cordons postérieurs. Examen macroscopique. — Induration grise , ses caractères . — Foyer originel de la lésion irritative. — Anat

ments. Je n'insisterai pas pour montrer que, en ce qui concerne les caractères histologiques, l'induration grise, dans l'ataxie

dehors, par des bandes minces, où la substance blanche a conservé les caractères de l'état normal. Or, Messieurs, il ré-sulte des

ales; ténesme rectal. Des crises gastriques. — Spécificité de leurs caractères . — Durée. — Cas frustes d'ataxie locomotrice. I

s le savez, qui, dans chaque cellule, se distingue entre tous par des caractères anatomiques bien tranchés. Très fin, très délié à

ement s'épaissit peu à peu, sans se ramifier, et acquiert bientôt les caractères histologiques d'un tube nerveux. C'est ce prolong

t utile, avant d'entrer en ma-tière, de rappeler en quelques mots les caractères fondamen- renflement cervical par exemple, une

leurs fulgurantes de certains symptô-mes qui, comme celles-ci, ont un caractère spécial ; tels sont les symptômes dits céphalique

ves dans le canal. Je mentionnerai en second lieu les douleurs d'un caractère particulier, dont le rectum est le siège, et qui

riques ou gastralgiques, comme vous vou-drez les appeler, offrent des caractères véritablement spéciaux. Très souvent, cependant,

domine dans les mem-bres supérieurs, rappelle par quelques-uns de ses caractères la paraplégie saturnine, et les crises cardialgiq

ébrales. Existence isolée de l'amaurose tabétique ; sa fréquence. — Caractères de la lésion anatomique du nerf optique à l'œil n

rise progressive des nerfs optiques se traduit pendant la vie par des caractères ophtalmoscopiques spéciaux et qui répondent à ce

en ophtalmologie d'appeler Y atrophie progressive de la papille. Ces caractères , Messieurs, seraient à peu près spécifiques, d'ap

vous le comprendrez, de la plus haute importance d'être fixé sur ces caractères qui, suivant les auteurs, permettent de reconnaît

n du nerf optique demeurera isolée. Recherchons donc quels sont les caractères de l'induration grise des nerfs optiques et exami

vec les tubes nerveux de l'encéphale Exposons, en premier lieu, les caractères ophtalmoscopiques qui correspondent, d'ailleurs,

ailleurs qui s'éloigne pro-fondément de l'état normal ; mais voici le caractère décisif. Par suite du changement de texture qu'a

coloration blanche, crayeuse, comme nacrée. Tel est, Messieurs, le caractère dont il faut bien se péné-trer ; car, à lui seul,

de l'acuité visuelle est incomplète et permet encore de lire les gros caractères . J'ajouterai que le début de ces accidents par

ues qui simulent celles de la papille tabétique. Il y a toutefois des caractères distinctifs tranchés et que vous trouverez exposé

rose tabétique ; mais il y a aussi, pour l'un comme pour l'autre, des caractères distinctifs, et c'est la connaissance de ces cara

l'autre, des caractères distinctifs, et c'est la connaissance de ces caractères qui permettra d'assurer le diagnostic. IV. Po

r un certain degré de tuméfaction et de ramol-lissement, ou mêmes les caractères anatomiques de la névrite optique inflammatoire.

gît toute la différence. V. Recherchons maintenant quels sont les caractères qu'of-fre au clinicien la papille dans ces deux f

ez, dans ces deux périodes de la névrite optique, et opposons-les aux caractères qui distinguent la papille tabétique. A. Pour c

e début est quelquefois subit ; il n'y B. Quels sont maintenant les caractères de la névrite opti-queconsidérée dans la seconde

t interrom-pues, coupées de places en places. Voilà, Messieurs, des caractères qui ne s'effacent jamais complètement et qui tran

tères qui ne s'effacent jamais complètement et qui tranchent avec les caractères ophtal-moscopiques assignés à la papille tabétiqu

de la papille étran-glée. VI. 11 ne suffit pas d'avoir exposé les caractères qui distin-guent, tant au point de vue fonctionne

anchés. Eh bien, Messieurs, il importe de ne pas trop compter sur ces caractères ; ils peuvent tromper. Et, de fait, la combinaiso

utour du tronc et simulant la douleur en ceinture. Ces douleurs, de caractère particulier, si remarquablement accusées chez not

parties des membres. Il est sans doute très rare qu'elles prennent le caractère fulgurant ; cependant cet auteur signale, sans y

un figure la papille de Deg..., et vous pouvez y reconnaître tous les caractères de la papille tabétique ; — l'autre représente la

trophie consécutive à la névrite optique se présente là avec tous ses caractères dis-tinctifs. Après cet examen, toute difficult

de l'arthropathie des ataxiques. — Jointures qu'elle intéresse. — Ses caractères spéciaux. — Diagnostic entre l'arthropathie des a

abituels. L'arthropathie des ataxiques évolue, au contraire, avec des caractères cliniques tout spéciaux, comme vous allez le reco

i observé pour la première fois les crises gastriques qui avaient des caractères très tranchés, présente une arthro-pathie typique

onteste pas qu'il s'agisse là d'une arthrite sèche ; mais, de par les caractères cliniques, je main-tiens que cette arthrite sèche

encore ce qu'il y a de spécial dans l'évolution, l'enchaînement et le caractère des symptô-mes, enfin, à mettre au premier plan l

embre n'ayant pas cessé de fonctionner tant bien que mal, ce sont les caractères de l'arthrite sèche qu'on observe: éburnation et

ux, sous forme de pièce anatomi-que, une jointure présentant tous les caractères de l'arthrite avec exsudation séro-fibrineuse ou

eut avoir été, pendant la vie, un des symptômes du VI. Malgré les caractères anatomiques qui la rattachent plus ou moins intim

ut cette histoire qu'il sera nécessaire de consulter pour trouver les caractères qui nous permettront de remonter jusqu'à la sourc

s de la moelle, ne se manifesteront que tardivement : d'où un premier caractère distinctif que je me contente de relever pour l'i

olles, grisâtres, rap-pelant par leur coloration et tous leurs autres caractères , la substance grise des centres nerveux où, d'ail

leur forme. Histologiquement, nous retrouvons dans ces tumeurs des caractères qui rappellent la sclérose, car elles sont presqu

t il est possible delà reconnaître pendantla vie, àl'aide de certains caractères . Aussi mérite-t-elle, à tous les égards, une étud

ral cancéreux. Paralysie douloureuse des cancéreux. — Douleur ; ses caractères : par-oxysmes. — Hyperesthésie tégumentaire. — Ér

é, l'existence d'une myélite transverse interstitielle, rappelant les caractères de la sclérose et accompagnée d'une destruction p

plus haut, est-elle au-dessus des En somme, nous retrouvons là des caractères qui se ren-contrent dans certains cas de myélite

ions en question se présentent dans les cordons envahis avec tous les caractères de la sclérose interstitielle. Il ne s'agit donc

isolés. A peu près toujours, il s'y surajoute des phéno-mènes dont le caractère varie suivant la nature de la lésion organique qu

st donc pas de ce côté, vous le voyez, qu'il faut espérer trouver des caractères distinctifs. diriger, au contraire, assure qu'e

on d une déformation de la colonne vertébrale, se présentant avec des caractères variés suivant qu'il s'agit, par exemple, du mal

squ'à un certain point, car elles ne se présentent guère avec le même caractère que dans les cas de tumeurs extra-rachidiennes fa

t l'af-faiblissement des vertèbres, est la source de douleurs dont le caractère est presque spécifique. Cet affaissement vertébra

-'eur, dans les cas de ce genre se présente absolument avec les mêmes caractères que dans la paraplégie douloureuse propre-ment di

montrent surtout in-tenses pendant la nuit et revêtent quelquefois un caractère pé-riodique. Les mouvements dans le lit, qu'ils s

rsque les phénomènes de paraplégie douloureuse se montreront avec les caractères qui viennent d'être décrits, il y aura lieu de re

sté absolument à tous les moyens d'amendement mis en œuvre. Frappé du caractère spé-cial que présentait la douleur, et me remetta

e sénile, aussi bien que celles des adultes, rappelle parfois, par le caractère des douleurs dont elle s'ac-compagne, lasymptomat

n de la lésion. — Hémiparaplégie spinale avec anesthésie croisée; ses caractères . — Hémiplégie spinale. Messieurs, Avant de po

névralgie intercostale. Plus tard, en raison de la persistance et du caractère de ces douleurs, on avait émis l'o-pinion que la

différence, dont la raison, d'ailleurs, nous échappe entière-ment, un caractère diagnostic absolu. E. Il est de règle aussi dan

nférieurs. Mais il ne faudrait pas, cette fois encore, chercher là un caractère dis-tinctif absolu. D'ailleurs, ces symptômes, et

ion spinale antéro-pos-térieure se présenterait au contraire avec des caractères tout autres. Ici les muscles conservent pendant f

ques plus ou moins éloignées : tantôt ils se présentent avec tous les caractères de la syncope; tantôt ils participent à la fois,

ie infantile Sommaire. — Myopathies spinales ou de cause spinale. — Caractères géné-raux. — Localisation des lésions spinales da

t février 1872. individualités du groupe et c'est là, de plus, leur caractère cli-nique le plus saillant. D'un autre côté, le

senter quelques détails préliminaires, propres à mettre en relief les caractères généraux que je veux indiquer d'une façon tout à

u moins accusées, sont, ainsi que je vous l'avais fait pressentir, le caractère clinique prédominant des maladies qui composent l

er que le rappro-chement que nous allons tenter mettra en lumière des caractères communs qui, jusqu'à ce jour, étaient restés mé-c

ons spinales d"origine et de nature si diverses, il en est une dontle caractère anatomique fondamental est de s'attacher, pour ai

st là, en effet, l'un des types les plus remarquables du groupe : les caractères spécifiques s'y montrent accusés de la manière la

avec une paralysie motrice aussi absolue, aussi complète, est un des caractères les plus frappants de la paralysie infantile Vo

s, est'menacé d'être perdu pour la vie 3. Tels sont, Messieurs, les caractères les plus saillants de la première période delà pa

es parfois après le début, ou même plus tôt encore 3. d) Un dernier caractère sera fourni par les déformations qui se manifeste

et rappelant celles des membres d'un poli-chinelle. Jointe aux autres caractères , et en particulier au refroidissement permanent d

es de la maladie qui l'a frappée à l'âge de cinq ans. Tels sont les caractères fondamentaux de la paralysie infan-tile spinale c

squels ont perdu leur striation et laissent voir à di-vers degrés les caractères de la dégénération granulo-grais-seuse. Mais, c'e

l'occasion de le faire, à la Salpêtrière, on recon-naît que tous les caractères de la substitution et delà surcharge graisseuses,

ipo-matosa de quelques auteurs allemands) par un ensemble imposant de caractères cliniques et nécroscopiques. Qu'il me suffise pou

, si je ne me trompe, l'étude qui a le plus contribué à déterminer le caractère des lésions spinales de la paralysie infantile, e

points-là, conservé la transparence et, à peu de chose près, tous les caractères de la structure normale. Enfin, nous signaleron

possèdent aujourd'hui, et d'ail-leurs aucun de ces faits ne porte ce caractère de précision qu'on est en droit d'exiger actuelle

points-là, conservé la transparence et, à peu de chose près, tous les caractères de la structure nor-male. Dans d'autres régions,

La lésion en question des cellules nerveuses, à en juger d'après le caractère des altérations que présente la trame con-jonctiv

ue le mode de l'affection dont elles sont le siège, se révèle par des caractères spéciaux. Un mot, en terminant, relativement à

phases. Il est assez vraisemblable toutefois qu'on trouverait là les caractères histologiques de la myélite aiguë avec multiplica

oints de la moelle le plus profondément atteints, rencontrer tous les caractères de la myélite destructive avec formation d'un foy

été excellente, il jouissait d'une grande force physique. Il est d'un caractère assez calme. Pendant les mois de juin, de juill

on put croire à l'invasion d'un fièvre typhoïde, s'annonçant avec des caractères d'une haute gravité. La langue était sèche et rec

a localisation étroite dans les cornes antérieures et tous les autres caractères qui distinguent celles de l'enfant. Mais l'autops

'épaississement fibroïde du tissu interstitiel qui paraissent être un caractère constant de la lésion spinale propre à la paralys

isparu sans laisser de traces. Quant à la névro-glie, on y trouve les caractères de l'hyperplasie conjonctive avec multiplication

rencontrée dans des cas où la névroglie présentait, au voisinage, les caractères non équivoques de l'in-flammation. Je n'ai pas pu

s, en commun, un trait particulier qui constitue, pour ainsi dire, le caractère anatomique fondamental du groupe : c'est la lésio

issu avoisinant qui présentait lui même, a une certaine distance, les caractères de la dégénéralion granuleuse. Cette observation

qui procède, dans une certaine me-sure, muscle par muscle, fournit un caractère important parce qu'il ne se retrouve pas au même

es ultimes, alors que l'atrophie est portée à son comble. C'est là un caractère qui tranche consi-dérablement avec ce que nous sa

considérés en particulier, nous devons fixer l'attention sur quelques caractères tirés du mode de progression et de répartition qu

. Dans un exposé où il s'agit surtout de mettre en relief quel-ques caractères nosographiques fondamentaux, c'en est assez. Mess

amyotro-phie protopathique, mais aussi par tout l'ensemble des autres caractères pathologiques. Actuellement, il convient de vou

aires sont le siège primitif du mal *. D'après la considération des caractères anatomiques, la forme d'atrophie musculaire progr

uveilhier avait considéré l'atrophie des racines antérieures comme le caractère anatomique de la forme d'atrophie musculaire dont

à cette forme patholo-gique et qu'elles se retrouvent avec les mêmes caractères dans les amyotrophies symptomatiques qui, mainten

né on reconnaît encore, dans l'aire des faisceaux blancs, à certains caractères histologiques qui accusentun développement relati

lésion consécutive, qui se traduit bientôt, histologiquement, par les caractères propres à la sclérose des centres nerveux. Dans l

intense, des muscles lesquels conservent pen-dant longtemps tous les caractères indiquant une nutrition normale. Cette lésion de

ppose connues les scléroses consécutives de cause cérébrale, dont les caractères anatomiques se confondent, à peu de chose près,

ant aucune altération appréciable. spinale primitive. Seulement, le caractère inflammatoire de la lésion dans la sclérose latér

t. — Paraplégie cervicale. — Envahisse-ment des membres inférieurs. — Caractères de la contracture. — Phénomè-nes bulbaires : Gêne

on, âgé de 44 ans, qui présente, c'est du moins mon opinion, tous les caractères cli-niques fondamentaux de cette affection 4. I

l'amyotrophie progressive protopathique. III. Mais les véritables caractères de la forme pathologique, dont la description nou

Elle se distingue encore, vous allez le reconnaître, par d'au-tres caractères importants. La gêne dans les mouvements des membr

nvahis qu'aux périodes ultimes. Ils constituent, pour ainsi dire, les caractères d'une seconde période ; la troisième étant marqué

ante. Je vais essayer, Messieurs, de résumer en quelques traits les caractères symplomatologiques de la sclérose latérale amyo-t

ues d'anesthésie, paralysie et contracture des membres inférieurs.) — Caractères qui dist nguent la pachyméningite cervicale hyper

rophie des muscles dans les membres paralysés ? C'est, en effet, un caractère des scléroses qui surviennent consécutivement aux

a moelle épinière participe à l'altération, et l'on y trouve tous les caractères d'une myélite transverse, irrégulièrement dissémi

font défaut dans la sclérose latérale amyotrophique. Bien d'autres caractères distinctifs, en connexion avec des différences an

nt, cette atrophie musculaire des ataxiques se distingue par quelques caractères spéciaux. Ainsi, elle ne présente pas le mode rég

ce, de vous exposer, aussi succinctement que possible, les principaux caractères de la paralysie générale spinale subaiguë. C'es

deltoïdes, entre autres, offraient de la façon la plus accentuée les caractères de l'hypertrophie par substitution graisseuse. Si

es des membres présentèrent pour la plupart, à des degrés divers, les caractères de la substitution graisseuse. Les faisceaux mu

ar l'incision, ceux-ci ont présenté constamment, à un haut degré, les caractères histologiques de la substitution graisseuse (Grie

moins dans quelques muscles, me paraît constituer, dans l'espèce, un caractère vraiment distinctif; si bien que la dénomination

éres-sante d'ailleurs de M. Duménil, invoquée à ce propos, n'a pas le caractère qu'on lui a prêté. Dans ce cas, en effet, — en pl

moelle épinière. Ces études, vous ne l'avez pas oublié, ont eu pour caractère particulier de faire marcher, si l'on peut ainsi

ue et tabès dorsal ataxique. — Parallèle entre ces deux affections. — Caractères tirés de la démarche. De la contracture et de l

sies nouvelles, avant de se décider à dé-nommer la maladie d'après le caractère anatomique. D'un autre côté, l'antique appellat

les analogies sont nombreuses, les points de con-tact fréquents, les caractères différentiels non plus ne font pas défaut. J'espè

station très diffi-ciles ou même entièrement impossibles, et dont le caractère si particulier avait déjà frappé vivement l'atten

ype une variété que je dois vous signaler. Yous pouvez en étudier les caractères chez l'une d'entre elles, la nommée Oss...2. Vous

r terme de leur évolution. Yous allez être amenés à constater que les caractères distinc-tifs ne sont pas moins accentués dans cet

s attaché, en général, à établir sur des observations régu-lières les caractères cliniques et anatomo-pathologiques de ces affecti

pas là d'une coïncidence fortuite. Mais, lorsqu'on veut spécifier les caractères cliniques ou ana-tomiques de ces paraplégies et i

e rapportent les cas dans lesquels la paraplégie se présente avec des caractères symptomatiques tout différents ; dans ces conditi

Description du cas. — Vertige habituel exagéré par les mouvements. — Caractères de ce vertige : exacer-bations paroxystiques ; —

r, — la venue prochaine de l'accès vertigineux. Dès qu'il acquiert ce caractère aigu, « les culbutes » sont immi-nentes. L'appa

crises pour ainsi dire dissociées se produisaient d'ailleurs avec des caractères qui rappellent dans ses traits principaux la desc

origine ils paraissent avoir présenté, en raccourci, il est vrai, les caractères plus accentués qui les distinguent aujourd'hui. A

avait été soumis à la pratique des émissions sanguines. Le véritable caractère de la maladie ne fut reconnu que fort tard, à une

ultés. Je vous demande la permission de relever les principaux de ces caractères ; car si je parvenais à les faire pénétrer dans v

ntenant du vertige considéré en lui-même, il offre lui aussi quelques caractères spéciaux. C'est le plus souvent, si j'en juge par

me un des éléments constants, nécessaires, et par conséquent comme un caractère du vertigo ab aare lœsa. Tout récemment M. le Dr

rmanent avait été remplacé par un bruissement tout différent dans son caractère , et qui paraît devoir être rattaché à l'action de

à ma prière, entrer dans les plus minu- tieux détails concernant le caractère de ses crises. J'appris d'elle que, pendant ses a

— Instabilité des membres affectés d'hémichorée post-hémiplé-gique. — Caractères des troubles musculaires au repos et dans les mou

chez cette malade, vous l'avez pressenti, la reproduction exacte des caractères , bien connus de vous, de l'hémianesthésie des hys

'en ce que la vue n'exerce sur eux aucune influence. Mais il est un caractère qui sépare foncièrement ces mou-vements choréifor

qui fait que, en définitive, cet état en ce qui concerne du moins le caractère des troubles moteurs ne s'éloigne par aucun trait

que celle-ci a en commun avec les faits qui nous occupent ; mais les caractères distinctifs abon-dent, d'autre part ; il me suffi

iformes dont je me suis attaché à vous faire connaître les principaux caractères se montrent sous un jour nouveau, lorsque la mala

taire. Il se rapproche d'ailleurs beaucoup plus par l'ensemble de ses caractères des agitations de la chorée que du tremblement pr

Description d'un cas d'épilepsie partielle d'origine syphilitique. — Caractères et siège par-ticulier de la céphalalgie. — Nécess

ont je m'efforçais tout récemment de vous faire saisir les principaux caractères et les principales variétés symptomatiques en me

de l'accès que la perte de connaissance était survenue. Le véritable caractère des accidents convulsifs venait ainsi de se révél

oint de la région pariétale droite. La douleur, à ce moment, prend le caractère pulsatif, et, au bout de quel-ques minutes, elle

je méconnus, je dois l'avouer, pendant près-d'un mois, le vérita-ble caractère de la céphalalgie et des autres phénomènes qui l'

ine du membre, de la mobilité anormale, ainsi que de la cré-pitation, caractères indiquant une fracture au col anatomique du fémur

n degré extrême, des extrémités articulaires des os, est le principal caractère qui, au point de vue anatomo-pathologi-que, disli

posé sommaire de ces deux observations nouvelles : on y verra que ces caractères fonda-mentaux du type se trouvent là, en quelque

de 45 ans, fut atteint vers le 20 juillet 1878, d'une bronchite sans caractère particulier qui guérit assez rapidement, mais lai

récédé la chute et la perte de la conscience. Celle-ci paraît être un caractère con-stant de ce que l'on pourrait appeler les « g

sera possible désormais de séparer en pratique, à l'aide de certains caractères , des formes connexes. Ainsi, pour ne citer qu'un

lume, que dans les régions où les tubes nerveux ont conservé tous les caractères de l'état normal. Les coupes longitudinales perme

r, toutefois, ainsi que le nucléole, ont toujours paru présen-ter les caractères de l'état physiologique. J'ai été assez heureux p

harcot \ (Voyez : Leçon XI, p. 212). On retrouvera les principaux caractères cliniques qui per-mettent de reconnaître pendant

gue, du larynx. De temps en temps, légers accès de dyspnée, mais sans caractère immédiatement menaçant. Il y a un an environ, la

e spinale protopathique. Ce diagnostic était fondé sur les principaux caractères suivants: malgré la réduction de volume considéra

considérable d'éléments cellulaires, dont quelques-uns présentent les caractères de la mul-tiplication par scission (noyau en biss

n-tation relative du pigment jaune, persistance pendant longtemps des caractères normaux du noyau et du nucléole, tels sont les ca

ngtemps des caractères normaux du noyau et du nucléole, tels sont les caractères du processus qui préside ici à la destruction des

ent lombaire, la substance grise a repris à peu près complètement les caractères de l'état normal. Les cel-lules nerveuses y sont

on qui vient d'être relatée reproduit assez exactement les principaux caractères cliniques que nous avons assignés à l'atrophie mu

nt nerveux serait de nature irritative, si on en juge du moins par le caractère des altérations qu'elle provoque, lorsque plus ta

coloration est jaunâtre. Les muscles de l'abdomen présentent le même caractère et pour eux, comme pour les muscles du dos, les l

. Le nombre des tubes nerveux qui, dans ces racines, ont conservé les caractères de l'état normal, est plus grand qu'on aurait pu

cope immédiatement après l'autopsie ; les tubes nerveux offraient les caractères de l'état normal ; on ne rencontrait dans les int

s 4, qui ont conservé, à peu près, les dimen-sions et tous les autres caractères de l'état sain. Parmi les cellules atrophiées, le

eur oculaire externe et de l'auditif nous ont paru présenter tous les caractères de l'état normal. Observation IL Sclérose sym

issance motrice à peu près absolue en même temps qu'elle présente les caractères d'une atro-phie déjà très prononcée. Petite, rata

ue. Mais la contraction musculaire ne se produit pas partout avec ses caractères normaux, et, dans bien des muscles, elle revêt la

lupart des nerfs bulbaires ont été examinés, et tous présentaient des caractères histologiques bien voisins de l'état normal. C'es

lques cellules demeurées saines, on peut observer dans les autres les caractères de la lésion à toutes les périodes de son déve-lo

Ils présentent, sur des coupes trans-versales de la moelle, tous les caractères de la sclérose des fais-ceaux blancs. Les grands

ules épargnées, à la région lombaire, plus de la moitié a consérveles caractères de l'état normal. La colonne vésiculaire de Clark

pré-senté, pour ce qui est de la coloration et de la consistance, les caractères de l'état sain. y. Etat des centres nerveux et

férieur. Le phrénique et le grand sympathique cervical ont offert les caractères de l'état normal. y. Examen des centres nerveux

yaux. Quelques-unes de ces cellules nerveuses ont conservé tous les caractères de l'état normal ; elles sont en petit nombre pui

les d'origine du spinal. Celles-ci, pour la plupart, ont conservé les caractères de l'état sain. Un bon nombre d'entre elles, pour

es et un petit nombre de cellules du trijumeau, pré-sentent tous les caractères de l'altération décrite plus haut. Un des point

toute passive ? On ne peut rien décider à cet égard d'après les seuls caractères anatomiques, mais il est permis d'affirmer que ce

abord, avoir conservé à peu près toutes les dimensions et les autres caractères de l'état normal ; mais un examen moins superfici

qu'au dernier terme, que Gharcot. Œuvres complètes, t. 11. 31 les caractères , de l'atrophie simple, sans multiplication des no

$ v,Y excision, ceux-ci ont présenté constamment, à un hautdegré, les caractères histologiques delà substitution grais-seuse L'imp

moins dans quelques muscles, me parait constituer, dans l'es-pèce, un caractère vraiment distinctif; si bien que la déno-mination

s deltoïdes, entr'autres, offraient de la façon la plus accentuée les caractères de l'hypertrophie par substitution graisseuse. Si

e de ses dernières leçons à la Salpêtrière \ M. Char-cot a exposé les caractères qui distinguent une variété de Vhémichorée post-h

cordons postérieurs. Examen macroscopique. — Induration grise ; ses caractères . — Foyer originel de la lésion irritative. — Anat

rébrales. Existence isolée de l'amaurose tabétique; sa fréquence. — Caractères de la lésion anatomique du nerf optique à l'œil n

de l'arthropathie dos ataxîques. — Jointures qu'elle intéresse.— Ses caractères spéciaux. — Diagnostic entre l'arthropathie des a

ystique de la moelle. Des crises gastriques. — Spécificité de leurs caractères . — Durée. — Cas frustes d'ataxie locomotrice.....

ral cancéreux. Paraplégie douloureuse des cancéreux. — Douleur; ses caractères ; pa-roxysmes. — Hyperesthésie tégumentaire. — Eru

de la lésion. — Hémiparaplégie spinale avec anes-thésie croisée; ses caractères .— Hémiplégie spinale........ ... 121 HUITIÈME L

e infantile. Sommaire. — Myopathies spinales ou de cause spinale. — Caractères géné-raux. — Localisation des lésions spinales da

t. — Paraplégie cervicale. — Envahisse-ment des membres inférieurs. — Caractères de la contracture. —Phénomè-nes bulbaires : Gêne

ues d'anesthésie, paralysie et contracture des membres inférieurs.) — Caractères qui distinguent la pachyméningite cervicale hyper

e ; — tabes dorsal ataxique. — Parallèle entre ces deux affections. — Caractères tirés de la démarche. De la contracture et de l

Description du cas. — Vertige habituel exagéré par les mouvements. — Caractères de ce vertige : exacer-bations paroxystiques ; —

— Instabilité des membres affectés d'hémichorée post-hémi-plégique. — Caractères des troubles musculaires au repos et dans les mou

Description d'un cas d'épilepsie partielle d'origine syphilitique. — Caractères et siège par-ticulier de la céphalalgie. — Nécess

, 29 ; -terebrantes, 30 ; — lancinantes, 30; — constrictives, 31. — Caractères généraux des —,31. — Leur sub-stratum anatomique,

nerveux. Tel est le matériel considérable, mais nécessairement d'un caractère particulier, qui forme ce que j'appellerai l'anci

des phénomènes extérieurs de la maladie ; elle peut, sans changer de caractère , s'appliquer au domaine anatomo-palhologique et s

l'intervention de l'anatomie pathologique offre, en quelque sorte, un caractère purement pratique. Il s'agit, surtout, de fourn

ement pratique. Il s'agit, surtout, de fournir à la nosographie des caractères plus fixes, plus matériels, si l'on peut ainsi pa

position, peut atteindre. (Test donc ailleurs qu'il faut chercher un caractère distincfif. Chez le simulateur, comme chez le cat

coup améliorée depuis quelques jours : quand le malade est entré, les caractères de la démarche, très gênée encore, étaient beauco

t dit que les muscles étaient absents. On pouvait, d'après ce dernier caractère , s'attendre à voir la galvanisation provoquer la

dans les paralysies faciales graves. En pareil cas, et c'est là un caractère de ce qu'on appelle en électro-diagnostic la réac

lation qui sont atteints. Et, dans ce cas, l'atrophie, présentant les caractères de l'atrophie simple, sans caractère irritatif, s

cas, l'atrophie, présentant les caractères de l'atrophie simple, sans caractère irritatif, survient très rapidement ; elle est de

ible qui fait comparer les membres à des barres inflexibles. Un des caractères les plus intéressants de la contracture hystéri

s non seulement à l'hémiplégie, mais à la paraplégie, qui prennent le caractère spasmodique sous l'influence d'un traumatisme. D'

uloureux de la face ; mais l'affection se présente chez elle avec des caractères spéciaux qui s'éloignent considérablement du type

nique primitif, fixe ou partiel. — La maladie, qui présente les mêmes caractères de chronicité d'emblée que la forme précédente, r

ns plus insister, nous retrouvons dans un grand nombre d'articles les caractères classiques de l'arlhrite sèche. Mais, le point

rhumatisant chronique atteint d'atrophie musculaire, et il a noté des caractères qui permettent de rapprocher ces amyotrophies des

té réflexe exagérée, marquée par l'exaltation des réflexes tendineux, caractère qui se retrouve aussi bien dans les membres supér

que {forme primitive'), Thèse de Paris, 4 853. Voici maintenant les caractères de deux grands types dont j'ai donné la descripti

folie paralytique. — Thèse de Paris, 1853. tieux prend d'emblée les caractères de la démence (Falret). Ces idées sont mobiles, c

e d'idées délirantes ; alors seulement des modifications profondes du caractère , emportements et attendrissements sans motif, aff

peu près libres et se répétant un nombre varié de fois avant que les caractères de la paralysie générale ne s'établissent décidém

igraine ; mais, en outre, il a cette fois des secousses convulsives à caractère épileptiforme, avec perte de connaissance. Cela a

roduisirent, et qui furent au nombre de trois, présentèrent toutes le caractère épileptique; elles eurent lieu la nuit, sans phén

ies les plus centrales de la réline. Dans l'amblyopie hystérique, les caractères de l'état normal se modifient de telle façon que

s dont j'avais à vous entretenir, il me resterait à vous rappeler les caractères généraux de la grande attaque hystéro-épileptique

lable, appeler votre attention. Eh bien, la plus grande partie de ces caractères peuvent se retrouver dans l'hystérie de l'homme.

nter assez souvent chez l'homme, et qu'on l'y rencontre avec tous les caractères observés d'ordinaire chez la femme. «- Je me bo

. En résumé, l'hémianalgésie, l'existence d'un point hystérogène, les caractères de l'attaque qui viennent d'être signalés suffise

présenter, d'ailleurs, chez l'enfant, mâle ou femelle, avec tous les caractères de Yhysteria major. Comme exemple du dernier genr

