ou écarter les parties par des aides, dans les cas où il a besoin de garder la liberté de ses deux m
re une précision et une sûreté qui doivent le faire préférer dans les cas qui en réclament l'emploi. Troisième procédé. I
ces à la surface de la peau; elle s'applique, en outre, dans tous les cas où il est indispensable de ne pénétrer en profond
enlèvement des tumeurs enkystées , sont de ce nombre. Dans le premier cas , l'incision en septième position constitue à elle
érieurement la cautérisation avec la pâte arsenicale. Dans tous les cas de grande chirurgie où il convient d'inciser en s
nstrument entre le pouce et l'indicateur. Au reste, employée dans ces cas , l'incision en dédolant exige beaucoup de légèret
considérables. Les variétés d'incisions qui répondent à ces divers cas sont, indépendamment de l'incision elliptique, ce
ite, en avant 1 Planche if, fig. l\. et en arrière. Dans tous les cas , on doit, en détachant les lambeaux, promener l'i
e sont pas malades. L'opération terminée, on les rapproche, et, si le cas le permet, on obtient promptement une réunion par
ent de détacher les lambeaux. L'incision en T convient pour les mêmes cas que l'autre. La seule observation à faire, c'est
convénient parTincision cruciale, tandis que cette dernière, dans les cas quila nécessitent, ne saurait l'être par l'incisi
pratique ou sur des surfaces ou sur des bords libres. Dans le premier cas , l'instrument tenu en première position, on fait
cision étant les mêmes que pour l'incision cruciale ou en T, clans le cas où l'on devrait mettre à découvert une étendue de
ns, ou de dedans en dehors. Elle est fréquemment usitée dans certains cas spéciaux, aux lèvres, par exemple, pour l'ablatio
érons au pourtour par leur base. Cette incision est réservée pour les cas où il convient cle débrider très largement dans l
ement issue aux fluides et aux produits morbides. Tel est sur-tout le cas de l'anthrax. INCISIONS DE DEDANS EN DEHORS ET
lorsqu'il s'agit d'ouvrir de vastes abcès avec décollement. Dans ces cas , en effet, les liquides s'écoulant au dehors auss
nt toujours pratiquées au nombre de deux : on s'en sert dans tous les cas d'extirpation où l'on juge convenable d'enlever a
que, pour conduire son bistouri avec la précision nécessaire dans ce cas , surtout lorsque la partie que l'on enlève est un
e meilleur des conducteurs; mais on ne peut s'en servir que clans les cas assez rares où il existe une ouverture assez gran
ir plus qu'à se conduire scion que nous l'avons vu plus haut. Dans le cas au contraire où il faut inciser entre deux ouvert
parois ou les brides vasculaires qui peuvent les traverser. Dans le cas où il n'existe qu'une ouverture, mais trop étroit
s ciseaux dont on se sert dans l'opération du bec-de-lièvre. Dans les cas ordinaires, les ciseaux que l'on emploie le plus
ans. On pratique avec les ciseaux diverses sortes d'opérations. Les cas où l'on incise avec ces instrumens sont rares; le
, que l'on excise avec des ciseaux courbés sur le plat. Dans tous les cas de plaie par arrachement, c'est avec des ciseaux
utour de laquelle tourne l'instrument tranchant. En général, dans ces cas , la dissection forme le temps moyen des opération
ouri, à chaque coup, doit agir dans toute son étendue : tels sont les cas de détachement de lambeaux de peau mobile ou d'is
s-jacente, soit aux cicatrices et aux tissus indurés. Dans ce dernier cas , la portion de tissu déjà endurcie doit être en
re, dont le mode opératoire nous est déjà connu. En général, dans ces cas de superposition de feuillets, comme sont ceux de
bjet de couper un os long dans la profondeur d'une plaie : tel est le cas des séquestres. 3° Rugination. Elle consiste à
que le tranchant n'incise davantage à sa sortie de la plaie. Dans le cas , au contraire, où l'on juge convenable d'agrandir
s sous-cutanées. La ponction avec la lancette ne convient que dans le cas où le foyer à évacuer est superficiel, peu étendu
us au long pour la phlébotomie, est à peu près le même clans tous les cas . La lame de l'instrument, formant un angle droit
de, on a recours à l'introduction d'un stylet mousse, dans le premier cas , pour extraire les corps flottans qui font obstac
. 2° Avec un doigt seul, ordinairement l'indicateur, ou, suivant le cas , avec le manche d'un scalpel ou d'un bistouri, ou
ense et serré, un instrument solide et mince convient : tels sont les cas d'isolement des muscles pour atteindre dans les e
grave et plus compliquée que la précédente, et suppose, dans tous les cas , que le corps à extraire, fixé solidement, doit ê
fondément dans des canaux osseux et des tissus résistans : tel est le cas des polypes fibreux des fosses nasales et zygomat
umeurs adhérentes de mauvaise nature. Ajoutons pourtant que, dans ces cas exceptionnels, où l'arrachement ne peut avoir pou
ités. Mode d'action. La ligature en masse est employée, suivant les cas , pour deux indications : i° par pression modérée,
la gangrène, est de couper lentement les tissus; la ligature, dans ce cas , agit en quelque sorte à la manière des instrumen
étallique : tels sont les porte-nœuds deLevref, Desault, etc. Dans ce cas , cle longues pinces servent au besoin à ramener l
péciales, variables clans chaque lieu et en quelque sorte pour chaque cas , bornons-nous à tracer les règles générales cle
fil, la diviser préalablement par l'instrument tranchant, excepté les cas où elle est assez altérée dans sa texture pour qu
mbrassent autant de fractions d'une môme tumeur. Dans l'un et l'autre cas , la striction s'exerce de trois manières. procé
lien, on réapplique alors une seconde ligature serrée. Dans certains cas , on est contraint de recoin m encer ainsi à plusi
mencée des tissus et recouvert par un bourrelet charnu. Dans certains cas même, une cicatrice déjà formée renferme le lien
gature composée, il vaut mieux se servir des serre-nœuds, et, dans ce cas , celui de M. Grœfe offre les résultats les plus c
lèles entre eux, inter-cepteront le tiers moyen de la tumeur. Dans ce cas , du reste, pour tles tumeurs presque toujoursirré
ait si l'aiguille était déjà embarrassée dans un long trajet. Dans le cas néanmoins où il surviendrait une hemorrhagic, on
me-abord la striction la plus forte qu'il est possible; mais, dans ce cas surtout , on doit s'être assuré à l'avance que le
tion, et laisse à nu la surface vive de la plaie. Comme dans tous les cas analogues, s'il y a des vaisseaux d'un certain vo
rave qui sera prochainement suivie d'accidens nerveux : dans tous ces cas , où il y aurait danger à accroître ou même seulem
stances , ou à recourir à tout autre moyen de guérison. 2° Dans les cas heureusement assez rares où le trouble formidable
s vaisseaux et en faciliter la ligature partielle immédiate. Dans ces cas graves, qui constituent tout une autre opération,
flétrir continue de vivre ou même de s'accroître lentement, c'est le cas d'augmenter graduellement la striction, immédiate
par des lotions, toute la portion de caustique non éteinte. Dans les cas néanmoins où il est important de détruire le plus
vec promptitude pour prévenir une absorption délétère, comme dans les cas de morsure d'animaux venimeux et hydrophobes, leu
pte cicatrisation ; mais, d'après Dupuytren, il aurait, dans quelques cas , donné lieu à un trouble général de l'organisme,
ou saignante, on peut procéder de suite à la cautérisation : dans le cas contraire, quelques grands praticiens préfèrent p
rès sa chute, si la plaie était petite, elle est déjà guérie; dans le cas contraire, il reste une ulcération vermeille, mai
oit être ni trop sèche ni trop humide ; on l'humecte clans le premier cas , et on l'étanche dans le second. Avant de resserr
er les hémorrhagies causées par la piqûre des sangsues. Dans certains cas spéciaux, tels que les rétrécissemens de l'urèthr
ir le nitrate d'argent à des profondeurs considérables; mais, dans ce cas , c'est à l'aide d'instrumens particuliers qui ser
r son épaisseur ; une couche de deux millimètres suffit dans tous les cas pour détruire le corps de la peau jusqu'au tissu
nies, et par le sommet dans les enfoncemens. M. Mayor, pour les mêmes cas , fait couler l'alcali en longs cylindres qui pren
e à celle d'un épis-pastique. Cette pâte est employée dans tous les cas où l'on se sert de la potasse caustique; moins dé
assez fréquemment usité, en guise de nitrate d'argent, dans les mêmes cas que ce dernier. CAUTÉRISATION PAR LES MÉTAUX,
n certain volume et sur les saillies tendineuses ou osseuses, hors le cas où ce sont les os cariés eux-mêmes qu'il s'agit d
algies, les engorgemens lymphatiques, etc. ; en un mot, dans tous les cas où il s'agit de rappeler la tonicité et d'activer
n transcurrente. La cautérisation objective convient dans les mêmes cas que la précédente , mais de préférence lorsqu'on
lards, et pour donner lieu à une suppuration de bonne nature dans des cas d'abcès froids. On en a également fait usage pour
re l'incertitude du résultat thérapeutique, nous n'oserions, dans des cas de cette nature, conseiller l'emploi de la chaleu
'agit de vaincre, quel que soit l'objet que l'on se propose. Dans les cas les plus nombreux de compression simple, c'est de
, se trouve comprise entre deux puissances : tel est, par exemple, le cas où un repli cutané, tel que la lèvre, la marge de
nt; enfin , elle agit seule, par l'emploi des brayers, clans tous les cas de hernies réductibles, pour empêcher la sortie d
ymphatiques et sanguins qui forcent d'en suspendre l'emploi. Dans les cas les plus simples, où la compression de tout un me
ésulte que la compression permanente, dangereuse clans la plupart des cas , n'a, en outre, que des effets très restreints :
qu'une ablation est qualifié d'extirpation. D'après l'énumération des cas nombreux d'ablation, on conçoit que, sous ce titr
un grand nombre d'opérations les plus graves, variables , dans chaque cas , suivant le siège, l'étendue, la profondeur et la
suffit au passage, sans entraîner de trop fortes contusions ; dans le cas contraire , et si on est certain que le corps étr
ener le corps au-dehors est bien acquise. L'extraction, dans tous les cas , veut être ménagée avec patience, lenteur et adre
émolliens et narcotiques, sangsues, phlébotomic, etc., suivant que le cas le requiert et que les forces du malade en permet
permettent l'emploi. Mais sur-tout, pendant que l'on opère, c'est le cas d'imiter l'exemple de Dupuytren, qui savait avec
avec les hernies spéciales auxquelles elles se rapportent. Dans des cas variés de lésions traumatiques au travers de mass
res très variées, mais rigoureusement soumises au calcul, pour chaque cas , constituent une branche spéciale de la chirurgie
s, ou exposés à des pressions d'organes plus profonds : tels sont les cas de bec-de-lièvre, de gastroraphie, etc. Dans les
ivie, et l'inutilité de son application dans le plus grand nombre des cas , on en a beaucoup restreint l'usage. Ces inconvén
versées par des fils : aussi a-t-on réservé les sutures pour certains cas particuliers, où les autres moyens sont insuffisa
pour permettre l'enlèvement des derniers points de suture ; clans le cas contraire, on remet à un autre jour à terminer l'
complexe : des sutures isolées nous paraîtraient préférables dans les cas bien rares où ne pourraient suffire les agglutina
ge ou de charpie, ou une petite bandelette agglutinative. Effets et cas d'application spéciale des sutures. La suture e
t à la staphyloraphie. C'est la seule forme acceptable dans le second cas ; mais comme clic exige une striction assez forte,
ien mode de suture à plat, dite à points passés. Reste donc, pour les cas qui la réclament, la suture entortillée, la seule
ondes, et doivent être remplacées par les bandages unissans. Dans les cas oii les muscles ne sont intéressés qu'à une lég
aie. C'est à l'intelligence du chirurgien qu'il appartient, clans ces cas comme clans tant d'autres, de savoir se conduire
es lèvres d'une plaie encore saignante ou nouvellement faite. Dans ce cas , il y a lieu de croire, d'après les recherches le
se trouvent la partie malade et l'organisme en général, dans certains cas , au lieu de se cicatriser, les surfaces tendront
ratique, on n'y parvient que très imparfaitement. Comme dans tous les cas où, pour satisfaire à plusieurs indications , on
s au-dessous du tendon du grand pectoral, suffit clans la plupart des cas . Cependant, quelque soin que l'on apporte à conto
l'opération , comme on a pu le faire pour le membre abdominal dans le cas cité plus haut. En résumé, si la compression ne
e volume des vaisseaux qui la fournissent, et nécessitent pour chaque cas des moyens différens. A. Lésions des grosses ar
su ivans : i0 Section complète avec issue du liquide au-dehors. En cas cle section complète, il se produit un phénomène
happe au-dehors ; mais il coule en moins grande quantité que dans les cas où l'artère n'a été coupée que clans la moitié cl
ique n'ayant pu donner à ce sujet que des notions générales, c'est le cas d'en référer aux expériences précises de Jones ,
mortelles si la gaîne celluleuse du vaisseau a été enlevée; clans le cas contraire, elles peuvent guérir, (b) Les plaies t
ère, ou, en d'autres termes, par l'oblitération ; mais, dans quelques cas cependant, le vaisseau n'est point oblitéré; l'ad
se présente une interruption dans sa continuité. On sait que, dans ce cas , les branches collatérales se dilatent en plus ou
rtère principale. Les plus petites artères sont susceptibles, dans ce cas , d'une dilatation considérable. C'est ainsi que,
he artérielle du volume de la radiale. Nous avons figuré nous-même un cas analogue emprunté de la pratique de Sabatier. (Pl
z considérable pour qu'il soit très difficile de l'arrêter : c'est le cas de certaines tumeurs fongueuses et de l'anévrisme
er définitivement lorsque l'opération est terminée. Dans le premier cas , les moyens préventifs ne s'adressent qu'à l'hémo
sera décrite en son lieu, et du reste ne s'emploie que dans certains cas spéciaux, lorsque l'opération , pratiquée au trav
ysiologique ou mécanique; en d'autres termes, qu'elle se fait dans un cas avec la main seule ou armée d'une pelote, et dans
de la même manière qu'un aide doit se substituer à un autre, dans le cas où le premier est contraint de se reposer, sur-to
'exigent les opérations. 2° La main, dans son entier, s'emploie, en cas d'urgence, pour comprimer l'aorte dans les hémorr
ntant pas ce qu'il fait. Aussi son usage est-il réservé pour certains cas spéciaux : telle est la compression de l'artère s
car-tement des scalènes est très étroit ; encore est-il rare, dans ce cas , qu'on ne puisse suppléer efficacement au pouce p
ne des membres ; (b) de s'opposer à la rétraction des muscles dans le cas où l'on opère sur la fraction même du membre où i
ndant un temps considérable, des jours et même des semaines, dans les cas de récidives fréquentes d'hémorrhagies , ou comme
la plus petite étendue possible, et n'existe en réalité que dans les cas d'application long-temps continuée. Le second inc
a compression de ces artères s'emploie le plus ordinairement dans des cas d'hémorrhagies traumatiques. Il est rare qu'on
our sa compression permanente. (Pl. 18.) 4° Branches crâniennes. En cas de lésion d'une branche cutanée occipitale ou aur
tête et du cou n'avait même pas été tentée jusqu'à ce jour. Dans les cas où le danger n'est point imminent, soit comme moy
l'on emploie de préférence pour les autres parties du corps dans les cas analogues. Toutefois, la ligature d'un tronc caro
ience, il nous semble que , comme pour le trépan, il n'y a qu'un seul cas admissible où l'on pourrait légitimement en tente
Dalh a imaginé son compresseur, qui, pour nous, ne remplit dans aucun cas le but pour lequel il a été inventé. 3° Artère
entre la malléole et le talon, sous l'arc du calcanéum. Dans les deux cas , elle peut s'opérer avec la pelote libre, rendue
quer que pour un temps très court et en attendant la ligature dans un cas de lésion de l'artère près de l'arcade crurale.
sans la ralentir par des ligatures, trouve son application dans trois cas : (a) lorsque la compression du tronc principal e
riées, et, en particulier, dans les amputations. Enfin, dans certains cas d'ablation de tumeurs qui fournissent du sang en
tre effectuée sans interruption sur toutes les artères. Dans certains cas cependant, où l'on aurait à craindre des hémorrha
a veine cave supérieure, à la base du cou ou de la poitrine ; dans ce cas , pour rétablir la circulation veineuse et tarir l
la ligature, le moyen principal et qui s'applique à presque tous les cas , on a imaginé d'autres moyens, en grand nombre, c
r, la ligature. HÉMORRHAGIE ARTÉRIELLE. En général, et à part les cas exceptionnels, après les opérations on arrête déf
renversement et le séton ne méritent pas la même confiance. Dans des cas spéciaux où une artère, encastrée profondément, n
ésées. Dans ces derniers temps , on a extrêmement multiplié, pour les cas spéciaux, les différentes variétés de ces instrum
ture médiate sont cause qu'elle n'est plus employée que dans certains cas spéciaux, lorsqu'une artère elle-même étant enfla
par l'interposition des tissus voisins : encore préfère-t-on, dans ce cas , dénuder plus haut l'artère pour la lier sur un p
nt la doctrine chirurgicale, la nature du lien et les indications des cas spéciaux. Témoin, sans en comprendre le motif, de
de six heures à douze, vingt-quatre et au plus cinquante, suivant les cas , amènerait une oblitération de l'artère déjà asse
port à la durée de l'application, est la ligature d'attente. Dans les cas où un vaisseau pouvait être mis à nu clans une ce
roprement ligatures d'attente, qu'ils laissaient à demeure , pour, en cas d'hémorrhagie par section du premier fil, être à
elà ligature médiate, mais qui n'offre pas, comme cette dernière, des cas spéciaux d'application nécessaire. Choix des mo
ctement l'anatomie, pour savoir à l'avance très précisément, sauf les cas d'anomalie, le nombre des vaisseaux à lier et leu
entre les mors delà pince et l'attirer au-dehors ( Desault). Dans ce cas , pour plus de précaution, A. Dubois le reprenait
res artériels, il est permis de passer outre, l'hémor-rhagie, dans ce cas , s'arrêtant d'elle-même après quelques in-stans;
comme il arrive fréquemment dans les accidens traumatiques, c'est le cas d'employer de préférence les pinces fixes, cpii p
de. Néanmoins ce moyen est insuffisant contre les gros vaisseaux. Les cas où son emploi est le plus convenable sont les hém
coule en nappe par une surface très étendue. L'emploi du feu, dans ce cas , outre la suppression de l'écoulement sanguin, pe
de ces faits a amené les chirurgiens à imiter la nature dans certains cas spéciaux, tels que l'ablation de certaines tumeur
sur les chiens, et a manqué son effet, appliqué sur l'homme, dans un cas d'ané-vrisme. (Pl. 31, fig. 5.) Torsion. Des di
ppose en outre un calibre de vaisseau assez considérable, et, dans ce cas , n'offre pas une résistance proportionnée au poi
e pas une résistance proportionnée au poids de la colonne sanguine. CAS SPÉCIAUX. Bouchons mécaniques. Leur emploi est
CAS SPÉCIAUX. Bouchons mécaniques. Leur emploi est réservé pour les cas où une artère, encastrée dans un canal osseux ou
niens de chacun d'eux motivent ou restreignent leur usage pour chaque cas déterminé. L'agaric s'emploie pendant le cours de
tille et irrite les tissus. Reste donc , pour le plus grand nombre de cas , la charpie molle et râpée, dont l'usage est le
osseuses et tendineuses. C'est là proprement le kyste séreux, et, en cas d'attrition, l'ampoule sanguiue, signalés par Laf
toucher le fond avec le nitrate d'argent; ce précepte, dans tous les cas , nous paraît convenable pour une maladie peu conn
se combine avec le suivant. 4° Cautérisation. Ce n'est que clans les cas ou l'excroissance a pris le caractère fongueux, é
es limer et de les égaliser avec soin. Plus ordinairement, à part les cas de maladies de la peau, si l'affection est partie
mprimé, s'incline et s'enfonce en masse ou d'un seul côté. Le dernier cas est le plus commun. Par le progrès de la maladie,
ause des douleurs et de l'inflammation des parties molles. Suivant le cas et le degré de la maladie, on opère avec ou sans
. Larrey. m 70 Ablation totale. Réservée par Dupuytren pour les cas spéciaux où la matrice de l'ongle elle-même est m
tartreuse qui préserve le tissu du contact de l'air, et dans tous les cas ne pas s'astreindre à découvrir une surface blanc
un manche pour les dents du fond de la bouche : enfin, dans certains cas , on se sert de scies très fines, et quelques dent
, on se borne d'abord à isoler la dent cariée de sa voisine ; dans ce cas , on se sert de la lime à une seule face denticulé
deux dents sont cariées à leurs surfaces de juxta-position , c'est le cas d'employer la lime double, qui agit en même temps
es, le fond de l'ulcération en étant plus facile à atteindre. Dans ce cas , comme dans tous ceux où l'on s'approche du colle
érisation s'emploie seule ou combinée avec le limage qui, suivant les cas , précède ou suit son application. L'important est
utes les racines aucune chance de solidité. L'opération dans tous les cas exige que le sujet soit encore jeune et les genci
e les trois dents grosses molaires de la mâchoire inférieure. Le seul cas vraiment exceptionnel est celui où, la dent malad
er les gencives, excepté lorsque la couronne manque presqn'en entier, cas qui rentre dans le mode d'extraction des racines.
plus générale, ce cpii revient à dire qu'il convient plutôt pour les cas exceptionnels, lorsqu'il y a aux dents une perte
ment des dents voisines. Reste donc, comme nécessité d'extraction, le cas où, le bord alvéolaire étant complet, serré et to
igt ou la traction par une anse de fil suffisent pour l'arracher. Les cas motivés d'extraction sont la carie ou un retard t
ment, la luxation ou même Yarrachement, par erreur, d'une dent saine, cas dans lesquels on doit replacer immédiatement la d
squels on doit replacer immédiatement la dent en position. Dans des cas malheureux, mais heureusement fort rares, la simp
s de se concréter à l'orifice capillaire d'entrée. 11 suffît, dans ce cas , de casser une demi-ligne environ de l'extrémité
s la moindre quantité d'eau froide qu'il est possible. Enfin, dans le cas où le vaccin est renfermé dans un tube, on casse
e-indications nécessaires pour l'inoculation du vaccin , et, dans les cas d'épidémie vario-liquc, on devrait pratiquer cett
affections du foie; des deux côtés de la colonne vertébrale, dans les cas de rachialgie ou de paraplégie; enfin, aux membre
de paraplégie; enfin, aux membres, comme dérivatif continu, dans les cas les plus variés. Pour la cuisse, le lieu délectio
s de diamètre sur une hauteur double. Son auteur l'a imaginé pour les cas d'hydrocéphale, et assure en avoir retiré de bons
re : l'impossibilité de gouverner leur action fait que, dans certains cas , ils produisent des cautérisations trop profondes
i. habituelles. 2° Aux parois llioraciques et abdominales, dans les cas de phlegmasics chroniques des viscères qui y sont
mouchetures se pratiquent sur presque toutes les parties du corps, en cas de collections liquides, mais surtout d'œdème par
mais avec beaucoup de réserve, lepanchement séreux, symptôme dans ce cas d'une affection viscérale, se reproduisant aussit
des organes thoraciques et abdominaux; 6° les deux membres , dans les cas d'infiltration purulente ou de spbacèle; 7° enfin
sexes, pour des indications analogues, mais surtout chez l'homme, en cas de délire nerveux syinptomatique d'une gangrène p
e de substance qui rendrait la cicatrisation impossible dans certains cas et très longue dans d'autres, outre l'inconvénien
opération avec la double chance de cicatrice vicieuse. Toutefois, le cas échéant, on ne peut s'empêcher d'admirer cet arti
lambeau. 4° Le lambeau apposé en son lieu, il suffit dans certains cas d'une légère compression pour l'y maintenir; mais
'abaisse beaucoup au-dessous de celle de la peau. Comme dans tous les cas cle refroidissement, les applications encore plus
lambeau , ramené de loin, pour recouvrir la plaie en entier; dans le cas contraire, et autant que la disposition des parti
es des parties. Procédé de M. Lisfranc. Il s'applique également aux cas où le chirurgien ne peut ou ne veut pratiquer de
eux par lequel le renversement est le plus facile. La torsion dans ce cas , suivant l'inégalité de prolongement des deux in
une combinaison d'autoplastique qui en étend l'application à tous les cas où il s'agit de fermer, par de la peau normale, u
t été suivie de succès, M. Velpeau l'a heureusement appliquée dans un cas de fistule trachéale en formant du lambeau qu'il
nce sur la détermination du chirurgien avant de l'entreprendre, Les cas pour lesquels s'emploie la méthode italienne sont
explique la rapidité de leur destruction par l'inflammation. Hors le cas d'absolue nécessité, on doit donc t. vi. los
ures, des plaies d'armes à feu, des vastes cautérisations, etc. Les cas cle réunion pour lesquels on doit avoir recours à
l'exciser ou l'enlever avec la pâte arsenicale. Dupuytren, outre les cas nombreux de vastes ablations cle fongus produits
s sont disposées par séries linéaires en chapelet; pour ces sortes de cas , dans la crainte de donner lieu à des accidens gr
en plusieurs fois : c'est au chirurgien alors à se guider suivant le cas , en graduant la série des opérations de manière à
s cicatrices vicieuses à la suite de brûlures. L'indication, dans ces cas , est de diviser soit, l'adhérence, soit la cicatr
qu'on se voit dans la nécessité de l'enlever par dissection, c'est le cas de suppléer à la perte de substance au moyen de l
ice mais aussi le canal dont il est la terminaison, et, dans certains cas aussi, les canaux eux mêmes manquent; toutes circ
TIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES MUSCLES ET LES TISSUS FIRREUX. En cas de rétraction permanente qui gêne les mouvemens,
se ou d'un tendon. Les muscles qui sont plus particulièrement dans ce cas sont le peaucier, le sterno-mastoïdien et le solé
a voulu obtenir. section du peaucier. Employée par Gooch pour un cas de torticolis. Procédé de Gooch. La tête étant
la section totale en deux temps ou en un seul étant réservée pour les cas extrêmes où les deux faisceaux musculaires partic
t large de deux lignes , à tranchant courbe, concave clans le premier cas et convexe dans le second. Le malade est couché s
ions, et nuisant au mouvement des doigts correspondans. Dans tous les cas , le débri-dementou la section en travers des cord
ément chacune des bandes transversales et obliques ; et même, dans le cas où les bandelettes longitudinales formeraient rét
nmoins assez fréquemment, surtout par suite de brûlures. Au reste, le cas échéant de pratiquer cette opération , les modes
es muscles sous-jacens, si le tégument est assez vasculaire; dans les cas les plus simples, il suffit même de la section pa
s agit de rétablir les muscles dans leur condition première. Dans un cas semblable, où, les muscles extenseurs ayant été d
l, on a osé couper le grand tronc sciatique: bien plus, dans un autre cas , la section du scia-tique, sans effet curatif obt
funeste. On devait le prévoir : l'art a été trop loin. Dans tous les cas , l'usage a prévalu de faire suivre la section du
fondée que sur quelques faits de physiologie expérimentale, et sur un cas de récidive, arrivé à M. Bérard, susceptible d'un
sifs. Mais, l'indication existant, convient-il d'opérer dans tous les cas ? Dans notre opinion, la physiologie du système ne
ais en est-il de même du facial, nerf moteur, et peut-on préciser les cas dans lesquels sa section est positivement indiqué
es affections convulsives, ne sont-elles pas, dans un grand nombre de cas , purement symptomatiques d'une névrose ou d'une a
s notions de la séméiologie la plus éclairée , rien, dans beaucoup de cas , n'est-il moins assuré que le diagnostique à ce s
l ne spécifie pas de combien les têtes se seraient rétrécies. Dans le cas cité par M. Grsefe, dont l'opéré était un enfant
guéri, la tête avait encore augmenté d'un demi-pouce. Enfin, dans le cas de M. Malgaigne, sur une petite fille de huit moi
ie pour favoriser l'écoulement du liquide. Sir Astley Gooper, dans un cas où il avait opéré plusieurs ponctions avec une ai
aiguille, a aidé par la compression à l'effet produit. Dans un autre cas , il a obtenu de bons résultats de la compression
haut, et faire au plus bas l'excision de son bout inférieur. Dans le cas de M. Warren, l'artère, qui avait été coupée, fut
soit le tronc soit les branches de sa division, et faire, suivant le cas , la section avec excision, soit totale, soit part
fois conducteurs du sentiment et du mouvement. Peut-être y a-t-il tel cas exceptionnel, et en particulier la menace de téta
on ou déplacement d'une partie de la masse sanguine : dans le premier cas l'art agit physiquement, par la pression atmosphé
u tissu cellulaire avec rubéfaction de la peau ; la ventouse, dans ce cas , opère comme dérivatif ou révulsif, et s'appelle
nd), soit échauffée par la flamme d'une lampe à alcool. Dans les deux cas , il faut préserver la peau de la brûlure par l'in
peut évacuer. ( tomme élément de ce problème, variable dans tous les cas au jugement de l'opérateur, il estbon de savoir q
cutanée, aux orifices des membranes muqueuses, et même, dans certains cas , à une profondeur de quelques pouces dans les can
tat de la lésion des nerfs, reconnaissaient la même cause. Excepté le cas où le chirurgien agit à dessein, et, par conséque
d'effet que celle cpii a lieu pendant le temps de la succion. Dans le cas où l'écoulement se tarirait trop tôt, on peut y s
nt, accole les lèvres des plaies. Il ne semble donc pas applicable au cas urgent où le malade est déjà très affaibli, son p
congestions brusques des viscères ; son effet, plus prompt clans ces cas , lui donne la supériorité sur tout autre moyen. 2
la syncope qui succèdent aux fortes hémorragies. La ventouse dans ce cas , en ranimant, par l'abord des fluides chassés des
es pour le lavage, et un flacon d'une liqueur alcoolique excitante en cas de syncope. Lieux détection. En principe on peu
rapide; (b) à la face antérieure cle lavant-bras, et, clans quelques cas exceptionnels, à la face dorsale de la main. 2° L
yens sont infructueux, et que la saignée soit indispensable, c'est le cas de la pratiquer par incision sur le trajet des ve
ce fdet, quoique le parallélisme de la section soit bien conservé. Ce cas a pour cause la dilatation locale d'une veine qui
isait librement, est supprimé tout à coup. Il suffit, pour le premier cas , cle serrer davantage, et, pour le second, de des
trop roulante ait fui au-devant de l'instrument. Dans chacun cle ces cas , il faut réintroduire la lancette dans la plaie :
'exciser avec les pinces et les ciseaux; mais il est rare que dans ce cas on ne soit pas obligé cle faire une nouvelle inci
pendant que dure l'écoulement du jet. La section de la peau, dans ce cas , ayant glissé en dedans, on sait qu'il suffit, po
u elle est produite par la perte considérable cle sang. Dans les deux cas , on asperge de l'eau froide au visage du malade,
brachiale à sa terminaison ou la radiale à sa naissance, et, dans des cas rares où la veine médiane serait portée plus en d
ngitudinalement. Ce procédé est un peu long, mais utile dans certains cas . La piqûre faite, ordinairement le sang s'écoule
rés, suffit ordinairement pour arrêter l'écoulement du sang. Dans les cas néanmoins où l'hémorragie continue, M. Magistel a
. M. Janson a généralisé cette indication en proposant, dans tous les cas où ce moyen peut être employé, de saigner les vei
nsuffisans et que pourtant la saignée elle-même est urgente, c'est le cas d'avoir recours à l'artériotomie. ARTÉRIOTOMIE
ur un os qui permette de la comprimer. Plusieurs artères sont dans ce cas : la temporale, la faciale sur l'angle de la mâch
ain, et enfin la pêcheuse. Chacune de ces artères peut être coupée en cas d'urgente nécessité; toutefois on ne pratique guè
le sang, une carte roulée en gouttière pour diriger le fluide dans le cas où il coulerait en bavant. Autrefois on ajoutait
du sang, facilitant les recherches et les manœuvres du chirurgien en cas d'hémorragie. Ce cas échéant, et, surtout, s'il
s recherches et les manœuvres du chirurgien en cas d'hémorragie. Ce cas échéant, et, surtout, s'il a lieu de craindre les
t déplacée dans une médecine opératoire, qu'il nous suffise, pour les cas exceptionnels où le chirurgien croirait cle son d
gt-quatre heures le lieu de son application. M. Boinet a publié trois cas de succès par ce procédé, qui en compte encore pl
ves; enfin panser à plat avec un plumasseau enduit de cérat. Dans six cas sur sept, la guérison aurait été obtenue par ce p
re autour cle L'aiguille, comme dans la suture entortillée. -Dans six cas l'oblitération a eu lieu au sixième jour,sur les
une lettre à M. Velpeau, assure avoir réussi par ce moyen dans trente cas . M. Velpeau l'a employé deux fois, mais en faisan
s, mais en faisant à la veine plusieurs perforations ; clans les deux cas il s'est développé une violente inflammation phle
aillot paraît suffisamment solide. Si l'on s'en tient au nombre des cas de succès déclarés par des auteurs clignes cle fo
uivant que l'incision est unique ou multiple. 11 est réservé pour les cas où il existe de vastes pelotons variqueux inattaq
re pour obtenir la cicatrisation. Ce procédé a réussi dans quelques cas à M. Richerand et à Béclard. Toutefois, comme l'é
tère actuel les chirurgiens de nos jours en restreignent l'emploi aux cas où les ulcères variqueux sont compliqués de fongo
mployer le même moyen dans ce but spécial, en limitant son emploi aux cas partiels où l'ulcération des varices donne naissa
ion, ne sont que des ressources extrêmes qu'il faut réserver pour les cas impérieux, seulement comme moyen curatif accident
autant les voies de dégorgement. Reporté au point de départ, c'est le cas d'avoir recours aux moyens préventifs moins brill
névrisme, en pratiquant la ligature au-dessous de la tumeur clans les cas exceptionnels où il n'est pas possible de lier en
r à ce signe aux diverses époques de l'opération. Enfin dans tous les cas , par prudence, s'assurer au toucher, avant et pen
ofond, on prescrit de courber le bec de la sonde : toutefois c'est le cas où l'emploi des aiguilles courbes est préférable.
ère épaissie si le sujet est un vieillard. Nous avons vu deux fois ce cas donner lieu à une erreur de la part d'un très hab
ngueur, mais le milieu delà voûte tarsienne est le lieu d'élection. Cas dopération. Guattani est le seul qui mentionne un
te du pied qui l'expose à l'action des corps vulnérans. Toutefois, le cas échéant, la compression efficace sur le tarse doi
nt le tiers supérieur, à cause de la profondeur du vaisseau, sauf les cas de nécessité : le lieu proprement d'élection est
as de nécessité : le lieu proprement d'élection est le tiers moyen. Cas d'opération. Le plus commun est l'épanchcnient sa
t avéré. Au reste cette opération ne doit être pratiquée que pour les cas les plus simples, la prudence conseillant de lui
itement l'aiguille de Deschamps, et qui en justifie l'emploi dans ces cas (pl. 36, fig. 1, A). Si, dans la première incis
ropre et le jambier antérieur. Modification de M. Lisfranc. Pour le cas de ligature au tiers supérieur, afin de rencontre
, constituant les trois lieux d'élection qui correspondent à tous les cas . 1 Voy. Anatoniie topographique, pag. et pl. 12
t à tous les cas. 1 Voy. Anatoniie topographique, pag. et pl. 12. Cas d'opération. L'entourage de la tibiale postérieur
y permet plutôt le développement de tumeurs sanguines. Ruysch cite un cas d'ané-vrisme spontané à la région malléolaire, Do
un cas d'ané-vrisme spontané à la région malléolaire, Dorsay un autre cas de varice anévrismale, et Guattani un exemple de
us ou moins profonde, quoique sa direction soit la même dans les deux cas . La meilleure indication à donner me paraît être
du sillon que c'est presque une manœuvre téméraire ; aussi en pareil cas M. Bouchet de Lyon a-t-il été obligé de couper en
qu'il a publié le premier. Son exécution est facile et il répond aux cas les plus nombreux. Néanmoins quand la masse du tr
est plus facilement accessible. Cette opération est réservée pour les cas d'hémorragie traumatique. 1 Voy. Anatomie topog
ut de croiser la direction de d'artère, n'est pas aussi utile dans ce cas que pour la ligature des tibiales ; le point diff
profond, persistant quelle que soit la forme de l'incision. Dans un cas de lésion traumatique par un projectile, M. Guthr
ion latérale interne sous le bord du jumeau interne et du soléaire. Cas d'opération. Outre les hémorragies traumatiques q
ère poplitée, lorsqu'elle peut être faite au-dessus du point lésé, le cas le plus ordinaire est lanévrisme spontané cle cet
prévues suivant l'objet que se propose le chirurgien. Ainsi, pour un cas de lésion traumatique au-dessous de l'écartement
longue pour atteindre le vaisseau en haut ou en bas. Dans tous les cas , le malade étant couché sur la face antérieure du
main droite armée du bistouri tenu en troisième 1 Vov., pour divers cas de cet anévrisme, pl. 33. position, inciser deb
1 Voy. Anatomie lopographique, pag. 53-54, et pl. 7, 8 et 11. 41 Cas d'opération. La ligature de l'artère fémorale à d
de l'artère fémorale à divers points de sa hauteur répond à tous les cas urgens d'anévrismc ou de lésion traumatique à la
u de lésion traumatique à la cuisse, mais en outre elle est, pour les cas douteux, la ressource dernière et d'un effet sûr
cales n'offre pas assez de chances de succès? c'est en particulier le cas de l'anévrisme popí i té par la méthode d'Anel :
pour les troncs, peut être pratiquée à toute hauteur quelconque. Les cas d'opération à la main sont assez restreints. L'an
i avait le volume d'une orange. BecketetF. de Hilden citent chacun un cas analogue. M. Breschet a déposé dans les cabinets
cas analogue. M. Breschet a déposé dans les cabinets de la Faculté un cas d'anévrisme par dilatation des minuscules artérie
remplit la paume de la main. Au jugement commun des chirurgiens, ces cas nécessitent de préférence la ligature des troncs
ficultés. A notre avis elles sont moins grandes cependant que dans le cas précédent, quand il est nécessaire d'inciser le f
asilique, recouverte elle-même par le pannicule adipeux et la peau. Cas d'opération. L'artère humérale est de tous les tr
peut être liée sur un point quelconque de son étendue. Néanmoins les cas d'indication se précisent assez bien en trois poi
e. Le faisceau vasculaire se trouvant au milieu de la plaie, c'est le cas où le chirurgien doit apporter les plus grands mé
évrismale circonscrite dans l'espace sous-claviculaire. Mais dans ces cas même, comme nous le dirons plus loin, les précept
grands désordres pour une simple ligature, est insuffisante dans les cas d'anévrismes d'un grand volume. L'incision de Des
p complexe pour une simple ligature , est trop étroite aussi pour les cas danévrisme. Reste donc l'incision angulaire de M.
moins prolonges, nous paraît pouvoir répondre au plus grand nombre de cas , soit pour la ligature simple, soit pour les di
t de complication où la maladie cesse d'être opérable, comme dans les cas que nous avons dessinés d'après Pcllctan et M. ,l
al, pour une simple ligature l'incision horizontale suffit ; mais, en cas de tumeuranévrismalc, s'il est besoin d'obtenir u
n, ou les rejeter latéralement, en les faisant comprimer , et en tout cas faire absterger avec soin la plaie pour pouvoir t
mieux oblique suivant le plan intermédiaire aux scalènes : 20 dans un cas d'ané-vrisme où cette première incision fut recon
e et faire la ligature. Cette opération ne peut convenir que dans les cas d'hémorragie à la région mentonnière ou au pourto
tale pouvant être comprimées directement sur les os du crâne. Dans le cas néanmoins où on voudrait la lier, il faut se rapp
et passer dessous le stylet aiguillé. ARTÈRES DU COU '. Hors les cas d'opération spéciale sur l'une des régions quelco
, l.ig. 34, 35, et pl. 2 et 6. Procédé de Mirault d'Angers. Pour un cas de cancer de la langue chez une femme , M. Miraul
'hui qui ne l'aient pratiquée sur le vivant. On l'a employée pour les cas les plus variés : i° comme moyen hémostatique pré
voir dégoûté nombre de chirurgiens d'une opération infidèle. Dans les cas de simple blessure à la face la ligature de la ca
grave, proportionnellement à l'effet que l'on veut obtenir; enfin le cas de ligature comme moyen préparatoire nous paraît
ermettant de négliger la ligature des petites artères, dans nombre de cas les hémorragies consécutives ont contraint le chi
sur le côté du cartilage thyroïde : mais comme lieu de nécessité, en cas de tumeur anévrismale, on a souvent besoin de la
e pour quelle ressorte en dedans par le sillon de la trachée. Dans le cas de M. Mott, ce chirurgien lit la ligature avec un
es thyroïdiennes gênent trop, on peut les lier et les couper. Dans ce cas , je conseillerais d'en faire la section entre deu
ssi, puisque la tentative en a été faite, l'aorte elle-même. Enfin en cas de lésion traumatique on peut pratiquer dans la p
rconstance nous lui préférerions le suivant. Procédé nouveau. Si le cas se présentait de lier l'artère épi-gastrique pour
omme nous Pavons dit plus haut, la ligature de la carotide, parmi les cas nombreux pour lesquels elle a été liée , compte à
que, quel que soit le point sur lequel on en fait la ligature dans le cas où ce vaisseau lui-même est malade, on ne peut pa
voulu par l'opération. Déjà dans le siècle dernier on connaissait des cas d'oblitération de l'iliaque externe, ou spontanée
pl. 4 , 7 t't 8. époque, pendant un laps de temps de 10 années, les cas se multiplient à tel point, qu'il est peu de chir
se trouva du domaine public : il serait trop long de les nommer. Deux cas , cependant, se distinguent des autres par la hard
e de faits connus où l'opération a eu pour motif clans la plupart des cas un anévrisme inguinal, et dans le plus petit nomb
ompte environ les deux tiers de guérisons soutenues, et à peine trois cas constatés où, indépendamment de toute autre compl
ui-même est trop court pour laisse!' un espace qui permette d'agir en cas d'anévrisme , du reste fort rare, puisqu'on n'en
e croise antérieurement sa veine en diagonale. On connaît plusieurs cas de lésion traumatique de l'iliaque primitive par
le cadavre d'une femme (Goodisson) , semblait promettre le succès en cas d'oblitération provoquée. Tel était l'état de la
uccombé à l'hémorragie au quatrième jour. La connaissance de ces deux cas , malgré l'insuccès motivé du second , a fait acce
'insuccès motivé du second , a fait accepter cette opération pour les cas de nécessité. Manuel opératoire. Procédé de M
re, tendaient à légitimer la ligature de l'aorte lombaire. Si dans un cas rapporté par M. Rainy (1814), auquel s'en est joi
e cet accident n'était pas inévitable. Tels sont, en particulier, les cas d'oblitération par concrétion (M. A. Severin, Mor
resque complète par des tumeurs stéatomateuses (Steuzel); deux autres cas de rétrécissement sans cause connue trouvés sur d
encourageant. Toutefois, comme cette opération, dernière ressource en cas d'anévrisme des iliaques primitives, est entrée p
fonde, on est en doute sur celui des vaisseaux qui est lésé, c'est le cas de faire, au-dessus, la ligature du tronc princip
ieu en outre à une question importante, c'est de déterminer dans quel cas il convient de donner issue au sang épanché. Le l
r principal ou qu'il paraît irrégulièrement infiltré. Dans le premier cas on lui donne issue immédiatement par une plaie de
cours ultérieurement à la compression et aux topiques. Dans le second cas on se contente provisoirement de ces derniers moy
tumeur a reparu (Dupuytren, Breschet). Au membre inférieur, dans deux cas de ligature de l'artère fémorale, il y a eu des e
cès et est le seul généralement adopté. Toutefois l'opération dans ce cas est plus complexe que dans les ligatures ordinair
ans l'intérieur d'une grande cavité splanchnique. Toutefois, dans des cas rares à la vérité, cette terminaison funeste ne s
'ils en eussent été gravement incommodés. Mais, indépendamment de ces cas exceptionnels où l'activité de la cause se disper
se se disperse et s'épuise par la réitération de ses effets, dans les cas ordinaires d'a-névrismes isolés, par cause intern
tères anévris-matiques par trois procédés : i° la résorption. Dans le cas où, l'absorption s'emparant des fluides dans l'in
arest, MM. Marjolin et Guthric, se rapportent à l'artère fémorale. Le cas de guérison par gangrène observé par M. Guthric e
en ce que la tumeur était située à l'aîné. 3° L'induration. Dans ce cas , ou les couches fibrineuses, s'accu-mulantdans le
r le canal artériel lui-même dont l'orifice se trouve fermé, c'est le cas de M. Frcer, soit, dans une dilatation en masse,
n canal accidentel au travers des couches fibrineuses, comme dans les cas de Guattani et sir A. Cooper (fémorale), M. Roe (
se d'imposans témoignages et la véracité des auteurs, qui avouent des cas de récidive, tout le monde aujourd'hui met en dou
essentiel ou accessoire suivant leur succession ou les exigences des cas . Pour élucider un sujet si complexe et se guider
, Dupuytren (1829), Key (i83o), Laugier, etc. En résumé, sur dix-neuf cas rassemblés par M. Velpeau, le résultat définitif
elpeau, le résultat définitif donne trois guérisons, dix morts et six cas douteux. Si l'on se rappelle que, dans la plupart
rs en essayer quand il n'y a pas de danger imminent, et dans tous les cas c'est encore un auxiliaire utile pour aider à l'e
tile pour aider à l'effet des autres moyens. T. Bartholin rapporte un cas de guérison d'un anévrisme au bras par l'applicat
ès pour un énormeanévrisme fémoral, et Guérin fils rapporte plusieurs cas semblables. Sa-batier (1799), à l'exemple de Bart
e l'artère sous-clavière. Guattani compte quatre guérisons sur quinze cas d'application, et Flajani une proportion à peu pr
sdor, a été essayé par un chirurgien militaire appelé Vernet, pour un cas d'anévrisme inguinal qui ne permettait pas décomp
édiate ( après incision ). Tamponnement. Procédé de Guattani. Dans un cas d'anévrisme inguinal Guattani lit exécuter, par
ression immédiate, i 0 Compression par un instrument. Surpris dans un cas d'urgence, Desault comprima l'artère avec une esp
ie qui survint au quinzième jour. Depuis, ce moyen compte deux autres cas de succès obtenus par MM. Viricel et Larrey. Ob
le, a été employé avec succès par un grand nombre de praticiens. Deux cas de succès sont dus à M. Paletta (artères fémorale
igature simple, où le nœud porte sur le vaisseau, nous paraît dans ce cas -ci plus spécieuse que solide. La torsion, par cel
ées sur l'homme. 1 °La soie n'a donné lieu à aucun accident dans deux cas (Lawrence, Carwardine, 1815); dans plusieurs autr
chat a paru à A. Cooper avoir été dissous deux fois; dans deux autres cas il n'a pas réussi à M. Norman. 3° L'intestin de v
ne. M. Vcl-peau se range à cette opinion, et M. Lyng pense qu'en tout cas , pour en combattre les effets, il suffit de mettr
ans la ligature simple : il double la chance d'hémorragie; et dans le cas où la ligature est placée très près du tronc il n
ppliquer la torsion aux grosses artères non coupées, c'est-à-dire aux cas d'anévrismes, et en a fait l'essai sur la carotid
mentionnée plus haut ; et quant à la ligature, qui constitue, dans ce cas , la sous-méthode de Bras-dor, elle ne diffère en
'entraînerait pas, produite par fart, les mêmes accidens que dans les cas où elle est accidentelle. Quant au nombre des a
duit de pommade d'iode. Il croit que le galvanisme a facilité dans ce cas l'absorption et l'effet de l'iode. Enfin pour ce
nombre et la direction des mouvemens des organes voisins. A part les cas où la déchirure des nerfs occasionne promptement
au, qu'il tend à excorier pour se faire jour au dehors. Dans d'autres cas , où sa situation est trop profonde, il entretient
un indice manifeste la présence du corps étranger. Mais dans d'autres cas , au contraire, sous l'influence de causes diverse
spéciales. PROCÉDÉS D'EXTRACTION. En précepte général, excepté le cas où le corps à extraire offre suffisamment de pris
vec du linge. Si une tige métallique est enfoncée dans un os, trois cas se présentent. i° Ou bien elle offre une large pr
ou une algalic flexible si le trajet est multiple ou sinueux. Dans le cas où on ne trouve: pas le projectile, ne point se r
, procéder à l'extraction si l'étendue de la plaie le permet; dans le cas contraire, pratiquer les débridemens convenables.
anneau osseux qui l'environne, et l'extraire avec des pinces. Dans le cas où le corps étranger n'est qu'enclavé entre deux
ollement de la peau, etc. Une ponction faite à temps convient dans ce cas T. vi. pour prévenir les accidens ultérieurs.
, à rouvrir la plaie avec la pointe d'un stylet mousse. Dans tous les cas , lorsque la suppuration commence à être remplacée
de l'innocuité de ce fluide, l'expérience a appris que, dans certains cas au moins, l'entrée de l'air amène promptement une
rurgien de la Charité a pu obtenir ainsi des guérisons dans les mêmes cas où les anciens chirurgiens, qui avaient l'habitud
son des abcès froids qu'est réservé son emploi; le caustique, dans ce cas , ayant sur l'instrument tranchant, l'avantage de
us, on fend l'escarre pour pénétrer au travers dans le foyer. Dans le cas contraire , on attend que la chute de l'escarre p
pour diviser la peau, les aponévroses d'enveloppe, et, dans certains cas , les muscles lorsqu'ils renferment eux-mêmes des
ffrant presque toujours, abstraction faite de ses analogues, comme un cas spécial qui exige préalablement une attention sér
considérables; c'est surtout au front, comme on en a vu récemment un cas à Paris. Lorsqu'elles sont en grand nombre, elles
vant des tendons extenseurs des orteils. Dans l'un comme dans l'autre cas ils sont divisés en deux parties et comme étrangl
dangers; elle a réussi à guérir un malade, mais dans plusieurs autres cas la maladie s'est reproduite avec rapidité. C'est
entraîne presque toujours de graves accidens nerveux; dans plusieurs cas qui se sont passés sous nos yeux il y a eu de nom
en trempant le lien qui doit y servir dans l'acide nitrique. Dans les cas où l'on suppose que des vaisseaux considérables s
en se servant du bistouri pour détruire les adhérences, qui, dans ce cas , sont ordinairement plus résistantes. TUMEURS F
lée. Uextirpation est plus sûre, plus prompte, et convient à tous les cas . Une incision suivie de l'énucléation suffit quan
ses progrès, ait pu s'établir en quelque sorte chez le malade, et, le cas échéant où le désordre est produit, d'enlever au
s opérations élémentaires; outre que les préceptes variables dans des cas déterminés, devront, pour les plus importons, fig
xcision etY extirpation. Toutes ces manœuvres s'emploient, suivant le cas , seules ou combinées, dans le cours d'une même op
pour la guérison définitive une suite d'opérations. 3° Enfin dans les cas peu graves, et en particulier pour les tumeurs ér
n mélange de céruse et de vermillon, mais il est évident que clans ce cas c'est la couleur même de la peau qui doit décider
de fois pour des tumeurs de diverses natures, en particulier dans les cas d'anévrismes par anastomoses et de tumeurs érecti
'est pas à ma connaissance que l'on puisse citer par ce moyen un seul cas de guérison véritablement confirmé. Ainsi dans ce
e moyen un seul cas de guérison véritablement confirmé. Ainsi dans ce cas , comme dans beaucoup d'autres, outre les gênes et
superficielles ont été obtenues en un mois ou six semaines. Dans les cas où la compression du tronc artériel principal est
Section circulaire au pourtour de la tumeur. Applicable seulement aux cas où la maladie superficielle et périphérique n'est
ué sans résultat la ligature des artères radiale et cubitale. Dans un cas où la tumeur était très large, M. Gihson prit le
Travers guérit par ce moyen une tumeur de l'orbite, vingt-cinq autres cas ont fourni les résultats suivans. i° A Xorbite
ns. i° A Xorbite et à la région temporale quatre tumeurs ont guéri ( cas de MM. Travers, Dalrymple, Busk), quatre ont cont
de MM. Travers, Dalrymple, Busk), quatre ont continué de s'accroître ( cas de MM. Dalrymple, Wardrop, Walther, Wil-liaume);
paroi nasale n'a offert à Delpech qu'un succès incomplet. 6° Dans des cas variés MM. Bernard, Rogers et Busch ont guéri leu
dernier eût lié les deux carotides. 70 Enfin cinq malades sont morts ( cas de MM. Kuhl, Mayor, Zeir, Peyro-goff, Velpeau). E
quarante opérations , quatre-vingt-deux guérisons pour cinquante-huit cas d'insuccès dont quarante-six morts : quatre guéri
dans l'organisme a permis d'obtenir de meilleurs résultats. Sur sept cas , nous avons vu que M. Hoclgson avait échoué à gué
égénérescence vasculaire de l'extrémité tibialc du fémur, l'un de ces cas qu'il appelait avec énergie du nom de cancer arté
re substance. Mais à côté de ces trois faits malheureux quatre autres cas de succès se présentent : l'un de M. Lallemand, q
ion, sans toutefois exclure absolument la cautérisation dans tous les cas ; mais un plus grand nombre de praticiens, MM. Llo
sentiel est de n'être point exclusif et de réserver ce moyen pour les cas spéciaux où il peut être utile. On peut se serv
stances l'extirpation incomplète n'offre aucune sécurité, et c'est le cas d'avoir recours à la cautérisation pour détruire
dre. L'extirpation seule, quand elle peut être complète ou, dans le cas contraire, suivie de la cautérisation, est le moy
de chirurgiens des plus distingués à en restreindre l'emploi dans ce cas . Déjà le précepte en avait été posé par J.-L. Pet
Walther, Wardrop, Roux, Busch, Hcrvez de Chegoin. Tous signalent des cas où, comme nous l'avons vu souvent chez Dupuytren,
ours aux hémorragies consécutives. L'extirpation s'appliquant à des cas si variés et comprenant des manœuvres si différen
ons exclure les fractures et les luxations simples, puisque, dans ces cas , on n'agit que médiatement sur les os, sans porte
opération très innocente; il dit l'avoir pratiquée six fois, dans des cas d'hydarthrose du genou, sans le moindre inconvéni
vent uniques, on en rencontre quelquefois plusieurs; Morgagni cite un cas où il en trouva vingt-cinq dans l'articulation du
te plus au corps étranger de se déplacer. Bien que l'on cite quelques cas de succès, les résultats d'une semblable opé na
qu'il devait attendre d'une articulation artificielle; les différens cas de résections dans la continuité des os et les ex
tous les tissus ont été dilaceres, ce qui n'arrive guère que dans des cas d'écrasement, est une cause immédiate d'amputatio
les fragmens sont réunis par un tissu fibreux intermédiaire, c'est le cas le plus commun; d'autres fois il se forme une cap
contenter de la résection d un des bouts des fragmens. Dans tous les cas on se comporte par la suite comme dans une fractu
M. Flaubert de Rouen. A la suite d'une résection de l'humérus pour un cas de pseudarthrose, cet habile chirurgien, ne pouva
er cependant qu'elle soit contre—indiquée; ainsi M. Malgaigne cite le cas d'une pseudarthrose du fémur où les fragmens étai
oncées dans différens points au nombre de trente-six : clans un autre cas , sur un enfant de deux ans, quoique les fragmens
t dans l'organisme et non dans les moyens opératoires. Ainsi donc, en cas d'insuccès, le chirurgien, convaincu que la cause
minant une courbure plus ou moins considérable de l'os. Dans ces deux cas il en résulte un raccourcissement du membre, auqu
a gouge et le maillet : cette opération s'adresse particulièrement au cas de consolidation définitive du cal. Procédé de
ines, et le cal était définitivement formé; Wasserfuhr conçut pour ce cas le procédé suivant. Ayant préalablement tendu les
t un succès complet couronna l'opération. 5° Selon. S'adressant aux cas où le cal est définitivement formé, cette méthode
ension et cle redressement. Procédé de Weinhold. 11 s'agissait d'un cas cle fracture clu fémur consolidée depuis trois mo
mentant la difficulté de l'opération, c'est particulièrement dans ces cas , où l'on agit dans un espace étroit, qu'on pourra
on avec des pinces à pansement ou des pinces à polype. Mais, hors ces cas , il faut en venir à une opération qui a pour but
ssi voyons-nous bientôt quelques chirurgiens restreindre beaucoup les cas où le trépan est nécessaire, et même faire naître
vité de l'opération, lui reconnaît des résultats utiles dans certains cas qu'il précise. Dès cette époque les opinions orig
ossède, nous devons toutefois regarder le diagnostic de ces sortes de cas , les indications qu'ils présentent et les chances
ides accidentellement épanchés dans la cavité du crâne. Dans tous ces cas l'intention curative du trépan est évidemment la
Pott, Desault, A. Cooper, etc., qui limitèrent l'emploi du trépan aux cas seulement où les symptômes d'irritation et de com
is qu'il existe une forte attrition du tissu des os, 3° dans tous les cas où la dure-mère a été intéressée par un instrumen
u compliquées de corps étrangers. Toutefois la trépanation, clans ces cas mêmes, peut être inutile lorsque la plaie de l'os
s ce précepte n'est pas tellement absolu que l'on ne puisse, dans des cas de nécessité, trépaner sur tous les points du crâ
rrive quelquefois qu'il s'enlève avec la couronne du trépan. Hors ces cas , on visse le tire-fond dans l'ouverture qu'on ava
nce*d'Orangc a supporté sept fois la trépanation; V.-D. Wielljcite un cas où l'on a pratiqué avec succès vingt-sept orifice
de plus l'avantage cle ne causer que peu d'ébranlement. Dans tous les cas , l'usage cle cet instrument est spécialement indi
t on a restreint la trépanation clu sternum presque exclusivement aux cas de carie et de nécrose de cet os ou pour extraire
blement préférable et plus rationnelle. Il ne reste donc plus que les cas cle carie et cle nécrose des côtes ; mais n'est-i
eur continuité, et on ose même les extirper en totalité dans certains cas . Enfin, depuis le commencement de ce siècle, les
t les résections, donner les raisons qui les motivent, distinguer les cas qui les contre-indiquent et les font rejeter ; en
our le malade des accidens plus graves que l'opération; dans ces deux cas , la résection est indiquée. On sent qu'une donnée
ndiquée. On sent qu'une donnée aussi générale peut, dans une foule de cas , s'appliquer aux amputations ; et si de là nous d
mputations ; et si de là nous descendons au point de vue pratique, un cas de résection étant posé, pourquoi préférera-t-on
ister, une somme suffisante de forces qu'il n'a plus? Dans ce dernier cas l'amputation enlevant le foyer du mal, lui substi
e incontestablement moins graves ; il fonde son opinion sur cent huit cas qu'il a rassemblés, parmi lesquels il ne compte q
mentation sur les animaux; en chirurgie on ne peut jamais, dans aucun cas , conclure des animaux à l'homme, et surtout à l'h
iclens, particulièrement pour les membres supérieurs et dans certains cas spéciaux (pie nous indiquerons en leur lieu. ci
némie profonde, la diathèse cancéreuse sont particulièrement clans ce cas . Il est évident que si la non-consolidation d'une
connus, présentent un mécanisme très compliqué, ne répondent qu'à des cas trop spéciaux, et exigent une grande habitude pou
ervir avantageusement. Dans notre opinion on peut répondre à tous les cas avec la petite scie cultellaire, l'ostéotome de M
ie des régions, qu'on parviendra à improviser, suivant l'exigence des cas , toutes les variétés d'incision que certains aute
grandit, suivant le besoin, pour mettre les os à découvert. LTors ces cas , on a recours au procédé suivant. Du milieu de la
plus souvent occasion de l'appliquer au premier métacarpien, dans les cas de carie, de luxation, ou de fracture comminutive
CARPE. Cette opération est presque exclusivement indiquée clans les cas de luxations compliquées, d'écrasement, ou de pla
rts. Procédé de M. Roux (pl. 56, fig. 3 et 4)- On peut, suivant les cas , enlever l'extrémité inférieure du radius seul, d
u les extrémités carpiennes de ces deux os à la fois. Dans ce dernier cas MM. Velpeau et Chélius font commencer l'ablation
et externe qui existent déjà, les ruginer ou en emporter, suivant les cas , un ou plusieurs ou même la rangée supérieure tou
férentes indications que le chirurgien est appelé à remplir. Dans les cas les plus simples le procédé de M. Dubled mérite l
versales de M. Roux offriraient un grand avantage; mais dans tous les cas l'opération sera toujours plus facile en commença
ençant la désarticulation par le cubitus. Enfin ce n'est que dans les cas extrêmes, lorsque les os du carpe seront malades
obtenir, la suppuration se tarit difficilement, et on cite plusieurs cas où il a fallu en venir à l'amputation. extirpat
fécondes en résultats heureux, puisque d'après un relevé de soixante cas il y en a eu quarante couronnés de succès ( Vclpe
e la difficulté de cette opération et la réservant seulement pour les cas d'extirpation de l'apophyse olécrane, Moreau eut
rfaitpour l'ablation de l'extrémité inférieure de l'humérus. Dans les cas cités par MM. Hey ( 18o i ), Champion ( 1816 ) et
survinrent, et l'ankylose en fut le résultat. 3° Olécrane. Dans les cas de luxation irréductible du coude en arrière, on
les nécroses et toutes les affections organiques incurables sont les cas variés qui aujourd'hui indiquent la résection de
ancien et le plus simple de tous; mais, ne pouvant suffire à tous les cas , il a dû subir des modifications pour répondre au
ticu -lation.Comme les procédés à lambeau, celui-ci convient dans les cas où il devient nécessaire cle réséquer la cavité g
ais à part ces exceptions, c'est-à-dire dans le plus grand nombre des cas , notre procédé nous paraît suppléer tous les autr
ces résections, qui n'est pas encore fixé, nous donnons le récit des cas spéciaux, encore peu nombreux , qui s'y rapporten
émens de médecine opératoire, tom.H, p. 716, 2e édition). » Pour un cas semblable, M. Roux, le28juin 1834, procéda à l'op
nt des incisions différentes de celles de M. Mott, et que suivant les cas , si variés entre eux, chaque operateur aura un pr
un procédé approprié. Remarques, i0 11 est essentiel, dans tous les cas , cle ne pas perdre cle vue la disposition anatomi
néralement peu grave par elle-même, elle ne doit être pratiquée qu'en cas de nécessité bien reconnue; parce qu'il en résult
lade en sciant l'os perpendiculairement à son axe. Suivant certains cas spéciaux , cette opération a dû être modifiée; c'
c'est à l'aide d'une semblable incision que M. Champion fit dans deux cas (1813 et 1814 ) l'extirpation du cinquième métata
ous venons de décrire, en les modifiant un peu suivant l'exigence des cas ; mais on préfère alors avec raison l'amputation,
us ordinaires. i° Cuboïde et cunéiformes (pl. 61, fig. i ). Dans un cas où la carie des os situés au côté externe du tars
ut marcher librement et recouvra les mouvemens de son pied. Pour un cas à peu près semblable au précédent, M. Velpeau pra
visant l'os d'arrière en avant, nous paraît encore préférable dans ce cas . On termine comme pour le péroné, en faisant basc
ouge ou la scie à chaîne l'extrémité supérieure de l'astragale, si le cas pathologique l'exige. Pansement. Les lambeaux é
la science, nous trouvons, sur un total de douze observations, trois cas dans lesquels la mort fut la suite évidente de l'
écu avec un membre dont ils ne pouvaient se servir. Enfin dans quatre cas seulement l'opération paraît avoir réussi; encore
r, Heine et Schmalz ont réséqué la tête du fémur avec succès dans des cas de fractures compliquées ou de coxalgie ; tandis
oxal-gies ou à des caries plus ou moins avancées. En résumé, sur onze cas bien avérés que possède la science, on compte cin
érations que le chirurgien doit improviser et modifier suivant chaque cas spécial. En effet, si les dégénérescences s'étend
en faveur de cette résection ; puisque sur un relevé de cent soixante cas on compte cent vingt succès (Velpeau), trois guér
e volume de la tumeur, et l'état de la peau qui la recouvre. Dans les cas ordinaires, lorsque la tumeur n'est pas très volu
rf lingual de la cinquième paire. On pourra, suivant l'exigence des cas morbides, modifier de mille manières l'incision d
otale de la mâchoire (pl. 65 , fig. 3 ). Après avoir, comme dans le cas précédent, tracé une incision horizontale allant
s exemples de succès semblent autoriser cette opération dans certains cas . M. Schmith rapporte l'observation d'un malade qu
romettre un heureux résultat. résection des os du bassin. Dans un cas de fistule à l'anus entretenue par une carie du c
nches ascendantes du pubis, et de la crête iliaque. Dans aucun de ces cas les chirurgiens n'ont pu opérer suivant des princ
se, constituent ce qu'on appelle des lieux d'élection : mais, dans ce cas , ne pourrait-on pas soutenir que ce sont là encor
les diverses amputations : nous préciserons sa situation, pour chaque cas , aussi bien que celle des aides et du chirurgien.
ainsi, pour protéger les os, une grande quantité cle tissus. Dans ce cas on peut très bien, après avoir remonté la peau, i
et moins douloureuse cpie la méthode circulaire, et dans beaucoup de cas elle recouvre moins bien les surfaces osseuses.
ins de terreur par les chirurgiens, ne furent plus réservées pour les cas extrêmes et pratiquées seulement sur les grandes
ng la méthode circulaire, et enfin la méthode à lambeau palmaire : le cas qui nécessiterait la formation d'un seul lambeau
le d'amputation de tous les métacarpiens dans leur continuité!: si le cas se présentait, il y aurait lieu ou à une section
ar les chirurgiens. S. Cowper avance qu'il a peine à se rappeler un cas où cette opération ait eu des suites malheureuses
r et scier l'os. Appréciation. Avoir voulu appliquer, dans tous les cas , la méthode à lambeaux aux deux tiers inférieurs
ue; elle convient, comme l'a très bien fait remarquer Boyer, dans les cas où il faut amputer tout-à-fait au-dessous de la t
uvelée par M. Mayor qui l'a employée avec un plein succès dans quatre cas où l'articulation des deux rangées du tarse était
ction peut être pratiquée au travers de la seconde rangée du tarse en cas de maladie des articulations tarso-métatarsiennes
l'autre, puisque toutes deux doivent être conservées, l'une pour les cas malheureux où la lésion remonte très haut, l'autr
amputation au-dessus du lieu delkction. Généralités. Dans plusieurs cas où la maladie dépassait le lieu d'élection, M. La
c préférer un lambeau antérieur et un postérieur. Mais, dans tous les cas , l'avantage qu'on en retirerait, et que procurait
ns pour nous, que la méthode à lambeaux n'est applicable que dans les cas exceptionnels; lesquels se rencontrent surtout à
ont les inconvéniens sont encore évités dans le plus grand nombre des cas par l'emploi des méthodes ovalaire et à lambeau q
plus obscur que la doctrine d'Hippocrate sur les amputations dans les cas de gangrène. D'abord on ne sait s'il entend toujo
on comme méthode générale, du moins comme une ressource dans certains cas déterminés : témoin entre autres, pour le seizièm
ueur. Ce procédé, peu usité, reçoit son application spéciale dans les cas où le mauvais état des parties sur la face palmai
au besoin pratiquer l'opération avec un seul lambeau latéral.Dans les cas ordinaires, où le choix est libre, le second proc
es suffit quand il n'y a eu de coupées que les collatérales. Dans les cas exceptionnels, où leur tronc commun aurait été di
ire, par le côté cubital, la main en supination. Dans l'un et l'autre cas la première incision contournant l'os vient about
lange pour la main gauche, de manière à arriver, dans l'un ou l'autre cas , à la terminaison latérale du pli de flexion digi
toucbe le quatrième et le cinquième métacarpien ; M. Waltber, dans un cas , le deuxième et le troisième, et dans un autre le
re derniers doigts ensemble. Cette amputation est réservée pour les cas où le métacarpe a été fracassé; le carpe étant re
a main gauche, le chirurgien tenant les quatre doigts dans le premier cas , et le pouce dans le second, inciser verticalemen
e longue pour la dissection et d'un mauvais résultat. Enfin, pour les cas spéciaux où l'on est commandé par l'état des tégu
érience a appris que le résultat est à peu près le même dans les deux cas . Réunion. Ordinairement, dans la méthode à lamb
tale; mais quelquefois l'humérale a été piquée dans le premier temps, cas où elle doit être liée au-dessus. La réunion est
umérale remonte à plus d'un siècle. Dès 1686 , Laroque en rapporte un cas où l'opération fut en quelque sorte accidentelle
auparavant par Duverney. Quoi qu'il en soit, on n'en cite que peu de cas pendant le cours du dix-huitième siècle ; et ce
ion et pronation forcée, mais il indique avec raison de faire dans ce cas l'incision plutôt de dedans en dehors ou de la pr
u membre, de manière à ne pouvoir être conservées, c'est forcément le cas d'avoir recours à celui des procédés à un ou deux
ies molles, les caries et les tumeurs avec dégénérescence. Suivant le cas , il s'agit d'emporter, avec le membre en entier,
pour des ablations fractionnées du col de l'omoplate dans le premier cas , de l'articulation acroinio-claviculaire dans le
s malades ont succombé. L'essentiel est donc de déterminer dans quels cas l'opération est praticable avec quelque chance de
ant au manuel opératoire, on conçoit qu'il doit varier suivant chaque cas spécial. En fait, il y a ici deux opérations : un
rgien à varier les sections au point de vue de la réunion pour chaque cas spécial. AMPUTATIONS DANS LA CONTIGUÏTÉ DU MEMB
son volume et de son importance dans la marche et la station. Dans le cas où l'on serait contraint d'enlever la phalangette
la continuité, a restreint la désarticulation tarso-métatarsienne aux cas où les têtes des os elles-mêmes ne peuvent être c
igamens, les deux surfaces articulaires s'écartent en entier; dans le cas contraire, inciser les dernières brides fibreuses
forme : restreignant ainsi la désarticulation tarso-métatarsienne aux cas exceptionnels où les quatre extrémités osseuses s
e sacrifier le scaphoïde et la moitié postérieure du cuboïde dans les cas assez communs où la voûte du tarse, si exposée au
iennes (pie nous venons de décrire, chacune d'elles s'adressant à des cas différens. L'amputation de M. Baudens a pour but
e pratiquée quand les chairs sont saines à la face plantaire. Dans le cas contraire on peut mettre en usage celle de M. Séd
ec le fort ligament inter-osseux calcanéen, nous paraît dans tous les cas fort difficile. Enfin tout ce qui précède n'a enc
affos, Blandin, Baudens et beaucoup d'autres chirurgiens. De quatorze cas relevés par M. Velpeau, l'opération aurait réussi
vantageuse peut-être, dans ce sens qu'il est probable que beaucoup de cas malheureux n'ont pas été connus. Mais si un résul
ns que cette opération n'est pas plus funeste qu'une autre et que, le cas échéant, on peut la pratiquer en toute conscience
ui l'ont ainsi pratiqué n'y ont trouvé aucun inconvénient, excepté un cas , cité par J.-L. Petit, où cet os gênait après la
favorable encore, consiste à tailler deux lambeaux latéraux. Dans ce cas , ces lambeaux pourraient être d'autant plus court
procédé ne pourrait trouver d'application vraiment utile que dans les cas où les tégumens seraient trop altérés en avant, e
être préférées : le procédé de Hoin néanmoins sera conservé pour les cas où les tégumens sont trop malades sur la face ant
x lambeaux antérieurs ou latéraux, ils doivent être réservés pour les cas exceptionnels où l'état des parties ne permet pas
d'Orléans, après un sphacèle des membres causé par le seigle ergoté : cas à la vérité impérieux et tout-à-fait exceptionnel
Un second fait est celui de Pérault, chirurgien de Touraine, pour un cas d'attrition de la partie supérieure de la cuisse
multiplie beaucoup. Parmi les chirurgiens auxquels appartiennent les cas heureux se trouvent MM. Guthrie, Delpech, A.Coope
e, néanmoins, ressort de ce rapprochement, c'est que presque tous les cas heureux sont ceux où l'opération a été pratiquée
sujets des malades déjà depuis long-temps épuisés. Indications. Les cas pour lesquels peut se pratiquer la désarticulatio
muscles, elle en détermine la section, se desserre et, dans tous les cas , ajoute à la plaie une nouvelle cause d'irritatio
jeté exclusivement, et qu'il n'en est pas qui ne puisse répondre à un cas spécial, circonstance si commune pour la désartic
l-tueuse: inconvéniens qui restreignent l'emploi de cette méthode aux cas où la désorganisation des tegumens s'étend assez
rleurs nombreuses combinaisons, elles offrent des ressources pour les cas les plus variés, en permettant de tailler des lam
t égard ; c'est au chirurgien à se consulter pour savoir, dans chaque cas , jusqu'à quel point il peut compter sur lui-même
te divers modes de compression : à la tète, par des bandages, dans le cas d'hémorrhagie de l'une des branches de l'artère f
omprime l'artère temporale , dans le lieu de sa bifurcation, pour les cas d'hémorrhagie de l'une ou l'autre de ses branches
t représenté ici dans sa plus grande simplicité , et tel que, dans un cas urgent et en l'absence des autres compresseurs, o
e M. Stromeyer). Figure 3. Section de l'aponévrose palmaire dans le cas de rétraction permanente des doigts causée par un
n du. vaisseau. (D ET Da) SAIGNÉE DE LA VEINE CÉPHALIQUE. Dans le cas où, sur un sujet gras, on ne peut trouver une vei
E trajet DE LA CROSSE DE L'aorte ET DU TRONC SOUS-CLAVIER DROIT. ( Cas donné a [auteur par M. Jobert). Dans ce cas mor
OUS-CLAVIER DROIT. (Cas donné a [auteur par M. Jobert). Dans ce cas morbide, évidemment de cause interne, le malade é
nombre d'artères, et d'abord à celles du membre thoracique droit. Ce cas est curieux quant au mode d'étiologie des anévris
du grand pectoral. FIGURE 2. ANÉVRISME DE L'ARTÈRE AXILLAIRE, ( Cas observé par Pelletan — Musée DupuytrenJ. Quoiqu
nature par N.H. Jacob. ANATOMIE PATHOLOGIQUE CHIRURGICALE. DIVERS CAS DANÉVRISMES. GRANDEUR NATURELLE. FIGURE 4. AN
DANÉVRISMES. GRANDEUR NATURELLE. FIGURE 4. ANÉVRISME POPLITÉ. ( Cas observé par Desault. — Copié sur une pièce en cir
fémoro-tibiale. Figure 4. Plan antérieur de la même articulation. Ce cas est très remarquable en ce qu'il offre une type,
ne partie, par la dilatation des moindres branches latérales, dans le cas d'oblitération du tronc principal. Les mêmes br
2, 3, 4. résultat de la ligature de l'artère iliaque externe. Le cas qui se trouve ici représenté appartient à Dupuytr
atiquée de gauche à droite (voyez pl. 14, jig. 3 et 5). Dans quelques cas rares, il peut être commode de la faire de la mai
d'un scalpel, ou même le doigt indicateur, y supplée dans beaucoup de cas . a. Annulaire et médius gauches du chirurgien,
recourbé, ou l'aiguille de Deschamps, suffisent dans presque tous les cas . FIGURE 7. Introduction du stylet aigidllé po
ction du stylet aigidllé porte-jîL Ce temps n'est utile que dans le cas où l'artère a été soulevée par une sonde cannelée
e représenter une opération déterminée que de servir de guide pour un cas spécial. L'opération de Desault. prescrit l'incis
te opération, comme le pense M. Velpeau, nous paraît convenir pour le cas spécial où le chirurgien, voulant opérer sur un s
de chacune de ces artères, pour montrer la possibilité de les lier en cas d'accident. 1. Section de la peau appartenant à
laquelle est passé un fil, pour montrer la possibilité de la lier en cas d'accident. 8. Veine iliaque externe. 9. File
reusée dans l'épaisseur du diploë, au-dessous de la crête iliaque. Ce cas réel nous a servi de modèle pour l'opération supp
qui s'estaplatie en creusant une cavité (b) sur la crête de l'os. Ce cas aurait offert une extraction facile, en raison de
a formation à posteriori dune sorte de cal artificiel, comme dans les cas d'ankylose. figure 6. Opération du séton prat
figure 6. Opération du séton pratiquée au travers du tibia pour le cas représenté fig. 5. Entre deux incisions des parti
ie, a pour objet la formation d'uue articulation artificielle dans le cas d'ankylose complète de l'articulation coxo-fémora
d'ankylose complète de l'articulation coxo-fémorale. (Voyez, pour un cas de cette nature (pl. 54, fig. 1 et 2). Une incisi
re à découvert une portion de l'étendue du séquestre. (Voyez, pour un cas de cette nature, pl. 54, fig. 9.) Figure 3. Séq
t le séquestre renfermé dans la cavité du nouvel os. (Voyez, pour des cas de cette nature, pl. 54, fig. 5 et 6.) Le trépan,
ette figure, opère la section du séquestre, que l'on suppose, dans ce cas , pratiquée d'un seul coup par la cisaille de M. L
âcheux effets de l'ébranlement sont moins à craindre. (Voyez, pour un cas analogue, pl. 54 , fig. 7.) Figure 2. A. Séques
utifs à des fractures du crâne. (Le Muséum de la Faculté renferme des cas nombreux de ce genre, extraits de la pratique de
. Figure C. Section de la dure-mère avec le bistouri droit, dans le cas assez ordinaire où il est nécessaire de donner is
lotte articulaire du fémur, dont le tissu aréolaire est raréfié. Ce cas offre un exemple de celui pour lequel M. Barton d
e 4. Fausse articulation au tiers inférieur du tibia. Dans ces deux cas les os chevauchent sur des fragmens aigus; toutef
omplet, mince et fragile. Dans la fig. 5, qui offre un des plus beaux cas de nécrose de la presque totalité de l'humérus, l
l'avant bras. Figure 12. Carie commençante de la tête du fémur. Ce cas est remarquable, comme transition de texture, par
lement employés dans les amputations, servent néanmoins , suivant les cas , dans les opérations variées qui sepraliquent sur
quatre derniers instrumens sont d'un emploi commode dans une foule de cas on il convient de scier au travers d'un espace ét
s à toutes les résections, les mauvais résultats que donnent, même en cas de guérison, celles du membre abdominal en généra
a pour objet de montrer les ressources dont on peut disposer dans un cas de carie de la portion externe du tarse. (a). L
'art peut tenter raisonnablement pour la conservation du pied dans un cas de carie du bord interne du tarse , soit le scaph
ratiquée sur une femme, après l'ablation d'un sein cancéreux, dans le cas ordinaire où, la glande mammaire étant enlevée, à
Pratiquée par M. Janson.) Cette opération n'est motivée que dans le cas d'ostéo-sarcôme , auquel est exposée la moitié su
pratiquée par plusieurs chirurgiens, l'a été principalement dans des cas de tumeurs cancéreuses qui, par les changemens de
t des parties, ajoutaient beaucoup aux difficultés de l'opération. Le cas que nous figurons, motivé par une carie de l'extr
trice commune. Figure 1. MOIGNON DE JAMBE AMPUTÉE. Nous devons ce cas à l'obligeance de M. Pasquier, chirurgien en chef
terne. Figure 2. MOIGNON DU PIED. ( Amputation de Chopart. ) Ce cas provient de la pratique de notre ami M. Blandin,
e dos du pied et le coussin sous-métatarsien des parties molles. Ce cas offre un exemple remarquable des ressources emplo
63 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
converti en tissu réticulaire. Il m'est arrivé de rencontrer, dans ce cas , le calcanéum, le col du fémur et le grand trocha
sulaires, au contraire, ne se consolident que dans un petit nombre de cas . M. Astley Cooper affirme qu'il n'a pu rencontrer
gmens sur l'autre. Toutefois il ne nie pas la possibilité de quelques cas exceptionnels, tels que ceux dans lesquels il n'y
la fracture venait d'être opérée; que, dans « un très grand nombre de cas ^ibid. p. 48), le cal est formé par l'ossification
artilaginification que le tissu musculaire. » (2) (1) Dans quelques cas , le ligament rond est à l'état de vestige; dans d
quelques cas, le ligament rond est à l'état de vestige; dans d'autres cas , il y a absence complète de ce ligament. (2) Qu
appartenir au fragment inférieur. Je ne l'ai vu qu'une fois. Dans un cas , il s'était détaché au centre du grand trochanter
toutes les autres, par suite de la chute sur le grand trochanter. Ce cas a été recueilli à la Salpêtrière par M. Nivet, da
rence, et ce déplacement m'a paru, au moins dans un certain nombre de cas , le résultat de l'engrenure des fragmens; d'où le
rties molles dont l'ossification constitue la virole osseuse. Comme cas de consolidation par cicatrice de fractures intra
ice de fractures intra-capsulaires du col du fémur, je rapporterai le cas suivant, d'autant plus remarquable qu'il offre un
ens, et je suis porté à considérer avec sir Astley-Coo-per, comme des cas de déformation de la tête et du col, la plupart,
odes : tantôt elle est serrée, tantôt elle est lâche. Dans le premier cas , les deux surfaces articulaires frottant l'une co
ant l'une contre l'autre deviennent lisses, polies, éburnées. Dans le cas de fausse articulation lâche, la tête fémorale re
mportans; je l'ai observé dans deux autres circonstances : i° dans le cas de luxation ; i° dans le cas d'usure des cartilag
s deux autres circonstances : i° dans le cas de luxation ; i° dans le cas d'usure des cartilages de l'articulation coxo-fém
très souvent aux fractures extra-capsulaires. Dans presque tous les cas de fractures intra-capsulaires récentes que j'ai
cture extra-capsulaire : cependant, je lai observé plusieurs fois; le cas représenté fig. i et l' en est un exemple. Ainsi,
ois; le cas représenté fig. i et l' en est un exemple. Ainsi, dans un cas de fracture intra-capsulaire du col, observé sur
è-nement était tel qu'il y avait immobilité complète. Dans un autre cas , qui a été présenté à la société anatomiquepar M.
e, très aiguë , formée par le bord inférieur du col du fémur. Dans ce cas comme dans ceux que j'ai indiqués, la moitié post
issance, nous devrons trouver, dans le premier comme dans le deuxième cas , une cavité cotyloïde ancienne à l'état de vestig
é cotyloïde, présente les mêmes difficultés dans l'un que dans fautre cas . Je ne comprends rien, je l'avoue , aux succès qu
on le déchirement, mais l'allongement de la capsule fibreuse. Dans le cas dont il s'agit, les ligamens ronds étaient grêles
luxation du fémur, qui confirme pleinement le fait précédent. Dans ce cas , observé chez une femme adulte, indépendamment de
cotyloïdienne ancienne: elle peut être superficielle. Dans le premier cas , la tête du fémur a conservé son volume naturel :
parent et dépendre du mouvement d'ascension du bassin. Dans le second cas , la tête du fémur est déformée, aplatie, usée, qu
cienne cavité. Un dernier changement éprouvé par l'os coxal dans le cas de luxation ancienne, c'est un changement de form
dans la fosse iliaque externe qu'au moment de la luxation. Dans ce cas , la capsule fibreuse de nouvelle formation étant
la Salpêtrière sur laquelle je n'ai recueilli aucun renseignement. Ce cas pouvait servir de type pour le diagnostic de ce g
fibreuse assez serrée pour maintenir la tête immobile (tels sont les cas ordinaires, tel est en particulier celui représen
sule fibreuse lâche permettent les mouvemens en tout sens: tel est le cas dont il s'agit. Une observation recueillie dans
u de chose près aussi fréquentes que les hernies fémorales. Dans le cas suivant, la lésion existait dans l'articulation d
ons spasmodiques ou crampes: cela doit être, d'après l'observation de cas analogues. La malade se tient couchée sur le cô
antécédens, j'aurais pu croire à une luxation ancienne. Tel était le cas de la jeune fille dont j'ai fait représenter l'av
re suivie de déplacement. Eh bien! il résulte de la comparaison de ce cas avec d'autres cas tout-à-fait semblables, que nou
cement. Eh bien! il résulte de la comparaison de ce cas avec d'autres cas tout-à-fait semblables, que nous avions affaire à
forcée paralytique ou convulsive de la main sur l'avant-bras. Dans ce cas , figuré ixe livraison , plusieurs os du carpe ét
rd de ces tentatives hardies ; mais la théorie repousse, même dans le cas de simple rigidité, tout moyen de redressement qu
amens, et par conséquent avec des accidens consécutifs, qui, dans les cas les plus heureux, amèneront une rigidité nouvelle
diagnostic. Quel est, en effet, celui que l'on devait porter dans ce cas ? L'expérience n'est pas là pour nous éclairer. M.
e contre les progrès du mal, que l'on croyait être un polype. Dans un cas pareil, M. Amussat pense qu'il faut s'abstenir de
remplies par du suc cancéreux ayant la consistance du saindoux. Ce cas -là est donc pour moi un cas de cancer qui ne diff
ux ayant la consistance du saindoux. Ce cas-là est donc pour moi un cas de cancer qui ne diffère en rien des cancers les
limitées, les variétés sont innombrables; car je ne connais pas deux cas d'anatomie pathologique, de même que je ne connai
deux cas d'anatomie pathologique, de même que je ne connais pas deux cas de maladies, soit internes, soit externes, qui so
delà maladie, en tant que végétation. On pourrait dire dans certains cas , qu'il y a à-la-fois exostose et ostéophyte, et l
matiques, se présenta incontinent à mon esprit et me parut le type du cas soumis à mon examen. Plusieurs de ces tumeurs éta
les doigts des mains et des orteils étaient ainsi réunis. Tel est le cas d'Aldrovande, intitulé : Infans manihus et pedibu
cas d'Aldrovande, intitulé : Infans manihus et pedibus anserinis. Ce cas -là est susceptible de guérison. Ainsi Dupuytren a
que les succès dont on me parlait pouvaient peut-être s'appliquer aux cas de rigidité musculaire; mais, lorsqu'ayant eu occ
a conviction qu'il employait indistinctement sa méthode dans tous les cas , je prévis le sort qu'auraient ces tentatives tém
sion. Cette manière de voir se trouve parfaitement confirmée par un cas de monopodie incomplète, qui a été présenté par M
complète, qui a été présenté par M. Lenoir à la même Société. Dans ce cas , les deux fémurs, les deux jambes, les deux pieds
rimante aura agi avec plus ou moins d'intensité. Ainsi, dans quelques cas , la cause comprimante bornera son action à produi
plet et s'arrêter à une période plus ou moins avancée. Ainsi, dans le cas de M. Lenoir, les membres inférieurs n'avaient su
mbes : les deux pieds étaient parfaitement distincts. Dans le premier cas , on a vu les pieds soudés par le tarse et le méta
encore à une compression extérieure que je crois devoir rapporter les cas de cyclopie dont on trouve, pl. 6, deux exemples
qui m'a été enlevé avant que j'en aie pu faire la dissection. Dansce cas ,la cyclopie se trouve réduite à sa plus simple ex
nt observé et presque toujours sur des animaux. Meckel a rapproché du cas qu'il a observé sur un veau la description suivan
olume normal ne trahit nullement sa double origine : tels étaient les cas représentés pl. 6. 5e variété. L'œil est incomp
onotie. 3e gewre. Cyclopes astomes. — Dans le plus grand nombre des cas de cyclopie, les mâchoires et plus particulièreme
sence plus ou moins complète des fosses nasales; mais il est d'autres cas de cyclopie dans lesquels l'atrophie porte non-se
CONFORMATION. — SYRÉNIE. (planches vi, xle livraison.) Je dois le cas de syrénie qui fait le sujet de la planche vi, à
r naturelle (fig. 2"). Cet appendice que j'ai déjà noté dans un autre cas de syrénie ( voyez planches v et vi, xxxme livrai
èce de foyer, formé par du pus presque liquide. Réflexions. Dans le cas précédent, les granulations étaient enflammées au
enflammées aussi bien que les conduits excréteurs; mais dans d'autres cas , le tissu delà glande parotide est respecté et l'
ptions près, son apparition est de très mauvais augure. On compte les cas dans lesquels les malades af- XXXIXe LIVRAISON.
ervé de guérison d'entérite folliculeuse avec parotides, que dans les cas rares où les parotides sont survenues à une époqu
sont survenues à une époque peu avancée de la maladie; tandis que les cas où les parotides ont été l'avant-cou-rcur d'une f
oreillons épidémiques terminés par suppuration. Je n'ai observé qu'un cas dans lequel ces oreillons aient eu une conséquenc
tif de donner issue au pus, et comme laissant moins de traces dans le cas de guérison, et surtout comme seul propre à lever
ranglement me paraît jouer un rôle des plus im-portans. Dans tous les cas de parotides suppurées que j'ai observés, il y av
purée sans lésion organique antérieure. Je croyais avoir affaire à un cas de parotide suppurée idiopathique chez la vieille
de particulier, qu'elles sont limitées à la glande, et dans quelques cas , aux ganglions lymphatiques correspondans. Voici
ge thyroïde. Réflexions.11 y a donc eu hémiplégie du larynx dans ce cas , mais par quelle cause cette hémiplégie a-t-elle
amincissement de la sclérotique. Les figures 3 et 3! représentent un cas de bosselure avec amincissement et demi-transpare
que, occupant les deux extrémités du diamètre transverse de l'œil. Ce cas m'a été donné, en 1829, par M. le docteur Mirambe
ts, relativement plus faibles, ont cédé. Toujours est-il que, dans ce cas et dans plusieurs autres analogues, il n'existait
il ne m'a d'ailleurs présenté rien de remarquable. Je crois que les cas de bosselure avec amincissement de la sclérotique
phthalmie partielle avec amincissement de la sclérotique^).Il est des cas dans lesquels ces bosselures occupent la région p
ransparente. La demi-transparence qu'acquiert la sclérotique, dans ce cas , n'est pas une conséquence nécessaire de son amin
Je n'ai point assez d'élé-niens pour résoudre cette question quant au cas actuel. Toujours est-il qu'il paraît démontré qu'
Duméril ,par M. Cassan, suppléera aux détails qui me manquent pour le cas que j'ai fait représenter. (1) M. de C, chevali
viens de rapporter delà dispositionanatomique de l'œsophage, dans le cas précédent, s'applique parfaitement au cas représe
ique de l'œsophage, dans le cas précédent, s'applique parfaitement au cas représenté planche 6, et les détails cliniques qu
t suppléer à ceux qui me manquent à cet égard. Dans l'un et l'autre cas , était-ce un vice de conformation, était-ce un ré
e coloration rouge de la muqueuse et un noyau d'induration. Dans le cas que j'ai fait représenter, comme dans le cas de M
d'induration. Dans le cas que j'ai fait représenter, comme dans le cas de M. Cassan, il n'y avait aucune lésion organiqu
lésion organique, aucune trace de travail morbide ; tel est encore le cas observé par Baillie (Anatomie pathologique) et qu
uvre en quelque sorte une nouvelle voie à la thérapeutique; que si un cas pareil à celui décrit par M. Cassan ou à celui re
uellement le diamètre , trouve donc son application dans une foule de cas . On objectera l'insuccès de Boyer (Journal de Cor
agienne à une femme affectée de rétrécissement de l'œsophage. Dans ce cas , la sonde était aussi fortement pressée à la fin
nservation de la malade pendant cinq mois ; enfin peut-être en pareil cas conviendrait-il d'employer des sondes dont le dia
re portion m'a paru prédisposée aux ulcérations chroniques. Dans le cas représenté figure i et i\ l'ulcère était cicatris
ce; qu'ils sont irréguliers, comme déchiquetés, et même dans quelques cas , que ces bords sont libres et séparés des parties
ritif exagéré fixé sur des points isolés de cette membrane. Dans le cas actuel, cette bride naissait par une base large,
fait représenter un bel exemple de polype de l'intestin grêle dans un cas d'invagination, et il ne serait pas impossible qu
isinage du pylore, qui pénétrait par cet orifice dans le duodénum. Ce cas a été recueilli dans le service de M. Husson ; il
e sang qui peuvent être considérées comme un obturateur utile dans le cas d'hémorrhagie de l'estomac. L'acide gastrique doi
ies gastriques sans vomissement amener des selles sanglantes. Dans le cas représenté xxxie livraison, pl. i, fig. i, aucun
aît la couleur de suie dans les matières vomies. Mais dans combien de cas le cancer de l'estomac n'est-il pas exempt de vom
ac n'est-il pas exempt de vomissemens noirs, et dans combien d'autres cas , les vomissemens noirs n'ont-ils pas lieu en l'ab
'intégrité des fonctions digestives avant et après le vomissement. Le cas le plus remarquable que j'aie vu de vomissement n
Ne serait-il pas possible toutefois que, même dans un grand nombre de cas de vomissemens noirs idiopa-thiques, il existât d
et plus communes à la fin de l'intestin grêle. Billard (i) décrit un cas de ce genre qu'il observa chez un jeune enfant ;
ge d'une inflammation. Mais pourquoi cette entérite a-t-elle, dans ce cas , influencé les ganglions plus qu'elle ne fait ord
muqueuses parfaitement saines. Sans doute, dans un certain nombre de cas , l'altération de la muqueuse a pu se dissiper, ta
stes remplis d'une matière semblable à du mastic de vitrier, dans des cas où la muqueuse intestinale correspondante était d
anglions axillaires constituaient des tumeurs monstrueuses. Dans le cas actuel, à quelle altération rapporter les engorge
breuse. Du reste, la tunique musculeuse présente, comme dans tous les cas d'hypertrophie, des lignes alternativement rouges
et l'estomac représenté fig. i, xxvne liv., c'est que dans le premier cas , toute l'épaisseur de l'estomac avait subi la dég
à l'orifice pylorique, soit à l'orifice cardiaque. Que si, dans le cas dont il s'agit, on révoquait en doute le caractèr
représenté xxxvne livraison , planche i, est non moins évidemment un cas de grossesse péritonéale primitive. Dans le cas d
n moins évidemment un cas de grossesse péritonéale primitive. Dans le cas de grossesse péritonéale primitive, le fœtus n'es
qui contractent des adhérences avec les viscères abdominaux. Dans le cas de grossesse péritonéale consécutive, le fœtus es
vité, et être resté adhérent à l'ovaire ou à la trompe, comme dans le cas représenté planche vi, xxxvi6 livraison. Avant
le cas représenté planche vi, xxxvi6 livraison. Avant de décrire le cas figuré planche i, xxxvne livraison, je vais rappo
e corps du fœtus, qui n'est pas pelotonné sur lui-même, comme dans le cas où. il est contenu dans l'étroite enceinte formée
s lignes et se confond ensuite avec la tumeur. Réflexions. Voilà un cas de conception tubaire avec rupture de l'œuf sans
r que l'utérus avait subi un grand développement, comme dans tous les cas de grossesse extra-utérine, mais que sa cavité n'
ane qui eût quelque rapport avec la membrane caduque. J'ai observé un cas tout-à-fait semblable chez une femme qui mourut d
fourni le sujet de la planche i, xxxvne livraison, est évidemment un cas de grossesse péritonéale primitive. Il a été prés
ement appliquées au corps des os qu'à l'état normal. Réflexions. Ce cas doit être placé à côté de celui du fœtus encroûté
-sept ans, morte quarante-sept ans après une grossesse extra-utérine, cas que j'ai rapporté en détail dans la xvme livraiso
fectait dans la cavité abdominale (i). Je rappellerai ici que dans un cas de grossesse extra-utérine ovarienne, au terme de
épinière sont les seuls organes qui ne se conservent jamais en pareil cas : ils se convertissent toujours en une matière gr
c la vessie chez l'homme, doivent céder; cependant j'ai noté, dans un cas de chute du rectum chez une femme adulte, que le
anchée, avec les fibres circulaires de l'intestin rectum : j'ai vu un cas dans lequel le sphincter avait subi un commenceme
on du péritoine, point de réflexion qui me paraît fondamental dans ce cas , j'ai fait le sacrifice de cette figure, que je t
rhoïdales, lesquelles malheureusement n'ont pas été examinées dans ce cas . Sous le point de vue clinique, ce fait constat
ient eux-mêmes dans la partie inférieure de l'intestin; c'est dans ce cas qu'il existerait une rigole circulaire plus ou mo
t par le colon ascendant renversé. Il suit de là qu'il y a, dans ce cas comme dans toutes les invaginations, trois cylind
tous les jours dans les hernies; mais il serait possible que, dans le cas actuel, elle eût été le résultat de la déchirure
l'intestin grêle invaginé ne saurait franchir, en sorte que, dans le cas d'invagination de la fin de l'intestin grêle, cet
oins quant aux hernies congéniales de l'abdomen, sont tout-à-fait des cas exceptionnels, des cas morbides, qui doivent être
congéniales de l'abdomen, sont tout-à-fait des cas exceptionnels, des cas morbides, qui doivent être placés dans la même ca
eau de la hernie ombilicale de l'adulte; mais comme il n'a observé ce cas que deux fois dans le cours de sa longue pratique
ne dilatation notable de l'anneau : or je puis affirmer que, dans les cas nombreux de ce genre qui se sont offerts à mon ob
portée au-delà de son extensibilité naturelle. Je n'ai jamais vu de cas deventration sous-ombilicale plus remarquable que
e depuis le nombril jusqu'au cartilage xyphoïde. Dans ces « sortes de cas , il m'est arrivé plusieurs fois de toucher dans l
devant du ventre, depuis le cartilage xyphoïde jusqu'au pubis; en ce cas , les muscles droits qui se « trouvent l'un à droi
faire la part respective de l'éventration et de la hernie. Tel est le cas suivant que j'ai observé à l'Hôtel-Dieu en mars i
unir les intestins entre eux et au sac. Dupuytren pensa que, dans un cas semblable, il convenait d'inciser les parois abdo
péritonite avec une hernie étranglée. Explication des figures. Le cas de hernie ombilicale représenté planches v etvi,
utôt juxta-ombilicales doubles, ne sont pas sans exemple; en voici un cas qui me fut communiqué dans le temps par Dupuytren
raphie chez les animaux, j'ai été surpris de voir que, dans plusieurs cas , les anses intestinales mises à découvert n'avaie
ellulaire séreux ou une membrane séreuse rudimèntaire. C'est dans des cas semblables qu'on a pu prendre pour la surface lis
emps sur les deux anneaux (1). Je ne sais toutefois si, dans d'autres cas de hernie inguinale double, on a noté, d'un côté,
ntra. Du reste , aucun accident du côté de l'abdomen. Dans tous les cas , il fallait ouvrir. Je fais une ponction au centr
permet de distinguer le foie et les intestins. De même que dans le cas représenté fig. 1, l'insertion du cordon ombilica
e temps une rupture delà poche transparente qui les protège (voyez le cas représenté vii^ livraison), et que cette rupture
on, est tacitement ou explicitement adopté par tout le monde. Dans le cas représenté fig. i, une inflammation s'établit dan
s circonvolutions étaient libres d'adhérence entre elles. En pareil cas , il n'y aurait pas à hésiter sur la conduite a te
de suture. Je réprouverais au contraire les points de suture dans le cas d'intégrité de la poche herniaire. Reste mainte
elle doit être aussi, comme elle l'est en effet, celle « qui, dans le cas d'exomphale, se trouve le plus souvent comprise d
ns quant aux hernies congéniales de « l'abdomen, sont tout-à-fait des cas exceptionnels, des cas morbides qui doivent être
ngéniales de « l'abdomen, sont tout-à-fait des cas exceptionnels, des cas morbides qui doivent être placés « dans la même c
t pas démontrée d'une manière positive ; qu'il est un grand nombre de cas où l'on ne rencontre nullement « cette dispositio
l'on ne rencontre nullement « cette disposition ; que, dans d'autres cas , il n'y avait qu'une anse intestinale dans l'épai
qu'une anse intestinale dans l'épaisseur du cordon ombilical; que les cas « dans lesquels elle a été observée peuvent être
esquels elle a été observée peuvent être considérés , sinon comme des cas morbides, au moins comme des cas dans lesquels «
nt être considérés , sinon comme des cas morbides, au moins comme des cas dans lesquels « le développement de la paroi anté
ination de la partie inférieure de l'intestin grêle, de même, dans le cas actuel, le duodénum a limité l'invagination de la
s-muqueux. Une chose bien remarquable, et qui n'est peut-être qu'un cas exceptionnel, c'est que le cylindre moyen F avait
rquoi l'intestin invaginé continue à se nourrir, et pourquoi, dans le cas de séparation spontanée par gangrène et d'expulsi
saisir le mécanisme de la séparation de l'anse intestinale, dans les cas assez nombreux d'élimination de cette anse. L'esp
attaché Un débris du cylindre moyen. Il est à remarquer que, dans ce cas , le procédé employé par la nature pour le rétabli
testinale romprait la digue. ïl suit de ce qui précède que, dans le cas de séparation spontanée d'une anse intestinale, c
e. La portion manquante appartenait au jéjunum et à l'iléon. » Deux cas de guérison non moins authentiques se trouvent co
les conclusions principales de ce travail : i° Sur ces trente-cinq cas , la portion d'intestin évacuée appartenait vingt-
et quarante : le plus souvent elle a été d'un mois. 4° Sur dix-neuf cas qui ont eu une terminaison funeste, la mort a par
ur quinze ouvertures de cadavres, il est dit tout simplement, dans un cas , qu'il y avait continuité dans les membranes inte
uoique la cicatrice adhérât fortement au péritoine. Dans un troisième cas , le tube intestinal était très rétréci, et laissa
es résultats. Considérations générales sur les invaginations. Les cas d'invagination intestinale comprennent : (A) ceux
et cette circonstance peut bien être tenue en ligne de compte dans un cas où la contraction péri-staltique de l'intestin es
l'intestin est plus ou moins entravée. Il est évident que, dans ce cas , le procédé de Dupuytren pour les anus contre nat
ême « probable qu'elles s'établissent momentanément dans une foule de cas inaperçus de la part « de l'individu tant en sant
idement fixé à la place qu'il occupe, a limité le déplacement dans le cas représenté xxii6 livr., pl. iv, v, vi ; la valvul
l. iv, v, vi ; la valvule iléo-cœcale a limité le déplacement dans le cas représenté xxie livr. xxi,pl. vi. Cependant, on c
cavité du cœcum, qu'elle remplissait presqu'en entier. — On cite des cas dans lesquels la fin de l'intestin grêle invaginé
, à tel point qu'il est bien difficile, dans le plus grand nombre des cas , de déterminer d'une manière précise l'époque où
gnostiquer ou plutôt soupçonner l'existence d'une invagination. Les cas d'invagination terminés par la guérison sont ceux
ien aux inconvéniens généralement reconnus du mercure coulant dans le cas d'invagination, on conçoit que ces injections à l
athiques du cerveau si fréquentes, que je n'avais pas hésité, dans le cas actuel, à avancer que nous ne trouverions rien da
t qu'il y avait à la Salpêtrière, dans la division des Incurables, un cas tout-à-fait semblable. Je fus curieux de m'assure
-muqueux. M. Andral rapporte, dans son Anatomie pathologique, un seul cas de tumeur adipeuse du volume d'une fève occupant
ntestin grêle ne s'observent XXXe LIVRAISON. 1 jamais que dans le cas de tubercules pulmonaires. J'en ai rencontré dans
que dans le cas de tubercules pulmonaires. J'en ai rencontré dans des cas où il n'existait aucun signe actuel ni aucun vest
les isolés ou agminés? Oui, sans doute, dans le plus grand nombre des cas ; mais des faits positifs me paraissent établir qu
muqueuse ; plusieurs faits m'autorisent à admettre que, dans quelques cas , elle envahit primitivement les villosités elles-
es, qui se trouvent alors coupées à pic et comme ébarbées. Dans les cas où les follicules sont primitivement envahis, tan
t beaucoup plus rare. i° Le rétrécissement ne s'observe que dans le cas d'ulcère circonférentiel : lorsque cet ulcère se
ar les purgatifs. Il y a de quoi frémir quand on voit dans combien de cas l'ulcération de l'intestin arrive jusqu'à la memb
chement et ses conséquences; cependant il arrive souvent que, dans le cas d'adhérences, le travail d'ulcération franchit le
tin grêle, mais encore entre l'intestin grêle et le gros intestin. Un cas fort remarquable de ce dernier genre de communica
toutefois, des exceptions à cet égard : ainsi dans un grand nombre de cas , j'ai rencontré dans l'estomac et dans le gros in
tait pas toujours bornée aux plaques, elle s'étendait, dans plusieurs cas , à unecer-« taine distance, en sorte que les tach
in; ils sont ombiliqués et noirs à leur centre. Ce n'est que dans des cas de cette espèce que j'ai pu bien voir les follicu
même, et quelquefois le tissu ellulaire sous-péritonéal.Dans quelques cas de péritonite chronique ,1e périto ine tout entie
qu'il est rare de rencontrer les poumons non tachetés. Dans certains cas , la matière noire ardoisée est si abondante dans
kyste à parois ardoisées ou d'un noir d'encre. Enfin, dans d'autres cas , ce sont des tubercules noirs qui sont comme le v
la présence du pus dans les veines, et je suis convaincu que, dans le cas actuel, c'était bien dans les vaisseaux lymphatiq
tes ces maladies puerpérales. Ici, comme dans un très grand nombre de cas ,l'inflam- mation n'est qu'un effet: nos moyens
hlogistique n'est vraiment efficace dans les phlegmasies que dans les cas où la cause morbide s'est épuisée,pour ainsi dire
uille lorsqu'on l'a conduit à l'hôpital. Instruit par l'expérience de cas analogues, je diagnostiquai sans hésiter une enté
Peyer n'ont rien de constant, rien de régulier, et que, dans quelques cas , les plaques parfois si considérables, qui occupe
eudo-membraneuses. Les figures 1 et 2, planche 3, représentent deux cas d'inflammation pseudo-membraneuse de la muqueuse
flammation pseudo-membraneuse de l'intestin grêle m'a offert, dans le cas représenté fig. 1 ,tous les symptômes de l'entéri
fig. 1 ,tous les symptômes de l'entérite folliculeuse, et c'est à des cas de ce genre que j'ai fait allusion, lorsque, dans
l'inflammation des follicules. J'ai noté cette coïncidence dans le cas suivant, dont je ne puis présenter que la descrip
sentaient une ouverture béante. Mais, dans le plus grand nombre des cas , l'entérite pseudo-membraneuse existe indépendamm
raneuse existe indépendamment de l'entérite folliculeuse : tel est le cas suivant, qui a fourni le sujet de la fig. 1, pl.
est assez fréquente dans les petites-véroles graves, et dans quelques cas je l'ai vue occuper toute la longueur du canal al
nte rarement dans nos climats sous une forme aussi grave que dans les cas précédens; ce n'est guère que dans les cas où ell
e aussi grave que dans les cas précédens; ce n'est guère que dans les cas où elle se développe sous l'influence d'une cause
tres au rectum et à l'S iliaque, au colon ascendant, et que, dans les cas les plus graves elle envahit la totalité du gros
a cependant quelques exceptions à cet égard. Ainsi, j'ai rencontré un cas de dysenterie apyrétique extrêmement grave, sous
sion aussi superficielle en apparence, si l'on considère que, dans le cas dont il s'agit, cette lésion surprend l'économie
ation affecte diverses formes, présente plusieurs degrés. J'ai vu des cas dans lesquels toute la surface interne du gros in
euse est détruite par zones plus ou moins irrégulières. Dans quelques cas , j'ai vu des ulcères parfaitement cicatrisés ou e
rectum que des débris de cette membrane muqueuse, et même j'ai vu des cas dans lesquels il n'y avait pas vestige de membran
embrane muqueuse dans toute la hauteur du rectum. 8, C'est dans des cas de ce genre, c'est-à-dire dans le cas de destruct
du rectum. 8, C'est dans des cas de ce genre, c'est-à-dire dans le cas de destruction complète ou presque complète de la
i long-temps continué des mèches, avoir guéri un cancer du rectum-Les cas dans lesquels on a, pendant la vie et même à l'au
s selles ordinaires. 9. La dysenterie chronique peut, dans certains cas , guérir incomplètement, et présenter, à de longs
l'estomac, m'a paru nuisible, au moins dans le plus grand nombre des cas , dans les irritations du gros intestin. Le bouill
e donne des soins, depuis sept ans, à une jeune dame, qui est dans ce cas . Le lait seul est supporté par l'estomac ; le bou
l'opportunité de son emploi, et le moment de l'opportunité, en pareil cas , c'est l'invasion de la maladie. Je conçois toute
e spécifique dans la dysenterie , et qui l'a méritée dans beaucoup de cas . Mon âge et ma position m'ont mis en relation ave
galement employer avec succès, et j'ai moi-même employé dans quelques cas les purgatifs minoratifs : manne, huile de ricin
t à ce que le suc cancéreux qui remplit les mailles est concret. Ce cas est un de ceux dans lesquels l'extirpation complè
qui accélèrent de beaucoup le terme fatal. Il est vrai que, dans ce cas , comme d'ailleurs dans beaucoup de cas de cancer,
al. Il est vrai que, dans ce cas, comme d'ailleurs dans beaucoup de cas de cancer, il survient souvent des lésions viscér
é par les progrès toujours croissans de la maladie locale. Tel est le cas suivant, qui peut être considéré comme un type de
omplet semblent favoriser son invasion. Je l'ai vue survenir dans des cas où le sujet était encore sous l'influence d'une h
cancer est accessible à ce moyen de dilatation. Mais dans combien de cas n'est-il pas situé au-dessus delà portée du doigt
t la partie malade pour permettre d'établir le diagnostic. J'ai vu un cas dans lequel une dégénération dont le siège étant
en plus funestes que la présence de l'ulcération elle-même. Dans le cas de rétention des gaz et des matières fécales, il
sont accessibles aux moyens dilatateurs. C'est probablement dans des cas de cette espèce, et non dans des cas de cancer, q
urs. C'est probablement dans des cas de cette espèce, et non dans des cas de cancer, que Desault a obtenu de si grands succ
e en s'opposant mécaniquement au cours des matières fécales. Dans les cas de cette espèce, l'invasion subite des accidens p
suite d'ulcères circulaires simples chroniques; j'ai dit que, dans ce cas , la cicatrisation était quelquefois un écueil; ca
inférieure chroniquement enflammée du rectum a pu être faite dans des cas où il n'existait pas vestige de dégénération. L
ion: il serait difficile d'en trouver une mieux organisée que dans le cas qui nous occupe. Là se borna l'opération pour ce
gatif avec l'huile douce de ricin, qui devait être administré dans le cas où les autres moyens auraient échoué. Les symptôm
qu'on appelle hypertrophie de la rate me paraît n'être, dans bien des cas , que la conséquence d'une inflammation subaiguë,
tubercules cancéreux ou tumeurs cancéreuses de la rate, même dans le cas où l'infection était la plus générale. La rate
lus le défaut de vitalité, que leur forme, si régulière dans d'autres cas , ne prouve cette vitalité. On peut admettre que l
membranes soient extrêmement réfractaires à l'absorption, et dans ce cas , le caractère fibreux du kyste révélerait encore
e fibreux du kyste révélerait encore l'origine de la maladie. Dans le cas qui nous occupe, le kyste acéphalocyste delà rate
le diagnostic et dans le traitement des maladies. Dans beaucoup de cas , l'inflammation ne se borne pas au kyste, elle en
ssu cellulaire qui entoure le kyste et qui s'infiltre de pus. Dans un cas de kyste acéphalocyste du foie présenté à la Soci
e tous les caractères de l'hydropisie essentielle et active. Dans les cas où je l'ai observée, cette hydropisie était la su
lammatoire ou éliminatoire qui s'était établi dans la tumeur. Dans le cas représenté 3e livraison, pl. v, il y avait dans l
résentait un amincissement, indice d'une rupture imminente. Dans un cas d'hydropisie ascite, lu à la Société anatomique p
ussi, malgré les détails dans lesquels je suis entré à l'occasion des cas figurés dans les planches 2 et 3 de la xne livrai
ns qu'on peut raisonnablement soupçonner leur existence dans tous les cas d'infection cancéreuse : ainsi j'ai rarement ouve
joue cet organe dansl'infection cancéreuse comme aussi dans tous les cas où le sang est le véhicule de principes hétérogèn
et la période de ramollissement. Sans doute, dans un grand nombre de cas , les tumeurs cancéreuses originairement dures, pe
e d'un travail nutritif morbide extrêmement actif : et c'est dans ces cas qu'on rencontre des masses cancéreuses tellement
use au centre de ces masses dégénérées; 3° mais c'est surtout dans le cas si fréquent d'épanchemens sanguins au sein de ces
quelles les masses cancéreuses sont développées. Dans l'un et l'autre cas , il y a infection du sang. Masses encèphaldides
d'une exhalation sanguine. C'est en effet ce que j'ai observé dans un cas de cancer dur, hépatique, avec ictère vert. L'abd
ons consécutives, leur marche tantôt lente, tantôt rapide; dans quels cas les cancers du foie restent à l'état latent penda
plus ou moins long, et quelquefois jusqu'à la mort; dans quels autres cas ils se manifestent par des symptômes graves dès l
cun symptôme pathognomonique, propre aux cancers du foie, et,dans les cas assez rares,il est vrai,où le foie cancéreux rest
des fonctions, soit qu'il en résulte l'épuisement des forces. Dans ce cas , le cancer se comporte comme une maladie purement
nfection générale de l'économie. Enfin, dans une troisième série de cas , le cancer débute dans un point circonscrit de l'
parition jusqu'au développement complet. Du reste, ici comme dans les cas analogues, la plus grande partie des tubercules e
laques superficielles analogues à des taches de cire. Dans ce dernier cas , la plèvre ou plus exactement le tissu cellulaire
t sur le foie que sur les poumons ; et, dans le plus grand nombre des cas , lorsque les poumons sont affectés, il est bien m
manifeste que l'altération du foie a précédé celle du poumon. Dans le cas actuel, l'antériorité de la grosse masse cancéreu
dont l'hydrothorax est un des symptômes les plus constans. Dans le cas suivant, les poumons seuls ont été le siège de l'
ts isolés, mais dans une assez grande épaisseur; enfin, dans d'autres cas , elle s'empare de la totalité de l'organe, qui to
s à l'aide de quels moyens? L'infection cancéreuse a porté, dans ce cas , presque exclusivement sur les poumons; le foie c
c'est par les poumons que débute l'infection, pourquoi, dans d'autres cas , c'est par le foie. Du reste, l'identité d'aspect
on sont, en général, les seuls qui en révèlent l'existence. Dans le cas suivant, les poumons étaient sains, c'était le fo
les articulations métacarpo-phalangiennes. Je n'ai jamais vu dans ce cas les concrétions d'urate et de | ' chaux, qui me p
ultent du plissement antéro-postérieur du diaphragme. Dans quelques cas , le corset étant fortement serré dans sa partie i
ésicule elle-même disparaît, si bien qu'on a pu croire, dans quelques cas de cette espèce, à l'absence congèniale de cette
l en résulte une dilatation considérable de la vésicule comme dans le cas représenté fig. i, i, 3. Le liquide contenu est l
et le pus est évacué par l'une ou l'autre de ces voies. Dans quelques cas , les adhérences n'ayant pas eu lieu, ou bien le t
communication de la vésicule du fiel avec le duodénum. Dans un de ces cas , cette vésicule était pleine de gaz, et sa compre
t devenus la cause d'un étranglement interne mortel. Dans l'un de ces cas , la malade avait éprouvé, à plusieurs reprises et
ation organique ou vitale que par éraillement. J'ai observé plusieurs cas de perforation de la vésicule, qui m'ont présenté
foration ou éraillement du péritoine dans un point éloigné. Dans le cas où la vésicule est encore en communication avec l
arois une compression qui suffira pour obturer les vaisseaux. Dans le cas , au contraire, où cette hémorrhagie viendrait des
es. Je ne blâme nullement cette méthode ; je crois même que , dans le cas actuel, elle peut avoir eu quelques avantages : j
ous ces foyers. Réflexions. Le fait qu'on vient de lire est le seul cas d'hépatite suraiguë idiopathique avec autopsie, q
souvent aucune sensibilité. Je dois dire cependant que, dans quelques cas , la pression exercée en arrière, le long de la de
, le long du rebord cartilagineux de la base du thorax. Dans quelques cas aussi, c'est en promenant le doigt avec pression
s proéminens par phlegmasie ? Piien de plus facile. Dans ce dernier cas , la partie du foie proéminente est sphéroïdale, t
rtie du foie proéminente est sphéroïdale, tandis que, dans le premier cas , elle est amincie, aplatie, déprimée. L'histoir
epuis le canal cholédoque jusqu'aux derniers radicules. Dans d'autres cas , cette rétention entraîne non-seulement la rétent
ès circonscrits qui simulent les abcès, suite d'une phlébite. Dans le cas actuel, l'inflammation, le racornissement de la v
élaniques de la peau qui ont si utilement servi au diagnostic dans le cas présent, étaient-ils antérieurs aux tubercules mé
veloppemens plus ou moins consistans du corps thyroïde. Dans certains cas , la difficulté du diagnostic d'un kyste du corps
tide primitive, a été pris pour un anévrisme de cette artère. Dans le cas suivant, je crus non à un goitre latéral, mais à
toute pression de la partdu bord postérieur de ce cartilage. Dans le cas qui précédera perte de substance occupait toute l
su cellulaire extérieur au pharynx. Dans les trois ou quatre autres cas que j'ai observés, la perte de substance n'avait
, d'une autre part, dans le pharynx. J'ai vu, dans un grand nombre de cas , la suppuration limitée autour et aux dépens de l
l'articulation aryténo-cricoïdienne, et il est probable que, dans ce cas , il y a eu maladie de l'articulation. Les figur
z les cancéreuses de la Salpêtrière, et plus particulièrement dans le cas de cancer mammaire. Ces plaques cireuses échappen
leur siège ? Il a certainement lieu dans la plèvre, et, dans quelques cas , ces plaques sont tellement superficielles, qu'on
ères dont cette membrane forme le tégument séreux. Je possède même un cas fort curieux de cancer de la plèvre qui donna lie
difficile à déterminer. C'est probablement ce qui est arrivé dans le cas consigné par Maloët dans les Mémoires de VAcadémi
, et parmi ces observations, plusieurs me paraissent appartenir à des cas d'empyème circonscrit communiquant à l'extérieur
perte de substance des muscles intercostaux : au reste, aucun de ces cas de hernie du poumon n'ayant été confirmé par l'au
ions peuvent être soutenues. On conçoit, en effet, que, dans quelques cas de hernie du poumon, malgré le défaut de laxité d
n ou de fluctuation ne permettra aucune espèce d'erreur. Tel était le cas rapporté par Foubert (2) : lorsque le malade expi
signes à l'aide desquels on peut diagnostiquer la pneumocèle. Dans un cas fort remarquable observé par M. Mercier, la tumeu
on forcée produit de vives douleurs dans la tumeur, laquelle, dans ce cas , est probablement comprimée par le rapprochement
cères abdominaux de s'insinuer dans l'ouverture. On voit que, dans le cas ci-dessus, l'épiploon occupait le sac herniaire;
est une prédisposition funeste aux pneumonies latentes, qui, dans ce cas , arrivent avec une extrême rapidité à leur termin
t, si ces moyens échouent en général, je dois dire que, dans quelques cas , ils ont paru opérer, chez des malades qui parais
expectoration caractéristique complète le diagnostic: encore, dans le cas de pleuro-pneumonie, est-il difficile de détermin
t indirect avec les considérations qui précèdent : il a pour objet un cas de pneumonie subaiguë latente, qui avait envahi l
compte de cette séparation , si l'on considère qu'elle a lieu dans le cas où une inflammation aiguë s'empare du tissu pulmo
rincipales. Il est bien remarquable qu'on observe constamment dans ce cas l'inflammation de l'artère pulmonaire et non l'in
ale, comme chez les animaux dont on a ouvert la plèvre; mais, dans ce cas , il y aurait pneumothorax, tandis que , chez notr
te caverne cicatrisée CP, CP occupant le lobe supérieur du poumon. Ce cas est remarquable par les brides extrêmement multip
, le corps humain est conduit à la mort; dans un très grand nombre de cas , ils appartiennent à cette anatomie pathologique
nnec. Les parois de la poche sont quelquefois très lisses. Tel est le cas suivant. Sur un sujet qui n'avait présenté, pen
x circonstances bien distinctes : i° après l'accouchement; i° dans le cas de cancer utérin. i° Phlébite traumatique puerp
u moins aigu, avec lequel elle a souvent été confondue. Dans tous les cas , on reconnaît, à l'aide de l'exploration, une cor
férieure, soit à la veine fémorale. Ge n'est donc que dans quelques cas exceptionnels, qu'on peut admettre que la phlébit
spect sur l'emploi des émissions sanguines locales. Eh bien ! dans ce cas , on voit, sous l'influence d'onctions avec le lin
tière cancéreuse dans les veines. La phlébite, au contraire, dans les cas ordinaires, a pour but de prévenir cette circulat
ésive qu'est due la rareté de l'infection cancéreuse générale dans le cas de cancer utérin. Supposons un instant que la bar
la planche 4, peut servir de type pour la phlébite observée dans les cas de cancer utérin, comme d'ailleurs pour toutes le
es la plus voisine de l'embouchure du vaisseau. Réflexions__Dans le cas représenté planche iv, l'inflammation était limit
es veines pelviennes. ( Voy. mon Anatomie descriptive , tome m.) Ce cas est un bel exemple de suppuration circoncrite, en
ne comme dans un réseau et pénétraient dans son épaisseur. Dans aucun cas de phlébite, je n'ai trouvé la membrane interne d
uge, c'est par teinture comme la membrane interne des artères dans le cas d'artérite. La structure de la membrane interne d
oindri et à être enfin complètement résorbé. Il m'a paru dans quelque cas que la circulation se rétablissait au centre du c
érêt sous le rapport de la circulation. On conçoit que dans le second cas , le rétablissement complet est, sinon impossible,
s variqueuses (phlébolithes qui étaient bien plus multipliées dans le cas représenté pl. 3 et 4? xxme livraison) montre l'a
ore si le membre transformé était le siège d'une paralysie. Dans le cas représenté xxmc livraison, toutes les tumeurs var
ine étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Ce cas offre un exemple des diverses espèces de varices
rtain volume, sont presque toujours remplies de sang coagulé. Dans le cas représenté planche 5 , figure i, le sang était ré
ion, et finit même par être absorbé complètement. Ainsi dans certains cas , on rencontre des caillots sanguins tout-à-fait d
mais encore les parois vasculaires elles-mêmes. Mais, dans d'autres cas , la phlébite étant plus intense, l'adhérence est
plète. Comment expliquer le défaut d'infiltration des membres dans un cas où toutes les veines principales de ce membre éta
nt avec un état fongueux des gencives, lesquelles sont, dans d'autres cas , parfaitement intactes. Cet état s'accompagne rar
ntale et de l'application de quelques résolutifs; mais, dans d'autres cas , les douleurs sont tellement vives, la résolution
nes soulagent constamment et gtiérissent presque toujours. Dans les cas malheureux, l'autopsie démontre, i° un épanchemen
uleur jaunâtre , et les choses se passèrent exactement comme dans les cas de contusion. Au moment où. la malade guérie alla
érale de l'aorte ne paraît avoir eu aucune part à la gangrène dans un cas présenté à la Société anatomique par M. Cazalis.
tendue de l'oblitération dans la gangrène par artérite; ainsi dans un cas présenté à la Société anatomique par M. Maisonneu
rt de l'étendue de l'oblitération des grosses artères : ainsi dans le cas cité plus haut, la fin de l'aorte, les deux artèr
rène était limitée à quelques orteils d'un seul membre. Dans d'autres cas , on trouve les grosses et moyennes artères parfai
s anciens, qui avaient parfaitement vu la coagulation du sang dans le cas de gangrène sénile, mais qui la regardaient comme
ne. Haller lui-même,qui a, je crois, le premier remarqué que, dans le cas de gangrène sénile,les amputations pratiquées bie
teinture; que cette coloration par teinture ne s'observe que dans le cas où l'artérite étant ancienne, la matière colorant
siter l'emploi de l'opium que Potta, le premier, mis en usage dans un cas où il sauva son malade; l'amputation n'est d'aucu
t au sang et en infectait toute la masse; il est probable que dans ce cas surviendraient, comme dans les phlébites, tous ie
à une erreur de diagnostic auquel elle peut donner lieu dans quelques cas , au moins momentanément; il arrive en effet quelq
écède de plusieurs jours les signes physiques de la gangrène. Dans un cas de ce genre, je crus pendant vingt-quatre heures
des nerfs ou du centre céphalo-rachidien, en ce que, dans le premier cas , la paralysie du sentiment et du mouvement est au
ement dite, excepté dans une très petite étendue de la fémorale. Ce cas -là pourrait donc être rapporté.aux cas de gangrèn
e étendue de la fémorale. Ce cas-là pourrait donc être rapporté.aux cas de gangrène par ossification des petites artères.
'ailleurs libres dans presque toute leur longueur. Réflexions. — Ce cas présente un exemple de gangrène survenue chez une
artérielle, delà paralysie par suspension d'action nerveuse : dans un cas , qui m'a été communiqué par M. le docteur Montaul
elui de cadavérisation me paraît plus convenable. J'ai admiré dans ce cas la rapidité extrême de la dessiccation des partie
ai lu un bien plus grand nombre, eh bien! je n'ai pas rencontré deux cas dans lesquels le siège et l'étendue de l'oblitéra
'hypertrophie, preuve bien évidente que si, dans un certain nombre de cas , l'altération des artères est sous la dépendance
s la dépendance de l'hypertrophie du ventricule gauche, dans d'autres cas cette altération en est tout-à-fait indépendante.
artère n'était pas malade. Je n'ai jamais été plus frappé que dans ce cas de l'exactitude avec laquelle sont remplies les b
de la circulation par des voies collatérales. La fig. 2 présente un cas danévrysme sphéroidal de l'artère vertébrale droi
ce évidente d'un épanchement sanguin correspondant. Réflexions. —Ce cas offre un exemple de diathèse anévrysmale de l'aor
en doute cette influence , il est difficile de dire pourquoi dans tel cas , portées à leur summum de développement, ces alté
ne sont accompagnées d'aucune dilatation, tandis que, dans tel autre cas , elles produisent un anévrysme. Dans les anévry
que la pièce qui l'occupe diffère en plusieurs points essentiels des cas qui ont été décrits et représentés par Scarpa; et
quefois de la partie la plus ample de cette ampoule. J'ai vu, dans un cas de cette espèce, l'origine du tronc brachio-cépha
de collet rudimentaire, se voyait à l'orifice du vaisseau. Dans un cas présenté à la Société anatomique par le jeune Tho
était plissée, ridée, épaissie et comme plaquée de cartilage. Dans ce cas d'anévrysme hémipériphérique, on ne saurait révoq
e sera pas sans intérêt de rapprocher cette description de celle d'un cas analogue, que j'ai observé il y a plusieurs année
i bien que le poumon était affaissé contre le médiastin comme dans le cas d'hydrothorax. La source du sang était dans un an
rachidien,soit de la protubérance annulaire.On conçoit que, dans des cas de cette espèce, s'il est possible de diagnostiqu
que sorte la région du ioie. Quelques personnes avaient porté de ce cas un diagnostic différent : c'était, suivant elles,
icatoires volans sur l'un des points affectés; car on a vu, dans le cas précédent, les douleurs intercostales, bien évide
amortissent le choc du sang contre ses parois. Le diagnostic, dans le cas qui fait le sujet de ces réflexions, était aussi
it le sujet de ces réflexions, était aussi facile qu'il l'est dans le cas où la tumeur apparaît au dehors, soit à travers l
res fois il occupe toute la circonférence de l'artère ; dans d'autres cas , la tumeur n'appuie que sur un point très circons
sure de la colonne vertébrale est rarement aussi profonde que dans le cas actuel. Deux vertèbres avaient été usées dans tou
e et recevoir d'une manière plus immédiate le choc du sang. Dans le cas suivant^ la paraplégie a été le premier phénomène
crampes dans les jambes, surtout dans la jambe droite ; dans d'autres cas , ces crampes sont accompagnées tantôt de mouvemen
s dans lesquelles se trouve le tissu pulmonaire, dans l'un et l'autre cas , peut rendre compte de celte ciiffé rence d effet
s altération des parois. es figures 3 et 3' présentent un très beau cas de rétrécissement par froncement de l'artère aort
nt été observés un assez grand nombre de fois. Meckel a consigné deux cas de ce genre dans les Mémoires de VAcadémie royale
Graham, deGlascow, a publié (Méd. chir., transac., tom. v, p. 287) un cas dans lequel l'aorte était complètement oblitérée
ivantes : i° Sur l'uniformité du siège du froncement, dans tous les cas de ce genre qui ont été observés. C'est toujours
rsque cette poche est le siège d'un travail morbide, de même, dans le cas actuel, une partie du caillot était détachée de l
qui tient surtout à l'absence d'une poche ou kyste anévrysmal dans le cas actuel, et à sa présence dans les autres cas, me
kyste anévrysmal dans le cas actuel, et à sa présence dans les autres cas , me paraît tenir à l'étendue de l'altération, et
chronique; (et cette inflammation me paraît, dans un grand nombre de cas , reconnaître pour cause un défaut de proportion e
ou bien progressivement usée du dedans au dehors : dans ce dernier cas , la poche anévrysmale se fortifie par l'applicati
vir de digue et s'opposer à l'accroissement de la tumeur. J'ai vu des cas dans lesquels le cœur n'était pas sensiblement dé
pendant la vie la moindre altération du côté du cœur. Dans d'autres cas , la partie transformée se dilate en poche surajou
voisines peuvent empêcher ou retarder cette rupture, et que, dans ces cas seulement, l'anévrysme partiel du ventricule gauc
léer autant que possible par des considérations générales déduites de cas analogues. L'altération morbide que je viens de
latation et d'hypertrophie du cœur(y \ cherche à établir que, dans le cas d'anévrysme avec adhérence du cœur, l'anévrysme e
Voici comment M. Beau a été conduit à cette opinion : Ayant observé 5 cas de coïncidence d'adhésion du péricarde et de dila
es dans les auteurs, et le résultat de ces recherches fut que, sur 43 cas d'adhérence du péricarde au cœur, la dilatation d
les 5 faits qu'il avait observés par lui-même, on a un chiffre de 40 cas de dilatation sur 48 faits observés : encore dans
ormation du vide. L'hypertrophie du cœur, qui a lieu dans beaucoup de cas en même temps que la dilatation, tient aux effort
braneuses sans épanchement, de telle sorte qu'il faudrait réduire les cas où l'adhésion du péricarde a pour résultat une di
ù l'adhésion du péricarde a pour résultat une dilatation du cœur, aux cas où cette adhésion est consécutive à un épanchemen
e au diaphragme pourrait être prise en considération sérieuse dans le cas d'adhérence du péricarde au cœur, et expliquer mi
e les dilatations avec adhérence; comment donc déterminer si, dans le cas de dilatation avec adhérence, la dilatation est e
e 297. Je conclus de ce qui précède, que lorsque je rencontrerai un cas de coïncidence de dilatation générale du cœur et
s lesquels je vais entrer, suppléeront à ceux qui me manquent pour le cas représenté planche vi. Dilatation avec hypertro
hie du cœur et un épanchement dans le péricarde. Dans l'un et l'autre cas , il existe un rétrécissement léger à l'orifice a
une dilatation avec hypertrophie , d'autant plus que j'ai observé des cas de ce genre dans lesquels il y avait une matité,
honie des mouvemens et une ondulation aussi considérables que dans le cas que j'avais sous les yeux. Voici d'ailleurs les
ttention à tous les points de côté; car si, dans un certain nombre de cas , la phlegmasie glutineuse négligée ne dépasse pa
use négligée ne dépasse pas les limites de l'adhésion ; dans d'autres cas , elle s'élève au degré de l'inflammation avec épa
été plus long-temps abandonnée à elle-même. En admettant que, dans le cas actuel, il y ait eu péricardite, rien ne nous ind
sale, lui sont substituées avec grand avantage. J'ai hésité dans le cas qui fait le sujet de ces réflexions, entre une di
flexions, entre une dilatation du cœur el une hydropéricarde. Dans le cas suivant, qui nous offrira un exemple bien remarqu
onostic. La suffocation paraît imminente, et cependant, fondé sur des cas analogues que l'hospice de la Salpêtrière m'a fou
lternera avec un électuaire qui m'a rendu de grands services dans des cas analogues, et dont voici la formule : if. miel bl
ent dans le péricarde. Cependant il y a cette différence que, dans le cas actuel, je percevais le bruit du cœur sous l'aiss
ymptomatique des maladies du cœur. Mais si, dans un certain nombre de cas , la gêne delà respiration, et par conséquent cell
affectés de maladies du cœur; le moindre catarrhe peut avoir, dans ce cas , les conséquences les plus graves. (1) On a dû
tte cause est quelquefois accessible à nos moyens d'action. Dans le cas suivant, l'œdème du poumon a été bien évidemment
vomitif, moyen principal de guérison dans l'œdème pulmonaire; dans un cas pareil, je n'hésiterais pas à administrer deux ou
nce des foyers apoplectiques dans l'épaisseur du cœur. Dans plusieurs cas de rupture du cœur, j'ai pu m'assurer de l'existe
au voisinage de la perforation. J'eus même à soutenir, dans un de ces cas , une discussion contre un médecin qui pensait que
rupture du cœur avec hémorrhagie mortelle. Il est rare que, dans les cas de rupture spontanée du cœur, on ne trouve pas da
su du cœur médiocrement comprimé s'écrase entre les doigts. Dans le cas suivant de mort subite par rupture du cœur, la fr
su fibreux et de tissu musculaire. il est bien évident que, dans ce cas , l'anévrysme partiel du cœur est un anévrysme par
ar déchirure ou anévrysme faux. Mais il s'en faut bien que tous les cas d'anévrysmes partiels du cœur soient des cas d'an
n faut bien que tous les cas d'anévrysmes partiels du cœur soient des cas d'anévrysmes vrais ou par dilatation; d'où il rés
subdivisé en vrai ou par dilatation et en faux ou par déchirure. Le cas représenté fig. i est un exemple dianévtysme part
as représenté fig. i est un exemple dianévtysme partiel vrai. Dans ce cas , en effet, la poche fibreuse est constituée par
e siège d'un anévrysme partiel par dilatation. Je viens d'observer un cas dans lequel la poche fibreuse est formée aux dépe
elles-mêmes ne sont pas exemptes de dilatation partielle. Tel est le cas suivant, présenté à la Société anatomique par M.
me à la partie inférieure des jambes derrière les malléoles. (i) Ce cas est celui qui est consigné dans un des Bulletins
ce dans les cellules pulmonaires, d'où engouement, asphyxie. Tous les cas d'attaques d'asthme mortelles que j'ai eu occasio
hiques. XXIIe LIVRAISON. 2 l'asthme avec œdème du poumon; dans un cas , je l'ai vue amener directement la mort en jetant
ablement distendu et d'une couleur violacée, absolument comme dans le cas représenté Pl. 2, xxe livraison. Le péricarde c
vraison. Ici la graisse est encore plus abondante que dans ce dernier cas , et forme une couche plus épaisse, qui s'étend en
ris entre le cœur et son enveloppe : on a dit n'avoir trouvé, dans un cas de rupture du cœur, qu'un caillot peu considérabl
persuadé qu'on pourrait, à l'aide de la percussion, diagnostiquer un cas de rupture du cœur. Quantité de sang contenue d
eurs superficiels eussent pris une péricardite héoiorrhagique pour un cas de rupture du cœur; erreur qui, d'ailleurs, ne sa
ure du cœur; erreur qui, d'ailleurs, ne saurait être invoquée pour le cas de Hufeland; car il est dit que le ventricule gau
peine la main exercée du plus habile anatomiste a-t-elle rencontré un cas semblable. On cite un cas de perforation du ventr
lus habile anatomiste a-t-elle rencontré un cas semblable. On cite un cas de perforation du ventricule droit. Je suis loin
compte, et dont l'application ne paraît pas avoir été faite aux deux cas mentionnés : c'est l'obliquité possible de la per
ieu au voisinage de la pointe du ventricule. C'est ainsi que, dans le cas suivant, un examen superficiel m'aurait fait adme
amen plus attentif me fit bientôt comprendre que j'avais affaire à un cas de rupture de la portion péricardique de l'aorte
le était double dans le fait représenté planche 4,xxxe livraison : un cas exceptionnel serait celui de M. Andral, qui a pré
. Quelle est la cause de la rupture du cœur? Y a-t-il dans tous les cas de ruptures du cœur une altération préexistante a
ssu de cet organe? Morgagni qui, dans sa iye lettre, a recueilli huit cas de ruptures spontanées du cœur, dont deux lui son
sidérée comme favorisant la rupture du cœur. Cr, il résulte de huit cas de ruptures du cœur que j'ai eu occasion d'observ
ration ne tenait nullement à l'infiltration de la graisse ; dans deux cas , la couleur du tissu du cœur était jaune de bois.
es causes occasionnelles. J'ai vainement cherché dans ces différens cas , la mollesse, la décoloration, l'infiltration de
cause de rupture de cet organe. La rupture du cœur peut dans d'autres cas être la conséquence d'une apoplexie du cœur, c'es
lissandre. XXXe LIVRAISON. '2 Il est possible que , dons quelques cas , cette infiltration du sang dans l'épaisseur des
: est-ce à un foyer sanguin ouvert au dedans qu'il faut rapporter un cas de poche sanguine occupant la base du ventricule
e que l'ané-vrisme latéral ou partiel du cœur commençât dans quelques cas par un foyer sanguin contenu dans l'épaisseur des
sanguin contenu dans l'épaisseur des parois de cet organe. Dans le cas où le foyer sanguin s'ouvrirait dans le péricarde
des parois de cet organe. C'est à cette ulcération que je rapporte un cas de perforation de la cloison ventriculaire, que j
n chimique éprouvée par la concrétion sanguine elle-même, et, dans ce cas , l'altération peut avoir eu lieu pendant la vie,
et je ne sache pas qu'ils aient été rencontrés une seule fois dans ce cas . Le pus a donc été produit dans le lieu même où
issus vi-vans, avec la poche anévrysmale qui, dans un grand nombre de cas , sécrète un pus plus ou moins cohérent, et même q
n'avait annoncé leur présence : il est bien remarquable que dans les cas fort nombreux de phlébites, que j'ai eu occasion
la pression des parois de ces poches en faisait suinter du sang. Ce cas (disais-je dans la note qui suit cette descriptio
les ont recueillis, et il est probable qu'il en était ainsi dans les cas où les accidens de dyspnée et de lésion de circul
Bouillaud ( Traité des maladies du cœur), ou voit que, dans plusieurs cas , il y avait en même temps persistance du trou de
, il y avait en même temps persistance du trou de Botal; que, dans un cas rapporté par M. Louis, il y avait communication e
d'un trou situé à l'origine de l'artère pulmonaire; que dans d'autres cas , comme dans celui que j'ai rapporté, la lésion ét
de cet orifice présente quelques variétés importantes : ainsi dans le cas observé par Bertin, dans celui de M. Burnet [Jour
ût indiquer des vestiges de sa séparation en leurs valvules Dans le cas de M. Burnet, «l'orifice pulmonaire, de trois à q
médecin distingué à Nantes, a présenté à la société anatomique (1) un cas de rétrécissement de l'orifice de l'artère pulmon
chasser dans l'artère pulmonaire le sang qu'il a reçu : dans tous les cas observés, le ventricule droit égalait au moins, s
Les colonnes charnues avaient participé à cette hypertrophie. Dans le cas de Morgagni, ventriculus sinister forma erat quâ
XXVIIIe LIVRAISON. 14 parietibus tamen crassioribus. Dans tous les cas obscurs, il y avait hypertrophie sans dilatation
seconde phalange du pouce, suivant l'expression de l'auteur. Dans le cas de Bertin, la cavité aurait pu contenir un œuf de
auraient une hypertrophie concentrique du ventricule gauche. Dans le cas actuel, le ventricule droit se trouvant dans les
épaissit et même quelquefois devient cartilagineuse, osseuse. Dans le cas représenté fig. i et i' la valvule tricuspide épa
valvule tricuspide épaissie représentait la valvule mitrale. Dans le cas de M. Burnet, cette valvule épaissie présentait à
présentait à son bord libre quelques duretés cartilagineuses; dans le cas de M. Louis, la valvule tricuspide jaunâtre, épai
ommunication des deux oreillettes, et par suite la cyanose. Dans le cas présenté à la société anatomique par M. Philouze
ar suite de l'obstacle que présente son orifice comme l'aorte dans le cas d'ossification des valvules sygmoïdes aortiques.
se membrane de la membrane interne du cœur qu'une seule fois, dans un cas communiqué par M. Chomel :elle était limitée aux
ventriculaire gauche est en grande partie faite par l'étude des trois cas représentés. J'ajouterai que les rétrécissemens d
trale , étaient notablement épaissis. Réflexions. — Je pense que le cas indiqué par Laennec et M. Fizeau sous le titre de
ractions énergiques qui résultent de l'obstacle : aussi dans tous les cas de rétrécissement aurieulo-ventriculaire gauche q
nt pleinement ces prévisions de la théorie; et en effet dans tous les cas que j'ai eu occasion d'observer, la maladie, parv
quement; face violacée : froid des extrémités, et même, dans quelques cas , algidité, cyanose générale; œdème des membres in
récissement de l'orifice auriculo-ventriculaire gauche. Dans tous les cas de rétrécissement auriculo-ventriculaire que j'ai
nfection générale. Je crois devoir lui rapporter un certain nombre de cas de cachexies cancéreuses, Ainsi, pour en citer un
citer un exemple, on sait qu'il est assez rare de rencontrer, dans le cas de cancer utérin, des masses cancéreuses dans le
autour des petites végétations formées par ces tumeurs. J'ai vu un cas tout-à-fait semblable pour la veine jugulaire. Un
ent cylindrique très considérable dans l'intérieur de cette veine. Ce cas a été dans le temps présenté à la société anatomi
ation, pareille erreur se renouvelle et je me rappellerai toujours le cas d'un jeune homme que son précepteur gourmanda pen
ui constitue le moyen de l'adhérence. J'ai constamment trouvé dans ce cas les ganglions bronchiques tuberculeux, et dans un
trouvé dans ce cas les ganglions bronchiques tuberculeux, et dans un cas , en même temps que la péricardite tuberculeuse et
complète de tubercules pulmonaires; et je me suis demandé si, dans ce cas , une phthisie glanduleuse, tout-à-fait étrangère
le avait été respectée. La veine cave supérieure était dans le même cas que l'oreillette, c'est-à-dire que son tissu avai
l'épanchement dans le péricarde, les voussures soient, dans quelques cas ,beaucoup moins prononcées, attendu que le péricar
recrudescences d'inflammation, si bien qu'on rencontre, dans quelques cas , des vestiges de deux, trois, quatre inflammation
cuations sanguines, lesquelles ne deviendraient nuisibles que dans le cas où on les emploierait sans mesure et sans méthode
ont le principal moyen de traitement. J'ai dû me reprocher, dans ce cas , d'avoir fatigué les intestins par l'électuaire p
irement affectés. Je ferai remarquer que le foie était sain dans le cas représenté planche iv, xl€ livraison,et cependant
r ce développement du foie hypertrophié ou congestionné, que, dans un cas récent, plusieurs confrères m'ont présenté comme
t le cœur, et j'adopte pleinement l'idée que, dans un grand nombre de cas , le foie remplit, à l'égard du cœur, l'office d'u
ent pleurétique à gauche, et, comme j'ai vu , dans un grand nombre de cas , les épanchemens pleurétiques gauches simuler l'
i commençait à se ramasser en foyer. Au reste , tandis que , dans les cas d'épanchement pleural gauche,simulant une hydro-p
n modère son intensité , peut-être abrège-t-on sa durée dans quelques cas , peut-être encore circonscrit-on le cercle de ses
ésentaient parmi nous une autre époque, et dont la pratique, dans les cas ordinaires, était en quelque sorte l'expérience r
dose d'un gros. Relativement à la difficulté du diagnostic dans le cas de co-existence d'un épanchement pie u-ral gauche
e et occasioner la mort par asphyxie. Cet œdème était, dans plusieurs cas , le résultat d'une inflammation avec oblitération
des divisions principales l'artère pulmonaire ; mais , dans d'autres cas , l'œdème paraissait indépendant de toute oblitéra
, et il est probable que l'attention étant éveillée sur ce point, des cas analogues ne tarderont pas à être observés. On co
ès bien la surface d'un polype fibreux. Réflexions__Voilà encore un cas d'amaurose symptoma tique par compression indirec
e l'observation suivante, bien qu'ils soient plus graves que dans les cas précédens, n'ont aucun rapport avec la nature car
e nouvelle formation s'expliquerait par le même mécanisme que dans le cas représenté pl. 2, xxvie livr. Je reviens à la t
semens artificiels dans plusieurs observations , et nommément dans un cas , où, le coup de ciseau ayant sans doute frappé ob
e la queue de cheval, dans les figures i , i' et i", pl. i. Dans le cas de tumeurs sous-arachnoïdiennes, avec adhérence d
inaires est sans contredit une fracture de la colonne vertébrale. Les cas de paraplégie par fracture récente sont tellement
e mort plus ou moins rapide en est la conséquence ordinaire; mais les cas de paraplégie par fracture consolidée sont extrêm
cicatrisation et celui que nous avons observé dans un grand nombre de cas de ramollissement blanc du cerveau. Dans l'obse
ureuse. La douleur était bien plus vive et bien plus continue dans le cas suivant, parce que la moelle n'avait pas éprouvé
une méningite rachidienne commençante. J'annonçai toute la gravité du cas ; je dis que , selon toutes les apparences , la p
cipaux phénomènes : aussi me servit-elle de règle de conduite pour le cas suivant, que j'ai observé cette année à la Salpêt
ant le sommeil comme pendant la veille, la réveillent dans le premier cas et lui arrachent un cri dans le second. A cette p
tion rhumatismale limitée à la jambe, et il me semblait revoir un des cas de cette épidémie de 1828, dans lesquels la cause
sous le point de vue thérapeutique, l'efficacité des saignées dans un cas et des drastiques (gomme gutte) dans un autre, ne
ls sont les symptômes principaux qu'a présentés notre malade. Dans le cas qu'on vient de lire, il y avait induration sans a
e notable. L'atrophie existait en même temps que l'induration dans le cas suivant. Paraplégie presque complète par atroph
s aussi profondément altérés dans leur tissu. Réflexions. Encore un cas de lésion de moelle, coïncidant avec une altérati
ais où én est la preuve? Si l'atrophie est, dans un certain nombre de cas , la conséquence éloignée de l'inflammation, dans
mbre de cas, la conséquence éloignée de l'inflammation, dans d'autres cas , elle peut en être indépendante et survenir primi
nouvelles recherches à cet égard, en étudiant d'abord comme type des cas d'hémiplégie aussi complets que possible effort a
muscles, et puis elles finissent par tenir aux articulations. Dans le cas de paralysie incomplète, la rigidité joue un rôle
ntenterai d'une simple explication des figures. Plus heureux pour les cas représentés fig. 3 et 4 ? je pourrai donner sur e
t sains; la substance grise parfaitement saine. Réflexions. Dans le cas précédent, il y avait paralysie du sentiment et d
té sur le sentiment que sur le mouvement ; de même que, dans d'autres cas , nous avons vu la dégénération grise des cordons
plus le mouvement que le sentiment.Toujours est-il que, même dans ce cas , qu'on pourrait à la rigueur invoquer comme favor
dernière catégorie. J'ai eu occasion d'observer à la Salpétrière un cas de paraplégie douloureuse, produite par un kyste
es que j'ai pu diagnostiquer l'absence complète de paraplégie dans un cas où tout semblait l'indiquer. Une jeune femme, qui
porte seulement sur une moitié latérale de cette moelle. Tel est le cas que j'ai rapporté et figuré, xxve livraison, plan
a paraplégie par compression n'est accompagnée de douleur que dans le cas où la cause comprimante agit lentement, en irrita
expulsées. L'autopsie va nous prouver que ce sentiment était, dans ce cas , le résultat d'une pleurésie. Le 19, mars, dimi
membre d'un enfant de sept à huit ans. Il y a donc à-la-fois dans ce cas arrêt de développement et atrophie. Fig. 2. L
i peut être portée jusqu'à la crainte de la suffocation. Il est des cas de paraplégie dans lesquels il n'existe aucune se
e avaient seuls été respectés ; mais quel rapport existait-il dans le cas actuel entre la maladie de la prostate et la para
renseignemens cliniques qui me manquent pour les faits précédens. Les cas d'apoplexie de la protubérance ne sont pas fort r
suivant la direction transversale des fibres de la protubérance; ces cas -là ne sont pas mortels, et ce n'est que lors de l
l'extérieur et à l'intérieur tout à-la-fois. On conçoit que, dans le cas de déchirure de l'arachnoïde, le sang doit pénétr
. Godin, interne de la Salpêtrière. (2) Il est évident que, dans ce cas , il y avait déchirure de l'arachnoïde. xxie livra
paralysie à l'affaissement de l'aile du nez. Dans un grand nombre de cas , c'est le seul symptôme de paralysie qui survive
ints. Le reste de l'aorte présente çà et là des plaques calcaires. Ce cas d'anévrysme vrai partiel des artères me paraît de
usieurs nouveaux que j'ai recueillis à la Salpêtrière. Ainsi, dans un cas d'hémiphlégie complète du sentiment et du mouveme
é postérieure de la convexité de l'hémisphère opposé. Dans un autre cas d'hémiplégie du mouvement à droite avec impossibi
substance très petites au centre de l'hémisphère. Dans un troisième cas d'hémiplégie complète du mouvement, incomplète du
orps calleux au moment de la réflexion de son bord antérieur. Dans ce cas , comme dans les précédens, la multiplicité des lé
renait dans l'impossibilité d'articuler les sons. Dans un quatrième cas d'hémiplégie droite avec impossibilité d'articule
talité, et remplacé par une cicatrice très dense. Dans un cinquième cas d'hémiplégie faciale du côté gauche avec impossib
ion de l'utérus. L'événement justifia mes prévisions. Dans un autre cas , je croyais fermement à une apoplexie de la protu
ces deux sièges différens des tumeurs cérébrales, cependant, dans ce cas , il est probable que le développement de la tumeu
un renseignement sur le sujet de cette observation; mais, d'après des cas analogues, il est probable que son histoire est c
l'autopsie qu'on a reconnu Pexistence de ces tumeurs. Tel était le cas d'un individu dont M. le docteur Sestié a communi
ement avec l'absence de tout symptôme cérébral. Tel était encore le cas d'une jeune fille de 17 a 18 ans, qui mourut d'un
ire sous-arachnoïdien, était rouge, comme granuleuse. Dans d'autres cas , les tumeurs cérébrales ne révèlent leur présence
danger le plus imminent : à quoi tient en effet l'hémiplégie dans ce cas ? ce n'est point à la compression exercée par la t
rche d'une manière tout-à-fait indépendante, et guérir comme dans les cas ordinaires. Une circonstance qui peut aider au
souvent la substance grise, si bien que, dans un très grand nombre de cas , Faltération est exactement limitée par cette sub
bjacente étant parfaitement saine ; mais que, dans un grand nombre de cas , le ramollissement (et plus particulièrement le r
ie cérébrale avec foyer; 90 que, cependant, dans un certain nombre de cas , l'invasion des diverses espèces de ramollissemen
oses, parce qu'on l'a presque toujours confondue avec les deux autres cas . Cependant rien de plus facile à reconnaître ; ca
utres cas. Cependant rien de plus facile à reconnaître ; car, dans le cas de perte de la mémoire des choses, le malade est
ns, qui tient au défaut d'habitude, à la paresse des organes. Dans ce cas -là, l'exercice journalier peut amener de grands r
mollissemens. Il ne serait peut-être pas impossible de distinguer ces cas de ceux de démence, sans lésion organique corresp
s lésion organique correspondante. Des vestiges de paralysie, dans le cas de démence avec lésion organique, pourront en gén
son minimum, Y apoplexie capillaire à forme sablée. Réflexions. Ce cas établit l'analogie qui existe entre le travail pa
gie : ils succombent le plus souvent par le poumon. J'ai vu plusieurs cas d'apoplexie mortels en trois jours et même en tre
be inférieur de l'un ou de l'autre poumon, si bien que, dans certains cas , j'ai été conduit à admettre que l'invasion de la
progressive des symptômes de la paralysie; dans un certain nombre de cas , l'invasion des symptômes se faisait d'une manièr
,nous offre un exemple analogue, avec cette diffé. rence que, dans le cas représenté figure ire, xxe livraison, il n'existe
ie capillaire et l'inflammation des sinus: elle offrira, en outre, un cas de coïncidence de phlébite des veines iliaques et
, mais par une hémiplégie aussi subite, aussi instantanée que dans le cas de foyer apoplectique ordinaire, si bien que lors
. J'en ai rapporté ailleurs un assez grand nombre d'exemples. Dans le cas actuel, il pouvait être le résultat d'une irritat
itation muqueuse ou cutanée dérive-t-elle le cerveau; dans quel autre cas et dans quelles conditions une irritation muqueus
s la pratique, et qui ne sont pas encore résolues. Dans aucun autre cas d'apoplexie capillaire, la tuméfaction des circon
modes d'hémor-rhagie existent simultanément dans un certain nombre de cas ; que l'apoplexie capillaire n'est nullement la pr
rébrale, mais indurée, d'une couleur brun-marron clair, comme dans le cas où le cerveau a été le siège d'un foyer sanguin.
ce en laquelle étaient convertis les hémisphères cérébraux. Dans le cas précédent, le cervelet était intact, la protubéra
ères cérébraux: les parties centrales avaient été conservées; dans le cas représenté fig. 1 et 2% toute la masse encéphaliq
nerfs qui viennent du bulbe rachidien. Réflexions. I. S'il est des cas d'hydrocéphalie congéniale dans lesquels le crâne
achidien. Isthme de l'encéphale. xxxixe livraison. 1 II. Dans les cas de ce genre, l'hydrocéphalie et l'anencéphalie se
es variétés, moins certaines tumeurs fongueuses qui tiennent, dans le cas d'absence de la voûte crânienne, au retrait des m
vec épanchement séreux dans la cavité du crâne ; 3° enfin, il est des cas mixtes dans lesquels on rencontre à-la-fois l'atr
nfirmeront ce résultat de mes observations, savoir, que dans tous les cas de microcéphalie par épanchement, la mort a lieu
bles à leur direction transversale, qui était très prononcée. Dans ce cas , il y avait en même temps division congéniale de
verses parties comme ayant également des connexions entre elles. Ce cas diffère essentiellement du précédent, en ce qu'il
ensuite consignée dans sa dissertation inaugurale (2), nous offre un cas de microcéphalie par atrophie du cerveau avec enc
ations brunâtres, les indurations rencontrées dans un grand nombre de cas l'attestent d'une manière non équivoque. Il serai
ec microeéphalie, il y avait absence d'hydrorachis, et dans plusieurs cas j'ai constaté le défaut absolu de communication d
n, que j'ai le plus souvent rencontré les cysticerques. Dans d'autres cas , enfin, ces en-tozoaires sont contenus dans l'épa
ne se soit déjà propagée au cerveau et à ses membranes. Dans tous les cas , le traitement antiphlogistique me paraît seul in
gagni qui suppose que le pus trouvé dans la cavité crânienne, dans le cas d'otorrhée, se forme primitivement dans la caisse
la substance cérébrale ou dans l'arachnoïde extérieure. Dans tous les cas , il y a maladie irritative, inflammation. Saignée
t injectée au commencement du colon ascendant. Réflexions. Voilà un cas d'inflammation de la pulpe cérébrale terminé par
les mailles sans cohérence, presque entièrement vasculaires. Dans un cas , la trame de la tumeur était exactement semblable
de la dure-mère et la cause de tous les accidens: cependant, dans un cas , la tumeur de la dure-mère était entourée d'une c
s. Cette tumeur qui naissait de la surface orbitaire, comme dans le cas représenté fig. 1 et 1 était complètement logée d
ce de la Salpétrière, et j'ai eu occasion de voir un] grand nombre de cas de cicatrices d'apoplexies du cervelet, affectant
ue le foyer sanguin atteignait la séreuse ventriculaire.Dans tous les cas d'hémiplégie avec mouvemens spasmodiques que j'ai
à l'étendue, l'altération soit multiple. Il est probable que, dans le cas actuel, la destruction de toute cette portion du
euses des enveloppes de la rate hypertrophiée qu'il faut rapporter le cas suivant : Robert de Fludd disséqua le corps d'u
a production cornée peut dégénérer en cancer. Tel est entre autres le cas de Marie Chauchie (Journal de médecine, tom. xiv,
eau ont été quelquefois la cause de productions cornées. Tel est le cas de Jacques Delpieu qui, en se rasant, s'écorcha s
pillaire; mais que les papilles, au lieu d'être isolées comme dans le cas précédent, sont, groupées de telle manière que le
s tiennent à un vice purement local, il n'en est pas de même dans les cas où ces productions se manifestent à-la-fois sur u
de manière à donner à ces concrétions une forme pyramidale. Un des cas les plus curieux de productions cornées occupant
de l'âge du malade (70 ans), et de la terminaison funeste d'un autre cas dans lequel on avait vu de même se développer des
ites. Leur chute spontanée n'est pas rare : tel est entre autres le cas rapporté par Rivière (Obs. 6, pag. 348). Elle est
at la sécrétion d'un véritable pus au lieu de matière cornée; dans ce cas , tantôt la corne repullule lorsque sa matrice n'a
ut de la détruire, mais dans celui d'arrêter l'hémorrhagie : aussi ce cas doit-il être rangé dans la catégorie de ceux où l
r, pour se répandre ensuite dans toute l'économie (i),dans combien de cas ce développement par foyer n'a-t-il pas lieu? D
ôt par l'extré^ mité centrale : elle débute par la périphérie dans le cas de cécité par contusion de l'œil, par désorganisa
aphragmatique en particulier chez quelques phthisiques, et on cite un cas dans lequel le nerf, situé au milieu d'une masse
parition atrophique qu'à leur dégénération proprement dite. Dans le cas d'infection cancéreuse, lorsque tous les tissus i
développées dans l'épaisseur des nerfs médian et radial. J'ai vu un cas plus curieux encore que ceux qui les précèdent, c
phie de la prostrate ; il est probable que, dans un certain nombre de cas , on rencontrera l'hypertrophie des fibres muscula
ver dans la vessie; il convient d'ailleurs de ne dépasser, dans aucun cas , le trigone vesical; or, on atteindra ce but, on
érison permanente obtenue par l'emploi de la sonde à demeure dans des cas d'hypertrophie de la prostate. J'ai donné mes soi
it beaucoup plus considérable qu'elle n'a coutume de l'être en pareil cas . Ses parois étaient considérablement hypertroph
des de traitement de ces maladies : il faut savoir aussi que, dans ce cas , les calculs échappent souvent à la sonde explora
la moitié inférieure de la circonférence. J'ai pu constater, sur ce cas comme sur un grand nombre d'autres, que la prosta
t à cellules : aucune des cellules ne contenait de calculs. Dans le cas suivant, que je dois à l'obligeance de M. Michon,
n tuberculeuse, et c'est surtout sous ce point de vue que je crois le cas intéressant: rien de plus commun en effet que l'h
rien de plus rare que ses dégénérations: je suis encore à trouver un cas de cancer, de véritable cancer de la prostate.
queuse de la trachée et des bronches, en sont comme criblées. Dans un cas de ce genre, la vessie présentait les ecchymoses
n liquide dans le canal de l'urèthre. J'avouerai même que ce sont des cas de cette espèce qui m'ont permis de voir que la p
n'avais vu un aussi grand nombre de calculs prostatiques que dans le cas représenté lig. 3. Sur cette figure, la vessie a
uvent acquérir un si grand volume. Fig. 4s Phlébite rvésicale. Le cas de phlébite vésicale représenté fig. 4 m'a été do
Xe LIVRAISON, PLANCHES I ET II). PLANCHE I. La fig. i représente un cas d'hypertrophie de la vessie qui m'a paru pouvoir
ltat de la présence du pus dans le tissu du corps caverneux. Dans des cas analogues, nous avons trouvé des abcès multiples
Hypertrophie de la -vessie. .l'ai décrit dans la xxvie livraison le cas remarquable d'un abcès de la prostate qui se vida
éal formait une couche extrêmement épaisse. J'ai rencontré un autre cas de calculs urinaires engagés dans les follicules
icie, dont les parois étaient plissées sur elles-mêmes, comme dans le cas où un kyste volumineux , ayant été évacué, ses pa
sicale dégénérée. planche ii. Les figures 1 et 1' représentent un cas de dégénération tuberculeuse de la prostate; la d
ue constant de l'hémorrhagie cérébrale, manquait complètement dans le cas actuel, ou , si ce symptôme a existé, ce n'était
à la circulation de l'urine, qui peut, dans le plus grand nombre des cas , suinter librement entre la surface du calcul et
ssent sur une partie ou sur la totalité du rein. Ainsi, dans quelques cas de calculs rénaux siégeant dans le bassinet, j'ai
des urines. (Voyez fig. i, pl. ni, xxxvie livraison.) Dans d'autres cas de calculs siégeant dans le bassinet, on trouve l
es calculs dans le rein, je dirai : i° Que, dans un certain nombre de cas , ces calculs ne donnent aucun signe de leur prése
lculs ne donnent aucun signe de leur présence ; 2° Que, dans d'autres cas , ils gênent plus ou moins la circulation de l'uri
ent une cause de rétention plus ou moins complète; que c'est dans les cas de rétention complète que le rein acquiert des di
t se transforme en une poche multiloculaire ; 3° Que, dans d'autres cas , et quelquefois concurremment avec la rétention,
la vessie ou dans le canal de l'urèthre. Dans un certain nombre de cas , la distension porte exclusivement sur le bassine
s minces et transparentes, qu'il y a de cônes rénaux. Dans le premier cas , l'uretère manquait : il est probable que les deu
st probable que les deux uretères manquaient également dans le second cas . Lorsqu'il y a interception complète du cours de
cul, doivent avoir pour résultat l'évacuation du liquide : tel est le cas de cette malade de la Salpétrière, dont j'ai déjà
e dune grande quantité d'urine purulente. Dans un certain nombre de cas , l'obstacle au cours de l'urine ayant cessé d'exi
ui paraissent nécessiter la ponction : c'est ce qui a eu lieu pour le cas représenté Pl. iv, xxxvie livraison ; c'est ce qu
, xxxvie livraison ; c'est ce qui a eu lieu pour un certain nombre de cas , qui sont dans le domaine de la science. Dans l'o
se refusa à la ponction qu'il avait inutilement mise en usage dans un cas analogue. Voici le résumé de cette observation.
nsi que se sont établies les fistules rénales dans le petit nombre de cas où elles ont été observées. Je ne sais si la ponc
pour quelque chose dans l'abcès sous-diaphragmatique observé dans le cas suivant (i). Un malade présentait une tumeur fluc
r avec la présence du pus dans les veines se sont présentées dans des cas où l'autopsie n'a pas fait découvrir la moindre t
phlébites initiales, comme source d'infection du sang, dans tous les cas d'abcès viscéraux, suite de plaies ou d'opération
es phlébites? Pour mon compte, j'en ai trouvé plusieurs fois dans des cas où d'autres n'avaient pas été aussi heureux. Les
cellules remplies de sang non coagulé; que dans un certain nombre de cas j'ai trouvé le pus séparé du sang en circulation
r des changemens de densité, de couleur, d'épaisseur, mais dans aucun cas , dans aucune conditiou possible, qu'il soit dans
à la manière d'un corps étranger, inoffensif dans un grand nombre de cas , les preuves abondent,et je prie les personnes qu
ancer de la mamelle chez Vhomme. (Planche iv, xxive livraison.) Les cas de cancer mammaire sont aussi rares chez l'homme
seconde fois, j'ai vu un cancer à la Maison royale de santé. C'est le cas figuré pl. iv, xxive livraison. Enfin, tout réc
entre et tantôt la circonférence de la glande mammaire; dans tous les cas , leur circonscription parfaite, leur forme sphéro
siège d'une érosion. Ce qu'il faut bien constater, c'est que, dans ce cas , la plaie de la peau n'est pas un ulcère cancéreu
es entre elles , tantôt libres d'adhérences, et c'est dans ce dernier cas seulement qu'on pouvait renverser le lobule sur l
ndre; que ces tumeurs n'étaient pas de nature cancéreuse; que dans le cas où elles acquerraient un développement considérab
s où elles acquerraient un développement considérable ou bien dans le cas de dégénération on serait toujours à même d'en pr
rtement pressées les unes contre les autres, absolument comme dans le cas rapporté plus haut. Leur tissu était extrêmement
ite d'une portion de la glande mammaire elle-même, et qui conduit aux cas où la glande mammaire tout entière est transformé
nre ne sont pas assez rares pour qu'on doive les considérer comme des cas exceptionnels (1); ainsi, en compulsant mes notes
(1); ainsi, en compulsant mes notes, je viens de trouver deux autres cas de cancer mammaire, développé, l'un chez une femm
e tout-à-coup, sa (1) Dans les sciences naturelles, il n'y a pas de cas exceptionnels : les cas exceptionnels dérivent de
Dans les sciences naturelles, il n'y a pas de cas exceptionnels : les cas exceptionnels dérivent de lois tout aussi positiv
eprésenté pl. 3, sembleraient f indiquer. Mais je viens d'observer un cas qui établit que la forme encéphaloïde la plus aig
aine et déjetée du côté externe de la tumeur. En opposition avec ce cas de cancer aigu, avec surabondance de sucs observé
surface libre, tantôt du côté de la surface profonde de la peau. Ce cas est un type de cancer dur atrophique; les parties
d'autres, par des tubercules cutanés ; et que dans un grand nombre de cas la maladie reste limitée aux parties primitivemen
un hydrothorax, tantôt une pleurésie aiguë ou chronique. Cependant le cas représenté pl. 3, xxvne livr., établit que ces pl
lois que suit l'infection cancéreuse. — La pleurésie observée dans le cas précédent, s'explique par la présence des plaques
s membres inférieurs dans le cancer de l'utérus. Dans l'un et l'autre cas , l'œdème tient moins à la dégénération des glangl
médecin et pour la malade que l'œdème des membres supérieurs dans le cas de cancer mammaire. J'ai sous les yeux un cas dan
bres supérieurs dans le cas de cancer mammaire. J'ai sous les yeux un cas dans lequel le poids du membre est tellement inco
atre fois le volume et le poids du membre de l'autre coté. Dans les cas de ce genre, à l'autopsie, on trouve presque tout
passer dans le torrent de la circulation. Rien de plus commun dans ce cas que la phlébite suppurative circonscrite; rien de
hez un individu qui se trouve dans toute autre condition, et, dans ce cas , le cancer mammaire n'agit que comme cause prédis
érentiel. Du reste, on conçoit que la ponction dans l'un et l'autre cas ne devrait être employée qu'en désespoir de cause
itions analogues. Pourquoi, dans un nombre d'ailleurs assez limité de cas , le cancer porte ses ravages sur le système osseu
e , elle est encore douteuse dans le principe, au moins pour quelques cas particuliers. Le cancer tient-il toujours à une c
L'histoire de la maladie prouve en effet qu'ici, comme dans tous les cas du même ordre, les accidens cérébraux tenaient, n
ssu propre de l'utérus. La planche îv, xme livraison, a présenté un cas fort remarquable de tumeur fibreuse et de kyste u
ui donnait le volume qu'il présente au neuvième mois. Dans ces deux cas , le corps fibreux s'était développé au voisinage
sphéroïde représenté par le corps fibreux. Nous avons vu que, dans le cas représenté fig. 2, xiii6 livraison, des efforts d
sieurs reprises des hémorrhagies, dont la dernière fut mortelle. Le cas suivant nous fournira l'exemple d'un corps fibreu
qui consistent dans une hypertrophie du tissu de l'utérus, tel est le cas représenté planche vi, xie livraison; il en est d
u'à raison du volume énorme qu'ils acquièrent dans un grand nombre de cas , leur expulsion est physiquement impossible. Le
nombre de cas, leur expulsion est physiquement impossible. Le seul cas d'expulsion possible de corps fibreux volumineux
rculaire au voisinage du pédicule (incision qui, dans l'un et l'autre cas , devrait s'arrêter au corps fibreux); après quoi,
qui sert d'enveloppe aux corps fibreux, puisque, dans l'un et l'autre cas la surface des polypes est une surface muqueuse.
aires pour que l'inflammation adhésive puisse s'y manifester. Dans le cas qui nous occupe, l'adhérence du museau de tanche
s parois opposées du col, La rétention du mucus qu'on observe dans ce cas est accompagnée d'un développement proportionnel
dans lé paisseur de la tumeur : on dirait même quelquefois, dans ce cas , qu'ils ont été le siège d'une phlébite adhésive,
reux peut être portée au point de simuler la fluctuation : tel est le cas suivant, qui peut servir de type en ce genre :
, nous en a fourni deux exemples; mais il s'en faut bien que, dans ce cas , le corps fibreux soit toujours dans les mêmes ra
ductile et se prête à toutes les formes imaginables. J'ai vu, dans ce cas , des utérus considérablement allongés former une
toine, ce sont les fibres qui le séparent de cette membrane. Dans ces cas d'hypertrophie partielle de l'utérus, le reste de
hauteur ou en longueur, c'est toujours une hypertrophie. Il est un cas , cependant, où la présence des corps fibreux dans
ion de l'orifice de communication du corps avec le col, je citerai le cas suivant : On adressa à la Société anatomique, s
t. Le museau de tanche était effacé, ce qu'on observe souvent dans le cas de productions fibreuses de l'utérus : le pourtou
rines étaient complètement ossifiées. Je crois devoir considérer ce cas comme un exemple d'atrophie de l'utérus, bien que
nterne, la moitié interne de l'épaisseur de l'utérus. Dans le premier cas , elle s'accompagne d'un ramollissement sans augme
un suintement de mucosités sanguinolentes. Je n'ai jamais vu, dans ce cas , les pertes utérines devenir assez considérables
diat de la lésion; et c'est dans le but de le démontrer, même dans ce cas , que j'ai entrepris les dissections suivantes, do
elle envahit en masse les parties dégénérées. Dans l'un et l'autre cas , l'écoulement prend une horrible fétidité, le doi
qu'on serait tenté de regarder cette altération comme appartenant aux cas de gangrène primitive. Dans plusieurs cas, le car
ation comme appartenant aux cas de gangrène primitive. Dans plusieurs cas , le caractère cancéreux des ganglions lymphatique
entait la disposition papillaire vésiculaire qu'elle affecte dans les cas analogues. J'aurais hésité sur la question de sav
ié pylorique, aminci et dilaté dans sa moitié œsophagienne. Dans le cas qui précède, on voit que la gangrène s'est annonc
uls. Tous ces caractères se sont retrouvés au plus haut degré dans le cas suivant, qui offre un exemple curieux de gangrène
ement remarquable; il est possible que l'artérite ait exercé, dans ce cas , quelque inflLience sur la gangrène; mais dans co
e cas, quelque inflLience sur la gangrène; mais dans combien d'autres cas la gangrène est-elle indépendante de Fobturation
use. Je ne nie dissimule pas qu'on peut admettre que, dans tous ces cas , la désorganisation gangreneuse avait été précédé
nt l'une a pour sujet une fille de 11 ans, et dont l'autre fournit un cas de gangrène ayant envahi les couches les plus int
e envahit à-la-fois une grande épaisseur de parties : dans ce dernier cas , les accidens les plus graves, tels que décomposi
uls, froid des extrémités, se manifestent brusquement; dans le second cas , le dépérissement, le marasme surviennent d'une m
e cet organe : or, il résulte de la dissection attentive de plusieurs cas du même genre que c'est tantôt l'allongement et t
ssement qui domine dans les chutes de l'utérus. J'ai même vu quelques cas dans lesquels l'allongement était tel que, vu par
e, qui est assez fréquente, prouve bien évidemment que, dans certains cas au moins, le déplacement de l'utérus a son princi
peut en admettre une très grande, une énorme quantité; c'est dans ces cas que les tumeurs formées par les chutes de l'utéru
fice est ordinairement semi-lunaire à concavité postérieure : dans un cas soumis à mon observation, l'orifice, au lieu de p
versalement, le présente d'avant en arrière; il y avait donc, dans ce cas , une lèvre gauche et une lèvre droite; celle-là é
lorsque la malade est réglée. Enfin, il peut être oblitéré. Dans un cas de ce genre que jai sous les yeux, et qui avait s
rs le pubis; de là les calculs urinaires qui sont si fréquens dans ce cas . Ordinairement les calculs urinaires occupent la
t la portion de vessie déplacée : cependant j'ai vu tout récemment un cas dans lequel la portion de vessie déplacée en étai
ant en arrière. Cette pièce a été déposée au musée Dupuytren. Dans ce cas , la vessie proprement dite devait servir à bien p
volumineuse pierre, à la manière de la vésicule du fiel dans certains cas de calculs biliaires. MALADIE S DE L'UT E RUS
aison. explication des figures. Les fig. i et 2 représentent deux cas différens. La fig. i représente, de profil et vus
re pour débarrasser l'économie des matériaux surabondans. J'ai vu des cas dans lesquels les canaux biliaires étaient tellem
ie peut se passer pendant plusieurs mois d'excrétion biliaire dans le cas de rétention complète de la bile : alors tous les
tissu singulières, je suis obligé d'avoir recours, pour expliquer le cas actuel, à un vice de conformation congéniale. Il
ue son développement dans ses autres diamètres, et que, dans tous les cas , cette hypertrophie s'accompagne d'un ramollissem
ément le vingtième jour. L'enfant vécut neuf ans. — On cite encore un cas rapporté par Fabrice de Hilden, et qui a pour suj
les auteurs les plus graves, comme s'il était démontré que, dans ces cas , il y avait véritablement hernie de l'utérus, et
organes situés derrière elles. Et n'est-il pas probable que, dans les cas précédens, l'utérus était encore contenu dans la
éplacé puisse n'être pas un obstacle à la conception, et que, dans ce cas , l'utérus se développe hors de l'abdomen; mais il
qu'elle embrasse, avaient également franchi l'anneau. Dans un autre cas , que Lallemant a consigné dans les Bulletins de l
titue la cicatrice du foyer, d'où l'induration jaune. Voilà donc un cas de guérison d'abcès multiples du rein, et ce n'es
te à peine vestige de l'altération primitive. Dans un grand nombre de cas , c'est seulement par quelques débris de matière c
erminaison par gangrène peut se reconnaître au lit du malade. Dans le cas de gangrène par couches successives, une fièvre i
e, révèlent la présence de cette désorganisation progressive. Dans le cas de gangrène en masse, l'invasion subite des sympt
, le froid des extrémités, la décomposition de la face, comme dans le cas représenté pl. u, xxxvne livraison, annoncent d'u
'est donc pas positivement démontré; mais je crois pouvoir inférer de cas analogues qu'il est infiniment probable. Le siège
cancer, et si rare dans l'induration simple, que sa présence dans le cas actuel milite puissamment en faveur de la dégénér
t nulle dans les autres points de la circonférence du membre. Dans le cas , au contraire, où la phlébite occupe les division
ue la chance de non-récidive serait bien plus grande ici que dans les cas de cancer à la mamelle, qui se lie presque toujou
eule du museau de tanche, diagnostiquer un cancer de l'utérus dans le cas représenté fig. i. Comment, en effet, diagnosti
ueuse du corps et du col qui est primitivement envahie, comme dans le cas représenté figure x , pl. ni. Voici le résumé de
cancéreux et liquide qu'on exprimait comme d'une éponge. C'est un des cas qui m'ont le mieux appris que la distinction entr
anc, qui eut l'obligeance de me l'adresser; probablement parce que ce cas lui parut fort remarquable et douteux, quant à la
e des museaux de tanche un peu volumineux et ramollis, comme dans les cas de catarrhes utérins, de fluxions sanguines de l'
utérus, organe si éminemment fluxionnaire : or, dans plusieurs de ces cas , les malades ont succombé, et j'ai la conviction
e indiquée. Toute fluxion ramollit l'utérus, comme on le voit dans le cas de polype, de catarrhe utérin et même dans la gro
i. J'ai rencontré plusieurs fois cette altération des trompes dans le cas de péritonite tuberculeuse. Il est difficile de
ffection serait bien difficile à établir. Je ferai remarquer, dans ce cas , l'intégrité du péritoine, malgré la communicatio
eux valvules entièrement semblables aux valvules veineuses. Dans le cas précédent, les aréoles constituent la presque tot
t, les aréoles constituent la presque totalité de la tumeur : dans le cas suivant, que j'ai eu occasion d'étudier à la même
soupçonnai une inflammation du kyste, accident assez fréquent dans ce cas , et qui me fait redouter la ponction dans l'hydro
es de l'ovaire présentent un grand nombre de variétés; car il est des cas dans lesquels les cellules sont complètement isol
lle le résultat d'une pénétration des germes l'un par l'autre dans un cas de grossesse double. L'état embryonnaire du fœtus
clus et du fœtus porteur se révèle toujours par quelque coté. Dans le cas actuel, l'état de l'ovaire ne permet pas le moind
r ainsi dire flottant dans la cavité abdominale. Admettrait-on que ce cas est un cas de grossesse extra-utérine abdominale
e flottant dans la cavité abdominale. Admettrait-on que ce cas est un cas de grossesse extra-utérine abdominale primitive,
hénomène du même ordre que le développement de l'utérus dans tous les cas de grossesse extra-utérine? Mais autre chose est
névitable d'inflammation : c'est en effet ce que j'ai observé dans un cas mentionné ailleurs (i). Un fœtus à terme était co
eut y séjourner sans être isolé par un kyste. Il est vrai que dans le cas dont il s'agit, le fœtus était resté adhérent à P
utive : je ne sais ce qu'est devenue cette malade. 4° Dans d'autres cas , le produit delà conception meurt dans l'ovaire à
toujours le seul vestige de la présence antérieure d'un fœtus, et les cas les plus compliqués sont l'explication toute natu
et les cas les plus compliqués sont l'explication toute naturelle des cas les plus simples, des cas de kyste ovarique, dans
qués sont l'explication toute naturelle des cas les plus simples, des cas de kyste ovarique, dans lesquels on ne trouve que
Tl est pins que probable qu'ici, comme dans le plus grand nombre des cas , le déchirement de la poche herniaire a eu lieu p
Geoffroy Saint-Iiilaire, t. III, p. 8i ); cependant, à l'exception du cas d'agneau double bi-mâle, décrit et figuré tout ré
l. v et vi établit un mode d'adhésion bien différent, puisque dans ce cas les foies s'étaient réunis par leurs bords postér
eprésentée clans cette planche. Mon but principal a été de figurer un cas de tubercules cancéreux du péritoine coïncidant a
is aussi constater ce fait qui m'a paru constant, savoir que, dans le cas de dégénération, comme aussi dans le cas d'inflam
onstant, savoir que, dans le cas de dégénération, comme aussi dans le cas d'inflammation du péritoine, la portion du périto
cer primitif affecte le plus souvent cette forme, mais, dans d'autres cas , il se présente sous l'aspect d'une énorme végéta
circonstances, et qu'une méthode uniforme de traitement pour tous les cas d'ascite est un non-sens. Il faut le dire cepen
un champignon de la surface interne du péritoine, et conséquemment ce cas n'en appartient pas moins aux cancers du péritoin
lle souvent au sein de ces tumeurs; et je suis convaincu que, dans le cas actuel, le plus grand nombre des foyers avait été
Maladies des os. Fractures du col du fémur. Considérations générales. Cas de fracture extra-capsulaire du col du fémur , do
t des tubercules préexistans ne doit pas être repoussée dans tous les cas , mais seulement comme doctrine générale. 11e liv.
liquant les suites de l'accouchement. 13e liv., pl. i, n, ni, p. 2. — Cas d'accouchement aggravant un dévoiement cholérique
endant le travail est impossible à déterminer dans un grand nombre de cas ; moyens de la prévenir lorsqu'elle est mécanique;
ue et de l'anatomie pathologique. 37e liv., pl. v,p. 5. 1 ARACHNITIS. Cas d'arachnitis spinale. 3e liv., pl. \i,p. 9. — Ara
cette affection; analyse anatomique. 10e liv., pl. ni et iv, p. 2. — Cas de cancer aréolaire gélatiniforme du tiers pylori
iforme du tiers pylorique de l'estomac. 10e liv., pl. m etiv, p. 3. — Cas de cancer gélatiniforme du pylore et du quart dro
s parties contenues dans la cavité orbilaire. 39e liv., pl. v, p. 4-— Cas d'inflammations chroniques du rectum, pris pour d
RHE. Catarrhe pulmonaire chez un nouveau-né. 15« liv., pl. n, p. 6. — Cas de catarrhe pulmonaire. 17e liv., pl. iiï, p. 3.
e des effets produits par des causes en apparence identiques dans les cas de tumeurs cancéreuses du cerveau. 8e liv., pl. 1
de l'accouchement est impossible ù déterminer dans un grand nombre de cas ; moyens de la prévenir lorsqu'elle est mécanique;
es.Peut-on guérir les tubeiculesdu cerveau? 25e liv., pl. 11, p. 4- — Cas de ramollissement rouge amarante des circonvoluti
ent. Périodes du choléra moyen. Terminaison adynamique ou typhoïde. = Cas de choléra moyen, suivi d'une irritation gastro-i
verses du choléra asphyxique. Du choléra très grave non aspliyxiquc.= Cas de choléra asphyxique rapidement mortel ; point d
E. Ses causes. 11e liv., pl. iv, p. 2. — Phénomènes de chorée dans un cas de choléra très grave. 14e liv., pl. 1, n, m, iv,
llesse. 20'' liv., pl. n, p. 2.—A quoi lient la mort subite dans les • cas de rupture spontanée du cœur. 20eliv., pl. u,p. 2
erminante d'une production cornée. 24e liv., pl. m, p.7. EMPHYSÈME. Cas d'emphysème sous-muqueux. 14e liv., pl. i, ii,
ues des tumeurs encéphaloïdes du foie. 12e liv., pl. n et ni, p. 3. — Cas de tumeurs encéphaloïdes du foie. 12e liv., pl. 1
une entérite folliculeuse ancienne. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 23. — Cas d'enlérile chronique. 14e liv., pl. 1,11, m, iv,
latiniforme du cerveau. 8e liv., pl. 1, n, m, p. 6", 7, / /. ÉPINE. Cas d'arachnitis spinal. 3e liv., pl. vi, p. g.—Apopl
decelle affection ; analyse analomique. 10e liv., pl. m., iv , p. 2.— Cas de cancer aréolaire gélatiniforme du tiers pylori
iniforme du tiers pylorique de l'estomac. 10e liv., pl. m, iv, p. 3.— Cas de cancer gélatiniforme du pylore et du quart dro
v,vi, p. 2. — Delà p""foralion de l'estomac, suite d'ulcère simple. = Cas d'ulcère simple de l'orifice pylorique de l'estom
u testicule. 9e liv., pl. i, p. /. — Extirpation de l'utérus dans les cas de dégénérations cancéreuses. 16e liv., pl. v, p.
jour. Décollement du repli fibro-synovial. 26e liv., pl. ni, p. 4. — Cas de paraplégie par fracture consolidée de la colon
. , pi; v, p. 5. GASTRO-ENTÉRITE. 7« liv., pl. 1, n, m, iv, p. 1. - Cas de gastro-entérite consécutive à un dévoiement ch
a en vésicules hydatidiformes. lre liv., pl. 1,11, p. 3. GROSSESSE. Cas de grossesse double. 6e liv., pl. vi, p. 1.— Dans
GROSSESSE. Cas de grossesse double. 6e liv., pl. vi, p. 1.— Dans le cas d'hémorrhagie utérine survenue dans le cours de l
rmée par les membranes de l'œuf renversées. 37e liv., pl. 1, p. t.. — Cas de grossesse péritonéale primitive. Mort au bout
pl. 1, p. / .—Mécanisme de l'hématémèse. 10e liv., pl. v, vi, p. 2. — Cas d'héma-témèse guérie et d'hémathémèse mortelle. 1
— Hémorrhagie spontanée du cerveau. 5e liv., pl. vi, p. 4. — Dans le cas d'hé-morrhagie utérine survenue dans le cours de
v., pl. vi, p. /. — Procédé opératoire qui devrait être suivi dans le cas de hernie ovalaire étranglée. 15e liv., pl. vi, p
, pl. n, p. S,y. — Rarelé des hernies de l'utérus proprement dites. Cas de hernie crurale de l'utérus. Hernies prétendues
qui mourut douze heures après la naissance. 15e liv., pl. n, p. 2. — Cas d'hydro-lhorax. 23e liv., pl. v, p. 2. — Coïncide
plus spécialement a pour résultat l'idiotie. 8e liv., pl. vi, p. 3. — Cas d'idiolie. Demi-flexion permanente avec rigidité
nt dans la chute de l'utérus. 26e liv., pl. iv, p. 3. INCURABILITÉ. Cas d'incurabilité des pieds-bots. 2« liv., pl. iv, p
iv, v, p. 5. — Induration de la moelle. 32e liv., pl. i, n, p. 4 3. — Cas d'induration de la moelle avec atrophie. = Quelle
ection cancéreuse dans un âge peu avancé. 23e liv., pl. y, p. s, $. — Cas d'infeclion cancéreuse , porlé au plus haut degré
nt. Périodes du choléra moyen ; terminaison adynamique ou typhoïde. = Cas de choléra moyen suivi d'une irritation gastro-in
erses du choléra asphyxique : Du choléra très grave non asphyxique. = Cas de choléra asphyxique rapidement mortel ; point.d
rosion de l'épiglotte. Mort par suffocation. 5e liv., pl. 11, p. 5. — Cas de laryngite sous-muqueuse. 35e liv., pl. iv, p.
ALL (M). Son procédé pour obtenir le rétrécissement du vagin dans les cas de prolapsus utérin. 16e liv., pl. v,p. 4. MART
s suggérées par l'observation précédente. 32e liv., pl. t, ii, p. 3.— Cas de paraplégie par fracture consolidée de la colon
rtèbres cariées dans la cavité de la plèvre. 5e liv. , pl. v, p. 8. — Cas remarquable de spina bifida. 39e liv., pl. iv, p.
MONOPODIE. Caractère général de ce vice de conformation; ses degrés. Cas de mouopodie. 33e liv., pl. v, vi, p. / . — Eliol
s pressenlimens sur les causes de l'allongement de la moelle dans les cas de spina bifida. 16e liv., pl. iv, p. 3. — Son op
de l'accouchement est impossible à déterminer dans un grand nombre de cas ; moyens de la prévenir lorsqu'elle est mécanique
iv., pl. v, p. 2. o. OBLITÉRATION. Oblitération du vagin dans les cas de prolapsus ulérin. 16p liv., pl. v, p. 4-— L'ob
le pancréas. 19e liv., pl. m, iv, p. 2. PARALYSIE. Dans beaucoup de cas la paralysie n'est ni précédée ni accompagnée de
s suggérées par l'observation précédente. 32e liv., pl. 1, n, p. 3. — Cas de paraplégie par fracture consolidée de la colon
ormée par les membranes de l'œuf renversées. 37e liv., pl. 1, p. /. — Cas de grossesse peritoneale primitive. Mort au bout
t gravité delà péritonite puerpérale. 13e liv., pl. 1, 11, m, p. 2. — Cas de péritonite purulente. 13eliv., pl. 1,11, m,p.
ales qu'on suppose guéries par résolution. 36e liv., pl. i, ». /. — Cas de péritonite tuberculeuse. 38e liv., pl. v, p. 6
sultant dephlébite occasionée par une saignée. 16e liv., pl. m,p. 3,— Cas de phlébite. 2lcIiv., pl. vi, p. s.—Faits fondame
e sup-purative non circonscrite; nullité du traitement local dans ces cas . = Phlébite traumatique puerpérale. 27e liv., pl.
ppées dans un tissu érec-tile accidentel. 23e liv., pl. m, iv, p. a. — Cas de phlébolithe. 30e liv., pl." v, p. 3. PHLEGMO
s pieds-bots, et jusqu'à quelle époque on peut tenter la guéri-son. = Cas d'incurabililé des pieds-bols. 2e liv., pl. iv,p.
éfaut de développement et dessiccation du fœtus correspondant dans un cas de grossesse double. — Indépendance réciproque de
ce du pus dans cet ordre de vaisseaux. 13° liv., pl. 1, n, m, p. g. — Cas de présence du pus dans les vaisseaux lymphatique
cer aréolaire gélaliniforme pour le pylore. 10e liv., pl. m, iv,p. /.— Cas de cancer gélaliniforme du pylore et du quart dro
ent gélatini-forme du cerveau peut exister d'une manière chronique. = Cas de ramollissement gélaliniforme du cerveau. 8e li
s de ramollissement d'un ovaire. 13e liv., pl. 1,11, ni, p. /0, /2. — Cas de ramollissement aigu avec mélanose du poumon. 1
inaison des maladies organiques du cerveau. 23e liv., pl. vi, p. 3. — Cas de ramollissement rouge amarante du cerveau. 32e
.du pylore. 12e liv., pl. vi, p. 2. — Rétrécissement du vagin dans le cas de prolapsus utérin. 16e liv., pl. v, p. 4. — Rét
de ce vice de conformation ; ses degrés. 33e liv., pl. v, vi,p. /. — Cas de sirénie. 33e liv., pl. v, vi, p. / ; 40e liv.,
ina-bifida occipital et cervical antérieur. 19e liv., pl. v,vi, ». /.— Cas remarquables de spina-bifida. 39e liv., pl. iv, p
HE. Caractères anatomiques du squirrhe. 12e liv., pl. il, in, p. 3. — Cas de squirrhe. 12e liv., pl. n, ni, p- 8. STARK.
l. n, ni, p- 8. STARK. Mention d'une de ses figures représentant un cas d'entérite folliculeuse granuleuse. 7e liv., pl.
. SUPERFÉTATION. Superfélation sans grossesse extra-utérine dans un cas d'utérus bifide. 4e liv., pl. v, p. 4- — Cas de s
se extra-utérine dans un cas d'utérus bifide. 4e liv., pl. v, p. 4- — Cas de superfélation. 6e liv., pl. vi, p. f. SUPPUR
s des effets produits par des causes en apparence identiques dans des cas de tumeurs cancéreuses du cerveau. =La thérapeuti
miques des tumeurs encéphaloïdes du foie. 12e liv., pl. 11,111, p. 3.— Cas de tumeur encéphaloïde du foie. 12e liv., pl. 11,
lcère simple. 10e liv-, pl. v, vi, p. 4 ; 20eliv., pl. v, vi, p. i. — Cas d'ulcère simple de l'orifice pylorique de l'estom
liv., pl. iv, p. 2.—Rareté des hernies de l'utérus proprement dites; cas de hernie crurale de l'utérus ; hernie de l'utéru
,/)./5. — Sur l'oblitération et le rétrécissement du vagin dans les cas de prolapsus utérin. 16e liv., pl. v, p. 4. —Le d
te suppurative non circonscrite; nullité du traitement local dans ces cas . = Phlébite traumalique puerpérale. 27eliv., pl.
vagin et du museau de lauche. OEdème du membre inférieur. Phlébite. = Cas remarquable de veine-cave supplémentaire. 27e liv
al, des poumons, et un cancer du sacrum. 32' liv., pl. m, iv, p. /. — Cas de paraplégie par fracture consolidée de la colon
, pl. iv, p. 2. — Double canal de l'urètre. 39e liv., pl. 1, u,p. 4-— Cas de sirénie. 40" liv., pl. vi, p- 4 (voyez Conform
t des tubercules préexistans ne doit pas être repoussée dans tous les cas , mais seulement comme doctrine générale. 11e liv.
64 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
encore, M. le Dr Si- mon Texier rassemblait et commentait tous les cas connus dans sa thèse inaugurale'. Il nous sem
ne niera que ce soit une ma- \ ladie obscure. Abstraction faite des cas où elle relève , Defonllation pOEI'liculièl'e d
formes cliniques et établi une distinction fondamen- tale entre les cas de névralgie simple et les cas de névrite. Le n
distinction fondamen- tale entre les cas de névralgie simple et les cas de névrite. Le nouveau symptôme mis en évidence
fréquentes cependant. Mais elles sont sujettes avarier suivant les cas et parfois, dans le même cas, suivant l'époque
lles sont sujettes avarier suivant les cas et parfois, dans le même cas , suivant l'époque où on les recherche. De ce qu
g. 1. l iy. 2. DES SCOLIOSES DANS LES NEVRALGIES SCIATIQUES. 1) cas au contraire, où l'inclinaison rachidienne est pe
nelle au degré de la courbure rachidienne. C'est surtout dans les cas où le sujet est pourvu d'un fort embonpoint, pr
flanc. Ii CLINIQUE NERVEUSE compte nous-même dans une dizaine de cas , on constatera que l'intervalle costo-iliaque,
i- tives de la colonne vertébrale. Mais, pas plus dans le premier cas que dans les seconds, il n'est possible de dire
e redressement de l'attitude vicieuse ou sa persistance. Dans les cas que nous avons observés depuis la publication d
être répété presque mot pour mot de l'attitude de la tête. Dans le cas de déviation sans courbure de compensation, la
oupçonner l'existence d'une sciatique, elle ne peut servir en aucun cas à déterminer le côté de la névralgie. Un des
but de la maladie qu'à son déclin. Nous dirons enfin que dans les cas où elle semble faire défaut, il suffit quel- qu
s au diagnostic un élément utile, elle ne laisse pas, dans certains cas , de compliquer le pro- blème et de faire surgir
d'une déviation compensatrice de la colonne vertébrale. Si, dans un cas de ce genre, les symptômes de la sciatique sont
essayons d'abord de comprendre la cause de la dé- viation dans les cas où elle existe. Il est d'abord de toute évidenc
as paralysés. C'est plutôt le contraire qu'on observe dans certains cas : nous y reviendrons plus loin à l'occasion des
uscles indépendants de ce nerf. On ne pourrait in- voquer en pareil cas qu'un phénomène réflexe. Or, si l'irritation do
ux 14 CLINIQUE NERVEUSE. jambes restent parallèles, comme dans le cas précé- dent, les deux surfaces plantaires repos
l maintient son pied légèrement élevé .au-dessus du sol. C'est le cas de toutes les boiteries. Il s'incline alors du cô
port à l'axe CC' du bassin, est encore plus prononcée que dans le cas où le bassin reste horizontal. 11 est facile de
du côté malade Jfig. 14). Les dernières côtes peuvent même dans ce cas se mettre en contact avec la crête iliate sous-
. 13. Fig. 14. 18 CLINIQUE NERVEUSE. ver et de bien décrire les cas que le hasard lui avait présentés; et, dans un
bien décrire les cas que le hasard lui avait présentés; et, dans un cas , évidemment, le hanche- ment rendait encore trè
s. Comme DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQUES. 19 dans le cas de la sciatique, la cause de l'inclinaison du t
ambe courte qui n'appuie pas sur le sol. Tel est, par exemple, le cas de l'hémiplégie, avec ou sans contracture, où la
la contre-épreuve d'un traitement fré- quemment appliqué dans les cas de scoliose vraie et qui consiste dans l'empl
'atrophie musculaire à la suite de la sciatique, sur- tout dans les cas qui relèvent d'une névrite, est un fait des plu
idien dans une situation irrémédiable. III.- Nous avons observé dix cas absolument con- formes à la description général
contrairement à la règle, incliné vers le côté malade. Le premier cas concerne un homme d'une quaran- taine d'années
côté. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQUES. 23 Le second cas est relatif à une femme de soixante ans, chez q
le genou- et la pointe du pied tournés en de- dans, comme dans le cas de genu valgus. La flexion semble résulter de l
rien d'exagéré, eu égardà ce qu'on a maintes fois constaté dans des cas de sciatique simple, depuis qu'on recherche le
llaire ; nous en avons encore eu la preuve tout récemment dans un cas de durillon plantaire enflammé ; et il n'est pa
démonstration soit irréfutable. On observe, en effet, dans certains cas de sciatique mani- feste, des localisations dou
on du nerf sciatique malade. Evidemment, il ne s'agit pas, dans ces cas , de sciatiques doubles, mais de névralgies à di
ttitude qui en résultera a été bien décrite par M. Terrier, dans un cas de contracture doulou- reuse d'origine traumati
nous avons observé sur notre troisième malade dans la plupart des cas de contracture hémiplégique n'empê- chant pas l
ig. 18. 34 CLINIQUE NERVEUSE. peutpas s'effectuer, comme dans les cas ordinaires, par une inclinaison de la colonne v
e fortement la hanche à droite.. Dans ces conditions, comme dans le cas de la névralgie lombo-sciatique spasmodique gau
les muscles innervés par le sciatique malade. Mais dans les deux cas on peut observer aussi des spasmes dou- loureux
mbe. 1 Il n'y a qu'une exception à cette règle ; elle appartient au cas , rela- tivement rare, où le membre atteint de s
contracture des mus- cles du côté malade. La contracture, dans les cas de ce genre, n'est pas limitée aux muscles inne
eut marcher, il prend l'attitude han- chée. Donc ici, comme dans le cas de névralgie spas- modique, l'attitude hanchée
qui passe par la plante du pied du côté sain. 10° Enfin, dans les cas où le spasme musculaire est limité aux muscles
e est croisée, comme dans les sciatiques non spasmo- diques. UN CAS D'ABASIE-ASTASIE SOUS FORME D'ATTAQUES (attaque
professeur Charcot me fit voir dans son service à la Salpêtrière un cas de cette singulière affection qu'il a décrite e
épidante, etc. Leçons du Mardi, 1888-80. Leçon du 5 mars 1889. UN cas d'abasie-astasie. 41 chaise,' fait très bien le
conservé toutes les allures, sauf la marche vulgaire, normale. Ce cas m'avait beaucoup intéressé et par une coïn- cid
ique-abasique, qui diffère par quelques particu- larités des treize cas dont on a publié jusqu'ici les observations ?
surhumains pour me relever . Voir en particulier les Leçons sur un cas d'hystérie niale avec astasie- abasie, par le p
d'attaques, mais en 1869, étant à cheval et faisant de nouveau UN cas d'abasie-astasie. 43 de la voltige, les mêmes s
oc. Je deviens moins pâle et moins faible alors que dans le premier cas . Lorsque je suis assis et couché, je suis parfa
un siège pour m'asseoir et que je cesse de parler. Dans ce dernier cas , je perds l'usage de la parole jusqu'à ce que je
ncore. Remarquons ces derniers mots qui me paraissent caracté- UN CAS d'abasie-astasie. 45 ristiques pour juger de l'
ister sous de nombreuses variétés. M. le professeur Grasset, a UN cas d'abasie-astasie. - 47 Î repris les onze observ
parfois avec un peu de bégaiement pendant un certain temps. Notre cas prouve une fois de plus que l'abasie n'est poin
mie disparait et l'embolie n'a pas de suites anatomiques. Dans le cas contraire, l'ischémie persiste et des lésions org
, etc., etc. Pour moi, il n'y a pas de doute qu'il s'agit dans le cas de M. Schultze des foyers limités de nécrobiose
par exemple, les faits de Furkvell et de Leyden : Dans le premier cas , il s'agit d'un jeune homme mort d'une maladie
de la pression, les vaisseaux se dilatent et dans un bon nombre de cas quelques rameaux se rompent. Il est rare, contr
deux autres caractères, qui s'observent dans l'immense majorité des cas , à savoir la durée très courte et la brusque di
de ces migraineux ophtalmiques sont dans l'immense majo- rité des cas des phénomènes éminemment transitoires. Hâtons-
dans le modus faciendi de l'ané- mie transitoire. En effet dans un cas , c'est un spasme temporaire, tandis que dans l'
orme. - De cette forme rare, nous n'avons eu à rapporter qu'un seul cas ayant cli- niquement revêtu le type de l'épilep
décompression. - Il faut donc : a). Ne pas faire des immersions en cas de refroi- dissement, qui a pour effet d'interc
TS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 115 b). Défendre les immersions en cas d'affections pul- monaires soit aiguës, soit ch
trouvé la parole par la recompressioll au fond même de la mer. En cas d'accidents permanents, la base du traite- ment
ale des muscles du larynx. Or, Luciani soutient encore, et, en tout cas , son schéma de l'aire sensitivo-motrice enseign
des hémisphères cérébraux, et surtout du gyrus sigmoïde, dans les cas de destruction du cervelet*. L'existence d'un f
uffi d'attirer l'attention sur ce point pour voir se multiplier les cas de paralysie mixte de la sensibilité et du mouv
té et du mouvement d'origine corticale. Seppilli cite quarante-sept cas cli- niques accompagnés d'autopsie, où des alté
lésions affectaient les différentes régions du cerveau dans les 47 cas cliniques recueillis par Sep- oilli : 92 ' PH
a portions contiguë de la circonvolution du corps calleux. « Que ce cas soit suffisant pour étendre en avant la zone mo
e, dit Seppilli, n'a jusqu'ici apporté aucune preuve à l'appui. Les cas de lésions limitées à l'hippocampe sont d'aille
Ferrier avoue lui-même n'en avoir pu trouver un seul ». Ajoutez les cas clini- ques où les troubles de la sensibilité a
es troubles exis- tent sans lésions de l'hippocampe. Enfin, dans le cas d'épilepsie chronique, où la sclérose et l'atro
? D'après Nothnagel, ce seraient lesP, et P2. Seulement, dans les cas cliniques connus, sauf deux, ceux de Grasset et
» A l'appui de cette hypothèse, Seppilli ajoute que, dans nombre de cas où il n'est point fait mention d'altération du
lésion, l'observation cli- nique démontre, ainsi qu'il résulte des cas recueillis par Seppilli, que les lésions de l'é
eure, etc. A cet effet, Seppilli a réparti eu ciuq groupes : 1° les cas cliniques d'altérations de la sensi- bilité de
'altérations de la sensi- bilité de la face et des membres ; 2° les cas où la sen- sibilité des membres était seule aff
ATOMO-311CR0COPIQUE originale TROUVÉE DANS LE PLEXUS BRACHIAL EN UN CAS DE NÉVRITE CONSÉCUTIVE A une fièvre typhoïde; p
peuvent être hémi ou bi-latéraux, complets ou incomplets : en tous cas , ils sont toujours homonymes ; 7° sous le nom de
ent plus lents que chez les nouveau-nés; on produit dans le premier cas plus de délabre- ments dont les détritus sont r
s mo- teurs) et hyperexcitabilité mécanique des nerfs sensitifs. Un cas même témoigna de l'hyperexcitabilité mécanique
n- HARD, Boston médical and Surgiçaljou1'nltl, vol, CX, n° 10. Un cas curieux et probablement unique de changement péri
nt la période de stupeur. L'auteur, après une étude soigneuse de ce cas , d'après des exa- mens microscopiques des cheve
ns les cheveux est l'explication qu'on a offerte pour expliquer les cas de change- ment permanent et soudain du noir au
s, Raymond et d'autres auteurs dignes de foi. Raymond a rapporté un cas où, à la suite d'une névralgie sé- vère, les ch
t passé du noir au blanc en cinq heures. Lan- dois décrit un de ces cas dans les lTirçlcow's A1'(hiv, d'avril 1866. Dan
la méconnais- sance des personnes de [l'entourage. Dans ce dernier cas , il s'agit de la confusion des personnes en que
s réels que le malade connaissait vraiment jadis. Dans le premier cas , la personne, correctement dénommée, nettement co
vient le point de départ de réminiscences imaginatives. En certains cas rares, l'aliéné ne con- naît son entourage que
action lente; 10 p. 100 de réaction extrêmement faible; 4 p. 100 de cas douteux; 47 p. 100 de réac- tion totalement abs
47 p. 100 de réac- tion totalement absente. Donc dans la moitié des cas , la réaction à la lumière a disparu complètemen
e en particulier plus de cinquante observations classées. Sur 1,900 cas , on a trouvé 56 malades atteints d'immobilité pup
es malades atteints de lésions cérébrales gros- ses, il reste vingt cas d'immobilité pupillaire etdes aliénés non pa- r
ervé que l'immobilité des pupilles à la lumière. P. K. 11F . Deux cas DE folie larvée ; par CONOLLY Norman. (The Jour
nvier 1886.) Les modifications heureuses apportées à la marche d'un cas de paralysie générale par l'apparition intercur
ique, la pachyméningite hémorrhagique est extrêmement rare dans les cas aigus de folie. On peut se demander si dans le
rare dans les cas aigus de folie. On peut se demander si dans le cas dont il s'agit l'excitation maniaque était due à
l'hématurie. . L'auteur fait remarquer en terminant que dans les cas de pur- pura, il n'est pas rare de voir la mort
agique peut survenir dans les mêmes conditions. R. M. C. VI. Deux cas DE mélancolie ; par A. PATTON. (The Journal of Me
(The Journal of Mental Science. Janvier 1886.) Il s'agit de deux cas de mélancolie qui, par une singulière coïn- cid
-vaginale pendant le travail de l'accou- chement. Dans le premier cas seulement la guérison complète fut obte- nue. R
cience, octobre 488;i.) Etude intéressante qui comprend : 1° deux cas de folie morale, portant sur un père et son fil
deux cas de folie morale, portant sur un père et son fils; 2° deux cas d'amélioration tempo- raire des symptômes menta
a diminution ou de la guérison de ces inflammations ; 3° enfin un cas d'hystérie chez un jeune garçon. R. M. C. - 122
chronique, l'appétit n'est réellement exagéré que dans un nombre de cas assez limité. La grande majorité des mélancoliq
rien d'ailleurs leur état d'émaciation. Il faut signaler ici les cas où l'agitation est si intense et offre si peu d
qu'avec la sonde. Enfin l'auteur est convaincu que, dans certains cas , principale- ment dans la manie ou la mélancoli
ils deviennent furieux et dangereux. L'auteur cite à cet effet deux cas très nets : le premier est celui d'un imbécile, f
vresse lorsqu'il voit une personne pour la première fois. Le second cas est celui d'une femme alcoolique et hystérique,
ne ébriété violente. On pourrait ranger dans la même caté- gorie un cas récent, dont une guerre lointaine a été le tablea
e tout entière se lève pour honorer sa mémoire. M. Liss : UER. Un cas de cécité psychique. - L'orateur présente le ma
u bien les associations d'idées correspondantes. Ou plutôt, dans le cas présent, le malade perçoit les impressions opti
les deux tiers témoignent de l'assertion précédente. Dans les cinq cas où il n'en fut pas ainsi; on avait dû suspendre
M. FuERSTNER a pratiqué la même méthode que M. Jolly pour les mêmes cas . Il a pu prescrire, sans inconvénients, jusqu'à
gulatrice des effets de l'opium, nous croyons que, même en certains cas presque désespérés, il y a lieu de compter sur
d'une tumeur; au sein de celle-ci s'est formée une cavité; dans le cas de M. Zacher, c'eatla lisière de la substance b
s altérations des muscles dans les psychoses. Il s'agit ici de deux cas de délire aigu développé à la suite de délire g
es dans les autres formes d'aliéna- tion mentale. Il se rappelle un cas de paralysie générale dans lequel il y avait eu
même orateur dit que la charpente musculaire ne présente en pareils cas autre chose qu'un trouble léger dans la transpa
cependant point touché, bien qu'on eut donné le médicament dans un cas d'insuffisance aortique. Les meilleurs effets fur
st montré durable dans ses effets contre lacrampe des écrivains (un cas ), la sclérose en plaques (tremblement inten- to
ains (un cas), la sclérose en plaques (tremblement inten- tonné), 2 cas ), le tremblement alcoolique avec, sueurs profuses
tonné), 2 cas), le tremblement alcoolique avec, sueurs profuses (2 cas );'il a agi comme palliatif dans la paralysie agil
es (2 cas);'il a agi comme palliatif dans la paralysie agilante (un cas ) dans la scélérose en plaques (3 cas), la myéli
dans la paralysie agilante (un cas) dans la scélérose en plaques (3 cas ), la myélite par compression (2 cas); il n'a ri
dans la scélérose en plaques (3 cas), la myélite par compression (2 cas ); il n'a rien produit dans un cas de crampes musc
s), la myélite par compression (2 cas); il n'a rien produit dans un cas de crampes musculaires douloureuses (les troubl
stifs déterminés par l'hyoscine ont dû la faire supprimer), dans un cas d'astbme nerveux, dans un cas de chorée chroniq
ont dû la faire supprimer), dans un cas d'astbme nerveux, dans un cas de chorée chronique. Discussion. -M. KiRN. - Le
e que M. Kny a sans inconvénient admi- nistré de l'hyoscine dans un cas d'insuffisance aortique, il ne s'en suit pas qu
i en scène que pour la minorité des crimes et sont exclues dans les cas de crimes qualifiés. La grande expérience de l'au
le frère de la mère du meurtrier. La famille comptait en outre deux cas d'aliénation mentale et un cas d'originalité an
r. La famille comptait en outre deux cas d'aliénation mentale et un cas d'originalité anormale du caractère. L'accusé é
e de fonctionnement de la cour d'assises. Comment voulez-vous qu'en cas de non-culpabilité l'accusé soit immédiatement
médecin traitant doit déclarer si l'interné est ou non guéri et, en cas de guérison, s'il est ou non légitimement suspe
lées par la chambre du conseil, d'après les circonstances de chaque cas particulier. Si ces conditions ne sont pas remp
s avec le département, conformément à l'ar- ticle 3. « Dans aucun cas , les conseils généraux ne peuvent disposer des
ondamnations pécuniaires. » - (Adopté.) « Art. 46. - A défaut ou en cas d'insuffisance des ressources énoncées en l'art
t qui seraient placés dans un établisse- ment spécial d'aliénés. En cas de contestation, il est statué par le conseil d
de la caisse de retraite du dépar- tement où est situé l'asile. En cas de changement d'un de ces fonctionnaires d'un d
intéressante étude basée sur une statistique comprenant plus de 550 cas d'alcoolisme, divisés en non héréditaires, hérédi
comme 4 est à 3. Là comme ail- leur, on le voit, sauf dans quelques cas particuliers, l'hérédité similaire est la moins
été délurés, sans prescription de médecin, par un droguiste. Deux cas d'attaque DE sommeil hypnotique. - On écrit d'Ala
ne hystérique un proie à une attaque de sommeil. Ce n'est pas là un cas exceptionnel. Dans Iconographie photographique
chez laquelle l'attaque se prolongeait 3, 4 et 5 semaines. Dans les cas de ce genre, l'alimentation peut se faire en proj
uillon, etc.) au fond de la gorge. Il en est encore de même dans le cas suivant : Il s'agit d'une femme qui, récemment.
là encore d'une attaque de sommeil, analogue à la précédente. Un cas DE léthargie. - On écrivait de Rodez, le 14 décem
tituent les sujets atteints d'aliénation mentale dangereuse; 6° les cas de démence se traduisant par des outrages aux m
ew-York, 1889. - New-York médical journal. Grasset. - Leçons sur un cas d'hystérie mâle avec astasie et abasie, recueil
ll4, ont constaté la dégéné- rescence descendante. Mais, dans notre cas , il n'est évidemment question de rien de pareil
une étendue plus ou moins considérable de la moelle. Sauf dans un cas de Schullze8, on n'a pas signalé la formation d
ue celle qui détermine les dégé- nérescences secondaires ; dans les cas dont il s'agit, à 'Maladies de la moelle épiniè
ondaire avait été amenée par des lésions traumatiques. Dans notre cas , il n'est pas question de trauma- tisme et, d'a
n'a jamais permis il Golgi de découvrir, fût-ce une seule fois, un cas d'anas- tomose fibrillaire. « 11 est vrai que,
que, tandis qu'elle est centrale pour le nerf moteur. Dans les deux cas , le nerf se termine en ramifications arborescen
lules nerveuses qui les constituent, ce sont là, pour Seppilli, des cas spéciaux du grand principe biologique de la cor
sultats, fruit d'une méthode, non d'une doctrine, resteront en tout cas et survivront. Ce que les physiologistes et les
droit serait relativement plus élevée chez les vieillards. En tout cas , cette prépondérance, loin d'être l'indice d'un
en) inférieur à celui du cerveau des hommes aliénés, comme c'est le cas chez les individus sains d'esprit. Le poids spé
éditaire à la folie pour- rait-il, suivant Sommer, dans beaucoup de cas , s'expliquer par ce traumatisme du nouveau-né 2
ymétrie des deux moitiés du crâne serait la règle, comme c'est le cas pour les deux hémisphères cérébraux. Il y a lon
du cerveau, cela résulte, pour Venturi, de ce que, dans tous les cas sans exception, l'acuité de l'ouïe était moindr
avec les gens normaux, serait assez accusée pour servir, dans les cas douteux, à confirmer un diagnostic. Tanzi, enfin,
l'effet des malformations du cerveau chez les épileptiques. En tout cas , elle évolue parallèlement aux phénomènes d'ari
des sciences (séance du 14 août 1889), un mémoire relatif à trois cas empruntés à nl. Gimeno, Ernest Holt et Suckling e
s empruntés à nl. Gimeno, Ernest Holt et Suckling et, à cinq autres cas recueillis par nous 2. Ces huit cas, additionnés
t et Suckling et, à cinq autres cas recueillis par nous 2. Ces huit cas , additionnés avec les dix-sept que nous avions
nous avions rassemblés précédemment, forment un total de vingt-cinq cas auxquels nous allons ajouter le suivant qui, pa
e un peu plus développée que la gauche; mais l'asymétrie, en tous cas , est peu prononcée. Les oreilles sont pâles, as
erculose chez le père de Deb., un frère et une soeur. II. Dans ce cas , de même que dans quelques autres, les pre- mie
nvolutions, etc. VI. Le traitement que nous avons institué dans les cas de ce genre consiste, au point de vue pédagogiq
maux de nerfs, crispations, agace- ments). Elle agit bien dans les cas de vertiges, étourdissements, analogues à ceux
a production de l'urée. Elle est employée avec succès dans certains cas de polyurie, accompagnés ou non d'azoturie. Ses
odique : on peut porter cette dose à 20 et même 30 grammes dans les cas de polydipsie. Le Codex mentionne encore les pr
ésultats du manque de fonction de la glande thyroïde. Dans tous les cas , cette opinion est celle qui fut la plus souten
e plus haut. Je désire particulièrement attirer l'attention sur les cas dans lesquels il a répété et étendu l'observation
la perte de-la thyroïde. L'examen post-mortem montra dans ces huit cas mortels que la glande déplacée ne s'était pas g
sée et n'avait pas le moins du monde dégénéré. Dans quatre autres cas la glande fut placée entre le fascia et le péri
reffe et par conséquent les animaux succombèrent. Dans le quatrième cas , l'animal se portait parfaitement bien (et avai
ut ? Sans doute, celle d'un singe anthro- poïde ; mais la rareté du cas et la dépense vraiment excessive élèveraient de
il présente après la thyroïdectomie. Je proposerai donc, quand le cas se présentera, d'essayer la transplantation d'u
ar des recherches plus étendues, et approuvées ou rejetées selon le cas . Finalement, et quoique plus d'une objection pu
ne détermina qu'un sommeil de deux heures ou même moins. Enquelques cas le sommeil dura quatre à cinq heures, mais les
u chevral et l'uréthane, n'a pas d'inconvénients. P. K. V. Sur un cas d'intoxication par la cocaïne; par R. WAGNER. (
n même temps que celui qui assure la plus grande .sécurité dans les cas suivants : lu dans les cas d'agitation épilep-
assure la plus grande .sécurité dans les cas suivants : lu dans les cas d'agitation épilep- tique ; 2° dans l'agitation
même fait peut se produire chez un seul et même individu, et en ce cas , on verra, comme on pouvait s'y attendre d'aill
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. pendant un accès de folie ; dans plusieurs cas . où il existait des vomissements hystériques pe
t amendés ou ont disparu dès que la folie s'est développée. Dans un cas de paraplégie hystérique datant de plusieurs mo
our reparaître au retour de la santé mentale. Enfin, dans plusieurs cas , l'auteur a vu la perversité morale apparaître
l'épilepsie nocturne être remplacée par la folie, et dans plusieurs cas des attaques vio- lentes d'épilepsie ont amendé
r, au moins dans un certain temps, les troubles cérébraux : dans ce cas encore, il est probable que les troubles qui di
l'on veut bien nous permettre cette expression. R. M. C. 111. Un cas DE sarcomes multiples DU CERVEAU; par F. S. JUHN
UHN HULLEY. ('1'heJolll'/lal of Mental Science, janvier 1888.) Ce cas est surtout remarquable, parce que la présence de
compulsant les registres de l'asile, l'auteur a trouvé quatre autre cas que l'on peut rapprocher de celui qu'il a observé
e l'on peut rapprocher de celui qu'il a observé : dans aucun de ces cas on n'avait constaté de symptômes caractéris- ti
Ce symptôme d'après lui s'obser- verait assez fréquemment dans les cas de syphilis à lésions géné- ralisées : il tiend
des exemples cliniques d'un autre ordre (voy. dans le mémoire deux cas concernant : l'un, une hystérique, l'autre un s
'enchymuteuse se présente à son moindre degré d'intensité, dans les cas de maladie générale de l'économie (infection, int
, intoxication, diathèse, marasme); à son plus haut degré, dans les cas de tabès à- névrite multiple compliqué de tuber
même de la moelle, quoique MM. Oppenheim et Siemerling aient, en un cas , constaté que, de concert avec l'altération des
telles ( périphériques ) ; leur principal argument est que, dans ce cas , les paralysies des muscles des yeux deviendrai
ut-être s'agissait-il d'une maladie de Friedreich. P. K. VIII. Un CAS DE paralysie DE L'OCULO-31OTEUR commun A RÉCIDIVE
nous trouvons une observation intéressante de M. Saltzmartn sur un cas d'épi- lepsie par suite de fracture du crâne, g
lation du fragment osseux irritant la surface du cerveau, puis deux cas de tumeur cérébrale par Mi. Holsti et Ruhnberg, a
eux cas de tumeur cérébrale par Mi. Holsti et Ruhnberg, ainsi qu'un cas d'atrophie partielle du cerveau chez une femme de
parce que le muscle est l'organe qui fatigue le plus. P. K. XI. UN cas DE carcinome secondaire DU cerveau simulant LA
éditaires, dans la ligne collatérale, explique probablement dans le cas actuel l'appa- rition plus précoce des symptôme
ale de bien-être, par la présence de convulsions épileptiformes, le cas dont il s'agit a simulé à un moment la forme tran
urs opposés au diagnostic de paralysie générale. Cependant, dans un cas de paralysie générale indubitable l'auteur a pu
le l'auteur a pu constater ce retour pré-agonique à la lucidité. Le cas actuel confirme l'assertion du Dr Mielle, suiva
quer l'étendue qu'occupent les lésions des circonvolutions dans les cas où la folie est associée à une tumeur du cervea
gie, et des croyances populaires, l'orateur montre les dif- férents cas qu'on en a faits tour à tour. Il n'a d'abord été
u bord de l'oreille conserve sa forme embryonnaire. Dans ce dernier cas , on observe une oreille de cynocéphale, de cerc
le de cynocéphale, de cercopithèque, ou de macaque. Dans le premier cas , la pointe de l'oreille affecte la disposition de
larité qui n'est indistincte ou absente que dans un petit nombre de cas . L'immense majorité des oreilles que les auteur
nches collatérales de ces gros vaisseaux. Il s'agissait ici de : 19 cas de démence paralytique, 3 cas de syphilis céréb
vaisseaux. Il s'agissait ici de : 19 cas de démence paralytique, 3 cas de syphilis cérébrale, 2 cas de tumeuis du cervea
de : 19 cas de démence paralytique, 3 cas de syphilis cérébrale, 2 cas de tumeuis du cerveau, 4 cas de psychoses sénil
ytique, 3 cas de syphilis cérébrale, 2 cas de tumeuis du cerveau, 4 cas de psychoses séniles, 3 observations de vésanie
n'ont pas décelé d'altérations macroscopiques des vaisseaux dans 14 cas ; en deux cas il est fait mention de l'absence a
elé d'altérations macroscopiques des vaisseaux dans 14 cas; en deux cas il est fait mention de l'absence absolue de lés
plaques athéromateuses infiltrées de graisse : - mais quatre de ces cas étaient indemnes d'altérations des vaisseaux de
cal- SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 caire de ces organes. Il existait un cas dans lequel on notait des traces anatomiques de
z les trois vésaniques, malgré l'ancienneté de la folie qui dans un cas , datait de 47 ans; " 2° L'intégrité des vaissea
vphilique de 39 ans : 3° Une endartérite minime isolée dans trois cas (tumeur céré- brale paralysie générale) ; 4°
r céré- brale paralysie générale) ; 4° Il reste par conséquent 24 cas d'altérations vasculaires con- sidérables dont
e leur existence dans la poliomyélite antérieure chronique (voy. le cas Ack. in Berl. hlizz. lYochenschrift, 1888) perm
années chez l'adulte. M. Schultze (de Bonn) lit l'observation d'un cas de tabès dorsal avancé caractérisé par une comp
les conditions expérimentales et cliniques et arriver a préciser les cas dans lesquels on est fondé d'en attendre une ac
ouche optique. - Il est certain que la capsule interne n'a rien. Le cas sera publié ultérieurement. M. Skl ? T-13EIINEI
gie ne nous apprend-elle pas en effet que l'on rencontre en pareils cas les accidents de l'embarras gastrique : enduit
: il ne reste actuellement que des convulsions cloniques. Le second cas a trait à des spasmes occupant le grand pectora
leurs lancinantes ; mort subite (par paralysie du nerf vague ? ) Un cas seulement témoigne d'une double phase; à la sui
fait remarquer par les caractères suivants, Il s'agit dans tous les cas d'individus neurasthéniques depuis longtemps qui
colonies agricoles auprès des asiles d'aliénés. M. FnANK décrit un cas de tumeur perlée du cerveau avec pièces ci l'ap
admission provisoire dans des conditions faciles à remplir dans les cas urgents. La majorité' de l'assemblée se rallie
hivio italiano per le ma- laltie nencose, nov. 1886); en tout, onze cas de mélancolies durant déjà depuis un temps asse
00 grammes de sang pratiquée à la temporale. M. Peretti rapporte un cas de rémission brusque à la suite d'une hémorrha-
iams (Journ. of Mental Science, avril 1875, p. 151) ont signalé des cas de mélancolie grave qui, après avoir duré penda
éance ; elle exige en effet une préparation spéciale. M. TIGRES. Un cas de simulation de lafolic. M.E..., a été arrêté et
Wendt est celle d'une démence paralytique. Or il n'en connait qu'un cas de guérison. La plupart des autres exemples pub
s exemples publiés ont été ultérieurement démentis. M. Î11ENDEL. Le cas de M. Wendt est unique. Le plus grand nom- bre
considérablement aug- menté de fréquence. On voit se multiplier les cas dans lesquels il existe au début un affaiblisse
iplopie monoculaire et ses causes. M. Lieue (de Schweizerlof). Un cas d'hystérie aigus avec laryngo- spasme, pendant
accès de migraine. Discussion. M. Mali fait également mention d'un cas de morphinomanie qui s'est, peu après, le secon
ais dont le revenu ne suffit pas pour payer sa pension. Or, dans ce cas , le texte même des articles 27 et 28 de la loi du
cées; la loi ne fait aucune réserve. C'est seulement à défaut ou en cas d'insuffisance de ressources que ces dépenses p
, 1889. Librairie J.-B. Baillière et fils. Grasset. Leçons sur un cas d'hystérie mâle avec astasie et abasie. recueil
98 pages. Paris, 1890. - G. Masson. Grasset (J.). - Leçons sur deux cas d'hilsiérie provoquée par une maladie aigué (Fi
CLINIQUE NERVEUSE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE,. - M. CHARCOT SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE' 1 (Leçon recueillie p
Messieurs , La leçon d'aujourd'hui sera consacrée à l'étude d'un cas fort intéressant de paraplégie survenue chez un
affection des centres nerveux et de chercher à démon- trer dans ces cas l'existence d'une lésion du plancher du quatriè
on a observé sous cette prévention, et toutes les fois que SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABETIQUE. H07 des lésions de ce
rchai citait des faits à l'appui de sa thèse. C'étaient surtout des cas de ramollissement cérébral, lorsqu'il y avait e
élèves d'alors, MM. Bernard et Féré '. Ogle a également observé des cas de cet ordre et a attiré sur eux l'attention.
ansitoire ou au contraire habituelle, du sucre dans les urines. Ces cas -là existent d'une façon parfaite- ment authenti
du diabète vrai, du diabète maladie constitutionnelle, par SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 809 vice de la nutrit
t possible aussi que le mécanisme ne soit pas le même dans tous les cas . D'une part, s'il est bien manifeste que le com
uvent les confondre. Voilà quel est l'argument que je vou- SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 311 drais développer
acer sous vos yeux. Mais avant d'arriver à l'analyse clinique derce cas , je désire entrer encore dans quelques détails.
omaine du sciatique prin- cipalement, peuvent rester unilatérales. ( Cas de Rosens- tein.) A côté de ces névralgies da
des réflexes rotu- liens, qui existe dans un assez grand nombre de cas de diabète, surtout de diabète grave, ainsi que
munica- tion au Congrès de 1884 de l'Association française SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 313 pour l'avancement
mportante découverte de la perte du réflexe rotulien dans nombre de cas de diabète, M. Leyden cite le Dr Raven (1887)'.