10 avec lequel furent étudiées les particularités du cas, et par le caractère très accentué des phénomènes ; c'est un exemple d

udier de visu cette déformation. Nous retrouvons d'ailleurs ici les caractères de la contracture spasmodique : si, en effet, les

uire l'extension. Cette action simultanée des antagonistes est un des caractères de la contracture spasmodique, sur lesquels je re

et hyperexcitable, la main contracturée en flexion, présente tous les caractères de la contracture spas-modique ; l'attitude est f

est ce traumatisme léger qui a déterminé la contracture ; c'est là un caractère d'une grande valeur. De plus, le débuta été souda

titude, lorsqu'une étude plus attentive nous permettra de relever les caractères qui établissent de plus en plus nettement la natu

ième de la normale. Nous retrouvons donc chez cette malade tous les caractères de l'hémianesthésie hystérique avec ovarie. Ces t

atteindre la même limite. C'est donc ailleurs qu'il faut chercher un caractère distinctif. Sur le simulateur et sur la catalep

la névrose hystérique ne présentent pas toujours, tant s'en faut, les caractères du féminisme ; ce sont, au moins dans un bon nomb

ous retrouvons chez l'homme les points hystérogènes, avec leurs mêmes caractères que chez la femme; mais chez lui les points d'éle

tant parvenir à vous persuader que, malgré l'absence de ces grands caractères , c'est bien de l'hystérie qu'il s'agit, et rien q

ux côtés. Les douleurs de l'alaxie locomotrice se présentent avec des caractères que nous ne retrouvons pas ici. Dans les affectio

vant, permettez-moi, Messieurs, de vous rappeler en quelques mots les caractères anatomiques et cliniques de cette affection, tels

s pour l'obliger à se coucher une heure ou deux. Elles présentent les caractères suivants : a) la douleur avant de se généraliser

vec ma main droite, tandis que c'est beaucoup plus difficile pour les caractères imprimés. Il ne s'était jamais, en effet, appliqu

s. Il ne s'était jamais, en effet, appliqué à tracer avec la main des caractères imprimés, comme le ferait un peintre de lettres.

comme le ferait un peintre de lettres. On lui fait lire une ligne en caractères imprimés : le malade met 8 minutes à la déchiffre

es cursives. On remarque que toujours, en lisant, le malade trace les caractères dans l'espace, avec la main droite; on lui met le

n devoir de lecture. Il lit sans écrire, mais en s'aidant toujours de caractères tracés dans l'espace. On remarque que, sous l'inf

e lire par les yeux, en même temps qu'elle s'aidait de la lecture des caractères en relief par le toucher ; mais, au bout de plusi

ui dépend d'une lésion de la bandelette; il pourrait bien être un des caractères cliniques de l'hémianopsie de cause cérébrale.

il y est parvenu, il lui semble voir de nouveaux traits, de nouveaux caractères dans leur physionomie. Il n'est pas jusqu'à sa

hangement complet s'est opéré dans mon existence et naturellement mon caractère s'est modifié d'une façon notable. Avant j'étai

tte faculté mentale est, comme je l'ai dit déjà, le changement de mon caractère et de mes impressions. Je suis beaucoup moins acc

e Erb. — Forme infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne). — Ses caractères . — Cette dernière forme est analogue aux précéden

, ce grand artiste en neuro-nosographie, s'éloigne tellement, par ses caractères cliniques, des amyotrophies progressives spinales

de 19 ans. L'affection dont il est atteint et qui revêt chez lui les caractères cliniques de la paralysie myosclérosique de Duche

phie musculaire progressive de cause spinale par un certain nombre de caractères distinctifs. Ce sont, entre autres : le mode d'en

seul point de différence. Mais il faut reconnaître, je pense, que ce caractère dislinctif n'est pas fondamental. L'hypertrophie

forme héréditaire de latrophie musculaire progressive, et dont un des caractères serait de débuter par les membres inférieurs. Cet

W. Erb, la forme héréditaire de Leyden, qui, distinc-tes par certains caractères , pourraient bien être identiques au' fond. Pass

la bouche. Cette paralysie de l'orbiculaire donne à la physionomie un caractère tout spécial : les lèvres sont épaisses, renversé

ginale ; le début par la face est bien particulier. Mais est-ce là un caractère spécifique et doit-on, à cause de cela, créer une

uriel, de la paralysie générale, de la maladie de Basedow. Ghorée : Caractères des mouvements involontaires de la chorée de Syde

t posthémiplégiques. — Athétose et hémiathétose. Chorée rhythmée. — Caractères des mouvements : ils se manifestent sous forme de

atteindre leur maximum au moment où le vase approche de la bouche. Ce caractère spécial du tremblement de la sclérose en plaques

remblement de la sclérose en plaques. Pour mieux mettre en relief les caractères si particuliers qui le distinguent, j'ai voulu em

mais de petite étendue et de durée courte. Vous pouvez constater ces caractères chez le malade que je mets sous vos yeux. Remarqu

illations à grand arc qui sont spéciales à la sclérose en plaques. Ce caractère se révèle bien sur les tracés pris à l'aide de l'

dans celui-ci, le tremblement individuel des doigts n'existe pas. Ce caractère peut-être facilement constaté à l'aide de la méth

e régulier • ilsjsont cadencés. Ils n'ont donc pas, vous le voyez, le caractère d'irrégularité des mouvements choréiformes. que j

ains mouvements a expression tels que ceux de la danse, des danses de caractère en particulier (chorée saltatoiré) ; 2° ou bien c

, d'abord à 18, puis à 20 ans. Elle a eu trois enfants. Elle est d'un caractère irritable, mariée à un ouvrier, brave homme d'ail

ession d'actes variés, très complexes, où vous pouvez reconnaître les caractères de rhythme, de cadence, d'imitation parfaite de c

hant, de plainte modulée, toujours la même. Et ici nous retrouvons le caractère de coordination, d'adaptation apparente qui est p

ture était celle d'un homme; le P et le D présentaient, en outre, des caractères si bizarres que la fillette ne put jamais depuis

permanence; malgré ce que nous a appris la mère, elle paraît avoir un caractère doux et tranquille. Dès les premiers jours de son

pas, tant s'en faut, je vous l'ai montré par de nombreux exemples, un caractère univoque de la maladie hystérique, même chez la f

z lui — cela est vrai, mais on ne saurait certainement pas voir là un caractère distinctif de premier ordre, — ces caprices, ces

ctère distinctif de premier ordre, — ces caprices, ces changements de caractère et d'humeur qui appartiennent plus habituellement

onnue dans l'histoire de l'hystéro-épilepsie et célèbre, en raison du caractère « démoniaque » que présentaient ses crises convul

es, ni dans l'intervalle, il n'a eu de rêves ou d'hallucinations d'un caractère gai ou agréable. A cette époque, il alla consul

st intelligent et relativement assez instruit. Il est d'ailleurs d'un caractère doux et totalement dénué de mauvais instincts.

t de l'accordéon. Il fréquente volontiers le théâtre ; cependant d'un caractère plutôt sombre et taciturne, il recherche habituel

t au moment de la guérison que débuta une céphalalgie intense et d'un caractère particulier qui persiste encore aujourd'hui. Pe

t nous avons été bien des fois témoin dans le service, présentent les caractères suivants : elles peuvent être spontanées ou provo

anées ou provoquées ; dans les deux cas, elles ne diffèrent par aucun caractère essentiel. Trois zones hystérogènes ont été décou

reconnaître qu'il n'en est rien. Toutes les attaques, chez G., ont le caractère de la grande hystérie, et c'est pendant le cours

t l'émission involontaire des urines ne sont pas, tant s'en faut, des caractères univoques du mal comitial. Ces accidents peuvent

rose neurasthénique (Neuraslhenia de Beard dont elle constitue un des caractères prédominants, et où l'on observe également la dép

r un sentiment d'anxiété. D'ailleurs, il n'était ni irritable ni d'un caractère difficile. A l'école, il apprenait facilement et

n effet, que pour ce qui concerne là régula rite des périodes et le caractère épique des diverses altitudes, les Fig. 51. — A

Mais, chez lui, la maladie paraît douée, vous allez le voir, de ce caractère de permanence et de ténacité que nous avons renco

attaques d'hystérie. Son grand-père paternel était alcoolique et d'un caractère très violent. C'est tout ce que l'on peut relever

lles, ganglions dans la région mastoïdienne. 11 est intelligent, d'un caractère plutôt gai et n'a jamais été peureux ; mais il ét

ée, il peut arriver que les hallucinations en jeu aient par moment un caractère gai, tandis que si la crise a été provoquée par l

ovoquées, dont nous avons été témoin, ont présenté exactement le même caractère . Toujours nous avons vu se reproduire dans le mêm

le, à interpréter le cas comme un exemple d'hystérie. D'ailleurs, les caractères cliniques de la monoplégie, son origine traumatiq

t pas nous arrêter. Par suite, le pronostic changeait complètement de caractère ; nous n'étions plus en présence d'une affection d

lusieurs fois, présentant, d'ailleurs, absolument, toujours les mêmes caractères que l'atlaque provoquée. Dans l'une d'elles qui a

dans toute leur plénitude, ainsi que nous en avions eu l'espoir, les caractères de cette monoplégie si parfaitement propre à l'ét

paralysés. — Diagnostic: commotion ou contusion du plexus brachial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci : zon

ent dans cette forme de paralysie spinale. D'ailleurs, et c'est là un caractère distinctif absolu, bien que la paralysie soit éta

ns d'étudier minutieusement et dont nous connaissons actuellement les caractères cliniques? Relève-t-elle d'une lésion plus ou moi

extrêmement atrophiés. Us présentent, à l'examen électrique, tous les caractères de la réaction de dégénérescence portée à son plu

ur volume et leur relief normaux, ils ne présentent à aucun degré les caractères de la réaction de dégénérescence, les réflexes te

yopie des hystériques paraît, je vous l'ai dit, se distinguer par des caractères propres. Je veux parler de la macropsin et de la

ue hystérique. Mais je tiens à vous faire remarquer, qu'en somme, les caractères cliniques de la monoplégie de Porcz... ne diffère

s les paralysies hystériques présentent nécessairement l'ensemble des caractères qui vennent d'être énumérés ; mais je crois qu'on

t d'être énumérés ; mais je crois qu'on peut affirmer ^ue lorsque ces caractères se trouvent coexister dans un cas donné de paraly

plus, la monoplégie elle-même se présente chez lui douée de tous les caractères qui spécifient cliniquement certaines formes de p

lle que soit la lésion qui les produit, seulement, dans l'hystérie ce caractère sera, en général, beaucoup plus accentué, beaucou

rochent même, vous allez le constater bientôt, par un grand nombre de caractères cliniques communs qui rendent souvent le diagnost

olds, dans un excellent travail où sont traités leur étiologie, leurs caractères cliniques, ainsi que les moyens de traitement qu'

eur, ces actes de cérébra-tion inconsciente se distingueront par leur caractère automatique purement mécanique en quelque sorte.

érées sont, en conséquence, souvent très complexes; ils n'ont plus ce caractère de précision mécanique qu'ils présentaient dans l

très générale quels sont, dans la période somnambulique, les grands caractères des phénomènes de la suggestion hypnotique, et co

de suggestion, nous pourrons, à notre gré, en modifier le degré, les caractères mêmes jusqu'à un certain point, la défaire enfin,

e mouvements effectués à distance (contracture somnambulique), est un caractère somatique qui, vous le savez, nous permet de reco

e brachiale dont il nous faut à présent déterminer minutieusement les caractères cliniques ; car peut-être cette monoplégie est-el

eux et, enfin, la perte totale du sens musculaire. Or, Messieurs, ces caractères cliniques, vous le reconnaissez immédiatement, so

gestions successives, reproduit jusque dans les moindres détails, les caractères cliniques que présente la monoplégie de notre mal

roduites à dessein chez nos hystériques, sont, en ce qui concerne les caractères cliniques, non pas seulement comparables entre el

ent son plus haut degré et se présente alors avec tout l'ensemble des caractères cliniques que vous savez. Ainsi la ressemblance

t qu'on peut supposer s'être produite an même degré et avec les mêmes caractères chez nos deux hommes en conséquence de la chute s

d hypnotisme. Mais, au point de vue psychique, ce sont évidemment les caractères de l'état somnambulique qui dominent. Eh bien! si

nt se produire effectivement la monoplégie flasque, douée de tous les caractères que nous avons appris à connaître ; après quoi, l

et d'autres auteurs sur les affections hys-tériques^des jointures,3r- Caractères des arthralgies hystériqù^STitttîïude du membre,

Analogies cliniques considérables avec la vraie coxalgie organique. — Caractères distinctifs : signe de Brodie, hémianesthésie, an

a est chez notre malade, il s'agit de la hanche. Voici les principaux caractères cliniques de ces arthralgies signalés par les aut

musculaire qui est en jeu. Comme vous le savez, Messieurs, ces deux caractères n'ont rien de particulier à l'arthralgie hystériq

que l'on appelle quelquefois la troisième période1. Mais l'étude des caractères qui suivent nous sera sans doute plus utile pour

e l'affecíion el son mode d'évolution peuvent, eux aussi, fournir des caractères très importants : chez les hystériques, elle peut

er ; la gauche au contraire paraît plus large, aplalie, flasque ; ces caractères se retrouvent dans la coxalgie organique où ils o

n'a lieu pour l'œil droit. — Ajoutons, et c'est là, vous le savez, un caractère très significatif, que le pharynx peut être titil

que l'affection articulaire dont il souffre présente un bon nombre de caractères qui appartiennent à la coxalgie hystérique et auc

tisme. — Différents procédés employés pour produire cette coxalgie. — Caractères de la coxalgie hystérique artificielle. —Shock ne

nt vous sont toutes deux des femmes hystériques avérées offrant les caractères les plus nets du grand hypnotisme; elles présente

membre, développement d'une monoplégie brachiale présentant tous les caractères des monoplégies dites hystéro-traumatiques, — fra

transforme en monoplégie avec contracture. Celle-ci présente tous les caractères de la contracture hystérique. — La tendance à la

s fléchisseurs et c'est là, précisément, vous le savez, un des grands caractères de la contracture spasmodique. Dans ces dernier

que de ces travaux. Je me bornerai seulement à relever que, parmi les caractères cliniques qui distinguent la contracture signalée

lectriques des muscles rétractés, et il n'est pas douteux qu'un autre caractère serait, en pareil cas, l'impossibilité d'obtenir

ion matérielle appréciable cérébrale ou spinale, à l'aide de certains caractères cliniques. C'est ainsi, par exemple, que, dans le

complète du sens musculaire, lorsqu'il s'agit de l'hystérie. Or, ces caractères dislinctifs de la contracture hystérique, nous le

té produite par le traumatisme et comparable à tous égards, quant aux caractères cliniques et au mécanisme, aux monoplégies hystér

des actes réflexes. Par ce côté, comme, du reste, par l'ensemble des caractères cliniques, la contracture provoquée chez les hyst

accentuer les contrastes et, partant, de mettre en pleine lumière les caractères cliniques distinctifs des deux ordres d'affection

reçue. Tels sont, en gros, les traits de ressemblance ; quant aux caractères dislinctifs, nous nous réservons de les faire res

it de la nouveauté. Donc, Messieurs, voici l'énuméralion des grands caractères qui, suivant moi, distinguent le mutisme hystériq

ousser des cris môme violents, le muet hystérique — remarquez bien ce caractère singulier — est aphone, le plus souvent d'une faç

inerte, voilà tout. C'est ici que se révèle, peut-être surtout, le caractère vraiment spécial du mutisme hystérique. Si l'indi

ment dans cette dernière catégorie. Je vous ferai en plus remarquer — caractère pratique de la plus haute importance — que, dans

uvent encore au moment de l'issue fatale. J'insiste à nouveau sur ces caractères , parce que, dans le mutisme hystérique, je le rép

atologie ne revêt pas, vous allez le reconnaître, tout à fait le même caractère . Tous savez combien sont rares, dans le domaine

tisme se reproduisit. Vous voyez que notre malade présente tous les caractères classiques du mutisme hystérique tel que nous l'a

de son éducation fort incomplète. Dans le cas actuel, en dehors des caractères spéciaux du mutisme, les crises antérieures sont

so-laryngée. Cependant, vous reconnaîtrez sans peine, chez elles, des caractères identiques à ceux que nous relevions tout à l'heu

mais à peine écrire. Les gens qui le connaissent font l'éloge de son caractère ; il s'est montré plusieurs fois bon et secourabl

ns le coma. A son réveil, il a présenté, pendant deux jours, tous les caractères du mutisme hystérique. Epis-taxis fréquentes, plu

les membres ne sont pas flasques, ifs ne présentent pas non plus les caractères de la paralysie spasmodique ; pas d'exagération d

lication du chaud et du froid, restent inaperçus. En raison de leur caractère très accentué, aussi accentué que possible, et de

ontrer, en outre, que la paraplégie elle-même offre chez lui tous les caractères des paralysies hystériques psychiques ou nlentale

e la paralysie, le cas de Lelog... ne diffère cliniquement, par aucun caractère essentiel, des cas où, mez les hystériques hémian

sur la sensibilité et sur le mouvement, présentant en un mot tous les caractères qui distinguent les paralysies hys-téro-traumatiq

Sueurs profuses. Vers le milieu de juillet, les attaques prennent un caractère spasmodique plus accentué. Le malade se débat dav

la paraplégie motrice, à la suite d'une attaque qui présente tous les caractères de l'attaque hystérique, vient confirmer d'une ma

, c'est-à-dire six semaines après l'accident. Là on reconnut tous les caractères de l'affection monoplégique qui vont être décrits

mbre, tant pour la variété que pour la précision, présentent tous les caractères de l'état normal. Ces mouvements persistent, en g

d'attaques de nerfs ayant, d'après ce qu'elle nous dit, présenté les caractères suivants : pas d'aura, perte de connaissance, pas

e dont a été frappée notre malade, il est temps d'aborder l'étude des caractères qui lui sont propres. Examinons d'abord l'état

s paralysies hystériques *. (Voir la Leçon XXV). Parmi les divers caractères de l'hystérie, de cette névrose si fertile en man

ent comme absolu. Il consiste en l'absence de troubles trophiques. Ce caractère négatif a été élevé à la hauteur d'une loi et un

de mon maître, M. le professeur Charcot, l'ont amené à établir que ce caractère n'est pas constant, et que par conséquent il ne c

evons, du reste, bien faire remarquer que nous ne considérons pas les caractères que nous allons indiquer comme absolus ; le nombr

1885. (Voir la Gaz. des hôpitaux du 12 janvier 1886). répondent aux caractères de ce syndrome clinique. L'histoire du fils de Cr

eu des hé-moplysies. On l'avait surnommé le philosophe à cause de son caractère taciturne. Au sortir du collège, il entra, dans u

partir de ce moment que la voix a commencé à changer graduellement de caractère . A son entrée, l'aphonie est complète; la malad

chose près, tous ces cas de mutisme sont identiques et présentent les caractères principaux suivants : début soudain, impossibilit

ément le malade, quelquefois par la seule application du miroir. Leur caractère est typique; survenues subitement, chez des sujet

cas d'origine hystérique ; mais je veux dire que par sa modalité, ses caractères , ce syndrome évoquera facilement chez un observat

our l'empêcher de tenir une plume et elle copie tant bien que mal les caractères et les chiffres imprimés ou écrits qui lui sont p

ires, ainsi qu'on peut s'en assurer en faisant copier aux malades des caractères ou des dessins, ou en leur faisant exécuter des t

de l'organe de la parole; 3° comme impression faite sur l'œil parles caractères (écrits ou imprimés); 4° comme actes de la main d

lades atteints de cécité verbale, c'est en retraçant avec la main les caractères que ces gens arrivent parfois à comprendre le sen

s notions plus générales qui concernent non plus la signification des caractères , mais simplement leur forme, leur aspect extérieu

vent à comprendre les mots écrits en cherchant à tracer eux-mêmes les caractères qui les composent, soit avec une plume, soit simp

phique, viennent ici mettre en valeur les impressions faibles et d'un caractère douteux fournies par les impressions visuelles. A

ons aussi étendues dans l'état normal, il est difficile de tracer les caractères qui pourraient permettre de distinguer cliniqueme

e Erb. — Forme infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne). — Ses caractères . Cette dernière forme est analogue aux précédente

riel, de la paralysie générale, de la maladie de Basedow. (Ihorée : Caractères des mouvements involontaires de la chorée de Syde

post-hémiplégiques. — Athétose et hémiathétose. Chorée rhythmée. — Caractères des mouvements ; ils se manifestent sous forme de

paralysés. — Diagnostic : commotion ou contusion du plexus brachial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci: zone

e et d'autres auteurs sur les affections hystériques des jointures. — Caractères des arthralgies hystériques: attitude du membre;

Analogies cliniques considérables avec la vraie coxalgie organique. — Caractères distinctifs: signe de Brodie, hémianesthésie, ane

tisme. — Différents procédés employés pour produire cette coxalgie. — Caractères de la coxalgie hystérique artificielle. — Shock n

membre, développement d'une monoplégie brachiale présentant tous les caractères des monoplégies dites hystéro-traumatiques ; frac

transforme en monoplégie avec contracture. Celle-ci présente tous les caractères de la contracture hystérique. — La tendance à la

ce du) dans le traitement de l'hystérie, 240. C Catalepsie, 18; — caractères de la — , 337; — simulation de la —, — 110.

. Coxalgie hystérique de cause traumatique chez l'homme, 370; — ses caractères , 374; —provoquée par l'hypnotisme, 391; — hys-tér

duction artificielle du mutisme hystérique, 437. — Diverses phases et caractères de 1' —, 336, 337. Hystérie, 14, 38, 47; — chez

yopie, 83; — Affection — des jointures, 370; — Chorée —, 216, 225; - caractères des mouvements, 216; — Monoplégies —, 293, 299,

nne, 200 ; — n'est pas une amyotrophie de cause spinale, '¿01 ; — ses caractères , 202; — Ces diverses formes font partie d'un grou

la coxalgie hystérique, 377. Poliomyélite antérieure chronique ses caractères , 192. Polyopic monoculaire des hystériques, 323

harospasme. 48; — du mutisme, hystérique, 432. Somnambulisme, 339 — Caractères du —, 339. — Paralysies par suggestion dans le —,

sme, 44. Stupeur locale, 404. Suggestion (Paralysies par), 341; — Caractères des — , 342; — Analogies avec les paralysies hyst

ous le rapport matériel, c'est-à-dire qu'elle est conforme, quant aux caractères et à la disposition typographiques, à tous les au

; mais mettant en re-lief, lorsqu'elle est intelligemment conçue, les caractères im- portants, fondamentaux, elle apprenda voir

s. Il n'en est pas de même des espaces qui persistent avec tous leurs caractères . La capsule de Glisson y est très apparente et l'

e de Glisson y est très apparente et l'on reconnaît sans peine, à des caractères sur lesquels j'insisterai, la surface de section

la digestion ; — b) la dégéné-ration graisseuse qui constitue un des caractères de l'altéra-tion dite foie muscade, altération qu

est indispensable, en effet, d'être parfaitement familiarisé avec les caractères normaux, et, en particulier, avec de nombreuses v

celle de la gomme. 11. Je viens de m'appliquer à vous exposer les caractères ana-tomiques les plus importants qui distinguent,

ndre : l'état granuleux de la cellule, sa teinte jaunâtre et d'autres caractères encore suffiraient pour prévenir celte erreur ana

oment sera venu. Qu'il me suffise de relever, quant à présent, que le caractère fon-damental de la dégénération est fondé sur ce

plus oirmoins rapide. On y reconnaît, à l'autop-sie, quelques-uns des caractères microscopiques de l'atrophie jaune sur lesquels n

iaires inter-lobulaires d'après une prépara-tion de M. Terrier. Les caractères généraux de ce réseau sont la grande té-nuité (1

liaires chez l'homme. — Tissu conjonctif des lobules hépatiques ; ses caractères à l'état normal. — Voies lymphatiques ; lacunes.

Bili- coloration verdatre, translucides, présentent verdine- tous les caractères optiques et chimiques de la biliverdine. On peu

moment où ce dernier devient intra-lobulaires et prendre peu à peu le caractère des cellules hépatiques. Entre ces cellules, les

même du vaisseau capillaire et, à part cela, nous retrouvons tous les caractères essentiels du type vulgaire des appareils glandul

de l'épaisseur du protoplasma cellulaire, de telle sorte que ce grand caractère du type commun des glandes en tubes se retrouve,

lisations des lésions hépatiques dans les espaces interlobu-laires. — Caractère commun : hyperplasie conjonctive interlobulaire.

matières colorantes. — Analyse de la bile. De la cholestérine ; ses caractères ; son origine ; sa nature. — Action sur l'or-gani

me affectant primitivement la capsule de Glisson n'aurait pas ce même caractère de dériver d'une lésion des vaisseaux. C'est là u

me rhomboïdal oblique), dont les angles sont souvent dentelés. Si ces caractères ne suffisaient pas, Line réaction pourrait être i

biliaire. Sommaire. — Du pigment biliaire. — De la bilirubine ; ses caractères physiques et chimiques. —Réactions qui permettent

ur proportion dans la bile. — Glycocholate et taurocholate de soude ; caractère de ces sels. — Acides glycocholique et taurocholi

ide n'était donc pas de la bile incolore, il n'en possédait aucun des caractères chimiques, ainsi que Cruveil-hier l'avait déjà dé

ques en général ; — fièvre intermittente hé-patique : ses causes, ses caractères ; — analogies avec la fièvre intermittente simple

elle urique. Du glycogène et de la fonction glycogénique du foie. — Caractères du glyco-gène. — Sa présence dans le foie. — Diff

trer. Nous procéderons de la façon suivante : l°nous traiterons des caractères physiques et chimiques des cholélithes, de leur m

culs biliaires. Seule, la connaissance de ces faits nous fournira les caractères pro-pres à établir péremptoirement l'identité des

oire. Quoiqu'il en soit, vous connaissez maintenant, Messieurs, les caractères les plus généraux de la constitution chimique des

uits biliaires. — Con-traction des parois abdominales. — Douleur; ses caractères ; points cys-tique, épigastrique, scapulaire. — Po

rter les accès fébriles dont il s'agit et qui, quelquefois, par leurs caractères extérieurs rappellent les accès pernicieux palust

congestion biliaire du foie. Je vous rappellerai en quelques mots les caractères de cette lé-sion dont incidemment il a été déjà q

cholite, — Gravelle biliaire. — Calculs bi-liaires intra-hépa'iques ; caractères qui les distinguent des calculs de la vési-cule b

patiques, que l'on pourrait qualifier à'exotiques, possèdent tous les caractères physiques et chimiques des concrétions de la vési

mpérature ; —pé-riodes apyrétiques ; — diminution du taux de l'urée ; caractère vespéral ; — marche chronique ; — terminaison.

e à la lithiase biliaire. Elle peut se présenter avec l'en-semble des caractères qui lui sont propres, dans tous les cas où il y a

e d'observations personnelles ou recueillies dans divers auteurs, les caractères fondamentaux de cette forme de fièvre intermitten

érité, on rencontre sous ce rapport de nombreuses exceptions. 3° Un caractère particulier de la fièvre hépatique serait, si nou

symptô-matiques en général, les accès de fièvre hépatique offrent le caractère vespéral, opposé au caractère matutinal des accès

es accès de fièvre hépatique offrent le caractère vespéral, opposé au caractère matutinal des accès de fièvre idiopathique. S0

e fièvre uréthrale provoquée revêtent dans quel-ques circonstances le caractère pernicieux, forme algide (Per-drigeon), forme apo

a membrane muqueuse de ces conduits et celle de la vessie offrent les caractères plus ou moins accentués d'une in-flammation, vari

qu'il a décrite sous la dénomination de pyélo-néphrite (1). Un des caractères les plus saillants de cette lésion consiste dans

Fistules biliaires. — Fréquence des diverses variétés des fistules.— Caractères communs.— Caractères particuliers; fistules cysti

— Fréquence des diverses variétés des fistules.— Caractères communs.— Caractères particuliers; fistules cystico-duodénales ; — fis

toutes, à savoir les duodé-nales. A. Je signalerai au préalable un caractère commun à toutes les fistules; tantôt elles sont d

es. — Cancer du pancréas. Des inflammations du foie ou hépatites. — Caractères généraux. — Hépatites interstitielles partielles

ci, à la formation nouvelle du tissu conjonctif, rappelle, dans ces caractères essentiels, celui qui, dans les inflammations aig

ue, dite cirrhose, qui est considérée comme un type du genre. 6° Un caractère clinique de ces inflammations qui mérite d'être r

'espèces qui diffèrent, assurent-ils, du type vulgaire autant par les caractères ana-tomiques que par les caractères cliniques. Un

, du type vulgaire autant par les caractères ana-tomiques que par les caractères cliniques. Un changement analogue, dont je vous a

ion rare dans la cirrhose de Laennec, tandis qu'il constitue l'un des caractères de la cir-rhose hypertrophique. Voici un document

ription anatomo-pathologïque, reparaît dans l'étude clinique avec ses caractères spéciaux : la forme, le volume et quelques-uns de

caractères spéciaux : la forme, le volume et quelques-uns des autres caractères physiques d'autant plus faciles à apprécier que l

hs et Murchison, contraire sur ce point à l'opinion de Bamberger. Ces caractères , du reste, sont bien différents de ceux qu'offren

hique, le bord du foie reste tranchant, ce qui constitue pour elle un caractère distinctif. Ces caractères, en quelque sorte an

tranchant, ce qui constitue pour elle un caractère distinctif. Ces caractères , en quelque sorte anatomo-pathologiques, recueill

ire des limites du foie dans l'oblitération du canal cholédo-que ; le caractère tiré de la durée de l'affection séparerait aussi

iques dans les études cliniques. 4° Nous avons mentionné, parmi les caractères de la cir-rhose hypertrophique, Y absence d'ascit

es lésions des petites branches intra-hépatiques de la veine porte. — Caractères anatomo-pathologiques macroscopiques de la cirrho

n 1871 seulement que M. Paul Ollivier (1), se fondant surtout sur les caractères cliniques, a émis l'avis qu'il existe une forme d

récents de MM. Cornil, Hayem et Hanot qui nous ont fait connaître les caractères anatomi-ques propres à cette forme de cirrhose, e

il est fort probable qu'elle deviendra plus commune, à mesure que les caractères qui la distinguent auront été vulgarisés. Mais, p

nd à se substituer aux éléments spécifiques de la glande. C'est là un caractère appartenant au groupe tout entier. Mais voici un

ite porte intra-hépatique dont nous aurons plus loin à déterminer les caractères — que semble graviter toute la symp-tomatologie d

moment est donc venu d'aller plus loin et de com-mencer l'exposé des caractères anatomo-pathologiques, ma-croscopiques, qui disti

moins profonds. Pour vous guider dans l'appréciation de cet important caractère , je vous recom-mande l'étude attentive delà planc

ements. Vous vous apercevrez bientôt que ce genre d'étude fournit des caractères importants, permettant d'établir à eux seuls une

éri-phérie du lobule et les isoler les unes des autres. Tels sont les caractères les plus accentués dans ce type dont la cirrhose

ns-tances, d'une cirrhose intra-lobulaire à marche centri-pète. Les caractères qui viennent d'être relevés et qui contrastent d'

es autres. On pourrait l'appeler, intercellulaire, parce qu'un de ses caractères dominants est en effet de constituer autour de ch

bler et dont M. Baerensprung et M. Parrot ont bien fait connaître les caractères histologiques. VINGT-TROISIÈME LEÇON De la ci