. Tout le monde en somme reconnaît aujourd'hui que, dans certains cas de diabète, les réflexes tendineux 1 Raven. Dri
du réflexe rotulien dans le diabète sucré. Th, Paris, 1889. SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. li 1 z sont absents.
ours montré l'intégrité absolue de la moelle (Rosenstein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des cordons
cas, cliniquement, l'absence des réflexes rotuliens caractérise des cas graves de diabète; non pas tant peut être de ce
aractérise des cas graves de diabète; non pas tant peut être de ces cas où il existe une quantité considérable de sucre
a maladie s'ac- compagne de symptômes graves. Peut-être, dans ces cas -là, existe-t-il dans le sang, outre le sucre, cer
le i Leval-Picquechef. Des pseudo-tabes. Th. Paris, 1885. SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 317 i malade marche e
voit que dans la règle, il ne s'agissait pas réellement dans ces cas de la démarche tabétique, mais d'une démarche s
de la réaction de dégénérescence. Ajoutons à cela que dans tous les cas , dans l'alcoo- lisme surtout, il n'existe pas d
ques. Eh ! bien, Messieurs, me fondant sur l'examen cli- nique du cas que je vais vous montrer, j'émets l'avis qu'il
ette faiblesse à la dureté du travail. Puis il y a deux ans, SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 319 (1 ? novembre 188
ées, si on veut lui faire redresser la pointe du pied, il ne SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 321 peut le faire et
citabilité des autres muscles de la jambe et de la cuisse. SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 323 , Ainsi dans ce c
cuisse. SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 323 , Ainsi dans ce cas , c'est à l'alcoolisme que vous êtes amené à pen
je critique la dénomination de démarche ataxique adoptée pour les cas de ce genre, j'entends réserver, pour en faire
urines des malades. M. Oppenheim et d'autres auteurs ont cité des cas de ce genre. Ici la glycosurie plus ou moins pe
ou gastriques, qui indiquent la participation du bulbe. Mais ces cas doivent être assez rares. En 1885, MM. Pierre M
MM. Pierre Marie et Georges Guinon ont observé une cinquantaine de cas , sans en trouver un seul, et l'an -passé, sur c
-passé, sur cent tabétiques qui venaient à la Salpêtrière, SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 325 pour s'y faire ap
l'ataxie locomotrice progressive. Les deux familles sont dans ce cas représentées chez le même sujet sans qu'il y ait
au point de vue pathologique sa double origine. Je crois que des cas semblables doivent exister; reste à savoir si d
moins terreux; il a engraissé d'une façon assez notable et SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE 327 son poids a augmen
ous est dévoilée par l'examen électrique des muscles para- SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 329 lysés. Vous vous
rassembler que neuf autopsies donnant toute sécurité ; de ces neuf cas authentiques, cinq se 1 Les principaux résultat
nt entre quelques-unes de leurs conclu- sions, rendaient dans notre cas l'examen histologique particulièrement intéress
Letulle (7 mars). ' Gilles de la Tourette, P. Blocq, Huet. - Cinq cas de maladie de Friedreich. {Nouvelle Iconographi
t rela- tivement facilité notre tâche. Nous exposerons d'abord le cas qui nous est per- sonnel, ainsi que le compte r
ation de la malade, telle qu'elle a été publiée, il y a deux ans. Cas . Suzanne Desch'..., âgée de quatorze ans, a été s
). L'autopsie a donné des résultats à peu près identiques a ceux du cas précédent. Le maximum de la dégénérescence est
tasie des vaisseaux de la pie-mère. La dégénérescence dans les deux cas de Hutimcyer était iden- tique à celle du tabes
ra qu'il a toujours été trouvé notablement diminué. Dans tous les cas , en effet, les auteurs ont été frappés de la peti
n peut légitimement conclure à une véritable atrophie, car dans les cas où la moelle est atteinte d'inflammations chron
e, on ne trouve jamais une égale diminution de volume. Dans notre cas , ainsi que le démontrent les mensura- tions que
rité de volume. 2. La lésion scléreuse s'est cantonnée dans noire cas dans les limites générales suivantes (PL. I, fig.
ui nous ont précédés; ainsi, taudis que la région dorsale dans le cas de Rùtimeyer offrait dans sa partie moyenne et
de 5 x 5, et G x G 1/2 dans les régions corres- pondantes de notre cas . 2. Au point de vue de la distribution des lési
tre cas. 2. Au point de vue de la distribution des lésions, notre cas ressemble incontestablement à très peu de chose
u de chose près à ceux de Rütimeyer et de Pitt, c'est-à- dire aux cas les plus complètement étudiés. Toutefois, peut-
ie de la moelle elle- même. De plus, on peut invoquer dans quelques cas relativement à la distribution de la lésion, l'
grité du faisceau de Lissauer qui s'expliquerait difficilement en cas de sclérose diffuse. Un argument d'égale valeur
peut ajouter qu'il est au moins exceptionnel de rencontrer dans les cas de scléroses combinées une dégénérescence aussi
es pseudo-systématiques », il est encore possible de distinguer ces cas , de la sclérose vraiment systématique de la mal
tique de la maladie de Friedreich. En effet, si on examine dans ces cas * les diverses ' Ce qu'il nous a été donné de fa
rition normale évolue en tubes nerveux sains, ne peut plus, dans le cas que nous considérons, en raison du trouble vasc
ature, la durée est presque deux fois plus considérable que dans le cas où elle est concentrée sur le mouvement de réac
invo- lontaire, et, quoique l'impression de l'excitation dans ce cas entre dans la sphère de la conscience, elle n'at-
à la dernière limite où elle se réduit à la perception; et, dans ce cas , d'a- près Lange, l'acte réactionnel doit être
t trop complexe. Par contre, l'homme malade présente, dans certains cas , de telles dissocia- tions des appareils réflex
simplicité d'étude des différentes perceptions spéciales dans ces cas morbides. L'anesthésie hystérique permet d'expé
peut arriver qu'il le fasse ou qu'il ne le fasse pas. Dans les deux cas , le malade ne sait pas s'il a, ou n'a pas, dépl
à 20. Supposons que le ma- lade ait pensé ;tu eliitrre 11 ; dans ce cas on peut voir, môme à distance, qu'au moment où
ois cette forme d'anes- thésie que l'on peut appeler grave. Dans ce cas , selon toute probabilité, les excitations ne so
ne façon satisfaisante la symptomatologie qui leur est propre. Le cas que je publie ne fournira à ce dernier point de
allusion tout à l'heure. J'en citerai quelques exemples. Dans un cas publié par Gowers, ' dont l'évolution s'est acc
et la lésion atrophique, une bande mince de tissu normal. Dans le cas d'Erliky et Rybaliu' la dégénérescence des cord
es cordons de Burdach. Babinsky et Charrin= ont fait connaître un cas dans lequel il y avait une sclérose avancée des
962.) 384 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. un peu plus étendue que dans le cas de dégénérescence secondaire descendante. ' C
r Ballet et l91rlor. Elle ne pourrait cependant convenir à tous les cas de sclérose combinée. En effet, la base anatomi
tation fait souvent défaut. Ainsi, West- phal5 observe que dans ses cas , la pie-mère était très mince et très délicate
y- siologie, t. VIII, 1886, p. 84.) ' Goco cilato. 4 Etude d'un cas de fausse sclérose systématique combinée de la mo
stphal3, cette pro- pagation n'a pas été démontrée. Dans bien des cas (par exemple ceux de Westphal 3, Prévost , Kahl
ue des cordons de Burdach que nous avons trouvée intacte dans notre cas , correspond peut-être à la zone postérieure de
nd pas au foyer que l'on rencontre dans les cor- ' dons latéraux au cas de dégénérescence secondaire descendante. Nou
moins un caractère fort regrettable, et qui ressort nettement des cas rapportés dans ce travail par AI. Savane. Voici e
ns ce travail par AI. Savane. Voici en effet le résumé de ces trois cas : dans le premier cas, l'accusé fut pendu, bien
Savane. Voici en effet le résumé de ces trois cas : dans le premier cas , l'accusé fut pendu, bien que le crime ait été
rait dû être pendu ou être interné dans un asile. Dans le troisième cas , la prévenue fut placée dans un asile, sans que
1887.) L'auteur laisse systématiquement de côtédans cette étude les cas où le malade sort de l'asile guéri, ou apparemm
à la guérison de l'aliénation mentale. 11 se propose d'étudier les cas où un médecin d'asile, jugeant qu'un malade est
les autres, croit pouvoir rendre ce malade à la liberté : dans ces cas naturellement, le médecin engage sa responsabil
s pratiques ordinaires pour le renvoi dans un asile, sauf, dans les cas douteux, à entente entre le directeur de l'asile
idus bien plus dangereux. C'est au directeur de provoquer, dans les cas douteux, enquêtes, rapports, expertises. 17° On p
dépendance de l'autorité piovinciale que de l'Etat. Dans le premier cas , chaque pro- vince paierait pour ses malades le
siles pénitentiaires que des asiles d'aliénés ; - 20" Dans les deux cas , la libération se ferait en transférant le malade
rvenir la justice. P. KEKAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XI. Un cas d'impulsion INCONSCIENTE A l'homicide ET au SUI
fut déclaré aliéné par le jury et acquitté. L'auteur pense que ce cas est un de ceux qui correspondent le plus exacte
quelque valeur, il faut rechercher le rapport qui existe entre les cas nouveaux d'aliénation mentale et la population du
à l'asile pour la première fois (en excluant les transferts et les cas d'idiotisme congénital), on constate que, pendant
firmes, les malades, etc. OU y trouve par conséquent, bon nombre de cas de démence sénile, de ramollissement cérébral,
u moins qu'aucun accroissement ne s'est produit dans le chiffre des cas nouveaux de folie depuis l'année 1878. 7° Il es
i quelques réserves; car il a pu se produire un accroissement des cas de folie relevant de certaines causes parallèleme
t de certaines causes parallèlement à une diminution du chiffre des cas dus à d'autres causes, différentes des première
éré par lui-même comme une cause de déchéance de la race, et, en ce cas , ni les faits, ni les chiffres ne nous auto- ri
TANCE BLANCHE ET DE LA SUBSTANCE GRISE DES CIRCONVOLUTIONS DANS LES CAS DE PARALYSIE GENERALE ET DE MANIE ORDINAIRE OU
ion d'aliments, il existerait encore du suc gastrique ; 6° En aucun cas il n'y avait dilatation de l'estomac : on se l'
uisque l'estomac évacue très vite ses ingestions. P. K. XVIII. Un cas DE paralysie progressive, par L. GREpiiri. (Arc
otte crânienne se ren- contre surtout chez les gens âgés ou dans le cas de tumeurs céré- brales. Ici on a affaire à une
rnes antérieures- rétine) révèlent une structure réticulée; dans ce cas , les mailles du nucléole sont très étroites et
ques-unes, que ce tissu manque sur une certaine étendue et, dans ce cas , les cellules voisines paraissent séparées l'une
uelque gravité. Elle ne convient qu'à l'idiotie légère et à quelque cas de folie systématique chronique, compatible avec
sions. Toute tenta- tive faite pour alléger nos asiles doit en tout cas être saluée avec joie, même quand on obtient de
e, l'asile reçoit plus de malades, et par suite, on a affaire à des cas plus graves que chez nous. Je répète qu'il faut
le terme de vemiccntltcit dans la même accep z tion excepté dans un cas . La folie systématique primitive (primoere verr
ssions. Autrement dit, il réprouve le terme de Verrucktheit dans le cas de délire hallucinatoire plus ou moins organisé
de Krafft-Erbing le délire asthénique aigu. Prenons un exemple, un cas simple, mais sujet à des diagnostics multiples
ions. Quel sreclacle ce chaos va-t-il offrir aux magistrats dans le cas d'expertises médico-légales ' ! Nous proposeron
ée par M. ¡Pierre Marie entre 1885 et 1886. Avant cette époque, les cas d'acromégalic étaient confondus tantôt avec la
4. Les déments constituent les deux tiers des aliénés. 5. Sur cent cas nouveaux de folie, il y en a quarante qui abou-
ccès primitifs. 16. La démence vient se surajouter à la plupart des cas de ma- nie chronique et avec délusions. 17. L
micros- copiques que l'on observe dans l'écorce cérébrale dans les cas an- ciens de démence peuvent s'expliquer parla
e les accès de manie. 22. L'observation montre que presque tous les cas de démence secondaire pure ont pour point de dé
masturbation peut être un des éléments qui favorisent dans certains cas le développement de la démence secondaire : mai
condaire. 31. Par l'emploi des moyens prophylactiques dans certains cas , par un traitement judicieux de l'accès primiti
d'autres, on peut écarter la démence ; mais dans un.grand nombre de cas elle est inévitable en raison des conditions fâ
out aux hôpitaux qui sont principalement affectés au traitement des cas curables et récents de folie, et dans lesquels
'organe de l'intelligence, puis la pathologie de la folie, dans les cas où celle-ci est la conséquence des maladies de
ons mentales; cette dernierecatégorierenferme la majeure partie des cas qui sont généralement considérés comme des cas
a majeure partie des cas qui sont généralement considérés comme des cas vrais de folie. Il conclut de cette dernière ét
nclut de cette dernière étude, que dans un groupe consi- dérable de cas de folie, c'est la fonction qui est modifiée et n
séquence thérapeutique de cette manière de voir, c'est que dans les cas de ce genre c'est eu mo lifiant le milieu où év
u médecin français ou étranger qui relatera le plus grand nombre de cas de guérison d'affections nicotiniques, mais au
s, avait perdu un im- portant procès. » Nous pensons que dans les cas de ce genre, au lieu d'essayer de s'emparer de
de 1'), par Kroepelin, 417. Alcoolisme, 156. Aliénation mentale ( cas d'j, par Turnbull, 395. Aliénés (occupation a
hangement périodique de couleur des), par Reinhardt,115. Cocaïne ( cas d'intoxication par la) par Wagner, 239. Congr
ges consanguins et folie, par Schutleworth, 402. Mélancolie (deux cas de), parPatton, t21;- par Falret, 125 ; Rouilla
- et catatonie, par llamroth, 271 ; chez des jumeaux, 393;- (un cas de), par Greppin, 103. Paralysie intermittente
65 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
es. Ce processus physiologique si simple se montre encore clans les cas pathologiques, et l'ostéite raréfiante se manifes
rimitifs, aussi bien aigus que chroniques. (Billrolh.) » Mais dansées cas la pé-riostite est externe; c'est un petit phlegm
périoste, ou en détruisant celle dernière; mais tels ne sont pas les cas de périostites généralement décrites, et nous par
ence. Bérard, dans le Dictionnaire en 30 volumes, signale plusieurs cas de periostite suppurée avec phénomènes généraux g
'influence du froid local sur son développement. Il dit que, dans les cas où il existait des lésions viscérales, elles n'ét
mpliquent. Réunissant à ces deux formes le phlegmon difus et certains cas d'érysipèle, de phlébites graves, il forme un gro
nclusions étaient bien déduites, mais ne pouvaient s'appliquer qu'aux cas semblables. M. Gamet, élève d'Ollier, reste sur
les auteurs ont déjà observé deux séries de faits : les uns sont des cas bénins, des abcès qui n'ont de particulier que le
ons, sous laquelle nous vivons encore. On veut isoler abso-lument ces cas des autres maladies aiguës des os ; on en veut fa
aître, est modifiée d'une façon considérable, surtout dans le premier cas où l'usure de la tête de l'humérus et de la cavit
hors de doute. Il n'en serait pas tout à fait de même dans le second cas : en efffet, la rotule a plutôt un volume exagéré
Boinet a observé tout récemment, dans son service d'ambulance, trois cas de tétanos, qu il a traités par le chloral à haut
nt guéri; un a suc-combé. M. Alph. Guêrin a également observé trois cas de tétanos qu'il a traités par le chloral à la do
, malgré l'emploi du chloral en lave-ment. Enfin, dans un des trois cas , un soldat qui avait eu le corps tra-versé par un
quelle il a bientôt succombé. Ne serait-il pas préférable, dans des cas semblables, d'adminis-trer le chloral en injectio
sur le compte du chloral. » Nous avons pu observer nous-même trois cas de tétanos trauma- 1 Nous nous sommes servi, da
ême trois cas de tétanos trauma- 1 Nous nous sommes servi, dans les cas auxquels nous faisons allusion, d'une solution av
s quelques conclusions qui nous paraissent en ressortir. Le premier cas , observé à la Ramaurie, près de Sedan, se mani-fe
es les deux heures et contenant six grammes de chloral. Le deuxième cas , observé à Àrtenay, se montra sur un jeune of-fic
25 octobre, quatre jours après le début des accidents. Le troisième cas fut observé à Loury (Loiret). Le blessé était un
de l'action du chloral. Ce sont là, à notre connaissance, tous les cas de tétanos trauma-tique qui ont été traités par l
néralisée, mais qui est quelque'bis géné-rale d'emblée. Peut-être ces cas existent-ils, mais ils doivent être très-rares et
es questions restées jusqu'à ce jour sans solution, et, dans tous les cas , apporter quelques données utiles comme contribut
ouvent des égagro-piles. Les chiens et les chats sont surtout dans ce cas . A Paris, res-tant constamment dans les apparteme
x et celle des cheveux de ses enfants. « M. Gull, qui a vu d'autres cas semblables, pense qu'ils ont pour cause un instin
avalant les poils de leur fourrure. — Le docteur Hebershen parle d'un cas dans lequel une masse de cheveux avait pris la fo
° l'utilité incon-testable de l'emploi des appareils plâtrés pour des cas identiques. Etudions d'abord le premier point.
issue finale.) Déjà nous avions connaissance d'un certain nombre de cas ana-logues et, maintenant, nous sommes de plus en
ange à tant d'égards, mais elles sont loin d'être constantes. En tout cas , rien ne prouve que cette élévation énorme de la
uffisamment vulgarisé partout. N'avons-nous pas vu récemment, pour un cas identique au nôtre, coucher le ma-lade dans une d
qui semblerait indiquer que, à l'origine du tétanos, au moins dans ce cas , il y a un abais-sement de la chaleur centrale. L
heures avant la mort, la température tomba à 38°,4. Dans ces trois cas , le tétanos a marché avec rapidité vers une issue
considérable de la chaleur, la contraction musculaire, car, dans les cas ordinaires, qu'il s'agisse du tétanos ou de l'épi
t le chiffre thermométrique atteint alors 39°. D'autre part, dans les cas où l'on note cette grande élévation termi-nale, l
coma -plus ou moins profond 1. » Ainsi, nous voyons, d'une part des cas accompagnés de convulsions qui, en se multipliant
, en se multipliant, suffisent pour amener la mort; d'autre part, des cas dans lesquels le coma vient compliquer ou remplac
s le tétanos, mais seu-lement de relever les particularités des trois cas que nous avons cités, et de donner à nos lecteurs
ule, si tréquente chez les enfants, n'est notée que dans un nombre de cas fort restreint cl ne semble nullement avoir in-fl
soient signalés ; rhumatisme localisé dans la presque totalité des cas ; rhumatisme aboutissant très-rapidement à la sup
s phénomènes est évident. Pouvons-nous en conclure que, dans tous les cas de médullite, la cause locale a existé? Non, évid
fallait opter, choisir la violence externe indéniable dans nombre de cas , que la dyscrasie, que l'on ne peut jamais démont
acilement, et de là il nie leur action. Les faits répondent. Sur 47 cas où la cause a été soigneusement recherchée, 22 ré
nu, du linge qu'elle vient délaver. (Verneuil.) — Ce sont les quatre cas de Morven-Smith1. A côté de ces nombreux faits,
ressant. Il est donc bien probable que, dans la grande majorité des cas , sinon toujours, la médullite aiguë reconnaît pou
insèrent. On pour-rait même, allant plus loin, établir que, dans les cas où la cause lo-cale échappe, elle doit reconnaîtr
uisse être cette ex-plication, je dois reconnaître que, dans quelques cas , la cause lo-cale nous manque. Des objections o
tion aiguë de la moelle des os reconnaît, dans la grande majorité des cas , une cause locale. La réaction contre la cause
application de la cause de celle qui résulte de la médullite. Dans le cas de M. Boeckel, par exemple, l'enfant se relève ap
urneville ; entre les deux nous rencontrons 8 jours ; 4 jours dans le cas de M. Verneuil. On pourrait établir, en examinant
ons postérieurs de la moelle. (Fin.) Nous aurions pu multiplier les cas d'arthropathies que l'on observe dans le cours de
u de la jointure, mais encore au-dessus et au-dessous d'elle. Dans un cas d'arthropathie du coude gauche, il s'étendait d'u
ation est rendue plus plau^ sible parla coïncidence dans le tiers des cas (6 sur 18, Bail) avec les arthropathies, des trou
n du grand sympa-thique. Siège. « 11 est assez variable. Sur les 16 cas que nous avons rassemblés, dit M. Bail, les local
de la ma-nière suivante : Les deux genoux au même degré.......... 1 cas . Genou droit (prédominance)............ 5 — G
l est vrai que l'arthropathie inté-ressait l'épaule droite dans trois cas , dans un cas elle occupait le coude gauche, et da
e l'arthropathie inté-ressait l'épaule droite dans trois cas, dans un cas elle occupait le coude gauche, et dans deux autre
frait d'hypertrophie de ses fran-ges synoviales. Dans l'un et l'autre cas c ore, il se produit à la longue des altérations
nt de départ de cette complication singulière de l'ataxie » Dans deux cas d'ataxie locomotrice avec arthropathie, dans lesq
à laquelle les membres avaient pu être condamnés, car, dans les deux cas : 1° les membres où siégeaient les arthropathies
out Yatrophie des muscles du membre atteint d'arthropathie. En pareil cas , Yataxie locomotrice progressive se compliquera:
isme, même au début, est localisé à une seule jointure, ce qui est le cas le plus habituel de l'arthropathie. Jamais, dans
nsi que nous noterons : 1° une communica-tion de M. Bouchereau sur un cas d'hémorrhagie cérébrale coïncidant avec des hémor
ette publication (année 1869), nous avons représenté Planche XIII, un cas de syphilide pigmentaire, dans lequel la coexis-t
cré plusieurs de ses L çons cliniques de 1870, il nous faut citer les cas suivants survenus : l'un chez une femme atteinte
tance grise du même cô'é. — D'après les symptômes remarqués dans ce cas , l'arthropalhic se rapprocherait beaucoup plus de
chez les hémiplégiques. Ou ne si- 1 Voy. Charcot. et Joffroy, Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésions de
cerveau comprend les arthropathies qui se déve-loppent, soit dans les cas de compression de la moelle (tumeur, mal de Pott,
ns à l'examen des faits. iv. arthropathies qui s'observent dans les cas de compression de la moelle. Les cas de ce genr
thies qui s'observent dans les cas de compression de la moelle. Les cas de ce genre, dans lesquels des arthropathies se s
la moelle. —Arthro-pathie du genou droit (Gull, Cases of Paraplegia, cas 52 in Guy s Hos-pital Reports, 1258, IIIe série,
l à cette époque de la vie. J. K. Mitchell etGult ont mentionné des cas analogues, le premier chez des individus atteints
rale ayant déterminé une compression de la moelle1, le second dans un cas assez complexe2. V. ARTHROPATHIES QUI s'oBSERVE
pas de rigidité permanente; mains gonflées, roides, mais moins lés cas de Gull1 et de Moynier2, où l'on voit les arthrop
amélioration non interrompue ; guérison en septembre. 1 Le deuxième cas de Gull, de même que le précédent, ne se rapproch
onnent aux aphasiques une physionomie si originale. « Dans quelques cas , un mutisme absolu joint à une idiotie com-plète
s qui manquent bien plus que les moyens d'expression. — Dans tous les cas où les fa-cultés intellectuelles ont acquis quelq
on intermédiaire à la flexion et à 1 extension; — on dirait en pareil cas qu'il n'existe qu'un seul os dans le moignon; tou
uivantes qui font ressortir les traits principaux de l'histoire de ce cas : Réflexions. I. Les causes de la rupture de l'
œuwes les plus habiles et les mieux justifiées peuvent, dan- certains cas où les parois de la matrice ont subi une distensi
organe et même s'étendre au vagin. Elle était complète, ce qui est le cas le plus commun; les exemples de rupture incomplèt
pital. Du reste, l'arrêt du travail n'est pas la règle. Jolly cite 23 cas dans lesquels les contractions utérines ont persi
tique a pour effet de produire une élévation de la température. Les cas suivants, tout en confirmant ce premier résultat,
tie parfaitement guérie à la fin de janvier1. — De même que dans le cas précédent, la première exploration a été faite ic
père et si les accidents s'éloignent puis disparaissent, —et c'est le cas de notre seconde malade, —la tem-pérature diminue
ison fatale le chiffre consi-dérable de 41°,2. (Fig. 2. ) Des trois cas qui précèdent et dans lesquels les urines, assez
ient à un chiffre très-élevé BIBLIOGRAPHIE Examen clinique de 396 cas de rétrécissements du bassin, observés à lu Mater
éditeur. Ce travail, fait avec beaucoup de soin, comprend tous les cas de rétrécissements du bassin, qui ont été observé
tie est consacrée à une discussion clinique de chacune des séries des cas qui ont été relatés ; discussion clinique basée s
a classe des ac-couchements spontanés; - ce qu'il faut faire dans ces cas , c'estdonc de Yexpectation. — Entre le forceps et
onc entre Yexpectation et l'intervention à l'aide du forceps. En tout cas , si le travail se prolonge, on ne doit pas tarder
alotripsies. Ils ont donné une mortalité de 25,68 pour 100. — Dans un cas de rétrécissement du bassin de 0,08 de diamètre s
souvent la tête fœtale par la crâniotomie et la céphalotripsie Dans 5 cas seulement sur 42, il fut possible de terminer l'a
t l'opération qui a donné les meilleurs résultats. VI. Dans le seul cas de rétrécissement de 0,05, l'opération césa-rienn
ivons à cette conclusion que nous énon-çons avec réserve : Dans les cas de rétrécissements de 0,07 (diamètre sacro-sous-p
oyen de tem-porisation, 11 est probable, en effet, que si, dans lès cas où on a été réduit à la erâniotomie ou à l'opérat
i-tablement un arrêt de développement des os qui ne s'étend, dans les cas légers, qu'au fémur et au tibia ; mais dans les c
s'étend, dans les cas légers, qu'au fémur et au tibia ; mais dans les cas graves également à l'os iliaque, au sacrum et à t
étudiés avec soin dans sa thèse inaugurale, en 1860. Il en a réuni 14 cas recueillis par MM. Mackenzie, Turner, Dalrympki,
ous donnons en même temps la reproduction de dessins représentant ces cas intéressants, et que nous devons à l'obligeance d
après une lésion directe de l'iris ou des annexes de l'œil. Dans les cas où la blessure directe n'était pas démontrée, la
ies de ce genre sont assez rares. D'un autre côté chacun de ces trois cas nous a offert des particularités nouvelles. Dan
ois cas nous a offert des particularités nouvelles. Dans le premier cas , M. Troisier nous fournit des renseignements impo
tomie pathologique, sur la terminaison des os du moignon. Le second cas ,— celui de M. Leroy des Barres, — appartenant à u
-tives faites pour photographier l'enfant avaient échouée. Enfin le cas de noire ami Deffaux vient nous renseigner sur le
l'on observe dans les néphrites parenchyma-teuses ou encore dans les cas de suppression de l'urine par un obs-tacle mécani
accompagnée d'une augmentation delà chaleur du corps. Dans mon second cas ; le soir du septième jour de la suppression de l'
l existait des symptômes évi-dents d'intoxication urémique____Dans un cas de maladie deBright chronique que j'ai vu récem
sous le périoste, sinon toujours au moins dans l'immense majorité des cas ; et ce début s'explique tant par la jeunesse rela
Cette propaga-tion se fait avec une rapidité très-variable. Dans les cas les plus simples, le travail morbide semble s'arr
e Havers, ou n'y pénètre qu'à une très-petite profondeur; et, dans ce cas , après l'évacuation du pus sous-périostique, l'ac
primitivement ou consécutivement malade dans un très-grand nombre de cas , est le lieu de jonction du cartilage épiphysaire
re isolée par la suppuration. Le cartilage, dans un certain nombre de cas , a complètement disparu, on n'en trouve plus trac
son dé-collement est incomplet, mais le moindre effort amène dans ces cas sa séparation. Toutefois, il peut rester parfaite
et ont transformé en spongieux une partie du tissu compacte. Dans un cas , Hurel a trouvé chez une petite fille de 3 ans et
a coloration primitive rouge, puis suppure dans un cer-tain nombre de cas . Les médullites des os plats se comportent comm
, lésions qui très-souvent existent concurremment, mais qui, dans les cas où elles prédominent en quelque point, ont mérité
s crâniennes; telle est probablement la péricar-dite observée dans le cas de M. Colson, où l'on trouvait la clavicule envel
l'on n'a d'ailleurs signalées à ma connaissance que dans fort peu des cas . Pour comprendre les autres complications, il f
faits cliniques montrent, en effet, que, dans la grande majo-rité des cas , la maladie qui nous occupe est primitivement loc
amener en peu de temps la mort des malades. Que trouve-t-on dans ces cas ? Rien, quand la mort a été très-rapide. Si elle a
ons séreuses, même san- guiñes, de la congestion, des abcès dans un cas deStone, une infil-tration de pus liquide dans le
r est ecchymosée ; on y voit de petits abcès. — Les valvules, dans un cas de Martin, et un autre de M. Giraldès, sont elles
érées, malades.— La rate est volumineuse, diffluente souvent. Dans un cas de Stone, il y avait du liquide dans le péritoine
écessité de la dilatation consécutive à l'uréthrotomie, sauf certains cas exceptionnels où le cathétérisme est dangereux ou
Élévation brusque de la température qui se maintient élevée. Dans ces cas , il y a coïncidence d'une phlegmasie (reins, vess
emploi de ce médi-cament la bénignité des accidents fébriles dans les cas qu'il a ob-servés. Ce fait aurait pu être affir
l'uréthrotomie. Cette dernière partie est très-complète ; tous les cas y sont lon-guement et habilement discutés; de plu
étail est si bien à sa place que le chirurgien trouvera rapidement le cas parti-culier qui l'occupe ; aussi ne saurions-nou
bstract of notes of fifty cases of Cancer of the Breast,ne cite aucun cas relatif à l'homme [the Lancet, 1803, vol. 1, p. 6
t pour titre : Diseases of the Breastin the maie, et comprenant douze cas ¡ il n'y a pas un seul exemple de cancer. [Ibid, 1
i, dans le journal the Lancet (1864, vol. II, p. 267), la relation du cas suivant : Observation.—Cancer du sein chez un h
ordinai-rement comme pathognomoniques du cancer. Nous traduisons le cas qui suit des Reports of the Dublin Patho-logical
s lésions qu'on voit dans le squirrhe. La seule particularité de ce cas qui fût digne d'intérêt, c'est que la tumeur du s
tomique, si riches en faits patho-logiques, renferment aussi quelques cas de cancer de la mamelle chez l'homme ; malheureus
en 1837 (t. XII) et en 1852 (t. XXVII. p. 28) nous en trouvons deux cas ; en 1860, en 1865 et en 1866, nous trouvons troi
deux cas ; en 1860, en 1865 et en 1866, nous trouvons trois nouveaux cas que nous allons rapporter avec la courte mention
umière et qui masquent le nucléole et même le noyau1. » Le deuxième cas , observé en 1865, est accompagné de cette sim-ple
evenue le siège d'une hémorrhagie assez abondante *. » Le troisième cas est tout simplement indiqué par celte courte note
in, et pour terminer cette simple notice, nous signalerons en-core un cas de cancer du sein chez l'homme dont nous trouvons
ssez rapidement et la malade est sortie tout à fait guérie. Dans ce cas , la température vaginale a présenté des oscillati
e son petit volume avait mise à l'abri des cautérisations. Voilà un cas dans lequel il a été fait usage de deux caustique
gnac, serait toujours primitivement fétide et pourrait, dans certains cas , les ostéomyélites, contenir des gouttelettes hui
indiquaient une ostéomyélite. C'est là un fait vrai dans beaucoup de cas , mais sur lequel il ne faudrait pas se fonder abs
ent loin d'être exclusives. On trouve dans les observations nombre de cas douteux et qui établissent la transition entre le
es présen-tent d'ailleurs une mobilité fort remarquable dans certains cas . La langue reste tantôt rouge, pointue, petite,
affecté. — La céphalalgie est souvent très-vive. Il y a dans quelques cas une hyperesthésie géné-ralisée (Louvet). Le malad
, alternent avec le délire, et fi-nissent par prédominer. 1 Dans un cas de périostite phlegmoneuse diffuse de l'extrémité
émise par M. Hirtz dans son article sur la Chaleur2, et mentionner un cas observé par M. Hutchinson. Parlant des ma-ladies
empérature normale. périodiques. Nous allons maintenant exposer les cas que nous avons recueillis et voir s'ils concorden
, elle était descendue à 51°,5. (Fig. 4). Nous trouvions donc dans ce cas la confir-mation des résultats thermométriques en
plus importante, sans contredit, celle qui, peut-être, dans nombre de cas doit être considérée comme le point de départ des
mique, la forme peritoneale peut se rencontrer isolée; mais, dans ces cas , l'inflammation ne se borne pas â la sé-reuse qui
., De l'ovarite des tuberculeuses et des cancéreuses. Dans ce dernier cas ,l'inflammation aiguë de l'o-vaire s'est manifesté
les causes occasionnelles des affections inflammatoires. Dans l'autre cas , à cette première cause s'en ajoute plus souvent
lle siège au-dessus du pubis, entre la matrice et les flancs; dans un cas , M. Gallard l'a constatée dans un point qui se tr
ue de phocomélie pelvienne unique ; le fait pré-cédenten constitue un cas remarquable. Debout en a réuni plusieurs observat
cette observation, sauf sur un point, le siège de la lésion. Dans les cas d'après lesquels est faite sa description, et d
ieds et des mains. Cette différence est insuffisante pour faire de ce cas une nouvelle variété. On peut se demander encor
ce cas une nouvelle variété. On peut se demander encore si, dans ce cas , il ne s'agit pas d'une éruption artificielle. Lo
e irritation chronique et diffuse. — On doit donc considérer certains cas d'atrophie mus-culaire comme des lésions de nutri
tions requises. Ajoutons qu'elle peut avoir existé dans plusieurs des cas où elle n'est pas in-diquée, car nulle part il n'
uses des cornes antérieures n'ait été observée jusqu'ici que dans des cas d'atrophie musculaire progressive s'éloignant man
VATIONS SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES par bourneville 1 V. deux cas de déchirure du périnée (Suite). Nous abordons
: Klose en donne un; Bœckel en signale un second. A côté de ces deux cas , on en voit d'autres où un traitement antiphlogis
ut pas compter. La marche de la maladie est fort variable. Dans les cas simples, le mal débute par une douleur plus ou mo
ée. Plus souvent on incise dès que la fluctuation apparaît. Dans ce cas , la fièvre peut tomber immédiatement et la plaie
e montrer avec une intensité très-variable. Dans un certain nombre de cas , la marche est surai-guë. Un enfant observé par B
ai-guë. Un enfant observé par Bœckel meurt au troisième jour. Dans le cas de Coîson, où la péricardite a peut-être joué un
oué un rôle, la ma-ladie dure cinq jours ; cinq jours encore, dans un cas signalé à la Société de chirurgie, en 1865, par M
ième et souvent trentième jour, sans avoir discontinué. Dans d'autres cas , il y a état typhoïde ; l'abcès est ouvert, il su
ent, des complications surviennent, et le malade succombe. Dans des cas plus heureux, la rémission se maintient, ou il y
typhiques semblent du reste se rencontrer plus fré-quemment dans les cas où la médullite gagne profondément. Un point do
int douloureux trouvé suffit encore à fixer l'attention. 11 est des cas où peut-être l'état typhoïde est tel que le malad
lisée que nous avons signalée dans la symptomatolo-gie. Dans tous les cas , l'erreur ne peut être évitée que par une étude s
nutile de chercher des subtilités de diagnostic. Dans l'un et l'autre cas , on incisera, et, par l'incision, on ira voir s'i
nt les médullites sous-périosti-ques syphilitiques qui, dans certains cas , assez rares du reste, pour-ront prendre une marc
e à l'aide d'appareils spéciaux et non avec la seringue, car dans ces cas on évite la coagulation du sang, coagulation qui
e la transfu-sion à des animaux de différentes espèces. A propos d'un cas de transfusion du sang dont M. Thaon a fait part
g défibriné, M. de Belina a obtenu trois succès certains : 1° dans un cas d'éclampsie puerpérale dans l'état asphyxique; 2°
dans un cas d'éclampsie puerpérale dans l'état asphyxique; 2° dans un cas d'asphyxie d'un enfant nouveau-né; 5° dans un cas
hyxique; 2° dans un cas d'asphyxie d'un enfant nouveau-né; 5° dans un cas d'anémie profonde, suite d'hé-morrhagie utérine.
rine. La transfusion du sang peut encore être em-ployée dans d'autres cas , et c'est un moyen qu'il ne faut pas négli-ger. Q
uand même il ne sauverait qu'un malade sur cent? Ainsi donc, dans les cas d'anémie profonde, dans les hémorrhagies abon-dan
ou par causes traumaliques, dans l'asphyxie des nouveau-nés, dans les cas d'empoisonnement par l'oxyde de carbone, la trans
à ne pas perdre de vue cet important mode de traitement qui, dans des cas donnés, est le seul qui puisse sauver la vie. »
encontrée que six fois à l'époque où il a publié son ouvrage. Dans un cas , la contracture occupait un seul membre ; dans de
insi dire, la règle, dans la con-tracture hystérique. Dans ce dernier cas , la flexion permanente de la cuisse et de la jamb
téraux sont sclérosés; mais je l'ai observée également dans nombre de cas où la contracture hystérique s'est terminée par l
ue nous venons de rappeler pourraient, à la rigueur, s'appliquer à un cas d'hémi-plégie organique, résultant d'une lésion p
rigidité très-marquée. Ce serait là une anomalie considérable dans un cas d'hémiplégie consécutive à une lésion cérébrale,
un cas d'hémiplégie consécutive à une lésion cérébrale, car en pareil cas la rigidité tardive se manifeste toujours de préf
rhagie ou au ramollissement du cerveau ; constam-ment dans ce dernier cas , la contracture s'établit lentement, d'une manièr
11 en sera de même encore dans le fait suivant, qui est relatif à un cas de paraplégie hystérique. B. Alb..., âgée de 21
plus simple, je le répète, que l'interpré-tation clinique de ces deux cas , en ce qui concerne le diagnostic. Mais voici le
s, en ce qui concerne le diagnostic. Mais voici le point où, dans ces cas même et dans les cas analo-gues, des difficultés
le diagnostic. Mais voici le point où, dans ces cas même et dans les cas analo-gues, des difficultés sérieuses peuvent sur
ues jours, dans un an ; on ne peut rien préjuger à cet égard. En tout cas , si la guérison a lieu, elle pourra être soudaine
'occasion de ces promptes guérisons. J'ai vu dans cet hospice trois cas de ce genre que je vous de-mande la permission de
us de-mande la permission de résumer brièvement. 1° Dans le premier cas , il s'agissait d'une contracture d'un mem-bre inf
ure était la seule manifestation de la grande névrose. 2° Le second cas concerne une femme également atteinte d'une contr
nlement moral que pro-duisit cette accusation. 3° Dans le troisième cas , la contracture avait pris la forme hémi-plégique
le danger qu'il y aurait pour lui à décréter l'incurabilité dans les cas de ce genre. » (Th. Laycock, A Trcotise on the ne
decine rétrospective et dans lequel on trouve l'histoire de plusieurs cas de paralysie guérie après des pè-lerinages faits
u où les restes du roi Louis IX venaient d'être déposés. Trois de ces cas surtout sont intéressants pour nous à cause de la
e de cette paraplégie avec rigidité des membres? Evidemment, dans les cas récents de contracture hystérique, la modificatio
opie la plus minutieuse ne serait pas en état de retrouver, en pareil cas , les traces de cette altération. Mais en est-il d
cas, les traces de cette altération. Mais en est-il de même dans les cas invétérés? Non, Messieurs ; je crois pouvoir avan
celle qui tient sous sa dépendance la contracture permanente dans les cas de scléroses en plaques ou fasciculées — ces cord
n'est-elle pas au-dessus des res-sources de l'art; mais,dans tous les cas , elle ne permet très-certai- 1 Société médicale
il quelque signe qui permette d'indiquer, à coup sûr, le caractère du cas , de savoir par exemple si la sclérose a défini-ti
Je n'ai observé, jusqu'à présent, ces derniers symptômes que dans des cas de contracture hystérique de date très-ancienne e
d'un membre, soit même deux membres, ou plus encore. Mais il est des cas où la rigidité spasmodique reste limitée à quel
nt le Dr B. Roddaert a communiqué à la Société de médecine deGand1 un cas de ce genre fort intéressant. La contracture avai
Messieurs, rapportera mon tour dans tous ses détails l'histoire d'un cas qui rappelle celui qu'a publié M. Boddaert. Qu'il
r s'opposant à la dilatation de la cage thoracique, et, dans quelques cas même, refoulant le poumon et le cœur. Par l'ins
ore ce sera un signe assez délicat, puisque nous ne voyons dans aucun cas que ce signe ait été observé par le clinicien. Ai
t observé cette maladie en Islande, voici comment se répartissent 255 cas d'affections hyda-tiques : Les contusions de la
on ne sent plus son bord antérieur, qui est tranchant dans le premier cas . Les com-mémoratifs seront utiles et la percussio
les kystes de la rate avec les kystes de l'ovaire; tel est surtout le cas de la jeune fille opérée en 1867, par M. Péan, et
de pain d'épices. On a essayé le collodion avec succès dans quelques cas . En résumé, je vous recommande les ca-taplasmes e
la coïncidence des furoncles et de la sciatique. Nous pensons que ce cas est tout à fait comparable aux cas de zona qui se
la sciatique. Nous pensons que ce cas est tout à fait comparable aux cas de zona qui se manifestent sur le trajet d'un ner
es trous de conjugaison, par des productions morbides, ou encore à ce cas d'éruption d'ecthyma que M. Charcot a observée su
es raisons que nous venons d'énumérer, nous croyons donc que, dans ce cas , l'éruption furonculeuse doit être rangée dans la
etc., p. 108. 2 "Voy. Mouvement médical, octobre 1871. Le dernier cas remarquable de ce genre que nous ayons vu date de
ux que les sédiments uriques. Les graviers phosphatiques ont, dans ce cas , une beaucoup plus grande tendance que les oxa-la
ints de catharrhe avec dia-thèse phosphatique, et nous connaissons un cas où cette formation d'un calcul se répéta cinq foi
er le parcours du canal de l'urèthre ; et cependant la sonde, dans ce cas , est toujours le dernier moyen auquel il faille r
aux, rapi-dement faits, auront augmenté son volume. L'expérience de 8 cas m'a appris que ces petits calculs finissent toujo
e, on arrive le plus souvent à expulser la pierre. Il ar-riva dans un cas que le malade, après être allé chercher son mé-de
sonde retirée, le calcul fut expulsé avec l'urine. Dans un troisième cas , l'expulsion se fit dans le bain, sans le secours
on augmente ainsi les chances de succès. Il va de soi que, dans les cas extrêmes, il ne reste d'autre moyen que de repous
urant de mon travail sur la nature des concrétions urinaires, dans le cas de pouvoir examiner l'urine, dans laquelle se tro
t catarrhal et du sédiment avant qu'il se concrète. Dans le premier cas , le calcul pesait 54 milligrammes, était d'un bla
olument la même composition chimi-que que le premier. Dans les deux cas aussi, l'analyse de l'urine donna le même ré-sult
rent, les inférieures devenant d'autant plus trou-bles. Dans les deux cas , l'urine sentait la levure. Son poids spécifi-que
du scrotum spontanément développée, croit, tout en admettant, dans le cas précédent, la section incom-plète du nerf musculo
rvé rendra certainement de nombreux et importants services. Dans ce cas , la balle a pénétré dans le canal médullaire de l
men des parties, fait au moment de l'accident ou peu après. Dans ce cas , certainement, si j'avais réséqué ce qui restait
nnement normal de la peau. J'ai été conduit à cette pratique dans les cas de plaie ordinaire, par les résultats si heureux
que ces moyens convenablement employés m'ont toujours donnés dans les cas d'intoxication urineuse. En résumé, agir ainsi,
rate-sagou), donné par Virchowà la rate ainsi modifiée.—Dans d'autres cas , la lésion respectant les corpuscules, envahit le
vant l'âge, le sexe, les milieux, etc. D'après Wagner (relevé de 48 cas ), Frerichs (relevé de 68 cas), et Fehr (relevé de
eux, etc. D'après Wagner (relevé de 48 cas), Frerichs (relevé de 68 cas ), et Fehr (relevé de 144 cas), la dégénérescence
elevé de 48 cas), Frerichs (relevé de 68 cas), et Fehr (relevé de 144 cas ), la dégénérescence amyloïde peut se mon-trer à t
t y être plus sujet que la femme (87 hommes, 57 fem-mes , d'après les cas relevés par Fehr). L'altération paraît plus fréqu
observations où le volume est nettement indiqué, nous avons trouvé 4 cas où on constatait une diminution du volume de l'or
ns lesquelles se développe la dégénérescence. Cependant dans certains cas liés à la cachexie syphilitique, la lé-sion a pu
e de la rate sont modifiés; elle est hypertrophiée, ramollie dans les cas aigus, endurcie quand la maladie suit une marche
'extirpation de ce genre de tu-meurs. Nous connaissons trois autres cas de tumeurs fibro-pJastiques tout à fait analogues
cêtre et les deux autres dans la pratique civile. Dans ces différents cas , la tumeur avait acquis un volume considérable et
pédicule très-court renfermant de nombreux vaisseaux. Dans les deux cas que nous avons observés, en dehors des établis-se
ion d'une surface de té-guments si considérable et dit que, en pareil cas , il avait eu à se louer de procéder de la manière
urs de s'assurer par eux-mêmes que les différences, au moins dans ces cas , sont médiocre-ment tranchées. Observation XI.
ue. A part la disposition générale de la main qui est — dans tous ces cas — à angle droit sur l'avant-bras ; à part aussi,
ns du fait dont il s'agit, que le diagnostic peut être établi dans ce cas par exclusion, et qu'en tenant compte, d'une part
on du foie, de l'intestin, etc.; 5° dans les traumatismes ou dans les cas où la rate est le siège de tumeurs ou de formatio
roduire, à elle seule, la congestion, car elle est très-rare dans ces cas où il y a une sorte de gêne mé-canique, alors qu'
importants; elle peut cependant permettre de constater, dans certains cas , une voussure de l'hypochondre gauche et, quelque
n pro-nostic surtout aux maladies concomitantes ; toutefois, dans des cas très-rares, la congestion de la rate peut avoir u
r l'éternu-ment, par la marche; la pression l'exaspère, dans quelques cas , elle la diminue. Cette douleur est continue ou i
Dans la marche de la splénite aiguë nous devrons considérer plusieurs cas : la maladie est très-aiguë, grave; — la maladie e
ave; — la maladie est moins intense ; — la maladie guérit. Dans les cas graves, l'invasion est marquée par un ou plusieur
la mort qui arrive 5, G, 8 ou 10 jours après l'invasion. Dans les cas moins intenses, les symptômes aigus s'amendent au
gnes d'une péritonite subaiguë, suivis bientôt dé la mort. Dans les cas heureux, la splénite aiguë ne se termine pas par
fragments de fibrine, du sang ; cela est vrai dans un grand nombre de cas , mais dans d'autres, le pus blanc et verdâtre res
ns longtemps après la vio-lence, des traces de suppuration. En pareil cas , l'existence de l'in-flammation n'est pas douteus
ntérieurement ne faisait prévoir l'existence de ces collections ; ces cas sont rares. , Les fièvres paludéennes peuvent-e
des vésicatoires ou des cau-tères ; médication antipériodique dans le cas où l'on soupçonnerait l'intoxication paludéenne :
ns que les préparations arsenicales pourraient être employées dans le cas où le quinquina n'aurait pas réussi. • . • "î R
intensité, mais elle affecte, en général, une marche progressive, les cas de guérison spontanée sont rares ; nous n'en conn
suivre cette observation d'un résumé analytique par M. G. Pelticr des cas analogues publiés dans divers recueils. Afin de m
haque muscle en particulier ; — dans la troi-sième, sont examinés des cas plus complexes, tels que la paralysie de plusieur
p. Le clinicien rompu à leur usage les appellera tour à tour dans les cas embarrassants. On ne peut donc s'empêcher d'adm
e mettre en relief. C'est ce que nous allons essayer de faire pour le cas actuel. Au n° 5 de la salle Sainte-Jeanne est c
qui ont été signalées, pour la première fois, par M. Charcot. Mais le cas actuel diffère, à beaucoup d'égards, du type que
s arthropathies tardives. M. Charcot a vu, tout récemment, débuter un cas d'ataxie par une de ces affections arti-culaires
gra-vité excessive des désordres qu'elles occasionnent. En effet, les cas les plus graves appartiennent aux périodes les pl
'est accom-pagnée d'aucune réaction fébrile ; cependant dans quelques cas exceptionnels, celte réaction se produit, et notr
soit séreuse, soit sanguinolente, se produit dans sa cavité. Dans le cas actuel, il est probable que du sang s'est épanché
le plus souvent la perte des fonctions du membre; toutefois, dans les cas légers et surtout dans les arthropathies précoces
i publié il y a quelques années sur ce sujet, j'en avais rassemblé 18 cas . En y joignant quatre ou cinq faits observés par
peu-vent offrir ces accidents, des résultats assez singuliers. Sur 18 cas , l'affection s'est portée 11 fois sur les genoux,
d'autres jointures ; l'épaule gauche n'avait ja-mais été affectée; le cas actuel est donc unique en son genre. Jus-qu'à pré
llaire. L'anatomie pathologique nous apprend en effet que, dans les cas de cette espèce, il existe une atrophie prononcée
e. Cette lésion, que M. Charcot a déjà constatée dans quelques autres cas semblables, est manifes-tement le point de départ
est donc favorable, la récidive étant très-rare dans l'un et l'autre cas . PATHOLOGIE INTERNE RUPTURES DE LA RATE par
58.) Playpair. — Gazette médicale, 1859. Meunier.— Rapport sur un cas de rupture de la rate. (Bulletins de la Soc. an
le, depuis quelques grammes jusqu'à un kilogramme. Dans ces der-niers cas , la masse intestinale est imbibée du liquide : le
aillot mou et diffluent, l'autre pro-fonde et moins altérée. Dans les cas où le traumatisme a été des plus violents, on obs
la rate, il y a de plus une condition morbide très-fréquente dans les cas de rupture : c'est le ramollis-sement. La moindre
tes, a rencontré, dans une période de deux ans et demi, plus de vingt cas de rupture de la rate. (Gazette médicale, 1859.)
marche moins rapide, dans laquelle la vie se prolonge. Les premiers cas sont, sans contredit, les plus nombreux, mais la
qu'if est à peu près impossible de ne pas les confondre avec tous les cas d'hémorrhagie interne par rupture d'un organe que
mités se glacent et la mort arrive en quelques heures. Ce sont là les cas les plus fréquents. Les seconds cas, les moins
quelques heures. Ce sont là les cas les plus fréquents. Les seconds cas , les moins nombreux, peuvent senir cependant à tr
iguë, lancinante, cruelle, atroce ; elle est accompagnée, suivant les cas , de chaleur, de brûlure, de plénitude, de pesante
ammé. Cela s'explique, quand la mort a été instantanée ; mais dans le cas où la vie s'est prolongée au delà de vingt-quatre
mort arrive immédiatement ou en l'espace de quelques heures : dans ce cas , elle peut être due à deux causes, ou à l'abon-da
ens sur l'emploi avantageux du hachisch dans le choléra et il cite le cas de M. Villemain. a Le hachisch, dit-il, répond à
et par M. Legroux à l'hôpital Beaujon. Il s'agissait, dans ce dernier cas , d'une femme atteinte de choléra peu de jours apr
Oullremer du Margat a donné également le hachisch avec succès dans un cas de choléra. Les symptômes étaient graves : refroi
s ce mémoire, nous trou-vons que le hachisch fut administré dans cinq cas : il y eut trois guérisons. Si, d'une part, on tie
algidité, crampes, etc.; si d'autre part, on considère que, dans des cas analogues, les autres remèdes employés restaient
llée pour combattre les symptômes de la rage ; nous avons trouvé deux cas dans lesquels on a eu recours à ce médicament : t
dépouillée des horreurs qui l'accompagnent ordinairement. Le second cas , relaté par le professeur Polli, de Milan, con-ce
ient à une lésion de cet organe, il croit qu'il ne s'agit pas là d'un cas de cirrhose. M. Hardy fait re-marquer en outre qu
ite de lésions traumatiques de la moelle, par le même, 68; — dans les cas de compression de la moelle, 69 ; — dans le cours
Société de biologie (anal. G. Peltier), 61. — Examen clinique de 596 cas de rétré-cissement du bassin, par E. Rigaud (anal
66 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le service de notre excellent maître, M. le Professeur Raymond, un cas de maladie de Raynaud et un cas d'érythro- méla
aître, M. le Professeur Raymond, un cas de maladie de Raynaud et un cas d'érythro- mélalgie chez des hystériques hypnot
ntes et de modifier les symptômes par les procédés habituels. Ces cas affirment les relations qui existent entre les de
autour d'elle. Elle entend raconter par un assistant qu'il a vu un cas de maladie de Raynaud qui a duré plusieurs anné
teurs, examinées à ce point de vue. La même remarque s'applique aux cas d'érythromélalgie, au FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTH
s doute des troubles vaso-moteurs et qui, dans un certain nombre de cas , donnent à l'albuminurie rhumatismale une physi
est confirmé, car la malade est en pleine période des grandeurs. Cas . IV. D... femme Ch ? 53 ans. Pas d'antécédents hé
aux travaux de Meynert et Fritsch. Seulement Fritsch a désigné ces cas sous le nom de Verwirr- theit (confusion mental
no- mènes catatoniques de Kalilbaum s'observeraient dans les deux cas (primoere Yerrucktheit acute hallucinaio ? ,ische
ont pas rares. La guérison s'effectue lentement; dans bon nombre de cas , il y a chronicité irrépa- rable. Quelques-uns
time qui existe entre la peau et les organes sous- jacents. Dans ce cas l'irritation réflexe se produit en sens contraire
DE la moelle; par Hale WHITE. (B7-ain, Part. Ill, 1893, p. 375.) Cas de compression de la moelle au point d'origine de
t Wills et Dudley CoopER. (Brain, Part. III, 1893, p. 362.) Trois cas d'oedème hystérique. Dans le premier cas, il surv
III, 1893, p. 362.) Trois cas d'oedème hystérique. Dans le premier cas , il survint à la suite d'érythème autour de l'o
la face, et revenait par accès. Enfin l'auteur rapporte deux autres cas d'oedème, l'un chez un paralytique général, l'aut
le nerveuse est la condition essentielle de la maladie. P. S. VI. Cas DE fracture DE la COLONNE vertébrale avec LÉSION
n du NERF ; par SAVILL. (Brain, part. III, 1893, p. 452.) Dans ce cas où un pouce et demi du tronc nerveux fut enlevé,
ncilier les contradictions qui existent encore entre les différents cas cliniques d'hémiopie pour établir le siège cortic
inions sur le siège des aphasies sensorielles et pense que tous les cas nouveaux publiés devraient être accompagnés de
nts aux sur- faces excitées. L'auteur rapporte un certain nombre de cas expéri- mentaux avec schémas à l'appui pour mon
on aux centres nerveux dans les maladies viscérales. P. S. XI. UN cas DE dégénération descendante DU LEMNISCUS, CONSÉCU
musculaires, glandulaires, médullaires, métaboliques). P. S. XIV. Cas DE tumeur DE la protubérance ET DE l'espace IKTER
ale appliquée aux mêmes régions cutanées. J.-C. CHARCOT. XVII. UN cas DE ramollissement aigu du cerveau; par Ph. ZENNER
L'auteur insiste sur la difficulté du diagnostic dans de semblables cas avec l'hémiplégie hystérique. J.-B. C. XVIII.
e semblables cas avec l'hémiplégie hystérique. J.-B. C. XVIII. UN cas DE GLIOtATOSE DE la moelle (avec syringomyélie) a
nal of nervous and mental diseuse, septembre 1894.) Dans bien des cas , il est préférable de se servir du terme glio-
cesser presque brusquement les attaques comitiales et dans tous les cas de les rendre beaucoup moins fortes et moins fr
nt la méthode employée par Flechsic et, après l'avoir essayé sur 36 cas , arrive aux conclusions suivantes : 1° Dans pre
r 36 cas, arrive aux conclusions suivantes : 1° Dans presque chaque cas où ce traitement a été expérimenté, il y a eu u
; 5° cette méthode de traite- ment est surtout profitable dans les cas anciens et invétérés; 6° on ne peut le recomman
les cas anciens et invétérés; 6° on ne peut le recommander dans les cas récents; 7° ce trai- tement est un adjuvant imp
permet l'application simultanée de tout autre. J.-B. CHARCOT. V. UN cas DE 3tYXDÈ31E traité par la glande thyroïde DU mou
théorie thyroïdienne de la maladie de Graves. Deux observations de cas traités par la thyroïdectomie, par J.-ArLhur Bo
er à la dose de 3 grammes dans les vingt-quatre heures que dans les cas d'angoisse et d'agitation vives, car, au sur- p
mment comprendre que, par prédisposi-" tion, on puisse, suivant les cas , boire beaucoup sans devenir aliéné ou perdre l
e la paralysie agita ? zte. DE Frankl-Hochwart. Présentation d'un cas de névrite brachiale. Hirschl. Présentation d'un
sentation d'un cas de névrite brachiale. Hirschl. Présentation d'un cas d'a- myotrophie spinale. C. 141AYEn. Lésions an
a moelle dans les tumeurs cérébrales. DE SOFLDFR. Présentation d'un cas de pfM'(H7M/0<OK ! 'e. Voilà pour l'année
occupées par les sujets suivants : JANCHEN. Présentation de deux cas de névrose traumatique. SCHLESINGER. Présentati
de deux cas de névrose traumatique. SCHLESINGER. Présentation d'un cas de tétanie dans la dilatation stomacale. C. Mat
lie systématique. (paranoïa) originaire. PINELES. Présentation d'un cas de paraly- sie bulbaire (type E ! '&-GoM/ !
e du système nerveux central de famille. Redlich. Présentation d'un cas de dystrophie musculaire tardive. Narath. Prése
'un cas de dystrophie musculaire tardive. Narath. Présentation d'un cas de gangrène artificielle chez une hystérique. S
ne artificielle chez une hystérique. ScHLEsiNGER. Présentation d'un cas d'hypertrophie mus- culaire dans la syringomyél
d'atrophie musculaire étendue. DE KpAFFT-EBtNG. Présenta- tion d'un cas d'hystérie chez l'homme (apoplexie hystérique).
ato- mique de M. Hebold (obs. I) était exacte. M. SELLE. Quelques cas d'idées présomptueuses ou d'exagération. Dans l
1892, M. Wer- nicke émet l'opinion que sans doute aucun il y a des cas de délire de chicane caractérisés par un délire
iscuter et un peu irritable, elle a une soeur épi- leptique. , Ce cas vient donc à l'appui de l'assertion de Wernicke,
it la même chose dans la dernière séance. Il a, en effet, dans le cas qu'il a présenté, mis en lumière l'existence d'
tteints de psychopathies d'un autre ordre. Il y a souvent, dans les cas choisisparl'auteur, trèslontemps que la folie e
eu lieu, au moment où le même sujet devient para- lytique ; dans un cas même il y avait trente-deuxans décela. Parmi le
dité entre celle-ci et celle-là n'est point aussi long que dans les cas de M. Neisser. Les anciens médecins ont beaucou
disparu de la bibliographie contemporaine. M. Wernicke. En pareil cas , suivant moi, les lésions anato- miques des psy
ma en paralysie générale des plus nettes. A côté de cela il y a des cas de paralysie générale qui ressemblent à une para-
e hystérie spéciale mais une variété de la grande névrose. Certains cas , considérés comme des accès pernicieux, peuvent ê
du crâne; par Alvin, Eyer et Noble. ( ? ..6. J., XI, 3.) C'est le cas d'un employé aux chambres de réfrigération blessé
des experts; par Henry Mott. (ill. L. J., XI, 3.) Relevant quelques cas de contradiction d'experts en justice, l'au- te
lle Isak- Gioî-giezi)ic. Admissions.-Elles ont lieu directement, en cas de nécessité, sans avis du Ministre, sur la déc
ou une tutelle partielle qui convient. Mais la loi n'a pas prévu le cas ; elle ne parle que de l'interdiction totale. Or,
même de ses affaires, d'administrer ses biens. Or, tel n'est pas le cas (dit la plaidoirie). On ne constate d'ano- mali
able, mais les motifs qu'ils allèguent ne sont pas solides. En tout cas leurs conclusions hasardées ne lient point les ma
bien définies; on ne saurait l'étendre, sans confusion, aux divers cas assemblés dans cet article. La première représe
le groupe des basophobies, dont MM. Debove et Boulloche ont cité un cas bien typique' . La deuxième et peut-être la tro
la part de cette influence sur les désordres de la marche, dans le cas présent ? C'est ce que nous ne saurions dire, d
e rangerait dans la catégorie de dysbasies à laquelle appartient le cas suivant'. III. Dysbasie par LÉSION organique DU
ement nettement le monde extérieur. Mais il ne faut pas oublier les cas complexes de confusion mentale (amentia) avec m
une profonde démence. Les troubles de la catatonie sont, en pareils cas , désignés sous le nom d'ameiata'a, c'est-à-dire
n mentale, avec stupeur. Wille en a donné des exemples très nets de cas aigus, qu'il a qualifiés de Verwirrtheit. L'obn
entale (Verwirrtheit) secondaire par leur énorme abondance; dans ce cas , elles empêchent la formation de conceptions dé
sous le nom de manie hallucina- toi,e. Dans l'immense majorité des cas , cette paranoïa halluci- natoire violente se ra
- tions délirantes et hallucinations. Dans l'immense majorité des cas , cette confusion mentale (ou somniation avec obnu
, l'épilepsie et la neu- rasthénie. Il va de soi que, dans tous les cas où la confusion mentale est la phase ou le stad
s et présente une marche défavorable, abstraction faite de quelques cas dont le diagnostic est douteux. La Verrüclcthei
tement formée ou après son entier déve- loppement ; dans le premier cas , elle apparaît comme la fon- dation de l'édific
atoire chronique (chronische hallucinatorische paranoïa); en pareil cas , on constate généralement une agitation morbide
. La sponta- néité quasi indépendante de ces symptômes, suivant les cas , et la subordination au contraire invariable de
dination au contraire invariable de la désorientation dans tous les cas est le thème exposé par M. Ziehen. La confusion m
tés qui étaient le siège del'affec- tion. Mais, comme dans d'autres cas d'asphyxie locale ici à un degré très marqué, c
NERVEUSE. consacré sa dissertation inaugurale (d872) à l'étude d'un cas de maladie de Raynaud.Il décrit sous le nom d'a
aussi le rhumatisme arti- culaire aigu. Bien plus, dans certains cas , l'hystérie apparaît en propres termes dans l'o
libre. 108 PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous avons trouvé d'autre part un cas de maladie de Raynaud modifié par l'hypnotisme
veu. Elle travaillait au ' Raynaud avait déjà dit : « Dans quelques cas l'apparition de la maladie nous semble provoqué
de boule, des énervements pro- ' Dans sa thèse, Raynaud signale le cas de deux frères, l'un âge de douze ans, l'autre
nviron un quart d'heure après les scarifications. » Dans certains cas de la thèse de Raynaud, on peut deviner l'influ
sensation de brûlure, pleurs et rires involontaires, il signale un cas , dû à Lamotte, de para- lysie traumatique, avec
e peuvent, dans certains accès, apparaître spontanément. Il cite un cas de Volfius où un état semblable apparut à la su
Trois observations recueillies par des tribunaux anglais. Dans un cas , une compagnie d'assurances se retranchait, pour
e déchéance; elle fut néanmoins condamnée à payer. Dans un deuxième cas un homme accusé d'excitation au meurtre ne fut co
dans un établissement spécial pour intempérants. Dans le troisième cas , un meurtrier fut acquitté par le jury; c'était
ann, Kasper, Loran, Krafft-Ebing, Kandinsky ont publié des nombreux cas de ce genre. A son tour, M. Naoumotf rapporte u
tative non tuberculeuse. Le mode d'intervention opératoire dans ces cas n'est pas encore fixé. Est-ce la myélite consécut
Observation à propos de laquelle les auteurs rappellent quelques cas analogues de publication récente et recherchent l
ec contracture de la nuque et paralysie de la sixième paire dans un cas , ischémie papillaire et oedème rétinien à propo
ppellent la névrite optique signalée par Gowers et Taylor, dans des cas analogues. Ils inclinent à attribuer les accide
ite spinale; par le Dr Politakis. « ravivé ? t (a'' 13, 1893.) Le cas qui sert de base à cette étude peut se résumer ai
ale et la forme de la paralysie, se croit autorisé à considérer son cas comme une pachyméningite spinale à locali- sati
o-lombaire. - Il ne put trouver dans la littérature que très peu de cas de cette localisation de la maladie età symptom
mptomatologie très obscure et indé- terminée. Et, se basant sur son cas et sur quelques cas analogues publiés récemment
bscure et indé- terminée. Et, se basant sur son cas et sur quelques cas analogues publiés récemment par Bechterew, il é
nales. Quant à l'étiologie, M.Politakis ne peut incriminer dans son cas que l'influence du froid et un abus modéré du v
ut la considérer comme cause ou comme effet de la maladie. IX. Un cas d'ostéo-arthropathie HYPERTROPIIIANTE PNEUMIQUE
RD. (Nouv. Montpellier médical, 30 juin et 7 juillet 1894.) Dans le cas observé par Villard, les lésions de l'ostéo-arthr
124 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. blie, au moins dans beaucoup de cas , pourquoi ne pas admettre que le poison ou l'in
ne pas admettre que le poison ou l'infection se localisent dans ces cas sur le système nerveux, avec leurs habitudes sp
ue ou fonctionnel, tout au plus circu- latoire, tandis que dans les cas plus sérieux, on arrive à l'inflam- mation. L
térie est une névrose du système nerveux tout entier, sui- vant les cas , la localisation se fait plutôt sur telle région
; l'appareil a le très grand avantage d'être applicable à tous les cas de tremblements légers ou forts, puisque sa sen
ann. (Bi,aiii, part. II, 1894, p. 198.) On ne connaît guère que dix cas de lésion de la moelle dans l'anémie pernicieus
pernicieuse. Le premier a été signalé par Lichtein en 1887. Dans ce cas nouveau il s'agit d'une femme de cinquante-trois
ve. C'est à cette dernière opinion que se rattache l'auteur dans ce cas . P. S. XV. Pathogénie ET traitement DE la malad
Le cunéus et le gyrus angulaire n'étaient pas pris. P. S. XIX. UN cas D'HYSTÉRIE CHEZ UN enfant, caractérisé par DES at
- lioration. P. S. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 137 1 XX. CENT cas .d'épilepsie; état DE la réfraction ET traitement
HEZ DES enfants; par SUTHERLAND. (Brain, part. 1, 1894, p. 27.) 1 cas : Fille de deux ans; anémie, fracture de l'huméru
anguines, mort. A l'autopsie, hémorrhagie cérébrale et méningée. 2e cas : fille de quatorze mois, rachitisme, oedème de
cerveau; par Henry HANDFORD. (Brain, part. III, 1893, p. 440.) Deux cas de syphilis cérébrale, dont l'un accompagné d'acc
ablir un type de paralysie spinale syphilitique. Il rapporte quatre cas de syphilis médullaire à l'appui de ses vues. L
ns symptômes et persistance et chronicité des autres. Dans certains cas , par exemple, l'anesthésie ne durait que très peu
ue avec UNE DESCRIPTION CLINIQUE ET ANAT0310- pathologique DE TROIS cas DE PSEUDO-TABES diabétique; par Davies PRYCE. (
étique; par Davies PRYCE. (Brain, part. 111, 1893, p. 416.) Trois cas de pseudo-tabes suivis de mort, le premier avec m
ux planches histologiques accompagnent ce travail. P. S. XXVI. UN cas DE TUMEURS hydatiques INTRA-CftANIENNES avec hémi
du froid; sens musculaire complètement disparu. P. S. XXVIII. Un cas de maladie DE FRIEDREICH non héréditaire; par C
toute tare nerveuse; ses cinq frères ou soeurs de même. Sur les 23 cas de maladie de Friedreich signalés par l'Index med
res qui s'éta- blissent à l'état permanent. E. B. - XXXII. Sur un cas DE syndrome DE Weber; par M. LACOUR. (Revue neu
, qui amena la guérison. Cette observation montre que dans certains cas le syndrome de Weber peut ne pas comporter un p
la chorée tremblante ou la chorée paralytique. E. B. XXXIV. Sur UN cas d'athétose double; par les Drs BRISSAUD et IIAL
SAUD et IIALLION. (Revue neurologique, août 1893.) Il s'agit d'un cas typique d'athétose double qui présente quelques
foi, dans la maladie de Morvan prise en Bretagne, et, dans les deux cas , cet organe était manifestement altéré, ce qui
qui ne se présente guère dans la lèpre. Et même dans l'un des deux cas , la lésion était ma- nifestement une syringomyé
Nous avons pensé qu'il n'était pas dénué d'intérêt d'y adjoindre le cas actuel. Le dialogue des voix intérieures et extér
s du 136 SOCIÉTÉS SAVANTES. même mode pathogénique et, qu'en tout cas , si la congestion (encore n'est-ce là qu'un mot
en estimant que ce serait aller trop loin de dire que dans tous les cas le rein est malade. Mais il est étonné de voir
né de voir réhabiliter la saignée que, pour sa part, il réserve aux cas dont les apparences sont nettement congestives.
(30 à 40 grammes seulement). M. Vallon pense qu'il peut y avoir des cas où les attaques épi- leptiformes des paralytiqu
a récupéré la netteté et le calme de ses facultés. Mais, en pareils cas , quand on vient à suspendre l'opium, on constat
e V4'uhlgarten nous avons recours à la méthode de Flecnsig dans les cas où les attaques d'épilepsie se compliquent d'an
cause et non la conséquence de l'humeur. A côté de cela, il est des cas difficiles à apprécier; ceci s'applique notamment
e développement de la maladie, on peut, dans l'immense majorité des cas , déterminer si l'état de l'humeur, gai ou trist
ondamentaux de la paranoïa. La paranoïa aiguë délirante englobe les cas de confusion men- tale (Verwirrtheit) produite
l'incohérence. La paranoïa aiguë systématisée (sic) comprend les cas de folie intellectuelle aiguë dans lesquels il n'
usion mentale, que les hallucinations soient actives (ce qui est le cas le plus fréquent) ou non. M. Cramer. Communicat
é marquée à la douleur du cubital, c'est- à-dire dans 79 p. 100 des cas . Ce qui établit une proportion exactement inver
ander quelle est l'altération responsable de ce symptôme. En tout cas ce n'est pas à la moelle seule qu'il faut l'imput
ues, très grande fréquence des petites attaques. Les unes, c'est le cas le plus fréquent, sont caractérisées par des co
gîSe;ç;-\ rapidement n'est pas chose difficile dans la majorité des cas " ? "" mais, se prononcer sur certains cas de dé
cile dans la majorité des cas" ? "" mais, se prononcer sur certains cas de délire partiel, lutter contre la dissimulati
à l'appui de cette conclusion consolante une statistique de quinze cas de médecins aliénistes aliénés. P. S. X. Des al
les accidents sont rares. Depuis deux ans, on n'a signalé que deux cas de VARIA. 157 I grossesse chez des femmes ali
XIX. Mars 1895. ? 97 ARCHIVES DE NEUROLOGIE MÉDECINE LÉGALE. UN CAS DE FOLIE SIMULÉE. RAPPORT MEDICO-LEGAL; 1 P
n'est nulle FOLIE SIMULÉE. 165 part mieux approprié que dans les cas suspects de la folie simu- lée, c'est de ne se
des gangrènes spon- tanées. Après Riehl et Ehrl, Féré ' a publié un cas de gan- grène spontanée de la peau chez une hys
ez nom- breux pour fournir un argument péremptoire ; si, ni dans le cas d'Armaingaud, ni dans celui de Burot, ni dans l
grène n'a pas existé, il n'en est pas moins vrai que, dans quelques cas de maladie de Raynaud, chez des hystériques, le
prolongé pouvait produire la gangrène. Mais Scheiber a signalé deux cas de maladie de Raynaud ininterrompue pendant hui
. 168 PATHOLOGIE NERVEUSE. Enfin, ne peut-on croire dans certains cas à l'intervention de microorganismes qui se déve
tion de l'influx nerveux trophique ? Le fait est vrai dans certains cas d'infection secondaire. Nous avons observé une
s que la maladie de Raynaud, nous avons eu l'occasion d'observer un cas d'érythromélalgie qui peut servir de contre-par
ré une heure*. Cette observation est concluante, car elle montre un cas com- plet. Il va jusqu'à la guérison. Son étiol
vre rhumatismale comme antécédent morbide dans un certain nombre de cas . Le malade de Lannois avait été soigné pour des
nts rhumatismaux pendant son service militaire. Il est dans notre cas un fait frappant. La malade est atteinte d'hémi
is des douleurs. L'observation est explicite à cet égard. Dans ce cas , il a existé des phénomènes urinaires. Avant tout
observations. Déjà dans la discussion qui suivit la présentation du cas de Woodnut à la Société neurologique de Philade
dnut à la Société neurologique de Philadelphie, on dit que quelques cas devaient appartenir à l'hystérie. L'observation
istait en outre un gonflement avec sensibilité des testicules. Le cas de Seeligmuller survient au cours de la ménopause
l'hyper- hémie de la tète, du cou, et de la muqueuse buccale. Le cas de Baginsky est relatif à un cas d'hystérie infan
cou, et de la muqueuse buccale. Le cas de Baginsky est relatif à un cas d'hystérie infantile. On retrouve encore l'hyst
un cas d'hystérie infantile. On retrouve encore l'hystérie dans les cas de Sigerson, dont nous reparlerons, de Vulpian,
ont nous reparlerons, de Vulpian, de Graves, de Morgan. Sur ces 7 cas , 2 se retrouvent chez l'homme, 1 chez l'en- fan
élalgie est en général une maladie des hommes. On peut ajouter le cas de Weir Mitchell (obs. III, thèse de Lannois) o
'hystérie et une affection organique se trouvent associées. Notre cas intéresse aussi à cause de la guérison de la mala
ntéresse aussi à cause de la guérison de la malade. Si on laisse le cas de Graves « qui guérit en six ans contre toute
toute médication », dans sa thèse Lannois signale seulement deux cas de guérison, ceux de Grenier, où les détails nerv
Manuel de médecine, Boulay n'en signale pas d'autres. Or, dans le cas de Sigerson, on note l'impuissance, l'anes- thé
une guérison psychique plutôt que due à l'électricité ? Dans deux cas de Weir Mitchell et de Lewin et Benda, il s'est
HOLOGIE NERVEUSE. Il nous faut insister sur d'autres détails. Les cas d'érythromélalgie sont assez rares. Lannois en a
es. Lannois en a signalé 14. En 1892, il y en avait 20 de signalés ( cas de See- ligmuller, Voodnut, Auché-Lespinasse, M
, Morgan, Gerhardt, Sénator), puis Hénoch, Landgraf en publient des cas . Lewin réunit d'abord 33 observations, puis Lew
ations, puis Lewin et Benda, janvier 1894, en réunissent avec leurs cas personnels 40 cas. Nous avons eu l'occasion, ch
et Benda, janvier 1894, en réunissent avec leurs cas personnels 40 cas . Nous avons eu l'occasion, chez une femme de la
élalgie, qui seront l'objet d'un travail ultérieur. Dans le premier cas , il s'agit d'un homme de trente-neuf ans, qui pré
téraux d'érythromé- lalgie au niveau du pied gauche. Le troisième cas se rapporte a un malade de trente-deux ans névro-
lalgie des 2°, 3°, 4° orteils de chaque pied. Enfin, le quatrième cas que nous resignalerons plus loin est un exemple
résente une série d'autres phénomènes vaso-moteurs. 0 Ajoutons un cas d'érythromeiatgie localisée au lobule du nez chez
s arrêtera pas davantage (troubles urinaires, aedème2, etc.). Nos cas ajoutent de nouvelles preuves à l'influence des
ongue des troubles vaso-mo- teurs de l'hystérie. L'intérêt de nos cas est de montrer que pour les phénomènes vaso-mot
Il faut d'autre part noter l'influence de l'hypnose qui, dans nos cas , amène la guérison ou une amélioration assez cons
oduire l'oedème bleu4. Babinsky, Debove, puis Souques ont guéri des cas de polyurie par l'hypnose. Nous- ' réré. Pathol
é une ischurie en polyurie. Backmann » a guéri par la suggestion un cas d'hyperhidrose. Ce qui resterait à déterminer,
Ce qui resterait à déterminer, c'est pourquoi une émotion - dans un cas produit l'érythromélalgie, dans l'autre, la ma-
tiennent sous leur dépendance les actions vaso-motrices. Dans nos cas , les deux syndromes sont proches parents, issus
nes de Raynaud et de Weir Mitchell. Morel-Lavallée a a observé le cas d'une femme atteinte d'érythromélalgie avec' pa
e, 1893), crée le mot de phénomènes de Raynaud ; Kornfeld range les cas de maladie de Raynaud en trois classes (ŸViener
n, la réflectivité sont normales. La symétrie est absolue dans le cas observé : les pommettes et les oreilles sont at
contracture de la mâchoire. Ces réflexions sont applicables à notre cas d'affection de Raynaud. L'état de mal asphyxi
que en rapport avec une idée fixe sub- 1 Nous-même avons observé un cas d'érythromélalgie associé à la ma- ladie de Ray
érythromélalgie associé à la ma- ladie de Raynaud. Le diagnostic du cas peut être résumé : érythromé- lalgie sous forme
d'une excitation des vaso-moteurs de ces conduits. Dans certains cas , chez des femmes, l'appareil génital pour- rait
elles extré- mités. L'irritation centripète aurait dans nombre de cas pour siège primitif les extrémités elles-mêmes
aisons remarquer d'abord que la symétrie n'existe pas dans tous les cas . Encore récemment Zeller' a publié un cas de ga
'existe pas dans tous les cas. Encore récemment Zeller' a publié un cas de gangrène spontanée chez une femme de vingt a
s convulsifs de l'épilepsie, par exemple. Féré ' a publié plusieurs cas , dont un d'asphyxie c disséminée ». Le trouble
un foie dit vaso-paralytique, Iscovesco 2 a publié récemment trois cas d'asphyxie locale des extrémités. Dans la 1 y p
locale des extrémités. Dans la 1 y pémanie, Targowla a a montré un cas d'asphyxie locale intermittente. L'intérêt do
membres et du cerveau. La confirmation se trouve encore dans notre cas . Les phé- 1 Nouvelle Iconographie de la Salpêtr
e locale se produit'. : Quant à l'influence (non constatée dans notre cas des mens- trues), il faut tenir compte de la su
estibilité très grande des femmes à cette époque, au moins dans les cas hystériques de l'affection, où les phénomènes v
ganglions situés sur le trajet des fibres nerveuses. Suivant les cas observés, ils acceptent l'une ou l'autre des ex
urinaires, du gonflement avec douleurs testiculaires paroxystiques ( cas de Auché-Lespinasse). Notre cas montre d'aill
eurs testiculaires paroxystiques (cas de Auché-Lespinasse). Notre cas montre d'ailleurs d'une façon très nette le réfle
ues qui peuvent se trans- former l'un dans l'autre, et qui, dans le cas présent sont issus de la même névrose, l'hystér
eut-être systématiques mais plutôt hallucinatoire : dans le premier cas à lui seul il signifie sens délirant, dans le s
Spitzka, en Amérique, a conservé le nom de monomanie, mais dans le cas qu'il décrit, il signale l'affaiblissement des
élire (bredd) aigu, l'imbécillité, l'idiotie et le crétinisme, -les cas particu- liers. Après avoir reproduit la nome
INIQUE MENTALE. - DE LA PARANOÏA. 199 Dans la grande majorité des cas , dit M. Korsakow, la para- noïa apparaît comme
no- mènes sont très fréquents chez les dégénérés, mais il y a des cas de dégénérescences inaccessibles à cette démonstr
e la mémoire, que l'amnésie rétrograde ne se manifeste que dans les cas de strangulation criminelle et que « lorsque la s
M. Régis a trouvé dans la littérature médicale un certain nombre de cas d'amnésie rétrograde à la suite des tentatives de
Butakow (1890), Wagner (1891) ont signalé des faits analogues. Les cas de Wagner provoquèrent même de la part de Mobius
et ramené dans son pays. b M. Régis est d'avis que la rareté de ces cas diminuera dès' que l'attention des médecins ali
e maladie mentale. Parfois l'influence est favorable; dans d'autres cas , elle est nulle, et l'observation qu'il a publi
est nulle, et l'observation qu'il a publiée rentre dans ce dernier cas ; sans qu'il soit possible, dit-il, d'indiquer l
Noir. 204 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXVIII. Observation d'un cas DE NÉVROSE traumatique; par le Dr DERODE. (l3ul
qué appartenant à la zone radiculaire moyenne. La lésion, dans le cas présent, porte donc sur des aires corres- ponda
éri est souvent difficile à éviter, d'autant plus que dans certains cas le béribérique est en même temps un alcoolique
es uns aux autres par de nombreuses formes de transition et par des cas mixtes, types auxquels on pourrait donner le no
utopsie, les altérations des nerfs périphériques n'étaient, dans ce cas , ni aussi profondes ni aussi étendues que dans le
t peu à peu l'état mélancolique disparut à son tour. G. D. II. Un cas DE fétichisme DE souliers; par le Dr NACRE. (Bull
mentale de cette altération primitive de la névroglie dans certains cas et des éléments nerveux dans les autres serait
i jouent le rôle de véritables toxines. Dans un certain nombre de cas à cette auto-intoxication vient s'ajouter une int
vé le traumatisme est un syphilitique, un alcoolique, etc. Dans ces cas le trauma en modi- fiant la résistance du cerve
19 mai 1894, et Bi-ilish Médical Journal, 1745.) Statistique de 33 cas de craniectomie : 14 malades moururent, de 1 à
; quant à la gué- rison de l'idiotie, voici les résultats : sur un cas , pas de renseigne- ments ultérieurs ; résultat
ves, t. XXIX. 14 210 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. nette dans deux cas seulement. Jacobi confirme l'opinion émise par
) CLAIexE. (Brain, part. I, 1894, p. 119 et part. II, p. 263.) Un cas de paralysie pseudo-bulbaire due à des lésions da
cile. Quant aux modifications physiques il est probable que dans le cas d'idées fixes sans folie, il n'y a aucune lésio
es de séjour, le malade sera rendu à sa famille, guéri ou non. En cas de rechute, l'hôpital ne le reprend plus, même pe
ril dernier de la Riforma Diedica, le Dr Venturi a publié plusieurs cas de folie consécutive à l'infection blennorrhagi
ôle de cause déterminante de l'affection mentale. Dans le premier cas , il s'agit d'une femme de quarante-trois ans, q
s de méningo-encéphalite comme on en a signalé un certain nombre de cas à la suite de l'influenza, comme on en observe
depuis huit ans, la guérison ne s'est pas démentie. Dans le second cas , l'influence étiologique de l'infection blennor-
i ceux qu'on rencontre dans les autres folies infectieuses. Dans ce cas , sous l'influence d'une prédisposition hérédila
tout d'abord les meilleures statistiques montrent que dans 70 à 90 cas sur 100, la paralysie a été précédée par la syp
s et rare dans les campagnes; elle apparaît de bonne heure dans les cas de syphilis héréditaire ; elle est plus fréquente
uement. Mais comment la syphilis agit-elle ? Laissant de côté les cas encore assez fréquents dans lesquels on trouve
ur le système ner- veux, lequel poison, dans la grande majorité des cas , est une toxine spécifique. Cette toxine exista
quent. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 218 XIV. NOTE SUR TROIS cas DE guérison, après LONGUE DURÉE DE la folie; pa
CAMPBELL. (An2e7,ican Journal oflnsanity, 1894.) Il s'agit de deux cas de mélancolie et d'un cas de manie : le premier
rnal oflnsanity, 1894.) Il s'agit de deux cas de mélancolie et d'un cas de manie : le premier cas de mélancolie est sor
s'agit de deux cas de mélancolie et d'un cas de manie : le premier cas de mélancolie est sorti guéri de l'asile après un
L'auteur estime qu'il ne faut jamais désespérer de la guérison d'un cas de mélancolie, quelle qu'en soit la durée, et, da
dans la clientèle ordinaire, soit dans les asiles, il a observé des cas de guérison remarquables. E. B. XV. La situat
tion marquée au coin du plus haut intérêt, l'auteur décrit certains cas où-le délire des persécutions, s'accom- pagnant
la maladie, parfois même dès le début, une apparence différente des cas ordinaires et se présente plutôt comme un délir
un délire de possession. Il est nécessaire, pour différencier ces cas , de passer en revue les symptômes hallucinatoir
s. On peut à cet égard ranger les malades sous trois chefs : a. les cas les plus ordinaires, où elles font défaut ; 6. le
chefs : a. les cas les plus ordinaires, où elles font défaut ; 6. les cas où les hallucinations de la vue existent mais o
du tableau clinique et dirigent la scène pathologique. Ce sont ces cas que l'auteur a rangés sous le nom de variété ps
sens chez les persécutés sensoriels. 6° On trouve aussi dans ces cas des hallucinations génitales répétées. 7° A c
la variété psycho-motrice du délire des persécutions, il existe des cas intermédiaires. (Annales médico-psychologiques,
SOCIÉTÉS SAVANTES. est loin d'être isolé; nous connaissons tous des cas analogues : Louis-Eugène B..., est entré à Vill
ation de tous les jours ; ils cesseront d'être des contrô- leurs de cas particuliers et n'auront pas les mêmes raisons de
n se guidera sur les chiffres des admissions. 3. On y placera : les cas de folie récente, les sitiophobes et suicides, le
faite avec contrôle du compteur à horlogerie, toutes les fois (les cas en sont rares) que le médecin exige une surveilla
entict au sens étroit du mot, restent réunis une grande quantité de cas différents par SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 leur ét
ution tout autre. -Tous ces symptômes-là ne concordent pas avec les cas dont il a été question. Comment distinguer cett
sa durée est généralement de quelques jours seulement. En quelques cas , il fut immédiate- ment ou peu de temps après s
pas prolifération des éléments névrogliques. Or M. Weigert, dans un cas tout à fait choisi de para- lysie générale réce
. L'emploi systématique de cette dernière dans un grand nombre de cas de lésions cérébrales localisées, recueillis dans
n .symptôme qui n'a rien de pathognomo- nique. Il est cependant des cas qui correspondent à la description BIBLIOGRAPHI
la direction du premier médecin de l'établissement, tandis que les cas moins graves sont réservés à la colonie et à la
oivent être d'ordre réflexe, provoquées dans la grande majorité des cas par l'ac- tion d'une substance toxique, introdu
s plus tôt qu'on ne le pense et nous croyons que dans bon nombre de cas , les convulsions essentielles de l'enfance dont
les premières crises étaient purement hystériformes. Dans tous ces cas , en effet, où l'hystérie semblait marquer le dé
épilepsie, mais leur existence n'a pas fait défaut dans un seul des cas que nous avons examinés; on peut donc y attache
e isolée, il est fréquent de les voir se grouper en séries. Dans ce cas les choses se passent 1 Jules Voisin. L'Idiotie
té va- riables ; il est intéressant de voir ce que devient dans ces cas , l'état saburral de la langue. Ici comme tout à
sont pas terminés, de nouvelles crises survenaient dans le premier cas , ici c'est le trouble mental qui s'établit. La
qui peuvent revêtir la forme d'une violente migraine. Mais en tout cas , il y a constamment des troubles gastro-intesti
Roberto Massa- Ion-ol décrit l'épilepsie gastrique, rapprochant les cas qu'il rapporte de ceux décrits par Pommay2 sous
e auto-intoxication ; encore l'un et l'autre, ne parlent-ils que de cas tout à fait spéciaux, dans lesquels on a affair
hui comme étant du ressort de l'épilepsie ; il n'y a, dans tous ces cas , qu'une ques- tion de degré assez variable d'ai
tes : 1° L'albuminurie postparoxystique existe dans la moitié des cas ; . 2° Elle se rencontre dans tous les modes d'é
épileptiques hémi- plégiques; et nous (Sommes arrivés, dansées deux cas , à des conclusions à peu près, semblables à cel
ntage de servir z de pierres d'attente à un nouvel examen ; en tout cas ils spéci- fient,, tout comme les expressions a
io nosographique, tout provisoire, si l'on veut, com- prend en tout cas les traits de la maquette que l'on arrive à éba
les, phobies, la folie morale, , la manie raisonnante ou, selon les cas , le délire, systématisé , d'emblée avec ses car
l'existence d'idées systématiques diffuses (Scholz), ou, suivant le cas , de confusion mentale générale (allgemeine Verw
cée, fort avancée, de celle-ci; en pareil 2 8 CLINIQUE ''MENTALE. cas , la' confusion"" mentale- revêt l'âspect'rdelpous
édentes ont une certaine, solidité et qu'on peut maintenant en tout cas se figurer une image précise des termes. ">i
en- tués individuellement (albuminurie, cedème, urémie) selon les cas , de même la paranoïa est légitimée par une pléiad
oolisme, la sénilité, les accidents traumatiques. Dans le premier cas , les idées de grandeurs ou de persécu- tions à
manie avec idées de grandeurs ? Cramer ne nie pas qu'iln'y ait des cas de paranoïa à marche subaiguë et à caractère dé
ile de séparer de la confusion mentale (Vecve) ? dit encore que les cas les plus caractérisés de folie systématique rév
adoptés par les savants étran- gers. Pour l'immense majorité des cas notre synonymie offre tous les traits précis pe
ytiques et Sociétés sa- vantes, 1879-1894. RECUEIL DE FAITS. UN CAS DE TRÉPANATION POUR EPILEPSIE. Par le D' Fin. H
pour épilepsie non traumatique sont encore si peu nombreuses que le cas suivant m'a paru digne d'observation. Je tiens à
une opération et puis recommencer. Et dans la grande majorité de cas d'épilepsie guérie par trépanation, lors de la pu
cas d'épilepsie guérie par trépanation, lors de la publication du cas , la guérison datait seulement de quelques semaine
paraître ces symptômes. Ce qui me fait espérer une guérison dans ce cas , c'est que toutes les attaques de la malade ont
rd il me semble intéressant de noter la relation exis- tant dans ce cas entre les convulsions localisées, l'attaque d'e
noté de quelle manière cette généralisation a eu lieu'. Or, dans ce cas il est certain que les convulsions ne se généra
ar trop précoce, je l'ai dit, d'en parler à présent. J'ai publié le cas parce qu'il me semble pouvoir servir comme un d
t 1362 vertiges. Il nous a paru bon de donner un résumé de ces deux cas en attendant que nous en donnions la relation c
ations sensitives DE l'écorce; par le Dr Oejeiune. 11 s'agit d'un cas d'hémiplégie avec hémianesthésie de la sensibilit
liques. (Revue neurologique, oct. 1894.) 1;. 13. XXI. NOTE SUR DEUX cas DE tumeur cérébrale avec autopsies ; par le Dr
t. L'examen histologique montra que c'était un sarcome. Le second cas a trait à une femme de trente ans entrée à l'asil
urleclivussuruiie étendue de 1,2 à 1,5 centimètre (2 femmes); trois cas d'hyperostose à forme de tubercule ; enfin des di
lleux; on la poursuit jusqu'à la troisième paire cervi- cale. En ce cas la dégénérescence porte sur les faisceaux pyrami-
du lobule pariétal supérieur et du lobule occipital. Dans l'un des cas , il y a en outre hydrocéphalie externe,'de l'au
mes lésions diffuses et indéterminées. Elude critique parallèle des cas de chorée'héréditaire avec ana- tomie pathologi
ernes ? Conserve-t-on une mémoire des émotions et des passions ? En cas d'affirmative, quelles sont les formes de repré
' . (] '' ' " , Il y a toutefois bien des exceptions,' et,' dans un cas concret, il faudra toujours être prudent dans,s
l faudra toujours être prudent dans,sa conclusion. , Mais dansées cas incertains, les.stigmates.pourront fournir .quelq
a que dans la paralysie générale, peut-être même davantage dans les cas graves de psy- chose que dans les cas légers. (
-être même davantage dans les cas graves de psy- chose que dans les cas légers. (Annales ? Hëd ! co-ps)/c/t0os't<yugs/
obstacles pour élever l'enfant dans une école; mais dans les autres cas , l'éducation don- née en- commun ne peut que fa
avoir sous les yeux, sont rebelles à toute éducation : ce sont les cas d'imbécillité morale. Mais, même dans ces cas,
ucation : ce sont les cas d'imbécillité morale. Mais, même dans ces cas , il ne faut pas désespérer, et une bonne directio
des peut aller jusqu'à la stupeur; on ren- contre parfois, dans ces cas , une sorte.de rigidité 'cataleptique analogue à
aleptique analogue à la catatonie de Kahlbaum. Dans la majorité des cas , il existe, par intervalles, de l'excitation ma
L'était puerpéral, les traumatismes, la puberté, etc. . Beaucoup de cas rangés sous l'appellation de manie devraient, d
rapportés à la confusion mentale. Il y a, du reste, deux sortes de cas où on peut constater de l'excitation mo- trice
e surexcitation générale des facultés intellectuelles : ce sont les cas de manie qui correspondent a un affaiblissement d
il existe un véritable affaissement de l'intelligence, ce sont les cas de confusion mentale.- Il existe de même' une d
s sous le nom de mélancolie avec stupeur ne sont en réalité que des cas de confusion mentale. * En somme, sous le nom d
matiquement nerfs et muscles. Discussion. M. Em : vGER a observé un cas semblable avec hémorragies cutanées multiples,
plus volumineuses que celles du noyau ventral postérieur; 4° les cas pathologiques montrent la réalité de cette assert
faire avec le pathétique. Mais les altérations anatomiques dans les cas pathologiques n'excluent pas jusqu'ici les rela
ui accompagnent les vio- lents accès douloureux. Il s'agit de trois cas de névralgie de la i cinquième paire avec troub
e paire avec troubles passagers de l'activité cérébrale. Le premier cas concerne un homme de cinquante-quatre ans indemne
rocédé est inapte à la détermination de la diathèse urique. En tout cas sur ces 24 malades, 6 excrétaient des quanti té
céphalite à côté de foyers spinaux. M. Schultze a lui-même vu un cas de poliomyélite associée à la mutité qui, suivant
empruntés et cérémonieux commettre quelques originalités. En tout cas , cette dissociation dans le discours ne correspon
l'on arecue;l- lies jusqu'ici permettent de spécifier qu'en pareil cas on a affaire à une affection subaiguë du jeune
x, au hasard du décours de i'idéogénose, c'est que, dans le premier cas , nous sommes capables de supprimer les associat
des modifications du tableau ordinaire de la stupeur. 'En quelques cas ,' il y a catatonie; en d'autres, point. Dans le
lques cas,' il y a catatonie; en d'autres, point. Dans les premiers cas , la stupeur était accompagnée de symp- tômes ph
de l'individu, cyanose, refroidissement des extrémités. Il y a des cas dans lesquels, la maladie ayant revêtu le type ci
'elle mourut. Puisqu'il n'y a pas de lésions, il s'agit, en pareils cas , d'une forme morbide toute particulière, d'une pa
lules s'altèrent, régressent, quand on détruit l'écorce; en pareils cas , les unes sont le siège d'une prolifération relat
l'un de leurs plus illustres représentants. ? 1 VARIA. 0 1 . cas D'.1UTOIUT1L1TIGN par AL FItCIUUTII. Il s'agit
aire connaître le rapport de nos collègues de l'asile de Pau sur ce cas intéressant. c FAITS DIVERS. 'I'.1 ( - , 1 &g
'asile de Auch. FAITS. DIVERS. A 335 LE mort vivant. Un singulier cas de folie a été constaté hier à l'hôpital Tenon.
s, 1 fr. 75. Aux bureaux du Progrès Médical. Lépine (R.). -Sur un cas d'hystérie ci forme particulière. Bioclitire. i
Y, ? 4" - ' CLINIQUE NERVEUSE' ! il, ' ' *' ;. ,o .. , ", UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. ' CONFÉRENCE FAITE A
Mon maître M. Raymond m'a chargé aujourd'hui de vous présenter un cas pathologique assez curieux par les problèmes ,
curieux par les problèmes , et les discussions qu'il a suscités. Ce cas se rattache assez étroitement à mes anciennes é
ues-unes ont été exposées ici même il y a trois ans. Il s'agit d'un cas d'hémianopsie, de suppression à peu près complè
ré4 discuta les observations qui avaient été présentées comme des cas d'hémianopsie hystérique et il montra qu'il s'agi
n nouvelle fut introduite dans cette étude par l'examen de certains cas de migraine ophtalmique qui sem- blaient dénatu
pports de la migraine ophtalmique avec l'hystérie, thèse 1891. UN cas d'hémianopsie hystérique. 339 genre pratiqué pa
d'hémianopsie hystérique. 339 genre pratiqué par M. Parinaud sur un cas de M. Babinski, il est vrai qu'il s'agissait d'
e et dans la névrose traumatique . Les auteurs n'admettent dans les cas qu'ils décrivent aucune altération fonctionnell
t pronos- tique ». L'opinion que je désire soutenir relativement au cas que je vais vous présenter se rapproche de cell
lle demande pour être justifiée une étude attentive de ce singulier cas pathologique. II. La malade que nous allons é
d'une idée fixe. (Revue philosophique, février 1894, p. 121.) UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 341 forme hystérique.
miner les yeux au périmètre et constater aussi exactement que UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. -... 343 possible que
xation est toujours respectée. Malgré. ce détail,. il y a ' dans ce cas une perte presque complète de la moitié du champ
'hypoes- ' Cliârcot. - Alal. clû s,yst. nenu., IV, 12f. ' ' "' UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 345 thésique sur tout
ates mentaux des hystériques, p. 76. , 2 Op. cit., p. 115. 5 ? UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 347 rétréci' des deux
schéma. Je ne puis pas vous prouver le fait par un exemple, car les cas d'hémianopsie nasale sont rares; mais je ne cro
1 loin dans la' démonstration ? Oui,'on pourrait rechercher dans ce cas d'hémianopsie les deux carac- tères que j'ai '
anesthesies hystériques. Ces anesthesiesni disons-nous, (, sont UN CAS D'HÉMIANOPSIE. HYSTÉRIQUE. 349 mobiles' et' con
mier caractère de' là'mobilité n'a' pu être' vérifié encore dans le cas présenta d'abord la'malade n'a plus d'attaques
a nature hystérique de cette hémia- nopsie. ' ' ! ;1. - " .1 ' UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 351 I Une notion impo
et Vialet), elle peut aussi se présenter dans l'hystérie et dans ce cas ce symptôme, comme le disaient déj'a' iiAl ? Dé
discussion pourraient être intéressantes. Mais j'avoue que, dans ce cas , en présence d'une hémianopsie nasale de cette
n des limites du champ visuel. On n'a pas encore décrit beaucoup de cas dans lesquels la forme'du champ visuel ait été
déterminée, on peut'étudier les effets de la suggestionl pour UN CAS j)'HÉmrANopsir HYSTÉRIQUE. 358 comprendre le mé
insi je'crois, que procédait Charcot dans ses analyses célèbres des cas de monoplégie brachiale hystérique. . Si nous é
-Jz^lI'éiTiianoi)sie droite homonyme déterminée par, suggestion» UN CAS D'II&111ANOPSIE HYSTÉRIQUE. 355 gérée se co
aturellement la pensée es plus graves' lésions^'encéph'aliques1. Le^ cas pourrait' être ajouté à·ceux'qui ont'été si bie
t.' Revué philosoplnigtie; février11894; p : ' 148, sb Ji £ 91 · UN CAS D'HÉMIANOPSIE, HYSTÉRIQUE. 3S7 6yais,jjl.e.côté
'avons^aitt'analyser5 les' tissus osséx'et, celui : 'du'cal(dans'êé cas ? onîeriiverra1 le'résultatldans le' tableau ci
tnf tn ( ffirtp 1 ,'r 4 Inn Userait a désirer que, dans tous les , cas analogues, 1 analyse ',«,nri.io«H ? i ! i'pi ?
ii'.m 'l - lu..a 11 c^xx ? ^i^o.i 4 1, ,x,f. ,i(,. ? i ? q quelques cas aller iusqu l'apliasie complète mais.temporaire.
î ,nl Trra,0r-rnitr- p ar A ;1 ( " : 11 tht't.'ttt ? % rapporte des cas dans lesquels les phrases étaient interrompues
ugace,il dureà peine quelques instants : -Ordinairement,, dans (les cas , que, l'on peut considérer comme.moyens,parr,l'
aralysie prédominante du côté droit du corps. Enfin, dans quelques, cas l'aphasie peut se prolonger assez longtemps com
t connue. que par son ,évolution : , Il' est : probable ou .en,tout) cas très admissible que-ces,.troubles passagers, pu
que plusieurs médecins, et nous-mêmes avions examinée ;, dans. ce, cas difficile les avis, étaient partagés, mais nous
(chez certains sujets épileptiques. Al. Féré rap- porte ainsi- les cas observés par'Forbes Winslow1,"et'Moreau (de Tou
le plus souvent. Elle a déjà été signalée par les auteurs ; dans un cas nous l'avons vue persister pendant un mois et dem
ons vue persister pendant un mois et demi ; il est vrai que dans ce cas l'état de mal a duré lui-même à peu près un moi
s très mal et sur un ton monotone. L'intonation a disparu. C'est le cas de la malade Mart... Tout cela évolue nous l'av
nte leçon faite à la Salpêtrière le 19 janvier 1894, ont montré des cas où le tableau clinique de la diplégie cérébrale
érébrale apparaissait tardivement chez l'adulte. Ils ont séparé ces cas de ceux qui surviennent dès l'enfance et peuven
ymptomatique peut être considéré comme le 1 On trouvera de nombreux cas dans les quatorze volumes de nos Compte-rendus
ars. ' Cette observation, qui peut bien être rangée au nombre des cas d'aphasie transitoire pneumonique signalés par
lement modificatrice des centres nerveux. 380 RECUEIL DE FAITS. CAS DE CHORÉE DE SYDENHAM RAPIDEMENT GUÉRIE PAR LES
écier la valeur d'un traitement. Je puis dire cependant que dans le cas présent, dès le premier bain statique l'effet a é
tre le professeur Charcot, que les bains statiques donnent dans ces cas de meilleurs résultats, leur action se diffusan
cune manifestation choréique et-je crois qu'il y a lieu de citer ce cas à l'appui de la doctrine formulée en ces termes d
euses... Il est évident que le rhumatisme articulaire joue dans ces cas par rapport à la chorée le même rôle d'agent pro-
ARCHIVES, t. XXIX. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. nombre de cas de tabès, ont été désignés sous les noms d'alhé-
tiques ? Or, pendant ces dernières années, il a été décrit quelques cas analogues d'hyperkinese dans la névrite périphé
ence tonique plus ou moins marquée, s'observent dans la plupart des cas ; enfin, dans beaucoup cas de cas de mouvements at
marquée, s'observent dans la plupart des cas; enfin, dans beaucoup cas de cas de mouvements athé- toïdes décrits dans
e, s'observent dans la plupart des cas; enfin, dans beaucoup cas de cas de mouvements athé- toïdes décrits dans le tabe
en juger .par l'histoire des maladies décrites, on puisse dans ces cas soup- çoniier-la névrite. - Ces diverses cons
reil sensitif, il existe encore une lésion de l'appareil moteur. Eu cas de modifications simultanées des cordons latéra
nc bien d'un vice d'association d'idées. P. KERAVAL. . XXXIII. Un cas DE psychose avec léthargie DE six mois DE durée;
aladies mentales ont occasionné les procès des sorciers. Voyons les cas dans lesquels des malades ont été inculpés, et
ent la forme mélancolique ; 7° le pronostic n'a été dans aucun ,des cas favorable. La durée de la maladie a été de quatre
le. La durée de la maladie a été de quatre ans, dans 81,8 p, 100 de cas ; de deux ans dans 43,4 p. 100 ; rémis- sions ra
tions avec un sexe différent arrivent à prédominer. Mais il y a des cas dans lesquels cette deuxième phase de développe
me par pudeur ou ont la crainte deiagrossesse ; mais, dans tous ces cas , femmes et filles choisissent des amies masculi
mis en liberté par auto- rité de justice, fait connaître un nouveau cas personnel, analogue à ceux de MM.Marandon deMon
scite, de la part des alié- nistes de province, la communication de cas analogues à celui qu'il vient de rapporter. Leu
le médecin, quand on lui demande une sortie. - M. RITTI. Dans le cas indiqué par AI. Toulouze la comparaison 398 ' "
is médecins traitants, ce qui nest pas la même chose. Or, dans le cas signalé par M. Legrain, on n'a nullement tenu c
traire, d'élévation de température. M. A. Voisin pense que dans ces cas particuliers l'hyperthermie est due à la puerpé
s, si elles sont exactement suivies, doivent être changées. En tout cas , ce qui s'est passé pour Feldmann ne le prou- v
sement. Quoi qu'il en soit, il serait intéressant de fournir sur le cas Feld- mann des indications scientifiques qui ma
ÉS SAVANTES. 403 de Charcot, je me garde de la suggestion en pareil cas , j'isole les malades en les confiant aux soins
étrangères. Mais cette méthode même ne doit être appliquée qu'en un cas appro- prié. L'hypnotisme peut aussi être utili
dominant et primitif est la confusion mentale, idiopathique dans un cas , symptomatique dans l'autre,lorsqu'ellesuccède à
ou telle affection ; non seule- ment il faudra distinguer, dans les cas très intenses, les délires de collapsus, ceux s
ne maladie céré- brale ? De même que le médecin de la famille, en cas de maladie infec- tieuse, adresse un rapport au
aire, rapport d'après lequel un médecin spécial vient s'enquérir du cas et indiquer les mesures à prendre; de même, en
nt s'enquérir du cas et indiquer les mesures à prendre; de même, en cas de maladie cérébrale, un rapport devrait être f
selon les quartiers spé- ciaux doivent être triples, dans tous les cas , de celles du réfec- toire, puisqu'on y réside
eures sont fermées. Or, dans notre asile, on n'a rien prévu pour ce cas et on doit remédier à cette lacune inconcevable
uelles modifications ces éléments communs subissent dans ces divers cas '. 1 Bien que sur un grand nombre de points nou
est surtout très manifeste pour l'alcoolisme chronique. Dans ces cas , l'enfant est souvent idiot en même temps qu'il e
nfants qui meurent en bas âge à la suite de con- vulsions. Dans ces cas , il peut y avoir hérédité directe ou croisée, c
sposition morbide qu'il a transmise à son descendant. Tels sont les cas de Curv... et de Lavril... ; voici deux malades
du père, et surtout de la mère; l'existence dans les ancêtres d'un cas de grande longévité, etc. Une cause prédisposante
enfants ? Nous l'avons déjà dit, il semble que dans la majorité des cas , cette éclampsie infantile soit un véritable ac
me, de la goutte, du diabète, avec l'épilepsie. M. Truc rapporte un cas d'épilepsie dont les acci- dents se produisaien
souvent les paroxysmes apparaissent au moment des règles; dans les cas où ils sont plus fréquents, on remarque qu'il y
rtains rêves plus ou moins effrayants. L'épilepsie dans beaucoup de cas a nettement ten- dance, au début surtout, à se
parée, et chaque fois reproduite ? Mais alors, comment expliquer le cas où les accès sont isolés ? Le malade perd conna
terminer l'accès. Cette dose, d'ailleurs, sera variable suivant les cas et les indi- vidus, suivant le degré de résista
ccidents cessent. Ceci peut expliquer aussi pourquoi, dans certains cas , il n'y a qu'un accès isolé, dans les autres, des
robe. Mais suivons dans son évolution l'état saburral, prenons le cas où les attaques se présentent en série et sont su
ou par la vue d'ennemis acharnés à leur perte. Alors se trouvant en cas de légitime défense, ils se battent avec une fu
re furieux et meurtrier, mais le réveil est différent dans les deux cas . L'alcoolique se rappelle vaguement ce qu'il a fa
oit tenir à la rapidité de l'élimination du poison. Dans certains cas , l'alcoolisme a été la cause occasionnelle d'un
nimal. Chaque mouvement isolé est maintenu trois secondes, sauf les cas où il se produit dès l'application des élec- tr
'ablation du centre cortical consiste en ceci : que dans le dernier cas les groupes musculaires qui sont sous la dépend
des potentiels différents aux points d'application, dans les divers cas qu'on peut rencontrer en électrothérapie; le qu
souvent dans des limites assez grandes (30,000 à 800 ohms dans les cas courants) d'un sujet à l'autre. Les variation
ivement : Ka Fe, Ka 0, AnFe, An 0. Les recherches ont porté sur 4 cas de tabès dorsal, 1 d'atrophie 460 revue d'élect
e d'électrothérapie. musculaire progressive (type Aran-Duchennel, 2 cas de paralysie périphérique du facial (a /' ? '0
tions de ferme- ture, ou les deux choses simultanément. Dans un des cas de névrose traumatique les auteurs ont trouvé l
ve d'ouverture, sans qu'il y eût de troubles visuels, dans un autre cas le même phénomène coïncidait avec une diminu- t
; on l'a cependant trouvée affaiblie même pour l'oeil sain dans un cas d'hystérie et dans un de neurasthénie. L'anisom
entaux qui accompagnent le myxoedème l'auteur indique que, dans les cas qu'il a observés, la marche générale de l'affec
e de la récupération fonctionnelle du tissu cortical. L'un était un cas de folie puerpérale, datant de quelques semaine
t réellement curable, il ne faut plus désespérer de guérir certains cas de folie avancée. Le second fait est celui que l'
lles convenables, des instillations d'atropine. J'ai vu beaucoup de cas d'épilepsie chronique dans lesquels les malades
ux et durables; - 6° Ce qui parait résulter de l'examen de tous les cas traités par moi, c'est que, après correction sa
varie avec les conditions du problème oculaire que constitue chaque cas particulier. On ne rétablit guère l'orthophorie
que l'on désigne sous le nom d'asthé- nopie ; 3° Dans ce dernier cas , la correction de l'anomalie concomitante de la
concomitante de la réfraction remédie, dans la grande majorité des cas , aux symptômes déterminés tant par l'amétropie
sante indication à remplir par l'ophtalmologiste ; et que, dans les cas où l'on obtient simultané- ment la correction d
btenu, de l'attribuer à la correction de l'amétropie; 6° Dans les cas d'épilepsie avec hétérophorie et emmétropie, ou
ue soit ce traitement, ne peut évidemment être obtenue que dans les cas où l'anomalie de la fonction visuelle agit à la
édecins, et, par leur intermédiaire, aux gens du monde que tous les cas d'épilepsie idiopathique sont justiciables du tra
ement ophtalmologique ; il vaut mieux dire simplement que les seuls cas qui, à un point de vue rigoureusement scientifi
e : il l'a employé dans vingt- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 471 L cinq cas , à la dose habituelle de 20 grains à la fois (lsr
s de danger que par les autres hypnotiques; 2° dans la majorité des cas , on a observé des effets marqués de stimulation
édicament; 3° de l'abaissement de température observé dans tous les cas , on peut conclure que le trional possède des pr
phénols; 4° il a toujours été bien toléré par l'estomac, et dans un cas où il a été administré par la voie rectale, il a
S0 nul effet fâcheux n'a suivi son administration, et dans tous les cas sauf deux dans l'un desquels existait une com-
emploi des prépa- rations thyroïdiennes est contre-indiqué dans les cas de manie, lorsqu'il existe de l'excitation aigu
t delà période puerpérale; 7° son emploi est souvent utile dans les cas où la guérison est lente; 8° dans les cas ancie
st souvent utile dans les cas où la guérison est lente; 8° dans les cas anciens, qui tendent à passer à la démence le tra
ation suivante : REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 473 XXIII. NOTE SUR deux cas DE traumatisme rachidien avec IN1'ERVEN- TION C
pas voulu émettre une théorie donnant l'interprétation de tous les cas , mais une hypothèse que justifient d'une part l
ions suivantes : Il y a lieu d'admettre que dans un grand nombre de cas les attaques apoplectiformes et épileptiformes
ine mesure l'apparition de ces accidents, elle nous indique en tout cas la base du traitement qui doit être surtout pro
grandes attaques, la toxicité du sang peut être augmentée. Dans ce cas , il y aurait toxémie. Celle-ci se traduit clini-
r les faits et les détails fut extraordinaire jusqu'à la fin, et un cas une fois enregistré dans son esprit y était tou
is l'application de l'esprit à l'esprit, la mise au point de chaque cas pris en particulier, la reconnaissance des qual
rnissent à la paralysie générale une proportion de 6,3 p. 100. 44 cas d'épilepsie ont été constatés dans les asiles, ma
tatés dans les asiles, mais il est probable 'que le nombre réel des cas dans la colonie est plus consi- dérable. Quoi q
cérébrales et 20 à des maladies thoraciques, parmi lesquelles cinq cas de tuberculose pulmonaire. (American journal of
plus d'agités au point de troubler le repos des malades. En pareil cas , au lieu de les envoyer en cellule ou de les tr
s d'un asile dans un autre. Des femmes aliénées sont, dans certains cas , conduites par des agents secondaires des asile
e de réserve et de respect qui convient. VARIA. 495 Dans d'autres cas , des aliénés (hommes) accompagnés d'infir- mier
nnel médical. D'autre part, les femmes aliénées ne devront en aucun cas , être placées dans le même compartiment que des
f. Nervenheilk. N. F. V. 1894.) Une clinique doit : 1° traiter les cas récents; 2° surveiller minu- tieusement les mal
le pour la garde, surtout pour la garde de nuit. Supprimons en tout cas les cellules et multiplions le traite- ment au
écrits sacrés et profanes. C'est ainsi que la Bible enregistre les cas de folie, mais seulement lorsqu'ils se sont man
umes et moeurs de ces temps primitifs, une description classique de cas de folie avec leurs signes précur- seurs, leur
r Ro- nier, 153; simulée, par P. Gar- nier et Vallon, 161 ; ttois cas de guérison après longue durée de la -, par C
rer, 217. Ill : wnsorslc homonyme gauche, par 'l'urner, 12G; un cas d' - hysté- rique, par Janet, 337. Hémiplégie
dé- lires, liés à la-, p,r Evbot, 24-1. Baciudien, note sur deux cas de traumatisme -, par CliipaL[lt, 473. - Ra
67 (1913) Exposé des travaux scientifiques
fois la présence de ces faisceaux sur des muscles atrophiés dans un cas d'amyotrophie consécutive à une lésion de la mo
st conservée. La sensibilité à la piqûre est émousséc dans certains cas , mais elle ne nous a jamais semblé complètement
paroi abdominale. On observe aussi de la rétention d'urine dans les cas où les lapins sont paraplégiques. Le mode de ter-
lysés, et cela aux diverses périodes de la paralysie qui, dans deux cas , remontait à deux mois. \ous avpns employé, dan
Lion consécutivement à l'inoculation d'un microbe recueilli dans un cas d'endocardite infectieuse) ont donné des résult
- jection des substances solubles du bacille diphtérique ; dans les cas que j'ai étudiés, les nerfs correspondant aux m
ontact avec cette partie est positive ou négative ; dans le premier cas , la tête s'incline du côté du labyrinthe excité
line du côté du labyrinthe excité, et du côté opposé dans le second cas ; c'est comme si la tête était attirée par le pô
es malades atteints de vertige auriculaire ; elles méritent en tout cas d'être prises en considération au point de vue
dit Eulenbourg ; il serait cepen- dant absent dans 20 pour 100 des cas . Ces conclusions résultaient d'examens pratiqué
s troubles fonctionnels unilaté- raux. Il va sans dire qu'en pareil cas les réflexes du côté malade doivent être consid
concerne la subréllectivité, ne se pose que rarement, car en pareil cas la symétrie parfaite est exceptionnelle. Il en
le moyen de résoudre le problème, au moins dans un grand nombre de cas . Voici ce que j'ai écrit à ce sujet : « Outre l
rocédant de cette façon on obtiendra, dans un assez grand nombre de cas , une trépidation identique dans sa forme à cell
antage de l'épilepsie parfaite. Quoi qu'il en soit, dans ces divers cas , il est extrêmement facile de reconnaître qu'il
l'individu sain, a une intensité généralement inférieure et en tout cas jamais supérieure à celle de la flexion de l'av
rsion du réflexe du radius ; il est lié dans la grande majorité des cas à une lésion spinale atteignant le cinquième se
ste au-dessus du huitième segment, ce qui est très commun en pareil cas , une perturbation de la voie pyramidale faisant
radius, tout récemment signalé et décrit par M. Babinski ».... « Ce cas rentre dans la catégorie des faits sur lesquels M
u radius. Fractures spontanées et parfois signe de Babinski dans un cas de paralysie infantile avec reprise tardive» (R
ée par une lésion de Cn avec intégrité complète de CI. Si, dans notre cas , cette inversion n'est qu'un argument de plus p
locali- sation montre sa valeur sémiologique topographique pour les cas où l'on trouve ce signe plus ou moins isolé. »
I, p. t33 ayant pour titre : « Inversion du réflexe du radius dans un cas de syringomyélie » et écrit : « Ce cas de syrin
du réflexe du radius dans un cas de syringomyélie » et écrit : « Ce cas de syringomyélie, dont je donne le résumé, est
Duhem (Revue neurologique, ! f)t2, 1. XXIII, p. Cr3S) rapportent un cas d' « inversion du réflexe du radius et réaction d
sentiel - jamais ils n'exécutent de mouvement d'extension. Or, en cas de perturbation du système pyramidal, l'excitatio
la flexion, tantôt par de l'extension des orteils ; dans ce dernier cas , ce sont généralement les premières excitations q
de la plante du pied, par un acte de la volonté ; il faut, dans des cas de ce genre, renouveler l'excitation en la prat
S CUTANÉS S 41 Mais j'ai constaté aussi ce phénomène dans plusieurs cas d'hémiplégie récente, flasque, où les réflexes
ée à celle de la paralysie ; ce signe est très marqué dans certains cas où l'hémiplégie est légère et où la motilité vo
contre, il peut être fort peu accusé et même faire défaut dans des cas où la paralysie est très prononcée. « Généralem
du pied paralysé. « J'ai vu le phénomène des orteils dans quelques cas de méningo- encéphalito diffuse ; il y avait en
i, d'une méningo-encéphalite diffuse associée au tabes. « Dans un cas d'épilepsie partielle, j'ai eu l'occasion de cons
nomène des orteils, et il est géné- ralement plus prononcé dans les cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine cér
lexes tendineux. Je l'ai constaté, du côté de la paralysie, dans un cas d'hémiplégie spinale avec anes- thésic croisée
abolis. « Enfin, j'ai noté le phénomène des orteils dans plusieurs cas de maladie de Friedreich. « Si l'on jette un
anciennes ainsi que dans des hémiplégies toutes récentes, dans des cas où les fibres nerveuses du faisceau pyra- midal
ème pyramidal, n'en dénote pas la gravité. Il peut exister dans des cas de paralysie très légère, de para- lysie curabl
, tandis qu'inversement on observe très nettement ce signe dans des cas où, malgré l'existence RÉFLEXES CUTANÉS s 45
remarquer que sa valeur sémiolo- gique est surtout grande dans les cas où les réflexes tendineux ne renseignent pas su
lle est à sa première période, de l'hémiplégie hystérique ; dans un cas de ce genre l'existence du signe des orteils es
racines postérieures, la présence du phénomène des orteils dans un cas de tabes sera un indice important puisqu'il rév
. Goi), et d'autres neurologistes l'ont également observé en pareil cas . Sa présence confirme ce que l'anatomie patholo
s orteils légitime d'une extension volontaire des orteils, dans les cas exceptionnels où l'on pourrait avoir quelque dout
squé. En voici des preuves : a. On a vu plus haut que dans certains cas de lésions de la voie .pyramidale on peut obten
du pied et parfois aussi une flexion des orteils. Or, dans certains cas pathologiques, chez des malades atteints d'hémi
t une flexion des quatre petits orteils, cette excitation, dans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, produ
r5° Contribution à l'étude du réflexe plantaire normal basé sur t5G cas , par Morton Prince (Boston Med. Journal, 24 jan
réflexe des orteils. certaine signification. Récemment, dans un cas de paraplégie crurale consécutive à un traumatism
midal, un signe de probabilité qui peut être précieux dans certains cas douteux. )) FIG. 5. - Abduction associée des or
oir que le spasme fonctionnel est peut-être, du moins dans certains cas , sous la dépendance d'une perturbation du systè
s de défense peut exister, comme le phénomène des orteils, dans des cas où les réflexes tendineux sont affaiblis ou aboli
des mouvements involontaires. Nous avons noté le même fait dans un cas de syndrome de Brown-Séquard dû à une lésion sy
constatait de plus l'abolition des réflexes rotuliens. Dans les six cas nous avons trouvé une lymphocytose nette du liqui
u muscle dégénéré peut être affaiblie ou abolie et, dans ce dernier cas , en faisant agir les courants induits à leur ma
constant d'une intensité de 10, 15, 3o milliampères. Dans certains cas , on constate que les muscles, ne réagissant pas à
a lieu de le rechercher systéma- tiquement, en particulier dans les cas où la réaction de dégénérescence obtenue par le
es racines postérieures a été pratiquée jusqu'à celte date dans 159 cas ; sur ce nombre, il y eut ifi morts, soit une mo
il y eut ifi morts, soit une mortalité de 8,8 pour 100. Sur ces 169 cas opérés, 88 concernaient des enfants atteints de m
pidémie de 1892. Dès lors, il est permis de se demander si, dans un cas douteux, les crampes provoquées par la faradisa
liquide céphalo-rachidien et fourni une statistique portant sur 120 cas pris parmi les affections nerveuses les plus vari
encore sans solution, dès maintenant on peut dire que dans certains cas la ponction lombaire apporte au diagnostic un é
u soupçonner. Nous ne voulons pour preuve de cette assertion que le cas suivant : un homme de l.o ans vient à la Pitié
récemment l'attention de la Société médicale des Hôpitaux sur ces cas si curieux : notre observation, remarquable par l
spécial; aujourd'hui nous nous bornons à la signaler comme l'un des cas les plus intéres- sants que nous ayons rencontr
us ayons rencontré au cours de nos recherches. « En résumé, sur 120 cas , nous avons trouvé une fois des polynu cléaires
(NOS1'1( : DU LIQUIDE C) ? PHALO-)iA( : HiD)EK 71 trouvons, dans 5o cas , des états morbides que nous considérons comme
de l'atrophie tabétique. Et il faut remarquer que dans aucun des 6 cas de lymphocytose nette qui restent, le diagnostic
lure la possibilité d'un tabcs ou d'une paralysie générale ; dans 2 cas même, ces diagnostics sont presque probables.
notre travail est fondé étaient au nombre de trois ; dans 2 de ces cas , le diagnostic fut vérifié à l'autopsie. « Les
e; Mosny etPinard : Claude et Verdun. « Mais, tandis que dans les cas étudiés par ces auteurs la polynu- cléose parai
s par celle-ci, et s'était ensuite rétablie définitivement. Dans un cas , elle était liée à la paralysie générale, dans l'
'autre, au tabes. « Il est à remarquer enfin que, dans aucun de nos cas , la syphilis ne semble être en cause ; d'ailleu
céphalo-rachidien était très faible. « Quoi qu'il en soit, dans des cas semblables aux nôtres, une ponc- tion unique. p
affec- tions, la coxalgie, par exemple, et qui peut servir, dans un cas dou- teux, à établir le diagnostic de sciatique
ans les traités classiques. Je l'ai constaté non seulement dans des cas de sciatique intense, avec amyotrophie notable,
l- gie, épithète qui n'implique pas, du reste, l'idée que, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du nerf. «
Zimmern et Cottenot, dans un article ayant pour titre : « Quelques cas de scia- tique guéris par la radiothérapie » (B
par Freud. Systématiquement, nous ne nous sommes adressés qu'à des cas gra\es, à des sciatiques névrites, a\cc dispari-
dans le tic douloureux; il s'agit peut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière affection, de mouvements d'un t
Houchaud, de Lille (Revue neurologique, 1908, p. go3), rapporte un cas d'hé- mispasme facial dans lequel il a constaté
du 6 mars (Revue neurologique, tg t t, p. 376), Souques rapporte un cas nouveau dans une communication ayant pour titre :
ion des réflexes de défense. » Coyon et Barré présentent un nouveau cas (Société de Neurologie, 5 déc. 1912) sous le ti
e faite en collaboration avec Nageotte et intitulée : « Note sur un cas de tabes à systématisation exceptionnelle » (12
rtes, contrairement à ce qui se passe dans l'immense majo- rité des cas . Quelle est la raison de cette anomalie ? Est-ell
of nervous and mental diseases, 18gg, March), de Van Gehuchten (Un cas de tabes incipiens avec exagération des réflexes
cal Oul- Patient Département, du 20 avril 1910 au 19 juillet igi 36 cas de tabès. Ils ont constaté l'abolition bilatéra
en chez tous ces malades, sauf dans 92 AFFECTIONS DU LA MOELLE un cas où le trouble n'était qu'unilatéral. Or, dans 8 d
édés que j'ai indiqués (p. 29), on constate dans un grand nombre de cas leur présence, alors que les réflexes des membr
tant le plus souvent atteint avant le réflexe de flexion. En pareil cas , la percussion du tendon du triceps brachial prov
el particulière à cette affection. « 2° Dans la grande majorité des cas , le champ visuel pour le blanc est irrégulièrem
air avec la limitation du champ visuel. « 3" On observe aussi des cas où le rétrécissement concentrique s'accompagne
st dù le plus souvent à une lésion surajoutée. Dans la majorité des cas , il s'agit d'une névrite rétrobulbaire consécutiv
1912). Une des conclusions de son étude est « qu'il existerait des cas assez nombreux d'arthropathies à type tabé- tiq
le rapprochant de la dernière observa- tion que j'ai rapportée, un cas de « crises gastriques tabétiformes au cours d'un
t à la fréquence de la syphilis, il y a tout lieu de penser que les cas de méningite chronique spécifique conjugale sont
spécifique conjugale sont excep- tionnels relativement au nombre de cas de syphilis conjugale. Or puisque, d'une façon
sser- mann positive décèle l'existence. Nous avons relaté aussi des cas où cette même réaction s'observe chez un enfant
e tabes est devenu réellement une affection moins grave et, dans ce cas , de rechercher la cause qui en a atténué la gra
it des progrès et nous dépistons la maladie, non seulement dans des cas où l'on en attribuait les symptômes à toute aut
mposée à la plupart des esprits, a réellement diminué le nombre des cas graves. Je sais fort bien, et je l'ai moi-même
est très difficile, pour plusieurs raisons, d'apprécier dans chaque cas pris en particulier la valeur du traitement mis
ion anti-syphilitique la plus active, si bien qu'en choisissant les cas , on pourrait presque soutenir, comme on l'a fai
osique » (96). J'ai déjà eu l'occasion de dire (p. 78) que, dans un cas de spon- dylose accompagnée de douleurs névralg
onique, peut présenter une évolution aiguë ; on peut dire, dans ces cas , qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose
parfois à cet égard des indica- tions intéressantes. Mais dans les cas où la lésion siège à la région dor- sale, on ne
itation peut provoquer ces réflexes n'est pas la même dans tous les cas . Or, le niveau auquel ce territoire s'élève sur
dans le problème de la localisation il ne faut tenir compte que des cas où la zone des mouvements réflexes de défense d
avec troubles de sensibi- lité et troubles vésicaux. Comme dans le cas précédent, il fut pos- sible de porter le diagn
emploi des rayons X (128). Voici un extrait de mon travail sur ce cas : « En résumé, un sujet, après un grand traumat
succès par les rayons X. Plusieurs mois après, j'ai relaté (133) un cas de paraplégie liée à une tumeur intra-rachidien
ttention de la Société sur l'efficacité do la thérapeutique dans ce cas . Je n'insisterai pas sur l'utilité des lavages
icacité de la rachicentèse est indiscutable. « S'il s'agissait d'un cas de méningite aiguë vulgaire qui, comme on le sa
tomique parti- culière de méningite et l'aspect symptomatique de ce cas n'était pas celui qui appartient à la méningite
te cervicale hypertrophique, mais nous ferons remarquer que dans ce cas ce terme est impropre ; les lésions de la pachy
ui provoquent l'hé- morragie méningée. ' 2° Nous avons observé un cas d'hémorragie méningée à rechute, ce qui constit
t-il pas lieu, disions-nous, de pratiquer une craniectomie dans des cas de ce genre ? Dans l'espèce, l'évolution très rap
la séance du 3 mai 1912, MM. Babinski et Jumentié présentaient deux cas d'hémorragie méningée dont l'un, rapidement morte
le service de notre maître le P' Debove, un fait analogue. Dans ce cas , les symptômes de localisation étaient si nets
égard une légère dif1'é- rence entre les deux côtés; en pareil cas , le degré de flexion est généralement plus
roite que dans l'hémiplégie gauche. C'est principa- lement dans les cas d'hémiplégie récente, flasque, sans exagération
l'ai constaté aussi, ce qui peut paraître surprenant, dans quelques cas d'hémiplégie ancienne avec exagération des réflex
é paralysé que du côté sain; il s'agissait probable- ment, dans ces cas , d'un véritable spasme ; du reste, chez ces ma-
acte de la volonté. Quoi qu'il en soit, dans la grande majorité des cas d'hémiplégie organique, grâce aux signes intrin
mpossible, ce me semble, de douter que l'amyotrophie, dans tous ces cas , ne reconnaisse pour cause une perturbation centr
y avait pas de tumeur. Cette obser- vation est à joindre à quelques cas analogues antérieurement publiés. Ce qui en c
daire, et d'en reconnaître la nature (127). La paralysie, en pareil cas , même après plusieurs mois de durée, ne s'accom
1908, p. 4 lis) a rapporté un fait ana- logue : il s'agissait d'un cas d'hémiplégie causée par une tumeur de la dure-m
is, à cause des altérations du nerf acoustique fréquentes en pareil cas , par des troubles du vertige voltaïque que j'ai
vention, la régression rapide de la stase papillaire. Mais dans les cas de névrite optique consécutive à une tumeur, la
sley, Babinski et de Martel, j'estime, en effet, que dans nombre de cas de tumeur cérébrale, il faut être beaucoup plus r
les mêmes exercices sont effectués lentement. Et si, dans bien des cas , les mouvements spontanés ne sont pas démesurés
, a donné à ce trouble la dénomination de « dysmé- trie ». Dans les cas cliniques, dit-il, c'est un phénomène extrêmement
ent dosé, d'une précision parfaite. En résumé, abstraction faite du cas isolé d'IIuppert, la description précise et la
observant a\ec Jumen- tié un malade qui rappelait cliniquement les cas antérieurs d'atrophie olivo-ponto- cérébelleuse
es épreuves. Süderberglr (Nord. med. Archiv. LU, 12, 1909), dans un cas de fibro-sarcome de l'angle ponto-cérébelleux d
rine et T3audouin (Société de Neurologie, 5 juillet 19 r) publient un cas incon- testable de syndrome cérébelleux où « le
s. Elle est tantôt bilatérale, tantôt unilatérale ; dans ce dernier cas . elle dépend d'une lésion occupant le même côté ;
lleux droit. 11 l'a constatée encore, entre autres symptômes, dans un cas de tumeur occupant le vermis et l'hémisphère cé
la Salpétrière, 1907, p. 66) mentionne l'adiadoco- sinésie dans un cas d'atrophie parenchymateuse du cervelet à localisa
lati, l 9 10, p. 570) trouve de l'adiadococinésie à gauche, dans un cas de tumeur de l'angle ponto-cérébelleux gauche.
rine et Beaudouin (Société de Neurologie, 6 juillet 1 \) II), dans un cas de syndrome cérébelleux, trouvent de l'adiadoco
(Rev. suisse de Médecine, 2g décembre igi r) écrit ceci : « Sur huit cas de lésion en foyer du cervelet, la recherche de
se chez le malade qui m'a servi de type, j'en rapportai un deuxième cas . Voici un extrait de l'observation : « La déamb
ses, qu'elle a sans doute été appliquée le plus ordinairement à des cas où se mêlaient, en proportions variées, trembleme
un passage de mon travail sur ce sujet » (voir p. 121). Dans les cas que nous considérons ici, on ne peut donner la mê
')02, p. 463) ont constaté de l'as)ner- gie la jambe droite dans un cas d'endothéliome épithélioïde du noyau rouge, à g
u cervelet. La guérison s'ensuivit. Dejerine et Baudouin, dans le cas précisé, notent que « en même temps que le suje
de Babinski, comme un symptôme cérébelleux». Gôtt, dans un deuxième cas , observa ce retard chez un enfant de 5 ans, attei
, ou bien qu'il est en mouvement, qu'il se déplace. Dans le premier cas l'équilibre peut être qualifié de statique et dan
atique et dans le second de cinétique. De plus, comme dans ces deux cas la réalisa- tion de l'équilibre nécessite l'int
rvelet. Stewart et IIolmes (Brain, XXVII, tgo4> p. 522) dans des cas de tumeurs unilatérales intracérébelleuses ont
gio) consacre une étude à la catalepsie cérébelleuse et rapporte un cas où il existait une attitude cataleptique singul
nski-Nageotte ». Notre description était basée sur l'étude de trois cas , dont l'un est d'un intérêt prépondérant, car i
S BULBAIRES 165 à laquelle ils semblent alors liés ; mais, dans les cas que nous avons en vue, il en est autrement puis
ndrome oculo-palpébral de Claude Bernard-Hutchinson. Dans un de ces cas , où les troubles avaient rapidement régressé, j
rvation de la sensibilité thermique (voir Brault et Cl. Vincent, Un cas de syndrome protubérantiel avec hémianes- thési
ode de dissociation, et qu'elles détermi- nent dans la majorité des cas une hémianesthésie à forme syrin- gomyélique.
minée, un courant semblable, de quelques secondes de durée, peut en cas de trouble labyrinthique provoquer des sensatio
es. Cette augmentation de résistance peut s'observer aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne accompagnée d'oedème
ois, bien plus rarement, la tête se porte en avant. Dans certains cas , pendant le passage du courant, on voit la tête
courant, la tête s'incline du côté de l'oreille malade ; en pareil cas , à l'ouverture du courant, la tête reprend immé
r une lésion auriculaire d'un trouble psychique : dans le pre- mier cas seul, la formule du vertige normal sera modifiée
ogique, 1912, t. XXIII, p. 3o6), l'autre par Dejerine et Quercy (Un cas de syndrome d'Avellis avec trou- bles de l'appa
e antérieur : bourdonnements, diminu- tion de l'ouïe, surdité ; les cas où une amélioration a été obtenue sont exceptio
e de vérifier l'action bienfaisante de la ponction lombaire dans un cas de vertige labyrinthique, caractérisé par des bru
international d'Otologie de Bordeaux, 9 août igo4) rapportent sept cas d'otosclérose traitée par la ponction lombaire.
le bour- donnement et la surdité et ils ajoutent : « Dans tous les cas d'amélioration des vertiges et des bourdonnemen
nements ont suivi une marche analogue. Quant la surdité, dans trois cas , j'ai obtenu à n'en pas douter un résultat ines
e, etc. Archi- ves médicales belges, mars 1906, p. 169) relate deux cas d'otosclérose avec vertiges tenaces que la rach
s l'avons employée systématiquement chez douze malades. Dans quatre cas , nous avons vu les vertiges disparaître ; dans ci
Dans quatre cas, nous avons vu les vertiges disparaître ; dans cinq cas , il y a eu amélioration notoire ; dans un cas,
sparaître ; dans cinq cas, il y a eu amélioration notoire ; dans un cas , aggravation ; dans deux autres, résultat nul.
bliés par Babinski, je n'ai eu l'occa- sion d'employer que dans dix cas la ponction lombaire contre le vertige. Avant et
sible le fonctionnement de l'appareil vestibulaire... « Dans huit cas sur dix j'ai obtenu une guérison complète ou pres
nt des lésions de l'oreille interne (région cochléaire) ; dans deux cas , on devait penser à l'artério-sclérose ; dans l
deux cas, on devait penser à l'artério-sclérose ; dans l'un de ces cas le vertige disparut, pendant un an, après la ponc
faite ; le deuxième ne fut pas modifié d'une manière certaine. Deux cas , de cause inconnue, furent favorablement influenc
blement influencés. Ces deux derniers étaient vraisemblablement des cas de méningite séreuse de la fosse cérébelleuse. Da
es cas de méningite séreuse de la fosse cérébelleuse. Dans tous les cas que je considère comme guéris, j'ai constaté, apr
cune nausée, même avec le nystagmus le plus accentué. Dans quelques cas , on pouvait encore déclencher le nystagmus par le
ur confirmer l'efficacité de ce traitement sur les observations de 16 cas étudiés depuis cinq ans par leur C. J. Blake et
ions dont elle dépend doivent être, au moins dans la majo- rité des cas , superficielles; autrement, il serait difficile d
u sterno-mastoïdien et du trapèze. J'ai observé ultérieurement un cas analogue. A ce propos, j'attire l'attention sur
combinée de la cuisse et du tronc. Je l'ai constatée dans certains cas où la chorée était à peu près également marquée
le malade exécute le mouvement inverse. Mais c'est surtout dans des cas de chorée prédominant nota- blement d'un côté d
as de chorée prédominant nota- blement d'un côté du corps, dans des cas d'hémichorée, que j'ai eu l'occasion d'observer
chiques, on peut admettre qu'il permet de distinguer, dans certains cas , la chorée de Sydenham de la chorée hystérique,
t Babonneix chez des choréiques fébricitants, et par Claude dans un cas de chorée persistante. 182 CHORÉE DE SYDENHAM
uoiqu'il en soit, la connaissance d'un moyen capable, dans certains cas , d'atténuer et même de guérir la maladie de Based
ego7, p. 1280), dans une communication intitulée : « t1 propos d'un cas de syndrome de Basedow consécutif à une crise de
névrismale. Sans contester qu'il puisse en être ainsi dans certains cas , j'ai montré que le mécanisme de ces perturbati
e bien différent (78). Recherchant le réflexe à la lumière dans des cas d'ectasie aortique avec inégalité pupillaire, j
ui me conduit à me demander s'il n'en a pas été ainsi dans d'autres cas d'anévrisme aortique accompagné de troubles pup
ommoda- tion et à la lumière. Chose curieuse, c'est dans ce dernier cas que la syphilis est le plus indubitable. ANEV
stique et thérapeutique qu'elle présente. « En effet, en dehors des cas où la coincidence peut être fortuite, comme celui
montrera la nécessité d'une thérapeutique qui pourra, dans certains cas tout au moins, être plus efficace que celle suivi
ale, 19 II, t. XXXI, p. 37), dans un article intitulé «Note sur dix cas d'aortite syphilitique écrivent : « M. Vaquez a
publié seulement onze observations ana- logues. Dans l'un de nos cas , il s'agissait d'un enfant présentant, outre une
rticulièrement digne d'attention. Il est probable que le nombre des cas signalés de cyanose des rétines deviendrait plu
Bulletins de la Société de Neurologie de Paris, on trouve bien des cas de ce genre : ici, c'est une hémiplégie prétend
n, est soumis à des règles précises et, dans la grande majorité des cas , peut être porté aec certitude, maintenant qu'i
mènes vaso-moteurs, de l'hypothermie du côté paralysé ; en pareil cas , d'un diagnostic erroné d'hémiplégie hystérique o
111T15\IH : 199 Sans doute, on savait autrefois déjà que, parmi les cas publiés sous ce titre, il en était de controuvé
xercée involontaire- ment par l'entourage du malade, soit. dans les cas d'associations hystéro-organiques, par l'auto-s
euro-pathologiste exercé; l'hystérique, en effet, parviendra, dans ce cas , à présenter un aspect symptomatique qui rappel
un état morbide, une « névrose émotive»; il ne trouva pas un seul cas d'lié 1111 an osiliésie ou de rétrécissement du c
à une crise con- vulsive ; il affirme n'avoir pas constaté un seul cas de paralysie ou de contracture. Des enquêtes
gliger le traitement qu'un tel état com- porte. De plus, dans les cas d'association, en déterminant exactement ce qui
lut e dans un sens contraire. Mais s'il n'existe pas encore un seul cas , scientifiquement démontré, de trouble trophiqu
est-à-dire la moitié des maladies chroniques». Ainsi un sixième des cas de maladies lui paraissait imputable à l'hystérie
jourd'hui, \I. Souques, relevait « dans une salle de 3a malades, 26 cas d'une authenticité indiscutable », avec anesthé
même époque, dans le service de 11. Raymond, à Saint- Antoine, huit cas étaient observés dans les deux seuls mois de févr
nnées, dans une salle de clinique générale de 38 lits, passaient 22 cas d'hystérie mâle indis- cutable. « Et maintena
part, je crois bien qu'il a plus de dix ans que je n'en ai observé un cas sérieux dans mes salles. « C'est que, depuis
rps muqucuv de ;\Ia]pighi (Société analomique, 4 mai t883). 5. Deux cas d'épithélioma pavimenteux ayant vraisemblablement
cause une hémorragie méningée (Revue de Médecine, 1883). 7. Sur un cas de pseudo-pellagre (Gazette médicale de Paris, 18
tes rendus de l'Académie des Sciences, 7 janvier i 8SZt). g. Sur un cas de myélite chronique diffuse avec prédominance de
antérieures de la moelle (Revue de Médecine, 1884). 10. Note sur un cas de pneumonie tuberculeuse pseudo-lobaire avec abs
u réflexe antagoniste de Schoefer (Id., 3 janvier 1900). 5 . Sur un cas d'hémispasme. Contribution à l'étude de la pathog
ier 190 [). 69. A propos de la communication de M. Ballet sur trois cas de gliomatose céré- brale (Id.). 70. lIémiasy
tige vol- talque (Société de Biologie, 25 avril igo3). g5. Sur un cas de mélancolie guéri à la suite immédiate d'un acc
- lisée (Société d'Ophtalmologie, 6 décembre Igo{¡). t t3. Sur un cas de névrite dû peut-être à l'usage d'engrais artif
trapèze droit et tic de la face (Id., 6 juillet igo5). 120. Sur un cas de tabes à systématisation exceptionnelle (en col
et les troubles trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). 160. De
. 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). 160. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal (Id., G mai i
e M. Ettore Levi intitulé : « Quelques nouveaux faits relatifs à un cas d'Hystérie avec exagération des réflexes tendineu
e liée à une irritation des cornes antérieures de la moelle dans un cas de syringomyélie (Société de Neurologie, 6 févrie
(En collaboration avec Vincent et Barré. Id., 6 mars igi3). 202. Un cas de crises gastriques tabétiformes liées à l'exist
68 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ation ; si elle se fait, ce n'est que sous les aisselles. Dans ce cas aussi, une localisation préliminaire de l'anest
rès étendue, sans analgésie. Le toucher n'a pas été atteint dans ce cas non plus même dans la sphère occupée par une th
stion de l'existence possible des neurites et de méningite. En tout cas , une existence continue de la thermanesthésie i
qu'au fond de cette affection siège le même processus que dans les cas précédents. Ce processus morbide peut atteindre
une observation de Schultze. On peut supposer que tel était notre cas aussi, que chez notre malade, la gliomatose s'é
ne saurait admettre qu'avec plus ou moins de probabilité. Dans ce cas , les troubles trophiques de la peau ont fait dé
ence sur les troubles subjectifs. La thermanesthésie est, dans ce cas , la seule indi- cation directe d'une lésion ana
e ce genre, surtout en se rappelant la marche de la maladie dans le cas précédent, où le symptôme sus-indiqué avait exi
//e.JDernièrement, j'ai eu l'occa- sion d'observer encore les trois cas suivants : Observation VIII. Jean Gavriloff,
on du muscle cremaster et du droit plus que du gauche, même dans le cas où l'excitation vient de la cuisse gauche. Le r
s perçoivent bien la différence thermique de 1° et moins. Dans ce cas aussi, la parésie et l'atrophie muscu- laire de
ement élémentaire ne nous permettant pas d'in- sister dans bien des cas . Sur la PLANCH1, nous donnons (fig. 1) le dessi
. 206. - Forslchritte der médecin, Bd. 1. 1883. Il Ed. Hitzig. Un cas de surdité verbale pure, sans aphélie. ( l'on der
ont tenté la trépanation et l'ablation de la région malade dans six cas de lésions cérébrales chez l'homme avec épileps
ser le centre cortical du Ptosis c au pli courbe 1 suivant quelques cas anatomiques. Mais s'il est vrai que la dissocia
aminé avec soin et nous pûmes voir qu'il s'agissait bien dans notre cas , d'un mal perforant du pied. Toutefois, nous ne
t à la Société de médecine de Paris (4 février 188-». Dans les deux cas de M. J. Christian, il y eut rémission de la para
la période ultime de la paralysie générale. Enfin, il résulte du cas de C... que dans la paralysie générale à sa pér
sions méningitiques de nature tuberculeuse trouvées dans quelques cas ne sont pas la caractéristique anatomique de la m
ur exces- sive dans le choix et le classement des phénomènes et des cas observés. Or, la classification même des variét
ossible de déterminer l'action de telle cause particulière dans tel cas donné au point de vue de l'origine de la maladi
ques, t. II, p. 285 et suiv.) rapporte sous le nom de stupidité des cas qui nous semblent analogues à la catatonie et il
onie. Il serait aussi intéressant de rechercher l'hystérie dans ces cas où la maladie débute brusquement par la stupeur
lades peut être intéressante pour expliquer, au moins dans certains cas . la production de quelques-uns des troubles mot
ment que comme symptôme; 2° la présence comme règle dans tous les cas où il y a de l'Attonitàt des phénomènes dits cata
reux, la rattachent à la mélancolie. Mais parce que dans ce dernier cas , la maladie a pu suivre la marche indiquée par
s qui seraient plus ou moins accentués, mais de règle dans tous les cas de mé- lancolie avec stupeur. Nous l'avons déjà
es catatoniques. Nous- même avons eu l'occasion d'en voir plusieurs cas , même depuis que notre attention s'est fixée su
lret. De la catalepsie. (Arch. gén. de Méd., août 1857.) 8 Dans ces cas lorsque l'on peut constater des idées délirantes
un rôle important dans la genèse de l'ataxie. - Conclusion : .' Les cas d'hyperesthésie ordinaire chez les tabétiques son
peresthésie unilatérale à l'égard du froid. Dans un petit nombre de cas , une excitation révèle d'abord une insensibilit
le n'atteint d'ordinaire pas les noyaux des nerfs crâniens; dans ce cas par- ticulier, elle s'est étendue aux nerfs voi
ie anatomique des symptômes relevés. P.KERAVAL. IV. NOTE SUR DEUX cas DE paralysie radiculaire DU plexus brachial; pa
its de paralysie radiculaire publiés jusqu'ici ont trait soit à des cas de traumatisme direct portant sur les origines
isme direct portant sur les origines du plexus brachial, soit à des cas de compression lente des nerfs. M. Rendu rappor
elant par sa symptomatologie le diabète essentiel. G. D. VI. DEUX cas d'hémiplégie avec hydrémie DE l'hémisphère DU COT
e, etc.). Tous les phénomènes qui constituent par leur ensemble les cas typiques et absolument complets de la ma- ladie
des tics peuvent se rencontrer dissociés pour former des sortes de cas frustes. D'ailleurs dans tous les cas, qu'elle so
iés pour former des sortes de cas frustes. D'ailleurs dans tous les cas , qu'elle soit complète ou qu'elle ne se manifes
l'auteur n'aurait rencontré ce tremble- ment qu'une fois sur trente cas ; l'OBs. VII, hémichorée typique; OBS. VIII - hé
acile- ment les cordons latéraux qui relèvent du cervelet. Dans les cas qui comme ici témoignent d'une affection systém
uemment ces formations et lorsqu'on les a trou- vées, même dans les cas si bien décrits de Hebold, on ne leur a pas ass
ype, chez les membres de deux générations de cette famille. Dans un cas terminé par la mort, l'autopsie montra une dégéné
es lésions encéphaliques localisées ; voici pour chacun de ces neuf cas l'indication de la lésion cérébrale : OBs. I.
cale de plusieurs circonvolutions et d'une partie du corps strié. Cas . IV. Les lésions primitives locales avaient surto
ales étaient atteintes, mais surtout la protubérance et le bulbe. Cas . V. Destruction d'une partie du lobe temporo-sphé
é- rale de la moelle du côté opposé. Dans la majorité de ces deux cas , la sclérose ou la dégéné- rescence descendante
d, 1870, ï). Depuis cette époque, M. Nasse, sur plus de trois cents cas observés (1870-1882), soit à l'asile, soit en c
e chronique aboutira à la démence paraly- tique. Il s'agit dans ces cas d'une paralysie générale survenue sur un terrai
ses pathogénétiques nettement marquées et l'on ne trouvait que deux cas dans lesquels les accidents syphilitiques remonta
inaire, soit par suite d'une prédisposition chez l'individu malade ( Cas . I, II), ou bien acquis soit à la suite d'une m
des alcooliques). La guérison n'est cependant, pas plus que dans le cas d'alcoolisme, absolument parfaite, le morphinis
scernement, du jugement, du sens moral. La cocaïne a réussi en deux cas , à la dose de 0,05-0,-15 contre les hallucination
de mai 1873 est analogue à celui relaté par l'auteur. Dans d'autres cas , ce sont des troubles intellectuels prolongés c
nier, qui était tourné en dedans. Le Dr Stedmann a réuni deux cents cas analogues, parmi les auteurs, il en relate les
77), J. Cargill (novembre 1877), John Lulbock, Gray, ont relaté des cas semblables chez des animaux. Certains faits sont
rin à l'Académie de médecine, tandis que le Dl Stedman trouve là un cas s'accordant avec sa thèse. L'auteur hésite à at
es les taches que présentent les enfants à la surface du corps. Des cas bien curieux dans cet ordre d'idées sont ceux rel
s lieu, heureusement à des difformités chez l'enfant, dans tous les cas . Le Dr Stedman rencontrera dans la thèse qu'il
sortis exclusivement de l'imagination du peintre. R. M. C. V. UN cas DE mélancolie profonde et prolongée, avec tendanc
s symptômes très accusés de mélancolie avec tendance au suicide. Le cas était tel qu'aucun de ceux qui l'observaient ne
il a été observé. R. M. C. 80 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VI. UN CAS d'iMBÉCILLITÉ AVEC ANTÉCÉDENTS HÉRÉDITAIRES BIEN
r a cru devoir rapporter cette observation c'est qu'il a pu dans ce cas retrouver - les traces de cette hérédité dans q
tes, et termine son travail parles conclusions suivantes : 1° Les cas relatés dans le « Tke Journal of Ilental Science
lower, de Calori, etc., l'indice céphalique nous donnerait, dans le cas actuel, une mesoeéphate. Enfin, en se reportant à
atistique de son service il reconnaît que dans un certain nombre de cas les idées de persécutions se sont transformées
nom de délire chronique à évolution progressive et en pré- sente un cas type. Martel BRIAND. XII CONGRÈS DES NEUROLOGUE
s recherches de Steinbrûgge ont simplement mis en évidence, dans le cas de méningite suppurée, lapropagation de l'mtlam
s en cet organe. Mais on n'est pas encore autorisé à considérer les cas de méningite sporadique comme des cas isolés de
e autorisé à considérer les cas de méningite sporadique comme des cas isolés de rigidité de la nuque épidémique. M. G
ire progressive (formes musculaires), l'orateur décrit en détail un cas de dystro- phie juvénile (type de Erb) à genre
moire sera publié en détail plus tard 1. M. IMMERMANN (de Râle). Un cas d'amaurose par épuisement, à évolution courte,
néraux et mélancoliques, dans l'insommie nerveuse, et dans quelques cas de maladies infectieuses. Doses : 1 à 5 grammes.
est efforcé à la clinique chirurgicale de Fribourg d'exa- miner des cas récents; il s'agissait, dans l'espèce, soit d'épa
signalée comme constante par M. Charcot. En revanche, dans quelques cas , ce réflexe avait diminué du côté malade. On ré
ns de muscles plus ou moins circonscrites). On obtint dans tous ces cas une flacci- dité très accusée; l'excitabilité d
térations articu- laires. Cela ne peut-il pas avoir eu lieu dans le cas présent ? L'atrophie et la contracture ne peuve
tits foyers plus ou moins exclusivement limités à l'écorce. Premier cas : un petit foyer de ramollissement ayant exclus
nérescence plus loin dans la pro- fondeur du centre ovale. Deuxième cas : foyer ancien gros comme un pois, occupant la
substance blanche; dégénérescence secondaire peu étendue. Troisième cas : dégénérescence diffuse de fibres nerveuses à my
nnes de Clarke du côté amputé diminuent toujours de nombre dans les cas d'ampu- tation des membres inférieurs; car, ain
iée itz extenso dans le Neurolog. Centralbl.1. M. SII'sllERLING. Un cas de syphilis cérébrospinale héréditaire.- Publié
ertificat de médecin constatant son aliénation mentale, ou même, en cas d'urgence, sur la production d'une de- mande fa
, tribunal qui a de plus l'avantage d'être secret, ce qui, dans les cas dont il s'agit, n'est pas un mince avantage, re
'auriez rendue absolument folle ! Je pourrais citer bien d'autres cas . Pourquoi ne pas laisser la latitude qui était
Pour la bien préciser, permettez-mui de prendre comme exemple le cas où le préfet, sur la réclamation de l'administra-
d on persiste à détenir des gens qui ne le sont plus. Dans ces deux cas manifestement, il y a abus, il y a péril, péril
étonnement est au comble quand ce sont des magistrats messieurs, le cas n'est pas chimérique, il se présente, il s'est
vrir la liberté individuelle que le projet de loi préfère, dans les cas d'internement, la conscience du juge aux lumièr
foi cette prétendue garantie avec celle que donnent, dans tous les cas de placements, la signature et le consentement
rement aux principes et pour obéir à des scrupules, le jugement des cas d'aliénation mentale, devraient être capables d
, à étudier par eux-mêmes et par tous les moyens possi- bles chaque cas de placement, il ne saurait vous échapper qu'ils
nostic. La conception eût été certainement grotesque, mais, en tout cas , elle eût été logique. Vous figurez-vous sans r
édecine, on a émis l'opinion que le médecin serait amoindri dans le cas où le juge serait investi de la mission de décl
magistrats se rangeront toujours à l'avis du médecin. Mais, dans ce cas , et c'est le seul admissi- ble, quelles garanti
bord le procureur de la République obligé de requérir dans tous les cas de placement d'aliénés. Songez, messieurs, qu'i
beaucoup plus que vous ne leur conférez en pouvoir. Dans le premier cas , vous multipliez inutilement les formalités lég
nt les formalités légales du placement des aliénés ; dans le second cas , vous ne créez absolument qu'une fiction, qu'un
faire observer que si l'intervention du pouvoir judiciaire dans les cas de placement des aliénés mulli- plieinulilement
sièges des magistrats. Il est certain qu'en exigeant, dans tous les cas de placement d'aliénés, des réquisitions écrite
iels et le temps que ces devoirs exigent, avec le nombre immense de cas d'aliénation qui vont leur être soumis si vous ad
provoquaient et expliquaient des divergences d'opinions. En pareil cas , quelle a été la règle déterminante de nos juge-
ttri- bution douteuse ? Cette règle si sage s'applique également au cas qui nous occupe. (Approbation sur plusieurs ban
'esprit et de la mémoire, Le Dr Azam cite plus brièvement un second cas analogue qu'il a été à même d'observer chez un
les ou à des névroses dans lesquelles il rapporte succinctememt les cas semblables actuellement connus. P. S. IV. Le
s méninges rachidiennes, et ces divergences se rencontrent dans des cas dans lesquels les conditions restent en apparence
ites périphériques. On s'expliquerait ainsi la possibilité dans ces cas de troubles sensitifs ou moteurs indépendants, su
de concevoir qu'on observe l'intégrité des racines dans certains cas , cette réparation suit les lois de la dégénéresce
leur; leurs rap- ports avec les muscles volontaires qui, suivant le cas , se contrac- tent ou se relâchent régulièrement
malade. L'auteur conseille d'employer le braidisme dans beaucoup de cas , même dans les maladies organiques, et professe
icultés; tel BIBLIOGRAPHIE. 131 moment étiologique qui, dans un 1 cas est occasionnel, dans un autre deviendra primai
ues généraux. Dans la statistique du Dr Ri- baux qui porte sur 1309 cas , on remarque, au point de vue du sexe, que ce c
ffre comporte 775 hommes et 534 femmes. L'âge comportant le plus de cas est celui de trente à quarante ans, puis de qua
rnelle domine, surtout pour les fils. Toutefois, en retranchant les cas d'alcoolisme chez le père, on trouve Une prédom
z les hommes. Parmi les affections cérébrales, l'auteur a trouvé 17 cas d'affections des méninges, et 5,6 p. 100 de ble
sies sont dues à des toxiques végétaux ou minéraux; dans ce dernier cas on n'observe pas d'hypermnésie. Les divers pois
disposition héréditaire latente. Il existe un assez grand nombre de cas d'ataxie loco- motrice qu'on a vus se développe
agitante débuter à la suite de traumatismes légers ; mais dans les cas où les antécédents ont été nolés, il n'est pas
où les antécédents ont été nolés, il n'est pas douteux que, dans ce cas aussi, l'unique cause est l'hérédité. Il en ser
u ; les indications du diagnostic différentiel sont tirées dans ces cas de l'évolution de la maladie et de l'absence de p
maladie de Par- kinson sans tremblement, dont l'auteur a observé un cas tout à fait caractéristique. La rigidité muscul
ous seront utiles pour vous ren- seigner sur leur état, et, dans le cas où quelque doute subsisterait 138 VARIA. dans
able d'appeler votre attention sur les mesures prises dans certains cas à l'égard des malades pla- cés en observation d
t en prenne connais- sance préalable. Je vous serai obligé, dans ce cas , d'adresser des instructions dans ce sens aux d
uivant l'expression de P. Bert. Cependant, même aujourd'hui, si les cas de mort sont un peu moins fréquents qu'autrefoi
es arthrites, les otites et otalgies, les troubles gastriques et un cas d'Iaémorr7aagie nasale. Comme ac- cidents grave
sentés par ses malades, l'auteur ayant la tendance à considérer ses cas comme des cas d'ataxie locomotrice, ce qui est
alades, l'auteur ayant la tendance à considérer ses cas comme des cas d'ataxie locomotrice, ce qui est tout à fait er
n de Nauplie, M. Cotsonopoulos. Ce travail, qui porte le titre « Un cas de paraplégie chez un plongeur travaillant au s
urnal grec Asclel)ios (Esculape) 1871, p. 66 : nous rapporterons ce cas intéressant suivi d'autopsie à notre chapitre d
l'hémorrhagie de la partie lombaire »; c'est une hypothèse. Dans ce cas -là, disent-ils, aux symptômes de la paraplégie
raplégie des membres inférieurs viennent s'ajouter tantôt, quand le cas est léger, des douleurs dans les omoplates et l
ates et les membres supé- rieurs et la dyspnée, et tantôt, quand le cas est plus grave, la paralysie devient ascendante
sation à celle d'un bateau qui est battu par les flots de la mer en cas de mauvais temps. Ces vertiges peu à peu augmen
r jour : rarement la compression dépassait cette me- sure ; dans le cas contraire, il avait toujours soin de ne pas reste
décompression et l'enlèvement du casque comme c'est arrivé pour les cas II, IV, VI, VII, X, XI, XIII, et tantôt quelque
ompression et l'explosion des symptômes du début et une demi-heure ( Cas . IX) qui représente le maximum de cet intervall
in de l'intervalle considérable de vingt-quatre heures qui, dans le cas du nommé Gui- delleur, rapporté par M. Gal, s'e
tions ; ils font au contraire absolument défaut dans les six autres cas . Les symptômes céphaliques qui ont existé dans
minimum de dix minutes (OBs. VII) et le maximum de trois heures ( Cas . I et VIII). Pour cette dernière observation, i
re quatre fois; il était associé à d'autres symptômes gastriques ( Cas . I, IV, VII), et une seule fois il existait seul
gastriques (Cas. I, IV, VII), et une seule fois il existait seul ( Cas . XI). Les compagnons des malades se gardent bie
mptôma- tologie compliquée, que nous examinons dans le groupe des cas de gliomatose spinale , quatre séries de symptô
e, avec conservation du sens du tact et du lieu dans tous les dix cas à anesthésie partielle, qui se rapportaient à l
partielle, qui se rapportaient à la gliomatose centrale. Dans deux cas parmi les dix, il n'y a pas eu d'affaiblissemen
pèces de sensibilité durant treize' et six ans. Dans un troisième cas , et probablement après un plus grand nombre d'a
rmanes- thésie de toute la surface du corps. Dans les sept autres cas , la thermanesthésie s'était accompagnée d'une a
thésie ; dans d'autres que de l'analgésie; mais en gé- 1 Dans ce cas (observ. VI), après une anesthésie du sens thermi
a constaté des troubles d'autres espèces de sensibilité. Dans sept cas décrits par les auteurs allemands et dans deux
ésique de la partie située plus haut ou plus bas, à l'exception des cas où il occupe, une surface allon- DE LA GLIOMATO
bas par des lignes marquées et presque horizontales. Chez M. B. ( Cas . III), à une certaine période de la maladie, la
t descendue plus tard à quelques côtes plus bas. Si dans quelques cas la limite inférieure de la thermanesthésie arrive
égion (rayon du nerf axillaire). Mais en remontant à ces derniers cas , nous trouverons que tantôt toute la moitié du
es par le segment cervical supérieur de la moelle épinière. Dans le cas où cette région n'est pas atteinte tout entière
n rigoureusement symétrique de la ther- manesthésie ; dans les deux cas où il y avait une cer- taine symétrie, l'anesth
rd, la différence de 20° au même endroit. Il parait exister dans ce cas une sorte de faiblesse irritable^ d'épuisement
gnale dans toutes ses observations de l'analgésie et, dans quelques cas excep- tionnels la thermanesthésie partielle co
sez exactes sous ce rapport. Nous devons dire la même chose de deux cas présentant une distribution caractéristique de
éristique de l'analgésie (cein- ture sur la poitrine dans un de ces cas , moitié de la face et le membre supérieur dans
peu considérable, innervée cependant par trois nerfs. Dans d'autres cas , toute la région therma- nesthétique sent les a
signifiante du sens de lieu, comme, par exemple, dans notre premier cas et surtout chez le malade d'Oppenheim, chez leq
- téristique de ces dernières. Enfin, dans la troisième série des cas les nôtres n'en présentent pas l'anesthésie peu
nt le tableau caractéristique de la maladie. Schup- pel a décrit un cas d'anesthésie générale, dans lequel on trouva à
abaissé dans la région de l'anesthésie générale de notre neuvième cas . A juger d'après notre Observation III, il faut
conservé chez nos ma- lades. Généralement, il est conservé dans les cas où il n'y a que des symptômes fondamentaux, car
ystématisée du processus morbide. Il a été aussi conservé dans le cas d'Oppenheim, où toutes les autres espèces de sen-
nerfs, la colonne vertébrale, formant peut-être dans ce der- nier cas une manifestation de la méningite chronique, co
ar accès pour quelques moments, quelques heures; mais dans d'autres cas elles durent avec quelques variations d'intensi
ineuse, accompagnée de re- froidissement des membres. Dans d'autres cas , l'ir- ritation mécanique de la peau provoque u
rface de la peau et avait été plus accusée d'un côté. Dans d'autres cas , il se dé- veloppe comme des hypérhémies sponta
'inégalité pupillaire. Il nous est arrivé de l'ob- server dans deux cas , sans d'autres symptômes deuté- ropathiques. La
cellulaire sous-cutané se ren- contrent dans plus de la moitié des cas , même sans compter les observations de Morvan,
ans compter les observations de Morvan, qui avait ras- semblé ses cas , en se basant sur ce symptôme. Sur la peau de l
aule), limitant les mouve- ments et accompagnés parfois de douleur ( Cas . III, cas de Remak). Dans l'OBSERVATION X exist
ant les mouve- ments et accompagnés parfois de douleur (Cas. III, cas de Remak). Dans l'OBSERVATION X existaient des
ons pathologiques citées plus haut ont été aussi observées dans les cas où l'analgésie manquait, ou au moins, dans les
type scapulo- 1 Dans le dernier temps, je pus observer encore trois cas de gliomatose médullaire avec atrophie musculai
LIOMATOSE MEDULLAIRE. 215 humerai Landonsy-Dejerine). Dans d'autres cas , ta dis- tribution de l'atrophie est moins trom
trophie des membres inférieurs est exces- sivement rare et dans ces cas le degré d'atrophie peu considérable ne corresp
III, IV, VI, VIII, IX, X). Plus tard, comme le prouve notre premier cas , l'atrophie des muscles et les troubles moteurs
s symptômes caractéristiques, que nous avons observés dans tous les cas où il y avait faiblesse et atrophie des muscles
us loin avec plus de détails sur la signification diagnostique de cas semblables non complètement accusés ou pré- sen
tir plus ou moins les symptômes du vertige. Nous relatons ici les cas observés par M. le docteur C. Nicoclès pendant
symptômes du côté du ventre avec léger vertige. Enfin, il y a des cas où le vertige marin se provoque par ? / ! ? y ? ?
230 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. c'est ici que nous faisons entrer les cas du vertige marin en tempête à peine marquée, so
re qu'on observe, beau- coup plus prononcé d'ailleurs dans d'autres cas d'idiotie. 246 CLINIQUE NERVEUSE. Au-dessous
nota la diminution de la vue ; nous ne pouvons affirmer dans notre cas si ce symptôme doit être attribué à une lésion
l'amaurose est un des symptômes le plus fré- quemment noté dans les cas d'affection cérébelleuse. Parmi les autres symp
obants pour assigner à ce faisceau un lieu de passage précis. Trois cas de ramollissement de la protubérance avec glosso-
yramidaux varie propor- tionnellement. La décussation est complète, cas type, ou par- tielle, cas moins fréquent. Ces v
onnellement. La décussation est complète, cas type, ou par- tielle, cas moins fréquent. Ces variétés du mode de décussati
mique des paralysies directes se trouve ainsi naturellement donnée ( cas de Pierret, Brown-Séquart). 2e variété : Décus-
mmédiatement au sillon médian antérieur de la moelle. Dans quelques cas , cependant, sur des moelles dégénérées, le fais
r l'exactitude de l'analyse anatomique, ne considérant donc que les cas , qui, d'après cette loi très rigoureuse, présen
Fonctions motrices, 1887, p. 271, note 1.) Bennett et Campbell, Un cas de monoplégie brachiale gauche, produite par un f
téraux et des cordons postérieurs. REVUE DE MEDECINE LEGALE I. UN cas de SIMULATION d'idiotisme; par M. Guinsciiso ? 4.
pathologique. lence pnst-épileptique; 2° s'il est vrai que dans les cas les plus s nettement accusés de manie épileptiq
es par un fou épilep- tique durant un paroxysme frénétique. Dans un cas comme dans l'autre, on trouve, à l'origine de l
ouve, à l'origine de l'acte, un état psychique sem- blable; dans un cas comme dans l'autre, la violence est automa- ' t
es qui accompagnent le déve- loppement de l'accès, et cela dans les cas où l'on pourrait au premier abord supposer l'ab
es cellules munies de vacuoles se rencontrent très rarement dans le cas actuel. En comparant ces lésions avec celles qu
microscopiques de l'examen de la moelle épinière sont dans ces deux cas absolument identiques. Cette identité dans les
bres interrompus, détruits par une altération, subir, comme dans ce cas , la dégénérescence ascen- dante, ou, dans d'aut
sque complète. La rigidité pupillaire ou le ptosis en de semblables cas ne renverse pas le diagnostic clinique, pas plu
s en plus profuses et intenses à mesute qu'on monte. Dans le second cas , hypérémie sans hémorrhagie mais avec hyperplas
ue, de l'hypo. grosse, noyaux des plus dégénérés. p. Ici. Vil. UN CAS DE GOMME DE L\ \. BASE DU CERVEAU AVEC LÉSION DU
élire systématisé de persécu- tions. L'analyse critique de tous les cas apportés aux débats prouve, au contraire, le bi
s de la Société n'ont apporté aucun fait personnel. On a invoqué un cas de La- sègue, mais à cette époque, la synthèsed
el, tantôt il ne se rappelleahsolumcntrien,exactemenlcomme dans les cas d'obnubilation, de stupidité épileptiques. On a p
miti- gée sont du ressort juridique. Quand le médecin a analysé le cas , c'est au juge de conclure. Mais au fond, quand
nt au magistrat, mais le médecin doit avoir soin de signaler que le cas d'aliéna- tion mentale qui lui est soumis se tr
an se range à l'avis de M. JOIIV. Il faut'absolument, dans certains cas , conclure à la diminution de la responsabilité.
constitutionnelles (débilité mentale, hystérie). Enfin, en certains cas , nous obtiendrons la guérison d'au- tant plus v
I. 19 290 SOCIÉTÉS SAVANTES. un contingent plus discret encore de cas à la sortie prématurée. A part l'hypomanie de M
e peut leur procu- rer d'occupation convenable et féconde ; dans ce cas , la vie exté- rieure représente le meilleur, le
bien que non guéri-. Il est manifeste que dans un certain nombre de cas l'asile est un excitant désavantageux, ne serai
n'existe pas. Celle qui provient de l'auto- rité existe. En pareil cas , l'établissement établit que l'individu ne saur
urait être maintenu; il le renvoie et se met à l'abri comme dans le cas d'une admission erronée. àl. Ocnrxc. Sans doute
s franches à l'aliéniste. M. Oiîersteiner. En Autriche, en tous les cas , on commence par .294 SOCIÉTÉS SAVANTES. proc
ère question. ii-l-C)t y2l établir ci coup sûr qu'il y avait eu des cas de séquestration illégale dans les asiles d'alién
on d'un aliéné dans un asile d'aliénés privé est commandée. Dans le cas où, avant l'admis- sion, il n'aurait pas été po
pas. N'ayez pas recours aux autorités du lieu d'origine à moins de cas médico- légaux ; vous nuiriez au malade en ébru
z. Le Physikus n'a rien à voir avec l'admission. D'abord il y a des cas où on ne saurait l'appeler, parce qu'il habite
établisse un certificat d'incurabilité hâtif ? Dans la plupart des cas , il est mauvais de prime abord d'admettre ou de r
r public, de fugues par défaut de surveillance etc.; mais, dans ces cas , il vaudrait mieux que la séquestration ei7tlie
'il hésite à valider l'admission, la police entre en jeu. Sinon, en cas de réclamation, rapport d'un médecin compétent
herches bibliographiques, ne lui ont pas montré qu'il y. ait eu des cas de séquestration arbi- traire par les asiles d'
GUTTST.%DT et ZINN, ces deux derniers secrétaires. M. MENDEL. Un cas de folie gémellaire. A propos d'un cas em- prun
s secrétaires. M. MENDEL. Un cas de folie gémellaire. A propos d'un cas em- prunté au travail de M. Euphrat, l'orateur
s délirantes de la jeune fille. Discussion : - M. WErtDT parle d'un cas de folie gémellaire sur- venu chez deux soeurs
mais c'est l'angoisse qui prédomine actuellement. M. P. REHSI. Un cas d'intoxication par la paraldéhyde. Il s'agit d'
et l'emploie à la dose de 3 à 8 grammes. M. HEBOLD (de Sorau). Un cas d'atteinte du nerf vague dans la paralysie prog
des avis, et lorsqu'il remplit une fonction sociale, ce qui est le cas , dans le concours qu'il cloU donner à l'applica
RDIE. Ce sera toujours un avis que donnera le méde- cin. Dans aucun cas , ce ne sera une décision. (Bruit.) 11 faut que
ger du titre d'inspecteur des aliénés doit donner son avis dans les cas de séquestration. Il sera appelé à formuler une
orale et de demander aux préfets un ordre de séquestration, dans le cas où, après avis du médecin traitant et du médecin
i a justement pour mission dans la société de décider dans tous les cas qui touchent à la liberté d'une personne ou à s
le droit de séquestrer un citoyen ! « Est-ce que c'est seulement en cas d'atiéLatmn mentale que ce fait se sénat. 313 i
ation est exalemeut la même. (Protestations à gauche.) Oui, dans le cas de péril public imminent, dans tous les Etats org
, le terme de folie simultanée, employé par Régis, pour désigner un cas un peu différent. Voilà pour la première catégo
frappent du même coup un grand nombre d'individus. Dans un autre cas , le groupe délirant est plus res- treint, ne co
u moment où ils subissent l'influence d'autres malades. Ce sont les cas de folie communiquée qu'il - n'est pas rare d'o
effet, n'est véritablement imposée que dans un nombre restreint de cas . Que faut-il penser de la pathogénie de ces dél
toire au médecin. DE LA FOLIE COMMUNIQUÉE. 329 11 y a eu dans ce cas une véritable auto-suggestion, un véritable ent
nement, une contagion. Ce fait ré- sume dans sa simplicité tous les cas rangés communé- ment sous la rubrique : délires
itieux est un fait beau- coup plus rare ; il en existe pourtant des cas . On se méfie plus facilement d'un ambitieux que
é, à des faibles d'esprit soumis aux mêmes. influences. En voici un cas très net, qui donnera une juste idée de ce qu'o
autre est débile ; ou bien, tous deux sont débiles. Dans le premier cas , le malade influencé étant a priori, un débile,
stique, que la différence qui les sépare s'imposera. C'est dans ces cas que la participation du malade influencé au dél
n.raison même de la complexité de ce dé- lire. C'est aussi dans ces cas qu'on observe une autre manière d'être du malad
UNIQUÉE. 339 avait beaucoup changé. Je suis sûre d'un fait, en tout cas , c'est que ma mère ne s'est pas pendue toute se
qu'elle soit directement provoquée par le ma- lade actif. Dans ce cas , les deux hallucinations se produiront d'après
aucoup moins logique que celui du délirant chronique, et, en tout cas , beaucoup moins systématisé ; il ne se compose
ucination intervient, son mécanisme est tout différent, et, en tout cas , il ne joue plus un rôle prépondérant. C'est un
atre malades complices du même crime. Il s'agissait en réalité d'un cas de folie communiquée. L'une des quatre personne
n- tretenir un délire dont il n'est pas l'auteur. Mais il est des cas toutefois, où il devient nécessaire de faire in-
l n'y en a pas un seul qui ait é é constant et il n'y a pas un seul cas qui ait simultanément présenté à son début les
iode paralytique OU paraplégique. Il paraît que pour la plupart des cas , l'explosion de la paraplégie a lieu soit penda
re soit immédiatement après leur disparition sans aucun intervalle ( Cas ..11, III, IV, V, VI, IX, X. XII). Cependant, il
EUSE. est presque toujours brusque. Dans l'immense majo- rité des cas , la paraplégie est complète dès le premier mome
son invasion (OBS. III, IV, V, VI, VII, IX, X, XIII). Pour quelques cas , il paraît qu'il faut à la paraplégie un certai
is comme la paraplégie trois heures pour se compléter. Il est des cas où ce n'est plus une monoplégie mais une parapl
cer- tain temps la paraplégie des membres inférieurs. Tel est le cas de I'OBSERVATION XII. Ce malade était pris à 1
temps très court, par exemple une demi-heure (OBs. X), six heures ( Cas . II), tantôt elles sont passagères et durent qu
onsiste rarement en une diminution, qui toutefois est très marquée ( Cas . V et VIII), très souvent au contraire en une a
tôme a duré un temps qui a varié chez nos malades entre deux jours ( Cas . V) et un mois (OBs. II et IX); pendant ce temp
drome spastique qui commençait : les paraplégies des douze autres cas étaient toutes spasmodiques. Nous croyons pouvo
est suivi de deux ou trois projections de la jambe; il est même des cas où l'excitabitité myélitique est tellement gran
te sans que la volonté des malades s'y oppose. En général, dans les cas avancés, les membres de ces malades sont rigide
édomine au membre le plus paralytique ou le plus parétique. Dans ce cas -là, lorsque le malade boite d'un seul côté, la
'ajouter que les réflexes sont et doivent être exagérés. Il est des cas où l'évo- lution de notre syndrome s'arrête là
ment disparaît presque complètement. Mais dans un grand nombre de cas , le syndrome spasmodique, au lieu d'avorter ten
e syndrome, arrivé à ce point de son évolution. Pour la plupart des cas , sa marche est rétrogressive et le syndrome de
t jusqu'à la disparition com- plète de ce syndrome. A côté de ces cas relativement plus nombreux, il y en a d'autres
ne doit pas tenir compte de J'OBSERVATION XII; car il I s'agit d'un cas de trois mois. Cet arrêt est dû dans un certain
d'un cas de trois mois. Cet arrêt est dû dans un certain nombre de cas à deux causes principales : 1° l'absence d'un t
ogressive de la maladie, cette rétrogression dans la généralité des cas au lieu de s'arrêter continue- DES ACCIDENTS PA
tat parétique était tout à fait le même qu'auparavant. Il est des cas où ces accidents paraplégiques intercurrents ne
e même léger survenu au bout de ce temps. Toutefois, s'il y a des cas où ce syndrome montre peu ou pas de tendance à
u pas de tendance à s'atténuer et à rétrograder et le nombre de ces cas déjà inférieur à celui des autres sera encore d
ts, la marche ultérieure de ce syndrome dans l'immense majorité des cas est essentiellement rétro- gressive ; dans quel
ajorité des cas est essentiellement rétro- gressive ; dans quelques cas très peu nombreux, elle est peu rétrogressive,
altérée. L'altération de la sensibilité dans l'immense majorité des cas s'est manifestée par une paralysie soit incompl
s membres et plus haut, tantôt elle l'est par plaques, par exemple ( Cas . IX). Il est des cas où la sensibilité est plus
tantôt elle l'est par plaques, par exemple (Cas. IX). Il est des cas où la sensibilité est plus ou moins paralysée s
che et arrive à une étape ultérieure et, dansungrand nom- bre des cas , ils disparaissent tout à fait. En effet, sur l
bre des cas, ils disparaissent tout à fait. En effet, sur les douze cas , où les troubles de la vessie vraiment graves o
aire sortir l'urine et, le 10 août, il était guéri. A côté de ces cas , il en est d'autres où les troubles de la vessi
AR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 367 disparaissent dans la majorité des cas . En effet, dans notre tableau, les symptômes re
u rétrogradaient et finalement ont disparu complètement. Il est des cas où la rétro- gression des troubles génitaux ne
ns. Nous croyons pouvoir annoncer que dans l'immense majorité des cas , les paraplégies spasmodiques provenant de l'em
le aboutit à un complexus clinique pres- que uniforme pour tous les cas . Précisons davantage : cette forme peut être in
nde et tous les petits moyens que les plongeurs mettent en usage en cas d'accident. Le 3 mai, la rétention a été suivie d
rs très court. Il oscille beaucoup quand il ferme les yeux; dans ce cas -là, aussi bien que dans l'obscurité, il marche
s. La durée totale de la perte de connaissance, dans ces différents cas , a considérablement oscillé, depuis cinq minute
ome peuvent se combiner à un symptôme d'un autre syndrome; c'est le cas de ]OBSERVATION XV où les illusions visuelles,
ralytique. L'invasion de la para- lysie chez trois de nos malades. ( Cas . XIV, XVII, XVIII) a eu lieu sans intervalle en
est le droit pour les Observations XV et XIX. La monoplégie de ce cas a été brusque et complète, comme la para- plégi
XIX et vingt-cinq pour l'OB- servation XVI.) Dans presque tous les cas , la dispari- tion a lieu très rapidement; il es
s les cas, la dispari- tion a lieu très rapidement; il est même des cas où la disparition a lieu très brusquement (OBS.
la motilité et de la sensibilité; ils ont consisté dans tous les cas , en une rétention d'urines. Par suite de cette
s- ventre. La durée de la rétention a beaucoup varié pour les six cas , depuis douze heures à deux mois. La rétention,
eu chez le malade de l'OBS. XVI. e). ? Mr6CM ? Dans la majorité des cas , la rétention de selles marche de pair avec la
ollissement plus ou moins grand d'un néoplasme gliomateux, dans ces cas , elle ne constitue qu'une complication de ce pr
différence qui existe entre les altérations anatomiques dans divers cas isolés est si grande que leur groupement est qu
orte que de déterminer à quel groupe anatomique se rapportent les cas que nous examinons et de tâcher, autant que pos
- plasie sous forme d'une tumeur plus limitée et solide; dans ces cas , les symptômes manqueront ou bien leur caractèr
essentiellement différent de celui que nous avons observé dans nos cas (Reisin- ger18 et autres). 4). La névroglie s
nécessaire, comme l'a démontré l'au- topsie faite par Schultz". Les cas correspondant à notre tableau clinique se rappo
us limitées de forme et de structure, comme nous l'avons vu dans le cas décrit auparavant ? voilà pourquoi nous employo
ites de cette dernière. La syringomyélie avait existé dans tous les cas , mais elle n'occupait que le second plan, dans
que par places dans le renfle- ment cervical. A l'exception d'un cas de Schultze, le processus morbide longeait tout
sse, etc.). La sub- stance blanche n'est pas atteinte dans tous les cas et toujours à un degré moindre. Ordinairement,
ont point du tout égales en lieu et degré de lésion dans différents cas et oc- cupent toujours le plan secondaire, ou b
sur les cellules et surtout sur les fibres atteintes. Dans bien des cas , on ne voit pas du tout correspondre au tablea
destruction com- plète de la partie centrale de la moelle épinière ( cas de Krauss) quelques troubles de sensibilité mar
déplacer, se détacher, sans subir la dégénérescence. Dans d'autres cas , on observe la dégénérescence qui paraît se fai
cornes postérieures, par exemple; j'ai pu m'en con- vaincre par le cas que j'ai examiné au point de vue anatomique. Il
vent périr, se détruire et se déplacer en masse ; que dans d'autres cas le néoplasme-remplit, pour ainsi dire, par péné
he ultérieure dans la substance blanche et grise. Au contraire, les cas de gliomatose nous donnent jus- tement l'espoir
d'atteindre la solution de ces questions physiologiques. Dans ces cas , la nature fait sur l'homme une expé- rience pr
elles- mêmes ne produisent pas de symptômes semblables ; dans le cas de Reisinger8, une énorme tumeur au centre de l
aits anatomiques, qui paraissent parler en sa faveur. Dans certains cas d'anesthésie partielle, on voit une destruction
l'existence d'une altération d'im autre genre, par exemple, dans un cas , la dégénérescence hyaline de la neuroglie et d
t sur la conductibilité des impressions thermiques; dans un autre cas , la prédominance de l'hyperplasie de la neu- ro
degré d'atrophie et de faiblesse reste stationnaire ; dans d'autres cas , l'on voit un dé- DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE.
pide de nouveaux symp- tômes et l'aggravation des anciens. Dans les cas nos I, II, et III, nous avons vu une améliorati
Fûrstner et Zacher). Terminaison de la maladie. Dans notre ancien cas 20, ne correspondant pas rigoureusement parlant
ons accidentelles, reliées du reste parfois à la mala- die. Dans un cas de Schultze ", par exemple, le ma- lade estmort
té négligé et avait pris un caractère putride; l'amputation dans ce cas ne sauva pas la vie du maladie.. La guérison
souvent combiné à de l'analgésie. Le diagnostic est facile dans les cas oui) des troubles de sensibilité plus ou moins
n des articulations, la fragilité des os etc., constituent dans ces cas des 1 Sauf la ressemblance très marquée qui exi
i décrit avec les phénomènes neuropathiques, observés dans quelques cas de lèpre. (Rosenbach. 30.) 410 PATHOLOGIE NERVE
e de la gliomatose de la moelle épinière. Mais nous ignorons si des cas semblables peuvent en réalité dépendre de ce pr
eût été en tout identique à celui qui forme la base du groupe de cas étudiés par nous. D'autres phénomènes tenant à
énérale s'est développée vers la lin de la ma- ladie, comme dans le cas de Schuppel, on a encore la ressource four- DE
rque est pourtant nécessaire à faire. Nous pouvons nous figurer des cas de tabès dorsalis tout à fait exclusifs et comp
tradiction avec la proposition exprimée plus haut. Mais dans ces cas -là, la marche de la maladie, l'exis- tence des
istique, sans quoi bien entendu un diagnostic anatomique précis des cas semblables de- viendrait impossible. 'Ces der
mblables de- viendrait impossible. 'Ces derniers jours j'ai vu un cas semblable : il se développait progres- sivement
le pied et diminuant vers les cuisses, où elle est normale. Dans ce cas nous n'avons pas de données suffisantes pour di
aire à uneneu- rite d'autant plus que nous pouvons tomber sur des cas , où la sensibilité douloureuse des cordons nerv
se doit être posé DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 413 aussi dans les cas qui ne présentent pas de troubles locomoteurs b
à disposition caractéristique segmentaire ou par région occupant en cas de localisation mono- plégique, un membre supér
upant les épaules d'une manière plus ou moins symétrique dans les cas de localisation bilatérale; dans la thermanes-
est pour nous pathogno- monique de la gliomatose. Dans un de nos cas (OBSERV. Viol), en fait de sympa tomes d'une lé
ent d'exclure le tabès dorsalis dans 414 PATHOLOGIE NERVEUSE. les cas de la dernière catégorie et dans la localisation
e, on ne peut à l'état actuel de nos con- naissances (comme pour le cas cité plus haut) ex- clure quelque affection lim
à ce dernier temps. M. Bolko Stern =3) fait remarquer que dans cinq cas de tabes, l'anesthésie avait débuté par le sens
utres symptômes, qui ont obligé l'auteur à diagnos- tiquer dans son cas le tabès dorsalis. Il nous semble qu'on peut su
olique. On pourrait confondre la gliomatose spinale avec quelques cas de lèpre anesthétique, grâce à l'atrophie muscu
esthésie thermique et l'analgésie (Ro- senbach 3') surtout dans les cas où les altérations cu- tanées de la lèpre sont
muscles orbiculaires des paupières qui est caractéristique pour les cas de lèpre dans lesquels elle se voit. L'analgési
ent à l'observa- 410 PATHOLOGIE NERVEUSE. tion du médecin dans le cas où le malade le consulte pour d'autres symptôme
thésie plus ou moins étendue de tousses modes de sensibilité (notre cas décrit en 1878) n'exclue pas ce processus. II p
amyotrophique latérale. Je n'ai pas l'intention de toucher ici ces cas , quoique la plupart d'entre eux appartient peut
al (n'ayant atteint que les cornes antérieures) qui existe dans les cas à paralysie de sensibilité partielle. Mon obser
ouvons par- fois côte à côte avec les produits spécifiques (notre cas et les observations deZacher-Fùrstner) l'infiltra
les, en profitant entre autres des moyens cités plus haut. Dans les cas présentant de l'analgésie, il est très importan
de conducteurs spécifiques par la voie de l'étude anato- mique de cas de gliomatose avec anesthésie partielle. Mais,
ectionnées (Frend-Meynert, Weigert, Golgi, etc.) dirigées sur des cas récents, dans lesquels des altérations anatomique
ma communication à faciliter à quelqu'un le diagnostic précoce d'un cas de gliomatose écrébro-spinale et à contribuer a
, en surcharge graisseuse, était légèrement hypertrophié. Dans le cas de Meschede, les symptômes observés sont en rap
ntécédents nous empêche d'é- tablir une comparaison exacte entre ce cas et les nôtres. Parmi les observations ancienn
publiées dans notre historique, on trouva à l'autopsie, dans deux cas , des lésions profondes de la protubé- rance et,
x cas, des lésions profondes de la protubé- rance et, dans un autre cas , une lésion du corps strié; dans ces trois cas
ce et, dans un autre cas, une lésion du corps strié; dans ces trois cas il s'agissait de vastes foyers d'hé- morrhagie
médecine, décembre 18G9.) 424 -if PATHOLOGIE NERVEUSE. dans les cas d'épilepsie procursive, on procède à un examen
'Ces auteurs ont confondu encore sous le nom de grande chorée des cas évidents d'hystérie tels sont entre autres les ca
rande chorée des cas évidents d'hystérie tels sont entre autres les cas de Dewat- coit- DE l'épilepsie procursive. ! 12
e atteint un plus grand nombre de Cibres » » (l3eaunis). Dans trois cas de 1 Mesnet. Des mouvements circulaires (Archiv
dans l'état du malade. RECUEIL DE FAITS NOTES SOMMAIRES SUR DEUX CAS D'IDIOTIE AVEC CACHEXIE . PACHYDERMIQUE (IDIOTI
IE . PACHYDERMIQUE (IDIOTIE Cfil;'f1V01DE) Par BOURNEVILLE. Les cas d'idiotie avec cachexie pachydermique sont beau-
e dépar- lement, nous a fait voir à la fin de septembre deux autres cas tout à fait caractéristiques. Ce sont ces cas q
septembre deux autres cas tout à fait caractéristiques. Ce sont ces cas que nous allons rapporter, bien qu'il ne nous a
ue le rôle nécessaire à la production du tremblement, car, dans les cas de lésions en foyer exclusivement limitées à la
ement intentionnel. Mais c'est dans l'épilepsie corlicale, dans les cas de contractures secondaires avec épilepsie spin
verses zones. Une 2° observation person- nelle : étude critique des cas et des opinions des auteurs. M. Stephan penche
, diminution et abolition des réflexes tendineux. P. K. XXIII. Un cas DE paralysie progressive chronique DES muscles DE
ion centrale antéroeuregauciie avec le membre supérieur droit; ' le cas acluel viendrait en outre à l'appui de l'opinion
ire. V. diagnostic, étude critique. Pas d'autop- sie. Dans l'un des cas , guérison incomplète, dans les autres, fue- ris
à la syphilis, car l'existence ou l'absence de syphilis en pareils cas comporte une proportion égale. P. K. XXXV. Cont
ues; par M. Bernhardt. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Ce sont : A. Un cas de paralysie pae compression du radial droit, c
tionnelles neuropathiques. P. K. XXXVI. Courte communication sur un cas DE tubercule solitaire DE la moelle cervicale;
(Tlte J0211'n(ClGf .lleratal Science. Juillet z.) Dans le premier cas , c'est chez une malade atteinte de folie chroni
témoigne même quelque regret de ce qu'elle a fait. Dans le second cas , il s'agit d'un homme atteint d'une manie aiguë
hloroforme. R. M. C. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE I. 'LE TRAITEMENT DES CAS RÉCENTS D'ALIÉNATION DANS LES ASILES ET DANS LE
s., p. 367, 188î.) Il y avantage, quand on se trouve en présence de cas aigus, à les traiter en dehors des asiles, à ca
uite dans le public. Il est donc utile d'établir dès le début si le cas sera aigu et rapide ou chronique. La manie tr
uteur demande- t-il que la loi permette aux médecins de traiter des cas dans les maisons privées, sans certificats, tou
r des cas dans les maisons privées, sans certificats, tout comme un cas de delirium tremens ou de fièvre. C'est permis
nne, soit qu'elle vienne du système ner- veux. L'auteur relate deux cas de ptyalisme du dernier genre gué- ris par l'at
testinale (etitérou- rhées), ou de vomissements très opiniâtres. Un cas de fièvre d'ori- gine centrale. Deux faits d'ac
ons cardiaques des aliénés. Séance du 13 juin 1883. M. Hebold. Un cas d'altération ( ! ) ! e'M ? ? snM/6 des capillaire
hL,.P>;r ? rt et Nasse pensent qu'il convient de signaler . tout cas de suicide à la police locale; c'est à clic qu'ap
ns bruit (se pendre, s'étrangler). * M. OCI13EKE. La proportion des cas de mort par suicide parait bien plus défavorabl
rands asiles où les psychopathies chroniques abondent ainsi que les cas de mort. 11 faut surveiller les aliénés suicide
essera au conseil d'administration de la province du Rhin, et qu'en cas de refus, elle s'associera une autre société inté
e de l'hyoscyamine cristallisée. D'après. M. Bastelberg, en pareils cas , la sédation est prompte. Les avis des membres
fection de tout le système nerveux central. Sans doute, en bien des cas , elle se loca- lise surtout dans le cerveau ant
e un fait, mais on ne serait pas embarrassé de citer six, huit, dix cas d'aliénés qui ont été mis en liberté sur réquis
s par une opinion qui n'est pas la mienne, l'idée que dans tous les cas , quand il s'agit de séquestrer momen- tanément
t être jugée par la chambre du conseil ; mais, dans tous les autres cas , les sorties doivent être réglées comme nous l'av
liénés. Il s'agit ici des placements volontaires, et ce n'est qu'en cas d'op- position que le tribunal a à intervenir.
, si la maladie se caractérise et s'il est démontré qu'il y a là un cas d'aliénation mentale, il est nécessaire de pro-
out à fait insuffisantes, parce qu'elles ne s'appliquaient qu'à des cas véritablement exceptionnels. Il faut être dans
tion qui se trouve dans le code civil, ne convient pas à tous les cas d'aliénation mentale qu'il s'agit de traiter dans
profondément erronée. Je reconnais qu'en fait, dans la plupart des cas , la chambre du conseil se contentera, après avoir
quefois contredit par d'autres rapports, si on est en présence d'un cas douteux et difficile, comme cela arrive souvent
et je dirai tout à fait nécessaire ; car, enfin, messieurs, dans ce cas douteux, qui est-ce qui peut trancher la questi
cins. Mais l'article 21 qui vous est proposé prévoit précisément le cas où la chambre du conseil, se trouvant en pré- s
ent le cas où la chambre du conseil, se trouvant en pré- sence d'un cas difficile, de contestations, de documents contra-
du conseil sera appelée à jouer dans ces circonstances, dans ces cas difficiles qui ne seront pas très fréquents, je v
ministère public, dis-je, toutes les fois qu'il n'apercevra pas un cas douteux, une difficulté particulière, n'aura qu
ains, elle n'aura qu'à rendre une décision qui, dans la plupart des cas , ne lui demandera que quelques minutes d'exa- m
e voyez, l'innovation qui consiste à faire intervenir dans tous les cas la chambre du conseil, est due à l'opi- nion pu
u'un seul membre du parquet, et un grand nombre se trouvent dans ce cas aujourd'hui, voilà un tribunal qui, écar- tant
s d'accord avec lui que la chambre du conseil ait à statuer sur les cas d'internement dans les asiles d'aliénés. 474 -I
ardie. Tout est là ! 1 M. Lacombe. On aurait donc pu dire : Dans le cas où il n'y a pas de contestation, le jugement qu
signé en la personne de son administrateur provisoire, sauf pour le cas d'urler- diction, car, dans ce cas, il devra en
trateur provisoire, sauf pour le cas d'urler- diction, car, dans ce cas , il devra en outre être remis à l'aliéné lui-mê
blique, auquel la loi reconnaît le droit de la provoquer en certain cas . Il me semble, par conséquent, nécessaire que l
i par- ties dans l'instance, ni personnellement intéressés. En tout cas , il vaudrait mieux insérer dans la loi une disp
les règles de la procédure en inter- diction seront applicables au cas prévu dans cet article ; si la commission conse
es observations assez intéressantes. Je note à ce point de vue deux cas d'ataxie locomotrice au cours desquels sont sur
soit fonction de sénilité ; cette lésion n'existe pas dans tous les cas , et quand elle apparaît', est d'ordre irritatif
deux dernières classes. Mais il n'est pas douteux que dans certains cas d'affections nerveuses, les métaux appliqués d'
rie chez les aliénés, par Loelir, 305. Aliénation (traitement des cas ré- cents d' - dans les asiles privés), lar C
r Cielding B ! audford, -'r45; - (traitement hospitalier pour les cas curables d'), par Strahau, 'a17; - (StaUsUque d
un garçon de onze ans, par Savage, 435. Idiotie crétinoide (deux cas d'), par Bourneville, 431. Idiotisme (simulat
69 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
en utilité aux opérations sanglantes qui, dans la grande majorité des cas , sont l'unique moyen de guérison des fistules uri
nt les deux extrémités libres sont dans le conduit vulvaire. C'est le cas oû la suture se pratique le plus facilement ; mai
ture, et de rendre plus mobiles les lèvres de la plaie. Dans certains cas , le vagin a contracté des adhérences solides avec
a lésion augmenterait les chances d'accidents. On n'est pas, dans les cas de cette espèce, absolument privé du secours des
adrangulaire c^u'un aide peut tenir solidement à deux mains. Dans les cas difficiles, à ce spéculum qui déprime la paroi po
t de se placer dans la position qu'elle préfère; ce n'est que dans le cas où elle ne peut pas uriner volontairement qu'il l
, sans faire gros dos, sans s'appuyer sur le coude gauche. Dans les cas où la fistule est profondément située, M. Sims, o
t des accidents graves ou mor-tels, et qu'enfin dans un bon nombre de cas on peut se dis-penser de décoller le vagin à son
aie plus large et plus profonde et par l'aggravation de la fistule en cas d'insuccès. La double suture permet d'éviter le d
demeure paraît donc aujourd'hui très-contes-table, au moins dans les cas ordinaires. La position donnée à la malade par
nnerions la préférence à celui de M, Sims; mais la diversité même des cas de fistule ne permet pas un choix exclusif; nous
, Duboué est ingénieux; il peut trouver son application dans quelques cas particuliers, mais le plus souvent il est inutile
il y a 16 guérisons, 1 améliorations et 2 morts. Sur un groupe de 94 cas opérés par le procédé Bozeman, on compte 76guéris
considérable du canal, ou une destruction partielle: dans le premier cas , il n'y a rien à faire; dans le second. l'étend
incontinence d'urine, après l'opération de la fistule; dans plusieurs cas où cette incontinence existait d'abord, nous la v
s disparaître peu à peu. 2° Oblitération de turèthre. Dans certains cas il n'y a qu'une simple occlusion par une valvule
ut dis-poser de bien des manières pour répondre aux besoins de chaque cas ; des fils passés dans la muqueuse vaginale ou da
r, 10° Ouverture de t uretère sur les bords de la fistule. C'est un cas fort embarrassant, Jobert conseille soit de détac
al se sont trouvées vérifiées. On a même fait l'épisiora-phie dans un cas de fistule recto et vésico-vaginale, les matières
ation ou par la suture, sui-vant leur étendue; on a dû dans plusieurs cas opérer plusieurs fois ces petits pertuis pour en
munication entre la partie sus-vaginale du col et la vessie. Dans des cas très-rares, les deux parois opposées du conduit u
iés du col, — Ce procédé a déterminé de graves accidents dans le seul cas oû son auteur l'ait employé. Deuxième procédé.
e inopérable. Il est d'ailleurs à remarquer que dans presque tous les cas l'utérus et le vagin ont perdu entiè-rement leur
lésion du vagin dont l'insertion au col est détruite. Dans cer-tains cas , cette insertion est simplement décollée, et alor
ors des sutures, de manière à éviter une tension trop forte. Sur 16 cas de fistules vésico-utéro-vaginales superficielles
étacher la membrane tout en-tière et d'une seule pièce. Dans quelques cas , l'hémorrhagie réclame l'application d'un tampon
sans difficulté. Lorsqu'il existe du tissu cicatriciel, comme dans ce cas , il est très-important de prolonger l'emploi du d
réduction bien maintenue peut amener la guérison définitive dans les cas très-récents. M. Scan-zoni a obtenu cet heureux r
ous disons ici, par la lecture des opérations qu'on pratique dans les cas de chute de l'utérus. Ces deux prolapsus existent
la suture entre-coupée. M. Churchill va plus loin encore. Dans les cas graves, il n'hésiterait pas à enlever non-seuleme
née, on partiel, lorsqu'une paroi seulement a cédé. Dans le premier cas on voit une tumeur faire saillie sur tous les poi
e ouverture par laquelle on arrive au col de l'utérus. Dans le second cas , la tu-meur se détache soit de la paroi antérieur
passant à côté d'elle que le doigt arrive sur l'utérus. Dans les deux cas , la sonde ou le doigt ne font pas reconnaître la
ioraplde de Frike si la femme ne doit plus avoir d'enfants. Dans le cas où un véritable étranglement du vagin prolabé aur
-cations sur les parois de l'extrémité inférieure du vagin ; dans les cas graves, il en pratiquait aussi sur la vulve. S'il
éussi lorsque la maladie était légère ; d a été moins heureux dans le cas de prolapsus complet. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE.
parlé en dernier lieu se rap-proche au contraire pour la gravité des cas du quatiième groupe. Ceux-là font à la femme un
diverses, peut produire le même acci-dent. Il en est de même dans les cas où un enfant, bien con-formé d'ailleurs, se prése
uier a fait connaître à la Société de chirurgie de Paris, 1849 : deux cas de guérison par l'application permanente de l'épo
, en appli-quant, au besoin, quelques serres-fines, on peut^ dans les cas de moyenne gravité, obtenir la guérison. Mais qua
ent opportun pour l'opé-ration est loin de se présenter dans tous les cas ; le plus sou-vent, lorsque la malade consulte, l
uvrage, page 3o2, est trop sévère, car M, J, Cloquet a rap-porté cinq cas de guérison, même pour des déchirures com-plètes,
loison soit con-solidée de prime-abord. Dans le plus grand nombre des cas , une ouverture s'établit à la partie inférieure,
suture entrecou-pée ordinaire, a donné chaque fois un succès. Dans un cas , il y avait pourtant des fistules vésico-vaginale
e chaque côté doit avoir de 3 à 6 centimètres de longueur suivant les cas ; elle doit atteindre le sphincter à environ 7 mi
commande un avivement large et profond, surtout si l'on opère pour un cas de prolapsus de l'utérus, afin de faire un épais
glace. M. Hutchinson a pratiqué cette opération dix fois ; dans aucun cas il n'a eu d'accident fâcheux à dé-plorer ; une fo
n en deux temps. M. Laugier, en i856, a fait la périnéoraphie dans un cas où le périnée et la cloison recto-vaginale étaien
la longue durée de ce traitement le rend difficilement applicable aux cas graves. Lorsque le périnée est entièrement déchir
le, les incisions de Dieffembach sont d'un précieux secours. Dans les cas où la cloison recto-vagi-nale est rompue, le proc
. Pour les chirurgiens qui veulent opérer en un seul temps dans les cas compliqués, s'ils ont l'habitude des opérations d
ces succès que le lambeau vaginal ? On comprend pourtant que dans les cas où l'on aurait des raisons particu-lières de redo
i sont devenues mor-telles au bout de quelque temps. Dans beaucoup de cas , faite intempestivement, elle a aggravé beaucoup
rfectionnée par M. Middeldorpf, qui l'emploie dans un grand nombre de cas et publie un traité de la galvano-caustique ; ren
la section est faite en un instant; pour éviter l'hémorrhagie dans ce cas , on choisit un fil épais qu'on porte au rouge som
itrate d'argent d'un diamètre et d'une longueur variables suivant les cas , il en arrondit et en amincit l'extrémité en la f
n'ai eu jusqu'ici qu'à m'en louer. Voici rénumération des principaux cas pathologiques dans lesquels ce traitement a été e
des trompes de Fallope ne peut être prévu, n'injectait dans tous les cas que la quantité de hquide que peut contenir la ca
tement du catarrhe utérin par les injections utérines. Sur vingt-neuf cas dans lesquels il a employé soit l'eau blanche, so
douleurs uté-rines et des accès d'hystérie, et dans vingt-cinq de ces cas il y a eu guérison ou grande amélioration. Le d
eggerath {Contributions of midwifery, New-York, 1854) rapporte quatre cas d'injections caustiques; l'un ne donna lieu à auc
Dupierris, a fait des injections de teinture d'iode dans plus de cent cas , pour combattre la mé-trorrhagie, il n'a pas eu d
lorsqu'il existe une hypertrophie folliculaire considérable. Dans ces cas on peut suivre le conseil de M. Huguier et commen
a pratique par Récamier pour racler la cavité cervico-utérine dans le cas de fongosités ou de ménorrhagie supposée due à l'
n du col assez forte pour effacer momentanément la flexion ; dans ces cas , la curette pénètre difficilement, on ne peut lui
nt à déplorer {Patholoi^ie chiruro-.^ t. V, p. 77^), et dans les deux cas on a trouvé à l'autopsie les ovaires convertis en
ouvent ils sont excellents, même, il faut bien le dire, dans certains cas de ménorrhagies rebelles oû la curette n'a pas ra
e paraît pas constituer une contre-indication aussi formelle. Dans ce cas , dont un des principaux symptômes est l'hypersécr
uloureux pour ne pou-voir supporter le contact de la sonde ; dans ces cas , il faut commencer par guérir ces complications ;
de cet or-gane et absence de toute inflammation des annexes. Dans ces cas bien diagnostiqués, le pessaire intra-utérin fait
on comprend d'ailleurs qu'elle ne doit pas être la même dans tous les cas ; de 6 centi-mètres qu'il lui donnait d'abord, il
ines ou une inflammation chronique des annexes. Dans l'un ou l'au-tre cas , toute tentative de redressement doit être proscr
traitement. Les adversaires prétendent que le redressement, dans les cas très-rares où l'on peut l'ob-tenir, n'est dû qu'a
tion disparaît. Cette explication est vraie pour un certain nombre de cas , mais c'est évidemment une exagération que de la
lution des inflammations par-tielles auxquelles est due dans certains cas la déviation. Enfin d'autres expliquent l'action
canique du redresseur; est-on fondé cependant à la nier dans tous les cas ? Accidents occasionnés par les redresseurs. Ce
tous les cas? Accidents occasionnés par les redresseurs. Ce fut un cas de mort après l'apphcation du redresseur^, qui, p
ependant quelques-uns persistent à employer les re-dresseurs dans des cas bien déterminés et en surveillant très-attentivem
et-tant que les nombreuses guérisons obtenues par Valleix, 78 sur 108 cas , ne se soient pas toutes soutenues, il n'en reste
s n'a pas été très-considé-rable, Valleix n'en accusait que 6 sur i53 cas (Acad. 11 avril 1854)5 on pensera que la proscrip
ngers sérieux, et qu'en outre ils sont insuffisants dans beau-coup de cas • c'est encore une raison pour ne pas rejeter com
se à olive, des bou-gies en gomme élastique, peuvent dans beaucoup de cas servir à sonder l'utérus. La sonde de Simpson (vo
Hque de i5 centi-mètres de long et d'un diamètre qui varie suivant le cas : ainsi chez les femmes qui ont eu des enfants, o
aut en avoir de grosseurs et de courbures variées pour les différents cas . Pour les chirurgiens qui seraient curieux de con
r qui l'entoure, soit à la flexion du col sur le corps. Dans tous ces cas il ne faut pas chercher à vaincre par la force un
ns de l'innervation utérine, l'hystérie par exemple. Ainsi il y a des cas d'hystérie dans lesquels le palper hypo-gastrique
orté que sur une seule lèvre. L'erreur est presque inévitable dans le cas de polypes de formes allongées, confondus avec l'
r le faire pénétrer dans la cavité utérine. Au con- tiaire, dans le cas de polype, rinstrument porté avec attention autou
ons ajouter les signes importants qu'il permet de recueillir dans les cas de métrite interne, de corps fibreux, de cancer,
té tactde de l'utérus pour le préparer à une autre opération. Dans ce cas on introduit les sondes tous les deux jours d'a-b
e caillot et réveille en outre la contractilité de l'or-gane. Dans le cas où l'obstacle à l'écoulement du sang est dû non à
eine à la retirer sans provoquer d'hémorrhagie ; il est utile dans ce cas de débrider cet anneau pour pouvoir continuer la
in-dispensable, les tubes en laminaire conviennent très-bien pour ce cas . Les rétrécissements du col ou de ses orifices,
nor-rhée mécanique, guérissent souvent par la dilatation, et pour ces cas on a surtout employé les sondes utérines, les pes
, nous comparerons la dilatation et l'incision pour le traitement des cas de cette espèce. § 7- DE L'INCISION ET DE LA
i est congénitale, de ^oblitération qui est accidentelle ; et dans ce cas d'oblitération il y a encore à tenir compte de l'
les supprimées par l'arrivée naturelle de la ménopause? Dans tous les cas il faut rechercher si l'occlusion est complète ou
de l'utérus coexiste ordinairement avec l'atrésie du vagin ; dans ce cas le traitement du vice de conformation du vagin do
ttre parfois d'atteindre l'âge de la méno-pause. Dans la majorité des cas , l'occlusion de l'utérus chez une femme dont l'ov
r l'orifice et de prévenir le rétablissement de l'occlusion. Dans les cas plus rares où le canal cervical a été oblitéré da
le à la dilatation. L'occlusion paraît avoir été causée dans quelques cas par l'inflammation du col, aiguë ou chronique ; l
'obstacle à l'écoule-ment du liquide, comme on peut le faire dans les cas de flexions, de polypes, de rétrécissement, et qu
mais que qu'en soit le lieu, il ne faut pas oublier qu'il y a eu des cas où elle a été suivie de mort, et qu'il faut par c
es surtout si l'on attend très-tard, mais dans la grande majorité des cas , les suites de l'opé-ration ont été extrêmement h
. C'est surtout le salut de l'enfant qu'on doit avoir en vue dans ces cas de dégé-nérescence maligne du col; or l'opération
la femme avant la sortie de l'enfant (3 fois sur 42, Mattei). Dans 36 cas sur 42, l'occlusion a été assez solide pour résis
on avec ce qu'on peut at-tendre des ressources de la nature en pareil cas , on conclura à l'intervention prompte, aussitôt
a le forceps pour terminer l'accouchement au plus vite. Dans tous les cas , il importe de surveiller pendant la con-valescen
n diminutif des désordres produits par la rétention com-plète dans le cas d'atrésie de l'utérus. L'obstacle qui s'oppose ai
ri comme un cartilage; mais la majorité des chirurgiens pense que les cas de cette espèce forment l'exception. Pour éviter
t de la peine à le fran-chir. Il faut donc bien s'assurer dans chaque cas en particu-lier, si cette étroitesse est ou n'est
res; mais il n'en est pas nécessairement ainsi; dans la majo-rité des cas , les ovaires accomplissent leurs fonctions, irrég
sque constante. La conception a heu cependant dans un petit nombre de cas ; elle survient alors très-peu de temps après le
du col conique, avait été déjà faite avec succès par Lisfranc dans un cas cité dans sa clinique de la Pitié ; cette opérati
océdés de M. Marion Sims. Ce chirurgien en a décrit deux; un pour les cas de col conique ou simplement d'étroi-tesse des or
l conique ou simplement d'étroi-tesse des orifices ; l'autre pour les cas où il y a complication de flexion. Voici le premi
dix-septième jour. Le second procédé de M. Sims est applicable aux cas de dysménorrhée due à l'incurvation et à l'élonga
a por-tion vaginale du col qu'on trouve dans l'antéflexion ; dans ces cas l'incision bi-latérale ne peut élargir le canal q
riées. Quant à la stérilité, on a obtenu beaucoup de succès, dans les cas , toutefois, où l'opération n'avait pas été faite
ligé d'opérer de nouveau au bout de quel-ques années. 11 y a même des cas où le col est tellement induré, que la tendance a
océdés de MM, Barnes et Marion Sims suffiront très-bien ; c'est là le cas le plus ordinaire. Y a-t-il flexion avec aplatiss
ébridement se pra-tique encore pour faciliter l'accouchement dans les cas de rigidité et de rétraction spasmodique du col d
crire une tumeur, et cette manière de faire peut seule, dans certains cas , assurer le salut du malade. L'écraseur linéair
de. L'écraseur linéaire peut rendre des services variés suivant les cas ; ainsi on peut en faire un porte-ligature, un se
onc être portées au fond d'une cavité comme celle du vagin ; pour ces cas particuliers, on emploie des chaînes flexibles da
can-cer du col ; aujourd'hui il faut étudier cette opération dans les cas de cancer, d'hypertrophie, de conicité et d'allon
bien on a fait intervenir le bistouri ou les ci-seaux. Dans quelques cas rares, on a commencé par apphquer sur le pédicule
ant que cette méthode, si incontestablement supérieure en beaucoup de cas , réponde d'une manière parfaite aux vues de l'art
donne peut-être un résultat moins imparfait. Si nous considérons les cas d'application, nous pourrons les diviser en deux
illes sous un faisceau de veines, comme dans le varicocèle ; ces deux cas ont ceci de commun que l'écraseur est ensuite ap-
er de lance, au-devant de laquelle on place l'écraseur. Dans tous les cas de ce second 13 groupe, la méthode de l'écras
n une corde en fil de fer fin ; la première convient surtout dans les cas où l'on désire une ligature très-flexible, capabl
faire l'abaissement préalable. Voici comment on procède dans les deux cas . La femme est placée sur le bord d'un lit comme
moitié antérieure ou de la moitié postérieure du col utérin. Dans le cas où l'on veut agir plus particulièrement sur la lè
e corps de l'instrument longera la paroi antérieure du vagin. Dans le cas contraire, le plein de la chaîne embras-sera la p
ppliqué avec le plus beau succès à l'amputation du col, même dans des cas de tumeurs très-vasculaires. (Soc. chirurg., juin
venons de dire, que l'écrasement ne convient pas également à tous les cas d'amputation du col; c'est ce que nous aurons soi
ication des érignes, avec ou sans le secours du spéculum, suivant les cas ; on saisit le col à l'aide des pinces de Museux.
énéres-cence monte près de l'insertion du vagin. En effet, si dans ce cas les crochets sont implantés trop bas, les tissus
Les suites de cette opération sont assez simples dans beau-coup de cas , ainsi il n'y a pas d'hémorrhagie ; les surfaces
ation; bien plus, l'inflammation a envahi tout l'utérus dans quelques cas , et parfois même la péritonite s'est développée.
roire qu'on a franchi la limite du mal, n'est applicable que dans les cas où il ne dépasse pas l'insertion du vagin ; le pl
souvent aussi de faire disparaître les douleurs qu'elle ressent. Les cas les plus favorables au traite-ment par la cautéri
ince ou à un cancer rongeant peu étendu. Dans la plupart des autres cas , c'est à l'amputation qu'il faut avoir recours, e
oi-sira-t-on l'écrasement linéaire? Ce n'est généralement pas dans le cas de cancer que la méthode d'écrasement se montre
e-sac vaginal aug-mente si l'on est obligé d'abaisser l'utérus, et ce cas est le plus ordinaire quand on veut bien préciser
conformation naturelle. C'est pour simplifier l'opé-ration, dans ces cas de cols coniques qu'il a inventé la guil-lotine u
erne employé avec beaucoup de persévérance ; mais pourtant il y a des cas où les scarifications du col hypertrophié, l'appl
ts par l'hypertrophie subsistent, et minent la constitution. Dans ces cas exceptionnels, est-il permis de mettre un terme a
séances pour réprimer la portion allongée. La cautérisation, dans ce cas , est toujours innocente, dit-il, à la condition q
e offre beaucoup plus de sécurité et est parfaitement applicable à ce cas qui demande moins de pré-cision que le cancer du
l peut être entièrement oblitéré chez les vieilles femmes, et dans ce cas la cavité utérine est distendue par l'accumulatio
e l'orifice du col que d'un centimètre et demi tout au plus. Dans les cas où l'extrémité inférieure de la tumeur est formée
ra de lever les doutes; la sonde pénètre à 6 ou 7 centimètres dans le cas de chute de l'utérus, pendant qu'elle s'avance à
du ramollissement considérable dont est quelquefois atteint dans ces cas le corps de l'utérus. Aux signes fournis par l'hy
ité a été tenté souvent ; il n'a donné de bons résultats que dans les cas où la maladie n'existait qu'à un faible degré; da
secondaires. Elles tombent du troisième au cinquième jour. Dans le cas où l'on aurait eu le malheur d'ouvrir le cul de s
aires; il faut donc bien prendre garde de ne pas la pratiquer dans le cas où il existe quelque circonstance qui peut rendre
vagin, ainsi que M. Huguier lui-même l'a fait plusieurs fois dans le cas de col très-volumineux et dans lequel on sentait
. Chassaignac a opéré six fois et n'a pas perdu de malade, Dans les cas de cancer, la proportion des morts est beaucoup p
rs récidivé. D'une étude statistique faite par M. West et portant sur cas d'am-putation pour cancer, il résulte que 11 fois
e docteur Braxton Hicks n'a vu aucun résultat funeste dans vingt-huit cas d'amputation du col pratiquée à l'aide de l'écras
s morts dans ces opéra-tions, parce qu'il est certain que beaucoup de cas dans les-quels les suites ont été funestes n'ont
eps de Smellie, ou en-core de la pince à mors creux de Luer. Dans les cas où l'on peut redouter les tractions sur le polype
'a combinée avec l'excision partielle de la manière suivante. Dans un cas de polype intra-utérin gros comme un œuf de poule
pédicule, si court et si gros qu'on le suppose, pendant que dans ces cas il est souvent difficile de placer une ligature.
llonge, on applique la pince de Museux de plus en plus haut. Dans les cas de polypes volumineux, adhérents au vagin et aux
procédé préconisé par M. Gensoul pour remplacer la ligature dans les cas de polypes intra-uté-rins ; il agit comme elle, m
les avantages de ce procédé. M. Baker Brown n'agit ainsi que dans les cas où l'appli-cation ordinaire est indiquée^ et non
rmine souvent des accidents graves tels que les convulsions. Dans les cas même où la tu-meur a été détachée facilement par
rrhagies consécutives de la métrite, de la pyohémie. Sur trente et un cas de polypes, Scanzoni n'a fait usage de la ligatur
tions de polypes faites par MM. Emmet et Sims, il n'y a eu qu'un seul cas de mort; ce succès tient, dit ce dernier, à ce qu
i, les ciseaux ou l'écraseur, sans une seule mort. Sur cinquante-neuf cas de ligatures de polypes faites par Lee, on compte
cautérisation avec le caustique de Filhos a donné des succès dans le cas de polypes utéro-folliculaires. Dans un mémoire
-ciale serait préférable. \]excision du col peut être faite dans le cas où ce col est en même temps hypertrophié {voyez p
our amener la diminution et la disparition de la tumeur dans quelques cas . Le i^ temps consiste à enlever un morceau de la
eloppe des tumeurs en a souvent arrêté le développement. Sur quatorze cas dont les observations ont été communiquées à la S
aître les nombreux perds. Voici comment Jarjavay se conduisit dans un cas où le corps fibreux était descendu dans le vagin
ésoudre cette question. D'ailleurs j'avais pré-sents à l'esprit trois cas récents dans lesquels des chirurgiens recommandab
orrhagies. La fiè-vre traumatique s'est montrée dans presque tous les cas . Plu-sieurs malades ont éprouvé des accidents du
qua-torze opérées; celle de M. Hutchinson, qui porte sur trente-neuf cas , est moins désastreuse; ainsi, sur dix-huit énucl
présenter le diagnostic, aux difficultés de l'opération dans certains cas , à sa durée, qui entre des mains habiles a été d'
antérieure, soit sur la partie postérieure de la ma-trice; si dans le cas où la tumeur est postérieure, le toucher rectal d
gies utérines, mais elles sont infiniment plus rares ici que dans les cas de corps fibreux intra-utérins ; les adhérences e
es métal-liques à l'aide desquelles on veut diviser l'utérus. Dans le cas où les ligaments larges sont sains, on peut procé
in de pouvoir enlever facilement l'utérus après la section. Dans le cas où, au contraire, les ligaments larges sont enva-
rrhagie qu'on arrête par des ligatures isolées ou en masse suivant le cas , et par des pinces à pression con-tinue. Les li
dernier point de suture. Cet étranglement n'a été observé que dans le cas de pédicule très-long, alors que le moignon attir
l'intestin grêle pour le côté droit; il est à remarquer que, dans ce cas , plus la tympanite éloigne la paroi abdominale, p
te encore aujourd'hui des erreurs inévitables. Sur ces soixante-seize cas , on a laissé l'opération inachevée, c'est-à-dire
cinq malades de ce genre ont succombé. Dans un second groupe de vingt cas , dans lequel les tumeurs fi-breuses péri-utérines
utres morts par causes diver-ses. Dans un troisième groupe, formé des cas compliqués, dans lesquels il y a eu ablation des
quarante-deux opé-rées. Remarquez-bien encore que sur ces trente-deux cas fu-nestes, vingt-cinq fois la mort a été le résul
la gastrotomie , l'issue en a été bien moins déplorable que dans les cas où elle a été pratiquée ac-cidentellement par des
a gastrotomie. Mais nous l'admet-tons comme unique ressource dans les cas où le rapide déve-loppement de la tumeur et les a
large; une ascite dont la mar-che a été rapide et continue; dans les cas de cette espèce^ on a vu l'épanchement se reprodu
vessie et du rectum, au déplacement de la matrice, et, dans quelques cas graves, à des phénomènes d'étranglement interne.
a femme à une moit imminente, que la provocation de l'avortement. Les cas où les fibromes troublent aussi profondément la m
Souvent on a été obligé de pratiquer l'opé-ration césarienne pour des cas pareils ; quelques détails pré-ciseront encore mi
que Kilian a fait une opération césarienne sans succès. Dans un autre cas , on l'a faite pour une tumeur me-surant i6 centim
e la nécessité de l'intervention chirurgicale est assez rare dans les cas de cette espèce. Les tumeurs interstitielles du c
rait par la ver-sion et la mère guérit parfaitement. Lorsque dans des cas semblables^ on a voulu faire la version, sans avo
ment linéaire et ses analogues sont une précieuse ressource en pareil cas . Si le corps fibreux n'est pas décollé et que l'h
mais les faits ne permettent pas encore de dire quelle serait dans ce cas le ré-sultat de l'opération. Si la malade qui e
on a trouvé des anses intestinales au-devant d'un kyste, et dans les cas où cette situation exceptionnelle existait, c'est
i montrent quelle a été la durée de la vie après la ponction. Sur 109 cas réunis par Southam, Stafford Lee et Kiwisch, on t
nécessaire. Ces adhérences ont été trouvées 72 fois sur 100 dans les cas où l'on avait fait la ponction, et seu--lement 27
l'on avait fait la ponction, et seu--lement 27 fois sur 100 dans les cas où on ne l'avait pas em-ployée; ceci résulte d'un
e traitement qui donne des guéri-sons radicales dans un bon nombre de cas : nous l'exposerons avec tout le soin qu'elle mér
rquable l'état du kyste et l'état général de la malade, même dans des cas qu'on pou-vait considérer comme au-dessus des res
issent donc par rétraction graduelle en cessant de sécréter. Dans les cas où la sécrétion est purulente, altérée, putride m
ucoup de bonheur, pour obtenir des améliorations temporaires dans des cas de kystes multiloculaires à loges assez grandes ;
ntes. Au bout de quelques minutes, ou de plusieurs heures suivant les cas , les malades ont un goût d'iode ; rarement des na
à la méthode ce qui était le fait de l'opérateur; ainsi dans certains cas d y avait as-cite en même temps que le kyste ; le
r un peu de teinture d'iode dans le péritoine. C'est surtout dans les cas de kystes multiloculaires, ou de tu-meurs fibreus
n produisait une vive inflamma-tion du kyste. Ainsi encore, dans un cas de kystes accolés les uns aux au-tres, une des po
de a parfois déterminé des accidents graves, et même mortels dans des cas , très-rares, il est vrai. Engourdissement, refroi
nt plus ni digérer ni respirer. Il faut encore noter que parmi les 16 cas de mort, on compte 10 kystes multiloculaires et s
rofesseur Simpson a obtenu des guérisons bien avérées ; dans d'autres cas d y a eu récidive, mais dans aucune il n'y a eu d
ette manière de faire lui a donné plusieurs succès, notamment dans un cas de kyste multiloculairedont le liquide était fila
édé inutile, dangereux et impropre à remplir les indi-cations dans le cas de viscosité du liquide. Ce jugement n'est pas sa
à le modifier au moins dans certaines circons-tances déterminées. Aux cas de guérisons relatés dans l'ou-vrage de M. Boinet
te enflammé, et sa malade a guéri. M, Bergeret d'Arbois a publié deux cas de guérison rapide par la sonde à demeure. Les
au ramollissement du kyste, il paraît ne s'être produit que dans les cas où l'on avait eu le tort de vider le kyste d'un s
la paroi abdominale, on cite le succès obtenu par Ollenroth, et deux cas de M. Anderson, de Londres; dans l'un il y eut gu
'à ce que la cavité du kyste ait disparu. Il est certain que dans les cas rares où ce procédé est applicable, il a l'avanta
parties en-vironnantes continuent pendant dix à vingt jours. Dans les cas heureux, ces symptômes sont peu à peu suivis d'un
s et rendront nul le bénéfice de l'opération. Mais il est pourtant un cas où l'incision constitue la seule ressource pour l
ords du sac à la paroi abdominale ; il appliqua ce procédé dans trois cas de kystes multiloculaires, avec adhérences éten-d
ations de M. Baker-Brow^n il n'y a que deux succès ; sur vingt-quatre cas réunis par M. Clay, de Birmingham, dans les notes
ratiqua treize ovariotomies de 1809 à i83o, époque de sa mort; huit cas de guérison bien avérée obtenus par Mac-Dowel don
donc que de loin en loin et c'est à peine si l'on en peut réunir six cas dont quatre morts. H est à remarquer que, dans ce
'ovariotomie a été complète, une fois elle est restée partielle et ce cas a été mortel ; sur les vingt-quatre opérations co
grands progrès ont été réalisés; ainsi, on peut dans la majorité des cas distinguer un kyste de l'ovaire d'une tumeur fibr
hevées; il convient donc, avant de prendre une détermination dans ces cas graves et difficiles, de suivre le précepte de Ba
puisque les injections iodées réussissent ordinairement bien dans ce cas et qu'elles sont beau-coup moins dangereuses. On
de succès que l'exécution en sera moins différée. En choi-sissant les cas récents et d'ailleurs sans complications, on a un
aux et pelviens. Les contre-indications sont absolues dans quelques cas , et souffrent des exceptions dans plusieurs autre
Voici d'autres contre-indications qui sont discutables suivant les cas . Lorsqu'il existe en même temps que le kyste des
car elles peuvent empêcher de terminer l'opération , et même dans les cas où elles n'arrêtent pas le chirurgien, elles ajou
t. M. Richet croit que la forme aplatie du ventre les décèle; dans ce cas , les adhérences retiennent le kyste en arrière, e
rrassante. Par erreur de diagnostic, on a fait l'ovariotomie dans des cas semblables, et M. Spencer Wells a dernière-ment r
tri-cal Society of London, may 18G7, M. Playfair a montré que, sur 07 cas , la moitié, laissés aux seules forces de la natur
e; on peut lui associer raccoucliement prématuré artificiel. Dans ces cas difficiles, il ne faut pas oublier qu'on peut con
te des tabidi ou des cylin-dres fibrineux dans les urines, et dans ce cas s'abstenir, parce que les reins sont altérés. Rel
caractères du liquide qu'il contient ; elles démontrent dans certains cas l'ab-sence ou l'existence d'adhérences étendues ,
lus grande qu'elles donneraient à cette opération. En effet, dans les cas où ses malades n'avaient jamais été ponctionnées,
dix fois sont au nombre de onze, dont cinq ont guéri. Quant aux trois cas dans les-quels on avait fait des injections iodée
fortes adhérences. Quant à Vincision exploratrice , qui peut dans des cas exceptionnels fournir des éléments de certitude a
les hôpitaux ont-ils été désastreux ; à Paris, par exemple, sur seize cas il y a eu seize morts. Il faut donc choisir une m
zone nous fait éprouver de la lassitude ; une opération faite dans ce cas serait extrêmement dangereuse. Lorsqu'on emploi
es adhérences vasculaires, au cautère actuel ; on peut encore dans ce cas appliquer deux li-gatures de fil d'argent fin, et
t peu nombreuses et peu résistantes, rien n'est plus facile ; dans le cas contraire, elles peuvent ren-dre ce temps de l'op
onc ulcéré et perforé l'intestin ; il est vrai de dire que, dans ce cas , il y avait com-plication d'ascite. Dans un deu
ir lieu par ce pédicule; ce phénomène a été observé dans le tiers des cas ; les malades qui en sont prévenues ne s'en effra
rement faire concevoir, relativement au développement de l'utérus, en cas de grossesse, l'expérience a montré qu'elles n'ét
ce a montré qu'elles n'étaient pas fondées, au moins dans beaucoup de cas ; ainsi M. Wells compte neuf femmes opé-rées de l
qui comprenne toutes les autres et préserve de l'hémorrhagie, dans le cas où, en traversant le pédicule par les ligatures p
ait perdu que cinq malades; il ajoutait que dans chacun de ces cinq cas de mort, il avait été dans la nécessité d'ap-pliq
is la division du pédicule par le procédé de Baker-Brown ; dans trois cas , l'ovariotomie était bilatérale, jamais il n'y a
Péan a combiné heureusement Vécrasement avec la cautérisation dans le cas de kystes implantés sur les côtés de l'utérus par
orcellement lui a permis d'obtenir plu-sieurs fois le succès dans des cas en apparence désespérés. Tantôt il a été aidé par
altéré soit par de petits kystes, soit par d'autres produits; dans ce cas , il ne faut pas hésiter à l'enlever en passant un
es sont très-épaisses, ou œdématiées, ou chargées de graisse; dans ce cas , les aiguilles courbes ordinaires tenues avec un
i longtemps cette pratique, l'a abandonnée aujourd'hui, sauf dans les cas oii il existe une douleur vive ; l'opium lui a pa
lisés et du vin, si l'état de la patiente le permet. Dans beaucoup de cas , il a pu faire prendre dès le troisième jour une
e s'est bien effectuée, et si le ventre n'est pas météorisé ; dans le cas contraire on peut les .1 issor huit ou dix jour
tats de la statistique, nous aurons soin d'indiquer la proportion des cas dans lesquels l'opération n'a pu être achevée, et
verture d'une grosse veine {Gazette hebd. 1867, n° 4i)- Dans un autre cas , Richard Neale ayant aussi ouvert la vessie, et n
-mée etla malade mourut 48 heures après. M. Spencer Wells rapporte un cas plus instructif {Union médic. Paris 1867); pendan
our base les sta-tistiques, nous pouvons dire avec M. Kœberlé que les cas simples, sans adhérences, ou bien avec des adhére
des mains expérimentées, dans la proportion de 7 à 8 fois sur lo. Les cas compliqués et dans lesquels il y a des adhérences
le petit bassin, ou entre l'ovaire et le foie ou l'intestin. Dans les cas graves, on doit s'estimer très-heureux d'obtenir
asse pas une demi-heure on a beaucoup de chances de succès ; dans les cas oii elle a duré une heure ou une heure et demie,
g, la décomposition du sang dans la cavité abdominale, et que sur i5o cas de morts dans la statistique de M. Clay, on peut
l ne faut pas hésiter à imiter la conduite de M. Kœberlé; qui dans un cas d'hémor-rhagie à la fois interne et externe, surv
éritonite se montre bien souvent après l'ovariotomie, 64 fois sur i5o cas d'insuccès dans les tableaux de M. Clay, mais ell
uels il faut placer la saignée ; M. Baker-Brown n'accorde pas dans ce cas , à l'opium, la confiance qu'on lui a témoignée da
se fas-sent dans les replis et les culs-de-sac du péritoine ; dans ce cas . si le liquide suinte ou s'écoule le long du pé
la ponction vaginale, dans le cul-de-sac utéro-rectal, dans tous les cas , comme moyen pré-ventif de ces collections sero-p
sellement les plaies du péritoine. La ponctionpar le vagin, dans le cas de collection de liquide dans le bassin, a été pr
n très-considérable. Il est à noter que dans le plus grand nombre des cas elle est due à des foyers hémorrhagiques dont les
ne pas en France des résultats brillants ; d'après M. Boinet, sur i3i cas qu'il a pu réunir en mars 1867, il faut compter 7
é de 742 opéra-tions s'arrêtant en novembre i863, comprenant tous les cas publiés, M. Dutoit trouve c|u'on a fait 585 fois
rences ont été telles qu'ehes ont fait abandonner l'opération dans 87 cas ; dans 23 autres cas, il a fallu s'arrêter parce
qu'ehes ont fait abandonner l'opération dans 87 cas; dans 23 autres cas , il a fallu s'arrêter parce qu'il y avait erreur
r, il y a 61 guérisons temporaires et 26 morts immédiates. Sur les 20 cas de tumeurs extra-ova-riques, 7 guérisons et i3 mo
ivement à l'influence des ponctions antérieures, M. Du-toit trouve 45 cas où il n'y a pas eu de ponction et qui donnent 3i
il n'y a pas eu de ponction et qui donnent 3i guérisons, i4 morts. 85 cas dans lesquels il y a eu une ponction donnent 5o g
lesquels il y a eu une ponction donnent 5o guérisons et 35 morts. 4^ cas comptant deux ponctions donnent 24 guérisons et 1
. 4^ cas comptant deux ponctions donnent 24 guérisons et 19 morts. 5i cas comptant de 3 à 9 ponctions, donnent 27 guérisons
s comptant de 3 à 9 ponctions, donnent 27 guérisons et 24 morts. 27 cas comptant plus de 9 ponctions, donnent 12 guéris
vations aux 395 réunies par le chirur-gien de Birmingham. Sur ces 25o cas , il compte i56 guéri-sons, 94 morts ; les cas de
Birmingham. Sur ces 25o cas, il compte i56 guéri-sons, 94 morts ; les cas de guérisons se décomposent en 2 cas d'opération
e i56 guéri-sons, 94 morts ; les cas de guérisons se décomposent en 2 cas d'opération inachevée, 148 ovariotomies, 3 excisi
eur utérine et 2 extir-pations de l'utérus avec ses annexes. Dans les cas de mort, on trouve une opération inachevée, une o
bir, les accidents qui ont occasionné la mort, etc. Clay, sur ses 395 cas , avait trouvé 212 guérisons et i83 morts; la prop
M. Baker-Brown a été arrêté chaque fois par les adhérences ; dans un cas , l'hé-morrhagie qui suivit un essai de division d
n fit la ponction du kyste et on ferma l'ou-verture ; dans les autres cas , on fut obligé de laisser des por-tions du kyste,
puis de fermer la plaie; la malade qui survécut était dans ce dernier cas . II y a encore dans les opérations de M. Baker
l est utile de connaître les résultats ; c'est celui qu'il intitule : cas où Vincision exploratrice a été faite, pour éclai
; une autre fois une tumeur solide du rein gauche ; dans le troisième cas , une hydropisie enkystée du péritoine avec un cor
éduite à peu de choses. Ce progrès n'a pas été obtenu par le choix de cas plus favorables; n'imitant pas en cela beaucoup d
'imitant pas en cela beaucoup d'opérateurs qui s'abstiennent dans les cas graves. M. Baker-Brown peut donc conclure que l'a
lé devant les diffi-cultés d'une opération commencée, et que dans les cas les plus désespérés, il n'a pas voulu se résoudre
emple, car malgré son habileté dans Eovariotomie, il a perdu dans ces cas compliqués de difficultés réputées insurmontables
Kœberlé a en-levé simultanément les deux ovaires, et dans deux de ces cas la matrice a été extirpée en même temps que les d
ce groupe d'opérations a donné 7 guérisons et 6 morts. Dans 11 autres cas , sans enlever l'ovaire du côté opposé au kyste, i
instructifs. Ce chi-rurgien est arrivé aujourd'hui au chiffre de 3oo cas . La mor-talité va toujours décroissant; elle étai
rences d'opérations légères...... Avec adhérences graves....... Cas Guérisons Morts Proportion 10 17 3 i/7 i6 i3
s, MM. Mathieu et Charrière. Figure x. Opération de M. Sims dans le cas où il y a simultanément étroitesse des orifices d
ument ou avec l'éponge à la corde, pour pouvoir l'introduire dans les cas ordinaires. Figure xxiv. Dilatateur à 3 branche
S DE L UTÉRUS ÉCRASEMENT LINÉAIRE Figure i. Hystérométrie dans le cas de deux corps fibreux occupant les parois antérie
e mobilité en avant et en arrière. Figure ii. Hystérométrie dans un cas de polype fibreux inséré sur le fond de l'utérus.
autour de cet orifice. Figure viii. Portion du col enlevée dans le cas précédent. Un stylet parcourt la cavité du col. D
comprendre l'amputation de la partie sus-vaginale de futérus dans un cas de tumeur fibreuse. AA partie sus-vaginale du c
son passage à travers la plaie. (De Krassowsky.) Figure iv. Dans le cas de kyste friable, la main droite et une partie de
e on a commencé à le faire en ccc. Ce procédé est applicable dans les cas d'ampliation énorme du vagin, mais il a l'inconvé
ture du vagin. Figure viii. Opération contre l'anteversion dans les cas où la paroi anté-rieure du vagin est très-allongé
ion du nerf obturateur qui y est accolé. 8 Cavité co-tyloïde. Dans ce cas on avait cru à un étranglement interne, ainsi que
urtout un excellent résultat dans les plaies longitu-dinales. Dans le cas de plaie transversale complète, il faut bien se r
du gor-geret a. Figure xvi. Dilatation congénitale de l'urètJire. — Cas d'Henri Picot, d'a-près M. Guyon. La poche est vu
pour examiner le larynx par l'ouver-ture faite à la trachée, dans un cas de trachéotomie, après laquelle l'opéré persistai
nneaux de la trachée. Figure xi. Laryngotomie thyroïdienne, dans un cas de polype du ven-tricule du larynx. Krishaber. a,
70 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lisme du père, qui parait s'être traduit chez ses enfants, par deux cas de méningite et l'épilepsie de notre malade,
nseignements sur sa famille, mais on pense qu'il n'y a jamais eu de cas de maladie nerveuse. Mère, trente-huit ans, mig
, 3 î°, 3. C'est le seul accès constaté jusqu'à la sortie.' Dans ce cas , de même que dans le précédent, nous cons-; tât
, il continue à man- ger comme s'il n'avait rien du tout. (C'est le cas d'un autre malade, Siga...). 1 . 1896. Juin.
araître tout à fait inutile. De son inutilité, dans un grand nombre cas , on conclut facilement à, son inertie. ^ 1 -
de des altérations patho- logiques des cellules corticales dans les cas d'aliénation mentale. - ' R. de MUSGRAVE Clay.
ans les cas d'aliénation mentale. - ' R. de MUSGRAVE Clay. IV. Un cas de sarcome intra-musculaire de l'épaule droite ay
s ses détails et suivie d'une autopsie partielle. R. Xi. C. V. Un cas d'apoplexie cérébelleuse avec autopsie ; par Léon
confondant, quant à la topographie " de la dégénérescence avec les cas de paralysie générale typique, '* en présente c
ce visuelle (tissure calcarine), la première temporale. Ce sont les cas que Storch nomme paralysies générales atypiques;
ermoïde du cerveau; par le professeur J. ÏÏALVA. L'auteur décrit un cas de kyste dermoïde, qui siégeait dans le lobe te
eur tératoïde, c'est-à-dire comme un embryoma dermoïdal. Le premier cas d'un kyste dermoïde du cervelet était publié par
'auteur et sans oser nous prononcer en aucune ma- nière ». D'autres cas de tératomie ou de kystes dermoïdes ducer- t .)
mann et Strecker, Tannenhain, J'rzewosky, Saxer, y non compris les cas de kystes dermoïdes, qui se trouve dans la pie-mè
UROLOGIE Séance du 5 juin 1902. Présidence de M. Gombault. Sur un cas de surdité verbale pure. 1,1\I. DÉacntNr et Tho
lle,. le champ visuel est normal. 11 n'y a pas lieu de voir dans ce cas une surdité verbale fonctionnelle hystérique ni t
uble du langage intérieur. Les lésions périphériques jouent en tout cas un grand rôle dans ce cas. M. B 13r-,qsKi. L'
Les lésions périphériques jouent en tout cas un grand rôle dans ce cas . M. B 13r-,qsKi. L'examen voltaïque du vertige
la forme classique du cou dans les myopathies. Préparations d'un cas de névrite hyperlrophique. MM. DFJERINP et Thom
nt donner le signe d'Argyll sans syphilis. M. Meunier communique un cas d'atrophie musculaire progres- sive, avec contr
oires d'un membre. 1 >1111. EGGeR et. Déjerine communiquent deux cas de paralysie radiculaire par arrachement, compl
tissus, n'anesthésie pas les os. M. Touche montre les pièces d'un cas d'hémiplégie infantile avec athétose. M. BRIS
le marteau classique. * ,. M. Pagniez montre les photographies d'un cas d'hémiplégie avec aphasie sensorielle. - ' ' '
chez les vieillards, l'hémorragie se rencontrant dans 15 p. 100 des cas et le ramollissement dans 10 p. 100. La thèse d
ont fourni les professeurs, les agrégés ou les chargés de cours. En cas d'absence, le président est remplacé par un aut
places mises au concours est fixé à dix' : il ne pourra, dans aucun cas , être dépassé. Aucun délai n'est garanti pour l
ont été ses vic- times, il y a quinze jours. , Dans quatre autres cas , où des enfants avaient péri dans l'Elbe, on a
1902. N° 80. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ? Sur un cas de papillome épithélioïde 'du noyau rouge. Cont
très sou- vent dans le syndrome de Weber classique; mais dans ce cas , ces destructions étant associées à des altératio
rtie, noyau rouge ou faisceau pyramidal. A ce point de vue, notre cas devient des plus importants, Archives, 2' série
exagérée dans les derniers jours de la maladie mais n'a jamais été CAS DE PAPILLOME ÉPITHPLI01DE DU NOYAU ROUGE 83 aus
externe paralytique de l'oeil gauche. Ptosis léger de l'ml droit. CAS DE PAPILLOME EPITHÉLIOIDE DU NOYAU ROUGE 85 exa
ur, le foie, l'estomac, le pancréas, la rate, les reins, la vessie, CAS DE PAPILLOME ÉPITHÉLIOIDE DU NOYAU ROUGE 87 l'i
es no- plasiques, tantôt un tube plus volumineux. Dans ce dernier cas , la paroi est formée soit par une seule couche
de cellules cylindriques, soit par plusieurs couches de cellules CAS DE PAPILLOME ÉPITHÉLIOIDE DU NOYAU ROUGE 89 cub
éoplasiques, très élevées, cylindriques, rangées en tubes Fig. 8. CAS DE PAPILLOME ÉPITHÉLIOIDE DU NOYAU ROUGE 91 fai
ithiques de Cornil. Par son aspect épithélial, papillomateux, notre cas est tout à fait différent des tumeurs primitive
les passe même sous silence. Cependant, Rindffeisch avait étudié un cas à peu près semblable au nôtre (Traité d'histologi
tumeurs, disait-il, est une formation de véritables papilles sur la CAS DE PAPILLOME ÉPITHÉLIOIDE DU NOYAU ROUGE 93 sur
notre description se rapproche de celle de Rindfleisch. Dans notre cas , il est vrai, les cellules néoplasiques, sont é
é à la Société Anatomique de 1899, un fait tout à fait identique au cas actuel, tumeur corticale rolaudique avec papill
isceau rubro- spinal. Au surplus, on peut faire des réserves sur ce cas négatif, puisqu'il concerne une tumeur à marche
n'a pas montré un faisceau dégénéré dans la moelle cervicale. Le cas que nous venons de relater soulève deux problèmes
ntre le tableau symp- tomatique observé et le siège de la lésion. CAS DE PAPILLOME ËP1THÉUQIBK DU NOYAU ROUGE 95 Nous
de 1894 sur le syndrome de Weber, les ont à nouveau signalés. Notre cas en est un nouvel exemple des plus nets, puisque
cause de ces troubles ataxiformes ? On a pu invoquer dans certains cas l'excitation de la voie pyra- midale du' pied d
irritation due aux produits toxiques néoplasiques. Mais, dans notre cas , la voie pyramidale examinée par la méthode de
a été impossible de constater chez le malade soit de l'hypoes- , CAS DE PAPILLOME ÉPITHÉLIOIDE DU NOYAU ROUGE 97 thé
e pédoncule, qui aurait par suite une direction ascen- dante. Notre cas confirme plutôt cette deuxième hypothèse, car,
synergie siègent du côté de la lésion bulbo-protubérantielle. Notre cas est un peu différent, puis- que l'asynergie cér
, c'est-à-dire du côté de la lésion bulbo-protubérantielle, dans le cas actuel elle modifie légèrement au contraire le
cette dysarthrie est analogue à celle des pseudo-bulbaires, asso- CAS DE PAPILLOME ÙPITHLIOIDE DU NOYAU ROUGE 99 ciée
AU ROUGE 99 ciée à des parésies des lèvres et de la langue. Dans ce cas , la pathogénie en est souvent complexe. Observé
du pédoncule et qu'elles sont le siège maximum des lésions dans le cas de syndrome protubérantiel par artérite chroniq
hronique; mais elles peuvent relever aussi, comme le mon- trent les cas de d'Astros et de Souques, de petites lésions l
dissémination des artérites chroniques du cerveau. Mais, dans des cas plus rares, la dysarthrie pédonculaire est due
s limitées de la calotte du pédoncule, tubercule, tumeur..... Notre cas en est un exemple. La dy- sarthrie n'est pas al
isme très complexe auquel participe tout l'axe cérébro- spinal ; le cas de notre malade vient démontrer à nouveau combi
la lésion de la voie cérébelleuse supérieure, inter- rompue dans le cas actuel au niveau du noyau rouge. PATHOLOGIE NER
seur Raymond et son chef de clinique M. Cestan en pré- sentaient un cas intéressant, non familial, à la Société de Neur
s s'accentue ou apparaît s'il n'existait déjà. Les trois quarts des cas se présentent de quatre à douze mois. La maladi
Séance du jeudi 2 mai 1901, in Revue Neurologique n° 9, p. 178. Un cas de tremblement essentiel con- génital (du type
enter. 106 PATHOLOGIE NERVEUSE. Il. Nystagmus congénitaux . Les cas de nystagmus que nous allons maintenant passer
uvé une fois une forte myopie monoculaire, nous avons considéré ces cas comme se ratta- chant au .nystagmus essentiel e
le sang, comme le prouve la réaction de Widal, ne saurait en pareil cas impres- sionner d'une façon nuisible le dévelop
leurs enfants. Du reste, le nystagmus est à peine esquissé dans le cas présent ; mais le tableau est le même que chez
x de remercier M. le Dr Normand (de Kerhuon) qui nous a signalé les cas intéiessants qui précèdent. 2 Indépendamment de
a signalé les cas intéiessants qui précèdent. 2 Indépendamment des cas précédents, nous étudions en ce moment l'histoi
a lésion paraisse avoir de territoire spécial; .pourtant dans aucun cas les parties antérieures du cerveau n'ont été lé
te, tout le courant venu de la cellule surchargée. C'est dans les cas de cet ordre que les phénomènes spasmodiques (con
imitivement musculaire ne saurait être admise dans la plu- part des cas . Le rôle du système nerveux central a été démon
pendance de leur enveloppe myélinique. Peut être même dans certains cas serait-on en droit d'invoquer des lésions plus
qu'il n'entravait pas la vision. La classification 1 NOTE SUR UN CAS DE DÉLIRE ÉPILEPTIQUE. 121 que nous proposons n
ures de la science médi- cale. 1 RECUEIL DE .FAITS. Note sur un cas de délire épileptique; Par le D' A. PETIT. On
s. Inquiet de sa santé, il redoute pour lui la venue de NOTE SUR UN CAS DE DÉLIRE ÉPILEPTIQUE. 1'23 nouveaux accidents
par le pèlerin hystérique réclamant un miracle. Mais dans tous les cas graves ou non, c'est toujours la même cause, l'
de fourberie accompagnait souvent. cet état. Je vais citer trois cas de ce sommeil : - 1 Le premier cas est relatif
cet état. Je vais citer trois cas de ce sommeil : - 1 Le premier cas est relatif à une femme de cinquante-cinq ans,
au moins une fois dans la vie de chaque grand hystérique. En tout cas , il sera toujours pour nous un symptôme de la n
de Neurologie, 1902,.n° 2.) L'auteur relate dans cette note trois cas de paraplégie : dans l'un l'excitation du pied
-médullaires, et par conséquent il doit se rencontrer dans tous les cas de lésion transversale complète de la moelle, alo
ue les réflexes tendineux et cutanés sont abolis. G. D. XII. Sur un cas de cancer vertébral; par Al. le professeur Raymon
ologie, 1901, 11" 21.) Communiqué au congrès de Limoges. XVII. Un cas de tremblement fonctionnel de la main droite; par
V1 CLAY. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 147 Un cas de gliome du cerveau; par W.-J.-A. Erskïne. (The
es envahissent les autres tissus. R. DE NIUSGR.1VE-CLAY. XXIV. Un cas de fracture spontanée : par Herbert SIIICER. (Tlt
désaccord avec la vio- lence du traumatisme, presque nulle dans le cas actuel, puisque la malade était au lit, au mome
parenchymateux), tantôt seuls (tabès intersti- tiel). En ce dernier cas , les malades sentent parfaitement les objets, m
l'alcoolisme chronique avancé, l'épilepsie, ainsi que dans certains cas de névrose traumatique où l'on soupçonnerait volo
E MENTALE. I. Contribution à l'étude de la maladie de Korsakoff. Un cas de psychose polynévritique post-typhoïdique ; p
NOFF. (Journal de Neurologie, 1902, n° 7.) Après avoir relaté un cas de psychose avec polynévrite observée - chez un
lus, tantôt c'est le système central. C'est pourquoi on observe des cas de polynévrite, où les troubles psy- chiques so
, où les troubles psy- chiques sont peu marqués et au contraire des cas de psychoses polynévritiques où les phénomènes
ne idée directrice quelconque. Ces troubles sont donc dans les deux cas le produit ou l'expression de l'automatisme céréb
obnubilée, ou la conscience est annihilée, en un mot, dans tous les cas de stupeur cérébrale. C'est pour ce motif qu'il
eptique. néga- tivisme, oppositions diverses. , G. DENY. IV. Deux cas d'idiotie syphilitique par L. HARRis Liston; (Tit
tient compte - de ces deux faits 1° que l'idiotie est rare dans les cas de syphilis congénitale, 2* que la paralysie gé
mme l'auteur vient de le constater chez un de ses malades , dans un cas de ce genre, l'interrogatoire du malade montre
l'âge (quarante-sept ans) était notablement plus élevé que dans les cas précédemment publiés. Ces deux malades entrèren
même en Ecosse et en Irlande. R. de lIUc.GR.IVE-CL41'. VU. Trois cas de mélancolie avec symptômes d'un intérêt cliniqu
eux et que la disparition du sucre a suivi de près son emploi. Ces cas sont sur- tout instructifs en ce qu'ils montren
1'l ? lstei-ia gravis soit si commune .parmi les femmes juives. Les cas graves d'aphonie hystérique, sous forme endémiq
trompeuses à cet égard, parce que les Juifs dissimulent souvent les cas d'aliénation mentale, soit à cause de leur anti
nettement que les documents officiels l'accroissement du nombre des cas de folie chez les juifs. ' R. de Musgravc-Clay.
liénation mentale. R. M.-G. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Deux cas de myélite conjugale ; par le Ruz' Glorilux. (Jou
Ruz' Glorilux. (Journ. de Neurologie, 1902, n° 2.) Dans' l'un des cas relatés dans cette note le mari et la femme éta
es observations semblent donc établir que dans un certain nombre.de cas tout au moins l'existence de myélites conjugales
ar le D1' de Bucii. (Journ. de Neurologie, ]903, n° 2.) Les trois cas de paralysie post-anesthésiques rapportés dans
ré plus de quelques jours. L'anesthésie a été obtenue dans tous les cas au moyen du chloro- forme et c'est à l'action t
BucK. (Journal de Neuro- , logie, 1901, ;il' 23.) Il s'agit d'un cas de scoliose neuropathique vraie d'origine trau-
t instinctive (théorie de la décharge) ou hystérique. Dans d'autres cas , elleseraréflexe et quel- quefois même névritiq
liose paralytique et une scoliose par contracture. G. D. , IV. Un cas de névrite radiculaire double du plexus brachial
, n° 3.) Ce travail est basé sur trois observations . la ire est un cas d'a- phasie motrice avec agraphie sans hémiplég
un cas d'a- phasie motrice avec agraphie sans hémiplégie ; la 2e un cas d'a- phasie motrice et sensorielle, également s
sie motrice et sensorielle, également sans hémiplégie ; et la 30 un cas d'aphasie motrice corticale qui est venue compliq
é de l'agraphie pour la main gauche. G. DwY. VI. Observation d'un cas de sclérodermie dactylique ; par le D de Maerk.