. I. Tout d'abord, permettez-moi de vous remettre en mé-moire les caractères importants fournis en pareil cas par l'exa-men de

ertion des personnes qui pensent que l'infiltration graisseuse est un caractère du foie granuleux alcoolique, un trait qui lui im

n observe sur ces mê-mes points du tissu fibrillaire. Cet ensemble de caractères ne compose certainement pas une exacte reproducti

la fonc-tion glycogénique, diminution du taux de l'urée.) Un autre caractère qui se rapporte plus ou moins directe-ment aux tr

ous connaissons maintenant par leur nom et par quel-ques-uns de leurs caractères , les diverses pièces qui compo-sent l'appareil de

t des modifications importantes. Toutefois, avant de vous exposer les caractères de l'épithé-lium dans les canalicules contournés,

i qui est, en quelque sorte, l'élément fondamental du rein, offre des caractères particuliers (1) Debove. — Mémoire sur la couch

Dans la grosse branche ou branche mon-tante de l'anse de Henle, les caractères de l'épithélium changent de nouveau, les cellules

Le tissu conjonctif du rein se trouva dès lors réhabilité ; mais ses caractères n'ont été bien mis en lumière que par des travaux

ans l'urine. — Variétés de forme et de volume. — Variétés suivant les caractères optiques et micro-chimiques. — Cylindres hyalins

Bright. — Doctrine de l'unicité et de la mul-tiplicité des formes. — Caractères généraux des différentes formes: Gros rein blanc;

n de Schweigger Seidel. b) En raison de certaines variétés dans les caractères optiques ou micro-chimiques des cylindres urinair

terai pour aujourd'hui de vous indiquer, dans un aperçu sommaire, les caractères anatomiques et cliniques qui distinguent ces espè

ovoqués par un traitement intempestif (purgatifs, bains de vapeur). Caractères anatomiques. — Le rein est volumineux, pe-sant, l

'urine. — c) Complications assez fréquentes, elles constituent un des caractères les plus importants de cette forme ; hypertrophie

e, etc. L'urémie est la terminaison habituelle des cas de ce genre. Caractères anatomiques, — Rein petit, ayant la moitié du poi

amyloïde qui, avec l'aspect général du gros rein blanc, présente des caractères chimiques spéciaux. L'altération porte primitivem

par la lenteur de l'évolution, par la rareté de l'œdème, par certains caractères de l'urine. Les malades présentent souvent une te

nt souvent une teinte cachectique toute spéciale ; mais les meilleurs caractères différentiels sont tirés : des circonstances étio

toutes de même volume, éminences jaunes ou grises, contrastant par ce caractère avec les parties avoi-sinantes, dont la coloratio

mplaisance d'une période congestive, dont ils indiquent en détail les caractères , mais cette description est peut-être purement sc

e la néphrite parenchymateuse, n'était l'histo-logie, qui fournit des caractères décisifs dès cette période. Vétude histologique

parenchymateuse, ceux-ci peuvent s'injecter facilement. 2° Un autre caractère important, révélé encore par l'étude histologique

énéral beaucoup plus petits. 11^ constituent par leur présence un des caractères macroscopiques les plus constants de la néphrite

E LEÇON Le Rein contracté (Néphrite insterstilielle). Sommaire. — Caractères de l'urine : — polyurie, expliquée par l'excès de

e peut se produire tout comme dans le gros rein blanc. 2° Un second caractère des urines, dans la néphrite inters-titielle prim

aux malades un plus long répit que la néphrite parenchymateuse. Ce caractère lire du chiffre peu élevé de l'albumine, dans cel

néphrite insterstitielle, se présenter sous la forme aiguë, avec des caractères insolites : Io un individu offrant d'ailleurs, ju

es insolites : Io un individu offrant d'ailleurs, jusque-là, tous les caractères de la santé, est saisi tout à coup, par exemple à

indice d'altérations anatomiques, qui plus tard s'accuseront par les caractères de la néphrite interstitielle. Rien de mieux démo

rein graisseux; —Rein gras granuleux; — Petit rein gras granuleux. Caractères cliniques: — Mode de début et circonstances étiol

distingué du rein contracté, anato-miquement et sans tenir compte des caractères différentiels mis en relief par cet auteur. — Le

ns les publi-cations françaises. Tous ces cas paraissent avoir pour caractère commun de se développer sous l'influence du froid

ouve les reins très volumineux et présen-tant déjà à cette époque les caractères du gros rein blanc. — Toutes les observations de

ue celle qui existe dans la sérosité des vésicatoires. 2° Après les caractères fournis par l'examen des urines. Xhydropisic est

: — étude analytique des lésions ; — études sur des coupes du rein. — Caractères macroscopiques. Phénomènes cliniques — Diagnost

e lésion scarlatineuse du rein, il fut surpris de rencontrer tous les caractères qui appartiennent aux pre-miers degrés de la néph

blanc, la substance corticale étant très pâle et très épaissie. Les caractères histologiques étaient absolument caractéristiques

ight ; c'est que, en effet, la lésion rénale se présente ici avec des caractères assez spéciaux et au milieu de circons-tances trè

subordonnées à une même influence, présentent toutes, d'ailleurs, un caractère anatomo-pathologique commun. Ce caractère est tir

tent toutes, d'ailleurs, un caractère anatomo-pathologique commun. Ce caractère est tiré de la présence, au sein de certains élém

cuanha. Dans les capillaires, l'altération se présente avec les mêmes caractères ; les noyaux se fondent et disparaissent au sein

dans sa composition. Il fait remarquer, tout d'abord, que l'un des caractères de la matière amyloïde, lorsqu'on la compare aux

icielle, à l'aide de la fibrine, d'une substance qui présenterait les caractères optiques et chimiques de la matière amyloïde. On

des cylindres qui offrent la réaction par l'action de l'iode, mais ce caractère , ainsi que nous l'avons dit, n'est pas absolument

les traits histologiques de la néphrite pa-renchymateuse, ou bien les caractères d'une prolifération conjonctive interstitielle ;

ne présentent aucune lésion appréciable. E. J'arrivemaintenant aux caractères macroscopiques. 1° A un premier degré, le rein la

s phé-nomènes physiologiques dans le reste de l'échelle zoologiquc. Caractères essentiels de l'urine en tant que produit de sécr

hysiques et chimiques de la serine et de l'albumine du blanc d'œuf. — Caractères principaux de la globuline, — Peptones. La seri

s cas, l'albumine qu'on retrouve dans l'urine s'y présente avec les caractères de l'albumine de l'œuf, tandis que, dans le cas d

que, dans le cas d'albuminurie normale temporaire, elle présente les caractères de l'albumine du sang. C. Ce que je viens de vo

nous allons entreprendre sans étudier quel-ques détails relatifs aux caractères distinctifs des diverses variétés d'albumine du s

dans le sang et qu'on sait y distinguer se retrouvent avec les mêmes caractères dans les urines , de telle sorte qu'on peut établ

ang) ; 2° la globuline. Je ne m'arrêterai pas à développer tous les caractères pro-pres à la serine. Je vous rappellerai seuleme

n est assez sur les différences physiques. Rappelons en deux mots les caractères chimiques différentiels. De tous, le plus connu,

uf, surnage une couche d'albumine coagulée, colorée enjaune. Un autre caractère distinctif consiste dans le fait que la serine n'

s que le blanc d'œuf l'est particulièrement.Nous verrons que tous les caractères différentiels des deux espèces d'albumine se re

stallin, et c'est là même qu'elle a été découverte. Elle présente les caractères vulgaires de la serine (coagulation par la chaleu

tion par la chaleur et l'acide nitrique), mais elle possède aussi des caractères propres, véritablement dis-tinctifs : 1° Elle est

t, nous verrons jus-qu'à quel point cette proposition, fondée sur les caractères physico-chimiques, se trouve justifiée devant les

re recon-nue pour telle dans les urines, parce qu'elle y conserve les caractères physico-chimiques qui lui sont propres et qui la

uleuse, qui la distend. Cette substance pré-sente d'ailleurs tous les caractères de l'albumine coagulée. En même temps, on remarqu

récipité se redissout par un excès d'acide. L'hémoglobine, d'après ce caractère , se distingue déjà de l'albumine vulgaire. Ajouto

vice général de la nutrition. — Tentatives de Mialhe pour établir les caractères différentiels de l'albumine de l'urine et de l'al

; nous avons, dans la dernière leçon, fait ressortir quelques-uns des caractères qui distinguent ces deux ordres de faits. I.

u près le seul qui ait essayé d'établir, par la méthode chimique, les caractères différentiels de ces va-riétés d'albumine. Sa ten

nguait de l'albumine du sang ou sérum. Bien au contraire, c'est là un caractère qui assimile les deux albumines. Aussi, Becquerel

albumine des urines albuminuriques, au moins en ce qui concerne leurs caractères chimiqnp ; ; ils établirent également que ces a

ions de Becquerel. Sfokvis en particulier a beaucoup in-sisté sur les caractères qui permeitent d'assimiler l'albumine des urines

ans exception, l'albumine de ces urines offre identiquement les mêmes caractères que la serine normale. Par conséquent, Messieur

et l'albumine que contient l'urine de celui-ci présente toujours les caractères de l'albumine de l'œuf. Au contraire, l'albumin

s le sang, ne passe pas dans l'urine. Stokvis en conclut que, par ses caractères physiologiques aussi bien que par ses carac-tères

e ne se distingue au contraire de la serine du sang normal par aucuns caractères chimiques ou physiologiques. De tout cela, M. Sto

ens que l'albumine de l'urine y diffère notablement, au moins par ses caractères chimiques et physiques, des albumines connues du

urine de la digestion, chez les albuminuriques, présente en effet des caractères spéciaux : 1° Elle diffuse mieux que l'urine du j

itrique, mais qui précipite par l'alcool. A la vérité, ce sont là des caractères qui appartiennent auxpeptones, et nous avons étab

constance, les urines sont albumi-neuses. Malheureusement, les autres caractères de ces lé-sions n'ont pas été jusqu'ici étudiées

e dans les cas d'af-fections cardiaques, où les urines présentent les caractères que je viens d'indiquer, pour peu que les choses

aires chez Thom ? me. — Tissu conjonctif des lobules hépatiques ; ses caractères à l'état nor-mal. Voies lymphatiques ; lacunes. —

alisations des lésions hépatiques dans les espaces interlo-bulaires. — Caractère commun : hyperplasie conjonctive interlobulaire.

hysiologie pathologique du foie. — Opinion des anciens. — De la bile: caractères physiques, chimiques ; — sels, matières colorante

atières colorantes. — Analyse, de la bile. De la Cholesterine ; ses caractères ; son origine; sa nature. — Action sur l'or-ganis

biliaire. Sommaire. — Du pigment biliaire. — De la bilirubine, ses caractères phy-siques et chimiques. — Réactions qui permette

eur proportion dans la bile, — Glycocholate et taurocholate de soude; caractères de ces sels. — Acides glycocliolique et taurochol

tiques en général ; —Fièvre intermittente hé-patique: ses causes, ses caractères ; — analogies avec la fièvre intermittente simple;

elle urique. Du glycogène et de la fonction glycogénique du foie. — Caractères du glyco-gène. —Sa présence dans le l'oie. — Diff

uits biliaires. — Con-traction des parois abdominales. — Douleur; ses caractères ; points cys-tique, épigastrique, scapulaire. — Po

cholite. — Gravelle biliaire. — Calculs bi-liaires intra-hépatiques ; caractères qui les distinguent des calculs de la vési-cule b

empérature : —pé-riodes apyrétiques ; — diminution du taux de l'urée; caractère vespéral ; — marche chronique ; — terminaison.

Fistules biliaires. — Fréquence des diverses variétés des fistules.— Caractères communs.— Caractères particuliers; fistules cysti

— Fréquence des diverses variétés des fistules.— Caractères communs.— Caractères particuliers; fistules cystico-duodénales : — fis

es. — Cancer du pancréas. Des inflammations du foie ou hépatites. — Caractères généraux. — Hépatites interstitielles partielles

es lésions des petites branches intra-hépatiques de la veine porte. — Caractères anatomo-pathologiques macroscopiques de la cirrho

ans l'urine. — Variétés de forme et de volume. — Variétés suivant les caractères optiques et micro-chimiques. — Cylindres hyalins

Bright. — Doctrine de l'unicité et de la mul-tiplicité des formes. — Caractères généraux des différentes formes: Gros rein blanc;

ME LEÇON lé rein contracté (Néphrite interstitielle). Sommaire. — Caractères de l'urine : — polyurie, expliquée par l'excès de

rein graisseux: —Rein gras granuleux; — Petit rein gras granuleux. Caractères cliniques : — Mode de début et circonstances étio

: — étude analytique des lésions; — études sur des coupes du rein. — Caractères macroscopiques. Phénomènes cliniques — Diagnost

s phé-nomènes physiologiques dans le reste do l'échelle zoologique. Caractères essentiels de l'urine en tant que produit de sécr

hysiques et chimiques de la serine et de l'albumine du blanc d'œuf. — Caractères principaux de la globuline, — Peptones. La seri

vice général de la nutrition. — Tentatives de Mialhc pour établir les caractères différentiels de l'albumine de l'urine et de l'al

aux, 373; — des cellules, 374 ; — des; mem-branes hyalines, 374 ; — caractères physiques de 1' —, 374. — Conditions étiologiques

lOLESTÉRINÉMIE, 68. Circulation supplémentaire, 256,263, Cirrhoses ( Caractères généraux des), 220, 242, 244,--G. alcoolique, 241

nco-mitantes acecessoires, 375. — Ap-parences macroscopiques, 379. —? Caractères cliniques, 382. Rein blanc .Gros Gros rein liss

d'une autre façon, être mis à même de reconnaître avec certitude les caractères de l'état pathologique dans les di-verses parties

aites sur le même modèle et dont chacune reproduit en petit, dans ses caractères essentiels au moins, la constitution de l'organe

lé ; puis, elle tend à devenir lisse; en même temps qu'elle revêt ces caractères , elle s'amin-cit dans les bronchioles terminales.

ellules qui constituent le revêtement ôpithé-lial, elles gardent leur caractère jusqu'aux bronchioles (Fig. 7, d). A cet endroit,

Fig. 9). Les fibres élastiques constituent par leur présence un des caractères analomiques les plus saillants des canalicules re

Le revêtement épithélial pulmonaire, lorsqu'il se présente avec les caractères qui viennent d'être indiqués, peut être dit conti

nt très étroits (Fig. 13, n), avaient conservé ce que j'appellerai le caractère fœtal, c'est-à-dire que les cel-lules de revêteme

née sous le nom de conduits alvéolaires, se rapprocheraient par leurs caractères morphologiques des cellules pavimen-teuses qui ta

xtra-utérine et où nous devons, en outre, vous en faire apprécier les caractères . Dans certains cas pathologiques, rien n'est pl

s ne pouvons nous dispenser de toucher : 1° Si l'on en juge par les caractères morphologiques, les cellules aplaties, soudées le

éreuses, les parois des vaisseaux lymphatiques et sanguins et dont un caractère commun, vous le savez, est de se développer chez

pement des poumons: cellules hypoblastiques et tissu mésoblastique. Caractères des inflammations aiguës des tissus vasculaires.

reuses, les parois des vaisseaux san-guins et lymphatiques, etc. Un caractère commun à ces endotheliums, dont l'épithélium pulm

ont il reprend, dans de certaines circon-stances, à la fois, tous les caractères physiologiques et mor-phologiques. Il y a là un

es: 1° une couche de cellules hypoblastiques qui pren-nent bientôt le caractère d'un revêtement épithélial cylindri-que ; et 2° u

isation (Legendre), ou forme pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; caractères de ces lésions. I. Messieurs, Considérons m

ns invoquées jus- qu'ici, ce revêtement cellulaire peut prendre les caractères morphologiques et aussi les propriétés de l'épith

ules molles cuboïdes, dispo-sitions qui reproduisent, on le voit, les caractères de l'état fœtal. A l'appui de ce que j'avance,

sécutive à la pneumonie lobaire pro-longée. Or, Messieurs, le grand caractère histologique dans la forme d'altération dont je v

le développement embryonnaire nais-sent du mésoblaste — reprendre le caractère embryonnaire, en même temps que le revêtement épi

s aurai fait remarquer qu'elle se reproduit absolument avec les mêmes caractères , dans quelques variétés d'inflammation interstiti

ÇON Des cirrhoses viscérales épithéliales en général. Sommaire. — Caractères anatomo-pathologiques Communs à certaines for mes

nique. Messieurs, J'ai relevé, en faisant la leçon précédente, un caractère anatomo-palhologique commun à certaines formes de

e subaiguë ou chronique. Yoici, vous ne l'avez pas oublié, en quoi ce caractère consiste : tandis que la paroi des canalicules re

éveloppement, naissent du méso- blaste, reprennent, elles aussi, le caractère embryonnaire. Incontestablement, c'est là, je l

ore, si je parviens à vous montrer qu'il se repro-duit avec les mêmes caractères et la même signification dans quelques variétés d

s'agirait là, non pas d'un fait partiel, d'un épisode, mais bien d'un caractère anatomique commun à tout un groupe de cirrhoses v

pratique. Elle paraît être, dans l'histologie du petit rein rouge, un caractère fondamental, et, si elle peut se rencontrer dans

qui concerne le revêtement épithélial, tendance à la reproduction des caractères de l'état fœtal. Charcot. Œuvres complètes, t.

pourvus d'un epithélium possédant encore plus ou moins nettement les caractères de l'état normal. A part les petits vais-seaux, q

, quel que soit l'organe qu'elles affectent, se présentant douées des caractères anatomiques que je m'efforçais de faire ressortir

I. Messieurs, Pendant longtemps on n'a pas cherché à établir les caractères différentiels qui séparent la pneumonie lobaire d

nous avons à faire ressortir que la maladie a, ici encore, revêtu des caractères paradoxaux qui ne lui appartien-nent pas. On peut

niques de Beau sur les mala-dies des vieillards (1842). On parlait de caractères analomiques spéciaux tels que Yhépatisationplan/f

monie dont nous devons nous attacher maintenant à faire ressortir les caractères . II. La lésion qui porte le nom de la broncho

modèle des broncho-pneumonies simples, en diffèrent cependant par les caractères les plus importants. Séparer la phtisie pulmonair

re remarque me paraît encore nécessaire. Quelques auteurs frappés des caractères qu'offrent certaines des lésions de la broncho-pn

is celles-ci présentent, même à une époque voisine de leur début, les caractères d'un processus inflammatoire. Après ces prélimi

grise pseudo-lob aire de Damaschino. Rilliet et Barthez ont donné des caractères excellents qui permettent de distinguer ces deux

e de dire, avec M. Jaccoud, que l'absence d'exsu-dat fibrineux est le caractère fondamental de la pneumonie catarrhale. Certaines

econde période, les lésions pulmonaires pren-nent de plus en plus les caractères de l'hépatisation grise. On voit des masses grise

iennent du muco-pus; enfin l'insufflation rend au parenchyme tous les caractères de l'état normal. En somme, l'état fœtal ne diffè

. Le plus souvent, en effet, il s'agit de cas où une induration, sans caractère inflammatoire appréciable, persistait à la suite

ge : Andral Hope "2, Forster8. — Hépa-tisation indurée: Lebert. — Les caractères de cette forme dif-fèrent peu de ceux qui apparti

degrés successifs d'une même altération. En effet, un des principaux caractères de cette dernière forme de la pneumonie est fondé

ue tout particulier que présente l'induration, dans les points où ses caractères sont le plus accusés. Les éléments anatomiques qu

nts qui persistent, une matière amorphe finement granuleuse, douée de caractères micro-chimiques particuliers. Traçons d'abord l

uée de caractères micro-chimiques particuliers. Traçons d'abord les caractères extérieurs de l'induration grise. Bien différen

e l'hô-patisation chronique dont nous venons d'indiquer plus haut les caractères , elle offre une consistance très ferme, à tel poi

mprime fortement, qu'une très petite quantité de liquide séreux. — Un caractère qui paraît avoir frappé tous les auteurs, et qu'i

dants avec ceux que nous venons de présenter, dans ses études sur les caractères anatomiques de la pneumonie chronique des nouveau

cas d'infiltration grise tuberculeuse. Yoici, d'après M. Robin2, les caractères qui permettraient de différencier les deux ordres

ardy et Béhier indiquent l'augmentation de volume du poumon parmi les caractères anatomiques de la maladie 1 ; ce caractère nous

olume du poumon parmi les caractères anatomiques de la maladie 1 ; ce caractère nous 1 Traité de pathologie interne, t. Il, p.

revenir: mais quant à présent nous croyons pouvoir indiquer parmi les caractères de l'induration grise, la non-existence de dilata

craquements, etc. En ar-rière, les deux sommets présentent les mêmes caractères . Le lobe inférieur du poumon gauche est très sono

par la percussion, on a obtenu le son tympanique, le souffle prend le caractère du souffle caverneux, et les râles celui du gargo

d'un liquide légèrement trouble. Nous dirons plus loin quels sont les caractères microscopiques de ce suc. Au voisinage de sa su

du poumon droit in-duré dans toute son étendue, il présente tous les caractères de Y Induration grise, plane. Une excavation sièg

taient point d'origine tuberculeuse ; elles ne présentaient aucun des caractères des ampoules qui résultent de la dilatation d'un

poumon droit, fièvre hectique, etc. — A l'autopsie on trouva tous les caractères de la pneumonie chronique avec ulcérations. Une d

ter aux premiers débuts de l'affection, mais ce ne serait point là un caractère d'une valeur absolue, propre, par exemple, à prés

x cas peuvent se présenter : tantôt la réaction acquiert d'emblée les caractères plus ou moins tran- 1 On trouve deux exemples d

e sueurs est notée expressément dans l'observa-tion III. avaient le caractère de sueurs critiques ; puis la décroissance des ph

elle-même mise à nu ça et là, et on y observe par places, tantôt les caractères de la carie, tantôt ceux de la nécrose. La face i

lopante (obs. II). — La toux, en général peu intense, peut prendre le caractère convulsif1. —L'expectoration habituelle est modér

irconstance, les crachats muqueux, muco-purulents, n'ont pas d'autres caractères que ceux de la bron-chite chronique ; ils peuvent

aut degré le sentiment de résistance ; mais elle n'a d'ailleurs aucun caractère particulier. Lorsqu'une excavation s'est formée,

tômes généraux ont, dans la pneumonie chronique, une importance et un caractère de gravité tout autres que dans la pleurésie part

ie pulmonaire1. Il serait impossible, quant à présent, d'indiquer les caractères à l'aide desquels on pourrait la distinguer de la

ardive, mais qui n'avaient jamais, à proprement parler, dépouillé les caractères de l'état aigu. Thérapeutique. — S'il s'agissai

thoraciques, tels que toux et dyspnée; tel est, en effet, l'un de ses caractères extérieurs i I'htisis ; character est corporis

raits distinctifs, on pourrait être tenté peut-être de lui refuser le caractère inflammatoire. Ce-pendant la présence d'un exsudâ

rrhales. Bien distincte de l'hépatisa-tion aiguë ou chronique par ses caractères anatomiques, la carnificalion en diffère donc enc

auxquelles elle se rattache et d'où elle dérive. D'ailleurs, avec les caractères que nous lui avons assignés, elle appartient ex-c

our ainsi dire la carnifica-tion à l'état chronique. Voici avec quels caractères la camisa-tion se présentait dans un de ces cas :

dilatées. L'origine particulière de cette lésion, aussi bien que ses caractères purement anatomiques, la distinguent comme on voi

orri- là, rend aux tissus carnifiés, en grande partie du moins, les caractères de l'état normal. Rien de semblable n'a lieu dans

ononcée, on a pu trouver le parenchyme intermédiaire doué de tous les caractères de l'état normal3. Cependant, le docteur Corrig

nous paraisse un peu hypothétique, nous en avons tracé les principaux caractères , dans le but de leur opposer ceux qui distinguent

t peu notable, les bronches ne sont nullement dilatées. Tels sont les caractères cl is fi actifs qu'il nous a paru important de fa

les bronchiques, présente dans une étendue plus ou moins limitée, les caractères non équivoques de l'induration grise. L'observati

inte noirâtre plus prononcée que de coutume, et prend souvent même le caractère de ce qu'on a appelé l'induration mélanique; doit

autour d'une excavation qui occupait le sommet d'un poumon, tous les caractères de l'hépatisation jaune1. Le plus commu-nément to

culeuse. — Infiltration gélati-neuse. — Nous avons donné ailleurs des caractères histologï-ques, à l'aide desquels on pourrait, d'

on pulmonaire et a pu déterminer des hémorragies interstitielles. Son caractère principal est une induration du poumon et une aug

QUE Des pneumonies chroniques (Cirrhoses du poumon)1. Sommaire. — Caractères distinctifs des pneumonies chroniques. I. Pneum

ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique. — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies chroniques pleu

eçons ont eu pour but principal de séparer nettement, en fixant leurs caractères distinctifs, plusieurs espèces de 1 Leçons résu

s graisseuses libres et de cellules épithéliales pré-sentant tous les caractères de la dégénération granulo-grais-seuse. Leur quan

n, au deuxième stade dans lequel se re-trouvent encore les principaux caractères de la pneumonie lobaire, en particulier les granu

rès la chute de la fièvre. Plus tard, celle-ci reparut, en prenant le caractère hectique, et le malade succomba au bout de 4 mois

de formes aiguës qui peuvent simuler la pneumonie lo-baire par leurs caractères cliniques principaux et même par la marche de la

re, il existe une forme subaiguë qui se montre dès l'origine avec son caractère particulier : appa-reil fébrile relativement peu

ite par les auteurs, mais tout restait à faire en ce qui concerne les caractères histologiques ; cette lacune a été heureusement c

-ment beaucoup moins net dans la pneumonie lobaire ; il con-stitue un caractère important des pneumonies pleurogènes et de la pne

e temps que la présence des nodules vient compléter l'analogie. A ces caractères macroscopiques, il faut ajouter les fausses membr

n trouve les altéra-tions de la pneumonie desquamative, mais avec des caractères Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 13

et la forme subaiguë, et ce parallèle permet de mieux interpréter les caractères des lésions lorsqu'il s'agit de broncho-pneumonie

d'atro-phie du poumon. Malgré la date plus ancienne des lésions, les caractères hislologiques sont, dans ce cas, les mêmes que da

du poumon. 4° Enfin dila-tation des bronches plus ou moins prononcée, caractère im-portant qui manque dans l'induration grise ard

x (Nothnagel), épaule et pointe de l'omoplate abaissées. Les autres caractères spéciaux sont en rapport avec l'exis-tence habitu

nt en propre, et M. Charcot a retrouvé dans leur étude les principaux caractères qui appartiennent aux pneu-monies ordinaires. Il

; b) sur la plèvre dia-phragmatique ; c) sur la plèvre costale. — Ses caractères chimiques, elle n'est soluble que dans le réactif

. — La matière noire pulmo-naire diffère du pigment hématique par ses caractères morphologiques et ses réactions chimiques. — Mode

res morphologiques et ses réactions chimiques. — Mode de formation et caractères micro-chi-miques du pigment d'origine sanguine.

s termes, peut être aisément recherchée et reconnue, en raison de ses caractères morphologiques et chi-miques. En second lieu, les

quand il s'agit de pigment hématique (Pl. II). Pour ce qui est des caractères chimiques, il faut relever que ces particules rés

avés conservent d'abord leurs propriétés normales, mais bientôt leurs caractères physiques et chimiques se modi-fient. Ils perdent

cavité de l'alvéole. De toute cette discussion, il résulte que les caractères du pigment d'origine hématique et ceux du charbon

conjonctive; pig-mentation du tissu induré; formation de cavernes. — Caractères chimi-ques; emploi de l'acide fluorhydrique. — Ma

ucocytes, de particules siliceuses facilement reconnaissables à leurs caractères micro-chimiques et morphologiques, et enfin de pa

orrespondantes ; 2° des particules de silice, reconnaissables à leurs caractères micro-chimiques et morphologiques, sur lesquels i

tes, bien entendu, de toute lésion tuberculeuse. Il existe quelques caractères morphologiques et chimiques permettant de reconna

ar conséquent, à distinguer des particules de charbon. 2° Quant aux caractères chimiques, ils sont faciles à recher-cher. On sou

uement. Dans un poumon sain du reste et qui présente à son sommet les caractères de la phtisie fibroïde, on trouve des granulation

la phtisie fibroïde, on trouve des granulations répondant à tous les caractères mis en relief par la description de Bayle, à prop

tielle-ment chronique, le tubercule fibreux sous la forme et avec les caractères des agglomérations tuberculeuses. Les nodules son

ume, présentant sur une étendue variable, dans le lobe supérieur, les caractères de la cirrhose pulmonaire ; çà et là, quelques ca

LEÇONS Tuberculose du poumon et pneumonie caséeuse l. Sommaire. — Caractères anatomiques du tubercule. —Tubercule élémentaire

développées. Tel n'est pas, enfin, le stroma, qu'on retrouve avec des caractères analogues dans le tissu embryonnaire, en voie d'é

syphilome, où la cellule géante se pré-sente, du reste, avec tous les caractères qu'on lui connaît dans le tubercule. Pour M. Rrod

ïde (Rindfleich, Klein). La gra-nulation présente d'ailleurs tous les caractères du tubercule aggloméré, à savoir plusieurs centre

er tuberculeuse, parce qu'elle ne diffère anatomique-» ment par aucun caractère , si ce n'est peut-être par ses di-» mensions du t

outi à la formation de noyaux caséeux ne présentent, en réalité, le caractère qui leur a été assez généralement prêté. Toutes c

es phases les moins avancées du processus et c'est là surtout que les caractères anatomiques de la production morbide sont mis fac

me de ces dernières formes, se présente là, cependant, avec les mêmes caractères que dans ia phtisie pneumonique aiguë, c'est-à-di

utour de celle-ci existe une zone de cellules qui, en raison de leurs caractères spéciaux, ont recule nom de cellules épithé-lioïd

s le tissu voisin. Sur une seconde coupe, l'élément apparaît avec ses caractères pour ainsi dire classi-ques : centre grenu, réfri

aux autres en amenant la fusion partielle de leur profoplasma. Les caractères de cette modification s'accusent de la façon la p

e, et tandis que leurs noyaux prolifèrent, leur protoplasma prend les caractères qui viennent d'être in-diqués. Puis, les cellules

ne pas êlre frappé de la ressemblance qui existe, au point de vue des caractères physiques et des réactions micro-chimiques, entre

. III, p. 539) pourrait encore être rapprochée de la nôtre ; mais les caractères de la phlhisie aiguë n'y sont peut-être pas suffi

ine quantité de sérosité rougie par la matière colo-rante du sang. Ce caractère de la tuberculisation aiguë n'a pas été méconnu p

erveux à la fois. Vives, surtout la nuit, elles ont habituellement le caractère lancinant ou même fulgurant; parfois, elles s'acc

en microscopique attentif permettait seul de détermi-ner le véritable caractère de l'altération : celle-ci portait pres-que exclu