; par le D de Maerk. (Journal de Neurologie, 1900, n° 2.) Vil. Un cas de spina bifida avec agenésie radiculaire et cord
s deux dernières fonctions constitue la tliermo-anesthésie. Dans le cas rapporté par l'auteur, les zones intéressées étai
peuvent coexister avec une lésion orga- nique, et l'auteur cite un cas , très probant, où des phénomènes indubitablemen
a vérité, mais non de toute la vérité. Le principal intérêt de ce cas est dans la nature même de l'alté- ration de la
s elle est presque toujours associée à l'analgésie, ce qui était le cas chez le malade dont il s'agit ici pour les extr
s supérieures. L'auteur ne se souvient pas qu'il ait été publié des cas de cette dissociation de la sensibilité au froi
te de la sensibilité sur une surface très étendue. En fait, dans le cas qui vient d'être rapporté par l'auteur, la thermo
aîna l'atrophie de la moitié correspondante de la face; c'est en un cas semblable que Mendel a montré une dégé- néresce
rt une variété sensorielle de la paralysie générale, comprenant les cas caractérisés par la prédominance des troubles s
elle de la cellule. Cette altération prévue par M. Klippet dans les cas aigus que cet auteur rapporte put être vérifiée
pupillaire. Les réflexes tendineux sont exagérés dans le tiers des cas . La sensibilité est diminuée dans plus de la mo
ers des cas. La sensibilité est diminuée dans plus de la moitié des cas , ainsi que le réflexe plantaire; le réflexe cré
ique apparut au cours d'une démence précoce. : 11. DENY rapporte un cas analogue à cette dernière observation. M. ÏRÉNE
cturne d'urines. ' Il existe dans la science un certain nombre de cas analogues (Trélat et lfonod, Finlayson, S. Adam
tremblement. Le sujet a fait des excès alcooliques.- S'agit-il d'un cas de Basedow fruste ou d'une névrite pneumogas- t
neumogas- trique alcoolique isolée ? ' M. Déjerine a vu plusieurs cas de névrite alcoolique du pneumo- gastrique mais
aisceau pyramidal. M. et 11 ? DÉaemE montrent les préparations d'un cas d'agénésie' absolue et complète d'une pyramide
faisceau homolatéral de ce côté étant intact et volumineux. De tels cas sont rares chez l'homme et ne peuvent exister que
un âge où la suppléance est encore pos- sible. nionatrow en a vu un cas chez le chien. Vu. Raymond admet dans certains
trow en a vu un cas chez le chien. Vu. Raymond admet dans certains ^ cas la possibilité delà sup- pléance chez l'adulte
es ont été suivies d'altérations variables en intensité suivant les cas . Les dernières ont porté sur l'écorce cérébrale e
e nucléole peut se déplacer et quitter le centre du noyau, dans les cas les plus graves, il se résout en granulations.
particulier de ces myélites traumatiques du cône terminal : dans le cas actuel, absence d'hématomyélie ou d'allusion di
r l'ana- lyse des lésions histologiques, ils estiment que dans leur cas la gliose pot-traumatique ne peut être assimilé
rin- gomyélique. syndrome occipital double. Il DIDE rapporte le cas d'un malade ayant présenté de l'amnésie continu
la pachymé- ningite tuberculeuse primitive. Il Lionne rapporte un cas de paralysie générale à marche rapide avec cris
, souvent répétée. ' '.41. 1)IJERINE. On voit un si grand nombre de cas de tabes restés sans aucune progression à la pé
e réellement pas au moment où l'on observe ces malades » ; pour ces cas , Jules Falret a créé l'expression de petit mal
uve-t-il des spermatozoïdes ? la ques- tion est jugée; mais dans le cas contraire, il sera de son devoir de- rester dan
onvénients : onanisme et contrainte manuelle des gardes en certains cas d'indocilité. 1 L'auteur examine aussi les effe
constituent pas une panacée ; mais ils peuvent réussir en nombre de cas et constituent la oeil- leure arme de la gynéco
elui des hommes à l'âge correspondant. Vu la rareté comparative des cas de paralysie générale dans l'âge très jeune, no
générale dans l'âge très jeune, nous allons citer in extenso trois cas de paralysie générale juvénile. Observation I
ivante : 202 CLINIQUE MENTALE. La période la plus longue (dans un cas ) était de trente-trois ans et la plus courte de
as) était de trente-trois ans et la plus courte de trois ans (trois cas ). Ainsi donc, dans 90 p. 100 de paralysie génér
on obtient des données con- cernant ce sujet un peu autres ; de 75 cas : 204 CLINIQUE MENTALE. vait constater alors,
ment et nous avons constaté que chez les paralytiques hommes (528 cas ) 206 CLINIQUE MENTALE. 1 s'étaient adressés d
embre 1901, à 4 heures du soir, par marasme aigu (fig. 34). Dans ce cas suivi de mort, il devenait intéressant de recueil
malades qu'on dirait qu'ils ont fait un mauvais coup. Dans d'autres cas , ils prennent un air de ma lice. Tantôt les yeu
ui si bien décèle les états d'âme et souvent s'accompagne, dans les cas extrêmes, d'une modification ostensible de l'or
Bien qu'elle ait pu se pro- 220 RECUEIL DE FAITS. duire, dans un cas , moins d'une heure après un violent trau- matis
phiques que constituerait le ganglion de Gasser. 4° Dans tous les cas , il paraît résulter des observations qui précèd
RVATION DE SEIN HYSTÉRIQUE 221 1 Willis (1678) cite, le premier, le cas d'une jeune fille qui présentait de la douleur
urquoi, ayant eu l'occasion d'observer dans notre service un de ces cas intéressants, nous croyons utile de le publier.
le tableau l'image non réelle du diable; je suis halluciné. Dans ce cas , la vision a marché à l'envers de ce qu'elle fa
ir produire à volonté des hallucinations de l'ouïe; j'en ai cité un cas au Congrès de Nancy analogue à celui de M"e Cou
croient- ils, remuer leur masse. D'autres au contraire, ce sera le cas de sainte Thérèse, se figurent être sans pesant
en de défense spéciale. 2° Le tic donne naissance ci l'obsession. Cas fréquent, tic obsédant, entretenu, aggravé par
tic. L'évolution du tic n'est pas régulière, elle varie avec chaque cas ; on peut dire que les chances de guérison sont
l'une à l'autre, c'est l'excitation, qui est forte dans le premier cas et faible dans le second. Le propre de l'habitu
ut intervenir direc- tement pour refréner un tic ? Mais, à côté des cas où la sensibilité joue ainsi le rôle d'agent in
chez nos 70 malades : 264 -il SOCIÉTÉS SAVANTES.. La première, 7 cas qu'il faut éliminer de la statistique pour cause
que pour cause d'insuffisance de renseignements ; La deuxième, 16 cas , dans lesquels une enquête sérieuse n'a révélé
raux des'malades au- cune tare névropathique ; ' La troisième, 21 cas , où les ascendants directs ou au moins l'un de
psychique ou d'aliénation mentale (trois fois). La quatrième, il cas , où il a été possible de retrouver, parmi les a
de ces recherches, il ne me viendra jamais l'idée d'appliquer a un cas de ce genre le nom de tic tonique parce que, po
dix ans. Dans cet ordre d'idées, M. Parant croit devoir signaler le cas d'un malade qu'il a observé et qui, à deux repr
ue l'état physique général s'amendait lui-mêmc. ' Que penser d'un cas de ce genre ? Evidemment, il est d'un tout autr
lication nette du tic. Pour moi j'ai observé depuis deux ans deux cas de tic de nicti- tation chez deux jeunes femmes
guère le mécanisme : j'ai cependant montré que, dans beau- coup de cas , ces phénomènes convulsifs, spasmodiques, psychiq
tieuse, d'anciennes lésions cérébrales. Par opposition à ces deux cas et pour montrer combien ce même accident, qui c
e graves complications, peut aussi rester inoffensif, je citerai le cas d'un jeune homme très mondain, dégé- néré, inst
ou telle attitude du corps ou des membres, dans un grand nombre de cas , on remarque qu'ils n'ont pas une notion exacte
érison des verrues. 11. 11,EBERLIN (de Hambourg) rapporte plusieurs cas de verrues guéries par des procédés populaires,
t, la suggestion hypnotique fait disparaître les verrues. Témoin le cas dont je vous soumets les épreuves photographiqu
les stoïciens et les martyrs chrétiens. SOCIÉTÉS SAVANTES. 579 Un cas d'hystéro-épilcpsie datant de trois ans, guéri en
un signe objectif indéniable de la réalité de l'hyp- notisme. Un cas de paraplégie guéri par la suggeslion. M. Stemb
araplégie guéri par la suggeslion. M. Stembo (de Milan) rapporte un cas de paraplégie traité d'abord par l'électricité,
de dynamogénie. La suggestion répare tous ces désordres, témoin les cas suivants dont l'observation est rapportée par l'a
mais aussi les législateurs et les autorités judiciaires ; c'est le cas , par exemple, pour la Belgique, où les juges de
uniquées ou délire à deux et à trois personnes. » « Dans tous les cas de véritable délire communiqué, dit Legrand du
même famille ; mais cette cause ne peut plus être invoquée dans les cas -où il n'existe aucun lien de parenté, par exem
, tandis que l'on fait enfermer son congénère. 1 9° Dans quelques cas rares, la pression morale exercée par un aliéné
et, Baillarger fit remarquer qu'il y avait lieu de distinguer les cas de véritable folie communiquée « de ceux beaucoup
idée de Baillarger, M. Régis constitue un groupe à part de tous ces cas dans lesquels, dit-il, « un aliéné fait partage
t la folie communiquée. Dans un second groupe, M. Régis range les cas où il y a non pas communication mais simultanéité
chez les deux sujets, sans que l'un soit actif, l'autre passif. Ces cas se résument ainsi : , a) Deux individus sont hé
du type décrit, par un certain nombre de variantes qui en font des cas intermédiaires, des cas de transition. Quand, p
certain nombre de variantes qui en font des cas intermédiaires, des cas de transition. Quand, par exemple, il s'agit bi
et l'ascendant de son parte- naire. Baillarger avait bien vu ces cas quand il dit 1 : « Je crois utile de faire rema
une prédisposition fâcheuse pour l'avenir 2. » Mais, dans tous ces cas , il s'agit ds folie communiquée. Dans le second
ns étudiées plus haut. L'erreur des aliénistes qui ont confondu ces cas avec la folie communiquée a été de vouloir déco
édisposés, et c'est là peut-être ce qui explique que, dans certains cas , le délire, étant malgré tout le même ? et étan
ngue idéation commune, et sans doute d'un délire commun. C'était le cas ; mais comme leur délire faisait suite à des pen
ge; elle gour- mande sa soeur la plus vieille ; toutefois, dans les cas importants, elle se montre, même envers celle-c
ans une même nuit. (Le Temps 1r août.) RECUEIL DE FAITS. Sur un cas de paralysie générale et d'alcoolisme; Par MM.
emblement. Le 12, G... a gâté au lit; le 14 on note de l'em- SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 305 barra
et là quelques bouffées ambitieuses, mais sans suite notam- SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE ET D'ALCOOLISME 307 ment
ate au lever qu'il marche difficilement en traînant la jambe SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 309 « dro
coolisme chronique, troubles circulatoires de l'encéphalo- SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'ALCOOLISME 311 ménin
ou à un paralytique qui s'est alcoolisé pendant longtemps. Or, le cas de notre malade semble bien rentrer dans cette
Mais d'après les résultats obtenus, nous pensons avoir affaire à un cas de paralysie générale alcoolique. Et c'est sans
par une émission d'urine. On voit combien Thérèse a bien étudié son cas : elle nous fait une description aussi précise
a Seine (t fr. 50 par jour). Au cours de l'année, il a été admis 19 cas de folie alcoolique (14 hommes, 5 femmes), et 2
a été admis 19 cas de folie alcoolique (14 hommes, 5 femmes), et 2 cas de crélinisme ou mieux de dégénérescence phy- s
irectement en rapport avec la folie précédente. Ils peuvent dans un cas comme dans l'autre être sans influence ou réagi
terrain en créant un locus minoris 7esisteiisix. Enfin il est des cas où le traumatisme antérieur semble en rap- port
quences ordinaires du traumatisme. 330 SOCIÉTÉS SAVANTES. Dans le cas d'intervention précoce, la psychose post-opératoi
dans les conditions d'évolution que rencontre le clinicien dans le cas où le diagnostic est difficile. Ils pensent qu'
e constant. Ils ont trouvé encore un nombre élevé d'éléments dans 4 cas de tabès avec troubles mentaux, et dans un cas
vé d'éléments dans 4 cas de tabès avec troubles mentaux, et dans un cas d'excitation maniaque associé à une méningo-myé
nt aux diverses variétés de psy- choses, chez 1 épileptique, dans 1 cas de crises épileptiformes liées à l'albuminurie,
tique, dans 1 cas de crises épileptiformes liées à l'albuminurie, 2 cas de ramollissement cérébral et 1 cas d'hydro- cé
formes liées à l'albuminurie, 2 cas de ramollissement cérébral et 1 cas d'hydro- céphalie, le nombre des éléments n'éta
ooliques auxquels furent faites 17 ponctions, et qui comprenaient 8 cas d'alcoolisme subaigu, d'al- coolisme chronique
d'éléments blancs ou une quantité normale, ils faisaient, dans des cas par ailleurs tout à fait semblables, tantôt le di
ponction lombaire, le diagnostic immédiat était impossible dans ces cas . La ponction lombaire permet aussi de distingue
ermet d'at- tribuer l'aphasie à la paralysie générale dans certains cas où sans la ponction lombaire, le diagnostic ave
le ramollissement cérébral serait très difficile. Mais il y a des cas très rares où la ponction lombaire ne peut serv
montre qu'on peut rencontrer cette absence des élé- ments dans des cas récents à évolution rapide. Ainsi pas plus qu'a
dûment constatées 334 SOCIÉTÉS SAVANTES. permettent donc, dans un cas donné, d'éliminer un certain nombre d'hypothèse
ertain contrôle des effets produits par ce traitement dans certains cas de paralysie générale. Nos observations sont
, dont le diagnostic même était encore très hésitant. Dans certains cas , nous avons trouvé une très grande abondance de
c'est que l'acte criminel issu de l'anxiété morbide est en bien des cas accom- pli en dehors de l'influence de concepti
es idées obsédantes, comme cela s'observe aussi d'ailleurs dans les cas tendant plutôt à la chronicité, dans lesquels o
de possession avec dédoublement de la personnalité. A côté de ces cas , il en est d'autres moins caractérisés, consti-
ctions pour aliénés convalescents, sauvegardant en même temps, z en cas de rechute, notre responsabilité de médecin par u
s, d'organiser des asiles-écoles, des classes spéciales suivant les cas , pour tous les anormaux et en particulier pour
euses chroniques des enfants, sont fort embarrassés en face de tels cas : ne vous tourmentez pas, disent-ils aux parent
et M. DmE (de Rennes) ont recueilli dans le service de M. Chardon 3 cas de diarrhée verte chez des aliénés, s'ac- compa
éraux graves et dont deux se sont terminés par la mort ; dans ces 3 cas , ils trouvèrent un bacille chromogène facile à
cliniques et les recherches anatomo- pathologiques faites dans deux cas autorisent à affirmer que le Bacillus fluoresce
à l'acte justicier de la défense ou de la vengeance. Dans les deux cas , le passage de l'aliéné du domaine clinique au
toutes les éventualités possibles de l'autoaccusation, comprend les cas où un individu s'accuse : 1° d'un crime inexistan
Infirmerie spéciale du Dépôt à Paris, est sou- mis, dans ce dernier cas , à l'examen d'un aliéniste, devant lequel alors
lors se pose le problème médical de l'autoaccusation. Dans d'autres cas , une enquête est ouverte et, avant l'interven-
de l'impossibilité de cette revision contre l'individu acquitté, au cas où celui-ci viendrait, auto-accusateur rétrospect
laborieuses enquêtes,'actions en justice inutiles, etc.). Dans des cas exceptionnels : une autoaccusation légitime, comm
és mélancoliques deviennent facilement auto-accusa- teurs ; en tout cas , ils se défendent mal et laisseraient volontiers
onnaître ce délire d'auto-accusation. Ils doivent, en présence d'un cas d'auto-dénonciation, songer à la folie et soumett
silence le plus absolu, et il me semble que ce doit être en pareil cas la conduite du médecin. Archives, 2' série, t
s alcooliques, auprès des commissaires de police, 'je puis citer le cas d'un indi- vidu qui, sans que le mobile de son
ginaire. Je rapprocherai de ce fait, à la vérité un peu banal, un cas d'aulo- héléro-accusation assez intéressant : i
les crimes dont il se croyait l'auteur. J'ai observé également un cas d'auto-dénonciation chez un indi- vidu condamné
2° La papille, dont les fibres nerveuses étaient atrophiées dans un cas , était en outre envahie plus ou moins par des élé
mais déjà notables de ces mêmes élé- ments. On a affaire, dans les cas les moins avancés, dans ceux où la papille est
ée consécutive à une sclérose cérébrale infantile. Dans ces trois cas , la lésion a été trouvée identique. Sur une den
ne pas débuter toujours par le corps des vertèbres. Dans certains cas , l'invasion peut se faire au niveau des trous de
xus veineux rachidiens et surtout du système lymphatique ; dans ces cas , il y a toujours au niveau de la région rachidi
. Nous avons pu examiner au laboratoire de la Clinique Charcot sept cas de gliome des centres nerveux. Trois d'entre eu
service. De cette étude faite, comparativement d'ailleurs, avec des cas de glioses développées autour d'autres producti
ppées autour d'autres productions telles que tuber- cules, avec des cas d'encéphalites scléreuses, avec des cas de sclé-
que tuber- cules, avec des cas d'encéphalites scléreuses, avec des cas de sclé- roses tubéreuses hypertrophiques oblig
ertrophiques obligeamment mises à ma dis- position par M. Philippe, cas qui avaient fait l'objet d'une étude spéciale a
ue l'on observe quelquefois avec de volumi- neuses tumeurs. Dans un cas , par exemple, évoluant depuis trois années, où
rmettant aucune localisa- tion. Il est vrai que dans trois autres cas la tumeur avait une marche bien plus envahissan
alvéoles remplies de sérosité, véritable tissu spongieux. Dans les cas habituels, il n'y a pas d'éléments nerveux au sei
nts ne se trouvent que dans les zones périphériques. S'il s'agit de cas très envahissants, le tableau est tout différen
ant des centres nerveux qui semble réunir la plus grande partie des cas ainsi faussement interprétés. SOCIÉTÉS SAVANTES
angers et se substituer à eux, comme nous l'avons vu dans un de nos cas ou une véritable glio- . matose méningée a été
e au voisinage de métastases carcino- mateuses de l'écorce, dans un cas fort intéressant mis à notre disposition par M.
t donner lieu à de véritables encé- phalites glieuses comme dans un cas étudié par- nous et dans un cas très analogue d
- phalites glieuses comme dans un cas étudié par- nous et dans un cas très analogue de Kazowsky, ne méritent pas le nom
tant à la plupart desvariétés de sarcomes. L'étude détaillée de ces cas et leur comparaison avec les autres observation
e généralisation est très grande au point d'envahir, dans- certains cas , la totalité du système nerveux central et périph
nteur avec laquelle cette lésion parait évoluer dans la plupart des cas . En effet, quand on examine les coupes de la mo
e action que celle de la compression lente. Ainsi, dans l'un de nos cas , avec tumeur fibro-plastique dévelop- pée à la
ndraxes, dilata- tion des gaines périvasculaires. Or, comme dans ce cas la masse sarcomateuse avait gagné les trous de
athogénique récemment soutenu par MM. Dupré et Devaux à propos d'un cas d'endothéliome des mé- ninges cérébrales. Un
ister; elle justifie pleinement l'intervention chirurgicale qui, en cas de diagnostic précoce, peut amener une guérison c
centres nerveux. Cette forme est rare. Nous avons pu en observer 4 cas ; trois s'étaient développés en pleine masse bl
t dénommé le sarcome solitaire du cerveau un glio-sarcome. Dans nos cas , nous n'avons pu découvrir aucun fait histologi
totalité d'un hémis- phère cérébral ou du cervelet, comme dans nos cas . II. Sarcomes MULTIPLES ou SAHCOHATOSES. A. Mén
TOSES. A. Méningite sarco- 7zzttte2cse. --Nous avons pu observer un cas de sarcomes multiples, dans lequel l'évolution
ent bouleversé l'architecture normale de la substance grise. - Ce cas , rapproché des quelques observations empruntées à
méninges cérébro-spinales. Ainsi le diagnostic se pose, suivant les cas , avec les méningites basilaires, la méningite tub
ns très différentes. Pour notre part, nous avons eu à examiner deux cas de ces tumeurs multiples du système nerveux cen
ymptomatique et anatomo-pathologique. En outre, comme dans nos deux cas , nous avons retrouvé sur le système nerveux pér
niliformes. Quant aux noyaux des nerfs périphériques, dans nos deux cas , ils étaient constitués par des éléments fibro-
sarcomatose, certaines observations récentes avec autopsies et deux cas cliniques que nous avons pu recueillir dans le
t aux phases cellulaires de ce même lissu conjonctif; dans les deux cas , ce sont des néoplasmes mésodermiques. Les obse
avoir spasmodi- cité. Pour établir ce fait, M. Brissaud rapporte le cas de 111, Z..., chez laquelle une section complèt
MM. Raymond et Cestan, dans une étude très importante, publient 2 cas de compression médullaire avec paraplégie spasmo-
paraplégie spasmo-. dique et anesthésie complète. Cliniquement, ces cas répondent à une section complète de la moelle;
rifuges des corps opto-striés sont presque nulles, et dans tous les cas très confuses. Il suffit pour s'en rendre compt
uivants, que nous avons tenu à reproduire textuellement. Il y a des cas où je voudrais que le médecin fut toujours con-
Il n'est pas contestable qu'à l'origine de . la grande majorité des cas de tabes on relève la syphilis ; mais il n'est
lève la syphilis ; mais il n'est pas contestable, non plus, que les cas où il est impossible d'admettre la syphilis san
une pétition de principe ne sont pas exceptionnels. 1 11 est des cas de tabès qui semblent n'être que l'expression l
ns l'ensemble des actions causales de la sénilité. Il est aussi des cas où d'autres infections que la syphilis semblent
. Il semble que la SOCIÉTÉS SAVANTES. 379 syphilis crée, dans ces cas , un lieu de moindre résistance où l'iu- fection
quer des traitements variés et convenables, pour chaque groupe de cas , au lieu de merculariser systématiquement et inte
Albi). -J'ai eu l'occasion en ces derniers temps, d'observer quatre cas d'extension persistante du gros orteil dans les
intensité des altérations cliniquement observées, puisque dans deux cas d'hémiplégie complète, nous avons vu ces signes s
) a soumis au traitement spécifique mixte intensif, depuis 1896, 90 cas de paralysie générale. 11 expose les résultats
e ne sont pas rares; on sait également que chez les hystériques les cas de fausse grossesse sont très fréquents, mais n
de la mère, qui, étant nourrice, avait eu un chancre du mamelon. Ce cas est analogue à ceux qui Ont été déjà publiés par
iés par différents auteurs, notamment par MM. Toulouse et Marchand, cas .' qui établissent, d'une part, le rôle de l'hér
chez les débiles. Etude histologique de l'écorce cérébrale dans 18 cas de mé21cgile. MM. MAURICE F,%URE et L.11GNEL-L.
ns le laboratoire de 111. , Ballet les'altérations corticales de 13 cas de méningite tuberculeuse, 2 à pneumocoques, 1
hancrés (neuronophagie). Ces lésions étaient très accentuées dans 4 cas , légères dans 8, à peu près nulles dans 6. Dans
4 cas, légères dans 8, à peu près nulles dans 6. Dans ces derniers cas , la méningite n'avait été que l'épilogue rapide
lose pulmonaire chronique à la 3° période. Au contraire, dans les 4 cas où les lésions furent très accentuées, il y ava
AVANTES. l'hémiplégie organique, nous ne l'avons pas retrouvée dans cas 1 d'hémiplégie hystérique. La tache blanche,
n tableau où l'auteur a recueilli les terminaisons relatées dans 32 cas dont 8 personnels ; 12 fois cette affection se
cours d'affections mentales diverses. Voici les photographies d'un cas typique de catotonie chez une hystérique ; l'ex
ment à la paralysie générale chez les débiles. Il rapporte aussi le cas d'une femme qui, au cours d'une paraylisie géné
nes importants, tels que le foie, les reins. Dans les deux derniers cas , il y avait des lésions des coronaires, athérom
n'ont jamais trouvé le signe au cours de la sclérose en plaques (35 cas ), de la polynévrite (30 cas), de l'atrophie mus
au cours de la sclérose en plaques (35 cas), de la polynévrite (30 cas ), de l'atrophie musculaire Charcot-Marie (6 cas
la polynévrite (30 cas), de l'atrophie musculaire Charcot-Marie (6 cas ), de la syringomyélie (8 cas), de la maladie de F
l'atrophie musculaire Charcot-Marie (6 cas), de la syringomyélie (8 cas ), de la maladie de Friedreich (to cas), de dive
cas), de la syringomyélie (8 cas), de la maladie de Friedreich (to cas ), de diverses vésanies autres que la paralysie gé
rale. Au contraire, ils ont pu le constater soit en l'état isolé (5 cas ), soit en association avec d'autres affections
en association avec d'autres affections : l'hémiplégie cérébrale (6 cas ), la méninge-myélite (4 cas), etc. Mais ces der
affections : l'hémiplégie cérébrale (6 cas), la méninge-myélite (4 cas ), etc. Mais ces derniers malades, qui n'étaient
né- raux, étaient tous syphilitiques. ' Peut-être existe-t-il des cas de névrite interstitielle hypertro- phique et d
s monstruosités accompagnées d'infirmités peu enviables. - - Deux cas 6)6[)'t<mOcyOHMSHHf ? M. M. Hartenberg (de P
onnel inhibiloire, semblent bien montrer qu'il s'agissait, dans ces cas , de ce trouble fonctionnel de l'écorce auquel o
opérations dans les conditions biologiques de l'organisme. Dans le cas actuel, pour extraire les bases choline et névr
tement d'une façon systématique; il nous parait discutable dans les cas d'excitation maniaque. Les malades ainsi traité
es nous assurent qu'elles ne le croient pas et qu'on y est, en tout cas , parfaitement à l'abri. En outre, on nous appre
atée lors de nos visites fasse suite une reprise du délire. Dans ce cas , la rémission serait due à la maladie de l'une
ité de la clinique, c'est qu'ici comme partout ailleurs, il y a des cas intermédiaires. N'oublions pas d'ailleurs selon
es et de goitre exophtalmique probable. II. Nous avons à faire à un cas d'idiotie morale caractérisée par la perversion
té (mensonges et vols). ' ce sujet, il nous revient à la mémoire le cas d'un garçon que sa mère, sous le coup d'un sent
quelque sensibilité des parties affectées. P. Keraval. XVIII. Un cas d'herpès zoster, suivi d'atrophie musculaire; par
re que, en 18415, Lewinski n'en tenait pour inattaquable qu'un seul cas et que tout récemment Barriero n'en retenait dé
que tout récemment Barriero n'en retenait définitivement que seize cas dans l'histoire de la mé- decine, a été obseivé
as dans l'histoire de la mé- decine, a été obseivée dans un nouveau cas remarquable par son étiologie (fièvre typhoïde)
ndant pas négligeable et leur constatation sera utile dans bien des cas ; C. la disposition de ces troubles montre qu'ils
et Jai\Er. (Nouv. - lconogr. de la Salpêtrière, n° 5, 1899.) Deux cas de tic par automatisme psychologique, remarquable
LLAI : 'i.' (Noua. lconor. de la Salpêtrière, n° 5, 1899.) Si les cas d'amyotrophie succédant à une lésion articulaire,
re, n° 5, 1899.) Une observation personnelle suivie d'une revue des cas analogues signalés par d'autres auteurs, desque
et acro-épi- leptiques et quelquefois le diabète. ' R. C. XXV. Un cas d'hémianopsie hystérique transitoire ; par M. P.
vision. Mais M. Janet n'est pas en mesure de dire si, dans tous les cas d'amaurose hystérique, le retour de la vision c
'hé- michorée arythmique hystérique. Les auteurs en rapportent un cas qu'ils ont observé et qui a guéri grâce à un trai
x, il est vraisemblable que, si on examinait attentivement tous les cas de chorée, le nombre des observations d'hémichoré
ée a des liens très étroits avec l'hystérie dans un grand nombre de cas . A. Fenayrou. XXVIII. Troubles nerveux secondai
elèvent des centres de la vie végétative constituent, dans certains cas , un en- semble symptomatique, désigné par M Hay
ée normale 12 fois, perturbée 13 fois ; il y avait analgésie dans 8 cas . La grande fréquence des analgésies viscérales
t, au moins en partie, de l'asynergie musculaire. E. B. XXXVI. Un cas de syringomyélie. Main de prédicateur. Troubles
nécessaire à la production d'un ramollissement. E. B. XXXVIII. Un cas de paralysie faciale d'origine périphérique com-
ritique en rapport avec la puerpéralité. E. B. XXXIX. Note sur un cas de plaie de la région parotidienne avec trouble
t consiste dans les troubles moteurs, rarement signalés en pareil cas et occupant le domaine de distribution de la bran
onnaires les plus externes de la corne antérieure. E. B. XLII. Un cas de tubercule de la protubérance ; par C. Levaditi
° L'extrait surrénal ne parait devoir rendre aucun service dans les cas de mélancolie, ni partout où il existe une stupeu
ent purement relatives ; 11° l'alitement en un très grand nombre de cas n'améliore pas le sommeil des malades, parce qu
séparées, dont on maintient les portes ouvertes, est, dans bien des cas , pré- férable à l'alitement en des salles commu
voir les rechercher et ont appliqué cette méthode sur 16 sujets. Un cas de guérison fut particulièrement net chez un su
ait faire »,et qui ajoute que « dans une proportion considérable de cas , c'est dans l'asile même qu'elle est engendrée
t déclaré et la mise en observation manicomiale pour un semestre en cas douteux. L'étude plus géné- rale de la psychiat
tel par chagrin d'amour, croit-on qu'il le sera également dans un cas de profonde mélancolie religieuse avec terreur de
n de tranquillité. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 4 Ik 5 Dans quelques cas d'affaiblissement de la volonté, de folie du do
au lit est très vaste. Il faut appliquer l'alitement dans tous les cas oùil s'agit, soit d'épargner les forces physiques
1901, p. 601-614.) - On a fait davantage, dit l'auteur, pour les cas de folie aiguë que pour les malades chroniques.
et du lait) et enfin le traitement médical (en particulier dans les cas de turbulence et d'insomnie). Sa conclusion est
imon. XI. Sur les lésions cellulaires corticales observées dans six cas de troubles mentaux infectieux; par le Dr ! II.
9.) L'auteur communique les résultats de l'étude de deux nouveaux cas de troubles mentaux, d'origine toxi-infectieuse,
rique du noyau. Cette altération est absolument généralisée dans un cas où, d'ailleurs. les signes cliniques furent trè
liniques furent très accusés; elle est plus discrète dans le second cas où les signes cliniques furent moins accusés. L
persistait six mois plus tard. L'auteur fait observer que, dans ce cas , l'amélioration rapide ohtenue parait devoir êt
ue sur 56 décès (en 1901), il n'y a ' BIBLIOGRAPHIE. 457 que deux cas de tuberculose, soit une proportion de 3,37 p. 10
rtion de 3,37 p. 100. Nous n'avons pas, à l'heure actuelle, un seul cas de tuberculose chez les femmes et du côté des h
berculose chez les femmes et du côté des hommes il n'y a qu'un seul cas avéré et deux cas douteux ». L'asile contient
femmes et du côté des hommes il n'y a qu'un seul cas avéré et deux cas douteux ». L'asile contient encore 25 aliénés a
ariable, ils sont'souvent réduits à peu de chose et dans cer- tains cas même, ils disparaissent en laissant le syndrome
moment du paroxysme. En Angleterre, Mikle constate que, selon les cas , il y a dans les obsessions prédominance du tro
c'est l'anxiété. Séglas fait en outre remarquer que bon nombre de cas d'obsession débutent par une phase d'angoisse p
ouvent affaire non à des phobies sys ? témalisées pures, mais à des cas intermédiaires ou de transi- tion entre la phob
'idée fixe physiologique est voulue, même cherchée parfois, en tout cas acceptée et non douloureuse. D'après Séglas, l'
bsession où l'idée fixe s'ancre, dans le cer- veau. Il est même des cas où le dédoublement.étant en quel- que sorte com
DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE. 477 Dans un certain nombre de cas , il existe donc une altération plus ou moins gr
sions est éminemment variable. Sur un'nombre de deux cent cinquante cas bien nets d'obses- sion, M. Régis a trouvé surt
ouper en proportions et dans des conditions variables suivant les cas , de façon à donner au syndrome obsession une phys
rme p01'O- xystique et est rarement tout à fait continue. En tout cas , dans l'intervalle des crises et même durant les
ez les vieillards et les individus débilités 1. Or c'est bien là le cas de notre malade, et on comprend pourquoi la tem
autres objets, et a ainsi déterminé le phlegmon. Dans le premier cas , il se pourrait que son but eut été de se guéri
is ; d'autres pensent se soustraire aux persécutions. Dans certains cas , les automutilations peuvent être encore simple
ant tout, chez le neu-, rasthénique et l'épileptique, puis dans les cas de psychoses fonc- tionnelles, notamment à la s
aire du réflexe. Ce phénomène est l'indice du rétablissement, en ce cas , des réflexes tendineux depuis longtemps dispar
les états de mélancolie. 1° Cela est démontré par plus de cinquante cas de lésions trau- maliques de la tubérosité pari
cerveau ou ses membranes, et par le fait que, dans la moitié de ces cas , la guérison a succédé à fin- REVUE D'ANATOMIE
n. Les auteurs ne sont pas en mesure de dire s'il existe ou non des cas où le icftexe contra-latéral se produit avec des
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. S03 trouve assez fréquemment, dans les cas de paraplégie et surtout d'hémiplégie organique
igne de Babinski. Pourquoi ce réflexe se produit-t-il dans certains cas d'hémiplégie et de paraplégie tandis qu'il manq
voisin de la cécité absolue des couleurs. L'auteur a pu observer un cas où le malade présentait de la cécité des couleu
plusieurs de ces méthodes, auxquelles il faut ajouter dans certains cas celles de Marchi et de 1\'eigerl-Pal. L'auteur
hes d'anatomie pathologique du système nerveux. U. M.-C. XL1V. Un cas d'anévrisme sacciforme double intracrânien ; par
ne seule de leurs facultés mentales est défectueuse. - " Dans des cas de ce genre, il faut cesser de considérer les mot
nguement l'observation d'un malade qui pré- sentait en apparence un cas type ordinaire de faiblesse mentale, et qui est
roses, etnotamment dans la chorée; on la ren- contre aussi dans les cas de surmenage ; e) la volonté peut être diminuée
le ils sont parvenus est néanmoins fort élevée. 11 y a encore des cas où l'enfant possédant toutes les facultés dont
e Cumberland et Westmoreland, avec une statistique de soixante-huit cas ; par George-A. Rorie (1'lac Joumzul of Mental
survenir la paralysie géné- raie : un trait commun à noter dans les cas de mélancolie et de manie, c'est la confusion m
un état d'auto-intoxication. Le pronostic est favorable dans les cas de manie aiguë et de mélancolie ; il l'est moins
formes de manie et surtout dan= la manie avec délusions. Aucun des cas observés ne présente le type de la manie déli-
tée à peu 'près sans influence sur la maladie mentale. Dans trois cas seulement on a noté une aggravation. R. DE jMfJ
Mais, dans l'ensemble, les psychoses sont plus fréquentes dans les cas de lésion aortique; elles participent alors de la
her, on rencontrerait plus souvent des troubles cardiaques dans les cas de folie puerpérale. 1. DE IUf,AAVE-CL : 1Y.
re d'une élévation surpre- nante, surtout si l'on tient compte îles cas très nombreux de syphilis occulte ou ignorée et
antécédent tellement ordinaire de la paralysie générale, que les cas non-syphilitiques, s'il en existe, peuvent jusqu'
urasthénie, comme l'a montré Feré. Dans la très grande majorité des cas , elle paraît être le développement d'un état an
squ'aux états de rêve délirant de l'hystérie. Il y a aussi d'autres cas , dits cas de pseudologia plcantastica, dont l'ori
ats de rêve délirant de l'hystérie. Il y a aussi d'autres cas, dits cas de pseudologia plcantastica, dont l'origine doi
dans cette affection, et qu'il a rencontré trois fois sur vingt-six cas observés. Malgré la difficulté de reconnaître c
uaient pour les phénomènes d'automatisme spirite. Dans ce der- nier cas , il n'y a pas délire. L'hypothèse spirite, bien q
on. Quelquefois, cependant, son rôle peut être plus actif en pareil cas . Si elle ne crée pas à elle seule les desordres
peut dire s'il en est de même pour le cerveau. Il était, en tout cas , intéressant de constater la lésion des nerfs p
cune particularité digne de remarque. Dans le plus grand nombre des cas , après une première période de fatigue, d'énerv
par la confusion : mentale que se manifeste le début, mais, en tout cas , il est uni symptôme qui ne manque jamais, c'es
al ou d'anomalie intellectuelle. L'auteur estime que la plupart des cas de paralysies générales juvéniles décrits au co
moral insanity, des folles et des dégénérées. E. B. XXIV. Sur un cas de catatonie, par M. le Dr CUYLIT7 (Bulletin de l
qu'on les trouve anormales toutes les trois à la fois dans 1/10° de cas environ, mais le fait le plus fréquent est l'an
ciabilité de l'individu augmente corrélativement. G. D. XXVII. Un cas de polynévrite avec psychose; par J. CMCQ. (Jouru
la poly- névrite ne disparaissent complètement. G. D. XXVIII. Un cas de personnalité multiple; par A. Gilbert (de Port
es distinctes et réciproquement amnési- ques. XXIX. Note sur deux cas de folie consécutive à la chorée : par Rotusay
SrEWART (The Journal of Mental Science. Juillet 1901). L'un de ces cas s'est terminé par la guérison, et l'autre par une
s'est terminé par la guérison, et l'autre par une amélioration. Les cas de folie choréique paraissent avoir quelques sy
lésion se trouve dans les couches optiques. Clouston a publié deux cas de folie choréique étroite- ment associée au rh
l'endocardite est souvent consécutive à la chorée. Dans les deux cas rapportés par l'auteur il y avait eu plusieurs
ropose surtout, c'est de considérer le philosophe allemand comme un cas de pathologie mentale. Son premier ouvrage sur
toute force étiqueter et classer un homme qui est tout justement un cas par- ticulier. Nietzche critique le caractère
affection plus, grave : elle s'accompagne sou- vent, et c'était le cas chez Nietzche, d'une grande dépression men- tal
iand, s'affaiblit chez lui, et ce qu'il y a de particulier dans son cas , c'est qu'il parait avoir gardé longtemps le po
- tiques aux deux premières périodes de la maladie. De ces divers cas , l'auteur pense devoir dégager les conclusions su
Journal of Mental Science. Avril 1901.) L'auteur a pu rassembler 15 cas bien nets d'hallucinations uni- latérales. Il s
n nets d'hallucinations uni- latérales. Il s'agissait dans tous ces cas d'hallucinations de l'ouïe, et elles se sont ma
its de ce dernier genre ont été observés. Dans un certain nombre de cas , on a noté la prédominance bien marquée des hal-
obable que le sujet possède une glande pituitaire hypertrophiée. Ce cas pourra servir à étayerune étude poursuivie en c
s et non châtrés), et sur l'allongement des membres dans ce dernier cas . Tremblement et tachycardie . GIL13ERT Ballet
ble pas douteux que la tachycardie dépende de ces altérations. Ce cas démontre donc, comme l'avait avancé antérieuremen
sont deux effets d'un même état du système nerveux central. ' Un cas de paralysie radiculaire supérieure bilatérale du
no- malies. S'il n'y a pas eu ostéite, mais seulement ostéogénie ce cas pouvait se rapprocher des poussées de croissanc
er des poussées de croissance tardives des dents de sagesse. - Un cas de MM à topographie radiculaire rigoureuse des tr
les mêmes faits chez le frère du patient. D'après les autopsies de cas pareils, il ne s'agi- rait pas de scléroses en
les hémisphères ne sont atteints. AI. B%BiNsxi estime qu'en pareil cas les fibres cérébelleuses doi- vent être intéres
s hémisphères. Dans 536 SOCIÉTÉS SAVANTES. la grande majorité des cas , les ictus apoplectiques ou les foyers de ramol
de Babinski, qui n'existe pas de l'avis de son auteur dans tons les cas où le faisceau pyramidal est lésé, qui, d'autre
ceau pyramidal est lésé, qui, d'autre part, ne semble pas, dans mon cas , avoir de rapport direct avec le clonus du pied
radial guérie par l'hypnotisme. M. David (de Narbonne) rapporte le cas d'un jeune homme traité depuis deux ans, tantôt
ules Voisin. Je pacage tout à fait l'opinion de M. llaguin. Dans le cas actuel, il s'agit de catalepsie avec contractures
es médecins, M. Faucher recommande le placement précoce : « Dans 24 cas , la maladie remontait à au moins six mois; c'es
s six mois; c'est une condition favorable pour la guérison. Dans 23 cas la maladie mentale avait déjà plus de deux ans de
catégorie seront à peu près certainement incurables. Enfin, dans 11 cas , la maladie datait déjà de six mois à deux ans
des asiles unoam.aui. Parmi les maladies incidentes, nous voyons 5 cas de tuberculose pulmonaire. Parlant de la lutt
n. Six d'entre eux, sans anomalies dans l'état émotionnel, sont des cas plutôt légers qui correspondraient ainsi au typ
téfanowska, 144. -segmentaire. Voir Syringomyélie. ,lvÉVRISUE. Un cas d' sacci forma double intra-crànien, par Shaw.
t, 543. Catatonie. Remarques sur la -, par llasoin, 150. Sur un cas de -, par Cuylitz, 50. Cellule nerveuse. Etud
. Voir. Pros- lititlien. Déglutition. Voir Tics. Dt Note sur un cas de épi- tepuque par A. Petit, 121. - et insll
Bra, 51. Nécessité de l'hospitalisation des épilepliques, 75. Un cas de délire épileptique. par Petit, 121. - Voir T
de Cumberland, par Itorie. Ô10. Voir Spiritisme. Note sur'deux cas de consécutive à la chorée, jldl'UIllSaÿ, 522.
et Paviot, 357. Etude histologique de l'écorce cérébrale dans 18 cas méningite par MM. Faure et de Laignel-Lavasti
. Korsakoff (de). Contribution à l'élude de la maladie de -. Un cas de psychose polynévritique post-tvphoidique, pa
Faui@e et Courten ? oux, 377. Mélancolie aiguë. Voir Folie. Trois cas de avec symptômes d'un intérêt clinique peu ord
neuf ans, 78. Mort subite. Voir Déments. Myélite conjugale. Deux cas de par Glorieux, 157. Myopathie. Faciès de Sp
nn'E optique; Voir Lobe frontal. hypertrophique; Préparation d'un cas de , par Déjerine et Thomas, 64. Un cas de - ra
ophique; Préparation d'un cas de , par Déjerine et Thomas, 64. Un cas de - radi- cuiairc double du plexus brachial
esse, 426. d'angoisse, par Hartemberg, 530. Noyau rouge. Sur un cas de papil- lome épithélioïdedu noyau longe. Co
Université demis- cou ; par Soukhanoff et Gan - nollcllhlne, 193. Cas de - géné- rale et d'alcoolisme, par Truelle
ob, 531. L'action toxique dans la genèse de la générale, par Z Un cas de radiculaire, par Déjeune et Ar- mand Delil
gne des orteils par Dufour. 535. I'dR.111'oULOVUS multiplex. Deux cas de , par Hartenberg, 392. l'AitAPLÉGIE politi
ar Hartenberg, 392. l'AitAPLÉGIE politique. Vor Oléai7z- gite. Un cas de guéii par la suggestion. parStembo,280. Con-
mentale. Etude de . par Ilelanrl, 525. Personnalité multiple. Un cas de , par Gilbert, 522. Phtisie et folie par D
tution et dégénérescence, par Laurent, 519. - l'ti0tU13ERA\CE. Un cas de tubercule de la piotuhéruncp, par Levadili
age, 444, Sur les lésions cellulaires corticales observées dans 6 cas de - mentaux infectieux, par Faure, 447. ment
aire combiné ou paradoxo-normal, par Heldenbergh, 145. Zona. Un cas de topographique radiculaire rigoureuse des tro
71 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
n- grène des extrémités, on trouve dans la littérature médicale des cas qu'il est malaisé de définir au point de vue no
ces et trophiques » (1),a entrepris de catégo- riser ces différents cas . Et, dans un chapitre annexé à celui qu'il consac
ines fait à la clinique de M. le professeur Bard, j'ai pu suivre un cas qui nous a paru, de toute évidence appartenir à
rs éléments essentiels. Je les cite dans leur ordre chronologique : Cas N° 1. KAposi (in Cassirer).Chez une femme exerçan
cyanose pendant l'hiver. Les détails plus complets manquent sur ce cas , qui est emprunté à la clini- que de Kaposi.
manquent sur ce cas, qui est emprunté à la clini- que de Kaposi. Cas N° 2. SouzA-LEITE (2), femme, 44 ans. Depuis plus
dorsale légère. Mâchoires et face normales. M. Souza-Leite cite ce cas comme ayant été classés à tort dans l'acromé- g
nt des maxillaires; pour lui, il s'agit plutôt d'érythrométalgie. Cas N° 3. Souques et GASNE (3). Homme, 23 ans, maçon.
ouza-Leite, De l'acromégalie, Paris, 1890. (3) Souques et GASNE, Un cas d'hypertrophie des mains et des pieds avec troubl
n est fort admissible, car nous ne sa- vions nous-même où ranger le cas de notre malade avant la lecture du mémoire de
st à peu près calqué sur le nôtre, comme je le montrerai bientôt. Cas No 4. - MEYER (1), femme 32ans,jardinière. Antécé
té suivie. A la vérité, l'auteur ne peut classifier exactement ce cas . Il lui semble qu'il appartient à la fois, à la
stique de l'acrocyanose chronique avec hypertrophie concomitante. Cas N° 5. HOFFMANN (1), femme 23 ans. Depuis l'âge de
ère des lèvres. Pas de cyphose appréciable. Maxillaire normal. Ce cas est cité seulement au point de vue du diagnostic
e vue du diagnostic différentiel de ces états avec l'acromégalie. Cas n° 6. Bottiger (2), jeune homme 21 ans. Dans l'au
elate pas d'accès syncopal, ni de manifestations paro- xystiques. Cas n°7 7 (CASSIRER).- Femme 3Í ans, se plaint de cép
té aucun changement^ peine une légère modification de la cyanose. Cas n° 8 (cassirer). Homme 31 ans, pianiste. Pas d'an
la malade a été suivie sans qu'on observe aucun changement. A ces cas , M. Cassirer ajoute deux observations publiées en
iolacé, marmoréens, insensibles et inhabiles. Voici maintenant le cas que j'ai observé : Cas N° 9 (personnel). L. F.,
sibles et inhabiles. Voici maintenant le cas que j'ai observé : Cas N° 9 (personnel). L. F., 26 ans, né à Mieussy (Sa
pellent d'assez loin, des nodosités d'Heberden. Elles sont, en tout cas , groupées autour des articu- lations. La colo
l'existence de l'ostéo-arthropathie ne peut être soutenue. Dans les cas que j'ai groupés, la déformation en « baguette
ent reproduire le tableau de l'acro-cyanose hypertrophiante. Tel le cas récem- ment publié par M. Souques (4); s'agit d
éments cliniques, on pouvait penser à établir une analogie entre ce cas et ceux dont j'ai rapporté l'histoire. Mais la pr
d'envisager pour les écarter d'ailleurs. Il y a cependant quelques cas , assez mal catégories, qui à un examen superfic
imilaire. Tout récem- ment en effet M.Hirchsfeld (2) publiait trois cas de dermatites d'allure spé- ciale, pour lesquel
ropathie de P. Marie, l'érythromélalgie et l'acromégalie. Ses trois cas concernent des sujets d'un âge relativement ava
it macroscopi- quement indemne. L'auteur conclut qu'il s'agit là de cas mal déterminés, voisins de l'ostéoarthropathie
. Malgré la dénomination 'de del'mato-hypertrophie Vasomotrice, les cas de IIirscUfeld ne peuvent être comparés au nôtr
on (1), Lancereaux (2), mais qu'il ne faut point confondre avec les cas ci-dessus rapportés. J'ai insisté avec quelque
des neuf observations citées, toutes n'ont pas une égale valeur. Le cas no 1, par exemple, est trop brièvement résumé p
données qu'il eût été utile de connaître. Mais dans chacun des neuf cas , il y a des renseignements utiles, et on peut, à
un avis médical. Le sexe n'a pas une importance majeure : nos neuf cas se divi- sent en : cinq femmes et quatre hommes
s au froid, sont plus exposés aux troubles vasomoteurs. Dans maints cas , les antécédents héréditaires ou personnels du su
ans éveiller l'attention du patient qui He peut, dans la majorité des cas , préciser exactement l'année où les troubles se
lle-ci, comme le démontre l'examen radiographique, au moins dans le cas que j'ai i observé n'intéresse que les parties
rt long. Semblables re- cherches n'ont pas été faites dans d'autres cas , ce qui n'autorise pas à con- clure à la consta
elle les vaisseaux rétiniens sont dilatés et turgescents. Dans deux cas (art. 3 et 9), les poumons présentaient des alt
s respira- toires, d'ailleurs, n'est pas mentionné dans beaucoup de cas : c'est une lacune qu'il importerait de combler
e sujet une incapacité fonctionnelle complète parfois; que, en tout cas , elle est une infirmité qui gêne fort le malade
dant possible. Quant au traitement, s'il est efficace dans certains cas (ob. de Bottiger, par ex.), dans d'autres cas,
fficace dans certains cas (ob. de Bottiger, par ex.), dans d'autres cas , au contraire, il est sans aucune influence. On
e « bronchite légère » ; tuberculose plus cer- tainement dans notre cas : l'examen radioscopique témoignait en effet dans
confirmé dans ses grandes lignes ces résultats dont la plupart des cas de tuberculose infantile. En second lieu, trois
L SAINT-ÉLOI, DE VIONTPELLlER (Service du professeur Grasset.) UN CAS D'HLMfATROPHI FACIALE PROGRESSIVE PAR CALMETT
n'attirait son attention sur ce point. Disons enfin que dans notre cas 1'liéniiatropliie est strictement limitée à la tê
ROGRESSIVE (Cal met te et Tagès) Masson & CIIt, Editeurs UN CAS D'HÉMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE 27 Du côté d
és : nous n'avons obtenu que de la rougeur sans sueur, mais en tout cas pas de notable différence entre les deux côtés.
s cartilages du nez. Pas de chute des dents. Il existe dans notre cas une hémiatrophie frappant la langue et le voile d
sons qui mili- tent pour ou contre chacune d'elles, mais dans notre cas nous pouvons les éliminer en bloc pour une seul
Pagès) Masson & Ci-, Editeurs Phototypie Berthaud, Pans. UN CAS D'HÉMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE 29 nous n'av
ade atrophié depuis de nombreuses années. Brissaud, rapprochant les cas d'hémiatrophie faciale s'accompagnant d'hémiatr
aciale s'accompagnant d'hémiatrophie du tronc et des membres et les cas d'hémia[cophie sans par- ticipation de la face
cation anatomique. Quoi qu'il en soit, nous conclurons que pour des cas comme le nôtre la lésion nerveuse doit être tra
vrai, s'installer chronique d'emblée, mais succédant, dans quelques cas , à des poussées à répétition d'oedème aigu ou s
ypothèse qui n'est pas soutenable, et nous restons en présence d'un cas de dystrophie oedémateuse, auquel le terme de « t
une hypothèse, tous les faits plaideraient, il nous semble, dans le cas actuel, en faveur de la théorie sympathique sou
accommodés à lui et n'ont nul souci de le faire extirper. En pareil cas , le processus gigantique si l'on peut ainsi dire
s ankyloses interphalangiennes consécutives se retrouvaient dans le cas de MM. Jaboulay et Planchu;(4). En pratique, on
eux doigts, l'exérèse précoce est tout indiquée. (1) Planciiu, Un cas de macrodactylie (Lyon médical, 1897, p. 372).
d'admettre qu'il s'agisse là d'une notion innée, ce qui peut être le cas pour certains animaux - qu'un sens puisse nous
point où le contact s'est fait, - et pourquoi aussi, dans certains cas , elle est localisée ailleurs. Je crois que M. B
ce, qui ne sont guère ignorés que pendant le sommeil, dans certains cas d'automatisme ou de dédoublement, ou encore lor
La localisation peut s'y faire de façon bien différente suivant les cas et les individus, ainsi que l'ont montré les si
dèle (1). Les résultats obtenus sont bien différents dans tous ces cas . La comparaison de ces diverses expériences fai
e et y soient, par conséquent « distribuées ». Cela prouve, en tout cas , que la tactiliténe localise pas « en même temp
ysiol., 1848. 54 ED. CLAPARÈDE sensibilité superficielle, dans le cas de l'attitude d'un membre, elles le sont par le
ns la lune plus grande à l'horizon qu'au zénith ; pourquoi, dans le cas de l'illusion de Hering ou de celle de Zoellner,
entent un mouvement (sans notion d'attitude) comme c'est parfois le cas en réalité ! Nous pouvons donc conclure que la
minime opération dont le sens est difficile à pré- ciser. En tout cas ce document mérite de prendre place à côté de ceu
tàle le pouls d'un air entendu. C'est son médecin, qui, de- vant ce cas difficile, a jugé prudent de s'adresser aux lumiè
grande circonfé- rence est au col anatomique de l'humérus ; dans le cas actuel,c'est la dis- position inverse qui exist
un certain intérêt à re- produire les coupes histologiques de notre cas . , Le malade, par nous autopsié, a été examiné
on l'atrophie des fibres cérébello-olivaires. M. Thomas (1) dans un cas de lésion du faisceau central de la calotte a f
cemment une constatation identique. Il est à remarquer que, dans le cas de M. Thomas, cet auteur a observé, non pas une
ceau central de la calotte, du faisceau longitudinal postérieur. Le cas que nous publions présente, au point de vue anato
steiner, IX lleft., 1902, p. 329. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY UN CAS DE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE A FORME CINLB10
a syphilis héréditaire tardive, qui caractérisent plus du tiers des cas observés. Nous savons aussi, qu'à côté de l'ostéo
lis crânienne entraînent des perforations aussi étendues : tels ces cas admis par les clas- siques de lésions frappant
ions frappant simultanément le périoste et la dure-mère. Dans notre cas , la fistulisation insidieuse d'une gomme d'abord
érienne, moins fréquente que celles de la dure-mère, qui dans notre cas était, en dehors d'une zone peu étendue, entièrem
ine syphilitique des lésions, il faut cependant rapprocher de notre cas certaines formes de lepto-méningites tuberculeuse
ions fines le long des vaisseaux. Oddo et Olmer (1) ont rapporté un cas de leptoméningite par infiltration pure, sans auc
térieures d'une syphilis héréditaire, très grave par la suite. UN CAS DE SCLÉHOSE SYMÉTRIQUE DES LOBES OCCIPITAUX,
ments nouveaux sur la localisation des centres visuels ; mais notre cas permet de'préciser les symptômes déterminés par
t pas d'accord avec nos constatations nécropsiques, que, dans notre cas , les cellules affec- tées aux sensations coloré
mises pour expliquer la conservation de la vision centrale dans les cas de lésion des sphères visuelles. Dans une premi
l'étendue du territoire cortical de la vision (Von Monakow). Notre cas s'accorde avec cette dernière. D'après la premi
s'accorde avec le fait que l'examen histologique décela dans notre cas la conservation de quelques fibres saines dissé
images tactiles ne suppléent pas nos images tactiles. Dans certains cas , cependant, la suppléance se produit et Touche (1
ique la perte du sens stéréognostique si fréquente (1) Touche, Deux cas de cécité corticale, Soc. de Neurol., 5 avril 190
articulier, Paris, F. Alcan, 1899. FACULTÉ DE MEDECINE DE LYON UN CAS DE MYOPATHtEATROPHtQUE PROGRESSIVE AVEC TROUBLE
, et,sur les confins des deux groupes, s'accumulent chaque jour des cas complexes, à caractères mixtes, qui établissent
ler la doctrine du dua- lisme. On voyait, en effet, dans le premier cas , une atrophie névritique,' prendre le caractère
d) le résultat d'une trophonévrose musculaire (Erb, Raymond). Des cas nouveaux renforcenl, chaque jour l'union de tous
gressives. C'est ainsi que tout récemment Toby Colin(l) a publié un cas d'interprétation difficile, resserrant les liens
et conservation des réflexes patellaires pouvant faire rattacher le cas à une myopathie. Elles sont maintenant très nom
s stigmates de l'hérédité nerveuse y sont fréquents. Sans parler du cas classique de Cénas et Douillet (5) où atrophie my
f (G). La topographie de l'atrophie reste vraie pour la plupart des cas ; cepen- dant Oppenheim et Cassirer (7) ont sig
part des cas ; cepen- dant Oppenheim et Cassirer (7) ont signalé un cas d'atrophie du type pé- riphérique que l'autopsi
s mieux soutenu la critique qu'en a faite Léri qui a cité plusieurs cas personnels et retrouvé plusieurs anciennes obser-
culaires, sans modifications qualitatives. Pourtant, dans plusieurs cas elles étaient conservées- [Scherb (1), Félix Al
ncore, la réaction de dégénérescence a été trouvée dans de nombreux cas (Ileubner, Erb, Landouzy et Déjerine, Oppenheim
relrouvés dans des atrophies d'autre nature. Bref, dans bien des cas , la clinique a révélé des anomalies symptomati-
et force est d'admettre une participation du système nerveux. Le cas que nous rapportons ici rentre dans la catégorie
bien accusée, on comprendra que nous le rangions dans la série des cas mixtes où le sys- tème nerveux doit sûrement in
ensibilité. L'ensemble des caractères cliniques impose bien dans ce cas le diagnos- tic de myopathie : le début dans l'
ques en faveur de celte affection. Il est vrai qu'il manque à notre cas le caractère familial ; mais nous avons dit ce
de siège étiologique. Et cependant nul doute qu'il existe, dans ce cas , des lésions névritiques, peut-être même une al
tiennent : myélopathiques, névritiques ou myopathiques ; suivant les cas , on a lésion primitive des cellules, ou lésion
es cordons ou les racines postérieurs ? On ex- pliquerait ainsi les cas où, comme dans le nôtre, on trouve des troubles
. Pareille explication ne pourrait-elle pas aussi s'appli- quer aux cas où l'on a trouvé une abolition précoce des réflex
v. Rad (1) vient de lui consacrer un important travail basé sur 12 cas . Les symptômes rappellent ceux du tabes de l'adul
Friedreich se manifeste toujours d'emblée par l'ataxie. Dans les 12 cas de tabes in- fantile réunis par l'auteur, il ex
ions encore peu nombreuses qui en ont été publiés. Il rapporte deux cas personnels relatifs à deux jeunes filles. La pr
suivant une expression de A. Fournier. En somme l'intérêt de notre cas réside surtout dans la coexistence du tabès et
liérédo-s3;plilis. (1) LAXXELOXGUE, loc. Cil. HOSPICE D'IVRY UN CAS DE PHOCOMÉLIE ET HÉMIMÉLIE PAR P. 13ALBRON
e. Ernest Frais est. né en 188G. Dans sa famille, il n'existe aucun cas de difformités analogues. Son père, encore viva
-RIÈRE. T. XVI. Pl. XXV PHOCOMÉLIE ET HÉMIMÉLIE (Halbron.) UN CAS DE PIIOCOMÉLIE ET IIÉ1111\fÉLIE 125 les cas ana
MÉLIE (Halbron.) UN CAS DE PIIOCOMÉLIE ET IIÉ1111\fÉLIE 125 les cas analogues, est ici très marquée. La palpation mon
iographies des deux pieds. - Droit (en haut), gauche (en bas). . UN CAS DE PHOCOMÉLIE ET HÉMIMÉLIE 127 Sur le calque de
sence du 5e métatarsien et du 5° orteil est assez générale dans les cas d'absence congénitale du péroné. A,gauche, l'as
Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). 17e Année N° 3 MAI-JUIN UN CAS D'E111;NCIPtIlLll : AVEC AMYÉLIE PAn Il E BRI
PI. XXIX ANENCÉPHALIE ET AMYÉLIE (E. 'Brissaud et Brrrandel) UN CAS D'AYENCÉPHA1.IE AVEC AMYÉLIE 135 débris de memb
cre antérieur; 8, vertèbre sacré. Maison rT ('le, l : '¡Jlh"l1 UN CAS D'ANENCÉPilALIE AVEC AMYÉLIE 137 avec le derme
es 2 épendymes et sur ses côtés les derniers ganglions sacrés. UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 139 près du cône te
t d'abord nous devons dire que, malgré l'existence macroscopique UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 141 de nerfs pureme
e de la périphérie. Les auteurs qui ont étudié les quelques rares cas analogues au nôtre ont admis des hypothèses dif
UANDET moteurs en s'appuyant sur cette constatation (spéciale à son cas ) que le nerf facial était absent ou représenté
à l'existence des fibres motrices; cet auteur a constaté dans deux cas l'existence des nerfs moteurs crâniens et, en out
es ont existé ; pour cela il se base sur ce fait que, dans certains cas d'anencéphalie à peu près complète, on a trouvé
accolés à la dure-mère. Cepen- dant Pellizzi reconnaît que de tels cas sont favorables à la théorie de Fro- riep, de B
(E 'Brissaud el Bruandet) Radiographies de face et de profil. UN CAS D'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 143 que c'est à leu
ent. On trouve dans quelques cellules 2 et même 3 noyaux ; dans ces cas il y a une plus grande quantité de protoplasma.
raient d'ailleurs pas de ce qu'elles pouvaient être dans tout autre cas de destruction du tissu médullaire, et aussi ne n
rs facile. Aussi quelques auteurs pour se tirer d'embarras dans les cas difficiles, ai cause de l'impossibilité où ils
et qu'on peut le reconnaître bistoiogiquement dans presque tous les cas (I). Nous nous sommes efforcés de le faire au c
pas absolumentnécessaire. Patoir el Ravi art ont étudié en effet un cas de gliomes nettement limités, et capables d'êtr
ormation des gliomes doit être congénitale, c'est-à-dire que dans ces cas , on pourrait trouver dès la première jeunesse d
ont apparu le plus souvent après un traumatisme (Bruns). Dans le cas qui nous occupe, aucun renseignement n'a été recu
. B. Pcrckyraéninyite ? - Philippe et Oherthur (1) d'après certains cas de pachyméningite cervicale étudiées par Gull,
mblent pas exactement applicables. N'ayant pas rencontré dans notre cas d'arguments suffisants, nous n'avons pas voulu
ni avec ces considérations, et nous nous résumerons ainsi : 1° Le cas que nous rapportons est un exemple rare de gliome
des méninges et la marche rapide de la maladie nous font ranger ce cas dans la catégorie des syringomyélies pachy-méni n
nsitive de la moelle. Le diagnostic n'est pas toujours aisédans ces cas . Les douleurs, par leur caractère névralgique,
e, celui d'une myélite transversale complète. Dans ces différents cas , on comprend que le diagnostic causal reste sou-
s d'un angio- sarcome. Enfin Caselli (5) rapporle avec détails un cas d' « acromégalie avec gi- gantisme, compliqué d
ce de plaques osseuses méningées spinales, signalées dans plusieurs cas (Henrot) (3), Duches- neau (4), Finzi (), Saint
signalées chez les acromégaliques (3). En 1898, Hinsdale (4) sur 57 cas non douteux d'acromégalie suivis d'autopsie, a re
e, Acromegaly, Détroit, U. S. A. 1898. 178 LAUNOIS ET ROY levé 36 cas où la thyroïde avait été examinée. Ces 36 cas se
AUNOIS ET ROY levé 36 cas où la thyroïde avait été examinée. Ces 36 cas se décomposaient de la manière suivante : 13
e pitui- taire et la glande thyroïde, rapport qui se traduirait, en cas de lésion de l'une de ces glandes par l'hypertr
énère. Il peut être aussi intéressant, à ce titre, de rapprocher du cas de notre géant acromégalique, porteur d'une tum
nche, remarquablement tolérante. Notons, encore, que dans aucun des cas de tumeur hypophysaire, observés à l'au- * tops
rapporte à la statistique publiée par Parona (1) et qui porte sur 57 cas , se décomposant de la façon suivante : 180 LA
19 ans de faire du gigantisme (2), il est bien certain que dans le cas de Ravaut il ne pouvait s'agir d'une hypertrophie
en men- tionner seulement les points qui sont en rapport avec notre cas . Le fait que notre observation date de quelques
E 185 186 HUDOVERNIG ET PÉTRY POPOVITS Considérant que dans notre cas , nous avons affaire à une croissance des os ano
l'ossification n'est terminée qu'à l'âge de 18-20 ans ; dans notre cas , l'ossification se montre à peu près complète et
u sucre. Deux faits sont incontestables dans l'observation de notre cas ; d'abord j'enfant, d'une taille de 140 cm., pe
nq ans et demi, donnait l'impression d'un garçon de 14 à 15 ans. Ce cas doit donc, a priori, être distingué des exemple
is du reste douteux (Malacarne, macroso- 9)22(L . - C'est bien un cas de gigantisme,' et même il correspond au gigantis
'état et l'influence de l'hypophyse. Age. Notre sujet peut, en tout cas , être qualifié de géant très pré- coce. 11 es
premières années de leur vie. Presque sans exception, dans tous les cas de gigantisme signalés dans la littérature, le
des testicules. Nous n'avons pas pu trouver dans la littérature un cas absolument ana- logue au nôtre, c'est-à-dire où
grand rôle dans l'étiologie de bien des maladies, ainsi que dans le cas présent Etat des organes génitaux. Dans sa mono
particu- lièrement ressortir le déficit de vie sexuelle ou, en tout cas , son impor- tante diminution, et les autres aut
t presque tou- jours petit, les testicules atrophiés; dans certains cas ces derniers man- quent. Un accroissement de la
pophyse, des troubles oculaires. Ces derniers manquent dans no- tre cas ; il y a pourtant de nombreux cas d'hyperthrophie
Ces derniers manquent dans no- tre cas; il y a pourtant de nombreux cas d'hyperthrophie de l'hypophyse analomiquement c
aunois et Roy (1) avaient rappelé ces notions dans l'exposé de leur cas . A cette époque ils ne disposaient pas du radiogr
avec ossification des épiphyses et déformations du squelette. Notre cas est peut-être capable d'éclairer cette question.
ue des investigations ultérieures confirmeront ou détruiront. Notre cas fait en effet contraste avec celui de Launois et
aussi pour conséquence l'augmentation de la croissance. Dans notre cas le dé- veloppement exagéré est dû à l'hypertrop
vel et important élément; elle permet d'étudier dans chaque nouveau cas l'état du squelette autrefois abordable seuleme
squelette normal. Nous possédons actuellement un certain nombre de cas d'hypertrophie partielle avec examen radiologiq
s vraies, avec participation proportionnelle du squelette, tels les cas de Boinet (9), de Cestan (10), de Jaboulay et P
lle Iconographie de la Salpêtrière, janv.-fév. 1903. 194 APERT Le cas qui fait l'objet de l'étude présente offre ceci d
igts, et aux métacarpiens qu'aux phalanges. Voici la relation de ce cas : S..., 36 ans, s'est toujours connu la main ga
Voici ces dimensions : 196 APEKT En somme, ce qui caractérise ce cas , c'est une hypertrophie légère du squelette, qu
ropor- tion avec l'hypertrophie légère du squelette de ce doigt. Ce cas semble donc intermédiaire aux deux catégories q
- dissement des centres corticaux correspondants, et, dans les deux cas , la constatation clinique d'anesthésie. Enfin
ns l'interprétation de ce syndrome, il nous faut faire'connaitre le cas d'un autre malade qui, quoique au premier abord
, présente cependant des points de comparaison intéressants avec le cas précédent. t. Il s'agit d'un homme de 48 ans, N
chaleur de Parkinson, en un mot, nous ne croyons pas que ce soit un cas précis de paralysie agitante. Cependant nous ne
père de notre malade tremblait un peu, mais peu. Cependant, pour le cas actuel, nous pouvons aller plus loin que ce mot
qu'il ne sait pas s'il doit passer à droite ou à gauche et, dans ce cas , il lui est arrivé de tomber à terre, ou mieux
énomènes d'angoisse; elle peut être aussi mentale et, dans certains cas , donner naissance à de la rumination mentale ; en
il faudrait songer à toute l'évolution de Parkinson. Dans nos -deux cas , nous avons, au contraire, à prévoir la série p
phie musculaire est insignifiante, sinon tout à fait nulle, dans le cas présent. S'agit-il d'une névrite périphérique ?
symétrie des phénomènes de paralysie est également la règle dans ce cas ; dans le type Duchenne-Erb, en particulier, le
à premier examen que cette observation puisse être rappro- chée du cas de Giraudeau : paralysie des muscles sus- et sous
rieur droit. Et ce fait tient à ce que, dans l'immense majorité des cas , le tiqueur peut suspendre momentanément son ti
s relations avec la thyroïde, se montre encore insuffisante dans le cas actuel. Notre malade est plus qu'imparfaitement
plus grande qu'on ne le croit. M. Hertoghe, en publiant un curieux cas de trophoedème chronique localisé à la joue dro
mode de dystro- phie du tissu nerveux et cutané,qui, dans certains cas , vient se surajouter aux autres dystrophies (cu
s. Grâce à la radiographie, il a été possible d'étudier de près les cas observés, de sorte que l'on se trouve actuelle-
ues types qui paraissent bien définis, il reste à côté d'eux divers cas particuliers, plus ou moins isolés, ne se rappo
atomiques, on cherche à débrouiller la question d'origine. Voici un cas nouveau se rapportant au même ensemble et qui ne
l'anomalie : si elle ne fait point défaut, elle est, dans tous les cas , beaucoup plus petite qu'à l'état normal, à moins
es osseuses du membre supérieur, nous n'avons pu trouver qu'un seul cas qui leur soit comparable. Ce cas, publié en 186
nous n'avons pu trouver qu'un seul cas qui leur soit comparable. Ce cas , publié en 1864 par Dolbeau, est rapporté dans
es renseignements fournis permettent de porter une appréciation, le cas de Dolbeau paraît être assez semblable au nôtre.
n'est rien dit non plus de l'état de l'autre main. En dehors de ce cas très ancien, les recherches bibliographiques ne
ne relation similaire. On rencontre, avec une grande fréquence, des cas où, le squelette de l'un quelconque des doigts fa
ange seule, soit à la fois sur les deux phalanges 'inférieures. Ces cas ne peuvent en aucune façon être rapprochés du n
tiers inférieur de la diaphyse avec les deux tiers supérieurs. Le cas présent se rapproche donc, non pas d'une ectrodac
n de l'anomalie, nous ne pou- vons préciser davantage et ramener le cas actuel à un type déterminé, par le simple exame
mbre supérieur. Ces constatations nous conduisent à rattacher notre cas à ces formes (1) Voir la thèse très documentée
ité vers la racine; elle remonte plus ou moins haut ; dans tous les cas , elle monte plus qu'elle ne descend. Si cette r
d. Si cette remarque, qui porte actuellement sur un petit nombre de cas , se vérifie'et se généralise par la suite, elle
le que les vais- seaux correspondants font défaut ou, dans tous les cas , n'acquièrent qu'un volume restreint. Si notre
de volume plus ou moins marquée du membre opposé. Or, l'analyse du cas qui nous occupe permet de remarquer que si l'a-
s'ils sont intéressés séparément ou simullané- ment (1). Dans le cas actuel, la déterminatien du siège du processus ne
ons pas la résoudre d'une façon absolument ferme à l'aide d'un seul cas non suivi d'examen histologique. Nous observo
doigt, cordon fibreux très comparable à celui qui existait dans le cas publié par Dolbeau, que nous avons rappelé, et
tance de ces éléments en leur état embryonnaire. Tel n'est point le cas , puisque loin de conserver une forme jeune ce tis
ticulier qui nous occupe. Cette notion nous conduit à considérer ce cas et les cas similaires comme une forme d'ectromé
i nous occupe. Cette notion nous conduit à considérer ce cas et les cas similaires comme une forme d'ectromélie, à laqu
pas sans intérêt de mener une enquête sérieuse à propos de tous les cas qui se présentent. Nous n'y avons point manqué
tre par hypothèse des liens de descendance. Rien ne prouve, dans le cas actuel, qu'il y ait un ancêtre commun anormal ;
tes les autres modifications; l'objection se heurte contre tous les cas d'ectrodactylie où la disparition, par voie méc
it au même degré, soit à des degrés différents. Et tel serait notre cas , ainsi que nous l'avons nettement indiqué. En r
modification préalable de l'axe cérébro-spinal. Si l'on connaît des cas où la moelle et le cerveau étaient intéressés e
lontiers, une explication au sens vrai du mot. C'est, dans tous les cas , un commence- ment d'explication; c'est l'indic
LANGUE CÉRÉBRIFORME CHEZ UN ALIÉNÉ ÉPILEPTIQUE OBSERVATION SUR UN CAS DE TÉRATOMORPHISME CONGÉNITAL DE LA LANGUE PA
A LANGUE PAR le D Marco LEVI BIANCHINI, assistant. L'intérêt du cas qui va être l'objet de notre communication dépend
des hôpitaux, Tout dernièrement M. le professeur Jaboulay, dans un cas d'arthropathie nerveuse du pied, utilisa avec s
ied, utilisa avec succès la résection. En raison du petit nombre de cas publiés d'arthropathies traitées ainsi, nous croy
nvisage les diverses opérations que l'on a pratiquées dans tous ces cas . Dans les arthropathies trophiques simples, la.
, la résection ne donne que des résultats nuls ou peu durables, les cas cités de Sokoloff, Czerny, Schlange et Jeannel
n. En somme, la résection donne des succès, mais seulement dans ces cas bien définis et l'auteur n'admet l'amputation q
plupart des cas; elle est très classique. Mais si l'on envisage les cas d'arthrites tropho-suppurées, la solution est t
ult, ont fait la simple arthrotomie. Follet (2) publié récemmeut un cas d'arthropathie syrin- gomyélique de l'épaule, p
les mouvements réduits qu'elle exécute. » Comme on le voit, dans ce cas , l'arthrotomie a été suivie d'un succès relatif
la résection a été très rarement utilisée. Nous avons recherché les cas de résection dans les arthropathies tropho- sup
ous trouvons seulement quelques observations. Czerny (2), dans un cas de syringomyélie, fit avec succès la résection
le subluxée dans une arthropathie tropho-infectieuse. Dans un autre cas , la résection du coude ne donna qu'un succès rela
autre cas, la résection du coude ne donna qu'un succès relatif. Le cas suivant est un succès de la résection, il est rap
de était guéri et se servait de son membre supérieur. Tels sont les cas de résection articulaire dans l'arthropathie syri
s neurologiques; la thèse de Hitoff (Lyon, 1900-1901), contient des cas nouveaux, dans lesquels on dut faire l'amputati
oit être faite avant l'amputation ; celle-ci doit être réservée aux cas désespé- rés, lorsque le tissu osseux a entière
sible, cliniquementet anatomo-pathologi- quement, de distinguer les cas tabétiques vrais des tabétiformes d'une part, e
cale. Le processus morbide des cordons postérieurs peut en certains cas attaquer les voies descendantes ; en effet, la lé
répond que les racines postérieures, bien que peu touchées dans les cas de Rabaud, sont cependant prises, et cela spéci
sa valeur pour la statistique, étant donné le nombre peu élevé des cas publiés jusqu'à présent. Observation. L. M...
es cordons postérieurs se présentent presque complètement sains. Le cas décrit se prête à des considérations que je vais
substance ner- veuse. Or, quelle opinion devrait-on suivre dans les cas , comme le mien, par exemple, où dans le lobe fr
e méningo-encéphalite ? Par ses lésions la moelle épinière de notre cas peut être placée entre les tabes vrais et les p
'agit d'une paralysie générale post-tabétique, car on a observé des cas dans lesquels à l'autopsie on a trouvé des signes
ter fré- quemment, aussi bien dans la moelle que dans le cerveau du cas que j'étudie. Laissant de côté les gros bacil
robable que beaucoup des lésions cérébrales et médullaires de notre cas sont d'origine syphilitique [2 morts précoces,
érieure (Klippel), les plasmazellen sont plus fréquents que dans le cas où la syphilis n'entre pas en ligne de compte ?
ccessives ? C'est ce qu'il nous a été impossible de savoir. En tout cas , celte hypertrophie se distingue des faits visé
caractère familial (1). Nous ne croyons donc pas avoir affaire à un cas de trophoedème. L'af- (t) C'est par suite d'une
i publié dans les Archives bohèmes de médecine clinique (t. III) un cas d'hystérie et un cas de névrasthénie (1) où j'ai
hives bohèmes de médecine clinique (t. III) un cas d'hystérie et un cas de névrasthénie (1) où j'ai fait observer un syn-
lles je me suis senti autorisé en m'appuyant seulement sur les deux cas cités. Mon avis en ceci n'était pas d'établir une
2) à la suite de ma communication,MM. Raymond etJanet ont décrit un cas semblable analogue aux miens dans l'article : « L
sont d'accord quant à sa dénomination et ils font accompagner leur cas d'un exposé différent des remarques dont j'ai par
emarques dont j'ai parlé plus haut et qu'ils appliquent aussi à mes cas (2). Mais ces auteurs m'imputent une conclusion
ente que réelle de vue existant entre nos opinions relativement aux cas cités. L'interprétation de ces auteurs, très ju
s cités. L'interprétation de ces auteurs, très juste par rapport au cas qu'ils citent, ne peut s'appli- (1) Communiqué
. I, Paris, 1903. 288 TIASKOVEC . quer ni à l'un ni à l'autre des cas que j'ai décrits et pas même à celui qui présen
aucune irrégularité motrice. Jejuâeai alors qu'il s'agissait d'un cas d'hystérie et je considérai le phéno- mène préc
vu le malade. Une année après j'eus l'occassion d'examiner un autre cas . J. B..., âgé de 54 ans, employé, célibataire,
lque temps après avec les symptômes d'une entérite aiguë. Dans ce cas de neurasthénie nous observons que le malade ress
malade présentait le même phénomène, comme nous l'avons vu dans le cas précédent. De même, dans ce cas, le malade était
mène, comme nous l'avons vu dans le cas précédent. De même, dans ce cas , le malade était forcé de ressauter et de se ra
volonté et en parfaite connaissance. J'ai tâché de trouver un autre cas semblable, malheureusement t je n'y ai pas réus
pourra-t-on mieux étudier ce phénomène sur un plus grand nombre de cas . Je crois qu'iLs'agit ici de quelque chose d'anal
d'ordre fonctionnel. ' Il est assez probable que, dans notre second cas quelques sensations viscé- rales pouvaient être
cerne les maladies nerveuses dans la Salpêtrière, mentionnent t mes cas communiqués à la Société de Neurologie et continu
me temps, la sueur lui vient au front et aux mains et dans quelques cas on voit de grosses gouttes qui coulent sur sa f
s tout à fait de la même manière. M. Haskowec, au moins dans un des cas qu'il rapporte, parle d'hystérie, il rapproche
ocié, il est vrai, à d'autres symptômes dans notre description d'un cas de paralysie des muscles du tronc (1). A de cer
nsuite MM. Raymond et Janet communiquent de plus près l'anamnèse du cas cité. Il s'agit d'un homme soumis aux influence
Ensuite MM. Raymond et Janet continuent comme suit : Dans d'autres cas , l'aboulie ne donne pas uniquement naissance à de
r contre l'interpréta- tion de ces auteurs, en ce qui concerne leur cas . Je ne'm'en occuperai pas plus amplement. Je tr
oir si l'on peut appliquer l'interprétation des auteurs cités à mes cas et si l'on doit alors les interpréter autrement
t Janet il faut tout d'a- bord remarquer que la description de leur cas ne correspond pas même à mon second cas parce q
que la description de leur cas ne correspond pas même à mon second cas parce qu'on n'a pas noté chez lui : une souffranc
seulement, le soulage- ment et le calme dans la position debout. Le cas de Raymond et Janet ne cor- respond au mien que
communication) n'est pas tout à fait identique à celui qu'offrent mes cas . NOUVELLES REMARQUES SUR L'AKATIIISIE 295 La
qui s'observait surlout dans la position assise, tandis que dans mes cas il s'agissait de mouvements forcés sans phénomè
phénomènes phobiques concomi- tants ou secondaires. Dans mon second cas on a pu observer certes quel- quefois aussi un
le soulagement réactionnels. Les auteurs cités, en faisant voir les cas d'akathisie hystérique causée par l'amnésie ou
que et en croyant que je veux expliquer, au moins le premier de mes cas , de la même manière, n'ont pas tenu compte de cec
ésulte pas de ma communication que je veuille expliquer mon premier cas par l'amnésie ou la paralysie fonctionnelle. En y
uve à la fin de mon article ne se rapporte pas seulement au premier cas cité, mais à tous les deux. En y mentionnant l'
mond et Janet la décrivent, avec celle que j'ai pu observer dans mes cas . Comme les pensées ou les sensations diverses p
rdre-fonctionnel et cortical de la maladie même. Le second de mes cas s'approche déjà plus du cas et de l'interprétatio
de la maladie même. Le second de mes cas s'approche déjà plus du cas et de l'interprétation des auteurs cités que le
n'est pourtant pas entièrement identique avec le leur. Dans leur cas il s'agit de l'akathisie provenant de la phobie é
la forme de kathisophobie, tandis qu'on n'a pas remarqué, dans mes cas , l'élément phobique. J'ai eu l'idée aussi de la
ussi de la même interprétation que MM. Raymond et Janet quant à mes cas , mais je ne pouvais pas l'adopter, même pour le
nt à mes cas, mais je ne pouvais pas l'adopter, même pour le second cas . Nous pouvons bien juger d'après l'analogie d'aut
d'autres syndro- mes semblables que l'on pourra observer entre mes cas etcelui de MM.Ray- mond et Janet quelques cas d
ra observer entre mes cas etcelui de MM.Ray- mond et Janet quelques cas de transition et que l'on connaîtra même d'autr
e obsédante. Je crois que j'ai fait suffisamment voir dans mes deux cas le caractère impulsif deces mouvements ayant po
entale, quoique je n'aie pas pu appliquer leur interprétation à mes cas ; ce qui est bien naturel, vu les différences qui
ce qui est bien naturel, vu les différences qui existent entre les cas appartenant au grand groupe des phénomènes obséda
au grand groupe des phénomènes obsédants et impulsifs. Mon premier cas est l'akathisie à l'instar du tic musculaire ou d
tar du tic musculaire ou de la myo- clonie, le second représente le cas de transition vers l'akathisie émotion- nelle e
présente le cas de transition vers l'akathisie émotion- nelle et le cas de MM. Raymond et Janet représente, d'après mon o
hisophohie. Si nous voulions même à tout prix ranger notre se- cond cas parmi les aboulies professionnelles (nous ne nous
xemples à la fin de leur très intéressante publication. Donc, les cas communiqués par moi et ceux de MM. Raymond et Jan
vent place dans mon schéma décritau Congrès de Paris, en 1900 : mes cas appartiennent à la sphère des lésions motrices pr
s appartiennent à la sphère des lésions motrices primaires (le second cas se trouve à la frontière de la sphère motrice e
se trouve à la frontière de la sphère motrice et émotionnelle) ; le cas de MM.Raymond et Janet appartient à la sphère é
mulaire parfaitement connu. L'exorcisme vrai était réservé pour les cas de possession diabolique bien caractérisés. On
une crise nerveuse. Selon la tradition il est enchaîné ; - dans le cas présent par le pied et par la main gauche ; ses
ceaux, tantôt assez serrées, tantôt assez espacées. Dans ce dernier cas , le tissu rosé qui les sépare n'est pas uniquem
forme de taches ou de bandes transversales rappelant, dans quelques cas , les poils de certains animaux. La caractéristi
raissent nettement indépendants et sans lien entre eux ; et dans ce cas on peut dire qu'il n'existe pas d'anneau de Ranvi
Pilez, Siemerling en ont chacun rassemblé un assez grand nombre de cas . Ces faits concordent assez exactement avec la
on de chapelet cellulaire, qui paraît plus exacte, qui est, en tout cas , plus conforme à l'ensemble de nos connais- san
u médian, est également incompatible avec la théorie du Neurone. Ce cas n'est, du reste, pas unique dans la science. Léti
de- venu subitement excessif. Mais nous croyons qu'il faut. en tout cas , tenir grand.compte des troubles vasomoteurs, c
des conditions analogues. En résumé, cette observation concerne un cas de névrome diffus du mé- dian avec infiltration
by. Injuries and diseases of Nerves, 1889. Brissaud et Bruandet. Un cas d'anencéphalie avec amyélie (Icon. de la Salpêtr.
ction des cell. des cornes an- térieures de la moelle dans certains cas de poliomyélites anciennes (Soc. de Biol., 1899
racine des orteils pour se terminer autour du cou-de-pied; dans les cas légers, il faut le chercher et la saillie des t
fil- tration qu'on peut percevoir à la vue et au toucher ; dans les cas plus accentués, il se fait une véritable sailli
avec mon interne Durocher (1), nous avons vu se produire, dans des cas de pseudo-oedème catatonique avec cyanose de l'
que doulou- reuse est parfois constatée chez nos malades. Dans deux cas , j'ai constaté de la polysarcie intermittente p
eurs, leur auscultation n'a rien révélé de bien spécial ; dans deux cas , il existait quelques faux pas du pouls ; la tens
ercer une réelle influence sur le pseudo-oedème, et, dans plusieurs cas , des malades dont l'infiltra- tion du pied exis
est encore trop courte pour me permettre d'affir- mer que tous les cas sont sujets à des variations, mais jusqu'à présen
urs, je serai heureux de les rectifier. Observations résumées de 45 cas de pseudo-oedèmes catatoniques. LE PSEUDO-oeDÈM
tion alternant avec de la stupeur (Jeandelize) (3). Dans ce dernier cas vu d'autre part les signes physiques on peut se
edème prêtent singulièrement à confusion : l'exa- men minutieux des cas ne m'a pas permis de trouver un seul caractère qu
est plus géné- ralisée peut-être dans le myxoedème, mais, dans les cas que j'ai pu obser- ver, à la Salpêtrière, à Sai
moins indirectement liée aux troubles encéphaliques. Dans tous les cas , la régression spontanée du pseudo-oedème catat
ONIQUE 361 l'état mental n'avait subi aucune modification dans deux cas et s'était lé- gèrement modifié en mieux dans l
t très spéciaux ; que l'oedème peut se modifier avec eux ; dans les cas douteux donc, l'épreuve du traitement sera indi
hef, M. le Docteur Sizaret, et nous avons pu arriver à réunir trois cas qu'ultérieurement nous publierons in extenso Da
r, comme nous l'avons fait, M. Sizaret et moi, un certain nombre de cas inédits de trophoedè- mes. (VOil' PI. LXVIII, f
anquent et qui, quand ils existent, sont extrêmement variables d'un cas à l'autre. Les localisations du trophaedéme son
' - Nous signalerons le résultat de nos analyses d'urine dans trois cas de trophoedème : . LE PSEUDO-OEDÈME CATATONIQ
rome : la symé- trie ; il est bien probable qu'un certain nombre de cas appartiennent à la neuro-fibromatose et d'autre
précédent numéro de l'Iconographie de la Salpêtrière, ont publié un cas de syndrome de Dercum chez une alcoolique affaibl
chez les aliénés. Une statistique portant sur un nombre important de cas examinés dans ce sens, nous fixerait sur la nat
tions présentant de notables lacunes psychiatriques. Dans nos trois cas , il s'agit d'agitation catatonique, de délire par
on pourra le voir par la lecture de nos observations résumées, les cas frustes ne sont pas rares et l'adipose symétriq
oedème et, d'autre part, le trophoe- dème. Jamais dans les premiers cas , tout au moins, dans ceux assez nom- breux que
est d'ailleurs très différente el permettra de reconnaître même les cas où le syndrome de Dercum s'asso- cierait à un p
t pas la san- té générale. Or, il ne paraît pas douteux que dans ce cas , l'atrophie mus- culaire est, commel'aedéme, co
es accidents onl souvent été confondus avec eux, et, dans nombre de cas , on hésite vraiment à se pro- noncer dans un se
del, est confirmée, au point de vue clinique et étiologique, par un cas de stéréotypie humaine de léchage que nous pour
le léchage pendant quelques instants pour mâchonner. Mais, dans ces cas particuliers, les mouvements des mâchoires appa
it en vitesse (clonisme), soit en durée (tonisme), et dans les deux cas , il doit y avoir, en outre, excès d'intensité d
à la suite de troubles dentaires. Les mêmes auteurs ont rapporté le cas d'un chien (2) qui, à la suite d'une légère bless
la profondeur et du degré du délire alcoolique continu. Dans les cas plus légers, le nombre des hallucinations auditiv
st pas grand, et elles gênent relativement peu les malades. Dans un cas le malade se plaint, par exemple, d'entendre un
ns la cheminée, mais il « n'entend » pas des paroles. Dans d'autres cas , lorsque le délire alcoolique continu est plus
ment non seulement des phrases, mais des dialo- gues même. Dans des cas encore plus graves, les hallucinations auditives
les voix sont nombreuses le jour et le soir, et le matin. Dans les cas plus légers, les voix ne s'entendent pas contin
« ils » disent des choses que lui-même n'a jamais su. Dans certains cas de délire alcoolique continu le contenu des hallu
e, provenant de ce qu'il a abusé des boissons fortes. Dans certains cas de délire alcoolique continu, l'élément paranoï
inu se caractérise par les particularités suivantes : même dans les cas légers, où il y a com- parativement peu d'hallu
long, s'affaiblis- sant, il est vrai, dans leur intensité. Dans les cas plus graves, lorsque les voix sont plus fortes
sent plus sans répit, mais seulement par intervalles. Dans cerlains cas de dé- lire alcoolique continu, la conviction d
ppareil périphérique avec le délire alcoolique continu ; il y a des cas où il n'y a aucune lésion de l'ap- pareil audit
con- duite pour la plupart est régulière. Seulement, dans certains cas , où les hallucinations auditives sont nombreuse
elle » et quelquefois même se donnait des coups. Nous rapportons ce cas au nombre des plus graves; la maladie durant ic
ressentent plus d'entraînement pour les boissons fortes. Dans des cas très rares, lorsque le malade, souffrant de délir
élire alcoolique continu. Il faut pourtant dire qu'il y a aussi des cas de delirium tremens au cours duquel le malade épr
ostic différentiel, la paranoïa alcoolique ; malgré qu'il y ait des cas où la distinction est malaisée, on peut tout de m
continu que dans la paranoïa alcoolique chronique; dans le premier cas , les idées délirantes, pour ainsi dire, se nourri
um tremens, mais que le syn- drome du delirium tremens est dans ces cas une complication accessoire de la maladie fonda
rs ultérieur de la maladie, le symptôme essentiel, et dans bien des cas , l'unique contenu de la maladie». S. S. Korsakoff
nées et parfois même toute la vie, mais dans la grande majorité des cas , elle n'empêche pas le malade de s'occuper d'af
ette affection comme voisine du delirium tremens, vu l'existence de cas transitoires où il existe dans ce dernier des h
olisme », décrivant le deliriuttt tremens, enlève de ce dernier les cas , dans lesquels, immédiatement après la dis- par
ue pour le but de ce travail, nous nous sommes servis seulement des cas qui correspondaient tout à fait au délire alcooli
u délire alcoolique continu, type tel que nous le comprenons. Les cas transitoires et ceux où l'on pouvait remarquer ou
ent au délire alcoolique continu 33 malades. La grande majorité des cas concernent des ma- lades de la consultation ext
té la Clinique pendant bien des années. La plus grande majorité des cas se rapporte a des hommes : 30, contre seulement
que le délire alcoolique se renconlre dans 0,69 p. 100 de lous les cas de trouble mental ; c'esl donc comparativement un
uence du délire alcoolique continu, par rapport au nombre total des cas de trouble mental, sera chez les hommes 0,96 p.
, nous obtenons les données suivantes très curieuses : parmi les 29 cas où a été notée l'hérédité, dans 20 cas il y a l'a
rès curieuses : parmi les 29 cas où a été notée l'hérédité, dans 20 cas il y a l'alcoolisme des parents, principalement
s 5 il n'y avait aucune hérédité. Si nous prenons ensemble tous les cas , dans lesquels existent des indications sur la
définis d'après l'âge, nous obtenons les données suivantes : dans 1 cas la maladie s'est manifestée à l'âge de 21-25 ans,
dans 1 cas la maladie s'est manifestée à l'âge de 21-25 ans, dans 9 cas à l'âge de 26-30 ans, dans 9 cas à l'âge de 31-
estée à l'âge de 21-25 ans, dans 9 cas à l'âge de 26-30 ans, dans 9 cas à l'âge de 31-3 ? ; ans, dans 5 cas à l'âge de 36
as à l'âge de 26-30 ans, dans 9 cas à l'âge de 31-3 ? ; ans, dans 5 cas à l'âge de 36- 40 ans, dans 2 cas à l'àge de 41
s à l'âge de 31-3 ? ; ans, dans 5 cas à l'âge de 36- 40 ans, dans 2 cas à l'àge de 41-45 ans, clans 2 cas à l'âge de 46-5
cas à l'âge de 36- 40 ans, dans 2 cas à l'àge de 41-45 ans, clans 2 cas à l'âge de 46-50 ans et dans 4 cas (de ces cas
as à l'àge de 41-45 ans, clans 2 cas à l'âge de 46-50 ans et dans 4 cas (de ces cas il y en a deux, appartenant aux femme
e 41-45 ans, clans 2 cas à l'âge de 46-50 ans et dans 4 cas (de ces cas il y en a deux, appartenant aux femmes) à 51- 5
olique continu se manifeste le plus souvent à l'âge de 26-35. Des 3 cas de délire alcoolique continu chez les femmes da
6-35. Des 3 cas de délire alcoolique continu chez les femmes dans 2 cas la maladie s'est manifestée à 52-53 ans et dans
femmes dans 2 cas la maladie s'est manifestée à 52-53 ans et dans 1 cas à 36 ans. Autant qu'un nombre restreint d'obser
dique leur état social, nous trouvons que le nombre prédominant (28 cas ou 87, 88 p. 100) se rapporte aux individus appar
ffel' et le délire alcoolique continu. Dans la grande majoritédes cas de délire alcoolique continu, nous avons pu con
dio-musculaire dans les maladies mentales, notent que dans lous les cas de délire alcoo- lique continu examiné par eux,
ulaire existait tou- jours. Considérant qu'une grande partie de nos cas se rapportent au temps, où la contraction idio-
que des malades, il y a lieu de supposer, que presque dans tous les cas de délire alcoolique continu, où on a fait atte
f dans le délire alcoolique continu se ren- contre souvent. Dans 13 cas , parmi le matériel que nous avions à notre disp
té constaté sous une forme très accentuée; dans quelques-uns de nos cas , cette lésion représentait le reliquat de pro-
la perte de l'ouïe d'un seul côté ou des deux côtés ; dans d'autres cas on pouvait constater des phénomènes d'un proces
moindre mouvement, si tant est qu'il puisse en commettre ; en tout cas ce n'est pas sa moelleuse couverture, qu'on a o
e de documents écrits et figu- rés », destinéeà faire « revivre les cas anciens et faciliter considérablement la compar
re les cas anciens et faciliter considérablement la comparaison des cas analogues, même lorsque les malades ont disparu
ises à cette bonne tradition germanique. Tel est malheureusement le cas d'un livre publié par un chirurgien de Berlin.
laryngée, p, 319-380 (1 phot.). Année 1895. Henry MEIGE. - Deux cas 'd' Hermaphrodisme dans l'art, p. 56-64 (1 phot.,
odactylie (2 pl. photocollogr). par CAYLA, 41 . Macrodactylie (un cas de) (2 pl. photocoll.), par F. Lejars, 37. Ma
(R.) La syphilis dans (t planche), 266. Brissaud ET BRUANDET. Un cas d'anencé- phalie avec amyélie (3 planches, 2 fi
transversal (3 planches, 2 schémas), 11. BRUANDET et Brissaud. Un cas d'anencé- phalie avec amyélie (3 planches, 2 fi
yélie (3 planches, 2 fig., 6 schémas), 133. CALMETTE et Pages. Un cas d'hémiatrophie faciale progressive (2 pl. photo
égénérations secondaires (4 pl. en photocoll.), 80. HAL131tO ? Un cas de phocomélie et hémi- mélie (3 pl., 1 dess.),
cquis et progressif. (1 pl. photocoll.), 30. Lannois et POROT. Un cas de myopathie atrophique progressive avec troubl
ente alcoolique ei hérédo-alcooli- que (2 pl.), 280. Marchand. Un cas de sclérose symétrique des lobes occipitaux (1
hausen (1 pl. en photocoll., 1 fig.), 232. Pages et Calmette. Un cas d'hémiatrophie faciale progressive (2 pl. photo
des organes génitaux (2 pl. photocol.), 181. POROT et LAUNOIS. Un cas de myopathie atrophique progressive avec troubl
t chez des psychasthéniques . (1 pl., 2 dessins), 209. RICHON. Un cas de syphilis héréditaire tar- dive à forme céréb
72 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
que substance qu'on emploie, elle sera inégale, grossière. Dans les cas opposés, le pro- duit dépendra du grain lui-mêm
dehors de la sphère aberrative, raisonner et agir correctement. Des cas attribués à cette forme, un grand nombre sont à
l'irresponsabilité, les experts hési- taient dans l'attribution du cas , ou au délire général, ou à la monomanie. Raimb
vait conscience des phéno- mènes. Dans le délire partiel, auquel ce cas apparte- nait évidemment, il y avait donc autre
ées. Nous y entrevîmes même la raison probable de la plupart de ces cas nuageux, diversement qualifiés : manie sans dél
A eu juger d'après les réponses, l'essor psychique, dans ces trois cas , était restreint, confus et sans rela- tion ave
lade cause et agit comme tout le monde. Ce n'est certes point le cas de Justine. Son affection rentre nécessairement
révèle le caractère, mérite, dans l'appréciation pathogénique du cas de Justine, une considération particulière. Elle
à l'idiosyn- crasie de l'affection des chances relatives. Dans des cas où le cerveau semble entravé dans ses fonctions
très distantes souvent du mobile initial. Pour être complexes, ces cas n'en gardent pas moins leur caractère, qui est
que le membre inférieur, il résulte de l'égalité observée dans ce cas , que le membre supérieur a été proportionnelle-
9,3 p. 100 de ses forces, le second seulement 32,4 p. 100. Mais les cas de ce genre sont exceptionnels. Le plus souvent
e sorte que les malades sont incapables de marcher. L'analyse des cas de ce genre est très difficile. Si on examine l
a marche est tout à fait impossible. Il y a bien évidemment dans ce cas une différence entre l'état de la motilité des
onnelle est toujours exclusivement limitée à l'un d'eux, dans les cas , bien entendu, où la lésion cérébrale est unilaté
raction synergique de la main gauche, elle donne 12 kilogr. Dans ce cas la différence est de 5 kilogr., c'est la plus f
de con- tracture appréciable. La femme Mar... (n° 16) est dans ce cas . Ses deux mains donnent chacune 18 kilogr. de p
destiné a montrer l'état des forces dans les quatre membres dans un cas d'hémiplégie droite. (Début 7 février. - A, éta
et au-dessus, nous constatons que MÉDECINE LÉGALE. 4*7 dans deux cas elle allait jusqu'à 2/3 de millimètre, nous nou
t intéressant sujet. Toutefois, avant d'aborder l'exposé du premier cas que nous avons observé, il nous semble utile de
ième circonvolutions temporales. RECUEIL DE faits. 61 Note sur un cas d'hémiplégie avec paraplégie spasmodique; Par C
, déterminent une hémiplégie qui siège, dans l'immense majorité des cas , du côté opposé à la lésion. Cepen- dant on a p
nt pour cause une lésion de l'hémisphère correspondant. Ce sont ces cas exceptionnels qui ont pu faire croire qu'il, n'y
n anatomo-patholo- gique et la localisation symptomatique. Mais ces cas excep- tionnels s'expliquent par cette circonst
ingue par plusieurs particularités inté- ressantes. Dans certains cas d'hémiparésie peu intense permettant la plupart
voisinage d'une articulation'. Il résulte de ces faits que dans les cas d'affections spinales à tendances spasmodiques,
E LE FAISCEAU SENSITIF ET LES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES CAS DE LÉSIONS CÉRÉBRALES; Par Gilbert BALLET, Ch
ées mûrissent, si elles ne disparaissent ou- bliées ; dans tous les cas , les angles, si angles il y a, s'émous- sent, e
tibles d'intéresser ce faisceau. Ces lésions siègent, suivant les cas , au niveau : 1° du pied de la couronne rayonnan
rce destinée à la perception des impressions sensitives. Les deux cas se présentent en pathologie. Si l'on réfléchit
ves ont une action commune, et sont par conséquent susceptibles, le cas échéant, de se suppléer les unes les autres. -
à la se- conde, après l'étude attentive d'un assez grand nombre de cas cliniques. Nouspensons, en effet, que la zone c
e (1873), et de Raymond (1876) sur le terrain ex- périmental. Les cas nombreux réunis, depuis ces travaux, par divers o
à son passage au niveau du carrefour. La conducti- bilité, dans ce cas , est rendue impossible par la rupture du fil co
e cet organe ; il faut très vraisemblablement y rattacher aussi les cas d'anesthésie par altération organique, qu'on a pu
ent se passer autrement, et nous avons réuni un certain nombre de cas dans lesquels on a noté d'une façon positive l'ab
est personnel, le cinquième a été publié par M. Dérignac. Dans le cas de M. Pierret (Soc. auat., 1874) la lésion occu-
y a tout lieu de penser que la situation de l'al- tération dans ce cas , a dû être analogue à ce qu'elle était dans' ce
de la sensi- bilité générale. DU FAISCEAU SENSITIF. 81 Quant au cas qui nous est personnel, la malade à laquelle il
intégrité au moins relative des sensi- bilités spéciales, dans les cas de lésion capsulaire. Et si l'on envisage un de
s, dans les cas de lésion capsulaire. Et si l'on envisage un de ces cas où les altérations étaient simples et bien cons
ilité générale, sans altération de la sensibilité spéciale, dans le cas de lésion capsulaire, invoque, pour rendre comp
e trajet des conducteurs. Tout au plus pourrait-on supposer que, en cas de simple compression des fibres de la capsule,
ensitifs corti- caux. Ni Ferrier, ni Nothnagel n'ont pu produire de cas déci- sifs qui démontrent la réalité de ces cen
les conclusions qui ressortent na- turellement du rapprochement des cas que nous avons compulsés ou recueillis personne
ou recueillis personnellement. Or il résulte de l'en- semble de ces cas que les lésions les plus diverses, intéressant
ns marqués, de la sensibilité spéciale, ce qui revient à dire qu'en cas de lésion circonscrite, les parties de l'écorce
suite des altérations destructives de la zone motrice que dans les cas de lésions occupant un autre siège. Il y a là m
possible. Toujours est-il qu'en rapprochant les uns des autres les cas dans lesquels ces troubles ont été observés, no
s- thésie est habituelle mais peu marquée et passagère : Dans les cas de lésions des circonvolutions occipito-sphénoï-
, l'anesthésie est possible mais. exceptionnelle, et, dans tous les cas , légère et transitoire ; Enfin si l'altération
de la clavicule et une fracture complète de jambe. Dans le premier cas , malgré l'absence de déplacement, douleurs locale
usqu'au pédoncule céré- belleux moyen. M. MENDELSSOHN. IV. SUR un cas de basse température; par IASYREFF. ('acA, 1880
degré et la persistance de ce retour ont été, variables suivant les cas . Ainsi la sensi- bilité douloureuse revenait to
subissent la transformation adipeuse et dégé- nèrent. Dans quelques cas , Rosenthal a trouvé un nombre de cellules plus
inflammation. analogue de la dure-mère. L'auteur croit que, dans ce cas , la méningite a été la lésion pri- mitive et qu
t déjà rapporté des faits de ce genre ; Friedreich a noté dans ce cas la fréquence des troubles du langage qui dans cet
taxie; dite héréditaire, il existe du nystagmus, comme le montre un cas de Seeligmùller. En ce qui regarde l'étiolo- gi
lation de ces effets, il pense qu'il s'agit précisément en tous les cas de la limitation des troubles angioparalytiques
utres modalités. Que ces accidents précèdent, suivent (majorité des cas ) ou remplacent l'accès d'épilepsie (équi- valen
termine l'ensem- ble pathologique. Guérison extrêmement rare : six cas nets. Sur quatre-vingt-onze épileptiques morts
ne violence très légère. Ce mémoire est suivi de l'exposé : 1° d'un cas d'ostéo- malacie ; 2,, de la relation de cas de
de l'exposé : 1° d'un cas d'ostéo- malacie ; 2,, de la relation de cas de fractures de côtes décou- vertes seulement à
es de côtes décou- vertes seulement à l'autopsie; 3° de l'exposé de cas de frac- tures de côtes découvertes à l'admissi
ckowt, Robert- son, Griesinger, lord Shaftesbury, la séparation des cas récents et des cas curables et des cas qui ne l
Griesinger, lord Shaftesbury, la séparation des cas récents et des cas curables et des cas qui ne laissent plus guère d'
aftesbury, la séparation des cas récents et des cas curables et des cas qui ne laissent plus guère d'espoir de guérison
ne laissent plus guère d'espoir de guérison. 1 La proportion des cas curables étant de 7 à 7, 25 p. 100, ceux-ci doi
à y placer leurs aliénés; la médecine y ferait plus de progrès; les cas de suicide seraient plus rares; les médecins sp
é devant le danger des captations. « Si peu nombreux que soient les cas d'aphasie dans lesquels l'intelligence reste in
uent il n'admet pas la conclusion de M. Billod relativement à son cas d'aphasie chez un paralytique général à savoir qu
oir que : si la suppléance pour le langage n'a pu s'établir dans ce cas , c'est vraisemblablement que les deux circonvol
rences héréditaires sont rares. M. Billod n'en a observé que quinze cas bien nets sur quinze mille aliénés. E. CH. V.
es sont les altération * des sécrétions. L'urine contient, dans les cas accentués, de l'albumine et même du sucre. (Kra
té. La mémoire qui réagit encore promptement et fidèlement dans les cas récents, s'affaiblit à la longue. Les perceptio
vinstein a compté soixante et une réci- dives sur quatre-vingt-deux cas , dont trente-deux chez des médecins. Comme ét
Y Iconographie photographique de la Salpêtrière (t. 111, p. 53) on cas très remarquable de morphinisme. Son traitement
des pharmaciens, elle doit consister en ceci : 1° jamais, en aucun cas , le médecin ne remettra au ma- lade ou à son en
nsionnaires des maisons de charité ; G0 dans la grande majorité des cas , le traitement sera beau- coup meilleur s'il es
par ? IfI11L1S Mickle. ( ? a6'7/0- ner, novembre 1881, p. 338.) z Cas curieux d'aliénation mentale, chez un sujet qui n
qui inaugurent le mémoire. M. Kroepelin se rattache pour cer- tains cas à l'influence de la prédisposition individuelle ;
e (69 à 70 p. 100). Atteignant surtout les hommes (55 hommes sur 95 cas ), elles sont anatomiquement constituées par l'h
e la fréquence des psychoses dans cette maladie. Les cent cinquante cas réunis par M. K... ont trait à 83,8 p. 100 du s
rche très prompte. Pronostic relativement favorable. I. Cent sept cas appartiennent à la période fébrile. L'alcoo- li
à des troubles psychiques. M. Kroepelin n'a pu en relever que huit cas dans lesquels l'hérédité exerçait une influence
on thermique : c'est ce qui explique que dans plus de la moitié des cas elles se prolongent sans interruption jusque pe
o- lique ; le thermomètre et la constitution épidémique jugent du cas avant qu'il ne soit bien caractérisé. La vaccinat
faits sur vingt observa- tions) et sont mortelles dans le quart des cas . Les deux autop- 11 -) REVUE t) ! ! PATHOLOGIE
que et sa prompti- tude (41°, 4) et la malignité de l'intoxication ( cas foudroyants de collapsus), voire la complicatio
ème jour. Evolution en peu de jours. Deux morts seulement sur seize cas : autopsie négative (infection). Le diagnostic
teinte cérébro-méningée. Marche courte; pronostic favorable. Quatre cas concernent l'asthénie, ayant tous guéri; ils on
l'écorce du cerveau et obstructions emboliques des sinus. Dans les cas favorables, les accidents cessent avec l'état f
(Coî,7,espo ? deîzzblatt de Erlen- meyer, XVIII, 8, 1872) pour les cas semblables concernant le catarrhe gastrique et
. X... appartient à une famille dans laquelle on compte plusieurs cas d'aliénation mentale et d'affections nerveuses. S
générale, avec la prétention qu'elle pourra s'appliquer à tous les cas . 11 faut étudier chaque fait isolément, et, si
eint de cette affec- tion confirmée, serait mort dans la plupart de cas avant la fin des démarches que nécessiterait la
que a été également repoussé par la commission, à cause de certains cas assez nombreux de guérisons inespérées observées
vidus entachés de la tare héréditaire et, partant, la diffusion des cas de folie. De nos jours on prend pour habitude de
ondante s'est progressivement contracturée. M. LuN ! En rapporte un cas à peu près analogue qu'il a observé chez un che
pendant les trois quarts du temps de leur châtiment. Dans les deux cas , il s'agit de fournir aux malheureux l'occasion d
piration du congé, la loi aurait la môme action sur lui que dans le cas de mise en liberté provisoire des gens tarés; seu
irecteur de l'a- sile, visé par la police au lieu d'habitation, les cas douteux pour la mise en liberté à titre d'essai
le La question des congés à accorder aux criminels aliénés pour les cas où le médecin aurait obtenu une transforma- tio
colora- tion. Une seconde communication du Dr RICHTER concerne un cas de périencéphalite purulente consécutive à une
cerveau déjà enflammé est loin d'être la iènle, témoin doux autres cas décrits par lui dans lesquels des paralysés gén
asiles est bien au-dessous de la quantité relati- vement grande des cas de psychoses qui existent en réalité dans les é
qui existent en réalité dans les établissements pénaux. 11 cite des cas de délinquants continuelle- ment atteints par d
é trouvé en plus forte proportion (J par rapport à 2o d'urée) en un cas de catatonie et dans les divers états d'agitati
ue leur proportion se trouvait moindre de à à p. 100 dans les trois cas de folie de doute. A la suite de quelques remar
mi-heure. 9 '130 SOCIÉTÉS SAVANTES. , M. 13E,4,No communique un cas de paralysie progressive périodique. Il concern
ysés généraux, des crétins, etc... et que, par consé- quent, chaque cas doit mériter un examen individuel avant de sup-
lors de la publication des mémoires visés ici, On eut affaire à des cas de simulation, le criminel raffiné empruntant a
sormais occupée par une plume comme il convient aux anges ; - trois cas de céphalhé- matome; la perforation du tympan à
la poche (un mois de durée), on pêche le manche de l'instrument. Un cas de phlegmon du cou à la suite de la déglu- titi
histoires déjà connues. Le Dl Rieger mentionne à cette occasion un cas dans lequel l'aliéné s'était avec les doigts lu
eeil. SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 Le Dl Gutscii demande quels sont les cas récents de guérison des psychoses réflexes (sym
is de AI. Landerer, qui en vingt ans n'a jamais eu à consta- ter de cas urgent nécessitant un médecin résidant. M. Freu
travailleurs bien portants sur le nombre ? Dix. Que fait-on dans le cas d'une crise paroxystique d'agitation se déchaîn
» M. Jolly admet en principe la thèse de M. Rieger, mais dans le cas considéré, l'intensité de la néphrite ressort de
les paralysies oculaires en particulier; 4° influence dans certains cas du traitement spécifique, quand il est employé
nt, la résistance peut varier de deux manières : tantôt, etc'est le cas le plus ordinaire, le maximum de déviation est
la durée de l'application du courant. Tantôt, au con- traire, le cas est moins fréquent, l'aiguille arrive au même m
lement. Ils montrent nettement que la résistance est encore dans ce cas plus grande au côté de l'hémianesthésie que du
on et disparait à la troisième. La résis- tance était donc, dans ce cas , plus grande à gauche avec l'anes- thésie; elle
elle aussi caractérisée n'ait pas davantage attiré l'attention. Les cas même où le fait est simplement signalé, sont ra
observait chez elle des symptômes de délire de persé- cution. Les cas complexes où, comme dans celui-ci, les deux dél
leurs analogies délirantes, analogies frap- pantes surtout dans les cas où la dépression et l'agita- tion anxieuse se s
sme qu'autrefois ». (J. Falret.) 160 CLINIQUE MENTALE. Dans ces cas légers, il existe déjà comme un voile à travers
état maladif devient plus intense, ce voile s'épaissit et, dans les cas de stupeur, finit par masquer entièrement le mo
drie ordinaire. Bien qu'on doive, dit M. Baillarger, admettre des cas de mélancolie sans délire, néanmoins il importe
nalité même du malade, soit sur le monde extérieur. Dans le premier cas , il prend une forme hypochondriaque analogue au
nt jamais. Cette idée d'im- mortalité se rencontre surtout dans les cas où l'agita- tion anxieuse prédomine; dans la st
manifeste dans l'hypochondrie du début; elle l'est aussi dans le cas où le mal ne paraît pas évoluer au delà de cett
. Ce caractère intermittent se manifeste quelquefois, même dans des cas incurables, par des DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 16
e circulaire. Si même on réserve le nom de délire des négations aux cas où ce délire est arrivé au degré que j'ai indiq
ganes génitaux chez les femmes ont été les causes de la plupart des cas d'aliénation men- tale. Fali,et' envisage aussi
n se rangeant à l'opinion déjà émise par Azam', qui décrit quarante cas d'autopsie de femmes aliénées avec lésions sexu
mentale. Schüle 9, au contraire, dit très nettement que dans nul cas éthiologique les irritations physiques et les cau
sur le développement et l'évolution de la folie, sont dans le même cas quant à une conclusion. Dans une pareille dissi
folie chez la femme est accompagnée de maladies sexuelles daus dix cas sur cent. Les autres croient ces maladies fréqu
tes, mais sans rien préciser. Krafft- Ebbing (loc. cil.) trouva six cas de lésions génitales sur dix-neuf, taudis que d
aques, a trouvé des maladies de l'utérus et de l'ovaire dans sept cas . J.-C. Howard2, sur cent vingt-sept autop- sies
onstaté les affections de l'ovaire et de l'utérus dans vingt-quatre cas , parmi lesquels : tumeurs fibreuses de l'utérus
gt-quatre cas, parmi lesquels : tumeurs fibreuses de l'utérus, sept cas ; cancer, deux cas; sarcome, un cas; kystes des
mi lesquels : tumeurs fibreuses de l'utérus, sept cas; cancer, deux cas ; sarcome, un cas; kystes des ligaments larges,
rs fibreuses de l'utérus, sept cas; cancer, deux cas; sarcome, un cas ; kystes des ligaments larges, trois cas; tumeurs
ncer, deux cas; sarcome, un cas; kystes des ligaments larges, trois cas ; tumeurs de l'ovaire, quatre cas; hystes de l'o
kystes des ligaments larges, trois cas; tumeurs de l'ovaire, quatre cas ; hystes de l'ovaire, quatre cas. Hergt', au con
is cas; tumeurs de l'ovaire, quatre cas; hystes de l'ovaire, quatre cas . Hergt', au contraire, dit que, d'après ses obs
mille vingt-cinq malades gynécolo- giques, a noté quatre-vingt-dix cas associés à diverses formes d'aliénation mentale
des malades réglées étaient représentées comme suit : idiotie, un cas ; épilepsie avec troubles mentaux, quinze; hysté
ites chroniques du corps de l'utérus ont été trouvées dans quarante cas . Sur ces quarante cas, vingt-deux étaient accom
de l'utérus ont été trouvées dans quarante cas. Sur ces quarante cas , vingt-deux étaient accompagnées de l'endométrite
ient accompagnées de l'endométrite et métrite cervicale. Dans seize cas , on a pu constater la métrite chronique diffuse
nstater la métrite chronique diffuse du corps, associée dans huit cas à celle du col. Dans douze cas, ces dernières l
diffuse du corps, associée dans huit cas à celle du col. Dans douze cas , ces dernières lésions étaient accompagnées d'u
ées d'ulcérations de diverses nature du museau de tanche. Dans huit cas , on constata la métrite diffuse chronique du co
ite diffuse chronique du corps et du col de l'utérus et dans quatre cas la métrite diffuse chro- nique du corps seuleme
ou leur réapparition trop fréquente) ont été notées dans vingt-huit cas . Sur ce point, je crois devoir sa ire 'une cert
s de la menstruation n'ont été prises dans le plus grand nombre des cas que sur les indications des ma- lades, qui pouv
sions nettement prononcées) ont été constatées dans quarante-quatre cas , associées à des endométrites seu- lement dans
tre cas, associées à des endométrites seu- lement dans trente-huit' cas , et aggravées encore par une métrite dans vingt
ns trente-huit' cas, et aggravées encore par une métrite dans vingt cas . La- métrite chronique diffuse à elle seule 'ac
le 'accompagnait les anomalies de position de l'utérus' dans' seize cas . Six' cas'sur onze d'altéra- tions'de la positi
erpuérale et de récente provenance ont été constatées dans quatre cas de folie puerpérale. Les vaginites et vulvites
e i i 1 , i , . i catarrhales prononcées ont'été trouvées dans onze cas (sept cas de vaginite et 'quatre de vulvite). E
, . i catarrhales prononcées ont'été trouvées dans onze cas (sept cas de vaginite et 'quatre de vulvite). Enfin, un c
onze cas (sept cas de vaginite et 'quatre de vulvite). Enfin, un cas de folie puerpérale était accompagné d'un kyste d
e était accompagné d'un kyste de l'ovaire de grandes dimensions;'un cas de manie aiguë "par un fibrome' de 'l'utérus de
ALIÉNÉES. 183 de l'atrophie de l'utérus sénile, ont été notés : six cas de métrite chronique diffuse; trois cas d'ancie
sénile, ont été notés : six cas de métrite chronique diffuse; trois cas d'anciennes ruptures du périnée; neuf cas d'end
chronique diffuse; trois cas d'anciennes ruptures du périnée; neuf cas d'endométrite dite sénile. Si l'on examine le d
forme de maladie mentale que dans une autre. Ainsi, dans quarante cas de mélancolie, dont cinq d'origine puerpérale,
anomalies de menstruation). Dans le délire chronique, sur quarante cas , trente- quatre sont aussi compliqués par des l
nérales présentent presque également le même rapport. Sur vingt-six cas de manie aiguë, dont huit d'origine puerpérale,
n en trouve dix-huit avec désordres sexuels, et sur vingt- quatre cas de paralysie générale, vingt avec les mêmes alt
les mêmes altérations. Au contraire, la démence, sur trente-huit cas , n'en présente que douze, compliquées avec des
érence, il est vrai, tient certainement à cela que, sur trente-huit cas de démence, dix malades seulement étaient encor
d'ovarie ont aussi 18 le PATHOLOGIE MENTALE. été notés dans huit cas (six fois à droite, deux fois à gauche). En e
eux à soixante-quinze ans, on les trouve seulement dans dix- huit cas .. · En réduisant pour les deux groupes des alié
s la méno- pause étaient tellement uniformes dans la majorité des cas , qu'on peut accepter le chiffre de soixante malad
e-deux fois sur cinquante-six, c'est-à-dire que la démence, sur dix cas avant la ménopause, se trouve compliquée de mal
sexuelles quatre fois, taudis qu'après la ménopause, sur vingt-huit cas , on n'en trouve que huit. Quanta la paralysie g
n'en trouve que huit. Quanta la paralysie générale, sur quatorze cas avant la ménopause, elle donne le même nombre d
de complications (quatorze), tandis qu'après la ménopause, sur dix cas , on n'en trouve que six asso- ciées aux diverse
sso- ciées aux diverses lésions génitales. Enfin, sur vingt- cinq cas de mélancolie (les formes puerpérales excluses)
ont compliqués par des lésions génitales, tandis que les dix autres cas après le retour d'âge ne donnent que cinq compl
les lésions géni- tales se trouvent notées dans quatre-vingt-seize cas , et l'on observe cette prédominance chez les ma
pas eu de couches, on rencontre les affections génitales dans trois cas , tandis que sur qua- rante-quatre autres qui en
sur ^on appari- tion ; de sorte que, pour le plus grand nombre des cas de folie chez la femme avant le retour d'âge, l
la grande exception ; elle ne se rencontre guère que dans quelques cas de manie liée à l'hérédité. Interrogez les mala
ons de dire des folies vésaniques s'applique aussi dans beaucoup de cas aux folies para- lytiques, à celles surtout imp
iste donc, à ce point de vue, une différence radicale. Il"est des cas , avons-nous dit plus haut,* où la conscience, e
me de ses plus grands désordres et ne s'éclipse jamais. Ce sont ces cas qui doivent désormais nous occuper. , , RECHE
antes, car nous aurons tout à l'heure à faire connaître de nombreux cas de folie qui présentent ce double caractère et
est de même, quand elle est un élément surajouté. Sur trente-quatre cas de ce 200 PATHOLOGIE MENTALE. genre, vingt-se
prédisposés se divisent en trois classes. La première comprend les cas de prédis- position latente. Rien, ni au point
ble qu'il s'agit ici d'une fracture par torsion en dehors. Un autre cas de fracture du fémur observée chez un ataxique
le long du rachis une petite quantité d'eau froide (dans quelques cas , il a paru utile de sinapiser la colonne vertébra
uvant revêtir la forme des paroxsymes décrits plus loin. Dans les cas les plus graves, la position horizontale calme se
e entière. Nausées et vomis- sements terminent l'accès. En certains cas légers, il n'existe que des vertiges séparés pa
e d'environ un quart de pouce. Au point de vue de la guérison, ce cas est intéressant ; mais il est fâcheux que l'aut
x lobes cérébraux avaient été extirpés ; il ne saurait donc dans ce cas être question de l'action épileptogène de l'é-
les sont tantôt dilatées, tantôt contractées; quelquefois (deuxième cas ) l'une est dilatée, l'au- tre contractée. Lorsq
le sur les deux côtés du cerveau. Le strabisme parait rare (premier cas ) et passager. Dans deux cas, déviation de la tè
au. Le strabisme parait rare (premier cas) et passager. Dans deux cas , déviation de la tète, mais sans déviation des ye
t assez fréquente; la déviation de la bouche a été trouvée dans six cas seulement. La déviation de la langue paraît rar
'impossibilité de la dé- glutition parait également rare (quatrième cas ) et passagère. Malaise : fréquent et peu accusé
nt et peu accusé. Nausées et vomisse- ments : rencontrés dans douze cas . La constipation est la rigle : elle est souven
puise- ment survient, et il devient rapide et faible; dans quelques cas rares, il demeure normal. 7° Troubles de la r
phénomènes peu communs. La température a été notée dans trop peu de cas pour que l'on puisse utiliser ces données incom
n delà physionomie : elle revêt le caractère de l'apathie (dans les cas rares où elle a été notée). Etat de la peau : l
e. Presque aussi souvent on trouve le visage congestionné. -Dans un cas , on a observé la tache cérébrale. 11° Améliorat
rébrale. 11° Amélioration apparente. Elle a été observée dans dix cas ; elle est probablement due à l'arrêt de l'hémorr
e hémorrhagie survient, et l'améliora- tion disparait. Dans les dix cas observés, l'amélioration a été purement transit
ion délirante (aberration totale), est trop absolue; car il est des cas de folie systématique aiguë primaire dans lesquel
tée inlus et extra aux manifestations agies. Il faut en exclure les cas relevant d'une simple prédisposition indivi- du
se rallier à la faiblesse de l'incitation, M. Weiss pense qu'en ce cas c'est lasuracuïté de l'excitation qui, dépassan
l'appétit, sécheresse de la bouche, gêne de la déglutition; dans un cas hoquet rebelle ne cessant qu'après la suppressi
mmes à 1 centigramme par jour, en une ou deux injections, dans deux cas de manie chronique, ils sont allés jusqu'à 3 ce
que soit la durée de la maladie. Il ne fait exception que pour les cas où, par superche- rie, l'un des conjoints attei
gnes chez qui les excès alcooliques déterminent la folie. En tout cas , le divorce, pour l'une de ces causes, ne devrait
ur d'assises cet homme irresponsable ? Vous le voyez, dans certains cas , l'aliéné n'est pas suffisamment protégé par la
on d'un asile spécial, mais je juge celte création inutile. En tout cas , je demande que la Commission qui aura à pourvo
ministratives et judiciaires qu'il con- viendrait d'adopter dans le cas où l'on créerait des établissements particulier
oncer sur l'entrée comme sur la sortie du malade ne devrait en tout cas être qu'une Commission médicale; un délégué de
seur Waldenburg quelques paroles de regret. M. Westphal présente un cas de maladie de Thomsen. Il s'agit de cette affec
normal (communication personnelle). M. Moeli, ayant vu à Rostock le cas de Thomscn, confirme les descriptions ultérieur
Wt'.STi'mL. M. Westphvl procède à la communication annoncée sur un cas de sclérose latérale primitive à issue insolite
étaient intacts. Cette intégrité vasculaire est rare. car bien des cas jadis désignés sous le nom de ramollissement bl
le u° 22 du Berlin. Klin. Vocheii5chi-, 1 880, sous ce titre : « Un cas d'ataxie locale des extrémités supérieures avec
struit. : 25'< il SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Westphal communique un cas de lésion corticale avec lténtiu- nopsie. M. We
aussi l'opinion de M. Ilirschberg, qui fait remarquer que, dans les cas connus jusqu'à ce jour, on avait toujours trouvé
l'opinion d'une paralysie générale. Il est facile d'expliquer en un cas de démence paralytique les convulsions qui se m
it sera effectuée '. M. GNAUCK considère cette observation comme un cas de concep- tion irrésistible dont la répétition
ique sont l'apanage de ces névropathes M. Meynert rapporte aussi un cas d'oedème vrai d'un pédoncule cérébral dans lequ
immobilité, du mutisme le plus complet et le plus prolongé ; en ces cas , les malades accordent une certaine attention a
, M. IL Huchard propose de n'ap- pliquer cette' dénomination qu'aux cas seulement dans lesquels les deux névroses coexi
lle de l'étiologie, permet de croire qu'il est un certain nombre de cas de paralysie agitante d'origine nettement rhuma-
our maintenir le malade dans le décubitus dorsal forcé que dans les cas extrêmes; il vaut mieux camisoler un malade et le
ât une parfaite sécurité. Mutilation chez UN mystique. Un curieux cas de mysticisme est signalé dans la ville d'Aumal
la méningite cérébro-spinale que ces lésions ont été observés. Ces cas mortels et si nets ne sont point de ceux que j'
ence des lésions 276 ô . CLINIQUE NERVEUSE. étiologiques dans ces cas qui n'entraînent pas la mort. II s'agit d'un su
raumatisme, soit dans les expériences sur les pigeons, soit dans le cas de choc, de coups, etc., reçus surl'oreille. (V
us surl'oreille. (Vertige traumatique.) Mais il est cependant des cas , où l'on voit le bruit seul provoquer le vertig
au niveau des fenêtres ovale et ronde. J'ai employé, à l'étude des cas de vertige de Ménière, que je cite dans ce trav
RD. Si le délire des négations paraît se rattacher, dans bien des cas , aux vésanies intermittentes, je dois ajouter 1
es observations en trois catégories : dans la première je range les cas où le délire des négations se présente à l'état
négations se présente à l'état de simplicité; dans la seconde, un cas où il est symptomatique de paralysie générale;
il est symptomatique de paralysie générale; dans la troisième, les cas où, associé au délire des persécutions, il cons
dées de ruine, de culpabilité, de méfiance et de persécution. Ces cas mixtes mériteraient une étude spéciale; ils pré
des bêtes ou des diables dans le corps. Esquirol a rap- porté des cas de ce genre au chapitre de la Démono- manie; Fo
sférée dans un autre asile. J'aurais pu; en outre de ces quelques cas , citer, de seconde main, un assez grand nombre
mais dont la bizarrerie peut encore être dépassée dans cer- tains cas , puisque l'instinct sexuel prend pour objectif
mes venus à côté d'elle. Westphal et Krafft-Ebing ont déjà cité des cas de manie et de mélancolie où cette perversion d
nomènes sont identiques et se déroulent de la même manière. Des cas assez nombreux ont déjà été publiés chez 'l'hom
f. Toutefois, nous avons deux observations, celle de Westphal et un cas de Gock chez une jeune fille de vingt-huit ans,
e idée de cette perversion sexuelle chez la femme ? Dans les deux cas , nous voyons se développer de très bonne heure
es deux n'avaient jamais eu de rela- tions sexuelles. Dans les deux cas , le souvenir de la jeune fille aimée poussait à
s faits observés jusqu'à lui, il note que, treize fois sur dix-sept cas , se montraient des troubles névro ou psychopath
- ché de dégénérescence. ,, i m .nOi i iln I ')' ' Ces i quatre cas "de perversion de l'instinct génital sont suffi
servations suivantes de perversion ]le; 1 gIl it ? Dans le premier- cas , il s'agit d'une fille de vingt- ]ici] mct'p .e
l'intérieur et s'entrecroisent ! entre elles. - j ' ' Dans notre cas , la substance grise s'était transformée,' sous l'
ment et nettement la fonction naturelle d'un organe malade, dans le cas où on aurait constaté que la lésion maté- riell
et dont on peut sûrement tirer des conclusions absolues. Ainsi le cas décrit plus haut nous donne quelques aperçus in
ongueur et le diamètre du muscle déterminent la masse. Dans notre cas , le malade avait le bras gauche aussi fort et b
que la masse cérébrale subit des variations très limitées. Notre cas offre encore quelque intérêt sous le rapport hist
e le nom de'neurobliome'bu gliome do Virchow. Malheureusement notre cas ne peut pas servir de soutien aux conclusions d
elui-ci,- il ! n'y avait aucune altération fonctionnelle dans notre cas ; fait contraire,aux conclusions de l'auteur..n ,
cas; fait contraire,aux conclusions de l'auteur..n , 1 il, m Notre cas est important- avant tout, parce qu'il donne des
subitement par une attaque d'apo- plexie, comme on le voit dans un cas , rapporté par M. Lasègue2, d'un jeune homme qui
lève pas du choc : Watson'. CopIand,A.itken ? etc., ont observé des cas de mort par apoplexie. D'autres fois, on observ
u diabète, assez fréquentes même pour qu'on doive toujours, dans un cas de paralysie limitée, rechercher s'il n'existe pa
qu'il lui envoyait et qui d'ailleurs fut guérie par le régime. Ces cas sont très importants à connaître parce qu'ils p
en connexion avec des phéno- mènes paralytiques. Duncan rapporte le cas du docteur Peter Shee, diabétique, qui fut affe
e la sensibilité. L'aaesthésie complète est rarement notée dans les cas de diabète, surtout à l'état isolé. Une large p
a douleur de la nuque qu'il a rencontrée dans près de la moitié des cas observés par lui (six fois sur treize). Les mal
t rapides dont la cause échappe et d'analyser fréquemment en pareil cas les urines. C'est dans l'ouvrage célèbre de R
avec celles qu'on rencontre dans l'albuminurie. La proportion des cas de diabète où se montrent les troubles oculaire
p. 521. 3rs REVUE CRITIQUE. Sur ! 2,000 maladies de la vision, 18 cas ainsi répartis relèvent du diabète : DES TROU
es, une fente sténop- cique, un trou d'épingle la corrigeront. Au cas de paralysie incomplète, on conslate tous les tro
ci que chez le myope. Bien que cette amblyopie se montre dans les cas de glyco- surie faible, quand les troubles de l
ar de Grscfo, ne semble pas à M. Lecorché2, applicabledans tous les cas . Parfois, il fau- drait incriminer la rétine, u
diabète sur l'axe cérébro- spinal. E. Wickcrsheimer3 rapporte un cas d'amblyopie diabétique, sans lésion du fond de
que ou de ses origines. La rétinite glycosurique s'observe dans les cas graves, alors que les troubles nutritil's et l'
s d'urine ont été four- nies par Bouchardat et Mialhe, un troisième cas de Noyés et un 'quatrième de Haltenhof. Les ana
Bellouard1 n'ont encore que contredite. D'après cet auteur, en ces cas , la glycosurie serait purement symptomatique, e
ysie générale. D'ailleurs Delpech a fourni à Marchai (de Calvi') un cas de paralysie générale véritable, survenu chez u
urique pré- cédemment affecté d'un anthrax ; mais, en présence d'un cas isolé, on doit croire qu'il s'agit d'une simple
'appareil vaso-moteur peut être partiellement atteint dans certains cas . On a rencontré aussi des atrophies localisées
ent pour cause une lésion médullaire très limitée. Enfin certains cas d'alroplaie musculaire peuvent être plus sûreme
l'atrophie d'ougine spinale que l'on découvrit le diabète. Si le cas était isolé, on pourrait se demander s'il ne s'ag
y. 7'Y<y. IV. a). L'auteur ajoute que, dans un certain nombre de cas , il a réussi par des injections très pénétrantes,
examine, sutures et sillons demeurent en rapports invariables. Au cas de plagiocéphalie, qu'elle dépende du décubitus e
inutes et plus, après quoi elle disparait graduellement. Dans aucun cas de ce genre, on ne réussit à provoquer la contrac
du pied puisse se faire sans la moindre résistance. 'Dans les deux cas , il est tout ci fait impos- si )le d'obtenir la
enkyste, ce qui n'a pas lieu dans la forme aiguë. Dans le pre- mier cas , la mort survient par rupture de l'abcès dans les
, interrompue parfois par des accès de cé- phalalgie. Dans quelques cas , l'abcès évolue sans que lien ait pu faire soup
iode latente varie de quelques semaines à plusieurs mois. Dans un cas de Harlin, le traumatisme, cause de l'abcès, data
al Jottï,nal, 1881, p. 546.) L'auteur pense qu'un certain nombre de cas , traités comme ataxie locomotrice, ne sont autr
que isolée, sont presque certaine- ment épileptiques. Dans tous ces cas , indépendamment de l'hygiène et du traitement s
arvéienne de Londres, le Dr C.-G. Henderson a lu l'observation d'un cas de variole confluente suivie d'ataxie. Le malad
xe tendineux faisait encore dé- faut. Le Dr IIenderson rapprocha ce cas des observations ana- logues rapportées par Lan
favorable qu'ils prirent, finissant, dans la grande ma- jorité des cas , par la guérison, de ceux qu'on observe dans l'
obable- ment des fibres sensitives issues de celle-là. P. K. DEUX cas DE myélite; par G. MOELI. (A)'671/i;. f. Psych.
rêmement fugaces qui, à raison de leur valeur, variable suivant les cas , échappent à une description fondamen- tale d'a
résente une réduction plus forte que la température, et qu'en aucun cas il n'eut à noter de phéno- mènes cérébraux. Le
. Chez les soixante et onze hommes, il était normal dans vingt-huit cas , diminué dans huit, absent dans treize, exagéré
ait normal sept fois, une seule fois il était absent, et dans trois cas il était exagéré. La moelle a été examinée dans d
trois cas il était exagéré. La moelle a été examinée dans dix- huit cas ; quand les réflexes étaient normaux, la moelle n
nération secondaire, symétrique des cordons latéraux. Dans quelques cas d'abolition complète, il y avait en même temps
e sclérose périphérique due à une ménin- gite chronique. Dans les cas d'abolition, il y avait soit une sclérose fascicu
s sur la folie morale que cet état se rencontre surtout dans deux cas : tantôt, en effet, il précède ou suit un état dé
onstitue un héritage reçu de parents né- vropathes. Dans le premier cas , les jugements moraux d'ordre général demeurent
aux d'ordre général demeurent- intacts ; c'est leur application aux cas par- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 389 ticulie
t perdre la juste notion de leur équilibre budgé-' taire. Le second cas est encore plus grave : là, tous les jalons mor
dre compte de tous ces symp- tômes ; prenons par exemple le dernier cas examiné : Il est' évident que, quelle que soit
me hypnotique a conduit M. Gasquet à essayer cet alcaloïde dans les cas où jusqu'ici il avait obtenu de bons ré- sultat
tenu de bons ré- sultats de l'hyoscyamine; il l'a employé dans deux cas de ma- nie chronique avec' idées de violence et
nie chronique avec' idées de violence et de destruction, et dans un cas de folie chronique avec hallucinations terrifiant
l'ouïe; il regrette de n'avoir pu jusqu'ici l'expérimenter dans des cas aigus. Il a paru à l'auteur que l'action de l'atr
publié en 1870 (The Journal of Mental Science, n° de juillet) deux cas de folie rhu- matismale : dans les deux cas qui
ce, n° de juillet) deux cas de folie rhu- matismale : dans les deux cas qui viennent d'être résumés, le rhumatisme n'a
anée de la chorée et de l'endocardite permet de rapprocher ces deux cas de ceux de M. Clouston. On remar- quera ici le
eprodui- sons, font parfaitement ressortir les particularités de ce cas intéressant. « 1° Dans ce cas, en même temps qu
nt ressortir les particularités de ce cas intéressant. « 1° Dans ce cas , en même temps qu'une hémiplé- gie gauche, il e
4° Au, point de vue de la comparaison des lésions observées dans ce cas avec celles que l'on rencontre dans des cas cli
sions observées dans ce cas avec celles que l'on rencontre dans des cas cliniquement analogues, il y . a lieu de noter
ns de la couche corticale qui accompagnent les adhérences. Dans les cas d'hallucinations de la vue chez les paralytique
n la considère comme le seul centre cortical de l'audition dans les cas où il existerait des hallucina- tions de l'ouïe
niques de la vision et de l'audition. En considérant l'ensemble des cas , on constate que la circonvolution supra-margin
ution supra-marginale est' plus atteinte que le pli courbe dans les cas qui s'accompagnent d'hallucinations de la vue,
poro-sphénoïdale paraît être plus atteinte que la première dans les cas qui s'ac- compagnent d'hallucinations de l'ouïe
e dans les cas qui s'ac- compagnent d'hallucinations de l'ouïe, ces cas étant pris dans leur ensemble. R. DE M.-C. XX
ssé au caprice de magistrats dont quelques-uns n'admettent en aucun cas la doctrine de l'irresponsabilité. C'est avec l
déjà en évolution. Le pronostic doit toujours être réservé dans les cas de plaies de tête ; et chez les paralytiques géné
e. Si on pouvait reconnaître sûrement l'origine traumatique dans un cas donné de paralysie générale, on pourrait porter
r Estorc, 145. Délire mélancolique (rapport mé- dico-légal sur un cas de), par Magnan, 47. Délire des négations, pa
, par Ugo Bassi, 224. Hémianopsie, 254. Hémiplégie (note sur un cas d') avec paraplégie spasmodique, par Féré, 61
r Fr. Muiier, 97. Mutilation chez un mystique, 270. Myélite (deux cas de ), 382. Nécrologie : Lagardelle, 143. Néga
progressive périodique, 130. Paralysie spasmodique (note sur un cas d'hémiplégie avec), par Féré, 61. Périencépha
Sensitif (le faisceau), et les troubles de la sensibilité dans les cas de lésions cérébrales, par Ballet, 67. Sexu
73 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
Vous vous étonnez peut-être, Messieurs, de me voir rapprocher deux cas en apparence aussi dissemblables : quels rapports
cotome scintillant, avec nausées et vomisse- menls. Il y a même des cas nombreux, ou le scotome scintillant, existe à p
troubles gastriques, sans hémiopie bien marquée, sans céphalée. Des cas ou la céphalée s'accompagne seulement-d'hémiopie
s encore que je crois devoir vous si- gnaler en passant. Il est des cas de migraine accompagnée dans lesquels les Sympt
nature de la ma- ladie pourra passer inaperçue. Il en est ainsi des cas d'aphasie transitoire, des convulsions él71lept
hasique existe seul. Je suis disposé a1 admettre que la plupart des cas d'aphasie transitoire, récur- z renie, .apparti
sur le gros orteil de l'un des pieds par exemple; dans les quelques cas que j'ai observés il ne m'a pas paru exister des
it partie de la migraine ophtalmique, a dans l'immense majorité des cas une issue favorable malgré ses retours fréquent
favorable malgré ses retours fréquents. Ainsi je pourrais citer des cas de migraine ophtalmique datant depuis plus de q
ujours ainsi. Il ne faut pas oublier en passant qu'en présence d'un cas d'aphasie développé rapidement et s'accompagnant
ues en quelque sorte : maladie proto-palhiqiie. Cela parait être le cas , dans la paralysie générale avec attaques dites
des réserves. Je crois en effet pouvoir affirmer que dans certains cas heureusement très rares, la migraine ophthalmique
oute l'occasion de le mettre en oeuvre. Dans l'immense majorité des cas la migraine ophlhalmique est une maladie ou mie
que parexemple et de ses moyens de soulagement. Mais, dans quelques cas , il est prudent' d'intervenir et de couper court
scotome scintillant, région qu'on a trouvé lésée dans les quelques cas de cécité verbale où l'autopsie a été faite; là
ourbe, etc.,»etc. A l'appui de cette hypothèse on pourrait citer un cas de M. Galezowsky qui au congrès de Londres a di
bles permanents delà vision s'établira la suite d'un accès. Dans ce cas , il s'était formé une thrombose de l'artère centr
e notre malade. Il s'agit du traitement que je préconise pour les cas graves. Il n'est pas fondé sur la théorie ; il
cès et la migraine ophtalmique ne sont pas incomparables ; quelques cas où il y a alter- nance de l'épilepsie et de la
Cette méthode si je ne me trompe, a réussi plusieurs fois dans des cas où les accidents inquiétants semblaient en raison
sieurs, J'ai l'intention de soumettre aujourd'hui à votre examen un cas simple, facile à diagnostiquer, un véritable «
votre examen un cas simple, facile à diagnostiquer, un véritable « cas d'étude M. Il s'agit, pour vous le dire de suit
ions fort singulières. Vous verrez qu'en dépit de sa simplicité, le cas mérite d'attirer l'attention à beaucoup de titr
e paraly- sie : est-elle dynamique ou organique et, dans ce dernier cas , s'agit-il de lésions matérielles centrales ou
stera qu'a souligner brièvement le pronostic et la thérapeutique du cas . Mais avant d'aborder la discussion de ces diff
x, si je puis m'exprimer ainsi. Il s'agit, ;i n'en pas douter, d'un cas de paralysie deltoïdienne bilatérale. Mais y a-
ents troubles et faire ressortir par contraste l'existence, dans le cas qui nous occupe, d'une paralysie isolée des deu
. A. Julien. 1 Fig. 1 et 2. PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE 19 cas de ces paralysies radiales, dites a frigorie, qui
te reposant sur le bras replié comme sur un oreiller. Dans les deux cas , le nerf radial se trouve com- primé à sa sorti
us ou moins durable du nerf radial. Comme dans un certain nombre de cas , celle paralysie a été obser- vée chez des gens
elle d'une lésion des cornes antérieures, doit être rejetée dans le cas actuel. En effet, la paralysie n'a été ici ni de-
nu il vous le présenter auparavant, afin de vous convaincre que les cas simples constituent toujours, quand on les scru
eurologisches Cenlmlblat 1892), peut servir de type. Il s'agit d'un cas de paralysie bilatérale du type Duchenne Erb, che
lique. Les deux enfants sont issus de pères syphilitiques ; dans un cas (obs. II) la syphilis ne datait que de 3 ans; l
ine, sinon la nature, de l'affection spasmodique, au moins dans ces cas particuliers. LA NOTION ÉTIOLOGIQUE DE L'EIÉRÉD
bonnes à retenir. Loin de nous la pensée de généraliser à tous les cas de tabes spasmodique congénial l'étiologie qui
congénial l'étiologie qui est si clairement indiquée dans les deux cas que nous venons de rapporter. Mais enfin ces fa
tions parasyphilitiques, Paris, 1894, p. 336, vient de publier : « Un cas de maladie de Little » (Gaz. des hdp., 25 déc.
es symptômes de paraplégie chez les aliénés paralytiques et dans un cas il les a nettement rattachés à un ramollissemen
que de la paralysie générale. « Il existe certainement, dit-il, des cas où l'in-' flammalion débute, dans le mode chron
us cérébral et spinal. M. Jaccoud inclinait il admettre que dans le cas d'association, la para- lysie générale résulte
aralysie générale, soit le « tabes cérébro- spinal ». Dans tous ces cas d'ailleurs, une même cause, la syphilis, domine
ement intéressant, mais il est particulière- ment important dans le cas actuel parce qu'il éveilla dans l'esprit de notre
els de la paralysie générale, enfin que la lésion spinale en pareil cas diffère par plusieurs traits du ta- bes vulgair
l importe il l'a- venir de ne pas interpréter de cette manière, les cas où la paralysie géné- rate débutant par des man
tais d'un examen clinique. On peut natu- rellement dans beaucoup de cas obtenir à l'aide d'une épingle ou d'une aiguill
l'automne de l'année 1891 ». L'auteur a réuni en moins d'un an 163 cas dé cette singulière all'ec- tion. Elle constitu
ulière en sept ou huit semaines ». Depuis cette époque, de nouveaux cas ont été publiés en Angleterre, et le nom de Mal
oportionnellement amincis : ce qui s'observe rarement dans certains cas d'eczéma. On voit une abondante prolifération c
que les superficielles, et elle n'est pas aussi apparente dans les cas bénins où la peau a été le siège d'une inflammati
hissant successivement toutes les couches de la peau. Dans un autre cas plus bénin j'ai trouvé la couche la plus superfi-
lore compris entre les limites du noyau et le protoplasma. Dans ces cas , le 52 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
nt sa zone de dégénération. J'ai observé ces modifications dans des cas bénins ; mais la zone claire n'est pas aussi la
x cellules les plus superficielles de la couche de Mal- pighi. Le cas de Georges Cockson dont je viens de donner la des
scription et auquel se rapportent mes coupes, a été, ainsi que deux cas du Du Eche- verria, remarquablement grave. J'
he- verria, remarquablement grave. J'ai étudié aussi trois autres cas de cette maladie, et j'ai trouvé que les lésion
tions, les symptômes furent moins graves que ceux dé- crits dans le cas précédent. Leur durée fut d'une, deux, trois sema
a trouvé une bactérie. Mais je n'ai pu en apercevoir aucune dans le cas précédemment rapporté (Cockson). Je n'ai d'aill
iieveriua, Monat. für Prakt. Derm. Ilamburg, Band XIX, 1891. , UN CAS DE , ,. PARALYSIE BILATÉRALE DU MUSCLE DELTOIDE
, que nous allons relater, en nous bornant aux détails cliniques du cas et renvoyant, pour tout ce qui concerne la disc
LTOIDE (Attitude du malade dans l'extension maximum des bras). UN CAS DE PARALYSIE BILATÉRALE DU MUSCLE DELTOIDE 55 s
t constitue une véri- table « trouvaille » anatomo-clinique. DEUX CAS D'HERMAPHRODISME ANTIQUE PAR HENRY MEIGE. D
M. Paul nicher. Ce travail sera très prochainement publié. N DEUX CAS D'HERI<IAPHRODISDIE ANTIQUE 57 La critique d
r le document naturel que l'artiste a voulu idéaliser. Tel est le cas des Hermaphrodites antiques. Lemotmêmed' Hermap
st appliqué à l'es- pèce humaine. S'il signifie, - comme c'est le cas pour certains animaux inférieurs, qu'un même in
Sans y insister davantage, il importe de retenir que, dans tous ces cas , les anomalies de DEUX CAS D'HERMAPHRODISME ANT
il importe de retenir que, dans tous ces cas, les anomalies de DEUX CAS D'HERMAPHRODISME ANTIQUE 59 développement porte
issance, soit seu- lement au temps de la puberté. Dans le premier cas , le corps conserve indéfiniment les caractères ex
ELLE ICONOGRAPHIE DELA SALPÊTRIÈRE j'eus l'occasion d'observer deux cas , l'un d'infantilisme, l'autre de fémi- nisme, d
Chez un sujet âgé de 40 ans. L. BATTAILLE ET C" Éditeurs DEUX CAS D'HERMAPHRODISME ANTIQUE 61 Cet homme parlait m
ression (l'une vérité mor- phologique : c'est le type idéal. DEUX CAS D HERMAPHRODISME ANTIQUE ' 63 Les artistes y on
p- pante avec la conformation cor- porelle qu'on observe dans les cas de féminisme, chez des sujets de 15 à 20 ans
ETRIERE SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL A PROPOS DE DEUX CAS DE CES AFFECTIONS . PAR F. RAYMOND Professe
LA SALPtTRI1'T<F T. VIII YL. XIV. TROUBLES TROPHIQUES dans un cas de lésion de la queue de cheval. L EATTAILLE ET
malades de Lariboisière, qui, par bien des côtés se rappro- che du cas précédent. 72 NOUVËHE-iCOKOGMAPUIE DE LASALI'L1
e, les troubles vésico-anaux, t'eschareunitatératc. Dans le premier cas , vous avez remarqué, en outre, que l'atrophie exi
Ce qui, en somme, constitue la caractéristique clinique de ces deux cas , c'est la coexistence de troubles unilatéraux, de
de ce membre. Une confusion est tout aussi facile à éviter dans les cas de sciatiques bilatérales, qui sont habituellem
petit bassin. En effet, G. Guinon etParmentier (1) ont vu, dans un cas de ce genre, la névrite se limiter au domaine d
Bref, il s'agissait d'un mal de Poil hystérique. En somme, tous les cas que je viens de passer en revue ont comme trait
même question de diagnostic différentiel peut se poser a propos de cas pathologiques dans lesquels domine l'atrophie mus
. Je vais vous présenter une première malade qui réalise ce dernier cas , et j'espère vous convaincre qu'il ne saurait ê
une affection de la queue de cheval serai inexcusable, car dans le cas de la première maladie, même au début, nous con
tracer d'abord la symptomatologie qu'on trouve réali- sée dans les cas où une affection, telle qu'une tumeur, un process
e. J'insisterai ensuite sur les symptômes qu'on a observés dans des cas où une lésion intéressait exclusivement le cône
de cheval. Messieurs, les symptômes qu'on observe, dans le premier cas , lors- qu'une lésion agit, par voie de compress
) Anesthésie. L'anesthésie est une manifestation constante dans les cas d'affection de la queue de cheval. Elle porte sur
Cette circonscription de l'anesthésie se trouvait réalisée dans des cas où l'autopsie a démontré ensuite l'existence d'
n connaître ces détails. " c) Paresthésies : Dans l'un ou l'autre cas , on a noté de l'engourdisse- ment, des fourmill
s muscles innervés par le crural restent indemnes. Donc, dans les cas types, la paralysie motrice est incomplète aux me
illeurs ce que l'on peut dire des troubles de la démarche, dans les cas d'affections de la queue de cheval. Troubles
té complète de se servir de leurs membres inférieurs, sauf dans les cas d'origine traumatique, pendant les premiers jours
leurs dont je vous parlais il y a un instant, et qui, dans bien des cas , dominent la scène pathologique. Ce qu'il imp
L 91 1 prononcée de quelques-uns des muscles paralysés, ,c'est le cas chez notre malade. Cette atrophie est, le plus
lète de l'excitabilité électrique. Enfin, dans un certain nombre de cas , on constate, à l'exploration de certains nerfs
piniâtre alterner avec l'incon- tinence des matières fécales, et ce cas est assez fréquent. Il peut arriver aussi que l
niveau du sacrum, aux fesses, d'un seul ou des deux côtés (c'est le cas chez notre malade), au niveau des grands trocha
ations publiées par Lachmann, par Kirchhoff, par Oppenheim. Dans le cas de Lachmann, on a trouvé, à l'autopsie, un gliome
ar mon ami Ricklin, en vue de celte leçon, le relevé des principaux cas d'affections de la queue de cheval et du cône ter
terminal, publiés jusqu'à ce jour ; je suis arrivé à un total de 29 cas , qui se décom- pose ainsi, eu égard à la nature
SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 95 sur le siège. Dans un cas (Osier), une fracture sous-cutanée de la colonne
veloppent, ou non, à la suite d'un trau- matisme. Dans le premier cas , les malades, en raison de la violence du choc
onde date. En général ils évoluent avec plus de lenteur que dans le cas d'une affection traumatique de la queue de chev
matologie. Détail important : contrairement à ce qui arrive dans le cas d'une lésion destructive de la moelle, siégeant
geant à un ni1 : ea7¿ tant soit pen élevé, les acci- dents, dans le cas d'une affection de la queue de cheval, ne subisse
SALPÊTRIÈRE pour une large pari à accélérer le dénouement dans les cas de lésions du segment dorso-lombaire de la moel
ections de la queue de cheval. D'autre part, les malades, clans les cas d'affections de la queue de che- val, conserven
lopper chez eux, se cicatrisent sans grande difficulté. Or, dans les cas de myélite aiguë ou chronique avec impuissance
rable le pronostic des affections de la queue de cheval : dans deux cas , une intervention opératoire a été tentée, avec u
ntervention opératoire a été tentée, avec un succès relatif dans un cas , avec un succès complet dans l'autre. Je vais vou
leurs sont en rapport avec une lésion organique incurable. Dans un cas pareil, vous vous passerez difficilement ! , en d
Reste l'intervention chirurgicale. Celle-ci a été tentée dans deux cas dont je vous ai déjà fait mention, et qui'résum
de résoudre ce problème. Je distinguerai d'abord deux catégories de cas , suivant que des phéno- mènes de paralysie sens
ères fécales, et ils n'ont plus conscience de leurs évacuations. Ce cas , vous disais-je, est d'une interprétation bien
agnostiquerez une simple compression de la queue de cheval, dans le cas où les douleurs, première manifestation en date,
le crural, branche du plexus lombaire. Il en était ainsi dans un cas de Leyden (Lehrbuch der Ruckenmarks Krankheiten
es inférieurs; seulement, à l'inverse de ce qui avait lieu dans les cas des deux précédentes catégories, la paralysie n
, moins la zone d'innervation des péroniers ? Au contraire, dans un cas de Kahler (Prayer medicin. lvocheiischi,ift, 18
ée la zone d'innervation du péronier. A propos de ces deux derniers cas , Eulenburg a fait remarquer que, suivant une op
. Une dernière éventualité se rapporte à notre seconde catégorie de cas . C'est celle où les manifestations pathologiques
tions réflexes de ces mêmes organes.. , Il en était ainsi dans un cas publié par Kirchhoff (Arcchiv sur Psychia- trie
fierai de rnédico-chiT1lr,qical. J'ai insisté sur ce que, dans deux cas d'affection de la queue de cheval, l'intervention
ention opératoire s'était pro- duite avec un succès relatif dans un cas , avec un succès complet, dans l'autre. Ce son
jeu soit justiciable de l'inter- vention opératoire, et tel sera le cas lorsqu'il s'agit d'une compression entretenue p
èbres fracturées, tumeur extra-dure-mérienne. Au contraire, dans le cas d'une lésion intra-spinale, l'intervention du chi
à la seule inspection du rachis. Il n'en est plus de même dans le cas d'une lésion intra-rachidienne telle qu'une tum
d'innervation des premières et deuxième racine lombaires, dans les cas où la lésion siège au niveau de la première lom
innervé par le péronier sera indemne (catégorie d). , 5° Dans les cas de lésions circonscrites (luxation, fracture), si
ntera, aux membres inférieurs, une disposition inverse que dans les cas précédents ; elle affectera tout le domaine inn
sacrée. Nous sommes maintenant en mesure, Messieurs, de revenir au cas de notre malade. Le diagnostic de l'affection d
guérie sur le tombeau du diacre Paris. Nous aurons à revenir sur ce cas curieux dans lequel les accidents qui affectère
ade qui redoute un cancer ». ' Astley Cooper (5) rapporte plusieurs cas de cette affection. Celui d'lJ- lisabeth Pollar
u névrose des mamelles ». En 1837, Brodie rejette de l'hystérie les cas où il existe une tumeur dans la mamelle. Bien q
ans ses notes sur les affections du sein, a relaté plusieurs de ces cas . La malade se plaint d'une douleur sié- geant d
r avec un aspect généralement lisse. « Il ne faut pas confondre ces cas avec ceux de tumeur douloureuse du sein dontAst
femmes qui ne sont aucunement prédis- posées à l'hystérie. Dans ces cas dont il est question, la douleur et la sen- sib
CONOGRAPIIIE DE LA SALPÊTR1ÈRE assurance n'aura aucun effet dans un cas d'affection hystérique vérita- ble ». La desc
ui font également défaut, lorsque plus loin (p. 481), il publie, un cas de « galactorrhée, datant de sept ans, alternan
d'un titre. MM. Bourneville et Regnard (4), en 1877, analysent les cas déjà connus à propos d'un nouveau fait qu'ils o
stérie, la contagion nerveuse est à redouter.. - En dehors de ces cas où l'on peut reconnaître la cause occasionnelle d
e, décrit les tumeurs douloureuses d'A. Cooper, l'auteur arrive aux cas où domine la simple congestion de l'organe. « C
des affections des organes du bassin. « J'ai observé, dit-il, un cas remarquable de cette forme de mastodynie chez u
ur Verneuil, nous a montré, dans son service de l'Hôtel-Dieu, trois cas de mastodynie, dans lesquels l'influence de l'hys
vue de la fréquence, il ne faut donc pas se baser sur le nombre des cas publiés et rapportés directement à la névrose, au
es étaient le siège de l'affection. Nous avons nous-même abservé un cas analogue avec prédominance très marquée cependa
m- maire. L'hyperesthésie de la peau du sein, notée dans tous les cas , ne diffère pas des hyperesthésies du tégument
uvent supporter le frôlement de la chemise alors que, dans certains cas , mais non dans tous, la pression du corset semble
olet (1). L'aspect du tégument peut donc être variable, suivant les cas , pendant les paroxysmes ou dans leurs intervall
se bornent pas toujours à la durée du paroxysme lui- même. Dans les cas simples, ou lorsque l'affection ne fait que début
va s'exalter sous l'influence de diverses causes. C'est dans ces cas que la palpation révèle des particularités intére
firmation prouve simplement que Brodie n'en a pas constaté dans les cas qu'il a observés, autrement elle irait contre l'é
es phénomènes douloureux et autres que nous avons décrits. Dans six cas sur sept, -la tumeur était mobile sur les tissus
ent dont l'élément psychique fit en somme tous les frais. Dans un cas rapporté par Briquet, outre- les phénomènes d'hyp
même interprétation. Dans celle-ci l'oe- dème, qui, -dans tous les cas , est dur, n'admettant pas l'empreinte du doigt,
moins toutefois qu'il n'existe des ulcérations, comme dans certains cas que nous allons analyser. En tenant compte de
'application de terre recueillie sur le tombeau du diacre Paris. Le cas vaut la peine d'être analysé, d'autant qu'il étai
nous savons aujourd'hui des troubles trophiques dans l'hystérie, ce cas est d'une interpréta Lion facile. Attaques sync
dont l'un avoit été immobile depuis deux ans ». D'après ces deux cas , on peut juger que le pronostic de l'affection hy
t elle peut s'étendre sur une période de douze années comme dans le cas de la de- moiselle Coirin, mais encore donner l
. La contraction peut survenir dans un muscle distendu, et, dans ce cas , elle n'en modifie guère la forme qui reste sur
ormes extérieures ne sont naturellement pas les mêmes dans les deux cas . Un muscle contracté et raccourci est remarquab
as et de la main. Dans l'extension, les choses changent, et trois cas peuvent se présenter : 10 l'extension est produ
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE l'action de la pesanteur. Dans ce cas , les muscles contractés sont toujours les fléch
membre et ne fait plus office que de modérateur. Dans le pre- mier cas , la contraction musculaire est uu véritable moteu
ôle d'un frein qui retarde le mouvement. Il est encore un troisième cas , c'est celui dans lequel la contraction muscu-
contraction dynamique. La forme du muscle est la même dans les deux cas . Les photographies instantanées montre que, dan
dynamique. Mais elles sont moins accentuées et plus rares. En tout cas , l'opposition entre les deux formes de contractio
aisonnements très simples qui viennent à l'esprit. Je suppose trois cas de flexion à angle droit de l'avant-bras sur le b
immobile, le biceps est en contraction statique. Dans le deuxième cas , l'avant-bras se fléchit, le biceps est en contra
contraction dy- namique avec travail positif. " Dans le troisième cas , le membre s'étend, le biceps est en contraction
mique avec travail négatif (contraction frénatrice). Dans les trois cas , l'effort musculaire est comparable, car le degré
s de l'avant-bras. De plus, je suppose le temps égal dans les trois cas , temps représenté si l'on veut par la fraction de
anteur qui agit à l'autre extrémité du levier. Or, dans le premier. cas , : puisqu'il'y a équilibre il faut .bien admettre
Donc Contration statique. =' P. ! j . ' . ? . ' ; , Dans le' second cas ,1 puisqu'il y a' nexioll, . [1actio'n' musculire
. La saillie 'générale : du' 111usle' est' la" même clans, l leu.x. cas , mais dans l'exten- tion le relief du biceps se
us être question de contraction frénatrice. Aussi je ne rappelle ce cas que pour montrer le point extrême vers lequel ten
membre qui se meut, il soit complètement impossible, dans certains cas , de distinguer dans quel sens il se meut. D'où
plus évidente encore, lorsque la main est chargée d'un poids. Dans ce cas , à la contraction du biceps, on voit manifestem
donnerai les conclusions auxquelles est arrivé cet auteur. Trois cas peuvent se présenter : 1° Les deux muscles (ou
pes de muscles) antagonistes se contractent simultanément, c'est le cas le plus habituel, le type normal ; 2° Un seul d
terprêtés comme il suit par M. Beaunis. Inutile de parler du second cas , dans lequel un des muscles reste immobile ; le
eul muscle, il n'y a besoin d'aucune explication. Dans le premier cas , lorsque les deux muscles antagonistes se contrac
tionnelle à la difl'érence des deux contractions. Dans le troisième cas , contraction d'un côté et relâchement de l'autre,
cle qui est le muscle antagoniste. Nous serions ici dans le premier cas de M. Beaunis, cas dans lequel les deux muscles
le antagoniste. Nous serions ici dans le premier cas de M. Beaunis, cas dans lequel les deux muscles antagonistes entrera
tement juste de M. Beaunis. L'elfort du muscle fléchisseur, dans ce cas , se trouve partiellement annihilé par la résist
t maintenu immobile dans la même position, on voit, dans ce dernier cas , un relâchement évident se pro- duire non seule
nous constatons que le triceps est moins contracté clans le second cas que dans le premier (l'l. XVI, fig. 1 et 2). Fait
muscle extenseur, mais qui se comprend, si l'on songe que, dans ce cas (mouvement lent), le muscle actif dans l'extensio
, ce qui indique un état de contraction plus marqué dans le premier cas que dans le second (PI. XVI, fig. 1 et 3). Pa
ur lequel nous voyons le tri- ceps contracté. Ainsi donc, dans ce cas , l'avant-bras se trouve pour ainsi dire lancé dan
s l'abaissement que dans l'élévation du membre, car dans ce dernier cas , le muscle ,ne fait, que retenir ]eoids entraîn
tographies instantanées sont très démonstratives.. ! ' .' Dans ce cas . il nous, sera donc très facile sur. l'imagé du m
nous saurons s'il se meut lentement ou rapidement. Dans le premier) cas , la contraction de la partie moyenne et antérie
intéressantes A. Dans les mouvements lents, il faut distinguer deux cas : 1° Ceux qui s'exécutent dans un plan vertical
la cuisse fléchie sur le bassin est maintenue horizontale. Dans ce cas , l'extension de la jambe est produite par l'exten
mouvement de la jambe en sens inverse, etc., etc... Dans tous les cas , la forme du membre en action ne changera guère q
rès rapides, il 11' ! J a pas de catégorie à établir; dans tous ces cas , les choses se passent comme dans les mouvements
les muscles antagonistes sont manifestement re- lâchés. ' Dans ce cas , la forme du membre est telle qu'a la seule inspe
une intervention qui, quelques semaines avant, nous avait, dans un cas en apparence analogue, donné un résultat très sat
sible. L'erreur de diagnostic qui fut faite si longtemps dans iotre cas nous fait soupçonner qu'une erreur analogue a d
e clinique de notre malade semble le prouver, et dès lors, dans les cas où comme dans le noire l'hyperesthésie occupe une
re correspondante, et par son électrisation. On a vu que dans notre cas , M. Gley a bien voulu prati- quer cette électri
lles, va me permettre de revenir aujourd'hui sur cette question. Le cas est d'ailleurs typique et fort instructif. Laisse
e la vessie et du rectum à la fois. Ce syndrome a été observé dans un cas de compression des nerfs destinés à ces organes
ge de l'anus, à la région cruro-fessière. Ce tableau a été vu dans un cas de lésions en foyer, ayant désorganisé le centr
uire l'énumération complète des autres groupes sympto- matiques. Le cas de notre malade reproduit avec une fidélité parfa
syn- drome. Point n'est besoin de vous faire observer que, dans le cas présent, Me foyer doit intéresser presque exclu
superflu de vous faire remarquer l'identité des symp- tômes dans le cas d'Oppenheim et dans notre cas actuel. La superpos
er l'identité des symp- tômes dans le cas d'Oppenheim et dans notre cas actuel. La superposition est parfaite. Or cette
ême aller plus loin et présumer l'identité de nature clans les deux cas . Je m'explique. Dans l'observation d'Oppenheim, l
lité de retrouver une autre origine, je pense qu'il s'agit ici d'un cas d'hématomyélie. Resterait à rechercher la raiso
rs ne sont pas exceptionnelles. Je n'en veux pour témoignage que le cas publié il y a plus de vingt ans par Erb (1) et
scia- tique, vous aurez évidemment les mêmes symptômes que dans le cas où un foyer, situé en 13, comprime les racines
l'obturateur ont déjà quitté le canal rachidien. Dans le pre- mier cas , vous vous trouverez en présence d'une paralysie
sur un autre signe différentiel. Je vous disais alors que, dans les cas de lésion destructive de la moelle occu- pant u
longtemps, deux médecins anglais, Schawet Busch (2), ont publié un cas de lésion traumatique de la queue de cheval, où l
lante. Ces par- ticulari tés sont très évidentes dans la moitié des cas environ (21 fois sur 40).. z On peut donc lég
Le torse n'a subi aucune déviation latérale que dans la moitié 'des cas environ, sur 19 sujets. Chez les 21 antres il e
uche bien que très facilement appréciable est, dans la majorité des cas , assez peu accentuée pour échapper dans toute a
ces observations et de leurs conséquences. Pour plus de clarté, les cas seront accompagnés de planches. , vin 11 LÉGE
C L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU 169 Je commencerai par un bref résumé des cas observés par nous qui ont servi de base à nos d
supérieures. Un , . Fig. 46. Rétrécissement du champ visuel dans le cas I. 170 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S"\LI'ITIIII
hésie il la douleur du tronc et des extrémités. (Fig. foi-5) XII. Cas décrits en 1887 par le 1)" Nikolski (1). Un sol
indre sensation douloureuse. (Fig. 47) En comparant ensemble les 12 cas ci-dessus décrits d'eczéma chronique, on'voit q
par membres ou par parties de membre), mais parfois aussi cérébral ( cas 1 et IItet périphérique (III dans la région muscu
t soutenus. Pour les varioles de l'anesthésie, dans la majorité des cas , 7, on a ob- servé l'anesthésie à la douleur; d
4, l'anesthésie a toutes les variétés de sensibilité; enfin dans un cas l'anestllésie du sen- timent de la douleur et d
z un même malade. Le cours de l'anesthésie a été lent dans certains cas (jusqu'à 3 ans) et rapide dans d'autres (5 sema
s cas, l'ec-- zéma affectait les régions anesthésiées de la peau (8 cas ) ; dans les autres, il s'étendait aussi bien su
uxquelles on pourrait attribuer l'anesthésie ob- servée dans les 12 cas cités, il faut tirer cette conclusion que tous ce
ée dans les 12 cas cités, il faut tirer cette conclusion que tous ces cas se rapprochent le pi us de l'hystérie, et dans
que tous ces cas se rapprochent le pi us de l'hystérie, et dans 4. cas (I, II, III et IV) considérer le diagnostic de
qu'à présent dans la littérature spéciale. Leloir (1) mentionne les cas d'Eulcnhurg et de Vulpian. Mais le cas de Vulpian
le. Leloir (1) mentionne les cas d'Eulcnhurg et de Vulpian. Mais le cas de Vulpian a présenté un cours particulier, car
uvreté de données littéraires s'explique par ce l'ait que, dans les cas graves d'hystérie où do- minent les phénomènes
opatliologistes se concentre sur ces derniers, tandis que, dans les cas moins graves où domine l'affection cutanée, les
désordres nerveux, négligent l'examen du système nerveux. Tous les cas cilés d'eczéma auraient passé sans aucun éclairci
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAn'ÈTiUÈUE tre dans toute une série de cas el que, dans beaucoup d'entre eux, on observe u
hez les hystériques peut se développer, ainsi qu'on l'a vu dans les cas cités, aussi-bien dans les régions où la sensib
i précédent, nous croyons possible de considérer l'eczéma, dans les cas décrits par le Il Nikolski, comme un symptôme d
usqu'à la gangrène. Nous avons pu nous convaincre par notre premier cas combien est altérée l'ac- tivité vitale de la p
même temps, nos obser- vations démontrent, dans toute une série de cas , la coïncidence de l'eczéma avec l'hystérie, la
pelle involontairement le cours de l'hystérie. Enfin, dans certains cas , l'eczéma disparaît en même temps que l'hystéri
t le reste, confirme la supposition que l'eczéma, du moins dans les cas cités plus haut, était une des formes si nombre
'eczéma accompagnant l'hys- térie peut se développer, dans certains cas , spontanément et dans d'au- tres, à la suite d'
de suivre l'éruption sur le trajet decette branche. Mais, clans le cas actuel, la ZONA GÉNÉRALISÉ A LA PRESQUE TOTALIT
nels ; j'ai cherché, mais .en vain, dans la littérature médicale un cas analogue ; je n'ai trouvé due des cas de « zona
ns la littérature médicale un cas analogue ; je n'ai trouvé due des cas de « zonas doubles symétriques ou asymétriques »,
zonas doubles symétriques ou asymétriques », c'est-à-dire soit des cas de « zona bilatéral et symétrique du thorax », so
oit des cas de « zona bilatéral et symétrique du thorax », soit des cas de zona « double siégeant au thorax du côté droit
dans le tableau de Siegerson, repro- duit par Nothnagel ('I). Le cas que nous offrons dans ce travail se rapporte à l'
membres d'un côté, la déviation de la langue du même côté. Dans ce cas , ce signe est en général peu prononcé ; il est tr
e ne s'accompagne pas d'hémiatrophie de la lan- gue. , A part ces cas d'hémiplégie cérébrale, la paralysie unilatérale
mes ou des tumeurs, qui respectent l'axe céré- bro-buibaire. - Le cas de Souques (1), le seul qui se rapproche quelque
es mouvements delà langue étaient difficilement appréciables. Notre cas représente au contraire un type d'hémiplégie alte
urs (1) Iconographie de la Salpêtrièrr, 1891, p. 3.'iS. Souques, Un cas d'hémiplégie al- terne (type ))inard-Gn]))cr) c
sions sur d'autres points de l'appareil cérébro-spinal, faisait de ce cas un type parfaitement pur d'hémiplégie alterne.
tions, tantôt d'opérations, tantôt d'accou- chements. Dans tous ces cas , la manière dont l'artiste a rendu l'expression
en ne prouve qu'il soit plus ignorant. Il a d'ailleurs affaire à un cas beaucoup plus grave. ' La Malade de J. Steen, b
itare pendue à la muraille el se mettra à chanter. Tel l'est pas le cas de la triste cliente du médecin de S. van Iloogst
irait plutôt que le Convive indigne ¡cuL de tomber en attaque En tout cas , la pâleur du visage, l'abandon de la tète, le
ouvent en pareils (l) GILLES de \ TOUIIETTI : i : r Lcor.ms. Sur un cas d'ostéite déformante de Paget. Nouv. Icon. de l
1894, p. 1. vin lk 206 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE' cas . Pendant la vie, les réflexes rotuliens avaient é
ut varier normalement entre 25 à ! ! 2 p. zoo, n'était plus dans le cas actuel, pour le tissu osseux sec, que de 18 à 70p
T. VIII. PL. XXXV. COUPES DE LA MOELLE (RÉGION DORSALE) DANS UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET LA LÉSION MÉDULLA
précédente objection. Les lésions que nous avons notées dans deux cas consécutifs semblent donc bien appartenir à la
d'atrophie de ces fibres nerveuses. Quant aux nerfs que, dans ces cas , nous avons trouvés augmentés de volume, ils so
édullaire qui était beaucoup moins mar- quée que dans notre premier cas , semble récente et en rapport avec l'as- phyxie
ent des troubles tro- phiques dépendant des lésions médullaires. Le cas nouveau que nous pu- blions n'infirme ni ne cor
ifeste immédiatement après. J'ai déjà eu l'occasion d'ob- server un cas de ce genre il y a plusieurs années (1) : Ons.
n n'y voit que des traces linéaires d'anciennes cicatrices. Dans ce cas comme dans le premier, l'évolution des lésions n'
s et publiées par Henry Meige, XXV- leçon. (9) lierrnv MEME. Deux cas d'hermaphrodisme antique, Nouv. Iconog. de la Sal
t rattacher à l'hystérie, fréquemment associée à l'infantilisme. Le cas suivant est un bel exemple d'Infantilisme chez la
e.. Mais ici encore il importe de distraire de cette catégorie, les cas de pseudo-hermaphrodisme dans lesquels une malf
du sexe masculin (1). Un tel être est un homme, un homme (t) Tel un cas rapporté par le Dr Guermonprez (de Lille). Une er
, parfois même la figure, voix l'orle et goûts masculins. Selon les cas , les seins peuvent- être bien développés ou notab
aux. Par ses caractères sexuels secondaires, il se rapproche de ces cas d'her- maphrodisme que M. Paul Richer (1) a pro
uv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 6, 1892. (2) Henry Meige, Deux cas d'lae·magh·oditisme antique. Nouv. Iconogr. de la
es personnages se- condaires et les accessoires varient suivant les cas . Le patient, assis sur un siège spécial, le hau
itique humoristique. Mais il ne saurait en être question dans notre cas : la pièce d'or martellée, si habilement escamo
pte de l'influence de cette tradi- tion : elle suffit dans quelques cas à éclaircir tout le mystère. Mais l'inté- rêt m
'est le malade lui-même qui vient de la dire. Qu'on se rassure ! Le cas n'est pas grave. Si le patient veut prendre la
ctions de pierre de,la tête. Le manuel opératoire varie suivant les cas ; mais la' donnée reste la même. . Peintures n
levée. 11 fait une moue dédaigneusedes plus comiques : pour lui, le cas est banal, et sera guéri en un instant. Il est
e dans les compositions de Jérôme Bosch ne se retrouve plus ici. Le cas paraît vraiment grave. Le patient porte au front
à la vue de son sang et de celui des autres opérés. D'ailleurs, au cas échéant, l'opérateur a sous la main un ustensile
s accidents. La connaissance de ces données est d'ailleurs, dans le cas présent, indispensable à la solution du problèm
ment des phénomènes, avant d'aborder la dis- cussion approfondie du cas . Ces données étant connues, il ne nous reste pl
i elle répondait à la vérité, le siège du foyer supposé, dans notre cas , au voisi- nage de la couche optique, pourrait
e confirmée par des recherches anatomiques nouvelles. Dans tous les cas , la clinique plaide pour l'indépendance rela- t
viendrai donc pas sur ce chapitre. S'agirait-il, par aventure, d'un cas de polynévrite ? Je n'ignore pas qu'il a été pu
des faits très singuliers. Ainsi M. Dam- maron-Meyer (1) a cité un cas d'ophtalmoplégie externe, associée à une paraly
du mois de mai, la guérison était com- plète. Y a-t-il eu, dans ce cas , une lésion des nerfs périphériques ? Je ne le
e chez notre malade d'aujourd'hui. Il est, du reste, évident que le cas de IVI. Dammaron-Meyer n'est nul- lement compar
s posé en commen- çant. Un mot, avant de finir, sur le pronostic du cas . Vous vous rappelez que l'évolution des acciden
ie des femmes enceintes avec l'hystérie. Mais, avant d'ex- poser ce cas intéressant par le menu, nous croyons utile d'ent
, de la névrose; La possibilité de la nature hystérique de certains cas , au moins, de téta- nie fut longtemps méconnue
letin médi- cal (4), une leçon dans laquelle, à propos d'un nouveau cas , il étudie les rapports qui unissent l'hystérie
qui avait présenté anté- rieurement des crises d'hystérie joint au cas plus complexe de Minor (5), sont de nature à co
corroborer son argumentation. Il est à remarquer que dans les deux cas de Nicolajevic et de Schlesinger (qui semblent,
no 11, 189=r. An. in Rev. Veut ? 15 avril 1891, p. 205. , (5) un cas d'hystéro-tétanie. Soc. de neurologie et de psycl
épidémique chez les enfants en particulier; Qu'à part ce dernier cas , où l'hystérie est le plus souvent monosympto-
s les doutes qui pourraient exister sur la na- ture réelle, dans ce cas , du syndrome tétanique. P. L. âgée de 31 ans, m
de nourrice sans aucune souffrance et sans crises de tétanie. UN CAS DE GANGRÈNE CUTANÉE D'ORIGINE HYSTÉRIQUE par
\'I. GANGRÈNE CUTANÉE D'ORIGINE HYSTÉRIQUE L BATTAILLE ET C" UN CAS DE UANGHËKE CUTANÉE D'OHIGINE HYSTÉRIQUE : l8\)
présentations populaires. A tout prendre, dans l'un ou dans l'autre cas , il s'agit d'une comédie : jonglerie de charlat
aux coins tombants, fait une moue de mauvais augure. Evidemment, le cas est grave et demande une intervention diffi- ci
Son pauvre crâne est lout lacéré par les incisions antérieures : le cas est rebelle sans doute et a nécessité plusieurs
.Uiônolles, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË PAR le D' J. NAGE
e. Les hasards de la clinique réunissaient ainsi sous nos yeux deux cas dont l'expression symptomatique se ressemble si
épigastre, tandis que la sensibilité à la piqûre est conservée DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË ? -; s i ? $7 dans
e côté une mince bande qui borde la scissure antérieure ; dans DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 329 les cordons ant
pa- Fig. 65. Coupe de- la moelle au niveau de la 8e dorsale. DEUX CAS DE. MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 331 raissent être
e est un vaisseau entouré d'une couronne du corps granuleux. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 333 La pie-mère, du
ait une certaine analogie entre la disposition de la lésion dans le cas actuel et la configuration des foyers d'hématomyé
s eschares et des lésions vésicales, ne s'est pas surajoutée à DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 335 une lésion prim
llaires étendues quel que soit leur siège; leur exis- tence dans le cas actuel n'a donc pas lieu de surprendre. UNS. II
idents aigus avaient été précédés pendant quelques semaines de DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 337 phénomènes prém
ur droit. Le coeur est flasque, sans lésions de l'endocarde. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 339 Le foie est trè
VERSE AIGUË Coupe de la moelle. ? BATTAILLE ET C" ÉOITkURS DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 341 En dehors de la
, moitié fibreuse des vaisseaux qui cheminent entre les fasci- DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË C 343 cules des ner
peuvent très bien être anciennes, si nous en jugeons par les autres cas de méningo-myélite ou de méningo-encéphalite qui
orbide est sous la dépendance de l'altération des vaisseaux. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 345 D'autre part la
qui a été décrite dans l'observation précédente. On croirait ces deux cas calqués l'un sur l'autre, aussi bien au point d
yer exactement les mêmes moyens. Il existe néanmoins entre ces deux cas des différences très remarquables et dont l'étu
ence qui n'a souvent pas de valeur, nous voyons que dans le premier cas les accidents graves n'ont été annoncés par auc
t été très analogues ; la maladie a duré environ 5 semaines dans un cas et (i dans l'autre. Au point de vue anatomique
itude de considérer comme carac- téristiques de la syphilis dans un cas , l'absence complète de lésions ana- logues dans
dans un cas, l'absence complète de lésions ana- logues dans l'autre cas . C'est enfin et surtout la nature très différente
out la nature très différente des lésions vasculaires dans les deux cas . On comprend fort bien que deux espèces de lési
nt irrégulier, à protoplasma relativement abondant. Dans le premier cas nous avons affaire à une in- flammation pyogène
des vais- seaux et qui tend bientôt il dégénérer ; dans le deuxième cas au contraire nous sommes en face d'une réaction
seur Raymond en 1892 (Bulletin de la soc. med. des hôp.). Dans un cas nous avons une altération lente, plastique, des v
ne amyotrophie chronique, à évolution pro- gressive. Dans l'autre cas nous nous trouvons en face d'un foyer véritableme
ement a une évolution néoplasique plutôt qu'une marche inflam- DEUX CAS DE MYÉLITE TRAXSVERSÉ AIGUË 3t7 matoire. Ici l'
ter sur ce fait que les troubles circulatoires ne sont pas, dans le cas actuel, sous l'influence d'une cause mécanique :
rme que pourrait le faire supposer la rapidité du début; à côté des cas , sans doute plus nombreux de beaucoup (1), où l
yphilis médullaire, me paraît donc être, clans un certain nombre de cas , parfaitement justifiée. En d'autres termes le
un, des incartades ou des fugues qui rentrent dans la catégorie des cas prévus et excusés par l'article Ci du Code pénal
D'INCONTINENCE D'URINE par ' GASNE, interne des hôpitaux. Le cas suivant est un exemple de ces associations morbid
ion antéro-externe de la jambe. Nous pensons qu'il s'agit dans ce cas d'une myopathie atrophique pro- gressive, c'est
faire intervenir l'hé- rédité directe si souvent signalée dans ces cas , mais nous nous ap- puyons surtout sur la local
cette rareté de l'incontinence primitive et permanente, et dans les cas qu'il cite elle était toujours liée aux paralys
t de cette affection pour être en mesure de faire le diagnostic des cas nouveaux qui se présen- tent. Dans toutes les o
ieurs de cette maladie, et l'on peut l'appliquer à presque tous les cas cliniques. Dans l'ensemble, les sujets atteints
utre les différences d'ordre secondaire inhérentes à la variété des cas cliniques, il y a lieu de pousser plus à fond l'a
nous, ayant eu l'occasion d'examiner et de dessiner la plupart des cas de paralysie agitante qui se sont présentés à la
dire que la description précédente est applicable à la majorité des cas . - - Nous ne parlons pas des formes hémiplégiqu
nogr. de la Salpêtrière, 1888, p. 213. (2) Voy. A. DU'CIL. Sur un cas de paralysie agitante à forme hémiplégique avec a
RE assise ou en marche permet défaire le diagnostic. Il s'agit d'un cas typi-' . que de paralysie agitante. Faciès. L
re. On le voit, par la lecture de cette observation, il s'agit d'un cas de ma- ladie de Parkinson parfaitement conforme
ependant leur im- ' portance tant au point de vue du diagnoslic des cas frustes que des hypo- thèses que l'on peut fair
t autrement chez le sujet atteint de maladie-de Parkinson, dans les cas de beaucoup les plus fréquents où la soudure appa
récédente ne s'applique donc pas d'une manière absolue à tous les cas de paralysie agitante ; mais elle reste vraie p
e, et tous les acci- dents : et j'ai vu cela dans beaucoup d'autres cas ». Les accidents céré- braux peuvent avoir du r
coque de calebasse sèche : ce' que je ne blâme ni ne loue ; dans un cas seulement j'approuve tout à fait l'application
veau type), par ANNA GOUKOVSKY, 178. Hermaphrodisme antique (deux cas ), par HENRY Meige, 56. Infantilisme chez la f
nence d'urine, par GASrrE, : 3.ïr. Myélite transverse aiguë (deux cas ), par NAGEOTTE, 325. Névralgie de la VIlle ra
ltoïde, par F. RkYlIOND, 13. Paralysie bilatérale du deltoïde (un cas ), par Souques et J. B. Charcot, 53. Pelade po
llaire de l'ostéite déformante de Paget, 205. MEIGE (Henry). Deux cas d'hermaphro- disme antique, 56. Infantilisme
kinson, 362 1VIOCZUTIio\VSIiI. Un algésimètre, 41. NAGEOTTE. Deux cas de myélite transverse aiguë, 325. RAYMOND (F.
D.). « Epidémie skin disease))' 48. Souques et J. B. Charcot. Un cas de pa- ralysie bilatérale du deltoïde, 53. St
74 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
re de la formation des membres, nous paraît-il pré- férable dans le cas présent d'employer des termes correspondant à des
ellules motrices médullaires. On nesau- rait utiliser par suite les cas de gangrène sénile malgré l'apparence seg- ment
e du système nerveux) la clinique n'a jamais montré chez l'homme un cas d'atrophie musculaire myélopathique à dispositi
yélique intra-médullaire. Cependant, nous croyons que dans certains cas , malgré le défaut d'autopsie, on peut soute- ni
point de vue de la motilité et des réactions électriques : dans les cas de pachyméningite les troubles moteurs et les alt
des réac- tions électriques marchent davantage de pair que dans les cas de troubles moteurs relevant des lésions cellul
ornes antérieures à processus lent et chronique ; dans ces derniers cas , en effet, il est fréquent de ren- contrer des
ez vraisem- blable que la paralysie s'était cantonnée dans ces deux cas précités sur le groupe radiculaire supérieur. E
ant entraîné une atrophie de la 8e racine cervicale droite. Mais le cas est d'interprétation délicate. Le groupe cellulai
de la corne antérieure. Dès lors apparaît l'intérêt de l'étude des cas de poliomyélite infantile, et reprodui- sant de
e radiculaire de l'atrophie est facile à constater dans beaucoup de cas . Le groupe Duchenne-Erb est parfois lésé dans c
te affection, la distribution de l'atrophie est la même que dans le cas de paralysie radiculaire supé- rieure du plexus
ainsi une topographie radiculaire, très rares sont au contraire les cas typiques uniquement localisés sur un groupe ntdi-
e de ans ; il a entraîné, comme il arrive habituellement en pareils cas , un certain degré d'atrophie de la moitié droit
upe, et l'un de nous a pu les voir plusieurs fois atteints dans des cas de lésions de la par- tie radiculaire supérieur
re du pe- tit doigt par la VIF et la VI11° racines cervicales. Au cas de notre malade paraît le mieux s'appliquer le ta
avec NFC > PFC ou sur quelques muscles avec NFC = PFC. Dans ce cas le diagnostic de paralysie infantile est moins ne
elques réserves 24 CESTAN ET HUET toutefois. Il s'agirait dans ce cas d'une paralysie infantile à forme dou- loureuse
tent une réaction de dégénérescence encore très accentuée. (Dans ce cas la partie inférieure du grand pectoral ne présent
ue pour le clinicien, car il n'existe pas, exception faite pour des cas tout à fait exceptionnels de paralysie infan- t
sur les maladies nerveuses, 1,8 série. Salpêtrière (1893-1894). UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉACTIONS ÉLECTRIQUES NORMALE
d'une façon absolue à cause des particula- rités que présentait son cas . Cet enfant a été conduit à l'Hôtel Dieu à la c
la réaction de dégénéres- cence. On en a cependant signalé quelques cas , mais il y a lieu de se de- mander s'ils se rap
ture myopathique de cette affection. M. Pierre Marie rapproche ce cas de celui du jeune Worm... qui figure dans le mé
nt des modifications quantitatives qu'on devrait observer en pareil cas , mais bien des modifi- cations qualitatives de
; aussi préférons-nous admettre que nous nous trouvons en face d'un cas de myopathie primitive dans lequel les muscles
e nous n'avions jamais observée a été si- gnalée par Scherb,dans un cas de myopathie primitive avec cyphoscoliose prése
aisemblable qu'il s'agit d'une myopathie atrophique progressive. Ce cas en apparence anormal nous paraît venir à l'appu
ême famille, car elles ont la même valeur si elles se présentent en cas isolés -, c'est plutôt leur mode d'évolution pa
autre, ces variantes n'existant pas lorsqu'on étudie l'ensemble des cas qui surviennent dans une même famille. Pour la
les interprète différem- ment. On observe en effet fréquemment des cas qui retracent bien dans ses grandes lignes le t
.petites ou grandes, pour chaque nouvelle famille ou chaque nouveau cas isolé. Il faut renoncer à en faire des types di
1900 (1). Antécédents héréditaires. L'enquête ne révèle pas d'autre cas semblable parmi les ascendants ou les collatéra
brale, même pendant le sommeil ; en un mot on ne trouve pas dans ce cas le facies si caractéristique de la forme facio-sc
onnent encore, quoique faiblement, le moignon de l'épaule ; en tout cas ils maintiennent suffisamment l'omoplate contre
evenir ; parmi les muscles du tronc, la maladie d'évolution dans ce cas n'a pas frappé seu- lement les sterno-mastoïdie
edresser la colonne vertébrale, d'où la forme un peu spéciale de ce cas et l'impotence parti- culièrement grave qui en
le traité des maladies ner- veuses du professeur Grasset. Les deux cas que nous publions, observés à la clinique de no
abilité est notablement di- minuée dans quelques muscles ; c'est le cas par exemple à la cuisse pour le vaste externe e
formation thoracique décrite par M. Marie fait- elle défaut dans le cas actuel : le sternum est, comme chez les sujets no
articulier nous avons pu relever dans les auteurs français quelques cas comparables à ceux que nous venons de décrire.
nt la même maladie que lui ; le début a été le même dans les quatre cas , a toujours eu lieu vers l'âge de 13 à 14 ans ; e
ule entité morbide ; tout au plus, pour- rait-on voir dans nos deux cas , une variété un peu spéciale de myopathie que c
oca) Masson & C ? Editeurs OcrILaaJ. - l' IS SUR UN NOUVEAU CAS D'AMYOTROPHIE A TYPE CHARCOT-MARIE PAR R F.
ARIE PAR R F. SOCA, Professeur à la Faculté de Montevideo. Le cas suivant présente des particularités qui se prêten
nte ou même sur la pointe (Pl. IX). Elle steppe légèrement, en tout cas elle ne talonne pas du tout, et se dan- dine vi
lade et la sage-femme qui l'a toujours accouchée, et SUR UN NOUVEAU CAS D'AMYOTROPHIE A TYPE CHARCOT-MARIE 55 qui la co
rrive plusieurs fois par jour, une fois pendant que j'expliquai son cas à mes élèves, elle s'endormit ainsi, et en se rév
e réveillant elle fut désolée de son inconvenance. SUR UN NOUVEAU CAS n'AMYOTROPHIE A TYPE CUARCOT-MARIE 57 Les autre
foie, estomac, intestin sont normaux. Quel diagnostic faire dans ce cas ? Il faut d'abord faire certaines élimi- nation
on tableau clinique. Serait-ce par hasard une polynévrite ? En tout cas il ne s'agil pas d'une polynévrite ordinaire. U
ues. Je crois que, pour arriver au diagnostic, il faut envisager le cas comme une amyotrophie progressive essentielleme
distribution de l'amyotro- phie). Il ne reste donc, - hormis les cas d'amyotrophie réflexe d'origine articu- laire,
sont certai- nement pas en cause, -il ne reste donc hormis tous ces cas , que le type Charcot-Marie. Cependant je reconn
n'en apparaisse encore de nouvelles formes ? Il faut voir si notre cas s'accorde exactement avec le type décrit par 58
commence à être pris, mais cela s'est vu dans un certain nombre de cas , et de toute façon la même exploration électriq
nsibilité sont manifestes, et ainsi que cela s'est vu dans quelques cas , les troubles objectifs diminuent de l'extrémité
age dans la marche caractère familier très probable. Cependant le cas a quelque chose de singulier, de nouveau, et c'es
dans le type Charcot-Marie, mais il n'y a, à ma connaissance, aucun cas ou elles aient précédé d'un temps si long, les
amyotrophiques, sensibles pour le malade. Il n'y a pas non plus de cas où la durée des douleurs ait été si longue. Mai
ait été si longue. Mais l'un des traits vraiment remarquables de ce cas , c'est l'intégrité absolue des membres supérieurs
harcotNlarie, si bien qu'il rejette du cadre de la maladie tous les cas où les membres supérieurs restent indemnes, au
, au moins quand il s'est écoulé un temps suffisant, SUR UN NOUVEAU CAS D'AMYOTROPHIE A TYPE CHARCOT-MARIE 59 pour que
CHARCOT-MARIE 59 pour que cet envahissement ait pu se produire. Les cas publiés, avec in- tégrité des membres supérieur
raient à d'autres formes d'a- myotrophie, ou seraient seulement des cas de transition, encore incom- plètement développ
ter aux membres inférieurs d'une manière définitive. Supposons un cas , réalisant le type Charcot-Marie, d'une façon par
ela bien légitimement, l'amyo- trophie Charcot-Marie. D'après les cas connus , l'envahissement des membres supérieurs s
délais très variables, depuis quelques semaines jusqu'à 15 années ( cas de Déjerine). Prenons le cas de.Déjerine, 14 ans
s quelques semaines jusqu'à 15 années (cas de Déjerine). Prenons le cas de.Déjerine, 14 ans après le début : quel diagn
reste, combien de temps devrait-on attendre, pour déclarer dans un cas donné, que les membres supérieurs ne se prendra
upérieurs ne se prendraient plus ? Voici à présent, l'importance du cas que je présente : c'est un type Charcot-Marie.
e la maladie les membres supérieurs sont encore indemnes. Est-ce un cas de transition ? Les membres supérieurs se pren-
membres supérieurs se pren- dront-ils ? Cela serait en tous cas un cas de transition unique. Le temps le plus long éco
férieurs et celui des membres supérieurs est de 15 ans, d'après les cas connus jusqu'à présent (cas de Déjerine). Cep
s supérieurs est de 15 ans, d'après les cas connus jusqu'à présent ( cas de Déjerine). Cependant, je crois bien qu'il ne
de Déjerine). Cependant, je crois bien qu'il ne s'agit pas ici d'un cas de transition, je crois que ma malade réalise l
du tout (ce sont ses propres paroles) depuis un temps fort long. Ce cas paraît donc prouver que l'en- vahissement des m
sèment, peut-être incipient, de la racine des membres inférieurs, ce cas prouverait, et cela victorieusement, que l'enva
'écouler toute une vie, avant que cette atteinte ne se produise. Ce cas offre, en outre, d'autres aspects non moins impor
avec le piétinement sur place. Nous avons encore tous vu aussi, des cas de paralysie de la jambe, tout aussi considérable
er que l'explication de MM. Charcot el Marie ne s'applique il leurs cas , et bien d'autres encore, mais je soutiens que
s je soutiens que celle explication ne s'applique pas du tout à mon cas , et c'est là son côté le plus intéressant. Ma m
tait inerte, comme si ses jambes étaient subitement SUIt UN NOUVEAU CAS U·A\110'l'H01'llIL A '111'G CHARCOT-MAROE 61 fr
puisse faire. tout il pourrait encore s'agir d'une association ; le cas n'en serait pas moins in- téressant. Pour tir
on ; le cas n'en serait pas moins in- téressant. Pour tirer de ce cas tout le parti possible pour l'explication du piét
le type Charcot-Marie, il faudra évidemment atten- dre de nouveaux cas étudiés au point de vue spécial de l'astasie. Qui
ymp- tôme, il faut une étude assez spéciale, et peut-êlre, pour des cas mal ca- ractérisés, surtout avoir l'esprit prév
'intelligence est bien (l développée, cependant nous rapportons des cas , où sans présenter des « troubles mentaux, prop
cas, je note le fait en passant, et s'il se retrouve dans d'autres cas , il y aurait là un nouveau et très singulier symp
de leur pathogénie, le moment est évidemment arrivé, où l'élude des cas typi- ques a donné tout ce qu'on pouvait en exi
la maladie de Thomsen, la tendance à être accompagnée dans quelques cas de l'atrophie de certains groupes musculaires. On
; une telle locali- sation de l'atrophie, caractéristique pour les cas décrits par les auteurs précédents, se distingu
e attention sur quelques questions, résultantes de l'étude de notre cas et des cas pareils. Il est certain que le muscl
sur quelques questions, résultantes de l'étude de notre cas et des cas pareils. Il est certain que le muscle myotoniqu
ugmentation de volume des fibres musculaires, manifeste en d'autres cas une tendance à la diminution par suite de l'atrop
démontrée pour la première fois par l'examen microscopique dans le cas de Schônbom (loc. cil.) et fut notée en passant
ente avec ses formes si différentes. En même temps apparaissent des cas atypiques de la myotonie tels que la variété at
bre dynamique ou constructif; grâce à cela il s'adjoint dans quelques cas à l'activité exagérée du neurone moteur périphé
de Hoffmann et 1 frère et 2 soeurs de Pelizns). Si on a décrit des cas de l'apparition de la maladie après l'une ou l'au
s'y adjoigni rentdifférentes paresthésies,etquand lesdeux derniers cas commen- cèrent à se manifester,l'anesthésie et
DE LA MOELLE, PAR R Le Professeur. RAYMOND (1). Messieurs, Le cas du malade qui va servir de thème à la leçon de ce
on a trouvée réalisée dans un nombre relativement considéra- ble de cas publiés au cours de ces dernières années. Elle co
racines dor- sales, lombaires et sa- crées. 84 RAYMOND D aux cas où la paralysie sensitivo-motrice, limitée aux do
rieure du cône terminal. Cette symptomatologie se retrouve dans les cas où une lésion siégeant dans le segment médullai
ui sont les origi- nes de ces mêmes racines. Donc, en présence d'un cas pathologique comme celui que réalise notre mala
quels éléments d'appréciation nous baserons-nous, dès lors, dans un cas pareil, pour trancher la question de savoir si no
ction survenue brusquement, à la suite d'un trauma- tisme ? En ce cas , nous aurons à rechercher sur quelle portion du r
éguments - innervés par le plexus lombaire, comme il arrive dans le cas que nous envisageons. Chez notre malade, le tra
provoquées par les mouvements, s'observent indifféremment dans les cas d'affection de la queue de cheval et dans ceux où
une forte douleur (signe de Lasè- gue), ainsi qu'il arrive dans les cas de névrite du sciatique. C'est pourquoi je suis
En réalité, la dissociation de l'anesthésie a été observée dans des cas où une lésion inté- ressait exclusivement les r
solue, sachez-le bien. Quand vous aurez à vous pro- noncer, dans un cas comme celui de notre malade, entre l'hypothèse d'
96 RAYMOND - Pronostic. - Messieurs, le pronostic à porter dans le cas actuel se pré- sente sous des couleurs assez so
. Eu thèse générale, les choses se passent tout autrement, dans les cas d'une affection proprement dite de la queue de'
cas d'une affection proprement dite de la queue de'cheval,dans les cas où une lésion circonscrite et extra-spinale agi
elop- pement des ulcérations de décubitus. , Enfin, dans certains cas , les affections de la queue de cheval sont jus-
rgien anglais Thorburn (1) était intervenu, et avec succès, dans un cas d'affection de la queue de cheval consécutive à u
rendre ses occupations. L'an dernier, le Dr Sachs (2) a publié deux cas de compression de la queue de chenal par une tu
ut, sous les traits d'une sciatique; l'autre avait été pris pour un cas de tabes. Dans les deux cas, on a tenté l'extirpa
iatique; l'autre avait été pris pour un cas de tabes. Dans les deux cas , on a tenté l'extirpation du néoplasme. Chez le
-t-il chaudement en faveur de l'inter- vention opératoire, dans les cas où, chez un malade qui réalise la symp- tomalol
de la queue de cheval, au niveau ou au-dessous du cône terminal. En cas de doute, vous vous imposerez comme un devoir d
isons positives d'admettre que le malade a eu la syphilis. C'est le cas de soup- çonner une compression de la queue de
e jusqu'alors, celte éventualité se soit trouvée réalisée, dans des cas d'affec- tion de la queue de cheval. 3° Le su
n sacro-lom- baire, irradient dans les membres inférieurs. C'est le cas de soupçonner l'existence d'une tumeur extra-sp
e de cheval. Ce remède n'est applicable que dans un petit nombre de cas . Le plus souvent, nous en sommes réduits il l'emp
affec- tionnent particulièrement le noyau lenticulaire, sur nos 88 cas il y avait 64 fois une lésion de ce noyau. 39 f
39 fois la lésion était limitée à un seul hémisphère, mais dans 25 cas les deux noyaux lenticulaires étaient atteints à
rée par les lacunes, 35 fois nous la trouvons atteinte et parmi ces cas 6 fois seulement la lésion était bilatérale. Vi
psule soit sectionnée, cela se voit cependant mais surtout dans les cas où la lésion est franchement hémorragique et a ce
ique suivant le siège de leur lésion : sauf peut-être dans certains cas lorsque la capsule interne est complètement sec
c'est là un fait presque exceptionnel étant donnée la fréquence des cas . Cependant nous avons constaté 14 fois des lacune
; on les y rencontre assez souvent puisque nous en avons relevé 24 cas . Rarement situées sur la ligne médiane, elles s
en soit, les lacunes de la protubérance se voient dans un quart des cas environ. En résumé et par ordre de fréquence no
e et dans la substance blanche du centre ovale. Jamais,dans aucun cas ,nous n'en avons rencontré ailleurs ni dans les ci
beaucoup plus petite. Nous disons alors qu'elle est miliaire. En ce cas elle est beaucoup moins visible il l'oeil nu qu
tissu nerveux sans qu'on distingue autour d'eux une cavité. Dans le cas de lacune miliaire ces vaisseaux sont encore appa
ragie miliaire produite dans une très petite lacune et tout dans ce cas se comporte comme dans le cas de lacune. Cliniq
ne très petite lacune et tout dans ce cas se comporte comme dans le cas de lacune. Cliniquement la lésion s'est révélée
sine. Parfois le vaisseau se trouve coupé un peu obliquement, dans ce cas l'i- mage est un peu plus confuse ; mais quand
nd il est coupé bien perpendiculaire- ment a son axe, ce qui est le cas le plus fréquent, on a des images très nettes.
fixer l'acide osmique et donner l'image de corps granuleux. Dans un cas de ce genre, en présence d'une réaction sembla-
est bien évident. Mais il n'est pas toujours aussi net que dans ce cas . Malgré tout les lésions de la tunique moyenne
à un dessin régulier de dentelle. Il est bien évident que dans ces cas il s'agit d'une erreur de techni- que qu'il fau
ns jamais rencontré qui contiennent plusieurs noyaux, même dans les cas où de grandes quantités d'hématies pou- vaient
e, il est ici entouré d'une large bande de protoplasma. Dans quelques cas très rares, nous avons vu plusieurs noyaux à ce
rés des débris de myéline par la gaine lymphatique suffisante en ce cas pour opposer une barrière in- franchissable à l
ographies et de radiographies, dues à l'amabilité de M. Infroit. Le cas est, du reste, curieux et comporte quelques com
qui ont été signa- lées par Erb ('1). Il est possible que certains cas d'absence supposée con- génitale des pectoraux
offre quelques particularités intéressantes à souligner. Dans les cas publiés jusqu'ici, on a exceptionnellement signal
, etc. (dont l'hypertrophie a été relevée dans un certain nombre de cas ), comporte quelques déductions. Tout d'abord, l
, l'absence congénitale des muscles pec- toraux ne constitue pas un cas de réforme radicale. On a vu plusieurs fois des
périphérique). Cette théorie, qui peut bien s'appliquer à quelques cas , ne saurait convenir à tous. Rûckert (2) a eu l'o
n fait en désaccord avec la théorie précédente. Pour interpréter le cas de mon malade, ainsi que les cas analogues, il
ie précédente. Pour interpréter le cas de mon malade, ainsi que les cas analogues, il faut, je pense, admettre la théor
s espaces intercostaux (hernies pulmonaires observées dans quelques cas ), le sternum, la clavicule. L'at- titude du foe
main corrobore celle opi- nion. Tentchoff a relevé une quinzaine de cas de syndactylie, sans compter les autres malform
ux que la théorie de Froriep est capable d'expliquer, dans certains cas , l'absence congéni- tale des muscles pectoraux.
ues et des symptômes cli- niques. Little (18846-1870) appelle ces cas congénital spastis rigidity oflimbs et Heine dé
érison spontanée et progressive. - S'i I est vrai que dans certains cas , les plus fréquents, la maladie suit une marche p
maladie suit une marche progres- sive en diminuant, il est d'autres cas oit le mal ne fait que croître et aug- menter (
uivies d'un séjour de 3 à 6 semaines dans un appareil Dans tous les cas , nous avons pu constater que le séjour des memb
contracture ou d'incoordination des mouvements. Il n'existe pas de cas d'autopsie de maladie de Little ayant démontré un
es ou scléroses cérébrales qui sont signalées (Déjerine). Dans un cas de dégénérescence, secondaire il est vrai, du fai
eur de la capsule interne). Le professeur von Strümpell a publié un cas de tabes dorsal spasmodi- due pur avec conforma
théorique de Charcot et Erb dont nous parlions plus haut). C'est le cas d'une femme.de 63 ans souffrant depuis 2 ans d'
le, le bulbe et la moelle (système du neurone moteur central). 1 Ce cas , publié dans l'Atlas du système nerveux du Dr Chr
a guérison, mais alors, il faudrait admettre, tout au moins pour le cas que nous pu- blions, la formation de nouvelles
les et les cordons de la moelle assez bien développés. Dans le 2e cas , mort à 6 jours, les altérations atteignent peu l
mentés. -Les cordons de la moelle sont moins développés que dans le cas précédent, mais le sujet était plus jeune. Ici,
jeune. Ici, rien encore du côté des cordons pyramidaux. Ces deux cas ne sont pas à proprement parler des Little bien q
e et de l'absence de lésions des éléments médullaires. Le premier cas qui nous occupe (Arthur) (PI. XVIII, fig. A et B)
nt à la parfaite coordination des mouvements. L'explication de ce cas est malaisée à fournir, le diagnostic de sclérose
pyramidale et indirecte. Bref, de quelque façon qne l'on examine ce cas , on ne trouve guère de théorie satisfaisante, à
de l'anato- mie et de l'histologie. Nous avons observé encore les cas suivants : Un garçon de 12 ans. né avant terme
(pli. XIX, E et F), né avant terme, ne marche pas du tout; c'est un cas de Little non spontanément guérissable. L'enfant
es avant la naissance de l'enfant. Les figures A et B présentent un cas vraiment difficile à démêler, les autres sont d
art, en- combrent les voies scientifiques et qui rappellent, par le cas qu'on en semble faire, les plats aussi substant
ticulaires, vasculaires, les contacts, etc., varient peu ou en tout cas ne dépassent jamais, physiologiquement,certaines
des hémisphères cérébraux chez l'homme (1), re- marque que dans les cas où l'hystérie ne supprime pas totalement toute nu
avec l'hypothèse du sens des attitudes. Je n'ai jamais rencontré le cas inverse. » Il s'agit ici de lésions cérébrales,
vant l'autre et nous obtiendronsexactement ce qui se passe dans les cas d'hémi plégiecorticale. Notons que la conscienc
l'image peut se faire sans que nous en ayions conscience. C'est le cas des cécités verbales, tactiles, de la surdité v
n'être plus assez fortes pour donner l'image du mouvement, et même ce cas , Verger ne l'a jamais rencontré. Mais ces mêmes
ation, de faire une image consciente. C'est ce qui se passe dans le cas énoncé par Claparède. En d'autres termes, et po
hèse. » Mais c'est ma thèse elle-même ! Ce qui fait défaut dans ces cas , c'est la conscience des attitudes, isolées ou
er tout entière dans la sensation périphérique, ce qui n'est pas le cas pour la notion d'attitude qui consiste en image
ne se contracte pas, je trouve le terme aussi mauvais dans les deux cas , aussi mauvais que serait le sens oculaire, le
oute à l'analyse tactile des images élémentaires autres que dans le cas où le maintien ou la variation d'attitude sont
névrose refoulée, etc. Je sais qu'il se passe dans ces segments, en cas d'attitude activement maintenue ou modi- fiée,
tivement maintenue ou modi- fiée, quelque chose de plus que dans le cas de passivité ; mais ce quelque chose ne me donn
s vertébrés, l'Homme compris, on ne trouvera peut- être pas un seul cas de canal semi-circulaire inscriptible dans un pla
t, comme il est d'usage de LE SENS DES ATTITUDES 173 dire dans ce cas , « nous ne connaissons que lui ». Nous ne savons
de leur variation. » J'apportais dans cette discussion l'appui d'un cas très curieux, celui du cer- veau d'Adolphe Bert
r- donnée situés plus bas ». Il semble bien en effet que, dans ce cas heureux de dissociation, le déve- loppement de
02, 103 et 99, 100; 1 hématomyélie, fig. 105. J'ai discuté tous ces cas et rapporté en outre, au bas de la page 791, tr
uté tous ces cas et rapporté en outre, au bas de la page 791, trois cas de syringomyélie à topographie radiculaire de l
du système nerveux), la clinique n'a jamais montré chez l'homme un cas d'a- trophie musculaire myélopathique à disposi
écouverte par M. le professeur Dejerine, en nous ap- puyant sur des cas que nous avions pu observer et qui nous ont paru
nous ont paru très typiques. Nous avons rappelé accessoirement deux cas de syringomyélie en résumant les observations q
servations que nous avions publiées clans la Revueaelc- 1'alogique, cas que l'on doit rapprocher de ceux signalés par M.
e du système nerveux. Nous avons plus spécialement in- sisté sur le cas de poliomyélite antérieure aigué de l'enfance et
laire inférieur et, d'un autre côté, par la localisation très pure ( cas de Henri Seg... surtout) à ce groupe radiculair
e radiculaire de l'atrophie est facile à constater dans beaucoup de cas . Le groupe Duchenne-Erb est parfois lésé dans c
te affection, la distribution de l'atrophie est la même que dans le cas de paralysie radiculaire supérieure du plexus bra
ainsi une topographie radiculaire, très rares sont au contraire les cas typiques uniquement localisés sur un groupe rad
vecy son urine que vous aporte afin que mieulx vous informes de son cas et crue plus seurement me puissiés conseiller.
t. Charlatan. 196 PAUL RICUER Cent nouvelles nouvelles' ? En tout cas , c'est l'image d'une scène qui s'est bien fréqu
not, Saint-Dizicr (Haute-Marne). 15" Année - No 3. MAI-JUIN TROIS CAS DE N>JOPLASICS CEREBRALES (TUMEUR GLI01\IATE
verra, intéressantes à différents points de vue. La première est un cas de gliome circonscrit remar- quable surtout par
ale vis-à-vis d'une tumeur d'un pareil volume. La troisième vise un cas de gliomatose diffuse; son intérêt gît dans ce
al et sourcilier sont respectés,de même l'orbiculaire, c'est- TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 203 à-dire que le mala
re passant par la tumcur. (G. Ballet et T. Armand Delille). TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 205 ce tissu, au voi
ée, aplatie et de ce fait presque complètement suppri- mée. TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 207 OBS. IL VOLUMINEUX
lorsqu'on fait ouvrir la bouche ; de plus il existe un degré TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 209 de parésie évident
sous, clic a été enlevée. (G. Ballet et T. Armand Delille). TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 211 Il n'y a pas d'adh
Leitz). Fig. 5. - Sarcome. Coupe (Obj. G, ocul. 2 Leitz). TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 213 lui seul presque t
to- pographie normale et leur aspect ordinaire. De l'étude de ce cas on peut donc tirer cette conclusion que la substa
urgien eût pu enlever la tumeur avec des chances de succès. TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 215 OBS. III. Gliomato
le 12 octobre 1899. Etat dlllllalade le 12 octobre 1899. TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 217 C... est étendu su
omatose diffuse. Schéma indiquant la disposition des lésions. TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 219 tions dans leur pa
a slructure exacte de ces éléments cellulaires ? Sur les cou- TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 221 pes, ils apparaiss
re cet auteur, on est donc forcé d'admettre qu'il s'agit dans notre cas de cellules névrogliques à l'état em- bryonnair
la rapide prolifération de la né- vroglie. Ici, comme dans certains cas de syringomyélie, le traumatisme peut être invo
et étouffé les cellules pyramidales altérées. - DESCRIPTION D'UN CAS DE MONSTRUOSITÉ RARE DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHA
bord il présente, les processus globulaires de His, sont dans notre cas soudés entre eux, formant par leur soudure l'os i
logiquement parlant, les formations interhémisphériques, dans notre cas , cadrent certes bien avec l'ensemble tératologiqu
erons que l'encéphalocèle frontale est la plus rare, puisque sur 93 cas d'encéphalocèle réunis par Houe), 16 seulement
(1), et dans son atlas plusieurs figures peuvent se rapporter à des cas de ce genre. . C'est aussi par l'existence d'ad
e brides amniotiques que Backhaus (2) expliquait récemment, dans un cas tout à fait analogue à celui que nous avons obs
898. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XV, Pl. XXX UN CAS D'AKATHISIE (Raymond et Pierre Janet). HOSPIC
lcowec de Prague, faisait connaître à la Société de Neurologie deux cas d'une maladie nerveuse bizarre qu'il baptisait
me temps, la sueur lui vient au front et aux mains et dans quelques cas on voit de grosses gouttes qui coulent sur sa f
tout à fait de la même manière. M. Haskowec, au moins dans un des cas qu'il rapporte, parle d'hysté- rie, il rapproch
ssocié, il est vrai, à d'autres symptômes dans notre description d'un cas de paralysie des muscles du tronc (1). A de cer
yez maintenant l'analogie avec notre homme, il s'agit dans les deux cas d'une aboulie professionnel le avec angoisse, tic
de l'appareil télégraphique chez un employé des pos- tes. Dans des cas curieux la phobie sera tout à fait systématisée,
qui ne pouvait s'asseoir que sur des chaises cannées. Dans d'autres cas , l'aboulie ne donne pas uniquement naissance à de
tion lente de leur volonté et de leur attention peut seule dans les cas favorables relever leur niveau mental et leur-r
érimen- tale quelque peu sérieuses ont été tentées sur les quelques cas observés. Les auteurs, qui jusqu'ici ont eu l'h
atteint de la petite vérole ? L'entourage ne peut le dire. En tout cas , il ne présente pas actuelle- ment de traces vi
sujets peuvent synchroniser rapidement leurs mouvements ; c'est le cas . Notons encore (et les courbes ici publiées ill
tions indivi- duelles des deux sujets devient notoire dans certains cas déterminés. Si l'on provoque par exemple l'occl
de mêmes dimensions avec des plumes de longueur égale. Dans le seul cas de la fig. 7 les sujets suivaient de leurs yeux
t au dire de l'auteur leur indépendance biologique comme dans notre cas . Ainsi Maria avait une température générale de 37
SPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DU SERVICE DE il. LE DEJERINE. UN CAS D'HÉMIMÉLIE DU MEMBRE ABDOMINAL DROIT ÉTUDIÉ PA
MINAL DROIT (Heit'{ et llifroit). Masson & Cie. Éditeurs UN CAS D'HÉMIMÉLIE DU MEMBRE ABDOMINAL DROIT 267 couch
t basilaire du membre s'étant atrophié, la main ou le pied s'in- UN CAS D'HÉMIMÉLIE DU MEMBRE ABDOMINAL DROIT 269 sère
re est consacré à celte malformation, avec la relation de plusieurs cas nouveaux. Le membre est très atrophié, surtout
à côté de lui, est conservé le tiers supérieur du tibia, et dans ce cas le genou se rappro- che de la normale. Le pie
de savoir dans laquelle de ces deux variétés nous devons placer le cas que nous venons d'exposer. Quel est celui des deu
ez bien développé, déformation angulaire du tibia) manquent dans le cas présent, où nous constatons, au contraire, la f
par un seul gros os, dans lequel Klaussner n'hésite pas à recon- UN CAS D'llÉMIhLÉLIG DU MEMBRE ABDOMINAL DROIT 271 naî
el s'articulent les deux métatarsiens. Il s'agit évidemment de deux cas d'un même type un peu spécial d'ab- sence du pé
auteur a attiré l'attention sur l'importance de l'hérédité dans des cas semblables, s'appuyant sur deux observations de
nsmettant sa mal- formation à ses 3 fils ; dans une même famille, 7 cas identiques d'ab- sence du péroné en trois génér
re avorté de ces cicatrices astéroïdes anciennes, qui dans d'autres cas analogues ont pu être considérées comme la preuve
ber /congénitale Defekl deo Fabula (In. Diss. Greisswald, 1898). UN CAS D'LUNT1CI-1TS11C FAMILIAL PAR PAUL SAINTON
clinique du Professeur Debove (Médecine Moderne, 4 mai 1902). UN CAS D'EUNUCfIISME FAMILIAL 273 Cette femme a eu six
voix de baryton, en tous cas, elle n'avait pas le timbre aigu. UN CAS D'EUNUCf11S111E FAMILIAL 27S j L'abdomen est bo
ntaire, travailleur; il se comporte comme un homme pendant toute UN CAS D'EUNUCHISME FAMILIAL 277 "1 son existence, aya
interne quoique incomplète n'était point absolument supprimée ; ce cas viendrait à l'appui de l'opinion de Variot qui
iques n'étaient pas exceptionnelles même aujourd'hui, dans bien des cas , elles peuvent être observées. Etaient-ce des s
égé- nérescence du tapetum (1). Cette dégénérescence, dans certains cas , était même bilatérale, alors que la lésion du
lcarine. Au Congrès de médecine de 1900, j'avais déjà communiqué un cas de ce genre, mais seulement sous la forme d'une
nements recueillis sont encore de nature à permettre de tirer de ce cas certaines conclusions très précises. - Observat
le s'étend toujours jusqu'au splenium du corps cal- leux. Dans le cas actuel nous retrouvons la confirmation de cette r
ique gauche, et la dégénération du tapetum du côté droit. Dans le cas actuel la lésion secondaire des fibres commissura
singulièrement négligée malgré l'importance et la fréquence de ces cas . Nous avons eu récemment l'occasion d'observer
'étude des localisations (1). Les exul- cérations produites dans le cas actuel par l'enlèvement des méninges sont discr
alisées, peuvent, quand elles exercent une action (1) P.SÉRIEUX, Un cas de surdité verbale chez un paralytique géitéi-al,
ue, hémianopsieetc. Récemment Lissauer et Alzhei- mer ont réuni les cas de ce genre sous la rubrique de paralysie à forme
n jusque dans le ganglion. Trajet sus-ganglionnaire. Dans plusieurs cas les racines postérieures se rendent directement
trajet sous-ganglionnaire, elles sont normales ; cependant dans un cas celui-ci était partiellement atrophié. Examen h
ssu contient par place des trousseaux fibreux ; il n'existe en tout cas qu'au voisinage du ganglion et ne remonte pas s
ques semblent dépourvus d'éléments nerveux, ou les masquent en tous cas au point qu'on n'en distingue qu'avec la plus gra
d'éléments embryonnaires comme on peut en rencontrer dans quelques cas , mais à la multiplication des noyaux conjonctif
ire. Ils sont très comparables à ceux que nous a montré l'examen du cas précé- dent et qui sont représentés sur la plan
line) que dans les racines postérieures. Résumé. - L'examen de ce cas nous montre les racines postérieures atro- phié
c'est par eux que nous commence- rons cette étude. Dans tous les cas ,la racine postérieure est atrophiée sur tout son
ut autour de quelques fascicules radiculaires, mais ce n'est pas le cas le plus habituel : d'autres fascicules sont dès l
,-sac arachnoïdien, sur d'autres au voisinage du ganglion ; dans ce cas les fascicules radiculaires restent libres sur
ne et à l'héma- toxyline. Inclusion à la paraffine. Dans tous les cas l'atrophie de la racine postérieure existe dans t
line de calibre normal : celles-ci sont plus nombreuses dans trois cas à la pé- nétration dans le ganglion. Dans chaqu
lloïdine ; un ganglion est cou- pé longitudinalement. Dans tous ces cas , la racine postérieure est atrophiée dans son t
Cette particula- rité semble d'ailleurs se reproduire dans tous les cas et la méningite de la dure- mère ne se poursuit
ces éléments conjonctifs que nous avons souvent observés en pareil cas et dont la coupe rappelle celle de petits faiscea
symptômes décrits ci-dessus. La maladie peut guérir, ce qui est le cas le plus fréquent ; sinon, elle passe au stade t
us morbide; 3° il se présente plus complet et plus durable dans les cas de démence juvénile qui ont beaucoup d'analogie
ractère de durée persistante, c'est la démence précoce. Ce sont ces cas que Kahlbaum semble surtout avoir eu en vue lorsq
me entité morbide. Il est à remarquer toutefois que, même en pareil cas , le syndrome ca- tatonique ne constitue pas tou
ns pu prendre de tracés. Voir à ce propos : SÉGLAS et BEZAnçoN : Un cas de mélancolie cataleptique (Nouv. Iconogr. de l
e n'était dépasser les limites de cet article, de citer de nombreux cas de formes vésaniques les plus diverses, imbécilli
(intoppo) psychique et le négativisme, comme c'est au contraire le cas dans la démence précoce, à tel point que ces dern
aquelle le malade obéitd'une façon automatique, involontaire. Les cas moins accentués se prêtent mieux à l'analyse psyc
ay et Guillain (1) ont réuni tous les faits connus et rapporté deux cas nouveaux assez disparates mais néanmoins fort i
s vrai que l'évolution vers la suppuration, observée dans le second cas , constitue un caractère différentiel qui le sépar
ne dynamique. 356 LAUNOIS ET ROY Mais d'autre part, on a cité des cas (Déjerine et Sottas (4) Hauser (2) etc.), rares
crit-il, leur disposition symétrique, signalées dans la plupart des cas , font présumer, à priori, une origine nerveuse ;
des réflexes tendineux exagérés des deux (1) Déjerine ET SOTTAS, Un cas de syringomyélie unilatérale. Soc. de Biologie, 2
qu'une coïncidence fortuite » (Lejars) (2). Brun (3) rapporte cinq cas d'exostoses multiples chez des malades ayant des
dents avérés de tuberculose. Poumeau (4), dans sa thèse, réunit 30 cas d'exostoses dans lesquels il relève des antécéd
t un fou. D'ailleurs, la cause première est identique dans les deux cas : hérédité et influence du milieu. Hérédité psy
observer, a la Clinique cle la oalpetnere, un-- - certain nombre de cas de maladie de Parkinson, nous avons été frappés
AHD ET ALOUIËR inaugurale, réuni en un tableau synthétique tous les cas antérieurement publiés, et étudié la genèse des
'étendue de la colonne dorsale, est évidente. Voici maintenant, nos cas personnels. Pour ne pas allonger outre mesure c
l, nous résumons, en deux tableaux synoptiques, ce qui, dans chaque cas , nous a paru essentiel pour cette étude, Les phot
t augmenté depuis le dé- but de son affection. Dans les onze autres cas , les malades présentent des déviations nettes d
anté- rieurement. Nous avons soigneusement recherché, dans tous les cas , s'il n'existait pas quelque cause, étrangère à
ue nous aurions voulu joindre à ce travail, ont été faites dans trois cas (obs. 5, 10,12) ; elles montrent la parfaite in
eure des avant-bras, pour le type ordinaire, de flexion) ; dans les cas les plus nets, ces muscles deviennent durs, et pr
nt, comme le montre la photogra- phie prise de profil. Enfin, notre cas de scoliose correspond à un hémi- parkinson ; d
e l'Hôtel-Dieu. Nous avons été surpris de retrouver, dans ce second cas , une symptoma- tologie identique au premier, qu
accidents chez notre pre- mière malade, et par l'étude d'un nouveau cas , nous pourrons, peut-être, nous montrer plus af
e par un aide. Cette attitude reproduit fidèlement la démarche d'un cas de Friedreich figurée par M. Raymond (2j, dans
ccasion des mouvements complexes de l'écriture (3). Mais, dans ce cas , le trouble ne se produit pas sous la forme d'un
à l'occasion de la dictée. M. Raymond fait la même remarque dans un cas de Friedreich (Cliniques, t896-9' ? , p. 352).
t, les mouvements cessent au bout d'un certain temps; dans quelques cas , le mouvement est continu ou à peu près, que le
ou qu'il marche, il ne cesse que quand il est couché. Dans d'autres cas encore, le mouvement serait absolument continu
ntaires, et de disparaître quand la tête est appuyée. Dans certains cas , en général à une période avancée de la maladie,
ncontrer. Si nous récapitulons les phénomènes qui rapprochent notre cas de la maladie de Friedreich et de l'hérédo-atax
ich. Cette dissemblance n'est pas capitale, puisqu'on a signalé des cas de Friedreich avec conservation et même exagéra
bles de la marche. Nous assistons à la même évolution dans les deux cas , mais le second nous offre des points de contac
) MM Ballet et MEMH qui ont examiné nos malades reconnaissent dans ce cas le torticolis mental. 392 DESTARAC A part l
(1) Une constatation analogue a été faite par M. Brissaud, dans un cas d'hérédo- ataxie : « la malade est plus ingambe
général, que l'état des réflexes rotuliens. M. Brissaud rapporte un cas où les réflexes tendineux étaient abolis en même
qualitatif, CFP se rapproche, égale, ou même dépasse, dans certains cas , CFN. Pour les extenseurs des orteils, par exem
douleur. IV Nous avons suffisamment insisté, à propos du premier cas , sur l'analo- gie qui, d'après nous, existe ent
s, même avec le procéde de Jendrassik. Rappelons à ce sujet que les cas de Friedreich avec conservation ou simple dimi-
sont encore les mêmes pour les troubles de la parole, dans les deux cas : lenteur, gêne, appui sur certaines syllabes, di
bilité électro-musculaire est diminuée dans l'immense majorité des cas , même alors que tous les autres modes de sensib
, et des mouvements d'extension des orteils, qui n'ont pas, dans ce cas , comme cela a été observé dans le Friedreich, l
es des cornes antérieures. Quant aux relations possibles de notre cas avec la maladie de Thomsen, rien, a priori, n'e
t fleuriste, pianiste, etc, etc. Ce qui domine encore dans les deux cas ,ce sont des troubles de l'équili- bmtion ; désè
s, semblables on tous points à ceux du groupe voisin. Dans les deux cas encore, l'émotion a la plus grande influence sur
ple, une preuve en faveur de son origine psychique. Dans les deux cas , enfin, le pronostic est le même, et l'on peut di
e atténuée, monosymptomatique (spasme fonctionnel). Dans ce dernier cas , la répétition exagérée de l'acte peut bien être,
malades, nous relevons les lignes suivantes : « En pré- sence d'un cas de myoclonie, si bénin soit-il en apparence, à se
dégénérescence, faites des réserves relativement à la curabilité du cas . «Bien plus, si les manifestations myoclonillue
VI Après avoir essayé de démontrer la parenté symptomatique de nos cas avec la maladie de Friedreich et l'hérédo-ataxi
ganglionnaire conduit aux résultats suivants : Dans la majorité des cas il semble que les fibres saines soient un peu plu
Aussi, des légères variations régionales observées dans tel ou tel cas , on ne saurait déduire une règle absolue, suivant
urs compactes, bien colorées, (1) 11 va sans dire que dans tous nos cas nous nous sommes assurés, par l'état de la moel
constant et que les alté- rations radiculaires ne puissent en aucun cas franchir le ganglion ? Cela n'est pas démontré,
cas franchir le ganglion ? Cela n'est pas démontré, mais dans aucun cas nous n'avons constaté ce fait. En ce qui concer
cuolaire, encerclé d'une membrane conjonctive. Maisjamais, dans nos cas an moins, la totalité des tubes nerveux n'est t
te dernière explication ne nous semble pas suffisante pour tous les cas ; en effet, tandis 414 THOMAS ET HAUSER que da
nant résumer. Voici l'ensemble de nos constatations : Dans tous nos cas , il existait une pachyméningite, plus ou moins
LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 415 dans nombre de cas , l'hyperplasie des cloisons qui séparent (mésonév
ion embryonnaire du tissu conjonctif, suivie de sclérose... Dans le cas de tabes ancien on observe le même processus, m
les grêles et dégénérés » (1). Nos examens confirment dans quelques cas l'existence de cette péri- névrite, qui d'abord
dent chapi- tre, on ne saurait toujours déterminer s'il y a,dans un cas et à un niveau (1) NAGEOl"I'E, Bull. de la Soc.
s racines, nous ne les avons rencontrées que dans une partie de nos cas . Tandis que l'épaississement des enveloppes mén
est moins fréquente ; nous ne l'avons nettement observée que dans 2 cas (Obs. 'II et X) et il semble que l'inflammation
oté l'existence, autour d'elles, d'une méningite qui, dans certains cas (Obs. X et XI), est aussi marquée que sur les r
méningite cesse, comme on peut le constater nettement sur ces mêmes cas , à partir du point où les racines s'accolent au
lles-ci deviennent souvent anhystes, réfringentes; et dans quelques cas les fibres paraissent plongées dans une sorte de
nous avons vérifié le fait, il est impossible de la comparaison des cas , de tirer aucune règle en faveur de l'abondance
dirigée tangentiellement à la circonférence d'une cellule ; dans ce cas , en effet, les éléments de la capsule, au lieu
te normale dans le tabes, on peut observer, en particulier dans des cas avancés, des altérations cellulaires et péri-ce
e dans le ganglion ; sur quelques racines coupées en série dans des cas de tabes peu avancé, l'un de nous (3) a pu s'assu
dans le tabes ; Nonne les trouvées constamment, mais dans plusieurs cas , il est vrai, les altéra- tions ne dépassaient
méthode de Nissl pour appor- ter ici des faits concluants : en tout cas , les résultats des auteurs précédents ne sont p
éthodes suffisent très amplement pour laisser supposer que dans les cas de tabès anciens, la lésion des fibres de la raci
d'autant moins de chance de les rencontrer que l'on s'adresse à des cas de tabes plus récent. 3° Elles sont minimes par
sous son intégrité et nous avons pu vérifier ce fait,; même dans le cas où les lésions cellulaires étaient évidentes, var
la possibilité d'une altération cellulaire primitive. Mais dans le cas de section d'un nerf, il est un phénomène non moi
lement du terme vague de dégénération pourrait n'être dans certains cas qu'une absence de régénération. Cette circonsta
rables. Elle est d'ailleurs infirmée par l'existence, dans certains cas de syringomyélie, de, névromes de régénération,
stantes et variables : Obersteiner qui les a recherchées dans trois cas ne les a trouvées que dans un cas ancien, dans le
qui les a recherchées dans trois cas ne les a trouvées que dans un cas ancien, dans les deux autres plus récents, elle
nt défaut. De même, Redlich ne les a pas retrou- vées dans tous les cas qu'il a examinés : dans les cas de tabes récent,
es a pas retrou- vées dans tous les cas qu'il a examinés : dans les cas de tabes récent, en particulier, elles faisaien
te font complètement défaut. II en est de même pour quelques autres cas (obs. 1 et VIII) ; même dans l'obs. III, il y a s
a- lement l'aspect qui a été décrit par Nageotte, et dans l'obs. V, cas de tabes récent, les proliférations nucléaires
de l'anneau de périnévrite sont plus manifestes que dans les autres cas où s'agit de tabes plus avancés ; toutefois, da
tres cas où s'agit de tabes plus avancés ; toutefois, dans certains cas , les altérations interstitielles paraissent rel
ose pulmonaire, etc.). Nageotte a répondu, il est vrai, que dans un cas décrit et figuré par de Massary, la lésion diff
s le processus de dégénération des racines ; d'ailleurs dans certains cas de méningo-myélite syphilitique, les racines po
e 1902 de cette revue, le Professeur Soca (de Montevideo) publie un cas d'atrophie musculaire limitée aux membres infér
une localisation iden- tique. D'après la description de l'auteur ce cas appartient évidemment à l'amyotrophie type Char
rejeté arbitrairement du cadre de l'atrophie type Charcot Marie les cas où l'atteinte des membres supérieurs ne s'est poi
de la maladie l'avaient conçu. A cette époque, en effet, nombre de cas n'ayant rien à voir avec Patrophiemuscuiaire ty
mme formes frustes, en se basant sur les réactions électriques, des cas que nous ne pouvons faire rentrer dans aucune ent
? (1) Un erratum s'est glissé dans le travail de M. Sainton sur un cas d'eunuchisme familial paru dans le numéro précé
ronier d'atrophie mus- culaire héréditaire comme la description des cas de Paul Haïnel pouvait faire soupçonner l'exist
çonner l'existence d'un type limité aux extrémités supérieures. Les cas que nous rapportons ici ne nous paraissent ni ass
si l'on se reporte au travail de Tooth, on constate qu'aucun des 3 cas dans les- quels l'affection a été limitée aux m
ons de Jacoby, de Burr, il y a doute sur le dia- gnostic. Seul le cas de Sachs est familial, mais l'impotence fonctionn
nférieurs, si rationnelle que cette hypothèse puisse paraître. Le cas publié par le professeur Soca vient combler une l
bservation du professeur Soca et j'estime qu'en présence de pareils cas , on est définitivement autorisé à admettre l'exis
emaines, j'ai consacré une de mes leçons du vendredi à l'étude d'un cas pathologique qui nous a mis en présence de la sym
ique couramment les termes d'affection de la q1e1te de cheval à des cas pathologiques qui se distinguent par l'intégrité,
ude de réserver le diagnostic d'affection de la queue de cheval aux cas où, aux membres inférieurs, l'anesthésie et la pa
r par les mêmes expressions symptomatiques, étant donné que dans un cas la lésion intéresse un certain groupe de centre
diculaire). J'ai insisté sur l'importance qu'il peut y avoir, dans un cas donné, à diagnostiquer le siège précis de la lé
caractères qui parlent en faveur d'une origine 'névritique en tout cas , ils se concilient difficilement avec l'hypothèse
l'innervation motrice de la vessie puissent se développer, dans un cas de névrite radiculaire de la queue de cheval, s
au plus élevé que les racines motrices. On conçoit donc que dans un cas de névrite radiculaire, les pre- mières puissen
adoptée par certains neuropathologistes. Appliquée à l'ensemble des cas de polynévrite apoplectiforme, elle consa- cre
oplectiforme, elle consa- cre une erreur. Toutefois, on connaît des cas où le mécanisme en ques- tion est intervenu dan
voici mes raisons : AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 487 Dans un cas de névrite multiple apoplectiforme, d'origine hém
que. Troisième exemple clinique. Voici un troisième malade, dont le cas est à mettre en parallèle avec celui du précéde
elui du précédent. A première vue il peut sembler que dans les deux cas la même affection soit en cause. Or je compte v
de la sensibilité. Ces caractères s'observent, assurément, dans les cas de polynévrites, mais à titre excep- tionnel. D
d'invasion des ma- ladies infectieuses. Cela aussi se voit dans les cas de névrites multiples, mais beaucoup plus rarem
cas de névrites multiples, mais beaucoup plus rarement que dans les cas de poliomyélite infectieuse. Or, la poliomyélit
ise. Vous aurez alors de quoi expliquer toutes les circonstances du cas pathologique réalisé par notre malade : Le débu
ment du membre paralysé et atrophié, qui ne manque jamais, dans les cas de poliomyélite antérieure, tandis qu'il est étra
rréparables. Et c'est bien ainsi que les choses se passent dans les cas de poliomyélite anté- rieure aigué la paralysie
té de la lésion. Notre description était basée sur l'étude de trois cas , dont un étésuivi d'autopsie. Les limites impos
upérieurs en avant; or, précisément L on remarquera que, dans notre cas , où la région postérieure de la couche interoli
égion interne du ruban de Reil ; Long, dans sa thèse, a publié deux cas qui viennent' à l'appui de cette manière de voi
nées du noyau cunéiforme ; ces fibres forment, est vrai, dans notre cas , la mino- 1-i té 1(1,è,s fibres dégénérées ; no
par Thomas chez le chien.Mais il est vraisemblable que, dans notre cas , aux fibres descendantes du noyau de Deiters se
, il est nécessaire de les envisager dans leur ensemble. Dans notre cas , les lésions artérielles diffuses ont déterminé,
ives dans la genèse des troubles de sensibilité. Dans deux autres cas , sans contrôle anatomique, que nous avons relatés
u tact et de la notion de position. Nous avons supposé que dans ces cas le ruban de Reil était respecté et que la lésio
ties latérales du bulbe avec conservation du ruban de Reil. Dans ce cas , il existait en ou- tre, du côté de la lésion,
nsibilité identique la dissocia- tion syringomyélique. Dans notre cas , il existait un rétrécissement de la pupille gauc
u bulbe ou de la moelle cervicale supé- rieure ; mais dans ces deux cas les phénomènes se sont atténués progres- siveme
bservation de S. Gee et II. IL Tooth (Brain, 1898), qui concerne un cas d'hémorrhagie de la protubérance, il est noté q
côté lésé. Ces symptômes, qui sont associés dans un grand nombre de cas de lésion du cervelet ou de la protubérance, sont
exagération de l' « ataxie » par l'occlusion des yeux; mais dans ce cas les lésions étaient beaucoup plus étendues que
tération amène des troubles importants. Quels sont-ils ? Dans notre cas , les systèmes olivaires droit et gauche sont atte
de l'asynergie proprement dite ? C'est probable, puisque dans notre cas , où l'asynergie était presque limitée à un côté,
tca/M (/e L</o ? t (<), nous avons démontré que dans certains cas d'atrophie du cervelet on pouvait voir disparaîtr
herches. Nos premiè- res constatations avaient d'abord porté sur un cas d'atrophie cérébelleuse ayant donné lieu à la p
uction d'un pseudo-kyste au niveau du vermis inférieur, puis sur un cas d'hémiatrophie du cervelet que nous avions déjà
ons déjà publié antérieurement. Nous avons pu ensuite examiner deux cas mis très obligeamment à notre disposition par N
rouver la lésion qui nous occupe sur l'é- corce du cervelet dans un cas de sclérose cérébrale infantile avec atrophie d
te couche particulière ou du moins particulièrement visible dans ce cas , comporte de 5 à 10 de ces cellules ovales : tr
es folioles absolument semblable à celle que nous trouvions dans ce cas , sans avoir cependant l'attention suffisamment at
ment que la substance grise n'est pas (1) Lannois et PAVIOT, Sur un cas d'atrophie unilatérale du cervelet (Revue Neuro-
caractéristique sur laquelle nous avons insisté dans notre premier cas et que nous allons retrouver dans le troisième. M
inépuisable obligeance (Pl. LX et LXI). Il s'agissait dans ces deux cas d'atrophie du cervelet que l'on pouvait t à la
désirions vivement nous rendre compte de ce qui se passait dans le cas où l'atrophie parait nettement secondaire, c'es
as où l'atrophie parait nettement secondaire, c'est-à-dire dans les cas de sclérose cérébrale infantile où l'on sait qu'i
de sa pointe atrophiée. Comme nous l'avons constaté dans les deux cas précédents, le premier signe chronologique de l
a vu la lésion avec Déjerine (2), car dans l'examen histologique du cas qui leur a servi à établir l'atrophie olivo-pon
intéressant serait de voir les auteurs faire une revision de leurs cas , comme nous l'avons fait pour notre observation
e nous venons de décrire se produit d'une manière uniforme dans des cas d'origine fort différente, atrophie d'apparence p
Nous avons dit aussi qu'on pouvait soupçonner son existence dans le cas de Menzel et dans celui de Déjerine et Thomas o
moelle épinière, nous avons eu recours à ces dernières aussi dans les cas que nous allons décrire plus bas, croyant que c
ction longitudinale, comme dans nos lecherches pré- cédentes (1). Cas I. - Garçon, âgé de 1 mois et 5 jours. Poids 2.90
courtes et se rami- fient plus que celles des cellules motrices. Cas IL- Garçon jumeau, âgé de 1 mois et 22 jours. Poi
tivement réguliers et presque dépourvus d'appendices collatéraux. Cas III. Fillette, âgée de 1 mois et 5 jours. Poids 3
s prolongements protoplasmiques des cel- lules spinales de tous les cas cités plus haut ont beaucoup d'analogie entre e
la corne postérieure ; dans les cornes anté- rieures, dans tous nos cas les dendrites des cellules nerveuses ont des con-
corne postérieure, outre les appendices collatéraux, dans tous les cas ,on pouvait voir d'autres formations, comme des
auprès d'autres membres de la famille : la mère, le frère ainé. Ce cas est bien fait pour rendre suspects quelques- un
ilages de conjugaison, il était tout naturel de supposer, en pareil cas , la persistance anormale de ceux-ci ou le révei
ement, soit par la prolongation de son terme final. Dans le premier cas , le gigantisme apparaît avant 20 ans, comme l'e
à son tour son mari, plus petit delà hauteur d'une tête. Tous ces cas de croissance retardée, c'est-à dire, se produisa
al, de douleurs articulaires, parfois de poussées fébriles. En tout cas , ce qu'il est intéressant de noter chez Charles
érieure du fémur. La déformation articulaire du genou offre dans un cas de ce genre un intérêt tout particulier : . 1
elles, qui se rencontre dans environ 65 pour 100 de la totalité des cas , diminution qui peut même s'étendre à la taille d
ment développés et au-dessous de la taille moyenne dans beaucoup de cas , et spécialement dans ceux où l'affection s'est
lis- sement n'est vraiment présent que dans environ 60 pour 100 des cas , et comme il ne se montre dans la grande majori
à cet égard : S. Garnier et Santenoise ont publié une note sur le « cas (1) Chanceux, auteur d'un Traité des extrêmes o
journal of nervous and mental diseases, nov. 1893. (4) Matignon, Un cas d'acoomégalo-gigantisme. Méd. moderne, 6 novembre
antisme. Voici l'observation de Woods Hutchinson : Oi3s. IT. - Un cas d'acromégalie chez une géante (3) (Woods Hutchins
rs était d'ac- cord avec ce qui est, à mon avis, la règle en pareil cas , à savoir que les géants sont grands et les nai
s nains petits surtout par les jambes, le corps étant dans les deux cas très voisin de la normale. Cette impression fut
e point, devrait représenter les 10/19 de la hauteur totale ; dans le cas d'Aama elle devrait être de 41 pouces 2/3 (1 m.
u'aux phalan- ges unguéales. De tous ces faits, en particulier du cas de Buday et Jancso qui, à tant d'égards, est si
nde aride, parsemée de ronces et de pierres de toutes sortes, et en cas de résistance de sa part, les coups de fouets et
s un fossé boueux, la tête la première par les paotred ar zabat. En cas de plaies et de bosses, ceux-ci ont bon dos. Co
es que puisse expri- - mer le dessin ? Oui, dans un grand nombre de cas . . Dans une étude consacrée récemment à cette q
LE DES MATIÈRES Amyolrophie à type Char eut-Marie [Sur un nouveau cas d') (1 pl.), par Soct, 53. Amyol¡'ophie Cha¡'co
e (pl. photo- collogr.). par Sucv.s, 330. Eunuchisme familial (Un cas d') (1 photo- grav.), par P. Samrus, 212. Exo
Vlonstmosrlé rare de la face et de l'encé- phale (Description d'un cas de) (3 pl. en photograv.), 3 dessins, par ILwsH
Lejosne, 38. Myopathie avec réactions électriques »or- males (Un cas de) (1 photocollogr.), par Félix tLLARD, 28.