'hypocondre gauche ; en un mot, elle présente à la palpation tous les caractères des rates devenues volumineuses dans le cours de

ullement aux parois ventriculaires. Le sang se mon-tre avec les mêmes caractères dans toute l'étendue de la veine cave, dans la ve

nette des fibrilles isolables. Voici, maintenant, quels étaient les caractères des globules blancs ; les globules rouges n'ayant

mal on en rencontre tout au plus 1 ou 2. Us ont, d'ailleurs, tous les caractères qu'ils présentent dans le sang nor-mal ; leur dia

nguerons deux variétés : 1° Globules blancs ayant conservé tous leurs caractères normaux, c'est-à-dire parfaitement sphériques, tr

entre plus brillant. On les rencontre à l'élat normal, avec ces mêmes caractères ; mais ils sont alors moins abondants. Tous les gl

ins abondants. Tous les globules de cette caté- gorie conservent un caractère important et qui distingue surtout l'état normal,

a veine porte, des corpuscules pigmentaires qui présentaient tous les caractères des cellules à noyau. Le pigment se rencontre en-

bondants qu'ailleurs; ils s'y rencontrent aussi plus souvent avec les caractères de vérita-bles cellules. Pour ce qui concerne les

me le sang des mélané-miques sont doués, comme on l'a vu, de tous les caractères anatomiques ou chimiques qui distinguent les dive

aient de l'altération pigmentaire de l'encéphale. Y découvre-t-on des caractères véritablement spécifiques? Pour nous, nous n'y po

on comprend qu'il serait important de pouvoir distinguer, à certains caractères clini-ques, les cas de cette espèce. L'examen mic

nt été con-sidérés, dans ces derniers temps, comme constituant un des caractères de la maladie de Bright ; seulement, dans les cas

ie, les deux genres de coloration pourraient se distinguer à certains caractères , autant qu'on peut en juger, d'après la descripti

té parlé plus haut. — Deux épanchements de sang, présentant les mêmes caractères , existent, l'un, dans l'épaisseur de la mamelle,

e. Tous les globules rouges se sont assez bien conservés avec leurs caractères pendant trois ou quatre jours. 2° Globules blan

es, résultats d'un commence-ment d'altération. Aucun globule muni des caractères anatomi-ques distinguant les vrais corpuscules du

ayant examiné cette ma-tière au microscope y constate les véritables caractères du pus. (Guéneau de Mussy, loc. cit., p. 318, 14°

illette droite du cœur. L'examen microscopique dénote l'existence des caractères anatomiques du pus. (Guéneau de Mussy, loc. cit.)

roscopique démontre que la matière puriforme possède, en réalité, les caractères anatomi-ques du pus. Deuxième catégorie. Les co

racines imbriquées dans les colonnes charnues et présentant tous les caractères des concrétions polypiformes. Dans la plupart de

en général soit un liquide sanieux, soit un liquide offrant tous les caractères physiques du pus. 2° Tubercules pulmonaires. Da

étion polypiforme globuleuse pleine ; le pédicule conserve souvent ce caractère . Quelques tumeurs globuleuses, composées de fibri

énérale d'excavations pulmonaires tuberculeuses, voilà un ensemble de caractères assez tranchés, je crois, pour justifier la délim

r, à l'œil nu, les apparences du pus, sans en présenter toutefois les caractères anatomi-ques. 1. Le sac des anévrismes partie

ns le côté gauche de la poitrine est de- venu muqueux et a perdu le caractère pneumonique. (Potion, tar-tre stibié, 0,15.) 29

lobes infé-rieurs, qui n'offrent pas ces altérations, présentent les caractères de l'hépatisation granuleuse grise la plus manife

composées de fibrine à l'état amorphe, contenant des granula-tions de caractère indéterminé, insolubles dans l'acide acétique. Pa

ux où solutions alcalines concentrées, et présente consé-quemment des caractères microchimiques importants. Cette sorte de destruc

ue par l'acide azotique. Le sang retiré par les ventouses a les mêmes caractères que celui d'hier. — Sinapis-mes; lavement émollie

la présente note. Tant qu'on ne sera pas définitivement fixé sur les caractères et sur les limites de ce qu'on doit entendre par

pas toutes à une même catégorie : toutes, il est vrai, possèdent des caractères communs, à savoir, l'existence de caillots san-gu

pulmonaire, pré-sente dans la plus grande partie de son étendue, les caractères propres aux caillots de formation assez récente;

t présentant çà et là de petits foyers d'une substance puriforme; ces caractères sont très marqués, en particulier dans les branch

ait partiellement subi la fonte puriforme, pré-sentait exactement les caractères qui viennent d'être signalés. En résumé, nous v

caillot principal existait une collection de pus qui offrait tous les caractères du pus phlegmoneux !. Plus loin, le caillot sangu

ulmonaire, d'autres caillots en grand nombre, et présentant les mêmes caractères que les précé-dents, le volume à part, furent tro

t observateur que nous venons de citer ne pouvait se méprendre sur le caractère particulier de cette rougeur intra-vasculaire : «

e sorte que jusqu'à ces derniers temps, il existait non seulement des caractères pour reconnaître à l'autopsie les inflammations d

uence de cette maladie, et après en avoir rigoureuse-ment discuté les caractères anatomiques, nous sommes forcés de reconnaître qu

x anévrismes disséquants. Symptômes. — La rigueur avec laquelle les caractères ana-tomiques de l'aortite aiguë ont été discutés

eux qui remplissent quelquefois la cavité du sac, lui font perdre les caractères d'une tumeur fluctuante et soumise à des battemen

ntre les parois thoraciques, et son impulsion, d'après Hops, offre un caractère particulier [jogging), qui donne l'idée d'une sec

e cet instrument peuvent varier, suivant les circonstances, mais leur caractère prédominant est le défaut de symétrie que présent

on attribue à l'œdème glottique ; tantôt elle change complè-tement de caractère . Stokes a rapporté un cas où une voix de basse

plus pro-noncée que celle des anévrismes, on aura rassemblé tous les caractères qui peuvent faire éviter une pareille erreur de d

palpation, la per-cussion et l'auscultation ne fournissent aucun des caractères qui signalent la présence d'une tumeur artérielle

ons que nous venons de signaler, le pouls conserve habituellement ses caractères normaux. Il n'en est pas ainsi dans les affection

orte, et en transmettre les battements à la paroi abdominale. Mais le caractère de l'impulsion n'est plus le même que lorsqu'il s

d'une altération de la voix ; 2° une dyspnée bronchique, offrant les caractères de Fasthme essentiel ; 3"une dyspnée toute spécia

ayne, et la thèse de Goupil, ont établi avec une grande précision les caractères anatomiques et les signes pathognomoniques de cet

i se distinguent par quelques signes particuliers, ont cepen-dant des caractères communs. Le début est ordinairement brusque ; l

38 cas rassemblés par Peacock, 28 ont été observés chez l'homme. Les caractères anatomiques qui les distinguent des coarctations

ait observer, avec raison, que l'anôvrsme par tirail-lement offre des caractères anatomiques qu'on ne retrouve point dans les anév

ant que le cheval reste au pas, sa démarche assurée présente tous les caractères de l'état normal ; mais àpeinea-t-i trotté pendan

temps, sont plus pénibles que par le passé et semblent avoir pris le caractère névralgique : elles partent du flanc et de l'hypo

t très manifestement rétréci, si on les compare, sous ce rapport, aux caractères correspondants du côté opposé. L'artère iliaque

s moteurs cessent d'être excitables. Quant aux douleurs violentes à caractère névralgique, c'est là un effet habituel de l'inte

ation intermittente par oblitération artérielle chez le cheval. — Les caractères cliniques : boiterie simple (monoplégie) ; boiter

heure de marche, tout recommence, la crise reparaissant avec tous les caractères que nous avons relevés plus haut. Messieurs, un

du vaisseau, d'un anévrisme disséquant. Mais, quoi qu'il en soit, le caractère commun à toutes ces oblitéra-tions qui produisent

2. Mais, je le répète une fois de plus, ces symptômes, malgré leur caractère en quelque sorte spécifique, sont encore chaque j

pigmentaire {Pigment-Induration). Voici, en deux mots, quels sont les caractères essentiels de cette espèce anatomi-que que MM. Ch

s vaisseaux seuls paraissent quelquefois distendus par le sang. A ces caractères , on ne saurait méconnaître, suivant le docteur He

eu près toute l'étendue du noyau pneumoni-que, qui présente ainsi les caractères de l'infarctus hémoptoïque proprement dit. D'où c

ue, dans l'obstruc-tion pure et simple, ces cellules conservent leurs caractères nor-maux, et en même temps les vaisseaux des trab

pneumonies deviennent communes, se manifestent d'abord avec tous les caractères propres à la phleg-masie pulmonaire : point de cô

t avec une bronche dilatée à côté du tissu précédent. Ils offrent les caractères des corps dits corpuscules de lubercides. f, Co

pement des poumons: cellules hypoblastiques et tissu mésoblastique. Caractères des inflammations aiguës des tissus vasculaires.

isation (Legendre), ou forme pseudo-lobaire de la broncho-pneumonie ; caractères de ces lésions. 62 SEPTIÈME LEÇON des cirrhos

ÇON des cirrhoses viscérales épithéliales en général. Sommaire. — Caractères anatomo-pathologiques communs à certaines for-mes

EÇON des pneumonies chroniques (cirrhoses du poumon). Sommaire. — Caractères distinctifs des pneumonies chroniques. I. Pneum

ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique. — Causes. — Formes. — Caractères histo-logiques. III. Pneumonies chroniques pleu

; b) sur la plèvre dia-phragmatique ; c) sur la plèvre costale. — Ses caractères chimiques, elle n'est soluble que dans le réactií

. — La matière noire pulmo-naire diffère du pigment hématique par ses caractères morphologiques et ses réactions chimiques. — Mode

res morphologiques et ses réactions chimiques. — Mode de formation et caractères micro-chi-miques du pigment d'origine sanguine...

conjonctive; pig-mentation du tissu induré; formation de cavernes. — Caractères chimi-ques; emploi de l'acide fluorhydrique. — Ma

ME LEÇONS tuberculose du poumon et pneumonie caséeuse. Sommaire. — Caractères anatomiques du tubercule. —Tubercule élémentaire

tion intermittente par oblitération artérielle, chez le cheval. — Les caractères cliniques : boîterie simple (monoplégie), etc. —

, 45: — du nouveau né, 4! ; — dimen-sion des cellules de 1' —,48; — caractères , 49 ; — réalité de 1' — 50; — origine embryogéniq

88; — ar-doisée, 124. Induration grise, 175, 182, 188, 287; — ses caractères , 125; —modifi-cations histologiques, 127 ; — adhé

Infarctus hémoptoïque du pou-mon, 623, 625, 627; — historique, 624; — caractères , 629. Infection par les voies lymphati-ques, 25

9; — siège de la — dans le poumon, 209;— aspect microscopique, 210 ; — caractères chimiques, 210;— provenance, 211 ; — obstacles à

l passe parfois un mois sans en avoir, de ce côté donc amélio-ration. Caractère doux, gai et ai'fabldc. S'est mis à l'étude ave

il qu'il s'est montré plutôt timide dès l'entrée et qu'il a gardé ces caractères depuis. En retard pour son âge au point de vue in

redescendre de l'atelier à la classe. De janvier à juillet 1905 son caractère s'améliore et les progrès continuent, Ducr..., su

sautille continuellement. Pas de gâtisme. Vue et ouïe bonnes. Mauvais caractère , remuant et turbulent, méchant avec ses camarades

ités. Au début ce malade apportait peu d'attention aux leçons; d'un caractère gai et enjoué il aurait passé tout son temps au j

uche le gênant beaucoup. Sait faire l'addition et la soustraction. Le caractère s'améliore, devient moins répondeur, Sim.., prend

urtout on lecture où il a éprouvé de grandes difficultés au début. Le caractère s'améliore, n'est pas méchant, aime à rendre serv

dansent la polka, 251a polka et la scottish; 20 toutes les danses de caractère , 16 le quadrille français. Tel est le résumé de

ntel-lectuelles (nous ne parlons pas de l'irritabilité habi-tuelle du caractère ) dans l'intervalle, des épileptiques avec période

e des conseils sur les précautions à prendre. Les époques, avec leurs caractères (douloureuses ou non, abondantes ou non, durée, e

ades hystériques et épileptiques ont des crises plus nombreuses, leur caractère est modifié, elles peuvent avoir des périodes d'e

.... Fondeur » 1 (Fille morte à 2 ans de! Fille bien portante. » en caractères . rougeole. AT. m., Epilepsie, Idiotie. NOMS. '

... Fondeur » 1 « N. m., arriération intellec- Mère syphilitique en caractères tuelle, perversion des ins- morte de paralysie

Monteur.................................. 1 Plomb. Fondeurs en caractères ................... 2 Plombiers........,........

nement. Elle y revient aujourd'hui avec plus détails en raison de son caractère d'actualité. Classification des enfants anormau

de prévoir la conséquence de leurs actes : c'est ce qui explique leur caractère impulsif qui les rend très taquins, qui les fait

paralysie, contracture, athétose, chorée, hémichorée, consécutives. Caractère : gai, triste, violent, accès de colère. Instin

ation, etc ), respiration, circu-lation, etc. —Urination, urines, ses caractères . —Albumine, sucre, gravelle, incontinence, etc.

ontaire ou invo-lontaire. Imitation personnelle ou impersonnelle. Caractère : envieux, jaloux, impatient, irritable, hai-neux

: ici. a) et b). Moae . j circonstances: douleurs, etc., etc. II. — Caractères sexuels principaux. Transformations des organes

régions ; tout cela très important pour obtenir la formule exacte des caractères sexuels secondaires, par exemple : P3 A1 à 13 ans

lui à la clinique médico-pédagogique du Patronage familial. III. caractères sexuels secondaires. IV. modifications de l'org

Température. Miction. G. — Modifications psychiques et morales. Caractère , conduite, affection, sociabi- I Pour cela uti-li

riture, fait des barres et des r sur l'ardoise. Compte jusqu'à 10. Le caractère s'éveille, il devient gai et joueur. 1897. — L'

it propre, s'habille seul, lave lui-même ses mains et son visage. Son caractère est gai. B... est pré-venant, actif, et il s'occu

on lui commande quelque Fig. 11. —Maz. àlôans (1890). 1897. — Le caractère s'améliore; le travail à la classe est bon; l'enf

L'enfant s'améliore toujours, en ce qui concerne la compréhension, le caractère et la conduite; malgré son âge, il est toujours t

a soustraction. Une amé-lioration notable est survenue, concernant le caractère . Il est plus affectueux, et il se réjouit à prése

l'atelier, du dessin et du solfège. 1905. — L'enfant, en raison du caractère et du travail, peut être classé aujourd'hui parmi

exactement la division du temps. Il continue d'être ban élève, et le caractère s'est aussi bien modifié. 11 est en résumé le mei

ommande. Il ne veut rien dire et ne veut pas travailler en classe. Le caractère seul reste gai, caressant, remuant, mais il est p

tte et lavage, nuls. Tout à fait nul au point de vue de l'écolage. Le caractère de l'enfant est très défectueux, il est jaloux, s

coléreux, un psu moins jaloux. 1904. — L'amélioration continue. Le caractère surtout est meilleur, un peu moins jaloux, et les

les enfants, s'habille et se déshabille lui-même. Au point de vue du caractère , l'enfant reste gour-mand, voleur et coléreux.

st libre, l'enfant commence à écrire. Sa tenue est meilleure, mais le caractère ne se modifie pas. 1904. — Pas de changement no

relever chez l'enfant au point de vue des exercices classiques et du caractère . Il lit presque couramment, l'écriture devient pl

tention et de goût. De même à la fanfare, au solfège et au dessin. Le caractère est un peu plus souple, et la disparition des mau

grés de l'escabeau. A la projection, l'attention est plus fixable. Le caractère reste toujours turbulent. 1905. — Une grande am

e toujours turbulent. 1905. — Une grande amélioration concernant le caractère de l'enfant, plus calme aujourd'hui, se tenant mi

ussi gagné, il tient conversation et saisit bien ce qu'on lui dit. Le caractère est meilleur, il tient compte des observations qu

ment, fait quelques dictées de mémoire et les 3 premières opérations, caractère toujours difficile, grossier, indiscipliné et un

nfin il parle avec à-propos, nous comprenons ce qu'il veut dire. Le caractère devient plus enjoué et plus affectueux. Pard... c

s couleurs et même le nom de quelques étoffes ainsi que les chiffres. Caractère un peu batailleur et criard, mais docile. 1895.

usant avec lui on est tout surpris du développement de l'intellect. — Caractère peu démonstratif. 1903. — Nous sommes satisfait

va à l'atelier de brosserie; son patron est satisfait de son travail. Caractère toujours indisci-pliné et impoli avec le personne

p moins de fautes et comprend mieux ce qu'il lit et ce qu'il écrit. — Caractère de plus en plus rageur et original. XXVIII. Rob

attention et de la persévérance il arrive à un résultat satisfaisant. Caractère calme, docile, ré-gulier, mais personnel. 1902.

mélioration a continué, très lentement il est vrai, mais sûrement; le caractère est devenu plus gai, plus com-municatif et notre

e grammaire qu'il comprend, ainsi que l'addition et la soustrac-tion. Caractère toujours turbulent, indocile et menteur. 1903.

... continue à faire des progrès scolaires, mais les extravagances de caractère s'accentuent; il semble prendre plaisir à dire de

division, mais ne sait encore faire que l'appli-cation de l'addition. Caractère un peu moins extravagant de-puis trois mois il va

régu-liers, il n'y a pas d'intermittence, il en est de même pour son caractère qui est toujours égal, il écoute bien les leçons

e Ricqu... est arrivé à faire le nœud à rosette très habil-lement. Le caractère s'est un peu amélioré, il est moins pleu-reur.

ers, commence à établir une relation entre le chiffre et la quantité. Caractère sournois très difficile, mauvais et gros-sier. L'

ux sont beaucoup plus vifs. Amélioration notable au point de vue du caractère , des travaux manuels et de l'in-continence d'urin

et turbulence par intervalles, avec absence complète de mémoire. — Le caractère était extrêmement timide et craintif, ce qui donn

a disparu et son excessive timidité tend également à disparaître. Le caractère est devenu doux, serviable et affec-tueux, le reg

beaucoup à désirer tant au point de vue intellectuel que physique. Le caractère hardi et enjoué vis-à-vis de ses compagnes deve

crainte; il était en un mot bien difficile de se rendre compte de ce caractère bizarre. Elle s'habillait et se déshabillait seul

a fait des progrès qui méritent d'être signalés parti-culièrement. Le caractère timide est devenu affectueux, gai, expansif. Elle

tait surtout triste et taciturne; en un mot, Henriette n'avait pas le caractère d'une enfant de son âge. Elle s'habillait avec

p/lep-sie, imbécillité légère, avec incontinence nocturne d'urine. Le caractère était assez doux, sérieux, souvent triste et maus

disparu; elle n'a plus d'incontinence d'urine depuis six mois. T.e caractère présente encore quelques irrégularités, elle est

Enfin, l'enfant présentait de nombreuses anomalies au point de vue du caractère . De réels obstacles se dressaient donc devant nou

tites qui ne peuvent le faire, procède entièrement à sa toi-lette. Le caractère est doux et affectueux, l'enfant a toujours un bo

x soins du ménage. Gymnastique, couture, tout était nul chez elle. Le caractère présentait des bizarreries sans pareilles, la moi

versions instinctives, onanisme, incontinence nocturne d'urine. — Son caractère était bruyant, turbulent au possible. Elle était

gogique, l'incontinence d'urine a disparu, de même que l'onanisme. Le caractère s'est également modifié, l'enfant est moins turbu

ons cependant quel-ques progrès sur différents points (Dec. 1905). Le caractère laisse encore beaucoup à désirer. Elle est devenu

ait en droit d'espérer chez cette enfant se réalisent chaque jour, le caractère doux et cares-sant est le même qu'au début. Sa ge

our les faire rire, elle paraît alors très satisfaite d'elle-même. Le caractère de l'enfant a subi quelques heureuses modificatio

e à faire quelques devoirs de grammaire et sait faire l'addition. Son caractère , quoique susceptible et irritable, s'est beaucoup

ires, elle semblait n'avoir aucune aptitude pour l'instruction. Son caractère laissait beau-coup à désirer; elle était très sus

en à la gymnastique; elle ne possédait aucune notion à son entrée. Le caractère s'est légalement transformé; elle est beaucoup pl

regard était sournois, elle, était peu affectueuse, peu expansive. Le caractère était irritable à l'excès; elle s'emportait à la

on depuis dix-huit mois. On l'a déplacée pour gagner davantage. Comme caractère , elle est insouciante,- et un peu négligente, mai

elle était nulle en instruction, connaissait à peine les lettres. Le caractère était méchant, querelleur; elle se faisait détest

hie, ainsi que les trois premières opérations de l'arithmétique. Le caractère est également bien changé, elle raisonne bien, se

avril 1901. A son arrivée, la physionomie de l'enfant était dure, le caractère laissait beaucoup à désirer sous tous les rapport

rer à cet exercice. En somme, l'enfant pré-sentait des bizarreries de caractère et était très difficile à diriger. 1903. — Peu

caractère et était très difficile à diriger. 1903. — Peu à peu son caractère s'est modifié, ses accès de colère sont devenus m

y a encore bien des choses qui laissent à désirer au point de vue du caractère , car elle est nerveuse et irritable, mais ces mom

ge est devenue aujourd'hui tout à fait propre, mar-che très bien. Son caractère est surtout beaucoup plus calme; d'où nous conclu

que de sensibles progrès qui méri-tent une mention particulière. — Le caractère se modifie et devient de jour en jour plus affect

ons elle, préfère la buan-derie. Elle lave avec soin et avec goût. Le caractère est ser-viable, quoique un peu turbulent. Elle n'

it incapable de tenir conversation, l'attitude était embar-rassée. Le caractère était triste, maussade; les premiers jours de son

à attenter à ses jours; ni période d'excitation, ni de mélancolie. Le caractère est devenu réellement calme et tranquille. Elle p

lents, mais d'une année à l'autre nous en constatons quelques-uns. Le caractère est gai, B... s'amuse bien aux heures de récréati

, car elle n'avait jamais rien appris dans les écoles primaires. Le caractère n'est ni méchant, ni taquin, mais il est obser-va

ns de géographie, l'enfant a beaucoup de goût pour la classe. Comme caractère l'enfant est gaie, joueuse, ses jeux n'ont rien d

voi, pour ouvroir; en somme le langage était tout à fait enfantin. Le caractère était triste, maussade. Elle ne prenait part à au

donner et ne voulait recevoir aucun soin concernant sa toi-lette, le caractère était méchant, jaloux. Elle repoussait ses petite

ait sans motif, à cause de son état maladif sans doute. Maintenant le caractère est gai, aimable avec ses petites compagnes, serv

ique sans toutefois en comprendre très exactement l'application. Le caractère s'est également modifié. L'enfant parlait mal au

ble de procéder à son habillement et avait de mauvaises habitudes. Le caractère était gai, turbulent, elle aimait les jeux bruyan

était inconnu pour elle. La mémoire lui faisait souvent défaut. Comme caractère , elle était aussi tur-bulente que bavarde, se cha

erie, la dentelle, et fait cette dernière admirablement bien. Comme caractère , elle est devenue serviabie, complaisante et surt

Elle était propre le jour, mais il lui arri-vait de gâter la nuit. Le caractère était sombre et taciturne, on aurait dit que l'en

ques pas. Elle déploie une certaine activité en tout et pour tout. Le caractère est devenu gai et joueur, comme celui d'une enfan

vi dans son langage; en un mot elle était tout à fait incohérente. Le caractère était irritable à l'excès; taquine au possible, e

l'ex-pression de la physionomie qui conserve encore un air hardi; le caractère est irritable, mais elle n'est plus aussi turbule

nfin la multiplication qu'elle ne faisait pas l'année dernière. Comme caractère , elle est tour à tour bruyante et tapageuse, calm

nuit et jour, poussait des cris perçants aussitôt qu'on la nettoyait, caractère capricieux et volontaire. Aujourd'hui (1904), l

Elle a donc fait des progrès notables au. point de vue scolaire. Le caractère de l'enfant est agréable; elle est serviable dans

lement, fait une copie, ainsi que l'addition et la soustraction. La caractère est totalement changé, l'enfant est devenue plus

bien, prend un air futé et malin quand elle tient conversation. Le caractère s'améliore également, elle n'est pas méchante, ai

our-propre et ne voudrait pas être en retard sur ses compagnes. Comme caractère , elle ne laisse rien à désirer; elle tient bien c

que; lit couramment et donne à sa lecture une bonne intonation. Son caractère a subi la même transformation, cette enfant raiso

e géographie, son écriture est lisible, mais peu régulière. —? Comme- caractère l'enfant ne laisse rien à désirer, elle est toujo

vacité, le teint jaunâtre. La parole était lente, la voix faible, son caractère était maussade et acariâtre. Elle ne pouvait supp

ncts et ses manies ont disparu, elle ne dit plus de grossièretés. Son caractère , autre-fois sombre et sournois, est devenu gai. E

r; en un mot, elle était incapable de se donner le moindre soin. Le caractère de l'enfant était détestable, toujours grognon, d

e tous les soins de toilette nécessaires, se suffit à elle-même. — Le caractère s'est également très amé-lioré; elle est devenue

sse beaucoup aux leçons de choses et à tout ce qui est enseigné. — Le caractère de notre malade serait peu patient, mais elle est

e à faire des rédactions, écrit et rédige elle-même ses lettres. — Le caractère est brusque mais non méchant. — Elle prend un s

du reste ses photographies et son cahier mensuel. .. L'enfant a bon caractère ; pas. un brin méchante, elle a tou-jours le souri

s en plus rarement; il en résulte un développement très sensible. Son caractère s'est beaucoup modifié, elle n'est plus susceptib

en somme, elle est en bonne voie d'amélioration. Au point de vue du caractère , l'enfant est tout à fait gentil-lette, pas un br

leur où il est l'un des meilleurs apprentis. Conduite générale bonne. Caractère gai et enjoué. Assez bon camarade, un peu taquin,

, des tics, des manies, de la chorée, de l'épilepsie, l'amendement du caractère , la guérison des accès de colère, le développemen

art du système nerveux. En effet, elles se manifestent avec les mêmes caractères dans Vimmobilisation des membres, alors que le sy

tion phlegmasique. Dès l'origine, le plus souvent, elles revêtent les caractères des inflammations ; elles peuvent, nous le verron

boutir à l'ul-cération, à la gangrène et à la nécrose. En outre, un caractère qui leur est commun à la plupart, c'est qu'elles

es premières sont lentes à se produire, n'ont, le plus souvent, aucun caractère inflammatoire; les secondes éclatent parfois tout

es de Schwann ou de (•eux du névrilème, et parfois, de plus, tous les caractères de la dégénération granuleuse des cylindres de my

e immédiat des alvéoles où elles se logent, on reconnaissait tous les caractères de la 1. V. Baerensprung.— Beitraege zur Kenntn

longtemps condamnés à l'inac-tion; elles offriraient au contraire les caractères les plus nets d'un processus inflammatoire, à sav

és de la dégénération graisseuse. Beaucoup de fibres ont conservé les caractères de l'état normal. Quelques-uns des filets nerveux

peine distincte. Un certain nombre de faisceaux primitifs offrenl les caractères de l'altération cireuse, mais l'altération granul

ontractilité électrique, lesquelles ne se montrent pas avec les mêmes caractères , dans les premières et ne s'y manifestent qu'au b

rganes, dans certains tissus, des lésions trophiques offrant tous les caractères d'un processus inflammatoire. Je me bornerai à ci

altération de la contractilité électrique, mais, même cela étant, le caractère tiré de l'abolition ou de la diminution hâtives d

, par la section des troncs nerveux, puisque, dans ces der-nières, le caractère en question fait défaut. Nous devons examiner a

i pas trouvé jusqu'ici d'observations incontesta-blement douées de ce caractère . Nous sommes ainsi conduits, Messieurs, à faire

inés en pareil cas à l'aide du micro-scope: tantôt, ils offraient les caractères de l'état normal ; d'autre fois ils présentaient

ptions même du docteur Erb. C'est le névrilemme surtout qui porte les caractères duprocessusinftammatoire ; dès lapre-mière semain

ne modifient pas di-rectement la nutrition des muscles. Elles ont un caractère com-mun : toutes tendent à se limiter aux faiscea

oints-là, conservé la transparence, et, à peu de chose près, tous les caractères de lastructure, normale. 11 est, déplus, d'autres

que. La première se sépare cependant nette-ment de la seconde par les caractères suivants : les muscles de tout un membre ou d'une

éveloppa bientôtsur la peau des régions où se distribue ce nerf. Un caractère commun à toutes ces éruptions, — et ce carac-tère

ésigner sous le nom de douleurs fulgurantes. Je relèverai cet autre caractère que les éruptions en question siègent d'habitude

opsie, on constata que les racines posté-rieures avaient conservé les caractères de l'état normal, et à part quelques traces assez

s eschares; mais ce dernier se sépare nettement des premières par des caractères importants qui sont: en premier lieu, l'apparitio

rs re-prises, a été considérée, bien à tort, comme constituant un des caractères de la gangrène du cerveau (2). M. Baillarger a le

plaie, le cordon la-téral gauche, dans toute sa hauteur, offrait les caractères anato-miques de la myélite descendante. L'appar

oelle épinière, se traduisant le plus souvent anatomiquement, par les caractères de la myélite aiguë ou suraiguë, et cliniquement

s les filets nerveux qui constituent la queue de cheval,offraient les caractères anatomiques de la dégénération granulo-graisseuse

t. I), qu'il s'agit dans la note dudocteur Alison; l'affection a pour caractère de rester limitée aux membres paralysés et de ne

pportées en quelques mots. Séquard, et dont j'ai fait connaître les caractères anatomiques et cliniques, appartient, si je ne me

e en raison de la coexistence de ces manifestations articulaires. Les caractères cliniques, qui rendraient facilement reconnaissab

lui ai donnée a trouvé beaucoup d'incrédules. Un mot d'abord sur les caractères cliniques de Y arthropathie des ataxiques (1).

logiques qui la concer-nent sont encore très imparfaits. Cependant un caractère qui parait constant, c'est l'usure énorme qui fra

e l'incoordination motrice est encore nulle ou à peine accusée. Les caractères cliniquesde notre arthropathie sont, d'un autre c

s Y atrophie musculaire progressive des arthropathies, qui, par leurs caractères cliniques, se rappro-chent beaucoup de l'arthropa

u'il en soit, les lésions viscérales dont il s'agit diffèrent par des caractères importants de celles qui font l'objet principal d

e sont, nous l'avons dit, des hypérémies, des ecchymoses ; jamais les caractères de l'inflammation ne s'y surajoutent sans l'inter

ement appeler votre attention, se rattachent, par l'ensemble de leurs caractères au groupe des lésions trophiques proprement dites

s c'est àBrodie surtout qu'on doit d'avoir appelé l'attention sur les caractères que présente l'urine chez les indi-vidus atteints

it des caillots sanguins le qua-trième jour ; elle présentait le même caractère le sixième jour et devint peu à peu purulente, da

ction du nerf grand sympathique du cou, mais qui se retrouve avec des caractères à peu près identiques, à la suite d'un grand nom-

hypérémiées, comme dans les condi-tions normales : il n'offre pas de caractères spéciaux, si ce n'est, toutefois, que les parties

tantmécanique local (1 ) et que l'inflammation revêt là facilement le caractère destructif (2). Mais il se trouve à cet égard en

ralysie agitante prend droit de domicile dans les traités classiques. Caractères fondamentaux de la paralysie agitante. — C'est un

qui serait prématurée. Qu'il nous suf-fise d'avoir mis en relief des caractères que l'observation la plus simple, indépendamment