.et 5 pioto.rav.), par RossoLmo, 63. Néoplasies cérébrales (Trois cas de) (2 pl. en photocollogr., 8 dessins), par GI
ALLARD (FÉLIx). Myopathie avec réactions électriques normales (Un cas de) (1 phot.), 28. Alquier et SICwRn. Les dév
5 pl. 5 fig.), 493. Ballet (GILDERT) et DrLILLr (ARMAND). Trois cas de néoplasies cérébrales (2 pl. en photocollogr
ns des attitudes, 146. BRIQUEL et HAUSiIALTER. Description d'un cas de monstruosité rare de la face et de l'encépha
col- logr.), 281. DEL1SLH (Armand) et Ballet (GILi3rl%T). Trois cas de néoplasies célébrâtes (2 pl. en pholocollogr
des- sins), 290, 412. HAUSIIALTEN et Briquel. Description d'un cas de monstruosité rare de la face et de l'encépha
e (3 pl. en photocollogr.), 3 dessins), 222. Hertz et Infroit. Un cas d'hémimélie du membre abdominal droit étudié pa
s atrophies musculaires myélopathiques, 182. INFROIT et HRITZ. Un cas d'hémimélie du du membre abdominal droit étudié
antisme et infantilisme (6 fig, 8 pl.), 539. SA ! 1';TOX (P.). Un cas d'Eunuchisme ami- lial (1 photogr.), 272). S,
de Parkinson (4 pi. en photocollogr.), 377. SOCA. Sur un nouveau cas d'amytrophie à type Charcot-Marie (i pi.), 53.
75 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i- sissent le même genre de mort et se détruisent au même âge. Un cas des plus curieux de ce genre est celui qui est
49.) LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 11 L' hystérie peut, dans certains cas , présenter des manifestations épileptiformes. I
coolisme a joué dans les mêmes circons- tances. Du reste, dans le cas de folie collective ou épidémique, il ne faut p
zblll'gel'. Phgs.méd. Gesellshaft, 1881. 3 Ch. Féré. - Note sur un cas d'anomalie asymétrique du cerveau. (Arch de 11'
preuve qu'on a avancé que l'altération des facultés était dans ces cas la consé- quence d'une inflammation des membran
sont aussi les alliées consauguincs de la folie. Brodie rapporte un cas dans lequel des douleurs névralgiques de la col
., 1876, p. 267.) LA FAMILLE NÈVROPATHIQUE. 29 Brodie rapporte le cas d'une dame qui fut at- teinte pendant une année
hez les idiots et les imbéciles. On peut se demander si, dans ces cas , la déformation du cou n'est point la consé- qu
taxie locomotrice offre de nombreux rapports 1 Gautiez. Note sur un cas de tic de Salaam. (France médicale, 1883, t. I,
h., Bd. 3 3 H., 1871.) 9 Pli. Rey. - Consid. cliniques sur quelques cas d'ataxie locomotrice dans l'aliénation mentale.
aques étant une lésion de nature inflammatoire peut, 'dans certains cas , s'étendre aux méninges et déter- miner des alt
on saturnine lente. (Thèse, 1873.) PATHOLOGIE NERVEUSE ÉTUDE D'UN CAS DE FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE COMBINÉE DE LA
lésion du cordon latéral ne reproduisait pas, il est vrai, dans ces cas , l'altéra- tion classique de la sclérose latéra
s. Le problème, on va le voir, vaut la peine qu'on s'y arrête. Un cas récemment observé par nous dans le service de l
eportant à la topographie des lésions spi- nales constatées dans le cas que nous venons de relater, on pourrait être te
une sclérose systé- matique. Si quelques auteurs, en rapportant des cas analogues, en ont jugé autrement, cela tient, c
up de valeur à leurs observations. Or, que voyons-nous dans notre cas ? La sclérose du cordon latéral affecte-t-elle
fois les cordons latéraux et les postérieurs. Mais revenons à notre cas . L'étude attentive de la disposition des altéra
e systéma- tisée consécutive. Une dernière particularité de notre cas mérite d'être mise en relief, c'est l'existence
si chez le malade dont M. Babesiu a rapporté l'observation. Dans le cas de M. Babesiu, nous le verrons, les lésions spi
postérieurs) et quelques autres. 60 PATHOLOGIE NERVEUSE. Tous ces cas nous ont paru ne pas être absolument de même or
opographie des systèmes médullaires. A ce groupe appartient notre cas , ainsi que celui de M. Babesiu'. La topographie
ce que nous lui assignons. 2e type. - Dans une seconde catégorie de cas on a affaire à la lésion classique de l'ataxie
u moins grande les cordons latéraux : voilà la lésion diffuse. Le cas de M. Prévost est un exemple de ce troisième ty
mémoire de Westphal, ne serait pas ici légitimement placée. Dans ce cas , en effet, on voit se surajouter aux lésions du
pyramidaux. Les choses nous semblent s'être passées ainsi dans un cas publié par M. Julliard. Il s'agissait dans l'es-
ssu scléreux, et offre un épaississement considérable; mais dans le cas actuel, le pro- cessus phlegmasique est déjà de
rapprochée de celle de M. Julliard. L'importance et l'intérêt de ce cas exigent que nous nous y arrêtions quelques inst
rtie qui correspond assez exactement aux faisceaux pyramidaux. Ce cas est susceptible de trois interprétations : l'on
veur de la nature diffuse des lésions de la région dorsale, dans le cas de Westphal, c'est l'irrégularité réelle 'de la
les dégénérescences systématiques qu'on observe d'habitude dans les cas où l'on a affaire à cette lésion. Westphal, qui
génératives secondaires dans cette affection. Au contraire, dans le cas de Westphal, il est noté qu'au niveau des parti
orresponde à ce type, c'est celle de MM. Kahler et Pick'. Dans ce cas , la dégénérescence occupait, d'une part, les cor-
limitée au faisceau pyramidal de cha- que côté. L'observation de ce cas , encore inédite, sera publiée prochainement. M.
té médicale des Hôpitaux (Compte-rendu, 1882). En résumé, parmi les cas de sclérose combinée des cordons postérieurs et
u, exclusivement à la topographie des lésions scléreuses dans notre cas et dans quelques autres plus ou moins analogues
autres). Cependant certaines particularités, observées dans notre cas , nous ont paru assez significatives pour nous p
la plupart malades et présentent les lésions qu'on observe dans les cas de myélite aiguë ou su- baiguë : ils sont augme
ous venons de décrire n'a,pas été, croyons-nous, constatée dans les cas de dégénéres- cence systématique (secondaire ou
ption, de plus contre la nature systématique de la sclérose dans le cas de Sarrazin. D'autre part, sur les points où l'
Jastrowitz \ de Golgi 3, de Fr. Boll ', de Debove 5. Mais, dans le cas d'irritation de ce tissu, elles deviennent plus
euses motrices, et du cylindre-axe des tubes nerveux, dans certains cas de myélite; in AI'ch. de phys. norm. et pathol.
te irritation a été première en date, et qu'il s'est agi dans notre cas d'une sclérose péri- vasculaire. L'histoire d
es comme espèces distinctes, il peut être dini- cile, dans certains cas , de rattacher à l'une ou à l'autre de ces espèc
r, en tant du moins qu'applicable aux altérations de la plupart des cas de tabes. Qu'il y ait des scléroses des cordons
des artérioles, nous sommes d'au- tant moins porté à le nier que le cas rapporté par nous était précisément de cet ordr
76 PATHOLOGIE NERVEUSE. gorie. Mais il s'en faut que l'examen des cas en ques- tion suffise à infirmer la doctrine si
vaincu de l'origine péri-radiculaire des lésions du tabes, dans les cas types de maladie de Duchenne. Au reste nous ne
précèdent, l'origine vasculaire de la sclérose observée dans notre cas , il reste une dernière question à élu- cider. Q
e en droit de regarder les lésions médullaires observées dans notre cas , comme des lésions syphili- tiques. Ce qui cara
ésume comme il suit l'ensemble des altérations observées dans les cas de myélite syphilitique scléreuse' : « Lésions
vu, sont précisément celles que nous avons retrouvées dans notre cas . Au surplus nous avons relaté plus haut 1 Savar
ue avérée, qui pré- sente avec le nôtre des analogies remarquables ( cas de M. Julliard 1), En voilà plus qu'il n'en f
trine. Et en effet les observations nous enseignent que dans les cas de myélite spécifique bien avérée, la ma- ladie
cher derrière l'opinion d'Adam- kiewicz, et à soutenir que tous les cas de tabes sont d'origine vasculaire. Or, nous av
habitudes physiologiques. Dès lors, on peut prévoir que, dans les cas de sclérose intéressant simultanément les faisc
'ataxie. Le problème diagnostique se pose donc dans ces termes : En cas de lésion intéres- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE
tion des réflexes tendineux. Il en était à peu près de même dans le cas de M. Babesiu. En effet, chez le malade, dont i
e les postérieurs fussent lésés. Ainsi on voit que dans ces trois cas , la sclérose laté- rale a maintenu ses droits e
e la réflectivité et avec de la trépidation spinale, car, dans ce cas encore, les lésions des bandelettes exter- nes
inante. Il nous suffirait, pour l'établir, de rappeler les nombreux cas de sclérose systématique des faisceaux postérie
stérieurs avec propagation du pro- cessus aux parties avoisinantes, cas dans lesquels, en dépit de cette propagation, l
resté celui de l'ataxie locomotrice la plus franche. Mais, dans ces cas en général, la lésion propagée au cordon latéra
rieurs et latéraux), et, bien que la symptomatologie soit dans ce cas restée obscure à quelques égards, on peut dire
ernes. Kahler et Pick expliquent cette particula- rité par certains cas de MM. Charcot et Pierret, dans lesquels la scl
en soit, ce que nous tenons à faire res- sortir, c'est que dans le cas de Pick et Kahler, bien 84 PATHOLOGIE NERVEUSE.
dégénérescence secondaire. Il, Coupe du cordon latéral dans notre cas . a, Tube nerveux avec cylindre-axe; hypertrophi
Personnellement, nous avons eu l'occasion d'observer une dizaine de cas d'hystérie plus ou moins graves chez des hommes
ent chez les femmes hystériques, avec cette différence que, dans le cas actuel, il aura toujours été impossible en comp
rni des renseignements qui peuvent se résumer ainsi : dans certains cas , les phénomènes prémonitoires de l'attaque consis
sensation de boule re- descend vers le pubis, disparait, et, en ce cas , la crise avorte. jU« ? f;<t6HMMM<') ? -f
t à son état intellectuel antérieur. Si l'on en jugeait d'après les cas , encure trop peu nombreux, que nous avons obser
te supercherie de la part du malade. VI. De même que dans les trois cas que nous avons publiés autrefois, c'est à l'hyd
sont soustraites à l'action du mé- rycisme. Cependant, il est des cas très bizarres où ce sont ces subs- tances seule
taient jamais à la bouche. Nous allons maintenant rapporter trois cas que nous avons observés à Bicètre ou le mérycisme
s le repas, parfois même avant qu'il ne soittout à fait terminé; ce cas se présente surtout si Delagr... n'a ingéré que d
lier. - Nulle part il n'y a trace de sclérose : c'est, en somme, un cas d'idiotie complète type par arrêt de déve- lopp
mplète type par arrêt de déve- loppement. Nous citerons encore un cas de mérycisme partiel du même genre rapporté déj
rycisme fut suspendu et ne repa- rut plus ensuite. Voilà donc des cas de mérycisme partiel ne portant que sur les sub
ors les mêmes. Les seuls faits à noter sont les suivants : dans les cas particuliers, l'intervalle qui sépare le renvoi
laires, mais très souvent nous n'avons rien remarqué et, dans le cas où des contractions se sont produites, leur peu d
hemin de l'estomac. Le phénomène, du moins, se passe ainsi dans les cas de mérycisme avéré. Cependant, certains mérycol
aient en même temps dans la bouche. On voit donc que, même dans ces cas exceptionnels, le mérycisme ne doit pas être co
on cherche quelquefois à en produire de véritables. Mais, dans ces cas ,jamais les substances solides ne sont soumises
s passés en revue. Cependant, dans 118 R REVUE CRITIQUE. quelques cas , le début est tout différent et ce n'est que d'un
lètement que plus tard. (ORS. XVII et XXVI). Mais, somme toute, ces cas sont rares et le mérycisme survient d'ordinaire
'a pas reparu. DU MÉRYCISME. I IJ On voit donc qu'à part certains cas exceptionnels, le me- rycole vit et meurt avec
s individus qui en étaient affectés, arriver à un âge très avancé. ( Cas . VI, VIII, IX.) Traitement. Lorsque le mérycism
rande quantité (OBs. VII et XVII), est aussi indiquée dans quelques cas particuliers, de même que l'interdiction de subs-
tion de subs- tances difficiles à digérer, telles que les graisses ( Cas . III, XXII). On pourra aussi essayer, mais sans
nt un obstacle à la rumination, par exemple le décubitus dorsal, ( Cas . XXVII et suivantes), le repos absolu (OBs. XXI),
lls. XXVII). La pep- sine, que nous avons essayée chez nos malades ( Cas . XXX 120 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE.
la dure-mère, la pie-mère, et englobant les nerfs cités. Un second cas entraîne la conclusion que les fibres gus- tati
OI,OGIQUG Séance du 2 ! ) octobre 1883. - Présidence de M. Motet. Cas insolite de névrose convulsive. M. Legrand du SAU
.l'incline à penser que je me suis tout à coup trouvé en face d'un cas absolument exceptionnel, insolite et peut-être sa
dès les premiers jours de la maladie, pensa-t-il avoir affaire à un cas d'épilepsie symptomatique d'une lésion cérébrale
ont venus con- firmer cette manière de voir. Tel est, Messieurs, le cas insolite de névrose convulsive, qu'il nous a pa
ui, le diagnostic ne saurait être douteux : nous avons affaire à un cas d'hysléro-épilepsie se distin- guant des formes
M. Féré. Malgré quelques caractères exceptionnels offerts par le cas très intéressant sur lequel M. Legrand du Saulle
et P. Regnard. Iconoy. photographique de la Salpé- trière, p. 51 : cas de Parmentier. C'est peut-être le premier observé
emptoire pour éloigner l'hystérie. Il faut relever toutefois que ce cas est peut- être sans précédent pour le nombre de
certains égards ana- logues. Ce que je veux retenir pour l'heure du cas de M. Legrand du Saulle, c'est que les accident
tielle sans élévation de tem- pérature concomittante. Dans les deux cas , on se trouvait en pré- sence d'un type cliniqu
qui précède n'est pas purement théorique. Elle est réalisée dans le cas d'une malade actuellement en cours d'ob- servat
ue ? Telle est la question que M. Charcot s'est longtemps poé. Le cas de M. titi Saulle vient de nous fournir la clef d
gaire et très connu; elle em- prunte aussi, je crois, dans quelques cas , celui du petit mal : j'ai rapporté quelques ex
expérimentales et cliniques sur les traumatismes cérébraux, que les cas de commotion cérébrale sont toujours accompagné
aient aussi qu'assurément elles manquent fréquemment, même dans des cas de commotion foudroyante, quand l'animal tombait
entionnés plus haut, on ne doit jamais oublier que, dans les autres cas de lésion¡de cette partie de l'encéphale, on a à
quel un homme sain d'esprit ne voudrait pas avoir recours en pareil cas . Le « Médical Times » rappelle en terminant que
il ne peut prendre leur défense, lorsqu'il les voit, comme dans le cas actuel, en dehors du sentiment vrai de leur pro
s électif à la commission des médecins chargés de prononcer sur les cas de séquestration. M. le Dr Mata- dier a combatt
s eu l'occasion d'observer, dans le cou- rant de l'année, plusieurs cas de troubles de la parole, par paralysie des mus
endu et Gombault (Revue d'Hayem, 1876, p. 350), auraient observé un cas analogue à celui d'Hitzig. 3° Verneuil (Revue
la scissure de Sylvius '. 1 Nous avons rassemblé un grand nombre de cas de convulsions des muscles delà face avec lésio
ier (Localisation des maladies cérébrales, p. 136, 137) rapporte le cas suivant publié par Barlow (Bri- tish med. Journ
Médecine et de Chirurgie (1877, p.909). M. Lépine rap- porte trois cas avec autopsie : un de Magnus, extrait des Archi
e de Médecine de 1882. A ce groupe de faits nous pouvons ajouter le cas cité plus haut de Barlow qui est un bel exemple
qui est un bel exemple de paralysie glosso-labiée corticale, et un cas nouveau que nous avons eu l'occasion d'observer
atrophiés, et la contractilité électrique est affaiblie; dans un cas de paralysie bulbaire progressive, Erb a même t
faisceaux blancs sous-jacents. Au premier groupe appartiennent les cas de Barlow, de Magnus et de Féré; au second, les
partiennent les cas de Barlow, de Magnus et de Féré; au second, les cas d'Oulmont, de Kirchhoff et le nôtre. " Dans l
au second, les cas d'Oulmont, de Kirchhoff et le nôtre. " Dans le cas de Barlow, que nous avons déjà rap- porté à pro
e. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 167 - Quoique datant de 1837, le cas de Magnus peut encore nous servir au point de v
uisque le kyste occupait le bord externe. Il est à remarquer que le cas de Ma- gnus est le premier fait de paralysie gl
é ex- , terne est détruite ? ( Il'' '1 .. , , ..1 .. u , Des deux cas d;0ulmont, le premier seul est.tprécis ) au' po
ième portion du noyau lenticulaire. Il est parlé dans le deuxième cas de « foyers ocreux symétriques à l'extrémité po
pied de la frontale ascen- dante. ^ITPJIil/ t , si .1 s-'l f, Les cas .de Barlow, 'de Roseuthal, de Magnus ne font que
osso-labiée, sont le plus souvent bilatérales. Deux fois seulement ( cas de Magnus et de Kirchhoff), la lésion était uni
brale, dont nous allons donner la traduction résumée : . l' 1° Cas de Frédéric Jolly (Archiv. (ÜI' Psychiatrie, Band
de la lésion capsulaire n'est mal- heureusement pas indiquée. 2° Cas defJisenlobr. (Archiv. fïir Psychiatraé,l3andIX,
be et de la moelle. ' "' l' ' "' ' , . 1 '<" 1 '11tHJ 1 - 3° Cas de Ross : · (Diseases ofuhe nervous System; vol.
de lésions de la capsule interne. Pas d'examen microscopique. 4° Cas de Ross (Mémoire cité du Brain.) Henri H..., qua-
ont situées près du raphé médian. Noyaux bulbaires sains. '1 i 5° Cas de Ross. (Mémoire cité du Brain.) - Homme de tr
( Il 11 >l'l a u1 b 1 U J 1 .1. I Comme on le .voit, dans îles cas qui précèdent, à l'exception du cas de Frédéric
Comme on le .voit, dans îles cas qui précèdent, à l'exception du cas de Frédéric Jolly, la lésion trouvée à l'autops
- sait qu'il faut rapporter au rhumatisme et à la goutte tous les cas de vertige dit stomacal 3. M. Da Costa' fait jo
attachent quelquefois à la goutte, il faut compter l'épilepsie. Des cas de ce genre ont été rapportés par Van Swieten,
tinte- ments d'oreilles, de mouches volantes, etc. Dans quelques cas la nature goutteuse de l'affection con- vulsive
e. Thèse de Paris, 1880. L FAMILLE NÉVROPATHIQUE. <8) porte un cas de coexistence de la goutte et de l'hys- térie,
la suite de médications intempestives 6. Copland, Lynch citent des cas où l'état apoplectiforme cessait quand les doul
pressions brusques semblent indiquer que, dans un certain nombre de cas au moins, ces phénomènes sont dus à de simples
formes qui peuvent se terminer par la mort. Gairdner7 rapporte un cas d'aphasie remplacée par 1 Turck. Traité de la g
urs fois d'observer l'aphémie chez les goutteux ; et, dans quelques cas , il a vu cet accident ne se mon- trer qu'au mom
onvulsions momen- tanées du côté droit de la face. Garrod cite un cas de paralysie faciale ayant cessé au moment où a
rs faits de manie arthritique. Lorry', Lynch, Garrod rapportent des cas de folie s'étant ma- nifestés à la suite d'un a
it d'atrophie musculaire progressive vu par M. Potain '. Dans trois cas où il existait chez des lithémiques des trouble
lombaire; mais l'autopsie ne fut pas faite, pas plus que dans des cas analogues de Begbie et de Todd. Graves' semble
3. En somme, en fait de lésion médullaire, il n'y a guère que le cas de M. Ollivier', où la goutte puisse à bon droi
à la fréquentation des ataxiques, qui n'en ait rencontré plusieurs cas . M. Charcot a insisté naguère sur les amyotroph
quefois affectées (Foucart), elles restent, dans un grand nombre de cas , parfaitement normales. Souvent les muscles des
oordination motrice, sont seuls envahis (Laborde, Duménil). Dans le cas recueilli dans mou service par M. Pierret, ajou
e si l'on veut éviter de faire fausse route en présence de certains cas de tabes d'un diagnostic difficile. Nous faison
ntre. Nous avons été à même d'observer à la Salpêtrière plusieurs cas d'hémiatrophie de la langue chez des ataxiques,
ue. » En 1875, M. Cuffer a communiqué à la Société de biologie un cas de cet ordre fort intéressant, et dont nous rap
oubles circulatoires ni respiratoires. » M. Cuffer considérait le cas précédent comme unique dans la science, au mome
ù il le publiait. « On ne trouve dans les auteurs, disait-il, aucun cas de ce genre dans l'ataxie locomotrice. » Par
on, observa qu'il s'agissait très certainement, dans l'espèce, d'un cas d'ataxie à symptomatologie anormale. Les observ
jointures de la main, rela- tées avec une grande exactitude dans le cas lIe .\1. Vidal, z doivent-elles être considérée
on qui nousoc- cupe. Mais ce que nous tenons à retenir surtout du cas de M. Vidal comme de celui de M. Cuffer, c'est
relativement assez nombreux, que M. Charcot a relevés, les quelques cas que, pour notre part, nous avons pu observer so
Aussi nous contenterons-nous de rappeler les particu- larités du cas qui nous intéressent. Observation II. - La mala
rs aucune atrophie des muscles des membres et du tronc. Un second cas , que nous sommes en droit de rap- procher de ce
ter un troisième fait. Mais vu l'incertitude du diagnostic, dans le cas eu ques- tion, nous sommes tenu, à l'égard de c
une ataxie locomotrice des mieux confirmées. Se rappelant alors le cas du frère cadet, notre maître se demanda si l'hé
orma- tions suffisantes, nous garderons-nous bien d'identifier ce cas aux deux rapportés plus haut, et d'en faire, sa
eux rapportés plus haut, et d'en faire, sans plus ample informé, un cas d'atrophie linguale tabétique. Le diagnostic,
cot, ou qu'ont relatés MM. Cuffer et Vidal, constituent un total de cas large- ment suffisant pour nous autoriser à con
t quand l'hémiplégie est ancienne et très prononcée. Mais, dans ces cas , l'atrophie ne serait constatable qu'après la m
ceptée) le fait est rare. Clarke, en effet, re- lève seulement deux cas de cet ordre, dans lesquels cette hémiatrophie
cette hémiatrophie ait été observée, et encore s'agissait- il de cas obscurs et complexes. Le premier est em- prunté
à une trophouévrose faciale avec complication de chorée. Le second cas a été publié par Jackson, et l'atrophie lingual
c"lav lésion1 des muscles linguaux de paralysies oculaires. Dans le cas de M. Cuffer on voit signalés, avec peu de préc
en a vu un certain nombre et nous-mêmes en avons observé plusieurs cas . Ces paralysies sont très variables quant à leu
t une jambe, DE L HEMIATKOPHIB DE LA LANGUE. : ! Il comme dans le cas de Leisier cité plus haut, ou même les deux mem
rès une durée de temps qui est d'ailleurs fort variable suivant les cas . ' ' La pathogénie de ces accidents est encore
ion suffisante contre l'exis- tence d'une semblable lésion dans les cas auxquels nous faisons allusion. D'autre part, u
s maladies du système nerveux. De la note relative à la ma- lade ( Cas . VI, p. 423), nous détachons les détails sui- v
ues et microscopiques trouvées à l'autopsie ne mentionne, dans ce cas , aucune lésion des cordons antéro-Iatéraux de l
muscles des membres ou ceux innervés par la langue, comme dans les cas d'hémiatrophie lin- guale que nous avons rappor
s possédons, la coïncidence de l'atrophie des muscles de la langue ( Cas . personnelle; OBs. de MM. Vidal et Cuffer) avec
cles des membres supérieurs..Ce qui semble indi- quer que, dans ces cas , pour des raisons qu'il est à la vérité impossi
é, reconnaître que,' dans un certain nombre de faits relatifs à des cas d'ataxie bulbaire avec lésions de la langue ou
t recherchés. Et il importe à l'avenir que, en présence de tous les cas de tabes se traduisant par des troubles moteurs
gères ou très prononcées peu importe, doivent exister dans tous les cas . L'examen anatomique a démontré qu'il en était
e ces quarante dernières an- nées. RECUEIL DE FAITS NOTE SUR UN CAS DE CYSTICERQUES CELLULEUX DE 1,'I,'NCI,PflALE;
é d'urine (Voligurie, l'auuoie) s'observe dans un certain nombre de cas d'hystérie et en particulier dans la forme dési
is un phénomène transitoire qui peut passer inaperçu. Dans d'autres cas , au contraire, l'ischurie est plus ou moins per
l'influence d'émotions morales vives chez des névropathes. Dans les cas de dépression psychique, où il y a un ralentis-
qu'à la dernière extrémité. Fabre (de Marseille) a observé, deux cas d'ataxie locomotrice dans lesquels la quantité
épassé 300 et 700 grammes pendant quelques jours. Il cite encore un cas de mal de l'ott, avec compression médullaire, d
à mesure que la paraplégie diminuait. Enfin, M. Leduc a observé un' cas de tétanos dans lequel les urines n'ont guère d
lus ou moins colorées en jaune par un excès d'uroxanthine. Dans ces cas le phénomène se réduit souvent à une seule mict
nombre d'affections du mésocéphale. M. Leudet l'a signalée dans un cas de méningite chronique de la base de l'encéphal
suite de traumatismes céphaliques '. c) Dans un certain nombre de cas de lésions de l'encéphale et en particulier dan
albuminuries plus con- sidérables, ce sont, dans un grand nombre de cas , de simples coïncidences qui reconnaissent pour
présentant les diverses formes mentales, et, en dehors de quelques cas très rares d'épilepsie. dans lesquels ils ont t
ntion paralytique peut être complète ou incomplète. Dans le premier cas , la vessie se laisse distendre, pour ainsi dire,
e la vessie est incapable d'une contraction soutenue. Dans tous les cas , lejet est sans vigueur, même quand il se fait
quelquefois dans la com- motion violente du rachis', dans certains cas de compression par mal dePott, etc. Dans l'hé
ure, ce trouble est fréquent; il est même prédominant dans certains cas où la vessie est très atteinte bien que la para
r la réten- tion et l'introduction de sondes malpropres, il est des cas de myélite aiguë dans lesquels les urines s'alt
n nouvel effort. ' Cette forme de rétention s'observe dans certains cas de méningite spinale, dans le tabès spasmodique
nuation de l'in- continence vraie, à laquelle elle succède dans les cas qui entrent en voie d'amélioration. Elle se pré
est ce qu'on voit par exemple dans le tabès ataxique, dans certains cas de'paralysie générale des aliénés, de tumeurs cér
iction involontaire qui, comme la précédente, se rencontre dans les cas de lésions de la partie inférieure de la moelle
ut être à la fois diurne et -nocturne; c'est ce qui arrive dans les cas relativement les plus graves, ou bien elle est
sonde qu'on introduit. Il est intéressant de remarquer que, dans le cas d'hystérie, où on peut admettre l'anesthésie ta
ébrale; la paralysie générale des aliénés, qui parait dans certains cas faire excep- tion, est en réalité une affection
ris d'antres é2s,,répondant à la 0 élexe de grave. b) Dans d'autres cas , répondant à la paralysie réflexe de. Brown-Séq
ante qui détermine une para- lysie plus ou moins complète; dans ces cas , la moelle n'est pas atteinte, il s'agit de fau
et ils rendent une grande quantité d'urine claire. Dans les'àutres cas , le malade, qui n'avait'rien éprouvé de particu
is peut se ren- contrer dans la paralysie générale et dans certains cas de tu- meurs du mésocéphale en particulier. Cer
ie russes, 1883, t. Il.) M. Pasternatzky donne une description d'un cas de grande hys- térie chez l'homme suivie d'un é
térie chez l'homme suivie d'un état léthargique et cataleptique; ce cas est surtout intéressant au point de vue de la loc
conservation des attitudes qu'on donne aux membres). En étudiant ce cas intéressant, il est regret- table que l'auteur
e deux faits dans lesquels la maladie se déclare successivement (lE cas ) ou à peu près en même temps (2° cas) chez la fil
se déclare successivement (lE cas) ou à peu près en même temps (2° cas ) chez la fille et la mère. Il tend dans l'espèc
berculeuses limitées à la scissure de Sylvius droite. G. D. V. Un cas D'HYSTÉRIE chez l'homme; par ,1\1. LECOQ. (Fran
et de chirurgie pratiques, t. LUI, 1882.) L'auteur rapporte quatre cas de paralysie diphthéritique : deux d'entre elle
supérieurs et inférieurs. L'ensemble symptomatique, dans un de ces cas , ressemblait si bien à la para- lysie générale,
1883, p. G9-81.) Les auteurs donnent la description détaillée d'un cas qui s'est trouvé sous leur observation pendant
trophique en même temps. En donnant la description détaillée de ce cas de sclérose latérale, analogue aux faits décrit
its par Debove et Combault, les auteurs insistent beaucoup que leur cas confirme pleinement les idées de M. Charcot, su
à part. Idée, comme on le sait, nui était combattue par Leyden. Les cas de cette maladie, disent les auteurs, ne sont p
incipalement sur ces derniers. Frerichs divise en trois groupes les cas soumis à son observa- tion. Le premier groupe c
é marche néan- moins : il tombe au milieu de la route. Le troisième cas cité par Frerichs est celui d'un homme de quara
l'économie. Mais la lésion épithéliale n'est pas constante dans les cas de coma et on la trouve également chez les diab
ident nerveux. Frerichs conclut que la cause de la mort en pareil cas n'est pas unique. Pour le premier groupe (troub
e la science, une lacune regrettable. Ferd. DIIEYFOUS. XVII. Deux cas d'hystérie; par G.-L. Walton (Arch. of medicine
alton (Arch. of medicine, \ew-1'orlc, august 1883.) 1° Le premier cas a trait à un homme chez lequel, il 'la suite d'un
e, on vit survenir une hémianesthésie hystérique. il Dans le second cas , il s'agit d'une hémihypcresthésie cutanée coin-
pas dire perfec- tionnement, mais perversion de la sensibilité; le cas de M. Walton vient donc à l'appui de la règle.
es préjudiciables à ses intérêts pécu- niaires ; ce sont encore des cas délicats que le médecin devra prévoir, mais qui
vient-il d'instituer en France une semblable commission et, dans le cas où on l'instituerait, comment devra-t-elle être c
ider. Néan- moins, c'est encore là un point à éclaircir, et dans le cas où une commission devrait être instituée, il co
lement. En serait-il de même avec une commission mixte ? Et dans le cas d'un conflit, quelle est l'opinion qui prévaudr
e pourra ordonner d'office les placements. C'est seulement pour les cas difficiles qu'on saisira la chambre du conseil.
dorsal ataxique, écrivait ce qui suit : «Pour l'énorme majorité des cas , l'ataxie locomotrice constitue une manifestation
elles qu'il nous a été possible de recueillir un nombre imposant de cas nouveaux. Notre statistique actuelle, en effet,
re. Nous n'apprendrons rien à per- sonne en citant, par exemple, le cas de telle malade, exempte absolu- ment de toute
ant la part belle à la syphilis, la part faible à l'héré- dité, les cas d'ataxie héréditaire restent plus nombreux que ce
, lui aussi tabétique. Peut-on sérieusement prétendre que, dans des cas de cet ordre, la cause de la lésion spinale doive
'autre part, il n'est pas certain que les lésions spinales, dans le cas de cette nature, soient bien celles de la scléros
fet être plus diffuses, moins nettement systhématisées que dans les cas ordi- naires d'ataxie locomotrice progressive.
utres que ceux de la paralysie générale qui viennent, dans certains cas , se surajouter à ceux du tabès. Trous- seau ava
encore en traitement. Il n'en est pas moins vrai que, dans certains cas , lorsque surtout sont en jeu de graves intérêts
amille, soit par l'autorité judiciaire. Quel parti prendre dans ces cas qui sont toujours embarrassants et dans lesquel
poussé à bout, il doit prendre une décision définitive. Dans ces cas , à Paris ou dans les asiles de la Seine, nous avo
serait appelée à délibérer et à prendre une détermination pour ces cas particuliers. Je n'hésite pas à me déclarer par
uelquefois avoir gain de càuse auprès de cette commission ; dans le cas contraire, il n'aura qu'à s'incliner devant cet a
tribunal devront en faire partie. Puur plus de garantie dans les cas de mise en liberté, on pourrait en même temps f
z70 SOCIÉTÉS SAVANTES. Quelles sont les mesures à prendre dans ce cas ? et d'abord comment procède-t-on d'une façon g
ion conclut à la nécessité de la réintégration. Or, dans ce dernier cas , il arrive souvent que les conclusions de ce ce
t devenir dangereux. Chacun de nous certainement pourrait citer des cas où le juge- ment favorable que nous avions port
lles le médecin est obligé de céder, quelquefois. Or, dans bien des cas , il arrive que ces malades mis en liberté ne ta
ont toujours très bien établis certainement, mais dans le nombre de cas ils ne font pas mention de faits importants, do
d'éviter les inconvénients que je signale, il faudrait que dans ces cas qui tendent à devenir de plus en plus i Le Cons
es qu'aura l'institution d'une commission spéciale surtout dans les cas d'aliénés dangereux dont la sortie est demandée
e. L'intervention de celle-ci pourrait n'être demandée que dans les cas où il y a quelque doute ou quelque crainte pour l
commission spéciale à laquelle il voudrait s'en rapporter dans les cas difficiles ne sera pas créée. M. Falret. Il est
voya la demande au médecin traitant. 4" , , ' Voici maintenant un cas qui vous montrera comment l'admi- nistration co
um; les névroses seraient aussi exceptionnelles. « En présence d'un cas d'aliénation mentale, la justice n'intervient p
vait de Gubler que la paralysie est alterne. M. Rondot a réuni à un cas personnel un certain nombre de faits (Lépine, Fér
cles qui étaient les plus agités par les convulsions. Dans tous lés cas ,'le pronostic est bénin; cette paralysie guérit t
asque sclérodermique;' par OBIER. Thèse de Paris, 1883. Note sur un cas de myélite chronique ci diagnostic douteux (sclé-
t saisir le moment, probablement très fu- gitif, sauf dans quelques cas exceptionnels comme ceux que je viens de citer,
sceau intermédiaire (faisceau géniculé) se rencontreraient dans les cas d'aphasie, de paralysie des muscles de la langu
ytiques, mais accompagné de troubles intellectuels. Dans le premier cas , le fais- ceau géniculé est intéressé en même t
idal, en avant duquel il se trouve immé- diatement ; dans le second cas , le faisceau pyramidal et le faisceau géniculé
osse nous serons. plus favorisés car nous avons pu recueillir trois cas de ramollissement DES LOCALISATIONS CEREBRALES.
ISATIONS CEREBRALES. 3u 1 de la protubérance avec glossoplégie. Ces cas sont les suivants : Observation II. Embarras
e mettre en rapport avec les noyaux bulbaires. RECUEIL DE FAITS CAS D'ENGORGEMENT PROGRESSIF DU SINUS FALCIFORME SU
d'une thrombose des vaisseaux vei- neux avoisinants; dans quelques cas , elle est consécutive à un 1 La pièce anatomiqu
e avec lésion des téguments et des os du crâne. Mais, dans tous ces cas , elle se développe promptement. Il est bien plu
yant déterminé l'occlusion de la lumière des sinus ; mais, dans ces cas -là, on constata invariablement des formations mal
pression extérieure et même immédiate "n lisant la description d'un cas intéressant donné par Kurschmann (Dpittç- che A
m de tumeurs perlées, qui, bien qu'elles présentent généralement un cas assez rare (Ranvier2), se rencontrent néanmoins
ôme particulier; leur présence n'est constatée qu'a l'autopsie. Ces cas diffèrent complètement de ceux que nous décrivons
eineux intra et extra-crâniens. Supposons maintenant, comme dans le cas actuel, qu'une tumeur développée dans les paroi
aintenant jusqu'à quel point ces conditions se réalisent dans notre cas . Bien que l'autopsie du cerveau de M... nous ai
omènes plus sérieux font ordinairement défaut. Le petit nombre de cas analogues ne permet pas, à mon avis, d'avancer
une telle affirmation, d'autant plus que Wernicke lui-même cite un cas de IIeubner, comme unique en son genre, où chez
vons parlé et rumine comme lui. Nous avons dit que, dans quelques cas , la rumination était héréditaire et qu'elle suc
prise dans l'enfance, de ne vou- loir aller à la selle que dans le cas d'absolue nécessité. A l'âge de douze ans, infl
ait presque chaque fois qu'il buvait de la bière ou du \iu. Dans le cas seulement où les liquides n'étaient pris que long
qui dure quelquefois aussi longtemps que la rumina- tion. Dans ces cas , on observe toujours en même temps des renvois.
ne pouvaient être gardées dans la bouche. Jamais de nausées dans ce cas . Comme les masses ruminées avaient en général u
. Quelquefois, quand il réussissait, il lui semblait, comme dans le cas de Pônsgen, que les aliments à moitié chemin ét
ttre un certain état de faiblesse musculaire de l'organe. Dans le cas suivant, la rumination, après avoir été internzit
ons- tipation, en un mot ses selles sont tout à fait normales. Le cas suivant a été communiqué à M. Koerner parleDLucae
u à l'air; elles furent tantôt recrachées, tantôt ravalées, dans ce cas après qu'elles eurent été remâchées ou écrasées a
equassia et de l'absinthe légère. On voit donc qu'à part certains cas exceptionnels, qui se terminent spontanément pa
un grand âge avec sa rumination, le dyspeptique maigrit, dans le cas où il enlève, en les crachant, les aliments desti
ts destinés à l'or- ganisme et revenant de l'estomac. Dans d'autres cas , ajoute- t-il, le malade augmente sa dyspepsie
r, ce qui assombrit le diagnostic. Il en était ainsi dans le second cas de Pônsgen où la rumination se déve- loppa chez
sont acides, etc. Fréquence. M. R. Blanchard évalue le nombre des cas de mérycisme connus dans la science à trente-si
nte-onze aliénés. En ce qui concerne les aliénés, il a relevé trois cas , sur quatre cent soixante-onze malades. En est-
ine d'enfants idiots présents à Bicètre, nous n'avons noté que cinq cas . Le tableau ci-après donne une idée des quarant
é que cinq cas. Le tableau ci-après donne une idée des quarante-six cas réunis par nous, sans compter les quatorze cas
dée des quarante-six cas réunis par nous, sans compter les quatorze cas de M. Bouchaud (soit en tout soixante cas) : ..
ns compter les quatorze cas de M. Bouchaud (soit en tout soixante cas ) : .. . 324 REVUE CRITIQUE. DU MERYCISME. 325
té de la contractilité musculaire, mais à développement lent. En un cas de paraplégie consécutive à une spondylite de la
is par anéantissement de la tonicité musculaire. P. K. XXI. Trois cas DE tumeurs tuberculeuses dans LE cerveau MOYEN ET
aire postéro-externe) la dégénéres- cence ne se montre que dans les cas fort avancés, tandis qu'à la limite antérieure
tout leur par- cours, quand on a affaire à un vrai tabes. Mais les cas dans lesquels la fin de l'affection est marquée
c la vision, et le cervelet avec l'équilibre, de sorte que, dans ce cas , le faisceau en question serait la voie par laq
EN FOYER; par A. HOLLOENDER.. (Jah2b. Psych., III, 3.) Il est des cas dans lesquels, bien que l'examen clinique con-
acteur des manifestations d'ordre irritatif du paralytique dans les cas de ce genre, notam- ment avant l'agonie. Leur i
ou moins d'infiltration de la région du cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE paralysie combinée DU bras ET DE
urologie, t. III, p. 230). 336 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXX. Cas INSOLITE DE MYÉLITE par compression ; par KNECHT.
elles (angio-sarcome) sous forme purement inflammatoire. Ces deux cas marquent la limite qui sépare le processus infl
L'historique de la question termine le travail. P. K. XXXIII. UN cas DE tubercule occupant le TIERS moyen de la fronta
développement de la folie sont peu nombreuses, ce n'est pas que les cas en soient rares mais c'est que, n'ayant pas solli
observé dans les centres manufacturiers de cette ville, vingt et un cas d'intoxication arsenicale simulant les symptômes
ch. p)ysiol., (18ï5). Binswanger(de Berlin), Blondet ont cité des cas de fièvre des fon- deurs (Meesing füber) avec m
déc. 1883) et M. Proust dans son Traité en rapportent chacun deux cas . Des troubles analogues ont été observés dans des
t tous les auteurs modernes, on trouve rapportés un grand nombre de cas analogues d'hyperesthésie des sens spéciaux et
de la moelle. L'auteur en met sous les yeux de ses confrères trois cas . La paralysie progressive des muscles oculaires
la clinique du professeur allemand (20 p. 100). Sur ces trente-deux cas , douze offraient des symptômes spinaux marqués,
rquer parla présence de ces derniers symptômes. Sur les trente-deux cas , la participation morbide du nerf optique (céci
e lui attribuer l'atrophie des nerfs oculaires correspondants (deux cas de Gowers et Blizzard) et celle des noyaux de c
Exner(acide osmique, puis ammoniaque). L'auteur a actuellement neuf cas de paralysie générale examinés par ce procédé d
comparer ces pièces pathologiques avec des pièces normales. En tout cas , cette destruction a été constatée à des stades
é- mence paralytique. Quant à l'encéphalite, elle manque dans les cas récents de paralysie générale, tandis qu'elle exi
. M. ARNDT (de Greisswald). S'il est vrai que dans la plupart des cas de paralysie générale, on constate un processus i
gressive, et savoirque le cerveau du paralytique aura dans certains cas , son écorce indemne ; quand l'écorce diminue de
de la nutrition générale est le seul objectif à viser pour tous les cas . On l'atteint par la méthode de Mitchell (Amériqu
paration des forces et le relèvement de la nutrition. Dans certains cas , le résultat dépasse toute attente. Ainsi en fut-
la tête. Avis contraire de M. Binswanger. M. MENDEL distingue les cas où le massage est bon de ceux où il augmente le
rieure. Cette texture explique l'atrophie secondaire de l'olive du cas 376 ô SOCIÉTÉS SAVANTES. de Meyer. Mais elle
nt plusieurs mois consécutifs (sept mois au plus). Sur soixante-six cas de manie, lypémanie, folie systématique, y comp
trouvé cinq fois des 'anomalies du fond de l'oeil Dans trois de ces cas , il y avait en même temps des affections fébriles
ples n'avaient en- gendré aucun trouble intra-oculaire. Trente-cinq cas d'affaiblis- sement intellectuel n'en décélaien
ie alliée à l'examen des fonctions de la vue, fournit en quel- ques cas , des renseignements sur le substl atum anatomique
lir un rapport entre cet état microscopique et la psychose. En tout cas il rejette l'hypothèse, qu'on aurait sous les y
he se rallie à cette innovation; il demande seulement que, dans les cas urgents, on puisse interner un aliéné avec un s
ont été adoptées conclut ou non à l'internement : dans le premier cas , pourquoi le placement ne s'effectuerait-il pas s
ain d'esprit et sur lequel il n'y a pas eu d'expertise. En pareil cas , l'accusé doit être mis immédiatement en liberté,
estime « qu'elles offrent plus de mauvais que de bons côtés ». En cas d'évasion, l'aliéné pourra pendantquinze jours se
acé dans un asile public sans l'avis du médecin traitant : dans des cas bien déterminés, pour acquitter par exemple les
iciaire pour la sortie des aliénés, mais il ne semble prévoir qu'un cas , celui où la justice serait d'accord avec le mé
sur dix, l'internement s'im- pose ; il se demande comment, dans les cas exceptionnels où le doute est permis, le magist
L'intervention de la justice s'exercera du reste aussi bien dans ce cas que dans l'autre. Peut-être m'objectera-t-on, ajo
lade à titre définitif sans être obligé d'en référer dans tous les cas à la chambre du conseil. M. Lunier ajoute, en t
ment définitif, droit dont il userait dans le plus grand nombre des cas , et nous pensons, en outre, qu'il serait indispen
en contient plusieurs : saignée suivie de delirium tremens dans un cas d'érysipèle chez un buveur (Rayer), deli1'ium t
ignorés et qui s'ignorent eux-mêmes ou dissimulent. C'est dans ces cas qu'il appartient au médecin de dé- masquer les
es des évasions des aliénés qui ont eu lieu par leur faute; dans ce cas , une partie des dépenses de la réintégration es
st question : CLINICAT DES MALADIES MENTALES. 1° Épreuve sur un cas de maladie ordinaire (10 minutes d'examen; 10 m
u plus, égal au dixième du maximum. 2° Consultation écrite sur un cas de médecine mentale (10 minutes d'examen; le ju
ant une consultation, après l'examen d'un aliéné, et rapport sur un cas d'aliénation mentale (15 minutes pour l'examen
scipline carcerarie, si la direction y consent. ' Dans le premier cas , l'auteur est obligé de donner cinquante copies
opies du mémoire publié, à la direction de la Revue; dans le second cas , l'auteur recevra, en outre du prix fixé, cent .e
prises et à propos de rien. » Il s'agit là fort probablement d'un cas d'instabilité mentale, comme on en voit un cert
natzky, 245; par Lecoq, 247; - par Walton, 253. Hystérie (deux cas d'), par Wallon, 253. Hystérique (tremblement
me (du), par Bourneville et Ségalas, 101, 312. Moelle (étude d'un cas de fausse sclérose systématique combinée 1 de
ntribution à la patho- logie de la), par Strumpell, H30. Myélite ( cas insolite de par com- pression), par Knecht, 336
opathique (la famille), par Ch. Féré, 1, 173. Névrose convulsive ( cas insolite de), par Legrand du Saulle, 127. Név
dégénérescence secondaire. B, Coupe du cordon latéral dans notre cas . a, Tube nerveux avec cylindre-axe; hypertrophi
76 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns, dit Baillarger dans ce mémoire, on re- connaît qu'il existe des cas assez nombreux dans les- quels il est impossibl
t se reprodui- sent d'une manière intermittente et, dans d'autres cas , peuvent se- succéder sans interruption. La com
ques années). D'autres observateurs et je suis du nombre,ont vu des cas ou régulibiement à une saison, par exemple en h
s dontil avait suivi l'évolution, il n'avait jamais observé un seul cas de manie qui n'ait été suivi de récidive, et te
été suivi de récidive, et tenant compte de cet autre fait que les cas de manie étiquetés simples par les au- teurs so
s au- teurs sont et seront ioujoxirs impossibles à distinguer des cas de manie récidivante ou intermittente, Ivre;-
tendu le domaine de la folie périodi- que, en y comprenant tous les cas communément dé- crits sous les noms de «manie s
Bruxelles), etc. Le premiercle ces au leurs a constaté que, sur 107 cas diagnostiqués manie, l'évolution de l'affection
nsen aégalement remarqué que la pro- portion des guérisons dans les cas de manie datant de plus de 20 ans n'était que d
sion simple et la dépression périodique. De même, on distingue les cas dans lesquels il existe une alternance régulièr
s nous apprend qu'il s'est livré à une enquête au sujet de tous les cas de manie et de mélancolie qu'il avait inscrits
e cette enquête a été désastreux pour la manie et la mélancolie Les cas de manie et de mélan- colie pures sont rares »
s remarquer en premier lieu que, de l'avis de tous les auteurs, les cas de manie périodique ou de mélancolie périodique
ent légitime. Elle est également à l'abri de la critique dans les cas de folie à formes alternes (Délaye, Legrand du
er l'excellence de la méthode et, titre d'exem- ple, je rapporte un cas de crampe des écrivains où elle m'a procuré un
ulement REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 23 faire remarquer que, dans le cas actuel, le mérite du succès obtenu doit bien re
ont noté une action diurétique et stimulante. Presque dans tous les cas le résultat a été excel- lent. l. La ponction
ns ; la radiographie, bientôt remplacée dans l'immense majorité des cas parla radioscopie infiniment moins dispendieuse,
de la crédulité publique et on a cité dans le débat académique des cas de véritables escroqueries commis dans cer- tai
ment des paraplégies spasmodiques par les exercices. Résultat de 40 cas ; par 31. FAURE (de Lamalou). (Rev. de 111';(/.
t perturbé les moyens de réparation et de dépuration. Dans les deux cas , c'est donc sur la cellule et ses pro- longemen
nt à des lésions cellulaires considéra- bles : c'est précisément le cas de la confusion mentale, Il en ré- sulle une ce
e révélateur de la lésion tabétique a passé inaperçu dans les trois cas rapportés, soit que les signes subjectifs aient é
ssaire de rechercher la série des troubles tabétiques dans tous les cas de démence précoce. 1 ? . Tissot. \'I. Sur un c
s dans tous les cas de démence précoce. 1 ? . Tissot. \'I. Sur un cas de tumeur cérébrale à forme psychi- que ; asthé
3131. MouissET et Beutter. (Lyon médical, '20 mai 1900, p. 1008.) Cas de tumeur cérébrale chez une femme de 40 ans à hé
les centres nerveux, hypothèse d'ailleurs confirmée dans certains cas par la somnolence produite par la cure pituitaire
es narcolepsies. L'auteur a observé par contre, l'insomnie dans les cas suivants : 1" Dans les tumeurs de l'hypophyse a
REVUE d'anATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 11. - Un nouveau cas de myasthénia gravis. Asthénie bulbo-spinale te
soitpar le résultat de l'examen histologiques. On a distin- gué des cas typiques et des cas atypiques ces derniers seraie
de l'examen histologiques. On a distin- gué des cas typiques et des cas atypiques ces derniers seraient les plus nombre
vague, peu retentissant, mais pro- voquant cependant dans certains cas des réactions assez violentes pour nécessiter l
arier. Les formes frustes de la démence précoce expliquent bien les cas , à pre- mière vue étranges, dans lesquels un di
r portée. Les hallucinations ne sont pas constantes ; dans tous les cas , elles n'ont aucune influence dans l'éclosion d
onnements ; il n'existe pas de dill'é- rence fondamentale entre les cas où l'interprétation est fonction d'une tournure
qu'il faut toujours rattacher à une affection organique. Témoin le cas rapporté : il s'agit d'une femme jeune sans prédi
es, Archives of Neurol. and l'sclcopat)col., vol. 11, 1899.) - Un cas de délire systématisé avec artérite céré- brale
sem- ble rationnel de lui rapporter toute l'histoire clinique de ce cas : elle est la cause de la rupture artérielle qu
no-catatonique, secondaire pour la forme pa- ranoide. Dans tous les cas la dégénérescence, dans le sens large que lui a
eus diffuses. La conclusion qui se dégage du rapprochement de ce cas avec d'autres observations est que la paralysie
générale présente d'ordinaire une marche pro- gressive, il est des cas où l'évolution subit un temps d'arrêt qui peut
RIER. (Soc. Méd. des lIop, de Lyon 11 avril 1905.) Observation d'un cas de psychose de l'état puerpéral, chez une femme
irants apparurent le 0e jour après l'accouclremenl. L'intérêt de ce cas réside : 1° Dans la netteté de la cause predipo
y a un élément dégénératif. Au point de vue de la pathogénie de ce cas de psychose de l'état puerpéral, l'auteur pense
recherches nouvelles. Au sujet des délires puerpéraux semblables au cas présenté, il reprend l'opinion qu'il a émise dé
ve à un traumatismo infecté du doigt. Le caractère intéres- sant du cas est une arthrite mélacarpo-phalangienne ayant tou
s attributs cliniques et radiographiques du rhumatisme chroni- que ; cas en faveur de l'origine infectieuse et névrilique
ïdes et, bronchite chronique avec asthme datant de l'enlance). Veux cas d'hemianopsie bitemporale, 11. Galezovvski : 1°
x résultats. Ils ont aussi injecté le tronc sciatique dans certains cas de contracture, tremblement et spasme avec résu
tremblement et spasme avec résultats encourageants, sauf dans les cas de vieille hémiplégie. .lmyotrophie A ran-Duche
. Sclérose latérale amyotrophique. 31. 110JESVNIICOFF rapporte un cas et deux autopsies de cette allection avec local
la médecine par une voyante. JI. Paul MAGNIN lit un rapport sur les cas de la voyante de Saint-Quentin. Sa conclusion e
t là un nouvel exemple de la foi qui guérit. 31. Paul Farez cite le cas d'une de ses malades atteinte de ma- nie aiguë
s nom- breuses avec chacune de ces voyantes et se prononcer sur son cas personnel et non sur clairvoyance en général :
la dite voyante pour rédiger certains at- tendus ou solutionner des cas épineux soumis a leur juridiction. Il y aurait
la modification de certaines modalités du caractère; mais, en aucun cas , elle ne dole le sujet hypnotisé des aptitudes
remière faute, a rechuté après 5 mois de conduite exemplaire. Le 7° cas a été un insuccès complet, insuccès en rapport av
l ne s'agit ici que de statistiques. On ne peut, à propos de chaque cas rapporté ici, répéter un enseignement qui a déj
re les suggestions courtes, précises el. progressives. Un nouveau cas de sommeil hystérique. lI. Witry (de Trêves). M
éparé par divers troubles somatiques et psychi- ques, ce qui est le cas le plus fréquent. Mais, contrairement à ce qu'o
anes parla suggestion hypnotique ; n'ayant pu réussir dans tous les cas , ils ont exprimé l'opinion que le traitement par
'efficacité d'une méthode, il ne faut pas l'appliquer seulement aux cas désespérés où l'insuccès est inévitable ; il faut
égation portent sur le malade lui-môme ou sur le monde extérieur (2 cas ) ou bien coexistent. Les hallucinations sont en
solés que possible ; mais les résultats sont valables pour tous les cas , le mode de constitution d'un symptôme se retrouv
des modalités de la démence sénile, tandis que les autres sont des cas de cette mé- lancolie allective qui se produit
es ; Par Cl. bonne Médecin adjoint à l'asile de Braquevine. Les cas d'atrophie d'un des hémisphères cérébelleux son
e droit est difficile à distinguer il l'oeil nu, et paraît, en fout cas , 1-11(tAGI;NÉSII's CÉRÉBELLEUSE. 69 beaucou
orel et Onufrowicz (Ibid., Iiâ. 378, p. 759) ont rencontrée dans un cas d'agénésie du corps calleux. On ne saurait la c
ion formelle : c'est seu- lement d'après quelques analogies avec le cas de Forel et Onufrowicz (Déjerine, 1, fig. 378,
té de Pouclia[,(1-1')i-issau(l (t. IX, p. 408 414, 1904). Dans le cas d'Amiral (Clinique médicale, t. V, p. 713, 4e édi
en miniature la surface de l'autre hémis- phère [ ? ]. » Dans le cas de LallemenL fSoc. anat., 186 ? cité d'après Thom
l existait encore de t'atrophie croisée du corps strié. , Dans le cas de Ililzig (8° Congrès des neurol. et aliénistes
nc cérébral et du cer- velet, montrent une grande analogie entre ce cas et celui de Des. ; mais le large faisceau blanc
e et époque probables des arrêts de développe- ment. Si, dans notre cas , comme dans ceux d'Andral, Lallement, Neuburger
'une façon suffisante dans l'hémisphère unique. Pourtant, dans le cas d'rlndrltl, oit le cerveau et les méninges ne p
emps très long le fonctionnement normal du névraxe. Mais dans les cas d'atrophie acquise (sclérose, etc.), unilatéral
ie, c'est également vers la même époque qu'il aurait agi dans les cas , cités plus haut,d'Andral,de Lallement et d'IIit-
ste très peu de temps. Le zona ophtalmique (2) est, dans ccrîains cas , un signe très précoce du début de la pa- ralys
à s'en apercevoir contrairement à l'opinion de Robin (3). Sauf des cas rares (horloger obligé de cesser (1) HUUN c6 il
re ; ou bien c'est un symptôme qui accompagne l'ic- tus, et dans ce cas , d'après lraiTL-Ebin ? (1), le rétrécisse- ment
oli- ques et les maniaques, aussi bien du reste que dans certains cas où il n'y a aucune lare ; la dilatation et les
à un excellent symptôme pour le diagnostic rétrospec- tif dans le cas d'un malade entrant à l'hôpital après une attaq
ation des troubles mentaux. La recherche des microbes porta sur 206 cas que l'on peut diviser en trois séries : une pre
S ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 109 taux. Il ne trouva que dans cinq cas des éléments microbiens dus certainement à des
ment décrits comme pathognomoniques. La deuxième série porte sur 64 cas d'affections diverses des centres ner- veux ; l
céphalo-rachidien, examiné pendant la vie, présenta, dans quelques cas , des colonies microbiennes dues, là encore, à d
à des fautes de technique. Enfin, dans une troi- sième série de 46 cas d'examens de sang de malades, présen- tant des
évidence un élément microbien, c'était le bacille d'Eberth dans un cas de fièvre typhoïde. M. Maurice Faure est frappé
ce, une sénilité générale et des sénilités locales. Dans tous les cas , il n'existe pas d'organe sénile et no- tamment
rt avec des crises d'épilepsie sénile, peut-être avec la démence (5 cas ,dont un personnel). Les mêmes lésions des cellu
fibres tangentielles et de la prolifération névro- glique dans ces cas explique pourquoi l'état vermoulu coïncide d'or
soit dans la sclérose combinée sénile, soit peut-être dans quelques cas de sclérose plus ou moins diffuse, d'origine va
u surtout la sclérose miliaire de l'écorce cérébrale : dans les 5 cas jusqu'ici signalés de cette dernière lésion, il y
lus qu'on ne la dénie aux lacunes, la faculté d'être, dans certains cas , l'origine des troubles mo- teurs, et dans l'es
nts spontanés et les mouvements s après commandement, dans certains cas d'hémi ou de para- plégie cérébrale, est très u
ilatérales des lobules paracentraux. D'un autre côté, dans certains cas où les lésions des faisceaux pyrami. daux dépen
lus pervers. La plupart des experts concluent actuellement, dans ce cas , à la responsabilité atténuée. Je crois, au con
des, fugues, etc., commispen- dant le somnambulisme. C'est dans ces cas que l'on peut dire que le malade est un pur aut
hardie et téméraire dans l'état second. L'inculpé ne sera, en tous cas , déclaré irresponsable que si le délit a été réel
ue, nous nous bornerons à étudier la res- ponsabilité dans quelques cas particuliers choisis parmi les plus fréquents.
instantanément de l'idée à l'acte. La plupart des auteurs, dans ces cas , concluent à une res- ponsabilité limitée. D'ap
uilibre per- met d'arriver à déterminer la responsabilité. A chaque cas correspond une solution différente. Lorsque la
olonté.La cliniquemédico-lé- gale et pénitentiaire fourmille de ces cas hybrides, où il est im- possible de faire dans
ique à la gencive inférieure. Teinte jaune-paille des téguments. Ce cas , traité aussitôt, s'est len- tement amélioré pa
a démence précoce peuvent relever de nombreuses causes. 1. Dans les cas avérés d'hystérie ou d'épilepsie où les attaque
uel peut germer cette affec- tion. Dans ce cadre restreint : 1° les cas isolés de convulsions sur lesquels insistait Ka
s cas isolés de convulsions sur lesquels insistait Kalbaum ; 2° les cas de démence rapide survenant après une seule att
ériode tardive où toute trace de névrose est ellacée comme dans les cas de Massin et nos observations personnelles. Tou
e dans les cas de Massin et nos observations personnelles. Tous les cas d'ictus survenant chez des jeunes sujets en l'a
ues, stigmates mentaux épileptiques, symptômes en foyer (dans les cas de tumeurs cérébrales) et en l'absence de symptôm
jamais été bien établie, il nous a semblé que,dans la maiorité des cas , le mé- canisme physiologique de la crise laryn
t peut courir de graves dangers. Quelquefois (et ce ne sont pas les cas les moins graves), tout se réduit à de l'incoor
1.) . Après avoir rapporté l'examen histologique détaillé dans un cas de cette nature, l'auteur en recherche l'origine.
rallèlement à la méthode de Marchi, l'auteur a vu que dans quelques cas , consécutivement à l'arrachement unilatéral du
et donnant la classique manifestation hémiatrophique. Dans tous ces cas , le développement du crâne s'adapte toujours à
les somatiques il est ac- compagné. Les recherches ont porté sur 10 cas (contusion men- tale, catatonie, psychose polyn
s'il y a eu intervention d'un nouvel état mental. Dans le pre- mier cas , on trouve une notahle différence entre la mémoir
on primitive. Il n'existe pas une genèse autonome des émotions. Les cas qui .li;cntvr,2° cérie. Il 1906. L XXII. 10
lle. J. Séglas. XXII. Les altérations de la moelle épinière dans un cas d'acromégalie ; par GfovANNt-CAGNETTO. (In Rivi
mbryonnaire pen- dant la vie inlra-utérine. J. Séglas. XXII. - Un cas de persistance du ventricule de Verga rencontré
e est peu riche en faits de ce genre ; celle observation apporte un cas nouveau et tendrait à confirmer cette hypothèse
ent et réagissent les purs accidents hystériques. Dans le premier cas . chez une hystérique de 30 ans, on voit à la su
raître encore après suggestion à l'état d'hypnose. Dans le second cas il s'agit d'une hystérique de 14 ans qui pendan
entes depuis si mois. L'hypnose et la sug- gession n'ont eu dans ce cas aucune 'efficacité- mais la pression de certain
ient naître les tics quand ils n'existaient pas. G. U. II. Sur un cas d'atrophie musculaire progressive ; par MM. de
r le conducteur nerveux, tantôt sur le muscle, et qui dans d'autres cas , envahit tout l'arc moteur retiexe d'une façon
e sont occupés delà question. Puis il rapporte deux observations de cas typiques d'atrophie musculaire progressive, et qu
traités avec soins, suivre une hygiène spéciale et, dans bien des cas on pourrait éviter les accidents ultérieurs. Be
de l'orga- nisme, bien que cette bromuration n'ait point, dans ce cas , déterminé d'accidents graves d'intoxication. L
INIQUE NERVEUSE. de régime sans sel et sans bromure, donne dans les cas d'épilepsie dite essentielle à accès très nombr
plus souvent aux adolescents de Hi à 18 ans. CLINIQUE NERVEUSE Un cas de compression de la moelle avec des phénomènes
phéno- mènes spasmodiques peuvent exister sans que la moelle UN CAS DE COMPRESSION DE LA .MOELLE. 171 présente des
tout le monde, qu'il se sert normalement de , ses bras, enfin UN CAS DE COMPRESSION DE LA MOELLE 173 qu'il est reven
omplètement, après une cure de bain de boue et de mas- sages. Notre cas n'est pas isolé, et si la guérison s'est produi
s fils qui le liaient à ce dernier. Preuve, disent ces auteurs, les cas d'apo- plexie cérébrale compliqués immédiatemen
ture,convulsions et exagérations des réflexes tendineux. Dans ces cas l'apoplexie cérébrale est produite par une gran
ventricu- le, ou dans la protubérance ou dans le bulbe. Il y a dès cas aussi chez lesquels, aulendemain, ou le 4" jour
s phénomènes de spasmodicité. Il ajoute encore à cette occasion des cas de Schultze(2), de Fraenkel(3), de Philippe et
1899, n" 28, 29 und 30. (4) Etat du faisceau pyramidal dans quatre cas de contracture spasmodique infantile, par MM. C
hilippe rL R. Cestnn. Soc. de Biologie, année 1897, p. IOSU. UN CAS DE COMPRESSION DE LA MOELLE. 175 Cestan (1) et
IOSU. UN CAS DE COMPRESSION DE LA MOELLE. 175 Cestan (1) et un cas publié par lui-même dans sa thèse (2). F.Raymon
aymond et S ? 1. Sicard, dans leur travail déjà cité, pu- blient un cas analogue, et J. Babinski, dans la même séance d
s la même séance de la Société de Neurologie, présente un nouveau cas . On peut déduire de ces faits que les signes cl
générescence des faisceaux pyramidaux, et par con- séquent,dans les cas de compression,on guérit assez sou- vent si l'o
ent si l'on sait intervenir chirurgicalement à temps, comme dans le cas de Raymond et Sicard et le cas de Babinski, déj
rurgicalement à temps, comme dans le cas de Raymond et Sicard et le cas de Babinski, déjà cités. Notre cas peut entre
cas de Raymond et Sicard et le cas de Babinski, déjà cités. Notre cas peut entrer dans cette catégorie, seulement nou
ercueils. Il écrit alors à M. Anatole France, pour lui signaler son cas , et pour le prier d'attirer sur lui l'attention
passé, de s'accuser d'un fait peut être réel, mais dans tous les cas couvert par la prescription, ce que certaine- m
logie générale la position de moindre résistance n'implique pas, au cas d'adultération, l'application d'une maladie tou
ère qu'à cinq ou six millimètres en profondeur. H.éFL8XIONS.- Les cas publiés d'athétose double sont peu ATTAOUU li
gique, les lésions, discrètes, sont variables et peu précises. Le cas précédent rentre, à n'en pas douter, au point de
pileptique après un embarras gastrique, je me propose de décrire un cas assez exceptionnel que j'ai eu l'occasiond'obse
omme atteints de phobie ou d'llslasie- nbasie, sont, en partie, des cas d'incoordination ou d'anesthé- sie du tronc méc
. pour les exercices compensatoires indiqués par Frenkel. Dans le cas d'incoordination du tronc, le réapprentissage de
lade feront à peu près tous les frais. Ce sont, certaine- ment, les cas auxquels nous venons de faire allusion qui ont
e troubles moteurs apparents, la iééducation n'a semblé être, en ce cas , qu'un moyen d'encourager le patient, de le ras
che (tels que ceux indiqués par Frenkel. par exemple, dans d'autres cas ) et qui n'ont guère pour objet que dérégler la
aucoup trop grand; il risquera d'augmenter les accidents ; -en tout cas , il fatiguera les malades et les dé- couragera,
ormes prodromiques de la démence précoce sont, dans la majorité des cas , des formes dépressives : neurasthéniques et mé
re d'obser- vations qui seront très prochainement publiées. Sur 150 cas de démence précoce, ce rire n'a manqué que troi
it bien près d'être établie. Il y a des années que je recherche des cas de paralysie générale traumatique, je n'en ai j
traumatisme n'a été qu'un épisode. M. Ballet (de Paris). - Dans 2 cas qu'il m'a été donné d'observer et qui tous deux
un traumatisme. M. Régis. -Je n'ai observé, pour ma part, que des cas où le traumatisme était consécutil à une paraly
ou hâter l'éclosion de la paralysie générale. M. Giraud rapporte un cas qu'il a eu l'occasion d'observer récemment avec
ui inter- vient, mais il est possible que dans un certain nombre de cas ce soit un traumatisme qui s'ajoute à la syphil
ns l'étiolo- gie de la paralysie générale. M. Pailhas rappelle un cas qu'il a communiqué à un Con- grès précédent.
rappelle un cas qu'il a communiqué à un Con- grès précédent. Deux cas de tumeurs du corps calleux avec autopsie. M. R
xistence précoce et longtemps isolée qui a permis, dans le deuxième cas , de porter un diagnostic de localisation calleu
s calleux. Le iaisceau occipito-frontal était détruit dans les deux cas ; il n'est donc pas sûr que le syndrome psychiq
3, 5, 6, 21, 2'i. Si l'on remarque qu'il y a parmi les premiers un cas de 17 mois et parmi les seconds des cas au- des
l y a parmi les premiers un cas de 17 mois et parmi les seconds des cas au- dessus de 20 ans on peut conclure à sa fréq
Il rappelle abso- lument ce qu'on a appelé l'os cpacfaL. et dans le cas présent sa formation est due au retard de dével
vaisseaux ont absolument sculpté la table interne et dans certains cas il ne reste qu'une lamelle mince de tissu osseu
ent de son paral- lèle, et fait voir les photographies d'un nouveau cas de mon- golisme (Cotto ? ) morte récemment, dan
ication de 51. Bourneville (avec M. le Dr Julien Noir) a trait à un cas d'hydrocéphalie communi- qué au Congrès de la R
nes formes de nymphomanie. M. Gilbert Ballet. 11 existe de nombreux cas cliniques denymphomanie tout à fait différents
it autant qu'elle le pouvait contre cette obsession morbide. Deux cas de confusion mentale liés ci la fièvre typhoïde e
Y et Chaumier (Lyon) présentent au Congrès les observations de deux cas de confusion mentale d'origine in- fectieuse ay
nt évolué chez deux jeunes filles de vingt-six ans. Dans le premier cas , la période fébrile a duré environ un mois. La
sous l'action des réactifs et par un processus d'hydratation. Un cas de démence précoce post-conr2csionnelle avec auto
s conclusions fermes dans ces recherches d'étiologie spéciale. Un cas d'éruption syphilitique secondaire tardive chez u
abétique. MM. Brissaud et ORRRTHUR (de Paris)apportent un nouveau cas de coexistence d'accidents cutanés spécifiques et
jus- qu'ici non signalé, montre que le spasme facial est dans ce cas d'origine intra-cranienne, et surtout qu'une même
ES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 215 Traitement de certains cas de neurasthénie par le fer. M. LEMOINE (de Lill
tement des épileptiques à constitution générale affaiblie. Bien des cas de goutte ou de rhumatisme chronique asthé- niq
·< Mais il im- porte, disent-ils, de ne pas oublier que dans les cas où l'irri- tation spinale est sous la dépendanc
rès difficile de donner leurs indications spéciales. » Les premiers cas que j'ai obser- vés l'ont été également au poin
s de ces trou- bles du développement. F. 1·ISSOT. VIT. - Sur deux cas d'achondroplasie ; par PARHON, SmMOA et XALPLAC
PLACHTA. (Nouv. Icon. Salpêtrière, 1905, n° 5.) Apropos de ces deux cas , les auteurs passent en revue lasymp- tomatolog
tte double at- teinte de paralysie infantile. G. DFNY. XI. Sur un cas de paralysie de la 3° paire ; par M. Jos- SFRAN
uxquelles se sont livrés les auteurs, il résulte que, dans fous les cas , la paralysie de l'abducteur ne semble pas avoi
univoque, et cela a une grande importance pratique. Dans certains cas , elle est fonction d'une complication de l'otite
inflammatoire ou toxique. Les auteurs sont tentés de rattacher leur cas à cette catégorie en rai- son de la persistance
ar choc en retour sur les centres nerveux toujours malades dans ces cas ; au ne recourir à la méthode chi- rurgicale qu
gie spastique familiale. C'est en raison de la ressemblance de leur cas avec ce dernier syndrome qu'ils le désignent sous
t dans la plupart la symptomatologie peut être diffuse. Si certains cas répondent à des types isolés, on en trouve d'au
an, de la Salpêtrière, 1\)05, 11- 4.) Considération ? à propos d'un cas , sur l'origine périphérique probable de l'hémis
t) ; la contracture hystérique, quelquefois douloureuse (et dans ce cas on note l'absence de point douloureux), est le pl
peut être provoquée par un point d'ostéite tuberculeuse : dans ces cas difficiles il faut faire la part de ce qui revi
n peut d'ailleurs être pour son compte, dans un certain nombre de cas , la cause efficiente des phénomènes convulsifs :
crise, ils sont exagérés, le plus souvent absents. Dans ce dernier cas , les réflexes réapparaissent rapidement. Dans l'é
unité d'une libération provisoire ou définitive. G. 1)c v. XV. Un cas de tics de la face guéri par la suggestion ; pa
II. 111.) Les injections de sérum do Ceni ont été essayées dans six cas d'épilepsie, cas très graves, soit par la fréqu
ections de sérum do Ceni ont été essayées dans six cas d'épilepsie, cas très graves, soit par la fréquence des accès, par
G mois), cette consultation serait obligatoire. G. ILNY. II. Le cas Olivo. Meurtre d'une femme sans motifs. Dissect
a l'exa- men médical de plusieurs aliénistes. J. Séglas. III. Le cas d'Angelo. Mort en prison à la suite d'une déten
linger, Michel, Kol, Brums, Stadelmann, Kraun Bernliard et enfin un cas personnel a l'auteur. Un cocher de 50 ans,tampo
, comme dans la psychose de la polynévrite et de l'éclampsie. Les cas de psychoses consécutives à l'insolation peuvent
t physi- que que moral. va sans dire qu'il s'agissait dans les deux cas de malades dont l'affection mentale était récen
r le passé. Nous avons cru remarquer cependant que, dans quelques cas tout au moins, l'épilepsie se montrait plus sévèr
ne serait pas sans intérêt. Remarquons enfin que, sur plus de 120 cas de lièvre typhoïde dont nous possédons actuelleme
, pas fait état du juré visé au paragraphe 2 du présent article. En cas d'absence parmi les autres membres du jury, il se
atteints d'aliénation mentale en attendant que l'on statue sur leur cas . Or, ce local, par deux petits grillages, donne
donc pas tous les ju- meaux ni toutes les jumelles qui sont dans ce cas , lequel, au contraire, nous le répétons, est ex
, est exceptionnel ; dans sa leçon,ce professeur n'a rapporté qu'un cas , et nous aussi, en trente ans de pratique,nous
us décrivons plus loin. Par conséquent dans la presque totalité des cas ,quand les jumeaux et les jumelles perdent la ra
x malades sont des jumeaux et des jumelles. C'est seulement à ces cas exceptionnels, pour les bien isoler et distinguer
tinguer, qu'il faut réserver le nom de folie gémellaire, les autres cas , qui se présentent chez des frères ou des soeur
es puisque nous ve- nons de voir que, clans la presque totalité des cas , ces vés sanies ne diffèrent en rien de celles
, à la ménopause, ou durant la grossesse, comme dans notre unique cas rapporté plus loin ; dans les deux sexes, elle
Quoi qu'il en soit, certains auteurs ont donc tort d'employer ces cas dans la folie gémellaire puisqu'on les observe
t tort de le nier; pour notre part nous l'avons constaté dans notre cas comme on verra ; mais nous comprenons que notre
ormulée parle Professeur Bail, et que nous a éga- lement offerte le cas que nous rapportons plus loin. III. La descript
ontanéité signalée par l'auteur n'est qu'apparente, et que tous les cas de folie gémellaire rentrent dans le groupe de
ux. En conséquence, parmi les observations qu'il cite, il y a des cas où la maladie du second jumeau n'a pas com- men
dans d'autres, elle n'a apparu que bien plus tard ; il y a même un cas où le second jumeau est devenu aliéné doule ans
e identité des psychoses chez l'un et l'autre ; enfin dans bien des cas les jumeaux vivaient ensemble. A son avis,on ne
leur vie ; tout de même le savant professeur déclare que dans des cas semblables, il faut envisager la psychose comme f
, par ces citations, que le distin- gué aliéniste russe englobe les cas les plus disparates, ceux qui appartiennent exc
le à l'aliéniste de Moscou, dans ces con- ditions, de rassembler 29 cas de ce qu'il appelle folie gé- mellaire ; mais t
ns qui en découlent sont inutilisables puisqu'elles comprennent les cas les plus disparates, ce qui explique qu'il ait
congénitale. La cause de celle-ci,est dans la presque totalité des cas , 1 hérédité. Il est facile de constater que dan
elles, atteints de la vraie folie gémellaire, étaient dans tous les cas por- teurs d'uneprédisposition vésanique congén
tion vésanique congénitale prove- nant dans la presque totalité des cas de l'hérédité et dans quelques-uns seulement, p
es mentales dans une famille donnée fait faire dans beau- coup de cas une conclusion nécessaire concernant l'or- gani
l'or- ganisation pathologique congénitale du système nerveux, les cas de folie gémellaire soulignent et font ressortir
encore davantage le rôle et la signification de l'hérédité ; les cas de ce genre démontrent d'une façon plus visible
inique favori- sent M. Serge Soukhanoff et lui fournissent quelques cas qui lui démontrent l'existence de la variété sp
frères et toutes les soeurs. Je suis certain qu'il lui suffira d'un cas pour le convaincre, car son mémoire prouve qu'i
ue Moreau de Tours était celui qui, en 15 ? avait publié le premier cas de folie gémellaire.Non seulement chez nous, ma
nciers, débute bien en- tendu par Moreau de Tours, puis il parle du cas très in- téressant de Baume, des deux de Cliffo
ournal français,du mémoire du Professeur de \loscou. . Pourtantle cas de Rush est très net et très probant. Il concer
n voit, héré- dité vésanique par la ligne maternelle. Dans l'unique cas de Bail, l'hérédité existait aussi et, après l'
jumeaux est par- fois absolument nulle et que si, dans beaucoup de cas ,elle ne dépasse pas ces analogies familiales qu
découlent. Et avec raison, il dit que la folie gémellaire, dans ces cas , n'est, en pathologie mentale, que l'analo gue
duit tout naturellement à cette conclusion que de même que dans les cas physiques 1 organisation du corps était identiq
chements très justes est la nécessité, dans la presque totalité des cas , d'une hérédité vésani- que, cause sinon la seu
t irréprocha- ble au point de vue de l'aliénation mentale. Dans ces cas il s'agit, à son avis, d'une affinité intellect
ndant toute la durée de la gestation et il en résulte dans certains cas , ceux qui aboutissent à la folie gémellaire, si
us ; mais tandis que nous la croyons, dans l'im- mense majorité des cas , dans presque tous, due à l'héré- dité, il esti
le. C'est là une question de faits, que seule une grande réunion de cas tranchera définitivement ; or nous savons la vr
ques et par suite sur la perfection future de l'être. Or,dans les cas de grossesse gémellaire il est très probable, mêm
subir pendant neuf mois les mêmes échanges organiques, et c'est le cas pour deux jumeaux ; ils auront parla, en venant
alors qu'il espérait encore. Nous nous décidons donc à publier ce cas aujourd'hui, profitant de ce que le beau volume
e maintenaient dans un état très satisfaisant. Ici est notre unique cas , petite pierre apportée un édifice qui sera, cr
ug- mentation du temps, ce qui doit être attribué dans le premier cas à l'habitude, dans le second cas à la fatigue.
doit être attribué dans le premier cas à l'habitude, dans le second cas à la fatigue. Cela est conforme au nombre des f
de ces deux épreuves sont très différentes, même opposées. Dans un cas les réactions diminuent jusqu'à la 3'' section
' section ; le maximum d'abrévia- tion est de 35 rs. Dans le second cas on voit au contraire un ralentissement des réac
fait sur le compte de la qualité. Le ralentissement dans le second cas signifie déjà par lui- même une diminution de l
c'est le chiffre trop gros des réactions mauvaises dans le premier cas , qui ne font d'ailleurs que confirmer les résul
on des temps de réaction et les réactions mauvaises. Dans le second cas , au contraire, les doses plus grosses de brome
erches normales offrent peu d'analogie entre elles. Dans un premier cas ,on voit d'abord une ra- pide augmentation des t
tions, elles ne sont pas spécialement très significatives dans ce cas quoique le nombre des mots suivis par des mots sa
réactions verbales,et presque pas pour les réactions avec choix. Le cas d'un sujet de Lcemald montre qu'il y a une tend
aient avec les jours de brome. Les doses étaient de 1 gr. ; dans un cas seul on a employé é 8 gr. On a pris, selon la d
ns : 232 PATHOLOGIE INTERNE. tion pulmonaire, parmi lesquels 45 cas de phtisie pro- prement dite, 33 bronchites chr
décès, on en relève 156 par affection pulmonaire, parmi lesquels 50 cas de tubercu- lose et 20 bronchites chroniques.
298 PATHOLOGIE INTERNE. assignait la phtisie comme cause dans 315 cas , à pou près le tiers. Plus récemment Clouston,
s les Asiles de Claibury, de Colney Ilatch et de Cane-IIill que 127 cas de tuberculose furent constatés alors que l'exa
autopsies faites à l'asile de Prague, rencontra dans la moitié des cas environ des lésions tuberculeuses ; Le D'' Pand
des familles des malades internés, pour leur conserver un foyer en cas de sortie et renouveler les rapports entre les ma
ortie et renouveler les rapports entre les ma- lades et ce foyer en cas de guérison. Le patronage des conva- lescents p
'évitent des internements multiples et prolongés. Le patronage, en cas de rechute, doitpourvoirauxpremiers soins à dom
7 tion, dans le système de l'assistance familiale ; dans tous les cas comme agent moral d'une guérison plus rapide,et c
des Sociétés de pa- tronage, de bienfaisance publique, en tous les cas où il y au- rait lieu à un échange dans les pre
La fa- cilité de ramener les malades à l'Asile sans formalités, en cas de rechute, encourage les familles à tenter l'é
uve se sera montrée favorable au bénéficiaire du congé, il sera, en cas de placement d'office, maintenu en liberté par
ure et commettent des actes multiples de destruction. » v Un seul cas rentre entièrement dans la catégorie des guéri-
lue des malades aliénés. Parmi les maladie» incidentes, relevons 19 cas de tuberculose pulmonaire. La Situation finan
isme du sujet, qui en aconservé l'image, le maintient. Dansées doux cas , ils'agit doncd'anestbé- sie par auto-suggestio
s, ils'agit doncd'anestbé- sie par auto-suggestion. Dans le premier cas , c'est une anesthé- sie complétée ; dans le deu
; F. 570 ; total ? 0. Entrées : Il. 129 ; F. 122; total 251, dont 22 cas d'alcoo- lisme (15 IL. 7 I.). - Sortis par guér
es pa- villons d'isolement pour les tuberculeux, ou d'un lazaret en cas d'épidémie.L'intirmerieclcslunnmesn'adueLroisoh
r aller le malade. D'ailleurs, j'avoue que, dans un grand nombre de cas , la séparation estime mesure pru- dente : encor
êmes comblions que les malades ordinaires. La commune d'origine, en cas d'indi- gence, paiera les frais d'hospitalisati
52;DÈME ET Mongolisme. A l'époque ou nous avons publié les premiers cas de m1/xce- dème infantile, on s'imaginait qu'il
gissait d'une affection rare. Peu iL peu, devenue mieux connue, les cas publiés ont augmenté. C'est ce qui arrive pour
golisme. Au cours du Congrès de 11 ? II,r : elles, nous avons vu un cas au Sirop de Gand ; l'an der- nier, un à l'asile
ICinerh-lcunde, 1904. v. 58, No. 1. , Vaissier, G. et Ledoux. E. Un cas de méning. cérébro-spinale à méningococques. Re
res), Ancien interne des Quinze- Vingts. La rareté relative des cas d'aphasie hystérique nous autorise à rapporter
étuberculeuses. Il est inutile de discuter les signes physiques des cas avancés et le traitement médical qu'ils réclame
rs six heures, et de les soumettre à une sur- veillance spéciale en cas de résultat positif. Cette méthode est appliqué
a pesée systématique des malades et nous tenons pour suspects les cas de diminution de poids se maintenant pendant le
pagnent de dépression et d'anorexie ; on élimine facile- ment les cas d'excitation et de paralysie générale. Les sign
rculose confirmée, et la nature de ces combustions ne peut en aucun cas servir au diagnostic précoce de la tuberculose
résenté par la suite aucun signe d'évolution bacillaire. Sur les 15 cas qui ont eu l'élévation thermique attendue, il y
ment, quatre tuberculoses locales (tumeurs ganglionnaires) et six cas simplement douteux et qui ont évolué vers la tu
Nous avons commencé à employer le sérodiagnostic pour dépister les cas de tuberculose latente ou au début chez nos mal
lement à l'organisation fi- « breuse. » Mais dans la majorité des cas l'organisme se suffit mal à lui-même pour la lu
t de les placer la nuit dans un dortoir spécial; il ne faut en tout cas jamais les admettre dans les locaux qui renferm
le, dans LA TUBERCULOSE DANS LES ASILES D'ALIÉNÉS. 373 bien des cas , d'inculquer avec la crainte du fléau les notio
du placement des malades darts les maisons privées, s'non pour les cas très avancés, vu les difficultés de pareils pla
ancés, vu les difficultés de pareils placements, du moins polir les cas suspects ou reconnus de très bonne heure ? Selo
vasculaire du processus morbide est donc iniliseitla- · ble dans ce cas ; la névroglie, par la précocité de ses lésions,
ue. peu de granulations licite- ment colorées..1. S. XXXIX. -- Un cas de chorée de Huntingtonavec résultat anatomo-pa
ham. Le processus anatomo-pathologique est dans la majorité des cas limité en principe aux vaisseaux du système nerve
joue un grand rôle dans l'étiologie de ces ac- cidents. Dans les cas non mortels, on a observé tantôt des troubles per
hent cette observation de celle de MM. Déjerine et Gauckler, sur un cas semblable et acceptent comme très vraisemblable
ungen. Beitraege zur Physiologie des 9, 10 und 11 Gehirnnerven. (Un cas de fracture, avec para- lysies nerveuses rares.
arement sur un de ceux des trois premières paires ; qu'il existe un cas de lésion du spinal, mais qu'on ne connaît nul
existe un cas de lésion du spinal, mais qu'on ne connaît nul autre cas de lésion des trois nerfs mixtes. Il discute lo
des cell. nerv. et de leurs pro- longements dans le S.N.C., dans un cas d'atrophie cong. du cervelet) ; par ERNST ? TRA
it excitable par l'électricité. Comme il fut possible dans tous les cas de constater la conti- nuité des fibres régénér
t autre symptôme objectif ; mort subite. S. apporte deux nouveaux cas : 1° Femme de 37 ans; depuis deux ans, céphalée
vertiges par les mou- vements brusques de la tôle) dans le deuxième cas , l'auteur ne considère pas comme démontré que c
ooliques. J. S. XIX. Altérations particulières du langage dans un cas de démence primitive ;par LINGUERRI. (Rivista s
Emilia, 1905. \'01. XXXI, fasc. iL) On peut observer, dans certains cas de démence primitive, des troubles du langage.p
llogique de conclure du parti - ailier au général, l'observation de cas analogues pourra peut- être justifier la fréque
a peut- être justifier la fréquence de ces troubles. J. S. XX. Un cas de paralysie générale juvénile ; par le dur DsR
généraliser et dont la souplesse soit telle qu'il englobe tous les cas possibles, M. Decroly propose de répartir les ano
inférieurs à la frontière pour la somme des mesures céphaliques ; 3 cas en sont voisins, 1 cas est à la limite supérieu
re pour la somme des mesures céphaliques ; 3 cas en sont voisins, 1 cas est à la limite supérieure. Pour la taille, 5 de
e sur la forme du crâne peuventne pas influencer la taille. Eu tous cas les dimensions restreintes du crâne ne peuvent pa
d'affirmer que le réflexe accommodateur est altéré dans tous les cas de paralysie générale sans exception, à un moment
ysie générale,l'accommo- da leur est déjà altéré dans la moitié des cas ; à la seconde dans les deux tiers et il est exc
agogique spéciale et à un traitement psychologique approprié à leur cas . Elle est, en ou- tre,un champ d'étude et d'obs
gogiques et thérapeutiques qui y sont employées Quelques nouveaux cas de trac chez des exécutants. M. Paul FAREZ rapp
veaux cas de trac chez des exécutants. M. Paul FAREZ rapporte trois cas de trac guéris par suggestion, deux intéressant
des concurrents du dernier concours duConser- valoiro. Les nombreux cas de trac qu'il a guéris jusqu'ici compor- taient
-suggestion dans l'étiologie elle traitement d'un certain nombre de cas de mal de mer. M. Paul Farez. i\I.IlegnauIt dit
vrai que chez les hystériques.Cependant,pre- nons, par exemple, le cas suivant : la mer est très mauvaise, tout le mon
opérateur et suivant le procédé employé ; elle ne sau- rait dans ce cas , servir de pierre de touche infaillible. M. Val
tituer le traitement suggestif, nous aurions besoin de savoir si le cas est imaginaire' ou vrai, c'est-à-dire s'il est
me une vérité d'expérience. PAU de ST MARTIN et COMY rapportent des cas person- nels ; ni l'auto-suggestion, ni l'appro
, à tous ceux qui man- quaient de réactions périphériques. Dans ces cas le jet d'eau agis- sant mécaniquement, à l'inst
ercurrentes sur l'évolution de l'épi- lepsie et enfin 1 étude de 21 cas d'idiotie avec autopsie, dans la- quelle nous a
ues peuvent être appliquées aux sciences expérimentales dans deux cas bien distincts. Si nous avions une connais- san
Les deux autres constantes sont négatives ; la constante c, dans le cas où elle agirait seule, tendrait à faire abaisse
préciser la variété particulière de l'imbécillité. Il s'agit d'un cas de mongolisme : nanisme (1 m. 09 au lieu de 1 m
ide), et recommence après une suspension de 3 mois. Dans tous les cas d'idiotie ou d'imbécillité mongo- lienne, la gl
souvent par la mort, occasionnée par la tuberculose : tel est le cas de Cott ? Ici, la tuberculose a été à peu près
traduites par aucun symptôme significatif durant la vie. Vil. Ce cas s'ajoute à la plupart des précédents en montran
, fas. ;3, p. lOi il 111,) .) D'après K., il n'existerait que trois cas de paralysie du crural par anesthésie, l'lia pa
n à l'idiotie mongolienne. Paris, 19 mai 1975.-Si;;nalonc aussi les cas récents de M. Comby, Mongolisme infantile (l3ul
ie révéla une myocar. dite intense avec sclérose interstitielle. Ce cas peut être rapproché de cas déjà observés d'affe
intense avec sclérose interstitielle. Ce cas peut être rapproché de cas déjà observés d'affection de Friedreich avec lési
ans l'étiolo- gie du syndrome de Friedreich. M. Hamel. XXII. - Un cas de myasthania gravis (asthénie bulbo- spinale)
ction dans un accès de dyspnée. Passant ensuite en revue les divers cas observés de myastbenia gravis, les auteurs croi
ltérations anatomiques sont variables. M. 1 ! .\IE 1 . \\\I11.-Un cas d'acromégalie sans hypertrophie du corps pituit
par ,\IDr\L, Hov et FROIN, (eue rl Médecine^ avril, 190fi,) Dans le cas dont il s'agit, le corps pituitaire était très al
des anesthésies. G. Carrier. XXXVII. Considérations à propos d'un cas d'hyppus ob- servé au cours d'un abcèi cérébral
quatre ans sur les trois branches du trijumeau. C'est iedouxieniC cas de tics douloureux de la face, sur I cas traité
ijumeau. C'est iedouxieniC cas de tics douloureux de la face, sur I cas traités, que l'auteur a guéri par celle méthode
mdd.deLyon, 5jllin 1905, in Lyor. mdd, 13 juillet 1900.) Dans un cas do méningite tuberculeuse que M. Pauly vient d'
ont curables par un traitement du rhino-pharynx. G. C. XLII. Deux cas de galéanthropie hystérique accom- pagnés l'un
lésions très étendues au niveau du 4e ventricule. La lésion dans ce cas été fixe et assez limitée et n'a donné que des
ngite. Comme contribution à cette étude les auteurs rapportent un cas qu'ils ont observé é el uù l'intervention leur a
eux otogè- nes. Au point de vue clinique cette observation est un cas d'amélio- ration manifeste ou plutôt d'enraieme
ette conclusion que l'interven- tion s'impose dans presque tous les cas . ' L'intervention doit comporter les temps suiv
toutjeu- ne enfant. L'observation ne diffère par ses symptômes des cas classiques que par l'hypothermie qui a précédé
ellement la température s'élève il la période finale. L'étude des cas publiés montre que l'évolution des tubercules d
te. Souvent ils coexis- tent sur le cerveau et le cervelet. Dans le cas des auteurs le foyer initial a été les lésions
du syndrome parkinsonnien ne .s'applique qu'à un certain nombre de cas ,carilpeut relever de bien d'autres causes. Da
le amyolrophi- que. Elle réalise probablement à elle seule certains cas de sclé- rose combinée ou de scléroses en plaqu
sl'apparition de leur psycho-névrose. Dans un assez grand nombre de cas même, l'apparition des accidents névro- pathiqu
, d'ailleurs, en Angleterre qu'on rencontre le plus grand nombre de cas de phobie de la rougeur. M. Paul MAGNiN. Je p
dans le lieu où résident les magistrats chargés de l'inspection. Au cas contraire.il suffira de rappeler la circulaire
30 juin 1838 qui confère à un certain nombre de -personnes dans des cas détermi - z nés, et au Procureur de la Républiq
de salaire du personnel, de la préparation des moyens de défense en cas d'incendie ( sur ce point, des enquêtes récente
ent de l'idée délirante de la prédominance de certains muscles en cas de paralysie de leurs antagonistes; de même c'est
l'C 1SS BIBLIOGRAPHIE. des actions en dommages-intérêts dans le cas d'infection ; puis surtout enseigner l'hygiène
'on fait la guerre, qui tue les valides) ; droit à l'avortement, en cas de viol de la mère. Dans un chapitre d'hygiène,
identique, pour guérir de nouveau et retomber ensuite. Tel est le cas de l'homme à l'échelle qui, chaque fois qu'il tom
1-RLRLS ET THIRON. TABLE DES MATIERES Achondroplasie. Sur deux cas d' -; par Parhon, Shimda et Zalplachta, p. 21
chta, p. 218. -; Voir Micromélies. Acromégalie. Voir Moelle. Un cas ci'- sans hypertrophie du corps pituitaire avec
comme adjuvants à la suggestion hypnotique, p. 227. ANGELO. Le cas d' . Mort en prison à la suite d'une détention
e atteints de pliobie ou d'astasie-abasie, sont, en par- tie, des cas d'incoordination ou d'anesthésie du tronc mé-
mi TABLE DURS MATIERES. tante, par d' lLundo, p. 144. Sur un cas d' -- musculaire progressive, par de Buck et
nerveuses et de leurs prolon- gements dans le S. IvT. C., dans un cas d'atrophie cong. du cervelet, par Straussler, p
ystème nerveux, par Claude, p. 213. Chorée. Voir Huntingtou. Un cas de - de Huntmgton avec résultat anatomo-patholo
iguë et insuffisance hépatique, par De- ny et Renaud, p. 40. Deux cas de - mentale liés à la fièvre typhoïde et à l
symptômes du d'interprétation, par Sérieux et Capgras, p. 40. Un cas de systématisé avec artérite céré- brale hype
mes prodosmique dépressives de la précoce, par Pascal, p. 202. Un cas de précoce post-coufusionnelle avec autopsie
Ferrarini, . p. 399. Altérations particulières du langage dans un cas de - primitive, par Linguerri, p. 400 La par
B-GOLDFLA ? 11. Voir Myasthenia gravis. Eruption syphilitique. Un cas d' -- secondaire tardive chez un diabétique,
. La gémellaire, par \larandon de Montyel, p. 241. Fracture. Un cas de avec paralysies nel veuses rares. Con- tri
s circonvolutions cérébrales, par Bonne, p. 65. Hémianopsie, Deux cas d' - bi- temporale, par Galezowski, p. 47. -
Voir Cellule nerveuse. Les alté- rations de la épinière dans un cas d'acromégalie, par Gio- vannl-Cagnetto, p. 146.
mégalie, par Gio- vannl-Cagnetto, p. 146. - Voir Leptomyéllte, Un cas de compression de la -- avec des phénomènes d
par Parhon et Nadyle, p. 30. Neurasthénie. Traitement de certains cas de par le fer, par Lemoine, p. 215. NEURO-FIJ
p. 2 : 0. Nystagmus associé, par Strans- ky. P. 393- Olivo. Le cas -. Meurtre d'une femme sans motifs. Dissection
e mtra-crâ- men ne, par Brissaud, Sicard et Tanon, p. 214. Sur un cas de - de la 3e paire, par Josse- rand, p. 219.
nérale, voir VeM)'o ? &)' : 7/M. nerveuses, voir Fracture. Un cas de générale juvénile, par Derou- baix, p. 401
de traitement des spasmodiques par les exercices. Résultat de 40 cas , par Faure, p. 29. infantile, début insi- T
nt de la glande pituitaire, par Alberto Salmon, p. 36. Un nouveau cas de hystérique, par \\'Itry, p. 52. Somniforme
menstruées et aménorrhéiques, par Salerni. p. 147. Tki'vno-. Un cas de - céphali- que avec opthalmoplégie. par Lé
11-IL, p. 460. Tic hystérique, par Pitres et Cruchet, p. I 5¢. Un cas de de la face guéri par la sugges- tion, par\
p. -1G2. Torticolis. Voir PhotothéraPie, Trac. Quelques nouveaux cas de chez les exécutants, par Farez, p. 405.
nés, par A. Marie et Rolet, p. 287, 362. Tumeur cérébrale. Sur un cas de à forme psychique, asthé- nie générale san
comprimant la région psy- chomotrice, par Babinski, p. 48. Deux cas de - du corps calleux avec autopsie, par Ray-
u corps calleux avec autopsie, par Ray- mond, p. 204. VERGA. Un cas de persistance du ventricule de rencontré chez
77 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Nous nous proposons d'établir dans ce travail que dans certains cas de sciatique il se développe une déformation pa
pêtrière un homme atteint de sciatique et offrant la même attitude ( Cas . 1). Le rapprochement de ces deux cas paraissai
t offrant la même attitude (Cas. 1). Le rapprochement de ces deux cas paraissait bien montrer qu'il y a entre la scia
e peut même servir il établir le diagnostic de la sciatique dans un cas douteux. C'est ainsi que M. Ballet n'est arrivé
on. Nous essayerons ensuite par l'étude com- parative de ces divers cas , de faire ressortir les carac- tères propres à
ultat des mensurations : 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. commises. Dans le cas présent, pourrait-il en être ainsi ? Assurément
r aucun doute à cet égard. La déformation est aussi, comme dans les cas précédents, manifestement sous la dépendance de
i ont été examinés par M. Charcot en consultation. L'un de ces deux cas est celui qui a attiré la première fois l'atten
ule opposée, et, d'autre part, l'épaule du côté malade est, dans un cas , sur le même niveau que l'épaule du côté opposé
s un cas, sur le même niveau que l'épaule du côté opposé; dans deux cas , l'épaule du côté malade est plus élevée que du
côté malade est plus élevée que du côté sain, et, dans deux autres cas , c'est la disposition in- verse qui s'observe.
On peut constater facilement par l'étude compara- tive de ces cinq cas , que la situation du tronc est toujours la même
ble qu'elle était semblable à celle qui a été notée dans les deux cas où l'attention a été dirigée de ce côté, car l'
re complète- ment ? Il y a tout lieu de croire que, dans certains cas au moins, ce mode de terminaison est possible,
autre part, il est vraisemblable, sinon certain, que, dans bien des cas , l'attitude vicieuse dont nous nous occupons ex
des sciatiques in- tenses, car nos observations se rapportent à des cas de sciatique de cette catégorie. Le membre affe
rme, après un laps de temps plus ou moins long, comme dans quelques cas de contracture ou de paralysie, des rétractions
t le dia- gnostic différentiel ne présente pas d'intérêt dans ces cas . La sciatique, au contraire , est fréquemment c
t en tout semblable à celle de sciatique; mais, dans la plupart des cas , le membre malade est légèrement soulevé, et le
re nous a ainsi donné et l'idée et les élé- ments à l'occasion d'un cas que nous avons observé récemment dans son servi
ertains mouvements systématisés, comme pour dessiner, dans quelques cas , mais il a perdu le sou- venir des mouvements s
réci- sion, des actes divers et peut même sauter, dans quel- ques cas , ou «marcher à quatre pattes », mais il a perdu
le, ainsi que nous le verrons ultérieurement à la majorité de nos cas . La première étude où soit affirmée l'existence
s loin l'observation. Il établit le diagnostic différentiel de ce cas , facile à confondre avec la chorée rythmée, et
rou- vons pas là de description didactique à proprement parler du cas dont il s'agit. On s'en tient à la diffé- renci
nt elle existe sans aucune espèce de paralysie. La malade, dans ces cas , n'a pas de troubles de la sensibilité dans les
ative seulement aux mouvements complexes et n'apparaît pas dans les cas de mouvements volontaires d'un membre; la faibl
n'intervien- nent qu'à titre de complication; mais, dans tous les cas , le trouble fonctionnel est toujours le même, par
au mois de juillet 1882, avec le docteur Ferrari, la singularité du cas m'en- gagea à l'observer avec le plus grand soi
onoré maître M. Moutard-Martin, il nous a été donné d'observer un cas intéressant d'éphidrose faciale. Dans les recher-
blance apparente, il est possible de réunir en quelques groupes les cas divers que nous passerons en revue. Nous nous
sont généralement partielles, mais que l'on rencontre dans quelques cas sur toute la face : telles sont les éphidroses
veuses irritées : éphidroses parotidiennes, éphidrose du trijumeau ( cas de M. Ollivier et de M. Leudet); tantôt elles s
localisées, éphidrose palpébrale de de Graefe. Enfin, il est des cas où une éphidrose, d'abord loca- lisée offre une
oit d'une transpiration au niveau des parties indiquées et dans ces cas l'éphidrose est précédée d'une série d'étourdis
rose faciale gauche avec hémiplégie gauche. Mickle rapporte trois cas d'éphidrose faciale chez des paralytiques générau
Il y avait chez ce malade des troubles oculaires. Roque rapporte le cas d'un jeune homme qui, à la suite d'une congesti
irconvolu- tions de la base de l'encéphale. 0. Berger rapporte le cas d'un homme atteint d'é- phidrose latérale gauch
ation avec quelques déve- loppements. C'est en effet l'un des rares cas où l'autopsie ait été faite et eu égard aux lés
l'aorte ou du tronc brachio-céphalique. Gairdner en a rapporté deux cas : l'éphidrose était exactement limitée à un côt
avait contraction pupillaire du même côté. Bartholow rapporte un cas analogue dans lequel il s'agissait probablement
est vrai), au lieu du myosis qui est la règle. Peut- être dans ce cas faut-il admettre que la dilatation pu- pillaire
'on ne rencontre pas habituellement, comme nous le verrons dans les cas de paralysie du sympathique cervical. On trou
lasse, ce sont les nerfs de la face qui sont lésés. 11 y a dans ces cas une irritation des fibres excito-sudorales qui
, on peut observer des faits analogues. M. Ollivier a rapporté un cas très intéressant d'éphidrose limitée à la branc
ion des fibres sudorales et l'éphi- drose s'ensuit. On connaît le cas de Bérard qui était atteint d'éphi- drose parot
oisines et même sur une étendue considérable de face. Dans tous les cas , un traumatisme de la région se rencontre à l'o
ale reste sèche, mais ce n'est pas là une règle absolue. Dans ces cas , la sudation est généralement d'ordre réflexe e
issent et finissent par couler sur la joue. Mais en dehors de ces cas , où l'éphidrose limitée à la région de la parot
de cinq minutes, son visage est baigné de sueur. » Dans d'autres cas , ce n'est plus une excitation des nerfs du goût
si les filets viscéraux du sympathique. M. Débrousse-Latour cite le cas d'un jeune homme dont le front se couvrait d'un
ation et une diminution de l'éphidrose. Erasmus Wilson mentionne le cas d'un malade qui, après de violentes douleurs ga
la face générale ou unilaté- rale. Il en est de même dans certains cas d'indigestion, ou bien à la suite d'états dyspe
n, ou bien à la suite d'états dyspeptiques. Bartholow rapporte un cas d'éphidrose faciale gauche, survenue chez un ph
teint de gastralgie avec vomisse- ments. Il rapporte également un cas d'éphidrose droite avec nausées et douleurs gas
spéciale, ou encore dans une perturbation psychique. Dans quelques cas , l'éphidrose DE l'épilepsie PROCURSIVF. 75 pa
ente dans les différents organes. M. Bar- tholow pense que dans ces cas il y a quelque altération d'un ou de plusieurs
énomènes observés, il ne s'ensuit pas qu'on puisse y adapter chaque cas particulier. Leurs frontières sont fort mal dél
différemment selon les auteurs. Nous avons dit que dans certains cas nous considé- rions l'acte procursif comme cons
paraît être un accident isolé indépendant de l'accès, Tel est le cas du malade qui fait l'objet de l'observation sui-
o- miste italien n'eût l'infortune de se trouver en présence d'un cas de coma hystérique, d'une attaque de sommeil, com
des notions les plus récemment acquises, il est encore de nombreux cas où il est permis au diagnostic d'hésiter. Pen
ions personnelles caractéristiques aux- quelles nous ajouterons des cas analogues publiés par Fores- tus dont Louyer-Vi
ations ". Nous avons eu nous-même l'occasion d'observer plusieurs cas de ce genre; devant nous borner, nous n'en rappor
de sommeil, à laquelle nous adjoindrons l'épithète d'hystérique les cas de syncope, de léthar- gie, de coma, d'apoplexi
UE. '107 (p. 148), qui, sur 420 malades, a seulement relevé « trois cas d'hystérie avec des attaques consistant en un v
ystérie avec des attaques consistant en un véritable som- merl cinq cas d'attaques comateuses et huit de véritable léth
ules corticales ; intégrité des fibres ner- veuses. P. K. III. UN cas DE NEUROPSYCHOSE mortelle SE combinant avec DES
ans, qui avait été infecté au sein par sa nourrice. P. K. VI. UN cas DE paralysie progressive, compliquée DE sclérose
l'écorce et la couche blanche sont intéressées.. P. K. > X. UN CAS REMARQUABLE DE SYPHILIS CÉRÉBRALE-, par L. GOLB
t sur l'écorce grise, soit sur les centres profonds. P. K. XI. UN cas DE dypsomanie guérie par la strychnine; par ToL
M. Charpentier a rencontré les idées de persécutions dans plusieurs cas ; il estime qu'ils peuvent se diviser en dix gro
surtout rencoutrés. M. GtLBERT Ballet fait une communication sur un cas d'hallu- cinations auditives survenues à la sui
sout presque toujours précédées de bourdonnements d'oreilles. Ce cas fait observer M. Ballet, semble au premier abord
C'est la prédisposition nerveuse qui crée l'hallucination. Dans les cas analogues à celui dont il s'agit, on a atfaire
vlbl., 188G'.) M. le Dr Laquer (de Francfort). Communication sur un cas d'hy- 2ca'tropleie musculaire généralisée vérit
lberâ). Lésions spinales dans, la paralysie progressive. Il y a des cas de paralysie générale dans lesquels, des années
tphal, Zacher, Schultze). Si, en effet, dans l'immense majorité des cas , les phé- nomènes spasmodiques apparaissent sec
diagnostic des accidents cérébraux apparaît indubi- table. Dans ces cas -là, il est fréquent d'observer, pendant les der-
toujours itentiques à elles-mêmes ? Y a-t-il par exemple, dans les cas de tabes avec paralysie générale, celte atrophie
pyramidaux ont concurrem- ment dégénéré ? Prenons parallèlement le cas de Zacher 2 caracté- risé par des accidents spa
rait à l'admission de cette opinion ; il a notamment observé quatre cas dans lesquels les anamnestiques révélaient la s
ux sensoriel direct. M. le professeur Thomas (de Fribourg). S1tI'Wl cas de polynévrite. Observations d'un homme de tren
ique d'un hôpital de Genève donne sur soixante autopsies cinq à six cas seulement de cica- trices encéphaliques, Kast p
ale tend à progresser. M. le Docent Enrcessen (de Fribourg). Sur un cas de rhumatisme articulaire aigu compliqué de par
»; chez un, d'un côté-; chez les autres, il manque encore. En aucun cas l'on n'a eu à constater de progression ni dans
alades; trois étaient déjà morts. Aujourd'hui il a une somme de six cas à sa disposition ; les six malades ont succombé
oigt du côté droit, de la paralysie des extrémités droites, dans un cas même, des extrémités gauches, de la perte de co
Sur les deux observations qui lui sont personnelles il a vu, en un cas , absence absolue de toute altération manifeste
était athéromaleuse jusque dans ses plus fins rameaux. Dans l'autre cas , existait un ramollissement étendu de la substanc
dyslexie dont ou se souvient'. Mais, comme il existe aussi quelques cas de cécité verbale isolée avec lésion de la pari
se pas à fond, avec un trouble simple de la vue, qui, dans tous les cas observés, est passager, car il ne dure généra-
rveau et comporte sans exception un pronostic mortel; dans tous les cas , cette lésion a pris sa source, quel qu'en ait
ns les artères cérébrales. M. le Dr von HOFF3fAIN (de Bade). Sur un cas de méningite avec suppuration dans l'espace int
re les échanges nutritifs; 2° sert à assurer le diagnostic dans les cas douteux; 3° accélère l'excrétion du mercure dev
de traitement hydrargytique, c'est la friction à l'onguent, ou, en cas d'urgence, les injections sous-cu- 138 SÉNAT.
ministère public et les notaires ne s'adressent à lui que dans les cas où son intervention est absolument nécessaire p
ques- tions intéressant les aliénés internés. II y a tant d'autres cas inté- ressants ! On ne peut pas exiger de perso
médecin choisi par lui », a été mise dans l'article pour prévoir le cas où le médecin de la commission permanente serai
ttait ces mots : « ou à dé- faut... » Il faut, en effet, prévoir le cas où le médecin qui inspire, le plus de confiance
sition du chef du parquet. M. Paris. On pourrait mettre : « ou en cas d'empêchement». M. le Rapporteur. Si on le préf
chement». M. le Rapporteur. Si on le préfère, on mettrait : « ou en cas d'empêchement », ce qui répondrait parfaitement
ire, il se fait assister du médecin inspec- teur des aliénés ou, en cas d'empêchement de celui-ci, d'un autre médecin c
nt ? Un sénateur à droite. C'est vrai ! 1 M. de Gavardie. En tout cas . si vous admettiez le principe, je crois qu'il
ité consultatif qui, comme les autres, éclaire le ministre dans des cas où il a besoin d'être éclairé. M. DE GAVARDIE.
santé pendant plus de six mois, et à soumettre les enfants dans ce cas aux inspecteurs deux fois par an. L'école serai
ons de charité est tout simplement honteux. On trouve aussi que des cas aigus accidentels de folie, au lieu d'être l'ob
de maisons. En ce qui concerne les points suivants : sélection des cas ; observations de la maladie et de la mort des a
e législa- tion et en particulier celle qui oblige à transférer les cas qui ne conviennent pas aux maisons de charité,
oins que l'an dernier. H y a eu 2-10 admissions, sur lesquelles, 40 cas p. 100 ont paru curables à l'entrée. La proportio
s morts de 8,8 p. 4 00. 11 y a eu 19 transferts aux workhouses; les cas aigus et les agités ont été plus nombreux depui
eu une proportion de 43,7 guérisons sur 100 admission ? parmi ces cas (67), 42 étaient à l'asile depuis moins de neuf m
sur son état général et fut par suite abandonné. Dans ce dernier cas , les symptômes sont des plus caractéristiques.
erf trijumeau des deux côtés, ne laissaient pas douter que, dans ce cas également, nous ayons affaire à une lésion des
rvical de la moelle épinière, ayant le même caractère que celle des cas précédents, explique parfaitement les symptômes
de Moscou. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 179 Il n'y a jamais eu de cas d'atrophie musculaire, de para- lysies, de psyc
ionnaire. Les tumeurs sont diminuées et devenues plus solides. Le cas cité est très intéressant, grâce à l'extension
s les cornes posté- rieures des nerfs sensitifs de la main. Dans ce cas , nous voyons, outre l'anesthésie partielle les
ence de ces der- nières régions (pas toujours grandes dans d'autres cas aussi), d'anesthésie partielle combinée et une
is il importe, tout d'abord, de constater ce fait commun à tous les cas : lorsque le malade est assis ou couché, on n'o
sensibilité cutanée des membres inférieurs. Mais, du moins dans les cas typiques, la puissance dynamométrique des muscl
ont il importe de tenir compte dans la description. Dans certains cas , la station debout et, a fortiori, la marche so
marche « à quatre pattes » sans aucune difficulté. Dans d'autres cas , le malade se tient debout lors- qu'il est faib
er est projeté à quelques cen- timètres au-dessus du sol. En tout cas ; ces mouvements sont irréguliers et non rythmés
ordre. Les réflexes tendineux sont normaux dans la majo- rité des cas , et il n'existe pas non plus de clonus du pied.
stasie et abasie que nous avons proposé d'adopter. Dans beaucoup de cas , l'examen complet et appro- fondi du malade ne
tre de compli- cation. M. Babinski nous a également communiqué un cas de ce genre, dans la relation duquel il est dit
suite, toujours être recher- chés avec le plus grand soin dans les cas semblables. - Enfin, on prévoit les cas où les
le plus grand soin dans les cas semblables. - Enfin, on prévoit les cas où les phénomènes de l'astasie et de l'abasie s
ainsi, le trouble, déjà établi depuis plusieurs mois, a pu, dans un cas , disparaître complètement pendant vingt- quatre
de cette affection ne saurait être sans doute applicable à tous les cas ; il serait prématuré de décré- ter à ce sujet d
ce sujet des règles absolues, et nous avons fait allusion déjà aux cas où le syndrome abasie-astasie viendrait se comb
e puisse être. Cependant, le diagnostic est difficile dans quelques cas , et, dans la plupart des relations que nous don
confirmera l'autonomie du syndrome que nous étu- dions. Dans le cas où l'impossibilité de la station et de la march
rées, mais qui, en réa- lité, se rattachent l'une à l'autre par des cas intermé- diaires qui font la transition. Dans u
, dans l'autre, la para- lysie est avec rigidité. Dans ce dernier cas , la contracture est trop facile à distinguer po
ile à distinguer pour que l'erreur soit possible. Dans le premier cas , il s'agit d'une diminution réelle ou d'une abo
ant la station assise et lorsque le ma- lade est couché que dans le cas où il est debout. Quand l'affection se présente
ue quand le malade retombe épuisé ou s'assied. Dans la majorité des cas , le malade étant assis ou couché, les mouvement
e présente l'astasie. L'impres- sion des auteurs qui ont étudié les cas de ce genre est qu'il s'agit là d'un phénomène
phénomènes presque identiques à ceux de la malade Go..., dont le cas si typique a été l'occasion de plusieurs des leço
e l'exagération progressive des mêmes mou- vements incoordonnés. Ce cas n'a que cette parti- cularité secondaire de com
'est la chute ou l'émotion qui l'accompagne qui est en jeu. Dans un cas la ma- ladie a succédé à une couche laborieuse,
ue, notamment, ont également réussi. Disons que, dans l'un de nos cas , M. Babinski a obtenu une guérison rapide par l
uspendre le mouvement et de changer l'air. C'est ainsi que, dans le cas de la mar- che, les centres spinaux, une fois a
ation du même genre a été proposée par M. Brown-Séquart à propos du cas communiqué par M. Charcot. En résumé, la stat
tion soit sur le centre cortical de la station ou de la marche - cas dans lequel l'impulsion initiale fera défaut, s
et, il serait actuellement témé- raire d'établir que, dans tous nos cas , uniformément, le siège de la perturbation est
sordonnée, et, en consé- quence, il pourra y avoir, dans le premier cas , suppression totale de la station ou de la marc
leçons 1, que cette sorte de paralysie émotive peut dans certains cas , en particulier chez un sujet psychiquement pré-
e. Ne pourrait-on pas invoquer un mécanisme du même ordre dans le cas même où l'influence émotive paraît 1 Leçons sur
ons participé consciemment à sa solution. La seule chose dans ces cas de rumination inconsciente, comme les appelle S
organes, qui, secondairement ou primitivement mis en cause dans un cas de lésoin organique, doivent dé- terminer clini
ue qu'il faille tout d'abord s'adresser. Et en effet, même dans les cas où l'etlcé- phale paraît présider à l'apparitio
empérature de la région cor- respondante, tandis que, dans d'autres cas , ces der- niers symptômes manquent l'éphidrose
geur et l'hyperthermie et enfin l'hyper- sudation. Dans beaucoup de cas de paralysie du sym- pathique-cervical, ce dern
ie du tronc du sympathique cer- vical. Mais comment expliquer les cas dans lesquels on ne trouve que de l'hypersudati
ion sur la production de tels phéno- mènes. Il est, en effet, des cas où la lésion siégeant au ni- veau du bulbe et m
y insisterons pas davantage. De même, la moelle peut, dans certains cas bien dé- terminés, donner lieu à la production
s (notre observation II) et dans lesquels on observe, suivant les cas , tantôt le syndrome vaso-moteur, tantôt le synd
eu d'ail- leurs aucune sorte d'hypersudation non plus que dans le cas suivant dû à Brigidi. Il s'agissait d'une paralys
eux. 2 CLINIQUE NERVEUSE. Mais il est probable que, dans ces deux cas , la phase de destruction des cellules avait rem
s notre première observation, comme d'ailleurs dans plusieurs des cas ci-dessus relatés. Nous ferons ressortir en pre
s. Puis bientôt, les troubles sudoraux ou vaso-moteurs, suivant les cas , disparaissent et les phénomènes pupillaires pe
irigées contre le seul symptôme sueur avaient échoué. En dehors des cas où la chirurgie pourrait intervenir avec avanta
o- matisme post-épileptique. Nous citerons, dès l'abord, quelques cas d'auto- matisme que nous avons eu l'occasion de
er des actes n'ayant aucun rapport avec leurs habitudes; tel est le cas de la malade de Herpin qui paraissait imiter un
des deux états de mal qu'il a eus en 1884 et en 1886. Dans les deux cas , la tem- pérature centrale a suivi la marche ré
guérison; le second nous donne la marche de la température dans un cas d'étal de mal aboutissant à la mort, avec les d
X, p. 97. ' 248 CLINIQUE NERVEUSE. Nous avons ici affaire à un cas d'automatisme professionnel; ce malade est tail
ant quelques exemples dans les auteurs. Tels sont, par exemple, les cas suivants publiés par Herpin '. ' Herpin. Loc.
etient dans sa chute, contraction générale, figure pourpre. A ces cas nous ajouterons les suivants, observés chez des
1882, à Bicêtre (service de I. BOU1\NEVJLLi : ), Il s'agit dans ce cas de mouvements automatiques précédant immédiatem
de ce malade a déjà été publié par l'un de nous*. Il s'agit dans ce cas d'au toi ? îa lis ine pg,éépilop tique. Qu'il soi
E), et y est décédé le 19 avril 1885. Nous avons affaire ici à un cas d'automatisme préépilcptique. Tout d'un coup Vi
propre- ment dite. Nous n'y voyons, pour notre part, qu'un de ces cas d'automatisme si fréquemment observés chez les
purs. Les accès sont tantôt légers, tantôt forts. Dans le premier cas , ils se présentent sous la forme vertigineuse : p
il Oscar Berger rapporte plus loin quel- 254 REVUE CRITIQUE. ques cas d'épilepsie accompagnés de phénomènes mo- teurs
mme une maladie distincte; mais si l'on exa- mine soigneusement les cas de mélancolie attonita (ou plus brièvement de A
anie, ce qui est le plus fréquent. Il est à remarquer que, dans les cas où cet accès maniaque manque, il y a eu souvent
eu souvent dans les années antérieures un accès de manie. Dans des cas très rares, c'est la mélancolie avec v stupeur
manie appa- raissent quelques jours seulement de stupeur. Dans des cas plus rares, la stupeur alterneavec un état de V
euvent être la démence, la guérison ou la mort. - Il y a encore des cas où la Catatonie se déve- loppe au milieu d'un é
un stade ma- niaque qui commence la maladie. Dans la majorité des cas , c'est la stupeur qui l'emporte en > durée s
ade d'acmé et redescend se perdre dans la démence. Dans beaucoup de cas après la stupeur (Attonitat) se développe un ét
oppes, particulièrement l'arachnoïde et surtout à la base. Dans les cas anciens, on trouve une rétraction du tissu ~et
l'arachnoïde est régulièrement le siège de modifications ; dans les cas où la mort est arrivée tôt, l'arachnoïde était
moelle allongée, derrière le quatrième ventricule.. Dans les autres cas , elle était constamment trouble en cet « endroi
s altérée en ces points spéciaux, el, de plus. dans la majorité des cas , la pie-mère n'était nullement adhérente au cer
t s'accompagnant de troubles du système nerveux moteur qui, dans ce cas , auraient au contraire le caractère de paralysi
véritable. A ces formes à marche cyclique on doit opposer tous les cas dans lesquels l'ensemble symptomatique reste in
ique, cataleptique, indifférente; mais il vaut mieux distinguer des cas faibles ou simples, graves ou compli- qués. Par
élancolie n'en parait pas changé. Un second groupe comprendrait les cas dans lesquels, après un début mélancolique, sur
plus souvent considérés comme une manie simple. - Puis viennent les cas où l'on note des symptômes neuro-moteurs de lon
maladie serait en somme facile, et voici ce qu'en dit Kahlbaum : Un cas isolé de convulsions considéré comme épilepsie,
siques. Mais le diagnostic n'est vraiment difficile que dans deux cas : d'abord c'est dans la première moitié de la mal
pétition obstinée d'un mot seront alors caractéristiques. Le second cas difficile sera celui où chez des individus mélan-
et une méningite basi- laire. Les déductions de Meynert d'après les cas de Kahlbaum z le portent à penser que la maladi
poraire véritable (stupeur). La guérison est possible dans les deux cas , » mais dans le dernier elle arrive après un st
11 - S3, p. 92. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSrÉRIOUE. ? 6ï tion les cas où la conscience est suffisamment anéantie, la
resphénomènes prémonitoires; quelquefois aussi, et surtout dans les cas légers, le sommeil survient graduellement, débu
icile de tirer le sujet. , Quoi qu'il en soit, et pour prendre le cas de tous le plus fréquent, à la suite de phénomè
le lendemain ou les jours suivants (Boutges, OBS. XI). Il est des cas , avons-nous dit, où la contracture est pour ainsi
les du tronc qui devenaient rigides. Mais, avons-nous dit, dans les cas moins accentués, ceux-là même où la résolution
nous avons nom- mé les muscles masticateurs. Dans presque tous les cas , on observe que les dents sont serrées les unes
le decontraction ou de dilatation. Mais aussi, dans la majorité des cas , il semble que ce léger traumatisme exercé sur
es rêves » (Bourneville et Regnard, p. '138). C'est dans ce dernier cas que la face peut devenir «rouge, chaude, parfoi
à constater même par l'auscultation, comme on l'a vu dans certains cas de mort ap- parente qui n'étaient autres que de
cise du diagnostic, il est à se demander si véritablement, dans ces cas anciens, les malades ne s'alimentaient pas à l'
que nous empruntons au Diction- naire des sciences médicales (art. Cas rares, t. IV, p. ? 0, 1S13), paraitbien se rapp
Progrès médical, 13, 27 février, C mars 1880, obs. I. - Keser : Un cas de sommeil prolongé chez un hystérique. Semaine
ar la lecture même de l'observation de M. Keser, que, dans certains cas tout au moins, les malades étaient influençable
. Cette insensibilité se trouve particulièrement notée, et dans les cas modernes et dans les cas anciens, dans les faits
trouve particulièrement notée, et dans les cas modernes et dans les cas anciens, dans les faits dits de mort apparente.
lité où il se trouve de réagir volontairement, dans la majorité des cas au moins, vis-à-vis des excitations physiques o
ent par des anesthésies partielles ou totales, dans la majorité des cas , comme l'a fait remarquer M. Charcot par de l'h
réellement dans nombre de faits, une anesthésie complète. Dans les cas légers, les dor- meurs peuvent encore par actio
es faits d'apoplexie que nous avons cités, il s'est montré dans les cas relatifs à des malades nettement hystéri- ques,
ussi que la vision ne puisse être également conservée dans certains cas , très rares à la vérité. Cependant. l'analyse d
ensibilité spéciale et nous savons que dans le plus grand nombre de cas , celle-ci est presque toujours complètement abo
ues et la perte ininterrompue de la connaissance. , En dehors de ce cas , on a noté des attaques de 2, 3, i, 5, 6, 8 jou
De plus, les récidives sont fréquentes et nous considérons ici les cas où les rémissions entre deux attaques sont assez
opi- nion de Briquet basée sur la statistique insuffisante de seize cas . « Le réveil, dit-il (p. 422), chez le plus gra
ires inextinguibles de plus en plus rapprochés annoncent chez H... ( Cas . XI) la fin de l'attaque de sommeil. Dans ce ca
noncent chez H... (Cas. XI) la fin de l'attaque de sommeil. Dans ce cas aussi il se produit un véritable délire de paro
es, OBs. VIII). Enfin, il peut survenir de l'aboiement, du mutisme ( cas de Chauffât), des tremblements choréiformes ; n
s suivies d'une terminaison fatale. » Nous connaissons cependant un cas récent dans lequel la mort survint à la suite d
ngt ans d'une hémianesthésie observée par M. Charcot. Cette ma- ' Cas d'apoplexie hystérique avec autopsie : Annales mé
ien de particulier. Nous rapprocherons du fait de Martinenq et du cas de Ler... la première observation de Pfendler.
ue dans notre des- cription. Le début semble soudain et, dans les cas accentués, le ma- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉ
41 et même 43 degrés, comme nous l'avons observé nous-mêmes dans un cas , surtout lorsque la terminaison doit être fatal
oit ainsi, car ne nous faudra-t-il pas établir encore si, dans ce cas , l'attaque apoplectiforme de la veille qui a lais
e fait rapidement pour établir la gravité présente et ultérieure du cas . Disons aussi que, dès ce moment, il peut de pa
Nous répondrons : généralement non dans l'immense ma- jorité des cas (et ils sont bien peu nombreux), n'allantpas tou-
on organique. » En effet, M. Vulpian a montré que dans cer- tains cas , rares à la vérité, la faradisation de la peau po
thésiques par lésion cérébrale. M. Grasset2 a rapporté également un cas de même ordre relatif à un hémiplégique hémiane
r le transfert par l'aimant d'une hémianesthésie organique. Mais ce cas est en- core unique et nous pouvons dire en mat
1 De l'influence qu'exerce la faradisation de la peau dans certains cas d'anesthésie cutanée. (Archives de physiologie,
VIII, 1876, p. 764.) DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 293 des cas dans lesquels la face participe à l'hémiplégie, q
enfin, la langue est tirée du côté paralysé. L'étude de plusieurs cas récents a montré que si, dans l'hémiplégie hyst
M. Vizioli en a rapporté une si remarquable observation 3. Dans ce cas , le diagnostic différentiel sera de minime impo
e, 1881. 5 Contribution à l'étude du sommeil pathologique (quelques cas de nar- colepsie). (Revue de médecine , 1882, t
ne signalons que pour mémoire. Il n'en est plus ainsi dans certains cas de stupeur mélanco- lique à forme léthargique o
à forme léthargique ou dépressive. Ce sont encore là, du reste, des cas sur la pathogénie desquels les auteurs paraissent
mal fixés. Rappelons de plus, que certains délirants hysté- riques ( cas de Martinenq) peuvent être sujets à des attaques
avons pas à nous prononcer sur la valeur relative de ces différents cas , mais on pourrait peut-être nous faire remar- q
urs de la paralysie générale ; il est probable que dans beaucoup de cas elle s'atténue ou dis- parait au moment de l'in
» Il ne nous reste plus maintenant qu'à dire quelques mots de ces cas de léthargie hystérique pour lesquels le terme de
ncé par les anciens auteurs. Le diagnostic devra s'établir dans ces cas avec la mort réelle et, aller plus loin, ce ser
gues; communication du 2 août 1886. - Rapport médico-légal sur un cas de viol et d'attentat à la pudeur commis sur un
eil calme de quatre heures sans incon- vénient dans la majorité des cas (70 p. 100) à la condition qu'il ne s'agisse pa
x (2 à 6 gr.), chez les idiots très agités (0,50 - 3 gr.), dans les cas d'agitation extrême et d'angoisse prononcée che
r est réveillé et par con- séquent prévenu de son accès. P. K. V. Cas DE tétanos traumatique subaigu traité ET guéri pa
et ses élèves ; ils servent, au contraire, à la mieux définir. Ces cas appartiennent à une autre espèce morbide et, da
e longue période de délire des persécu- tions, ce qui constitue des cas très nets de délire chronique. M. DOUTn6BENTE.
s leçons cliniques sur l'épilepsie résu- mées par M. Briand cite le cas d'un individu qui, sous l'influence d'une héréd
on formelle avec les théories émises devant la Société, et, en tout cas , montrent dans le délire chronique la même conf
e récupérer, par instants, la perception. M. Jastrowitz. Dans les cas de tumeurs, on remarque d'ordi- naire de grande
chique, à une tension d'esprit exagérés et passa- gers. En quelques cas , le résultat favorable se prolongea plus d'un a
corne la plus externe des lobes frontal et occipital. M. KNEcHr. Cas d'aphasie amnésique avec cécité graphique. Homm
river à une localisation plus précise. - Voici, comparativement. un cas d'aphasie ataxique chez un gar- çon de six ans
visée par le juge de paix, le maire ou le commissaire de police. En cas d'urgence, le visa n'est exigible que dans les qu
qui fait effectuer le placement, ou delà personne à placer. « En cas d'urgence, l'admission peut avoir lieu sur la pré
n'est-il pas supérieur à tout autre ? Est-ce que, dans beaucoup de cas , ce ne sont pas des organisations blessées dans
dans les asiles publics qu'ont lieu, toute proportion gardée, les cas de guérison les plus nombreux; c'est dans les asi
tâche, en cherchant à éclairer la voie du médecin légiste dans ces cas malaisés. C'est sur un nombre assez considérabl
avent qu'ils ne peuvent pas boire sans danger pour eux-mêmes. Et ce cas se rencontre plus souvent qu'on ne pense. La re
ris par l'ivresse. Elle existe au contraire tout entière : dans les cas d'ivresse simple qu'il était au pouvoir du délin-
es des muqueuses, elles paraissent très fréquentes puisque sur onze cas l'auteur trouve six ma- lades en présentant. La
e points bien étudiés, mais où l'absence d'un assez grand nombre de cas de même nature n'a pas permis à l'auteur de tirer
mmes seulement, on en compte actuellement trente diffé- rents. En cas d'accès, chaque boutique et chaque école possède
ionner des troubles de l'esto- mac. D'après lui, il guérit quelques cas , diminue la fréquence des accès dans d'autres,
s les épilep- tiques avec folie douce ou périodique, tandis que les cas les plus graves sont placés dans des asiles d'a
appliquent pour la plupart aux hôpitaux principalement destinés aux cas récents de folie, et où un grand nombre de cas in
alement destinés aux cas récents de folie, et où un grand nombre de cas in- curables ne doivent pas s'accumuler. Mais a
et bien discipli- nés, on s'aperçoit qu'il se produit rarement des cas intraitables. Après quelques semaines de traite
es épreuves comprendront une question écrite, éliminatoire dans les cas où le nombre des candidats dé- passera trois po
achant ci la Biologie. Aucun sujet de prix ne sera proposé. Dans le cas où, une année, le prix n'aura pas été donné, il
Mai 1888. N" 45 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES (symptômes DE l'ataxie locomotr
De l'Llech·isalioa localisée, 2e édit Paris, 18G1, p. 548. sur un cas de pseudo-tabès. 339 fois au contraire, à l'ouv
D'autres, plus réservés dans leurs déductions, convenaient que ces cas étaient inexplicables et conseillaient d'attend
rprétation; n'a-t-on pas eu la sagesse de faire ainsi pour certains cas d'apoplexie cérébrale, dite nerveuse, dont l'ob
lignes on est parvenu à classer et à com prendre un bon nombre des cas qui l'embarrassaient. Tout d'abord les travaux
es nerfs périphériques ont fourni l'explication de quelques-uns des cas dans les- quels la moelle est indemne de toute
ve dans le tabès. C'est sur des faits de ce genre que sont SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 341 basés le travail de M. Déj
riques ne paraissent pas devoir fournir l'expli- cation de tous les cas contradictoires auxquels nous faisions allusion
s. Je pouvais encore supposer qu'il s'agissait, dans l'espèce, d'un cas de pseudo-tabes névritique. Je recueillis, pour
' Lcvat-Piqueehef. Des Pseudo-Tabes. Th. doct. Paris, 1885. SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 343 pour mériter l'attention,
pidement par le fait de la marche. Elles étaient très vives, SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 345 instantanées et si brusque
pour ne pas tomber, de se remettre sur les deux jambes. , SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 347 L'énergie de la contractio
ge part à rendre la mar- che incertaine et hésitante. Dans tous les cas , si on fait marcher le malade sur les genoux il
iction est habituellement facile. Pas d'appétence génésique. SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 349 Les érections sont rares,
en que les antérieures, des fibres nerveuses intactes, pour- SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 351 vues de gaines de myéline
ssuré- ment. Mais il faut admettre qu'il existe, dans certains UN CAS DE PSEUDO-TABES. 353 cas, des troubles fonction
admettre qu'il existe, dans certains UN CAS DE PSEUDO-TABES. 353 cas , des troubles fonctionnels susceptibles de donner
e, l'épi- lepsie jaclesonienne, etc., sont, dans un bon nombre de cas , indépendants de toute altération matérielle des
enait toujours à la prédisposition ner- veuse héréditaire. Les 17 cas rapportés dans notre travail nous avaient paru
exemples dans notre premier travail : il s'agis- sait dans l'un des cas d'un malade qui, après avoir eu, à l'âge de tre
en eut une autre du même côté à l'âge de trente-sept ans; le second cas se rapportait à un sujet qui, en moins de trois
du côté gauche de la face. Mobius, qui avait déjà fait connaître un cas de paralysie faciale récidi- vante ( ? J ? ? t.
une fois la paralysie faciale à droite. M. Charcot nous a cité le cas d'une femme qui a eu jusqu'à quatre accès de pa
rs partielle et le facial supérieur reste indemne; tel n'est pas le cas DE LA PARALYSIE FACIALE. 367 de cet homme qui
posées pour l'évo- lution de l'ataxie locomotrice. Voici un autre cas non moins intéressant. La famille névropathique
devable à M. le professeur Charcot, ne comprend pas moins de cinq cas de paralysie de la septième paire, observés chez
e la même famille. Ce n'est plus seule- ment, comme dans les autres cas relatés jusqu'à pré- sent, la diathèse nerveuse
fois encore, c'est une fatigue intellectuelle. Dans la majorité des cas , l'origine apparente de l'hémiplégie échappe au
concours, n'étant pas absolument nécessaire, leur appoint, dans les cas où réellement ils entrent en jeu, ne peut être
maladie. Seule la prédisposition nerveuse se retrouve dans tous les cas , parce que seule, sans aucune autre interventio
la maladie est plus fréquente chez la femme que chez l'homme. Les cas que nous avons rapportés peuvent, en effet, se
e d'affection familiale que la maladie peut revêtir dans certains cas , la possibilité de la transmission hérédi- tair
n électrique, il est vrai, peut nous guider, au moins dans certains cas , et nous révéler que le nerf facial est lésé, q
xcitabilité galvanique et faradique. Le même auteur relate un autre cas qui 376 CLINIQUE NERVEUSE. avait les apparenc
ne a communiqué à la Société de biologie (séance du 9 août 1884) un cas de para- lysie faciale grave suivi d'autopsie d
nerveux participent à la dégénération. En d'autres termes, dans ce cas , le nerf facial était soumis à une compression
e ou d'accidents procursifs est assez restreint, soit parce que les cas en sont peu nombreux, soit parce que la transfo
malades dont nous avons rapporté l'observation; voici maintenant un cas d'épilepsie procursive pro- prement dite, obser
int' son 390 CLINIQUE NERVEUSE. bord postérieur ; il semble en ce cas que la deuxième circonvo- lution frontale ait e
des aliénistes allemands à Nuremberg, en ! 877, une statistique de cas divers d'aliénation dans lesquels il trouve des
ravail de Fink sur l'hébéphrénie. Dans ce mémoire, Fink donne trois cas d'hébéphrénie qui ressemblent beaucoup, dit-il,
cite Hecker (Allg. Z. f. Pych., Bd. XXXIII, S. 612) qui rapporte un cas de catatonie suivie d'hébéphrénie. Mais pour lu
olie atto- nita avec phénomènes cataleptiques. Il se demande si les cas décrits comme typiques méritent de constituer v
re de Kalhbaum 2, on rencontre dans les livres spéciaux de nombreux cas de catatonie non différenciés et classés dans l
. sp. di fren, 1886,) - D'après Hammond (loc. cit.) un des premiers cas de catatonie se trouve dans les croquis de Bedl
teurs allemands, ainsi qu'une autre observation de Lagardelle3 d'un cas de catalepsie consécutive à nne manie aiguë. Ce
érie parait évidente mais n'a pas été mise en relief. Dans un autre cas semblable, Fritsch 13 insiste sur l'in- fluence
a (Journ. of meut. se, 1883, p. 355.) - 8 J. Voisin. - Notes sur un cas de mélancolie avec stupeur à forme cataleptique
la catatonie est une forme morbide essen- - tielle ; 2° ou bien les cas rangés sous cette étiquette ne sont «- que des
s musculaires (sauf pourtant les paralysies). Sans con- sidérer les cas où ces symptômes peuvent se montrer liées à des
ormes chez un individu intoxiqué par le haschich et il émet dans ce cas l'hypothèse de l'hystérie primitive. Dans les
fréquents delà mélancolie anxieuse. L'un de nous a pu recueillir un cas de ce genre et bien que l'observation soit fort
LA CATATONIE. - 429 9 ressant travail de Knecht 1, rapportant des cas de combinai- son de paralysie générale et de ca
plus variées. D'ailleurs, même, en ne les considérant que dans les cas dits de catatonie, leur mode de développement,
r une femme que nous avons observée à la Salpêtrière. Dans d'autres cas , ces phénomènes semblent être en dehors du doma
otypés, comparables à des tics, sont aussi fréquents dans les mêmes cas d'affaiblissement mental 2 avec ou sans coexist
niques et qui espérons n'être pas contredits en disant que bien des cas de stupeur observés dans les asiles ne présente
7. 3 Griesinger. - Loc. cit., p. 295. * Dagonet. Loc. cit. DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ, 433 à celle
autrement de leur ensemble ? (A suivre.) RECUEIL DE FAITS DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ ; Par BOURNE
marche de l'atleétose double offre des caractères tout à fait DEUX CAS d'aTHÉTOSK DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 435 particu
ne s'écarte pas de la ligne droite comme l'ataxique. Quant à DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 437 l'incoo
oir aussi dalls les Archives de Neuro- 438 RECUEIL DE FAITS. - DEUX CAS D'ATHÉTOSE. Il ne nous reste plus qu'à établir
linico da ataxia hededitaria de Friedreich. Rio de Janeiro, 1888 (112 cas ). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 439 en arrière
ligne médiane dépassée ou non atteinte) - hémianalgésie simple (un cas ) - hémianesthésie brachiale ou crurale (deux ca
algésie simple (un cas) - hémianesthésie brachiale ou crurale (deux cas ) anesthésie en plaques se rapprochant de l'hémi
x cas) anesthésie en plaques se rapprochant de l'hémianesthésie (un cas ) - anesthésie en plaques bilatérales (cinq cas)
l'hémianesthésie (un cas) - anesthésie en plaques bilatérales (cinq cas ) - émoussement de la sensibi- lité pour toutes
les propriétés de lafonction ou pour quelques-unes seulement (deux cas ). Chez le même individu, ces perturbations vari
mble générale- ment statiounaires, mais ne durent que dans quelques cas pendant des années; il est fréquent aussi d'obs
al; fréquemment l'acuité visuelle a en même temps diminué. Dans les cas de diminution de l'acuité auditive, les parois
auditive, les parois osseuses ne conduisaient plus le son ; dans le cas de troubles du sens musculaire on a toujours no
céphaliques, de l'épilepsie, qui constituent, dans presque tous les cas , des facteurs pathogénétiques de premier ordre, e
els, en attendant qu'on en ait indiqué, démontré la lésion; en tout cas , l'hystérie doit être résolument écartée'. P. K
ntervenue. La contagion, au sens rigou- reux du mot, s'applique aux cas dans lesquels la seconde personne atteinte n'es
ieu- rement, soit une proportion de 61,4 p. 100. Si l'on y ajoute 9 cas suspects dans lesquels l'infection syphilitique
es entre l'infection et l'appa- rition de la paralysie générale (20 cas ), soit entre dix et vingt ans (17 faits), soit
Fox, Dulsring, Leloir et Chabrier. En 1881, Déjérine trouva dans un cas , des altérations nerveuses, à l'examen histolog
s qui a donné les meilleurs résultats. Enfin on a pu, dans quelques cas , trouver des altérations des nerfs dans le vitili
CHEZ LES , aliénés; par le Dr 111ERN : 1N (de Chicago). Les trois cas cités par l'auteur viennent à l'appui de l'opinio
luences ner- veuses dans la production du vitiligo. Dans le premier cas , il s'agit d'un jeune homme âgé de dix-huit ans
eux devinrent gris du même côté que la paralysie. Dans le troisième cas , les plaques d'atrophie pigmentaire apparurent
teints de paranoia, dix lunatiques, quatre épileptiques. Il cite un cas dans lequel les troubles de coloration se montrèr
eu d'esprit » : le calembour, le bon mot et l'humour. Dans tous ces cas , il y a une diplopie ' Gancet, mai 1886. 448
: SIDENCE de M. Cotard. M. ROUILLARD communique l'observation d'un cas de glycosurie chez un paralytique général. M.
chez un paralytique général. M. Charpentier a déjà communiqué un cas semblable à la Société de médecine. M. Féré.
e cette obsession, il en conserve le ouveiiir toute la vie, dans le cas même où il vient à guérir. Mm° S... est donc un
ès difficile. Je laisse de côté des détails secondaires du huitième cas pour en venir immédiatement à l'évolution de la
à la seconde période (période de persé- cution) je n'ai pas uu seul cas de délire chronique sans hallucina- tions. SO
éclame toujours une certaine activité intellectuelle. Du resle, ces cas sont très rares et ce n'est pas sur des faits c
art a, comme je l'ai dit précédemment, rapporté dans sa thèse trois cas dedébititémentateavoc délire chronique. M. Magn
ai délire des grandeurs. Ce délire d'énormité peut aboutir dans des cas très cliniques à de véritables idées de grandeu
ible avec lui, p. 140. » En admettant ainsi dans le même groupe des cas de délire de persécution sans hallucinations, o
oquemment que Lasègue comprenait dans ce groupe un grand nombre des cas qui ne lui appartiennent pas. Cela est si vrai
'appliquent manifeste- ment à des dégénérés. Ni l'un ni l'autre des cas ne rentre donc ni dans le cadre du délire des p
res de grandeur et de persécution sont contemporains, et enfin, des cas dans lesquels le délire des grandeurs se montre l
'observe à peine, dit notre savant contradicteur, dans le tiers des cas et c'est un simple délire surajouté qui ne change
une physionomie toute différente de celle du début. Dans quelques cas d'hallucinations bilatérales à caractère différen
gue comprend cette immense classe de délirants persécutés ? Dans ce cas , pourquoi ne l'appelerions-nous pas mégalomanie a
les limites du délire chronique pour ne pas confondre avec lui des cas de ce genre très différents aussi bien par les
ituellement d'autres troubles nerveux. Le pronostic devient dans ce cas beaucoup moins sombre. Ce sont donc des malades
hromatopsie qu'on observe ne s'étant manifestée que dans six à sept cas (Thomsen), - enfin, l'intégrité de la sensibilité
imètres dont le diamètre mesure 3 cent. 5. Remak prendra, selon les cas , 15, 20, 30, 40 cen- timèlres carrés correspond
es de 4,4; 5, 6, 7, 8 centi- mètres. M. Bernhardt communique : Un cas de paralysie périphérique isolée du nerf sus-sc
e paralysie périphérique isolée du nerf sus-scapulaire gauche. - Un cas de parésie de presque tous les muscles de l'ext
e l'extrémité supérieure gauche à étiologie reniai - quable. - Deux cas de paralysie faciale périphérique présentant ce
phérique présentant certaines particularités 1, M. Westphal. Deux cas de tabès dorsal avec conservation du phé- nomèn
enheim. Contribution à la pathologie du tabès. M. REMAK présente un cas d' hémiatrophie saturnine de la langue. Saturni
Séance du 7 juin 1886. - Présidence de M. Westphal. il. Thomsen. Un cas de paralysie isolée du regard en haut, avec ' g
tte industrie. - M. MENDEL rappelle que M. Bernhardt a vu en pareil cas de l'ataxie, de très grands troubles de la sens
. - Présidence DE M, Westphal. M. WESTPHAL. Lésion anatomique en un cas de phénomène du genou n'existant que d'un côté.
de dégénérescence grise des cordons postérieurs. M. KOENIG. Deux cas de lésion de la zone motrice du cerveau. - Ces
OENIG. Deux cas de lésion de la zone motrice du cerveau. - Ces deux cas ont été examinés au point de vue des questions su
blanche, des foyers de cellules granuleuses. M. OPPENHEIM. Sur un cas de paralysie bulbaire chronique pro- gressive s
quent l'époque à laquelle a débuté l'affection. Mais, dans tous les cas , l'absence de corps calleux ne peut être que pa
ait cinq mois que le blessé avait reçu son coup de couteau. Dans un cas analogue qui nécessita une résection du nerf éc
albl. f. Nervenheilk, 1887)*. Discussion : M. Oppenheim rapporte un cas semblable. Il s'agit d'une femme de vingt ans a
bilité du même membre, paralysie généralement très étendue. Dans le cas de M. Oppenheim,le bras atrophié ne pré- sente
tale, y compris le non-développement des vésicules. M. SANDER. Le cas de M. Richter ne permet pas de croire à l'adhér
ordonnés par l'autorité publique. Il est pro- cédé de même dans le cas de réintégration après évasion prévu par l'arti
n, monsieur ! ... Malheureuse- ment, on ne vous trouve pas dans ces cas -là. M. DE Gavardie. Vous me trouverez quand vou
hôpitaux spéciaux. Ils représentent dans une mesure très large les cas incurables; ce sont des victimes de l'ivrogneri
rès encourageants. Les statistiques portant sur plus de trois mille cas indiquent une moyenne de 40 p. 100 de guérison
on au point de \ue théra- peutique, par Couturier, 303. Syphilis ( cas remarquable de - cE- rébrale), par Goldstoin, 1
78 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
esseur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, Le cas du malade qui va faire l'objet de la leçon de ce
Diagnostic, - Messieurs, la question de diagnostic, que soulève le cas de ce malade, me parait des plus faciles à réso
lésion diffuse des nerfs périphériques. Le problème que soulève le cas actuel peut donc ètre posé en ces termes : Myélit
mais nn début franchement fébrile ne manque presque jamais dans les cas de polio- myélite antérieure aiguë; il est rela
polio- myélite antérieure aiguë; il est relativement rare dans les cas de poly- névrite. En second lieu, dans un cas
ement rare dans les cas de poly- névrite. En second lieu, dans un cas de poliomyélite antérieure aiguë, la para- lysi
ment irréparable. Les choses marchent de toute autre façon,dans les cas de polynévrite plus ou moins généralisée. Ici.
es chez notre malade. D'autre part, il est exceptionnel que dans un cas de poliomyélite anté- 10 F. RAYMOND rieure ai
que un pronostic d'une haute gravité. Cela peut se dire surtout des cas où une poliomyélite antérieure se complique de
un moment donné, de la diplopie et du strabisme. On a publié des cas de polynévrite compliquée d'une paralysie simple
lésion inflammatoire ou dégénéra live de son centre bulbaire. En ce cas , une asphyxie mortelle ou une paralysie irréméd
s douleurs d'une extrême violence. Voilà qui ne se voit pas dans un cas de poliomyélite antérieure; voilà qui appartient
n d'opposer l'une a l'autre ; seulement, elle est de règle dans les cas de poliomyélite anté- rieure aiguë, tandis qu'e
myélite anté- rieure aiguë, tandis qu'elle est l'exception dans les cas de polynévrite aiguë généralisée. POLYNÉVRITE
muscles, et de l'absence de ces troubles vaso-moteurs qui, dans les cas de poliomyélite antérieure aiguë, se montrent à
quer en faveur de l'hypothèse d'uue polynévrite. En effet, dans les cas de poliomyélite antérieure aiguë, les anomalies d
Pas de paralysie, vous disais-je, dans une précédente leçon sur un cas de poliomyélite antérieure aiguë, pas de modifi
Les choses se présentent tout autrement, en thèse générale, clans les cas de polynévrite aiguë; ici on observe un défaut
es deux affections comportent des dangers de mort, et dans les deux cas ces dangers sont liés à l'envahissement de la sph
bien, Messieurs, ces dangers sont sensiblement plus grands, dans un cas de poliomyélite, que dans un cas de polynévrite
sensiblement plus grands, dans un cas de poliomyélite, que dans un cas de polynévrite, pour une raison facile à saisir,
ulaires, le malade est voué à une mort à peu près certaine. Dans un cas de polynévrite, ces mêmes accidents dépen- dent
LIOMYÉLITE 13 névrite généralisée, et cela se voit surtout dans les cas où l'intervention du médecin a été trop tardive
pendant les précédentes années. Traitement. Quel est donc, dans un cas de polynévrite aiguë géné- ralisée, la conduite
stic s'impose, c'est celui de myopathie primitive progressive. Le cas de X... diffère, néanmoins par certains côtés, de
, l'une individuelle, l'autre familiale, devaient englober tous les cas d'atrophie musculaire progressive. II n'eu est
étudiés parmi ces formes irrégulières. Dans une certaine mesure, le cas de notre malade ressemble à ce dernier type et
it, la localisation de l'atrophie est à peu près la même dans notre cas , sauf pour les petits muscles des pieds qui sont
maladie de Thomsen. Nous n'hésiterons pas cependant à conclure à un cas de cette dernière affection. Quelques symptôm
de ces associations. Cela serait d'autant moins surprenant dans le cas actuel que les deux manifestations paraissent d
te avec une atrophie mus- culaire. UNIVERSITÉ DE MOSCOU - TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE HÉRÉDITAIRE DANS LA MÊME
jet d'aucun doute sérieux ; son diagnostic est facile dans tous les cas où les symptômes morbides car- dinaux se trouve
connexions, à la physionomie spéciale familiale de l'affection, aux cas sporadiques du symp- tôme complexe de Marie, au
rapport de cette affection avec la maladie de Friedreich (dans les cas de combinaison de ces deux affections, cas de A
de Friedreich (dans les cas de combinaison de ces deux affections, cas de Alentzel, d'Erb, de Seeligmüllerj, au caract
de P. Lovor : Iléréédo-ataxie céré- lielleuse, Paris, 1893. TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 23 dans notre clinique
renforce l'intérêt de notre observation c'est que c'est le premier cas d'ataxie cérébelleuse hé- réditaire étudié et d
e dans sa devint incertaine et s'accentuèrent peu démarche. TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 25 Olga S. Michel S. Nico
. Dans l'attitude as- sise le corps ne va- cille pas. ' TROIS CAS 'ATASIE CÉRÉBELLEUSE 27 Olga S. Michel S. Nicol
O-CERÉBELLEUSE (G. Rossolimo) MASSON & Cie, Editeurs. TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 29 Olga S. illicltel S. N
Nou ? ICO"OGI<AI'HIE DE 1 A SALPêIRIÈRF. r. XII. Pl. V TROIS CAS D'HEREDO-CEREBELLEUSE DANS LA MÊME FAMILLE (G.
S LA MÊME FAMILLE (G. Rossolimo) MASSON éc rie éditeurs . TROIS CAS ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 31 résumons maintenant les
onc plus de doute sur le vrai diagnostic qui est celui cl'cc- TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 33 taxie cérébelleuse hér
des muscles droits internes et obliques supérieurs (dans les autres cas de cette maladie, on rencontre plus sou- vent l
invoquée c mme facteur étiologique, elle doit être considérée en tout cas comme un facteur qui affaiblit l'organisme et c
u système nerve11X central, je passe maintenant à la description de cas plus rares, qui ont aussi leur raison d'être da
cer- veau ; les difformités ainsi provoquées sont très curieuses. Cas I. Une fillette née avant terme (8 mois). Le co
trouvé un tableau ordinaire qui se remarque habituellement dans les cas de très forte hydrocéphalie. L'écorce se compos
sentant une forme de vésicule, ce qui n'aurait pas pu être en aucun cas , si la cause de cet effet était effectivement un
arrêt de développement analogue la formation du bec-de-lièvre. Ce cas démontre que la cause de pareilles difformités n'
s atrophie complète de cette dernière, comme ordinairement dans ces cas , malgré que les parois soient amincies, Ainsi,
bsence de la voûte crânienne et des arcs postérieurs des vertèbres. Cas II. - Deux jumelles. Quoique nées en même temps,
enouillés et les couches optiques ne sont pas déve- loppés. Dans ce cas nous avons l'hydrocéphalie interne du ven- tric
absence du cerveau se manifeste quelquefois seulement l'autopsie. Cas III. La fillette venue à terme est morte avec une
sent ainsi dans la moelle allongée. Ainsi les particularités de ces cas sont : 1° L'ouverture de la colonne vertébrale
ulbe rachidien. Un tableau tout à fait analogue est présenté par le cas suivant : Cas IV. Fillette âgée de 18 jours. Pe
Un tableau tout à fait analogue est présenté par le cas suivant : Cas IV. Fillette âgée de 18 jours. Pendant sa vie, no
CONGENITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (N. Solovizoff) Coupa .1" Cas Il. Il Moelle, région cervicale ; - I Bulbe au ni
eu au-dessus. l'hydrocéphalie ET L'HYDR011LYÉLIE 43 Ainsi dans ce cas nous avons trouvé : 1° une absence complète du
icule. Passons maintenant à l'examen du système nerveux central des cas III et IV. Au-dessous de l'ouverture de la co
Quelle est la raison de cette curieuse déformation ? Dans les deux cas , il existe une ouverture complète de la colonne v
chercher l'explication de cette curieuse déformation. Dans ces deux cas il y a une hydro- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALP
au fondamental du cordon antéro-latéral (tableau ordinaire dans les cas de forte hydromyélie). Par conséquent, pendant
qui provoqua cette curieuse' difformité de la moelle dans ces deux cas était double. D'un côté, à cette difformité aidai
le, nous trouvons alors chez l'enfant le bulbe rachidien et dans ce cas il peut rester une partie de la voûte crânienne,
ulement la dislocation de l'extrémité du vermis inférieur ; dans ce cas le spina bifida occupe la région sacrée. En ceq
tique. Ni dans les ascendants ni dans les collatéraux on ne relève de cas d'atrophie musculaire non plus que chez ses deu
apothicaires... » Au musée de la Haye, seconde victime (1). Ici le cas est plus sérieux. La malade est alitée (Pl. XII
nt d'humeur à badiner avec la médecine. Grave ou bénin, il prend le cas au sérieux, et croirait manquer à tous ses devo
de s'at- taquer à une personne telle que vous. Si vraiment ? En ce cas , elle trouvera à qui parler, car je ne saurais
ecine, et vous en guérirez merveilleusement bien. » Si, vraiment le cas est sérieux, ce docteur-la semble-t-il fait pour
sans ordre sur toute la surface tégumentaire. Nous sommes, en pareil cas , tout naturellement portés à supposer une susce
et, puisque le zona a été notre point de départ, commençons par un cas bien typique de zona métamérisé d'origine médulla
le pli lombaire et au-dessous du genou. Donc, que l'on envisage le cas , soit il la phase prééruplive, soit à la phase
obliques mar- quent le territoire du tégument envahi par le zona ( cas de Grasset et Vedel).- Disposition métamé- ri
DANS LES TROPHONÉVROSES 73 consécutifs doivent être, comme dans le cas actuel, localisés exclusivement à ce segment du
s elles ne poussent pas la bizarrerie jusque là. Elles ont, en tout cas , beaucoup plus de tendance à généraliser leurs
rigine nerveuse. Je vous signale- rai dans une leçon ultérieure les cas sur lesquels s'est appuyée cette ma- nière de v
eux venir : la localisation métamérique de la sclérodermie, dans le cas dont vous avez sous les yeux la figure, permet
ulaires. Mais la métamérie en ques- (1) IIE : \111 Drolin, Quelques cas de sclérodermie localisée à 'distribution métamé-
Fig. 3 et 4). Fig. 2. Schéma de la distribution des lésions dans un cas de sclérodermie en bandes disséminées (Thibierg
n même des grandes différences objectives qu'il affecte suivant les cas , le lichen a for- cément été l'objet de subdivi
les. Nous n'avons à considérer, bien entendu, que ces deux derniers cas . Or, les bandes longitudinales sont parfois mathé
s'il est des zonas de nerfs, il en est aussi de racines. En tout cas , pour ce qui a trait au lichen nous savons que
teur de l'Assistance publique. Fig. 5.- Trophonévrose lichénoïde ( cas de Balzer). LA MÉTAMÉRIE DANS LES TROPHONÉVROSE
ment limités à des départements métamériques. Il en est de même des cas rangés dans une catégorie à part sous les noms
chronique présenter ses localisations avec celles du zona et corné ( cas de Quinquaud). de certains nxvi conduit a pense
constituent Fig. 7.- Eczéma primitif des ongles. Ibid., no 1625 ( cas de Quinquaud), Fig. 8. - Eczéma aigu. Ibid., n
no 1625 (cas de Quinquaud), Fig. 8. - Eczéma aigu. Ibid., n 1088 ( cas de Besnier). plutôt des dystl'ophies unguéales
n facile de répondre à cela par un argu- ment péremptoire. Voici un cas d' eczéma rubrum (Fig. 9) dont les limites sont
ar trop superficiel. 82 2 E. BRISSAUD Voici, par exemple, un beau cas de maladie deDuhring observé et coin- menté par
s appareils nerveux centraux ou périphériques. VIII. Je reviens aux cas de métamérie vraie. Dans notre énumération des
go, en dépit de sa nature nerveuse, Fig. 10. - Hydrua gestatioizis ( cas de Bar et Tissier), fasse exception à la règle
), fasse exception à la règle ? Je ne saurais vous le dire. En tout cas , s'il présente quelquefois une distribution con
ruqueuses qui les recouvrent (1) (Fig. 13). » Il est certain que le cas de l'angiokératome est spécial, puisque les pro-
e parfois un troisième : Fig. 43. -Angiokératome. Ibid., ne 1528 ( cas de Tenneson). L'éruption a une dis- position se
ale; je l'em- prunte à Alibert. « M. Ruggieri a publié naguère le cas d'une monstruosité congénitale qui fit annuler
es adultes, peuvent être considérées comme congénitales. Tel est le cas de la plupart des maladies familiales. Le « germe
st, je le répète, la répartition des lésions. Dans presque tous les cas publiés jusqu'à ce jour on en compte près d'une c
Fig. 16. Xérodermie pigmentaire chez une jeune fille de douze ans ( Cas de Radcliffe Crocker). - Remarquez l'horizontal
s frontières de ce département cu- Fig. 47, - Næv1ts papillomateux ( Cas de Radcliffe Crocker). tané sont respectées , c
rveux, in Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1897, n" 4. UN CAS DE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
fondait tant d'espoir, ont été relevées si fréquemment et dans des cas si disparates, qu'elles tendent aujourd'hui il
rs beaucoup moins marquée que celle que nous avons observée dans le cas qui nous occupe et en outre ne s'est jamais montr
nous ne retrouvons pas ici. Il s'agit donc indubitablement, dans le cas actuel, d'une affection systé- matisée de le mo
ons que ce faisceau contient des fibres qui subissent dans quelques cas la dégénérescence descendante. Mais nous croyon
était ainsi, le plexus brachial ne pourrait être lésé que dans les cas où la tête humérale viendrait le comprimer direct
rquée qu'elles sont plus éloignées de la 7e cervicale. Dans notre cas , en nous plaçant dans l'hypothèse la plus plausib
rieure droite. Quoi qu'il en soit, ce fait se rapproche beaucoup du cas de notre pre- mier malade et on pourrait, au be
é dans le cal ; les douleurs auraient été autrement tenaces dans ce cas et auraient nécessité une inter- vention chirur
a sensibilité dis- paraissant au bout de quelques jours. Dans notre cas , il s'agit d'une hyper- algésie si accusée et s
on fonctionnelle et l'atrophie du neurone moteur cérébral : dans le cas de MM. Achard et Lévi, le lobule paraceutral et l
que et Itperulésiq2ce. Or on sait - et M. Apert (1) en a observé un cas très démonstratif que les paralysies radiculair
t en vertu du mécanisme réflexe que l'on invoque pour expliquer les cas d'amyotrophie d'origine ostéo-articulaire ou d'or
énéralité des symptômes tabétiques ; il arrive même, dans nombre de cas , que le dia- gnostic de tabès se trouve netteme
périeur est-il cervical, bulbaire, céré- bral ? II y aurait dans ce cas une si vive différenciation des caractères clin
rigine quand il y a tabes, sur- tout si l'on considère que sur cent cas de tabes, l'appareil labyrinthique est en cause
re qu'ils com- parent à la névrite optique. Strumpell rapporte deux cas où il a observé simultanément l'atrophie du ner
rf optique. Oppenheim et Siemerling ont constaté, également dans un cas de tabes, une atrophie de la plupart des faisce
t endroit a l'état nor- mal avait presque totalement disparu. Ces cas sont peu nombreux, on le voit, mais de leur juxta
atrophie est loin d'avoir cette allure ; et il semble que, dans ces cas , il s'agisse bien d'une atrophie primitive du p
ive du protoneurone labyrinthique. Néanmoins, si dans beaucoup de cas peut-être cette atrophie n'est pas primitive, i
s plus apparente, mérite une attention toute particulière. Dans les cas où elles sont symétriques, il est permis de n'y v
bes frappe simultanément l'acoustique et le trijumeau. Mais dans le cas où les lésions de l'oreille et du trijumeau son
si l'on veut bien remarquer qu'il ne s'agit pas toujours en pareil cas de la coexistence d'une lésion des deux nerfs,
es. La névralgie du trijumeau existe, d'après lui, dans les 2/5 des cas , et explique non seulement les faits d'ostéopor
sifs ou actifs, voulus ou non. Prenons donc successivement les deux cas d'attitude ou de mouvement d'abord passifs, pui
se au niveau du segment considéré quelque chose de plus que dans le cas précédent. Je n'ai pas à refaire ici l'historiq
oute à l'analyse tactile des images élémentaires autres que dans le cas où le maintien ou la variation d'attitude sont
névrose refoulée, etc. Je sais qu'il se passe dans ces segments, en cas d'attitude activement maintenue ou modifiée quelq
activement maintenue ou modifiée quelque chose de plus que dans le cas de passivité ; mais quelque chose ne me donne n
e l'on donne à tel segment de ses membres, que vient faire, dans ce cas d'inactivité musculaire, ce qu'on appelle le sens
mptômes du tabes. Sur 24 tabétiques, Marie et Wallon ont observé 17 cas de vertige et souvent des troubles auditifs. Vo
ganisme. Ce noyau peut et doit toujours être mis en cause dans tout cas de vertige, et je répète que le vertige ne peut
globes, d'une accommodation difficile, sans qu'il y ait dans certains cas la moindre fatigue sentie au niveau des yeux ;
rouble auditif, il faut le rechercher méthodiquement. Inversement, en cas de surdité ou de bruits subjectifs chez un tabé
lle la réaction nucléaire symptomatique. Gowers pensait que sur dix cas de vertige, neuf étaient certainement auriculaire
inthiques, c'est le signe de Rom- berg. Dans la grande majorité des cas , il n'y a aucune différence entre le signe de R
nt à l'insuffisance et surtout à l'irritation labyrinthique. Quatre cas pourront se présenter : 1° Le sujet n'éprouve a
e de Romberg compensé. On le rencontre presque constamment dans les cas d'insuffisance labyrinthique ou d'irritation laby
et conducteurs ; car ce signe apparaît presque constamment dans les cas d'insuffisance ou d'irritation labyrinthique, si
ntée au tabes, si elle n'appartenait pas, dans la grande majorité des cas , aux affections labyrinthiques, tabétiques ou n
l'occasion de provoquer le vertige labyrinthique, et dans tous les cas où le sujet voyait les objets tourner, je constat
liquerait par le jeu réflexe d'autres muscles. J'en ai observé deux cas , dont un d'origine net- tement labyrinthique. ,
é, Verdos, et tout ré- cemment encore Urbantschitsch ont publié des cas analogues. Celui-ci l'a également observé à l'o
d on fait LE TABES LABYRINTHIQUE 161 effort d'attention auditive ( cas de Burckner) ou dans certaines attitudes. Juliu
s de Burckner) ou dans certaines attitudes. Juliusberger signale le cas du malade tabétique qui provoquait en lui l'au-
paupières et qu'il faut y chercher, et dans un très grand nombre de cas d'insuffisance et surtout d'irritation labyrin-
me, aujourd'hui paralytique général. J'ai encore rencontré dans ces cas de la déviation conjuguée du côté de l'oreille
bisme, que je n'ai pas encore rencontré convergent, il en existe un cas d'Urbantscbitsch est généralement limité au côt
unilatéral, dans une affection labyrinthique pure. J'ai pu- blié un cas de mgdriase observée chez une surveillante de l'h
chez une surveillante de l'hôpital Necker. Enfin Gellé a observé un cas d'exophtalmie double après l'ablation de poly-
mouvements et les attitudes absurdes des globes ne peuvent dans ces cas être attribués qu'à l'irritation nucléaire de l
réti- nienne. C'est encore un phénomène banal. Laurens a publié un cas d'as- -thénopie oculaire évoluant avec une otit
cas d'as- -thénopie oculaire évoluant avec une otite moyenne. Le cas d'enjambement internucléaire le plus curieux que
ans après, ce malade est un tabétique confirmé. Ilolt a signalé un cas de paralysie de l'accommodation coïncidant avec
ysie faciale, toutes deux et peut-être toutes trois et frigorie. Ce cas n'est pas démonstratif. M. Brissaud voulut bien
gmus vertical, spasme des élévateurs. Buzard, Ziem rap- portent des cas de úléph(t1;ospâsme d'origine auriculaire. ' Au
portent des cas de úléph(t1;ospâsme d'origine auriculaire. ' Autres cas . M. Sauvineau a présenté dans le service de M. Di
avons vu un exemple remarquable plus haut. Je pense que, dans le cas présenté par M. Sauvineau, il s'agissait du ver
s son intéressante monographie, Barreïro (8) n'en retient que seize cas . Somme toute, celte paralysie isolée constitue
alisation doit être rare, poursuit-il, puisque sur une vingtaine de cas au moins d'atrophie ou de paralysie du grand de
orés, je ne l'ai pas rencon- trée une seule fois ». En effet, les cas rapportés par cet auteur sonl fort complexes : la
lenial (3), sur z.000 admissions hospitalières, n'a constaté que 23 cas de paralysie ou de contracture périphérique des m
l'horizontale, paraît s'approcher moins de la verticale que dans le cas où le seul bras droit était élevé. Ajoutons q
ale, la région scapulaire présente la même morphologie que dans les cas où le malade élève directement le bras en dehor
sont les détails de l'observation. Il s'agit incontestablement d'un cas de paralysie isolée du grand dentelé droit surven
grand dentelé droit survenue au cours d'une fièvre typhoïde. Les cas dus à pareille cause sont véritablement exception
grand dentelé droit, qui resta le seul mus- cle paralysé. Dans le cas de Bæumler, comme dans le nôtre, la seule hypothè
s très rare ? Nous avons vu que Barreïro n'en avait réuni que seize cas . Ces seize cas, au point de vue étiologique, se d
ous avons vu que Barreïro n'en avait réuni que seize cas. Ces seize cas , au point de vue étiologique, se décom- posent
, se décom- posent ainsi : Effort ou fatigue musculaire.......... cas Froid et humidité .............. 3 » Fièvre t
........... 3 » Ces trois derniers faits étant laissés de côté, les cas dus ;i une blessure chirurgicale et à l'hystéri
tion d'ailleurs, à un effort ou à une fatigue musculaire. Dans le cas de Wiesner (1) il s'agit d'un charpentier de ` ?
entait les signes ordinaires de la paralysie du grand dentelé. Le cas de Bernhardt (2) mérite une mention toute spécial
ut soulever son bras droit au-des- sus de l'horizontale. Enfin le cas de Barreïro (4) a trait un fumiste, âgé de 56 ans
ici dans quelles conditions cette paralysie est survenue. Dans le cas de Busch (5), il s'agit d'une paralysie isolée et
muscle grand dentelé. En voici le résumé très succinct : Premier cas . Un ouvrier, (ils d'alcoolique, qui travaillait p
es plus tard, elle dépasse le plan horizontal de 15° à 20. Second cas . -Un jeune homme de 20 ans, sans cause connue, es
Les troubles de l'attitude de l'épaule ressemblent à ceux du premier cas . Toutefois, le malade aurait toujours pu lever
ARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 185 Voyons tout d'abord les cas qui ressortissent à l'effort musculaire. Les de
es. On concevrait ainsi qu'il fût faci- lement tiraillé. Dans les cas de Wiesner, de Woodmann et de Bernhardt, il ne s'
e gauche, chez un gaucher, confirme la loi de Bouillaud-Broca. Le cas de Wiesner a une valeur de même ordre : son malad
terpréter le rôle du froid et de l'humidité, invoqué dans les trois cas de Marcbessaux, Busch et Bernhardt ? Le malade de
e, nous ferons remarquer que notre hypothèse peut s'appuyer sur les cas analogues de paralysies diverses, survenues penda
ude vicieuse. Il nous reste maintenant à envisager le mécanisme des cas de Baeumler et de Weber : la paralysie est cons
créé ainsi un locus minorais resistantue pour la toxine. Dans notre cas , il n'est pas illogique de supposer que la pneu
pte de cette hypothèse, si on veut bien considérer que, sur ces dix cas de paralysie du grand dentelé, sept siègent à d
se ? Dans le même genre d'idées, nous ferons remarquer que tous ces cas , sauf deux, concernent des hommes. Nous arriv
n bras. » Cosigne pathognomoni- que, important à connaître dans les cas où la paralysie du grand dentelé se complique d
ors il n'y aurait pas de confusion pos- sible, car, dans ce dernier cas , le scapulum resterait appliqué contre le thora
us la peau. Ce sont là des signes intéressants à connaître, dans un cas donné d'élé- vation impossible du bras, par exe
un cas donné d'élé- vation impossible du bras, par exemple dans un cas 'de paralysie du del- toïde compliquant celle d
e critique, confirme l'opinion de Du- chenne. Il pense que tous les cas de paralysie du grand dentelé, accom- pagnés de
e trapèze, le grand et le petit pectoral étaient paralysés. Dans ce cas , le scapulum présentait, au repos du bras, les
Remak (1 ) se rapproche aussi de l'opinion de Duchenne. Dans trois cas de paralysie isolée du grand dentelé qu'il a ob
que cette localisation doit être rare, puisque sur une vingtaine de cas au moins d'atrophie ou de paralysie du grand de
lement ; il re- garde un peu plus en dehors et en haut. Dans un des cas de Weber, le bord spinal du scapulum droit est
et l'angle inférieur écarté du thorax de 1 centimètre. Dans l'autre cas , l'angle inférieur s'écarte du 192 A. SOUQUES E
d spinal est très légèrement obli- que en bas et en dedans. Dans le cas de 1W nmler. le bord spinal est pres- que paral
cartée en aile et l'angle inférieur un peu porté en dehors. Dans le cas de Sen,tor, il y a une déviation constatahle du
rap- proché de la ligne médiane. Dans le fait de Wiesner et dans un cas de Wéber, il est pourtant noté que cet angle ét
oblique en haut et en dehors, obliquité obligée (1) Dans les trois cas mentionnés par Remak (Berl. Gesellsch. sur l'sych
la règle. Il y a cependant quelques exceptions, constituées par les cas de Baeumler, de Jolly, de Bruns. Dans l'observa
cite en note un travail de Morstadt, élève de Ziemmssen, sur quatre cas de paralysie du grand den- telé, Dans un de ces
sen, sur quatre cas de paralysie du grand den- telé, Dans un de ces cas , semble-t-il, l'élévation du bras au-dessus de
re pendant l'élévation du bras (2). » Que va-t-il se passer dans le cas de paralysie du grand dentelé. L'éléva- tion vo
ologie de l'épaule va être troublée né- cessairement, comme dans le cas de contracture électro-physiologique isolée de
ndre les hypo- thèses qu'il convient de formuler pour expliquer les cas exceptionnels d'élévation du bras au-dessus de
grand dentelé. , On peut d'abord supposer qu'il s'agit, dans ces cas , non de paralysie absolue, mais de simple parés
loppée et jouit d'une grande force. Ainsi peuvent s'ex- pliquer les cas de Baeumler, Jolly, Bruns. Si, au contraire, ce
henne de ces faits exceptionnels est- elle applicable dans tous les cas ? Chez les deux malades de Bacumler et de Bruns
n- dant l'élévation du bras ne dépassait pas l'horizontale. Dans le cas de Jolly, il s'agissait d'une jeune fille. Notr
. Cette défor- mation doit vraisemblablement exister, dans tous les cas de paralysie iso- lée du muscle grand dentelé.
mnçanN ,4 ? r.1C Fditurs FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY QUELQUES CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CHEZ DES ENFANTS
Interne des hôpitaux. Nous avons eu l'occasion d'observer quelques cas de troublestrophi- ques de la peau chez des enf
cru bon d'attirer l'attention. La première observation a trait à un cas de sclérodermie localisée du type Morphée (voirfi
nerveux ». On pourrait appliquer ces mêmes considérations aux deux cas suivants qui rentrent également dans les scléro
ion du Traité des Maladies de la peau de Ka- posi, t. II, p. 108. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CHEZ DES ENFANTS 1
F. Sclérod,\Ctyli< : (face palmaire). MASSON w Cie, éditeurs. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CUËZ. DES ENFANTS
UËZ. DES ENFANTS 201 Ces deux dernières observations concernant des cas de sclérodermie en plaques disséminées paraisse
sclérose. Notre quatrième observation se rapporte probablement à un cas de$clé- rodact5'lie, une des localisations régi
fait assez difficile à éti- queter et que l'on peut intituler : un cas de sclérodermie congénitale. 1 Observation V
s en longueur que du côté droit. Mêmes proportions pour la jambe. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO- CUEZ DES ENFANTS
vue la sclérodermie de l'adulte semble bien pouvoir s'appliquer au cas que, nous venons de rapporter. Nous rapprochero
anée au début coïncidaient avec une atrophie e légère du membre, du cas de l'observation nI où l'amincissement de la (1
ogues dont 2 concernant des enfants de 2 à 3 se- maines. Dans les 5 cas de Neumann et de Cruse, il semble s'être agi de
au. L'atro- phie consécutive de la peau ne fut observée que dans un cas (Cruse). La guérison fut la règle. Le cas que n
fut observée que dans un cas (Cruse). La guérison fut la règle. Le cas que nous intitulons sclérodermie congéni- tale
me de sclé- rodermie, nous ajoutons, sans vouloir les confondre, un cas de vitiligo observé chez une enfant. Observat
lkunde, 1898, p. 24. (2) CBLSE, Jahrb. f. Kinderh.. Bd. XV, 1880. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CHEZ DES ENFANTS 2
ion dont le vitiligo est la marque, nous échappe ici comme dans les cas du même genre. Nous nous bornerons il signaler ch
rouble fonctionnel. Le hasard nous a permis d'observer récemment un cas qui peut, en quelque sorte, servir de forme de
nt un aspect éléphantiasique. Mais n'oublions pas qu'il s'agit d'un cas de lipomatose et non d'un éléphantiasis véritable
bien dire que plus la question est étudiée, plus fréquents sont les cas observés, plus rigoureuse est l'ob- servation d
les cas observés, plus rigoureuse est l'ob- servation de chacun des cas soumis à l'étude, plus grandes apparaissent les
e, ce qu'llomolle (2) avait constaté quand il déclare qu'il est des cas où les effets de l'hérédité, bien loin de s'attén
tion, on est bien forcé de reconnaître que ce poison, dans quelques cas heureusement rares, résiste à l'action du temps
syphilitique. Si découra- eantque soit encore cet aveu, il est des cas où, malgré le traitement, la transmissibilité h
quelle que soit l'intensité apparente du mal, et que peut-être les cas malheureux que nous venons de signaler provenai
va- tion que je vais vous soumettre. Pour bien mettre au point un cas Syphilitique, il est très important, quand c'es
rement la syphilis à son enfant, il n'en est pas moins vrai que les cas d'hérédité ma- ternelle pure, c'est-à-dire sans
s, 4 filles et deux garçons, tous six morts entre 18 et 20 mois. Ce cas me semblant singulier, je la prie de me donner de
a M/Mre, du nom dont les Allemands dési- gnent la chlorose. En tout cas , c'est, au premier chef, le signe pathogno- mon
el van Hoogstraaten, à qui sans doute il fut donné de contempler un cas plus sévère, ne craindra pas d'indiquer par des
i-oliémtline ? Cette recherche s'est parfaitement justifiée dans le cas actuel. On peut douter cependant qu'il y parvie
comme forme transi- toire vers l'obésité. » Il propose de juger les cas douteux par le traite- ment. l. Thibierge a p
t et certai- nes formes d'obésité tardive ne sont peut-être que des cas de ce genre. » Ce complexus symptomatique : apa
famille, sous le même toit. J'ai vu, dans la -même fa- mille, deux cas de myxoedème franc avec idiotie, deux cas de chon
la -même fa- mille, deux cas de myxoedème franc avec idiotie, deux cas de chondro-dys- trophie grave, un nain rachitiq
e, deux cas de chondro-dys- trophie grave, un nain rachitique et un cas d'obésité infantile. Je traite deux cousins ger
tilisme et de son affinité avec l'ostéomalacie, voir F. SIEGERT, Un cas d'osléomalacie chez l'enfant (Munchener med. Woch
oins facile à reconnaître que le myxaedéme franc. » Il donne quatre cas de ce genre. Il insiste sur le fond ambré du tein
e, surtout à l'âge critique. L'auteur affirme connaître beaucoup de cas de ce genre. Dans les cas douteux, le traitemen
e. L'auteur affirme connaître beaucoup de cas de ce genre. Dans les cas douteux, le traitement servirait de critérium.
s pour un instant que cela soit. On ne contestera pas qu'il y a des cas où le myxoedémeest congénital. L'enfant est déj
est surprenante, et c'est après avoir dépouillé un grand nombre de cas que je suis arrivé à me tracer une image caractér
fortement dilatée et prête à se rompre. Comme on le voit, c'est un cas de myxoedème très net. Le sujet est âgé de (1)
enne. La calculose biliaire et la congestion du foie (dans certains cas ) se trou- vent sous la même dépendance. Les dés
n « gros ventre » tout à fait identique. (PI. XLIV, 13.) Voilà un cas d'hypothyroïdie bénigne avec prédominance de symp
dine. Le retour de la chevelure n'est pas aussi complet que dans le cas précédent. Il s'accentue de jour en jour. Les règ
. C. Un troisième moyen d'arriver à connaître ce qui, dans certains cas pathologiques, revient à la c1ysthyroïdie, c'es
varite chronique, que parce 280 E. UERTOGHE que, dans beaucoup de cas , ces divers états pathologiques trouvent leur o
périclitante que là où il y a détresse thyroï- dienne et, dans ces cas , on obtient des résultats étonnants avec des dose
nt. ces désordres relèvent de sa compétence spéciale, ce qui est le cas bien plus souvent qu'on ne le pense. Il en es
bénigne chronique et la certitude d'avoir réellement affaire à des cas de cette espèce : A. L'analyse des caractères o
d'adulte com- plet. Il n'est pas possible de dire d'avance si tel cas d'hypothyroïdie bénigne, en apparence stationna
n, l'infection blennorrhagique ou syphilitique, comme j'en ai vu un cas , finissent par amoindrir la force sécrétoire du
sance bénigne thyroïdienne à tous les âges. Je ne dirai rien des cas dans lesquels l'hypothyroïdie marche sûrement e
es Murray relève comme très fréquentes (nol unC01ll1non J, dans les cas qu'il désigne sous le nom de « early thyroidal fi
, si l'on se donne la peine de toucher, de trouver dans beaucoup de cas la matrice en rétroflexion. La rétroflexion, si f
anelle et se lèvent néanmoins, le matin, les pieds froids. Dans les cas avancés, la raideur des muscles et des articles
laviculaire) qu'il s'a- git plutôt d'un degré, variable d'après les cas , d'emphysème pulmonaire. L'emphysème pulmonaire
a vésicule biliaire. La grossesse, qui, dans l'immense majorité des cas , s'accompagne d'une spoliation thyroïdienne con
t simplement augmenté de volume et l'appétit est conservé. Dans les cas plus avancés, les malades se plaignent d'un poi
nt dans le grand myxoe- dème se trouve, dans l'immense majorité des cas , dans l'insuffisance bé- nigne. C'est un mal de
ysthy- roïdienne ; mais il est certain que, dans un grand nombre de cas , surtout chez les femmes et les enfants, cette
ées. Vers le matin, le som- meil est impérieux et profond. Dans les cas graves, les douleurs matuti- nales les chassent
épendant de l'inanition thyroïdienne. J'ai rencontré aussi quelques cas très nets d'ichthyose. Les pieds sont froids, h
tion à laquelle je suis toujours resté fidèle, sauf dans quel- ques cas d'intolérance gastrique. Je me trouvais alors mie
u- tion cependant, elle continue à prendre son remède, OBs. VIII. Cas type d'hypothyroïdie bénigne chronique : migraine
t prouve que l'infiltration myxoedé- mateuse était insignifiante. Cas . IX. - Migraine, névralgies faciales. - Somnolenc
ne et des névralgies de la face. La constipation n'existe pas dans ce cas . Mme II... se plaint de ressentir ces phénomène
troite : les parties génitales sont souvent peu développées. C'est le cas ici. L'intelligence est médiocre. Les cheveux s
) La pathologie des émotions, 1892, pp. 212, 24(i, 362. - Note sur un cas de méla- zaocler·nxie récurrente chez un épilep
e apathique (Nouvelle lcon. de la Salp., 1897, p. 332). Note sur un cas de canitie rapide (Progrès médical, 189 ï, 3e sér
h. de Neurol., 1898, 2e série, t. V, p. 32). (3) IhGNAi : D, Deux cas de maladie ou de coloration bronzée dans le cours
hys- térie ou la neurasthénie (Loevenfeld) mais aussi dans certains cas morbi- des généraux, où il existe une altératio
chez 26 paralytiques au début, je l'ai observé trois fois. Dans un cas , il était généralisé sauf à la tête, c'était une
é à une altération du sang serait plus plausible si, dans les trois cas , le phénomène avait été généralisé, mais il n'e
ésions cérébrales, 1882, p. 49. (2) H. IIALLOPPAU, Sur un nouveau cas de trichotillomanie (Ann.de Dermat. et Syph., V
ervation que nous venons de rapporter montre bien qu'il s'agit d'un cas d'atrophie Charcot-Marie non familial survenu che
musculaire remplacé par des éléments conjonctifs et adipeux. Les cas d'amyotrophie type Charcot-Marie avec autopsie pu
nombreux. Hoffmann (1) dans son travail de 1889 s'appuie sur trois cas empruntés le premier à Virchow, les deux autres à
de sa thèse. D'après l'étude que nous avons faite de ces différents cas , il ne nous sem- ble pas que l'on soit autorisé
nous sem- ble pas que l'on soit autorisé à les considérer comme des cas types de la maladie qui nous occupe. Les trois
lent pas devoir être rapportés à l'atrophie Charcot-Marie. Quant au cas de Dubreuibl, il est loin d'être certain que l'
rift sur Nervenheilkunde, 1891. (3) DU811EUIIIL, Etude sur quelques cas d'atrophie musculaire limitée aux extrémités et
e analogie avec celles que nous avons décrites. Nous considérons ce cas comme douteux parce que les symptômes observés
se montrer trop circonspect en pareille matière et n'admettre que des cas qui ne puissent prêter à aucune discussion. D
e normale. Mais ces cellules sont dimi- nuées de volume. Dans notre cas où la méthode de Nissl a été employée pour l'ex
s cornes posté- rieures est notablement raréfié, aussi bien dans le cas examiné par Mari- nesco que dans le nôtre. Le
lles est atrophié. 2° Lésions de la substance blanche. I. - Dans le cas de Marinesco, la substance blanche antéro-latér
sco, la substance blanche antéro-latérale était intacte. Dans notre cas il existait une dégénération légère mais assez
cornu-marginale (obs. personnelle), avec lésion de celle-ci dans le cas de Marinesco. Dans la région lombaire, les zone
incipiens. Lésions des ganglions spinaux et des racines. - Dans le cas de Marinesco, les racines postérieures étaient
ine lamelleuse ; diminution des tubes nerveux assez marquée dans le cas de Marinesco ; modérée dans le nôtre. Lésions d
périvascu- laire très accentuée, qui tend à oblitérer dans certains cas leur lumière. Les artères intra-vasculaires pré
leurs tuniques. Les nerfs intra-musculaires, très atteints dans le cas de Marinesco, étaient un peu dégénérés chez not
n peu dégénérés chez notre malade, mais beaucoup moins que dans son cas . Ces lésions ont-elles quelque chose de caracté
diquer qu'il s'agit bien là d'une lésion spinale. Nous tenons notre cas comme plus probant que celui DE l'AMYOTROPHIE C
ître M. le Dr Pierre Marie. Se montrant très rarement sous forme de cas isolés (10 cas dans la science), l'atrophie Cha
ierre Marie. Se montrant très rarement sous forme de cas isolés (10 cas dans la science), l'atrophie Charcot-Marie est
. La date du début est des plus variables; sur une Malistique de 52 cas il a eu lieu 40 fois avant 22 ans, 14 fois aprè
st parfois spécial, les malades sont bizarres, fantasques ; dans un cas , nous avons pu observer un véritable arrêt du dév
eset même des troncs nerveux. Nous trouvons enfin altérées dans les cas de tabes certaines perceptions complexes fruit
bles objectifs ; anesthésies, hyperesthésies qu'on rencontre dans les cas de tabès, la vérité est celle-ci ; on sait que
e caractère de dissociation des trouhles de la sensibilité dans les cas de tabès. Quelques années plus lard, P. Oulmont
ssayé de nous renseigner sur la répartition de l'analgésie dans les cas de tabes. Il lui as- signait des lieux d'électi
ant des troubles objectifs de la sensibilité qu'on observe dans les cas de tabes; ces troubles varient d'un malade à l'au
t entrée dans une phase nou- velle ; nous avons appris que dans les cas de tabès ces troubles objectifs affectent une d
distribution segmentaire comparable à celle qu'on observe dans les cas de section des racines postérieures, de section t
d'un troisième personnage destiné à nous rassurer sur la gravité du cas . C'est, derrière le fauteuil de la malade, une
ons de plaisanter, les maladies qui n'en sont pas. Aujourd'hui le cas est de ceux dont on peut se permettre de rire.
s autre chose que le prélude de la gestation. Mais, dans tous les cas , la pensée et le but du peintre ont été de nous
peut poser le pied à plat indéfiniment. Ce sont bien comme dans le cas précédent, les carac- tères d'un tic qui cesse
tique. Il est bien probable que l'électricité a eu surtout, dans ce cas , une in- fluence suggestive. Le traitement comp
sives d'origine myélopathique, à le dissocier pour en rattacher les cas à la syringomyélie, à la polynévrite, etc. Certai
d, Crocq sont venus lui rendre son individualité. Je rapporte six cas d'atrophie musculaire progressive d'origine myélo
'Aran-Duchenne évolue dans un laps de - temps de 3 à 6 ans. Dans le cas suivant, d'ailleurs très classique, elle aboutit
Le malade quitte le service en août 1891. Signalons encore dans ce cas la coïncidence de l'atrophie musculaire progres
ation IV. III. - Modes DE début. Dans la très grande majorité des cas , l'atrophie musculaire débute par les petits mu
ion mor- bide, comme l'a bien montré le professeur Raymond dans les cas réunis par lui. C'est ainsi que l'atrophie a co
de de débul par les avant-bras et 372 9 G. ÉTIENNE les jambes, ce cas , de même que l'observation II, présente encore un
toutes ne nous paraissent pas pou- voir être retenues ; dans notre cas , rentrent seulement celles de MM. Ray- mond, Qu
ymptômes EXCEPTIONNELS. Dans l'observation suivante, nous voyons un cas très pur d'atrophie myélopathique type Aran-Duc
mais rien ne permet de penser que cette névrite fût primitive; Ce cas d'arthropathie dans la poliomyélite chronique par
PHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 385 ment ces cas l'un de l'autre ; si, par exemple, l'atrophie déb
e débuter par les petits muscles de la main, nous trouvons dans ces cas la même loi fixant le point de départ; l'interv
ticulations lésées s'atrophier, ils sont de beaucoup plus rares les cas d'amyotrophie qui succèdent à des traumatismes, à
étude clinique intéressante. Il appartient en effet à un groupe de cas encore peu connus et sans doute mal interprétés.
trophies consécutives à des fractures. On en avait signalé quelques cas à la suite des lésions phlegmoneuses ayant pour o
. GUILLAIN ne peut se généraliser,. elle ne peut expliquer tous les cas . Valtat (1) a bien montré que, dans certaines o
es de Valtat sont tout à fait insuffisants, M. De- bove (2) dans un cas de rhumatisme chronique s'est livré à un examen
égrité de la moelle, des nerfs périphé- riques, des muscles dans un cas d'atrophie musculaire consécutive à une lésion
s, desmyophages de Podwyssotsky(4). On peut se demander si, dans le cas des atrophies dites réflexes, la fibre musculai
étiologique des tares héréditaires ne peut être niée même dans ces cas , pas plus qu'elle n'est niable d'ailleurs chez le
démence. Nous n'avons trouvé dans la littérature médicale que trois cas de cette curieuse association acromégalo-épilep
ns, sujet depuis 3 ans à des crises d'épilepsie partielle ; dans ce cas , la pathogénie est bien nette, et les auteurs adm
ns. La même interprétation est sans doute applicable aussi aux deux cas de Chalk (5) et de Marinesco (21) où l'appariti
notés fréquemment chez les acromégaliques, et, en dernier lieu, les cas d'acromégalie associée il une maladie mentale ou
est buveur, la mère, goitreuse. Gïtiiioîî,(11), en 1890, publie le cas d'une malade acromégalique et hys- térique ; le
ue ; sur 9 enfants, on compte, outre l'acromégalie de la malade, un cas de strabisme, un cas mortel de méningite, un ca
n compte, outre l'acromégalie de la malade, un cas de strabisme, un cas mortel de méningite, un cas d'imperforation con
e de la malade, un cas de strabisme, un cas mortel de méningite, un cas d'imperforation congénitale de l'oesophage. Le
ire ner- veuse et herpétique ». 4 Moncorvo (23) publie en 1895 un cas , d'ailleurs caractéristique, d'acro- mégalie ch
même. 404 F. FARNARIER Enfin Feindel et Froussard (7) publient le cas d'un malade de M. Bris- saud, dont le père, alc
aliques. III. - Psychoses et névroses. Rappelons tout d'abord les cas d'épilepsie observés par Raymond et Sou- ques (
rtent à des idées de sui- cide. Lynn Thomas (17) nous rapporte le cas d'une jeune fille de 18 ans, acromégalique, « q
cette trop longue énumération, que Schlesin- ger (26) a observé un cas de tic généralisé très prononcé chez une acro-
très prononcé chez une acro- mégalique , que Silva (28) a publié le cas d'un acromégalique atteint d'arrêt de développe
depuis l'affaiblissement intellectuel jusqu'à la démence complète ( cas de Joffroy) depuis la dépression mélan- colique
s stigmates physiques bénins jusqu'à la microcéphalie avec idiotie ( cas de Moncorvo) ; enfin, qu'on a rencontré des assoc
pêtrière, 1890. (12) Haskovec, Revue de médecine, 1893. (13) - Un cas d'acromégalie, Vienne, 1896. (le) Joffroy, Prog
pagne rarement de phénomènes d'hyperesthésie, au contraire dans les cas de labes nous rencontrons toutes les modalités po
fin ou constate une ceinture incomplète d'anesthésie au tact dans 2 cas ; dans le cas du tabes supérieur une ceinture de
e une ceinture incomplète d'anesthésie au tact dans 2 cas ; dans le cas du tabes supérieur une ceinture de môme ordre dan
disséminées au lieu de la dissocialion syringomyél ique. Dans les cas de sclérose en plaques, les troubles objectifs cl
sies et des hyperesthé- sies se montre aussi accentuée que dans les cas de tabes. Si donc ces anesthésies et ces hypere
roubles objectifs de la sensibilité est surtout à utiliser dans les cas de tabès supérieur, de tabes cervical lorsque l'a
ces mêmes caractères est de nature à lever toute hésitation dans un cas où des doutes s'élèveraient entre le diagnostic d
ures ou de leurs prolongements intra-médullaires. Dans le premier cas : à la suite d'une névrite périphérique limitée à
e périphérique révèle le caractère de la dissociation. Dans le 2e cas , au contraire, à la suite de dégénération par sim
ociation des troubles de la sensibilité non moins accusées dans les cas de tabes. L'explication de ces deux caractères
dant pas négligeable et leur constatation sera utile dans bien des cas Enfin, la disposition de ces troubles montre qu
rateur sentait décroître son prestige. Et c'est peut-être encore le cas du docteur de van der Neer. - Cette intéressa
a repris l'élude de l'aphasie amnésique et il décrit comme tels les cas « déjà cliniquement rangés par Trousseau et ses
s possédons sur cette curieuse variété d'aphasie. Le relevé des dix cas avec autopsie utilisable qu'il a pu trouver ens
elles s'opèrent les actes supérieurs ». J'ai observé récemment deux cas d'aphasie amnésique avec paraphasie : leur étud
t pas chez la 2e malade. Quant à l'autopsie, elle vient dans le 1er cas absolument à l'appui de l'hypothèse de M. Pitre
e. Cette autopsie ne représente cependant pas encore tout à fait le cas de lésion sous-corticale pure qui manque jusqu'
ctes et le langage de. la malade sont bien différents dans les deux cas , et il est curieux de voir comment Mme L... prend
ent un 3e nom propre) simplement comme un dessin familier ? En tout cas , elle reconnaît assez bien les gravures. Je lui m
s 376 et 377 de son traité et en y superposant t la lésion de notre cas , nous constatons les faits suivants (Fig. 9) : la
Il y a lieu de noter en passant que dans l'observation VII de Pitres ( cas de Ro- senthal) un ramollissement a détruit les
ous dû nous borner à une description plutôt macroscopi- que ; notre cas en effet est loin de réaliser le desideratum de F
endant on reconnaît il la rigueur des traits arrondis dans le premier cas , XII 30 IâQ TRÉNEL anguleux dans le second.
dans les périodes intercalaires, et surtout avec le repos ; en aucun cas , elle ne disparaît complètement. Les mesures ci
n singulière : un oedème chronique, blanc, dur et indolore (sauf le cas de Ar...) apparaissant à l'âge de la puberté, occ
mémoire, les raisons qui permettent de les éliminer dans chacun des cas pris isolément. Chez aucun des membres de la fa
lles n'étaient pas des poussées d'inflammations veineuses ? Si le cas était isolé, ce diagnostic serait il coup sûr déf
vécu que dans leur province ou à Paris. Sans doute on a décrit des cas d'éléphantiasis noslras, présentant clini- quem
.. Et bien que le parasite tropical n'ait pu être retrouvé dans les cas d'élé- phantiasis nostras, on admet que le synd
isé par un autre agent infectieux, le streptocoque il. Dans no- tre cas , l'examen bactériologique eût-il été positif, n'e
récents méritent cependant d'être signalés. Drummond a rapporté un cas d'oedème alcoolique (2) chez un homme ayant fai
eux, les oedè- ' (1) Souques a publié dans ce recueil, en 1890, un cas intitulé : Eléphantiasis noslras symétrique du
té très accentués. En outre, Souques indique explicitement qu'aucun cas analogue n'exis- tait dans la famille de sa mal
ns la néphrite chronique ou dans la néphrite aiguë. Dans ce dernier cas , on constatait des épanchements pleuraux et pér
t Sikora ont communiqué à la So- ciété médicale des hôpitaux (1) un cas d'oedème névropathique consécutif à une intoxic
ous avons dû rejeter aussi l'hypo- thèse du myxoedème. D'abord, les cas de my.Toedème localisé sont à bon droit contest
es apparences cliniques de l'une et l'autre de ces affections. Ce cas curieux offre un grand intérêt. Mais il diffère e
différentes névroses, et même aux vésanies. Manheimer a publié un cas d'oedèmedes mains chez une mélancolique (2). Ve
Verriest a communiqué à la Société belge de Neurologie, en 1897, un cas d'oedème survenu chez un aliéné, à la suite d'acc
diagnostic d'oedème hystérique eut été certainement conservé, si le cas se fut présenté isolément. On y retrouvait la v
e la nature hystérique de l'oedème. On sait en effet que, selon les cas , les téguments oedémateux sont hy- peresthésiés
eu ? urttM/t)/s<e' ! q'Me,Arch. de Neurologie, septembre 1896. - Cas d'oedème bleu sur un membre contracture. Ce- pe
les d'une de nos malades, Fe.... Mais il n'est fait mention d'aucun cas analogue dans la famille de la malade de Follet
thèse parue en 1897, A. Lourier a recueilli un certain nom- bre de cas d'oedème éléphanliasique d'origine nerveuse. (1
de ceux que nous avons en vue, et cet exemple pourrait bien être un cas d'oedème hystérique. En 1897, à la Société médi
es et t'artério-sciérose. s'est-il mon- tré disposé à rattacher ces cas aux oedèmes d'origine nerveuse. Tel fut aussi l
igine nerveuse. Tel fut aussi l'avis de M. Joffroy qui ce propos,le cas d'une malade atteinte de paralysie infantile du
ans ce fascicule semble absolument comparable. Mais dans ces deux cas encore, l'hérédité n'a pas été constatée (2). (
tifs de ceux que nous avons décrits chez nos malades. (2) Dans un cas d'oedèmeéléphantiasique des membres inférieurs ra
de l'éléphantiasis connu sous le nom de « pantalon de zouave ». Ce cas rentrerait, selon l'auteur dans la catégorie des
il manque cependant une donnée capitale : c'est la plura- lité des cas dans la même famille. Il n'est pas impossible qu'
rochant de la communication de Desnos les remarques de Hi- gier, le cas mémorable de Milroy et nos propres observations,
s troubles trophiques cutanés, éruptions ou ulcérations. Dans les cas que nous proposons d'isoler, la coloration blanch
IQUE HÉRÉDITAIRE 475 mes névropathiques aigus et les chroniques. Le cas de Follet semble démontrer que la forme chroniq
ique peut apparaître à la suite de poussées aiguës ; c'est aussi le cas de notre malade, Fe... D'autre part, la forme c
éaliser tout le tableau de l'éléphantiasis. Tel semble avoir été le cas d'un des oncles de nos jeunes malades. Mais ces
inée, qui diffère des autres variétés d'oedème névropathique. Les cas signalés par Follet, parDebove, par Iligier, parD
ina- tion de trophoedème chronique peut être appliquée. Suivant les cas , on pourra y ajouter tel ou tel qualificatif :
ée par Desnos, Mathieu, Lourier, peut également convenir à certains cas particuliers. Mais il faut attendre de nouveaux
le dire héréditaire. C'est le litre qui nous a paru applicable aux cas signalés par Desnos, Iligier, Milroy et nous-mê
NIQUE HÉRÉDITAIRE 479 au moment de la puberté. Dans la majorité des cas , elle semble avoir dé- buté entre 13 et 23 ans,
ires. L'époque d'apparition est. sensiblement la même dans les deux cas : c'est le temps de l'adolescence. La marche es
edème ne semblent moins nombreuses qu'en raison du petit nombre des cas connus et de la répartition même du tissu cellula
r M. Brissaud. Voy. à ce sujet une récente observation de CROCQ, Un cas d'amyotrophie en gant. Journal de Neurologie de
tout état de cause, l'importance de l'hérédité dans la plupart des cas signalés jusqu'à ce jour est un fait digne d'atti
nt pas tellement fréquente qu'il ne soit intéressant de publier les cas qu'on a pu observer. Notre malade présente d'aill
rités symptomatiques qui sont en contradiction appa- rente avec les cas types décrits par M. Brissaud. Ces symptômes an
MASSON & Clc, Editeurs. r1 : lototyrle Denhaud. rarl ? * UN CAS DE TORTICOLIS MENTAL 485 Le fait de fixer très
e, neurasthénie, épilepsie), soit de lésions irritatives de l'écorce ( cas de Poore cité par M. Féré) (1), ou d'altération
M. Féré) (1), ou d'altérations cérébrales, néoplasmes ou parasites ( cas de Dommer, Steiner, Griesinger cités parM. Bompai
adies du système nerveux, 18J3-t894. (2) Biiissvui), loc. cil. UN CAS DE TORTICOLIS MENTAL 487 comme puissance faisan
tance alors que celui du malade en vient facilement à bout. Notre cas diffère un peu de ceux qui ont servi à définir le
es mouvements. C'est là le premier caractère qui le différencie des cas types de M. Brissaud. mais vous avons trouvé d'
sa tête dans la position normale, avec la plus grande facilité, son cas diffère de ceux de M. Brissaud par ce fait que
(12 dessins, S phot.), 433, Ataxie cérébelleuse héréditaire (Trois cas dans la même famille),par G. ROS80LIMO, 22.
e), par P. de Molènes, 219. Syphilis héréditaire de la moelle (un cas de), par DURANTE et Gilles de r.a Toa- nETTE
bes labyrinthique, par P. Bonnier, 131. Tics du pied (noie sur deux cas ), par Raymond et P. JAXET, 353. Thomsen (Mala
forme fruste avec atrophie musculaire), 15. Torticolis mental (un cas de), par NOGUÈS et Sirol, 4S3. Trophoedème ch
que du corps (4 phot.), 216. Durante et Gilles de la TOURETTE. Un cas de syphilis héréditaire de la moelle (2 phot.
ues généraux (1 phot.), 312. Gilles de la TOURHTTE et Durante. Un cas de syphilis héréditaire de la moelle (2 phot.
matisme (3 phot.), 386. Haushalter P. et L. Spillmann. Quelques cas de sclérodermie et de vitiligo chez les enfants
ficielles dans le tabes (5 phot.), 327, 408. RossoLmo (G.). Trois cas d'ataxie céré- belleuse héréditaire dans la mêm
entelé (4 phot.). 178. Spillmann L. et P. Il AUSIIALTER. Quelques cas de sclérodermie et de vitiligo chez les enfants
79 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
it uniquement sa main droite. La fatigue habi- tuelle, qui, dans un cas de Krafft-Ebing, avait semblé déterminer la loca-
ion, sur les déformations des mains et des pieds, qui sont, dans ce cas , tout à fait, remarquables. Les quatre derniers
ont trouvés affaiblis, ailleurs normaux ; dans un certain nombre de cas , enfin, ils sont exagé- rés. C'est l'exagératio
e début ; les autres symptômes ne tardent pas à apparaître dans ces cas ; il est même bien rare que le tremblement ou la
bérantielle, les pédoncules ou les corps opto- striés dans quelques cas ; plusieurs se rapportent nettement à la sclérose
edlich insiste beaucoup sur une lésion qu'il a rencontrée dans sept cas , et dont il l'ait lesubstratum anatomique de la
le cerveau, mais bien moins marquées que dans la moelle. Dans le cas de Caterina, les corpuscules de Nissl des cellule
4 ' RAYMOND rappelé, en quelques mots, celles constatées, dans deux cas , par Francesco Burzio (1) en 1902. Dans un cas,
onstatées, dans deux cas, par Francesco Burzio (1) en 1902. Dans un cas , cet auteur note la sclérose des cordons postér
parition presque complète des fibres tangentielles. Dans son second cas , il trouve des épaississements de l'arachnoïde, a
intéressante. En 1883, Moebius publiait, dans son Memorabilien, un cas d'association de maladie de Parkinson et de mal
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE ANATOMIQUE * DES CORDONS POSTÉRIEURS UN CAS DE LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL ET UN CAS DE TA
CORDONS POSTÉRIEURS UN CAS DE LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL ET UN CAS DE TABES INCIPIENS (1) PAR J. NAGEOTTE, Méd
rares. Depuis le mémoire de Schultze (2), il n'a pas été publié dix cas à ma connaissance ; et la plupart des description
la bonne fortune de recueillir, dans le service de M. Babinski, un cas de lésion totale des nerfs de la queue de cheval
en bloc, il m'a paru intéressant de placer l'étude comparative d'un cas très remarquable de tabes incipiens, provenant
ant de commencer la description des lésions observées dans ces deux cas , il ne sera pas inutile de fixer en quelques mots
e- ment suivant les niveaux, mais encore au même niveau suivant les cas . La zone qui est atteinte dans le tabes incipie
Si l'on compare cette disposition avec ce que l'on observe dans les cas de lésion transverse de la moelle dorsale, on est
armin et à l'hématoxyline. La lésion des nerfs radiculaires dans ce cas a déjà été décrite dans mon tra- vail sur la pa
tèmes de fibres ont la même richesse et la même étendue que dans le cas de compression de la queue de cheval, où nous e
côté du septum commence à être plus volumineux qu'il n'est dans le cas de dégénérescence de la queue de cheval : il s'
veau le triangle sacré médian commence à diminuer d'étendue dans le cas de dégénération de la queue de cheval, on voit
es. Ainsi dans la très belle observation de Sottas, qui concerne un cas de compression des racines par un noyau de cancer
ême.que les fibres fines de la substance grise. Le fait que dans un cas , même unique, ces systèmes de fibres ont pu ne
ines postérieures de se produire aussi rapidement que dans d'autres cas où la durée de la maladie n'avait guère été plus
rtiaire fait bien réelle- ment défaut, d'une façon absolue dans mon cas , et s'il n'existe pas en réa- lité encore plus
les zones radiculaires et le réseau des colonnes de Clarke. Dans un cas de tabes incipiens, le seul tabes de cette catégo
n'ose pas décider si elle existe ou si elle n'existe pas ; dans un cas où la sclérose des cordons postérieurs et des rac
estion sont absolument in- tactes ; il en est de même dans un autre cas à peu près semblable, mais plus avancé, que je
as à peu près semblable, mais plus avancé, que je possède. Dans six cas anciens que j'ai revus à cette intention, j'ai
eau- coup plus foncées que les cordons postérieurs. Enfin dans deux cas in- termédiaires entre le tabes incipiens et le
é par les fibres fines de la 36 NAGEOTTE . corne postérieure. Les cas de tabes anciens où les zones de Lissauer sont le
tranchée : c'est là une disposition que j'ai observée dans tous les cas de tabes anciens. Enfin dans l'observation II,
res, elles peuvent subir la dé- générescence tertiaire qui, dans ce cas , se relieà une dégénérescence éga- lement terti
(fig. 4 à 11), les figures d'un mémoire antérieur (1), ayant trait un cas de ce genre, pour que l'on puisse les comparer
e Hoche, mais souvent on voit débuter la sclérose médiane, dans les cas de lésion transverse de la moelle, par un tout
ant et forme plus bas le triangle de Gombault et Philippe. Dans ces cas il est évident que les fibres lésées ont effect
emble disparaître complètement à la 4re lombaire. Au contraire, les cas de Hoche, de Dejerine et Theohari appartiennent
nse au centre de chaque cordon il partir de la 1e sacrée. En tout cas les fibres conservées de la zone marginale dans l
étude je prendrai comme base l'observation II qui se rapporte à un cas de tabes incipiens très étendu en hauteur, mais t
r. De pareilles observations sont encore très rares; la plupart des cas publiés se rapportent à des tabès localisés à une
ns le sens transversal. C'est pourquoi j'ai cru devoir donner de ce cas une description minutieuse racine par racine. D
de la moelle d'un paralytique général (3). Enfin, je possède un 2° cas de tabès où la sclérose prend encore la même fo
d encore la même forme à la même région ; malheureusement dans ce cas , il existe en outre des atteintes portées aux aut
s atteintes portées aux autres zones radicu- laires, qui rendent ce cas peu propice à une localisation exacte des lésions
teur de la moelle, soit sur une étendue restreinte. Dans ce.dernier cas on peut voir une bande sclé- reuse très localis
autre région. La moelle représentée (pl. VII, moelle D) est dans ce cas ; dans la région cervicale c'est un tabes incip
ts est déjà mentionnée par Ballet et Minot. Ballet en a pu- blié un cas à la Société anatomique en 1880. Nous rapportons
as à la Société anatomique en 1880. Nous rapportons ci-dessous deux cas qui rentrent dans cette catégorie. OBS. I. Sali
l de Munich des préparations microsco- piques faites par lui pource cas ainsi que pour quelques autres que je rapporte
leux. (Voir Planche VIII, D, E, F). En résumé, il s'agit, dans ce cas , de lésions combinées des cordons postérieurs q
rects qui semblent dépendre des lésions de la colonne de Clarke. Ce cas pourrait donc répondre au type de scléroses com
préapexienne. Nous rapporterons ensuite l'examen histologique d'un cas assez sem- UU1LLLH ICONOGRAPIIIF DE LA SALPTRIÍ
on fit le diagnos- tic clinique de sclérose combinée tabétique. - Cas . II. - Dépr... 36 ans, hospitalisé à Bicêtre (ser
ent des jambes, paraplégie, extension des orteils. C'est le premier cas sur lequel ait été fait le diagnostic de sclérose
ses combinées tabétiques systématiques : Auscher en a rapporté deux cas et Ballet et Minor admettent leur existence. Ma
te théorie est aussi soutenue par Ballet et Minor qui désignent ces cas sous le nom de sclérose primitivement systémati
ique diffusée par lepto-méningite et range dans cette catégorie les cas de Prévost, de Raymond et Arthaud et l'ob- serv
les lésions méningées sont suffisantes dans un certain nom- bre de cas pour expliquer la propagation aux cordons latérau
t forcer les limites du système lymphati- que postérieur et dans ce cas , la portion du cordon latéral qui confine à l'a
endymaire est dilaté et bourré d'é- léments cellulaires. Dans les cas qui précèdent, on peut voir que les espaces lymph
CROUZON lymphatique parait plus particulièrement démontrée dans un cas (Gor....) Il existe en effet une dilatation du
l central de la moelle. Cette lésion a été rencontrée dans d'autres cas de tabes, de paralysie générale, de myé- lite,
véritable hydromyélie. M. le professeur Joffroy vient de publier un cas qui se rapporte à des faits semblables. M. Pier
se- lymphatique allant jusqu'à l'hydromyélie. Je pense donc que ces cas de dilatation du canal épendymaire, dans les sclé
itué par la flexion ou l'extension du gros orteil : dans le premier cas , flexion du gros orteil -, il y aura une ascensio
-, il y aura une ascension du style inscrip- teur ; dans le second cas , extension du gros orteil -, il y aura une desc
nsion du gros orteil s'observent concur- remment dans la moitié des cas : les tracés graphiques précédents en sont la p
taire et en particulier le mouvement du gros orteil dans quel- ques cas de lésions de la voie pyramidale. Les recherche
l'état normal une am- plitude plus grande que l'extension (dans un cas d'hémiplégie spasmo- dique datant de plusieurs
Le caractère le plus important du réflexe planti-digital, dans ces cas pathologiques et quel que soit le type qu'il pr
arition très nette des trois mouvements segmentaires. Dans certains cas pathologiques, la région plantaire n'est pas seul
taire. Ce phénomène est du reste rare et ne s'observe que dans les cas où le syndrome spasmodique est très intense. Il
nti-tibial et le réflexe planti-crural (tracés n° 7). Dans quelques cas d'hémiplégie ou de paraplégie spasmodiques, nous
e planti-crural est encore justifiée par l'analyse graphique de ces cas pathologiques. 2° Le caractère le plus importan
méthode graphique, th. Nancy, 1819 ; CH. Féré, Note sur un nouveau cas de pied tabétique (Rev. de médecine, 1884, p. 477
ndant ce procédé d'exploration présente un certain intérêt dans les cas où le développement de l'hypotonie coïncide avec
No 2 Mars-Avril HOTEL-DIEU SERVICE DE M. LE. P' BRISSAUD UN CAS 1 DE CYPHOSE D'ORIGINE ARTICULAIRE OU MUSCULA
tel-Dieu. lauréat des Hôpitaux. L'observation suivante a trait à un cas de grande cyphose atteignant la colonne dorsale
T. XVII. Pl. XIII CYPHOSE DES VIEILLARDS Brissaud et Grenel) UN CAS DE CYPHOSE D'ONIGINI; ARTICULAIRE OU MUSCULAIRE 8
ologie, ni hérédité ni traumatisme; et, par ces divers points notre cas se distingue des spondyloses du type Marie et d
lations des membres, par les douleurs du début, il se rapproche des cas de rhumatisme vertébral à forme pseudo-névralgi
E HOMOLOGUE LÉGÈRE. GUÉRISON ET REDRESSEMENT COMPLET. II. - Trois cas de SPONDYLOSE rhumatismale ANISYLOSANTE PAR H
qui est fortement redressé quand le sujet regarde devant lui. Un cas de ce genre a été publié à la Société médicale de
en même temps que celles-ci, un mois après la 2e cure thermale. Les cas de ce genre sont encore relativement rares, a côt
une hémorragie au ni- veau des organes du sciatique, comme dans les cas de névrites apoplecti- formes du plexus brachia
ment le diagnostic de sciatique. Ceci étant, comment interpréter le cas de ce malade ? Si on tient DÉFORMATIONS RACHIDI
s dans les sciatiques sont une manifestation d'ordre hystérique. Le cas de ciplio-scolise consécutif à une sciatique ra
aisante de la pathogénie de certaines scolioses sciatiques. Dans le cas prescrit,je crois qu'une lésion au niveau des ori
st résulté la contracture et la déformation vertébrale. II. - Trois cas de SPONDYLOSE rhumatismale ANKYLOSANTE. L'intér
- Trois cas de SPONDYLOSE rhumatismale ANKYLOSANTE. L'intérêt des 3 cas de spondylose ankylosante que je publie ici comme
type clinique ces 3 malades permettent de fixer l'iconographie des cas de spondylose ankylosante avec intégrité des arti
re vraiment quelque chose de particulier. Cliniquement encore ces 3 cas sont ins- tructifs par l'évolution du processus
iathésique subaigu ou chronique, d'où le classement légitime de ces cas sous le nom de spondylose rhumatismale. Observa
noux et penché. - . II semble donc bien légitime de classer ces 3 cas de spondylose rhuma- tismale, - appellation dis
ut d'origine blennorragique. Or dans mon premier travail sur les 17 cas de spondylose, il n'y en avait que trois d'origin
il n'y en avait que trois d'origine blennorragique. Avec les trois cas ici présentés, on obtient une forte proportion de
'explique bien les diffé- rences de fréquence de ces deux ordres de cas : c'est simplement une question de milieu où l'
milieu où l'on observe. Au point de vue du type clinique, ces trois cas présentent également plusieurs points intéressa
térisent l'iconographie de ces DÉFORMATIONS RACHIDIENNES 97 trois cas de spondylose. A la vérité les autres spondylitiq
e.la spondylose rhumatismale est encore un point clinique que ces 3 cas mettent bien en évidence. Le processus rhumatisma
gique, comme j'en ai cité des exemples dans mon premier travail (10 cas ). Après cette période plus ou moins longue, le
brales, d'une spondylose, se demandent s'il ne s'agit pas dans leur cas de cyphose d'origine musculaire. La ressemblanc
ans leur cas de cyphose d'origine musculaire. La ressemblance de ce cas avec ceux que j'ai classés sous le nom de forme
po- sition couchée ou par suspension. La différence des 2 ordres de cas est que la nature rhumatismale n'est pas nette
inaux n'est pas secondaire à la cyphose et à l'immobilisation, car le cas de sciatique avec cyphose, que je publie dans c
es. A la vérité la cyphose est ici bien plus accu- sée que dans mes cas ; mais le degré de celle-ci est probablement en r
s les appendices collatéraux man- quent sur la dendrite, et dans le cas contraire ils s'y trouvent en quantité tantôt p
laire et qu'elle s'amincit, commencent en outre, dans la plupart de cas , à paraître aussi des épaississements peu marqu
vues d'un nombre assez considérable d'appendices collatéraux. UN CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE
terne à la Clinique des maladies mentales de la Faculté de Lyon. Le cas dont nous rapportons ici l'histoire clinique et a
tte symptomatologie a pu d'une part se retrouver identique dans des cas d'encéphalopathie saturnine, syphili- tique, di
émise par Phelps à savoir que l'absence de troubles mentaux dans les cas de tumeur cérébrale indique que l'altération oc
nsistent sur sa fréquence et sa signification diagnostique dans les cas de tumeur du lobe frontal. Cette euphorie analo
de la parole. Ces mêmes symptômes se retrouvent d'ailleurs dans un cas de tumeur céré- belleuse observé par M. Raymond
mis- phère cérébelleux, elle se trouve également mentionnée dans un cas de tumeur dure trouvée' dans la partie antérieu
k (4),Lind, Ladame(5), qui ne notent pas d'hémiplégie sauf dans les cas de tumeurs trop volumi- neuses comprimant ou at
la face opposée (Duchek), des troubles de l'articulation des mots (7 cas de Ladame), les tremblements (Lind), symptômes
l'écorce ou le centre ovale simplement (BetcUerew) » (3). Dans les cas d'atrophie du cerveau observés surtout chez les
a constaté une atro- phie croisée; de même Lannois (5) signale deux cas analogues et établit un rapprochement avec la s
etEdin- ger (7), Cramer (8), Nothnagel, Brosset (9) ont publié des cas semblables avec atrophie descendante et croisée
érations portant sur la moitié droite de la moelle. De même dans un cas d'atrophie de l'hémis- (1) Thomas, op. cil., p.
droit et de l'olive bulbaire droite. Ces lésions observées dans notre cas nous ont paru intéressantes au moins comme cond
ésions sur l'hémisphère opposé ; Bouveret (4) insiste à propos d'un cas de petit gliome développé en pleine substance b
lésions inflammatoires vraies. Joffroy et Gombault (7) publient un cas de méningite diffuse qu'ils rattachent non plus
rtex devant l'imprégnation diffuse des toxines; Lannois (8) dans un cas de tumeur du noyau caudé, constate des plaques op
- mation peut se développer autour de la tumeur, ainsi que c'est le cas fré- quent, mais chez quelques sujets, l'infect
nfirmer l'idée - d'une toxi-infection. Au fait, de même que dans le cas de M. Lannois, notre malade garda le lit quelqu
ieures du névraxe subissaient un retentisse- ment dégénératif. UN CAS DE MALADIE DE FR] EDREICH AVEC AUTOPSIE (COÏN
riedreich sont encore assez rares, pour justifier la publication du cas suivant qu'il nous a été donné d'observer à l'h
e et de'dégénérescence. Notre observation est, comme on le voit, un cas typique de maladie de Friedreich ; par sa march
les lésions constatées à l'autopsie, elle se rapproche de tous les cas publiés par les auteurs. On y retrouve les symp
ou d'une infection ganglionnaire. Soca, en 1888,en avait trouvé onze cas où le caractère familial avait manqué. Charcot
actère familial. Raymond (5), dans ses cliniques, en rapporte trois cas sur cinq malades. Ladame (6) (de Genève) en cit
ame (6) (de Genève) en cite une observation. Il en est de même d'un cas de Sczepinski, publié dans les Annales médico-psy
Demoulin, qui, dans une thèse récente de Lille, 1902, à propos d'un cas de maladie de Friedreich sans caractère familial
sont deux phénomènes assez souvent liés l'un à l'autre, et que les cas isolés de maladie de Friedreich dépendent d'une i
fièvre infec- tieuse ne venait pas puissamment y contribuer. Notre cas n'échappe pas à cette conclusion, et au début d
l'entrecroisement des pyramides. Le bulbe présente donc, dans notre cas , des lésions multiples, très ra- res dans la ma
ont été trouvés lésés dans quelques observations. En somme, notre cas est un cas typique de maladie de Friedreich, avec
rouvés lésés dans quelques observations. En somme, notre cas est un cas typique de maladie de Friedreich, avec des part
observons que les maladies mentales présentent dans la majorité des cas le fait suivant : la santé de tous les organes, a
s il existe une lésion de l'intelligence ; toutefois, au dehors des cas plus graves ou anciens, elle est incompatible ave
itif normal : leurs expressions sont réduites ou exagérées, en tout cas elles sont anormales et morbides. Il est connu,
tions absolument élémentaires, inférieures et rudimentaires. C'est le cas de l'idiotie. Il y en a d'autres, au contraire,
e qui signifie que la moyenne était en 1898 de 20 0/0, donc en tout cas inférieure encore à la moitié du chiffre que nous
plus, soit parce qu'il serait même dangereux de le faire. Dans ces cas il n'est pas difficile de lui en apprendre un a
issue définitive. L'on peut soigner au contraire par le travail ces cas de psychose alcoolique qui se manifestent par l
en soi. Le chiffre de 36 0/0 chez les séniles provient de certains cas de mélancolie involutive où la décadence intellec
Neurologie, 1903. xvii 10 O ISO BIANCHINI En dehors de quelque cas de grave psychose hystérique avec états d'agita-
éthode d'ergothérapie ou de psychothérapie, au moins dans ces rares cas que nous avons observés. L'imbécillité inoral
fs et d'états de démence. Nous avons réuni sous ces termes certains cas où le diagnostic était douteux ou impossible. Il
ôpi- tal pour- les maladies mentales capable de recueillir tous les cas aigus et représentant.un grand élément d'observ
t presque toujours petits. Il est certain que, dans la majorité des cas , l'infantilisme s'accom- pagne d'une exiguïté d
istence d'un retard de l'ossification chez les géants. Le nouveau cas que nous publions aujourd'hui diffère par certain
nt par la tête. Vraie ou fausse, cette énumération témoigne en tout cas d'une certaine incohérence. Actuellement il a c
de la glycosurie avec l'hypothyroïdie. Je ne connais pas d'au- tre cas de ce genre. Autant la glycosurie est fréquente d
gnale chez une acromégalique diabétique le myxoedème ; mais dans ce cas le diabète doit naturellement être rapporté à l
ÉMIPLÉGIQUES 185 Nous avons trouvé dans la littérature médicale des cas semblables aux nôtres. Le premier est celui de
avant-bras et des deux tiers in- férieurs du bras. Comme dans noire cas III, il n'y avait pas d'oedème du membre inféri
rapporta dans le Journal orner- 1'OUS and mental diseases (1899) un cas sous le titre suivant : edemq of f the ]Jaralys
a rapporté dans l'article « Hémiplégie » du Traité de \ médecine un cas observé avec l'un de nous : il s'agissait d'une h
a rapporté dans les Archives de médecine expéri- mentale (1892) un cas de paralysie alterne du côté droit pour les mem-
CROUZON Tout récemment MM. Raymond et Courtellemont ont rapporté un cas qui doit rentrer aussi dans cette catégorie (So
rer aussi dans cette catégorie (Soc. Neurologie, 14 avril 1904). Ce cas nous semble devoir être rangé dans les oedèmes ne
s'agit d'un pseudo- oedème et non pas d'un oedème véritable. Les cas de Gombaut, de Raymond et Courtellemont, de Gilbe
t donc être différente : il s'agit d'oedèmes nerveux, alors que nos cas sont des oedèmes cardiaques ou rénaux chez des
edème du côté malade. Nous rappellerons que M. Pierre Marie dans le cas qu'il a observé avec l'un de nous, même en modi
pothèse est d'autant plus vraisemblable que nous avons vu, dans les cas d'oedème précoce purs de Raymond et Courtelle-
d'oedème précoce purs de Raymond et Courtelle- mont, de Gombaut, le cas de Gilbert et Garnier, que la lésion nerveuse pro
poignet de la paralysie radiale à laquelle M. P. Marie comparait le cas de Raymond et Courtellemont. On trouve aussi des
ause et ressortir à la même pathogénie. Il existe en effet dans ces cas de l'hypolen- sion artérielle, de la stase sang
iplégie, incapable par elle-même de faire l'oedème dans beaucoup de cas , ne fait que rendre apparent un trouble de la f
e trophoedéme est parfois un accident isolé (H. Meige) (1). » Les cas où le trophoedème s'est montré chez un seul sujet
mples. Plus récemment,Sicard et Laignel-Lavastine (2) rapportent un cas de tro- phoedème acquis chez une jeune fille de
cet affaiblissement a favorisé l'éclosion de l'oedème. Dans notre cas , comme dans nombre d'autres, le traitement thyroï
ficace; sans une surveillance attentive, il eût été dangereux. UN CAS DE DÉMENCE PRÉCOCE CATATONIQUE AVEC PSEUDO-
rve les malades pendant une durée suffisante. M. Dide en a réuni 45 cas dans son travail fondamental : « Le pseudo-eedé
re. J'ai donné aussi à la Société de Neurologie (2) le résumé de 65 cas pris parmi les malades de l'asile d'Evreux. C
uin. L'élimination de tous les éléments est abaissée dans le second cas . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAU'&TRYM. T
rriture pas rester partir Mademoiselle Eugénie Gr... etc. » NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE PAR R MAURICE DIDE et LEBORG
Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVII. PI. XXVIII UN CAS D'ACHONDROPLASIE (Dide et Leborglle). Masson
OPLASIE (Dide et Leborglle). Masson & Ci-, Éditeurs NOUVEAU CAS D'AC11ONDItOPLASIE 201 Ce même caractère se ret
rotule, longueur du péroné, 27. " - 202 DIDE ET LEBORGNE. NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE UN CAS DE NEUROFIBROMATOSE GÉN
né, 27. " - 202 DIDE ET LEBORGNE. NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE UN CAS DE NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE PAR FERNAND R
S'il suffit, comme le dit M. E. Feindel, dans sa thèse sur « Quatre cas de neurofibromatose généralisée » (Paris, 1896)
ste normale dans le tahes on peut observer, en particulier dans les cas avancés, des al- térations cellulaires et péric
problèmes anatomo-pathologiques est reculée d'au- tant, et dans les cas pathologiques où les anciennes méthodes avaient p
constatées, elles laisseraient la porte ouverte au doute : dans le cas où elles sont légères, ces lésions peuvent tout
é, les altérations cellulaires sont beaucoup moins marquées dans ce cas que dans la plupart de ceux qui ont été étudiés p
Il est cepen- dant deux faits que`nous désirons retenir. Dans deux cas (Obs. IV et V), l'atrophie des fibres radiculai
en est lente et progressive l'évolution de cette atrophie ; dans le cas de Riv... le début du tabes remontait à 34 ans;
remiers symptômes firent leur apparition 14 ans avant la mort. Le cas de Viv... (Obs. VIII) est encore intéressant à un
ons cellulai- res étaient très accusées; il n'y a guère que dans le cas de Delp... qu'elles étaient moins évidentes ; m
LION RACHIDIEN 225 saines ou moins atrophiées ; toutefois, dans les cas où les racines postérieu- res sont très atrophi
phie à un degré tel que sa paroi est presque décuplée comme dans le cas de Car.... peut ne pas endommager pendant longt
et l'atrophie avec prolifération capsulaire prédominent suivant les cas dans tel ou tel ganglion, mais il arrive aussi
surtout dans les régions circonférentielles du ganglion et dans ce cas la trame conjonc- tive est épaissie, proliférée
ous avons employée ne nous a rien révélé de spécial, sauf dans deux cas l'exis- tence de nombreuses gouttelettes de gra
u tissu interstitiel et des vaisseaux sont variables. Dans certains cas ,ce tissu paraît normal ; dans d'autres cas,il se
variables. Dans certains cas,ce tissu paraît normal ; dans d'autres cas ,il se distingue par la multiplication des cellu
gue par la multiplication des cellules conjonctives ; dans d'autres cas encore par la grande quantité de tissu fibreux
s. En apparence, il n'en est pas ainsi, et il semble même, dans les cas où les lésions cellulaires sont le plus accusée
st un problème qu'il est très difficile de résoudre : dans quelques cas le nombre des cellules disparues ou atrophiées es
es précédemment il en est qui sont in- constantes et variables d'un cas à l'autre - et même pour chaque cas d'un gangli
n- constantes et variables d'un cas à l'autre - et même pour chaque cas d'un ganglion à l'autre- ce sont : la pigmentat
mais le résultat est le même, c'est la mort de la cellule. En tout cas , l'atrophie ou la désin- tégration ne sont pas
alogues à celles que nous avons relevées. Wollenberg (1) examina 14 cas de tabes à ce point de vue : il trouva di- vers
rses altérations,entre autres une pigmentation exagérée, et dans cinq cas de la dégénérescence graisseuse qu'il considère
ns sont en grande partie des artifices de préparation. Dans trois cas Stroebe (2) a trouvé des altérations des cellules
t disparu. Quelques cellules manquent complètement. Dans de pareils cas , la capsule épithéliale péricellulaire est épaiss
côté de ces résultats positifs, il en est aussi de négatifs : dans un cas Guizetti (1) n'a pu observer ni altérations cel
i altérations du tissu conjonctif. Dinkler (2) n'a constaté dans un cas que de l'épaississe- ment et de la prolifératio
interstitiel, mais ces deux auteurs n'ont examiné chacun qu'un seul cas . Oppenheim et Simmerling (3) ne signa- lent que
e ner- veuse dont elles absorbent les débris : et en effet, dans ce cas les cellules capsulaires deviennent volumineuse
rmal, mais il est difficile d'en tirer aucune conclusion. Dans deux cas un grand nombre de cellules étaient atteintes de
érique. Cette interpréta- tion ne paraît pas devoir s'appliquer aux cas que nous venons de mention- ner, car les gangli
ellule, et plus souvent encore à une lésion cadavéri- que ; en tout cas , elle a été décrite dans tant d'affections divers
cellule dont la fréquence et l'importance constatées dans plusieurs cas lui donnent un véritable caractère pathologique
constantes ou elles ne sont pas suffisantes. Mais il reste en tout cas un fait bien établi, c'est que ces lésions exis
uteurs. Nous- mêmes les avons constatées fréquemment dans plusieurs cas , et dans cha- que cas dans la plupart des gangl
s avons constatées fréquemment dans plusieurs cas, et dans cha- que cas dans la plupart des ganglions. Chez deux malades,
ndant il ne s'ensuit pas qu'il doive en être de même dans le second cas . Et, d'ailleurs, les résultats obtenus par Lugaro
r morphologie générale et la situation du noyau ; or, dans tous les cas que nous avons examinés, nous avons très rarement
res. Mais elles sont trop fréquentes et trop marquées dans certains cas pour ne pas jouer leur rôle dans la pathogénie
qu'on attend d'une expérience. Aussi pensons-nous pouvoir tirer d'un cas , que nous avons recueilli avec M. Pouliot, quel
an Lépine n'en parle pas. James Hendrie Lloyd (8) a trouvé, dans un cas d'hématomyélie cervicale traumatique, des lésions
ur l'activité de la circulation capil- laire de la peau dans divers cas pathologiques à l'aide d'un procédé nouveau, proc
de des empreintes. ). vit 17 Î 26fi GILLES DI. LA TOURETTE Cinq cas de maladie de Friedrich, en collaboration avec Pa
comotrice et de quelques autres maladies du sys- teme nerveux. Un cas de syringomyélie, en collaboration avec Zaguelman
n avec IIudeloL. Che7rcot (article nécrologique). En 1894, Sur un cas d'ostéite déformante de Illlgel, en colla- bora
aie de la moelle épinière, en collaboration avec Gasne. En 1899, Un cas de syphilis héréditaire de la moelle, en col- l
cette maladie et à éviter ces erreurs de diagnostic en décrivant un cas que j'examine depuis neuf ans et qui a été l'ob
aden,Buenos- Ayres et Montévidéo. Voici l'histoire clinique de ce cas : N. N... est une fille de 35 ans, célibataire,
is l'observation d'Erb, a toujours été signalée dans la plupart des cas publiés. Un tableau ainsi complet de la maladie
il est pas de même quand elle commence il peine, comme dans notre cas . Nous devons, par conséquent, entrer dans des c
de début et sur son diagnostic différentiel à cette période. Notre cas a débuté, comme la plupart de ceux publiés, par u
bilatérale, ne présentant jamais d'ophtalmoplégie interne; d'autres cas 274 DE LÉON ont commencé par la fatigue, la p
e, une autre bulbo-prolubérantielle. et une autre spinale. En des cas très rares l'évolution a été aiguë, en d'autres s
3 à 5 minutes, pour observer aussitôt cette influence notable dans le cas de paralysie myasthénique. (1) Quelques auteu
origine nucléaire pour la migraine ophtalmoplégique ; mais tous les cas suivis d'autopsie étaient d'origine La- silaire
oftalmo- plégica (Isola Y de LÉON. - 1901). (2) Bechterew cite un cas d'ophtalmoplégie bilatérale, [seulement il est ac
résentent pas le caractère particulier des myasthéniques. Dans un cas de goitre exophtalmique, j'ai vu un ptosis double
voie des nombreuses recherches cliniques suivies d'autopsies. Le cas que nous voulons rapporter présente en outre cet
1901. (5) D'après : Vincelet, loc. cit., SwITALSKI, IOC. cit. Ce cas ayant été publié par M. Vincelet sous le titre de
quer que ce titre était manifestement erroné et que c'est bien d'un cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse qu'il s'agit, ainsi
- menté par la circonstance, que le tissu nerveux se colore dans le cas de Louis Hand..., très difficilement, et c'est
diamètre passant par les olives est de 15 millimè- tres dans notre cas (normalement 15-17). Les chiffres analogues che
s, diminution de l'acuité auditive, scoliose notée dans deux de ces cas , de même que l'attitude pa- thologique du pied
vient encore plus marquée, si on compare les autopsies de ces trois cas . Dans les trois cas on trouve une extrême petit
uée, si on compare les autopsies de ces trois cas. Dans les trois cas on trouve une extrême petitesse du système ner-
e extrême petitesse du système ner- veux central ; dans deux de ces cas , c'est le diamètre antéro-postérieur qui est le
es et de fibres. Les cornes anté- rieures présentent dans les trois cas une diminution énorme et une atrophie des cellu
ptômes cliniques et de ces données anatomiques, envisager ces trois cas comme appartenant à une forme intermédiaire ent
et les phéno- mènes spastiques, ce sont les signes qui classent ces cas dans l'hérédo- ataxie cérébelleuse. Ce diagnost
et, plus ou moins marquée, mais ne faisant défaut dans aucun de ces cas , par les lésions dans le domaine du bulbe et de l
les réac- tions pupillaires pas tout à fait abolies rapprochent ces cas de la maladie de Friedreich. - -- Nous penson
tôt dans le sens de cette dernière. Des observations semblables de cas intermédiaires entre ces deux types morbides, s
orbides, sont connues. C'est à cette catégorie qu'appartiennent les cas de Clarke (1) (2 cas), de l\1argul ies (2) (2 cas
. C'est à cette catégorie qu'appartiennent les cas de Clarke (1) (2 cas ), de l\1argul ies (2) (2 cas), et celui de Menzel
appartiennent les cas de Clarke (1) (2 cas), de l\1argul ies (2) (2 cas ), et celui de Menzel (3). Nous voudrions enfin
chez Friedreich (4) etchezRutimeyer (5), Menzel (6) trouve dans le cas du malade R. Sch.... une diminution du nombre e
noncée dans le groupe médial de cellules (tout à fait connue dans le cas de Louis Hand....). Il suffit de ces quelques
ch furent constatées par Dejerine (1). Parmi la statistique de 10 cas de la maladie de Friedreich établie par Or- mer
la maladie de Friedreich émet l'hypothèse qu'il s'agissait dans ce cas d'une paralysie spinale infantile qui a précédé
histologiques, et encore n'est-il presque jamais question dans ces cas du chiasma, des bandelettes, des corps genouill
is c'est Popolr(1) le premier, en 1893, qui, ayant constaté dans un cas de tabes avec cécité que les nerfs optiques éta
ortionnelle au nombre des cellules gan- glionnaires ; dans certains cas où les cellules étaient encore relativement nom
agile, trop délicate, pour que nous puissions affirmer que dans ces cas il ne s'est pas agi d'un artifice de pré- parat
ple). La couche plexiforme interne subsiste nettement dans tous les cas ; elle ne subit pas une diminution relative aus
paraissant en partie indépendants l'un de l'autre et étant en tout cas indépendants de la présence ou de l'ab- sence d
vions eu l'occasion d'examiner à l'ophtalmoscope un petit nombre de cas dans lesquels le processus était de date récente
ente et pouvait être encore en évolution ; or, dans certains de ces cas nous avions pu constater au pourtour de la papi
on de syllabes, nous font supposer que nous sommes en présence d'un cas de pa- ralysie progressive. Si l'on nous présen
ournés d'un trait, nous nous demanderons s'il ne s'agit pas là d'un cas de psychosis obsessiva... Il nous semble que si
mentia Meynert, avec leurs ouvrages et 3° des productions dues à un cas de paranoia chro- nica. La destination de tou
iagnostics anté- rieurs sont : mania, ps. periodica ; dans les deux cas précédents le trouble a revêtu la même forme. L
ce que la plupart d'entre eux ne soient pas réussis. En revenant au cas qui nous occupe en ce moment, nous y constatons
es associations plus profondes, logi- ques, qui auraient dû dans le cas .donné être unifiées par l'idée dominante du but
ni soutenir un entretien tant soit peu suivi et cela même dans les cas où l'excitation tombait, et elle restait des jo
et fut rendue à la liberté après sa guérison, le 18 mai 1899. En ce cas nous sommes aussi en présence de l'amentia (ame
amener le malade à travailler soient rationnelles dans les nombreux cas d'une marche aussi aiguë du mal. Néanmoins il est
ttra à courir, à culbuter jus- qu'à son complet épuisement. Dans le cas où le malade est en état de concen- trer tant s
Brissaud, Ballet, P. Marie, Henri Meige, Feindel, Noguès, etc., ce cas devrait être rangé parmi les tics, et non les spa
ionnelle, par le seul fait que le malade veut parier. Dans certains cas elle est précédée d'une sensation de chatouille-
devant la commission de réforme qui a prescrit une enquête sur son cas , avant de le renvoyer dans sa famille. Ce malad
SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DU LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RETRACTIONS .- EXAMEN AN ATOM
ux sériés. Cestan et 7.C/0 ? C. , Masson et C'c, Éditeurs. UN cas DE myopathie avec rétractions 345 chaque faisce
épaisseur du muscle, ainsi que Roth l'a le premier soutenu. En tout cas , c'est au niveau des insertions tendineuses que l
travées fibreuses avec des noyaux, dans lesquelles se voient, de UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS 347 temps en temp
ques lésions de dégénérescence granulo-graisseuse, ils sont en tout cas bien moins malades que les fibres musculaires qui
compte en comparant avec une moelle d un sujet du même âge. En tout cas , ces lésions ne ressemblent nullement à celles
es granuleux. Tout au plus, par le picrocarmin peut-on constater UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS 349 que la fibre
que les déformations étaient bien dues, dans la grande majorité des cas , à la prédominance de l'action des muscles antago
que nous puissions d'ailleurs préjuger s'il s'agit dans ce dernier cas d'une véritable lésion ou bien d'une hypertrophie
sis, les vaisseaux et les capillaires ont subi la transformation UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS 351 fibreuse de l
l n'est pas possible de résoudre avec l'examen anatomique d'un seul cas . Mais si nous ne croyons pas pouvoir élucider l
t établir de façon indiscutable comment débute et évolue le pro- UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS 333 cessus lésion
t, jusqu'à un certain point, de ceux que nous avons trouvés dans un cas . Il s'agit ici d'un tabétique avec cécité, mort
'adventice ; rarement la tunique moyenne ; jamais l'intima. En tout cas l'adventice est la plus profondément touchée et e
veux, sans la moindre re- lation avec l'élément vasculaire. Dans ce cas , ce n'est pas rare de rencontrer des petites bo
lus peut-on y découvrir une légère augmentation de névroglie. En tout cas on ne saurait pas mettre en discussion ni un ra
sa- blées est si différente de celle que nous avons trouvée dans ce cas qu'il serait superflu d'y insister davantage. D
caires. En outre, si au niveau des capillaires on a décrit dans des cas d'artério-sclérose cé- rébrale, la dégénérescen
calcification semblable à celle décrite par Hubrich (1) et dans le cas qui nous occupe : dans le cas de Simon (2), les c
le décrite par Hubrich (1) et dans le cas qui nous occupe : dans le cas de Simon (2), les capillaires étaient de même c
e ou colloïde ; or, sans vouloir nier absolument le fait dans notre cas , on doit faire- remarquer qu'il y constitue une e
morbides de la gaîne lymphatique périvasculaire. D'ailleurs dans le cas présent, les parois vasculaires transformées en l
ment toutes à ces remarques. Leber (1) a examiné histologiquement 3 cas d'amauroses tabétiques. Dans l'un toutes les fi
ne époque donnée, envahir le chiasma; on peut encore rencontrer des cas où la dégénérescence grise en deçà du chiasma n'a
iné histologiquement avec la méthode de Pal les voies optiques d'un cas de tabès avec cécité.. Les nerfs optiques étaient
stologique sur ce sujet, et chacun d'eux ne repose que sur quelques cas ; dans la plupart de ces cas le nerf optique et qu
chacun d'eux ne repose que sur quelques cas; dans la plupart de ces cas le nerf optique et quelquefois l'oeil ont seuls
: nous avons ainsi pu prendre sur le fait dans un certain nombre de cas le début d'un processus que l'examen clinique n
ps ou chez ceux dont le chiasma n'était pas encore coupé : dans ces cas l'épaississement nous a paru le plus souvent très
us souvent très net. Il était certainement plus marqué que dans les cas de paralysie géné- rale que nous avons eu ci ex
e paralysie géné- rale que nous avons eu ci examiner, même dans les cas de paralysie géné- rale avec amblyopie très pro
e tabétique, les nerfs optiques sont, dans la grande ma- jorité des cas , diminués de volume; celte diminution va jusqu'à
mais pas dans les mêmes proportions. Mais alors que dans certains cas où l'examen histologique nous a mon- tré la per
), la diminution de volume était déjà très nota- ble, dans d'autres cas elle était fort peu marquée malgré une disparitio
ent présente un développement considérable. Elle n'augmente en tout cas nullement en proportion de la diminution du nerf,
quand les pièces ont été très chromées, elles se décolorent dans le cas contraire. Elles sont abondantes surtout au pour-
ue pour ainsi dire 3 (il 1 LÉRI pas, sauf peut-être dans certains cas très anciens, mais il faut chercher entre l'ara
sseaux semblent peu nombreux dans la gaine piale, au moins dans les cas anciens, mais leur paroi est généralement très ép
plus fréquents et présentent sur les coupes transversales, dans des cas très anciens, un aspect vraiment t tout à fait
ont généralement une direction allon- gée, ovalaire ; dans certains cas leur existence parait due en partie à ce que la
ont certains ont à leur centre un ou deux globules rouges. Dans ces cas l'abondance du tissu scléreux est tout à fait f
'abord, à ce champ uniforme parsemé de no- dules fibreux. C'est aux cas relativement récents que nous avons demandé l'e
ement récents que nous avons demandé l'explication. Dans certains cas de cécité tabétique incomplète avec conservation
omplète avec conservation d'un nombre assez considérable de fibres ( cas de Bout... par exemple), nous avons trouvé la c
oilés, moins arrondis, il paroi beaucoup moins épaisse que ceux des cas plus an- ciens et à lumière centrale tout à fai
de ; il s'agissait manifestement de vaisseaux. D'ailleurs, dans des cas moins ré- cents, nous avons trouvé ces nodules
par un seul globule rouge. Ces nodules se trouvent dans tous ces cas aux points nodaux des cloi- sons conjonctives i
y a plus, et dans l'intérieur même de tous les faisceaux, dans les cas récents, on voit poin- dre de semblables petits
s cette sclérose est essentiellement périvasculaire ; dans certains cas seulement (nous en avons décrit ci-dessus des exe
e dans tel ou tel autre organe. Nous pouvons dire que dans certains cas en évolution nous avons, pour ainsi dire, saisi
clusivement trabéculaire en particulier n'existe guère, et dans les cas les plus nombreux, on trouve un nombre très var
e très variable de travées et de nodules isolés mélangés. En tout cas dans les stades avancés la fasciculation normale
à la périphérie et autour des gros vaisseaux. x) Nerf optique d'un cas de paraplégie spasmodique syphilitique (11101'...