'arriver à la Salpêtrière. Voulant nous éclairer sur la nature et les caractères de cette maladie, que nous étions 1. Gazette he

ile de retrouver sur les malades que j'ai réunis dans les salles, les caractères sur lesquels je vais insister. CARACTÈRES FONDA

unis dans les salles, les caractères sur lesquels je vais insister. CARACTÈRES FONDAMENTAUX DE LA PARALYSIE AGITANTE. La paral

eschares qui terminent la scène morbide. Tels sont. Messieurs, les caractères les plus généraux de la paralysie agitante. Mai

inquiétant, reste isolé pendant longtemps. Il offre, d'ailleurs, des caractères qu'il importe de connaître et sur lesquels nous i

ses convulsives. C'est surtout à cette époque de la maladie que les caractères particuliers du tremblement apparaissent dans tou

a langue, même lorsqu'elle 1. Le tremblement impose â récriture des caractères qui ont quelque chose de spécial. Quand l'affecti

peu habitués à l'équitation, sont montés sur un cheval 1. Tous ces caractères se trouvent très accusés chez Perd..., Marie-Anne

mpagne fréquemment la sclérose en plaques disséminées, et c'est là un caractère distinctif que nous aurons à faire valoir pour le

, le plus léger frôlement, le pincement, etc., sont perçus avec leurs caractères normaux et la rapidité voulue. Mais une sensati

ne hyperplasie, une prolifération du tissu conjonctif. Quels sont les caractères de cette hyperplasie? A cet égard, la relation es

texte allemand, de l'atrophie des éléments nerveux, non plus que des caractères de la dégénération graisseuse, deux lésions signa

les nerfs. — Formes spinale eéphalique ou bulbaire,cérébro-spinale. — Caractères des plaques: couleur' consistance, etc. Anatomi

x. — Névroglie : sa distribution. — Couche cor-ticale du réticulum. — Caractère de la névroglie. — Influence de l'acide chromique

vroglie. — Influence de l'acide chromique. — Capillaires artériels. Caractères histologiques des plaques de sclérose. —Coupes tr

s ai tracé l'histoire. Chemin faisant, j'ai relevé quelques-uns des caractères qui per-mettent de distinguer aujourd'hui cette m

ien différents. C'est à cela que la maladie doit en grande partie son caractère protéiforme. Nous reviendrons sur ce point. Pour

anatomie à l'œil nu, il ne me reste plus qu'à indiquer les principaux caractères que présentent les plaques considérées individuel

faire dériver les conditions morbides. La connaissance préalable des caractères de l'état normal, en ce qui concerne les organes

a vérité en faible pro-portion, — de la matière amorphe possédant les caractères qui viennent d'être indiqués (Kôlliker) ; on reco

ut degré, la métamorphose fibrillaire, est, — remarquez-le bien, — un caractère qui paraît appartenir en propre, à la sclérose en

on nouvelle. C'est sur les coupes de ce genre que Ton saisit bien les caractères de ce tissu, que l'on peut le mieux appré-cier la

secolorent àpeine sous l'influence du carmin (Fig. 11). Ces derniers caractères les différencient suffisamment des cy-lindres d'a

e l'on trouve si souvent mêlées au tissu con-jonctif ordinaire par un caractère important: elles se gonflent sous l'influence de

entant un double contour et ayant con-servé, par conséquent, tous les caractères optiques de la myé-line. Les jours suivants, la s

gulières de myéline, mais bien des gouttes présentant l'aspect et les caractères microchimiques de la graisse. Cesgouttes, d'abord

onséquence d'une modification ultérieure, présentent bientôt tous les caractères des gouttelettes ou des granulations graisseuses

omme la myéline, dont ils se rapprochent du reste encore par d'autres caractères , un double contour. Les autres sont de véritables

ses, soit même, bien que plus rarement, des corpuscules présentantles caractères de la myéline. En certains points, ces divers pro

terminent la dégénération grais-seuse des tubes nerveux. Le véritable caractère de ce phéno-mène paraît avoir été soupçonné par G

es dont les noyaux se multiplient habituellement, et c'est même là un caractère qui, au besoin, conduirait à distinguer l'un de l

but de cette série de désordres? Il est facile d'y retrouver tous les caractères de l'irritation formatrice. Mais, après avoir rec

plaques. — Du tremblement; modi-fications qu'il impose à l'écriture : caractères qui le font distinguer du trem-blement de la para

Mais il est temps, Messieurs, de vous mettre à même de distinguer les caractères à l'aide desquels on peut séparer la sclérose en

uelque temps, la malade pouvait écrire encore assez distinctement;les caractères étaient tremblés, il est vrai, mais du reste parf

essieurs, le phénomène que j'ai été conduit à considérer comme un des caractères cliniques les plus importants de la sclérose en p

je n'ignore pas, en effet, qu'un tremblement, se présentant avec des caractères à peu près semblables, s'observe quelquefois dans

ue,le tremblement, si peu qu'il existe, se présente toujours avec les caractères que je lui ai assignés. En somme, c'est là un sym

il est assez difficile de se former Fig. 14. une opinion sur les caractères de l'écriture des malades atteints de sclérose en

e tremblement de la sclérose multilo-culaire. Voici à l'aide de quels caractères la confusion pourra être évitée. Il faut noter to

embres inférieurs. 11 se présente sur ces divers points avec tous les caractères que nous avons signalés à propos des membres supé

. Messieurs, le phénomène dont je viens d'esquisser les prin-cipaux caractères n'est autre que Vépilepsie spinale, décrite par M

de-cins anglais); 2° les attaques eonvulsiees oxxépilepti formes. Les caractères des deux types peuvent d'ailleurs s'entremêler et

ns l'axe cérébro-spinal, mais toujours présentes dans l'isthme est un caractère commun à toutes les affections en appa-rence si d

tres affections cérébro-spinales,c'est qu'à mon sens, on trouve là un caractère qui peut, dans certains cas, être mis àprofitpour

d'être remarqués que nous les retrouverons, à peu près avec les mêmes caractères , dans d'autres formes de sclérose de la moelle ép

seuls symptômes actuels de la maladie en question, dont le véritable caractère est alors trop souvent méconnu (2). Ces mêmes cri

ienne (seizième et dix-septième siècle) et elles ne présentent pas le caractère de précision que nous exigeons à notre époque. D'

attaques ont continué à se reproduire de temps à autre, avec le même caractère , mais assez rarement, deux ou trois fois par an e

it restreinte ; l'esto-mac rejetait presque aussitôt, sans fatigue, — caractère relevé avec raison parM. H.Salter (1) dans le vom

des hystériques. — Ses variétés : elle est complète ou incomplète. — Caractères de l'hémianesthésie hystérique. — L'ischémie et l

rry, Macario, Gendrin, l'ontdécrit touràtour et ont j insisté sur ses caractères . Ce n'est que longtemps après eux que Szo-kalsky

s parties anesthésiées sont séparées des parties saines est encore un caractère impor-tant de l'hémianesthésie hystérique. Sur la

strument nefût pas poussé trop profondément. 11 est encore d'autres caractères de Fhémianesthésie hystéri-que qui méritent tout

très rare qu'elle puisse être reproduite avec l'ensemble de tous ses caractères par une autre J. Archives générales de médecine

édecin. Eh bien, la présence de l'hémianesthésie, revêtue de tous ses caractères qui, alors, ne ferait vraisemblablement pas défau

resque spécifique, en ce sens qu'on ne le retrouve pas avec les mêmes caractères dans l'immense majorité des cas de lésions maté-r

(hémorrhagie, ramollissement, tumeurs), on ne sauraitadmettre que ce caractère est absolu; il est inexact, surtout, de dire que

cérébrales en foyer peuvent reproduire l'hémianesthésie avec tous les caractères qu'on lui connaît dans l'hystérie, ou peu s'en fa

. X^C^s-'à^férations delà sensibilité peuvent se présenter avec les caractères suivants : L'anesthésie affecte toute une moitié

es. Presque toujours, lorsque l'hémianesthésie se présente avec ces caractères , la couche optique est lésée d'une manière-sinon

de telle sorte queJTo/mubilation des \ sens spéciaux resterait comme caractère distinctif de l'hémia-nesthésie des hystériques.

sa fréquence; considérations historiques. — Opinion de M. Briquet. Caractères de l'hyperesthésie ovarienne. — Son siège exact.

ez les hystériques, et qui permettent presque toujours, en raison des caractères qu'offrent ces accidents, de reconnaître la grand

cher du doigt dans un instant ; je vous en ferai reconnaître tous les caractères , en vous présentant cinq malades qui forment la p

n que l'on provoque surtout la douleur, et qu'elle se révèle avec des caractères pour ainsi dire, spécifiques. Il ne s'agit pas là

uer que l'inflammation commune de l'ovaire peut exister avec tous ses caractères , sans que les irradiations décrites plus haut sur

mes et télaniformes; après quoi se produisent de grands mouvements, à caractère intentionnel, dans lesquels la malade, prenant le

contracture des membres gauches, chez E... se retrouve avec tous les caractères qu'elle offrait à l'époque où la présente leçon a

la paralysie motrice. 3° Nous axions à relever encore bien d'autres caractères dis-tinctifs. La malade est intelligente et rien

e et de la langue dans l'hémiplégie hystérique. 11 n'en est rien ; ce caractère se trouve déjà mis en relief dans les Leçons sur

ouleur vive à la pression de la région ovarienne gauche, douleur d'un caractère spécial, s'accompagnant de sensations particulièr

ture, dont vous pouvez encore aujourd'hui rec onnaître les principaux caractères . La contracture, à l'origine,s'amendait de temps

1873) n'a pas modifié, d'une façon appré-ciable, la fréquence et les caractères des crises convulsives. Au moment de son entrée

pé-rer cette brusque dispariton des contractures qui constitue un des caractères les plus frappants de la maladie lorsqu'elle n'es

. Existe-t-il quelque signe qui permette d'indiquer, à coup sûr, le caractère du cas, de savoir par exemple si la sclérose a dé

s dernières réunions, j'ai eu soin de mettre en relief les principaux caractères que présentent les attaques convul-sives dont ell

hystérie êpi-leptiforme. Mais ces accès n'ont pas, néanmoins, le vrai caractère de l'épilepsie (1). M. Dubois (d'Amiens) consid

né-vroses étaient disjointes et conservaient,sans s'influencer,leurs caractères spécifiques. Un rapprochement, entre la malade et

bservation personnelle. a) Dès l'origine, l'attaque mixte revêt son caractère propre ; dès cet instant, c'est de l'hystérie épi

. Alors, tout est hystérie ; on voit survenir les grands mouvements à caractère intentionnel, des contorsions, qui expriment par-

est bien de nature à fixer votre attention. 11 est enfin un dernier caractère sur lequel je vous demande la permission d'insist

. 247: — Bévue phot. des hôp., 1869. Mais si, en ce qui concerne le caractère thermique, l'accès d'hystérie épileptiforme et l'

er hémorragique cérébral, et c'est là, ainsi que je l'ai démontré, un caractère qui peut être utilisé pour le diagnostic. Mais

temps de répit. Mais je veux surtout signaler à votre attention le caractère thermique que l'observation nous à fait reconnaît

EÇON De la chorée rythmique hystérique. Sommaire. — Symptômes. —¦ Caractères des troubles moteurs. — Analyse des mouvements du

— Leur action per-manente dans l'hémianesthésie de cause organique. — Caractères des attaques convulsives. — Action de la compress

n'est pas, contrairementà l'opinion autrefois émises parTrousseau, un caractère exclusivement propre à lnémia-nesthésie des hysté

uite telle qu'elle était avant l'application. Cette mobilité môme, ce caractère transitoire des phénomènes est, peut-être, justem

dical, 1877, p. 381. Je même ordre. J'ajouterai enfin, —c'est là un caractère , à mon sens, de premier ordre, que la compression

dre momentanément ces mouvements. On ne sauraitvoir là, Messieurs, un caractère unique. Vous remarquerez, en effet, que chez G...

on plus qui rappelle un acte intentionnel. Chez Ve..., cependant, les caractères de l'hystérie ne sont pas moins prononcés que che

ultés intellectuelles (raisonnement, mémoire, etcj sont conservées. — Caractère doux. — Impressionnabilité assez vive. (B.) Du

particulier, on a contesté les assertions de M. Charcot relatives aux caractères du tremblement de la tête. D'après M. Charcot,

ur. Circonscription du tremblement qui a passé ina-perçu du malade. — Caractères de l'écriture. (Obs. de M. Charcot). M. R..., a

entement, péniblement. Bien que l'écriture soit restée régulière, les caractères tracés sont tellcmentpetits,qu'il faut s'armer d'

écrire quelques mots. Il traça len-tement, mais d'une main ferme, des caractères réguliers, telle-ment lins à la vérité que, ainsi

une plume à écrire. A une époque où, chez M. R____ tous les autres caractères assignés par M. Charcot à la paralysie agitante

écrire encore d'une écriture très fine, mais très lisible et dont les caractères ne paraissent nullement trem-blés, même quand on

pas à l'examen pratiquée l'œil nu. Fig. 31. Fig. 32. Les mêmes caractères se retrouvent aussi lorsque 1 écriture n'est pas

ture n'est pas encore rapetissée (Fig. 32). En présence d'un cas de Caractères de l'écriture des malades atteints de maladie de

é. C'est principalement dans l'acte de boire qu'on l'observe avec ses caractères classiques. Lorsque R...., assis, veut se mettr

ement leur image ; les draps du lit et le papier paraissent gris, les caractères d'un livre ne sem-blent pas d'un beau noir et ils

s les plus centrales de la rétine. Dans l'amblyopie hystérique, ces caractères de l'état nor-mal se montrent en quelque sorte ex

e lésions du fond de l'œil,appréciables à l'ophtalmos-cope.Les divers caractères de ce genre d'amblyopie appartien-nent donc, on l

er vingt-quatre heures et plus. — H y a lieu de relever ici plusieurs caractères diagnostiques importants à connaître : l'absence

ques. — La catalepsie et le somnambulisme, dont nous avons étudié les caractères dans un précédent compte-rendu (1), surviennent p

du muscle masséter. ouenfin une douleur de fête vive et qui, par son caractère , rap-pelait la douleur du doigt piqué... Une inte

Mlle X... n'a jamais éprouvé d'attaque de nerfs. Elle est calme, d'un caractère égal,plutôt enjoué;rien n'est changé dans sama-ni

rs des pèlerines, en effet, en proie aux tourments d'attaques dont le caractère ne peut être méconnu, gesticulent, se contorsionn

la gorge et du visage et le subit changement de couleur sont-ils des caractères cer-tains de possession? » etc., etc. On sait q

ralysie agitante prend droit de domicile dans les traités classiques. Caractères fondamentaux de la paralysie agitante. — C'est un

s nerfs. — Forme spinale, cépha-lique ou bulbaire, cérébro-spinale. — Caractères des plaques : couleur, con-sistance, etc. Anato

x. — Névroglie : sa distribution. — Couche cor-ticale du réticulum. — Caractères de la névroglie. — Influence de l'acide chromique

névroglie. — Influence de l'acide chromique. — Capillaires artériels. Caractères histologiques des plaques de sclérose. — Coupes t

plaques. — Du tremblement; modi-fications qu'il impose à l'écriture : caractères qui le font distinguer du trem-blement de la para

des hystériques. — Ses variétés : elle est complète ou incomplète. — Caractères de l'hémianesthésie hystérique. — L'ischémie et l

sa fréquence; considérations historiques. — Opinion de M. Briquet. Caractères de l'hyperesthésie ovarienne. — Son siège exact.

LEÇON de la chorée rythmique hystérique. Sommaire. — Symptômes. — Caractères des troubles moteurs. Analyse des mouvements du t

— Leur action per-manente dans l'hémianesthésie de cause organique. — Caractères des atta-ques eonvulsives. — Action de la compres

emblement dans la maladie de Parkinson.................... 414 III. Caractères de l'écriture des malades atteints de maladie de

ques : historique, 113; — mode de début, note, 113; — lésions, 120; — caractères cliniques, 119. Articulations (Affections troph

convulsive dans la —, 350. — Forme hémiplégique de la —, 347, 351. — caractères qui la différencient de l'hémiplégie orga-nique,

yperesthésie ovarienne, la paralysie et la con-tracture, 304 , 330. — Caractères qui la séparent de l'hémianesthésie de cause encé

ue, 306, 315. — de cause encéphalique, historique, 308, 309 ; — ses caractères , 308,315. — Cas de Tûrck, 313 ; note, 315. Hémi

ysie agitante, 155, 317, 409, 414. —Historique, 160. — Nature, 161. — Caractères généraux de la —, 161. — Début, ses modes, 164, 1

t, ses modes, 164, 166, 410, — Symptômes, période d'état, 166, 410. — Caractères du tremblement, 166. — Ecriture, 167, 421. — Atti

onsécutive à la lésion des nerfs. 46, 48. — générale progiuessive ; caractères qui la rapprochent de la sclérose en plaques, 223

dans la sclérose en plaques, 226. — In-fluence des mouvements, 227. — Caractères qui le distinguent de la chlorée, 280, — de l'inc

Vision (Troubles delà) dansl'hvsté-rie, 427. — Historique, 427'. — Caractères , 428. — Mobilité, 429. — Observations, 430, 433

bra ou alba sur le reste du corps). Maladie de Morvan : historique; caractères des panaris, leur mode de succession, nécrose des

mode de succession, nécrose des phalanges, déformations consécutives; caractères de l'anesthésie. Différences avec la syringomyeli

river à la distinguer des autres, de quelques affections qui ont pour caractère commun de produire des altérations graves, symétr

pour me mettre en mesure de mieux faire ressortir, par contraste, les caractères de cette dernière affection. Vous savez combien j

° l'absence d'issue au dehors de fragments osseux. La présence de ces caractères suffit pour vous préserver de toute confusion. Ma

ption sur place des éléments constituants de ces organes. De plus, le caractère exotique de la lèpre est à considérer. Enfin, si

ans des précipices). Le malade reconnaît qu'il a beaucoup changé de caractère depuis son accident de Pont-St-Esprit et l'appari

— Compression du nerf médian, ne pouvant expliquer ces phénomènes. — Caractères nettement hystériques de la paralysie.— Stigmates

ent. Il est atteintd'une monoplégie brachiale gauche présentant les caractères suivants : l'impotence porte spécialement sur la

le qui est la règle clans l'hystérie, ils présentent d'autre part des caractères qui permettent facilement de les reconnaître. D

mplètement abolie. Donc, analgésie et thermoanesthésie, tels sont les caractères distinctifs de l'anesthésie syringomyélique. L'

r. La monoplégie consécutive ne saurait être non plus, à cause de ses caractères et de son évolution même, mise sur le compte de c

hercher si loin quand nous trouvons dans la description du malade des caractères qui ne peuvent permettre le doute. Le vertige est

né!. Formes généralisées ou partielles. Leur mode d'apparition, leurs caractères , leurs rapports d'évolution avec la névrose hysté

. 398. avec M. P. Marie, mon chef de clinique d'alors, qu'un do ses caractères est de paraître éminemment variable, si on l'envi

emier ? Cela restera à déterminer. Pour en Unir avec cet aperçu des caractères généraux des tremblements hystériques, ajoutons q

soit d'ailleurs la forme, convulsive ou apoplectique, constituera un caractère important, pouvant contribuer à fixer le diagnost

projetée! de tous côtés. Nous retrouvons donc là, bien tranchés, les caractères assignés au tremblement classique de la sclérose

attaque qui depuis s'est souvent reproduite et qui présente tous les caractères de l'attaque de grande hystérie. Ajoutons que si

t bien portant. » Dès qu'il commença à être sujet à ces crises, son caractère , qui auparavant était calme, placide, se modifia.

vront plus être commises aujourd'hui que nous connaissons mieux les caractères des divers tremblements hystériques, grâce aux ré

ant sur tous les filets de la 3e paire ; période de rémission ; leurs caractères , leur retour périodique plus ou moins net. Début

( Vous aurez bientôt l'occasion d'étudier sur nature les principaux caractères de l'affection dont je parle, chez la malade en q

3e paire, diplopie spéciale à ce genre de paralysie; de plus tous les caractères de l'ophthalmoplégie interne, à savoir: paralysie

'action de la lumière. Nous trouvons là, remarquez-le en passant, les caractères qui distinguent les paralysies périphériques ou b

que vous le verrez dans le fait qui va vous être présenté. Un autre caractère de cette période douloureuse c'est qu'elle se ter

à s'amender. Les premiers appartiennent communément au groupe dont le caractère est que les accès proprement dits sont de longue

ine ophthalmoplégique ne saurait être confondue clinique-ment,tantses caractères sont tranchés, avec les autres migraines. Une tum

attaché cependant, vous le reconnaîtrez, je pense, avec moi, par les caractères fondamentaux. Il s'agit d'une femme de 35 ans,

revenant une ou deux fois par mois, qui paraissent avoir présenté les caractères de la migraine vulgaire et qui, ayant commencé à

Quoiqu'il en soit, comme on l'a dit, la première crise présentant le caractère ophthalmoplégique s'est produite en 1885; c'était

de trois semaines ; elle a présenté, d'ailleurs, exactement tous les caractères signalés à propos du premier accès. Les symptômes

ce deuxième accès, l'affection migraineuse semble tendre à prendre ce caractère d'une maladie continue avec exacerbations périodi

l'avions annoncé, de migraine ophthalmoplégique se rattachant par ses caractères fondamentaux au type classique. L'observation app

ophthalmoplé-gie interne et de l'ophthalmoplégie externe, et aussi le caractère unilatéral de l'affection plaident en faveur de c

er. D'un autre côté, on ne peut pas ne pas être impressionné par le caractère constamment vespéral des exa-cerbations de la cép

ral des exa-cerbations de la céphalalgie ; dans notre observation, ce caractère , en l'absence de toute marque, chez le sujet, d'a

te douleur s'est reproduite tous les jours, exactement avec les mêmes caractères , environ pendant un mois. Au bout de ce temps, la

de même localisation et de même intensité que la première fois; même caractère vespéral et nocturne. Au bout de trois semaines,

ille de 22 ans, et chez un homme de 46 ans. Analogie de ces deux cas. Caractère du gonflement, où la pression du doigt ne laisse

on ne cédant pas à la pression du doigt, mais qui en diffère par deux caractères essentiels, à savoir : l°un abaissement de la tem

variété, mais assez importante et se présentant en clinique avec des caractères assez tranchés pour mériter une description spéci

ue le 15 avril dernier. Vous reconnaissez tout de suite chez elle les caractères de cet œdème bleu que je viens de vous tracer bri

l'âge de 4 ans. Elle a été réglée à 13 ans. Elle a toujours été d'un caractère impressionnable ; elle pleure pour un rien. La mo

. Vous comprenez par là qu'un œdème du dos de la main, présentant les caractères de l'œdème bleu et accompagné de troubles de la s

hystériques (th. Paris, 1890). et dans les yeux l'histoire et" les caractères de cet accident de la névrose, encore inconnu hie

nt dit, avec un phlegmon. Dans ce dernier cas la fièvre et les divers caractères de l'inflammation plus ou moins étendue seront de

cale. On peut reproduire artificiellement l'œdème bleu, avec tous les caractères que vous lui connaissez, chez certaines hys- té

variété grave, il est vrai, mais ne présentant dans son étiologio nul caractère particulier. Dans aucun des traités de pathologie

présente au plus haut degré, pour la jambe gauche seulement, tous les caractères de la dé-marche de stepper. La pointe du pied est

que, testicule gauche. Depuis le début de sa maladie, M... est d'un caractère triste. Il a mangé toutes ses économies, ce qui n

rôle d'agent provocateur et la névrite, que rendent incontestable les caractères de la douleur, la longue durée de l'affection, Fa

semblables? lien était tout autrement chez M... et considérant les caractères de l'anesthésie en jambe de pantalon du membre,in

rsonnes. En marchant, il levait les cuisses d'une façon excessive. Ce caractère nous frappa et, en le déshabillant, nous pûmes co

. — Facies dans ^Ophthalmoplegie externe, ou faciès oVHutchinson; ses caractères , son diagnostic. Caractères cliniques de l'oplith

egie externe, ou faciès oVHutchinson; ses caractères, son diagnostic. Caractères cliniques de l'oplithalmoplégie externe : intégri

aire plus ou moins généralisée des membres, atrophie qui, d'après les caractères un peu différents cependant qu'elle affecte dans

doit d'avoir, pour la première fois, fait parfaitement ressortir les caractères dont il s'agit, dans un mémoire publié dans les T

s de l'œil sont paralysés. C'est là, comme on le dit, un des grands caractères des paralysies nucléaires du globe de l'œil. Tout

caractères des paralysies nucléaires du globe de l'œil. Toutefois, ce caractère n'est pas absolu, car on comprend que, par voisin

du rectum, les réflexes restant normaux, affaiblis ou supprimés. Ces caractères tant positifs que négatifs, déjà signalés en part

énéralisée à marche lente et progressive, reproduisant à peu près les caractères du type Duchenne-Aran (polyomyélite antérieure ch

ation des réflexes). Ce malade qui vous a montré tout à l'heure les caractères du « façies d'Hutchinson ^, est âgé de 41 ans. Le

possible que l'on se fût un peu hâté en voulant faire de ce signe un caractère de ces myopathies, et, si l'on y regarde d'un peu

diffère du précédent, ainsi que je vous l'ai annoncé, par quelques caractères , sans toutefois sortir du groupe. Ici ce n'est

ans. Sa mère est encore vivante et aussi diabétique. Lui-même, d'un caractère calme, n'a jamais eu d'accidents nerveux avant l'

iles avec les paupières demi-tombantes, qui donne à sa physionomie un caractère de tristesse et presque d'hébétude tout spécial.

che. Les yeux seuls sont intéressés. On trouve là en effet tous les caractères d'une ophthalmo-plègie externe sinon absolue, du

é des globes oculaires et le malade présente à un haut degré tous les caractères du faciès d'Hutchinson. Le second malade, qui p

ier et non pas seulement le faciès. On sait (v. plus haut n° X) quels caractères spéciaux donne à la physionomie la présence de l'

re saillie en arrière et au-dessus de la clavicule. Cela constitue un caractère important, car nous avons vu que, dans la polioen

on trouve l'analgésie et surtout la thermoanesthésie qui constitue un caractère presque pathognomonique de cette affection. Une f

es. Formes frustes et atypiques. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des troubles de la sensibilité, qui ne sont point

les partisans de la dualité, les uns diront qu'ils y voient tous les caractères de la syringomyélie, les autres que les traits di

allemands, M. Schultze (de Bonn) et M. Kahler (de Vienne). Le grand caractère de la lésion, son originalité réside surtout dans

spasmodique, puis plus tard, 15 ans après seulement, se dévoilent les caractères propres à l'affection syringomyélique (Charcot et

ct serait toujours perdu dans la maladie de Morvan et ce serait là un caractère fondamental, dernier retranchement des partisans

Mais on a fait remarquer que le syndrome de Morvan, doué de tous les caractères cliniques essentiels qu'on lui prête, s'est renco

'absence d'anesthésie totale une marque caractéristique absolue. Le caractère non symétrique des affections à l'origine dans le

. Les deux autopsies que nous devons à M. Joffroy ont un tout autre caractère (1). Dans son premier cas, la malade, que j'ava

lie et maladie de Morvan ne font qu'un. Toutefois, en raison de leurs caractères spéciaux, certaines formes de la syringomyélie de

e l'étendue de ce membre parético-analgésique, nous relevons tous les caractères qui appartiennent à la syringomyélie ; partout en

nel. — Névralgies diabétiques symétriques et unilatérales, douleurs à caractère fulgurant; absence des réflexes rotuliens. — Un m

n l'ataxie vraie. Observation de paraplégie diabétique : Douleurs à caractère fulgurant; démarche de stepper; paralysie double

l y a une paraplégie alcoolique, et que celle-là comme celle-ci a des caractères particuliers qui permettent de les distinguer des

rie. Je citerai à ce propos en Angleterre, M. Buzzard, qui indique le caractère fulgurant que peuvent parfois revêtir ces douleur

t d'une névrite. Il ne faudrait pas prendre au pied de la lettre le caractère symétrique de ces névralgies, car quelques-unes d

e trajet des nerfs, mais qui, au lieu d'être permanentes, prennent le caractère de fulgurations revenant par accès, de façon à si

on qu'en font les auteurs, si leur attention eût été éveillée sur les caractères du step-page. En résumé, Messieurs, voici ce qu

hling). Le malade se plaint en outre, depuis 18 mois, de douleurs à caractère fulgurant ne le réveillant jamais pendant la nuit

mécanique, le choc nerveux, la terreur; ils trouveraient là tous les caractères de l'hystérie Iraumatique, dont on a voulu faire

re tout d'abord l'existence d'attaques convulsives typiques, ayant le caractère de la grande hystérie, avec arcs de cercle, grand

trécissement concentrique du champ visuel. Maintenant c'est sur les caractères de la paralysie faciale annoncée que je veux insi

si on y regarde de près, on trouve le plus souvent, dans ces cas, les caractères d'une déviation spasmo- dique et non point para

nt serrées, la tête est en rotation en gauche. Peut-on trouver là les caractères d'une paralysie faciale droite? J'en dirai autant

8 par MM. Brissaud et Marie \ Ils en ont parfaitement montré tous les caractères , la traction de la commissure, la torsion de la l

lle est singulière dans ses allures, différente souvent par plusieurs caractères de ce qu'elle est dans l'hémiplégie organique, el

quefois prédominante de la face et des membres paralysés. C'est là un caractère important en opposition avec ce qui se passe le p

acial inférieur chez un hystérique, semble se distinguer par quelques caractères de celle que l'on rencontre dans l'hémiplégie org

d'un sujet originairement nerveux. Pendant son enfance il était d'un caractère difficile et sujet à des emportements violents. P

de la langue du même côté que l'hémiplégie des membres. Ajoutez à ces caractères quelques légers troubles de la sensibilité et vou

question. Voyons donc si nous retrouvons chez notre malade ces divers caractères . Chez elle, le début de l'hémiplégie s'est fait,

anique. Celte réserve me semble suffisamment justifiée par les divers caractères que je viens de relever devant vous. Lorsque su

rce, on trouve une résistance plus ou moins considérable. Or tous ces caractères du blépharospasme font ici défaut. Souvenez-vous

diagnostic de spasme. Mais alors, me direz-vous, en l'absence de ces caractères habituels, comment savoir s'il s'agit d'un spasme

n dernière ressource. D'autant que ce signe précieux et désirable, ce caractère différentiel, je crois en vérité que nous avons e

esseur Charcot demandait à M. le Dr Lan-dolt s'il connaissait quelque caractère qui pût permettre, en l'absence de signes habitue

du blépharo-spasme, cet abaissement du sourcil accompagné des autres caractères que je viens de vous montrer permettra, je l'espè

yez, dans ce cas supposé mais possible, quelle serait l'importance du caractère différentiel que nous venons d'étudier. En défi

existence de l'anesthésie de la cornée du côté intéressé. C'est là un caractère que mon ancien chef de clinique, M. Gilles de la

e levait, ces phénomènes avaient l'habitude de se reproduire avec des caractères identiques. Toutes ces diverses manifestations se

exité mollasse, pâteuse, nettement limitée, présentant exactement les caractères extérieurs de ce qu'on a appelé la tumeur dorsale

r) chez le second. Messieurs, Je vais vous montrer aujourd'hui un caractère clinique qui, pour simple qu'il soit, n'en a pas

s pas, en effet, que les accidents hystériques prennent volontiers le caractère vespéral ? Chez lui, les céphalées sont, le plus

us vos yeux. Chemin faisant, j'aurai l'occasion de relever les divers caractères qui nous ont amenés à reconnaître que, chez elle,

épileptiformes qu'elle produit se présentaient cliniquement avec tels caractères que je vais préciser dans un instant, vous pourri

e à coup sûr, vous rendre maître des accidents. Quels sont donc ces caractères qui permettent d'affirmer que l'épilepsie est d'o

, clouée de tous ses attributs caractéristiques, se présente avec ces caractères dans toutes les céphalées tertiaires, et que tout

ras. . Peut-on vraiment demander plus de précision? D'un côté, lo caractère syphilitique de la céphalée est établi par sa des

bien que sa vision fût parfaite, il lui était impossible de lire les caractères imprimés ou écrits. Dans ce phénomène vous avez r

es antécédents du sujet, dans les prodromes de l'accident actuel, des caractères décisifs ? Tout d'abord, cet homme a-t-il eu la

s, pas de coma, pas de grand choc. Ceci ne vous rappelle-t-il pas les caractères assignés à l'hémiplégie syphilitique par un maîtr

torité ? 1° « L'hémiplégie syphilitique a pour habitude, sinon pour caractère constant, de se produire sans ictus apoplectique,

sement vulgaire par athérome. Alors où sont donc, ajouterez-vous, vos caractères décisifs ? Avez-vous en concomitance avec l'hémip

us haute importance. Oui, j'ai l'intime conviction que si, frappé des caractères qu'elle a présentés, on fût intervenu, — et l'on

légies cérébrales dans la syphilis n'ont ni cette signification ni ce caractère de gravité. Toutes, en effet, ne dépendent pas d'

environ, ce malade a éprouvé dans les mollets des douleurs atroces, à caractère nocturne. J'ignore quelle est leur signification

pas là assurément le lieu d'élection des douleurs ostéocopes, mais ce caractère nocturne n'en est pas moins très saisissant. En

ien précise, généralisée plutôt à tout le crâne. Elle avait revêtu un caractère si atroce que le malade en avait complètement per

iste, au sein des îlots scléreux, jusqu'à la dernière limite. Autre caractère non moins important à connaître, c'est que la scl

arrêts, même par des rétrocessions possibles. Si je vous rappelle ce caractère de son évolution, c'est parce qu'il va tout à l'h

st complet, en un mot, ou à peu près, le diagnostic est écrit en gros caractères . Mais, comme je le disais déjà en 1877 : « Il n'e

t les grands vertiges. Ce sont là, pour vous le dire en passant, deux caractères déjà signalés par nous depuis très longtemps et q

sses de trépidation spinale. La paralysie faciale droite a tous les caractères de la paralysie périphérique, c'est-à-dire que le

re était plus considérable que la déviation primitive et il fit de ce caractère un signe distinctif du strabisme paralytique et d

lements persistent à peu près aussi fréquents et conservent les mêmes caractères ; toutefois les secousses de toux nerveuse qui le

bien que encore assez irréguliers. La figure 57 présente les mêmes caractères , avec cette différence toutefois, qu'en plusieurs

, elle l'est assez régulièrement depuis cette époque. Elle est d'un caractère violent et emporté. La moindre re* montrance la

fréquence, nous noterons encore et surtout « le rythme et la cadence, caractères propres à nombre de phénomènes hystériques. » (Ch

ra ou alba sur le reste du corps). Maladie de Morvan : historique ; caractère des panaris ; leur mode de succession, nécrose de

mode de succession, nécrose des phalanges, déformations consécutives; caractères de l'anesthésie. Différences avec la syrin-gomyél

— Compression du nerf médian, ne pouvant expliquer ces phénomènes. — Caractères nettement hystériques de la paralysie. — Stigmate

nel. Formes généralisées ou partielles. Leur mode d'apparition, leurs caractères , leurs rapports d'évolution avec la névrose hysté

ant sur tous les filets de la 3e paire ; période de rémission ; leurs caractères , leur retour périodique plus ou moins net. Début

ille de 22 ans, et chez un homme de 46 ans. Analogie de ces deux cas. Caractère du gonflement, où la pression du doigt ne laisse

. — Faciès dans l'ophthalmoplégie externe ou fades d'Hutchinson ; ses caractères , son diagnostic. Caractères cliniques de l'ophtha

légie externe ou fades d'Hutchinson ; ses caractères, son diagnostic. Caractères cliniques de l'ophthalmoplégie externe : intégrit

es. Formes frustes et atypiques. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des troubles de la sensibilité, qui ne sont poi

nel. — Névralgies diabétiques symétriques et unilatérales, douleurs à caractère fulgurant; absence des réflexes rotu-liens. — Un

n l'ataxie vraie. Observation de paraplégie diabétique : Douleurs à caractère fulgurant; démarche de stepper; paralysie double

'hystérie, ou enfin d'une maladie simulée ? Assurément, suivant les caractères des troubles subjectifs énumérés, suivant les ren

de la face du côté opposé ; en effet vous devez être frappés par ce caractère qu'on n'observe guère dans l'hémispasme hystéri

ivantes et qui se manifeste par divers 8 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE caractères formant un ensemble bien difficile ou impossible

liquide céphalorachi- dien, nous possédons depuis quelque temps des caractères objectifs per- mettant de reconnaître avec cert

diagnostic des éléments de premier ordre. Mais je puis dire de ces caractères ce que je disais des troubles ophtalmoscopiques

onstate chez lui la paralysie d'unccorde vocale, paralysie dont les caractères ne peuvent être reproduits par suggestion, on p

A propos d'hémiplégie, qu'il me soit permis de mentionner divers caractères que j'ai découverts et qui peuvent servir à disti

le, en analysant ces troubles, en étudiant attentivement les divers caractères qui leur appartiennent, ainsi que je le ferai d

utive à une altération primitive ou secondaire des nerfs; aucun des caractères qui lui appartiennent, l'abo- lition de l'excit

st pas toujours en mesure de faire, que cette émission présente des caractères que la volonté ne serait pas capable de reprodu

, mes efforts, dans les leçons sui- vantes, pour vous enseigner les caractères précis des phénomènes objec- tifs dont je viens

il sera informé de l'existence de douleurs, de leur siège, de leurs caractères . L'attitude du patient, sa physionomie, certain

de son corps n'est épargnée ; mais si on lui demande d'indiquer les caractères de ses douleurs, il reste dans le vague ; en ou

occupant les deux membres inférieurs ou un seul. Mais elles ont des caractères bien différents de ceux qui appartiennent aux d

rès violentes, extrêmement vives dans la toux et l'éternuement. Ces caractères rendent déjà probable l'existence d'une lésion ra

ns qui lui donnent un cachet d'authenticité. Une céphalée ayant des caractères pareils, mais surtout prononcée le soir, la nui

mes frustes, c'est-à-dire que le réflexe plantaire peut revêtir des caractères en partie pathologiques, en partie physiologiqu

mme présentant une hémiplégie gauche de deux ans de durée, dont les caractères sont semblables à ceux que nous avons relevés c

ons, à tant d'égards si différentes les unes des autres, ayant pour caractère commun de donner naissance toujours ou parfois,

ar l'amplitude du mouvement provoqué, mais encore par divers autres caractères que nous allons décrire. Comparons par exempl

ble de mettre en lumière, les réflexes tendineux possèdent certains caractères de fixité. Si la percussion d'un des points d'é

inique à propos de « l'inversion du réflexe du radius ». Un autre caractère de fixité, dont l'intérêt est encore plus grand,

ine antérieure, nerf moteur ou muscles auxquels aboutit ce nerf). CARACTÈRES PERMETTANT DE RECONNAITRE l'iRRÉFLECTIVITÉ ET L

de notables variations dans plusieurs expériences successives. Ces caractères sont particulièrement nets quand le sujet a les

pathologie du muscle qu'à celle du système nerveux ; l'absence des caractères de la réaction de dégénérescence et l'abolition d

e lésions du système pyramidal siégeant au-dessus de leurs centres. CARACTÈRES PERMETTANT DE DISTINGUER LA SURRErLECTIYITE. -

s sont forts chez les autres ('). Aussi s'agit-il de déterminer les caractères permettant de distinguer d'avec les réflexes te

laires. . Outre l'impression que l'on peut avoir au jugé, il est un caractère géné- ral, un critérium de l'exagération des ré

e correspondant une série de contractions réflexes ryth- mées. Ce caractère , dont l'absence, il est vrai, ne permet pas d'exc

xaminés exclusivement du côté malade offrent déjà, d'ordinaire, les caractères intrinsèques qui constituent le criterium de la s

toïde, réflexe polycinétique, etc.). De plus, abstraction faite des caractères précédents qui peuvent être frustes, la comparais

t reconnaît-on l'exagération des réflexes de défense ? 11 y a trois caractères principaux qui permettent de la distinguer : l'am

ou à peu près normaux ; e) signe des orteils. Voici maintenant les caractères de la paraplégie que nous avons en vue : a) rig

indre en même temps les membres supérieurs, où elle offre les mêmes caractères : rigidité avec mouvements spasmodiques, affaibli

égie et la paralysie hystériques se manifesteraient parfois par des caractères intrin- sèques identiques à ceux de l'hémiplégi

lexes chez l'homme sain, des variétés qu'ils peuvent présenter, des caractères qui permettent de discerner la surréflectivité,

ue l'exagé- ration des réflexes tendineux a été considérée comme un caractère com- mun à la paraplégie organique et à la para

ndel-Bechtereff, etc.), étaient ignorés. On admettait alors que les caractères extrinsèques fournissaient seuls le moyen de di

ent à distinguer ce pseudo-réflexe du réflexe légitime à l'aide des caractères que j'ai indiqués. J'ajoute qu'en pareil cas ce n

il est arrivé à tout médecin d'observer des cas de ce genre. Les caractères dont on se sert pour distinguer l'hémiplégie orga

hystérique peuvent être groupés en deux catégories : d'une part les caractères intrinsèques relatifs aux troubles de motilité qu

troubles de motilité qui occupent un côté du corps, de l'autre les caractères extrinsèques qui se rapportent à la présence ou

terrain sur lequel elle s'est déve- loppée. Ce sont ces derniers caractères auxquels on paraît généralement atta- cher le p

e. Il ne me vient certes pas à l'esprit de refuser toute valeur aux caractères extrinsèques ci-dessus mentionnés, et je reconn

iplégie hystérique. -Des considérations analogues s'appliquent à ce caractère , présence ou absence' de stigmates hystériques,

sir l'insuffisance, au point de vue du diagnostic différentiel, des caractères précédents. Il est quelques autres caractères e

tic différentiel, des caractères précédents. Il est quelques autres caractères extrinsèques qui ont plus de prix; ce sont la f

tablir le diagnostic. De ce qui précède, ressort l'insuffisance des caractères extrinsèques au point de vue du diagnostic diff

s longtemps pénétré de cette idée, je me suis attaché à l'étude des caractères intrinsèques, j'ai cherché à apprécier exactement

é à soutenir actuellement que, dans la grande majorité des cas, les caractères intrinsèques four- nissent des éléments de diff

sent des éléments de différenciation décisifs. C'est à l'exposé des caractères intrinsèques qui me paraissent propres à différen

ais, selon moi, inexactes, et je chercherai à mettre en lumière les caractères qui peuvent permettre de distinguer l'une de l'

sidérer 102 SEMIOLOGIE la perturbation dans ces réflexes comme un caractère différentiel de grande valeur. Dans un travai

ntraction des muscles ou la nature du mouvement ne présente pas les caractères qui appartiennent au réflexe tendineux légitime,

ner de l'esprit l'idée de para- lysie hystérique. Ce serait même un caractère différentiel presque décisif si l'hémiplégie hy

la paralysie des membres présente, comme la paralysie faciale, des caractères distinctifs dans son mode d'évolution. Dans l'hém

s lui aurez imprimée. La paralysie aura transitoirement disparu. Ce caractère , qui fait toujours défaut dans l'hémiplégie orga-

, au point de vue du diagnostic. Vous pourrez encore constater le caractère précédent d'une autre manière. Soutenez avec la

présence de quelques signes spéciaux que par l'absence de certains caractères objectifs qui donnent leur cachet à l'hémi- plé

ique. Si l'on veut se rendre compte des raisons pour lesquelles ces caractères font défaut dans l'hystérie, il faut au préalab

soit tendineux, soit cuta- nés, dont la perturbation constitue les caractères objectifs les plus impor- tants de l'hémiplégie

estion semblent sans influence. Voici, résumés dans un tableau, les caractères relatifs aux troubles de motilité qui distingue

é du corps par une paralysie des membres pouvant présenter tous les caractères qui appartiennent à l'hémiplégie vulgaire, et d

sixième paire ainsi que de la septième paire ; cette dernière a les caractères de la paralysie faciale dite périphérique avec

autre côté du corps. Je viens d'étudier successivement les divers caractères d'ordre moteur qui peuvent servir à distinguer

peut arriver dans la grande majorité des cas, en se fondant sur les caractères intrinsèques, à se former une opinion précise, à

même à quelques heures d'intervalle. Cette variabilité constitue un caractère sur lequel nous aurons à revenir. Ajoutons en

, mais il est parfois difficile de se former une opinion d'après ce caractère qui consiste simplement en une différence de de

ense sont, au contraire, toujours exagérés et c'est peut-être là le caractère le plus essentiel de cette forme de paraplégie. L

ne dénomination qui consiste à éveiller dans l'esprit l'idée d'un des caractères princi- paux de l'objet qu'elle désigne. ta4

au contraire être obtenues à l'état physiolo- gique ? y a-t-il des caractères permettant d'affirmer la nature patholo- gique

ouvements n'ont pas toujours la lenteur ci-dessus décrite. Un autre caractère plus important et conduisant à distinguer l'état

olontaires et diffèrent d'habitude des réac- tions réflexes par les caractères du mouvement, ainsi que par ce fait que la cont

ue la conviction qu'il entraine ne peut que se fortifier lorsque ce caractère s'associe au précédent, à la lenteur de la cont

ologisches Centralisait, décrit un phénomène réflexe dont voici les caractères : lorsqu'on presse énergiquement, entre le pouc

x » de Philipson. » Nous sommes maintenant en mesure d'indiquer les caractères em- pruntés à l'état des réflexes de défense et

ection de la moelle est soit incomplète, soit complète. Voici les caractères qui dénoteraient une section incomplète : .' a)

x formes de paraplégie, celle en extension et celle en flexion, des caractères cliniques distinctifs, au milieu desquels les r

ou à peu près normaux; e) signe des orteils. « Voici maintenant les caractères de la paraplégie que nous avons en vue : a) rig

mbres supérieurs, où elle offre les RÉFLEXES DE DÉFENSE 14g mômes caractères : rigidité avec mouvements spasmodiques, affai-

'on pourrait appeler inter- médiaires où l'on trouve les principaux caractères de la contracture cutanéo-réflexe (motricité vo

n extension et de la paraplégie en flexion. Mettons en regard les caractères symptomatiques tracés par moi de ces deux types

une affection organique. Aussi serait-il précieux de posséder des caractères intrinsèques pouvant servir à différencier ces

que dans la zone limitrophe possède, au moins dans certains cas, un caractère qui fait défaut dans les anesthésies psychiques

ons volontaires. Mais notre intention n'est pas de rappeler ici les caractères propres aux réflexes de défense, et qui permetten

e manière aussi complète que dans l'observation I, quelques-uns des caractères essentiels dont nous nous occupons y ont été nett

e détermine des grimaces et une inspira- tion bruyante. (Ce dernier caractère était très net dans nos observations I et III,

e valeur décisive, c'est qu'il se présente chez tous avec les mêmes caractères et qu'il se produit sous le même aspect à chaque

ner lieu à une dilatation permanente de la pupille ; de plus, et ce caractère a encore plus d'importance, le réflexe à la lum

e il n'existe chez elle aucune mani- festation fonctionnelle, aucun caractère objectif d'affection organique du système nerve

ns. Il a le signe de Robertson et on ne trouve chez lui aucun autre caractère objectif de maladie organique du système nerveu

ion dans les fonctions cérébelleuses, et c'est en me fondant sur ce caractère que j'ai porté pen- dant la vie le diagnostic,

du corps à la pro- pulsion du pied. " Je relève ensuite cet autre caractère noté pendant l'examen pratiqué dans la station

ont démesurés ; mais ils présentent dans leur succes- sion un autre caractère anormal, l'asynergie, sur lequel nous reviendrons

lors les rapports de ces troubles entre eux. Pour bien constater le caractère démesuré des mouvements il faut demander au cér

pas sur eux. C'est là pour les mouvements démesurés cérébelleux un caractère différentiel capital. Un autre caractère, non m

démesurés cérébelleux un caractère différentiel capital. Un autre caractère , non moins important, complète la définition de c

n sans mesure conviendrait mieux. Une fois fixé sur la valeur de ce caractère constituant un véritable symptôme, nous nous so

à l'origine de ce trouble de par ses modalités propres, de par ses caractères intrinsèques. Faisons asseoir côte à côte un ta

et cherchant à faire le même mouvement, le reproduit avec les mêmes caractères . Répétant un mouvement rapide, il l'exécute ave

té non-paralytique, mais le lecteur n'est nullement éclairé sur ses caractères . Il faut convenir qu'il n'est pas toujours faci

sera aisément établi, en prenant exclusivement en considération les caractères intrinsèques des phénomènes. Nous n'avons pas

viation dans le sens du nystagmus provoqué. Ce phénomène a donc les caractères d'une contre- réaction. Enfin la déviation angu

les dont les nerfs sont dégénérés. Mais si l'on consi- dère que les caractères de réaction de dégénérescence peuvent apparaître

n faite de cette singularité, l'hémiplégie faciale présente ici les caractères de la paralysie faciale dite périphérique, dépend

de la secousse faradique et fusion anticipée des secousses sont des caractères connexes. Dans les troubles de motilité d'ordre

la régulation vaso- motrice et thermique locale. C'est là un de ces caractères qui établissent une distinction nette, admise a

lysies et contractures, les unes, qui ne s'accompagnent d'aucun des caractères en question, sont d'ordre psychopathique, hysté

culaire moins profonde que l'inexci- tabilité totale. C'est donc un caractère qui, selon toute vraisemblance, présente une ce

on constate de l'oedème de la papille des deux côtés. Tels sont les caractères objectifs qui furent notés. La malade succomb

un peu moins violente que par le passé, présente toujours les mêmes caractères au point de vue de son siège ; elle est exclusi

lité générale. La parole, sauf qu'elle est lente, ne présente aucun caractère anormal. Les réflexes rotuliens sont faibles, s

: d'une part, il a été pos- sible de reconnaître, grâce à certains caractères intrinsèques, que la paralysie était due à une

s ce cas le spasme musculaire. Si maintenant on considère que les caractères cliniques du spasme du cou chez le malade que j

re inférieur gauche. Les mouvements spasmodiques du cou avaient des caractères identiques à ceux que l'on observe dans les cas o

iverses parties du corps, en particulier un spasme du cou ayant les caractères du torticolis que M. Brissaud appelle « mental

l était alors atteint d'un torticolis spasmodique, - ayant tous les caractères du torticolis dit mental, qui s'est notable- me

de l'état émotif du sujet et ils disparaissent dans le sommeil. Ces caractères se rapprochent étroitement de ceux que présenta

présentons est atteint, d'une part, d'un torticolis ayant tous les caractères cliniques du torticolis dit mental, d'autre par

e c'est à cette même lésion que se rattache le torticolis, dont les caractères se rapprochent beaucoup de ceux qui appartiennent

qui, progressivement, se complète et finit par se traduire par les caractères suivants : aspect figé, raideur musculaire, lente

sujet, incapable de parler, est en mesure d'écrire. Ce sont là des caractères que Charcot assignait au mutisme hys- térique.

au point de vue mental tout à fait normal. Ajoutons à cela que les caractères de ce mutisme sont, comme nous l'avons dit préc

e parkinsonien, et il est atteint de troubles de la parole dont les caractères sont, pour la plupart, bien différents de ceux

présente sous forme d'accès se produisant fréquemment et ayant les caractères communs suivants : au moment de la respiration

ires qui ont empiré, il s'endort à chaque instant. En même temps le caractère aurait changé : lui qui, auparavant, était appliq

selon moi, ce n'est pas là le trait essentiel de la catalepsie. Le caractère fondamental de cet état, c'est la propriété que p

. Cette lésion présente, dans une grande partie de son étendue, des caractères nettement destructifs : aspect lacunaire nécrotiq

ante; les mouvements du membre inférieur droit présentent aussi ces caractères , mais d'une manière bien moins prononcée. Lorsq

dans la pièce chaude. A ce moment, le réflexe se présente avec des caractères diffé- rents à droite et à gauche. A droite (là

irement exagérée et, dans les affec- tions bilatérales, c'est là le caractère le plus saillant. Le degré de cette résistance

tubes à myéline, donnent à la sclérose systématique secondaire des caractères distinctifs. S" Par la persistance possible d

a sclérose tabétique se rapproche davantage, au point de vue de ses caractères histologiques, de la sclérose en plaques que de

plégie spasmodique, qui se distingue par son aspect clinique et ses caractères anatomiques. Voici d'abord l'exposé des faits q

dineux et le réflexe cutané plantaire présentent toujours les mêmes caractères et on ne peut pas provoquer d'épilepsie spinale

urine. Pas de troubles rectaux. Trem- blement de la tête, ayant les caractères du tremblement dit sénile. Pas de troubles sens

ifférence, dont la raison, d'ailleurs, nous échappe entièrement, un caractère dis- tinctif absolu ('). » Ces remarques sont

il est ici question. Il est difficile de ne pas être frappé par ce caractère anatomique com- mun à mes trois observations, à

ui le constituent Q. A l'appui de cette idée, j'ajouterai que les caractères de cette forme de paraplégie avaient été poussé

es de produire des para- lysies avec contracture intense ayant pour caractère particulier de n'être accompagnée d'aucune pert

menté, l'hémiparésie est plus marquée, tout en conservant les mêmes caractères qu'auparavant ; les réflexes en particulier sont

rminer la valeur des signes classiques et trouver, si possible, des caractères distinctifs nou- veaux. (1) L'examen histolog

tumeur cérébrale. J'avais fondé en partie mon diagnostic sur les caractères de l'hémiplé- gie. On sait, en effet, qu'une lé

comme les paralysies et les contractures hystériques ont aussi pour caractère de laisser les réflexes intacts, il y avait encor

toujours été normal. Je n'ose- rais pas affirmer que ce soit là un caractère distinctif d'avec le tabès dor- sal spasmodique

mment. L'exagération de ces réflexes cutanés constitue peut-être le caractère qui différencie le mieux les deux formes de par

ent être abolis. Les réflexes que j'envisage sont ceux qui ont pour caractère de pouvoir être indistinctement produits par des

thmées que nous décrivons dans cette observation. Ce rythme a les caractères suivants : i" Crises sympathiques de 6 à 7 heur

n dehors de tout signe clinique et biologi- que de tabes ; 2° Les caractères distinctifs qu'on a coutume d'invoquer pour oppos

e que l'arthropathie de ce ma- lade, qui pourtant présente tous les caractères appartenant aux lésions articulaires de l'ataxi

, bilatérale et symétrique. La névrite observée dans ce cas a les caractères de celte forme spéciale de névrite optique que

aire infec- tieuse, parce que les troubles oculaires présentent les caractères cliniques appartenant à cette névrite. Parina

algré des analogies pouvant induire en erreur, se distingue par des caractères cliniques bien tranchés du tabes, ainsi que du

lade dans les membres et le tronc ; elles varient d'intensité et de caractère suivant les moments; tantôt il s'agit de simples

ux parois altérées forte- ment épaisses : toutes ces lésions ont le caractère des lésions syphilitiques. C'est du reste à l'i

e reste du territoire atteint, l'anesthésie présente d'habitude les caractères qui paraissent appartenir plus particu- lièreme

re exclu. A l'appui de cette opinion il fit valoir encore cet autre caractère , à savoir qu'en introduisant le trocart dans la m

tête. Étant donné les troubles observés chez cette malade, leurs caractères , leur mode d'évolution, le diagnostic de compre

e en mesure de faire, seule, quelques pas ; sa démarche n'a plus le caractère spasmo- dique, elle est très légèrement incoord

épithéliale avec nombreux corpus- cules calcaires (psammome). Aucun caractère de malignité. Une partie de la tumeur a subi un

été assez sou- vent signalés. Cette hypothèse s'appuyait sur les caractères de la paraplégie joints aux troubles de la sens

les troubles de la sensibilité pré- sentaient à peu près les mêmes caractères et atteignaient approximative- ment le même niv

tre diagnostic a été confirmé à l'opéra- tion. Possédons-nous là un caractère permettant de diagnostiquer des tumeurs intra-d

mbre 1925 on note, de ce côté, une contracture très forte ayant les caractères d'une contracture en flexion et liée manifestem

3. Nous vous proposons d'attirer l'attention sur quelques-uns des caractères par lesquels se manifestent les compressions de l

permet de comprendre cette fluctuation de l'anesthésie. Un autre caractère qui donne sa marque à cette anesthésie, c'est que

ne tumeur juxta-médullaire nous tenons à attirer l'attention sur un caractère qui pourrait peut-être faciliter la distinction :

ot sur la scoliose sciatique. J'en ai relaté cinq observations ; le caractère essentiel de la déformation décrite consiste en

volontairement. Analysons de plus près ce spasme et étudions-en les caractères intrinsèques, sans nous occuper, pour commencer

stinguer les tics des spasmes, que l'hémispasme facial présente des caractères cli- niques qui lui sont spéciaux, qui sont étr

uire. Or, parmi les signes que j'ai passés en revue se trouvent les caractères en question : ce sont l'unilatéralité des mouve

t, la réalité de ce phénomène a été nettement reconnue. Outre ces caractères déjà connus, j'en ai noté d'autres, comme on a pu

Ainsi donc mon malade est bien atteint d'un hémispasme ayant des caractères permettant d'affirmer qu'il n'est pas sous la dép

urologistes ne se sont guère attachés à analyser avec précision les caractères du spasme facial et il est bien possible que le

tion nouvelle sera éta- blie que l'hémispasme facial marqué par les caractères intrinsèques que j'ai énumérés et analysés ne p

dans son histoire clini- que, nous nous contenterons d'énumérer les caractères que nous consi- dérons comme essentiels. Homm

ssable équivaudrait à dire que l'hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres affections nerveuses et qu'il y a lieu d

nières conditions seront remplies si l'on arrive à déter- miner des caractères faciles à observer, communs à toutes les manifest

n en droit, comme certains auteurs l'ont pensé, de se servir de ces caractères pour définir l'hystérie ? Tel n'est pas mon avi

lectuelles. Il faut donc poursuivre l'examen et rechercher d'autres caractères , à la fois communs à toutes les manifestations

ous l'influence exclu- sive de la persuasion me paraissent être des caractères de ce genre. Mais avant de chercher à le prouve

en 8gi dans la Gazette hebdomadaire. DÉFINITION DE L'HYSTÉRIE G6 caractères des accidents primitifs, sont liés d'une façon tr

uand la fonction musculaire est redevenue nor- male. Ce sont là les caractères dont la réunion peut servir à définir les troub

qu'il y a simplement lieu de rechercher s'ils possèdent ou non les caractères de la définition proposée; c'est tout bonnement u

moins dans un cas, par persuasion, et que l'on démontre qu'il a des caractères cliniques spéciaux, distinctifs ; on sera ensui

t, légitime et même utile de faire avec les troubles présentant les caractères sur lesquels je viens (') Voir : Contracture or

de troubles pithiatiques('), qui exprimerait au moins l'un de leurs caractères distinctifs et dissiperait tout malentendu ; il s

s, soit d'une continence excessive. Ils avaient cherché à mettre ce caractère en évidence en appelant « Hystérie » de j7 ? e

ment quand on a cru découvrir un objet se dis- tinguant par quelque caractère des objets déjà connus que l'on songe à le dési

stigmates, auxquels on attache une grande importance, auraient pour caractère , outre leur fixité, de se développer d'habitude à

e, lorsqu'on a constaté chez un malade un trouble présentant un des caractères attribués aux manifestations hystériques transi

si suscep- tibles de se localiser sur les nerfs et de présenter les caractères des para- lysies périphériques, par exemple ceu

e importance fondamentale. La fixité en constituerait l'un des deux caractères essentiels. Eh bien, je me crois en droit de m'in

s se développeraient à l'insu du malade et ce serait là leur second caractère cardinal. Je suis d'avis que ces phénomènes sont

pelées transitoires ; je cher- cherai à vous prouver que, parmi les caractères énoncés plus haut et devant servir à définir l'

atoires graves chez les sujets atteints de lésions vasculaires : ce caractère n'est donc pas distinc- tif de l'hystérie et ne

tions mentales. On n'a pas là les éléments d'une définition, car le caractère précédent ne s'applique pas à toutes les manife

ologique. » En admettant même, ce qui pourrait se discuter, que ces caractères appartiennent bien à l'hystérie, il est évident

l'ai dit plusieurs fois : il n'y a qu'à déterminer et à énoncer les caractères qui lui appartiennent en propre. Pour y arriver

le monde, sont étrangers à l'hystérie, et faire ainsi ressortir les caractères distinctifs de cette névrose. Ce rapprochemen

e d'appeler encore hystériques des troubles qui, sans présenter les caractères des accidents primitifs, seraient liés d'une faço

ychothérapie. Vous ne pou- vez donc, me dit-on, considérer comme un caractère spécifique des troubles hystériques la possibil

ra d'accord avec moi pour déclarer que cette propriété constitue un caractère qui distingue la syphi- lis cérébrale des autre

conséquent, la curabilité par persua- sion n'en constituait pas un caractère distinctif. J'ai déjà répondu plus haut à cette

l'hystérie ? Assurément non, car elles ne possèdent pas toutes les caractères distinc- tifs des manifestations hystériques ('

développe souvent des paralysies oculaires ayant préci- sément pour caractère de disparaître avec rapidité ; et, d'autre part,

as hystérique; on ne constate jamais, dans les cas de ce genre, les caractères qui appartiennent aux manifesta- tions primitiv

ou borné, très désireux de guérir ou indifférent à cet égard, d'un caractère gai ou porté à la mélancolie, ses réactions ser

ire trait pour trait le facies de l'hémiplégie organique et que les caractères extrinsèques, tels que l'âge du sujet, la présenc

ullement la nature. Contrairement à ce qu'on pensait autrefois, les caractères intrinsèques de l'hémiplégie peuvent seuls cond

tes les fois qu'on se trouve en présence d'un phéno- mène ayant les caractères des manifestations pithiatiques ; elle ne peut t

usion ancienne. a) Il y a donc un groupe de phénomènes qui ont pour caractère de pou- voir être reproduits par suggestion. Ma

re crise, immédiate- ment consécutive à une émotion, a présenté les caractères d'un phéno- mène spontané. Je répondrai à cela

ion, je réserverai l'épithète d' « émotifs ». Il y a, en effet, des caractères qui distinguent nettement ces deux espèces de man

e d'appeler encore hystériques des troubles qui, sans présenter les caractères des accidents primitifs, seraient liés d'une faço

ues, émotifs et réflexes, se distinguant les uns des autres par des caractères différentiels et qui ne sont réunis par aucun lie

l'erreur d'attribuer à l'hystérie des états se manifestant par des caractères que la volonté est incapable de faire naître et

rs- qu'il aura affaire à un sujet présentant des troubles ayant les caractères qui appartiennent à ce genre de phénomènes. Il

pas à en pénétrer la nature. Procédons en cliniciens : énonçons les caractères assignés à l'état ou aux états que l'on dénomme

pée articulée. Charcot estimait qu'il est impossible de simuler ces caractères . La volonté lui paraissait impuissante à reprod

ient de faire le départ de la vraie catalepsie et de la fausse. Ces caractères somatiques propres au grand hypnotisme avaient

en d'une contraction volontaire de ses muscles. Quant aux prétendus caractères spécifiques des tracés obtenus dans la Cataleps

ont été identiques* Les états hypnotiques ne possèdent donc pas de caractères somatiques objectifs que la volonté soit impuis

plus de vingt ans un certain nombre des sujets qui présentaient les caractères les plus parfaits de l'hypnotisme, et qu'ayant

nt par point. 5m HYST £ RIE-PITHlJ1TfSME Rappelons les principaux caractères attribués à l'hypnotisme : a) L'hypnotisation p

s (peu importe le nom qu'on leur donne pourvu qu'on sache par quels caractères cliniques ils se dis- tinguent). Il ne me paraî

nnue dans l'histoire de l'hystéro-épilepsie et célèbre en raison du caractère « démoniaque » que présentaient ses crises convul

sont liés aux lésions des centres ou des troncs nerveux. Aucun des caractères signalés dans l'observation ne permet d'écar- t

ant, à un examen attentil, la contracture se présente avec tous les caractères d'une contracture d'ordre psychique ; on parvie

ue sous-cutané, réflexe cutané plan- taire et extension. Les autres caractères de la crise comitiale : cri initial, chute brus

grands mouvements, gesticulations, arc de cercle, et par cet autre caractère qui est décisif : la possibilité de les reproduir

ralysies radiales. L'astasie-abasie, simple ou trépidante, avec les caractères classiques, ou d'autres formes de paralysies sy

apportées autrefois à l'appui de cette conception n'avait réuni les caractères d'authenticité désirables. Que nous apprend à c

hérique nerveuse que d'autres tout à fait illo- giques. Un de leurs caractères est de disparaître pendant le sommeil, tandis q

accidents se distinguent des manifestations hystériques par divers caractères sémiologiques qui, il est vrai, ne sont pas toujo

vent ne se cicatriser qu'avec une extrême lenteur et offrir même le caractère ulcéreux. Il ajoute enfin que toutes les lésion

ralysies réflexes, nous insistions à nouveau sur l'importance de ce caractère fon- damentale et nous écrivions (') : «Nous de

ineux du membre malade. Nous étions ainsi en possession, sinon d'un caractère nouveau, tout au moins d'un moyen permettant de

douteuse à l'état de veille. Chez quelques-uns de ces malades le caractère que nous venons d'indi- quer faisait défaut, ma

iques ou réflexes » post-traumatiques, se présentant avec les mêmes caractères ; de Léri et Roger ; de Ducosté sur les contrac

rses catégories de paralysies et de contractures, ayant toutes pour caractères communs d'être d'origine trau- matique, de ne p

es que nous avons mis en évidence (observations pendant la narcose, caractères des troubles vaso-moteurs) apportent des argu-