u pourtour des travées vasculo-conjonctives restantes que, dans les cas récents, les fibres dégénèrent en premier lieu
t de paralytiques généraux sans cécité nous a révélé dans plusieurs cas l'origine des lésions : dans la plupart des cas
vélé dans plusieurs cas l'origine des lésions : dans la plupart des cas ces lésions de début siégeaient à la périphérie d
ent de la périphérie (nerfs de Besna..., Laverg..., etc.) ; dans ce cas la sclérose est parfois multiloculaire et neUemen
p la plus fréquente, mais elle n'est pas constante et dans quelques cas (nerfs de Bout..., de Merlin...) nous avons tro
due de la coupe, aussi bien à la périphérie qu'au centre : dans ces cas il y avait sclérose surtout au pourtour des vaiss
ingée et tantôt l'origine vasculaire qui prédomine; dans le premier cas , le plus fréquent, la sclérose prédomine au pou
plus ou moins in- demne (nerf de Laverg..., par exemple) ; dans ces cas nous avons constaté que le quadrant sclérosé qu
observer les lésions de début de l'atrophie optique dans plusieurs cas (cas de Labb..., Lefèv..., Philip..., etc.) : n
rver les lésions de début de l'atrophie optique dans plusieurs cas ( cas de Labb..., Lefèv..., Philip..., etc.) : nous a
lérose sous-méningée et périvasculaire, parfois en secteurs. Dans 3 cas de cécité paralytique presque complète nous avons
e lésion très limitée de la péri- phérie de l'un des nerfs (dans un cas de paraplégie spasmodique) ; elle présentait le
urable par le traite- ment spécifique ; nous n'avons pas observé de cas de ce genre et nous ne sommes nullement renseig
avées peuvent donner à la coupe un aspect trabé- culaire. Dans un cas cependant (nerf de Desmar...), nous n'avons pas t
qu'à l'état. normal et leur situation n'était pas modifiée; dans ce cas les fibres paraissaient vidées et la coupe avai
pect finement vacuolaire spécial ; il est bien probable que dans ce cas la lésion avait évolué entière- ment dans une p
utres situé vers le milieu de la face supé- rieure. Dans certains cas où la sclérose est périphérique on voit très nett
ffet, que l'amaurose tabétique paraît dans le plus grand nombre des cas évoluer suivant deux périodes consécutives. La
blié (1), il y a deux ans, la relation clinique et histologique d'un cas qui nous parut établir un nouveau mode patliogé
loir à ce moment discuter ses rapports avec la syriugomyélie. Un cas typique de syringomyélie que nous avons pu étudie
probable, ayant pu les mettre en relief en d'autres points. En tout cas , c'est à ces sinuosités et à l'insertion leur fac
Mais lorsque la lésion a perdu son activité, et tel semble être le cas à la région cervicale, il est probable que l'in
ouvaient être employés : d'une part, l'examen histologique d'autres cas de syringomyélie ; de l'autre, l'analyse minu-
ns pu, grâce à l'obligeance de M. le Pr Dejerine, examiner d'autres cas de syringomyélie. Résumons d'abord les résultats
élie. Résumons d'abord les résultats de ces examens. , I. - Dans le cas de F..., il existe à la région cervicale une vast
e retrouvent ici les mêmes traits essentiels que dans notre premier cas . Néoformation vasculaire, hyperplasie de l'advent
continuité directe, indépendantes du canal central. IL- Un second cas ,Duh ? dont nous n'avons eu malheureusement que qu
pendante du canal central. III. - Nous ne faisons que mentionner le cas de Pér... dont l'examen his- tologique a déjà é
edème périvasculaire ou quelque autre trouble circulatoire. En tout cas , cette systématisation périvas- culaire est à r
s nous montrent en somme que les caractères qui, dans notre premier cas réalisent un type tout à fait pur et, sem- ble-
vation de Poch..., se retrouvent, plus ou moins purs, dans d'autres cas de syringomyé- lie. Nous ne devons donc pas les
yélie. L'interprétation que nous avons donnée du processus dans ces cas particuliers est-elle partiellement. applicable
dépendent du siège plutôt que de la nature des lésions, on argue de cas de syringomyélie hérédi- taire, de syringomyéli
ntité morbide. D'une étude d'ensemble des lésions d'après plusieurs cas de syringomyélie, l'un de nous (1) concluait ég
rculatoire, hydtomyélie) n'est certes pas suffisante. Même dans les cas où le processus syringomyélique complique des l
ribuer à la difficulté extrême de reconstituer l'évolution dans des cas où l'autopsie a lieu si longtemps après le début
tre mesure une théorie pathogé- nique basée sur l'étude de quelques cas . Or ici, plus que partout ailleurs, l'éclectism
lus que partout ailleurs, l'éclectisme doit être appliqué et chaque cas envisagé spécialement, au point de vue histolog
lement à distinguer la syringomyélie d'autres cavités. Dans un de nos cas même (Fag...) il n'y a pas de paroi névroglique
cependant reconstituer la marche et la filiation. Si dans d'autres cas il est plus difficile, il paraît même impossibl
dairement enkysté (1). Nous convenons qu'on pourra'à propos de tel cas se heurter à des grandes difficultés de diagnos
hématomyélie se simplifient singu- lièrement. (2) L'un notamment ( cas Delà...), obligeamment communiqué par M. Comte, n
de syrin- gomyélies en tire la déduction que, « dans bon nombre de cas de syringo- myélie, la cavité se développe aux
plasie de l'adventice, que nous avons vue pourtant en dehors de nos cas souvent mentionnée. Et pourtant il y a là une lés
indirect à l'appui de la pathogénie que nous invoquons dans certains cas de syringo- myélie. En outre notre évocation de
lace Fig. 12. - Névrome de régénération du sillon antérieur dans un cas de syringomyélie (th. de G. Hauser). ' HISTOL
que l'hyperplasie névroglique est très variable, non seulement d'un cas à l'autre, mais aussi ^suivant l'activité local
ne. Cette dernière est fréquente mais non constante, et commune aux cas du premier et du second groupe. Elle porte à la
n, réaction secondaire ; l'impossibilité de la résoudre dans quelques cas n'est pas une raison suffisante pour supprimer
r une chèvre; et il jugea qu'on pouvait la pratiquer sur l'homme en cas de danger de suffocation. Enfin, chez nous, Guy
s ces gants, des nodosités et des défor- mations des mains. En tout cas le saint homme devait avoir là quelque lésion q
parole qui l'accompagnent, est assez typique pour que, dans bien des cas , elle soulève immédiatement l'hypothèse d'une p
n peut observer des troubles très analogues. Le diagnostic dans ces cas devra être très prudent, d'autant que le paraly-
, comme tout autre, s'alcooliser ; il sera donc nécessaire dans des cas de ce genre de s'attacher à la recherche des autr
on avec une compréhension incomplète ou même nulle. Dans ce dernier cas , le malade le plus instruit lit du français com
riété d'intonation est dans la réalité assez restreinte et, en tout cas , n'est nullement en rapport avec l'objet de la le
lleurspeutse répéter un certain nombre de fois, mais, même dans ces cas , et contrairement à toute attente, à toute logiqu
n de la parole est à peu près impossible ; il s'agit en définitive de cas rares, et souvent d'une interprétation hésitant
le fait récemment publié par Sérieux et Mignot, et qui a trait à un cas de surdité verbale chez un paralytique général
convolution temporale. J'ajoute qu'il m'a été donné d'observer deux cas analogues, vérifiés à l'au- topsie. L'étude d
our les troubles de la parole. Il y a, dans l'un comme dans l'autre cas , des perturbations d'ordre moteur et d'ordre ps
cette moitié une très légère dégénéres- cence diffuse, mais en tout cas , il n'y a dégénérescence complète d'aucun faisc
alysie infantile : ces lésions peuvent d'ailleurs, comme dans notre cas , être multiples, et se présenter cliniquement s
it regrettable que les nerfs n'aient pu être examinés. Dans notre cas les nerfs et les muscles ont été coupés ; ils ont
à gauche, répondait entièrement à la sympto- matologie clinique. Ce cas démontre donc d'une façon indubitable la pos- s
an passé avec M. Porot (1), ce qui nous a permis de citer plusieurs cas analogues. D'ailleurs l'examen du fragment de mus
n clinique, montré à la fois aux élèves le malade en question et un cas typique de maladie de Thomsen. Il n'y avait abs
ion myotonique. Il n'est donc pas douteux qu'il ne s'agisse dans ce cas d'une superposi- tion dessymptômés delà myopalh
Quel- ques-uns ont cependant été signalés. Hoffmann (2), dans un cas de myotonie congénitale, a signalé l'atrophie m
xtenseurs, avec légère atrophie musculaire. Il faut encore citer le cas intéressant publié plus récemment par ltos- sol
rver chez certains myopa- thiques. Nous laisserons même de côté les cas dans lesquels existent des rétractions tendineu
au musculaire, aux membres inférieurs surtout : pour ne citer qu'un cas ..p.ersonnel, le malade auquel j'ai fait allusion
'un cas..p.ersonnel, le malade auquel j'ai fait allusion plus haut ( cas de Lan- nois et Porot) présentait une véritable
nature myopathique de la maladie de Thomsen. L'étude ultérieure des cas de ce genre pourra sans doute contribuera éclai
ns : on peut toujours accuser une hystérique de simulation. Dans le cas de notre malade l'auto- (1) CHARCOT, Progrès mé
ndus de la Société de Neurologie (février 1904). (3) L. TREPSAT, Un cas de démence précoce avec pseudo-oedème compliqué d
eptiques et par nous sur certains chevaux liqueurs. « Dans tous les cas observés (2), l'asy- métrie n'était pas limitée
t sté- réotypies) ou de névroses (épilepsie). Et voici dix nouveaux cas d'asymétrie crânienne, dépression d'un pariétal
hute de la lèvre inférieure doivent être considérées, dans certains cas , comme des stigma- tes anatomiques de dégénéres
al présente également des symptômes somatiques qui, dans quel- ques cas (tics et stéréotypies), ont paru liés à des troub
quant suffisamment par lui-même que nous considérons, dans tous les cas , le trouble moteur comme lié indissolublement a
l'animal, des troubles de=. fonctions génitales qui, dans certains cas , reconnaissent une cause exclusivement psychique.
e de remise qui sert il loger, sans aucun effort d'esprit, tous les cas embarrassants ». Il importait de démontrer, par u
sychologique et idéale de la conception artistique. Ce n'est pas le cas d'analyser ici la technique du tableau ; je veux
. Cordons postérieurs (Contribution à l'étude anatomique des). Un cas de lésion de la queue de cheval el un cas de ta
ude anatomique des). Un cas de lésion de la queue de cheval el un cas de tabes inci- piens (3 pl., 16 grav.), parNAGE
scoliose homologue ; guérison et redressement complet ; 2» trois cas de spondylose rhumatismale anky- losante (4 pl.
zvi). Ergothérapie et psy- chothérapie, 136. Bonnamour et Pic. Un cas de maladie de Friedreich avec autopsie (1 planc
Friedreich avec autopsie (1 planche), 186. Brissaud et GMNFT. Un cas de cyphose d'origine articulaire ou musculaire
dique; guérison (3 pl. en photocoll.), 283. CESTAN et Lbjonne. Un cas de myopathie avec rétractions ; examen anatomiq
, en parti- culier chez le cheval ; étude clinique,471. Cornu. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique
vertébrés supérieurs (6 figures), 100. DiDE et LEBORGNE. Nouveau cas d'achon- droplasie (1 planche), 200. GAUSSHL,
des primitifs français (2 planches), 405. GRHNHT et BnissAuD. Un cas de cyphose d'origine articulaire ou musculaire
et scoliose homologue ; guérison et redressement complet. 2 Trois cas de spondylose rhumatismale ankylosante (4 planc
planches), 450. 506 TABLE DES AUTEURS LEBORGNH et DIDE, Nouveau cas d'achon- droplasie (1 planche), 200. Lejonne
eau cas d'achon- droplasie (1 planche), 200. Lejonne etCESTAN. Un cas de myopathie avec rétractions ; examen anatomiq
3 planches, 3 pho- togravures), 358. Léri et S. A. K. WiLSOrr. Un cas de po- liomyélite antérieure aiguë de l'adulte
Contribution à l'étude anato- '. mique des cordons postérieurs (Un cas de lésion de la queue de cheval et un cas de
cordons postérieurs (Un cas de lésion de la queue de cheval et un cas de tabès incipiens (3 planches,16 figu- res), 1
s incipiens (3 planches,16 figu- res), 17. Pic et Boarrwoouft. Un cas de maladie de Friedreich avec autopsie (1 planc
érédo-syphiliti- que tardive (1 photogr., 2 pl.), 271. RUDLER. Un cas de neuro-fibromatose généralisée (2 planches),
e des travaux manuels des alié- nés (5 figures), 311. Trepsat. Un cas de démence précoce catatonique avec pseudo-oedè
ion à l'étude du trophoedème (1 planche), 189. WILSON ET Léri. Un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte av
80 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la pension de retraite. Or je suis convaincu que, dans une foule de cas , la réponse doit être affirma- tive. Mais il im
analogues dans les vieux auteurs, si friands de singularités et de cas rares. Je me bornerai à relater ceux que Gall a
iant les causes de l'épilepsie, et rencontrant un certain nombre de cas où la maladie paraissait due à des coups sur la
ête, ajoute ces réflexions significatives : « Dans la plupart des cas (causes physiques) on pourrait tout aussi bien
Esquirol avait écrit : « Les chûtes sur la tête, même 1 Il est des cas qui peuvent être interprétés aussi bien dans un s
anguin, ou de perte de subs- tance cérébrale, etc...; dans d'autres cas au contraire, ce n'est que longtemps après la b
es précises. Sur 500 aliénés qu'il a examinés, Schlager a trouvé 49 cas (42 hommes, 7 femmes) de folie traumatique. Dan
a trouvé 49 cas (42 hommes, 7 femmes) de folie traumatique. Dans 19 cas , la maladie mentale éclata moins de 1 an après
llen I'2,ctîzkbei- ten, )Jrlangen 1868). Cet auteur distingue trois cas : 1° Ceux dans lesquels la folie est la conséqu
ursuit sans aucune interruption. Chose singulière, ce sont là des cas relativement rares, et ils ne doivent être admi
lète et permanente, comme dans DES TRAUMATISMES DU CRANE. '13 les cas d'hémorrhagie cérébrale, et ne se dissiper qu'à
de l'antisepsie ! Il serait facile de reproduire un grand nombre de cas de guérison des accidents secondaires, mais à t
donner ses ordres... » (Gama, loc. cit.) Il est évident que dans ce cas , il y a eu commotion cérébrale, mais qui n'a pa
mais affirmer qu'elles aient été définitives 2. Prenons en effet le cas le plus simple, celui d'un corps étranger accid
ion médicale (19 avril 1887), donne les chiffres suivants : Sur 316 cas de corps étrangers s'étant logés dans le cervea
urent suivis de guérison. Le corps vulnérant a été extrait dans 106 cas , dont 72 ont guéri. Mais pour combien de temps ?
ouvelle phlegmasie. » (Traité de l'encéphalite, 1825, p. 5.) Deux cas peuvent se présenter. Si le crâne a été entamé,
hôpital pendant une longue série d'années, il conclut que, dans les cas graves, il y a toujours contusion ou lacération
correspondante intra-cranienne. Cependant ce n'est pas toujours le cas ; très souvent ce n'est que la table externe de
istence d'autres centres de la vision. Car, rappelant que- dans les cas ' C. R. de I'Àcad. des sciences, 10 juin 1878;
de la fonction est dû au centre visuel du côté opposé, et, dans les cas de destruction bilatérale incomplète, aux parti
ire par les couches optiques et les tubercules quadrijumeaux. Or le cas s'est pré- senté : ils ont enlevé successivemen
des localisations céré- brales. Tout était à refaire. Sur quarante cas cliniques, accompagnés d'un examen anatomo-path
ts négatifs relativement à la zone senso- rielle de l'écorce. » Ces cas , ils les expliquaient : 4° par l'extension cons
iques qu'il publie avec Luciani, Seppilli a rassemblé trente- six cas , dont deux lui sont personnels, les autres étant
ntemesse, Giovanardi, Gowers, Bernard, etc. Dans un premier groupe ( cas 1-18), Seppilli a rangé les cas d'hémianopsie b
rnard, etc. Dans un premier groupe (cas 1-18), Seppilli a rangé les cas d'hémianopsie bilatérale homonyme dans lesquels
, comme caractères commun, une lésion du lobe occipital : dans cinq cas même, la lésion est exclu- sivement limitée à c
occipital, que le processus se limite à l'écorce céré- , brale (5 cas ), à la substance blanche (2 cas), ou inté- ress
limite à l'écorce céré- , brale (5 cas), à la substance blanche (2 cas ), ou inté- resse à la fois l'écorce et les fais
u inté- resse à la fois l'écorce et les faisceaux sous-jacents (6 cas ). Le pli courbe n'a été trouvé lésé en toute év
be n'a été trouvé lésé en toute évidence qu'une seule fois (dans un cas de Westphal), et il existait en même temps une
nsécutifs à une lésion de l'hémisphère opposé ! En outre, dans deux cas , ce n'était pas le lobe occipital, mais le lobe
e frontal et le lobe tem- poral qui étaient trouvés atteints. « Ces cas , on pourrait les expliquer, disait Seppilli, en
a vision ? Ces observations sont en bien petit nombre au regard des cas d'hémianopsie bila- térale homonyme consécutifs
int chez les auteurs italiens. L'étude des centres nerveux dans les cas d'ano- phthalmie congénitale serait aussi très
our l'anatomie et la physiologie des centres de la vue. Parmi les cas publiés jusqu'ici, on ne connaît guère que celu
ntentrique du champ visuel, n'ont encore fait défaut dans aucun des cas de cécité verbale où l'examen de la vue a été con
ucléé un oeil six ou sept mois auparavant 2. Inversement, dans un cas de porencéphalie portant sur les deux lobes occ
ent les animaux par des mouvements correspondants ? Dans les deux cas , l'excitation électrique, substituée à l'irritati
guère recherchées d'ailleurs; c'est toute une étude à faire. Les cas de lésion destructive du lobe occipital ont sou
rier, Gowers, etc., l'ont noté expressément. Seppilli a cité trois cas d'hallucinations de la vue empruntées a Westpha
ique de la paralysie progressive des aliénés, ont trouvé, sur seize cas d'hallucinations de la vue ou de l'ouïe (laplup
on dont elles sont le symptôme. Seppilli rapporte, d'après Pick, le cas d'un homme de vingt-huit ans, atteint de délire
synergie morbide de plusieurs zones sensorielles. Dans le premier cas , on s'explique jusqu'à un certain point que l'h
Kahler et Pick, Nothnagel, etc., Seppilli, qui a pu rassembler des cas plus nombreux de surdité verbale, situe la lési
othèse que contredit suffisamment, en effet, et l'observation des cas de surdité verbale sans altération notable de l
es centres des images acoustiques des mots, on conçoit que, dans le cas de lésions destructives des T' et T2, la perte
s idées au moyen de ces symboles ou images acoustiques verbales. Un cas de Cattani ', où un homme de soixante-un ans, '
até des lésions du lobe temporal, de la T, eu particulier, dans des cas d'hallucinations de l'ouïe. Dans un cas d'liallll
T, eu particulier, dans des cas d'hallucinations de l'ouïe. Dans un cas d'liallll- cination unilatérale de l'ouïe, la l
trente-six ans, l'autre à un homme de qua- rante ans. Dans les deux cas , il existe un arrêt de développement des lobes
HYSIOLOGIE. une région en rapport avec l'odorat. Cela résulte des cas d'embolie de l'artère sylvienne gauche dans les-
porté une observation d'atrophie de la corne d'Ammon gauche dans un cas d'hallucination de l'odorat. Les auteurs ital
tendance à l'emphysème se traduiront en faits. Nous aurons tous les cas d'hémorrhagie et d'emphysème observés, soit dan
e plus important dans les phénomènes d'héma- tose observés dans ces cas -là. Je le répète, malgré ces vues si ingénieuse
s apoplexies passagères ou mortelles, accom- pagnées, dans certains cas d'hémiplégies momentanées ou durables, et enfin
ions de l'atmosphère au point de vue du poids peuvent dans quelques cas , avoir une in- fluence sensible même sur l'état
'animal en expérience tombe comme sidéré. Cette sidération, dans ce cas , n'est que momentanée, mais si la quantité des
suivant. « Nous croyons qu'il est possible d'admettre que dans ces cas il se produit une lésion de la moelle, et que c
iquides, l'épaisseur même des tissus, et il peut ainsi, suivant les cas , arrêter la circulation pulmonaire, anémier et am
ences, qui ont établi la présence des bulles de gaz dans le sang en cas de diminution rapide de la pres- sion. Voici sa
aussi bien dans le système veineux que dans le système artériel en cas de changements brusques de pression. Maintena
effet, nous savons déjà fort bien que, dans l'immense majorité des cas , ces accidents frappent le système nerveux cent
naire car les branches de ce vaisseau ne contiennent pas d'air en cas de mort prompte. » - M. Couty, ayant institué d
répète à dessein; à plus forte raison, cela ne peut arriver dans le cas d'une injection physiologique, spontanée, qui e
t gravement compromise, « La proportion de l'acide carbonique, en cas d'augmentation de la pression barométrique, peu
ométrique, peut augmenter parfois, mais dans l'immense majorité des cas , elle diminue. Cela se conçoit facile- ment qua
z et, par une conséquence toute naturelle, aucun accident en pareil cas ne doit survenir. C'est ce qui arrive en réalit
e faire diminuer con- sidérablement la dose de morphine. Ce dernier cas est incom- plet le malade sous l'influence de l
e et à l'étranger ont pratiqué la suspension non seulement dans les cas de tabes, mais encore dans d'autres affections
ns nerveuses, on a employé ce mode de traitement, et dans nombre de cas , les médecins ont obtenu des résultats satisfai
qu'elle ne le soit pas trop cepen- dant parce que dans ce dernier cas , la compression des jugulaires aurait pour effe
ne porte pas unique- ment sur la tête et sur le cou, car en pareil cas la suspension ne serait pas tolérée; il faut do
e a eu lieu, a été presque toujours un phénomène tardif. Dans aucun cas , nous n'avons vu reparaître les réflexes rotuli
s les premières séances. Il a été facile à apprécier dans plusieurs cas où les dou- leurs étaient devenues presque cont
uniquement attribuée à la disparition des douleurs fulgurantes. Les cas de M. Motchoutkowsky cités par M. Charcot, sont a
qu'il a traités par la suspension. Le 15 mars 1889, il compte z114 cas dont trois femmes; 64 doivent être éliminés, pa
minés, parce qu'on ne les a pas suivis assez longtemps. Il reste 50 cas sur lesquels on peut compter 38 améliorations n
pratiqué plusieurs fois la suspension chez les tabétiques : dans un cas , les troubles de la miction ont cessé rapidemen
tal Laënnec, de MM. Raymond et Moutard-Martin à Saint-Antoine, Un cas assez curieux a été noté dans les salles de ce de
bien, et ne ressent plus aucune douleur. - M. le D'' Dana 2 cite 6 cas d'ataxie traités; chez un ataxique, après 16 sé
écoulée. M. le D'' W.-A. Ham- mond 3 a employé la suspension dans 5 cas , tous les malades en ont retiré un bénéfice trè
choutkowsky a obtenu de bons résultats de la méthode dans plusieurs cas d'impuissance sexuelle chez de jeunes sujets. D
aralysie spasmodique, à 3 affectés de maladie de Friedreich, et à 4 cas de paralysie agitante. Les malades atteints dep
a rigidité des membres inférieurs est devenue moindre; dans un seul cas de sclérose en plaques sont sur- venus des acci
nt tiré aucun bénéfice appréciable de la suspen- sion, sauf dans le cas d'unejeune fille de treize ans, soignée par M.
e cas d'unejeune fille de treize ans, soignée par M. Blocq. Dans le cas de paralysie agitante, après l'appli- cation du
modifications. Des effets favorables se sont pré- sentés dans deux cas d'impuissance liés à la neurasthénie. L'amélior
x cas d'impuissance liés à la neurasthénie. L'amélioration dans les cas de paralysie agitante, de myélite transverse, d
e Dl' Dana. M. le Dr Hammond a noté aussi de l'amélioration dans un cas de sclérose médullaire antéro-latérale, et, dan
n dans un cas de sclérose médullaire antéro-latérale, et, dans deux cas , d'im- potence fonctionnelle. M. le Dr E. de Ri
e M. le Dr Darier 2, qui aurait obtenu de bons résul- tats dans des cas d'atrophie du nerf optique, par la suspension.
tique, par la suspension. On ne peut se rendre compte dans certains cas de cette affec- tion, notamment dans ceux dus à
ouver un appui dans ce fait que la suspen- sion agit mieux dans les cas anciens que dans les cas récents, et que dans c
it que la suspen- sion agit mieux dans les cas anciens que dans les cas récents, et que dans ceux-ci elle produit des p
rt, ne se seraient pas produits si un médecin eût été présent. Un cas a été relaté dans the Lancet ', celui d'une femme
celui d'une femme s'étant étranglée dans ces mêmes conditions. Même cas est celui d'un jeune médecin de New-York 2, le
de coma et mort au bout de 24 heures. Le D'' Gorechi' 3 relate un cas de mort chez un tabétique avec paraplégie, qui, a
Il en est de même de l'anémie, de l'oedème, de l'obésité ; dans ce cas , il serait préférable de se servir d'un appa- r
oir se prononcer sur ce point. Toutefois, M. Charcot a mentionné le cas d'un malade observé par M. Motchoutkowsky, qui
sseront pas les améliorations manifestes déjà observées, et que des cas semblables pourront être encore réunis. REVUE D
olés, introduits à un centimètre de profondeur, et, dans ce dernier cas , elle est d'autant plus pro- noncée que l'on en
ulo-striée. Les auteurs concluent de leurs expériences que dans les cas ils8 REVUE DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ..d'a
faveur de l'innervation du muscle en question; elle prouve en tout cas que tout le peaucier n'est pas animé par le facia
mophiles et les cellules chromopholes. MM. GLUCK et Bernhardt. Un cas de paralysie traumatique du radial guérie par u
it 180 malades. Les plus libres qui restent seront consa- crées aux cas imprévues proportionnellement à la progression
aux affections d'ordre dy- namique : c'est en particulier dans les cas de phénomènes hysté- riques qu'on trouvera des
é pendant longtemps que le plus absolu scepticisme. En Amérique les cas abondent. En Angleterre, on y vient assez faci-
ent volontiers l'hystérie virile, bien que pas encore dans tous les cas que l'on considère comme tels en France. MM. Andr
9) dans le « Berlirzen Klinische Wochensch1'i(t, » la relation d'un cas parfai- tement typique de cette maladie. L'ob
faisait remarquer M. Jendrassik dans la discussion qui suivit, à un cas de chorée rhythmique . hystérique. Epidémie d
tes les portes, par l'électricité. Un ingénieux mécanisme permet en cas d'incendie, de panique, d'ouvrir à la fois tout
ermet en même temps de ras- surer les malades sur leur sort dans un cas semblable et de leur enlever cette crainte cont
alites chroniques à petits signes ma· croscopiques, et que dans ces cas nous envisagerons, sans nous occuper de topogra
ercher cette lésion qui pourtant existe presque à coup sûr dans les cas de méningo-encéphalite avec adhérences. Cette c
autre DE LA SUBSTANCE GRISE. 185 de nos malades mort dans le même cas présentait le caractère hémorrhagique, avec un
e au niveau de la suture lambdoïde. On doit trouver bon nombre de cas semblables dans les asiles d'enfants arriérés o
ren- trent dans la grande catégorie des cérébraux de Lasègue. Ces cas sont fréquents. Observation XVIII. C..., jeune
rès variables, et dépendent des circons- tances, spéciales à chaque cas , dans lesquelles le trau- matisme s'est produit
xis- tait aucune cicatrice ni aucune trace de fracture du crâne. ( Cas . tirée des missel. nat. curios., an IV, Cas. XC
e fracture du crâne. (Cas. tirée des missel. nat. curios., an IV, Cas . XCV, Ant. Pozzis.) J'ai connu un malade qui av
moins l'attaque épileptiforme. Dans les observations qui précèdent ( Cas . XIV, XV) je l'ai notée plusieurs fois ; il n'e
ar la paralysie générale. J'ai eu, depuis, l'occasion d'observer un cas presque identique chez un militaire. Une ques
ur montrer combien les appréciations doivent différer suivant les cas . z Un homme, dont la mère a été aliénée, arrive
es années après il estem- porté par une paralysie générale. Dans ce cas , n'est- on pas autorisé à dire que la chute sur
es causes qui sont également intervenues'. Il n'est qu'une série de cas , où il semble que le traumatisme imprime à la m
nsi que les choses se passent chez le paralytique. J'ai plusieurs cas de ce genre dans mon service, et se ressemblant
ssemblant tous d'une manière frappante : je les ai compris dans mes cas de démence. Mais cette démence a quelque chose
C'est presque toujours la question du trépan qui se pose dans ce cas . Or, avec les progrès de la chirurgie contempor
t pas possible de tracer une règle gé- nérale applicable à tous les cas . Si je disais que tout DES TRAUMATISMES DU CRAN
îner de graves conséquences, on m'objecterait aussitôt dix, vingt cas authentiques, où il n'y a eu aucune suite fâche
établir la filiation. Où commencera la difficulté, c'est dans les cas , et ce sont les plus fréquents, - où, après les
dies mentales sont toujours complexes et mul- tiples, même dans les cas en apparence les plus simples. C'est à déterminer
r l'emploi des scaphandres nous fournissent un si grand nombre de cas que nous avons eu l'embarras du choix. 'Les faits
de 32 brasses ; la durée du séjour ne peut être incriminée dans ce cas , parce qu'elle n'a pas dépassé les 4 minutes; l
ssi à l'histoire de la même obser- vation, suffit à rejeter dans le cas en question l'action étiologique des causes qui
le sang; d'où l'imminence morbide, qui dans l'immense majorité des cas porte tôt ou tard ses coups aux malheureux plon
. C'est ici qu'il faut particulièrement s'appliquer à choisir des cas également remarquables par leur sim- plicité et
eize, dont dix appartiennent à des scaphandriers égaux en nombre ( Cas . VI, X, XI, XIV, XVI, XVIII, XXXIV, XL, XLII et
ement sa quantité dans le sang; en d'autres termes, dans le premier cas , le gaz est augmenté parce qu'il est produit en
nts causaux, il nous faut les étudier séparément en choisissant les cas dont les accider's sont dus uniquement à une se
des testicules ou des ovaires devrait être utilisée, dans certains cas , chez les cataleptiques et les somnambules. S'il
, rapporta devant la Société clinique de Londres l'histoire de cinq cas de cette maladie observés par lui; maladie qu'il
ns plus tard, un autre médecin anglais, Ord 1, publia deux nouveaux cas de cette maladie, dont l'un fut suivi de mort e
connue bien avant du professeur Lasègue, qui en avait mon- tré un cas classique chez une femme. Depuis lors parut une
en ordre chronologique autant que possible. Savage 2 décrivit un cas de myxoedème chez un homme, accompagné de dépre
sion du système nerveux central. Goodhart publia l'observation d'un cas de myxoedème chez un enfant ; il émit l'opinion
ançais le professeur Charcot, qui avait déjà étudié une quantité de cas de cette maladie, qu'il se proposait de publier
li IJ De même que Savage le D'' Ballet' publia l'observation d'un cas de myxoedème chez un homme. 1 la même époque le
e myxoedème chez un homme. 1 la même époque le Dr Thaon décrivit un cas de myxoedème chez une dame qui lui fut recomman
aircissement de cette question. Il publia d'abord, avec d'Olier, un cas remarquable de myxoedème avec crétinisme. Ce ca
, avec d'Olier, un cas remarquable de myxoedème avec crétinisme. Ce cas présente d'autant plus d'intérêt qu'il fut suiv
. Ensuite Inglis et Duckworth " publièrent l'observation de leurs cas ; celui d'Inglis présente en fait d'anomalie psy-
u délire de grandeur. En z1881 parut le travail de Hammond e ; le cas rapporté par lui présentait les symptômes suiva
altération de leurs fonctions. Le Dr Mahomed 4 observa vingt-sept cas de myxoedème entre lesquels quinze présentaient
rouva que le refroidissement y joue un rôle important. Sur quinze cas observés par lui il ne se trouvait qu'un seul hom
ie, mais en revanche le myx- oedème empêche la conception. Dans les cas décrits il observa les symptômes suivants : gon
de langue lourde, gênant la parole; voix voilée. Lunn 3 décrit deux cas de myxoedème, dans l'un desquels le malade, hom
'' Biaise 4. La seconde partie de ce travail contient le rapport du cas suivant : la malade, âgée de trente-quatre ans,
2M REVUE CRITIQUE. En 1882 apparut le travail du Dr Bail' sur un cas de cré- .tinismo sporadique, que le D1' Bournev
ville traite d'idiotie cré- tinoïde avec cachexie pachydermique. Ce cas , de même que ceux de Bouchaud 2, Charpentier 3,
u bien une diminution notable du volume de la glande thyroïde. Un cas bien intéressant de myxoedème fut décrit par IIam
. Les auteurs donnent à l'appui de leurs opinions la description de cas ana- logues observés par Curling'Hilton Fagge 2
ogues observés par Curling'Hilton Fagge 2, Fletcher Beach 3 et deux cas observés par les auteurs personnellement. Outre c
un aperçu de l'histoire de cette maladie donne la description d'un cas observé par lui-même ; ce cas n'appartenait pas
e maladie donne la description d'un cas observé par lui-même ; ce cas n'appartenait pas aux plus intenses, ne présentai
it parfaitement intacte. lin 1887, Erb publia l'observation de deux cas de myxoe- dème, qui présentaient les symptômes
, etc., dont nous reparlerons. En z1888 parut la description d'un cas de myxoedème observé par Hirsch avec analyse mi
, sur- tout dans le voisinage des vaisseaux. Warfwing décrivit un cas de myxadème où le malade se remit entièrement. Vo
r résultat de pro- voquer les phénomènes myxoedémateux ; il y a des cas où le myxoedème ne se présente pas. Ainsi, par
klin. Woclienschrijt, 1886. c7G REVUE CRITIQUE. , En étudiant les cas de myxoedème opératoire, nous nous trouvons en
, s'attribuait injustement à l'absence de la glande, car il y a des cas ou l'altération de l'activité mentale, du moins l
c'est à cause de l'état pathologique de la glande. Dans de pareils cas l'auto- extirpation de la glande thyroïde précè
la glande thyroïde, empoisonne librement le cerveau. Dans tous les cas , cette question resta non décidée et donna nais
ouva que l'extirpation de la glande thyroïde provoque dans quelques cas des symptômes d'irrita- tion ; dans d'autres, c
ent en convulsions des différents groupes de muscles. Dans quelques cas , ces convulsions se localisent, dans d'autres e
ème contient non pas un simple liquide d'albuminate, comme c'est le cas avec l'oedème et l'anasarque, mais un liquide m
mes et déterminer parfois des troubles de l'intelli- gence. Dans le cas actuel, il s'agit d'une femme qui fut atteinte de
uelle le méca- nisme de la mort fut tout à fait différent ; dans ce cas , en effet, l'accumulation de matières étrangère
optique est en relation. S'il en était ainsi, il se passerait en ce cas quelque chose d'ana- logue à ce que l'on observ
ive ont progressé d'une façon presque parallèle. R. M. C. VII. UN cas DE folie mentale ou DE défectuosité morale cong
ico-légale, l'auteur n'a, pendanthuit années d'exercice, vu que dix cas de simulation authentique, et sur ces dix simul
dans lequel les malades se croient absolument libres. P. K. X. UN CAS DE MUTILATION VOLONTAIRE AVEC PERSISTANCE ; par E
e du corps strié. L'auteur termine son travail par la relation d'un cas de mutilation volontaire chez une lionne; ce ca
r la relation d'un cas de mutilation volontaire chez une lionne; ce cas a été communiqué par M. Abraham à la Section de p
psychose polynévrilique. M. Régis (de Bordeaux), à propos de quatre cas DE lypémanie hypocondriaque, présente des consi
n prison (129 sur 161). Les autres étaient, pour un bon nombre, des cas accidentels et dans lesquels la détention n'ava
ne publication régulière. M. Voisin (Jules) lit une note sur cinq cas DE FUGUES INCONSCIENTES chez DES HYSTÉRIQUES ch
xiste un véritable dédoublement de la personnalité. Dans cer- tains cas , ces fugues sont précédées des phénomènes de l'au
vant le nom qu'il adopte. M. Ladame (de Genève) lit une note sur un cas d'ÉRYTHnorsIE chez un paralytique général. M.
, etc., se rencontraient SOCIÉTÉS SAVANTES. 279 chez eux. Dans un cas , l'alternance entre les manifestations céré- br
que générale de la préfecture de police il appert que le nombre des cas de folie alcoolique a plus que doublé depuis qu
coolique a plus que doublé depuis quinze ans. Il en est de même des cas de paralysie générale. D'où l'auteur conclut à l'
fférentiels, ni sur les effets du traitement, puisque dans les deux cas il s'agit de lésions destructives probablement
ions véritablement pathologiques. M. SAuRY rapporte l'histoire d'un cas de délires multiples. Un homme de quarante-huit
opositions sont adoptées par le Congrès. M. Cil. RICHET présente un cas de cécité expérimentale chez un chien, produite
N (de Lausanne), à propos du RÔLE DES centres moteurs, montre qu'en cas d'ablation d'un centre moteur chez un animal no
ts de tables tournantes et rapproche avec M. Myers (de Londres) les cas de médiums écrivains des faits de ce genre les
ncore des mouvements volontaires. ni. DE VAIiIGNYdonne lecture d'un cas d'AUDITION COLORÉE. M. GpuBER (de Jassy) rappro
DITION COLORÉE. M. GpuBER (de Jassy) rapproche de celui-là un autre cas bien plus complexe dans lequel l'évocation des
sommation de l'alcool et l'augmentation du nombre des crimes et des cas d'aliénation mentale. En France, de 1873 à 1877
ien jouer la suggestion dans l'hypnose chez les animaux et dans les cas d'hypnose subite par coup de tonnerre, coup de fu
TROUBLES delà menstruation. Il a pu guérir par l'hypnotisme deux cas de métrorrhagie. AI. FORE (de Zurich) lit un tr
tion dans LE traitement DES maladies MEN- tales. Dans 10 p. 100 des cas environ, il obtient l'hypnose qu'il emploie à c
(de la Haye) fait une communication sur le même sujet et relate des cas de mélancolie surtout, d'agoraphobie, de folie
de laquelle il est évidemment irresponsable. Pour arriver, dans un cas semblable, à trouver le vrai coupable par les exp
t que la suggestion n'a rien à faire avec eux non plus que dans les cas , les seuls réels, de crimes perpétrés contre un
nels le savent bien, car ils ne l'emploient pas et on ne cite aucun cas semblable bien nettement établi. L'hypnotisme n
- logtque (maladies mentales, paralysie agitante, etc.). Dans les cas de 7,Étilway-spiiie, la prédisposition semble jou
luence de la prédisposition et cite à l'appui de cette négation, le cas d'une hystérique qui vit cesser ces attaques à la
n ce qui con- cerne le rôle de l'émotion, il suffit de rappeler les cas d'hystérie, provoqués par elle seule, et qu'on
tement. Est-ce là aussi de l'hystérie ? M. Motet croit que si les cas légers peuvent appartenir à l'hys- térie, les p
la pension de retraite. la guérison parais- sant, dans de nombreux cas , bien problématique. 1\i. GARNIER se basant sur
autres puissent être provoquées par le traumatisme. Mais il y a des cas d'hystérie incontestahles même dans Lasègue. .
es relatées dans la science sous le nom d'épilepsie larvée sont des cas d'altération de la conscience chez les hystérique
voit se défaire la posi- tion cataleptique. Il y a en revanche des cas dans lesquels, sans cause perceptible, tout à c
cination n'est pas du tout provoquée. On pourrait croire, en pareil cas , à une simulation, par suite de l'absence d'émoti
agnostic. Le signe de Westphal s'est montré seul dans 20 p. 100 des cas ; il accompa- gnait la fixité pupillaire chez 25
la démence apathique avec humeur mobile. La durée comporte pour 101 cas de mort : un an quatre dixièmes en ce qui conce
la paralysie générale atteindre le mari et la femme ; dans un seul cas il constata la syphilis, les deux autres exempl
. Contributions à la pathologie du tabès dorsal.- Il s'agit de deux cas observés par l'orateur. Le premier se traduisit,
s avec l'insuffisant développement de ces facultés. Dans le premier cas , on a affaire à une maladie mentale; le second
p. 100 d'hommes, 10 p. 100 des femmes, en tout 24 p. 100. En aucun cas d'ailleurs, il n'a été constaté que le séjour à
quand le public et les fonctionnaires, se préoccupant davantage des cas d'aliénation mentale douteux ou non, qu'il leur
istration. Il n'a vu survenir de malaises (vomisse- ments) qu'en un cas . Dans les cas de douleurs névralgiques, il lui
n'a vu survenir de malaises (vomisse- ments) qu'en un cas. Dans les cas de douleurs névralgiques, il lui est souvent ar
'ont décidé à faire au congrès la présente communication. En tout cas , il est une chose nécessaire, urgente, c'est d'em
ÉfIYDE. M. Hughes rap- porte dans thc Alicnist and Nell1'ologist le cas d'une jeune femme morphinomane qui cessa la mor
sous peine d'amende et de prison, la déclaration immédiate de tout cas nouveau. De plus l'isolement absolu du malade e
ervi aux malades. Les. enfants habitant les maisons où existent des cas de méningite cérébro- spinale, seront exclus te
les plus développées. L'aliénation mentale EN RussIE.-Le nombre des cas de mala- dies mentales augmente graduellement d
ron de 15 p. 100 pendant ce laps de temps. Ce plus grand nombre des cas se produit de seize à vingt-deux ans, surtout d
éritables ex- pertises médico-légales sur l'état d'un séquestré, en cas de procès; autoriser l'ouverture de tout établi
ne simple coïncidence, ou si réellement la migraine dépend dans ces cas de la paralysie générale. En effet, cette com
ons de ce genre que la rela- tion de M. Parinaud. C'est pourquoi le cas que nous rapportons plus loin, cas dans lequel
e M. Parinaud. C'est pourquoi le cas que nous rapportons plus loin, cas dans lequel la migraine oph- talmique est appar
ur la curabilité de la migraine ophtalmique formulerait en tous les cas où il la constate un pronostic favorable, d'avo
ales et réagissent bien, l'acuité visuelle est normale '. Dans ce cas , la migraine ophtalmique a été le pre- mier et
e héréditaire ci-dessus justifiée. Il s'est aussi produit dans ce cas , une attaque d'é- pilepsie sensitive bien carac
u'acquiert au point de vue du pronostic un diagnostic exact dans un cas de ce genre, en se rappelant que si c'est la se
jeu, on devra s'attendre à l'issue fatale qui est de règle. Dans un cas donc, pronostic favorable et dans l'autre des p
ttirer l'attention. Il faudra en tenir sérieusement compte dans les cas de migraine ophtalmique simple, plus encore dan
que, on recherchera des symptômes de paralysie générale, et en tout cas , même en l'absence de tout - autre indice de mé
a pas de lésions en foyers à droite, ceci n'est pas rare dans les cas semblables. D'ailleurs les deux hémisphères étaie
neville et Baumgarten, Soc. anatomique, 1888). Les lésions, dans ce cas , étaient bien celles de la méningo-encéphalite;
nce blanche qu'on voit sur les coupes de la circonvolution dans ces cas Archives, t. XVIII. 22 338 8 anatomie patholo
Archives, t. XVIII. 22 338 8 anatomie pathologique. et dans les cas normaux pour la constater; le réseau vasculaire
t en grande partie néoforme. Observation III. - Voici maintenant un cas d'idiotie avec - induration du cerveau, dans -l
Dr Bourneville, pense qu'il faut faire jouer un grand rôle dans ces cas à l'asphyxie des nouveau-nés, comme cause de l'
nt avec les lésions diffuses de la convexité, comme dans nos autres cas . Seulement ici, l'examen comparatif de cerveaux
ésions, à cause de l'âge peu avancé du sujet; de même que dans le cas suivant : Observation V. - Paugno... (Charles),
voir quelques exemples. L'examen de la figure qui se rapporte à ce cas montre la grande ressemblance qu'il présente av
aire qu'on observe, beaucoup plus prononcé d'ailleurs dans d'autres cas d'idiotie. Au-dessous de ces points très lésés,
uve dans la plupart des cerveaux d'idiots 1. On voit que, dans ce cas , il existe de véritables bandes de tissu fibril
tricielles avec l'épilepsie ne peut aussi qu'être indiquée. En tout cas , nous possédons des pré- parations de circonvol
blanche est infiltrée d'un grand nombre de noyaux. Dans ces deux cas , nous relevons l'absence d'accumulation de pigmen
t, petits et multiples, peuvent se présenter chez l'enfant. Dans le cas suivant, il s'agit d'un enfant de trois ans, Po
un tissu finement celluleux. Les plaques jaunes trouvées dans ces cas sont sans- doute des foyers de ramollissement,
5. id. Atlas, livre 20, pl. III, livraison ve. Isambert et Robin. Cas de sclérose du cerveau dans l'idiotie. Soc. bio
avaient été exactement enlevées sur les deux hémisphères; dans le cas contraire, une portion de ces centres avait sûr
it dans le point de départ, ici cérébral, là cutané, mais en tout cas périphérique par rapport au centre du mou- veme
agir, être actionnés par le reste du cerveau. Que l'on songe aux cas bien constatés d'aphasie motrice et d'agraphie
t peu. de médecins et de physiologistes qui n'aient recueilli des cas de paralysie de la sensibilité générale et du m
onvolutions centrales et pariétales. Dès 1882, Lisso avait réuni 88 cas de troubles de la sensibilité générale observés
origine corticale et méritent d'être étudiés avec soin... » Dans le cas de Déjérine, la zone motrice corticale était se
ule interne, et que ces paralysies rétrocèdent, ce qui n'est pas le cas lorsqu'une lésion destructive intéresse la caps
t surtout des fonctions sensitives, et non motrices, mixtes en tout cas '. A la vérité, les résultats d'une récente étu
gauche, des phénomènes d'hyperthermie unilatérale observés dans un cas d'hémiplégie motrice droite, l'observation clin
el et Charcot l'auraient pu sou- haiter, les a engagés à publier ce cas . Mais Baginsky et Lehmann, en enfonçant une aig
isque l'écorce représente le centre réflexe, ce qui n'est point-le- cas . C'est'évidemment pour parer à cette objection
lité tactile des extrémités, comment expliquer le fait que, dans le cas spécial ici communiqué, non seulement il n'y eu
l'excitation de la substance corticale du cerveau. Dans le premier cas , ce qui se produit, ce sont des réflexes commun
it alors aussi bien que la perte de la sensibilité. Dans le premier cas , le courant électrique serait l'é- quivalent du
istri- bution bilatérale de la dégénération de la moelle. En tout cas , Pitres les a rencontrés dans les dix observa-
s tissus graisseux ont le type de tissus mu- queux. Mais il y a des cas où chez un homme adulte, sous l'influence de co
ion des cellules, et non pas leur atrophie, donc nous avons dans ce cas non pas un processus atrophique, mais un procès
nous avons sur le myxoedème jusqu'à présent. Prenant pour base les cas de myxoedème décrits et ceux que nous avons eu
ue le gonflement devient général et envahit tout le corps. Dans ces cas , le malade a l'air de se trouver dans un sac bi
ades présente une quantité amoindrie de corps rouges. Dans quelques cas , le pouls devient lent, 60', parfois la tempéra
60', parfois la température tombe j usqu'à 36,5-36°. Dans quelques cas , nous trouvons une augmentation d'urate dans l'
e, de la barbe, des moustaches, des poils de tout le corps. Dans un cas seulement, on observa une augmentation de la cr
r à l'aide du doigt. La voix devient basse et voilée. Dans quelques cas , on voit apparaître des douleurs dans différent
. 428 plus ou moins complet. Rarement on voit apparaître dans des cas de myxoedème le délire ou l'état maniaque. Du c
hallucinations; les réflexes sont le plus souvent intacts. Dans des cas bien rares, on voit apparaître des hémiplégies
nvulsions et des attaques épilepti- formes. Dans presque tous les cas de myxoedème, on observe l'ab- sence de la glan
reins. L'extirpation de la glande thyroïde est suivie dans bien des cas de myxoedème. Ma propre expérience, sous ce rap
expérience, sous ce rapport, consiste dans l'obser- vation de cinq cas de myxoedème, dont quatre étaient repré- sentés
un ans, une trente-sept ans et une quarante- six ans. Dans les cinq cas , il existat une tare héréditaire psychopathique
cas, il existat une tare héréditaire psychopathique. Quatre de ces cas de myxoedème ne présen- taient pas de déviation
ourquoi je ne donnerai pas l'histoire de leur maladie; le cinquième cas me parait être assez intéressant pour que je me
permette de le décrire en détail. Relativement aux quatre premiers cas , je ferai remarquer seulement que chez le garço
e était accompagné d'un état créti- noïde des plus marqué; dans les cas des deux jeunes femmes le myxoedème se développ
luence de sérieux chocs moraux et de refroidissement. Dans ces deux cas , le myxoedème était loca- lisé et occupait les
de régime et de traitement neuro- tonique. La maladie dans ces deux cas fut arrêtée à son début. Chez la troisième femm
rente-cinq ans et s'accompagna de complète démence. Dans ce dernier cas le traitement ne donna pas de bons résultats. L
nier cas le traitement ne donna pas de bons résultats. Le cinquième cas présente une combinaison de symptômes à tel poi
maladie forme l'un de ses symptômes coordinaux. Il est vrai que des cas de maladie de Basedow sans struma existent, mai
ai que des cas de maladie de Basedow sans struma existent, mais ces cas sont tout aussi rares que les cas de fièvres sa
sans struma existent, mais ces cas sont tout aussi rares que les cas de fièvres sans augmentation du volume de la rate
tant d'autorité; mais ne serait-il pas admissible*que dans quelques cas d'hypéres- 1 hésie pathologique de la glande th
ré son volume exagéré. Ce n'est qu'ainsi que je puis m'expliquer le cas de maladie de Basedow combiné de myxoedème que
e sensation de froid, surtout aux endroits gonfles. L'intérêt de ce cas consiste en ce que le myxoedème se déve- loppa
a glande était altérée. Mais si nous rappelons à notre souvenir les cas de myxoedème chez les crétins, nous ne nous éto
l'équilibre normal et dans quel moment la limite sera passée. Les cas ne sont pas rares où la glande thyroïde agrandie,
ement son extirpation totale; la différence est que dans le premier cas l'opération ne se fait pas par le chirurgien, m
hangements qui rendent impossible sa fonction normale. Dans notre cas , les phénomènes myxoedémateux furent tem- porai
ditions qui avaient influé de la sorte. Il est possible que dans ce cas il y ait eu altération temporaire d'un organe,
ie sur la face et le revers de la main. Reynaud observa dans quatre cas de la leuco- dermie ou bien duvitiligo. Bartolo
e de l'accumu- lation d'une substance toxique inconnue, qui dans ce cas ne se filtre plus par la glande thyroïde non fo
allas. Le myx. (Province n : e'6t., 1889, p. 65). - Tessier. Sur un cas de myx. (71<e<. niéd. des Vosges, 1889, p
à l'idiotie myxoedérnateuse . Bourneville. Notes sommaires sur deux cas d'idiotie avec cachexie pachydermique (Arch. de
pachydermique (Arch. de Neuz·., 1888, vol. XVI, p. 131). - Régis. Un cas de crétinisme sporadique (L'Encéphale, 1888, p.
de crétinisme sporadique (L'Encéphale, 1888, p. 697). - Camuset. Un cas d'idiotie avec cachexie pac/ ! 1/d. (arcs. de Neu
9, vol. XVII, p. 85).- Bourneville. Notes et réflexions à propos du cas précèdent (Ibid.), p. 90). Cousat. Idiotie avec
urnal of Mental science, octobre 988ï.) Dans le premier de ces deux cas . on constatait un état d'atro- phie et de dégén
e grave lésion cranio-cérébrale avec perte de substance. Ce premier cas se rattache donc de la façon la plus nette à l'
érence dans l'écorce grise du lobe frontal gauche. Dans le second cas , comme dans le premier, il existait un cer- tai
e. La forme dépressive des troubles émotifs s'est accusée dans ce cas avec une netteté peu commune. REVUE DE PATHOLOG
- vantage de la première de ces deux maladies. Il. M. C. IV. Deux cas de thrombose DES sinus cérébraux; par Joseph WI
urnal of Mental Science, octobre 1885.) . L'observation de ces deux cas est rapportée avec détail et pré- sente un inté
e rattachée à un état général ou constitutionnel. R. M. C. V. Trois cas DE suffocation; par David WELSI ! . (The Journal
ELSI ! . (The Journal of Mental Science, juillet 188G.) Ces trois cas sont intéressants à des litres divers. Dans le pr
trois cas sont intéressants à des litres divers. Dans le pre- mier cas , on trouvait un amas de lymphe à la bifurcation d
de passer dans le larynx, n'aurait pas sauvé le malade. Le second cas démontre l'utilité de la trachéotomie immédiate
ode avan- cée de la paralysie générale. Enfin, clans le troisième cas , la suffocation n'a été que le pre- mier anneau
tarda pas à se rompt et le sang se répan- dit entre les muscles. Ce cas est un de ceux qui démontrent le plus nettement
opsie pour reconnaître avec précision la cause de la mort ; dans ce cas , en effet, l'observation clinique conduisait na
rme n'est qu'une subdivision de la première ; elle a pour types les cas où la respiration de Cheyne-Stokes est modifiée
e : alors commence une nouvelle période de dyspnée. Dans certains cas la période descendante est soit considérablement,
piques bien nettes des éléments de la moelle allongée dans un des cas publiés par lui, ne se croyait pas en droit d'éta
istence de la respiration de Cheyne-Stokes; mais récemment, dans un cas où ce type respiratoire avait été constaté, Tiz
pendyme, au niveau du sillon longitudinal du calamus. Dans un autre cas (d'origne urémique), des lésions analogues fure
trées dans le segment supérieur de la moelle allongée; mais dans ce cas l'intégrité des nerfs vagues était complète. R.
Cette sclérose est essentiellement diffuse et s'étendait dans deux cas jusquau voisinage de la colonne de Clarke e au
une masse solide à la suite d'une simple ponction. G. D. XIII. UN cas d'ataxie locomotrice avec début par DES troubles
. On peut donc supposer que la sclérose a envahi d'emblée dans ce cas les fibres nerveuses profondes, mais la constatat
re l'arlhritisme et la paralysie générale. G. D. XVIII. Note sur un cas D'UÉMORRIIAGIE bulbaire ; par M. A. DUTIL, (Gaz
par R. FaiEDLOENDER. (Ccnlmlhl. f. Nervenheilli, 1887.) .11 est des cas dans lesquels le courant constant doit être appli
mployé de la même façon, produit un effet con- traire dans les deux cas . P. K. VI. Traitement DE l'épilepsie par LE bro
s artérielles ou veineuses de la rétine, presque dans la moitié des cas . Chez 30 p. 100 d'entre eux, la lumière du vais
u niveau de ces rétrécissements, tantôt (c'était le petit nombre de cas ) la colonne sanguine avait diminué de diamètre
as une minute, puis la vue (il s'agis- sait de l'oeil droit dans le cas d'épilepsie due à la sypliilis) récu- pérait en
jauger d'après le traitement mis en oeuvre. Dans la collection des cas de tabès paralytique syphilitique et de paralysie
savantes. assez sérieuses. La bibliographie ne renferme que peu de cas de guérisons persistantes par le traitement ant
udions à présent les éléments du pronostic. Après avoir éliminé les cas de tabes dorsal paralytique et de paralysie génér
en obtenu en deux semaines, il n'y a guère lieu d'espérer. Les 1 oo cas de guérison de l'orateur comprennent 4 cas d'amél
lieu d'espérer. Les 1 oo cas de guérison de l'orateur comprennent 4 cas d'améliora- tion indubitable dès la première se
faut se sevrer au plus vite des boissons alcooliques, même dans le cas de délirium tremens; on peut sans danger (stati
her des affaires de la Société. M. HOFFMANN (privat-docent). Sur un cas d'atrophie musculaire progressive. - L'orateur
des psychoses dues à une néphrite, probablement urémiques. Dans ces cas , l'aliénation mentale ne se montre que longtemp
'action de l'acide nitrique on remarque en effet que, dans bien des cas , alors que l'ébullition et l'addition d'acide n
tôt d'abord de l'albumine commune, puis du propeptone.' En bien des cas , le propeptone est le premier signe d'une influen
i contiennent de l'albumine. Le microscope ne révèle, même dans les cas d'albuminurie très prononcée, que des cylindres
s, trois folies systématiques, une hébéphrénie. Dans la plupart des cas , le sommeil survint de un quart d'heure à une h
pareil moteur soit réduit à l'impuissance. Kast a jadis publié le cas d'un jeune cultivateur qui, à la suite d'un tra
de malades et de pièces anatomiques). - L'Observation 1 concerne un cas de paralysie bulbaire aiguë. L'auteur, après av
lysie bulbaire supérieure et de sclérose des cordons postérieurs. Cas semblable à ceux de Struempell, Kahler et Pick, H
à l'occasion des mouvements in- tentionnels. C'est là cependant des cas de sclérose en plaques, dans lesquels ces sympt
. Bartels en étudie la génèse- chez trois d'entre eux. Le premier cas concerne une demoiselle de soixante-dix ans, at-
et l'aliéna- tion mentale. Le code pénal doit donc tenir compte des cas dans lesquels le crime ou délit se rattache aux
alade. Plus la science progressera, plus nous arriverons, en chaque cas donné, à réellement voir la vérité. Mais la doc
, le mariage n'existe plus que de nom : ce qui n'a pas lieu dans le cas de l'infirmité physique. Aucune des objections
cles en question devraient spécifier plus ex- pressément les divers cas psychopathiques. Sur la proposition de M. Mende
émises et à faire les démarches nécessaires séance tenante dans le cas où il y aurait nécessité d'agir avant la pro- c
ons, en les justi- fiant, sur un aussi grand nombre que possible de cas démontrant les désavantages du nouveau procédé.
nie est bien voisine des psychoses vraies. Voici l'observation d'un cas qui a exactement suivi l'évo- lution d'une foli
t qui demande une observation exacte 'et la publication de tous les cas que l'on pourra rencontrer, afin de dissiper to
pe les observa- tions d'Oppenheim, et en étudiant parallèlemenr les cas de sim- mulation, on dissipera les ténèbres.
- tenu que de la dégénérescence graisseuse du coeur. M. Brie. Des cas de mort subite dans les psychoses. - A la suite
ue. L'auteur signale à ce propos l'extrême difficulté dans certains cas de distinguer l'hémiplégie liée à la sclérose e
tration pénitentiaire, à qui le condamné n'appartient plus. En tout cas , cette remise ne serait faite qu'autant que les c
osson, 437. Psychose (réflexe traumatique), par Ttomson, 296 ; ( cas de mort dans le-,), par Brie, 465. Ramollisse
81 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
ans infirmité; s'il occupe, au contraire; la capsule interne, dans le cas où le malade survit, il persiste toujours une par
olongement cylindrique des cellules motrices spinales. C'est, dans un cas comme dans l'autre, un filament grêle à son origi
accusées à gauche qu'à droite. L'auteur émet l'opinion que, dans ce cas , les membres ayant été de bonne heure complètemen
ns les centres psycho-moteurs l'état des cellules nerveuses. • Un cas , observé par M. Luys, se rapproche dans une cer-t
M. Luys, se rapproche dans une cer-taine mesure du précédent. Dans un cas d'amputation an-kmon collègue, à la Salpêtrière,
rmes et tout à fait insuffisantes à rétablir le cours du sang dans le cas d'obli-tération. Certaines anomalies expliquent a
dans le cas d'obli-tération. Certaines anomalies expliquent aussi les cas de ramollissement d'un hémisphère entier par un c
quefois légèrement teintée de jaune. A. Nous avons supposé, dans ce cas , qu'il s'agissait de l'oblitération d'une branche
rement, toujours, à coup sûr, des effets aussi désastreux. Il est des cas , rares à la vérité, où une telle oblitération por
ec rapidité dans les autres territoires. 11 fait appel .aussi à des cas pathologiques qui indiquent que Foblitération d'u
s branches ne s'est révélé pendant la vie par aucun symptôme évident, cas dans lesquels, la mort étant survenue, la pulpe c
emplit d'abord le territoire de la sylvienne et, dans la majorité des cas , elle en dépasse les limites. La matière à inject
ses de temloi^e à territoire est d'ailleurs très variable. Il est des cas où l'on peut injecter iso-lément un seul des troi
ralysie soit du mouvement, soit de la sensibilité. L'aphasie, dans ce cas , était le symptôme unique et l'atrophie de la tro
membre supérieur et, pour une partie, du membre inférieur. Dans ce cas , la circon-volution en question est remplacée par
hiée. Or, bien que la couche optique etle corps strié fussent dans ce cas tout à fait indem- Fig. 17. — Territoire vascul
autres parties de l'écorce grise du cerveau. C'est ainsi que, dans un cas de des-truction limitée au lobe carré (plaque jau
eure. Eh bien, pendant la vie, il n'avait pas existé non plus dans ce cas la moindre trace d'hémiplégie. Ces exemples, qu
t que les statistiques récentes ne font que confirmer. Ainsi, sur 119 cas rassemblés par Andral et Durand-Fardel, 102 fois
ue l'absence d'anastomoses est encore une condition fâcheuse, car, en cas d'une pression exagérée dans un vaisseau, le déga
nombre de preuves pathologiques. J'invoquerai, entre autres, certains cas de dé* génération descendante observés par Vulpia
dé* génération descendante observés par Vulpian et par moi. Dans les cas auxquels je fais allusion, il s'agissait de plaqu
us verrons, en effet, que les symptômes sont différents dans les deux cas : présents dans le second cas, les symptômes de l
symptômes sont différents dans les deux cas : présents dans le second cas , les symptômes de l'hémianesthésie cérébrale font
depuis longtemps bien reconnu (2) — se fait tout d'a-bord, en pareil cas , non dans l'épaisseur même du corps strié, mais e
du côté de la cavité ventriculairefi^. 22). Je viens d'indiquer des cas très vulgaires, mais il peut arri-ver aussi qu'un
ce genre, acces-sibles à la clinique, sont ici encore, comme pour le cas du ramollissement, celles qui répondent à l'envah
ellerai hémiplégies cérébrales cor-ticales. b) Dans la majorité des cas , la paralysie liée aux lésions des noyaux gris ce
s épileptiformes, sur-viendraient à peu près nécessairement en pareil cas , et la mort plus ou moins rapide est la conséquen
e se présente isolée, du moins à titre de phénomène permanent dans le cas par exemple où les parties les plus reculées, les
ractusune perte de substance irréparable. Il importe de distinguer ce cas de celui où la capsule interne serait intéressée
onnent de tous côtés. Ainsi, la distension d'un de ces noyaux dans un cas d'hémorragie interstitielle pourrait avoir pour e
paralytiques, résultant de cette compression — en dehors toutefois du cas d'une tumeur —• pourront n'être que tout à fait p
t tout à fait insuffisantes pour la solution du problème, et c'est le cas de répéter, une fois de plus, que la physiologie
'hémianesthésie des hystériques ; 2° que, au contraire, dans tous les cas où, respectant cette région, les lésions intéress
sthésie unilatérale. L'anesthésie totale ne se montre là que dans des cas relativement exceptionnels. Un plan antéro-postér
reconnaissant un point de départ organique. Envisageons d'abord le cas de l'amblyopie hystérique. II. 1° Ici la dimi
peine les nombreuses com-binaisons qui pourront se produire dans les cas d'hystérie où ce genre d'amblyopie est parvenu à
ous retrouvés constamment, avec leurs nuances variées, dans plusieurs cas d'amblyopie croisée accompagnée d'hémianesthésie
d'anesthésie. Cette même particularité s'est rencontrée dans tous les cas d'hémuinesthésie cérébrale reconnaissant pour poi
sèment de la moitié droite du champ visuel, et inversement pour le cas d'une lésion de l'hémisphère droit. Je crois de
sion en foyer du cerveau ; mais je suis disposé à croire que dans les cas de ce genre — si réellement il en existe — il s'a
et qu'en 1723 Vater l'avait à son tour invoquée pour expliquer trois cas d'hémiopie qu'il avait observés (1). Je vous rapp
nt, ce qu'on appelle l'hé-miopie temporale. M. Saemisch a pu, dans un cas de ce genre, annoncer, pendant la vie du malade,
ma, par exemple, en conséquence de lésions (1) Voir entre autres le cas de E. Mullcr dans Archiv fur Ophlhalmolof/ie, VII
re autres, décrit avec soin par M. Ivnapp (1). 11 s'agissait, dans ce cas , d'une compression produite sur les points indiqu
les uns. et les autres, une réduction de volume des plus manifestes [ cas de la nommée Magdaliat (1)]. J'ai observé plusieu
ras conjonctifs antérieurs et postérieurs, eux aussi, étaient dans ce cas remarquablement atrophiés ; ils avaient une color
d'un pédoncule céré-bral par la non-participation, dans ces derniers cas , de la vision et de l'odorat. Chargoï. Œuvres c
latérale qu'il s'agit en pareille circonstance, on invoque surtout le cas où le trouble visuel se développe brusquement, à
alion matérielle grossière, durable. Il n'en est pas de même dans les cas de la seconde catégorie, où le concours de l'apha
anent (2). Dans l'état actuel des choses, je ne vois pas commentées cas divers, révélés par la clinique, peuvent être ana
propos des faits de la deuxième catégorie. Cela s'est produit dans un cas publié récemment par M. Hirschberg, dans les Ar-c
placement lentement effectué, comme cela se voit si sou-vent dans les cas de tumeurs. J'ai fait remarquer, en outre, qu'à
ai d'abord de l'intensité relative des symptômes paralytiques dans le cas des lésions de la capsule interne, com-parée à le
lésions de la capsule interne, com-parée à leur faible degré dans le cas des lésions limitées aux noyaux gris, après quoi,
quoi, j'envisagerai le caractère transitoire de l'hémiplégie dans les cas du dernier genre, par opposition à la permanence
rapprocheraient beaucoup de ceux qu'on observe chez l'homme, dans les cas de lésions en foyer des hémisphères cérébraux (3)
s par exemple dans un membre ou une partie d'un membre (1). Dans le cas d'une lésion destructive de la capsule interne, u
tution, s'il s'accomplit en réalité quelquefois ne se produit en tout cas , très certainement, que dans des circonstances ex
ses prin-cipales de la persistance de l'impuissance motrice, dans les cas qui nous occupent. Il faut également, à mon avis,
ie, la contracture perma-nente, dite tardive (1), qui, dans ces mêmes cas , s'empare tôt ou tard des membres paralysés, et j
et la substance médullaire sous-ja-cente, ainsi qu'on le voit dans le cas de ramollissement isché-mique, résultant par exem
ticulaire. — F, capsule ex-terne. — G, avant-mur. Il existait dans ce cas une lésion descendante très accentuée. servatio
e spasmodique infantile). 2° Le seul examen macroscopique, dans les cas un. peu anciens et un peu accentués, permet déjà
ours des fibres de la capsule interne dans son tiers moyen. En pareil cas , le pied du pé-doncule cérébral du côté gauche pa
ose qui ne diffère en rien d'essentiel de celle qui s'observe dans le cas de sclérose fasciculée primitive (1). 4° C'est
ves de cause cérébrale, et ces sclé- (1) L'extension, dans certains cas , de la lésion au-delà de ses limites habi-tuelles
e altéra-tion, l'induration grise, se montre localisée, dans les deux cas , dans le même système. Mais il y aussi des différ
one scléreusc occupe d'une façon gé-nérale la même région que dans le cas précédent, mais ses limites sont beau-coup plus é
s de la tache scléreuse sont ici diffus, mal délimités. Dans quelques cas on les trouve, en dedans, pour ainsi dire confond
celle-ci est régulièrement envahie par l'altération scléreuse dans le cas de sclérose latérale amyotrophique, tandis que ce
symptômes se reproduisent avec leurs ca-ractères essentiels, dans les cas de sclérose consécutive à une lésion du cerveau,
les cornes de substance grise, par exemple : on comprend qu'en pareil cas d'importantes modifications puissent survenir dan
ormale, et ne s'amaigrissent qu'à la longue, su-bissent dans certains cas une atrophie dégénérative plus ou moins rapide, e
'affection spinale ou bulbaire, la sclérose latérale, dans ce dernier cas , ne diffère aucunement de ce qu'elle est dans le
ent les noyaux gris centraux non plus que la capsule interne. Dans ce cas , il y avait une atrophie très accusée du pied du
e, pendant le cours des quinze dernières années, sont relatives à des cas de ramollissement ischémique an- [i)Archives de
- [i)Archives de physiologie, 1875. ciens(l). La lésion, dans ces cas , se présentait sous la forme de plaques jaunes, p
tions peuvent être ramenées à deux groupes. Le premier comprend les cas dans lesquels, pendant la vie, il n'avait pas exi
lconque des deux tiers antérieurs des lobes frontaux. Dans tous les cas du second groupe, il y avait eu, au con-traire, h
érose consécutive était parfaitement accentuée. Le trait commun à ces cas est que, constamment, la lésion intéressait plus
r des lésions minimes, sans caractère déterminé, inca-pables, en tout cas , de rendre compte des principaux faits du drame m
al croisé, et la pie-mère, existe de chaque côté, un espace en pareil cas respecté (au moins dans la région cervi-cale) : c
thodes prescrites. Veuillez remarquer que nous nous trouvons, dans ce cas , où il s'agit de lésions systématiques, c'est-à-d
ar les observations de M. Flechsig qui portent sur une soixantaine de cas . Les variétés en question, d'après M. Flechsig,
un faisceau direct et un faisceau croisé. Dans la grande majorité des cas , le faisceau direct est beaucoup moins important
de ces fibres. Le nombre des fibres entrecroisées est donc en pareil cas si in-signifiant qu'il peut n'en être pas tenu co
être pas tenu compte. Vous comprenez, Messieurs, tout l'intérêt des cas de ce genre, au point de vue des paralysies céréb
bsolue et les recherches de M- Flechsig le démon-trent. Dans bien des cas , si l'entrecroisement ne fait pas abso-ment défau
40 0/0, il mériterait la désigna-tion de type asymétrique. En pareil cas , il n'existe que trois faisceaux : une seule des
existe entre les deux faisceaux issus d'une même pyramide, selon les cas auxquels je viens de faire allusion. Plus l'un es
e, parce qu'on pourrait au premier abord les rappor-ter dans certains cas à un état pathologique. TROISIÈME LEÇON Du fa
ion. Fig. 53. — Coupe horizontale de la région pédonculaire dans un cas de de-génération secondaire. — P, étage inférieur
nt environ les deux quarts moyens de l'étage inférieur. (D'a-près les cas récents auxquels il est fait allusion). il nous
rs. Mais notez bien ceci. Mes-sieurs, que dans la grande majorité des cas , les choses ne vont pas aussi loin, et que l'inte
la région cervicale. - A, dé-génération du faisceau pyramidal dans un cas de lésion des centres moteurs hémisphériques. — B
ter est donc complète; et la lésion dégénérative descendante, dans le cas qui nous occupe, est, ainsi queje l'avais annoncé
ur, mais aussi le segment médian, le genou de la capsule; et, dans ce cas , la lésion complexe de la capsule s'étendait par
on paraît contenir seule-ment des fibres centripètes, et qui, en tout cas , ne semblent pas susceptibles de subir la dégénér
par Deiters sur les cellules ganglionnaires spinales. C'est, dans un cas comme dans l'autre, un filament grêle à son origi
on de ces faits montre que la condition nécessaire pour que, en (1)- Cas de Déjerine cité par lssartier. (2) Flechsig (2
1)-Cas de Déjerine cité par lssartier. (2) Flechsig (2e mémoire.— 4 cas empruntés à Tûrck); pareil cas, la dégénération
tier. (2) Flechsig (2e mémoire.— 4 cas empruntés à Tûrck); pareil cas , la dégénération secondaire se produise, est que
u'il en soit, s'il en est ainsi, la cellule nerveuse mo-trice dans le cas de dégénération descendante devra être con-sidéré
se rattacher à quelque particularité anatomo-pathologique et, dans un cas , j'ai constaté, en effet, ce qui suit (1) : Il
rdon latéral. (D'après Pitres). très importants. 11 s'agit, dans ce cas , d'un foyer ocreux, ves-tige d'une ancienne hémor
ainsi dire, la racine antérieure correspondante. Mais, dans certains cas exceptionnels, et peut-être cependant moins rares
prochaine (1). 11 importe pour la théorie de remarquer que, dans le cas de M. Pitres comme dans ceux qui l'ont précédé, l
faisceau pyramidal, une étude attentive permettra peut-être, dans les cas de dégénération descendante où ces fibres sont al
(1) Depuis que cette leçon a été faite (21 avril 1879), de nouveaux cas d'à trophie musculaire consécutive à des dégénéra
— Degenerations secondaires de cause spinale. — Leur fréquence. — Le cas vulgaire par excellence est celui de la compressi
rieurs. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénérations dans le cas de lésion transverse partielle. -- Elles n'ont li
eu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux blancs . — Cas de l'hémiparaplégie spinale avec anesthésie crois
la lésion en foyer, cause de tous les accidents, nous envisagerons un cas fort simple, et en même temps, dans l'espèce, for
de ce genre de compression (1). L'agent de la com-pression, en pareil cas , est la dure-mère épaissie. Sur la face externe,
le ou telle région de la moelle épinière ; il en est de même dans les cas où la lésion transverse est partielle, c'est-à-di
difiée. II. Pour plus de simplicité, nous envisagerons d'abord le cas d'une lésion transverse totale, et nous supposero
te dégénération sera peu étendue, car l'altération ne porte en pareil cas que sur des fibres commis-surales^trôs courtes. N
sition s'est trouvée réalisée de la façon la plus remarquable dans un cas de sec-tion traumatique de la moelle épiniôre, ob
its du même genre ; M. Haloppeau en a signalé également dans certains cas de dégénération secondaire de cause cérébrale. Ce
ysies des deux membres inférieurs, qui se produisent parfois dans des cas de lésion unilatérale spinale ou de lésions céréb
pathologique. a) Le faisceau de Goll a pu se montrer,dans certains cas , lésé isolément,systématiquement,dans toute son é
core à vous rappeler, en passant, que les symptômes observés dans les cas de lésions isolées, systématiques, des faisceaux
de Goll (dégénération ascen-dante). tl) Si maintenant, au lieu d'un cas de compression, vous imaginez le cas d'une myélit
tl) Si maintenant, au lieu d'un cas de compression, vous imaginez le cas d'une myélite trans verse partielle et limitée ai
ière en date, et une observation de M. Th. Simon (1). Dans tous les cas observés jusqu'à ce jour, la lésion siège (1) Arc
ses se passent ainsi que le veut la théorie, on devrait donc, dans un cas récent de dégé-nération secondaire de ce genre, r
vaient être reproduites expérimentalement, à coup sûr, comme c'est le cas lorsque il s'agit des nerfs sec-tionnés. Or, Me
ieu, la dégénération est un fait constant : abso-lument comme dans le cas de nerfs spinaux sectionnés. — L'apparition des p
lésions rappellent exactement ce que l'on voit chez l'homme en pareil cas , à savoir, dégénération ascendante des faisceaux
aux de Burdach, et celles-ci dégénèrent de bas en haut. Dans les deux cas , la dégénération est à court trajet. Si, mainte
écaniques, chimiques ou électriques, est-elle suivie — comme c'est le cas lorsqu'il s'agit des nerfs -de contractures muscu
rents niveaux, deux hémisections en sens inverse, il y a dans le même cas paraplégie complète absolue de la motilité. III
s incitations volontaires (Fig. 79). Fig. 79. Fig. 78. 5° Dans le cas de section des faisceaux latéraux et posté-rieurs
d'autres vraisemblablement que peuvent suivre, au moins dans certains cas , les commandements venus du cer-veau. C'est là un
. Pour plus de précision, arrêtons-nous, si vous le voulez bien, au cas de l'hémorrhagie intra-encéplialique ; et, suppo-
ra-encéplialique ; et, suppo-sons qu'il s'agisse, dans l'espèce, d'un cas d'une certaine in-tensité. Ce que nous en dirons
ifica-tions près, d'ordre secondaire, s'appliquer ensuite aisément au cas de ramollissement apoplectiformc. Je supposerai
te région que se fait l'épanchement, dans la très grande majorité des cas . Examinons à nouveau la coupe horizontale que j
quer Gendrin, que commence à se former l'épanchement sanguin dans les cas ordinaires, la raison n'en est pas difficile à co
hémorrhagie se fait aux dépens de ces artères ainsi altérées, — et ce cas est très fréquent, — le sang se répand dans le ve
nterne en particulier sera seulement médiatement comprimée. En pareil cas /malgré l'intensité que les premiers symptômes aur
étrer dans la cavité ventriculaire. Si un tel accident se produit, le cas est des plus graves ; le malade succombe le plus
sur celles de ces fibres qui appartiennent au faisceau pyramidal, le cas est encore des plus sérieux ; non pas en ce qui c
elques mouvements, cette même trépidation, qui s'étend dans cer-tains cas au membre tout entier, peut aussi se manifester à
'aide de certaines pratiques, d'ailleurs fort simples. En dehors du cas que nous considérons actuellement, dans le cours
siège de la trépidation provoquée. Il n'est pas rare même, en pareil cas , que la contracture permanente s'em-pare de ce me
évidence. Le membre qu'on veut explorer est soutenu, comme dans le cas précédent, par la main gauche de l'observateur pl
us-quement, décrivant une trajectoire plus ou moins étendue selon les cas , puis retombe aussitôt après. Quelquefois, cepend
simultanément un mouvement d'ad-duction de la cuisse opposée. Dans un cas de paraplégie par compression spinale — et ceci e
de M. Berger, l'emploi de la strychnine qui met en évidence, dans les cas pathologiques, le phénomène du pied, accroît dans
mple propre à mettre en relief la réalité du fait, je mentionnerai le cas suivant observé récemment à l'hospice de la Salpê
re. Enfin la voilà devenue permanente. Dans l'immense ma-jorité des cas , c'est le membre supérieur qu'elle occupe en prem
nge, paradoxal en quelque sorte, bien difficile à interpréter en tout cas avec les données de la physiologie actuelle. Ve
, l'attitude du pied-bot équin. Mais il est toujours facile, quand le cas n'est pas trop ancien, de rétablir momentanément
tendent à établir que la contraction permanente des muscles, dans le cas de contracture, reconnaît une ori-gine analogue,
observe : ainsi M. Bou-chard a constaté cette attitude 26 fois sur 30 cas . L'épaule est tantôt abaissée, tantôt élevée ; ma
s. L'épaule est tantôt abaissée, tantôt élevée ; mais le bras en tout cas est accolé à la paroi thoracique par le fait de l
he pas la marche quia lieu, comme on dit, « en fauchant ». C'est un cas heureusement rare et très fâcheux que le dé-velop
peuvent être accomplis à nouveau. C'est là ce qu'on peut appeler des cas de guérison, guérison à la vérité très relative.
é. La lésion persiste-t-elle dans la moelle épinière, et, en pareil cas , y a-t-il suppléance? Comment, en outre, celle-ci
st la règle, tel est le genre de déformations qu'on ob-serve dans les cas vulgaires. Les autres attitudes que vous pourrez
rale est consécutive à l'hémorragie méningée ; tantôt — et ce dernier cas est assurément le plus fréquent — elle consiste e
ophie partielle du cerveau sous laquelle sont généralement connus les cas que je signale à votre attention. Les dégénératio
tractures. Il en est réellement ainsi dans la règle, aumoins dans les cas très accentués. Toutefois, il est certain que le
ulu conserve son indépendance, son individualité ; mais dans certains cas pathologiques, lorsque les éléments ganglionnaire
taire peut se communiquer de l'autre côté et y provoquer, suivant les cas * soit un mouve-ment volontaire, soit un mouvement
persiste pendant quelque temps après cet ébranlement. Dans certains cas , des relations du même genre peuvent s'établir en
laires très éloignés les uns des autres, et on comprend que, dans ces cas , les mouvements volontaires exécutés par les memb
est je crois, exagérée, et il faut considérer comme exceptionnels les cas dans lesquels les membres contractures des hémipl
ourquoi cette contracture, ainsi que cela a lieu dans la majorité des cas , s'établit en permanence.^- 3° Il importe, en d
e pendant toute la vie. Toutefois, on pourrait citer un bon nombre de cas où, à la longue, elle s'atténue et cesse môme d'e
'excitation fonctionnelle, la situation équivaut à peu près, dans les cas très accentués, à une section du faisceau py-rami
-quer la supression de l'influence modératrice cérébrale qui, dans le cas de section expérimentale des faisceaux latéraux,
a corne correspondante. Ces connexions sont telles que, dans certains cas , la lésion des tubes nerveux se propage aux cellu
rophie musculaire survenant dans les membres paralysés. 2° Mais ces cas , vous le savez, loin d'être exceptionnels, ne con
usque, non mesuré. La si-tuation pourrait être représentée, en pareil cas , par le schéma suivant (voy, Fig, 86). L'arc dias
cutanées sont manifestement in-tactes. 2° Je puis citer au moins un cas dans lequel les réflexes ten-dineux sont exaltés,
es propriétés sont conservées ou même exagérées dans l'hystérie. Ce cas est celui de l'hystérie avec hémianesthésie et hé
d'aucun mouvement réflexe (voy. Fig. 87). 3° Au contraire, dans le cas de l'hémiplégie durable liée à une lésion organiq
é. Cette môme diffu-sion de l'irritation pourrait aussi expliquer les cas d'hémiplégie sur lesquels M. Déjerine a appelé l'
la surexcitation réflexe se montrera d'ailleurs variable suivant les cas et suivant les sujets, ainsi que l'étendue des ré
e l'encéphalite a vécu. Il n'y a pas, en effet, d'encéphalite dans le cas d'hémorrhagie cérébrale en foyer, (1) Dans Je c
céphalite dans le cas d'hémorrhagie cérébrale en foyer, (1) Dans Je cas de contracture hystérique, par exemple. à moins
ême degré, ils peuvent être aussi lésés séparément. Rappelez-vous les cas particuliers dont j'ai fait mention, l'ataxie loc
ntracture et la contracture sans sclérose comme, par exemple, dans le cas de l'hystérie. On conçoit, en effet, que l'irrita
ture permanente figure parmi les symptômes habituels. 1° Prenons le cas des dégénérations consécutives descen-dantes de c
u genou, etc.) étaient assurément beaucoup plus prononcés que dans le cas de lésion: encéphalique unilatérale. — c) Il en e
e même des autres modes de l'activité réflexe. C'est en effet dans le cas de compression spinale que les mouvements réfle
permet d'espérw une issue plus heureuse, et dans un-certain nombre de cas , la guérison absolue, complète, a pu être constat
. De ce mode de terminaison si favorable, M. Bouchard a relaté cinq cas . Pour ma part, j'en ai observé six ou sept. Qua
puisse rien dire d'absolument précis à cet égard. Néanmoins, dans le cas observé dans mon service et étudié par Michaud, t
, qui ne permettent pas d'hésitation à cet égard. Mais dans d'au-tres cas , la maladie date de l'enfance, ou bien elle s'est
rfois à gagner les membres supérieurs. M. Erb a émis l'idée que ces cas se rapportaient à une forme pathologique spéciale
rb en ce qui concerne le caractère particulier de bon nombre de ces cas qui affectent dans la clinique cette forme de la
e de l'unité morbide du tabès dorsal spasmodique. En effet, quel-ques cas que j'avais rattachés à ce groupe nosographique o
e la moelle épinière. — Paralysie des deux membres inférieurs dans le cas de lésion spinale unila-térale. — Hypothèse anato
rticulièrement sur la myélite transverse, et nous avons considéré les cas dans les-quels la lésion occupe sur un point tout
entre beaucoup d'autres pour les besoins de la dé-monstration : 1° le cas d'une lésion traumatique consistant par exemple e
eau ayant détruit en travers une moitié de la moelle épinière ; 2° le cas très commun de la myélite spontanée syphilitique.
l'occasion de vous signaler un fait qui a été observé dans plusieurs cas , à savoir, que la sclérose descendante n'est pas
pondant, et qu'elle s'étend quelquefois au côté opposé, comme dans le cas de M. Mûller dont je vous ai dit les principaux d
décider la question : mais il n'est pas invraisemblable que dans les cas pathologiques on arrive à suivre le trajet des fa
abli d'une sclérose descendante des deux faisceaux pyramidaux dans le cas de lésion unilatérale, mais encore ce fait déjà r
ou autres, la rigidité et la contracture doivent apparaître en pareil cas , absolument comme s'il s'agissait d'une myélite t
re perma-nente s'est établie. Je vous ai fait remarquer qu'à côté des cas de guérison totale, complète, il y a à signaler d
qu'à côté des cas de guérison totale, complète, il y a à signaler des cas de guérison imparfaite ; les mouvements reparaiss
vé, les jambes ont de la tendance à rester ho- rizontales ; en tout cas , les pieds ne touchent pas à terre. Enfin le mala
ype. Ce type présente en outre une variante. Le malade qui, en pareil cas , se sert généralement de deux béquilles ou de deu
d'ail-leurs très vivante, d'Ollivier, et qui ne s'applique pas à des cas exceptionnels, soit restée, en quelque sorte, let
invoquer les symptômes concomitants. m. Nous avons jusqu'ici des cas de myélite transverse à début aigu ou subaigu, où
our rétrograder ensuite. Mais il ne faut pas ignorer qu'il existe des cas dans lesquels l'affection revêt, dès l'origine, l
l n'est pas rare de ren-contrer dans la clinique un certain nombre de cas où les symptômes de la paralysie spasmodique, dév
de la paralysie spasmodique, développés primiti-vement comme dans le cas qui précède, se montrent en quel-que sorte isolés
mbre,—pour qu'ils aient été amenés à penser qu'il ne s'agit pas là de cas vulgaires de myélite transverse (par compression,
laisse de côté l'atrophie musculaire qui s'observe également dans les cas où la substance grise est atteinte, et les symptô
phénomènes concomitants qui se présentent en si grand nombre dans les cas types. Ainsi, en présence d'une paraplégie spasmo
mémoire la série des accidents qui peuvent se trou-ver réunis dans un cas complet de sclérose multiloculaire. Il doit être
votre attention, s'il vous arrivait de vous trouver en pré-sence d'un cas de ce genre. 4° Je viens de dire que le tabès s
fication qui leur a été donnée. _ Par le côté clinique, ce sont des cas de myélite vulgaire par compression,syphilitiques
ainsi que je me suis plu aie reconnaître hautement, à l'occasion d'un cas présentée ma clinique comme un exemple de tabès s
, j'ai également rapporté à leur ori-gine légitime pendant la vie des cas qui eussent pu être rat-.- tachés au tabès spas
d'une lésion organique de la moelle épinière car il existe nombre de cas où les faisceaux latéraux sont affec-tés peut-êtr
llement, mais à coup sûr sans lésion ma-térielle. Sous ce rapport, le cas de l'hystérie auquel j'ai fait souvent allusion,
antérieure peut être affectée incidemment, se-condairement, dans des cas d'affections spinales d'Un autre ordre. Il faut a
e lésion des faisceaux blancs et spécialement des faisceaux latéraux, cas dans lesquels la nu-trition des muscles n'est nul
utanés, aux escharres, etc., tendance qui ne se montre jamais dans le cas des lésions sys-tématiques. 4° Dans la plupart
elque sorte, surajouté à ceux de la maladie principale, et, en pareil cas , le clinicien doit s'attendre à avoir sous les ye
nt un peu vagues, permettez-moi de faire appel à un certain nombre de cas concrets. 1° a) Parmi les lésions spinales diff
tiques, il faut mentionner la sclérose postérieure qui, dans bien des cas , s'étend à la subs-tance grise. Mais la forme mor
alpêtrière, a pris place, en première ligne, l'analyse détaillée d'un cas typique de sclérose latérale amyotrophique. Cette
se trouverait dépouillée de son caractère paradoxal. Mais, voici le cas concret sur lequel M. Charcot appelle l'at-tentio
u'à les consi-dérer isolément, on pourrait se croire en présence d'un cas d'atrophie musculaire progressive. Il n'en est ri
viennent plus frappants, à mesure qu'on analyse avec plus de soin les cas si communs d'affections spinales, décrits jadis s
rmettre à M. Charcot de faire voir la ressemblance étonnante des deux cas . Ici, l'affection est de date beaucoup plus réc
des deux premiers temps de la déglutition, etc. Tels sont les deux cas , presque absolument identiques, adoptés par M. Ch
Il s'agit donc d'une maladie bien spécialisée, autonome, et, dans les cas typiques comme les deux précédents, le dia-gnosti
D'ailleurs, le diagnostic, pen-dant la vie a été porté déjà dans des cas de ce genre, avec la plus grande précision, par n
rophique n'est pas de date si ancienne qu'on ne puisse en compter les cas . La statistique fournira donc la solution de la q
rvations de M. Leyden lui-même, dont il sera question plus loin, onze cas sont relatés avec les détails très circonstanciés
ique; c'est dire qu'il s'agit là de faits irrécusables. Dans tous ces cas , la contracture a été l'objet d'une mention spéci
t, M. Charcot a déjà fait cinq autopsies (1) ; et une fois seulement ( cas de la femme Pic... (2), la contracture ne figure
scopiques, le diagnostic a été complètement confirmé. Mais, comme les cas de ce genre ne sont pas encore bien communs, il e
modiques de la première période. L'observation III est le résumé d'un cas récemment publié par M. Nixon (1) ; quant à l'obs
Cette malade a été perdue de vue. 11 est incontestable que les deux cas , dont l'histoire abré-gée vient d'être rapportée,
on que si on l'avait actuellement sous les yeux. Or, comme ces quatre cas sont péremptoires au sujet des manifestations spa
il ne subsiste sur un total de 15 observations classiques, qu'un seul cas où il n'ait pas été fait mention de la contractur
que l'exagération des réflexes tendineux ait été signalée ; aussi, ce cas unique lui-même n'est-il pas tout à fait en défau
e caractère spasmodique de l'affection. Mais il existe, dit-on, des cas contradictoires ? On a cité des faits dans lesque
ique, voici, en quelques mots, à quels résultats on arrive ; 1° Les cas prétendus contradictoires ne dépassent pas le chi
x : et cela est déjà une in-fériorité par rapport aux observations de cas positifs qui sont au nombre de quinze ; 2° Dans
de cas positifs qui sont au nombre de quinze ; 2° Dans l'un de ces cas contradictoires (Shaw, de Broklyn), la contractur
t-ils été étudiés ? Il n'en est pas question ; 3° Dans un autre des cas du même groupe (Pick), s'il n'y avait pas de cont
observation que dans la précédente. 4° Il ne reste donc, en fait de cas contradictoires, que les quatre ou cinq cas de M.
ne reste donc, en fait de cas contradictoires, que les quatre ou cinq cas de M. Leyden lui-même. Or, pour ce qui est des ré
au coude. Outre que la rigidité articulaire pure et simple, dans le cas d'une paralysie flaccide, semble une chose bien i
t, parce que ses jambes commencent à trem-bler (2). » Tels sont les cas dont M. Leyden s'est servi pour tenter de démontr
rvations précédentes s'impose dès lors avec plus de vigueur. Mais les cas de M. Leyden n'en sont pas pour cela moins précie
s membres paraissent frappés d'une paralysie toute simple. Tel est le cas du malade cité dans l'observation I du profes-seu
. 338. Joffroy et Duchenne, Eisenlohr, etc., M. Charcot signale les cas de MM. Sabourin et Pitres, Dejerine, Duval et Ray
e si on l'observe, c'est en quelque sorte fortuitement, qu'il est des cas , ainsi que l'a reconnu M. Flechsig, où elle fait
is que ces lignes ont été rédigées, sont venus augmenter la série des cas authentiques de sclérose latérale amyotro- que,
— Degenerations secondaires de cause spinale. — Leur fréquence. — Le cas vulgaire par excellence est celui do la compressi
rieurs. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénérations dans le cas de lésion transverse partielle. — Elles n'ont lie
lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux blancs. — Cas de l'hémiparaplégie spinale avec anesthésie crois
e la moelle épinière. — Paralysie des deux membres inférieurs dans le cas de lésion spinale unila-térale. — Hypothèse anato
phique, 397 ; — progressive, 307, 383. Attitude des membres dans le cas de contracture permanente, 324, 329 ; — Variétés
82 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
DE-MÉDECINE 1890 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN Les deux malades dont nous
parce qu'elle présente un exemple typique d'une affection dont les cas publiés n'abondent pas encore aujour- d'hui, et
faits tout le temps avec des cataplasmes de farine de lin. Le DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. 3 malade prenait en outre
st de même en ce qui concerne la peau pour le doigt annulaire. DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. ô Pour celui-ci la rétrac
nnements d'oreilles, puis de ses panaris et de son impo- 1) Il' t') CAS DE MALADIE DE MORVAN. i tence dubras gauche. Au
qui, concerne la maladie de Morvan. Il s'agit là véritablement d'un cas fruste, présentant, il vrai dire, de nombreux p
te NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. III PL I. ASPECT DES DOIGTS DANS UN CAS DE MALADIE DE MORVAN LECROSNIER ET BASÉ, ÉDITEU
T REPRÉSENTÉE DANS LA PLANCHE I LFOHOSNfEH ET BABÉ, ÉDITEURS DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. 9 lorsqu'il fut victime à
pe Négatif A. LONDB. PHOTOCOLLOGRAPRIE 133RTHAUD SCOLIOSE DANS UN CAS DE MALADIE DE MORVAN FRUSTE . DEUX CAS DE MALAD
133RTHAUD SCOLIOSE DANS UN CAS DE MALADIE DE MORVAN FRUSTE . DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. Il Les ulcérations les pl
FACE PALMAIRE MONTRANT L'ATROPHIE MUSCULAIRE DES ÉMINENCES ' DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. 13 Les muscles de l'avant
oit intéressant les sens supérieurs (vison, odorat, le goût, ' DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN ? ? - 15 Fouie) et portant
r le second malade, la similitude de l'un et de l'autre de ces deux cas légitime absolument, il nous semble, l'idée de
ous n'avons pas la prétention de présenter un relevé complet de ces cas . La bibliographie de l'hystérie est trop étendue
alysie agitante. M. IIughlings Jackson formulait son opinion sur ce cas en disant que c'était là un exemple de trem- bl
r que, pour un grand nombre, je n'ose pas dire pour la totalité des cas , les tremblements mercuriels appartiennent à la
capitales qui nous paraissent se dégager de l'examen comparatif des cas que nous avons observés. Elles donnent, - 1. Re
à la suite d'une attaque convulsive (Obs. I, II et III). En pareil cas , que l'attaque ait été complète ou seulement éb
e des convulsions de l'attaque vulgaire et l'on a affaire en pareil cas à une véritable attaque de tremblement (Obs. II e
l succède à une attaque classique, il n'en est pas de même dans ces cas où le tremblement constitue, pen- dant un temps
tremblements peuvent être généralisés ou partiels; dans ce dernier cas , ils se localisent tantôt aux membres d'un même c
les tremblements hystériques ne se montrent pas dissemblables d'un cas à un autre, mais que le même sujet peut présent
t sous l'influence des mouvements actifs. Il convient de ranger ces cas dans une caté- gorie à part, celle des tremblem
ste, sans interruption, pendant des semaines et des mois. En pareil cas , s'il est quelque peu accentué, il constitue un
loin les observations détaillées (Obs. 1 et II). C'est sur ces deux cas que repose la description qui va suivre. Lorsqu
verser le rhythme régulier et continu de la trémulation. Dans les cas que nous avons observés, le tremblement des membr
s ? Nous ne pensons pas qu'il en soit ainsi, au moins dans tous les cas . On sait en effet que le phénomène de dérobement
fonctionnel chez nos deux hystériques. On comprend en effet que, le cas échéant, il contribuera à rendre plus frappante l
ent émotif » ou « nerveux » qui ont été publiés çà et là, plusieurs cas qui, selon toute vraisemblance, ressortissent au
ent. Tel est le dispositif que nous avons pu utiliser dans quelques cas , grâce à l'obligeance do M. Londc, chef du labo
houc communiquant avec le tambour enregistreur. Tandis que, dans le cas de maladie de Basedow, on n'obtient avec cet in
itation serait peut-être un instant permise en présence d'un de ces cas frustes de maladie de Basedow où le goitre et l'e
w, soit à l'alcoolisme, il pourra se présenter dans la pratique tel cas où il sera difficile de décider auquel de ces deu
chez des adultes (de Maillet, Max Braun, Zaborowski, etc). Dans le cas de Maillet, il existait chez deux frères. Quelq
présentent sous la forme d'un appendice mobile, comme dans quelques cas rares, d'inspirer les représentations qui nous
orsque le système pileux est peu développé en général comme dans le cas représenté sur la figure 29 ; mais lorsque lés
chez lequel la'touffe de poil caudale est bien visible. Tel est le cas rapporté par. OhmanivDu- mesnil, dans lequel la
: . passa par toutes les nuances ordinairement observées en pareil cas . La malade affirmait, ne s'être pas heurtée; el
aux chocs subis dans les accès. Cepen- dant lorsque, comme dans un cas de Bergeret sur lequel nous reviendrons, elles
phéno- mènes absolument de même ordre. L'auteur, du reste, dans ce cas par- ticulier, n'a pas manqué de rapprocher ces
s. Obs. XIII, p. 7.), en français, travail de la Salpêtrière). 2. Cas de maladies rares observés par le Dr Magnus llüss
ervé tout incomplet qu'il puisse ètre, en présence surtout d'autres cas absolument caracté- ristiques. Si nous cherch
ous envisagerons également dans cette étude. Prenons par exemple le cas si magistralement observé par magnums llüss, qu
es antécédents maternels ou paternels, toute une filiation 1. ])on\ cas d'onomatomanio : coexistence chez un malade de l'
umis à l'ob- servation des hystériques non dégénérés. Dans tous les cas , après avoir fait la part de la dégénérescence,
chez les enfants, ces prodromes s'accompagnentdans la majorité des cas du rêve de la grande attaque, rêve d'une import
pas céder à ses tentations* ». Nous ne citons bien entendu que les cas où il est possible de donner une interprétation
eviendra le siège .d'une vive hyperes- thésie. . En dehors de ces cas où la suggestibilité appose pour ainsi dire sa.
ire, comme ceux des alcooliques. C'est pour cela que, dans tous ces cas , l'isolement est le souverain baume de 1. Leçon
s plus de peine à supprimer la paralysie. Mais laissons de côté ces cas extrêmes où la crédulité a des conséquences dra
oeuvre. Avant de pousser plus profondément l'analyse, d'étudier les cas associés', nous voudrions dire quelque mots de
enons très bien avoir vu autrefois, dans un service de médecine, un cas type d'ataxie trépidante, détermination hysté-
Comme les ventouses expulsives, autrefois employées dans de pareils cas , étaient un peu démodées, on résolut de frapper l
nsèque, on ne saurait le dire, mais il n'en est pas de même dans le cas suivant dont l'expertise fut confiée à notre ém
de qui, dans ces conditions, ne manque pas de persister. Dans ces cas , pour que la guérison survienne, il faut en emplo
rexie quoi qu'on en ait dit; M. Charcot a observé « au moins quatre cas » de terminaison funeste dans ces circonstances
eau matin, elle se réveille contracturée des deux jambes : tous les cas sont coulés dans le même moule. La voici transpor
tit hôpital de province où malgré la croix et la bannière, c'est le cas de le dire, car on l'a quelque peu exorcisée, son
gne, en effet, que l'hystérie infantile revêt, dans la majorité des cas , un caractère transitoire, se basant en cela su
able, c'est la dégénérescence mentale. Et pour- tant combien de ces cas ne sont-ils pas étiquetés purement et simple- m
oeuvre de cette suggestibilité forcément différente, dans les deux cas qui crée les différences tout au moins apparentes
e croyait autrefois en concédant avec peine qu'il existait quelques cas d'hystérie masculine. C'est de forgerons, de mi
éno- pause. Nous avons pu l'étudier tout particulièrement dans deux cas rapportés par M. Charcot 1, et il nous a semblé
l'état mental qu'elle comporte guérissent-ils dans la majorité des cas chez l'enfant. Il n'en est plus de même chez l'
ETTE, Anrien Chef de clinique des maladies du système nerveux. UN CAS DE CARCINOSE VERTÉBRALE La malade dont je donne
ssion de la moelle elle-même, circonstance qui est réalisée dans le cas de tumeur localisée du canal rachidien, de mal de
onsi- dérable. Mais il n'en est pas toujours ainsi. Dans bien des cas la moelle elle- même n'est pas comprimée, mais
des nerfs ra- chidiens au niveau des trous de conjugaison. Dans ces cas la para- plégie n'est pas le symptôme dominant.
e relativement au second plan. C'est ce qui arrive souvent dans les cas de cancer de la colonne vertébrale, où celle-ci
imées il leur passage à travers les trous de conjugaison, dans un cas semblable. Notre malade, on le verra par la lec
ns su- perposés ; diminution de hauteur de plusieurs autres. UN CAS DE CARCINOSE VERTÉBRALE. 75 Réglée à quatorze
nt de la courbure lombaire W .caosNiLR & RABI., 1=..DI1EUS UN CAS DE CARCINOSE VERTÉBRALE. 77 les membres inférie
figure montre l'ellacell1nt de la concavité lombairo normale. UN CAS DE CARCINOSE VElt'l'É131 : .1LG. 7U considérabl
lus localisées aux lombes, elles s'irradiaient en divers sens, . UN CAS DE CARCINOSE VERTÉBRALE. 81 en ceinture, sous f
on pourrait presque faire ante mOl'lem l'ana- tomiepathologiquedece cas ,parun simple raisonnement. Quoi qu'il en soit,
r de la inarche et de l'évolution, toutes différentes dans les deux cas et dont la constata- tion, jointe à la connaiss
ariées : on s'en fera, du reste, une idée par la lecture des quatre cas suivants, particulièrement du premier et du trois
ments chez une hystérique mise en somnambulisme hypnotique. Dans ce cas , ainsi qu'on pourra le voir sur le tracé (fit.
ETTE, 11UET, GUINON, Clinique des maladies du système nerveux. UN CAS DE M T L A N (; 0 L r E . (; A TA LEP TT Ii' 0 fL
catatonie, mais simplement de celui de mélancolie cataleptique, un cas très complet et très intéressant, qu'il a publié
re, et que nous avons cru utile de publier à titre de document, les cas de ce genre étant relativement rares, surtout c
quelle maladie. 1. Nouvelle, Iconographie t. II, p. 65, 1889. UN CAS DE MÉLANCOLIE CATALEPTIFORME. 121 1 Deux frères
inaire et la - \ durée de chacun d'eux. C'est véritablement dans un cas semblable que 1 l'expression « bâiller à se déc
t provoqués par une émotion ou une contrariété, ils étaient dans ce cas beaucoup plus intenses et beaucoup plus fréquents
deux aspects différents. 1 - Dans le premier, la malade, - car nos cas se rapportent unique- ment à des femmes - se me
ents par heure, soit 7,200 en quinze heures de veille. » Dans ces cas , le sommeil seul interrompues bâillements qui rep
seul et même bâillement (fig. 40). Il peut être avorté ; dans ce cas la malade de l'observation III accu- sait une s
hystérie se groupant sous forme d'attaques. Il existe dans tous ces cas un fond commun qui se juge par les phénomènes pré
ou moins long, un quart d'heure, une demi-heure et plus suivant les cas . Puis la crise se termine, les bâillements cessen
oit là une manifes- tation monosymptomatique de l'hystérie. Dans ce cas , la question du diagnostic différentiel peut se
ulement observés dans les intervalles des accès (Féré). ' Dans le cas de crises, on peut faire intervenir un élément d'
u lieu. , 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ! Dans ces cas , l'attaque se juge par l'abaissement du résidu fi
re première observation. ATTAQUE DE BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, UN CAS DE MÉLANCOLIE CATALEPTIFORME. 123 obligé de le
e dans la mélancolie CATALEPTIFORME LEfROSNIkR k BANF EDITEURS UN CAS DE MÉLANCOLIE C.4,TALEPTIFORIE. 125 On ne l'a j
en dehors du stade catatonique. Sous le rapport de l'évolution, ce cas ne répond donc pas tout à fait au tableau class
s attitudes cataleptoïdes : « Pourquoi changerais-je ? » dit-il. UN CAS DE MÉLANCOLIE CATALEPTIFORMË. 127 11 semble qu'
ère expression de crainte. . Faut-il voir dans cette observation un cas de vraie catatonie ? Cela est possible si l'on
te forme pathologique certains symptômes qui font défaut dans notre cas , et si l'on considère que c'est l'exception de re
e entité morbide à part, et est-il plus rationnel de considérer ces cas comme une simple variété de mélancolie avec stu
arrivons à l'ataxie locomotrice, comprenant la grande majorité des cas représentant un total de plus de 500 individus av
n et demi.. En résumé, amélioration très marquée dans 25 p. 100 des cas ; amé- lioration incomplète, quanta la totalité
. '100; résultat négatif pour le reste des malades. A part quelques cas de syncope passagère, deux cas de paralysie rad
e reste des malades. A part quelques cas de syncope passagère, deux cas de paralysie radiale temporaire par compression
ité un certain nombre d'affections nerveuses par la suspension : 10 cas de tabes, 2 casdemyélite, 1 cas de compression
ns nerveuses par la suspension : 10 cas de tabes, 2 casdemyélite, 1 cas de compression traumatique de la moelle, 7 cas de
s, 2 casdemyélite, 1 cas de compression traumatique de la moelle, 7 cas de sciatique, etc. » Nous ne retenons de cette
rait au tabes et à la sciatique. « Le résultat a été négatif pour 3 cas de tabes; dans 5 autres cas de la même affectio
que. « Le résultat a été négatif pour 3 cas de tabes; dans 5 autres cas de la même affection il a été, au contraire, très
douleurs lancinantes, ont été notablement améliorés. Dans aucun des cas on n'a pu constater une influence quelconque su
réflexe patellaire ou sur les phénomènes pupillaires... Parmi les 7 cas de scia- tique, 4 furent soumis exclusivement a
furent diminuées, mais ce résultat ne fut pas permanent. Les autres cas qui furent soumis en même temps à une médication
s on n'observa jamais d'accidents ultérieurs, si ce n'est dans deux cas de légères syncopes. L'action géné- rale favora
ence anale et la puissance virile qui s'améliorèrent; dans quelques cas , cette dernière augmenta très notablement. L'anes
sen- tèrent pas de changement. « On a publié un certain nombre de cas de mort à la suite de la sus- pension dans le t
ndant pas il craindre quand on prend certaines précautions. En tout cas il ne faut suspendre que les personnes d'un poi
avait MODIFICATIONS DE LA TECHNIQUE DE LA SUSPENSION. 131 dans ce cas une atrophie musculaire progressive, la paralysie
s du malade sur le sol par suite de la rupture d'une corde. En tout cas , cette méthode de traite- ment paraît donner de
s premières séances, est la cause d'une vive appréhension. Dans ces cas , on devra procéder graduelle- ment, n'augmenter
n mot, on le distraira de toutes les manières pos- sibles. Dans ces cas , nous avons souvent réussi où, sans ces précautio
suspension suivant le poids de l'individu. Le médecin joue dans ces cas un rôle tout personnel. Lorsque, dans ces conditi
is fois, les syncopes ne se montrent plus. ' Enfin, dans tous les cas , on aura le plus grand avantage à substituer à
longtemps déjà, l'amélioration semble rester stationnaire. Dans ces cas , un repos d'un mois et demi à deux mois nous a
ulier l'auteur que nous venons de citer. , Erb admet que tous ces cas de paralysie amyotrophique sont sous la dépenda
à l'obligeance de MM. Dutil et Marie, d'étudier anatomiquemcnt un cas de polynévrite et un cas de poliomyélite de cette
util et Marie, d'étudier anatomiquemcnt un cas de polynévrite et un cas de poliomyélite de cette catégorie. Chacun de c
négli- gerons volontairement ici. Nous reproduirons d'abord deux cas de paralysie spinale aiguë, qui ne paraissent p
oppe à la suite de la destruction des cellules ganglionnaires. Le cas qu'on vient de lire est indiscutable au point de
et interstitielle. L'occasion qui s'offrait à Rissler d'étudier des cas de début, lui permettait de prendre parti dans
x ans avant l'autopsie, l'auteur allemand faisait remarquer que son cas pouvait être considéré comme classique (eÏ1 Sch
fantile et de la paralysie spinale aiguë de l'adulte. Dans ces deux cas , il s'agit d'une poliomyélite aiguë antérieure.
observer que l'une et l'autre de ces autopsies se rapportent à des cas récents,' car ce dernier examen a eu lieu deux
e netteté dans les résultats fournis par l'examen microscopique. Ce cas lève tous les doutes que pouvaient susciter les
des plus intenses, et limitées exactement aux cornes antérieures. Cas . IV (notes communiquées obligeamment par M. Souza
en- dant été décrits pour la première fois, et, d'autre part, notre cas s'éloi- gnant par quelques traits du tableau de
teint pas le degré d'hypertro- phie qui a été noté dans beaucoup de cas d'acromégalie. Membre supérieur. - L'hypertroph
t, est déjà aeroméga- lique ; mais M. Marie ayant des doutes sur le cas de Fraentzel, nous ne pouvons tirer de conclusi
on étant la même chez tous les deux. La précocité du début dans mon cas (quatorze ans) reste donc une rare exception et c
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. nombre d'os plus considérable que dans les cas où, débutant plus tard, elle évolue dans un org
olume d'une pomme d'api. La marche rapide de l'amblyopie dans notre cas s'explique aussi tout naturellement par le dévelo
vantes : 1° L'acromégalie peut avoir un début précoce; 2° Dans ce cas , l'hypertrophie, quoique toujours prépondérante a
lques excitations générales, pourrait, être attribuée dans quelques cas à une longueur exagérée de la fente palpébrale
ais on l'a signalé aussi chez des hommes adultes, notamment dans un cas de M. Meyer. Mon ami M. Valude, médecin des Qui
oeil et de la paupière. ' En dehors du goitre exophthalmique et des cas rares et mal déter- minés relevés par MM. de 'W
nt être rattaché au tableau du goitre exophthalmique. On a cité des cas dans lesquels le goitre exophthalmique est appa
git ici d'un fait de ce genre. Cette observation prouverait en tout cas que le syndrôme palpébral peut être le premier
eints de goitre exophthalmique (Rev. de médecine, 1883, p. 256). UN CAS D'ACROMÉGALIE A DEBUT RÉCENT Dans tous les cas
1883, p. 256). UN CAS D'ACROMÉGALIE A DEBUT RÉCENT Dans tous les cas d'acromégalie publiés jusqu'aujourd'hui, il s'agi
malades présentant l'affection dans son entier développe- ment. Le cas que nous allons rapporter ici nous semble intéres
jamais voulu apprendre aucun métier, quoique très intelligent. UN CAS D'ACROMÉGALIE A DÉBUT RÉCENT. 1G1 Le grand-père
Main d'.me fille de même âge ayant de grosses mains (à gauche) UN CAS A DÉBUT RÉCENT. 163 encore plus visible par la
e âge (.situé il gauche) LrCROSNI1 : .R 1 : .T BaBK EDITEUR* UN CAS D'AGROMÉGALIE A DÉBUT RÉCENT. 105 ment épaissis
est sombre, triste, presque hypocondriaque. Il n'y a point, dans ce cas , àépiloguer longuement sur le diagnostic. Il ne
e sujet. Malgré tout cependant, on ne peut nier qu'il existe une UN CAS D'ACROMÉGALIE A DÉBUT RÉCENT. 167 certaine augm
des choses, et on n'en compte guère actuelle- ment, si ce n'est des cas tout à fait exceptionnels. Car aujourd'hui c'est
véler une hérédité collatérale. En faisant abstraction de ces dix cas , j'ai un total de 300 fumeurs exempts de toute
à la longue un emphysème plus ou moins généralisé et dans quelques cas une dilatation des bronches ou bronchectasie. O
rriter les dernières ramifications du pneumogastrique. Pourtant les cas d'angine de poitrine s'observent plus fréquemment
ion du tembéki. On est forcé d'expliquer de la sorte ces différents cas d'angine de poitrinecontractés dans des circonsta
ve et sifflante masquant à peu près le bruit vésiculaire. Dans 18 cas on entendait nettement des rlionchus sonores (sib
concomitante. Du côté du coeur, rien d'anormal. J'ai rencontré deux cas d'angine de poitrine qui m'ont paru essentielles,
ramollissements, névrites et par névrose, nous avons recherché les cas ressortissant au groupe des altérations nucléai
plégie externe, d'origine vraisemblable- ment périphérique. Dans ce cas , c'est à la suite d'un coup de fleuret que la p
aient également en voie de dégénération. En somme, il s'agit d'un cas de névrite multiple, amenée probable- 1. More),
leur rapport avec le goitre exophthalmique et l'hystérie. Dans deux cas , l'un de Jendrassik', l'autre personnel, l'ophtha
phalite aiguë d'origine alcoolique ou infectieuse, on considère les cas subaigus et chroniques; elle s'impose en face d
considère les cas subaigus et chroniques; elle s'impose en face des cas complexes intéressant à la fois les noyaux mote
de la substance grise spinale. Déjà, en 1868, de Grade comparait un cas d'ophthalmoplégie avec intégrité des mouvements
ble à tous égards à la paralysie bulbaire inférieure. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux
n des faisceaux latéraux, il faut ajouter aujourd'hui deux nouveaux cas de ce genre, également suivis d'autopsie. L'un
oyaux oculo-moteurs peuvent seuls être atteints, dans bon nombre de cas la colonne motrice est affectée systématiquemen
ment sur tout ou partie.de sa longueur. Avant d'aborder l'étude des cas complexes, rappelons en quelques mots les carac
ou en même temps; mais il n'en est pas tou- jours ainsi, témoin le cas rapporté par Birdsall2, où l'oeil droit fut frapp
i en bas, ou il ne le fait que très impar- faitement. Dans certains cas , la motilité des globes oculaires est telle- me
ionnée par le prolapsus est en rapport avec son intensité. Dans les cas les plus heureux, le bord libre de la paupière
oubles images. Il est vrai que d'autres auteurs admettent en pareil cas la paralysie simultanée des muscles antagoniste
e examen anatomique. Il semble cepen- dant qu'il s'est agit dans ce cas d'une forme de paralysie spinale subaiguë. Le
es discussions auxquelleb prête son interprétation, de signaler les cas plus ou moins analogues, et d'exa- miner les ra
une question de diagnostic d'un certain inté- rêt : s'agit-il d'un cas de syringomyélie avec quelques symptômes leu- c
ues symptômes leu- comyéliques postérieurs rappelant le tabes, d'un cas de tabes avec troubles anormaux de la sensibili
légitime dans les lésions du tabes ? Herzen ayant observé, dans un cas de myélite des cordons postérieurs avec intégrité
nsmission des impressions ther- miques, Ziehl1 cite entre autres un cas de paralysie du sciatique poplité externe avec
mble des symptômes nerveux présentés par les malades. Dans certains cas , on a en effet constaté au niveau des macules l
du dos. M. le professeur Charcot nous a fait voir tout récemment un cas analogue. Soit dit en passant, d'après Jacoby,
Interne de la Clinique des maladies du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE DU MOTEUR OCULAIRE EXTERNE ET DU
ents relativement aux autres néoplasmes qui s'y rencontrent. Des 30 cas de tumeurs de la protubérance, Bernhardt a NOTE
. Des 30 cas de tumeurs de la protubérance, Bernhardt a NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE. 229 relevé 11 tubercules, contre
que du côté des membres; rien de plus plausible, car on connaît des cas de ce genre (Nothnagel). Outre ce tubercule, il
ladies nerveuses, de la clinique des maladies nerveuses. SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE LA DÉFORMATION DU TRONC
corps dans la sciatique. La même année, trois mois après, un second cas se présentait à son obser- vation. Deux de se
ps cette attitude sciatique, et que M. Nicoladoni avait publié deux cas de ce genre dans la Wien. mediz. Presse, l'un en
ausée par la sciatique (Arch. de neural., janvier 1888). SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. 231 en 1886 était restée
a clinique chirurgicale de Liège, qu'il en a vu à cette époque deux cas et qu'il les a étudiés sous la rubrique de « sc
iose à la suite d'une affection musculo- nerveuse ». Dans un de ces cas , grâce à un traitement électrique pour- suivi p
intitulé : Veine eigenthiimliche Art der total Scoliose. Un des trois cas relatés par Albert a trait à un médecin hongroi
urrait très vraisemblablement exhumer de sa mémoire un ou plusieurs cas d'atlitudc sciatique. Assu- 1. l3crLcz, Deux ca
re un ou plusieurs cas d'atlitudc sciatique. Assu- 1. l3crLcz, Deux cas de sciatique déformante (France ucrl., Iss7). 2
levé de plusieurs centimètres au-dessus du sol, comme dans quelques cas de coxalgie. Tout récemment, M. Brissaud, dans
ment un correctif au premier terme de cette formule et citait trois cas de scoliose homologue. Dans ces trois cas, le t
e formule et citait trois cas de scoliose homologue. Dans ces trois cas , le tronc, contrairement à la règle, s'était in
rilrière, 30 octobre 1888, p. 1J. 2. Brissaud, luc. cil. SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLETE. 3 entier sur son mode de
occasion, au cours de cette année, d'observer à la Salpè- trière un cas de guérison absolue et durable, nous avons cru qu
tre maître, M. le professeur Charcot, a bien voulu nous signaler un cas analogue que nous mention- nerons également.
ncore aujourd'hui les traces de ces révulsions multiples.) SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. 235 C'est pendant son séj
dé de Lasègue, la jambe droite étant préalablement fléchie. Dans le cas contraire, cette manoeuvre très redoutée du mal
myotrophie est nette- ment appréciable par la mensuration : T)EUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. 237 crête iliaque, de tel
malade les renseignements suivants : « Ne reconnaissant pas dans ce cas les caractères de la scoliose vraie, et croyant
id, pluie, humidité). t La marche est aisée et indolore. SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. 239 Les mouvements actifs
1886 j'eus 1. Babinski, in Archiv de neurologie, 1888. . SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. 211 l'idée de revenir au
de cet heureux dénouement à la thérapeutique employée, et, dans ce cas , est-ce à l'action isolée de l'un de ces divers a
etc., etc., n'aurait-il pas pu produire le même résultat ? SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. 243 Ce sont là des interr
extenseurs de la colonne vertébrale et de l'électricité. Dans un cas , les bains chauds auraient eu un effet curatif.
c'est bien vraisemblablement de névrite qu'il s'agit dans nos deux cas : scia- tique chronique, amyotrophie, etc. Pour
chronique, amyotrophie, etc. Pourquoi n'est-ce que dans quel- ques cas de névrite sciatique que l'on rencontre ces dévia
e névrite sciatique que l'on rencontre ces déviations ? Et dans ces cas quels sont ceux qui doivent guérir ? Y a-t-il des
uérison de l'attitude sciatique est chose pos- sible. Dans les deux cas que nous avons mentionnés, elle a été aussi par
TRONC DANS LA SCIATIQUE LECROSNIER & Babé ÉDITEURS SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. Ma . De ces deux cas de g
bé ÉDITEURS SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. Ma . De ces deux cas de guérison peut-on conclure à la guérison de tou
rquer Babinski, qu'il se produise à la. longue, comme dans certains cas de contracture ou de paralysie spas- modique',
ctions fibreuses qui rendent la déformation indé-, lébile. Dans ces cas le pronostic serait singulièrement aggravé. Env
en la déviation disparaîtra, et il y aura guérison. Dans le premier cas , une intervention chirurgicale sera nécessaire
fibreuses, le troncpourra reprendre son atti- tude normale. Dans le cas contraire, la déformation survivra même à la gu
existence ou de l'absence de rétraction, et permettra dans les deux cas d'instituer un traitement approprié. « Il serai
matique : , · En résumé, il nous semble que la guérison de ces deux cas de défor- mation sciatique comporte plusieurs e
action momentanée, et les drastiques rendent des services dans les cas de stupeur. ' ' L'intoxication bromique en géné
e nombreuses analogies ? Toutefois l'étude plus approfondie de ce cas va nous montrer qu'il diffère cliniquement à bi
hie irrémédiable. Des phénomènes du même ordre ont été notés en des cas analogues, dits de polynévrite. 274 NOUVELLE IC
aso-moteurs tout à fait compa- rables ont été déjà rapportés en des cas de névrite traumalique. Au point de vue des rés
e l'examen microscopique, les lésions observées ont consisté, en ce cas , en des altérations intenses pour les muscles,
diagnostic de névrite périphé- rique ne peut à notre avis, dans un cas de ce genre, être formulé que par exclusion.
moelle. De même il est permis d'affirmer qu'il existe également des cas présentant avec les premiers une certaine analo
une observation sous le même titre. On en peut rapprocher enfin un cas tout à fait récent de Kahler2 ainsi qu'un fait
dernier trouble présente aussi des améliorations. On voit que notre cas , de même que celui qu'a publié récemment M. Déj
tive des nerfs périphériques. Au point de vue anatomique, le même cas offre des difficultés d'interprétation. il est
ons des névrites mul- tiples avec les poliomyélites antérieures, ce cas semblerait tout d'abord venir à l'appui de l'op
On sait, au point de vue anatomique, que M. Babinski a observé un cas d'hémiplégie, avec atrophie musculaire, dans lequ
e des désordres psychiques et moteurs sont mentionnés dans tous ces cas , où ils se sont montrés en général sous forme d
ites amyotrophiques, ne paraît-il pas rationnel de supposer que ces cas ressortissent, jusqu'à un certain point, à.une
e. 3° On ne peut affirmer absolument, dans certains de ces derniers cas que les désordres soient liés à la présence des
attestée par les signes cliniques jouent un rôle pathogène dans les cas de ce genre (polynévrites amyotro- phiques s'ac
tut de pathologie à la Salpêtiicre. expérimentale de Bucarest. UN CAS D'ÉLÉPHANTIASIS NOSTRAS SYMÉTRIQUE DU PIED ET D
hui qu'elle n'est pas excep- tionnelle chez nous : il en existe des cas incontestables quoique rela- tivement rares.
niques»2. 1. Besnier, Gaz. Hop., 1878. 2. Besnier, loc. cil. UN CAS D'ÉLÉPIIANTIASIS N0STRAS. 285 - Dans les membre
tique double. Il se pourrait bien qu'il ne se fut agi dans les deux cas que d'une crise éléphantiasique douloureuse. Qu
arqué un exemple bien démonstratif qui est inscrit au Fie. 73. UN CAS D'ÉLÉPII.1NTI.1SIS NOSTRAS. 287 catalogue sous
des Arabes siégeant aux deux jambes et affectant, comme dans notre cas , une symétrie parfaite. Nous avons également trou
traction d'une ou deux ulcérations cutanées qui manquent dans notre cas , on ne considère que la configuration extérieur
é plus intense'. » En résumé, l'observation précédente a trait à un cas d'éléphantiasis intéressant au point de vue cli
'ophtlialmoplégie est variable. Tantôt elle guérit, comme dans les' cas de Gayet, Block, Etter, roebius; tantôt elle prés
e et se portant d'ailleurs fort bien. Strümpe113 a signalé un autre cas d'ophthalmoplégie restée invariable pendant vin
la lésion paraît localisée et éteinte depuis longtemps. » Dans ces cas l'ophthalmoplégie externe constitue une affection
ns le noyau de l'abducens et non dans celui du facial : or, dans le cas présent l'abducens était para- lysé. L'explicat
Uhthoff, Ro- senstein, Hutchinson, Rosenthal, pour ne citerque les cas de paralysie bulbaire partielle. uns. VI. - O
d'iodure de potassium, diminution de la céphalalgie et du ptosis. Cas . VIII. - Ophthalmoplégie avec parésie du facial (
e se servir de cette précieuse donnée. Nous trouverons plus loin un cas d'ophthalmoplégie externe compliquée de parésie
est touché, à plus forte raison l'hypoglosse. Nous verrons, dans les cas qui vont suivre, la mort être la conséquence d'
tion que de paralysie bulbaire ébauchée; il est temps d'arriver aux cas d'ophthalmoplégie externe accompagnée de paraly
tricule. Paralysie bulbaire totale à début o7ellzcclmolégiqice. Les cas de ce genre sont les plus nombreux; nous en'com
ce genre sont les plus nombreux; nous en'comptons dix avec les deux cas inédits que notre maître a eu l'obligeance de nou
rent par se paralyser et que la mort survint par asphyxie. Dans les cas rapportés par de Graefe, Bresgen, la marche de l'
à une lésion des noyaux bulbaires et rapproche son observation des cas semblables émanant de Fôrsler. OBs. XXI. Ophtha
paraît pas dépasser une année (Bresgen). Quelquefois, comme dans le cas de Rosenstein, il n'y a pour ainsi dire pas de
hie au niveau des membres. Nous terminerons ici la nomenclature des cas de paralysie bulbaire totale il début ophthalmo
rfois l'un deux, quitte à le reprendre plus tard, et finit dans les cas exceptionnels par envahir la région de l'oculo-mo
a paralysie bulbaire supérieure; nous en avons une ébauche dans les cas suivants. Romberg, cité par Eulenburg, a vu sur
aralysie glosso-labio-laryngée etBenedikt aurait constaté dans deux cas de paralysie progressive de tous les nerfs crânie
lications pulmonaires de la grippe. L'autopsie n'a pu être faite. Cas . XXV (personnelle). Paralysie bulbaire totale ci
sso laryngée ou paralysie bulbaire inférieure, et que dans les deux cas il s'agit d'une même affection systématique fra
avons eu l'occasion d'observer cette année, cela fait au total huit cas que nous allons analyser de façon il bien mettr
es spinales et bulbaires, il n'en est pas moins très différent d'un cas à l'autre à certains points de vue. Il varie da
uable qu'elle est presque symétrique. La planche XLVII a trait à un cas de syringomyélie. Le néoplasme est central, sa
aux présentent un léger degré de dégénérescence. C'est à un autre cas de syringomyélie que se rapportent les trois pl
tisepsie intestinale, par Ch. Féré, 249. Carcinose vertébrale (Un cas de par G. Guinon, 73. Eléphantiasis nostras (
ertébrale (Un cas de par G. Guinon, 73. Eléphantiasis nostras (Un cas d' symétrique du pied et de la jambe), par Souq
blements -), par A. Dutil, 27, 87. Mélancolie cataleplirorme (Un cas de-), par Sollieret Souques, 120. Moelle épin
athologique de la -), par P. Blocq et A. Londe, 309. Morvan (Deux cas de maladie de -), par G. Guinon et A. Dutil, 1.
ar G. Guinon et A. Dutil, 1. Moteur oculaire externe (Note sur un cas de paralysie du- et du facial avec atteinte d
hie musculaire considérable, par A. Weil, 16. Sciatique (Sur deux cas de guérison complète delà déformation du tronc
83 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
N" 28 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE DEUX NOUVEAUX CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTRO- PH1QUE SUIVIS D'A
rchives, t. X. 4 Il PATHOLOGIE NERVEUSE. même la signala dans ses cas de paralysie bulbaire, qui, comme l'a démontré
ription de l'auteur' et des planches annexées à son travail. A ce cas unique, nous pouvons maintenant en ajouter deux
le interne, circonvolutions motrices). Mais, de plus, dans ces deux cas , nous avons pu, pour la pre- mière fois constat
complète : 1 KojewnikofT. Archives de Neurologie, t883, VI, 356. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 3 non seule
; les mouvements d'opposition du pouce sont lents, difficiles, de CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 5 même le p
bles cardiaques constatés aujourd'hui seulement. Ces troubles car CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 7 diaques q
uc- tion du premier métacarpien, qui est sur le même plan que les CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPIUQUE. 9 autres mé
abdominaux, on ne les constate pas, mais ils sont très difficiles CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 11 à recher
ns excitable). Galvan. 8 El. 50° K S Z > A S Z des deux côtés. CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 13 1a· PATH
une simple énumératiou, notamment pour les nerfs et les muscles. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 15 Circonvo
ve aucun dans l'espace occupé par les cellules du locus niger non CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 17 plus que
bres nerveuses est diminué d'une façon très notable; (déjà, dans un cas de sclérose latérale amyotrophique, Kahler avait
ulaires antérieures semblaient aussi moins abondantes qu'à l'état CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPH1QUE. 19 normal.
peu tirée à gauche, les yeux blancs ; la malade était alors sans CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 21 connaiss
ires. Lorsqu'on fait lever la malade, elle ne peut faire quelques CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 23 pas qu'e
ns frontale et pariétale ascendantes, ne contenaient pas de corps CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 25 granuleu
s corps granuleux n'existent en abondance que dans le faisceau de CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 27 Türck; o
des cornes anté- rieures, mais cela est extrêmement peu remarqué. CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 29 Dans les
classiques des faisceaux pyramidaux et du noyau de l'hypoglosse. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 31 On peut
recherche des corps granuleux eux- mêmes dans les coupes, plusieurs cas peuvent se pré- senter : 1" les coupes ont été
r. Cette cause d'erreur sera ainsi facilement évitée, car dans le cas où on aurait eu affaire à des cellules ner- 32
estées dans la liqueur de llIüller pendant un mois ou deux. Dans ce cas , les corps gra- nuleux sont quelquefois un peu
nné de moins bons résul- tats que les précédentes. Enfin, dans le cas où les coupes sont trop épaisses, pour qu'on pu
est vraisemblable qu'elle réussirait aussi bien pour le cerveau. CAS DE SCLEROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 33 mètre, i
l\1RE. 35 d'ailleurs, dans les espaces périvasculaires ; dans les cas de sclérose en plaques que nous avons examinés.'
erminales présentent presque autant de tubes dégénérés que dans les cas de rupture du tronc nerveux. Il nous est arrivé
urs symptômes disparaissent; alors, au lieu d'avoir à faire avec un cas typique cérébro-spinal nous sommes au contraire
as typique cérébro-spinal nous sommes au contraire en présence d'un cas frustre soit cérébral soit spinal, soit cérébro
disparaissent. Cette disparition peut être passagère, et alors le cas frustre peut devenir, après un brefdélai de temps
ypique, mais il peut très bien se faire qu'elle soit durable, et le cas qui était un beau spécimen de la forme cérébro-
sible. » Nous ne savons pas si M. Wilson, qui a si bien décrit ce cas intéressant, a suivi son malade pour voir si ces
che à des circonstances spéciales, de sorte que nous croyons que le cas de Wilson ne peut pas servir comme d'exemple de
telle maladie, tant soient légers les symptômes qui restent dans un cas donné, on ne peut le considérer comme guéri qu'
d'un signe, soit d'un symptôme, n'ont été réalisées que dans notre cas , que nous rapportons ici in extenso. L'observ
rate de quinine, ont peut-être facilité la tendance naturelle de ce cas à la guérison. Le traitement a continué jusqu'a
duit une sclérose médullaire, guérit le plus souvent, même dans les cas très avancés. Charcot nous a montré, à la Salpê-
t nous-mème, nous sommes en train d'obtenir la guérison dans un tel cas , chez une petite fille âgée de huit ans et nomm
. Enfin, en ce qui concerne la sclérose en plaques, nous avons le cas de Wilson, où la malade est presque guérie, et
s grand nombre de fibres nerveuses se mettent en jeu; 2° à quelques cas pathologiques il est de toute nécessité que les
es conditions inconnues qui ont facilité l'heureux résultat dans le cas de Wilson et le mien , il y en a deux que je ne
, quand elle se présente sous ses formes frustres, le le nombre des cas de guérison se multipliera. Il ne faut pas igno
teint son maximum pendant les heures de la nuit. Et comme dans les cas que nous avons étudiés, les individus étaient au
matières albuminoïdes, d'autre part. 78 REVUE CRITIQUE. Dans les cas que nous étudions, l'alimentation est restée la
ce de ce dernier, ces modifications sont plus accentuées et dans ce cas , la diminution de l'acide phosphorique uni aux
de glace abaisse la température sur une large zone. Dans le premier cas , la contraction des plus fins vais- seaux, par
[pour les courants volta-électriques. Mais il se présente certains cas dans lesquels l'excitabilité des muscles dégéné
ants magnétiques revient plus tôt (et peut-être même dans ces mêmes cas s'est épuisée plus tard) que l'excitabilité à l
R. SCHULZ. (Neurolog. Centralbl., 1881.) Rosenbach prétend que les cas sur lesquels Schulz s'est appuyé 1 pour parler
entres et des racines nerveuses qui en partent). P. K. IV. SUR UN cas DE sclérose granuleuse disséminée DE L'ÉCORCE c
n ne porte d'or- dinaire que sur quelques cylindraxes isolés ; deux cas cepen- dant témoignèrent de l'atteinte d'un ass
ÉLITE ; par A. STRUEiPELL. (Neurolog. Centralbl., 1884.) Pour les cas dans lesquels on ne trouve qu'une altération 9'
ut revêtir toutes les formes pos- sibles ; elle embrasse depuis les cas mortels suraigus (altération en apparence vraim
suraigus (altération en apparence vraiment inflammatoire) jusqu'aux cas chro- niques (atrophie presque purement dégénér
e conduisent l'une par rapport à l'autre, au moins dans beaucoup de cas , comme la diphthérie pharyngienne et le croup l
ènes. L'hérédité se trouve en jeu d'une façon remarquable dans un cas . La mère, la fille et la petite-fille onteu des e
laires qui émanent des V° et VI° racines cervicales. P. K. XI. UN cas d'hémiplégie corticale ET DE SURDITÉ verbale ;
'auteur n'a pas. encore eu l'occasion d'appliquer ses procédés à un cas de mort apparente. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
re mobilité de la gaîne tendi- neuse du médius) et, pour son second cas , la complication rhu- matismale (aponévrose pal
nse : appendice au mémoire PRÉCÉDENT; par le même auteur.' Nouveaux cas DE tabès chez la femme; par le même auteur. {Ce
taxie locomotrice; la syphilis produit, dans l'immense majorité des cas , l'affection en question, elle agit comme cause
le tabes est représenté par sept années. - 4o La syphilis dans ces cas a tou- jours été légère. 5«On a vu fréquemment
tions morales, les prédispositions névropathiquess. P. K. XVIII. UN cas de FOYERS DE ramollissement MULTIPLES dans l'en
), pendant le stade mélancolique de la folie circulaire, dans les cas de conceptions irrésistibles avec actes de même n
essus morbide, c'est-à-dire sur un terrain préparé. Dans le premier cas (formes pures), il n'est que la mélancolie et l
trice (idéation ordinaire ou pseudo-hallucination) ne peut en aucun cas engendrer une hallucination par le procédé de l
- souvenirs). La voix intérieure des malades, pas plus que tous les cas d'innervation irrésistible du centre de la paro
L'application centrale de l'électricité déterminerait aussi, dans les cas de névroses vasculaires de la peau, une action
on différente, suivant le genre de courants employés ; ainsi, en un cas donné, l'emploi exclusif d'un seul genre (farad
d'une façon opposée à celle dont agit le courant galvanique; en un cas donné c'est un des genres d'électricité qui gué
névroses cen- trales que dans l'hémicranie ; c'est-à-dire qu'en tel cas le courant fara- dique guérit seul tandis qu'en
exactement comme les névroses des organes centraux. - 6° Il est des cas qui, par leur tableau clinique, relèvent indubi
mptement guéri par un traitement électrique approprié. - Tantôt ces cas sont de véritables névroses ; tantôt, on peut pen
vice verso. En connaissant l'étiologie, nous serions à même, en un cas donné, de choi- sir exactement le genre de cour
xerce une action puissante sur les fonctions de la rétine ; dans un cas donné, le courant à vertu thérapeutique positive
quel est l'espèce de courants qu'il lui va falloir employer dans un cas morbide spécial, à la condition bien entendu que
e sur le revêtement cutané de l'eau froide et de l'eau chaude en un cas morbide, est la môme que celle de l'application
ation. Quand donc on connaît l'espèce de courants qui convient à un cas spécial on est en état d'indiquer lacondnite haln
en état d'indiquer lacondnite halnéothérapique appli- cable au même cas . Inversement, on peut utiliser les vertus positiv
conduite électrothérapique à suivre.-14^ Ainsi, il se présente des cas de maladies nerveuses qui, sans se différencier d
te des cas de maladies nerveuses qui, sans se différencier d'autres cas semblables curables, eux. par les effets dynami
application centrale de cet agent. En revanche, quelques uns de ces cas cèdent à l'action de l'électrisation du revête-
hacun une action thérapeutique différente. 11 semble donc qu'en tel cas le courant impressionne surtout les fibres nerveu
TIQUE. 107 tané avec ses appareils terminaux périphériques. 16e Les cas de maladies nerveuses périphériques curables pa
e, par l'électrisation du bulbe ou de la moelle cervicale, dans les cas mêmes où l'électrisation périphérique usuelle é
on périphérique usuelle était demeurée sans résultat. Nombre de ces cas furent également influencés favorahlement par l
e après le repas du soir. Les résul- tats ont été bons; en bien des cas le sommeil se produisit au bout d'un quart d'he
ion locale de la peau, on voit les convulsions changer de côté. Ces cas , la plupart relatifs au sexe masculin, témoi- g
colie active, rebelle à tout sédatif, a agi dans le même sens en un cas d'agitation maniaque très vive, appartenant à u
nt posée par M. Falret ; mais simplement pour examiner avec vous un cas de dégénérescence mentale, de folie héréditaire
r devant faire écarter l'idée qu'on pou- vait être en présence d'un cas de boulimie diabétique, mais l'ana- 116 SOCIÉTÉ
dence DE M. WESTPHAL Communication annoncée de M. WESTPHAL : Sur un cas de lésion spinale avec cécité et paralysie géné
e le veut Mendel, s'agissait-il d'une paralysie ascendante; dans ce cas , on trouverait des altérations corticales étend
ontredit pas à l'assertion de Bernhardt; ce n'est que dans quelques cas qu'il a vu survenir d'abord des crises gas- tri
ises laryn- gées. M. JasrnowrTZ insiste sur la production, en des cas pareils, de paralysie des cordes vocales. M.
vocales. M. REliAI{ ajoute à l'observation précédente que, dans un cas de tabès observé par lui pendant un temps assez
r du travail récent de M. F. Krause, qui rattache la plupart de ces cas de paralysie à une contracture des adducteurs d
. Communication de M. Thomsen avec présentation de malade, sur un cas de paralysie de l'oculo-moteur commun à retours p
), mais d'une forme toute particulière d'hémicrdizie. Dans un autre cas de paralysie périodi- que de l'oculo-moteur com
lendemain Hirsch- berg ne trouvait plus rien. M. HIRSCH13ERG. Le cas de Thomsen constitue un astigmatismede l'oeil d
petits objets.' A ce propos, M. Oppenheim fait observer que dans un cas de lésion organique du cerveau la vision excent
e de courte durée et d'accès d'épilepsie. M. Liman. Ce n'est pas un cas pur. Le protocole clinique de la Charité montre
mme rebelle à la morphine, au chloral, à la paraldéhyde. Quel- ques cas seulement sans résultat. En dehors du fait déjà c
caïne en injections sous-cutanées chez les morphino- manes. Dans un cas , il y eut sur le champ interruption des phé- no
cament exerce une action locale très irritante. M. BLUIFNTHAL. Un cas de spondylite douloureuse fut très favo- rahiem
é par 0,20 de cannabinone; on eut un résultat assez heureux dans un cas d'emphysème. Chez un troisième ma- lade, on not
a brûlure et de la sécheresse de la gorge avec céphalalgie. Dans un cas , 0,30 déterminèrent un sommeil de trois heures,
les accidents désagréables sus- mentionnés. Dans vingt à vingt-cinq cas , il obtint invariablement le sommeil. Sans être
; il y en avait aussi sur le tronc ou la tête. Dans la majorité des cas , les zones des membres et du thorax sont exclus
dans les muscles et tendons, car on peut, dans un certain nombre de cas , presser latéralement les masses musculaires qu
et convenu : 148 PHYSIOLOGIE. -Par conséquent, il s'agit, dans le cas donné, propre- ment dit, non pas de deviner la
sa locomotion coïncidera avec celle du suggesteur, comme c'est le cas avec un couple de danseurs, et il n'y aura poin
et il n'y aura point de pression exercée par l'un sur l'autre. En cas de désaccord des mouvements, le lecteur se heur
sa vue agit et il a un but déterminé ; le lecteur se trouve dans le cas contraire; voilà pourquoi sa soumission rapide
nnervation préparée par la personne se manifestera, dans le premier cas , par la tendance de faire un mouvement de bras
de faire un mouvement de bras en avant, tandis que, dans le second cas (c'est-à-dire quand le nombre choisi est 7), le
qui a lieu dans ces conditions. Bref, le bras travaille, dans ce cas ,-sous la direction des yeux. Dès que j'eus intr
rré, il offre une plus grande résistance au déplacement du bras, en cas où le chiffre choisi est celui de 4, et la mobi
bilité aux impressions extérieures se trouve élevée, comme c'est le cas sous l'hypnose. Les observations que j'ai faite
rejeté par des efforts d'expuition et le crachement. Dans tous ces cas , le malade a une entière conscience de son état
ini. Ce sont là tout autant de syndromes épisodiques réunis dans ce cas chez le même sujet, mais qui peuvent, nous le v
ujet à le répéter. (il suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE DEUX NOUVEAUX CAS DE SCLEROSE LATÉRALE AMYOTt ! 0- PHIQUE SUIVIS
qui est bien situé dans la zone de celui-ci. On Voy. t. X, p. i. cas de sclérose r, vTr : .z.w,r amyotropiiique. 169
oisé pu au faisceau pyramidal direct ? 'Nous l'ignorons, et en tout cas il faut reconnaître' que, dis- séminés et aberr
e dire, n'ayant eu jusqu'à présent l'occasion d'examiner qu'un seul cas à cepoint'de vue; cependant dans un autre cas,
d'examiner qu'un seul cas à cepoint'de vue; cependant dans un autre cas , Kahleu' a trouve 'qu'el- , .' - il , 1 1 1 0-
iler. - Ueber die progressive) ! spinalen Amyotrophien, Yra ? 1884. cas de sclérose latérale AMYOTROPIIIQUE. 171 que ch
reich. Communication au Congrès internationa de Copenhague, 1884. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE .1\I101'ROl'kIItUli. 173 3
de sclérose latérale, amyotrophique des coupes prove- nant, d'un cas de dégénération descendante consécu- tive à une
de vue' de la disposi- tion' générale des lésions : Dans les deux cas , les corps granuleux existaient, nous l'avons v
geur de ceux-ci. Dans 1 'Observation I, du côté gauche la capsule CAS DE SCLÉROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 175 S inter
s différences ? 2 Tout d'abord il faut bien remarquer que dans un cas quelconque de dégénération, le nombre des corps
cependant cette inégalité était tellement considérable que, dans le cas signalé plus haut, il nous semble nécessaire d'
ar la méthode de Weigert (hématoxyline\ elle ne nous a pas, dans ce cas , donné de résultats aussi satisfaisants que la
x, l'examen de la sclérose seule étant il notre avis insuffisant. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 177 î nouve
pécial et rentre absolument dans la règle, c'est pour ainsi dire un cas type de sclérose latérale amyo- trophique. La
ion, au contraire, doit être l'objet de quelques remarques. Dans ce cas , l'affection a très nettement débuté par les ph
ue l'on observe dans la paralysie générale ou dans la sclérose en CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 179 plaques
ère à exclure des cadres delà sclérose latérale amyo- trophique des cas dont le tableau clinique presque tout entier es
se refuser à considérer comme sclé- rose latérale amyotrophique des cas où le début s'est fait parle bulbe; il en est a
es faisceaux pyramidaux), se refuse à admettre que ce soient là des cas de sclérose latérale amyotrophique « parce que,
aralysie labio-glosso- larngée.(Arcla. de physiol., 1883, 11° 6.) CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 181 t ment
3, 11° 6.) CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 181 t ment des cas de sclérose latérale amyotrophique dont le débu
aire amyotrophique spasmo- dique. Leyden n'a pas reconnu certains cas de sclérose laté- rale amyotrophique parce qu'à
est là le symptôme qui permet de reconnaître l'af- fection dans les cas où le tableau clinique n'est que peu marqné, et
ophique s'élargir de plus en plus ; l'aspect général des différents cas reste im- muable, les détails peuvent variera l
s à eux- mêmes, mais leurs modalités sont diverses; tantôt a tté- CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 183 nués, t
l au tableau qui vient d'être tracé. Ainsi la maladie dans certains cas débute par les membres inférieurs, d'autres foi
temps à un côté du corps sous forme hémiplégique. Enfin, dans deux cas , elle a débuté par les symptômes bulbaires; mai
olution clinique des différences très accentuées entre les divers cas , les uns marchent d'une façon extrêmement rapide,
ide; dans notre OBSERVATION Il, en effet, l'évolution n'a pas de- CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 183 mandé m
183 mandé moins de deux ans, et nous observons actuelle- ment des cas dans lesquels la durée paraît devoir être plus
devenue légitime et rend possible déjà le diagnostic même dans les cas les moins marqués. explication DE la planche II
e fait existe, mais ce n'est toujours que dans un certain nombre de cas , et les affections les plus diverses, qui de pr
rapporter nos observations communes, nous citerons brièvement deux cas analogues. Le premier a été publié par l'un de
s les explorations que nous avons cru utile de faire. NOCE SUR UN CAS DE GRANDE HYSTERIE CHEZ L'HOADIE, AVEC DÉDOUBLE
ent de la personnalité. Ils en ont justement profité pour mettre ce cas en parallèle avec la fameuse observation du pro
es yeux du lecteur 1 Camuset. Ann.. hléd. psych. (janvier 1882). Un cas de dédoublement de la personnalité. Période amn
e, juillet 1876; mai 1879. 6 Macnish. Physiology of the sleep. UN CAS DE GRANDE HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. 213 l'observat
longue bibliographie de l'hystérie masculine, on relève surtout des cas d'hystérie fruste '. Le plus souvent, il s'agit
Ipéca à dose nauséeuse. Le 21, même état. Nouvelle hémoptysie. UN CAS DE GRANDE HYSTERIE CHEZ L'HOMME. 21 : > -) L
ture de tout le côté droil réapparait avec le réveil. Les injec- UN CAS DU'. GRANDE HYSTERIE CHEZ L'HOMME. 217 Î tions'
rêt de la parole. 1 Comparez l'OBSERVAnoN de Dufay ; toc. cil. UN CAS DE GRANDE HYSTERIE CHEZ L'HOMME. 219 21. - Les
ge. La congestion pulmonaire aver, hémoptysies, que nous avons UN CAS DE GRANDE HYSTERIE CHEZ L HOMME. 221 1 signalée
ations de la tuberculose. Aussi nous croyons avoir été témoins d'un cas très net de congestion pulmonaire d'origine név
tat second ont exactement coïncidé avec des contractures éten- UN CAS DE GRANDE HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. 223 3 dues, et
observons aussi chez la plupart des hystériques. Mais dans les deux cas il y a une modification, des cellules qui serve
nnelle et sur deux obser- vations de M. Charcot. G. D. XXI II. UN cas DE syphilis centrale secondaire; par M. le Dr LAN
'auteur pense que c'est au chloroforme qu'il faut rapporter dans ce cas l'éclosion du véritable état de mal présenté pa
malade fut emporté par de nouveaux accidents cérébraux. XXVI. UN cas DE MYÉLOPATIIIE AIGUE.\ MARCHE ascendante, rappel
faisceaux pyramidaux : Pas d'autopsie. G. D. XXVIII. NOTE SUR un cas d'hémiplégie gauche survenu dans LE cours d'une
alyse critique de ce fait et de beaucoup d'autres. P. K. XXXI. UN cas D'HYPERTONIE PSEUDO-HYPERTROPHIQUE DES muscles;
IQUE DES muscles; par A. EULENBURG (Neu1'olog, Centralbl., 1884). Cas de rigidité musculaire (Leyden), ayant pour synon
nts assez fréquents dans la sclérose en plaques. Dans la moitié des cas , on constate une diminution de l'acuité visuelle,
e d'atrophie du nerf. La statistique de l'auteur comprend cinquante cas de dégé- nérescencegrisemultiloculaire; il n'y
SSIVE; par E. REMAK (Neurol. Cen- tralbl, 1884). Observation d'un cas d'atrophie musculaire progressive héréditaire,
), permit le diagnostic entre l'hystérie et la sclérose en plaques. Cas différent de ceux de Gnauck * et qui prouve que
bservation révélant chez une même famille, l'existence de plusieurs cas d'atrophie musculaire. L'auteur est d'avis que
ophie musculaire héréditaire est une myopathie primitive. En tout cas ,- on en ignore la cause, car la notion d'hérédité
as l'origine première. Tel est l'esprit du mémoire. P. K. XXXVI. UN cas DE tabès dorsal compliqué d'atrophie musculaire P
. EULENBURG. (Berl. klin. Coca., 1885, n° 15.) L'auteur présente un cas de tabes avec atrophie musculaire ; sur un nomb
cas de tabes avec atrophie musculaire ; sur un nombre d'environ 500 cas de tabès, il n'en a observé que deux autres ana
es analogues. Pas d'autopsie; Eulenburg se demande si dans certains cas l'atrophie musculaire n'est pas une maladie sur
'eût engagé à différer son inter- vention. D'après lui, ce genre de cas est extraordinairement t rare. Guérison. P. K.
cles de l'oeil. Seuls les noyaux de l'hypoglosse semblent, dans les cas de très longue durée, être le siège d'altératio
ien ; delà une anémie cérébrale diffuse, apoplectigène. En d'autres cas , ce sera une congestion cérébrale active qui, en
aliénation mentale (excitabilité, maussaderie). Mais la plupart des cas d'aliénation mentale rassemblés dans la bibliog
graphie, au cours desquels la grossesse survint, étaient déjà à des cas de psychose puerpérale; la nouvelle grossesse ne
llité créées par le mariage qui ont pro- duit un bon effet; en tout cas , la satisfaction sexuelle n'a pas grande influe
238 REVUE DE pathologie mentale. XIII. COURTE communication SUR UN cas DE TROUBLE mental douteux ; parGpUNEWALD (Allg.
t '¡' .. i ,'...., j 1. i ¡ ¡ ..... t 1 J' .J" « Lent trente et un cas de démence paralytique; cette affection ? " -t "&
en consultation publique, devant les étu- diants, pour examiner les cas difficiles. De courts instants ont été donnés a
u- cune Ert : fi.W de SUt5fP. : J'ajouterai aujourd'hui que dans lé cas même Mt cette fomntë éût été gly'Õàsul'iqiIè¡ j
et insidieuse, il, existe dans la science un cer- tain, nombre de, cas où la morl est survenue plusieurs mois après la
contin- gent critique d'une méthode employée par lui dans quatorze cas . Ses résultats s'accordent généralement avec'ce
che même. Cette mauiprp de faire s'appjique non pas seule- ment aux cas de parajysip pu de parère hystérique, HH ! is peu
latiqIJf pu une amélioration de Cg fonctions ? On ne ¡¡ait, En tout cas , Je'¡syl111 exerce une heureuse intluence Inpra
ais il est évident que l'électricité convient plutôt à tels ou tels cas . Voici les indications qui appellent la mise en
variable chez les paralytiques généraJJIÍ' Assuétude rapide. Chaque cas , exige une surveillance pendant l'administra- t
langage chez les idiots se décomposent en'deux grands groupes : I ? Cas . où le trouble de la p{H'/Ûe est i ! ? .$prçssion
des dernières syllabes)'- tous faits à pronostic défa- vorable, 2° Cas pilles troubles de la parole sont, non pas la cau
é¡ ! êrH ! ¡ : jme ! 1 d'Qv4re IpOl1r, pqo pgl·turip(jqné(jt, en un cas de ('auteur, une dé,feçtyp7 : lé sensorielle; t
générale.. · SOCIÉTÉS' SAVANTES. 253 "Autres syndromes rares ! Un cas d'l1phasle l11oll'lce, F¡JIt;\tllln(.e en' févr
;de' là"parole"qui.1a/'nuji a'ul développementl inteJJeclueJ : - : Un cas d'aphasie sensori&He.'OEpiieptiqué entré à'
U'lti. Les observations le prouvent. M. Fuerstner. A-t-on, dans les cas cités, constaté des lésions anatoniiques ? il
ant souffert de trouble très pédnohëé de la parole. Dans le premier cas , un homme, complètement idiot de naissance, né
cendaitté ne descend pas dàtis là scissure de Sylvius. Le second cas concerne un enfant né prématurément six mois ; en
e présentaient aucune altération dans l'insula ; en revanche, en un cas on trouvait un développement défectueux de celt
er- nerait sans bruit. Discussion : M, JOLLY. La différence des cas empêche d'établir les principes généraux. Plus
pendant le'temps'de'la pénalité.. Dans les 1 -t , -te, à, 9 deux cas ,il'faut faire intervenir l'asile d'aliénés ? Pend
,il'faut faire intervenir l'asile d'aliénés ? Pendant les bons deux cas , il.faut faire ! l1te['vellir aSI e a ]e ! ls. en
troisième veiiTri'culé`(centré dé Chéistiâniét ? eçht.r,1)'¡ Eni o cas ,'n'y'a y 'Il' # Ill,ll", "' " 1 11, ." encore,inc
Eni o cas,'n'y'a y 'Il' # Ill,ll", "' " 1 11, ." encore,inconnue, cas ,' il1 y lieu'de ! supposer que la modification, e
de processus intracérébraux en rapport avec l'état de rêve. En tout cas n'est-ce que par l'étude de faits aussi régulie
oplecliformes sont très rares dans l'épilepsie. Il en rapporte deux cas dont l'un avait trait à une jeune fille qui tom
douter de l'existence des équivalents psychiques. M. Wildermuth. Un cas qu'il rapporte impose le diagnostic d'é- quival
Non, bien que celte constatation ait une haute importance. Dans un cas déterminé, cela fut complètement impos- sible,
ant à toute la char- pente musculaire du corps. M. Rmccn. Dans un cas il y avait exagération tout à fait énorme des r
able , 1 4v. l'examen de l'état mental aura lieu;' comme 'dans le1' cas d'intëa'vei ? I tion n fin d'interdiction ; si
consé- quences de'la'tiialà'di4è ttlru'il" o'belsér.v.e' dans . le cas de mariage, et* · par conséquent, , seul il peu
s une foule de points épineux : quelle durée permet d'assigner à un cas d'aliénation mentale l'épithète d'incurable ? Q
llemands, considérant que; d'après la loi relative à l'assurance en cas de maladie, il n'est plus fait d'exception de p
le in- vite ses membres à ne cesser de rechercher et d'examiner les cas dans lesquels on frustrerait des' aliénés dëllê
'i-i ' i . r 'itti'ft ? ) I >.i f ? t.. ? 14f. MENDELCommunique un cas , de folie hystérique qui ressemble àlaelui de,
lie hystérique qui ressemble àlaelui de, l'observation .11. Dans ce cas , une tumeur avait néces- silé l'ôvariotomi. A l
malade demeura folle d'une façon permanente. Il rappelle encoi;ele,( cas | d'Is,rael (castration apparente) et croit ne .de
liCHSIG. - Actuellement. lescas favorables sont par rap- port aux ¡, cas ( défavorables dans lai proportion. de, : ,3. Le c
rap- port aux ¡,cas( défavorables dans lai proportion. de, : ,3. Le cas d'Israel ne prouve rien car on n'a pas établi q
. Il'01,1'11'' ? J '1" ,, 1 1/' ? ,,1 IHJl\1. ILITZIG communique un cas à évolution' défavorable.. c ? , < )11\'1'1\
copique). Le livre de Wilbrand sur l'hémianopsie en contient douze cas , mais ces faits ne sont pas univoques, car il s'a
andelettes optiques, des corps genouillés, et des couches optiques ( cas de Gudden), de tumeurs 268 SOCIÉTÉS SAVANTES.
n), de tumeurs 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. kystiques ou tuberculeuses ( cas de Lancereauy et li urtsclrér), per- mettant d'
r l'action d'une compression ou, encore d'arrêts de développements ( cas de Wrolick d'IIugu'enin ? ) d'une autre, essenc
puis'1 dix' ans)'. Quant' à, l'esameliüiic'i·ôscopiqite en tous ces cas ; les cellules nerveuses, ont plus ou imomsl dispa
t que ces altérations .émanas- sent du lobe occipital puisqu'un des cas témoignait d'une atrophie partielle du nerf,occ
on enlève les hémisphères cérébraux avec les corps striés; dans ce cas là, M. Christiani n'a jamais pu constater chez
es moyens de contrainte dignes de la barbarie. «Mais, en certains cas , vouloir faire le bien ne suffit pas, il faut y
Société royale, à l'encou- ragement des sciences biologiques. Le cas du Dr L.-U. Beach. - La condamnation et l'exécuti
a 'lJledico legal Society a nommé une com- mission pour examiner ce cas avec soin. (The medico-legal Journal, 1885, na
moelle épinière d'un tabétique, avoue qu'on avait affaire, dans ce cas , non à une affection systématique, comme on le
t étudié toutes les observations existant dans la littérature des cas de maladies systématiques compliquées des cor-
pourrait conduire à la conclusion que nous avons à faire dans ce cas à une affection systématique compliquée; mais u
nt aussi la périphérie. En d'autres termes, le processus dans notre cas a gros- sièrement franchi les limites anatomiqu
e, ni d'après son cours, ni d'après ses particularités cliniques le cas de M. Morgan n'a rappelé une paralysie spastiqu
SE. en soit, il est impossible de donner une valeur décisive à un cas aussi obscur. Outre Morgan, quelques observateu
Morgan, quelques observateurs ont fait des descriptions de pareils cas de paralysie spastique; où, à l'autopsie, on a
analyse attentive du tableau anatomique démontre que dans tous ces cas outre des faisceaux mentionnés, ceux du cervele
une affection diffuse qui commence aux enve- loppes. Ainsi sont les cas de Stoffella1, Aufi-echt2, Strùmpell3, Hopkin4,
al7. En considérant toutes les remarques faites plus haut, et les cas de paralysie spastique accompagnés d'examen ana
expliquer le substratum anatomique de cette maladie. Rangeant ces cas d'après des catégories, il faut les diviser de
atégories, il faut les diviser de la manière suivante : Dans deux cas la moelle épinière ne présentait pas de changem
gements visibles (à la méthode d'aujourd'hui d'examen); Dans deux cas on trouva la dégénérescence secon- daire des co
érescence secon- daire des cordons pyramidaux latéraux; Dans deux cas , sclérose en plaques; Dans deux cas, myélite pa
yramidaux latéraux; Dans deux cas, sclérose en plaques; Dans deux cas , myélite par compression; Dans un cas, myélite
érose en plaques; Dans deux cas, myélite par compression; Dans un cas , myélite transverse; Dans un cas, myélite aiguë
myélite par compression; Dans un cas, myélite transverse; Dans un cas , myélite aiguë limitée ( ? ) Dans dix cas, sclé
ite transverse; Dans un cas, myélite aiguë limitée ( ? ) Dans dix cas , sclérose diffuse. Si nous exceptons deux obser
ne peuvent pas être expliqués exactement, il nous reste dix-huit cas , où nous pouvons apercevoir dans la moelle épi-
au même processus dans lequel MM. Ballet et Minor rangent tous les cas jusqu'à présent connus de maladies primaires sy
é, peuvent être appliquées à la nature anatomique de la plupart des cas de cette ma- ladie, puisque, comme on le sait,
pyromanie reste encore enveloppée d'obscurité. Ainsi bon nombre de cas attribués à la monomanie incen- diaire ne me pa
ait de compromettre un cousin, son ennemi. Qu'im- portent, dans ces cas , les gens et les objets incendiés ! Aussi, pour
t irresponsables, à mon avis, il n'en est pas de même dans tous les cas des faux pyromanes, c'est-à ; 328 MÉDECINE LLGA
logie morbide, quand il remarque qu'en examinant un grand nombre de cas de pyromanie, on est forcé d'ad- mettre qu'il s
nie et les pyromanes. Il n'est donc pas inutile de publier quelques cas de ce genre. Si les considé- rations qui précèd
éprouvait au moment des crimes. J'ai été plus heureux dans les deux cas suivants. La pyromanie écartée, je dus recherch
ésistible au feu et sont des pyromanes irresponsables dans tous les cas . Quand ils entrent dans la voie des aveux, on r
ne sont jamais des pyro- manes ; car il est impossible, dans aucun cas , ' de retrouver chez eux la symptomatologie ain
ilité émo- tive. VI. Ils ne sont pas irresponsables dans tous les cas , car l'affaiblissement intellectuel, la pervers
cultés intellec- tuelles, morales et émotives, et seront, selon les cas , déclarés responsables ou irresponsables. CLI
les accompagnent, trahissent facilement leur origine mor- bide. Le cas actuel nous semble faire partie de ce groupe, et
ne épileptique, ou même un aliéné. Aussi disons-nous que, dans le cas actuel, l'hérédité est double et s'accumule sur
sans tare d'aucune espèce, le produit sera irréprochable. Dans le cas contraire, il héritera des vices de ses créateurs
, il héritera des vices de ses créateurs, absolument comme dans les cas où ils n'ont aucune affinité. Ce n'est pas la c
tre plus terrible. Ce pronostic funeste peut s'appliquer à tous les cas de ce genre, et sans qu'il soit guère possible
es que l'on a faites sur l'hypnotisme nous apprennent que, dans ces cas , c'est par suggestion que l'on agit sur la mala
rimentalement reconnue dans l'hystérie, il me semble que dans ces cas -là il n'est pas irrationnel d'admettre qu'il peut
eille, nous avons pu rapidement n'user de l'hypnotisme que dans les cas absolument nécessaires, soit pour prévenir une
osées par un personnage invisible; elle se sent d'ailleurs daus ces cas poussée dans le dos. 44. - Tremblement subit gé
'idée elle- même. L'eflet qu'elles peuvent produire dans ce dernier cas sera bien moindre; car la malade se trouvera en
e directe de l'hypnotisme. ' Nous sommes bien convaincu que dans ce cas l'hypnotisme seul a eu raison de l'accès, alors
soumettre la malade à tel traitement qu'on voudra, usité en pareil cas . Que l'accès soit passé, que le calme soit reve
t pas encore notre idée, et nous savons qu'il y a bon nombre de ces cas qui guérissent par les moyens usuels. Mais lors
et que les suggestions à l'état de veille ne réussiront plus. En cas d'insuccès on pourra cesser le traitement. Quan
l et qui peut être, à notre avis, employé avec succès dans certains cas , exceptionnels peut-être, mais qui n'en existen
fois les perversions de ces sens (OBS. XXXIX, XL). Dans d'autres cas , c'est la sensibilité tactile qui est atteinte.
re de la mi- graine ophthalmique (OBS. LXXXII, LXI) ; dans d'autres cas , il n'y a qu'une simple pesanteur de la tête (O
dentaires(Ons. IX), oculaires (Obs. LXXXII), des coliques utérines ( Cas . XXXIV), la névralgie de l'ovaire (OBS. XXXVIII
de la sciatique, des névralgies intercostales, de la gastralgie ( Cas . XI); ailleurs de la migraine, des douleurs artic
ne, des douleurs articulaires des mains, des coliques néphrétiques ( Cas . XX11D; ailleurs encore de la migraine, une sci
e sciatique, de la gastralgie, des crises de névralgie de l'ovaire ( Cas . XXXVIII). Ce qui démontre TROUBLES NERVEUX DAN
lité. Lasègue et Charcot ont signalé cependant un certain nombre de cas de diabète où se sont produits des troubles par
baissé, pouvaient se livrer à l'exercice de la promenade. Dans ces cas , on ne peut attri- buer l'amélioration à la rec
lades se plaignent de crampes limitées au membre supérieur. Dans un cas , nous avons observé des troubles de motilité qu
omènes que nous avons observés chez une femme de quatre-vingts ans ( Cas . XLIX). Cette femme, qui rendait chaque jour de
ort passée à l'état d'idée fixe (OBs. X, LVII). Une de nos malades ( Cas . LI) ne pouvait rester seule sans éprouver un v
n qu'on puisse tou- jours, chez une diabétique, soupçonner dans ces cas l'existence d'une intoxication alcoolique, nous
que, nous ne croyons pas que l'éthy- lisme fût en jeu dans les deux cas que nous rapportons; du reste, il n'y avait ici
et tantôt à la fois objectif et subjectif. Il peut, dans certains cas , entraîner la chute de la malade (OBS. LV); il ne
e d'une lésion cérébrale en' voie d'évolution. Il apparaît dans des cas où l'anémie n'est TROUBLES NERVEUX dans LE diab
peut exister un vertige de nature diabétique. Nous avons observé un cas d'aphasie qui dura quinze jours et qui s'accomp
mécanique et due au besoin fréquent' d'uriner. Mais, dans d'autres cas , elle se produit spontanément et paraît liée à
ait été elle-même atteinte d'épilepsie dans son enfance. Une autre ( Cas . XLVII) avait deux de ses neveux aliénés; elle
de la pathogénie du diabète. En dehors de ces faits, il existe des cas assez nombreux de ramollissement et d'hémorragi
its cités par Leudet, par Libert doivent être inter- prétés dans ce cas . Lorsqu'on analyse leurs observations, on arriv
ne pourrait que difficilement faire du cinquième fait de Libert un cas de diabète symptomatique de lésion cérébrale; l
t progressivement, tantôt apparaissent brusquement. Dans le premier cas , elles sont souvent précé- TROUBLES NERVEUX dan
anormale ces différents troubles névro- pathiques'. Dans d'autres cas , les symptômes éclatent subitement sous forme d
tre ou cinq heures. Il n'est pas douteux qu'il ne s'agisse dans ces cas de lésions vasculaires, analogues à celles qui
uses ou dans les enveloppes de l'encé- phale. Seegen signale quatre cas d'hémorragie cérébrale ou méningée, rapidement
, si nous avons rencontré dans le cours du diabète chez l'homme des cas ana- logues à ceux de Seegen, c'est-à-dire des
chez l'homme des cas ana- logues à ceux de Seegen, c'est-à-dire des cas de pachyménin- gite ou d'hémorragie méningée av
ulsions suivies de coma, nous n'avons observé chez la femme que des cas de ramollissement (OBS. XX. XXI) et d'hémorrhag
que soixante ans. Aussi, a-t-on quelque droit de considérer dans ce cas le ramollissement comme le fait du diabète. Le
o- duisirent dans les conditions suivantes. L'une de nos malades ( Cas . XVIII) était diabétique depuis trois à quatre an
e l'avons cependant observée que neuf fois chez la femme. Dans huit cas , elle était double et avait débuté par l'oeil g
oppe après la ménopause. Elle n'ap- paraît d'ordinaire que dans les cas de diabète rebelle ou diffi- cilement modifié p
pie, ou de l'inégalité pupillaire que l'on observe. Dans le premier cas , il s'agit d'une parésie de l'accommoda- tion,
qu'elles étaient de nature fibro-cellulaire. R. M. C. XLIII. SUR UN cas DE tabès dorsal avec dégénérescence DES NERFS p
che à l'appui. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE. 413 3 XLIV. UN cas DE formation D'UN LIPOME dans LES MÉNINGES spin
ïde ou la pie-mère. La bibliographie n'en contiendrait que quatre cas . Les particularités de celui-ci résident dans la
DE pathologie NERVEUSE. Katyschew affirme qu'il se produit dans ce cas toujours du myosis, à la condition qu'on fasse
té de la rétine qui porte préjudice aux conclusions. P. K. XL VI. Cas guéri DE paralysie DE L'OCULO-MOTEUR externe av
de cette question si controversée en Angleterre. R. M. C. XVIII. Cas D.1U1'0-tU'rILaTIONS CHEZ LES ALIÉNÉS- par James
oit qu'il s'agit d'équivalents psychiques de l'épilepsie. 0 Autre cas . Dame bien éduquée, d'excellente condition, tou-
en rapport avec des associations d'idées, il est vrai que, dans les cas avancés, elles entraînent les mêmes conséquence
Im- portance très minime de la syphilis : sur cent-soixante-et-un cas , il n'y avait sûrement syphilis que chez dix-neuf
isseuse accompagnée de dégénérescence hyaline. P. K'. XXIII. Deux cas DE méconnaissance pendant PLUSIEURS années D'UN
us ; par de KRAFFT- . EBING (Jah7'büch. f. Psych., V, 3). PREMIER cas . Condamnation à la prison perpétuelle pour ince
originel. Acquittement; transfert dans un asile d'aliénés. Second cas . Condamnations répétées pour vol. Fait sem- ' b
e somatique ne peutpas être supprimée; défavorable surtout dans les cas de paralysie générale avec complications organi
e recourir plus d'une fois à l'alimentation artificielle; en pareil cas , la gué- rison mentale est d'autant moins proba
de maigrit en dépit de l'ali- mentation quotidienne à la sonde; les cas de ce genre marchent d'ordinaire vers une termi
ment pharmaceutique et à l'alimentation; - la. Défavorable, dans le cas contraire. Enfin nous devons mentionner une der
al of Jlental Science, juillet 1883.) L'auteur a pu observer quatre cas de méningite tuberculeuse chez des aliénés adul
aliénés adultes (hommes); les observations détaillées de ces quatre cas sont consignées dans ce travail, ainsi que les
près l'auteur lui-même, les points les plus saillants de ces quatre cas intéressants. Dans le premier cas, il s'agit d'
es plus saillants de ces quatre cas intéressants. Dans le premier cas , il s'agit d'un malade qui, après avoir présent
tuberculeusesiégeant, comme d'habitude, à la base. Dans le second cas , une méningite, siégeant principalement à la ba
étaient augmentés de volume, indurés et caséifiés. Dans ces deux cas , qui forment un premier groupe, la ménin- gite
t été constaté du côté de la fonction visuelle. Dans le quatrième cas , les tubercules méningés visibles étaient limit
et de très longue durée, de l'ouïe et du tact ont coïncidé, dans ce cas , avec des lésions très accentuées du centre cor
one corticale motrice du côté droit fût envahie. Ici, comme dans le cas précédent, il va sans doute lieu de tenir compt
parfois preuve à leur égard. ' Ce qui distingue surtout les deux cas de ce second groupe, c'est que les symptômes cé
sur l'hémicrânie vaso-dilatatrice. Remarquons qu'on place dans ces cas un électrode à la nuque et l'autre au niveau du
s induits; il en est de même pour l'intoxication nicotinique (trois cas ). Aux affections en rapport avec le surmenage c
pellerai, parmi les faits publiés dans les anomalies sexuelles', le cas du professeur de faculté, atteint d'inversion du
ui nait parfois sur le limbe de la papille et généralement dans ces cas celle-ci est ovalaire et plus ou moins déformée.
vé, à la suite d'affections aiguës chez les très jeunes sujets, des cas d'arrêts de l'intelligence et de dégradations men
. Christian 2 et plus récemment le Dr Kraepelin se sont occupés des cas de folie simple comme conséquence des mala- 1 T
fections fébriles sur le cerveau; c'est plus particulière- ment les cas de paralysie ou de dégradation intellectuelles
veran. Fièvre typhoïde Tr. de pathologie et de cl. médicales, 1879 ( cas d'encéphalite superficielle signalée par Popoff i
elever, et pendant un moment l'impulsion fait défaut. Dans tous ces cas , la moelle s'émancipe, l'influence psycho-motrice
sion d'observer plusieurs faits analogues et même de noter dans un. cas l'hérédité' similaire de cette disposition biza
ion d'un barreau de fer sur la cuisse droite. Le transfert, dans ce cas , est des plus laborieux; il s'accompagne de con
pa- raissent spontanément au caprice de la maladie, comme dans le cas de Félida (M. Azam), ou dans l'observation antéri
s les Archives de médecine clinique allemande, communiqué plusieurs cas dans lesquels la fièvre typhoïde a déterminé la
a guérison ou l'améliora- tion d'entités psychologiquess; parmi ces cas se trouvait un para- lytique général. Campbell
n dernier compte rendu annuel pour 1881, il communique encore trois cas de mort et deux cas d'aggravation psychopathiqu
annuel pour 1881, il communique encore trois cas de mort et deux cas d'aggravation psychopathique de par la fièvre typ
ue celles greffées sur de l'hype- rémie cérébrale; il y a aussi des cas dans lesquels l'état psychique ne se modifie po
t syphilitiques que dans la proportion de plus de 1 p. 100. En tout cas , il est clair que la syphilis a, dans la paraly
topsie ne révèle pas d'altérations anatomiques spécifiques. Dans le cas spécial de l'auteur, y avait-il en outre des tr
symptômes et de ne pas s'en rapporter à l'impression générale d'un cas donné; c'est faute d'avoir consigné les élé- me
le segment de la base du crâne qui comprend le lobe temporal. Deux cas témoignent d'une perforation rami- fiée delà ta
citations inégales de la substance nerveuse. Dans les deux premiers cas , des trous décrits ou plutôt du diploë mis à nu
sion morale évidente, cette singularité ne se retrouve pas dans des cas rares de mélancolie, plus rares encore de folie
t à fait isolée; à plusieurs lieues à la ronde, il n'existait aucun cas sem- blable.11 ne fallut pas songer à accuser u
effet que ce criminel ne mentait pas. Discussion : M. Nasse. Ces cas n'appartiennent pas à la manie transitoire ; le
es de succès, je me suis dernièrement trouvé aux prises avec quatre cas extrêmement rebelles; l'alternative dernière étai
les vociférations de paroles stéréo- typées. Cet état continue. Ces cas opiniâtres, insolites, ont rap- port à des indi
inq ans de pratiques psychiatriques m'ont permis d'enregistrer cinq cas de mort, survenue dans tous les cas, chez des m
m'ont permis d'enregistrer cinq cas de mort, survenue dans tous les cas , chez des malades ne se pliant pas à l'administ
solu pendant six; - un refus absolu pendant huit jours et demi. Ces cas de mort par abstinence pendant des laps de temp
ps relativement courts, rapprochés de la possibilité, pour certains cas morbides des plus graves, de con- server la vie
; 3° s'il doit l'alimenter à la sonde, instrument qui, en certains cas , permet d'espérer, en attendant mieux, la conserv
haliq ues et névro- gliques. M. Tuczek fournit à cet égard dix-sept cas de démence paralytique sous les formes les plus
e dans la démence paralytique, se base sur six faits; dans tous ces cas . la maladie a duré longtemps ; dans cinq d'entr
ues- tion d'antécédents roil héréditaires, soit personnels; dans un cas , on les a cherchés sans les trouver; une malade
énile, nous avions espéré qu'il chercherait à distin- guer dans les cas de soi-disant démence avec aliénation, les form
- Rôle des boissons alcooliques dans l'aug- mentation du nombre des cas de folies et de suicides, 1872; Divers articles
lle et l'a tuée à coups de couteau. » (Lanterne, 20 septembre.) Les cas de folie de l'enfance se pré- sentent assez sou
a tension des muscles comme (le l'), par Sikol'sky, 145. Beach ( cas du docteur), 302. Bégaiement et balbutiement pa
. 271. .lncmvr ? . X. 3l1 466 TABLE DES MATIÈRES. Détenus (deux cas de méconnais- sance pendant plusieurs années
pertrophie musculaire vraie, par Sakaky, 122. Hystérie (notesurun cas de grande. 'c))cx ! 'bom ! ne,avecdedoubie- m
30. Mort apparente (diagnostic de la), par l3uclt, 96. Muscles ( cas d'hypertonie pscudo- hypertrophique des), par E
r Tarnowski, 35. ' Sclérose latérale amlotrophique (doux nouveaux cas de - avec autopsie), par Charcot et .Marie, l
consul. sil's et les aliénés par Thomsen, 10U. Sexuelle (sur un cas tout particuliet d'excitation sexuelle perverse
84 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ls elle s'appuie sont encore peu nombreux. L'étude de trente-cinq cas d'incontinence a permis à M. L. Guinon de const
continence. L'hérédité directe est la plus fréquente. Dans quelques cas ,,le nombre des incontinents appartenant à la mê
die familiale. Parmi les observations de M. J. Janet, on trouve six cas d'hérédité similaire et quatre dans les nôtres
pourrait toutefois supposer que l'irritabilité existe dans certains cas et l'atonie dans d'autres : mais l'irritabilité
ple paresse céré- brale, elle est insuffisante dans la majorité des cas . Elle laisse en effet de côté tous les incontin
autres, par la suggestion hypnotique ; Liébeault en cite plusieurs cas ; nous en présentons un nous- mème dans le suje
n a fait la base d'une ingénieuse théorie qu'il applique à tous les cas d'incon- tinence. Pour lui, les incontinents no
ante mais elle ne doit pas à notre avis être généralisée à tous les cas ; car la constance des rêves mictionnels n'est
sont dès l'enfance somnam- bules ou hystériques ; il s'en trouve un cas dans nos observa- tions. Beaucoup le deviennent
de guérisons ; elle repose, il est vrai, sur un nombre restreint de cas ; mais 1 A. Cullerre. La thérapeutique suggesti
l'incontinence essentielle d'urine est, dans la grande majorité des cas , justiciable de la sugges- tion hypnotique. J
rvient la suggestion curative dont la formule doit varier selon les cas : ne pas pisser au lit, sentir le besoin et se
arrivé de se mouiller légèrement la nuit. 14 THÉRAPEUTIQUE. Ce cas est fort différent du précédent. Il s'agit d'une
e, il habite la ville et m'aurait été ramené vraisemblablement en cas de rechute. Les sujets de ces deux observations a
1er avril 1896. La guérison s'est maintenue depuis 1893. Encore un cas où une légère rechute se produit à la suite d'u
tes les nuits sèches. 20. Toutes les nuits sèches. Ne revenir qu'en cas de retour de l'incontinence. Je n'ai pas revu c
'influence d'nne émotion vive et très nette dans la patho- génie du cas précédent. Cette enfant, lymphatique et névro-
gents. Sa mère la considère comme guérie et ne la ramènera qu'en cas de rechute. 11 août. Elle revient navrée. Depui
dent. Considéré comme guéri par son maître qui ne le ramènera qu'en cas de rechute. Le sujet de l'observation précédent
plètement débarrassé de son incontinence et on ne le ramènera qu'en cas de rechute. Encore un dégénéré avec cette circo
ette semaine. 1er avril. Cet enfant est guéri et ne reviendra qu'en cas d'ac- cident. l. L'incontinence diurne de cet
ncontinence est transmissible par hérédité similaire. Dans quelques cas , par le nombre d'individus atteints de la même
. Il parait amener la gué- rison dans au moins les trois quarts des cas . Le degré d'hyp- nose du sujet est sans grande
limitée à un membre, à une moitié du corps ou bien généralisée. Les cas d'athétose double sont assez rares. On n'en con
médullaires de ces nerfs, ou bien elle est intra-spinale et dans ce cas elle intéresse les filets radiculaires de ces mêm
, les centres ano-vésical et génito-spinal. M. Raymond rappelle des cas analogues à celui qu'il vient d'exposer, le cas
aymond rappelle des cas analogues à celui qu'il vient d'exposer, le cas d'Oppenhuim entre autres. Il termine en établis
ée de violentes douleurs névralgiques. L'auteur ne connaît pas de cas semblable, il affirme cependant que cette érupt
zogl·. de la Salpêtrière, 1895, n° 5.) Dissertation clinique sur le cas d'un enfant, à antécédents per- sonnels névropa
it de nombreux stigmates permanents de la névrose. Camuset. X. UN cas DE gangrène cutanée D'ORIGINE hystérique; par M
n rapide sous l'influence du seul traitement psychique. C. XI. UN cas DE myopathie primitive progressive (type facio-sc
oit avoir affaire, à ne considérer que les membres inférieurs, à un cas de paralysie pseudo-hypertro- phique ou myosclé
jointe à la parésie de certains muscles de la face, on rangerait ce cas de myopathie daus le groupe des myopathies atro
à vingt-huit ans, et qui est un des symptômes les plus précoces des cas de myopathie primitive intéressant les membres
n sur le fémur. (Revue neurologique, avril 1896.) E. B. XII. SUR UN cas d'atrophie DE la langue dans LE MAL DE POTT sou
OLOGIE NERVEUSE. 49 le rôle d'une condition puissante dans tous les cas ,' indispensable dans la plupart, mais qui ne sa
ce spécifique légère. Alors on peut admettre qu'il se rencontre des cas de névroses où on cherchera en vain un degré ap
ce sujet, l'auteur résume l'examen histologique des deux principaux cas . Dans le premier, l'épilepsie a été déterminée
l'autre sur le plancher du quatrième ven- tricule. Dans le second cas il s'agissait d'épilepsie avec hémiplégie infan-
n trouble d'origine hystérique, rien de plus. En effet, en quelques cas l'auto-suggestion l'aggrave; quant aux cas en a
s. En effet, en quelques cas l'auto-suggestion l'aggrave; quant aux cas en apparence purs, il en est pour eux comme pou
entrales et périphé- riques, qu'il y a lieu de soupçonner en pareil cas l'importance pri- mordiale de semblables lésion
tation spinale et premiers éléments d'un tabes par exemple. En tout cas , il faut se demander si la névrose n'a pas un r
éralisée. C'est une question semblable à celle qui se pose pour les cas dans lesquels on trouve à l'autopsie des syphil
racines antérieures et des cornes antérieures. Comme dans tous ces cas , on a constaté le signe de Westphal, il y a lieu
médicament contre le priapisme de l'ataxie locomotrice, surtout en cas d'intolérance gastrique. Quelques auteurs lui att
ois après chez six autres. Les règles cessèrent dans la plupart des cas . Dans six cas on observa des nausées et des vomis
six autres. Les règles cessèrent dans la plupart des cas. Dans six cas on observa des nausées et des vomissements. Com
ès ont diminué de nom- bre. Ils ont complètement disparu dans douze cas , et ne se sont pas reproduits depuis deux ans,
s l'excitabilité élec- trique, ou nerveuse, ou musculaire; dans ces cas l'électricité peut t aider au diagnostic. L'e
bons résultats, surtout dans les folies primitives. Dans certains cas l'électricité peut rendre des services comme ag
être moindre ; mais, en somme, ne peut-il pas y avoir avantage, en cas d'insuccès, à ne par rester désarmé, à connaîtr
CLARKE. L'auteur a expérimenté l'alimentation thyroïdienne dans les cas d'aliénation mentale à forme chronique. Si le
table et le processus d'autointoxication qui existe dans quelques cas , sinon dans tous les cas de maladie mentale, se t
'autointoxication qui existe dans quelques cas, sinon dans tous les cas de maladie mentale, se trouve entravé. Pour que
a mémoire. Cependant le défaut de mé- moire peut expliquer certains cas de folie du doute, tels'que Archives, 21 série,
à plusieurs reprises, vérifier s'il l'a réellement faite. Dans ces cas , j'ai toujours constaté un trouble plus ou moin
it une chose ordinairement blâmable qu'ils n'ont pas faite. Dans ce cas , c'est l'oubli de certaines des circonstances t
cutés. L'abstention volontaire ne saurait être incriminée dans ce cas , car, bien au contraire, le sujet apporte toute s
ce qu'il craint. La perception extérieure, surtout dans le premier cas où il ne s'agit pas de grossières impressions s
nsorielles, n'est jamais assez troublée non plus pour expliquer ces cas . La volonté n'a rien à y voir. Il reste donc se
uffisante. Plus on observe de faits, ajoute-t-il, plus on trouve de cas mixtes de délire de persécution prêtant à la conf
omme une atrophie cérébrale par artério-sclérose, très analogue aux cas que Alzheimer a séparés, l'année passée, de la
, ni un syphilitique. M. STEI1VER. Sûrement non. M. ZACIIEIt. Les cas de Friedemann auxquels on a comparé l'observati
bservation qui précède ne sont pas tout à fait identiques. Dans ces cas il s'agirait de lésions vasculaires siégeant dans
ôme et non une maladie spéciale. Il insiste sur l'importance de ces cas au point de vue médico-légal, et rapporte l'his
tre les deux classes de criminels. Bien que dans un petit nombre de cas seulement, il soit possible de trouver des tare
le de déformations du crâne. En revanche, en recherchant dans des cas particuliers les signes dits caractéristiques de
avec ceux étudiés par d'autres auteurs, qu'il existe dans certains cas une obtusion de la sentibilité (fait invoqué pour
ncore se prononcer sur le point de savoir s'il s'agit dans ses deux cas de fibres endogènes des- cendantes, les seules
unication à la Société de biologie 2. De ceux-là est par exemple le cas Darkschewitch '' où à la suite de com- 1 docile
constante pourquoi ne les retrouve-t-on pas dégénérés dans tous les cas où les racines postérieures sont lésées ? Tel e
elles-là que nous essaierons de développer. Il s'est agi dans notre cas d'un enduthéliome ayant comprimé les racines ra
e triangle médian et posté- rieur figuré déjà par Sehullze1 dans un cas de fracture et de luxa- tion du corps de la tro
comme ayant subi la dégénérescence secondaire descendante dans des cas de compression de la moelle siégeant assez haut
res qui ont fait leur apparition. Il est donc difficile sur ce seul cas de le différencier du groupe de ces fibres radi
pes. Nous arrêterons donc ici la descriplionïtistolo¡;ique de notre cas . Nous nous contenterons de signaler que sur les
r les raisons qui nous ont déterminé dans l'interprétation de notre cas et de développer nos conclusions, il est indisp
d'autant plus de valeur, A côté de cette preuve directe, les deux cas récemment publiés par Hoche' fournissent en que
oche' fournissent en quelque sorte une contre- épreuve. Dans deux cas de compression de la moelle assez haut placée q
iterons également l'avis de MM. Déjerine et Sottes '* à propos d'un cas de destruction des racines inférieures depuis 1
de celui- des racines sacrées, nul doute à cet égard. Mais dans les cas de compression de la moelle et non plus de raci
es cas de compression de la moelle et non plus de racines, dans ces cas où la compression siégeait assez haut pour qu'i
ent pas à la suite de la lésion destructive de la moelle et dans ce cas il ne peut être question de filets coccygiens.
n ne pourra comprendre les dégénéra- tions descendantes de tous ces cas que par la présence dans les cordons postérieur
égions dont nous repar- lerons. Carl Mayer pense aussi que dans les cas de destruc- tion de la queue de cheval, les lib
cornu-commissurale. On devait donc retrouver ces fibres dans notre cas , elles existent 1 SchielIerùecker. - L'ebel' ré
ultze, celle de Souques et Marinesco. Ces fibres courtes dans les cas de compression de la moelle ne devront dégénére
te jusqu'à la hauteur de la troisième racine lombaire, et dans leur cas à la hauteur de la première paire lombaire la z
'est pas sur la présence seule de fibres à myéline intacte dans les cas de lésions des nerfs de la queue de cheval que
uve de l'existence de ces fibres ne peut être fournie que par les cas de dégénérescence descendante consécutive à une l
tence est donc bien réelle et contrôlée par ce fait que dans notre cas et d'autres à la suite de lésions des nerfs de la
le point sur lequel nous avons tenu à insister, c'est que dans des cas bien observés, on a vu la dégénérescence aller de
es qui le composent mais cette continuité est trop nette dans notre cas , dans celui de MM. Souques et Marinesco et ceux
. sur Psychiatrie, 1878 et 1880. PATHOLOGIE NERVEUSE. NOTE SUR UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE PRISE POUR UNE P
ion des maladies de V encéphale cl'fl6ercnonzGie. Paris, 1895. UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE. 101 lion que le
énumérer les difficultés surmontées grâce à la longue durée de son cas , à l'unilatéralité de la lésion, et à la rigueur
voir une obtusion intellectuelle identique à celle d'un paraly- UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE. 103 tique génér
ment. Les circonvolutions sont déformées, serréesles unes contre UN CAS DE PACHYJUÉNIKGITE HÉMORRAGIQUE. 105 les autres
confirmer. Il était pourtant difficile d'éviter une erreur dans un cas si bien caractérisé en apparence. L'âge du patien
céphale comme la chose a eu lieu. Il est à remarquer que dans ce cas l'arachnoïde, la pie-mère et ses vaisseaux, bie
t mémoire sur la pachyméningite hémorragique interne'. Sur les huit cas d'hématomes subdu- raux de cet auteur, un s'est
]ile hémoJ'1'ha[/ir/ue. Strashourg et Paris, 1863, 1861, 1865. UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE. 107 l'inflammat
lus éclectique, on est porté à admettre les deux origines selon les cas . Mais en Amérique surtout et en Angleterre avec
approprié que la dénomination communément adoptée. » Sur les huit cas du travail cité cette inflammation n'a jamais fai
e entre ces deux méninges est constante dans la grande majorité des cas et notamment dans ceux où l'hématome complique
olisme chronique ou un athérome avancé. Elle se retrouve dans notre cas : endartérite des vaisseaux de la pie-mère, ara
e correspondante, le dia- gnostic parait impossible et doit en tout cas rester obscur même en pesant rigoureusement cha
omise, celle de savoir si ce malade prend ou non de l'alcool et, en cas d'affirmative, il désire en connaître au moins
. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 1. Expertise 5rl : DICO-LG.1LG sur un cas DE tentative d'homicide ; par les 0'" VERGA Gio
e l'homme individuel que de l'agglomération humaine. Dans les trois cas , c'est la force de la solidarité collective qui e
eize ans que cet asile est fondé il ne s'y est rencontré que quatre cas de paralysie générale. Les deux principales cri
peuvent avoir lieu souvent en plein jour et par devant témoins. Ce cas intéressant prouve aussi combien le code pénal
aira, été et automne 1895.) . M. HuGLiNu-jACKsoN a vu de nombreux cas d'obsessions sem- blahles aux « idées impérativ
e diffèrent des idées normales que par le degré. Il n'admet dans ce cas ni état mental négatif, ni état mental positif
s moraux, chagrins, soucis, surmenage. Suit une riche collection de cas d'obsessions et de phobie ? . Il y a dans ces c
che collection de cas d'obsessions et de phobie ? . Il y a dans ces cas une combinaison de troubles fonction- nels orga
eu d'en désespérer tout à fait; il faut arriver pouvoir choisir les cas opérables. 11 y a des microcéphalies très diverse
s opéra- toires selon les situations individuelles. , Pour certains cas une intervention mal dirigée peut laisser une c
aux parents une amélioration assurée; 4° opérer de préférence les cas accompagnés d'attaques épileptiformes, de contrac
nte heures après. L'auteur déplore ce contre- temps persuadé que le cas était de ceux que l'on doit opérer. F. BoissiER
ent chez les épileptiques, mais aussi chez les hypnotisés : dans ce cas , l'ictus, au lieu d'être spontané comme chez le
ire de persécution, non encore signalée à cet âge. Il s'agit d'un cas de délire systématisé de persécution raisonnant,
mplète; cette anosmie a été observée, la plupart du temps, dans les cas les plus récents et les plus légers d'aliénation.
épileptique, l'anosmie fut trouvée complète dans 57 à 72 p. 100 des cas . III. Réflexes dans la folie. - L'auteur a exam
lors que Noyes, dans son traité sur les maladies des yeux, trouve 5 cas pour 100 d'achromatopsie chez les hommes et 2 p
chromatopsie que chez deux hommes et une femme, et encore ces trois cas étaient incomplets. (American journal of insani
plets. (American journal of insanity, janvier 1896.) E. B. IX. UN cas DE folie morale; par le D'' Gorton. Histoire cl
olie morale; par le D'' Gorton. Histoire clinique intéressante d'un cas type de folie morale. A propos de ce cas, l'aut
clinique intéressante d'un cas type de folie morale. A propos de ce cas , l'auteur remarque que l'appellation de « folie
. B. X. Délire CHRONIQUE ET alcoolisme aigu; par le Dr E.ST.\1AN. Cas intéressant dont les conclusions sont les suivant
tre mise par erreur sur l'alcoolisme aigu simple; 2° dans un pareil cas , la guérison de l'alcoolisme aigu peut dimi- nu
e; 2° ces excès sont la cause directe d'au moins 10 à 12 p. 100 des cas d'aliénation mentale, et la cause indirecte de be
as d'aliénation mentale, et la cause indirecte de beaucoup d'autres cas qu'on ne rapporte pas à une influence alcoolique
otulien n'a d'importance au point de vue du diagnostic que dans des cas exceptionnels ; 7° L'exagération du réflexe rot
s'accompagner toujours de l'exagéra- tion des réflexes ; 10" Les cas de paralysie générale dans lesquels on observe le
és. Dans le cours de ces vingt années, il n'a pas rencontré un seul cas de psychose fonctionnelle dans lequel faisait d
ait défaut le réflexe du genou. Il va sans dire qu'on a éliminé les cas compliqués de diabète, d'alcoolisme, de morphi-
mpliqués de diabète, d'alcoolisme, de morphi- nisme, etc. Dans un cas seulement, observé avec Westphall, il y avait ab-
ec Westphall, il y avait ab- sence du phénomène du genou. Celait un cas de manie simple, récent. Le malade guérit et pu
il m'est arrivé de mettre eu évidence le réflexe du genou dans des cas où des confrères avaient noté l'absence de ce r
illards. M. MOELI remarque l'absence du signe de Westphall dans les cas de psychoses séniles rassemblés par l'auteur. S
nce d'autres symptômes. L'examen microsco- pique, dans trois de ces cas , a bien décelé quelques particularités : épaiss
nt complet des muscles. M. IIIOELI insiste sur ce fait que dans les cas qu'il a observés, l'absence des réflexes n'étai
evant les tribunaux, ainsi qu'on l'a déjà fait d'ailleurs. Tous les cas de délire des quérulants ne doivent pas être ra
la longue durée de la maladie. Au point de vue étiologique certains cas doivent une em- preinte spéciale au traumatisme
atisme, à la sénilité, à l'alcoolisme. Il faut donc ranger certains cas de délire des persécuteurs dans la paranoïa, d'
Abandonnons donc un mot qui ne prête qu'à des confusions. Dans les cas où l'on voit la manie des réclamations constitu
mot de « querulantenwahnsinn », mais il faut avouer qu'il est des cas dans lesquels, en l'absence de toute idée déliran
conceptions délirantes pro- prement dites. On rencontre de nombreux cas . très démonstratifs, qui prouvent le contraire.
ntale en s'appuyant sur la symptoma- tologie et le développement du cas en question dans son entier. Le mot de « querul
raître la dénomination de « que- rulantenwahnsinn ». La plupart des cas auxquels on l'applique appartiennent en effet a
. plôme primaire, les réclamations ne viennent qu'après. Dans ces cas avec la disparition de l'accès d'excitation mania
différentes conditions et qu'enfin elle est curable dans quel- ques cas exceptionnels. D'ailleurs on voit souvent des mal
igé de répondre par l'affirmative. On laisse de côté évidemment les cas dans lesquels la manie des réclamations n'est q
ne peut admettre également, parmi les formes de la paranoïa, les cas dans lesquels le délire processif ne constitue qu
t, d'après M. Magnah ; mais il est tardif dans un cerlain nombre de cas , et c'est un élément additionnel qui n'efface p
s nerveux. A cette oeuvre de reconstitution, fait suite l'étude des cas cli- niques que M. le professeur Raymond a eus
la méthode de son maître, M. Raymond étudie d'abord lon- guement le cas clinique, et profile de ces cas pour étudier dans
mond étudie d'abord lon- guement le cas clinique, et profile de ces cas pour étudier dans ses points essentiels, dans s
ent, éclairant et complé- tant les leçons suivantes, l'analyse d'un cas d'hémorragie du cône terminal. Un cas de syndro
ons suivantes, l'analyse d'un cas d'hémorragie du cône terminal. Un cas de syndrome de Brown-Sequard complète cette étu
n'a pas eu d'attaques, malgré la suppression de tout traitement. Ce cas , ainsi que celui du jeune garçon précédemment c
spéciaux, qui seront différents, selon les particularités de chaque cas et selon le degré de l'in- coordination. On tro
ablement étudier les particularités de l'incoordination dans chaque cas spécial et choisir des exercices propres à corr
selon les par- ticularités de l'incoordination motrice dans chaque cas de tabes. Nous ne saurons trop le répéter, que
amélioré l'incoordination 1 Rubens Hirschberg.- Loc. cil., p. 8. Le cas publié par le Dr Frenkel est postérieur à notre
constatées par Jen- drassik n'ont pas été confirmées dans tous les cas de tabes. Cette théorie est aussi en contradict
est cependant plus probable, comme l'admet Frenkel ', que dans ces cas d'une finesse extraordinaire de la sensibilité
n plein développe- ment rapide de la maladie, on verra que dans les cas de tabes aigu, et dans la période d'aggravation
ioration de la sensibilité s'explique par le fait que même dans les cas les plus avancés de tabes la sensibilité muscul
ournier ' est le seul auteur qui à notre connaissance mentionne des cas ; dans lesquels l'incoordination motrice était d
côtés du corps. On peut même dire plus. Dans la grande majorité des cas c'est le côté gauche qui est plus affecté que le
le côté droit. Sur nos neuf malades on n'en trouvera qu'une seule ( Cas . V) chez laquelle la jambe droite était plus in
bes avec hémiataxie. Cette hémiataxie est aussi une gauche. · Les cas dans lesquels le professeur Fournier a constaté d
ôt instantanément, tantôt avec un certain retard. Dans ce dernier cas , et s'il n'y a pas d'anesthésie tactile, le mal
ioration est pourtant encore plus remarquable que dans le précédent cas , si on considère l'état d'impotence absolue dan
t intéressante à plusieurs points de vue. D'abord il s'agit dans ce cas d'un tabes qui a évolué très rapidement. En moi
e façon plus ou moins définitive on devrait disposer d'un nombre de cas plus considérable. Il vaut mieux être en attend
de traitement, pour juger de sa valeur réelle, il faut choisir des cas capables 180 CLINIQUE NERVEUSE. de bénéficier
ration qu'une incoordination très prononcée. Tout dépendra dans ces cas de l'évolution de la maladie. Si la maladie évo
u près nul. Si au con- traire nous nous trouvons en présence de ces cas si fréquents de tabes, qui ne se développent qu
s n'est d'aucune utilité. Si on se trouve en pré- sence d'un pareil cas , on fera mieux d'attendre. On ne devra commence
euse. Or si la sensibilité s'aggrave tous les jours, comme c'est le cas dans le tabes à marche rapide, comment le malade
pagnerait, au dire de la malade, d'une sensation spéciale : dans le cas d'oedème rosé, des fourmillements des doigts ; da
nairement, une sensation de chaleur qu'on retrouve dans le premier cas , et de froid dans le second. . Voici d'ailleurs
oit la cyanose simple, soit la cyanose avec oedème. Pour ce dernier cas , on ne peut que se rallier à l'opi- nion d'Alél
de 8, sur la main enflée il faut une pression de 17 dans le premier cas , et de 14 dans le second. La ligne d'ascension
une véritable 198 RECUEIL DE FAITS. attaque. Elles n'ont en tout cas aucune influence sur l'hyperhy- drose. , Ajou
nie, la chorée, etc., si on ne connaissait ces maladies que par les cas qu'on peut observer dans les maisons spécialement
et, qui devraient conséquemment figurer tantôt dans le groupe des cas appartenant aux neurologistes, tantôt dans celui
dans le cours de la tuberculose pulmonaire. Que, dans beaucoup de cas , les inflammations aiguës de la moelle et du ce
ébiles. Enfin, des statistiques aussi importantes par le nombre des cas sur lesquels elles portaient, que par l'auto- r
aient des maladies héré- ditaires, ils établirent que dans certains cas elles succédaient '206 .SOCIÉTÉS SAVANTES. ma
des médecins aliénistes reconnaissent aujourd'hui que beaucoup de cas de psychoses pures, de confusion mentale primitiv
ucination unila- térale ou dédoublée de Michea. Enfin, il est des cas complexes où l'hallucination auditive ne consti
l'inverse (écho- lalie hallucinatoire). Le rapporteur cite ainsi un cas , publié par nous, d'hallucinations psycho-motri
ndu, un air au sur et à mesure qu'ils le com- posent. Dans certains cas , cette représentation mentale extériorisée pren
sans objet et celle-ci est interprétée par le malade. Dans tous ces cas de lésions auriculaires, il se produit, en somm
e porte, s'est enlendu appeler « vieille pouilleuse». Mais, dans ce cas là, il s'agit d'une personne hallucinée habitue
ient, dans la règle, que d'une façon secon- daire et, dans tous les cas , accessoire. L'hallucination n'est pas un simpl
entend seulement dans sa tête comme un langage intérieur. Dans ces cas , les centres sous-corticaux ne prennent aucune
itant une observation de longue haleine, les auteurs rappellent des cas analogues déjà publiés (cas de Garnier, Linon', F
gue haleine, les auteurs rappellent des cas analogues déjà publiés ( cas de Garnier, Linon', Féré, etc.). MM. Vallon et
(cas de Garnier, Linon', Féré, etc.). MM. Vallon et Marie. - Sur un cas de délire chronique religieux à hallucinations
phériques comme tout à fait secondaires, tout en reconnaissant les cas de Régis comme étant des hallucinations au sens d
débat et la séance après avoir soumis au Con- grès quelques curieux cas d'hallucination chez les amputés perce- vant le
es d'asphyxie locale peuvent s'associer et alterner ; dans certains cas atypiques les douleurs sont surtout marquées al
ême direction,c'est-à- dire vers le coeur. C'est pourquoi, dans les cas passagers, la disparition de l'oedème suit la d
suit la disparition de la paralysie ou de la contracture ; dans les cas durables, au contraire, les veines se dilatent
turbée. Toutes ces lésions ont été constatées par Alelekoff dans un cas d'oe- dème bleu qu'il a eu l'occasion d'autopsi
n d'autopsier. Le pronostic de l'oedème bleu est favorable pour les cas passagers, il est grave pour les cas durables,
me bleu est favorable pour les cas passagers, il est grave pour les cas durables, à cause des lésions profondes qu'il p
al du malade est excellent, sa température nor- male. Dans les deux cas que nous avons eu l'occasion d'ob- server, l'ac
alement un phénomène hystérique vaso-moteur. On trouvera certes des cas atypiques au sujet desquels il sera difficile d
n pronostic est essen- tiellement bénin et son traitement, dans les cas analogues à ceux que nous avons observés, se ré
ses recherches histologiques sur les centres médul- laires dans les cas de section de nerfs périphériques (sciatiques) et
r compression de l'aorte abdominale chez le cobaye. Dans ce dernier cas , il y a une paraplégie plus ou moins durable, s
chymateuse ou interstitielle du processus type. 1 M. Vallon. -Les cas de paralysie générale à longue durée, sans être
paraissent pour constituer des guérisons temporaires. A côté de ces cas il en est d'autres plus rares dans lesquels la ma
galie. Les examens microscopiques ont été faits dans ces différents cas . En particulier, l'acromégali- que à épilepsie
re maintenus dans les hôpitaux ordinaires. M. le Dr RouBY cite un cas d'hallucination analogue à celui de ARCHIVES, 2
es dans les journaux au sujet de AIII° Couesdon, j'ai pensé que mon cas de folie était similaire à celui de cette voyan
tante dans une affection. Il serait utile aussi de savoir dans quel cas le tremblement est un symptôme pure- ment fonct
as le tremblement est un symptôme pure- ment fonctionnel, dans quel cas il est la manifestation précise d'une lésion or
ralisant elles-mêmes leurs effets à tout l'orga- nisme ; 4° dans le cas présent, bien que six mois se soient écoulés de
signalés par M. Lamacq, je crois que dans le plus grand nombre des cas ils doivent être attribués à la coexistence de l'
ique : il peut être déterminé dynamiquement par les lésions. Dans 2 cas j'ai vu ainsi le tremblement disparaître. Les t
es, per- ceptibles à l'oreille à distance et incoercibles. Dans ces cas le tremblement s'accompagne de bruits de craque
t aimantant le fer à volonté il releva l'action magnétique dans les cas d'aimantation par le courant à l'exclusion de t
ention et de la discussion. ' Aucune n'est plus propre, en tous les cas , à servir de base aux débats d'un Congrès de ne
s asiles ordinaires mais relevant d'asiles spéciaux sont : certains cas de tentatives de suicide, certains déments séni
ent des aliénés dans les asiles s'impose dansla grande majorité des cas . Pourles malades pauvres ou peu aisées, il est
s d'office entraînent des formalités souvent longues, sauf dans les cas de péril public, évident pour tous et nombre de
les : une manie alcoolique aiguë guérie au bout de huit jours et un cas d'hystérie grave avec tentatives réitérées de s
M. Paris, de l'asile de Maréville-Nancy, après avoir relaté deux cas dont la solution l'avait singulièrement embarrass
me siège du Congrès de 1898. Séance du mercredi 5 août (matin). Cas d'hyperostose crânienne chez une femme épileptiqu
du crâne, toutes pièces qui ont permis de très bien appré- cier ce cas si remarquable, extraordinaire même, d'hyperostos
utions, qui est à la fois un raisonnant, tantôt comme halluciné. Ce cas me parait mériter la désignation de délire des
ARISOT et Lvy. - Démence sénile et toxicité uri- naire. 1° Dans les cas de démence sénile simple, c'est-à-dire sans dél
ions, sans que le fonds démentiel en ait été influencé; 2° dans nos cas de démence sénile avec délire vésa- nique (mani
m est-il un facteur de criminalité ? M. Laurent ne connaît pas de cas de crimes pouvant être attribués à l'opium, et on
e psychique. Nous voudrions montrer qu'il peut aussi, dans;certains cas , devenir le point de départ d'un état d'esprit
de la rougeur est en général des plus tenaces. Ce n'est que dans un cas où la peur de la rougeur s'est trouvée liée à l
soin et accompagnées de photographies très démonstratives. L'un des cas , surtout, est remar- quable par son volume. M
avons vu, au cours de son histoire, qu'il avait pu, dans cer- tains cas , faire preuve d'une volonté tenace, cette faculté
des mouvements cloniques du bras droit s'exagère; en vain, dans ce cas , le malade essaie de modérer ce mouvement si cara
s modalités peuvent être observées. C'est ainsi que dans certains cas la phase convulsive limite son action à la tête
t un peu d'hésitation après laquelle la phrase très courte, dans ce cas , s'échappait dans un soupir; plus souvent, il e
rvalles plus ou moins rapprochés, un sorte de hoquet. Dans tous les cas , l'ordre d'apparition des phénomènes ne varie p
ette intéressante observation pourrait être rapprochée des nombreux cas de tics compliqués de troubles de la parole, recu
teurs approuvent ces données, en réservant le régime extra pour des cas spéciaux, qui ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'ÉTA
les cri- minels fous). Projet pour spécialiser le traitement des cas curables. Jusqu'à ces dernières années, l'admin
hospices d'incurables. La loi de 1890, fit transférer plus de 2,000 cas de ces derniers dans les hôpitaux d'Etat; on aura
des médecins est-il suffisant, selon vous, pour assurer à tous les cas curables le degré de traitement spécialisé qu'e
s les cas curables le degré de traitement spécialisé qu'exigent ces cas et, sinon, dans quelle mesure faudrait-il l'aug-
n a), ainsi que les méthodes usitées pour le traitement spécial des cas curables. - 34. De même, pour les moyens de dis
catégorie de malades ? Favorisez-vous cette disposition et dans ce cas , pour quelles raisons ? Quel sont, à votre avis
i une autre bien plus complète que donne l'un des rapports pour les cas spéciaux : 282 11) asiles d'aliénés. affectio
29. Partout, on ne fait l'examen ophtalmoscopique à l'entrée, qu'en cas d'indications spéciales. 86 asiles d'aliénés.
r, disent les rapports. Ce sont les fa- milles qui en font venir en cas de besoin. 33. Les facilités spéciales, structu
cilités spéciales, structurales ou autres, pour le traite- ment des cas aigus, paraissent généralement assez médiocres. L
insuffisantes. On demande même des chambres individuelles pour les cas très aigus. Les médecins font tout ce qu'ils pe
t partisan du non-restraint ; cependant on admet que, dans certains cas , les moyens de protection méca- niques sont ind
rveillance. Un des rapports demande des chambres spéciales pour les cas curables. En général, on trouve qu'il ne faut p
XXVI. SUR LES affections DE la' QUEUE DE cheval A PROPOS DE deux cas DE ces affections; par nI. RAYfoND, professeur de
sie, sont innervés par des branches venues 'du plexus sacré. Deux cas peuvent se présenter : ou l'affection, quelle que
ben elle intéresse exclusivement le cône terminal. Dans le premier cas , les symptômes provoqués sont : une paralysie d
irrégulièrement intermittente, parfois continue, mais dans tous les cas elle présente des exacerbations, elle n'a pour
connaissance qu'on a des susdites affec- tions. Il existe plusieurs cas de guérison authentique à la suite de l'interve
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 293 3 époque, ajoute le professeur, les cas bien tranchés comme celui- ci n'offrent pas de
banales des accidents hystériques. On n'en a pas rencontré un seul cas chez l'homme. C'est une affection peu connue, s
lors mais elle s'exagère encore pendant les crises. Il y a dans ces cas oedème du tissu cellulaire, oedème qui peut dev
remar-, quables de seins hystériques guéris par miracle. Le premier cas est celui de la demoiselle Coivin, il date de 1
cer de la terre prise sur la tombe du célèbre janséniste. Le second cas est celui de la demoiselle Augier (1707). Le canc
le membre se remit à fonctionner normalement. CAMUSET. XXIX. Deux cas de myélite transverse AIGUË; par M. le Dr 1. NAGE
e. (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, 1895, n° 6.) Il s'agit de deux cas de myélite transverse aiguë observés dans le se
ortantes entre les deux processus anatomiques morbides. En l'un des cas il faut, en 296 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
les lésions vasculaires des myélites sy- philitiques, mais dans le cas actuel ils sont relativement rares, alors qu'il
-axes à peine déformés, entourés ou non de myéline, dans le dernier cas la myéline est boursouflée, lésée. Les cellules
pitaux. (Nouvelle iconographie de la Salpêtrière, 1895, n° 6.) Ce cas est un exemple de ces associations morbides où se
ne, à la vérité très rare dans l'hystérie, elle serait due, dans le cas actuel, à une paralysie du sphincter vésical in
L'observation est celle d'une femme âgée de cinquante-huit ans, le cas est tout à fait classique, sauf en un point, la m
cessus cavitaire s'étendait aux cordons postérieurs et latéraux. Le cas actuel est, dit-il, à ajouter aux cas déjà publ
s postérieurs et latéraux. Le cas actuel est, dit-il, à ajouter aux cas déjà publiés, car il ne s'agit pas d'une compli
urtout la moelle cervicale qui est touchée, cependant il existe des cas où la localisation s'est faite uniquement sur l
ation s'est faite uniquement sur la moelle lombo-sacrée. Dans les cas de syphilis précoce ou tardive, les types cliniqu
de extension dans le dernier chapitre de cette étude. C. XXXV. UN cas dk tabès SUPÉRIEUR avec conservation DES RÉFLEX
inica e terapeutica. Naples, 1895, n° 3.) Camuset. XXXVIII. Trois cas DE HOQUET hystérique; clinique du Dr de Renzi,
DE HOQUET hystérique; clinique du Dr de Renzi, de Naples. Premier cas . Femme, vingt-neuf ans, mariée, tare nerveuse h
ice du Dr de Renzi, guérison spontanée qui se maintient. Deuxième cas . Femme mariée, trente-six ans. Influenza, et à
au moyen de courants faradiques appliqués à l'épigastre. Troisième cas . Jeune fille, vingt-deux ans. Emotion violente
ystériques par la suggestion hypnotique. En résumé, dans le premier cas la guérison est due au change- ment de milieu e
un long voyage y est aussi pour quelque chose. Dans le troisième cas , la guérison est due à la suggestion et dans le
(Rivista clinica e terapeutica. Napoli, 1895, n° 2.) C. XXXIX. UN cas DE POLIOENCLPGALOMYELITE; par le Dr COVONE. Int
POLIOENCLPGALOMYELITE; par le Dr COVONE. Intéressante étude sur un cas de polioeucéplralomyélite qui s'écarte sous cer
s un accès de dyspnée. L'auteur affirme qu'il s'agit bien là d'un cas de polioencéphalo- myélite : on y trouve l'atro
but de l'affection par la paralysie bulbaire inférieure fait de son cas un cas unique dans la science, il faudrait le d
l'affection par la paralysie bulbaire inférieure fait de son cas un cas unique dans la science, il faudrait le dénommer p
ômes de la paralysie glosso- labiale. Dernière remarque : Dans le cas de M. Corvoue, comme dans tous les cas publiés
Dernière remarque : Dans le cas de M. Corvoue, comme dans tous les cas publiés jusqu'à présent. l'étiologie de la polien
airement dans l'atrophie progres- sive. Eu somme, il s'agit dans ce cas d'une inflammation de la dure-mère qui, hypertr
1895.) De 1892 à 1893, l'auteur a observé à Eastern Hospital 1,071 cas de diphtérie. Sur ce nombre 362 malades sont mo
t morts avant d'avoir eu le temps de devenir paralysés. Sur les 709 cas restants, il y a eu 125 paralysies dont 17 mort
restants, il y a eu 125 paralysies dont 17 mortelles. Parmi ces 125 cas le sexe était masculin 55 fois et féminin 70 fo
esque toujours disparu avant l'application de la paralysie; dans 10 cas seulement elles duraient encore. La paralysie a
palais seul ou accompagné 75 fois. Elle a été très limitée dans 66 cas et très généralisée dans 16 cas. La paralysie cil
is. Elle a été très limitée dans 66 cas et très généralisée dans 16 cas . La paralysie ciliaire, qui a pu échapper chez
nt la physionomie clinique est bien différente. Dans la plupart des cas on constate un affaiblissement intellectuel plus
ur de diagnostic peut aisément être commise. L'auteur rapporte un cas dans lequel une tumeur cérébrale a pu, pendant
xcitation et exubé- rance (ztorica)qu'il n'a rencontré que dans les cas de tumeur des circonvolutions frontales. Le mal
aux plaisanteries et à toutes. sortes d'actes puérils. ' Dans le cas en question peut-on penser à une tumeur siégeant
che au niveau des circonvolutions fron- tales. P. SÉRIEUX. II. UN cas DE lésion DE la bandelette OPTIQUE ET DU pédoncul
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 317 termine par cette conclusion : Ces cas nouveaux n'infirment ni ne corroborent notre op
ganes génitaux de la femme. Il s'agit donc, en somme, d'un de ces cas que M. Paul Bicher rattache à l'hermaphrodisme an
u sujet qui est jointe à l'article de M. Van Brero. C. IX. Sur un cas DE fragilité des os ; par le 1)" Gvv vN. On a d
altérations fines et primitives que l'auteur a rencontrées dans un cas de tabes : aussi place-t-il la cause de l'amyotro
emps ; un petit chien dura au moins trente jours ; 3° Dans quelques cas le poids du corps commence à baisser dès le pre
se, soit une dégénérescence amyloïde des cellules, et dans tous les cas , l'atrophie des fibres et cellules. P. K. XIV.
us pense que cette interprétation ne peut être appliquée à tous les cas , mais de l'examen des cas anté- rieurement publ
étation ne peut être appliquée à tous les cas, mais de l'examen des cas anté- rieurement publiés et de ses propres obse
endaison le facteur principal. Seydel a publié récemment un nouveau cas qui porte à 27 le nombre des observations connu
araît pas devoir être rattaché à l'hystérie. L'auteur rapporte deux cas personnels. Un des sujets fut pris, après sa te
ez les pendus rappelés à la vie, doit s'appliquer à la majorité des cas . Mais il en est qui sont susceptibles d'une exp
consécutive. Il n'y eut pas d'accidents convulsifs. Dans les trois cas dont il s'agit l'amnésie rétroactive n'a pas été
énéral sont bons. Commencement du traitement le 2 décembre 1891. Le cas se présentait comme très peu favorable au trait
oir. Ce résultat, quoique moins brillant en apparence que dans le cas précédent, peut être considéré comme absolument r
ement du traitement le 9 mai 1895. - On n'aurait pas pu imaginer un cas moins favorable pour notre méthode. L'âge du ma
fisance du régime. La vérité est qu'on voit, de temps en temps, des cas sporadiques, chez des sujets dont les facultés
ariété ou chez ceux qui refusent de se nourrir. Chaque fois que ces cas se sont présentés (comme cela arrive dans les g
maladies infectieuses, négligence qui aurait entraîné au moins un cas de mort. -En effet, on n'a pas toujours, faute de
faute de place, isolé des sujets atteints de phtisie pulmonaire. Le cas de mort se rap- porte à une femme accouchée dan
sabilité à la doctoresse char- gée de l'accouchement. Dans un autre cas , la victime aurait été infectée avant son admis
a camisole comme moyens de contrainte mécaniques qui, dans certains cas , « sont aussi nécessaires que les attelles ou l
ux infirmiers. Les autres reconnaissent ses avantages dans certains cas . Les salaires des employés varient beaucoup sui
ernement perpétuel. Lorsque, malgré tous les efforts du médecin, un cas devient décidément chronique, c'est souvent un
euxième mémoire (1890), aussi en russe, avait pour titre : Quelques cas d'une cérébropalhie spéciale dans la 380 REVUE
amnésie. Mais cette amnésie ne se rencontre pas uniquement dans des cas de polynévrite. En ell'et on la trouve dans :
ent dans des cas de polynévrite. En ell'et on la trouve dans : 1° Cas de névrite multiple due à l'alcoolisme; Cas de
n la trouve dans : 1° Cas de névrite multiple due à l'alcoolisme; Cas de névrite multiple due à d'autres causes; 3° C
à l'alcoolisme; Cas de névrite multiple due à d'autres causes; 3° Cas d'alcoolisme sans névrite. 4° Cas dans lesquels
tiple due à d'autres causes; 3° Cas d'alcoolisme sans névrite. 4° Cas dans lesquels les facteurs étiologiques d'une név
The alienist and neurologist. Janvier 1896.) E. la. ). XVI. Trois cas de perversion sexuelle; par le Dr Lee HOWARD. L
E dégénérescence; par le D1' Iflvitl NEEF. L'auteur publie quelques cas cliniques destinés à montrer la pré- sence de s
ce épileptique. La folie épileptique produit environ 4,5 p. 100 des cas de folie et il est probable que seul l'équivale
nversion sexuelle est chose diffi- cile ; doit-on regarder tous les cas comme acquis ou tous les cas comme congénitaux
iffi- cile ; doit-on regarder tous les cas comme acquis ou tous les cas comme congénitaux ? Laissant de côté les cas
e acquis ou tous les cas comme congénitaux ? Laissant de côté les cas plus ou moins morbides dans lesquels des vieill
l'inversion sexuelle acquise est rare et que dans presque tous les cas on trouve un élément congénital. Il n'adopte d'
dans la paralysie générale vraie. Il s'agissait donc, dans ces deux cas , d'accidents alcooliques ayant revêtu le masque
ières observations de ce genre. Siehel, en 1863, en a observé trois cas , caractérisés par un état de mécontentement, un
sants. Il insiste sur le travail de Frankl-Hochwart qui a étudié 27 cas de ce genre et les a classés en quatre groupes
té et de confusion. Il importe de faire remarquer que dans tous les cas où il s'est agi de malades jeunes les troubles
arrive à se rapprocher de l'intelli- gence normale. Dans ce dernier cas , elle n'est pas toujours facile à reconnaitre,
sont pas capables de faire un service militaire convenable. Dans ce cas , c'est à l'anthropologie criminelle qu'il faudr
conclut en classant en 5 grou- pes distincts à ce point de vue les cas de paralysie générale des aliénés : Premier g
DE. (British médical Journal, 28 septembre 1895.) S'appuyant sur 20 cas , l'auteur signale le plus communément, avec Rus
écharges épileptiques, l'ictus épileptique est caractérisé dans ces cas par une excitation peu intense et peu diffusibl
ÉRAPEUTIQUE I. LES résultats favorables DE la CRAnIECT011lE dans UN cas de DÉBILITÉ MENTALE ET DE FOLIE MORALE; par A.