16, à la suite du rapport présenté par l'un de nous et consacré aux caractères des troubles moteurs dits fonctionnels. Les (')

un segment du membre, notamment à son extrémité; il diffère par ces caractères de la paralysie ('-) ou de la contracture pithiat

entrainer une impotence complète ou (') Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs (paralysies et contractures)

QUE DES MUSCLES. LENTEUR DE LA secousse musculaire. Un des premiers caractères qui nous a frappés au cours de nos investigatio

res liées à des lésions du système ner- veux se distinguent par des caractères objectifs qui leur appartiennent en propre ; c'

ectifs qui leur appartiennent en propre ; c'est encore, grâce à des caractères objectifs, dont les mani- festations hystérique

ordinairement plus vifs du côté malade que du côté sain. Ce dernier caractère implique une irritation centrale et il y a tout

e ces contractures ou hypertonies réflexes, on comprend mieux leurs caractères sémiologiques. En résumé, la pathogénie «réflex

icale de la VIIe région, juin 1917. (3) Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs (paralysies et contractures)

vestibulaire est généralement manifeste. 11 n'est pas rare que les caractères objectifs du vertige voltaïque changent immé- d

utres cas, il s'agissait de paraplégies présentant les prin- cipaux caractères de la paraplégie en flexion (motricité volontaire

la première fois, une para- plégie complète accompagnée des divers caractères de la paraplégie spasmodique, type extension-fl

poque apparaissent des douleurs en ceinture au-dessus de l'ombilic, à caractère lan- cinant, parfois très violentes ; elles son

ité ; plusieurs muscles, le deltoïde en particulier, présentent les caractères de la D. R. partielle (la feuille sur laquelle on

e nous inaugurons aujourd'hui est des-tiné à vous faire connaître les caractères généraux qui dis-tinguent la pathologie des vieil

même les retardataires et les timides, et dé-cidé la situation. Le caractère de cette révolution consiste essentiellement dans

ses propres forces et fondée sur l'observa-tion pure? Quel a été son caractère , jusqu'où peut-elle pré- tendre, où s'arrête so

ps humain éprouve des changements, et les maladies en emprun-tent les caractères . C'est sur ce fondement qu'est établie la doctrin

reuve de la critique moderne, n'ait survécu, dépouil-lée toutefois du caractère intentionnel que lui prêtaient les anciens. Vou

ut les aper-cevoir; — de fournir de nouveaux moyens de diagostic, des caractères nosographiques nouveaux ; — son rôle ne se borne

+ * * PREMIÈRE PARTIE Maladies des vieillards. PREMIÈRE LEÇON Caractères généraux de la pathologie sénile. Sommaire. — B

ui, je me propose d'appeler plus spécialement votre attention sur les caractères les plus géné-raux des maladies qui surviennent à

que par une longue expérience et une connaissance approfondie de ses caractères particuliers. Et cependant, messieurs, cette part

c'est-à-dire que les éléments subissent des modifications dans leurs caractères chimiques, et deviennent le siège d'infiltrations

la vie, il en est plusieurs qui, pendant l'âge sénile, présentent un caractère spécial; tel est, par exemple, la pneu-monie loba

urnes bien marquées, pendant un certain nombre de jours, constitue un caractère clinique important de la pneumonie lobaire, surto

éruptives et le typhus exanthématique, par exemple), qui partagent ce caractère . Nous ne le retrouvons guère que dans l'érysipèle

outte avant celle du rhumatisme chronique. — Diathèse goutteuse : ses caractères généraux. — Goutte régulière, irrégu-lière : gout

eurs, Nous venons d'étudier, dans les deux séances précédentes, les caractères généraux que présentent les maladies dans l'âge s

laissé la description d'une maladie dans laquelle nous retrouvons les caractères tantôt de la goutte, tantôt du rhumatisme; et la

encore sur tant d'autres points de là mêdecine.Un mot d'abord sur les caractères généraux de la diathèse que nous allons étudier.

ce d'un excès d'acide urique dans le sang constitue un des principaux caractères de la maladie. 11 est incontestable que la plupar

é plus considérable de ce produit. Dans l'intervalle des accès, ces caractères persistent; sou-vent on observe de l'albuminurie,

articula-tions malades : nous y verrons la goutte se montrer avec des caractères anatomiqnes constants et vraiment caractéristique

; par transparence on peut voir les dépôts sous-jacents. Ces divers caractères permettent de distinguer les tophus des déformati

tteuse; on pourrait l'ap-peler la gravelle du rein. Elle présente les caractères de la néphrite chronique interstitielle ; mais el

dromes. — Invasion des douleurs articulaires. — Symptômes généraux. — Caractères principaux de la goutte aiguë. —Phénomènes conséc

era troublé qu'à la crise prochaine. Nous voyons, en somme, que les caractères les plus sail-lants de la goutte aiguë sont les s

de la goutte aiguë sont les suivants : Io L'invasion brusque, et le caractère spécial de la douleur. Un Français cité par Watso

les suivre pas à pas dans leurs retours agressifs et de signaler les caractères que présentent les accès nouveaux. Retour des a

célérer la marche, et provoquer brusquement des retours inattendus. Caractères des nouveaux accès. — Pendant longtemps il ne se

ant, à mesure que la maladie progresse, elle change insensiblement de caractère , et présente une tendance de plus en plus marquée

goutte aiguë, peut aussi se montrer d'emblée, et présente alors des caractères un peu différents. A. Quand elle succède à la g

ait déjà couvert de tophus. Nous allons maintenant nous occuper des caractères clini*- ques de ces concrétions, que nous conna

dans les auteurs ; et pour conserver à cet ordre de faits morbides un caractère homogène, on ne doit y faire rentrer que les affe

de soude sans offrir de dépôts cristallins. Ces affections offrent un caractère essentiellement mobile : elles paraissent et disp

sont probablement les organes où se forme l'acide urique. Mais les caractères anatomiques de cette affection viscérale, si elle

les diver-ses formes du rhumalisme articulaire chronique. C'est là un caractère distinetif qu'il n'est pas sans intérêt de faire

a goutte chronique; il s'agit d'une néphrite albumineuse, offrant des caractères anatomiques qui ne lais-sent subsister aucun dout

Scudamore en a parlé, et Todd s'est attaché à en faire res-sortir les caractères (1); et l'on doit y rattacher un grand nombre de

tique et du tri-facial, pendant le cours de la goutte. Elles ont pour caractère de paraître brusquement et de s'évanouir de même,

affections. Les pblegmasies, d'après Prout (1), prennent sou-vent un caractère adynamique chez les goutteux, surtout lorsqu'ils

ès grave chez les sujets atteints de goutte. Elle prend volontiers le caractère scorbutique (2). Ces accidents, propres aux. go

insi qu'on pouvait le supposer ci priori, offre chez les goutteux des caractères spé-ciaux. Ainsi le plomb, administré à dose médi

lé l'existence. Diminution actuelle de la goutte. — Permanence de ses caractères . — Modifications survenues dans nos habi-tudes hy

général de l'individu, il est indispensable, pour bien en saisir les caractères , d'é-tudier l'ensemble des conditions climatériqu

extrême de la goutte à cette époque, et l'immutabilité des principaux caractères sympto-matiques de cette affection. Du ine au v

n évolution symptomatique, comme vous allez le voir. Permanence des caractères de la goutte. Il suffit de comparer les descrip

in que les médecins grecs et romains, qui ont décrit si nettement les caractères de la goutte, ont à peine indiqué l'existence du

empérament, constitution. — On s'est souvent attaché à rassembler les caractères d'une constitution spéciale qui prédisposerait à

e. Aussi pour obtenir un meilleur rendement (vous reconnaissez ici le caractère pratique des Anglais), on accord*1 à ces hommes u

et destiné à des consommateurs plus délicats, mais qui participe aux caractères généraux que nous venons de décrire. On réunit

'Hcberden : elles ne doi-vent point être confondues avec la goutte. Caractères anatomiques du rhumatisme articulaire chronique.

on. — Indication des premiers travaux qui se rapportent à ce sujet. Caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale chronique

hme et la mi-graine. III. Nous allons maintenant nous occuper des caractères anato-miques du rhumatisme chronique. Lorsque n

rouvons, pour nous guider dans l'étude du rhumatisme chronique, aucun caractère d'une portée aussi générale ; et bien qu'il soit

diverses formes qu'elle peut revêtir se distinguent surtout par leurs caractères cliniques, et présentent, sous le rapport des alt

Virchow's Archiv. Janvier 1858, p. 74. A. — Indication sommaire des caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale chronique

ale. — Analogie de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique. Caractères qui distinguent l'arthrite déformante des autres

hie goutteuse. Les altérations du rhumatisme chronique n'ont pas un caractère spéci-fique. — Elles peuvent résulter de plusieur

dite, péricardite) sont moins fréquemment ob-servées. Tels sont les caractères fondamentaux du rhumatisme arti-culaire subaigu.

s, et ce qu'on rencontre dans l'immense majorité des cas, ce sont les caractères de l'arthrite avec exsudation séro-fibrineuse; la

AFFECTIONS INDÉPENDANTES DU RHUMATISME. Un mot maintenant sur les caractères qui distinguent l'ar-thrite déformante des autres

venons d'énumérer. L'infiltration uratique du cartilage est donc le caractère fon-damental de la goutte articulaire ; en outre,

votre esprit. Les altérations que nous venons de décrire ont-elles un caractère spécifique ? 1. Gharcot et Gornil. — Contributi

rir sans se compli-quer de suppuration, qui constituent à nos yeux le caractère anatomique de cette maladie. Mais on est amené

t. vu. Malad. des Vieillards. i3 une cause lente qui détermine le caractère de l'affection lo-cale? Rappelez-vous ce qui se p

ulaire aigu, dans laquelle nous aurons soin de n'insister que sur des caractères fondamentaux. I. — Description du rhumatisme ar

comme nous l'avons déjà dit, dont nous étudierons tout à l'heure les caractères . Pour le moment, nous allons nous occuper de la f

l'une des données fondamentales du rhumatisme articulaire aigu; et ce caractère contribue en grande partie à nous faire envi-sage

savez, l'hérédité joue un rôle manifeste. Tels sont, messieurs, les caractères les plus généraux de la fièvre rhumatismale. Mais

. A. — Des arthropathies dans le rhumatisme articulaire aigu. Les caractères de ces lésions locales vous sont déjà con-nus; je

début. Pour ce qui concerne le mode d'envahissement, il existe des caractères qui distinguent très nettement le rhumatisme de l

. Louis (2), ne dépasse pas 90 à 400 pulsations par minute, offre des caractères spéciaux qui ne se rencontrent pas au même degré

e se rattache à la présence d'un excès d'acide lactique. Un dernier caractère de l'état général dans le rhumatisme articulaire

ment élevé que dans la goutte généralisée. Le pouls n'offre plus le caractère spécial que nous lui avions trouvé dans le rhumat

ë. 2° Le rhumatisme articulaire subaigu se présente encore avec les caractères de l'état aigu : seulement le mouvement fébrile e

le rhumatisme articulaire aigu, le sang ne pos-sède-t-il pas quelques caractères spéciaux qui lui appartien-nent en propre ? Ne re

s cherché à le dé-montrer par l'étude des lésions articulaires et des caractères généraux de la maladie : nous allons en trouver u

s lésions viscérales du rhumatisme aigu se retrouvent, avec les mêmes caractères , dans les formes chroniques de la maladie. Pend

séro-fibrineux qui, dans quelques cas exceptionnels, peut revêtir le caractère hémorrhagique ou purulent. Nous indiquerons plu

signalé la sécrétion d'une lymphe plastique comme l'un des principaux caractères de la maladie ; on sait aussi que dans ses études

humatisme articulaire chro- nique; ces affections offrent les mômes caractères que dans le rhumatisme aigu. Elles se développent

uelque sorte de l'état aigu. Au reste, ces maladies ont en général un caractère moins sérieux lorsqu'elles se dévelop-pent dans l

lieu. Le mode d'envahissement du rhumatisme noueux offre aussi des caractères particuliers, ha symétrie est ici la règle, ainsi

e, la main est dans une pronalion plus ou moins exagérée. C'est là un caractère qui leur est commun ; ils diffèrent sous beaucoup

Ce type peut offrir deux variétés. Dans la première, la plu-part des caractères que nous avons décrits sont conservés ; Fig. 18

uer une sorte d'enroulement. Dans la seconde, on retrouve les mêmes caractères , mais il y a en outre extension des phalangines s

gnent en général ces sortes de déformations chez les goutteux, est un caractère vraiment spécifique. Chez les rhumatisants, on vo

sme chronique d'emblée, mais dont la marche présente quelques-uns des caractères de l'état aigu. Après un certain temps, il se d

reçues. — Ne diffère pas essentiellement du rhumatisme noueux. — Ses caractères particuliers. — Petit nombre des jointures affect

umatisme chronique partiel se montrent très fréquemment avec tous ces caractères , à un degré bien inférieur, sans doute, mais par-

. Je ne puis toute-fois me dispenser de vous faire connaître ceux des caractères de cette affection qui, au point de vue où nous s

an-tôt le rhumatisme dégénère en tumeur blanche ; tantôt il prend les caractères de l'arthrite déformante. C'est là ce qui arrive

les genoux, qui étaient ankylosés à angle droit, et présentaient les caractères classiques de l'arthrite sèche. Quelle que soit

n reconnaît vo-lontiers qu'il diffère de la goutte vraie par certains caractères ; mais en présence des nodosités d'Heberden, le d

nre. L'indolence ou l'indifférence la plus absolue forment le fond du caractère de nos vieillards, même dans les meilleures con

a-reille circonstance, jusqu'à cette torsion du cou qui constitue des caractères habituels de l'apoplexie déterminée par l'hé-morr

nt se rencontrer égale-ment dans la plupart des maladies qui ont pour caractère de susciter l'état fébrile. On peut d'ailleurs ob

t l'âge, la tempéra-ture, même lorsqu'il s'agit d'une maladie dont le caractère est de produire habituellement une fièvre intense

avis, cette faiblesse relative de la réaction thermique n'est pas un caractère de l'âge sénile. Je vous présente deux courbes

emps, d'une manière plus ou moins permanente, à un taux élevé, ont un caractère commun presque constant, .C'est qu'en pareil cas

a thermométrie dans la clinique des vieillards (Suite). Sommaire. — Caractères thermiques des maladies fébriles dites typiques c

uivant que le type fébrile est continu, rémittent ou inter-mittent. Caractères thermiques des maladies fébriles dites typiques c

is-tinguées des fièvres intermittentes palustres à l'aide de certains caractères , et, vu leur fréquence, elles me paraissent assez

mpérature centrale s'était élevée à 40°, 9. Nous retrouvons ce même caractère dans les lésions graves non traumatiques de l'enc

ns à cette règle. • Ainsi que je l'ai fait pressentir, il existe un caractère ther-mique à l'aide duquel l'apoplexie avec ou sa

tème ner-veux ; — dans l'attaque apoplectique, etc. Collapsus : ses caractères en général. — Défervescence de la pneumonie lobai

n de Williams, une nécrémie, ou mort du sang. Quoique conservant leur caractère physique les globules ainsi altérés auraient perd

ptiques dans le sang, vous ne vous étonnerez pas de retrouver ce même caractère dans cer-taines affections organiques ou fonction

ulons l'étudier avec vous, et chercher à en déterminer les principaux caractères . Supposons qu'il s'agisse, par exemple, de lapn

et moyens du poumon droit, dans toute leur étendue, présentaient les caractères les plus accusés de l'hépafisation granuleuse rou

altération appréciable. Cette variété decollapsus constitue un des caractères de la forme sidérante de la plupart des maladies

la variole des vieillards, qui re-vêt fréquemment, comme on sait, le caractère hémorragique. Dans ces cas, à l'époque même où le

llons les passer successivement en revue et chercher à indiquer leurs caractères les plus sail-lants. 1. Landré-Beauvais. — Doit

mie : Amélioration. — Réapparition des rétractions mus- culaires. — Caractères des déformations. — Absence presque complète de d

ux, que nous allons essayer de dépeindre. Extrémités supérieures. — Caractère commun aux deux types : la main est en pronation

ation en masse des phalanges, vers le bord cubital de la main, est un caractère constant qui se montre un des premiers (voy. Cruv

y. Pl. IV, figl. et 2). Variétés du premier type. 1° La plupart des caractères du type sont conservés ; seulement la plialangïne

e à cons-tituer une sorte d'enroulement (voy. Pl. l\,fîg. 3) 2° Mêmes caractères , mais il y a extension des plialangines sur les p

D'ailleurs, les douleurs qui accompagnent la rétraction n'ont pas le caractère des douleurs musculaires rhumatismales, et les ma

ialement l'objet de notre attention; les reins n'ont offert aucun des caractères de l'altération si bien décrite par M. Rayer, sou

les dépôts crétacés qui, pour la plupart des auteurs, constituent le caractère anatomique le plus saillant de la goutte. Rappelo

moins de circonstances étrangères, la production du pus. C'est là un caractère important à noter, que Lobstein avait remarqué dé

s voisine du début, il s'est dé-veloppé des douleurs sourdes, et d'un caractère spécial, qui paraissaient avoir leur siège dans l

voit, la substance des concrétions de l'oreille ne diffère par aucun caractère essentiel de celle qui constitue les tophus goutt

ge-brun assez vive. Ces altérations rappellent, comme on le voit, les caractères qu'a assignés M. Rayer à la deuxième forme de la

trouvera dans l'urine des urates en grande abondance. Tels sont les caractères anatomiques et cliniques sur les-quels s'appuie l

x de la maladie de Bright aiguë et chro-nique. Il est certain que les caractères différentiels donnés par le docteur Todd sont le

dépôt d'un sel spécial (urate de soude), qu'elle a, par cela même, un caractère spécifique et diffère entière-ment des autres aff

examina alors, à plusieurs reprises, ses urines qui présentèrent les caractères suivants : elles étaient pâles, pres-que incolore

tinue dans les régions lombaires. Les urines présentèrent les mêmes caractères et la même abon-dance d'albumine jusqu'au moment

t couvertes de nombreux cristaux qui y adhéraient, et dont ies divers caractères morphologiques et microchimiques étaient ceux de

araître chez les individus encore très jeunes (25 et 30 ans), avec un caractère de sévérité extrême ; elle est d'emblée chronique

« Je crois aussi qu'il existe une arthrite blennorrhagique ayant ses caractères particuliers et distincts de ceux qui appar-tienn

es auteurs) — envisagé à son début, des traits de ressemblance et des caractères distinctifs qu'il ne sera peut-être pas sans inté

t. XXV, 1842, p. 158), ont beaucoup insisté, et avec raison, sili-ce caractère que nous avons nous-même fait ressortir (Etudes p

ical Sciences (t. XL, 1860, p. 426), s'est refusé à y reconnaître les caractères de la goutte. Ce n'est pas ici le lieu d'établir

rait être fondée d'une manière absolue sur la seule considération des caractères extérieurs, en l'absence des concrétions tophacée

s des extrémités supérieures se présentent symétriquement et avec les caractères qu'elles offraient chez la femme dont l'his-toire

oire que l'excès d'acide urique en question constitue, à lui seul, un caractère absolument pa-thognomonique de la goutte. Il résu

58, p. 129) i; — Charcot et Cornil (ibid., 1863, p. 1592) (p. 251). Caractères microscopiques des infarctus d'urate de soude dan

concernaient des individus qui, pendant la vie, avaient présenté les caractères les moins équi-voques de la goutte. Il importe de

e que renferment les urines est fréquement peu considérable, etc. Ces caractères , toutefois, sont loin d'être constants. Quoi qu

par les réactifs convenables, offrait les formes cristallines et les caractères chimi-ques qui distinguent l'urate de soude. On r

eux par des transitions insen-sibles ; on trouve assez souvent leurs caractères réunis sur un même sujet. Les différences qui les

eux et le rhumatisme articulaire aigu, un rap-prochement fondé sur un caractère important. II. La péricardite s'observe comme l

à deux types principaux : 1° type de flexion, 2° type d'extension. Caractère commun aux deux types. — La main est en prona-tio

rd cubital de la main. Variétés dupremier type. — 1° La plupart des caractères du type sont conservés ; seulement la phalangine

les autres, de manière à constituer une sorte d'enroulement. 2° Mêmes caractères , mais il y a exten-sion des phalangines sur les p

, — ainsi que nous l'avons fait re-marquer déjà (page 80), — avec des caractères identiques, dans la goutte chronique. Mais les ca

sèche. — Le processus qui détermine les lésions dont il s'agit a pour caractère principal de donner naissance à des productions o

constances étrangères, il n'aboutit jamais à la formation du pus. Ces caractères avaient été déjà parfaitement saisis par Lobstein

t grave chez les sujets atteints de goutte ; elle prend volontiers le caractère scorbutique. Lorsque la goutte est récente et q

pécial aux personnes âgées,puisqu'on l'observe parfois, avec tous ses caractères , ainsi que l'ont noté divers auteurs et nous-même

s des mains dans le rhumatisme articulaire chro-nique généralisé. Les caractères du premier type sont bien accusés dans la figure

modernes......................................... PREMIÈRE LEÇON caractères généraux de la pathologie senile. Pages But d

utte avant celle du rhumatisme chronique. — Dia-thèse goutteuse : ses caractères généraux. — Goutte régulière, irrégu-lière : gout

dromes. —Invasion des douleurs articu-laires. — Symptômes généraux. — Caractères principaux de la goutte aiguë. — Phénomènes consé

é l'existence.—Diminution actuelle delà goutte. — Permanence de ses caractères . — Modifications survenues dans nos habitudes hyg

sités d'Heberden : ne doivent point être confondues avec la goutte. Caractères anatomiques du rhumatisme articulaire chronique.—

on. — Indication des premiers travaux qui se rapportent à ce sujet. Caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatismale chronique

ale. — Analogie de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique. Caractères qui distinguent l'arthrite déformante des autres

hie goutteuse. Les altérations du rhumatisme chronique n'ont pas un caractère spé-cifique. — Elles peuvent résulter de plusieur

re-çues. — Ne diffère pas essentiellement du rhumatisme noueux. — Ses caractères particuliers. — Petit nombre de jointures affecté

RTANCE DE la THERMOMÉTRIE dans LA CLINIQUE DES VIEILLARDS (Sllite). Caractères thermiques des maladies fébriles dites typiques c

stème nerveux ; — dans l'attaque apoplectique, etc. Collapsus : ses caractères en général. — Defervescence de la pneu-monie loba

omes, 76; — douleurs 77;— symptômes généraux 77. — retour des —,80; — caractères des nouveaux—, 81; —congestion du foie au début d

e, 197 ; — du rhumatisme noueux, 233 ; — ca-ractères comparés, 168; — caractère dans les rhumatismes noueux, 234 ; — mode de term

ital (Appareil), 13. Goutte: Causes, 46,47; — observations, 503 ; — caractères généraux, 46 ; — état du sang, 47; — irrégulière,

a —, 131, 531 ; — dimi-nution actuelle de la —, 132; — permanence des caractères à toutes les époques, 133 ; — géographie médicale

; — anatomie pa-thologique, 169; — unité du—, 170, historique, 170; — caractères ana-tomiques fondamentaux, 172: — ob-servations,

rtro-phique, 249 ; — début, 250; — symp-tômes, 251; — douleur, 252; — caractères 252 ; — rétraction spas-modique des muscles, 254.

; — examen microscopique, 401 ; siège, 56, 420 ; — volume, 420 ; — caractères cliniques, 83 ; — con-sistance, 421 ; — mode d'ap

Le malade, si près qu'on l'approche du tableau, ne peut lire aucun caractère . Il faut alors employer le procédé suivant. On pr

e en pratique pour les mêmes raisons qui empêchent l'utilisation de caractères d'imprimerie. Voici un procédé, moins scientifi

e : Cécité absolue. Réflexes pupillaires conservés. Elle a tous les caractères d'une cécité d'origine corticale. Elle est passa-

més, colorés, concaves, convexes). On en fait le diagnostic par les caractères précédents et la coexistence d'autres signes d'

ital- moscopiques, une véritable amblyopie. Elle présente les mêmes caractères que l'amblyopie nicotino-alcoolique : diminutio

le siège, l'étendue et la forme de l'hémianopsie. (Voir p. 10.) , Caractères du champ visuel dans l'hémianopsie. L'examen pé

ement dans les lésions sous-corticales. Il existe encore quelques caractères propres aux hémianopsies sous- corticales : La

n vice ou il une inégalité de réfraction des deux yeux. Plusieurs caractères le distinguent du strabisme paralytique. Il survi

secondaire est plus grande que la déviation primaire. ' Un autre caractère de ce strabisme, mais qui n'existe pas dans toute

btient ainsi une trans- cription graphique de la diplopie.et.de ses caractères . Il. est facile, avec les données de ce schéma,

déviations de l'oeil résultant. de la paralysie du muscle ; 5° Les caractères de la diplopie (tig. 48 et ! >-9). PARALYSIE

iagnostic étiologique.) Les paralysies oculaires varient dans leurs caractères , non seulement suivant le siège,' mais encore s

mécaniques de rétrécissement, et de dilatation pupillaires ont des caractères spéciaux qui permettent de les distinguer entre e

{.FOULARD.} ] 811'fIlOL'nLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Ces caractères distinctifs entre les variétés de rétrécissement

is dans les méningites, les méninge-encéphalites. Il forme un des caractères de Y hémiplégie du type Avellis. Cette hémiplég

axile et réductible. Valeur séméiologiqne. L'exophtalmie avec les caractères que nous venons de lui décrire, a une valeur sé

isse convenir à tous les cas. On pourrait attaquer presque tous les caractères qui viennent d'être donnés pour définir le nyst

résumées sous forme de tableau. Tumeurs corticales. Iléniianopsic à caractères spéciaux (p. 52); Aphasie, avec cécité verbale

55). Tumeurs cérébrales centrales sous-corticales. IIemianopsie à caractères spéciaux (p. 55); Mêmes symptômes que pour les tu

ales centrales avec lésion des ganglions centraux. - Ilémianopsie à caractères spéciaux (p. 55); Paralysies associées sou- ven

en plaques. Tabes. - Des troubles auditifs à évolution rapide et à caractère de surdité nerveuse ont été signalés dans la sc

ns toutefois que les surdités dites nerveuses présentent souvent un caractère d'intensité et de gravité qui se rencontre rare

acilement des troubles des sentiments affectifs et delà volonté. Le caractère triste, l'irascibilité, la tendance à la mélancol

ions el de psychoses. Les bruits subjectifs prennent facilement, un caractères rythmé et un timbre musical : chez un individu

t l'hystérie. Rappelons cependant ici ce que nous avons déjà dit du caractère artificiel de l'hémianesthésie sensitivo-senso-

s était considérée par Charcot et Gilles de la Tomette comme un des caractères essentiels du syndrome, de Meniere;on admet aujou

La céphalalgie occipitale permanente et les vomissements répétés à caractère cérébral, sans nausées, le peu d'intensité ordina

nements d'oreille, somnolence ou au contraire insomnie, troubles du caractère , l'aligne physique et mentale, enfin autres sym

ant. Il [A. LÈRI1 174 VERTIGES. parait donc certain, de par ces caractères , que la névropathie joue dans sa détermination

a syncope est en général brève; le malade est pâle et non vultueux, caractères relatifs, il est vrais; mais un examen soigneux

par un ictus. Nous verrons il propos de sa valeur séméiologique les caractères différents que lui imposent les etiotogies divers

taient inconnus, on pour- rait se guider sur les vomissements et le caractère spécial de : toutes les déjections de l'ivrogne

ontraire être brusque, survenir en pleine santé, présenter tous les caractères d'un signal-symptôme. Con- fondu jadis avec le

e, la narco- iepsic est fréquente. Elle l'est encore, mais avec des caractères plus tranchés, dans l'épilepsie. Les malades ép

hie, des secousses librillaires, la réaction de dégénérescence. Ces caractères se retrouvent dans les dysarthries bulbaires. L'a

Dysarthries d'origine spasmodique. -Ces dysarthries présentent les caractères communs suivants : débit, saccadé, monotone, émis

finales sont souvent explosives. Le timbre est parfois nasonné. Ces caractères se retrouvent dans la maladie de Friedreich, da

le que soit sa nature, l'écriture est petite, menue, hésitante. Ces caractères , communs il toutes les formes, s'expli- quent p

ué souvent dans le graphisme étudié, tout au moins sur les premiers caractères tracés. L'écriture de Yataxique est en général

accessoires, indépendants, jetés sur le papier, barrant souvent les caractères déjà tracés. Ces diffé- rents troubles augmente

par de la difficulté de l'écri- ture. La main tremble, hésite, les caractères sont incomplets, leur tracé défectueux et malad

son nom), soit en examinant par transparence la feuille couverte de caractères . L'écriture en miroir est donc disposée comme l

rte de caractères. L'écriture en miroir est donc disposée comme les caractères sur les formes d'imprimerie. Cette écriture est

sur les pensées exprimées. La forme générale du tracé présente des caractères distinctifs des plus nets, tout au moins dans l

t-il, du moins, lire un mot isolé ? Connaît-il encore les lettres ? caractères imprimés ordinaires capitales écriture cursive

générale. Facultés professionnelles. S mtormer des changements de caractère (fréquents) survenus depuis le début de la mala

syndrome, nous retrouverons ici, se modi- fiant réciproquement, les caractères additionnés dl' ! "anart/n'ie el de l'aphasie d

naître; en tant que crayon. De môme, l'agnosique visuel décrira les caractères objectils visuels d'une sonnette, sans pou- voi

par l'usage d'un sens unique, tous les antres fournissant les seuls caractères élémentaires des corps. Théoriquement, l'agnosi

mélancolique fait des efforts multiples pour tracer quelques petits caractères et s'arrête, bientôt; les hallucinés auditifs s

es ou obsessions. Les obsessions se présentent en clinique avec des caractères très nets qui permettent toujours de les reconn

leur état social, leur profession, leurs tendances antérieures, le caractère , le milieu où ils vivent. Toutes les idées déli

e. Dans la para- lysie générale les idées d'auto-accusation ont des caractères un peu spé- ciaux il cause du fonds démentiel s

éments on observe des accès de mélan- colie anxieuse avec les mêmes caractères que chez l'adulte. Ailleurs, dans la def ? ir.s

ution sont peu impor- tantes ; elles ont dans ce délire onirique un caractère de mobilité. Elles sont sans doute la conséquen

ont secondaires il l'affaiblissement (les facultés et présentent un caractère démentiel. Tel est le cas de ces vieillards amnés

les les idées de persécution ont une systématisation incomplète, un caractère de niaiserie. Elles s'accompagnent souvent d'autr

uent leurs énormes richesses; mais ce délire des paralytiques a des caractères spéciaux dus il l'état démentiel, c'est un déli

e, incohérent, contradic- toire. Les idées de satisfaction avec des caractères semblables se consta- tent chez les débiles att

tres supérieurs, surhumains. L'idée déli- rante, chez eux, revêt le caractère de la mégalomanie. Quelques aliénés raisonnants

ptiques. Il présente alors un début et une disparition brusques, un caractère onirique; l'amnésie consécutive est totale. L

e Dieu, etc. Leur délire religieux a, comme tous leurs délires, des caractères de mobilité et d'incohérence tout à fait partic

intoxications (solanées vireuses, haschich, opium, alcool) ont les caractères hallucina- toires oniriques des délires toxique

par les symptômes suivants (dégénérescence ou démence, nature et caractère des idées délirantes, des hallucinations, des imp

is c'est un mouvement convulsif des épaules qui peut pré- senter le caractère de secousses électriques et qui se rapproche alor

à certaines aptitudes, tantôt à la gaîté, tantôt au contraire à un caractère irritable, rageur, entêté. - . : i° Instabilité

le de déterminer des troubles sensitifs, dont la disposition et les caractères varieront sui- vant le siège des lésions en cau

até- rale, l'anesthésie peut envahir toute la surface du corps. Caractères . L'hémianesthésie cérébrale est d'intensité var

t ou l'ouïe seulement par exemple; enfin, jamais ils ne prennent le caractère d'un symptôme persistant. On peut expliquer la

li- nique présente un intérêt capital pour le neurologiste; par ses caractères , et bien plus encore par son association à d'au

ux hémianesthésies durables, susceptibles d'être étudiées dans leur caractère et leur évolution, et qui présentent réellement u

pédonculaire ou protubérantiel, peut donner à l'hémianesthésie des caractères dis- tinctifs. 1° Hémianesthésie corticale ou

sion sous-corticale et centrale thalamique. On s'est demandé si les caractères mêmes des troubles sensitifs, leur intensité, l

ent de faire un diagnostic de localisation, uniquement basé sur les caractères différentiels des anesthésies corticales. Les

sur les caractères différentiels des anesthésies corticales. Les caractères mêmes de l'hémianesthésie corticale ne paraissent

° Hémianesthésie thalamique. L'hénbianesthésie thalamique revêt les caractères attribués autrefois aux hémianesthésies dites c

hésie thalamique présente, en clinique, très sensiblement les mêmes caractères que les hémianesthésies. corticales : habituellem

ractérisé par : '10 Une hémianesthésie superficielle persistante, à caractère orga- nique, plus ou moins marquée pour les sen

ffer), l'anesthésie corticale pouvait se présenter parfois avec des caractères particuliers, cette opinion était encore loin d

açon générale. D'autre part, la persistance des troubles sensitifs, caractère important des anesthésies thalamiques ou thalam

contrer dans les lésions étendues du centre ovale ou du cortex. Les caractères seuls des troubles sensitifs sont donc insuffis

ôt, par l'étude des troubles sensitifs dans les névroses, sur quels caractères repose le diagnostic différentiel entre l'hémia

protubérance et du bulbe, les troubles sensitifs revêtent les mêmes caractères généraux que ceux de l'hémianesthésie corticale

s méninges, de la moelle; hématomyélie, foyer de ramollissement). Caractères . Suivant le siège, de la lésion en hauteur, l'ane

dalités propres que par son association aux phénomènes moteurs, des caractères particuliers dont l'ensemble constitue le « syn-

e; par myélite transverse, syphilis médullaire, mal de Pott, etc.). Caractères . Dans la paraplégie sensitive, l'anesthésie occup

nuque,- dans le domaine des 2e et 5" cervicales. ' Quels sont les caractères de ces troubles sensitifs objectifs dans le tab

oteurs. Les modalités d'altération de la sensibilité présentent des caractères particuliers. On note, en effet, dans l'immense

, à rechercher désormais le siège cortical de toute lésion dont les caractères ne révéleraient pas une origine spinale. Avant

fec- tieuses ou toxiques; la névrite apoplectiforinc (de Dubois). Caractères . Lorsque les racines sont intéressées dans le tro

quels sont les signes qui peuvent aider dans ce diagnostic. " Les caractères des troubles sensitifs sont, dans certains cas, d

dans ce cas qu'on observe « l'anesthésie douloureuse ». Mais ces caractères différentiels tirés des seuls troubles sensitifs

la sensibilité dans le territoire d'in- nervation de ces nerfs. Caractères . Ces troubles consistent en des altérations de

enfin observer des troubles de la sensibilité, présentant les mêmes caractères que dans les névroses, au cours des affections

lésion organique du système nerveux. Ils revê- tent en clinique des caractères particuliers qui permettent de faire leur diagn

rticuliers qui permettent de faire leur diagnostic étiologique. Ces caractères sont particulièrement nets dans l'hystérie. I

et de les faire disparaître par persuasion. Ils présentent quelques caractères particuliers que nous allons étudier. · Leurs

quelques caractères particuliers que nous allons étudier. · Leurs caractères généraux. -La sensibilité objective peut être dim

e à la douleur sont normaux. Influence de la suggestion. Un dernier caractère important : ils sont PitATIQUE 1ÕEUIlOI.. 25

e hystérique peut être brachiale ou cervicale, elle revêt les mêmes caractères que l'hémianesthésie. ]''ig. 45. Hemianesthésie

p la plus fréquente, et ici encore on recherchera avec prudence les caractères différentiels. Nous ne reviendrons pas sur les

l'hémianesthésie hysté- riquc, mais il est bon de rappeler ici les caractères de l'hèmianesthcsie organique. Elle n'est jamai

les réveiller ou de les exaspérer. Par leur fréquence et par leurs caractères , les troubles subjectifs de la sensibilité tien

procéder par ordre et examiner successivement : 1° leurs différents caractères généraux; 2° leur valeur séméiologique. Carac

urs différents caractères généraux; 2° leur valeur séméiologique. Caractères généraux. Leur siège. Elles sont superficielles o

mement fréquentes et peuvent être périodi- ques, elles revêtent les caractères des névralgies, dont elles sont le prin- cipal

ies). Toutes ces différentes modalités appartiennent aux douleurs à caractère intermittent, et se rencontrent fréquemment au

cours du tabès. [ROIISSY.] 564 . SENSIBILITE. - Les douleurs à caractère permanent sont dites, suivant leurs diffé- rent

ne valeur intrinsèque en séméiologie ner- veuse, aussi bien par ses caractères que par son siège ? Tel est le problème que l'o

rons qu'un mot, pour les éliminer, des céphalées de cause locale. Caractères . La céphalée peut être d'intensité variable et co

n des symptômes cardinaux ou accessoires de l'affection, et par ses caractères , son évolution, son mode et son moment de début

ses (céphalée fonctionnelle). Céphalée organique. Elle présente les caractères des afl'ec- tions organiques, leur fixité, leur

on au cours de la syphilis, elle se présente toujours avec certains caractères particuliers qui individualisent la céphalée syph

modalités, suivant les cas, la céphalée syphilitique présente deux caractères essentiels : a) les exacerba lions nocturnes qu

hera nne grande importance à la présence ou à l'absence de ces deux caractères particuliers, dans la discussion de la valeur sém

le emprunte à la névrose, dont elle n'est qu'une manifestation, ses caractères particuliers; rebelle à l'action des analgésiqu

stion et l'auto-suggestion. Dans quelques cas enfin, elle revêt les caractères paroxystiques des céphalées méningitiques avec le

alités variables suivant leur cause, leur moment d'apparition, leur caractère . , Selon qu'elles précèdent ou qu'elles suivent

ocalisation. En se basant sur leur nature pathogénique et sur leurs caractères cliniques, on peut les diviser en deux groupes

t par les variations atmosphériques; elles ont, en un mot, tous les caractères des douleurs rhumatismales. Comme elles, elles

rieur de Raymond et Cestan. [ROUSSY.] 5 72 ` ? ' ' SENSIBILITÉ. Caractères . Ces douleurs sont précoces dans leur apparition

eau, à des coups de poignard. Ces phénomènes douloureux revêtent le caractère paroxystique et surviennent par crises; dans l'

ts et fourmillements dans les membres et même à la face. Un dernier caractère important : ces algies ne cèdent à aucun traite-

ALGIES CENTRALES OU TOPOALGIES IV. ALGIES CENTRALES OU TOPOALGIES Caractères . Ce sont des douleurs qui sont localisées par les

quelconque du corps; dou- leurs tenaces, persistantes, qui ont pour caractère principal, primordial, d'être indépendantes de

e l'attention. » (Dejerine.) Les algies centrales revêtent certains caractères qui permettent de les reconnaître, et dont le p

rdinairement syphili- tique) que les dysesthésies revêtent certains caractères qui méritent de ' nous arrêter un instant. Nous

forme larvée névralgique. Les névralgies paludéennes ont souvent le caractère de l'intermittence, mais ce caractère n'a pas u

es paludéennes ont souvent le caractère de l'intermittence, mais ce caractère n'a pas une valeur pathognomonique, car beaucoup

é, le siège même n'ont, qu'une importance secondaire, alors que son caractère essentiel est de revenir, soit il date fixe, à

adi- culalbies se traduisent par des douleurs, ayant fréquemment le caractère fulgurant et térébrant, survenant par crises va

que non radiculaire, par des dou- leurs qui prennent fréquemment le caractère fulgurant, par des troubles de la sensibilité à

lalgie est souvent difficile a déterminer, et c'est par l'étude des caractères de ce symptôme et aussi par l'ensemble des sym-

t apparaître sans que lé sujet fasse la moindre résistance. z Ces caractères sont nécessaires pour affirmer qu'il s'agit bien

RS DES CONDITIONS MORBIDES Les réflexes tendineux gardent-ils leurs caractères à toutes les périodes de la vie ou subissent-il

abdominal et crémastérien ; il pense que, si l'on veut exprimer le caractère essentiel de la perturbation de ces réflexes, il

hez l'enfant, l'hémiplégie organique cérébrale se présente avec des caractères tellement particuliers qu'il y a lieu de lui cons

rganique, présentent dans leur manière d'être, un certain nombre de caractères à peu près constants : ils sont plus prononcés

s sensitifs, mais ils y sont moins marqués qu'aux membres. Un autre caractère de ces troubles sensitifs est d'être transitoires

le faisceau pyramidal se trouve collecté, et il ce point de vue les caractères de l'hémiplégie sont fort analogues. C'est-à- d

lésion d'un pédoncule, de la protubérance ou du bulbe, présente des caractères particuliers, c'est que la lésion du faisceau p

ans l'hémiplégie par lésion cérébrale. En réalité, nous manquons de caractères spéciaux permettant de distinguer sûrement ces

es modalités de l'impotence fonction- nelle des membres, différents caractères qui éveilleront ses soupçons et l'inciteront à

ude, dans l'hémiplégie névropathique, mais ils ne présentent pas le caractère de spasnrodicité, de brusquerie qu'ils ont le p

xiste, se présente chez les hémiplégi- ques névropathiques avec des caractères tout différents de ceux (me nous HÉMIPLÉGIE..47

que l'hémiplégie infantile déploie dans tout leur développement les caractères qui lui sont propres, il faut que la lésion se so

malade. Le malade peut-il marcher, et, dans ce cas, quels sont les caractères particuliers de la démarche morbide ? Si le mal

ntaine de la démarche spasmodique est la démarche cérébelleuse. Ses caractères sont' trop connus pour que nous insistions. Le

sclérose en plaques, dont nous présente- rons en quelques mots les caractères diagnostiques. La paraplégie spasmodique de la

ister des troubles Il'0- phiqnes souvent effrayants [escarres). Ces caractères permettent de grouper les myélites syphilitique

organes génitaux. Du reste, on peut, avec Souques, ranger ainsi les caractères qui tendront à faire se prononcer le clinicien

e plus souvent constipation et incontinence d'urine. On note, comme caractères distinctifs propres au syndrome de la queue de

imique, escarres aux points d'appui. L'intensité des douleurs, leur caractère térébrant, sont également en faveur d'une lésion

le porte également aussi bien sur les muscles que sur les nerfs. Ce caractère est constant ; les ICROUZON.] 20 PARALYSIE PÉ

il existe un cas de Gollf7am ou il y a eu un accès unique. Un autre caractère de la maladie de Westphal est son caractère famil

accès unique. Un autre caractère de la maladie de Westphal est son caractère familial et héréditaire ; c'est surtout dans to

surtout dans toutes les observations de Cousot, de Goldllam que ce caractère a été relevé. La transmission de la maladie se

sie périodique, abolition transitoire de l'excitabilité électrique, caractère familial et héréditaire. ' PHYSIOLOGIE MUSCUL

e muscle est constitué par une série de faisceaux qui présentent ce caractère commun de s'étendre d'une apophyse transverse ! l

té active qui lui fait abaisser et écar- ter les angles des lèvres, caractère frappant de'la caducité (Charpy). Ilenle suppos

e, sa main droite au sur et à mesure que celle-ci trace de nouveaux caractères . Si, dans la paralysie radiculaire supérieure,

rtains groupes musculaires qui s'atrophient en masse. C'est par des caractères analogues que se reconnaitra chez l'adulte la p

gnée le plus souvent d'une hémiplégie des membres du même côté. Les caractères de la para- lysie faciale d'origine cérébrale s

r un crayon ou un pinceau, les malades toutefois écrivent en petits caractères . L'extension de la main sur l'avant-bras est im

mptômes élémentaires : elles peuvent être acquises ou présenter les caractères d'une maladie de développement.. Les amyotrop

usivement chez l'adulte : toutes les amyotrophies qui présentent ce caractère paraissent être dues il une altération primitiv

t. 1\, 1904. IA. LÉRI.] ] 664 Il ATROPHIES MUSCULAIRES. cence, caractère héréditaire ou familial, autres anomalies dans le

aladies de développement (d'origine probablement congénitale). Le caractère capital de ces affections, celui qui en l'ait vra

rer comme dues il un trouble congénital de la nutrition, c'est leur caractère héréditaire ou familial. C'est ce caractère qui

a nutrition, c'est leur caractère héréditaire ou familial. C'est ce caractère qui rapproche des amyotrophies progressives dont

rs dans l'enfance ou dans l'adolescence : ce début pré- coce est un caractère de première importance pour le diagnostic. Il [

AIRES. semble môme y avoir une relation étroite entre la netteté du caractère héréditaire et l'âge de début de la maladie : l

début de la maladie : la' maladie débute d'autant plus tôt que son caractère héréditaire est plus constant, et cela quel que

» de myopathie : c'est peut-être à ce l'ail qu'est dû en partie le caractère apparemment peu héréditaire de ces variétés il

ut se fait pendant l'enfance ou l'adolescence. Nous ajouterons un caractère accessoire, l'influence très marquée du 1. Clh\

erstitielle hyper- trophique. A. - MYOPATHIES (5) En dehors des caractères que nous venons de signaler (âge, hérédité, sex

itiques, les atrophies myopathiques présentent un certain nombre de caractères particuliers : les uns, principaux, quoique non

rologique, 1902). MYOPATHIES. sao Symptômes musculaires. Les caractères ordinaires de l'atrophie myopathique sont les sui

s d'influence sur l'évolution de la maladie première. Tels sont les caractères ordinaires de l'atrophie myopathique ; comme on

ic résultera d'une pari de la réunion plus ou moins complète de ces caractères , d'autre part de la distribution et de l'évolut

s lieu de considérer ce type de myopathie comme différant par aucun caractère important du type ci-dessus décrit; tel est aus

fection intercurrente, pulmonaire ou autre. Après avoir indiqué les caractères de localisation et d'évolution qui différencien

igine et de nature ; elles sont reliées encore par l'en- semble des caractères que l'on a attribués à l'atrophie des muscles s

t-Marie. Type Werdnig-Hoffmann.) é t ? IiA( : 'l'f.li F : S . Les caractères qui rapprochent ces anlctrupllies des myopathies

caractères qui rapprochent ces anlctrupllies des myopathies sont le caractère héréditaire et familial et le début dans le jeune

ilial et le début dans le jeune âge (enfance ou adolescence). Les caractères qui les différencient sont : x) L'existence de

s sont exceptionnels et ne consistent guère qu'en une bizarrerie du caractère , une irritabilité spé- ciale, une fois de la na

eut être la conséquence de cette atrophie. L'atrophie a partout les caractères de l'atrophie myélopathique. à part la rareté d

e une forme spéciale, la forme Pierre Marie, différant par certains caractères de la forme Gombault-Dejerine. - L'atrophie déb

hypoesthésie ou retard de la transmission), parfois des. douleurs à caractère fulgurant, une incoor- dination motrice plus ou

e prend un aspect uniformément émacié très caracté- ristique. Les caractères de l'atrophie sont ceux des atrophies myélopathi-

repris l'étude, cette forme amyotrophique se distingue par certains caractères du. syndrome Aran-Duchenne; l'amyotrophie atteint

elques réserves. Il. - ATROPHIES MUSCULAIRES SECONDAIRES L'un des caractères les plus constants de ces amyotrophies secondaire

ques, nous serons bref sur les amyotro- phies secondaires, dont les caractères dépendent essentiellement de la nature et de la

ni de pseudo-hypertrophie, mais elle présente la plupart des autres caractères que l'on est accoutumé à rencontrer dans les atro

stera souvent encore pendant des mois et parfois des années. Un des caractères évolutifs les plus typiques de cette amyotrophi

upture d'une veine intra-musculaire (coup de fouet, Charcot). Les caractères de l'atrophie d'origine abarticulaire sont identi

ophie consé- cutive à l'inflammation des séreuses articulaires. Les caractères de l'atro- phie sont les mêmes et sa ténacité e

iment persistants. ? B. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE ; Le caractère général de ces atrophies, de beaucoup les plus fr

né ('). L'atrophie musculaire peut affecter chez l'adulte les mêmes caractères et survenir dans les mêmes conditions que chez

istinguent des atrophies d'origine spinale par un certain nombre de caractères , d'ailleurs tous inconstants. Les contractions

spontanées, paroxystiques, intermittentes ou surtout rémittentes, à caractère névralgique, souvent fulgurant ou térébrant, et

- ment liés aux paralysies atrophiques d'origine périphérique. Le caractère spécial de l'évolution de ces atrophies, c'est qu

oubles moteurs ou inver- sement. L'atrophie musculaire présente les caractères ordinaires de l'atrophie d'origine périphérique

mation de nouvelles attitudes vicieuses. [A. LÉRI.] TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES ATROPHIES MUSCULAIRES

hie généralisée). A) Atrophies de l'enfance ou de l'adolescence : Caractères communs : début dans l'enfance ou l'adolescence

cence : Caractères communs : début dans l'enfance ou l'adolescence; caractère héréditaire ou familial. a) Myopathie : 1. Ca

adolescence; caractère héréditaire ou familial. a) Myopathie : 1. Caractères de l'atrophie musculaire : Absence de contraction

umérale : Landouzy-Dejerine : 2" enfance. b) Myélopathies : .' 1. Caractères de l'atrophie : Contractions fibrillaires (pas da

s tendineux; peu ou pas de troubles du développement. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES. 755 2. Variétés analomo-

interstitielle : Gombault, Deje- rine, Sottas et Pierre Marie. / Caractères : semblables à type Charcot-Marie, en plus : hype

s de l'adulte : Myélopathies : Type Duchenne-Aran = Syndrome : 1. Caractères du syndrome : contractions fibrillaires; pas de p

pas ou peu de troubles trophiques. 2. Variétés analomo-cliniqucs : caractères différentiels : a) Spasmodiques : réflexes tend

plaies, coup de fouet; séreuses : atro- phies pleurétiques, etc. Caractères de l'atrophie : caractères de l'atrophie simple,

euses : atro- phies pleurétiques, etc. Caractères de l'atrophie : caractères de l'atrophie simple, myopathique, mais absence

c) D'origine périphérique : lésions des nerfs périphériques : 1. Caractères de l'atrophie : pas de contractions fibrillaires

début par l'extrémité des membres; tendance il la régression. 2. Caractères associés : paralysie; troubles sensitifs subjecti

augmentation de nombre ou de dimension des libres contractiles. . CARACTÈRES DE L'HYPERTROPHIE MUSCULAIRE Le muscle hypertro

ue de son hypertrophie. En dehors de l'augmentation de volume, seul caractère commun, tout différencie en effet la pseudo- hy

ous dirons succinctement, à propos de chacun des groupes, par quels caractères histologiques essentiels il se distingue des au

ophie fut considérée comme physiologique par suite de l'absence des caractères spéciaux de la contractilité volontaire et élec-

et élec- trique de la maladie de Thomsen. Mais nous dirons que ces caractères ne paraissent plus avoir dans cette affection n

d'un de ces « hommes musclés » publiée par Van Duyse (2) [bien des caractères de la maladie de Thomsen, nous avons fort tenda

caractéristique des atrophies myopathiques. Mais elle n'est pas un caractère particulier à la forme juvénile, elle s'observe a

etc., le résultat d'un proces- sus inflammatoire, d'une myosite. Le caractère pathologique de l'hyper- trophie préatrophique

ue), mais encore leur striation devient inégale et irrégulière, les caractères de différenciation des fibrilles contractiles e

ux contractiles : ce processus sera l'origine de l'atrophie. .Ces caractères distinguent les fibres atteintes d'hypertrophie p

aladie de Thomsen.. L'hypertrophie musculaire est en effet un des caractères essentiels de cette affection. Parfois plus ou

arge, cou de taureau, la tête relativement trop petite qui sont les caractères essentiels de l'hypertrophie thomsénienne. Les

ées des faits assez nombreux ont montré, d'une part qu'aucun de ses caractères ne lui appartient en propre et qu'ils peuvent t

s musculaires les muscles atrophiés eux-mêmes peuvent présenter los caractères de la réaction myotonique (Rossolimo, Lannois,

t l'association sur les mêmes muscles ou sur des muscles voisins de caractères (atrophie, hypertrophie préatro- phique ou perm

que : lenteur de la décontraction (réaction myotonique d'Erb). 4° Caractère familial et héréditaire. t° Hypertrophies diver

coordination pourra en être la conséquence, mais elle aura quelques caractères différents suivant la partie lésée des voies sen-

dualité d'origine. SÉMÉIOLOGIE Nous exposerons successivement les caractères de chacun de ces syn- dromes, puis leurs variét

nt ne peut faire interve- nir à temps les antagonistes. Un second caractère essentiel des mouvements ataxiques est qu'ils s

qui devient aveugle, ainsi que nous avons pu l'observer. ' Ces deux caractères se retrouvent aussi bien dans la conservation des

de ces variétés étiologiques ou topographiques présentera quelques caractères particuliers que nous allons maintenant étudier

iguë par lésion bulbaire. 5. Ataxie dans les lésions du cerveau. Le caractère par- ticulier de l'ataxie par lésion du cerveau

aucoup moins atteints. ' Dejerine et Egger, qui ont bien étudié les caractères de l'hémiataxie post-hémiplégique, attribuent l

ur les troubles des mouvements des membres isolés, présente plus de caractères de l'incoordination cérébelleuse que de l'ataxi

uant en quelques mois, qui présente aussi de façon prédominante les caractères de l'incoordination céi-ébel7 leuse sans ataxie

blance, d'altérations générales du système nerveux et parce que les caractères de la vraie asynergie cérébelleuse n'ont pas été

à l'incoordination cérébelleuse, quelle qu'en soit la variété, des caractères spéciaux. A l'opposé de l'ataxique, le cérébell

s un trouble même des mouve- ments les plus simples. Avec de tels caractères généraux, l'incoordination cérébelleuse se pré-

, de l'écriture et de la parole, encore fort peu étudiés dans leurs caractères et leur pathogénie, ne paraissent pas différer

: nous aurons à y revenir. Quant à la titubation elle-même, si ses caractères cliniques ont été parfaitement décrits par Duch

nous décrirons et qui est beaucoup plus rare. La titubation est le caractère capital d'un ensemble symptomatique qu'on peut

rébelleuse a été entièrement analysée et décrite par Babinski ; son caractère essentiel est la décomposition des mouvements e

s une seule, soit dans plusieurs générations. Ces maladies ont pour caractère commun une incoordination marquée qui se manife

ons forment un groupe, non seulement par suite de l'existence de ce caractère commun, mais encore parce qu'on observe des cas

membres inférieurs. L'incoordination présente à peu près les mêmes caractères que dans la maladie de Friedreich. La marche es

du tiers des cas d'une atrophie optique présentant il peu près les caractères ophlhalmoscopiques et fonctionnels de l'atrophi

en des analo- gies avec la maladie de Friedreich : début précoce et caractère familial, incoordination, nystagmus, abolition

fois un tremblement inten- tionnel. Elle se distingue aussi par les caractères de l'incoordination; l'incoordination est consé

ubles de la marche. [A. LÉRI.] 782 INCOORDINATIONS. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES INCOORDINATIONS 1 (

sensitif : perte de la notion du degré de contraction des muscles. Caractères : Il Manque de modération des mouvements par dé

e l'appareil cérébelleux. A. TITUBATION CÉRÉBELLEUSE de Duchenne, Caractères : Démarche ébriellse. festonnante, irrégulière

phique : lésion du vermis. B. ASYNERGIE CÉRÉBELLEUSE de Babinski. Caractères : Décomposition des mouvements composés par déf

ées ? Négligeant l'hémiplégie des membres tout à fait banale en ses caractères , nous nous attacherons à préciser les troubles

antielles ; aussi les syndromes observés présentent-ils souvent des caractères mixtes. Le syndrome de Millard-Gubler rentre en g

ndrome pseudo-bulbaire cérébral dont nous signalerons plus loin les caractères distinctifs. Il est aisé de ne point prendre le f

et la très grave dysphagie qu'elles entraînent ne présentent qu'un caractère spécial, c'est de n'être accompagnées ni de tro

as d'unité, complète dans leur allure clinique et empruntent divers caractères à leurs conditions étiologiques, caractères qui

ue et empruntent divers caractères à leurs conditions étiologiques, caractères qui modifient le mode de début, l'évolution et le

e dite « en arc de cercle » , Il semble que des hallucinations d'un caractère effrayant le pour- suivent. [ROUSSY] ] 852

t suivie d'une longue période, de stertor. Mais quelques-uns de ces caractères , morsure' de la langue, évacuation invo- lontai

'un tremblement respiratoire dont le nombre des oscillations et les caractères sont identiques à ceux du trem- blement général

qui sont étudiés plus loin se distinguent par un certain nombre de caractères : ce sont des contractions muscu- laires involo

et se transmet au hras, à l'avant-bras, à la main et aux doigts. Ce caractère du tremblement s'oppose il celui des tremble- m

été déjà vu par Koenig et Galezowski, mais dont ils ont précisé les caractères d'oscillations très rapides et apparaissant dan

ste jamais sans eux. Mais, en présence d'un tremblement offrant les caractères que nous venons d'indiquer, on ne doit pas conc

ts choréiformes.. - Le-tremblement hystérique se -présente avec les caractères suivants : quelquefois son début est insidieux,

avons dit plus haut, il propos du clonus du pied, quels étaient les caractères différentiels de ce vrai clonus et du faux clon

[CROUZON.] 846 TREMBLEMENTS. ' Le tableau ci-dessous résume les caractères de ces tremblements : DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU

pour siège de pré- dilection les membres supérieurs, cependant ces caractères donnés par Debove et Renault ne sont pas consta

nom de tremblement essentiel ou de névrose trémulante. Un dernier caractère de ce tremblement héréditaire est celui sur leque

plus accentué le matin il jeun. Ce tremblement alcoolique a donc un caractère rémittent intentionnel et c'est là un caractère c

lcoolique a donc un caractère rémittent intentionnel et c'est là un caractère commun à tous les tremblements toxiques : café,

rbides. Nous allons donc nous attacher il décrire, tout d'abord les caractères communs à toutes les chorécs; nous chercherons

communs à toutes les chorécs; nous chercherons à différencier ces caractères de ceux des autres mouvements involontaires : tre

der si ces troubles sont dus à la chorée elle-même, et s'ils ont un caractère spécifique, ou s'il faut -admettre, avec Joffro

légers, consistant tout particulièrement dans des modifications du caractère , émotivité, tristesse ou dans un affaiblissement

autres mouvements involontaires. Nous avons déjà vu quels sont les caractères des tremblements, qu'ils soient toxiques, organiq

, leur irrégularité et le peu d'amplitude de leurs oscillations. Le caractère s'oppose très nettement aux mouvements rythmiqu

asion plus loin de distinguer, dans le chapitre dès myoclonies, les caractères différentiels dé chacune des variétés de myocloni

n de l'affection et de l'assiduité au travail : l'enfant, change de caractère , il devient capricieux. On peut noter également

alors constituée. A la période d'état, les troubles moteurs ont les caractères que nous avons décrits aux mouvements choréique

fique. Nous avons vu qu'ils se manifestent par les modifications du caractère , de l'affection, de la mémoire; , , . 2° Au c