2 mai 1896.) L'auteur conclut de ses observations que même dans les cas de paralysie générale avancée la pression intra
ire. Il admet toutefois l'opportunité du traite- ment dans certains cas de compression, par suite de traumatisme par ex
compression, par suite de traumatisme par exemple, ou dans certains cas d'hypertrophie hydrocéphalique. Il cite un cas
le, ou dans certains cas d'hypertrophie hydrocéphalique. Il cite un cas d'Anderson où le trépan fit merveille chez un hér
de Gaule sur le lapin. Il dit avoir observé lui-même dans nombre de cas une opacité légère de la dornée, tendant d'aill
ailleurs on trouve dans les auteurs (Richardson, Krause. Doyen) des cas confirmatifs de cette 394 REVUE DE THÉRAPEUTIQU
STHON Parker. (British médical journal, 8 février 1896.) C'est le cas d'un enfant de six ans et demi arrêté dans son de
iété précordiale, l'auteur a-t-il expérimenté le quebracho dans ces cas particuliers et en a retiré de bons résultais.
ie existe au niveau du centre du langage. L'hystérie, dans certains cas très rares, donne lieu à de l'aphasie sensoriel
7 août 1896.) Le petit Janot nous paraît un malade. Ce n'est pas un cas exceptionnel ; il appartient à la catégorie de
e on l'a dit (hallucinations motrices seules). Dans l'un et l'autre cas , il s'établit une sorte de dialogue entre le pa
démonopathie rétrospective. Signalons comme trait d'union entre ci; cas et ceux qui nous occupent l'altération du langa
ù ils localisent souvent la présence de l'être surnaturel. Dans ces cas , on peut parfois observer des mouvements faible
puisse entendre les unes, et les autres. J'ai remarqué que dans des cas de ce genre, les aliénés affectent deux voix di
et même du ventre que les paroles paraissent sortir. Il y a dans ce cas comme un commencement de ventriloquie sans émis
ant avec les idées de persécution primitives. Schuele a signalé des cas de ce genre (p. z153). Nous rappel- lerons à ce
ar « l'oreille sénestre », il faisait le bien. Le diagnostic de ces cas avec les formes périodiquement al- ternantes de
ostic n'est pas moins délicat entre la forme qui nous occupe et les cas de vésanies combinées tels que ceux rapportés p
ion provoquée par Pinel, en 1792. Les aliénés étaient libres, ou en cas de danger imminent, enfermés à la prison de Blois
ues non aliénés. La règle des secours représentatifs était, dans ce cas , si bien établie que les administrations subalt
elques années, l'annexer à l'asile départemental actuel, et en tout cas , le faire construire dans l'enclos où s'élève l
vidus atteints d'un premier accès de folie ou de fureur fussent, en cas d'indigence, admis dans l'hospice des aliénés p
les trois arrondissements. Ce ne sera pas un lieu de dépôt pour les cas urgents ; les individus arrêtés pour démence ou
d'indigence à l'appui de ces demandes ne devait être délivré qu'en cas d'indigence absolue. 22 octobre 1827. L'adminis
ité du nouvel hos- pice. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLVI. Un cas DE mal DE POTT suivi DE guérison ; par le De MUS.
n des troubles multiples du fonction- nament de la moelle. Voici un cas remarquable de mal de Pott dû à une affection d
clinica e te1'(lpeutica. Naples, 1896, na ? ) CAMUSET. XLVII. UN cas de tremblement par suite d'auto-intoxication st
ctrique et même l'épilepsie partielle gastrique. L'auteur publie un cas de tremblement qui est également la conséquence
ptiques et le tremblement disparait avec eux. L'auteur rappelle les cas connus dans la science ayant avec le cas actuel
eux. L'auteur rappelle les cas connus dans la science ayant avec le cas actuel plus ou moins d'analogie et il termine e
provoquent des contractions dans le sens antipéristaltique. Dans le cas actuel, ce sont les mouvements du bateau qui trou
lutôt qu'au cordon antisolnnambulique. C. LI. Dissertation sur un cas peu commun DE maladie nerveuse; par le Dr L. AB
che alors l'entité noso- logique à laquelle on devrait rattacher ce cas , il passe successive- ment en revue les diverse
s. Il discute ensuite la possibilité de l'hystérie, il cite même un cas qui ne manque pas d'analogie avec le cas actuel
'hystérie, il cite même un cas qui ne manque pas d'analogie avec le cas actuel, et qui certainement dé- pendait de la g
parlé est seule perdue. Le langage intérieur est parfait. C'est un cas de surdité verbale avec amusie. Le diagnostic d
ment désignés sous le nom de mouvements nerveux. La similitude des cas a engagé l'auteur à les grouper, à les dé- sign
Etats-Unis sur la question. Les résultats en sont comparés avec les cas publiés par Gowers, Krafft- Ebiug, Raymond, Nim
es sensitifs objectivement appréciables. Il Si l'on met de côté 7 cas douteux, l'auteur, sur 22 cas, a rencontré : 1°
ppréciables. Il Si l'on met de côté 7 cas douteux, l'auteur, sur 22 cas , a rencontré : 1° dans 7 cas, des symptômes sen
e côté 7 cas douteux, l'auteur, sur 22 cas, a rencontré : 1° dans 7 cas , des symptômes sensitifs à topographie nettemen
symptômes sensitifs à topographie nettement radiculaire; 2° dans G cas des troubles sensitifs à topo- graphie médullai
G cas des troubles sensitifs à topo- graphie médullaire ; 3° dans 2 cas , les symptômes sensitifs se dis- sociaient d'un
contre les lésions médullaires, peut, dans un très petit nombre de cas de lésions radiculaires, être autorisé à interv
Sur 154 sujets sains, la luette ne fut trouvée anormale que dans 13 cas p. 100, allongée dans\ 5 cas, bifide dans 2 cas,
te ne fut trouvée anormale que dans 13 cas p. 100, allongée dans\ 5 cas , bifide dans 2 cas, double dans 1. Chez 57 mala
normale que dans 13 cas p. 100, allongée dans\ 5 cas, bifide dans 2 cas , double dans 1. Chez 57 malades atteints de mal
fois bifide, 13 fois déviée, 1 fois double, soit anor- male dans 22 cas p. 100. Chez 108 aliénés la luette fut trouvée
de l'innervation, les muscles de la luette se contractaient dans 73 cas p. 100 chez des sujets normaux et dans 47 p. 10
si les muscles de l'éminence thénar, ont atteints, du moins dans un cas (Zander), le malade ne pouvant fléchir la premi
nence thénar toujours atteinte et atrophiée. L'auteur signale un cas de guérison, pourvu que l'on cesse et pour toujou
C'est ainsi qu'il est malheureux- sèment fréquent de voir, dans des cas de ce genre, les familles accepter très volonti
nterdisant toute liberté de disposer de sa fortune et même dans ces cas le médecin devrait porter les faits à la connai
n° de juillet.) Il s'agit d'une expertise très facile au sujet d'un cas d'épilepsie avec troubles mentaux caractéristiq
urs dans la science, sur ce sujet; et pourtant, encore une fois, le cas est des plus REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 477 Î
valeur. (Annales médico-psychologiques, août 1896.) E. B. XX. UN cas D'IlYD110\IiVINGOCÈLI : SICItliC. l : \lilfiN .1N
vé un seul crâne normal. M. lViescuEO. S'il est exact que dans 91 cas pour 100 les diffor- mités crâniennes doivent ê
ois ans environ comme désinfectant. Elle est utile surtout dans les cas où l'on ne peut se servir de la vapeur d'eau, pou
ations sur l'ancctonzie patholo- gique de l'écorce. Daus le premier cas , il s'agit d'un paralytique généial qui, en out
ère dégénération des cordons latéraux et pos- térieurs. Le second cas concerne un sujet atteint de paralysie générale
aisceau pyramidal fauche et du vaisseau de Turck droit. Troisième cas : démence sénile avec paralysie agitante et dimi-
n hystérique, par Gasne, 298. Mystique. Jeûne -, 414. Nerveuse, Cas peu commun de -, par Abbamondl, ibs. Neurasth
veux. Cliniques des ma- ladies du -. par llamoncl, 151. Tares. Un cas de - supérieur, par Lenoble. 303. - Contributio
85 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
présentent quelques manifestations de la névrose. Et même, dans les cas exceptionnels, du reste, d'hystérie « monosympt
eur, peut être de toute évidence pour le clinicien qui a observé le cas . Aussi ne rapporterons-nous pas ici ces observati
responsable de tous les méfaits. Inutile d'ajouter que ces derniers cas sont rares et ne datent que d'hier. En résumé,
Nous espérons démontrer, avec observations à l'appui, que, dans des cas déterminés, les signes de l'hystérie se réuniss
ettent de dépister cette simu- lation, et, par conséquent, dans les cas complexes d'association hystéro- organique, de
mitation, par suggestion, iln'arriveà présenter bien- tôt, dans des cas donnés, un ensemble symptomatique analogue à celu
s ces conditions, les difficultés puissent être considérables. Deux cas peuventse présenter en clinique; tantôt le mala
tuels d'hystérie; tantôt ceux-ci font défaut. (a) Dans le premier cas , qui constitue la règle générale, le problème e
t, que rien ne relève d'une lésion organique. (b) Dans le second. cas , il s'agit de faits rarissimes qu'on désigne sous
ement dit d'hystérie révélée par un symptôme unique. C'est dans ces cas que le problème est difficile. Pour affirmer la
à titre de con- traste, quelques exemples démonstratifs. Dans ces cas d'association, les deux affections évoluent chacu
d'hystérie et de sclérose en plaques, etc., existent donc. Dans ces cas , s'agit-il tou- jours d'une seule et même névro
s, ne sont en somme que l'hystériesans adjectif. Inégales, sclonles cas , quantàleurs symptômes, - elles sont rigoureuse
plaques, que la méprise a été maintes fois commise et que nombre de cas décrits sous le nom de « pseudo-sclé- rose » ne
ts sous le nom de « pseudo-sclé- rose » ne sont autre chose que des cas d'hystérie. Nous allons ici étudier successivem
pas à elles seules tran- cher le différend, elles peuvent, dans les cas complexes qui nous occupent, mettre quelquefois
, juillet 1890). n' 18 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Cas . II (M. Charcot, in Progrès méd., septembre 1890)
e : le débuta été marqué par un ictus apoplec- tiforme commedans le cas célèbre rapporté par 1\11\1. Vulpian et Charcot1,
veux central. M. Babinski, dans sa thèse inaugurale, mentionne un cas du même genre. On avait fait le diagnostic de s
ales de la Société méd.-chir. de Liège, Il 887) vient de publier un cas identique : l'autopsie donna un démenti formel
sclérose formulé pendant la vie. Cet observa- teur, rapprochant son cas de ceux de Westphal, déclare que « provisoi- re
on cas de ceux de Westphal, déclare que « provisoi- rement tous les cas de ce genre doivent être rangés sous la désignati
profes- seur Pitres, a signalé récemment (Archiv. Neural., 1888) un cas remar- quable de psezcdo-tabes. Il était imposs
t une névrose; il faut donc reconnaître qu'il existe, dans certains cas , des troubles fonctionnels capables de donner l
e tabes. De cette observa- tion de M. Pitres, on peut rapprocher le cas rapporté par Thomsen (Arch. fur. Psclb., 1886.
ans laquelle l'au- topsie resta muette. Et, à ce propos, il cite un cas analogue de Villa= et ajoute : c Mon cas se rap
t, à ce propos, il cite un cas analogue de Villa= et ajoute : c Mon cas se rapproche de ceux de YVestphal, Wilks, Bris-
nt à chacun ce qui lui est dû. Sans compter que, même dans quelques cas où l'existence des stigmates hystériques n'est
pour n'être pas « hystérisable ». Quoi qu'il en soit, les divers cas de pseudo-sclérose semblent devoir se ranger so
o-sclérose semblent devoir se ranger sous les trois chefs suivants. Cas où : 1° L'hystérie est incontestable; 2° L'hy
en lumière, et qui, aujourd'hui, est incontestable. II. Quant aux cas discutables, nous ferons de grandes réserves. En
n plaques disséminées. Mais la sclérose ne doit pas porter, dans ce cas , exclusivement sur les cordons antéro-laléraux,
ir le pied, contrairement à ce qui s'observe, le plus sou- vent, en cas d'épilepsie spinale. La peau des cuisses esl anes
OBs. X (résumée) (Rolland, in Journ. de Méd. de Bordeaux, 1889). Un cas de sclérose en plaques avec localisation bulbo-
ien longtemps songer à l'hystérie. Nous sommes ici en présence d'un cas de sclérose en plaques avec localisation bulbo-pr
n plutôt de quelque dégénéré plus ou moins vésanique. Dans tous les cas , il ne saurait être question ici de sclérose en
ue. Le malade mourut le 2 mars 1881 et l'autopsie resta négative. Cas . XII (résumée) (Westphal, loc. cit.). Joseph Neug
e. Nous avons brièvement résumé la seconde. Il s'agit dans ces deux cas de syndrome hystérique méconnu. C'est l'avis de M
t pas de la sclérose en plaques franche. Il croit qu'il s'agit d'un cas de « pseudo-sclérose » de Westphal. Nous croyon
ur Sclawei-Aer,zte,45,janvier 1890). - Le Dur Leuch rapporte quatre cas de sclérose en plaques. Le quatrième concerne u
il, d'une névrose. Il serait fort intéressant de savoir si, dans ce cas , les stigmates de l'hystérie ont été recherchés
ose en plaques, ayant tiré un grand bénéfice de la thérapeutique. Cas . XXII (résumée) (Buzzard, in eod. loc.). « Je vis
M. Buzzard ajoute que, pour sa part, il croirait volontiers dans ce cas à de la sclérose disséminée. L'auteur anglais s
à mesure quel'on connaîtra mieux la névrose hysté- rique, nombre de cas insolites, rangés dans la catégorie organique,
'une méprise. Il se pourrait en somme que, dans quelques-uns de ces cas , il ne s'agisse que d'un syndrome hystérique is
s précédentes attaques de rhumatisme. Le D' Raymond interprétait le cas de la façon suivante : a Ces troubles s'expliqu
n dans une certaine limite, autant de conditions qui créent dans le cas actuel une asphyxie locale, permanente, portée
onsidération n'a pu le retenir. Si nous avons cru devoir publier ce cas d'oedème hystérique, c'est qu'il nous a semblé
erait, pour les partisans de l'autonomie des hystéries toxiques, un cas de plus d'hystérie oxy-car- bonée. Cet oedème
profonde serait même à peu près inévitable si, comme dans certains cas , l'oedème hystérique était douloureux. L'hyperest
façon constante, une élévation de 2° sur la partie malade. Notre cas est donc le premier où on ait constaté, tantôt l'
ture ; par conséquent étude des relations que pouvait présenter ce cas avec la tétanie. 9° Relation des variations d
on plus long séjour à la Pitié, parce qu'on n'accor- dait pas à son cas toute la sollicitude et toutes les complaisances
prononçant pas une parole à moins de nécessité absolue, et dans ce cas communiquant entre nous tout bas, à l'aide de l
rque extérieure dénotant la réalité de cette perception et en tout, cas , elles -ne provoquent aucune .espèce de suggestio
deur d'un parfum et l'idée de fleurs odoriférantes. Dans d'autres cas au contraire la véritable nature du tableau qui s
e injection eatrèmementprononcée de cette membrane et dans quelques cas ces altérations m'ont paru partielles. Dans une a
u- sion il des altérations très incomplètement étudiées' et en tout cas fort mal définies. Ce sont certaines inflammati
lir, on peut confectionner des lambeaux d'aspect différent. Dans un cas d'hyperostosc limitée du pariétal, j'ai confect
ariéto-occipitale jusque vers la base du crâne; le pariétal dans ce cas n'est resté adhérent que par un seul~côté, celu
de soi que les sutures sont traversées par la craniectomie dans ces cas . Enfin j'ai pratiqué une fois un lambeau médian
eau. J'ai plusieurs fois eu recours à cette pratique. Dans quelques cas , trou- vant la dure-mère épaisse et rouge, j'ai
ndante, et elle s'est produite par jets continus dans quatre de ces cas . Dans une circonstance, j'ai eu recours à une bou
vert, elle, sept fois, et ses branches presque dans tous les autres cas ; elle serait très facile à lier si on venait à l'
n quelques jours, la troisième a suppuré trois semaines; dans aucun cas il n'y a eu de nécrose. Le plus jeune de mes op
publicité les résultats obtenus Professeur LANNELONGUE. . Dans un cas de Craniee/omy /'or mieroeepha/us, publié dans le
urable. C'est pourquoi il nous a semblé intéressant de rapporter le cas suivant qui est un exemple de contracture provoqu
uscles du bras, soit sur ceux de l'abdomen. Il n'existe guère qu'un cas dans lequel la contrac-' ture soit en quelque s
de diminuer une douleur amenée par une lésion, par exemple dans le' cas de contracture en flexion du genou dans les infla
nt trop fortement un objet ou font un effort brusque. Mais dans ces cas la contracture survient involontairement, et disp
aire disparaître des paralysies suggérées. Mais dans ces deux seuls cas où l'on ait constaté jusqu'ici, ainsi que le re
M. Féré a signalé le rôle important que jouait l'attention dans des cas sembla- ,)les en montrant que « par le seul fai
déductions plus approfondies. Qu'il nous suffise d'avoir signalé ce cas qui présentait, à ce qu'il nous a semblé, plusi
muscles et notamment des muscles de la face, des lèvres; en pareil cas , il communique aux sujets qui en sont atteints
trière, dans-le cours de la précédente année, nous a montré que les cas dans lesquels le tremblement est constitué par
emblements rapides et celui des tremblements lents. Ainsi donc, les cas de tremblements hystériques observés par nous e
S TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 109 ces caractères puissent varier d'un cas à l'autre, alors que le rhythme du tremblement
s comme pour éteindre les secousses du tremblement. Dans le premier cas , la démarche est incertaine et comme titubante;
cas, la démarche est incertaine et comme titubante; dans le second cas , elle est saccadée, mais ferme et assurée. Si l
re en marche, on peut, au premier abord, se croire en présence d'un cas de sclérose en plaques. Les oscillations dont sa
il soit impossible de les con- fondre. A supposer même, que dans un cas donné, on oublie de recher- cher avec soin tous
par différents auteurs dans maintes obser- vations relatives à des cas typiques. Qu'on parcoure la série des faits qui
e pour le plus grand nombre, il n'ose pas dire pour la totalité des cas , les tremblements mercuriels appartiennent à la
raryrique; mais qu'à côté de lui il faut apprendre à distinguer des cas où, chez les hydrargyriques, l'hystérie se déve
que. Chaque fois que, dans un atelier, on nous a présenté un « beau cas » de tremblement mercuriel, nous avons trouvé che
premiers symptômes significatifs; qu'au moment de l'accès, dans les cas à début subit, ils ont éprouvé des étouffements
rielle. Mais, cela étant accepté, il restera toujours le groupe des cas dans lesquels le tremblement se présente seul,
nale, avec cette différence que les réflexes tendineux sont dans ce cas plutôt diminués qu'exagérés. Ainsi, si on redre
nt sa tête est secouée, on peut penser un instant qu'il s'agit d'un cas de sclérose en plaques; mais il n'y a là qu'une
ersiste au repos. C'est pourquoi nous avons cru devoir distraire ce cas et celui qui va suivre du groupe des tremblemen
paraplégie spasmodique de nature organique ; et cependant, dans ce cas particu- lier, le début subit du tremblement, l
cun doute sur la nature hystérique de ce tremblement. C'est le seul cas de tremblement hystérique localisé aux deux mem-
forcer. Si les réflexes se trouvent être exagérés, comme c'était le cas chez le malade dont nous allons rapporter l'his
aucune modification. J'ai vu, ajoute encore l'auteur, un troisième cas de sclérose multiloculaire typique combinée ave
iques avec le complexus morbide de la sclérose en plaques. Dans ces cas , l'embarras est parfois tel que la solution du pr
se et en particulier les symptômes permanents. Ceux-ci, bien que le cas soit relativement rare, peuvent manquer com- pl
a- tion légitimera de prudentes réserves et devra faire songer à un cas complexe, à une juxtaposition hystéro-organique
et, et notre collègue et ami Chipault' a essayé le trépan dans deux cas de paraplégie par mal de Pott. Dans ces conditi
ression lente, l'indication peut se poser. Restent à déterminer les cas justiciables du trépan. C'est là un côté qu'il ne
verté- brale, tumeurs extra-médullaires..., qui peut, dans certain cas , légi- timer sinon nécessiter la trépanation. D
citer. Les pseudo-névralgies, le siège de la dou- 1. Chipault, Deux Cas de trépanation rachidienne pour paraplégie par ma
es les variétés de paraplégies organiques; et si, en somme, dans un cas de paralysie organique, le plus souvent la mépr
ériques qui duraient plusieurs mois, et j'en ai observé de nombreux cas où l'on avait appliqué le cautère actuel sur la
arfois se jouer des recherches les plus méthodiques. - A côté des cas où elle s'impose avec la certitude de l'évidence
tain nombre de types intermédiaires. Elle se complique, suivant les cas , de troubles sensitifs, vésico-rectaux, trophique
ulgaire; 3° Type flasque, et qu'entre chacun d'eux on rencontre des cas nom- breux de transition. CHAPITRE V PARAPL
e fer, peut produire une paralysie des membres inférieurs. Dans les cas typiques, ce'te paralysie est caractérisée par un
E DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans l'observation de M. Berbez, comme dans le cas précédent, la simulation d'une paraplégie organ
riences précédentes. L'anesthésie est délimitée comme dans les deux cas précédents; sa limite supérieure est un peu moi
e, plus ou Fin. 17. Pic. 4R. Distribution de l'anesthésie dans un cas de myélite transverse. ETUDE DES SYNDROMES HYST
s perpendiculaire à la ligne médiane du corps, passant, suivant les cas , au-dessus ou au-dessous de l'ombilic. Parfois on
jectiver. Il n'est pas rare cependant que l'impotence, même dans le cas de paraplégie hystéro- traumatique, ne s'instal
es réflexes tendineux et l'impuissance génésique. Il s'agit là d'un cas de complication de la paralysie nucléaire des y
omènes oculaires, ptosis, diplopie, que la maladie a débuté dans le cas de Sachs, et ce n'est qu'au bout d'un an que l'
e des réflexes pouvait faire penser à un tabes dorsal comme dans le cas de Westphal; mais tous les signes de cette affect
ting Palsy). 158 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DÉ LA SALPÊTRIÈRE. Dans le cas de Seeligmüller, l'invasion de la colonne motrice
ie) ont cons- tamment fait défaut. L'ensemble symptomatique de ce cas appartient donc à la polio- myélite chronique e
l est une production de la fin du règne de Louis XIV. Dans tous les cas le buste,est fort; bien traité, l'exécution de
m, à peu près la même époque, dans une note qui a pour titre Sur un cas de paralysie agitante, forme originale de la né
cond malade, chez lequel le tremblement était apparu, comme dans le cas précédent, à la suite d'un traumatisme portant su
s. Après avoir souligné les analogies qui existaient entre ces deux cas et le type classique de la paralysie agitante,
RIÉES ET CHANGEANTES Nous avons réuni dans ce chapitre une série de cas de tremblements hystériques trop différents les
ère, plus attentif. Nous avons vu et nous pourrions citer plusieurs cas de tremblement saturnin et de tremblements prov
hysté- rique et d'un tremblement causé par une tumeur cérébrale. Cas . XVIII. La nommée Mand.... Mathilde, âgée de tren
gène détermine l'accroissement de l'am- plitude des oscillations. Cas . XVI. Chute, émotion vive, neurasthénie et hystér
che. TRAITEMENT M. Nothnagcl, M. Letulle, M. Pitres, ont cité des cas de guérison quasi instantanée de tremblements h
possible il faut avoir soin, surtout chez les femmes et c'estnotre cas , de déplacer les cheveux et de mettre les instr
mpressions sont suffisamment prolongées sur le même point. Dans ces cas , il se produit souvent des accidents 1. Les pla
crâne dans deux autopsies de déformation toulousaine; dans d'autres cas , il a trouvé des plaques d'ostéite. Des acciden
(Polioencéphalomyélite) (Suite') 1) Nous avons donc dans notre cas la démonstration de ce fait qu'une lésion symét
polioencéphalomyélite chronique pro- gressive. Ce qui rend notre cas , autant que je connais la littérature sur ce su
amen microscopique de ces organes avec description plus complète du cas sera donné ultérieurement. Les faits qui précèd
ubaiguë. Les premiers, jusqu'ici les plus nombreux, comprennent les cas de Rosen- thal, Bristowe, Sachs, Seeligmüller ;
itation avec laquelle la paralysie oculaire se complète : témoin le cas de Bristowe où le ptosis survint cinq ans après
s, suivant les diverses localisations du processus morbide. Dans un cas rapporté par Bris- towe, l'atrophie secondaire
ent ascendante de l'amyotrophie dans le type Aran-Duchenne. Dans le cas de Seelig- müller, les extrémités supérieures e
21 muscles vaste interne, vaste externe et tibial antérieur dans un cas , le deltoïde, le triceps fémoral et brachial, l
gré d'impotence fonctionnelle; elle est assez étendue dans certains cas pour annihiler complètement certains mouvements
thique l'existence de la réaction de dégénérescence. Des différents cas précités, celui de Sachs est le seul où cette réa
isante pour éloigner l'idée d'une atrophie de cause spinale dans le cas actuel. « Nous admettrons plutôt que, parmi ces
z deux malades, en effet, l'affection remonte à douze et quinzeans ( cas de Bristowe et de Sachs) et semble aujourd'hui ét
le poursuit sa marche envahissante et cela depuis plusieurs années ( cas de Rosenthal). Chez un quatrième, après avoir pou
yngée qui vient de se déclarer ne tardera pas à entraîner la mort' ( cas de Seeli(ymüller). Enfin, Brau... appartient à
igts tombent d'eux-mêmes entraînés par leur pro- pre poids, en tout cas incapables de serrer un objet. Malgré cette iné
.laaxlarche progressive des accidents permettaient de rapprocher ce cas de celui de Eichhorst. Il n'en différait que pa
embres supérieurs sont restés à peu près dans le même état; en tout cas . les mains ne sont pas plus habiles, ne serren
et les épaules une sorte de dépression en coup de hache et dans ce cas la flexion en avant et l'immobilité de la tête
rsque la maladie débute par le bulbe. Mais en n'envisageant que les cas complets, nous trouvons dans la maladie de Char
tendineux et en particulier du réflexe massétérin. Il existe des cas où ce dernier phénomène acquerra une importance
lite, le front soit lisse et immobile. Ce fait se produira dans les cas , rares il la vérité, où la lésion bulbaire supéri
'association du faciès d'Ilutctlinson et du faciès myopathique. Ces cas paraissent rares, il est vrai, mais il con- vie
il est vrai, mais il con- vient néanmoins de les connaître. En tout cas l'absence dans la myo- pathie d'une paralysie l
e labio-glosso-laryngée qui ne larderait pas à se produire dans ces cas complexes de polioencéphalite, ne permettra pas
anomalies de réaction puissent manquer complètement, bien que des cas semblables paraissent devoir être extrêmement rar
Il fallait cependant l'examiner et la discuter, car on connaît des cas de polynévrites dans lesquels l'oeil a été touc
s lesquels l'oeil a été touché. Il est vrai que quelques-uns de ces cas ne sont nullement caracté- ristiques au point d
bien difficile d'établir un diagnostic positif. Il s'agit dans ce cas d'un malade, dont l'âge n'est pas connu, mais c
dûment constatée, il est presque impossible de se prononcer dans un cas pareil. Cela res- semble à s'y méprendre aux ca
prononcer dans un cas pareil. Cela res- semble à s'y méprendre aux cas que nous avons mentionnés et dans lesquels la l
ce genre, penser à la poly- névrite généralisée. Mais dans certains cas , et le nôtre nous paraît être de ce nombre, bie
à laquelle Hutchinson attribue la majorité sinon la tota- lité des cas d'ophthalmoplégie externe, a été invoquée par cer
xterne combinée à l'amyotrophie ne nous arrêtera pas longtemps. Les cas de polioencéphalomyélite publiés jusqu'à ce jou
tic de l'atrophie musculaire progressive et inverse- ment ; dans un cas comme dans l'autre, il y a des chances pour que l
la moelle. Il est juste aussi de faire remarquer que, dans les deux cas où l'amyotrophie s'et montrée nettement unilaté
e se manifestent les premiers signes de paralysie bulbaire. Dans le cas contraire, il est possible qu'on assiste comme
le par les infirmités qu'elle entraîne : il n'existe en effet aucun cas de guérison définitive. Quel traitement suivre
aucun cas de guérison définitive. Quel traitement suivre en pareil cas ? Les révulsifs appliqués le long du rachis sou
suivie d'examen microscopique; force nous est donc de demander aux cas d'ophthalmoplégie externe combinée à d'autres mal
ssortir le caractère différent du processus morbide dans chacun des cas '. l.~ Dans un cas d'Eisculolir l'autopsie rest
différent du processus morbide dans chacun des cas '. l.~ Dans un cas d'Eisculolir l'autopsie resta négative. Voici un
'origine centrale peuvent relever de lésions périphériques. En tout cas il n'est pas vraisemblable qu'il s'agisse ici d
a dans les Archiv sur Psychiatrie und Nervenkrankheiten, un nouveau cas de paralysie oculaire, un des plus beaux cas, d
rankheiten, un nouveau cas de paralysie oculaire, un des plus beaux cas , dit-il, en raison du haut degré 1. Westphal, U
meitt Zeilschr. ? 7 ? e/t., 1881, XL, S. 2G ! 1) , 2. Dans un autre cas de psychose avec ophthalmoplégie et symptômes spi
roniques et progressives des muscles oculaires par la relation d'un cas de Poettier. L'analyse minutieuse des altérations
étendue. Les lésions toutefois ne sont pas aussi avancées que dans le cas de Gowers qui ne trouvait que deux à trois cell
ewnikoff publia une nouvelle observation, ce qui fait au total sept cas . L'histoire clinique de cette affection peut se
e tous ces nerfs étaient intactes. En outre, Thomsen, dans les deux cas , a trouvé comme unique lésion médullaire des hé
laires sont d'origine centrale. Il cite à l'appui de son opinion un cas d'accélération du pouls (120) aucours de la név
cas d'accélération du pouls (120) aucours de la névrite alcoolique, cas dans lequel il a pu constater l'intégrité du tr
un travail intitulé : De l'intervention chirurgicale- dans certains cas de rétraction musculaire succédant à la contractu
aits qui viennent à l'appui de mon premier travail. Dans le premier cas , il s'agit d'une double rétraction des muscles de
est donc complète. TCRRILLON, Chirurgien de la Salpêtrière. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE (TYPE MORVAN) Dans ces deux
liniquement, une forme atypique de la maladie syringomyélique... Le cas que je me propose d'étudier devant vous est jus
maladie de Morvan y sont très accentués. Pour nous, il s'agit d'un cas de syringomyélie anormale, atypique. » Après ce
1890. Joffroy, Soc. métl. des hôpitaux, 1891. 2. Charcot, Sur un cas de syringomyélie avec panaris analgésique (type M
j)/e)'c<'e(H médical, 30 décembre 1890). FiG.52. Fie. 53. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. 257 ce sujet sont très incomp
à la face antérieure du coude; elle est, comme les autres, d'un UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. - 259 rouge foncé, légèrement
HIQUES DANS LA SYRINGOMYÉLIE Lecrosnier & BABBÉ EDITEURS UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. 261 l'observation si complè
deux degrés comparativement à la tem- pérature du côté opposé. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. 263 Cet oedème coloré, chaud,
sez bien le crâne « natiforrne » de Parrot. Sans vouloir, dans ce cas , établir entre la syphilis héréditaire et la sy
, M. le professeur Charcot. « Nous sommes, dit-il, en présence d'un cas bien propre à démontrer cliniquement la légitim
a légitimité de la doctrine de l'unité. En somme, il s'agit là d'un cas de syringomyélie présentant quelques phénomènes
panaris analgésiques ne change rien au fond des choses. Ce sera le cas ou jamais de désigner l'état morbide dont souffre
ne se fait remarquer à la surface des couches optiques. (Dans notre cas , la commissure grise ou n'existait pas du tout
intermédiaire est parsemé d'hémorrhagies capillaires dans certains cas , de cellules embryonnaires dans d'autres (Ross)
tique, nous devons faire de même pour le processus morbide de notre cas ; s'il en est ainsi, nous pouvons dire que cette r
ie bulbaire inférieure. 2° Toute curable qu'elle soit dans certains cas , la paralysie double de la musculature extérieu
fait ¡ du malade un véritable infirme : il n'existe jusqu'ici aucun cas de gué- rison définitive. Son étiologie ne peut
OSITÉS D'HEBERDEN. IDIOTIE. Lecrosnier & BABÉ éditeurs UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE INFANTILE rhumatisme
titeplage deSaint-Vaast-La Hougue (Manche), nous avons rencontré un cas remarquable de rhumatisme chronique déformant c
lèvre inférieure (Progrès médical, 1890, u" 2G, 27, 30, 33, 38). UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE INFANTILE. 273 Main gau
es et sera surtout utile pour nous per- mettre de dire si, dans les cas d'asymétrie faciale, cette asymétrie est. due a
le facial sera-t-elle plus facile avec le goniomètre. Mais dans les cas où le procédé de la double équerre sera applicabl
oreille en anse). Quant aux saillies et aux dépressions, il est des cas où, sans présenter d'anomalies, elles sont plus
mensions, de forme, d'implantation (de Blainville.) Dans d'autres cas on a rencontré de véritables irrégularités mor-
cicatrisé peuvent simuler cette malformation. Mais dans ce dernier cas , on rencontre à la face crânienne du pavillon u
dant à la racine de l'hélix tandis qu'il n'en est pas ainsi dans le cas d'othématome. ' Nous avons pu constater cette
a partie postéro-supérieure. C'est le tubercule de Darwin. Dans les cas assez fréquents où l'hélix se déroule, le tubercu
inférieur de la conque paraît suivre une ligne régulière. Dans ces cas la racine de l'antitragus forme une saillie dans
l'oreille dont la conformation varie le plus souvent. Dans certains cas il est très long, mais plus souvent petit et pa
avec l'hélix peut s'effacer, il est alors indistinct. Dans d'autres cas on peut constater aussi à la base du lobule la pr
res, adhérences au globe oculaire, trichiasis, entropion dû dans le cas d'origine congénitale à l'absence des cartilages
fente palpé- brale, la dimension de l'intervalle orhitaire. En tout cas ce détail mérite de fixer l'attention, car il m
'agit le plus souvent d'une quatrième molaire. Ou bien, et c'est le cas le plus fré- quent, elles sont mal rangées soit
n, rotation sur l'axe) ou sur l'ensemble des dents. Dans ce dernier cas elles peuvent être semblables aux deux mâchoire
cependant comme on peut avoir besoin de la pratiquer dans quelques cas particuliers, je vous donnerai brièvement les q
s fausses. Aussi je vous con- seillerai de ne le faire que dans les cas où il vous paraîtra indis- pensable et alors mê
paralysies sont liés par les liens les plus étroits. Dans les deux cas , il faut de toute nécessité un terrain préparé, u
u, mais l'hystérie coexistait avec elle certainement. Dans tous les cas , l'histoire ultérieure de ce malade relève uniq
up de fouet aux acci- dents hystériques. Mais il faut avouer que le cas est singulièrement complexe et que des réserves
idée d'une affection organique de la moelle. Et pourtant, dans des cas analogues, cette hypothèse a été admise. Deux o
it justifiée par les caractères et la marche de cette paraplégie. Cas . XL (G. Zeni, in Ga ? . degli ospitali. llavenna
'à droite. Constipation opiniâtre. « Tout est-il hystérique dans ce cas ? J'ai soutenu l'opinion que oui, malgré le car
é des exemples dans ses Leçons du mardi. M. Audryi en a cité deux cas remarquables, et, l'an dernier, dans sa thèse,
e début et la marche de l'affection, qu'il faudra se baser dans les cas difficiles. Il est ici absolument nécessaire d'ar
Aussi le problème se trouve-t-il singulièrement compliqué. Dans les cas que nous venons de rapporter, la présence seule d
sensibilité est toujours normale. Il serait difficile de trouver un cas plus démonstratif de paraplégie spasmodique sui
e du moins, où il n'en a été publié à notre connaissance qu'un seul cas il y a une tren- taine d'années', par un auteur
seul cas il y a une tren- taine d'années', par un auteur anonyme. Cas . I (Gaz. desltôpit.). Homme de vingt-deux ans. A
omplète une déformation thoracique en entonnoir. D'après Flesch, le cas auquel fait allusion Luschka serait le même que c
ortée par IIagmann3 et concerne un enfant. La même année un nouveau cas est publié à Vienne'. En 1880, Ebstein a rassem
nouveau cas est publié à Vienne'. En 1880, Ebstein a rassemblé les cas précités, y a ajouté deux obser- vations person
fait du thorax en entonnoir une étude inté- ressante5. Voici ces cas brièvement résumés : OBs. VI. Homme. A deux ans
té moyenne. Lordose lombaire accentuée. Ebstein a étudié un autre cas de thorax en entonnoir sur un mou- 1. Eggel, Ei
mais une augmentation du diamètre thora- cique transverse. L'un des cas a été observé à l'asile de Dalldorf chez un épi
é à l'asile de Dalldorf chez un épileptique aliéné. Les deux autres cas , d'origine congénitale, ont été rencontrés chez
hopathiques, mais non aliénés. L'anomalie s'était dans ces derniers cas montrée durant trois générations. Eichhorst3 en
névroses sont héréditaires. Nous avons eu occasion d'observer cinq cas de celte anomalie dont la rareté nous semble av
bles des mensurations complètes. Poitrine en entonnoir analogue aux cas décrits ci-dessus, sauf au point de vue de la p
res, mal implantées. Pas de lésions rachitiques. Pas de scoliose. Cas . XI (personnelle). Nous avons eu récemment occasi
(personnelle). Nous avons eu récemment occasion de voir un nouveau cas de cette malformation chez un sujet atteint de ma
Ce n'était pas à proprement parler un infundihulum, comme dans les cas précédents, mais plutôt une fosse comme dans le
comme dans les cas précédents, mais plutôt une fosse comme dans les cas publiés par Toldï et Ebstein. Ce malade, alcool
de tout point con- forme à la description que nous avons donnée des cas précédents : profondeur maxima, 12 millimètres
its caractéristiques de nos observations ainsi que ceux de tous les cas que nous avons pu re- lever dans les littératur
nt). Chez les deux sujets d'Ebstein, l'en- tonnoir mesurait dans un cas 40 millim., dans l'autre 72, de la base au somm
émité inférieure du sternum. 11 ne nous a pas été possible pour les cas que nous venons d'énumérer d'avoir des renseign
338 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pointe. Dans un des cas d'Ebstein, celle-ci battait au niveau de la ligne
s costaux et du sternum, c'est la poitrine en carène. Dans quelques cas rares, le sternum est creusé d'une gouttière (Bal
etc.) le fragment inférieur est porté en avant. Beauchêne a cité un cas dans lequel un sujet réussit, par des pressions
és sont atrophiés. M. Déjerine émet l'hypothèse qu'il s'agit, dans ce cas , d'atrophie musculaire d'origine articulaire et
LE DE LA POITRINE. 3H duction du thorax en entonnoir. Plusieurs des cas ayant été remarqués aussitôt après la naissance
e habi- tuellement les tares que nous venons de signaler. Quant aux cas où le thorax en entonnoir ne s'est révélé que p
ION SPÉCIALE DE LA POITRINE. 3M tonnoir esthéréditaire, et dans ces cas on a remarqué à diverses reprises que les autre
nous l'avons vu plus haut, Klemperer et Eichhorst en aient cité des cas . Nous entendons l'hérédité dans son acception la
e faradique suffit pour produire la contracture permanente. Dans ce cas , la descente de la courbe reste Fig. 03. inco
de la dia- thèse de contracture elle-même. C'est ainsi que dans les cas légers ou rudimentaires la contracture est peu
Le mode de réaction des muscles à l'exci- tant diffère suivant les cas . C'est ainsi que parfois la contracture ne se l
a se voit dans la léthargie hypnotique. Nous avons vu dans certains cas l'excitation mécanique portée sur un groupe mus
thargique et la phase somnambulique, nous a présenté, dans certains cas types, plu- sieurs exemples de cette sorte de s
doigts se défléchissent, la contracture disparaît. Je sais que les cas aussi nets et aussi tranchés sont rares. Ils n'en
leur oppose. La diathèse de contracture n'existe pas dans tous les cas d'hystérie, tant s'en faut. En comprenant les c
pas dans tous les cas d'hystérie, tant s'en faut. En comprenant les cas où elle existe il l'état le plus rudimentaire r
ge musculaire nous avait semblé le procédé le plus efficace dans un cas où nous avons vu en quelque sorte la diathèse d
ifférences entre les membres supérieurs et les inférieurs. Dans les cas où les deux variétés de diathèse de contracture c
demeurait dans le même état qu'auparavant. M. Pitres a signalé des cas analogues dans lesquels la contracture par souf
nsibilité et jusqu'au sens musculaire. Dans l'un comme dans l'autre cas , la con- DIATHËSE DE CONTRACTURE. 353 fractur
même conscience du procédé employé. Nous avons observé plusieurs cas d'anesthésie généralisée et absolue, dans lesqu
LE DES EXTRÉMITÉS CIIEZ LES ÉPILEPTIQUES ET EN PARTICULIER SUR UN CAS D'ASPHYXIE DISSÉMINÉE Chez les épileptiques, la
e postérieure du bras sous forme de plaques serpigineuses. Dans ces cas , il ne cesse pas d'être- symétrique, et ne s'ac
de Grasset'. Je ne crois pas que jusqu'à présent on ait signalé de cas dans lesquels- cet état se soit montré générali
u précis; toutefois il affirme qu'il n'existe dans sa famille aucun cas de maladie nerveuse ou mentale. Il affirme auss
e trace de l'état des vaisseaux signalé par Maurice Raynaud dans le cas d'asphyxie locale. Le même examen a été fait pa
1882). 2. W. Alexander, The treatment of epilepsy, Edinb" t8M. UN CAS D'HEMIPLEGIE ALTERNE (TYPE MILLARD-GUBLEn) CO
C STRABISME INTERNE BILATÉRAL VVE BABBÉ & C's EDITEURS UN CAS D'ItLJIIPL1 : GIE ALTERNE. 359 geste derrière l
et organe, pas plus du reste que l'état du voile du palais. En tout cas , il y a glossoplégie, puisque autrefois, raconte
résente quelques lacunes. Elles ont pour excuse et la complexité du cas et des circon- stances indépendantes de notre v
l'encéphale. Traduction française par M. Kéraval, 1885, p. 91. UN CAS D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE. 36t « La participation de
, ainsi que par la peine à mouvoir la langue; dans la pluralité des cas , les observations ne permettent pas de conclure
l' n'ail pas été possible de les prendre plus exactement. » Dans le cas que nous venons de relater, en même temps qu'une
ies du système nCl'\Cl1'1 : . 1. Parinaud et G. Guinon, Note sur un cas de paralysie du moteur oculaire externe et du f
ie exagérée, surtout frappante lors de flexion de la tète. Dans ces cas , du reste, l'anomalie morphologique n'avait jam
raison. - CHAPITRE VIII DIAGNOSTIC DE LA SIMULATION Il est des cas complexes où l'hystérie se trouve associée avec u
plégie. 1 ° Les troubles de la sensibilité sont différents. Dans le cas de para- plégie organique, les hyperesthésies,
onner d'indication certaine. On peut les rencon- trer dans les deux cas . 3° L'examen électrique pourra être un précieux
ent exceptionnels, surtout chez les enfants; Rie- gel en cite trois cas manifestes. M. F. Iluchard en rapporte également
dra chercher la cause de la paraplégie. Erard a pourtant signalé un cas de paralysie des membres inférieurs chez une femm
la guérison soit rapide. Car l'iodure de potassium réussit dans des cas où la syphilis ne peut être incriminée, et de p
dont le titre seul résume la symptomatologie. Yedrène mentionne un cas d'incoordination motrice disparue à la suite de
/a reflexen (bers. kl. Woch., 1886, p. 9 ? 3). ,). Pitres, Sur un cas de pseudo-labes (Llrclt, de'neurol., 1888). 6.
hystérie simulatrice du tabes. L'hystérie n'est pas niable dans ce cas , mais elle ne nous paraît pas seule en jeu; il
abétique ». MM. Lecorché et Talamon signalent très explicitement le cas d'une hystérique chez laquelle la démarche atax
gea à l'hystérie, et l'événement vint lui donner raison. C'était un cas d'hystérie avec « phénomènes ataxi- formes », s
e, lorsque nous avons entrepris l'étude de cette question, d'autres cas d'hystérie simulatrice du tabès. Or, au cours d
érite bien de constituer une forme clinique spéciale. Dans tous les cas , quel que soit son degré de fréquence, sa doubl
s telle n'est pas la règle; et bien qu'il s'agisse encore, dans ces cas -là, fort souvent du moins, de l'hystérie, l'ataxi
u tabes; `2° L'ataxie hystérique proprement dite qui, dans certains cas , se rapproche étrangement de l'ataxie tabétique
soit plutôt de l'hypermétropie et de l'astigmatisme; dans tous les cas , ils ne sont pas sous la dépendance d'une paral
nfiniment probable, pour ne pas dire certain, qu'il s'agit, dans ce cas , d'hystérie simulatrice. La marche de l'affecti
relevait bien de la névrose, ainsi que le démon- tra la guérison. Cas . LVIII (Lecorché et Talamon, in Éludes médicales)
nd des quatre-saisons. Les observations précédentes ont trait à des cas de faux tabes hysté- rique. Elles montrent clai
spontané heilung. Or, il nous semble que l'hystérie existe dans ce cas et peut tout expliquer. Cette malade, avant son i
ÉRIQUES « SIMULATEURS ». 397 veux. L'auteur,rapprochant ce fait des cas de « pseudo-sclérose de W est- phal, concluait
gnostic d'ataxie locomotrice. La même erreur a été commise dans des cas analogues, par des hommes dont .l'autorité en m
t absolument incontestée. » Et rétrospectivement l'auteur classe ce cas dans la neurasthénie. On pour- rait peut-être b
suffisamment recherchés. De cette observation on peut rapprocher le cas sui- vant : OBs. LXV (Thomsen, in Arch. sur P
ohne allatomischen Betund. L'existence de l'hystérie était dans ce cas hors de contestation : l'hé- iiiiancsiliésie se
se » suivis de délire, etc., suffisent pour lever les doutes. De ce cas de Thomsen nous rapprocherions volontiers une r
d'avance pour les névroses. Que l'hystérie survienne, -c'est ici le cas , - et une de ces associations hystéro-organique
t indéniable'. » Nous rapportons nous-même plus loin (obs. LXXI) un cas d'hystérie associée à l'atrophie cérébrale part
evenons à l'observation de Thomsen. Tout est-il hystérique- dans ce cas ? La mort semble se rattacher étroitement, comme
rt de trois hystériques 1. Gilles de la Tourette, Blocq, Huct, Cinq Cas de maladie de Friedreich (Nouvelle Iconographie
excep- tionnels, et, à cette question de savoir s'il n'est pas des cas d'hystérie grave qui puissent entraîner la mort
s pour l'avenir. CHAPITRE XI ASSOCIATION IIYSTERO-TABËTIQUE Les cas complexes d'hystérie associée au tabes ne sont pa
s que nous voulons citer textuellement : « Je voudrais, à propos du cas qui va vous être présenté, relever une fois de
ours prêts au changement, à la métamorphose ? » Ocs. LXVI (Charcot, Cas complexe, Tabès et hystérie. Leçons du mardi, p
du réflexe rotulien dans la névrose. » L'existence du tabès dans ce cas ne peut faire de doute. D'autre part, l'anesthé
dant par les liens de l'hérédité de transformation. » Dans tous les cas , rien n'est plus délicat que de saisir, à l'éta
e que de risquer des interprétations gratuites et préma- turées. Le cas rapporté par M. Charcot dans ses leçons de l'anné
iret dominer bielitôtliscènomo Pl) ide. Ce fait est possible dans les cas complexes d'association hystéro-organique, d'hy
téro-organique, d'hystérie et de tabes, par exemple. Mais, dans ces cas , une distinction est nécessaire. Le tabès est-i
ose hystérique. L'hystérie est-elle la pre- mière en date ? Dans ce cas , on voit souvent les manifestations delà névros
s eux-mêmes et de l'évolution. I. Élude symptomatique. Les deux cas suivants peuvent se présenter : A. Hystérie et
frac- t1res spontanées, al'thropathie typique). Il s'agit dans ce cas d'une association hystéro-tabétique que nous n'
ns à l'évolution. (c) L'anesthésie cutanée présente dans les deux cas des différences considérables. Elle est raremen
tranchées, mor- phologiques. Il est cependant un certain nombre de cas d'hystérie où la distribution de l'anesthésie r
con- çoit aisément les difficultés que pourrait présenter, dans tel cas donné, cette répartition polyinsulaire. Mais qu
coordination des mouvements pré- sente, dans la grande majorité des cas de tabes, des caractères si spé- ciaux qu'elle
xie que l'occlusion des yeux, l'obscurité exa- gèrent dans certains cas . Mais généralement la méprise est facile à évit
ontale, être exagérée par les émotions, etc., et que, même dans les cas difficiles, il y a toujours des nuances qui trahi
l'hystérie (l'incontinence même peut s'y rencontrer). Mais dans ce cas , le cathétérisme est d'or- dinaire perçu et dou
exemple, faire suite à la guérison d'une paraplégie, comme dans le cas rapporté par Briquet. 4° Troubles oculaires. Le
uvent et doivent guérir. C'est même la guérison seule qui, dans les cas épineux, vient lever tous les doutes. L'étude d
ées précieuses, jugera souvent en dernier ressort et, dans quelques cas exceptionnels, restera le seul critérium. Il no
iques ne sont ni immuables ni absolues. Dans la grande majorité des cas , l'étude d'un syndrome morbide est simple- ment
. Chauffard, le 14 mai '1886, présen- tait à la Société médicale un cas vraiment remarquable d'atrophie mus- culaire et
dans les territoires muscu- laires en voie d'atrophie. 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des muscles de la main, l
rons pas les caractères que nous allons indiquer comme absolus; les cas observés jusqu'à ce jour sonl, en effet, trop p
cette année la bonne fortune d'observer, il la Salpê- trière, trois cas d'amyotrophie hystérique dans lesquels l'examen é
r M. Vigouroux a montré la réaction de dégénéres- cence. Ajoutés au cas que nous venons de mentionner, ces faits peuvent
s sont, même s'ils nous étonnent et nous gênent, ce qui est bien le cas dans l'étude « simulatrice » que nous entrepren
ie hystérique frappe en masse un territoire musculaire. Or, dans un cas d'atrophie musculaire rapporté par M. Michaut,
térique avec atrophie (Soc. méd. IfÕp, , 9 mai 1890). 2. Féréol, Un Cas el'atrophie musculaire chez une hystérique... (So
STÉRIQUES « SIMULATEURS ». 415 En résumé, malgré le petit nombre de cas d'amyotrophie hystérique publiés jusqu'à ce jou
es doigts. Ces accidents disparaissaient rapidemment. Dans tous les cas , avant le 1G avril, elle n'a ressenti dans les'
e dégénérescence. Par une coïncidence assez étrange, dans ces trois cas , l'amyotrophie a été précédée par une contractu
r vers la guérison. Mais celle-ci n'est pas encore complète dans le cas que nous avons suivi depuis deux ans. L'amyotro
hémiplégie ni si elle a jamais disparu complètement. Dans tous les cas , elle se serait fortement amendée, puisqu'il pa
mal. En somme, atro- phie simple. L'observation précédente est un cas extraordinairement complexe. La présence de l'h
peut-être les accès de cris elle ? omna111- bulismé, dans tous les cas l'amaurosc, les attaques survenues à la suite d
chose exceptionnelle. M. le professeur Charcot en cite cependant un cas dans ses Leçons sur les maladies du système ner-
res de l'atrophie partielle du cerveau. En résumé, il s'agit d'un cas très complexe : d'une juxtaposition, d'une asso
RS». 435 ralysie infantile et l'hystérie, et, à ce point de vue, ce cas rappelle un cas analogue étudié l'an dernier pa
infantile et l'hystérie, et, à ce point de vue, ce cas rappelle un cas analogue étudié l'an dernier par M. le professeur
nt décrit l'existence de la disso- ciation syringomyélique dans des cas de névrite périphérique.) Et notre maître, M. C
autres offraient la dissociation syringomyélique. « Sur ces quatre cas , ajoute-t-il, deux fois la disso- ciation du ty
ntrer la dissociation syringomyélique spontanée dans le dixième des cas d'anesthésie hystérique. Ce n'est pas seulement l
élection de l'amyotrophie gliomateuse. Elle peut être dans les deux cas symétrique; elle peut acquérir dans la névrose
es d'amyotrophie. Enfin l'hystérie ne s'arrête pas, dans certains cas donnés, à la reproduction exacte des symptômes
les hystériques; mais 11. Duret2 ne rapportait-il pas récemment un cas de cyphoscoliose hystérique ? En résumé, la d
lles; et s'il est vrai, comme le suppose M. Schuitze, que plusieurs cas rattachés à l'hystérie ont dû plus tard être cons
après m'être livré à la critique des observa- tions, que, parmi les cas signalés comme appartenant à la syringo- myélie
Daichline et Miropolsky ont bien voulu nous traduire, rap- porte un cas de rétrécissement du champ visuel dans la syringo
s, nous avons eu l'occasion de voir à la Salpêtrière trois nouveaux cas de syringomyélie sans rétrécissement du champ v
nfin ces jours-ci, M. Gilles de la Tourette nous disait que dans le cas de syringomyélie qu'il avait publié (Nouvelle Ico
élique. En résumé, il notre connaissance, il existe au moins treize cas de syringomyélie où V examen du champ visuel a
sont excessi- vement étroites (Table de Wcckcret Landolt). En tout cas , elles ne sont pas définitivement fixées et, po
mettraient pas toujours de trancher le diffé- rend. Dans tous les cas , la possibilité de ce rétrécissement syringomyéli
se pourrait, en somme, que ce rétrécissement ne fût, dans quelques cas , qu'un élément hystérique surajouté. En effet, la
zcctose. C'est la un élément de très grande valeur et qui, dans tel cas donné, permettrait de reconnaitre la névrose. I
de la gliomatose ait été peu rencontrée. Nous ne connaissons que le cas célèbre de M. le profes- seur Charcot, cas conc
us ne connaissons que le cas célèbre de M. le profes- seur Charcot, cas concernant un homme encore à la Salpêtrière et qu
par les auteurs sous le nom de syringomyélie ne sont autres que des cas d'hystérie. » Cette méprise n'est pas douteuse.
associations hystéro-organiques et non aux hybrides. Dans tous les cas , il ne s'agit ici que d'hystérie simula- trice.
trice. Le fait suivant nous semble rentrer dans la même catégorie : Cas . LXXV (résumée) (Roth, in eod. loc.). - B..., tre
in- gomyélique dans l'hystérie, on n'eût pas hésité à rattacher son cas à la gliomatose. Tout en reconnaissant que ce
ys- térie. Nous acceptons l'existence de la syringomyélie dans ce cas ; elle ne nous semble pas douteuse. Mais nous cr
ans ce même sens. Nous pensons donc qu'il s'agit ici, comme dans le cas suivant, d'une association hystéro-syringomyéliqu
on : « Selon le point de vue auquel on se place, on peut voir là un cas d'hystérie, de maladie de Morvan ou de gliomato
suffisantes. » 'M. Roth estime qu'il est impossible de nier dans ce cas l'existence de la syringomyélie. C'est aussi no
vent à n'en pas douter de la névrose. Il s'agit là en résumé d'un cas complexe, d'une association hystéro- syringomyé
seignement. D'une part, elles légitiment des réserves vis-à-vis des cas insolites de gliomatose où des symptômes 1. Clj
méd., 1890 (Leçon recueillie par M. 1890). G. Guinon et Dutil, Deux Cas de maladie de Morvan (Nouvelle /co)t0f/r., 1890).
logies si grandes que la confusion est difficile a éviter. Dans les cas types, la syringomyélie est caracté- risée par
our qu'il y ait si- mulation et. matière à diagnostic Dans tous les cas , c'est sur les prin- cipaux éléments suivants q
eurol., 1888). G. 1)aumschino, Troubles trophiques dans l'hystérie ( Cas . des //lip" 1880). ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQ
revenu sur ce sujet et, dans une de ses leçons, en a présenté trois cas remarquables : deux développés spontanément, un
fert par l'aimant, la suggestion hypnotique, peuvent, dans certains cas , le faire disparaître. Sa disparition spontanée
ur de la syringomyélie, servira pareillement à reconnaître, dans un cas com- plexe donné, l'existence d'une association
. La période de stupeur proprementjdite est remplacée dans tous les cas par une obnubilation intellectuelle plus ou moins
rait eu une hémiplégie droite qui aurait duré six semaines. Dans le cas actuel, l'engour- dissement et l'exagération de
de la Salpêtrière, 11180, p. 282). z3. Cri. Féré et Il. Lamy, Deux Cas d'éruption eaémaleuse provoquée par le borax (n
adver- saire delà suspension, et cependant il n'a pu produire qu'un cas per- sonnel dans lequel il arrête le traitement
thérapeutiques favorables et défavorables sont variables pour chaque cas particulier. Quand la suspension ne réussit p
nt pas toujours avec la suppression du traitement. Enfin il y a des cas où une application malheureuse de cette méthode
u malade. L'aggravation des symptômes se rencontre surtout dans les cas de tabès d'origine récente. Les accidents tel
es et nerveux, en partie à l'action de la suspension elle-même. Les cas , très-rares d'ailleurs, de mort doivent être divi
pratiqué la suspension sur lui-même (5). Le D'' Blocq (5) cite le cas d'un tabétique atteint de paralysie générale de
ns un état comateux et est mort dans les vingt- quatre heures. Un cas analogue est rapporté par Gorecl : i (5). Un tabé
ut de trois jours d'un état comateux et de mort9. Erb rapporte un cas analogue : le malade tabétique mourut subite- m
atifs de la suspension peu- vent être très variables. Dans certains cas , l'amélioration ne porte que sur des symptômes
paraît complètement, tel autre ne s'a- mende que fort peu. Dans les cas exceptionnels l'amélioration peut t porter sur
ré tel qu'il devient permis de penser à une guérison complète. Un cas de ce genre est publié par Althaus (57). Il s'agi
'action de la suspension est la plus efficace. Dans la majorité des cas ces douleurs disparaissent complètement. L'amél
amélioration de la démarche est aussi considérable. Au bout d'un 1. Cas de Skier (5), 2. A l'autopsie on a constaté une
hésie, anesthésie, impuissance, elles ne disparaissent que dans les cas isolés. L'amélioration des symptômes céphalique
on,n'apu l'observer. Quelques auteurs cependant en ont rapporté des cas . Motschoutkovsky (1) a vu réapparaître le réfle
erne. Darier (19) a constaté une amélioration de la vue dans quatre cas où il existait une atrophie du nerf optique. Dert
l existait une atrophie du nerf optique. Dertiliard (41) signale un cas où la vision double et la surdité ont disparu. La
onsidérable. C'est ainsi que Benzi (28), par exemple, a rapporté un cas de méningo-myélite chronique dans lequel, sous l'
'influence de la suspension. Charcot, Jlausalter et Adam citent des cas où ils ont vu quelques symptômes psychiques, co
ous les caractères d'un processus inflammatoire. Je rapporte ici un cas de ma pratique person- nelle. La malade A. E.
colonne vertébrale sera ou ne sera pas allongée. Dans le premier cas l'augmentation de capacité de la cavité doit pro-
n'existant pas, la hauteur du mercure doit être moindre que dans le cas où il y a allongement du rachis. Il ne restait,
resterait la même, comme aussi la densité de l'air. Dans le premier cas la hauteur de la colonne d'eau du manomètre devai
a raréfaction de l'air dans la cavité de la rigole ; dans le second cas , cette hauteur devait rester la même avant et apr
l'organisme vivant que sur le cadavre, c'est-à-dire, dans les deux cas , que, grâce à la pression néga- tive dans la ca
cutané, par Souques et .(.-B. Charcot, 169. Hémiplégie alterne(Un cas d ? compliquée de strabisme interne et de gloss
des musculaires), par 'l'errillon, 249. Rhumatisme chronique (Un cas de avec idiotie), par Diamantberger, 271. Syr
n cas de avec idiotie), par Diamantberger, 271. Syringomyélie (Un cas de type Morvan, par Souques, 255. Thorax en e
61,65. Myélite transverse (Distribution de l'anesthé- sie dans un cas de -), 17, 48. Nuque (Morphologie de la - chez
86 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ao 16 ai 91ovnsr 9L 9L Je .9ldslosqqu 97slsb ansa 9la.a NOTE SUR UN CAS DE FOLIE URLViIQUEiCOVSI;CUTIFI1'UV J2nil· j ?
in est plein de microbes, qu'on adultère ses aliments ; NOTE SUR UN CAS DE FOLIE URÉMIQUE. t) 4, 6l 0' tu ai 91 kl ? ,y
niéd. et de'chir. ? 3 3 août, 1890)1 ni) ? bn5as,r ,li NOTE SUR UN, CAS , DE, FOLIE. URÉMIQUE. V) tLtEtsiJje,reviens de,
ui} peutàè,trepasâgère, intermittente, et>qui; dans,ce, dernier, cas , âe«termône parla mort.;aon tfrp 93 R9.trTlfvff
la-' causée principale, .une causet,occasiôn nelle ; ·et;3danss,le, cas actuel,lil me,se'mble'dii ? d ? é.vidèn'ce que
tribuera à faire éclore le délire..On.serait.ainsi en présence d'un cas mixte, d'une folie alcoolito-urémique. En 1852,
d'une manière absolue, elle n'en comporte pas moins, dans certains cas , une certaine pîrt-d-E-vérité. Cependant cette in
par surcroit, y voir une preuve indirecte qu'elle imputait, dans ce cas , à soeur Buvée, ce qu'elle-même avait fait. Les
3.) z, ? j ? , ,;· Il L'oliservation rde 11.' Grainger rappelle les cas auxquels Obers- teiner a proposé de donner le n
lésion de la zone rolandique. ' t ·1 >'#<* ? v v 1, iDans le cas auquel Grain.er,propose de/donner leinotn-d'alla-
pparemment à l'hypertrophie des glandes pituitaires dans le premier cas et thymus dans le deuxième ? ? "-«« -" aJjflr =
ième ? ? "-«« -" aJjflr = 1 ' "v le 71l lot'&" 0 .Comme dans le cas d'Henrot le- corps thyroïde , était lésé mais f
u\aurtï''i<4/ (d'Alabama).ic Midimm -,4 iip .1, f r Sur ces huit cas , l'un est( une hémorragie suhdurale simple; qua
. la pseudo-membrane sans trace apparente d hemorrhagte. Dans un cas , il y avait épanchement sanguin dans l'espace sub
diagnostic.entre lâf lèpre et la syringomyélie est,.dans cer- tains cas ,, très, difficile. Exemple.,d'un, lépreux pris pe
s 4 i .. , - : ,r . r 1 C. '. . ·.1 ? t eJJ `L c 'VU. Note sur' UN cas d'hyperthiucosf. DE la partie inférieure DU cor
1 1 ' t H,J ? Pa 'Uni" , 1- , i, V 1 ' .),. *fl)'ll VIII. Sur un cas d'artiiropathie tabétique DES deux hanches ; par
u, le professeur consacre sa leçon à l'exposé anatomo-clinique d'un cas tendant à démontrer, ^1°^ que les lésions'de'st
ux, n° 17.) ifiq , "Uyl" .« '' ,3,.1'UOi / il ? . . · " ' SdfU.-4 cas d'athétose double; par le Dr A ? AIOUSSOUS. - (
. - (Jovrn, de méd. de Borcievux, n° 18.) ? K,' t XVIII. : À Un S cas -d'automatisme 'ambulatoire ' hystérique S par le
rdcctttx; n° 28.) 1 42 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ? XXI. Sur un cas d'ostéite déformante DE PAGET; par MM. Gilles des
! 9 ? '' , " ' ' '' ' 1' r .. t." « T't Observation détaillée d'un cas de cette maladie étrange et assez rare, puisqu'
note tous les caractères ordinaires de la maladie de Pagel, mais le cas diffère en certains points des cas typiques don
de la maladie de Pagel, mais le cas diffère en certains points des cas typiques dont le tableau clinique est esquissé pl
première est de i\l., Albert Robin, elle est relative à un nouveau cas de cette maladie. Il s'agit d'un homme de soixa
pêtrière' CAMUSET. ? J i .u Ot9 s - ^ . t il, 1 - . À il, · XXHI. CAS DE névrites multiples; par le Dr W ? L. VORCESTER
dant sa pratique de l'aliénation mentale, l'auteur a observé quatre cas de névrites multiples, en excluant quelques cas d
ur a observé quatre cas de névrites multiples, en excluant quelques cas de para- . ,fT ftdf 3 €' . ·' ï : 44 REVUE DE
l'arsenic, les trois autres sont de cause inconnue.. Bien que tels cas ne soient pas d'une grande rareté, ils ne sont
confondus avec' d'autres' affections -moins curables. · r zw u 3r Cas 1.=Lé premier'cas anis qui, ayant trouvé dnrpaq
érison complète,én,décembré.,nh smalt 111.5 1 l-, - Soli comp , , Cas JIf ? Un épileptique commence à se plaindre de do
Le malade ne recommença à marchernqu'en décembre. erio·Lf2laT f , Cas IV. Une femme,'qui avait plusieurs fois refusé'du
nte'et insidieuse. - 46 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXV. Deux cas de myopathie progressive du TYPE Landouzy- DLre
celle de laparalysie pseudc,-hypertrophique.En effet, dans les deux cas qu'il relate on voit qu'il y a coexistence de l
u"'deltoïde : Il s'agit' bien 'de pseudo-hypertrophies'et non''de'* cas de muscles1' conservés 1 et échappés à l'atroph
gauche. , »" , tPhCr'11 ? i nlj·· n ,-rI'l.1 4.ü - v. ' XXVtTB.OS cas d'arthropathies 9SYÉLOPaTHIQUES ; par les Drs L.
° 2.) i ' i 'r ? 1-t' ; n«vii" , i, i - . , 4 , 1 , ' iii(f i le, cas . Femme, cinquante-neuf ans, intelligence peu déve
us. Le traitement par suspension ne produisit aucun effet. , . ! 2e cas .' Homme de cinquante et un ans, syphilitique, tab
en avant. Pas d'autre arthropathie, ni de troubles trophiques. 3e cas . Il s'agit d'un cas fruste de maladie de Friedrei
tre arthropathie, ni de troubles trophiques. 3e cas. Il s'agit d'un cas fruste de maladie de Friedreich. Jeune garçon,
formes et relevés. 11 n'y a ni ankylose, ni douleur, ni rougeur. Ce cas est fruste, le diagnostic un peu hasardé, car on
! 1° Anatomie pathologiques Elle est basée sur l'examen de trois cas d'origine certainement syphilitique, avec autopsi
;pfttj.u) .)j)t ! 'j.' z -, ..Discussion intéressante*à propos'd'un cas de médecine légale sur lequel l'auteur a eut fa
3-ji ? « -î .j......'. 14 J' ' ^1t· , . L'auteur rapporte plusieurs cas de procès récents pour homicide, infanticide et
auteur comme ayant agi sous l'empire du délire alcoolique. Dans ces cas , on sait que le prévenu peut 'être interné duri
K0f*w\31t-}U Une autre erreur'fut'commise'par les 'juges- dans; ce" cas "1 de Mâc'Naughtéil ? ilsétablü'entqec'estl'acti
une impulsion à laquelle il n'a pu résister ? Le jury doil, dans ce cas , décider sur'le rapport dès médëèins9°Pôurrce q
Il est absurde, injuste, d'établir une législation qui prévoit les cas où l'accusé sera. déclaré responsable» ou «irre
cins assermentés, assesseurs des juges et prononçant dans* tous les cas . Conclusion : La folié doit 'être considérée pa
tés naîtraient seulement des .complications, particulières à chaque cas . iou ? ,i2al of insanit, 1893.)r,ilv F , sy t ,
et William Orange^qui n'admettent le restraint que dans certains cas d'interventions chirurgicales, ou d'appareils, et
cas d'interventions chirurgicales, ou d'appareils, et pour certains cas de tendances.au suicide et aux mutilations. (Medi
od RENTON. ' ')' ùr ? f' ! a.' . , --b ? » y , .- . ,- , t. ,. ,. Cas d'une femme adultère.leontre laquelle une demande
s'il n'y avait pas'lieu de rendre la loi pénale applicable dans ces cas de crime causé par la folie. (Medico-legal Jour
XVI. Exkmrr4,MICRO-CIIIMlQUE Du s,% ? G;, par Joseph JONES. Dans un cas de meurtre, l'expert eut à examiner les taches d'
s dans la période préparalytiqte ti, 4 dynamie fonctionnelle. Ces cas bien que, topiques, trop souvent méconnus par les
0° de 10, 15, 20 minutes, de durée,ou en bains prolongés suivant le cas . On n'emploiera qu'à titre exception- nel des b
dans le bain des 'agités, la' surveillance du médecin est, en tout cas , de rigueur.' Ceux qu'on peut le mieux soumettr
.paranoïa.^ ? L'orateur,; pro- pose de n'appeler de ce nom que les cas dans lesquels il y a forma- tion d'un délire sy
ntrent le décousu et l'incohérence des conceptions délirantes ; ces cas et.d'autres modalités plus ou moins semblables de
cultés mentales se développent.».. u t ' "M ? Kirn. 11' y, a ? des' cas de paranoïa1 aiguë- qui deviennent chrôniques'e
paces, lymphatiques delà pie-mère'et de l'arachnoïde. C'est donc un cas sporadique de méningite ~épidémique, mais dont on
et éclate comme la foudre. Il dure trois semaines au plus dans les cas aigus - cessation brusque dès la première semai
? ê> , *& , M. SIOLI présente des coupes du cerveau dans un cas de lésion du lobe occipital. 11 y avait complèt
vée. La perte ou l'incer- titude des souvenirs est la règle dans le cas d'impulsions épiiep- tiques. 68 sociétés sava
nc en être rendu responsable. M. Falret a observé aussi plusieurs cas d'aura visuelle précédant une attaque d'épileps
l'absence de témoins. Il y a là une fâcheuse coïnci- dence. En tout cas , qu'il y ait ou non simulation, l'individu'n'a
e persécution avec auto-accusation. M. Rou- binovitch rapporte deux cas de délire de persécution avec auto- accusation.
elle ensuite l'at- tention sur l'intérêt médico-légal de semblables cas . Très souvent en effet, dit-il, les persécutés
d'un pareil malade ? Pourra-t-on lui intenter un procès, et dans ce cas quelle sera l'at- titude de l'expert chargé d'e
formes d'aliénation mentale peuvent se développer dans beaucoup de cas en dehors de toute dégénérescence et de toute p
és annexé à l'hospice. L'administration avait soutenu que, dans les cas semblables, les quartiers spéciaux d'aliénés de
pourvus de quartiers spéciaux affectés aux aliénés. Dans ce dernier cas , la seule obligation de la commission administrat
e cause occasionnelle, soit d'une cause spécifique; dans le premier cas , l'affection reste indépendante du paludisme, d
bon nombre pendant plusieurs années. C'est, basé sur ces cinquante cas , que je tâcherai de donner un court aperçu symp
n vide dans leur cerveau. NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 93 Dans quelques cas (3 fois sur 50) cette torpeur intellectuelle es
, celui-ci reprend ses fonctions plus ou moins normales. Dans les cas avancés, la mémoire peut aussi faiblir. Les tro
e l'eau tiède sur le corps, des battements artériels, etc. Dans les cas anciens, ces troubles acquièrent une localisati
Les troubles du sommeil, qui manquent dans plus de la moitié des cas , et consistent, soit en une somnolence cons- ta
formes du grand sympathique abdominal. Mais il faut noter que des cas analogues s'observent en dehors de la neurasthéni
a céphalée ou lourdeur de la tête existe dans plus de la moitié des cas . Le casque céphalique est beaucoup plus rare, on
oup plus rare, on NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 95 le rencontre dans les cas invétérés, et il est frontal et tempo- ral, plu
art depuis plusieurs années n'ont plus eu d'accès fébriles.. Des 23 cas sans aucun antécédent palustre, 13 ne présen- t
x organes légèrement engorgés. NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 97 Les 27 cas avec antécédents palustres sont ainsi partagés :
97 Les 27 cas avec antécédents palustres sont ainsi partagés : 8 cas sans aucune altération ni splénique, ni hépatique
es malades qui depuis longtemps n'ont plus eu d'accès de fièvre; `7 cas avec engorgement hépatique; 6 cas avec engorgem
t plus eu d'accès de fièvre; `7 cas avec engorgement hépatique; 6 cas avec engorgement hépatique et splénique; 4 cas
ement hépatique; 6 cas avec engorgement hépatique et splénique; 4 cas avec engorgement splénique ; et 2 cas douteux.
t hépatique et splénique; 4 cas avec engorgement splénique ; et 2 cas douteux. Pour admettre l'origine purement palus
à 14° et une humidité de 0,60 à 0,70, m'ont fourni d'aussi nombreux cas de neurasthénie que l'été. L'état constitutionn
formes larvées. Les troubles digestifs manquent dans la moitié des cas , ou ils sont trop peu accusés pour donner lieu
stro-intestinale de Bouchard. Nous avons fait mention de deux seuls cas de dilatation de l'estomac avec neurasthénie, s
disme et à éliminer de son étiologie toute autre cause. Sur mes 50 cas , 41 présentaient constamment les plasmo- dies d
deux, ce qui n'a pas pu être fait chez tous mes malades. Sur ces 41 cas , où nous avons pu constater la présence des pla
ions de quinine à haute dose et au début. - Le traitement, dans les cas récents, est souvent très efficace et très prom
ves exigent un nombre plus grand d'injections hypodermiques, et les cas invétérés se montrent plus ou moins rebelles au
ième injec- tion de 0,80 à 1,20 de quinine bimuriatique. Dans ces cas rebelles, le sulfate de cinchonine, soit par la
, la suspension, mais surtout les bains de mer, sem- blent dans les cas anciens des adjuvantsutiles. Un changement de c
épatiques exigent un traitement appro- prié. Dans la plupart de ces cas , ces mêmes injections de quinine ont réduit le
vations des malades dont les quatre premières sont prises parmi les cas les plus communs, et les trois autres parmi les
xique (Ilirt 1). Cependant, tout récemment, 13enschen 2 a publié un cas où ' Hirt. Pathologie du système nerveux. (Edit
xiqués, Alexander 3 a observé six fois des paralysies et dans trois cas , il a pu constater de l'atrophie dégénérative d
La moelle, les troncs nerveux principaux et, dans la. plupart des cas , de fines ramifications nerveuses musculaires et
d'extrait thyroïdien, l'une dans le traitement du psoriasis, trois cas , l'autre dans deux cas de myxoedème datant de vi
'une dans le traitement du psoriasis, trois cas , l'autre dans deux cas de myxoedème datant de vingt ans il-)4 REVUE DE
droit de conclure à l'opportunité d'une telle intervention dans des cas analogues « de même dit-il, que la morphinisati
eux. A. Marie. IV. Elongation ET résection du nerf médian dans deux cas DE névrite traumatique ; par le Dr Le Dentu. (N
u. (Nouv. Icoitogr. de la Salpétrière, n° 2.) Conférence sur deux cas de névrite traumatique du médian. Les névrites
quand il est constitué par une contusion chronique, comme dans les cas d'atrophie avec parésie des membres supérieurs, à
Se rappeler alors que les myélopathies se traduisent, dans certains cas , par la dissociation de la sensibilité et non p
nt ou très adhérent aux tissus voisins. La guérison, dans. les deux cas relatés par M. le' D1' Le Dentu, fut obtenue da
. les deux cas relatés par M. le' D1' Le Dentu, fut obtenue dans un cas , par l'élongation, dans l'autre, par l'excision
hère avec une intensité plus ou moins grande. Camuses. VII. Trois cas DE crétinisme sporadique traités par L'INGESTION
s tabloïdes d'extrait thyroïdien. Photographies à l'appui. Dans les cas de dermoneuroses ana- logues, l'emploi de ce mo
t dans la compression de la moelle, la myélite par compression, les cas anciens de syphilis médullaire, quelques cas de
e par compression, les cas anciens de syphilis médullaire, quelques cas de myélite transverse. Amélioration de la moelle,
régions vertébrales et douleurs spinales). P. K. X. Note SUR deux cas DE CHIRURGIE CÉRÉBRALE; par le Dr CHIPAULT. L
R deux cas DE CHIRURGIE CÉRÉBRALE; par le Dr CHIPAULT. Le premier cas est relatif à un enfoncement du pariétal gauche
, l'agraphie et l'aphasie avaient complètement disparu. Le second cas a trait à un gliome sous-cortical, du volume d'un
cas particulier, des éléments probants de la clinique; 4° si, en un cas donné,» il est très probable qu'il y a un rapport
, à six malades. Accidents signalés : fièvre, syncope, érythème. Un cas de guérison (mélancolie avec idées de persécution
cas de guérison (mélancolie avec idées de persécution). Les autres cas sans amélioration se décomposaient en mélancolie
(103 hommes, 129 femmes). Le torus était complet seulement dans 340 cas (105 hommes, 235 femmes) et partiel dans 217 (8
- LAVAURE. (Arch. clin. de Bordeaux, 1893, nos 10 et 11.) III. UN cas DE folie systématisée RELIGIEUSE avec hallucinati
atés par Stevens montrant la possibilité de remédier, dans certains cas , à cette maladie par les moyens optiques, il co
n'explique la maladie, de penser à l'état oculaire. E. Régis. V. Cas de folie consécutive A une OVA110-S ? LPI,,GECTOM
rg). (BI·itish medical jo2crnnl, janvier 1894, n° 1723.) C'est un cas de myxoedème chez une petite fille de seize ans e
s myxoedémateux du service de M. Bour- neville à Bicêtre et avec le cas actuellement à Sainte-Anne dans le service de M
rapide et mériter le nom d'atrophie cutanée progressive. Dans deux cas observés à la Salpêtrière, la cause des vergetu
nément, se développe la paralysie générale classique. Dans d'autres cas , beaucoup plus rares, la syphilis, agit d'une faç
t spécifique. De là résulte cette dernière conclusion dans tous les cas de paralysie gé- nérale, on doit' employer un t
a syphilis a été notée dans les antécé- dents du malade et dans les cas où les accidents antérieurs de la syphilis ont
server l'une et l'autre. Et M. Bouchaud qui a pu observer plusieurs cas d'algidité vient de faire paraître un travail o
uite dans le récit de ses observations personnelles. ' Le premier cas qu'il a observé date du 15 décembre 1879 et le
té deux fois, ce qui porte en réalité à trente-trois le chiffre des cas d'hypothermie, c'est-à-dire 2, 5 en moyenne par
ire. Ils mon- trent combien est grande, en somme, la proportion des cas d'hypothermie chez les aliénés si l'on songe qu
des affections familiales du système nerveux. Dans l'un et l'autre cas , la maladie se déclare vers l'âge de six à sept a
ine séance rapportée par MM. Pelman et F1N6L13URG. M. BARTELS. Deux cas remarquables de folie systématique (para- noïa)
94.) L'auteur ayant eu l'occasion d'observer un certain nombre de cas de folies à deux, trois, etc., a remarqué que, co
liqués dans toute expertise, l'auteur passe en revue les différents cas qui se présentent en médecine légale et donne pou
à tous les médecins appelés à ne faire que rarement, comme c'est le cas en province, des examens médico-légaux. Us y trou
les tremblements de la langue ou des membres; et encore, dans ce cas , pour toutes les expériences, le fil CD n'aurait
IQUE NERVEUSE. M. Arnozan ? Charcot et M. Féré en ont cité quelques cas . Encore la plupart de ces observations semblera
ans l'étiologie ni dans le mécanisme. - Voici l'observation de ce cas : Le 6 septembre 1891 était amenée à l'asile Sa
la mairie et le commissariat de police font prendre, dans tous les cas de séquestration d'office, par diverses personn
Bull. Soc. méd. clin., Bordeaux, 1887, p. 588.) ' Charcot. Sur un cas d'amnésie rétro-antérograde probablement d'orig
dition est une conscience nette de l'effort à produire est, dans ce cas , très compréhensible. Ce fait concorde avec les
ive., Loin de tendre à s'améliorer comme il arrive souvent dans les cas de ce genre quisurviennentchez des hystériques,
j'avais pensé à expérimenter le traitement qu'ont imaginé, pour un cas d'amnésie post-puerpérale, MM. Sé-las et Sollier'
nt beaucoup de ce que d'autres obser- vateurs ont remarqué dans des cas analogues où les troubles de la mémoire, ordina
tion ou par le moyen de quelque artifice d'association;. dans ces cas comme dans bien d'autres, les faits, avant de sor
reste à examiner. Dans, quelle classe d'amnésies faut-il ranger ce cas ? Cette question n'est autre, en 'résumé, que c
llec- tion Charcot-Debove. 184 asiles d'aliénés., dans bien des cas ; mais le rencontre-t-on toujours dans l'am- nés
pas toujours commode à établir. ' ^ ? ? · 1. ? ? " 3UP'1 ` Dans le cas dont j'vien; de(faire la-1 relation,1 je crois qu
tes de la névrose...,- , -,... ? s^i t- Force est donc de ranger ce cas en dehors de cette maladie, i en attendant que
veloppa et entraîna la mort au soixantième jour. A. Marie. XXX. Un- cas DE paralysie consécutive A la varicelle; par Will
rtionnellement plus lésés. L'auteur cite également le ré- sumé d'un cas répondant à l'ataxie aiguë de Leyden. A. Marie.
B ? ,ilish31ed. Jou ? nz., 18 mai 1994.)'` A. Marie. z XXXV. Cinq cas DE paralysie PSEUDO-IIYPERTROPHIQUE dans UNE même
veau même de l'articulation malade est la règle dans les différents cas d'arthropathie signalés et la présente observatio
ve de ce fait (Revue neurolo- gique, 1894). , E. B. XXXIX. SUR UN cas d'encéphalite corticale ET DE poliomyélite anté
examen ophtalmoscopique, etc. De la discussion faite à propos de ce cas , les conclusions sont les suivantes : 1° import
erveux central. (Revue neurologique. 1893.) E. B. XDL A propos D'UN cas d'agraphie sensorielle ; par le 0'' Souques.
xemple d'agraphie par cécité verbale, en tous points comparable aux cas récents de MM. Déjérine, Berckan et Sérieux. A
de cécité verbale, l'agraphie s'ensuive nécessairement et dans ces cas l'agraphie aura existé sans qu'à l'autopsie on re
tiques, n'en a trouvé que l'exemple qu'il rapporte. Dans ce dernier cas , dans certains mouvements brusques d'extension du
e faisait défaut chez 10 malades sur 131, soit 7,6 p. 100 dont neuf cas de diabète léger. Il avait diminué chez 4 malades
ossible, surtout chez les femmes mariées. Mais il n'y a pas un seul cas dans lequel la syphilis soit improbable. Age moye
ure pharyngo- oesophagienne; de l'insomnie. Observation. En'pareils cas , c'est le' trouble somatique préalable qui prod
e de Kowaleswky. (Cettralbl. f. iYei,v., 1890.) P. K. .\LIX. Sur un cas D'IIËRÉDO-ATAXOE cérébelleuse ; par les D1'* Br
ier, groupe : toutefois étant donné qu'il fallait le déterminer, ce cas rentre plutôt dans le type tardif de M. Marie.
de lui-même à notre observation superficielle. Pourtant, nombre de cas négatifs nous embarrassent et apparaissent cont
syndromes qui sont l'hystérie. Qui donc a démontré qu'en nombre de cas la maladie sacrée, l'épilepsie, n'est qu'une ur
Esquirol, dégénère et passe souvent à la folie et, dans beaucoup de cas , elle n'en est que le premier degré. » Cette prop
sufflant. Il restait à montrer que l'idée, qui intervient en pareil cas , diffère de nos idées et de nos représentations
i entrent en lutte avec la personnalité consciente et dans certains cas la ter- rasse et l'annihile momentanément. Ains
eulement par des "prédispositions : elle se manifeste dans d'autres cas , on lésait, par un état durable et permanent, p
cher à l'hystérie. Pour l'établir il est nécessaire d'envisager les cas dans lesquels le som- nambulisme revêt sa forme
Il n'est pas douteux que le délire hystérique puisse, dans quelques cas , revêtir une physionomie qui le rapproche de la
est en présence d'un état maniaque d'autre nature. Mais dans ces cas , la prédominance des hallucinations visuelles, le
manifesterait pas seulement par des prédispositions, dans d'autres cas elle se mani- festerait « par un état durable e
ôle les mystères de naissance, les secrets de grande famille, etc. ( cas publiés), dira-t-il encore que cette femme est
ui disparaissait après l'attaque, j'ai eu l'occasion d'observer des cas semblables. M. Gilbert Ballet. M. Joffroy pense
hiques dont il a été question plus haut. Nous connaissons aussi des cas dans lesquels ont été constatées des lésions du
t-être pas toute l'importance qu'on a voulu leur attribuer. En tous cas , on ne peut prétendre qu'elles soient proportionn
et, il est de connais- sance vulgaire aujourd'hui que dans bien des cas de maladies 240 SOCIÉTÉS SAVANTES. graves, de
lors que dans les racines antérieures on ne constate, même dans des cas de longue durée, aucune trace de dégénération ?
importance qu'on lui a prêtée, car il m'a été donné, dans plusieurs cas d'alté- rations diverses de la substance grise
me semble devoir être admise, il ne s'ensuit pas que dans tous les cas de polynévrites l'origine périphérique doive êt
tre rejetée a priori. La névrite lépreuse, par exemple, et certains cas de névrite vasculaire peuvent fort bien reconna
. Je suis amené à conclure des faits observés que, dans nombre de cas , la réaction du nerf, à rencontre des actions pat
s périphé- riques primitives, au moins dans un très grand nombre de cas . Celles' du troisième groupe sont, au contraire
ces individus savent qu'ils ne peuvent pas boire sans danger, et ce cas est plus fréquent qu'on ne le suppose. . c Le
uveurs ont compromis d'emblée l'efficacité de cette mesure. En tout cas , jamais l'interdiction d'un ivrogne ne devrait
ication ; monopole de rectification; monopole de vente. Suivant les cas on pourra adopter l'un ou l'autre de ces monopo
de une année. On ne demande à l'entrée ni voeu ni promesse. Chaque cas est considéré comme folie suicide, exigeant un
ication; monopole 'de rectification; monopole de vente. Suivant les cas , on pourra adopter l'un ou l'autre de ces monop
s d'après les prin-. cipes de la science médicale. On y recevra les cas récents et cura- bles. La loi devra accorder à
u'aux ivrognes ? Le programme est tout à fait différent suivant les cas . * c Vous demandez si vos deux asiles celui des
ation de l'alcool, se manifeste une augmentation dans le nombre des cas de folie alcoolique, et la fraude n'est pas étr
nt les résultats des investigations anatomiques, sauf dans quelques cas exceptionnels, ont été néga- tifs. Si l'on veut
-dire des cellules motrices de la moelle et du bulbe. Dans certains cas les modifications cellulaires sont plus profond
épaules. Je laisse aux neurologistes le soin de décider si, dans ce cas , on peut suppposer que ces manifestations d'ail
toxication ou l'infection, susceptibles de se présenter suivant les cas , soit isolées, soit associées. La séance est le
publier dans les journaux spéciaux le plus grand nombre possible de cas analogues (cas fréquents dans les prisons), afin
s journaux spéciaux le plus grand nombre possible de cas analogues ( cas fréquents dans les prisons), afin d'en former u
responsabilité du médecin me semble gravement engagée dans les deux cas . M. Charpentier pense que, même avec la nouvell
par ce traitement non pas la guérison du tabes, mais dans certains cas une amélioration qui peut porter sur les douleu
iques, désignés sous le nom d'états seconds, caractérisés, dans les cas les plus nets, par une véritable altération de
la mémoire des actes accomplis, pendant l'un, dans l'autre. A ces cas bien tranchés (altération de la personnalité, som
Eh bien ! ne croyez-vous pas qu'envisagé par un esprit prévenu, ce cas devenait la pierre angulaire d'une nouvelle man
sent le plus grand nombre de faits. Sur les limites se montrent les cas hybrides, comme en présente la clinique dans to
ques ou maniaques, par des délires le plus souvent diffus. Dans des cas plus rares, ces accès sont constitués par de vé
sphère plus étroite, en apparence bien systématisée. Mais, dans ce cas , je vous l'ai dit, il n'y a pas de préface au dél
sychoses de la vieillesse » (1893), M. Pécharman a relevé plusieurs cas fort intéressants de délire systématisé chez le
épandage, et par suite la contamination préméditée de la rivière en cas d'épidémie. l est à peine utile de noter ici que
Depuis cette année 1878, on n'a plus observé à l'asile que quelques cas très rares et très espacés de dysenterie. En
rie. En 1888, nouvelle épidémie de variole, avec une vingtaine de cas mortels. La mortalité ne monta pourtant qu'à 11,6
rès restreint de maladies internes ordinaires. Dans la majorité des cas , la mort survient dans le marasme, auquel about
opulation de 525 aliénés. Hémorrhagies et congestions cérébrales, 6 cas ; bronchites asile DE BONNEVAL. 289 diverses,
bronchites asile DE BONNEVAL. 289 diverses, broncho-pneumonie, 12 cas ; pneumonie, 3 cas; phtisie -pulmonaire, 4 cas;
DE BONNEVAL. 289 diverses, broncho-pneumonie, 12 cas; pneumonie, 3 cas ; phtisie -pulmonaire, 4 cas; affections organiq
broncho-pneumonie, 12 cas; pneumonie, 3 cas; phtisie -pulmonaire, 4 cas ; affections organiques du coeur, 5 cas; dysen-
cas; phtisie -pulmonaire, 4 cas; affections organiques du coeur, 5 cas ; dysen- terie, 2 cas; néoplasmes de l'estomac,
aire, 4 cas; affections organiques du coeur, 5 cas; dysen- terie, 2 cas ; néoplasmes de l'estomac, 3 cas; lithiase biliair
es du coeur, 5 cas; dysen- terie, 2 cas; néoplasmes de l'estomac, 3 cas ; lithiase biliaire, 1 cas; rhumatismes articula
terie, 2 cas; néoplasmes de l'estomac, 3 cas; lithiase biliaire, 1 cas ; rhumatismes articulaires aigus, 3 cas ; fièvre
3 cas; lithiase biliaire, 1 cas; rhumatismes articulaires aigus, 3 cas ; fièvres typhoïdes, 3 cas. Veut-on savoir à qu
1 cas; rhumatismes articulaires aigus, 3 cas ; fièvres typhoïdes, 3 cas . Veut-on savoir à quelles affections ont succom
il s'expliquait uniquement par un accroissement proportionnel des cas de folie en Eure-et-Loir. Mais il n'en n'est rien
. Les vésauies essen- tielles sont dans la très grande majorité des cas représentées par leurs formes élémentaires, man
par leurs formes élémentaires, manie et mélancolie. Ainsi, sur 391 cas de folies simples, nous n'avons que 53 cas de d
lancolie. Ainsi, sur 391 cas de folies simples, nous n'avons que 53 cas de délires partiels. Ce n'est pas dans cette co
paralysie générale. ' A s'en tenir scrupuleusement au tableau, les cas de folie alcoo- lique seraient rares, et l'alco
oolique entre comme appoint sérieux dans l'étiologie de quantité de cas de manie et de mélancolie, aussi bien chez les
E pathologiques. 315 apportés par la circulation cérébrale dans les cas d'hypertension vasculaire correspondant à une h
centuées, ont consisté en con- gestions, hémorragies, et, dans deux cas sur trois, en foyers de myélite, localisés surt
es lésions des muscles ont un caractère variable, mais dans au- cun cas la myosite n'était assez accusée pour expliquer à
parétiques. Il en est tout autrement de la névrite : dans tous les cas de pa- ralysie, l'auteur a trouvé dans les nerf
l'auteur avec figures, seules capables de bien faire comprendre le cas . P. K. XV. CONTRIBUTION A l'étude DE l'arrêt DE
1893, n 3.) @- Les résultats de l'examen bactériologique dans trois cas de syrin- gomyélie, pratiqués uue fois sur un f
jusqu'à entrer en conver- - sation avec l'apparition. Dans certains cas , surtout chez les hysté- riques, le rapprocheme
'au point de vue anatomo-patholo- gique que j'ai eu affaire dans ce cas . Au point de vue clinique, il faut remarquer l'
es, tant au point de vue des symptômes qu'à celui des lésions. Un cas DE neurasthénie (TYPE Beard-Charcot) ; trépanatio
l'intervention thérapeu- tique intempestive, mortelle même dans le cas où le paralytique, au début, est méconnu et tra
ie froide par exemple. M. Ballet répond que c'est un exemple de ces cas fréquents où un choc moral ou opératoire faitdi
rein flottant douloureux. sociétés savantes. 327 *"A ' SUR deux cas D'HÊRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE. M. P. LONDE (de P
tor. D'autre part, ils ressemblent d'une façon frappante à certains cas de sclérose en plaques d'avec lesquels le diagn
s observations de Dreschfeld. Origine OTIQUE D'UN certain NOMBRE DE cas DE paralysie faciale r. c A FRIGORE t. M. LAN
déterminant le gonflement du névrilème du facial, surtout dans les cas où le canal de Fallope présente une fissure, ce
résente une fissure, ce qui paraît fréquent. J'ai observé plusieurs cas démonstratifs de cette variété de paralysie facia
généraux, les douleurs d'oreilles qui existent dans la moitié des cas , les troubles de l'ouie, elc. Il y a donc intér
l'ouie, elc. Il y a donc intérêt à examiner l'oreille dans tous les cas de para- lysie faciale périphérique, car le pro
ques qui l'emportent. Il conviendrait donc de ras- sembler tous les cas de microcéphalie occasionnés par un simple arrê
açon méthodique et prolongée, permet d'obtenir dans la majorité des cas des résultats tout à fait sérieux ; tandis que,
e qu'il est possible de les améliorer et même de les guérir. , UN cas DE MYXOEDÈME opératoire traité par L'INGESTION
sme, il n'y a pas de différence histologique précise et que dans le cas en question il manquait le goitre et les déformat
horée. MM. VALLON et A. Marie. Nous avons observé récemment trois cas de paralysie générale avec chorée. Dans deux de c
mment trois cas de paralysie générale avec chorée. Dans deux de ces cas , la chorée (type Sydenham) s'est présentée dans
bserver à la Sal- pêtrière, en 1892, dans le service de Charcot, un cas d'hémianopsie avec hallucinations dans la parti
r de la cellule épendymaire : les deux cellules filles sont dans ce cas juxtaposées et augmentent de leurs travers les di
l'insultât (troubles psycho-moteurs probables). A la différence du cas de Leuret il y a ici substitution d'un moi ambi
ogiquement par l'automatisme moteur verbal qui existe dans ces deux cas comme dans le précédent. Étude SUR l'hérédité D
les enfants internés nés de père ou mère internés : sur vingt-cinq cas on trouve huit cas d'idiolie ou d'imbécillité pro
és nés de père ou mère internés : sur vingt-cinq cas on trouve huit cas d'idiolie ou d'imbécillité pro- fonde, deux cas
cas on trouve huit cas d'idiolie ou d'imbécillité pro- fonde, deux cas de démence précoce, cinq cas de perversion mora
olie ou d'imbécillité pro- fonde, deux cas de démence précoce, cinq cas de perversion morale, cinq cas d'accès délirant
e, deux cas de démence précoce, cinq cas de perversion morale, cinq cas d'accès délirants passagers, deux cas de délire
as de perversion morale, cinq cas d'accès délirants passagers, deux cas de délire avec tendance à la chronicité. Le tro
sont internés. Enfin le quatrième groupe est composé de quatorze cas de frères et soeurs internés en même temps, et do
l'homme l'épilepsie peut être considérée dans un grand nombre de cas (Pierret) comme due à la stase du toxique dans l'
sociées (au- dition colorée) et combinées au délire; il signale des cas d'audi- tion colorée pure chez les dégénérés dé
iA)'bIOND (F.). Contribution ri l'élude des tumeurs du cerveau : un cas de gliome neuro- formait) - Brochure in-8" de 28
. M. Raymond, qui a fait en France une étude très complète de ces cas particuliers, pense que les malades entrent alors
ortir de l'état déterminé par l'expérience de Strumpell. Et dans un cas comme dans l'autre, une fois revenue à l'état d
nous surprendre, car on en rencontre de semblables dans bien des cas de sommeil provoqué, et c'est là un argument de p
e nerveux sur la vie végétative. On peut même espérer dans certains cas au moyen de la connaissance de ces échanges nut
la présence fréquente de l'albumine dans la paralysie générale (20 cas sur 36, soit 55,5 p. 100), mais M. A. Voisin' n
de l'évolution. Aussi se croit-il en droit de conclure que dans les cas de diagnostic douteux l'absence de peptone dans
ile Sainte-Anne (clinique de la Faculté). Peut-être dans quelques cas , heureusement fort rares, croyons-nous, y a-t-i
ur l'exactitude du volume des vingt- quatre heures. Dans tous les cas , même s'il s'est glissé quelque erreur à notre
sez notable e ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 371 de cas cette polyurie est assez intense. Elle est assez
y ait parfois mais rarement oligurie, dans le plus grand nombre de cas , il y a une légère polyurie pouvant devenir par
quefois un dépôt assez faible d'urates ou de phosphates suivant les cas ; il n'y a pas de règle bien précise à cet égard
y a pas de règle bien précise à cet égard. De plus, dans tous les cas à peu près, on trouve du mucus en quantité toujou
s établie, la réaction est faiblement acide dans les deux tiers des cas ; elle est neutre à peu près dans un sixième dè
deux tiers des cas ; elle est neutre à peu près dans un sixième dès cas , et alcaline dans le dernier sixième. Les urine
e d'urine à l'intérieur de la vessie. (Nous n'avons pas examiné ces cas .) Densité. M. Lailler nous indiquait la densité
II) que cette densité peut être, il est vrai, normale dans quelques cas , que quelquefois elle peut même être augmentée,
dit M. Lailler, mais qu'au contraire, dans le plus grand nombre de cas , elle est diminuée, souvent même assez diminuée
on, est très probablement le plus important des Etats-Unis. En tout cas , son directeur est l'un des expérimentateurs les
placée dans l'établissement.-» Je ne veux pas non plus envisager le cas où le propriétaire poursuivrait la vente judici
ger le cas où le propriétaire poursuivrait la vente judiciairement, cas assez rare, il faut le dire. La tutelle est alo
ort dont on y dispose généralement. Cependant on se heurte, en ce cas , à des difficultés d'un ordre particulier, qu'i
lié- nés et ensuite de faire bénéficier les malades, même dans le cas de poursuites de la part du propriétaire, des art
ux de l'oeuvre que nous indiquons. Peut-être nous dira-t-on que les cas sont rares où notre action sera vraiment effica
s particuliers; mais dix fois la vente a dû se faire et, en ces dix cas , quelques-uns sont des plus intéressants, notam
un même individu la maladie de Basedow et le tabes. L'intérêt du cas présenté par MM. P. Marie et hiarinesco réside
avec la maladie de Basedow. Bien qu'on puisse conclure 'des divers cas observés que l'altéra- tion des faisceaux solit
ournal, janvier, no 1726.) Nous relevons parmi les observations, un cas de crétinisme spo- radique de vingt-quatre ans
atre ans semblable à celui du Dr Bramwell pré- cité (Dr Coutto); un cas de maladie de Raynaud chez un enfant de dix-neu
maladie de Raynaud chez un enfant de dix-neuf mois (Dr Deck) et un cas de crampe professionnelle chez un tailleur de p
alysie DU grand DENTELÉ avec atrophie DES muscles DE l'épaule. Deux cas DE déformation crânienne CHEZ l'enfant; par les
ne et électrisation par courants interrompus (D' Moorhouse). Deux cas de déformation crânienne chez l'enfant (D' Wheato
ime les accidents; guérison graduelle complète. ' P. K. LXIII. UN cas d'hémiplégie DIPHTÉRITIQUE; par J. DONATH. (Neuro
ce, le nom, l'habitation précise, la date et le motif du départ. En cas d'émigration, la fiche de l'individu le suivra
chez 96 femmes et 2 hommes. Suicide chez 33 femmes et 1 homme (= 34 cas , soit 27 p. 100). Criminalité (délits) de 19 fe
cinations pour une confusion mentale véritable. L'évolution juge le cas . La paranoïa hallucinatoire aiguë entre en conv
s centaines de fois par jour ; le même fait peut s'observer dans le cas d'exclamations spasmodiques, l'inté- ressante o
e. (Bi-ilish JIccl. Joziriz., 2 juin 1894.) A. Marie. XXXIV. SUR UN cas d'hallucinations motrices verbales chez UNE par
noïa avec prédominance d'idées de persécution. G. DENY. XXXVI. UN cas DE sensations auditives ET VISUELLES subjectives,
à paru suspectes ; elles sont au contraire contre-indiquées dans le cas de nostalgie, celle-ci par exemple survenant si
fusent toute visite. C'est d'ailleurs le médecin qui doit en chaque cas autoriser ou supprimer lu visite, il n'est pas
mentales. Il éta- blit les conclusions suivantes : , 1° Dans les cas récents de mélancolie, pas de visites, du moins
n proscrira toute visite. Il vaut mieux aussi les défendre dans les cas légers et récents, que l'excitation qu'elles pr
impose l'obligation d'en' agir en matière de visites comme dans les cas de mélancolie simple ou de manie et d'être peut
imple ou de manie et d'être peut-être encore plus prudent en pareil cas . Il faut ici peser la forme des hallucinations se
neurasthénie qu'on ne l'a admis jusqu'alors. Dans un grandnombre de cas ce n'est pas sous la forme d'angoisse que l'accès
at mental, il redevient plus calme et finit par être délivré de son cas de conscience qui le rend confus. Mais il éprou
tre considérés comme accidentels. - 422 CORRESPONDANCE. En tout cas , l'angoisse a une importance fondamentale dans la
nésie habituelle, moins absolue que dans l'épilepsie, mais, en tout cas , susceptible de disparaître sous l'influence de
ernes pio- visoires chargés de remplacer les internes titulaires en cas d'absence ou d'empêchement. ' La durée des fo
ternes provisoires chargés de remplacer les internes titulaires en cas d'absence ou d'empêchement. ' La durée des fo
s persécuteurs que par une oreille; l'excitation n'a frappé dans ce cas qu'un seul hémisphère. Parfois encore l'halluci
la né- vrose font défaut. Nous avons eu l'occasion d'observer un cas de polyurie dont nous allons rapporter les déta
inel, la première idée qui devait venir à l'esprit était celle d'un cas de polyurie traumatique. C'est, en effet, l'idé
entre le traumatisme et la polyurie. » De même il s'agit, dans un cas de M. A. Mathieu2, d'un sujet qui, ayant reçu des
RIE HYSTÉRIQUE. 457 Les mêmes réserves s'adressent à la plupart des cas de polyurie alcoolique publiés jusqu'ici. Comme
« ont été des alcooliques avant d'être des polyuriques ». Plusieurs cas de polyurie simple, attribués par M. Lancereaux
ches expérimentales et ana- tomo-pathologiques ont montré, dans des cas de polyurie, l'intégrité du bulbe et l'existenc
se d'agrégation, la grande névrose est incriminée sept fois, sur 51 cas de cause connue, comme origine de l'hyperurinat
erurination. Dans ses der- nières leçons, il publie quatre nouveaux cas de polyurie alcoo- lique. Il fait expressément
licite- ment noté l'influence des excès alcooliques aigus dans cinq cas de polyurie hystérique : « Ces malades, dit-il,
tique rigoureuse font défaut. Nous ne voulons pas dire que tous les cas de polyurie sans lésions dépendent de la grande
re qu'une. Mais cette déduction est très critiquable. Dans tous les cas , l'assimilation au point de vue clinique nous s
alcoolique, émotive, traumatique, etc. En deux ans, on a observé 22 cas dans les hôpitaux de Paris. Sa rareté autrefois
e- cherchait pas les stigmates chez l'homme. Or, presque tous les cas de polyurie hystérique récents et authentiques co
Soc. méd. des ? 11 mars 1892. 3 Ehrhardt, loc. cit., p. 28. Sur 17 cas , en effet, rapportés par l'auteur, l'incontinen
e idée fixe. La filiation des phénomènes est aisée à comprendre. Le cas que nous avons étudié ne laisse aucun doute sur
rentrer dans son cadre. Elle ne saurait cependant englober tous les cas de polyurie sine materia. La polyurie héréditai
ostic que Ricord n'avait jamais osé formu- ler, même en présence de cas qui l'embarrassaient singulière- ment, fut cour
on de la moelle est extrêmement rare. Nous en avons rapporté deux cas |bien nets'. Dans les deux cas elle était associé
nt rare. Nous en avons rapporté deux cas |bien nets'. Dans les deux cas elle était associée à la méningite cérébrale de
e répond au tableau clinique de la méningite spinale. Dans certains cas , elle est caractérisée par des accidents cérébr
aux mentionnés plus haut. C. Myélite. Dans un assez grand nombre de cas , la moelle parait atteinte primitivement, en ce
i- lis. Ajoutons cependant qu'il n'est pas rare de rencontrer des cas qui présentent comme une ébauche du type précéden
end compte des phénomènes pseudo- tabétiques observés dans certains cas (rg. 12). La pachymé- ningite spinale syphiliti
avec intégrité de la moelle. Fig. 14. Périartérite ancienne dans un cas de lel)toin3,lito$-pliili- tique (artère spinal
syphili- tiques présentent, sinon toujours, au moins dans certains cas , des caractères anatomiques assez particuliers
mort immédiate de l'animal. Nous y sommes parvenus dans plusieurs cas . La moelle pa- raissait saine à l'oeil nu, et l
ement de part et d'autre du canal de l'épendyme'. Or, dans tous les cas , nous avons retrouvé la même lésion, consistant
ge. Mais le fait mérite d'être noté, car il dé- montre que, dans le cas d' oblitérations artérielles uniformément répar
nt le premier rôle, bien que, comme il le dit lui-même, en quelques cas rares, les idées déli- rantes s'organisent en l
idées qui peut aller à la confusion ( Veî,ivii,î,ttng), et dans ce cas il existe des troubles moteurs correspondants.
fusion mentale (Ve ? -wii@i-u71g), cela est admissible, en certains cas au moins et dans des conditions qui se préciseron
par Westphaije Wahnsinn acuter ou la Verrûcktheit acute. 5° En tout cas , dans la folie systématique chronique rentrent dè
ration dont les éléments sont différenciés. A. Marie. XXI. SUR un cas DE kyste du cervelet ; par HUGHLING9 JACKSON et
t l'hypothèse d'une parésie par compression à distance, car dans ce cas les membres inférieurs eussent été éga- lement
ritisla tlled. Journal, '24 février 1894.) A. Marie. XXII. SUR un cas DE tumeur DE la dure-mère spinale; par William
heureux résultats obtenus par l'intervention chirurgicale dans les cas analogues sont fréquents depuis les premiers cas
rurgicale dans les cas analogues sont fréquents depuis les premiers cas publiés par Horsley et Gowers. L'auteur rapport
donnés la délica- tesse du diagnostic et de l'intervention dans les cas analogues. Dans un cas,unéchinocoqueextradural
du diagnostic et de l'intervention dans les cas analogues. Dans un cas ,unéchinocoqueextradural échappa à l'investigation
ertébrale immédiate- ment susjacente à celle réséquée. Dans l'autre cas rapporté en détail, l'insuccès fut dû à la réci
erte correspondante des réflexes patellaires, pouvant dans d'autres cas relever d'altérations ner- veuses périphériques
t dans d'autres cas relever d'altérations ner- veuses périphériques cas d'Eiellorst.) A. Marie. XXIV. CONTRIBUTION A la
itaire semble en rapports de suppléance physiologique dans certains cas d'ablations, la fonction se peut ramener en der-
des fonctions cérébrales et respiratoires dans le myxoedème et les cas analogues (crétinisme sporadique, acromégalie,
elle de la fonction psychique de la lecture. Lors donc qu'en pareil cas ou trouve un foyer cérébral, c'est que ce foyer
s déterminées : état de repos et état d'action. . Dans le premier cas (V. fig. 18, a), la cellule glandulaire consiste
erve une énorme cavité (V. fig. 20, c) qui semble dans cer- tains cas complètement vide, et qui dans d'autres parait
ché tel que sugges- tion et auto-suggestion) n'explique en bien des cas rien, et obs- curcit plus qu'il n'explique l'ét
tent de relier entre eux les phé- nomènes cliniques. Jamais en tout cas , on ne doit asseoir de définitions fondamentale
développer en même temps qu'elles. Elle évolue dans la plupart des cas , graduellement, rarement on y voit des accidents
), mais qu'elle peut également se développer sans celle-ci. Dans ce cas , les idées de persécution d'abord, puis celles de
sont une forme de folie systéma- tique abortive parce qu'en pareil cas , ce qui est l'essentiel, c'est l'existence de c
SAVANTES. et un pronostic, on diagnostiquerait aujourd'hui tous les cas de folie systématique aiguë. Si réellement le c
ématique aigu curable. Ces exemples nous conduisent à faire grand cas des deux variétés de paranoïa hallucinatoire ai
élimiter la folie systématique aiguë, de la distinguer de plusieurs cas de mélancolie hypocondriaque, de mélancolie et
es cardiaques, les malheureux atteints d'affec- tions rénales, tous cas dans lesquels on observe souvent pendant des se
stématique chronique (cela est hors de doute), il ne s'agit en tout cas que d'une genèse secondaire et non d'une transf
sile devient inutile (111endel). Alais, même alors, il y a quelques cas dans lesquels le dé- lire dure bien plus longte
elles peuvent également ne jouer qu'un rôle accessoire et, dans ce cas , c'est l'idéation qui est primitivement et direct
eptions délirantes est, dans ces états, la règle ; ja- mais en tout cas , il n'y a organisation d'un délire suivi, systéma
ë (paranoïa acuta), qui mérite sans conteste son nom. Il y en a des cas d'une durée très courte se terminant par la gué
ion de l'émission des idées jouent un rôle essentiel, et il y a des cas dans lesquels on est tout aussi autorisé à attrib
e ou confusion men- tale, dont nous venons de parler. Dans bien des cas de confusion mentale, l'humeur des malades corr
, soit dans le cours de la ma- ladie. Sans doute on dit que dans un cas l'anomalie de l'humour est primitive et qu'elle
hésie gaie. C'est parfait en théorie. Mais en pratique s'il y a des cas dans lesquels la succession des phénomènes est
t de la prio- rité du trouble. On en peut dire autant pour quelques cas de folie systématique aiguë caractérisés par un
té paranoïque et délirante, tandis que, d'autre part, il existe des cas de paranoïa et de confusion mentale avec état m
e para- noïa), et que ces termes ne désignent que pour une série de cas l'ensemble symptomatique de la maladie. Pour be
nsorielles, il y a des formes de transition. Ainsi on reconnaît des cas dans lesquels les conceptions sont fort dissoci
représente la forme de beaucoup la plus rare ; la plupart de ces cas se rattachent à l'alcoolisme. M. Cramer dit, en
a psychophy- siologie, plutôt à penser que, dans un grand nombre de cas , dès le début, à la période de méfiance, on n'a
nt à la confusion mentale hallucinatoire aiguë, on a, dans quelques cas , nettement constaté, dès le début, la coparticipa
se en eux et par suite on ne peut se faire une idée nette de chaque cas . Mais il est des observations dans lesquelles,
rentes. Ceci s'observe surtout chez la femme. Eh bien ! en tous ces cas on n'a pas plus affaire à la maussaderie mélanc
ans le mode de l'affectivité. Il va de soi que nous en excluons les cas dans lesquels la dépression peut être la consé-
ne des fonctions psychiques fondamentales. [Quoi qu'il en soit, les cas désignés sous les noms de Verwirrtheit et Wahns
dans la bibliographie, on pourrait trouver un nombre suffi- sant de cas observés avec exactitude, du commencement à la fi
que primaire 508 SOCIÉTÉS SAVANTES. (primoerer Wahnsinn), que les cas caractérisés par des idées déli- rantes de pers
ire variété de la marche, on pouvait coordonner un nombre infini de cas en les expliquant par le mécanisme d'une anomal
istinguer et à grouper les maladies, itfautparvenir à assembler les cas qui con- cordent entre eux par les traits princ
en est que je ne range pas sous le nom de délire hallucinatoire les cas qu'il a cités. Ceci montre que nous ne nous ent
e fait pas intervenir le seul facteur constant, l'intoxication. Des cas de psy- chose polynévritique s'observent à la s
aves des cellules, des tubes et des vaisseaux cérébraux. Dans les cas où l'autopsie a pu être faite, on a trouvé dans l
lus souvent recherchées, ont été qualifiées polynévrites. ' Dans un cas ce sont des lésions de névrite parachymateuses (P
dans les autres, il n'y a pas apparence de lésions. Dans le premier cas , les lésions doivent être rapprochées de celles
clure à l'absence des lésions microscopiques. En résumé, dans les cas nets, quand il y a inflammation des nerfs, il y
shal, Taylor, Piorry). Comment par cette théorie expliquer : 1° les cas ou le corps thyroïde est atrophié ; 2° les cas
e expliquer : 1° les cas ou le corps thyroïde est atrophié ; 2° les cas ou il y a diminution du goître sans amendement
soin plus particulier. Dans ce premier fascicule nous trouvons six cas , tous déjà com- muniqués à la Société des Neuro
énique ayant pris une importance insolite, car dans la majorité des cas décrits BIBLIOGRAPHIE. 517 jusqu'à présent so
tribution singu- lière de la paralysie sensitive et motrice dans un cas de lésion des parties latérales et inférieures
u côté droit. La lésion, d'après Beeliteréff, a dû porter dans ce cas sur la par- tie inférieure de la moitié droite
uche du corps et sur la racine ascendante droite du trijumeau. Un cas de tétanie chez un soldat âgé de vingt-quatre ans
tention du Congrès américain de médecine légale (août 1893) sur ces cas aujourd'hui assez nombreux où l'hypnotisme a ét
in qui ne puisse à un moment donné être appelé à intervenir dans un cas de ce genre. La paralysie générale est en effet
t on en fait coucher un autre pour qu'il puisse prêter son aide, en cas d'incendie par exemple. Les malades vont au tra
uit qui aient pu vivre plus ou moins longtemps au dehors. En tout cas , le gain de quelques sous et la menace d'être réi
établissement fermé les maintient tous dans le devoir. " En tout cas , il est facile de voir que ces cinquante malades
lades. A Altscherbitz, dans le même temps on n'a admis que pour des cas urgents. Puis, dans le courant de l'année 1893,
rédacteur-gérant : BOUENRVILLE. TABLE DES MATIÈRES ACRO\II.UAL1E, cas d' , par Dresct- feld, 36. AFF.UHE ? Varow,pa
Artiiropatiiies tabétiques des deux hanches, parLonde, 38; trois cas d'- myélopatltique, par Revilliod et Audéoul,
ces des assistants des - d'aliénés anglais, 520. Athétose, sur un cas d'- double, par Moussous, il. Atrophie muscul
chez les aliénés, par Bombarda, 132. Automatisme ambulatoire, un cas d' hystérique, par Régis, il ; - par Gétiu, 1
dans la circulation cérébrale, par Jolyet, 318. Cervelet," sur un cas de kyste du-, par H. Jackson et russe),48). S
S MATIÈRES. Charcot, souscription , 147. Chirurgie, note sur deux cas de - cérébrale, par Ciiil)atilt, 1 ? 7. Ciilo
utoplastique intermédiaire, par A. Chipault, 394. Crânienne, deux cas de déformation chez l'entant, par Wheaton, 39
ions du système nerveux par le poison -, par Stcherbach, 316 ; un cas d'hémiplégie,par Donath, 398. DIPLÉGIE cérébr
DIPLÉGIE cérébrale héréditaire, par Freud, 399. Dure-mère, sur un cas de tumeur de la spinale, par Ranson et Thomso
fonctionnel, par Sommer, 484. Elongation du nerf médian dans deux cas de névrite traumatique, par L. Dentu, 124. Ef
ligieuse avec hallucinations psychomotrices, par Régis, 120; deux cas remarqua- bles de systématisée, par Bar- tels
ique des microcéphales, par Bourneville, 331. Impressions, sur un cas de localisa- tion erronée des - tactiles ou a
ine diphtérique, par Enri- quee et Hallion, 315. Myopathies, deux cas de pro- gressive du type Laudouzy-Déje- riue,
llaury, 511. NEURO-PATIIOLOGIE, par Bechterew, 516. Névrites, cas de multiples, par Worcester, 43; périphériques,
épilcptique, Iar Nagy,t02. Occipital, coupes du cerveau dans un cas de lésions du lobe , par Sioli, 65. OEil, rap
Opium, usage de l'- aux Indes, par A. Marie, 123. Ostéite, sur un cas d' déformante de l'a,-et, par Gilles de la 'l'o
1).Sl'ÉOTO,IIE crânien, par Chipault, 311. OV.1ROSAL1'INGEC'l'OIIE, cas de folie conséoutivei\une,parRée)s, 130. PA
folie conséoutivei\une,parRée)s, 130. PACIIY.IÉ-,I ? (ITE, huit cas de hé- morragique, par Bondurant, 36. Papille
oedecl : er, 139;- par Schule, r06; par Keraval, 475. Paraplégie, cas de guérison d'une alcoolique par l'électricité,
udelo,45; de la mémngo- myélite -, par Lamy, 48. Syphilis, sur un cas de cérébrale, par Bitot, 41; troubles mentaux
u corps , par West, Ravien, Squire, Balmans et Gordon, 123; trois cas de crétinisme sporadique traités par l'ingestio
enregistrement des , par Lefillittre, 161. Urémique, note sur un cas de folie consécutif à un rétrécissement 11,-i
87 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
atteindre un millimètre et plus. lis n'ont fait défaut dans aucun des cas d'hémorrliagie cérébrale observés par MM. Cliarco
ner Klvnische Wochenschrif't., 1866.) 3. R. Lépine. — Note sur deux cas d'hémorrhar/ie 'sous-minint/ée. (Onzelie médicale
n pathogénique nouvelle quenous avons rencontrée constamment dans les cas déjà nombreux d'hémorrhagie cérébrale qui ont pas
autres observateurs. C'est à eux que nous croyons devoir rapporter un cas observé par 1. Anafomie pathologique du corps h
ture d'un semblable anévrysme l'hémorrhagie qui existait dans le seul cas de ce genre qu'il a observé, mais il n'y voyait q
éfendue précédemment. L'un de nous avait déjà eu l'occasion dans deux cas , en 1863 et en 1865 d'observer les anévrysmes mil
ombaient à des maladies autres que celles de l'encéphale. De nouveaux cas d'hémorrhngie cérébrale se présentèrent et le cer
s de nombreuses communications à la Société de biologie où le premier cas avait été montré, établir que dans un certain nom
anévrysme miliaire. Les hémorrhagies se succédant sans que dans aucun cas les anévrysmes miliaires fissent défaut, nous pûm
e. L'Iiémorrhagie qui accompagne le ramollissement cérébral, dans les cas ou une thrombose des sinus fait obstacle à la cir
roduisent, sans aucun doute, par un autre procédé. Mais à côté de ces cas exceptionnels où riiômorrhagie survient comme sym
le considérable de faits, notre statistique ne compte pas moins de 60 cas d'hémorragie cérébrale : sur ce nombre, 42 ont ét
ns un hôpital aussi considérable que la Charité de Berlin, vingt-huit cas d'hémorrhagie cérébrale seulement figurent sur le
c'est l'hémorrhagie sénile qui nous a fourni le plus grand nombre des cas que nous rapportons. La présence constante d'an
s rapportons. La présence constante d'anévrysmes miliaires dans des cas si nombreux d'hémorrhagie cérébrale pourrait fair
s est cependant graduellement croissante. En ne tenant compte que des cas d'hémorrhagie observés avant 80 ans, et en lesrép
(Pl. III, fig. 1, B.) Tantôt l'altération de l'adventice, et c'est le cas le plus fréquent, peut consister exclusivement en
rrhagie, renfermaient cependant des anévrysmes ; enfin, dans quelques cas , nous l'avons constatée dans des sujets qui n'ava
différer que par le siège et par le rôle palliogénique. Dans quelques cas aussi, nous avons vu des anévrysmes beaucoup plus
les prépare, chez un jeune homme de 20 ans, et qu'il en existe, trois cas , chez des individus âgés de 20 à 30 ans. Quand
dans la gaine dilatée avec un anévrysme véritable au centre. Dans les cas où cette gaine s'est rompue, l'apparence que nous
'adventice et s'infiltrer aussi de granulations graisseuses. Dans les cas où un anévrysme rompu antérieurement a laissé le
ires faisaient défaut. Les dilatations anévrysmatiques, dans tous les cas que nous avons recueillis et dans plusieurs de ce
es autres organes n'ont pas été examinés. Les pièces relatives à ce cas ayant été présentées à la Société anatomique par
lpêtrière, 1808. — Vulpian (1.) Les commémoratifs manquent. Dans ce cas , on constate un foyer hémorrhagique ancien, exist
al reconnu au sein du foyer. Ce fait a été rapproché par l'auteur des cas d'hémorrhagies dues à la rupture d'anévrysmes des
été frappé de la coïncidence de l'hémorrhagie cérébrale dans ces deux cas , et il ne se pose môme pas la question de savoir
Obs. LXXXIII et LXXXIV. — Bastian. M. Bastian dit qu'il a vu deux cas d'hémorrhagie cérébrale avec des anévrysmes comme
-lhof dit à ce propos qu'il a trouvé de semblables anévrysmes dans un cas observé en 1856. Nous aurions pu grossir encore
ussion à laquelle ce fait a donné lieu à la Société anafomique, qu'un cas de ramollissement rouge. Les anévrysmes miliair
coïncidence avec d'autres lésions des centres nerveux. Ainsi, dans un cas recueilli par M. Liouville, dans le service de M.
ie cérébrale que nous avons réunies, on reconnaîtra que dans tous les cas on a trouvé les anévrysmes miliaires soit 100 pou
llement athéromateuses 15 fois, soit 21,74 °/0, plus du cinquième des cas ; elles étaient peu ou presque pas athéromateuses
pas athéromateuses 25 fois, soit 36,37 °/0 ou dans plus du tiers des cas ; elles sont indiquées simplement athéromateuses
s athéromateuses 17 fois, soit 24,63 °/0 ou à peine dans le quart des cas . Il nous est donc permis de dire que les sujets q
t les artères de l'encéphale non athéromateuse dans plus du quart des cas , à peu près 22 fois pour 100, et que celles-ci pr
ent les divers degrés de l'athérome à peine dans les trois quarts des cas . Cette fréquence de l'intégrité apparente des art
e les artères paraissaient saines 18 fois pour 100. La proportion des cas ou l'athérome manque dans les artères cérébrales
frappés d'hémorrhagie du cerveau est à peu près la même que celle des cas où les arLôres restent saines chez les vieillards
rvations, l'hypertrophie n'est indiquée que 22 fois, c'est-à- dire 40 cas sur 100 ; encore chez deux des malades, cette hyp
sé à avancer qu'un phénomène analogue se produit dans la majorité des cas d'hémiplégie à début brusque, déterminée par une
eau, lorsque la mort doit rapidement s'en suivre. Seulement, dans les cas de ce genre, l'eschare, ou la tache ecchymotique
ée, plus rarement une teinte violacée, livide; elle disparaît en tout cas , momentanément, sous l'influence de la pression d
à un moindre degré. Je n'ai, du moins, rencontré jusqu'ici qu'un seul cas dans lequel le travail de mortification ait envah
sité. L'examen nécroscopique a fait reconnaître ce qui suit dans un cas où l'eschare, relativement énorme, ne mesurait pa
globules du sang. L'eschare des hémiplégiques se rencontre dans les cas les plus divers de lésion du cerveau : à la suite
emarques qui précèdent. Ces observations représentent la totalité des cas d'hémiplégie récente, de cause cérébrale, à début
ice, à la Salpêtrière, pendant les années 1866 et 1867. Dans tous ces cas , la région fessière a été examinée avec soin, jou
avec soin, jour par jour, pendant toute la durée de la maladie. I. Cas dans lesquels l'eschare ou la tache ecchymotiqu
quatrième jour, eschare. Mort le douzième jour. T.R. 39°,0. II. — Cas dans lesquels les deux fesses ont été également
lacées de la fesse droite : TR. 40°. Mort le cinquième jour. III. — CAS DANS LESQUELS les deux fesses ont été affectées
ur chacune des fesses. — Mort le cinquième jour. TR. 40°., 5. IV. — Cas dans lesquels il ne s'est produit ni eschare ni
ue. — Mort le troisième jour. TR. 39°, 4. En résumé, sur vingt-huit cas d'hémiplégie à début brusque, déterminée par une
érité, toujours plutôt et plus profondément que l'autre; dans un seul cas , les deux fesses ont été prises en même temps et
té prises en même temps et à peu près au même degré; enfin, dans sept cas seulement, l'eschare ou l'ecchymose de la fesse o
symptômes semble permettre d'espérer une issue moins triste, dans les cas par exemple, ou l'hémiplégie, incomplète à l'orig
saurait trop insister, — que l'influence du decubitus est, en pareil cas , une cause de second ordre. (2) 1. Voir sur ce
e second ordre. (2) 1. Voir sur ce sujet : R. Lépine, Note sur deux cas d'hémorragie sous-méningée. — Consulter aussi ; B
, 1867 n° 52, 28, décembre, p. 798.) 2. Dans la grande majorité des cas dont il est question dans cette note, le decubitu
gauche de la ligne médiane. portaient également sur le lit. Dans un cas (obs. 15), la malade affectait de se tenir habitu
t survient très rapidement. Tout récemment, M. Charcot a observé deux cas de deux vastes foyers hémorrhagiques avec rupture
quelques heures après, presque toujours on a trouvé, surtout dans les cas graves, la température notablement abaissée au-de
de 37°, 5 qui représente l'état physiologique, on a trouvé en pareil cas à peine 37° ou même un chiffre encore moins élevé
) » Ces derniers phénomènes s'observent en réalité souvent dans les cas auxquels M. Trousseau fait allusion ; mais l'on p
ture dans le tétanos traumatique s'élève souvent jusqu'à 40°, Dans un cas de tétanos spontané, M. Wunderlich aurait constat
e continuant à s'élever encore après la mort, aurait atteint, dans ce cas , au bout de quarante-cinq minutes, le chiffre 45°
d'autant plus que les crampes sont plus intenses. Mais dans tous les cas qui viennent d'être cités, les phénomènes sont tr
température, comparable à celle qu'on rencontre chez l'homme dans les cas de tétanos. Dans toutes ces affections, tétanos
aire se rapporte à un type spécial : la convulsion tonique. En pareil cas , une contraction persistante détermine de la rigi
(Virchow''s Archiv, Bd. XXVI, p. 538-559.) 3. Loc. eil. dans les cas de convulsions Ioniques, paraît donc concorder av
-il, lorsqu'il s'agit de convulsions cIoniques, c'est-à-dire dans les cas où les contractions musculaires produisent des mo
iques générales, et nous avons recherché ce que devient dans ces deux cas la température centrale. Dans tous les cas, nou
ue devient dans ces deux cas la température centrale. Dans tous les cas , nous avons exploré la température du gros intest
IV, VI.) X. Sur les néo-membranes de la dure-mère, à propos d'un cas d'hémorragie intra-méningée (1). D'après l'opin
n très grand nombre d'auteurs l'admettent avec M. Baillarger pour des cas analogues, la membrane se serait développée par u
oduire la manière de voir de la plupart des médecins français sur les cas de ce genre. Cette première attaque, dirait-on, a
la pathogénie des néo-membranes et de l'épanchement observés dans le cas actuel, que les choses paraissent se passer comme
es paraissent se passer comme nous l'avons admis dans la majorité des cas d'hémorrhagie méningée ; c'est du moins ce que te
ent précédées ou accompagnées d'extravasations sanguines, et, en tout cas , sans qu'elles y trouvent leur cause génératrice
et n'existe pas en réalité, au moins dans la très grande majorité des cas . Il n'est représenté que par une couche d'épithél
enne comme des produits inflammatoires. Il les a rencontrées dans les cas de péri-encéphalite diffuse. Il a parfaitement vu
nouvel épithélium. Nous rappellerons, à cette occasion, que, dans le cas dont nous rapportons l'observation, on trouvait d
n, on trouvait des cellules épithéliales plus ou moins char- 1. Des cas oh le cours de la péri-encéphalite chronique diff
la lame qui revêt la dure-mère a une origine pathologique. En pareil cas , on pourra croire à l'existence d'un feuillet par
n début sur des sujets morts de maladies les plus diverses : dans des cas de pleuro-pneumonie, de pleurite, de pericardite,
te, de pericardite, de rhumatisme articulaire aigu, et aussi dans des cas , à la vérité très rares, de variole, de scarlatin
membranes s'aminciraient par une sorte de retrait, et c'est dans ces cas que, comme on l'a dit plus haut, elles pourraient
xhalations et de productions diverses. C'est ainsi que, dans certains cas , il se fait entre les lamelles de la néo-membrane
ation inflammatoire des néo-membranes devient plus vive, et, dans ces cas , du pus a pu se produire. 1. Le plus souvent, c
la faux et dans une très grande partie de son étendue. Dans d'autres cas , la production membraneuse est assez limitée. (Au
membraneuse est assez limitée. (Au-banel, Obs. I.) 2. 5e série. Des cas où l'on a trouvé entre autres lésions intra-crani
as invoquer un mécanisme analogue pour expliquer un certain nombre de cas d'atrophie, dite congénitale, du cerveau? MM. C
. Nous allons maintenant chercher à établir que dans un bon nombre de cas , sinon dans la plupart, l'hémorrhagie intra-ménin
oint partie intégrante et nécessaire de leur évolution, même dans des cas 1. 6e série. Cas où l'on a trouvé entre autres
nte et nécessaire de leur évolution, même dans des cas 1. 6e série. Cas où l'on a trouvé entre autres lésions intra-crâni
tés de l'arachnoïde cérébrale . kQ. 2. Nous pouvons rappeler ici un cas que nous avons observé et dans lequel, sous l'inf
donné, et il y a issue du sang au sein de la néo-membrane ; plusieurs cas peuvent alors se présenter : tantôt épanché en tr
étamorphose d'un extravasut sanguin, en est-il de même, dans tous les cas , des granulations colorées? Cela ne nous paraît p
-seaux plus nombreux ou plus volumineux. Toujours est-il que, dans un cas comme dans l'autre, c'est dans les vaisseaux de l
u'il y ait eu épanchement rapide d'une notable quantité de sang. Le cas dont nous avons présenté l'histoire peut fournir
ction de lné-morrhagie méningée est subordonnée, dans la majorité des cas , à l'existence des néo-membranes, et ils concluen
rs leurs conclusions sur un très grand nombre d'observations 1. Des cas oh l'on a trouvé entre autres lésions mira-crânie
plus ou moins épaisse de la néo-membrane. Pourquoi supposer dans ces cas , que le sang a été fourni par les vaisseaux de la
tacte dans la plupart des autopsies ; il faudrait, en outre, pour les cas où l'épanchement est complètement enkysté, imagin
ement effacée, au point de ne plus laisser de traces. Enfin, dans les cas où le sang épanché siège dans la cavité même de l
l'effort de la pression sanguine ; d'autant mieux que, dans certains cas , des dépôts graisseux se forment, soit dans les p
dérables, constituent de -véritables kystes sanguins. Enfin, dans les cas auxquels nous avons fait allusion déjà, et où un
urellement dans une doctrine plus générale, applicable, dans certains cas , aux hémorrliagies non traumatiques qui se font d
r déjà, comme appartenant à ce genre de phlegmasie, un bon nombre des cas de pleurésie et de péricardite dites hémor-rhagïq
aines hématocèles vaginales étudiées par M. Gos-selin ; car, dans ces cas -là, le sang épanché au sein de la cavité séreuse
ion pour ainsi dire accidentelle, que rien ne peut faire prévoir. Les cas cle ce genre d'ailleurs relativement peu nombreux
est, en résumé, le mode d'évolution des phénomènes morbides dans les cas qui nous occupent spécialement. Or si, comme nous
ttaques de pertes de connaissance observées dans un certain nombre de cas . Lorsqu'il y a paralysie à cette époque, on conço
s commune des hémorrliagies méningées, survient, dans la majorité des cas , chez des individus atteints depuis plus ou moins
al, par un ensemble cle symptômes capables, dans un certain nombre de cas au moins, d'attirer l'attention sur l'existence p
ient survenues qu'à la suite d'un coup, mais ce coup n'a été, en tout cas , qu'une cause occasionnelle. La grossesse arriv
3° Il nous semble que le diagnostic était impossible à poser dans le cas qui nous occupe, [/ensemble des symptômes devait
semble être le phénomène qui devrait avoir le plus de valeur dans un cas aussi douteux que celui-là. Un autre symptôme dev
e comparables aux observations récentes. Cette déduction faite, quels cas restent donc à l'appui de la thèse soutenue par M
urtin; mais, pour le moment, je passe outre. Voici donc, en fout, dix cas au plus plaidant pour la doctrine, contre un cas
i donc, en fout, dix cas au plus plaidant pour la doctrine, contre un cas contradictoire. Eafin de compte, vous le voyez, m
i singulier, et qui mériterait certainement d'être nommé la perle des cas rares? Pour stimuler notre zèle, sans doute, M. l
a thrombose des artères, ou par la thrombose des sinus, dans tous les cas , le ramollissement résulte d'une transformation r
res au début du ramollissement. Lorsqu'on les observe dans ce dernier cas , ils peuvent être rapportés toujours à une compli
a diathèse rhumatismale ou goutteuse, ou à celle de la syphilis. Ce cas devait, rester pour moi lettre close jusqu'au mom
quelquefois, ainsi que nous l'avons constaté récemment dans plusieurs cas , une complication sérieuse de l'ataxic locomotric
Les caractères de l'ataxie locomotrice progressive étaient, dans ce cas , parfaitement accusés, et les symptômes articulai
res inférieurs, mais la transmission do l'impression est, en pareil cas , très notablement ralentie. L'anesthésie s'étend
dans le service de M. le professeur Bôhier. Il s'agit dans ce nouveau cas d'une femme âgée de 42 ans, chez laquelle les sym
déjà développées depuis plusieurs années, tandis que, dans les autres cas , l'apparition de ces symptômes était de date tout
nt l'un des deux genoux ; tantôt le gauche, tantôt le droit ; dans un cas , elle a siégé sur l'articulation du coude gauche.
elle a siégé sur l'articulation du coude gauche. Elle a dans tous les cas , opéré son début inopinément, sans précurseurs, s
leur (1) paraît être un caractère à peu près constant ; et si dans un cas (Observation de M. Bouchard), ces deux derniers s
e gonflement s'est montré toujours 1. L'absence de douleur dans ces cas pourrait dépendre de l'anesthésie articulaire qui
n'y laissait pas auprès d'elle des traces persistantes. Dans tous les cas , l'affection s'est amendée progressivement, au bo
ssive. Je l'ai, pour mon compte, rencontrée plusieurs fois, en pareil cas , tantôt sous la forme des nodosités d'Heberden, t
iques. J'ajouterai que constamment elle s'était développée, en pareil cas , sous l'influence manifeste des causes qui la pro
a suite des fractures et des luxations du racliis ; ou voit en pareil cas des ulcérations et même des escliares profondes s
e tout à fait accessoire. Je crois utile de rappeler quelques-uns des cas auxquels je fais allusion. Sir B. Brodie a vu le
cipalement vis à vis la septième vertèbre (2). Dans ces deux derniers cas , il serait impossible d'invoquer, au profit de ce
nion médicale, un remarquable exemple de ce genre : il s'agit dans ce cas d'un foyer hemorrhagique développé dans la substa
embres inférieurs à la suite des blessures rachidieimes, que dans les cas où il y a lésion des ganglions spinaux lombaires
t l'axe médullaire, W. Mitchel, Morehouse et Keen disent avoir vu des cas de ce genre (I). Voici l'indication sommaire d'un
1831, le professeur J.-K. Mitchell a appelé l'attention sur plusieurs cas d'affection des jointures développées chez des in
la déchirure ou l'at-trition d'une partie de l'organe, comme dans le cas d'une lésion traumatique ; par la compression com
ie, ce n'est pas l'absence d'action du système nerveux, qui, dans les cas de ce genre, est cause de l'altération de la nutr
rties paralysées, qu'une atrophie assez lente à se montrer. Dans deux cas , au contraire, où des exostoses s'étaient formées
au moins fort vraisemblable qu'elles se produisent seulement dans les cas où, consécutivement à la section, un travail infl
issent parfois les masses musculaires des membres inférieurs dans des cas ou l'incoordination motrice est encore à peine ac
rale, tantôt, au contraire, une origine périphérique. Dans ce dernier cas , qui seul doit nous occuper, elle résulterait d'u
à par Lcnbuscher dans les termes suivants : » On trouve dans certains cas d'hémiplégie une augmentation de volume dos nerl'
upposer que l'inertie fonctionnelle prolongée ait pu avoir, en pareil cas , une influence marquée sur le développement des t
ion. À l'altération des synoviales se rattachent nettement, dans ce cas , les symptômes articulaires observés pendant la v
peut se présenter encore, avec des caractères très-accusés, dans les cas où l'hémiplégie est déterminée par la compression
parences de l'état sain. Le début de l'hémiplégie remontait dans ce cas , à plus de trois mois, mais l'inertie motrice ne
on qui va être présentée et qui, comme la première, est relative à un cas de ramollissement du cerveau. Obs. III. —La nom
ro-fibrineuse et telle qu'on la rencontre, par exemple, dans certains cas de rhumatisme à lente évolution. D'autres faits
mier lieu, les douleurs articulaires ont commencé à paraître, dans ce cas encore, à l'époque môme où se déclarait un état f
nous avons eu à signaler jusqu'ici. Il importe de reconnaître que les cas aussi accentués sont plutôt exceptionnels; et il
bservé plusieurs fois. L'état hypérémique que présentaient, dans ce cas , les gaines séreuses des fendons du muscle extens
on notable (Obs. I et II). Il s'y adjoint cependant parfois, dans les cas intenses, une exsudation séro-fibrineuse qui peut
e (Obs. II et III). Mais je suis porté à croire que ces deux derniers cas sont plutôt exceptionnels. Quoi qu'il en soit, un
s'établir de bonne heure, 16 jours à peine après l'attaque, dans les cas où la paralysie étant restée incomplète, les join
, les filets moteurs proprement dits (1). Il se produirait, en pareil cas , une hypérémie neuro-paralytique comparable à cel
euse ; mais après avoir admis l'hypéré-mie neuro-paralytique, pour le cas des membres atteints d'hémiplégie à la suite du r
nde, survenue dans l'état général du sujet (2). Au contraire, dans le cas d'hémiplégie, suite d'une lésion du cerveau, l'ar
de succession invariable pour chaque malade. Cet ordre, dans tous les cas , est conforme à l'un des deux types établis par l
e, celle de l'orangé, du rouge, du vert et enfin du violet. En pareil cas , les couleurs cessent d'être perçues dans l'ordre
me résultat lorsque l'application est faite sur le côté sain; dans le cas d'hémia-nesthésie. (Travail collectif de la commi
à l'hémianesthésie hystérique, ils se font sentir également dans les cas d'hémianesthésie cérébrale par lésion organique.
ns les cas d'hémianesthésie cérébrale par lésion organique. A. Deux cas d'hémianesthésie de cause organique et de date an
apport; Landolt et Oulmont, Progrès mécl., 1877, n° 20.) B. Nouveau cas d'hémianesthésie liée à une lésion organique du c
ère et Société de Biologie, et Gaz. des. Hop., mars 1878.) C. Autre cas du même ordre. Même résultat avec le barreau aima
'hystérie ; parfois même tout un côté du corps est frappé. Si dans ce cas on vient à appliquer sur un membre une série de p
ostic; cela n'est pas exact. Je puis citer à l'appui de mon dire deux cas dTiémichorée avec hémianesthésie, qui relèvent de
is varié. L'application des métaux a réussi absolument comme dans les cas d'hystérie ; seulement la persistance de la sensi
que la sensibilité n'est revenue qu'au bout de trois heures; dans les cas ordinaires, c'est au bout de trois-quarts d'heure
t que l'or pur n'éLait pas sans action. J'ai essayé moi-même, dans un cas d'hémianesthésie de cause cérébrale, une plaque d
parfaitement caractérisées; je réponds des résultats obtenus. « Les cas d'hystérie que j'ai examinés sont des cas parfait
résultats obtenus. « Les cas d'hystérie que j'ai examinés sont des cas parfaitement établis. Une femme qui reste huit an
de l'hé-mianesthésie en même temps que de l'hémiplégie. Or, dans ces cas , on observe également de l'achromatopsie. Rien de
raitement par la métallothérapie donne le même résultat dans les deux cas , avec cette différence que les troubles d'origine
i à M. Charcot, pour ses recherches sur la métalloscopie; ce sont les cas types dans lesquels il existe une hémianesthésie
es récemment. Je puis, d'ailleurs, mettre sous vos yeux, un nouveau cas propre à mettre en évidence le singulier phénomèn
ne sorte de malaise, d'engourdissement, de somnolence, comme dans les cas auxquels je faisais allusion tout à l'heure. Puis
que chez ces quatre malades, que j'avais choisies moi-même parmi les cas les plus accentués, et que j'avais offertes à la
à la peau, en un mot des symptômes d'intolérance. Le mieux, dans ce cas , est de suspendre momentanément l'emploi du médic
ie métallique (1). Voici maintenant la nommée B..., qui présente un cas moins prononcé et moins invétéré, mais appartenan
'administration de l'or, faite dans les mêmes conditions que dans les cas précédents, à l'intérieur, l'hémianesthésie droit
hez les hystéro-épileptiques dans l'intervalle des crises. Tel est le cas de la catalepsie et du sommeil dit somnambu-lique
entre ces différents états et l'attaque convulsivc vraie. Dans aucun cas , nous ne l'avons vue conserver le souvenir de ce
eur fermer les yeux pour les plonger dans l'état léthargique. Dans le cas présent, la même manœuvre ne conduit pas au infim
nt malheureusement de précision clinique. Dans l'immense majorité des cas , il s'agit d'affections vagues, mal définies, san
es. L'anesthèsie totale est plus rare ; je vous en montrerai ici deux cas seulement sur dix hystériques. Vous savez que l
is encore inconnus dans leur essence même. Ils existent dans tous les cas d'hystérie ; et, mis en présence d'une hystérique
ncer. J'ai ainsi été appelé à l'étranger pour donner mon avis dans un cas où l'on se demandait la nature d'une paralysie do
la même direction, venant par derrière et latéralement. Il est des cas où ils sont rouges. A ce propos, il est intéressa
rvateur, par la mise en œuvre de certaines pratiques. Dans ce dernier cas , les divers états signalés plus haut représentent
primitivement produit persiste, au contraire; mais il suffit dans ce cas de clore les paupières du sujet pour que la létha
pendant l'hypnotisme et demeure, au moins dans la grande majorité des cas , sans action pendant la veille. hyper excitabil
inière, comme dans les paraplégies spasmodiques. De plus, en certains cas , elle se montre là où elle n'existe que rarement
en d'un mouvement d'horlogerie muni d'un régulateur Foucault. Pour le cas actuel, il est placé sur l'axe de mouvement moyen
adiation du réflexe et tendance à la contracture — qui, dans certains cas , se montrent à la fois chez une même malade, peuv
e d'un plateau qui se prolonge quelque peu. En efïêt, dans ce dernier cas , on voit la main soulevée par la contraction réfl
la main et des doigts nous a donné des résultats analogues. Dans ce cas , le tambour myographique est appliqué vers le tie
ui rappelle celle du début de la grande attaque hystérique. Dans le cas qui précède, la contracture qui a suivi la percus
re des deux bras dans la demi-flexion. Les membres inférieurs dans ce cas ne participent pas à la contracture. Les recher
sont soumis à un régime différent ; et dans le plus grand nombre des cas , ce phénomène manque à la face, pendant qu'il exi
tradiction qui s'explique facilement de la façon suivante. Dans ces cas , le phénomène pour se développer exige une excita
ineux pour produire immédiatement la contracture localisée et dans ce cas l'excitation nrest pas assez vive pour tendre ver
z facilement la contracture permanente. D'autre part, dans certains cas où le choc tendineux était suivi de la généralisa
'excitation. Le tracé suivant (Fig. 8) montre en effet que, dans ce cas , la contracture se produit plus rapidement et plu
musculaires amenait la contracture des muscles excités. Mais, dans ce cas , la contracture est-elle la cotisé Fig. 13. — G
aradisation démontre l'importance de cette action synergique. Dans ce cas , en effet, en même temps que l'humérus est élevé,
rameaux nerveux. La localisation de l'excitation mécanique dans les cas d'hyperexcitabilifé neuro-musculaire n'échappe pa
résultat obtenu: contraction avec l'électricité, contracture dans les cas d'hyperexcitabilité. Mais, ceci n'est vrai que po
que l'on reconnaît à leur contraction simultanée. 11 suffit, dans ce cas , de déplacer le rhéophore d'un ou deux millimètre
grimace. » La même chose arrive avec l'excitant mécanique, dans les cas d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, lorsque la
la région excitée, et parfois sur quelques muscles éloignés. Dans ce cas , la contraction musculaire est fugace et peu ac
que ces muscles étaient situés plus près de la ligne médiane. En tout cas , nous avons bien des fois remarqué qu'une double
contractions combinées inexpressives du même auteur). Dans le premier cas , chaque pli de la physionomie concourt à l'expres
gnostic, puisque ces muscles échappent, dans le plus grand nombre des cas , à l'action volontaire. A l'état de veille, notre
ieur. Que conclure de ce fait d'observation, si ce n'est que, dans ce cas , nous excitons directement la fibre musculaire da
e l'expérience. b) La contracture persiste après le réveil. — Trois cas peuvent se montrer : Fig. 26. — Contracture par
tances diverses. a) Il varie suivant les régions du corps. Dans les cas réguliers, ceux qu'on peut appeler les cas types,
régions du corps. Dans les cas réguliers, ceux qu'on peut appeler les cas types, le phénomène existe à un égal degré sur to
ier lieu l'excitation des troncs nerveux. Enfin ce n'est que dans les cas les plus développés que l'hyperexcitabilité neuro
s; elle l'aurait été par d'autres mais peu souvent, et, dans tous les cas , les expériences d'hyperexcitabilité neuro-muscul
ntage. La griffe cubitale qui existait déjà s'est exagérée. Dans ce cas , il faut admettre que le nerf cubital droit était
nt comme autant de variétés. D. — Etat cataleptiforme. Il est des cas dans lesquels l'hyperexcitabilité neuro-musculair
e plus souvent directement par la fixité du regard. Il suffit dans ce cas , de soulever les paupières d'une malade léthargiq
e, hémi-catalepsie). Mais il n'en est pas toujours ainsi ; à côté des cas que l'on pourrait appeler les cas types et réguli
est pas toujours ainsi ; à côté des cas que l'on pourrait appeler les cas types et réguliers dans lesquels tous les symptôm
pas sensiblement. Nous avons pu noter que le plus souvent, dans ce cas , les yeux ne se laissent pas ouvrir facilement ;
es secondes avant de l'abandonner ; d) Dans le plus grand nombre de cas , le membre retombe bientôt de lui-même ; e) Enf
itabilité neuromusculaire. Ce simple fait de la production, en pareil cas , d'une contracture, et non d'une contraction, mon
ar exemple. « L'excitation des antagonistes, dit M. Vulpian, dans les cas de mouvements volontaires de certains groupes de
exe. d) L'excitation mécanique, qui produit la contracture dans les cas d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, ne reste pa
nelle du centre nerveux lui-même, modification dynamique qui, dans le cas de l'état léthargique, se traduirait par une exag
e sous l'influence des excitations cutanées les plus légères; dans ce cas , la pression ou la malaxation des masses musculai
et avec une égale intensité du courant. Or, toujours, dans ce dernier cas , le résultat a été négatif. Réveillée, la malade
one cependant reste muet au moment des interruptions. Dans tous les cas , la patte galvanoscopique de la grenouille a donn
st autre chose que ce qu'on appelle vulgairement l'habitude. Dans les cas peu développés, les débuts et en quelque sorte la
ent et avec des caractères encore plus expressifs. Il semble, dans ce cas , que l'impression partie des muscles contractés d
Ch. Richet ont déjà appelé l'attention (1). Nous avons vu, dans un cas , la diathèse de contracture s'étendre jusqu'aux m
aître peu à peu. Il faut dire cependant que, dans la généralité des cas , la diathèse de contracture ne présente pas ce de
mme à l'état d'ébauche. Toutefois, nous ajouterons que, dans certains cas exceptionnels, il existait peu de différence entr
se somnambulique de l'hypnotisme. Nous avons pu observer récemment un cas des plus remarquables de ce genre. Il s'agissait
la situation communiquée un temps plus ou moins long (27 min. dans un cas de Westphall), puis il revient à sa posi- 1 En
t s'expliquer ainsi : La contracture étant toujours réflexe dans ce cas , l'excitation centripète qui doit la produire gag
quelques recherches que la contraction paradoxale— du moins dans les cas que nous avons observés, et qui tous se rapportai
ucune intervention chirurgicale. Le traitement mis en œuvre dans ce cas est devenu fort à la mode dans ces derniers temps
t de la Revue de l'hypnotisme, avril-mai 1887. plus intéressants du cas dont il s'agit, je crois nécessaire de vous remet
tisme est praticable, un résultat beaucoup plus certain. Justement le cas qui va nous occuper tout â l'heure a été guéri de
it est que la guérison tôt ou tard a lieu dans l'immense majorité des cas , à l'improviste, alors que le médecin abandonne l
lieu et ont lieu le plus souvent. Il ne faut pas oublier cependant le cas dont nous avions parlé dans la dernière leçon et
rs et extenseurs du poignet, des doigts, etc., et même, dans certains cas , vous aurez une généralisation dans tout le corps
e d'une région spinale, une corne antérieure ou les deux, suivant les cas , on comprend la participation nécessaire des anta
, l'excitabilité réflexe spinale ; cela se voit, par exemple, dans le cas de dégénération secondaire du faisceau pyramidal,
isceau pyramidal, à la suite de certaines lésions en foyer. En pareil cas , par suite de l'exaltation de l'excitabilité des
de la moindre excitation périphérique dans l'hystérie, comme dans le cas de lésion organique, et plus encore dans la premi
dération des phénomènes concomitants et des diverses circonstances du cas , les seuls caractères diagnostiques sont, en effe
L'intensité même de la contracture, rarement aussi prononcée dans les cas organiques ; — 2° Sa permanence, même la nuit ; —
, le plus souvent sous l'influence d'une émotion, tandis que, dans le cas organique, c'est souvent indélébile. En quoi co
s apparaissent. Nous voici en mesure, maintenant, de tirer parti du cas que nous avons sous les yeux, qui est relatif, ai
vons sous les yeux, qui est relatif, ainsi que je vous l'ai dit, à un cas de contracture hystérique spasmodigue, sous forme
ut, une nouveauté, et l'on a cité dans ces derniers temps, nombre cle cas où des accidents hystériques variés, qui avaient
sset (de Montpellier) citait, dans la Semaine médicale (mai 1886), un cas de ce genre relatif, lui aussi, à une contracture
de vingt ans, en deux séances d'hypnotisme, la guérison complète d'un cas de mutisme ner-xreux remontant à huit mois. Dan
mplète d'un cas de mutisme ner-xreux remontant à huit mois. Dans le cas de M. Grasset, il fallut, comme dans le nôtre, s'
suffisent pour faire disparaître la contracture. Vous voyez par le cas de Ch..., que l'hypnotisme peut être véritablemen
éciser les indications et les contre-indications. Oui, s'il y a des cas où l'on puisse agir, il en est d'autres où il con
n puisse agir, il en est d'autres où il convient de s'abstenir et des cas mêmes où les pratiques d'hypnotisme sont nuisible
semblablement le petit hypnotisme qu'ils ob tenaient ainsi. En tout cas , ils réussirent à faire commettre au petit Bla...
ui durèrent plusieurs heures et qui se renouvelèrent par la suite. Un cas du même genre est cité par M. Mersali dans les Ar
me faible a sur les organes des sens une action tout autre et en tout cas beaucoup plus énergique que la décharge sous form
ployons cependant, mais dans certaines affections afoniques, certains cas de rhumatisme chroniques par exemple. La machin
nner devant vous ; elle nous a paru s'adapter au plus grand nombre de cas ressortissant aux affections du système nerveux q
boule : plus grosse est la boule, plus forte est l'étincelle. Dans ce cas , le patient éprouve une sorte de piqûre assez dou
pos, je citerai un fait qui peut avoir son importance : dans certains cas de paralysie spinale où des muscles ne répondaien
s avant demain que la liberté des mouvements sera rétablie. Dans ce cas , le traitement consiste à provoquer le plus fréqu
s détails une uniformité des plus frappantes. 11 existe cependant des cas 1. C'est là le phénomène dit des oscillations c
ppui de ma proposition : je me bornerai à quelques exemples. Certains cas de paralysie faciale périphérique sont, vous le s
ie elle-même est favorablement influencée. Malheureusement, en pareil cas , l'amendement n'est que temporaire, il ne saurait
les yeux, les phénomènes hynoptiques pouvaient affecter dans certains cas un groupement spécial en trois états distincts. N
n à présenter les phénomènes du grand hypnotisme ; mais, même dans ce cas , les caractères énumérés plus haut ne sont pas to
un mot, les sujets se perfectionnent avec l'exercice. Dans d'autres cas , le grand état ne se constitue dans ses trois éta
, la période qui nous paraît manquer le plus souvent. — Dans d'autres cas , les trois périodes se confondent, et alors, tant
'observent, sinon exclusivement, du moins dans l'immense majorité des cas , chez des hystériques. Ces diverses formes du p
étés tellement frustes, qu'on peut se demander, en présence de chaque cas , s'il s'agit du sommeil hypnotique, du sommeil na
tre considérés comme des formes effacées de l'attaque hystérique. Ces cas correspondent aux variétés les plus frustes de l'
re aucune illusion à cet égard ; nous ne possédons vraiment en pareil cas , aucune des garanties réclamées par un observateu
e aujourd'hui une vérité incontestable, on peut du moins, dans chaque cas isolé, se demander si un sujet déterminé est réel
physiques, chez les grandes hystériques hypnotisables. Puisque les cas de grand hypnotisme observés à la Salpê trière
ypnotisme observés à la Salpê trière sont, suivant M. Bernheim, des cas artificiels, on peut se demander, fait remarquer
eim ne se donne pas le plaisir cle créer artificiellement à Nancy des cas semblables. MM. Binet et Féré ont insisté sur l
argique chez un sujet hyperexci table ; la suggestion ne fait dans ce cas que renouveler, sous forme d'images, le souvenir
la suggestion. A cela nous répondrons d'abord que ce n'est là en tout cas qu'une hypothèse. Nous ferons remarquer d'autre p
le précédent, mais on le constate néanmoins dans un certain nombre de cas , et il a évidemment une valeur capitale. Il est c
e sont présentés naturellement à son observation. Depuis, de nouveaux cas analogues ont pu être observés et on s'est placé
dès la première tentative d'hypnotisation, mais que dans beaucoup de cas , au début, les caractères somatiques ne sont pas
és cataleptiques ont persisté chez elle. N'est-il pas évident dans ce cas qu'une excitation sensorielle a produit ce que la
e domaine de la science. En compagnie du Dr Vizzioli, j'ai observé un cas classique de grand hypnotisme chez une jeune fill
là l'hystérie locale ou monosymptomatiquc. Il est de règle en pareil cas , de rechercher dans les antécédents personnels du
équente chez l'homme ? Il s'ensuit que M. Bernheim a pu dans bien des cas , considérer comme individus normaux des hystériqu
urnir, on arrivera à démontrer dans presque tous, sinon dans tous les cas , que les hypnotiques dont nous parlons sont entac
......... 95 X. Sur les néo-membranes de la dure-mère à propos d'un cas d'hé- morrhagie intra-méningée.................
ie cérébrale récente, p. 73; — examen microscopique de r — , p. 75; — cas d' — des deux fesses, p. 80; — cas d'hémiplégie s
en microscopique de r — , p. 75; — cas d' — des deux fesses, p. 80; — cas d'hémiplégie sans eschare, p. 82; — signe d'une m
tes, p. 26: — observations de foyers anciens sans — récente, p. 48; — cas anciens d' —, p. 65, — alliérome des artères céré
88 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ECINE, 23 1804 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET I Nous avons eu
MANTE DE PAGET I Nous avons eu récemment l'occasion d'observer un cas de cette singez lière affection que Paget, xi)
t. Arcli. gén. de médecine, janvier 1890. p. 32. (3) P. Marie, Un cas d'ostéite déformante de Paget. Soc, méd. des Adp.
ue nous nous efforcerons de donner aussi complète que possible d'un cas d'ostéite déformante peut encore offrir quelque
éite déformante peut encore offrir quelque intérêt, d'autant que le cas que nous avons observé offre certaines particul
qu'il distingue nettement de ses migrai- nes habituelles. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 3 Les déformation
trique ; les arcades sourcil- liéres sont très saillantes. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 5 La circonférenc
même taille, offre des dimen- sions sensiblement normales, SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 7 Membre inférieu
normal. Nous donnons ici leurs mensurations comparatives : - SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 9 Clavicule droit
e la maladie de Paget mon- trera mieux les différences . - SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 11 III Revenons
ues mots sur la précédente observation. Il n'est pas douteux que le cas que nous avons observé appartienne à l'ostéite dé
r, a bien voulu nous communiquer une photographie de sa (1) Fig. 1, cas personnel. Fig. 2, cas de P. Marie. - Fig. 3-4, d
mmuniquer une photographie de sa (1) Fig. 1, cas personnel. Fig. 2, cas de P. Marie. - Fig. 3-4, d'après Lunn (Illus- t
tacarpiens atteints d'ostéite de Paget. Fig. 3. Fie. 4.. SUR UN CAS D OSTEITE DEFORMANTE DE PAGET 13 au point de
ELAhI : , médecin des hôpitaux. interne des hôpitaux. NOTE SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET (1) Homme de 64 a
IE DE LA S A LPÊTR I È R É. Encéphale. 1290 gr., rien à noter. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET (1) . 1 h'I. Eu
' OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET Déformation des jambes et faciès. ( Cas de Thibierge.) L. BATTAILLE ET Ci. UN CAS D'O
des jambes et faciès. (Cas de Thibierge.) L. BATTAILLE ET Ci. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 49 malade semble
uelette. NOUVELLE Iconographie de la SALPBTRILRE £ T. VII, PL Il. Cas de 'l-1. Marie. Cas de A. Robin. OSTÉITE DÉFO
onographie de la SALPBTRILRE £ T. VII, PL Il. Cas de 'l-1. Marie. Cas de A. Robin. OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET (Hab
E DE PAGET (Habitus gênerai). L. BATTAILLE ET Ci, ÉDITEURS UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 21 Enfin il est à
A. Fournie)-). Déformation du Tibia dans la Maladie de Paget. ( Cas de A. Robin). Fémurs, Tibias et péronés dans la
e A. Robin). Fémurs, Tibias et péronés dans la Maladie de Paget. ( Cas de A. Robin). OSTÉITE déformante DE PAGET L.
gauche par l'excita- tion de l'un des deux yeux. Pour expliquer ce cas , nous devons dire que la suggestion s'effectuai
, survient promp- temen t. 2. L'explication reste la même pour le cas où il y a la surdité (suggérée) gauche, ou 3.
faites pour les suggestions hétéronymes optiques. Dans les derniers cas , l'excitation réelle du campimèlre est remplacée
e la maladie. Elle s'est tout au plus bornée à représenter quelques cas de dif- formité. Si l'on a pu faire celle remar
confondue avec la chorée vulgaire, doit être rangée, dans certains cas , parmi les manifestations de la grande hystérie
d'humble adoration, tantôt un symbole de crucifiement, et, dans ce cas , la raideur cataleptique est quelquefois notée.
interprétation vrai- semblable. C'est, il faut le reconnaître, le cas le plus fréquent. Et quelque nom- breuses que s
ans diminuer l'importance des mus- cles fessiers qui, dans certains cas , comme dans la flexion du torse en avant, ont i
tte articulation (quadriceps) pour empêcher la flexion qui, dans ce cas , serait inévitablement causée par l'action seule
ercices de dislocation, elle était réduite à 2 centimètres. Dans ce cas le profil de la station droite prenait un aspec
de l'autre insertion c'est-à-dire du talon. Remarquons que, dans ce cas , la ligne de gravité du corps peut passer indis
, nous sommes en présence d'un levier du 3° genre. Or dans les deux cas , le soulèvement sur la pointe du pied peut égalem
arsienne, le rôle actif du astrocnén ien est le mèn7e dans les deux cas . L'autre membre inférieur est fléchi dans toutes
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. naissance. Dans ce dernier cas , la saillie de la hanche augmente, ainsi que l'
emble est comme déjeté du côté de la jambe fléchie. Dans le premier cas , au contraire, le haut du torse est plus d'aplo
léchie ne modifiera que bien peu l'altitude générale. Dans certains cas , on pourra donc retrouver dans la station sur un
cle sustentation et l'équilibre est plus assuré. Dans le premier cas , c'est-à-dire lors- que le corps est droit, les
ses parties du corps, elles sont évidemment les mêmes dans les deux cas , et je n'ai pas à y revenir ici. Un point intér
n genou et en s'y accro- chant par les mains. Je ne parle pas des cas dans lesquels la chute en arrière est empêchée
fibres d'origine de la racine inférieure du tha- lamus (Thl). UN CAS DE PACIlYMÉNINGlTE CERVICALE SYPHILITIQUE AVEC
nté). Un frère encore vivant et bien portant qui est officier. UN CAS DE PACIIYMÉNINGITE CERVICALE SYPHILITIQUE 105 A
ment dans la partie antérieure de l'avant-bras. La main est dans UN CAS DE PACHYMÉNINGITE CERVICALE SYPHILITIQUE 107 l'
gue et ami le Dr Huet. Faradisation (appareil Dubois Raymond). UN CAS DE PACIIYIItÉNiNGI'Cl; CERVICALE SYPHILITIQUE 109
E SYPHILITIQUE 109 110 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE UN CAS DE PACHYMÉNINGITE CERVICALE SYPHILITIQUE 111 Da
chnitis et lepto- myélite consécutives que l'on rencontre en pareil cas (2). Dans l'observation précédente, la moelle n
blié cependant (Archiv. gén. de médecine, 1S7G, vol. 2, p. 5-i4) un cas de pachyméningite cervicale hypertrophique où les
de dégénérescence. - II. LAMr, Ancien interne des hôpitaux. UN CAS D'HÉMIPAHAPLÉGIE SPINALE AVEC ANESTHÉSIE CROISÉ
not (4), Berger (5), Mackenzie (G), Catuffe (7), Armstrong (8), et le cas de Gilles de la Tourelle (9), relatif à une mal
) Th. de LAMY 1893, obs. IV, p. 62. Vov. aussi. - GALLAIU>, sur un cas d'affection rare de la moelle d'origine syphili
Delltch. Arcla. f. Klin. Med., p. 169, 4S7î (48 observations plus 2 cas inédits répondant au syndrome de Brown-Séquard.KE
s 2 cas inédits répondant au syndrome de Brown-Séquard.KETTLEEt, un cas d'hémiparaplégie complètement guéri au bout d'un
U CORPS DANS LA STATION DROITE L. BATTAILLE ET C" Éditeurs UN CAS d'hÉMIPARAPLE GIE SPINALE 115 Le pied est extrê
-elle, facilement échapper ses matières, qu'elle ne peut retenir en cas de diarrhée. Les réflexes rotuliens sont exagér
s médicaments de produire tous les ma- laises qu'elle ressent. UN CAS D'fll : ilt'ARAPLEGIC aPIN.IL 117 Les symptômes
es ser- viteurs de monsieur Du Mais » et conseille même, dans les cas de ce genre, « de faire trépanation, plustôt que
it dans toutes les fractures du crâne, rend du reste, même dans les cas les plus simples, le pronostic fort incertain ; «
ertaine cohésion. Outre les observations inédites très complètes de cas récemment étudiés en France ou à l'étranger, no
ce capitale. Indépendamment des consta- tations qui intéressent les cas au sujet desquels ils ont été faits, ils pourront
la flexion de la tète en avant. Le fait est manifeste dans certains cas et on peut le constater chez notre malade (pl.
fléchir le pied sur,la jambe ; à peine peut-on, dans la majorité des cas , ar- river jusqu'à l'angle droit. Dans certaine
opathique une véritable caricature de la stalion nor- male. Dans ce cas la longueur II h est augmentée. La raison de ce
fort légère (Fig. 46, D, G). Elle varie avec les individus, en tout cas on n'observe jamais d'élévation ainsi que le ve
u'au dandinement, etc. Je n'insiste pas. Avant d'aborder l'étude du cas pathologique en question, je dois main- tenant
om consacré à cette maladie sont les premiers à reconnaître que les cas observés par eux se rapportent à une seule et m
: « En vérité, il m'est survenu souvent des doutes au sujet de ces cas pour décider s'ils appartenaient il la paralysi
t, on peut ranger dans le groupe des pseudo- hypertrophies tous les cas où la maladie a commencé dès la plus tendre enf
u fausse hypertrophie, il peut subsister des doutes à ce sujet. Ces cas forment cependant la plus grosse partie du gran
- sations ne sont sans aucun doute pas plus considérables entre les cas de pseudo-hypertrophie et d'atrophie juvénile q
pseudo-hypertrophie et d'atrophie juvénile qu'entre les différents cas d'atrophie juvénile ou de pseudo-hypertrophie »
a série des symptômes cliniques essentiels ». Il en est de même des cas d'atrophie musculaire dite infantile, c'est-à-
de, mollet). Quelque temps après, M. G. Guinon faisait connaître un cas analogue et comparant dans un très intéressant
ément faite d'une façon certaine, au point de vue clinique, dans le cas de M. Brissaud et dans le mien. Et par là se trou
a 1nuscul. ]JI'o[Jl'essiva. Th. Berlin, 1892. (2) G. Guinon. Deux cas de myopathie progressive (type Landouzy-Déjerine)
nt dans le cadre des myopathies primitives progressives. ^ Mais son cas `ne correspond^ exactement à aucune- des formes qu
ypertrophique sans pseudo-hypertrophie). ? " Werding a publié des cas analogues qu'il rattache lui aussi aux myopa- t
d'admettre une double origine (myélopathie et myopathie) à, certains cas d'amyotrophie héréditaire. Pour lui, les muscle
ropliie'd'oi.i"illE, nerveuse,' il devient impossible dans certains cas de formuler un diagnostic en rapport avec les -
147 deux grandes divisions admises pour les amyotrophies. Mais les cas de ce genre sont encore trop peu nombreux pour
es (fesses, cuisses). Ces bourrelets adipeux peuvent, sui- vant les cas , ou bien donner l'impression d'une hypertrophie v
fa- mille de différentes tares névropathiques et d'amyotrophies. Le cas de Pauline L. obéit encore il cette loi. Une
MEN DE L'EXCITABILITE ÉLECTRIQUE DES NERFS ET DES MUSCLES DANS UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE Les examens
aux résultats obtenus jusqu'à ce jour dans la presque, totalité des cas de myopathie primitive, cet examen a fait reconna
malades dans la station debout. L BATTAILLE ET Cil Éditeurs UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE AVEC ATTITUD
la défor- mation qui constitue le côté véritablement' curieux de ce cas . D'autre part, l'observation de cet homme renfe
roit que du coté gauche, car la paralysie atrophique semble plus UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 173 marquée
sont très amaigries. Les jambes et les pieds semblent respectés. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 175 A la fac
phié : C. m. à 40 ? ; C. encore faible à 30"n" des deux côtés. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE E 177 DELTOI
t d'autant plus fortes que la lettre est plus de fois répétée. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 179 Partie p
FC). Jumeau interne : 3 m. A. Ire NFC' ; 4 m. A. NFCC>PFC". UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE E 181 Fléchi
retrouve la même variété, beaucoup moins accusée cependant, dans un cas de MM. Landouzy et Déjerine (1), et dans l'obse
uzy et Déjerine (1), et dans l'observation de M. Savill. Dans notre cas , les attitudes vicieuses sont tellement extravaga
r de la station assise à la sta- tion debout, figurées Pl. XX. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 183 tête et
a Clinique des maladies du système nerveux. Fig. 51 Fig. 52. UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE. ACCOMPAGNÉE DE RÉACTIO
r son im- portance. C'est ce qui m'engage à publier pour mémoire le cas suivant que j'ai observé pendant quatre ans et
i observé pendant quatre ans et demie. Au point de vue clinique, ce cas correspond à la « forme infantile de paralysie
ent admises à ce sujet je crois pou- voir donner avant d'exposer le cas en question une classification qui résume les d
ser le cas en question une classification qui résume les différents cas d'amyotrophies qu'il m'a été donné d'observer. j
inique qui se pré- sente il l'esprit est la suivante : . . 1° Les cas où les muscles présentent des réactions électriqu
04R L6 LA SALPLIRILR4 7· 'II, Pp II 11 ' \ MYOPATHIE PRIMITIVE ( Cas de Savill.) L. BATTAILLE ET C" Éditeurs NOU
ONOCR. DL LA SALPL.T(tILRL T. VII, PL. XXIII MYOPATHIE PRIMITIVE ( Cas de Savill.) L. BATTAILLE ET C" Éditeurs UN
HIE PRIMITIVE (Cas de Savill.) L. BATTAILLE ET C" Éditeurs UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE 185 A. Les amyotrophies
spinale atrophique aiguë, Paralysie essentielle des enfants, Ces cas s'observent chez les enfants, leur début est brus
s. C'est dans ce groupe qu'on peut à divers titres faire rentrer le cas sui- vant, bien qu'à ma connaissance il soit le
t très grande pour tous les muscles. L. HATTA1LLE ET c11 ? w ? UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE 187 musculaires ou des
e la tète et du cou. - Ensellure. L BATTAILLE ET C" Éditeurs UN CAS D ? i)IYOTROP[Ilr PRIMITIVE '[g9 nale, on remar
t K..C.C correspondent à la notation française P.F.C et N.F.C. UN CAS D'AMYOTHOPUIE PRIMITIVE 191 Une autre particula
s per- sonnes, et suivant les differentes parties du corps. Dans le cas présent, étant donné que, des deux côtés, presq
ans la station debout (profil). L. BATTAILLE ET CI. ÉDITEURS UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE 193 ment; aujourd'hui e
rver le tremblement fibrillaire décrit par Du- chenne dans quelques cas d'amyotrophies. Mais la malade a toujours eu, s
ntation de la contractilité galvanique en un ou deux endroits. UN CAS D'.1\ITO'l'ROPfllr PRIMITIVE 195 7° L'lryjrere.
derniers symptô- mes sont de nature il nous empêcher de classer ce cas dans le groupe des « amyotrophies infantiles pr
la station debout (face et dos). L BATTAILLE ET Ci. Éditeurs UN CAS D'111TOTROPIIIG PRIMITIVE 197 Nous voyons la my
onnexions homologues, comme ici les exten- seurs, ou, dans d'autres cas , affecter une disposition qui a fait créer, sui-
étant dans un certains sens héréditaires (1). Bien plus, voici un cas qui revêt l'aspect clinique de ceux qu'on range
deux par une lésion des nerfs ou de la moelle ? La lésion dans le cas des myopathies dites primitives, surviendrait dès
er inaperçu de l'observateur le plus consciencieux. D'ailleurs, des cas d'amyotrophie du type Duchenne et de myopathie
le (2). Il faut bien admettre la parenté de ces affections ; et les cas de paralysie pseudo-hypertrophi- que où l'on a
é des modifications électriques ne sont pas inconnus (3). Enfin, le cas présent que j'ai l'honneur de soumettre a la crit
ses études sur la physio- nomie humaine qu'il compare dans certains cas à celle des animaux. Il fit sur ce sujet le 27
on en ohserve dans certaines amyotrophies primitives; car dans ces cas , c'est surtout l'extension exagérée du pied que p
lkmanns Klin. Vortrage, n° 171. Pierbetet TnoISIER. - Note sur deux cas d'atroph. musc, progr., Arch. de Phys., 1875.
ESTPHAL. merlin. Klin. Wochenschr., 1885. Gênas ET DOUILLET. - Deux cas de myopathie atrophique, type Lazdouy-Déje- rin
- Deux cas de myopathie atrophique, type Lazdouy-Déje- rine, et un cas d'atrophie musculaire, type Aran Duchenne, dans l
tish Med. As- soc Meeting; Lancet, Aug. 12. 1893. G. GutNON. Deux cas de myopathie primitive (type Landouzy-Déjerine) a
schr. für Nervenheilk, 1893, p. 471. CRISAFULLL ET LUZZATO, Trois cas de dystrophie musc1tl. progr. a type familial.
linica medica, 1893. Burrtrrc. Atrophie muscul. neu¡'opath. dans un cas de chorée chronique pro- gress. Atti della soci
s. Atti della societa medico. chirurg. Bologna, 1893. ToMMASELu. Un cas d'atrophie musc, juvénile (type d'Brb.) Riforma m
z. Patholog. Anatomie, 1893, t. XIII, fasc. 1, p. 1. RANIERI. - Un cas de pseudo-hypertrophie muscul., Reforma medica, 1
, Assoc. et Sem. méd. 1893,, ne 51, p. 405. DONALD FRASER. - Deux cas d'atroph. musc, d'origine traumatique. Glascow. m
rophique progressive, Thèse Paris, 1893. PRAUTOIS ET ETierrnE. - Un cas de myopathie progressive primitive. Rev. de méde-
RVEUSES ET TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ (2). Messieurs, Plusieurs cas d'arlliropalhies d'origine nerveuse qui se trouve
a- raissent dans les arlhropalhies il développement rapide. Eu tout cas , le tabétique voit son épaule se déformer ou so
d'une simple névrose. D'abord on contesta l'authenticité même des cas signalés par Cllarcot. Les Anglais cependant, e
ne décrit que ce qui peut se voir..... Sans doute, dans certains cas , celle thèse est soutenable. Mais ce n'est pas
certains cas, celle thèse est soutenable. Mais ce n'est pas dans le cas du tabès. Si vous tentiez l'exégèse des cas de
ce n'est pas dans le cas du tabès. Si vous tentiez l'exégèse des cas de tabès observés avant Duchenne, vous n'y réus
capacité fonctionnelle; et celle-ci peut être absolue. Tel était le cas chez la « Vénus ataxique » dont les débris info
de ceux-là n'est pas constante et invariablement égale. 11 est des cas dans lesquels les troubles moteurs font presque
urnir de précieux renseignements sur la nature et l'évolu- tion des cas vulgaires. Pour vous convaincre de l'existence
ire. 11 me semble hors de doute que la dégénéralion envahit dans un cas des systèmes do fibres qu'elle épargne dans l'a
eu- vième leçon de Pierre Marie (1) (Fig. 59). Il s'agit dans noire cas d'un homme de quarante-six ans, atteint de syph
uve des modi- fications irritatives absolument inverses suivant les cas . Les résultats étant diamétralement opposés, no
n donnent des preuves nombreuses. Mais, je serais sur- pris que les cas de ! nlws moteur ou presque exclusivement moteur
ricain M. James Ilendrie Lloyd rapporte, dans un récent travail, un cas d'arlhro- pathie survenue chez un malade attein
IES TABÉTIQUES DES DEUX GENOUX L BATTAILLE ET C" Éditeurs TROIS CAS D'ARTIIIOP : 1THIE TABÉTIQUE BILATÉRALE ET SYMÉ
RALE ET SYMÉTRIQUE Les trois observations suivantes ont trait à des cas cl'arLhropathie tabéti- que bilatérale (l). La
sont relativement rares. Max FlaloAv (2), en 1888, a pu réunir 449 cas d'arthropathies dont 41 bilaté- rales. Dans cel
ES TABETIQUES DES DEUX GENOUX L BATTAILLE ET Ci, Éditeurs TROIS CAS d'aRTHROPATIITE TABÉTIQUE 223 mosc n'avait rien
1) Cette malade avait fait l'objet d'une leçon de M. Charcot. TROIS CAS Il'ARTn110PATUlB TABÉTIQUE 225 nel. C'était une
ES TABÉTIQUES DES DEUX EPAULES L BATTAILLE ET C" ÉCITFURS TROIS CAS D'A TI T il TI 0 P .\ 'r III F. : TA B B T 1 QUE
TIQUES DES MEMBRES INFERIEURS L BATTA1LLE ET C1' Éditeurs TROIS CAS d'ARTHROPATHIE TABÉTIQUE 22 ! ) Antécédents per
avec ses béquilles, c'est elle seule qui soutient l'elfort. TROIS CAS D'ARTIIIIOPATIIILE TABfbTIQUE 231 Nous avons su
es dé- formations, ainsi que le montrent les photographies, que nos cas présen- tent un certain intérêt. Dans l'obser
oire sur l'anatomie pathologique de la lèpre anesthésique donne ces cas comme exemples de syringomyélie dans la lèpre,
uve de l'existence de la lèpre n'était pas possible à faire dans le cas de Steudener daté de iS(iî, Hansen n'ayant déco
nsen n'ayant découvert le bacille de la lèpre qu'en 1871. Déplus le cas de Steudener ne pouvait pas être un cas de lèpre
lèpre qu'en 1871. Déplus le cas de Steudener ne pouvait pas être un cas de lèpre à cause de l'arthropa- thie (avec frac
u coude il s'agit d'une ossification péri-articulaire comme dans le cas d'Hoffmann (Fig. G2). - On pourrait encore aj
fmann (Fig. G2). - On pourrait encore ajoutera notre statistique un cas d'arthropalhie de l'articulation mé(acarpo-phal
tangiennes ne sont donc pas rares. Il en existait une aussi dans le cas de Strüm- pell, etc. Nous avons ajouté à la l
, pour le labès, un exemple d'arthro- pathie vertébrale. Or dans ce cas il ne s'agissait pas de scoliose. Le ma- lade,
cte de l'arthropathie. D'autre part, on n'a pas encore signalé de cas d'arthropathie véritable de la colonne vertébra
peut affecter les 2 côtés du corps chez le môme sujet comme dans un cas de Sol;olofl' et un autre de Nissen (poignet droi
s exemples de bilatéra- lité symétrique : mais ce sont là les seuls cas de ce genre. Quand les ar- thropathies sont mul
2 fois avant 20 ans, une fois à 17 ans et une fois à 9 ans. Dans le cas de Bernhardt il s'agit d'un jeune homme de 19 a
es jeunes sujets. . Epoque d'apparition. Ce n'est, dans beaucoup de cas , que long- temps après le début de I'arthropath
ow. Thès. de Berlin 1888, -il a ? 'tll1'opathies bilatérales sur 1 r9 cas , et P. Ma- rie, Maladies de la moelle. La bilat
Pavlidès, 1888, et Chauffard, Soc. médical. des hôpitaux, 1883. Sur 7 cas 4 fois les 2 pieds étaient pris. NOUV. ICONOC
de Nissen). Enfin ce peut être des douleurs fulgurantes, exemple le cas de J. M. Charcot et Dutil. Leur malade avait eu p
ignés. Mais ce qui est plus particulier c'est de voir dans certains cas la douleur se localiser, et en quelque sorte préd
ou léger. Quelquefois il est progressif. Enfin on a vu dans certains cas vraiment difficiles il interpréter l'article su
loff (1) Gessler; sur ses 2" et 30 observations. Il s'agit dans ces cas de trauma- tismes importants, comme la chute d'
mémoire), Karg (I) ont vu la suppuration d'emblée. Dans le premier cas , sans cause apparente, il survint avec des fris
ivées de cartilage. Il n'y avait pas eu de douleur contrairement au cas précédent. La suppuration de l'article avait été
de la formation d'une pustule sur le côté externe de la région. Ces cas en somme sont exceptionnels quoi qu'ils paraissen
de gêne au niveau de l'articulation; s'agissait du poignet dans le cas auquel nous faisons allusion. La tuméfaction es
t pour nécessiter une ponction chez bon nombre des malades. Dans le cas de Weil l'lydartlirose de l'épaule gauche formait
ertain temps, généralement quelques semaines, jusqu'à 2 ans dans le cas de Schlesinger, aec ou sans ponction, l'hydarthro
blement disloqué (Schlollcrgelcnk). On peut apprécier dans certains cas les déformations des épiphyses, surmontées d'exos
uses soit intr2-cap- sulaires, soit extra-capsulaires.Dans d'autres cas qui semblent plus rares, au lieu de lésions byp
t l'épaule droite fut prise un mois après le poignet droit. Dans un cas de Sokoloff il y eut 2 ans d'intervalle entre la
droit et la tuméfaction indolore du coude gauche. Dans le deuxième cas du même auteur il y eut plusieurs années aussi
arent l'atteinte du coude droite ! celle du coude gau- che. Dans le cas de Striimpell l'articulation tibio-tarsienne s'es
ue celle-ci, la première aussi peut être douloureuse. Dans quelques cas la douleur peut être le phénomène prédominant e
début traumatique les dou- leurs furent assez vives dans le premier cas de Sokoloff. Elles étaient insignifiantes dans
omme les précédents, avaient subi un traumatisme. Exemple encore du cas de Schlesinger. (A suivre) PAUL Londe et .I. PE
as de Schlesinger. (A suivre) PAUL Londe et .I. PEHREY vu 16 UN CAS DE BIDACTYLIE DE LA MAIN DROITE PAR AMPUTATION
s de Rouget (2), Dumas (3), Osmonl (4) et Lhomme (3). Dans certains cas , le mécanisme de l'anomalie est facile à retrouve
, Recherche sur les amput. cozgézil. Th. Paris, 7 décembre 1893. UN CAS bE l31bACTYLIE nr LA MAIN DROITE E 243 adultes,
pour l'avant- bras. Mensurations comparées des deux membres. UN CAS DE BIDACTYLIE DE LA MAIN DROITE 243 Le sein dro
femme. Reid donne la liste de ses men- surations dans chacun de ces cas et de plus deux figures, l'une reproduisant l'u
es, sauf une, ont été faites sur des adultes hommes. Même pour ce cas spécial, les résultats obtenus n'étant pas conc
aient-elles toujours, ce qui, nous Pavons dit, est loin d'è- tre le cas , du même point de la longueur de la moelle, que l
DE LA SALPÊTRIÈRE REVUE DES ARTHROPATHIES NERVEUSES (Suite.; UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE ATYPIQUE. Le syndrome soiaonay
n des types syringomyéliques et les difficultés du diagnostic. Le cas que nous allons relater se signale par sa localis
les autres symptômes passent au second plan. Il vient s'ajouter aux cas déjà connus d'arthropathies syringomyéliques et p
ropathie de l'épaule et scoliose. L BATTAILLE ET C" Éditeurs UN CAS DU S y R 1 N G 0 l Y ÉLI ATYPIQUE 267 10 kilogr
E Arthropathies et déformations des mains. L BATTAILLE ET C" UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE ATYPIQUE 2G9 ment diminuée du
alé la dissociation de la sensibilité dans l'hystérie; mais dans le cas actuel, il y a absence des troubles sensoriels,
de la sensibilité; toutefois plusieurs auteurs (2) ont signalé des cas de né- vrite périphérique où la dissociation de
cembre 1892. (3) VERIIOOGEX. Dissociation de la sensibilité dans un cas de lésions des nerfs du plexus brachial. Journa
e médecine el de chirurgie de Bl'1lxelles, 3 février 1891, no 5. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE ATYPIQUE 271 Mentionnons la lè
isation spéciale des troubles moteurs etc., l'ont défaut dans notre cas . Est-il bien nécessaire de discuter les maladie
r, le siège de la lésion est donc le ren- flement cervical. Notre cas se distingue par certaines particularités du type
ès IIallion, le côté atteint le premier et le plus fortement. Notre cas confirme en tout point cette assertion. La scolio
s la région lombaire que siège ordinairement la cour- bure dans les cas où la contracture est en cause. Nous avons vu,
tre, que le système musculaire en général est peu touché dans notre cas . D'autre part, le malade porte des traces nombr
l'on constate au niveau des doigts et des articulations du bras. Ce cas vient à l'appui de la théorie attri- buant à de
t- elle consciente ? Il est certain que dans l'immense majorité dos cas , les sensa- tions que nous éprouvons, même cell
i acca- blent l'addisonien ». Ne vous arrêtez pas, Messieurs, aux cas de cancer surrénal dont la sympto- matotogie ne
rotectrice. Le cancer, par contre, au moins dans un grand nombre de cas . n'est pas foncièrement destructif. L'histoire d'
itivo-sensorielles. Elle est consciente ou inconsciente suivant les cas . Si elle était consciente à tout moment, notre vi
; ein Beitrage zur Ncrvcnlrophik. Neurol. Cent·alG., 1892 ; et Sur un cas de lésion traumatique du trijumau et du facial
racture per- manente. Je crois qu'elles sont plus communes dans les cas de localisation corticale que dans ceux de loca
Non. Sans doute, le trajet de dégénération intéresse dans tous les cas le môme territoire médullaire : les mûmes régio
itifs il celle du repos prolongé ou de l'inaction relative dans les cas de grande incoordination. La disjonction que je
a pupille. \ Mais, ce sont là des complications ultimes et, en tout cas contingentes, dont on ne peut rendre responsabl
e superposition très remarquable et même très précise dans quelques cas de la localisation de l'arthropathie et de la loc
la règle quoique générale ne parait pas absolue. Dans le troisième cas de Graf on trouve notée la conservation de la s
tion périarticulaire. Celle-ci est aussi allribuable clans certains cas , pour les arthropalhies tabétiques du moins, aune
uements sont chose vulgaire. Ils peuvent constituer dans quel- ques cas l'unique symptôme de la lésion. Habituellement ac
difficile ou même impossible à main- tenir réduite. C'est dans ces cas qu'une thérapeutique appropriée peut rendre le
oit après la dispa- rition de l'épanchement articulaire. Dans des cas exceptionnels on a vu (Blasius) l'issue des os lu
uaient au coude sur une longueur de 5 il 10 centimètres. Dans le 2e cas de Nissen la tète de l'humérus était égale- men
ition insolite de la suppura- tion. La suppuration est notée dans 7 cas au moins [Steudener, Laughans, Czerny (cas 2),
uration est notée dans 7 cas au moins [Steudener, Laughans, Czerny ( cas 2), Karg (cas 1 et 2), Roth, Hoffmann, [le, mémoi
tée dans 7 cas au moins [Steudener, Laughans, Czerny (cas 2), Karg ( cas 1 et 2), Roth, Hoffmann, [le, mémoire]. Presque
ées d'emblée sans réaction comme Karg en cite un exemple. Dans ce cas le pus mêlé de sang se fit jour spontanément. La
bscurité. S'il s'agit d'une infection dont l'origine serait dans le cas de Karg la pustule (trouble trophique cutané),
réaction ni locale, ni générale ou d'une arthropathie avec nécrose ( cas de Roth) car la nécrose est une complication de
l'arthropathie suppurée, a été l'aile par Steudener. Mais dans les cas de suppuration on peut admettre que l'aspect de
émités osseuses, flottent, souvent nombreux, libres ou fixés (1) Ce cas appartient à l'Historique des Arthropathies syrin
hie tabétique (Pitres et 'aillard, Déjerine), on a décrit aussi des cas sans névrite pé- riphérique (teboul). La symétr
confirmée ou d'une affection non déterminée encore. Dans ce dernier cas c'est l'étude de t'arthropathie qui permettra par
écidive, etc. D'ailleurs il est permis d'admettre que dans certains cas une articulation traumatisée ne devient arthropat
dans l'historique plusieurs (1) MAIIINI;CO et Si : ou : us. Sur un cas de lésion traumatique du trijumeau et du facial.
re, 1891, ne, i et 5. 294 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE cas d'arthropathies syringomyéliques mises sur le com
et de la syringomyélie. Revue de médecine, 1891, p. 781 , (2) Un cas de syringomyélie causée par la lèpre. (Un caso de
ique, 1891, p. 301, n° 10. DES ARTHROPATHIES SYRINGOMYRLIQUES 295 cas de J. M. Charcot. Les arthropathies chez le sujet
si dans la meningomyctiLe syphilitique (1). Ce qui permit dans le cas de M. Charcot de faire le diagnostic c'est l'en
é signalées dans la syringomyélie. 13mhl les a notées 7 fois sur 3G cas . Elles n'en éveillent pas moins l'hypothèse pos
rappellerons que d'après la statisti- que de Barré qui porte sur 56 cas , de tabès dorsalis : NOUV. ICONOGR. DE LA SALPf
L. BATTAILLE ET C" DES ARTHROPATHIES SYRINGOMYÉLIQUES S 297 tre cas les deux fémurs, les avant-bras, la colonne verté
e dans les exceptions nous trouvons des ressemblances. Ainsi, sur 4 cas d'arthropathies tahéti- tiques, dit M. Quénu (1
1875, le 28 mai disait à la Société anatomique qu'il connaissait 3 cas de suppu- ration sur 50 observations, il propos
nnaissait 3 cas de suppu- ration sur 50 observations, il propos des cas de Bourcoret. Dans le tabès la suppuration se m
aduellement. Le traumatisme y est moins souvent noté (9 fois sur 88 cas ,' Comité de Lon- dres). Enfin au point de vue
distinguer, celui qui par exemple a eu le plus d'importance dans le cas de J. M. Char- cot, serait la dissociation loca
t dans le précédent. Je préfère donc limiter mon étude clinique aux cas où l'articulation trophique acquiert une occasi
ition, l'autre de cette aggravation post-traumatique; dans les deux cas il s'agissait d'arthropa- thies tabétiques. L
une arthropathie tropho-infectiense. Alors, au moins dans quelques cas , l'infection surajoutée à l'élément trophique n
e aiguë relève certainement de microbes très différents suivant les cas , mais, à ce point de vue, les documents précis ma
de vue, les documents précis manquent; disons toutefois que dans un cas décrit par Mossé : arthropathie tabétique du co
dur et blanc, très étendu : symptômes qui n'existaient pas dans le cas de Mossé. Notons du reste que l'infection artic
ion des bourses séreuses environnant l'articulation trophique : les cas de Bail et de Jean sont des exemples de cette var
tropho-suppurée aiguë devenue fistuleuse : il en fut ainsi dans un cas de Roth où l'arthropathie siégeant au coude gau-
ou des extrémités osseuses ainsi que nous l'avons constaté dans un cas où l'arthropathie siégeait à l'articulation mét
valgus ou sur le dos d'un orteil ennarteau-(Fig. 85). Dans quelques cas exceptionnels seulement, il faut considérer la
é avec l'ulcération, (1) Une fois sur deux du reste (18 fois sur 31 cas réunis par nous), ces grandes arthro- pathies d
fréquemment je crois, indolore et progressif : il se fait, en tout cas , quel- ques jours ou quelques semaines après l'
t bien probablement tous les deux de la lésion médullaire : en tout cas rien autre, dans l'état de la malade ne permett
ez un paraplé- gique par fractures, nous croyons indiscutables : le cas de Joffroy et Salmon, où à la suite d'hémisecti
s molles avec épanchement assez abondant dans l'ar- ticulation ; le cas d'Alexandrini où une fracture de la colonne cervi
sanguins dans toutes les articulations du côté droit paralysé ; les cas de Vignes (hémisection gauche de la moelle par co
c début lent, indolore : l'hydarthrose n'est souvent dans ce second cas que la conséquence articu- laire de l'oedème du
er dans le tableau clinique. Notons enfin après ces observations un cas exceptionnel de W. Milchell, ou à la suite de p
i serait l'idéal n'est de mise que dans un nombre fort restreint de cas . Dans les lamnectomies pour fractu- (1) Nous la
es trophiques pures n'exigent du reste, dans l'immense majorité des cas , qu'un traite- ment non sanglant : les palliati
ements articulaires longtemps répétés seront nécessaires : dans ces cas la marche et l'im- portance de l'amélioration à
uivie d'un lavage articulaire an- tiseptique, est tout indiquée. En cas de récidive, on peut la répéter, ou si le liqui
, «'0111' dans une arthropathie tabétique du genou, Mailler dans un cas analogue ont obtenu des résultats très satisfaisa
s, au moins pendant les G mois où nous l'avons suivi. 3° Dans les cas de ce genre on serait peut être autorisé il joind
tablement après l'opé- ration. - Plus souvent, on a tenté, dans les cas dé ce genre, la résec- tion simple, destinée à
oique pro- visoirement, sur des genoux tabétiques; M. Quenu dans un cas , et nous- même dans cinq, ont obtenu de bons ré
seule et invinciblement le malade au lit : il en était ainsi dans le cas de M. Nelaton, qui amputa la cuisse pour une ar
amputa la cuisse pour une arthropathie tabétique du genou, dans le cas de M. Marchand qui amputa la jambe pour un pied
de M. Marchand qui amputa la jambe pour un pied tabétique, dans un cas analogue que nous avons publié avec notre maîtr
En effet,si celle-ci siège sur une grande articulation, comme dans le cas de Blasius où, chez une syringomyélique, l'extr
st simple, elle ne relève du chirurgien que dans un petit nombre de cas , et cela dans un but orthopédique, non curatif
us reste à chercher si le terrain sur lequel on opère dans tous ces cas terrain modifié parla lésion nerveuse médullair
te par Nélaton-Reboul. En outre, s'il s'a- git, comme dans les deux cas précédents, d'amputation, on devra tailler les
de petits abcès successifs au niveau de la ligne opératoire dans les cas de Wolff, de Sokoloff et de Kirmisson : dans ce
t, non sans vraisemblance, supposer qu'il s'agissait ta d'un de ces cas d'SHO/'e.'r qui ne sont pas rares chez les hystér
rs anorexiques hystériques n'ont pas perdu l'appétit. Dans tous les cas , qu'ils l'aient perdu ou non, c'est à la suite
il indique un de ses élèves. Fort heureusement le D'' P... juge le cas inopérable et dé- sespéré, en déclarant qu'il f
e tout, chez elle, est d'origine hystérique. Du reste, l'étude du cas , au point de vue psychologique, est bien pro- p
sont malheureusement trop fréquents. Fort heureusement, dans notre cas , le dépérissement n'a pas dépassé les limites per
u- lant les notions d'attitudes segmentaires du reste du corps. Les cas de Dana et d'Allen Slarr (2) nous semblent conf
spiratoire, et d'accommodation oculomotrice. Pierre BONNIER. DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER Charcot, en 1891, a propos
e sous le nom de paralysies alternes supérieures, et, à pro- pos du cas caractéristique de Luton, avait déterminé le sièg
NOUV, ICONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE T Vif. PL. XLIII & XLIV DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER L. BATTAILLE ET C" DEUX
amp; XLIV DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER L. BATTAILLE ET C" DEUX cas DE syndrome DE WEBER 365 l'oeil droit et puis d
superficiel pour reconnaître là le syndrome de Weber typique et le cas vaut la peine d'être étudié en détail (pli. XLIV)
u malade on ne trouve pas de traces de la maladie actuelle au- DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER 367 delà du mois de novemb
,25. Pas d'anomalie de la réfraction. Acuité visuelle normale. DEUX CAS DE SYNDROME DE WEBER 369 Pas de lésions du fond
ans. Tels sont les détails de ces deux observations. Dans ces deux cas , il s'agit du syndrome typique de Weber. La lés
asie véritable, mais de l'a- narthrie ou de la dysarthrie. Or notre cas sérail en faveur de l'hypothèse de Raymond et A
la nature de la lésion, elle est peut-être identique dans les deux cas . Mais à cet égard nous ne pouvons faire que des s
erne des Hôpitaux, des maladies du système nerveux. NOTE SUR DEUX CAS DE TRAUMATISME RACHIDIEN AVEC INTERVENTION CHIR
is encore au point de vue opératoire, la technique employée dans ce cas étant absolument nouvelle. Observation I. Fract
dition chez les invertébrés. Rev. scient., déc. 1890. NOTE SUR DEUX CAS DE TRAUMATISME RACHIDIEN 373 postéro-latérale g
il peu près complète, avec anesthésie ano-rectale. Le NOTE SUR DEUX CAS DE TRAUMATISME RACHIDIEN 375 fonctionnement de
tion de t'hyperestliésie chez le malade de l'obs. Il« NOTE SUR DEUX CAS DE TRAUMATISME RACHID1EN 377 témoin la paraplég
ons, des accidents graves avec impotence complète : dans le premier cas , ils affec- taient le'type de paralysie médulla
asilaires ou névritiques, et peut- être même sans lésion organique ( cas de Wilks, Oppenheim, Eisenlohr, IIoppe, Senator
sibilité, par E. BI11SSAUD, 209, 273. Arthropathie tabétique (Trois cas d') bilaté- rale et symétrique, par A. Souques
8. Bandelette sous-optique, par E. Brissaud, 99. Bidactylie (Un cas de) de la main droite par amputation congénital
uses, par A. CHI- PAULT, 243. Ostéite déformante de Paget (Sur un cas d'), par Gilles DE la TOURETTE et MAGDE- lain
d'), par Gilles DE la TOURETTE et MAGDE- laine, 1. (Note sur un cas d'), par A. Robin, 15. (Un cas d') par H. Meuni
et MAGDE- laine, 1. (Note sur un cas d'), par A. Robin, 15. (Un cas d') par H. Meunier, 17, Pachyméningite cervical
d') par H. Meunier, 17, Pachyméningite cervicale syphilitique (Un cas de), par H. Lamy, 104. Paralysie glosso-labio-l
, 258. Station (De la), par P. Richer, 65 Syndrome de Weber (Deux cas de), par A. Souques et PAUL LONDE, 364. Syrin
e), par A. Souques et PAUL LONDE, 364. Syringomyélie atypique (Un cas de), par .1. TARGO\'LA, 266. Traumatisme rach
de), par .1. TARGO\'LA, 266. Traumatisme rachidien (Note sur deux cas de) avec intervention chirurgicale, par A. CH
r. Le nerf labyrinthique, 336. Charcot (J.-B.) et A. Souques. Trois cas d'arthropathies tabétiques, 221. CHIPAULT (A.
thies trophiques au point de vue chirurgical, 299. - Note surdeux cas de traumatisme rachi- dien avec intervention ch
n chirurgicale, 369. Gilles DE la TOURETTE et MAGDELAI1OE. Sur un cas d'ostéite déformante de Paget, 1. IIUET. Examen
mianesthésie croisée d'origine sy- philitique, 113. LANIY (H.) Un cas de pachyméningite cervi- cale syphilitique, 104
gite cervi- cale syphilitique, 104. ECLERC (H.) et H. Souques. Un cas de bi- dactylie de la main, par amputation con-
). Les amyotrophies dans l'art, 198. MEIGE (H.) et Paul LoNDE. Un cas de myopa- pathie primitive généralisée, 142,
T. SAVILL. Bibliographie des myopathies, 205. Meunier (Henri). Un cas d'ostéite déformante de Paget, 17. PERREY et
nry MEME. Les possédés de P. Bronzet, 258. ROBIN (A). Note sur un cas d'ostéite défor- mante de Paget, 15. SAVILL (
te sur un cas d'ostéite défor- mante de Paget, 15. SAVILL (T). Un cas d'amyotrophie primitive avec réactions électriq
es contrac- tures réflexes intra-hypnotiques, 22. Souques (A.) Un cas de myopathie primitive progressive avec attitud
uses ex- traordinaires, 171. Souques (A.) et J.-B. Charcot. Trois cas d'arthropathie tabétique, bilatérale et sy- m
, bilatérale et sy- métrique, 221. Souques (A.) et H. LECLERC. Un cas de bi- dactylie de la main droite par amputatio
greur chez une hystérique, 325. SOUQUES (A.) et Paul Londe. Deux cas de syndrome de Weber, 363. Targoavla (J.) Un
Paul Londe. Deux cas de syndrome de Weber, 363. Targoavla (J.) Un cas de syringomyélie atypique, 266, TABLE DES PLA
une gravure de R. de Hooge (1688), VIII. Syndrome de Weber (Deux cas ), XLIII, XLIV. Syringomyélie (déformation des
89 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
t tranchant et que cette idée fixe hante jour et nuit, c'est dans ces cas qu'on peut parler de conceptions obsédantes. L'
et occupant sans discontinuer sa faculté de penser. Presque chaque cas d'obsession constitue un syndrome isolé; les idée
r. J'ai constaté quelquefois ce même état de choses. Mais dans quatre cas traités par moi, j'ai observé une connexion entre
à quarante ans, dont un homme et trois femmes. Dans la majorité des cas la maladie a débuté ou du moins s'est aggravée à
présentait une exagération notable des appétits vénériens. Dans deux cas il y avait à noter une cause occasionnelle décidé
montrés après qu'il eût été fortement impressionné par le récit d'un cas de syphilis. Il était atteint de syphilphobie au
ilphobie au plus haut degré; je ne me rappelle pas avoir vu un second cas présentant les symptômes de cette maladie d'une m
, le premier est une obsession, une idée obsédante. Dans ces quatre cas , sans exception aucune, la folie du doute s'est é
ccupe une place spéciale, et que la folie du doute qui, dans d'autres cas , peut être idiopathique et se présenter isolément
es graves, ce traitement fait beaucoup de bien. On ne guérira que les cas légers, de date récente. Dans les autres cas. on
n. On ne guérira que les cas légers, de date récente. Dans les autres cas . on réussit à enlever les maux de tôte, l'état ne
ente séances espacées pendant six mois et plus, suivant la gravité du cas , et il y aura lieu de croire a une guérison compl
ent que la guérison de mon malade n'est pas absolument complète. Ce cas mérite d'être signalé pour un double motif : I° l
. « H. Mac... » Jusqu'aujourd'hui, j'ai eu à traiter en tout cinq cas de dipsomanie, et j'ai obtenu les résultats suiva
fait suivre de commentaires scientifiques sur les expertises dans les cas de simulation d'hyp-notisme; puis j'ai dénoncé, p
e auditoire que les médecins légistes ne seraient pas embarrassés, le cas échéant, pour démasquer les coupables. En résum
s tout à fait accessoires, dans l'espèce. Ils ont vu là simplement un cas d'exercice illégal nettement caractérisé et ils o
es ventricules cérébraux. Celte théorie semblerait confirmée par un cas de cette rare affection observé tout récemment à
eur. M. A- Tokarski, « eu l'occasion d'en observer un grand nombre de cas en Sibérie. On uil que le symptôme fondamental du
ari; l'alTection se présentait sous une forme analogue. Quatre autres cas étaient caractérisés par un besoin d'imitation ir
it provoqué chez les sujets soit la colère, soit la frayeur. Dans ces cas -là, il s'agissait donc seulement d'une variété bâ
. le docteur Kaschin a observé, dans le cercle de Baikal, en 1SCS, un cas très original. Un corps de troupes, pendant les m
le sens que ces hallucinations affectent; dans l'immense majorité des cas , eues révèlent une forme terrifiante, pénible, do
e à Balle. — Un mémoire de 31. Aristote Neophitos relate un curieux cas de gigantisme : jeune Grec né en 1864 et mort en
e la Salpétrière, janv.-févr. 1891, 77). Janet (Pirans). — Sur un cas d'aboutie et d'idées fixes. (Reçut philosophique,
e. ¦ (Preyer. Hypn 1830, s H2-) Je tous communique aujourd'hui un cas qui me semble avoir de l'importance, non seulemen
mais aussi au p^int de vue de la doctrine entière de l'hypnotisme. Ce cas est d'autant plus intéressant qu'il concerne une
icatrices existant aux différentes parties du corps, je pensai que ce cas n'était point du domaine de l'hypnothérapie, vu q
t parfaitement à mon ordre et que l'œil se fermait complètement. Ce cas , messieurs, ne vous est pas communiqué simplement
s susceptibles d'être enlevées par l'hypnose. Vous voyez que, dans ce cas , des douleurs qui dépendaient de cicatrices et qu
on ce qui contredit à l'expérience! » 2° Nous possédons beaucoup de cas où des hémiplégiques, sous l'influence de la sugg
uvement leurs membres paralysés depuis de longues années. Quoique des cas semblables aient également été communiqués par It
r exactitude. La possibilité de ces observations est continuée par le cas présent. Comment peut-on expliquer que des para
lement exécutés qu'ils le sont plus souvent, et ce n'est que dans ces cas que nous réussissons à séparer pratiquement les m
ement compliqué ou prendre une position du corps déterminée. Dans ces cas , sous l'influence de l'hypnose, le comment revien
reviennent sous l'influence de quelque chose. Voici comme exemple un cas qui n'est pas dépourvu d'intérêt : Vous savez t
exemple après de longues maladies aiguës et chroniques comme dans le cas dont je vais donner communication : Une jeune f
attes, etc. Il était évident que nous nous trouvions en présence d'un cas d'abasie-astasie qui s'était développée au cours
avent plus comment s'y prendre pour les mettre en mouvement. Dans ces cas , l'hypnose peut ramener dans la mémoire le commen
l'hypnose peut ramener dans la mémoire le comment oublié. Et dans les cas communiqués par les auteurs, il s'agissait vraise
Société doivent être portées devant le comité do publication. Dans le cas où sa décision ne serait pas acceptée par l'auteu
avec lui comme lorsqu'il est hypnotisé, et il est possible, dans ces cas , de provoquer chez lui des hallucinations compara
ux avec le plus de difficulté. Il ne s'observe que dans la moitié des cas environ. 7» La suggestibililé, beaucoup plus dé
endant de troubles fonctionnels, elle est nettement indiquée dans les cas suivants, qui sont autant du domaine de la pédago
ni l'occasion de constater que le transfert était inutile en pareil cas et que la méthode suggestive directement appliqué
ra pas du tout si la contre-suggestion l'emporte, et, dans ce dernier cas , il peut arriver que cette lutte provoque une cri
ue individu qui décideront si l'hypnotisme peut être appliqué dans un cas donné. 5. — Il n'existe pas actuellement des mo
e celles où le rétablissement de la fonction est possible. Dans ces cas , on obtient souvent une disparition complète de t
trouble fonctionnel réflexe du système nerveux. 14. — En dehors des cas de guérison totale, l'état hypnotique et la sugge
e médecin doit, par conséquent, avoir recours à l'hypnotisme dans les cas où tous les autres moyens thérapeutiques étant ép
ison se présente encore comme possible. 18. — Il en est de même des cas oii tous les genres de traitement symptô-matique
n'y a pas lieu d'insister sur l'application de l'hypnotisme, dans les cas où d'autres moyens peuvent être employés; chaque
ortée et dans l'ordre qu'il juge plus rationnel et plus utile dans le cas donné. 20. — Mais un médecin qui refuse actuell
la volonté sont des règles générales », dit-il. _ (A suivre.) Un cas d'amnésie rétrograde. La publication, dans la R
sie rétrograde. La publication, dans la Revue scientifique, de deux cas d'amnésie rétrograde (noméos des 2$ mars et 11 av
e conscience revivifiés par la répétition ne jouissent pas, en pareil cas . d'an privilège; la répétition ne les garantit pa
éthodes de traitement, mais il ne faut pas oublier que, dans certains cas , il nous a rendu et nous rend encore de grands se
is. Pareillement, l'expérience ne réussissait jamais non plus dans le cas où entre Bischopp et son inducteur, au lieu de la
bien sa brûlure le lendemain et s'en plaignait », — comme si les deux cas étaient comparables : dans l'un une brûlure par s
cé, depuis environ quatre ans, à appliquer la psychothérapie dans les cas où elle me paraissait appropriée, et la grande qu
aminer de plus près, ont avoué d'un commun accord que, dans plusieurs cas , elle peut rendre d'éminents services à l'humanit
e raison d'être. Appliquée avec la circonspection nécessaire dans les cas où elle a chance de succès, la psychothérapie n'e
seur Bemheim, me semble encore toujours la plus pratique. En quelques cas où cette méthode me fit défaut, j'atteignis à mon
louettes, recommandé par M. le docteur Luys, me rendit en beaucoup de cas d'éminents services, surtout mis en rapport avec
vent trouvé dans la psychothérapie un remède excellent dans plusieurs cas traités depuis longtemps déjà sans succès par d'a
lancolie, elle m'a rendu à nouveau de grands services. En beaucoup de cas , j'ai obervé qu'elle amène en très peu de temps u
ar des idées fausses et des hallucinations, j'observais dans quelques cas la bonne influence de l'hypnose et de la suggesti
e et qui exigent grande patience de la part du médecin. En quelques cas , les malades, jusqu'ici réfractaires, tombaient e
ie, dans la monomanie, dans la folie hallucinatoire, ni dans quelques cas de véritable folie, je n'ai réussi à provoquer au
de bien aux pauvres aliénés, ainsi qu'il a été démontré en plusieurs cas par le savant professeur, le Dr Aug. Voisin, et d
société. Je ne sais pas si la guérison resta permanente dans tous les cas que je traitai; mais, chez quelques personnes que
ets à des habitudes vicieuses ou des inclinations mauvaises, les deux cas suivants méritent, je crois, une attention spécia
mère l'appelle Tentant chéri de la maison. Dans un grand nombre de cas d'insomnie et de somnambulisme spontané, ainsi qu
t demi que ses attaques ne sont plus revenues. Dans tous les autres cas d'épilepsie où j'appliquai la psychothérapie, ell
ure de soude et 0 gr. 5 de bromure d'ammoniaque}. En plusieurs autres cas , j'acquis le môme succès. Les résultats dans le
ptèmes psychiques, ne me donnèrent pas autant de bons résultats. Un cas très intéressant s'offrit chez un sculpteur de 22
traitées depuis longtemps sans aucun résultat favorable. En nombre de cas , le traitement psychique des névralgies procure u
raitement suggestif des névralgies; je me bornerai à citer les quatre cas suivants : MM G... souffrait déjà depuis plus d
hysique sérieux fit exclure chaque cause matérielle. Dan* très peu de cas où les douleurs étaient causées par des tumeurs o
natomiques, je me suis convaincu que la psychothérapie, daus quelques cas , peut diminuer les douleurs et rendre de grands s
emande encore quelques moments d'attention pour la communication d'un cas qui me semble assez intéressant. Le nommé B.-II
ui faut toujours huit à dix jours pour se redresser tant soit peu. Ce cas m'embarrassait beaucoup. Je ne croyais pas pouvoi
ment, uniquement à cause de l'expérimentation, convaincu que, dans ce cas , je ne pouvais rien gâter... Il y a aujourd'hui u
fait mettre celte femme en liberté. La loi devrait tenir compte des cas de ce genre et punir, non pas la personne qui obé
cins français et permettant de tirer des conclu- sions opposées. Le cas mentionné par M. Voisin est difficile à admettre,
ats-Unis). — Observations de thérapeutique suggestive. Bérillon. — Un cas d'alaxie locomotrice progressive traité arec succ
e provoqué par la peur, arec anomalies de l'oute Grandjean (H.). — Un cas d'automatisme comitial ambulatoire. {Rev. mid. de
psia inférieure double et autres troubla sensitico-sensoriaux dans un cas de psychose fonctionnelle. Hodgson. — A Cote of
mpagnant l'activité des éléments nerveux, et il en va de môme dans le cas où cette activité se manifeste sous la forme soit
l'air dans les centres nerveux du « lecteur » des pensées; et dans le cas où l'inducteur et le lecteur se touchent, ce mouv
ne se transmet pas du tout au cerveau d'un autre animal, même dans le cas où les deux cerveaux se touchent immédiatement. I
éments nerveux du même organisme, il doit l'être encore moins dans le cas où le système nerveux d'un homme devrait agir sur
stème nerveux. La nature de l'excitation nerveuse reste dans tous les cas la môme, et les différences subjectives et object
squ'aux organes du corps, cette excitation nerveuse provoque, dans un cas , l'activité des muscles, dans un autre celle des
minantes qui se trouvent sous l'influence du système nerveux. Dans ce cas , le développement de la lumière est une fonctio
rtout quand on a faim, provoque une excrétion de la salive. Lians ces cas , les sensations et les représentations correspon-
poule, rien qu'en se représentant la sensation du froid. Et, dans ce cas , cette représentation volontaire suffit pour mett
endorme et parle malgré la défense qui lui aura élé faile. Ce dernier cas se présente surtout dans la catégorie de ceux qui
connaît bien la pratique de la suggestion. Eh bien ! dans ce dernier cas encore, on peut tourner la difficulté et arriver
t pas toujours facile d'arriver à la découverte de la vérité dans les cas de suggestions criminelles. Dr David. Sigean,
exemples de ce genre sont nombreux. M. Déjerine a cité récemment deux cas analogues. (I) Y. Revue de l'Hypnotisme, p. 86.
C'est possible. Les médecim légistes appelés à se prononcer dans les cas douteux, se contentent de constater que le sujet
ertaines personnes, et presque tous les bons somnambules sont dans ce cas , sont suggestibles à l'état de veille, sans avoir
é peut l'être h son insu. Aux médecins légistes s'impose, en face des cas douteux, lé devoir de mesurer avec soin, et l'exp
qui ces phénomènes peuvent être provoqués facilement, soient eo tous cas irresponsables; je veux dire simplement que la su
s l'influence de la suggestion. Dy a à ce point de vue une série de cas intermédiaires entre l'état d'hypnotisme parfait
nt d'évidence que lorsqu'il s'agit d'une contracture; dans le premier cas je suis obligé d'ajouter foi à la parole du malad
lopper par suggestion des hallucinations sensorielles, comme dans les cas types, mais qui ne serait pas susceptible de prés
tion et voir partout des simulateurs. Mais encore une fois, en pareil cas . la preuve rigoureuse ferait défaut et je n'aurai
mis sur le compte de la simulation. Rien n'autorise à dire en ] arvil cas que le sujet est hypnotisé. — 6, Ou bien, ces cas
e à dire en ] arvil cas que le sujet est hypnotisé. — 6, Ou bien, ces cas du reste sont exceptionnels, les phénomènes psych
bon droit comme une propriété physiologique de l'homme, mais dans ce cas l'introduction de ce mot dans le vocabulaire médi
é des deux sommeils, il faudrait au moins démontrer que dans les deux cas il est aussi facile de se mettre en rapport avec
ro-épilepliqucs, j'ai eu recours à et moyen dans un certain nombre de cas . J'ai réussi dans deux et j'ai échoué dans trois;
avoir fait respirer huit à dix gouttes de chloroforme. Le deuxième cas est celui d'un monsieur qui était obsédé, d'une f
la première fois. 11 y a un an, j'ai cité au Congrès de Berlin quatre cas d'épilepsie guéris par la suggestion hypnotique :
ologie, mais d'autres confrères n'ont pas été étonnés et ont cité des cas semblables. Je ne voudrais pas cependant que me
és la confirmation de mon propre diagnostic, et dans presque tous les cas que j'ai eu l'occasion de traiter, le diagnostic
que je viens d'énumérer que j'ai obtenu un succès durable dans quatre cas . Je suis surpris de l'étonnement de M. Ballet,
it plus difficile d'affirmer la guérison. Tous nous avons observé des cas dans lesquels les crises après avoir été très fré
es idées théoriques de l'expérimentateur, sera capable, dans bien des cas , de diriger à son gré les conditions de l'expérie
un tait dont il serait imprudent de no pas tenir compte dans certains cas , cl nous pensons que La démonstration de la possi
ivulgation; elle a, au contraire, tout à y gagner, car, dans certains cas , la connaissance des faits de suggestion pourra p
oujours par se savoir et c'est an médecin qu'il appartient, en pareil cas , d'éclairer le magistrat. J'ai pu deux fois rec
é tout à l'heure de la résistance que peuvent présenter dans certains cas des sujets hypnotisés et dont l'automatisme est c
ns, sa résistance fut assez forte pour en triompher. Dans un second cas , j'avais endormi un samedi une jeune Israélite qu
elle. Il a fallu limiter la prohibition, et la restreindre à certains cas où l'interdiction doit être absolue. Tout d'abo
s dix-huit ans, par «eux de vingt et un ans. L'article 3 prévoit le cas où, à l'aide de l'hypnotisme, quelqu'un aurait ob
e hypnotisée n'aurait pas été dotrf née en spectacle, au public. En cas de concours avec les infractions punies par les d
gie faciale. Comme la plupart des malheureux qui se trouvent dans son cas , il s'était fait arracher tour à tour presque ton
la mort (i). Un service en vaut un autre. Je contai à mon visiteur le cas de mon voisin et lui demandai de ni'accompagner.
e sommeil. Si j'ai le temps, je ferai un jour la relation !e quelques cas intéressants traités de cette manière. Ceci pro
par.des raisons toutes naturelles. Le lecteur doit se guider, dans ce cas , sur les mouvements idéo-moteurs inconscients de
es actes que nous avons cités s'accomplissent également dans d'autres cas de communication, soit directe, soit an moyen d'u
ent à deviner des idées de ce genre, des idées abstraites, et dans ce cas il se guide simplement sur les mouvements involon
à ses membres, une certaine position dans l'espace, et dans tous ces cas il se guide sur les mouvements idéo-moteurs incon
ement constaté ces phénomènes de contraction et de catalepsie dans un cas typique d nystéro-épîlepsie, qui a donné lieu à p
ier, surtout, a eu l'occasion d'observer ces phénomènes, même dans un cas d'hypnotisme spontané, et nullement provoqué. P
exact de dire que chaque expérimentateur puisse toujours se créer des cas à son gré ou moyennant plus ou moins de suggestio
yennant plus ou moins de suggestions voulues; mais que, dans bien des cas , on rencontre des phénomènes, surtout somatiques,
ent, la diarrhée et même la menstruation (et nous en avons observé un cas typique, car elle se produisait incontestablement
tifs! Si nous sommes donc disposés à admettre que, dans beaucoup de cas , quelques-uns des soi-disant phénomènes somatique
nous nous occupons, ne se rencontrent que dans un nombre restreint de cas , qui appartiennent tous à la grande hystérie, cl
appartiennent tous à la grande hystérie, cl que c'est dans ces seuls cas rares que l'on constate les trois prétendues péri
déterminisme phénoméniqtte bien net et constant. Mais, à côté de ces cas peu fréqueuts, quelle innombrable série d autres
s, à côté de ces cas peu fréqueuts, quelle innombrable série d autres cas , qui appartiennent aussi à l'hystérie, môme la pl
e la nosographie de l'hypnotisme. El quelle autre série sans fin de cas d'individus trouvons-nous, qui n'offrent aucun de
s existent indépendamment de toute influence suggestive dans certains cas de grande hystérie, nous ne pouvons également adm
tre quelque fait général qui soit commun à tous ou presque à tous les cas d'hypnotisme, surtout chez les hystériques, c'est
a nouvelle stimulation employée et qui lui est proportionnée? Dans ce cas , en effet, on a fait agir sur les centres nerveux
le des Irois périodes, se rencontrent, au contraire, dans beaucoup de cas , qui sont néanmoins assez typiques, du grand hypn
Richel et Marina, Silva Rainaldi ont trouvé ces étals mixtes dans des cas du grand hypnotisme on doit penser que le mélange
éthargiques et cataleptiques de l'hypnotisme. Magnin relate plusieurs cas de grande hystérie, où l'on vérifiait, a l'état d
e les stimulants qu'il employait. Charcot, lui-môme, cite plusieurs cas analogues. Chez l'hystérique M..., il a constaté,
s muscles mêmes du visage (4). Une autre hystérique, Maldine, dont le cas est signalé dans les Lesionî, recueillies par le
ntractures : la léthargique et la somnambulique; et, de mémo dans les cas d'hystérie chez un homme (5). Il y a plus encore
hystérie chez un homme (5). Il y a plus encore : Charcot nous cite un cas où il a vérifié, chez la femme hystérique Ilabill
ntracture somnambulique par légères excitations cutanées. Les mêmes cas ont été observés et enregistrés par Silva (I), pa
suggestion quelconque, et seulement dans un nombre assez restreint de cas de grande hystérie, s'ils ne sont pas de nature à
hypnotisme, puisque nous les observons dans un nombre assez grand de cas pendant la veille, que sont-ils donc? On peut fac
ire. Puisqu'on les vérifie seulement dans un nombre très restreint de cas de grande hystérie, dans la plupart desquels on l
ils devraient se vérifier dans l'hypnose, pour le moins dans tous les cas de grande hystérie; mais il n'en est rien. A l'ex
s les cas de grande hystérie; mais il n'en est rien. A l'exception de cas peu nombreux de grande hystérie, on ne les obtien
I. 1887. (6) B rissaci et Richet. L. c. Page 48. 2° Dans certains cas , quelques phénomènes somatiques ne s obtiennent,
é du phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, comme dans le cas cité par Richer (2). Les accès hystériques sous l
e ou de somnambulisme sont assez fréquents et bien connus. Et dans le cas de maladie hypnotique (morbo ipnolico) décrite pa
par leurs principaux phénomènes. 4° L'hypnotisme, dans beaucoup de cas . ne fait que reproduire les phénomènes de raccès
phénomènes de raccès hystérique auquel est sujet le malade. Ainsi les cas ne sont pas rares dans lesquels les manœuvres hyp
provoquent l'attaque convulsive au lieu de l'état hypnotique. Dans un cas d'accès hystérique caractérisé par une attaque de
ques ne servent qu'à reproduire l'attaque de léthargie. Dans un autre cas que j'ai observé avec le Dr Algeri et dans lequel
, avec tous leurs phénomènes, par des manœuvres hypnotiques. Dans les cas observés et cités par Richer (3) dattaques hystér
diatement à l'aide des plus simples manœuvres hvpno-tiques. Dans deux cas observés par nous dans lesquels l'attaque hystéri
e antérieures. Tous ces faits dous prouvent donc que, dans certains cas de grande bvs-lérie, les manifestations hypnotiqu
ons hystériques ne tout qu'une seule et même chose; que dans les dits cas rhypnotxsme ne fait que reproduire nettement et u
s graves. Mais pourquoi, nous dira-t-on, dans la majeure partie des cas , l'hypnotisme seul a mis en évidence ces phénomèn
plus ou moins augmentée (el elle est de soi-même déjà élevée dans ces cas ), on réussit mieux à les mettre en évidence. 3*
les manœuvres dont on se sert pour le provoquer, font, dans certains cas , les fonctions d'agent provocateur des manifestat
tes deviennent évidentes (1). Pour nous donc l'hypnotisme, dans les cas même de grande hystérie, no constitue jamais une
le-même (comme le veut l'école de Charcol), mais il ne fait, dans ces cas , que mettre en évidence des phénomènes pathologiq
xiste pas, condition première pour qu'ils se produisent : et dans ces cas , ni les manœuvres méthodiques (en se mettant dans
s maladies, ou, enfin, d'individus sains et robustes. Dans ce dernier cas (ci dans celui-ci seulement), on aura les phénomè
s, simples, nets, naturels du pur sommeil hypnotique. Dans les autres cas , à mesure que l'on remonte l'échelle des maladies
ombrables formes, que l'hypnotisme revêt en apparence dans chacun des cas divers, ne sont produites (à l'exception des degr
lus adapté à cela. En effet, si l'hystérie peut offrir dans plusieurs cas une condition favorable pour obtenir plus facilem
coolisme, et que c'est avec juste raison qu'on l'essaie dans tous les cas qui ont résisté à la simple suggestion. 2° 11 a
ade de réagir sur son impression. 3' Qu'il réussit surtout dans les cas d'ivrognerie acquise sans prédisposition hérédita
terminant, n'est pas une panacée, mais on l'appliquera dans nombre de cas qui ont résiste aux autres méthodes thérapeutique
: De l'action de la suggestion dans le travail de l'accouchement : un cas d'accouchement sans douleurs. 2* Bbrillon etGt'KB
es psychiques transitoires qui peuvent s'y rencontrer, il suffira, le cas échéant, de montrer le lien entre l'intoxication
ne « sont pas complètement éteintes. Je réponds : non, même dans ce cas , « la pénalité n'est point séparée de la responsa
la laissant grandir et asservir leur volonté. Pourquoi, dans « ces cas , !a justice sociale se refuse-t-elle à leur accor
érer la facilité avec laquelle l'explosion se produit en bien « des cas , on peut conclure que l'arme était toute chargée
r lui sa première tentative d'b'pnotisaiion, je me demandais, même en cas de réussite, quel bienfait le sujet en pourrait b
plement que l'hypnotisme nous permet de guérir un grand nombre de ces cas , il sera prêt à discuter tranquillement nos asser
aticiens font des recherches sur l'hypnotisme et l'emploient dans les cas où ils le jugent utile. Une série de cas d'une
me et l'emploient dans les cas où ils le jugent utile. Une série de cas d'une même maladie traités par un seul remède me
ment, et je demande donc de vous exposer en quelques mots plusieurs cas d'ivresse ou de dipsomanie invétérée soumis au tr
celle nature, qu'il peut retomber à la première occasion. Outre ces cas , j'ai traité beaucoup d'autres personnes; j'en ai
rs en traitement. Mon expérience personnelle s'étend à plus de trente cas de dipsomanie, traités par 1a suggestion hypnotiq
sir d'une façon permanente, au moins en apparence, dans la moitié des cas . Une dame de ma connaissance, très philanthrope,
onté et aussi selon l'intensité de l'habitude vicieuse. Dans bien des cas , il a suffi de quelques séances, pour amener un r
t favorable et durable. Ce résultat était très frappant dans certains cas , où les enfants poussaient le peu de souci de la
irable. En efTet, on s'est contenté jusqu'à présent de noter dans des cas d'hydrurie la présence de stigmates hystériques;
ydrurique. H me semble impossible de contester qu'il existe dans ce cas une étroite parenté entre la polvurie et l'hystér
qui pourrait en être la conséquence. Il faut donc, en présence d'un cas de diabète hydrurique, se rappeler que ce syndrom
r aussi une manifestation Donosyaiptomatique de la névrose. Dans un cas d'hydrurie, même en l'absence de tout stigmate hy
i ne veut pas dire," bien entendu, que je veuille considérer tous les cas de diabète hydrurique comme relevant de l'hystéri
illé; 9* L'hypnotisme appliqué en connaissance de cause et dans des cas appropriés, peut être d'une grande utilité en méd
rçu historique de l'bypnoiisme et relaté les résuttats de trenie-cinq cas heureusement traités par la suggestion. Ces cas r
uttats de trenie-cinq cas heureusement traités par la suggestion. Ces cas renferment le rhumatisme, la dyspepsie, l'insomni
od conclut en disant : qu'il n'avait jamais vu, dans les centaines de cas où il a employé lnypnotisme, le plus léger mal ré
à la Société de Biologie une observation du même genre, mais, dans le cas qu'il a observé, les sensations lumineuses étaien
lle, mais par une excitation des organes du goût; il s'agit donc d'un cas de gustation colorée. C'est chez une jeuno femm
aud a une influence marquée sur la température physiologique. Dans un cas , on rapporte que la température sous-linguale éta
et, à S h. 30 du soir, elle était seulement de 34.5* C. Dans un autre cas , la température normale était de 37" C. à 8 h. 30
suggestion, à 8 h. 30 du soir, elle était de 35, 5° C. Dans les deux cas , tous les symptômes désagréables disparurent et
. Ce chiffre irait en augmentant d'année en année. L'augmentation des cas de suicide serait en rapport direct avee la civil
stamen a rapporté dans le Sei-l-Kwai Medical Journal, de Tolcio, deux cas rrmarqudbles d'atTectioas nerveuses, traitée» ave
une nouvelle hypnotisation, ils disparurent entièrement. Le second cas concerne une jeune fille, hautement hystérique, d
sies »- (Revue de médecine, n° 5, 10 mai 1891.) Charcot. — « Sur un cas d'hystérie simulatrice du syndrome de Weber». (Le
de neurologie, n° 63, mai 1891.) Charcot (J.-M.). — « Leçon sur un cas d'hystérie masculine (Arch. de neurol., 64.) Ch
ggestion •. (Bult. méd. de f Algérie, ? 90.) Colleville. — « Sur un cas de crises comitiaies ambulatoires •. (Union médic
und Heilanstalten.) (Deutsche médis. Zeitung, 36.) Gramuea*. — « Un cas d'automatisme comitial ambulatoire ». (Revue médi
stérique »- Archives de neurologie, n*63, mai 1891.) Jaumes. — - Un cas d'attentat contre nature considéré au point de vu
sonne hypnotisée n'aurait pas été donnée en spectacle au public. En cas de concours avec les infractions punies par les d
, lorsque le patient est un enfant ou un aliéné: Vous exigez, dans ce cas , que le docteur en médecine hypnolise lui-même où
ue nous soyions du danger de laisser pratiquer l'hypnotisme, dans les cas indiqués, par un magnétiseur non médecin, en prés
xistait aucune connexion nerveuse entre la mère et le fœtus; tous ces cas , collectionnés principalement par MH. Sachs, Schr
ps en temps, les journaux anglais et américains surtout, relatent des cas de la description desquels semble résulter la pre
t ce qui attire davantage notre attention, c'est que plusieurs de ces cas sont soumis par des hommes connus comme investiga
l'organisme au commencement de l'état embryologique, mais plutôt des cas dans lesquels les impressions psychiques laissent
psychiques laissent une empreinte sur le développement du fœtus. Le cas suivant, observé par moi-même, attira mon attenti
ofesseur L. Neugebauer a décrit dans un journal polonais (4; les deux cas suivants que je vais citer textuellement : « Le m
même endroit que ma cicatrice. Le Dr Edward Garraway (1) relate le cas fort intéressant qui suit : « Une dame d'un goût
ncé, pois je le perdis de vue ». Le Dr James Brydon (2) rapporte le cas suivant qui se présenta dans sa clientèle : « Il
le fait. La sincérité du mari et de la femme est indiscutable ». Le cas suivant, relaté par M. Charles F. Williamson (3),
unie dans le but d'en tirer une conclusion définitive. Il constate le cas suivant : « Une dame de vingt-quatre ans, d'une c
un enfant fort et non défiguré. Il est impossible de citer tous les cas publiés dans les dernières années; je me suis bor
eu être dispensés, selon l'appréciation du président. Dans le premier cas , ils rentreraient donc dans les conditions généra
sit pas de suite et il est nécessaire d'insister un peu plus. Dans ce cas , divers procédés permettent de renforcer la sugge
uel, ont été facilement influences, comme cela s'est présenté dans le cas suivant: e. L'enfant V..., âgé de don» ans, san
l se produit dans uno affaire criminelle, comme délit dans les autres cas . La peine du faux témoin est au moins égale a cel
(Soc. méd. psych., février 1889) ont conseillé de réserver ce nom aux cas de morphinisation par accès et survenant en vertu
e se retrancher derrière leur intoxication, mais il n*y a pas un seul cas dans les annales judiciaires où les médecins légi
par un nombre luxueux de piqûres et le rose revient. Il n'y a pas de cas de suicide dans le cours de lamorphinomanie comme
tends, en me basant sur quelques observations personnelles et sur des cas relatés par Forci, de Zurich; La lame, de Genève;
t pourra toujours être suspendue parle bureau delà Commission. « En cas de concours avec les infractions punies par les d
10. REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET, THÉRAPEUTIQUE SUR UN CAS DE NEVROPATHIE DOULOUREUSE GUÉRIE PAR SUGGESTIO
aine. La névropatbie peut donc être générale ou diffuse, et dans ce cas elle se développe presque toujours sur un terrain
ditairement nerveux; ou bien elle est partielle ou locale, et dans ce cas elle se développe sur un sujet nerveux ou bien su
llement la scène; la névropathie locale s'est généralisée, et dans ce cas , c'est un état nerveux général héréditaire qui, p
qui a cédé en sept jours à la psychothérapie. Le traitement, dans ce cas . a confirmé le diagnostic, et l'on peut dire ici
ut dire ici : natwatn morbi ostendit curalio. La suggestion, dans les cas obscurs, devient la pierre de touche du diagnosti
permet de conclure que tout était dynamique, que tout était, dans ce cas , auto-suggestion. Que serait-il arrivé de ce ma
but des attaques, que l'on me pria d'essayer la méthode psychique. Ce cas m'intéressait au dernier degré, et je ne demandai
ulter pour le sujet qu'une heureuse modification de son éUt. Sur un cas de névropathie douloureuse guérie par suggestion,
médications, et qui a cédé en wpt jours à la psychothérapie. Dans ce cas , la suggestion a été la pierre de touche du diagn
à la mort. Le professeur Charcot dit connaître, pour sa part, quatre cas de terminaison fatale, et, pour combattre cet éta
e. Discussion. M. Liégeois. — Étant donné que l'anorexie, dans le cas de M. Goix, avait son point de départ dans une au
'une heure. M. Voisix. — Dans ma pratique personnelle, j'ai eu deux cas remarquables d'anorexie guéris par suggestion. Da
ir l'appétit, et la guérison s'est bien maintenue. Dans le deuxième cas , il s'agissait d'une dame qui, depuis sept ou hui
siette remplie de viande. Ce qu'il y a d'intéressant à noter dans ces cas , c'est la tolérance de l'estomac qui, malgré une
pu apprécier à maintes reprises la valeur de la suggestion dans, des cas analogues. Chez une mélancolique, auprès de laque
s le service de M. le Dc Auguste Voisin, à la Salpétrière. Dans les cas que nous avons traités, comme les malades étaient
nt de vue clinique et thérapeutique. RECUEIL DE FAITS Note sur un cas d'hémorrhagies auriculaires, oculaires et palmair
vérencieux et nous nous abstiendrons donc de citer ou de discuter les cas de saint François d'Assise, de sainte Catherine d
n rendent pas moins le pronostic grave. Quoi qu'il en soit, en tout cas , cette observation nous a paru intéressante, parc
Fall von psychischer Ansteckung mit Ansgang ln vollige Genesung. (Un cas de contagion psychique suivie de guérisoa complet
t mémoire de M. le Dr Mesnet sur l'Autographisme et les stigmates. Le cas dont je vais faire la relation et mes expériences
l n'y a pas de raisons de croire qu'elles réapparaîtront; et, en tout cas , une nouvelle suggestion s'en rendrait bientôt ma
core complètement élucidée et il nous a paru intéressant d'ajouter un cas nouveau à ceux déjà connus. M. Dujardin-Beaumet
uveau à ceux déjà connus. M. Dujardin-Beaumetz considérait comme un cas fort curieux, extrêmement rare, unique même, le p
, le sujet qu'il étudiait. MM. Barthélémy et Colson mentionnent des cas analogues sous le nom de stigmatodermie polychrom
e reproche d'être un peu pléonastique, mais il nous semble qu'en tout cas , ce défaut, si défaut il y a, a l'avantage de déf
consulter en octobre. Son récit nous fait immédiatement songer aux cas analogues déjà publiés et nous l'examinons à ce p
saillie persistait parfois douze heures, vingt-quatre heures dans un cas de Bourneville et Regnard et deux jours dans un c
re heures dans un cas de Bourneville et Regnard et deux jours dans un cas cité par Cornu. Le malade est un pseudo-urticar
rticaire dermographique sont ici complexes. En effet, en dehors des cas ou le phénomène a été observé chez des sujets en
dont les observations ont été publiées ne paraissant guère, sauf les cas de Paul Raymond cités plus haut et le cas de Zunk
paraissant guère, sauf les cas de Paul Raymond cités plus haut et le cas de Zunker (pseudo-urticaire dermographique chez u
. le docteur Nicolle (1), les modifications que l'on constate dans ce cas : c Le fragment excisé a été porté dans le liqu
nstantanée, ou son évolution peut éfre progressive. Dans le premier cas , elle peut se produire après uno attaque convulsi
squ'alors, llsemblequilscfassecomme une jeltatura. Dans le deuxième cas . où l'évolulk.n de la folie hystérique est progre
cutées, et plus tard peuvent devenir persécutrices. Dans ce dernier cas , elles apportent à la satisfaction de leurs idées
milieu où se trouve l'hystéro-épileptique. Le sujet, dans ce dernier cas , s'aulnsuggeslionnerail, dans l'étal d'hypnose ou
l'infraction prévue par la loi sur l'hypnotisme pouvant, en certains cas , être remplacée par un délit de fraude. Mais il
qu'on sévisse et qu'on évite le retour de pareils scandales. En tout cas , une enquête sérieuse sUmpose et nous l'attendons
u en consultation, ou ave: l'assentiment du médecin traitant. Dans le cas où le malade, après de fortes remontrances du méd
cans le traitement, tant dans le fond que dans la forme, que dans le cas de vraie nécessité. La consultation ayant lieu à
e médecin traitant a le droit d'appeler un consultant de son choix en cas de désaccord. — Le cabinet du médecin est un te
(Gesellschaftsangst); Beitrag zur Lehre von den Pathophobien. (Sur un cas d'agoraphobie, peur des espaces, et de koïnoalpho
grandeur (Progr. méd., Paris, 5 sept. 1891.) Sérieux — Note sur un cas de paralysie hystéro-traumatique des quatre membr
— Hypnotism si sugestiune -. ln-8°, 152 p. Bucarest. Surbled. — Un cas d'encéphalite suivi de mort, survenu après une sé
e, baltre, caresser, qui sont les phénomènes les pins connus dans ces cas . Quand la transposition des sens arrive, quand le
sion des mouvements. C'est vrai ; mai> la penst'-e aussi, dans les cas de transmission, ne parcourt pas ses sentiers hab
rs habituels de transmission, qui sont la main et le larynx. Dans ces cas . il faut admettre l'hypothèse que le moyen de com
t elle se transmet, mats aussi elle se réfléchit, et j'ai observé des cas d'hypnotisme dans lesquels une certaine pensée, n
omme il se figure qu'il converse arec un mort. Ainsi on explique le cas arrivé à M. Hirsch et au D' Barth, qui virent leu
médianiques. Toutes ces manifestations n'eurent plus lieu qu'en des cas très rares parmi les peuples civilisés, tandis
mbre prochain. Depuis mon arrivée, j'ai traité un certain nombre de cas , parmi lesquels plusieurs de dipsomanie et un de
un de sclérose en plaques. Aujourd'hui je ne vous relaterai que deux cas qui, je crois, présentent quelque intérêt. Le p
dix jours, son poids avait augmenté de six livres. U me semble que ce cas répond assez affirmativement à la question de Sha
ient être allégés et guéris par la suggestion hypnotique. Le second cas est celui d'une femme que j'eus à soigner à Londr
traitement hypnotique m'avait précédemment fort bien réussi dans des cas semblables, je résolus d'en faire à nouveau l'ess
ernative la plus probable. J'en trouve une sorte de précédent dans un cas de Heidenhin, dans lequel il constate qu'il dût
pe ou non, je considère ce danger comme possible; j'ai donc relaté ee cas dans le but de mettre en gardo contre un pareil a
la vérification de celte manière de voir, j'ai cru reconnaître: !• un cas de condition seconde spontanée dans l'affaire La
re La Roncière, qui a eu, en 1835, un si grand relcolis-sement; 2* un cas de condition seconde provoquée dans l'affaire C&a
ême est intéressé à la connaissance de faits qui, dans beau-« coup de cas , peuvent être de nature à déplacer singulièrement
bien. Afin de lui éviter toute émotion nuisible à l'examen que son cas nous permet de faire, je vais l'endormir avant de
à son gré l'attitude ou le mouvement habituellement suggéré, dans ce cas simplement auto-suggérê. Néanmoins l'anesthésie
n n'a donc porté que sur la production des contractures; mais dans ce cas son action a été des plus manifestes. . Que peut-
eur à l'extrémité de la dent canine de droite. Après avoir examiné le cas avec son chirurgien-dentiste, M. Lamadrid, celui-
nt et reconnaissance, parce qu'il me mettait en présence d'un nouveau cas , pour démontrer aux autres médecins et justifier
l'absence de douleur après le réveil. Nous savons tous que, dans ces cas , l'anesthésie est produite facilement avec la gla
ui allait à pas de géant dans le chemin de l'aliénation mentale. Ce cas s'est passé il y a près d'un au, et l'individu a
que de Sylvain V... s'est trouvée « grossièrement en défaut : dans un cas , Sylvain palpant, comme il le fait * dans sa pr
définit : « l'eau dans l'envelopj.e des poumons >; dans un autre € cas , au lieu d'une laryngite bien caractérisée, il re
urs, 0. Masson, à Paris et A. Storck, a Lyon.) Grasset (ProP). — Un cas de maladie de morvan. Leçons recueillies par le D
CE "l Par M. Ch. FÉRÊ. J'ai déjà eu occasion de signaler, dans un cas de zona de la face, des hallucinations visuelles
ers lui du coté de la névralgie (2). Je viens d'observer récemment un cas analogue. Le nommé K____ âgé de quarante ans, c
a Société de Biologie, le samedi 30 avril 1892. (2) Note sur quatre cas de zona et en particulier sur la douleur racbidie
ne condition qui peut être favorable à la période d'hallucinations. CAS DE NÉVROPATHIE AVEC PERSÉCUTION DÉLIRANTE GUÉRI P
voquée de l'influence possible du collègue suggestiooneur et, dans ce cas , si mes tentatives d'hypnotisation échouaient, di
ences, de ne ressentir aucune impression. El je ne doute pas, dans ce cas , de l'insuccès couplet de l'expert. Je niguore pa
e. J'avais lu naguère, dans U Revue de Wypnotisme, l'exposé abrégé du cas et j'avais été amené à critiquer la brièveté de l
e notre collègue vous a communiqué, mais une observation succincte du cas . Or. je dois le dire, cette observation me parait
it rapporté par M. Voisin était bien démontrée, il s'agissait là d'un cas du plus haut intérêt, puisqu'euûn on aurait mis l
elle ne ressort pas suffisamment du texte de l'observation. Dans le cas auquel je fais allusion, il s'agit, vous vous le
contraires à ses tendances et à sa nature d'honnête homme. Hormis ce cas , dont nous prétendons qu'il n'y a pas encore d'ex
sme, de crimes commis par suggestion hypnotique; lorsqu'on relate des cas particuliers i propos desquels l'hypothèse de la
tre relevée. Nous attendons encore et nous appelons avec curiosité le cas dans lequel le problème se poserait à propos d'un
rtitude la plus complète. Je me permets de vous en soumettre quelques cas que je crois intéressants. I. — Une demoiselle
fibililéful insignifiante. Sa sœur cadette se trouvait dans le môme cas , et je ne pouvais obtenir chez elle qu'un sommeil
peine à l'endormir à nouveau. Je pourrais relater beaucoup d'autres cas également très intéressants: j'ai tenu seulement
le plus souvent pour l'hypnolisalion. COURS ET CONFÉRENCES Sur un cas d'amnésie rétrograde et antérograde. — Leçon de M
fesseur Charcot a consacré récemment une de sas leçons à l'étude d'an cas des plus rares, mais aussi de» plus curieux au po
ciés que nous le faisons d'habitude dans ces revues cliniques, car ce cas est complexe et «on exposition est un peu longue.
tanément tout ce qu'elle perçoit. C'est la grande différence avec les cas d'amnésie ordinaire. Habituellement, en effet,
par illusion, par opposition A la suggestion impérative est, dans ce cas , aussi nette que possible. Chez un grand poljuriq
tai elle est demeurée tout l'hyver passé en très piteux estai. » Le cas suivant est un exemple de ceUe étrange maladie de
rsonne dans on moment de trouble cérébral. On en trouvera de nombreux cas cité* dans les anteurs l). on rencontre des obs
is on s'accorde pour considérer ce cAoc spécial, dans la majorité des cas , comme purement psychique. Traitement de l'impu
ile sont multiples et il ne saurait être question do traiter tous les cas d'une manière uniforme. Quand celte mesure est
tenin de la tarentule d'Apulie peut provoquer réellement dan certain* cas cette excitation particulière du système nerteux
ntagion morale. « Le mot contagion, dît Prosper Despine, est, dans ce cas , parfaitement adopté. La contagion des bons exemp
i otlre pourtant de sérioux et incontestables avantages dans bien des cas . Si je n'étais limité dans cette brève et sèche a
omlssiona do l'Index fimnooraptilquo. Charcot et Dutil.. — - Sur un cas de paralysie générale progressive à début très pr
x faits ». (Journal des Sciences méd. de Lille, 6.) F au. or. — L'a cas d'hémiplégie hystérique avec contracture et atrop
acture et atrophie musculaire ». (Marseille méd., 16. — Note sur un cas d'amnésie rétrograde consécutif à l'intoxi- , c
ue déplacer légèrement le point d'équilibre, ce qui, dans de nombreux cas , peut devenir de grande importance et produire de
ui suggère opère consciemment. Mais le mécanisme est le même dans les cas innombrables où l'on suggère quelque chose à quel
médicales inconscientes sont parfois fort dangereuses. En voici deux cas que j'ai observés, il y a peu de temps. Une hysté
danger, mais qui guérit néanmoins, grâce à l'antisepsie. Ce nouveau cas chirurgical esl suivi d'une subparalysie du bras
action des nerfs sur les organes dans le sommeil hypnotique. C'est un cas curieux d'inhibition dans l'acte fonctionnel de l
e Gouvernement réclamera le concours des Commissions médicale* et, le cas échéant, celui de l'Académie de Médecine jusqu'au
ion. 11 y jouera on rôle effacé, en quelque aorte peu digne, sauf les cas où il devrait accompagner ses clients- La présenc
nsentir et de celui qui n'est pas sain d'esprit. Dans tons les autres cas , une personne étrangère à la médecine peut librem
tisme n'est utile qu'à la thérapeutique et doit être réservé, dans ce cas , à des mains habiles et prudentes. C'est sous for
poser ma compétence à celle de M. Heynen; mais je crois qu'il y a des cas où l'intervention de l'hypnotiseur est utile : on
année; elle sera révocable et pourra toujours être suspendue. ¦ Ed cas de concours avec les infractions punies par les d
le nombre des démon* qu'ils hébergeaient. Nous en avons déjà eité un cas . En voici un nouvel exemple : Le 26 août 1629,
squ'à estro allé au bout de dix-nuict mois de vie à trépas >. La cas suivant est du même genre. On reconnaît facilemen
res pèlerinages. Noos en avons observé nous-mème un certain nombre de cas tout a fait caractéristiques. Nous pourrions cite
tout a fait caractéristiques. Nous pourrions citer un grand nombre de cas semblables, qui sont décrits dans les procès de s
et dit encore ensuite : « Messieurs, je vous en prends à lesmoinz, au cas qu'il m'arrive quelque chose. Je me plaindray. *
uet, incapable de répondre aux questions les plus pressantes. Dans ce cas on savait de bons moyens pour découvrir le sorcie
rues sans s'arrêter nulle part. Le Consistoire eut connaissance d'un cas de ce genre à la fin de l'année 1C07. Voici ce qu
, comme tous les autres, et la sorcière démasquée. Dans beaucoup de cas , cependant, on ne parvenait pas, malgré lous ces
enie (le mol de Cambronne. Ce phénomène, dont nous avons déjà cité un cas , est bien connu dans l'histoire clinique des mala
au diable. Marie Desvignes fut sorcière à treize ans. Aujourd'hui les cas de possession sont rares : non pas que Satan ait
• La possession peut parfaitement exister, et de fait on en cite des cas , sans les crises qui l'accompagnent ordinairement
ande à toutes ombres mortelles, aux Gobelins et aux Luiton» ; ne fait cas des sépulchrcs et tombeaux, ni d'aucunes aparitio
) par Lloyd Tuckey, 136, 171. Amnésie rétrograde et antérograde (un cas d'), par Charcot, 334. Amnésie rétrograde (un c
t antérograde (un cas d'), par Charcot, 334. Amnésie rétrograde (un cas d'), 62. Anesthésie chirurgicale sous l'influen
avec persécution délirante guérie par suggestion à l'état de veille [ cas de), par Andrieu, 322. Névropathie caractérisée
90 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
: ici, dominateur, là subordonné, peu importe; en fait, bien peu de cas se présentent dans la réalité, soit dans l'ordr
sons de montrer dans ce travail que le processus est, dans certains cas tout au moins, très différent de celui qu'on a
xaminant la figure 1, quecontrairelllent. à ce qui se passe dans le cas de la section d'un nerf, l'altération ne porte
, la lésion n'intéresse pas la totalité du segment. Dans ce dernier cas , il est possible de cons- tater directement sur
rée peut se présenter sous deux aspects bien différents : dans un cas , la gaine de myéline est détruite ou en voie de
. Lésions SEGMENTAMES totales. Nous nous occu- perons d'abord des cas où le segment interannulaire est modifié dans t
par les modifications de la myéline, doit avoir persisté. Mais le cas que nous venons de mentionner est rare, NÉVRITE
ractus, accompagné de la gaine de Schwann, peut même, dans certains cas exceptionnels, demeurer pour ainsi dire comme l
segment interan- nulaire, s'y succéder dans un ordre régulier. Ces cas offrent encore un intérêt d'un autre genre et m
idement achevé. L'exemple suivant montre de plus que, même dans les cas où la destruction de la gaine de myéline semble
ien n'empêche de supposer qu'elle ne puisse être définitive dans le cas où la cause pro- ductrice de la névrite viendra
s le fait est rare, dans les nerfs que nous avons examinés. Dans ce cas , la lésion du tube nerveux ne paraît pas différ
Nous avons cru devoir étudier en détail ces lésions à propos des cas expérimentaux, parce qu'elles se présentent ici
fesseur Charcot, avec notre collaboration 1. Il s'agissait ici d'un cas d'atrophie musculaire protopathique. Dans la fi
nterrompant brusquement pour se 1 Charcot et Gombault. Arote sur un cas d'atrophie musculaire p·oto- pathique. (A,'ch.
Enfin, nous avons pu constater des lésions du même genre dans un cas de névrite traumatique, chez un ' Voy.Debove et
tion plus com- plète que ceux que nous avons signalés à propos de cas expérimentaux ? Nous le croyons volontiers, car
beaucoup plus-grande dans les ? 7¡ ? - 1 f, ! l J' J. .. <- . . cas auxquels nous avons fait allusion. Il y a lieu de
s. Les nerfs ont été recueillis aussi ' frais que possible. Dans un cas , le nerf sciatique a été réséqué' sur' l'animal
erveuse prise au niveau d'une racine antérieure cervi- cale dans un cas de sclérose latérale amyotrophique. (Macération p
es segments interannulaires courts et de volume très différent a un cas de névrite traumatique. R, R, étranglement inte
) )'t 0,, 'Jo. si ,11 ? 9 .,).il J.j.L J qu'il s'agit aussi dans ce cas , d'un, état de contraction jM«V19J}0lY 1111- »-
circonstance, ne s'ont pas comparables à ceux de l'ataxie; dans un cas , ils sont d'origine cérébrale; dans l'autre, d'
mot, l'origine de l'excitation sera différente dans l'un et l'autre cas , mais le résultat sera le même. II est facile d
, se présenter dans des conditions de réelle difficulté. Tel est le cas dans lequel des états pathologiques différents
onsidérable qui revient à l'alcoolisme dans l'étiologie de certains cas de paralysie générale, suivons les changements
DÉLIRES MULTIPLES. 53 mènes moteurs de la paralysie, et, dans les cas aigus, lorsque des frémissements s'emparent des
ie épileptique. J'ai eu maintes fois déjà l'occa- sion de citer des cas analogues , des faits dans lesquels le délire a
tient le plus souvent, l'une du père, l'autre de la mère. Dans des cas excep- tionnels, les deux états pathologiques p
ns la série de pu- blications qu'inaugure ce mémoire. Dans quelques cas , nous avons pu faire l'autopsie et nous avons e
fonds, les ventricules latéraux très dilatés, comme dans tous les cas d'hydrocéphalie ventriculaire. L'arrêt de dévelop
base du crâne, constituent les points les plus intéres- sants de ce cas . Le second fait est relatif à une enfant attein
, qui pèsent chacun 50 grammes, est pâle. - Vessie, rien. Dans ce cas , l'idiotie est due à une lésion atrophique NOTE
. NOTES SUR L'IDIOTIE. 91 Nous n'insisterons pas davantage sur ce cas . Nous aurons l'occasion de revenir sur la natur
cité. Nous ignorons la cause de l'hémiplégie dans l'un et l'autre cas . Dans le premier, elle fut rapportée à une hémo
grâce à des fils qui traversent la paroi crâ- nienne. Dans ces deux cas , selon M. Schiff, on observe des déviations du
t été confirmées depuis par le même observateur et par M. Vulpian. ( Cas cité par M. P. Bert, Soc. Biol., janvier 1879.)
ntale, de celle des artères dans la région temporale. Dans tous les cas , il faut procéder à des applications difficiles,
roisième paire. A cette même époque était publié, par M. Féréol, un cas très curieux de déviation conjuguée des yeux, c
par M. Féréol, un cas très curieux de déviation conjuguée des yeux, cas dans lequel il y avait paralysie du droit exter
ion du nerf assez subite pour précéder l'action réflexe centrifuge, cas dans lequel il n'y a pas de ralentissement du c
oquement pour le côté opposé; . 3° Le même phénomène a lieu dans le cas de sections por- tant sur des points plus élevé
Nerw., etc., etc.). R. VicouRoux. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas DE MÉNINGITE aiguë SUPPURÉE CONSÉCUTIVE A UNE OTI
mes; leur nature reste jusqu'ici indéterminée. H. D'O. III. Trois cas DE maladie DU cerveau; par W. M. OSLER ? Mém. l
. Journ., fév. 1880, p. 295 et 346). La première observation est un cas de ramollissement embo- lique du noyau caudé, d
agitation pro- duite par l'éthérisation. Il rappelle à ce propos le cas d'un vieillard opéré de la cataracte après éthé
psie, un foyer hémorra- gique dans le cerveau. H. D'O. IV. SUR UN cas DE syphilis INTRA-CRA1'lIENI<E; par HUGHLINGS
ifération. La tumeur fut considérée comme un sarcome. H. D'O. VI. Cas d'endocardite ulcéreuse avec EMBOLIE cérébrale;
l'une d'elles on trouva une petite plaque ulcérée. C. T. VII. UN cas D'HÉMIPLÉGIE ET d'aphasie SUIVI DE GUÉRISON; pa
ectrisation, la guérison est survenue en six mois. H. de B. VIII. Cas d'aphasie traumatique, par MM. COLTER et STÉPHEN
Lancet. Décembre 1879.) MM. Colter et Stephen Smith ont rapporté un cas d'aphasie graduelle, guérie lentement, survenue
ccidents divers, surtout du côté des poumqns. A l'autopsie, sauf le cas où l'affection secondaire guérit, on retrouve,
f le cas où l'affection secondaire guérit, on retrouve, suivant les cas , les lésions de l'apoplexie pulmonaire, de la p
mérite d'être noté au point de vue médico-légal. Pour tous ces neuf cas , il est difficile de ne pas admettre, avec M. D
hoisies, car il nous avertit lui-même qu'il a eu soin d'écarter les cas équivo- ques ; d'autre part, le peu de temps co
A la . suite DE suppurations prolongées; par M. J. CHRITIAN. Les cas de rémission plus ou moins complète après de lo
complète après de longues suppurations ne sont pas rares ; des deux cas nouveaux 150 revue DE pathologie mentale. pub
'épilepsie et la chorée. La manie aiguë aurait été observée dans un cas . Si, devant la fréquence de cette cause, on dem
ait n'est pas mentionné par les statistiques; '<" enfin, que les cas d'épilepsie, de fatigue intellectuelle et d'épuis
phénomènes s'étaient amendés. M. Mickle fait remarquer que, dans ce cas , la syphilis n'a sans doute agi, pour produire
le foie présentait les traces d'une gomme. L'auteur parait, dans ce cas , attribuer la mélancolie à « l'anémie et à la m
ultiples furent reconnues à l'autopsie. M. Mickle admet que dans ce cas , les symptômes aigus ont été produits par de la
rs après leur arrivée dans la maison. La mort survint dans les deux cas , qui restèrent heureusement isolés. Quoi qu'il
té, mouvoir les muscles affectés. Les malades doivent donc, dans ce cas , être soumis à un système régulier d'éducation,
se pour la guérison varie avec les circons- tances propres à chaque cas ; l'âge du malade, le temps écoulé depuis le dé
ir ce qu'il entend par paralysie fonctionnelle ; car il rapporte un cas de guérison obtenue par sa méthode, chez un enf
un terme à cette justice barbare. Çà et là, néanmoins, quel- ques cas se présentent encore, spécialement dans les local
o-sexuelle. Ce terrain est plus positif. L'auteur mentionne ici les cas attribués aux orages de la puberté, aux acciden
uptueux est muet ou circonscrit à l'idéal, à moins qu'en ce dernier cas , la surexci- DES ABERRATIONS DU SENS GÉNÉSIQUE.
mbrai aurait été condamné à mort pour viol. M. P. Moreau croit le cas apocryphe. Mais ce qui n'est pas rare, c'est de v
sues sont incer- taines. En thèse générale, selon M. P. Moreau, les cas d'ordre purement physique seraient moins graves
er chapitre, consacré à la médecine légale. Négligeant les nombreux cas où le trouble morbide ne fait doute pour person
la limite entre le physiologique et le morbide ? Pour ce dernier cas , l'irresponsabilité est de droit; en est-il de mê
u'à toute autre altération destructive non syphilitique ? Voilà des cas dans lesquels la myélite systématisée n'est pas
toxique. De même, M. Landouzy n'est pas disposé à admettre tous les cas de para- lysie attribués à des troubles génito-
t au traitement de ces complications des maladies aiguës. Sauf le cas de la paralysie diphthérique, il n'existe guère d
Les médecins-adjoints, suivant l'ordre d'ancienneté, pour- ront, en cas de vacance, passer d'un quartier d'hospice à un a
aut, à propos de la névrite sa- turnine expérimentale, qu'en pareil cas , la végétation du protoplasma est infiniment pl
royons, pour notre part, que cette distinction est appli- cable aux cas qui nous occupent, qu'à côté de la né- vrite pé
semblent plaider dans le même sens. Finement émulsionnée dans un cas , segmentée en blocs volumineux dans l'autre (Ra
ns une nouvelle preuve de la nature irritative du processus dans ce cas . Gonflée et rendue plus claire dans ses couches
appe le mênie élément au niveau de la moelle épinière dans certains cas de myé- lite aiguë ou subaiguë. Or, les observa
tions étant identiques à celles que M. Ranvier a décrites en pareil cas , iden- tiques aussi à celles que nous avons ren
ursuivent au-dessus ou au-dessous du point examiné. ` A propos du cas de myélite antérieure chronique, observé chez l
inution progressive de l'action trophique de la cellule : dans ce cas , la dégénération wallérienne commen- çant par l
se s'appuie sur cette circons- tance, que dans un certain nombre de cas d'atrophie musculaire, les lésions des tubes ne
u affecté. Du moins, les racines postérieures exa- minées dans deux cas ne contenaient aucun tube altéré, tandis que le
189 le trijumeau, mais comme le nerf facial examiné dans le même cas a été trouvé sain, la seule conclusion à tirer
est pas interrompu, la gaîne de myé- 1 M. Vulpian a observé dans un cas des lésions beaucoup plus pro- fondes. (Voir Vu
ue l'allongement brusque du muscle provoque sa contraction; dans le cas présent, cette contraction ou raccourcissement
procédé employé précédemment Fig. 10. -Phénomène du tendon dans un cas d'hémiplégie avec contras- lure. - A, secousses
à l'augmenta- tion de consistance des masses musculaires. Dans'là cas de -tremblement léger, l'augmentation de tonicité
à celui pris sur Urspring ? bien que le tremblement, dans ces deux cas , occupât des groupes musculaires différents. Qu
types classiques de paralysie agi- tante, il existe quelquefois des cas dans lesquels le tremblement n'existe pas, ou d
s émotions morales. La contracture n'en existe pas moins dans ces cas frustes, mais comme elle est portée au même deg
t mal, se manifestent à dés`éjôqùé`s'très rappro- chées. En .pareil cas , les accès convulsifs,, étant même assez éloign
vons été surpris de ne trouver aucune lésion sérieuse dans certains cas , tandis que, dans d'autres, nous constations de
bservations de démence épileptique sans lésions macroscopiques, Les cas qui composent ce groupe sont les plus nombreux
a dé- celé aucune lésion des méninges'. On voit donc qu'iLest des cas dans lesquels la dé- ' menée, bien qu'elle soit
vie.'11 111nt`I" il,q 5 ^ '11\1' \. ' ,\ "......,t" 1 ? l ? D Ce cas tire encore un autre motif d'intérêt de l'âgé p
. A l'oeil nu, contrai- rement à ce que nous avons vu dans d'autres cas , les lésions des méninges l'emportaient sur cel
nt atteinte. III. Examen histologique. L'étude histolo- gique des cas qui précèdent offre évidemment un grand intérêt
sa- tion initiale des lésions, attendu qu'il ne s'agit pas ici de cas d'épilepsie vulgaire; aussi y a-t-il lieu d'espé-
érons, serviront peut- être quelque jour à ceux qui observeront des cas ana- logues aux nôtres. , , , Nous n'avons ex
ntrication des fibres. DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 241 Les trois cas dont il s'agit peuvent être étudiés si- multané
UE MENTALE. JI 1 11 loti 1."J "T '¡"<;Jf. Ht J...I ni dans les cas dont il s'agit ici. Mais nousn'avons pas cons-
n ? I"11r..l0' ,nn., h W t·mrr l confirma. Tigges, dans certains cas d encéphalite expé- rimentale, en affirma égale
LE. o ? TII ! 1'Q'.IdTtt5l iLIr11f¡ : cla .l\l ....t\lI 'Dans les cas où la lésion est encore, jeune,, ces-, ce , , .
ême na- ture dans là paralysie'générale des aliénés et,dans nos , cas -dé ' m,liiiii -,o-ècé plia 1 i te des épileptiqu
altérations vasculaires, dans ? aiu» '>()ff `h1 RY ? " I si les cas que nous avons observes, sont très prononcées,
's 41 " 1 ...Id tH' f Il,,lp',q l' t'Il il ' J ? It) tante avec les cas que nous avons rapportés. Nous avons -r,K prn·"
dans léston appréciable, 'caractérisée, tandis que, dans d'autres cas , on notait des lésions très accusées. Ces lésio
hssaud. n'a.rpas .trouvé d'anévrysmes miliaires ? dans .ces; trois1 cas 'qu'il .a étudiési avec'tant de-^soin; d'un" au
epsie, sont atteints de la paralysie générale ordinaire ; en pareil cas , la 'paralysie générale se présente avec son co
générale se présente avec son cortège de symptômes habituels. Deux cas , très intéressants*, que l'un de nous a eu l'oc
e et de lui cacher les yeux). Après un temps qui varie, suivant les cas , entre deux ou trois minutes et un quartd'heure
t les sujets; elle peut comprendre tout le membre et même, dans des cas très excep- tionnels qui ont été observés posté
ion que' nous avons décrite. Mais on n'a pas toujours'affaire à'des cas 'aussi nets que celui que nous avons supposé) e
nsibilité. Ou bien encore, et il faut bien reconnaître que c'est le cas le plus fréquent lorsqu'on sort du domaine de l
de métallique dissimulée. VOICI en,quOllelle con ? 1 siste, dans le cas le plus simple : un malade, q'ur 'avait1 été ré-7
ÉSIOGÈNES, 263 copie n'est pas toujours chose facile et, qu'en tout cas , elle doit exiger de la part du médecin une trè
te application, obtenir des effets curatifs dans un grand nombre de cas . Alors, ce n'est plus delà métalloscopie propre
rapie ex- terne. M. Burq l'a employée avec,succès dans une foule de cas ; il cite des hystéro-épilepsies, une méningite
e à faire;' c'est le cuivre qui doit être ' em- ployé pourttous les cas indistinctement), les accès convulsifs de ' i l
rtie des idées de M. Burq. Ici d'ailleurs, on rencontre, à côté des cas manifestement fa- vorables, des difficultés etd
e thérapeutique. Il nous est déjà arrivé bien des fois, et quelques cas seront publiés, de voir l'aimant ou l'électrici
. - C'est cette utilité de la coopération du malade dans certains cas , en particulier dans les opérations sur la bouche
. - REVUE DE PHYSIOLOGIE. 279 Cependant, Treub a vu que, dans ces cas , alors qu'une lésion expérimentale engendre une
s le direction des centres nerveux, d'une façon centripète. Dans ce cas , il s'agit d'une paralysie névritique, symptoma
) renouvelées fré- quemment ne parurent pas avoir d'effet ; dans un cas où le li- quide n'avait pas été renouvelé les p
elle-ci et s'y terminer par une extrémité nécrosée. Dans le premier cas , le cylindre-axe resterait intact jusqu'au mome
du cylindre-axe. Ces extrémités renflées pourraient, dans certains cas , se segmenter et dis- paraître rapidement. Qu
e la nature histologique. Il est au moins vraisemblable que dans le cas présent la lésion médullaire était le résidu d'
un processus inflammatoire survenu pendant la vie intrà-utérine. Un cas analogue de M. Schultze (Cen- tîalblatt, 1878),
ardé par cet observateur comme pro- bablement congénital. Un second cas analogue, d'une plaque de sclérose, occupant ex
rculation par les mouvements choréiques, car elle manquait dans des cas où ces mouvements étaient plus intenses. La cho
rsddérla ml(}¡,e' t ? l ? Wlt 8, g ? fr,JI9 ? I qIJI,n¡ne J ! all)' cas cite Rlu{ hut,.aft ? n;( : R'lqnlenW¿hJ1h ? r.IF,
'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 289 professe M. Charcot, qu'il y a, dans le cas de tabétiques, plus que de l'arthrite sèche : i
al Disease). L. LANDOUZY. VI. Altérations DES NERFS cutanés dans UN cas D'ICTHYOSE congénitale; par LELOIR. (Comptes re
ld aI ! \.JlJY,'lsdgÍ1 REVUE' DE' PATHOLOGIE ! NERVEUSE; 295 XI.. CAS GRAVE'' de PROSOPOSPASMB A' marche singulière;' p
\\\)1.\1' ')K' \ ? ,S\.IJl;' 110\<'\ .1 : )\ 9 MM9\) XII. Cinq'1 cas tde 'paralysie lIfUSCULAIR7; PSEUDO-HYPGRTRO- -
montré : a la'Société, médicale du' Missouri, CU" S.)<plusieurs cas . de paralysie-musculaireipseudo-g liypertrophiq
- . : IJd"'}l : d(f 0 ! 1 't;)1 I.lVll , t 1 JU ........... XIII. CAS DE paralysie du grand dentelé A droite. (Serratus
X que celle qui'consiste aies; expliquer en disante que; dans ces cas , le filet moteur du ganglion ophthalmiql1e èst fo
? l, GI sEn. s'inspirant'' de' ces expériences pour interpréter les cas ,- , , ? |\ i ^,'1 . i ? .«h, r,' r-'t .v.tr,Hll
êt de cette observation' estldèmble : - d"àbbrd;1 iII's'àg1t t d'un^ cas , type de paralysie 1 pseudo-hyplrtroplliqlïe;)jJ1
. ''{ l' l I ! ' ", 1'1 11 1 1., ¡ "1 1'1 - Il ? 'fil ! xvoeJ 1 EUX CAS D ArrECTIONS PARALYTIQUES CHEZ l'enfant; 'avec
'de sciatique syphilitique épars dans la littérature médi- cale,-un cas de Baglivi (1707), deux cas de Plencli (DoCt7'r'n
pars dans la littérature médi- cale,-un cas de Baglivi (1707), deux cas de Plencli (DoCt7'r'na deimprbis venereis, Vien
u9-¡ p : s;J.de Lallemand (La clinique de Montpellier, 1 8'i-3) un" cas de Lacombe [Un. méd., déc., 1850), un cas de Pi
Montpellier, 1 8'i-3) un" cas de Lacombe [Un. méd., déc., 1850), un cas de Piorry(tl9ém. sur les affections du rachis),
1850), un cas de Piorry(tl9ém. sur les affections du rachis), deux cas de Gérard, cités dans l'ou- vrage ,'de Gros ' e
après lui, un accident rare. On rapporte une autopsie faite dans un cas de ce genre ? la'racine supérieure autopsie fai
ns un cas de ce genre ? la'racine supérieure autopsie faite dans un cas de ce genre : la,racine supérieure u ranc r' "
ueraient quelques faits réputés négatifs.. II. de B. ? i XXII. UN cas DE méningite TU ERCULEUSE avec PRISE DES tempéra-
ni, 1u(¡1'f[P : 8')11'j\11 j3 ? ['' 11 11U<I - A propos' de 'ce cas , '111.r;II.J'Jackson'passe en revue, en' quelques
1,\[,,\1 'HU' 'f9nu< ? < ? t". i o'hCj '111111 h ,'nû'6' XXV. CAS " DE'I TUMEUR 1 DU. cervelet;, par Mackensie B.1CO
nl IIIIY11 9'1 Illr 1' l1[/1 n r 1 , 1 I 11 ? ? W ' , dans d autres cas , au contraire, plusieurs causes (fatigues, iiim
1 .. fI Ji ' or ? ,r i . si .,Y] ¡ ! lW1J 3'i'rnir' (;Dans cesjhuit cas , les, trois conditions. étiologiques, syphilis,
et humidité,, surmèneraient, existent isoléesjou réunies. Dans Je, cas lgù JlL,SYP.l1Í\iAI,p.)M1 Constatée, les deux,, a
l''des'jambes.0 r REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 311 Dans tous ces cas , l'engourdissement ou quelque autre sen- sation
, il, est très probable que les méninges sont affectées. Dans trois cas , le réflexe rotulien' était exagéré; dans deux, i
! Tf , 1 . , r 1 - Il 1 '0'411 , L'auteur, après avoir rapporté un cas de fracture de la colonne vertébrale, dont il,
e, ( de ce qu'on vient de voir, on observe, généralement, dans, les cas de, traumatisme de 31O REVUE DE PATHOLOGIE NERV
la moelle une élévation thermique. C'est ainsi qu'il a vu dans/ un cas de fracture de la colonne cervicale,.la températu
ent qui parait être l'origine) de cette hyperthermie. Dans un autre cas de fracture dé la'colonne cervicale, rapporté p
) ·if..9tfrt tloo'tt o'1,>r''..., f ' '^i ? 1 ' ,'1 ? ? XXXIV. Cas d'hystérie précoce (jeune fille de 12 ans), guéri
ir, > -n mi 15 9-"ioni Jrt, muq en 'ip ™ sa I XXXVIII : 7SIUn UN cas d'atrophie du cervelet ; RarG.SEPP;LL;.(Jtt)) ! S
t-il penser.de cette femme ? - Ppur : ¡yI" Lasègue, on a",dans, ces cas , toujours affaire des malades; en remontant dan
s ainsi ? Du silence absolu gardé par M. Lasègue sur l'existence de cas différents, il serait, croyons- nous, téméraire
différents, il serait, croyons- nous, téméraire de conclure que ces cas n'existent pas. En dehors' de toute' morbidité,
ire ? La théorie de M" Lasègue" vraie pour la' grande' majorité des cas , nous parait donc.trop absolue,1 et nous aurion
tion thora- cique ou d'une' malformation crânienne ? dans les, deux cas , l'affection seconde sera nettement distincte]
e, bien,qu'elle ont puisse subir l'influence. Mais'dans les autres; cas , peut-on affirmer avec certitude ! que lai préten
épileptique, comme on en a quelquefois signalé. Si l'on suppose des cas où des phénomènes somnambuliques de ce genre, n
e,;cela soit vrai souvent, per- sonne ne,le niera; mais il) est des cas outil' en est autrement, et où le refus.des ali
oduc- tion.de l'anesthésie,, puisque, la sonde fut,'(dans,.ces deux cas , ' employée des que.,les malades refusèrent de
d'aliments rendu-tout platonique par l'usage de la sonde. Dans, ces cas ,. et. dans, bien d'autres, on doit ( rattacher
iles à distinguer lorsqu'on est prévenu. M. Gar- nier a observé des cas analogues d'association du délire épilep- tique
de la responsabilité criminelle doit êtreagitée dans chacun de ces cas . H. D'O. XXVII. Considérations HISTORIQUES sur
isation de la région sus-orbitaire. M. Stevens ne cite que ces deux cas , mais il a déjà remarqué, au cours de sa pratiq
à la suite des irrita- tions intestinales et en particulier dans le cas de vers intesti- naux. H. DE B. V. DE la ToNG
e ou le troisième jour. Les auteurs ont employé ce remède dans huit cas de névralgie; six ont été rapidement guéris, un
ont été rapidement guéris, un fut très amélioré ; dans le huitième cas , le remède échoua après une semaine d'essai. Voic
urs; guérison. Les autres observations sont analogues ; ce sont des cas de névralgie faciale ; la guérison est complète
n trois jours au plus. C. T. VI. La curabilité DE la FOLIE ET LES cas DE GUÉRISON dans LES maladies mentales; par M.
u- ses d'erreur pouvant s'introduire dans la discussion , que les cas de guérison sont moins fréquents aujourd'hui qu'i
la dernière phalange de l'index et du médius. M. Marsh rapporte un cas , où la suture fut faite peu de temps après la b
descendante, diagonale, renversée; la différence observée dans ces cas est plutôt une affaire d'intensité que de genre
et le pôle négatif des propriétés irritatives ; 2° il y a quelques cas d'intolérance ou de susceptibilités particu- li
paraissant s'y opposer. En pratique, il faudra tenir compte de ces cas individuels ; 3° le dosage de l'électricité est
r des courants ou très faibles, ou très forts, selon les différents cas . H. DE B. ' XIV. Du TRAITEMENT DU DELIRIUM TREM
d'après l'opinion la plus généralement adoptée, un grand nombre de cas de folie ou d'actes criminels sont attribués à
statistiques les plus dignes de foi. De plus, dans la majorité des cas , se trouvent en même temps que l'intempé- rance
tance. Quant à lui, dans l'hospice de Cambridge, il a analysé 1,950 cas diffé- rents et a trouvé que sur les 75 cas att
dge, il a analysé 1,950 cas diffé- rents et a trouvé que sur les 75 cas attribués à l'ivrognerie, 40 au moins pouvaient
eux étaient tout à fait différents de ceux qui s'observent dans les cas où l'ivrognerie est bien la cause réelle et princ
chiffre de 14 pour cent, donné comme représentant la proportion des cas dùs à l'intem- pérance dans toute l'Angleterre,
de vue 200 malades, 100 hommes et 100 femmes; sur les premiers 26 cas , sur les dernières 6 cas étaient attribués à l'in
hommes et 100 femmes; sur les premiers 26 cas, sur les dernières 6 cas étaient attribués à l'intempé- rance ; ces prop
xistante, et il pense qu'il en est ainsi dans un tiers au moins des cas d'aliénetion attribués à l'alcoolisme. Comment
lles dérivent du courant d'idées propres au délirium tremens. Les cas aigus de folie alcoolique guérissent quelquefois,
s d'intempérance , ce qui n'a pas lieu s'il n'est que symptôme. Les cas chroniques ne guérissent pas, mais dans ceux où
orrecte; il y a de l'exagération à prétendre que dans la moitié des cas l'alcoolisme est la cause de la folie, mais le
façon la plus évidente que, dans chaque département, le chiffre des cas d'aliénation mentale augmentait proportionnelleme
apporte que, d'après les statistiques des Etats-Unis, le nombre des cas d'idiotie ou de faiblesse intellectuelle dus à l'
ie des parents est de 38 pour cent. Quant à lui, il a examiné 430 cas sur lesquels il a pu avoir des renseignements pré
nts était très notable. Parmi 22 338 sociétés savantes. ces 138 cas , sur les 72 (hommes), 47 étaient congénitaux, 2
puis les excès accidentels jusqu'au délirium tremens. Dans quelques cas , l'ivrognerie s'étendait à toute la famille.
i qu'il a observé lui-même dans le Royal-Albert-Asylum, où, sur 300 cas , il n'en a trouvé que I 6 dans lesquels l'idiotie
précédentes communications; quant àlui,il n'a jamais observé aucun cas où l'alcoolisme fut un symptôme prémoni- toire
a jamais observé dans les classes supérieures de la société un seul cas de paralysie gé- nérale due à l'alcool, il pens
M. EASTWOOD (Darlington) insiste sur la difficulté de traiter les cas de dipsomanie ; il ne partage pas l'opinion de lo
rtage pas l'opinion de lord Shaftesburg, qui attribue 50 p. 100 des cas de folie à l'alcoo- lisme, et croit que la para
sion. Sans doute l'alcool est loin d'être la cause de la moitié des cas d'aliénation mentale, mais on ne peut dire non
laisse beaucoup à désirer; il reconnaît cependant avoir observé des cas où l'alcoolisme était bien la cause unique et pri
SOCIÉTÉS SAVANTES. diale de l'aliénation, tandis que, dans d'autres cas , elle n'était qu'une cause adjuvante. M."B. B
vante. M."B. BALL fait une communication sur un certain nombre de cas d'ischémie fonctionnelle du cerveau et sur les sy
del'AsylumJournal, mais il vient d'observer récemment un nou- veau cas de ce genre chez un homme en proie à une mélancol
s aliénés. SOCIÉTÉS SAVANTES. 311 M. SUTHERLAND (Londres) a vu un cas où une très légère contusion produisit chez un
k Tuke on est exposé à des erreurs d'un autre genre, et il' cite le cas suivant : à la suite d'un amour malheureux, un
épileptiques adonnés à une masturbation incessante ; dans un de ces cas , il a obtenu une grande amélioration. - M. LE
riques et en particulier des températures dites cérébrales dans les cas de pa- ralysz*es d'origine encéphalique; par M.
rvations de ther- mométrie céphalique sont ensuite données dans des cas de ra- mollissement et d'hémorrhagie du cerveau
, et pour ceux de sclérose cérébrale dont M. Grasset a observé deux cas . La deuxième partie du travail que nous analyso
t consa- crée à la température des aisselles et des membres dans le cas de lésions cérébrales. Le sujet avait déjà été
gie, 15 juin 1867. 344 re BIBLIOGRAPHIE. dans sa thèse ' tous les cas recueillis par l'Ecole de la Salpê- trière et p
.-Les médecins adjoints, suivant l'ordre d'ancienneté, pourront, en cas de vacance, passer d'un quartier d'hospice ci un
t une consultation après l'examen d'un aliéné, et un rapport sur un cas d'aliénation mentale. Il sera accordé au candid
r, sur quoi repose une telle conclusion ? Précisé- ment, sur divers cas de lésions anatomo-pathologiques (notamment des
rconstances, ne trouvera-t-on pas un vif intérêt à étudier certains cas où l'on rencontre un arrêt de développement con
enir par d'autres voies. Plus loin, j'entrerai dans l'exposé d'un cas , d'une observation, unique dans la littérature
celle-ci, et qui ont déjà été publiées. Craveilhier 1 rapporte le cas d'un garçon mort à l'âge de 15 mois. Cet enfant
rmal, elles étaient sclérosées. Cruveilhier, dans l'analyse de ce cas , rapporte les altérations qu'il a rencontrées, à
au texte, répondent aux circonvolutions centrales. Ainsi, dans ce cas , l'atrophie et la sclérose des circonvolu- tion
'offrent donc plus qu'un intérêt purement anatomique. Le deuxième cas regarde un enfant de 8 mois. Sur LOCALISATIONS
essaie de démontrer que l'hydrocéphalie ne sau- rait être, dans ce cas non plus, la cause des altérations constatées :
ATOMIE PATHOLOGIQUE. Heinrich Schüle 1 a publié la description d'un cas , qui ne le cède point en intérêt au précédent :
alcooliques très prononcées et sa famille présentait de nombreux cas d'affections mentales. A 8 mois, X... eut sa pr
es que d'habitude, étaient irrégulièrement éche- lonnées. Pour ce cas , Schüle arrive à conclure qu'une hydrocéphalie
e développement de ce cerveau. Enfin, Campbell Clark' a publié un cas analogue : il y avait arrêt de développement de
lon suprà-orbitaire longitudinal. PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR UN CAS DE MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGU E D'ORIGINE R
s ont pu rendre difficile un diagnostic peu em- barrassant dans les cas ordinaires. Observation I. Rhumatisme articul
du reste dans les Bulletins de la Société ana- tomique pour 1879 un cas qui n'est pas sans analogie avec le nôtre, auss
rables, sauf pour la manifestation cardiaque qui a man- qué dans le cas de M. Arnozan. Nous noterons aussi la prédomina
s établi que c'est celui auquel il faudrait avoir recours en pareil cas ; les lésions de stéatose viscérale que nous avo
nts idiots, chez lesquels, à l'autopsie, nous avons trouvé, dans un cas , des lésions analogues à celles qui sont représ
résentées dans la Planche III (Voir PL. ,VIII et IX) ; dans l'autre cas , des lésions absolu- ment semblables à celles d
: Si l'on compare les symptômes intellectuels relevés dans ces deux cas , on voit qu'ils étaient à peu de chose près les
Bs. II. Il n'est pas rare de voir les pur- gatifs échouer en pareil cas ou produire quelques selles liquides sans évacu
lévation assez rapide (3 8°, 4 six heures avant la mort). Dans ce cas , de même que dans celui de l'OBS. III (p. 81-90
La qualification d'encéphalite tubéreuse, que nous avons donnée au cas dont il s'agit, témoigne que cette forme morbid
aits très disparates au nombre desquels il faut compter surtout des cas de sclérose en plaques. Mais la véritable encép
tion de sa fréquence et il nous est difficile d'en signaler aucun cas de nature à servir de terme de comparaison avec
ngo-encéphalite analogue à celle dont nous avons rapporté plusieurs cas précédemment '. Enfin, M. le professeur Mierzej
urni de si nombreux exemples. On ne peut pas non plus assimiler ces cas à ceux des ob- servations précédentes où le pro
nous signalions dans les précédentes observations rela- tives à des cas de méningo-encéphalite, on ne ren- contre pas d
étalloscopique régulière. Or, on peut se demander comment, dans ces cas , a disparu l'anesthésie de re- tour. La réponse
STHÉSIOGÈNES. 415 exactement comme la sensibilité cutanée en pareil cas . C'est- à-dire qu'après s'être graduellement él
gagnait. Il s'agissait donc, non d'une amélioration réelle dans ce cas , par l'action métallique, mais seulement d'un d
nstate que dans une région que nous appellerons ana- logue (dans le cas supposé, c'est la partie antéro-externe de la j
l malade (il est rare que les deux yeux soient affectés, et dans ce cas ils le sont inégalement) a perdu la faculté de
la perception des couleurs se perdre suivant l'ordre indiqué, et en cas d'amélioration se rétablir suivant l'ordre inve
plus de temps que les précédentes. Il serait difficile, et en tous cas trop long, de rendre compte, sans le secours des
ue plus l'évolu- tion des phénomènes de celle qu'on observe dans le cas de l'application du métal sur le côté insensibl
elle était autrefois sensible détermine l'anesthésie, comme dans le cas précédent. Mais on se demande par quelle manife
M. Rosenthal, qui eu l'occasion de faire cette comparaison dans un cas d'hémianesthésie hystérique, en se servant d'ai
édé sert aussi à déterminer la nature hystérique des crises dans un cas douteux, ou à mettre la maladie en évidence lor
péter que la sensibllité cutanée n'est pas seule intéressée dans ce cas ; on constate également l'affaiblissement bilaté
transfert et de l'anesthésie provo- quée d'indiquer les différents cas , relativement à la distribu- tion de la sensibi
ité, celle-ci repa- raît en même temps sur l'autre côté. Ce dernier cas correspond exactement, mais en sens inverse, à
a sensibilité résultant d'une application faite dans les différents cas qui peuvent se présenter : MÉTALLOS COPIE, MÉ
nés par les étincelles les plus fortes. De même aussi dans certains cas d'a- nesthésie tenace, traités régulièrement pa
e nous venons de voir que cela a lieu pour la peau. En dehors des cas qui ont servi de type aux descriptions qui préc
rise du traitement, et la dernière fois définitive- ment. Dans un cas d'hémianesthésie chez une jeune fille, la sensi-
iogénique est très faible, avec les métaux par exemple, ou dans des cas étran- gers à l'hystérie. (A suivre.) REVUE D
omose avec l'accessoire du brachial cutané interne; dans ce dernier cas , il fournit le pre- mier rameau huméral, tandis
membre inférieur gauche. Ces deux faits sont presque semblables au cas décrit par W. Türner, dans lequel deux branches
Ces considérations anatomo-physiologiques, rapprochées de quelques cas cliniques, avec autopsie, dans lesquels les mala-
faite. Le diagnostic « tabès» » aurait peut-être répondu à certains cas , si toujours certains symptômes n'eussent rendu
purement d'une lésion isolée des cordons postérieurs. Pour d'autres cas , le diagnostic vraisemblable est celui de dégé-
e présente d'analogie avec aucun état pathologique connu. Dans un cas fort remarquable, la narcose chloroformique a f
lit donc pas aussi aisément que le suppose M. Lion; et s'il est des cas où elle peut se produire, ce dont nous convenon
nous convenons d'ailleurs sans difficulté, il faut considérer ces cas comme fort loin de constituer la règle. Enfin,
devrait voir toujours se produire des mouvements associés dans les cas bénins, alors que la rigidité n'est pas assez i
mouvements associés ne peuvent être constatés que dans un nombre de cas relativement restreint, et il est très vraisem-
ise à une innombrable série de modes différents; que, dans certains cas , le faisceau pyramidal s'entrecroise totalement
que l'hémiplégie de cause cérébrale est, dansl'immense majorité des cas , beaucoup plus prononcée au membre supérieur qu
localisations cérébrales, faut-il refuser presque toute valeur aux cas d'hémiplégie dans lesquels on constate une paraly
nstate une paralysie plus marquée du bras que de la jambe. Certains cas même, dans lesquels il semble n'y avoir qu'une
aces le lendemain'. » Et si maintenant on considère l'évolution des cas d'hémiplégie où la contracture a frappé égaleme
n parle côté sain doit se faire beaucoup plus aisément que dans les cas vulgaires de ramollissement ou d'hémorrhagie, q
s. Aucun traitement ne fut institué. Observation IIL-Enfin voici un cas qui présente seulement de l'analogie avec la de
es 3e et 7° côtes gauches; friabilité osseuse. Relevant alors les cas de chorée chez les gens avancés en âge, publiés
t dans l'hémichorée, et l'exemple rapporté par Fro- riep ; dans ces cas comme ici, une cause irritative agissait sur les
réflexes médullaires et des modifications qu'ils subissent dans les cas où une lésion de la moelle soustrait une région d
ue cette opinion puisse être acceptée indistinctement dans tous les cas : c'est ainsi que le Dr Saundby a rapporté, d'apr
mblable l'hypothèse d'une lésion organique de la moelle, et dans le cas même où il y aurait eu une lésion commençante,
des lésions peu avancées. La seconde observation est un exemple des cas où de nou- veaux symptômes apparaissent, par su
. Les auteurs sont divisés sur la question de sa^ voir si, dans ces cas , la sclérose est primitive ou secondaire et pou
âtre. Troubles divers de la sensibilité. H. D'OLIER. XLIV. SUR UN cas DE paralysie DES quatre extrémités ET DES MUSCL
le Dr IIessler trouvait les tympans tout à fait normaux. Ces deux cas concordent avec le tableau clinique tracé par V
s'agissait d'un glz'8me mou du pont de Va- role et du cervelet. Le cas est intéressant pour la forme et le siège excep
droite, consécutives à une méningo- encéphalite développée dans un cas plusieurs années après une plaie de tête, dans
etc., le catarrhe de l'oreille moyenne existe dans la majorité des cas . A propos des symptômes, il a noté que la direc
ion se fait toujours dans le sens de l'organe malade; dans quelques cas , les sensa- tions de rotation sont produites ex
s après la trépanation). Le traitement local triom- phe souvent des cas récents. La quinine recommandée par M. Charcot
pathologie NERVEUSE. mières années. D'après une statistique de 168 cas , pris au hasard, les accidents cérébraux et méd
ère année qui suit l'infection qu'à toute autre époque; sur les 168 cas , en effet, il y en a eu 53 de 2 à 12 mois, 32 d
de l'organe vocal. On ne trouverait dans les auteurs que quatorze cas de cette maladie, se décomposant ainsi : trois
urs que quatorze cas de cette maladie, se décomposant ainsi : trois cas de paralysie bilatérale complète de chaque côté
: trois cas de paralysie bilatérale complète de chaque côté ; huit cas de paralysie bilatérale incom- plète d'un côté;
huit cas de paralysie bilatérale incom- plète d'un côté; enfin deux cas de paralysie bilatérale incomplète des deux côt
e intensité de la paralysie des deux côtés du larynx paraît être le cas le plus fréquent. Les causes relevées dans les
corps thy- roïde, cinq fois un anévrysme ; et enfin, dans un autre cas , il s'agissait de ganglions lymphatiques volumi
troisième publiée en 1836 par le docteur Ley. Il rapporte aussi un cas de tétanie, cité dans les cliniques de Trous- s
her ou le chloroforme dissipera la contracture per- manente dans un cas , et suspendra le spasme réflexe dans l'autre. E
par M. Peacock et le docteur Harley, qui en rapportèrent plusieurs cas (AM. Times and Gaz. , 1862-1863) ; enfin défini
départ : 1 ° l'hystérie et l'hystéro- épilepsie qui, dans quelques cas rares, débuteraient par l'état neurasthénique ;
d'une période plus ou moins longue de neurosthénie. H. D'O. LXIV. Cas d'épilepsie accompagnée DE mouvements ET DE CON
uefois vomissements et céphalalgie consécutifs à l'attaque; un seul cas de chute hors du lit pendant une d'entre elles.
, ininterrompues, toujours identi- ques à elles-mêmes comme dans le cas relaté plus haut. Ainsi s'expliquerait le cache
r le Dr PiCQUÉ. (Gaz. médicale de Paris, juin 1880.) LXIX. SUR UN cas d'hémorrhagie cérébrale, LIMITÉE A la capsule e
par F. CERASI. (Gazetta medica di Roma, n° 12, 1880.) LXXI. Deux cas DE lésions corticales DE la zone motrice ; par
1, 15 janvier ,1880. 476 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LXXII. Deux cas DE MÉNINGITE suivis DE GUÉRISON ; par BAREGGI ;
azzetta degli ospitali, 4r° année, n° 7, 45 avril 1880.) LXXIII. UN cas d'hémorrhagie sous-arachnoïdienne, accompagnée DE
- péralité, lactation, helminthiase, etc. Ou bien on envisage les cas , beaucoup plus rares, d'amélioration durable, voi
un certain état d'anémie (suite des typhus graves). Dans les deux cas , la nutrition peut se trouver réglée à nouveau, l
d'accès mélancoliques après celle d'une constipa- tion rebelle. Le cas de M. G. Angelucci est analogue ; il s'agit d'u
sur la région lombaire, tantôt dans le rectum. On voit que, dans ce cas , l'atonie intestinale était prononcée. Du reste
ons de minimum, comme chez les aliénés. M. Angelucci croit dans ces cas à une influence du pneumo- gastrique et des vas
nte observation. Il recommande l'emploi de l'électrisation dans ces cas , ce qui 1 Wilton.- A case ofobstinate Constipat
rouvent comme tous les lypémaniaques anxieux. On n'a noté que trois cas de guérison de cette forme de mélancolie, quand
re. Une fois dehors, il recouvre bientôt sa tranquillité. Le second cas est celui d'un malade atteint d'autre part du'd
au contraire, lors- qu'il y a tendance à l'agitation, ce qui est le cas ordinaire, c'est la pupille droite qui est la p
nervose, mai et juillet 1880.) E. Toselli rapporte avec détails un cas où il a vu des désor- 48 le REVUE DE PATHOLOGIE
moins actif que le délire paralytique,ne lui ressemble pas. En tout cas , les autres différences sont assez tranchées et
e nom de kleptomanie. En province, il croit en avoir observé deux cas , et encore fait-il ses réserves. Pour le second d
rvé deux cas, et encore fait-il ses réserves. Pour le second de ces cas , au moins ce ne serait pas trop d'une négation
giques, novembre 1880.) XLV. EMPLOI DE la MÉTALLO THÉRAPIE dans UN cas D'HYSTÉRIE convulsive ET VÉSANIQUE; par M. CULL
t la folie était de longue date, de notoriété publique. Le second cas était plus fait pour exercer la sagacité et le
pas complètement repris leur disposition normale. H. D'O. XIX. UN cas DE SYPHILIS cérébrale ; par GAMBERINI (Giornale
imple eu-. riosité thérapeutique. -On sait d'ailleurs que, pour les cas où la poche ne renferme pas un segment médullai
intermittente de la 51 paire par l'emploi de la quinine ; un autre cas de névral- gie non intermittente a été guéri pa
rapidement guéri par l'application des courants cons- tants. 1er Cas . Malade atteinte d'otite moyenne gauche, à la s
urs de l'année suivante, cèdent rapidement au même traitement. 2e Cas . Trismus à la suite d'un refroidissement. Appli-
autre BIBLIOGRAPHIE. 497 à un accès de délire aigu. Dans les deux cas , le bromure de potassium, administré deux jours
toutefois, il convient de faire quelques réserves. Dans le premier cas , il ne faut pas l'opposer à l'insuccès des médi
disparition de la contracture faisant place à la flacidité dans les cas où survient l'atrophie musculaire qu'il a décrite
nte aux muscles de l'épaule et à ceux de l'éminence thénar; dans un cas qui a évolué sous les yeux de l'auteur, le débu
nternes provisoires chargés de remplacer les internes titulaires en cas d'absence ou d'empêchement. La durée des foncti
ment avçq dâc surf ace;dul cerveau ; ' tandis, qu§ , 1 dans m ojLre^ cas , jcet, ori-^ fice de communication est, fermé
de ces deux maltormations cérébrales^ j'âi^cïH'devoi'f donner air1 cas de Bogaanow le' n`oni'de orétce' phalaé7 fdusse
2 fil ub uaijim ne àulia 2h;hypertrophie)ldeliqvant,-mur, est),,uni, cas ,ugiiionq unique,Y,u. moins; qesi plus;rarg; tdi
1-Jllki`Ji 1 yU 91nq tissu cérébral. Ei5enmatin regarde ces divers, cas ,, t1592 9u re9frJJlG(T'19`ISema ? ll rGeardÇOSi
'OJ 90tf.0lüts `Jn819CâïÔ lui ? 9lbLeT'Si'1 8fTOl,irJlOVfI0110 eLes cas d'hétérbtopie de-la substance cérébi`ale; çl'ùlie
àqt'écorcedes circonvotutiong'occipitatesPEnLoutrenrapportetoisu cas ^,défdévelop'pement3d''un^ointirdéVubstaucéigrise^
isseur du cerveau, n'en restent pas moins debout, ou, dans tous les cas , jettent un certain trouble dans l'esprit du ch
qu'il ne s'agit ? a001 10101-1 ? du-M ? K. . , , , s pas, en pareil cas ,.d éruptions banales, -c'est qu'elles ? s ? P . '
. 3h a4lW '11 ? "Il'dit avoir souvent observé ces taches en pareil cas , 'depuis 1'8ï5 q , "-u9']'t "J'l' Ifi -ifibc-1t
xie se produisent, en l'absence de toute lésion tabétique, dans des cas de myélite et de méningo-myé- lite, spontanée o
u réseau muqueux (Laugerhans, Biésadeclii), pourront, dans certains cas , provoquer là un travail phlegmasique. On compr
st sous le coup d'une attaque récente ou imminente. Dans ce dernier cas , l'attaque a lieu dans la journée et d'autant p
constata en outre un fait très important : l'arrêt dé- pend dans ce cas , c'est-à-dire lorsque les deux plaques sont sur
neutre ne saurait être regardée comme exacte puisque, dans certains cas , le métal ainsi qualifié manifeste une véritable
c l'attention sur la propriété réellement dépressive, dans certains cas , des métaux jugés, sans examen suffisant, comme
mais cette fois le résultat peut être complètement négatif. Dans ce cas , si aucune attaque ne vient donner l'explicatio
une tension forte qu'avec une faible, au moins dans la majorité des cas . Tandis que pour le galvanisme, au-dessus d'une
énergique et qu'elle se manifeste dans la presque généra-, lité des cas . En conséquence, lorsqu'on voudra obtenir un effe
. Lan- douzy a observé et étudié avec toute la rigueur désirable un cas où l'approche d'un aimant produirait un état hy
duire. C'est, selon M. Burq, ce que l'on obtient dans beaucoup de cas de la seule métallothérapie externe. Mais on atte
ou plusieurs fois l'application pour achever la cure. Dans certains cas , en effet, après le retour rapide de la sensibi
peut-être fallu prolonger outre mesure. Il n'y a du reste dans les cas de ce genre, aucun détail qui différencie l'act
ANATOMIE PATHOLOGIQUE XI. Examen microscopique DE la moelle dans UN cas DE PA- RALYSIE infantile (avec planches); par B
les expériences en question par la ligature du nerf. Dans tous ces cas , la guérison s'effectuait en moyenne du 28° au
foulement des éléments de chaque côté de la ligature. Dans tous les cas , les débris myéliniques agissent comme corps ét
). (Archiv f. Psych. u. Nervenlc., 1880.) , 0 ' i Dans tous les cas où il est difficile de suivre les fibres myéli-
tel point parti- culièrement détruit : ainsi en est-il dans un des cas de la disparition des cellules multipolaires da
ntant une altération dans leur quantité;-et, dans les deux derniers cas , précités la dé- croissance considérable de l'e
argyrique n'ajamais donné au professeur W..., de guérison d'un seul cas de tabès : on sait, du reste, qu'on obtient dans
ale, il est indiqué de s'adresser à ce genre de médication dans les cas où la syphilis 582 REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQU
ons qu'en tire l'auteur. , M. ' ! i r <i ' ' XVII. NOTE SUR UN cas d'ataxie locomotrice avec autopsie (avec 4 plan
e de l'embryon même dans une direction pathologique. P. K. XVIII. Cas d'induration multiloculaire DU cerveau ACCOMPA-
des membres inférieurs étaient très atrophiés. » C.'T. ",~r* XIX. Cas d'une FORME intermédiaire DE dégénérescence INF
Le professeur Sehuitze fait remarquer, qu'il existe une série de cas d'arrêts jde' développement fissuraux ou- cavitai
ormal, l'hallucination sera prise pour une réalité. ' , ; Dans le cas que décrit Hammond, les hallucinations existent
sans dérangement intellectuel. Elles diffèrent, par conséquent, des cas d'épilepsie avec hallucinations, où les hallucina
vie ait pu en faire soupçonner l'existence. A ce propos, il cite le cas du 590 REVUE- DE PATHOLOGIE NERVEUSE. célèbre
de tous les symptômes. Elle est double dans l'immense majorité des cas ; pourtant Hugh. Jackson a rapporté deux cas (ff
l'immense majorité des cas; pourtant Hugh. Jackson a rapporté deux cas (ffied. Tzines and Gaz., fév.1874) où la névrit
ement pour conséquence laperte de la vision centrale. Dans les deux cas que rapporte Bramwell, il n'y avait pas de trou
pratique. Chaque fois qu'on soupçonne une tumeur cérébrale, dans le cas par exemple de céphalalgie persistante-ou répét
s des. canaux demi-circulaires occupe le même siège. C. Ta LXXIX. Cas DE thrombose autochtone DU SINUS longitudinal ;
es maladies qui 1,'accompagnent seront d'abord combattues. Dans les cas simples, la pratique de l'articulation des mots à
isation du langage articulé. Waldenburg, Broadbent ont rapporté des cas d'aphonie congénitale avec intelligence complèt
connues, en raison du petit nombre d'autopsies faites. Dans trois cas de surdi-mutité congénitales les lésions ont été
ées à la surdi- mutité, elles sont encore moins connues. A côté des cas de M. Luys avec atrophie des circonvolutions de
trophique des cordons blancs postérieurs constituée dans le premier cas par la consistance molle des tissus et la néopl
u'on y peut parfois noter. N'existe-t-il pas, ajoute M. Schmid, des cas où ces symptômes existaient en l'absence d'atax
s, etc. Depuis son dernier mémoire, Erbaréuni quatre-vingt-quatre cas de tabes ataxique; cinquante-sept fois il y avait
tait faible, douze fois ; ce qui donne un total de soixante et onze cas où la réaction était diminuée, contre treize où
oujours lié à l'immobilité pupillaire; il manque dans la moitié des cas . Parmi les trente-sept cas de myosis, il y avai
pupillaire; il manque dans la moitié des cas. Parmi les trente-sept cas de myosis, il y avait huit fois atrophie du ner
avait huit fois atrophie du nerf optique. Sur les soixante et onze cas , quarante-trois appartenaient au stade de début
de déviation de l'omoplate, on en observait une très nette dans le cas en question. L'auteur pense que ces paralysies,
ue de la maladie, et, dans 602 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. deux cas elle fut constatée jusqu'à la mort. Dans un de ce
x cas elle fut constatée jusqu'à la mort. Dans un de ces der- niers cas , l'autopsie a montré récemment une sclérose très
cularité n'a été jusqu'à présent constatée par l'auteur que dans un cas . C'est la réapparition dans un cas type d'ataxi
nstatée par l'auteur que dans un cas. C'est la réapparition dans un cas type d'ataxie locomotrice datant de dix ans, du
érédité. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE. 603 LXXXIX. SÉRIE DE cas DE paresthésie, principalement DES mains, A RET
ent de couleur de la peau. qui devient pâle ou rouge. Dans quelques cas , il suffit de laisser pendre le bras hors du li
nce à la hanche et s'étend au pied ou réciproquement. Dans quelques cas , les bras sont pris, et souvent un bras et une
ites de couches, 8,6; pour celles de l'allaitement, 5,6 0/0 sur 261 cas d'aliénation puerpérale. Sur 100 maladies puerpér
ment à la guérison psychique et physique ; celle-ci est en certains cas précédée d'un stade de stupidité intermédiaire.
des fonctions physiques (6 observations). L'auteur n'a vu que deux cas de folie circulaire survenue six semaines après
' semble avoir entraîné de l'amélioration. Inversement il existe un cas de conception ayant guéri une psychose antérieure
de chaque espèce des altérations. De ce fait, il rapproche un autre cas relatif à un paralysé général dont la nécropsie
ser souvent inaperçues ; il croit que si, dans un certain nombre de cas , ces hémorrhagies sont dues à des ulcérations de
rme de psychose combinée ; de cette dernière M. P. rap- proche deux cas de Morel (Mal. mentales, 185 Il, p. 1 t 5) semb
bdom., nos 48, 51, 52), sous le titre à'épilepsie larvée. P. K. LV. Cas d'automutilation d'une aliénée ; par EDOUARD FL
rois mois après, elle était intelligible pour tous. P. K. LVI. UN cas DE MYSOPHOBIE; par E.-C. SEGUIN. (Arch. of Ñ1ed
n syphilitique le plus ordinairement légère. En appliquant dans ces cas un traitement antisyphilitique. M. Hamilton a o
Bramwell cite, à l'appui de son dire, quatre observations : dans 3 cas de frac- tures compliquées, dont la seconde a n
divers agents thérapeutiques auxquels on a eu recours dans tous ces cas sont le bromure de potassium, le chloral, la mo
deux dernières années, ill'a employé sur une large échelle dansles cas denévral- gie ; depuis peu de temps seulement,
névral- gie ; depuis peu de temps seulement, il l'applique dans les cas de chorée et de paralysie.. Sur neuf cas de cho
nt, il l'applique dans les cas de chorée et de paralysie.. Sur neuf cas de chorée, deux fois les effets ont été remarqu
quelques minutes; il n'y a pas eu de résultat dans les sept autres cas . Voici les deux cas de guérison : · H. C ? âgée
l n'y a pas eu de résultat dans les sept autres cas. Voici les deux cas de guérison : · H. C ? âgée de dix ans, atteint
Au 15 septembre, il n'y avait pas eu de rechute. Dans le deuxième cas , la chorée était unilatérale, les mou- vements
inutes, les mouvements avaient cessé; pas de re- chute. Dans deux cas d'hémiplégie que l'auteur rapporte à une hémorr
mêmes effets que dans les observations de M. Debove. Dans les deux cas , il y avait hémianesthésie. Dans le premier cas,
bove. Dans les deux cas, il y avait hémianesthésie. Dans le premier cas , la guérison fut complète ; la paralysie du mou
ade a encore maintenant sept à huit attaques la nuit. C. T. XXIX. Cas DE TROUBLES nerveux améliorés par l'emploi DE V
l'asti- gmatisme hypermétropique qui fut guéri, comme le premier cas , par l'emploi, des verres. L'auteur cite encore
? zza J1Jed. Monthly, 1880, t. VII, p. 132.) L'auteur a soigné deux cas de tétanos, chez des nègres, un idiopathique et
inspirations sont si éloignées qu'il y a plus ou moins de dyspnée. ( Cas de Hammerston, Jastrowitz, Schule, Ludwig, Kirn
dure avec bourdonnements. Vue obscure ou perdue. Anémie rétinienne. Cas de Ieyser, Burke, Haywood, B. Lee, Lawrence, Tu
ée le chloral au malade ou à en diminuer les doses. Dans le premier cas , on y substitue, pendant 4 à 7 jours, la morphi
t les sujets. Gh. Féré. 620 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XXXII. SUR un cas d'éclampsie traité par LE jaborandi; par J.-H.
fois par l'estomac, la seconde en injection hypodermique. C'est un cas de plus à ajouter à ceux que le Dr White a publié
jour. Il en est de même pour la belladone et l'hyoscyamine. Dans un cas de paralysie agitante, par la combinaison de la
les de cette médication à l'étuve sèche ou à la vapeur, suivant les cas . P. K. XXXV. Thérapeutique du MAL DE tète; par
elquefois de bons résultats dans la céphalalgie hystérique Dans les cas rebelles, il conseille le monobromure de camphr
dose de 1 à 3 milligr., elle est efficace dans les deux tiers des cas . CH. FàRà. XXXVI. Nouvelle batterie galvanique
allucinations de la vue et de l'ouïe, qui font que, dans cer- tains cas , les malades croient et soutiennent des faits plu
laissent après elles une héI111plégic"défiuitive ? Daus beaucoup de cas , la paralysie''diminue''principalement au membr
contracture qui'se'pro- duit d'ordinaire lentement.1 Dans tous les cas * la' contracture impose au membre supérieur une
as la rigidité permanente qui existe chez les autres. Dans tous les cas ^ les membres paralysés ont souvent une colorati
s phénomènes prodromiques loin- tains,, comme des pi5tax¡s. En tout cas , ils sont 'prévenus de leur attaque et peuvent
bras et se porte d'abord sur la partie latérale - l Dans nombre de cas , nous avons les accès disparaître complète- men
cielle, au sein hystérique, au délire (succubes). Sur trente-quatre cas , l'hémianesthésie a envahi primitivement le côt
{f;J 1j911¡¡2e ? f. ,P. ! lJ Yi. trouve,jaussi ,relatés ;1.q ? qJ ? cas empruntés yx auteurs qui ont écrit sur.la démo- !
à l'intelligence et au système nerveux a état de santé et dans les cas pathologiques ; 'J'T r¡.'1'" rr ? ? l "Qr ? 'p"
se trouvent atteintes lors des traumatismes périphériques. Dans ce cas , il y a sans doute une névrite, mais encore quell
e les aliéner avec emploi , soit de les conserver : dans ce dernier cas , comme dans celui prévu dans le paragraphe préc
s'agissait d'un système que l'on aurait voulu lui imposer. En tout cas , mal- gré ces quelques particularités de caract
J'insisterai même pour que cette délégation n'ait lieu que dans des cas tout à fait exceptionnels. Je vous prie de m'ac
ons posté- rieurs dans l',)par Adamkiewicz, 582; - (autopsie d'un cas d'), par Bramwell, 583; héréditaire. par Schm
" Athétose chez les aliénés, par Por- porati, 484. Automatisme ( cas d') épileptique avec conscience et aphasie cons
(atrophie du), par Seppilli, 313. Cervelet (sclérose du), dans un cas d'épilepsie, par Meschede, 471. Cervelet (tum
ar Mi- chael Léon, 441. Délire religieux et (épilepsie, dans un cas de sclérose cérébelleuse, par Meschede, 471.
r Proust, 322. 656 TABLE DES MATIERES. Lésions corticales (deux cas de), de la zone motrice, par Gatti, 475. Lé
observa- tions de), par Iackensie, 457. Lésions cérébrales (trois cas de), par Osier, 141. Localisations cérébrales
athologique, par Schiff, 578. Lunettes (emploi des) dans certains cas de céphalalgie réflexes, par Read, 616. Lypém
hypochondriaque dans la), anxieuse, par Cotard, 480. Mélancolie ( cas de), avec stupeur, par Bayle, 322. Mélancolie
340. Mélano-sarcome du cerveau par Barette, 464. Méningite (un cas de) cérébro-spi- nale aiguë rhumatismale, par
e, par Il. de Boyer, 373 ; - id, par Ar- nozan, 386. Méningite ( cas de) aiguë après une otite, par G. Ross, 139.
(cas de) aiguë après une otite, par G. Ross, 139. Méningite (deux cas de), avec gué- rison par Bareggi, 476. Métall
as de), avec gué- rison par Bareggi, 476. Métallothérapie dans un cas de folie hystérique, par Cullerre, 488. Mét
es), des globes oculaires, par Ducal et Labonle, 124. Mutilation ( cas de), chez une alié- née, 609. Myélite (huit c
24. Mutilation (cas de), chez une alié- née, 609. Myélite (huit cas de), par Webber, 310. Myélite transverse (coï
, par Fr. Schultze, 607. Paralysie pseudo - hypertrophique cinq cas de), par Steele et Kings- ley, 297; par Cornil,
par Cornil, 300. Paralysie infantile (examen de la moelle dans un cas de), par B. Bramwell, 573. Paralysie réflexe
alysie spinale, par Eisenlohr. 578. Paraplégie spasmodique (trois cas de), par J. Hussell, li53. Paralysie de la 3e
ésie (sur la), de Berger, par P. J. )lùbius, 446. Paresthésie (un cas de), des mains, par Putnam, G03. Pédoncule cé
iduleuse, par Had- don, 466. Tétanos, par Upshur, 617. Tétanos ( cas de), par G. Trevisa- nello, 476. Tétanos (gué
des viscè- res abdominaux, par Laffont, 280. Vertige de Ménière ( cas de), par Guye, 462. Vol aux étalages, par Las
ins. Les nerfs ont été recueillis aussi frais que possible. Dans un cas , le nerf sciatique a été réséqué sur l'animal v
erveuse prise au niveau\d'une racine antérieure celui- cale dans un cas de sclérose latérale amyotrophique. (Macération p
des segments interannulaire courts et de volume très différent à un cas de névrite lraumatique. - lt, ? étranglement in
91 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vier 1906 NI- 121 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Deux cas de méningo-encéphalite chronique avec cécité ;
al est très développé. La circonvolution de Broca (1) Dans certains cas le bourrelet qui existe autour de la brèche est
es diverses couches de la méninge, mais il n'y a pas, comme dans le cas étudié comparative- vement(Dani ? ), d'infiltra
tel. Ces restrictions faites, un examen minutieux de la plupart des cas montrerait très probablement qu'il n'y a pas un
e Neurologie, 1905, n° 6.) Se basant sur l'étude histologique de 18 cas de paralysie générale, M. de Buck se rallie d'u
ie de la cellule, G. D"rY. 111. - Clonus du droit abdominal dans un cas de mal de Pott ; par PARHON et P.1YINIAN. (Jour
t succombé à la suite de suppurations périnéo-anales. Dans ces deux cas les lésions étaient les mêmes ; elles commençai
n. de Neurologie. 1904, nO 2 : 1.) De l'étude anatomo-clinique d'un cas de^poliomyélite anté- rieure aiguë datant de l'
isins. Au point de vue des localisations motrices de la moelle ce cas offre également un certain intérêt : à l'atrophie
. 44 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. VU. - Un cas d'atrophie abarticulaire ; par le Dr Deroubaix
t ordinairement (comme 4G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. dans le cas cité), extrêmement longs. Ils peuvent intéresser
espérer un changement considérable dans la vision centrale dans les cas où il y a une vision centrale conservée immédia
e modification en mieux ou en pis dans le champ de la vision. Ces cas seront traités d'après la méthode adoptée dans
ision. Ces cas seront traités d'après la méthode adoptée dans les cas de blessure du cerveau, laquelle consiste dans le
pression du travail mental et de toute excitation. A. ;\1. IV. Un cas de maladie de Thomsen ; par le Dr Meus. (Journ.
n. de Neurologie, 1905, ne14.) Relation exclusivement clinique d'un cas de maladie de Thomsen chez un jeune homme de 19
En pratique celui se trouve intéressé dans le plus grand nombre des cas est le pavillon de la trompe d'Eustache dont la
Par la destruction de ces symphyses on obtient, dans la plupart des cas , la guérison rapide, sinon immédiate, des verti
née : c'est donc un accident du ter- tiarisme moyen dans 81 0/0 des cas ; tandis qu'au contraire la syphilis cérébrale,
es thoraciques ou abdominaux. G. D. VI. Réflexions à propos de cinq cas de psychose aiguë étudiés histologiquement ; pa
al de Neurologie, 1904, n° 23.) . De l'étude histologique de cinq cas de psychose aiguë (délire aigu, paralysie génér
r le mésordermo et l'élément parench'ymateux. Dans ces der- niers cas , le mésoderme réagit soit exclusivement, par de
le pourront ou non se développer plus tard. G. DENY.. six. Sur un cas de myxoedèma infantile avec quelques considérat
tée, l'auteur incline à croire que ce qui a été transmis dans ce cas par l'hérédité, n'est pas comme on l'admet gé-
laires d'origine sénile, goutteuse, syphilitique, etc. Il est des cas où les désordres somatiques siègent dans le cer-
els du système nerveux il donnf parfois de bons résultats. Dans les cas de névrll161e et dans la forme spas- modique de
e whisky chaud ou le brandy produisent de bons effets, mais dans ce cas il y a des remèdes beaucoup plus efficaces. Dan
s dans ce cas il y a des remèdes beaucoup plus efficaces. Dans le cas de colique-intestinale, le brandy est le meilleur
ement. On a employé les affusions froides dans ce but, même dans le cas de pneumonie grave associée au delirium tremens
fa- cile dans la pratique courante de donner un bain froid en ces cas , cela peut être même impossible. L'affusion au mo
ay. [Journal de Neurologie, 1905.) L'auteur ayant observé plusieurs cas d'hémianopsie sans déviation concomitante de la
une idée, une sensation ou une émotion morbides. Dans le premier cas on peut s'adresser directement au centre O et l
s. L'hypo- thèse de la simulation doit être écartée. Il s'agit d'un cas qui ré- pond au type classique de l'attaque de
les assimiler à ceux que provoque le sentiment de la peur. Dans un cas comme dans l'autre, ce qui domine, c'est la sen
t d'intimidation est analogne à l'état d'hypnose. Seulement dans ce cas il s'agit d'hypnotisme fortuit. Ce qui justifie
êmement suggestibles et par conséquent très hypnotisables. Dans ces cas -là, l'exagération des phénomènes d'émotivité peut
magiques, supplicatives, impé- ratives ou suggestives, suivant les cas ; 3° les- médicaments, réputés agréables aux di
clairés. Toutefois, on cite de nombreuses guérisons, par exemple de cas qui auraient guéri spontanément ou de pseudo-ma
ice et frappés de pénalités, à l'égal de l'homme. Ainsi, dans les cas de bestialité, des truies ont été exposées publiq
la timidité peut s'opérer graduelle- ment. Dans un grand nombre de cas elle s'opère d'une façon soudaine, sous l'influ
phonies purement émotives sont plus rares ; c'est ce qui donne à ce cas son intérêt. Un épileptique incendiaire interné
les sont bilatérales quand les deux oreilles sont malades. Dans les cas où la maladie causale a été traitée et guérie,
u localisée, soit une simple congestion des méninges. Dans d'autres cas , aucune lésion apparente ne se présentait à l'o
ont fourni les professeurs, les agrégés ou les chargés de cours. En cas d'absence, le président est remplacé par un aut
rvices administratifs, dési- gné par le ministre do l'intérieur. En cas d'absence parmi les au- tres membres du jury, i
places mises au concours est fixé à dix : il ne pourra, dans aucun cas , être dépassé. Aucun délai n'est garanti pour l
s- sions par fracture qui s'améliorent. Nous en rapportons ici un cas , que nous avons eu l'oc- casion d'observer dans
-TRAUMATIQUE. 87 de S-J semaines, est donc mise en défaut par notre cas . Il est à regretter qu'il ait été impossible d'
at- tribuer la spasmodicité habituelle de la paraplégie dans ces cas . C'est surtout l'évolution en deux temps des ac
u canal rachidien ; on admet qu'il y a réduction spontanée dans ces cas . Jollr en a publié encore un en 1933, dans lequ
Le shock, que 88 ' CLINIQUE NERVEUSE. l'on voit, dans certains cas , durer jusqu'à 4 et 6 mois, ne suffit pas pour
uer tous les accidents initiaux, car on ne comprendrait pas dans ce cas pourquoi seuls les sphincters soient restés tot
vertèbres, le croit extrêmement rare. Il en rapporte cependant un cas lui-même, d'autres cas probants ont été publiés p
xtrêmement rare. Il en rapporte cependant un cas lui-même, d'autres cas probants ont été publiés par Sayre Bradford, Lo
té publiés par Sayre Bradford, Lovett, Taylor, Marinesco, etc. Un cas dans lequel il n'y avait pas de déformations vert
'in- flammation méningée sous la forme de lymphocytes. Dans notre cas , la ponction lombaire aurait également donné un
nce de tout élément figuré dans l'espace sous-arachnoïdien. En tout cas , il s'agissait de pachyméningite interne chroni
réaction dure-mérienne à un traumatisme relativement faible. Des cas analogues sont rapportés par Oustaniol et par M
re satisfaisante l'é-; volution clinique un peu particulière de ces cas . \ Pour terminer, nous insisterons encore une f
e particularités spéciales dignes d'intérêt, que nous rapportons le cas suivant. OBSERVATION. - C ? b8 ans. Imbécillité
u l'ossification emlo-conjouctive. Nous ne pensons pas que, dans le cas présent, il IMBÉCILLITÉ ET EPILEPSIE CONSÉCUT
e d'une lésion inllammatoire. 11 ne peut en être de même dans notre cas où un examen sérieux n'a pu déceler aucune form
. Méd. pysclrol., 1902, n" 2. 104 CLINIQUE NERVEUSE. semble 128 cas , et, dans six mois de pratique hospita- lière,
hydatides de cette membrane sont peu signalées et comme dans notre cas se sont développées aux dépens d'un repli durai
n aussi longu,e ; en général le dénouement en est rapide. Dans le cas que nous rapportons, le kyste a existé pen- dan
eustche Zeitschriflf. Nernenkeil. 13d. 27, ici. 1-2, p. 24). UN CAS DE GASTRITE HYSTERIQUE. 105 cause eut été bien
niennes développées dans le jeune âge. Nous n'en connaissons pas de cas liés à la cause que nous rapportons, et d'une a
ue le malade atteigne un âge aussi avancé (1). THÉRAPEUTIQUE Un cas de gastrite hystérique traité par la psychothér
pnotique donne, dans l'hystérie, des résultats bienfaisants. UN CAS DE GASTRITE HYSTERIQUE. 107 En parlant de l'Eco
entourage, ses traits s'ont reposés. Ce qui est particulier dans ce cas . c'est que la malade n'a jamais entendu parler
le résultat obtenu a été de longue durée. ' RECUEIL DE FAITS Un cas de myotonie congénitale ; Par le lo Fi'. IEEl ?
n est assez rare, j'ai cru utile de présenter ici l'histoire UN CAS DE f1'OTUN11 : CONGENITALE. 109 de ce malade qu
nous ont pas permis de rechercher les réactions électriques. UN CAS DE MY0T0NIE CONGENITALE. 111 Intelligence : moy
observé concurrem- ment avec l'affection fondamentale. 3° Dans le cas actuel, la myotonie constitue une infir- 112
sie générale ; leur amélioration a cepen- dant été suivie dans deux cas d'un état de rémission des signes physiques et
es affections nerveuses compliquées de mal per- forant : Nombre des cas observés : 91 ; ataxie 32 ; pa- ralysie général
points exposés aux compressions. - 11, a observé lui-même un de ces cas de' suppuration pro- US CLINIQUE MENTALE. l
la gangrène qui existe incontestablement dans un grand nombre de cas n'est cependant pas constante. M. Da- gonnet cr
a pu obtenir aucun effet; et il .ne faut pas oublier que nombre de cas de psychoses guérissent sans traitement et que,
plantaire du pied et des orteils ; la zone ré- flexogène peut en ce cas partir de la cuisse même et aussi de la région
oelle, sont enclavées dans les l'aisceaulleBurlla<;lt in toto.Ce cas montre que les libres émanées des 4 premières r
souvent pas à l'ouverture isolée du courant faradique et qu'en tout cas cette réaction s'épuise bientôt (ce qui a lieu
étermine une convulsion paresseuse du muscle dégénéré dans tous les cas où cette paresse de la contraction se manifeste
ction. On entend le son musculaire dans la paralysie agitante (un cas ), dans l'athétose (2 cas), au niveau des muscles
musculaire dans la paralysie agitante (un cas), dans l'athétose (2 cas ), au niveau des muscles qui se con- tractent, a
son, parce qu'il n'y a évidemment pas d'innervation volontaire. Un cas de contracture hystérique toute récente du bras
ux espèces d'innervation : rapprochons-en l'absence de son dans Les cas de réflexes profonds, la genèse des contracture
infections; par Laignel- Lavastine, juin 1905.) On peut, dans les cas d'infection, trouver au niveau du plexus REVU
e nerveux (moelle) ; d) des lésions banales d'infection. Ce dernier cas est le seul que l'auteur en\ isane actuellement
peut disparaître en quelques jours ou persister. Dans ce der- nier cas , la dysphagie apparaît, l'intelligence est attein
liora- tions partielles. Etudiée sur le cadavre, on trouve dans ces cas quelquefois des adhérences de la dure-mère, par
constater des lésions organiques des conducteurs moteurs, dans les cas où le réflexe de Cabinski manque ou est il pein
peine marqué. A cela AI. K. Mendel réplique qu'il y a bien plus de cas où le réflexe de Babinski existe, alors que le ré
ns exception rencontrée chez tout individu bien portant et dans les cas de névropathic fonctionnelle. Elle est l'analog
nalogue du réflexe de Babinski. Enfin il y a toute une catégorie de cas d'affection organique (avec ou sans le réflened
s soumis il l'hetero-transptantation. Il semble que dans le premier cas le contact du tissu vivant, pré- servant le mor
E PATHOLOGIQUES. 137 la surdité d'origitielabyrintinque et dans lus cas de lésion interne des conducteurs centraux. Il
oculaire, chez les paralytiques généraux en particulier; quelques cas isolés de paralysie générale trahissent une diffé
ur l'électricité qui occupe l'électroscope. Pourquoi, en certains cas , le doigt, en s'approchant de l'ins- Lrumenl, c
de la malléole externe peut avoir le même résullal, ou, en certains cas d'hémiplégie, tourn ;r la plante du pied en ded
nterne e manifeste souvent par l'extension du la jambe, en certains cas par la rotation du pied en dehors. Parfois, dan
érieure et antérieure de l'os iliaque ; il ne se voit (lue dans les cas pathologiques. P. 1W aw ? L. REVUE DE PATHOLOGI
diagnos- tic qu'elle a soulevées. L. WAHL, IV. - Observation d'un cas de basophobie à type myoto- nique ; par le D1'
Thomsen, ni l'astasie- almsio de Bloccl; il doit être rapproché des cas de basophobie déjà décrits par di\ CI'S autel1l
rares fois, soit à l'aide de biopsies, soit il l'autopsie. Dans le cas (tue les auteurs ont observé, il s'agit d'une jeu
rappel : il semble que l'intoxication exo ou endogène ait dans ces cas un rôle prépondérant analogue à ce qui se'passe d
phénomènes de rappel auto-suggestifs. On a à considérer plusieurs cas : 1° ceux dans lesquels il y a des phénomènes typ
dispa- raître à l'approche de l'âge adulte, du moins dans les rares cas dont l'auteur a pu suivre l'évolution complète.
. XXI. 10 14G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. serve, paraît-il,un cas où à la sialorrbée étaient associés tles phé- n
rrbée étaient associés tles phé- nomènes bulbaires. Catola, dans 13 cas qu'il a étudiésjdans le ser- vice de M. Pierre
, 5 lois à la main droite, 1 fois aux membres inférieurs. Dans un cas on n'a pu déterminer le début. Calola rejette dan
à l'égard de l'intégrité du réflexe pupillaire trou- blé en un seul cas . L'auteur invoque ces recherches en faveur de l
néralement le pied, le mollet, plus rarement la cuisse. En certains cas , la pares- thésie douloureuse de la marche mont
n. M. DENV fait observer, à propos du procès-verbal, que les deux cas de démence précoce communiqués par M. Doutrebente
is il estime que, contrairement à l'opinion de M. Roubinowitch, ces cas sont malheureusement assez fré- quents. Il y a
pour lesquels l'auto- rité judiciaire a été mise en mouvement, ces cas sont peut-être assez rares, eu qui n'enlève rie
es, frappés sans raison, etc., par un père ou une mère aliénés, les cas sont assez nombreux. Qui de nous ne se souvient
N ? Tnrvuetr ; Secrétaires annuels : 1\DI. DUPAIN CLVIGOUROUS. Un cas de délire par intoxication sul/'o-carGonée. MM.
oxication sul/'o-carGonée. MM. 1'couttoux et Collet communiquent un cas de sulfo-car- 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. bonism
entissage. M. DupA)N a aussi observé une malade analogue au dernier cas signalé par"1. Briand. M. Vallon fait remarqu
a déviation conjuguée de la tête et des yeux. M. DuFoUR rapporte le cas d'une femme ayant présenté un étal comateux sui
ent intéressant en arrière les radiations optiques de Gratiolct. Ce cas viendrait à l'appui du la théorie du Bard, qui
dépendre la déviation conjuguée de l'hémianopsie, du moins dans les cas avec demi-coma. MM. Brissaud et Marie exceptent
vec demi-coma. MM. Brissaud et Marie exceptent du cette théorie les cas avec coma complet et ceux avec conservation de
adie été Dercum sans troubles psydtiques. M. LE l'LAV,à propos d'un cas survenu àla ménopause, rappro- che la maladie d
es adiposes consécutives à l'ucario- tomie. M. Ballet a vu quatre cas de maladie de Dercum sans trou- bles psychiques
s ' après avoir reçu des coups de bâton sur la tète. Dans de tels cas il s'agit vraisemblablement d'hémorrhagies cent
t, LiABINSKI, Marie, Dupré et Brissaud rappellent, à ce propos, des cas d'hémiplégie survenue tard après un trau- matis
spasme facial chez un vieillard. MM. Dupré et LEMAIRE présentent ce cas qui dure depuis trente ans chez un homme de qua
ure l'appelle celle des k \ tes (lerII1oïùes. M. LAMY rapporte un cas du polynévrite antibrachiale au cours d'un canc
polynévrite antibrachiale au cours d'un cancer intestinal , et, des cas de troubles graphologiques che· desparkiazsonaz
u'un signe du fatigue chez des spasliques. M. Crouzon présente un cas de noevus ostéohypertrophique ci disparition ra
aires fasciculaires, diminution de la,contractilité électrique). Un cas de syringobulbie. SY¡¡¡{I.0nW d'Acellis. MM. Ra
en le muteul' principal du voile du palais. M. THOMAS rapporte un cas de sclérose en plaques uniquement médullaire.
te et onirisme chez un phtisique . MM. Dupré et Camus rapportent le cas d'un ¡Ùtisique qui, après avoir présenté tout l
rome 21seudo-bltlbairc d'origine nèvritique. M. Comte rapporte deux cas typiques dans lesquels seuls les nerfs bulbaire
présentèrent des lésions du névrite ancienne avec gaines vides. Ces cas se diuerencient, du la maladie de Duchenne par
onnaissances qui au- ront leur maximum d'importance et d'utilité on cas de con- seils do guerre. Jean Abadie. VARIA
, dans le n° 11J des Archives (1,)Op, p. 389) à propos d'un nouveau cas nous avons signalé les travaux parvenus à notre
lents et comme empruntés : ils contrastent, comme toujours dans ce cas , avec les mouvements stéréotypes, lesquels s'ac
sive. On ne peut donc raisonnablement, dans aucun de de ces deux cas , incriminer un seul symptôme donné le mieux nou
r l'existence de troubles choréiques chez les femmes enceintes, les cas publiés se rapportent en général à ce que l'on
celle-ci. Nous n'avons pas trouvé dans la littérature médicale de cas analogues à celui que nous présentons dans ce tra
actères des mouvements choréiformes de notre ma- lade. Dans notre cas . les mouvements involontaires sont généralisés,
influence favorable sur l'épilepsie, n'est pas confirmée par notre cas . Les crises d'épilepsie se- raient même devenue
s. Le travail, il défaut de la grossesse, a donc exercé, dans notre cas , GROSSESSE ET l'UI : RP1 : RALIT1 : CHEZ UNE
vons-nous appeler à résou- dre le problème pathogénique posé par le cas que nous avons observé ? Notre malade présentai
eurs, en ce sens qu'elle poserait un pronos- tic favorable dans les cas de ce genre, à l'encontre du pronostic sombre d
re déduit d'une seule observation. Il serait désirable que d'autres cas semblables au nôtre fussent publiés pour consti
: c'est un principe d'obstétrique qu'il faut tout prévoir dans les cas complexes, et ne pas se laisser acculer à des s
oppor. tune aurait permis d'éviter; la conduite à tenir dans les cas graves sera la môme que pour la chorée gravidique
isme de la folie ne fait pas de doute. Cou- ramment, on signale des cas dans lesquels l'amour mal- heureux, la perte de
u résis- ter et ont versé dans la maladie. En ce qui concerne ces cas spéciaux, ce sont alors les gens du monde qui ont
on projet ; y donner suite, constituerait, lui dit-il, un véritable cas de cons- cience. M.. se soumit; mais il était
autre comme l'esprit vide et de ne pouvoir penser à rien. Dans ce cas évidemment, on doit invoquer beaucoup moins la
rutement de leurs agents subal- ternes. Dans la grosse majorité des cas , l'erreur commise dans le choix est aperçue ava
des fautes irréparables n'aient été commises ; mais malgré que les cas dans les- quels un scandale éclate, comme à l'o
uels ne pourrontmême plus qu'avec beaucoup de difficultés épurer en cas de besoin leur personnel. Mais même il semble q
d'associa- tion paraissent souffrir plus que ceux de projection. Au cas de tumeur unilatérale obstruant la circulation
arfaite des seuls mouvements conjugués de latéralité. Dans les deux cas qu'ils publient, le diagnostic fut porté de loc
u' niveau des tubercules quadri- jumeaux antérieurs; un de ces deux cas fut suivi d'autopsie : il s'agissait d'un tuber
faisceaux radiculaires du moteur commun. 1 ? l'ISSOT. 1X\'lll. -Un cas d'acromégalie avec lésions hyperpla- siques du
R. (Nouv. ICC)201J)'. de la ICLt7ét ! 't')'C, DOS, il,, 2.) Dans un cas d'acromégalie tardive compliquée d'hémiplégie, le
ses avec l'élément destructeur malin. D'autre part, on a publié des cas d'acromégalie sans lésions pi- tuilaires ; il e
c'est-à-dire une déformation persistante n . F. Tissot. XLI. - Un cas de déformation thoracique précoce consé- cutive
, ses travaux l'ont amené aux conclusions suivantes : 1° Sur cent cas de paralysie générale, la syphilis a pu être re-
vec un autre facteur étiologique héréditaire ou acquis. 40 Dans les cas de paralysie générale développée sur les indi-
prompt, ample, de brève durée, et cesse brusquement. Dans certains cas pathologiques, il peut être mo- difié : exagéré
gia nervosa e mentale. Florence, avril 190, t. X., fas. 4.) Dans un cas de celle affection, l'auteur utilisa sur les pièc
pins tétanisés ne présente pas de lésions appréciables. En certains cas seulement, la neurolibrillc se présente légèrem
mment de la présence de tout autre stigmate, il peut, dans certains cas , avoir une indication ré- vélatrice très sérieu
ir une indication ré- vélatrice très sérieuse, par exemple dans des cas de chorée ou d'hysléro-épilebsie d'interprétati
facé ; il est en général diffus. MM. Weill et Péhu rapportent trois cas qu'ils ont vus évoluer et où les symptô- mes dé
eux. Ce que les au- teurs ont voulu mettre en relief dans ces trois cas de méningite tuberculeuse, c'est que les phénom
rculeuse de l'enfant. Type de délire hallucinatoire dans le premier cas , de délire religieux dans le deuxième, de délir
a peau à la scleroder- mie, celle-ci devant être considérée dans ce cas comme un trou- Mtitrophique d'origine nerveuse.
uble trophi- 'lue (Il' la peau, mais sans lui être superposée. Ce cas est intéressant en montrant, à côté d'une hémiatr
our étudier celle affection. Puis il ap- porte un certain nombre de cas , qui peuvent enrichir la litL·m- 212 REVUE DE
février 1 ! ! Oa, -ol. \, fasc. ` ? )..I. S. \\ll.-Note sur deux cas familiaux d'ataxie cérébro-spi- nale (type Frie
Florence, août 190b, vol. X, fase. 8.) Les auteurs rapportent deux cas de cette affection, et donnent l'examen anthrop
e. Florence, avril 190.'). vols, fasc. 4.) L'auteur rapporte deux cas , surtout intéressants en ce sens que l'examen c
l'étude analomo- pathologique, sur laquelle il insiste surtout.. ? cas : Syndrome habituel de la chorée de tluntington.
dans la cellule nerveuse. 214 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2c cas ; Surtout marqué par des troubles psychiques. Fix
point le centre des muscles du tronc et du cou. C. C. XXV. Sur un cas de tétanie à forme de rhumatisme musculaire ; l
signe de Trousseau existe, le signe de Weiss existe également. Ce cas de tétanie réalise une forme de rhumatisme muscu-
e une forme de rhumatisme muscu- laire. La cause à invoquer dans ce cas échappe à l'auteur, mais il tend à invoquer san
ache ces deux symptômes à des troubles du sympathique. C. C. - Un cas de maladie d'Addison avec troubles sym- pathiqu
J[hl des H,jp. de Lyon, 21 mars 1905.) Les auteurs rapportent deux cas d'hystérie influencés par une tièvretvphode int
onvulsifs et para- plégie spasmodique. Les toxines ont eu dans ce cas une action nettement excitante. Comme conclusio
u personnelle, créer entière- ment la névrose. Ce sont ces derniers cas qui ont surtout attiré l'attention des auteurs.
niers cas qui ont surtout attiré l'attention des auteurs. Parmi ces cas ils distinguent particulière- ment ceux dans le
t deux observations à l'appui de cette hy- pothèse. Dans le premier cas , c'est une jeune fille de21 ans, por- teuse d'u
t ainsi à chaque pé- j'iode prémenstruelle. 11 semble bien, dans ce cas , que c'est sous la seule influence congestive p
Lépine et Porot. (Soc. Afcd. drs Hûp. de Lyon, 21 mars 1905.) Un cas du névrite alcoolique ayant donné lieu à des mani
e inférieur. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 210 Les auteurs font de ce cas une gangrène névritique. La notion élio- logiqu
uton et, dus commissures. Instabilité légère du côté des membres. Cas . IV. - Torticolis spasmodique organique. Dans l
as. IV. - Torticolis spasmodique organique. Dans les trois premiers cas , qui sont des tics vrais, il y eut deux cas de
Dans les trois premiers cas, qui sont des tics vrais, il y eut deux cas de guérison et une amélioration. Dans lecas de
rès amélioration transitoire, un résultat nul. Dans tous les autres cas les dernières nouvelles signalent une améliorat
e quatorze ans dont les bras sont d'une longueur inusitée en pareil cas , le périnée remonte haut et atteint les plateau
reux. )D1. De Reurmann, liOUBR\O\'1TCH et, Gougerot rapportent le cas d'un lépreux chez qui les troubles psychiques dél
sé- niennes. Tics ,'ol/wlsi(s du cou. M. Cruciilt iiiontru deux cas du tics convulsifs du cou persis- tant pendant
ntation et des excrétions sont des caractères que l'on attribue aux cas types de sommeil hystérique. Leur coexistence,
l'absence de quelques-uns de ces grands signes classiques, (iliaque cas comporte ses variations individuelles. Ainsi, c
t permis de formuler lus deiiv conclu- sions suivantes : )°dans Il' cas oll 1"011 puni multru la 1'1'1111111' 1'[1 somn
tic que la ponction exploratrice seule peul confirmer dans certains cas , lauravite du pronostic, et enfin lus moyens do
itement mercuriel, que l'on doit toujours ins- tituer même dans les cas douteux ; donnant la préférence aux in- jection
te nous donne des indica- tions bibliographiques nombreuses sur lus cas décrits jusqu'ici de psychoses infantiles post-
t moral ap- 111'011l'i(;. L'aull'lIl'l'on ! 'l'ille dans ('cl'lains cas II' ehlol'al, I"hyo('ilH'. laduloi·ine, ou l'nl
lur. Le nom de syndrome do Littte a été li- mité par l'auteur « aux cas du diplégie cérébrale spasmodique « très souven
temps considérable que demande l'examen com- plet delà plupart des cas de pathologie nerveuse. Mais grâce a la spécial
incapable do suivre un tracé. (Nous avons plusieurs enfants dans ce cas ). - La mémoire, des plus fugitives, fait oublie
en apparence exclusi- ves, et les admettrait toutes deux selon les cas . Beaucoup d'auteurs, notamment Schlager Skae K.
phique de folie traumatique, mais il ajoute : « Il est une série de cas où il semble que le traumatisme imprime à la ma
n'est pas moindre. Ces questions de responsabilité encourue dans le cas des traumatismes crâniens ont pris, on le conço
quel- ques éclaircissements. bien que nous ayons cherché, dans un cas , avec M. le Dr Picqué, à l'utiliser sans succès s
ades ont reçu des ohjets lourds (registres à coin de cuivre dans un cas , tamis métallique dans l'autre). Il y a eu cont
on avec fracture de la voûte ayant entraîné le trépan dans les deux cas . Epilepsie et troubles mentaux associés (trépa-
arition des troubles physiques ni mentaux). Dans le deuxième de ces cas , il y eut un élément qu'il faut éga- lement fai
peut être immé- diatement consécutive ou tardive. Dans le premier cas , elle est généralement transitoire : Observatio
Observation VI. M. le D Sizaret a bien voulu nous com- muniquer le cas d'un mécanicien de trente-cinq ans, qui a fait
tion, dépression, intermittence ou alternance dans 20 p. 100 des cas suivant B. Lewis.) Les blessés des quelques obs
édentes peuvent être rangés dans cette seconde catégorie. Dans ce cas ,on conçoit qu'après l'accident,l'individu a pu re
ns chirurgicales prochaines en apparence curati- ves, mais avec des cas suivis durant un certain nombre d'années conséc
t pas possible de tracer une règle générale ap- plicable à tous les cas . » Si l'on peut citer nombre de cas authentique
érale ap- plicable à tous les cas. » Si l'on peut citer nombre de cas authentiques où il n'y eut aucune suite fâcheus
ndre que le pro- nostic soit en général bénin et favorable dans ces cas . Nous avons relevé plusieurs exemples de démenc
pport de la folie avec le trauma, il convient de dire qu'il est des cas où ce rapport n'est qu'apparent ou douteux, voi
r dater le début de la paralysie générale. Le trau- matisme dans ce cas , postérieur à l'ictus, devientnon plus un facte
n faveur du traumatisé (1). L'intoxication éthylique constitue le cas le plus fré- quent ; Dupuytren décrivait un dél
un délire onirique très semblable à celui de l'é- thylisme dans ces cas sans intoxication exogène parti- culière. Dan
e dans ces cas sans intoxication exogène parti- culière. Dans les cas de mort consécutive à un accident trau- matique
inique avec une insuffisance rénale sans éthylisme proprement dit, ( cas deVigouroux.) Onpeut penser que là, comme che
use principale serait bien rénale ou traumatique. Dans ce dernier cas , les conséquences d'un tel point de vue se- rai
auparavant pré- senté aucun stigmate physique ni psychique, et ces cas se rencontrent, comment admettre la dégénéresce
ns pour cela des difficultés multiples quoique moindres. Dans ces cas , ainsi que le remarque Richardson, on constate
e de folies traumatiques com- prend cependant incontestablement des cas où l'on re- marque une disproportion évidente e
oses dégénératives, les deux étant associées dans beaucoup de ces cas . (A suivre.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
ce à l'étude du mécanisme physiologique de ce signe. Il s'agit d'Un cas de paraplégie pot- tique, dans lequel le régime
; si ce régime préexistant à la lésion pouvait être, dans certains cas , inverse de ce qu'il est d'ordinaire, - et la.d
flexe habituel, c'est-à-dire par un réflexe de flexion. En tous les cas , cette observation permet de penser qu'il y a l
divers liquides de l'organisme. L'urémie n'est plus ainsi qu'un des cas d'urhydrie, terme plus général et plus compréhe
t il a été le siège étaient susceptibles de réparation ; tel est le cas de l'inertie pupillaire intermittente et du réf
qui concerne le droit externe, l'auteur fait remarquer qu'en pareil cas le muscle est remplacé par un ligament élastique
nct du réflexe lendineùxou musCUlo- lendineux, Se produit, dans les cas où cedcrnier est tout àfaitab- sent, et il est
ire, avecla diminution ou l'absence de réflexes tendineux, dans les cas récents, une exagération plus ou moins marquée de
on plus ou moins marquée des ré- flexes musculaires. Ainsi dans les cas où il y a lésion du plexus cervical ou de nombr
ce antérieure de la hanche. Dans la démence paralytique en certains cas , il y a exagération des réflexes musculaires de
de l'hydrothérapie. F. T. XXXVII. - Maladie osseuse de Paget, trois cas observés dans une même famille, hypothèse nouve
ux vapeurs acides dégagées par l'eau de Javel. Recherchant tous les cas publiés en France l4 ? ), les au- teurs trouven
ion : soit d'hypergénèse sarcoplasinique ; il en est ainsi pour les cas de maladie de Thom- sen congénitale avec lésion
tius et Hansemann, la maladie de Thomsen, Le bien commun à tous ces cas , est soit, la richesse des muscles en sarco- pl
phi- lis, mais le microscope n'a pas montré de différence entre ces cas et ceux exempts de tout passé infectieux. Au po
es de la maladie de Charcot : 1° type ordi- naire médullaire (trois cas ) '; 2° type paralysie labio-glosso- laryngée (c
laire (trois cas) '; 2° type paralysie labio-glosso- laryngée (cinq cas ) ; 3D type amyotrophique (neuf cas) ; 4° type s
sie labio-glosso- laryngée (cinq cas) ; 3D type amyotrophique (neuf cas ) ; 4° type spasmodique (un cas). L'intensité
q cas) ; 3D type amyotrophique (neuf cas) ; 4° type spasmodique (un cas ). L'intensité de la spasmodicité a été fort var
était la lésion des cellules qui pré- dominait ; mais dans tous les cas les lésions coexistaient toujours. (Revue neuro
s grave. Les mouvements associés automatiques sont absents dans les cas où les mouvements associés d'ordre ration- RE
e, méningo-en- céphalile diffuse subaiguë). Des constatations de ce cas , les au- teurs tirent d'intéressantes conclusio
SSOT. &#x178;LL\ ? Contractures précoces et permanentes dans un cas d'hémiplégie de l'adulte ; par GAUSSEL. (.i\7ou
Icon. de la SalpÎ't1-ière, 1905, no 3.) Malgré le grand nombre des cas déjà publiés, la nature de la paralysie bulbair
ures, puis pendant 48 heures ; encore fal- lait-il, dans ce dernier cas , que la malade s'endormit quelques instants au
touchant les rapports de la psychologie et de la sociologie. Deux cas de neurasthénie grave guéris par la suggestion
ois trop négligée et trop méconnue en psychothérapie. Dans bien des cas la production de l'hypnose, en dehors de toute su
r, longue durée de ces affections, marche progressive dans certains cas , avec signes indéniahles d'une lésion maté- rie
travail ; Par le D'A. MARIE, médecin en chef des Asiles (1). Deux cas observés dans le service nous ont paru/cor- res
t'éfél'el', l'al1o- mie en particulier. A observer. Dans d'autres cas , une prédisposition préalable nette, voue même
« Où commencera la difficulté, dit encore Christian, c'est dans les cas , et ce sont les plus fréquents, où, après les s
pe, impossible, bien que rare ; cela s'explique par la rareté des cas où une demi-conscience du malade pourrait lui p
er les trois sortes d'incapités prévues par la loi, soit dans des cas divers, soit dans un même cas où ces incapacités
tés prévues par la loi, soit dans des cas divers, soit dans un même cas où ces incapacités peuvent se succéder : 1° I
attribution des frais médicaux et d'assistance. Ceux-ci. dans les cas d'accidents ordinaires, sont payés aux médecins
mme conséquence d'un excès d'épuisement, l'on observe dans les deux cas des paralysies aux régions atteintes (monoplégi
maladies ont été considérées comme incurables. -10° Dans les deux cas , il y a espoir de la possibilité d'une guérison ;
rance de la possibilité de guérir un groupe assez con- sidérable de cas de cette maladie. Malgré le court espace de tem
hénomène n'est pas la règle et qu'il ne s'observe que dans quelques cas , l'auteur estime qu'il doit exister au même ran
t à l'âge mûr que l'épilepsie toxique apparaît dans la majorité des cas et chez des personnes qui ont généra- lement eu
nt eu des accès de migraine dans l'enfance. Lambranzi (2) décrit le cas d'un sujet affligé d'un faible degré de migrain
de migraine sous l'orme d'aura avant l'attaque ; dans le se- cond cas la migraine éclatait avant ou après la crise épi-
abituelles. Dans un autre ouvrage (2), le même auteur relate cinq cas d'existence simultanée de la migraine et de l'épi
d'existence simultanée de la migraine et de l'épilepsie. Le premier cas est celui d'un migraineux dont la cessa- tion d
ïncidait avec l'apparition d'attaques épileptiques ; dans le second cas ,des attaques d'épilepsie petit mal sont venues
cer des accès de mi- graine qui avaient disparu ; dans le troisième cas , des attaques purement convulsives se sont modi
s éclats de lumière et il avait des vomissements. Dans le quatrième cas , l'on observait des accès atypiques d'épi- leps
'épilepsie et de la migraine n'est pas rare et dans la majorité des cas l'épilepsie vient après la migraine. La migrain
l'épilepsie. Dans le domaine moteur, il faut avant tout relever les cas d'attaques épileptiques non convulsives, et d'a
s cas d'attaques épileptiques non convulsives, et d'autre part, les cas de migraine accom- pagnée de phénomènes convuls
même con- vulsions générales. Si l'on met en ligne de compte les cas d'épilepsie où la migraine joue le rôle d'aura et
Les choses se compliquent encore da- vantage, si l'on considère les cas de migraine où la dou- leur fait défaut et où l
nstituent le même groupe de lésions, savoir l'épilepsie. Voici un cas de migraine observé récemment qui, tout en illus-
rise de convulsions (éclampsie). Celles-ci apparaissaient encore en cas de diarrhée, de fièvre. etc. (dans l'enfance).
pi- lepsie convulsive, mais l'aura seule se déclara cinq fois. Le cas mentionné présente de l'intérêt sous quatre rap
dans le mariage un moyen curatif contre l'épilepsie. S'il arrive un cas sur 100 d'amélioration réelle ou même de guéris
les abus de la destinée et protestent au nom du mari destiné, en ce cas , à jouer le rôle d'un médica- ment contre l'épi
nche, nous trouvons dans la littérature con- temporaine beaucoup de cas qui signalent l'action défa- vorable des rappor
ux de l'accès semblent jaillir com- me par voie de rayonnement. Ces cas -là formeraient une variété particulière que l'o
port sexuel est parfois accompagné d'épilepsie. Sauvager signale le cas d'une personne chez laquelle le coït était touj
s'adon- nait à l'onanisme. Tout récemment, Hamilton (1) citait un cas d'épilepsie nocturne qui se manifestait par une s
sexuelle avec trouble du domaine mental. C'est le premier groupe de cas qui nous intéresse actuellement. Voici un cas s
le premier groupe de cas qui nous intéresse actuellement. Voici un cas signalé par Max Simon (4) : une femme très inst
elle ne se souvenait plus de rien. Nous avons cité suffisamment de cas semblables dans l'un de nos ouvrages, Ce qu'il
Ce qu'il nous importe de savoir, c'est qu'il existe dans certains cas du moins un lien incontestable entre le domaine
stable entre le domaine sexuel et l'épilepsie, fait confirmé par le cas que nous avons exposé dans cet article. 3. Da
et mérite toute notre at- tention. Bernhardt (2) vient d'exposer le cas d'un malade atteint de phénomènes spectraux qui
estation abortive de la migraine. Le Dr Gorchholl' (3) signale un cas de dégénérescence épileptique. Il s'agit d'un s
s dti sol pour venir, heureusement. tomber sur un tas de neige. Les cas mentionnés par Ul- rich (1) ont beaucoup de res
ductions générales peuvent s'exprimer comme suit : 1° Dans certains cas ,la migraine et l'épilepsie peu- vent se combine
e démontre leur homogénité et leur proche parenté. 3° Dans certains cas l'attaque épileptique est en connexité étroite
e des idioties les plus graves (1) ; Par LE D' BOURNEVILLE. Aux cas déjà nombreux que nous avons relatés dans le de
14 ans 1/2 (19C6.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE Xl.VII. Nouveau cas de de pellagre accompagnée de rétraction de l'a
; par PARHON et Goi.dstein. (Revue de médecine, 1905, p. 620.) Un cas semblable a déjà été publié par lesauteurs dans l
ie de lui)02. Ils rapportent aujourd'hui l'observation d'un nouveau cas chez un sujet pellagreux atteint de double ré-
nom- lire d'observations, les rémissionsayant été, dans ces divers cas , de 4 mois 1/2, 5 et même mois. Cette rémission
le dernier cycle de la maladie accomplitson évolutioncomme dans les cas ordinaires. Au point de vue étiologique, on peu
s d'accalmie, les résultats donnés il l'autopsie indiquant dans ces cas , à côté de lé- sions récentes de granulations t
gaiement constituaient des équivalents de crises vraies. Dans un cas .le bégaiement annonçait l'accès et constituait un
signes comitiaux, néanmoins ils paraissent constituer dans certains cas des équi- valents de crise. Suivent deux observ
es mouve- ments associés de hilatéralité. L'autopsieapermis,dans un cas , de constater que la lésion avait détruit les n
aine des lésions des cordons postérieurs. Les auteurs, rejetant les cas douteux, ont ainsi dressé le tableau de quaranl
ter l'envahissement du ganglion lui-même par un néoplasme. C'est un cas de ce genre que publient les auteurs. De ce cas
néoplasme. C'est un cas de ce genre que publient les auteurs. De ce cas et de ceux qui ont déjà été publiés, il leur se
emps que plus le climat est chaud plus sont fréquents et graves les cas de tétanos. Il en est d'ailleurs de même pour l
ETES SAVANTES SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE. Séance du o avril 1006. Un cas d'aphasie tactile. MM. RAYMOND et EGGER.- Une v
is, ajoute M. Marie, la simplicité du procédé permet d'y revenir en cas de récidive. 1 Paralysie du tibial antérieur.
des centres corticaux au niveau de l'o- percule rolandique. Deux cas de myasthénie bulbo-spinale. MM. Raymond, et LE
mitées à la partie supérieure du Fa. Zona. M. Souques rapporte un cas de zona vrai intéressant les le, 2e et 3e racin
i 190¡;. Epithélioma primitif du cerceau. 11. CRSTAN rapportedeux cas d'épithéliomas développés près de la selle turc
Chaque injection fut suivie d'une paralysie faciale fugace. Deux cas de poliomyélite antérieure aiguë. M. HUET et LE
yélite antérieure aiguë récente, et rappellent qu'ils ont vu quatre cas de cette af- fection chez des adultes dans le s
usculaire progressive, l'atrophie des phalanges. M. EGGER relate un cas de troubles des mouvements conjugués de la tète
interprétation de la coexistence bien explicable des tares. En tout cas , cette constata- lion prouve d'une façon péremp
ur le savant professeur et le crémier exulte. Montaigne a cité le cas suivant : « Une femme, pensant avoir avalé une
due se sentit soubdain clescharbée de sa douleur ». Un trouve des cas analogues assez nombreux dans les traités et le
'enfant présenta des mouvements convul- sils qui firent croire à un cas d'anencéphalie. Il y a synostose îles os du crâ
îles os du crâne, comme le fait s'observe habituellement en pareil cas . (Gaz. des malad. infantiles et d'obstétrique,
es comme exceptionnels. Dansun mémoire récent concernant dix-huit cas de sclérose latérale amyotrophique appartenant
'noyaux moteurs bulbaires» (1). (1 IhYlo1J eL It. Cestan. Diw-Inrit cas de sclérose latérale amyotrophique avec autopsi
nt un fait constant dans cette affection, mais variable suivant les cas et, le plus souvent, latent dans son expression
lution du syndrome. Ce qu'il y a de tout à fait remarquable dans ce cas , au point de vue men- tal, c'est l'absence de t
vancée de leur maladie, ainsi que j'en ai observé tout récemment un cas remarquable. Sclérose latérale et myopathie pri
us ou moins grave, depuis la démence la plus légère, comme dans les cas or- dinaires visés par M. P. Marie, jusqu'à la
hoses,la mé- lancolie suicide et les délires systématisés. Dans les cas où elles existent, ces complications délirantes
inutieusement les diverses va- riétés des cellules observées dans 3 cas d'abcès du cer- veau ; il montre leur origine v
E DE L'ABCES CÉRÉBRAL. 453 cellules conjonctives. Bien que dans son cas II, l'abcès, de date récente.fût d'abord limité
épithélioïdes des couches externes. Enfin Kelpin (1), à propos d'un cas personnel, a fait une étude approfondie de l'hi
pu Il comprendre; son visage devient alors tout souriant, dans le cas contraire, elle se met à pleurer. Elle a une cert
Il faut donc être réservé sur la déclaration de l'incurabilité, Le cas de Maz ? (p. 248), microcéphale à un degré très
ligieuses est de 67 ans. G. D. L\'LLI. Anatomie pathologique d'un cas de démence précoce : par G. Doutrebente et L. M
rebente et L. MARCHAND, - Les auteurs rapportent l'observation d'un cas de démence précoce avec exa- men nécropsique. L
laire et quelques amas de cel- lules embryonnaires. Rapprochant ces cas des documents déjà publiés, les auteurs conclue
REVUE D'ANATOMIE et de PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. - Dans le premier cas , c'est une affection accidentelle d'origine inf
on accidentelle d'origine inflammatoire ou toxique ; dans le second cas , c'est une psychose constitutionnelle survenant
des décubi- tus avec destruction des muscles fessiers. Or, dans ce cas , j'ai constaté une disparition presque complète
les détruits. Il m'est également arrivé d'étudier la moelle dans un cas de paralysie infantile et de mala- die de Fried
me manièrequ'on devrait interpréter la marche rapide de certains cas de sclérose latérale amyotrophique et la durée re
l'auteur pense qu'il est intéressant de faire connaître ce nouveau cas de coïncidence en- tre un vitiligo et une lésio
e lésion nerveuse. (Revue neurologique, 1905.) ZD E. D. LXXI1, -. Cas d'angiosarcome des méninges de la moelle chez u
rent le fait comme possible, il est permis de supposer, que dans le cas présent, l'angiosarcome ait pu déri- ver d'un a
s observations cliniques et anatomo-pathologiques de ces différents cas et remarque qu'autour du tubercule solitaire il y
avec intégrité des sensations élémentaires. JI. Déjerine montre ce cas chez une'ancienne hémiplégique sensitive liyper
pon- sable. C'est vous qui, d'office, ordonnez le placement dans le cas où vous estimez que « l'état d'aliénation de l'
en suite de quoi, vous avez le devoir de vous prononcer sur chaque cas individuellement, d'ordonner le maintien dans l
nir pour décisives, de procéder à une enquête ap- profondie sur les cas qui paraîtront douteux. Aucun médecin ne Se pla
lation française, ne permet pas de donner une solution à tous les cas qui peuvent se présenter. Si un enfant âgé de plu
orrection et de l'y maintenir jusqu'à vingt et un ans dans tous les cas où la chose serait nécessaire. Il y a lieu de f
. Achôndroplasie atypique, par Du- four, 224. , Acromégalie. Un cas d' avec lé- sions ltypcrplasiqucs du corps pi
ladie d'- avec trou- bles sympathiques, par Chavi- gny, 215. - Un cas de maladie d'- avec troubles sympnthi- ques,
ain, 509. Amencéphalie. Voir Pseudencé- phalie. Angiosarcome. Cas d'- des mé- ninges de la moelle chez un sujet
evic et Tolot, 499. Aphasie, par tuberculose, par Pron, 223. - Un cas d'- tactile, par Raymond et Egger, 422. Aphas
sensations élémentaires, par Déjerine, 503. Ataxie. Note sur deux cas fami- liaux d' cérébro-spinale (type Friedrei
rare, par Cer- litti et Perusini, 213. Atrophie abarticulaire. Un cas d' par Deroubaix, 4f¡. Archives, 2. série, l'
418. Voir Dégé- nérescence mentale. Basophobie. Observation d'un cas de - il type myotonique, par Roger Mignon, 14
ternement des aliénés, 504. Clonus du droit abdominal dans 'un cas de mal de Pott. par Portion et Papininn, 2. du
août 1906), 511. Contractures précoces et perma- nentes dans un cas d'hémiplé- gie de l'adulte, par Gaussel, 336.
adique, pnr Lugaro, 211. Cyanose. Voir Rétines. Déformation. Un cas de thora- cique précoce consécutive v une ple
atteinte' du - de persécutions, par Dromard et Levassort, 149. Un cas de par intoxication - suifo-cwbo- née, par Vi
7. - - catatonique. Voir Alimentation. Anatomie pathologique d'un cas de pré- coce, par Doutrebente et Mar- chand,
ne. Voir Névrite. Gasser. Voir Névralgie. Gastrite hystérique. Un cas de - traite par la psychothérapie, par \Ime L
gaucho, par Abadie et Dnpuy-Bii temps, 224. Hétérotopie. Nouveau cas de soi- disant t h0lI'l'otopie du cervelet, p
de Ménière, par Ray- mond et Baur, 504. Méningo-encéphalite. Deux cas de chronique avec cécité, par Bourneville et
sthénie hypotonique mortelle, . par Dupré et Pagniez, 336. - Deux cas de bulbo-spinale, pnr Raymond et 1x·jonne, 423.
nes extérieurs de la , par Rechte- revv, 147. Myxoedème. Sur un cas de in- fantile avec .quelques considéra- tion
Voltage. Régénération des - , par Médéa, 424. Neurasthénie. Deux cas de grave guéris par la suggestion hypnotique,
-trau- malique. par Rose, 81. Paget. Maladie osseuse de , trois cas observés dans une même famille, par &#x152;
une- correctionnelle, par Césare Collucci, 221. Pellagre. Nouveau cas de - ac- compagnée de rétraction de l'aponévr
13. - -. antérieure aiguë, par Raymond et Lejonne. 225. - Deux cas de - antérieure aiguë, par Huet et Lejonne, 424
is de -, par Ré- gis, 68. Psychose. Réflexions à propos de cinq cas de - aiguë étudiés hies- tologiqaement, par Der
veaux dans la en plaques, par Claude et Egger, 225. - Dix. huit cas de latérale amyotro- phi([ue avec autopsie, par
Roussy, 503. Syphilis. Voir Paralysie générale. Syringobulbie. Un cas de Syn- drome d'.\vellis, par Raymond et Ciii
de. La philosophie de -, par Lionel Dauriac, 339. Tétanie. Sur un cas de - à forme de rhumatisme musculaire, par Pi
leur, par Kelsch, 421. Tête. Voir Yeux, Déviation. Thomsen. Un cas de maladie de , par Meeus, 4G. Maladie de - e
92 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
t ces diverses régions de la substance grise. C'est là justement le cas des affections que nous allons décrire. Toutes so
la nutrition des muscles sont seules affectées au contraire dans les cas de myopathies spinales, du moins dans les types p
on de la peau se produire dans les myopathies spinales, même dans les cas les plus graves. Enfin : l'exaltation des propr
onnelle au degré de l'atrophie subie par le muscle. Ce sont là deux cas extrêmes, reliés par de nombreux intermé-diaires,
trois ans qu'elle se développe le plus souvent1. Après cinq ans, les cas sont rares2, après dix ans ils sont tout à fait e
appe exclusivement les deux membres su-périeurs*; — enfin, il est des cas où la paralysie, atteignant seule-ment les membre
ard, tendent à établir qu'il en est ainsi. Ce qui se passe, en pareil cas , chez l'adulte, plaide dans le même sens. D'aille
Nous avons eu nous-même occasion d'observer, il y a quelques mois, un cas de chorée guérie par l'emploi du Hachisch. Voici
ns quinze jours après ; la guérison s'est maintenue. En résumé, six cas de chorée : six guérisons. Nous n'avons pas rappo
individualité de la microcythémie; toutefois l'histoire repose sur un cas unique; et, avant de se hâter de conclure, il fau
si cette paralysie comme étant de cause réflexe, et en effet, dans le cas par eux observé, il y avait un organe malade d'où
LYTIQUE MALADIES DES ENFANTS i. remarques sur le traitement de 21 cas de bronchite capillaibe infantile, etc., par Be
s, l'ipécacuanha fut administré à dose vomitive, une fois dans chaque cas . Chez un certain nombre de malades, on remarqua q
de mucosités abondantes, puis une réaction salutaire. Dans tous les cas où la fièvre et l'inflammation persistaient après
du degré de la congestion du cerveau et de la veine porte. Dans les cas avec diminution ou suppression de 1 expectoration
rent rarement d'apporter un secours prompt et efficace. Dans tous les cas , moins un, des cataplasmes chauds furent constamm
rachéotomie. » (Gaz. des Hôpitaux, 1871, page 582). IV. Note sur un cas de muguet du gros intestin, par J. Parrot. — Admi
ats nécroscopiques et surtout histologiques, qu'il a observés dans un cas de muguet affectant la cavité buccale, l'œsophage
(Archives de physiologie normale et pathologique, 1870, p. 621). V. Cas d'hématurie intermittente, par Southey.— E. J. V.
tbre. Il ne s'agissait pas là d'une hémorrhagie de l'urèthre, ni d'un cas de menstruation précoce, car l'examen, fait à ce
ez les petites filles, par Bonnal ej Ch. Dubreuilh.—M. Bonnal cite le cas d'une petite fille, âgée de 26 heures, atteinte d
ogel1 écrit qu'elles sont ordinairement peu intenses. « Dans les deux cas que j'ai eu, dit-il, l'occasion d'observer, il se
mme la cause probable de la mort subite ou rapide dans une partie des cas où cette terminaison a été attribuée à la syncope
tat dure vingt-quatre ou quarante-huit heures tout au plus ; dans dix cas seulement, M. Woillez a con-staté à la mensuratio
étrocession commence qu'on voit ap-paraître dans un certain nombre de cas des phénomènes qui peu-vent être considérés comme
ait peut-être rendre des services, mais il n'a pas été appliqué à ces cas . Les données que fournit la mensuration sont te
iraillement constant sur le centre de la cicatrice. Dans de pareils cas , c'est-à-dire lorsqu'on intervient en second li
tard. Elle met plusieurs mois à s'accomplir, six mois, dans cer-tains cas , au dire de Volkmann. Huit ou dix mois après le d
ne se fait pas sentir en règle générale sur tous les points. Dans les cas ordinaires, il est toujours quelques muscles, ceu
et elle semble s'accuser •plus vite, dans cette maladie, que dans les cas de lésions des nerfs mixtes où elle est cependant
ysie infantile, déjà très appa-rente au bout d'un mois, et il est des cas , rares à la vérité, où elle peut s'accuser même d
sain, que de 2 à 3 centimètres seulement ; tandis que, dans un autre cas , la diminution en longueur du membre frappé de pa
paralysie pourra aller jusqu'à 5 ou 6 centimètres, bien que, dans ce cas , la lésion musculaire soit restée localisée dans
de l'atrophie des muscles et des os, on trouve à l'autopsie, dans les cas de ce genre, une diminution re- 1 De l'électris
nt des traces au tronc, au bassin, aux épaules et même, dans certains cas , à la têle. » — Id., loc, cit. 3 Heine, loc. ci
bot paralytique par excellence, et qui, dans l'immense ma-jorité des cas , revêt la forme varus-equin (Planche 1). La laxit
rités qui, elles aussi, ont droit à notre intérêt. Ainsi il est des cas où, après la fièvre, la paralysie, au lieu d'at-t
ace de quelques jours ou même de quelques semaines. Il est d'autres cas où dans la période de régression il se produit de
s avons reconnue, pour notre compte, d'une façon très-nette, dans des cas de date ancienne. B. Seconde période. Si l'on é
ue la plupart des faisceaux primitifs aient dis-paru. Il est même des cas — et j'en ai observé un de ce genre4 — où la surch
si l'hyperpla-sie conjonctive interstitielle qu'on observe en pareil cas est un fait constant et si elle remonte, ainsi qu
ulpian et Prévost, en 1860, chez une femme de la Salpêtrière. Dans ce cas qui a été communiqué à la Société de biologie par
t; la critique permet de reconnaître en effet qu'il s'est agi là d'un cas de paralysie infantile spinale. L'époque de la vi
muscles ne laissent guère subsister de doute à cet égard; or, dans ce cas encore, l'examen microscopique a fait reconnaître
ue nous avons faite l'an passé, M. Joffroy, mon interne, et moi, d'un cas très-remarquable, relatif à une femme de mon ser-
s cellules nerveuses motrices, qui se trouve déjà mentionnée dans les cas do MM. Vulpian et Prévost et dans celui de L. Cla
fait recueilli par M. Vulpian à la Salpê-trière2 ; dans deux autres, cas enfin observés à l'hôpital des enfants, par M. Da
si l'on considère surtout que jusqu'à ce jour il n'a été relaté aucun cas contradictoire de quelque valeur. Les cas qui nou
our il n'a été relaté aucun cas contradictoire de quelque valeur. Les cas qui nous ont été opposés datant tous d'une époque
ransversale de la moelle épinière faile à la région lombaire, dans un cas de paralysie infantile spinale occupant le membre
ntent au niveau des régions altérées de la moelle épinière , dans les cas récents , que des lésions relativement minimes et
onsé-cutif et purement accessoire, l'extension observée dans certains cas , du processus morbide aux faisceaux antéro-latéra
econdaire, consécu-tif à l'affection des cellules nerveuses. Dans les cas de date ancienne, elles consistent principalement
places, le tissu enflammé peut subir une véritable dissociation ; les cas de M. Da-maschino établiraient même, paraît-il, q
YEUX par le docteur a. de montméja En 1870, nous avons publié un cas intéressant de coloboma de la choroïde, observé à
e plus souvent ; mais elles sont quelquefois tristes. Dans le premier cas , elles s'ac-compagnent d'éclats de rire saccadés,
aduites quelquefois avec une loquacité extraordinaire ; dans d'autres cas , leur abondance est telle que la parole ne peut l
et plus tard monte considérablement au-dessus de la normale. Dans un cas que nous avons observé, nous avons noté qu'à la s
et quelquefois d'une manière assez notable (Bryan, Gilbert). Dans ces cas , le Hachisch communi-que à l'urine une forte odeu
épaules, quelquefois dans cette région et à la face ; enfin, dans des cas rares, ils sont disséminés. Aussi est on obligé d
is remarqué que des éruptions d'acné. — 11 serait bon enfin, dans des cas analogues, selon la re-marque du Dr J. Darrah, de
2° M. Devergie, dans une pratique de 30 années, n'a observé que ce cas et un autre concernant un jeune médecin dont les
ateman ou acné varioliforme de Bazin); II. Af-fections sarcomateuses ( cas de Hardy qui paraît être une tumeur à cytoblastio
Hardy qui paraît être une tumeur à cytoblastions d'après Verneuil ;— cas de Guibout décrit sous le nom de fibromes général
par Challand ; examen histologique, par Malassez. Il s'agit, dans ce cas , d'un homme âgé de 75 ans qui avait une tumeur de
température, paralysent les mouve-ments de l'intestin. Dans tous les cas , la respiration est accélérée. Les propriétés de
chose nécessaire pour le médecin, qui juge mieux ainsi les différents cas et se rend compte de l'action du médicament : les
ans inconvénients. A petite dose, ces substances sont utiles dans les cas d'incontinence d'urine, de constipation; pour dim
'hui dans sa trente et unième année. Comme la chirurgie peut, dans ce cas , intervenir utilement, malgré l'ancienneté de la
tre primitivement osseux, ou primitivement musculaire. Ainsi, dans le cas de lésion des vertèbres, les leviers osseux étant
s le muscle lui-même ou dans le nerf qui l'anime; et, dans ce dernier cas , il y a excès ou défaut d'action nerveuse. De là
que, depuis quelques années, on a rap-porté un assez grand nombre de cas de guôrison due à l'influence de cet agent. — Ava
tat de l'épuisement déterminé par une longue suppuration. — Le second cas se rapporte à un tétanos survenu consécutivement
ortées jusqu'à 154 grains par jour : le malade guérit. — Le troisième cas , enfin, est celui d'une femme qui fut prise de té
atre guérirent. Le Dr Bain a eu recours au même remède contre trois cas de té-tanos traumatique, observés à l'hôpital de
vés à l'hôpital de Calcutta : il obtint deux guérisons. Dans un autre cas de tétanos survenu à la suite d'une plaie du scro
lement à se 1 .mer de l'emploi de l'extrait de chanvre indien dans un cas de tétanos traumatique. Il prescrivit cette prépa
es membres chez l'un des malades. Le traitement employé dans les deux cas consista dans l'emploi de la teinture de Hachsch
dans l'emploi de la teinture de Hachsch unie à l'eau camphrée dans un cas , au sirop de cerise dans l'autre. On fit prendre
t-quatre heures. L'amélioi ation se produisit lentement dans les deux cas , mais la guérison fut complète (Charlestown médi-
de Paris, nous avons eu occasion d'observer un assez grand nombre de cas de tétanos à l'ambulance militaire du Jardin des
les exemples de guérison ont été publiés, mais en est-il de même des cas où le traitement a échoué? Il est permis d'en dou
M. Brierre cite de telle façon qu'il est impossible de savoir, et le cas se représente souvent, si ce qu'on lit est de lui
ente de celles qu'il avait alternative-ment manifestées dans les deux cas . » Le cas est curieux, il pose ce problème psyc
es qu'il avait alternative-ment manifestées dans les deux cas. » Le cas est curieux, il pose ce problème psychologique: c
sitation n'était en effet possible. Aussi n'avons-nous pas signalé ce cas litigieux, (ad/iuc subjudice) pour son intérêt mé
nouvelle, mais qui cependant peut rendre des ser-vices dans certains cas donnés. Nous voulons parler de la ponction de la
alcul ; M. Reliquet en indique toutes les phases, et analyse tous les cas qui peuvent se présenter. Vient ensuite le broi
Nous aurions voulu encore indiquer le choix de la taille suivant les cas , mais cela nous entraînerait trop loin et nous so
es indiquées par Spring ne sont donc nullement nécessaires. Dans le cas que nous avons eu sous les yeux, il n'existait su
ocèle. D'où il est permis de conclure avec M. Richet, « que, dans ces cas , le cerveau n'a point fait vérita-blement hernie
Déjà j'avais observé cette action immédiate de l'électricité dans un cas de contracture vésicale sur une pierre (fait cité
calcaire des parois de la vessie, et je pouvais espérer que, dans un cas simple, la vessie aurait pu être calmée d'une faç
la tunique peritoneale. Aussi, sommes-nous autorisés à considérer ce cas comme étant bien celui d'un cancer primitif du pé
uelque analogie avec le tissu delà cornée transparente; dans tous les cas , il n'existe dans le cordon ni réseau plasma tiqu
s peuvent se produire : ou bien le sang est résorbé et ce sont là les cas heureux ; ou bien il subit la décomposition putri
ticulation ; 2d La résection n'est réellement indiquée que dans les cas de lésion des épiphyses. La balle traversant le t
c sagacité l'opportunité de ces sortes d'opérations. Consulté dans un cas à'uterus deficiens, par une jeune fille désirant
e pénis au robinet de sa baignoire. M. Dumarest constate que, dans le cas ob-servé par lui, il y a eu ulcération et non pas
x observations de M. Rousseau et de M. Saillard qui sont citées comme cas analogues sont très-intéressantes, sur-tout celle
les accès ; l'amélioration porte surtout sur l'état général. Dans ces cas , on remarque, suivant la prédominance de l'élémen
à l'influence du pays; tantôt la fièvre intermittente, et c'est là le cas auquel se rap- porte l'étude de M. Armaingaud,
es résultats les plus favorables, n'a pas été suivi de succès dans ce cas ; mais il faut remarquer que la brièveté extrême
en était inexacte l'opinion chère à Velpeau qui, dans la plu-part des cas , faisait de la tuberculisalion du testicule une a
rimordiale des qualités du fluide sanguin, ou bien, et ce sont là les cas les plus rares, il est malade primitivement et ce
lière, par suite de la difficulté du retour du sang veineux. Dans les cas pathologiques comme dans le sang de rate des anim
ang est profondément modifié dans ses caractères physiques ; dans les cas graves, il n'y a pas séparation de ses éléments ;
presque subite. On a observé la congestion de la rate dans plusieurs cas de pylé- phlébite (Colin,Société vétérinaire, 1
nt. Pour M. Peltier, toutes les fois que le squelette est atteint, le cas est grave. Dans la question des amputations, l'
uées de fracture. Il note avec soin le traitement dans ces différents cas et les résultats obtenus. M. Peltier parle enfin
s des autres, les chirurgiens pouvaient prendre les observa-tions des cas intéressants; mais aujourd'hui la rapidité de la
talité de ces nobles messieurs. F. Roqoe. . 1 Voy. le résumé de ces cas clans la Revue analytique sur remploi du chloral
ésister, messieurs, au désir de mettre à profit un certain nom-bre de cas très-remarquables d'hystérie qui se trouvent actu
éveloppement pourraient être demain complètement effacés. Parmi ces cas , il en est un, digne d'attention entre tous, qui
art des médecins. Il ne faut pas dédaigner, messieurs, l'examen des cas exception-nels. Ils ne sont pas toujours un simpl
spect ou l'odeur de l'urine. Tou-jours est-il que, dans deux ou trois cas , l'analyse chimique a découvert dans ces vomissem
te de quel-ques-uns des phénomènes observés chez les animaux dans les cas de néphrotomie ou d'oblitération des uretères par
es accidents cérébraux sont inévitables, à un mo-ment donné, dans les cas d'expérimentation chez l'animal, tandis que chez
me. Depuis, mes opinions se sont quelque peu modifiées en présence du cas que je vais vous exposer tout à l'heure. Avant
e, a. Ainsi il. Laycock, qui a fouillé partout, n'a pu aligner que 27 cas sur lesquels deux seulement lui appartiennent, p.
les malades. En revanche, il est incontestable que, dans une foule de cas , elles se sont plu à dénaturer, en les exagérant,
t plu à dénaturer, en les exagérant, les principales circonstances du cas , et à lui imprimer le cachet de l'extraordinaire,
y joindra peut-être des vomissements de matières fécales. Parmi les cas du dernier genre, celui qui, en France, a eu le p
ermine à peu près, nécessairement par la mort. Laissant de côté les cas d'anurie dépendant d'une maladie de Bright aiguë
t est devenu impropre à la fonction d'urinalion ; tantôt, et c'est le cas le moins fréquent, les deux uretères sont oblitér
Abercrombie et tous les auteurs qui se sont attachés à l'étude de ces cas s'accordent à reconnaître que si d'anurie persist
d'au-tant moins négliger que nous en tirerons bénéfice. Io Dans le cas du docteur Laing, deFochaber, cité par Robert Wil
des urines et le ballonnement du ventre qui, eux aussi, sont dans ce cas des phénomènes permanents. Enfin, cette femme e
este, un fait connu depuis longtemps, en dehors de l'anurie, dans les cas de vomisse-ments incoercibles des hystériques.
x, etc., et les vomissements de matières fécales. Quelques-uns de ces cas se présentent d'ailleurs dans tous leurs détails
i, peut-être, vous paraîtra plausible, mais que je vous prie, en tout cas , de ne prendre que pour ce qu'elle vaut. Que le
ons vu d'ailleurs qu'il n'y a pas lieu de faire intervenir dans notre cas une évacuation supplémentaire par les selles ou l
lative des matières dites extraetivss, doit rendre compte, dans notre cas , de l'absence de tout symptôme d'intoxication uré
effet, que certaines de ces malades résistent admirablement, dans le cas de vomissements incoercibles, à une alimentation
ertain laps de temps. (Jobert de Lamballe.) S'agirait-il dans notre cas d'oblitération spasmodique des ure-tères? On sait
accusées; ainsi, Mulder les a vus se contracter énergiquement dans un cas d'exstrophie de la vessie, et Valentín a dit avoi
e Manchester)1 a confirmé la réalité de ce fait chez l'homme. Dans un cas d'obstruction calculeuse de l'uretère, il s'é-cha
ante. — MM. Blot et Depaul, tout en faisant des réserves à propos des cas urgents, adoptèrent celte manière de voir. M. Yer
, lorsqu'il a à soigner une femme enceinte; il n'opérera que dans les cas tout à fait ur-gents, pour ne pas exposer d'un se
st connue sous le nom dephocomélie (1871, pl. XXI). En comparant ce cas avec le nôtre, nos lecteurs pourront voir combien
rare, intéressant la jambe et le pied du côté droit et diffé-rant des cas ordinaires de phocomélie en ce que le fémur n'a p
rence de longueur. Nous avons eu beaucoup de peine à photographier ce cas , en raiscn de l'âge de l'enfant et de la difficul
n effet, ou bien ces deux affections exis-tent isolément, et, dans ce cas , la situation de la matrice, constatée par la pal
va guère au delà de deux pouces de profondeur, tandis que, dans notre cas , on a vu qu'elle va de six à huit et quelquefois
n, sans aucune espèce de cause inflammatoire. Nous ne voyons dans ces cas qu'une exagération parfaitement admissible de la
ertro-phique. Nous avons trouvé dans la presse américaine un second cas qui nous semble devoir être rapproché de celui de
s elle peut aller au delà et atteindre 9 centimètres. Dans ce dernier cas , le col fait une saillie considérable entre les c
ANALYTIQUE OBSTÉTRIQUE I. Note sur un nouvel excitateur utérin en cas d'accouchement prématuré artificiel, par M. le do
u bien encore un simple mandrin en font tous les frais. Dans bien des cas , on pourrait se passer de pince et de man-drin si
» Cet appareil a déterminé rapidement l'accouchement dans les deux cas où il a été employé. Il présente, suivant son aut
eter, et dans le style qu'on lui connaît. Il en résulte que, dans des cas semblables, on devra déconseiller des grossesses
de ia membrane hymen, par Martinelli. — Si le périnée, dans certains cas , peut être rompu et traversé par la tête du fœtus
ption, de la grossesse et de l'accouchement, par G. Chantreuil — Un cas de cancer utérin observé par M. Chantreuil, à la
apporté par la tumeur, grâce à l'état cachectique qui, dans certains cas , s'oppose à l'ovulation. B. La désorganisation
ent peut avoir lieu avant terme ou bien être retardé. Dans le premier cas , la lésion s'étendant jusqu'à l'orifice interne,
ats obtenus donne une idée de la gravité de celte affection : dans 55 cas les malades se rétablirent, dans 25 elles mourure
ffet, résultent des indications pour le traitement. Si, dans certains cas favorables, l'accouchement a lieu par les seules
pour passer la main à travers l'orifice utérin rigide. Dans certains cas exceptionnels, on devra tenter Y extirpation de l
elle fut plus tard abandonnée par ce professeur; On a cité quelques cas d'abcès isolés dans la rate ; mais généra-lement
ure et du mode de développement. La rate, dans l'un et dans l'autre cas , est souvent le siège de pa-reilles tumeurs. Ce
— Nous avons signalé naguère les éruptions produites, dans cer-tains cas , par le bromure de potassium. Nous avons vu que p
, 1871, p. 551, n. 83.) L'iodure de potassium a donné lieu, dans le cas qui précède, à une éruption huileuse; ce phénomèn
'étiologie et certains détails anatomiques, l'analogie entre les deux cas de M. Nélaton est complète ; les divers symptômes
ême le dernier malade de M. Nélaton. « Malgré le très-petit nombre de cas authentiques que nous possédons, dit-il dans sa p
phthalmique et l'anévrysme artério-veineux. Dans un certain nombre de cas , les observateurs paraissent avoir méconnu la lé-
ez certaines d'entre elles, explique ce développement. Dans cer-tains cas , le mouvement rétrograde que subissent les tumeur
ssé successivement de 59 degrés à 57 degrés. (Voy. Fig..) Enfin, le cas que nous allons rapporter nous a fourni l'occasio
lus compétents en matière d'affections cutanées, qu'il s'agit dans ce cas d'un molluscum pendulum gigantesque ou tout au mo
s deux con- tractions ; mais il n'en est plus de'même dans certains cas patholo-giques; et depuis que nous employons cet
u des courants continus n'indiqueraient au-cune modification dans des cas anciens de paralysie de cause cérébrale par exemp
emps plus long. Ce sont les mêmes phéno^ mènes qu'on observe dans les cas de paralysie faciale périphérique; et c'est proba
ine opéra-toire. — MM. Trélat et A. Guérin en ont présenté différents cas à la Société de chirurgie; d'une manière générale
ise le malade, il faut opérer. » Selon M. A. Guérin, il est aussi des cas donnés où l'intervention devient impérieuse ; il
n apparence et en réalité.— La suppuration se montre surtout dans les cas de lésions sous-cutanées intéressant une cavité n
que l'air atmosphérique. La suppuration se manifeste encore dans des cas où, à l'action vulnerante, vient se joindre quelq
constitutionnel. — M. Verneuil a eu l'oc-casion d'observer plusieurs cas de ce genre, qu'il a communiqués à la Société de
nt donné trois guérisons. L'opération en elle-même, dans ces derniers cas , n'a rien offert de particulier, quoique, chez de
ner les meilleurs résultats ; reste à savoir si, dans la plu-part des cas , la méthode d'autoplastie par glissement ne donne
ne croient pas cependant à la reproduction osseuse, au moins dans les cas traumatiques. Pour eux, la gaîne capsulo-pôriosté
s très longtemps prolongée, de faibles courants électriques ; dans un cas , il s'agissait d'une paraly-sie de l'avant-bras ;
s plaies d'amputation était l'emploi du perchlorure de fer. Dans neuf cas , M. Fouilloux a appliqué ce mode de pansement à P
nerf et du muscle n'est en effet comme phénomène intime, même dans le cas d'excita-tion vitale, qu'une rupture de l'équilib
ive qui a lieu au moment de la cessation du courant. Il faut, dans ce cas , ne jamais enlever lesrhéophores brusquement. Il
ue physique, mais le fait n'en est pas moins exact, et, dans fous les cas , il est important, selon les cas, de savoir emplo
t pas moins exact, et, dans fous les cas, il est important, selon les cas , de savoir employer les courants de la première h
spection si les corps caverneux sont altérés ; ils sont dans tous les cas perdus dans la tumeur et depuis longtemps n'entre
le ne s'ac-compagne d'aucune lésion réellement inflammatoire. Dans ce cas , le museau de tanche se présente avec ses caractè
ne nous semblent pas très rares ; nous avons pu recueillir plusieurs cas d'élongation du col s'accompagnant soit de rétrov
pas impossible, même avec une élongation dépassant la vulve'; dans ce cas , le pénis presse sur les côtés du col hvpertrophi
ou lente et progressive : cette dernière suffit dans la majorité des cas . Sans bannir ce traitement chirurgical, M. Visca
nt deux ou trois semaines. — M. Guéneau conseille encore dans le même cas les injections sous-cutanées de quelques gouttes
placées près du col utérin ; c'est-à-dire qu'il a eu l'idée dans ces cas de décoller la vessie dans une certaine étendue d
ccessiveineut la dénudation des artères dans les opérations, dans les cas de sup-puration abondante, de mortification de ti
vées avec une tumeur, le vaisseau résiste dans la grande majorité des cas ; il ne se produit ni hémor-rhagie, ni anévrysme,
s autres solutions de continuité. Les plaies par arrachement dans les cas rares où la rupture du vaisseau en laisse une par
ait pour eux un mélange, une combinaison, à doses variables selon les cas , des deux névroses ; ce n'est pas seu-lement l'ép
ient par là même prédisposés à contracter la seconde. Mais, en pareil cas , ajoute-t-on, les accidents convulsifs restent di
n de ces at* taques dont l'existence est si nettement établie par les cas mêmes qui servent de fondement à notre étude, et
ne se-rait pas dans le fond des choses. En d'autres termes, dans ces cas , il s'agirait uniquement et toujours de l'hystéri
ro-épilepsie à crises distinctes. Eh bien, messieurs, ce serait là le cas le plus fréquent, car on en compte 20 exemples su
t là le cas le plus fréquent, car on en compte 20 exemples sur les 32 cas de M. Beau. Il convient d'ailleurs d'établir dans
n de certaines causes et, en par-ticulier, des émotions morales. Un cas de Landouzy, cité par M. Briquet, mérite d'être r
(contracture, anes-tbésie, etc.). Nous possédons, par devers nous, un cas de ce genre. Mais ces diverses associations ne
dans le service spécial de la Salpêtrière, les crises sont en pareil cas désignées sous le nom d'attaques-accès. IV. Y a
ongue du-rée, occupe l'abdomen, l'épigastre et n'affecte pas, en tout cas , la face seule et d'emblée, ou l'une des extrémit
. Je ne crois pouvoir mieux faire que de vous rappeler à ce propos le cas de la malade Leroux, qui, depuis près de 40 ans,
peuvent laisser subsister aucun doute à cet égard. En somme, dans les cas de ce genre, et telle est aussi l'opinion de M. B
er se montre alors, dans son type de complet développement. En pareil cas , messieurs, c'est-à-dire lorsque les accès de l'é
ue cette élévation de la température est, dans la grande majorité des cas , même après toute cessation des convulsions, un i
ns profond, — congestion apoplectiforme des auteurs ; — dans les deux cas il y a prostration des forces, sécheresse de la l
au-des-sus de 41° n'est donc pas nécessairement terminale, en pareil cas ; et il y a par conséquent quelque chose à rabattr
dans les attaques, avec ou sans convulsions, qui s'observent dans les cas de foyer cérébral ancien (hémorrbagie ou ramollis
; sans doute il répond à la réalité, pour la très-grande majorité des cas , mais il y a le chapitre des exceptions. Il n'est
rappeler un fait de ce genre publié par M. Wunderlich. Il s'agit d'un cas d'hystéro-épilepsie comparable à beaucoup d'égard
Cet exemple suffira, messieurs, pour vous montrer qu'en présence d'un cas d'état de mal hystéro-épileptique, de quelque int
haque moment que le courant traverse le corps. Comme dans beaucoup de cas , la sensation que donne le passage du courant est
la durée, la force du courant, etc., dé-pendent évidemment de chaque cas , et il est impossible de donner des lois générale
l est impossible de donner des lois générales s'appliquant à tous les cas indistinctement. Cependant, et c'est un point s
si nous n'avions agi que localement. Cela veut-il dire que dans ces cas il était inutile ou mauvais d'agir sur les muscle
oins varier les moindres opérations selon les complications de chaque cas . Nous avons en effet trois classes de paralysie s
vons eu l'occasion de les constater d'une manière bien nette dans les cas que nous avons observés récemment. Dans une premi
extenseurs sont donc atteints avant les autres muscles, mais dans les cas anciens, on trouve également d'autres muscles, qu
ps, il faut électriser directement les muscles paralysés, car dans ce cas , ceux-ci sont affectés et ont besoin d'une stimul
es paralysies faciales, dans les paralysies infantiles, dans certains cas hybrides d'atrophie musculaire pro-gressive, et à
était déjà très-notable, et que nous croyions nous trouver devant un cas de paralysie périphérique très-légère et dont la
affection centrale, et nous nous trouvons justement devant un de ces cas dont la dernière leçon de M. Charcot1 peut nous a
i fournit surtout les nerfs du muscle orbiculaire des lèvres. Dans ce cas , en effet, l'action de siffler ou de souffler, qu
'action de siffler ou de souffler, qui reparaît si lentement dans les cas de paralysie faciale ordinaire, a été possible dè
rtaine, nous aurions, sans grande difficulté peut-être, enregistré ce cas parmi ceux de paralysie périphérique conservant s
re premier pronostic, car il est bien différent et plus grave dans un cas de ce genre, même complète-ment guéri, que dans u
grave dans un cas de ce genre, même complète-ment guéri, que dans un cas de paralysie périphérique qui eût guéri plus lent
, de le prédisposer aux grandes complications traumatiques. Dans un cas analogue, M. Verneuil a lié préventivement la car
association. PATHOLOGIE INTERNE NOTES SUR LA TEMPÉRATURE DANS LES CAS DE RAMOLLISSE-MENT DU CERVEAU QUI GUÉRISSENT pa
SENT par bourneville Nous avons eu l'occasion de recueillir trois cas de ramollissement cérébral terminés par la guéris
droite ; il y avait une aphasie absolue : sous tous ces rapports, ce cas rentre donc dans la règle. Après une ascension
prise le soir du troisième jour de l'attaque. Dans notre troisième cas , concernant une malade âgée de 60 ans, nous n'avo
faire varier la température, ce qui n'a pas lieu; en outre, dans les cas d'ectopie du cœur, la différence de température e
rgies individuelles. Il est le régu-lateur physiologique. Suivant les cas , suivant les localités, suivant les conditions ex
e, pas même de signes. « Je ne connais pas, dit le Dr Peet, un seul cas bien avéré de sourd-muet ayant acquis, par la seu
ovembre. On ne peut nier l'action sédative de l'hyoscyamine dans ce cas de tremblement mercuriel ; en effet, son administ
ligature a été faite en masse ou sur une branche artérielle. En tout cas , dans le point qu'indique la malade on ne retrouv
oyer et de la durée de l'électrisation. h'intensité varie selon les cas , depuis celle fournie par quatre jusqu'à cinquant
ut même employer des courants assez intenses, mais seulement dans les cas où l'on agit sur des paralysies périphériques, su
res, sur des contractures, sur des anesthésies, et même dans quelques cas d'affection chronique de la moelle, en un mot, da
ques cas d'affection chronique de la moelle, en un mot, dans tous les cas où il n'y a aucun danger à exciter la peau et la
exciter la peau et la circu-lation. Il n'en est plus de même dans les cas de névralgie, d'irri-tation spinale, lorsqu'on ag
tion spinale, lorsqu'on agit près de la tête ou sur la tête. Dans ces cas , il faut que la sensation soit à peine perçue par
u opposée à celle que parcourt le flux nerveux. Néanmoins, dans les cas où il est difficile de bien limiter la direc-tion
ns soignées dans le service de M. Gharcot, nous vous présentons trois cas d'hémiplégie chez les-quels nous avons obtenu des
s continus a fait disparaître la plupart de ces symptômes. Dans les cas d'hémiplégie, nous agissons non-seulement sur les
t comme calmant, et il n'y a peut-être aucun agent qui, dans certains cas , détermine aussi sûrement un sommeil calme et pro
tinus sur la circulation intra-crânienne. Mais c'est surtout dans ces cas qu'il faut tenir compte de la direction des coura
l dans son rapport à l'Académie des sciences. Eh bien, dans aucun des cas , ni dans des cas d'atrophie, de rhumatisme articu
t à l'Académie des sciences. Eh bien, dans aucun des cas, ni dans des cas d'atrophie, de rhumatisme articulaire chronique o
lorsque l'épiderme est parfaitement humecté et dénudé ; car dans les cas ordinaires, l'épiderme offre une telle résistance
ion. Le procédé ne peut donc tout au plus être employé que dans des cas très-limités, chez des personnes-peu excitables,
cas très-limités, chez des personnes-peu excitables, et même dans ces cas , il n'offre aucun avantage sur le procédé ordinai
n des courants sur la circulation est très-manifeste dans beaucoup de cas et elle est très-nette dans les expériences physi
serve les mêmes phénomènes, mais même un peu moins prononcés. Dans ce cas , lorsque le pôle positif est placé sur le front,
ents dans la circulation intra-oculaire sont moins prononcés dans les cas d'atrophie de la pupille, mais ils existent cepen
s existent cependant cl ainsi peut s'expliquer comment, dans quelques cas , on peut arrêter celte atrophie et même obtenir u
t arrêter celte atrophie et même obtenir une amélioration. Dans trois cas d'atrophie de la pupille, nous avons incontestabl
iquement en électrisant le ganglion cervical supérieur. Dans d'autres cas , la maladie sans s'améliorer a été enrayée et n'a
alvano-toniques. Ce phénomène, bien difficile a obtenir dans tous les cas , tellement qu'il a élé nié par M. Duchenne, consi
ermeture et au moment de l'ouver-ture du courant, tandis que dans ces cas , il y a une contraction qui subsiste pendant tout
réel chez des malades atteintes de chorée des vieillards. Dans des cas de rhumatisme articulaire chronique et d'arthrite
ioration aussi notable que celle que nous avons obtenue dans d'autres cas identiques. Chez une de ces malades, l'améliorati
ble, et cependant il est incontestable que, dans un certain nombre de cas , nous avons eu des résultats qu'il eût été diffic
malades. Récemment M. Verneuil a entretenu la Société de chirurgie de cas de polypes ulcérés de l'uté.us chez lesquels une
epaul, Ilerpin. — M. Guéniot a eu également occasion d'en observer un cas remarquable. Il s'agit d'une femme portant un éno
de de la macroglossie, par le D1' Carl Arnsteln. — Un petit nombre de cas de macroglossie bien étudiés, l'intérêt histologi
, ne saurait recevoir une plus éclatante vérifica-tion que dans notre cas ; nous nions non-seulement l'existence du tissu a
en a été ou quel en sera le résultat ? Si nous nous en rapportons aux cas pré-cédents, nous sommes en droit d'attendre, sin
t, a été confirmée souvent par M. Gubler, qui a également observé des cas extrêmement remar-quables où l'homme droit sembla
éressants qu'elle contient, et à dire que, pour M. Collette, dans les cas qui nous occupent, la dystrophie s'opère par le m
ns trouvé deux faits pour infirmer la proposition de Cooper ; dans un cas , il s'agit d'une luxation sous-acromiale datant d
à l'hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. Péan; dans un autre cas , la luxation de l'épaule datait de 110 jours; ell
sible de préjuger et de poser des règles fixes, si même dans certains cas on a vu réduire des luxations anciennes au delà d
voir un exemple dans la thèse d'agrégation de M. Cor-nil, et, dans ce cas , comme M. Cornil le fait remarquer «on ne sau-rai
e. Mais peut-être serait-il bon de rechercher préalablement, dans ces cas de parotidite, l'état des veines jugulaires. — Si
Si on y constatait une phlébite, on pourrait, au moins dans certains cas , y subordonner, en vertu de la théorie de l'infec
mais encore une fois, je crois qu'il faudrait tenir compte, dans les cas de parotidite, de l'état des veines voisines avan
L.-E. DUPUY, interne des hôpitaux de Paris. - suite 1 — Les trois cas suivants d'élongation hypertrophique compliquée d
re -tum, et ayant amené des troubles fonctionnels sérieux. Dans le cas suivant de M. Marchai (de Calvi), nous retrouvons
e Vanus et du rectum. — Amputation du col; hémor-rhagie. — Guérison. ( Cas de M. Marchal, de Calvi.) Madame X., âgée de 40
r d'observation détaillée. Mais M. Boinet nous a dit avoir observé le cas suivant : Examinant une jeune étrangère atteinte
lade fut guérie radicalement par l'amputation du col. même dans des cas où l'élongation est peu considérable. — Nous revi
réclament. Il est rare d'observer des lésions de voisinage dans les cas d'élon-gations hypertrophiques cervicales ; M. Ru
irritation causée par le coït qui est toujours si douloureux dans les cas d'élongation hypertrophique du col de l'utérus. (
capitales. « Pendant la grossesse, on n'opé-rera jamais que dans les cas urgents. Une fois l'accouchement effectué on devr
I. Paralysies obstétricales des nouveau-nés, par Hil. Nadaud1. — Deux cas de paralysie obstétricale chez des nouveau-nés ob
e de leurs variétés ; 1° du mécanisme de l'accouchement dans tous les cas où l'occiput occupe primitivement l'un des points
par les fesses, car la cause de la lenteur du travail, dans ces deux cas , vient du défaut de rapport que les parties qui s
par M. Sentex, qui a eu, lui aussi, l'heureuse fortune d'observer un cas dece genre (Obs. XXX\T.) Les positions occipito
moins fré-quentes que les positions non persistantes (15 fois sur 58 cas ; Sentex), tandis que la rotation en avant peut êt
malie, une per-version du troisième temps de l'accouchement. Dans ces cas , l'ex-pulsion du fœtus peut avoir lieu spontanéme
bassin etc.). Le mode d'intervention devra donc varier suivant les cas , et les moyens qui pourront être usités sont long
x n'a pu exécuter que deux fois cette manoeuvre et que, dans l'un des cas , la malade a succombé aux suites d'une métro-péri
erne conseillée par Guillemot et la version dans un certain nombre de cas très-limités sont des procédés qui pourront être
e demi-minute, une minute et même trois minutes, suivant l'urgence du cas , l'époque du travail où l'on se trouve et la sens
irement exposées par M. Suchard, on l'emploiera surtout : 1° dans les cas où il y aura dé-faut d'action des muscles abdomin
ltats obtenus par lui depuis le mois de juin dernier. Dans un premier cas , l'expression utérine a été appliquée au fœtus. L
rrête ordinairement aune faible distance de la lésion ; mais, dans un cas , elle remontait à une grande hauteur en l'absence
ontraire, il est plus ou moins complètement restauré. Dans le premier cas , au sein du réticulum épaissi, on trouve les gain
estion suivante : La paraplégie ne peut-elle pas cire dans quelques cas le résultat de causes agissant mécaniquement, tel
r une tumeur? Pour résoudre cette question, il importe de diviser les cas de compression de la moelle en deux catégories su
que M. Charcot applique depuis quel-ques aimées au traitement de ces cas , semble favoriser cette ten-dance naturelle et hâ
permettre d'apprécier la valeur de telle ou telle médication dans un cas donné. Pour dire ma pensée, en un mot, le pharmac
st bien moins une formule qu'on cherche que l'indication positive des cas où il faut avoir recours à telle ou telle médicat
par M. le docteur TILLAUX, chirurgien de l'hôpital Saint-Louis Le cas suivant mérite surtout d'attirer l'attention en r
t prit tous les caractères que nous présentent les li-pomes en pareil cas . Lors de notre premier examen, la tumeur, de fo
e des hôpitaux de Paris (1871, Pl. XVIII et XIX) a déjà enregistré un cas semblable, etee n'est pas sans raison que P. Dubo
exactes du bassin, énergie des contractions utérines, voilà, dans ces cas , les trois termes inconnus delà question. Victo
l'hypertrophie porte égale-ment sur tous ces éléments, et c'est là le cas le plus fréquent, tan-tôt elle porte de préférenc
areil glandulaire ou muqueux, le tissu conjonctif, etc. Dans certains cas , enfin, la structure primitive du col n'existe pl
. a) Hypertrophie généralisée à tous les éléments. — La plupart des cas que nous rapportons dans le cours de ce travail a
à l'état ordinaire, ils sont augmen-tés de volume et dilatés dans les cas d'élongation ; leur orifice excréteur est plus ou
morrhagie consécutive à cette opé-ration. Dans un certain nombre de cas , cependant, les vaisseaux utérins sont plus volum
nce considé-rable de ce système. Le col utérin subit, dans le premier cas , une véritable transformation érectile et revêt,
ain et faire quatre-vingts kilomètres sans accidents. Dans les deux cas que nous venons de citer, l'hémorrhagie fut primi
ésa étudiés en 1860 dans sa Thèse inaugurale, n'en avait réuni que 14 cas . A ces 14 observations, Wecker, dans son Traité d
servations dues à MM. Labbé et Stceber, avec dessins représentant ces cas intéressants (voy. Revue photographique des hôpit
d'irritation ou qu'elles pren-nent un accroissement rapide. Dans ces cas , il faut faire ce qu'a fait M. E. Martin : il fau
1' — traumatique, par Yerneuil, 22*i. Excitateur utérin (Nouvel) en cas d'ac-couchement prématuré, etc., par Jlyernaux (A
, par Tillaux, 585. Montméja (A. de), 48, 96. Muguet (Note sur un cas de), par Parrot, 25. Myopathies (Groupe des) de
par Verrier, 593. Ramollissement du cerveau; tempéra-ture dans les cas qui guérissent, par Bourneville, 297. r Rate (M
93 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n colla- Fig. 2. - Nerf sciatique. 8 ANATOMIE. térale, dans les cas d'oblitération de la fémorale. L'examen des aut
mérite mieux que le silence qui règne encore sur lui; et dans les cas d'oblitération des grosses artères, après une l
sera pas Henri de Bourbon. Le ton se modifie sensiblement selon le cas . Observation XVIL-V..., néon 1850, entré en 187
sont apparues peu après les idées de per- sécution ; dans certains cas , on aurait pu les croire presque contemporaines
de l'oeil chez Lem... est catégo- rique sur l'existence, dans notre cas , d'une atro- phie tabétique. Il n'est, du reste
comotrice progressive. Nous ne sommes donc pas ici en présence d'un cas de pseudo-tabes diabétique mais bien d'un cas d
ici en présence d'un cas de pseudo-tabes diabétique mais bien d'un cas d'association du véritable tabes avec le vrai d
rraient être opposées à celte manière de voir : 1° Il s'agit d'un cas de pseudo-tabes diabétique dans lequel les phén
conde objection est beaucoup plus sérieuse. Et pourtant, dans notre cas , la glycosurie ne saurait être symptomatique d'
ne tabétique'. Bref, comme dans l'observation III, il s'agit d'un cas d'association du tabes vrai avec le véritable dia
abes vrai avec le véritable dia- bète sucré. Mais, contrairement au cas précédent, c'est ici le tabes qui a débuté et l
a même argumen- tation et des mêmes conclusions : elle a trait à un cas d'association du tabes avec le diabète sucré. -
existe aussi chez un seul individu. Et très vraisemblablement ces cas d'association tabético-diabétique sont plus fréqu
tabes seuls. Encore une fois, nous ne nions en aucune manière les cas de pseudo-tabes diabétique ni ceux de glycosuri
exemples personnels. Mais nous voulons faire une place clinique aux cas d'association, qui la méritent bien. ' Dans l
ns les recherches que nous avons faites, nous n'avons pas trouvé de cas analogue. Nous devons faire une exception en fa
s entière- ment. Voici comme spécimen le résumé d'un de ces trois cas : z L 68 PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation V
tre. Pour notre compte, nous admettons très volon- tiers, dans ce cas , l'association du tabes vrai avec le véritable
orsque, sans affirmer catégoriquement, il écrit : « Dans tous les cas , rien ne prouve qu'il se soit uniquement agi du
ladie, ni faire l'autopsie. Cependant, quoique le diagnostic de ces cas ne soit pas ferme, je pense qu'on ne peut sûrem
ue les cris d'animaux transportés chez l'homme, sont, dans certains cas au moins, la conséquence d'une imitation involo
ée en 1854, de la toux hystérique, peuvent être appli- qués aux cas de bê- lement, de mugisse- ment, d'aboiement
ormale, un groupe à part ; ainsi les attaques convulsives en pareil cas sont vraiment rares ; rares aussi les autres ac
nt que, d'après mon expérience personnelle, dans un grand nombre de cas de ce genre la recherche des stigmates sensitiv
préliminaires et actuellement je vais passer à l'examen des divers cas que j'ai sous la main et à propos desquels je v
émentaires rela- tives à l'histoire de ces bruits laryngés. - 1 ? Cas . Voici d'abord une jeune fille nommée S..., âgé
à droite. Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel. Dans ce cas , je l'ai fait remarquer, le bruit laryngé se pr
côté, se rapproche du hoquet, chez le jeune garçon que voici. 2C Cas . - Il est âgé de quinze ans, un peu adipeux, jo
he. Aucune anomalie à signaler du côté des organes génitaux. - 3° Cas . Voici maintenant un cas comparable au précéden
ignaler du côté des organes génitaux. - 3° Cas. Voici maintenant un cas comparable au précédent, mais plus accentué dan
lontairement en émoi et le fait aboyer. Ici encore comme dans le cas précédent, malgré la ressemblance avec un aboie
tage a employer cette dénomination. Il importe de savoir en tout cas ,' qu'il n'existe en réalité pas de chorée de Sy
n', la coprolalie peut se voir dans la meilleure société. Témoin le cas communiqué par 'le professeur Pitres, d'une jeu
, et aussi le mot de Cambronne; dit venia verbis : Témoin encore le cas de la marquise de-D..., que j'ai entendue de me
acilement se trans- mettent par voie de contagion. Je puis citer un cas de ma pratique où l'origine contagieuse d'un br
st une parole ou un acte contenus. Cela est vrai sur- tout dans les cas particuliers où cette collection d'idées associ
s associées qu'on appelle le moi est obnubilée. Or juste- ment ce cas se présente à un haut degré dans l'état somnamb
hysté- rique, mais bien d'une tiqueuse, d'une coprolalique. Et ce cas -là est bien intéressant considérer car la copro
la d;ssémi- nation du groupe est le plus sûr moyen qui, en pareil cas , devra être opposé à la propagation du mal ; c'
WEILL, '0 Médecin des hôpitaux, agrégé à la Faculté de Ljon, Les cas d'astasie-abasie se multiplient de jour en jour.
ifs. , C'est donc véritablement d'astasie qu'il s'agit dans notre cas , c'est le centre automatique spinal de la marche
u, 1890, na 22.) M. le professeur N. Popoff (de Varsovie) décrit un cas d'hémia- trophie faciale progressive chez une j
s ces signes militent en faveur d'une lésion du sympathique dans le cas de M. Popoff. On sait que l'hémiatrophie facial
la racine issue de la substance ferrugineuse. Le facial et quel- 1 Cas publiés par Virchow et Mendel dans Berl. Klin. Wo
portance du drainage après la ponction m'ont conduit à rapporter le cas suivant : A. H..., garçon, âgé de trois ans, ét
malade qu'elle a perdu la vue. P. K. - , . X. NOTES sur QUELQUES cas d'atrophie ET d'hypertrophie du z cervelet; par
ane, M. Boursout apporte une série d'observations comprenant quatre cas d'atrophie du cervelet ét huit cas d'hypertroph
d'observations comprenant quatre cas d'atrophie du cervelet ét huit cas d'hypertrophie. Les cas d'atrophie sont pris su
quatre cas d'atrophie du cervelet ét huit cas d'hypertrophie. Les cas d'atrophie sont pris sur des idiots. Dans l'une d
urs particularités intéressantes. Tout d'abord, dans aucun des huit cas , on ne rencontre d'excitation du sens génital,
aut dans ces observations d'atrophie et d'hypertrophie sauf dans un cas d'exaltation de la sphère génitale chez un indivi
nalytique des 23 observa- tions présentées avec entreprise. Dans 20 cas (soit 86 p. 100) on peut diagnostiquer la- tume
86 p. 100) on peut diagnostiquer la- tumeur avec certitude, dans 3 cas le diagnostic ne put en être établi, surtout pa
et égard, les conclusions suivantes sont bonnes à méditer. 1. Les cas dans lesquels le fond de l'oeil est resté normal
tion de la pression intra-cérébrale. 2. Dans l'immense majorité des cas , il y a névrite optique de pupille étranglée; cel
asseoir les bases d'une intervention chirurgicale et rap- porte les cas d'extirpation pratiquée par les auteurs. Il concl
s ces symptômes n'assurent pas la loca- '¡¡station. En revanche les cas dans lesquels on constate nettement des ' sympt
pérer un résultat d'une opération chirurgicale, mais aussi dans ces cas il peut arriver que le diagnostic tumeur soit i
souvent paroles impossibles. Intégrité des organes, excepté dans un cas (muqueuse buccale plissée et fissurée). Obsession
ide des courants inter- millants et continus. P. K. XVIII. Sur UN cas d'athétose spasmodique; par S.-H. SCHEIBER. (Ar
ose spasmodique; par S.-H. SCHEIBER. (Arela. f. Psch., XLXII, 1.) Cas d'athétose spasmodique chez un jeune garçon de se
musculaire ET altération de l'excitabilité ÉLEC- · TRIQUE DANS LES CAS DE FOYERS CÉRÉBRAUX; pal' C. EISENLOHR. (Neurol
lbl., 1890.) Les altérations du tabes suivent, dans la majorité des cas , l'or- ganisation foetale et non la marche de l
résente des variations individuelles.. z ' P. Keraval. ' XXIV. UN cas DE tabès dorsal avec méningite cérébro-spinale SY
(quelques minutes) qui précèdent l'installation de l'hémiplégie. Un cas de l'auteur ; un cas de Pitres (Revue de médecine
i précèdent l'installation de l'hémiplégie. Un cas de l'auteur ; un cas de Pitres (Revue de médecine, 10 avril 1888). L
uleurs et autres symptômes pénibles ne fut que temporaire ; en tout cas , l'avortement ne fit pas cesser la maladie. De
t cannelés, se rabougrissent ou s'atrophient complètement. Voici un cas chez un cigarier atteint de névrite, caractéris
'atrophie cérébelleuse, on ne peut s'empêcher de reconnaître que le cas ne soit original. . P. KERAVAL. XXXI. DE L'OC
ier les mouvements avec ataxie. Etude de l'hémianesthésie en pareil cas . Ce qui caractérise la sclé- rose en plaques, c
adie de Parkinson du cadre des névroses. ' G. DENY. XXXIV. SUR UN cas DE NÉVRITE périphérique consécutive AL'INFLUENZA
s certaines conditions des névrites périphériques. G. D. XXXV. UN cas d'hystérie traumatique; par le Dr L. BONAMAISON.
longé amena la disparition de tous ces accidents. G. D. XXXVI. UN cas DE MYOCLONIE (CHORÉE ÉLECTRIQUE DE BERGERON), RAP
ERET et L. CUR- TILLET. (Lyon méd., 1890, t. LXV.) XXXVII. SUR UN cas D'HÉMIPLÉGIE CROISÉE DE la face ET DES membres
par MM. LANNOIS et E. REGNAULT. Le tableau symptomatique dans ce cas , a été absolument celui d'une hémorrhagie céréb
nterne. G. D. 110 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXVIII. Sur un cas d'aphasie motrice ET sensorielle; par , M. E. L
ies anatomiques ou fonctionnelles des éléments nerveux ? Il est des cas où ces anomalies se révèlent par des perturbation
turbations macros- copiques ou microscopiques; mais il est d'autres cas où l'on est obligé de supposer une déviation ch
ifférents modes du dévelop- pement de la paronoïa avait indiqué des cas aigus de cette forme d'aliénation mentale. A
rvations se présente sous l'aspect suivant : hérédité dans tous les cas , sauf un. La maladie a été pré- cédée de secous
ouvent très confus et parfois se perd entièrement. La plu- part des cas finissent par la guérison. Dans les cas à durée p
tièrement. La plu- part des cas finissent par la guérison. Dans les cas à durée pro- longée, il n'existe aucune tendanc
es et des mois. On voit par ce court résumé des symptômes que les cas décrits appartiennent bien au groupe qui a été
tes, se forme l'un ou l'autre délire stationnaire. Mais puisque les cas de délire primitif aigu, qui restent incurables
lire primitif chronique appartiennent au même groupe. Du reste, ces cas particuliers de paranoïa se distinguent de la par
ar J. PIEUM.\NN. (Alla. Zeitsch. f. Psych., XLVII, 3, 4.) Premier cas . On relève : hérédité, tendance à poussées cépha-
uence de la bière et de l'eau- de-vie ; attaque d'épilepsie. Second cas . - Emotivité exagérée, intolérance à l'égard de
tic : mélancolie aiguë. Il n'y avait tare héréditaire que dans deux cas . Conclusion. L'influenza est au premier chef un
er n'ont nullement besoin d'un plan qui, devant répondre à tous les cas , n'est spécial à aucun et devient encombrant.
ou être primitive (hallucination obsédante); mais, dans tous les cas , elle participe des caractères généraux des obses
travail complet qu'il nous présente, résumant parfaitement, en tout cas , l'état actuel de la science... » Cette appréciat
encore sans doute, mais d'autant plus vraisem- blables que dans les cas d'athétose double congénitale on en est encore
double que les mouvements choréiformes ne sont de la chorée, et ces cas -là ne devaient trouver place qu'au diagnostic.
leptiques, les dégénérés avec perversion des instincts sont dans ce cas . Leur présence dans la famille est une source d
ile et la nécessité de leur internement dans l'immense majorité des cas . - Une famille de fous. Un gamin de onze ans, J
érés, idiots, imbéciles, pervers, instables, etc. Nous signalons ce cas à M. Timofeëfl'. Les drames des asiles d'aliéné
1 s 1 .. , 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE '. CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE A DÉBUT TRÈS
ès cinquante ans elle devient plus rare et l'on appelle tardifs les cas exceptionnels où on la voit t se produire après
le bien caractérisée chez un sujet à peine adolescent. Tel est le cas d'un jeune garçon de seize ans que nous avons r
dans son développe- ment physique, aucun accident névropathique. CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 147 -1 Au di
; 2° Un embarras de la parole très marqué lorsque le sujet est un CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE. 1119 peu fat
se produisent sous forme d'attaque d'épilepsie sensitive. En pareil cas , la sensation de fourmillement apparaît dans le p
e frère aîné du sujet. Cette dernière locution vise l'attitude et CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 151 la démar
aralysie générale si précoce. Ce fait n'est pas sans précédent. Des cas de ce genre dans lesquels la paralysie générale
paralysie générale à début pré- coce, th. doct., Paris, 1887. M/f CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 153 ^probabl
ident particulier. L'on peut dire que dans le plus grand nombre des cas le développement physique et intellectuel des s
l'époquede la puberté. Il en été ainsi chez notre malade. Dans deux cas de Clouston relatifs à des fem- mes, les règles
Le côté mental n'est représenté, en effet, dans la majo- rité des cas que par de la débilité mentale, un état de déme
La syphilis est signalée, mais d'une façon douteuse dans les deux cas de Régis; elle est certaine dans une des observ
héréditaire tardive se retrouvaient au complet. Mais dans tous ces cas , comme toujours, la médication mercurielle et i
ure.nette- ment spécifique. En somme, la syphilis semble agir ici CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGRESSIVE. 155 comme un
pu rassembler. Elle tient le rôle prépondérant, notamment, dans les cas de Vrain, dans les deux cas de Régis, les deux
ôle prépondérant, notamment, dans les cas de Vrain, dans les deux cas de Régis, les deux cas de Clouston et dans celu
amment, dans les cas de Vrain, dans les deux cas de Régis, les deux cas de Clouston et dans celui qui nous est personne
ssous de la vérité en disant qu'on la rencontre dans un tiers des cas . La folie et la paralysie générale sont bien d'ai
ait dit, la tenir pour juste et s'y rallier sans réserves. En tout cas , l'examen com- paratif des exemples de paralysi
Depuis que l'attention des cliniciens s'est fixée sur ce sujet, les cas vont se multipliant et leur nombre s'accroîtra
it selon un mode particulier. C'est ainsi qu'on peut, dans certains cas , sur le simple récit cir- constancié d'un homic
aliéné pouvait, à un moment donné, devenir dangereux. Mais dans ces cas excep- tionnels, les malades n'ont même pas par
trop bruyam- 158 MÉDECINE LÉGALE. ment. Il existe aussi d'autres cas analogues, dans lesquels des vésaniques chroniq
mais sans comprendre non'plus la portée de leur action. Tous ces cas ne constituent, en réalité, que des accidents,
t dans le Délire de persécution qu'on rencontre le plus souvent des cas d'homicide. Mais ou désigne en France, sous ce
ur violence les entraîne jusqu'à l'homicide. Il n'y a pas, dans ces cas , folie proprement dite, mais cependant le fonct
ent de formuler une loi générale à cet égard. En pratique, tous les cas qu'on rencontre exigent une étude particulière,
rement passagers, auxquels ils sont particulièrement sujets. - Leur cas se confond -alors avec celui d'autres aliénés à
semi-idiot qui a commis un ,viol et une tentative de, meurtre. Son cas est, un peu com- plexe, mais, il, eS,t ` assez
s la tentative de meurtre ne s'explique pas facilement. C'est là un cas de sadisme véritable, puisque la victime n'a ét
is déterminée seulement par le simple besoin d'imitation. Quand des cas de ce genre se présentent, l'analyse des circon
insensible. Le médecin expert se trouve, par suite, dans certains- cas , amené, presque malgré lui peut-on dire, à adme
r <. intoxication,. dans la morphinomanie, par exemple (quelques cas rares seulement). Il, paraît aussi',que, les fu
ver sa vie qu'il sent menacée. Le .meurtre n'est donc pas, dans ce. cas , le résultat de la ;fureur,"il est le résultat
nfuse. Le malade a parfois comme l'impression d'avoir rêvé. En tout cas , il n'y a jamais d'inconscience véritable, comm
à l'homicide, chez les. alcoolisés, dans la moitié peut- être des cas , mais ces malades peuvent encore arriver à deve
n que l'homicide dans l'alcoolisme est, dans un nombre important de cas , le résultat, non d'un vrai délire, mais d'un é
xercer sa nuisance'. On s'efforcera aussi- de rendre plus rares les cas semblables au sien ? ' Nous venons de passer ei
ine dans l'hérédité morbide. Cependant, je crois que, même dans ces cas où l'hérédité est la règle, la dégénérescence p
es chez un même individu. Sans doute il pourra se pré- senter des cas où le diagnostic devra rester en suspens, z mai
réflexions qui accompagnent chacune de nos obser- vations. - Deux cas peuvent se présenter en clinique : tantôt, au c
pré- sence du sucre dans les urines. Il s'agit, dans le pre- mier cas , de déterminer si l'on a affaire au vrai ou au
rie symptomatique du tabes ou d'un véritable diabète, dans les deux cas de savoir, en un mot, si deux entités distincte
diagnostic à distance. M. Charcot, dans une leçon déjà citée sur un cas de paraplégie diabétique, en a tracé, un parall
ataxies saturnines, béribériques, arsénicales, dans la majorité des cas de pseudo-tabes jusqu'ici observés ' i » ; 3° L
pendance d'une intoxication taba- gique, nous avons vu que dans ces cas il s'agissait probablement d'association tabeti
ysies des muscles oculaires, quoique Kiwatkowski en ait rapporté un cas ; on a relaté une paralysie du muscle droit ext
nifeste de la papille. L'atrophie était assez avancée dans quelques cas , au point que les artères rétiniennes étaient f
, au point que les artères rétiniennes étaient filiformes. Dans les cas de cette espèce, on a trouvé des troubles de l'
our Althaus « le renseignement le plus important est fourni dans ce cas par l'examen ophthal- moscopique... Mais on n'o
observations publiées jusqu'ici parlent toutes en ce sens. Dans le cas d'Oppenheim, la malade ' Dreyfous. PathQ[jénilJ
purement relative. Elle est encore amoindrie par ce fait que les cas de glycosurie tabétique sont encore trop peu no
de premier ordre et ils doivent toujours être recherchés. Dans le cas d'Oppenheim, le pouls battait de 100 à 120; dan
rois derniers symptômes concomitants ne sont mentionnés que dans le cas d'Oppenheim. La constatation chez un tabétique
te incontestablement avec l'affection la première en date. Dans ces cas d'association, il ne s'agira plus que de départ
ment pourra fournir des renseignements inté- ressants dans quelques cas , mais non dans tous. B. Etant donné un tabes au
tirer de cette étude les conclusions suivantes : 1° Il existe des cas d'associations du tabes vrai avec le véritable
progressive en particulier ; 3° Pour établir le diagnostic de ces cas d'association et les séparer du pseudo-tabes di
mes habituels du diabète, on peut affirmer le pseudo-tabes. Dans le cas contraire, on aura des pré- somptions en faveur
manquent, il y aura de fortes probabilités le nombre restreint des cas de glycosurie tabétique empêche d'être plus aff
uditives sont souvent, au contraire, prédo- minantes. En effet, les cas de stupeur hallucinatoire nous paraissent devoi
porte un paquet de croûtes de pain, soi-disant pour manger dans le cas où elle aurait faim dans la journée. Voici le r
quoi l'auteur a pensé qu'il y aurait quelque intérêt à donner de ce cas la relation détaillée que nous résumons ici :
of mental Science, octobre 1889). , Discussion intéressante d'un cas dans lequel la véritable nature des accidents c
W.-C. BLAND. (The Journal of mental Science, octobre 1889.) Dans le cas dont il s'agit, l'asphyxie locale des extrémités
RAN.(The Journal of Mental Science, octobre 1889.) Il s'agit d'uu cas d'étranglement intestinal méconnu pendant la \i
ein avec engor- gement des ganglions axillaires. R. M. C. XII. LE cas DE MALTER TAYNTON, accusé DU MEURTRE DE sa SOEUR;
il aborde, et dont la plupart se rapportent à l'hospitalisation des cas récents et curables d'aliénation mentale. R. M.
RIE. (The Journal of Mental Science, juillet 1889.) Dans le premier cas , il s'agissait d'un aliéné chez lequel on avait
évrysme disséquant de l'aorte thoracique et abdominale. Le second cas était celui d'un malade atteint de manie aiguë qu
cervicales avec méningo-myélite consécutive. R. M. C. XVIII. SUR un cas DE manie -AIGUE avec gangrène SYMÉTRIQUE DES -
insisté sur les modifications mentales que l'on observe en pareil cas , et avait indiqué les rapports de celte affection
eraine de l'épouser pour régénérer l'Angleterre.. R. M. C. XX. Un cas DE STUPEUR mentale ou DE démence aiguë POST-FÉBRI
ar John TUHNER. (The Journal of Mental Science, octobre 1888.) ' Ce cas est celui d'un jeune garçon de seize ans, né de p
ence, quelle qu'en soit l'origine. R. M. C. XXI. Observation D'UN cas DE FOLIE A deux chez CINQ MEMBRES D'UNE MÊME fa
, accompagné de tableaux, porte sur un nombre assez considérable de cas ; ce nombre, toutefois, n'est pas assez grand po
HOLOGIE MENTALE. trouvé d'albumine que dans un très petit nombre de cas ,'et même alors, en très faible quantité. - Su
i invoque un état inflammatoire chro- nique. R. 111. C. XXIII. UN cas DE corps étranger DE L'OESOPHAGE; par E. Maziere
ere COUIITENAY. (The Journal of Mental Science, janvier 1889.) Ce cas est intéressant à plusieurs litres : 1° il montre
tion de la salive et des liquides de l'estomac. R. M. C. XXIV. UN cas d'embarras de la parole; par HARRINGTON SAINSI3UR
une autre langue que celle que parlait l'enfant. R. M. C. XXV. UN cas de chorée associée A la folie; par George P. COPE
ience, octobre 1888.) L'auteur relate longuement l'observation d'un cas de folie chez un jeune homme de dix-neuf ans at
et par l'insurfisance de son alimentation. R. M. C. XXVI. Quelques cas DE maladies du cerveau CHEZ LES imbéciles; par
ulement au bout d'un temps plus ou moins long. Ainsi, dans l'un des cas rapportés, chez une dame qui avait subi deux op
tait âgée de soixante-cinq ans). L'auteur rapporte plusieurs autres cas ana- logues, tout en reconnaissant que leur nom
des conclusions générales. Il fait remarquer toutefois que dans les cas rapportés, l'hérédité ne pouvait être mise en c
le ne saurait cependant être mise en cause, lorsque, comme dans les cas cités par l'auteur, celte apparition ne se prod
ions plus pré- cises que celles qu'il a pu tirer du petit nombre de cas observés par lui. R. M. C. XXIX. SUR UNE form
omène de physiologie régressive des fonctions du cerveau. Dans le cas rapporté, la maladie avait pris naissance à l'occ
e enterré vivant. Le doute est encore plus intense que dans l'autre cas , parce que le contrôle est impossible. Le malad
s stigmates de dégénérescence mentale. Cela est exact pour bien des cas ; mais il en est d'autres, plus bénins, dans lesq
e, pourront mettre sur la trace de l'élément épilep- tique. Dans le cas de raptus mélancolique, outre les données génér
vidu un seul phénomène épileptique pour exclure la possibilité d'un cas de manie transitoire.- Les états de som- nambul
», ils entraînent aussi l'irresponsabilité absolue. Dans les autres cas , la responsabilité doit être pour le moins nota-
ptôme transitoire ou permanent, peut se rencontrer souvent dans des cas d'aliénation mentale confirmée et peut même exi
corps avec les moyens ordinaires. Il est à noter que, dans certains cas , le passage du stimulus dans le cerveau est ret
s plus fréquents d'analgésie chez les aliénés se rencontre dans ces cas de phthisie qui suivent leur cours sans douleur
étant les seuls symptômes mar- qués. Il en est de même de certains cas de pleurésie, de pneumo- nie, de péritonite aig
s les dernières phases de la paralysie générale, et Spitzka cite un cas dans lequel une remarquable anesthésie du laryn
isme : elle est relativement rare chez les déments. Dans certains cas , l'anesthésie est évidemment liée à des lésions
, soit dans le système ganglionnaire, quoique, dans la majorité des cas , les deux systèmes soient envahis simultanément
es deux systèmes soient envahis simultanément. t. Or, dans tous les cas d'illusions subjectives, c'est de prime abord s
et plus tard les illusions marchent de concert avec elle, dans les cas qui prennent leur origine dans le systène gangl
t la sécurité parfaite avec laquelle on peut l'administrer dans les cas les plus divers. Chez les aliénés, il calme la
oir un mauvais goût et une odeur désagréable. R. M. C. Il. Quatre cas DE guérison DE folie chronique, avec UN RELEVÉ DE
s DE guérison DE folie chronique, avec UN RELEVÉ DE QUATORZE AUTRES CAS DANS LESQUELS L GUÉRISON EST SURVENUE DANS un d
. (The Journal of men- tal Science, janvier 1880.) , Ces dix-huit cas , dont quatre sont publiés avec détail, présen-
e folie alcoolique et dans les autres folies toxiques ; B, dans les cas de démence partielle que l'on observe fréquemme
aibles ou tout au moins modérées, et repousse dans presque tous les cas , comme inutile et parfois nuisible, l'emploi de
oris- sant de la nutrition générale. Dans la plus grande partie des cas (85 p. 100), la dose moyenne est de 10 à 14 gra
ions fournies, car nous n'avons constaté d'anesthésie qu'en un seul cas . En revanche, la méthode d'investigation pe ut
matique. La simulation n'a pu être établie par M. Schultze qu'en un cas ; en trois autres cas; il dut prononcer le diagnos
n n'a pu être établie par M. Schultze qu'en un cas; en trois autres cas ; il dut prononcer le diagnostic d'aggravation p
zone ovarique n'interrompt pas plus le sommeil que dans le premier cas , mais elle provoque des mouvements d'ensemble.
ements d'ensemble. En un mot, ses carac- tères sont ceux du premier cas . La malade raconte que l'attaque de sommeil s'a
yringomyélie et ce dernier type sont bien subtiles; ce sont en tout cas deux affections soeurs. Peut-être les processus
Quoi qu'il en soit, on est en droit d'ad- mettre, en de semblables cas , l'étiologie d'une névrite ascendante procédant
n anormale de la joue du même côté. Mendel et Homen ayant en pareil cas constaté des altérations névritiques des racine
t la trépanation chez l'un des malades. - Autopsie. Dans ces deux cas , on ne constate qu'une hypérémie prononcée ; il n
et les malades atteints de névrose traumatique. Il n'est em tout ; cas point facile de'simuler un rétrécissement typiq
ur, et finalement aubaume de xylol. , M. Thomas (de Fribourg). Un cas d'hémiplégie fonctionnelle. - Femme mûre ayant
M. J. HOFRMANN (d'Heidelberg). Etat anatomique des muscles dans un cas d'hypertrophie congénitale. - Il y a deux ans, il
ek jeune). La tétanie peut suivre l'extirpa- tion du goitre : en un cas , de ce genre une cataracte se développa égaleme
un cas, de ce genre une cataracte se développa également ; un autre cas non moins intéressant a trait à une troi- sième
s de lésions de la thyroïde. La cataracte survenue aussi en pareils cas doit être rattachée à un trouble fonctionnel des
e sera publié in extenso'. * Discussion. - à. KROEPELIN. Dans trois cas de myxoedème obser- vés par lui, il a constaté
s dans lesquelles les ganglions étaient fortement altérés. L'un des cas était caractérisé par la dégénérescence du gang
intact. M. KAHLDEN n'a cessé de poursuivre ses recherches. Sur huit cas de caséification des capsules surrénales qu'il
us-jacents du grand sympathique. En revanche, dans quelques-uns des cas de caséification des capsules surrénales, sans
e 60 marks (muni de 3 lentilles). M. I\hNZ. Examen anatomiques d'un cas d'embolie de l'artère cen- trale de larétine. -
survenue, leur réap- parition. L'apparition simultanée de quatre cas de tétanie, tandis qu'on n'en avait pas vu se m
e el les tumeurs de la moelle épinière, appelle l'attention sur des cas d'affec- tions de la cauda equina, au début des
est depnis un mois et demi atteinte d'une sciatique gauche. Dans ce cas , on avait constaté un ostéosarcome du bassin, q
mmation circonscrite des enveloppes de la moelle. M. le Dr Econow : Cas de paralysie spinale spnslique. - Il s'agit d'u
ystème nerveux. Le rapporteur considère la sclérose combinée de son cas , comme une lésion systématique primitive. MM. l
OFF, D.ItFSCIII : 1'ITSCH, ROTH et AIOURATOFF voient plutôt dans ce cas un exemple de sclérose pseudo-systé- matique.
té- matique. Séance du 15 mars 1891. M. le Dr P. PRÊOBRAJENSKY. Cas d'lzémiatrophie faciale. La malade présentée à
résultant de l'acès mentionné. L'auteur considère ce fait comme un cas d'hémiatrophie faciale proprement dite, sans au
cune complication de la part du nerf sym- pathique, et rattache les cas de ce genre il une affection du triju- meau et
ues, leur existence n'étant pas prouvée. Al.`le D1' llooisnTOrr.. Cas d'hémiatrophie faciale, accompagnée de sclérode
e faciale avec la sclérodermie et le trisme. L'auteur admet dans ce cas l'existence d'une hypertonie des vaso- moteurs,
. Séance du 12 avril 1891. M. le Dr PRÉOBRAJENSKY communique deux cas de paralysie saturnine observés par lui à l'hôp
iseré caractéristique. A une certaine période, dans l'un et l'autre cas , le tableau symplomatique rappelait plutôt celu
nt exagérés; celui du tendon d'Achille est normal. Dans le second cas , presque tous les muscles de l'extrémité supé-
aires, patellaires et du tendon d'Achille exagérés. Dans les deux cas , le réflexe de la mâchoire inférieure était assez
AKOFF. L'existence de l'exagération des réflexes tendineux dans des cas de névrites mul- tiples, est prouvée. Elle s'ex
MOUR.ATOFF présente une étude clinique et anatomique détaillée d'un cas de paralysie atrophique subaiguë des extrémités
e chaque symptôme. L'oedème, par exemple, n'est pas dans tous les cas en rapport direct avec la névrite. Dans plusieurs
dans tous les cas en rapport direct avec la névrite. Dans plusieurs cas de para- lysie atrophique, l'oedème dépend d'un
. le Dr Rota. L'altération primitive du système musculaire, dans le cas rapporté, n'est pas prouvée, l'état des dernières
cu- laire, et pourrait mieux nous guider dans la classification des cas dont la pathogénie est obscure. MM. les Drs R
anatomique pour une appréciation clinique plus exacte de différents cas . P. KËRAVAL. BIBLIOGRAPHIE IV. Etude sur les
actuels et de l'évolution, et par suite de faire la part, dans les cas complexes d'associations hystéro-organiques, de
urtout au défaut d'attention, parce qu'elle disparait dans bien des cas où « ils sont susceptibles d'éducation, ''est-à
ion à l'infirmerie. (Radical, 9 janvier 1892.) Il s'agit, dans ce cas , d'un aliéné dangereux, évadé de l'asile de Vil
ux, évadé de l'asile de Ville-Evrard depuis quinze jours. En pareil cas , c'est-à-dire lorsque des aliénés se sont sauvé
e précoce passionné a été mis à la disposition de la justice. Les cas de ce genre sont moins rares qu'on ne le suppose,
seront mieux traités et les guérisons plus fréquentes que dans les cas où il ne sont soumis à aucune surveillance prof
de diriger une institution destinée au traitement des aliénés. En cas de séquestration arbitraire, de mauvais traitemen
nt de modifier tel traitement ou d'appliquer tel remède, suivant le cas spécifié : cet ordre, avant d'être publié, doit
leur donnant les qualités suffisantes pour découvrir, dans certains cas , les premiers indices ,d'un désordre cérébral,
nts, pris à la volée, me don- nèrent à penser qu'il s'agissait d'un cas de somnam- bulisme spontané dont les crises int
la suite d'affections aiguës chez les jeunes sujets, on observe des cas d'arrêt de l'intelligence et de dégradation men
ion, au moment où une lame est enfoncée dans la peau. Dans tous les cas , la mutilation est pré- cédée d'angoisse et sui
la Pitié, chez M. le Dr Polaillon, il eut l'occasion d'observer le cas suivant : Une jeune fille d'une vingtaine d'ann
lettres et des mouvements musculaires. Vous voyez donc que, dans ce cas , il n'y aura pas de véritables anesthésies; si
e son père, a construit ce petit ins- trument pour étudier certains cas d'agraphie. C'est surtout, comme vous voyez, un
ues et les autres pensées du sujet subsistent toutes, dans certains cas , malgré l'anesthésie; il est possible, par exem
que se com- portant absolument de cette façon. Ce sont pour moi les cas typiques de l'anesthésie hystérique, comme je l
t à recueillir ainsi S urines qui étaient examinées séparément. Les cas dans lesquels l'urine a été fournie dans ces co
is l'acidifier à l'acide acétique. Nous ferons remarquer qu'en tout cas on ne pourra nous accuser que d'une seule chose ;
. L'albuminurie est fré- quente à la suite des accès convulsifs. 20 cas d'albuminurie sur 40 malades. C'est-à-dire dans
ns les 2 dernières. B. L'albuminurie est d'intensité moyenne dans 9 cas sur 21 : 24 ans, Gau..., 1 accès, 5 urines :
s, 5 urines : Nuage moyen d'albumine dans les 5 urines. C. Dans 6 cas , l'albumine était il l'état de traces : 49 ans,
ctions que nous faisons au paragraphe précédent visent en effet les cas dans lesquels deux examens faits à des jours di
ui d'ordinaire varie peu, présente suivant les accès, dans certains cas , des modifications appréciables. Telle malade,
écèdent. 11 n'y a eu que deux exceptions à cette règle. Ce sont les cas de Diet... et de Foll... Nous en avons eu l'exp
e cya- nose de la face; - 20 d'idiosyncrasies rénales. , Voici le cas le plus frappant que nous ayons observé à l'app
prendre cette question, de même que celle de l'albuminurie dans les cas de délire épileptique. Il est en outre, pour le
ns nombreuses; ce délire était un délire fébrile qui, dans quelques cas même, s'est terminé par la mort. N'ayant pas eu
s'est terminé par la mort. N'ayant pas eu l'occasion d'observer des cas de ce genre, nous nous abstien- drons de conclu
assez abondantes : pas traces d'albumine. Nous avons rapporté ce cas en détail, parce qu'il montre bien l'évolution
t depuis longtemps l'influence heureuse de la saignée dans certains cas . Quoi qu'il en soit, l'albuminurie ne peut pas
es : L'albuminurie post-paroxystique se trouve dans la moitié des cas des épileptiques. Elle se rencontre dans tous l
e accompagné d'albuminurie. La présence de l'albumine dans certains cas , pourrait être une cause d'erreur de diagnostic
ques et des états morbides que j'ai signalés, on doit considérer le cas comme anormal et rechercher s'il en existe d'au
sujet, on reconnaît que l'anomalie supposée n'existe pas et que le cas qui sem- blait exceptionnel rentre dans la règl
séquilibration que les dégénérés intellectuels et, qu'en somme, son cas n'avait rien d'anormal. C'était un cérébral, comm
res du cerveau, et cette donnée pathogénique est suffisante dans le cas actuel. Il en résulle, en effet, que A... qui n
s souvent, mais dégénérescence acquise aussi parfois, comme dans le cas actuel. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 381 Les
nction, qui relient entre eux les différents territoires), dans les cas congénitaux ; et à une désorganisation pathologiq
t à une désorganisation pathologique de ces mêmes parties, dans les cas acquis. C'est là une vue théorique qui concorde
ant sous forme d'un résumé. Mon but principal a été de relater un cas d'homi- cide par un aliéné, consommé dans des c
aler l'homicide dans la paralysie générale, quoiqu'il en existe des cas incontestables. Mais ces cas sont peu nombreux,
ie générale, quoiqu'il en existe des cas incontestables. Mais ces cas sont peu nombreux, et ils sont surtout trop ins
c'est sans doute parce qu'il fait rentrer dans la mélancolie, les cas de stupeur hallucinatoire, décrits jadis par Bail
es au second plan vis-à-vis des hallucinations motrices. Dans les cas où elles prennent un plus grand développe- ment
yant ces halluci- nations de ceux.qui ne les ont pas. Dans certains cas en effet, on ne peut pas dire que les hallucina
pérature cutanée s'abaisse. Rien de la gangrène symétrique. Dans le cas en question, c'est, à six mois de distance, un
s en nids sont manifestement issues des cellules araignées. En tout cas , nous avons certainement affaire ici aux cellul
nèse desquels on ne peut rien dire de précis. P. KERAVAL.. XI. DEUX cas d'atrophie musculaire progressive infantile HÉRÉ-
nt dans l'observation II, il s'ensuit qu'il y avait dans le premier cas interruption entre le centre de la vue et celui
t aux ganglions d'où elles elles rayonnent. P. KERAVAL. XIV. D'UN cas d'atrophie musculaire PRÉCOCE D'ORIGINE cérébrale
URR. (Amel'ican journal of insanily, avril 1891.) - On a cité des cas de tumeurs intra-crâniennes d'un volume con- si
e pas la mort instantanée ni des désordres per- manents graves. Les cas de mort peuvent s'expliquer plutôt par l'asphyx
iner à leur suite une mort immédiate. J. Séglas. XXI. NOTE SUR UN cas d'atrophie D'UN HÉMISPHÈRE AVFC PACHY3fÉNIN- GI
ure-mère; pas de pachyméningite de ce côté. L'auteur pense que ce cas vient à l'appui de la théorie par laquelle Huguen
rcome à développement peu rapide. Il eut été très difficile dans ce cas , alors même que la malade aurait été soumise à
s). Il est à remarquer que l'acro- mégalie, constatée dans deux des cas publiés de ce que l'on a appelé l'hypertrophie
sseaux de la pie-mère ou de la substance céré- brale. Dans certains cas de typhus pellagreux, et spécialement dans ceux
s sains d'esprit, mais morts très âgés ou dans le marasme. Dans des cas plus rares, l'épaississement s'accentue et la sub
processus chimiques dans les éléments ner- veux. Mais dans tous ces cas , ce sont des substances albuminoïdes qui consti
ondi- tions de la sortie d'un persécuté sont particulières à chaque cas . Elles dépendent autant du malade que du milieu
t pas qu'on lui dictât une formule géné- rale applicable à tous les cas ; il reconnaît qu'elle est impossible à trouver
e peut seul donner la certitude de sa guérison. Il reconnaît que le cas est sou- vent très embarrassant. Le Rudelier, a
ir une règle fixe applicable à tous les persécutés. M. Vallon. Le cas est surtout difficile quand il s'agit de malades
M. Brigand. S'il est impossible de déterminer à l'avance tous les cas dans lesquels la sortie devra être accordée, on p
on : un persécuté ne devrait jamais quitter l'Asile. Sinon, dans le cas où il commettrait un crime, le médecin pourra ê
ponsable, sera maintenu dans un asile d'aliénés. M. Voisin cite des cas de guérison survenue chez des aliénés per- sécu
s attaques épileptoides; le médecin qui les soignait prononça en un cas le diagnostic d'encéphalite, que semble établir
encéphalie) dans la paralysie infantile d'origine cérébrale. En des cas tout à fait semblables à ceux d'Erlenmeyer, il
térale avec suppression de la connaissance; il n'y avait pas, en ce cas , de lésions anatomiques. M. Erlenmeyer. Vous n'
vait aucun élément d'infection, aucun symptôme de syphilis; en tout cas , l'iodure de potassium et le mercure n'agirent
sen- sorielles normales et les hallucinations. Toutefois, dans les cas de foyers corticaux, il existe des hallucinatio
sans qu'elles se formulent sous forme de parole intérieure. Dans le cas qui nous occupe des conceptions verbales, il n'
innervations et des impulsions volontaires. M. ALZIIEIMER. Sur un cas d'atrophie musculaire spinale progressive compl
en au- dessus du bord de la cornée. Enfin, M. Bruns rapporte deux cas d'obsession par des mots, notamment par des mot
mpulsions. M. ROLLER. (Communications casuistiques). Ce sont : i°Un cas de mérycisme; 2° Deux observations d'inversion
aumatique soit une entité morbide sui generis. Dans la majorité des cas , c'est une hystérie traumatique qu'il convient
ristique l'absence de tous symptômes objectifs. ' La majorité des cas relève de la seconde catégorie, toutefois, sur
majorité des cas relève de la seconde catégorie, toutefois, sur 18 cas d'hystérie mâle qu'a personnellement observés M.
u SOCIÉTÉS SAVANTES 437 corps calleux, l'insula : dans ce dernier cas , nous avons affaire aux symptômes classiques de
lui de l'épilepsie Jacksonnienne, de l'aphasie sensorielle. Dans ce cas , il y a prééminence de foyers d'altérations, comm
ralysies générales à localisation anor- male. M. HAHN présente un cas de folie aiguë chez un enfant. Il s'agit d'un g
t. La maladie ne dépasse pas deux mois. M. HAHN présente aussi un cas de désordre aigu dans les idées, qui est en som
'ASILE DE RYBNIK. Séance du 21 juin 1891. - M. Zander présente un cas d'anomalie crânienne consécutive à un ostéome.
che. Peut- être cette tumeur remonte=t-elle à la naissance; en tout cas elle se borne au frontal el proémine principale
upérieure sont dès l'enfance lents et nonchalants. M. Kurella. Un cas de psychopathie relevant de la maladie de Based
et Netschaeff ont pris la parole. Le pre- mier suppose, que dans le cas en question, il ne s'agissait vrai- . semblable
VI. Idio- tie complète, épilepsie, mal de Pott vertébral. Obs. VII. Cas d'hys- térie chez l'homme. ' On voudra bien f
able torture commence. Les médecins, diagnostiquant à vue de nez un cas d'hypnotisme hystérique, pincent, giflent, le m
cordeau, veuve d'un méde- cin tué par un aliéné. (Progr. méd.) UN cas singulier. Un artiste peintre, M. D..., rentrait
re était du res- sort de M. Charcot. (L'Éclair, 19 mars 1892.) Ce cas n'est évidemment pas très clair, et aurait besoin
ues éclaircissements. Mais, tel qu'il est, il peut se rapprocher du cas d'une jeune fille qui se trouvait en 1890 dans le
l'album : 20 fr. Paris, 1892. Librairie ¡ ? Alcan, Grasset. - Un cas de maladie de Moruan. Leçons recueillies par GU
irie G. Chanon. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 463 Grasset. - Quelques cas d'hystérie mâle et de neurasthénie. Leçons recu
94 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rmer, dit Shaw ', que ce qui manque surtout pour l'intelligence des cas ordinairement rangés sous le titre de commotion
nt les altérations quesoncontenu a pu subir. Nous yrattachons les cas seuls où le traumatisme a atteint la moelle, sa
ionner cette infiltra- tion embryonnaire sans la considérer dans le cas actuel comme réellement pathologique. Lésions
Pas un des trois auteurs pré- cédents ne songea à la rapprocher de cas similaires, pas plus qu'à la différencier des a
ras, le dernier des trois, qui considère cette observation comme un cas de chorée, embrouille encore la question en la
s de chorée, embrouille encore la question en la rapprochant d'un cas d'aphasie avec hémiplégie droite et hémichorée,
r ce passage de la Clinique médicale' : « Ces tics sont en quelques cas accompa- gnés d'un cri, d'un éclat de voix plus
ait en outre, dans sa communication, qu'il existait de semblables cas parmi les Malais. C'est ce que nous apprenait e
nt et H. Jachson, nous ont dit n'avoir jamais observé de semblables cas , ni lu une descrip- tion de cette maladie. D'au
rini (de Milan) ; celui-ci a aussi employé le curare dans quatre cas d'épilepsie (un en 1864, deux en 1865, un en 1866
es injections hypoder- miques de curare. Voici le résumé des quatre cas que M. Bene- dikt a relatés avec quelques détai
rare, les accès ne reparurent plus. Observation VIII. Dans un autre cas , les accès se répétaient tous lestrois jours; p
frissons, de l'abattement, etc. Observation IX. Dans un troisième cas où les accès venaient presque tous les deux jou
r mois ; ils étaient plus faibles. Observation X. Dans un quatrième cas où l'on notait des vertiges quotidiens et presq
s devinrent très rares. Les injections furent faites, dans tous les cas , trois fois par semaine ; les doses varièrent d
1864, au commcncemenlde l'année 1866, il n'eut plus d'accès. « Ce cas , ajoute M. Benedikt, est du plus haut intérêt par
es de l'épilepsie. Je dois ici faire remarquer que dans beaucoup de cas , au début du traitement, on observe des accès o
traitement n'ait pas persisté, M. Benedick dit devoir rapporter ce cas , parce que ce ma- lade est, jusqu'à présent, ce
ions de curare. Les accès de suffo- cation avaient disparu. Dans ce cas , la présence de sucre dans les urines fut aussi
s encore sur la dia- thèse psychique. De nombreux insuccès dans les cas invétérés ' M. Benedickt nous apprend que ce ma
hérapeutique. démontrent qu'il n'est aucun remède sûr pour tous les cas . De nombreuses expériences me font l'impression
trent, que ce remède arrête le développement de la maladie dans les cas récents, idiopathiques, concernant 'des jeunes
formes d'épilepsie ; l'épilepsie gyratoire, par exemple, et dans un cas d'épilepsie symptomatique d'une lésion traumati
Mandt 3, en opposition à ces succès partiels, a fait connaître un cas dans lequel les injections de curare furent emplo
ans une période à peu près pareille. » Beigel ' a injecté dans un cas d'épilepsie jusqu'à 13 milligr. de curarine san
are. « J'ai essayé, dit M. Rosenthal 2, dans un certain nombre de cas , une solution de 5 centigr. de curare dans 5 gr.
à 9 milligr. Chez sept malades que j'ai soignés ainsi (dont quatre cas sans antécé- dents héréditaires, et deux d'hyst
blissement notable de l'intelligence, le curare peut, dans certains cas , guérir le mal et même rendre un peu i Beigel.
par ces observations, a essayé le curare dans un certain nombre de cas d'épilepsie confirmée. Dans deux cas d'hystéro-
rare dans un certain nombre de cas d'épilepsie confirmée. Dans deux cas d'hystéro-épilepsie, le curare a échoué. De tre
lades enfin auraient été guéris complètement. Dans presque tous les cas d'autres médi- caments avaient été auparavant a
en ; l'appétit est conservé même à la suite des attaques. Dans le cas que nous venons de rapporter diverses particu-
par les auteurs que nous avons lus. Nous n'avons rencontré que deux cas dans lesquels il soit question d'éternuments qu
taient pas cepen- dant aussi nombreux, ni aussi fréquents. Ces deux cas appar- tiennent à Brodie 1. En terminant, nou
question, à la lumière d'une observation personnelle et des autres cas publiés du même genre (Westphal, Schuppel, Sclr
généra- tion, de circulation ou de nutrition cellulaires. En aucun cas , on ne peut faire abstraction des données étiol
la moelle, aussi pense-t-il qu'on peut diviser en deux groupes les cas de carie des vertèbres cervicales suivant qu'ils
lauer Earztl. Ztschft'- 188t, n" 13.) Rapporte avoir vu plusieurs cas de tabès s'accompagner au début presque exclusi
- teur montre la dissociation fréquente des deux symptômes en des cas fort variés. Il a rencontré la trépidation épil
s chirurgicales de la jambe et du cou-de-pied du côté lésé, dans un cas de rhuma- tisme chronique; avec affaiblissement
xe achillien. D. B. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 63 VIII. Un cas d'affection du trijumeau. (Contribution à la conn
traîne jamais de nécrose de la cornée, puisque enfin il existe des cas d'affection du trijumeau avec anesthésie de l'oei
phosphaturie ; un seul témoignait de la polyurie. P. K. X. Sur un cas de SYPHILIS CRÉ13RO-SPINkLE ; par J. ALTHAUS. (
précédemment cités, dans un tableau de neuf colonnes. P. K. XII. Un cas d'atrophie faciale rl ? M1LATÉnALE; par bKRKHAMT.
ère, plutôt qu'au manque d'aptitude, peut-être aussi, dans quelques cas , à l'absence d'ambi- tion. Il faut ajouter que
en me- sure de se faire une opinion. H.M.C. V. NOTE SUR QUELQUES cas propres a démontrer l'importance qu'il Y A A RE
et les plus occupés de Londres) a pu observer un certain nombre de cas , où des erreurs ont été bien près d'être commis
ses confrères. Le plus ins- tructif et le plus significatif de ces cas est celui dont voici le ré- sumé : Il s'agit
r G. SAVAGE. (Journal cf mental Science, avril, 1883, p. 85.1 Les cas de perte de la mémoire ne sont pas rares ; mais d
1 Les cas de perte de la mémoire ne sont pas rares ; mais dans le cas dont il s'agit, la perte a été beaucoup plus soud
ent constitue une mesure de sécurité. L'au- teur la traite comme un cas de démence progressive ; il est pro- bable en e
ats déjà malades. La mort en est le résultat dans 40 à 0 p. 100 des cas . Ou peut aussi observer des troubles men- taux
morrhagies encéphaliques, etc.) doit donc être le même que dans les cas d'hyperthcrmie fébrile. Le second groupe des af
t développé le tableau cliniquecomplet delà paralysie générale (dix cas ), ou l'on avait assisté, soit à de la lypémauie (
rale (dix cas), ou l'on avait assisté, soit à de la lypémauie (deux cas ), soit à de la folie systématique (trois cas).
de la lypémauie (deux cas), soit à de la folie systématique (trois cas ). Neuf morts : altérations de paralysie général
appréciable. Les facultés intellectuelles sontbonnes, en plusieurs cas même élevées; quoique l'instabilité du système
ie en danger 11 en est de même pour la suffocation. Dans ce dernier cas , si l'on restitue à temps l'apport d'oxygène, l
s territoires musculaires en correspondance avec eux. En cer- tains cas , les muscles sont le théâtre de mouvements associ
onnera-t-on pas qu'ils ne soient que momen- tanés. P. K. VIII. Un cas d'élongation des nerfs D\NS le tabès dorsal; par
d'homicide. Il m'a semblé intéressant de vous sou- mettre ces trois cas ; s'ils appartiennent à la même forme de trouble
racassière faisaient redouter. Comme il arrive si souvent en pareil cas , l'agression, qu'on a pu croire subite, réponda
scussion : M. Kussmaul se réjouit de ce que l'auteur ait observé un cas de surdité verbale si pure. On arrivera aussi à
fluence de la surdité verbale. » M. SCIIUI : LG (d'llleuau). Sur un cas de dyspepsie nerveuse (neuras- thétaie dyspepti
ce centrale. Dans les dernières années, on a publié une douzaine de cas de ce genre qu'on peut classer en deux catégori
de cas de ce genre qu'on peut classer en deux catégories : 1° Le cas à lésion étendue du cerveau, interrompant les tra
ait de Jolly par sclé- rose cérébrale, 1872.) Il y faut joindre les cas de démence para- Archives, t. IX, 7 98 SOCIÉT
n'y a généralement pas d'altérations de la moelle allongée. 2° Les cas à foyer bilatéral ou unilatéral dans les ganglion
ions de la base. Tableau semblable à celui de la paralysie du bulbe Cas de Joffroy (1872). 11 faut y ranger la plupart
. Plusieurs observateurs ont, en ces dernières années, publié des cas de sclérose tubéreuse ou granuleuse disséminée de
a tout à fait sous les yeux l'image de la syringo- myélie. En tout cas , ces faits sont à distinguer de la sclérose, car
u de distinguer : une sclérose mu) LHocuJaire une sclérose diffuse ( cas de Sànger Strumpel ! ); une gliose diffuse (hyper
ue le n° 3, l'avant-bras les til, 4 et G. Pathologie. Dans quelques cas de tabès où les autres méthodes d'examen avaien
que de l'oculo-muteur commun. Elle est d'ailleurs rare. En voici un cas . 11 s'agit d'une fillette de sept ans, issue de
ines plus tard, on ne trouve plus qu'un vestige de mydriase. Deux cas analogues ont été publiés par de Haner et Saundby
sinage du noyau de l'oculo-moteur commun. 11 semble, dans les trois cas , qu'avec le temps les accès augmentent de gravi
allera une paralysie permanente. La périodicité s'explique, dans le cas de de liasner, par la congestion menstruelle :
t simplement tous les deux jours un verre d'eau de Ho gr. Le second cas concerne un jeûne en partie complet, en partie
du tonus réflexe de Brondgeest occupent le muscle lui-même; on tout cas , ce n'est pas, comme beaucoup l'ont Voy. Revues
la lésion ; c'est la même situation, la même disposition qu'en un cas récemment publié liarNN'estl)lial etlui '. Au mic
nomalie de développement toute par- liettlièrc de la moelle. Un des cas concerne un spina-bifida de la colonne cervical
tableau clinique des cysticerques est encore assez vague; bien des cas rappellent la paralysie générale. On trouva, da
niques caractéristiques. MM. Loeiir et Zinn remettent en mémoire le cas semblable d'ULLmoi (1 le séance de la Société A
pour crimes contre la morale (attentais). L'auteur rapporte quatre cas d'attentats : actes luxurieux commis sur des fi
ègre, qui auparavant avait été interdit. Les troisième et quatrième cas avaient trait à des hommes de quarante ans qui,
q dernières années, n'a pas laissé à désirer. Mais, dans ces quatre cas , ce n'est qu'après des condam- nations répétées
énile se prêtent mieux à un rapport médico-légal. Il mentionne deux cas dans lesquels il ne trouva, chez l'accusé, qu'u
e souvenir de l'acte, sou- venir relativement tardif. Dans les deux cas , il s'agissait d'épilep- tiques. Les spécialist
hr rappelle, par rapport aux jeunes criminels pour atten- tats, les cas soumis au congrès du Hambourg : soins à donner au
a mer, au moins par les habitations intérieurement situées; en tout cas , leurs régions supérieures s'élèvent rarement d
r rappelle la perte de connaissance qui succède à la manie; dans un cas dû aKrafft-Ehing la perte de conscience dura du
ment, d'état, pour revenir au stade de repos ou de dépression (deux cas ); souvent, dans ces entités morbides, une sensati
iques ne pouvoir marcher. Et, à cet égard, M. Engetken mentionne un cas dans lequel l'emploi de l'eau froide (en allusi
aires; des régions voi- sines du Hanovre et de une bonne partie des cas psychopathiques parviennent à sa connaissance e
e diagnostics et de méthodes thé- rapeutiques qu'il consigne. Les cas de psychoses récentes ou commençantes qui permett
tions; d'autres ne se plient qu'à une ferme autorité. Tels sont les cas qui sans t26 SOCIÉTÉS SAVANTES. exception s'o
e psychiatre, il se trouve en présence, dans l'immense majorité des cas , de dys- thymie et de mélancolie simples, voire
t été assurées par le traitement moral et hygiénique. Dans tous les cas de psychoses récentes sim- ples, il faut prescr
ats brillants, à la seule condition qu'il soit bien manié, dans les cas légers, au début. Il est bien plus actif que la
'estomac ne fournit pas de contre-indication. Dans la pluralité des cas de névrose encéphalique simple, on n'a besoin q
ois on observe, dans le cours du traitement, delà diarrhée; dans ce cas , ré- duire les doses, pendaut uu jour ou deux,
- fois très longtemps. Jamais ou n'obtient le thériacisme. En des cas , tout à fait isolés, de mélancolie chronique enté
ËRAVAL. BIBLIOGRAPHIE I. Contributions ci l'élude de l'hystérie. ( Cas pratique. Hystérie à forme convulsive. Guérison
à l'hystérie, puisque, comme le dit très bien le D Campa, sur cent cas d'hystérie, il y en a quatre-vingt-dix dont on tr
i de cette manière de voir, l'auteur donne ensuite la relation d'un cas , qu'il a eu l'occasion d'observer, et qui montre
eineuse due à une insuffisance valvulaire non compensée. Dans les cas dont on a pu faire l'autopsie, la lésion anatomiq
d'autre part; l'absence de toute autre symp- tôme urémique, en ces cas , lui paraissent peu en rapport avec l'idéedeM.C
, rejette les aliments inutiles que sa cavité peut recevoir. En ces cas , A. Fabre n'a pas seulement recherche la preuve
S DU SYSTÈME NERVEUX DANS l' ARMÉE PRUSSIENNE EN 1880- 1882. -4,3î9 cas : 3,9 p. 100 de l'effectif; dans les deux années
ervé 3,8 p. 100 de l'effectif de l'année. A. Maladies mentales. 120 cas : 0,31 p. 100 de l'effectif. Avec ceux qui étai
f, le chiffre de cette année est le plus élevé. B. Épilepsie. 267 cas : 0, 15 p. 100 de l'effectif. Au commen- cement
ée, il y eu avait eucore 2n dans les hôpitaux. On a donc traité 302 cas , dont 52 furent guéris; 228 de ces malades ont
furent guéris; 228 de ces malades ont été réformés. C. Tétanos. 8 cas , dont I décès, 1 réformé, 6 guéris. FAITS DIVER
décès, 1 réformé, 6 guéris. FAITS DIVERS. 143 D. Névralgies. 4JC cas . E. Maladies des méninges cl du cerveau. 272 ca
D. Névralgies. 4JC cas. E. Maladies des méninges cl du cerveau. 272 cas : 0 ? 6 li. 100 de l'effectif. On a traité (c'e
cas : 0 ? 6 li. 100 de l'effectif. On a traité (c'est-à-dire-)- 31 cas restés de l'an passé) 303 de ces cas, dont 64 o
n a traité (c'est-à-dire-)- 31 cas restés de l'an passé) 303 de ces cas , dont 64 ont eu une issue funeste. F. Atrophie
4 ont eu une issue funeste. F. Atrophie progressive des muscles, 13 cas . Dans l'un de ces cas, on vit l'atrophie envahi
este. F. Atrophie progressive des muscles, 13 cas. Dans l'un de ces cas , on vit l'atrophie envahir d'abord les muscles
pasrévélé de traces de lésions primitives. Voici, d'ailleurs, un cas analogue à ceux que je viens de signaler, appar-
ts par une vio- lence extérieure aux effets visibles. Dans quelques cas de paraplégie avec hémorrhagiespinale, nous dev
ciel à la face inférieure d'un des hémisphères du cerveau. Dans des cas de cette nature, les lésions visibles sont plut
taient intacts. Il mourut près de quatre ans après l'accident. Ce cas , dit Erichsen, présente les traits ordinaires d
nduration de la portion cervicale qui résistait à la pression. Ce cas est, pour nous, un exemple frappant d'atro- phi
quelques points. Thudicum et Lockhart Clarke ' ont publié un autre cas qui a les plus grandes analogies avec celui-ci
uscles, de, la respiration. Valentiner, ajoute^Roberts, rapporte un cas dans lequel les premiers troubles de santé, sui
' communiqua à l'Académie de médecine d'Irlande des notes sur trois cas de trauma- tisme de la colonne vertébrale suivi
a colonne vertébrale suivis d'atrophie mus- culaire. Dans les trois cas , la sensibilité était peu ' 1·hr l.iyrel, vol.
ffectant les cellules motrices des cornes anté- rieures. Tous ces cas appartiennent à l'atrophie musculaire. L'ataxie
chronique, parmi lesquels on trouve des phénomènes ataxiques, deux cas empruntés à l'ouvrage de Topinard, un fait deCh
féremment sur les divers éléments de la moelle et que dans certains cas , les éléments vaso-moteurs souffrent à l'exclus
. 1 1 RÉSUMÉ ANALYTIQUE DE NEUF 164 CLINIQUE NERVEUSE. I. Les cas que nous avons observés seraient, croyons- nous
us toutes les latitudes. Le mode de début, tout au moins dans les cas que nous avons observés et qui sont les seuls s
taient pas » » N'oublions pas encore que, dans un grand nombre de cas , tous ces mouvements se combinent entre eux, ou,
d'heure, par séries, toutes les heures ou même moins, suivant les cas ; il est vrai aussi que, dans leur intervalle, les
à l'étude des autres symptômes, nous devons dire que, dans certains cas peut-être, la maladie peut rester bornée à cett
ls constituer toute la maladie, mais, dans la grande majorité des cas , ils ne la constituent que temporairement et l'on
mot que le malade va prononcer, mot variable, prendra dans certains cas les caractères de l'écho : le sujet deviendra é
cette écholalie du geste ou de l'acte, les malades, dans certains cas , la possèdent à un degré extrême. Tous ces phén
tion, cette écholalie du geste ou de l'acte est donc, dans certains cas , très complète chez ces malades; elle peut l'êt
sauta en répétant l'ordre donné ». « Je citerai, dit O'Brien, un cas qui eut une issue fa- tale : le cook d'un steam
létée par M. Charcot, et Pitres et Féré, nous ont communiqué deux cas des plus concluants à leur égard (Obs. VIII, X)
nt pas, serions-nous tentés de dire que dans la grande majorité des cas , et à une époque va- riable de la maladie, elle
-huit ans et persisté jusqu'à la mort de la malade; dans les autres cas , en cours d'observation, elle dure depuis quatr
er de l'émission de sons inarticulés ou articulés : dans ce dernier cas , ceux- ci sont représentés par des mots qui ne
autres phénomènes caractéristiques du latah, mais, dans beaucoup de cas , elle existe seule. » Il est inutile d'insist
ous pouvons dire cependant en toute sécu- rité qu'il s'agit là d'un cas tout à fait analogue à ceux des précédents aute
sans idée préconçue, il est évident qu'elle répond tout à fait aux cas de Beard; qu'elle reproduit presqu'exactement u
out à fait aux cas de Beard; qu'elle reproduit presqu'exactement un cas d'O'Brien (Classe C) dans laquelle il s'agit ég
et que, n'ayant pas encore été l'objet d'un travail d'ensemble, les cas qui s'y rapportent, ainsi qu'il arrive toujours
pas spécial à ces peuplades car l'auteur a pu en observer plusieurs cas chez les Tamils( ? ), les Bengalais, les Sikhs
« le capitaine d'état-major affirma qu'il avait vu beau- coup de cas semblables du côté de Yaliutsk, durant les hive
après les diverses périodes par lesquelles passe l'affection : 1" cas . L'individu n'est affecté que d'incoordination
la chorée, surtout lorsque notre affection a débuté, ce qui est le cas le plus fréquent chez un enfant. Cependant, un
l, soit partielles, soit généralisées % qu'on peut dans beaucoup de cas rattacher à leur vé- ritable cause : névralgie
. Enfin, il ne nous répugnerait pas d'ad- mettre que, dans certains cas , ces tics non douloureux de la face constituent
résentait les symptômes de notre affec- tion au grand complet. 2e cas . A l'incoordination motrice viennent se joindre
sion, le malade pousse un cri inar- ticulé ; le diagnostic, dans ce cas , est-il éclairé par ce nouveau symptôme ? Nou
yant trait avec la phonation. DE L'INCOORDINATION MOTRICE. 199 3« cas . A l'incoordination motrice, aux cris inarticulés
tiété des mots grossiers et toujours les mêmes. Trousseau cite le cas d'une dame qui offrait un fauteuil à ses invité
liniques très intéressantes pourraient encore être relevées dans ce cas . Nous nous bor- nons à celles qui précèdent et
rapport avec le degré du rétrécissement. Dans un certain nombre de cas , l'amblyopie croisée et l'hémianopsie se combin
e démarcation passant par le point de fixation. Or, en général, les cas d'hémianopsie d'origine céré- brale ont pour ca
maladies, ces recherches sont restées lettre morte dans beaucoup de cas . L'hystérie, l'épilepsie, l'aliénation mentale,
nt l'état de maladie à l'état dû santé qu'on peut dire que dans tel cas il y a ou il n'y a pas de modifications dans l'
chiffre de l'azote; mais celte augmentation provient-elle dans ces cas du système nerveux, c'est ce qu'il est encore imp
la normale. La nécessité 23S REVUE CRITIQUE. d'employer dans ces cas une alimentation aussi normale que possible est
du travail intellectuel dans l'élimination des phosphates. En tout cas , c'est la un point qu'il faut élucider avant de
ulaire, de sommeil, de milieu, etc., soient les mêmes dans les deux cas . Ces conditions sont faciles à réaliser chez l'
stent entre l'intensité du travail et l'alimen- tation, et dans ces cas , les seuls qui puissent servir à étudier les ra
phos- phorique total ; et en effet, sidans le plus grand nombre de cas nous avons constaté la diminution de cet acide,
de Zuelzer est vraie, combien il est facile de sa- voir si, dans un cas donné, le système nerveux intervient ou non. On
p. 100, c'est une preuve de l'inter- vention de ce système; dans le cas contraire, c'est une preuve de sa non intervent
rition générale a une influence sur cette éli- mination, et dans le cas de l'affirmative, nous devrons chercher à disti
ologiques de l'iris et des vaisseaux irions. P. K. XVII. Nouveaux cas de tabès chez L FEMME; par P.-J. 1BIUS. (Cbl. f
ns, il arrive aux conclusions suivantes : 1) Dans la majorité des cas de tabes chez la femme on a pu retrouver la syp
istaient en accidents puerpéraux, '.surtout en hémorrha-ies, en des cas isolés, refroidissement, émotions morales, préd
NIIARDT. (Centralbl. /. Nervenleeilk., 1883 r.) Examen de vingt-six cas de tabes portant sur vingt-trois hommes et troi
de la graisse se serait effectuée eu dernier lieu. P. K. XXI. Un cas DE névrite multiple; parF.-C MUELLER. (ri7'Ct.
Archives, t. IX. 17 î 258 REVUE LE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXIV. Un cas d'arrêt de développement dans la SPHERE motrice d
SItO- spinale ; par C. WESTPH9L. (A9'CIL. f. Psych., XIV, 3.) Aux cas déjà signalés ' témoignant du tableau clinique de
prète le phénomène du genou comme un réflexe. P. K. XXVII. Sur un cas de paralysie spinale spasmodique (terme consa-
te concomitante des cordons postérieurs ne descend jamais, dans les cas de ce genre, jusqu'à la moelle lombaire Il n'ex
al et chez l'individu psychiquementsain, en ce que, dans le dernier cas , la condition anatomique de la genèse du comple
1884. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 263 extrême, l'auteur cite le cas d'un imbécile qui, trouvant un homme endormi, l
ation, trop négligée en médecine légale, est va- riante suivant les cas et ne peut être équitablement mesurée qu'après
t être équitablement mesurée qu'après une étude attentive de chaque cas en particulier. R. 1)1. C. \V. UN CAS DE TABE
e étude attentive de chaque cas en particulier. R. 1)1. C. \V. UN CAS DE TABES HORS\L AVEC TROUBLE MENTAL; par L. GOLDS
'excitation moteur. Après critique et réflexion approfondie sur les cas conformes et non conformes aux allégations de P
et que cette allure de la température doit faire songer suivant le cas , à l'atteinte des centres thermiques ou à leur
emier abord, on trouve que sur 538 idiots du sexe masculin, dans 56 cas , leurs aïeux buvaient; sur 385 idiotes, dans 49 c
sculin, dans 56 cas, leurs aïeux buvaient; sur 385 idiotes, dans 49 cas , leurs aïeux faisaient des excès de boisson. Ce
Kind prouve que, sur ses 923 idiots, il n'y avait en somme que 31. cas (au lieu de 105) atlribuables à l'ivrognerie ch
s procédés naturels, mais adaptés au but à atteindre. Dans bien des cas , le jeûne des aliénés n'est pas dan- gereux, po
simple alimen- tation à la cuiller est praticable. Dans les autres cas , on arrive, par les efforts patients des* médec
la sitiophobie cesser. 8" Il n'en est pas moins vrai qu'il y a des cas dans lesquels une abs- tinence prolongée, quoiq
oit être bornée aux pertes de connais- sance de longue durée et aux cas de paralysie des voies gastro-oesopha- giennes
nnent d'être consignés nous ont jusqu'à présent suffi dans tous les cas , et nous espérons nous tirer d'affaire avec eux
citées, les autres au directeur Poetz. Un tableau réunit vingt-huit cas accom- ' Voy, Archives de Neurologie, travail d
ans les psvehoses réflexes, pro- portiunuellement favorable. Quinze cas de psychose primitive de cette espèce se liquid
ses primitives et dans les psy- choses réllexes, ainsi que dans les cas où l'autopsie confirmait la lésion traumatique.
us quant aux alcools et aux impres- sions psychiques. Dans certains cas , on a des raisons de croire que la blessure cép
le cours d'une pratique de vingt cinq ans un nombre considérable de cas d'inversion du sens génital observés ni sur le
il a été ivre la veille et croit avoir eu un coït. Dans un second cas (observation d'Erlitzlcy), il s'agit d'un jeune
ou d'une dernière couche chez des sujets de cet âge; dans tous ces cas , sénilité précoce et perturbation cérébrale son
ou panophobiques; état conscient des malades, sauf dans certains cas d'affaiblissement intellectuel; marche rapide san
de la sénililité prématurée. Nous en possédons par devers nous deux cas où l'éclosion des symptômes mentaux fut pour no
ro regretter une réputation qu'ils avaient justement méritée. Ces cas se rencontrent chez des hommes de science, des li
se dans l'accomplissement de leurs devoirs religieux. Dans tous ces cas , les phénomènes d'anxiété sont plus rares ou mo
ssement intellectuel son t peu saillants. y aurait-il lieu dans ces cas , de tenir un compte rigoureux des traits physiq
de la sénilité précoce, pour atténuer la responsa- bilité dans les cas d'airail)lisenieiit intellectuel ; parfois la mar
de la sénilité précoce peuvent exister sans maladies, et, dans ces cas , si une maladie apparaît, ce n'est que comme ép
ujets qui en sont frappés, et de rechercher minutieusement dans ces cas les traces de l'affaiblissement intellectuel et
institutions de Bandall's Island fut rendue grosse par un idiot. Ce cas soulevait la question suivante : Les idiots mic
à une femme idiote, eut trois enfants, dont deux furentidiots. Ces cas confirment le dire de Vogt, que les idiotes peuve
du temps les idiots sont incapables de faire des enfants. Dans les cas de conception, lorsque la femme est seule demi-
enu pendant le traitement. Watson Eben', en 1878, fait part de deux cas d'élongation du plexus brachial chez un garçon
rès la traction du nerf correspondant. Nicoladokib (1882) cite un cas d'amélioration durable à la suite de l'élon- ga
entreprit en 1882 l'élongation des nerfs médian et cubital dans un cas de paralysie agitante, occasionnée par une vive
ent des douleurs. NankiveIP fut moins heu- reux. Il communique deux cas de mort à la suite de l'élongation du nerf médi
1) pratiqua également l'élon- gation des nerfs intercostaux dans un cas de névralgie, mais sans amélioration durable. N
n lui étirant le nerf facial. Eulenburg4 amena une guérison dans un cas analogue, en pratiquant l'élon- gation du nerf
En 1878, l'auteur pratiqua l'élonga- tion du sus-orbitaire dans un cas analogue, avec le même succès. Vogt1 (1876 et 1
également une guérison en élongeant le nerf sous-orbitaire dans un cas de névralgie accompagnée d'accès épileptoïdes.
bitaire. Masing" (1879) : Elongation du nerf sus- orbitaire dans un cas de névralgie; guérison. Crédé' (1880) guérit un
erf sous-orbitaire. Purdie' (1880) atteint le même résultat dans un cas analogue. Hahu9 (1880) et Langenbuch, dans la m
érison. Quinquaud (1880-1881) pratiqua la même opération dans des cas analogues et obtint également des résul- tats s
! on' et Alouchet6 étirèrent le nerf dentaire inférieur, dans trois cas de névralgie; amé- lioration dans la première o
complète dans la dernière. Leisrink (H.)'communique, en 1882, trois cas d'élongation des trois branches du trijumeau po
non) entreprit une élongation bilatérale des nerfs optiques dans un cas d'atrophie de ce nerf, d'o- rigine syphilitique
ccidentelle du malade, pas d'autopsie. Hatzaourow2 communique trois cas d'élongation du nerf tra- chléaire dans des cas
communique trois cas d'élongation du nerf tra- chléaire dans des cas d'iridocyclite de staphylome de la cornée, et d
e ses observations sur l'élongation des nerfs, fait part de trois cas d'élongation du nerf sciatique; pour une névral
nt de courte durée. Riedel5 (Aix-la-Chapelle, 1882) communique deux cas de lésions de l'épine dor- sale d'origine traum
7.) COMMOTION DE LA MOELLE EPINIERE. 307 nul. Blum' (t882) : Deux cas de sciatique. L'une gué- rie, l'autre soulagée
rachis, ou déchi- rure du feuillet viscéral de l'arachnoïde dans le cas de lésions des vaisseaux sous-arachnoïdiens; c'
n il est rare, isolé des lésions de la colonne vertébrale. Dans ces cas , comme l'apparition des phénomènes de compressi
ns de données précises à cet égard; no- tons cependant que, dans un cas emprunté par Eri- chsen' à A. Cooper, un an apr
e sont pas toujours également influencées; nous voyons dans notre cas , le côté droit plus profondément frappé que le
perte réelle de la con- tractilité électrique, car dans ce dernier cas , elle ne se serait pas réveillée spontanément d
e sorte d'entorse. Si, en outre, nous rattachons à la commotion les cas où les troubles du premier moment manquent comp
t il a augmenté systémati- quement la fréquence. Il croit, dans des cas de cette 316 PATHOLOGIE NERVEUSE. nature, à l
écompression. Mais ce n'est qu'une hypo- thèse, et il ne cite qu'un cas emprunté à Mayo, où, à la suite d'un coup viole
TION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 317 motion à tous ses degrés depuis les cas les plus légers qui ne se traduisent que par un
jours facile. Nous devons d'abord signaler, dans un grand nombre de cas , des troubles cérébraux de début, tenant à la c
e que le terme commotion cérébro-spinale conviendrait mieux à ces cas que celui de commotion de la moelle épinière. M
ifs incon- testables, mais nous avons souvent mentionné aussi les cas de Leudet et d'Erichsen, où ces phénomènes ont
, où ces phénomènes ont été très légers ou nuls. Si, comme dans les cas de Leu- det, on peut voir les troubles consécut
istons pas davantage et nous reprenons l'exposé succinct des autres cas d'épilepsie traités par le curare. Observation
tiendrai à l'abaissement brusque de la température dans quelques cas particuliers. Des faits de ce genre sont décrits
les centres moteurs de Hitzig. Le même auteur a a publié plusieurs cas de lésion de la région motrice de l'écorce du c
urs des diverses formes mentales, et plus particulièrement dans les cas de violentes agi- tations qui, d'une manière tr
é de la température n'a pas entraîné la mort. Burckhardt1 décrit un cas de mélancolie chez une femme, dans lequel la te
n abaissement de tempéra- ture arrivant à 34°, 6 c. ; dans les deux cas , la terminaison a été favorable. Dans l'observa
(Allg. zeilschi,ifi f. psychiatrie; 1883.) * 360 REVUE CRITIQUE. cas , dans l'alcoolisme par exemple, la température pe
pour pouvoir en tirer des déductions générales; mais néanmoins, des cas déjà publiés il ressort ce fait qu'un abaisseme
élimination de l'acide phosphorique. Pour pouvoir dire que, dans un cas donné d'aliénation men- tale, il y a modificati
chez l'homme sain peut seule nous le donner. Et comme beaucoup des cas d'aliénation mentale que nous étudierons sont i
musculaire se modifie par l'élimination des phosphates, et dans le cas de l'affirmative rechercher de quelle manière a
t sur l'acide phosphorique uni aux alcalis ; dans la majorité des cas , le chiffre de l'acide phosphorique uni aux terre
sphorique uni aux terres permet de faire la part de ce qui, dans un cas donné, revient aux muscles et au système ner- v
gnait pas un degré trop consi- dérable. Et cela parce que, dans les cas où l'agitation était trop intense, il nous a ét
es, mais avec une intensité différente sur chacun d'eux suivant les cas . Pendant la période d'état de la maladie, alors
premières périodes d'agita- tion que nous avons indiquées. Dans ce cas , le rapport entre l'acide phosphorique et l'azo
x espèces de phosphates, mais elle atteint surtout, et même dans un cas exclusivement, les phos- phates terreux, dont l
ide phosphorique : 1 gr. 69 au lieu de 1 gr. 85, et dans ce dernier cas , la diminution porte également sur les phosphates
V. J... Ces données, nous les retrouvons les mêmes dans tous les cas de manie que nous avons examinés. G.g... est un
détails dans notre travail', ainsi que ceux relatifs à deux autres cas de manie que nous croyons inutile de rappeler i
e, ne modifie pas l'élimi- nation de l'acide phosphorique ; dans le cas contraire, elle 1 Maire). Loco citato, p. 15S-
eux et phosphates alcalins ; mais encore ici faut-il distinguer les cas dans lesquels les troubles cérébraux sont très
ceux dans lesquels ces troubles sont superficiels. Dans le premier cas , qui correspond à la période d'état de la malad
phates alcalins sont considérablement t augmentés. Dans le second cas , qui correspond à'ia période de déclin de la ma
e ? t<'eaMc ? ) : e ! a6tOK. Et encore faut-il, pour que dans ce cas l'augmentation se produise, que l'agitation ait u
De même que nous avons dû laisser de côté à propos de la manie, les cas dans lesquels l'agitation était trop intense, de
rs 1883, pendant une période de quatre jours; et que, dans tous ces cas , nous avons toujours trouvé des modifications s
autres lypémaniaques que nous avons observés; ainsi dans les trois cas suivants, dont nous ne ferons qu'indiquer les r
la démence, c'est que les résultats que nous avons obtenus dans ces cas nous donnent des résultats trop peu précis pour
chiffre de l'acide phosphorique uni aux terres, tandis que dans ces cas lesphos- phates alcalins sont peu influencés et
taques, et enfin pendant l'état de mal épileptique. Dans ces divers cas , nos recherches ont porté sur un nombre de jours
ts qui précèdent, nous les avons obtenus sem- blables dans tous les cas d'épilepsie que nous avons observés, sauf la]di
laquelle nous ayons constaté cette diminution, dans tous les autres cas , les phosphates alcalins étaient augmentés. M..
nué sous l'in- fluence des attaques, il est augmenté dans les trois cas que nous venons de rappeler. Par conséquent,
complémentaire est le bleu. La réponse peut donc varier suivant les cas , sans que la malade cesse d'être sin- cère. Mai
énomènes observés du côté de l'oeil. M. Féré a observé que, dans le cas des lésions cérébrales et dans l'hystérie, il exi
ogique déterminé et non de la sénilité. Il serait plus exact, en ce cas , de dire ce que sont des individus chez lesquel
c'est à nous qu'il demandait des preuves et il en trouvait dans le cas de Miche), qui, en moins de vingt minutes, tuait
. .06 SOCIÉTÉS SAVANTES. caractéristique. Signalons toutefois les cas de Jules Falret. (Recherches sur la folie paral
ée par une graduelle démence. hiscussion : M. Ditthab. Dans les cas de ce genre, on devrait pratiquer l'examen élec
directes, et même faire mettre en traitement dans les familles des cas aigus, à son gré. On ne s'inquiète pas, pour l'
et de légumes, se réservant une détermination spéciale en certains cas . Malheureusement, généralement la mise en vigueur
appelé à remplacer les asiles ? Nullement. Il faut le limiter à des cas particuliers bien déterminés et le pratiquer lo
hydrothérapie, commu- niqué la fois dernière ; l'autre relatif à un cas dans lequel beau- coup de médecins avaient, dev
a justice, émis un avis diamé- tralement opposé. J'y ajouterai deux cas de ma propre pratique : dans le premier, l'inte
re en des circonstances qui ne se répéteront pas souvent. Premier cas . Celte observation, dans laquelle sont consignés
ille occurrence, mieux vaut décréter l'irresponsabilité. Deuxième cas . Comtesse de B..., quarante-huit ans, hérédité ps
ntes, elle fut déclarée démente dans le sens de la loi. Troisième cas . Baronne de A...,quarante-trois ans; tare hérédi-
idence de M. Westphal. Communication annoncée de M. Westphal sur un cas de tumeur du lobe temporal gauche avec pièce à
ei-line7- klinische Wochenschri ft. Discussion : .' M. MENDEL. Le cas de Schoefer invoqué par M. Westphal lui rap- pe
détruite. Opinion à l'appui de Langreuter. M. HADDCB mentionne deux cas communiqués par Claus chez des déments avancés.
cas communiqués par Claus chez des déments avancés. Dans le premier cas , il se produisit l'aphasie sensorielle en quest
ruction des première et deuxième temporales gauches. Dans le second cas , il s'agissait d'un paraly- tique général ; le
be temporal gauche était atrophié. M. WESTPHAL prétend que, dans le cas de Schoefer, le foyer, qui n'avait que le volum
t. III, p. 235. SOCIÉTÉS SAVANTES. 425 de l'électricité. Dans le cas de Loewenfeld intitulé : « Myoclonus multiple »
ans le segment le plus supérieur de la moelle cervicale de ce côté ( cas de Schultze, Fuerstner, Zacher '). Séance du 14
et trouvé des altérations périphériques des nerfs sensitifs dans un cas de tabès avec lésion centrale (atrophie dégénér
au microscope les nerfs saphène et fémoro-cutané interne dans un cas de tabes, il les avait trouvés atteints d'atrophi
- tion a été puisé à la clinique de Schoeler; il se chiffre par 154 cas . Il est proportionnellement rare qu'on puisse n
facteurs étio- logiques. Dans l'espèce, on en a enregistré en douze cas seulement. Il faut aussi se montrer très pruden
- portionnellement rare, cependant il importe de tenir compte des cas qui se présentaient à l'observation; à cet égard,
. Communication annoncée sur l'étiologie du tabes. Quatre-vingt-six cas ont élé rassemblés par lui à la clinique des ma
maladies nerveuses de la Charité de Berlin (56 h., 30 f.). Dans 51 cas la syphilis est niée; aucun signe, aucun commémor
en faveur des excès sexuels comme agents pathogénétiques. Dans 50 cas , on put avoir des renseignements généalogiques;
nière publication (fin septem- bre, 1883), il a observé 12 nouveaux cas de tabes, î dans sa clien- tèle, 5 à la policli
ment antisyphilitique ne lui a jamais donné de résultats. Dans un cas , il y aurait eu en même temps intoxication arseni
des femmes et de leurs avorte- ments. D'après l'orateur, sur 3,400 cas de syphilis on trouverait 290 névropathes dont
25 p. 100 de syphilitiques. Depuis cette époque, il a rassemblé 64 cas de tabes (15 f., 49 h.). Laissons, pour les motif
x. Dans la première série, à antécédents syphilitiques certains (14 cas ), caractérisés par un chancre induré, des accid
t eu une ulcération quelque part, mais sans accident secondaire (14 cas ); 6 d'entre eux avaient, peu de temps après l'i
a théorie unitaire de la syphilis, on doit calculer que, sur les 49 cas précédents, 31, c'est-à-dire 63,5 p. 100 étaien
. Jusqu'au 21 janvier 1880, l'orateur a fait le réco- lement de 125 cas de tabes soigneusement observés quant aux facte
a défalcation des chancres mous laisse une moyenne de 45 p. 100. 26 cas sont étudiés à ce point de vue, en septembre 18
théorie unitaire) et de 38,4 (théorie dualistique). Les 12 derniers cas envisagés par lui dans la dernière séance se résu
ques, pour la seconde 32 p. 100 syphilitiques. M. REMAK. En aucun cas de tabes il n'a vu de phénomènes érup- tifs (sy
abes chez la femme (Centralllatt f. Neruenheilh. du 1"mars 81'; aux cas positifs de cet auteur, il peut opposer un bien p
on cons- tate trois espèces d'étalsanatomo-patliologiques. Dans les cas où la maladie a suivi une évolution aiguë, c'es
vasculaire hypergenèse de noyaux). Une troisième série comprend les cas rares à marche traînante : ici il y a sclé- ros
rtérielles de la substance blanche. Pourquoi, dans la pluralité des cas , les premières perturbations affectent-elles le
idence DE M. Westphal. M. JASTROWITZ. Communication annoncée sur un cas de conceptions io7·ésistibles en nzédecine léya
uement normal, non surmené, c'est-à-dire en pleine santé men- tale. Cas de Passow, Zippe, Charcot et Magnan. Ce n'est cep
ésistibles apparaissent sans affaiblissement préalable; en bien des cas , une émotion de l'âme les a précédées, mais sou
correspond à des conceptions. Comment se fait-il que, dans certains cas , aux conceptions irrésis- tibles s'associent de
sychoses dégénératives ne peuvent avoir de bornes tracées qu'en des cas concrets déterminés, et non en général. M. OT
non en général. M. OTTO. Communication avec pièces à l'appui sur un cas de porencéphalie. Un jeune garçon de quatre ans
die de Thomsen (rigidité, saillie des bourrelets musculaires). Ce cas sera publié en détail '. 1 Nous l'analyserons a
ces qui se pratiquent au gymnase cou- viendrontdans la majorité des cas en tenant compte, bien entendu, de l'âge, du se
qui le prouve c'est que cette coloration se retrouve dans certains cas d'otite interne ou de cancer de l'oeil ayant déte
e pronostic; par WALLET. (Thèse de Paris, 1884.) Etude sur quelques cas d'atrophie musculaire généralisée, consécu- Mue
urs ou Privât docents ou sous leur responsabilité. 6° Dans tous les cas où l'anesthésie n'est pas incompatible avec le
e et Bricon, 43, 201, 319 Cysticerques de l'encéphale, 111. (Un cas de ce genre a été omis dans la table du t. VII,
laire et de la pratique sur 1'), par Orchansky, 137. Faciale (un cas d'atrophie uni- latérale), par Bernhardt, 65.
95 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
régions avoisinantes sont atteintes. Dans l'un comme dans l'autre cas , il survient une perte absolue de la parole,' u
r une partie active, d'où permanence de l'aphasie dans ce dernier cas , et extemporanéité dans l'autre : là incurabilité
implement de cons- tater que la perte de la parole existait dans un cas comme dans l'autre, sans se préoccuper de sa du
Dieulafoy s'appliquent naturellement à celle de M. Boinet et à tout cas ana- logue. L'aphasie a été absolue, permanente
nstance nous conduit à nous demander ce qu'il a pu advenir dans les cas où, au lieu d'être légère, l'altération de l'éc
ujours l'in- criminer ? Pour M. Luys, dans l'immense majorité des cas , les maladies mentales, une fois déclarées, const
decin distingué de la Salpêtrière. Oui, dans l'immense majorité des cas , l'évolution des maladies mentales est fatale,
niques si sages formulés par Guislain facilitera la distinction des cas curables, et des cas incurables, mais sans auto
lés par Guislain facilitera la distinction des cas curables, et des cas incurables, mais sans autoriser l'affirmation.
emier discours à l'Académie de Médecine, croit fatale dans tous les cas l'évolution de la démence; une fois le réseau i
urgir des facultés pronos- tiquées à jamais détruites. Si, dans ces cas , la folie offre des rémissions, la marche éclai
rée après laquelle la guérison se- rait de toute impossibilité ? Le cas , auquel je viens de faire allusion, prouve qu'i
Eu compulsant les registres de l'établissement, j'ai trouvé huit cas de guérisons tardives : cinq femmes et trois ho
able desecon- 3 J CLINIQUE MENTALE. duire au dehors, n'entend, en cas de sortie, se soumettre à la tutelle de personn
ulsions éclamptiques, le cours des idées a changé. En présence d'un cas d'éclampsie, on ne se demande pas si le sujet e
235. 44 PATHOLOGIE NERVEUSE. action n'est pas constante'. En tout cas , ees circons- tances ne paraissent avoir d'acti
sonnels révé- laient l'existence d'accidents convulsifs antérieurs ( cas de Terrillon, deFerrand, de Béraud). Chez les
ait à l'éclampsie. Michéa' cite d'après Pougeus et Manget, les deux cas suivants : 1° Mère mélancolique; antécédents pe
lamptique dont une soeur était épileptique. Chui-toii ' rapporte un cas de convulsions puerpérales chez une femme qui a
souvent, puisque M. Charpentier' a pu réunir cent quarante et un cas où elle était absente; et Nothnagel en vient à
est fréquent de rencon- trer dans les familles des névropathes des cas remarqua- bles de longévité; il semble que l'én
ause qui, dans un certain nombre ECLA114PSIE ET SPII EPSIP. 19 de cas , peut déterminer à elle seule l'apparition des
itaires et personnels peuvent t en effet, dans un certain nombre de cas , mettre en lumière la prédisposition névropathi
urement dans d'autres circonstances. 2° D'autre part, dans certains cas , des manifestations névropathiques ultérieures
eurologie. 1,81, janvier et mars.} RECUEIL DE FAITS NOTE SUR UN CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE; Par le D'J. SEHLAS. M
lus souvent des idées de damnation. 11 dit en avoir observé trois cas et en cite douze autres analogues, disséminés dan
etc. D'autres personnes, danslaligne paternelle ont aussi présenté CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 57 des troubles sérieux
s fonctions physiques, sauf le sommeil, se fissent régulièrement. CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 59 Sortie un peu amélio
des médicaments et refuse de les prendre parce qu'elle sait qu'ils CAS DE D41' : LNCOLIE .1NXIFUSF. li 1 sont inutiles
bstraite, est une idée de grandeur, elle est contemporaine, dans le cas actuel, des idées de damnation, c'est-à-dire pr
délire, n'apparaît qu'après de longues années et souvent même le CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 4;3 malade meurt ou tom
la même coordination, la même marche continue et progressive, la CAS DE MELANCOLIE ANXIEUSE. 65 même ténacité provoq
maladie, le caractère de prédominance que nous leur voyons dans le cas actuel. Ici, au contraire, ce sont Archives, t.
moniaque. Mais nous ne voyons pas qu'on ait nettement distingué ces cas particuliers. Il nous semble cepen- dant que l'
particuliers. Il nous semble cepen- dant que l'on peut faire de ces cas une forme spéciale dans le grand cadre de la mé
t dès leur premier a- ! cès les symptômes spéciaux que nous avons CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 67 décrits, d'autres fo
use est une vésanie d'accès ou intermit- tente, tandis que dans ces cas particuliers, lorsqu'apparaissent les signes su
hercher à créer une espèce pathologique distincte, nous rangeons le cas que nous venons de rapporter et les autres semb
euse qui demande à être étudiée pour ne pas être confondue avec des cas qui s'en rapprochent, mais qu'une observation a
as spécial à ces peuplades, car l'auteur a pu en observer plusieurs cas chez les Tamils, les Bengalais, les Sikhs et ch
autres phénomènes caractéristiques du latah, mais, dans beaucoup de cas , elle existe seule. JUMPING, LATAH, MYRIACHIT.
andonné » et me supplia de le tuer. « Je citerai en dernier lieu un cas qui eut une issue fatale : le cook d'un steamer
s directions possibles et j'ai acquis la certitude que, dans chaque cas , mon influence sur ces esprits malades était pr
tte maladie était commune en Sibérie, et qu'il avait vu beaucoup de cas semblables du côté de Yakutsk, durant les hiver
actes de violence et spéciale- ment des assassinats. Dans certains cas , il semble sortir d'un rêve; dans d'autres, on
ment, dans le service de notre maître, M. le professeur Charcot, un cas qui, par bien des points, se rapproche de cet é
dans l'espèce, rare- ment grands. L'auteur en rapporte cependant un cas bien et dûment diagnostiqué guéri à la suite de
précédée pendant plusieurs années de symptômes tabétiques. En tout cas , en atten- dant que ces deux malades deviennent
. médical, 1881), Lecoq {Revue de méda- cine, 1882). P. K. IV. Un cas ue J'UMHLJH LKREUmL ! : l4ssl,nUlilRl'h.l.lul'IWL
le tétanos n'a pas encore de substratum anatomique. Quatre nouveaux cas à l'appui de sa thèse. P. K. IX. Contribution A
ire en entier. P. K. iI. L.f.1'l' .\NA'10110-L'.IIHOLOGIQUE D\NS un cas de PARALYSIE infantile spinale EXISr%N'r depuis
brale en s'éloignant de la paroi thoracique; il en est en maints cas de même du bord médian de l'omoplate. P. K. XII
orte deux observations de guérison par ce moyen. Une autre série de cas aurait entre ses mains témoigné soit d'amé- lio
aient présenté des contre-indications. P. K. XIV. Présentation d'un cas d'atrophie hémilatérale DE la face; par E. KÙST
ible. Guérison à l'aide d'injections sous-cutanées d'atropine (4 Il cas ) et de séances de galvanisation (+ à la région
Au reste crâne, méninges, encéphale sont normaux. Ainsi que dans le cas célèbre de Cl. Bernard, la femme avait joui de
f se trouvaient dans une condition analogue à celle de la rétine au cas de papille étranglée. En pareil cas, la surdité n
nalogue à celle de la rétine au cas de papille étranglée. En pareil cas , la surdité ne saurait, pas plus que l'amaurose
SHARKEY. (Med. chir. Transartiolts, t. LXVI, 1883.) Il s'agit d'un cas d'hémiplégie infantile, avec arrêt de dévelop-
particulier), il semble cependant difficile de nier, dans tous les cas , l'influence de la vérole sur l'origine de cett
éralement que de sept à vingt ans après l'affection; 4° Très peu de cas d'ataxie ont pu, chez la femme, être rapportés
ouvent reconnu comme sans influence, s'adressant généralement à des cas trop anciens. Quelques observations favorables
ses). 1 année, lie partie, 1883.) Après une courte critique sur les cas connus dans la littérature, l'auteur nous prése
l'appui de l'hypothèse des nerfs tro- pliidaes (tropho-névrose) un cas d'hfmiatrophie faciale progres- sive gauche, ré
es couches corticales des lobes frontaux,'y compris l'in- sula (le, cas ), ou l'atrophie exclusive des fibres d'associatio
sula (le, cas), ou l'atrophie exclusive des fibres d'association (2" cas ). 1 Voir Arch. de Neurologie, t. Vf, p. 403 (no
ques exemples d'idiotie et d'imbécillité à différents degrés; 2o un cas de mélan- colie avec idée de suicide, chez un e
uraient été condamnés; 2° que tout individu déjà interné puisse, en cas de rechute, être reçu dans le même établissemen
au lieu de les laisser courir en liberté; la preuve en est dans les cas nombreux de crimes commis par les aliénés, et,
plus appro- fondi laisse percevoir des côtés faibles. Le troisième cas a trait à un jeune homme qui simule la stupeur,
valeur aux causes prédispo- santes, telles que lesexe(dans tous ces cas . il s'agissait de femmes), les chagrins préalab
ncore peu étudié de l'affaiblissement psychique. » P. K. XIII. UN cas d'auto-accusation probablement fausse d'ln aliène
'un délit commis par le personnage, mais que, dans la plu- part des cas , il exagère. Tantôt, ce qui est aussi fréquent, i
accusa- tion n'est pas un symptôme de perturbation mentale. Dans le cas en question, on ne trouvait aucun point de repè
partient de se pro- noncer. P. K. XV. Ru'PORT médico-légal sur un cas d'affaiblissement psychique primitif (contribut
rales constitutionnelles; ou plutôt il faut remployer dans tous les cas où la nutrition générale languit, soit du fait
paralytique générale dont le sang contenait aussi des bactéries. Le cas rapporté par M. Voisin n'infirme en rien les conc
iser les ma- lades, mais c'est en pareilles circonstances que trois cas témoi- gnèrent de l'événement suivant : après l
is. MM. Kéraval et Kercam n'ont rencontré qu'un nombre restreint de cas d'insuccès; une malade cependant ne dormit pas
llu sur la température ? z M. Kéraval. Nous avons observé dans un cas qu'elle s'était un peu abaissée. (A suivre.)
des de la province correspondante, mais tous les asiles doivent, en cas d'encombrement, se prêter assistance les uns au
des opinions toutes person- nelles; sur un relevé de quarante-huit cas d'arthropathies tabétiques épars dans la scienc
ette singulière affection. Dans cette statistique de quarante- huit cas , M. Blizzard fait remarquer que vingt-quatre fois
izzard fait remarquer que vingt-quatre fois (pour ne parler que des cas où il en est positivement fait mention), il y a e
intime. Or, dès 1880, et plus récemment encore, s'appuyant sur les cas de M. Pierret, où les faisceaux cunéiformes en
le système nerveux ; dans la leçon XVI l'auteur rapporte plusieurs cas de somnolence prolongée dans la syphilis cérébr
ues du système nerveux (teruous mimicry de James Paget); dans aucun cas de paralysie hystérique, l'auteur n'a observé l
ues; cependant le'réflexe tendineux pour- rait disparaître dans les cas de paralysie prolongée du triceps fé- moral. Da
e dans les cas de paralysie prolongée du triceps fé- moral. Dans un cas , la paralysie d'un côté de la face aurait été o
est le siège de l'aura épileptique, il s'en faut que dans tous les cas , les attaques d'épilepsie se soient trouvées supp
utions dans l'épilepsie, soit pour provoquer la suppléance dans les cas de destruction des circonvolutions. Les limit
pendant ces trois dernières années; c'est-à-dire que les différents cas observés pendant un an (surtout ceux suivis d'a
le détail, nous trouvons dans chacun de ces volumes une variété de cas pathologiques à laquelle on est loin de s'atten
autopsie minutieusement décrite à laquelle fait suite un relevé des cas analogues publiés par d'autres auteurs. Une obs
d'autres auteurs. Une observation de crétinisme avec myxoedèmr. Un cas d'hystérie chez un garçon de treize ans qui a pré
ie et d'idiotie, con- tingent ordinaire du service, et d'un nouveau cas rl'h3-stéro-épi- lepsie chez un jeune garçon, n
quitter leur salle (même établis- sement), une sonnerie d'alarme en cas de suicide au manicôme de Vienne, une société p
issement cérébral récent et un ramollissement ancien; dans ces deux cas , les lésions observées diffèrent complètement de
r sur la signification et la nature de ces dernières. Dans d'autres cas , au contraire, plus rares à la vérité, les atta
ns insister dans ce mémoire), l'attaque hys- térique, dans quelques cas , reproduit avec une exac- titude à peu près par
maîtres, MM. Charcot et Legrand du Saulle, à la Sal- pêtrière. Les cas de cet ordre qui, jusqu'à ce jour, étaient croy
mités à un côté de la face ou à l'un des membres. Dans le premier cas , le tableau clinique était celui de l'épilep- s
us proposons donc d'établir dans ce travail : 1° Que, dans certains cas , l'attaque d'hystérie simule l'accès d'épilepsi
al hystérique, et un mois après la fin des crises; et dans les deux cas , les résultats ont été identiques. Traitement.
ourrions dire l'identité parfaite des accidents convulsifs, dans le cas en question, avec ceux qui caractérisent l'épil
emière proposition, à savoir que l'hystérie emprunte, dans certains cas , le masque de l'épilepsie jacksonnienne. Cette
rapportons plus loin. Mais il est d'autres enseignements à tirer du cas de Rosa G..., sur lesquels nous devons insister
n- tenant. Après avoir lu dans tous ses détails la relation de ce cas , on pourrait être tenté de s'étonner que la dét
élévation concomitante de la colonne thermométrique. Dans les deux cas , on se trouvait en présence d'un type clinique
considérée comme un moyen de diagnostic de premier ordre dans les cas embarrassants. Les travaux de MM. Charcot, Bouc
e d'hyperther- mie chez les hystériques, nous pouvons rappeler le cas bien connu de la femme Co..., que cite M. Charcot
ation I avec l'observation II, qui se rapporte, on va le voir, à un cas d'épilepsie partielle par lésion cérébrale. Ce
même journée, plus de 1,500 attaques; tandis que Foisn..., dont le cas est publié plus bas, présentait constamment de
tion. De ces développements, nous pouvons conclure qu'à côté des cas dans lesquels le diagnostic différentiel entre
tence ou de l'absence de certains symptômes spéciaux; et dans les cas de la nature de ceux dont nous nous occupons, on
ne' et l'autre, qu'en plaçant en regard du 1 H CLINIQUE NERVEUSE. cas de Rosa G..., une observation d'épilepsie jackson
s débutent parJ ! un ! dës côtés du corps (le droit dans le premier cas , - le gauche dans )etsecond) qu'elles s'y.limit
le et Wuillamié, etc. L'apparition d'hallucinations,, dans les deux cas , a,) «# 1 1 to 11 1 h'* ,i 1 if, u p f 0 si l .
s particularités ont, àoin moment donné, attiré l'attention dans le cas de Rosa G7nl £ il ? )l' ouverture de la bouche
s dans ces dernières que dansiesaccèsepitèptiques. Aussi dans les cas embarrassants; acquerront-ilsïuné .valeur diagn
nt sous le nom de lobe moyen, et que, d'autre part, dans chacun des cas dont il s'agit, la destruction a confiné plus o
trémité antérieure de la couche optique, parce que, dans ce dernier cas , elle avoisine bien plus la partie antérieure d
aphasie, concerne l'hémisphère gauche, il nous reste à parler des cas dans lesquels 4° La perte de la parole coïncide
e ! - M. Clozel de Boyer (thèse citée) en compteunetrèü- taine de cas , dont les vingt- premiers-'appartiennent à Meyn
ert, qui les avait' recueillis'dé' 18G6' à : 9 8G8 : Dans' tous ces cas ,' la lésion1 cohs'\siail'dans\iri>'ramollissem
le, mais intermit- tente et guérissable; 3° Que dans un nombre de cas , relativement consi- dérable, la paralysie acco
nul, nous n'avons en vue, bien entendu, que l'aphasie, car, dans ce cas comme dans le premier, la paralysie du membre s
nous traitons ? ,-) La parole est difficile dans les deux derniers cas , etq facile dans le premier. Pourquoi Simplemen
ce,nous semble, parce que la lésion était moins étendue dansA ce cas que dans les deux autres. Foyer, hémorrha- giqu
es. Foyer, hémorrha- gique gros comme une noisette, dans le premier cas ; gros comme une petite noix, dans le deuxième ?
dans le premier cas; gros comme une petite noix, dans le deuxième ? cas ; ramollissement complet des circonvolutions' da
ramollissement complet des circonvolutions' dans18 le N troisième cas . Isolée, la première observation auraitétc ' 4
tales extra-nucléaires. Nul doutè'qù'è,s'i ? â,alls,q chacun de ces cas , la lésion eût été plus profonde; cee simple tr
obable que les vaisseaux de la parole ne fonctionnaient pas dans le cas de M. Charcot, tan- dis qu'ils étaient sains da
d'ambition, on, y retrouverait les 'caractères, communs a tous les cas déjà, cites. Toutefois, a de paraissent comme d
Ecker, dans son mémoire', les auteurs de tous pays ont, en bien des cas , confondu plusieurs circonvolu- tions, sinon en
t le sillon froalo-nagual; de Wernicke. Quoi qu'il en soit, en tout cas ,, la démarcation, déterminée par le' sillon fro
inférieure à l'îlot sous-jacent dont nous al- lons parler. En tout cas , la queue du lobule pariétal supérieur particip
ns le lit même du sillon occipital supérieur. C'est dans ce dernier cas , que le terme de sulcus occipito-pa- rietalis l
c , W n1 '1, ) ;r,'c ? . , . pose, en;zigszags morcelés : ' Dans^ce cas ; la partie postérieure de.cette, scissure devie
l que, con- trairement à l'opinion que nous venons de rappeler, les cas aigus de folie diminuent à mesure que la prospé
rospérité. l'aisance pécu- niaire ; il fait remarquer aussi que les cas dans lesquels cette ai- sance parait prendre le
es, qu'à la prospérité agricole se lie une diminution du nombre des cas de folie, et qu'avec cette diminution coïncide
(Journal of mental Science, juillet 1882, p. 210.) Il s'agit d'un cas où l'on constatait une hémiplégie droite presque
MENTALE. fibres tout a la fois) ; en effet, il n'a rencontré aucun cas de para- lysie générale où ce développement ne
e soit montré à un degré très accusé, bien que variable suivant les cas , Ainsi qu'on devait le prévoir, l'hyperplasie d
su connectif existait à un degré plus ou moins marqué dans tous les cas de la première série, tandis qu'elle faisait abso
mière série, tandis qu'elle faisait absolument défaut dans tous les cas de laseconde. Sans suivre l'auteur dans tous le
le. Lebâtiment affecté aux femmes a seul été atteint, et vingt-sept cas ont été observés : cinq appar- , tenaient au pe
n outre depuis longtemps une affection mitrale. Restent vingt et un cas à étudier : sept ont été graves, neuf de moyenn
euf de moyenne intensité, cinq légers. L'étude de ces vingt et un cas , au point de vue de l'influence de la fièvre ty
ne influence défavorable, de la maladie intercurrente; 2° Dans un cas où il n'y avait eu, jusqu'à l'apparition de la
pro- gressé pour permettre la sortie de la malade ; 4° Dans deux cas , mais d'une façon particulièrement remar- quabl
; 5" Une amélioration mentale très nette a été observée dans deux cas ; une amélioration légère dans deux autres cas ;
té observée dans deux cas; une amélioration légère dans deux autres cas ; 6° Dans les dix cas restants, où le pronostic
cas; une amélioration légère dans deux autres cas ; 6° Dans les dix cas restants, où le pronostic était soit désespéré,
l n'a été aucunement influencé par la maladie intercurrente. Deux cas sont particulièrement remarquables : dans l'un, l
it depuis si longtemps sans le moindre indice d'amélioration que le cas était considéré comme dé- sespéré ; néanmoins,
. C..l a izs 1 ,; cn i-< ai ? i 1 ,1 l'Mflu i i b aiIJ : DRUrY cas d'épilepsie liée a une tumeur cérébrale; par Herb
I1·u· CP ni.6(Iu(.lrnV ? g rt -f.1 .W ·.n > amujjouuac ; Frcmier cas : 3 Fille de quinze ans. sur laquelle on n'a que
uisibles ni aux autres niàcux-memeSj et sont cependant capables, le cas échéant, de faire lejiial sans savoir, que ce.
eint un criminel est héréditaire ou personnelle, et dans ce dernier cas , s'il ne l'a pas préparée et ac- quise par des
est difficile de donner une théorie de leur origine. Dans quelques cas , on inclinait à croire qu'ils occupaient la place
t porté exclusivement sur des hommes, il a trouvé que le groupe des cas dans lesquelsle réflexe était normal et le grou
que complètement dépassaient respectivement en nombre le groupe des cas où le réflexe était nettement exagéré. 11 faut no
exagération du reffexe. 2° Dysphasie. En considérant l'ensemble des cas , les troubles du langage sont sensiblement égau
rfJu9v 9t8 Incontialgiçeob'zcriate : En- considorantarensombles des cas ,' on trouve que, Ia,ma)propreté.ot longâtisme,
nt avec'plus dé fréquence, de pré- cocité fit d'intensité, dans les cas où;le réflexe fait défaut ? io, ciz 9° Douleur.
audue.D 9r.oll ? · t6 4 4° Pu»i/jes.,Lujprenaut 1 ensemble, ! des j cas , les. pupilles,, sont pmsdttatees chez les, mal
t; ? )7. °F 1o° Tiwt des.vcux.par rapport cc .la .lumière. Dans les cas où le ' ? <« ii" , ? iii ! Hir-1 ? .'iiai'i'
.asquon ru9fi zsl enFb xur's Jnsmsldrrrssa Jnoa 9· ? .r ,l XXVI. UN CAS . UE, PAIlALYSlE.GÉNÉ)lALE,CUËZ,pNC,FKUMEpar, F<
.izdE 212 REVUEDE;RATIioLOGIE;111ENTALE. - 9L'éndartérite dans ce; cas était3elletd'oriine syphilitique, ? < L'au-
maine ? 9t)iqu' ! .9JÛs emârn ire 991MisSavage»penseKque* dansoc6 : cas ,llu3 ruptiiro'tarlérielle a 'été précédée d'un
i m beaucoup de parents pocheront par ignorance. Dans beauçoupnde cas , il sera donc bien difficile d'appliquer la loi.
observations et ses, recherches, qui ont porté sur soixante et un cas (53' hommes, 8 femmes) et les éléments de même or
nt : ti), le type de Magnus Huss, qui existe dans 80 à 85 pu100 des cas , et dérive d'un affaiblissement du système nerveu
uérisons sont'parfois'complètes; mais* dans 'l'immense majorité des cas ,' élles'sont défeeLûeues; 9n917'sqxy 's.l 'u5 -
1L}Erlr,plend pour thème la nature ,non inflammatoire, de certains cas baptisés ? cas iptises 9 du nom de névrite. 111
pour thème la nature ,non inflammatoire, de certains cas baptisés ? cas iptises 9 du nom de névrite. 111 inclinerait à
z a,l : rarl t - sio*>91.)Ps(l ? Bq ' Dtscussi'e ? M.'JoLLY.' Les cas d'h'émiatrophie faciale plaident, comnié`1·atrô
J 232 SOCIÉTÉS savantes. est grande. Cependant il se peut que les cas isolés de névrite multiple dagénérativo aient d
veuses ganglionnaires, la dégénérescence périphérique qui, dans les cas de longue durée de la lésion, se produit à une
chez deux enfants de la même famille. Il se'rappelle 1,1 encore un cas observé pendant la vie, et dont l'anatomie patho-
. Les altérations décrites ! pai-rjTuczokr,1. ne peuvent,, en .tout cas ? étr(; considérées z constantes,- car M. \V'it
tcr (de Dalidorf) '. M. IIICIITER fait remarquer que ses deux cents cas n'ont trait qu'à des individus infestés par l'h
ne même famille, d'un type de circon- volutions, qui, dans quelques cas , est véritablement surprenant quant aux dégénér
ectent une disposition radiaire. M. Grunewald. Communication sur un cas de trouble mental (loti- Une' courte discussion
enut jusqu'à. l'immobilité, des , globes oculaires ; z en, d'autres cas . le visage demeure,, fixe, mais les, veux.et.les.
gne d'une inclinaison de la tête qui regarde en «bas. Dans bien des cas , Je sourite prend sa source dans les hallucinat
coup d'attaques convulsives ou d'hallucinations graves. En bien des cas , il y a sous roche, dans l'espèce, une idée de
sionnel corrélatif de l'organe central ; jamais on ne voit, en tout cas , une mine éplorée chez un aliéné hanté par des
blitiquand les paupières ne battent plus, devient vague en bien des cas (stupeur, hallucination, démence). Beaucoup d'lia
niâtre, même quand elle revêt une, faible intensité, ,01, .dans ce, cas , la récidive est fréquente, à raison dunc guéri
tratumanalomique etplly- siologlrlue. Il en faut tirer que bien des cas de folies qui sévissent sur la jeunesse, emprun
ec elle (histoire naturelle pour les,agri- culteurs, etc.). En tout cas , aucun d'eux ne saurait se soustraira à l'oblig
des communications à mnrt'iirürutes ou trente minutes au maximum en cas d'agrément du président; ;- chaque orateur, à l
nstituer, ? par exciiiple, itiii traitement.sur l'acoustique; dans ce cas , la pos- u'sibililé'd'enregisLrer des fractions
exercer une certaine influence sur le mode de réaction ] ? ii tout cas , des investigations de Pelizaus, il ressort que
ndividus névropathiques. M. Wernicke prend ensuite la parole sur un cas de tabès avec symptômes encéphaliques d'une lés
escence grise. Discussion : ? ,R'. M. Westpiul croit que c'est un cas de, paralysie générale ayant commencé par des t
' , Jwl1 .n i Discussion ? , , jazz M. \\'na'l'rur, mentionne'le cas d'un'Américain qui, tout marié 'il était, lrés(
la 1),ti auoicc secumlait e est rare, car il n'eu connaît que cinq cas sur cent cinquante faits ; mais elle existe. Il
élirantes, c'est leur genèse qui est prépondérante. Comme, dans les cas de llendcl, il s'est écoulé un certain intervalle
) d'auto-accusations lypénianiaqucs, et d'idées de persécution; les cas chroniques eux-mêmes démontrent la réalité de c
nt difficile de démontrer l'enchaînement psvehopathique pour chaque cas particulier, mais l'un de ces cas est clair. Ai
nement psvehopathique pour chaque cas particulier, mais l'un de ces cas est clair. Ainsi, une femme mé- lancolique se m
n ne mettrait en usage les moyens de contrainte que pour cinq à six cas par an. Rareté des évasions et des suicides. Un
, en communication avec la conduite d'eau commune, sur laquelle, en cas d'incendie, on pour- rait adapter un tuyau d'ar
dans son service, M. Mordret n'en constate actuellement que treize cas sur quatre cent quatre-vingt-un malades. CnARpE
oubles réels si la morphine est suppri- mée. Cette thèse cite des cas de mort brusque par injection de mor- phine che
yopie, l'hémianopsie, des fourmillements, etc.. On devrait dans ces cas , au lieu de migraine opbtlialmique dire migraine
une consultation après l'examen d'un aliéné, et un rap- port sur un cas d'aliénation mentale. Il sera accordé au eau- d
ugmentation de volume des muscles a été notée dans quelques-uns des cas de maladie de Thomsen déjà publiés', tandis que
ique donne les résultats que l'on est habitué à rencontrer dans les cas de ce genre. L'excitabilité que l'on pourrait c
ents volontaires qui doivent être exécutés rapidement ; et, dans ce cas , il tend à se généraliser. Par exemple, si, dans
ses jambes se raidissent, il ne peut avancer et rarement, dans ce cas , il réussit à conserver son équilibre. Le plus so
Le début de la maladie ne peut être précisé ; il remonte en tout cas fort loin. Le malade ne se souvient pas d'avoir é
pu nous signaler dans la famille une affection analogue. Dans le cas qui vient d'être rapporté, la maladie de Thomse
orme d'épilepsie partielle, constituée uniquement dans cer- tains cas par la phase épileptoïde avec convulsionsuni- l
sans qu'il fût permis de faire entre les deux un choix décisif. Le cas de Rosa G... est venu fort opportunément résoud
u'on ne l'a jamais encore, à notre connaissance, rencontré dans les cas de tumeur cérébrale, n'avaient éveillé les dout
e, n'avaient éveillé les doutes et pro- voqué les hésitations. Le cas de Rosa G... vint jeter la lumière sur celui d'
e généralisant même ultérieurement au côté opposé. "Mais il est des cas dans lesquels la fausse épilepsie par- tielle r
s la malade en pré- sente d'autres qui constituent l'intérêt de son cas , au point de vue auquel nous nous plaçons ici.
ne s'accompagnent pas de perte de connaissance. Mais, dans quelques cas , elles sont suivies des attaques que nous avons
e de seconde main, nous n'eus- sions ajouté que peu d'importance au cas de Fore..., s'il n'acquérait un véritable intér
ale. Elle dit n'avoir éprouvé aucune maladie ; elle n'a eu, en tout cas jamais de rhumatismes articulaires, et son coeur
ordre au point de vue diagnostique, c'est que, dans bon nombre de cas , le plus souvent, si nous en jugeons par nos ob
ccès d'épilepsie vulgaire (attaques de mal comitial); 2° Quelques cas nous autorisent à penser que l'hys- térie peut,
e d'épilepsie à laquelle il a attaché son nom, un certain nombre de cas ont été publiés par divers auteurs. Per- sonnel
cérébrale infantile spasmo- dique (épilepsie partielle). Le second cas a été communiqué à la Société anatomique (séanc
- nous avoir rempli notre programme ! Qu'on nous pardonne en tout cas nos imperfections 1 ! REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
s'attachent les prolongements des cellules névrogliques. En tout cas , il existe bien réellement des espaces périvascul
ommun correspondant. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXIII. Un cas d'affection chronique DE la moelle épinière,guéri
ablement peu profonde du rendement lombaire. P. Marie. XXIV. Deux cas DE paralysie DU trijumeau ; par C.-W. Mueller.
nostic se base sur l'intégrité du cerveau et de la moelle. Bien des cas , tels que celui-ci, considérés à tort comme une
é une paralysie flasque sans rigidité ni contractures. rapproche ce cas de la para- lysiebulbaire amyotrophique de Leyd
. Roseiithal y joint l'hémorrhagie cérébrale et la syncope. Dans le cas présent, la mort parait due plutôt à celle-ci.
e plaît pas à l'auteur, parce que la névrite manque dans les autres cas nombreux de ce genre, même lorsque le processus
est un résumé d'expériences instituées chez le chien. Dans tous les cas d'extirpation des zones motrices de l'écorce du
i- gnalées ne sont pas en rapport avec la leptoméuingite. En tout cas , la méthode d'Ewer l'emporte pour la mise au poin
une paralysie faciale rhuma- tismale à forme moyenne. Dans tous ces cas , la convulsion est lente et tonique ; il en est
s de façons, une électrode double de chaque main. P. K. XLVII. Un cas d'hémianopsie hétéronyme latérale ; par GNAUCK.
hérapeutiques spécia- lement poursuivis dans l'espèce. Signalons le cas 111. Un syphili- tique atteint de dyssenterie c
gauche; la différence est de 3 Izil.; 51 dans un certain nombre de cas , les extrémités paralysées, notam- ment les jam
se, règle géné- rale, n'est ni plus grande ni moindre que celle des cas récents. P. K. L. UN cas d'atrophie FACHLH ii
ni plus grande ni moindre que celle des cas récents. P. K. L. UN cas d'atrophie FACHLH iiémilvtérale ; par E. Mendel.
us deux offraient les lésions de la sclérose. En résumé, dans les cas où l'alcool avait été employé, la sclérose miliai
la sclérose miliaire n'a pas été constatée une seule fois; dans le cas où l'alcool avait été employé, » la sclérose mi
des modes divers d'hospitalisation des aliénés; c'est ainsi que les cas les plus favorables, les plus guérissables sont c
rissables sont choisis pour être internés à l'asile, tandis que les cas défavorables (chroni- ques) sont dirigés sur le
ou ce qui revient à peu près au même, l'admission dans cet asile de cas chroniques, antérieurement traités soitauKWorkh
ue le mariage produira une amélioration dans un cer- tain nombre de cas d'hystérie, et qu'il peut se justifier, dans un
s d'hystérie, et qu'il peut se justifier, dans un certain nombre de cas , chez des sujets ayant présenté les signes de l
la condition toutefois qu'un seul des conjoints se trouvât dans ce cas , l'autre présentant une bonne santé physique et
tal Science, janvier 1883, p. 544.) L'auteur constate que, dans les cas qu'il a observés, la lésion crânienne lui a par
e la paralysie générale. 11 est probable que dans la ma- jorité des cas de ce genre, la maladie est due au concours de
e il parait avoir agi comme cause déter- minante; dans un troisième cas , il aurait agi encore comme cause déterminante;
ade imposent une réserve toute particulière; eidin, dans un dernier cas , on avait assigné comme cause à la paralysie géné
e; elles sont placées dans des salles sépa- rées. M. Savage avuun cas dans lequel des troubles nerveux ont fait leur
de la disparition deséléments nerveux qui existaient auparavant. Le cas dont il s'agit appar- tient à la seconde catégo
ateurs, que les lésions que l'on rencontre habituellement en pareil cas sont les suivantes : épaississement du crâne, opa
à leur tour. R. M. C. XLI. Atrophie ET sclérose DU cervelet dans UN cas d'imbécillité épileptique; par Herbert-C. Major
piques semblables, mais moins avancées, correspondre, comme dans le cas actuel, à l'atrophie et à la sclérose d'un hémi
dustrielles et desamusements; 6° il présente de temps en temps des cas où il est impérieusement nécessaire d'avoir recou
s n'étant jamais exempt de danger; 7° dans le plus grand nombre des cas de ce genre l'isolement doit être préféré au « re
eil mécanique dans un but de contention ne se justifie que dans les cas chirurgicaux, pour empêcher le malade de défaire
pour empêcher le malade de défaire des pansements, ou bien dans les cas imprévus, et en attendant que l'on puisse se pr
I. État subjectif éprouvé et décrit par le sujet lui-même, dans les cas où il a conservé, d'une façon plus ou moins nette
; nulle description théorique n'est capable de s'appliquer tous les cas . L'auteur rap- pelle ici que MM. Charcot et Ric
lés, que l'on pourra découvrir la simulation si fréquente en pareil cas , et si facile à pratiquer dans l'ordre subjecti
le provoque la rigidité muscu- laire. Dans le plus grand nombre des cas , l'auteur a trouvé les réflexes tendineux ident
ues à ceux que l'on constatait dans l'état de veille; dans quelques cas , ils étaient exagérés. Réaction galvanique. L'a
sciente soit le seul phénomène mental qui subsiste; le sujet, en ce cas , copie minu- tieusement tout ce qui est dit, ou
rit, dans leur état d'hypnose. Mais, somme toute, sur deux cent dix cas comprenant cent quarante-huit observations à dose
e ces pluralités pathologiques sont loin d'être rares; mais, par un cas , celui qui s'offre tout d'abord à l'esprit comm
n cas, celui qui s'offre tout d'abord à l'esprit comme réalisant le cas le plus vulgaire, consiste dans la produc- tion
tituée par 'une lésion systématique de certains tractus et, en tout cas , par une dégéné- rescence primitive prenantson
ieurs préparations ainsi obtenues. M. KoHTs (de Strasbourg). Sur un cas de myosite ossifiante pro- gressive, avec prése
es sur la structure de l'encéphale. M. IIITZIG (de Halle). Sur un cas de déchet hémilatéral du cervelet. Ne voulant p
iles à engendrer, aussi réguliers que le prétend Munk; s'il est des cas qui témoignent de la réalité de ces assertions,
? Il y aura lieu de s'occuper de cette question plus tard. En tout cas , M. Hitzig refuse pareille interprétation pour le
s tels que la céphalalgie et des vertiges (prodromes), l'aphasie (2 cas ), l'hémianopsie droite (I cas), des troubles de
es vertiges (prodromes), l'aphasie (2 cas), l'hémianopsie droite (I cas ), des troubles de la motilité dans la langue (2
opsie droite (I cas), des troubles de la motilité dans la langue (2 cas ), des paresthésies droites (2 cas), des hémiplagi
de la motilité dans la langue (2 cas), des paresthésies droites (2 cas ), des hémiplagies associées (deux cas, dont un
, des paresthésies droites (2 cas), des hémiplagies associées (deux cas , dont un à droite), des convulsions dans les mu
oite), des convulsions dans les muscles de la face du côté droit (1 cas ). Le premier malade succombait quelques mois ap
. L'autopsie pratiquée chez deux des morts décela : dans un premier cas , un allléi-ôme très prononcé et très étendu de
ologique capable d'expliquer les troubles passagers; dans un second cas , une inflammation chronique des méninges molles
ostique etpronostiqueserattache à ce fait, qu'elle a, dans tous les cas observés, été le symptôme initial d'affections
t de nature inflammatoire, d'après ce qui vient d'être dit. Dans un cas SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 mortel, et chez un mal
te particulière de paraparésie observée jusqu'ici par lui dans sept cas . En l'absence de prédispositon héréditaire, en l'
, ni ataxie, ni atrophie musculaire, ni contracture*. Dans quelques cas , les réflexes tendineux étaient exagérés au déb
ulaires éloignés. Hyperexcitabilité mécanique des muscles dans cinq cas ; un fait témoigne de la sensibilité des fibres
d'une manière générale, l'excitabilité électrique est diminuée. Un cas offrait la forme moyenne de réac- tion dégénéra
ique grave parle même procédé. Il en expose la technique en pareils cas , ainsi que le traitement combiné à l'aide de l'
i suivaient l'administration de ces médicaments. De nombreux autres cas ont été observés grosso nzodo. La dose moyenne
ejeter. La paral- dehyde mérite d'être vulgarisée, surtout dans les cas où le clilora demeure inactif. Discussion :
gistré de résultats chez les maniaques, il a mieux réussi, dans les cas de délire, quand on associait, sous forme de la
ène du genou. Pronostic favorable. C'est, selon M. Uhtboff, le seul cas d'ophthalmoplégie externe diphthéritique qu'il
halmoplégie externe diphthéritique qu'il importe de rap- procher du cas de Knapp (Arch. f. AMe ? ! /te : Mnde, 1879), con
arquée des nerfs oculo-moteurs externes, et pathétiques et, dans un cas , l'atrophie jaune des muscles oculaires. Dans u
res, de là les diverses sensations et les différents actes. En tout cas , la sensibilité est la source de toutes les fac
t, la mélancolie avec stupeur ou la stupeur pure est créée. En tout cas , dans l'espèce, les trois stades se développent
ent psychique, parKra1- pelm, 95; - (rapport médico- légal sur un cas de primitif), par Fritsch. 97. Albuminurie tr
Cervelet (lacunes du) 370 ; (atro- phie et sclérose du - dans un cas d'imbécillité épileptique), 3ïs ; 'lésion hém
ues, 349. Mélancolique homicide, 237. Mélancolie anxieuse (sur un cas de), par Séglas, 57; (avec stupeur et catalep
exis- tant depuis trois ans (état ana- tomo-pathologique dans un cas de), par Schuitze, 84. Paralysie pseudo-hyper
u dans la), par Mickie, 209 ; (chez la femme, par Cowan, 211 ; - ( cas ressemblant à la), par Masiey, 213; (cas simu
mme, par Cowan, 211 ; - (cas ressemblant à la), par Masiey, 213; ( cas simulant la), par Savage, 214 ; (anatomie patho
96 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
raverser, ou très difficilement; le verre, les os sont dans le même cas . Des nombreuses expériences que nous avons faites
tographique recouverte de l'objet que l'on veut reproduire. Dans ce cas il faut opérer obligatoirement dans une pièce abs
n pas que les résultais obtenus ne soient dans un certain nombre de cas déjà très importants,mais on n'aura en général
et susceptibles de contenir des corps étrangers constitués, dans le cas présent, par des grains de plombs. Les planches
à vous dire qu'il n'est pas sans offrir des difficultés. C'est que le cas de cette malade s'écarte, en certains points, d
ndisposition qu'un panaris. Circonstance importante à noter dans le cas présent, ce panaris a été douloureux et a évolué
à un ensemble symptomatique qui donne à l'expression clini-. que du cas de notre' malade un aspect particulier. Mais il m
e que je viens de la définir, est un signe de grande valeur dans un cas de syringomyélie présumée. Or, ce signe fait défa
lles il convient de citer l'anesthésie. A mon avis, ce n'est pas le cas chez notre malade ; t'anesthésie, chez elle, ne s
YÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 11 trairement à ce qui a lieu dans les cas d'anesthésie organique. De plus l'a- nesthésie
rien qu'en tenant compte des éléments cliniques et étiologiques du cas et des caractè- res de l'anesthésie. Il ne no
chez cette femme la forme d'anesthésie qui est habituelle dans les cas de syringo- myélie, je veux parler de l'anesthé
de syringomyélie ; j'y pour- rais ajouter une quatorzième, dont le cas de notre malade est un exemple. Je viens de vou
qui ont soutenu le contraire ont commis une erreur. Sans parler des cas où la syringomyélie était associée à l'hystérie
peine. Or, dès 1889, Miura (1) etRumpl' (2) ont fait connaître des cas de syringomyélie où l'anesthésie intéressait le
t Achard (4), (1890 et 1891). A la même époque, Hoth (5) relevait 8 cas de syringomyélie dont 11 avec aneslhésie tactil
Souques), il en est qui méritent une mention spé- ciale. Ainsi le cas publié par Asmus (7) où on avait porté le diagnos
in., 1891, t. 47, fasc. 5 et ti, p. 603. (4) JoiFioy et Aciiaud, Un cas de maladie de llorvan avec autopsie. Archives de
nce le tableau du tabes dorsalis. Plus récemment, il a mentionné un cas de syringomyélie dans lequel les cordons postér
e, on leur re- trouvait un aspect normal. Schuppel avait vu dans ce cas un exemple de (1) 1101EN, Bidrag till Kaennedom
e totale comme une manifestation exceptionnelle, insolite, dans les cas de syringomyélie. Il me reste maintenant à vous e
ns blancs, en arrière, sur les côtés et en avant. Eh bien ! dans le cas actuel, chez la femme qui est devant vous, on p
dons postérieurs par le processus cavitaire. Ainsi, dans le premier cas relaté par MM. Joffroy et Achard, on a trouvé à
postérieur droit était sclérosé et en partie désorganisé. Dans le cas d'IIomen, les cordons postérieurs étaient envahis
a masse centrale. SYRINGOMYÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 15 Dans un cas d'Oppenheim dont je vous parlais tout il l'heure,
ne dégénérescence descendante. Enfin vous vous rappelez que dans le cas de Schuppel, la substance grise centrale et les
sie, c'est-à-dire l'abolition de la sensibilité tactile. Toutefois le cas d'As- mus est là pour nous suggérer certaines r
plorer l'inac- tion à laquelle elle nous condamne, en présence d'un cas de syringomyélie parvenue à la période cavitair
nt. L'examen histologique détaillé sera publié ultérieurement. UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AVEC CONSERVATION DES RÉFLEX
.> LA SALPETRIIRI T IX PL. ni L. HATTAILLE ET C" EW TLURS UN CAS DE TABES SUPERIEUR UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AV
. ni L. HATTAILLE ET C" EW TLURS UN CAS DE TABES SUPERIEUR UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AVEC CONSERVATION DES RÉFLEXES
urs à type fulgurant existeraient dans la ré- gion occipitale. UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AVEC CONSERVATION DES RÉFLEXES
sommes privés de renseignements. Or, il y a quelques années on a UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AVEC CONSERVATION DES RÉFLEXES
mé- ninges. Elle n'a pas eu les maux de tête si spéciaux en pareil cas . Ellen'a jamais présenté de troubles gastriques
ation sont absolument différents de ce que l'on rencontre en pareil cas . Nous allons voir que l'hypothèse d'une syphili
e une pareille étrangeté dans la répartition des lésions. En pareil cas et par suite de sa prédilection pour l'espace int
ois des flocons ou une véritable « pous- sière vitréenne ». Dans le cas de compression ou d'irritation du nerf op- tiqu
(2) la syphilis ne saurait être invoquée seule que dans 25 0/0 des cas environ. Ailleurs, il a été impossible de la re
note 5). (2) Compte rendu dans la Semaine médicale, 1895. z UN CAS DE TABES SUPÉRIEUR AVEC CONSERVATION DES RÉFLEXES
abord très gênants ont eux-mêmes .diminué. En somme, il s'agit d'un cas relativement heu- reux puisque l'amaurose n'est
u- cun espoir ne luie » pour le malade on doit considérer un pareil cas comme relativement bénin. Ce qui fait enfin le
stic chaude-pisse sans jamais s'être trompé une seule fois dans les cas semblables, peu nombreux il est vrai, qu'il lui
ns le même. Une essentielle incommodité pourrait avoir lieu dans le cas où le corps vibrant se mouvrait diamétralement
t le point d'ap- plication de la force du centre à l'autre, dans ce cas , la plume du tam- bour ne serait pas en état de
l'art. Nouv. Icon. de la Salpêtrière. N° 6. 189. - Henry MEME, Deux cas d'Hermaphrodisme antique. Nouv. Icon. de la Sal
-il de cranioclaste dans les accouchements laborieux. Dans tous les cas il n'a aucun rapport avec l'instrument employé de
re de la région cervico-dorsale. Symphyse duro-médullaire. (1) Ce cas a été l'objet d'une communication faite par M. He
dans l'extrême rapidité du processus. Sottas, Lamy ont observé des cas de syphilis médullaire rapidement mortelle (3 j
esquels ils n'ont pas noté de dégénérescence secondaire. Dans notre cas , la dégénérescence des faisceaux blancs est lim
, la littérature médicale ne possède, en revanche, que sept ou huit cas de tumeurs gommeuses massives du névraxe rachidie
egardées comme fonctions de la syphilis et se retrouvent dans notre cas . A ces faits matériels s'ajoutent des raisons d
grise. Un autre fait anatomique nous reste à signaler dans notre cas : c'est la participation simultanée au processu
sociation syringomyélique constatée si nettement, et classait notre cas dans le groupe des hématomyélies sylingomyéliques
d'Owen Rees, de Charcot et Gombault, d'IIertel ; dans aucun de ces cas il ne s'agissait de gommes ; la lésion relevait
Nous n'insisterons ici que sur les particularités qui font de notre cas un exemple rare de trouble nerveux : c'est-à-di
la dissociation des sensibilités, telle qu'on la rencontre dans les cas de gliomatose médullaire ? LA SYPHILIS HÉRÉDITA
ccuper actuellement ». Et celte opinion s'appliquait aussi bien aux cas de syphilis héréditaire congénitale ou précoce,
bien aux cas de syphilis héréditaire congénitale ou précoce, qu'aux cas tardifs que M. Fournier envisageait plus partic
eux commençaient à être satisfaisantes, on continuait à compter les cas où le cerveau et la moelle avaient été hérédita
s cliniques d'une syphilis congénitale de la moelle épinière. Les cas précoces sont ceux où la détermination médullaire
emps après la naissance, c'est-à-dire pendant l'enfance. Pour les cas tardifs il n'est pas besoin d'interprétation. (
erme, affectés de syphilis héréditaire de la moelle épinière. Les cas de cette catégorie qui ont été publiés sont peu n
t ces lésions à celles décrites par Charcot et Gombault (1) dans un cas de syphilis acquise des centres nerveux. Dans l
(1) dans un cas de syphilis acquise des centres nerveux. Dans leur cas , le processus était nettement d'origine vasculair
A. Jarisch (2) a étudié l'anatomie pathologique de la moelle dans 7 cas de syphilis, dont 4 se rapportant à des enfants
firmation d'une opinion qu'il avait soutenue antérieurement(3). Les cas de Jûrgens (4) sont plus intéressants. Le premi
e spinales, surtout dé- (1) CHARCOT et A. 'GO.)113AULT. Note sur un cas de lésions disséminées des centres ner- veux ob
a moelle. Di- verses lésions syphilitiques des autres organes. 2e cas . Enfant né le 8 mars 1885, mort le 12 mai ; ictèr
drites syphilitiques des vertèbres, des tibias et des fémurs. Le 3e cas rapporté par Jûrgens, de tous le plus intéressant
syphilis héréditaire précoce. En résumé, il s'agit, dans les deux cas précédents, de méningo-myélite avec altérations
itale de la moelle appartien- nent à Gangitano ('1 ) qui a publié 4 cas de syphilis médullaire. Les trois derniers se r
és. Il y lit quelque chose d'analogue à ce que l'ou trouve dans les cas d'anencé- phalie où, à la place de la substance
». , L'auteur conclut qu'il y a un rapport constant,dans ses trois cas ,entre les altérations vasculaires, la dégénéres
sions auxquelles est arrivé Gangitano et considérant, en outre, les cas qui ont été publiés en dehors de cet auteur,nou
o- spinal) de l'enfant, avant sanaissance. L'accouchement, dans ces cas , a sou- vent lieu avant terme ; l'enfant est mo
io-de- Janeiro) n'avait rapproché du fait de Dickinson une série de cas pour la plupartcongénitaux, qu'il attribue à la
agit d'une fillette de 3 ans, idiote et épilep- tique. Dans ces 3 cas , il survint une légère amélioration sous l'influe
a base avec titubation cérébelleuse. Rien n'autorise, dans tous les cas , à porter le diagnostic de sclérose en plaques.
aient des crises qui rappelaient celles de l'épilepsie. Dans le 1er cas , le traitement mixte sembla donner quelques rés
vent être attribués à la sclérose en plaques. Cliniquement , ces cas doivent être rapprochés de quelques-uns de ceux
s. Anatomiquement, on pourrait aussi peut-être les rapprocher du 3e cas de Jürgens que nous avons réservé (loc. cit.),
vol. I, 1868. Dans ce mémoire (note de la p. I), H. Jackson note un cas de paraplégie, probable- ment congénitale, chez
l'aurait aisément sentie par les palpations : comme on ne la (1) Ce cas a été présenté en mon nom à l'Académie des Scienc
bre exact du projectile qu'il a reçu. Il est bien probable, en tout cas , qu'on n'eût pas songé, ayant trouvé un corps é
Après ces exemples choisis entre plusieurs autres, j'arrive à deux cas tout différents qui ont trait à l'étude des lés
. Quoi qu'il en soit, ce fait prouve une fois de plus que, dans les cas où le déplacement peut se faire suivant plusieu
Suite et fin) CI). Nous venons de montrer que, dans la majorité des cas , les symptômes cérébraux étaient prédominants p
forme de para- plégie spasmodique. Qu'on y joigne, comme dans les cas précédents,des troubles fréquents de l'intellig
r- z dons latéraux restant purement hypothétique. Mais il est des cas , avons-nous dit, où les symptômes d'une affection
des membres et du tronc succède, ainsi qu'il est de règle en pareil cas , une rigidité spasmodique qui va en s'allé- nua
ons anléro-latéraux delà moelle. Th. Paris, 1889. (3), Breton. Un cas de maladie de Little. Gaz. des hôpitaux, 89,p. 14
lis acquise des adultes. Nous pensons donc, en nous appuyant sur ce cas très isolé à la vérité, que l'hérédo-syphilis p
ndrait encore, mieux que toute discussion, à le démontrer, c'est le cas suivant dans lequel on voit l'hérédo-syphilis s'e
spiuale; peut-être existait-il un peu de genu valgum, dans tous les cas il ne persiste pas de déformations osseuses. Le
rganes thoraciques et abdominaux paraissent sains. ` ? ° catégorie. Cas dans lesquels la syphilis héréditaire affecte la
premiers mois ou les pre- naières années qui suivent la naissance.- Cas précoces de syphilis héréditaire de la moelle.
plus et rend difficiles les groupements nosographiqiies. Dans les cas congénitaux,en effet, semble,avons-nous dit,que l
e un simple exposé des observations, nous réservant de comparer les cas entre eux et surtout de LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE
côtés car les deux bras étaient paralysés ». Nous rapprocherons du cas de Bartlett celui que M. Barbe (3) a rapporté à
linical Society of London, que nous avons consulté, est muet sur ce cas que nous ne connaissons que par le compte rendu c
'origine syphilitique décrite par Parrot et Dreyfous (1). Dans le cas de Money (2), il s'agit d'une fillette de 3 ans 1
toute l'étendue de la moelle. Il est permis de penser que, dans ce cas , l'altération de la moelle était consécutive au
elles-mêmes, sous la dépendance d'une lésion vasculaire. Les deux cas de Kohls (3) sont de môme ordre. Ils ont trait à
artère basilaire dans une étendue de 13 millimètres pour le premier cas , et lésions des artères de la base et des verté
a substance blanche, les cordons pos- térieurs en particulier. Le cas queBoettiger (1) a présenté à la Société psychiat
ntrôle anatomique, il n'est pas douteux cependant que,dans tous ces cas , la moelle n'ait été prise et d'une façon prédo
était, nous l'avons dit, congé- . ni taie. Il la rapproche aussi du cas de Mendel que nous analyserons plus loin. Pou
i- nion et nous rangerions très volontiers son observation dans les cas de méningo-myélite syphilitique du type Charcot
dique acquise des adultes, semble trouver une confirmation dans les cas étudiés par Friedmann (2). Toutefois les observat
gulières qu'il s'efforce d'ailleurs de faire ressortir. Parmi ses cas , deux nous intéressent particulièrement (obs. I e
tion défectueuse du crâne et douleurs de tôle. Pour Friedmann ces 2 cas , nous l'avons dit, se rapprochent du type de pa
directe chez les enfants ; il y a lieu de penser que, dans les deux cas , les lésions siègent dans la moelle et sont de mê
un exemple. ' , L'absence de phénomènes cérébraux dans ces derniers cas , qui à la vé- rité ne sont pas communs, ou du m
nlmlblatt, 1893, p. 656. (2) Charcot et A. GOII1AUL'l'. Note sur un cas de lésions disséminées' des centres nerveux obs
La paralysie spasmodique est rèstée statiounaire.' . 3e catégorie. - Cas dans lesquels la syphilis héréditaire affecte la
dans Page mûr. Syphilis médullaire héré- ditaire tardive. 1 , Les cas de cet ordre sont peu nombreux, du moins le nombr
cales. Quitte l'hôpital très amélioré. Les auteurs pensent que ce cas doit être rapporté à la syphilis hérédi- taire
l3artels (2.) et qui fut suivie d'autopsie. , 1 Nous résumons ce cas intéressant à plus d'un titre. Femme de 22 ans,
ité du processus qui devait être sensiblement de même ordre dans le cas de J. Hutchinson et.de IL Jackson, et peut-être
dans le cas de J. Hutchinson et.de IL Jackson, et peut-être dans le cas de Zambaco. Nous pensons aussi qu'il s'agissait
naire jusqu'en juillet 1891. (1) Gilles de la TOURETTC. Note sur un cas de syphilis héréditaire tardive bulbo- médullai
ne présentent aucune anomalie de développement. Evidemment, dans le cas de Marius R..., la syphilis n'a pas été exclusi-
calisation bulbaire de l'affection suffit à les expliquer. Dans ce cas , comme clans le précédent, la syphilis héréditair
ut-être dans le bulbe. De plus la paralysie était flasque. Les deux cas inédits qui vont suivre sont intéressants à des d
p plus susceptibles de guérison, soit par les moyens opératoires en cas de traumatisme,soit par la médication interne,
apparition à 19 ans. Cette particularité n'est pas spéciale à notre cas , on la retrouve et c'est là son grand intérêt,
ffection avait débuté à 18 ans, à 20 ans, à 31 ans. Dans ce dernier cas il existait des troubles trophiques osseux, une
t lieu avant terme; l'enfant est mort-né ou il nait vivant. Dans le cas où il est mort-né, ou s'il a succombé rapidement,
uve dans le cerveau où elle est très accentuée dans la majorité des cas ; elle peut cependant se lo- caliser presque ex
es cérébraux concomitants. Il est rare toutefois que, même dans ces cas , le cerveau n'ait pas été touché par le process
ation peut siéger uniquement sur la moelle lombo-sacrée. Dans ces cas de syphilis précoce ou tardive les types clinique
méthode photographique de Roentgen nous "rendait possible, dans ce cas , une véritable biopsie, une constatation directe
iégeant au niveau d'une articulation : a) Ballance articulaire : un cas de Lûcke, chez un homme de 54 ans qui conserva,
articulation phalango-phalanginienne. b) Ankylose articulaire : un cas de Koch, relatif à une femme de 24 ans chez qui
eau de l'ar- ticle : l'angle était dû à la flexion du doigt dans un cas de Taylor, il était dû à son hyperextension, da
gt dans un cas de Taylor, il était dû à son hyperextension, dans mi cas de Koch ; dans un cas de Bulkley, il y avait di
or, il était dû à son hyperextension, dans mi cas de Koch ; dans un cas de Bulkley, il y avait distorsion du pouce, qui
moins accentué. a) Tantôt elles sont hypertrophiques, comme dans un cas de Beauregard, où l'ostéite listuleuse avait si
nai- rement consécutives à l'élimination d'une gomme, comme dans un cas de Lewin et qui peuvent aller jusqu'à produire
ment. Ce raccourcissement peut porter sur une phalange : dans un cas de Bergh, la première phalange du médius droit,
lorgnette dans les chairs métacarpiennes : il en était ainsi dans le cas de Riehl, où l'atrophie du premier métacarpien
pte à produire un effet grotes- que et risible. , Dans le premier cas , il n'est pas rare que l'artiste atténue la diffo
en ligne de compte l'extrême variété des formes pathologiques. Les cas types, exactement superposables à ceux que décri-
plus d'une circonstance, un sérieux embarras pour faire rentrer un cas clinique, observé à loisir et avec toutes les r
ir à un adulte de belle pres- tance, disposition fréquente dans les cas de nanisme. Il ne paraît pas douteux que le rac
13c ? s, Phtall, par exemple. Il y avait,en outre, dans certains cas , une nécessité pour les artistes de rester conf
la tête seule était un portrait fidèle. « C'était seulement dans le cas d'une difformité trop forte qu'on se départait de
de chirurgie, 189G. (2) Séance du 13 avril 1894. - Voy. Souques. Un cas de Myopathie progressive primi- tive avec altit
urations de Bossus dans l'art ne se rapportent pas uniquement à des cas de mal de Pott. Eu égard à leur nombre relative
rales névropailtiqites (1). La syringomyélie lui a fourni plusieurs cas . La maladie de Friedreich, la paralysie infanti
traitement (1). Depuis lors, je l'ai expérimenté.largement dans des cas variés (2). Le résultat a été en somme peu favo
es bromures ; cette catégorie comprend 19,67 0/0'de la totalité des cas ; 3° enfin une troisième catégo- rie d'améliorat
spérer une suspension complète. Elle ne com- prend que 9,01 0/0 des cas observés. La plupart des malades de la dernière
a Revue de médecine avec une suspen- (t) Ch. FÉHÉ et II. Lnmr, Deux cas d'éruption eczémateuse provoquée par le borax (
I, et se résument dans le traitement et le nombre des paroxysmes. Cas . I. B..., entré le 10 janvier 1887. Depuis le m
lement en raison de sa na- ture mais aussi de sa forme. Dans deux cas , j'ai observé en même temps que l'oedème une érup
quinine, de l'iode, ou dans l'alcoolisme. uns. IV. Dans le premier cas , il s'agissait d'une jeune fille épileptique de
depuis sous la même influence.) Les caractères communs de ces deux cas de purpura borique, sont la coïncidence avec l'
envoyer la malade à Paris, pour que la Faculté se prononçât sur son cas mystérieux. Mais, à cette nouvelle, Geneviève t
afin d'y recueillir toutes les preuves nécessaires pour soumettre le cas au jugement sans appel de la Faculté de Paris.
oignait hautement de sa compétence en la matière. Les maladies, les cas inédits et curieux l'intéressaient vivement. Il e
es faits de ce genre, elle permet de faire une élude édifiante d'un cas d'hystérie où les manifesta- tions de la névros
ne sont attaquées par aucun acide. Enfin l'on n'y trouve, en aucun cas , la trace des concrétions calcaires qui recouvr
ile avec les affections pul- - monaires ou] gastriques. - Dans le cas de Geneviève Martin, l'hésitation n'est pas possi
ant pas inattendu ni inexplicable. Il s'observe en général dans les cas où la névrose porte une de ses ma- 248 NOUVELLE
r son odeur et sa couleur (Marcellus Donatus, cité par Nysten). Les cas de Vallisneri, de Marangoni, de Mareschal, de Nys
ents, phénomène primitif, il n'est pas moins réel que dans certains cas , plus rares à la vérité, l'ischurie est primitive
non seulement les matières vomies pouvaient être assimilées dans ce cas à des urines supplémentaires, mais que dans les u
éri- ques, si cetle hémorrhagie n'était d'une excessive rareté. Les cas de Ma- rius Carré et de Bouloumié ont cependant
me, plus rare il est vrai que l'oedème unilatéral ou localisé. Le cas de la Fille de St-Géosmes vient s'ajouter à ces e
simplement de la manie, ou du dessein prémédité dans ces sortes de cas , c'est aux médecins à tirer le voile mystérieux q
en imposer ». Il nous paraît impossible de juger plus sainement le cas de la Fille de St-Géosmes et de faire plus larg
déjà révélés en plusieurs occasions, surtout dans une étude sur un cas d'ostéomalacie célèbre (1), celui de la femme S
son étude plusieurs observations ana- logues. · , Dans plusieurs cas , il ne s'agit que de corps étrangers introduits d
chirurgicale. ' . D'autres faits se rapprochent plus directement du cas de Geneviève Martin. La Fille de Crémone est
sez large, qui doit appartenir à la supercherie. Dans ces sortes de cas , « il n'est souvent que trop aisé, comme le dit
à Marseille, il a été étudié surtout aupointdevueétioiogique, comme cas d'hérédo-sypiulis. C'est là certes un côté inté
nt de vue me paraît secondaire, parce qu'il reste obscur, et que ce cas n'apporte aucun document nouveau pour l'éclairer.
ui correspond au tabes dorsal spasmodique ; de même on a décrit des cas tératologiques congénitaux correspondant au tabès
décrit des cas tératologiques congénitaux correspondant au tabès, des cas de tabes en quelque sorte congénitaux. Dans cet
om de sclérodermie atrophique généralisée. Etudions maintenant le cas . Voyez la face (I'1. XXXVIII) ; la peau est app
z réagi pour la maladie de Litlle, Fournier lui-même range plutôt ces cas ; dans la parnsypllilis,'c'est-à,-dire dans les
me ailleurs, *- la dégénérescence est une résultante, niais dans le cas présent les facteurs .'habituels : syphilis,' i
ns la période de début. Quand ces paralysies mêlent, comme c'est le cas chez notre malade, les caractères suivants (1)
pas de ce qu'on les néglige trop. M. le professeur Fournier sur 224 cas de tabès relève 1 paralysie des mus- cles exten
t M. Raymond, « a ce que chacune des opinions con- vient à certains cas ». M. Marie (2) fait justement remarquer que l'in
se endartéritique. Nous ferons observer dès maintenant que, dans le cas de cet auteur, la paralysie était en quelque so
hénomènes atrophiques ne peuvenl 1 être bien constatés que dans les cas où la paralysie aura une certaine durée (1).
ement congénital, et que nous ne sommes pas en présence d'un de ces cas tout particulièrement étudiés par Mal Raymond e
s été surpris de ne trouver ces mêmes mou- vements que dans un seul cas . Il nous semble donc qu'ils ne comptent que pou
nheim, cité par M. le professeur Raymond, relate l'observation d'un cas de tabès où existaient des mouvements incessants
onné issue à du liquide séro-sanguinolent. A l'étranger, dans les cas d'Oppenheim et de Siemerling (3), de Wolf (4),
somme, il est de toute nécessité aujourd'hui de décrire, à côté des cas où le liquide est sénelii lé plus sôüi én(, purul
ir (3) font allusion. ',« Quant aux hémarthroses nencnses, dans les cas ravjportés, J'épallc)1.mei1l. n'est pas très abon
après rupture de la synoviale (Debove, Ho l'1er, Lépiuc) ? Dans les cas que nous avons en vue, il ne s'agit pas toujour
ervations que je veux publier ici après avoir rapporté les quelques cas de syphilis hérédi- tairede la moelle dont nous
avons retrouvé celte congestion en effet dans un certain nombre de cas où des lésions quoique très discrètes d'infiltr
tion de notre maître M. Ribe- tnont-Dessaignes un certain nombre de cas où l'hémorrhagie due à l'hérédo- syphilis siége
monl) qui signale l'hémorrhagie dans le canal médul- laire, dans un cas de syphilis congénitale. Analysons maintenant,
arent ces lésions à celles décrites par Charcot et Gombault dans un cas de syphilis acquise des centres nerveux. Dans l
ault dans un cas de syphilis acquise des centres nerveux. Dans leur cas le processus était nettement d'origine vasculaire
vant des vertèbres supérieures et comprimant la moelle. » Dans le cas de Money (1) il s'agit d'une fillette de 3 ans 1/
ique dont trois ont trait à la syphilis héréditaire. « Le premier cas concerne un enfant mort-né, long de 65 centimètre
LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE v 283 Le deuxième cas concerne un enfant né le 8 mars 1885 et mort le
ipalement dans la partie postérieure de la moelle. » Le troisième cas est encore plus intéressant. « Enfant de deux a
masses néoformées est assez bien conservé et presque sain. Les deux cas de Kohts (1) sont bien différents. Ils ont trait
pro- toplasma homogène peu différentiable. » , Enfin le troisième cas concerne un enfant de 8 à 10 jours dont la mère
it syphilitique. Il est intéressant en ce sens qu'il se rapproche des cas de spina-bifida dont un certain nombre, on le s
ce cartilagineuse. Voici comment railleur résume lui-même ces trois cas : le 1er, épaissis- sement des méninges, cndart
ents conjonctifs et les amas nucléaires décrits par Heubner dans le cas de syphilis cérébro-spinale. Jamais je n'ai décou
re le siège maximum des lésions, j'ai, dans le plus grand nombre de cas , laissé la moelle et ses enveloppes dans le can
ond quelquefois avec les méninges voisines, c'est ainsi que dans un cas les trois méninges ne forment qu'une masse uniq
l'oeil nu. C'est la gomme méningée, nous l'avons trouvée dans deux cas . Elle conserve la même disposition en croissant
onnaire que nous avons décrit plus haut permettent de rattacher ces cas , en apparence si différents, aux cas les plus n
ut permettent de rattacher ces cas, en apparence si différents, aux cas les plus nombreux que nous considérons comme de r
s antérieures sur une coupe transversale isolée mais aussi, dans le cas où la lésion est limitée, les faces supérieure et
rtains points s'amassent en nodules mi- croscopiques. Dans d'autres cas c'est des vaisseaux mêmes des racines, vaisseau
ue le reste du fascicule' est peu ou pas infiltré. Mais si dans ces cas les libres nerveuses restent indemnes il est cert
il est certain que la lésion peut être poussée plus loin ; dans le cas de notre numéro XVII la tumeur a refoulé en ava
rement des lésions considérables, nous n'avons trouvé que dans deux cas des désorganisations manifestes, indis- cutable
anisations manifestes, indis- cutables du tissu nerveux. A part ces cas sur lesquels nous reviendrons avec quelques dét
sions, nous nous contenterons ici de les résumer rapidement. Dans un cas il s'agit d'une lésion relativement limitée, pu
sion ou dégénérescence primitive. Car il faut remarquer que dans ce cas les artères sont absolument transformées, mécon
t peine perméables. Les lésions sont beaucoup plus étendues dans le cas IX, aussi bien par leur profondeur excessive, p
voulu interpréter a part, comme exemples de lésions spécifiques les cas où le phénomène prédominant était la congestion i
orsqu'elles étaient très congestionnées. En résumé, à part de rares cas de dégénérescence nécrobiotique, nous avons tou
tout récem- ment, et elle contribue à diminuer encore le nombre des cas où les foetus syphilitiques sont soi-disant mor
persés sur toute la circonférence, loin d'être libre comme dans les cas normaux, se confond peu à peu à la périphérie-a
non bourrée de cellules rondes comme nous le verrons dans d'autres cas . Queue DE C11EVAL.-La coupe perpendiculaire des
fût d'un bavardage, parfois la propre femme du barbier, et, dans ce cas , faisant souvent l'office d'une aide et prépara
de tradition chez les charlatans popu- laires ; elle mérite en tout cas d'être rapprochée de celles que nous ont fait con
gues des hôpitaux, M. J. Comby, je suis à même de vous présenter un cas de paralysie arsenicale. Il y a longtemps que j
lynévrite alcoolique, je désirais si vivement avoir sous la main un cas de paralysie arsenicale. Si l'occasion s'est lo
az, M. Buller, ce con- frère a observé pour sa part, soixante-douze cas de paralysie arsenicale ! Je suis convaincu aus
! Je suis convaincu aussi, que bien souvent il a dû arriver que des cas de paralysie arsenicale n'ont pas été attribués
par cet enfant ne saurait faire l'objet d'un doute. C'est bien d'un cas de paralysie arsenicale qu'il s'agit en la circ
as de paralysie arsenicale qu'il s'agit en la circonstance, et d'un cas de paralysie consécutive à un empoi- sonnement
intérêt, au point de vue du pronostic, se ron- dre compte, dans un cas donné de paralysie arsenicale, de la nature myéli
olynévritique des accidents. Pour ce qui concerne en particulier le cas delà jeune malade placée devant vous, M. Comby, d
nal of nervous and mental disease, 188G, nos 9 et 10. (2) Comby, Un cas de paralysie arsenicale chez une fillette de sept
s arsenicales sont nécessairement d'origine centrale, qu'il est des cas où la participation de la moelle est évidente et
empoisonnement subaigu, d'origine médicamenteuse, comme c'était le cas chez la jeune malade que je viens de vous prése
s concevez déjà que le diagnostic étiologique, facile dans certains cas , pourra, dans quelques-unes des circonstances que
Je vais tâcher de vous armer au mieux afin de vous mettre à même, le cas échéant, de vous tirera votre honneur d'une sem
urée de ces manifestations de gastro-entérite est variable. Dans le cas de l'absorption d'une dose unique de poison, elle
La paralysie et l'atrophie qui l'accompagne sont curables ; dans les cas heureux, la paralysie commence à se dissiper ci
lièrement bien décrit les déformations qui se produisent en pareils cas , aux mains et aux pieds. Ce sont des rétrac- ti
e, que je vous ai déjà cité dans une précédente leçon. Il s'agit du cas de cette jeune femme de vingt-six ans, dont la
-vous ce que fit découvrir l'enquête instituée à propos de ces deux cas ? La malade faisait entrer dans son alimentation,
nées. On la soumit au traitement,du'on a coutume d'instituer dans les cas de polynévrite : alimentation reconstituante, t
rvation du docteur Haillon (1), qui offre maintes analogies avec le cas de notre jeune malade. Il s'agissait égale- men
nnements subaigus. Une exception doit être faite cependant pour les cas où l'empoisonne- ment est la conséquence de l'a
a cependant quelques différences à relever. D'abord dans le premier cas (empoisonnement subaigu), les manifestations de g
euses peuvent être moins intenses, à la période d'état, que dans le cas d'un empoison- nement aigu. D'autre part, si l'
mbres inférieurs, ne frapper que certains groupes de muscles. En ce cas elle se cantonne d'abord dans l'extenseur commun
e de plus général, c'est que le pronostic est meilleur que dans les cas du précédent groupe, en ce sens que, traitée à
s tendineu- ses irrémédiables, que nous avons vu subsister dans des cas du premier groupe. c) Paralysies consécutives
ou tard, l'arsenicisme conduit à la cachexie. Assez fréquent est le cas où l'addition de doses moyennes d'arsenic aux a
hronique volontaire, pratiqué dans une intention criminelle. Tel le cas de cette femme dont parle Imbert- Courbeyre, et
s après elle conserva des traces de sa paralysie. J'en arrive aux cas de paralysie arsenicale symptomatique d'un empoi-
ts arsénifères. Entre autres faits curieux, Basedow avait publié le cas de deux enfants d'une même famille, qui avaient é
preuve un travail du D'' Putnam (2), de Boston, basé sur vingt-cinq cas d'empoisonnement chro- nique Survenu principale
s un local tendu de papiers arsénifères. 1 Dans la plupart de ces cas on a noté les symptômes d'une polynévrite à mar
pour donner lieu aux manifestations d'un pseudo-tahes. Or, dans un cas d'empoisonnement arsenical, les trou- bles gast
'un tremblement général, qui gagne jusqu'aux lèvres ; dans certains cas il reste limité aux membres supérieurs. Sa durée
é pariai les poisons convul- sivants. Effectivement on a publié des cas où, à la période aiguë d'un em- poisonnement ar
t se compliquer d'ataxie, de tremblement. Mais ce n'est point là le cas habituel. Le plus souvent la paralysie poursuit
. Le retour à l'état nor- mal peut être complet. Toutefois dans les cas graves, l'empoisonnement arsenical aigu peut la
s, sous la forme de rétrac- tions tendineuses. Je ne connais pas de cas où' une paralysie arsenicale ait été la cause u
voir présenté de la paralysie motrice. Il semble que dans ces trois cas la mort soit survenue par paralysie du coeur (1).
l'autopsie a démontré l'absence d'une lésion valvulaire. Dans les cas d'empoisonnement arsenical subaigu e.t chronique,
uf que l'atrophie musculaire est géné- ralement moins prononcée (le cas de notre malade prouve qu'elle peut manquer) ;
incomplète et circonscrite de paralysie arsenicale, qui embrasse des cas de ce second groupe. Or, dans un grand nombre d
i embrasse des cas de ce second groupe. Or, dans un grand nombre de cas , la paralysie arse- nicale, qu'elle se développ
étant de beaucoup la plus fréquente. Or, qu'observons-nous dans les cas d'empoisonnement arsenical, lorsque l'intoxicatio
leurs manières d'atteindre le système nerveux. Dans l'un et l'autre cas , disai-je, c'est une paralysie amyotrophiclue qui
omine sur les autres manifestai ions morbides. Dans 1'tiii et l'autre cas cette paralysie est annoncée et accompagnée par
, par des douleurs qui peu- vent être très violentes. Dans les deux cas la paralysie débute par les extré- mités des me
la paralysie débute par les extré- mités des membres. Dans les deux cas , elle peut prédominer aux extrémi- tés, ou même
se limiter aux mains et aux pieds (type chiropodal) . Dans les deux cas elle peut envahir les membres en totalité, et alo
scles du tronc, les muscles innervés par l'encéphale. Dans les deux cas , on observe, mais, à titre tout à fait ex- PARA
45 ceptionnel, l'abolition des réflexes pupillaires ; dans les deux cas , les troubles de la sensibilité, mais surtout l
iennent une place importante dans le tableau morbide. Dans les deux cas l'abolition des réflexes tendineux est habituelle
toxication alcoolique ou une intoxication arsenicale. Dans les deux cas la paralysie amyotrophique peut laisser des trace
effaçables, sous la forme de rétractions tendineuses. Dans les deux cas l'ataxie peut s'associer la paralysie, à une pa
paralysie, à une paralysie incomplète bien entendu ; dans les deux cas la paralysie motrice peut s'effacer devant l'inco
délirantes qui ouvriront la marche des accidents. Le délire, en ce cas , joue le même rôle que les ac- cidents gastro-i
même rôle que les ac- cidents gastro-intestinaux du début, dans un cas d'empoisonnement arse- nical aigu. ^Jamais, d
a-phase prodromique d'une polynévrite alcoo- lique. Dans ce dernier cas , des troubles digestifs sont habituels, mais ils
es à l'estomac, etc. II n'y a pas d'insomnie absolue comme dans les cas d'empoisonnement arsenical aigu ; le sommeil es
terrifiant, par des visions d'animaux. Il est rare aussi que dans les cas de paralysie alcoolique, les troubles sensitifs
es, comme dans cette dernière. Jamais, autant que je sache. dans un cas de paralysie arsenicale, l'amnésie et les autre
n résultent, aux mains et aux pieds, sont différentes dans les deux cas . Dans ceux de paralysie arsenicale, les petits
mouvements dans le poignet se font encore sans difficulté. Dans le cas de paralysie alcoolique, les premiers mouvements
portent t d'une façon prépondérante sur les mêmes parties. Dans les cas de paraly- sie arsenicale, les déformations qui
1 Je ne crois pas pouvoir mieux me résumer qu'en disant : dans les cas de (1) Ces figures ont été empruntées au travai
roduisent surtout aux jointures des doigts et des orteils; dans les cas de paralysie alcoolique, elles se pas- sent sur
alysie arsenicale et de la syringomyélie, sous prétexte que dans un cas de paralysie arsenicale publié par Gerhardt, l'au
pas jusqu'à dire, à l'exemple de P. Muller (1), qu'en présence d'un cas de paralysie arseni- cale, le diagnostic s'impo
que cette éventualité a surtout des chances de se réaliser dans le cas d'une paralysie arsenicale consécutive à un empoi
'axe gris persistent avec leurs caractères normaux. Dans tous les cas l'infiltration manifeste de l'espace sus-arachnoï
I et XXVII, il nous reste des lésions d'infiltration nettes dans sept cas : VII, X, XXI, XXXIII, XXV, XXVI, XI VIL Les
ne présentent guère que la congestion intense, qui va dans quelques cas jusqu'à l'hémorrlwgie. Quatre dernières moelles
r fonctionnement physiologique de telles lé- sions. Mais il est des cas où les racines ont complètement disparu sous le
e des lésions aux régions dorsales moyenne et inférieure dans leurs cas , Jùrgens trouve dans la moelle lombaire une ind
é des circonstances pathologiques dans lesquelles se montrent ces 2 cas d'onychotrophose. Z) La relation entre les 2 lé
dant qu'à l'intensité près, elles soient similaires. Dans les deux cas , nous notons un caractère fondamental commun : l'
corrigible que fut toute sa vie Adriaen Brouwer devait faire peu de cas des détails techniques. Mais nul, mieux que lui,
P. Raymond, 5. Tabes supérieur avec conservation des réflexes (un cas de), par E. LEXOBLE, 17. Troubles trophiques
II. Enée blessé, peinture murale de Pompéi, VII. Faciès dans un cas de tabes supérieur, III. Gommes syphilitiques
97 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
té l'un de l'autre que par l'intensité et la localisation : dans un cas les éléments embryonnaires ne se développent qu
me nerveux, compare bien les lésions de l'écorce cérébrale, dans un cas de paralysie générale, à celles de la syphilis
s faits où l'origine syphilitique ne faisait pas de doute ; en tout cas , si l'on se reporte aux examens histologiques q
t propres à éclaircir un peu la question et à montrer que, dans les cas syphilitiques, la lésion de la paralysie généra
lus nombreux qu'on ne le croit actuellement. Ceci est vrai pour les cas de paralysie générale syphilitique , qui formen
forment, d'après les statistiques bien faites (Régis), les 9/10 des cas de paralysie générale; pour les autres, si réel
essemble d'une façon frappante à celui de la paralysie 0 -énérale. ( Cas de Mendel, Beît. klin. Woch., 1883, etc.) L'Obs
entre l'idiotie'même légère et l'im- bécillité. Mais il existe' des cas où le diagnostic peut être em- barrâssant ? c'é
ropre,'et on ne saurait dire qu'il s'agisse d'imbécillité. En aucun cas donc l'épilepsie n'entraîne ce qu'on entend par
Si - faibl6 qe,,soit'l'in suffi sa 'nc'é'intel 1 ectu ell è'd ans ces cas on en'peut'lui'appliquer, la qualification d'im
liquer, la qualification d'imbécillité,' qui doit être réservée aux cas de débilité mentale assez marquée pour empêcher
'accusé élâit`i·esponsable ou irresponsable de ses actes. Dans quel cas de folie le malade est-il irresponsable ? Perso
rresponsable ? Personne ne met en doute l'irresponsabilité dans les cas d'accès de manie aiguë ou subaiguë, de paralysi
ions automatiques des épileptiques. On est indécis pour les trois cas suivants : 1° lafolieavec illusions et hall uci
olie avec débilité mentale ; 3° la folie impulsive. Dans le premier cas , l'auteur tient le malade irrespon- sable : l'h
i- cination qu'il serait irresponsable quand même. Dans le second cas , le malade, raisonnable dans les actes ordi- na
sujet à des passions bestiales qui peuvent le pousser au crime. Son cas se reconnaîtra à ses antécédents et aux stigmat
ais il peut aussi, agir avec pleine volonté. , .Dans le troisième cas , le médecin, est embarrassé. Il ne doit se déte
nts aujury. .,AmcWceM.)OM;')Ko/'M ! S6[y, 1893.) E. 1)'. VIII. UN cas DE FOLIE POST-CHOLÉRIQUE A forme DE confusion men
tive que c'est' bien à ce diagnostic qu'il' faÏit"s'arrêt6r dans le cas présent. ;1" u . -hX i "u .f -sn ? ot "t.. n} <
er avec certains auteursjusqu'à le proscrire absolument,. dans, des cas ana- logues, on ne doit y recourir qu'à la dern
s jusqu'à rendre. le second sujet franchement aliéné. Dans certains cas , cependant, il le devient, jusqu'à l'halluci- n
v ? , Cette dernière condition explique ce fait, que la plupart des cas publiés de folie à deux,appartiennent-au délire
' - il ? z Ar2 ? ' ->èij X. La cause DU « LIBRO DEL COMANDO ». Cas DE'FOLIE CINQ par le D1' René SMELAIGNE. "*EI)
ces hallucinations'et non par leur contenu comme. dans certains ,, cas d'hallucinationsimpératives.,l'arla7sûite,1'inter
uction du mutisme vésanique.. "` ' ? '" 3 ? J. Séglas. XVI : ' UN cas D'ATIPYR ! NOMAN)E; par le' CaPPELETTI. (Ri'Ù ! '
ques qui survien- nent fréquemment après, c'est-à-dire que tous les cas observés rentrent dans la Catégorie des' psycho
qui vient d'accoucher,1 l'auteur passé entrevue les cinquante-trois cas dé' psychose puerpérale qu'il a réunis c r,r,r .
rouve, .dans la première catégorie constalee dans les 56 p. 100 des cas ; b, l'influence compliquée de la première'gross
l'influence des premières'' couches s'ob'séivë dans 45 p. 1(l0"des cas de psy- chose puerpérale. - Parmi les causes dé
fection doit étrérplaée'au'preiiiiec râil ? En`effet,'70 p. 100 des cas appar- tiennent à l'infection; daii s66 p. 100,
n-, 48 REVUE DE pathologie mentale tales,- car dans 26 p. 100 des cas de psychose puerpérale, c'est à elles seules qu
canisme du développement de la maladie. De plus, dans 26 p. 100 des cas , on a constaté leur rôle à titre secondaire. L'
que l'in- fection elle-même : il est probable que dans beaucoup de cas , lorsque la femme est affectée de quelque malad
Moll avec la polymixie. ' Comme paresthésique, l'auteur cite ces cas curieux de jalousie pla- tonique, relevant de l
la- tonique, relevant de la dégénérescence mentale comme tous les cas de ce genre et où le patient, détaché' de tout,dé
la Folie Jalousie de Trélat, et le livre de Dorez; il cite quelques cas empruntés à MM. Rouillard et''S., Laurent, et s
des réactions impulsives criminelles irrésistibles. Il cite même un cas des plus intéressants de crime par' jalousie en
la.) ' ' ? " v - ..... <t ? . C.,r' ,t , . \ ? -i . 1 C'est le cas d'un impulsif à caractères 'dégénératifs très net
rs qu'il était' lui-même marié et père de famille"' C'est encore un cas de jalousie morbide rétrospective. (rAs A`liénist
s" (de même que le précédent par les 'tribunaux italiens) .'Dans le cas rapporté par M. Man; l'internement s'imposa peu
n... » «ru. nu * ^ t t > ' L'auteur rapporte ensuite-* plusieurs cas d'aberrations sexuelles, l'une d'un clergyman,
échapper'a'l'obsession irrésistible^. >J1" ? %^ J ' Suivent deux cas de saphisme )'un' l'affaire Freda et'allia -i i
. E. Dans un numéro précédent, le D1' Hughes a rapporté plusieurs cas de troubles mentaux et nerveux consécutifs à l'at
ons en général. 3 . , r ,ni . J. S."· ' , '11 ? c t M r XXIV., UN cas d'helminthiase intestinale ET DE constipation EN
l'auteur, il résulte que la migraine ophtalmique a précédé dans un cas un raptus homicide, dans un autre, un état anxieu
sés (deux paralysies générales et une. typemanie anxieuse) de trois cas d'intoxication chronique par la morphine, chez de
morphine, chez des sujets non prédisposés, l'auteur rapporte, deux cas absolument anormaux dans l'histoire du morphini
ent anormaux dans l'histoire du morphinisme chronique. Le premier cas concerne un homme de trente-cinq ans, syphili-
, les éruptions morphine-syphilitiques. T- n , ? ... , 'Le second cas est surtout intéressant, quant au modus faciendi
n'a rien de bien extraordinaire. Mais ce qui fait la singularité du cas ,,c'est que M : X... n'a jamais pris une seule i
; , , . , , V . Une' autre erreur'fut commise paroles juges dans ce cas de lI `Nâ'ùgliteii° : ils'établirent que'c'est
une impulsion' à laquelle il n'a pu résister ? Le jury doit dans ce cas décider sur le rapport des médecins. * " ' Pour
Il est absurde, injuste, d'établir une législation qui prévoit les cas où l'accusé sera déclaré responsable ou irrespo
sermentés, assesseurs légaux, des juges et prononçant dans tous les cas . * ii'. tf 7110^1, ) ? c . ^Conclusion : La Jol
ultés naîtraient seulement des complications particulières à chaque cas .' (Ame ? ,icaii jotirnal of insatity, 4893.) ?
que est seule efficace, mais elle' n'est pas, applicable à tous les cas : aussi ne doit-on pas s'interdire d'avoir reco
r A. ÏAMBURiNi.'(I61cZ.) - ' 4 C'est une étude médico-légale sur un cas très curieux de partout'a ci cinq, chez'cinq in
la folie. La loi française est conçue de, façon à prévoir tous les cas ,de . folie. Article 64 'du Code péizal ;· il y
il n'était pas capable de.résister. ID,Cette loi, s'appliquer aux% cas où . z l'intelligence conserve jusqu'à.uncertai
9r, -m 3. S ? Pour que la loi fût -complète et s'appliquât tous les cas , il fau- drait, qu'elle .prévit- le, cas d'impu
te et s'appliquât tous les cas, il fau- drait, qu'elle .prévit- le, cas d'impuissance, ou,td'inertie ? de-, la volonté
ZD e's 1 e ,i rtl e il i ? ) 4, XI11. Rapport médico-légal sur un cas d'homicide-suicide ; par le , Dr AMADÉI. (Riv.
éressants pour. que je,vous,en entretienne un instant. Ce sont deux cas de lésions organiques du coeur trouvées à l'autop
n du- coeur et'la'maladie"mentale;'i)'en serait' autrement dans les cas d'affections du coeur aiguës : Dans celles-ci i
t publiées qu'il, soumet à une cri-, tique approfondie, et sur, les cas qu'il lui a, été donné d'étudier personnellemen
ralytiques généraux ; il pense qu'il s'agit là, le plus souvent, de cas de rémission comme on en observe dans la paraly
pos, les observations de M. Magnan sur le même sujet et rapporte un cas personnel des plus concluants. (Premier interneme
insérées dans le corps du mémoire, le lecteur y trouve annexés les cas antérieurement publiés par les auteurs comme ps
n effet, la curabilité. Mais la plupart des faits publiés comme des cas de pseudo-paralysie générale guérie, ne sont que
rale ; les guérisons de pseudo-para- lysie générale ne sont que des cas de rémission ou de guérison de paralysie généra
? r".i .r.; n .t^e Des chalets sont construits en dehors pour, les , cas de manie;, aiguë ? pour, l'infirmerie et les co
s années, l'auteur a publié dans plusieurs journaux de médecine les cas d'alcoolisme qu'il a eu l'occasion de traiter à
n de traiter à l'hôpital Bellevue. D'une statistique comprenant 579 cas , 1 Nous croyons qu'il faut se décider de suite
mbre des Hébreux était de beaucoup le plus faible, pas un sur 3.000 cas . Mortalité : 35 morts sur 579 cas, c'est-à-dire
e plus faible, pas un sur 3.000 cas. Mortalité : 35 morts sur 579 cas , c'est-à-dire une mortalité de 6 pour 100 envir
venus en aide au médecin aliéniste et la chirurgie, dans nombre de cas , a pu guérir l'état mental des malades. L'auteu
nt déjà leur équivalent dans la terminologie usuelle. Mais, dans le cas présent, cette innovation me semble justifiée p
l des nerfs. Société de biologie, séance du 16 juillet 1892. Sur un cas de inyglja- z progressive du type Landouzy, ave
t '.rjrrt-'QfT tf lp-aKon -tttavtc.t -tTjJ c < Dans la liste des cas ou s est manifestée cette anomalie, on 1 1 f ·
(i'S4n..rtrf.·à F`R K'»' P3 T{7t En présence de extrême variété des cas pathologiques ou x l'on a pu noter là présence
t.f««t 1 ttrlxvn ? l.tla .r ! -11- ty3 )t- .ne de les observer, par cas fortuit,, chez un chien -dont la santé aénérale
on de son volume. En d'autres termes, le, 1 Joffroy et Achard. - Un cas de maladie de Morvan avec autopsie. (,Archives
. 9, b; fig. 10, a; PL. II, feg. 18, b; fig. 19, c.). Dans certains cas , son diamètre dépasse à peine celui d'une cellule
ais cette particularité n'a été notée par lui' que dans 10 quelques cas isolés, tandis'qu'elle's'est présentée à' mon obs
ffecte une'configuration'fusi- formé très régulière dans le premier cas J' p 1 ' us Confuà ZD dans le second.' * * '. ,
a masse'mésoneuriale, commune- (Pl/ I ? ? <7- 3; a). En d'autres cas encore, c'est un nodule fibreux (PL.11, fig. 5,,
teur ? que je^ai jamais observées sur mes préparations. Tel est- le cas entre autres,pour les foyers rudi- mentaires qu
es et qu'il peut même se particulariser au point d'exclure, dans un cas donné, tel ou tel genre de formation. , V.
hans. ' Cependant il est permis de' se demander si, dans certains cas au moins, les éléments nerveux dont on a noté la
onsi- dérer comme exceptionnel, du moins jusqu'à nouvel ordre, le cas de Blocq et Marinesco. L'hypothèse neurogénique n
r la masse adventive (PL. II, fig.16 c, c). Mais aussi bien dans un cas que dans l'autre, le processus se caractérise e
urs qu'un intérêt secondaire. "' ' ' ' z 1 1 ' ' 3° Dans certains cas , tous les' foyers remplissant l'espace mésoneur
lleux direct ne, diffère en, rien de ce qu'on observe dans tous les cas de dégénérescence secondaire. 11 n'en est pas de
aient loin d'être sairis ; r'd'ailleurs 1 Thôiirâén a vil, sur dix' cas de méningite ' , ., t . t., ,r, tr ? ).fHt)t-.t
8 PATHOLOGIE NERVEUSE. Systems, Neurolog. Centralbl. 1891). Dans le cas actuel, l'ar- térite avait, en bien des points,
rfois à la méningo-encéphalite diffuse, comme on les voit, dans des cas rares il est vrai, s'adjoindre aux lésions du tab
grand nombre d'exemples d'une pareille association ; tels sont les cas de Zambaco, Westphal, L. Meyer, Binzwanger, Bau
emps, ainsi que Fournier l'a indi- qué, que ce sont précisément les cas de syphilis bénignes, en apparence, qui se term
ns les coi- ( dons postérieurs' leur'maximum ? d'intensité dans les cas de tabes où la- syphilis ne figure pas dans les
soumise à la loi de Waller. Cette lésion ascendante existe dans les cas anciens de lésions transverses; je l'ai déjà vu
ns les cas anciens de lésions transverses; je l'ai déjà vue dans un cas de compression de la moelle par une tumeur, mai
cendante avec la myélite ascendante que l'on observe aussi dans les cas de compression et qui semble produite par le ch
upposer que l'entre-croisement des pyramides est com- pleut dans ce cas , -ainsi qu'on le voit quelquefois. Il faut donc
au pyramidal. J'ai déjà observé ces formations névrogliques dans le cas de tumeur .. de la moelle. auquel j'ai fait all
faisceau pyramidal vient d'être 'décrite par il. Sottas dans quatre cas de lésion syphilitique trans- verse de la moell
se anatomique de ces accidents ? Ce qui était bien certain, en tout cas ; c'est que ceux-ci avaient pour cause un troubl
que je viens encore de le vérifier récemment. -" /» ^ >» Dans le cas actuel, l'absence'de lésions des éléments nerveux
vasculaire était arrêtée et comme figée dans son évolution. En tout cas , cette observation me parait prouver jusqu'à l'
tant la participation antérieure des gros vaisseaux. Dans les trois cas , la lésion cérébrale était associée à diverses
es grosses artères et les grosses veines de l'encéphale ; dans ce cas , il sepeut que ces altérations affectent la forme
uger la nature du processus morbide dans son entier. Mais, dans les cas moins complets, où la lésion des capillaires ne
une résistance.1. Dans, la première cirons- tance, on observera ces cas extraordinaires" d'arrêt, /le cristal- lisation
philitiques me paraît être logiquement la myélite embryonnaire; les cas véritablement 'complets sont ceux où l'altérati
° durée des psy- choses ? Au delà d'une semaine ; 6° proportion des cas de guérison, de non-guérison, des cas mortels ?
e semaine ; 6° proportion des cas de guérison, de non-guérison, des cas mortels ? Les guérisons dépassent 50 p. 100; el
enfin, il y a eu, de par la mélancolie et l'hypochondrie, quelques cas de suicide; 7° y a-t-il un rapport entre la gra
Action de l'influenza survies aliénés ? Il semble y.avoir plus  de cas d'aliénation mentale aggravée par( la grippe que
r plus  de cas d'aliénation mentale aggravée par( la grippe que de cas ,, améliorés parcelle-ci; 11° pronostic des psyc
isfaction men-. tale), ou en être angoissé, tel est le résumé de ce cas d'ailleurs très, fréquent de cethéréditaire ? O
sans aucun parti pris pour telle ou- telle théorie, repose 'sur 128 cas , dont 27 classés de cause inconnue ? , ? -n, .
'ensemble des excès alcooliques : il compter individus : sur ces 32 cas , 12 peuvent être considérés comme secondaires, et
e de la méningo-encéphahte. La syphilis n'est rencontrée que dans 4 cas . comme cause prépondérante. Puis viennent les c
de l'ouïe ont persisté. Comme on le voit, il ne s'agit pas là d'un cas de folie sympathique essentielle, car les lésio
·v*· c' > Au début, il y a toujours dilatation des pupilles. Un cas de perte de la réaction à l'accommodation avec
mun, qui permet des'expliquer ces états com- plexes ; mais d'autres cas ne permettent point de formuler d'hypo- thèse.
ucinations de l'ouïe complexes. Le cou- rant électrique n'est en ce cas que la cause déterminante qui pousse l'organe c
ale SE traduisant par UNE sensation DE sable DU côté malade dans un cas D'HÉMICHORÉE POST- hémiplégique; par le D1' TAR
stitution 'neuropathidue. J. Séglas. IV. Considérations sur trois cas rares DE neurasthénie ; par le Dr VECTRA. (Il M
ren., fasc. 2-3, 1893.) Etude surtout expérimentale. , , VIII. UN cas DE symptômes aphasiques avec hémianopsie. ACIIR03
YCHIQUE; par E. BLEULER. (Alrchiv. f. Psgcleiat., 1XV, 1.) ' `' , Cas complexe ainsi apprécié par l'auteur : hémiplégie
malade avait conservé la faculté de répéter. ' P. KERAVAL. IX. Deux cas d'aphasie; par H. GossEN. (Archiv. f. Psychiai.,
et 1893, p. 420.) De A. Marie. XIV. Symptômes sensoriels dans TROIS cas DE myélite SYPHILITIQUE ; par Franc R. FREY, de
que d'autres persistent obstinément. NI : Frank Frey rapporte trois cas confirmant les observations antérieures d'Erb et
les expertises rela- tives aux procès en dommages-intérêts dans les cas de Railway- Spine, indépendamment de la simulat
ssu ambiant qui, à son tour, se ramollit, se nécrobiose. Il y a des cas dans lesquels il se produit une prolifération d
surtout dans sa forme bulbane. On ignore aussi pourquoi, en maints cas , certaines parties de la subs- tance blanche so
fOLOGIQUE et observation publiée par WEST- PHAL sous LE TITRE DE Un cas de lésion du système nerveux à dia- gnostiedoul
. - 1 KÉHAVAL. ŸI1. Recherches SUR LE bilan DE la nutrition dans UN cas DE PARALYSIE agitante fruste; par A. SCHOEFER.
l'association psychologique américaine, par G. Trumbull Ladol ; Le cas de John Bunyan, par J. Royce; Etudes du laborat
témoignages des aliénés devant la justice (La Roclielle, 1803). Le cas actuel a été cité par M. le D' Legrain à ce mêm
indre pour jamais la flamme de ce cerveau à son aurore. , r. z Ce cas intéressant n'est-il pas bienfait pour nous décel
A ii^ .. I , ries de ce maître, (que ? espëreavoir démontre que le cas , du fou homicide A... n,est,anormal qu,eli` app
silo'calisatios anatbmiqtiestou fonctionnelles spéciales. 'Dans le' cas qui nousoccùpe, il'fallait, admettre; chez le ma-
tes de' l'ana- lyse clinique, constitue,' malgré les apparences; un cas normal pour les nombreux pëirtisans des théorie
les. r .- - ? ' ? ? t ? W .n ? j ' <\ j , Lj ? 1 -, W· Premier cas ? Les méninges ne sont pas épaissies, mais la cir
leurs prolongements ? ^'1 b-°ojr' 913s à orees e aman ? ' Deûxiémé' cas ? q2É'p'aiississement maiqué de là' -mère. . Sc
e individus, l'état de santé antérieur "était1 parfait et,, dans ce cas , l'état, m-or- bide avait été précédé de'causes
t; i ' <" h 9 ? ! ,tI'· ? ,9N1'IV890 -l 3" · aii ZtMQ r XXVI. Un CAS DE TABES DORSAL TYPIQUE : AVEC GLIOSE CENTRALE CH
ns mouvements.7 Il est'duireste évident qu'il's'agit/ dans tous'ces cas , ,(d'une seule. et : même : forme; morbide ? di
Ï0'P. K. , -t , -1 H * ' ' .JIIi102fIt 9«10alls .9 uo XXXI. Deux cas DE dystrophie musculaire progressive avec réac-
10(I fil : iIi'9nllsav7 ! s.Îfü EiJq l9 : S : Q031't( ? . XXXII. UN cas D'ATIIOPHIF ! lViUSCULA1RE COÜEINÉEAY : 1NT U L T
< ? ? Air;» rfn s')n\ ? 4a ? t<n/ .eqtfinfn v t - ? xxxvi. Un cas D incapacité de LIRE (alexie); par. Ph. ZEtuElt.
> -i- '' ,f*iiii ' r <' , ti'. va,-<\. m ŸXXVIIt. SUR deux cas D'HÉMIPLÉGIE cérébrale consécutive A la , ,DIPH
uve que l'intervention chirur- gicale peut être très utile dans des cas analogues même lorsque l'on constate de .graves
, ' fasc. I. 1893.) 1, · . ' .- - VI J» ' -l . l' I Il y a des cas d'atrophies musculaires précoces chez des hémiplé
'ulcérations de la corne grise antérieure du côté paralysé. Dans le cas recueilli par l'auteur l'atrophie muscu- laire
dégénérative et suivait une distribution ascen- dante. Dans le même cas on ne pouvait exclure l'existence d'une influen
es 1 t REVUE DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE. '*19 ? ' Il y a d'autres cas d'atrophie musculaire tardive chez les hémiplé-
,= IW A^'^ 8âM'E.It'r .a ? tn si lie 'if .4 ? -. i - - XLVII., Un cas , de .paralysie ISCHËMIQUE CONSECUTIVE UNE EMBOLIE
l a-iull. vl ? JlbJV MDjJltbH'H' 1(1» aJjUIMi .' " n . z XLVIII. UN CAS D'HLfORRH.1GIE DU pont de VAROLE ; par James Ropt
erception delà quantité chromatique* était diminuée'. Dans tous les cas d'hyperesthésie optique,de P'reund, `il" y avait,
rable. C'est une vue toute personnelle à M. Bleuler. P. K. IV. UN cas DE CHORÉE PROGRESSIVE (héréditaire, d'Huntington)
her. . (Neurol. Centl·al6l., 189.) -t- Jfll^ >Ti Vj Q 3 i'llfi Cas complexe. Si on'en élimine les lésions'imputables
r ? n ? La dégénérescence tabétique des racines postérieures et les cas de tabes dépourvus de complexité, tiennent excl
breux. ? 1,1 qb A Au début, les pupilles sont toujours dilatées. Un cas de perte de la réaction à l'accommodation avec
nd il y,a perte' de, réaction à lalumière,celadesdeusc6tés(quelques, cas ) ? h>i ? t,, ' La plupart des observations t
t ^antagonisme permet d'expliquer ces états complexes mais d'autres cas ne per- mettent de formuler, aucune hypothèse à
E.ET^DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.' -203 du ganglion. Témoins, ces, cas (obs. 4. et ) dans , 'lesquels-, on trouva : mu
...ni tb rleml-I,corlvoovd einten "b - : HniJf;n, XVII. Note SUR UN CAS DE dégénérescence TUBERCULEUSE DES capsules SUR
ans et celui de 70 ans ,quéLl'obervatiou est intéressante, car les cas dëdisiocatio'n1d du syndrome anatomo- chimique
é antérieurejtdur gyrus occipito- temporal latéral. L'intérêt de ce cas réside' presque tout entier dans l'autopsie, ca
lIJ'In 1 9 ? 911.'ti,i^.tlv ;i(2 : 1'IxiQ Mft'a't -il te, r XIX. UN cas DE tumeur ENDOTIIÉLIALE DE la dure-mère ; par F :
istance est ferme,. sa : couleur gris rosé : - L'auteur a,relaté ce cas à cause de son intérêt anatomo-pathologique et
. \i. C. inJrr<j^ It,J,bI um ? m ' ! . , n'7 'i j. 11 XX.,DEUX cas de paciiyméningite uémorruagique interne; par Hub
a< of Mental Science, octobre 1893.) ' L'auteur examine ces deux cas au point de vue du mécanisme de production de l
production de la pachyméningite hémorrhagique. ' Dans le premier cas , on trouvait une seille poche membraneuse, cont
atible avec l'hypothèse d'une inflammation ancienne. Dans'le'second cas ,' il ' existait deux poches membraneuses, la ga
,il ' '' ' ' , it, Au point de' vue clinique, il s'agissait de deux cas de paralysie générale, sans particularité spéci
particularité spéciales à noter. 'L'auteur pense que dans les deux cas , la cause immédiate de la mort a été une hémor-
érieur delà poche. Il fait remarquer en terminant que dans ces deux cas , les lésions observées'peuvent aussi être rap-
très difficile- ment compte des lésions observées dans le deuxième cas . " ' R. DE MUSGRAVE-CLAY. NOUVELLE communicat
ité à la' substance grise' ou à la moitié de la 'substance1* grise ( cas * de Rossolimo,Déjerine et Soltas) ; 2° gliose a
e étendue, ou une seule corne postérieure de la moelle dorsale ; 3° cas particulièrement difficiles dans lesquels la" l
iose bulbaire. Sous cette dénomination, il faut comprendre, non les cas dans lesquels la lésion syringomyélique en se p
symptômes bulbaires/compliquant des lésions anté- rieures, mais les cas rares dans lesquels la lésion d'amblée se déve-
96 99npqrYtrio Jpo li-ifl 96 ils 91g-·riT ' ' ' -1 - * UXXVf : 'UN CAS DE' LÉSION SECONDAIRE DE LA' COUCHE OPTIQUE ET
ntre parfois aussi dans le ascendantes droites ; 801 en»-' quelques cas ,- il y a correspondance entre l'âge auquel le c
sont i obscures ; mais, la sypliilisadoit être ! éliminée, en tout-, cas ,3la syphilis- acquise. En revancbe,'il est très
étude microsco- pique des coupes sériaires. Il est bon, en certains cas , de pratiquer' des coupes, simultanément,passan
eau* radiculaire il eîi'èst de circulaires ou ovales. Dans quelques cas où elles existaient au'nombré'de deux ou trois,
on' attâché au centre, ou au centre m6me ? mais,'dans* ce der- nier cas , la clegenerescence est plüs'î·âpidë : °Lâ''métho
'état ,d'épuisementphysique;·et mental, à la mélancolie : en '.tout cas , ces phénomènes n'ont point de caractère' progr
nde i amélioration, de la nutrition générale, obtenue dans tous les cas ., Il réussit surtout dans la forme psychopathiq
E TRAITEÙiENT ? DUibIYgD136(E ET DU. CRETINISME', COMPTE RENDU DU . CAS ) publiés ; parCEciL F. BEADLES. (Tlie Journal of
tor j aO 1' ". L'auteur- passe ensuite à ta discussion critique des cas ., publiés, et ici, malgré l'intérêt du sujet, n
s puisqu'il se reporte, à chaque paragraphe, au tableau"* de", cent cas "de myxoedème qui sert d'appendice à' son mémoir
ministration ? mais ce'qui résulte nettement'de l'étude'de tous les cas ^qui figurent dans le' tableau ? c'est1 la' réal
apsus ? dyspnée' grave, affaiblissement du ccéur)'*ètvdans "quatre- cas ,1 ils ont1 déterminé la mort. Ces conséquences
, traitement au'point de vue spécial dela«foiie'myxoedémateuse»ÏLes cas de folie propre- ment "dite] au^cours'dù^myxoed
lles chez des myxoedémateux et constate une fois f"de plus'dans ces cas les bons résultats du traitement thyroïdien 'A
lus'dans ces cas les bons résultats du traitement thyroïdien 'A ées cas personnels, il en ajoute deux autres qui sont p
ni effet, que il'administralion du sulfonal ait été,, dans ces cinq cas , la cause réelle du retour à l'ali- mentation v
ble.' Il; n'en est' p"â'slmom'sudignecdelremaaqué'quecdansrces cinq cas ,17- les ô J.L Q1.II3nG; j<L94L o· : · bLi YJ
alimentation forcée. Les heureux résultats 'obtenus peuvent en tout cas constituer un encouragement à l'emploi du sulfona
nal dans lescasdesitiophobie ? i ? ' : ' ? ? ' R ? M.rC ? ? a les cas de sitiopliobie.9 9 , "tj ..31 slip )');fi ; ? ,3
adie. * . - " M. SoLLiEa : .ü'J'avaisàjma disposition" trop, peu de cas pour faire cette recherche. V . M. Ballet. M.
observation' que lai plupart des symptômesifontrconsidérer comme un cas de para- il s'agit Id'un'honîmè de' trente-cinq
,,ces difficultés ne-soiit ''peut-être 'pas insurmontables; en tout cas , elles ne le sont ni toujours ni partout, 1 ' n
quatrième classes se forme actuelle- ment. 37ela 3M ? 1 ! UH Les cas de folie aiguë et curables, les malades infirmes
est impossible. De loin en loin, quelques chirurgiens, profitant de cas pathologiques exceptionnels ou de larges tré- p
tendre, souvent fort longtemps, les '44 il - pathologie nerveuse. cas simples, typiques, qui'seuls ont une valeur démon
en masse : Cruveilhier rapporte dans son anatomie patholo- gique un cas d'hémiplégie gauche permanente, dans lequel il
égale- ment favorables à l'étude des localisations cérébrales. Les cas simples dans lesquels une lésion ancienne bien
usieurs symptômes permanents, sont de beau- coup les meilleurs. Les cas dans lesquels des altérations mul- tiples ou di
iciles à interpréter et partant beaucoup moins démonstratifs. Les cas de tumeurs cérébrales ne valent guère mieux. La
me étant impropres à l'élude des 'localisations cérébrales tous les cas de lésions mzclliples ou diffuses, de mé- ningi
L'étude de la géographie cérébrale doit être faite d'abord avec les cas les plus simples. Quand elle sera suffisamment
appliquer les découvertes sûrement acquises à l'interprétation des cas complexes. Mais, ce n'est pas en se servant des c
erprétation des cas complexes. Mais, ce n'est pas en se servant des cas com- plexes qu'on arrivera à déterminer les loi
à région- du i pli n courbe gauche,'il'croira être en présence d'un cas contradictoire à Janotion'aujourd'hui bien étab
pas douter de sa réalité s'il se présente, de loin enJoins quelques cas contradic- que ? - la genèse de ces cas*excepti
e, de loin enJoins quelques cas contradic- que ? - la genèse de ces cas *exceptionnels : t. -; , - Telles sont'les règle
dans la solution de certains problèmes et, particulièrement dans le cas qui nous occupe, elles peuvent seules fournir d
Observons sans parti pris, sans idées préconçues, les, innombrables cas pathologiques qui pas- sent tous les jours sous
ut-être, au fond, le trouble cérébral est-il le même, dans les deux cas . Cependant, il faut . , I- toi 11 . H ' " , imi
^d'or^que de-diamaijtsj^l gsb -tahi-q .Si/rk ,'« ? ; " - - · Un des cas les plus curieux que j'aie observés est celui d
es et nerveuses. Mais on' peut les observer également dans d'autres cas , par exemple dans' la' période' fébrile 'des ma
ue- l'appareilasensorielest exactement n dans, le même état dans un cas comme'dans l'autre : état; moléculaire sans 'do
l'examiner avec soin : Prenons, 1 -- 1-11 . - 1 i-e fr OAK' X le cas le (Plus Isim- 2sl,j&y.eqaaz aflnrjajvr-o'* 8
ps infiniment petit, 'de la rue Droüôtâ larue\tontmartre. En pareil cas ; comme'le disait M ? düzChâtèlêt'dü `rriirâclë ?
illets. ! 9b ehsi «rai zar,b Ii-t-s Y ? niLJ3 ? 'in N'est-ce pas-le cas d'dpplique tici 1 ce,'queiMraltèr- S*cotte"dit
.,table.(I'au- topsie r (sarcome, intraventriculaire)./1Dans, des-, cas analogues, on, doit, comprendre .l'embarras, du
ifiés'Il est ,- probable qu'il en est de 'même pour la majorité'des cas ; puisque les chirurgiens,, même ceux'qui-avaien
rrait être justiciable de cette,, opération n,lème «, chose dans le cas de troubles intellectuels dus à,un abcès'du cer-
les e " fa,Ôabl eeâ" ;'S ui- nuer ensuite progressivement dans les cas favorables. » bui- vant lui encore · 1 opérâtio
n . est, peu dangereuse. Ce n'est,pas tout à fait exact, car sur 83 cas que\nous,ayons résumés, dans notre communicatio
que certain de la microcéphalie, il est impos- sible de prévoir les; cas ; dans; lesquels, une opération, sera, suivie d'
e atces questipjis^ qu'après3 la, description minutieuse. de,chaque cas ol)séi-vépendâ, Lu 1 temp, -- suffiât -. - -- - j
tn-j J9-» f'[jJU'].tlq aiûî ? -ju91 ? ijI'I 9upifqo 'I`J/ ? Xi. UN CAS DE 11111CROC1 : PHALIE 'avec' opération de -la' C
été ? praliquée trenterhuit fois, <avec quatre morts. Dans deux cas , la mojt.'jmt.j*qpjn-j(de.,trois , heureSr.lapj
sJS l'opération, probable-, mentipar, suite.de., choc ; ,et,dans,un cas , .la, mort survint le troi-, siemqjoui'j.pèSjl'
tôt. pour» parlrer,( des résultats, dél l'opération, j dansr le s./ cas suivis^ d'amélioration., Par, suite de, l'opéra
ûinëfdééès. Le, REVUE1 'ÏIE1 THÉRAPEUTIQUE' ? *1 283 ? nombre des cas publiés"est' sàhV douté' plus'cbhsidérable, '"car
'.MO ' ? .. échapper. Depuis, nous avons analyse ici même plusieurs cas : , PP, v " P, a ? jj"1-'a7"> '«iiie^i ? » ?
images joyeuses qui remplaceraient les idées noires ; dans tous les cas de lypémanie où il a été employé, à la dose de
üürpïtidûué éé résultat est de quinze à quârâritë'rpinutësrdâüs les cas favorables,' bien qu'il 'puisse être' de deux h
o, b .4(- "% . - -il, » ? '14 2 grammes, mais dans la'majorité des cas 1 gramme est suffisant. Comme' sédatif ; Ogr;33
s'I3nnsncl anol ab 9~"pjs«w~~ 1 ,zso asb ihll « F- i;tn : u Sur 140 cas de folie,puerpérale. observés, par l'auteur, 30 s
ter son intérieur pour errer à l'aventure et à"se"suicider ? sur'64 cas de ..folie puerpérale,à,formelmélançolique ? ha
mélançolique ? hauteurpa ? eneontré 14 tentatives de suicide., Les. cas r de, folie, de. ,1a grossesse ont,trait, ,)[ t
l,0en.lant c ? mm.e Slen- <, lqijz),6qo 'p4 p^h ? Jb lq ? i-" 61 cas de folies de 1 accouchement, ,.40, P. ,100ndestma
ier ,q-1;aecouelieinent et , r4p. 100 pendant le second mois., Les. cas de mélancolie,, sont les . plus fréquents et lg
'accouchement, mais pies, types n'ont .pas la même fréquence : les, cas de manie sont les plus.fréquents. La , lobe pue
excitation maniaque, est d'un pronostic défavorable, sauf dans les cas de ? folie, de t .1 accouchement. ,j« 9)'< ?
rossessè,,de , l'accouchement ou. de'la. lactation : ainsi .sur,30,, cas de folie de la grossesse, il 'éût ,i3 `îiérisôn
r3p 400rêt 1" assaâes à l'état chronique,s ? tt 4p. 100 ? sur, 64, cas folie de I,àci6t, r t-t *ït -2' ')'.1 ? t i 1JJ
n s srzisran avait e]e Lï se f. c noa ia g^vlc-^a ' Enfin, sur 20 cas ..de,folie de la .lactation, .46 guérirent, .soit,
lactation, spéciale,auxj'nuitipares.q «mol . 1 Dans ;3 p. 100 des cas , l'attaque de folie puerpérale n'avait été t pr
vue7dérlétiolôie;l'hérédité` a'éiéïem'egistrée'dans 28 p.' 100 des cas : ett dan's46p. 100 l'alcoolisme» parait1 aVoir-'
eau na ftoz lll9Jeerroo zh ,.)naJB[X9 samo-iboiq Pit) Dans quelques cas qu'elleisoit'considé^ée;|laffoliè, puerpérale est
E. i 289 très marquée du nombre. des globules ? dans. très peu de : cas ,, le pourcentage approche de la normale Le pour
- globine est réduit dans les mêmes proportions; · ' 2° Nombre de cas montrent,une dentelure. considérable des glo- b
l"^i ? 2 < ! a pu ? è'Ii'f"1"1" ! ? 0 : ,tFi' ' LUI. Note SUR UN cas DE perversion sanguinaire de l instinct sexuel;
ion de l'une et l'autre mains. Il estime,' défalcation faite des '' cas où existait un affaiblissenent physique plus ou m
les. deux premiers symptômes, un élément.dominantetûurable.,Dans ce, cas ,,on, a affaire à la fi)lie systéiiialiqzic, ii2
ents étaient atteints de maladies ' mentales ou nerveuses. Tous les cas .de neurasthénie pourraient être répartis en deu
des exemples en' Russie.-1- Ces 29() REVUEIPM PATHOLOGIE MENTALE. cas de folie.exceptionnelle ou,épidémique, exigent ég
e, générale, ,d'une.immunité absolue. L'au- teur a, rassemblé huit, cas , dont.deux.personnels, dans lesquels la z paral
inâlàdes, il,y avait cinq.filles.let trois- garçons : dans un .seul cas , on a note des. idées de grandeur, encore étaie
grandeur, encore étaient-elles peu accusées : dans tous les autres cas , la démence dominait et débutait d'emblée. Chez
tre i * - - * " o. ' U .ji-i~ j.,jV J«- ) 1-it.l ijj nette, aii ^ cas ,et>probable,dans;fl'unl`désJqüatie,autres. Apr
mps après 1 anosmie, d hal- lucinations'du goût semblerait, dans ce cas , indiquer I*éLroitvoi- sinage des aires cortica
evdégé- nérescence ·dès'trâétûsrpvêâmidâitaldêl lar môellé.`Dans le cas par- ticulier, on n a Inallieùreûsëment'pâstpü
t intérêt a'résumer'et à reproduire celle^ observation, puisque des cas récents, en assez grand^nombré ? ont attiré l'a
' 9(J·,, )( -U.O'<M'" ' '' f'.i'f ai t ,Ur ii ., ' LAII1. I)EUS cas de DÎ : VELOPPEfE\T 1\Oftu.lL DU CUIR chevelu; pa
s à démence primitive, et début plus précoce de la démence dans les cas où les maiiife5tations,pri- mitives.sont de iia
vûerelâtif (prüpôrtioni du', chiffre, dès psychoses au, chiffre des cas , d intluenza). , Suivant les données recueillie
L'alcoolisme aurait exercésôu influence dans environ 10 p. 100 des cas observés. z9tgi ? a ;h4 ? QMCee<,Ja pa°t Eti
durée des psychoses consécutives à l'influença ? Dans la moitié des cas environ, et particulièrement chez les sujets jeun
semaine à;un.mois); elle ajdépassé un mois dans l'autre moitié des cas ,, où les sujets atteinte étaient ordinairement
REVUE DE PATI30LOGIE31EN'ALE 3U1 6° Quelle est la proportion des cas guéris, non guéris ou terminés par la mort ? La
par la mort ? La'guérison a été observée dans plus de la'moitié'des cas (56,6p'400);le`passaâé à l'état' chroniqué7dans u
0);le`passaâé à l'état' chroniqué7dans un ! peu plus d'un tiers des cas (35,8 p. 100). Les décès ne figurent que pour le
l'apparition ultérieure d'une psychose ? Dans plus de la moitié'des cas (55', ? p : ' 100); 1 a- psycbose'â' succédé à un
e causalité était admise ici, elle tendrait à prouver que, dans les cas ordinaires de perversion sexuelle, on peut invo-
s' physiques', inertie, jémas, sements, troubles^.digestifs, (lès,, cas mixtes auxquels Cotard a emprunté les aliénés n
chaine réunion ? ,>, ? 18o. 9b w>4r*U Ju .ln,Ut1 eY - En tout cas , loin de guérir rapidement, cette forme morbide
pect des=sÿ·'rrlplômës;je''crois qu'il ? s'agit'pour les'der- niers cas , auxquels 1.1-Falret'alfàit allusion,^' de vérita
tons que la périodè^d'in'vasion peut' êtie ecôiiètéé·. En dehors des cas tons que la périoded'invasion peu j · ecourtée.
cas tons que la périoded'invasion peu j · ecourtée. En dehors de ? cas à longue incubation .qui constituent la règle,
endre gàrde ? d'énvi"sgeî·;cinmerappârtènaütàlcette`exception, lest cas beaucoup plus'nombreux de *- dÉlir6épisddique c
iôïm9, 3 ? . t, IL; L'inégalité pupillaire, existe dans les 4/5 des cas . En réalité cette .proportion, .est .encore ..a
-</ myâdriasé,toüt erij ne se rencontrant que dans le tiers .des cas .' a- J .- '- » 'ijiljjj, -'111 ^j«iAf i' t^SJ-'
1slltquq ? r IX. Le réflexe pharyngien, altéré dans.la'moitié : des cas ? est ^presque toujours aboli ou diminué ;, pre
eitarde pas - à se convaincre qu'il existe dans; presque-.tous, les cas )de[ para- - lysie"générale, à un' degré parfois
erLsoii parle procédé ordinaire; mais qu'il n'a tenu compte que des cas très nets où il existait d'une façon manifester
6tmo 1USI pl,4r jejiefxjr f, liJ5-» ? w.i'> (it. v VI. Szcr u1t cas de paranoïa matricide; rapport z par ih,,m , le
publié l'analyse (.d'un travail, très^ intéressant ? intitirlé : Un cas de lésion secondaire de la couche optique et de
Mai 1894. N° 87 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE mentale SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES' CHEZ UNE PA
leurs à l'épigastre, disant sentir une boule lui monter à la SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 323 'gorge;
dans la genèse des accès délirants qui survinrent, ainsi que SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 325 l'absen
e ne comprends pas ? » ... iti , t . -1, . , 1, , A r, . ,,l SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 327 19 ? ju
dés musclés releveurs de la ''mâchoire, 'pas' de craquements SUR UN CAS D'HALLUpINATIONS. MOTRICES VERBALES. 329 de den
elle va conserver pendant plusieurs jours : elle se bouche , SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 331 les ore
ontaux intéressés du- côté opposé' : ulcérations,~d'ailleurs SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS ^MOTRICES VERBALES. 333 peu ac
Ti;xâminonsTméillo- diquement ces divers points : ZD ? i ? SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 335 jsf -ib
' .. .2.J. Soury/ Loc. cil., p.,370. « .x f ;i 1 1 'HO ? ' SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 337 sible d
la poitrine, l'épigastre,,le diaphragme, etc.). < t, Dans( notre cas , ^'hallucination motrice, verbale n'était loca-
arole"arli- culée. Bulletin médical, 29 juin 1892. » 1 ? 4 SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. '339 111'Lt
ues minutes, et pendant lesquels,) si^on^ lui fc adresse. la SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS"MOTRICES VERBALES. 341 parole;
m^ ui^n ^ tzm ü, - zig' t*r Ce.qu il y a de particulier, dans notre cas , et ce qui (,st.d'ac3b cord avec ce que nous sa
. Thèse Pari", 1881. ' ' 4 .1, ' .3 -9· ,,v-r, s . ,, . ", SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 343 cite tr
", SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 343 cite trois cas ,observés dans le service de,141.Christian. Nous
W `réas - daizs la pa' talysi ? ' i-a ' . (S' -Ir, , ! Magnan." Kena; cas d'aphasie dans la paralysie générale. (Soc. de
d. psychol., 1877.) tfs ? 1 -v.\v j^a-r-^ lin -.4"ifys.t f SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS TIIRIES VERBALES. 345 méninges
comprimant les parties voisines) ; les observations de Pétrina (1 ? cas : trismus durant un jour; à l'autopsie : , tume
ALE ? r ? JTt3 - t. - - - .. ? le' r >j.J d5U .1113 trales; 2" cas trismus très accentué. Autopsie ? gliome du ? v
la partie postérieure,de F3 etlapl : ati F', et Rappelons aussi les cas de Hirt' (mouvements convutsifs, puis,paralysie
i les cas de Hirt' (mouvements convutsifs, puis,paralysie aussi les cas de Hirt1 (mouvements corivulsifs, puis, paralysie
pied de la FA.). , t * , u < Citons enfin, d'après M. Lépinez,le cas d0u ! mont(para ? lysie des muscles masticateur
épine. Revue mensuelle de chirurgie, 1877. ? ? J( : t ^..j.j SUR UN CAS D'FIALLUCINATIONST\IOTR1CES VERBALES. 347 forme
urs mois, 1 Boix. - Loc. cit., p. 433-434. ' r-8t ? 1()'T, SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS, MOTRICES VERBALES. J 1 sans q
helle. (Arlh. de 1'curol. 1892, p. 308 et 1893, p. 262.) 1 SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 351 véritab
ts. C'est au cours de cet accès délirant, aigu, qui montre, dans un cas où l'alcoolisme ne saurait être mis en cause, q
; mais cela n'est pas fatal,, et. l'on peut même dire que, dans les cas types, c'est à ce point précis que s'arrête(la
état statique ; il se condensé -facilement, s'il est mis à nu ou en cas de lésion; mais il est très 374 REVUE D'ANATOMI
ée" en eux, leur existence se passe en partie double. Dans certains cas , il ya incons- cience absolue;, dans, d'autres,
délits ou des crimes.. j9 .ts , ( Passant en revue îles, différents cas signalés dans. les, auteurs, avant même que le
porter, le (diagnostic d'incurabilité.r Tandis que, .dans -certains cas ,laldémenceest tar- dive et ne survient qu'après
? lès''pêusé- cutés persécuteurs; par'éeînplë;inais,ldans''èértains cas aussi, on la voit apparaître précocé;7sucédâlit
e très courté période de troublés vésaniques et', dans ces derniers cas , la 'pl u'*p'à'rt9es auteurs accusent aussi l'h
la sénilité à la suite d'accidents hémi- plégiques, connue dans'le cas historique de Léonard de Vinci; dont l'écriture
rsonnelles d'aliénation causée par cette intoxication. L'une est un cas de manie homi- cide, l'autre une mélancolie sui
première conclusion. C'est que l'autopsie macroscopique doit en un cas donné toujours se faire en vue de l'examen micr
quandjôn véut 1 i'* dier les lésions du centre; ovale ? il est des. cas dans lesquels les divisions de Meynert sont plu
cérébelleuse.j-v- h 0 af[ ! )0(n ef .,<,« ^n'-i ? Dans bien des cas , de lésions, profondes, on,a avantage à enlever
ographie ? ^-«-<-i,<1w too.; f^i.ev-'i- .. jn nJ ; Il est des cas rares dans lesqùels'on'conserve l'encéphale entie
tour de main,' on huile le-1 papier, la numérotation en est en tout cas facile. ^ " ll "' ; "" tlaphoto-raphieides imag
-à tf llrn9,b 881) Â saéwioo Jnos tsatge r M. MOELi ? Dans bien`des cas il faut se garder préci5émeiitid'unv système ét
rer. Colle impulsion lui a imposé l'idée qu'elle est damnée. Eu lou^ cas la contradiction entre les phéno- mènes moteurs
ueuses; elles sont encombrées de malades déments et incurables; les cas récents, les seuls propres à l'enseignement son
n 1894. N° 88 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE , SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE TABES AU DÉBUT
ulte que dans les deux tiers et même dans les quatre cinquièmes des cas ,la paralysie générale reconnaîtrait la syphilis
,1.3;, o ? CLINIQUE,NERVEUSE. "· ,Y ? ? du jour, .il. s'agirait. d'un cas de , tabès. ayant versé dans,la r.t paralysie g
t complètement. Il convient, il est 'vrai," de" faire Ta* part dés1 cas "* frustes ? dans lesquels les symptômes ' sont'
tenaces^ ' peu'`bruyànts ? mais, pour admettre la légitimité de ces cas , est-il indispensable que cha- con désignes com
ARALYSIE GÉNÉRALE'A FORME 'DE TABES AU DÉBUT. 413 et, dans tous les cas ,' on n observe pas ces longs atermoiements, ces
eàt ? U'n'e "manifestation ? initiale'du'tabes, car, dans' tous les cas où cet'auteur l'a' constatée, toujours elle avait
: rCertainëment;4dans leüprincipe; z s'appuyant sur., les premiers cas qui'ont servi de paradygme à z la description d
seraient pas toujours.de la sorte, et que; l'on rencontre- rait des cas atypiques, bien propres à démontrer qu'il n'exist
'comme, entre la moelle et le cerveau. C'est ce dont témoignent les cas de scléroses combinées, ceux de scié- rose laté
iversement' répartis et im- parfaitement caractérisés. Or,,dans ces cas -là, au lieu de con- clure deux maladies distinc
ne c exagéra- tion de doctrine * '. Que l'on porte à son' actif les cas dans lesquels tous autres antécédents personnel
pouvoir aux autres maladies infectieuses. Il 'en est - de même des cas où les antécédents étant relativement chargés,
ndu les démons' dans les exor- cismes,,accuserla dite soeur, de ces cas énormes, au lieu que celles .que l'on prétendce
s jde L magie. et de sortilège ,devant estre punisde mort, étoient., cas 1 psiilégiés, de même , que l'infanticide que p
r ordinaire ou du levier-clef de·Dubois-Réÿmond., Dans le premier cas là, rupture du, courant n'amène que la décontract
pplication du pôle positif produit l'effet inverse. Dans le premier cas toutes les fibres du nerf sont devenues plus ex
es les fibres du nerf sont devenues plus excitables. Dans le second cas , c'est l'inverse. REVUE ! d'ÉLECTROPHYSIOLOGIE
tion de dégénérescence bien qu'on ne la rencontre pas dans tous les cas . Elle consiste dans la diffusion de la contractio
sthéniques la franklinisation suivie d'étincelles sur le rachis. En cas d'insuccès il emploie la galvanisation, les éle
mois. Au bout de deux ou trois mois on obtient la guérison.dans les cas .légers. Dans ceux qui sont rebelles, il faut p
20 milliampères. , » . f- ; D'après ses expériences portant sur 85 cas , M. S. Laborde pense que l'électricité ne guéri
identiques à ceux des autres traitements préconisés dans tous les cas où il ne s'agit pas du pseudo-tabes syphilitique
présentaient des pupilles égales et parmi ceux-là il y avait quatre cas d'immobilité pupillaire réflexe bilatérale. Les
mpathique 11 fois). - En résumé, sur, 93 paralytiques il y avait 64 cas d'inégalité pupillaire dont 51 cas ? de trouble
r, 93 paralytiques il y avait 64 cas d'inégalité pupillaire dont 51 cas ? de troubles de. la motilité des pupilles (19
fs crâniens. Chez les 47 ma- lades indemnes de syphilis, il y avait cas de blépharoptose, et chez les 53 syphilitiques
it cas de blépharoptose, et chez les 53 syphilitiques il y avait 14 cas de blépharoplose. - - Quant à l'état mental, la
stibiée dans les maladies cérébrales. ? M. ScHROETER.En plusieurs cas d'épilepsie le séton m'a réussi. M. PELMAN. - L
isepsie. M. Ideler. La pommade stibiée ne m'a guère réussi qu'en un cas .-111. Schreiber signale un cas, de rémission chez
stibiée ne m'a guère réussi qu'en un cas.-111. Schreiber signale un cas , de rémission chez un paralytique soumis aux.fr
aux.frictions stibiées ? < ? il .. ,\. y . M. Noetel signale un cas de guérison par.ces deux' moyens chez un maniaq
s hémorragies, n'ont exercé d'influence sur la psy-' chopalhie ; 2° Cas classique de, folie à deux, chez deux, soeurs p
s; mais il a vu la paralysie du voile du palais'se produire dans un cas de paralysie périphérique du nerf accessoire et
demi p. 100. Seize fois nous avons autopsié ou opéré. Sur ces seize cas , il y a eu une erreur de, diagnostic» SOCIÉTÉS
celles-ci concernaient des tumeurs- multiples). Restent donc quinze cas d'autopsie avec dia- gnostic`localprécis; dans
uinze cas d'autopsie avec dia- gnostic`localprécis; dans ces quinze cas , la tumeur siégeait 4(yt , ir le 9t7t'SJt"' Jf1
ait faite Pinel à. l'une des sociétés savantes de l'époque. En tout cas , nous savons que, pour, lui, le Sauvage de l'Av
s le dixième jour une période"de-guérison'apparente,;mais-"dans les cas d'une certaine gravité' ceci n'arrive pas et on
la folie systématique' (5'cas) ? = l''cas de syphilis cérébrale; 3 cas d'alcuolisméchronique; = 5'câsdedébilitémentale
ébrale; 3 cas d'alcuolisméchronique; = 5'câsdedébilitémentale; -3 3 cas de démenc é`pââlytique; ? =`5 cas d'idiotie; en
e; = 5'câsdedébilitémentale; -3 3 cas de démenc é`pââlytique; ? =`5 cas d'idiotie; enfin, différentes ma- ladies mental
e et de 1' -, i 1 a^ llarandon de blontyel, 285. 'z' Alexie, , un cas d'incapacité de lire, ou , parZemmer, 190., . "
par Kaan, lil. Antipyrmomanie, par Cappeletti, 46. Aphasie, deux cas d' -, par Gossen, 148; contribution à l'interpr
rprétation des sous-corticales, parBleuler, 197. Aphasiques, un cas de symptômes avec hémianopsie, par Bleuler, 1
s,par Hossi,226.f ? CHRISTINE, de-Suède, par Sarbo, 51 Chorée, un cas de -2 progressive avec lésions anatomo-patholoô
s aliénis- tes et neurologistes de France, 77, Couche optique, un cas de lésions se- condaires de la-, par Ncehanu,21
ement de l'idiotie microcéphalique par la - , par Blanc, 274 ; un cas pour microcéphalie, par Dakermann, 278; un ca
ar Blanc, 274 ; un cas pour microcéphalie, par Dakermann, 278; un cas de microcéphalie avec opération de la linéaire,
l'étude de ..la-précoce; par. Vigoureux, 380. Diphtérie, sur deux cas d'hémiplé- gie cérébrale consécutifs à la -,
]a 'clan*s 'ses rapports avec la loi, par Norton Manning, 41 ; un cas de pots-cholérique, ? par Séglas, 41"; la *àv deu
de pots-cholérique, ? par Séglas, 41"; la *àv deux, par Arnaud, 43; cas de ' à cinq, 7 par R. Semelaigne, 44 ; étiologi
une paralytique ''générale, par Sérieux, 321. Helminthiase, ' un cas d' et de constipation;, en rapport avec un ac
IIÉaucxorsÉr; troubles de la sensibi- lité- générale, - dans un' cas d' post-hémiptégique, par Targowla, 145 ? ,j
st-hémiptégique, par Targowla, 145 ? ,j "' " ' i Hémiplégie, deux cas d'-cérébrale ' consécutive à la diphtérie, par
' grise'de)a moelle; par Kronthal, '219." " - ' Homicide," sur un cas d' suicide, par Amadeï,60. ' 486 TABLE DES MA
de ' ' l'idiotie par la craniectomie, ,r,. . par Blanc, 274 ; un cas de cra-m niectoinie pour ? ,, par, Daker-, ma
; un cas de cra-m niectoinie pour ? ,, par, Daker-, mann, 278; un cas - de =- avec- '. TABLE DES 'MATIÈRES. 487 opé
46 ? ? r~ ' ''' ? z Myélites , symptômes sensoriels ' dans trois cas de Jsvphilitiques, par Forey, 150. '-9 1- - ?
nt par l'électricité, par Dou- iner;443; considérations sur trois cas rares de =, par Ventra, 146; traitement par l'é
cke, 214. Paralysie isolée du grand dentelé, » par Bruns, 186; un cas de is- chémique consécutive^ une em ? . bolie
' Chvosteck, 196.,ri , . Paralysie AGITANTE, nutrition dans ' un cas de fruste, par Schaefer, ' 10J.. t .- -\ .. - n
par OEbeke, 451 : pseudo- et saturnisme, par Vallon, 65 ; sur un cas d'hallucinations mo- trices verbales dans la--
olïurie chez une aliénée, par Wiedmeister, 45. Pont de VAROLE, un cas d'hémorra- gie du -, par Rorie, 196. Pouls, s
ersion jsangui- 1 naire del'instinct-, par Coutagne, r289; sur un cas de folie avee per- '"version -, par Sullivan, 3
. les découvertes ' '' récentes * sur ' le ? par Baker, 150; un- cas de- lésion du ? à 1 diagnostic douteux, par Wes
s et la question du traitement opératoire, r. par B**uns, 459; un cas de mtra-cranienne, par Conolly Nor- ,t man, 2
, 459; un cas de mtra-cranienne, par Conolly Nor- ,t man, 205; un cas de endothé- liale de la dure-mère, par Lish-
98 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
xpli- quer l'origine de la paralysie. Bérard a pensé que dans ces cas il se produisait, sous l'influence du froid, un
uivant le plus ou moins de gravité de la paralysie. Ainsi, dans les cas légers, la lésion serait hors du canal de Fallo
ait hors du canal de Fallope; d'où une compression légère. Dans les cas graves, la lésion siégerait dans le canal de Fa
s que le chagrin, la colère, la frayeur, etc.; Bellingeri cite un cas dans lequel la maladie survint après une frayeu
cliniques. Nos observations sont au nombre de 17. Ce ne sont pas 17 cas que nous avons triés pour les besoins de notre
ant sur toutes les branches de la septième paire; faire pour chaque cas une description détaillée eût été fastidieux, n
ofesseur Charcot (26 avril 1887), l'histoire bien curieuse de trois cas de paralysie faciale a frigore survenus chez de
t à DE LA PARALYSIE FACIALE. il 1 faire la relation ' de 5 autres cas d'hémiplégie faciale dans lesquels il nous a ét
nettement fixé sur les anté- cédents de famille. Mais si, dans les cas suivants, la preuve absolue de la prédispositio
motions morales vives puissent in- tervenir dans un grand nombre de cas à titre d'adju- vants, en tant qu'éléments étio
e chez l'homme n'est pas rare, avec cette réserve peut-être que les cas complets présentant toutes les grandes manifest
'homme que chez la femme. Toutefois, j'en ai observé longtemps deux cas , qui étaient si remarquables à certains égards
aucune étude régulière de la sensibilité; cependant, dans ces deux cas , je n'avais point trouvé d'analgésie, mais plut
nalgésie, mais plutôt de l'hyperesthésie. Observation I. Le premier cas , que j'ai observé le moins longtemps, était cel
une grande bizarrerie de caractère. Le père était indemme de tout cas pathologique. Quant à lui, son nervosisme habitue
e l'homme s'observe si nette, si com- plète, on doit penser que les cas où on rencontre des manifestations limitées imp
qui doivent subir des opérations très douloureuses. Mais, dans le cas de certaines petites opérations, comme l'ex- tr
es dents arrachées et avait ressenti vivement la douleur dans ces cas précédents. Il y a quelques années, un médecin
uait sur le voi- sin. Il ya là une grande distinction à faire de ce cas et de celui de l'homme courageux qui ne veut la
onstamment couverts d'une sueur abondante. La peau est donc en ce cas tout naturellement protégée contre le calorique.
ouas dont le pittoresque l'avait beaucoup frappé, j'appris un autre cas de ce genre. A l'époque de la guerre du Zouloul
Je n'ai pas la prétention d'avoir rien découvert en signalant ce cas . Je le cite surtout parce qu'il appar- tient à
pour pouvoir être perçue en tant qu'accroissement; elle est dans ce cas vingt fois plus considérable que si c'était la
vations que llomberg a relatées en entier dans son Traité sont deux cas d'hystérie. Cornitis montant vicentini noui med
ements irréguliers. Il nous paraît intéressant de rapprocher de ces cas ce que nous avons observé sur un enfant de douz
ouvait être pris d'accès qu'à la maison ou dans des cours.» Dans le cas de Bootius comme dans celui d'Eraste, on ne peu
moins complète que celle d'Eraste. On ne saurait classer parmi les cas d'épilepsie procursive, comme l'ont fait ce tem
e premier comprend l'absence et le vertige ; le second comprend les cas dans lesquels le « corps est tourmenté par dive
aisait que pirouetter du- rant le paroxysme. » Paullini 2 cite le cas d'un enfant de cinq ans qui ne tombait pas au m
cker aurait publié dans les Ephémérides des curieux de la nature le cas d'«une jeune fille qui, à lasuite d'une peur ca
aucune observa- tion nouvelle d'épilepsie procursive, mais cite un cas qui aurait été rapporté, d'après un autre auteu
. Deet7c ? <i. Iena, 1719, p. 26-27. 60 CLINIQUE NERVEUSE. Les cas de Sauvages et de Gaubius, de Thilenius, de Wic
rsive : tous ces malades étaient âgés de plus de cinquante ans. Les cas de J. Franck et de J. Bernt 3 ne sont pas assez
aussi les ranger parmi les observations d'épilepsie procursive. Le cas de Sagar 4 est plus difficile à inter- préter :
course; mais, dans ce moment, il tomba au pied d'un arbre; il 1 Ces cas se trouvent rapportés sur le nom de Scelotyrbe fe
8, t. 111, p. 336. L'auteur dit en note avoir vu plusieurs fois des cas semblables à celui de Bootius. Dans la note suiva
fois, car il pouvait à peine se traîner vers sa demeure. Dans ce cas , il semble difficile de déterminer si l'on avai
rfaitement guéri. Cette observation paraît plutôt appartenir à un cas de chorée; seuls la course et le saut ne s'acco
servation qui se rapproche delà précédente nous paraît concerner un cas de chorée avec accidents procursifs concomitant
ubérance avait été détruite dans toute sa profondeur ». Les trois cas de Toulmouche°- cités par Roth dans son chapitr
l'Anatomie 70 CLINIQUE NERVEUSE. pathologique, de revenir sur ce cas et de l'interpréter. En 1855, M. Moynier' danss
s fournit un bel exemple d'accès précédés d'une aura procursive.-Le cas suivant a été publié par Romberg' dans son Trai
ulaire à la base du cerveau était en grande par- tie incrusté. Ce cas , comme le précédent, est surtout intéressant en
t les accidents que nous étudions comme appartenant à la chorée, le cas de Salgues (de Dijon)'. Observation XVI. Débu
tous les auteurs comme relevant de l'épilepsie. Voici d'abord un cas de Trousseau'. Observation XVII. Il s'agit d'
aucune idée de l'acte singulier auquel il vient de se livrer. Ce cas appartient incontestablement à l'épilepsie proc
enait cependant avoir été pris de vertige à ce moment-là. Dans ce cas , le malade avait des accès ordinaires et des ac
rsive sans accès ordinaires. Courses inconscientes. Dans un autre cas , il s'agissait d'une petite fille amenée à ma c
itation ni délire. Cette seconde observation de M. Hammond est un cas d'épilepsie procursive pure; il aurait été intére
nfcïlle, p. 2 il. 78 CLINIQUE NERVEUSE. - DE L'ÉPILEPSIE. ment un cas d'épilepsie procursive : « J'ai eu moi- même, d
avait pas conscience. Je ne puis m'empêcher d'exprimer que dans ces cas , il ne s'agit pas d'une épilepsie idiopathique,
nutri- tion s'épidémise à tous les points de l'organisme. Dans le cas actuel, il est indéniable qu'il y a raréfaction d
Millier, à propos de ses expériences, fit ressortir' que, dans ces cas , une sensation accompagnant l'innervation centr
t possible que l'appréciation du poids et de la pression, dans le cas où nous soulevons et résistons, soit en partie du
nterne et externe accompli par le muscle. Mais ce n'est point là le cas , car la LE SENS MUSCULAIRE. 87 force de la se
cite l'innervation des nerfs mo- teurs. » Comme preuves il cite des cas de paralytiques ou de parétiques qui peuvent en
t centrifuge de l'énergie nerveuse et ne résulte pas, comme dans le cas de sensation pure, d'une influence affluant par
chiv. de Virclanio., t. XLVII, p. 330), il a montré que dans des cas d'anesthésie cutanée, si le trouble de la sensibi
. Il s'exprime ainsi (Injuries of nerves, 1872) : « Dans quelques cas , par 'exemple dans les amputations de l'avant-b
ses mouvements et régler la force qu'il doit leur imprimer dans les cas parti- culiers. Telle était aussi l'opinion de
reil fondamental des mouvements volontaires. Par contre l'étude des cas de paralysie psychique, portant uniquement sur
sch, que le centre lui-même du sens musculaire est détruit dans ces cas . Il croyait qu'il restait encore un chemin de l
bonne justice de cette supposi- tion ; car l'on trouve que dans ces cas , où il se produit des convulsions limitées, les
ve de nouveau contre l'opinion de Wundt et de Bain. Il rapporte des cas bien connus de Demaux, de Landry, de Bazire, de
et les muscles pouvaient être mis en jeu comme à l'état normal (ces cas se rapportent à des ataxiques). « Ce qui prouve
ncore à cet égard. Il faut espérer que l'étude plus approfondie des cas pathologiques où on observe la dispari- tion du
ducteurs nerveux qui vont de l'un à l'autre de ces organes. Dans le cas actuel la première hypothèse peut être écartée.
de lésion des organes terminaux sensitifs de la peau, car, dans ce cas , ou bien l'anesthésie est durable, et alors il
se d'une maladie des nerfs périphériques; d'autant plus que dans ce cas , l'anesthésie n'aurait pas une élen- due aussi
aurait pas une élen- due aussi considérable. En effet, même dans le cas d'arrachement du plexus brachial, Ross a montré
On ne doit pas admettre non plus de lésion médullaire, car dans ce cas l'anesthésie se réduit à une parésie, à des paral
corps et s'accompagnant de troubles de la motilité. Ainsi, dans le cas d'anesthésie alterne, l'autre bras ne serait pa
les trophiques de ce côté, toutes choses qui n'existent pas dans le cas qui nous occupe, et dans lequel il y a, de plus,
rvical, mais le peu d'importance des troubles trophiques dans uotre cas , écarte toute idée d'altération de ce ganglion.
nomination l'épithète de rhu- matismale, toxique, etc., suivant les cas . Cette observation est très intéressante, mais
Adamkiewicz. Tout d'abord on peut se demander si réellement dans ce cas tout stigmate de l'hystérie faisait défaut. En
s phénomènes isolés ? Il est' même assez commun de rencontrer des cas de contracture spasmodique des membres inférieurs
esthésie est en particulier digne d'être relevée, car dans tous les cas de mono- plégie brachiale hystéro-traumatique,
figure 1 un schéma représen- tant l'étendue de l'anesthésie dans ce cas , et on peut consta- ter que ses limites sont ex
ter que ses limites sont exactement celles que l'on observe dans le cas de M. Adamkiewicz en comparant cette figure à la
out artificielles. N'est-il pas bien plus naturel de considérer les cas de cet ordre comme appartenant à l'hystérie et
Nous résumerons notre argumentation de la façon suivante : 1° le cas d'anesthésie du membre supérieur observé par M.
oints de vue, à l'anesthésie hystérique, il faut reconnaître que ce cas d'ânes. thésie doit rentrer dans le cadre de l'
la circonvolution de Broca, dont l'intégrité était complète dans ce cas ainsi que les parties sous-jacentes du centre o
t à la compression des filets nerveux, qu'il faut attribuer dans ce cas les crises épileptiques. Il s'agirait en un mot
lle mourut LI ente-six heures après sa naissance. S. V. Note sur UN cas DE paralysie radiculaire spontanée du PLEXUS br
ent sous l'influence du traumatisme ou de la compression; dans ce cas , au contraire, les accidents sont survenus sponta
qui l'ont conservé. On verra dans la troisième observation, dans un cas de troubles neveux disparates, combien furent u
équentes à l'amphithéâtre de la Salpêtrière du moins. D. B. VIII. Cas d'hydrocéphalie chez un adulte, avec augmentation
solide- ment soudés depuis longtemps. A. RAOULT. IX. Note sur UN cas de PÉfiIPACHYUÉNING1TE spinale ; par le Dr W.-H
n. Le point le plus important est la preuve donnée que la cause des cas de paralysies extensibles, de types très variés
et peut être à d'autres poisons métalliques. Les symptômes dans les cas types sont ceux qui suivaient naturelle- ment u
s, apparaît graduellement une faiblesse motrice et dans les mauvais cas une paralysie complète dont souffrent davantage
dont souffrent davantage les extrémités inférieures. Dans quelques cas les nerfs de la face et des yeux sont gris et le
teurs et le long du trajet des nerfs. Quelquefois, surtout dans les cas alcooliques et diphthéritiques, les symptômes r
une ataxie très marquée sans grande perte de force musculaire ; ces cas sont connus sous le nom de pseudo-tabès alcooli
son. Le complet retour à la santé est impossible seulement dans les cas où il y a une trop grande atrophie musculaire.
plus ou moins mélangées. La forme interstitielle prédomine dans les cas plus localisés dus à l'influence du rhumatisme,
semaines et la longueur de la convalescence dépend de la gravité du cas et sur- tout de l'étendue de l'atrophie muscula
attaques hysté- riformes. M. CHAMBARD lit ensuite un travail sur un cas de pa- ralysie générale avec délire hypochondri
cortical aux lieux d'élection, granulations épendymaires, etc. Ce cas est apporté à l'appui des idées de M. Baillarger,
riompher. Suivant eux, la folie des persécutions ne serait en aucun cas une affection accidentelle, survenant dans le c
qui, pour nous, est une règle n'est pour lui qu'une exception. Ces cas choisis ne me semblent pas infirmer notre doctr
alors, à l'aide de ces documents, à catégoriser avec exactitude les cas où la transformation est l'exception et ceux, à
hafaudent si bien. leur délire qu'il semblerait être, dans certains cas , la conséquence d'une logique mal appliquée. Ma
la neuropathologie), qu'à cause de la facilité qu'on aurait dans ce cas de fréquenter plusieurs cliniques à la fois sans
vils de donner un certain nombre des salles à la Faculté et dans le cas où l'administration de ces hospices ne voudrait
ille, d'autres pour lesquelles l'hôpital est indispensable. En tout cas , ce n'est pas dans la famille à eux que les alién
on rurale, l'information au médecin de la circonscription de chaque cas d'aliénation mentale est obligatoire pour les aut
9, 0, il.) .) Bien plus, nous pouvons ajouter que du moins dans les cas par- ticuliers dont il s'agit, le modèle dont s
ble M. Delsol au nom de la commission. Il n'y aura donc pas dans ce cas de séquestration dans le sens qu'indiquait M. l
tion proposée. Voilà donc une première distinction : d'une part, le cas où il y séquestration; d'autre part, le cas où
nction : d'une part, le cas où il y séquestration; d'autre part, le cas où cette mesure n'est pas rendue nécessaire par
mération devras'arrêter - nous distinguerions avec la commission le cas où il vivra dans le domicile de ce proche paren
s soins, ce sont les termes mêmes employés par la commission, et le cas où il sera soigné dans toute autre condition, par
les solutions proposées par la commission pour chacun de ces divers cas ? Dans le premier, c'est-à-dire si l'aliéné est
un domicile commun, et lui donne personnellement ses soins; dans ce cas , dis-je, il n'y a rien dans la loi : pas de néc
mission a proposé dans l'article 7. Puis, arrive enfin le troisième cas , celui où l'état du malade oblige de le tenir e
lige de le tenir enfermé, celui que l'on appelait tout à l'heure le cas de séquestration. Dans cette hypothèse prévue à l
ns 138 SÉNAT. au projet de la commission. D'abord pour le premier cas , c'est-à- dire pour les malades tranquilles, qu
e l'article 8, et alors nous ne resterions plus en présence que des cas de séquestration. Malgré l'importance incontest
es dans le rapport de la com- mission, j'ai admis que, même dans le cas où il n'y a pas de séquestration proprement dit
cas où il n'y a pas de séquestration proprement dite, même dans le cas où on se trouve en présence d'un aliéné tranqui
. M. Lacombe. Je sais très bien que l'article 7 ne prévoit pas le cas de coercition ; je viens de dire, au contraire, q
pli- que au cas où il n'y pas de séquestration, mais seulement au cas où le malade est traité dans des conditions ordin
invoquées part. le rapporteur m'avaient fait admettre dans certains cas une certaine surveillance. Mais je n'ai pas con
n dit : Nous nous abstiendrons do surveillance sénat. 139 dans le cas seulement où le père, la mère, le tuteur, le conj
là une exagération des précautions à prendre. Il y a notam- ment un cas qui n'a pas été prévu et qui se présentera cepend
ies désirables; mais au moins faudrait-il à mes yeux, dans tous les cas , assimiler au père de famille les collatéraux d
rojet primitif du Gouvernement, qui restreignait la parenté dans le cas de l'article ? aux collatéraux du quatrième degré
e pas aussi loin la dispense de surveillance qu'on l'a fait pour le cas précédent, cela soit au pointde vue des formalité
a parenté appelée à profiter d'une faveur exceptionnelle. Dans le cas de séquestration, j'admets que l'on exige une déc
, il est vrai par l'état mental du malade. Je compreuds due dans ce cas , vous demandiez une déclaration ; je comprends en
valles que le législateur fait la loi, c'est pour la généralité des cas . Prenez garde : en développant ainsi outre mesu
t constester que le fait ne se produise quelquefois, no- tamment au cas de convoi de l'un des conjoints survivants, - v
exte du projet de la commission, on devait voir appliquer en pareil cas l'article 67. Vous vous trouveriez dans cette s
Je ne sais pas si vous trouveriez un tribunal pour appliquer, en un cas pareil, une pénalité aussi exorbitante. Mais, au
sé pour faire comprendre que le procureur de la République, dans le cas où un fait lui paraîtrait délictueux ou coupabl
ura séquestra- tion, séquestration arbitraire, c'est-à-dire dans le cas prévu par le code pénal. · Messieurs, je ne p
ès bien expliqué tout à l'heure l'honorable M. Lacomhe, visent deux cas parfaite- ment distincts. Pour l'application de
dans son domicile par ses parents à un degré rapproché, et dans ce cas , l'Etat n'intervient pas et nous admettons qu'i
dans un asile qui reçoit un certain nombre de malades, et dans ce cas il reconnaît qu'il faut prendre des précautions t
is il s'agit de faits isolés ! Les lois ne sont pas faites pour des cas exceptionnels. Messieurs, les lois sont faites
ue chosa à faire de ce côté, et s'il ne faudrait pas, dans certains cas , per- mettre au procureur de la République de p
trouve la famille de faire une décla- - SÉNAT. 151 ration dans le cas déterminé par cet article, lorsqu'il est néces-
l a lieu. » On ajouterait ensuite un 4e paragraphe : « § 4.-Dans le cas prévu par le paragraphe 2 ci-dessus, la maison
article est complété par un paragraphe que je vais lire : « Dans le cas où des mesures de surveillance plus complètes ser
rovoquer lui-même cet internement. Il a paru à la commission que ce cas pouvait se présenter, qu'il pouvait y avoir uti
s je diffère aujourd'hui de cette nouvelle rédaction. Ils'agit d'un cas où un aliéné est séquestré, c'est-à-dire où il es
r-Marvaise n'avait pas compris qu'il s'agissait dans l'article 8 du cas seulement où une coercition est nécessaire. C'e
nsuffisance des soins que pouvait efficacement donner la famille au cas d'alié- nation mentale de l'un de ses membres,
t des dispositions de l'article 7, et que l'on ne peut exiger en ce cas un degré de parenté plus rapproché; aussi ai-je l
GAVARD1E. C'est justement là la question ! M. DELSOL. Dans tous les cas , il est possible que ce malade, qui est évidemm
M. LE Président. Je donne lecture du dernier paragraphe : « Dans le cas où des mesures de surveillance plus complète se
elles sont accordées les autorisations énoncées en l'article 7; les cas où ces autorisations peuvent être retirées; les
elons Ciffelinck, fut délégué pour étudier plus particulièrement le cas . Il fit venir la jeune fille et la fit enfermer
à la diète impériale, se rendit à Spire. Plein de confiance sur le cas présenté par la jeune fille, et, poussé par la
t y avoir intérêt pour la gloire de son pays, à faire examiner ce cas le plus promptement possible. Pour ces raisons,
ligne ce que j'ai avancé, laissant à chacun la liberté de juger le cas comme il l'entend, de peur de passer pour parad
ce que je désire également pour moi, qui, avant d'avoir examiné ce cas , étais l'homme le plus incrédule du monde, et a
jours en observation, puis on les renvoie s'ils sont guéris, ou, en cas contraire on les dirige sur Maréville. 7° A Bel
d'être soulevé ou écarté du tronc. Tous les muscles sont en pareil cas intéressés, y compris ceux de l'épaule. Il n'y
supérieur est, à cet égard, singulièrement instructif. Voici des cas où le traumatisme initial paraît avoir eu une c
ara- lytiques furent aussi accusés et aussi durables que dans les cas de traumatismes graves. Ce qui frappe dans l'hi
hésie pharyngienne constituent des signes confirmatifs qui dans les cas douteux rendent les plus grands services. Nou
grands services. Nous sommes maintenant en mesure d'analyser les cas frustes de monoplégie brachiale psycho-trauma-
t la crise convulsive était la manifestation. Voici maintenant un cas plus complexe où la mono- plégie partielle de l
sens musculaire a reparu au poignet et aux doigts. Dans les trois cas que nous venons de passer en revue, les stigmat
Néanmoins l'analogie absolue des symptômes et de la marche de ce cas , comparé aux précédents, ne laisse suivant moi,
ut degré tous les caractères que l'on retrouve toujours eu pareil cas ; la paralysie motrice incomplète, associée à la
et il suffit d'une secousse minime pour la faire éclore : c'est le cas du malade de Berbez. Dans une forme atténuée, l
des objets d'un certain poids, écrire, etc. Il est évident que le cas de cettejeune fille est presque iden- tique, à
thèses ne s'adaptent pas mieux aux particularités cliniques de ce cas . Ainsi, il ne peut être question d'une névrite ra
othèse do la paralysie et de l'analgésie hysté- riques, qui dans ce cas nous semble évidente, n'est même pas soulevée p
d, et, depuis 1879, à Charenton. Mes recherches portent : 1° sur 84 cas observés à Maréville de 1876 à 1879; z" sur 256
ent : 1° sur 84 cas observés à Maréville de 1876 à 1879; z" sur 256 cas traités à la maison nationale de Charenton, du
le début. Seulement, qu'arrivait-il quand le médecin rencontrait un cas de ce genre ? Le patient était mis à la diète,
0 à 50 ans. Toutes les statistiques sont d'accord sur ce point; les cas de paralysie générale précoce (avant 25 ans), o
tc.) ; 3 domestiques; en d'autres termes, près de la moi- tié des cas se sont rencontrés chez des individus dont la c
uel, p. 337.) Je suis arrivé à des résultats différents. Dans les cas où j'ai pu être renseigné (environ 200), j'ai tro
alytique général ; 9 avaient un oncle ou une tante aliénés. Dans un cas j'ai noté l'hérédité en retour : une nièce étai
son par un traitement approprié, au moins dans un certain nombre de cas . Ajoutons que la syphilis, quand elle atteint l
nérale, dont les lésions anatomiques ont toujours, et dans tous les cas , la même étendue et le même siège. Une gomme
autre nature et susceptibles de guérir dans le plus grand nombre de cas . Cette distinction bien éta- blie, il ne me par
survienne peu de temps après une maladie fébrile grave, et dans ce cas il peut bien y avoir une relation de cause à ef
t mort à la fin de 1880, de convulsions épileptiformes. Le second cas se rapporte à un négociant grec, marié, père de
ompagnant d'une sclérose du cerveau, on s'est dit que dans certains cas la lé- sion de la moelle pouvait se propager de
vient que très rare- ment chez les ataxiques : je n'en ai que trois cas parmi mes 340 observations. Par contre, dans la
face a été signalé par notre maître Baillarger. Je n'ai qu'un seul cas où cette cause ait été invoquée. Il s'agit d'un
du Dictionnaire de Decliambre. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 227 t Le cas suivant est encore plus complexe : II. V ? capi
énéraux, il est permis de se demander s'il n'y a pas, dans tous les cas , et à l'origine de la maladie, une influence ét
eau, congénitale ou acquise (au moins dans le plus grand nombre des cas ); 2° Causes occasionnelles : tout ce qui est su
lepsie'post-procursive aurait également pu trouver place parmi les cas de vertiges procursifs. Il n'est pas dou- teux
es pièces déposées à l'amphithéâtre. RECUEIL DE FAITS NOTE SUR UN CAS D'ATAVISME; Par le D'ALEXANDRE PARIS Médecin
phalie. Voici, du reste, ses principales dimensions : NOTE SUR UN CAS D'ATAVISME. 269 les objets très lumineux sont s
la constatation directe des attaques par le médecin, ce qui est le cas le plus habituel. Au point de vue de la médec
auses d'exemptions en y faisant figurer l'hys- térie, mais tous les cas d'hystérie mâle ne paraissant pas a priori abso
égorie des mala- dies aggravées à l'occasion du service. Dans aucun cas , ces para- lysies ne sauraient conférer des dro
écrivains, mais elle est plus rare. L'auteur n'en a réuni que deux cas , tandis qu'il a observé huit fois plus sou- ven
es » n'indique pas le trouble ressenti par les malades. Dans neuf cas , ce sont des contractions des extenseurs, au mo
lieu à une contraction propagée des muscles voisins. Dans quatre cas , il y avait simplement de la difficulté à jouer
radial. Dèux fois la lésion semblait exister à l'épaule. Dans deux cas , le traumatisme semble avoir été la cause de la
KONRAD (Tahrbùch. f. Psych., VI, 2-3.) Dans l'immense majorité de cas d'hallucinations vraies (douze faits sur vingt
l'acoustique; il semble que ce résultat ne se produise pas dans les cas d'hallucina- tions frustes sur les douze faits
en queslion d'hallucinations véri- tables, plastiques, on note dix cas d'hypéresthésie de l'auditif à l'égard du coura
note dix cas d'hypéresthésie de l'auditif à l'égard du courant; un cas de simple modification de la formule, un cas de
l'égard du courant; un cas de simple modification de la formule, un cas de torpeur du nerf. Telle est la substance .utile
h. f. Psych. VI, 2-3.) Sept rapports médico-légaux concernant des cas relatifs à la pratique de chaque jour. Relief é
lecture d'une observa- tion deJarchi (de Buckarest), relative à un cas d'amnésie consé- cutive à un traumatisme crânie
u calme et ne concluait à la nécessité de l'internement que dans le cas où l'excitation persisterait. Ce qui décida la fa
ralysie générale peul-être spécifique. M. Falret conclut qu'en tout cas on lui ferait bien plaisir en le débarrassant du
elques jours sous la surveillance d'un médecin prêt à intervenir en cas d'alerte ; mais je n'aurais pas osé proposer en
se borner à expliquer l'état mental en détail. M. H.\NS-LOEIIR. Un cas de tumeur cérébrale. Une femme de vingt-huit an
ue le traite- ment soit dirigé par un médecin spécialiste ; dans le cas conlraire, l'intervention de la police est néce
les suffisantes et une surveillance médi- cale très active. Dans le cas contraire (et ce cas est malheureuse- ment celu
e surveillance médi- cale très active. Dans le cas contraire (et ce cas est malheureuse- ment celui qui se présente le
ent et même pour son arrêt complet, car dans la grande majorité des cas (82 p. 100) les parents des prostituées on tété
elirium acutum); - 14° imbécillité; - 120 idiotieet crétinisme; 13° cas particuliers qui n'entrent dans aucunesdes formes
gie hystérique, dont le début est parfois subit, peut dans certains cas succéder à une attaque franchement apoplectique
oyen des agents oesthésiogènes ou de la suggestion. Dans les autres cas , les signes de l'hystérie se montrent en toute
nt en toute évidence. Une seconde série d'observations comprend des cas ressem- blant à s'y méprendre aux accidents dét
phale. C'est l'hémi-anesthésie avec ses caractères qui, dans les cas de ce genre, a pour le diagnostic la plus grande
tient le premier rang parmi ces intoxications. Un certain nombre de cas sont mention- nés dans lesquels l'apoplexie et
t le côté droit d'aphasie. La face est parfois déviée, et en pareil cas il y a lieu désormais d'examiner si cette dévia
étude fort intéressante des types moins complets de la maladie, des cas frustes en un mot. L'auteur a passé en revue l'
re qu'elle. Ainsi l'on pourra constater l'existence isolée dans les cas de ce genre, de troubles bulbaires, de la déglu
as cette distinction dans votre article, - je comprends que dans ce cas -là, l'asile privé, qui est devenu public à un c
plus en plus dans les hôpitaux bien aménagés. Il n'y a que dans les cas extrêmes qu'on est obligé d'user de répression,
aidant les magistrats dans la difficulté de leur conduite dans ces cas . Il serait de meilleure politique , et cela con
ères somatiques fixes indépendants de la sug- gestion dans certains cas d'hypnotisme; 2° contre l'école de la Salpêtriè
ature de ces caractères somatiques fixes, paraît, au moins dans les cas semblables au nôtre, dominée par la nature des
qu'elle paraisse l'avoir com- plètement oublié. Son action, dans ce cas semble inconsciente et paraît analogue à celles
Les malades ont des secousses. » Cela ne s'applique guère à notre cas . Barth n'en dit pas plus (th. d'agrégation) et
une du Dr Alexandre (de Livry). Notons, comme diffé- renciant notre cas , l'absence d'hyperexcitabilité neuro- musculair
nce des types trop abso- lus, des schemas qui généralisent trop les cas parti- culiers. Il vaut mieux énoncer dans chaq
sent trop les cas parti- culiers. Il vaut mieux énoncer dans chaque cas la caractéristique clinique de l'attaque de som
e. Un premier caractère capital, qui différencie absolument notre cas , c'est que nous obtenons d'emblée toujours la m
gie. Le caractère distinctif essentiel est la présence dans notre cas de contractures généralisées au lieu de réso- l
cial qu'on comprime), et souvent, étend ses bras en croix ; en tout cas , on ne peut plus en faire entendre ni la faire
somatiques fixes, indépendants de la suggestion. De ce côté, notre cas donne donc, dans la discussion entre la Salpêtr
RE D'UNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE. 353 Donc, la description de notre cas diffère à la fois de la description de la Salpê
x autres qu'il ne faut opposer les deux autres entre elles. Notre cas est le type d'un troisième groupe, très naturel
ccord sur ce point, que la loi en question n'est acceptable en tout cas , que dans des limites plus ou moins restreintes
définition aux excitants coloriés. Cette définition rentre dans le cas de notre percep- tibilité différentielle; mais
mes de maladies (types pathologiques), en ayant soin de choisir les cas les plus caractéristiques. Les conclusions géné
nière (et de la moelle allongée). Jusqu'à ces dernières années, les cas d'hypertrophie pathologique de la nevrogtie pro
mation et plus ou moins dégénéré (syringomyélie), de même que les cas d'hydromyélie, avaient un intérêt exclusivement
surface du corps, y compris la face. C'était déjà non seulement un cas rare, mais absolument exclusif, qui nous laissa
maladie, correspondait aux symp- tômes cliniques de son malade. Le cas du professeur Schultze ", publié quelques mois
ive gauche. L'année suivante, rürstner et Zacher 8 décrivirent un cas plus compliqué, suivi d'autopsie ; mais si nous
pondants, nous voyons en ce qui concerne les phénomènes spinaux, ce cas présenter une grande analogie avec celui rappor
pondants durant la vie; et, fait curieux à noter, c'est que dans ce cas aussi, il y avait hyperplasie de la iievroglie
topsies, Bernhardt a a pu avec grande raison, diagnostiquer dans un cas d'anes- thésie partielle aux impressions thermi
électrique dans l'atrophie musculaire « typique », ad- met qu'un cas de cette ~ maladie rapporté par lui, pouvait ap
éré à un degré très insigni- fiant. Enfin Freud décrivit en 1885 un cas « d'atrophie musculaire avec des troubles de se
e ; le toucher ne fut atteint que du côté gau- che. Freud range son cas côté des cinq observations plus détaillées des
lus détaillées des auteurs cités plus haut, et s'ap- puyant sur les cas suivis d'autopsie, diagnostique chez son malade
leur (et pro- bablement une fragilité des os). Anatomiquement, ce cas de même qu'un autre, avec analgésie et thermanes-
ations anatomiques, Schultze donna en 1885, une description de deux cas cliniques présentant avec un complexus symptoma
les du tableau clinique de la maladie. D'un autre côté, parmi des cas peu nombreux anatomiquement étudiés, il y en a
ement défaut, il sera facile de com- prendre que toute une série de cas de cette maladie passe inaperçue. Mais il suffi
udié anatomiquement pendant une période de quelques années, 7 à 8 cas variés de gliome de la moelle épi- nière et de
les deux voisines, ayant une population de 50,000 habi- tants, 15 cas de la maladie qu'il a décrit sous le nom de par
es de fragilité des os et d'autres symptômes carac- téristiques des cas typiques de la gliomatose centrale, figurent au
ont fait diagnostiquer chez eux une gliomatose spinale; le onzième cas avec troubles limités et peu caractéristiques d
é étudié par nous au point de vue ana- tomique en 1877; deux autres cas encore que nous n'avons pas pu diagnostiquer al
é des Médecins russes en 1879; il y eut naturellement bien d'autres cas qui ont passé inaperçus, mais les données de ce
rapporter à l'affection que nous décrivons. En outre de tous les cas énumérés plus haut, on DE LA GLIOMATOSE MEDULLA
nt ignoré les autres. Ainsi, nous trouvons dans la littérature deux cas que leurs auteurs identifient à ceux décrits pa
e dans la littérature médicale des observations cliniques, d'autres cas qui avaient été perdus, dans lesquels, grâce à
ignalée de symptômes importants, il est possible de reconnaître les cas de gliomatose de la moelle épinière. Ces recher
peuvent pas contribuer à l'élucider. En citant quelques-uns de ces cas , nous avons eu 378 PATHOLOGIE NERVEUSE. princ
jusqu'à présent elle se diagnostiquait pendant la vie dans quelques cas peu nombreux, où le tableau de la maladie a été
manière plus attentive l'état de sensibilité du malade. Dans ces cas , des symptômes fondamentaux plus précoces l'ana
des de son développement. En vue de cela, je ne m'occuperai pas des cas plus rares de la gliomatose centrale, marchant
isoirement), sous une forme clinique type, le plus grand nombre des cas de la maladie, ce qui est important, tant pour
nt prises. Nous verrons en les parcourant, que dans la moitié des cas , sinon davantage, le premier symptôme qui paraî
isposerai mes observations de telle façon, que d'après les premiers cas d'affection complètement deve- loppée, et dans
s. Ceux-ci nous aideront à diagnostiquer l'affection, dans d'autres cas où le développement de la maladie est moins ava
rtit pour la campagne. Je ne sais rien sur son état ultérieur. Ce cas satisfait entièrement aux considérations du dia
lbaires. (A suivre.) Archives, t. XIV. 25 RECUEIL DE FAITS DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ; Par BOURNEV
re d'école en Hollande, pas de détails, ni sur la mère. Deux DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 387 Î frère
ion depuis l'époque où le malade est revenu dans le service. DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 389 1882.3
bondants, sauf sur les tempes; sourcils bruns très épais.. , DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 391 Organes
avoir provoqué cette-mesure..... - ... - - .1 1 - -.... .. , DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 393 La phys
ficile, car le malade contracte sans cesse ses muscles, et si, DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 395 pour y
comme un coq ». Intelligence médiocre : « il n'a pas. trop de DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 397 I débou
6 février. A la suite des injections, il s'est produit trois à DEUX cas d'athétose DOUBLE avec imbécillité. 399 quatre
ontinue à indiquer par signes ce que les autres font, et avertit en cas d'accidents. Il avait pris en affection nne per
Voici les mensurations des membres : a) Membres supérieurs. DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 40'1 'HIC e
aux lits, soit en poussant le dos d'un fauteuil devant lui. Dans ce cas , tous ses mouvements sont exagérés et provoquen
ttends » à l'infirmier qui veut l'aider. Les mouvements ont un DEUX CAS d'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 403 peu dim
erre, les membres supérieurs décrivent 404 RECUEIL DE FAITS. - DEUX CAS D'ATHETOSE DOUBLE. de grands mouvements. Le bra
motrice et l'ataxie héréditaire. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XI. Cas d'atrophie musculaire PROGRESSIVE DU A une HYDROM
aux caractères de ces différents troubles moteurs. Etant donné un cas d'hémichorée, la nature de l'altération causale
harcot, Allie BI. Edwards a rapproché de cette observation quelques cas analogues trouvés dans les auteurs et tiré de l
de l'affection médullaire était suspendu. G. D. XIX. NOTE SUR UN cas DE PSEUDO-.\IIN1NGITE hystérique, simulant UNE
e termina par la guérison et l'auteur pense qu'il a eu affaire à un cas de pseudo-méningite de nature hystérique. La mè
hez celles des classes inférieures. Quand il existe dans le premier cas , on constate la syphilis à coup sûr ou très proba
épendant le plus généralement de la syphilis, qui atteignent, en un cas , lesyslème des fibres périphériques et spinales
uer ce qui suit sur les deux observa- tions décrites. Dans ces deux cas , on constate de la micro- myélie, sans qu'il so
nt aux pyramides dans les cordons latéraux est défectueuse dans les cas de destruction précoce du cerveau. La genèse de c
dans le texte; dans l'autre, les auteurs se livrent à l'examen des cas où l'extirpation de la glande thyroïde fut suiv
aboration avec M. Isch Wall) à laquelle sont annexées une revue des cas du même genre et des considérations sur cette a
genre et des considérations sur cette affection. Parmi les autres cas intéressants suivis d'autopsie dont l'his- toir
une encéphalite avec foyers de ramollissement. Signalons encore des cas d'épilepsie avec démence, imbécillité, un cas d
Signalons encore des cas d'épilepsie avec démence, imbécillité, un cas d'alcoolisme chez un enfant de quatre ans; un cas
, imbécillité, un cas d'alcoolisme chez un enfant de quatre ans; un cas d'ectro- mélie unilatérale avec rein unique, et
e service, d'éclairer SÉNAT. 427 1 l'administration dans tous les cas difficiles, décentraliser les résul- tats des t
également dans une situa- tion complète d'abandon. Pour tous ces cas particuliers, la loi de 1838 avait été insuffi-
que si sa gestion est immédiate, parce qu'il y a à pour- voir à des cas urgents. Or, si M. le ministre de l'intérieur vou
successives, s'il ne serait pas opportun de confier, dans certains cas , l'administration provisoite aux parents ou aux
présisément parce que nous étions convaincus que, dans beaucoup de cas , il faudrait plus d'un contrôleur spécial. M. B
plus haut, mais très cer- tainement je serais arrivé, dans tous les cas , au même résultat dans les dix dernières années
voués, si pratiques, si intelligents ! 1 Vous aviez, dans d'autres cas , lorsqu'il y avait en jeu quelques intérêts un
un malade était atteint de folie furieuse. Vous savez qu'en pareil cas , les malades déploient souvent une vigueur extr
! 1 113, a un enseignement à tirer de ce fait. C'est que dans des cas semblables, c'est-à-dire quand il s'agit de malad
emblables, c'est-à-dire quand il s'agit de malades furieux, sauf en cas de péril imminent pour leur \ie, vous ne devez le
tilité de leur résistance devant trois ou quatre personnes. En tout cas , vous êtes personnellement plus en sûreté et mi
conséquences, à certaines époques, en Amérique surtout, de nombreux cas de suicide et des cas fréquents de folie. 11 n'
nes époques, en Amérique surtout, de nombreux cas de suicide et des cas fréquents de folie. 11 n'est pas jusqu'aux repr
ctifs, et à la pension proportionnelle après dix ans de service, en cas d'infirmités; les services antérieurs dans les
et les services militaires vous étant comptés dans l'un et l'autre cas , pourvu que vous ayez séjourné au moins six ans d
méliorations ne seront pas les dernières. , ' Il y a loin en tout cas .de votre situation actuelle à celle qui était f
es étrangers au comté. Il y a eu 68 admissions. Le caractère de ces cas n'était pas favorable. 32 p. 100 seulement pouv
earsden, 454; - d'aliénés de Beverley, 455. Atavisme (note sur un cas d'), par Paris, 263. Athétose double (deux ca
visme (note sur un cas d'), par Paris, 263. Athétose double (deux cas d'- avec imbécillité), par Bourneville et Pil
cèle empêchant le travail, par Loxton, 109. Méningite hystérique ( cas de pseudo- simulant une méningite tuber- cule
99 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
admi- nistrée par la voix pulmonaire (Grasset); dans ce der- nier cas , on constaterait un sommeil léger, avec éveil i
imaux, il faut employer des doses toxiques (Laborde). 2° Dans les cas d'insomnie, l'action hypnotique de l'acétophéno
se manifeste une parésie du train postérieur et même, dans certains cas , du train antérieur, apparaît un état de somnol
its, nous en ajouterons seulement un (robs. XIV), parce que dans ce cas l'acé- tophénone a produit le sommeil. z Tous
chiffre maximum. Ce médicament reste absolument sans effet dans un cas (OBs. 1) ; dans tous les trois autres, il ne pr
ent des résultats semblables à ceux que nous avons obtenus dans les cas d'agitation liés à la manie; pas plus ici que l
on musculaire, apaisement plus ou moins considérable, suivant les cas et qui peut parfois manquer (OBs. VI). 12 théra
nul. L'hémoglobine de 12 est descendue à 11,30 p. 100. Deux fois ( Cas . XV et XVI), dans les trois observa- tions qui
e fois (OBS. XIV) l'acétophénone a produit le sommeil et, dans ce cas , cette action ne peut être attribuée à une simple
l'effet hypnotique de l'acétophénone a été absolument nul dans les cas de démence paralytique, où nous 16 ô thérapeuti
près la cessation de l'administration à 12,5 p. 100. Dans le seul cas qui constitue ce groupe l'effet hyp- notique de
- deux observations qui précèdent, nous voyons que sur vingt-deux cas (nous pourrions dire sur plus de trente cas), e
ns que sur vingt-deux cas (nous pourrions dire sur plus de trente cas ), et cela peu importe la forme revêtue par l'alié
ue deux fois, DE L'ACÉTOPHÉNONE EN ALIÉNATION MENTALE. 17 dans un cas d'illusions viscérales et dans un cas de démenc
LIÉNATION MENTALE. 17 dans un cas d'illusions viscérales et dans un cas de démence par alcoolisme. A quoi tiennent ces
quoi tiennent ces succès ? L'un d'eux s'explique aisément : dans ce cas (OBS. XII), l'insomnie se rattachait à des illu
nifère de l'acétophénone est indi- recte. Quant au second succès ( Cas . XIV) faut-il l'attribuer à une véritable actio
une aliénation mentale de même nature, c'est-à-dire par alcoolisme ( Cas . XV et XVI), prouvent évidemment que c'est dans
rcher le pourquoi de ce succès. L'acétophénone a-t-elle agi dans ce cas , en calmant, comme le dit la malade, des douleu
ils laissent intact l'enseignement qui se dégage de tous les autres cas dans lesquels cette substance ne produit aucun
ches que nous avons pratiquées sur le sang et qui, dans beaucoup de cas , nous ont montré, sous l'in- fluence de cette s
ogiques. Toutefois, l'Observation XII démontre que, dans certains cas , l'acétophénone produit indirectement le sommei
quoi vous me parlez ? » L'examen direct ne sau- rait être dans ces cas , et ce sont les plus nombreux, d'un bien grand
ie la plus essentielle de l'expertise dans l'immense majorité des cas , souvent elle est encore la seule possible. C'est
e caractères qui, sans doute, ont été notés par d'autres dans des cas isolés, mais qu'il ne sera pas dépourvu d'intérêt
e le coupable aitcédé à des impulsions ? Certes non; il est dans le cas d'être pyromane, voilà tout; le mobile quoique
n'opèrent qu'à ce moment; nos deux premiers malades étaient dans ce cas . Sous l'influence de l'alcool, ces aliénés sont
ont porté son mal à l'apogée en le ren- dant criminel. "Et, dans ce cas , il faudrait se garder ' d'attribuer à l'ivress
dre physiolo- gique, morbides dans l'ordre pathologique. Dans les cas dont nous nous occupons, la prédisposition mor-
sion. Or, si, en ville, les incendies sont rares et dans tous les cas ne sont jamais un sujet de grande préoccupation,
ime est commis. Si le malheureux a gardé pour lui seul, et c'est le cas dans la pyromanie, le secret de la lutte doulou
tés imbéciles. Cinq des six que j'ai eus à examiner étaient dans ce cas ; le sixième, intel- ligent, avait été épilepti
première fois dans notre Observation I et une seconde fois dans un cas spécial que je résumerai brièvement. Il s'agit
I, IV et V et méri- tent d'être recherchées avec soin dans tous les cas , par les témoignages de l'entourage; coïncidant
car, il ne faut pas oublier qu'en médecine légale, il n'y a que des cas particuliers. Cette science, en effet, n'a pas
existence propre, elle n'est qu'une science d'application et chaque cas est une espèce qui doit être examinée en soi. L
'avait jamais commis d'acte de méchanceté. Il me semble que dans ce cas le diagnostic ne pou- vait guère embarrasser l'
, elles ne s'étaient plus montrées. II y avait certainement dans ce cas des données suffisantes pour diagnostiquer la p
nir pyromane, et du même coup le voilà doux, obéissant et sobre. Le cas est plein d'intérêt scientifique. Il n'est pas
es qui, dit-elle, la débarrasseront de ses mauvaises idées. Dans un cas de pyromanie chez un malade intelligent, avoir
du plus profond de l'inconscient. II. Dans un très grand nombre de cas le diagnostic de cette maladie est impossible p
nts sur l'état de leur esprit au moment des crimes. III. Dans ces cas le diagnostic peut être rigoureu- sement établi
. 1 Archives de Neurologie, t. X, n" 30, 1885. RECUEIL DE FAITS CAS D'IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU Par le D
couche de substance grise, moins épaisse à la vérité que dans les cas vulgaires de paralysie générale, mais tout aussi
TROPHIE DU CERVEAU. 61 être récent. Elles n'auraient, dans tous les cas ,provoqué aucun des symptômes que révèlent d'ord
ppari- tion et de la disparition des idées délirantes dans certains cas , sur le développement lent, mais continu dans d
Le pronostic est mau- vais, cependant on n'observe jamais dans ces cas une démence consécutive véritable. En 1867, G
s sont émotifs, méfiants, misanthropes, souvent onanistes. Dans ces cas , surviennent souvent des illusions et des halluci
rence est telle qu'on croirait à un délire fébrile. Dans cer- tains cas il y a des impulsions; dans d'autres, au contrair
complet. Aussi Westphal fait-il rentrer dans ce groupe beaucoup de cas de mélancolie avec stupeur et les catatoniques
ions typiques de cette dernière; le délire' généralement dans ces cas une couleur érotique. Krafft-Ebing1 dès la prem
) des délires systématisés (Wahnsinn). Max Buch2 (1881) rapporte un cas de folie systématisée aiguë primitive survenue
ssant son caractère pa- thogénique. ' Aloeli7 (188 : ) décrit des cas de folie systématisée, déve- loppés à la suite
y. p. 6.) Il signale l'augmentation, dans ces dernières années, des cas de Paranoia, et cette transformation des formes
il n'admet pas l'existence des formes aiguës, tout en décrivant des cas à marche aiguë, guérissant en quelques semaines
. Zeit.sck. f. Psgch., > B. XL, 1883). L'auteur a trouvé dans ce cas une altération des espaces péricellulaires de l
e'gauche ; 8° la couche optique est absente. Pour tirer parti de ce cas complexe dans lequel, comme le montre mieux enc
icroscopique, tant de tractus ont dégénéré, il faut le comparer aux cas purs, typiques, bien démonstratifs, à lésions p
lives, le noyau lenticulaire forment un appareil continu ; dans les cas de pertes de substance congénitales et totales
mais quand un seul de ces organesa subi cette altération ; dans le cas d'atrophie bilatérale, la dimi- nution des cell
utes (nécessité de la respiration artificielle) ; dans le der- nier cas , l'auteur a réussi à obtenir une réaction neutre
posés phésphatiques organiques de la substance corticale). En tout cas , l'acidification représente un processus non cada
est né, de toutes*pièces, sans phase préparatoire. Dans le premier cas , l'incurabilité est la règle, comme je me suis
puis longtemps prouvé, d'ailleurs, que, dans l'immense majorité des cas , ces malades sont véritablement im- prégnés d'h
édiat de la rupture exerce une action nuisible. Du reste, en pareil cas , on ne se soumet guère aux injonctions du médec
ui se soit échoué à l'asile. Discussion : M. MENDEL. Supposons le cas d'une jeune fille entrée dans un asileà seize a
ns le quartier de surveillance pour venir prêter la main la nuit en cas de besoin. Le cabinet d'aisances ne saurait êtr
EB. Admet-on aussi des pensionnaires dans ce quar- tier ? En pareil cas , il a éprouvé des désagréments. M. Siemens. A M
liments et que l'aliéné consomme sa propre substance. - Dans maints cas , on maintiendra l'état des forces, du moins 4 V
t cela échoue-t-il, on est autorisé à s'armer de la sonde, mais ces cas -là sont énormément rares. M. OEaEKii. Du traite
tion forcée sont tour à tour ou simul- tanément utiles, suivant les cas . Tout est bon ou tout est mau- vais selon les m
Les uns adoptent une expectation armée. A côté de cela, il y a des cas irréfutables où il faut agir. Enfin les autres
e, soit par des lavements de peptone et de vin, sauf à recourir, en cas de nécessité, à la sonde oesophagienne, soit dire
herche des tractus qui gagnent l'écorce est plus difficile; en tout cas , l'écorce ne subit en pareil cas aucune atrophi
écorce est plus difficile; en tout cas, l'écorce ne subit en pareil cas aucune atrophie. Centres des animaux nouveau-né
lobe olfactif doit être rattaché au lobe pariéto-occipital. En tout cas l'ablation du lobe frontal laisse intact le rub
ue d'un côté est incompréhen- sible. Sans doute, dans la plupart de cas d'aphasie, la lésion occupe l'endroit classique
l'endroit classique de l'hémisphère gauche, mais il y a aussi des cas où la lésion existait à droite. Expliquer cela pa
» Étude de critique médico-légale. Le devoir du médecin, dans le cas de responsabilité douteuse, consiste simplement à
pparaissent brusquement, sans cause occasionnelle, surtout dans les cas de délire de persécution. Mais il existe aussi
ébilité mentale ou provenir de la débilité mentale. Dans le premier cas , il s'agit d'une folie systématique progressive
ants. En réalité, les psychoses combinées n'existent pas. A côté de cas purs repré- sentant les types indiqués par la t
sentant les types indiqués par la théorie, il existe une foule de cas mixtes qui, pour la plupart, se tiennent par le l
nombre d'observateurs soient convaincus qu'assez souvent il y a des cas auxquels on peut donner un nom aussi bien que l'a
constatait, quelques jours après son premier examen, que six à sept cas d'albuminurie. Il s'agissait d'individus attein
émorrhagies supplémentaires, l'auteur rappelle un certain nombre de cas de sueurs de sang, sous l'influeuce de la fraye
lémentaires ; - 5° la cause de mégalomanie paraît-être, en certains cas l'illégitimité des naissances ; 6° la terminaison
galement les voisins qui pouvaient être à même de bien connaître le cas de la jeune fille et d'en parler sciemment, pou
oin, les membres de la mission retournèrent chez eux et remirent le cas tout entier au premier magistrat. Ce dernier, p
même état, on fut suffisam- ment convaincu qu'il n'y avait dans ce cas aucune.super- cherie, ni aucune fourberie. On l
pour le gouverneur de l'île Saint-Jean. On lui deman- dait, pour le cas où la jeune fille viendrait à mourir, qu'il ne
rendîmes chez le gouverneur d'Erlach,que nous interrogeâmes sur le cas qui nous intéressait, mais il affirma qu'il n'a
la suspension des règles, etc., se retrouvent dans la plu- part des cas de ce genre. A quelle maladie rattacher les phé
us n'ait pas complété ainsi qu'il l'avait promis - sa narration, ce cas nous a paru de- voir intéresser nos lecteurs, l
taujourd'hui à lamode 1. Bourneville. ' Ce fait est à rapprocher du cas de Louise Lateau ou la stigmatisée belge dont n
ateau ou la stigmatisée belge dont nous avons publié l'histoire; du Cas d'un idiot jeûneur, inséré dans le Compte rendu
e projet aurait laissé la nou- velle loi impuissante à prévenir les cas les plus habituels de sé- questration arbitrair
se préoccuper. Telle est celle des dispositions à prendre dans les cas , moins rares qu'on ne pense, où une per- sonne
son internement. Telles sont encore les mesures à prévoir dans les cas où une per- sonne reconnue aliénée et dont l'in
us, mais qui souvent ne sont que des simulateurs et sont, en tout cas , des êtres dangereux dont la présence à l'asile f
ofonde. Il n'y a que le champ d'action qui soit plus étendu dans un cas que dans l'autre : gouverner, c'est administrer
rtement, tandis que le projet de la commission du Sénat prévoit les cas où la commission devra résider de préférence au
observations intéressantes, parmi les- quelles nous citerons : « Un cas d'anurie hystérique guérie par la cure d'une ul
oduire par suite une préci- sion plus grande dans le diagnostic des cas complexes, aussi bien que des cas simples d'aph
lus grande dans le diagnostic des cas complexes, aussi bien que des cas simples d'aphasie ? Je ne le pense pas. Si elle
trer conjointement à d'autres surdités partielles ; c'é- tait le cas des individus dont je rapporterai plus loin l'o
el je donnerai le nom de surdité verbale centrale. La plupart des cas de surdité verbale centrale se présenteront ave
Bernard. Loc. cit., p. 157. 2 D'Heilly et Chantemesse. Note sur un cas de cécité et de surdité verbales. (Progrès méd.
dente, qui est pourtant de beaucoup la plus ordinaire. 11 est des cas où la lésion de la première circonvolution tem-
n'ai rien à y ajouter. Il est donc possible que, dans cer- tains cas , la mémoire visuelle des mots supplée au défaut
re des images orales. Qu'il en soit ainsi dans un certain nombre de cas , c'est ce qui ne me semble pas contestable; on
de lésion du centre de la mémoire auditive des mots ; et, en pareil cas , l'amnésie ne sera pas nécessairement le premie
davantage, et cette restriction faite, je reconnais que , dans le cas de lésion légère du centre des images orales, o
ibuée à une atteinte du centre des images orales, et, dans tous les cas , elle constitue une forme clinique spéciale. On
'on lui adressait, et s'impatien- tait de ne pouvoir répondre. » Ce cas parait apparte- nir à la variété qui nous occup
apparte- nir à la variété qui nous occupe ; il en est de même du cas de Frânckel * : « Lorsqu'on questionnait le pat
it de même pour l'écriture.. » Je rapprocherai de cet exemple ces cas d'écholaliques qui. répètent la question posée sa
ff ne pouvait comprendre la parole qu'en la répétant. Dans les deux cas , à un examen superficiel des patients, l'aphasi
communiquer avec l'enten- dement ; on aura perdu en outre, dans ce cas , l'ima- giration orale. Alors deux choses pourr
ntale, ou bien elle ne sera pas comprise du tout. Dans le premier cas , on s'explique le fait par l'inté- grité de la
grité de la mémoire des mouvements de la parole ; dans le second cas , par le défaut de fonctionnement de cette mémoi
e manière, et on ne peut imaginer d'autre intervention, en pareil cas , que celle de la mémoire des mouvements de la p
on motrice aboutis- saut à l'articulation des mots. Dans le premier cas , les images formées sont le résultat d'actes pé
r et de juger saine- ment ces données périphériques; dans le second cas , les images (si je puism'exprimer ainsi) sont m
bien que habituellement on ne s'écoute pas parler; dans tous les cas , les sourds eux-mêmes, qui ne peuvent pas s'en-
alors que celle des impulsions orales est supprimée. Enfin, dans le cas de répétition exacte des mots prononcés par aut
rtant la notion exacte des caractères ainsi tracés : il y a dans ce cas fonctionnement de la mémoire des mouvements de
l'écriture avec repos de la mémoire des impulsions graphiques. Le cas de Marcé, déjà cité plusieurs fois, est un exem
- moire des impulsions graphiques n'est pas moins certain dans le cas de M. Pitres 1. Il me semble pouvoir conclure d
uivie ou non d'intelligence de ces mots (voir Fig. 4).. i. Il le' Cas . La parole pénétrant en Au suit le trajet in- t
comprise s'il y a interruption des trajets mpIV et Paefmo IV. 2e Cas . Après avoir été répétée, la parole, non com- p
omprise par la voie Paefmo IV. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE UN CAS DE PARAMYOCLONUS MULTIPLE; Par E.-A. H011fÉN,
ofesseur d'Anatomie pathologique à l'Université de Helsingfors. Les cas certains, publiés jusqu'ici, de cette affection c
ou six ; aussi la symptomatologie en est-elle peu fixée encore. Le cas suivant de mon service, qui présente quelques d
ans les cuisses, quelque temps plus tard aussi dans les bras, et UN CAS DE PARAMYOCLONLS MULTIPLE. 201 rarement à la fa
ieds l'un de l'autre, surtout s'il ferme en même temps les yeux, UN CAS DE PARAMYOCLONUS MULTIPLE. 203 il lui arrive fa
voit donc qu'il s'agit ici d'une observation du même genre que les cas de paramyoclonus multiples relatés par Friedrei
où Sclitiltze jelate la continuation de l'histoire de la maladie du cas de Friedreich, néphrite, qui s'est ajoutée à la t
7t<<'mpo'Y<7tea. février 1881), considérée par S. comme un cas de paramyoclonus multiple, mais dans laquelle il
ez sûr. ° Deutsclee .lledzüwischc Woclienschrijl, 188G, n° 21. UN CAS DE PARAMYOCLONUS MULTIPLE. 205 tout à fait spon
fonctions digestives et urinaires restent intactes. Cependant ce cas présente quelques différences avec les pré- céd
, dans une faible mesure, sur les muscles de la face, comme dans le cas douteux de Silvastrini ; tandis que dans l'obse
à une demi-heure. Les secousses étaient presque continues dans le cas de Seeligmüller ; dans le nôtre, il pouvait arriv
eps fémoral pourtant rarement plus d'une demi- , heure. Aussi notre cas a confirmé la remarque de Friedreich que l'inte
e Friedreich et de Lôwenfeld, tandis que c'était le plus souvent le cas dans celle de Marie, de Seeligmüller et la nôtr
e position du corps amène aussitôt une série de secousses. Dans ces cas , les secousses ont disparu pendant le sommeil ;
les secousses, au point même de les supprimer tout à fait. Dans le cas que nous relatons, on réussissait à provoquer a
i par une excitation mécanique des muscles mêmes. Dans les autres cas , les réflexes tendineux, au moins les UN CAS DE
mes. Dans les autres cas, les réflexes tendineux, au moins les UN CAS DE PARAMYOCLONUS MULTIPLE. 207 réflexes rotulie
les réflexes rotuliens présentaient plutôt une diminution. (Dans le cas de Silvastrini, le réflexe rotulien 'manquait.)
e l'obser- vation de Seeligmüller et de la nôtre, car dans les deux cas la face était affectée et le mouvement volontai
, un autre. Quant à la chorée électrique, au moins une partie des cas de cette,maladie mentionnés par Henoch doivent
que le malade dut renoncer à son travail de charpentier. Dans les cas de Lôwenfeld et de Marie, il n'est pas cité de ca
Ce traitement a, au contraire, eu une action bienfaisante sur les cas de Friedreich, Lôwenfeld et Seeligmüller. La na
. Schultze2 fit avec un résultat tout à l'ait négatif l'autopsie du cas de Frie- dreich et l'examen microscopique du bi
cellules dans les cornes antérieures de la moelle ; mais dans notre cas et dans celui de Seeligmliller, la face étant a
à des formules représentant bien moins la règle, la généralité des cas que l'on devait être tenté de le conclure des a
malades. Après cela, M. Witkowski sera peut-être satisfait. En tout cas , nos lecteurs verront qu'ils n'ont pas eu tort
elles nous reviendrons tout à l'heure. Voici d'abord le tableau des cas de la première catégorie : 216 CLINIQUE NERVEUS
atégorie : 216 CLINIQUE NERVEUSE.TEMPERATURE DANS L'ÉPILEPSIE. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 217 Î rature a fourni
nne de 5 à 6 dixièmes de degré. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH ; Par Peul BLOCQ, inte
phie très complète de la question, basée qu'elle est sur tous les cas épars jusque-là dans la littérature. M. Teissier
ur incoordination motrice crut graduellement jusqu'au point où UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. -219 elle en est actu
s dans quelques observa- tions. Nous avons noté avec soin dans ce cas que l'occlusion des paupières n'exagérait en au
ans un autre travail ', il avait déjà in- sisté sur sa rareté (cinq cas sur cent cinquante). 11 rapporte cependant dans
eur, mais la 'genèse des idées qui est prépondérante Comme dans les cas de Mendel, il s'est écoulé un certain intervall
aiguë partielle de Rretz', les délires d'épuisement de Voigt, le cas de folie systématique primitive de M. Buch. enc
nt difficile de démontrer l'enchaînement psychopathique pour chaque cas particulier; mais l'un d'eux est clair (une fem
sceptiques, damnés, pourris, immortels). Mais dans la plupart des cas , c'est la Ve ? -rûcktheit qui en constitue le fon
ffecte un rapport semblable avec la débilité mentale. Tels sont ces cas de folie systématisée partielle et stationnaire
'intelligence conserve pendant longtemps une assez grande vigueur), cas à côté desquels on trouve des formes de folie s
ide. L'auteur décrit la forme chronique type en disant que tous les cas chroniques tendent à la systématisation proprem
de l'esprit, 1883. Trad. française de Ger- mont. ' Spitzka. - Un cas de monomanie originaire (in médical Times and G
maladies aiguës, ménopause, traumatismes). Cependant, même dans ces cas , l'influence héréditaire existe la plupart du t
par une lésion originelle des centres perceptifs. 3° Les prétendus cas de lypémanie avec délire des persé- cutions dan
de persécution caché sous les idées hypocondriaques. 5° Certains cas de folie hystérique qui présentent un délire ér
délire érotique sans rémission. (Meridin et Schaefer.) 6° Certains cas de claustrophilie ou de claustrophobie mal inte
s), les graphomanes à idées de grandeurs ca- chées. 0 8° Certains cas types de folie lucide ou raisonnante. 90 Les ex
e et ils invoquent les argu- ments suivants : il Absence dans ces cas d'un élément constitutionnel pou- vant faire pr
hercher une prédisposition dans les antécé- dents. 3° Souvent ces cas guérissent, quelquefois il en résulte un certai
II. Paranoia psychoneurotique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Un cas DE TUMEUR DE la glande pinéale; par K. PoN- TOP
. K. III. SUR UN COMPLEXES symptomatique TOUT particulier dans UN CAS DE LÉSION DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE;
et des nerfs (proces- sus chronique) ; il est donc bon de mettre ce cas en parallèle avec les faits de Joffroy, Lancere
réflexe plantaire à droite, mais c'est là tout. P. KERAVAL. V. UN cas DE chorée spasmodique; par ROLIEtt. (Arch. f. P
ite MULTIPLE ; par HIRT. (Neurolog. Centralbl., 1884.) Il y a des cas dont l'évolution ressemble à celle du tabes dor
t relatées, mais elles sont dépourvues d'autopsie. A rapprocher des cas de Déjerine (Académie des sciences, 1883. Archi
lligent et sans instruc- tion. Au même temps, comme dans le premier cas , les téguments de l'oeil primitivement insensib
d'appliquer ces données expéri- mentales au traitement de certains cas de paralysie hystérique où l'on pourra obtenir
tre l'évolution du délire chro- nique observée dans des milliers de cas . Tout au plus pourraient- ils être envisagés co
ann et Grunewald. Il annonce qu'en ce qui concerne la recherche des cas dans lesquels on a fait usage de la latitude lé
ades étaient aliénés avant l'accident. M. ScHROETER. Sans doute les cas que j'ai cités ne sont pas des cas de psychose
. M. ScHROETER. Sans doute les cas que j'ai cités ne sont pas des cas de psychose traumatique classique. Sans doute, au
stes et la détermina- tion de leur nombre. Notez que la plupart des cas , 95 p. 100, sont des cas dont la solution est h
n de leur nombre. Notez que la plupart des cas, 95 p. 100, sont des cas dont la solution est hors de doute; un spécialist
à proximité et comme une dépendance d'un asile-ferme qui reçoit, en cas de besoin, les malades de la colonie. L'Ecoss
et ne lui a laissé d'autre refuge que l'asile des aliénés, dans les cas où les troubles de l'intelligence, presque insé
départementale, avec aide de l'Etat, au moyeu de subventions, le cas échéant. Je trouve en outre que cette rédaction t
erreur sur la portée de cette question, je crois que, dans tous les cas , la question pouvait se poser en ces termes, vo
s'entendent entre eux pour créer un asile commun, mais aussi, au cas où un département s'entend avec un asile privé po
n au texte du projet du Gouvernement, qui prévoyait uni- quement le cas où plusieurs départements s'entendraient entre
un seul département, qui l'administre seul. 11 s'est passé, dans ce cas , ce qui se passe par- tout. Le grand établissem
d'aliénés. Je con linue la lecture de l'article 5 : « Dans tous les cas prévus par les règlements d'administration fait
vais eu retirer mes malades». Mais je comprends que, dans certains cas , cela pourrait avoir de 284 SÉNAT. graves inc
ique déter- mineront les conditions auxquelles seront accordées les cas où elles pourront être retirées, et les obligat
on, une fois accordée, pourrait être révoquée, et précisant soit le cas de suspension, soit le cas de retrait d'autoris
rait être révoquée, et précisant soit le cas de suspension, soit le cas de retrait d'autorisation. Je voulais donc de
lles sont accordées les autorisations énoncées en l'article 7 ; les cas où ces autorisations peuvent être retirées ; le
ment à un règlement d'administration publique qui pourra prévoir le cas dans lequel l'autorisation accordée par le Gouv
Mais ce que je voudrais, c'est que l'article 5 visât directement ce cas et déclarât, par exemple, que le directeur d'un
les seront accordées les autorisations énoncées en l'article 7, les cas où ces autorisations pourront être retirées ».
le conseil de famille eût été consulté. Il me parait que les deux cas ne peuvent pas être assimilés, parce que la gar
t mem e dans un hospice. » C'estévidemmentau premier de ces trois cas , celui où le conseil de famille a autorisé le t
garantie suffisante pour qu'il n'y ait pas lieu de soumettre en ce cas les malades à la sur- veillance de l'autorité p
une exception aux règles des garanties que l'on édic- tait pour les cas ordinaires. Dans un- cas comme dans l'autre, on
s garanties que l'on édic- tait pour les cas ordinaires. Dans un- cas comme dans l'autre, on a, dans le lien qui unit l
rend cette acception inadmissible ; l'aliéné étranger est, dans ce cas , celui qui n'a, avec la personne qui le soigne,
qui sera traité soit dans sa famille, soit par un étranger, dans le cas qu'indiquait, par exemple, l'honorable M. Paris
e par ses ascendants, ses descendants ou son conjoint ; et, dans ce cas -là, la commis- sion n'avait pas entendu c'est l
uestration. Puis, elle avait prévu une seconde hypothèse : c'est le cas où l'aliéné serait soigné par un parent ne figura
r un parent au delà du quatrième degré, ou par un étranger. Dans ce cas , la SÉNAT. 299 commission avait cru qu'il y a
r, la surveillance de l'Etat devrait êlre obligatoire dans tous les cas , même lorsque l'aliéné est au milieu de ses plu
générale. VI. Hystérie chez les jeunes garçons. -VIl et VIII. Deux cas de con- tracture hystérique d'origine traumatiq
se. Plclivinéningite cervicale. XI et XII. Cécité verbale. XIII. Un cas de suppression brusque et isolée de la vision m
t dans le traitement de l'hystérie. - XV111 et XIX. A propos de six cas d'hystérie chez l'homme.-XX,XXI, XXII. Sur deux
achiale hys- térique, de cause traumatique. - XXIII et XXIV. Sur un cas de coxalgie hystérique de cause traumatique che
coxalgie hystérique de cause traumatique chezl'homme. XXV. Sur un cas de contracture spasmodique d'un membre supérieur
e en conséquence de l'application d'un appareil à fracture. - XXVI. Cas de mutisme hystérique chez l'homme. Un appendic
i que les notions indispensables à un examen de doctorat. Dès qu'un cas embarrassant se présentait, ils fournissaient d
erve dans ce pays les opinions les plus fausses sur les aliénés. En cas de besoin il va consulter plutôt les sorciers que
récidive) quatre guérirent, quatre restèrent améliorés. P. K. Un cas DE contagion nerveuse; par KREUSER. Le Dl Kreus
tières FÉCALES. Le D G.-W. SoufRKsd'ËastAvon (New-York) rapporte le cas d'une petite fille de quinze mois, pour laquell
des ovaires comme cure DE l'épilepsie. Le Dr Schramm rapporte deux cas dans lesquels il a enlevé les ovaires sains pou
erons de l'épi- lepsie procursive proprement dite, c'est-à-dire des cas où la course constitue à elle seule l'accès épi
il s'accroche avec les mains aux objets qu'il rencontre, et, en ce cas , s'il ne les a saisis que d'une main, il s'enro
chez 'ce malade. ARCIIIVES, t. XIII. 23 354 clinique mentale. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 355 trouvâmes à l'a
t très malpropre. Hydrothérapie. tS'eeM&re. Devient gâteux. CAS DE MELANCOLIE AVEC STUPEUR. 357 Octobre. Même é
en déterminer l'occlusion, il se décide à respirer par la bouche. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 359 On constate alo
it, rien de nouveau sauf vers minuit quelques efforts pour vomir. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 361 Les jours suiva
ette scissure jusqu'à la pointe occipitale 7 centimètres et demi. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 363 saillie qui dép
la stupidité considérée chez les aliénes. ·I hse, Paris, 1833. , CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 365 matoire ou à un
nées à de la stupeur. Aussi devons-nous faire des réserves, dans ce cas , sur le rôle de cette hypertrophie, à moins d'a
ontales, qui parais- saient normales. Nous ne pouvons donc, dans ce cas , que nous~livrer à des hypothèses. Il en serait
ue nous ne parviendrons à bien connaître que par la multiplicité de cas semblables. ' Luys. - ri-aile clinique et prati
'asystolie. Ceci nous prouve qu'il faut agir avec prudence dans ces cas . Quand, après quelques injections ou ne voit pa
y avait également défaut d'amnésie et articulation normale dans le cas de 11. Giraudeau; maison pouvait alors s'expliq
pour le malade de M. Giraudeau ; mais il est probable que, dans ce cas , étant donné la lésion du centre des images ver
absolue de l'imagination orale me fait penser qu'il s'agit ici d'un cas de surdité verbale brute. Il me paraît aussi in
e et de la surdité verbale brute. J'ai le souvenir très net de deux cas de ce genre, dont je n'ai malheureusement pas r
rouble de l'articulation des mots. On ne saurait prétendre dans les cas de X. F... et de B. L... que le centre des imag
fran- çaise, n'existait certainement pas pour le patois. Dans le cas de M. B ? où, pour expliquer l'intégrité du lan
it défaut. Ainsi F... lui demande ce 1 Licliteim a déjà rapporté un cas suffisamment net de surdité verbale brute, ([ne
ous ceux que nous avons passés en revue. Il est évident que dans le cas actuel, la question a été nettement perçue par
l'audition verbale, mais de sa compréhension représen- tative. Les cas de ce genre me paraissent devoir être considéré
La parole pénètre eu Au et parcourt le trajet Au a b mp, lli sis le cas (te lésion du trajet b mp, il y a surdité verba
COOLIQUES. 38 < production ou réveil des images orales. (Dans le cas de lésion du centre mp il y a sur- dité verbale
a voie nid IV et avec le centre de Broca par la voie me io. Dans le cas de lésion du centre mp quand le centre me peut su
e n'ai jamais vue décrite. Ayant eu l'occasion d'observer plusieurs cas de cette affection, j'ai le regret de dire que
bras. Les mains peuvent être envahies en premier lieu dans quelques cas ; mais, lorsque la maladie est déjà ancienne, la
8t PATHOLOGIE NERVEUSE. je pense, un aspect semblable dans quelques cas de paralysie. Peut-être, dans les deux maladies
l y a une paralysie partielle dans cette arthrodynia. Mais, dans ce cas , la paralysie est imputable aux muscles et non
paralysie est imputable aux muscles et non aux nerfs comme dans les cas de paralysie ordinaire. Les symptômes les plus
ouleur traverse soudainement l'une ou les deux jambes et, dans un cas , elle passait fréquemment d'arrière en avant, du
but, quelques grains ont été nécessaires d'abord dans quel- ques cas ,mais, après quelquessemaines, comme on doit dimi-
mac et des intestins suivant les indications particulières à chaque cas . Je pense que, lorsqu'il n'y a pas d'appétit, l
e de l'évolution, au mode aigu de l'affection observé dans certains cas et par- faitement décrit par Broadbent. Mais ce
dans certains cas et par- faitement décrit par Broadbent. Mais ces cas , com- parativement à la forme commune, semblent
'il faut prendre en sérieuse considération, car, dans plu- sieurs cas de guérison, on fut obligé d'intervenir chirurg
a parole est un peu analogue à celui que l'on observe dans certains cas de sclérose en plaques; l'articu- lation est ne
l'absence de lésions au niveau des pédoncules. A l'occasion de deux cas publiés par M. Charcot et par moi dans les Arch
ue dans la moelle et occu pait toute l'étendue de celui-ci. Dans le cas actuel il n'en est plus de même; les pédoncules
il est possible que ce ne soit là qu'une apparence et que dans des cas de ce genre il existe également des lésions dans
; malheureusement la conservation incomplète des pièces dans notre cas en nous rendant impossible l'examen des circonv
eut être dans le bulbe ou la moelle. 1 Ce fait est très analogue au cas de 0. Viernrdt. - Zur ComGiuerter Degeneralion
et il nous semble qu'il suffit de les citer pour montrer le peu de cas qu'il faut faire de la plupart d'entr'eux. Ce
en général ne tend pas par elle-même à la démence. Dans quatorze cas seulement sur cent, d'après Tanzi et Riva, l'hé-
été inconnue, mais non exclue, et dans les quatre- vingt-six autres cas , la Paranoïa avait une base dégénérative soit p
ctérisent la personnalité paranoiaque. B. Battaglia (1886) cite- un cas de Paranoïa avec délire ambitieux, qui est pass
nt en une seule les deux dernières de Tamburini, parce que dans ces cas il s'agit toujours, selon lui, de la tendance d
des négations (Archia. de neûrolog.,1889). ' J. Séglas. Note sur un cas de mélancolie anxieuse (délire des négations).
ranoia dite indifférente ou indéterminée ou sans délire. Et en tout cas , c'est là le terrain favorable au développement d
nique avec celles de Paranoia délirante nous montre, dans bien des cas , une description identique d'une même vésanie. On
ant à la classification de M. Magnan, nous aurions, dans le dernier cas , une succession des idées analogues à celles .
onique qui n'en serait plus qu'une modalité, au moins dans certains cas . En somme, quelque soit le fonds sur lequel on
ce genre de sclérose cérébrale et la sclérose en plaques. Dans les cas pré- sents, il n'existait ni tremblement aux mo
particulier que ses produits meurent bientôt. En examinant trois cas de sclérose en plaques au point de vue histologiq
e en plaques au point de vue histologique, et par com- paraison, un cas de lésiondes cordons postérieurs, n'apasvu que
éléments cellulaires participent très peu au processus et, en tout cas , la sclérose est surtout une dégénéres- cence,
processus diffus a précédé la formation des foyers. Dans les trois cas , remarquables altérations vasculaires ; mais im
ineuse, en partie dans l'in- térieur des cordons postérieurs. Douze cas de tabes dont six ob- servations sont décrites
ze), forme quelquefois un champ de dégénérescence au- tonome (trois cas ) ; elle est généralement affectée de bonne heur
ndidat du concours. Présentation de malades. M. Magnan montre trois cas de conformation vicieuse des organes génitaux q
nent eux-mêmes de leur inclination pour les femmes et dans quelques cas ils sont ainsi portés à douter de leur sexe et
r sexe et à se soumettre à l'examen qui vient les éclairer. Dans le cas de M. Magitot, le sujet mariécornmefemme a tou-
r qu'il n'y avait jamais d'hermaphrodisme proprement dit et dans ce cas le sujet du sexe masculin était un homme par se
eplis cutanés qui simulent les grandes lèvres offrent dans les deux cas la même disposition. M. Seglas donne la descrip
par M. Catsaras, membre correspondant. M. Laroque, à propos d'un cas de mutisme hystérique publié par les journaux p
u des guérisons imputables à la suggestion ou à 1 .Magitot. Nouveau cas d'hermaphrodisme. (Bull. soc. d'Anthrop. 2 juin
odisme. (Bull. soc. d'Anthrop. 2 juin 1881.) ' Goujon. Etude d'un cas d'hermaphrodisme bisexuel imparfait chez l'homm
ND. Séance du 28 mars 1887. Présidence de M. Magnan. NoCé sier un cas du conformation vicieuse des organes génitaux. -
chronique, mais, tout en recounaisant que dans un grand nombre] de cas le délire des grandeurs vient s'ajouter aux idé
conséquent irresponsable. M. JOURNIAC communique l'observation d'un cas de dégénéres- cence mentale chez une jeune fill
ui permettrait de leur accorder une assez grande liberté. En tout cas évitez leur concentration. Il n'est besoin d'agen
psychoses et les malades pour accepter ces errements, et, dans les cas d'accidents ou de malheurs, pour ne pas nous en f
ystème des portes ou- vertes parce qu'ils tendent, surtout dans les cas de psychoses ' Voy. Archives de Neurologie, t.
le, le juge de paix menaça l'établissement de faire une enquête, en cas de récidive, et le tribunal le condamna à 50 li
lisable, et d'une bien faible utilité, d'ailleurs, dans beaucoup de cas . Le besoin de beaucoup de départements serait d
ministre de l'intérieur s'est déclaré disposé à porter lui-même, en cas de besoin, à cette tribune et que je résumerai
tre bon d'indiquer dans la loi elle-même ce qui adviendrait dans le cas où, la décla- ration exigée ayant fait défaut,
orité est venue l'atteindre. La commission avait pensé que dans ces cas le procureur de la République ne manquerait pas
stifier, qu'il manque un élément de certitude mathématique, que les cas les plus ana- logues ne sont jamais complètemen
rquoi voulez-vous intervenir ? Ah ! je comprends que, dans certains cas , l'autorité publique puisse intervenir. C'est c
: c'est une atteinte portée à la liberté de la famille, il faut des cas graves, des raisons sérieuses pour qu'on puisse p
une incon- testable vérité pour toutes les maladies, pour tous les cas , un seul excepté, celui de l'aliénation mentale
leurs inutiles efforts de raisonnement. SÉNAT. 453 Dans tous les cas , au bout d'un certain temps, cet être tendre- m
ou public ? Qui est-ce qui place l'aliéné dans un asile public ? En cas d'ur- gence et de danger public, c'est l'autori
oigner chez elle un aliéné, pourquoi lui imposerions- nous, dans le cas où elle l'introduit dans un hospice ou dans un
u malade, mais qui peut seulement, en s'inspirant des conditions du cas , examiner, d'après le rapport qui lui est fait,
aire, ou bien s'il se trouve, au contraire, en présence d'un de ces cas douteux qui appellent particulièrement l'attentio
rtion ; tandis que ceux qui sont laissés à domicile - et ce sera le cas , justement, des aliénés dans les familles pauvres
vations et autopsies BIBLIOGRAPHIE. 459 d'aliénés comprenant cinq cas de paralysie générale, six de dé- mence, quatre
ia- tions de la composition du liquide céphalo-rachidien. Dans un cas , la dure-mère présentait une légère congestion, e
ntait une légère congestion, et de l'épais- sissement dans un autre cas , mais ordinairement elle était peu al- térée. L
- térée. Les autresmembranesétaient très congestionnées dansdouze cas , surtout au niveau du renflement lombaire, et plu
re, et plutôt en arrière qu'en avant, comme c'est la règle. Dans un cas on trouva de l'a- némie de ces membranes, dans
embranes, dans deux de la méningite suppurée, enfin dans un dernier cas des plaques ostéoïdes. Le liquide céphalo-rachi
e a révélé des lésions symétriques des cordons latéraux dans quatre cas de paralysie générale. Dans au- cun cas les cor
ordons latéraux dans quatre cas de paralysie générale. Dans au- cun cas les cordons antérieurs n'étaient altérés : une se
on avait observé des symptômes d'ataxie pendant la vie. Dans quatre cas , les cordons de Golf étaient plus ou moins lésé
érose généralisée. L'auteur s'attache à montrer que dans tous les cas qu'il a exa- minés, dans toutes les formes d'al
njections de liquide de Morton. Le D Robert T. Morris rapporte un cas d'hydrocéphalie, qui a bénéficié d'un traitemen
re sont-ils rares (six sur vingt-neuf). Parmi tous ces goitres, les cas récents, charnus ou kystiques ont été radicalem
en moyenne pour les premiers, et une et demie pour les seconds. Les cas de goitre anciens sont au nombre de quinze; deu
ellement à la suite de nouvelles injections. M. Du- guet signale un cas de récidive avec ectasies vasculaires dans l'in
pour la plupart muettes au point de vue des antécédents ; dans deux cas pourtant il s'agit de buveurs avérés. On peut s
sile contient 500 malades. Le coût de la lumière électrique dans ce cas est estimé à 75 cent. par mille pieds carrés. M
e l'asile de veiller à ce que l'eau ne touche pas les fils; dans ce cas , l'installation d'un circuit peu étendu peut deve
t en outre assez distant des autres asiles, ce qui ne serait pas le cas pour Ogdensburg. Ce dernier n'est pas en rappor
, recommande le monobromure de camphre comme un bon remède dans les cas de moyenne excita- tion produite par des perver
postérieurs (complexus symptomatiques tout parti- culier dans un cas de lésion des), par `i'estphal, 35; (con- nex
, 94. Mégalocéphalie, 319. Mélancolie avec stupeur (note sur un cas de à -) forme ca- taleptique avec conservation
100 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
e il un diagnostic hésitant de s'établir sur des bases solides. Ces cas graves et ces cas difficiles forment la série d
hésitant de s'établir sur des bases solides. Ces cas graves et ces cas difficiles forment la série des faits intéressa
En outre, il est de par la pathologie nerveuse un certain nombre de cas encore mal classés dont la description difficile
on si analy- tique qu'elle soit ? Cette représentation figurée de cas douteux n'amènera-t-elle pas parfois dans l'esp
ntourant de faits nouveaux et de consi- dérations personnelles, les cas rares et intéressants dont nous aurons donné l'
e qui complète par l'image l'obser- vation écrite, fait revivre les cas anciens et facilite considé- rablement la compa
e les cas anciens et facilite considé- rablement la comparaison des cas analogues même lorsque les malades ont disparu
rs pour le dessin, la gravure, la reproduction photo- graphique des cas à représenter. L'interprétation industrielle des
onne fortune c de pouvoir aujourd'hui l'appliquer à l'étude de deux cas assez rares que nous observons en ce moment dan
ns-nous d'abord de R..., qui peut être considéré comme un véritable cas de démonstration. Le voici (pl. I) au repos, da
it quelques pas. L'at- titude est aussi caractéristique que dans le cas précédent; comme chez R... le membre paralysé r
vérité, cette période est toujours très-courte dans la majorité des cas , et c'est presque une curio- sité pathologique
ir, de même qu'au pronostic qui varie du tout au tout dans les deux cas ; car, bien que souvent fort tenace, l'hémiplégie
abord semblera paradoxale, à savoir que, de la comparaison des deux cas , il résulte que c'est la jambe la plus paralysé
gie de la région lombaire, dont l'intérêt sera mis en valeur par le cas clinique que nous rappor- terons bientôt dans t
yse suivante reprenant sa di- rection naturelle ! J'ai rencontré un cas dans lequel les sommets des apophyses épineuses
ompte par l'observation détaillée que nous publions plus loin, d'un cas assez complexe et bien 22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
quc. C'est bien ainsi que les choses se passent en réalité dans les cas de ce genre. 1. 7'I. r1 gré ? 1875. DES RÉT
'on peut rencontrer ces rétractions fibro-tendineuses dans tous les cas de contracture spasmo- dique et notamment lors
ions fibreuses. De plus celles-ci n'existent constamment ni dans un cas ni dans. un autre. « Pourquoi, dit M. Charcot,
e, la complication tendino-fibreuse se produit-elle dans cer- tains cas et non dans d'autres ? Qu'ont donc de particulier
t de la leçon précitée et que nous reproduirons, nous citerons deux cas que nous avons recueillis depuis et dont l'inté
êt consiste surtout en ce qu'il s'agit de contractures hystériques, cas où cette complication est assez rare et particu
malement; elle est sur le point de quitter le service (PI. V). Î Ce cas est assez facile il interpréter et quoique nous n
oeuvres opératoires. Mais il importait évidemment de savoir dans ce cas que la contrac- ture hystérique, tout comme une
érations de la peau, rétractions fibreuses, dont la rareté dans les cas habituels de ce genre fait qu'on serait presque t
II est célèbre dans l'histoire de la paralysie agitante. C'était un cas type, éminemment favorable pour la démonstratio
permanente, dit M. Charcot, impose à ces malades, dans beaucoup de cas , une attitude toute particulière. Ainsi la tête
ET BABÉ, ÉDITEURS NOUVELLE. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH I Dans une récente s
« sans qu'on puisse dire actuellement si cela tient à la rareté des cas ou à la négligence qu'auraient mise à les pu- b
as actuellement, à notre connais- sance tout au moins, plus de sept cas publiés par les auteurs de notre pays. Ils se r
, 1882). 3° Le 24 mars 1884, M. J. Teissier présentait un troisième cas à la Société nationale de médecine de Lyon (Lyo
étudiées par les méthodes des empreintes. Paris, 1886, p. 50. CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 47 seulement à deux a
DS DANS LA MALADIE DE FRIEDREICH LECR06NIFH ET BABÉ, DtTHURS CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 49 Jamais de troubles
n somme, il n'existerait actuellement de publiés en France que sept cas de maladie de Friedreich dont un seul, celui de B
e. Cela tient-il, comme se le demande M. Joffroy, à la rareté des cas ou à la négligence qu'auraient mise les observate
ter son nom, il n'en aurait pas été publié plus de quatre-vingt-dix cas suivant M. Vizioli i. Encore ce chiffre serait-
en traite- ment dans le service de la Clinique. Ce sont ces quatre cas , auxquels nous en joindrons un autre observé pa
nous allons rap- porter l'histoire clinique. Vu le petit nombre de cas publiés, en France tout au moins, le simple exp
i au menton ou au nez avant d'arriver il la bouche. Au lieu de CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 51 tenir cette cuillè
semble qu'il n'y ait rien a noter du côté des grands-parents. CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 53 Quatre enfants : 1
sie existe également pour tout le segment inférieur du membre. CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 55 inférieur droit, c
é des doigts de légers mouvements alhétosiques analogues (mais CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 57 moins marqués) à c
LA MALADIE DE FRIEDREICH LECROSNIBR ET BASÉ, } : "DIT ? UR6 CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 511 nerveuse. Un oncl
ut de l'affection dans la seconde enfance, le plus souvent par CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 61 l'incoordination m
dorsalis, mais nous n'avons eu l'occasion que d'en observer un seul cas , et l'unique tracé que nous possédons ne nous s
E DANS LA MALADIE DE FRIEDREICH LECROSNIER ET babé, ÉDITKURS CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. ? Mais ce qu'elles ne
e dire. Elle semble résulter de phénomènes complexes; dans tous les cas , elle ne paraît pas être sous la dépendance d'a
ssise sur un siège élevé,'passe à la station debout. Mais, dans les cas accentués tout au moins, elle ne disparait jama
prochement, si les lésions anatomiques bien connues dans ce dernier cas ne suffisaient pas amplement à elles seules.
entée au cours. Elle marche aussi bien qu'avant la maladie. Dans le cas qu'on vient de lire, il ne s'agit plus de contrac
rs de sa leçon, que cette complication ne se voit pas dans tous les cas appartenant à un même groupe : « Ainsi je pourr
un même groupe : « Ainsi je pourrais citer, disait-il, au moins un cas de pachyméningite cervicale hypertrophique ayan
éter à propos de la paraplégie par mal de Pott. Dans la plupart des cas de ce genre que j'ai observés, la résolution des
absolument sans intervention chirurgicale, tandis que dans d'autres cas de beaucoup les moins fréquents, en raison de l
ent des tendons, l'intervention chirurgicale a été comme dans notre cas nécessaire pour faire disparaître la déformation.
uvent avec les moyens d'exploration ordinaires, mais, dans certains cas , on devrapour plus de certitude avoir recours à
niqués sont également difficiles dans tous les sens dans le premier cas ; ils sont aisés dans certains sens dans le sec
eut aussi rendre service pour assu- rer le diagnostic dans quelques cas : on sait que l'ischémie déterminée par son app
des lésions autres que la contracture. Quoi qu'il en soit, dans les cas difficiles, la narcose chloroformique poussée j
ers argu- ments qui nous empêcheraient de la généraliser à tous les cas . Tout d'abord, dans certaines observations, les
que les rétractions tendineuses ne se produisent pas dans tous les cas , puisqu'il ne s'agit plus que de la résistance
mation originel- lement spasmodique. La seule chirurgie a, dans ces cas , les moyens de redresser l'attitude vicieuse et
on l'indi- cation nettement formulée par M. Charcot, dans ces seuls cas que doit se poser la question d'une interventio
u'en soit l'origine, hysté- rique, ou organique. Lorsque, dans un cas de contracture, l'élément spasmodique aura dis-
irurgicales sont même d'une précision saisissante, puisque, dans un cas (spasme), non seulement il faut s'abstenir, mai
nte; d'ailleurs cette variété de fracture est fort rare. Le premier cas qui ait été signalé est dû au professeur Hergott,
ait été signalé est dû au professeur Hergott, de Strasbourg'. ' Un cas rapporté par Brandi en 1877, compliquait une luxa
ns l'observation que nous allons relater. Il en est de même pour le cas de Perrin, où le malade eut la jambe prise entr
ilton i, le mécanisme admis par Hergott peut s'appliquer à tous les cas . Incontestable pour le fait d'IIergott, il ne ser
alisée à la partie supérieure et externe de la jambe, dans tous les cas très vive. Ce n'est que dans peu de cas que se
de la jambe, dans tous les cas très vive. Ce n'est que dans peu de cas que se rencontre une dépression à la place de l
troubles nerveux : avant d'analyser ces derniers, nous citerons un cas ;dans lequel ils se sont présentés avec une nett
on recherche quel a été le mécanisme de la fracture, on voit que le cas n'est pas d'une interprétation aussi nette que ce
u genou, nous croyons pouvoir l'écarter ici, car, dans les quelques cas où il a pu être constaté, il y avait arrache- m
de laquelle n'existait plus qu'une dépression, ce qui n'est pas le cas dans notre observation. Nous avons vu que les
cette dernière par les commémoratifs et la soudaineté du début. Un cas cependant peut se présenter où la paralysie des
venant à la suite de compression du nerf pris dans le cal'. Dans ce cas , l'étude des défor- mations produites par la fr
ompagnée d'abolition des réflexes. 1. C'est ce qui eut lieu dans le cas de M. Gérard Marchant. Voici du reste le titre de
énéral se faire facile- ment, il n'en est pas de même dans certains cas de paralysies rhuma- tismales ou a frigore du s
lent plaider en faveur de cette hy- pothèse : Seeligmtdler1 cite un cas de paralysie dite rhumatismale des muscles exte
nt de la douleur et de l'amaigrissement. Rosentha12 rapporte deux cas de paralysie du nerf peronetts, de cause inconn
'examiner de nouveau, et n'a pu être complètement étudié. En pareil cas , les commémoratifs, l'étude de la constitution
sé, soit au, moment de la fracture, soit plus tard. Dans le premier cas , il peut l'être : 1° par contusion, dans le cas d
rd. Dans le premier cas, il peut l'être : 1° par contusion, dans le cas de fracture directe; 2° par élongation, dans le
tusion, dans le cas de fracture directe; 2° par élongation, dans le cas de fracture indirecte, le nerf, adhérent à la t
par pin- cement du nerf entre les deux fragments. Dans le second cas , il y a compression du nerf pris dans le cal. P
ger écartement des fragments. Il n'en est pas de même dans tous les cas . Citons comme exemple le malade de Duplay, qui
. Traitement. - Quant au traitement, le seul à employer en pareil cas est l'électrisation, soit qu'on se borne avec Duc
DE LA SALPÊTRIÈRE DE L'INTERVENTION CHIRURGICALE BANS CERTAINS CAS DE RÉTRACTIONS MUSCULAIRES SUCCÉDANT A LA CONTR
muscles et peuvent disparaître complètement, ne l'est plus pour les cas dans lesquels le muscle, en cessant d'être contra
dont nous avons parlé plus haut et semble se rétracter. 1 Dans ce cas , il se passe aussi, du côté de l'articulation, de
plets de l'articulation. Ces désordres sont va- riables suivant les cas ; ainsi, ils nous ont semblé moins accentués dan
98 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. et je prêche en pareil cas avec conviction la doctrine de l'expectative. «
r un exemple de la réserve dans laquelle on doit se tenir en pareil cas , je rappellerai en quelques mots un cas de contra
on doit se tenir en pareil cas, je rappellerai en quelques mots un cas de contracture hystérique que j'ai observé dern
cet homme et que les fléchisseurs restent contractés, comme dans le cas dont nous nous occupons, on pourra alors faire av
ERRILLON, Chirurgien de la Salpêtrière. (A suivre.) NOTE SUR UN CAS D'IMBÉCILLITÉ CONSÉCUTIVE A UNE HYDROCÉPHALIE V
mé Ter journalier, âgé de 50 ans, est entré à l'hospice NOTE SUR UN CAS D'IMBÉCILLITÉ. 101 de Bicêtre, le 7 avril 1887.
E CORPS CALLEUX DELAHAYE 6 txcpos.TE. f P 1 T Z U R s NOTE SUR UN CAS D' ! MBËC ! LHTË. 103 Les sutures ne sont pas o
E DE CORPS CALLEUX DtLAHAYt & LKCNùSNIEU ÉDITEURS NOTE SUR UN CAS D'IMBECILLITE. joli on voitle coin, remarquable
t et qu'elles n'apparaissent que s'il est graduel : dans le premier cas , les éléments nerveux fortement comprimés auraien
RICULE LATÉRAL 4 DLAHAYh. & LECROSNIER ÉDITEURS NOTE SUR UN CAS D'IMBÉCILLITÉ. 107 La bandelette que l'on aperç
u. Cette anomalie est en effet relativement rare, et, en dehors des cas d'anencéphalie dans lesquels la totalité ou la pl
rases banales, 1. Voy. Bull. Soc. biol., 1862, p. 93. NOTE SUR UN CAS D'IMBÉCILLITÉ. 109 comprendre les alinéas les p
J84G, p. 575). - 1·AGET. Case in which the corpus 1. BRocA. Sur un cas de microcéphalic excessive. Paris, Bull. Soc. ant
océphalic excessive. Paris, Bull. Soc. antlerop., 1870. NOTE SUR UN CAS D'IMBÉCILLITÉ. 111 Ilosura farnix and scptum lu
neurologie, mai 1888, p. -178). Deny, léùecil1 cie Bicèll'Q. UN CAS DE LENTIGO UNILATERAL CHEZ UN ÉPILEPTIQUE. Le
LATÉRAL CHEZ UN ÉPILEPTIQUE DELAHAYE & LECROSNIER ÉDITEURS UN CAS DE LENTIGO UNILATÉRAL. il,; cri et tombe sur le
uction de la lésion cutanée. Ch. FEUE, Médecin de BicéLre. CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICII (Suite et fin). 1 A
ant l'élévation exagérée d'une épaule, 1. Féré. Note sur un nouveau cas de pied tabétique. Revue de médecine, 1887. - Gil
ue, bien qu'on puisse à la rigueur imaginer sa bilatéralité. CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICII. 115 d'une façon géné
s coïncidant ou non avec l'anesthésie. Ftc. 43. Fie. 44. CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 117 parésie des mouve
en moyenne plus d'une heure. Puis, tout se dissipe, el la ma- CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 119 lade, qui ne pe
'on voit apparaître un; polycrotisme très marqué (fig. 04). En tout cas , quand l'effort cesse, la courbe subit une modi
igne plus ou moins uniformément ar. rondie (ti. liJ). Dans tous les cas , la ligne de descente présente une convexité su
le service de M. le professeur Damaschino, l'hôpital Laënnec, sept cas d'arthropathie du , pied chez des ataxiques. Ce
t admises depuis longtemps, mais personne n'avait encore décrit des cas d'arthropathie labliqllc, lorsque, en 1808, M.
iqucs siégeaient dans le genou, la hanche, l'épaule, etc., et aucun cas d'arthropathie du pied n'était signalé jusqu'en
bé- tique, mérite de fixer l'attention, car, principalement dans le cas où elle se montre isolée, elle peut faire errer
que, on trouve dans les recueils de médecine un cer- tain nombre de cas qui sont moins nombreux que ceux qui se rap- po
et Duflocq publièrent, en 1881, dans la l3cvnc cle anéclc- cine, un cas d'arlhropathie tll)1)-11L;1'OllCO-lal'S1C1111C ta
-lal'S1C1111C tabétique. La même année', M. Féré en publia un autre cas dans la Revue de médecine; de même M. Page, dan
Lancel. En 188, M. Boyer fit paraître dans la Revue de médecine un cas de pied tabétique. M. Chauffard, en 1885, pré
étiques du pied. En 1880, M. Troisier présenta à la même Société un cas de pied tabétique double à la première période
tabes. La même année, à la Société médicale des hôpitaux, parut un cas de pied tabétique observé par M. Féréol. En 1
octeur Czerny publia, dans les Archiv sur klinische Chirurgie, deux cas d'arthrite subaiguë du cou-de-pied chez un atax
hie des muscles étaient déjà très avancées. M. Bail a signalé des cas analogues, et cet auteur distingue les arthropa
caractère il peu près constant. » (Charcot.) Cependant, il est des cas dans lesquels une réaction assez vive s'est mon
nce de celle déviation en dehors, et nous en avons aussi observé un cas . On comprend d'ailleurs aisément que la lésion
voûte plantaire, la première plus fréquente que la seconde. En tout cas , on devra recueillir les empreintes, non pendant
t, il est obligé de se ser- vir de béquilles. Enfin, s'il est des cas où la lésion atteint son maximum en quelques se
nt atteints il des degrés divers. Quelquefois (et nous en citons un cas , Ors. III) l'arthropathie peut ne siéger au pie
OTOTYPIL BERI'HAUD COUPE Transversale DE la MOELLE Lombaire dans UN cas d'Arthropathie 1 Tabétique DU Pied LECRÛSN1E1
HOTOTYP1TP BERTHAUD COUPE Transversale DE la MOELLE Dorsale dans UN cas d'Arthropathie Tabétique DU PIED LECROSNIER &
HOTOTYPIE BERTHAUD COUPE Transversale DE la MOELLE Lombaire dans UN cas d'Arthropathie Tabétique DU PIED Disposition
PHIE T. 1, pu. XXX COUPE Transversale DE la MOELLE Lombaire dans UN cas d'Arthropathie Tabétique DU PIED Les Iules re
PHOTOTYPIE BERTHAUD OUPE Transversale DE la MOELLE Lombaire dans UN cas d'Arthropathie Tabétique DU PIED On voit un c
) Dr 1.1VLID1 : S. DE L'INTERVENTION CHIRURGICALE DANS CERTAINS CAS DE RÉTRACTIONS MUSCULAIRES SUCCÉDAIT T A LA CON
ments étaient assez faciles etnon douloureux. Au contraire, dans le cas de contracture en activité, ces mouvements, ou
musculaire. En effet, les réflexes tendineux sont exagérés dans le cas de contracture. Ils diminuent et redeviennent n
. Enfin, on peut avoir recours à l'emploi du chloroforme; dans le cas de doute, il faut toujours user de ce moyen. Lo
ètement et les doigts pouvaient se redresser entièrement. Dans le cas de rétraction secondaire succédant à la contractu
indiqué par le docteur Brissaud, peut rendre service dans certains cas . ]Y. Méthode opératoire. Après avoir montré par
ence a prouvé qu'on peut négliger cette crainte, car, dans tous les cas que j'ai vus, j'ai été frappé de la facilité av
ssent petit à petit. Le gros orteil est souvent rebelle, et dans ce cas , si le tendon flé- chisseur tendu semble la cau
ion fibreuse péri-articulaire, que nous avons notée dans les autres cas , était beaucoup moindre. Aussi les sections tendi
olences sur les tissus péri- articulaires nécessités par le premier cas . Ces. I. Double pied-bot équin par rétraction m
'immobilité forcée. Raideurs, craquements ont disparu rapidement. Cas . II. Double pied-bot équin par rétraction muscula
puis la fin de décembre et, actuellement, la marche est parfaite. Cas . III. Contracture hystérique suivie de rétraction
e les examiner sous l'in- fluence du sommeil anesthésique. Dans ces cas , la contracture dispa- raît pour reparaître apr
hange pas. TERRILLON,, Chirurgien de la Salpêtrière. UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH Les observations de ma
). Aussi, espérons-nous qu'on lira avec quelque intérêt l'exposé du cas suivant que la libéralité bien connue de notre
uche presque le sternum. Pour nous parler, il est obligé UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 157 de la relever, et
it que sa démarche ataxique diffère de celle que l'on voit dans les cas purement et typiquement ataxiques. Évidemment, le
aires ne sont nulle part atrophiées : elles présentent . UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 159 une résistance pe
vec un certain degré d'émoussement de la sensibilité. Dans tous les cas , si l'on examine le malade de plus près, on tro
, qu'on revient à plusieurs reprises sur le même examen, UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. m l'attouchement si
après le paroxysme. Il n'en est pas toujours ainsi. Mais, en tout cas , les bâillements se produisent dans l'intervalle
là toute sa maladie. (A suivre.) PIERRE Marie. 1 . UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICII (Suite et fin ! .)
t, ce me semble, un peu moins exquise qu'à l'état nor- mal. En tout cas , elle est certainement légèrement émoussée au niv
éphalalgie tend, du reste, à disparaître actuellement. UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 185 1 VIII. Les phéno
ls. Les muscles eux-mêmes ne sont nulle part atrophiés, et, en tout cas , nulle part on ne trouve les réactions électriq
ALPÊTRIÈRE. L'influence héréditaire est absente. Par ce côté, notre cas rentre dans la loi qui paraîl dominer les cas f
e. Par ce côté, notre cas rentre dans la loi qui paraîl dominer les cas français. Dans les neuf cas publiés et purs, le
ntre dans la loi qui paraîl dominer les cas français. Dans les neuf cas publiés et purs, le caractère familial n'est pr
ue dans deux observations (Joffroy, Teissier). Dans tous les autres cas , il n'y a qu'une personne malade dans la famill
nière fort simple, ces dissem- blances. Dans l'immense majorité des cas , les familles où sévit la ma- ladie de Friedrei
u'à dix-sept enfants. Or, les familles auxquelles appartiennent les cas fran- çais, sont toutes peu nombreuses, deux, t
trois, quatre enfants, et celles qui arrivent à cinq, comme dans le cas de M. Joffroy, fournissent déjà deux malades. I
ations, la diminution de la force est indiquée, et cela, UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 187 d'une façon préco
xaminées, j'ai trouvé la force diminuée 36 fois, dans la moitié des cas avant douze ans de maladie. Si une parésie simp
e l'épithète de démarche tabéto-cérébello-parétique doit sortir des cas particuliers pour s'appliquer à la maladie de F
tion, mon expérience sur ce point étant très réduite. Dans tous les cas , la faiblesse de l'ataxie dans la maladie de Fr
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pareils dans aucune autre maladie. En tout cas , il m'a paru curieux et intéressant de les rele
r là dans la règle, pour ainsi dire, absolue. Parmi une centaine de cas que j'ai ana- lysés, je n'en ai trouvé que six
ulgurantes aient été nettement indiquées, et jamais, sauf dans deux cas , douteux d'ailleurs, sous la forme classique. C
rès rare dans la maladie de Friedreich, si bien que, malgré les 120 cas publiés, je suis un des premiers à le signaler.
attirer l'attention sur la distribution si singulière de UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 189 ces hypoesthésies
tardifs, quand ils existent, dans lamaladie de Friedreich. Sur cent cas de la maladie de Friedreich, il y en a quatre-v
trouble quelconque de la sensibilité est relevé. Sur soixante et un cas qui m'ont paru utilisables à ce sujet, j'en ai
t-neuf où la diminution était réelle. Dans les premiers trente-deux cas , l'examen a été pratiqué à des époques diverses
de la gravité sans que la sensibilité soit diminuée. Les vingt-neuf cas appartiennent aussi il des époques diverses de
et accompagner déjà les premiers linéaments de la maladie. En tout cas , il n'est rien moins que rare que de trouver ces
les premiers temps de la maladie. Et si on analyse de près tous ces cas , on s'aperçoit qu'il n'y a, pas plus que chez Pag
érieurs, par leur distribution fragmentaire, et rappellent bien mon cas sans atteindre la même originalité de disposition
atteindre la même originalité de disposition. Cependant, il y a des cas où les troubles de la sensibilité relèvent de l
plusieurs exemples dans la science, présentés, du reste, comme des cas de Friedreich purs, etMM. Gilles de la Tourette
es de la Tourette, Bloch, IIuet viennent d'en publierici- même deux cas aussi probants que possible, mais il est certain
ve indiqués une quinzaine de fois, et il y a peut-être davantage de cas . C'est donc là un syndrôme assez fréquent qui,
tage de cas. C'est donc là un syndrôme assez fréquent qui, dans mon cas , n'a pas été complet. J'ai noté la coloration vio
- ment le refroidissement du pied est constaté. Daus la plupart des cas , à la coloration violacée et au refroidissement
ais cela ne nous paraît pas juste. Il ne paraît pas y avoir un seul cas d'impuissance par maladie de Friedreich, au moi
formée par des complications. Peut-être cependant en existe-t-il un cas de Fried- reich lui-même ? Par contre, la con
respiration : or, celle-ci est toujours très pro- noncée, dans ces cas , d'après Duchenne, de Boulogne (Physiologie des
dont il s'agit. Tout autre était l'aspect de notre malade. Dans un cas de scia- tique duuble que nous avons eu d'aille
était pas douloureuse. La conclusion donc qui s'imposait dans notre cas était la suivante : il s'agissait d'une contrac
r le vivant par MM. Labbé et Ball. Toutefois, on a signalé quelques cas où l'épanchement était purulent. , Le liquide
liquide épanché est citrin, séreux. On a trouvé du pus dans quatre cas . Les cartilages sont érodés, détruits et laisse
étude n'a fait connaître encore aucune altération notable : dans un cas d'arlhropathie du genou, M. le NOUVELLE ICONOGR
M. Charcot avait trouvé dans sa première autopsie (1869). Mais le cas de M. Bourceret (1875), ceux de M. Raymond (1875)
des faisceaux nerveux, un 1. Encéphale, 1884, p. 695 : Note sur un cas d'arthropathie ataxique. DES ARTHROPATHIES TABÉ
tômes généraux de la sclérose des cordons posté- rieurs. Dans les cas douteux, il sera donc de toute nécessité de reche
s. On comprend aussi toutes les difficultés qui sont inhérentes aux cas d'ataxie fruste. 15 : W6 NOUVELLE ICONOGRAPHI
e époque. DES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES DU PIED. 207 Dans certains cas , on a méconnu l'orioine nerveuse de l'arthropathi
orcera le malade à ne plus sortir de son lit, pourra, dans certains cas , retentir d'une façon fâcheuse sur l'état génér
noter les récidives fréquentes, signalées par les auteurs. Dans ces cas , l'arthropathie semble progresser par pous- sée
rra tôt ou tard évoluer de nouveau et aboutir, dans la majorité des cas , à une lésion durable, privant le membre de tou
210 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. lement que dans les cas de cécité invétérée, alors que toute perception
adaxole, et ce n'est, ainsi que nous l'avons déjà dit, que dans les cas les plus anciens et les plus graves (atrophie pap
ubsiste dans toute son intégrité pour la plus grande généralité des cas ; mais il faut comp- ter aujourd'hui avec le cha
capable d'induire en erreur un esprit non prévenu, comme c'a été le cas pour notre malade, sur- tout lorsqu'il s'y ajou
épinière. La plupart des faits que nous rapporterons concernent des cas de fractures du rachis. . Les troubles nerveux
es par fracture vertébrale nous avons cru pou- voir rapprocher deux cas de traumatismes directs où l'agent vulnérant a
La sensibilité au froid est conservée, peut-être augmentée. En tout cas , il y a constamment sensation de froid aux jamb
trouvera reproduites ici in extenso; 'elles font partie des quatre cas observés dans le service de M. le professeur Ch
adiation périphérique. La vision est très incomplète; dans certains cas , il éprouve des difficultés à saisir les objets
oelle dorsale, 28; longitudinale des cordons de Goll, 31, dans un cas d'arthropathie du pied. Trophiques (troubles da
par. P. Blocq, 28, 64.; intervention chirurgi- cale dans certains cas de rétractions mus- culaires succédant à la -,
par Féré, 70. Fractures (voy. péroné, rachis). friedreich (cinq cas de maladie de) par Gilles de la Tourette, Blocq
e de) par Gilles de la Tourette, Blocq, Huet, 45, 114; un nouveau cas de maladie de par Socca, 155, 133. Hystérique
osso-labié -, par Charcot et nicher, 87. Imbécillité (note sur un cas d'), par Deny,100. Infirmes (les - d'une ancien
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